ÈME PARTIE (suite) CHAPITRE VI FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
On désigne sous le nom de fibres de projection
ÉRÉBRALE On désigne sous le nom de fibres de projection de l'écorce
cérébrale
l'ensemble des fibres qui, prenant leur origine
res qui, prenant leur origine dans les cellules de la cor- ticalité
cérébrale
, relient cette dernière aux différents segments d
x différents segments du névraxe. Elles comprennent, comme l'écorce
cérébrale
elle-même, deux grands systèmes : le système du
e cérébrale elle-même, deux grands systèmes : le système du manteau
cérébral
elle système du rhinencéphale. Le système du ma
nteau cérébral elle système du rhinencéphale. Le système du manteau
cérébral
envoie ses fibres de projection dans la capsule
plus haut degré de développement chez l'homme. Il relie le manteau
cérébral
aux ganglions infracorticaux, au rhombencéphale
son ensemble un vaste cùnc dont la base correspond à la corticalité
cérébrale
et le som- met à l'extrémité inférieure de la m
rosmatiques; il constitue les radiations olfactives et le lri- gone
cérébral
et n'envoie que très peu Je fibres dans la capsul
La capsule interne représente donc une formation propre au manteau
cérébral
. Dans la série des vertébrés, elle n'apparaît qu'
rnier. Elle fait défaut non seulement chez les poissons où l'écorce
cérébrale
se réduit à une mince couche épithéliale, mais
oie les siennes dans les radiations olfactives, et le tri- gono
cérébral
. La capsule interne n'existe que chez les v
OMIE DES CENTRES NERVEUX. Les fibres do pro- jection du manteau
cérébral
sont des fi- bres corticifuges. Leurs aractèr
onne naissance à un groupe de fibres qui est l'homologue du trigone
cérébral
. I. SYSTÈME DES FIBRES DE PROJECTION DU MANTEAU
du trigone cérébral. I. SYSTÈME DES FIBRES DE PROJECTION DU MANTEAU
CÉRÉBRAL
. NEURONES CORTICAUX DE PROJECTION Les fibres
NES CORTICAUX DE PROJECTION Les fibres de projection du man- teau
cérébral
sont des fibres corlici- luges. Elles pré- se
oyennes et dans quelques cellules poly- morphes de l'é- corce
cérébrale
; t 2° de dégénérer ' de haut en bas ( dégén
s Fig. 1. - Schéma du système des libres de projection du manteau
cérébral
. 13 bulbe. - Ce. corps calleux. - CL, corps d
onstituent la voie pédonculaire (VP), occupent le pied du pédoncule
cérébral
, abordent ensuite le rhombencéphale, pénètrent
utres se rendent dans les noyaux des nerfs moteurs crâniens (fibres
cérébrales
des nerfs moteurs crâniens) et repré- sentent l
as). Par son trajet, le système des fibres de projection du manteau
cérébral
appartient donc aux différents segments du névr
térieur, inter- médiaire et moyen, et qui s'étend de la corticalité
cérébrale
au bord supérieur de la protubérance. Nous renv
MÉDIAIRE ET MOYEN. CENTRE OVALE, CAPSULE INTERNE, PIED DU PÉDONCULE
CÉRÉBRAL
. A. CENTRE OVALE A leur origine, les fibres d
A. CENTRE OVALE A leur origine, les fibres de projection du manteau
cérébral
concourent, avec les fibres calleuses, les fibr
s sous le nom de substance blanche non différenciée de l'hémisphère
cérébral
, elles s'entre-croisent a angle droit avec les
férieur de la couronne rayonnante. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 5 tail largement déployé dont les rayons (rccc
suit que les lésions patho- logiques destructives de la corticalité
cérébrale
intéresseront toujours chez l'enfant le faiscea
2 et G). Sur les coupes horizontales microscopiques de l'hémisphère
cérébral
(Fig. 3, 13 et 14) traitées par les méthodes de
e et interne du thalamus. NC, tête FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 7 grosses libres à myéline, fortement colorées
ne frontale du ventricule latéral. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 9 rieur de la couronne rayonnante se présente
e la capsule interne et leur continuation dans le pied du pédoncule
cérébral
. Coupe vertico-transversale sectionnant la partie
e sectionnant la partie moyenne du FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. H giqucs, destructives du lobe frontal, en par
ollatéral et au troisième sillon temporal. - P, pied du pédon- cule
cérébral
. - Pa, circonvolution pariétale ascendante, - Par
e de la capsule interne (Fig. 7) et de là dans le pied du pédoncule
cérébral
(voy. coupe sagittale Fig. 282). 3. Segment pos
le segment retrolenticulairo de la FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 17 capsule interne. Coupe horizontale intéress
orne sphénoïdale et sectionnant le noyau amygdalien et le pédoncule
cérébral
. Méthode de Weigert. (Voy. description de cette
iculaires de la troisième paire. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 19 noyau caudé (NC"), ces fibres se portent en
7'(il), tapelum. - Th, thalamus. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 21 Fin. 44. - Coupe hori- zontale de l'hémi-
optique de Forel et en continuité directe avec le pied du pédoncule
cérébral
(P). Sur toutes les coupes vertico-transversale
-lenticulaire (Cisl) et la branche commune par le pied du pédoncule
cérébral
(P) (Fig. -17). La division de la capsule inter
e de la capsule, la région sous- thalamique et le pied du pédoncule
cérébral
se continuent sans ligne de démarcation nette.
thalamique de la capsule interne. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 2a 5 FiG. 17. - Série de coupes vertico-Iransv
la région sous-optique de la capsule interne et du pied du pédoncule
cérébral
. Cia, segment antérieur; Ci(g), genou; Ci])[th)
egment postérieur de la couronne rayonnante. - P, pied du pédoncule
cérébral
. - l'y, sa continuation dans la région protubér
ns la région sous-thalamique (6, 7, 8) et dans le pied du pédoncule
cérébral
(9). La ligne poin- tillée verticale de ces cou
a capsule interne et formant la partie externe du pied du pédoncule
cérébral
. - Arc, noyau caudé. - NL3, iYI2, NL,, les troi
es en Médecine de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 27 Fic. 19. - Le segment antérieur ou lenticul
nterne du globus pallidus (NL,) et FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 31 ne. 21. - Coupe horizontale dû la région th
es en Médecine de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 33 Fia. 23. - Le genou de la capsule interne e
ip), et plus bas, le cinquième le plus interne du pied du pédoncule
cérébral
. Cette étude montre en outre que le faisceau gé
t pos- térieur (Cip) et dans la partie interne du pied du pédoncule
cérébral
(Voy. cas Rivaut, Racle, Richard, Fig. H2 il 16
transversal de l'hémisphère el convergent vers le pied du pédoncule
cérébral
. Les fibres antérieures, adjacentes au segment
s, en dedans et en avant (Fig. 6). FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 35 Fig. 24. - Le segment sous-lenticulaire et
es en Médecine de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 37 segments interne et externe du globus pal
ro et sous-lenticulaire de la capsule interne, le pied du pédoncule
cérébral
et le faisceau de Turck vus sur une coupe horizon
amen). - NR, noyau rouge. - P, étage inférieur ou pied du pédoncule
cérébral
. PTml, pédoncule du tubercule mamillaire. l'ul, p
n oblique, jusque dans les régions supérieures du pied du pédoncule
cérébral
(Fig. 25). Il s'agit, en effet, ici de fibres à
ourbe en bas et descend dans la partie externe du pied du pédoncule
cérébral
en formant le faisceau de Turck. Le segment pos
oyau lenticulaire, puis se coude et entre dans le pied du pédoncule
cérébral
. A un examen superficiel, ce faisceau paraît ve
yau caudé et représenter le contingent strié du pied du pédon- cule
cérébral
. En réalité, il s'agit ici d'un faisceau cortical
é en 1893 que toutes les fibres longitudinales du pied du pédoncule
cérébral
sont d'origine corticale. Les fibres du segment
s s'irradient en très grand nombre FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 39 Fig. 26. - Les segments postérieur, rétro-l
et sous-lenticulaire de la capsule interne et le pied du pédoncule
cérébral
vus sur une coupe vertico-transversale pas- san
sceau qui contient des fibres de projection. - P, pied du pédoncule
cérébral
. 11-I, deuxième circonvolution pariétale. - l'a
es se continuent directement avec les fibres du pied du pédon- cule
cérébral
en formant la voie pédonculaire. 3. Segment rét
, la partie supérieure de la coupe FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 41 correspond au segment postérieur de la caps
la capsule interne n'envoie pas de fibres dans le pied du pédoncule
cérébral
; tributaire du lobe occipital (en particulier d
Ce segment n'en- voie pas de fibres dans le pied du pé- doncule
cérébral
. Disposition ·bnc- rale du segment sous- le
- cend ensuite dans le cin- quième externe du pied du pédoncule
cérébral
, après s avoir abandonné des fibres au corps
isceau de Tiirck (FT), forme la partie externe du pied du pédoncule
cérébral
, et dont l'autre faisceau temporo-thalamique d'
culaire.-11. Bandelette optique. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 43 Fic. 28. - Le segment sous-lenticulaire de
ostérieur de la cap- sule interne au voisinage du pied du pédoncule
cérébral
et ses rapports dans la région sous-optique ave
éressant la corne d'Ammon, le faisceau externe du pied du pédoncule
cérébral
et le noyau rouge. Méthode de Weigert. Alv, alv
gment sous-lenticulaire de la cap- FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 4 : i su e interne. - Ln, locus niger. -.VC' p
ment inférieur de la couronne rayonnante jusqu'au pied du pédoncule
cérébral
(Fig. 29 et 7). La couche inférieure est con- s
es eh Médecine de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 47 lésion de la face interne et de la pointe d
ieur de la capsule interne au voisinage immédiat du pied du pédoncule
cérébral
. z Cisl, segment sous-lenticulaire de la capsul
essoire. - 7 ? pilier antérieur ; Tgp, pilier postérieur du trigone
cérébral
. - U, circonvolution du crochet. - VSph, corne
de la première circon- volution temporale. C. - PIED DU PÉDONCULE
CÉRÉBRAL
. VOIE PÉDONCULAIRE Le pied du pédoncule cérébra
PIED DU PÉDONCULE CÉRÉBRAL. VOIE PÉDONCULAIRE Le pied du pédoncule
cérébral
(P, Fig. 12, 25, 33, 34, 35, 36, i) fait suite
fibres n'entrent dans la conslitu- FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. zip FiG. 33. - Le segment sous-lenticulaire de
gment sous-thalamique de la capsule interne et le pied du pédoncule
cérébral
. - Coupe horizontale passant par la partie laté
aire. -11'R, noyau rouge. - P, étage inférieur ou pied du pédoncule
cérébral
. - pCR, pied de la couronne rayonnante. - PiTh,
le latéral. If, bandelette optique. FIG. 34. - Le pied du pédoncule
cérébral
, ses rapports avec le pédoncule du tubercule ma
pédoncule du tubercule mamillaire. - Coupe horizontale du pédoncule
cérébral
sectionnant le noyau rouge, l'espace perforé an
postérieur. 1,ilI. faisceau rétro- FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. as flexe de Meynert. Fus, lobule fusiforme.
- ol, sillon collatéral. - l', étage inférieur ou pied du pédoncule
cérébral
. - pCR, pied de la couronne rayonnante. PTott,
arallèles à la bandelette optique, sectionnent le pied du pédoncule
cérébral
perpendiculairement à sa direction (Fig. 12, 25
tum inter- medium (Meynert), de couche dorsale du pied du pédoncule
cérébral
(Flechsig). (Stri el PLp, Fig. 35.) Du stratu
de la profondeur du deuxième cinquième externe du pied du pédoncule
cérébral
, on voit se détacher un certain nombre de gros
de Reil médian dans les régions inférieures du pied du pédon- cule
cérébral
. Ils constituent le faisceau du pied à la calotte
ent en bas et en dedans, croiser la face libre du pied du pédoncule
cérébral
en formant le faisceau en écharpe de Féré. Au n
otubérantiel, elles atteignent le bord interne du pied du pédoncule
cérébral
et se placent en dedans de son faisceau interne
dian. Plus bas, elles rentrent dans Fig. 35. - Le pied du pédoncule
cérébral
, sa couche intermédiaire ou profonde, et le pes
nde, et le pes lemniscus profond. - Coupe transversale du pédoncule
cérébral
, au voisinage du sillon pédonculo-protubérantie
n arrière de l'aqueduc de Sylvius. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 53 la constitution de la pyramide bulbaire o
e du pes FiG. 36. - La dissociation des libres du pied du pédoncule
cérébral
, en particulier du stratum intermedium et du pe
sement au ruban de Reil médian. - Coupe transversale du pédon- cule
cérébral
passant au-dessous de la coupe précédente (Fig. 3
dehors; elles contournent le faisceau externe du pied du pédoncule
cérébral
, puis s'infléchissent en dedans au voisinage de
e Gudden. Lorsqu'on étudie les dégénérescences du pied du pédoncule
cérébral
, en particulier celles de sa partie interne, on
Dans les dégé- nérescences du faisceau interne du pied du pédoncule
cérébral
, on trou- vera toujours aux confins de la régio
der de considérer comme appartenant au système du pied du pédoncule
cérébral
. Si dans ces cas Fic. 37 et 38.-Dégénérescence
ncules céré- belleux supérieurs. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 55 FiG. 39 et 40. - Cas Bizaguet. Dégénéresc
Bizaguet. Dégénérescence de la partie moyenne du pied du pédoncule
cérébral
consécutive à une lésion corticale et sous-cortic
l'atrophie extrême des régions non dégénérées du pied du pédoncule
cérébral
et dans la figure 40 l'hémiatrophie en masse de
noyau rouge. Niv, noyau du nerf pathétique. - l', pied du pédoncule
cérébral
; P', son faisceau interne sain; P(d), sa zone m
PLs) dégénéré le long de la face superficielle du pied du pédoncule
cérébral
et on verra ses fibres horizontales se placer e
de prime abord anormales, du faisceau moyen du pied du pédon- cule
cérébral
, telles que le cas Bizaguet (Fig. 39 et 40). Dans
horizontales contourner les fibres verticales du pied du pédoncule
cérébral
. Elles ne quittent pas le voisinage immédiat du s
r les coupes sériées, le long de la face libre du pied du pédoncule
cérébral
et jusque sur la face latérale de l'isthme de l
411'E DES DIFFÉRENTES CATÉGORIES DE FIBRES DE PROJECTION DU MANTEAU
CÉRÉBRAL
(Résultats basés sur l'étude de 53 cas de dégén
nérescences secondaires.) Les connexions directes de la corlicalité
cérébrale
avec les masses grises du névraxe s'effectuent
de longueur différente : 1° Les unes courtes relient la corticalilé
cérébrale
aux noyaux gris des cerveaux intermédiaire el m
ou de bras'. 2° Les autres longues passent par le pied du pédoncule
cérébral
for- ment la voie pédonculaire et réunissent la
érébral for- ment la voie pédonculaire et réunissent la corlicalité
cérébrale
au locus niger, au rhombencéphale et à la moell
nnante du thalamus, et proviennent de toutes les régions du manteau
cérébral
, puisqu'une lésion corticale pathologique ou ex
), genou; Cip, segment postérieur; FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 59 Cirl, segment rétro-lenticulaire de la caps
plexus choroïdes. - PTg, plicature du pilier postérieur du trigone
cérébral
. Rsth, radia- tions strio-thalamiques. - SI, se
halamus. - Tga, pilier antérieur; Tgp, pilier postérieur du trigone
cérébral
. Th, thalamus. tr,c, tienia semi-circularis. -
t aux fibres cor- ticipèles que le thalamus envoie à la corlicalité
cérébrale
, mais la délimi- tation elle-même des pédoncule
en quatre faisceaux ou pédoncules. Connexions de la corticalité
cérébrale
avec le thalamus. A chaque territoire cor-
-postérieur explique pourquoi, sur FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 61 Fig. 42. - Coupe sagittale des ganglions
rt. - fez, fibres perforantes du corps calleux destinées au trigone
cérébral
dont elles concourent à former le fornix longus
e de la première cir- convolution frontale. - Il, pied du pédoncule
cérébral
. - ]les. pédoncule cérébelleux supérieur. - Plc
horoidienne et le corps.du trigone et appartenant à la grande fente
cérébrale
de Bichat. Srlq, substance grise de l'aqueduc de
es horizontales qui intéressent la FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 63 1'ic. 43. Les fibres radiées du thalamus (n
la substance innommée sous-lenticulaire de Reichert et le pédoncule
cérébral
. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur nature. Détails
érieur. - Ip, insula postérieur. - FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. M Lms, lame médullaire superficielle. - Ln, lo
en). - J"fI, noyau rouge. - P, étage inférieur ou pied du pédoncule
cérébral
. - pCR, pied de la couronne rayonnante. - PiTh, p
et en dehors de la région sous-optique et du pied du pédon- cule
cérébral
(cette coupe appartient au cas Bras, cécité cor
es en Médecine de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. G7 semblent faire suite à la couche sagittale
yau externe du thalamus. - NIl, noyau rouge. - P, pied du pédoncule
cérébral
. - PiTh, pédoncule inféro-interne du tha- lamus
thalamus. II, bandelette optique. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 69 FiG. 47. - Les segments antérieur, postérie
emporal, en particulier de la pre- FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. il FiG. 48. - Coupe horizontale oblique para
passant par le noyau rouge, le corps de Luys, le pied du pédoncule
cérébral
, le segment rétro-len- ticulaire de la capsule
tamen). - A7Î, noyau rouge. - P, étage inférieur ou pied du pédoncule
cérébral
. - l'ul, pulvinar. - Qa, tubercule quadrijumeau
u noyau ROUGE. - Le noyau rouge reçoit des fibres de la corticalité
cérébrale
, ainsi que nous l'avons démontré en 1895; il dégé
égé- nère, en effet, à la suite de vastes lésions de la corticalité
cérébrale
, en particulier, de la corticalité pariétale (V
se, le neurone cortico-rubrique. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 73 B. ORIGINE CORTICALE ET TRAJET CAPSULAIRE D
RTICO-BULBAIRES ET CORTICO-MÉDULLAIRES. FIBRES du pied du pédoncule
cérébral
. - Les fibres de projection corticales destinée
re et forment à elles seules toutes les fibres du pied du pédoncule
cérébral
. Les recherches de l'un de nous, parues en 1893
trairement à ce qu'on croyait jusqu'alors, que If pied du pédoncule
cérébral
ne contient, ni dans sa couche périphérique, ni
ans sa totalité à la suite de lésions déterminées de la corticalité
cérébrale
. Ces recherches ont démontré encore, contrairem
rt, n'envoient de fibres de projection ni dans le pied du pédoncule
cérébral
, ni dans l'étage antérieur de la protubérance.
la voie pédonculaire proviennent du secteur moyen de l'hé- misphère
cérébral
, passent par le genou (Ci(g), les segments postér
ecteur occupent les quatre cinquièmes internes du pied du pédoncule
cérébral
, celles de la partie sous-sylvienne ou temporal
interne, cinquième inlerne ou faisceau interne du pied du pédoncule
cérébral
reçoit ses fibres de l'opercule rolandique et de
érieur (Cip), puis forment la partie interne du pied du pé- doncule
cérébral
. (Voy. cas Schweigoffer, Fig. 116 à 122.) Le pl
es secondaires La voie pédoncu- laire. Le pied du pédon- culo
cérébral
est exclusivement forme de libres (le projec-
ntre que la dégénérescence du faisceau interne du pied du pédoncule
cérébral
s'accompagne d'une dégénérescence de la partie in
bérance (Voy. Fig. 3 -i0). Le faisceau interne du pied du pédoncule
cérébral
a été identifié par Meynert avec l'anse du noya
ares fibres pyramidales. Le faisceau interne du pied du pédoncule
cérébral
dégénère à la suite de lésions de l'opercule ro
nent pas la dégénérescence dn faisceau interne du pied du pédoncule
cérébral
. Les lésions de la partie antérieure du seg- FI
ns de la partie antérieure du seg- FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 16 ment postérieur de la capsule inlerne (Cip)
ig. 186 à 188), respectent le faisceau interne du pied du pédoncule
cérébral
et la distance qui sépare, dans la région sous-th
une dégénérescence totale, du faisceau interne du pied du pédoncule
cérébral
. On y rencontre quelquefois des fibres saines,
nne rayonnante jusque dans le faisceau interne du pied du pédoncule
cérébral
. (Voy. cas Rivaud, Fig. 142 à 162, p. 151 et suiv
lésion cor- ticale avec dégénérescence totale du pied du pédoncule
cérébral
et intégrité complète des corps striés Fig. 66
égions s'accompagnent d'une intégrité parfaite du pied du pédoncule
cérébral
, en particulier de son faisceau interne. Le cas M
fait de la dégénérescence du faisceau interne du pied du pédoncule
cérébral
, obtenu par Ferrier et Turner chez le singe après
me la zone motrice rolandique, des fibres dans le pied du pédoncule
cérébral
. Chez l'homme, l'existence même de cette zone mot
es; il faut toutefois se rappeler qu'il s'agit ici d'une malformation
cérébrale
remontant aux premiers mois de la vie embryonna
t pédon culaire de ses diffé rentes parties. Ses terminaisons
cérébral
au corps opto-strié, à une époque, par conséquent
2, 3, 4. La partie moyenne, ou faisceau moyen du pied du pédoncule
cérébral
, est constituée par des fibres qui tirent leur or
(Parc). Ces fibres descendent directement dans le pied du pédoncule
cérébral
sans s'arrêter dans les ganglions centraux. Ell
les deuxième et troisième cinquièmes internes Au pied du pédoncule
cérébral
(Fig. 49), et passent par la partie moyenne du
ui les refoulent en avant; elles occupent dans le pied du pédoncule
cérébral
le deuxième cinquième externe et sont limitées en
g. t9). Les libres des trois cinquièmes moyens du pied du pédoncule
cérébral
abandonnent chemin faisant de nombreuses fibres
ocus niger, entrent dans la constitution de la calotte du pédoncule
cérébral
et s'adossent au ruban de Reil médian (Rm), en
es en Médecine de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 77 .'IG. 49. - Le trajet capsulaire et le traj
t le trajet pédonculaire des fibres de projection de la corticalité
cérébrale
. Le secteur antérieur ou frontal de l'hémisphère
orticalité cérébrale. Le secteur antérieur ou frontal de l'hémisphère
cérébral
(coloré en bleu) envoie ses libres de projectio
et forment à elles seules l'étage inférieur du pied du pédon- cule
cérébral
. Les fibres du segment supérieur ou sus-sylvien d
us-thalamique les cinq sixièmes antérieurs, dans le pied du pédoncule
cérébral
les quatre cinquièmes internes. Elles occupent
de la capsule interne et le cinquième externe du pied du pédoncule
cérébral
. C,qe, corps genouillé externe. Qrli, corps gen
ive de leurs fibres dans la capsule interne et le pied du pédoncule
cérébral
. Les fibres de la partie moyenne du pied du péd
cule cérébral. Les fibres de la partie moyenne du pied du pédoncule
cérébral
con- tiennent donc des neurones corticaux du lo
gées les unes avec les autres, aussi bien dans le pied du pédoncule
cérébral
que dans le segment postérieur de la capsule in
égé- nérescence des quatre cinquièmes internes du pied du pédoncule
cérébral
, retentit à la fois sur le locus niger, la subs
que toute dégénérescence de la moitié interne du pied du pédoncule
cérébral
retentit en outre sur les neurones corticaux de
moteurs crâniens. 11 n'existe donc pas dans le pied du pédon- cule
cérébral
, comme le veulent certains auteurs, un faisceau c
âniens se groupent surtout à la partie interne du pied du pédoncule
cérébral
, tandis que les fibres pyramidales sont plus ab
rminent toujours une diminution de FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 9 volume de la pyramide bulbaire (cas Schweigo
. 5. - La partie externe ou faisceau externe du pied du pédoncule
cérébral
ou faisceau de Türck (FT)tire son origine de la p
segment postérieur de la capsule interne dans le pied du pédoncule
cérébral
et en occupent le cinquième externe. Dans son t
dans la pyramide bulbaire. Le faisceau externe du pied du pédoncule
cérébral
ne contient donc que des fibres temporo-pro- lu
ibres pour le locus niger. Le faisceau externe du pied du pédoncule
cérébral
a été désigné sous les noms de faisceau de Turc
rches qui démon- trent que le faisceau externe du pied du pédoncule
cérébral
tire son origine exclusivement du lobe temporal
ions du lobe occipital ne retentissent pas sur le pied du pédoncule
cérébral
. Ces recherches ont depuis été confir- mées che
ère de haut en bas, comme les autres faisceaux du pied du pédoncule
cérébral
. « S'il dégénère moins souvent que ces derniers,
être suivie jusque dans le segment FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 81 sous-lenticulaire de la capsule interne et
alamique de la capsule. En RÉSUMÉ : Les fibres du pied du pédoncule
cérébral
émanent toutes di- rectement de la corticalilé
u pédoncule cérébral émanent toutes di- rectement de la corticalilé
cérébrale
, sans interruption aucune, au niveau des gangli
ganglions centraux, et provienne» dit secteur moyen de l'hémisphère
cérébral
. Les fibres du pied du pédoncule cérébral compr
eur moyen de l'hémisphère cérébral. Les fibres du pied du pédoncule
cérébral
comprennent les radiations du locus niger, les
? ? 'oM6e7'cHze/'<, les neurones corlico- bulbaires (ou faisceau
cérébral
des nerfs craniens moteurs), les neurones corli
intense lorsque le deuxième cinquième externe du pied du pédoncule
cérébral
est dégénéré, que lorsque la dégénérescence occ
urs des noyaux pontiques. Toute dégénérescence du pied du pédoncule
cérébral
est toujours accompagnée d'une dégénérescence d
eur de la protubérance. Les neurones cortico-bulbaires (ou faisceau
cérébral
des nerfs moteurs crâniens) tirent leur origine
ou de la capsule interne et le faisceau interne dupied du pédoncule
cérébral
, et sont enchevêtrées à ce niveau avec des fibr
stérieur, occupent les trois cinquièmes moyens du pied du pédoncule
cérébral
et forment la pyramide bulbaire. Ils ne reçoive
). Les dégénérescences des trois quarts moyens du pied du pédoncule
cérébral
sont, par contre, toujours accompagnées d'une d
le,Fig. 112). Historique des fibres de projection de la corticalité
cérébrale
et en parti- culier de la voie pédonculaire. -
ulier de la voie pédonculaire. - La constitution du pied du pédoncule
cérébral
, telle que nous venons de la décrire et l'origi
les opinions admises alors, d'après lesquelles le pied du pédoncule
cérébral
contenaient de nom- breuses fibres originaires
cerveau entraînent du côté correspondant une atrophie du pédoncule
cérébral
, de la protubérance et du bulbe rachidien, et Rok
arcot et Turner (185`3), Schroeder FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 83 van der Kolk (18;;2), Turner (1836), Char
x de Charcot et de ses élèves basés sur l'étude des localisations
cérébrales
, jusqu'aux travaux de Flechsig basés sur le dév
u caudé. Pour Meynert, en effet, les connexions de la corticalité
cérébrale
avec la périphérie du corps étaient indirectes
entrale (cornes médullaires et noyaux des nerfs crâniens). L'écorce
cérébrale
était reliée aux ganglions de la base par le sy
Fie. 50. - Les connexions des ganglions de la baseaveclacorticalité
cérébrale
et avec le pied du pédoncule céré- bral, d'ap
es directes. -' FK. fibres du noyau caudé qui vont à la corticalité
cérébrale
. - FL, fibres du pédoncule destinées au noyau
oïdaL- FT, fibres de la couche optique qui vont il la corticalité
cérébrale
. La doctrino de Meynert sur la tex- ture du
titution du tronc encéphalique, en particulier du pied du pédoncule
cérébral
, d'après Meynert (arcs. f. 7)/c/t., 1874). Sept
les tubercules ciuaari- jumeaux antérieurs et le pied du pédoncule
cérébral
au-dessous de l'oiigine du nerf moteur oculaire
rtie sous-olivaire du bulbe rachi- FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 85 dien; 6, par l'entre-croisement inférieur d
cérébelleux en jaune. Cf, le faisceau interne du pied du pédoncule
cérébral
(fibres de l'anse lenticulaire); il occupe la p
n antérieur homolatéral. - Cbr, région moyenne du pied du pédoncule
cérébral
dans laquelle les fibres de la pyramide sont méla
e cérébelleux moyen. - Cp, le faisceau externe du pied du pédoncule
cérébral
ou faisceau de Turck; il provient de l'écorce des
bres de pro- jection de deuxième ordre dans la calotte du pédoncule
cérébral
. Le corps strié envoyait les siennes dans le pi
bral. Le corps strié envoyait les siennes dans le pied du pédoncule
cérébral
(Fig. 50). Les fibres du noyau caudé (FC) et le
e inférieure du globus pallidus, contournaient le pied du pédoncule
cérébral
à la manière de la bandelette optique au-dessus
as et formaient t les fibres les plus internes du pied du pédoncule
cérébral
(CF, Fig. 1). La plupart des fibres de l'anse l
es fibres de l'anse lenticulaire abandonnaient le pied du pédoncule
cérébral
après un court trajet, s'entre-croisaient avec
l'anse lenticulaire n'étaient en effet pour Meynert que les fibres
cérébrales
des nerfs moteurs crâniens. Les autres fibres de
Contingent lenticu- lo-caudé des libres du pied du pédon- cule
cérébral
. 86 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Conttngon
ié qui occupait les parties interne et moyenne du pied du pédoncule
cérébral
ltig. 51, coupe 1), celui-ci recevait en- core
. Ces dernières occupaient la partie externe du pied du pédoncule
cérébral
(Fig. 51, coupe 1, Cp), la partie externe de la
de la moelle. Meynert, eu égard aux cas d'hémianesthésie d'origine
cérébrale
rapportés par Tiirck, désigna ce faisceau sous
m intermedium des parties in- terne et moyenne du pied du pédoncule
cérébral
, puis descendaient dans la pyramide du bulbe.
de Meynert en démontrant l'existence, dans le pied du pé- doncule
cérébral
et dans la pyramide bulbaire, de /tores cortico
vaux ulté- rieurs (1879), Meyneit admet dans le pied du pédoncule
cérébral
, outre les faisceaux du corps strié, du noyau l
ème - - - -- ..... 1 1 - misceau, allant directement uu peuoncute
cérébral
au lobe H"UllLt11 sans passer par les ganglions
l. Cet auteur fut ainsi conduit à admettre que le pied du pédoncule
cérébral
contenait à côté de FiG. 52. - La région pyrami
ôté de FiG. 52. - La région pyrami- dale du pied du pédon- cule
cérébral
, d'après Charcot. (Localisations cérébrales,
u pied du pédon- cule cérébral, d'après Charcot. (Localisations
cérébrales
, p. 200.) D, dégénération secon- daire occupa
age inférieur du côté ma- lade. - T, étage supérieur du pédoncule
cérébral
. Bibliothèque des Internes en Médecine de la
qui dégénère parfois, mais exceptionnellement à la suite de lésions
cérébrales
, et dont la dégénérescence ne peut être suivie
d au moins les deux quarts moyens de l'étage inférieur du pédoncule
cérébral
et répond aux deux tiers antérieurs du segment
de la capsule interne; 3, coupe transversale du pied du pédon- cule
cérébral
. a, le faisceau externe de la couche inférieure
a, le faisceau externe de la couche inférieure du pied du pédoncule
cérébral
(faisceau occipito-temporo-protubérantiel non e
- c, le faisceau interne de la couche inférieure du pied du pédoncule
cérébral
(fibres du noyau caudé) non encore myélinisé. -
e interne de la couche supérieure ou dor- sale du pied du pédoncule
cérébral
(fibres du lobe frontal, du noyau lenticulaire et
tie externe de la couche supérieure ou dorsale du pied du pédoncule
cérébral
(fibres du noyau lenticulaire et de la queue du n
sions de ces régions, occupent le bord interne du pied du pédoncule
cérébral
, deviennent profondes dans la partie inférieure d
- feiilingel-Brückenbahn). La couche dorsale du pied du pédoncule
cérébral
est située au voisinage immédiat du locus niger
fibres du noyau lenticulaire (b). FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 89 Les auteurs qui ont succédé à Flechsig se
chterew, v. Monakow, Zacher) et admettent dans le pied du pédoncule
cérébral
: un faisceau cortico-protubérantiel antérieur, u
chez l'homme, - ont démontré (Fig. 49) : l°Que le pied du pédoncule
cérébral
ne contient pas de fibres striées, qu'il est excl
génère en totalité à la suite de lésions étendues de la corticalité
cérébrale
; 2° Que le faisceau interne du pied du pédoncul
ticalité cérébrale; 2° Que le faisceau interne du pied du pédoncule
cérébral
tire son origine non pas du lobe frontal tout e
pyramidal occupe les trois cinquièmes moyens du pied du pédoncule
cérébral
. En 1894 et 189G, Flechsig mo- difiant ses an
t la sphère 1 ic. 34. La région pyramidale du pied du pédon- cule
cérébral
, d'après Dejerine. (Yoy. aussi Fig.49,) Travaux
ine exclusivement corti- cale des fibres du pied du pédoncule
cérébral
. Les nouvelles idées le Flechsig sur la tex
scend dans l'échelle zoologique. Cette conception de la corticalité
cérébrale
, que Flechsig a émise dans plusieurs publicatio
des dégénérescences secondaires, démontre que toute la corticalité
cérébrale
contient des fibres de projection, y compris prob
41, p. 90 à 149) montrent une fois de plus que toute la corticalité
cérébrale
possède des fibres de projection. Mais le secte
hère envoie seul des fibres de projection dans le pied du pédoncule
cérébral
, et de là dans les régions inférieures du névraxe
qui en dépendent, mais n'en envoient pas dans le pied du pédoncule
cérébral
. En 1897, Sachs est de même arrivé à des résult
v. Monakow, en 1898, étu- diant la myélinisation de la corticalité
cérébrale
chez un enfant âgé de quatre mois, a pu constat
chez des enfants de un à treize mois a constaté que la corticalité
cérébrale
tout entière, y compris l'insula, possède des fib
peu, puis se fusionnent et s'étendent bientôt à toute la corticalité
cérébrale
. La nouvelle conception de Flechsig est donc er
tion de Flechsig est donc erronée. Qu'une grande partie de l'écorce
cérébrale
soit encore dépourvue de fibres de projection che
dre que les zones de projection. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 91 III. - TRAJET DES FIBRES DE PROJECTION DU M
RCE CÉRÉBRALE. 91 III. - TRAJET DES FIBRES DE PROJECTION DU MANTEAU
CÉRÉBRAL
ÉTUDIÉES : 1° PAR LA MÉTHODE DES DÉGÉNÉRESCENCE
e système de projection du rhinencéphale, en particulier le trigone
cérébral
(Fig. 61, cas Rivaud), mais encore toute la moi
cas Rivaud) et la moitié de la moelle épinière opposée à la lésion
cérébrale
(Fig. 77, cas Pradel; Fig. 157, 158, 159, cas R
ne. Il est intéressant de comparer à cet égard les cas d'hémiplégie
cérébrale
infantile (cas Pichepin, Fig. 56 à 59; cas Riva
ngt-deux ans de durée (Fig. 178,179,180). Dans les cas d'hémiplégie
cérébrale
remontant à l'enfance et s'accom- 9uc. 5. - Dég
es du nerf moteur oculaire commun. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 93 FIG, : ;1. 1 c. SG, : i ï et : i8. - Cas
93 FIG, : ;1. 1 c. SG, : i ï et : i8. - Cas Pichepin, hémiplégie
cérébrale
infantile, datant de l'âge de 7 ans chez un suj
hie en masse du tronc encéphalique dans un cas Ù'heIl11- plégie
cérébrale
m- t'antilo gauche (pla- que jaune de partie
ier do la pyra- mide du côte sain, dans certaines hémi- plégies
cérébrales
infantiles. Les lésions corti- cales déterm
de Burdach et de Goll gauches (\G, \B), du côté opposé à la lésion
cérébrale
. (Méthode de Weigert.) pagnant d'une dégénéresc
hypertrophie de tout le système des fibres de projection du manteau
cérébral
, en particulier de la voie pédonculaire et de la
.) Fig. 61. FiG. 60. Atrophie en masse de la calolte du pédoncule
cérébral
et de la voie pédon- culaire dans un cas de dég
un cas de dégénérescence de la partie moyenne du pied du pédoncule
cérébral
. (Cas Bizaguet, voy. Fig. 39, p. 55.) FiG. Gi.
ie en masse du pilier antérieur du trigone dans un cas d'hémiplégie
cérébrale
infantile. (Cas Rivaud, Fig. 142 à 162, p. l : il
atrophie indirecte du ruban do Reil médian dans un cas d'hémiplégie
cérébrale
infantile. (Cas Rivaud, Fig. 142 à 162, p. 150
dullaire située sur le trajet des fibres de pro- jection du manteau
cérébral
, l'étendue de la zone dégénérée est toujours pl
même étendue; 2° à ce que dans leur long trajet étendu du manteau -
cérébral
au filum terminal, les fibres de projection n'exi
imement avec les fibres commissurales et d'asso- ciation du manteau
cérébral
; dans la couronne rayonnante et la capsule inte
(fibres tha- lamo-corticales et autres), se terminent dans l'écorce
cérébrale
en suivant en sens inverse le trajet des fibres
thalamus, à la'région sous-thalamique et à la calotte du pédoncule
cérébral
, - suivent, pour arriver à leur destination, da
sent plus ou moins obliquement. Dans l'étage inférieur du pédoncule
cérébral
, par contre, elles existent à l'état isolé sans
t qui suivent la voie de la capsule interne et du pied du pédoncule
cérébral
, appartiennent aux fibres de projection du mant
doncule cérébral, appartiennent aux fibres de projection du manteau
cérébral
; ce sont des fibres corticifuges. Les fibres qu
, etc., qui sec- tionnent les libres do projection du man- teau
cérébral
en- traînent la dégéné- rescence do co syst
pagner d'une atrophie complète des cellules pyramidales de l'écorce
cérébrale
et au-dessous de la lésion une dégénérescence r
es est enfin bien mis en évidence dans certaines agénésies du manteau
cérébral
(voir cas Longery et Richard, p. 185 et suivant
édonculaire, remontant plus ou moins haut dans le pied du pédoncule
cérébral
et le segment postérieur de la capsule interne,
e et ses terminaisons; aussi, dans FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 99 ces cas, ne faut-il jamais négliger d'étu
ences secondaires démontre que de tous les points de la corticalité
cérébrale
se détachent des fibres de pro- jection. Mais l
asses grises inférieures du né- vraxe, et l'étude des localisations
cérébrales
montre qu'elle est loin d'avoir partout la même
tout en complétant certains détails et démontrent : 10 Que l'écorce
cérébrale
entre en relation intime, directe et étroite av
n vasculaire des circonvolutions de la face externe de l'hémisphère
cérébral
; figure pouvant servir à la topographie vasculair
asculaire des foyers de ramollisse- ments localisés de la convexité
cérébrale
. Les branches de l'artère cérébrale antérieure
ments localisés de la convexité cérébrale. Les branches de l'artère
cérébrale
antérieure : artère frontale interne et anté- r
Fip) sont colorées en rose. - Les branches de l'artère sylvienne ou
cérébrale
moyenne : artère frontale inférieure (Fi), artère
postérieure (Tp) sont colorées en bleu. - Les branches de l'artère
cérébrale
postérieure : artère occipito-temporale antérie
bien que n'affectant aucune espèce de connexion avec la corticalité
cérébrale
(mé- thode de Marchi), participent néanmoins da
ndaires con- sécutives : 1° Aux lésions très étendues de l'écorce
cérébrale
; 2° Aux lésions corticales plus restreintes, li
ces secondaires, consécutives aux lésions très étendues de l'écorce
cérébrale
. Le trajet, la longueur, la terminaison inférie
é- rescences consécutives aux très vastes lésions de la corticalité
cérébrale
, lesquelles, détruisant la presque totalité de
é cérébrale, lesquelles, détruisant la presque totalité de l'écorce
cérébrale
, intéressent de ce fait à peu près toutes les f
. Dejerine, Mém. Soc. RioL, 1893). FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 101 Il s'agit d'une vaste plaque jaune, qui oc
conce de tout le système des fibre : de projection du man- teau
cérébral
. Dégé- nérescence totale du pied du pédoncule
- teau cérébral. Dégé- nérescence totale du pied du pédoncule
cérébral
. 102 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Prad
scence de tout le système des fibres de projection du man- teau
cérébral
. Dégé- nérescence totale du pied du pédonculo
- teau cérébral. Dégé- nérescence totale du pied du pédonculo
cérébral
. (C'est-à-dire le territoire vasculaire de l'ar
'artère sylvienne et des branches antérieure et moyenne de l'artère
cérébrale
antérieure (Fig. 65 et 79). La plaque jaune intér
, ce cas correspond en réalité à une destruction de tout le manteau
cérébral
de l'hémisphère gauche. Cette plaque jaune qui
e de Weigert. 2/1 grandeur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 103 1° Il existe dans ce cas : une dégénéres
e totale de toutes les fibres longi- tudinales du pied du pédoncule
cérébral
(P), y compris le stratum intermedium (Stri; (F
escence de tout lesystème des fibres de projection du man- teau
cérébral
. Dégé- nerescence totale du pied du pédoncule
- teau cérébral. Dégé- nerescence totale du pied du pédoncule
cérébral
. loi ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Prad
scence de tout lo système des fibres de projection du man- teau
cérébral
. Dégé- nérescence totale du pied du pédoncule
- teau cérébral. Dégé- nérescence totale du pied du pédoncule
cérébral
. corps de Luys (Fig. G8-ï0) étaient intacts ou
mes, toutes les connexions de la couche optique avec la corticalité
cérébrale
étaient détruites, tandis que les systèmes de fib
égion sous-thalamique. - Dégénérescence totale du pied du pédoncule
cérébral
(P). Les fibres qui traversent le pied du pédoncu
e de Weigert. 2/1 grandeur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. Ce cas montre donc : 1° Que la corticalité c
DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. Ce cas montre donc : 1° Que la corticalité
cérébrale
envoie des fibres à toute l'étendue des noyau e
donculaire supérieure. - Dégénérescence totale du pied du pédoncule
cérébral
(P). Dégénérescence des corps genouillés externe
scence de tout le système des fibres de projection du man- teau
cérébral
. Dege- nérescence totale du du pied pédoncule
- teau cérébral. Dege- nérescence totale du du pied pédoncule
cérébral
. 1 106 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Pr
scence do tout le système des fibres de projection du man- teau
cérébral
. Dégé- nérescence totale du pied du pédoncule
- teau cérébral. Dégé- nérescence totale du pied du pédoncule
cérébral
. 2° Que le pied du pédoncule cérébral (P), y co
tale du pied du pédoncule cérébral. 2° Que le pied du pédoncule
cérébral
(P), y compris le stratum intermedium, est en-
nne et inférieure. - Dégéné- rescence complète du pied du pédoncule
cérébral
: les fibres qui limitent le pied du pédoncule
u pédoncule cérébral : les fibres qui limitent le pied du pédoncule
cérébral
en dedans correspondent dans la figure 73 aux fib
lles qui comblent le trou borgne et dissocient le pied du pédoncule
cérébral
(comparez avec coupe normale Fig. 36). Remarque
n Médecine de la Saïpêtrière 107 FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. substance grise de l'étage antérieur de la pro
ur intégrité) ne reçoivent pas de fibres directes de la corticalité
cérébrale
(Voy. Ruban de Reil, IIIe partie) ; 4° Ce cas
nous renseigne parfaitement sur les con- nexions de la corticalité
cérébrale
avec le thalamus et le noyau rouge et l'absence o
'état normal par les fihres du système de projection du man- teau
cérébral
. Méthode de Weigert 15/i grandeur nature. Cas
- teau cérebral. Dégé- nérescence totale du pied du pédoncule
cérébral
. 108 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. peu de con
8 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. peu de connexions de la corticalité
cérébrale
av ec le corps strié et le corps de Luys, s'il
rps de Luys, s'il montre que toutes les fibres du pied du pédoncule
cérébral
prennent leur origine dans la corticalité céréb
ied du pédoncule cérébral prennent leur origine dans la corticalité
cérébrale
, il ne nous renseigne nullement - étant donnée l'
de projection soit dans le thalamus, soit dans le pied du pédoncule
cérébral
. - Ce der- nier problème ne peut être résolu qu
consécutives à des lésions restreintes, limitées, de la corticalité
cérébrale
. 2. Dégénérescences secondaires consécutives au
n vasculaire des circonvolutions de la face interne de l'hémisphère
cérébral
et des masses centrales.-Figure pouvant servir à
hémisphère et dans les masses centrales. - Les branches de l'artère
cérébrale
antérieure : artère frontale interne et antérie
postérieure (Fip) sont colorées en rose. - Les branches de l'artère
cérébrale
postérieure : artère temporo-occipitale antérieur
ccipitale postérieure sont colorées en vert. Le tronc de l'artère
cérébrale
antérieure (rose) irrigue la tête du noyau caudé
ères lenticulo-striées et lenticulo-opLiques), le tronc de l'artère
cérébrale
postérieure (vert) irrigue l'espace perforé posté
space perforé postérieur, la paroi du IIIe ventricule, le pédoncule
cérébral
et la partie postérieure du thalamus (artères o
ique et de la région sous-optique. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 109 des fibres radiées du pulvinar et des fibr
ci- pitales, mais livre passage aux fibres commissurales du trigone
cérébral
tributaires du lobe limbique (Voy. p. 278). D
llé interne (RCgi), le faisceau de Turck (FT), le pied du pédoncule
cérébral
(P) sont absolument normaux. (Fig. 82 à 85).
, 1893, et Tome I, p. 798 et 800.) FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 111 major dans le bourrelet du corps calleux
rieur. Intégrité du faisceau de Turck et du pieddu pédoncule
cérébral
. 112 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Cour
p) en particulier du faisceau deTûrck et du pied du pédon- cule
cérébral
. Fc. 82 et 83. Cas Courrière. Cécité veibale pu
e de Weigert. 3/2 grandeur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. t13 FIG. 84 et 85. - Cas Courrière. Cécité v
au voisinage de la bandelette optique (Fig. 84) et par le pédoncule
cérébral
(Fig. 8a). Méthode de Weigert. 3/2 gran- deur n
le interne (Cip), du faisceau de Tiirck et du pied du pédoncule
cérébral
. 114 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Fie. 86. -
inféro-interne de l'hémisphère. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 115 Le cas Bras a trait à un vieillard de 64
es en Médecine de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 117 Le segment postérieur de la capsule inte
7 Le segment postérieur de la capsule interne, le pied du pédoncule
cérébral
, en particulier le faisceau de Turck sont absol
ntégrité parfaite du faisceau de Turcl : , du pied du pédoncule
cérébral
et do la bandelette optique. , 118 ANATOM
. Intégrité parfaite du faisceau de Turck, du pied du pédoncule
cérébral
et de la bandelette optique. qu'une plaque
ur (Qa), des piliers'postérieur (Tgp) et antérieur (Tga) du trigone
cérébral
. - Intégrité du segmen t postérieur de la capsu
e de Weigert. 3/2 grandeur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. n9 qui doublent la paroi inférieure de la co
Th, Fli, Cisl, Pul, Cge, \V. Inté- grité du pied du pé- doncule
cérébral
du faisceau de Tùrck et de la bandelette op
. Intégrité parfaite du faisceau de Turck, du pied du pédoncule
cérébral
et de la bandelette optique. partie interne
e de Weigert. 3/2 grandeur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 121 genouillé externe (Cge), de la zone de W
ubercule. La bandelette optique est intacte et le pied du pédoncule
cérébral
est parfaitement normal (Fig. 94 et 95). LOBE P
s (Fig. 91), la région sous-optique (Fig. 95), le pied du pédoncule
cérébral
et la bandelette optique gauches. Dégénérescence
nar (Pul) et de la zone de Wernicke. Intégrité du pied du pédoncule
cérébral
. - Les zones dégénérées sont colorées en jaune.
inar. Intégri- té de la moitié ex- terne du pied du pé- doncule
cérébral
. Monoplégie facio- linguale. Foyer lacu- na
générescence du deuxième cinquième interne du pied du pédoncule
cérébral
. limitées et n'intéressent que le pli courbe, p
partie adjacente du lobule pariétal inférieur. (Voy. localisations
cérébrales
, p. 236.) La lésion capsulaire a entraîné une d
être suivie dans le deuxième cinquième interne du pied du pédoncule
cérébral
et du locus niger (Fig. 99, 100). Il existe enf
e de Weigert. 2/1 grandeur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 123 postérieur de la couronne rayonnante. Da
inar. Intégri- te de la moitié ex- terne du pied du pé- doncule
cérébral
. Monoplégie facio- lingualo. Foyer lacu- na
générescence du deuxième cinquième interne du pied du pédoncule
cérébral
. L 124 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas
générescence du deuxième cinquième interne du pied du pédoncule
cérébral
. L'écorce du gyrus supra-marginalis est ratatin
capsule interne (Cip), aucune ne descend dans le pied du pédoncule
cérébral
(l'). Ce fait démontre donc que le pli courbe c
. Dégénérescence du deuxième cinquième interne du pied du pédoncule
cérébral
et du locus niger consécutive à la lésion du se
ce cas l'intégrité de la moitié postérieure du pied du pédon- cule
cérébral
, malgré la lésion du pli courbe. Le pli courbe n'
upérieure (Fig. 99) et la partie inférieure (Fig. 100) du pédoncule
cérébral
. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur nature. FIBRE
e de Weigert. 2/1 grandeur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 125 les envoie dans le pulvinar par les couche
i d'autopsie. C. R. Soc. Biol., 1891, p. 167 et Vialet. Les centres
cérébraux
de la vision. Th. Paris, 1893. Obs. IV, p. 293.)
poral, formenl le faisceau de Turck (FT); dans le pied du pédoncule
cérébral
(Fig. 105), la dégénéres- cence se place en ava
générescence du deuxième cinquième externe du pied du pédoncule
cérébral
, intégrité du faisceau de Turck. 126 ANAT
générescence du deuxième cinquième externe du pied du pédoncule
cérébral
Intégrité du faisceau de Turck. FiG. 102, 1
Dégénérescence du deuxième cin- quième externe du pied du pédoncule
cérébral
. Intégrité du faisceau de Turck (FT); ce dernie
es en Médecine de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 121 Cas Leudot Apha- sie sensorielle. Lé-
générescence du deuxième cinquième externe du pied du pédoncule
cérébral
. Intégrité du faisceau do 'l'urck. g2g ANAT
eure n'envoie pas de fibres de projection dans le pied du pédoncule
cérébral
et ne contient ni fibres cortico-protubérantielle
r la couche optique (Th), le locus niger (Ln), le pied du pédoncule
cérébral
(P) et la pyramide bulbaire (Py) et la zone dégén
interne (Cip) et les quatre cinquièmes internes du pied du pédoncule
cérébral
. Dans le segment postérieur de la capsule inter
iétale ascendante. Coupe horizontale passant par le pied du pédoncule
cérébral
. Dégénérescence du deuxième cinquième externe d
. Dégénérescence du deuxième cinquième externe du pied du pédoncule
cérébral
(P(d). Intégrité du faisceau de Tiirck (FT). Mé
e de Weigert. 2/1 grandeur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 129 .rolandique (OpR) et la partie adjacente
stérieure de la capsule interne (Cip), et dans le pied du pédoncule
cérébral
le deuxième cinquième externe. Dans les lésions d
u genou de la capsule interne et du bord interne du pied du pédoncule
cérébral
(Cas Naudin,Fig. 113 à 41a, cas Heudebert, Fit.
halamus, du deuxième cin- quième externe du pied du pédoncule
cérébral
, du pes lcm- niscus profond, du lo- cus niger
e de Weigert, 2/1 grandeur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 131 sous-optique; mais elle en envoie au loc
upérieure (Fig.110) et infé- rieure (Fig. 111) du pied du pédoncule
cérébral
et la partie moyenne du bulbe (Fig. 112). Dégén
. Dégénérescence du deuxième cinquième externe du pied du pédoncule
cérébral
(Cip (d,), P d), du locus niger (Ln), du pes lemn
halamus, du deuxième cin- quième externe du pied du pédoncule
cérébral
, du pes lem- niscus profond, du le- cils des
xterne du thalamus, du cin- quième moyen du pied du pédoncule
cérébral
et du locus niger. dégénéré dans les lésions
sulaire. Dégénérescence du cin- quième moyen du pied du pédoncule
cérébral
et du locus niger. Méthode de Weigert, 3/2 gran
4). Il en est de même pour le secteur dégénéré du pied du pédoncule
cérébral
(P). (Fig. If;j). Comme dans le cas précédent, il
érieure du thala- mus, du faisceau interne du pied du pédoncule
cérébral
. Légère diminution de volume de la py ra- m
mido bulbaire. de la capsule interne (Cip) et le pied du pédoncule
cérébral
(P). Mais la zone de dégéné- rescence est repor
érieure du thala- mus, du faisceau interne du pied du pédoncule
cérébral
. Légère diminution de volume de la pyra- mi
érieure du thala- mus, du faisceau interne du pied du pédoncule
cérébral
. Légère diminution de volume delà la pyra-
es en Médecine de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 137 occupe la partie postérieure du segment
iculaire(.11), puis forme le cinquième interne du pied du pédoncule
cérébral
(P) (Fig.121). La dégénérescence, très ma- ni
. Une partie des fibres du cin- quième interne du pied du pédoncule
cérébral
descend dans la protubérance annu- laire (Po),
1 et 122. - Dégénérescence du faisceau interne du pied du pédoncule
cérébral
et du locus niger dans le cas Schweigoffer. (
érieure du thala- mus, du faisceau interne du pied du pédoncule
cérébral
. Légèrodiminution de volume de la pyra- mid
e et relè\enl de troubles circulatoires dans le domaine de l'artère
cérébrale
postérieure (Fig. 65, p. 99). Les lésions du lobe
postérieure (Fig. 65, p. 99). Les lésions du lobe pariétal (artère
cérébrale
moyenne), lorsqu'elles atteignent le lobe tempora
celui de l'artère céré- brale antérieure en rose, celui de l'artère
cérébrale
postérieure en vert. Fig. 124. - Cas Heudebert
sule interne, et du deuxième cinquième interne du pied du pédoncule
cérébral
; 2° lésion du lobe occipito-temporal, des segment
interne et du faisceau de Tiirck. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 139 rG. 126. Cas Heudebert. Aphasie tota
- terne et du deuxième cinquième interne du pied du pédoncule
cérébral
; 21 lésion du lobcoccipito-tempo- ral. Dégéné
- terne et du deuxième cinquième interne du pied du pédoncule
cérébral
; 2° lésion du lobe occipito-tempo- ral. Dégé
capsule interne (Fig. 126) et par la partie supérieure du pédoncule
cérébral
(Fig. 127). 1° La lésion du lobe occipito-tempo
e dégénérescence du deuxième cinquième externe du pied du pédoncule
cérébral
(Fig. 127 et 128). Méthode de Weigert-Pal. 3/2 gr
orales une dégénérescence du cinquième externe du pied du pédoncule
cérébral
, c'est-à-dire du faisceau de Tiirck (FT), et dans
nérescence du deuxième cin- quième interne du pied du pédon- cule
cérébral
, de la partie adjacente du locus niger et du fa
lus inférieures il occupe le cinquième externe du pied du pédoncule
cérébral
(Fig. 128). Il existe donc dans ce cas une dégé
externes ; 3" des libres du cinquième externe du pied du pédoncule
cérébral
. Il est impossible dans ce cas de déter- miner
temporal. Mais, vu l'absence de dégénérescence du pied du pédoncule
cérébral
dans les lésions du lobe occipital rapportées plu
mer que la dégénérescence du cinquième externe du pied du pédoncule
cérébral
relève unique- ment de la lésion du lobe tempor
olution postérieure de l'insula. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
143 externe l",e, Il') au cuaiamus. Dégénéres
générescence du deuxième cinquième externe du pied du pédoncule
cérébral
Dégénérescence très intense de la pyra- mid
générescence du deuxième cinquième externe du pied du pédoncule
cérébral
. Dégénérescence très intense de la py ra- m
plégie gauche avec contracture. Coupe trans- versale du pédoncule
cérébral
. Dégéné- rescence du deuxième cinquième ex- t
né- rescence du deuxième cinquième ex- terne du pied du pédoncule
cérébral
, du pes lemniscus profond (Stri) et du locus
outefois pas complètement indemne. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 145 Dans ce cas, il existe donc une dégénéresc
e dégénérescence du deuxième cinquième externe du pied du pédoncule
cérébral
(Fig. 133). Il existe en outre une dégénérescen
ne et descend dans le deuxième segment externe du pied du pédoncule
cérébral
. Ce cas présente en outre une particularité int
antes.) La dégénérescence du cinquième externe du pied du pédoncule
cérébral
que l'on observe, soit lorsque la lésion du lob
lées du lobe occipital ne retentissent pas sur le pied du pédoncule
cérébral
. La dégénérescence du cin- quième externe du pi
bral. La dégénérescence du cin- quième externe du pied du pédoncule
cérébral
dépend en effet de la lésion temporale; elle ne
capsule interne (Cisl) et du cinquième externe du pied du pédoncule
cérébral
ou faisceau de Tûrck (FT). Cette dernière ne peut
llé inlerne (Cgi) et dans le cinquième externe du pied du pédoncule
cérébral
. Toutes ces fibres passent par le segment sous-
, topographie de la lésion corticale. Fig. 135, coupe dupédoncule
cérébral
. Fig. 136, coupe des pyramides anté- rieures
faisceau de T1ÏI'ck (FT) (cinquième externe du pied du pédoncule
cérébral
) et s'épuisent dans la substance grise de la
trémité antérieure du thalamus. Intégrité du pied du pédoncule
cérébral
. 148 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Mori
trémité antérieure du thalamus. Intégrité du pied du pédoncule
cérébral
. FiG. 138 et 139. - Cas Moriceau (Bicêtre, 189)
frontales droites. Dégénérescence FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. U9 du genou du corps calleux (Ce), du segmen
nterne du thalamus (Th). Pas de dégénérescence du pied du pédoncule
cérébral
. La zone dégénérée est colorée en jaune. Méthod
u thalamus, mais elles ne retentissent pas sur le pied du pédoncule
cérébral
. Les lésions des deux tiers antérieurs de la tr
interne du thalamus et respectent elles aussi le pied du pédoncule
cérébral
(Fig. 141). Dans ces deux variétés de lésion, l
- Cas Moriceau. Hémisphère gauche. Inté grité du pied du pédoncule
cérébral
dans un cas d destruction des deux tiers antéri
lles n'envoient pas de fibres de projection dans le pied du pédoncule
cérébral
et ne contiennent par conséquent pas de fibres
de ces libres dans la capsule interne et dans le pied du pédoncule
cérébral
. Si l'on fait abstraction des fibres de project
n et l'autre cas, il existe une dégénérescence du pied du pédoncule
cérébral
et du segment postérieur de la capsule interne
(région sous-thalamique) et la partie interne du pied du pédoncule
cérébral
. Lorsque c'est le segment moyen de la couronne
ceau interne du pied du pédoncule. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. loi Les lésions du segment postérieur de la ca
ière du genou respectent le faisceau interne du pied du pédon- cule
cérébral
, et la zone dégénérée en occupe le deuxième cinqu
interne (Cip) font dégénérer la partie moyenne du pied du pédoncule
cérébral
(cas James, Fig. 184); les lésions de la partie
e dégénérescence du deuxième cinquième externe du pied du pédoncule
cérébral
et respectent le faisceau de Türck. Ce dernier fa
rck. Ce dernier fais- ceau - cinquième externe du pied du pédoncule
cérébral
ne dégénère que lorsque la lésion intéresse le
rl) sont très rares et ne retentissent pas sur le pied du pédoncule
cérébral
. Les lésions de la partie supérieure du segment r
dégénérescence du deuxième cinquième externe du pied du pédoncule
cérébral
. Par contre, les lésions de la partie inférieure
ose pulmonaire. Elle s'est traduite cliniquement par une hémiplégie
cérébrale
infantile, en particulier une monoplégie brachial
g. 144) ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Hicaud. lIé- miplégie
cérébrale
infantile gauche. o. Plaque jaune de l'in-
ieure FiG. 142 el 143. - Cas Rivaud. (Bi- cêtre 1893.) Hémiplégie
cérébrale
infantile gauche. Topographie de la lésion co
rizontale (Fig. 143) sectionne le tiers supérieur de l'hémisphère
cérébral
et passe au-dessus du noyau caudé et du tronc d
grossissement de 12 diamètres.( FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 153 de Cip. Elles peuvent, sur les coupes séri
, être suivies dans les tiers interne et moyen du pied du pédoncule
cérébral
(P) (Fig. 150) et s'épuisent dans le locus niger
u pulvinar (Pul), des noyaux Fic. 144. - Cas Rivaud. Hémiplé- gie
cérébrale
infantile gauche. Topographie de la lésion sous
fibres respectées du segment moyen de Cas Rivaud. Hé- miplégie
cérébrale
infantile gauche. Plaque jaune de l'in- sul
l. 154 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Rivaud. Hé- miplégie
cérébrale
infantile gauche. Plaque jaune de l'in- sul
. 156 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Rivaud. Ilê- miplégie
cérébrale
infantile gauche. Plaque jaune de 1 in- sul
es en Médecine de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 157 Fig. 150. - Cas Rivaud. Dégéné- rescence
thode de Weigert. 2/1 grandeur nature. Cas Rivaud. Hé- miplégie
cérébrale
infantile gauche. Plaque jaune de l'in- sul
l. 158 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Rivaud. Hé- miplégie
cérébrale
infantile gauche. Plaque jaune de l'm- sula
ue contenant le noyau arqué. Les libres saines du pied du pédoncule
cérébral
(Fig. 150) se sont toutes épuisées dans la subs
de gauche. Mé- thode de Weigert. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 159 la partie supérieure et postérieure du noy
e de Weigert-Pal. 6/1 grandeur nature. Cas Rivaud. Hé- miplégie
cérébrale
infantile gauche. Plaque jaune dcl'in- sula
che; faisceau py- ramidal homolatéral. Cas Rivaud. Hé- miplégie
cérébrale
infantile gauche. Plaque jaune del'in- sula
e de Weigert,.6/1 grand, nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 161 {Ln) (Fig. 150), du tubercule quadrijume
resque complète des quatre cinquièmes internes du pied du pédoncule
cérébral
(P) (Fig. 150), une atrophie très accusée de la s
a pyramide (Py) démontre que les fibres saines du pied du pédoncule
cérébral
, soit celles du faisceau de Ticrch (FT), soit les
qu'il n'existe pas ici une dégénérescence totale du pied du pédoncule
cérébral
ce cas présente néanmoins de nombreuses analogi
éthode de Itosin. 6/1 grandeur nature. Cas Rivaud. Hé- miplégie
cérébrale
infantile gauche. Plaque jaune de l'in- sul
l. 162 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Rivaud. Hé- miplégie
cérébrale
infantile gauche. Plaque jaune de l'in- sul
atrophie secondaire indirecte, il faut citer : Y atrophie du trigone
cérébral
(Tg) (Fig. 61, p. 94) et du faisceau de Vicq d'
dons de Goll (NCG) et de Burdach (\C13) du côté opposé iL la lésion
cérébrale
(Fig. 153). Cette atrophie est en tout comparab
ion, mais ici intervient proba- I'tc. 160. - Cas Rivaud. Hémiplégie
cérébrale
infantile. Un fragment grossi de la partie anté
volume (Fig. 155 à 159)'; c'est là un fail banal dans l'hémiplégie
cérébrale
infantile. Ce qui frappe encore dans le cas Riv
ns étroites de la partie supérieure du thalamus avec la corticalité
cérébrale
, et les relations insigni- fiantes de l'écorce
nésie presque complète des fibres du système de projection du manteau
cérébral
permet de suivre avec facilité le trajet des sy
de Weigert- Pal. 10/1 grandeur nature. Cas Hivaud. Hé- miplégie
cérébrale
infantile gattelie Plaque jaune de 1"111 su
- ment. -]Dans les cas d'agénésie par malformations des hémisphères
cérébraux
remontant aux premiers mois de la vie intra-uté
Weigert-Pal. 15/1 grandeur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 165 un présence ue cène Hypertrophie considéra
tro-lenticulaire (Cirl) de la capsule interne. Le tronc de l'artère
cérébrale
antérieure (artères striées antérieures, co- lo
du segment posléi ieur de la capsule interne. Le tronc de l'artère
cérébrale
postérieure (artères optiques colorées en vert)
urs de la couche optique, de la légion sous-optique et du pédoncule
cérébral
. - L'artère communicante postérieure et le tron
de la capsule interne, et la partie supérieure du pied du pédoncule
cérébral
. Bibliothèque des Internes en Médecine de la
nes en Médecine de la Salpêtrièr FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 167 B. - Lésions centrales circonscrites. a.
de \VeigerL. 3/2 grandeur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 169 la capsule interne. Elle respecte la moiti
artie adjacente du putamen (Fig. 169 et 170), irriguée par l'artère
cérébrale
antérieure, la région du faisceau géniculé et d
r l'artère communicante postérieure. Elle n'affleure la corticalité
cérébrale
qu'en un point très limité correspon- dant à la
s lenticulo- striées (Fig. iG5-1G7), qui atteint la cortica- lité
cérébrale
dans la région de la circonvo- lution postérieu
et le fais- Fin. 172. - Cas Racle. Cinq coupes du pied du pédoncule
cérébral
passant par le tuber cinereum, le faisceau aber
tubérantiel. Dégénérescence de la région moyenne du pied du pédoncule
cérébral
, conservation partielle du faisceau interne don
eut être suivie dans la région sous-optique et le pied du pédoncule
cérébral
où elle est limitée en dedans par les fibres sa
rne, du faisceau de Tiirck et du tiers externe du pied du pédoncule
cérébral
. Une intégrité du noyau rouge, des radiations d
in- terne Cip (Fig. 175 et 176). FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. - 173 FiG. 1 îa. - Cas Cogery (Bicêtre, 1893).
CÉRÉBRALE. - 173 FiG. 1 îa. - Cas Cogery (Bicêtre, 1893). Syphilis
cérébrale
chez un homme mort à : i3 ans. Hémiplégie gauch
dégénérescence des parties moyenne et interne du pied du pédoncule
cérébral
avec intégrité partielle du faisceau interne et i
u de Tiirck et du deuxième cin- quième externe du pied du pédoncule
cérébral
(Fig. 177). Dégénérescence du bras (BrQa) et de
s Cogery. Coupe pas- sant par la partie inférieure du pé- doncule
cérébral
. 1° Dégénérescence du faisceau de Turck et de l
de Turck et de la partie externe adjacente du pied du pédon- cule
cérébral
. 2° La dégénérescence du faisceau interne du pi
cences distinctes dans la cap- sule interne et le pied du pédoncule
cérébral
: Fig. 178, 179, 180. - Cas Cogery. Coupes pass
antérieure du quart postérieur de Cip. Dans le pied du , pédoncule
cérébral
elle est mal délimitée et fusionne avec la dégéné
(Cip) (Fig. 17G), puis le faisceau inlerne du pied du . pédoncule
cérébral
(Fig. 177). Elle a entraîné, en outre, une dé
es en Médecine de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. t77 7 genouillé et le pulvinar, se tel minent
nouillé et le pulvinar, ou qui descendent dans le pied du pédoncule
cérébral
. Au-dessous de la lésion primitive, la dégénéresc
ive, la dégénérescence occupe le tiers externe du pied du pédoncule
cérébral
(Fig. 178); elle intéresse, par conséquent, le
de fibres saines la sépare du faisceau interne du pied du pédoncule
cérébral
dégénéré à la suite de la lésion du genou (Fig.
ence pédonculaire respecte le faisceau interne du pied du pédoncule
cérébral
, et siège immé- diatement en dehors de lui (Fig
, dans la région sous-oplique (Fig. 187) et dans le pied du pédoncule
cérébral
(Fig. 188), une situation plus postérieure que
. La dégé- nérescence occupe la partie moyenne du pied du pédoncule
cérébral
(Fig. 181), et la pyramide bulbaire est ici dég
. Dégénérescence du deuxième cinquième interne du pied du pédoncule
cérébral
et de la partie adja- cente du locus niger. Mét
interne. Dégénéres- cence de la paitie moyenne du pied du pédoncule
cérébral
, dégénérescence presque complète de la pyramide
e la pyramide antérieure du bulbe. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. n9 ? b. W 50, 10/, 100. - Lias uarre. Double l
; dégénérescence du deuxième cinquième interne du pied du pédoncule
cérébral
et du locus niger (Fig. 188). 2° Lésion destruc-
dégénérescence du deuxième segment interne du pied du pédoncule
cérébral
. 2° Lésion du quart postérieur de Cip, dégé
dégénérescence du deuxième segment interne du pied du pédonculo
cérébral
. 2° Lésion du quart postérieur de Cip, dégé
s- cence du deuxième cinquième externe du pied du pédon- cule
cérébral
Inté- grité du faisceau de Turck. tine de l
k; elle occupe le deuxième cin- quième externe du pied du pédoncule
cérébral
. Dégénérescence du locus niger et du stratum
e de Weigert. 3/2 grandeur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 181 Le loyer pnmItlroccupe, dans la couche o
dégénérescence du deuxième cinquième externe du pied du pédoncule
cérébral
, du stratum intermedium (Stri) et du pes lemnis
la région thalamique de la capsule interne et du pied du pédoncule
cérébral
(Fig. 191). nié- thode de Weigert. 3/2 grandeur
res- cenco du deuxième cinquième externe du pied du pédonculo
cérébral
. Intégrité du faisceau do Turck. 182 ANATOMIE
. 191) et occupe le deuxième cinquième externe du pied du pédoncule
cérébral
, la zone dégénérée occupe une situa- tion encor
Weigert-Pal. 5/4 grandeur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 183 Dégénérescence complète des couches sagitt
aisceau de Turck, atteint la partie supérieure du pied du pédoncule
cérébral
et a entraîné une dégénérescence de la partie moy
rieur. Dégénérescences des deux tiers externes du pied du pédoncule
cérébral
et du locus niger Dégénérescence incom- plète d
e Weigert-Pal 5/4 grandeur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 185 interne (Cgi, Fig. 194); 2° une dégénéresc
le pilier postérieur et empiété sur la partie externe du pédoncule
cérébral
. Il existe dans ce cas une intégrité parfaite d
r ceux que fournissent certaines anomalies d'évolu- tion du manteau
cérébral
. Bien que pas très rares, ces agénésies cérébrale
u- tion du manteau cérébral. Bien que pas très rares, ces agénésies
cérébrales
n'ont pas encore été étudiées au point de vue s
oint de vue spécial du système des fibres de projection de l'écorce
cérébrale
, la plupart des auteurs qui en ont rapporté des
(cas Longery), le rhinencéphale est presque normal, mais le manteau
cérébral
est en grande partie réduit à une mince membran
par la pie-mère, et le système des fibres de projeclion de l'écorce
cérébrale
fait complètement défaut. Ni le pied du pédoncu
'écorce cérébrale fait complètement défaut. Ni le pied du pédoncule
cérébral
, ni l'étage antérieur de la protubérance, ne co
d'une anomalie d'évolution, d'une agénésie des fibres de projection
cérébrale
, le manteau faisan t défaut, tandis que chez Pr
le. Dans le deuxième cas (cas Richard), il existe bien un manteau
cérébral
(Fig. 213, 214, 216) presque complètement dévelop
es cas Pradel et Rivaud en ce que l'anomalie d'évolution du manteau
cérébral
est bilatérale, qu'elle remonte aux premiers âges
premiers âges de la vie em- bryonnaire, avant la soudure du manteau
cérébral
au corps opto-strié. Ils en diffèrent encore pa
sition n'est pas sans soulever un point intéressant d'embryo- génie
cérébrale
. Que l'on admette, avec Mihalkovicz et His, le dé
i qui dans nos deux cas a déterminé l'absence de soudure du manteau
cérébral
au corps opto-strié et entraîné chez Longery l'ag
u corps opto-strié et entraîné chez Longery l'agé- nésie du manteau
cérébral
, et chez Richard la porencéphalie. Ce der- nier
CE CÉRÉBRALE. 187 Étant donné que dans notre cas Longery le manteau
cérébral
n'était comparativement guère plus développé qu
isées qui proviennent toutes du thalamus, se dirigent vers l'écorce
cérébrale
(qu'elles n'ont pu atteindre) et représentent le
région sous-thalamique de la capsule inlerne, le pied du pédoncule
cérébral
, l'étage antérieur de la protubé- rance et la p
s. Cas Longery. - (Fig. 197 il 212). Hydrocéphale avec malformation
cérébrale
, mort il t'age de 2 mois et demi. (Voy. J. Deje
scissure de Sylvius très accentuée. Il n'existe de circonvolutions
cérébrales
véritables que dans des régions très limi- tées
rois quarts pos- lérieurs (Fig. 200). A gauche, les circonvolutions
cérébrales
développées sont plus nom- breuses et on reconn
bord externe du lobule fusi- forme droit. Tout le reste du manteau
cérébral
, - à savoir : la convexité tout enlière et la f
aires, l'infundibulum, l'espace interpédoncu- laire. Les pédoncules
cérébraux
sont peu saillants et grisâtres, il en est de mêm
t 198. - Cas Longery. Topographie des régions agénésiées du manteau
cérébral
chez un hydrocéphale avec malformation cérébrale
énésiées du manteau cérébral chez un hydrocéphale avec malformation
cérébrale
mort à l'âge de deux mois et demi. Les circon
cérébrale mort à l'âge de deux mois et demi. Les circonvolutions
cérébrales
ne sont développées que dans les zones blanches
ones blanches des schémas; au niveau des régions teintées, l'écorce
cérébrale
était réduite à une mince membrane translucide
Fie. 199. - Cas Longery. L'encéphale (hydrocéphalie avec malformation
cérébrale
et agénésie du manteau cérébral) vu par sa face
e (hydrocéphalie avec malformation cérébrale et agénésie du manteau
cérébral
) vu par sa face inférieure. Remarquer à la face
bulbe l'absence des pyramides et le méplat interolivaire. L'écorce
cérébrale
n'est développée que dans la région teintée en gr
gauche. (D'après une photographie.) Cas Lougery. \fal- lormation
cérébrale
: Agénésie du man- teau cérébral, de son sy
Cas Lougery. \fal- lormation cérébrale : Agénésie du man- teau
cérébral
, de son système de fibres de projection et du
ion sous- optique (le lacapsule interne et lo pied du pédoncule
cérébral
. Absence de la voie pédonculaire dans son t
. 190 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Longery. Mal- formation
cérébrale
. Agénésie du man- teau cérébral, de son sys
Cas Longery. Mal- formation cérébrale. Agénésie du man- teau
cérébral
, de son systemo do libres de projection et du
ion sous- optique de la capsule interne et le pied du pédoncule
cérébral
. Absence de la voie pédonculaire dans son t
alleux. Développe- ment normal du rhi- nencéphale et du trigone
cérébral
. Dé- monstration de l'exi- stence d'un systèm
e déchirure de la membrane on pénètre dans la cavité de la vésicule
cérébrale
(Fig. 200), on constate que les deux hémisphères
le corps de Luys (CL) et la partie antérieure du pied du pédoncule
cérébral
. Remarquer le grand nombre de fibres thalamo-cort
ery. Coupe vertico-transversale passant à droite par le pédon- cule
cérébral
(P), le noyau amygdalien (NA), le corps de Luys (
Weigert-Pal. 5/2 grandeur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 193 Fig. 206. - Cas Longery. Coupe vertico-tra
re. FiG 207. - Cas Longery. Coupe vertico-transversale du pédoncule
cérébral
passant par la partie postérieure du thalamus e
t pas la moindre fibre. IO'1E n. 13 Cas Longery. Mal- formation
cérébrale
. Agenésie du manteau cérébral, de son b3 -
13 Cas Longery. Mal- formation cérébrale. Agenésie du manteau
cérébral
, de son b3 - tème do libres de projection et
s callcux. Dwo- loppement normal du rhinencéphale et du trigone
cérébral
. Dé- monstration de l'exis- tence d'un systèm
contre bien déve- loppée ; ses fibres se rendent dans le trigone
cérébral
mais ne sont pas encore myélinisées ; sur les c
L'indépendance complète des ganglions de la base d'avec le manteau
cérébral
nous indique que cette malformation remonte aux
striés. Les ganglions de la base et la partie adjacente de l'écorce
cérébrale
ont été débités en coupes vertico-transversales
cortico-médullaires, fait complètement défaut; le pied du pédoncule
cérébral
(Fig. 202 à 207) et l'étage antérieur 'de la prot
ert-l'al. 3/1 t grandeur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 195 on trouve, de chaque côté du sillon médian
de Weigert-Pal. 3/1 grandeur nature. Cas Longery. Mal- formation
cérébrale
. Agénésio du manteau cérébral, de son sys-
e. Cas Longery. Mal- formation cérébrale. Agénésio du manteau
cérébral
, de son sys- tème do libres de pro- jection e
sous-opti- quc do la capsule in- terne et le pied du pédoncule
cérébral
. Absence de la voie pédonculaire dans son t
leux. Développement normal du rliinencé- liliale et du trigone
cérébral
. Démonstra- tion do l'existence d'un système
alité qu'elles n'ont pu atteindre par suite même de la malformation
cérébrale
. Elles existent FiG. 210. - Cas Longery. Coupe
es en Médecine de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 197 dans ce cas à l'état de pureté, sans mélan
sont aussi dépourvues de fibres verticales que le pied du pédoncule
cérébral
, l'étage antérieur de la protubérance et la pyr
e Weigert-Pal. 7/1 grandeur nature. Cas Longery. Mat- formation
cérébrale
. Agenésie du manteau cérébral, do son sys-
e. Cas Longery. Mat- formation cérébrale. Agenésie du manteau
cérébral
, do son sys- tème de fibres de pro- jection e
us-opti- 1- que do la capsule in- terne et lo pied du pédoncule
cérébral
. Absence de la voie pédonculaire dans son t
du corps cal- leux. normal du rlinencé- l'hale et du trigone
cérébral
, Démonstra- tion de l'existence d'un système
nfant normal. Cas Richard. - Porencéphalie double avec malformation
cérébrale
. (Voy. J. Dejk- RI,NE et E. Long : Soc. de Biol
ouvent qu'un autre enfant du même âge. Bien que les circonvolutions
cérébrales
soient en grande partie développées chez cet Fi
cet Fig. 213. - Cas Richard. Porencéphalie double avec malformation
cérébrale
et hydro- céphalie. Face supérieure de l'encéph
à 221). D'après une photographie. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 190 hydrocéphale, il s'agit ici encore d'une
ÉBRALE. 190 hydrocéphale, il s'agit ici encore d'une malformation
cérébrale
très analogue à celle du cas Longery et survenu
premiers stades de la vie embryonnaire, avant la soudure du manteau
cérébral
aux corps opto-striés. Le cerveau antérieur rep
e une vaste vésicule à cavité ventriculaire unique, mais le manteau
cérébral
, au lieu d'ètre réduit à une mince membrane trans
nce membrane trans- lucide, a donné naissance à des circonvolutions
cérébrales
dans les régions interne supérieure, inférieure
atéral. Cas Richard. Por- encéphalie double avec malformation
cérébrale
et hydro- céphalie. Absence de soudure du seg
céphalie. Absence de soudure du segment supérieur du man- teau
cérébral
aux corps opta - striés. Agenésie du septum
ion sous- optique de la capsule interne et le pied du pédoncule
cérébral
à l'exception du fais- ceau géniculé et d'u
ment des fibres d'associa- tion et commissu- rales du manteau
cérébral
avec age- nesie partielle du tronc du corps c
t assez exactement (moins la pointe temporale toutefois) au manteau
cérébral
que l'on obtient en pratiquant sur un encé- pha
rd. Fig. 210. - Cas Richard. Porencéphalie double avec malformation
cérébrale
. Face inférieure de l'encéphale. Étranglement d
ure de l'encéphale. Étranglement de la partie antérieure du manteau
cérébral
(Etr), absence des pyramides antérieures du bulbe
ement la vaste porencéphalie (po). FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 201 partie avant de tapisser la cavité ventr
ieure de la ca\ité ventriculaire commune, après ablation du manteau
cérébral
. Remarquer la situation du trigone cérébral (Tg)
rès ablation du manteau cérébral. Remarquer la situation du trigone
cérébral
(Tg) entre les ganglions de la base (GB) et ses
(SI). Cas ltichard. Yor- encéphalie double avec malformation
cérébrale
et hydro- céphalie.Absence de soudure du segm
céphalie.Absence de soudure du segment supérieur du man- teau
cérébral
aux corps opto-striés. ,1,-énésie du septum
ion sous- optiquo de la capsule interne et le pied du pédoncule
cérébral
à l'exception du fais- ceau géniculé et d'u
. La cavité ventriculaire unique est limitée en haut par le manteau
cérébral
et la mince membrane qui occupe le fond de la s
en bas par les ganglions de la base (corps opto-strié), le trigone
cérébral
et la face latérale du putamen. De chaque côté,
niveau de la porencéphalie (po). FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 203 pied de la couronne rayonnante, que le p
e sur la face externe du putamen. Étude microscopique. - Le manteau
cérébral
a été débité en coupes vertico-transver- sales
optique. II résulte de l'examen de ces coupes : 1° Que le manteau
cérébral
de cet hydrocéphale possède une substance blanche
nature. Cas Richard. Por- encéphalie double avec malformation
cérébrale
et hydro- céphalie. Absence de soudure du seg
céphalie. Absence de soudure du segment supérieur du man- teau
cérébral
aux corps opta - striés, Agénésie du septum
ion sous- optique de la capsule interno et le pied du pédoncule
cérébral
à l'exception du fais- ceau géniculé et d'u
NERVEUX. Cas Richard Por- encéphalie double avec malformation
cérébrale
et hydro- cephalIe. Absenco de soudure du seg
cephalIe. Absenco de soudure du segment supérieur du man- teau
cérébral
aux corps opto-striés. Agenésie du septum l
ion sous- optique de la capsule intorno et le pied du hédoncnlc
cérébral
a l'exception du fais- ceau genicule et d'u
ong de la face externe (Fig. 220)' FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 203 et de l'angle inféro-externe (Fig. 221)
- Cas Richard. Fragment d'une coupe vertico-transversale du manteau
cérébral
passant par la ligne de repère 3 de la Fig. 213.
es en Médecine de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 207 repliée de l'hémisphère sont particulièr
e cette disposition dans toute l'étendue de la convexité du manteau
cérébral
. Il diminue seulement d'épaisseur dans la parti
mente d'épaisseur qu'au voisinage de la partie étranglée du manteau
cérébral
. En comparant avec soin les coupes vertico-tran
où le Fig. 22 - Cas Richard. Coupe vertico-transversale du manteau
cérébral
du cas Richard, passant par la ligne de repère
embraneuse interhémisphérique qui relie les deux moitiés du manteau
cérébral
. ; Cas Richard. Por- encéphalie double avec
bral. ; Cas Richard. Por- encéphalie double avec malformation
cérébrale
et hydro- céphalie Absence de soudure du segm
céphalie Absence de soudure du segment supérieur du man- teau
cérébral
aux corps opfo-striés. Agénésio du septum 1
n sous- optique de la capsule interne et le pied du ' pédoncule
cérébral
à l'exception du fais- ceau géniculé et d'u
pe vertico-transversale sectionnant la partie antérieure du manteau
cérébral
et passant par la ligne de repère 1 de la Fig. 21
209 Fie. 220. - Cas Richard. Porencéphalie double avec malformation
cérébrale
et Ilydro- céphalie. Coupe horizontale oblique
dans le faisceau supérieur de la couronne rayonnante(CR) du manteau
cérébral
(Fig. 223); elles représentent très probablement
par laquelle un certain nombre de fibres de la convexité du manteau
cérébral
arrivent à la capsule interne. Cette coupe sectio
l1' II. a Cas Richard. P rencéphalio double avec malformation
cérébrale
et hydro- céphalie. Absence de soudure du seg
céphalie. Absence de soudure du segment supérieur du man- teau
cérébral
aux corps s pto-striés. Agénésie du septum
ion sous- optique de la capsule interne et le pied du pédoncule
cérébral
à l'exception du fais- ceau géniculé et d'u
eloppement des fibres d'association et commissurales du manteau
cérébral
avec agénésie par- tielle du tronc du corps
Weigert-Pal. 2/1 Grandeur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 211 On pourrait même par analogie se demande
ature. Cas Richard. Po- rencéplialie double avec malformation
cérébrale
et hydro- céphalie. Absence do soudure du seg
céphalie. Absence do soudure du segment supérieur du man- teau
cérébral
aux corps opto-striés. Agénésio du septum l
ion sous- optique de la capsule interne et le pied du pédoncule
cérébral
à l'exception du fais- ceau géniculé et d'u
ERVEUX. Cas Richard. Po- rencéphalie double avec malformation
cérébrale
et hydro- céphalie. Absence de soudure du seg
céphalie. Absence de soudure du segment supérieur du man- teau
cérébral
aux corps opto-striés. Agenésie du septum l
ion sous- optique de la capsule interne et le pied du pédoncule
cérébral
a l'exception du fais- ceau géniculé et d'u
ablir, étant donné les connexions de ces segments avec la corticalité
cérébrale
. On peut, en outre, affirmer que le segment ant
g. 228, 229, 230), et plus bas la partie interne du pied du pédoncule
cérébral
(Fi, Fig. 231), puis s'épuisent rapidement dans
ne corticale de ces fibres du faisceau interne du pied du pédoncule
cérébral
(Fig. 231)' ? proviennent-elles comme les apparen
le inlerne (Cip), bien que, sans connexion aucune avec le manteau
cérébral
, il contient néanmoins un grand nombre de fibre
rectement FiG. 231. - Cas Richard. Coupe passant par le pédoncule
cérébral
. Agénésie presque totale de la voie pé- doncu
re. Fic. 232. - Cas Richard. Porencéphalie double avec malformation
cérébrale
. Coupe transversale de la protubérance au nivea
1899.) Cas Richard. l'o- rencéphalie double avec malformation
cérébrale
et b5dro- céphalie. Absence do soudure du seg
céphalie. Absence do soudure du segment supérieur du man- teau
cérébral
aux corps opto-striés. Agénésie du septum l
ion sous- optique de la capsule interne et le pied du pédoncule
cérébral
a 1 exception du fais- ceau géniculé et d'u
appartenant au faisceau lenticulaire de Forel. Le pied du pédoncule
cérébral
(Fig. 231) ne contient (à l'exception de sa parti
mala- dies du système nerveux, 1874. - Charcot et Turnkr. Atrophie
cérébrale
avec atrophie el dégénémtion dans une moitié du
COT et Vulpian. Recherches sur les scléroses consécutives aux lésions
cérébrales
en foyer faites en commun à la Salpêtrière, de
ain, livr. 28-32. - J. Dejerine. Noie sur un cas d'atrophie d'un lobe
cérébral
observé chez un chien, avec atrophie secondaire
ittlracérébral des fibres de l'étage inférieur ou pied du pédoncule
cérébral
. Mém. de la Soc. de Biologie, 1893. - Du même.
u même. Sur les fibres de projeclion et d'association des hémisphères
cérébraux
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es en Médecine de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
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cérébral
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cérébrale
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cérébral
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cérébral
du chai. C. H. Soc. Biol., 1898, p. 51. - Mm° C.
8, p. 51. - Mm° C. VOGT. Etude sur la Myélinisation des hémisphères
cérébraux
. Th. Paris, 1900. - C. Wernike. Ueber die Bedeu
IV. LOCALISATIONS S CÉR É BII .\LCS. La question des localisations
cérébrales
fut nettement posée et résolue à l'aide de la m
jour (1870) où Fritsch et Hitzig démontrèrent, dans la corticalité
cérébrale
du chien, l'existence de zones dont l'excitatio
de Fritsch et Ilitzig ouvrirent une voie nouvelle à la physiologie
cérébrale
. Ils furent bientôt suivis de nombreuses recherch
ge et chez l'homme les localisations, dans l'écorce des hémisphères
cérébraux
, des fonctions motrices, sensitives, sensoriell
amburini, de Franck et Pitres; les FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 219 recherches expérimentales et cliniques de
eau occupe la partie sus-sylvienne du secteur moyen de l'hémisphère
cérébral
; elle comprend par conséquent les circonvolutio
ir, une dégénérescence secondaire du thalamus, du pied du pédoncule
cérébral
, de l'étage antérieur de la protubérance et du fa
sensitivo-moteurs et sensoriels de la face externe de l'hémisphère
cérébral
de l'homme. Ac, centre cortical de l'audition.
ensitivo-moteurs et sensoiiols de la face interne de l'hémi- sphère
cérébral
de l'homme. DIl, centre cortical du membre infé
ion.- V, centre cortical visuel. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 221 chez l'homme que chez le singe un mouvemen
Double porencéphalie congénitale de la face externe des hémisphères
cérébraux
chez un homme atteint, dès sa plus tendre enfance
l supérieur, de si courte durée dans l'hémiplégie faciale d'origine
cérébrale
, elle est cependant d'une interprétation facile
nouveau cas de paralysie 1·seudo- FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 225 bulbaire d'origine corticale. Dans ce ca
paralysie de la corde vocale sié- geait du cûlé opposé à la lésion
cérébrale
. Quant aux centres corticaux des mouvements du
es en Médecine de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 227 la question des fines localisations cortic
- MS, centre du membre supérieur. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 2M Rolando. Les centres du membre supérieur so
tation de la FiG. 241. - Les régions sensitivo-motrices de l'écorce
cérébrale
du singe (macacus sinicus), d'après Beevor et H
(Philos. Trans., 1890, B. p. 81). FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 231 partie antérieure de cette zone détermin
moue des deux lèvres. FiG. 242. La région motrice de la corticalité
cérébrale
de l'orang (simia satyrus), d'après Beevor et H
nt basées sur quarante-trois expé- FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 233 riences faites toutes sur le macacus sin
due dans la région sous-thalamique aux confins du pied du pédoncule
cérébral
. L'excitation de la capsule interne détermine d
orsley (Philos. Trans., t8go, (3). FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 235 236 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Les lé
sens stéréognos- tique. 2. - LOCALISATIONS SENSITIVES DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. - Nous savons par l'anatomie que le ruban de R
dans l'écorce; s'il est universellement reconnu que la corticalité
cérébrale
est l'aboutissant des fibres de tous les modes
le plus paralysé. En d'autres termes, dans l'hémiplégie par lésion
cérébrale
compliquée d'hémianesthésie, les troubles de la
n'avons jamais rencontréedans l'hémianesthésie relevant d'une lésion
cérébrale
. L'intensité de cette hémianesthésie organique
-motrices de la région rolandique. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 239 Mais on peut se demander si, comme le veut
observe un reste de vision dans le champ visuel opposé à la portion
cérébrale
intacte. Enfin, si on enlève dans le milieu de ch
psie corticale de Bouveret (1887), FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 241 de Chauffard (1885), de Dejerine et Vial
ns sous-corticales et capsulaires. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 243 FIG. 210. - Les voies conductrices de la v
voies conductrices de la vision : appareil visuel central ou intra-
cérébral
, et appareil visuel périphérique. Connexions de l
itaire de la première circonvolution frontale.- ? pied du pédoncule
cérébral
. - Pc, pli courbe. P'c pli courbe droit. - l'ul,
cécité peul être complète et ne s'accompagner d'aucun autre trouble
cérébral
, comme chez le malade dont Dejerine et Vialet ont
us ces cas, il s'agit d'une double FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 245 lésion occipitale, intéressant plus partic
es en Médecine de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 247 chez le chien, la perception des sons él
e est détruite, ou partielle; elle FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 249 revêt alors deux types cliniques bien dist
ommissurales reliant entre eux les FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 251 deux plis courbes. - paf, fibres rehaut le
re des cas véritablement utilisables pour l'étude des localisations
cérébrales
; môme dans ce dernier cas, ne doit-on pas s'att
ne se traduisent par aucun trouble FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 253 moteur appréciable, lorsqu'elles n'occupen
ncore diversement interprétée. Nous savons que, comme une paralysie
cérébrale
quelconque, elle peut être d'origine corticale
culaire, en effet, n'envoie pas de fibres dans le pied du pédoncule
cérébral
et n'en reçoit pas de la corticalité. Ses fibres
lysés. Les muscles des membres in- FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 2¡j5 férieurs fonctionnant d'une manière autom
ir de lésions qui lèsent plutôt qu'elles ne détruisent la substance
cérébrale
. Le : mêmes réflexions s'appliquent à l'athétos
émiplé- gique. Nous avons constaté l'hémiilhétose dans l'hémiplégie
cérébrale
infantile à la suite de lésions corticales de l
térieur (Cip) représente déjà il cette hauteur le pie( du pédoncule
cérébral
. Dans cette région, les fibres de projection de l
es en Médecine de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 21î¡ ce genre sont aujourd'hui assez nombreux
stérieur de la capsule interne pour aller s'arboriser dans l'écorce
cérébrale
? Lorsque l'on examine les observations d'hémia
rice sont plus ou moins détruites. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 259 Dans ce dernier cas, la lésion est du rest
-motrice - d'où émanent ces dernières. BIBLIOGRAPHIE. Localisations
cérébrales
. ALIJEI\TOi'\1 et Micuieli. Sui centri cere- hm
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cérébrale
, J80L - -Vialet. Les centres cérébraux de la Vi
sur l'hémianesthésie de cause cérébrale, J80L - -Vialet. Les centres
cérébraux
de la Vision et l'appareil visuel intra-cérébra
n trajet bien distinct de celui des fibres de projection du manteau
cérébral
: les fibres de projection du lobe olfactif et
de la circonvolution de l'hippocampe forment le système du trigone
cérébral
. Quant à la première circonvolution limbique -
véritable région de transition entre le rhinencéphale et le manteau
cérébral
dont elle pré- sente la morphologie et la struc
ons, elle envoie ses fibres de projection en partie dans le trigone
cérébral
et en partie dans la capsule interne. FIBRES DE
1. radiations olfactives. - Comme les circonvolutions du man- teau
cérébral
, le lobe olfactif émet des fibres de projection,
s libres de projection, d'association el de commissure du manteau
cérébral
. Suivant qu'elles occupent la surface du lobe
ar des îlots allongés de substance FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 265 grise. Arrivés au niveau du tubercule olfa
es en Médecine de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 267 d'elle. Parmi ces fascicules, les uns se p
gitudinales de la région sous-optique et de la calotte du pédoncule
cérébral
(Fig. 252). Les radiations olfactives profondes
ar des fibres directes; 5° probablement à la calotte du pédon- cule
cérébral
. 2. faisceau SEPTO-THALAMIQUE. - Le faisceau se
noyau rouge et sa capsule de fibres (CNlI). - P, pied du pédoncule
cérébral
. PaTh, pédoncule antérieur du thalamus. - Rolp,
thalamus. 11, bandelette optique. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 269 3. TÆNIA SEMICIRCULARIS (stria tcrminali
, noyau externe du thalamus. NR, noyau rouge. l', pied du pédoncule
cérébral
. - Pt771, pédoncule inféro-interne du thalamus. p
ans l'avant-mur, le noyau lenticu- FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 271 laire et l'écorce de la pointe du lobe t
res longitudinales de la capsule interne. - Cas Rivaud. (Hémiplégie
cérébrale
infantile (p. 150) détail de la fig. 1 \'5, p. 15
ES NERVEUX. Ses connexions tlialamiques. Système du tri- gone
cérébral
Sa constitution complexe. Ses quatre par-
du taenia semicircularis. SYSTÈME DU TRIGONE CÉRÉBRAL Le trigone
cérébral
est un faisceau complexe comme les radiations olf
ts de fibres qu'il reçoit ou qu'il émet, on peut diviser le trigone
cérébral
en quatre parties : la première occupe la corne
eps major du corps calleux, occupe FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 273 le carrefour ventriculaire et s'étend de
ire de la capsule interne, le faisceau externe du pied du pédoncule
cérébral
et le noyau rouge. Méthode de Weigert. Alv, alv
ulaire, en particulier avec le faisceau externe du 'pied du pédoncule
cérébral
. - (Tilt, faisceau temporo-thalamique d'Arnold
lg. 7, 11, '15, 16, 21, /21, 2, 2, 30, 33, 3, I 7, 256.) Le trigone
cérébral
prend son origine principale dans la corne d'Am
iculaire présentent sur les coupes FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 275 vertico-transversales de l'hémisphère un a
est là un fait que mettent bien en évidence certaines malformations
cérébrales
, certaines vastes hydrocéphalies remontant aux
agnant d'un arrêt de développement plus ou moins complet du manteau
cérébral
, du corps calleux et du septum lucidum. Dans
l'occasion d'exa- miner, il existe une agénésie variable du manteau
cérébral
et un développement presque normal du rhinencép
particulier des circonvolutions de l'hippocampe : aussi le trigone
cérébral
est-il très bien développé ainsi que la commissur
- 17SI, ventricule de la cloison. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 29 sous du bourrelet du corps calleux, puis
rieur (Spl) (r) contient les fibres commissurales, saines, du trigone
cérébral
. La zone dégénérée est colorée en jaune. Méthod
eigert-Pal. Gj j GranLlcur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 281 1 du tiers moyen (Fig. 262) du corps cal
entrecroisement sous-thalamique pos- térieur de Forel. - P13, fente
cérébrale
de Bichat. - F,11, faisceau rétroflexe de Meynert
l[, nerf moteur oculaire commun. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 283 du corps calleux avant de se couder et de
R, noyau rouge. - CNR, sa capsule de fibres. - P, pied du pédoncule
cérébral
. - l'o, protubérance. - l'Tin, pédoncule du tuber
Il[, nerf moteur oculaire commun. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 283 Immédiatement en avant du trou de Monro,
es en Médecine de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 287 ventrale du tubercule mamillaire, et con
circonvolution de l'hippocampe. Dégé- nérescence du tri- gone
cérébral
: al- meus, fimbria. piliers postérieur et an
che profonde sous-épen- dymaire. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 289 a'dmmon du côté opposé; le pilier antéri
circonvolution do l'hippocampe. Dégé- nérescence du tri- COUD
cérébral
: al- vous, fimbria, piliers postérieur et an
sont normaux. Outre celte dégénérescence dans le système du trigone
cérébral
, il existe (Fig. 267 et 268) une dégénérescence
circonvolution de l'hippocampe. Dégé- nérescence du tri- gone
cérébral
: al- vous, fimbria, piliers postérieur et an
circonvolution de 1 hippocampe Dégé- nérescence du tri- zone
cérébral
: al- \ eus, fimbria, piliers postérieur et a
térieur de la couronne rayonnante. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 293 puis la partie inférieure de la paroi exte
cerveau de notre hydro- céphale avec porencéphalie et malformation
cérébrale
(cas Richard, Fig. 220 à 223, p. 201). Chez l'a
. De celte disposition, il résulte un agencement spécial du trigone
cérébral
: le coips du Lligone n'existe pour ainsi dite
ieur du trigone et le pédoncule du FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 295 septum lucidum. Les libres transversales
t externe du thalamus. - NC, le noyau caudé. - P, pied du pédoncule
cérébral
. - aPcs, entre-croisement du pédoncule cérébelleu
es en Médecine de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 297 et à l'absence de son segment dorsal. Chez
aire. - Ir3, troisième ventricule. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 299 interne l'entoure complètement et le sépar
st en rapport en dehors avec la partie interne du pied du pédoncule
cérébral
, du corps de Luys et du faisceau lenticulaire d
dans l'espace compris entre le noyau externe, le pied du pédoncule
cérébral
et la surface du tuber cinereum, on trouve un p
e, en bas et en dedans, et pénètre dans la calotte du pédon- cule
cérébral
. II passe au-dessus du noyau rouge, entre dans
u interne du tubercule mamillaire. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 301 sales et sagittales sériées où l'on voit
NR, noyau rouge. - C\-R, sa capsule de fibres. - P, pied du pédoncule
cérébral
. - l'o, protubérance. - 1'1'111, pédoncule du t
rieur du trigone. Il dégénère à la suite d'ablalion de l'hémisphère
cérébral
, sans lésion concomitante du corps strié et de
er, entre la substance perforée postérieure et le pied du pédoncule
cérébral
, et croise les fibres du nerf moteur oculaire com
mmon, de la circonvolution godronnée et du pli rétrolimbique. Trigone
cérébral
, com- missure antérieure, faisceau inférieur du
e putamen, présente une structure très voisine de celle de l'écorce
cérébrale
. On y trouve : 1° des cellules nerveuses et des c
trajet descendant (Cajal); aucun ne se porte en haut vers l'écorce
cérébrale
; dans quelques cas rares, ils émettent au nive
es et épendymaires. Connexions du corps strié avec la corticalité
cérébrale
. - Le corps strié, en particulier le noyau caud
putamen) n'est donc pas en con- nexion directe avec la corticalité
cérébrale
et l'existence de fibres cortico- striées direc
egment postérieur de la capsule interne avec le pied du pédon- cule
cérébral
; l'aspect de la zone réticulée et de la lame méd
), soit qu'il s'agisse d'une destruction complète de la corticalité
cérébrale
(cas Pradel, Fig. 66 à 78, p. 100 et suiv.) Dans
ogie de développement et de structure du corps strié et de l'écorce
cérébrale
établie par Wernicke, l'existence d'un fais- ce
ipito-frontal et dégénèrent à la suite de lésions de la corticalilé
cérébrale
[lobe frontal, zone rolandique (cas Schweigoffer,
on cortico-striée dont les cellules d'origine siègent dans l'écorce
cérébrale
et dont les arborisations abou- tissent au corp
er- cortical, reliant deux points plus ou moins éloignés du manteau
cérébral
. Radiations corticales du globus pallidus. Si l
au caudé el le putamen ne reçoivent pas de fibres de la corticalité
cérébrale
, il ne parait pas en être de même du globus pal
est dévolue la tâche d'élucider celle question. Deux cas de lésions
cérébrales
récentes, l'une étendue, l'autre limitée, exami
Luys reçoivent tous deux des fibres de projection de la corticalilé
cérébrale
. Cas Caillot. Hémiplégie gauche récente avec hé
moyen en [particulier du 3° cinquième externe du pied du pédoncule
cérébral
(Fig. 285); une dégénérescence de l'étage antér
es coupes qui passent par le tiers supé- rieur du pied du pédoncule
cérébral
, c'est-à-dire sur toutes les coupes qui intéresse
me circonvolution occipitale. Il n'existe dans le pied du pédoncule
cérébral
, examiné à la méthode de Marchi, aucune dégénér
e dégénérescence des trois cinquièmes externes du pied du pédoncule
cérébral
peu prononcée au niveau du faisceau de Turcs; une
onfins de la région sous-optique (Fig. 288) et le pied du pédoncule
cérébral
(Fig. 28'.)). Bibliothèque des Internes ' en
. chez les poissons forme à lui seul le cerveau antérieur. L'écorce
cérébrale
ne dépasse pas, en effet, chez les poissons car
'homologue, ainsi que Ad. Meyer l'a montré, du système du tri- gone
cérébral
. En dehors de la formation ammonique, le reste de
e cérébral. En dehors de la formation ammonique, le reste de l'écorce
cérébrale
n'atteint pas dans ces classes de vertébrés un
intrication avec le système des fibres de pro- jection de l'écorce
cérébrale
. Il ne peut donc être étudié à l'aide de cerveaux
secondaires chez un chien auquel Goltz avait enlevé toute l'écorce
cérébrale
sans lésion concomitLante du corps strié. V. Mona
veau avec arrêt de développement plus ou moins complet du man- teau
cérébral
, remontant aux premiers alges de la vie embryonna
et commune aux deux hémisphères et l'absence de soudure du manteau
cérébral
à la partie supérieure du corps strié. Dans l'u
Slrz, stratum zonale du thalamus. Tga, pilier antérieur du trigone
cérébral
. - Top, pilier postérieur. - Th, thalamus. - lsc,
(Rsth) de la région thalamique moyenne, dans un cas d'hé- miplégie
cérébrale
infantile avec dégénérescence complète des fibres
(ttstn) de la région thalamique intérieure dans un cas d'hémiplégie
cérébral
infantile avec dégénérescence complète des fibres
a cap- sule interne et de la partie supérieure du pied du pédoncule
cérébral
en fascicules denses, nombreux, serrés et paral
, tapetum. Tga, pilier antérieur ; 7qp pilier postérieur du trigone
cérébral
. lsc, toenia semi-circularis. IV, zone de Wernick
blation de la bandelette optique, con- tourner le pied du pédoncule
cérébral
au niveau de sa pénétration dans le cerveau. Le
ques dégénèrent à la suite de toute lésion centrale des hémisphères
cérébraux
qui détruit le corps strié ou sectionne les rad
eaux des artères striées antérieures qui se déta- chent de l'artère
cérébrale
antérieure; des artères lenticulo-striées et len-
rouge et de sa cap- sule de fibres. externe du pied du pédoncule
cérébral
, y compris le faisceau de Turck (Fig. 299 et 300)
isolés. Dégénérescence de la partie moyenne du pied du pédoncule
cérébral
, qui, dans la région pédonculaire inférieure, '
apidement d'intensité de haut en bas et dans la région du pédoncule
cérébral
(Fig. 300), le noyau rouge (NR), le ruban de Re
e ne concourt pas à former le faisceau interne du pied du pédoncule
cérébral
et n'envoie pas de fibres dans la voie TOME II.
ieur de la capsule interne (Fig. 303 à 30), et du pied du pédoncule
cérébral
(Fig. 30G à 309), dégénérescence qui peut être su
nt postérieur de la cap- sule interne et du pied du pédonculo
cérébral
, du locus niger. du pes lem- niscus profond
du ruban de Reil et du faisceau interne du pied du pédon- cule
cérébral
. 31O ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Gard
nt postérieur de la cap- sule interno et du pied du pédoncule
cérébral
, du locus niger, dupes lem- niscus profond et
du ruban de Reil et du faisceau interne du pied du pédon- cule
cérébral
. thalamique jusque dans le noyau lenticulaire.
Marchi.) GANGLIONS INFRACORTICAUX : CORPS STRIÉ. 341 pédoncule
cérébral
(P) (Fig. 307, 308). L'anse lenticulaire n'envoie
ées que l'on constate dans le faisceau interne du pied du pédoncule
cérébral
au voisinage du sillon pédonculo-protubéran- ti
re, 189G). Dégénérescence de la partie moyenne du pied du pédoncule
cérébral
et du locus niger (Ln) consécutive à un ramolli
e (Tm) (Fig. 306). Intégrité du faisceau interne du pied du pédoncule
cérébral
. (Méthode de Marchi.) Cas Gardette. Dou- bl
ent postérieur dola cap- sule interne et du pied du pédonculo
cérébral
, du locus niger, du pes lem- niscus profond e
du ruban do Reil et du faisceau interne du pied du pédon- cule
cérébral
. 342 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Gardet
nt postérieur de la cap- sule interne et du pied du pédoncule
cérébral
, du locus niger, du pes lem- nisciis profond
du ruban de Reil et du faisceau interne du pied du pédon- cule
cérébral
. Il existe d'autre part une dégénérescence du p
re, 189G). Dégénérescence de la partie moyenne du pied du pédoncule
cérébral
(P, I), du locus niger (Ln), du pes lemniscus p
amique de Forel. Intégrité du faisceau inlerne du pied du pédoncule
cérébral
, malgré la dégénérescence de l'anse lenticulaire.
l'anse lenticulaire n'envoie pas de fibres dans le pied du pédoncule
cérébral
, en particulier dans le faisceau interne de la
mêmes. Sur les connexions de la couche optique avec la corticalité
cérébrale
. Soc. de Biologie, 1898 p. 1131. - EDINGER. Ueb
noyaux du thalamus. Les noyaux intrin- sèques. removal of the
cérébral
cortex and corpora striata in the Dog. Journ. of
connexions des différents groupes cellulaires avec la cortica- lité
cérébrale
, décrivit, dans chacun des quatre noyaux lhalamiq
parties, qui toutes les deux sont en connexion avec la corticalité
cérébrale
, se fait d'une manière graduelle et insensible,
e s'ef- fectueraient les connexions du thalamus avec la corticalité
cérébrale
, d'une part, et avec la région de la calotte, d
u- jours respecté, même dans les lésions étendues de la corticalité
cérébrale
, comme dans le cas Rivaud (p. 151). Il était to
. Ce noyau entre donc chez l'homme en connexion avec la corticalité
cérébrale
, mais son intégrité, dans le cas Scheule (p. 133)
ynert. fp, fibres perforantes du corps calleux destinées au trigone
cérébral
dont elles concourent à former le fornix longus
aire de la première circonvolution frontale. - P, pied du pédoncule
cérébral
. - Pcs, pédoncule cérébelleux supérieur. - Plc%
oroïdienne et le corps du trigone et appartenant il la grande fente
cérébrale
de Bichat. ? 7-'f ? substance grise de l'aqueduc
TRES NERVEUX. Sa structure Ses connexions avec la corticalité
cérébrale
. dans le plan vertico-transversal et dans le pl
ue ce centre affecte des connexions importantes avec la corticalité
cérébrale
et avec la région de la calotte. Dans sa partie s
de de Weigert. 2/1 grandeur nature. Aol, aire olfactive. - B, fente
cérébrale
de Bichat. - BrQa, bras du tubercule quadriju-
taire de la première circonvolution frontale. - l', pied du pédoncule
cérébral
. - Plch plexus choroïdes du ventricule latéral.
pro- venant de la région sous-optique ou de la calotte du pédoncule
cérébral
en particulier du pédoncule cérébelleux supérie
s, fibres cortico-thalamiques , prennent leur origine dans l'écorce
cérébrale
, appartiennent au système de projection corticale
(g), Cip, Cisl). Elles proviennent du secteur moyen de l'hémisphère
cérébral
, en particulier des circonvolutions rolandiques
sradt6os. Connexion du noyau externe : 11) avec la corticahté
cérébrale
; 356 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. 2° a^ ce
(noyaux antérieur, interne et externe), se terminent dans l'écorce
cérébrale
et suivent en sens inverse le trajet des fibres
ire dans nos deux cas d'hydrocéphalie congénitale avec malformation
cérébrale
remontant aux premiers stades de la vie embryon
la bandelette optique et la partie postérieure du pied du pédoncule
cérébral
(v. Monakow). Les cellules nerveuses du noyau e
mbrasse dans sa courbe la partie posté- rieure du pied du pédoncule
cérébral
(P), dont le séparent les corps genouillés exte
-axes pénètrent dans la capsule interne et se portent dans l'écorce
cérébrale
. Le pulvinar contient, comme les noyaux externe
lamelles imbri- Connexions du pul- vinar avec la corti- calité
cérébrale
, en particulier avec la zone visuelle. Corp
er. Il est situé à la partie postérieure de la calotte du pédoncule
cérébral
et sur les coupes horizontales (Fig. 28, p. 43
. 69 et Fig. 312). Plus bas, aux confins de la calotte du pédoncule
cérébral
(Fig. 24, p. 33), lorsque le corps genouillé inte
bres cortico- thalamirjues. de nombreuses fibres à la corticalité
cérébrale
, au corps strié, au cervelet et au tronc encéph
s du rhinencéphale . Les connexions du thalamus avec la corticalité
cérébrale
et avec le corps strié s'établissent surtout pa
ncéphalique. 1. Connexions de la couche optique avec la corticalité
cérébrale
. L'union si intime de la couche optique avec la
rébrale. L'union si intime de la couche optique avec la corticalité
cérébrale
('oy. Dégénérescences secondaires, p. 91 et sui
lement par les innombrables fibres de projection que la corticalité
cérébrale
envoie à la couche optique (p. 57), mais encore
les corps genouillés interne et externe, se terminent dans l'écorce
cérébrale
et suivent en sens inverse le trajet des fibres
ion de Flechsig et II&sel, en connexion directe avec la corticale
cérébrale
par l'intermédiaire de fibres passant par la co
e, par nos deux cas d'hydrocéphalie congé- nitale avec malformation
cérébrale
(cas Longery, Richard). Dans l'un des cas (cas
loppée en partie, mais par suite de l'absence de soudure du manteau
cérébral
aux corps opto-striés, le système des fibres de p
calité qu'elles n'ont pu atteindre par suite même de la malformation
cérébrale
. 2. Connexions de la couche optique avec le cor
postérieur de la capsule inlerne dans un cas d'agénésie du manteau
cérébral
. (Voy. Cas Longery, p. 186, Fig. 197 a 212.)
ommissure postérieure no reçoit pas de fibres de la corticalité
cérébrale
. Malgré son volume on ne connaît encore que peu
la commissure postérieure, entrent en connexion avec la corticalité
cérébrale
, hypothèse émise déjà par Darks- chewitch et Be
reraient à la suite d'ablation du tiers anté- rieur de l'hémisphère
cérébral
; d'après Bechterew, consécutivement à l'ablati
la commissure postérieure ne reçoit pas de libres de la corticalité
cérébrale
et partant qu'elle ne dégé- nère pas à la suite
daires et sur l'étude de certaines anomalies d'évolution du manteau
cérébral
démontrent en effet que la couche optique n'env
e la couche optique n'envoie aucune fibre dans le pied du pédoncule
cérébral
et qu'elle n'en reçoit aucune. 4. Connexions du
ste chez les vertébrés les plus inférieurs dépourvus de manteau
cérébral
. Son volume parait être, d'après Edinger, con
orticale, dégénère à la suite de lésions étendues de la corticalité
cérébrale
, et passe par les segments antérieur et postérieu
Connexions dou- teuses du txnia tlia- la1111 avec le trigone
cérébral
. 382 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Lotheisen,
bandelette optique, contourneraient avec elle le pied du pédoncule
cérébral
, atteindraient ainsi les parties latérales et p
celui-ci à la suite de certaines lésions étendues de la corticalité
cérébrale
(Fig. 320). La commissure interhabe- nulaire re
fibreux qui relie le sommet de la glande à la pie-mère de la fente
cérébrale
de Bichat, ainsi qu'à la petite circonférence d
sappartiennent au système sympa- thique. les acervules ou sable
cérébral
et qui sont composées de carbonate et de phosph
la couche optique, au-dessus du locus niger et du pied du pédoncule
cérébral
, entre la capsule inlerne et la substance grise
bas, sans ligne de démarcation nette, avec la calotte du pédoncule
cérébral
. Elle représente l'extrémité antérieure, termin
1° La région sous-optique; 2° L'étage moyen ou calotte du pédoncule
cérébral
; 3° L'étage postérieur ou calotte de la protubé-
sous-optique n'est pas située dans l'axe de la calotte du pédoncule
cérébral
, mais forme avec elle un angle ouvert en bas et e
ptique, ses deux tiers posléro-inféricurs à la calotte du pédoncule
cérébral
(Fig. 310, p. 348). Considérée dans son ensembl
lle ne comprend sur la Figure 44, p. 61, que la partie du pédoncule
cérébral
qui contient le corps de Luys, et la partie du
(FT), c'est-à-dire les éléments con- stitutifs du pied du pédoncule
cérébral
qui affectent seuls des rapports avec la région
antérieur de la couche optique, et sectionnant le pied du pédoncule
cérébral
et la substance innominée sous- lenticulaire de
met du globus pallidus, au-dessus et en dedans du pied du pédoncule
cérébral
et de la partie supérieure du locus niger, au-d
L,, les trois segments du noyau lenticulaire. - Il, pied du pédoncule
cérébral
. l'cid, plexus choroïdes du ventricule latéral.
née sous-lenticulaire de Reichert, à la limite du pied du pédoncule
cérébral
et de la région sous-optique. Il diminue (Fig.
que le locus niger croît. 11 a disparu lorsque le pied du pédoncule
cérébral
apparaît librement à la base du cerveau, au-des
le segment postérieur de la capsule interne et le pied du pédoncule
cérébral
deviennent très manifestes; il occupe en effet
n sous-thalamique) et dans la partie adjacente du pied du pédoncule
cérébral
. Les fibres de la capsule interne séparent cett
illaire, est en rapport avec la partie interne du pied du pédoncule
cérébral
(Fig. 32 et 325). L'extrémité postérieure du co
oit dans les cas de destruction étendue ou totale de la corticalité
cérébrale
sans participation des corps opto-striés (cas Pra
Fig. 148, 149), soit dans les anomalies d'évolu- tions de l'écorce
cérébrale
et du système de projection corticale (cas Lon-
ps de Luys reçoit donc quelques très rares fibres de la corticalité
cérébrale
, mais leur nombre est insigni- fiant lorsqu'on
les fibres du corps de Luys qui tome Il. 26 Avec la corticalité
cérébrale
. Connexions dou- teuses. Avec les noyaux
e la commissure de Meynert à la partie interne du pied du pédoncule
cérébral
. Or, les deux premiers cas montrent simplement
la substance grise inter- pédonculaire et reçoit de la corticalité
cérébrale
quelques très rares fibres qui passent par les
sont beaucoup plus serrées que celles du noyau rouge ou de l'écorce
cérébrale
par exemple. IV. - SUBSTANCE GRISE CENTRALE ET
nge opto- pédonculaire, entre la bandelette optique et le pédoncule
cérébral
, une petite région recouverte partiellement par
yen et intermédiaire étiré en lame par la divergence des pédoncules
cérébraux
; comme pour le système des fibres commissurales
sous-optique comprise entre la couche optique, le pied du pédoncule
cérébral
et le locus niger comprend le corps de Luys et la
Nez, les trois segments du noyau lenticulaire. - P, pied du pédoncule
cérébral
. Ilchl, plexus choroïdes du ventricule latéral.
nètre entre les faisceaux de la partie moyenne du pied du pédoncule
cérébral
(Voy. T. 1er, Fig. 191, p. 326). Meynert, Forel
'ont pu la suivre au delà de la partie moyenne du pied du pédoncule
cérébral
; Darkschewitsch et Pribytkow la mettent GANGLIO
Meynert persiste intacte, soit encore dans certaines malformations
cérébrales
, telles que le cas d'anophtalmie bilatérale rap
- factif et optique re- présentent do vé- ritables formations
cérébrales
. Voie oltactwe pé- riphériquc ou de ler ord
représentent l'un et l'autre de véritables émanations ou formations
cérébrales
: le nerf olfactif étant un lobe cérébral dével
manations ou formations cérébrales : le nerf olfactif étant un lobe
cérébral
développé aux dépens du cerveau antérieur; le ner
e pédoncule et les stries olfactives. Ces formations véritable lobe
cérébral
con- tiennent les voies olfactives centrales.
superficielles et profondes, le læina semicircularis et le trigone
cérébral
. Les centres olfactifs primaires, de même que les
or- ticaux entre eux ; le système du tubercule mamillaire - trigone
cérébral
(Tg), tubercule mamillaire (Tm), pédoncule du t
ives centrales. (Systèmes des radiations olfactives et du tri- gone
cérébral
.) Aol, aire olfactive. - Bol, bulbe olfactif. -
emi-circularis (tsc) (neurone de iiie ordre) et émettent le trigone
cérébral
(Tg), la partie hémisphérique de la commissure
la circonvolution godronnée sont les cellules d'origine du trigone
cérébral
. Par ses fibres commissurales (commissure a/<
aires ou cor- ticaux et neurones olfactifs de 4' ordre. Trigone
cérébral
. Cingulum. Leur système de fibres commissur
tifs corticaux sont enfin reliés aux différentes régions du manteau
cérébral
par des libres courtes et longues d'association.
ui limitent l'espace opto- pédonculaire, contournent les pédoncules
cérébraux
, adhèrent comme le chiasma à la substance grise
comprend que des voies centrales. Les voies optiques extra -
cérébrales
: nerfs,clmsma et lian- delettes optiques.
voies conductrices de la vision : appareil visuel central ou intra-
cérébral
, et appareil visuel périphérique. - Connexions de
taire de la première circonvolution frontale. - P, pied du pédoncul
cérébral
. Pc, pli courbe gauche. Pc' pli courbe droit. - l
artielle du chiasma humain est aujourd'hui un des points d'anatomie
cérébrale
les plus solidement établis. 3° Dans la bandele
er à une projection de la macula en un îlot circonscrit de l'écorce
cérébrale
. Bien au contraire, la dissociation des fibres ma
ps genouillé interne, le noyau lenticulaire et le pied du pédoncule
cérébral
. Mais les résultats fournis par l'étude des dégén
et jamais chez l'homme une dégénérescence soit du pied du pédoncule
cérébral
, soit du noyau lenticulaire. Il est probable que
pports croisés et directs des nerfs optiques avec les gémi- sphères
cérébraux
. C. R. Soc. de Biologie, 1882. - M. PROBST. Ueber
. Experiments on the electrical excitation of the visual area ofthe
cérébral
cortex in the monkey. Brain April 18SS. - SCHAP
s Arch. f. Ophthalm.vol. XXXII, 3, p. 93. 1884. VIOLET. Les centres
cérébraux
de la vision et l'appareil nerveux visuel intracé
de l'isthme postérieur, une scissure plus profonde encore, la fente
cérébrale
postérieure, le sépare du bulbe racliidien. Le
au et la moelle épinière. Il est situé au-dessous des hémi- sphères
cérébraux
qui le recouvrent entièrement, et dont le sépare
ièrement, et dont le sépare une profonde scissure : la grande fente
cérébrale
transverse qui loge la tente du cervelet, en ar
st en outre a découvert, elle est située en arrière des hémisphères
cérébraux
et du cerveau moyen souvent très développé. S
Meynert (Voy. T. 1er, Fig. 3 et 4), c'est-à-dir( séparer le manteau
cérébral
du tronc encéphalique et des corps opto- striés
e du cerveau par une coupe horizontale qui passe pai les pédoncules
cérébraux
et les tubercules quadrijumeaux. On constate al
érieur. - Oi, olive inférieure ou bulbaire. - Il, pied du pédoncule
cérébral
. - Py, pyramide antérieure du bulbe. - Pyc, pyram
s, tout à fait comparables aux plis de passage profonds de l'écorce
cérébrale
. Loues secondaires. Ces lobes, au nombre de qua
érieur.-Lsls, lobe semi-lunaire supérieur. - P, pied du pédon- cule
cérébral
. - Po, protubérance. - Py, pyramide antérieure du
iibé),ciiiiiel supérieur, qui sépare la protubérance des pédoncules
cérébraux
; en arrière, par un léger sillon transversal, q
r ou pédonculo- protubérantiel; il la sépare du pied des pédoncules
cérébraux
el forme sur la ligne médiane le trou borgne su
r la lame perforée postérieure el compris entre les deux pédoncules
cérébraux
et la protubérance, légèrement échancrée à ce ni-
ncrée à ce ni- veau. Au niveau du bord externe du pied du pédoncule
cérébral
, le sillon protubérantiel supérieur se jette à
t au bulbe rachidien, mais encore u ]a protubérance et aux pédoncules
cérébraux
. Baller le premier l'employa dans un sens plus
bulbe. - Oi, olive inférieure ou bul baire. - P, pied du pédoncule
cérébral
, - l'o, protu bérance. - Py, pyramide antérieur
i limitent la protubérance, masquant ainsi en partie les pédoncules
cérébraux
et la partie supérieure du bulbe. Ils s'incurvent
et inférieur, et se moulent en haut autour de chacun des pédoncules
cérébraux
, en bas autour de chacune des pyramides, les envi
les environnant d'une espèce de collier : le collier des pédoncules
cérébraux
et le collier des pyramides , de Cruveilhier.
ême très réduites; elles ne recouvrent pas en haut les pédon- cules
cérébraux
, ne dépassent guère en bas l'émergence du trijume
ubérantiel supérieur, entre la protubérance et le pied du pédoncule
cérébral
. Le plus souvent il est unique le long du bord
Lorsque le faisceau pyramidal est lésé dans son trajet de l'écorce
cérébrale
à la partie inférieure de la protubérance, la pyr
uvent complètement faire défaut dans les cas d'agénésie de l'écorce
cérébrale
, par hydrocéphalie, porencéphalie, etc. ,,etc. ,
nerf optique. - Oi, olive bulbaire ou infé- rieure. - Il, pédoncule
cérébral
. - ! 'cm, pédoncule cérébelleux moyen. ! 'cs, p
, funiculi teretes. -Le, locus caeruteus. - ? pied du pédon- cule
cérébral
. Pcm, pédoncule cérébelleux moyen. - F. pyramid
pendance du double feuillet pie-mérien qui s'invagine dans la fente
cérébrale
posté- rieure, et sépare le bulbe du cervelet.
7 1. - DURET. Études expérimentales et cliniques sur les traumatismes
cérébraux
, Th. Paris, 1878. - FOVILLE. Traité complet de
e de vie de la région de transition entre le vermis et l'hémisphère
cérébral
. - Coupe sagittale passant par les noyaux dentelé
. Coupe horizontale un peu oblique en haut et en avant du pédoncule
cérébral
, au voisinage du sillon pédonculo-protubérantiel,
tes : l'une fail suite à la capsule interne et au pied du pédoncule
cérébral
, forme l'étage antérieur de la protubérance et la
tre s'étend de la région sous-optique et de la calotte du pédoncule
cérébral
à la moelle cervicale, contient tous les noyaux d
en occupe toute la hauteur, forme à elle seule le pied du pédoncule
cérébral
et la pyramide bulbaire et comprend toutes les
ide bulbaire et comprend toutes les fibres de projection du manteau
cérébral
qui ne se sont arrêtées ni dans le thalamus et se
avons démontré qu'elle pro- vient du secteur moyen de l'hémisphère
cérébral
, passe par le genou, les segments postérieur et
la capsule interne, et occupe toute l'étendue du pied du pédoncule
cérébral
. En pénétrant dans l'étage antérieur de la prot
aeja aans les régions moyenne et intérieure uu pieu uu peuon- cule
cérébral
(coupe P 1, Fig. 364), où l'on assiste à un chang
et se groupent le long de la face postérieure du pied du pédoncule
cérébral
en petits fascicules arrondis, séparés les uns
ssociation commence à la partie anléro-interne du pied du pédoncule
cérébral
, de chaque côté du trou borgne supérieur (coupe P
déterminer quelle part les différents segments du pied du pédoncule
cérébral
prennent à la constitu- tion de la pyramide bul
nérescence, même limitée, de la partie moyenne du pied du pédoncule
cérébral
, retentit à la fois sur la pyramide bulbaire et s
pédonculaire peut faire défaut, soit dans les cas de malfor- mation
cérébrale
avec agénésie complète des fibres de projection c
8 à 212 et 231 à 233), soit dans les cas de lésions de l'hémisphère
cérébral
sur- venant dans les premiers âges de la vie et
. Dans les cas que nous avons été à même d'obser- ver, le pédoncule
cérébral
est plus petit qu'à l'état normal, la protubéranc
la face profonde du deuxième cinquième externe du pied du pédoncule
cérébral
, traverse obliquement le locus niger et s'accole
fibres aberrantes de la voie pédonculaire de la région du pédoncule
cérébral
: Pes lemniscus profond (PLp), (Fig. 375, 3 in, 3
TOMIE DES CENTRES NERVEUX. Fibres aberrantes protubérantielles.
cérébral
, le pes lemniscus superficiel participerait en ou
re latérale. La colonne cellulaire médiane forme, dans le pédoncule
cérébral
, les noyaux d'origine des nerfs moteurs oculair
e-croisements dorsal et ventral de la calotte et le pied du pédoncule
cérébral
. Coupe horizontale oblique parallèle à la bande
la commis- sure en fer à cheval de Wernekink. Le pied du pédoncule
cérébral
au niveau du sillon pédonculo-protubérantiel et
s : l'intemc reste profond, monte en ligne droite dans le pédoncule
cérébral
et se place en arrière du locus niger ; l'externe
sur la face latérale de l'isthme de l'encéphale entre le pédoncule
cérébral
et les pédoncules cérébelleux supérieur et moyen,
t en avant, fusionnerait le long du bord externe du pied du pédoncule
cérébral
avec le faisceau interne, profond ou vertical,
du bulbe, montaient avec elles dans la protubérance et le pédoncule
cérébral
dont elles occupaient la partie externe, puis s
cus niger, puis s'étalaient le long de la face externe du pédoncule
cérébral
et pénétraient dans la couche optique. Ces auteur
externe de la pyramide et de la partie externe du pied du pédoncule
cérébral
. Mais ce ne fut qu'en 1883, qu'Edinger, puis Fl
IEURE DU RHOMBENCÉPHALE. 579 Dans les régions voisines du pédoncule
cérébral
(coupes P3, P4, Fig. 369 et 368, p. 536 et 535)
r croisé ; sa terminaison dans les régions inférieures du pédoncule
cérébral
lui a encore valu le nom de ruban de Reil infér
genouillé interne (Cgi), la partie postérieure du pied du pédoncule
cérébral
(P) et du locus niger (Ln). Quelques fibres se
nent le pédoncule CONFIGURATION INTÉRIEURE DU RHOMBENCÉPHALE. 581
cérébral
, la protubérance et la partie supérieure du bulbe
Mm" DEJERINE. Sur les connexions du ruban de Reil avec la corticalité
cérébrale
. C. Il. Soc. - Biologie, 1895, p. 285. -DES Mêm
laires externes du cervelet. - Coupe sagittale S 7, de l'hémisphère
cérébral
au voisinage de la région de transi- tion, pass
e la masse blanche non différenciée du centre ovale de l'hémisphère
cérébral
, et contient comme celle-ci des fibres d'associat
à mon- trer la manière dont les éléments constitutifs du pédoncule
cérébral
abordent le rhombencéphale, les modifications q
horizontales et horizontales obliques, à la formation du pédoncule
cérébral
. Nous avons vu : 1° que la calotte procède du tha
ostérieur; 2° que la voie pédonculaire ou voie du pied du pédoncule
cérébral
fait suite à la capsule interne et qu'elle ne con
erne et qu'elle ne contient que des fibres de projection du manteau
cérébral
(T. II, p. 73). Les quatre coupes P1, P2, P3, P
e coupes P1, P2, P3, P4, (Fig. 419 à 422), sectionnent le pédoncule
cérébral
presque parallèlement au plan du sillon pédonculo
ofonde dépression, située sur la ligne médiane entre les pédoncules
cérébraux
et la protubérance, et dont la lèvre supérieure
Toutes ces coupes sectionnent donc obliquement le pied du pédoncule
cérébral
, et c'est ainsi que s'explique la différence d'
es transversales de la protubérance, intéresse le pied du pédoncule
cérébral
au voisinage de son bord inférieur et sectionne e
à son embouchure dans le quatrième ventricule. Pied du pédoncule
cérébral
. Les fibres du pied du pédoncule ou de la voie
nt horizontaux et se groupent à la face profonde du pied du pédoncule
cérébral
en une couche de lâches fascicules, la couche d
ncomplè- tement l'étage inférieur de l'étage supérieur du pédoncule
cérébral
. Biblàatqu des Internes en ? ecine de la Salp
tre-croisent en fascicules presque FIG. 419. - Le pied du pédoncule
cérébral
, sa couche intermédiaire ou profonde, et le pes
pe P 1, coupe horizontale oblique en liaut et en avant du pédoncule
cérébral
, au voisinage du sillon pédonculo-protubérantiel,
qui s'effectue sur une grande hau- Fic. 420. - Le pied du pédoncule
cérébral
, la couche intermédiaire, le pes lemniscus prof
ales, superposées d'arrière en avant. FiG. 421. - Pied du pédoncule
cérébral
en particulier dissociation des fibres du stra-
e (SR). FiG. 422. - La dissociation des fibres du pied du pédoncule
cérébral
par les fibres transversales profondes du pont.
laire; ils appar- tiennent aux fibres externes du pied du pédoncule
cérébral
, au faisceau de Turck, et s'épuisent, ainsi que
e la voie pédonculaire du côté opposé et représentait une ori- gine
cérébrale
directe du trijumeau. Les recherches modernes ne
t pas à la voie pédonculaire, ne provenant pas du pied du pédoncule
cérébral
et ne se con- tinuant pas directement avec les
s qui recouvrent les dendrites des cellules pyramidales de l'écorce
cérébrale
. Rameaux et ramuscules se terminent par des ext
ibres tangen- tielles superficielle, si caractéristique de l'écorce
cérébrale
, et ne présente que des fibres radiaires et lon
s avons décrites dans les couches profondes de l'écorce des sillons
cérébraux
(Voy. T. I, p. 71.8). Les libres à myéline que
rquées, des fibres en U ou fibres courtes d'association de l'écorce
cérébrale
. Elles unissent deux lamelles ou lobules voisins,
cules comparables aux longs faisceaux d'association des hémisphères
cérébraux
. S'il n'existe pas dans la substance blanche ce
de longs faisceaux d'association comparables à ceux des hémisphères
cérébraux
, les diffé- rentes régions du cervelet sont néa
n, 108 1893 PREMIÈRE LEÇON De la localisation dans les maladies
cérébrales
. Sommaire. — Préambule. — Aridité apparente de
le mieux sentir. C'est, en effet, sur le principe des loca-lisations
cérébrales
qu'est fondé ce qu'on pourrait appeler le {diagno
orts du clinicien. D'un autre côté cette question des localisations
cérébrales
vient d'entrer dans une phase nouvelle et elle fi
end par localisation, quand on parle de physio-logie et de pathologie
cérébrales
. Le terme est, depuis longtemps, passé dans la la
ie. Je me bornerai à vous rappeler que le prin-cipe des localisations
cérébrales
est fondé sur la proposition suivante : L'encépha
'extré-mité supérieure de ce qu'on désigne sous le nom de pédon-cules
cérébraux
. Les deux hémisphères, vous le savez, sont symé
ssus de la protubérance, vous voyez la face inférieure du pédoncule
cérébral
, dont le pied ou étage inférieur est issu, pour u
lancs sont les prolongements des pédoncules à travers les hémisphères
cérébraux
. Les pédoncules cérébraux, en effet, d'abord ir
des pédoncules à travers les hémisphères cérébraux. Les pédoncules
cérébraux
, en effet, d'abord irrégulière-ment quadrilatères
nante est le point d'émergence des pédoncules au-dessus des ganglions
cérébraux
. On peut caractériser cette disposition des pédon
nt, sauf à y revenir plus tard, la situation respective des ganglions
cérébraux
par rap-port à cet éventail. Lorsque, suivant l
eu-res, celle qui est pratiquée immédiatement en avant des pédoncules
cérébraux
. (Fig. 1). Vous reconnaissez ici, en PP, la par
ves au pronostic. Un exem-ple, emprunté à l'histoire de l'hémorrhagie
cérébrale
, vous prouvera sur le champ que ce n'est point là
toute impossibilité de faire un pas dans l'histoire des localisations
cérébrales
les plus importantes. Prenons un exemple. Comment
ation de M. Broca. Elle est intitulée : Etude sur les circonvolutions
cérébrales
chez l'homme et chez le singe (1874). L'anatomi
courbe (pc) ou gyrus angularis. La surface externe de l'hémisphère
cérébral
se trouve donc divisée en quatre lobes : le lobe
nalés qu'a rendus notre éminent collègue à la cause des localisations
cérébrales
. Lobe pariétal. — Le lobe pariétal, dont l'étud
quer sur son compte. Après cette étude sommaire des circonvolutions
cérébrales
chez le singe, celle des circonvolutions correspo
a pas manquer de jeter quelque jour sur l'his-toire des localisations
cérébrales
. TROISIÈME LEÇON Considérations sur la struct
tres psycho-moteurs. Description de la face interne des hémisphères
cérébraux
. — Lobule para-central. — Circonvolutions ascenda
l'avez pas oublié, de la théorie des localisations dans les maladies
cérébrales
— je dois mettre la dernière main aux considéra-t
étudiée comparativement dans les divers dé-partements des hémisphères
cérébraux
. A. Cette structure, j'ai dû l'envisager tout d
a première fois reconnues par Fig.6. — Face interne de l'hémisphère
cérébral
, dessinée d'après nature, -h S cm, Scissure callo
— 3, Couche optique ; —4, Partie antérieure et externe du pé-doncule
cérébral
: — 5, Corps godronné (1). M. Betz et M. Mierzej
ouche optique (Fig. 6, 3), puis, la surface de section des pédoncules
cérébraux
(Fig. G, 4). Prenons, pour nous mieux orienter,
ollègue, à la Salpêtrière, a noté une atrophie jyip^ (nrcortvolulions
cérébrales
du côté opposé au membre ampute\ Malheureusement,
QUATRIÈME LEÇON arallèle entre les lésions spinales et les lésions
cérébrales
. Sommaire. — Conditions indispensables pour l'é
tude de la distribution des vaisseaux. — Aperçu extérieur des artères
cérébrales
. Messieurs, J'espère avoir été assez heureux
urtout manifeste dans toutes les ques-tions relatives à la pathologie
cérébrale
. Vous allez, dans un instant, le reconnaître une
pensables pour aborder les problèmes qui concernent les Localisations
cérébrales
dans les maladies chez l'homme. Ces conditions fo
re dans le bulbe rachidien, dans la protubérance, dans les pédoncules
cérébraux
eux-mêmes. Je citerai, comme exemples, les dégé-n
son origine sur le sommet de la courbe de la sous-olavière. est la
cérébrale
antérieure ; l'autre, qui se dirige latérale-ment
utre, qui se dirige latérale-ment, porte le nom à'artère sylvienne ou
cérébrale
moyenne. (Fig. 8, S.). Une anastomose transversal
sale (communicante antérieure) réunit, près de leur origine, les deux
cérébrales
antérieures, et associe d'une façon plus ou moins
artérielle de la base de l'encéphale. — C,G, carotides internes.— GA,
cérébrale
antérieure. —S, S, Artères deSylvius. — V, V, ver
tères deSylvius. — V, V, vertébrales. — B, tronc basilaire. — GP, CP,
cérébrales
postérieu-res. — 1,2, 3, 3, 4, 4, groupes des- ar
eur de la protubérance, se divise en deux branches, qu'on appelle les
cérébrales
postérieures (C P). Ainsi se trouve cons-titué un
llis. Aux angles antérieurs du polygone de Willis, on voit les deux
cérébrales
antérieurs ; des angles antéro-latéraux par-tent,
rs, les deux sylviennes ; enfin, l'angle postérieur est formé par les
cérébrales
postérieures. C'est du cercle de Willis et des de
n ori-gine dansla communicante antérieure et dans le commencement des
cérébrales
antérieures. Les artérioles qui le composent nour
oitié postérieure des communicantes postérieures et de l'o-rigine des
cérébrales
postérieures. Il nourrit les faces internes (1)
t le sixième — groupes postero-latéraux, 4, 4 —, sont fournis par les
cérébrales
postérieures après qu'elles ont contourné les péd
s cérébrales postérieures après qu'elles ont contourné les pédoncules
cérébraux
; ils nourris-sent une grande partie des couches o
. 8). Les régions corticales (circonvolutions des deux hémis-phères
cérébraux
) sont irriguées par les grosses artères que nous
s avons vu former les angles et les côtés du polygone de Willis. La
cérébrale
antérieure contourne le corps calleux et se répan
ntales; lobule paracentral ; lobule quadrilatère ou avant-coin). La
cérébrale
postérieure, née de la basilaire, entoure le pédo
La cérébrale postérieure, née de la basilaire, entoure le pédoncule
cérébral
correspondant, et se divise en trois bran-ches, q
stribue à la partie du lobe frontal qui n'est pas vascularisée par la
cérébrale
antérieure, et sur toute l'étendue du lobe pari
convolution pariétale ascendante ; — artère du pli courbe ; — artères
cérébrale
antérieure et cé-rébrale postérieure : leurs bran
ge domine pour ainsi dire la situation dans le champ de la pathologie
cérébrale
, j'ai dû vous convaincre, du même coup, de la néc
s volontiers, Messieurs, sur ce point de l'anatomie de la circulation
cérébrale
que vous ne trouve-rez, à cet égard, dans les tra
n ouvrage récent qui traite de l'altéra-tion syphilitique des artères
cérébrales
(1), M. Heubner émet la prétention d'avoir été l'
irculation artérielle de chaque hémisphère céré-bral. Ce sont : 1° la
cérébrale
antérieure ; 2° la cérébrale (1) 18 et 25 janvi
ue hémisphère céré-bral. Ce sont : 1° la cérébrale antérieure ; 2° la
cérébrale
(1) 18 et 25 janvier, 1er février, 8 et 15 nove
ue, établir la classification des hémorrhagies et des ramollissements
cérébraux
. moyenne ou artère sylvienne, issues l'une et l
re sylvienne, issues l'une et l'autre de la caro-tide interne ; 3° la
cérébrale
postérieure, branche de la basi-laire, provenant
ial, avant de fournir les petits vaisseaux qui pénètrent dans h pulpe
cérébrale
et qui sont, à proprement parler, les vaisseaua.
sylvienne, la plus importante et la plus compliquée des trois artères
cérébrales
. L'histoire des deux autres s'en trou-vera ensuit
fient dans l'épaisseur de la pie-mère avant de pénétrer dans la pulpe
cérébrale
. immédiatement, je dois vous faire remarquer qu
rtères corticales. —¦ 3, réseaux des artères corticales dans la pulpe
cérébrale
(1). 1° Les artères longues ou autrement dit mé
ront subir cette sorte de mortification qu'on nomme le ramollissement
cérébral
ischémique. La disposition réciproque des parties
mais ce que je vais en dire pourrait s'appliquer tout aussi bien à la
cérébrale
antérieure ou à la cérébrale postérieure — il est
ourrait s'appliquer tout aussi bien à la cérébrale antérieure ou à la
cérébrale
postérieure — il est des er, s dis-je, dans lesqu
symptôme évident, cas dans lesquels, la mort étant survenue, la pulpe
cérébrale
, dans les parties correspondantes à l'obli- tér
e l'écorce. C'est là un point capital pour l'étude des localisa-tions
cérébrales
. Il pourra se faire que la lésion, ainsi limitée,
sus. Artères. — 1° La ligne (...) circonscrit la distribution de la
cérébrale
antérieure : 2° la ligne (.—.—.), du côté gauche
e (.—.—.—.), du côtédroit de la figure, limite la dis-tribution de la
cérébrale
postérieure. (Cette figure et les figures 16 et 1
C'est làMessieurs, incontestablement un bel exem-ple de localisation
cérébrale
(1). La deuxième branche de la sylvienne est Y
par la ligne (...) représentent le champ de distribution de l'artère
cérébrale
an-térieure. — II. Artères frontales interne et a
ites par la ligne (.—.—.) représentent le champ de distribution de la
cérébrale
postérieure. — II. Ar-tère temporale postérieure.
leux. Artères. — La ligne (.....) circonscrit la distribution de la
cérébrale
antérieure {Artères frontales internes et infér
inférieures). La ligne (.—.—.—.—) circons-crit la distribution de la
cérébrale
postérieure. — 1, artère temporale anté-rieure. —
érieure du lobe sphénoïdal qui, vous le savez, est artérialisé par la
cérébrale
postérieure. Eh bien, pendant la vie, il n'avait
ements secondaires des grands territoires vasculaires corticaux de la
cérébrale
antérieure et de la cérébrale postérieure. III.
territoires vasculaires corticaux de la cérébrale antérieure et de la
cérébrale
postérieure. III. La cérébrale antérieure est
e la cérébrale antérieure et de la cérébrale postérieure. III. La
cérébrale
antérieure est beaucoup moins fréquemment le sièg
moins souvent que la sylvienne, mais beaucoup plus communément que la
cérébrale
postérieure, à la circonvolution du corps cal-leu
de la circonvolution frontale ascendante. La troisième branche de la
cérébrale
antérieure est destinée au lobe carré qui peut êt
ompte, ainsi que j'en ai fourni tout à l'heure un exemple. IV. La
cérébrale
postérieure (Fig. 12, 16,17) est le siège fréquen
les parties centrales du cerveau. — Rareté relative de l'hé-morrhagie
cérébrale
dans les parties périphériques ; sa fréquence dan
res artérielles. — Les branches qui composent ce système naissent des
cérébrales
antérieure et postérieure et de la sylvienne. Dis
-risation des régions centrales, mais cette part est fort inégale. La
cérébrale
antérieure, par exemple, envoie seulement quelque
ié et encore l'exis-tence de ces rameaux n'est-elle pas constante. La
cérébrale
postérieure a, dans l'espèce, un domaine beaucoup
optiques, dans une grande étendue, à l'étage supérieur des pédoncules
cérébraux
et aux tubercules quadrijumeaux. Mais incontestab
caudé, à l'exception du petit domaine des branches inconstantes de la
cérébrale
antérieure, et aux divers segments du noyau lenti
r quelques mots relatifs aux branches de ce système issues soit de la
cérébrale
antérieure, soit de la cérébrale postérieure. I
ches de ce système issues soit de la cérébrale antérieure, soit de la
cérébrale
postérieure. II. Mais, avant d'entrer dans le
très intéressantes, au point de vue de la théorie des loca-lisations
cérébrales
, à savoir la couche optique, le noyau caudé, le n
opposition au système cortical. Rappelez-vous comment le pédoncule
cérébral
, arrondi au moment où il aborde la couche optique
Foville, appendus à la cap-sule interne, prolongement des pédoncules
cérébraux
, à la manière de cotylédons. Du côté des ventri
une portion au moins, la pro-longation, non pas de tout le pédoncule
cérébral
, mais seu-lement du pied ou crustra, étage inféri
onnante pour la couche optique, celle-ci ne recevant pas du pédoncule
cérébral
d'autres faisceaux que ceux du tegmentum. Fig.
noyaux gris, sans participation de la capsule interne. — Hémiplégies
cérébrales
centrales et corticales. — Lésions de la capsule
posté-rieure lenticulo-optique de la capsule interne(hémi-anesthésie
cérébrale
); — 2° par l'expérimentation. I. Messieurs,
la capsule interne. Fig. 20. — Coupe transversale des hémisphères
cérébraux
, faite à un centimè-tre en arrière du chiasma des
rrière avec la couche optique. Territoires vascalaires. — I, artère
cérébrale
antérieure ; II, artère sylvienne ; — III, artère
I, artère cérébrale antérieure ; II, artère sylvienne ; — III, artère
cérébrale
postérieure. — I, artère carotide interne ; —2, a
ure. — I, artère carotide interne ; —2, artère sylvienne ;— 3, artère
cérébrale
antérieure; — 4, 4, artères externes du corps str
est faite d'après une planche de M. Duret.) b) Dans ce système, la
cérébrale
antérieure a, au con-traire, des attributions for
et encore sa participation n'est-elle pas constante. c) Quant à la
cérébrale
postérieure, son rôle est plus im-portant et asse
ventricule;— A, corne d'Ammon. Territoires vasculaires. — I, artère
cérébrale
antérieure; — II, artère syl-vienne ; —III, artèr
, artère cérébrale antérieure; — II, artère syl-vienne ; —III, artère
cérébrale
postérieure. tion est très étendue, puisqu'elle
iel de connaître relativement aux artères centrales issues soit de la
cérébrale
antérieure, soit de la cérébrale postérieure. E
artères centrales issues soit de la cérébrale antérieure, soit de la
cérébrale
postérieure. Emanées du bord supérieur de la sy
ligence de faits importants à savoir pour la théorie de l'hémorrhagie
cérébrale
vulgaire. Cette préparation consiste à détruire
s n'avons rien de spécial à dire sur la branche ou les branches de la
cérébrale
antérieure, si ce n'est qu'elles n'existent pas c
que le foyer s'ouvre souvent dans les ventri-cules. Quant à Xartère
cérébrale
postérieure, elle mérite dans l'espèce, je le rép
t de deux ordres : 1° Vartère optique posté-rieure interne, née de la
cérébrale
postérieure, tous près de son origine au tronc ba
riculaire ; — 2° Vartère optique postérieure externe, qui vient de la
cérébrale
postérieure, quand elle a déjà contourné le pédon
de la cérébrale postérieure, quand elle a déjà contourné le pédoncule
cérébral
et dans lequel elle monte obliquement, avant d'en
Localisations. 7 qui l'usent souvent dans l'épaisseur du pédoncule
cérébral
. Elle mérite toute votre attention, car, comme no
ts intéres-sants au plus haut degré, pour la théorie des localisation
cérébrales
pathologiques. Ces faits, nous allons maintenant
u s'en faut, — les districts répondant à la distri-bution des artères
cérébrales
antérieures et des artères opti-ques postérieures
quefois l'ensemble des masses centrales — n'est autre que Vhémiplégie
cérébrale
vulgaire, avec accom-pagnement de Yhémianesthésie
émiplégie cérébrale vulgaire, avec accom-pagnement de Yhémianesthésie
cérébrale
. b) L'analyse peut pénétrer dans cet ensemble c
cas : présents dans le second cas, les symptômes de l'hémianesthésie
cérébrale
font défaut dans l'autre. B. — Ce qui vient d'ê
ces lésions limitées aux noyaux gris centraux, sont ceux Yhémiplègie
cérébrale
vul-gaire. Celle, forme d'hémiplégie cérébrale pe
sont ceux Yhémiplègie cérébrale vul-gaire. Celle, forme d'hémiplégie
cérébrale
peut être dite cen-trale, pour la distinguer des
égions superficielles et que, par opposition j'appellerai hémiplégies
cérébrales
cor-ticales. b) Dans la majorité des cas, la pa
é, se présentant avec les caractères qui distinguent V hémianesthésie
cérébrale
, s'y adjoignent parfois, cependant, dans des circ
ubstance des noyaux gris, ces lésions dis-je, produisent l'hémiplégie
cérébrale
vulgaire, sous une forme, en général, très accent
iveau de la partie postérieure de la couche optique; — hémianeslhésie
cérébrale
. — A. corps calleux et piliers postérieurs de la
yau lenticulaire et la couche optique, la présence de Yhémianesthésie
cérébrale
sera pour ainsi dire chose fatale. Le plus souven
ce plus ou moins accentuée. Mais il peut arriver que l'hémianesthésie
cérébrale
se présente isolée, du moins à titre de phénomène
ie postérieure de la capsule interne, les symptômes d'hémia-nesthésie
cérébrale
viendront se surajouter à ceux de l'hémiplé-gie m
être suivies par en bas jusqu'à la protubérance, le long du pédoncule
cérébral
(pied, étage inférieur), dont elles occuperaient
pour conséquence obligatoire la forme d'hémianesthésie, que j'appelle
cérébrale
, et dans laquelle les sens auxquels président les
lle cérébrale, et dans laquelle les sens auxquels président les nerfs
cérébraux
proprement dits, nerfs optiques (1) L. Tûrck, v
Recherches cliniques et expérimentales sur l'hémia-nesihésie de cause
cérébrale
. Thèse de Paris, 1874. (4) H. Rendu. — Des anes
ais plus bas, dans la pro-tubérance, ou peut-être dans les pédoncules
cérébraux
. Fig. 27. — Coupe transversale d'un cerveau de
ies superfi-cielles du cerveau. DIXIÈME LEÇON De l'hémianesthésie
cérébrale
(suite). — De l'am-blyopie croisée. — De l'hémiop
ie latérale. Sommaire. — Résumé des caractères de l'hémiariesthésie
cérébrale
. — Ses ressemblances avec l'hémianesthésie des hy
mp visuel, etc. De l'amblyopie croisée avec hémianesthésie de cause
cérébrale
: Mêmes symp-tômes. Les lésions des hémisphères
de cause cérébrale : Mêmes symp-tômes. Les lésions des hémisphères
cérébraux
qui produisent l'hémianesthésie déter-minent égal
dit. C'est seulement dans ces derniers temps que l'hémianesthé-sie
cérébrale
, par lésion organique grossière— Coarsedisease, c
riques. Si, à celle-ci, nous comparons actuelle-ment l'hémianesthésie
cérébrale
oaganique, nous reconnaîtrons qu'une parfaite res
équences, — les choses se passent chez les sujets atteints de lésions
cérébrales
en foyer, absolument comme chez les hystériques.
hystériques ne diffère par aucun caractère essen-tiel de l'amblyopie
cérébrale
croisée reconnaissant un point de départ organiqu
ême particularité s'est rencontrée dans tous les cas d'hémuinesthésie
cérébrale
reconnaissant pour point de dé-part une lésion or
é un fait d'une im-portance majeure pour la théorie des localisations
cérébrales
. Mais il ne saurait vous échapper que ce fait est
avoir : Vhémiopie latérale homologue ; en d'autres termes, une lésion
cérébrale
en foyer, du côté gauche, devrait, dans la théori
et lui opposer la proposition suivante : Les lésions des hémisphères
cérébraux
qui pro-duisent l'hémianesthésie déterminent égal
ce tractus, telles que, par exemple, l'é-tage inférieur du pédoncule
cérébral
(pes) ou encore pulvi-nar. Les autres modes de
s, d'une compression produite sur les points indiqués par les artères
cérébrale
antérieure et communicante posté-rieure, augmenté
, comment comprendre dans une vue schémati-que cet effet d'une lésion
cérébrale
, tout en connaissant le (1) Archiv of scientifi
lés par l'observation clinique. ONZIÈME LEÇON Origine des parties
cérébrales
des nerfs optiques. Sommaire. — Rapports entre
sie sensitive résultant d'une lésion de la capsule interne. Origine
cérébrale
des nerfs optiques. Couronne rayonnante de Reil
es moyennes (expansions latérales) ; —Fibres postérieures (expansions
cérébrales
des nerfs optiques). — Rapports anatomiques entre
ales des nerfs optiques). — Rapports anatomiques entre les expansions
cérébrales
des nerfs optiques et les fibres centripètes de l
nnel de la vision pouvant résulter d'une lésion d'un des hémisphè-res
cérébraux
; j'ai essayé, dis-je, de montrer que cette pro-p
nous faut, au préalable, étudier l'origine des par-ties profondes ou
cérébrales
des nerfs optiques. Nous allons toucher là un suj
s qui unissent l'une à l'autre des parties homologues des hémisphères
cérébraux
. Tels sont, par exem-ple, les corps calleux, la c
Huguenin.) mier (I), les a bien étudiées, sous le nom d'expansions
cérébrales
optiques ou des nerfs optiques (/•, k, Fig. 32).
même, mais sur un plan plus profond, que se répandent les expansions
cérébrales
du faisceau de fibres centripètes dont la lésion
ntripètes dont la lésion détermine Phémianesthésie sensitive de cause
cérébrale
. Il existe donc une relation de voisinage, de con
illé interne. — Ge, corps genouillé externe. — P, pied du pédoncule
cérébral
. Om, faisceaux médullaires qui, du lobe occipital
umeaux postérieurs, aux deux corps genouillés, au pied du pédoncule
cérébral
. qui tiendraient sous leur dépendance la sensib
mblyopie, habituellement partie intégrante du syndrome hémianesthésie
cérébrale
(1). La région de l'encéphale que je signale à
t sensorielles. C'est un carrefour, ce n'est pas un centre. Le centre
cérébral
proprement dit doit être cherché sur le prolongem
osé analomique qui vous (1) D'après la théorie, les hémianesthésics
cérébrales
devront se distinguer de celles qui résulteraient
taines parties de l'isthme, telles, en-tre autres, que les pédoncules
cérébraux
, est chose notoire. Cela étant, il ne saurait éch
oses descendantes : étendue ; — aspects de la lésion sur le pédoncule
cérébral
, la protubérance. la pyramide antérieure et le fa
es et différences entre les scléroses latérales consécutives de cause
cérébrale
et les scléroses fasciculées primitives des faisc
l'écorce grise et qui pénè-trent dans l'étage inférieur du pédoncule
cérébral
sans s'être mises en rapport avec les noyaux gris
sur la partie la plus inférieure, au voisinage, du pied du pédoncule
cérébral
, là où toutes les fibres sont ras-semblées dans u
son âge plus ou moins avancé. Ainsi, l'ablation de tout un hémisphère
cérébral
, chez un pigeon, et. à plus forte raison chez un
bserve chez l'homme, dans les cas de lésions en foyer des hémisphères
cérébraux
(3). (1) Voir à ce sujet Longet. — Traité de ph
, de la sub-stance grise dans les ré-gions dites motrices de l'écorce
cérébrale
déter-mine une parésie tempo-raire dans les membr
ale, un rôle prédominant dans le pronostic des hémor-rhagies de cause
cérébrale
. Io Arrêtons-nous tout d'abord devant un fait q
'abord devant un fait qui domine réellement la question : les lésions
cérébrales
en foyer, con-sidérées relativement au siège qu'e
ions qui demeurent limitées à la substance des noyaux gris des masses
cérébrales
, à savoir : le noyau lenticulaire, le noyau caudé
que les scléroses consécutives à une lésion en foyer d'un hémisphère
cérébral
occupent toujours une moitié du système des faisc
le interne dans son tiers moyen. En pareil cas, le pied du pé-doncule
cérébral
du côté gauche paraîtra plus aplati et plus étroi
antérieure dans toute son étendue du côté cor-respondant à la lésion
cérébrale
; la pyramide lésée est d'ail-leurs étroite et ap
ation secondaire (sclérose fasciculée latérale consé-cutive, de cause
cérébrale
) à la suite d'un ramollissement cérébral ayant in
rale consé-cutive, de cause cérébrale) à la suite d'un ramollissement
cérébral
ayant in-téressé les lobes opto-striés et la caps
ique, existent entre les sclé-roses fasciculées consécutives de cause
cérébrale
, et ces sclé- (1) L'extension, dans certains ca
-çon tout à fait exceptionnelle dans la sclérose consécutive de cause
cérébrale
. iVoir, pour plus de détails, page 280 et suivant
fi). Ce n'est pas, dans mon opinion, la rétraction de la cicatrice
cérébrale
, comme le veut le docteur Todd, non plus que l'en
de l'opinion que je soutiens. Développée à l'occasion d'une lésion
cérébrale
en foyer, la sclérose consécutive acquiert, vous
me suis guère occupé, jusqu'ici, de la sclérose fasci-culée d'origine
cérébrale
, qu'en tant qu'elle dépend d'une lé-sion des mass
ubérance et de la pyramide bulbaire du côté correspondant à la lésion
cérébrale
. La réalité, chez l'homme, de ces fibres pédonc
rmettra d'établir sur des bases solides la doctrine des localisations
cérébrales
chez l'homme -Mais en somme, Messieurs, ces diver
ment étudié la pathologie de cet âge, à savoir que toutes les lésions
cérébrales
, même les plus graves, ne se traduisent par aucun
principales dispositions dans le bulbe rachidien, dans les pédoncules
cérébraux
et jusque dans la profondeur des hé-misphères. Da
s, tout l'intérêt des cas de ce genre, au point de vue des paralysies
cérébrales
directes. On entend par là, ainsi que vous le sav
ties de l'isthme, c'est-à-dire dans la protubérance et les pédoncules
cérébraux
, et enfin dans le cerveau proprement dit, où vous
ile de les distinguer. Il n'en est plus de même dans les pédoncules
cérébraux
, où nous allons les voir se reconstituer en quelq
urs, ces deux colonnes qui rattachent la protubérance aux hémisphères
cérébraux
et qu'on appelle les pédoncules du cerveau. Je su
s. Si l'on pratique la section horizontale de l'un des hémisphè-res
cérébraux
, suivant une ligne parallèle à la fissure laté-ra
érences de couleur qui correspondent aux diverses régions de la masse
cérébrale
suivant l'âge de ces nouveau-nés. Il est certain
on à l'étude des dégénérations secondaires. — Dégé-nérations de cause
cérébrale
; elles sont descendantes. — Dégénérations de cau
se périphérique. Conditions de la dégénération descendante de cause
cérébrale
. — Une ques-tion de localisations domine la situa
un premier groupe sont réunies les dégénérations secondaires de cause
cérébrale
, c'est-à-dire celles qui procè-dent d'une lésion
ntes sans doute, mais, Fig. 57. — A, dégénération dans le pédoncule
cérébral
(faisceau pyramidal). — B, faisceau pédonculairc
aussitôt le cor-don antéro-latéral du côté correspondant à la lésion
cérébrale
; et du côté opposé à la lésion, le faisceau pyram
, et c'est là justement ce qu'il importe de démontrer. L'hémisphère
cérébral
, — je vous le faisais remarquer dans la dernière
ble symptomatique bien connu aujourd'hui sous le nom d'hémianesthésie
cérébrale
(1). Cet ensemble symptomatique est,je vous le ra
e. Sommaire. -- Dans l'étude des degenerations secondaires de cause
cérébrale
, le siège du foyer cérébral est le point capital.
e des degenerations secondaires de cause cérébrale, le siège du foyer
cérébral
est le point capital. — Importance de la connaiss
van Lewees. Vue schématique du faisceau pyramidal dans l'hémisphère
cérébral
, — Région rolandique du manteau. Lésions en foyer
les-quelles les dégénérations résultent de lésions occupant l'écorce
cérébrale
? C'est dans ces derniers temps seulement, Mess
ire, nous relèverons, chemin faisant, plusieurs faits de to-pographie
cérébrale
qu'on a maintes fois l'occasion d'utiliser dans l
avons entreprises (1). Si l'on considère la surface des hémisphères
cérébraux
de l'homme et qu'on y cherche des points de repèr
rapprochent d'une part les grandes cellules pyrami-dales de l'écorce
cérébrale
et d'autre part les cellules mo-trices des cornes
localisations dans les malo,' dies du cerveau (3e leçon). de cause
cérébrale
. 11 n'en est rien cependant. En effet, cette part
ysiolo-giques spéciales ; c'est également dans l'écorce de ce segment
cérébral
qu'il faut chercher le point de départ des dégéné
elles que les plaques jaunes ou les foyers artifi-ciels d'hémorrhagie
cérébrale
, surtout quand elles portent sur les deux tiers s
Arch. 3D3, 1874. SIXIÈME LEÇON Dégénérations secondaires de cause
cérébrale
(fin). — Amyotrophies consécutives. Sommaire. —
té paralysé chez les sujets atteints d'hémiplégie permanente de cause
cérébrale
, ne présentent d'autres altérations atrophiques q
t, dans ce cas, d'un foyer ocreux, ves-tige d'une ancienne hémorragie
cérébrale
. Le foyer du volume d'une grosse amande avait tot
atrophie musculaire insolite, survenant dans le cours de l'hémiplégie
cérébrale
avec contracture secondaire, trou-verait son expl
ération descendante. Ici, de même que dans les dégénérations de cause
cérébrale
, à moins de complications, la substance grise et
gnalé également dans certains cas de dégénération secondaire de cause
cérébrale
. Cette propagation d'une altération primiti-vemen
sent parfois dans des cas de lésion unilatérale spinale ou de lésions
cérébrales
en foyer. HUITIÈME LEÇON Degenerations ascend
ellement à considérer. A côté des dégénérations secon-daires de cause
cérébrale
et de cause spinale dont l'étude des-criptive est
vres complètes, t. iv, Localisations. 18 secondaires, tant de cause
cérébrale
que de cause spinale, peuvent être reproduites ex
nale, nous pouvons le répéter des dégénérations secondai-res de cause
cérébrale
, également déterminées artificiellement chez le c
ripier, De l'anesthésie produite par les lésions des cir-convolutions
cérébrales
in Revue mensuelle de médecine et de chirurgie, n
ité du prolongement du faisceau pyramidal dans le manteau de l'écorce
cérébrale
, et nous savons qu'il consti-tue là une languette
ire. transmission. Il n'y a donc pas de fibres longues, directement
cérébrales
, dans les faisceaux antérieurs (Fig. 77). 3°La
erritoire vasculaire aux dépens duquel s'est pro-duite l'héinorrhagie
cérébrale
. — Le foyer est circonscrit ou il a des chances d
-rons successivemeut en revue les dégénérations consécutives de cause
cérébrale
et celles qui reconnaissent pour cause une lésion
impor- tantes, en raison de son rôle fondamental dans l'hémisphère
cérébral
. Après avoir pénétré dans la profondeur du troi-s
it de petits foyers qui imitent ceux que l'on voit dans l'hémorrhagie
cérébrale
. Enfin, Messieurs, elles sont particulièrement
des sujets qui ont été frappés autrefois d'apoplexie par hémorrhagie
cérébrale
, d'extraire des pertuis de l'espace perforé un ce
l'impuissance motrice liée au tabès ataxique, à la paralysie de cause
cérébrale
ou spinale de l'enfance et encore dans d'autres é
ême genre, tandis qu'il ne manque jamais dans les paralysies de cause
cérébrale
ou spinale dans lesquelles la contracture existe
erminant la dernière leçon, que dans l'hémiplégie permanente de cause
cérébrale
, la période des contractures tardives est précédé
tuellement, dans le cours de nos études sur les affections organiques
cérébrales
et spinales, nous retrouvons maintes fois ces mêm
s du groupe cliniqne des para-lysies spasmodiques, et les hémiplégies
cérébrales
avec dégé-nération des faisceaux pyramidaux appar
ernière, diverses influ-ences qui, dans l'hémiplégie durable de cause
cérébrale
, peuvent accroître l'intensité des phénomènes con
s en ce moment, entre l'hémiplégie permanente, résultant d'une lésion
cérébrale
organique, et l'hémiplégie ne relevant d'au-cune
e. Raison physiologique de ce phénomène. -- A la suite de la lésion
cérébrale
il faut distinguer deux périodes dans le développ
résulte pas seulement des -la suppression de l'influence modératrice
cérébrale
. La lésion des cornes antérieures dans l'hémipl
laque jaune ou d'un foyer d'inflammation celluleuse; tantôt la lésion
cérébrale
est consécutive à l'hémorragie méningée ; tantôt
iste en une sclérose partielle ou généralisée de l'un des hémisphères
cérébraux
. Les lésions en question sont généralement cortic
cupent le manteau et non les masses centrales. En outre, l'hémisphère
cérébral
affecté présente dans l'ensemble une atrophie plu
ait, à la rigueur, invo-quer la supression de l'influence modératrice
cérébrale
qui, dans le cas de section expérimentale des fai
vécu. Il n'y a pas, en effet, d'encéphalite dans le cas d'hémorrhagie
cérébrale
en foyer, (1) Dans Je cas de contracture hystér
ux, primitivement et indépendamment de l'intervention de toute lésion
cérébrale
en foyer, de toute encéphalite. Il s'agit d'une
, lalésion ne peut pasêtre suivie ordinaire-ment au-delà du pédoncule
cérébral
; elle semble donc se développer de bas en haut (
se produire peu après la nais-sance, sans accompagnement d'accidents
cérébraux
. La nour-rice s'aperçoit que les membres sont rig
la partie externe du tiers moyen de l'étage inférieur des pédoncules
cérébraux
, ces auteurs ont trouvé de nombreux corps granule
Note additionnelle à la dixième leçon (page 114) sur l'hémianesthésie
cérébrale
et l'amblyopie croisée Dans une leçon toute réc
ocalisations. 27 TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE PARTIE Localisations
cérébrales
PREMIÈRE LEÇON. De la localisation dans les m
s cérébrales PREMIÈRE LEÇON. De la localisation dans les maladies
cérébrales
. Sommaire. — Préambule. — Aridité apparente de
res psycho-moteurs. Description de la l'ace interne des hémisphères
cérébraux
. — Lobule para-central. — Circonvolutions ascenda
QUATRIÈME LEÇON. Parallèle entre les lésions spinales et les lésions
cérébrales
. Sommaire. — Conditions indispensables pour l'é
tude de la distribution des vaisseaux. — Aperçu extérieur des artères
cérébrales
. M CINQUIÈME ET SIXIÈME LEÇONS, Circulation a
convolution pariétale ascendante ; — artère du pli courbe ; — artères
cérébrale
antérieure et cé-rébrale postérieure : leurs bran
les parties centrales du cerveau. — Rareté relative de l'hé-morrhagie
cérébrale
dans les parties périphériques; sa fréquence dans
ures artérielles. —Les branches qui composent ce système naissent des
cérébrales
antérieure et postérieure et de la sylvienne. D
noyaux gris, sans participation de la capsule interne. — Hémiplégies
cérébrales
centrales et corticales. — Lésions de la capsule
posté-rieure lenticulo-optique de la capsule interne (hémianesthésie
cérébrale
) ; — 2° par l'expérimentation....................
........................... 92 DIXIÈME LEÇON. De l'hémianesthésie
cérébrale
. — L)e l'amblyopiè croisée. — De l'hémiopie latér
pie latérale. Sommaire. — Résumé des caractères de l'hémianesthésie
cérébrale
.— Ses ressemblances avec l'hémianesthésie des hys
mp visuel, etc. De l'amblyopiè croisée avec hémianesthésie de cause
cérébrale
: Mêmes symp-tômes." Les lésions des hémisphère
de cause cérébrale : Mêmes symp-tômes." Les lésions des hémisphères
cérébraux
qui produisent l'hémianesthésie déter-minent égal
...................... 118 ONZIÈME LEÇON. f Origine des parties
cérébrales
des nerfs optiques. Sommaire. — Rapports entre
sie sensitiva résultant d'une lésion de la capsule interne. Origine
cérébrale
des nerfs optiques. Couronne rayonnante de Reil
es moyennes (expansions latérales) ; —Fibres postérieures (expansions
cérébrales
des nerfs optiques). - Rapports anatomiques entre
ales des nerfs optiques). - Rapports anatomiques entre les expansions
cérébrales
des nerfs optiques et les fibres centripètes de l
oses descendantes : étendue ; — aspects de la lésion sur le pédoncule
cérébral
, la protubérance, la pyramide antérieure et le fa
es et différences entre les scléroses latérales consécutives de cause
cérébrale
et les scléroses fasciculées primitives des faisc
.. 191 TROISIÈME LEÇON, Du faisceau pyramidal dans les pédoncules
cérébraux
, la capsule interne et le centre ovale. Sommair
on à l'étude des dégénérations secondaires. — Dégé-nérations de cause
cérébrale
; elles sont descendantes. — Dégénérations de cau
se périphérique. Conditions de la dégénération descendante de cause
cérébrale
. — Une ques-tion de localisations domine la situa
e. Sommaire. -- Dans l'étude des dégénérations secondaires de cause
cérébrale
, le siège du foyer cérébral est le point capital.
e des dégénérations secondaires de cause cérébrale, le siège du foyer
cérébral
est le point capital. — Importance de la connaiss
van Lewees. Vue schématique du faisceau pyramidal dans l'hémisphère
cérébral
. — Région rolandique du manteau. — Lésions en foy
ales....... 231 SIXIÈME LEÇON. Dégénérations secondaires de cause
cérébrale
{fin}. — Amyotrophies consécutives. Sommaire. —
territoire vasculaire aux dépens duquel s'est pro-duite l'hémorrhagie
cérébrale
. — Le foyer est circonscrit où il a des chances d
e. Raison physiologique de ce phénomène. -- A la suite de la lésion
cérébrale
, il faut distinguer deux périodes dans le dévelop
e résulte pas seulement des la suppression de l'influence modératrice
cérébrale
. La lésion des cornes antérieures dans l'hémiplég
.................. 391 II. — Note additionnelle sur rhémianesthésie
cérébrale
ou l'amblyopie croisée...........................
es mtliaires, 49, — leur impomato dans la pathogénie de l'hémorrhagie
cérébrale
, 99, 300. Anse rolandique, 213. Antagonistes
de l'encéphale, 50 ; — leur division en systèmes, en groupes, 50 ; —
cérébrales
postérieures,com-municantes,sylviennes, etc., 50,
Ataxle locomotrice, 180, 268; — Réflexes dans 1' —, 337. Atrophie
cérébrale
, 335. Atrophie musculaire dans l'hémi-plégie, 2
nérations secondaires ; 157 ; — leurs causes, 157, 217 ; — de cause
cérébrale
, 218 ; — Dans les — de cause cérébrale, le sièg
auses, 157, 217 ; — de cause cérébrale, 218 ; — Dans les — de cause
cérébrale
, le siège du foyer cérébral est le point capital,
cérébrale, 218 ; — Dans les — de cause cérébrale, le siège du foyer
cérébral
est le point capital, 232 ; — Séméiologie général
—, 208. Egorge cérébelleuse, 32 ; — type à trois couches. Ecorce
cérébrale
, 42; — type à cinq couches, 33. Electrothérapie
oncules, 204, 208 ; — dans la capsule interne, 209 ; — leur origine
cérébrale
, 215 ; — Dé-génération des —, 221 ; — Schéma des
Corps calleux.) Gyrus sygmoïde, 277. H Hémtanestiiésie, 98 ; —
cérébrale
, 103, 451 ; — liée aux lésions posté-rieures de l
l'enfance, 163,336. Hémisections spinales, 288, 361. Hémisphères
cérébraux
. Leurs li-mites, 4. Hémorrhagie cérébrale, 79 :
, 288, 361. Hémisphères cérébraux. Leurs li-mites, 4. Hémorrhagie
cérébrale
, 79 : — sa rareté relative dans les parties pé-ri
296. Induration multiloculaire. (V- Sclérose en plaques.) Infarctus
cérébral
, 69. Influence modératrice du cerveau, 293. I
llules). (V. Cel-lules.) Ii Lésions. ( V. Systématiques.) Lobes
cérébraux
, 13 et suiv. Lobule paracentral, 30, 34, 39; Ex
indirectes, 170 ; — Faisceau pyramidal dans le —, 205 ; Pédoncules
cérébraux
, 4 ; — leurs rapports de continuité avec la cap-s
ite par la photographie pour tout ce qui a trait à la mor- phologie
cérébrale
, par le calque ou la projection pour les coupes
on emploi systématique, dans un très grand nombre de cas de lésions
cérébrales
localisées, recueillis dans l'Hos- pice de l31c
rches, nous a permis d'élucider tel ou tel point spécial d'anatomie
cérébrale
. Mais l'étude analytique et synthétique du névr
iation qui relient deux régions plus ou moins éloignées de l'écorce
cérébrale
, faisceaux commissu- raux qui unissent les deux
rincipaux. Le premier comprend les fibres de projection de l'écorce
cérébrale
qui unissent celte dernière aux gan- glions inf
ût pratiqué pour la première fois des coupes minces de la substance
cérébrale
, et que Remak et Ehrenberg eussent découvert en
faisceaux dégénèrent dans toute leur longueur à la suite de lésions
cérébrales
corticales ou centrales, ou à la suite de lésio
sur l'anatomie comparée. L'anatomie comparée a fourni, en anatomie
cérébrale
, de remarquables résultats, surtout au point de
thode importante de recherches, en montrant que tel ou tel faisceau
cérébral
ou médullaire, fait défaut à la suite d'arrêt d
rveau est assez délicate, étant donnée la mollesse extrême du tissu
cérébral
à cette époque de la vie. La méthode qui nous par
plaques osseuses, caria moindre ouverture donne issue il la matière
cérébrale
. Chez Y adulte, une fois la voûte cranienne enl
long du bord supérieur du rocher, tout en soutenant les hémisphères
cérébraux
de la main gauche. On sectionne également le re
halique (llirnstamm) d'une part, et les différents lobes du manteau
cérébral
Différenciation des faisceaux par le dur- c
e Pitres FiG. 3. - Coupe de Meynert. Manteau des deux hémisphères
cérébraux
réunis par le corps calleux. (D'après une pliot
l'une supérieure comprenant les deux hémisphères, les pédon- cules
cérébraux
, la partie supérieure de la protubérance et les t
ruban de Reil, puis on sépare l'un de l'autre les deux hémisphères
cérébraux
. Ici se présente lorsque la lésion n'est pas ap
t Chaslin a été employé par Chaslin dans ses études sur la sclérose
cérébrale
(1889), par Letulle et l'un de nous, puis par Ach
gi (d'après Stohr et Mercier). On fait durcir des morceaux d'écorce
cérébrale
, de cervelet et de moelle épinière ayant 2 à 3
e la réaction, les pièces présentent à peu près l'aspect d'un tissu
cérébral
frais mais lavé à l'eau. Au point de vue de leu
naissance au cerveau proprement dit, c'est-à-dire aux hémisphères
cérébraux
, aux corps opta-striés et à toute la région q
me ventricule; la vésicule encéphalique moyenne, aux pé- doncules
cérébraux
et aux tubercules qua- ? ? M : < ? c'est-à-dir
émité antérieure de la tête. - ]Jp, ligne primitive. - FI, vésicule
cérébrale
. Cet embryon a six proto-vertèbres nette- men
si que nous le verrons plus loin, aux vésicules des hémis- phères
cérébraux
. Chez beau- coup d'embryons de vertébrés, ell
isphè- res, c'est-à-dire une absence totale des circonvolutions
cérébrales
, du corps calleux, du trigone, du corps strié e
is, elle n'atteint plus en général en dedans sa base d'implantation
cérébrale
; de sorte que l'on peut dès à présent distingu
les auditives.] 3. Fig. 19, 20, 21. - Encéphale et ganglions .' .
cérébraux
d'un embryon humain d'en- ? viron quatre semaines
qui ne donne naissance ni aux couches optiques, ni aux hémisphères
cérébraux
. Si la première vésicule encéphalique se dévelo
le nom de cerveau postérieur proprement dit, de quatrième vésicule
cérébrale
ou de métencéphaloll (CP), et la postérieure celu
et la postérieure celui d'arrière-cer- veau, de cinquième vésicule
cérébrale
, d'épencéphalon ou de myélencé- phalon (AC.)
bit aucune subdivision; son plancher donne naissance aux pédoncules
cérébraux
, sa voûte aux tubercules quadrijumeaux, sa cavité
Bis i Is), elle est séparée de la partie postérieure de la vésicule
cérébrale
antérieure primitive, par un sillon curviligne
halon; la vésicule fille, celui de cerveau antérieur, (CA) vésicule
cérébrale
antérieure , vésicule des hémisphères ou prosencé
té inférieure de ce sillon n'atteint pas le plancher de la vésicule
cérébrale
antérieure primitive, de telle sorte que la base
s vésicules hémisphériques proprement dites ou la région du manteau
cérébral
(Mantclgebiet de His, Pallium cerebri), qui don
l pln- sieurs causes. 1 1 : Courbure du vertex 1 ou inflexion
cérébrale
i antérieure. La .saillie du ver- tex repré
nom de courbure du vrlex (Schcitelhrümyung de His) ou d' inflexion
cérébrale
antérieure (Kolli- ver) elle divise le tube enc
térieur formera un trou borgne, compris entre les futurs pédoncules
cérébraux
et le bord supé- rieur de la protubérance annul
éphalique. Le cerveau antérieur donnera nais- sance aux hémisphères
cérébraux
, aux corps. striés, au corps calleux et au trig
moyen, aux tubercules quadrijumeaux et à la calotte des pédoncules
cérébraux
; le cerveau postérieur, au cervelet et à la pro
tuber- cules quadrijumeaux, des couches optiques et des hémisphères
cérébraux
, formations qui appartiennent toutes à la lame
au posté- rieur. - Cp, circonvolutions primitives. BC, hémisphère
cérébral
. - ICu, hémisphère cérébelleux. - M, moollo. -
é chez les mammifères. Les fibres pyramidales, qui relient l'écorce
cérébrale
à la moelle épinière, n'apparaissent que chez l
s céré- braux. Les deux étages du pédoncule. autres vésicules
cérébrales
par son petit calibre, et l'absence de plexus cho
rties constituantes de la calotte ou étage supérieur des pédoncules
cérébraux
. Mais les pédoncules cérébraux n'atteignent leu
te ou étage supérieur des pédoncules cérébraux. Mais les pédoncules
cérébraux
n'atteignent leur aspect définitif, qu'après le
ois mois, vu par la face postérieure après ablation des hémisphères
cérébraux
, de la lame des tubercules quadrijumeaux (fig. 37
entricule. DEVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX. 9,; tion de l'écorce
cérébrale
dans la protubérance, le bulbe et la moelle épi
oyen se développe par la suite moins rapidement que les hémisphères
cérébraux
ou cérébelleux, de telle sorle que, de super- f
devient de plus en plus profond. Au troisième mois, les hémisphères
cérébraux
atteignent son bord antérieur; au quatrième mois,
érieure. Cu, lame du cervelet. 7 ? BC. face interne de l'hémisphère
cérébral
. fp, fissura prima. - /s, fissura serotina. {si,
a vésicule des hémisphères, à savoir : le corps strié et le manteau
cérébral
. Cette surface suturale opto-striée est entourée
Istl fente en formo de selle. Gp, glande pinéale. - HC, hémisphères
cérébraux
. - LS, isthme du cerveau postérieur. - Lola, lobe
a qui reçoit le tÆnia thalami. Glande pinéale. (conarium, épiplzyse
cérébrale
.) Le premier rudiment de la glande pinéale appa
1. - Prf : miCl' développement du cerveau antérieur. Hémisphères
cérébraux
et portion axiale, lame terminale embryonnaire.
eux parties latérales beaucoup plus volumi- neuses, les hémisphères
cérébraux
proprement dits, le manteau cérébral ou pallium
lumi- neuses, les hémisphères cérébraux proprement dits, le manteau
cérébral
ou pallium. Portion axiale. - La surface exté
emaines suivantes, et devient d'autant plus profonde que le manteau
cérébral
est plus étendu. De très bonne heure, elle donn
rieur (fig. 46, 68, paFS) atteint l'extrémité antérieure du manteau
cérébral
et en sépare un petit lobe étroit et allongé, l
e ter- minale embryonnaire. -Les vésicules des hémisphères (manteau
cérébral
, pallium), représentent au début des vésicules
t n'ont rien à voir avec les plis qui se produisent dans le manteau
cérébral
à cet Age de la vie, sous l'influence des liquide
ssura serotina. - fst, fente en ' forme de selle. - BC, hémisphères
cérébraux
. - HCn, hémisphères cérébelleux. - 1,'infundibulu
antérieure, la plus étendue, donnera naissance aux circonvolutions
cérébrales
de la région. La partie postérieure, plus étroi
térieure. ' ' . 1 J 9 Fig. 49. - Face interne de l'hémisphère
cérébral
d'un em- bryon humain d'environ quatre semaines
tif de la corne d'Ammon de Zuckerkandl. (Voy. structure de l'écorce
cérébrale
). La cavité du lobe olfactif postérieur s'ouvre
e olfactif l'homologue d'une partie de la rétine (de la partie dite
cérébrale
). 2. - Développement des éminences ganglionnair
ses différentes parties. Via. 50. - Paroi interne de l'hémisphère
cérébral
de l'embryon de la fig. 49, âge de 4 semaines e
eur de la capsule interne (Cip) pour se rendre au pied du pédoncule
cérébral
(fig. 52 il 63). La paroi interne de la vésic
de la cavité ventriculaire, par la paroi interne suturée du manteau
cérébral
, naroi oui donnera naissance à la lame cornée.
mbreuses traver- sent le corps strié : elles proviennent du manteau
cérébral
, constituent la couronne rayonnante de Reil, et
t en bas et en avant. Elles naissent de toute la surface du manteau
cérébral
, abordent le corps strié entre le sillon qui le l
a capsule interne.-Cg, corps godronné.- Cst, corps strié. -EC, écorce
cérébrale
.- Fa, circonvolution frontale ascendante. - Fi,
us-optique de Forel. - MB, masse blanche sous- ' jacente à l'écorce
cérébrale
. - NA, noyau amygdalien. NC, noyau caudé. - NL3,
L, nerf de Lancisi. - ot, sillon collatéral. - P, pied du pédoncule
cérébral
. - Pa, circonvolution pariétale ascendante.PcA, p
e sillon temporal. - tee, ttenia tecta. - 7'</, corps du trigone
cérébral
. T,9p, pilier postérieur du trigone. - Th, tha-
ons centraux, de la capsule interne, du corps calleux et du trigone
cérébral
(demi-schématique). Le cer- veau intermédiaire
ons centraux, de la capsule interne, du corps calleux et du trigone
cérébral
(demi sché- matique). Le cerveau intermédiaire(
re. - cop, commissure postérieure. -- Cst, corps strié ? FC, écorce
cérébrale
. - Fi, Fe, I·'3, pre- mière, deuxième et troisi
rminale embryon- naire. - MB, masse blanche sous-jacente à l'écorce
cérébrale
. - A'C, noyau caudé. nu', queue du noyau caudé.
capsule interne qui proviennent de l'extrémité frontale du manteau
cérébral
, se portent d'avant en arrière et de dehors en de
sule interne qui provien- nent de l'extrémité occipitale du manteau
cérébral
, se portent en avant et en dedans, abordent la
la capsule interne qui proviennent de la partie moyenne du manteau
cérébral
, se portent en bas et en dedans, et constituent l
oyen, dont il constitue Y étage inférieur ou le pied du . pédoncule
cérébral
. Les fibres de la couronne rayonnante qui provien
Elles se placent ensuite à la partie externe du pied du pédon- cule
cérébral
et forment le faisceau de Tiirck (J. Dejerine).
e faisceau de Tiirck (J. Dejerine). Les fibres du pied du pédoncule
cérébral
atteignent le bord supérieur de la protubérance
3. Développement du septum lucidum et de son ventricule, du trigone
cérébral
et du corps calleux. Les parois internes des de
s (fig. 41 et 43) donne naissance aux piliers antérieurs du trigone
cérébral
, au septum. lucidum, au ventricule de la cloi-
rs pos- térieure du trigone; la partie dorsale à une circonvolution
cérébrale
avortée, la circonvolution godronnée, qui se co
. tricules, qui se développent aux dépens des cavités des vésicules
cérébrales
. Le ventricule de la cloison n'existe que chez
rtie du corps calleux située en avant des trous de Monro. Trigone
cérébral
et plexus choroïdes des ventricules laté- raux.
s libres du corps cal- leux naissent de toute la surface du manteau
cérébral
; elles convergent vers la paroi interne de l'h
ive; son développement est postérieur à celui des fibres du trigone
cérébral
et de la couronne rayonnante. Que, par suite
développement du septum lucidum, de telle sorte que les hémisphères
cérébraux
ne sont unis entre eux que par la lame terminale
lame terminale embryonnaire, les couches optiques et les pédoncules
cérébraux
(fig. 65). Fie. 65. - Face interne d'un hémisph
eut donc considérer le corps calleux comme l'indice d'une structure
cérébrale
très élevée. Il ne s'observe, en effet, que chez
nt ni corps calleux, ni trigone. 4. Lobes, développement du manteau
cérébral
, sillons et circonvolutions cérébrales définiti
obes, développement du manteau cérébral, sillons et circonvolutions
cérébrales
définitifs. Les hémisphères cérébraux s'accrois
sillons et circonvolutions cérébrales définitifs. Les hémisphères
cérébraux
s'accroissent rapidement : vers la fin du trois
s vu plus haut, sur la paroi interne et la paroi externe du manteau
cérébral
, de nombreux sillons, dont les uns sont transit
e, qui se transforme en sinus du corps calleux et qui loge l'artère
cérébrale
antérieure. Dans la région temporale, le sillon a
terne sont a apparition puis tardive, et n'intéressent que l'écorce
cérébrale
et la masse blanche sous-jacente. Vers le milie
ace inférieure, qui repose sur la tente du cervelet, sur les fosses
cérébrales
antérieure et moyenne. Vers cette époque, app
re calcarine. Sillons plus tardifs n'intéressant que o l'écorce
cérébrale
. , Sillon calloso-mar- ginal. Scissure coll
ire autour du corps calleux, des couches optiques et des pédoncules
cérébraux
, un anneau presque complet, ouvert seulement en
hémisphère où s'arrête l'écorce grise. Accolée en dedans au trigone
cérébral
, elle est limitée en dehors par le sillon ammon
e la circonvolution godronnée conserve ces rapports avec le trigone
cérébral
, et, dans le cerveau adulte, on la trouve situé
s et circonvolutions définitives de la face externe de l'hémisphère
cérébral
. -Les sillons et circonvolutions de la face exter
cuse les mois suivants, grâce au développement que prend le manteau
cérébral
, et elle est d'autant plus profonde que le mantea
manteau cérébral, et elle est d'autant plus profonde que le manteau
cérébral
est plus étendu. Vers le troisième mois, la fos
de l'insula. L'insula est nettement séparé du reste de l'hémisphère
cérébral
par un sillon circulaire, le sillon marginal, l
es vertébrés, on distingue nettement : le corps strié et le manteau
cérébral
ou pallium. Le corps strié forme, dans toute la
éphaliques inférieures un volumineux faisceau de fibres. Le manteau
cérébral
ou pallium, persiste à l'état embryon- naire ch
formation ammonique, que l'on trouve le premier indice de l'écorce
cérébrale
, caractérisée par des couches superposées de cell
ble, que dans n'imporle quelle autre classe des vertébrés. L'écorce
cérébrale
prend par contre un développement considérable
sse plus ou moins considérable en circonvolutions d'un hémi- sphère
cérébral
, n'est donc pas toujours l'indice d'un développem
ici, en eifet, en jeu, tels que l'accroissement relatif de l'écorce
cérébrale
et de la cavité crâ- nienne, le développement d
rezzcé- phale, il est toujours facile de distinguer dans le manteau
cérébral
deux parties : l'une, le manteau proprement dit
nent a la pie-mere par un petit renflement conique. Dans l'écorce
cérébrale
, on trouve en outre des cellules araignées dont l
lent comme aspect une ne. u. uoupe vertico-transversale de 1 ecorce
cérébrale
(circonvolution temporale) d un foetus humain d
s humain de 7 mois. (D'après G. Retzius.) o, superficie de l'écorce
cérébrale
. - cz, cellule de Cajal. - ? fibres tangentielles
les cellules pyramidales qéantes de la zone rolandique de l'écorce
cérébrale
, les cellules motrices mul- tipolai1'es des cor
de rapide de Golgi. (D'après A. Thomas.) a, b, cellules de l'écorce
cérébrale
d'un foetus de lapin de vingt à vingt-cinq jour
lapin de vingt à vingt-cinq jours environ. - c, cellule de l'écorce
cérébrale
de la souris âgée de six semaines. HISTOGENES
on les rencontre dans la couche la plus superficielle de l'écorce
cérébrale
, dans le lobe optique des oi- seaux, dans la su
ale de la dendrite primordiale d'une cellule pyramidale de l'écorce
cérébrale
de la souris adulte. Méthode rapide de Golgi.
cellules de Purkinje (fig. 111 ) et de certaines cellules de l'écorce
cérébrale
et cérébelleuse, ainsi que sur les cylindres-ax
de Cajal. Coupe longitudinale de la couche moléculaire de l'écorce
cérébrale
du lapin âge de huit jours. Méthode rapide de Gol
elle du cerveau; les unes sont pyramidales comme celles de l'écorce
cérébrale
, les autres polygonales, triangulaires ou irrégul
ygonales, triangulaires ou irrégulières, comme cer- taines cellules
cérébrales
, comme les cellules mitrales du lobe olfactif
rmes et libres (fig. 102). Les cellules pyramidales de l'écorce
cérébrale
sont coniques ou pyramidales : de leur base se
lle est épaisse, se dirige vers la couche superficielle de l'écorce
cérébrale
, donne dans son trajet quelques rares ramificat
un court trajet. FiG. 110. - Cellule pyramidale géante de l'écorce
cérébrale
de la souris d'un mois. Méthode rapide de Golgi
etc., lors- qu'on fait l'ablation de certaines régions de l'écorce
cérébrale
ou cérébel- . leuse, ou de certains ganglions p
nt chez les très jeunes ani- maux et chez l'homme, dans les lésions
cérébrales
soit très anciennes, soit remontant à la premiè
<M7e ? par lesquels elles entrent en connexion, 1. Dans l'écorce
cérébrale
EC, nous avons figuré deux cellules pyramidales,
le de Cajal se ramifient en effet dans l'épaisseur même de l'écorce
cérébrale
: la cellule pyramidale de gauche envoie son cyli
lule du thalamus (Th) dont le cylindre-axe s'arborise dans l'écorce
cérébrale
EC, au voisinage d'une cellule pyramidale, d'un
s. Contribution à l'Étude du développement des cellules de l'écorce
cérébrale
par la méthode de Golgi. C. R. Soc. de Biol., 189
use de Rolando ; sa couleur varie du gris presque blanc de l'écorce
cérébrale
au brun noirâtre du /or ? mV/erdeSoemmering. En
par les auteurs anciens à une sorte de pulpe, de là le nom de pulpe
cérébrale
. La consistance de ces substances varie suivant
rêmement variable, qu'on désigne sous le nom générique de ganglions
cérébraux
ou encéphaliques. Ces ganglions sont, tantôt ne
se. Elle occupe la périphérie de la moelle épinière, relie l'écorce
cérébrale
et cérébelleuse aux ganglions encéphaliques et
stance grise centrale. L'ensemble des fibres qui relient l'écorce
cérébrale
aux ganglions encé- phaliques forme la couronne
nerveux. C'est le système de projection directe qui relie l'écorce
cérébrale
à la sub- stance grise centrale et qui comprend
s rayon- nantes on trouve dans la substance blanche des hémisphères
cérébraux
et cérébelleux, ainsi que dans la substance bla
fibrillaire. ? f I Fig. 121. - Cellule névroglique de l'écorce
cérébrale
d'un supplicié. (D'après Vignal.) 196 . ANATO
as répandues d'une, manière uniforme, dans le ganglion rachidien ou
cérébral
. On peut les distinguer en cellules marginales.
6. DEUXIÈME PARTIE ANATOMIE DU CERVEAU CHAPITRE I MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
1. CONSIDÉRATIONS GÉNÉRALES SUR L'ENCÉPHALE L
céphalique antérieure primitive, c'est-à-dire par les hémi- sphères
cérébraux
, les corps oplo-slriés et la région sous- thalami
ésicule encéphalique moyenne, c'est-à-dire la région des pédoncules
cérébraux
et des tubercules quadrijumeaux. Le cerveau o
t transversale, qui loge la lente du cervelet : c'est la grande fente
cérébrale
transversale antérieure. - fissura ceuebri tl'a
un vo- 1,,iîî(, donné de crâne correspond en moyenne un même poids
cérébral
, qu'il s'agisse des races blanche, jaune et noi
oyenne serait, sui- vant les races et les sexes, de : MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. ? : 3 : 5 ainsi que sur le poids de l'encéphal
ier, dans son mé- moire : 1° Les espèces inférieures ont un poids
cérébral
relativement faible, parce que le nombre, la va
omplexité des sensations, des idées, des mouvements, des opérations
cérébrales
en un mot, sont indépendants de la masse de l'o
proportionnelle à la masse et au volume de l'encéphale. L'activité
cérébrale
, en effet, est le résultat de tant de facteurs au
ujets de 20 à 30 ans, Meynert a isolé et pesé séparément le manteau
cérébral
(écorce grise et masse blanche sous- jacente),
le cervelet et le tronc encéphalique (corps opto-sfriés, pédoncules
cérébraux
, protubérance annulaire et bulbe rachidien). Il a
ulbe rachidien). Il arrive aux résul- tats suivants : MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 237 Quant au poids des différents lobes du cer
mpose de deux moitiés à peu près symétriques, les lceini- y sphères
cérébraux
, désignés depuis Calien sous le nom de cerveau dr
calleux, et sépare complètement les extrémités occipi- MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 239 tales des hémisphères. Cette grande scissu
éraillure de la faux du cerveau que, dans certaines malforma- tions
cérébrales
, les deux hémisphères sont reliés l'un à l'autre
ité profonde, la vallée de Sylvius, qui se prolonge sur MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 21 la face externe de l'hémisphère sous le nom
éral ou occipito-temporal; ot', ses incisures. - P, pied du pédoncule
cérébral
. - l'ol, pédoncule olfactif. PT, pôle temporal.
rd interne, concave, recouvre en avant la face externe du pédoncule
cérébral
(P) ; en arrière, il limite l'extrémité pos- té
es du sillon parallèle. - 12, deuxième sillon temporal. MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 2.M partie du bord externe des hémisphères, et
passage, d'anastomose et d'inflexion, impriment à la cortica- lité
cérébrale
une très grande irrégularité et des variations in
viduelles très nombreuses dans la délimitation des différents lobes
cérébraux
; grâce à ces plis, les limites des lobes sont f
sur leurs limites en partie artificielles, qu'il s'agit MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 243 bien plus dans l'espèce de régions, que de
ur que parce qu'elle permet une orientation plus facile de l'écorce
cérébrale
. Les plis de passage, d'anastomose et d'inflexi
ons est presque le double de la surface apparente. La supé- riorité
cérébrale
de l'homme ne réside toutefois pas entièrement da
s- pace perforé antérieur et le point de pénétration des pédoncules
cérébraux
. Les parties constituantes du seuil ou du limen
cerveau et seront étudiées avec cette dernière. Les circonvolutions
cérébrales
et la base du cerceau appar- tiennent par contr
du cer- ui veau celle de la configuration extérieure des pédoncules
cérébraux
. CIRCONVOLUTIONS ET ANFRACTUOSITÉS CÉRÉBRALES
érieure des pédoncules cérébraux. CIRCONVOLUTIONS ET ANFRACTUOSITÉS
CÉRÉBRALES
Pour la facilité de la description, nous étudie
oisième circonvo- lution frontale (F3 [c]). La partie de l'écorce
cérébrale
, comprise entre la branche horizontale antérieu
set et Giacomini, ont mesuré le degré d'obliquité de la MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 249 scissure de Rolando, et les mensurations d
165 et 166 -qui se rapportent au même hémisphère.) MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 251 occipitalis (Ecker). - External pal'iéto-o
e (f'2) (fig. 163). Lorsque la troisième circonvolution MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 2';3 frontale (F,) s'insère à la circonvolutio
- li, sillon parallèle. - t2, deuxième sillon temporal. MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 2bo les bords des deux circonvolutions adjacen
olfactive externe (fig. 183), bord le long duquel s'arrête l'écorce
cérébrale
. La partie orbitaire de la première circonvolut
quelle elle est généralement réunie par un ou deux plis MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 257 anastomotiques et le sillon frontal inféri
sert olfactif de Broca : tic. 159.-e'ace supérieure des hémisphères
cérébraux
. - . (Photographie d'une pièce durcie au bichro
érique. - t'i, branche verticale du sillon parallèle. MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 259 Elle se réfléchit sur la face convexe de l
on temporale profonde. tp, sillon temporal profond : .. MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. « 2Q1 l'homme, qu'elle acquiert brusquement le
ortance anatomique et physiologique, justifient jusqu'à MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. ' 26S j un certain point, la création d'un lob
parallèlement à la circonvolution pariétale ascendante MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 20.'i dont il longe le bord postérieur; puis i
on temporale profonde. - tp, sillon temporal profond. MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 267 qucfois le lobule pariétal supérieur au lo
xième sillon temporal. - et, troisième sillon temporal. MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 269 ro ... ? J'" 1 . ,... 1 Il .. 1 1 en lor
sphère à l'autre, si importante au point de vue des loca- lisations
cérébrales
, est rendue d'une étude encore plus complexe par
rales.- t, 12, premier et deuxième sillons temporaux. MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 2-il est séparée de la scissure perpendiculair
cipilulis laleralis (Ecker). - Ziocite minière llintcr- MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 2711 lappenwindung (Wagner). -dledio-occipitnl
du sillon parallèle. - 12, deuxième sillon temporal. MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 27o ou convexe sont représentées par une ligne
sillon temporal I)rofi)ii(l. - x, connucnt de Tensen. MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 277 concourt à former le sillon occipital anté
he postérieure de la scissure de Sylvius (fig. 160). .. MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 279 1 L'extrémité inférieure de ce sillon inci
ution temporale profonde.- Ip, sillon temporal profond. MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 28t convolution frontale ascendante, c'est-à-d
ure du cunéus, et se prolonge sur la face interne de ce MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 2S5 lobule, où il se continue souvent avec un
- ot, scissure collatérale ou occipito-temporale. - l', lo- doncule
cérébral
. -Pare, lobule paracentral. - po, scissure pariét
s. - TM, trou de Monro. - U, circonvolution du crochet. MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 287 Le fond de la scissure calcarine est const
e du ventricule latéral. - vl, vélum terminale d'.IEby. MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 289 passage analogue, le pli de passage pariét
ar la partie verticale de la scissure calloso-marginale MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 291 (cm'), en arrière par la scissure pariéto-
elle se rétrécit considérablement, et s'anastomose avec MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 293 . la circonvolution de l'hij)j)ocon2l)e (H
mus (couche optique). ' U, circonvolution du crochet. MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 29H . il Le pli lingual inférieur forme une pe
ace inféro-interne de l'hémisphère le corps calleux et le pédoncule
cérébral
, et qui se continue en avant avec le lobe olfacti
us ; l'arc inférieur ou s phé no-occipital con- tourne le pédoncule
cérébral
et constitue la circonvolution de l' hippocampe
(Mathias Duval), dont l'étude rentre dans celle des circonvolutions
cérébrales
, et en particulier dans celle du lobe limbique
eloppée, laquelle représente le véritable bord d'arrêt de l'écot'ce
cérébrale
. Dans l'étude du grand lobe limbique de Broca n
ion inlra-limbique (Cg). 5° Le lobe olfactif (Lol). ' MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 297 Première Circonvolution limbique (L,).-STN
as et en avant jusqu'à la base du cerveau, et embrasse le pédoncule
cérébral
(P). Arrivée à la base du cerveau, et en partic
ève le bourrelet du corps calleux (fig. 177, 181, 182,) MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 299 on se rend facilement compte et de la prof
e pren- nent dans cette région les fibres tangentielles de l'écorce
cérébrale
(voyez z structure de l'écorce cérébrale). 3°
tangentielles de l'écorce cérébrale (voyez z structure de l'écorce
cérébrale
). 3°. Sillon de l'hippocampe (h). Synonymie : D
au du bourrelet du corps calleux, le sillon de l'hippo- MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 301 campe (h) sépare les circonvolutions sous-
nféro-interne de l'hémisphère le véritable bord d'arrêt de l'écorce
cérébrale
. Cachée profondément dans le sillon de l'hippocam
U, circonvolution du crochet. V3, troisième ventricule. MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 303 était, et porte le nom de fasciola cinerea
icroscope, et qui morphologiquement représente une véritable écorce
cérébrale
plus ou moins modifiée et avortée, est connue s
llln grisellln s'épaissit; les fibres tangentielles de cette écorce
cérébrale
rudimentaire se développent d'une façon démesurée
-limbique (C g) forme donc, autour du corps calleux et du pédoncule
cérébral
, un anneau presque complet, ouvert seulement da
es, lorsqu'elles font irruption à la face interne de l'hémi- sphère
cérébral
primitif pour s'entrecroiser et s'enchevêtrer ave
de vue embryologique, comme en anatomie comparée, un véritable lobe
cérébral
, Fasciola cinerca. Induseum gri- seum. Ne
de sert donc pour ainsi dire de transition, entre celle de l'écorce
cérébrale
et celle de la base du cerveau. Lobe olfactif
embryologie et l'anatomie comparée le montrent, de cir- MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 303 11 convolulions cérébrales avortées, connu
e le montrent, de cir- MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 303 11 convolulions
cérébrales
avortées, connues en anatomie comparée sous le
résente une petite région, située à la face interne de l'hémisphère
cérébral
, au-dessous du bec du corps calleux. Elle est l
n niveau une légère dépression constante, destinée à loger l'artère
cérébrale
antérieure, au moment où elle quitte l'espace p
dégagent deux faisceaux blancs d'aspect rubané, qui se MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 30ï continuent avec les bandelettes diagonales
s du septum lucidum, de Fig. 183. - Face inférieure des hémisphères
cérébraux
. Le pôle temporal a été enlevé de chaque côté,
if ou quatrième sillon frontal. - Fe, faisceau externe du pédoncule
cérébral
. - Fin,. faisceau interne du pédoncule cérébral
xterne du pédoncule cérébral. - Fin,. faisceau interne du pédoncule
cérébral
. Fus, lobule fusiforme. - Il, circonvolution de l
es. ot, sillon collatéral. Il, étage inférieur ou pied du pédoncule
cérébral
. l'ol, pédoncule olfactif. 7,i,l, pli rétro- li
de vue embryologique, comme en anatomie comparée, un véritable lobe
cérébral
développé au dépens de la vésicule des hémisphè
ignée sous le nom de désert olfactif. Dès que les circonvolutions
cérébrales
ont été mieux connues et mieux étu- diées, et q
nsi se trouvent étiquetées p. ex., F,, l'=, Fa, 'l'" T" MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 309 1'3' en allant de haut en bas les trois ci
ion marginale su- rieurs Gsm Pli courbe......... Pc MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 311 Lobe temporal T. Sillons : 1. Sillon
u gorille. Revue d'Anthropologie, 1878, p. 1. Du Même. Nomenclature
cérébrale
. Dénomination des divisions et subdivisions des h
gie, 1878, p. 193. Du Même. Ana- tomie comparée des circonvolutions
cérébrales
. Le grand lobe limbique et la scissure limbique
ni cerebrali dell'uomo. Torino, 1884. Gratiolet. Mémoire sur les plis
cérébraux
de l'homme et des primates. Paris, 1854. GOLDDE
VII, 1870. IlAMY. Contribution à l'étude du développement des lobes
cérébraux
. Revue d'Anthropologie, 1873.- HERVE. La circonvo
ste am Grosshirn des Menschen. Berlin, 1879. Pozzi. Circonvolutions
cérébrales
. Dictionn. encycl. 18-in. -RoLANDo. Della St1'l¿t
. ZucKERKANDL. Ueber das Riechcentrum. Stuttgart, 1887. MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 313 BASE DU CERVEAU . Pour étudier la base d
de du plan de sépa- ration, c'est-à-dire de la coupe des pédoncules
cérébraux
, peut donc se faire à propos de l'étude de la b
érieur de la protubérance, où elle s'insinue entre les pédon- cules
cérébraux
en formant le trou borgne antérieur ou supérieur
ligne sinueuse, le long de laquelle s'arrêtent les circonvolutions
cérébrales
de la face inférieure des hémisphères. La base
en arrière et en dehors, croisent la face inférieure des pédoncules
cérébraux
, atteignent la face inférieure libre de la couc
eau commissural ou azciforme; ce dernier occupe le bord MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 31;i : > interne de la bandelette et le bor
nert. z FTe, faisccau clu tubcr cinorcuI1l do Guddpn. MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 317 . missure de Meynert, un petit faisceau dé
uber - cinereum. Elle représente la paroi inférieure de la vésicule
cérébrale
anlé- rieure, et ferme en 'avant le troisième v
nerfs optiques, en arrière par le bord interne des deux pédoncules
cérébraux
, le losange opto-pédonculaire est formé, dans s
u cervelet. - Nt, noyau du toit du cervelet. - P, pied du pédoncule
cérébral
. Po, protubérance. Put, pulvinar. 1-lyc, pyramide
bercules mamillaires (corpus co-1)î(.y candicans) (Tm), MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 321 sont formés par deux saillies blanches, ar
mamillaire, entre ce dernier et le bord interne -^§%^îe8'|flfevîle
cérébral
on trouve, dans la commissure grise de la base, u
d aux tubercules mamillaires, par ses bords latéraux aux pédoncules
cérébraux
dont le sépare un sillon assez profond, le sill
s aux artères lenticulo-optiques branches du tronc basilaire et des
cérébrales
postérieures; ils sont séparés du sillon du ner
an au ganglion inter-pédonculaire (fig. 184). Région des pédoncules
cérébraux
. En arrière du losange opto-pédonculaire, on tr
to-pédonculaire, on trouve la section transver- sale des pédoncules
cérébraux
. Ces derniers, comme du reste la partie posté- '
re faite avec celle de la base du cerveau. La région des pédoncules
cérébraux
, connue encore sous le nom de région de l'aqued
e en section transversale (fig. 183, 189), la région des pédoncules
cérébraux
affecte, dans son ensemble, la forme d'un triangl
des racines antérieures de la moelle; il est séparé de MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 323 -1 l'espace perforé postérieur par une ])a
crsale, passant par l'aqueduc de Sylvius, divisent chaque pédoncule
cérébral
en trois régions : l'une postérieure, la, régio
ied ou l'étage inférieur du pédoncule (P) (y ? e, crus/a, pédoncule
cérébral
proprement dit), considéré tour à tour comme le
esurent de 12 à 15 millimètres de largeur, les pieds des pédoncules
cérébraux
, divergent bientôt obliquement en avant, en deh
Locus niger de Socmmeriniri. ? t i Division du pédon- cule
cérébral
en trois régions. ' - - i Etage intérieur ou
FiG. 189. - Coupe transversale de la partie inférieure du pédoncule
cérébral
passant au voisinage du bord supérieur de la pr
roisement supérieur du pédoncule cérébelleux supérieur. MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 32u accentué dans les faisceaux internes que d
, nerf trijumeau. - VI, nerf moteur oculaire externe. MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 327 de fibres arciformes, qui apparaissent tou
s de l'émergence de la 3° paire, entre le bord interne du pédoncule
cérébral
elle pédoncule du tubercule mamillaire latéral
u moteur ocu- laire commun, embrasse le bord inférieur du pédoncule
cérébral
. Il apparaît à la surface du pédoncule cérébell
pinéale. - Nu, nerf optique. - Oi, olive bulbaire. - P, pédoncule
cérébral
. - l'cm, pédoncule cérébelleux moyen. - Pcs, pé
pontis. - 7 ? )/, tractus peduncularis trans- versus. MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 329 de l'isthme de l'encéphale (fig. 192) ; on
n Fig. 193. Coupe transversale de la partie supérieure du pédoncule
cérébral
de l'homme au niveau de la bandelette optique,
ainartige Haubenl : reurung). - ll, bandelette optique. MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 331 pédonculaire supérieure (fig. 193), elle e
tubercules quadrijumeaux occupe la partie postérieure du pédoncule
cérébral
(fig. 194) ; elle s'étend du bord postéro-supérie
nt connus sous le nom de lobes optiques. Les tubercules MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 333 quadrijumeaux postérieurs ne font cependan
TION INTÉRIEURE DU CERVEAU Seuil de l'hémisphère. Les hémisphères
cérébraux
sont reliés entre eux, au niveau de leur par- -
phère. 334 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Corps calleux. Trigone
cérébral
. Troisième ventri- cule. Sillon de Monro.
ig. 151 et ! 95), qui sépare l'un de l'autre les deux hémi- sphères
cérébraux
. Sur cette coupe, on se rend très nettement compt
presque complet, ouvert seulement en bas et en avant, que l'écorce
cérébrale
des hémisphères, circonscrit autour de son seuil
e, le septum lucidum (SI) ou cloison transparente. Entre le trigone
cérébral
et la bascllti cerveau, on trouve le troisième
nnue sous le nom de ventricule de la cloison (VSl), puis le trigone
cérébral
(Tg) qui forme une seconde cloison transver- sa
du cervelet. Nt, noyau du toit du cervelet. - P, pied du pédoncule
cérébral
. Po, protubérance. Pul, pulvinar. Pyc, pyramide d
recouverte en dedans par la toile choroïdienne (Tch) et le trigone
cérébral
(Tg), concourt à former dans son segment extern
er des ventricules latéraux (VI) ou premier et deuxième ventricules
cérébraux
. Le noyau caudé, séparé de la couche optique pa
ment en bas et en dedans, elle se continue en bas avec le pédoncule
cérébral
(P), et s'irradie en haut dans la masse blanche
s parties constituantes du seuil de l'hémisphère et les ventricules
cérébraux
. 1° Corps calleux. , 2° Trigone cérébral. 3
re et les ventricules cérébraux. 1° Corps calleux. , 2° Trigone
cérébral
. 3° Septum lucidlrrnz. 4° Ventricules latérau
nte forme la limite externe des ventricules latéraux. - MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 339 Tronc du corps calleux (Cc). Sur une coupe
ichromate.) AqS, aqueduc de Sylvius. -B, partie moyenne de la fente
cérébrale
de Bichat. -Cal, calotte du pédoncule cérébral.
moyenne de la fente cérébrale de Bichat. -Cal, calotte du pédoncule
cérébral
. - CB, carrefour olfactif de Broca. - Ce, corps c
yonnaire. NC, noyau caudé. l', étage inférieur ou pied du pédoncule
cérébral
. 1'0, protubérance. psl, pédoncule du septum lu
alvule de Vieussens. - xll, chiasma des nerfs optiques. MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 311 forme le fond. Elle mesure 15 à 20 millimè
n arrière; elle est encore en rapport avec les artères calleuses ou
cérébrales
antérieures, enfin avec la première circonvolut
parallèle. Voc, corne occipitale du ventricule latéral. MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 343 calleux, connues sous le nom de psalterium
le, dont elle est sépa- rée par la partie moyenne delà grande fente
cérébrale
de Bichat. C'est au dessous du bourrelet du cor
ur du septum lucidum s'insinue entre le corps calleux et le trigone
cérébral
, jusqu'au niveau de la pièce intermédiaire, sép
adiations du corps calleux. Forceps du corps calleux. Trigone
cérébral
. d épaisseur environ; sur une coupe sagittale e
rps calleux. (Voy. ch. IV, fibres com- zzis.szcales. ) 2° Trigone
cérébral
Le trigone cérébral (Tg), la voûte à trois ou q
IV, fibres com- zzis.szcales. ) 2° Trigone cérébral Le trigone
cérébral
(Tg), la voûte à trois ou quatre piliers, le fomi
tituent le corps du trigone (Tg) (fig. 200). En arrière MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 34"; et en avant ces faisceaux sont distincts,
latéral. - si, sillon opto-strié. -SI, septum lucidum. -Tg, trigone
cérébral
. - Tgp, pilier postérieur du trigone. 7';V, trou
ait de nouveau dans la couche optique (Th) et se lermi- MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 347 nait dans son tubercule antérieur (Na). La
eux (rostrum posterior). Cal, calotte ou étage supérieur du pédoncule
cérébral
. coa, commissure antérieure. - Gp, glande pinéa
eure. - Gp, glande pinéale. P, étage inférieur ou pied du pédoncule
cérébral
. -ri, diverticule de l'infundibulum. - ro, divert
). Celui-ci constitue en effet un faisceau indépendant du tri- gone
cérébral
; il nait de la partie antéro-interne du tubercul
la mince lame épithéliale qui recouvre les plexus , . MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 349 choroïdes des ventricules latéraux et qui
les. Par la majeure partie de ses fibres longitudinales, le trigone
cérébral
réunit la cone d'Ammon(CA) et la circonvolution
ans le groupe des faisceaux de projection qui unissent l'hémisphère
cérébral
et en particulier le 1' ! ânenciphalon, au cervea
nt par le corps genouillé externe et la partie externe du pédoncule
cérébral
. Méthode de Weigert. (Agrandissement de deux diam
noyau lenticulaire. ot, scissure collatérale. l', pied du pédoncule
cérébral
. - l'es, pédoncule cérébelleux supérieur. - Poa
optique. - III, fibres radicu- laires de la 3- paire. MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 35t représente, un véritable faisceau d'associ
delette optique, le ruban de Reil et la partie moyenne du pédoncule
cérébral
. Méthode cie Weigert. (Agran- dissement de deux
JV/f, noyau rouge. - ol, scissure collatérale. - P, pied du pédoncule
cérébral
. - Pcs, pé- doncule cérébelleux supérieur. - Pc
pièce durcie dans le bichromate). AqS, Aqueduc de Sylvius. B, fente
cérébrale
de Bichat. Cal. étage supérieur du pédoncule ou
re circonvolution frontale. P, étage inférieur ou pied du pédoncule
cérébral
. 7-plp, pli pariéto-limbique posté- rieur. - Qp
l- vule de Vieussens. 2 ? chiasma des nerfs optiques. MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 333 les nerfs de Lancisi, puis divergent et tr
rudimentaire les deux couches qui constituent les cir- convolutions
cérébrales
. La couche interne ou grise représente l'écorce g
arrière, et s'enroulent autour de la couche optique et du pédoncule
cérébral
, en décrivant une courbe ouverte en bas et en ava
ues, dans l'hydrencéphalie . aiguë ou chronique, dans l'hémorrhagie
cérébrale
faisant irruption dans a les ventricules, dans
érébrale faisant irruption dans a les ventricules, dans les tumeurs
cérébrales
développées au dépens des . plexus choroïdes, e
trigonum venlriculi lateralis des auteurs allemands. MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 3 : Portion antérieure ou frontale; étage supé
rne est formé par la ligne d'union du corps calleux avec le trigone
cérébral
; son bord externe répond à la rencontre du bord e
de haut en bas, la corne sphénoïdale ( Vsph) contourne le pédoncule
cérébral
et la couche optique, se porte oblique- ment en
ie dans l'alcool.) " Cal, calotte ou étage supérieur du pédoncule
cérébral
. cm, sillon calloso-marginal. CNC, colliculus d
lamus. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. z peu plus en dehors, la queue du noyau caudé
e. - Voc, corne occipitale. - Vsph, corne sphénoïdale.' MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 361 la face inféro-interne (fig. 209). Elle es
oisième ventricule par l'intermédiaire du trou de Monro. La fente
cérébrale
de Bichat, qui établissait pour les anciens auteu
ificiellement lorsqu'on arrache les plexus choroïdes. MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 363 S0 Ventricule moyen ou troisième ventricul
le du cervelet. 11'l,noyau du toit du cervelet. l', pied du pédoncule
cérébral
. Po, protubérance. - Pul, pulvinar. Pue, pyrami
sillon collatéral cl. . au troisième sillon temporal. P, pédoncule
cérébral
. Pa, circonvolution pariétale ascendante. - Pc/;3
ire de la région sous-optique (STh) et de la calotte des pédoncules
cérébraux
(fig. 213); plus en avant se trou- vent la subs
(fig. 213); ils sont minces en avant, au niveau du . . MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 367 sommet de la toile choroïdienne, où ils s'
dmettaient toutefois l'existence d'une com- munication par la fente
cérébrale
de Bichat, grande fente en forme de fer il chev
il cheval, dont les parties latérales entoureraient les pédoncules
cérébraux
, et dont la partie moyenne serait comprise entr
et les tubercules quadrijumeaux. Les parties latérales de la fente
cérébrale
de Bichat ne donnent nulle- '. ment accès dans
les ferme compte- . tement en dedans. La partie moyenne de la fente
cérébrale
de Bichat ne · " permet pas davantage la pénétr
es ventricules latéraux. Les parties latérales . de la grande fente
cérébrale
de Bichat n'existent donc pas; sa partie moyenne
rieure et sous-épendymaire de la tête du noyau caudé. MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 369 5o Les corpora striata 'Íl1femlI et interi
pondraient d'après Vicq d'Azyr, à la substance grise des pédoncules
cérébraux
, et d'après Burdach à la capsule interne. Vieus
e nom de couche claustrale donnée à la cinquième couche de l'écorce
cérébrale
. Aujourd'hui les dénominations de Vieussens son
Tiirck et à la couronne rayonnante du lobe temporal. MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 371 nonce piriforme ou d'une cornue, située en
é postérieure ou queue, contourne la couche optique et le pédoncule
cérébral
, et se prolonge en avant jusqu'à l'extrémité an
rcie dans l'alcool.) Cal, calotte ou étage supérieur du pédoncule
cérébral
. cm, sillon calloso-marginal. : CNC, colliculus d
Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. - \' ' MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 3T3 épendymaire (Sge) particulièrement épaisse
coin, dont le sommet situé en dedans et en bas regarde le pédoncule
cérébral
et, dont la base convexe répond au lobule de l'in
ou de la capsule interne (Ci[g]). En avant du genou, le MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 375 bord interne du noyau lenticulaire se port
et en dehors des tubercules quadrijumeaux, au dessus des pédoncules
cérébraux
dont elle occupe le côté supérieur et interne e
nies à la capsule interne, à la région sous-optique et au pédoncule
cérébral
. La face supérieure, convexe dans le sens antér
rande partie au stratum zonale, différencie nettement , MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. : 7 -i la couche optique du noyau caudé. Cette
es laté- raux. Ce sillon, qui correspond au bord externe du trigone
cérébral
, sert de limite embryologique entre le cerveau
e est recouverte par la toile choroïdienne qui la sépare du trigone
cérébral
et appartient à la surface extérieure de la cou
ventricule latéral. VSI, ventricule du septum lucidum. MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
.. , 379 dans sa courbe, à concavité antérieure
379 dans sa courbe, à concavité antérieure et interne, le pédoncule
cérébral
. Son bord externe est limité par la bandelette
au-né. Les rapports que la couche optique affecte avec le pédoncule
cérébral
sont très importants; la partie postérieure de
forment le système de la couche optique et embrassent le pédoncule
cérébral
à la façon d'un anneau aplati de haut en bas, ouv
le et un peu oblique en arrière et en dehors, limitent le pédoncule
cérébral
en avant (fig. 245 et 246). Cette zone a été comp
été comparée à une anse, à une écharpe posée en avant du pédoncule
cérébral
et derrière laquelle, les libres de l'étage inf
e démarcation nette, avec l'étage supérieur ou calotte du pédoncule
cérébral
. Elle renferme deux noyaux gris nettement délim
dedans en affectant surtout tune direction sagi 1 tale. MORPHOLOGIE
CÉRÉBRALE
. 381 Le pédoncule supérieur ou moyen, le plus l
et les parties latérales du corps calleux, en bas avec le pédoncule
cérébral
. A cause de ses connexions avec les noyaux gris
is- ceau de Tiire/e, les parties constituantes du pied du pédoncule
cérébral
. 11 décrit sur les coupes horizontales une cour
entail. D'abord amassées en un gros faisceau au niveau du pédoncule
cérébral
, les fibres se dé- ploient, s'étendent en avant
nante ou le grand soleil de Reil (CR) et se portent t vers l'écorce
cérébrale
. Le point d'épanouissement de la capsule interne,
e Gudden, nous décrivons les apparences que pré- sente l'hémisphère
cérébral
, lorsqu'on l'étudie sur des surfaces de section
cette coupe un petit îlot complètement séparé du reste de l'écorce
cérébrale
. A la face externe de l'hémisphère on trouve, d
s par les radiations du corps calleux. Dans certaines malformations
cérébrales
, dans l'absence congénitale du corps calleux, e
verticale du sillon parallèle, (t,') incise profon- dément l'écorce
cérébrale
, et les deux circonvolutions qui le bordent const
r conséquent) qui N , . font partie du système du pied du pédoncule
cérébral
. De la partie postérieure de la couche optique,
et embryologiquement être consi- dérés comme appartenant à l'écorce
cérébrale
. Le globus pallidus dont le segment moyen (NL,)
les appartiennent en majeure parlie au système du pied du pédoncule
cérébral
. Les fascicules sont séparés par des libres tra
court à former la lèvre supérieure de la partie moyenne de la fente
cérébrale
de Bichant. Coupe n° 65 (fixa. 228), passant il
dronnée (Cg) et cette dernière représente le bord d'arrêt de l'écorce
cérébrale
. .É20 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Substance
t une région de transition entre la capsule interne et le pédoncule
cérébral
. , . On trouve dans cette région limitée en ded
, et se rapproche déjà par son aspect de celui du pied du pédoncule
cérébral
. En avant, il est limité par l'anse du noyau le
nce innommée de Reichert (Sti) et la partie supérieure du pédoncule
cérébral
(P). ' Écorce. - L'écorce de cette coupe ne dif
i- pital antérieur. - ot, sillon collatéral. - P, pied du pédoncule
cérébral
. - Qa, tubercule quadrijumeau antérieur. - Rnz,
face postérieure concourt à former la lèvre supérieure de la fente
cérébrale
de Bichat. À la place du globus pallidus, on tr
lenticulaire (Al) qui contour- nent en dedans le pied du pédoncule
cérébral
. L'anse du noyau lenticulaire (Al) ne peut guèr
nstitue déjà sur celle coupe l'étage inférieur ou pied du pédoncule
cérébral
(P). Les fibres les plus posté- rieures s'insin
u de la substance perforée antérieure (Spa) et le pied du pédoncule
cérébral
(P) au niveau de la bandelette optique (II).
(Al), qui contournent la partie antéro-interne du pied du pédoncule
cérébral
(P), pour occuper la partie la plus antérieure
édonculaire (Voy. Base du cerveau, p. 3c ? 1). Le pied du pédoncule
cérébral
(P), embrassé par la bandelette optique (II) et l
pour tout ce qui concerne la texture proprement dite des pédoncules
cérébraux
. Coupe n° 75 (fig. 232), passant à 3 millimètre
ptique (II) est ici sectionnée dans toute sa longueur; le pédoncule
cérébral
(P) est séparé de la base du cer- veau et il es
substance grise centrale de l'aqueduc (SgAq). Le pied du pédoncule
cérébral
(P) est embrassé en avant par la bandelette opt
cke. of, sillon collatéral. P, pied ou étage inférieur du pédoncule
cérébral
. itrl, pli rétro-limbique. -Qa, tubercule quadrij
ntérieur de Wcrnicke. oi, sillon collatéral. - P, pied du pédoncule
cérébral
. - mi, pli rétro-limbique. - Qa, tubercule quadri
VEUX. Cette coupe sectionne les parties inférieures de l'hémisphère
cérébral
; elle rase le lobule orbitaire, intéresse le gy
olution frontale (mF,), parties qui appartiennent toutes au manteau
cérébral
, et qui comme telles décrivent un arc autour de
interne (Ci[g]) ainsi que les fibres les plus internes du pédoncule
cérébral
; elles se placent ensuite (voy. Coupes horizontal
r (Na) de la couche optique (Th), la partie antérieure du pédoncule
cérébral
(P), le tubercule mamillaire (Tm) et l'extrémit
ol', incisure du sillon collatéral. - ? étage inférieur du pédoncule
cérébral
. - l'a, circonvolution pariétale ascendante. -
egment postérieur de la capsule interne (Cip) en haut, le pédoncule
cérébral
(P) en bas. Le noyau lenticu- lairc est divisé
) qui se porte de plus en plus en dehors, a mesure que le pédoncule
cérébral
(P) se détache librement à la base du cerveau.
collatéral et du troisième sillon temporal. z P, pied du pédoncule
cérébral
. - Pa, circonvolution pariétale ascendante. Il, s
u lenticulaire (NLa, 2' Il. Il se continue en bas avec le pédoncule
cérébral
(P) et se dirige obliquement en bas et en dedans.
oupes passent toutes par le lobule paracentral (Parc), le pédoncule
cérébral
(P) et la partie antérieure de la protubérance (P
collatéral et du troisième sillon temporal. - P, pied du pédoncule
cérébral
. -- Pa, circonvo- lution pariétale ascendante.
godronnée (Cg) représente le bord le long duquel s'arrête l'écorce
cérébrale
. Elle est recouverte par le pilier postérieur du
et du troisième silion temporal. P, étage inférieur du pé- doncule
cérébral
. Pa, circonvolution pariétale ascendante. - Parc,
tale ascendante. - Parc, lobule paracentral. - 11, pied 'du pédoncule
cérébral
- Pcm, pédoncule cérébelleux moyen. - Pô, protu
ps de Luys. Le locus niger repose toujours sur le pied du pédoncule
cérébral
(P) et atteint en dedans la face interne du péd
a capside externe (Ce). Ces coupes intéressent le pied du pédoncule
cérébral
(P), au moment où il s'irradie dans la capsule
rps genouillé externe (Cge), la partie externe du pied du pédoncule
cérébral
(P) et la région de la calotte du pédoncule cér
d du pédoncule cérébral (P) et la région de la calotte du pédoncule
cérébral
. Écorce. - L'écorce de ces coupes ne présente r
du noyau caudc. - NC', queue du noyau caudé. - ? pied du pédoncule
cérébral
. - Pi, circonvolution pariétale inférieure. Pa,
al. - Opp" opercule pariétal. ot, sillon collatéral. - P, pédoncule
cérébral
. - Pu, circonvolution pariétale inférieure. l'a
couche optique (Th) repose sur la région de la calotte du pédoncule
cérébral
; les radiations de la calotte (RC) la séparent du
mus (Ne) et du pulvinar (Pul), en dehors de la calotte du pédoncule
cérébral
. Sur la coupe n° 89 (fig. 255) le pulvinar le l
irectement sur la coupe n° 83 (lig. 252), avec le pied du pédoncule
cérébral
(P); sur la coupe n° 86 (fig. 253), elle en est
de la scissure sylvienne, ainsi que l'indique le petit îlot d'écorce
cérébrale
situé au-dessous de ce faisceau; sur les coupes
s passent en arrière du bourrelet du corps cal- leux (Sp), l'écorce
cérébrale
n'est nulle part interrompue, elle est 11 peu prè
optique (Th), la région sous-optique (F, NR), le pied du pédoncule
cérébral
(P), la région des tubercules qzccccloi- iumoaz
sphère. Li ? ne 5 de la figure 2G i. (Grandeur naturelle.) B, fente
cérébrale
de Bichat. C, cunéus. Cc{g), genou du corps calle
frontale (gyrus rectus). - P, étage inférieur ou pied du pédoncule'
cérébral
. - P,, première circonvolution pariétale. - Pa, c
éparent le ventricule latéral (VI) de la partie moyenne de la fente
cérébrale
de Bichat (B). Cette fente, comprise entre le b
antéro-inférieure constitue l'étage inférieur ou pied du pédoncule
cérébral
(P); la partie postéro-supérieure, beaucoup plus
première circon- volution frontalc.-P, étage inférieur du pédoncule
cérébral
. P,, circonvolution pariétale, supérieure. - l'
, le pulvinar (Pul) fait saillie dans la partie moyenne de la fente
cérébrale
de l31claal. Au-dessous du noyau interne (Ni) se
Au-des- sous et en avant du locus niger (Ln), le pied du pédoncule
cérébral
(P) se prolonge dans la protubérance (Po) pour
rieure de la circonvolution du crochet (U), au-dessous du pédoncule
cérébral
(P), on trouve la section d'une petite bandelet
de l'encéphale et en particulier aux parties latérales de la fente
cérébrale
de Bichat Noyaux opto-striés. Le noyau caudé (N
xtrémité postérieure libre, le pulvinar (Pul), qui correspond il la
cérébrale
de 731clcal. Sur cette coupe n° 10 (fig. 270), le
Pu première circonvolution pariétale. ? étage inférieur du pédoncule
cérébral
. - l'a, cir- convolution pariétale ascendante.
uivante (n° 17, iig. 272), l'anneau presque complet, que le manteau
cérébral
décrit autour de la couche optique (Th) et du p
au cérébral décrit autour de la couche optique (Th) et du pédoncule
cérébral
. Cet anneau n'est ouvert en effet qu'en avant e
directement en arrière avec les parties dites latérales de la fente
cérébrale
de Bichat, située entre la circonvolution de l'
circonvolution de l'hippocampe (H) d'une part, le pied du pédoncule
cérébral
(P) et la couche optique (Th) d'autre part. Sur l
icule sphénoklal (Vsph). Elle représente en effet une petite écorce
cérébrale
, plusieurs fois plissée sur elle-même, recou- v
(H) el forme la lèvre inférieure des parties latérales de la fente
cérébrale
de lïichat. Au-dessous du pilier posté- rieur d
lriculaire, elle fait saillie sur les parties latérales de la fente
cérébrale
de Bichat, et se renfle en bas pour former le ]Ju
nar (Pul); en bas et en avant elle repose sur le pied du pédoncule
cérébral
(P), dont elle est séparée par la zone réticulé
ont situées immédiatement en arrière du rnuu. Le pied du pédoucazle
cérébral
(P) a diminué de volume, par le fait même de sa
convolutions frontales. ol, sillon collatéral. P, pied du pédoncule
cérébral
. -P,, première circonvolution pariétale. - l'a, c
fet pas encore changé de direction. En arrière du pied du pédoncule
cérébral
, entre celui-ci et le pulvinar (Pul), on trouve
le isocèle, extrêmement allongé, compris entre le pied du pédoncule
cérébral
(P) et l'écorce grise de la corne d'A 11 ? iIOn
en arrière, entoure à la manière d'une fronde le pied du pédoncule
cérébral
(P) et s'irradie dans le pulvinar (Pul). Ce derni
re. Ligne 17 de la figure 267. (Grandeur na- turelle.) , B, fente
cérébrale
de Bichat. - CA, corne d'Ammon. Ce, corps calleux
éral. Pi, première circonvolution pariétale. - P, pied du pédoncule
cérébral
. Pa, circonvolution pariétale ascendante. Pchl,
67. (Grandeur naturelle.) . Alv, alvéus. AU, avant-mur. B, fente-
cérébrale
de Bichat. - CA, corne d'Ammon.- Ce, capsule ex
tra-ventriculaire,' et correspond aux parties latérales de la fente
cérébrale
de Bichat (B). - . Noyaux gris centraux. La têt
par conséquent, au dedans d'elle, les parties latérales de la fente
cérébrale
de Bichat et toute la sur- face extra-ventricul
écorce grise forme un îlot complètement séparé du reste de l'écorce
cérébrale
, et entoure l'écorce grise de la circonvolution
bres de la capsule interne, de la région sous-optique, du pédoncule
cérébral
, du cerve- let, de la protubérance, du bulbe ra
n vcrtico-transversale, intéresse toute l'épaisseur de l'hémisphère
cérébral
et comprend '12 coupes apparte- nant à deux cer
, elle montre en effet très nettement : 1° Les rapports de l'écorce
cérébrale
avec la masse blanche sous-jaccnte; la façon do
se détachent les mdia- lions du corps calleux pour aborder l'écorce
cérébrale
, et l'irradiation des fibres de la couronne ray
région sous-thalamique de la capsule interne et le pied du pédoncule
cérébral
. On pourrait reprochera cette série de coupes v
le interne, de la région sous-optique et de la calotte du pédoncule
cérébral
, des coupes microscopiques soit vertico-trans-
nterne, la région sous-optique et la partie supérieure du pédoncule
cérébral
. La coupe supérieure passe par le centre ovale
e centre ovale de Vieussens, la coupe infé- rieure par le pédoncule
cérébral
et le tubercule quadrijumeau postérieur. Ces co
ion sous-thalamique de Forci, de la calotte et du pied du pédoncule
cérébral
. IV La quatrième série, enfin, comprend 13 coup
age 315). Elles intéressent la région sous-optique elle pé- doncule
cérébral
. L'obliquité de ces coupes est particulièrement i
, foncée, licitement distincte de la teinte jaune clair de l'écorce
cérébrale
ou des FiG. 278. -Face interne d'un hémisphère
e blanche, elles s'épanouissent dans la couche profonde de l'écorce
cérébrale
, et s'entre-croisent avec les fibres tangentielle
ur de la capsule interne, la partie antérieure du pied du pédoncule
cérébral
(P), la partie moyenne de la couche optique (Th
on qui sépare la circonvolution du crochet (U) du pied du pédoncule
cérébral
(P). Du sommet et de la face infé- rieure du gl
des faisceaux semblables venus des différentes parties de l'écorce
cérébrale
. Outre les fibres radiaires qui impri- ment au
yaux interne et externe du thalamus, en dedans du pied du pédoncule
cérébral
(P) et de la partie inférieure du segment posté
convolution frontale. ot, sillon collatéral. - P, pied du pédoncule
cérébral
. - Parc, lobule para central. - pCR, pied de la
. Il appar- tient il la fois ù la région de la calotte du pédoncule
cérébral
et il la région sous- optique et il est entouré
bres qui entrent plus bas dans la constitution du pied du pédoncule
cérébral
(P). Ce sont les fibres de projection directes de
lèle aux fibres qui entrent dans la constitution du pied du pédoncule
cérébral
. Outre la couronne rayonnante du thalamus et le
lésions corticales, les cinq sixièmes internes du pied du pédoncule
cérébral
(J. Dejerine). Elles sont séparées de la partie
RC). Elle intéresse en outre la partie moyenne du pied du pédoncule
cérébral
(P) et de l'étage antérieur de la protubérance
ande partie de la région sous-optique et de la calotte du pédoncule
cérébral
. Il se présente sur cette coupe sous la forme d
ui se rendent, pourla plus grande partie, dans le pied du pédoncule
cérébral
(P). Elles affectent un aspect onduleux, puis d
asser au-dessus de la bandelette optique (II) et aborder le pédoncule
cérébral
(P) COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 347 au
nne de la couche optique (Th), le noyau ronge (NR), et le pédoncule
cérébral
. Elle passe immédiatement en arrière de la circon
lIoyalt 1'( ! Uge(NIl), entre ce dernier et le pied du pédon- cule
cérébral
(P), se trouve le locus lIiyel' (Ln) qui se confo
latéral et au troisième sillon temporal. - P, pied du pédon- . cule
cérébral
. - Pa, circonvolution pariétale ascendante. l'arc
lles for- ment les fibres radiaires, soit dans le pied du pédoncule
cérébral
(P). Ces dernières fibres se réunissent en fais
sceau de 7'M ! 'c ? (FT) ou faisceau externe du pied du pédon- cule
cérébral
. Ces fibres apparaissent au niveau de la paroi ex
be temporal; occupent le sixième externe environ du pied du pédoncule
cérébral
et que par conséquent le faisceau.de y'tt;'c/)'
rconvolu- tions temporales (FT'). Les fibres du pied du pédoncule
cérébral
(P), qu'elles proviennent de la région lhalamiq
périeur (Pcs), ainsi que la partie postérieure du pied du pédoncule
cérébral
(P)et de Y étage antérieur de la protubérance (Po
de Y étage antérieur de la protubérance (Poa). Le pied du pédoncule
cérébral
n'est plus en connexion avec la capsule interne
2, opercule pariétal. - ot, sillon collatéral. P, pied du pédoncule
cérébral
. - Pi, deuxième circonvolution pariétale. Pa, c
uses libres dans le ruban de Reil médian (Rm). Le pied du pédoncule
cérébral
(P) est complètement séparé de la capsule inter
n bas et en dehors; elle appartient atipilieposléîieiti dit trigone
cérébral
, forme à elle seule la paroi interne du carre-
. Cette coupe inté- resse les deux tiers antérieurs de l'hémisphère
cérébral
. Elle passe par l'opercule rolandique (OpR), le
qu'une seule masse, qui apparaît à l'extérieur (CNC) entre l'écorce
cérébrale
et la lame terminale embryonnaire (lt). Cette mas
affecte déjà dans cette région les apparences du pied du pédoncule
cérébral
. L'anse du noyau lenticulaire (Al) passe entre le
convolutions frontales. - P, étage infé- rieur ou pied du pédoncule
cérébrale
. - PTml, pédoncule du tubercule mamillaire latéra
I) la commissure de Meynert (CM) et en avant du pied du pédon- cule
cérébral
(P), le ganglion du tubercule mamillairc latéral
ibres qui contournent la partie antéro-interne du pied du pédoncule
cérébral
(P), puis se portent en arrière et en dehors entr
nce innominée de Reichert. - Stri, stratum intermedium du pédoncule
cérébral
. - T,, première circonvolution temporale. - Tc, t
s : l'une épaisse, fortement colorée contient les fibres du trigone
cérébral
; l'autre située en dedans constitue une cou- ch
ENCEPHALIQUE (CAP- SULE INTERNE, RÉGION SOUS-OPTIQUE ET PÉDONCULE
CÉRÉBRAL
). Les 1 5 coupes horizontales suivantes font pa
sur un hémisphère gauche, depuis le centre ovale jusqu'au pédoncule
cérébral
et colorées par la méthode de Weigert. Ces 13 c
en arrière par le sillon calloso- marginal (cm,cm'). De l'écorce
cérébrale
émanent un grand nombre délires radiées qui pénè-
oison (VS1). Dans la masse des libres non différenciées de l'écorce
cérébrale
, apparais- sent les circonvolutions de l'insula
structure se rapproche de celle du putamen et de celle de l'écorce
cérébrale
. Coupe n° 6 (fig. 305), passant par la ligne 6
la couche optique, à la région sous-optique et au pied du pédoncule
cérébral
, toute la partie enfin située dans la région ré
compris entre le faisceau longitudinal inférieur (Fli) et l'écorce
cérébrale
et qui relient deux circonvolutions plus ou moi
ion thalamique de la capsule interne, jusqu'à l'entrée du pédoncule
cérébral
dans la protubérance. Dans le pédoncule, le fais-
segment le plus interne de l'étage infé- rieur ou pied du pédoncule
cérébral
. En avant et un peu au-dessous du genou (Ci[g])
ourt il former la lèvre inférieure de la partie moyenne de la fente
cérébrale
de Bichal. Coupe n" 9 (fig. 308 passant par la
a ré- gion sous-optique; elles se rendent ensuite dans le pédoncule
cérébral
dont elles occupent le bord externe. L'étude de
stérieur de, la capsule interne el le faisceau externe du pédoncule
cérébral
persistent en effet intacts la suite de lésions
s, et atteint son plus grand déve- loppement au niveau du pédoncule
cérébral
. Le segment postérieur de la capsule forme en e
le forme en effet, il lui tout seul, l'étage inférieur du pédoncule
cérébral
. Dans la concavité du segment postérieur de la
tinées au noyau rouge. Il dégénère il la suite de lésions de l'écorce
cérébrale
et ses fibres dégénérées peuvent être suivies j
postérieur de la capsule interne se transforme en pied du pédoncule
cérébral
. Il n'est pas encore libre, mais entouré de toute
3 de la ligure 299. Cette coupe intéresse déjà le pied du pédoncule
cérébral
proprement dit (P), que la bandelette optique (
culaire. - NR, noyau rouge. P, étage inférieur ou pied du pédoncule
cérébral
. - pCR, pied de la couronne rayonnante. - PiTh, p
y.(CL).La plus grande partie contourne le bord interne du pédoncule
cérébral
(P), se dirige en arrière et en dedans, passe ent
e du faisceau longitudinal postérieur (Flp). Le pied du pédoncule
cérébral
(P) est limité en dehors au niveau de sa partie
culaires,au trigone et à la lame cornée, (le) en dehors, au pédoncule
cérébral
en dedans. En avant, elle se creuse un passage
de l'embouchure de l'aqueduc de Sylvius (Aq). Le pied du pédoncule
cérébral
(P) n'est adhérent à la base du cerveau qu'au n
e, un relief plus ou moins accentué. En dedans du pied du pédoncule
cérébral
(P), en dehors An pilier antérieur du trigone (
re s'irradient dans la substance réticulée de la calotte du pédoncule
cérébral
, qui commence à apparaître de chaque côte de l'
e du pied du pédon- 40 626 ANATOMIE,DES CENTRES NERVEUX. cule
cérébral
(P) est sillonnée par de nombreuses fibres fortem
millaire latéral (PTml), il contourne le bord interne du pédoncule,
cérébral
, se porte en arrière et en dehors entre le corps
e Luys (CL) en avant. Le locus niger (Ln) appartient au pédoncule
cérébral
(P), le corps de Luys a la région sous-thalamiq
ral (P), le corps de Luys a la région sous-thalamique. Le pédoncule
cérébral
n'est donc pas encore complète- ment constitué
rmedium de Meynert (Voy. fig. 193 et 397, Stri). Le pied du pédoncule
cérébral
est libre dans ses trois quarts postérieurs; tr
ercule mamillaire, la circonvolution du crochet (U) et le pédoncule
cérébral
au niveau du tubercule quadrijumeau postérieur
(putamen). NR. noyau rouge. P, étage inférieur ou pied du pédoncule
cérébral
. peu, pied de la couronne rayonnante. PiTh, péd
rouge. ot, sillon collatéral. P, étage inférieur ou pied du pédoncule
cérébral
. pCR, pied de la. couronne rayonnante. PTml, pé
n du crochet (U) et 1 perforé antérieur (Epa). Le pied du pédoncule
cérébral
(P)ne lient plus Ü la base du cerveau que par le
insinue entre la commissure de Meynert (CM) et le pied An pédoncule
cérébral
(P). Cette petite masse grise donne naissance a
udden (PTml), lequel contourne le bord interne du pied du pédoncule
cérébral
(P), le bord externe du noyau rouge (NR), et tr
de substance grise (SgAq). En un mot, sur cette coupe, le pédoncule
cérébral
est complètement constitué. IV. COUPES MICROSCO
utamcn). - NR, noyau rouge. P, étage inférieur ou pied du pédoncule
cérébral
. Pul, pulvinar. Qa, tubercule quadrijumeau antéri
e. Nous nous trouvons ici en effet à la limite du pied Au pédoncule
cérébral
(P) et du segment postérieur de la capsule intern
egment postérieur de la capsule interne (Cip). Le pied du pédoncule
cérébral
(P) décrit une courbe à concavité posté- rieure
du tuber cinereum (Te). En avant et en dehors, le pied du pédoncule
cérébral
est limité par la bandelette optique (II), qui
ombreux fascicules de fibres dans le pulvinar. Le pied du pédoncule
cérébral
(P) ne diffère de celui de la coupe précédente n°
putamen). .YR, noyau rouge. P, étage inférieur ou pied du pédoncule
cérébral
. l'ul, pulvinar. Qa, tubercule quadrijumeau antér
substance grise, au niveau de l'angle interne du pied du pédoncule
cérébral
, (P.). Le tubercule quadrijumeau antérieur (Qa)
), l'apparition du locus niger (Ln) il la partie interne du pédoncule
cérébral
et la disposition particulière que présente le
putamen). XR, noyau rouge. l', étage inférieur ou pied du pédoncule
cérébral
. PTml, pédoncule du tubercule ma- millaire laté
t externe (Cgi, Cge), de la partie postérieure du pied Au pédoncule
cérébral
(P). Le noyau rouge (NR) commence à diminuer de
u niveau de la partie libre de la face interne du pied du pédoncule
cérébral
(P), en arrière du locus niger, au niveau de la
large zone d'émergence de la troisième paire. Le pied du pédoncule
cérébral
(P) est presque complètement constitué sur la c
irl) et correspond au sixième externe environ, du pied du pédoncule
cérébral
. Le putamen (NL3) est réduit il une petite band
la ligne 10 x de la figure 315. Cette coupe passe par le pédoncule
cérébral
(P), et du côté de la base du cerveau, par la p
longement sphénoïdal du ven- tricule latéral (Vsph). Le pédoncule
cérébral
(P) n'est plus relié maintenant à la base du cerv
é interne. (Cgi) est apparent il la surface extérieure du pédoncule
cérébral
, où il forme un petit noyau ovalaire de substan
ire (putamen). - NR, noyau rouge. - P, étage inférieur du pédoncule
cérébral
. Plch, plexus choroïde. PTml, pédoncule du tuberc
ion du crochet (U). Cette dernière est séparée du pied du pédoncule
cérébral
(P) par la bandelette optique (II). Sur cette c
ar la bandelette optique (II). Sur cette coupe le pied du pédoncule
cérébral
(P) est complètement constitué. Le locus niger
partie postérieure du locus niger. Les fibres du pied du pédoncule
cérébral
(P) présentent déjà un aspect un peu particulie
ser, pour se continuer avec le stratum : ;rmale(strz). Le pédoncule
cérébral
est sectionné au voisinage dn sillon transversal
Syl- vius (SgAq). , Après avoir embrassé la petite racine motrice
cérébrale
ou descendante de la 5° paire (Vc) (voy. coupes
graduelle du noyau rouge et cet aspect si particulier du pédoncule
cérébral
, lorsqu'on le considère à l'état frais, ont fait
sensiblement avec la substance réticulée de la calotte du pédoncule
cérébral
(SR), substance l'di- culée qui va prendre sur
a constitution de la substance réticulée de la calotte du pédoncule
cérébral
(SR) et de la protubé- rance puis dans celle du
supérieur ou calotte du pédoncule, est séparée du pied du pédoncule
cérébral
(P), par le locus niger (Ln) qui a pris une grand
ules pigmentées disposées en groupes. L'aspect du pied Au pédoncule
cérébral
ne diffère pas beaucoup de celui de la coupe préc
termedium de Meynert (SIri) (fin. 193 et 297). Le pied du pédoncule
cérébral
est nettement délimité en arrière; il ne reçoit
eçoit plus aucune fibre de la base du cerveau. Le pied du pédoncule
cérébral
, de même COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 6M
upe ne diffère du reste que très peu de la précédente. Le pédoncule
cérébral
est complètement libre et n'adhère plus il aucun
refoule le noyau rouge en avant et en dehors. Le pied du pédoncule
cérébral
(P) a augmenté de volume ainsi que le locus niger
antérieur. NR, noyau rouge. P, étage inférieur ou pied du pédoncule
cérébral
. Pes, pédoncule cé- rébelleux supérieur. - Qa,
leux a été décrit par Forel. Ce petit faisceau représente la racine
cérébrale
ou la petite racine motrice descendante de la cin
cule quadrijumeau postérieur. P, étage inférieur ou pied du pédoncule
cérébral
. Pcs, pédoncule cérébelleux supérieur. Qp, tube
. Le stmtum intei'medill1n s'est fusionné avec le pied du pédoncule
cérébral
(P), dans lequel il envoie des fibres horizonta
ec les fibres à direction oblique ou verticale du pied du pédoncule
cérébral
, En dedans, le pied Au pédoncule cérébral est l
cale du pied du pédoncule cérébral, En dedans, le pied Au pédoncule
cérébral
est limité par un faisceau arci forme (Tpo), comp
en avant et en dehors, pour entourer le tiers interne du pédoncule
cérébral
. Obersteiner désigne ces fibres, qui viennent des
araître sur les coupes s suivantes (Voy. t. II, Coupes du pédoncule
cérébral
). Pour nous, nous basant sur l'étude des coupes
coude ensuite brusquement au niveau du bord postérieur du pédoncule
cérébral
, pour se porter en bas, et longer le bord externe
eur, avec lequel il se confond. CHAPITRE IV STRUCTURE DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
Si l'on examine une coupe vertico-transversale,
ou sagittale de l'hémisphère, on constate que chaque circonvolution
cérébrale
est formée de deux substances, l'une blanche en
r la substance blanche, l'entoure de toutes parts et forme l'écorce
cérébrale
. ° L'écorce cérébrale, mesure en moyenne de 1,5
, l'entoure de toutes parts et forme l'écorce cérébrale. ° L'écorce
cérébrale
, mesure en moyenne de 1,5 à 4 millimètres, son ép
fig. 330). Au niveau de la face interne du lobe occipital, l'écorce
cérébrale
apparaît formée seulement par trois couches, l'
ubstance blanche et substance grise des circonvolutions. Ecorce
cérébrale
. Variations dans l'épaisseur cie l'é- corce
écorce n'est pas partout la même. Kollikcr divisait en z ? l'écorce
cérébrale
en trois couches : une couche externe blanche,
des huit couches de Meynert (fig. 345). Cette division de l'écorce
cérébrale
en un nombre limité de couches présente évidemm
s égales, superficielle, moyenne et profonde. STRUCTURE DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 665 . -- Ramon y Cajal, considérant que la 4°
les progrès réalisés depuis un siècle dans la structure de l'écorce
cérébrale
. Si on examine au microscope une coupe de cir
s de Weigert ou Pal, soit par le carmin, on constate que l'écorce
cérébrale
est formée de cellules ner- veuses, de fibres n
angentielles, qu'est dû l'aspect concentrique que présente l'écorce
cérébrale
sur une coupe Lesquatro couches le Ramon y Ca
quatro couches le Ramon y Cajai. ; i Structure de l'é=; ,orce
cérébrale
. i Cellules nerveuses Cellules nerveuses.
es ou tangentielles. Fis. 329. - Coupe transversale de l'écorce
cérébrale
d'un sup- plicié colorée au picro-carmin. Gro
dales. - Pm, couche des cellules polymorphes. STRUCTURE DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. GG'7 transversale, apparence si facile à const
léments n'est du reste pas la même dans toute l'étendue de l'écorce
cérébrale
, et il convient de distinguer à cet égard l'éco
brale, et il convient de distinguer à cet égard l'écorce du manteau
cérébral
(pallium cerebri) de celle du dlinPncéphaloll.
(pallium cerebri) de celle du dlinPncéphaloll. I. ÉCORCE DU MANTEAU
CÉRÉBRAL
L'écorce du manteau cérébral présente des modif
linPncéphaloll. I. ÉCORCE DU MANTEAU CÉRÉBRAL L'écorce du manteau
cérébral
présente des modifications structurales qui var
, à l'aide de la méthode de Golgi, que les libres Kcorcedumautcau
cérébral
et écorce du l'l11noncéphalon. Ecoroodumautca
utcau cérébral et écorce du l'l11noncéphalon. Ecoroodumautcau
cérébral
. Les quatre couche de Ramon y Cajal. Zone m
Fig. 331. Cellules polygonales de la couche moléculaire de l'écorce
cérébrale
du lapin de 8 jours. Coupe antéro-postérieure.
pe de Cajal. Coupe longitudinale de la couche moléculaire de l'écorce
cérébrale
du lapin âgé de 8 jours. Imprégnation par lamét
pe de Cajal. Coupe longitudinale de la couche moléculaire de l'écorce
cérébrale
du lapin âgé de 8 jours. Imprégnation par la mé
rale d'un supplicié. (D'a- près W. Vignal.) STRUCTURE DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 671 des panaches ascendants des cellules pyram
le pyramidale. l'ic. 336. Cellule pyramidale géante de l'écorce
cérébrale
de la souris d'un mois. Méthode rapide de Golgi
s collatérales. Fig. 338. Cellule pyramidale type moyen de l'écorce
cérébrale
de l'homme adulte. Lobe frontal. Méthode de Gol
téhrés. Variétés de forme des petites cellules pyramidales.
cérébrale
, pour se continuer dans la substance blanche, ave
e fibres nerveuses, particulièrement serré au STRUCTURE DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 677 niveau de la partie moyenne de la couche d
phes, on trouve encore dans les trois dernières couches de l'écorce
cérébrale
des cellules de Golgi, cellules à cylindre-axe
rouve dans l'épaisseur de la substance grise et blanche de l'écorce
cérébrale
un grand nombre de cellules névro- gliques qui
ngs, lisses et ordinairement indivis (fig. 341). Fibres de l'écorce
cérébrale
. Les fibres de l'écorce cérébrale sont les unes
is (fig. 341). Fibres de l'écorce cérébrale. Les fibres de l'écorce
cérébrale
sont les unes pourvues, les autres dépourvues d
axes, sont au contraire dépourvus de myéline. STRUCTURE DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 679 Les fibres myéliniques de l'écorce cérébra
CTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 679 Les fibres myéliniques de l'écorce
cérébrale
sont décelables à l'aide de l'acide osmique, de
cipales; les unes traversent radiai- rement l'épaisseur de l'écorce
cérébrale
, ce sontles fibres radiées ; les autres sillonn
lles de l'écorce. Elles occupent toute la hauteur de l'écorce
cérébrale
. grandes et moyennes et par les cylindres-axes
es aux fibres radiées ; elles occupent toute la hauteur de l'écorce
cérébrale
, et constituent un feutrage plus ou moins dense p
A, substance blanche. B, couche moléculaire. STRUCTURE DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. C83 trage super-radiaire et la zone interne so
et la zone interne sous celui de feutrage inler-radiaire. L'écorce
cérébrale
présente donc de dehors en dedans cinq couches de
il direction tangentielle, qui occupe toute la hauteur de l'écorce
cérébrale
, sont d'après Cajal les suivants : 1° Les colla
et Exner l'ont montré, les plus fines fibres à myéline de l'écorce
cérébrale
et constitue un plexus très lâche formé, d'après
l ? 8 (Kaes). Peu développée chez les jeunes STRUCTURE DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 685 individus où elle ne contient que quelques
en moyenne 0,11,11,46 (Kaes), occupe la partie moyenne de l'écorce
cérébrale
et se délimite mal en général des couches adjac
-corticales de Meynert (Fibres d'asso- ciation externes de l'écorce
cérébrale
[Bechterew], couche d'association externe de, M
fibres tangentiel) es qui occu- pent toute l'épaisseur de l'écorce
cérébrale
assurent les connexions, soit entre les cellule
La cellule pyramidale occupe en effet toute la hauteur de l'écorce
cérébrale
: par son panache proloplasmique, elle atteint
, elle atteint les confins de la couche mole- STRUCTURE DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 687 culaire, et elle plonge dans les autres co
es connexions nervoso-protoplasmiques dans les cellules de l'écorce
cérébrale
. (D'après Cajal.) A, petite cellule pyramidale.
les stimulants mécaniques, chimiques et . 1 électriques de l'écorce
cérébrale
, qui provoquent la contraction de groupes muscu
éritage d'adaptations 'antérieures, soit pour STRUCTURE DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. ' 689 d'autres causes, offrent, en compensatio
ligence de l'enfant et de l'époque de la myélini- sation des fibres
cérébrales
. Elle est encore corroborée par les recherches
e corroborée par les recherches de Kaes sur la richesse de l'écorce
cérébrale
en fibres myéliniques. Cet auteur a montré, en
Chez des foetus un peu plus âgés sa consistance augmente; l'écorce
cérébrale
, dans laquelle apparaissent les grandes et les
ellules. Pour Bevann Lewis, les grandes ce 1- STRUCTURE DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. <t9t 1 Iules pyramidales, correspondant aux
de l'insula ne se différencie que peu de celle du reste de l'écorce
cérébrale
(Mayor, Meynert, Mondino). Elle pré- sente les
e principale ou ascendante se dirige vers la superficie de l'écorce
cérébrale
, leurs dendrites basilaires sont nombreuses et
e de l'écorce et forment une sorte de barrière, qui sépare l'écorce
cérébrale
de la substance blanche sous-jacente (Mondino). C
ouches dans l'écorce occipitale, à savoir : - STRUCTURE DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
.. 693 1° La couche moléculaire; 2° La couche
triangulaires ou étoilées, caractérisées, comme dans toute l'écorce
cérébrale
, par la multiplicité de leurs cylindres-axes et l
tes cellules pyramidales (2° couche) des autres régions de l'écorce
cérébrale
, est constituée par des cellules nerveuses et d
uban de Vicq-d'Azyr. v, orifices vasculaires. STRUCTURE DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 697 rection ascendante, qui se termine dans la
ÉPHALON L'écorce du rhinencéphalon se distingue de celle du manteau
cérébral
non seulement par l'agencement particulier de s
- convolution du corps calleux, ne se distingue de celle du manteau
cérébral
, que par quelques légères modifications qui por
fications qui portent surtout sur la présence STRUCTURE DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. G99 de la strie interne, de Baillarger, et la
ue (L,) se distingue encore de celle des circonvolutions du manteau
cérébral
, par les particularités sui- vantes signalées p
antéro-postcricures de la couchc moléculaire. STRUCTURE DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 701 1 ' une fibre à myéline, soit de la couche
toutes les ex- pansions dendritiques, contient, comme dans l'écorce
cérébrale
ordinaire, un grand nombre de fibres tangentiel
hose, ainsi que l'a montré Blumenau, qu'un prolongement de l'écorce
cérébrale
, dont ils possèdent la même structure fondament
èdent la même structure fondamentale. La simplification des couches
cérébrales
est encore beaucoup plus grande dans l'induseum
e ici, comme dans Les nerfs do Lancisi représentent une ccorC'e
cérébrale
très simplifiée. Deuxième circon- colution
noyau lenticulaire. - oi, sillon collatéral. l', pied du pédoncule
cérébral
. - l'es, pédoncule céré- belleux supérieur. - P
de Gratiolet. - SR, substance réticulée de la calotte du pédoncule
cérébral
. Tap, tapetum. - Tgp, pilier postérieur du trigon
-circularis. Zr, zone réticulée ou grillagée. STRUCTURE DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 703 2° la couche des petites cellules pyramida
de la région adjacente de la corne d'Ammon; par la voie du trigone
cérébral
, ces fibres entrent dans la constitution de la
hip- pocampe et avec des régions plus ou moins éloignées du manteau
cérébral
. 2° Corne d'Ammon. -La corne d'Ammon constitue
sentent, ainsi que Mathias Duval l'a mon- tré, deux circonvolutions
cérébrales
adhérentes entre elles par leur couche 1 molécu
ge la circonvolu- tion godronnée, qui représente une circonvolution
cérébrale
avortée, proton- STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRAL
une circonvolution cérébrale avortée, proton- STRUCTURE DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 705 1 dément modifiée, plissée en forme débour
u sillon de l'hippocampe ; 2° par la superposition des deux écorces
cérébrales
dans la région du hile , de la circonvolution (
qu'il existe à ce ni- veau une sllpelposi- tion de deux écorces
cérébrales
. Limites de la corne d'Ammon. i Région go
d'.\mmon. Structure de la corne d'Ammou. STRUCTURE DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 707 d'Ammon : 1° La région inférieure ou hippo
e la circonvolution godronnée et il existe à ce niveau deux écorces
cérébrales
superposées. La ligne poinlillée ..... correspo
couches de la corne d'Ammon et celles de l'écorce du man- teau
cérébral
. Les 5 couches de la corne d'Ammon de Cajal
uches de la corne d'Ammon aux quatre couches de l'écorce du manteau
cérébral
, on peut construire le tableau ? 1riv : mt, : v .
t construire le tableau ? 1riv : mt, : v . '. STRUCTURE DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 70'9 « . tum, la couche dès cellules pyramidal
cette couche soit dans la couche moléculaire. STRUCTURE DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. ili la couche des cellules pyramidales; il est
le à celle des cellules pyramidales grandes et moyennes de l'écorce
cérébrale
typique. Les couches les plus supérieures conti
teindre les confins de la couche moléculaire. STRUCTURE DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. il : ) Les panaches dendritiques (descendants
nstitution des fibres transversales ou commissurales du trigone
cérébral
. Cette branche col- latérale ne doit pas être c
gnant la périphérie de la couche moléculaire. STRUCTURE DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 715 Iules pyramidales sedistinguent par des ca
éo de la corno d'Ammon, se conti- nue avec une fibre du trigone
cérébral
. L'épaisse collaté- rale il trajet ascen- d
e cylindre-axe pénètre dans la corne d'Ammon. STRUCTURE DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 717 1 3. Stratum oriens. Couche des cellules p
analogue à celui des cellules décrites par Martinotli dans l'écorce
cérébrale
typique, il s'arborise dans la couche moléculaire
couche moléculaire. - c, c, cylindres-axes. STRUCTURE DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. il\) présentent des particularités intéressant
laire, la couche des cellules pyramidales, le STRUCTURE DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 721 stratum oriens, et sont toutes destinées à
ésente donc en résumé, d'après Cajal, l'écorce d'une circonvolution
cérébrale
, à texture simplifiée dans les couches pro- fon
le ou moléculaire. Tandis que dans la couche moléculaire de l'écore
cérébrale
typique, il n'existe STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉ
ire de l'écore cérébrale typique, il n'existe STRUCTURE DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 723 qu'un seul plexus formé par les cylindres-
ution godronnée, comme on l'observe dans les autres circonvolutions
cérébrales
; elle en est séparée par une deuxième écorce,
volutions cérébrales ; elle en est séparée par une deuxième écorce,
cérébrale
possédant une couche molécu- laire, une couche
a corne d'Ammon. Il résulte de la superposition de ces deux écorces
cérébrales
, que les fibres de la circonvolution godronnée
destination (fig. 351 et 353). Cette superposition de deux écorces
cérébrales
est particulièrement évidente au niveau de la ban
La circonvolu- tion godronnée re- présente une circon- volution
cérébrale
avortée. Son écorce est su- prpo,rée : l·dc
rois couches fondamen- tales que l'on rencontre dans la corticalité
cérébrale
et dans la corne d'Ammon, à savoir : la couche
laire. Cette couche, analogue à celle de même nom de la corticalité
cérébrale
, reçoit les panaches épineux des grains ou cell
onvolution godronnée; on y trouve en outre, comme dans toute écorce
cérébrale
, un grand nombre de fibres tangentielles et deu
he des éléments polymorphes (fig. 363, c, f). STRUCTURE DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 725 . 3 Ramifications cylindre-axiles terminal
s-axes ascendants dans la couche moléculaire. STRUCTURE DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. ï27 nellement, enfin que ces cellules présente
e nettement des cellules pyramidales des autres régions de l'écorce
cérébrale
. Le cylindre-axe de ces cellules est fin et dépou
llatéral inférieur d'une de ces expansions. STRUCTURE DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
, ? )9 fibres moussues (fig. 366). Ils présenten
gue ainsi due l'a indiqué Schâffer, à celle de même nom de l'écorce
cérébrale
, est limitée en haut par le stratum granulosu
ouche moléculaire.. B, cou- che des grains. STRUCTURE DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. nI couche moléculaire de la circonvolution god
lfactif. . Bulbe olfactif. - Le lobe olfactif représente une écorce
cérébrale
pro- fondément modifiée, surtout au niveau du b
inte des flèchesindique le sens des courants. STRUCTURE DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 737 Iules d'origine sont encore inconnues. Ces
dent dans le tuber- cule mamillaire et dans la calotte du pédoncule
cérébral
. De ce qui vient d'être dit, il résulte donc, a
ésente, ainsi que Calleja vient de le montrer récemment, une écorce
cérébrale
avortée caractérisée par le groupement en îlots
iable : les uns sont semi-lunaires et très rapprochés de la surface
cérébrale
, les autres affectent une forme ovoïde ou arrondi
lon par celle du septum lucidum qui représente une véritable écorce
cérébrale
profondément modifiée. Le septum lucidum, qui a
e l'hémisphère, et qui est par conséquent l'homo- logue de l'écorce
cérébrale
, est constitué de la manière suivante : la face d
ventricule delà cloison correspondu bipartie STRUCTURE DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 739 superficielle de cette écorce rudimentaire
ie, 1879. CAJAL (S. Ramon y). Te : ¡;(lIra de las ci·convnheci.ones
cérébrales
de los ? n( ! ))H'/e)'0 ! i inferiores, 10 décemb
de cellulas nerviosas espcciales en la primera capa de la cor- tcza
cérébral
. Gaz. med. Catalana, 1890. - Du même. Sobre la ex
ifu1'cacionesy colaterales en la primera capa de las circonvoluciones
cérébrales
. Gaceta medica ~ catalana. Noviembre, 1891. Du
~ catalana. Noviembre, 1891. Du même. Sur la structure de l'écorce
cérébrale
de quelques mammifères, avec pl. La Cellule, 18
Vicq d'Azyr, 1887. Du même. Contributo allô studio della corteccia
cérébrale
ed alt' origine dei nervi. Ann. di freniatria e
os de las aves. Gac. san. de Barcelona, 1890. STRUCTURE DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
. 741 - Du même. El encefalo de los reptiles. ni
it- schr. f. wissench. Zool. 1891, Leipzig. Sala. PONS. La. corteza
cérébral
de los aves. Madrid, 1893. Schabeer. Beitrag zu
78. Thomas (A.). Contribution à l'étude de l'évolution des cellules
cérébrales
par la méthode de Golgi (Société de Biologie, 189
rvenk. 4887. - . CHAPITRE V 0 SUBSTANCE BLANCHE DES HÉMISPHÈRES
CÉRÉBRAUX
Les ^fibres de la substance blanche compren
sous-jacente à n'importe quelle partie de l'écorce, soit du manteau
cérébral
, soit du rhinencéphalon, comprend quatre espèces
iation qui relient deux régions plus ou moins éloignées de l'écorce
cérébrale
; 2° des fibres commissurales qui unissent les d
sphères entre eux; 3° des fibres de projection qui relient l'écorce
cérébrale
aux ganglions centraux, à la région sous-optique,
omprennent : a, des fibres nées d'une région quelconque de l'écorce
cérébrale
et qui se terminent en s'arborisant dans une autr
nt par des arborisations libres dans la substance grise de l'écorce
cérébrale
. Les fibres d'association naissent de préférenc
, la commissure antérieure et les fibres trans- versales du trigone
cérébral
(fornix transversus de Forel, faisceau commis-
commissural du rhinencéphalon, et le corps calleux celui du manteau
cérébral
. L'origine des fibres calleuses est complexe. Q
ollatérales, qui setDrnrtlre11t par des arborisations dans l'écorce
cérébrale
. Chaque fibre calleuse est donc en réalité comp
égions symétriques et asymétriques de l'écorce des deux hémisphères
cérébraux
. 3 Les fibres de projection naissent de tous le
pètes se terminent par des arborisations libres dans l'écorce
cérébrale
. Cajal elles viennent en outre des cellules pyr
let ces Ë libres terminales, ne les décrit pas à part dans l'écorce
cérébrale
. L'étude * .. de ces fibres est en effet partic
considérable pour constituer un facteur très important de l'écorce
cérébrale
(Cajal). Parmi ces fibres les unes, ainsi que n
ubstance grise dans les couches moyennes et inférieures de l'écorce
cérébrale
. Nous n'étudierons ici que les systèmes des fib
nert, fibres arquées d'Al'11old, fibres propres des circonvolutions
cérébrales
). - Les courtes fibres d'association relient de
l l'autre, qui compliquent l'étude des circonvolu- tions du manteau
cérébral
. Les fibres les plus courtes et les plus superfi-
l'hémisphère. Les quatre autres faisceaux appartiennent au manteau
cérébral
dont ils relient les différents lobes. Le faisc
| in]). Arnold le considérait à tort, comme formant avec le trigone
cérébral
un seul et même système, simple au niveau de la
campe, dédoublé au niveau du corps calleux. Il désignait le trigone
cérébral
sous le nom de fornix intérims, le cingulum Fon
irconvolutions frontales. Il étage inférieur ou pied du pédon- cule
cérébral
. - l'Tnl, pédoncule du tubercule mamillaire latér
ance innommée de Reichert. - Slri, stratum intermedium du pédoncule
cérébral
. - Ti, première circonvolution temporale. - Te, t
splénium), sur le forceps et sur le système commissural du trigone
cérébral
(Lyre de David) (fig. 378, 379, 380). Le lapetu
me terminale embryonnaire. oisillon occipilo-tcmporal. P, pédoncule
cérébral
. po, scissure pariéto-occipilale. PrC.précunéus
le influence, s'opérerait une telle transformation. Dans l'agénésie
cérébrale
congénitale, il s'agit en effet d'un arrêt de d
terne. - ds, diverticule du subiculum. Ec, bord d'arrêt de l'écorce
cérébrale
. ? Fli, faisceau longitudinal inférieur. - ? ci
demeure intact après la section du corps calleux, lorsque l'écorce
cérébrale
n'est pas acciden- tellement lésée pendant l'op
tance grise qui relie l'avant-mur au noyau amygdalien et à l'écorce
cérébrale
avoisinante (fig. 386). Sur les coupes traitées
vec les fibres de ce segment postérieur dans le pied du pédon- cule
cérébral
, dont elles concourent à former le cinquième exte
partie moyenne de la couche optique, le noyau rouge et le pédoncule
cérébral
. Méthode de Weigert. Agrandissement 3/2. Détail
collatéral et au troisième sillon temporal. - P, pied du pédoncule
cérébral
. Pa, circonvolution pariétale ascendante. Parc, l
illé interne, au pulvinar, au globus pallidus, au pied du pédoncule
cérébral
, etc., etc. ; elle doit donc nécessai- rement.
. jection du lobe temporal qui descendent dans le pied du pédoncule
cérébral
. 116 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le faiscea
S CENTRES NERVEUX. Le faisceau ex- terne du pied du pé- doncule
cérébral
ou faisceau « de Tiirck » ne reçoit pas de fi
s qui constituent le cinquième externe environ du pied du pédoncule
cérébral
, c'est-à-dire que les fibres du « faisceau dit
pes microscopiques sériées, lui ont montré que le pied du pédoncule
cérébral
, ainsi que le segment posté- rieur de la capsul
apsule seul est altéré. Vialet, dans ses recherches sur les Centres
cérébraux
de la vision, est arrivé aux mêmes résultats. L
adrijumeau antérieur, mais respecte absolument le pied du pédoncule
cérébral
. Par contre, dès que les altérations corticales
ccolé, n'envoie pas de libres dans l'étage infé- rieur du pédoncule
cérébral
. Isolé ou associé aux radiations optiques, le f
lobe occipital et qui constituait le faisceau externe du pédoncule
cérébral
. Pour Brissaud, qui adopte les idées des auteur
tif interne, aboutissant tous deux au faisceau externe du pédoncule
cérébral
ou faisceau de Tiirck. Cette conception ne peut
a sensibilité générale. (Voy. t. II, Ruban de Reil et Localisations
cérébrales
.) Le faisceau de Tùrck n'est pas le seul faisce
des fibres de projection tout comme les autres régions de l'écorce
cérébrale
, et que ces fibres arrivent à leur destination
terme de fornix est aujourd'hui universellement appliqué au trigone
cérébral
; l'usage n'a pas en effet fait prévaloir le terme
pliqué par Arnold au cingulum. Or, nous distinguons dans le trigone
cérébral
le corps du fornix, les colonnes du fornix, les
e Gudden, Forel, Honegger, etc., ont montré en outre que le trigone
cérébral
renferme un système fort complexe de fibres : o
es ces raisons nous réserverons donc le terme de forai ? au trigone
cérébral
et désignerons la couche de fibres d'associatio
verse de Forel. Ce dernier faisceau ne peut être séparé du trigone
cérébral
, FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 787
u système des fibres de projection. du rhinencéphalon (Voy. Trigone
cérébral
, t. II). Corps calleux (Ce). Les fibres calle
érique, qui relie entre elles toutes les circonvolutions du manteau
cérébral
, à l'exception du lobe olfactif et de l'extrémi
sociation ou des fibres de projection. Nées de toute la corticalité
cérébrale
, elles convergent à la façon des rayons d'une r
misphère du côté opposé. Dans leur trajet radié, étendu de l'écorce
cérébrale
à l'angle externe du ventricule latéral, les fi
ntant, ainsi que nous l'avons dit à maintes reprises, qu'une écorce
cérébrale
plus ou moins modifiée; mais, ainsi que le fait
nce du corps calleux dans les lésions occi- pitales. l'écorce
cérébrale
ne soit pas accidentellement lésée pendant l'opér
es dégénérescences secondaires consécutives aux lésions de l'écorce
cérébrale
, les fibres du tapetum dégé- nérant en effet co
Les lésions primitives, colorées en orangé, sont limitées à l'écorce
cérébrale
et épargnent presque complètement la masse blan
de dégé- nérescences secondaires colorées en jaune paille. L'écorce
cérébrale
est ratatinée et sclérosée au niveau des foyers
tivement à n'importe quelle lésion un peu étendue de la corticalité
cérébrale
, comme l'ont, mon- Le cas a trait a un maiacie
s sous-corticales ou dans les foyers primitifs, étendus de l'écorce
cérébrale
à l'épendyme ven- triculaire. Dans ce dernier c
é par un grand nombre de fibres qui, venant de toute la corticalité
cérébrale
(à l'exception du lobe olfactif et de la pointe
surant le fonctionnement simultané de différents points de l'écorce
cérébrale
du même côté et du côté opposé. z Quant à l'anc
urs, où son développement est en raison directe de celui du manteau
cérébral
. La commissure antérieure est un faisceau blanc
ule-striées), qui sont le point de départ fréquent de l'hémorrhagic
cérébrale
. Sur un cerveau durci par l'alcool ou les bichrom
SCHN : 1LBE. Lehrbuch der Neurologie. 1881. VIOLET (N.). Les centres
cérébraux
de la vision. Th. de Paris, 1893. Du même. Note
MÉMOIRE SUR LES PLIS
CÉRÉBRAUX
DE L'HOMME Kl DES PRIMATES, PAR M. PIERRE G
t atteindre. J'ai, dans ce travail, étudié scrupuleusement les plis
cérébraux
des singes. Plusieurs raisons m'ont engagé à trai
aîne de l'Homme aux Hapalinés, j'ai pu étudier l'arrangement des plis
cérébraux
, et j'ose espérer que, par le nombre de figures o
l'analogie singulière que présentent, dans tous ces êtres, les formes
cérébrales
. Le cerveau plissé de l'Homme et le cerveau lisse
mun à tous ces êtres. Cette uniformité dans la disposition des plis
cérébraux
dans l'Homme et dans les Singes est digne, au plu
on des philosophes. De même, il y a un type particulier de plissement
cérébral
dans les Makis, les Ours, les Felis, les Chiens,
peuvent être aisément réunies d'après la seule considération des plis
cérébraux
. 11 serait utile d'examiner successivement chac
dans l'état actuel de la science, celle de la détermination des plis
cérébraux
homologues dans des animaux appartenant à des fam
l'espèce humaine, par une étude approfondie des variétés que les plis
cérébraux
présentent, aux différents âges de la vie, dans l
hui le comble aux bontés dont il m'honore. MÉMOIRE SUR LES PLIS
CÉRÉBRAUX
DE L'HOMME ET DES PRIMÂTES. PREMIÈRE PARTIE.
é de son vain système, n'eût enfin donné à cette partie de l'anatomie
cérébrale
une précision plus grande. Mais il ne s'agissait
es. A. Les premières observations relatives à la structure des plis
cérébraux
sont dues a Vicq-d'Azyr. Il remarque qu'à la part
n grossière, mais faisant image. Comparons l'écorce de l'hémisphère
cérébral
à une grande bourse portant une large ouverture.
utes celles qui sortent de sa cavité Ces fibres, attachées au noyau
cérébral
qui termine l'axe, ne forment point des rayons ré
paisseur des couches corticales. Ces couches, appliquées sur le noyau
cérébral
et moulées, en quelque sorte, autour des ventricu
ions fausses ou insuffisantes je substitue le nom plus simple de plis
cérébraux
, qui convient à la description du cerveau de tous
orticales n'ont aucune adhérence avec les fibres qui émanent du noyau
cérébral
; au sommet des plis, au contraire, les fibres pé
ent dans les couches, et l'adhérence est intime. % Ainsi les plis
cérébraux
indiquent, d'une manière fidèle, les séries des p
on avec l'écorce du cerveau. Sous ce point de vue, l'étude des plis
cérébraux
intéresse éminemment le physiologiste, et leur di
ai donc conçu le dessein de m'élever ainsi à la connaissance des plis
cérébraux
de l'Homme (1). (1) Les résultats auxquels je s
n-thropologistes l'idée de ne plus négliger la considération des plis
cérébraux
des races qu'ils étudient. C'est là une mine féco
et pleins, et juger, d'après cela, que l'équivalence du développement
cérébral
dans les différentes races soit un procédé digne
ando, plusieurs anatomistes ont essayé de décrire les circonvolutions
cérébrales
. M. le professeur Cruveilhier, après avoir admis
e postérieur sont : 4*' La circonvolution qui longe la grande fente
cérébrale
et continue la circonvolution du corps calleux ;
s ces circonvolutions partent de la circonvolution de la grande fente
cérébrale
. De la partie antérieure de cette circonvolution
n résumé, la description que M. Cruveilhier donne des circonvolutions
cérébrales
de l'Homme. Cette description est bien comprise,
épaisseur, est toujours en raison directe du volume de l'hémisphère «
cérébral
. » Bien que M. Fréd. Arnold n'ait point essayé
que M. Fréd. Arnold n'ait point essayé de décrire les circonvolutions
cérébrales
, il serait injuste, toutefois, de le passer sous
son tour, de déterminer la nature et la position des circonvolutions
cérébrales
des Mammifères et de VUomme (Anat. ñîòð. du cerve
ressortir la comparaison des circonvolutions de l'Homme avec les plis
cérébraux
des Singes. § "V. Si l'histoire de l'anatomie
eau de l'Orang, et en outre il en a donné le profil externe; les plis
cérébraux
ne sont nullement indiqués sur ses figures. M.
, les figures qu'ont données MM. Valider Kolk et W. VVrolik; les plis
cérébraux
du Chimpanzé y sont fort bien étudiés, malheureus
des groupes principaux que forment dans l'Homme, les circonvolutions
cérébrales
, et, en second lieu, de déterminer suivant quelle
imordiale du type ; dans les derniers, la réduction .'Íes appareils
cérébraux
est poussée si loin, que nulle ligne circonvoluti
t. Une grande scissure médiane divise, comme dans l'Homme, la masse
cérébrale
en deux moitiés symétriques ; on donne a ces moit
st, à peu de chose près, plane et régulière. L'ensemble de la masse
cérébrale
étant ainsi divisé en deux moitiés égales et symé
dre pour n'être point rejetées. J'étudierai successivement les plis
cérébraux
de la face externe de l'hémisphère et ceux qui en
dignité de chaque espèce et du degré de son intelligence. Les plis
cérébraux
du Callitriche sont très-simples, assez larges, à
sont, en général, très-profonds et descendent souvent jusqu'au noyau
cérébral
. Leur description demande absolument le secours
escription demande absolument le secours d'une figure. § vm. PLIS
CÉRÉBRAUX
DE LA FACE EXTERNE. Deux scissures principales
oyons, en effet, que le rapport des différentes parties de la surface
cérébrale
avec les trois vertèbres fondamentales du crâne n
u préférables à toutes les autres. Décrivons succinctement les plis
cérébraux
qui se dessinent sur les quatre lobes que nous av
rd épais remarquable par sa saillie, mais dont les limites, comme pli
cérébral
, ne sont bien déterminées que du côté de la sciss
le interne du champ olfactif ou quadrilatère perforé. Tous les plis
cérébraux
de la face interne sont disposés, suivant des dir
tre point qu'il importe de remarquer dans l'histoire du développement
cérébral
est relatif à la mesure de l'angle que forme la s
ure, divisent d'une façon très-simple la face interne de l'hémisphère
cérébral
. Toute cette partie de la face interne, qui est
ace interne de l'hémisphère, qui est située au-dessous de l'ouverture
cérébrale
et de la partie postérieure de la circonvolution
lobule occipital interne, 3° Le lobe occipito-temporal. Les plis
cérébraux
qui occupent la surface de ces lobes sont, en gén
e bien fait seraient encore préférables. § XIL Tels sont les plis
cérébraux
du Callitriche. Je les ai décrits avec un soin et
tail peut-être fastidieux ; mais l'uniformité du plan d'organisation
cérébrale
dans les Primates est si grande, que cette descri
lorié en couleurs diverses, dans mes figures, les différentes régions
cérébrales
. Je n'avais d'abord appliqué cette méthode qu'à q
l'ordre descendant les Macaques et les Cynocéphales. § XIII. PLIS
CÉRÉBRAUX
DES GUENONS. Le cerveau des Guenons est, en gén
ient de la manière la plus irrégulière ; quoi qu'il en soit, les plis
cérébraux
paraissent un peu plus riches dans la Mone que da
n peut tirer de ces particularités des caractères intéressants. PUS
CÉRÉBRAUX
DES SEMNOPITHÈQUES. Si des Guenons proprement d
tion zoologique du Soulili, d'après les lois connues du développement
cérébral
. En un mot, les seuls témoins irrécusables, les
grande analogie n'est pas moins évidente dans la disposition des plis
cérébraux
. S XV. PLIS CÉRÉBRAUX DES GIBBONS. La colle
moins évidente dans la disposition des plis cérébraux. S XV. PLIS
CÉRÉBRAUX
DES GIBBONS. La collection du muséum ne posséda
erons quelques observations. Dans le fœtus dont il s'agit, les plis
cérébraux
postérieurs sont bien développés, tandis que les
âge très-avancé, et par conséquent de perfectionner son organisation
cérébrale
? Un fait curieux, dont M. Baillarger a entretenu
degrés les plus infimes de cette série, et passons à l'étude des plis
cérébraux
des Macaques et des Babouins, de ces animaux hide
ieux encore les signes d'une dégradation universelle. § XVI. PLIS
CÉRÉBRAUX
DES MACAQUES. Nous décrirons séparément le cerv
agots, qui s'en rapprochent par tous les détails de leur organisation
cérébrale
. (1) C'est là une opinion fort connue de Tiedem
liées par M. Lelut sur les crânes des idiots et des imbéciles. Plis
cérébraux
des Macaques à queue courte (pi. YIII, fig. 7, 8,
ici, de peur de tomber dans des répétitions inutiles. § XYIL PLIS
CÉRÉBRAUX
DES VRAIS MACAQUES. Dans tous les Macaques que
iers, nous distinguerons, pour la richesse et la grandeur de ses plis
cérébraux
, le Pithecus inuus, c'est-à-dire le Magot. Le Man
t le Bonnet chinois paraissent terminer cette série. § XVÏIL PLIS
CÉRÉBRAUX
DES CH ROPITHÈQUES OU BABOUINS. Le cerveau des
Singes. Par la grandeur de leur lobe pariétal et la richesse des plis
cérébraux
, ils se distinguent du Rhésus. Par la petitesse d
la juste réputation de leurs auteurs. J'ai analysé avec soin les plis
cérébraux
de l'Orang et ceux du Chimpanzé ; quand ils m'ont
cerveau de l'Orang-Outang; le cerveau du Chimpanzé. § xx. plis
CÉRÉBRAUX
DE l'ORANG-OUTANG. J'ai étudié le cerveau de VO
assez les lèvres de la scissure de Sylvius pour les examiner. Plis
cérébraux
de la face interne. Ces plis étaient bien connus
ses plis, et se rattache à une tout autre catégorie. § XXI. PLIS
CÉRÉBRAUX
DU TROGLODYTE CHIMPANZÉ. Je ne connais du cerve
Wrolick sont beaucoup meilleures (voy. pl. VI, fîg. 5 et 6). Les plis
cérébraux
y sont bien caractérisés; malheureusement l'état
je ne suis point en mesure de résoudre, par la considération des plis
cérébraux
, cette importante question. Toutefois je pourra
is. Ils n'accusent point, il est vrai, tous les détails de la surface
cérébrale
, qui chez ces animaux, de même que dans VOrang-Ou
que rappelle celle du cerveau des Cynocéphales. Ajoutons que les plis
cérébraux
laissent sur la boîte du crâne des impressions un
oposition : Le Chimpanzé et VOrang, jugés d'après leur organisation
cérébrale
, appartiennent à deux groupes, à deux types diffé
avec le type humain les plus grandes analogies. § XXIV. des plis
cérébraux
de l'homme. On connaît la forme du cerveau de l
ucoup moins excavé. dans la partie qui correspond au cervelet. Plis
cérébraux
. — Telles sont, en général, les relations des lob
e de deux, à savoir : Un pli supérieur qui longe la grande scissure
cérébrale
(pl. I, fig. '1.3'3'). Ce pli, fort simple et à p
faut arriver au cerveau des blancs idiots par arrêt de développement
cérébral
. Plis du lobe pariétal dans l'Homme. Plis asc
jusqu'au lobe occipital forment, de chaque côté de la grande scissure
cérébrale
, une bande large et chargée de plis nombreux (5'
t superficiels. Ce fait, au point de vue de la comparaison des plis
cérébraux
de l'Homme et de ceux des Singes, est au plus hau
il me semble qu'il y a plus de variétés dans la disposition des plis
cérébraux
de VOrang. Le Chimpanzé présente, sous ce point d
ésente, sous ce point de vue, quelques signes d'infériorité. Les plis
cérébraux
offrant, dans les différents individus de cette e
ts que je ne dois pas omettre ici. Ainsi, dans l'Homme, 4° Les plis
cérébraux
de la face interne sont beaucoup moins compliqués
liqués que ceux de la face externe ; 2" A la face externe, les plis
cérébraux
, très-nombreux et très-profonds dans tous les poi
le, les principaux caractères qui distinguent ou rapprochent les plis
cérébraux
de l'Homme de ceux des Singes. Disons maintenant
étrie rappellent involontairement la régularité, la symétrie des plis
cérébraux
dans les espèces inférieures. Il y a, sous ce rap
n admiration lorsque, jetant un coup d'œil sur l'arrangement des plis
cérébraux
, je retrouvai ce groupe de plis réguliers occupan
llèle qu'avec le cerveau des blancs idiots par arrêt de développement
cérébral
. Or la Vénus hottentote n'était point idiote. C
que nous venons d'invoquer ne s'appliquent pas seulement aux organes
cérébraux
, ils s'étendent à tous les systèmes organiques. D
que le droit de charité. Nous avons successivement analysé les plis
cérébraux
de l'Homme et des Primates de l'ancien continent,
nant aux Singes américains; et, après avoir vu comment l'organisation
cérébrale
s'agrandit et se développe, recherchons suivant q
voie s'opèrent la dégradation successive et l'anéantissement des plis
cérébraux
dans les Sapajous, dans les Sagouins et dans les
istote, Hisloriœ anim. , lib. II, § 13 ). (ìe vue de l'organisation
cérébrale
, est un fait que la raison seule aperçoit après u
es Sakis; Au quatrième, enfui, les Pinches et les Ouistitis. PLIS
CÉRÉBRAUX
DES CÈBES DU PREMIER GROUPE OU SAPAJOUS. Je déc
nt été en mon pouvoir de combler cette lacune (1 ). § XXVII. PLIS
CÉRÉBRAUX
DE l'aTÈLE BELZÉBUTH. Le cerveau des Áteles, du
au lobe temporal, ses plis ne présentent rien de particulier. Plis
cérébraux
de la face interne. Les plis cérébraux de la fa
rien de particulier. Plis cérébraux de la face interne. Les plis
cérébraux
de la face interne sont faciles à reconnaître. La
riches. Sauf ces différences, la description qui convient aux plis
cérébraux
de l'Atèle convient également aux plis cérébraux
ui convient aux plis cérébraux de l'Atèle convient également aux plis
cérébraux
du Lagotriche. Tels sont les plis cérébraux de
ient également aux plis cérébraux du Lagotriche. Tels sont les plis
cérébraux
de l'Atèle et du Lagotriche. Ces plis offrent un
oisins, diffèrent singulièrement au point de vue de leur organisation
cérébrale
. Je pense qu'en comparant attentivement des Saïs
en soit, le cerveau du Sai diffère beaucoup de celui du Sajou. Plis
cérébraux
du Saï capucin. Le cerveau du Saï capucin rappe
de la face externe, ils sont extrêmement minces. Tels sont les plis
cérébraux
du Saï capucin. Ils présentent, comme on l'a vu,
dont nous venons de décrire sommairement le cerveau, § XXX. PLIS
CÉRÉBRAUX
DU SAJOU BRUN [Ccbus apella). Le cerveau des Sa
s sont les derniers Singes qui présentent le système complet des plis
cérébraux
. Dans les Sagouins et les Ouistitis, que nous a
connaissance des faits que nous allons sommairement indiquer. PLIS
CÉRÉBRAUX
DES CÈBES DU TROISIÈME GROUPE. § XXXL PLIS CÉ
quer. PLIS CÉRÉBRAUX DES CÈBES DU TROISIÈME GROUPE. § XXXL PLIS
CÉRÉBRAUX
DES SAGOUINS. Le cerveau des Sagouins présente
u des Sagouins présente un exemple curieux de la dégradation des plis
cérébraux
dans les Singes américains. Sa forme générale c
èce humaine, il peut y avoir des animaux absolument dépourvus de plis
cérébraux
. De même, tandis que les Makis, ces chefs des I
même, tandis que les Makis, ces chefs des Insectivores, ont des plis
cérébraux
évidents et profonds, les derniers Makis et les I
res, chaque groupe défini présente un type particulier d'organisation
cérébrale
. 2** Le type n'est point caractérisé par l'abse
type n'est point caractérisé par l'absence ou par la présence de plis
cérébraux
, mais par la forme intrinsèque du noyau cérébral
la présence de plis cérébraux, mais par la forme intrinsèque du noyau
cérébral
et des hémisphères, et quand les plis existent pa
s une ressemblance commune. Ainsi, en effaçant par la pensée les plis
cérébraux
des premières, on retrouverait, au terme de ces r
irait le cerveau des premières. Donc, de ce qu'un animal a des plis
cérébraux
, on ne peut rigoureusement conclure à sa supérior
istiti, la Chauve-Souris et l'Ecureuil n'en ont point. Ainsi des plis
cérébraux
peuvent enrichir un type inférieur; mais, en rend
ue soient, d'ailleurs, leur intelligence et la richesse de leurs plis
cérébraux
. S XXXII. Ce cerveau des Ouistitis et des Pin
al, très-réduit, d'ailleurs, dès cette époque. Le reste de la surface
cérébrale
est encore absolument lisse. Ainsi, sur ce cerv
chaîne des faits sur lesquels ces vérités reposent. Les hémisphères
cérébraux
sont essentiellement composés de lames nerveuses
eur. Quant aux collines elles-mêmes, nous leur donnons le nom de plis
cérébraux
; ces plis, en se groupant d'une façon régulière,
s régions ou lobes, qui sont des divisions naturelles de l'hémisphère
cérébral
. Nous distinguons cinq lobes sur la face extern
scissure perpendiculaire externe, sépare du lobe pariétal. Les plis
cérébraux
sont marqués sur les différents lobes d'une façon
à celles que nous avons signalées sur la face externe de l'hémisphère
cérébral
se retrouvent sur la face interne, mais avec une
on profonde de la scissure des hippocampes et par la grande ouverture
cérébrale
. Les plis de ces différents lobes sont très-sim
s concentriques s'enroulant autour du corps calleux et de l'ouverture
cérébrale
. Une longue scissure les distingue. Le pli qui
antérieure du pli temporal moyen qu'un seul pli entourant l'ouverture
cérébrale
, qu'ils désignent sous le nom de circonvolution c
rtout les variations que présente la position relative de l'ouverture
cérébrale
. Dans les Primates les plus élevés, elle s'éloign
ndiculaire interne est très-voisine du bord postérieur de l'ouverture
cérébrale
; mais, dans les Singes plus parfaits, elle s'en
ges très-différents, on pourrait concevoir une égale quantité de plis
cérébraux
; mais cette quantité ne serait pas distribuée, d
lacement singulier chez les Singes qui ont un système complet de plis
cérébraux
. Quand les divisions s'effacent, les derniers pli
. § XXXYH. Nous avons enfin terminé cette longue analyse des plis
cérébraux
dans la série entière des vrais Primates ; nous n
s, si j'ose ainsi m'exprimer, se disputent la surface de l'hémisphère
cérébral
. Si l'un d'eux s'agrandit, il refoule le lobe v
utre le perd. Ce qui se dit des lobes peut se dire également des plis
cérébraux
. Mais, quels que soient ces mouvements, ces osc
nous supposons, avec les partisans de cette doctrine, que ces régions
cérébrales
ont des fonctions distinctes, que chacune d'elles
et libre cavité. C'est une voûte sous laquelle les plis et les lobes
cérébraux
s'avancent, se reculent, s'étalent, se resserrent
La crânioscopie ne peut révéler qu'une chose, la grandeur de la masse
cérébrale
. Or qui oserait, d'après la masse seule, juger de
ence n'est point ici ou là dans le cerveau, et que toutes les lésions
cérébrales
l'affectent ou l'altèrent d'une manière semblable
des hémisphères, uniformément présente à tous les points des surfaces
cérébrales
, est-elle sollicitée dans tous ces points d'une m
e semblable? C'est là une question que l'examen des plis et des lobes
cérébraux
m'a suggérée. Ces plis, avons-nous dit ailleurs
es. Ces expansions fibreuses, établissant un rapport entre les plis
cérébraux
et l'axe médullaire, mettent, par la moelle, ces
t-être posé : de deux choses l'une; ou bien chaque pli, chaque région
cérébrale
est en rapport uniforme avec le corps tout entier
uniforme avec le corps tout entier, ou bien chaque pli, chaque région
cérébrale
a avec les centres organiques principaux, sources
tats que donne une étude approfondie des plis, des lobes, des régions
cérébrales
. Sous ce point de vue, nous regretterons que no
essaire de choisir, relativement à l'Homme, des animaux où les points
cérébraux
homologues soient parfaitement déterminés; or les
s possibles? Une sensibilité trop vive, l'extrême gravité des lésions
cérébrales
dans des animaux aussi élevés permettront-elles d
s pour distinguer les effets particuliers de la soustraction d'un pli
cérébral
d'avec les effets généraux qu'une opération parei
le de l'homme et des animaux vertébrés (1), comparé à celui des nerfs
cérébraux
, et montrent que chez les mollusques comme chez l
e antérieure de ce ganglion est peut-être un rudiment des hémisphères
cérébraux
. Ce rudiment d'hémisphère donne naissance à un ne
un cervelet plutôt qu'un des tubercules quadrijumeaux ou un appendice
cérébral
. M. Carus a émis une idée théorique sur la vale
à un même nerf, et la cinquième paire peut remplacer les autres nerfs
cérébraux
. A ce raisonne ment, M. Serres ajoute : « le ga
és. 2. Le double ganglion céphalique n'est pas l'analogue des lobes
cérébraux
. S. Ce ganglion est toujours situé au côté lumi
lion céphalique à la chaîne ganglionaire, représentent les pédoncules
cérébraux
. h. Les nerfs de la chaîne ganglionaire ont une
ons encéphaliques sont : 1° les ganglions olfactifs; 2° les ganglions
cérébraux
; 3° les ganglions optiques; 4° les tubercules qua
même doubles de chaque côté, on les voit aussi se réunir au ganglion
cérébral
. Dans ce dernier cas, il n'existe au devant des l
ne séparation bien tranchée entre le ganglion olfactif et le ganglion
cérébral
, ce sont des organes tout-à-fait distincts l'un d
nerfs, du même nom, en arrière ils sont en contact avec les ganglions
cérébraux
; en bas ils sont implantés sur les prolonge-mens
d'une cavité ainsi que les prolongemens qui les unissent au ganglion
cérébral
. 2° Ganglions cérébraux. Placés en arrière des
es prolongemens qui les unissent au ganglion cérébral. 2° Ganglions
cérébraux
. Placés en arrière des précédens, ils leur ressem
mmissure , il suffit d'écarter l'un de l'autre les lobes ou ganglions
cérébraux
, la scissure qui sépare ces lobes est traversée p
e de chaque ganglion. De même que le ganglion olfactif, les ganglions
cérébraux
sont implantés sur le prolongement antérieur de l
'Azyr, M. Cams, les ont appelés couches optiques; Camper, hémisphères
cérébraux
; Scarpa, grands tubercules du cerveau; Tréviranus
rler sont, chez certains poissons, aussi volumineux que les ganglions
cérébraux
; on les trouve, après avoir enlevé l'encéphale de
xistence de chacun des ganglions dont je viens de parler. Le ganglion
cérébral
a été confondu avec les ganglions olfactifs; j'ai
sent une communication entre les ganglions olfactifs et les ganglions
cérébraux
, et c'est ce qui a fait dire à quelques-uns d'ent
on profond qui se trouve entre le cervelet et la portion de substance
cérébrale
lobulée chez les poissons osseux, non lobulée che
faudra-t-il admettre qu'elle ait un rapport direct avec la substance
cérébrale
? Elle est contenue dans un tissu dont la disposit
a fin du dix-septième siècle, Leeuwcnhoeck, ayant soumis la substance
cérébrale
à ses recherches microscopiques, annonce que la m
pis pour la science, car il raconte sur la structure de la substance
cérébrale
, des choses que l'expérience n'a pas du tout con
pinéale, de la moelle épinière et des nerfs; ce Enfin, que la masse
cérébrale
des mammifères, des oiseaux et des poissons, cons
herches de M. Bauer, ce Si l'on met, dit-il, une portion de substance
cérébrale
dans l'eau, et qu'après l'y avoir laissée pendant
des fibres de Prochaska. Pour apercevoir la structure de la substance
cérébrale
, pourquoi recommander défaire macérer cette subst
er, et je n'ai rien vu de ce qu'il a annoncé. Des débris de substance
cérébrale
, affectant des formes très irrégulières, quelques
ans la même erreur que M. Bauer. Il n'a pas fait macérer la substance
cérébrale
avant de l'examiner, il s'est au contraire servi
rches. A l'aide de ce moyen, il dit avoir vu qu'en effet la substance
cérébrale
est composée de globules, et il a fixé le diamètr
u raison de faire choix de cerveaux frais, mais une lame de substance
cérébrale
, quelque mince qu'on la coupe, est toujours opaqu
n haut degré de certitude. M. Lan genbeck ayant placé de la substance
cérébrale
entre deux , lames de verre, y a trouve des fibre
u'ayant comprimé, entre deux lames de verre, une portion de substance
cérébrale
prise aux cuisses du cerveau de la carpe commune,
n être le résultat de la préparation que l'on fait subir à la matière
cérébrale
, avant de la soumettre à l'examen microscopique.
tiques, les tubercules quadrijumeaux, les lobes inférieurs, les lobes
cérébraux
et les lobes olfactifs. Les fibres qui entrent da
vont aux lames optiques, aux tubercules quadrijumeaux, aux tubercules
cérébraux
, aux tubercules olfactifs et aux tubercules infér
animaux. L'analogue du pédoncule est tout trouvé, c'est le pédoncule
cérébral
; l'analogue du ganglion de renforcement, c'est le
nsi un faisceau pour le ganglion inférieur, un autre pour le ganglion
cérébral
, un troisième pour le ganglion olfactif, et un qu
mmissure dont j'ai également parlé, unit entre eux les deux ganglions
cérébraux
. Le mode d'origine de ces commissures en forme
cer le ganglion antérieur au lobe optique et que j'ai appelé ganglion
cérébral
; ensuite vient le ganglion inférieur, puis le cer
ctilignes ; que les fibres des commissures qui unissent les ganglions
cérébraux
, sont un peu plus grosses que les précédentes et
cteur Valentin a vu s'échapper des tubes nerveux formant la substance
cérébrale
, une liqueur limpide, lactescente, et comme huile
celles qui croisent la moelle au niveau du cervelet et des ganglions
cérébraux
postérieurs, celles qui forment l'admirable lasci
té céphalique de la moelle épinière va se terminer dans les ganglions
cérébraux
; aux ganglions du nerf vague et du nerf trifacia
uadrijumeaux, aux lobes optiques, aux lobes inférieurs, aux ganglions
cérébraux
et aux ganglions olfactifs, vont se rendre les fa
nsverses qui forment leur commissure. 11. A l'exception du ganglion
cérébral
et du cervelet, (i) Histoire naturelle des pois
). Ces derniers ont tous des lobes olfactifs très développés, un lobe
cérébral
volumineux et un long cervelet; ils ressemblent a
is que d'autres fois il existe à peine ou se confond avec le ganglion
cérébral
. Il est très petit dans la baudroie, le brochet,
de celui du cervelet. Je ne connais aucun poisson qui ait le ganglion
cérébral
, comparé aux autres ganglions encéphaliques , plu
ui l'emporte sur les autres, chez le squale-renard, c'est le ganglion
cérébral
; le cervelet du squale-renard est énorme et trav
n y peut distinguer de très petits ganglions olfactifs, des ganglions
cérébraux
très considérables , des tubercules optiques reco
iques recouverts en grande partie par l'extrémité postérieure du lobe
cérébral
, et un cervelet allongé à-peu-près comme chez le
egarder comme pouvant servir à indiquer les attributs de la substance
cérébrale
, c'est s'exposer à de nombreux mécomptes. Avec de
, la glande pinéale, et l'origine des nerfs encéphaliques. Io Lobes
cérébraux
. Dans tous les reptiles, le cerveau l'emporte en
peu renflé, fournit les nerfs olfactifs. Lorsque l'on écarte le lobe
cérébral
du côté droit de celui du côté gauche, on les tro
nerfs olfactifs de la grenouille. couleur de la substance des lobes
cérébraux
est d'un gris blanchâtre; celle de la commissure
lacée entre ces lobes a la même apparence. Si l'on incise les lobes
cérébraux
, on les trouve creux, et la surface interne en es
n petit renflement ganglionaire, analogue au corps strié. Chaque lobe
cérébral
est comme implanté sur l'extrémité céphalique du
le crapaud et la grenouille, par exemple, il existe en avant du lobe
cérébral
, un petit ganglion olfactif qui se continue direc
les poissons. Incisés, les lobes optiques présentent comme les lobes
cérébraux
, une cavité ; la cavité du lobe droit communique
prolongemens olfactifs sont creux chez tous les reptiles ; les lobes
cérébraux
le sont également ; les lobes optiques sont creux
6° Commissure antérieure. Elle est placée un peu en arrière du lobe
cérébral
, à l'extrémité antérieure de Vinfu n-dibulum. 7
t les faisceaux de la moelle épinière se prolonger sous les ganglions
cérébraux
, sans se confondre, ni passer d'un côté à l'autre
t un petit renflement gris que l'on découvre en ouvrant le ventricule
cérébral
dont j'ai parlé plus haut. 11° Couche optique.
une petite portion de substance médullaire placée sur les pédoncules
cérébraux
du crocodile, entre ces pédoncules et les lobes o
mens fulcraux de la moelle épinière, avant leur entrée dans les lobes
cérébraux
. Ue paire. Nerfs pathétiques. Ils existent comm
té opposé. Cette commissure, émanation presque directe des pédoncules
cérébraux
, est l'analogue du corps calleux. Toute la substa
La partie la plus interne des prolongemens fulcraux se rend aux lobes
cérébraux
, elle se comporte d'une manière analogue aux fai
enflement où elles disparaissent. La presque totalité de la substance
cérébrale
, disposée en lame assez mince, est composée d'une
ssons, beaucoup de ganglions inégaux, en nombre variable, et ganglion
cérébral
souvent inférieur, quant à son volume, à tous les
hez tous les animaux de celle classe, grande prédominance du ganglion
cérébral
, infériorité relative des ganglions optiques et t
'une différence dans le développement des parties latérales des lobes
cérébraux
, ou bien du volume variable de quelque partie int
volume variable de quelque partie intérieure? Si l'on incise la lame
cérébrale
, on la trouve sensiblement aussi épaisse dans les
du cerveau ne tient pas à une différence dans l'épaisseur de la lame
cérébrale
, mais au volume et à la forme du corps strié sous
ts matériels. En avançant, nous allons voir se développer le ganglion
cérébral
, et, dans une progression analogue, s'étendre les
seaux; il a signalé la non-existence de circonvolutions sur les lobes
cérébraux
de ces animaux, et le développement considérable
ès Vicq d'Azyr (U), l'encéphale des oiseaux manque de circonvolutions
cérébrales
, ou même des hémisphères cérébraux, de corps call
oiseaux manque de circonvolutions cérébrales, ou même des hémisphères
cérébraux
, de corps calleux, de voûte à trois piliers, de c
ercules sont de petits renflemens placés sur le trajet des pédoncules
cérébraux
, en avant des lobes optiques. On les voit très bi
érieure. M. Tiedemann combat cette opinion ; il indique sur les lobes
cérébraux
un seul sillon : c'est la scissure de Sylvius. Il
(i) Op. cit., t. 2 , p. 162. formant la plus grande partie du lobe
cérébral
, une glande pinéale et une glande pituilaire ; en
parties composant l'encéphale des oiseaux, paraît regarder les lobes
cérébraux
comme les analogues des corps striés; quant aux l
usage , c'est d'être un ganglion de renforcement pour les pédoncules
cérébraux
. A cette assertion de Gall, j'opposerai d'abord l
à ce que la couche optique ne soit en même temps, pour les pédoncules
cérébraux
, un organe de renforcement. Les couches optiques
utefois du corps strié qui, s'il existe, serait confondu avec le lobe
cérébral
lui-même, ou serait représenté par un petit tuber
, et on doit la regarder comme un progrès dont l'organisation du lobe
cérébral
: ce sillon loge des vaisseaux sanguins. La par
illon loge des vaisseaux sanguins. La partie interne de chaque lobe
cérébral
est plane : c'est par là que les deux lobes sont
de son étendue ; le reste de cette face est placée sur les pédoncules
cérébraux
et sur les lobes optiques. Les lobes cérébraux de
cée sur les pédoncules cérébraux et sur les lobes optiques. Les lobes
cérébraux
des oiseaux constituent une sorte d'ef-fiorescenc
nte du lobe, jusque tout près de la pointe du cerveau. La substance
cérébrale
, vue à l'intérieur, ne se sépare pas en deux part
pandre. Le cervelet seul présente la délimitation des deux substances
cérébrales
, ainsi que je le dirai tout-à-l'heure. Le lobe
ubstances cérébrales, ainsi que je le dirai tout-à-l'heure. Le lobe
cérébral
des oiseaux n'est pas creusé d'une cavité comme c
bles cavités. Trois commissures réunissent l'un à l'autre les lobes
cérébraux
: l'une antérieure et inférieure, située tout-à-f
calleux : M. Carus adopte cette détermination. (1) Quoique le lobe
cérébral
des oiseaux soit comme le corps strié des mammifè
ir de l'expression employée par Gall et Spurzheim, tandis que le lobe
cérébral
est un organe dans lequel se terminent les fibres
moelle épinière. A sa partie antérieure, terminée en pointe, le lobe
cérébral
présente un petit tubercule qui donne naissance a
e support. En avant, elle se bifurque pour se terminer dans les lobes
cérébraux
; en arrière, à son entrée dans le crâne, elle a
ures des vertébrés, l'augmentation considérable de volume du ganglion
cérébral
, les dépressions vasculaires qui se remarquent à
la plupart, complet chez les autres, des lobes optiques par les lobes
cérébraux
, la formation bien déterminée des couches optique
frères YVenasel, M. Serres et M. Lilut. Plus la longueur des lobes
cérébraux
est considérable, plus ces lobes s'étendent en ar
et qu'il recouvre même quelquefois de la moitié environ. U. Le lobe
cérébral
n'a pas de cavité, les substances grises et blanc
n'est pas disposée en couche, comme chez les mammifères. Chaque lobe
cérébral
peut être considéré comme un amas de substance gr
e jaune du cerveau du]pigeon. à laquelle n'atteignent pas les lobes
cérébraux
de ces animaux. Dans la moelle allongée, il y aus
tre fait qu'il ne faut pas laisser passer inaperçu. Pour le pédoncule
cérébral
, j'ai noté comme présentant le diamètre des fibre
du cervelet........................ 0,00166 Mésange. Fibre du lobe
cérébral
.................... 0,00166 Ici. Fibre du nerf
la commissure des lobes optiques...... 0,002 Id. Fibre du pédoncule
cérébral
................ 0,0025 Chardonneret. Fibre du l
doncule cérébral................ 0,0025 Chardonneret. Fibre du lobe
cérébral
.................... 0,002 5 Mésange. Fibre de l
à l'éléphant, etj'ai trouvé partout que, dans les femelles, la partie
cérébrale
qui correspond à l'organe de l'amour de la progén
rnassiers-insectivores. Mais il y a dans la répartition de la masse
cérébrale
un fait que les diamètres précités ne révèlent pa
ie, le cervelet reste plus à découvert. Le prolongement de la masse
cérébrale
en avant el en arrière, serait-il un caractère pr
ligens de ceux qui ne le sont pas ? Il n'est pas douteux que la masse
cérébrale
antérieure du perroquet soit plus considérable qu
ux suffit pour en donnerla preuve. Quant au développement de la masse
cérébrale
antérieure, on peut l'apprécier avec encore plus
eaux qui les parcourent. Lè volume relatif et la forme de la tuasse
cérébrale
des oi- (r) Si l'ôfgane de l'amour des petits p
6. Il n'est pas vrai de dire que les oiseaux femelles aient les lobes
cérébraux
plus allongés que les oiseaux mâles. 7. Il n'es
dans le renard et le chien. » Perrault décrivant les circonvolutions
cérébrales
du singe, dit qu'elles sont assez semblables à ce
es singes, comme dans les quadrupèdes en général, les circonvolutions
cérébrales
sont peu nombreuses, symétriques des deux côtés,
plus exact dans la reproduction de quelques-unes des circonvolutions
cérébrales
de l'homme, mais la double preuve qu'il ne les a
lis et celle de Malacarne, louchant la régularité des circonvolutions
cérébrales
, a été fécondée par Cuvier, en ce qui concerne le
lus en plus obscure. Suivant eux, « chez l'homme, les circonvolutions
cérébrales
d'un côté diffèrent de celles du côté (i) De ba
3) en a exposé la structure. Ainsi dans l'étude des circonvolutions
cérébrales
, on avance pied à pied et l'on attache si peu d'i
igures n'est exacte et la description qu'il donne des circonvolutions
cérébrales
, a été faite d'après les planches et non pas d'ap
développement. (1) C'est seulement en 1829 que les circonvolutions
cérébrales
de l'homme ont été connues et décrites. L'auteur
e année : ce Le nombre, le volume, la disposition des circonvolutions
cérébrales
sont variés ; sur quelques cerveaux elles sont tr
ait cependant fait une description bien détaillée des circonvolutions
cérébrales
; il avait établi leur similitude et leur constan
e évidence et dont on pourra s'assurer en jetant les yeux sur le lobe
cérébral
d'un éléphant, lobe que l'on conserve au muséum d
degré de ressemblance existe entre les circonvolutions des deux lobes
cérébraux
. Dans l'énumération que je viens de faire des a
des auteurs qui se sont occupés de la description des circonvolutions
cérébrales
de l'homme et des animaux, c'est à peine si j'ai
manquent d'exactitude, surtout en ce qui concerne les circonvolutions
cérébrales
; celles qui représentent le cerveau des animaux e
n, pas un mot si ce n'est sur la structure intime des circonvolutions
cérébrales
et sur leurs prétendues fonctions. (1) Depuis G
), aucun progrès touchant les circonvolutions. «.La surface des lobes
cérébraux
, dit ce dernier, présente des replis que nous avo
ortant que nouveau de s'attacher à bien connaître les circonvolutions
cérébrales
des animaux, de les individualiser, pour ainsi di
n quoi elles ressemblent, en quoi elles diffèrent des circonvolutions
cérébrales
de l'homme. J'ai entrepris cette élude qui m'a fo
our caractère unique, la disposition et le nombre des circonvolutions
cérébrales
. On verra de suite si les animaux classés d'après
escendante, destinée à établir la valeur intellectuelle, ou la valeur
cérébrale
des animaux, les uns à l'égard des autres. Je com
e des mammifères correspond, quant au défaut de sillonneinent du lobe
cérébral
, à ceux des oiseaux qui ont peu d'intelligence.
est ici plus prononcée que dans le premier groupe, il y a sur le lobe
cérébral
des dépressions qui ne manquent pas d'une certain
llon qui circonscrit, surtout chez l'agouti, une portion de substance
cérébrale
dont l'aspect est, presque celui d'une circonvolu
e Sylvius; les deux autres sont à la partie supérieure de chaque lobe
cérébral
: sur un cerveau depuis long-temps conservé dans
en rapport avec le volume du cerveau. Le furet qui a sur chaque lobe
cérébral
, cinq circonvolutions bien distinctes, trois exte
dans son ouvrage, cité précédemment, sur la structure des hémisphères
cérébraux
, etc'est aussi celui que je lui donne pour ce qui
des exemples. Voyez (pl. iv, fig. 2) la face latérale externe du lobe
cérébral
droit du renard. En S se trouve un sillon profond
famille des mammifères, celle des renards, quant aux circonvolutions
cérébrales
. La figure 1 (pl. iv), représentant la face sup
Il y a plusieurs différences essentielles, quant aux circonvolutions
cérébrales
, entre les renards et les chats; cependant les ty
chats se distinguent donc des renards, quant à leurs circonvolutions
cérébrales
, par trois circonvolutions supplémentaires qui se
déterminer le développement relatif de telle ou telle circonvolution
cérébrale
. Le crâne de la loutre exprimerait un développeme
d'elle, et s'étend presque depuis les piliers antérieurs de la voûte
cérébrale
, jusqu'à la partie externe du lobe d'hippocampe,
des cochons sont ondulées; il en existe deux à la périphérie du lobe
cérébral
, et la circonvolution supérieure est divisée en a
incte de celle des autres cerveaux. 11e groupe. Les circonvolutions
cérébrales
du phoque ont de l'analogie avec celles des deu
olutions antérieures. En résumé , le phoque a trois circonvolutions
cérébrales
: l'une interne qui, en arrière, ressemble à la c
sillons non interrompus partagent d'avant en arrière chacun des lobes
cérébraux
du marsouin , du dauphin et de la baleine. L'un (
ue le temps m'a manqué pour décrire le cerveau du narval. Les lobes
cérébraux
de la baleine sont sillonnés de grandes el profon
e la baleine, parce qu'il eût fallu, pour cela, détacher un des lobes
cérébraux
, ce que je ne pouvais pas faire et ce que je n'au
si chez l'homme. 4 La planche xm représente la face interne du lobe
cérébral
droit d'un éléphant des Indes (1), et la planche
nvolutions , et cet appareil est situé à la partie supérieure du lobe
cérébral
. Quant aux sinuosités, aux ondulations des circ
Le nombre, la forme, l'arrangement, les rapports des circonvolutions
cérébrales
ne sont pas livrées au hasard; chaque famille d'a
chologie. Après cette exposé de la conformation des circonvolutions
cérébrales
, je vais passer à la description de la base et de
en un petit ganglion placé toul-à-fait en avant des autres ganglions
cérébraux
; chez les reptiles, il est creusé d'une cavité et
bre de cas. Du rapprochement de la partie inférieure des deux lobes
cérébraux
, résulte une cavité que l'on a appelée le troisiè
e cavité qui se prolonge plus ou moins dans la substance même du lobe
cérébral
; c'est le ventricule latéral. Les lobes cérébra
tance même du lobe cérébral; c'est le ventricule latéral. Les lobes
cérébraux
sont réunis entre eux par des commissures, et cha
tricules moyens el latéraux représentent la surface interne des lobes
cérébraux
, comme les circonvolutions en représentent la sur
r de la moelle épinière que l'on appelle cuisse du cerveau, pédoncule
cérébral
(p. c. pl. iv, renard, fig. 2 ; pl. vi, loutre, f
le corps strié externe. Au-delà des deux corps striés, le pédoncule
cérébral
sé paré en faisceaux fibreux, s'étale en rayonn
é en faisceaux fibreux, s'étale en rayonnant dans l'intérieur du lobe
cérébral
. Le point d'origine de ce lobe est donc celui de
ventricules latéraux sans faire subir aucune déchirure à la substance
cérébrale
. Ventricule latéral. Ce ventricule, formé par u
ral. Ce ventricule, formé par une sorte d'épanouissement du pédoncule
cérébral
, qui, reployé sur ce pédoncule, en recouvre les p
ieure ; la partie qui se recourbe derrière el en dessous du pédoncule
cérébral
, corne inférieure, et la troisième, corne postéri
veau du corps calleux, on enlève la partie supérieure de la substance
cérébrale
. Corps strié. Dans la corne antérieure du ventr
que dans son intérieur existent des stries blanches qui, du pédoncule
cérébral
, vont s'épanouir dans l'hémisphère. De la réunion
dante à celle-ci, mais qui adhère à la partie supérieure du pédoncule
cérébral
, et dont je vais parler. Bandelette demi circul
pe. La corne inférieure descend presque dans cette éminence du lobe
cérébral
qui est placée en arrière de la scissure de Sylvi
ventricule s'ouvre en haut; la voûte dite à trois piliers ou irigone
cérébral
est placée sur son ouverture, mais sans y adhérer
e de plan incliné qui correspond aux cuisses du cerveau ou pédoncules
cérébraux
(p. c. pl. vu, fig. 2 et) ; en bas, il se termine
sure réunit, l'un à l'autre, la partie supérieure de chacun des lobes
cérébraux
, elle se présente sous la forme d'un corps allong
s les espèces de mammifères, par le prolongement en arrière des lobes
cérébraux
, ces tubercules se présentent sous la forme de qu
s. pl. vu, fig. k). Deux autres tubercules situés sur le pédoncule
cérébral
, en arrière et au-dessus de la paire postérieure
(i) Op. cil, V. Archives de médecine, t. m, p. a3o» aimée i8a3. res
cérébrales
, ce La voûte, dit avec raison M. Owen (1), par se
nd il ajoute que la grande commissure qui unit entre elles les masses
cérébrales
super-ventriculaires du castor et autres animaux
ai vu bien manifestement un corps calleux, situé entre les deux lobes
cérébraux
, comme chez les autres mammifères. On sait d'aill
, i; et Annales des science; nature/les, i. vtïr, iHrH. hémisphères
cérébraux
, et que les hémisphères fussent-ils très petits,
st lui-même en partie recouvert par l'extrémité postérieure des lobes
cérébraux
. D'avant en arrière, il est divisé de chaque côté
'elles n'ont pas entre elles la même symétrie que les circonvolutions
cérébrales
, ensuite parce que les contours qu'elles forment
on trouve à la face inférieure de la moelle allongée, les pédoncules
cérébraux
formés de fibres longitudinales traversés par des
s cependant revenir sur ce que j'ai dit, touchant les circonvolutions
cérébrales
. La détermination du poids de l'encéphale à cel
a des oiseaux auxquels les assimile déjà l'absence de circonvolutions
cérébrales
, et ils se trouvent à côté des jeunes mammifères
est le seul dont je n'aie pu mesurer le cerveau (j'ai dit que le lobe
cérébral
de l'éléphant des Indes, dont je donne la figure,
stor, le phoque, le marsouin. Chez l'éléphant, presque toute la masse
cérébrale
est en arrière et sur les côtés; chez le porc-épi
4 Les mammifères auxquels il est départi une plus plus longue masse
cérébrale
antérieure, sont tous ceux qui se trouvent inscri
et vous trouverez qu'au-dessus et en avant du corps calleux, la masse
cérébrale
s'arrondit et s'élève chez les premiers, tandis q
on contraire a lieu chez les derniers. Le développement de la masse
cérébrale
, en arrière du corps calleux, range les animaux p
dimensions des os du crâne et leurs rapports avec les circonvolutions
cérébrales
, sont parfaitement en rapport avec celle disposit
vient recouvrir, comme chez l'homme, l'extrémité postérieure du lobe
cérébral
, à laquelle la phrénologie a donné pour siège l'a
achevé. Je ne connais bien de l'encéphale de l'éléphant, qu'un lobe
cérébral
, et je n'ai vu de la moelle allongée de cet anima
dit que peu de chose, il a remarque pourtant que les circonvolutions
cérébrales
avaient dans leur aspect général de l'analogie av
chez l'homme et chez le singe avec le prolongement en arrière du lobe
cérébral
. En somme, l'encéphale de l'éléphant, par les c
En somme, l'encéphale de l'éléphant, par les circonvolutions du lobe
cérébral
est au-dessus de celui du singe, par les tubercul
voisines ; mais à voir le défaut de sinuosités de ses circonvolutions
cérébrales
, on serait tenté de le prendre pour un rudiment
circonvolutions. 3. Les mammifères qui manquent de circonvolutions
cérébrales
appartiennent tous aux ordres dont l'organisation
classer les mammifères d'après la similitude de leurs circonvolutions
cérébrales
. 9. Le classement établi d'après les circonvolu
s autres des animaux à facultés différentes. 7. Les circonvolutions
cérébrales
ont plusieurs types bien tranchés, cependant on p
hez l'homme. 9. La présence et le développement des circonvolutions
cérébrales
ne sont pas en rapport direct avec le volume du c
e loup, le chien, le chacal sont les animaux dont les circonvolutions
cérébrales
ont une grande simplicité. 11. Chez les chats,
ils. 13. Les herbivores ruminans solipèdes, ont des circonvolutions
cérébrales
moins simples et plus ondulées que les carnivores
ores, et ressemblant assez pour l'aspect général, aux circonvolutions
cérébrales
de l'homme. 14. Les cochons et les ours, chacun
e que j'ai suivi en exposant la conformation de leurs circonvolutions
cérébrales
. Pour les circonvolutions, le point de départ et
plupart des groupes établis d'après la conformité des circonvolutions
cérébrales
, est en rapport avec la conformité des facultés i
ge des organes ». Ainsi quand le principe de la pluralité des organes
cérébraux
serait vraie, les localisations faites par Gall s
cise le siège de l'amour des petits; on sait de quelle circonvolution
cérébrale
il veut parler, c'est celle que j'ai appelée la t
se, ont chacun leur organe situé à la partie latérale externe du lobe
cérébral
; plus ils sont développés, plus aussi le cerveau
e suivant extrait de l'ouvrage de Gall : ce L'ensemble de celte masse
cérébrale
située sur le plancher orbitaire et contre le fro
e espèce se trouve douée de plus ou de moins de ces organes, sa masse
cérébrale
s'étendra plus ou moins sur les côtés, et la surf
seulement des crânes, et quand ils veulent décrire une circonvolution
cérébrale
, au lieu de la montrer et de la faire toucher, il
nal et la première paire cervicale; il a défiguré les circonvolutions
cérébrales
, dételle sorte qu'il est impossible d'en retrouve
ans la pensée de l'auteur, désignent la place occupée par les organes
cérébraux
; mais dont il a omis de donner l'explication, si
bien, mais la limite sur le crâne? la limite sur les circonvolutions
cérébrales
? La limite naturelle enfin? Serait-ce un enfoncem
carnassiers.... Je vis qu'il existe chez les carnassiers des parties
cérébrales
dont les frugivores sont privés. J'ai trouvé cett
aient que Gall s'est dit : « Voilà au-dessus des oreilles des parties
cérébrales
qui existent chez les carnassiers et dont les fru
tion de l'organe repose uniquement sur ce fait, que certaines parties
cérébrales
qui ne se rencontrent que chez les carnassiers et
assiers et aux meurtriers : si donc on vient objecter que les parties
cérébrales
dont il s'agit se rencontrent chez les herbivores
sage de l'anatomie comparée, pour fonder une doctrine de localisation
cérébrale
. Spix (1), dont on se ferait une idée trop défa
t, l'imagination et la fantaisie dans l'extrémité postérieure du lobe
cérébral
que recouvre l'angle postérieur de l'occipital, l
faisceaux inférieurs de la moelle allongée, ainsi que les pédoncules
cérébraux
: elles s'épanouissent dans les corps striés, et p
'y opère : la mémoire des sensations se fixe dans les circonvolutions
cérébrales
; l'association des idées se fait par l'intermédia
te partie de l'occipital qui recouvre l'extrémité postérieure du lobe
cérébral
de l'homme et du singe, je concluerais, si je rai
pariétal et seulement par cet os. Mais s'il est admis que les organes
cérébraux
puissent ainsi se déplacer, s'ils peuvent aller d
est fourni par les nerfs encéphaliques ; ils indiquent une substance
cérébrale
plus grande chez les animaux les plus intelligens
e le centre nerveux céphalo-rachidien. La manière dont la substance
cérébrale
est répartie, soit en avant, soit en arrière, soi
et chez quelques-uns, le défaut de développement en arrière des lobes
cérébraux
est tel, que l'on aperçoit entre ces lobes et le
e pour l'éléphant. Je dirai donc du développement en haut de la masse
cérébrale
, ce que j'ai dit de son développement en arrière
mais non pas une loi. La présence ou l'absence des circonvolutions
cérébrales
paraît avoir une valeur beaucoup plus grande que
iée à la disposition plus ou moins flexueuse de leurs circonvolutions
cérébrales
; la loutre, le putois, la marte sont ordinaireme
, le putois, la marte sont ordinairement seuls; leurs circonvolutions
cérébrales
sont peu ondulées : le sanglier, le porc, le péca
e tigre, a moins d'ondulations que le tigre, dans les circonvolutions
cérébrales
; le cochon tonquin, moins féroce que le sanglier,
ier, à la surface du cerveau. Au reste, la présence des ondulations
cérébrales
, ni même celle des circonvolutions, n'est liée à
astor. Jusqu'à quel point les ondulations, dans les circonvolutions
cérébrales
, indiquent-elles l'étendue de l'intelligence? En
vidus de la même espèce, sont en proportion de l'étendue des surfaces
cérébrales
. » Comme cette proposition est basée sur des fait
partie, pasr, 6ot . il s'ensuit qu'il a en réalité moins de surface
cérébrale
que nous n'en avons. « 2° Les circonvolutions d
de ceux qui étaient contraires à son système. L'étendue de la surface
cérébrale
des ruminans dont Desmoulins ne parle pas, celle
erbivores et des carnivores qui n'ont aucune sorte de circonvolutions
cérébrales
. Si les instincts et les facultés intellectuelles
rminée du cerveau, à une disposition particulière des circonvolutions
cérébrales
, le cerveau du rat d'eau et celui du cabiai devra
nans. Que si nous mettons en regard, pour le nombre des ondulations
cérébrales
, les ruminans et les carnassiers, nous voyons que
intestinales que les premiers, ont en même temps les circonvolutions
cérébrales
les moins sinueuses. Comme les sillons qui sépare
fixer l'attention des anatomistes. La multiplicité des ondulations
cérébrales
est certainement un progrès dans l'organisation;
et plus on aperçoit le peu de fondement des systèmes de localisations
cérébrales
: ce qu'un certain nombre de faits avait paru démo
organe de la construction moins développé que l'aï. 11. Les organes
cérébraux
indiqués sur les crânes ou sur les cerveaux, par
fères, mais les parties postérieures. 17. Plusieurs circonvolutions
cérébrales
n'étant pas en contact avec les os du crâne, ne s
. 21. Tous les mammifères qui ont le cervelet couvert par les lobes
cérébraux
sont intelligens : mais tous les mammifères intel
carnivores, herbivores et omnivores qui n'ont pas de circonvolutions
cérébrales
. 25. On trouve des cerveaux très différens pour
des animaux semblables pour les mœurs. 26. L'étendue de la surface
cérébrale
n'est pas en rapport nécessaire avec le développe
hant, le singe et le maki, ne prouve rien en faveur des localisations
cérébrales
. 28. Ni la présence des circonvolutions, ni leu
et ramollissement du cerveau Charcot. CEuv compi. T. ix. Hémorragie
cérébrale
. i Dans ce travail, fondé sur des faits nombreu
le. i Dans ce travail, fondé sur des faits nombreux, rhémorrlia-gie
cérébrale
, au moins celle des vieillards, est rapportée à l
pportée à la rupture d'anévrysmes des petites artères de la substance
cérébrale
. Ces anévrysmes, dont le rôle pathogénique n'avai
ètre et plus. lis n'ont fait défaut dans aucun des cas d'hémorrliagie
cérébrale
observés par MM. Cliarcot et Bouchard depuis que
eut être considérée comme la cause la plus fréquente de l'hémorrhagie
cérébrale
(1). térieure à l'attaque apoplectique ; c'est
vasation sanguine chez des individus qui n'ont présenté aucun trouble
cérébral
. La transformation en hématoïdine du sang1 conten
s anévrysmes, dont la formation prépare de longue date l'hé-morrhagïe
cérébrale
, ne sont, pour ainsi dire, que l'expression la pl
et Bouchard, Nouvelles recherches sur la pathogénie de l'hémorrhagie
cérébrale
(Arch. de physiologie, t. I, p. 110 et p. 3 de ce
vaux de MM, Ctiarcot et Bouchard, sur la pathogénie de l'hémorrhagie
cérébrale
ont été traduits en anglais par M. T.-S. Maclagan
(B). II. Nouvelles recherches sur la pathogénie de l'hémorrhagie
cérébrale
(1). En abordant de nouveau la question de la p
En abordant de nouveau la question de la pathogénie de l'hémorragie
cérébrale
, nous nous proposons de limiter notre étude aux h
é par les recherches de M. Lépine (3). C'est donc aux béniorrhagies
cérébrales
proprement dites que nous voulons restreindre cet
vaisseaux de l'encéphale ; 2° La diminution de consistance du tissu
cérébral
préalablement altéré qui ne fournit plus alors qu
s les causes imaginées pour expliquer la production de l'hémorrha-gie
cérébrale
, et c'est à elles aussi que se rapportent les opi
avons rencontrée constamment dans les cas déjà nombreux d'hémorrhagie
cérébrale
qui ont passé sous nos yeux. Cette lésion consist
athogénique véritable, nous ne dirons pas de toutes les hémorrliagies
cérébrales
, mais même de la majorité de ces hémorrliagies.
e rôle pathogénique qu'ils jouent dans la production de l'hémorrhagie
cérébrale
. Gull rapporte bien à la rupture d'un semblable a
t pas de saisir la relation qu'ils pouvaient avoir avec l'hémorrhagie
cérébrale
. Ce fut le 15 mars 1866, qu'étudiant le foyer d'u
avec la masse du caillot apoplectique. 1. Cases of Aneurysm of the
Cérébral
Vessels (Guy's Hospital Reports, sér. III, t. V.
adies autres que celles de l'encéphale. De nouveaux cas d'hémorrhngie
cérébrale
se présentèrent et le cerveau renfermait toujours
s avait été montré, établir que dans un certain nombre d'hémorrhagies
cérébrales
,l'épanchementasa source dans la rupture d'unanévr
d. — Recherches sur quelques points de la pathogénie des hémorrhagies
cérébrales
,Paris, 1886.—Charcot, Leçons sur les maladies des
ème partie, . Est-ce à dire que, pour nous, toutes les hémorrhagies
cérébrales
, sans exception, devront reconnaître pour cause l
pareil intermédiaire. L'Iiémorrhagie qui accompagne le ramollissement
cérébral
, dans les cas ou une thrombose des sinus fait obs
ur, échappe également à cette interpréta-lion. Enfin les hémorrhagies
cérébrales
qu'on a signalées dans certaines pyrexies et dans
n des anévrysmes et finalement à leur rupture. C'est là riiémorrhagie
cérébrale
cérébrale des adultes et même des jeunes gens.
smes et finalement à leur rupture. C'est là riiémorrhagie cérébrale
cérébrale
des adultes et même des jeunes gens. Nous croyons
ourd'hui en droit d'affirmer que, d'une façon générale, l'hémorrhagie
cérébrale
résulte de la rupture d'anô-vrysmes miliaires : q
la jeunesse. C'est ce qu'on pourrait appeler la maladie hérnorrhagie
cérébrale
. Notre manière de voir est appuyée aujourd'hui
e faits, notre statistique ne compte pas moins de 60 cas d'hémorragie
cérébrale
: sur ce nombre, 42 ont été recueillis dans le mê
i considérable que la Charité de Berlin, vingt-huit cas d'hémorrhagie
cérébrale
seulement figurent sur les cahiers d'autopsie pou
nstante d'anévrysmes miliaires dans des cas si nombreux d'hémorrhagie
cérébrale
pourrait faire naître une supposition contre laqu
ncidence dans le cerveau des individus qui succombent à l'hémorrhagie
cérébrale
. Cette hypothèse se trouverait déjà infirmée par
t seulement alors chez des individus qui succombaient à l'hémorrhagie
cérébrale
; tandis que dans la vieillesse, s'ils sont consta
haque âge chez les individus qui n'offrent aucune trace d'hémorrhagie
cérébrale
; mais bien qu'ils soient d'autant plus fréquents
nner d'ailleurs les relations qu'ils peuvent avoir avec l'hémorrhagie
cérébrale
, est arrivé aux résultats suivants : sur 140 auto
u près en rapport avec ce qu'on sait de la fréquence de l'hémorrhagie
cérébrale
, aux différentes périodes de l'existence. Assurém
e statistique comparable, relative à la distribution de riiémorrhagie
cérébrale
aux différentes époques de la vie ; nous ne savon
us ne savons pas même approximativement pour quellepart l'hémorrhagie
cérébrale
intervient à chaque âge dans un nombre déterminé
Rochoux et de M.Durand-Fardel(2)pour secon-vaincre que l'hémorrhagie
cérébrale
,presque nulle avant20 ans, est très rare jusqu'à
r ces anévrysmes comme le produit de l'extension aux petits vaisseaux
cérébraux
de cette artério-sclérose qui amène les incrustat
cierons l'influence de l'athérome dans la production de l'hémorrhagie
cérébrale
. Cependant, ces deux altérations essentiellemen
oignon. Etudiée seule ment sur les petits vaisseaux de la substance
cérébrale
, cette artérite scléreuse, qui n'est pas sans que
artérioles de tout calibre qui sont dans l'épaisseur de la substance
cérébrale
, et intéressent par conséquent les deux variétés
ent formés ultérieurement ? Charcot. Œuvr. compl. t.ix Hérnorrhagie
cérébrale
. u A défaut d'autre argument, la description qu
reux ou même noirâtre ; et, généralement, la couche contiguë du tissu
cérébral
présente, à un moindre degré, une coloration anal
t, le centre ovale, les pédoncules cérébelleux moyens, les pédoncules
cérébraux
, le bulbe, sont par ordre de fréquence décroissan
devons maintenant les étudier dans leurs rapports avec l'hémorrhagie
cérébrale
. Nous exposerons d'abord les faits d'hémorrhagie
e d'une hémorrbagie antérieure. V. Les observations d'hémorrhagie
cérébrale
que nous allons rapporter ont pour la plupart été
épanchement récent assez considérable. Autour du caillot, le tissu
cérébral
est mou, diffllient, et après l'avoir détaché par
Cette femme dont l'observation a été égarée, est morte d'hémorrhagie
cérébrale
le 24 mai 1806. L'autopsie a relevé des foyers
24 mai 1806. L'autopsie a relevé des foyers multiples d'hémorrhagie
cérébrale
récente et d'assez nombreux anévrysmes miliaires
i clans l'épais seur de la protubérance, un autre dans le pédoncule
cérébral
gauche. Ce dernier a fait irruption sous la prémè
ventriculaire du corps strié gauche et l'étage supérieur du pédoncule
cérébral
gauche. Le sang a fait irruption dans les cavités
rhagique dans l'épaisseur du cervelet. Tout autour du foyer, le tissu
cérébral
ramolli, mais ne contenant pas de corps granuleux
ôté de l'hémiplégie n'a pas été noté, non plus que celui de la lésion
cérébrale
) ; quelques sangsues ayant été i. Obs. communiq
iaires. On en trouve quelques autres dans les parties saines du tissu
cérébral
. Les artères de la base sont athéromateuses. Le c
ans. — Cette femme, frap- Chaiicot. Œuvr. compl. t. ix, Hémorragie
cérébrale
. 3 pée d'apoplexie le 30 avril 1807, avec hémip
évrysmes miliaires des circonvolutions. Les vaisseaux de la substance
cérébrale
présentent au microscope une multiplication très
— Vulpian. C..., 74 ans. — Morte le 10 novembre 1867 d'hémorrhagie
cérébrale
clu lobe postérieur droit, quatre jours après l'a
oncule cérébelleux moyen. — On rencontre de plus dans les hémisphères
cérébraux
deux foyers de ramollissement ancien. — On trouve
ique droite. Ce caillot, qui intéresse l'étage supérieur du pédoncule
cérébral
droit, a déchiré la face supérieure de fa couche
—Vulpian. Lef..., 72 ans. — Morte le 12 janvier 1807 d'hémorrhagie
cérébrale
. Foyer récent dans la partie postérieure du noyau
oyer récent dans la partie postérieure du noyau blanc de l'hémisphère
cérébral
gauche. Ancien foyer reconnaissable à une cicatri
trière. — Vulpian. D., 02 ans. —Morte le 4 Avril 1807 d'hémorrhagie
cérébrale
. Foyer d'hémorrhagie récente dans le noyau blanc
rale. Foyer d'hémorrhagie récente dans le noyau blanc de l'hémisphère
cérébral
droit, à la partie postérieure. Anciens foyers
re descendante très marquée, caractérisée par l'atrophie du pédoncule
cérébral
gauche et l'atrophie avec teinte grise de la pyra
éprouvait des sensations subjectives clans le moignon. Des accidents
cérébraux
, caractérisés par une diminution de la mémoire, d
ne. Il existe une dégénération secondaire très prononcée du pédoncule
cérébral
gauche, de la pyramide antérieure gauche et du co
ire. Les artères de la base sont fortement athéromateuses. L'artère
cérébrale
postérieure droite est complètement oblitérée par
Mort le 28 septembre 1866. Charcot. OEuv. compl. t. ix, Hémorragie
cérébrale
. 4 L'autopsie, indépendamment des lésions des a
s anévrysmes miliaires clans le cervelet et clans les circonvolutions
cérébrales
. Les artères de la base sont très notablement ath
té détruite au niveau de la lésion, et l'on trouve clans le pédoncule
cérébral
, la protubérance et la pyramide antérieure du côt
rouve du même côté une dégénération secondaire manifeste du pédoncule
cérébral
, de la protubérance et de la pyramide antérieure
ennes hémorrhagies. Dégénération secondaire très-marquée du pédoncule
cérébral
gauche et de la pyramide antérieure gauche. Les a
hémisphère droit. Dégénération secondaire très prononcée du pédoncule
cérébral
droit, de la pyramide antérieure droite et du cor
ns le corps strié du côté gauche un ancien foyer ocreux d'hémorrhagie
cérébrale
; on rencontre dans différentes parties du cerveau
anévrysmes miliaires dans la protubérance et dans les circonvolutions
cérébrales
. Les artères de la base sont très peu athéromateu
t gagnant le pédoncule cérébelleux. Dans un point des circonvolutions
cérébrales
, on trouve un petit anévrysme mitiaire. Obs. LX
seulement dans la protubérance, mais encore dans les circonvolutions
cérébrales
. Les vaisseaux étaient pour la plupart très altér
Obs. LXXVII. Pitié. — Béiiier. Homme de 52 ans, mort d'hémorrhagie
cérébrale
. A Vautopsie, on a trouvé de nombreux anévrysmes
rmer qu'elles sont encore des exemples de coïncidences de Vhémorragie
cérébrale
avec les anévrysmes miliaires, bien que la nature
oie d'une généralisation applicable à la pathogénie des hémorrliagies
cérébrales
habituelles. Il dit du moins que la rupture d'ané
rait bien être plus souvent qu'on ne le croit la cause d'hémorrhagies
cérébrales
. Obs. LXXIX. — W. Gull (1). Femme de 43 ans.
. Heschl décrivait après M. Meynert ont 1. Cases of Aneurism of the
cérébral
vessels. (Guy's Hosp. Reports, 3« série, t. V.)
p. Reports, 3« série, t. V.) Charcot. Œuv. compl. t. ix, Hémorragie
cérébrale
. 5 été observés par lui chez 16 sujets et deux
i chez 16 sujets et deux d'entre eux avaient succombé à l'hémorrhagie
cérébrale
. Cependant l'auteur, préoccupé surtout de savoir
de l'épilepsie, n'a pas été frappé de la coïncidence de l'hémorrhagie
cérébrale
dans ces deux cas, et il ne se pose môme pas la q
érance ayant fait irruption dans le quatrième ventricule. Les artères
cérébrales
étaient très athéromateuses. Le cœur était hypert
LXXXIV. — Bastian. M. Bastian dit qu'il a vu deux cas d'hémorrhagie
cérébrale
avec des anévrysmes comme ceux auxquels les Franç
anévrysmes comme ceux auxquels les Français rattachent l'hémorrhagie
cérébrale
, et, de plus, des extravasations dans les gaines.
les anévrysmes en faisant macérer dans l'eau eten lavant la substance
cérébrale
ainsi ramollie. M. Schu-lhof dit à ce propos qu'i
cienne date. Dégénération secondaire très prononcée dans le pédoncule
cérébral
droit, la moitié droite de la protubérance et la
résulte de là qu'ils peuvent co-exister aussi avec le ramollissement
cérébral
. On ne doit donc pas s'étonner de rencontrer des
M. Dieulafoy (1). La lésion, considérée d'abord comme une hémorrhagie
cérébrale
, ne serait, d'après une discussion à laquelle ce
se reporter maintenant à l'analyse des 84 observations d'hémorrhagie
cérébrale
que nous avons réunies, on reconnaîtra que dans t
s comme capables de jouer un rôle dans la production de l'hémorrhagie
cérébrale
, peuvent s'y rencontrer, mais en bien moindre fré
nous est donc permis de dire que les sujets qui meurent d'hémorrhagie
cérébrale
ont les artères de l'encéphale non athéromateuse
M. Durand Fardel (1) qui avait réuni 32 observations d'hémorrhagie
cérébrale
où l'état des artères de la base était indiqué, a
pour 100. La proportion des cas ou l'athérome manque dans les artères
cérébrales
des sujets qui ont été frappés d'hémorrhagie du c
es gens qui succombent à l'apoplexie sanguine, l'athérome des artères
cérébrales
manque 22 fois sur 100. La différence, on le voit
e là qu'une cause très accessoire dans la production de l'hémorrhagie
cérébrale
. 1. Durand-Fardel. — Traité clinique des maladi
Bouchard.—Etude sur quelques points de lapathogénie des hémorrliagies
cérébrales
. Paris, 1867, p. 59. Nous en dirons autant de Y
niques capables de jouer un rôle dans la pathogénie cle l'hémorrhagie
cérébrale
, une seule, en raison de sa présence constante, n
es émises antérieurement pour expliquer le mécanisme de l'hémorrhagie
cérébrale
. C'est une tâche que nous n'avons pu remplir dans
hare à la fesse du côté paralysé dans l'hémiplégie récente de cause
cérébrale
(1). Dans le premier numéro de ce recueil (Arch
uge; enfin, lorsqu'une tumeur comprime fortement l'un des hémisphères
cérébraux
. Afin de mieux faire connaître les circonstances
tions représentent la totalité des cas d'hémiplégie récente, de cause
cérébrale
, à début brusque et terminés par la mort, recueil
. T.R. 37°, 4/5. — Mort le dix-septième jour T. R. 40°. L. — Tumeur
cérébrale
. Obs. XVI. Saunier 45 ans. — Tumeur sarcomateus
s. — Ramollissement rouge de la couche optique gauche et du pédoncule
cérébral
correspondant. Début le 21 mars 1800. —? Hémipl
e ecchymotique : TR. 37°, 6. Charcot. Œuv. compl. t. ix. Hémorragie
cérébrale
. 6 Le troisième jour, soulèvement épidermique a
ipital droit. — Oblitération fibrineuse et athéroma-teuse de l'artère
cérébrale
postérieure correspondante. Hémiplégie gauche ave
phiques survenus à la suite d'irritation centrale. VI. Hémorragie
cérébrale
du tiers postérieur de la capsule interne (1).
décembre de la Société de biologie, rappelle que dans les hémorragies
cérébrales
dont le siège est le noyau lenticulaire du corps
n côté du corps, ne constitue-t-il pas un bel exemple de localisation
cérébrale
? L'hémiplégie commune, l'hémianesthésie, ensem
un premier groupe dans la classe des maladies dues aux localisations
cérébrales
. 1. Société de biologie, séance du 11 décembre
empérature des parties centrales dans l'apoplexie liée à l'hémorragie
cérébrale
et au ramollissement du cerveau (1). M. Charcot
t la température centrale dans l'apoplexie consécutive à l'hémorragie
cérébrale
et au ramollissement du cerveau. Lorsque l'expl
d'après M. Charcot, dans l'état apoplectique grave lié à l'hémorragie
cérébrale
, et au ramollissement du cerveau, on peut observe
ononcés. D'après M. Trousseau, il existerait « dans les hémorragies
cérébrales
un peu considérables un mouvement fébrile sur leq
nstants qui suivent une attaque d'apoplexie causée par une hémorragie
cérébrale
ou un choc analogue, par exemple un grand traumat
dans la colonne mercurielle. Charcot. Œuv. comp. t. ix. Hémorragie
cérébrale
7 Les convulsions étaient déterminées soit par
nd en nappe sur toute l'étendue de la face supérieure de l'hémisphère
cérébral
droit; à sa partie moyenne, il présente plus d'un
onstituent l'épanchement, on reconnaît que la surface de l'hémisphère
cérébral
sous-jacent a été très fortement déprimée, tellem
rès avoir été atteinte déjà tout à coup, le 27 mars 1860, d'accidents
cérébraux
mal déterminés et de courte durée, est prise, le
nstate aucune modification bien marquée, soit de l'état des fonctions
cérébrales
, soit de la paralysie avec contracture des membre
nous avons vu que plusieurs Charcot. Œuv. corapl. t. ix, Hémorragie
cérébrale
. 8 mois avant les derniers accidents, il y a eu
do-membraneuses remplies de sérosité dans les cavités de l'arachnoïde
cérébrale
, p. 598. 3. Ne faudrait-il pas invoquer un méca
pus ou des concrétions floconneuses dans les cavités de l'arachnoïde
cérébrale
. kQ. 2. Nous pouvons rappeler ici un cas que n
s avons rencontrée» disséminées en très grand nombre dans la pie-mère
cérébrale
de plusieurs sujets pris au hasard à l'amphithéât
pseudo-membraneuses remplies de sang dans les cavités de l'arachnoïde
cérébrale
. (4a série, loc. cit.) originales, lanl cliniqu
tance de toutes ces parties. Charcot. Œuv. compl. t. ix. Hémorragie
cérébrale
. 9 Admet-on que les hémorrliagies consécutives
endant à une partie plus ou moins grande du système de la circulation
cérébrale
, telles sont ensuite les causes organiques des at
palement lorsqu'il s'agit d'une affection dans laquelle les fonctions
cérébrales
sont déjà nécessairement troublées ; c'est pourqu
erveau. Il est situé dans la cavité arachnoï-dienne; car l'hémisphère
cérébral
gauche est encore revêtu du Feuillet viscéral d
e dans les anfractuosités, se sépare assez facilement de la substance
cérébrale
, qui ne paraît point ramollie ù sa surface. Sur
rouve rien d'anormal. Il n'y a point mémo d'injection de la substance
cérébrale
. Les parois des ventricules ne sont pas altérées
des, présente une coloration Charcot. Œuv. compl. t. ix, Hémorragie
cérébrale
. xo d'un violet foncé formant une tache qui rap
. Cornil, interne du service. Il ne sera question que de l'hémisphère
cérébral
gauche, qui seul présentait des altérations. Sur
urs peu prononcées, existaient sur toutes les parties de l'hémisphère
cérébral
qui avoisi-naient le foyer de ramollissement. D
érer comme complètement erroné ce point de physiologie, que le centre
cérébral
qui préside aux mouvements de coordination de la
éciation de la valeur réelle des altérations de la substance nerveuse
cérébrale
. Sans aucun doute, cette observation se trouve
Recherches cliniques et anatomo-pàthologiques sur le ramollissement
cérébral
et l'encéphalite (1). L'étude anatomique du ram
cérébral et l'encéphalite (1). L'étude anatomique du ramollissement
cérébral
chez les vieillards a conduit l'auteur à se ratta
le ramollissement, l'infiltration granulo-graisseuse de la substance
cérébrale
est la première lésion appréciable. Elle peut êtr
vue anatomique, une distinction fondamentale entre le ramollissement
cérébral
et l'encéphalite. Cette distinction n'est pas moi
l'étourdissement, par exemple, sont plutôt en rapport avec l'ischémie
cérébrale
qu'avec la congestion du cerveau, et que certains
ive. Thèse de Paris, 1866). Charcot. OEuv. compl. t. rx. Hémorragie
cérébrale
. n menîsdu membre. La synoviale était distendue
p. 88. i. Lac. cit., p. 35. Charcot. Œuvr. eomp. t. ix. Hémorragie
cérébrale
. ia ternes, ainsi que cela a lieu dans la myéli
rôle d'observations nouvelles. Arthrites dans l'hémiplégie de cause
cérébrale
. Il n'est pas rare de voir survenir dans les me
se produisent dans les membres paralysés, en conséquence d'une lésion
cérébrale
, résultent généralement d'une irritation directe
, un épaississement, une sorte Chargot. OEuv. comp. t. ix. Hémorragie
cérébrale
. i3 (le boursouflement ecchymotique très-remarq
pronostic dans l'hémiplégie récente liée à une altération de la pulpe
cérébrale
(1). Pour le moment, nous voulons nous borner à c
la fesse droite du côté paralysé, dans l'hémiplégie récente de cause
cérébrale
. (Archives de physiologie, etc. 1868, n° 2, p. 30
t chez les sujets frappés d'hémiplégie, en conséquence d'une lésion
cérébrale
, nous paraît suffisamment établie, et nous pouvon
lication viscérale inflammatoire ou d'une exacerbaiion de l'affection
cérébrale
(Obs. II et III). Mais je suis porté à croire que
ticulations des membres atteints d'hémiplégie à la suite d'une lésion
cérébrale
? Sur cette question nous serons 1. Il n'est qu
aniques faibles, sur l'anesthésie des hystériques et sur l'anesthésie
cérébrale
par lésion organique. — Métalloscopie ; métalloth
ystérique, ils se font sentir également dans les cas d'hémianesthésie
cérébrale
par lésion organique. A. Deux cas d'hémianesthé
d'hémianesthésie liée à une lésion organique du cerveau (hémorrhagie
cérébrale
). Rétablissement immédiat de la sensibilité sous
ai vu, de plus, des anesthésies datant de dix ans, dues à des lésions
cérébrales
, montrer la môme série de phénomènes; des applica
s action. J'ai essayé moi-même, dans un cas d'hémianesthésie de cause
cérébrale
, une plaque d'or aussi pur qu'il est possible de
ystériques hémianesthésiques, l'achromatopsie a pour cause une lésion
cérébrale
. Le traitement par la métallothérapie donne le mê
fluence delà métallothérapie, tandis que les mêmes troubles d'origine
cérébrale
, une fois guéris, ne se reproduisent pas sous cet
les effets obtenus sur deux de nos malades atteintes d'hémianesthésie
cérébrale
(c'est-à-dire avec participation des sens supérie
es par les aimants et les solénoïdes. Un homme, atteint d'hémorrhagie
cérébrale
, était anesthésique de tout le côté droit. Ce mal
sivement aux muscles et aux nerfs, mais qu'il s'étend jusqu'au centre
cérébral
lui-même, du moins en ce qui concerne les parties
ons de l'encéphale. Il ne saurait être question ici de localisation
cérébrale
précise, et nous ne recherchons pas même, du moin
ou par induction, que les régions intéressées appartiennent àl'écorce
cérébrale
, au manteau ou aux parties basilaires de l'encéph
Mental Disease, 1883, p. 1.) Note sur quelques faits d'automatisme
cérébral
observés pendant la période cataleptique de l'hyp
destiné à en masquer les effets, IL Dans les faits à'automatisme
cérébral
dont nous allons nous occuper à présent, la sugge
logues et les physiologistes, et auquel on a donné le nom automatisme
cérébral
ou de cérébration inconsciente. Au sujet de l'i
une grande commissure reliant les régions dites motrices de l'écorce
cérébrale
avec la moelle. 11 est rendu vraisemblable par un
l'excitabilité des cellules motrices, privées de l'action inhibitrice
cérébrale
, la tonicité se change en contracture par l'actio
ent par les autres moyens n'avait pu procurer.. Dans l'hémianesthésie
cérébrale
par lésion organique, elle peut ramener la sensib
'œil nu les anévrysmes miliaires A, B, etc., dans les circonvolutions
cérébrales
. Fig. 3. — Aspect que les anévrysmes miliaires
ntice se multiplient et que le vaisseau se dilate. Fig. 2. — Artère
cérébrale
moyenne. B, Artère de la couche optique. C, U
être considérée comme la cause la plus fréquente de l'hémorrha- gie
cérébrale
................................................ 3
..... 3 II. Nouvelles recherches sur la pathogénie de l'hémorrhagie
cérébrale
. 5 III. Note sur la formation rapide d'une esch
re à la fesse du côté para- lysé dans l'hémiplégie récente de cause
cérébrale
.............. 73 IV. Ecchymoses viscérales chez
ophiques............!........................... 87 VI. Hémorrhagie
cérébrale
du tiers'postérieur de la capsule interne.. 89 VI
érature des parties centrales dans l'apoplexie liée à l'hémorrhagie
cérébrale
et au ramollissement du cerveau... 91 VIII. Nouve
erches cliniques et anatomo-pathologiqucs sur le ramollissc- sement
cérébral
et l'encéphalite.............................. 15
e progressive............ 1.19 Arthrites dans l'hémiplégie de cause
cérébrale
.................. 181 DEUXIÈME PARTIE Métallo
aniques faibles, surl'a-nesthésie des hystériques et sur l'anesthésie
cérébrale
par lésion organique. — Métalloscopie : métalloth
r................. 431 XIII. Notes sur quelques faits d'automatisme
cérébral
observé pendant la période cataleptique de l'hy
e, p. 206, — physiologie pathologique, p. 208. Athérome des artères
cérébrales
cause d'hémorrhagie cérébrale, p. 70; — fréquence
ogique, p. 208. Athérome des artères cérébrales cause d'hémorrhagie
cérébrale
, p. 70; — fréquence de 1'—, p. 70. Attention ex
nce de 1'—, p. 70. Attention expectante, p. 237, 498. Automatisme
cérébral
, p. 441, 446. B Burquisme, p. 234. c Caps
441, 446. B Burquisme, p. 234. c Capsule ínterne, hemorrhagic
cérébrale
du tiers postérieur de la -, p. 89. CaruS h y s
446. Chorée, p. 9/~. Cœur, Hypertrophie du—), cause d'hé-morrhag'ie
cérébrale
, p. 71. Contraction musculaire, modification de
. 156. Eschare fessière, formation rapide d'une — dans l'hémiplégie
cérébrale
récente, p. 73; — examen microscopique de r — , p
ÊMICATALEPSIE, p. 260, 307. IlÉMILÉTHARGIE, p. 260, 307. Hémiplégie
cérébrale
, (Arthrite dans r"_), p. 181, 201, 205 , 206, 208
— récente, p. 73. Hémorrhagie intra-méningée, p. 102. HÉMOimHAGiE
cérébrale
, altération des petits artères de l'encéphale com
— récente, p. 48; — cas anciens d' —, p. 65, — alliérome des artères
cérébrales
, cause de r —, p. 70: —? hypertrophie du cœur, ca
17;—distinction de F — avec l'athéronie, p. 18. R Ramollissement
cérébral
, p. 156. Réflexe tendineux dans la léthargie hy
; — expériences, p. 317. Rcins, atrophie des — cause d'hémor-rhagie
cérébrale
, p. 172 Rigidité cataleptoïde dans le somnambul
térique par—, p. 474,522. T Température centrale dans l'apoplexie
cérébrale
, p. 91; — clans certaines affections convulsives,
Après avoir longtemps et vainement cherché la cause de ce trouble
cérébral
, on finit par apprendre, par une femme de chamb
ait, que les sensations dont elle se plaignait, avaient une origine
cérébrale
, qu'il était à la fois de son devoir et de son in
mettre que les sujets étaient des candidats sérieux aux accidents
cérébraux
. Les troubles nerveux et mentaux ayant succédé
surtout comme elle l'est en Italie, la doc- trine des localisations
cérébrales
aura plus contribué qu'aucune autre à éclairer
es italiennes. Pour ne palier que de la doctrine (les localisations
cérébrales
, telle qu'elle est exposée clans cet ouvrage, cet
toute délimitation absolue entre ces aires différentes de l'écorce
cérébrale
, montrent assez comment, presque toujours, « to
ne puis parler ici que des parties qui ont trait aux localisations'
cérébrales
. J'omets donc à dessein toutes ces admirables é
es les impressions sensibles sont con- duites jusqu'aux hémisphères
cérébraux
et y produisent une élévation de température pa
nouie dans le rayonnement toujours plus intense de la conscience
cérébrale
. Les centres spinaux, devenus inconscients, aut
le processus cons- cient est la phase transition d'une organisation
cérébrale
inférieure à une o ? 'a/;M6 ? e cérébrale supér
sition d'une organisation cérébrale inférieure à une o ? 'a/;M6 ? e
cérébrale
supérieure 1 ». Les processus psychiques qui no
la conscience finirait sans aucun doute par abandonner l'activité
cérébrale
; celle-ci prendrait peu à peu « le caractère in
e sur les centres moteurs pour y provoquer une réaction automatique
cérébrale
, phénomène d'autant plus fréquent que l'intensi
e à la pathogénie de ce phé- nomène les centres nerveux de l'écorce
cérébrale
dont la désorganisation s'exprime, fonctionnell
iment géné- rales de son hypothèse des centres mixtes de l'écorce
cérébrale
, hypothèse présentée en 1876, et que nous avons
us psychiques. La nature mixte des centres fonctionnels de l'écorce
cérébrale
étant ad- mise, (et les recherches postérieures
ctionnelle des éléments nerveux sensitifs d'un cen- tre de l'écorce
cérébrale
, excitation qui a lieu en même temps que celle
sentations organisées dans les cen- tres correspondants de l'écorce
cérébrale
, les parties périphériques du corps peuvent man
les hallucinations en général, puisque tous les centres de l'écorce
cérébrale
, et non pas seulement les centres dits moteurs,
'une seule et unique propriété des cel- lules nerveuses de l'écorse
cérébrale
, j'entends de la propriété d'être impressionnée
frontaux, en démontrant que, 48 - PHYSIOLOGIE. pendant l'activité
cérébrale
, ou sous l'influence de sen- sations et d'émoti
l'intensité de l'attention 2 : cette suractivité de la circulation
cérébrale
est due, selon Gley, à une influence vaso-motri
l'ormo, 1886. - La doctrine de la fièvre et les centres thoraciques
cérébraux
. Etude sur l'action des antip)t'iuues. - Gcorm. d
Les expériences de Mosso, appliquées à l'étude de la circulation
cérébrale
pendant le sommeil ont aussi démontré l'existen
pourtant, qui ont accompagné ces modifications de la circulation
cérébrale
déterminées par des excitations extérieures. Se
s expériences de Masso démontraient une fois de plus que l'activité
cérébrale
1 Tamburini et Seppilli. Recherche sui feuonxen
ses perceptions simples exercent-elles sur l'état de la circulation
cérébrale
? Les variations de la circulation cérébrale so
état de la circulation cérébrale ? Les variations de la circulation
cérébrale
sont-elles une con- dition déterminante de ces
ptions. Le temps où se manifestent les,variations de la circulation
cérébrale
, consécutives à l'action des stimuli, est beauc
on sont l'effet, et non la cause déterminante, des actions réflexes
cérébrales
provoquées par les perceptions. Bianchi, depuis
ans la mélancolie'. Citons encore les Recherches sur la circulation
cérébrale
de G. Rummo et Ferrannini 2, de Naples, qui ont
ale de G. Rummo et Ferrannini 2, de Naples, qui ont étudié le pouls
cérébral
chez deux individus présentant une ouverture du
sentant une ouverture du crâne : les va- riations de la circulation
cérébrale
pendant le sommeil leur paraissent également êt
l'augmenta- tion des déchets chimiques qui accompagent le travail
cérébral
. Ainsi, il faut admettre, concluait A. Gautier,
éduire, en ce cas, de 9/10, tout au moins, la quantité de substance
cérébrale
pensante. On peut admettre que les facultés pro
omique, je demanderai : Où sont et quels sont ces éléments du tissu
cérébral
que Robin a voulu baptiser du nom de myélocytes
re nerveuse des diverses catégories d'éléments constituant le tissu
cérébral
. CI Cela suffirait pour qualifier de fantaisist
westerderselben in hohenalter « sehr nervoes ». LES localisations
cérébrales
. 69 conclusions mais qui ont été faites avec pl
dante dans le cerveau du chien, relativement plus LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 71 large que chez le singe est indiquée pat le
amstrl11U ! tendon , J/ip, hanche ; Taist, queue. LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. z fig. 7), produit des mouvements du dos, de l
après l'excita- tion électrique des différentes parties de l'écorce
cérébrale
. Ces résultats, à part leur interprétation, ind
notés par Mills dans son excellent mémoire sur les localisations
cérébrales
et ses conséquences pratiques 3. Dans un de ces c
nt le Congrès de Washington, 1887. (Brain, 1889.) LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 75 vaient les convulsions du malade, était exa
parfaite harmonie avec ceux obtenus par l'excitation de l'écorce
cérébrale
des singes, et nous avons donc toute raison de cr
ure et postérieure du pli courbe. Règle générale, LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 79 avec les mouvements latéraux, on obtient de
er Akad, d. Wiss zii flel'fin V, 16 janvier 1889. LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. Si Il n'y a cependant à peine un point de la d
nt. VII, VIII, Six. Phil, Trans, \01. CLXV, l81a, LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 83 que, lorsque' les deux plis combes furent s
la natine du même cité; divergence des lèvres. LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 8» minutes se trainant à tâtons. Alors il repa
iveisity of' City 0 ? 1'eu'-l'ork; n° 1, 1890. LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 87 plulôt que l'amblyopie. Les expériences d'H
. -- P, puhinar, - p. comnllssure poste[ ieuie. LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 91 fig. 8). l'appui de ce que j'avance, je rap
o-temporale et pénétrait de plusieurs millimètres dans la substance
cérébrale
divisant les fibres médul- laires qui émergent
toire de l'amblyopie qui résulte de l'extirpation LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 93 unilatérale et de ce fait que, comme dans u
ille. - H, légion du cou. - S. région du tronc. LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 0)) saut avec toute la m'ain et tombant en deç
ale du pied gauche. Il se déviait à droite. On le LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 97 le point central qui fut examiné avec grand
hypothèse demanderait que dans tous les cas d'amblyopie par lésion
cérébrale
il y ait intégrité de la sensibilité du globe d
gie, de l'aphasie et d'aulres symptômes dus aux lésions des tractus
cérébraux
et des centres dépassent la région occipitale.
majorité des cas sinon tous d'hémiopie avec autopsies, avec lésions
cérébrales
telles qu'elles n'ont pas certainement compris
ble de la vision à la suite de lésions destructives de l'hémisphère
cérébral
opposé, qu'il ne rapporte pas cependant spécial
it. Il a donné à cet état le nom de hirnseh- scl1wJche ou amblyopie
cérébrale
. Elle était entièrement croisée et affectait se
alblatt f. med. Il'issenscha/'ten, 187î. ' Centres 0/ Vision in the
cérébral
hémisphères. (Med. Record,,1881.) 3 P/luger's A
lever chez les chats entre 3",5 et 3 centimètres cubes de substance
cérébrale
et entre 4",5 et 6 centimètres cubes chez les c
ui occupe seulement les deux septièmes de tout le LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 105 centre'visuel. Quand ce petit endroit qui,
Das Sehcentrum bei 7'SM<'f)[,August., 1878. LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 107 dans la région indiquée, et Munk conclut q
a cécité psychique dans les maladies de l'enfance et les mala- dies
cérébrales
. P. K. V111. Les voix QUI devancent, accompagne
parlons sans le vouloir et en même temps nous per- cevons les voix
cérébrales
qui témoignent de la résonance des cellules imp
est-à-dire dans le système nerveux périphérique et dans les centres
cérébraux
inférieurs. L'entière conservation de la facult
curables. - R. M. C. XXVI. Paralysie générale simulant une tumeur
cérébrale
, par G.-Il. SAVAGE. (The Journal of Mental Sci
née, il n'y a eu qu'une voix pour admettre l'existence d'une tumeur
cérébrale
, laquelle devait être presque certainement située
nérale des aliénés, il déclare que dans son groupe c'est la cellule
cérébrale
intoxiquée qui détermine l'irritabilité du tissu
iscussion, parce qu'il n'est pas histologiste. Pour lui, la cellule
cérébrale
doit flotter dans une atmosphère de vaisseaux. le
abilité électrique, des fonctions spninctéiiennes. Pas de symptômes
cérébraux
. Jusqu'à nouvel ordre, il y a lieu de ranger ce
la com- missure provient des fibres entre-croisées des territoires
cérébraux
immédiatement adjacents au cerveau moyen. Mais
répartis les systèmes de fibres qui occupent le pied du pédon- cule
cérébral
. Pratiquons, à l'exemple de Flechsig, une section
pyème. Au bout de huit jours de maladie, se montrent des phénomènes
cérébraux
; pendant neuf jours, la fièvre tombe, tandis q
L\L (d'Heidelberg). Contribution à la symptomatolo- aie.des tumeurs
cérébrales
. -Un jeune homme de dix-neuf ans, présentant un
a traité de la structuie de la couche corticale des circonvolutions
cérébrales
, avec leur superposition de six couches alterna
tation et aux mouvements fluxiou- naires que provoquent les lésions
cérébrales
ou médullaires, six sont consacrées aux particu
t les néphrites interstitielles, le ramollissement et l'hémorrhagie
cérébrale
, l'insuffisanceaortique, la sclérose et la stéa
- laire. Dans l'hystérie, pas plus que dans l'hémiplégie de cause
cérébrale
, l'atrophie n'est chose fatale. Elle peut surveni
pliquer d'atrophie musculaire, tandis que telle hémiplégie de cause
cérébrale
, où l'impotence fonctionnelle et la contracture
versales de la lyre. Je revien- drai sur ce-point à propos de l'arc
cérébral
. Le plus ordinairement, la portion ammonique se
e olfactif ayant été considéré par cet auteur comme « une expansion
cérébrale
projetée à une distance variable de l'hémisphèr
rongeurslissencéphales, il montre qu'il reste cependant un « gyrus
cérébral
, la circonvolution godronnée, recon- naissable
ue la fascia dentata nous représente le véritable ourlet du manteau
cérébral
...» » - Giacomini, rapportant son appareil ains
mini, rapportant son appareil ainsi constitué à l'ourlet du manteau
cérébral
, semble se rapprocher des idées de FOVILLE, leq
de Lan- cisi rattachent l'un à l'autre les points d'implantation
cérébraux
des deux racines olfactive externe (corne d'Amm
. « ... Il est à remarquer en outre que le long du bord où l'écorce
cérébrale
se termine sur le corps cal- - leux par un bord
ou groupes cellulaires différenciés, dont l'un siège dans l'écorce
cérébrale
, tandis que l'autre réside dans la moelle épini
e. Steiner a vu que si l'on fait l'ablation de l'un des hémisphères
cérébraux
du squale, celui- ' Russe) Reynolcio. - Brit. m
séquence, de telle sorte que, après l'ablation du second hémisphère
cérébral
, le même animal continue à nager en cercle. J
mplantait qu'une aiguille thermo-électrique (soudure) dans la masse
cérébrale
, au lieu de deux .(Schiff), qu'il réunissait au
bien moins, la plupart du temps, une éléva- tion de la température
cérébrale
, qu'un refroidissement de l'organe. Ainsi, en f
on aux variations successives de la température durant le travail
cérébral
, on constatait l'existence de vérita- bles osci
conséquent à la surface du cerveau, sans pénétrer dans la substance
cérébrale
elle-même, ainsi que dans les expériences de Sc
une hypothèse à ' Tanzi. - Ricerche termo-elettriche sulla coreccia
cérébrale
in rela- zione con gli stati enzotivi. Reggio-E
atives de refroidissement et d'échauffement ont pour siège l'écorce
cérébrale
" elle-même et pour condition immédiate le trav
on. Ainsi, les t Tanzi. - Ricerche lermo elettriche sulla corteccia
cérébrale
, p. 32 et 38. LES FONCTIONS DU CERVEAU. 229 9
rches thermo-électriques sur l'équi- valent thermique de l'activité
cérébrale
, ces auteurs avaient des précurseurs : Lombard,
avaient noté que la température de la tête augmente avec le travail
cérébral
(travail intellectuel, émotions, mouvements vol
terne du crâne et la 1 Seppilli et Maragliano. Sludi di termometria
cérébrale
ltiv. speriment. di fren., 1879. ' Contributo
esse, etc. De tous les états subjectifs qui accompagnent le travail
cérébral
, les émotions, nous l'avons dit, sont certainem
meilleur terrain d'expériences pour l'étude de la trier- mogénèse
cérébrale
. La pile de Tanzi et Musso était formée de deux
ues corres- pondantes du cerveau, démontrent que, dans l'activité
cérébrale
aussi, agit cette loi du rhythme qui semble pré
s n'avons ni dissimulées ni affaiblies, il reste que le tra- vail
cérébral
, comme celui du muscle, est une forme de l'éner
traires. 1 II. - Les différentes aires fonctionnelles de l'écorce
cérébrale
, outre un territoire propre, un foyer cen- tral
me centres de perception et d'idéation, les fonctions de l'écorce
cérébrale
. IV. Les différents points de chaque sphère fon
pondant. V. Les rapports de chaque centre fonctionnel de l'écorce
cérébrale
avec les organes périphériques cor- respondants
VI. Les variétés morphologiques des éléments nerveux de l'écorce
cérébrale
n'apprennent rien sur leurs fonctions : c'est d
III. La spécificité fonctionnelle des différentes aires de l'écorce
cérébrale
dépend, non d'une diversité spécifique des élém
les organes périphériques du sens muscu- laire. XI. - L'activité
cérébrale
, comme l'activité mus- culaire, détermine, au d
et de réintégration fonc- tionnelle des centres nerveux. Le travail
cérébral
est une forme de l'énergie. L'intelligence a de
OLOGIE PATHOLOGIQUE « THE CROONIAN LECTURES SUR LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
' Par DAVID FERRIER Médecin du King's Collège
Arei. de Neurolog., n° 60, p. 405; n° 61, p. 68. LES localisations
cérébrales
. 241 gue (fg. 14) chez les animaux dont la sécu
. ! Philosophical Transactions, Part. II, 1884. , LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 243 faire allusion, soulevèrent des questions
iver chez les animaux, même après l'ablation totale des hémisphères
cérébraux
. Schoeff er, dans ses premières expériences ave
vol. 10, p. 373. Bi,ain, juillet 1889, p. 164. LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 245 parfaitement normal était tout à fait sour
pas aux sons produits dans son voisi- rig. 17. LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 247 nage, ni quand on frappait la porte du lab
ne regardait autour de lui, si au même moment il LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 249 était occupé à quelque chose, tandis que l
l'indiquer, la totalité des lobes temporaux comme les autres lobes
cérébraux
, peut être enlevée sans abolir complètement les
ur les chicns, coirespond à la égion auditive . ' LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 2SI ). plus léger trouble de l'ouïe. Et il con
et que les deux oreilles sont repré- sentées dans chaque hémisphère
cérébrale
. C'est indubitablement le cas; car l'extirpatio
la circonvo- lution temporale supérieure. La surdité par maladie
cérébrale
chez l'homme est rare, vu l'ex- trême rareté de
aine de surdité dans ce cas coïncidant avec des symptômes de lésion
cérébrale
, et l'état du 1 Archives of médecine, février 1
, 1883 (Brain, avril 1888, p. 19). 1 Fig. 22. LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 255 cérébrale. Pour exclure toute possibilité
il 1888, p. 19). 1 Fig. 22. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 255
cérébrale
. Pour exclure toute possibilité de lésions locale
avec une entière certitude que es lobes temporaux sont les centres
cérébraux
de l'audition. » Quoique les lésions n'étaient
centre auditif dans ces lobes. Les affections de l'ouie d'origine
cérébrale
avec lesquelles nous sommes plus familiarisés s
agazine, nov. 1889. " Journal of Anatomy, 1870. LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. lSi -1 Les faits tirés de la pathologie humain
eynert, à travers le cervelet dans leur trajet vers les hémisphères
cérébraux
, hypothèse qui, d'ailleurs, ne concorde pas ave
cas d'autopsie de chorée avec examen microscopique des hémisphères
cérébraux
, les lésions constatées sont absolument com- pa
stance de la paroi artérielle explique la production d'hémorrhagies
cérébrales
, de thromboses oblitérantes, et les troubles d
ale, et meurt dans un état de mal. On porte le diagnostic de tumeur
cérébrale
avec hydrocéphalie et lé- sion de la moelle. L'
LISSA UER. - Observation DE CÉCITÉ PSYCHIQUE ENTRE autres symptômes
cérébraux
; par Siemerling. (A7CIL. f. Psychiat., XXI, 1.)
phale entier avec ses ménin- ges; le manteau, le cervelet, le tronc
cérébral
, avec et sans leurs membranes respectives. Il d
cident. Atrophie de toute la région antérieure des deux hémisphères
cérébraux
jusqu'au niveau de la frontale ascendante. M. S
bstance trouvées dans LES LOBES PARIÉTAL ET FRONTAL DE L'HÉMISPHÈRE
CÉRÉBRAL
GAUCHE CHEZ UN DÉ- MENT, SANS QUE PENDANT La VI
ps restiforme, peut-être aussi avec le cervelet. P. K. XXI. LÉSIONS
cérébrales
intéressantes CHEZ UNE IDIOTE ÉPILEPTIQUE. - CO
- CONTRIBUTION A l'anatomie pathologique DE la paralysie infantile
cérébrale
; par TH. ZACHER. (Archiv. f. Psych., XXI, 1.) O
e ordinaire, d'origine bulbaire, parce que l'altération de l'ecorce
cérébrale
empêche l'action com- pensatrice des centres va
iffèrent des cellules granuleuses dégénéra- tives du ramollissement
cérébral
, cellules qui ont principalement pour origine d
'est le cervelet qui pré- side à l'arrêt de l'activité des cellules
cérébrales
. Il est même pro- bable que, dans le système ne
ême pour la partie supérieure de lamoelle, le bulbe, les pédoncules
cérébraux
, les segments supérieurs des couches optiques (
la substance grise de la moelle- cellules pyramidales de l'é- corce
cérébrale
- cellules de Purkinje du cervelet- ganglions d
ût comprimé les ascendants, elle n'avait pas occasionné d'accidents
cérébraux
. M. SNELL. ;L'ep : dmfe d'influenza à l'asile d
ff sans que, pendant la lie, on se trouve cn présence de phénomènes
cérébraux
et médullaires quelconques; il faut aussi remar
ution du diamètre trans- versal du corps restiforme. Les pédoncules
cérébraux
n'ont pas été examinés. La sclérose de la pyram
re transversal du corps resti- forme s'observe du côté de la lésion
cérébrale
. Les nerfs périphé- riques ne présentent aucune
En résumé, à côté de l'atrophie musculaire consécutive à une lésion
cérébrale
, cette observation présente une coïncidence cu-
gauche fait saillie dans son tiers postérieur. Les circonvolutions
cérébrales
sont aplaties et- effacées. La glande pituitair
eaux de la base ne présentent rien de particulier. Les pédon- cules
cérébraux
, la protubérance, le bulbe et la moelle épinière
gie, 1883, n° 18.) BIBLIOGRAPHIE. 299 de l'amyotrophie de cause
cérébrale
, ce cas présente aussi un intérêt spécial. En
es, sont en résumé, les deux observations d'amyotrophie d'o- rigine
cérébrale
dont la signification physiologico-pathologique
uis que M. Babinski a démontré que l'atrophie musculaire de cause
cérébrale
est possible avec des cornes antérieures intactes
onditions dans lesquelles se développent les amyotrophies d'origine
cérébrale
, sont variables : tantôt on trouve une lésion t
l est évident que leur curabilité dépend exclusivement de la lésion
cérébrale
fonda- mentale. Il parait donc établi actuell
trophie musculaire peut se développer consécutivement à des lésions
cérébrales
sans aucune modification du côté des ganglions
localisation exacte des centres trophiques des muscles sur l'écorce
cérébrale
est inconnue et encore moins la localisation du
moins la localisation du 1 Babinski. Atrophie musculaire d'origine
cérébrale
, (Comptes rendus de la Société de biologie, 188
insuffisantes pour interpréter les atrophies musculaires d'origine
cérébrale
; les auteurs pensent qu'au point de vue anatomiqu
de supposer que chaque impulsion psychomotrice partant de l'écorce
cérébrale
est accompagnée d'une impulsion vaso-motrice ay
é inconsciente. Les diverses périodes de formation de l'automatisme
cérébral
qui en dérive, sont distinguées ensuite, et c'e
bles d'une fort intéressante étude sur la pathologie du pédoncule
cérébral
Si je vous propose cette dénomination, c'est pa
ant qu'une lésion de la partie inférieure et interne du pédoncule
cérébral
produit un syndrome caractérisé par une paralys
t bien démonstratif : un tubercule isolé siégeant dans le pédoncule
cérébral
gauche avait amené le syndrome clinique en ques
e alté- ration encéphalique qu'une lésion ancienne du pédon- cule
cérébral
. Dans ce cas très évidemment l'oculo- moteur co
deux faits où l'autopsie fit voir un tubercule dans un pédoncule
cérébral
, alors que,, du vivant des malades, on n'avait
l'auatomie et d'étudier sommairement les rapports des pédoncules
cérébraux
avec la protubérance et les or- ganes adjacents
ntrinsèques du pédoncule avec l'oculo-moteur commun. Le pédoncule
cérébral
est, vous le savez, un tractus complexe dont l'
a troisième paire droite résultant d'un ramollissement du pédoncule
cérébral
droit. Gazelte >néd. de Pars, n° 7, p. 555,
éclairant sa chambre, lui faire rêver flammes, incendie; l'action
cérébrale
provoquée chez lui est toujours en rapport avec
- fois, il apparaît subitement, notamment à la suite de commotion
cérébrales
vives. Je signalerai encore un symptôme caractéri
OGIE PATHOLOGIQUE « THE CROONIAN LECTURES » SUR LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
« Par DAVID FERRIER, Médecin du King's Collèg
s haut, ils se continuent évidemment dans le tegmentum du pédoncule
cérébral
et de là dans la partie postérieure de la capsu
ensibilité ou un trouble plus grand que celui Imputable à la lésion
cérébrale
. - Mais telles que ces expériences sont opposée
ces de Veyssière ' et les recherches de Charcot sur ],hémianesthé1C
cérébrale
chez l'homme ont' amplement dé- montré que les
Recherches cliniques et expérimentales sur l'hémianestésie de cause
cérébrale
, 1874. ' LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 379 mo
sur l'hémianestésie de cause cérébrale, 1874. ' LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 379 moins grande destruction du lobe occipital
tération, l'attention par la piqûre, etc., étant 1 Functions of the
cérébral
Cortex. B. XX Phil. trans. 1888. - 382 ' PHYSIO
aucune sensation, mais après ce laps de temps une LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 383 amélioration se produisait, l'anesthésie g
hez les singes (Phil. Trans., B. YLVIII, 1889). LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 385 leur intégrité n'entraînent à leur suite a
inale du bulbe et du nerf olfactif, d'un diverticule de la vésicule
cérébrale
antérieure, dont la cavité a été presqueentiè-
a face moyenne, externe, supérieure et inférieure de l'hémisphère
cérébral
sont considérés comme racines du nerf olfactif. Q
hien, dont le lohule de l'hippocampe est sept 1 Phil. Trans. on the
cérébral
Commissiures of the marsupial and Monotremata.
issure antérieure. G, septum. - K, corps strié. LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 391 fois plus grand que celui du lapin, la por
Section frontale du cerveau du singe il angle droit des pédoncules
cérébraux
dans la région de la commissure antérieure (grand
d. - ne, novau caudé. - nl, nojau lenticulaire. LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 393 L'excitation électrique du lobule de l'hip
ut désorganisé et également une légère détérioration du pédoncule
cérébral
se produisit, de sorte que l'animal devint complè
ire que les sens du goût et de l'odorat de l'ani- LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. x 397 mal, quoique sérieusement atteints,-n'ét
des réactions tendineuses, comme dans le cas d'hémiplégie incurable
cérébrale
chez l'homme. Les recherches sur l'état du ce
Bd. XX. 1888. 1 Voir figure : fig. 20, op. cit. LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 408 unilatérale de ces centres ne produit aucu
les singes. Dans les c Gulstonian Lectures * sur les localisations
cérébrales
que j'ai eu l'honneur de faire devant ce collèg
volutions ascendantes ; 33 cas de monoplégie bra- LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 40S chiale, comprenant trois cas d'excision ch
mettre sur le compte des rapports bilatéraux de chaque hé- misphère
cérébrale
. La théorie de la compensation par d'autres por
compagnée par la perte de 1 Op. cil., p. 4,8. - LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 407 la sensibilité générale de la partie paral
unctions - Localisation au/' der Grosslzirnrinde, 1886. , Locatased
cérébral
disease. Anzer, Jomm. Med. Se. 1884. » Cortical
ion des Gefuhls in. der Grosshirnzinde, 1882. · LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 409 riable entre une lésion particulière et un
t, la table interne du crâne avait été en- foncée dans la substance
cérébrale
, produisant ainsi une hémi- plégie générale. Da
p. 21. 9 Wood, Ph. med. Trans., vol. V, p. 470. LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 411 l'insula de Reil. Dans le troisième la sen
s 1); Lloyd et Deaver (Am. Jour. )léd. Se., vol. 96, p. 477); Keen (
Cérébral
Sargery Am. Jour. Méd. Se, 1888, cas 3). On pourr
our l'ablation de cette tumeur, mais il la trouva LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. H3 par la trépanation située au-dessous du pli
44. 2 The muscular Sensé (Brain, vol. X, 1889). LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 415 quand elle est accompagnée de parésie ou d
des centres inférieurs est assurée sans le concours des hémisphères
cérébraux
; et je ne pense pas non plus que les impressio
ndchirn. Archiv. f. d. ges. Phys. Bd. XVII, 1883. LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 417 capacités motrices sont plus variées et pl
ériences 19 et 20. l'hil. Traits. Part. II. 188î. LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 419 Dans un cas où j'ai enlevé le lobe frontal
a durée de la survie de l'animal. Il mourut subitement d'hémorragie
cérébrale
, le dixième jour de l'opération. Dans ce cas, l
' Archiv. sur Psychiatrie, 1887 vol. 15. p. 270. LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 421 temps. Les cas publiés de traumatismes ou
n que je n'ai pas considérée, ce sont les relations des hémisphères
cérébraux
et des fonctions de la vie organique. C'est un
ouché que d'une façon incidente au côté psychique des localisations
cérébrales
. Ce point réclamerait à lui seul un volume et p
la vraie conception des fonctions et des relations des hémisphères
cérébraux
et de leurs centres n'est pas seulement du plus
pratique important pour le diagnostic et le traitement des maladies
cérébrales
. ROBER SOREL. REVUE DE PHARMACOLOGIE EXALGI
persécutions. Baillarger a montré que dans la stupeur, les facultés
cérébrales
n'étaient pas toujours suspendues et qu'on cons
e habituellement, en général au début, de phéno- mènes d'excitation
cérébrale
, surtout de nature sensorielle. L'influenza dev
éraux. L'asile est indispensable lorsqu'il y a tabes avec accidents
cérébraux
, notamment avec déchéance intel- lectuelle, car
ec déchéance intel- lectuelle, car généralement alors les accidents
cérébraux
sont ceux de la paralysie générale. P. K. XXX
he et de la procursion. A l'autopsie, on a constaté de J'atro- phie
cérébrale
. Notlinaâel faisait dépendre l'épilepsie procursi
rale. Notlinaâel faisait dépendre l'épilepsie procursive de lésions
cérébrales
. Bourneville et Bricon ont confirmé cette manière
Cramer combat cette opinion. Pour lui, il ne s'agit pas de lésions
cérébrales
ou cérébelleuses, mais de phénomènes pure- ment
l a sur la pathogénie des atrophies musculaires dans les affections
cérébrales
». Voici les conclusions de l'auteur : dans les
rébrales ». Voici les conclusions de l'auteur : dans les affections
cérébrales
, on peut observer des amyotrophies sans aucune
core impossible de préciser la localisation anatomique de la lésion
cérébrale
provoquant infail- liblement l'atrophie, mais d
as il faut incrimi- ner une lésion de la région motrice de l'écorce
cérébrale
. Au point de vue clinique, les atrophies muscul
rale. Au point de vue clinique, les atrophies musculaires d'origine
cérébrale
peuvent être divisées en deux classes : aiguës
ures n'expliquent pas complètement la pathologie des amyo- trophies
cérébrales
; la théorie vaso-motrice l'explique mieux jus-
le professeur Sikorski cite des exemples d'a- phasie où. la lésion
cérébrale
étant absolument la même, les phé- nomènes clin
dre psychique aux- quels correspondent des processus physiologiques
cérébraux
, comme par exemple le fait suivant : une impres
151; - Contribution à l'étude de la pathologie des hémisphères
cérébraux
, par Roth et Mouratoff, 296, ; Intoxication chr
(phénomènes du), absence des - par Pick, 282. GLiosc de l'écorce
cérébrale
, par Buchholz, 274. GUS7·A·IIF'S (nerfs), par
yer du), par Wernicke, 258. 478 TABLE DES MATIÈRES. Localisations
cérébrales
, par Fer- ner, 68, 248, 377. MA ! .tE guérie
as de - chez la femme, par Grelpin, 452 ;- sinru- lant une tumeur
cérébrale
, par Sa\'age, 122; - et intoxication, par A.
ésie traumatique, par Schnell, 265; anatomie pathologique de la
cérébrale
infantile, par Hoven, 237, Zacher, 280. Param
du - inférieur avec le nerf auditif, pir Flechsig, 285. Tninjns
cérébrales
, symptomatolo- gie des - , par SclJoenthal, 1 î
ce poisson, vu par sa face supérieure. te. Tubercule ethmoïdal, ou
cérébral
, to. Tubercule optique, c. Cervelet. Rouget.
l ou nerf vague. Anguille. te. Tubercule ethmoïdal. te. Tubercule
cérébral
. to.Tubercule optique, c. Cervelet. Squale-rena
signant lés mêmes objets que chez l'anguille. BUSE; te. Tubercule
cérébral
, gp. Glande pinéale. to. Tubercule optique, c. Ce
osses. ( Il ne restait pas de trace du nerf spinal. ) pc. Pédoncule
cérébral
, pv. Pont de Varole. bt. Bande transversale sit
e, flocons. Lapin. Fig. ire Face supérieure de l'encéphale. Lobes
cérébraux
plus allongés que chez le paca 2 ENCÉPHALE DE
longés que chez le paca 2 ENCÉPHALE DES MAMMIFÈRES DONT LES LOBES
CÉRÉBRAUX
SONT DÉPOURVUS DE CIRCONVOLUTIONS. lobe d'hip
t l'organe de l'alimentivité. c. m. Corps mamillaiie. p. c. Pédoncule
cérébral
, p. v. Pont de Varole. b. t. Bande transverse.
enté, mais qui n'existent pas toujours aussi marquées. Taupe. Lobes
cérébraux
pyriformes , se rapprochant de ceux du paca. Ch
prochant de ceux du paca. Chauve-souris. Cervelet volumineux, lobes
cérébraux
intermédiaires entre ceux des oiseaux et des mamm
de simplicité et de netteté, le caractère propre aux circonvolutions
cérébrales
de cette famille. Renard. Fig. ire. Face supéri
de chaque côté : il y en a quatre à la partie externe de chaque lobe
cérébral
, la quatrième est située trop latéralement pour ê
n n'est autre chose que la scissure de Sylvius. P. A. Circonvolutions
cérébrales
au nombre de quatre; la première circonscrit la s
objets que chez le loup et le renard , cependant les circonvolutions
cérébrales
sont peu régulières dans leurs contours, elles on
re. OL Circonvolution interne, c m. Corps mamillaire. p. c. Pédoncule
cérébral
, p. v. Pont de Varole. b. t. Bande transversale
olutions formant toute la partie externe et supérieure de chaque lobe
cérébral
, et suivre l'analogie qui existe entre le cerveau
cette espèce de circonvolution supplémentaire, et vous aurez un lobe
cérébral
qui semblera presque calqué sur celui du renarci,
es. Toutefois, je dois faire remarquer qu'il y a en arrière du lobe
cérébral
droit du chat, un point de jonction entre la troi
eau de cet animal est semblable à celui du chat : les circonvolutions
cérébrales
présentent des lignes peu flexueuses, et le point
ses, que ces deux circonvolutions se confondent réellement. Le lobe
cérébral
de l'ours présente à sa surface extérieure, des c
ussitôt et former par sa jonction avec le sillon qui sépare les lobes
cérébraux
, un enfoncement crucial très marqué. Cet enfoncem
Loutre. L'encéphale de la loutre est aplati et ses circonvolutions
cérébrales
sont beaucoup plus ondulées et plus divisées que
trouve la scissure de Syb vius, et la séparation des circonvolutions
cérébrales
en antérieures et en postérieures. La ligne S se
t un mamelon ponctué représentant une partie du lobe olfactif. Lobe
cérébral
présentant les mêmes circonvolutions que chez le
et antérieures, au point 4- placé sur la ligne S. En arrière du lobe
cérébral
, on voit les trois lobes du cervelet et plus en a
t que celui du bœuf ; chez l'un et chez l'autre la masse de substance
cérébrale
située en avant du corps calleux, est plus consid
stérieures. si. si. Sillon antéro-postérieur qui sépare chaque lobe
cérébral
en deux moitiés; ce sillon se trouve entre la sec
mme chez les herbivores ( ruminans et solipèdes), les circonvolutions
cérébrales
en deux groupes, dont l'externe est moins dévelop
RSOUIN. Fig. i. Encéphale vu par sa (ace supérieure et dont le lobe
cérébral
droit (fig. 2) a été détaché par la section du co
fig. 2) a été détaché par la section du corps calleux et du pédoncule
cérébral
, en avant des tubercules quadrijumeaux. I, II,
eine sont les mêmes que celui du marsouin. PLANCHE TREIZIÈME LOBE
CÉRÉBRAL
DROIT DE L'ÉLÉPHANT DES INDES; FACE INTERNE. c.
s pour le nombre , l'amplitude et les ondulations des circonvolutions
cérébrales
. ENCÉPHALE DU C'est un très petit encéphale d
u plutôt un très grand encéphale de fœtus humain. Les circonvolutions
cérébrales
y sont en même nombre que chez l'homme, mais elle
t le complément sur la figure 3 et sur la figure 4- p. c. Pédoncule
cérébral
p. v. Pont de Varole. p. a. Pyramide antérieu
portion du lobe moyen du cervelet. Fig. 3. Portion détachée du lobe
cérébral
gauche, en arrière de la scissure de Sylvius, et
fig. 5. 3. Troisième lobe du cervelet ou flocons. Fig. 5. Le lobe
cérébral
gauche a été enlevé ; on voit en relief le cervel
oisième paire de nerfs ou nerf moteur commun des yeux et le pédoncule
cérébral
gauche. i, a, 3. Les trois lobes du cervelet.
mparez cette figure à celles qui représentent la face interne du lobe
cérébral
du bœuf et du cheval (pl. IX), du mouton (pl. VII
vée pour découvrir le profil du bulbe, du cervelet et de l'hémisphère
cérébral
. fr. Os frontal, pa. Os pariétal, oc. Occipital
ieure de la même moelle. a. Éminences mammillaires. b. Pédoncules
cérébraux
. c. Protubérance. d. Pyramide antérieure. /'.
tang, de la collection du Muséum (extrait de mon ouvrage sur les plis
cérébraux
de l'homme et des primates). E. F. Extrémité fr
uperficiel de la protubérance intact du côté gauche. f. Pédoncule
cérébral
gauche, qui s'engage sous la bandelette optique
ment forme une anse qui se confond avec certaines fibres du pédoncule
cérébral
, et embrasse l'étage inférieur de ces pédoncules.
5. Face supérieure du corps calleux énu-cléé avec l'ensemble du noyau
cérébral
, dans l'homme (d'après M. Foviiie). a. Corps st
, (Reil). Faisceau olivaire (Tied.) m. Étage inférieur du pédoncule
cérébral
. n. Nerf optique, o. Corps strié externe occupa
ieur. h. Fibres postérieures du cornet pédonculaire. i. Pédoncule
cérébral
. j. Anse du pédoncule. k. Corps genouillé inter
ieur. r. Écorce du cervelet. L. A. Lobe antérieur de l'hémisphère
cérébral
. L. P. Lobe postérieur. STRUCTURE DES HÉMISPHÈR
misphère cérébral. L. P. Lobe postérieur. STRUCTURE DES HÉMISPHÈRES
CÉRÉBRAUX
D'UN PAPIÓN. Cette planche représente l'hémisph
PHÈRES CÉRÉBRAUX D'UN PAPIÓN. Cette planche représente l'hémisphère
cérébral
droit d'un Fig. \. Les couches corticales seule
t le tractus gris du corps strié inférieur (p fig. 5). Les expansions
cérébrales
du nerf optique ont été mises de la sorte à déc
isphère après l'ablation du nerf optique et du plan de ses expansions
cérébrales
. d. Pilier droit de la voûte coupé. e. Lame d
été indiquées, g, fig. 1. k.k. Faisceau perforé et anse du pédoncule
cérébral
. /. Faisceau perforant du pédoncule. n. Commi
aisceau perforé du pédoncule se portent directement dans l'hémisphère
cérébral
. l . Leurs entre-croisements avec les fibres du c
d. Trapèze. e. Plan superficiel de la protubérance. f. Pédoncule
cérébral
. g. Tuber cinereum et éminences mamillaires.
externe. d. Tapis de Reil détaché et soulevé. e. Pian des racines
cérébrales
du nerf optique. f. Corps genouillé interne.
0. Racine de l'un de ces faisceaux. Fig. 6. Ensemble des expansions
cérébrales
du nerf optique dans le Saï Capucin. à. Bulbe.
Olives. d. Trapèze. e. Protubérance annulaire. f. f. Pédoncules
cérébraux
. fi Prolongement des fibres du pédoncule consti
du vermis latéral. d\ Masse du vermis latéral. e. Bulbe. Pédoncule
cérébral
. Fig. 6. Même cervelet; les plans profonds de l
n'aperçoit aucun indice de division transversale. H. C. Hémisphères
cérébraux
, semblables encore à deux vésicules creuses. Fi
rveau d'un fœtus de vache, représenté à une époque où les hémisphères
cérébraux
ne recouvraient point encore les lobes optiques.
. L. 0. Lobes optiques divisés en quatre tubercules. P. Pédoncule
cérébral
déjà bien formé. C. P. Masse grise de l'infundi
bien formé. C. P. Masse grise de l'infundibulum. H. C. Hémisphère
cérébral
présentant déjà quelques gros plis dans l'ensembl
que plus grand relativement que dans l'âge adulte. H. C. Hémisphère
cérébral
vésiculaire dont la surface est encore complèteme
r laquelle apparaîtra plus tard le vermis latéral. P. C. Pédoncules
cérébraux
dans l'intervalle desquels se distinguent d'arriè
es, le tuber cineréum et les nerfs optiques. H.C.—H. C. Hémisphères
cérébraux
déjà nette- ment divisés en deux masses, l'une
sse grise de l'infundibulum. N. OL. Lobe olfactif. H. C. Hémisphère
cérébral
où se remarquent déjà quelques indices d'une foss
és en deux masses latérales par un sillon médian. H. G. Hémisphères
cérébraux
encore vésiculeux mais ayant acquis une amplitu
ntaire. P. V. Pont de Varole, parfaitement développé. P. C. Pédoncule
cérébral
. N. OP. Nerfs optiques très-grêles. L. OL. Lobe
e. P. A. Pyramide antérieure. P. V. Pont de Varole. P. C. Pédoncule
cérébral
. N. 0. Nerf optique. CL. Cervelet latéral. C. A.
Cervelet latéral. T. Touffe. P. V. Pont de Varole. P. C. Pédoncule
cérébral
. E. M. Emmenées mamillaires. C. P.Tuber cinereu
ncyroïde, ainsi que cela a lieu dans les singes. Fig \\. Expansions
cérébrales
du nerf optique . Cf. Pl. XXVI, fig. 4. N. OP.
r dans les tubercules quadrijumeaux, en sorte qu'il n'a pas de racine
cérébrale
directe. CERVEAU DU FOETUS ET DE L'ENFANT NOUVE
cissure de Sylvius, encore béante malgré l'affaissement de la masse
cérébrale
. S. R. Sillon de Roland o. P. F. A. Pli frontal a
'ensemble de ces figures montre qu'à la naissance le système des plis
cérébraux
est complet. Fig. 4. Face supérieure. C. Bulbe.
velet gauche. CD. Cervelet droit. L. A. Touffe. P. C. Pédoncule
cérébral
. 3me P. Troisième paire. Ë. M. Éminences mami
, à ce sujet, des confusions telles qu'on a comparé les anesthésies
cérébrales
aux anesthésies spinales. Le siège primitif de
pas comparables à ceux de l'ataxie; dans un cas, ils sont d'origine
cérébrale
; dans l'autre, d'origine spinale; dans l'un, l'
sme, il impose son propre délire, lequel se greffant sur le trouble
cérébral
préexistant, l'influence de diverses manières.
la base du crâne. - Aplatissement et distension des circonvolutions
cérébrales
. Dilatation considérable des ventricules latéra
facilement; de là, décortication pénible ? , 1) Les circonvolutions
cérébrales
sont aplaties, étalées. La substance encéphaliq
que, jusqu'à nouvel ordre, nous désignerons sous le nom d'atrophie
cérébrale
. OBSERVATION II ATROPHIE CEREBRALE : IDIOTIE
base sont normales. Les nerfs crâniens sont réguliers. Le pédoncule
cérébral
droit semble un peu moins large que le gauche ;
volutions. OBSERVATION III SCLÉROSE TUBÉREUSE DES CIRCONVOLUTIONS
CÉRÉBRALES
: IDIOTIE ET ÉPILEPSIE HÉMIPLÉGIQUE. Sobwmn.
rose hypertrophique. - Leur distribution sur les deux hémi- sphères
cérébraux
. -Anomalie des olives, etc. Pit.. L. Marie, âgé
t un peu plus grosse et plus arrondie que la gauche. - Le pédoncule
cérébral
gauche, surtout à sa partie supérieure, est plu
mmes de moins que le gauche. notes SUR L'IDIOTIE. 87 Hémisphère
cérébral
gauche. La pie-neère est très mince et s'enlève
es par notre ami, M. E. Brissaud. 88 CLINIQUE mentale. Hémisphère
cérébral
droit. Même aspect de la pie-mère ; mêmes lésio
tômes positifs et négatifs, nous portons le diagnostic d'hémorragie
cérébrale
. Les jours suivants, les 19, 20 et 21 mars, peu
t l'autre cas. Dans le premier, elle fut rapportée à une hémorragie
cérébrale
par M. Gilbert, mais il convient de répéter, qu
d human Tempéra- ture par E. SEGUIN, New-York. 1876. Titerinométrie
cérébrale
; par P. BRocî. (Congrès de l'Association frança
tifique 2° série. 15 septembre 1877; Progrès médical, 1877, n° 36).
Cérébral
Ther- mometry; par Gray. (New-York àled. Journ.
9; et, Bull. Acad. de Médecine, p. 38, n° 3, 1880. - Thermo- mêtrie
cérébrale
; par Mills, New-York med. Record, 1878, décem-
ecord, 1878, décem- bre, et même journal 1879. - De la Thermomêtrie
cérébrale
, par P. Bers. (Soc. de Biologie, 18 janvier 187
ain, par LORAIN, vol. I. Paris, 1877. Recherches sur la température
cérébrale
, etc. ; par Maragliano, 100 REVUE CRITIQUE. (
et Rev. clin, di Bologna n° 20. 4879). - Studii di the1'lnometl'ia
cérébrale
negli alienati; par Maragliano et L Seppilli.,
erv. and ment, diseuse, Janv. 4880. V. N° 1, p. 51). - Thermométrie
cérébrale
, dans : Revue des maladies du système nerveux p
muscular move- ments on the température of the head : new study of
cérébral
cortical localization; par R. W. Amidon. (Archi
. de Biologie, de Paris. FRANCK. Communications sur la thermométrie
cérébrale
(Société de Biologie, 29 mai et 12 juin 1880).
pour l'avancement des sciences une note relative à la thermométrie
cérébrale
et à la valeur diagnostique de l'exploration th
du cerveau. Avant cette communication de M. Broca, la thermométrie
cérébrale
avait été étudiée, mais à des points de vue tou
eut donc le mérite d'appliquer à la clinique un mode d'exploration
cérébrale
nouveau dans ses détails, dans des conditions f
nt indiquer l'intérêt que les auteurs attachent à la thermométrie
cérébrale
. Mais, avant de passer en revue ces travaux et ce
r de l'origine réelle de cette chaleur : provient-elle des surfaces
cérébrales
mêmes, est-elle sous la dépendance de la conges
iés ou non à des modifications de l'irrigation sanguine de la pulpe
cérébrale
? Ce sont autant de questions sur lesquelles le
iste était grossier ; on plongeait un ther- momètre à même la pulpe
cérébrale
à travers le trou occipital; la température par
mométrie céphalique, il faudrait séparer la thermométrie réellement
cérébrale
de la thermomé- trie des surfaces externes, émi
cielle, on plonge des aiguilles thermo-électriques à même la pulpe
cérébrale
; ou bien, chez le poulet principalement, on met
n, chez le poulet principalement, on met au travers des hémisphères
cérébraux
une pile do bismuth DE LA THERMOMETRIE CÉPHALIQ
température en rapport direct avec la doctrine des localisa- tions
cérébrales
. M. Bert reconnaissait aussi qu'il serait préfé-
de notre travail. DE LA THERMOMETRIE CEPHALIQUE. 105 clinique
cérébrale
quand il donnait en 1877 : d'une part, la moyen
. Bert, Soc. Biol., janvier 1879.) Au point de vue de la clinique
cérébrale
, nous en trouvons des applications dans les trava
e de Mmo Mary Putnam Jacobi. Dans son article sur la thermométrie
cérébrale
, M. Gray donne l'observation d'une femme de 34
ées, du ptosis et du strabisme, indiquaient nettement une affection
cérébrale
. Les douleurs s'exagéraient par intervalles irr
appliquer la thermométrie céphalique à l'étude des localisa- tions
cérébrales
. Partant de ce principe, que l'exécution d'un m
ie, qu'il s'est ensuite appliqué à faire coïncider avec les centres
cérébraux
sous-jacents : cette com- paraison se poursuit
température, obtenue à grand'peine, répond bien à celle des parties
cérébrales
sous-jacentes. On ne peut pas actuellement réso
s objections possibles de la part des adversaires des localisations
cérébrales
. Et cependant les faits cliniques que nous rapp
us semblent bien plaider en faveur de la thermométrie véritablement
cérébrale
; il y a là un faisceau d'observations dont nous
uche plus ou moins complète produite par la section de l'hémisphère
cérébral
droit, au niveau de l'extré- mité antérieure du
cérébral droit, au niveau de l'extré- mité antérieure du pédoncule
cérébral
, a pu être transformée en hyperesthésie par une
. V. VI. RECHERCHES expérimentales SUR la PHYSIOLOGIE DE l'écorce
cérébrale
; par OTTO BINSWANGER. (Réunion des médecins et
rpation REVUE DE PHYSIOLOGIE. 137 des centres moteurs de l'écorce
cérébrale
chez le chien, dans le but de déterminer, au mo
ation de ces voies motrices profondes arrive seulement à la surface
cérébrale
. Les faits expérimentaux de lésion de l'écorce
vation : 1° la longue durée de la maladie et l'absence de symptômes
cérébraux
; 2° la coïncidence de l'hypertrophie cardiaque
ot convenable pour rendre sa pensée. L'auteur attribue ces troubles
cérébraux
à la rupture de quelque petit vaisseau, due à l
oit, il existait une tumeur du volume d'une petite orange; le tissu
cérébral
avait en partie disparu à ce niveau, en sorte q
me un sarcome. H. D'O. VI. Cas d'endocardite ulcéreuse avec EMBOLIE
cérébrale
; par E. Thompson. (The Lancet, mars z880, p. 43
u, autour du chiasma et dans l'es- pace interpédonculaire. L'artère
cérébrale
moyenne droite était oblitérée à son origine. L
(un dollar mexicain). Par cette blessure était sortie la substance
cérébrale
en notable quantité. La petite malade comprenai
al de démontrer que dans les formes mentales compliquées, les ictus
cérébraux
qui y sont si fréquents déterminent à distance
s particularités intéressantes pour la doctrine des loca- lisations
cérébrales
ou relatives à d'autres considérations étran- g
pendant la vio ou à l'autopsie ont pour cause immédiate la lésion
cérébrale
. Cette conclusion est plus contestable pour la
IQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE CHEZ UN HALLUCINÉ MORT DE CONGESTION
CÉRÉBRALE
; par M. Cil. Du- TERQUE. Le titre de l'observ
pachyméningite dans la région pariétale gauche et à la compression
cérébrale
ainsi produite pendant les périodes de gonfleme
e plus tard et serait liée à l'altération consécu- tive de l'écorce
cérébrale
. (Journal of ment. Science, janvier 1880.) H. D
deuxième chapitre, M. Arnozan s'occupe des amyo- trophies d'origine
cérébrale
, spinale ou périphérique. Le troisième chapitre
'admet pas l'in- fluence de la syphilis sur la congestion, l'anémie
cérébrales
, l'hémorragie cérébrale; mais il reconnaît l'in
de la syphilis sur la congestion, l'anémie cérébrales, l'hémorragie
cérébrale
; mais il reconnaît l'influence de la diathèse s
thèse sur la production de l'hémorragie méningée, du ramollissement
cérébral
, de la méningite cérébrale, et de l'encé- phali
l'hémorragie méningée, du ramollissement cérébral, de la méningite
cérébrale
, et de l'encé- phalite. M. Chauvet ne croit pas
su rassembler si vite. L'oeil est consi- déré, en tant qu'émanation
cérébrale
, au point de vue de ses connexions cérébrales m
, en tant qu'émanation cérébrale, au point de vue de ses connexions
cérébrales
motrices, sensorielles, sensibles, circula- toi
t les symptômes du strabisme à propos d'une thèse de patholo- gie
cérébrale
. Il nous semble que faire l'étude des troubles
els on peut baser un diagnostic probable, quels, sont les symptômes
cérébraux
associés au trouble oculaire qui permettront de
e trouble des fonctions de l'oeil ? Enfin, quelles sont les lésions
cérébrales
qui sont en rapport avec ce trouble oculaire co
s coupes multipliées ne font découvrir rien d'anormal. L'hémisphère
cérébral
gauche pèse dix gr. de moins que le droit. - Ce
centimètre ' et demi, puis se séparenttpour, donner naissance' aux
cérébrales
antérieures. Vj, 9 ^ ljjp , % jW> n ^ j , ,
es antérieures. Vj, 9 ^ ljjp , % jW> n ^ j , , .\ # Hémisphère
cérébral
gauche : il pèse 10, gr..de plus que le droit.
ne présentent aucune lésion.' ' ' , j 1 Il '' Il - '' Hémisphère
cérébral
droit : Décortication facile. - Circonvo- lutio
étendues, mais toujours profondes, des méninges et de la substance
cérébrale
. Observation III. Epilepsie. Mélancolie. Déme
; adhérence intime des lobes frontaux droit et gauche. Hémisphère
cérébral
gauche. - Erosions des circonvolutions sur la f
lobe occipital que les lésions sont le moins accentuées. Hémisphère
cérébral
droit. Erosions multiples sur la fron- tale asc
et et isthme, 155 gr. DE LA DÉMENCE ÉPILEPTIQUE. 231 L'hémisphère
cérébral
droit pèse 10 grammes de moins que le gauche. S
HMe ? ano ? Ma//M des artères de la base; inégalité des hémisphères
cérébraux
? ^ méningo-encéphalite. ' ' ' ' ? ' f|' "^H 1
rouge qui résiste au lavage et au grattage. Les deux hémisphères
cérébraux
présentent une congestion considérable vers la
térieure gau- clle est beaucoup plus petite que la droite. Les deux
cérébrales
antérieures sont ' largement anastomosées par l
be et protubérance, 30 gr. - «L'inégalité de volume des hémisphères
cérébraux
est très ap- . c'parente a'la'vue.)Du côté gauc
obe sphénoïdal gauche, que la pie-mère est adhérente à la substance
cérébrale
sur une étendue de 4 ou 5 centimètres carrés. z
tères de la base de l'encéphale ; enfin l'inégalité des hémisphères
cérébraux
, très accusée puisque l'hémisphère gauche pesai
les lésions des méninges l'emportaient sur celles de la substance
cérébrale
; l'examen histologique, comme on le verra tout
tout à l'heure, a démontré que c'était, au contraire, la substance
cérébrale
qui était la plus pro- fondément atteinte. II
a description clinique précède; car la, technique de l'histologie
cérébrale
est très insuffisante encore et ne donne pas to
t pas très avancée, on peut la distinguer nettement du parenchyme
cérébral
, quoiqu'elle fasse corps avec ce dernier; on y
ingo-éncéphaliti 1 su perficielle ! r¡.1J ;>/1 ¡; LéS" lésions 1
cérébrales
n'occupaient' que ' les- lobes 1 fron'talÍx r;-
On s'explique ainsi comment les cellules nerveuses des hémisphères
cérébraux
et de la moelle épinière, après avoir subi au c
dive (dans les premières heures), ou d'une congestion pulmonaire ou
cérébrale
. Les lésions pathologiques des viscères et les
s sur L'ANES- THÉSIE PRODUITE par LES lésions DES circonvolutions
cérébrales
; par H. Tripier. (Acad. des sciences, 19 jan- v
de l'intérêt au point de vue de la physiologie des circonvolutions
cérébrales
. Du mo- ment où une même lésion produit à la fo
n. (The Vii-ginia médical iliozithly, mars 1880.) XXII. Phospuoue
cérébral
; par Antonio 1".IDO ? ! La Andalucia me- dicà,
ML> : SJ DISSOÇIÉE IDEpLA TROISIÈME J PAIRE,' DANS; LA SYPHILIS,
CÉRÉBRALE
J parjPARINAUD ? 5oC. \ l'^>Wj99h^hvÏ^FJP ?
jtT ! tf/1lQ'1 ' ! "il ... Les cO'11tions dans lesquelles (lésions
cérébrales
syphilitir ques vra,isen.,2bles M. Parinàud a s
r,' en terminant, les faits'discutables, en matière de localisation
cérébrale
, peuvent être dus à des con- formations particu
elles, des couches corticales du cerveau. Les anomalies des sillons
cérébraux
ne sont pas très rares,- et il est possible que
XII. UN cas DE méningite TU ERCULEUSE avec PRISE DES tempéra- TURES
cérébrales
; par M ? Mary hUTN-1TI-,1.1COBI. (The journal of
isease, 1 °r fascieule 1 S80, p. 5 t .) ' , Travail de thermométrie
cérébrale
dont il a1 déjà été rendu compte dans le n° 4 :
Ju y . "111' \ ' . 1 ...,' ,1 111. - -i XXIII. Tumeur du pédoncule
cérébral
. (illed. Tii2îes and Gaz. . ' "'17 janvier 1880
upérieur droit pendant plusieurs attaques fit supposer une' lésion'
cérébrale
gauche; l'affaiblissement du bras ét de' la jam
l existait sur la face interne de la moitié antérieure du pédoncule
cérébral
droit une petite tumeur 'dure, ' lobulée, de 6
iblissement intellectuel ; 'quelquefois-, à, l'inverse ? le trouble
cérébral
,' impossible à constater au'moment, de l'arres-
et. ^L'important 'est17 de savoir'au juste ce' qu'il recouvre;} Les
cérébraux
seraient des in- dividus dont l'état cérébral a
qu'il recouvre;} Les cérébraux seraient des in- dividus dont l'état
cérébral
a,été troublé par une affection encé- phaliquo'
né à' « fairf' dut cerveau un terrain sans parité avec le ter- l'am
cérébral
d'un individu indemne » ? Ou bien encore, un en-
e maladie ultérieure' accidentel- lemen surveÍ1ùe : - d'unI terrain
cérébral
modifie par les convul- sions' ? 1 Il noüs semb
s' l'hésitation" de' M. Lasègue. est dômc"diffiilel de voir'dans le
cérébral
un malade avant, par le fait dlun 1 ., . t l If
? i , t Il 1 ? ,it< ? -il -ji». ''iiiioa su o « Lorsque la santé
cérébrale
a été troublée, ne fut-ce qu un n..... ". l 'II
duite par M. La- sègue serait juste, sinon précise ; on dirait les'
cérébraux
pour désigner les malades atteints d'affection
irait les' cérébraux pour désigner les malades atteints d'affection
cérébrale
, comme on dit les cardiaques, pour nommer d'une
us ou moins tranché^ Reste, donc l'allure spéciale aux crises )'des
cérébraux
, leur^orme incom- plète; irrégulière. Cet 'aspe
fllfl 1 ? ..> 'I.,j Il; ..... 'II, TI' j U 111,'1.) Hi : ' 'H n
cérébraux
ne s appliquerait plus qu à des vertigineux et à
stence en sera établie, -, qu'il faudra'ré- server l'appellation de
cérébraux
, à défaut d'une autre en indi- quant mieux les
nesthésie ne doit pas être atteinte. La disposition à la congestion
cérébrale
, la pléthore, contre-indiqueraient ce genre de
températures périphériques et en particulier des températures dites
cérébrales
dans les cas de pa- ralysz*es d'origine encépha
dû rechercher non seulement les températures céphaliques « dites
cérébrales
», mais encore les températures périphéri- ques
es», mais encore les températures périphéri- ques dans les maladies
cérébrales
. Nous serons bref sur la première partie de ce
le titre même de la thèse de Montpellier indique bien que l'origine
cérébrale
de la température céphalique est con- sidérée c
une manifestation extérieure de la température réelle de la masse
cérébrale
elle-même. Pour ce qui est de l'application de
uro- logie. 1880, n° 1, t. I, p. 99 et seq.) bibliographie. 343
cérébrale
», M. Blaise croit qu'elle ne peut guère être pro
qu'elle ne peut guère être profi- table à l'étude des localisations
cérébrales
, en tant que mode de recherche, Il n'admet donc
Blaise arrive à la conclusion suivante : « Dans le ra- mollissement
cérébral
il existe, d'une manière générale, une certaine
r une différence en faveur du côté lésé. (p. 8). Pour l'hémorrhagie
cérébrale
, le fait important démontré par M. Blaise est q
ise reste dans la réserve par rapport aux faits de M. Mills (tumeur
cérébrale
), de Mm0 Put- nam Jacobi (méningite tuberculeus
ut- nam Jacobi (méningite tuberculeuse), et pour ceux de sclérose
cérébrale
dont M. Grasset a observé deux cas. La deuxième
la température des aisselles et des membres dans le cas de lésions
cérébrales
. Le sujet avait déjà été traité, au moins parti
erches sont le 1 Etudes de thermométrie clinique dans l'hémorrhagie
cérébrale
et dans quelques autres maladies de l'encéphale
la localisation des propriétés physiologiques dans les hémisphères
cérébraux
. » 2° question : « Etudier, en se basant sur de
marquables études de M. Duval sur la morphologie et l'em- bryogénie
cérébrales
le désignaient à ce choix, qui nous paraît ex-
OMIE PATHOLOGIQUE i il 1 CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
f (observation . DE porencéphalie fausse ? doub
ysiologie normale et pathologique, relative- ment auxII6ca]isati6ns
cérébrales
. , - z De toutes ces régions du' cerveau, dont
corps humain. Paris, 1829-1842. - Livre 17, PL. I. LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 355 contracturés, dès qu'on le lâchait, il rev
de développement congénital, sur un point spécial des hémisphères
cérébraux
, et d'un seul côté : la malforma- tion, notamme
enfant de 8 mois. Sur LOCALISATIONS CEREBRALES. 357 l'hémisphère
cérébral
gauche on trouva une cavité, large de pouces 1/
environ d'un liquide séreux. Quant à la surface des circonvolutions
cérébrales
, par- tout elle se montrait tapissée d'une pie-
resté fort arriéré. Heschl trouva sur la convexité de l'hémisphère
cérébral
gauche une lacune : et là, une fois la dure-mèr
'accompagne toujours d'un développement insuffisant des hémisphères
cérébraux
sur plusieurs points. 3° La porencéphalie ne
t l'effet d'anomalies variables, qui se produisent dans l'évolution
cérébrale
. En 1861, 'Heschl1 publia une autre observation
ljahi,schi,. f. pract. Heil- kuncle. 1861, p. 105.) LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 359 corps : le bras droit pouvait à peine effe
volutions limitrophes. Sur le point correspondant de la convexité
cérébrale
, on remarquait, encore, comme un petit entonnoi
t s'ouvrir au dehors. Mais on sait que la substance des hémisphères
cérébraux
, et notam- ment l'écorce grise, ne commence à s
donc s'expliquer que par une défectueuse évolution de la substance
cérébrale
: et cela, sans que l'hydrocéphalie y ait pris
Gehirns. (AUgern, Zeitschr. sur Psych Band 26, 1869.) LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 361 A l'autopsie, ce qui frappa d'abord, ce fu
distinguait la couche optique et le noyau caudé. Sur l'hémisphère
cérébral
gauche, on ne découvrait aucune communication e
utopsie, se présenta, recouvrant toute la sur- face de l'hémisphère
cérébral
droit, un kyste, qui con- tenait 16 onces d'un
[Journal of mental science , octobre 1879, p. 329.) LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 363 transparente. Ces trois kystes reposaient
bleaux suivants donnent les dimensions des os de Bog- LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 367 danow; puis, leur épaisseur, comparée à
on entre les os d'un sujet sain et ceux de Bogdanow . LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 569 30 Comparaison des longueurs des os, sur B
lie l'insula (PL. XI, In : p.). Une étude attentive de la surface
cérébrale
fait reconnaître le sillon frontal supérieur (P
bas, la 3° frontale (PL. XI, Fui). En arrière enfin, sur la surface
cérébrale
, proémine fortement un petit' mamelon, isolé, d
tal (ou sillon occipital, ou scissure perpendiculaire LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 371 interne et externe, de Gratiolet) (PL. X,
le de l'insula (PL. X, XI, In : p.) qui fait saillie sur la surface
cérébrale
, et qui a la forme d'un petit mamelon irrégulie
éningite tuberculeuse, d'accidents ménin- gés au cours d'une lésion
cérébrale
plus ancienne, ou de rhumatisme cérébral : chac
gés au cours d'une lésion cérébrale plus ancienne, ou de rhumatisme
cérébral
: chacune de ces trois hypothèses pouvait se di
2° L'hypothèse d'accidents aigus, greffés sur une an- cienne lésion
cérébrale
, n'avait pour elle que le début brusque des acc
it d'une complication, anatomi- quement indépendante, de rhumatisme
cérébral
. Le lendemain (mardi 23), continuation de cet é
cidents nouveaux, d'origine médul- laire, greffés sur les accidents
cérébraux
des jours précédents. Dans la journée, la malad
rvées pour l'examen histologique ainsi que des portions de l'écorce
cérébrale
. La surface externe des circonvolutions est le
ns tuberculeuses, même sur la sylvienne et ses branches. Le tissu
cérébral
était altéré superficiellement, au moins comme
hysionomie de la maladie diffère du tableau ordinaire du rhumatisme
cérébral
, surtout par suite de l'absence de fluxion arti
lièrement éliminé par les urines. Castoréum 0,50. Si les phénomènes
cérébraux
s'accentuent, on fera au malade des allusions f
ns symptomatiques des lésions atrophiques des deux hé'* misphères
cérébraux
, dues, selon toute probabilité, à l'alcoolisme
ervation V. ENCÉPHALITE OU SCLÉROSE TUBÉREUSE DES CIRCONVOLUTIONS
CÉRÉBRALES
. Sommaire. Antécédents héréditaires. Emotions v
droit. Nombreux îlots de sclérose à la surface des circonvolutions
cérébrales
. Anomalie du coeur : persistance du trou de Bot
pie-mère, une quantité assez considérable de sang et la subs- tance
cérébrale
, jusqu'au centre dulobe frontal, est ramollie et
gie nerveuse. Les observations publiées sous le titre de sclérose
cérébrale
concernent des faits très disparates au nombre
5, M. d'Espine2 faisait mention de la sclérose et de l'hypertrophie
cérébrale
qu'on peut trouver chez . les idiots. Ces donné
d'examens anatomiques relatifs aux mo- difications de la substance
cérébrale
chez les idiots épileptiques. Dans une observat
eu de faire rentrer ces faits dans la caté- gorie des hypertrophies
cérébrales
, ^attendu que l'hyper- trophie du cerveau est p
de l'affection. Tantôt la lésion occupe une seule partie d'un repli
cérébral
; tantôt elle envahit plusieurs circonvolutions
normale; on a noté de l'anal- gésie chez les sujets dont l'activité
cérébrale
est suspendue, de l'hyperalgésie au contraire c
tisme, pleurésie, fièvre typhoïde, fièvre pa- ludéenne, hémorrhagie
cérébrale
). 2° L'arrachement des deux ou trois premières
est un commentaire assez détaillé de 9 observa- tions d'hémiplégie
cérébrale
, à l'occasion desquelles l'auteur reproduit la
fin, si la contracture des hémiplégiques résultait d'une excitation
cérébrale
par association, on devrait voir toujours se pr
ui précède. On a de tout temps constaté que l'hémiplégie de cause
cérébrale
est, dansl'immense majorité des cas, beaucoup p
Vulpian, lorsqu'il s'agit de discuter la théorie des localisations
cérébrales
, faut-il refuser presque toute valeur aux cas d
de, surtout à la con- vexité de l'hémisphère droit. Circonvolutions
cérébrales
peu amples et en même temps mal accusées; écorc
iformément atrophiés; leur substance grise est brunâtre. Pédoncules
cérébraux
normaux. La protubérance au niveau de l'ecchond
lésion de la moelle soustrait une région de celle-ci à l'influence
cérébrale
, enfin Erb qui réunit le pre- mier (1875. Encyc
bles vésicaux et gé- nitaux, d'atrophie, d'eschares et de symptômes
cérébraux
.- Les observations de M. Russell présentent que
heilkunde, etc., n° 6.) R. V. XLVI. Quatre observations DE maladies
cérébrales
; par M. J.-C.MACKENSiE, de Cincinnati. (The Cz
un mois plus tard après une journée de 45 accès. Autopsie. Tumeur
cérébrale
occupant la première circonvo- lution frontale
cope, doivent être rapportées à la maladie de Bright ou à la tumeur
cérébrale
, et conclut en faveur de cette dernière. 458 RE
qu'il a eu l'occasion d'ob- server. Observation IL-Ramollissement
cérébral
d'origine syphilitique. Daniel J..., 24 ans. An
au microscope un épaississement très notable des parois des artères
cérébrales
. M. Mackensie ajoute, en commentant cette obser
eubner attache une grande importance au point de vue de la syphilis
cérébrale
, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 459 L'auteur r
VEUSE. 459 L'auteur rapporte ensuite deux observations de tumeurs
cérébrales
. Observation III. Sarcôme du cerveau. - David V
ies superficielles, très altérée au niveau des sillons. - Substance
cérébrale
avoisinant la tumeur, jaunâtre et ramollie. Sec
lobule du pli courbe), EN rapport avec la théorie DES localisations
cérébrales
; par GIOVANNI ANGELUCCI. (Archivio Italiano pe
l'emploi. Nous reviendrons sur cette question. Ce. F. LI. Symptômes
cérébraux
dans la pneumonie ; par le Dr RUSSELL. (Brit. m
ique. Le 4e jour seulement, se produisit une détente des phénomènes
cérébraux
; quelques vésicules d'herpès parurent aux lèvr
SE. 463 du diagnostic, ce début de la pneumonie par des accidents
cérébraux
, qui, chez un esprit non prévenu pourraient détou
, les autres organes présenteraient une anémie relative et l'anémie
cérébrale
et médullaire ainsi pro- duite suffirait, d'apr
. D'après une statistique de 168 cas, pris au hasard, les accidents
cérébraux
et médullaires seraient plus fréquents dans la
C. T. LIV. MÉLANO-S ARC011fE DU PIED ; généralisations ; tumeurs
cérébrales
DE même nature; par BARETTE. (Un. médicale, oct
it manifestement aphasique. A l'autopsie, on trouva les hémisphères
cérébraux
parsemés de nombreuses tumeurs mélaniques, vari
az. médicale de Paris, juin 1880.) LXIX. SUR UN cas d'hémorrhagie
cérébrale
, LIMITÉE A la capsule externe, chez un JEUNE ho
icales ET DE SURDITÉ, (datant de près d'un an, mort par hémorrhagie
cérébrale
) ; par BAREGGI. (Gazetta degli ospitali, - 1° a
emment avec les accidents trau- matiques, s'amendent les phénomènes
cérébraux
. Au début de 1878, toutest rentré dans l'ordre.
jouent peut-être un certain rôle dans la régénération des éléments
cérébraux
détruits ou altérés. On peut enfin supposer q
ine par l'exposé des rapports de la psychiatrie avec la physiologie
cérébrale
et avec la pathologie nerveuse en ajou- tant po
xact entre les symp- tômes psychiques manifestés et les altérations
cérébrales
qui les produisent ». Personne ne contestant la
efois, de définir modestement la psychologie, l'étude des fonctions
cérébrales
, M. Despine ne rencontrera pas un seul psychoph
par la démence para- lytique véritable, à la suite d'une congestion
cérébrale
inter- currente. La mort eut lieu un an après l
repris leur disposition normale. H. D'O. XIX. UN cas DE SYPHILIS
cérébrale
; par GAMBERINI (Giornale Jtaliano délie malade
parM. Charcot sur les localisa- tions et les dégénérations de cause
cérébrale
, étude qui a eu 32 498 bibliographie. pour
yse la plus minutieuse à tra- vers laprotubérance et les pédoncules
cérébraux
, la dégénération des fibres atteintes par la lé
ns l'aphasie ce faisceau est généralement dégénéré sur le pédoncule
cérébral
gauche. Le faisceau interne du pédoncule corr
inière. Anatomie et physiologie. Artères du cerveau. Ci),- culation
cérébrale
. La question orale a été la suivante : Signes e
rissiTentedneuna eptf6e< ! .aa'8«<ud< : o'<rMoM ! tKeMi'o
cérébrale
, brochure in'4° de 7 pages avec une planche. Pe
Fratelli rechiedei, editori, Milano. Morte improvisa per anémia,
cérébrale
da rflttura del sino longitudinale sup enior, f
IE ANATOMIE PATHOLOGIQUE CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
(observation DE PORENCÉPHALIE fausse DOUBLE) ;
lui ! -ci,omrema.rqua,les ~méandre17dènqiïélq'ûës;cir'cojQvolutiohs
cérébrales
, nqui'jontipç- °fiétrë1jrisqùé)aans'lIintérieur
upérieur(.de rrhémisphèreqest, enjqeque sorte, eisoléides ganglions
cérébraux
: îles fibres^qui en, partent, à l'état mornïal
e ? qui -.s'interpose aentre,le lobe pariétal, Pv et les ,ganglions
cérébraux
, -, et nej permet aucune relation, directe en-
·. -'rr ? ? f- dullobe occipital. Diamètre transversal du pédoncule
cérébral
, 'près delà protubérancej o jaos .ânn'ulaire :
? ) mince membrane. Eu égard a 1 analogie de ces deux maltormations
cérébrales
^ j'âi^cïH'devoi'f donner air1 cas de Bogaanow l
5e,,â de.telle5 LleStlOllS lle 8lltf euere.tre .TK3J LOCALISATIONS^
CÉRÉBRALES
. 519 qu'hypothétique- : cela. se .comprend ? de
de formati'on'l,làâ'liëùd ? ttirë7r'là, lui et en dedans la surface
cérébrale
, viendra, sur un certain' p31ntârea'i'nir'au' d
halie, : llqui;ies venue., troubler irrll'évolutionude cette région
cérébrale
,- iup 3dû 9b aiol t2°arAu .premier aspect,,role
9bêîhézqui.me ? impulsioncmotriceTse'.cformerait dans 1Q'ltéôrcé
cérébrale
? ellë ne pourraitaprèsssondép'art, st car- le
cg ? rslq des, gjrmjq - 1JU 1 c mu iGc clfm 1 li Ji i . volutions
cérébrales
; le troisième enfin, une nJéQsplrgq mation, si
1, et'q JüT^ ? 2l`I 9111 titi at, Z'Jr'L(1-Jllki`Ji 1 yU 91nq tissu
cérébral
. Ei5enmatin regarde ces divers, cas,, t1592 9u
;J(A.< l clmnc a1J dans son corps, la question des localisations
cérébrales
110- 9Jl ) UI`flyl .tCfi.'M^ '; le . *»fi ! ~t.
la masse, ganglionnaire de , , ^ , , r. .9-llh.>lUlU i la base
cérébrale
. Son origine ou pied commence au moment ou fini
brale. Son origine ou pied commence au moment ou finit le pédoncule
cérébral
et sa terminai- , . 01) luorae-uibuii.uoo son
«j0Ufaa 01j/uii 01» 9JaJ G..I n))il91jf'jH lésion de la substance',
cérébrale
^affectera, dans cette : 111 `LAI toliii W üGl· i
i 41) ,t0«;n;,V.r;inr'' ,.) ? [rxij Su : 116 ;> t R ? 0 . zone .
cérébrale
10 a 15 minutes dans 1 eau ordinaire. Le grand
? ~ , , - , la capsule interne et par conséquent sur le pédoncule
cérébral
auquel le tronc fait suite. (PL. XIX.) >Li&g
u .6r'iot»Mijli»l 0BVU'l <ILr8S'0<i ! l0fl9TI ? B ! pe- ? ? ,
cérébral
, : cette traînée ou bandelette formée par des ^
rtant et entièrement nouveau : dans certaines hémiplégies d'origine
cérébrale
, avec hémianesthésie, la faradi- sation, locali
ée et d'hémia- nesthésie sensitivo-sensorielle, par suite de lésion
cérébrale
ancienne. Le résultat fut1 immédiat et la guéri
ibilité ou du mouvement, dues, selon toute apparence, à des lésions
cérébrales
, ont présenté le transfert et n'ont cédé qu'apr
ou GLIOMATEUSE dans LES masses centrales au-dessous des pédoncules
cérébraux
; par MM. KUSSMAUL et MEYER (de Strasbourg). Obs
ndre en considération l'état d'excitation, la nature de'l'affection
cérébrale
, l'épuise- ment'du malade. Quoiqu'il en soit, l
l, février 1881, p. 721.) L'auteur rappelle d'abord qu'une tumeur
cérébrale
peut être trouvée à d'autopsie, sans que rien p
entre la dure-mère et les os, et se creusant une loge dans le tissu
cérébral
. Le pariétal, à ce niveau, : était aminci, et d
d'un grand intérêt pratique. Chaque fois qu'on soupçonne une tumeur
cérébrale
, dans le cas par exemple de céphalalgie persist
riétés de vertige : l'une due-. à des troubles de' ' la circulation
cérébrale
, vertige circulatoire; l'autre dépendant d'une
ans l'enfance se classent ainsi par ordre de fréquence : affections
cérébrales
, convulsions, méningite cérébro-spinale, fièvre
diète lactée la plus sévère. M. LUI. DE L'INFLUENCE DES maladies
cérébrales
SUR la marche DE LA PHTHISIE pulmonaire; par le
ert alors une grande valeur. D'autre part, l'existence d'une tumeur
cérébrale
chez un indi- REVUE DE pathologie mentale. 609
Dans deux cas d'hémiplégie que l'auteur rapporte à une hémorrhagie
cérébrale
, l'application des aimants eut les mêmes effets
endance à la syncope. Cette faiblesse d'impulsion amène de l'anémie
cérébrale
, de l'affaiblissement musculaire, etc. Foie.-Co
o-motrice, etc., oedèmes, ulcérations, etc. Cel'veau.- Les troubles
cérébraux
suivent l'usage prolongé du chloral, mais il fa
la mémoire, l'imbécillité, la démence et en outre tous les troubles
cérébraux
possibles. L'étiologie comprend deux points : l
ntribuera à éclaircir cette partie encore obscure de la physiologie
cérébrale
; son importance médico-légale n'échappera à per
' , ' eti 1 1 f1l j > ' Tous ces sujets sont atteints d'atrophie
cérébrale
; mais l'hémi- plégic, chez les, malades attein
ébrale ; mais l'hémi- plégic, chez les, malades atteints d'atrophie
cérébrale
, avec athétosc ou hémichoréo, diffère de l'hémi
o, diffère de l'hémiplégie 'des "autres malades atteints d'atrophie
cérébrale
sans phénomènes choréi- formes ; chez les,premi
fois il existe des troubles de la 'parole en rapport avec la lésion
cérébrale
, mais la répétition des accès n'a aucune influe
'1. ? > f"'b' '1 ? E -lIIaRAGLIA\0, i.n-8ot XI. La température*^
cérébrale
;' par 'Maragliano, i.n-8°, ''L1 ? T'l Bologiie,
tenant de nombreux documents - nouveaux'à' propos de la température
cérébrale
; d'autant plus que ces recherches étaient en co
de vue physiologique et celui de la clinique. L'étude do l'embolie
cérébrale
est faite au moyen de cinq observations, celle
tres les plus intéressants sont ceux qui ont trait à la température
cérébrale
pendant le sommeil naturel et provoqué, et au m
'amyle (15 observations). M. Maragliano a aussi pris la température
cérébrale
après l'action du bromure de potassium à la dos
ire de savoir si la température céphalique est bien une température
cérébrale
locale et s'il est possible d'établir un rappor
ablir un rapport de causalité entre les lésions limitées du manteau
cérébral
et les élévations thermiques localisées du cuir
r Duret, 273. Anesthésie produite par lésions des circonvolutions
cérébrales
, par R. Tripier, 281; -(Historique de l'), pa
par F. Tartuferi, 433. Cerveau d'un assassin, par Broca, 290.
Cérébraux
(les), par Lasègue, 315. Cérébrotomie méthodiqu
mpsie (traitement de l') par le jaborandi, par Ilunt, 620. Ecorce
cérébrale
(expériences sur laphysiologiedel'), par Otto B
es dans l'), chez le cochon d'Inde, par Gom- bau1t, 12. Embolie
cérébrale
(endocardite ul- céreuse avec), par Thompsou,
e l'estomac au cours de la paralysie, par Krueg, 608. Hémorrhagie
cérébrale
, sous-arach- noïdienne, par Bareggi, 476. Hém
e cérébrale, sous-arach- noïdienne, par Bareggi, 476. Hémorrhagie
cérébrale
précoce, li- mitée à la capsule externe, par
ville, Brissaud, 69. 391. Introduction, par Charcot, t. Ischémie
cérébrale
, par Bail, 340. Ivresse par le chloral, 61S.
ales (deux cas de), de la zone motrice, par Gatti, 475. Lésions
cérébrales
(quatre observa- tions de), par Iackensie, 457.
érébrales (quatre observa- tions de), par Iackensie, 457. Lésions
cérébrales
(trois cas de), par Osier, 141. Localisations
Lésions cérébrales (trois cas de), par Osier, 141. Localisations
cérébrales
, par Gon- zales et Verga, 460; par G. An- gel
on- zales et Verga, 460; par G. An- gelucci, 460. Localisations
cérébrales
(contribu- tion il l'étude des), par Mierze-
tion il l'étude des), par Mierze- jewsky, 353, 513. Localisations
cérébrales
, par Ami- don, 305. Lumière polarisée (emploi
ssell, li53. Paralysie de la 3e paire, dissociée dans la syphilis
cérébrale
, par Parinaud, 299. Paresthésie (sur la), de
Paresthésie (un cas de), des mains, par Putnam, G03. Pédoncule
cérébral
(tumeur du), 306. Phosphore cérébral, par Fad
par Putnam, G03. Pédoncule cérébral (tumeur du), 306. Phosphore
cérébral
, par Fadon, 2s ? 1 Phtisie pulmonaire (rappor
n, 2s ? 1 Phtisie pulmonaire (rapports delà), et des affections
cérébrales
, par Baumler, 608. Picrotoxine (épilepsie tra
ture des raci- nes du), par Hutchinson, 305. Pneumonie (symptômes
cérébraux
de. la), par Russe ? 462. Pneumogastrique (li
de la), sur les maladies nerveuses, par Chauvet. 164. Syphilis
cérébrale
, parStenger,5SS. Syphilis cérébrale, par H. Jac
par Chauvet. 164. Syphilis cérébrale, parStenger,5SS. Syphilis
cérébrale
, par H. Jackson, 142. Syphilis (rapports de l
(rapports de la syphi- lis et du), par Westphal, 580 Températures
cérébrales
(tempéra- tures périphériques et), dans les p
paralysies, par Blaise, 34 ? ;- par Maragliano, 633. Température
cérébrale
, par Putnam Jacobi, 306;-pardeBoyer,99. Tétan
par Beard, 333; l'épilepsie, etc, par Rus- sell, 491; - syphilis
cérébrale
, par Gamberini, 492; de l'épi- lepsie par la
ue, par H. de Boyer, 99. TABLE DES MATIERES. 659 Thermométrie
cérébrale
, par Workman, 313. Trijumeau (névralgie syphi
utifs aux maladies du système nerveux, par Arnozan, 163. Tumeur
cérébrale
avec généralisa- tion, par Morris, 140 ; sarcom
antérieure). s, mince lamelle de tissu, qui sépare, de la surface
cérébrale
, le ven- tricule latéral. B, Coupe transversa
l. s, mince lamelle, qui sépare le ventricule latéral de la surface
cérébrale
. F a, substance grise des circonvolutions front
ut. I y, portion postérieure de l'insula, en saillie sur la surface
cérébrale
. la, portion antérieure de l'insula, en retrait
du lobe pariétal, qui arrive sur la substance blanche de la région
cérébrale
sous-jacente. 0, avant-mur (claust1'um). Ip,
érieure delà couche optique. S l, septum lucidum. cca, commissure
cérébrale
antérieure. c m L, centre moyen de Luys. si f
férieur. o ! ln o, origine grise des nerfs optiques. t c, trigone
cérébral
. Vm, ventricule moyen. EXPLICATION DES PLANCH
us niger de Soemméring. L. par., lobule paracentral. P, pédoncule
cérébral
. R, ruban paracentral. 1. wreux. l"h IIERISSR
volution chronique, etc., obs. XXXIII, p. 190 et suiv. 5 Excitation
cérébrale
, délire ambitieux et mystique à forme rémil- le
, d'un examen médico-légal qui conclut qu'il jouit de ses fonctions
cérébrales
et qu'il est responsable de ses actes. Mais le
GIE NERVEUSE. mère est épaissie, adhérente par endroits il l'écorce
cérébrale
, laquelle présente un certain degré d'atrophie.
. B. II. LA. TEMPÉRATURE SUPERFICIELLE DU CRANE DANS LES MALADIES
cérébrales
; par le Dr MAc-C%srry. L'étude de la températur
superficielle de la tête peut-elle aider au diagnostic des maladies
cérébrales
D'après les recherches classiques de Lombard, f
uses, non qu'elles permettront de déterminer la nature d'une lésion
cérébrale
, abcès, tumeur, hémorragie, etc. ; mais elles p
rynx. (Masini, Brissaud.) P. KERAVAL. VII. Observations DE tumeur
cérébrale
ayant procédé par DES ATTA- QUES SPÉCIALES ET P
xtrêmement probable (sa femme, qui est probablementjnorte de tumeur
cérébrale
, a subi plusieurs avortements dont un foetus pu
ans l'oreille droite; pas de lésions de l'oreille moyenne. Syphilis
cérébrale
probable. Papille stasique déjà en voie de régr
affections mastoïdiennes et de l'oreille moyenne avec complications
cérébrales
, (Th. Barr et Macewen). Dans le numéro suivant
eures conditions opératoires. F. BOlssnOE. XXIX. UN cas de tumeur
cérébrale
; symptômes initiaux surtout SEN- SITIFS dans LE
s'agit de la manifestation, à l'âge de vintet un ans, d'une maladie
cérébrale
organique chez un individu indemne de tare héré
uré. 2° Symptômes témoignant d'un trouble mécanique de l'irrigation
cérébrale
. Confusion men- tale, apathie complète, amnésie
étanoïdes. -Autopsie. Lésion des artères de la base et surtout delà
cérébrale
moyenne (parois épaissies, thrombose) ; foyers
moins d'être prématurément emporté par quelque complication : ictus
cérébral
, escarres, pneumonie, diarrhée, asphyxie par bo
suivante : 26 malades sur 33 les 4/5 ont été enlevés par un ictus
cérébral
; 6 ont succombé à des complications accidentelle
es permanentes, etc.). En conséquence, on doit admettre que l'ictus
cérébral
n'est pas seulement, comme le veut. l'opinion t
st la terminaison naturelle. Le para- lytique général meurt d'ictus
cérébral
quand il n'est pas emporté avant l'heure par un
armi eux. 98 sont morts d'attaques épileptiformes, 23 de congestion
cérébrale
, les autres ont succombé, pour la plupart, dans
e aigu, de le paralysie générale, de la démence sénile, des lésions
cérébrales
circonscrites, de l'idiotie, de la folie morale,
es tous les territoires sensoriels et sensitivo-moteurs de l'écorce
cérébrale
. Pour GOLGI, les idées courantes sur la texture
- naires. Dès 1867, Meynert, indiquait l'existence, dans l'écorce
cérébrale
, de couches d'éléments nerveux, à morphologie d
s fusiformes. Meynert étudia la structure his- tolnidue de l'écorce
cérébrale
sur des coupes durcies dans le chro- mate doubl
surface de l'écorce. Les faisceaux de fibres à myéline de l'écorce
cérébrale
n'avaient pu être suivis, par Meynert, dans leu
tentissement ou la projection du monde exté- rieur jusqu'à l'écorce
cérébrale
, la vie tout entière des représenta- tions, les
ien de plus frappant, à cet égard, que les deux scbémas de l'écorce
cérébrale
de Meynert et d'Exner : l'un montre les formes
ient les éléments cellu- laires des différentes régions de l'écorce
cérébrale
. Les fibres de la première catégorie, qui n'éme
ives ou sensitivo-motrices, et les régions sensorielles de l'écorce
cérébrale
, Golgi l'explique encore par les anastomoses re
ert et de Betz (1) à ce sujet que Golgi étudia deux circonvolutions
cérébrales
de fonction très différente, la frontale ascend
upérieure et moyenne de l'écorce. Golgi propose de diviser l'écorce
cérébrale
, non plus en cinq couches, mais en trois : 10 e
des fibres nerveuses. La spécificité de fonction des diverses zones
cérébrales
dépend, en effet, non point de l'organisation d
us ténues, qui vont constituer le réseau nerveux diffus de l'écorce
cérébrale
, < elles peuvent désormais être considérées av
res nerveux se dégageait une conception de la structure de l'écorce
cérébrale
qui fournit déjà une base scientifique aux expé
Golgi, une base anatomique. Dans les différentes zones de l'écorce
cérébrale
, les fonctions de la sensibilité et celles de l
gi. Considérations anatomiques sU ? ' la doctrine des localisations
cérébrales
. Arch. ital. de biol., 11, 1882, p. 249.) Cette
s résultats de mes recherches histologiques, concernant les centres
cérébraux
relatifs, sont très probants. » (Ibid., p. ? )
s différences fonc- tionnelles propres aux diverses circonvolutions
cérébrales
trouvent leur raison d'être, non pas dans les p
ériques des sens : la spécificité de fonction des différentes zones
cérébrales
serait déterminée par la spécificité de l'organ
Meynert eût admis « des localisations fonctionnelles dans l'écorce
cérébrale
, et que les différentes aires corticales lui pa
ant lequel cette colonie sociale de cellules se range dans l'écorce
cérébrale
est une disposition tactique pour triompher de
là plus qu'une simple comparaison. Seule, la conscience de l'écorce
cérébrale
tombe chez l'homme sous l'attention, et grâce a
mme la seule sensible, quoique nous voyions des animaux sans écorce
cérébrale
encore capables de beaucoup de perceptions et d
ns conscientes. Cette conscience en apparence exclusive de l'écorce
cérébrale
ne repose que sur une question de degré d'inten
n. » L'écorce du cerveau, que Meynert appelle la capitale de l'Etat
cérébral
(capitale qui, chez l'homme, est « plus grande
veaux tels que ceux de la taupe et de la chauve-souris, où l'écorce
cérébrale
n'est qu'une sorte de coiffe recouvrant les aut
fférents centres de la sensibilité générale et spéciale de l'écorce
cérébrale
. L'hétérogénéité fonctionnelle des éléments ner
érédité, des différents centres sensilifs et sensoriels de l'écorce
cérébrale
, a reçu naguère des travaux de Hermann Munk une
rent guère de celles de Meynert. Les élé- ments nerveux de l'écorce
cérébrale
étant fonctionnellement indifférents, selon l'a
re impunément : l'animal verra avec les éléments d'autres régions
cérébrales
. C'est ce qu'avait cru observer Gudden. Mais en e
it qu'il avait démontré dans les couches superficielles de l'écorce
cérébrale
l'existence d'une quantité considérable de fibr
i appuyait la doctrine de l'hétérogénéité fonctionnelle de l'écorce
cérébrale
sur l'existence des variétés correspondantes de
ne influence fâcheuse sur la théorie scientifique des localisations
cérébrales
(1882). Golgi, en effet, en dépit des critiques
isines, il les admet formellement : là sont les sièges de fonctions
cérébrales
spéciales, en rapport avec la nature des or- ga
nerveux, telles qu'en ont signalé en certaines régions de l'écorce
cérébrale
Ramon y Cajal, Kolliker, van Gehuchten. Il n'ad
guïté ». Jules SouRY. 1 C. Golgi. - Sur l'origine du quatrième nerf
cérébral
(pathétique) el sur un point d'ltislo-physiolog
ceau dorsal qui vient du putamen, traverse l'épaisseur du pédoncule
cérébral
; passe, en lui fournissant une enveloppe, sur
re trophique qui se trouve dans une région déter- minée de l'écorce
cérébrale
. Les autres noyaux gris de la calotte de la pro
ation des territoires corticaux lésés, et d'autre les « dépendances
cérébrales
» qui ont été plus ou moins profondé- ment atte
spinale dans lequel l'innelvalion spinale pré- domine l'innervation
cérébrale
affaiblie. Dans son cas une série d'éléments ém
de la capsule interne de la cou- che optique, du pied du pédoncule
cérébral
du segment situé en avant du milieu de la couch
ction; ils se perdent dans les fibres externes du pied du pédoncule
cérébral
. 2° Un peu au- dessus de ces trousseaux protubé
isceau qui va du ruban Reil au pied ou étage inférieur du pédoncule
cérébral
. 11 est à à croire qu'il y a union directe, san
OLOGIE pathologiques. XIII. Recherche B1CTÉBIOSCOPIQUE SUR L'ÉCORCE
cérébrale
D'INDIVIDUS MORTS DE paralysie générale PROGRES
l'action DE QUELQUES substances médicamenteuses SUR la circulation
cérébrale
; par GIANNELLI. (Ann. di nevrol., anno XIV, fas
ase. III, IV.) XVIII. INFLUENCE de l'électricité sur la circulation
cérébrale
DE l'homme; par Capriati. (Ann. di névrol, anno
favorisée par les lésions des centres nerveux, comme l'hémorragie
cérébrale
, le ramollissement, les lésions bnlbaires, etc...
emière matière, c'est-à-dire les images conservées dans les centres
cérébraux
correspondants. Il est clair que celui qui ne s
auditifs et d'articulation, produisant de plus d'autres altérations
cérébrales
qui rendent impossible toute manifes- tation in
hallucinatoire en vertu de l'excitation que produit en ses centres
cérébraux
une maladie mentale, ne pourront être que des r
ement, tandis que ceux-ci possèdent accumulées dans leurs centres
cérébraux
d'énormes quantités de représentations verbales,
e toute autre chose, de la fréquence et des causes. La pathologie
cérébrale
du sourd-muet reste à faire et rien n'a été écr
ue pendant des années et des années, de toutes ces parties (centres
cérébraux
, voies conductrices, plaques impressionnables)
a question de localisation de ces centres dans la cappe de l'écorce
cérébrale
. Mais ce n'est pas de cela qu'il s'agit. Ce q
uis), par sa cons- titution psychique défectueuse dérivée du défaut
cérébral
(qui est déjà une tare importante), le sourd-mu
êt que ces données de psychologie du langage ont pour la pathologie
cérébrale
des 1 Voir Ballet. Op. cil. Stricker. Op. cil.
systématisée peut, cela est tout naturel, se compliquer de lésions
cérébrales
(hémorragie, ramollissement, etc.). Une remarqu
le à tel point qu'on pourrait croire que ce sont les mêmes cellules
cérébrales
qui prési- dent aux deux phénomènes. Souvent ce
ligieuse ou prostituée. (Obs. XVII.) . RECUEIL DE FAITS. SCLÉROSE
CÉRÉBRALE
HÉMISPHÉRIQUE : IDIOTIE, HÉMIPLÉGIE DROITE ET É
quide céphalo-rachidien abondant. - Atrophie totale de l'hémisphère
cérébral
gauche. Atrophie du pédoncule cérébral, du tube
hie totale de l'hémisphère cérébral gauche. Atrophie du pédoncule
cérébral
, du tubercule mamillaire et de la bandelette opti
riode qu'est né le malade. Pas de syphilis. [Père inconnu. SCLÉROSE
CÉRÉBRALE
HÉMISPHÉRIQUE. 187 Mère, a fait des excès de bo
es pièces, prenait des sous pour les donner aux enfants. SCLÉROSE
CÉRÉBRALE
HÉMISPITÉRIQUE. 189 Etat actuel. Tête assez gro
toïdienne. 190 RECUEIL DE FAITS. Membres supérieurs. SCLÉROSE
CÉRÉBRALE
HÉMISPHÉRIQUE. 191 flexion est facile, mais l'e
écutif assez prolongé. TABLEAU DU POIDS ET DE LA TAILLE. SCLÉROSE
CÉRÉBRALE
HÉMISPHÉRIQUE. 195 tion notable. Le seul bénéfi
mètres de diamètre ; 2° trois larges cicatrices d'escarres SCLÉROSE
CÉRÉBRALE
HÉMISPHÉRIQUE. 197 un peu plus petites. Rien de
accès. 198 RECUEIL DE FAITS. Température après décès. SCLÉROSE
CÉRÉBRALE
HÉMISPHÉRIQUE. 199 dian gauche, entre autres, p
e latéral est très dilaté. - Le pédon- 200 RECUEIL DE FAITS. cule
cérébral
gauche, la moitié gauche de la protubérance et du
ercule mamillaire et de la bandelette optique gauches. Le pédoncule
cérébral
gauche est fortement déprimé. Il mesure 9 mil-
e optique, il mesure 20 millim. - à droite, 17 à gauche. SCLÉROSE
cérébrale
hémisphérique. 201 ment assez grande sur les ci
tées par le malade. 3° Huit années après l'apparition des lésions
cérébrales
encéphalite - qui s'était traduite cliniquement
e. Les accès se présentaient par séries, ainsi qu'on l'ob- sclérose
cérébrale
hémisphérique. 203 serve communément dans cette
pelons seulement qu'il s'agit là d'une forme assez rare de sclérose
cérébrale
. Comme lésions consécutives nous devons mention
ssement du crâne notablement plus accusé à gauche côté de la lésion
cérébrale
,'qui contribuait, avec une grande quantité de l
sant la ban- delette optique, le tubercule mamillaire, le pédoncule
cérébral
gauches, de même que la moitié correspondante d
musculaire est le meilleur moyen d'obtenir par dérivation le repos
cérébral
. Il n'y a qu'un petit nombre de malades chez le
nse en effet, que, dans beaucoup de cas, la nutrition de la cellule
cérébrale
est plus sûrement obtenue par l'exercice que pa
les men- taux et à des troubles somatiques. Si, au moment où l'état
cérébral
agit d'une manière si fâcheuse sur l'organisme
phalie àsa véritable cause, c'est-à-dire à l'arrêt du développement
cérébral
, il pensait néanmoins qu'il y avait une compres
s qu'il y avait une compression exagérée, avec une sorte de nanisme
cérébral
consécutivement à la pression osseuse, et que l
ser pénétrer un corps étranger ; il y avait cependant dans la plaie
cérébrale
un éclat de bois, qui avait pénétré transversal
éclat de la table interne qui avait pénétré avec lui dans le tissu
cérébral
. Le cas démontre l'utilité d'une intervention r
au et de la moelle com- muniquent entre eux et avec les ventricules
cérébraux
; 2° la moelle descend chez l'adulte jusqu'à la
mine au point de vue du diagnostic diffé- rentiel entre les tumeurs
cérébrales
, les abcès du cerveau, la mé- ningite. A ce pro
c différentiel des diverses affections inflammatoires des membranes
cérébrales
, et elle aide à reconnaître les hémorragies int
. de MusGRavE CLAY. VIII. Diagnostic ET traitement DES HÉfORRHAGIES
cérébrales
MENIN- GÉES ; par G. W. MAC CASKEY. (New-Yod¡ J
riables, à de la paralysie, à de l'idiotie, ou à d'autres symptômes
cérébraux
, avec atrophie cérébrale, sclérose ou kystes co
e, à de l'idiotie, ou à d'autres symptômes cérébraux, avec atrophie
cérébrale
, sclérose ou kystes consécutifs à la lésion pri
la tête, l'habitude convulsive est si puissante, et les altérations
cérébrales
sont ordinairement si anciennes et si profondes
utile au malade ; 2° il constitue un agent direct de stimula- tion
cérébrale
; 3° il est excessivement probable que, à certaine
issement intellectuel, étant le résultat d'un vice ou d'une maladie
cérébrale
, congénitale ou acquise, qui s'oppose à l'évolu
i s'oppose à l'évolution normale du cer- veau, toutes les fonctions
cérébrales
peuvent être atteintes sans qu'aucune faculté p
. 100 l'intempérance et la syphi- lis ; dans 100 p. 10 le surmenage
cérébral
. Sur les 368 malades observés, 311 sont morts e
si que la paralysie générale de nature syphilitique et la « maladie
cérébrale
syphili- tique D, ont de nombreux points de con
ntre six et quinze ans. Dans aucun des cas exami- nés, le surmenage
cérébral
n'a pu être incriminé comme cause de la maladie
blement attribuer aux changements qui s'opèrent dans la circulation
cérébrale
. Dans les deux cas cités par l'auteur de troubl
enant les cas consé- cutifs à la méningo-encéphalite ou aux tumeurs
cérébrales
. L'étiologie a le plus souvent pour base l'héré
i sont ordinairement les premiers signes d'une thrombose des veines
cérébrales
dans la première enfance. Une lésion aiguë des
traumatique provoquée par une lacération partielle de la substance
cérébrale
qui s'est produite directement et par contre-co
nt défaut, et il ne sub- siste que les effets généraux de la lésion
cérébrale
. Le second est surtout intéressant à rapprocher
ines et anxiétés morales étaient signalées comme cause des troubles
cérébraux
. Dans les douze cas aigus, sauf un, il existait
si les diffé- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 237 Î rentes réactions
cérébrales
normales qui concourentà la formation d'une men
rche des événements fut identique, identiques aussi les altérations
cérébrales
constatées à l'autopsie Si bizarre que fût l'an
st aussi la façon dont elle s'accentuait à la suite d'un épuisement
cérébral
quelconque; c'est enfin sa disparition progress
grité d'une certaine partie du cerveau et spécialement de l'écorce
cérébrale
. Celle-ci intéressée par un processus pathologiqu
nce chez les épilep- tiques, les sujets ayant subi des traumatismes
cérébraux
, et les dégénérés. L'auteur termine par les pro
lysie générale. , M. JoREs. Sur l'anatomie pathologique des tumeurs
cérébrales
. L'auteur, après avoir signalé qu'on s'attache
e et à leur classification, communique deux observations de tumeurs
cérébrales
. Dans le premier cas, intéressant par sa locali
nstatait en outre l'existence de nombreuses hernies de la substance
cérébrale
en dehors de la dure-mère, et d'une atro- phie
s symptômes dont les derniers observés étaient dus à la compression
cérébrale
, à l'atro- phie des nerfs et à la compression d
t Stroebe sur la présence de kystes à épithélium dans des tumeurs
cérébrales
(gliomes). Il pense, avec les observateurs précéd
es à symptômes olfactifs et gustatifs. L'examen des circonvolutions
cérébrales
, portant spécialement sur celles du corps calle
toutes les formes de transition existent à cet égard dans l'écorce
cérébrale
, le bulbe olfactif, la corne d'Ammon, la moelle
dans les divers seg- ments de la moelle épinière. Dans l'çC0ltCE
cérébrale
, identique au fond chez tous les mammi- fères,
rine. Veratti. Su alcune parlicularita di slrutlura délia corleccia
cérébrale
. Soc. méd. cleiratrg. di Pâma, 1896. THÉORIE DE
ymorphes, convergent dans la capsule interne et dans les pédoncules
cérébraux
; à la hauteur du corps calleux, un certain nomb
ent des petites cellules pyramidales de tous les points de l'écorce
cérébrale
d'un hémisphère et s'arbo- risant dans tous les
fibres d'association montent dans les diverses couches de l'écorce
cérébrale
et atteignent même la zone molécu- laire, où el
ellules pyramidales. Ces fibres représentent-elles la termi- naison
cérébrale
des nerfs sens ! tifs, ou du moins celle des cyli
l'activité presque toute entière des élé- ments nerveux de l'écorce
cérébrale
. Mais ce n'en est pas moins une remarque précie
s ramures protaplasmiques des cellules pyra- midales. Dans l'écorce
cérébrale
des reptiles, non seulement les cylindraxes des
ovoque l'excitation mécanique, chi- mique ou électrique de l'écorce
cérébrale
: les excitations dif- fusées dans la zone molé
limitées à une sphère d'activité et la conserva- tion des fonctions
cérébrales
dans les cas de grave lésion de tel ou tel dépa
me des fonctions de l'inner- vation centrale, de celles de l'écorce
cérébrale
en particulier, ce n'est donc pas la morphologi
J. Ni la structure interne ni les connexions de la cellule nerveuse
cérébrale
n'ont rien qui la distingue des autres cellules n
es aux- quelles nous rapportons les plus hautes fonctions de la vie
cérébrale
(association des idées, mémoire, intelligence).
cience ne doit point perdre courage : ce qui distingue les cellules
cérébrales
de celles de la moelle et des ganglions, n'est
eut-être des milliers de cellules nerveuses d'un centre de l'écorce
cérébrale
, et cela grâce à cette avalanche de conduction
trale, un organe de Corli central, etc. Toutefois, dans l'écorce
cérébrale
, chaque cellule d'un organe périphérique des sens
possible de pousser plus avant l'ana- lyse du mécanisme du travail
cérébral
, ignorants que nous sommes de ce qu'est « le mo
xpansions protoplasmiques des cellules résidant dans le même centre
cérébral
; peut-être les cellules à cylindraxe ascendant
llules d'association et celles des flores calleuses des hémisphères
cérébraux
: grâce à ces cellules, les groupes des pyramid
s pour expliquer ces changements : inhibitions de cer- taines zones
cérébrales
; interférences des courants nerveux; aug- menta
chimiques sans altération anatomique ou histologique de la tramc
cérébrale
. Mais ces hypothèses ne reposent, suivant Cajal,
e la névroglie n'existent que dans certains territoires de l'écorce
cérébrale
, et elles sont précisément en plus grand nombre
u graudsympatbiqueseraitici peu efficace. En effet, les capillaires
cérébraux
manquent de nerfs et de fibres musculaires liss
éjà de la forme des cellules en araignées se montrent dans l'écorce
cérébrale
et le lobe optique des oiseaux. En outre, plus
al; 2° les surfaces externes du système nerveux cen- tral (l'écorce
cérébrale
, par exemple) présentent aussi un épaissis- sem
ontre pourtant toujours même dans les couches profondes de l'écorce
cérébrale
, où les fibrilles de névroglie n'apparaissent p
e. Sans la gaine de névroglie, les parois des vaisseaux de l'écorce
cérébrale
n'oppo- seraient souvent qu'une résistance insu
t l'âge de l'individu. Dans la vieillesse, la névroglie de l'écorce
cérébrale
(Golgi) et de cette couche en particulier est plu
saurait, à coup sûr, exister dans les couches profondes de l'écorce
cérébrale
, puisqu'il ne s'y rencontre plus même de fibril
que aiguë CHEZ UN JEUNE enfant : CONVULSIONS ET PARALYSIE D'ORIGINE
CÉRÉBRALE
; NÉVRITE MULTIPLE; par C.-A. HEURTER. (New-Yor
n réalité, devant l'absence de toute observation d'hémianesthésie
cérébrale
complète, on manque de preuves en faveur d'une dé
-clérose, l'alcoolisme, la syphilis, les chocs moraux, les maladies
cérébrales
, etc. Les manifestations de l'épilepsie sénile
; on sait d'ailleurs que l'ictère peut-être accompagné de troubles
cérébraux
graves. Damsch a observé la catalepsie, et Disc
de Paris, et Maubrac, de Paris, pour leur ouvrage sur la Chirurgie
cérébrale
. Prix Allemand, 1,800 francs. Le prix est décer
lasmiques très caractéristiques ne se rencontrent que dans l'écorce
cérébrale
; nous n'en voyons plus nulle part; les cel- lul
de cellules psychiques, que nous trouvons uniquement dans l'écorce
cérébrale
en constituent la partie la plus active et la p
occupent la seconde et la troisième des quatre couches de l'écorce
cérébrale
. Les petites cellules pyra- midales sont située
s cette région, c'est- à-dire dans la couche supérieure de l'écorce
cérébrale
, dans ce réseau épais, formé par les éventails
t une tendance à prendre une position parallèle au bord de l'écorce
cérébrale
; ce sont elles qui constituent la couche des f
pyramidales. Comme ces panaches montent vers la surface de l'écorce
cérébrale
presque perpendiculairement, tandis que les fib
, tantôt se contractant. Ainsi, dans la première couche de l'écorce
cérébrale
siège un mécanisme extrêmement sensible et très
nc le rôle des cellules situées dans la première couche de l'écorce
cérébrale
? Sont-elles destinées à remplir la fonction de
vironnants, entrent en contact avec différentes régions de l'écorce
cérébrale
, du cerveau en géné- ral, de la moelle épinière
s cellules pyrami- dales ou de quelques autres cellules de l'écorce
cérébrale
, dans cette dernière passent les ondes nerveuse
tacts. Avant de terminer ce court aperçu du mécanisme de l'écorce
cérébrale
, notons, que dans sa quatrième couche sont située
à la transmission des courants quelconques prove- nant de l'écorce
cérébrale
. Les neurones de l'écorce cérébrale subissent l
nques prove- nant de l'écorce cérébrale. Les neurones de l'écorce
cérébrale
subissent l'influence sti- mulante de différent
résulte que les impulsions centrifuges, qui se dirigent de l'écorce
cérébrale
portent des traces des particularités reçues de
d'autres cellules, situées dans la couche sous- jacente. L'écorce
cérébrale
garde presque partout les traits caracté- risti
s centres psychi- LA THÉORIE DES NEURONES. ' 34S ques de l'écorce
cérébrale
, varie selon la complexité 'et la ri- chesse de
ones périphériques. L'excitation, parvenue aux cellules de l'écorce
cérébrale
par l'organe de la vue, se trans- met tôt ou ta
s situées dans deux régions éloignées l'une de l'autre, de l'écorce
cérébrale
, entrent en contact entre elles de façon à ce q
a abseuce de connexion directe entre la zone motrice de l'écorce
cérébrale
et la substance grise de la corne antérieure de l
hes de Flechsig sur les connexions des diverses régions de l'écorce
cérébrale
entre elles et avec les masses grises inférieur
les masses grises inférieures du névraxe. D'après Flechsig l'écorce
cérébrale
doit être divisée en deux zones distinctes ; une
nsitives, et centrifuges ou motrices. Tout ce qui reste de l'écorce
cérébrale
en dehors des sphères sensorielles constitue la
trouve pas de lésions de ce genre dans les autres circon- volutions
cérébrales
, et il est évident que l'existence de la qua- t
ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. tains centres de l'écorce
cérébrale
répondentàl'excitation électrique par des mouve
tous les mouvements ne sont pas abolis au même degré par une lésion
cérébrale
et que le malade ne les recouvre pas non plus t
Indépendance FONCTIONNELLE DES deux hémisphères (Dual action OF THE
cérébral
hémisphères); par James 111ERNAN. (illediciae,
égèrement proéminente et animée de battements indique une hypérémie
cérébrale
, comme le fait se pro- duit dans les maladies f
II, fasc. 1.) XLIV. Guérison des altérations DES CELLULES NERVEUSES
cérébrales
; par eiLE5Sl. (Il l11anicomio, XII, fasc. 1.)
romique, certains phé- nomènes de nature expansive, de l'excitation
cérébrale
, de l'irasci- bilité, des accès d'activité. Les
ostic parait mauvais. Un autre infirmier a été atteint de commotion
cérébrale
à la suite d'un traumatisme crânien, qui déterm
i dans l'enfance un traumatisme crânien ou qui ont eu une affection
cérébrale
orga- nique (paralysie infantile cérébrale). Fü
qui ont eu une affection cérébrale orga- nique (paralysie infantile
cérébrale
). Fürstner cite plusieurs exem- ples, entres au
e des attaques épileptiformes qui sont les prodromes d'affec- tions
cérébrales
organiques (tumeurs, lésions vasculaires par alli
r un nouvel accès. 4° Il s'agit, dans la catatonie, d'une aflectiou
cérébrale
organi- que qui aboutit il une démence plus ou
l a observés, ce sont présentés sous l'aspect clinique d'une tumeur
cérébrale
ou de la paralysie générale, tandis que .la dég
SOCIÉTÉS SAVANTES. 403 M. 'l'HOMA (Illenau). - Trois cas de tumeur
cérébrale
. - En général les médecins qui s'occupent de cl
meurs du cerveau. Les troubles psychiques prodromiques d'une tumeur
cérébrale
(dépres- sion, irascibilité, inaptitude au trav
cervelet (sarcome) de la grosseur d'un oeuf comprimant le pédoncule
cérébral
droit et les tubercules quadrijumeaux du même c
rché à décrire les troubles psychiques caractéristiques des tumeurs
cérébrales
(Jastrowitz, Oppenheim) : état maniaque spécial
ont des hérédi- taires, des anormaux, ce qui explique qu'une tumeur
cérébrale
ait déterminé chez eux des troubles psychiques.
e. Celui-ci n'est donc pas en rapport avec l'existence d'une tumeur
cérébrale
. M. TRONER (Ileidelberg). Modifications patholo
kson arrive à montrer que l'interrup- tion subite de la circulation
cérébrale
provoque la perte de con- naissance et des conv
pileptique est toujours accompagnée de constric- tion des vaisseaux
cérébraux
(au moins à son premier stade); 2° que cette va
eut être produite que par l'irrita- tion de la partie de la surface
cérébrale
dont l'irritation amène aussi la vaso-constrict
gel) montre qu'une irritation périphérique peut produire une anémie
cérébrale
et que cette anémie chez un individu prédisposé
phie. 423 rique produise l'attaque par l'intermédiaire d'une anémie
cérébrale
, du moins tout parle en faveur de cette théorie
donnée la sensibilité extrême et plus ou moins durable des éléments
cérébraux
à toute modification brusque de leur nutrition
doit avoir pour conséquence une mise hors de fonction des centres
cérébraux
. Ce trouble fonctionnel passager se manifeste par
plications de l'élec- tricité, les recherches sur les localisations
cérébrales
, les nouvelles VARIA. 427 conceptions consécu
en 3 groupes fort inégaux, suivant que la mort a résulté d'un ictus
cérébral
, d'une affection intercurrente ou d'un état de
ues généraux a été 440 PATHOLOGIE MENTALE. due 26 fois à un ictus
cérébral
, 6 fois à une affection inter- currente, une se
urte : deux ans en moyenne. Les 26 malades qui sont morts par ictus
cérébral
forment deux catégories. La première comprend c
Dans la deuxième catégorie se rangent 14 malades emportés par ictus
cérébral
, mais après une période d'affaiblissement plus
ue les 4/5 de nos malades, 26 sur 33, ont été emportés par un ictus
cérébral
' Voir Annales médico-psycholo,qiques, 1897, t.
t par une différence dans la fréquence et dans la gravité des ictus
cérébraux
, dont les uns et les autres sont atteints. Chez
s variétés en question en les désignant ainsi : variété ataxique ou
cérébrale
, variété ataxo-spasmodique ou céébro-spi7aale.
ccompagné la naissance de cet enfant, c'est aux pro- fondes lésions
cérébrales
engendrées durant les derniers mois de l'évolut
de la guérison, quelle que soit la gravité apparente, d'une lésion
cérébrale
. R. M.-C. ' ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 459
s le tableau symptomatique de la neuras- thénie. LXV. Tuberculose
cérébrale
; par Gallois. Le 19 avril, entrait à la Crèche
diagnostic porté avait été tumeur siégeant au niveau des pédoncules
cérébraux
et n'ayant intéressé que les noyaux d'origine o
foyer de ramollissement étroitement loca- lisé au pied du pédoncule
cérébral
gauche, localisation qui explique exactement le
s et l'enfant succomba. Autopsie. - Hydrocéphalie interne; la masse
cérébrale
des deux hémisphères est amincie jusqu'à 5 mill
ns par le degré et non par la localisation de la lésion de l'écorce
cérébrale
. M. Ryi3,rorp. De la narcolepsie. - L'auteur a
86 SOCIÉTÉS savantes. ventricule latéral; petit abcès dans l'écorce
cérébrale
de la circon- volution frontale'première; en ou
nt la vie, est du pus des abcès après l'autopsie et de la substance
cérébrale
autour de ces derniers indiqua que cette lésion
, 111. , : J 498 EXPLICATION DES PLANCHES. PHKMOEl. I. Sclérose
cérébrale
hémisphérique. Face convexe de l'encéphale (p.
lanche montre à quel degré est prononcée l'atrophie de l'hémisphère
cérébral
gauche. EXPLICATION DES PLANCHES. 499 PL.1\CI
al gauche. EXPLICATION DES PLANCHES. 499 PL.1\CIIE II. Sclérose
cérébrale
hémisphérique. Face inférieure de l'encéphale (
ette planche on se rend compte, en outre de l'atrophie du pédoncule
cérébral
gauche, P, de la moitié gauche de la protubéran
x droit. 500 EXPLICATION DES PLANCHES. P ? wcm : 11 f. Sclérose
cérébrale
hémisphérique. Pig. 1. - Face convexe de l'hémi
, 363. Cérébelleuse. Développement de l'écorce -, par Lui, 354.
Cérébrale
. Trois cas de tumeur , par Thomas, 403. Cescn
rculation. Action de quelques substances médicamenteuses sur la -
cérébrale
, par Giannelli, 140. Circulatoire. Sur certains
réti- nite pigmentaire, par Sambuc, 153. Convulsions d'origine
cérébrale
, par Versiloff, 483. Convulsifs. Pathologie d
rme de tour, par Weber,248. Fracture du - avec perte de substance
cérébrale
, par Smith, 458. CR.\'ECTO)iiE. Sur la -, par
orragie des muqueuses dans la neurasthénie, par Beinichon, 117. -
cérébrales
et méningées, par Mac Casliey, 215. Histologi
e d'in- toaication -, par J.-B. Charcot et Ivon, 3'rî. Sclérose
cérébrale
hémisphérique (idiotie, hémiplégie droite et ép
reland, 255. Température superficielle du crâne dans les maladies
cérébrales
, par Mac Casl : ey, 6. Testiculaire. Prothèse
consécutif à l'in- Iluenza, par Buck et de Moor, 130. Tuberculose
cérébrale
, par Gallois, 466. Tumeur cérébrale ayant pro
t de Moor, 130. Tuberculose cérébrale, par Gallois, 466. Tumeur
cérébrale
ayant procédé par attaques spéciales et trouble
pas de diastases ; aucune empreinte marquant le parcours des sinus
cérébraux
. Radiographie des membres. - Bras gauche : Nous
es symptômes cardinaux que présente cette malade sont des symptômes
cérébraux
caractérisés parde la céphalée,des vomissements,
nettement pathologique d'insuffisance pituitaire avec des symptômes
cérébraux
en foyer, avec de la céphalée, des vomis- semen
manifestant par l'ictère, des oedèmes, l'ascite. Signes de lésions
cérébrales
; somnolence, crises d'irritabilité extrême, ra
production de grands noyaux clairs, souvent déformés, dans l'écorce
cérébrale
et les centres sous-corti- caux ; enfin un proc
ique et somatique. En opposition- au type classique, où l'affection
cérébrale
se manifeste d'une manière brutale au cours de
ulées trouve ici sa terminaison. Arrivées à la calotte du pédoncule
cérébral
, ces fibres résiduelles se déplacent bientôt d'
éticulée qui arrive à la calotte protu- béranlielle et au pédoncule
cérébral
. Les dernières connexions ascendantes se font :
ls d'après la topographie des muscles, ou des nerfs, ou des centres
cérébraux
. Et même, lorsque nous concevons ces troubles com
naître un état spécial, l'anxiété, qui vient troubler les processus
cérébraux
qui s'effectuent dans l'acte désiré. C'est na
. La sensibilité était normale, les réflexes faibles, les fonctions
cérébrales
nor- males aussi. Le tremblement était constitu
e lequel des trois départements de l'appareil auditif. Les troubles
cérébraux
, el surtout ceux du cervelet, peuvent produire de
s un département ou dans un autre, puisqu'un père avec insuffisance
cérébrale
peut transmettre la tare qui apparaît chez ses de
ois cas dans lesquels des foyers strictement limités à l'hémisphère
cérébral
avaient entraîné une atrophie notable du noyau
une atrophie très marquée du noyau rouge déterminée par des lésions
cérébrales
très étendues et ayant débuté, le plus souvent, d
ondaires étaient d'autant plus intenses que les lésions de l'écorce
cérébrale
étaient plus anciennes et plus étendues. Bien q
, ce cas correspond en réalité à une destruction de tout le manteau
cérébral
de l'hémisphère gauche )1. Il est donc impossib
lésions (kystes hémorragi- ques, foyers de ramollissement, sclérose
cérébrale
) occupant soit le lobe pariétal ou le lobe fron
oyau rouge, les circonvolutions du bord inférieur de l'hémi- sphère
cérébral
et la première circonvolution limbique, et n'adme
enne intéressant la totalité ou la presque totalité d'un hémisphère
cérébral
, on observe toujours au niveau du noyau rouge u
açon générale, considérer le noyau principal comme étant le segment
cérébral
z antérieur du noyau ronge (Grosshirnanteil de
n'était que, le tronc encéphalique ayant été séparé de l'hémisphère
cérébral
en un point beaucoup trop élevé, le noyau rouge
ste dans ce cas aucune autre lésion, soit au niveau de l'hémisphère
cérébral
, soit au niveau du tronc encéphalique. Dès cette
e lorsque les lésions siègent en d'au- tres régions de l'hémisphère
cérébral
, nous avons soumis à l'étude deux cas de ramoll
fronlale; dans un autre, enfin, il s'agit d'un ramollissement de la
cérébrale
antérieure, lequel intéresse surtout la premièr
a capsule interne se poursuit directement daus le pied du pédoncule
cérébral
et paraît tout à fait normale, sauf dans cette
oyau rouge, puis elle descend directement dans le pied du pédoncule
cérébral
. Au niveau de la couche optique, on remarque outr
capsule interne à l'endroit où celle-ci s'unit au pied du pédoncule
cérébral
. On dirait que la dégénérescence s'épuise en pa
a zone dégénérée qui sépare la capsule interne du pied du pédoncule
cérébral
. Cette zone paraît être plus considérable que s
ancien de l'hémisphère droit, occupant le domaine ir- rigué par la
cérébrale
antérieure. La lésion intéresse le précunéus, le
'auparavant, peut être suivie directement dans le pied du pédoncule
cérébral
. Au niveau de la couche optique, on constate la d
it des radiations corticales de différentes régions de l'hémisphère
cérébral
; nous avons pu nous convaincre que certaines de
enir que le noyau rouge ne reçoit aucune fibre du reste de l'écorce
cérébrale
, bien que nous puissions affirmer que dans les
rne pour se rendre aux ganglions cen- traux et au pied du pédoncule
cérébral
. Ces lésions entraînent, au niveau de la couche
S DU NOYAU ROUGE 221 1 noyau, à la suite de lésions de l'hémisphère
cérébral
, varie dans sa topo- graphie selon le siège de
éflexes ou automatiques, les fibres nerveuses provenant de l'écorce
cérébrale
ne sont encore que très incom- iylélement myéli
s intellectuelles, du psychisme, esl. plus parfait, et que l'écorce
cérébrale
préside plus exclusivement au fonctionnement de
il des radiations corlicales de différentes régions de l'hémisphère
cérébral
. Certaines de ces radiations proviennent du lobe
héréditaires. Père vivant et bien portant. Mère morte d'hémorragie
cérébrale
. Antécédents collatéraux. Deux frères vivants e
e apparaissent de temps à autre des vomis- sements faciles, du type
cérébral
. Quelques bourdonnements d'oreille à gau- che.
ans la pathogénie de la glycosurie, l'action de centres régulateurs
cérébraux
placés dans la substance grise interpédonculair
tension crânienne et enfin où elle a manqué dans un cas de tumeur
cérébrale
. La discussion est donc encore ouverte sur la v
ion de la force musculaire, la somnolence, la torpeur des fonctions
cérébrales
, la chute des poils, la sécheresse de la peau, la
réflexe émotif exagéré (Bernheim), d'une perver- sion des fonctions
cérébrales
les plus élevées (Bastian), mais on n'a pas bie
s la cénesthésie, à savoir dans la synthèse des sensations internes
cérébrales
qui tirent leur origine des impressions sensiti
dement de l'énergie nerveuse, d'où son irradiation à toute l'écorce
cérébrale
, au bulbe; l'émotion nait, en effet, toutes les f
rare que l'hystérie se joigne à une affection organique des centres
cérébraux
et médullaires ; son associa- tion est fréquent
sclérose en plaques, la démence précoce et parfois avec les tumeurs
cérébrales
et cérébelleuses, le tabes (dans le sexe féminin
tout à fait le diagnostic d'une altération organi- que des centres
cérébraux
, et qui ont été guéris par la suggestion. La cé
éorie en acceptant t que la lésion de certaines parties de l'écorce
cérébrale
en connexion avec les noyaux rouges peut provoq
ns dans ce cerveau les signes ordinaires de la vieillesse. L'écorce
cérébrale
el cérébelleuse est intacte. Ce n'est que dans
énéral et de vomissements : son médecin diagnostique une congestion
cérébrale
causée par une mauvaise digestion ( ? ) Cependa
physe. Anderson, Schuster, Uhthoff signalent de même l'adiposité
cérébrale
fréquente dans les tumeurs de l'hypophyse. Fr
avant la puberté), par la polyurie, et les symptômes de compression
cérébrale
. Pour faciliter l'exposition de notre cas, nous
des détails et dont nous nous sommes beaucoup servi. Les symptômes
cérébraux
, quoique quelquefois absents, se manifestent pa
hypophysaire. Mais la polyurie peut exister aussi dans des maladies
cérébrales
qui n'intéressent pas l'hypophyse, mais qui res
me dans la sclérose en plaques, 1'liéi,éclo-sypliilis, l'hémorragie
cérébrale
, l'hydrocéphalie, le ramollissement cérébral. Dan
pliilis, l'hémorragie cérébrale, l'hydrocéphalie, le ramollissement
cérébral
. Dans bien des diabètes insipides traumatiques
lla, arrêt de développement à (le 13 ans. Dans les cas de processus
cérébraux
qui intéressent secondairement l'hypophyse on t
al la malade était une arriérée avec épilepsie. Parmi les symptômes
cérébraux
consécutifs à l'insuffisance expérimen- tale de
malades, dont l'état n'était pas amélioré, souffraient de maladies
cérébrales
primitives, accompagnées d'attaques présentant bi
en aucun cas, parler d'épilepsie essentielle, mais d'une affection
cérébrale
primitive quelconque, accompagnée parfois d'att
épileptiformes (hydrocéphalie interne, tumeur du cerveau, paralysie
cérébrale
infantile; tumeur de l'hypophyse, sclérose, tub
els on pouvait reconnaître le carac- 366 BOLTEN tére du processus
cérébral
primitif, il y avait encore une autre grande ca
orencéphaiie, la sclérose tubéreuse (forme d'idiotie), la paralysie
cérébrale
infantile, le tubercule solitaire, les tumeurs de
yphilis du système nerveux central (syphilis héréditaire, paralysie
cérébrale
progressive, syphilis cérébrale comme l'encépha
al (syphilis héréditaire, paralysie cérébrale progressive, syphilis
cérébrale
comme l'encéphalite gommeuse, la méningite syph
hique des Anglais, genuine Epilepsie des Allemands), et l'épilepsie
cérébrale
(symptomatique ou secondaire) consécutive une i
ôt qu'à l'épilepsie céré- hrale. Il faut entendre par l'épilepsie
cérébrale
(symptomatique) cette épilepsie qui se montre à
e recherches toujours plus exactes, celui de l'épilepsie organique (
cérébrale
) va en s'élargissant. Cependant il res- tera to
'épilepsie essentielle et, plus tard, les recherches microscopiques
cérébrales
servent d'arguments à l'origine cérébrale organ
echerches microscopiques cérébrales servent d'arguments à l'origine
cérébrale
organique du processus morbide de l'épilepsie ess
épilepsie est sympto- matique et, en fait, dépendante d'une maladie
cérébrale
quelconque primitive. Par contre, il exisle u
re, dans lesquels on ne peut réellement constater aucune altération
cérébrale
primitive. Cela veut dire que dans les cas réce
venons de parler, ce groupe (dans lequel manque toute altéra- tion
cérébrale
primitive) ne comprend que l'épilepsie essentiell
aitement : d'une part, un processus diffus, organique dans l'écorce
cérébrale
(accompagné ou non d'altérations méningiliques)
LEPSIE 369 Il semble, à priori, vraisemblable que, dans l'épilepsie
cérébrale
, c'est-à-dire dans les troubles provenant d'ano
e hyper- tension, altérations cellulaires) dans des cas d'épilepsie
cérébrale
(hydro- céphalie interne, méningites) et aussi
le, se montre tout aussi bien chez les malades atteints d'épilepsie
cérébrale
et, d'autre part, la démence épilepli- que inte
rvient aussi bien dans l'épilepsie essentielle que dans l'épilepsie
cérébrale
; il me semble toujours de plus en plus certain q
semble toujours de plus en plus certain qu'en général , l'épilepsie
cérébrale
, succédant à une mén ingo-encépha 1 i le diffuse,
: je connais'des cas tant d'épilepsie essentielle que d'.épilepsie
cérébrale
, dans lesquels le caractère n'est que peu ou mê
s après le début des accès, on avait toujours affaire à l'épilepsie
cérébrale
(hydrocéphalie interne, syphilis héréditaire, m
sitif : on peut être alors très autorisé à croire à une épi- lepsie
cérébrale
(tumeur du cerveau ou des méninges, grand foyer d
tent quelque durée, faire pencher la balance du côté de l'épilepsie
cérébrale
(foyers encéphaliques dans le lobe frontal gauc
tables symptômes de foyer ou autre indication précise d'épi- lepsie
cérébrale
, Le symptôme de Babinski est encore beaucoup moin
d'après cela, que l'on se trouve toujours en présence d'altérations
cérébrales
. Comme Binswanger et«d'au- tres l'ont démontré,
encéphalite ou d'autres foyers, ni hydrocéphalie, ni une altération
cérébrale
quelconque (l'examen microscopique du cerveau est
). Dans ce cas il ne s'agissait donc certainement pas d'épi- lepsie
cérébrale
, mais d'épilepsie essentielle. Dans ces cas d'é
e essentielle, sans symptômes de foyer préalables et sans affection
cérébrale
anatomique, nous ne pouvons guère, suivant en c
l'usage de la main gauche se pré- sente aussi bien dans l'épilepsie
cérébrale
(avec hémisphère gauche plus spécialement attei
iation conjuguée (tourner le visage et les yeux du côté des lésions
cérébrales
). Benders a appelé l'attention sur le fait que
t, nous avions donc, très .vraisemblablement, affaire à l'épilepsie
cérébrale
(encéphalite diffuse, qui esl exclusivement, ou
eau (écorce) qui a atteint d'une façon prépondérante l'hémi- sphère
cérébral
opposé ; s'ils sont alternatifs et ne se montrent
corps, il est alors très vraisemblable qu'il s'agit d'une épilepsie
cérébrale
qui a atteint un hémisphère plus que l'autre. E
n hémisphère plus que l'autre. Et quand des phénomènes de paralysie
cérébrale
infantile existent chez des épileptiques, ne fût-
e même qu'en une faible mesure, alors on peut être sûr de l'origine
cérébrale
des phé- nomènes épileptiques. , ' : , Il fau
ournissent la moindre réponse au dilemme : épilepsie essentielle ou
cérébrale
(corticale), nous devons essayer de combler, auta
dans la jeunesse, correspondante ou très apparentée à une paralysie
cérébrale
infantile (sans toutefois montrer 'toujours les
méninges et de leur développement se faisant avec celui de l'écorce
cérébrale
, ce qu'il put prouver par des autopsies de ses
corticale, suite de la méningo-encéphalite. Ces formes d'épilepsie
cérébrale
se rattachent donc tout à fait à l'épilepsie ca
e rattachent donc tout à fait à l'épilepsie causée par la paralysie
cérébrale
infantile, car, dans la grande ma- jorité de ce
si se dévelop- per chez un sujet atteint déjà d'une autre affection
cérébrale
quelconque et ainsi la véritable épilepsie peut
epsie peut se déclarer aussi chez les malades atteints de paralysie
cérébrale
infantile. Toutefois, cela ne sera qu'une excep
ne même cause. Si nous rencontrons donc également dans la paralysie
cérébrale
infantile des attaques épileptiques, celte épil
tile des attaques épileptiques, celte épilepsie doit être d'origine
cérébrale
et n'appartient donc pas à l'épilepsie essentie
ne qui cause dans un cas l'épilepsie, dans un deuxième la paralysie
cérébrale
infantile et dans un troisième ces deux affecti
épileptiques se présentent seuls, Freud parle alors de « paralysie
cérébrale
infantile sans paralysie ». Quoi- que cette exp
ès différents et cette cause est la base anatomique de la paralysie
cérébrale
infantile, dans laquelle se montrent tantôt des p
ite et de PATHOGÉNIE DE QUELQUES FORMES D'ÉPILEPSIE 375 paralysie
cérébrale
infantile sont bien loin de causer plus tard l'ép
cérébrale infantile sont bien loin de causer plus tard l'épilepsie (
cérébrale
) et, par suite, il admet que, dans les cas où se
it s'appliquer naturellement qu'aux cas de combinaison de paralysie
cérébrale
infantile avec l'épilepsie véritable essentielle.
infantile avec l'épilepsie véritable essentielle. Pour l'épilepsie
cérébrale
, la prédisposition n'est absolument pas nécessair
grandeur des foyers encéphaliques ; s'ils gênent tellement l'écorce
cérébrale
pour la circulation de sa lymphe et de son sang
le donc aussi étrange quand Redlich dit : « Revenant à la paralysie
cérébrale
in- fantile, je crois que les conceptions de Fr
ent servir vraiment que pour quelques cas et que, dans la paralysie
cérébrale
infantile, avec ou sans paralysie, il peut se dév
qui, sans le savoir ou sans le vou- loir, montrent que l'épilepsie
cérébrale
et l'épilepsie essentielle se res- semblent cli
sie essentielle sera rarement aussi bien combinée avec la paralysie
cérébrale
infantile qu'avec la maladie de Hirschprung (pour
pour don- ner un exemple) ; si nous trouvons associées la paralysie
cérébrale
infan- tile et l'épilepsie, toutes deux doivent
rs venir de la même origine et l'épilepsie est, dès lors, d'origine
cérébrale
. Redlich montre cela même surabondamment en pro
arurent. C'est la preuve par- faite que l'épilepsie était d'origine
cérébrale
et qu'il ne s'agissait donc absolument pas d'ép
- sence ou de l'absence des attaques épileptiques dans la paralysie
cérébrale
infantile est dans le fait que, dans un cas, il
rs reprises attirée sur ce fait, que chez les enfants les processus
cérébraux
pathologiques ont une tendance 370 BOLTEN à s
si diffusément qu'elles causent' tant l'épilepsie que la paralysie
cérébrale
infantile, il y a alors épilepsie cérébrale et
lepsie que la paralysie cérébrale infantile, il y a alors épilepsie
cérébrale
et non épilepsie essentielle ; si, par contre, le
. Il n'y a aucune raison pour séparer celle forme des autres formes
cérébrales
et pour lui donner un autre nom (épilepsie hydroc
l'une de l'autre toutes les formes presque innombrables d'épilepsie
cérébrale
et de donner à chacune une étiquette propre.
s les cas de porencéphalie, les attaques sont la suite du processus
cérébral
primitif et on doit donc également ranger cette f
tif et on doit donc également ranger cette forme dans l'épi- lepsie
cérébrale
. Il en est de même pour les cas d'oxycéphaiie : s
méninges épaissies et cause, par une pression directe sur l'écorce
cérébrale
, des troubles de circulation qui provoquent des
onner doivent donc, sans restriction, être comptés parmi les formes
cérébrales
sous réserve de la possibilité que l'épilepsie
l'affection primitive et les attaques appartiennent donc à la forme
cérébrale
de l'épilepsie. Naturellement on doit admettre ic
es infectieuses aiguës doit donc aussi êlre rangée dans l'épilepsie
cérébrale
. En outre, il peut se passer un grand nombre d'
l y a des symptômes de foyer, nous avons une indication d'épilepsie
cérébrale
; cependant dans la plus grande majorité des cas
rébrale; cependant dans la plus grande majorité des cas d'épilepsie
cérébrale
, tous les symptômes de foyer font absolument dé
ins l'épilepsie traumatique se montrât toujours comme une affection
cérébrale
primitive localisable, ou à ce qu'au moins l'hé-
es à celles de l'épilepsie essentielle ; seulement dans la syphilis
cérébrale
congénitale, les troubles de l'intelligence précé
m- pagnent et par la réaction de Wassermann. Parmi les affections
cérébrales
primitives, qui peuvent causer des atta- ques s
Et aussi dans ces derniers cas il est sûrement question d'épilepsie
cérébrale
: si l'on extrait la tumeur de l'hypophyse, les
, j'ai trouvé qu'ils se composaient de : 380 BOLTEN · Paralysie
cérébrale
infantile (avec attaques épileptiformes), trois c
ment différents l'un de l'autre, mais tous probablement d'épilepsie
cérébrale
primitive ; hors de ce groupe, il reslait une p
- être reporter un ou plusieurs de ces cas au compte de l'épilepsie
cérébrale
; i seule l'autopsie pouirait fournir ce sujet
n- tielle » ; si nous en excluons maintenant les 3 cas de paralysie
cérébrale
infantile que le médecin de la famille se refus
essentielle et qui, plus tard, paraissaient appartenir aux tumeurs
cérébrales
. Et contre ces 40 cas pour lesquels, sur une ba
plus grande partie appartient à toutes sortes de formes d'épilepsie
cérébrale
et seulement la minorité à l'épi- lepsie essent
il faudrait finalement rapporter toutes les formes à des affections
cérébrales
(Redlich, Heilbronner). , Il résulterait bien
té, suivant l'opinion de Redlich, que les épilepsies essentielle et
cérébrale
peuvent se transformer l'une dans l'autre ; ce
ar- faitementjuste, la deuxième ne peut être vraie. Que l'épilepsie
cérébrale
'ne représente qu'un développement général diff
changer l'une dans l'autre : la première est un processus primitif
cérébral
diffus (le plus souvent corti- cal), la deuxièm
le, ne se présente- ront pas chez'les malades, atteints d'épilepsie
cérébrale
(affections corti- cales diffuses, ayant attein
partie de la pathologie encore si peu étudiée : dans l'épi- lepsie
cérébrale
on n'a que des troubles de circulation (hyperémie
des inflammations diffuses chimiques dans ou au voisinage du cortex
cérébral
; le malade, atteint d'épilepsie essentielle, a
ement que la plupart d'entre eux souffrent t sans doute d'épilepsie
cérébrale
: plusieurs de ses malades avaient eu dans leur
tion anormale des élé- ments essentiels du cerveau par un processus
cérébral
quelconque. Quand un tissu cérébral s'altère, o
els du cerveau par un processus cérébral quelconque. Quand un tissu
cérébral
s'altère, on peut constater qu'un des éléments pr
essive, processus qui cause une désintégration évidente de l'écorce
cérébrale
. Jach montra à l'aide de recherches, faites sur
s cliniques, tant dans l'épilepsie essentielle que dans l'épilepsie
cérébrale
et essayons d'en donner une explication. J'adme
ison tétani- que » ; ce dernier n'agit pas directement sur l'écorce
cérébrale
, « mais il provoque des troubles dans d'aulres
attaques, tant dans l'épilepsie es- sentiellè que dans l'épilepsie
cérébrale
(corticale). Dans la première, il existe une fa
mportant intervient encore, à savoir la grande affinité de l'écorce
cérébrale
pour des poisons et des toxiques de toutes sort
xines. Ils purent même montrer facilement in vitro que la substance
cérébrale
est très avide de toxines ; si l'on place de peti
t très avide de toxines ; si l'on place de petits morceaux de tissu
cérébral
dans la toxine diphtérique et qu'on les rince ens
nt admettre que certaines parties du cerveau (spécialement l'écorce
cérébrale
? ) ont aussi une grande affinité pour les prod
remier de ses toxines (reins, poumons et peau) et ensuite le cortex
cérébral
donne une partie des siennes au sang, qui à ce mo
encore où et de quel le manière elles sont retenues dans le cortex
cérébral
, nous pouvons, en tout cas, supposer (et celte
réaction utile de l'organisme contre l'intoxication. Que le cortex
cérébral
reçoive, par ces décharges, un petit choc etquele
s déblayeuses de substances nuisibles : si leur sang et leur cortex
cérébral
sont saturés de toxines, ils ne se sentent pas
très fortement remplies, des adhérences de la pie-mère et du cortex
cérébral
, etc. ; les petits résultats relatifs que l'on ob
a dure mère et on arrive ainsi à diminuer la pression des membranes
cérébrales
oedémateuses, épaissies et adhérentes. Doberer
lo-rachidien vers les vaisseaux du diploé. Dans les cas d'épilepsie
cérébrale
qui sont la sùite d'une méningite simple, on pe
on suivant la méthode de Doberer; dans ces cas, cependant, l'écorce
cérébrale
est comprimée (et, par conséquent, La circulation
tic différentiel exact entre l'épilepsie essentielle et l'épilepsie
cérébrale
; cela est du plus haut intérêt pour le malade
tique el le pronostic est alors favorable ; s'il souffre d'épilepsie
cérébrale
, on peut pratiquer la trépanation-soupape, et,
que l'épilepsie essentielle (maladie du métabolisme) et l'épilepsie
cérébrale
(affection cérébrale organique primitive) peuvent
tielle (maladie du métabolisme) et l'épilepsie cérébrale (affection
cérébrale
organique primitive) peuvent se ressembler d'un
e précisément la môme chose : à savoir une intoxication de l'écorce
cérébrale
. L'origine seule des toxines est différente : d
t des pro- duits du métabolisme de tout le corps ; dans l'épilepsie
cérébrale
, par con- tre, l'intoxication est causée par le
l'intoxication est causée par les produits du métabolisme du cortex
cérébral
lui-même, des produits insuffisamment évacués, et
s trou- bles de la circulation. Mais, clans les deux cas, le cortex
cérébral
est inondé de toxines et empoisonné par elles;
ées, on peut encore donner une autre explication : dans l'épilepsie
cérébrale
, les toxines proviennent exclusivement des par-
a revient à dire : en général les malades qui souffrent d'épilepsie
cérébrale
deviennent beaucoup plus rapidement déments que
avaient été internés dans des asiles, souffraient tous d'épilepsie
cérébrale
. Par contre, j'ai plusieurs malades qui ont dé-
me temps une explication du fait que les épilepsies essentielles et
cérébrales
se ressens 400 ' BOLTEN blent parfaitement no
tabilité et, finalement, la démence. Dans les deux formes le cortex
cérébral
est intoxiqué : dans l'épilepsie essentielle pa
r les produits du métabolisme de tout l'organisme, dans l'épilepsie
cérébrale
par ceux provenant du cortex même et des par- t
onc pas conclure que l'épilepsie essentielle n'est pas un processus
cérébral
primitif, mais nne intoxication, car, dans l'ép
'une trace quelconque d'anomalies organiques(anatomiques) du cortex
cérébral
dans les cas récents d'épilepsie- essentielle p
psie 401 - CONCLUSIONS. 1° L'épilepsie essentielle et l'épilepsie
cérébrale
sous ses formes nom- breuses ne peuvent absolum
t servir comme élément de diagnostic différentiel. 2° L'épilepsie
cérébrale
se produit à la suite de n'importe quelle affec-
à la suite de n'importe quelle affec- tion des méninges, du cortex
cérébral
ou des parties plus profondes qui, soit par aug
ose, provoquent des troubles étendus de circula- tion dans l'écorce
cérébrale
(hyperémie veineuse). 3° L'épilepsie essentiell
olisme intermédiaire est fortement diminuée. fi' Dans l'épilepsie
cérébrale
comme dans l'épilepsie essenlielle, le cortex c
l'épilepsie cérébrale comme dans l'épilepsie essenlielle, le cortex
cérébral
avec sa grande affinité pour de nombreux poisons
olisme de lout l'organisme et de l'ali- mentation ; dans les formes
cérébrales
, au contraire, elles proviennent du cortex céré
ns les formes cérébrales, au contraire, elles proviennent du cortex
cérébral
lui-même dans lequel, à la suite des troubles de
au niveau des reins, des poumons et de la peau, plus tard le cortex
cérébral
en évacue une partie dans le sang, à ce moment
ître pour toujours tous les phénomènes morbides. Dans l'épilepsie
cérébrale
, ce traitement n'a aucun effet ; en ce cas une
ps ihyi-oïde et de l'Hypophyse. Paris, 1908. Marchand (L.). Lésions
cérébrales
dans l'épilepsie dite essentielle. Comptes rendus
stabilité. Irritabilité. - S'il y a fatigue de la cellule nerveuse,
cérébrale
, médullaire, ou même des ganglions sympathiques,
ccompagne habituelle- ment l'intoxication et la fatigue de l'écorce
cérébrale
, de la moelle, du système sympathique, c'est-à-
NERVEUSE 413 perte de conscience. L'irritabilité facile de l'écorce
cérébrale
pour les décharges motrices convulsives inconsc
rs, méningites, traumatismes des zones; dites motrices, de l'écorce
cérébrale
, peuvent occasionner des décharges de type épil
bles, qui dépendent de méningite ou de scléroses 414 AUSTREGÈS1L0
cérébrales
qui ont passé ou passent inaperçues, ou d'une irr
me causes d'épuisement, chez ce blessé, en dehors de la commo- tion
cérébrale
traumatiques, il importe de noter le rôle probabl
e quelques formes d' - dites épilepsie essentielle et épi- lepsie
cérébrale
), par BOLTEN, 360. jacksonienne portant sur le
s; aussi n'en est-il rien. On peut même dire que les manifestations
cérébrales
des oreillons devaient être parmi les premières
qui puissent causer la mort. La terminaison fatale par accidents
cérébraux
est déjà signalée par Hamilton ' qui en rapport
d'autopsie. Trenel 2 rapporte deux cas de mort dûs à des troubles
cérébraux
mal déterminés, et Astley Coopter 3 a vu la dis
tion soudaine des oreillons être suivie de symptômes de compression
cérébrale
et de délire chez un enfant qui succomba au bou
ement d'autres cas de termi- naison fatale à la suite des accidents
cérébraux
tels qu'ils ont été indiqués parles anciens aut
de ses malades avaient déjà présenté antérieurement des accidents
cérébraux
graves (convulsions', attaques épileptiformes,
ou coïncidant avec celle-ci, on voit parfois survenir des troubles
cérébraux
très intenses, rappelant la méningite, et qui,
1 Glénereau. Sur une épidémie d'oreillons 'compliqués d'accidents
cérébraux
(Bull. de Thérap., mai, É884). 4 CLINIQUE NERVE
on trouve un cas d'o- reillons dans lequel il survint des accidents
cérébraux
sous forme de délire avec illusions des sens et
arenté du rhumatisme et desoreillons, les compare aux complications
cérébrales
du rhuma- tisme articulaire aigu. Il rapporte s
ntrer, c'est qu'il existe dans le cours des oreillons des accidents
cérébraux
autres que ces phénomènes méningitiques, accide
t, d'après le i Sorel. Orchite ourlienue atrophiatte; complications
cérébrales
, aphasie légère, mais prolongée (Arch. de inéd.
ichhorst', ces accidents seraient dûs simple- ment à une hyperhémie
cérébrale
passive, reconnaissant pour cause la compressio
faits (celui de Janson-Zuède, par exemple) dans lesquels la lésion
cérébrale
siège du côté opposé à l'oreillon, ou d'observa
l'oreillon, ou d'observations dans lesquelles on voit les troubles
cérébraux
survenir précisément au moment où la parotidite
tre que l'embolie ne pourrait expliquer les phénomènes d'excitation
cérébrale
, il est des cas, comme le nôtre, où l'intégrité
endre compte assez facilement des phénomènes obser- vés : la lésion
cérébrale
consécutive à la méningite, peut-être à des exs
ns présen- NEVRALGIE ET PARALYSIE OCULAIRE. 15 tant des symptômes
cérébraux
qui peuvent tout à coup prendre des allures men
est aplati, gri- sâtre. Dans ses racines, à la sortie du pédoncule
cérébral
, existent des granulations nombreuses,grises, d
bien marqués ne laissent aucun doute sur l'existence d'une tumeur
cérébrale
, il est survenu une première fois de la diplopi
ent de la diplopie avec récidives, coïncidant généra- . DES ZONES
CÉRÉBRALES
MOTRICES. ' 29 lement avec une aggravation des
ainsi dans la paralysie générale, dans certaines formes de syphilis
cérébrale
, où les rechutes échappent à toute règle. Mais,
IE NERVEUSE OBSERVATIONS POUR SERVIR A LA DÉTERMINATION DES ZONES
CÉRÉBRALES
MOTRICES ET A LA PATHOGÉNIE DES DÉGÉNÉRESCENCES
nelle). Pêriencéphalite chronique. Foyeas étendus de ramollissement
cérébral
occupant la zone rolundique du côté gauche (cou
ions médul- laires secondaires accompagnant visiblement les lésions
cérébrales
diagnostiquées à gauche, la paralysie se généra
ues frémissements se manifestant parfois dans les muscles DES ZONES
CÉRÉBRALES
MOTRICES. 31 de la face (des lèvres en particul
nom- breuses des méninges à la face convexe des deux hémisphères
cérébraux
, surtout au niveau des lobes frontaux, et à gauch
e une plaque jaune avec diminution de consis- tance de la substance
cérébrale
, un ramollissement assez étendu sans constituer
nche, par sa coloration gris-jaunâtre, sur le reste de la substance
cérébrale
. Les diverses coupes du cerveau (centre ovale,
lat. Rech. anatom. et cliniques sur le faisceau sensitif. DES ZONES
cérébrales
motrices. 33 1° sur les deux tiers supérieurs d
me un phénomène habituel chez les sujets atteints de ramollissement
cérébral
. Observation' 11 (Personnelle). Athérôme artéri
ion' 11 (Personnelle). Athérôme artériel généralisé. Ramollissement
cérébral
: 1" vaste foyer central à droite (corps calleu
anse 7-ola71111qzie); lésion dégénérative secon- duire du pédoncule
cérébral
et du faisceau pyramidal correspon- dant ; hémi
il a fait une chute sur la tête, laquelle a déterminé une commotion
cérébrale
intense; il s'est fait, en môme temps, une fractu
tic d'une nouvelle lésion destructive, siégeant dans l'hémi- sphère
cérébral
gauche, vraisemblablement sur les circonvolutions
n'est aussi complète que dans les tuniques des artères sylvienne et
cérébrale
antérieure droites, qui ne sont plus que des cy
leurs, envahi la presque totalité du système artériel : les artères
cérébrales
postérieures, vertébrales, basilaire, ra- diale
nt en arrière des tubercules mamillaires et en avant des pédoncules
cérébraux
montre un vaste foyer de ramollissement blanc q
o ; enfin, à sa partie inférieure, la lésion a détruit la substance
cérébrale
presque jusqu'à la membrane épendymaire, et la
cessus de réparation. En outre, le corps calleux lui-même DES ZONES
CÉRÉBRALES
MOTRICES. 37 est gravement intéressé : il est d
cule latéral, le plancher du canal circumpédoncutaire. Le trigone
cérébral
est intact. La couche optique, le noyau lenticula
ur au toucher, et très manifestement gris. Sur le pied du pédoncule
cérébral
correspondant existe une coloration grise des f
e l'ischémie de ce territoire. A gauche, c'est le département de la
cérébrale
antérieure (lobe frontal) qui a seul souffert;
arctus ne se fut-il pas produit, alors que le tronc basilaire et la
cérébrale
postérieure étaient, comme les autres artères,
e dans 1'OnsERVAïfON I, cette lésion a déterminé la perte DES ZONES
CÉRÉBRALES
MOTRICES. 39 de la faculté du langage, et une h
Pitres. Recherches sur les lésions du centre ovale des hémisphères
cérébraux
étudiées au point de vue des localisations cérébr
es hémisphères cérébraux étudiées au point de vue des localisations
cérébrales
. Paris, 1878. M PATHOLOGIE NERVEUSE. blanche
ymptôme qu'on sait d'ailleurs accom- pagner d'ordinaire les lésions
cérébrales
qui produisent l'hé- mianesthésie (Charcot). Ce
s expériences de l'iourens et l'observation de Bastian. DES ZONES
CÉRÉBRALES
MOTRICES. il sont appréciables qu'au microscope
LISSEMENT, AVANT D,TnmT LA MOITIÉ DU CORPS CALLEUX, ETC. Hémisphère
cérébral
droit de Bid... (Ons. II). Coupe verticale et tra
trans- versale, entre les tubercules mnmitlaires et les pédoncules
cérébraux
, dessin demi-schématique d'après croquis fait d
enté des troubles psy- chiques analogues. II y a une véritable tare
cérébrale
que l'on retrouve en analysant soigneusement la
oma diabétique. Si l'on invoque l'anémie, la congestion ou l'oedème
cérébral
, que signifient des lésions aussi disparates po
gestion ou l'oedème du cerveau se rencontrent dans le rhuma- tisme
cérébral
, dans le mal de Bright, dans bien d'autres mala
dans le mal de Bright, dans bien d'autres maladies à manifestations
cérébrales
; ils sont les effets de la cause première qui
plus ou moins passagère, sans qu'il en résulte le moindre trouble
cérébral
dyspnéique. La théorie de Sanders et de Hamilto
vue plus générale. Or, abstraction faite des apoplexies par lésion
cérébrale
grossière, ramollissement ou hémorragie, et des
e, de^ douleurs dans le ventre et l'hypochondre droit. L'excitation
cérébrale
se traduit par une vivacité inaccoutumée, une l
psychiques qui dominent; un changement brusque dans les habitudes
cérébrales
du malade : une gaieté ou une vivacité anormales,
ral, des douleurs en divers points du corps, ou bien une excitation
cérébrale
anormale, semblables à celle d'une légère ivres
c'est que ces troubles convul- sifs n'étaient pas liés à une lésion
cérébrale
. Si on rejette l'acétonémie, on ne pourrait guè
portance d'un symptôme de lésion en foyer ; c'est une manifestation
cérébrale
d'ordre général. - 13^ L'anesthésie ou l'hémian
QUELQUES POINTS DE LA PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE DU RAMOLLISSE- MENT
cérébral
; par M. MAYET. (Lyon méd., 1884, t. XLV.) Chez
on trouva l'artère basilaire oblitérée en arrière de l'origine des
cérébrales
postérieurespar un caillotdur, blanchâtre et homo
destinées à élucider la physiologie pathologique du ramollissement
cérébral
terminent cette observation. G. D. XI. Noie S
ne phase de transition ; dans l'état maniaque en effet (hypérémie
cérébrale
), les nerfs sensoriels sont physiologiquement cen
ogiquement centri- pètes, dans l'autre ensemble syndromique (anémie
cérébrale
), ils ont une fonction centrifuge. Ceci posé, i
raison des altérations pathologiques, s'exagèrent dès leur origine
cérébrale
par l'intermédiaire des tractus nerveux dont le
rquer en arrière et se perdre dans l'étage supérieur des pédoncules
cérébraux
(calotte) : Ce faisceau de la calotte des tuber
encéphale, en arrière, entre le faisceau de Meynert et le pédoncule
cérébral
. Enlevez un hémisphère cérébral à un lapin, vou
faisceau de Meynert et le pédoncule cérébral. Enlevez un hémisphère
cérébral
à un lapin, vous obtiendrez l'atrophie du faisc
faisceau de la calotte qui en part. Mais l'ablation d'unhémisphère
cérébral
, comprisla corne d'Ammon, sans le corps strié,
entreprises depuis cette époque. On peut enlever, avec l'hémisphère
cérébral
, le corps strié, avec le corps strié la partie
ppement par pression, de même que, dans l'asymétrie des hémisphères
cérébraux
de l'homme, le renflement du nerf ol- faclif ne
par l'apophyse crista-patli, sur laquelle se renverse l'hémisphère
cérébral
normal ; de là l'atrophie partielle du nerf lui
temps meurt le faisceau de la calotte. L'ablation d'un hé- misphère
cérébral
, avec ou sans le corps strié, avec ou sans la p
ion ne provienne pas de ces extrémités mêmes. 2° Ce sont les veines
cérébrales
qui doi- vent être tenues pour les extrémités p
comme les parois des sinus sont peu compressibles et que les veines
cérébrales
possèdent des parois tellement minces que leur lu
produise de pression extérieure positive, il suffit que la pression
cérébrale
s'accroisse pour que les veines cérébrales entren
il suffit que la pression cérébrale s'accroisse pour que les veines
cérébrales
entrent en vibration avant leur abouchement dan
ue la pression régnante dans les eatrémités lniphérntnes des veines
cérébrales
, pression qui, comme l'on sait, estégale.'i la ré
e cette résistance peut arrêter les vibrations tant que la pression
cérébrale
n'a pas subi une élévation parallèle. 4· Si l'o
n arrive a juger par leur intensité de la grandeur de la pres- sion
cérébrale
même dans un crâne intact; leur existence prouve
le même dans un crâne intact; leur existence prouve que la pression
cérébrale
a atteint un degré d'élévation égal pour le moins
nous venons de consigner. 5° La doctrine ac- tuelle de la pression
cérébrale
prétend établir que, lorsque cette pression aug
étend établir que, lorsque cette pression augmente, les capillaires
cérébraux
sont comprimés en première ligne. Cette asserti
capillaires possèdent des parois plus minces que les grosses veines
cérébrales
, ils ne l'empottent nullement sur les grosses v
aires est supérieure il la pression du sang dans les grosses veines
cérébrales
; par suite, l'augne Million de la pression céré
rosses veines cérébrales; par suite, l'augne Million de la pression
cérébrale
déterminera une cont- pression des grosses vein
ut à la surface du crâne percevoir un bruit tout particulier (bruit
cérébral
ou crânien). L'origine de ce bruit n'est encore
roubles circula- toires semblables à ceux qui engendrent les bruits
cérébraux
des enfants ? Rép. Cela n'est faisable que quan
ts sert à établir le diagnostic différentiel entre ]'hémianesthésie
cérébrale
et l'hémianesthésie hystérique. A côté des cas, r
e malade qui offre uu exemple assez remarquable de trois existences
cérébrales
distinctes. 11 s'agit d'une hystérique dont les
la personnalité par l'indé- pendance fonctionnelle des hémisphères
cérébraux
. Cette remarquable observation avait été précéd
- jours très décousue, l'intelligence embrouillée ; l'ébranlement
cérébral
est évidemment considérable. B... se rend compte
e, sans pré- disposition acquise, et sur lequel pèse une hérédité
cérébrale
peu marquée, et plus particulièrement carac- té
même âge. Il faut donc chercher ailleurs la cause des troubles
cérébraux
qu'a présentés B... C'est à la suite d'une émot
suivies d'aliénation mentale ; ou bien elles trouvent un terrain
cérébral
tout préparé pour l'éclosion de la maladie, et
ce, une simple querelle. Aussi, pour avoir produit sur les cellules
cérébrales
un ébran- lement suffisant pour aboutir à la fo
, cette cause dû être puissamment aidée. Et cependant, le terrain
cérébral
: sur lequel elle agis- sait était peu prédispo
uve la marche sui- il,,) PATHOLOGIE MENTALE. vie par les troubles
cérébraux
. Les troubles somatiques disparaissent en effet
alors que les idées, délirantes ont disparu, indique que la cellule
cérébrale
a été plus profondé- ment atteinte qu'elle ne l
nous rend parfaitement compte de l'évolution qu'a suivi le travail
cérébral
. D'abord plus généralisé, ainsi que l'indique l
du travail pathologique qui tenait sous sa dépendance les troubles
cérébraux
qui existent chez B..., s'est imposée à nous pa
ravaux de M. Bail- larger ', il ne suffit plus, pour qu'une maladie
cérébrale
puisse être rattachée à une méningo-encéphalite
ée par les lésions de l'oreille sur le développement des troubles
cérébraux
n'est qu'un côté, le plus important il est vrai
as susceptibles de retentir sur l'appa- reil auditif ? Les troubles
cérébraux
et les lésions de l'oreille ne peuvent-ils pas
nette et précise, à une des questions qui précèdent, les troubles
cérébraux
et les lésions de l'oreille ne peuvent-ils pas
ée par les symptômes les plus alarmants Tantôt c'est une congestion
cérébrale
avec des convul sions épileptiformes, tantôt un
n'a de par sa nature, que très peu de ten- dance aux localisations
cérébrales
, qu'il faut des con- ditions spéciales pour que
s'appuyer dessus. Absolument rien du côté des sens et des fonctions
cérébrales
. L'aspect et l'histoire de ce malade font imméd
la récente découverte des localisations fonctionnelles de l'écorce
cérébrale
, une impor- tance assez grande pour mériter une
e entre le symptôme hémianopsie et certaines lésions centrales ou
cérébrales
. J'essaierai de montrer la valeur séméiologique
mois plus tard, et ne s'accompagna de presque aucun autre symptôme
cérébral
. Le diagnostic topographique de la lésion fait
t de la doctrine, de jour en jour plus lumineuse, des localisations
cérébrales
. Avant de donner la relation du cas que j'ai ob
t composé de fibres ne servant pas à la vision; c'est la commissure
cérébrale
inférieure. 2. Les connexions des bandelettes o
mbre de seize, où l'hémianopsie était due à des lésions de l'écorce
cérébrale
, seule ou avec la substance DE L'HÉMIANOPSIE CO
hauteur de ce foyer était de 2 à 3 centimètres. Pas d'autre lésion
cérébrale
. Les bandelettes, le chiasma et les nerfs optiq
de 2, 5 centimètres ensevelie presque entièrement dans la substance
cérébrale
. La base du lobe occipital n'était pas atteinte
R. Agnew ». Mondiagnostic était : Embolie de la branche de l'artère
cérébrale
postérieure irriguant la face postéro-interne d
de sorte qu'on pouvait croire qu'il ne s'était fait aucune embolie
cérébrale
depuis l'attaque de novembre. On répéta à plu-
au en général était anémié ; les vaisseaux delà base et les artères
cérébrales
moyennes exemptes d'embolie et de throm- bose.
t était produit par une embolie de la troisième branche de l'artère
cérébrale
postérieure, artère occipitale de Duret. Les
ue, une lésion superficielle étendue à l'aire irriguée par l'artère
cérébrale
moyenne. On devra s'attendre à trouver (comme d
41, 1885. Féré, Ça. Trois autopsies pour servir 1 la localisation
cérébrale
des troubles de la \ision. Cas iii (du service de
e fort variable, eut des convulsions épileptiformes par hémorrhagie
cérébrale
, et meurt paralysée longtemps après. Grand-pè
s pupilles d'une personne en bonne santé. 222 RECUEIL DE FAITS.
cérébrale
-là elle est prompte à s'impatienter, à changer dé
constance à signaler, c'est l'absence de délire ou d'autre accident
cérébral
observés chez des rhumati- sants non hystérique
eurs n'est que partiel). Aucun rapport direct avec les pé- doncules
cérébraux
; les pédoncules cérébraux paraissent tenir des c
cun rapport direct avec les pé- doncules cérébraux ; les pédoncules
cérébraux
paraissent tenir des cellules protubérantielles
, non plus que de l'apparition et de l'évolution de ses or- « ganes
cérébraux
, lesquelles procèdent d'une façon aussi incons-
; nous en repro- duisons les dernières lignes : c..... Le progrès
cérébral
ou intellectuel.... n'a d'autres limites « que
, sans aucun doute, par se « détacher de plus en plus de l'activité
cérébrale
qui prendra pro- « gressivement un caractère in
NJEL (Arch- Psycit., XV, 3). Chez un individu sain-toute activité
cérébrale
, quelle qu'en soit l'origine, se traduit par un
l'intervention expérimentalelaplus simple détermine uneirritatiun
cérébrale
qui a pour effet de produire le phénomène en ques
du bras répondent promptement par leur rétraction à des impressions
cérébrales
faibles, de même que chez l'homme sain, mais al
endant l'expé- rience des oscillations témoignant de l'irritabilité
cérébrale
; ces oscillations ont lieu à intervalles inégau
s conditions physiologiques de l'anta- gonisme entre la circulation
cérébrale
et la circulation périphé- rique; inversement o
Peut-être a-t-ilélé un peu loin, car l'histoire des loca- lisations
cérébrales
est troppeu avancée pour qu'on soit très affir-
genre, on a trouvé à l'autopsie de la pachyméningite, de l'atrophie
cérébrale
, de la périhépatile et de la périsplénite. M.
es et des trophonévroses; 20 il existe des angionévroses centrales (
cérébrales
, médullaires, hulhaires) et des angionévrojes p
ques des états patholo- giques suivants. Sous le nom de compression
cérébrale
, on enseigne qu'il y a un foyer intracrânien qu
nt de tension à l'intérieur du crâne. Il en résulterait de l'anémie
cérébrale
. On a supposé, en établissant cette doctrine que
rronées, il y a, dans l'espèce, non point anémie, mais liyperéiiiie
cérébrale
; L'expression de contusion cérébrale désigne un
oint anémie, mais liyperéiiiie cérébrale; L'expression de contusion
cérébrale
désigne une lésion trauma- tique du cerveau se
sivement de la fonction de l'endroit lésé. La rubrique de commotion
cérébrale
englobait une foule d'états coma- teux engendré
les distinguerait en états de surexcitation et états de paralysie'
cérébrale
. En résumé, ' . SOCIETES SAVANTES. a compress
ologie propre, caractéristique. De même que les effets d'une lésion
cérébrale
dépendent du mode de lésion, de même ceux de la
ysie générale et, notam- ment, des cas dans lesquels, les symptômes
cérébraux
se précédaient ou suivaient des phénomènes tabé
ce, sont produites par un substratum anatomique (gliose de l'écorce
cérébrale
); à un âge plus avancé, quand ces lésions ont p
ésions ont pris une certaine exten- sion, se montrent des symptômes
cérébraux
plus vastes rappelant les perturbations de la p
5, VI p. 403. , . ' 'H. 3 Communication sur la gliose de l'écorce
cérébrale
, plus haut, p. 305. * Et de tout le monde en Fr
excep- tion) ; si une destruction quelconque se fait sur l'écorce
cérébrale
humaine, jamais l'individu ne pourra remuer soi
t 33); le nys- tagmus dans 4 (ti" 1, 2, 17 et 18); les phénomènes
cérébraux
proprement dits (parole, intelligence, ver- tig
ne déviation des propriétés physiologiques des cellules ner- veuses
cérébrales
, ou bulbaires et ne possédant pas une lésion an
nterstitiel, d'une dégénérescence graisseuse et du ramollisse- ment
cérébral
, de l'ectasie des capillaires cérébraux et de l'é
seuse et du ramollisse- ment cérébral, de l'ectasie des capillaires
cérébraux
et de l'épais- sissement de leurs parois, ainsi
icularités patholo- giques dans la moelle allongée et dans l'écorce
cérébrale
; mais ce sont là des faits inconstants, seconda
ent présenté des crises épileptiformes dans le cours d'une lésion
cérébrale
. C'est la constatation d'une lésion identique, éc
itales des deux ventricules latéraux. Tout le reste de la substance
cérébrale
, à part une consistance un peu moindre des circ
grosseur d'une noix et recouverte par une mince couche de substance
cérébrale
. Cette tumeur forme l'une des parois d'une cavi
i ont trait à deux individus qui pendant le cours d'une affection
cérébrale
présentèrent des crises épileptiformes : là encor
bservation III. 31.... âgé de soixante-seie, boulanger. Hémorrhagie
cérébrale
. Crises épileptiformes. Autopsie : ramollisseme
udes invétérées d'onanisme. Il y a trois ans, il eut une congestion
cérébrale
avec perte de connaissance dont il guérit compl
ces altérations anatomiques ou leur exagération dans l'hémisphère
cérébral
opposé au côté du corps où les convulsions sont p
toujours plus marquées dans le côté du corps opposé à l'hémisphère
cérébral
plus particulièrement atteint; , . 3° Que l'i
dure qu'elle crie sous le scalpel. Elle n'est pas entourée de tissu
cérébral
ramolli, et elle est presque partout séparallle
niveau du foyer de ramollissement. G. D. XXIV. Un cas de congestion
cérébrale
POPLECTIRORME ou d'apoplexie séreuse ; par Jose
tous les points importants de l'observation clinique. La congestion
cérébrale
idiopathique, terminée par la mort, est une aff
422 REVUE de pathologie NERVEUSE. festement ceux de la compression
cérébrale
, et ils étaient telle- ment marqués, ils sont s
ement qu'on' a porté en toute confiance le diagnostic d'hémorrhagie
cérébrale
, probable- ment ventriculaire. Les phénomènes o
nt; peut-on' en faire le diagnostic différentiel avec l'bémorrhagie
cérébrale
, surtout si celle-ci est ventriculaire ? Cela e
ic précis; mais l'analogie des symptômes avec ceux de l'hémorrhagie
cérébrale
rend cette modification pratiquement bien diffi
coma et mort. - A l'autopsie, on constate de l'alhérôme des artères
cérébrales
; mais, en outre, ces artères pré- senteutles an
ais, en outre, ces artères pré- senteutles anomalies suivantes : la
cérébrale
postérieure droite est fournie par la carotide
petite branche commu- niquante postérieure qui rejoint en avant la
cérébrale
postérieure droite. A gauche les artères fourni
ssion exercée par un caillot relativement volumineux sur les fibres
cérébrales
du côté droit de la protubérance et de la moell
urément un fait rare. La mère à la vérité est morte d'une affection
cérébrale
, mais qui parait avoir été d'un caractère accid
é de 42 ans, chez lequel on notait en même temps que des trouble^
cérébraux
, les signes parfaitement caractérisés de la malad
t appelée à remplir : * « 1° Obtenir l'équilibre de l'innervation
cérébrale
en agissant « directement sur la nutrition de c
le pinceau) M rendent des services. » « 3° Lorsque les phénomènes
cérébraux
sont liés à des troubles des « viscères abdomin
ante de l'expérience de Weber. L'hypothèse de l'iden- tité de siège
cérébral
des états de conscience semblables expli- que b
ableau symptomatique, et peut donner faussement l'idée d'une lésion
cérébrale
en foyer. Des plaques de sclérose disséminées d
t qui sont souvent masqués par les troubles propres à l'infec- tion
cérébrale
concomitante. Cu. F. X. Zehn Vorlesungea ùber f
aris, 188ï.) 460 NÉCROLOGIE. Contribution à l'étude du rhumatisme
cérébral
, traitement par l'hydrothérapie; par H. DUPI1É.
olonies agricoles, 389. Colonisation des aliénés, 118. ConRestion
cérébrale
apopiectifbrme, 421. Archives, L. XI. 30 fe
r là tête), 429; - (et delirium tremens), 434. Gliose de l'écorce
cérébrale
, par Fnerstner, 30p. Grossesse et paraplégie,
du système), par Front], 233. par Beiiedikt, 123. Neurasthemie
cérébrale
, par Anjel, 254. Névrite segmentaire (contrib
ISSEMENT AYANT DÉTRUIT LA MOITIE DU CORPS C1LLCIJY, ETC. Hémisphère
cérébral
droit de 131d... (Ons. II). Coupe verticale et &l
M ? M- versale, entre les tubercules mamill aires et les pédoncules
cérébraux
, dessin deini-schëmanque d'après un croquis fai
s voies optiques dans toute leur longueur, de la rétine il l'écorcc
cérébrale
. Il importe de connaîlre toutes ces différentes
ystérie. Il faut la distinguer de l'amaurose par double hémianopsie
cérébrale
(cécité corticale), de l'alnaurose par troubles c
ale (cécité corticale), de l'alnaurose par troubles cir- culatoires
cérébraux
. L'embolie de l'artère centrale de la rétine, cer
de leur entre-croisement, c'est-à-dire entre le chiasma et l'écorcc
cérébrale
.- , La marche des fibres nerveuses qui constitu
istance de la vision centrale, on a émis des opinions. La substance
cérébrale
préposée à la vision centrale est dans de meill
(lig. 59), les'fibres de la voie optique vont de l'oeil il l'écol'ce
cérébrale
des cunéus en deux étapes. Elles font un arrêt
Cécité avec conservation des réflexes pupillaires signifie : lésion
cérébrale
, sur les voies optiques, en arrière des noyaux
dent grandement i à localiser la lésion. ' Hémianopsie par lésion
cérébrale
corticale. Elle est souvent précédée d'un ictus
e sylvienne. La lésion productrice siège dans le terri- toire de la
cérébrale
postérieure le plus souvent au niveau du lobule
t rentrer dans le groupe des aphasies. , . Hémianopsie par lésion
cérébrale
sous-corticale. Beaucoup des symptômes associés
dans toute la longueur des voies optiques, de la rétine il l'écorcc
cérébrale
. C'est une opinion contredite (Bernheimer). Pou
re. Car, s'il est inté- ressant de déterminer le siège d'une lésion
cérébrale
, il est bien plus important, au point de vue th
ie par lésion organique appréciable. Presque lotîtes les alleclions
cérébrales
organiques, quelle que soit leur [POULARD.] o
oment donné l'hémianopsie. Ne pouvant étudier toutes les affections
cérébrales
dans leurs relations avec l'hémianopsie, il fau
te; état défectueux du coeur, àge avancé du malade. Autres troubles
cérébraux
de ramollisse- ment : mémoire diminuée, affaibl
ée, hébétude; néoplasie ailleurs; ponction lom- baire (Voir Tumeurs
cérébrales
, p. 120). Abcès. Examen de l'oreille, foyer de
nopsie a pour cause une hémorragie, un ramol- lissement, une tumeur
cérébrale
, c'est une première étape dans le dia- gnostic
ros tubercules, qui provoquent les symptômes cliniques de la tumeur
cérébrale
; elle peut aussi produire des lésions diffuses, d
e des hémor- ragies, du ramollissement en agissant sur la substance
cérébrale
par l'intermédiaire du système vasculaire (arté
e syphilitique); elle peut, aussi, en diffusant dans les enveloppes
cérébrales
, donner une méningite. C'est elle, enfin, qu'on
ikt considère ce syndrome comme résultant d'une lésion du pédoncule
cérébral
au niveau du noyau du M. 0. C, à l'émergence
rf MOE; A, centre mesencephalique d'association réflexe; CA, centre
cérébral
d'association antérieur, sensitivo-moteur; CP, ce
centre cérébral d'association antérieur, sensitivo-moteur; CP, centre
cérébral
d'associa- tion postérieur, sensorio-moteur. Le
oncs nerveux, les uns dans le mésocéphale, les autres dans l'écorce
cérébrale
. Ils sont réunis entre eux et aux noyaux d'origin
nous venons de donner aux nerfs oculogyres : a) lésions de l'écorcc
cérébrale
frontale ou occipitalo- pariétale ; b) lésion d
ieure au voisinage des radiations optiques; d) lésions du pédoncule
cérébral
dans l'étage supérieur (faisceau de la calotte)
tic précis. Syndrome type Foville dans les lésions pédonculaires ou
cérébrales
: paralysie du facial, des membres et de l'ocul
uelquefois, exophlahnie unilatérale, paralysies dissociées. Tumeurs
cérébrales
(base). La tuberculose et la syphilis (li 10),
ue, de l'odorat, de l'ouïe. Ici, connue dans tous les cas de lésion
cérébrale
, la ponction lombaire, sera souvent utile pour
ur expliquer le mécanisme des mouvements pupillaires. A, pédoncules
cérébraux
; C, protubérance; B, bulbe; M, moelle; GS, gangli
dans lesquelles le myosis se voit très sou- vent, c'est la syphilis
cérébrale
et spinale, le tubes et la paralysie générale.
au delà des noyaux du mesoce-J ! pliafe, entre ceux-ci et l'éeorce
cérébrale
. La persistance des réflexes pupillaires à la l
du releveur suivent le trajet du M. 0. C. Du mésocéphale à l'écorce
cérébrale
, leur TROUBLES DE LA MOTILITÉ DES PAUPIÈRES. 10
c les théories logiques de Fleschsig, sur les fonctions de l'écorce
cérébrale
. Diagnostic de la cause. Aspects cliniques vari
ite optique, paralysies oculaires, symptômes de méningite. Syphilis
cérébrale
héréditaire, maladie de Friedreich, Ilérédo- at
tée au globe oculaire. L'anesthésie cornéenne peut être d'origine
cérébrale
et accompagner les hémianesthésies organiques o
ue de, explo- ration du champ visuel (p. 7 et suivantes). TUMEURS
CÉRÉBRALES
. 12t XII TUMEURS CÉRÉBRALES Troubles oculai
visuel (p. 7 et suivantes). TUMEURS CÉRÉBRALES. 12t XII TUMEURS
CÉRÉBRALES
Troubles oculaires daxs les tumeurs cérébrales.
12t XII TUMEURS CÉRÉBRALES Troubles oculaires daxs les tumeurs
cérébrales
. Il est très fréquent de constater des troubles
neoformations variées qu'on désigne sous le nom commun de « tumeurs
cérébrales
». . Ces troubles oculaires ont, dans la sl'lI1
troubles oculaires, les uns paraissent communs à toutes les tumeurs
cérébrales
, quel que soit leur siège dans i'cncepate. D'autr
uivant le siège de la lésion. Troubles communs à toutes les tumeurs
cérébrales
. Obnubilations passagères. Très souvent, dès le
du nerf optique. Les lésions du nerf optique au cours d'une tumeur
cérébrale
sont si fréquentes qu'elles constituent un de ses
papillite à divers degrés d'intensité. Cepcn dant, dans les tumeurs
cérébrales
, la papillite intense est de règle; la papille,
laire, possèdent une réelle importance pour le diagnostic de tumeur
cérébrale
, la valeur séméiologique de la papillite intense,
sous l'action du toxique, et donne la papillite intense des tumeurs
cérébrales
. Atrophie optique. Elle peut résulter d'une com
econnaître si une papillile accentuée a précédé l'atrophie. TUMEURS
CÉRÉBRALES
.- 123 Saillie des yeux. Cette saillie des yeux
chique (perte de la mémoire visuelle des choses) (p. 55). Tumeurs
cérébrales
centrales sous-corticales. IIemianopsie à carac
(p. 55); Mêmes symptômes que pour les tumeurs corticales. Tumeurs
cérébrales
centrales avec lésion des ganglions centraux. -
ent pour point de départ l'étiologie de Little ou les inflammations
cérébrales
de la première enfance et aboutissent à la sclé
nt consécutive il la méningite. ;¡C Hémorrhagie et Ramollissement
cérébral
. -11 existe quelques rares observations ancienn
ues rares observations anciennes de surdité croisée par hémorrhagie
cérébrale
; mais elles semblent dues à des erreurs d'observa
celles qu'on trouve souvent dans les viscères par suite d'apoplexie
cérébrale
. 4° Tumeurs cérébrales. Les troubles auditifs s
uvent dans les viscères par suite d'apoplexie cérébrale. 4° Tumeurs
cérébrales
. Les troubles auditifs sont fréquents dans les
s cérébrales. Les troubles auditifs sont fréquents dans les tumeurs
cérébrales
. Ils peuvent prendre la valeur d'un signe de lo
vent faire croire à de vraies mastoïdites ou même aux complications
cérébrales
des otites et qui guérissent par suggestion (Lan-
sation des règles, les intoxications médicamenteuses, l'apo- plexie
cérébrale
ont pu être invoquées. Mais la cause la plus habi
trajet inlra-crùnien. dans ses centres bulbaires, dans ses centres
cérébraux
. 1° Dans son trajet iul2'cr-c2'iuicn. Il y a de
à la surdité et au vertige. Nous avons vu déjà Faction des tumeurs
cérébrales
sur 1<' ]](,l'l'at'OIIS- tique el sur le lab
servi de point de départ la thèse de Chèze. 5". Dans ses centres
cérébraux
. Nous avons vu que le noyau vesti- lmlaire entr
hnoïde et le pus pourra pénétrer plus directement dans la substance
cérébrale
, c'est l'abcès cérébral ou cérébelleux. Très so
énétrer plus directement dans la substance cérébrale, c'est l'abcès
cérébral
ou cérébelleux. Très souvent ces doux dernières
nt plus facilement la méningite; les affections chroniques, l'abcès
cérébral
. Les abcès extra-duraux se rencontrent à peu près
de la lésion auriculaire a une très grande influence sur la lésion
cérébrale
secondaire. Les lésions du-toit de la caisse et d
it de la caisse et de l'antre donnent les complications de la fosse
cérébrale
moyenne et l'abcès tem- poro-sphénoïdal qui est
t la thrombo-phlébite latérale, les abcès extra- duraux de la fosse
cérébrale
postérieure et les abcès cérébelleux. Les laby-
ent citées, celle de Kôrner, donne il cas de sinusite pour 45 abcès
cérébraux
et seulement 51 méningites : celle de Pitt, ind
ites et 18 abcès céré- braux, etc. - En ce qui concerne les abcès
cérébraux
, je crois qu'on peut affirmer que les sept dixi
s et notamment du sinus frontal. Quant au chiffre relatif des abcès
cérébraux
et cérébel- leux, il a été très diversement int
i les cas guéris. Malgré quelques dé- boires, l'ouverture des abcès
cérébraux
donne de nombreux cas de gué- rison et la ménin
les filets nerveux, dans les exostoses, les méningites, les tumeurs
cérébrales
, les abcès, l'hydropisie ventriculairc, les hémor
ent fréquentes dans les sinusites sphénoïdales. Les complications
cérébrales
se rencontrent surtout dans les sinusites, et p
et intra- duraux, de la pachy- et de la lepto-méningite, des abcès
cérébraux
, des thrombo-phlébites. Les propagations peuven
envoyons aux chapitres spéciaux pour l'étude de ces complica- tions
cérébrales
des affections du nez. Rappelons seulement qu'une
s intra- et extra- duraux, 24 méningites, 2 encéphalites, 20 abcès,
cérébraux
et 11 throm- ])oses des sinus. - '2" Troubles
o-moteurs de la muqueuse entraînant une gêne dans le fonctionnement
cérébral
. Mais il est d'autres cas, dans l'ozène par exe
ression du liquide céphalo- rachidien sY11lptomatiqlle d'une tumeur
cérébrale
(2). On voit quelles intéressantes indications
auditif interne, de la congestion, de l'inflammation ou de l'oedème
cérébral
ou méningé, explique aussi certains vertiges des
é, explique aussi certains vertiges des ménin- gites et des tumeurs
cérébrales
. Les modifications de la pression sanguine dans
es infectieuses, utenin- gites, tabès, sclérose en plaques, tumeurs
cérébrales
, syphilis, etc.), qui éclairciront le diagnosti
rodromes plus ou moins prolongés, semblables à ceux de l'hémorragie
cérébrale
, précédant l'accès de quelques minutes à plusieur
algie occipitale permanente et les vomissements répétés à caractère
cérébral
, sans nausées, le peu d'intensité ordinaire des t
souvent de signes, oculaires ou autres, de compression ou d'oedeme
cérébral
et méninge. On admet géné- ralement que ces tum
du cervelet, soit de l'oreille interne, n'est pas élucidé. La cause
cérébrale
la plus fréquente du vertige est l'artério-sclé-
use cérébrale la plus fréquente du vertige est l'artério-sclé- rose
cérébrale
; ce rôle de i'arterio-scterosc a été mis en lumiè
phérique, soit surtout de quelques autres signes d'arterio-scierosé
cérébrale
: céphalalgies surtout nocturnes, bourdonnements
s non suivies d'hémiplégie. C'est sans doute a )'arterio-sc)erose
cérébrale
qu'il faut rapporter la plu- part des vertiges
de l'hémiplégie confirmée due il l'hémorragie ou au ramollissement
cérébral
; dans ces derniers cas pourtant on peut aussi i
peut aussi incriminer, comme pour les tumeurs, la stase on l'anémie
cérébrale
. Les vertiges de l'aortite et de l'insuffisance
ension et d'hypotension sanguine, de congestion et surtout d'anémie
cérébrale
. C'est également aux modifications de la cir- c
ie cérébrale. C'est également aux modifications de la cir- culation
cérébrale
, à la congestion ou à l'hypertension, que l'on a
ou tuberculeuse, de la pachyméningite hémorragique, de la syphilis
cérébrale
ou méningée, au cours et surtout au début de la
auditives diverses et peut affecter toutes les variétés du vertige
cérébral
: sensations de tournoiement, de soulèvement, d
i variable et. est aussi méconnue que celle des différents vertiges
cérébraux
; pourtant la sensation illusoire de déplacement
ge peut être le prélude d'une crise convulsive ou une manifestation
cérébrale
isolée. On l'observe aussi dans s le sommeil hy
niques; or, c'est précisément à celte période de l'artério-sclérosc
cérébrale
qu'on observe surtout le vertige : bien des ver
but brutal, par la suppression subite et instantanée des opérations
cérébrales
, des sensations et de la inutilité. En cas de s
s plusieurs jours après le traumatisme, l'intégrité des fonc- tions
cérébrales
ayant pu être à peu près complète dans l'interval
tténuent à la fois. En même temps que se récupèrent les fonctions
cérébrales
, les signes d'une hémiplégie s'accusent d'ordin
creuse un puits rapidement élargi, sans que les escarres d'origine
cérébrale
pré- sentent jamais la profondeur ou l'étendue
s apoplexies tardives. Le traumatisme peut déterminer une contusion
cérébrale
ou une compression par hémorragie; dans le premie
tense que l'examen extérieur n'explique point. Certaines affections
cérébrales
déterminent également avec le coma le syndrome
és, ictus et coma, dépendent el' hél1w1Tagies ou de ramollissements
cérébraux
. Ces accidents déter- minent les syndromes typi
ter que le diagnostic peut rester en suspens, l'urémie, les tumeurs
cérébrales
, les méningites, un hématome pouvant déter- min
SOMMEIL MORBIDE Le sommeil normal est la suspension de l'activité
cérébrale
volontaire. Il n'existe pas d'anesthésie pendan
aboutit enfin aun coma profond ». ' Le sommeil, dans les tumeurs
cérébrales
, peut se présenter sous deux formes. On observe
c le sommeil hystérique, le sommeil symptomatique d'une ! néoplasie
cérébrale
est souvent d'un diagnostic délicat. La coexisten
omnie, plutôt que le sopor, étant (le règle au cours de la syphilis
cérébrale
. Dans la paralysie générale au contraire, la narc
s contractions fibrillaires font défaut dans la paralysie d'origine
cérébrale
ou paralysie pseudo-bulbaire. Les ma- lades pré
u rire et du pleurer spasmodiques, des signes évidents d'hémiplégie
cérébrale
double, généralement plus accusée d'un certain
hémisphère gauche, celte zone, étant constituée par un quadrilatère
cérébral
compris entre deux plans frontaux passant par l
R.] 200 LES TROUBLES DE LA PAROLE. Dans les dysarthries d'origine
cérébrale
, l'atrophie musculaire fait à peu près complète
de réaction de dégénérescence. ' L'hémorragie et le ramollissement
cérébraux
déterminent parfois des troubles très accusés d
l'étal crépusculaire qui suit la crise (A. Pick), dans les tumeurs
cérébrales
(l3rissaucl).. - Les fautes de grammaire (agr
peut être minus habens à des degrés très divers). Dans la sclérose
cérébrale
infantile, la parole est souvent incomplète, c'
tôt il s'agit de déficit intellectuel, d'absence de développe- ment
cérébral
, comme chez l'idiot, le dégénéré, tantôt l'agraph
ration et des troubles de l'équilibre qui en imposent pour un ictus
cérébral
. Il. Examen de la parole. a) Parole spontanée.
thrie et de l'aphasie de Wernicke (vaste lésion du territoire de la
cérébrale
moyenne ou sylvienne) réalise l'aphasie de Broc
es. Cette variété d'aphasie relève d'une lésion du territoire de la
cérébrale
postérieure (cuneus et voies d'association). Il
pure. Les définitions données supposent une dissociation des actes
cérébraux
indiscernable et de fait indiscernee dans la pr
s plus vagues.' L'apraxie en effet, a été observée dans les lésions
cérébrales
en foyer, tumeurs, hémorrhagies, ramollissement
rique (affaiblissement du tact, de la vue, de l'ouïe) et du trouble
cérébral
. Cela est flagrant surtout pour rasynrbolie tacti
tions généralement bilatérales et symétriques du terri- toire de la
cérébrale
postérieure, notamment des lobules lingual et f
ement intellectuel, tels qu'on en voi dans la stupidité, la stupeur
cérébrale
, la confusion mentale. Dans ces différents état
auto-intoxications (urémie, dia- bète), dans certains cas de tumeur
cérébrale
. ' 11 faut distinguer aussi la démence de la dé
u sommeil (hallucinations hypnagogiques), il la suite de la fatigue
cérébrale
, de l'inanition, dans le cours des maladies inf
atrophique peut porter alors sur tout un hémisphère ou sur un lobe
cérébral
ou quelquefois sur quelques circonvolutions. 4°
ne rayonnante, vont se terminer dans la substance grise de l'écorce
cérébrale
. On n'admet plus aujourd'hui l'existence d'un fai
olivai°e. De l'écorce cérébelleuse, les fibres vont gagner l'écorce
cérébrale
par plusieurs relais, dont le premier se lait a
ents inaugurant une ère nouvelle dans l'histoire, des localisations
cérébrales
et ne figurant pas encore dans la plupart des t
e la baresthésie se rencontrent dans un certain nombre d'affections
cérébrales
, médullaires ou périphériques (Striimpell, Mari
les sensibilités superfi- cielles sont intactes. Dans hémiplégie
cérébrale
, ces [roubles peuvent exister et s'asso- cien
dullaires, dans les lésions médullaires en foyer, dans l'hémiplégie
cérébrale
ou médullaire, enfin dans les névrites pé1'iphé-
grand nombre d'affections centrales, comme le tabes ou les lésions
cérébrales
en foyer. Séméiologie. La perte du sens muscula
dépression, vibratoires). On peut donc l'observer dans l'hémiplégie
cérébrale
, dans le tabès où elle est fréquente; dans les
fonction indépendante mais bien un phénomène complexe de 1 activité
cérébrale
; c'est dans ce sens que le terme de sens stéréo
OUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 505 de localisation des lésions
cérébrales
en foyer. Un hémiplégique, en effet, peut prése
en est de même dans les paralysies datant de l'enfance (hémiplégie
cérébrale
infantile, paralysie obstétricale). Ici. les suje
ribution des racines), segmentaire (métamél'1 : que), médullaire ou
cérébrale
. Nous étudierons ces différentes variétés topog
en clinique : '1" dans les affections de ['encéphale (hémi- sphères
cérébraux
, pédoncule, protubérance, bulbe); 2° dans le* a
mianesthésie organique de cause encéphalique ou hémianesthésie dite
cérébrale
. L'hémianesthésie spinale et l'hémianesthésie hys
tes sensitives dans la pro- tubérance, le pédoncule ou l'hémisphère
cérébral
. Début. Le début des troubles sensitifs, dans l
hémianesthésie organique occupe le côté du corps opposé à la lésion
cérébrale
. Elle s'arrête sur la ligne médiane du corps, e
roubles sensitifs sont en voie d'améiiu- lei ? 13. - Hémianesthésie
cérébrale
. Anesthésie au.tacl, it la pirplre, avec erreur d
s l'extrémité du membre (Dejerine). Dans l'hémianesthésie organique
cérébrale
, les troubles sensitifs re- vêtent une distribu
distribution si régulière que l'on peut parler d'une topngra- phie
cérébrale
des troubles sen- sitifs. Dans de très rares
encore résolue. Exceptionnellement enfin, à la suite d'une lésion
cérébrale
bilaté- rale, l'anesthésie peut envahir toute
envahir toute la surface du corps. Caractères. L'hémianesthésie
cérébrale
est d'intensité variable; exceptionnellement ab
atérale; aussi, lorsqu'une lésion aura détruit les libres visuelles
cérébrales
d'un côté, il en résultera pour la vision un tr
elle peut guider dans la recherche de la localisation d'une lésion
cérébrale
. Il est indispensable pour cela que le malade s
aque apoplectique, période pendant laquelle son état d'obnubilation
cérébrale
rend l'examen de la sensibilité très difficile.
esthésie thalamique ne s'observe pas,' comme l'liéluianes- thésie
cérébrale
du reste, sans qu'il n'y ait en même temps de l
eront supposer une lésion du cortex. Diagnostic des hémianesthésies
cérébrales
. Le diag- nostic de l'hémianesthésie organique
es cérébrales. Le diag- nostic de l'hémianesthésie organique à type
cérébral
(corticale ou centrale) offre souvent en cliniq
, qui simulent., à s'y méprendre, celles qui relèvent, d'une lésion
cérébrale
. Nous verrons bientôt, par l'étude des troubles
inale est donc toujours partielle, contrairement à l'hémianesthésie
cérébrale
, qui est ordinairement totale. Elle revêt soit
vent le type hémi-paraplégique. Comme dans les anesthésies de cause
cérébrale
, les troubles sensitifs ne sont habituellement pa
s paraplégies par compression, les polynévrites. Dans les lésions
cérébrales
, on l'a vu, les troubles sensitifs, à l'instar
té à distribution radiculaire dans le cours de certaines affections
cérébrales
. Leurs manifestations sont particulièrement fugac
e ils sont notés. Cette topogra- phie très spéciale de l'anesthésie
cérébrale
ne s'observe, semble-t-il, que dans les lésions
s les affections du cerveau, la céphalée accompagne les congestions
cérébrales
, les hémorragies, les ramollissements cérébraux.
ne les congestions cérébrales, les hémorragies, les ramollissements
cérébraux
. Mais il est deux ordres de lésions du cerveau
apitale par sa fréquence et par son intensité : ce sont la syphilis
cérébrale
et les tumeurs du cerveau. Dans la syphilis, la
iaire, la céphalée est un des symptômes prédominants de la syphilis
cérébrale
(forme artérielle ou méningée). On l'observe dans
yphilitique a une signification pronostique grave. Dans les tumeurs
cérébrales
, la céphalée, à peu près constante, est souvent
es de l'affection. Elle fait partie des signes communs, des tumeurs
cérébrales
, quel qu'en soit le siège, et, dans certains ca
n, précieux pour le dia- gnostic. Au début, la céphalée des tumeurs
cérébrales
est sourde, pro- gressive, elle devient dans la
disparaître dans la suite. C'est donc surtout au début des tumeurs
cérébrales
que la céphalée, isolée ou associée aux convuls
giques passagers (Féré). Dans l'épilepsie symplomalique (par tumeur
cérébrale
par exemple), la céphalée est constante; elle exi
ermettront de l'aire un diagnostic de iocaiisation dans les lésions
cérébrales
en foyer. Files foui, en effet, partie du syndr
s sont plus apparentes que réelles, 'n'influencent pas les facultés
cérébrales
et paraissent s'atténuer ou même disparaître, l
e la symptomatologie des affections constituées du cerveau (lésions
cérébrales
en foyer, hémorragies, ramol- lissement, tumeur
rconscrites semblent dépendre le plus souvent de lésions crâniennes
cérébrales
ou méningées localisées. La valeur séinio- logi
vraxe. La céphalée est un symptôme fréquent dans l'arlério-sclérose
cérébrale
et souvent existe longtemps avant les troubles pa
existe longtemps avant les troubles paralytiques du ramollissement
cérébral
sénile. La céphalée des neurasthéniques se cara
latérales et frontale de la tête (sensation de casque). Les algies
cérébrales
des hystériques (clou hystérique) sont, comme t
gie et l'absence de contracture seraient l'indice d'une compression
cérébrale
au niveau de la région rolandique, compression pr
niveau de la région rolandique, compression produite par une tumeur
cérébrale
. L'abolition ou la diminution des réflexes s'ob
alisée des réflexes tendineux peut s'observer au cours d'affections
cérébrales
. Elle apparaît dès le début de Y apoplexie ; dans
drome, qu'il soit produit par l'hémorragie ou par le ramollissement
cérébral
, l'abolition des réflexes peut exister dès le d
llaires. Enfin on observe l'abolition des réflexes dans les tumeurs
cérébrales
et cérébelleuses. ' En ce qui concerne les tu
avec la gravité de l'état général et avec l'intensité des troubles
cérébraux
du début. Sur les 55 enfants qui l'ont présenté,
ieil- lards où il existe des lacunes multiples des deux hémisphères
cérébraux
comme l'ont montré Pierre Marie et Guillain.
s : sclérose latérale amyolropliique, sclérose en pla- ques, tumeur
cérébrale
. [CROUZON]' .44< : ' RÉFLEXES. Elle est
turbation dans le système pyramidal, qu'il s'agisse d'une affection
cérébrale
ou d'une affection spinale et il paraît pathogn
communiqué à la Société Anatomique, en 1898, un cas d'hémi- plégie
cérébrale
dans lequel il avait observé le phénomène des ort
fesseur Dipulafoy, de la production d'une hémiplégie par hémorragie
cérébrale
: il s'était écoulé entre le moment de l'ictus et
araplégie l'altération du faisceau pyramidal. 4" Dans la paraplégie
cérébrale
infantile (diplégie ou hémiplégie) Cestan a pu
lésions centrales et, parmi elles, dans les régions médullaires et
cérébrales
, dans les régions méningées. L'hyperréflectibil
ns les lésions centrales graves : tels sont les traumatismes graves
cérébraux
ou médullaires, les comas, les affections aiguë
er en trois grandes variétés : I. L'hémiplégie organique par lésion
cérébrale
, ou pédonculaire, ou protubérantielle, ou spina
rement névropatltique. Enfin, chez l'enfant, l'hémiplégie organique
cérébrale
se présente avec des caractères tellement parti
u'il y a lieu de lui consacrer une place à part : 111. Hémiplégie
cérébrale
infantile. Au point de vue purement clinique, i
parler des variétés d'intensité de l'hémi- plégie due à une lésion
cérébrale
; ces variétés sont d'ailleurs beaucoup plus app
l'ont fait surtout remarquer Wcr- nicke et Mann, dans l'hémiplégie
cérébrale
la paralysie ne frappe pas isolément tel ou tel
'il s'agit d'une hémianesthésie par lésion en foyer d'un hémisphère
cérébral
. Et, dans ces cas, il s'agit le plus souvent d'
difficile. Un début subit doit faire surtout penser il l'hémorragie
cérébrale
, au ramollissement et aux lacunes de désintégra
, au ramollissement et aux lacunes de désintégration. Les tumeurs
cérébrales
, l'hémorragie méningée, les méningites n'amè- n
e, quand il est bien prononcé, indique ordinairement une hémorragie
cérébrale
: le ramollissement et même l'hémorragie méning
terminent pas ordinairement un état aussi comateux que l'hémorragie
cérébrale
; c'est surtout dans celle-ci qu'on voit se produi
ans aucun ictus, on a le plus souvent à faire à un ramol- lissement
cérébral
ou à des lacunes. On peut le plus souvent diagn
de différencier l'hémiplégie par lacune de celle par ramollissement
cérébral
, c'est l'hémianopsie, qui est extrême- ment rar
être pro- duite par cette lésion, tandis que dans le ramollissement
cérébral
c'est un symptôme assez fréquent. De même l'aph
chez les lacunaires). Quant à l'hémiplégie produite par les tumeurs
cérébrales
, il est bien difficile de la caractériser puisq
a caractériser puisque, comme tous les autres symptômes des tumeurs
cérébrales
, elle est susceptible des modifications les plus
verses. Nous noterons cependant, ce fait que c'est dans les tumeurs
cérébrales
que l'on voit presque exclusivement (abstractio
nt ou de l'lumichorée. Assez souvent aussi l'hémiplégie des tumeurs
cérébrales
s'accompagne d'épi- lepsie jacksonienne. Bien e
tenir compte de tous les autres symptômes révéla- leurs des tumeurs
cérébrales
, et notamment l'examen du fond de l'oeil rendra
vices; mais, dans les cas aigus, on n'oubliera pas que 1 hémorragie
cérébrale
est susceptible elle aussi de déterminer de l'oed
, d'après Mann, à peu près la même que dans l'hémiplégie par lésion
cérébrale
. En réalité, nous manquons de caractères spécia
alades, l'hémiplégie peut tout aussi bien être duc à une hémorragie
cérébrale
ou à un ramollissement. Les lésions du coeur et
iens, etc.... s'accompagnent plus ou moins fréquemment d'hémiplégie
cérébrale
, hulbo-prolllbéran- ticllc ou spinale. - Il.
soupçon d'une hémiplégie d'origine névropathique. 111. L'hémiplégie
cérébrale
infantile diffère par un certain nombre de poin
en extension (').. ' L'aphasie ne se montre guère dans l'hémiplégie
cérébrale
infantile, même quand il existe des lésions de
uvements se rencontrent beaucoup plus fréquemment dans l'hémiplégie
cérébrale
infantile que dans l'hémiplégie de l'adulte, et e
du cerveau en foyer sans réactions méningées, dans les hémorragies
cérébrales
, dans les lésions destructives du cerveau (Abad
es, dans les lésions destructives du cerveau (Abadic), dans l'abcès
cérébral
(Klippel). Enfin, le signe de Kernig a été renc
s quelques affections médullaires ou quelques affections du système
cérébral
dans lesquelles les lésions méningées n'étaient p
paralysie motrice des membres inférieurs. Elle peut être d'origine
cérébrale
, médullaire, névritique, musculaire ou fonction
égies spasmodiques. La division rigoureuse en paraplégies d'origine
cérébrale
, médullaire, né- vritique, musculaire et foncti
les paraplégies de l'enfant et du vieillard sont souvent d'origine
cérébrale
, et que parmi les paraplégies de l'adulte les f
es sym- ptômes méningés initiaux. Ils sont de deux ordres : les uns
cérébraux
, ', diplopie, céphalée, les autres rachidiens,
r des para- plégies ducs à des lésions encéphaliques. Ces diplégies
cérébrales
de l'enfance relèvent généralement de pqrenceph
se peut noter chez le même individu la coexistence d'une hémiplégie
cérébrale
infantile et d'une paralysie infantile (Pierre
égie par double 1rW ni- plégie. Lacunaires. La paraplégie d'origine
cérébrale
est une para- plégie lacunaire. Elle peut succé
s, on peut distinguer, d'après Lherinitte, une paraplégie lacunaire
cérébrale
« à début insidieux, ne succédant pas il des ic
'orienter le diagnostic en une certaine mesure. Les grandes lésions
cérébrales
, la maladie de Little, les diplé- gics, la spin
upérieures. [G, GUILLAIN.] SEMÉIOLOGIE DES PARALYSIES D'ORIGINE
CÉRÉBRALE
, MÉDULLAIRE, RADICULAIRE ET PÉRIPHÉRIQUE .. P
eau pyramidal est principalement prérolandique. Les localisations
cérébrales
motrices chez l'homme sont intéressantes à conn
servation des sujets trépanés (d'après J,31narr¡). ''.' TOPOGRAPHIE
CÉRÉBRALE
. 595 Grasset, en s'appuyant sur quelques cas de
d'après Beevor et Horsley (1890) ; .. Fig. 6 cb 7. Localisations
cérébrales
chez l'homme, d'après Ch. K. Mills (1904). TOPO
s cérébrales chez l'homme, d'après Ch. K. Mills (1904). TOPOGRAPHIE
CÉRÉBRALE
. 597 2° Les centres moteurs corticaux du llacac
nzé, d'après Grunbaum et Sherrington (1905). 5° Les localisations
cérébrales
chez l'homme d'après Ch. K. llills (1904). Le
e l'on ne constate pas d'autres symptômes de syphilis médullaire ou
cérébrale
. De Peters a fait une étude des paralysies que
tout un membre, comme cela se voit dans les paralysies d'ori- gine
cérébrale
. La nature syphilitique de ces paralysies est pro
des lésions ne puisse être précisé. La paralysie faciale d'origine
cérébrale
est accompagnée le plus souvent d'une hémiplégi
es du même côté. Les caractères de la para- lysie faciale d'origine
cérébrale
sont : la persistance des mouvements réflexes p
onne encore comme signccaractensquedeht paralysie faciale d'origine
cérébrale
l'intégrité du facial supérieur; celle ET DES N
eut remarquer aussi que dans les cas de paralysie faciale d'origine
cérébrale
, même lorsque le facial supérieur semble intact
constitue un acte volontaire dont le centre doit être dans l'écorce
cérébrale
. La seconde, fonction primordiale et indispen-
ce moindre qui siège dans le bulbe pour la phonation, dans l'écorce
cérébrale
pour la respiration : dans des limites «assez res
on médiane. Cela lui paraît impossible pour des lésions de l'écorce
cérébrale
, non seulement en raison des faits expérimentau
Quant à la position cadavérique de la corde à la suite d'une lésion
cérébrale
, dit-il en terminant, elle est absolument irréali
s en contraction tonique. B) Spasme d'origine centrale. Les lésions
cérébrales
ne parais- sent pas déterminer souvent de spasm
gé ; il convient cependant de citer sa possibilité dans les tumeurs
cérébrales
et la paralysie générale progressive, mais dans
canisme patbogenique reste ignoré. Charcot penchait pour un vertige
cérébral
à manifestai ion laryngée. Le fait que le vertige
Le spasme glottique pho- nique est parfois symptomatique de lésions
cérébrales
ou bulbaires. Presser .lames a décrit le « béga
pinale aiguë de l'adulte ; liématomyélie ; myélites. b) D'origine
cérébrale
: paralysies cérébrales infantiles : hémiplégie,
lte ; liématomyélie ; myélites. b) D'origine cérébrale : paralysies
cérébrales
infantiles : hémiplégie, etc.; hémi- plégie de
o-hypertrophique « paralysie hypertrophique de l'en- fance de cause
cérébrale
» ; en 1868 (') il renonça lui-même à attribuer
ncéphale, « parce que dans un certain nombre de cas aucun phénomène
cérébral
ne s'était montré dans le cours delà maladie ».
ier cas, suivant que le siège de la lésion nerveuse est médullaire,
cérébral
ou périphé- rique ; dans chacun de ces cas elle
n médullaire. b) Atrophies consécutives à une paralysie d'origine
cérébrale
. Dans toutes' les paralysies cérébrales infantile
es à une paralysie d'origine cérébrale. Dans toutes' les paralysies
cérébrales
infantiles, hémi- plégie, diplégie, paraplégie,
t proportionnelle à l'intensité de la paralysie. Dans la paraplégie
cérébrale
infantile, le trouble du développement musculai
pas respectés. L'atrophie musculaire et os- seuse des hémiplégies
cérébrales
infantiles est un arrêt de dévelop- pement dû
est un arrêt de dévelop- pement dû au retentissement de la lésion
cérébrale
, par l'inter- médiaire du faisceau pyramidal,
embres paralysés dans un cas d'hémiplégie gauche avec para- lysie
cérébrale
infantile. L'atrophie est sur- tout nette au ni
due souvent à la lésion même des cellules pyramidales de l'écorce
cérébrale
, pour Borgherini, Eisenlohr, Quincke à la lésio
orgherini, Eisenlohr, Quincke à la lésion de cen- tres trophiques
cérébraux
spéciaux de ' l'écorce ou de la couche optique,
à des troubles circu- latoires intramusculaires à point de départ
cérébral
, pour Dejerine à une névrite périphérique intra
plégiques et due à la suppression de l'influx ner- veux d'origine
cérébrale
agissant sur les grandes cellules de la corne a
lte; hématomyélie ; myélites ; compression médullaire. b) D'origine
cérébrale
: paralysies cérébrales infantiles : hémiplégies,
lites ; compression médullaire. b) D'origine cérébrale : paralysies
cérébrales
infantiles : hémiplégies, etc.; hémi- plégie de
n les observe alors chez des sujets atteints il ! utero de sclérose
cérébrale
et nés avec les signes d'une hémiplégie ou d'une
cérébrale et nés avec les signes d'une hémiplégie ou d'une diplégie
cérébrale
infantile, avec une hémi-athétose ou une alhétose
diot qui fut opéré M mois et mourut à 90 mois : ses circonvolutions
cérébrales
étaient altérées. ' . Quoiqu'il en soit, que
ire se joignent souvent à un degré variable, des symptômes d'ataxie
cérébrale
ou bulbo-protubérantielle par altération des vo
ité de 1 hémiplégie. Elle serait plus fréquente dans les néoplasmes
cérébraux
que dans les ramollissements ou hémorrhagies. E
uë dans les cas de Leyden, Westphal, Dinkler, etc.) L'iiémiataxic
cérébrale
, comme l'hémianesthésie cérébrale, présente une
l, Dinkler, etc.) L'iiémiataxic cérébrale, comme l'hémianesthésie
cérébrale
, présente une allure symptomatique assez spécia
résente une allure symptomatique assez spéciale. L'hémianesthésie
cérébrale
n'est jamais complète ; l'hémiplégique par tume
complète ; l'hémiplégique par tumeur, ramollissement ou hémorrhagie
cérébrale
, quel que soit le siège de la lésion, couche op
vers la racine des membres que vers leur extrémité. L'hémiataxie
cérébrale
n'est jamais complète non plus ; elle est très
e de la coordination dans les cas d'altération des voies sensitives
cérébrales
à la création, pen- dant l'apprentissage des mo
que nous avons dit du degré toujours incomplet de l'hémiancsthésie
cérébrale
nous fait penser qu'il y a là aussi peut-être u
ut-être une cause de l'intensité toujours modérée de 1'1ll'miataxic
cérébrale
. Quelle que soit l'interprétation, il est certa
e ne fait pas partie du tableau clinique habituel de l'hémi- plégie
cérébrale
infantile; Boucaud en a cependant récemment rappo
res que nous avons énumérés plus haut et de signes de com- pression
cérébrale
, souvent de signes d'altération d'organes voisins
hémianesthésie (par hémorragie ou ramollis- sement, surtout tumeur
cérébrale
) ; Concomitance d'hémiplégie cérébrale infantil
llis- sement, surtout tumeur cérébrale) ; Concomitance d'hémiplégie
cérébrale
infantile exceptionnellement (Rouchaud). e) S
tagmus, vomissements, céphalalgie occipitale, signes de compression
cérébrale
, souvent aiaxie labyrinthique. b) Affection des
tabétiques paralytiques généraux, même tout au début de leur lésion
cérébrale
. Frenkel cite les anciens officiers, intelligen
ondre surtout ce complexus morbide avec le syndrome pseudo-bulbaire
cérébral
dont nous signalerons plus loin les caractères
ue s'ajoutent le plus habituellement . desaccidents moteurs du type
cérébral
. Ces diffé- rentes altérations sont ordinaireme
ent se rencontre spécialement chez les pseudo-hul- baires à lésions
cérébrales
nombreuses, mais de faible volume individuel, c
une paralysie congénitale liées lune et l'autre à de gros accidents
cérébraux
, atrophie et sclérose corticales, microgyrie, p
e ne fait que refléter l'excitation des centres nerveux de l'écorce
cérébrale
. Ce dernier mécanisme est des plus importants e
jack- sonienne) ou se généraliser. - Chez les malades, des lésions
cérébrales
, des toxines microbiennes, des toxiques agissen
convulsion est remplacée par la paralysie, l'excitation de l'écorce
cérébrale
à un mo- ment donné arrivant en quelque sorte à
e de connaissance et est le plus souvent symptomatique d'une lésion
cérébrale
(hémorragie, ramollissement, tumeur, inflammation
r par des con- vulsions jacksoniennes et, d'autre part, des lésions
cérébrales
peuvent donner des convulsions généralisées que
mais dans les convulsions symptoma- liyues si fréquentes de lésions
cérébrales
et surtout dans l'éclampsie, dans le syndrome d
l'exa- men des urines. Les convulsions symptomatiques de lésions
cérébrales
ou méningées se montrent surtout chez l'enfant
il la possibilité d'une encéphalite. Nom- breuses sont les lésions
cérébrales
apyrétiques : congestion, anémie, trau- matisme
s apyrétiques : congestion, anémie, trau- matisme crânien, sclérose
cérébrale
, hémorragie, ramollissement, qui peuvent amener
ile à reconnaître et la convulsion n'est qu'un épisode. Les tumeurs
cérébrales
, les abcès occasionnent des convulsions le plus
lus souvent partielles, accompagnées des troubles de la compression
cérébrale
, tels que stase papillaire, céphalée, torpeur, vo
ctures et dcspara- lysies localisées. Les complications de l'urémie
cérébrale
, auxquelles il faut toujours penser, quoiqu'ell
nt immédiatement sur la voie : grossesse, lièvre intense, affection
cérébrale
ancienne et notoire, albuminurie. Appelé auprès
ie primitive (Char- tier). Un malade infecté présente des symptômes
cérébraux
, céphalée, délire, jactation. agitation des mem
agnostic des convulsions est encore facile dans d'autres affections
cérébrales
et méningées, apyrétiques, et dont le début remon
emonte à des mois ou à des années. C'est ainsi que dans la sclérose
cérébrale
chro- nique vous constaterez qu'il v a des para
s qui résultent de l'insolation et celles qui dépendent de l'anémie
cérébrale
consécutive aux grandes hémorragies externes et
ées ou partielles pourront être les premiers symptômes d'une tumeur
cérébrale
, d'un abcès, d'une lésion tubercu- leuse limité
n nocturne de la douleur, les antécédents spécifiques à la syphilis
cérébrale
. Toutes ces conditions seront quelque- fois ins
ui rend plutôt le service de porter son attention sur une étiologie
cérébrale
possible. Il s'agit de malades qui souffrent de
u tremblement de forme parkinsonienne symptomatique d'une affection
cérébrale
: tels sont les tremblements parkinsoniens symp
tremblements parkinsoniens symptomatiques d'une tumeur du pédoncule
cérébral
(cas de Bloch et Marinesco, Société de Biologie,
peuvent également s'observer : on peut voir survenir une hémorragie
cérébrale
, une embolie cérébrale comme dans les cas de Si
erver : on peut voir survenir une hémorragie cérébrale, une embolie
cérébrale
comme dans les cas de Simon et Crouzon où une h
ires : endocardite végétante ou embolie, en parti- culier l'embolie
cérébrale
, ou ce sont des complications nerveuses : délire,
es et articulaires. Les complications nerveuses sont : l'hémorragie
cérébrale
, l'embolie cérébrale pouvant amener l'hémiplégi
es complications nerveuses sont : l'hémorragie cérébrale, l'embolie
cérébrale
pouvant amener l'hémiplégie et l'aphasie comme da
cas de L. G. Simon et Crouzon. On peut observer aussi un rhumatisme
cérébral
au cours de la chorée ; enfin Aper't a observé
c et p, Call1Us ont constaté une myoclonie au cours de l'hémiplégie
cérébrale
infantile. Description. Les myoclonies sont car
une entité morbide, il est symp- tomatique de nombreuses affections
cérébrales
(Murri, Progrès médical, - l 002; ()razio d'All
cire sympto- matiquc de la maladie de Heckiinghausen et de l'urémie
cérébrale
; on l'a observé également dans la sclérose en p
oisine de l'athétose double, car elle a comme substratum une lésion
cérébrale
: c'est, comme l'athétose double, une diplégie
une lésion cérébrale : c'est, comme l'athétose double, une diplégie
cérébrale
. DIAGNOSTIC. ET DESCRIPTION DES VARIÉTÉS D'ATHÉ
l'enfance ce syndrome mental a été lié comme l'athetosc Ü la plegic
cérébrale
. Cependant, dans une proportion évaluée par Briss
L'hémiathétose est donc consécutive comme l'hémiplégie à une lésion
cérébrale
en foyer et cette lésion peut être une hémorragie
conséquences sur l'état physique. Le déséquilibre des IÏI(.(11- tés
cérébrales
ne va pas le plus souvent sans un déséquilibre de
en réalité, à des cas disparates de tics, de chorées et de lésions
cérébrales
. Les mouvements athétosiques ont souvent une ap
mie, maladie du sommeil (Sicard et Moutier), granulie, hémor- ragie
cérébrale
, rhumatisme aigu, dans la plupart des intoxicatio
loppée au cours d'une myélite. « TROUBLES TROPHIQUES. 925 tions
cérébrales
). On voit apparaître tout d'abord un placard éryt
On la ren- contre dans l'aliénation mentale, le tabès, les tumeurs
cérébrales
, du côté malade chez les hémiplégiques. Elle pe
s un traumatisme céphalique dans l'enfance ou à propos d'une tumeur
cérébrale
chez l'adulte (l1émieraniose de Brissaud ctLt're-
'hyperthermie peut être due il une lésion centrale soit de l'écorce
cérébrale
(Ch. Bichet) soit d'une zone située entre le corp
de cette fièvre est la fièvre de la méningite. Dans les méningites
cérébrales
aiguës, la fièvre débute par un grand frisson,
empérature de 1'(pil(,I)sie. Dans la première heure de Y hémorragie
cérébrale
, la température centrale est abaissée en dépit
ns ce cas a un pronostic extrêmement grave, elle indique une lésion
cérébrale
, elle s'accompagne le plus souvent d'albuminurie
ntraîne un pronostic fatal. La température locale dans l'hémorragie
cérébrale
est toujours plus élevée du côté paralysé, il y
e du pouls sans élévation de la température. Dans le ramollissement
cérébral
il n'y a pas d'abaissement initial de la tempér
e urémie associée il une grippe, à un état infectieux, à une lésion
cérébrale
(Giraudeau, Crouron). HYPOTHERMIE L'hypotherm
; cependant il peut être un symptôme prémonitoire de l'hémor- ragie
cérébrale
, de Y éclaihpsie puerpérale (Chirié, Thèse dePari
de même que dans l'athérome du tronc basilaire ou dans l'hémorragie
cérébrale
. Dans l'ictns cérébelleux, l'apnée peut être un
s lent temporaire peut être vu dans la méningite, dans l'hémorragie
cérébrale
, dans les crises gastriques du tabès, dans les
on de nombreuses affections du système nerveux. Dans l'hémorragie
cérébrale
, après l'ictus, la rétention est aussi rare qu'
incom- plète préexistante. Il en est de même dans le ramollissement
cérébral
. On l'observe rarement dans les méningites aigu
ble qu'il n'y ait pas de phénomènes mictionnels propres à la lésion
cérébrale
excepté à la période ultime, à laquelle d'aille
ons enfin la rétention qui accompagne les commotions médullaires et
cérébrales
, dont la durée est d'ordinaire très courte el qui
'incontinence se succèdent souvent. Il en est ainsi de l'hémorragie
cérébrale
et du ramollissement; l'incon- tinence succède
nte avec une signification et une, modalité spéciales. L'hémorragie
cérébrale
donne lieu presque toujours il une polyurie d'a
a lésion première. On la constate dans un grand nombre d'affections
cérébrales
et médullaires, dans presque toutes les formes
ots, qu'elle soit ou non précédée de masturbation, dans la syphilis
cérébrale
et surtout dans la paralysie générale à la prem
n l'a signalée dans la méningite, dans la contusion et la commotion
cérébrale
. Elle accompagne souvent l'hystérie et l'épilep
l'accouplement. Quelquefois elle constitue un symptôme d'une lésion
cérébrale
ou médullaire; ou bien elle est d'origine psych
e en dépressions et saillies rappelant l'aspect des circonvolutions
cérébrales
. Des conlrac- tions vermiculaires très vives ag
u con- tinue, qui peut avoir dans la thrombose et le ramollissement
cérébraux
la valeur d'un prodrome ou d'un reliquat. Il s'
existence est peu précise : on a bien signalé, au cours d'accidents
cérébraux
ou plutôt bulbaires, dans les altérations du pneu
u'hypersécrétion glandulaire. L'idiot; l'enfant atteint de sclérose
cérébrale
avec ses contractures, son strabisme, ses jambe
ec désir d'exonération se mani- feste. Au contraire, le vomissement
cérébral
est un vomissement simple; il se fait. facileme
l'apoplexie céré- bratc. et marque surtout l'évolution des tumeurs
cérébrales
ou céréttet- leuses. Il peut même, quand le bul
un âge avancé, et des hématémèses apparues à la suite d'hémorragies
cérébrales
. Crises liées à l'athérome cérébral. Ces crises
rues à la suite d'hémorragies cérébrales. Crises liées à l'athérome
cérébral
. Ces crises gastriques réalisent le type de l'i
ollissement à marche souvent rapide. Ajoutons que celte indigestion
cérébrale
est toujours nocturne, et que son importance pron
e d'autres l'ois plusieurs heures. Le vomissement n'est pas du type
cérébral
, mais du type bulbaire (Brissaud) ; loin de rejet
Il y a incontinence du sphincter anal dans le coma de l'apoplexie
cérébrale
, dans les paraplégies flasques quel que soit leur
ses tiraille- ments. X Faim phobique. C'est une faim angoissante,
cérébrale
et non bulbaire, survenant chez des sujets taré
ertains sommeils morbides tels qu'en peuvent déterminer les tumeurs
cérébrales
, les méningites, les trypanosomiases, 1 hystéri
sion soma- tique de mégalomane. GATISME. 10B 1 Dans les tumeurs
cérébrales
, on rencontre parfois de l'affaiblisse- ment de
ont profondément atteints, ont assez souvent de 1'j "Tosses lésions
cérébrales
amenant des iclus parfois répétés. Le gâtisme e
ainsi que par mala- dresse. Beaucoup de gâteux par ramollissement
cérébral
roulent constamment entre leurs doigts, leurs c
- membre congénitale est plus souvent la conséquence d'une sclérose
cérébrale
que d'un véritable arrêt de développement pri-
d'encéphalite foetale et in- fantile, d'hémiplégie et de diplégie
cérébrale
infantile, de syndrome de Little chez les préma
tout à fait exces- sives que l'on observe souvent dans l'hémiplégie
cérébrale
infantile. La main-bote de l'hémiplégie hystéri
ost-hémiplégique est bien plus fréquente à la suite des hémiplégies
cérébrales
infantiles qu'à la suite des hémiplégies de l'a
ongénitales ou acquises, myopathiques. nevritiques, myetopathiques.
cérébrales
ou fonctionnelles : aucune variété n'est palhogno
t beaucoup plus fré- quent. Il est unilatéral dans l'hémi- plégie
cérébrale
infantile ; il est généralement alors en varus
e tous les cas de soi-disant maladie de Little on trouve une lésion
cérébrale
(') et non seulement,. 4. Les lésions cérébrale
n trouve une lésion cérébrale (') et non seulement,. 4. Les lésions
cérébrales
grossières, les hémorragies surtout, ne sont pas
acquis paralytique s'observe dans un grand nombre d'affections : a)
cérébrales
, b) médullaires, c) névritiques, d) myopathi- q
iques, d) myopathi- ques, e) fonctionnelles. a) Dans l'hémiplégie
cérébrale
, à la période de flaccidité, on observe un pied
ed-bot acquis spasmodique s'observe dans cerlaiues a(l'ec- tions a)
cérébrales
, b) médullaires, c) fonctionnelles. o) Dans l'h
cérébrales, b) médullaires, c) fonctionnelles. o) Dans l'hémiplégie
cérébrale
de l'adulte avec contracture, le pied est en ex
nt presque toujours beaucoup moins prononcées que dans l'hémiplégie
cérébrale
infantile. ú) Dans toutes les paraplégies spa
ante le tourmente, il présente même parfois le syndrome des tumeurs
cérébrales
. Les crises épilepti- formes, les troubles visu
étant en général diffi- ciles, voire disproportionnées avec l'état
cérébral
de l'immense majorité. Maladies nerveuses congé
oûte pharyngienne à la pression, dans les cas de tumeur de la fosse
cérébrale
moyenne. La percussion s'emploie principalement
chez des urémiques, et 3 fois chez des individus atteints de tumeur
cérébrale
. Lichteim, Gumprecht, Martin ont observé des cas
ont eu un cas de mort après ponction lombaire dans un cas de tumeur
cérébrale
. Toutefois, cette complication est rare. Jean N
it une hyperé- mie des méninges et pouvait augmenter une hémorragie
cérébrale
déjà existante. Enfin, on a signalé des modif
ge cerise. Elle s'observe dans les grandes hémorragies : hémorragie
cérébrale
, fracture du crâne ; cet aspect est pathognomon
2 de tabes. Il l'a trouvé, aussi dans l'épilepsie, dans les tumeurs
cérébrales
, dans l'hématomyélie. Il montre qu'il y a corré-
ans la démence sénile, dans la démence organique par ramollissement
cérébral
, dans la mélancolie avec délire, les résultats on
la convexité. Enfin, elle peut s'observer au cours des hémorragies
cérébrales
, sans inondation ventriculaire, ni inondation m
ingée d'après Crouzon; il existe en effet, au cours des hémorragies
cérébrales
, des hémorragies pie mériennes siégeant au nive
à une inondation méningée, elles sont secondaires à une hémorragie
cérébrale
, mais sans rapport direct avec elle ; l'aspect
ble il l'inondation méningée et peut être le signe d'une hémorragie
cérébrale
à topographie normale. Des faits analogues ont
ée du tout ou qu'elle ait disparu. Cyto-diagnostic dans les tumeurs
cérébrales
. La statistique de Babinski et Nageotte comport
La statistique de Babinski et Nageotte comporte sept cas de tumeur
cérébrale
sans réac- tion méningée. Gombaut et Ilalbron o
on méningée. Gombaut et Ilalbron ont observé, dans un cas de tumeur
cérébrale
, d'abord de la polynucléose, puis de la lymphocyt
sarcouiatose du liquide céphalo-rachi- dicn dans un cas de sarcome
cérébral
. Widal et Abrami ont trouvé des cellules néopla
tant quelques lymphocytes. Cyto-diagnostic dans le ramollissement
cérébral
. Nageotte et Jarnet y ont trouvé une lymphocyto
de dire que le cyto-diagnostic a été négatif dans un cas de tumeur
cérébrale
, dans un cas de migraine ophtalmoplégique, etc.
ntusions recouvrant presque toute la face externe de 1 honi- sphère
cérébral
. La contusion peut donc, comme la fracture, provo
iochard, de Guinard, etc. Nous savons d'autre pari que l'hémorragie
cérébrale
peut provoquer aussi la teinte rosée du liquide
r le crâne; et encore il peut s'agir d'un épanchement par contusion
cérébrale
. PONCTION LOMBAIRE THÉRAPEUTIQUE Nous avons v
contre la céphalée dans la méningite tuberculeuse dans les tumeurs
cérébrales
, par Carrière Hbodes. Celte étude est faite à p
os de chacune de ces affections. Ponction lombaire dans les tumeurs
cérébrales
. L'heureux effet de la décompression dans les t
rs cérébrales. L'heureux effet de la décompression dans les tumeurs
cérébrales
a été mentionné par Babinski. Antérieurement, C
ats, consécutifs à l'inondation des ventricules par les hémorragies
cérébrales
ou choroïdiennes (syn- drome hémorragique) el d
e partie tout au moins par 1 hypertension ventriculaire, les signes
cérébraux
sont nombreux et variés, mais de fréquence et,
la somnolence constituent les éléments positifs majeurs du syndrome
cérébral
, l'absence habituelle de rétraction du ventre, de
(Mocquin), le nystagmus (Parkes-Weber). Contrairement aux troubles
cérébraux
, ils paraissent résulter indifféremment de l'hype
pas ou aggrave, lorsqu'elle est répétée, les signes d'hypertension
cérébrale
; on peut en inférer que les ventricules ne com
ingravescent apupiexy de Broadbent, l'ictus initial de l'hémorragie
cérébrale
ordinaire est bien remplacé par de la céphalée, d
t de la localisation des lésions causales au niveau des ventricules
cérébraux
, de l'aqueduc de Sylvius ou dû 4c ventricule, d
ve, pseudo-méningitique, pseudo-tumorale, comateuse de l'épendymite
cérébrale
, les principaux types de l'épen- dymite sylvien
quide sanglant (hémocéphalie) ou purulent (pyocéphalie ou cmpyèllie
cérébral
). Hydrocéphalie. Si le liquide clair, de densit
peut éliminer l'hypothèse d'une hémorragie ventriculaire d'origine
cérébrale
, épendymaire ou choroïdienne à cause de la lent
ondaire, résultant, exceptionnellement, de l'ou- verture d'un abcès
cérébral
clans la cavité ventriculaires et, fréquemment,
n, Fischer). Épendymite pseudo-suppurative, à type clinique d'abcès
cérébral
. L'invasion est assez brutale pour légitimer l'
ité des accidents, on ne manque pas de porter le diagnostic d'abcès
cérébral
. On trépane. Devant l'intégrité des méninges, on
endymites séreuses se manifestent, sous les appa- rences d'un abcès
cérébral
alors que certaines 1"pendYlIlites suppurées se
e naturellement à l'esprit. * Ependymite à forme clinique de tumeur
cérébrale
.- Le syndrome pseudo-tumoral est tantôt général
l'analyse symptomatique ces variétés apyrétiques des vraies tumeurs
cérébrales
. A peine, si leur prédilection pour les enfants,
but, il est vrai, a été précédé par une broncho-pneumonie, un abcès
cérébral
, une méningite; avant d'être à la normale ou en h
au verlex; de la constipation suivie, de diarrhée; des vomissements
cérébraux
; de la ` diminution de l'acuité visuelle avec p
mites bulbaires soit plus caractéristique que celui des épendymites
cérébrales
. L'hypothèse de la latence obligatoire étant in
te primitive- [G. DELAMARE. 1160 SYNDROMES VENTRICULAIRES. ment
cérébrale
devient successivement sylvienne, rhomboïdale et
écanique est mise en évidence par la disparition de certains signes
cérébraux
(céphalée, convulsions) et bulbaires (bradycard
nt une tolérance inversement proportionnelle au degré de perfection
cérébrale
du sujet en expérience. Est-il bien nécessaire
compte, l'introduction de paraffine ou de vaseline dans les cavités
cérébrales
du cobaye et du chien n'est guère propre qu'il
la majorité des signes bulbaires et la presque totalité des signes
cérébraux
proviennent des effets purement mécaniques de l
CULAIRES. Util peuvent avoir une histoire clinique, les épendymites
cérébrales
restent frustes ou latentes quand elles ne comp
, les atrophies osseuses de la paralysie infantile et des scléroses
cérébrales
infantiles, les déformations des névrites et de
s le premier cas la radiographie permet d'affirmer que les troubles
cérébraux
qui auront pu se produire sont dus soit il la pré
r dans le crâne, soit il l'existence d'une hémorragie mé- ningée ou
cérébrale
, ou sont simplement attribuables il une contusion
es os du crâne ou du rachis. f Enfin parfois il s'agira de troubles
cérébraux
ou médullaires, dépen- dant bien réellement du
en- dant bien réellement du traumatisme préalable. ' ? Les troubles
cérébraux
, et tout spécialement les crises d'épilepsie ja
Astie. Elles nous paraissent avoir même pathogénie que les troubles
cérébraux
post-trauma1.iques tardifs, à savoir la productio
un foyer pathologique situé dans la profondeur de l'hémi- sphère
cérébral
gauche dans la zone des lignes de flux les pl
u à des périodes peu avancées. On l'a constatée dans des paralysies
cérébrales
récentes, dans la paralysie générale progressiv
tes, dans la paralysie générale progressive, dans des cas de tumeur
cérébrale
. On l'a rencon- trée encore dans des méningites
olution. Ainsi on aura occasion de l'observer dans des pa- ralysies
cérébrales
anciennes, clans les myélites, dans le tabes, dan
atrophies musculaires qu'on observe parfois dans les hémi- plégies
cérébrales
, l'excitabilité électrique est souvent peu altéré
uellement défaut; ainsi on ne la rencontre pas. dans les paralysies
cérébrales
par hémorragies, par ramollissements ou par tum
oins prononcée, dans d'autres affections, telles que des paralysies
cérébrales
(1 ? enedil;t), des cas de maladie de Basedow,
à explorer ainsi l'état de la sensibilité dans certaines affections
cérébrales
et spinales, dans des compressions ou des section
n ! 'a vue très diminuée. Dubois a trouvé dans des cas d'hémiplégie
cérébrale
la résistance nota- blement augmentée sur le cô
rones moteurs centraux nous prendrons les paralysies par hémorragie
cérébrale
, l'hémiplégie cérébrale. Faut-il intervenir par
ous prendrons les paralysies par hémorragie cérébrale, l'hémiplégie
cérébrale
. Faut-il intervenir par un traitement électriqu
tervenir par un traitement électrique dès le début d'une hémiplégie
cérébrale
? Quelques électro-thérapeutes conseillent d'appl
dimensions également, en rapport avec l'autre pôle, est HÉMIPLÉGIE
CÉRÉBRALE
. ? '- . . 1289 placée sur la nuque. Ou, comme l
e démontrée. D'autre part, en raison de l'action sur la circulation
cérébrale
, il n'est peut-être, pas sans inconvénient d'em
galvanique dirigé sur la tête dans des conditions où les vaisseaux
cérébraux
sont devenus plus ou moins fragiles. Aussi, cro
yons-nous préférable de s'abstenir généralement de la galvanisation
cérébrale
dans l'hémiplégie organique, surtout avec des c
peu prononcées d'intensité. Les lésions primitives de l'hémorragie
cérébrale
sont suivies habituel- lement de lésions second
nes sem- blent suffisantes. On pourrait combiner la galvanisation
cérébrale
à la galvanisation de la moelle en plaçant une
l'action que ce mode d'électrisation peut avoir sur la circulation
cérébrale
il importe d'agir avec prudence, de ne pas employ
se parfois encore de ce traitement périphérique dans les paralysies
cérébrales
. Il peut présenter, en effet, des inconvénients
ces inconvénients. Les excitations ainsi provoquées à la HÉMIPLÉGIE
CÉRÉBRALE
. 1291 périphérie sur les nerfs et sur les muscl
ec circonspection le traitement périphé- rique dans les hémiplégies
cérébrales
. ne faut pas le commencer trop tôt. Duchenne ét
hie parfois assez prononcée de certains muscles dans les paralysies
cérébrales
, leur excita- bilité faradique est généralement
ou trois fois par semaine. On a employé aussi dans les hémiplégies
cérébrales
le traitement fara- dique avec le courant de la
t été utilisés aussi pour le traitement périphérique des paralysies
cérébrales
, le plus souvent sous la forme de galvanisation
durée totale qu'il convient de lui donner, sur les mena- HÉMIPLÉGIE
CÉRÉBRALE
. 1295 céments avec lesquels il faut le diriger,
e traitement de certaines complications secondaires des hémiplégies
cérébrales
. Sous l'inlluence de l'inaction fonctionnelle d
employé l'électrisation statique dans le traitement des hémiplégies
cérébrales
. Ce traitement consiste habituellement dans le
être employée avec ménagement chez les hémiplégiques par hémorragie
cérébrale
ou par ramollissement dû à la thrombose des vaiss
; ces inconvénients seraient moins à redouter dans le cas d'embolie
cérébrale
, chez des sujets jeunes tout au moins. Avec l'é
ment en vue le traitement électrique des hémiplégies par hémorragie
cérébrale
. Les [E HUCT,] 1294 ÉLECTROTHÉRAPIE. mêmes
nt, soit par thromhose, soit par embolie, aux monoplégies d'origine
cérébrale
, et aux hémiplégies par lésions de l'isthme de
urra attendre moins longtemps que pour le traitement des paralysies
cérébrales
. La galvanisation continue de la moelle constit
ble dans les mêmes conditions que pour le traitement des paralysies
cérébrales
. Suivant les cas on la fait porter davantage su
être appliqué suivant les procédés indiqués à propos des paralysies
cérébrales
. Ce genre de traitement doit être aussi employé
laires, la contracture est moins à redouter que dans les paralysies
cérébrales
; dans d'autres elle existe aussi et. parfois mêm
demment pour la galvanisation de la moelle il propos des paralysies
cérébrales
ou médullaires et des poliomyélites. Dans le
tète et sur la nuque. On pourra aussi pra- tiquer la galvanisation
cérébrale
: une électrode de 15 il 20 centimètres de long
taxo-adynann- ques, principalement, dans les formes cliniques dites
cérébrales
de ces maladies (lièvre typhoïde, rhumatisme ar
mme une névrose mais connue une affection créée soit par une lésion
cérébrale
soit par une intoxication des centres nerveux,
aques osseuses, « car la moindre ouverture donne issue à la matière
cérébrale
. » Pour faire l'autopsie de la moellc épinière,
rachidiennes. Avant de séparer l'un de l'autre les deux hémisphères
cérébraux
, je conseille, suivant l'usage du Professeur Pi
ui sont loin d'être rares dans cette région. Les deux hémisphères
cérébraux
sont séparés l'un de l'autre par une section du
surtout employée pour l'étude des fibres tangentielles de l'écorce
cérébrale
. r Méthode d'Azoulay. Fixation et durcissement
mais Nageotte a remarqué que les fibres les plus fines de l'écorce
cérébrale
.sont altérées par cette solution et il préconi
nerveux entre elles. [G. GVILLAWl INDEX ALPHABÉTIQUE A Abcès
cérébraux
d'origine otique, 141. . .. déterminés par des
' musculaire, 723. Artériosclérose. Atrophie musculaire, 707. -
cérébrale
, vertiges, 170. Arthropathies nerveuses, 931, 9
tronc, . 795. Exercices des membrcs supé- rieurs, 796. Athérome
cérébral
, crises gastriques, 991. .Athétose, 871. Desc
laire Charcol- Marie, Voy. Afnyotrophie. optique dans les tumeurs
cérébrales
, 122. Atrophies musculaires. Définition, 657.
paralysie. La paralysie est d'origine médullaire, 711. d'origine
cérébrale
, 715. d'ori- gine périphérique, 71G : d'origine
i ! ). (Affections du -). Troubles de la sensibilité, 505. Ataxie
cérébrale
, 165. (Traumatismes du -). Pe- cherche des co
es de l'épilepsie, 829. de l'hystérie, 85'1. - liées à l'alhérome
cérébral
, 991. - tabétiques, 992. dans la sclérose en pl
vraxe, l -154. - Méningites, U155. - Paralysie infantile. Tumeurs
cérébrales
, 1156. Autres maladies, 117.· - Syphilis, .1138
- o ! ogie, 585. Diphtérie. Atrophie musculaire, 722. Diplégies
cérébrales
infantiles, 509. atrophies musculaires, 714. pi
Électrothérapie. Lésions des neurones violeurs centraux. Hémiplégie
cérébrale
, 1288. ? Maladies des neurones moteurs périph
, 1152.- Pny- SIOLOGIE pathologique, 1159.- Traite- ment, 1162.
cérébrales
. Kpendymile hydrocc'hlta- loïde des nourrissons
alie, pyocéphalie, 1152, 9153. pseudo- suppurative à type d'abcès
cérébral
. pseudoméningilique, 1151·. - à forme cliniqu
cérébral. pseudoméningilique, 1151·. - à forme clinique de tumeur
cérébrale
, 1155. I : pendymo-choroïdite comateuse, 1157.
opsie, 50. Hémianesthésie bulbaire, 515. - cap- . sulaire, 511. -
cérébrale
, 505. Distribution, 506. - Caractères, 507. -
alterne, 472. facial hystérique, 895. Hémorragie bulbaire, 805. -
cérébrale
. lésions de l'oreille, '127. du laly- rinthe,
. Monoplégie brachiale, 621. - d'origine hystérique. - par lésion
cérébrale
, médullaire, radiculaire, 622. - ou névritiqu
, 2. - explo- ration électrique, 4371. , lésions dans les tumeurs
cérébrales
, 121. pathétique, paralysie, 69. phrénique, n
s méningites, l ' : 1ü. - par l'hémorragie et le ramollis- sement
cérébral
, par les tumeurs céré- brales, 127. - par la sc
- La main, 1040. Le pied, 909.- Traitement électrique, 1559. -
cérébrale
infantile, atrophies muscu- laires, 715. - de
e médullaire, atro- phies musculaires secondaires, 711. d'origine
cérébrale
, atrophies muscu- laires secondaires, 715. d'or
variables sui- vant la cause. Traumatisme, compres- sion, tumeurs
cérébrales
, méningites, maladies du système nerveux, 81. -
nelles, 506. - ,de l'enfant. Little. Spina bifida, 508. Diplégies
cérébrales
. Paraplégie spa- smodique familiale, 509. - d
1. spasmodiques, z. - - acquis paralytiques dans les affec- tions
cérébrales
, médullaires, 1055. - dans les altérations des
leuse, contre l'urémie, 1141. Dans les comas, céphalées, tumeurs
cérébrales
, z. - Dans les troubles auriculaires, dans le
tre exophtalmique, névralgies et névrites, 1189. Ramollissement
cérébral
, lésions de l'oreille, 127. Ranvier. Voy. Car
tions et intoxications, 189. - dans les mé- ningites, les tumeurs
cérébrales
, 190. - dans l'hystérie, 191. Somnambulisme,
poalgies. Caractères, 575. - séméio- logie, 574, 583. Topographie
cérébrale
, 592. cranio- cérébrale, 597. - insulaire des
- séméio- logie, 574, 583. Topographie cérébrale, 592. cranio-
cérébrale
, 597. - insulaire des troubles de la sensibilit
Névrites et atrophie mus- culaire, 725. Tumeurs bullaires, 805. -
cérébrales
, troubles oculaires, 121, 12a. - lésions de l
seaux. Lésions, atrophie musculaire consécutive, 707. Ventricules
cérébraux
. Syndromes ven- l'ItICUL.IIRFS. Syndrome' infla
et aman- roses, 35. - Ohuttbilalions passagères dans les tumeurs
cérébrales
, 121. - - centrale, exploration. Vision central
dmissible qu'une blessure du crâne produise une certaine excitation
cérébrale
chez un individu parvi in,c/ezü, on ne saurait
tures du crâne, d'épanchement sanguin, ou de perte de subs- tance
cérébrale
, etc...; dans d'autres cas au contraire, ce n'e
e sauraient soulever aucune difficulté. Il s'agit d'une affection
cérébrale
qui débute par le traumatisme, et se poursuit s
oin d'être la cause, ne sont au contraire que l'effet d'une maladie
cérébrale
déjà existante. DES TRAUMATISMES DU CRANE. 'I1
e mets pas en doute qu'un certain nombre d'affections et de lésions
cérébrales
ne soient l'origine de la paralysie générale...
, comme dans DES TRAUMATISMES DU CRANE. '13 les cas d'hémorrhagie
cérébrale
, et ne se dissiper qu'à la suite d'une opératio
e le fait remarquer Lasègue, « l'ictus chirur- gical, comme l'ictus
cérébral
non traumatique, est susceptible de revêtir d'e
, comateuse, épileptique., hémiplégique passa- gère, intellectuelle
cérébrale
, forme avec céphalée, vomissements, etc. » (Re
ils se manifestent sous forme de méningite, d'encéphalite, d'abcès
cérébraux
, etc. Ce sont les faits de ce genre qui ont été
crâne, à des pertes de subs- tance des os, ou même de la substance
cérébrale
. D'autres ont vécu, gardant dans leur cerveau u
iaires, qui se manifestent principalement sous la forme de troubles
cérébraux
chroniques, appartien- nent-ils à la même série
ires et secondaires peut être définitive, et telle qu'aucun trouble
cérébral
, imputable au trauma- tisme, ne se manifeste pl
a, loc. cit.) Il est évident que dans ce cas, il y a eu commotion
cérébrale
, mais qui n'a pas laissé de traces. On sait que
extraordinaire se trouve dans Ferrier (Loca- lisation des maladies
cérébrales
, trad. Varigny, Paris, 1879, p. 15) : Un jeune
battait qu'à l'arme blanche ! » DES TRAUMATISMES DU CRANE. - )Il
cérébraux
, qu'elle peut se concilier avec le fonction- ne
ses se passent de même ? Et si alors on voit survenir des accidents
cérébraux
, n'est-il pas légitime de les rapporter cette é
de Duret démontrent qu'il en est souvent ainsi (Duret, Traumatismes
cérébraux
, Paris, 1878). Mais ce n'est pas par une ruptur
e que l'on peut toujours expliquer les phénomènes da la commotion
cérébrale
. 11 y a plus et il y a autre chose : il y a un
: il y a un trouble profond porté dans la trame même de l'organe
cérébral
, et, s'il n'est pas possible de dire exactement
Laugier (art. Encéphale du Dict. de Jaccoud) dé- finit la commotion
cérébrale
: « Une lésion de fonction qui résulte de l'ébr
veau aient été lésées ou qu'elles soient restées intactes, le tissu
cérébral
subit dans sa structure intime une modification
membrane très épaisse recouvrant la convexité des deux hémisphères
cérébraux
. . Observation VJ. M..., lieutenant d'infanteri
optiques, etc., « les faisceaux de fibres issus des circonvolutions
cérébrales
posté- rieures » concourent à la formation des
e, « sans qu'il en résulte aucun désordre dans les autres fonctions
cérébrales
» : il notait, chez un oiseau dont un oeil avai
zza savait qu'une lésion unilatérale d'une partie de la substance
cérébrale
des lobes postérieurs produit, sur l'oeil du cô
qui ont inauguré de nos jours la science nouvelle des localisations
cérébrales
, comme Munk lui-même au début, du moins quant a
'un phénomène pathologique bien connu de tous, qu'après un désordre
cérébral
il y a souvent cécité complète d'un oeil, l'aut
es expéri- mentales sur les centres psycho-sensoriels de l'écorce
cérébrale
, en particulier sur les centres de la vision et
idère comme faisant partie de la sphère visuelle toutes les aires
cérébrales
dont la destruction provoque des troubles de la
int de la rétine soutiendrait, avec un point correspond de l'écorce
cérébrale
, un rapport constant et fixe. Les éléments réti
s, ou si les sensations ont pour siège, en dehors des hémisphères
cérébraux
, le mésocéphale, les couches optiques, les tube
ue les poissons et les batraciens, après l'ablation des hémisphères
cérébraux
, continuent de voir avec conscience : ils ne so
restres et palustres, les effets de l'ex- tirpation des hémisphères
cérébraux
seulement, en respectant les thalami et les lob
res normales'. Mais, chez les oiseaux, si l'ex- tirpation des lobes
cérébraux
est complète des deux côtés, la cécité est abso
« cécité corticale », il vaudrait mieux dire sans doute « amaurose
cérébrale
>, car les deux sortes de cécité décrites par
re de Dario Maragliano sur les localisations motrices dans l'écorce
cérébrale
1, ils avaient voulu tenter une entreprise du m
tal. Tamburini et Luciani Le localizzazioni motrici nella corteccia
cérébrale
, studiate special- mente dal lato clinico. Ric.
lobule du pli courbe) relativement à la théo- rie des localisations
cérébrales
' . Ce médecin partit de cette vue, profonde se
omme la méthode physiologique, établit donc que chaque hémisphère
cérébral
a des fonctions visuelles bilatérales. Et, pour
lque solidité que du jour où la terminaison centrale, dans l'écorce
cérébrale
et non ailleurs, des appareils périphériques de
, ne se manifestent guère qu'à la période irritative des affections
cérébrales
; elles cèdent d'ordinaire en partie devant l'en
la vue peuvent servir à déterminer le point circonscrit de l'écorce
cérébrale
où siège la lé- sion dont elles sont le symptôm
e circonscrit, il devient possible également de délimiter la région
cérébrale
des lésions, soit irritatives, soit destructive
té objective. L'hypothèse d'un ou de plusieurs centres d'idéation
cérébraux
est une simple vue de l'esprit, de tous points
Les centres moteurs, sensitifs et sensoriels constituant l'écorce
cérébrale
sont les seuls substrata connus des sensa- tion
nt : Considérations anatomiques sur la doctrine des localisa- tions
cérébrales
, publiée dans la Gazzelta degli ospilali, 3° anné
nsiste sur les rapports de chaque oreille avec les deux hémisphères
cérébraux
au moyen d'un faisceau croisé et d'un faisceau
la localisation et le diagnostic exact du siège des affec- tions
cérébrales
. Voici le tableau où le savant médecin du manic
lle naturellement ce que nous a appris l'anatomie de la circulation
cérébrale
(Duret, Heubner) sur la distribution de l'artèr
de développement des lobes temporaux au regard des autres régions
cérébrales
, en particulier une atrophie marquée, sur l'un
x, indiquent les rapports du faisceau olfactif direct avec l'écorce
cérébrale
, les points noirs, moins nombreux, ceux du fais
nt avec tous les travaux de l'École italienne sur les localisations
cérébrales
'. Après un aperçu historique des théories de G
la perte complète de l'odorat a lieu du côté opposé à l'affection
cérébrale
, et si l'on cherche l'explication de ce fait, f
es conges- tions et a deshémorrhagies abdominables médullaires et
cérébrales
. Mais le mode de production, dit-il, de ces con
e d'air, au moment où cette bulle d'air pénètre dans la circulation
cérébrale
, l'animal en expérience tombe comme sidéré. Cet
rs dans le tronc aortique par les anastomoses artérielles (hexagone
cérébral
), à cause de la résis- tance opposée par les ca
ent pour produire une chute complète de la tension; les fonctions
cérébrales
et respiratoires s'arrêtent et le coeur enfin ces
les cas de paralysie agitante, de myélite transverse, d'hémiplégie
cérébrale
, de maladie de Freidreich, a été aussi notée pa
aisseaux axillaires par les courroies, des congestions, l'apoplexie
cérébrale
; les lésions valvulaires du coeur, la sclérose d
. RoumnoYiTcn. ]V. MÉMOIRE sur l'arrêt DES hémorrhagies DE l'artère
cérébrale
MOYENNE ET DE SES BRANCHES PAR LA COMPRESSION D
lvienne et ses branches, principalement l'artère de l'hémor- rhagie
cérébrale
de Charcot, sont sous la dépendance directe du
avoir éthérisé un singe, ils mettent à nu le territoire de l'artère
cérébrale
moyenne et noient J'état de la circulation de la
assez grande surface du crâne pour pouvoir voir les territoires des
cérébrales
antérieures et postérieures, on note aucun chan
ne compression de la carotide primitive de 30 à 45 secondes pour la
cérébrale
moyenne et immédiatement pour Tarière lenticulo
- V. Rapport sur LES expériences au sujet des fonctions DE l'écorce
cérébrale
; par LIOllSU : , ET SCII.lOEll. (Philusophical tm
s à la fois de l'excitation électrique et de l'ablation des régions
cérébrales
dans leurs recherches. Les expériences sur l'ex
M. SIOLI. Des systèmes de fibres qui occupent le pied du pédoncule
cérébral
et de leur dégénérescence. - Après avoir résumé l
Breslau, 1888. 0 : SOCIÉTÉS SAVANTES. 155 étendu de l'hémisphère
cérébral
droit qui, à première vue, portait sur les asce
hode de Weigert, montre que la partie latérale du pied du pédoncule
cérébral
contient des trousseaux de fibres issue du lobe
es rapports avec les dernières notions d'anatomie et de physiologie
cérébrales
(commission : G.-B. Vergen, Tanzi, Bianchi, rap
mique. Nous n'avons pas fait non plus un travail de topo- graphie
cérébrale
; et cela pour deux raisons; la pre- mière et la
par Traube, Schiff, etc., par la lésion du bulbe et des pédoncules
cérébraux
, et parce que récemment, MM. Bianchi et Armanni
e, de ce qu'ont décrit MM. Bizzozero et Golgi sous le nom de porose
cérébrale
. Dans la substance blanche, il n'y a que peu ou
u d'un effort soutenu : ils ren- trent dans la grande catégorie des
cérébraux
de Lasègue. Ces cas sont fréquents. Observati
e directement atteint, l'ébranlement se transmet à toute la masse
cérébrale
, et qui pourrait dire où aboutit la résultante
outit la résultante finale ? Il faut réfléchir ensuite que la vie
cérébrale
est in- finiment complexe, que le traumatisme n
e la maladie mentale. DES TRAUMATISMES DU CRANE. 201 des troubles
cérébraux
, céphalalgie, vertiges, éclipses de mémoire. Ce
de avait eu des alternatives de mélancolie profonde et d'excitation
cérébrale
; que dans sa période d'excitation, il avait fa
époque éloignée; la chute n'avait été qu'un des effets de la lésion
cérébrale
. Féré a raconté l'histoire d'un ouvrier qui tom
e et reste étendu mort : l'autopsie fit dé- couvrir une hémorrhagie
cérébrale
considérable, et c'est elle qui avait occasionn
des contusions sans gravité; il avait succombé à une hémorrhagie
cérébrale
toute récente et très abondante. Il était donc év
e coïncidence, le mendiant avait été fou- droyé par son hémorrhagie
cérébrale
au moment même où arri- vaient les cavaliers, e
on plus ou moins profonde, et plus ou moins étendue de la substance
cérébrale
. Traitement. Je n'ai rien à dire ici du traitem
st con- sidéré comme guéri et il l'est en effet; mais il reste un
cérébral
, pour employer l'expression de Lasègue, - il ga
que le choc a déterminée dans la trame nerveuse, dans la cellule
cérébrale
. De cette modification, nous ne savons - absolu
ans les circonstances suivantes : on lui demande si une affection
cérébrale
chronique (folie, démence, para- lysie générale
étio- logique. A 10 brasses de profondeur, est survenu l'accident
cérébral
de l'OBs. XXXVI ayant revêtu la DES ACCIDENTS P
à 20 minutes. A la profondeur de 17 brasses a eu lieu l'accident
cérébral
de l'OBSERVATION XXXVII sous la forme sen- sori
a soupape pour se faire instantanément re- monter. 3). L'accident
cérébral
de l'OBSERVATION LUI pour les mêmes raisons que
or- taitles symptômes d'une inflammation subaiguë de la substance
cérébrale
, ce qui expliquerait tous les phénomènes du systè
eur admettrait plus volontiers l'irritation directe de la substance
cérébrale
par les parcelles de plomb entraînées dans le t
plus de trois semaines s'étant écoulées entre le début des troubles
cérébraux
et le moment où l'exa- men ophthalmoscoque devi
être considérée comme une lésion descendante émanant, des centres
cérébraux
avec lesquels le nerf optique est en relation.
rencontré, quoi qu'on en ait dit, de concordance entre les lésions
cérébrales
et la forme du délire observé pendant la vie. Q
te d'une véritable anarchie psychique, aboulie, idées de mort, vide
cérébral
, alternatives de dépression et d'excitation, an
il y a à consi- dérer les formes aiguës ou subaiguës du rhumatisme
cérébral
et en outre les troubles de la nutrition des ar
que, il n'y a aucune relation entre les diverses formes de syphilis
cérébrale
et les lésions de la périencéphalite chro- niqu
placé dans l'é- chelle des êtres au point de vue de la conformation
cérébrale
, plus l'hypnose est profonde. As. GALTON (de
, pas plus que lorsque l'alcoolisme chronique a produit des lésions
cérébrales
définitives. Dans la discussion qui suivit l'ex-
siologie. 1\1. Bernheim répond qu'il existe une loi : toute cellule
cérébrale
impressionnée par une idée tend à la transforme
« CUM MATERIA » DU SYSTÈME nerveux. Il a pu guérir des hémiplégies
cérébrales
ainsi que des myélites et des scléroses en'plaq
il sur ce sujet, constate en bloc l'exis- tence de troubles nerveux
cérébraux
ou médullaires, sans les classifier. Il estime
, les plus graves se rapppochent beaucoup plus des grands processus
cérébraux
et en particulier de la paralysie générale. 111
état mental des traumatisés, les fait renlrer daus la catégorie des
cérébraux
de Lasègue. nI. Gilles DE la TouRETTE répond qu
s, occasionnées par des attaques d'apoplexie répétées (hémorrhagies
cérébrales
), occupent la face médiane du lobe frontal et l
atisant; un oncle paternel, mort à quarante- quatre ans d'affection
cérébrale
, inconnue; deux autres oncles, bien portants, a
viennent à occuper, soit au début, soit ultérieurement, les zones
cérébrales
dont l'altération provoque le syndrome de la mi
culièrement énormes; les capillaires qui plongent dans la substance
cérébrale
sont aussi très gonflés et parfaitement visible
I. Le malade suivant était aussi un épileptique, atteint d'atrophie
cérébrale
, mais cette atrophie n'était point la LÉSIONS D
ras de la parole, et de la débilité mentale. A l'autopsie, sclérose
cérébrale
(les détails de l'obser- vation ont été publiés
grise. - Les membranes n'o nt pas enlevé des portions de substance
cérébrale
en se détachant; la première couche de la .subs
nt aujourd'hui queles centres moteurs ou psycho-moteurs de l'écorce
cérébrale
, comme on les appelle, peuvent être déterminés
cience comme unique jusqu'ici dans la théorie des localisa- tions
cérébrales
. L'étude des centres fonctionnels de la vision
. le point d'où partent les réactions excito-motrices de l'écorce
cérébrale
, et auquel les paralysies du mouvement et de la
polémique de Goltz contre la doctrine nouvelle des localisations
cérébrales
. De ce qu'un chien peut marcher, courir, sauter
thésie), théorie pour laquelle les centres dits moteurs de l'écorce
cérébrale
sont les origines centrales du sens ou de la co
e de Schiff, suivant laquelle les troubles de la motilité d'origine
cérébrale
résultent de la perte de la sensibilité tactile
t les réflexes ordinaires consisterait dans le point de départ, ici
cérébral
, là cutané, mais en tout cas périphérique par r
qui présentaient des accès épileptiformes symptomatiques de lésions
cérébrales
, la sensibilité avait été altérée ou abolie après
iten. Wies- baden, 1887, p. H-18. LES FONCTIONS DU CERVEAU. 371
cérébrale
, peut donner une idée de la complexité des prob
fficul- tés quand on aborde ces hautes questions de physio- logie
cérébrale
. La clarté de l'esprit, la beauté des raisonnem
hi sur la nature fonctionnelle des ré- gions excitables de l'écorce
cérébrale
, le physiologiste et le clinicien avoueront san
tomo-cliniques,qu'ilsont conscience de leur ignorance des processus
cérébraux
. II. Entre toutes les conceptions théoriques
de Nothnagel, Dario Maragliano -écrivait que les points de l'écorce
cérébrale
dont l'ir- : ritation donne lieu à des phénomènes
ur ces auteurs, ainsi que nous .l'avons déjà rappelé, dans l'écorce
cérébrale
, mais dans « cet tains centres pédonclilaires e
tres moteurs volontaires puisse être accomplie par d'autres contres
cérébraux
; cela paraît même improbable. » * Tre casi di 2
motrice. Ce qui est vrai, c'est que ces aires motrices de l'écorce
cérébrale
ne sont pas les seuls et uniques centres des mu
trales relient les corps striés aux diverses régions de l'activité
cérébrale
». Une excitation partie des « centres psychiqu
idées que Seppilli se range dans son récent travail sur les Tumeurs
cérébrales
, d'une érudition si étendue et d'une doctrine sci
iés, et que les impulsions motrices volontaires émanant de l'écorce
cérébrale
prennent une autre route. De ce que les fonctio
'hypothèse an- cienne sur la suppléance des fonctions de l'écorce
cérébrale
par les corps opto-striés', il n'y a sans doute
st que le corps strié est dans les mêmes rapports avec le pédoncule
cérébral
(pied et calotte) et avec le cervelet, que l'es
onnelle ob- servée est due aux parties restées indemnes de l'écorce
cérébrale
elle- même. Die in's Gehil'7l und 7 ! Mc ? e ?
fonctions aux cosps striés qu'aux parties sus-jacentes de l'écorce
cérébrale
. « Les corps striés, disent expres- sément Bagi
une partie in- tégrante des appareils ganglionnaires de l'écorce
cérébrale
située au-dessus. » Mais il existe des faits, q
d in the température of the Iwo sides of the body as symplomalic of
cérébral
lésions . -1'le Brit. med. Journ. 1889. - . LES
ns les mem- bres, le tronc ou la face du côté opposé à la lésion,
cérébrale
, ce n'est pas l'énergie des mouvements musculai
Goltz avait noté le même fait après la mutilation d'un hémisphère
cérébral
; seulement, outre la sensibilité tactile, la s
la sensibilité tactile. Il ne faut plus le chercher dans l'écorce
cérébrale
; il doit siéger quelque part, dans les parties
s de la motilité qui succèdent aux plus minimes lésions de l'écorce
cérébrale
? 2 Schiff a rencontré de plus rudes adversaire
sur la localisation de la sensibilité cutanée dans les hémisphères
cérébraux
. 390 PllTSIOLOGIE. des contradicteurs au verb
es éléments excitables de l'écorce ne fussent que les prolongements
cérébraux
des faisceaux sensitifs des cordons postérieurs
nt inexcitable. Cf., pour la question de l'excitabilité de l'écorce
cérébrale
, en Italie, les recherches expérimentales de Ci
s, Hitzig avait vaguement indiqué que la zone excitable de l'écorce
cérébrale
devait renfermer à la fois des éléments nerveux
est la fonction physiologique des cellules ner- veuses de l'écorce
cérébrale
? Sentir et percevoir les excitations centripèt
ais cer- tainement plus vraie, moins exclusive, des localisations
cérébrales
. Ainsi, la surface du cerveau ne doit pas être
) ou se trouvent très rapprochés (in gran vicinana) dans l'écorce
cérébrale
. » Avec Seppilli, Luciani avait cons- ' Luciani
tous les centres moteurs, il faudrait donc enle- ver toute l'écorce
cérébrale
. » L'expression de pareilles idées chez les aut
périences sur l'Excitabilité des différents territoires de l'écorce
cérébrale
chez les animaux nouveau-nés 1. i. Ainsi l'exci
us variés, n'a-t-elle pas pour substratum anatomique toute l'écorce
cérébrale
? Tou- tefois, avec Vulpian, Albertom admettait
lable selon nous, qui a été exposée plus haut, savoir, que l'écorce
cérébrale
est le siège des idées et de la mémoire, c'est-
ement à ce qu'on observe quand la lésion n'intéresse que l'écorce
cérébrale
. Puisqu'il est impossible, avec la méthode des
la représentation schématique de l'extension probable, sur l'écorce
cérébrale
du chien, de l'aire sensitivo-motrice de Lucian
la motilité volontaire, se sont montrés du côté opposé à la lésion
cérébrale
, non du côté correspondant. Les fibres nerveuse
téraux de l'hémiplégie, Pitres a ' Le /ou ? molrici nella c-rlcccia
cérébrale
, in /{if. sperinzeni. di frein., 1878, 33 sq.
consécutive a lesioni sperimenlali in diverse zone delta corleccia
cérébrale
. Riv. speiiment. di freniatria, 1886, XI, -992;
marche à un an ; blésilé, fièvre typhoïde à onze ans avec accidents
cérébraux
. - Fugue ci douze ans et demi, débutant après u
tre ans, apprenait bien. Fièvre typhoïde à onze ans, avec accidents
cérébraux
. Pas de troubles intellectuels consécutifs. 1 E
t relevant de causes toutes différentes. R. M. C. III. Affections
cérébrales
d'origine traumatique; DEUX observations; par J
térieure gauche et au niveau de l'insula du môme côté. L'hémisphère
cérébral
gauche était atrophié dans son ensemble, mais d
s, comme dans le premier, il existait un cer- tain degré d'atrophie
cérébrale
, ayant, selon tarègle, comme siège unique ou pr
de ces deux maladies. Il. M. C. IV. Deux cas de thrombose DES sinus
cérébraux
; par Joseph WIGLESWORTII. (The Journal of Menta
ce fait qu'une lésion limitée à la surface convexe des hémisphères
cérébraux
a été suffisante pour produire des symptômes oc
fusion entre les manifestations goutteuses et celles de la maladie
cérébrale
. Il semble donc légitime de conclure des partic
c de maladies des vaisseaux de l'économie etnolamment des d'artères
cérébrales
. M. 1l.tuz (de Fribourg). De la névrite optique
mptomatiquc. De Groefe rattachait la névrite optique des affections
cérébrales
à une augmentation de la pression intracrânienn
iques ou parasites, qu'il contient et qu'il a puisées dans le foyer
cérébral
. Passons donc en revue les différentes affections
revue les différentes affections de l'en- céphale. Dans les tumeurs
cérébrales
, ce n'est pas à une névrite que l'on a affaire
ation dans le pronostic. Ainsi les accès épileptoïdes, l'excitation
cérébrale
(céphalalgie), les vertiges avec attaques synco
cerveau.. ` M. Edinger (de Francfort). Du développement du manteau
cérébral
dans la série animale. Comment se comportent l'
rie animale. Comment se comportent l'ensemble des cir- convolutions
cérébrales
et les ganglions de la base chez les divers ani
thénie. -Les auteurs les plus mar- quants englobent dans l'asthénie
cérébrale
toutes les psychoses possibles. Il conviendrait
nt mais ils ne représentent plus de l'asthénie simple. L'as- thénie
cérébrale
se complique du trouble de l'énergie de la puis-
Pour le moment, il importe de se souvenir d'appliquer à l'asthénie
cérébrale
la dé- nomination de phrénasthénie. 462 SOCIÉ
d'origine nerveuse Bien des motifs militent en faveur de la genèse
cérébrale
et de la genèse vasomotrice des altérations org
s que rien expliquât cette fin. L'autopsie révéla : des altérations
cérébrales
insigni- fiantes. Mais les muscles du coeur ava
e que la phy- siologie psychologique démontre faction de l'activité
cérébrale
sur l'orgaue de la circulation, les auteurs rel
innervation et de pertubations trophiques produits par.l'altération
cérébrale
présidant à la psychose; la myocardite sera tenue
sibilité, le sens musculaire sont intacts; il n'y a pas de troubles
cérébraux
. Enfin il y a l'aspect empoté, la propulsion ou
ez un chien' par Richet, 283. Centres moteurs, par Herzen, 284.
Cérébrale
,arrêt des hémorrhagies de l'artère --moyenne p
, 301. Dystrophie musculaire progressive, par Et, 447. Ecorce
cérébrale
(fonctions de l'), par Horsley et hcheefer, 148
rlina, 299; - (hémorha- gies dans la), par Savage, 433. Pédoncule
cérébral
, par Sioli, 151. Pénitentiaires (psychoses), pa
troubles trophiques du). par Ioilière, 'r30. Thrombose des sinus
cérébraux
, par Wiglesworth, 135. Trijumeau (racines du)
zygomatique. Il contribue ainsi à la formation des fosses temporale,
cérébrale
moyenne et cérébelleuse. Chez le nouveau-né on
rapport en dehors avec la fosse temporale et en dedans avec la fosse
cérébrale
moyenne, et un segment sous-zygomati-que, ou basi
oral, la face interne montre une partie supérieure qui forme le champ
cérébral
de l'écaillé, et une partie inférieure en rapport
blissant ainsi une communication entre le système veineux de la fosse
cérébrale
moyenne et celui de la fosse cérébelleuse. Selon
t au-dessus de la ligne pointillée qui marque le plancher de la fosse
cérébrale
moyenne (fig. 1 et 5), tantôt au-dessous (fig. 2
seize rochers de gauche, soit 26,6 pour cent, le plancher de la fosse
cérébrale
se rapproche à deux millimètres au moins de la cr
avant l'opération, par rapport a cette ligne, la hauteur de la fosse
cérébrale
moyenne. Il crut pouvoir répondre à cette questio
s.............................. 17 21 Si 18 Le plancher de la fosse
cérébrale
moyenne ( Moyenne . . . mill. 11,3 8,7 5,2 5,2
.............(Minima .... » 7,0 4,o 2,0 2,0 Le plancher de la fosse
cérébrale
moyenne ( Moyenne ... » i5,i 12,1 7,6 6,4 se tr
0 7,0 5,o 4,o Ce tableau lui démontrait que le plancher de la fosse
cérébrale
moyenne était plus élevé chez les dolichocéphales
ques, sont favorables a la théorie de Korner. Elévation de la fosse
cérébrale
moyenne au-dessus de l'horizontale tangente au bo
e Garnault a mesuré la région la plus externe du plancher de la fosse
cérébrale
moyenne. Les conclusions de Korner, basées sur
isseur et creusée quelquefois de petites cellules, confine à la fosse
cérébrale
moyenne. L'extrémité inférieure, si l'antre est v
les, quelquefois assez volumineuses, en rapport en haut avec la fosse
cérébrale
moyenne, et en dedans avec le sinus latéral : c'e
s postéro-supérieures sinuso-cérébrales menacent à la fois les fosses
cérébrales
moyenne et cérébelleuse. La topographie du groupe
ieure de la ligne astérion-zygomatique marque le plancher de la fosse
cérébrale
moyenne. Le point supérieur du plan médian indiqu
e, nommée zone de l'antrotomie. Elle est limitée en haut par la fosse
cérébrale
moyenne, en avant par la corticale pré-mastoïdien
e restreinte de haut en bas par l'abaissement du plancher de la fosse
cérébrale
moyenne. C'est alors une véritable impasse, dans
On craignait la blessure du sinus latéral et l'ouverture de la fosse
cérébrale
moyenne, accident opératoire considéré comme plus
aideront à contourner un sinus trop procident et à ménager une fosse
cérébrale
démesurément profonde. S /,. — PORTION PÉTREUSE
pyramide et forme ainsi Veminentia arcuata; il est séparé de la fosse
cérébrale
moyenne par une lame osseuse, souvent aussi mince
e. Dans le reste de son étendue, le limaçon répond en haut à la fosse
cérébrale
moyenne un peu en dedans de l'hiatus de Fallope:
). Jansen a démontré que les abcès exlra-duraux profonds des fosses
cérébrales
moyenne et cérébelleuse se développent à la suite
pontanée. » Complications endocrâniennes des cochléites. — La fosse
cérébrale
moyenne est mieux protégée contre les suppuration
................................... 60 fois La méningite et l'abcès
cérébral
.................................. 6 — L'abcès c
Soupçonne-1-on l'existence d'un abcès extra-dural profond de la fosse
cérébrale
moyenne ? On fera sauter le tegmen antri et l'on
e insensiblement avec le plancher de la caisse. Paroi supérieure ou
cérébrale
(tegmen tympani).—Formée presque toujours par une
r une très fine lamelle d'aspect vitré, cette paroi répond à la fosse
cérébrale
moyenne. Chez le nouveau-né, elle présente la fis
tes. Le trait d'union presque obligé entre l'otite et la complication
cérébrale
est la carie du tegmen tympani. Paroi inférieur
euse, dont l'épaisseur atteint 2-3 millimètres, la sépare de la fosse
cérébrale
moyenne. Portion tympanique. — Presque horizont
ar la fosse jugulaire. Le canal de Fallope communique avec la fosse
cérébrale
moyenne par l'hiatus de Fallope, avec la fosse cé
sceau génicuié), traversent le cinquième interne du pied du pédoncule
cérébral
, le ruban accessoire ou pé-donculaire médial (pes
dinal supérieur qui reçoit les veines de la convexité des hémisphères
cérébraux
se dévie à droite ou à gauche de la protubérance
tes les veines de la face inférieure du cerveau et une bonne part des
cérébrales
externes et inférieures. Le second lac sanguin es
cérébelleuses latérales supérieures et inférieures ; c) Les veines
cérébrales
postérieures externes et inférieures ; d) La ve
et se jeter dans le sinus latéral. En s'anastomosant avec les veines
cérébrales
, elles forment plusieurs troncs contenus dans l'é
es sinus à la protubérance occipitale interne. » (Hédon). c) Veines
cérébrales
postérieures externes et inférieures temporo-occi
ostérieures externes et inférieures temporo-occipitales. — Les veines
cérébrales
postérieures externes, dirigées d'avant en arrièr
elles s'anastomosent en avant avec les veines sylviennes. Les veines
cérébrales
postérieures et inférieures, parcourent la face i
ente du cervelet leur est ordinairement commune avec celle des veines
cérébrales
de la face externe, tributaire du sinus latéral,
flocculus (Merkel) ; les plexus veineux protubérantiels ; des veines
cérébrales
latérales et inférieures, et enfin le sinus ophth
aires : le tegmen tympani et Yemineniia arcuata au niveau de la fosse
cérébrale
moyenne, la région mastoïdienne et la zone de la
aux de la fosse cérébelleuse sont plus fréquents que ceux de la fosse
cérébrale
moyenne. Gela s'explique si Ton considère que Y o
cérébelleuse..................................... 3o \ Sur la fosse
cérébrale
moyenne................................ 12 , fois
cérébelleuse..................................... 33 ] Sur la fosse
cérébrale
moyenne................................ 10 fois s
ique, tubercules quadriju-meaux antérieurs et postérieurs, pédoncules
cérébraux
, protubérance annulaire, bulbe). On peut rencontr
re. Structure des lobes temporaux et occipitaux. — Dans chaque lobe
cérébral
, on doit considérer séparément la substance grise
e grise corticale et la substance blanche. Substance grise : écorce
cérébrale
. — D'après Ramon y Cajal, l'écorce cérébrale est
Substance grise : écorce cérébrale. — D'après Ramon y Cajal, l'écorce
cérébrale
est formée de quatre couches de cellules, disposé
, d'association intra-hémisphérique). Localisations. — Sur l'écorce
cérébrale
, on a délimité différents territoires nommés cent
u bien ces centres occupent des points symétriques sur la corticalité
cérébrale
, ou bien ils siègent sur un hémisphère seulement,
et psychiques. « Ce sont là trois troubles différents des opérations
cérébrales
qui succèdent aux impressions de l'ouïe ou de la
onvient de désigner l'abolition de l'audition, sous le nom de surdité
cérébrale
ou corticale, l'abolition de l'audition des objet
ire de la capsule interne et occupe le cinquième externe du pédoncule
cérébral
) ; b) La radiatio acustica du corps genouillé i
lobe occipital, se rendent aux différenls centres du langage. Abcès
cérébral
otitique. — L'abcès cérébral otitique siège presq
x différenls centres du langage. Abcès cérébral otitique. — L'abcès
cérébral
otitique siège presque toujours dans le lobe temp
gagne peu à peu en profondeur pour constituer définitivement l'abcès
cérébral
interlobaire. Ce mécanisme pathogénique serait un
nkystée, laquelle, à son tour, produirait l'infection de la substance
cérébrale
. Quoi qu'il en soit, le point essentiel à noter
stéite et de l'encéphalite. Si, donc, l'on est en présence d'un abcès
cérébral
sans symptômes précis de localisation, comme c'es
ré que les foyers d'ostéite du temporal siègent au niveau de la fosse
cérébrale
moyenne, soit sur le tegmen tympani, soit sur Vem
dépourvues de signification physiologique bien déterminée. L'abcès
cérébral
otitique peut se développer, soit en longueur, so
t l\ centimètres de dedans en dehors Le tableau clinique de l'abcès
cérébral
ne se prête pas à une description d'ensemble. Ent
ble de la lésion. Depuis Bergmann, on range les symptômes des abcès
cérébraux
sous trois chefs : i° Symptômes généraux dûs à l'
lement une diminution de l'acuité auditive du côté opposé à la lésion
cérébrale
. D'après Korner, cette surdité d'origine centrale
éclaire la moitié obscure du champ visuel. « Le diagnostic d'abcès
cérébral
ayant été posé, cette constatation permettait d'e
troubles de la sensibilité. Pick et Zaufal diagnostiquèrent un abcès
cérébral
siégeant au niveau de la portion postérieure des
urdité verbale aurait été signalée deux fois seulement dans les abcès
cérébraux
otitiques du lobe temporal gauche. Par contre, la
ncore observé un cas indiscutable d'aphasie motrice pure dans l'abcès
cérébral
. Troubles de l'odorat. — Une lésion capable d'a
Ces troubles olfactifs siégeront toujours du même côté que la lésion
cérébrale
, étant donnée la non-décussation des fibres olfac
la voie afférente. Bechterew y distingue deux faisceaux qu'il dénomme
cérébral
et spinal. Le faisceau cérébral, voie afférente
tingue deux faisceaux qu'il dénomme cérébral et spinal. Le faisceau
cérébral
, voie afférente, tire son origine des noyaux poli
de Meynert, et, finalement, avec les ganglions de la base et l'écorce
cérébrale
parles fibres rubro-thalamiques et rubro-cortical
de grande valeur pour établir le diagnostic différentiel avec l'abcès
cérébral
(Bourgeois.) Elle résulte d'une compression, soit
, on va droit au but. L'attico-antrotomie terminée, on ouvre la fosse
cérébrale
moyenne sur des points et à l'aide de procédés qu
ent sur le tegmen antri ou sur le tegmen tympani, on ouvrira la fosse
cérébrale
moyenne. Si l'on trouve une fistule au niveau du
latéral. Voie squamo-auriculaire. — On doit d'abord ouvrir l'abcès
cérébral
par la voie auriculaire, pour pratiquer ensuite u
récy (M.), Les troubles de la sensibilité dans l'hémiplégie d'origine
cérébrale
. Paris 1902. Brindel, Des mastoïdites latentes.
opératoire de l'oreille moyenne. Paris 1899. — Précis de chirurgie
cérébrale
. Paris, 1903. — et Maubrac (P.), Traité de chir
rgie cérébrale. Paris, 1903. — et Maubrac (P.), Traité de chirurgie
cérébrale
. Paris 1896. — et Lubet-Barbon (F.), Les suppur
ertation. Kônisberg, 1897. — (H.), Contribution à l'étude des abcès
cérébraux
d'origine otitique. Archives internationales de l
vue hebdomadaire, 1903. — et Jaboulay, L'hémianopsie dans les abcès
cérébraux
d'origine otique. Revue de Médecine. N° 8, 1896.
e Paris, igoo. — Sur deux cas de complications encéphaliques (abcès
cérébraux
) d'origine otitique. Revue hebdomadaire, rgoo. Na
ur la figure i. La ligne pointillée indique le plancher de la fosse
cérébrale
moyenne. On la voit très rapprochée du pôle supér
entia arcuata. Une très mince cloison osseuse le séparait de la fosse
cérébrale
moyenne. La branche postérieure croise à angle dr
e pneumatique. Au-dessus du sinus latéral, on aperçoit la dure-mère
cérébrale
qui tapisse la face externe du lobe occipital.
ut être éviclée sans crainte de blesser le sinus ni d'ouvrir la fosse
cérébrale
moyenne. La ligne horizontale, passant par le r
ral, le segment sous-lenticulaire de la capsule interne, le pédoncule
cérébral
, le corps calleux ; 4° parmi les faisceaux d'asso
pe du canal demi-circulaire externe, et, sous le plancher de la fosse
cérébrale
moyenne, celle du canal demi-circulaire vertical
première, postéro-supérieure ou sinuso-cérébrale, confine à la fosse
cérébrale
moyenne, à la loge cérébelleuse et au sinus latér
ment, quoi qu'il n'ait donné aucun signe de fo- lie ou de désordres
cérébraux
, son caractère empoité lui valut plusieurs puni
f de clinique médicale à l'Université de Bordeaux. IL- LOCALISATION
cérébrale
DU sens musculaire. Le rôle physiologique des s
issenscli, vol. XXXV. 1859. 2 Véyssière. L'hémiallesthésie de cause
cérébrale
. Thèse de Paris, 1874. i. ' G. Ballet. Le fai
2u Lorsque le thalamus étant intact ses connexions avec l'écorce
cérébrale
sont complètement détruites; pour réaliser cette
uche optique. La clinique montre en tout cas que dans l'hémi plégie
cérébrale
vulgaire due à des lésions. capsulaires empiétant
ence des troubles de la 1 Tripier. De l'anesthésie dans les lésions
cérébrales
. (Revue de méde- cinq, 1880,) 3Ltedlict. Uebe
cilato 36 REVUE CRITIQUE. sensibilité générale dans l'hémiplégie
cérébrale
et admet lui aussi l'indépendance relative des
v. Localisation du sens musculaire à propos d'un cas de traumatisme
cérébral
. (Nell1'ologischen Cecilrcclblall, 1898.) 3 Hen
Verger. Les troubles de la sensibilité générale dans l'hémiplé- gie
cérébrale
vulgaire. (Archives cliniques de Bordeaux, 1897.)
CULAIRE. 37 existaient dans l'immense majorité des cas d'hémiplégie
cérébrale
, mais qu'ils tendaient à s'atténuer et même à d
t pour ainsi dire la règle dans la première période de l'hémiplégie
cérébrale
, il nous est plus difficile de savoir exac- tem
epousser cette opinion et tend à rattacher toutes les anes- thésies
cérébrales
à une lésion de la partie postérieure de la capsu
sensations musculaires. En revanche la question de la localisation
cérébrale
du sens muscu- laire et de ses rapports physiol
l'humanité, dont l'organi- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 43 sation
cérébrale
parfaite constitue l'épanouissement suprême des
ec le bleu de mé- thylène, une chromatolyse centrale. Dans l'écorce
cérébrale
, les cellules de la névroglie sont nombreuses a
git la source féconde de ce perfectionne- ment continu du dynamisme
cérébral
, qui se produit, selon l'ex- pression consacrée
l'instruction populaire; car, pour lui, améliorer le fonctionnement
cérébral
, c'est augmenter d'autant la force de résistanc
les nerveuses ou neurones. R. de \luscnAVr.-CLar. XXII. La syphilis
cérébrale
et méningée, son traitement par les injections
as l'intervention chirurgicale est-elle justifiée dans les maladies
cérébrales
; par Edward D. Fisiier. ( The neuf York Médica
cutive à une otite moyenne. L'auteur ajoute que dans les opérations
cérébrales
il faut se garder des ouvertures trop petites q
mieux. R. DE nIUSGIt3VE-CL.11. XXIV. Étude sur deux cas de tumeur
cérébrale
, avec la relation des résultats opératoires dan
s de troubles trophiques. Tous ces symptômes indiquent un néoplasme
cérébral
; le traitement anti- syphilitique reste sans e
ordinairement. Le second, marié, a une fille atteinte d'hémiplégie
cérébrale
infantile. Parmi les quatre soeurs, deux sont c
lle eut six enfants, dont quatre sont morts en bas âge d'affections
cérébrales
(méningites ? ) ; une fille (bye enfant) morte
es des centres nerveux, idiotie, paralysie, épilepsie, hémi- plégie
cérébrale
infantile. A propos des circonstances héréditai
utions; elle se détache partout très facilement sur les hémisphères
cérébraux
et sur le cervelet. OEdème du cerveau ; les cir
ession vers le bord supérieur de l'hémisphère. Un pont de substance
cérébrale
sépare d'abord com- plètement les deux parties
aler. Très peu d'auteurs ont donné des détails sur la mor- phologie
cérébrale
dans la maladie de Huntington. Kronlhal et Kali
éjà pensé M. Dou- trebente ; enfin parce qu'à l'instar des maladies
cérébrales
, elle naît des maladies cérébrales et engendre
parce qu'à l'instar des maladies cérébrales, elle naît des maladies
cérébrales
et engendre des maladies cérébrales. Les paraly
rales, elle naît des maladies cérébrales et engendre des maladies
cérébrales
. Les paralytiques généraux appartiennent non pas
istent pour ainsi dire pas dans ces familles, mais aux familles des
cérébraux
, et s'il existe une hérédité pour la paralysie
n'est point l'héré- dité vésanique ou de la folie, mais l'hérédité
cérébrale
ou, 122 , CLINIQUE MENTALE. comme disait M. D
aralytiques généraux, n'engen- drent point des vésaniques, mais des
cérébraux
et que si les enfants de ces malades sont voués
e ou de leur mère, ce n'est point à la folie, mais aux affections
cérébrales
et aux affections cérébrales de tout ordre. » C
point à la folie, mais aux affections cérébrales et aux affections
cérébrales
de tout ordre. » Cette manière de voir nous sem
s dans les familles des paralytiques généraux sont les affections
cérébrales
qui y figurent pour le chiffre de 143, alors que
maladies de l'appareil respiratoire avec '7C, ensuite les maladies
cérébrales
avec 40, les névroses et la folie avec 35, les ma
servé dans la plupart des cas. P. KERAVAL. IL Observation de tumeur
cérébrale
s'étant traduite par les symptômes du mal sous-
iser exactement les voies cherchées dans le territoire du pédoncule
cérébral
et de la capsule interne, car. dans ces deux ré
imètres de profondeur. La combinaison des deux méthodes, spinale et
cérébrale
, doit donner d'excellents résultats Mais il ser
rritoire de la partie réticulée de l'étage supérieur des pédoncules
cérébraux
à l'exception des fibres radiculaires des faisc
rdon antérieur des pyramides, en continuant directement leur trajet
cérébral
. Dans les cas donc où il n'y a pas de cordon an
. A la hauteur du noyau latéral de l'étage supérieur des pédoncules
cérébraux
, le faisceau de Gowers décrit une courbe brusqu
calcification qui a évidemment déterminé un trouble de la nutrition
cérébrale
(thèse de Coulbault, 1881), ne s'explique ici n
toxique ou auto-toxique. Kussmaul et Tenner ont montré que l'anémie
cérébrale
brusque provoquait des convulsions généralisées
on de 61 à 183 grammes dans 27 cas. A l'état normal les hémisphères
cérébraux
sont à peu près égaux en poids et on peut consi
ont plutôt en faveur d'une lésion cir- conscrite, ou d'une syphilis
cérébrale
plutôt qu'en faveur d'une paralysie générale.
gique de l'aphémie. « Quant à la théorie actuelle des localisations
cérébrales
, telle qu'elle a été constituée par les travaux
er, elle est née de la découverte de l'excitabilité de la substance
cérébrale
au moyen de l'électricité; elle date de 1870 et
Comme l'a dit Meynert, le corps entier se projette dans l'écorce
cérébrale
. Tous les tissus, tous les organes, toutes les fo
rès laquelle il existerait des organes périphériques et des centres
cérébraux
de la douleur. La douleur n'est pas une sensati
vée de notre connaissance de l'univers considéré comme un phénomène
cérébral
. » M. Jules Soury rend par son livre unique d'i
épendent des faisceaux d'associa- tion, unissant les divers centres
cérébraux
. L'attitude de M. J. Soury en présence de tant
ns. Depuis quelque temps, la mère donnait des signes de dérangement
cérébral
; mais ces troubles étaient bien loin de faire p
ire de la miction, déter- miné par Budge, il existe aussi un centre
cérébral
analogue, résultat du fonctionnement psychique
polla- kiurie impérieuse, mais commandée par l'activité du centre
cérébral
urinaire. Le cas de notre malade n'est cependan
ssus du lobule du pli courbe dans la première pariétale. Les points
cérébraux
sont accusés très vivement par la malade lorsqu
de régres- sion. En plein travail, je percute doucement les points
cérébraux
sans avoir prévenu ma malade. Je lui demande ce
uis au pied des deux deuxièmes frontales. Si je comprime les points
cérébraux
en même temps que le point médullaire, la malad
lques mouvements z Je sens mes bras + La tête me fait mal là (point
cérébral
de la poitrine). Je per- cute le point : je sen
ler les vues si intéressantes de M. Sollier sur les loca- lisations
cérébrales
. J'ai toujours constaté la corrélation qui exis
ullaire au-dessous du renflement cervical et deux points douloureux
cérébraux
au pied des deux deuxièmes frontales. A un mome
A un moment donné, je comprime en même temps les points douloureux
cérébraux
et médullaires. Je note alors une plus grande a
ue, par le fait que je cesse brusquement la compression, les points
cérébraux
et médullaires ne se réveillent pas, amenant ai
ler par une action directe sur les points douloureux médullaires ou
cérébraux
? C'est là une simple vue de l'esprit, déductio
p- çonner une cause d'irritation dans un point limité de l'écorce
cérébrale
. Comment l'attaque d'hémiplégie a-t-elle agi chez
r, en même temps qu'on pratiqua, une ablation large de la substance
cérébrale
, les suites immédiates de l'opération furent de
sain, mieux vaut se replier en bon ordre. Atta- quer la corticalité
cérébrale
, c'est enlever une partie des cellules et secti
ées au niveau de la saillie osseuse. A ce niveau aussi la substance
cérébrale
est déprimée, mais normale d'aspect. On pratiqu
spécial, d'autant qu'elle s'accompagne invariablement d'une douleur
cérébrale
particulière. Enfin la prédominance du rouge da
rk. R. M. C. XXXVI. Les points de différenciation entre la syphilis
cérébrale
et la paralysie générale des aliénés ; par Iioc
boutissant finalement à l'atrophie et à la destruction des éléments
cérébraux
, surtout des éléments corticaux. Le type classi
lésions bilatérales dans la région pédonculaire ; dans le pédoncule
cérébrale
droit, un foyer de ra- mollissement qui détruit
oteur commun et une partie du pied du pédoncule ; dans le pédoncule
cérébral
gauche, un foyer scléreux détruisant le quart 2
ophiques plus ac- centués après les ictus. A l'autopsie, sclérose
cérébrale
atrophique, probablement dif- fuse (diminution
tue un exemple exceptionnel d'un cas d'aphasie due à la sclérose
cérébrale
atrophique ; 3° comme contribution à l'histoire,
à l'histoire, à peine connue, de la symptomatologie de la sclérose
cérébrale
de l'adulte. Epilepsie. M. de FLEURY présente
d'épilepsie géné- rale et leurs rapports avec l'ancienne affection
cérébrale
est évi- ' dente. 2° Malade adulte. A partir
psie générale dans beaucoup de cas est l'expression d'une affection
cérébrale
, dans d'autres cas c'est une , névrose de l'éco
uère que pour quereller la vieille femme. Les signes de dérangement
cérébral
qu'on avait autrefois remar- qués devinrent che
s protoplasmiques ou dendrites des cel- lules nerveuses de l'écorce
cérébrale
des animaux vertébrés adultes, traitée par la m
été aussi trouvés par quelques auteurs non seulement dans l'écorce
cérébrale
, mais encore dans diverses régions du cerveau.
pyramidales et les dendrites de la couche superficielle de l'écorce
cérébrale
, qui sont richement pourvus d'appendices collat
tre seulement à quelque distance du corps cellulaire. Dans l'écorce
cérébrale
les dendrites de presque toutes les cellules ne
d'appendices collatéraux, mais il faut remarquer, que dans l'écorce
cérébrale
des animaux adultes bien por- tants on rencontr
ombre. En nous basant sur les recherches personnelles de l'écorce
cérébrale
de quelques animaux vertébrés nouveau-nés, nous
la souris, le chaton, le choucas, etc...) la structure de l'écorce
cérébrale
diffère de beaucoup de celle des animaux adulte
aye, le poulet, etc.); cette différence histdlogique entre l'écorce
cérébrale
em- bryonnaire et entre l'écorce cérébrale bien
tdlogique entre l'écorce cérébrale em- bryonnaire et entre l'écorce
cérébrale
bien développée con- cerne non seulement le deg
flements et sont pauvres en appendices collatéraux. Dans l'écorce
cérébrale
des animaux adultes normaux quelques-unes des d
lement celles qui traversent les couches superficielles de l'écorce
cérébrale
, se trouvent par place en état perlé; mais ce d
rolongements protoplasmatiques des cellules ner- veuses de l'écorce
cérébrale
des animaux adultes normaux sont couverts d'une
atéraux; 2° ce n'est que çà et là qu'on peut observer dans l'écorce
cérébrale
. 276 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. des dendrites te
at perlé ; 3° chez quelques-unes des cellules nerveuses de l'écorce
cérébrale
, que l'on rencontre très rarement et qui n'appa
manifeste parce que l'état moniliforme, qu'on observe dans l'écorce
cérébrale
des .animaux adultes nor- maux très rarement, d
nt celles qui passent dans les couches superfi- cielles de l'écorce
cérébrale
; le processus variqueux se. pro- page ordinaire
rapidement dans le trouble brusque de la circulation dans l'écorce
cérébrale
, comme, par exemple, dans nos expériences de li
nmes jamais à constater un état variqueux des dendrites de l'écorce
cérébrale
peu de temps après l'intoxi- cation ; il se dév
rolongements proto- plasmatiques des cellules nerveuses de l'écorce
cérébrale
peu- vent se modifier, donnant un tableau d'un
et demi à quatre jours à une forte gelée, la structure de l'écorce
cérébrale
ne présente rien de particulier. Si le cadavre
Confirmons ce que nous venons de dire d'un exemple : dans l'écorce
cérébrale
d'un cobaye soumis pendant plus de dix jours à
dernier et ses élèves aussi admettent que les dendrites de l'écorce
cérébrale
ont la propriété de changer rapidement leur for
nous l'avons vu, presque toutes les cellules nerveuses de l'écorce
cérébrale
ont sur leurs dendrites une grande quantité d'a
prolongements protoplasmatiques des cellules nerveuses de l'écorce
cérébrale
ne peut pas servir d'expression du procès physi
ons déjà indiqué plus haut que les cellules ner- veuses de l'écorce
cérébrale
dans diverses conditions patho- logiques réagis
s. Quelle est donc la forme du trouble de nutrition dans l'écorce
cérébrale
qui mène à l'état moniliforme des prolongements
mène à des défor- mations très profondes des dendrites de l'écorce
cérébrale
; quant à l'h3'perbémie causée par l'influence
t d'assez longue durée, peut-être qu'il n'y a point dans l'écorce
cérébrale
d'aussi grossiers changements vasculaires, comme,
prolongements protoplasmatiques des cellules nerveuses de l'écorce
cérébrale
qui a été constaté dans des maladies psychiques
ces collatéraux des prolon- gements protoplasmatiques dans l'écorce
cérébrale
, diminue évidemment, au sur et à mesure que les
rolongements protoplas- matiques des cellules nerveuses de l'écorce
cérébrale
dans des maladies mentales sont pour le moment
se trou- vent en état variqueux. Ainsi par exemple dans l'écorce
cérébrale
d'un chaton normal, qui a vécu trois jours, nous
atéraux, ce qui saute aux yeux à l'examen microscopique de l'écorce
cérébrale
d'un chaton nouveau-né. En comparant l'écorce c
de l'écorce cérébrale d'un chaton nouveau-né. En comparant l'écorce
cérébrale
traitée par la méthode de Golgi, prise chez un
à-dire, avec une atrophie variqueuse de ces derniers, et l'écorce
cérébrale
des animaux nouveau-nés qui viennent au monde d
rolongements protoplas- matiques des cellules nerveuses de l'écorce
cérébrale
doit correspondre, évidemment, à l'affaiblissem
iatrie, 1896, p. 23.) Cajal (Hamon y). Sur la structure de l'écorce
cérébrale
de quelques mammifères. (La Cellule. 1891, t. V
, p. 163. DEMOOR (Jean). La plasticité morphologique des neurones
cérébraux
. (Archives de Biologie, Liège, 1890, t. XIV.) D
' Klinische Wochenschrift, 1894, n° 14, s. 32 : j.) HAMILTON. The
cérébral
cortical cell under the influence of poisonous
ogique des éléments nerveux dans le processus provenant d'embolisme
cérébral
. Con- sidérations sur la signification physiolo
rton (Louis). Le sommeil hibernal et les modifications des neurones
cérébraux
. Travaux de laboratoire de l'Institut de Solvay
STEFANO\VoKA (Micheline). Les appendices terminaux des den- drites
cérébrales
et leurs différents états physiologiques. Travaux
anowska (Micheline). -Sur le mode d'articulation entre les neurones
cérébraux
. (Société de Biologie de Paris, 19 novembre, 18
tion à l'étude des modifications des cellules nerveuses de l'écorce
cérébrale
dans l'anémie expérimen- tale. (Journal de Neur
use en rapport avec l'atrophie variqueuse des dendrites de l'écorce
cérébrale
. (La Cellule, 1898, t. XIV, 2° fascicule.) Souk
de l'état et du dévelop- pement des cellules nerveuses de l'écorce
cérébrale
chez quelques ver- té6rés nouveau-nés. (Revue N
'étude de l'état moniliforme des dendrites des cellules de l'écorce
cérébrale
. Mos- cou, 1899. TANzi (Eugenio). I fatti e l
ETS DE PIÉTÉ COMME INSTRUMENTS DE MEURTRE. 289 cellules de l'écorce
cérébrale
par la méthode de Golgi. Comptes rendus hebdoma
variable et le signe de Seeling-Muller inconstant. Dans les tumeurs
cérébrales
il existe presque toujours des troubles pupillair
des troubles pupillaires graves et complexes. Dans les hémorragies
cérébrales
, ils sont moins fréquents, sauf le myosis qui e
chonévroses, le poids spécifique des diverses par- ties de l'écorce
cérébrale
, de la substance blanche, du cervelet ne s'éloi
ngestive delà paralysie générale, le poids spé- cifique de l'écorce
cérébrale
est supérieur à la normale. Par ordre de fréque
avec des processus d'inflammation aiguë, d'anémie ou d'hyper- hémie
cérébrales
. Il en fut de même pour le bulbe. J. Ségalas. X
. (Riv. di pat. nerv. et ment., fasc. VIII, 1899.) XLIV. Le pouls
cérébral
dans les diverses positions du sujet ; par le p
professeur Sciammana. (Riv. Sp. di frein., fasc. I, 1899.) Le pouls
cérébral
est d'autant plus ample que la position du suje
roite. La position du sujet et du tronc res- tant la même, le pouls
cérébral
est d'autant plus ample que des changements de
hers sulfuriques. J. SEGLAS. LIV. Des altérations de la circulation
cérébrale
dans l'intoxication alcoolique aiguë; par W. DE
les ondes du pouls deviennent plus rares, et appa- raît de l'anémie
cérébrale
déjà manifeste à la fin du premier stade de l'a
en augmente, mais, malgré l'exagération de la pression, l'hypérémie
cérébrale
ne reparait point. L'introduction dans les vein
entation de la pression du sang et assez égale- ment de l'hypérémie
cérébrale
; il y a un certain parallélisme entre les deux
ites doses produit une modification insignifiante de la circulation
cérébrale
; on constate, REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGI
ngestion stomacale d'alcool à hautes doses pro- voque une hypérémie
cérébrale
persistante suivie d'une anémie : parfois c'est
elle du lapin, les fines cellules-araignées de la substance blanche
cérébrale
et cérébelleuse, enfin la moelle d'un tabétique ;
tout simplement à l'opération psychique correspondante en l'écorce
cérébrale
et non aux phénomènes physiques vasculaires inv
es du cordon latéral. A la partie la plus inférieure du pédoncule
cérébral
, le ruban de Reil se partage en trois faisceaux
n tout cas, de très bonne heure, apparaît dans le pied du pédoncule
cérébral
un premier et unique faisceau qui doit être att
e le premier segment du même organe et se rend au pied du pédoncule
cérébral
; il occupe successivement par rapport au trous
-ci est bien une REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 333 dégénérescence
cérébrale
, stigmate organique qui ne disparait qu'avec la
sence est uniquement une altération héréditaire de l'organisation
cérébrale
; ou elle est le résultat de causes déterminantes
ossédant sensibilité, discernement et volonté, à l'instar du centre
cérébral
proprement dit, siège de ce que nous nommons no
ons étaient constatées dans tout le système nerveux central (écorce
cérébrale
et cérébelleuse, noyaux bulbaires, cellu- les d
nd nombre de cas d'acromégalie on observe : des symptômes de tumeur
cérébrale
(céphalée, vertiges, névrite optique) ; de l'hé
ion du bulbe dans le processus du coma et de la mort par hémorragie
cérébrale
. Origine infectieuse du diabète hydrurique. M.
ait aussi la surdité verbale pure, malheureusement une hémorragie
cérébrale
qui entraîna la mort détruisit et noya la lésion
mmunications à la Société de biologie sur la pathogénie des lésions
cérébrales
, révèlent par les considérations qui les accomp
es sujets choisis ont été : de l'idiotie liée à « certaines lésions
cérébrales
; des actes impulsifs dans les « différentes fo
'une réelle importance au point de vue de la pathogénie des lésions
cérébrales
. En 1884, sur la question délicate du régime al
dans une grande agitation. D'autres alcooliques, toujours à écorce
cérébrale
hyperes- thésiée, ayant des hallucinations, voi
sie, que nous cherchons, dans ce travail, à localiser dans l'écorce
cérébrale
, dans les centres des sens, n'est cependant pas
t le nervosisme et amoindrissant la force volontaire, la résistance
cérébrale
. Au moment de ses règles, contrainte par le syn
eures du soir. Antécédents héréditaires. - Père mort, d'hémorrhagie
cérébrale
, très buveur. Mère morte d'une maladie de poitr
peur, dit-il, est un phé- nomène d'arrêt, dans lequel les fonctions
cérébrales
sont partiellement suspendues, tant au point de
implique l'origine traumatique des accidents dus à une hémorrhagie
cérébrale
, de cette espèce, suivie de ramollissement. Les
alité et la quantité du mouvement effectué, il faut que les centres
cérébraux
fonction- nent ensemble, et que, par conséquent
s le cervelet, mais non dans le bulbe. Les deux courants sanguins
cérébraux
et spinaux se biisenlà la limite du bulbe. Le b
es troubles des fonctions génitales chez la femme, les traumatismes
cérébraux
, la sénilité, etc. Outre les causes énumérées c
peut grouper les épileptiques en 4 catégories : 1° grosses lésions
cérébrales
, telles que ramollisse- ments localisés, gommes
syphilis en tant que virus, saturnisme, etc., sans signes de lésion
cérébrale
localisée ; 3° cas hystéroïdes, assez incurable
iennent' que la céphalalgie ne prend jamais naissance dans le tissu
cérébral
, et beaucoup de psychologistes assurent que tou
'argument tiré de la céphalalgie qui succède à une sim- ple fatigue
cérébrale
par excès de travail et qui ne peut être due qu
ux particuliers de la sensibi- lité vibratoire. Dans les affections
cérébrales
avec anesthèsies cutanées, les troubles vibrato
nant les interruptions de toutes les caté- gories d'identifications
cérébrales
aura-t-il peut-être l'avantage de faire mieux r
processus parcourt deux niveaux, deux catégories d'identifications
cérébrales
: les identifi- cations primaires (sensations s
ecin psychologue reconnaîtra sans peine cette forme de neurasthénie
cérébrale
qui s'accompagne si souvent de dépression profo
commencement de celte année des marques manifestes de dérangement
cérébral
. Il avait dû cesser, voici quelques semaines, de
ar ces événements tragiques, est mort dans la nuit d'une congestion
cérébrale
dont les médecins font remonter la cause à l'ém
roscopique attentif n'a rien pu faire découvrir d'anormal. Ecorce
cérébrale
. - Méthode de Nissl. - Circonvolution frontale
rendre compte des rapport des petites cellules avec Fiy. Il. Ecorce
cérébrale
, Frontale ascendante-droite. (Méthode de Nissl.
ndance des petites cellules rondes dans toute l'étendue de l'écorce
cérébrale
. Elle est la représentation exacte du champ mic
développement de ces petites cellules est égale- Fir. 12. - Écorce
cérébrale
. (.Méthode de Nissl. Vérick. Oc. 3, Obj. i. Nou
Nous ne nous sommes point borné à l'examen des cellules de l'écorce
cérébrale
et avons pratiqué les méthodes de Weigert et de
les mêmes rapports que ceux décrits plus haut à propos de l'écorce
cérébrale
. Notons en outre que les cellules nerveuses de
ration des cellules pyramidales et des petites cellules de l'écorce
cérébrale
allant de la raréfaction protoplasmique périnuc
tion. « L'hallucination est donc toujours et constamment un trouble
cérébral
, d'origine cérébrale centrifuge, et jamais un t
n est donc toujours et constamment un trouble cérébral, d'origine
cérébrale
centrifuge, et jamais un trouble périphérique. »
'il y a émission de pensée sans excitation quelconque d'une cellule
cérébrale
. Nulle idee abstraite ou objective n'est conçue
ce de M. Magnan un dégénéré, avec appoint alcoolique, dont l'écorce
cérébrale
était hyperesthésiée un mois encore après son i
ez les autres, il y a une hyperesthésie corticale, une excitabilité
cérébrale
telle qu'un choc suffit pour produire l'image h
ool, ces déshérités avaient déjà un caractère irritable, une écorce
cérébrale
facilement excitable. L'alcool est venu, l'exci
e sylvienne droite est moitié ohM petite que la gauche. Les artères
cérébrales
antérieures paraissent égales, il en est de mêm
peu plus petit que le gauche. Dans son tiers interne, le pédoncule
cérébral
droit est moins bombé que le gauche ; il en est
en relief par les mensu- rations comparatives des deux hémisphères
cérébraux
que nous avons données et qui s'est traduit par
es en avant, passent en décri- vant un arc par le pied du pédoncule
cérébral
et fournissent des collatérales au corps de Luy
ralement ressortent de la couche optique et traversent le pédoncule
cérébral
, arrivent au noyau lenticulaire du même côté, s
ijumeau ; et il conclut que : il l'exis- tence d'un seul hémisphère
cérébral
suffit à la vision binoculaire; chaque bandelet
re-croisement incomplet. P. IERAV : 1L. LXXV. Observation de tumeur
cérébrale
de la région motrice gauche ; hémiplégie gauche
de faiblesse colossale. Jamais de con- vulsions. Diagnostic. Tumeur
cérébrale
probable. La paralysie ne s'accroît pas ; la cé
de supposer que les fibres nerveuses laryngées, parties de l'écorce
cérébrale
un peu en arrière du pied de la troisième fron-
foyer dépassait en bas lacouche optique et intéressait le pédoncule
cérébral
au niveau de l'émergence de la troisième paire;
postérieur de la capsule interne était également envahie. L'écorce
cérébrale
était intacte; on n'a constaté aucun foyer sous
émiplégie alterne et son absence dans les hémi- plégies par lésions
cérébrales
. A. rENAYROU. 516 6 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUS
des symptômes semblables à ceux de la méningite vraie : 1° OEdème
cérébral
aigu, d'oidinaire consécutif à des trauma- tism
IE NERVEUSE. . toujours très sensible. Troubles vaso-moteurs (tâche
cérébrale
). Peau perd son élasticité (putty skin). Quelqu
chidien a toujours été négatif. Symptômes. - Symptômes d'irritation
cérébrale
: Céphalée, délire, suivis de stupeur et coma.
ire. La forme chronique ; prend quelquefois les symptômes de tumeur
cérébrale
: Névrite optique, céphalée, vomissements, vert
aît que vingt cas. Il n'y a aucun changement dans le fonctionnement
cérébral
tant qu'elles ne sont pas grandes. Bristowe a e
ns spasmo-paralytiques infantiles désignées sous le nom de diplégie
cérébrale
spasmodique infantile ou maladie de Little. Le
e Little. Le diagnostic de la sclérose en plaques et de la diplégie
cérébrale
spasmodique constitue souvent un problème très
des, plus fréquent dans la sclérose en plaques que dans la diplégie
cérébrale
spasmodique tendait encore à faire rejeter ce d
yers de ramollissement intéressant le pédon- 534 BIOGRAPHIE. cule
cérébral
gauche et ayant détruit les noyaux de la troisièm
représente-t-elle une unité em- bryologique, par Onoflio, 311.
Cérébrale
. Excitabilité de l'écorce - citez les animaux n
, par Joffroy et 1,el-valix, 258. - Altérations de la circulation
cérébrale
dans l' - alcoolique aiguë, par de Bechte- te
dème des paupières et crises de sommeil, par Meige, 346. Maladies
cérébrales
. Intervention chirurgicale dans les -, par Fi
7. Pupilles dans un cas de - au début, par Tanzi. 233. Si- philis
cérébrale
et -, par Pa- trick, 240. Diagnostic précoce de
douloureuse d'une tuberculeuse, par Du- four, 256. Pouls. Le -
cérébral
, par Sciam- mana, 310. Pmx Aubanel, 439. Pr
la- par Klippel, 255. Tumeurs du corps calleux, par Touche, 171.
cérébrales
, par Wiener, 78, par Wenhardt, 139. du corps
enveloppes : boite crânienne et méninger ; tantôt sur la substance
cérébrale
elle-même ; tantôt enfin sur ses vaisseaux. Sur
ions inflammatoires banales et de la sclérose ; dans la substance
cérébrale
encore des gommes, de l'infiltration gommeuse d
" 1 2 CLINIQUE NERVEUSE. La richesse symptomatique de la syphilis
cérébrale
est très grande; on s'est ingénié à la dépister
moindres ma- nifestations et à la distinguer des autres affections
cérébrales
. Cette étude est bien faite partout; nous ne la
s cliniques serait impossible : chacun des symptômes de la syphilis
cérébrale
se rencontrant indifféremment, quelle que soit
ons pu crbserver longuement et minutieusement trois cas de syphilis
cérébrale
dans' lesquels la vérification nécropsique ou c
EMIER De la syphilis artérielle. De toutes les formes de syphilis
cérébrale
, celle qui frappe les artères est certainement
résente peuvent aussi se montrer dans les autres formes de syphilis
cérébrale
, et réciproquement. L'édification d'un tableau
ctère le plus général est le suivant : dans la syphilis des artères
cérébrales
comme dans presque toutes les affections encéph
es agit presque uniquement en ischémiant ou ané- miant la substance
cérébrale
, c'est-à-dire en supprimant fonctionnellement o
gères, sponta- nément curables, qui surviennent sans autre symptôme
cérébral
et paraissent dues à l'action directe du virus
e. - On peut distinguer dans l'évolution de la syphilis des artères
cérébrales
, deux périodes assez distinctes : l'une pendant
es oblitérantes. Leur mode d'action est l'is- chémie ; la substance
cérébrale
reçoit moins de sang que normalement; elle est
vail. Tant qu'elle n'est soumise qu'à' un ' Deulafoy. Des artérites
cérébrales
syphilitiques (Gaz. hebdoma- claire, 1892, p. 5
magistralement décrite par Fournier dans son traité de la syphilis
cérébrale
. D'autres fois, mais plus rarement, on a une hé
ectasiantes comme les oblitérantes agissent surtout par l'ischémie
cérébrale
. Elles se distinguent simplement par l'adjoncti
leuse intérieure. La troisième paire, par son voisinage de l'artère
cérébrale
postérieure, paraît tout particulièrement expos
un cas de Knapp ' il y avait une dilatation bilatérale des artères
cérébrales
antérieures, et une hémianopsie bilatérale nasa
isant songer à une méningite de la base. Les anévrismes des artères
cérébrales
ont été bien décrits par Spillmanu=. Pour com
riode de début, nous dirons qu'on a voulu rattacher à la syphilis
cérébrale
certains cas de migraine ophtalmique; que souvent
: amaigrissement, perte des forces, etc., prélude de cette cachexie
cérébrale
particu- lière qui emporte souvent les syphilit
ation d'un thrombus, et a produit un ramollissement de la substance
cérébrale
. Ou bien les parois infiltrées de l'artère ont
mollis- sements très limités dans tous les points de la substance
cérébrale
. Le diagnostic de la cause se basera surtout sur
ue incurable par thrombose. Il suffit de dire que le ramollissement
cérébral
avec toutes ses localisations peut reconnaître
la syphilis des artères. Nous dirons la môme chose de l'hémorragie
cérébrale
: très rare d'ailleurs, elle n'offre pas de sym
artérielle, qu'il s'agisse de la carotide, de la sylvienne ou d'une
cérébrale
, sont toujours identiques. La totalité des memb
raves qui emportent le malade. Lés cas bien connus où la syphilis
cérébrale
prend le masque de la paralysie générale ne nous
à distinguer la forme artérielle des autres variétés de [syphilis
cérébrale
. Nous avons cru bon de les réunir dans un tableau
e également à la coupe aucune lésion appréciable. Les hémisphères
cérébraux
étant séparés l'un de l'autre, on pra- tique d'
e la surface des coupes, et un état un peu poisseux de la substance
cérébrale
. Mais l'autopsie a été faite quarante-huit heur
logues ne sont pas exceptionnels. UhtholT', sur 150 cas de syphilis
cérébrale
a relevé 26 fois la paralysie de la sixième pai
de droite et les sixième et septième paires du même côté. Le type
cérébral
de la paralysie faciale gauche dans notre cas n
t la septième, n'ayant contracté aucune adhérence avec la substance
cérébrale
, ne paraissant pas exercer de compres- sion de
rvenir la néphrite et l'auto-intoxication, favorisée par l'ischémie
cérébrale
. (A suivre.) CLINIQUE MENTALE. LES TROUBLES T
étroites qui existent entre les lésions nerveuses, médullaires et
cérébrales
dans la paralysie générale. M. Auguste Voisin',
les altérations de la pupille el du nerf optique dans les maladies
cérébrales
(Union août 1866). ' Magnan. Signes essentiels
se latérale amyotro- phique, la sclérose en plaques, les affections
cérébrales
et spinales en foyer, toutes les fois qu'il y a
. P. KERAVAL. XII. SUR LES terminaisons NERVEUSES dans la dure-mère
cérébrale
DE l'homme ; par V. ACQUISTO et E. PUSATERI. (R
idées. Jusqu'ici on avait expliqué ces phénomènes par de l'anémie
cérébrale
consécutive à la diminution du calibre des gros v
lement en modifiant l'équilibre chimique des cel- lules de l'écorce
cérébrale
, source de l'énergie nerveuse. Les effets local
r, en cas de besoin, les alléguer comme une preuve de déran- gement
cérébral
et par suite se concilier tout au moins l'indul-
e la maladie à la syphilis avouée de son père et aussi à l'hérédité
cérébrale
(le grand-père paternel est mort du ramollis- s
- nolente ; le 1er mars, elle mourut avec des phénomènes d'oedème
cérébral
. A l'autopsie, outre un oedème de la pie-mère,
uels à l'au- topsie on trouva des anévrismes artériels dans la base
cérébrale
. Premier cas. La malade, âgée de quarante-sept
ha de faire un examen détaillé. A l'autopsie, on trouva sur la base
cérébrale
une tumeur de la grandeur d'un oeuf de poule, q
artères vertébrales et de sa partie anté- neutre sorte les artères
cérébrales
postérieures'. La tumeur a l'aspect d'une châta
térieure de la moelle allongée, le pont de Varole et les pédoncules
cérébraux
sont considérablement aplatis. Les nerfs oculo-
modifications très marquées des cellules dans la région du tronc
cérébral
, ce qui donne la possibilité ,de rapporter la par
la dépendance d'un état d'engourdissement ou de sommeil des centres
cérébraux
. Suivant que ces centres sont frappés isolément
de la névrose. Quant à la nature de ce sommeil spécial des centres
cérébraux
, elle reste entière à déterminer. Telle estla
itaux de Lvon. CHAPITRE II , , , , De la méningite syphilitique
cérébrale
. La syphilis peut porter son action sur les mén
ndaires, propagées soit de la boîte cranienne, soit de la substance
cérébrale
: dans ce cas la méningite vient simple- ment d
imitives des méninges peuvent secon- dairement envahir la substance
cérébrale
(le cas est fréquent pour la gomme circonscrite
mettant de les distinguer quelquefois des autres formes de syphilis
cérébrale
. § 1. Caractères généraux DES symptômes DE la s
taque épileptiforme, qui appartient à toutes les formes de syphilis
cérébrale
, est parti- culièrement fréquente dans la forme
vers observateurs : c'est l'existence de la fièvre dans la syphilis
cérébrale
. Depuis les travaux de Four- nier on connaît bi
syphilitique secondaire. Nous pouvons affirmer que dans la syphilis
cérébrale
on observe assez souvent aussi des élévations d
pu hésiter pendant plusieurs jours entre le diagnostic de syphilis
cérébrale
et celui de fièvre typhoïde : le séro-diagnosti
ur au point de vue du diagnostic des différentes formes de syphilis
cérébrale
. Tout ce que nous pouvons dire, c'est que le mo
i est blanche, épaissie, dure, .scléreuse, adhérente à la substance
cérébrale
. Il n'y a ni gommes, ni infiltrations gommeuses
résistante à la coupe, ne se laissant pas détacher de la substance
cérébrale
à laquelle elle adhère fortement. La décor- tic
a- raît nettement comme un vaisseau s'enfonçant dans la substance
cérébrale
. Les hémisphères sont séparés; les ventricules
de l'intelligence indiquaient l'intégrité relative de la substance
cérébrale
Nous donnons ici un tableau symptomatique de la
les cas. Produits habituellement par la destruction de la substance
cérébrale
, quelquefois par la compression simple, ils pré
où une gomme puisse impunément se développer, détruire la substance
cérébrale
, sans donner des phénomènes de, déficit ? On l'
s les passer en revue ici, ce sont tous les symptômes des tumeurs
cérébrales
. Nous dirons seulement un mot de leur pathogéni
eules ces intoxications ne produiraient probablement aucun symptôme
cérébral
; portant leur action sur une substance Archive
substance Archives, 2c série, t. V. 8 11 Il CLINIQUE NERVEUSE.
cérébrale
mise en état de moindre résistance, elles peuvent
attribuer la congestion signalée autour des gommes et des tumeurs
cérébrales
en général. Nous serions même disposé, mais san
intoxication le ramollissement qui a été observé autour des tumeurs
cérébrales
(Bouveret 1), que nous avons retrouvé nous-même
cès du volume d'une orange. flottait en quelque sorte dans la pulpe
cérébrale
ramollie tout autour, et formant une seconde cavi
oit dus « soit à la compression qu'exerce le néoplasme sur le tissu
cérébral
voisin, soit au rétrécissement et à l'obli- tér
ons pas de types cliniques : ce serait faire l'histoire des tumeurs
cérébrales
, dont les gommes peuvent reproduire tous les sy
roduire tous les symptômes. L'évolution est aussi celle des tumeurs
cérébrales
; sa carac- téristique est de se faire par pouss
urones, ouverture de voies collatérales pour le trajet des réflexes
cérébraux
un instant supprimés; la guérison peut être com
tomatologie des gommes du cerveau est entièrement celle des tumeurs
cérébrales
. Dans la syphilis artérielle et méningée on pos
is artérielle et méningée on pose d'abord le diagnostic de syphilis
cérébrale
; ce n'est qu'ensuite et par une analyse minutie
lis gommeuse, au contraire, on pose d'abord le diagnostic de tumeur
cérébrale
; ce n'est que par la con- naissance des antécéd
'intervention chirurgicale, le diagnostic restait simplement tumeur
cérébrale
, sans que nous ayons pu en préciser la nature.
culeuse de la colonne vertébrale, en même temps qu'une localisation
cérébrale
pour l'explication des symptômes antérieurs.
ce que nous avons dit plus haut. La gomme évolue comme toute tumeur
cérébrale
. Nous nous sommes efforcé dans cette étude de p
gnostic différentiel entre trois variétés anato- miques de syphilis
cérébrale
. Nous n'apportons, il est vrai, que trois obser
note, la forme de la folie alcoolique : exubérante chez cer- tains
cérébraux
, l'aliénation mentale affectera la forme de man
y déterminant des altérations spéciales : il se produit une lésion
cérébrale
(gomme, méningite, encéphalite) qui entraîne à
ent, ce qui tient sans doute à ce qu'il s'est produit dans le tissu
cérébral
des destructions irréparables ; la syphilis, en t
change, si l'on fait rentrer la paralysie générale dans la syphilis
cérébrale
! La théorie syphilitique de la paralysie génér
vue pathologique qu'au point de vue symptomatologique. L'atrophie
cérébrale
chronique est le type le plus important à consi
plus que d'une façon irrégu- lière l'apport de sang à la substance
cérébrale
. Furstner répartit en trois groupes les désordr
s somatiques correspondantes; 3' les psychoses séniles avec démence
cérébrale
, dans lesquelles la folie est associée non à un
e de distinguer l'amenza stupide avec une forme simple ou torpeur
cérébrale
simple et une forme grave ou stupeur primitive et
mentale, un retour régressif à des formes inférieures d'affections
cérébrales
, une déchéance progressive morale et physique,
ation intellectuels pour la plus haute perfection de toute activité
cérébrale
, nous en induirons que l'affaiblissement de ces
neux du membre inférieur droit semblent se rattacher à une sclérose
cérébrale
infantile. A. FENAYROU. XXX. UN cas DE PERVER
ux que de la congestion passive, de la stase sanguine avec oedème
cérébral
. L'absence de microorganismes dans le liquide exs
s, d'une simple phobie ayant pour objet la peur du ramollis- sement
cérébral
. S'il s'agit d'états neurasthéniques accidentels,
ge, l'apparence, mais surtout la peur de la paralysie générale. Les
cérébraux
, descendants de congestifs ou d'apoplectiques, pr
iques, pré- sentent à la suite de la syphilis une neurasthénie plus
cérébrale
que nerveuse, s'accompagnant de symptômes nouve
ité nerveuse, etc., pourraient être sous la dépendance d'une anémie
cérébrale
perma- nente, due à l'excitation des nerfs vaso
thique cervical ; la section de ce nerf ferait disparaître l'anémie
cérébrale
, et, avec elle, les troubles qui en dépendent.
vec des exercices coor- dinatoires. XVIII. SUR un cas DE syphilis
cérébrale
énergiquement traité avec LE MERCURE, suivi DE
s de méningo-encéphalite spécifique sont, parmi les cas de syphilis
cérébrale
, les plus susceptibles de guérison, à la condi-
Elle est surtout indiquée quand il existe des signes de compression
cérébrale
, c'est- à-dire quand on trouve associés la tend
un oncle maternel a eu des enfants qui sont morts tous d'accidents
cérébraux
. J... Gabriel est à la seconde période de la pa
ymptômes paralytiques et convulsifs) qui, par suite, sont d'origine
cérébrale
et spinale. J. S. XXXVII. Recherches SUR la cap
i ont per- mis de constater qu'à la suite d'une lésion du pédoncule
cérébral
on observait chez le cobaye une dégénérescence
mort. Chez d'autres malades, l'intoxication a engendré des troubles
cérébraux
simulant un délire vésanique (forme délirante)
e direction spéciale. Un important centre vaso-moteur des vaisseaux
cérébraux
existe sous forme de couche diffuse placée entr
re à la suite d'un traumatisme crânien, ou au cours d'une affection
cérébrale
telle qu'une tumeur, le diagnostic peut offrir
s le trouble sécrétoire peut aussi être la conséquence d'un trouble
cérébral
. On sait que l'hystérie se combine avec toutes
ébral. On sait que l'hystérie se combine avec toutes les affections
cérébrales
, et plus spécialement avec les affections céréb
que les nerfs périphériques ». M. HAMEL. XXVIII. UN cas DE gliome
cérébral
; par DEVIC et CODMONT. (Revue de médecine, avri
ant penser dix, vingt fois plus vite, devra, pour que la continuité
cérébrale
ne s'interrompe pas un instant, puiser dans la ré
? C'est quelquefois l'anémie, ou bien au contraire la con- gestion
cérébrale
. C'est peut-être aussi la présence de toxines ou
qu'en provoquant par voie réflexe cette congestion ou cette anémie
cérébrale
. Questions complexes que seules des expériences p
daison, il y a compression des carotides, et par conséquent, anémie
cérébrale
. Au contraire, au début de l'as- phyxie par imm
ands échanges nutritifs dans le cerveau, et par suite hyperactivité
cérébrale
.. Une hypermnésie qui est plus facile à expliqu
isme. Nous avons dit qu'elle n'était qu'un résultat de l'irritation
cérébrale
qui, limitée dans d'autres cas à une zone motri
oint d'où part l'irritation, celle-ci aboutit toujours à la cellule
cérébrale
. Seulement le syndrome épileptique évolue diflé-
la spécialisation génitale est déjà réalisée, la spécia- , lisation
cérébrale
est encore latente. On peut comprendre que la s
, malgré une spé- cialisation génitale régulière, la spécialisation
cérébrale
soit en défaut, pervertie ou invertie. Le fait
la mère, elle perdit con- naissance, le médecin parla de congestion
cérébrale
, lui fit prendre des bains à la moutarde. Elle
embrane épaisse, très vascularisée, tapisse la cavité. Le pédoncule
cérébral
a l'aspect d'un pédicule recouvert de cette mem
qui, ayant une héré- dité convenable, a une forme et une structure
cérébrales
requises et se trouve dans un entourage convena
x jouent le rôle de causes prédisposantes ; sur 100 cas de syphilis
cérébrale
, Carnowsky a trouvé l'alcoolisme dans 43 cas, la
e une première période avec des signes de méningite ; des symptômes
cérébraux
transi- toires tels que céphalées nocturnes, pa
vraies de 15 à 35 p. 100. Dans la plupart des formes de la syphilis
cérébrale
, les symp- tômes les plus graves sont précédés
nouveaux symptômes caractéfistiquesdes diverses formes de syphilis
cérébrale
dont l'au- teur décrit les trois types suivants
philitique et les gommes. Sur une statistique de 90 cas de syphilis
cérébrale
publiée par Fournier, il y eut 14 morts, 33 cas
coulé plus de temps entre l'infection et l'apparition de la maladie
cérébrale
. C'est le traitement mixte qu'il faudra institu
e tuberculose. Autopsie : cavité cérébelleuse étroite, hémisphère
cérébral
gauche atrophié, cervelet symétriquement diminu
ne série de symptômes qui depuisla simple amyesthénie et asthé- nie
cérébrales
peuvent progresser jusqu'aux phobies et obsession
chaînement dont les anneaux pourront être disparates : insuffisance
cérébrale
massive (idiotie), ou partielle (déséquilibrati
e- mières doivent être rattachées aux psychoses par malformations
cérébrales
, et les secondes aux états mélancoliques qu'elles
ce des poisons variés, organiques et inorganiques, sur la structure
cérébrale
. (Alile- rican Journal of inscclzity, juillet 1
um thérapique de la neurothérapie. Dr F. ViLLARB. Il. Les tumeurs
cérébrales
; par le Dr Maurice AuvRAY. In-8°. Paris, 1896,
1896, J.-B. Baillière et fils, éditeurs. Le traitement des tumeurs
cérébrales
qui, avant ces dix der- nières années, avait pr
e par les études physiologiques à la connaissance des localisations
cérébrales
et, d'autre part, aux procédés antiseptiques ut
de localisation joue un rôle capital dans la chirurgie des tumeurs
cérébrales
. Il y a dans cette voie de nom- breux progrès à
effort volitionnel dans la constitution du moi. La même disposition
cérébrale
qui nous fait attribuer une origine externe au
elle est finalement projetée sur différents territoires de l'écorce
cérébrale
, tels que le lobe frontal, toujours dans une di-
réceptrice (cellules de Purkinje, cellules pyramidales de l'écorce
cérébrale
). Elles appartiendraient, avec les dentrites, à
corps cellulaire. Dans un article sur l'origine du quatrième nerf
cérébral
et sur un point d'histophysiologie générale qui
SION BILATÉRALE. 391 ment des époques, et des périodes d'excitation
cérébrale
suivies de dépression avec tendances au suicide
automatisme considéré comme une DES MA111PEST.aLIOYS DE la syphilis
cérébrale
; par le professeur BECHTEREW. Jusqu'à présent,
titre de phénomène parfaitement indépendant aussi daus la syphilis
cérébrale
. Il s'agit d'un homme de trente-sept ans, sans
lusion que l'état du malade était sous la dépendance de la syphilis
cérébrale
. En faveur de cette supposition parle non seule
état morbide développé indépendamment sur le terrain de la syphilis
cérébrale
? M. Bechterew considère cette dernière manière
la troisième paire, sont situés dans l'étage supérieur du pédoncule
cérébral
, au-dessous des tubercules quadrijumeaux. C'est
que des lésions syphilitiques. sociétés savantes. 413 Les lésions
cérébrales
de la paralysie générale étudiées par la méthod
mière malade a montré ceci : la dure-mère est normale ; la pie-mère
cérébrale
est très congestionnée, quelque peu oedémateuse
c petites hémorrhagies disséminées. Hypéré- mie intense de l'écorce
cérébrale
, qui se détache facilement de la substance blan
encéphalite, localisée principalement dans la substance de l'écorce
cérébrale
. Il est tou- tefois impossible d'admettre des l
ois cas la cavité crânienne ne contenait que le cervelet et la tige
cérébrale
, avec corps quadrijumeaux et couches optiques dif
s optiques difformes et couverts de méninges; quant aux hémisphères
cérébraux
, elles faisaient entièrement défaut : à leur pl
le ont provoqué des lésions dégénératives dans la région de la tige
cérébrale
. Si l'on compare le tableau clinique au tableau a
émichorée. Le diagnostic anatomique suppose uue lésion du pédoncule
cérébral
gauche avec participation probable du noyau rou
rieurs sert de connexion entre le cervelet et les noyaux de la tige
cérébrale
(couche optique et noyau lenticulaire), l'auteu
ban interne (médiate Schleife) de la protubérance et des pédoncules
cérébraux
; on peut suivre de la dégénération de ces faisc
les du ruban interne, dans la protubérance et dans les pédon- cules
cérébraux
. Discussion. M. Weidenhamer fait remarquer que
ve loconzotor ataxie ; - Lectures of the localisation of spinal and
cérébral
diseases; - A co7z- tribution to the médicinal
the nervous System; A second contribution to the study of localized
cérébral
lésions ; -Imporlance of the enrly reco- gnitio
Ce ! 'e6''« : <t ? t; A z contribution to the study of localized
cérébral
lésions ; Contribution to the diagno- sis and S
8. Centralblatt sur Gynse- . kologie. CHABANEIX (P.). Physiologie
cérébrale
. Le subconscient chez l'artiste, les savants et
bstratum anatomique de l'acte réflexe simple, inconscient, el l'arc
cérébral
, représentant la voie suivie par l'acle volonta
ence de la suppression de la fonction modératrice exercée par l'arc
cérébral
sur l'arcmédullaire. Seules, les lésions- du ne
la sclérose latérale amyotrophique, soit secondaires à des causes
cérébrales
(hémorrhagies, ramollissements), ou médullaires (
ittle. A. FENAYROU. LXXXII. La non-équivalence PES deux hémisphères
cérébraux
; par M. M. Klippel. (Presse médicale, 29 janvi
s centres communs présidant déjà à d'autres actes du fonctionnement
cérébral
naturel et spontané (vision, mouve- ments des m
e au langage écrit et indépendant du langage parlé. Sa localisation
cérébrale
n'est pas la même que celle du langage phonétiq
lieu en réalité par la transmission de l'excitation aux hémisphères
cérébraux
, et en particulier à l'écorce de la région motr
d on pique le pont de Varole du lapin, il se produit une congestion
cérébrale
tempo- raire par diminution de l'action des art
hémorrhagies violentes, ou quand on a lié, soit les quatre artères
cérébrales
, soit les veines encépha- liques, même chez les
excitation de l'écorce. On les constate notamment dans la commotion
cérébrale
, même chez les animaux privés de leurs zones co
à la hase, à l'endroit où le nerf vient d'entrer dans la substance
cérébrale
, on constate : a) La dégénérescence des fibres
ssède des cellules vésiculiformes qui donnent naissance à la racine
cérébrale
de la cinquième paire (Obersteiner), entraîne u
xions du cervelet avec le trijumeau. 5° Les lésions de la substance
cérébrale
dans la région de la substance ferrugineuse ne
raphé au noyau moteur. Ce sont peut-être les fibres des pédoncules
cérébraux
décrites par Meynert qui relient le noyau du tr
rcule quadrijumeau, arriverait à l'étage supérieur des pédon- cules
cérébraux
où, situé en dedans du ruban de Reil principal, i
a sensibilité à la douleur. En résumé, la conséquence de la fatigue
cérébrale
est l'/tt/pet'es- thésie accompagnée (I'hype ?
la suspension n'a été que temporaire, se traduit par de l'hyperémie
cérébrale
qui suc- cède à l'anémie, dès que le pouls et l
ptions auxquelles les interventions opératoires dans les affections
cérébrales
, et notamment dans l'épi- lepsie, ont donné lie
ales, et notamment dans l'épi- lepsie, ont donné lieu, la chirurgie
cérébrale
est restée à l'ordre du jour.. Le champ est tro
s cette nouvelle voie ouverte par la connaissance des localisations
cérébrales
, et que les progrès de l'antisepsie proté- geai
plus juste appréciation des choses en ce qui concerne la chirurgie
cérébrale
, qui, comme le Dr Winider, cherchent avant tout
connaissances actuelles sur les localisations et sur la topographie
cérébrale
. L'idée de la décharge paroxystique est applica
a celle du cerveau et du crâne. La prétention de celte chirurgie
cérébrale
est de pouvoir recon- naître quelques épilepsie
concordance topo- graphique absolue de la cicatrice avec la lésion
cérébrale
est un cas rare. Nombreux sont les cas où, aprè
dant le spasme, l'aura elle-même, dépendent uniquement de la lésion
cérébrale
. . Il s'agit donc de déterminer exactement le s
doigt, identique aux convulsions sponta- nées. Ce point de l'écorce
cérébrale
est excisé au thermocautère. Le résultat fut tr
dépend le résul- tat de l'opération. Ainsi comprise, la chirurgie
cérébrale
, liée intimement à la physiologie du cerveau, j
n rôle très grand dans l'avenir, lorsque la physiologie de l'écorce
cérébrale
sera plus connue. : DARDEZ. 508 BIBLIOGRAPHIE.
de la paralysie générale qui, sou- vent, peut être appelée syphilis
cérébrale
diffuse. n La thérapeutique iodurée et mercurie
es sens musculaire et stéréognostique dans les hémiplégies de cause
cérébrale
. Antheaume (André). Contribution à l'étude de l
musculaire et du sens stéréognostique dans les hémiplégies de cause
cérébrale
. Cabrol (Emile). Sur un cas de tabes avec artli
aires 510 () BIBLIOGRAPHIE. paralysés dans l'hémiplégie d'origine
cérébrale
. "Clément (Emma- nuel-François). Zona et pneumo
olie, car depuis quelque temps il donnait des signes de dérangement
cérébral
. (Le Républicain Orléanais, 15 avril.) A Tourbe
arition du sieur Derminot, atteint depuis quelque temps de troubles
cérébraux
. - Or, samedi 30 avril le cadavre du malheureux
eu à traiter la question suivante : Cellules nerveuses de l'écorce
cérébrale
, anatomie et phy- siologie. Les questions resté
aient : 10 Faisceau pyramidal, anatomie et physiologie; 2° Pie-mère
cérébrale
, anato- mie et physiologie. Les candidats éta
Klippel, 61. Artériosclérose. Etat des capillaires de l'écorce
cérébrale
dans l' - des gros vaisseaux, par Lapinski, 09.
. Génital. Perversion du sens , par Itosenn.tcu, 15 ? - Gt,tone
cérébral
, par Devic et Cour- mont, 240. Goitre faophta
par Vigouroux et Mally, 223. Hémisphère. Non-éqnivalence ries -
cérébraux
, par lilippel, 482. ! ! EKi'.DnË dans les maladie
s,2H. - , 536 TABLE DES MATIÈRES. Maladie familiale à symptômes
cérébraux
bulbaires, par Pauly et Bonne, 238. Manie err
phale : Diagnostic dtfftienHei.par J. Teissieret J. Row, 1, 91. -
cérébrale
, par Kraus,)64.du système ner- veux central,
, 323. Tuberculeuses. Névroses. -, par Escti(lei,, 231. Tumeurs
cérébrales
et épilepsie lachsonienne, par Abrams et Du-
TEUR Atlas d'Anatomie topographique du cerveau et des localisations
cérébrales
. 1882. 1 vol. in-4, 200 pages avec 18 planches ch
vail, j'ai fait l'étude du cerveau au point de vue des loca-lisations
cérébrales
; j'ai donc déjà décrit la surface externe et donn
de Yanatomie topographique du cerveau pour l'étude des localisations
cérébrales
; j'ai désiré le compléter par la description tech
ipital. Il est en continuité supérieurement avec les deux hémisphères
cérébraux
, inférieurement avec les deux lobes cérébelleux.
du cerveau (Pl. I, 2), situé verticalement entre les deux hémisphères
cérébraux
; on trouve ensuite la tente du cervelet, interpos
'expansion du cerveau pendant l'activité momentanée de la circulation
cérébrale
. Il était donc utile que ce liquide ne fût pas à
ement devant lui pour occuper les espaces laissés libres par la masse
cérébrale
, tandis que le cerveau se porte vers la partie la
Gavoy, Atlas d'anatomie topographique du cerveau et des localisations
cérébrales
. Ces deux zones sont séparées par un petit lisé
noyau et de ramifications. Elle occupe le centre même de l'hémisphère
cérébral
et fait saillie au milieu de la face hiterne de l
ées dans le même hémisphère. A la région antérieure d'un hémisphère
cérébral
, on trouve un faisceau curviligne, le faisceau ar
r le côté externe de la corne pos- (1) Charcot, De V hémianesthésie
cérébrale
, Leçons sur les localisations dans les maladies d
s genouillé interne et le corpus Luysii, et pénètre dans le pédoncule
cérébral
(Pl. XXVI, 5). C'est sans doute le groupe de libr
et inférieures de ce faisceau gagnent la région externe du pédoncule
cérébral
. Le système de fibres convergentes comprend don
nné celui de voûte à trois piliers ; Chaussier les a appelées trigone
cérébral
, et Vicq-d'Azyr triangle médullaire (Pl. IV, 4; X
l'intérieur de chaque lobe cérébelleux, comme dans chaque hémisphère
cérébral
, un noyau décrit par Vieussens sous le nom de cor
grise, de la même manière que les fibres médullaires des hémisphères
cérébraux
. Au centre de chaque circonvolution cérébelleus
e sont les analogues des fibres arciformes de la substance médullaire
cérébrale
. § 2. Le système des fibres commissurantes est
inférieur, formé par la moelle allongée, constitué par les pédoncules
cérébraux
, les pédoncules céré-belleux moyens, la protubéra
ion postéro-inférieure des couches optiques sur les bords de la fente
cérébrale
de Bichat, appuyés contre les fibres pédonculaire
isceau unique. Ce faisceau contourne le bord supérieur des pédoncules
cérébraux
, sous le nom de bandelettes optiques, se sépare p
rise forme, de chaque côté de la ligne médiane, dans chaque pédoncule
cérébral
, un noyau transversal curviligne. Ce noyau renfer
VIII, 12; XL, 22). § 3. A ïextrémité supérieure de chaque pédoncule
cérébral
, la substance grise se réunit en un noyau de coul
protubérance ; ils émergent au dehors pour constituer les pédoncules
cérébraux
. La portion motrice, considéra-blement augmentée
a portion motrice par la substance grise du locus niger. Le pédoncule
cérébral
semble ainsi partagé en deux moitiés blanches : l
nerveuses spinales. — Arrivé à l'extrémité supérieure des pédoncules
cérébraux
, chaque cordon de la moelle se dirige vers les él
ance grise de ces noyaux. Les fibres les plus internes du pédoncule
cérébral
se détachent du faisceau principal, se groupent s
ouges de Stilling. Il occupe le plan le plus inférieur des pédoncules
cérébraux
et forme leur bord le plus interne. Il se dirige
nti-culaire. Il descend, par sa portion interne, entre les pédoncules
cérébraux
, côtoie la ligne médiane, gagne le côté opposé, s
atéraux de la moelle. La totalité de l'étage inférieur du pédoncule
cérébral
ne s'est pas épuisée dans le corps strié et le no
e grise qui entoure l'aqueduc de Sylvius, pénètre dans les pédoncules
cérébraux
, où il rencontre les pédoncules cérébelleux supér
re sagittale. Le bord inférieur est libre entre les deux hé-misphères
cérébraux
au-dessus du corps calleux et loge le sinus longi
isses, planes et en rapport avec la face interne de chaque hémisphère
cérébral
; la base est en continuité en arrière et en bas a
s. La gouttière basilaire reçoit sur son plan in-cliné les pédoncules
cérébraux
(14), la protubérance annulaire et le bulbe rachi
m ou bourrelet, qui constitue la lèvre supé-rieure de la grande fente
cérébrale
de Bichat. 3. — La cloison transparente ou sept
d inférieur se fixe sur une bandelette de fibres blanches, le trigone
cérébral
. Ces deux lames laissent entre elles un petit esp
Voir E. Gavoy, Anatomie topographique du Cerveau et des Localisations
cérébrales
. Paris, 1882. La face interne est grisâtre et t
piliers antérieurs du trigone. 9. — Section médiane des pédoncules
cérébraux
, au point où ils se séparent à angle aigu pour se
région pos-térieure, les pyramides postérieures (19). a. — L'artère
cérébrale
antérieure, branche de la carotide interne, irrig
du bord supérieur de la protubérance, en deux branches : les artères
cérébrales
postérieures. d. — Branche de l'artère cérébral
hes : les artères cérébrales postérieures. d. — Branche de l'artère
cérébrale
postérieure. — L'artère cérébrale postérieure se
rieures. d. — Branche de l'artère cérébrale postérieure. — L'artère
cérébrale
postérieure se partage en trois artères : la prem
couvre une couche de substance blanche, formant l'écorce du pédoncule
cérébral
(pes, crusta) ou Xétage inférieur, par opposition
ceaux de fibres blanches, qui s'étend du bulbe rachidien au pédoncule
cérébral
, dont il constitue l'étage supérieur. La sectio
r sortie de la protubérance, formant le plan inférieur des pédoncules
cérébraux
, recouvertes par la substance grise du locus nige
es fibres spinales postérieures, qui sont séparées, dans le pédoncule
cérébral
, des fibres spinales antérieures par la substance
us niger occupe à ce niveau à peu près toute l'épaisseur du pédoncule
cérébral
. 14. — Section de la bandelette optique. Au-des
inue son trajet di-rect; c'est le faisceau direct moteur du pédoncule
cérébral
. Le groupe postérieur de fibres, qui paraît s'arr
en avant, puis se séparent : les unes se relèvent vers les pédoncules
cérébraux
, les autres s'inclinent vers le bulbe. Le fais-ce
ou splenium, est arrondie; elle forme la lèvre supérieure de la fente
cérébrale
de Richat. La face supérieure présente un sillo
face interne, est recouvert par les bandelettes géminées, ou trigone
cérébral
, qui sépare le ventricule de la voûte formée par
erne, suit le bord interne du lobe sphénoïdal, et entre, par la fente
cérébrale
de Bichat, dans la cavité des ventricules latérau
(10, 11, pl. II), en avant du vermis superior, au milieu de la fente
cérébrale
de Bichat. Ils sont constitués par une masse de s
l'angle postérieur du noyau lenticulaire et plonge dans le pédoncule
cérébral
en dehors et en arrière du faisceau des fibres sp
niger de Sœmmering a fait son apparition dans la coupe des pédoncules
cérébraux
; en avant est le corpus Luysii, en dedans sont le
e du corps genouillé externe. Ces bandelettes embrassent le pédoncule
cérébral
et se dirigent d'arrière en avant. 10. — Sectio
. 11. — Section des fibres spinales. Étage inférieur des pédoncules
cérébraux
(pes, crusta). 12. — Sustance grise du locus ni
rtères lenticulo-striées et lenticulo-optiques. La coupe du pédoncule
cérébral
, obliquement dirigée d'avant en arrière et de hau
oyen. 7. — Section de la bandelette optique en avant des pédoncules
cérébraux
(voir Pl. XXIX). 8. — Substance grise du gangli
16. — Fibres spinales postérieures, étage supérieur des pédoncules
cérébraux
. 17. — Fibres transversales provenant des pédon
r la ligne médiane, appartenant à la région antérieure des pédoncules
cérébraux
. 18. — Substance grise interpédonculaire. 19.
trou optique, avant sa ter-minaison en quatre branches : (3) L'artère
cérébrale
antérieure, unie à celle du côté opposé par la co
unie à celle du côté opposé par la communicante antérieure ; l'artère
cérébrale
moyenne ou sylvienne qui s'engage dans la scissur
muns. Ils ont leur origine apparente à la face interne des pédoncules
cérébraux
, au-dessus du bord supérieur de la pro-tubérance.
supérieur de la pro-tubérance. 9. — Face inférieure des pédoncules
cérébraux
. 11. — Section de la substance grise de la corn
ondulations et les lamelles formés par la sub-stance grise corticale
cérébrale
et cérébelleuse. Le centre médullaire des hémis
e fibres commissurantes. En haut le vermis superior couvre la fente
cérébrale
de Bichat; le vermis inferior masque, en bas, la
poris callosi ; en bas, elles forment la lèvre supérieure de la fente
cérébrale
de Bichat ; leur entre-croisement constitue un ra
uadrijumeaux ; elle montre la disposition et les rapports de la fente
cérébrale
de Bichat avec les cavités ventriculaires ; la si
eau formé par les fibres antérieures les plus internes des pédoncules
cérébraux
(voir Pl. XXVI, PL XXIX et 14, PL XXX), le faisce
re, caractérisée par ses fïexuosités prononcées, et une branche de la
cérébrale
postérieure qui se rend à la partie inférieure du
veux sont en rapport avec la série d'artérioles fournies par l'artère
cérébrale
antérieure, qui irrigue la tête du corps strié, e
a substance grise corticale enveloppe de toutes parts les hémisphères
cérébraux
; ils ne comprennent que leur portion antérieure,
est moins abondante que dans les régions postérieures des hémisphères
cérébraux
; cependant elle présente une grande épaisseur su
r MM. Roonmomrcu et DuFoun en Janvier 1897. L'hémiplégie par lésion
cérébrale
revêt des formes plus ou moins com- pliquées et
tie inférieure de la face, dans le côté du corps opposé à la lésion
cérébrale
. Dans ces cas cette lésion siège soit sur les cir
sceau moteur qui partant de ces centres se dirige vers le pédoncule
cérébral
. Le point important à noter ici c'est que la lési
oujours du côté opposé à l'hémiplégie, parce que le faisceau moteur
cérébral
s'entrecroise au niveau du bulbe avec celui du cô
et comme eux siégeant du côté opposé à la lésion de l'hémi- sphère
cérébral
. Parmi les' troubles sensoriels produits par un
re cérébral. Parmi les' troubles sensoriels produits par une lésion
cérébrale
il en est un fort intéressant, se rattachant à
t xi i 2 A. JOFFROY croisée et siège du côté opposé à la lésion
cérébrale
. Ce n'est là qu'une apparence, car si le malade
e sorte d'anomalie à la loi générale qui semble régir en pathologie
cérébrale
la distribution des troubles moteurs et sensiti
ls qui constituent l'hémiplégie, siègent du côté opposé à la lésion
cérébrale
. Je veux encore attirer votre attention sur une
ubles de la sensibilité, et la lésion siège alors dans l'hémisphère
cérébral
gauche, atteignant, suivant la variété d'aphasie
alade, l'aphasie se combine avec une hémiplégie gauche et la lésion
cérébrale
siège dans l'hémisphère cé- rébral droit. Voi
principales formes d'hémiplégie obser- vées à la suite d'une lésion
cérébrale
; voyons maintenant quelles sont les modificati
es quand la lésion siège au-dessous du cerveau, dans les pédoncules
cérébraux
, la protubérance ou le bulbe. Tantôt on aura
elettes optiques qui sont en connexion intime avec les pé- doncules
cérébraux
qu'ils contournent. Plus en arrière, le nerf de
e réunissent et viennent émerger sur le côté interne des pédoncules
cérébraux
, séparé du chiasma optique par la lige pituitai
millaires. Plus en arrière encore, sur le bord externe du pédoncule
cérébral
et le contournant, le nerf de la 4e paire ou pa
Corps pituitaire. - T M. Tubercules mamillaires. - Ped. Pédoncules
cérébraux
. - C G. Corps ge- nouillés. - P A. Protubérance
ulbe, et ces noyaux qui sont en rapport avec des centres supérieurs
cérébraux
, en-' voient des nerfs aux muscles de l'oeil, d
Or, au niveau des noyaux de ces nerfs se trouve le faisceau moteur
cérébral
, ou faisceau pyramidal qui n'a pas encore effec
lives. Une seule et même lésion siégeant dans l'un des pédon- cules
cérébraux
, dans l'une des moitiés de la protubérance ou du
u du moins n'aurait été que peu marquée, si seuls les prolongements
cérébraux
de l'hypoglosse, c'est-à-dire ses neurones mote
ements cérébraux de l'hypoglosse, c'est-à-dire ses neurones moteurs
cérébraux
eussent été détruits ou lésés. Voilà une premiè
ence de la troisième paire se fait sur le côté interne du pédoncule
cérébral
, que le moteur oculaire commun tient sous sa dé
apoplexie dépasse de beaucoup les limites de la région du pédoncule
cérébral
. J'attirerai aussi votre attention, d'après les
il y a des troubles du langage consécutifs à la lésion du pédoncule
cérébral
gauche il s'agit, ou bien simplement de trouble
e habituellement à une seule et môme lésion atteignant le pédoncule
cérébral
droit. SYNDROME TEMPORAIRE DE WEBER AVEC HÉMIOP
e rapidement comme cela arrive dès que l'hémor- rhagie du pédoncule
cérébral
atteint certaines dimensions ; et même de cette
confirment dans l'opinion d'une lésion très limi- tée du pédoncule
cérébral
qui suffit pour expliquer le syndrome de Weber
siques et les troubles hémiopiques. Si l'hémorrhagie du pédoncule
cérébral
ne peut, dans ce cas, expliquer les phénomènes
a- tion de l'artère basilaire qui donne ainsi naissance aux artères
cérébrales
postérieures. vA 1 centimètre environ de leur
postérieures. vA 1 centimètre environ de leur origine, les artères
cérébrales
postérieu- res reçoivent la communicante postér
res reçoivent la communicante postérieure, contournent le pédoncule
cérébral
correspondant jusqu'au voisinage des tubercules q
térieure, c'est-à-dire dans la partie directe ou as- cendante de la
cérébrale
postérieure sur une longueur de 5 à 12 millimé-
andelette optique. Si maintenant nous supposons une thrombose de la
cérébrale
postérieure après qu'elle a reçu la communicant
teur au remarquable travail de L. o'AsTnos, Pathologie du pédoncule
cérébral
, in Revue de Médecine, 189'r, p. 125. SYNDROME
fonction. On trouverait donc dans l'hypothèse d'une thromhose de la
cérébrale
pos- térieure après qu'elle a reçu la communica
oit, hémiopie gauche et paraphasie en admettant une thrombose de la
cérébrale
postérieure droite sur la plus grande partie de
un, nous pensons qu'on peut supposer une thromhose siégeant dans la
cérébrale
postérieure au niveau même de son union avec la c
très ralentie, mais non interrompue, dans la première partie de la
cérébrale
postérieure qui donne naissance aux 10 collatér
nous semble logique de penser que l'obstruction thrombosique de la
cérébrale
postérieure, au niveau de l'embouchure de la comm
l'hypothèse que nous formulons, celle d'une throm- bose de l'artère
cérébrale
postérieure droite au niveau de l'embouchure de
ion complète de la circulation dans les branches termi- nales de la
cérébrale
postérieure donnant lieu à un ramollissement de
lentissement considérable de la circulation dans cette partie de la
cérébrale
postérieure droite, s'étendant de son origine jus
moteur oculaire commun, ainsi que de la partie motrice du pédoncule
cérébral
. Ce trouble circulatoire aurait donné lieu aux
'encoche centrale constatée habituellement dans l'hémiopie de cause
cérébrale
. En définitive nous arrivons à cette conclusion
définitive nous arrivons à cette conclusion, que la thrombose de la
cérébrale
postérieure peut, suivant son étendue et sa local
siège dans la première partie, partie directe ou as- cendante de la
cérébrale
postérieure, qui forme un des côtés de l'hexagone
- ber (1). 2° Si la thrombose siège au delà de l'anastomose de la
cérébrale
pos- térieure avec la communicante postérieure,
unicante postérieure, c'est-à-dire dans la partie ré- fléchie de la
cérébrale
postérieure, la circulation de l'hexagone de Will
aura aucune lésion, aucun trouble cir- culatoire dans le pédoncule
cérébral
, tandis qu'il se produira un ramol- lissement é
dans la communicante postérieure et dans la pre- mière partie de la
cérébrale
postérieure et en particulier le syndrome de We
la sorte le syndrome de Weber temporaire. 4° L'oblitération de la
cérébrale
postérieure pourrait être assez étendue pour ob
hier et de Pick, de Mnyor, d'Oyon, de Ley- den. 1C A. JOFFROY .
cérébral
, de la couche optique, du lobe occipital et de la
ielle, sous quelle influence s'est faite cette obli- tération de la
cérébrale
postérieure ? S'agit-il d'une artérite vulgaire,
fs de clini- que a cru pouvoir étayer la possibilité de la syphilis
cérébrale
sur les faits suivants : le mari de la malade a
t il ne faut pas oublier que les phénomènes produits par une lésion
cérébrale
en foyer (qu'il s'agisse d'une hémorrhagie ou d'u
n traitement aiiti-sypliilitique institué dès le début des troubles
cérébraux
donne très rapidement des effets salutaires, il s
'agit là surtout et avant tout d'une affection irritative du cortex
cérébral
, capable de troubler, directement ou indirectemen
. Le grand-père maternel, rhu- matisant, est mort d'une hémorrhagie
cérébrale
, et son père d'une phtlli- sie laryngée. Tant d
qui, d'habitude, n'a point de valeur pour l'étude des localisations
cérébrales
à cause des phéno- mènes de voisinage qu'elle p
une importance considérable sous le point de vue des localisations
cérébrales
. Il me semble donc, d'après ces travaux, et sans
ou- jours le résultat de décharges des éléments moteurs de l'écorce
cérébrale
, les lésions corticales qui provoquent ces déch
la clinique en démon- trant que l'excitation électrique de l'écorce
cérébrale
chez les animaux peut produire des convulsions
(1) GIUSEPPE Silyestiuni, Contribuzione allo studio della patologia
cérébrale
, dans la Riv. sperimentale di freniatra, 1880,
nt, nous savons que la destruction de certaines parties de l'écorce
cérébrale
est suivie de la paralysie des muscles du côté op
st peu marquée et seule elle est localisée dans les circonvolutions
cérébrales
. C'est qu'en 52 G. GASNE effet les centres ro
Il y a donc, comme le soutient M. Pitres,, confusion dans l'écorce
cérébrale
des territoires d'association et des terri- toi
isphère envoie des fibres de projec- tion dans le pied du pédoncule
cérébral
, les secteurs antérieur et posté- rieur sont re
ortés sont des exemples frappants de la dissociation de ces centres
cérébraux
, les uns centres de projection servant à la sen
éflexe rotulien, d'abord aboli, a reparu du fait d'une complication
cérébrale
. Il n'en est pas toujours ainsi [De- bove (2),
ce sur la réflectivité de cet organe. Lorsque survient un processus
cérébral
qui, annihilant les centres d'arrêt, exalte la ré
SUR LA PARALYSIE DU FACIAL SUPÉRIEUR DANS L'HÉMIPLÉGIE PAR LÉSION
CÉRÉBRALE
PAR CH. FÉRÉ Médecin de Bicêtre. La parti
s mouvements voloizlai- Tes considérés dans l'hémiplégie par lésion
cérébrale
, dans l'amyosthénie hystérique et en particulie
l'appui de cette systématisation. Dans les paralysies par lésions
cérébrales
, on a admis aussi des restric- tions relativeme
oeil sain. Coingt, tout en admettant que, dans l'hémiplégie faciale
cérébrale
, la pa- ralysie de l'orbiculaire n'est jamais c
XVIII PARALYSIE DU FACIAL SUPÉRIEUR dans l'Hemip)cgic par lésion
cérébrale
(Ch. Iiré) MASSON & Cie, Editeurs NOTE
mai). Cette observation présente un double intérêt : 1° Une lésion
cérébrale
datant de l'enfance et laissé ces cas de troubl
se pour être toujours indemne dans l'hémiplégie ancienne par lésion
cérébrale
. Celle participation de l'orbiculaire à la paraly
ersistance de la participation du facial supé- rieur à l'hémiplégie
cérébrale
n'est pas plus fréquente qu'on ne le pense, en
cons- tatation ne comporte pas la conclusion que dans l'hémiplégie
cérébrale
comprenant le facial tout le domaine du facial
vis, vigoureusement en faveur de l'existence d'une lésion centrale,
cérébrale
ou médullaire, peut être d'un simple trou- ble
pement du cerveau peut être vicié. Alors apparaissent des anomalies
cérébrales
qui se traduisent cliniquement par des phénomènes
érieurement. Dans la fosse médiane on voit une portion de substance
cérébrale
recouverte d'une membrane qui se continue en arri
s la fosse médiane, il recouvre du côté droit un reste de substance
cérébrale
et du côté gauche ce prolongement s'amincit et
incit et devient si transparent qu'on voit il travers lui une masse
cérébrale
de la grosseur d'une noix. Dans la fosse crânie
les os frontaux et s'attachent à la membrane qui recouvre la masse
cérébrale
disposée dans la fosse crânienne médiane. (PL XXI
fosse à forme rhomboïde dont le fond est recouvert d'une substance
cérébrale
provenant de l'hémisphère droit. Les tubercules
uit : la moelle allongée, le cervelet en dessous, un reste du tronc
cérébral
et un reste des hémisphères long de 5 centimètr
ventrale. Derrière cette couche se trouvait un reste de subs- tance
cérébrale
, recouvert d'une grosse et luisante membrane ; ce
cend jusqu'à la base du crâne et recouvre ici un reste de substance
cérébrale
, situé dans la fosse médiane du crâne; postérie
este de SUR LES DIFFORMITÉS CONGÉNITALES DU CERVEAU 1S9 substance
cérébrale
, mais il est plus petit. Derrière le reste du cer
ste une grande ressemblance entre eux. Dans tous les trois le tronc
cérébral
seul était conservé, la moelle allongée, le pon
ant sa vie. La voûte crâ- nienne manquait chez l'enfant et la masse
cérébrale
était disposée sur la base crânienne présentant
s cordons latéraux de la moelle épinière et plus haut dans le tronc
cérébral
le manque de la voie pyramidale ? L'unique explic
rce s'est arrêté aussi ; de là l'absence de pyramides dans le tronc
cérébral
et l'existence de la fissure dans la moelle épini
e sont développées normalement ? Dans nos trois cas les hémisphères
cérébraux
manquent presque totalement, c'est pourquoi sont
ces cellules ne reçoivent pas des cellules pyramidales de l'écorce
cérébrale
le stimulus nécessaire pour leur développement. E
oppement. En effet à cette époque la cellule pyramidale de l'écorce
cérébrale
ne s'est pas encore mise en connexion avec la cel
ces de la moelle épinière et les cellules pyrami- dales de l'écorce
cérébrale
, de sorte que pour les cellules motrices de la
du prolongement cylindre-axile de la cellule pyramidale de l'écorce
cérébrale
. Tant qu'il n'y a pas eu de contact entre la ce
le prolongement cylindre-axile de la cellule pyramidale de l'écorce
cérébrale
, la cellule motrice de la moelle épinière ne poss
re dans le courant de cette année, sur d'autres exemples de tumeurs
cérébrales
. Ce sera pour moi l'occasion d'entreprendre une
oi l'occasion d'entreprendre une étude clinique des localisa- tions
cérébrales
. Cette étude doit vous intéresser à deux points d
à l'intervention opératoire, en tant qu'il s'agit des tumeurs dites
cérébrales
, des tumeurs inlra-cràniennes. La malade dont i
détail. Je ne vois guère que la sclérose en plaques et les tumeurs
cérébrales
qui puissent entrer en ligne de compte. Il ne sau
ques, mais tel n'est pas mon avis. Reste l'hypothèse d'une tumeur
cérébrale
. A plusieurs reprises, j'ai déjà ri eu l'occasi
ous orienter dans la voie de celle hypothèse un peu vague de tumeur
cérébrale
, il en est trois autres, dont la siginfication es
re accentuer nos présomptions en faveur de l'existence d'une tumeur
cérébrale
; ils sont propres à nous éclairer sur le siège
ives au mécanisme pathogénique des accidents causés par les tumeurs
cérébrales
. Je suppose le cas où une néoplasie susceptible
désorganisant. Tous les éléments de la symptomatologie des tumeurs
cérébrales
découlent de là. Tous, ils se ramènent, soità à d
. Il est donc entendu que les phénomènes en rapport avec une tumeur
cérébrale
sont de deux ordres : phénomènes de compression g
ue toujours, la névrite oedémateuse est la conséquence d'une tumeur
cérébrale
. Chez notre malade, elle parait être en rapport
ent que toutes les présomptions parlent dans le sens d'une tu- meur
cérébrale
, il nous reste à préciser le siège de celte tumeu
ose à attendre de la thérapeutique in- terne. Seules, les tumeurs
cérébrales
d'origine syphilitique sont justiciables, dans
neurasthénie, puis, plus certainement, à l'invasion d'une syphilis
cérébrale
. Guérison d'une rapidité significative par la m
ymptômes multiples d'ostéites naso-crhniennes. rnvasion de troubles
cérébraux
symptomatiques, et mort en 1878 (1). Marié en 1
un bébé à vingt ans ». Vers trente ans, elle fut prise d'accidents
cérébraux
, devint maniaque, puis démente, et succomba.
e : enfant venu Ù terme, syphilitique ; mort à dix mois d'accidents
cérébraux
. Observation (communiquée par M. le Dr 13AnTnr
un excès dépression intra- crânienne, une hydrocéphalie, une tumeur
cérébrale
, un état de souffrance cérébrale quelconque ? N
nne, une hydrocéphalie, une tumeur cérébrale, un état de souffrance
cérébrale
quelconque ? Ne serait-elle donc qu'un phénomène
u membre inférieur droit et aplasie osseuse. Atrophie médullaire et
cérébrale
. liourl... François, âgé de 41 ans, musicien, e
ATROPHIE DES CENTRES NERVEUX (ACHARD et LËOPOLD-LÉVi) Hémisphères
cérébraux
vus par leur face interne. (Photographies dues
ans. On constate une atrophie simple de la moelle et de l'atrophie
cérébrale
. Quant à la cause de l'arthrite, elle reste un
e laxité exagérée. Il nous faut maintenant revenir sur l'atrophie
cérébrale
. Elle est loca- lisée ici au lobule paracentral
du volume des grandes cellules pyramidales. L'atrophie de l'écorce
cérébrale
, répondant comme siège au centre mo- teur du me
îne la perturbation fonctionnelle puis l'atrophie du neurone moteur
cérébral
(1). (1) M. Apert a présenté tout récemment à l
nale' une atrophie de la corne antérieure de la moelle et du centre
cérébral
correspondant au membre paralysé. A l'occasio
nécropsie et il ne constate aucune différence entre les hémisphères
cérébraux
et les nerfs crâniens de droite et de gauche :
on est cependant augmenté de volume et déprime in situ la substance
cérébrale
. IIeumann attire l'attention sur la rudesse spé
t est plus volumineux que le gauche et qu'à son niveau la substance
cérébrale
est déprimée. Il n'y a an- cune différence dans
rveau, ou plus exactement malgré l'absence totale des hémis- phères
cérébraux
, les enfants en question sont venus au monde, non
RAL 369 pement, peut amener à une atrophie complète des hémisphères
cérébraux
et peut même conduire à l'anencéphalie. Dans
oute, influer sur les parties avoisinant cerveau, et c'est l'écorce
cérébrale
qui s'atrophie d'abord sous l'inflt de la compr
ls occupent à eux seuls presque toute la cavité crânienne. L'écorce
cérébrale
devient alors si mince qu'elle se transforme en
e la fosse crânienne médiane qu'on aperçoit un restant de substance
cérébrale
, formant deux couches et ressemblant à des oeuf
iquide, que sous l'influence de sa pression, presque toute l'écorce
cérébrale
s'est transformée en une membrane très fine, l'en
on ne retrouve que la membrane, qui n'est autre chose que l'écorce
cérébrale
amincie sous l'influence de l'accumulation du liq
es couches optiques ; dans la fosse postérieure, un reste de l'écorce
cérébrale
attenant au repli falciforme. C. Cas I. Base
- Cas IL Encéphale : moelle allongée, cervelet, et un reste d'écorce
cérébrale
soulevé. MASSONS & Cie, Editeurs DES DIFF
coupée en deux, auprès d'elle est situé un petit reste de l'écorce
cérébrale
qui dans d'autres en- droits s'est transformé e
tricules latéraux, se produit la disparition totale des hémisphères
cérébraux
. Mais quelque- fois ce phénomène est plus compl
les parois-de la vésicule, qui s'est formée aux dépens de l'écorce
cérébrale
, peuvent se rapprocher, lorsque dans certaines
iques. Et quand on enlève le cerveau on ne trouve plus que le tronc
cérébral
recouvert de membranes fibreuses assez épaisses
survient une distension considérable des ventricules, mais l'écorce
cérébrale
amincie ne prend pas 372 NICOLAS SOLOVTZOFF l
recouvrent les couches optiques. En somme, dans les cas où l'écorce
cérébrale
amincie ne prend pas l'as- pect d'un globe reco
etrouver ici , avec les fais- ceaux fibreux, des restes de l'écorce
cérébrale
amincie, en forme de mem- brane. Ainsi donc,
risées parce fait que, de tout le cerveau, il ne reste que le tronc
cérébral
, et le cervelet. Quant à l'écorce cérébrale, el
il ne reste que le tronc cérébral, et le cervelet. Quant à l'écorce
cérébrale
, elle manque quelquefois totalement; d'autres foi
as, on devra considérer que les faisceaux fibreux qui vont du tronc
cérébral
vers la surface interne des os, permettent de p
e cause tout à fait différente peut également produire une anomalie
cérébrale
d'apparence analogue. Nous voulons parler du cas
nasal. Il est intéressant de remarquer que le reste des hémisphères
cérébraux
est tout à fait isolé, et n'est lié avec les au
ésicule ophtalmique n'est autre chose qu'une portion de la vésicule
cérébrale
primitive prolongée en avant, il faut penser qu
htalmiques. L'accumulation considérable du liquide dans la vésicule
cérébrale
pro- voqua un élargissement non seulement de ce
rébrale pro- voqua un élargissement non seulement de cette vésicule
cérébrale
primi- tive, mais aussi de toutes les enveloppe
ienne seule resta recouverte d'une membrane, reste de la vé- sicule
cérébrale
qui ne pouvai plus se développer parce qu'elle se
interne. Il est certain, que chez l'en- fant de 2 ans dont le tronc
cérébral
était conservé et dont l'écorce cérébrale seule
fant de 2 ans dont le tronc cérébral était conservé et dont l'écorce
cérébrale
seule était transformée en membrane, le process
chez lequel sous l'iiinence d'une hy- drocéphalie interne, l'écorce
cérébrale
s'est transformée en membrane très fine, revêta
e interne du crâne (PI. XI, A, IL C). Le cerveau se réduit au tronc
cérébral
. 2° Enfant âgé de 4 jours seulement, on ne retr
Enfant âgé de 4 jours seulement, on ne retrouve encore que le tronc
cérébral
; ici la difformité a été provoquée par la soudur
ances blanche et grise des parties lombaire et dorsale de la moelle
cérébrale
,mais dans la région cervicale les particularités
eil, qui est très diminué et en général toutes les parties du tronc
cérébral
à ce niveau, à l'exception des pyramides, qui m
développé ; mais il n'y a point de pyramides; à cela près le tronc
cérébral
ne présente rien d'anormal à ce niveau (PI. XLI
s que, outre l'absence des pyramides sur toute la longueur du tronc
cérébral
, on re- marque les particularités suivantes ; l
ue (PI. XLIV, U). Plus loin, au niveau de la naissance du pédoncule
cérébral
il l'endroit où l'entrecroisement des pédoncule
encore. Plus liant, au niveau des noyaux rouge à l'endroit du tronc
cérébral
où, du côté laté- ral, sont situés les pédoncul
rieurs, il n'y a pas de pulvinar, en outre à la base du pé- doncule
cérébral
, les fibres à myéline manquenl totalement (PI. XL
(pli. XLV, Y). Voilà tout ce qui reste des hémisphères et du tronc
cérébral
. Quant il l'écorce cérébrale,elle or.;\'. ICO'O
e qui reste des hémisphères et du tronc cérébral. Quant il l'écorce
cérébrale
,elle or.;\'. ICO'OGI(,%IIIIL ni' la SILi'F1RILH
ur- tant on ne rencontre point les cellules spéciales de l'écorce
cérébrale
; cependant dans la partie des hémisphères qui
ications est double. Certaines d'entre elles (l'absence de l'écorce
cérébrale
, du pulvinar, du corps genouillé, etc.), s'expl
tres modifica- tions secondaires résultent de l'absence de l'écorce
cérébrale
: telles sont l'absence des pyramides (c'est-à-
e des pyramides (c'est-à-dire de la voie motrice allant de l'écorce
cérébrale
vers les cellules des cornes antérieures), l'abse
postérieurs bien dévelop- Fig. 2. Cellule pyramidale de l'écorce
cérébrale
(Cas I). 380 NICOLAS SOLOVTZOFF pés; quant au
ntérieure résulte de l'absence des cellules pyramidales de l'écorce
cérébrale
. Dans la première moitié de la vie intra-utérin
rolongements cylindres-axiles des cellules pyramidales 'de l'écorce
cérébrale
et les dendrites des cellules motrices de la co
ions qui ont pu remplacer l'absence d'impulsions venant de l'écorce
cérébrale
. ' Quant aux autres monstres leurs cellules pré
x aussi le degré de l'anomalie dé- pend de la quantité de substance
cérébrale
qui persiste. Moins était gros le reste de la s
e cérébrale qui persiste. Moins était gros le reste de la substance
cérébrale
, plus l'aspect des cellules était bi- zarre : m
buté à une période très précoce de la vie embryonnaire, la vésicule
cérébrale
se distendit tellement qu'elle fut sou- mise à
du ruban de Reil s'explique par l'absence presque complète de tronc
cérébral
; l'absence des olives et des voies cérébelleuses
e processus morbide est plus accentué, alors non seulement l'écorce
cérébrale
manque, mais encore toute la voûte crânienne; il
finie. Dans ce qu'on est convenu d'appeler l'écorce des hémisphères
cérébraux
, il y a un territoire chargé spécialement de co
relation. Voilà ce que nous enseigne la doctrine des localisations
cérébrales
, entrevue par quelques esprits éminents, dès la
inées des uns et des autres la doctrine naissante des localisations
cérébrales
. Messieurs, l'avènement de cette doctrine a été
connaissances que nous avons acquises, touchant les locali- sations
cérébrales
, il nous est devenu possible de déterminer, dans
ues explications sur ce sujet. A l'état de veille, notre activité
cérébrale
s'exerce de deux façons distinctes : Tantôt, no
e fonctionnement des centres nerveux est le propre de l'automatisme
cérébral
; lui seul subsiste, pendant le sommeil naturel ou
nté étrangère. Son activité psychique est dominée par l'automatisme
cérébral
; il suffira, pour le mettre en mouvement d'une
mise en mou- 412 INAUGURATION DU MONUMENT vement de l'automatisme
cérébral
, chez un être humain infériorisé, dont la vo- l
de conscience propres, pour ne laisser subsister que l'automatisme
cérébral
: il faut endormir le sujet, avant de le soumet
surnaturel : ce sont essentiellement des produits de l'automatisme
cérébral
, au même titre que les autres manifestations de
a plus grosse part, il l'édification de la doctrine des localisations
cérébrales
, qui est devenue quelque chose comme la préface
er aux proportions plus modestes de manifestations de l'automatisme
cérébral
chez des sujets hystériques. Je vous ai laiss
st alcoolique. Mère morte après 8 jours de maladie d'une congestion
cérébrale
. Pas de consanguinité entre le père et la mère;
demi-idiotie et à l'épilepsie. D'une part, on sait que les lésions
cérébrales
(scléroses, porencéphalie, etc.) qui donnent les
nulle. Il est donc très probable que chez notre malade, les lésions
cérébrales
et celles de la face sont anatomiquement de mêm
entre les nfcvi étendus, sur- tout ceux de la face, et les lésions
cérébrales
se traduisant par l'idiotie, les affections spa
419. Paralysie du facial supérieur dans l'hémi- plégie par lésion
cérébrale
, par Cil. Flré £ (2 phot.), 147. Peintres de
sur la paralysie du facial supérieur dans l'hémiplégie par lésion
cérébrale
(2 phot.), 147. Fournier (Edmond). Les malforma
VII. Paralysie du facial supérieur dans l'hémi- plégie par lésion
cérébrale
(Cn. Féré), XVIII. Paralysie du grand dentelé
oblème de la constitution de la moelle épinière, du bulbe et du noyau
cérébral
, un nouveau mode de description de ces parties, u
calleux et de la voûte à trois piliers, la découverte des expansions
cérébrales
du nerf optique et de leurs curieuses modificatio
tomie comparée ; enfin, une étude attentive de l'évolution des formes
cérébrales
a permis de déterminer avec plus de certitude les
és deux cordons terminés en deux bandelettes qui, de la base du noyau
cérébral
, se portent à sa face supérieure, en s'enroulant
uverture qui divise en arrière la paroi de l'ensemble des ventricules
cérébraux
, passant de chaque côté, du milieu du bord postér
ouverture est la fente en fer à cheval. L'ensemble des ventricules
cérébraux
est immédiatement recouvert au côté dorsal par un
eux ventricules latéraux. On donne à ces coiffes le nom d'hémisphères
cérébraux
. Quant à la quatrième, elle consiste en deux ma
nt en particulier chacune de ses régions. § S. Description du noyau
cérébral
. Ce noyau est dès à présent divisé pour nous en
érentes régions sont surtout distinctes à la face inférieure du noyau
cérébral
, nous décrirons en premier lieu cette face en pre
paraît immédiatement au-devant du bulbe à la face inférieure du noyau
cérébral
. 2a Deuxième région, ou région de la protubéran
ons nous faire une idée assez complète de la face inférieure du noyau
cérébral
considéré dans son ensemble. Sur les côtés, les
. § 3. Face supérieure du noyau. Les parties supérieures du noyau
cérébral
, la plupart enveloppées par des parties surajouté
part avec le ventricule de la moelle, de l'autre avec les ventricules
cérébraux
. Une troisième appendice est médiane et occupe
bien distinct (sillon latéral de l'isthme) les distingue du pédoncule
cérébral
proprement dit. Reil les avait décrits sous le no
ant toute la vie. Ces concrétions sont désignées sous le nom de sable
cérébral
. On en ignore complètement les usages. Elles manq
e sens du plan médian de l'encéphale, entre les deux moitiés du noyau
cérébral
, les autres se développent latéralement, et sont
d'indiquer. Nous lui avons donné le nom de vestibule des ventricules
cérébraux
. La modification de l'étage supérieur du ventri
par suite du crâne qui doit le contenir. Ajoutons que les ventricules
cérébraux
sont presque tout le cerveau du fœtus. Les part
De là une ouverture en fer à cheval qiu divise la paroi du ventricule
cérébral
d'une corne sphenoidale à l'autre, en passant par
rties est la voûte à trois piliers, Fornix, autrement appelée trigone
cérébral
, nous la nommerons, pour abréger, voûte tout simp
a corne sphenoidale. Ils limitent ainsi la paroi propre du ventricule
cérébral
. De là ce nom de corps bordants, corpora fimbriat
res rayonnantes se recourbent au-dessus de l'ensemble des ventricules
cérébraux
, de manière à former au-dessus de cet ensemble un
bas en haut, puis d'avant en arrière. Une coupe transversale du noyau
cérébral
fait bien voir la première courbure. Une coupe mé
ces filaments se rattachent. Pour compléter cette histoire du noyau
cérébral
, nous devons indiquer maintenant les rapports qui
et les loges cérébelleuses du crâne, dépassant de chaque côté la loge
cérébrale
, donnaient au crâne une forme bizarre. Chez les p
ure en fera comprendre la haute signification. § 3. Des hémisphères
cérébraux
en général. Le cerveau est divisé en deux moiti
le. Ces bourses coiffent, en quelque sorte, les deux moitiés du noyau
cérébral
, auquel elles sont attachées par une masse énorme
ons, les vallées qui les séparent sont des anfractuosités. Les plis
cérébraux
sont fort compliqués dans l'homme. Cette complica
. Je l'ai moi-même traitée fort au long dans mon ouvrage sur les plis
cérébraux
des primates, dont je résumerai ici les principau
ports véritables. Chaque hémisphère coiffe une des moitiés du noyau
cérébral
en se moulant, pour ainsi dire, autour d'elle. Le
ouvre très-exactement. Puis elle recouvre toute cette partie du noyau
cérébral
qui enferme le ventricule latéral et s'avance jus
l. Ainsi le fond de la vallée répond aux parties inférieures du noyau
cérébral
et touche au champ olfactif. La face interne de
i ne la présente. Nous la décrirons plus au long en traitant des plis
cérébraux
. Telle est, d'une manière générale, la configur
phénoïdaux. Entre ces deux saillies, on aperçoit les parties du noyau
cérébral
que ne recouvrent point les poches des hémisphère
recouvrent point les poches des hémisphères, savoir : les pédoncules
cérébraux
, le tuber cinereum, le chiasma des bandelettes op
ncéphales ont un grand bulbe, un grand cervelet, avec des hémisphères
cérébraux
très-réduits. Dans une idiote, âgée de vingt et u
ale ; elle est située un centimètre environ en arrière de l'ouverture
cérébrale
et descend du bord supérieur de l'hémisphère sur
pendiculaire interne; il circonscrit le bord antérieur de l'ouverture
cérébrale
. Nous lui donnons le nom de lobe fronto-pariétal
noidal au dessous du lobe occipital interne et de la grande ouverture
cérébrale
. Nous le désignerons ainsi : lobe occipito-spheno
'y a plus que des rudiments, que dis-je, des fragments d'organisation
cérébrale
. Ce fait est l'un des mieux constatés que possède
pèce humaine, sont, en quelque sorte, une subdivision des hémisphères
cérébraux
; très-grêles dans l'homme, dans les singes et da
ie du bord de la grande ouverture de l'hémisphère qui adhère au noyau
cérébral
au devant des couches du corps strié extra-ventri
es encéphaliques; ces processus ne sont point séparés des hémisphères
cérébraux
comme le sont le cervelet et les tubercules quadr
e, on peut dans tous les cas admettre la similitude de l'organisation
cérébrale
. Nous regardons, quant à nous, cette opinion comm
ui, du cordon postérieur de la moelle, se portent vers les pédoncules
cérébraux
? Il semble que la partie superficielle des cordon
stes ont décrit sous le nom de base ou d'étage inférieur du pédoncule
cérébral
. Un amas remarquable de substance grise, désigné
externes. 11 y a donc une sorte de correspondance au travers du noyau
cérébral
tout entier, entre les deux corps striés externes
Quand on a séparé par un écartement mesuré les deux moitiés du noyau
cérébral
, le noyau gris de la couche optique étant pris co
couronne contient à la fois des fibres qui proviennent des pédoncules
cérébraux
proprement dits, et des fibres émanées soit des c
uent aussi des masses latérales du cervelet, et celui des hémisphères
cérébraux
. Ces parties latérales du cervelet constituent en
us constante. Ces tubercules sont très-grands quand les hémisphères
cérébraux
sont petits. Ils sont très-petits quand les hémis
res cérébraux sont petits. Ils sont très-petits quand les hémisphères
cérébraux
sont grands. C'est là une alternative remarquable
s ne présentent rien de spécial (1). § 3. Structure des hémisphères
cérébraux
. Nous avons vu plus haut que le cerveau, propre
s irradiations fibreuses qui remplissent la concavité des hémisphères
cérébraux
. Pour simplifier par avance le dédale de l'expo
vant au corps calleux. Le troisième est la paroi propre du ventricule
cérébral
. Autour de la courbe du corps calleux et des ba
misphère embrassant et ceignant exactement une des moitiés du noyau
cérébral
. 11 serait superflu de revenir sur ce point d'ana
isphère par un prolongement qui suit le bord inférieur de l'ouverture
cérébrale
. Ce prolongement mérite d'être attentivement exam
e donne en même temps une idée excellente de l'ensemble du ventricule
cérébral
et de cette portion de la bandelette de la voûte
s, dans une préparation hardie, ou, énucléant d'un seul coup le noyau
cérébral
tout entier à l'aide du doigt rapidement promené
ction sur la ligne médiane d'extrémités de fibres des deux pédoncules
cérébraux
. Tiedemann, Anatamie du cerveau. Paris, 1823, pag
ration fait voir, d'une manière admirable, la forme générale du noyau
cérébral
, et serait parfaite, à coup sûr, si malheureuseme
ue couronne radiante à l'hémisphère opposé, au-dessus des ventricules
cérébraux
; fait difficile à constater, par suite du parallé
ur disposition est rigoureusement traduite par l'arrangement des plis
cérébraux
saillants à la superficie de l'hémisphère. Ainsi,
incipale du nerf ou plutôt de la bandelette optique dans l'hémisphère
cérébral
(1). (1) J'ai fait pour la première fois cetle
n avant le plan commencé, si je puis ainsi dire, par les expansions
cérébrales
de la racine interne. Ainsi, d'une manière généra
nt en arrière. Ce changement de direction des fibres dans l'expansion
cérébrale
du nerf optique me paraît un fait très-important,
ciale. On peut suivre aisément les rayons de cette grande expansion
cérébrale
du nerf optique dans toutes les parties du bord s
térieurs, est relativement assez considérable. Toutefois, l'expansion
cérébrale
est médiocre et proportionnée à la grandeur d'un
s, sont comparativement assez grêles ; mais, en revanche, l'expansion
cérébrale
acquiert un développement prodigieux. Ces observa
prouvent qu'il y a un rapport direct entre la grandeur de l'expansion
cérébrale
et celle de l'hémisphère, mais le volume du nerf
à la grandeur des tubercules quadrijumeaux antérieurs. L'expansion
cérébrale
du nerf optique est très-difficile à découvrir da
faits, il m'a été impossible de découvrir aucune trace de l'expansion
cérébrale
, c'est là un fait bien remarquable. Le nerf opti
animaux il y a entre ces deux racines un rapport inverse : la racine
cérébrale
est au minimum, elle peut être nulle; en revanche
autre plan fort remarquable ; ce nouveau plan résulte des expansions
cérébrales
de la commissure antérieure. On peut distinguer
l'extrémité du lobe occipital, doublent dans les singes tous les plis
cérébraux
qui occupent la face externe de l'hémisphère au-d
lfactifs. Y a-t-il une meilleure preuve que le plan de l'organisation
cérébrale
est réalisé d'une manière très-différente dans le
ous le nom de tapis ; 7° En dehors du tapis, le plan des expansions
cérébrales
du nerf optique; 8° Après celles-ci, le plan de
es deux hémisphères ; 3° Des fibres développées entre un hémisphère
cérébral
et le pédoncule qui lui correspond; 4° D'autres
noidal, en suivant la partie adhérente du bord de la grande ouverture
cérébrale
. C'est à cette bande qu'on a donné le nom de raci
ulaires du facial jusque dans les faisceaux ascendants des pédoncules
cérébraux
. En résumé, c'est dans le plancher du quatrième
chez l'homme et les singes, s'épanouit dans l'écorce des hémisphères
cérébraux
. En conséquence, leurs fibres entrent dans la com
le comme l'avait annoncé Vieussens. J'ai fait remarquer que la racine
cérébrale
et celle des lobes optiques étaient, quant à leur
mportance relative, en sens inverse l'une de l'autre. Quand la racine
cérébrale
est au maximum, l'autre est au minimun, et récipr
analogies, que les deux nerfs pourraient bien dépendre du même organe
cérébral
; mais je ne veux rien préjuger. Ces nerfs pénèt
des dissections n'ait pas permis de pousser la recherche des racines
cérébrales
de (1) Kôlliker (Histologie humaine) partage en
usions en exclusions, nous sommes forcés de voir dans les hémisphères
cérébraux
eux-mêmes la condition première des sensations au
son du défaut de correspondance qui existe entre le nombre des fibres
cérébrales
et celui des fibres nerveuses médullaires ou péri
je retrouve chez eux un centre ovale très-réduit, avec une expansion
cérébrale
peu riche pour un si gros nerf si je la compare à
seule; 3" d'une cellule multipolaire où s'uniraient plusieurs fibres
cérébrales
, pourraient sortir un moindre nombre de fibres ce
oppement des corps genouillés externes est lié à celui des expansions
cérébrales
du nerf optique. Or, la multiplication des libr
u cerveau antérieur; enfin les faisceaux de la moelle, les pédoncules
cérébraux
, et toutes les formations fibreuses de l'axe se d
ar suite de l'accroissement prodigieux du cervelet et des hémisphères
cérébraux
. Je dois Caire remarquer toutefois que jusque ver
s ont acquis assez d'épaisseur pour leur mériter le nom d'hémisphères
cérébraux
; les lobes olfactifs sont, dès avant ce temps, pa
n distinguait, en outre, avec la plus grande évidence, les pédoncules
cérébraux
, le tuber cinereum et deux petits nerfs optiques
us réservant d'y revenir plus en détail par la suite : tous les nerfs
cérébraux
étaient distincts mais extrêmement grêles. Dans
euse d'un cas de microcephalic compliquée d'hydrocéphalie. Les parois
cérébrales
étaient fort minces et présentaient des traces de
maux ou plutôt les lobes optiques; venaient ensuite les hémisphères
cérébraux
, puis le cervelet. A l'époque où nous sommes arri
avant de se montrer à gauche. D'ailleurs, ce développement des plis
cérébraux
va si vite, qu'à la naissance le système de ces p
iffèrent, au premier coup d'œil, de la protubérance et des pédoncules
cérébraux
. Peut-être y a-t-il là quelque indice d'une liais
x offrent peu de différences, il n'en est pas de même des hémisphères
cérébraux
. Il n'y a par exemple aucun parallèle à établir e
ances plus grandes qui rapprochent, au point de vue de l'organisation
cérébrale
, ces deux groupes naturels. En effet, à certains
èvres se soit effectué, des plis nombreux se dessinent sur la surface
cérébrale
et à la naissance ; alors même que leur système e
à l'âge adulte. Prenons, par exemple, le moment où les hémisphères
cérébraux
ne recouvraient point dans le fœtus les tubercule
vache par exemple. Choisissons toujours le moment où les hémisphères
cérébraux
touchent aux tubercules quadrijumeaux, mais sans
s quand elle se détache absolument de la terre. sur les hémisphères
cérébraux
, aucune trace de circonvolutions. Il y a donc là
. S'il y a entre la taille de l'animal et la complication de ses plis
cérébraux
un rapport réel? / On peut encore tirer des f
ier, elle sera égale à deux dans le second ; en conséquence, les plis
cérébraux
étant semblables dans l'un et dans l'autre, l'éte
eau du grand pourra être tout au plus 1 1/2. En conséquence, les plis
cérébraux
étant supposés semblables dans l'un et l'autre ce
ait acquis un grand développement relatif. L'état des circonvolutions
cérébrales
était remarquable, elles ne dépassaient pas en co
Aztecs, tenait sans doute à une réduction congéniale du développement
cérébral
. Cette observation ne justifie en rien la proposi
qui, sous le nom de faux ou de tentes, séparent les deux hémisphères
cérébraux
l'un de l'autre et constituent au-dessus du cerve
e de ces replis existent des lacunes qui reçoivent le sang des veines
cérébrales
et sont connues sous le nom de sinus. Après une i
'un de ces replis est horizontal, il sépare dans le crâne la région
cérébrale
d'avec la région cérébelleuse. M. Cruveilher l'a
système nerveux, en les mettant en rapport immédiat avec les surfaces
cérébrales
(1). § 4. Structure des enveloppes membraneuse*
e leur distribution, sont essentiellement les artères des hémisphères
cérébraux
. — Les deux vertébrales pénètrent dans le crâne
tribue aux parties postérieures des hémisphères sous le nom d'artères
cérébrales
postérieures ou profondes. Une division considéra
. Ces artères, désignées sous le nom de communicantes, unissent les
cérébrales
postérieures aux troncs des carotides, à leur ent
fini dans la pie-mère encéphalique avant de se ramifier dans la masse
cérébrale
. Toutefois elles donnent quelques petits rameaux
s communs les sinus de la dure-mère. On distingue : 1° Les veines
cérébrales
supérieures. Leurs racines, logées dans lo fond d
s'ouvrent enfin dans le sinus longitudinal supérieur. 2° Les veines
cérébrales
postérieures. Elles s'ouvrent dans les sinus laté
les sinus latéraux près des sinus pétreux supérieurs. 3° Les veines
cérébrales
antérieures. Nées de la partie inférieure des lob
aux enveloppes du cerveau. Les artères et les veines de la substance
cérébrale
naissent directement des réseaux vasculaires de l
e que j'ai fait connaître dans un autre ouvrage (Mémoire sur les plis
cérébraux
de l'homme el des primates, 1854.) Je l'ai trouvé
re part certains auteurs habiles, se fondant sur ce fait que la masse
cérébrale
s'accroît d'avant en arrière en recouvrant de plu
u cerveau. Évidemment la réponse est facile. La capacité des fosses
cérébrales
de l'occipital étant assez faible, un grand accro
oute peu de chose à l'ampliation du crâne en général, et de sa région
cérébrale
en particulier. Au contraire, l'ampliation du fro
d'avant en arrière. Ce n'est pas tout; chez l'enfant blanc la région
cérébrale
de l'occiput l'emporte beaucoup sur ses parties c
ce étant par excellence l'âge de l'hydrocéphalie, et que les maladies
cérébrales
étant pour beaucoup dans la mortalité de l'enfanc
qu'elle peut donner une idée fort exacte du développement des régions
cérébrales
comprises entre le sommet de la scissure de Sylvi
nné une grande attention à la détermination des régions de la surface
cérébrale
, qui caractérisent plus particulièrement le cerve
nous sommes entrés touchant l'excellence typique de certaines régions
cérébrales
ne permettent point d'accepter celte manière de v
ne faut point négliger. Le plus souvent, dans l'homme blanc, les plis
cérébraux
ne laissent sur la table interne du crâne aucune
ns ce cas les plis laisseront des empreintes, ou ce sera la substance
cérébrale
, et alors il ne s'en produira pas. L'existence de
oppement poussé aussi loin que possible, eu égard à la masse du noyau
cérébral
et des centres blancs des hémisphères. Le fait es
is qu'elles sont plus ou moins profondes dans tous les cas d'atrophie
cérébrale
, et il en est de même chez les singes inférieurs
s, d'Alfouroux, de Mongols ou de blancs, eussent-ils la même capacité
cérébrale
, il ne faudrait pas conclure de ce fait à l'équiv
fication des vertèbres céphaliques et l'accroissement de la substance
cérébrale
. En général, quand le cerveau est grand, le crâne
ette tendance en ramenant en avant le frontal, signe du développement
cérébral
et de la puissance intellectuelle. M. le docteu
nts, le ganglion antérieur du cerveau, qui correspond aux hémisphères
cérébraux
et aux obes olfactifs, est l'organe de l'esprit e
arus que le cervelet, les tubercules quadrijumeaux et les hémisphères
cérébraux
ont des fonctions distinctes, ce que M. Flourens
sant la large bande circonvolu-tionnaire qui longe la grande scissure
cérébrale
. Ainsi cette région nous paraît-elle mériter de f
suffit-elle au développement complet de leurs facultés, et des formes
cérébrales
qui trahiraient l'intelligence d'un blanc suffise
n blanc suffisent à ces faibles natures. Cette suffisance d'une forme
cérébrale
inférieure dans ces hommes inférieurs s'explique
ement faite, renverserait bien des préjugés. (1) P. Gratinlet, Plis
cérébraux
de l'homme et des primates. Paris, Arthus Bertran
aisserons ici de côté les mouvements alternatifs qui agitent la masse
cérébrale
. Ces mouvements, qui ont peut-être sur les foncti
nt un fait sans précédent dans la science : c'est que les hémisphères
cérébraux
étant détruits, les rapports du corps avec l'âme
effet direct et un effet croisé. «J'enlevai, dit M. Flourens, le lobe
cérébral
droit à un pigeon : l'animal perdit aussitôt la v
nature de la sensation, agit seul ou réclame le concours des « lobes
cérébraux
. » Il faut distinguer avec soin le mouvement de
nt résulte constamment d'une lésion incomplète de l'un des pédoncules
cérébraux
. L'animal tourne alors sur le côté opposé à celui
omme centre. Suivant M. Longet, après l'ablation des deux hémisphères
cérébraux
et des deux corps striés, la station et la progre
auquel on ne peut atteindre sans blesser profondément les hémisphères
cérébraux
, la voûte et le corps calleux, et sans ouvrir lar
possible, et cependant en voyant la paralysie qui suit les apoplexies
cérébrales
affecter tantôt les bras, tantôt les jambes, il m
corps pituitaire, et de la plupart des parties constituantes du noyau
cérébral
. Depuis que l'hypothèse cartésienne sur la glande
eine à admettre que son développement est lié à celui des hémisphères
cérébraux
. Quoi qu'il en soit, les mammifères seuls ont un
est heureusement plus avancée à l'égard du cervelet, des hémisphères
cérébraux
, des tubercules quadrijumeaux et des lobes olfact
s chez différents auteurs, qu'une atrophie qui porte sur l'hémisphère
cérébral
droit, par exemple, entraîne l'atrophie de l'hémi
logistes ont écrit sur la localisation des sensations et des facultés
cérébrales
. Il n'est point prouvé que la destruction des lob
rôle qu'on pourrait attribuer aux différentes parties des hémisphères
cérébraux
. Nous ne résoudrons pas, sans doute, le problème;
loppement est, en général, en raison inverse de celui des hémisphères
cérébraux
. Ils sont fort petits, en effet, dans l'éléphant,
M. Longet une expérience curieuse. Un pigeon privé de ses hémisphères
cérébraux
, suivait avec sa tête les mouvements d'une bougie
ce d'un reste de sensibilité réelle, après l'ablation des hémisphères
cérébraux
. Nous ne disons point que l'animal réduit à la co
bandelettes optiques s'épanouissent directement dans les hémisphères
cérébraux
. Les observations de mon savant maître, M. le pro
mais évidemment ils sont un diverticulum de l'écorce des hémisphères
cérébraux
. Ils reçoivent, d'ailleurs, un grand nombre de ne
lés, j'insiterai plus particulièrement sur celui-ci : les hémisphères
cérébraux
sont les organes et le siège immédiat de l'intell
quer; et il est permis de supposer que c'est là un phénomène purement
cérébral
et où les yeux ne sont pour rien. Ainsi, avec d
belle expérience de Longet (2) montrent assez qu'à côté de la vision
cérébrale
ou intellectuelle, il y a une vision automatique
d'autant plus disposé à le penser, que dans le raptus des congestions
cérébrales
, les objets extérieurs eux-mêmes semblent tourner
ires, est une cause immédiate de congestion, ou du moins d'hyperhémie
cérébrale
. Je ne puis m'empêcher de rendre ici justice à la
produisant plus aisément dans les natures affaiblies, ces excitations
cérébrales
sont surtout fréquentes chez des hommes livrés au
point le principe de ces tendances nouvelles dans les circonvolutions
cérébrales
; la cause est un calcul biliaire, un ver intesti
gulière industrie ? Les plis que présente la surface de ses ganglions
cérébraux
comme l'a vu, il y a peu d'années, notre célèbre
et du nerf optique; la seconde suit le développement de l'hémisphère
cérébral
. Ces faits n'indiqueraient-ils pas qu'il y a de
i donc l'intelligence est abolie après la destruction des hémisphères
cérébraux
, nous pensons avec M. Flourens que toutes les sen
pe ou dans une grenouille auxquelles on a soustrait leurs hémisphères
cérébraux
; de même celle de voler, quand on l'excite, de c
sollicitée dans le sens des impressions qui dominent dans l'économie
cérébrale
. Ainsi s'explique probablement le phénomène, au p
novembre 1855. t'ois il n'y a aucune déviation monstrueuse du type
cérébral
, en sont la preuve. L'intelligence est faible, il
nes et esquisse première............. ib. § 2. Description du noyau
cérébral
............... 44 § 3. Face supérieure du noyau
Des tubercules quadrijumeaux............... 99 § 3. Des hémisphères
cérébraux
en général........... 100 § 4. Des relations qu
bercules quadrijumeaux.......... 159 § 3. Structure des hémisphères
cérébraux
............ 160 § 4. Structure des lobes olfact
S'il y a entre la taille de l'animal et la complication de ses plis
cérébraux
un rapport réel............... 258 CHAPITRE VII
umain au niveau de l'extrémité toute postérieure des pédon- cules
cérébraux
, est destinée à montrer les rapports de la form
e sui- vant, extrait de Ch. Richet (Structure des circonvolutions
cérébrales
. Thèse de concours, Paris, 1878J. « Cette lame
ver chez les oiseaux, les reptiles, les poissons, etc. , une partie
cérébrale
qui rappelle par sa forme ou au moins par ses d
trouver chez les vertébrés autres que les mammifères une par- tie
cérébrale
qui reproduise la forme de la corne d'Ammon, ca
en grande partie à faire, et il sera possible que, sur une écorce
cérébrale
uniforme en surface, on trouve, en une région,
ps bordant. Dans les divers ouvrages où l'évo- lution des vésicules
cérébrales
est aujourd'hui traitée d'une manière si complè
ont déjà bien formées, en avant et sur les côtés de la vési- cule
cérébrale
moyenne, de sorte que la cavité des ventricules
abondance dans ce pli, et refoulent de plus en plus la mince paroi
cérébrale
vers la cavité du ventricule. Ainsi vont se for
oit dans la figure 13 (mouton, long. 21 millimètres) : ici la paroi
cérébrale
a gagné en épaisseur; ses sillons transitoires
ure de l'hémisphère. C'est sur cette dernière portion de la paroi
cérébrale
, c'est-à-dire contre la lèvre postérieure de l'
e lapin long de 17 millimètres), on voit en ce point (enX) la paroi
cérébrale
, demeurée relativement mince, présenter un plis
et stratifications qui conduisent à la formation des enve- loppes
cérébrales
. En avant de ce sillon est une véri- table circ
ronné avec le corps bordant). En arrière est une partie de la paroi
cérébrale
qui formera ce qui, chez les rongeurs, est l'ho
ur mode déformation, ces plexus sont toujours en dehors des cavités
cérébrales
, c'est-à-dire qu'ils ne viennent se loger dans
se loger dans les ventricules qu'en repoussant devant eux la paroi
cérébrale
et non en la perforant; et cela est ainsi non s
fréquentes en 18G9 et 1870. Elles sont précédées par une excitation
cérébrale
qui empê- chant le malade de fixer une idée et
les troubles de la sensibilité observés pendant la vie. La paresse
cérébrale
si remarquable des malades, leur lenteur dans t
aire se produirait plutôt. En résumé, il attribue les symp- tômes
cérébraux
à une lésion cérébrale de même nature que celle
utôt. En résumé, il attribue les symp- tômes cérébraux à une lésion
cérébrale
de même nature que celle qui porte sur les tégu
jecter à l'auteur anglais que Ord n'a pas pu découvrir cette lésion
cérébrale
et qu'il a observé dans un cas de sclérodermie
ie- dro, l'ancienne Sagonte, en Espagne. A .l'égard des symptômes
cérébraux
, M. Hadden propose l'interpré- tation suivante
ire fussent infiltrés longtemps avant l'apparition des phénomènes
cérébraux
. Or, aucune des observations publiées par Ord e
ajoute que, dans l'hypo- thèse de Ord, les désordres de l'activité
cérébrale
seraient de règle dans les cas où « les impress
aon est « presque tenté de mettre au premier rang cette pa- resse
cérébrale
et de faire dépendre d'elle la plupart des autr
trois mois à un an; puis la gaieté revenait, ainsi que l'activité
cérébrale
, et, chose remarquable, les lésions périphériqu
, altérations remarquables de la- peau et du tissu cellulaire, état
cérébral
particulier. La fin de ce travail comprend la r
les deux 1 Hammond. On mi/.xoedema . wilh spécial référence lo its
cérébral
and nervous symptoms. ([nA'eM;'o<oytC6 ! <
on maniaque observées dans certains cas. » Il rattache les troubles
cérébraux
à une lésion de l'encéphale, caractérisée par l
IaOND et F. DREYFOUS. S'il est, dans l'histoire des localisations
cérébrales
, un fait indiscutable, c'est bien celui relatif
de le faire que, à l'autopsie, on trouve un foyer de ramollissement
cérébral
à droite. Et si les investigations s'arrêtent l
ation' I. Cirrhose atrophique du foie chez un alcoolique. Apoplexie
cérébrale
. Hémiplégie et /tt ? tK;) : c</te4;(; gauches,
t;/te4;(; gauches, avec aphasie. Foyers multiples de ramollissement
cérébral
. J... (Antoine), soixante-cinq ans, employé d'o
sa profession. Une tarda pas a présenter les troubles digestifs et
cérébraux
habituels aux alcooliques : pituite tous les ma
iplégie de l'autre; 2° Ceux pour lesquels on a admis la « gaucherie
cérébrale
». Notre cas appartient à la première catégorie
. H. de Boyer, dans son remarquable travail sur les locali- sations
cérébrales
, donne un cas personnel, analogue aux deux préc
au plus pour un petit nombre d'entre eux : celle de la « gaucherie
cérébrale
». Avant de la discuter, il faut bien savoir co
si à la faculté du langage ; chez lui il y aura de « la gaucherie
cérébrale
». A l'appui de cette,;hypothèse, on peut fournir
a\oir présenté aucun signe nouveau. Autopsie (résumée). Hémisphère
cérébral
droit. La pie-mère et l'arachnoïde, qui recouvr
placée profondément. Une doctrine, comme celle des localisations
cérébrales
, dont la démonstration détruit, defond en combl
L'analyse hislologique démontre : une prolifération de la névralgie
cérébrale
: réplétion énorme des vaisseaux, exsuda- tion
n mentale se calma rapidement. A la fin du second mois tout trouble
cérébral
avait cessé ; en même temps la rigidité et le t
elques POINTS DE LA pathologie DES lésions oculaires DE LA SYPHILIS
CÉRÉBRALE
ET SPINALE ; par STE111AN BULL. (American journ
inée par l'atrophie du nerf, optique droit ? sans autre phénomène* "
cérébral
, que do la cé- phalée ''' ? '' 'I ,J ? ? " JUJ"
ve aux lésions du sourcil est généra- lement causée par des lésions
cérébrales
; la preuve, c'est que dans le plus grand nombr
IrRIORRIIAGIE5 primitives; immédiates ou DIRECTES des ventricules1'
cérébraux
; par Edward SAN- ders. (771eAM ! M' : eaH Jour
lus uniformément ré- partie entre les divers âges que l'hémorrhagie
cérébrale
pro- prement dite. Elle paraît avoir été observ
ilis, etc.) qui, en provo- quant l'altération des paroisvasculaires
cérébrales
, prédisposent à l'hémorrhagie cérébrale ordinai
tion des paroisvasculaires cérébrales, prédisposent à l'hémorrhagie
cérébrale
ordinaire^ paraissent devoir prédispo- ser égal
nt pas autrement à l'égard de cette lésion que les autres.vaisseaux
cérébraux
. En dehors des conditions particulières qui rés
guer l'hémorrhagio'intra-vcntriculaire primitive do l'hé- morrhagie
cérébrale
ordinaire et (le" L'auteur à' résumé dans déûtâ
t ' . XVIIL1 DLUlII : IE contribution L'ÉTUDE des localisations ,
cérébrales
; par E.-C. SEGUIN., (.021T2t. 0/. nervous a2ad ?
natomie pathologique. Par exemple, dans son étude du ramollissement
cérébral
, il confond les lésions propres à la paralysie
s propres à la paralysie générale avec celles d'autres affections
cérébrales
. Il avoue du reste, qu'il est loin, malgré de n
inière (anato- mie et physiologie); Artères du cerveau. Circulation
cérébrale
. Questions orales. 1er concours (1880) : De l'é
il Milan, Dumolard. Brousse (A.). Réflexions sur un cas de syphilis
cérébrale
(Hémiplégie gauche, à forme intermittente). Bro
. SEGUIN (E.-C.) A second contribution to llee sii4cly of localised
cérébral
lésions. Broch. in-8" de 43 pages, avec il figu
que quinze ans quand elle devint enceinte, et aurait eu une fièvre
cérébrale
( ? ) pendant sa grossesse ; elle était rhumati
ans, un an après les premières attaques, elle aurait eu une fièvre
cérébrale
. Elle a été réglée à treize ans. A partir de ce
rs plus petit que le gauche, et de coloration normale. Le pédoncule
cérébral
droit est notablement atrophié, aplati et moins
e du côté opposé. Sur une coupe, la surface de section du pédoncule
cérébral
droit est de deux tiers moindre à droite qu'à g
u'à gauche. Les tubercules quadrijumeaux sont normaux. L'hémisphère
cérébral
droit pèse 1 li grammes de moins que le gauche,
deux hémis- phères sont égaux. 182 RECUEIL DE FAITS. Hémisphère
cérébral
gauche. La décortication est facile; les circon
est sensiblement accrue. Considéré dans son ensemble, l'hémisphère
cérébral
droit est moins long, moins épais et moins haut
développent dans l'axe cérébro-spinal consécutivement à une lésion
cérébrale
en foyer, ayant causé une hémiplégie et secon-
e, laquelle, comme on sait, se détache prématurément du tronc de la
cérébrale
moyenne, se trouve englobé dans la zone ischémi
te à travers l'étage inférieur de la pro- lzzbérazzce, du pédoncule
cérébral
et la pyramide antérieure du bulbe, etc. Pour c
et de chirurgie, 1877; Grasset, Des localisations dans les maladies
cérébrales
; H. de Bojer, Études topographiques sur les lés
r, Études topographiques sur les lésions corticales des hémisphères
cérébraux
; Ferrier, De la localisation dans les maladies
e a dû acquérir par le fait même de sa maladie une sorte de paresse
cérébrale
qui, « la rend moins apte à percevoir certaines
des arguments en faveur de la conclusion que le système des replis
cérébraux
paraît témoigner bien plus d'un excès que d'un
rcu- lation collatérale qui vient alors entraver le développement
cérébral
. L'ischémie carotidienne est démontrée par les in
en nécessiterait l'exposé détaillé. P. K. III. Cas DE malformation
cérébrale
; par le Dr L. WILLE. (Arch. f. Psych. u. Nex·v
let de prolonge- ments durc-mériens dans la masse nerveuse (ni faux
cérébrale
, ni tente du cervelet). Dépourvue de lame cribl
- noïdes antérieures et postérieures. ' Les grosses malformations
cérébrales
qui correspondent aux anomalies osseuses précéd
rmale du vermis cérébelleux, comparé aux dimensions des hémisphères
cérébraux
, une réduction peu prononcée des pé- doncules d
ilaire). La vésicule des hémisphères une fois sortie de la vésicule
cérébrale
antérieure (sens de Virchow) n'a pas subi dans
e pareilles conditions (Dareste), à arrêter l'évolution des régions
cérébrales
internes (paroi postérieure de la vésicule des
ulier du cerveau par les mélan- colies, l'hystérie, les congestions
cérébrales
, les insomnies, les névralgies, etc. Dans le co
rison. Les deux nécropsies démontrent, ,en un cas, de la congestion
cérébrale
et de la réplétion des vaisseaux méningés; dans
dans l'autre de la congestion et du ramollissement des hémisphères
cérébraux
, des macules d'hypérémie et des ecchymoses dans
ans) offrent, pour l'auteur, tous les attributs d'une intoxication
cérébrale
; angoisse extrême des prodromes, marche impétue
ir encore, il fournit du moins à la psychologie et à la physiologie
cérébrale
une précieuse méthode d'investi- gation. Le p
puis. Bien que l'opération n'ait pas révélé la cause d'irritation
cérébrale
que l'on supposait exister, et que l'on se propos
oren, Rumpf, Berlin. Des analogies entre la commotion rétinienne et
cérébrale
, par le professeur BERLIN. Traçant d'abord une
rs un obscurcissement passager de l'oeil, l'analogue delà commotion
cérébrale
passagère, qui, éphémère, échappe à nos in- ves
de la calotte et des revêtements membraneux et non de la commotion
cérébrale
optique ou rétinienne. De l'occurrence des accè
... attribue à la narcose chlorofor- mique la genèse d'une ischémie
cérébrale
possédant les mêmes propriétés que celle qui dé
ectionnant chez la grenouille les nerfs olfactifs et les pédoncules
cérébraux
dans la cavité crânienne, SOCIETES SAVANTES. 24
plus forte, et ils persistent un certain temps après que l'activité
cérébrale
a cessé. Ces modifications ne dépendent pas de
t revêtir le caractère psychique ; plus tard, après les congestions
cérébrales
épileptiformes ou apoplectiformes, qui sem- ble
le, contrairement à ce qui aurait lieu s'il s'agissait de commotion
cérébrale
. Nous avons cependant observé une lenteur, une
e, cette maladie si éminemment suggestive, à l'étude des affections
cérébrales
. M. Charcot, se basant sur ce que les hystériqu
e l'hémianesthésie des hystériques et l'hé- mianesthésie par lésion
cérébrale
, nous avons pu voir que, comme les hystériques,
s avons pu voir que, comme les hystériques, les hémianesthésiques
cérébraux
qui ont des troubles de la sensibilité des memb
on à l'étude des troubles fonctionnels de la vision par les lésions
cérébrales
. Paris, 18S9. 286 CLINIQUE NERVEUSE. est dimi
i reconnaissent pour cause tantôt une sclérose atrophzque (atrophie
cérébrale
), tantôt une sclérose 328 RECUEIL DE faits. h
st bien portante, un peu nerveuse. Un frère est mort d'une fièvre
cérébrale
à trois ans ; deux cousins de la troisième généra
que la diarrhée n'a laissé aucune trace ' et pas- sons aux lésions
cérébrales
qui, à notre avis, méritent tout particulièreme
ger. REVUE CRITIQUE AMBLY0P1E CROISÉE ET IIÉMIANOPSIE D'ORIGINE
CÉRÉBRALE
; ParCB.FÉRÈ. De GMFE. Comptes rendus de la So
p. 151-154. CHARCOT. Leçons sur les localisations dans les maladies
cérébrales
, 4873. Scaôn. Die Leh ? ,e vo2n Gesichtsfelde u
bution a l'étude des troubles fonctionnels de la vision par lésions
cérébrales
, 1882. Lorsque de Groefe émit l'opinion que dan
psie, il ne trouva pas de contradicteurs. L'hémianopsie d'o- rigine
cérébrale
fut acceptée universellement comme une sorte de
hémianopsie n'était pas exclusive- ment la conséquence d'une lésion
cérébrale
, mais encore que son existence n'était nullemen
isuel, l'amblyopie croisée, dont la relation avec certaines lésions
cérébrales
parais- sait hors de doute. Mais cette opinion
uité visuelle. Cette amblyopie prédomine du côté opposé à la lésion
cérébrale
, mais elle existe ordinai- rement à un certain
côté. L'existence de cette amblyopie en relation avec les lésions
cérébrales
était déjà mise en lumière par ce fait qu'on la r
ante pour démon- trer l'existence d'une amblyopie liée à une lésion
cérébrale
dé- terminée : une observation de M. Charcot co
pinion émise tout d'abord par M. Charcot. Cette amblyopie d'origine
cérébrale
est toujours associée à un certain degré d'hémi
peut être limitée à la région qui avoisine l'oeil. Quand une lésion
cérébrale
détermine des troubles seusitifs des téguments
mme nous l'avons indiqué ailleurs '. Lorsqu'il s'agit d'amblyopie
cérébrale
, les faits cliniques purs ont presque la même v
déterminé à distance parla lésion qui produit les autres symptômes
cérébraux
. Les faits purement cliniques d'hémianopsie qui
urrait bien être là la carac- téristique de l'hémianopsie d'origine
cérébrale
(rir.30)'. I. Fer- rier avait observé que l'inté
région avoisinante semblait spéciale aux hémaniopsies d'ori- gine
cérébrale
, mais nous ferons remarquer que dans le cas de
'hui que l'amblyopie et l'hémianopsie peuvent résulter d'une lésion
cérébrale
avec intégrité des nerfs optiques et des bandel
se est possible mais non démontrée. Si on considère qu'une lésion
cérébrale
produisant l'amblyo- pie croisée détermine en m
d'am- blyopie du côté correspondant, que d'autre part une lésion
cérébrale
peut déterminer la paralysie des fibres rétinienn
ttre que chaque oeil a une relation bilatérale avec les hémisphères
cérébraux
, qui ont surtout des relations multiples avec l
pratique alors par une fenêtre de trépan la section d'un hémisphère
cérébral
immédiatement eu arrière de la couche optique,
e centre ano-spi- nal. H.D'O. VII. STRUCTURE DU PIED DU PÉDONCULE
cérébral
ET DU noyau lentiforme ; par J. PASTËRNATZKY, 1
c'est-à-dire parallèlement, ou à peu près, aux fibres du pédoncule
cérébral
. Du lobe occipital du cerveau on voit partir qu
divisions déjà connues. Ou. F. VIII. Variétés des circonvolutions
cérébrales
DE l'homme ; par C. Giacomini, Torino, Ermano L
se que les variétés si fréquentes dans la dispo- sition de l'écorce
cérébrale
, ne sont pas des déviations du type 3 4s REVUE
sances, il est impossible d'affirmer que la disposition de l'écorce
cérébrale
soit en connexion avec le degré du développemen
ajoute que l'étude des variations dans l'arrange- ment de l'écorce
cérébrale
ne doit pas porter seulement sur la disposition
a minutieuse- ment le trajet intra-crànien du nerf. Dans la fosse
cérébrale
postérieure, l'arachnoïde et la dure- mère le s
extrémités, pense que la migraine ophthalmique dépend d'une anémie
cérébrale
con- sécutive elle-même à une excitation du sym
la rigueur mathématique la topographie fonctionnelle de l'é- corce
cérébrale
, ont péché par excès de précision, au risque de d
son que l'indication du siège des altérations à la surface des plis
cérébraux
ne présentait pas la précision nécessaire. Ap
e jeu de patience, consistant à figurer sur des schémas de l'écorce
cérébrale
les lésions mentionnées dans ces 167 obser- vat
ices de l'écorce et des portions non motrices. Or, dans les régions
cérébrales
où siègent les centres de mouvement, la destruc
reurs nocturnes en deux groupes distincts : les unes sont d'origine
cérébrale
, les autres ont leur source ailleurs. Ces derni
uelquefois des mala- dies guéries qui ont laissé dans les fonctions
cérébrales
un trouble plus ou moins durable ; on les renco
d'inanition. D'autres fois, elles sont les symptômes de maladies
cérébrales
actuelles, comme dans l'idiotie, etc.; elles sont
ntes. D'autres fois, enfin, elles sont les prodromes d'affec- tions
cérébrales
à venir ; c'est alors qu'on doit tenir compte de
Santos Fernandez, 98. Amblyopie croisée et hémianopsie d'origine
cérébrale
, par Ch, Féré, 338. Anatomie comparée du syst
(altérations du pig- ment) chez les aliénés, 361. Circomolutions
cérébrales
(variétés des), par Giacomiui, 318. Commotion
s des), par Giacomiui, 318. Commotion rétinienne el commo- tion
cérébrale
, 238. Congrès médical tle Sévillc, 270 des ne
bmorrliayes pwmitles, immé- diates ou (litectes des ei)tti- cules
cérébraux
, par Sanders, tOO. Hydrocéphalie, 366. it\p
tillu; v3S, Patronage familial (lettres sur le), 358. Pédoncule
cérébral
(structure du pied du et du noyau leuti- lonn
un aliéné, goW amt complète, par Mackintosb, 223. Ventiiciilcs
cérébraux
(étude sur les héinorihagies primitives, im-
r 1904. N° 97. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. Tumeur
cérébrale
avec abolition des réflexes tendineux. (Leçon
ère vue ; il s'agit, je vous le dis, par avance, d'un cas de tumeur
cérébrale
. Mais, de plus, on trouve, chez cette malade, q
lade, quelques phé- nomènes que ne suffit pas à expliquer la tumeur
cérébrale
; c'est sur ces phénomènes, sur leur significati
tion et déjà orienter votre esprit vers le dia- gnostic. - TUMEUR
CÉRÉBRALE
ET RÉFLEXES TENDINEUX. 3 Cet état persiste pend
malade ne présente que des phénomènes de parésie et d'as-' TUMEUR
CÉRÉBRALE
ET RÉFLEXES TENDINEUX. 5 thénie musculaire géné
l'épaule). Ce n'est pas la règle, vous le savez, dans les tumeurs
cérébrales
; il est commun au contraire de trouver chez le
ivement trois grands signes, la céphalée, des vomissements à type
cérébral
, de la diplopie. Dans le cours des deux derniers
nextensible, la boîte crânienne : ce sont des signes de compression
cérébrale
; et je trouve comme la signature de cette compr
cette compression, caractérisée par l'augmentation de lai TUMEUR
CÉRÉBRALE
ET RÉFLEXES TENDINEUX. 7 pression du liquide cé
n a-t-elle atteint direc- tement les noyaux, ou bien les pédoncules
cérébraux
, par- ticulièrement le pédoncule cérébral droit
, ou bien les pédoncules cérébraux, par- ticulièrement le pédoncule
cérébral
droit, ont-ils été sim- plement comprimés par l
tte abolition des réflexes est encore sous l'influence de la tumeur
cérébrale
et qu'elle est due à la compression médullaire
e est due à la compression médullaire qui accompagne la compression
cérébrale
. 1 La malade vient de mourir; l'examen macrosco
e la région optique inférieure droite avec compression du pédoncule
cérébral
correspondant et des tubercules quadrijumeaux v
des travaux assez récents ont montré l'existence, dans les tumeurs
cérébrales
, de lésions médullaires : en Allemagne et en Au
MM. Cl. Philippe et P. Lejonne, à entreprendre quelques re- TUMEUR
CÉRÉBRALE
ET RÉFLEXES TENDINEUX. 9 cherches, surtout dans
ont été conduits à admettre que les lésions médullaires des tumeurs
cérébrales
sont nettement individualisées non seulement pa
souvent dès les premières manifestations symptômatiques des tumeurs
cérébrales
, au niveau des cordons et racines postérieurs.
extraits de leur canal osseux, on fut surpris de constater TUMEUR
CÉRÉBRALE
ET RÉFLEXES TENDINEUX. J ! 1 leur volume relati
nt augmentée, souvent à un degré considérable, au cours dès tumeurs
cérébrales
, ainsi que ces auteurs ont pu s'en convaincre e
cès de tension du liquide céphalo-rachidien, comme dans les tumeurs
cérébrales
, et nécessairement il y aura d'abord élargissem
patho- logie générale, placer à côté des accidents de compression
cérébrale
, si communs au cours des tumeurs de l'encé- pha
vent, pour une grosse part, être dus aux modifications de tension
cérébrale
, cela se conçoit sans peine. Par contre, les trou
malades ne souffrent pas autant que les tabétiques, cela est TUMEUR
CÉRÉBRALE
ET RÉFLEXES TENDINEUX. 13 certain d'après les o
que se réduit la compression médullaire, consécutive aux tumeurs
cérébrales
, dans tous les cas observés à la Salpê- trière
re attention. Donc, lorsque vous rencontrerez, au cours des tumeurs
cérébrales
(ce. mot étant pris dans son sens général) l'ab
n degré, quoique très retenus et modifiés morbidement. L'activité
cérébrale
d'association, si même elle existe chez lui, se
intonation très expres- sive et en chantonnant. Les associations
cérébrales
, premièrement sont très ralenties, secondement
isqu'elles manquent, mais c'est à la suite du trouble de l'activité
cérébrale
des associations que cela provient. Ainsi don
e la catatonie, note le développement de la névroglie dans l'écorce
cérébrale
, qui influent sur le caractère orga- nique de l
'était pas encore si avancée dans l'étude des fonctions de l'écorce
cérébrale
, comme actuellement ; c'est pour cela que Kahlb
es poses stéréotypes habituelles, et voyons quel rôle joue l'écorce
cérébrale
dans l'origine de ce symp- "tôme. Dans une autr
CLINIQUE MENTALE. le phénomène ordinaire de disjonction de l'écorce
cérébrale
avec ses conducteurs, c'est un symptôme de préd
ux et spinaux sur la région corti- cale. C'est justement l'écorce
cérébrale
qui, en influant d'une manière d'inhibition sur
ontre aussi, mais dans une forme moins marquée, dans les apoplexies
cérébrales
, à des conditions de la distri- bution des cond
it. Ainsi donc, ici, il y a justement l'enlèvement des associations
cérébrales
, qui exigent la transmission de l'excitation da
tatonie quelque trouble grossier dans la sphère motrice de l'écorce
cérébrale
; assurément dans la période primordiale de la
dans la localisation des lésions et dans la dégénérescence du tissu
cérébral
au moment de l'opération. Le mal était trop éte
été de même danp le cas présent. Tout le monde sait que des lésions
cérébrales
peuvent rester silencieuses pendant des années,
vités correspondent aux points non calcifiés. Les sinus et le tissu
cérébral
paraissent nor- maux. De la fontanelle postérie
minées par ilots, des plaques de tissu gélatineux blanc, de nature
cérébrale
. R. de Musgrave-Clay. V. Contribution à la ques
scend. La bifurcation a lieu après l'entrecroisement des pédoncules
cérébraux
. La branche descendante va dans la formation ré
éfend pas à l'anatomiste et au physiologiste d'expliquer l'activité
cérébrale
, comme s'il s'agissait d'une machine, mais ce n
KERAVAL. IX. De la localisation des centres olfactifs dans l'écorce
cérébrale
, par 1.-1'. GOIISCIIKOW (Obozrénié psichialrü,
bides de l'organisme; souvent elle disparait dans les inflammations
cérébrales
, alors que le goût persiste. V. Le degré de l'h
peu plus constant que le réflexe épigastrique. Dans les affections
cérébrales
, il a les mêmes allures que le réflexe abdomina
des de la protubérance, jusque dans le seg- ment moyen du pédoncule
cérébral
, point où se fait la jonction d'un faisceau sup
. On a trouvé ce réflexe diminué (à gauche) dans un cas de syphilis
cérébrale
avec paraly- sie complète de la 5° paire à gauc
d'utiles renseignements. R. Charron. XX. Trois cas de néoplasies
cérébrales
; par Gilbert Ballet et A. DELILLE (Nouv. Icono
la main gauche. ' G. D. XXXIII. Examen histologique d'une tumeur
cérébrale
présentée par le Dr Cuylitz ; par le Ur voN IsE
, la pre- mière a été suivie d'autopsie; il s'agissait d'une tumeur
cérébrale
intéressant la pituitaire naturellement. La nat
la protubérance, empiétant légèrement sur la région des pédoncules
cérébraux
, et en outre un tubercule crû occupant la moiti
le de cette fillette est due à l'atavisme et à une dégénéres- cence
cérébrale
. (Petit Parisien 26 septembre). Alcoolisme des
celles qui, par exem- ple, déterminent, par arrêt de développement
cérébral
, certai- nes idioties, certaines imbécillités ;
érations méningo-corti- cales profondes de certains idiots, tumeurs
cérébrales
, esquil- les, etc.). Je remarquai que les épile
Son mari est mort il y a deux ans et demi à la suite d'accidents
cérébraux
. Elle raconte qu'il a été cinq ans malade ; qu'il
lement la femme en traitement. « Le dit R... est mort d'accidents
cérébraux
qui se sont succédé dans l'ordre habituel de la
ité) entre l'infection initiale et le développe- ment de la maladie
cérébrale
. L'infection du mari a dû pré- céder le mariage
st une fonction psychique dont les centres sont dans l'écorce grise
cérébrale
et qui doit être cependant soigneusement distin
flexes supérieurs, automatisme infé- rieur). Ils sont dans l'écorce
cérébrale
mais se distinguent des centres du psychisme su
centres du psychisme supérieur également situés dans celte écorce
cérébrale
3. » Pour faire'saisir avec plus de clarté sa con
centres, tous situés dans la substance grise des circonvolu- tions
cérébrales
sont reliés entre eux de toutes manières par des
lité consciente, de la volonté libre el du moi responsable : écorce
cérébrale
au lobe préfrontal ( ? ) ; AVTEMK, polygone des
alité. Ce n'est pas l'interprétation d'une coupe avec localisations
cérébrales
, mais une hypothèse que la suite de l'ouvrage a
mique de l'exis- tence des divers centres qu'il situe dans l'écorce
cérébrale
(psy- chisme supérieur et automatisme psychique
érenciés bien que situés par hypothèse dans la même région : écorce
cérébrale
du lobe préfrontal. - Sur ce terrain des hypo
ée : localisation possible dans un territoire anatomique déterminé,
cérébral
, bulbaire ou médullaire de l'agent « Sugges- ti
tomiques, ne peut produire les mêmes effets qu'une lésion organique
cérébrale
, bulbaire ou médullaire. La suggestion porte su
t loin d'être identiques à une aphasie et à une agraphie par lésion
cérébrale
. Tandis que les organiques se présentent à l'ob
expériences si elles étaient confirmées - prouveraient que l'écorce
cérébrale
contient un grand nombre de centres en rapport
même, lorsque Grasset écrit « aucun organe n'échappe à l'influence
cérébrale
, cela explique qu'aucun organe n'échappe à la s
dans un syllo- gisme dont les termes ne sont pas prouvés. Influence
cérébrale
et influence de la suggestion ou de la volonté
lus ac2clus dans une hémiplégie organique est bien sous l'influence
cérébrale
, cause de l'hémiplégie, et cependant la suggest
ent manifestée qu'à l'âge de neuf ans par l'apparition de symptômes
cérébraux
graves, les signes de dégénérescence et l'arrêt
présenté dès le début des troubles cer- tains. Depuis les accidents
cérébraux
, l'état morbide a progressé lentement mais sans
tion; par G. ScnEne. La question de la lombo-ponction dans l'urémie
cérébrale
est d'actualité, et la série des cas défavorabl
e-neuf ans, entré à l'hôpital avec des symptômes insolites d'urémie
cérébrale
, empruntant le double masque du syndrome confus
ations d'origine exo ou endogène, altérations des vaisseaux, foyers
cérébraux
, etc...) occupent une place remarquable ; - 3°
régulières de sommeil et d'alimen- tation, insolation, traumatismes
cérébraux
, etc., interviennent éga- lement. SIMON. XXXV
lièrement lente et une issue douteuse, vec évidence d'altérations
cérébrales
graves. Elles se développent sur une base d'épuis
vec syndrome paralytique chez un aliéné atteint . de pachyméningite
cérébrale
et de gomme du cervelet. 11. DOIJTREBENTE rappo
Séance du 30 décembre 1903. Présidence de M. G. Ballet. Syphilis
cérébrale
et démence. M. \TCCOUnoUx communique l'observat
M. \TCCOUnoUx communique l'observation d'un homme mort de syphilis
cérébrale
et dont l'état démentiel rappelait celui de la
hez une jeune fille de quinze ans, fille d'un père mort de syphilis
cérébrale
. C'était une para- lysie générale juvénile à dé
he. 188 . VARIA. tous lestas d'inégalité de poids des hémisphères
cérébraux
et cé- rébelleux qu'il lui a été donné d'observ
es lésions du fond de l'oeil paraissant indépendantes de la maladie
cérébrale
dont elles étaient affectées. Observation XXX
tivité fonction- nelle de ces glandes s'accompagne d'une excitation
cérébrale
spéciale, d'une exaltation particulière des sen
début de la suspension des manifestations psychiques de l'activité
cérébrale
. Nous croyons trouver là une preuve d'une espèc
ec les cellules ? Est-ce un trou- ble mécanique dans la circulation
cérébrale
? Voilà ce que nous ignorons encore, et ce que
qu'ultérieurement se soit développée une tumeur isolée du pédoncule
cérébral
. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQU
sion de 150 à 200 millimètres de mercure, au milieu des neu- vrones
cérébraux
, il y aura un dégagement soudain et considérable
lète, mais porte presque exclusivement sur les neurones de l'écorce
cérébrale
. Il y a perte du sentiment de l'unité du moi, p
20 septembre 1902 B. W. Mouravieff. Sur la symptomatologie du lues
cérébral
(avec présentation de la malade). Malade, demoi
méliorer. Le rap- porteur compte assez caractéristique pour le lues
cérébral
les symptômes suivants : la somnolence, le trou
seulement dans la sclérose disséminée, mais aussi dans la syphilis
cérébrale
. L'aggravation temporaire des symptô- mes morbi
avec la dépression psychique n'est pas caractéristique pour le lues
cérébral
et que ces symptômes peuvent aussi se ren- cont
ales du cer- veau. ' N. P. PosTOVSKY trouve le diagnostic du lues
cérébral
trop géné- ralisé et aurait voulu que de tels c
tesse du diag- nostic. W. P. SERBSKY doute de l'existence du lues
cérébral
dans le cas donné, vu l'absence complète des in
pour lui donner des soins. L'enfant devint plus faible; une lésion
cérébrale
se déclara, sui- vie de la perte de la vue, et
Depuis trois mois environ, la malheu- refuse souffrait de troubles
cérébraux
. Elle avait quitté le domicile paternel depuis
en à voir avec la paraplégie ou l'hémiplégie de cause médullaire ou
cérébrale
. Ici l'impuis- sance motrice n'est point complè
bro-spinale, la méningite tuber- culeuse, la syphilis, le tubercule
cérébral
, l'intoxication chronique par les liqueurs à es
pseudo-cérébelleux d'origine bulbaire. G. Carrier., XXVII. Tumeur
cérébrale
avec symptômes d'immobilité ; par 11. L. 1)oR (
n dehors de ce symptôme rien n'indiquerait l'existence d'une tumeur
cérébrale
, s'il ne présentait une « immobilité » comparab
psie, on trouva un athérome très prononcé du tronc basilaire et des
cérébrales
postérieures et un double ramollisse- ment des
concours du neurone moteur supérieur ou plus exactement de l'écorce
cérébrale
sont normaux. Seuls, ceux qui sont volontaires
ution de l'attention consciente. Les auteurs font de leur malade un
cérébral
, un cortical et en précisant un hystérique. C'e
été médicale des hôpi- , taux de Lyon, 28 février 1902). L'urémie
cérébrale
comprend trois formes différentes : une forme c
git, croit-il, de délire survenant seulement chez des prédis- posés
cérébraux
, à la faveur d'un trouble circulatoire fréquent à
bservation visent deux jeunes femmes, prédisposées par une hérédité
cérébrale
qui au cours d'une néphrite, font des phénomène
'agit d'une brigh- tique ancienne, ayant eu au début une hémorragie
cérébrale
gauche et qui quatre mois plus tard. sans ictus
es différents cas qui sont tous impu- tables, croit-il, à un oedème
cérébral
chez un prédisposé, émet les considérations sui
mblable. 3° Ces délires n'éclatent que chez des gens ayant une tare
cérébrale
héréditaire ou acquise, et leur caractère dépen
en dehors d'elle. 5° Dans les autopsies on ne retrouve pas l'oedème
cérébral
qui disparait après la mort, mais on note de la
ites et des globules rou- ges.- 2° L'existence d'une pachyméningite
cérébrale
très accentuée, lésion qui a été trouvée^ rarem
endu le diagnostic facile avec le tremble- ment d'origine organique
cérébrale
. Le tremblement était si carac- téristique que
iquide cérébro-spinal, une congestion généralisée des vaisseaux x ¡
cérébraux
, de la congestion des poumons, du l'oie et des re
, c'est le contraire de ce que l'on observe ordinairement. Le tissu
cérébral
était oedematié ainsi que les poumons. Malgré l
ssu cérébral était oedematié ainsi que les poumons. Malgré l'oedème
cérébral
aucun signe de comptes- sion ne fut constaté. L
vrier 1904. Présidence de M. Brunet. Paralysie générale et syphilis
cérébrale
. M,l", TISSOT, interne à Villejuif, communique
renant le schéma de Meinert, elle démontre que le pied du pédoncule
cérébral
et la pyramide bulbaire ne contiennent que des
moteur. Dans les hémiplégies anciennes avec contracture par lésion
cérébrale
et chez une femme atteinte de paraplégie spasmo
e du délire de la persécution et on attribue sa mort à des troubles
cérébraux
. Vendredi dernier, elle avait déjà voulu se pen
pendue. La jeune fille a dû agir sous l'influence d'un dérangement
cérébral
, car elle avait déjà manifesté des symptômes d'
ce cas indiquent comme cause de la porencéphalie une embolie de la
cérébrale
moyenne gauche survenue vers la fin de la premi
l étaient les suivantes : 1° Il y avait une défectuosité du manteau
cérébral
à gauche, intéressant l'opercule, l'insula de I
re que l'opacité et l'épaississement des membranes, et l'atro- phie
cérébrale
que l'on rencontre dans les autopsies d'asile che
par ce fait que la dégénérescence des fibres provenant de l'écorce
cérébrale
et de la couche optique est survenue avant que
mécanique, mais représentent le mécanisme vaso- moteur des centres
cérébraux
les plus élevés, servant à les proté- ger contr
igmentaire est-elle un phénomène accessoire de la fonction nerveuse
cérébrale
normale, ou bien un stigmate intra- crânien de
e leur réseau fibrillaire chez la grenouille vivante. La sclérose
cérébrale
diffère de la sclérose des autres tissus par le
la contractilité de ce prolongement peut exercer sur la circulation
cérébrale
, et d'admettre que l'hypertro- AnC ! l1VE. 2° s
des cellules de la névroglie une issue nécessaire hors de l'écorce
cérébrale
; il se peut encore que le processns soit invers
ase du crâne, les fractures du vertex avec dépression, la commotion
cérébrale
, la déchirure du cerveau et l'hémorrhagie. Il s
tion du squelette des enfants. G. Carrier. XXXXVI. Un cas de tumeur
cérébrale
à forme psycho-paralytique et à évolution fébri
e irritation des cen- tres perceptifs ou psycho-moteurs de l'écorce
cérébrale
. La théorie, d'abord acceptée avec beaucoup de
ENTALE. 409 de cette proposition. 6° Les processus du développement
cérébral
et mental jusqu'à vingt-cinq ans, ceux de l'inv
ction toxique les conditions ciné- tiques pathologiques de l'écorce
cérébrale
? 13° Les tendances de la pathologie moderne so
14° Le psychologue mé- decin ne doit pas perdre de vue que l'écorce
cérébrale
est le véri- table centre régulateur de tout l'
ie comprend au moins trois états très différents : 1° les anomalies
cérébrales
; 2° les troubles cérébraux par traumatisme ou t
tats très différents : 1° les anomalies cérébrales; 2° les troubles
cérébraux
par traumatisme ou toxémie intra ou extra-utéri
causes sont à chercher. L'orateur ne peut pas attribuer à l'écorce
cérébrale
l'influence que lui reconnaît M. Clouston sur l
qu'elle permet d'espérer des progrès thérapeutiques : si la cellule
cérébrale
devient spontanément malade, il est clair que tou
L'auteur montre le côté fantaisiste de l'hypothèse de la dualité
cérébrale
pour l'explication des hallucinations unilatérale
e lésions organiques du cerveau et en particulier du ramollissement
cérébral
. Féré attribue ce rire prodromique, non pas à u
3). E. B. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. IX. Stase papillaire par tumeur
cérébrale
. Intervention; par L. Dort {Société des science
, 19 mars 1902). M. L. Dor présente une femme atteinte d'une tumeur
cérébrale
. Elle présentait il y a neuf ans une stase papi
alo-rachidien. Par exemple, on l'a trouvé dans des cas d'hémorragie
cérébrale
, tabes (dix fois sur douze) paraplégie, tumeur
hémorragie cérébrale, tabes (dix fois sur douze) paraplégie, tumeur
cérébrale
, épilepsie tardive et jacksonienne. Ellea manqué
sition du sang (action chimique) qui agit directement sur un centre
cérébral
pour déterminer l'apparition d'un souvenir, poi
fonction des petites cel- lules rondes qui infiltrent la substance
cérébrale
dans les proces- sus pathologiques. Il discut
ique sur les cellules du cer- veau. VI. La fréquence des troubles
cérébraux
chez les alcooliques chroniques, résulte : d'un
es ou nuto-toxiques ; il exaspère par cela même la pré- disposition
cérébrale
héréditaire. ? VII. Dans tout délire alcoolique,
chez des alcooliques chro- niques et dans lequel la prédisposition
cérébrale
héréditaire est secondaire, les lésions d'alcoo
aque se trahit par une exagération de l'activité tant somatique que
cérébrale
qui le rend gai, exubérant, loquace, et accélèr
conceptions délirantes, extrêmement vagues. Sur ce fonds de torpeur
cérébrale
se développent quelques illusions, quelques int
r penser à quelque chose, pour ne pas persister dans l'état de vide
cérébral
qui lui est habituel. Expérimenter sur un tel s
EMENCE PRÉCOCE. 449 était le plus souvent indifférent '. L'activité
cérébrale
est, de ce fait même, lésée assez profondément,
toute plas- UN CAS DE FORME FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCOCE. 453 ticité
cérébrale
, parce qu'il a perdu les ressorts mêmes de cett
et accès aigu, la pauvreté -intellectuelle du sujet et son inaction
cérébrale
se sont ma- nifestées par la pauvreté du délire
e des impul- sions d'inhibition partent continuellement de l'écorce
cérébrale
vers les centres spinaux et exercent un antagon
les impulsions d'accroissement et d'inhibition émanant de l'écorce
cérébrale
, il est clair que, l'équilibre une fois rompu, le
est composée de neurones d'association, dont le nombre dans lécorce
cérébrale
est infini. Nous devons toutefois supposer que
et la quantité du sang qui alimente le système nerveux et l'écorce
cérébrale
. L'auteur recherche ensuite comment les centres
II. Quelques caractères nouveaux de la structure intime de l'écorce
cérébrale
chez l'homme ; par John TURNEP (The Journal of
seau en chapelet qui enveloppe les cellules pyramidales de l'écorce
cérébrale
et qui n'avait jusqu'ici jamais été observé dan
tre travail l'auteur a fait remarquer que, tandis que dans l'écorce
cérébrale
les cellules pâles sont beaucoup plus nombreuse
tème nerveux et paraissant traverser sans interruption les cellules
cérébrales
, il faut se dire qu'il y a encore bien des rech
tesses de structure. R. DE MUSGW1VE-CLaY. LXXIX. Un cas de tumeur
cérébrale
compliqué de folie confusion- nelle d'origine a
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 481 fussent communs à toutes les tumeurs
cérébrales
. La réponse est forcément négative,pusique les
. Les recherches statistiques démontrent que dans les cas de tumeur
cérébrale
, les troubles mentaux ou intellectuels. se renc
de la démence et décrivent une forme psycho-paralytique de tumeur
cérébrale
, dans laquelle les troubles psychiques prédominen
t régulière. Rail a donné l'instabilité comme un symptôme de tumeur
cérébrale
, permettant le diagnostic diffé- rentiel entre
la curiosité de l'enfance. On a donné aussi comme signe des tumeurs
cérébrales
les impulsions, puis un «automatisme ambulatoir
ntéressée, il peut y avoir des troubles de la parole. Les tu- meurs
cérébrales
doivent être différenciées de la démence sénile,
aucun symptôme qui soit caractéristique de la présence d'une tumeur
cérébrale
, ni indication du siège de cette tumeur. R. de
ute l'étendue des méninges molles vas- culo-conjouclives aussi bien
cérébrales
que spinales, et secondaire- ment existait une
prélude des manifestations les plus graves. Atrophie cérébelleuse
cérébrale
. lliV. Boasrrenrr,LE et CRouzoN rappellent qu'i
1900 l'observation de deux frères atteints d'idiotie et de diplégie
cérébrale
infantile. L'un des deux frères était mort son
SOCIÉTÉS SAVANTES. ' 497 cliniquement par l'idiotie et la diplégie
cérébrale
infantile et ana- tomiquement par l'atrophie cé
pyramidal suite d'un ramollissement sous- cortical d'un hémisphère
cérébral
. , Ainsi, ces scléroses combinées médullaires o
Tabès, dégénérescence descendante du système pyramidal par lésion
cérébrale
, foyers de méningo-myélite de même nature que la
rr- AHCmvrs, 2' série, t. XVII. 33 514 BIBLIOGRAPHIE. dissement
cérébral
tel que le sujet ne manifeste plus aucune activ
ort, une diminution de 1 éoislance, d'origine toxique, des neurones
cérébraux
, qui favorise leur déchéance physiologique. Cet
ype Charcot-Marie, par Déjerine et A. Delille, 79. - cérébelleuse
cérébrale
, par Bour- neville et Crouzon. 496. - Atropin
507. Centres olfactifs. De la localisation , des - dans l'écorce
cérébrale
. par Gorschkow, 52. Cerveau. Voir Anatomie. D
psychiques. EnnxocnnuE du cerveau, par Fedo- row, 238. Econcn
cérébrale
. Voir Centres ol- faclifs. Des modifications su
, par Brissaud et Bauer, 62. Logl3o-*POI\CTION. Voir Urémie. Lues
cérébral
. Sur la symptomato- logie du , par Mouravieff,
hode corrélative, par Bond, 407. Stase papillaire. - par tumeur
cérébrale
. Intervention, -414. Stimulus. Voir Système ner
24. Sur un - thalamique, pal' Tho- mas et Chiray, 496. Syphilis
cérébrale
et démence, par Vigoureux. 101. Voir Para- ly
<lle 11\'I'C symptômes (l'immobilité, par Dur 323. Un cas de -
cérébrale
a forme pavclto-paralyttqne et à évolmton féb
o-paralyttqne et à évolmton fébrile, par Lamois Il Porot, 396. -.
cérébrale
, 1 ? Stase papillaire. Un cas com- pltqué de
re DE l'affection actuelle. - A l'âge de H ans aurait eu une fièvre
cérébrale
( ? ). Depuis 11 ans jusqu'à 17 ans, on l'a tou
Sée, que le malade fut d'abord considéré comme atteint d'une tumeur
cérébrale
, pro- bablement de nature syphilitique. Il prés
e. L'épilepsie ne peut, chez lui, être rattachée à aucune affection
cérébrale
, elle est bien idiopathique. 11 a eu des conv
Gowers a, parmi d'autres, fort bien défendu la théorie de l'origine
cérébrale
dé l'épilepsie. Il compare, après Schroeder van
T DE SES PRÉPARATIONS. 65 elles reviennent aussitôt que la décharge
cérébrale
est apaisée. - Elles obéissent aux cellules cér
e la décharge cérébrale est apaisée. - Elles obéissent aux cellules
cérébrales
à cause de la subor- dination de la moelle par
ac, la circulation s'accélère, et il survient une légère excitation
cérébrale
et musculaire avec sueur et diurèse.On observe
inations chez une imbécile maltraitée (Obs. VI). L'examen de l'état
cérébral
chez les choréiques, comparé avec les accidents
rée et psychose sont constamment l'expression d'un même processus
cérébral
; l'allure générale du tableau morbide résulte du
mamillaires, le bord antérieur de la protubérance et les pédoncules
cérébraux
, gomme englobant les deux oculo-moteurs communs
les des yeux. P. K. XIV. Contribution A la pathologie DES TUMEURS
cérébrales
; par H. OPPENHEIM. (Arch. f. Psych., XXI, 2-3.
par Tu. Proskauer (Centralbl. f. Ne1'venheilk. 1889.) Une tumeur
cérébrale
peut, sans intéresser la protubérance, provoque
périphériques. Observation avec autopsie, de tumeur d'un hémisphère
cérébral
, réalisant ces conditions-là. P. K. XIX. Diag
se continue jusqu'à la première division de la sylvienne ; le lobe
cérébral
gauche est par suite plus anémié que le lobe dr
ulz. (Neurol. Centralbl., 1886.) I. Furoncle de la nuque. Méningite
cérébrale
. Furoncle de la peau ayant versé des amas de st
sence de tout signe objectif local précis, on diagnostique : tumeur
cérébrale
avec com- pression et excitation des faisceaux
'afflux sanguin qui alimente les centres ganglionnaires de l'écorce
cérébrale
. Les cas, assez communs, dans lesquels le jeûne
que la première, invoque des changements moléculaires dans l'écorce
cérébrale
; c'est celle que Russell Reynolds a ingénieusem
sourds, aveugles, impotents. Le microscope révèle que les districts
cérébraux
correspondants sont embryonnaires et que, dans
he ; - 2° après les extirpations en question, l'examen du pédoncule
cérébral
révèle qu'il n'y a que le tiers la- téral de so
de commun avec la paralysie générale, notamment dans les affections
cérébrales
dues à la sénilité; dans ces cas, -l'atrophie d
scence graisseuse des cellules nerveuses et des vaisseaux, d'oedème
cérébral
ou de folie systématique avec lésion cardiaque;
entre-croisement en arrière du canal central, se rendent à l'écorce
cérébrale
. P. K. XV. SUR LES rapports DU CORPS HESTIFORME
myélinique, se rattache la connexion de ces organes avec les fibres
cérébrales
du côté opposé. Nous avons, disent les auteurs,
té en une gouttière fai- sant saillie entre l'extrémité de l'écorce
cérébrale
(gjrus forni- catus) et le ventricule latéral.
C. XXI. UN cas DE dégénérescence totale DU pied D'UN pédoncule ;
cérébral
par G. RossoLYnco. (Neurol. Centralbl., 1886.) .
yant entraîné une dégénérescence secondaire de la base du pédoncule
cérébral
dans ses trois segments; plus bas, la dégéné- r
la dégénérescence descendante comprenait toute la base du pédoncule
cérébral
. L'auteur annonce la publication d'une observat
érescence secondaire du tiers moyen et externe du pied du pédoncule
cérébral
. P. K. XXII. ETAT ANATO) ! JQUE DES MUSCLES DAN
excitations DOU- BLES dans LES cas DE FOYERS occupant un hémisphère
cérébral
,* par L. Bruns. (Neurol. Centralbl., 1886.) zut
ent la moitié du corps qui n'est pas soumise à l'influence du foyer
cérébral
. Si au contraire on exa- mine chez lui la sensi
aut chez cette femme, et il était logique de supposer que le centre
cérébral
qui correspond à cette région présenterait les
ifestement un certain degré d'amaigrissement ou d'atrophie du tissu
cérébral
, la tension artérielle estélevée, et, règle génér
sie : dégénérescence et atrophie des cellules nerveuses de l'ecorce
cérébrale
et de la moelle. Sclérose médullaire primitive
ntrent une fois de plus avec quel soin on doit, dans les affections
cérébrales
et mentales, étudier l'enchaîne- ment des sympt
ncore moins à la pathogénie interstitielle de l'atrophie des fibres
cérébrales
. Le cervelet est atteint de la même façon que l
bro-hulbaire et montrent une fois de plus la rareté de la paralysie
cérébrale
pure. L'artério-sclerose syphilitique y joue le
t encore inconnue. « Selon toute vraisemblance, c'est une affection
cérébrale
ou céré- 1ro-splIJale; nous sommes portés à pen
, elles représentent le type classique de l'hémi- plégie par lésion
cérébrale
vulgaire : paralysie du bras, de la jambe et d'
ourdon, de Klebs ', de Poelchen2); elle est due alors à des lésions
cérébrales
facilement reconnaissables. Les paralysies gé
Les paralysies par l'oxyde de carbone peuvent-elles être d'origine
cérébrale
? Le fait est démontré par les observations d'h
n plaques. C'est bien l'agent toxique qui est la cause de la lésion
cérébrale
; quant à son mode d'action, on l'ignore. Mais
reconnaissent la même cause. On peut se demander si la congestion
cérébrale
, symptôme si fréquent de l'intoxication oxy- ca
supposer que si le terrain avait été plus propice, si la résistance
cérébrale
avait été amoindrie par une névrose ou une into
. Névrose diabétique paraissant dépendre de la glycosurie. Troubles
cérébraux
. Accidents du côté de la motilité de l'oeil et
sion : électrisation, guérison. - L'autre, de paralysie d'ori- gine
cérébrale
' : un traumatisme ayant porté sur les parties le
luent seulement sur la marche de la maladie. Comme dans la syphilis
cérébrale
à lésion diffuse, le traitement spécifique n'ag
de temps à autre des gémissements, accuse des douleurs occipitales,
cérébrales
, abdominales. Gâtisme, malpropreté, inco- héren
M. RÉGNIER fait une communication sur les rapports de la syphi- lis
cérébrale
et de la paralysie générale progressive, ainsi qu
et l'évolution de cette affection. II sépare nettement la syphilis
cérébrale
de la paralysie générale, admettant que celle-c
a recherche de la syphilis et de ne pas prendre des cas de syphilis
cérébrale
pour des paralysies générales. Le traite- ment,
que toujours le début de la démence consé- cutive au ramollissement
cérébral
et de la paralysie générale, et elle est ordina
SAuRY regarde les malades de M. Doutrebente comme des syphilitiques
cérébraux
et non comme des paralytiques généraux vrais, p
rents ont été frappés soit d'apo- plexie soit d'une autre affection
cérébrale
grave. Je crois qu'il y a lieu de songer à des
rstitielle et celle-ci à l'intoxication pri- mordiale de la cellule
cérébrale
; cette prolifération serait d'abord un adjuvan
t d'admettre qu'une lésion organique puisse occuper le territoire
cérébral
qu'envahit l'hystérie lorsqu'elle provoque l'ap
sorte de station intermédiaire entre la vie rachidienne et la vie
cérébrale
; les impressions périphériques subissant là une
e pre- mier, s'ajoute un troisième arc de perfectionnement, l'arc
cérébral
, dont une branche va à la partie posté- rieure
cérébral, dont une branche va à la partie posté- rieure de l'écorce
cérébrale
et dont l'autre branche vient de la partie anté
rise des circonvolutions au niveau des vertèbres crâniennes (cornes
cérébrales
) ' 1 représentent des centres d'ordre de plus e
st pas applicable, et j'ai déjà dit que l'étude des localisations
cérébrales
échappe le plus souvent à cette dernière méthod
e l'olfaction; - 3° Arc rachidien ; 4° Arc intermédiaire ; 5° Arc
cérébral
; - 6° Arc direct, comprenant un rattache- ment
attache- ment du carrefour avec : a, le noyau cortical ; b, l'arc
cérébral
. Le schéma ci-joint (.1'ig. 28) donnera une idé
t au niveau de l'espace intcrpédoncularre, en dedans des pédoncules
cérébraux
: il entre en relation avec le tubercule mamillai
i P. r., qui va à la couche optique. Ces éléments constituent l'arc
cérébral
. H. p. o. Ruban péri-optique, reliant la couche
de la bande diagonale L. r. Tous ces éléments forment l'arc direct
cérébral
. A. d. d. Arc demi-direct rattachant l'arc céré
l'arc direct cérébral. A. d. d. Arc demi-direct rattachant l'arc
cérébral
à la bande diagonale. ' Les arcs rachidien, cér
ttachant l'arc cérébral à la bande diagonale. ' Les arcs rachidien,
cérébral
et intermédiaire sont striés en long. L'arc direc
rachidien, l'arc inter- médiaire et la partie postérieure de l'arc
cérébral
pilier postérieur et voûte. La partie antérieur
érébral pilier postérieur et voûte. La partie antérieure de l'arc
cérébral
pilier antérieur et pilier réfléchi est dans un
atomie comparée, on a fait de ces renfle- ments de véritables lobes
cérébraux
, constitués de toutes pièces et reliés à la mas
de l'anatomie comparée, il faut faire de la rétine un autre lobe
cérébral
, car elle a été également une vésicule cérébral
ine un autre lobe cérébral, car elle a été également une vésicule
cérébrale
, le nerf optique a été creusé d'une cavité et a
et a contenu de la substance grise ; quant à sa texture, elle est
cérébrale
en grande partie. DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL
'il n'est pas plus rationnel de cher- cher le centre de l'olfaction
cérébrale
, dans la région où se trouvent certainement, qu
ce d'étalement que partiront les arcs rachi- dien, intermédiaire et
cérébral
. Qu'à cette surface on ajoute : 1° la bande dia
dans la catégorie des- quels nous rangeons : l'hémiplégie d'origine
cérébrale
sans hémypiopie, la paralysie générale progress
e locomotrice progressive (tabès), alcoolisme, hé- miopie d'origine
cérébrale
(hémiplégie) et l'hystérie. A. Tabès. Nous avon
exerce sur l'attention, ou bien aurait-on affaire à une synthèse
cérébrale
des excitants fournis par les deux yeux ? Nous
xication alcoolique, chez les ataxiques et dans d'autres affections
cérébrales
de cause organique; 2° Ceux dans lesquels la pe
OGIE PATHOLOGIQUE « THE CROONIAN LECTURES » SUR LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
Faites devant le Collège royal des médecins de
squelles il expose l'état actuel de la ques- tion des localisations
cérébrales
et le résultat de ses dernières recherches. Il
lectures d'esquisser l'évo- lution de la théorie des localisations
cérébrales
, d'indiquer les principales données sur lesquel
existence de centres spéciaux et leur situation exacte sur l'écorce
cérébrale
. Avant de considérer les faits ayant trait à la
s ayant trait à la localisation spéciale des fonctions sur l'écorce
cérébrale
, je crois utile, même nécessaire de considérer
même nécessaire de considérer l'effet de l'ablation des hémisphères
cérébraux
dans les différentes classes d'animaux. Une b
récentes recherches sur les effets de l'ablation des hémis- phères
cérébraux
.par des méthodes perfectionnées ont nécessité
les ganglions qui correspondent morphologi- quement aux hémisphères
cérébraux
des vertébrés, il y a peu de choses, sinon rien
vision. Vulpian dit : < En effet, lorsqu'on a en- levé les lobes
cérébraux
sur un poisson, offrant de la résistance à LES
ébraux sur un poisson, offrant de la résistance à LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 407 ces sortes d'opérations, sur un gardon par
, \ 408 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. mer l'ablation des hémisphères
cérébraux
, qui sont presque exclu- sivement en relation a
Gallz * et Steiner '. les grenouilles privées de leurs hémisphères
cérébraux
se conduisent, cælc1'is lW1'iIJUs, essentiellem
optique. - C, Cervelet. - 0. Lobe ol- factif. LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 409 ou l'évite de quelque façon. Dans toutes c
seaux. - Voyons maintenant les effets de l'ablation des hémisphères
cérébraux
chez les oiseaux et spécialement chez les pigeo
. Op. cit. 3 Observations and experiments on the Corpora strata and
cérébral
Hémisphères of Pigeons. Royal Society, Edimbour
.) Das' Sehcentl'um bei Froschen. Berlin, 1880. LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 411 de Munk, ne conduisent pas à des conclusio
un certain nombre de pigeons, auxquels il a enlevé les hémisphères
cérébraux
, la vision n'était pas entièrement abolie et qu
pense que tous ceux qui ont soutenu que l'ablation des hémisphères
cérébraux
n'entraîne pas une cécité complète sont dans l'
s chez deux pigeons dont il avait enlevé totalement les hémisphères
cérébraux
comme en fait foi l'autopsie de von Recklinghau
t rien de l'écorce, mais seulement quelques restes des pédon- cules
cérébraux
qui étaient ramollis. Peu de jours après l'opérat
guident leurs mouvements malgré l'ablation complète des hémisphères
cérébraux
. Mammifères. - L'ablation des hémisphères céréb
des hémisphères cérébraux. Mammifères. - L'ablation des hémisphères
cérébraux
(compre- nant les corps striés) dans les vertéb
la période de calme passée, font quelques courses Les localisations
cérébrales
. 413 d'apparence spontanées, mais en réalité ca
e Christiani et Munk1 . Après l'ablation minutieuse des hémisphères
cérébraux
et des corps striés immé- diatement au-devant d
e Christiani et dit que les lapins après l'ablation des hémisphères
cérébraux
sont complètement aveugles, et ne montrent aucu
ces expériences pour base de sa polémique contre les localisations
cérébrales
, mais pour le moment, faisons abstraction de le
ns il a enlevé une grande partie des deux hémisphères. La substance
cérébrale
détruite avec l'atrophie secondaire consécutive
ent aucun signe de plaisir; ' Op. cit., p. 134. LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 418 d'un autre côté ils étaient tous deux mis
phères entièrement. Et quand nous considérons les effets de lésions
cérébrales
partielles chez l'homme, nous avons quelque rai
tions adaptées à un but, qui survivent à l'ablation des hémisphères
cérébraux
chez les animaux infé- rieurs. Il parait donc
IQUE. tume de considérer chez l'homme comme d'ordre exclusivement
cérébral
, et conscients se trouvent chez ces animaux avec
trouvent chez ces animaux avec une absence complète des hémisphères
cérébraux
. Nous ne pouvons pas dire non plus que la spont
ue l'on considère habituellement comme une fonction des hémisphères
cérébraux
, fasse défaut entièrementchez les animaux sans
scientes sont unies indis- solublement à l'activité des hémisphères
cérébraux
. Les résultats de l'ablation des hémisphères cé
hémisphères cérébraux. Les résultats de l'ablation des hémisphères
cérébraux
ne prou- vent rien ni pour ni contre la doctrin
les capables de se manifester en l'absence complète des hémisphères
cérébraux
, il reste tou- jours la question de savoir si l
étaphysiques quand nous étudions les effets des lésions de l'écorce
cérébrale
. Nous avons affaire à des entités matérielles L
ale. Nous avons affaire à des entités matérielles LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 417 en connection avec les tractus sensitifs o
n connu, n'admet aucune espèce de localisation dans les hémisphères
cérébraux
. Il semble avoir été amené à cette con- clusion
oit par en haut, soit par côté, une portion assez étendue des lobes
cérébraux
, sans que leurs fonctions soient perdues. Une por
passé certaines limites, elles sont tout à fait éteintes. Les lobes
cérébraux
concourent donc par tout leur ensemble à l'exer
and pathological Researches on the Newan System. LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 41Ô 0 lutions produisaient des convulsions loc
ifficulté de distinguer les effets directs ou indirects des lésions
cérébrales
a fourni à f3rown-Séquard des arguments ' Pysio
faveur de son idée particulière que tous les symptômes de ma- ladie
cérébrale
sont dus à quelque influence dynamique exercée
que c'est une simple coïncidence. La physiologie et la pathologie
cérébrale
ont été révolutionnées par la découverte faite
ation directe de l'électricité sur des régions définies de l'écorce
cérébrale
d'un chien. Comme maintenant ces expériences on
eichert U. Du Bois Raymond' Archiv, 1870, heft 2. LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 421 1 rieur et quelque peu plus en arrière. L'
ré la voie, qu'est née toute la doctrine moderne de la localisation
cérébrale
exacte. Avant de discuter les différentes réact
evue les caractères et les conditions de l'excitabilité de l'écorce
cérébrale
. A l'état normal, la substance grise de l'écorc
nvolutions exci- tables mécaniquement après la ligature des artères
cérébrales
. Que nous acceptions ces résultats comme strict
e du cerveau du chien, suivant Fritsch et Hitzig. LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 423 l'application des électrodes sur différent
eau, 1873. . Proceding Royal Souetz, juin 1873. LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 428 plètement l'hypothèse de la conductibilité
0. 3 Pflùger Archiv of Physiologie, 1881. 1 Sur la circonvolution
cérébrale
, 1879. 0 Boston met and Surgical Journal, 1874.
LES processus dégénératifs DE la substance BLANCHE DES HÉMISPHÈRES
CÉRÉBRAUX
; par M. FrIEDMANN. ENCORE UN MOT SUR LES PROCES
LES PROCESSUS DÉGÉNÉRATIFS DE LA SUBSTANCE BLANCHE DES HÉMISPHÈRES
CÉRÉBRAUX
ET EN PARTICULIER DANS LA PARALYSIE progressive
es au'contraire se confinent à la subslance blanche des hémisphères
cérébraux
. Mais la première (générale) parait plus spécia
parties en réseaux tenus seuls capable de pénétrer dans la matière
cérébrale
. Les sillons en sont donc le produit. Ce sont d
cerveau; par M. Bissons. Il résulte de ce travail que les artères
cérébrales
, au moins les corticales, appartiennent non au
rolongement comprimait la bandelette optique gauche et le pédoncule
cérébral
du même côté d'ou l'hé-* miplégie et l'hémianop
NCE secondaire descendante DU faisceau EXTERNE DU PIED DU PÉDONCULE
CÉRÉBRAL
; par C. WINELER. - UN CAS DE DÉGÉNÉRESCENCE SE
ENCE SECONDAIRE BILATERALE DU FAISCEAU EXTERNE DU PIED DU PÉDONCULE
CÉRÉBRAL
AVEC ATROPHIE DE LA MOITIÉ SUPÉ- RIEURE (DORSAL
érescence porte surtout sur la partie latérale du pied du pédoncule
cérébral
; on la voit se poursuivre dans la pyramide du m
S DU LOBE occipital DES mammifères ET résultats DE pesées DES lobes
cérébraux
d'hommes atteints DE lésions ANATOMIQUES, par T
dice comprend des ta- bleaux. donnant le poids des diverses régions
cérébrales
et le calcul de leurs rapports pondéraux respec
elles n'arri- vent que par leur intermédiaire au pied du pédoncule
cérébral
. Les parties latérales de ce dernier renferment
ent dirigé mesure 1 pouce et demi à deux pouces, indique une lésion
cérébrale
, qu'il y ait ou non lésion du fond de l'oeil, n
res sont consacrés à l'anatomie pathologiqne et aux localisa- tions
cérébrales
de ces divers troubles du langage articulé. Ce
87; de la substance blanche, par Friedmann, 428 ; du pédon- cule
cérébral
, par Vinkler, Jel- gersma, 431, parSioli, 434.
, par : \Ioebius, 2'il Hystériforme, symptômes - dans la svphvlis
cérébrale
, par MOI'aw- sil : . `3f0. Hystérique, bégaie
ratum de la boule hystéri- que, par Langrenter, 74. Localisations
cérébrales
, par Fer- rier 403. Martyrologe de la psychia
ire, affaiblissement général de la - , par Freund, 4tU. Méningite
cérébrale
, par Scltulz, 80. Mentales (maladies), classi
r Thornsen, par Zichen, 251 ; - symptômes hystériformes dans la -
cérébrale
, par Morawsik, 240. Tabès .1T.1\0-SI'AS : IfO
uss, 95. Trapèze, absence bilatérale du -, par Erb, 71. Tumeurs
cérébrales
, par Oppcn- hein, 74. Urique, excrétion de l'
LAURENT), l'erreur du malade, renforcer, pour ainsi dire le trouble
cérébral
; Y hallucination n'est pas la cause propre de
nie. - Toute apathie intellectuelle en rapport avec une défaillance
cérébrale
fonctionnelle, durable ou tem- poraire, peut pr
s. Elle semble un lien entre la faiblesse irritable et l'excitation
cérébrale
spéciale que M. Wernicke accuse de la disjoncti
cience où elles se répercutent comme s'il y avait une espèce d'écho
cérébral
, en vertu duquel il semble qu'elles soient réfl
sible de rien savoir sur l'hérédité. Il ne parait y avoir ni tumeur
cérébrale
(intégrité du fond de l'oeil), ni paralysie gén
nfin, quoique l'accès de migraine soit suivi d'une certaine fatigue
cérébrale
, le travail consécutif est néanmoins possible et
lement un endolorissement céphalique cor- respondant à l'hémisphère
cérébral
originaire des troubles. Cette céphalée est com
ice sur le tonus ? Tous les auteurs disent : elle est dans l'écorce
cérébrale
. Et alors à tous les auteurs on objecte : pourq
dans l'écorce, mais soit plus bas, dans la protubérance. L'écorce
cérébrale
a certainement une action sur les réflexes et s
e de laquelle MM. Démange et Spillmann ont trouvé dans l'hémisphère
cérébral
droit un vaste foyer de ramollissement occupant
de la substance blanche jusqu'aux régions postérieures de l'écorce
cérébrale
. Les s auteurs pensent que les troubles de la v
tata, du côté droit, des lésions d'endo-périartérite ancienne de.la
cérébrale
moyenne, et un foyer de ramollissement périphér
si par bien des côtés le délire des dégé- nérés : sensation de vide
cérébral
, fatigue intellectuelle rapide, difficulté de s
, ce qu'il raconte : Vers l'âge de trois ans, ayant fait une fièvre
cérébrale
, à ce qu'on lui a dit, le Dr S... qui le soi- g
ARRÊT DE DÉVELOPPEMENT DE L'HUMERUS GAUCHE DANS UN CAS D'HÉMIPLÉGIE
CÉRÉBRALE
INFANTILE ; Par M. R wnon BEIINARD, \Iéecin-m
nt une ménin- gite et établissant une relation entre les phénomènes
cérébraux
actuels et l'impotence du bras gauche ( ? ) Che
liquer le fait actuel sont : la paralysie infantile et l'hémiplégie
cérébrale
infan- ' P.-S. de Magalheies. Un cas de raccour
autres considérations amenaient à conclure en faveur d'une sclérose
cérébrale
. L'intelligence de Chen... peut être considérée
existé pendant toute l'enfance de Chen ? Le diagnostic de sclérose
cérébrale
semble bien légitime. Au- reste, l'observation
. Sole sur l'arrêt de développement des membres dans l'hé- miplégie
cérébrale
infantile el sur ses analogies avec des malformat
ique infantile ? 11 semble plus logique de suppo- ser que la lésion
cérébrale
a retenti sur l'autre côté en frap- pant le côt
serait pas sans intérêt de rapprocher de pareils faits les lésions
cérébrales
observées dans certaines monstruosités'; mais u
hériques la diversité des propriétés des diverses aires de l'écorce
cérébrale
; celle des particularités qui, à l'instar de m
s diverses couches stratifiées d'une aire fonctionnelle de l'écorce
cérébrale
, de l'aire de la « rétine corticale », qu'il ex
elle ou essentielle comme le résultat de l'irritabilité de l'écorce
cérébrale
. Cette irritabilité peut être produite par une
ides de l'organisme au mo- ment de l'accès et qui agit sur l'écorce
cérébrale
, comme dans l'épilepsie essentielle. Ici nous s
transformation des matières. Les corps qui agissent sur l'écorce .
cérébrale
sont des leucomaïnes et toxalbumines; ce sont les
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 1. Les phénomènes de la distraction
cérébrale
et les états dits de dédoublement de la personn
s sont distraits du méca- 140 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.. nisme
cérébral
pour lequel ils ne sont momentanément pas néces-
pas d'érection. » C'est, en effet, un perverti sexuel psychique, un
cérébral
antérieur. .Nous ne trouvons pas chez T... l'ac
fection ou d'une intoxication ayant lésé plus ou moins les cellules
cérébrales
, et c'est le reliquat de cette lésion qui, ulté
n, mémoire, association d'idées, raisonnement, imagination, travail
cérébral
court, s'inscrivent tous sur le tracé pléthysmo
mène vaso-moteur est nettement secondaire et consécutif à l'acte
cérébral
. Quant au temps perdu, à l'intensité et à la duré
peuvent se pré- senter : a) si le phénomène de volonté est purement
cérébral
, le tracé pléthysmographique présente une chute
de produire le délire, qui- est la manière de réagir de l'organe
cérébral
. Et quels sont les individus qui délirent sous
emin de la force, répète volontiers le professeur Pierret. L'écorce
cérébrale
reçoit de l'influx nerveux et en projette : pou
xperiznents on the eleclrical excitations of the visual area of the
cérébral
cortex in the monkey (Bmin, avril 1888). DOUBLE
IAL; Par F.-J. 1 ! OSC et V. VEDEL (de Montpellier). L'hémorragie
cérébrale
ne se marque pas toujours par l'attaque d'apopl
typiques dans un mémoire de 1859 'sur les anévrysmes des vaisseaux
cérébraux
. Pour Abercrombie et Thomas Watson 3 qui en ont
London, 18f6, XIII, 415). ' William Gull. Cases of aneurism of lhe
cérébral
vessels (Guy's Ilo ? 1). Reports, 1859, 281).
l'hémisphère est creusée par un caillot qui a mangé la substance
cérébrale
depuis la partie antérieure de la troisième front
d'aspect sanglant. Un examen plus attentif montre que la substance
cérébrale
du pied de la frontale ascendante et du tiers p
oit ; ce dernier étant vidé, l'hémisphère s'aplatit et la substance
cérébrale
ramollie subit, au niveau de l'insula, une déch
gros caillots noirs. La plus légère pression déchire la substance
cérébrale
, pour ainsi dire réduite en bouillie. En explor
t signale fréquemment comme phénomène de début un état de confusion
cérébrale
qui fait ressembler ces malades à des personnes
ux-mêmes. Ces derniers se retrouvent dans le tableau de l'apoplexie
cérébrale
en général. Dans l'apoplexie progressive, la
sanguines sous les méninges molles, des modifications de la surface
cérébrale
, notamment au niveau de l'insula et du lobe fro
nsion qui les déplisse en forme de sac. En ces points, la substance
cérébrale
distendue est ramollie, se laisse très faci- le
foyer hémorragique, à travers une très mince couche de substance
cérébrale
ramollie. Dans certains cas cependant (Obs. I et
ascendante, une dila- cération à bords irréguliers de la substance
cérébrale
; ces bords étaient distendus par un caillot no
et par la résistance légère opposée en ce point par la substance
cérébrale
à l'hémorragie. 214 PATHOLOGIE NERVEUSE. Quan
rure de la substance grise, ni compression violente de la substance
cérébrale
, phénomènes par lesquels on explique ordinairem
chemin facile à l'hémorragie. La pression exercée sur la substance
cérébrale
par le sang extravasé est empêchée par la proxi
isinage de cavités empêchant une distension brusque de la substance
cérébrale
, telles sont les deux rai- sons essentielles du
Bouchard ont montré être le territoire préféré de l'hémorra- gie
cérébrale
. Elle se fait sur le parcours de vaisseaux volu-
que l'hémorragie se fasse dans la région habituelle de l'hémorragie
cérébrale
. Chez son malade, en .effet, qui présentait la
eau de la protubérance. Voici le cas de William Gull. Cases of tlae
cérébral
vessels. (Guy's IIospital Reports). Cas. II. An
rapport avec la localisation, dans un point précis, de la substance
cérébrale
. La cause de la progression est-elle en rapport
vasation de sang pourrait se faire entre les fibres de la substance
cérébrale
, au lieu d'une issue brusque capable de provoqu
topsie aucune lésion hémorra- gique, mais seulement un peu d'oedème
cérébral
avec épan- chement de sérosité dans le ventricu
, à attribuer le syndrome de l'apoplexie progressive à des troubles
cérébraux
liés à l'urémie ou à quelque autre auto-intoxic
son ouverture par usure avec passage lent du sang dans la substance
cérébrale
au voi- sinage d'un point eompressible, comme u
e qui se rejoignent à la partie dorsale pour constituer la vésicule
cérébrale
antérieure et, de l'époque plus ou moins précoc
t produit la cyclopie et de l'airét de développement de la vésicule
cérébrale
antérieure. III. Ces causes auraient leur sou
éphalique de l'embryon, d'autant plus que l'atrophie de la vésicule
cérébrale
antérieure est toujours accompagnée de l'atroph
avec dépression des fragments, qu'il y ait ou non des complications
cérébrales
. Ces complications en effet peuvent se manifest
génitaux, la moelle se trouve émancipée et soustraite à l'influence
cérébrale
psycho-motrice ; les centres inférieurs sont in
je lis il la page 27 cette phrase : Les femmes, dont l'infériorité
cérébrale
parait admise par la science contemporaine, etc
on seulement sur l'étiologie et la symptomatologie de ces désordres
cérébraux
, mais encore sur le sens précis qu'il faut attr
i des intoxiqués ». D'après lui, dans ces derniers cas les troubles
cérébraux
- se manifestent sous la'forme d'états d'excita
cep- tibles d'être incriminés dans la pathogénie de ces désordres
cérébraux
. M. Rayneau les a relatées, en détail, dans son
édicaments aggravait encore la situation. L'intensité des désordres
cérébraux
s'accrut graduellement. La désorientation d'esp
son esprit engourdi. La lenleur avec laquelle s'effectue le travail
cérébral
est attestée par les longues hésitations qui pr
se terminer, n'a laissé aucune trace fâcheuse dans son organisation
cérébrale
, il n'existe pas d'affaiblissement intellectuel
mble des faits qui se sont écoulés pendant cette période de trouble
cérébral
. Peu à peu, en même temps que son intelligence
insiste beaucoup moins sur sa désorientation d'esprit et sa torpeur
cérébrale
, que sur ses hallucinations et ses illusions sen-
été le rôle de chacun de ces éléments dans la genèse des désordres
cérébraux
. Quoique son existence entière se fut passée sa
nées, il a pu, à son gré, satisfaire sa passion; son orga- nisation
cérébrale
a subi alors, sans accident, l'action toxique d
e à celle des troubles d'ordre physique ; d'une part, les désordres
cérébraux
ont présenté un carac- tère d'acuité très marqu
port de coexistence entre l'infection, d'une part, et les désordres
cérébraux
, d'autre part, mais 1 D' Hégis. Sole sur les dé
produisent, à la suite des opérations chirurgicales, des désordres
cérébraux
qualifiés suivant les cas et suivant les auteur
oires, selon M. Régis, n'engendre pas plus fatalement des désordres
cérébraux
que les facteurs d'ordre psychique auxquels M.
prit, s'accompagnant d'une suspension par- tielle du fonctionnement
cérébral
. Mais ce signe a été mas- qué dans une certaine
gressivement, jusqu'à la guérison complète. Le réveil de l'activité
cérébrale
consciente et volontaire, s'est fait d'une faço
r le schéma ci-joint. Les lésions sont les suivantes : Hémorragie
cérébrale
ayant détruit le tiers postérieur au noyau le
interne à la zone rolandique. En résumé, il s'agit d'une hémorragie
cérébrale
ayant détruit : 1° Au niveau du centre ovale :
la plus inférieme de la couche optique. L'extension vers l'écorce
cérébrale
en dehors est de moins en moins grande à mesure q
re de psychoses ont leur origine clans les troubles de l'irrigation
cérébrale
. Ainsi s'ex- pliqueraient par l'anémie ou va.so
peut être attribuée à trois causes : l'état d'anémie; la congestion
cérébrale
; les troubles de l'innervation génitale. La
l'aménorrhée à la déri- vation sanguine provenant de la congestion
cérébrale
maniaque ? Il y aurait anémie partielle des org
ade continue-t-elle à ne pas avoir ses règles lorsque la congestion
cérébrale
n'existe plus ? Le délire a duré quinze .jours
ême aménorrhée dans des états mélancoliques, c'est- à-dire d'anémie
cérébrale
. L'aménorrhée n'est donc occa- sionnée ici ni p
mettre que le mouvement nerveux ne se transmet pas jusqu'à l'écorce
cérébrale
. Il s'arrêterait au bulbe, sans doute à l'endro
-moteurs, que Schiff place dans la protubé- rance et les pédoncules
cérébraux
. Le réflexe se produirait alors, qui, par les v
les causes de la mort, qui ne peut être attribuée qu'à l'hémorragie
cérébrale
de l'hé- misphère gauche. La pneumonie chroniqu
s, le tremblement qu'il attribue à une lésion des cellules motrices
cérébrales
ou tout au moins du faisceau pyramidal intra- c
ent généralisée à l'en- semble du système nerveux, mais une névrose
cérébrale
pouvant même n'intéresser qu'un seul hémisphère
e quoiqu'il y ait des points de contact avec la paralysie infantile
cérébrale
à forme monoplé- gique, avec la contracture tar
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. mais il repousse l'idée d'une lésion
cérébrale
, encore plus celle d'une lésion' du nerf dans s
s auteurs affirment l'existence d'une forme épileptique de syphilis
cérébrale
secondaire qui peut être regardée non seulement
1899.) E. B. XXII. Les trépidations et les phobies de la neuratonie
cérébrale
; par le or HUGHES. Aux appellations ordinair
primitive de la neuratonie est la nutrition défectueuse de l'écorce
cérébrale
, en particulier des neurones psychiques. Il peu
éningite cérébro-spinale avec localisation ultérieure dans l'écorce
cérébrale
. D1 PRLOBHAJh'1\bhY. - Deux cas de paralysies b
qui a duré six heures. A l'autopsie on a trouvé sous la pre- mière
cérébrale
douze cysticerques, en partie calcifiés, en parti
s sont contenus dans une capsule fibreuse consistante. La substance
cérébrale
est hypérémiée et oedémateuse ; les ventricules
, et enfin sur la rareté des phéno- mènes d'abolition des fonctions
cérébrales
. Les symptômes céré- braux irritatifs marchent
ne myélite par com- pression à marche rapide, sans aucuns symptômes
cérébraux
. On constata sous la peau la présence de nombre
veau de la région dorsale de la moelle; en outre les ventriculaires
cérébraux
contenaient toute une colonie de cysticerques l
colonie de cysticerques libres. M. Mouratoff, vu que les symptômes
cérébraux
font défaut pendant la première phase de l'immi
la cause de ces symptômes réside dans la dégénéra- tion de l'écorce
cérébrale
. M. KOJEWNJKOFF pense que les phénomènes cérébr
tion de l'écorce cérébrale. M. KOJEWNJKOFF pense que les phénomènes
cérébraux
orageux et 336 sociétés savantes. graves qui
e labes dorscclis. Le phénomène faisait défaut dans les hémiplégies
cérébrales
(8 cas), du côté malade, comme du côté sain et
é des altérations cellulaires, on trouve une hypérémie des méninges
cérébrales
et surtout médullaires, et une hypérémie de la
e un simple syndrome laisant partie du grand groupe des diplégies
cérébrales
, au même tilre que l'hémiplégie spasmodique, l'hé
rent au début de la maladie de Little, comme au début des diplégies
cérébrales
proprement dites. La spasticité, la paralysie,
e dans la maladie de Little. De plus, il existe toujours une lésion
cérébrale
, mais très variée de siège, de nature et d'm- t
uis quelque temps la pauvre femme donnait des signes de dérangement
cérébral
. Le nommé Léandre Gesse, âgé de vingt-quatre an
constate un oedème très marqué des espaces mé- ningés ; ventricules
cérébraux
très dilatés. L'examen extérieur et les coupes
ue, boit du rhum tous les matins à jeun. Mère morte d'une affection
cérébrale
, encépha- lite ( ? ) suivant les médecins qui l
Trois actes aussi clairement volontaires et aussi indéniablement
cérébraux
doivent être représentés dans l'écorce, dans des
les autres troubles hallucinatoires, la conséquence de l'éréthisme
cérébral
provoqué par l'intoxication alcoo- lique. REC
cardiaque. - Grand'mère maternelle, crises net- veuses, congestion
cérébrale
. Pas d'autres renseignements sur la famille mat
x heures; elle a toujours été malade, a eu récemment une congestion
cérébrale
. Un frère bien portant, sobre. Pas d'alie- nés,
e optique ; -, 7° Les connexions de la couche optique avec l'écorce
cérébrale
se font par le système des libres thalamo-corti
rticales ou transversales de la capsule interne ; 8° Sur l'écorce
cérébrale
, la motilité, la sensibilité générale et le sen
ibres posté- rieures de celui-ci occupent dans le bulbe, le segment
cérébral
du corps restiforme; les fibres antérieures (ou
ite quantité dans la cavité sous-arachnoïdienne lombaire et surtout
cérébrale
, s'opère lentement ; en règle générale, le main
RCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. FOYERS DE RAMOLLISSEMENT
CÉRÉBRAL
ET TROUBLES PSYCHIQUES ; 'Par Je D' R.OiARON,
de Saint-Atban (Lozère). I. L'étude des rapports du ramollissement
cérébral
avec l'aliénation mentale n'occupe, aussi bien
leurs Eludes physiologiques et pathologiques sur le ramollissement
cérébral
, déclarent brièvement qu'aux phénomènes physiqu
avant l'attaque, rattacher, comme l'étourdissement, à l'is- chémie
cérébrale
» ; mais qu'en résumé, le délire est un symptôm
hiques qu'on observe le plus souvent dans les cas de ramollissement
cérébral
en foyer consistent dans un état de stupeur ou
re d'agitation à forme maniaque. D'après Luys les lésions du lobe
cérébral
droit sont pres- que toujours accompagnées d'un
asset nous donne plusieurs observations complètes de ramollissement
cérébral
étendu (écorce et centre ovale), avec troubles
tiques à ceux de la démence sénile. » Pour André, le ramollissement
cérébral
ne produit pas de troubles intellectuels très m
ue, parmi les lésions circons- crites du cerveau, le ramollissement
cérébral
est celle qui produit les troubles intellectuel
es aliénés, indiqués à l'admission comme atteints de ramollissement
cérébral
, dont il nous a été donné de prati- quer l'auto
, nous avons recueilli six observations complètes de ramollissement
cérébral
en foyer, remarquables autant par la localisati
ne d'elles avant l'admission. De fait le diagnostic, ramollissement
cérébral
est souvent, dans la pratique ordinaire, erroné
nt l'étude puisse conduire ou aider au diagnostic de ramollissement
cérébral
en foyer ? C'est ce que nous avons voulu recher
e. A été atteinte il y a trois ans de troubles qua- lifiés « Fièvre
cérébrale
» par la famille. Les renseignements recueillis
s terrifiantes : se voit poursuivie par des hommes.. RAMOLLISSEMENT
CÉRÉBRAL
ET TROUBLES PSYCHIQUES. 437 A l'admission la ma
opsie. Ramollissement très étendu du centre ovale de l'hémi- sphère
cérébral
droit, formant une cavité bifide en avant et s'ét
,3, troubles gastriques. Suburration et fétidité des RAMOLLISSEMENT
CÉRÉBRAL
ET TROUBLES PSYCHIQUES. 439 voies digestives. P
us les cas, de douleurs céphaliques, en même temps que l'excitation
cérébrale
et, dans la plupart des cas, de symp- tômes con
it nombre de nos observations, l'extrême variété des RAMOLLISSEMENT
CÉRÉBRAL
ET TROUBLES PSYCHIQUES. 441 symptômes objectifs
ique de l'état mental qui accompagne les foyers de ramollissement
cérébral
. Disons seulement que notre expérience personnell
considérer comme très probable l'existence d'un foyer de nécrobiose
cérébral
, d'une étendue importante et causé par des obli
rganisme. Ces sujets sont des épuisés et des surmenés. Le surmenage
cérébral
déterminé par l'éréthisme des centres sensitivo
vec des troubles plus ou moins graves de la nutrition de l'écorce
cérébrale
et parfois même du système nerveux en son en- t
au ; outre que par suite de la situation horizontale la circulation
cérébrale
est facilitée et le cerveau mieux irri- gué, l'
rsal complet aussi prolongé que possible, de lutter contre l'anémie
cérébrale
et de soustraire le malade aux influences extér
ionner le cerveau, et par là de combattre l'insomnie due à l'anémie
cérébrale
". Seguin's seriesof zlmerican clinical lectures
es sens musculaire et sléréognostiquc dans les hémiplégies de cause
cérébrale
. Thèse de Paris, 1>i96. 2 Bourdicault-Duma
sens murs- eulaire el du sens stéréognostigite dans les hémiplégies
cérébrales
. Thèse de Paris, 1894. 3 Cherechewslu. Le sen
phériques et ne fait intervenir la sensation centrale et d'activité
cérébrale
qu'à l'occasion des mouvements actifs =. Cherch
qu'il faille admettre à l'origine du mou- vement actif un phénomène
cérébral
conscient, et que ce soit la reviviscence mnési
épisode délirant. L'alcool est la pierre de touche de la résistance
cérébrale
; il décèle les prédispositions vésaniques late
eur mécanicien, est né en 1854. Son père est mort de ramollissement
cérébral
à l'asile des aliénés d'Evreux où il était entr
e. (Annules médico-psychologiques, août 1899.) E. B. LUI. Théorie
cérébrale
de la respiration de Cheyne-Stockes; par M. H \
récédée, ou au moins accompagnée par les symptômes d'une inhibition
cérébrale
profonde, par les signes nettement accusés de l
accusés de la perte de l'influx nerveux encéphalique. La théorie
cérébrale
de la respiration de Cheyne-Stockes se concilie
d'application moins favorable. La paralysie infantile spinale, ou
cérébrale
, en portant atteinte aux adducteurs et aux exte
e de hauteur de un à trois centimètres. Dans la paralysie d'origine
cérébrale
, il s'abaisse de cinq à dix millimètres, et, pa
onclut : Il y a soit névrite, soit altération de la moelle, rien de
cérébral
. Ce fait offre une grande ressemblance avec l'i
e, égale des deux côtés, rappelant la papille étranglée des tumeurs
cérébrales
. Asymétrie faciale ; déviation de la luette à g
disséminées; exagération des réflexes patellaires. Pas d'accidents
cérébraux
généraux. Ilien aux organes internes. Apyrexie.
ultant d'une excitation d'en- semble de la zone motrice de l'écorce
cérébrale
et des centres qui y sont placés ; 7° L'asphyxi
produire la cécité verbale. P. KERAVAL. LXIV. Deux cas de tumeur
cérébrale
avec diagnostic précis de la localisation; par
ralysie ou une pseudo- paralysie générale alcoolique, et une tumeur
cérébrale
. L'autopsie montre simplement une hydrocéphalie
ncéphalique. La pression intraventriculaire a comprimé la substance
cérébrale
contre les parois du crâne, barré les veines et
s granulations de Pacchioni. Il y a donc eu accidents de pres- sion
cérébrale
et à la fois symptômes convulsifs dus à l'influen
ubles parétiques ne saurait se rat- tacher à un épanchement sanguin
cérébral
ou spinal, car la malade dit elle-même qu'elle
'urémie purement rénale est parfois identique il celle d'une tumeur
cérébrale
. L'urémie et la tumeur cérébrale peuvent produi
is identique il celle d'une tumeur cérébrale. L'urémie et la tumeur
cérébrale
peuvent produire : céphalalgies, vomissements,
isodes aigus des affections chroniques (paralysie générale, lésions
cérébrales
en foyers, délires systéma- tisés chroniques).
un rôle important dans la genèse de ces délires. M. IiLIPPEL. Abcès
cérébral
et méningite aiguë. L'auteur rap- porte l'obser
e Kernig manifeste. L'autopsie démontra qu'il s'agissait d'un abcès
cérébral
situé à gauche dans le centre ovale, sans la mo
vie. MM. Cl. Philippe et Jonia. Anatomie pathologique de l'écorce
cérébrale
dans la sclérose en plaques. Les auteurs ont étud
te. Ces résultats histologiques permettent de penser que l'écorce
cérébrale
et ses lésions entrent pour une large part dans l
intelligent, n'avait jamais présenté aucun symptôme de dérangement
cérébral
, son attaque l'avait pris si subitement qu'il n
utlon il la casnistlque de l'astasie -, par Goldeteiu, 316. Abcès
cérébral
et méningite aiguë, par Klippel, 514. Abstine
Ba,7elloff, 325. Dédoublement. Les phénomènes de la distraction
cérébrale
et les états dits de de la personnalité, par
z les enfants, par Looft, 73. Distraction. Les phénomènes de la
cérébrale
et les états dits de dédoublement de la personn
, 113. IIÉ111CIioIiEES. Sur les -, par La Riva, 312, Hémiplégie
cérébrale
infantile. Arrêt de développement de l'humérus
uerbach, 405. Neurasthénie. Les trépidations et les phobies de la
cérébrale
, par Hughes, 330. Névralgie paresthésique. Né
tion, par Lépinay, 162. Les trépidations et los - de la neuratome
cérébrale
, par lluglies, 330. Phtisie. Delà et en parti
hiques par Charon, 433. Respiration de Cheane- Stockes. Théorie
cérébrale
de la -, par ISahé, 4S` ? . - pendant le som-
différen- tiel entre la et l'hystérie, par Blizzard, 313. Ecorce
cérébrale
dans la -, par Philippe et Jones, 514. Scol
ar Boinet, 480. Trépidations. Les et les phobies de la neuratonie
cérébrale
, par Ilugltes, 330. Trihromure de salol. Le -
l'etio- logie ries maladies nerveuses, par Gauppe. 497. Tumeurs
cérébrales
avec diagnostic rie la localisation, par Bruns,
fait que les intoxications provoquées ne déterminent de troubles
cérébraux
que chez les sujets prédisposés : dans les expé
n que l'alcool est la pierre de touche de l'équilibre des fonctions
cérébrales
. On peut faire les mêmes réserves pour les trau
les centres d'idéation comme dans les centres moteurs, les cellules
cérébrales
aient une tendance à se spécialiser et à acquér
a folie; elle naît des ma- ladies pébrales et engendre des maladies
cérébrales
. Nous verrons qu'elle a de fréquents rapports a
complexité et l'irrégularité de la morphologie des circonvolutions
cérébrales
. Nous avons dit ailleurs que nous ne considério
rie atavique du crime. L'existence quelquefois constatée de lésions
cérébrales
5, est encore à l'appui de l'opinion que nous d
que les microcéphales et les idiots représentent, au point de vue
cérébral
, un état normal de quelqu'un de nos an- cêtres,
'épilepsie, le strabisme, la paralysie, les névralgies, les fièvres
cérébrales
, l'apoplexie, l'excentricité, les tics, le béga
nt dite qui peut engendrer l'aliénation par hérédité. Les lésions
cérébrales
de tout genre, les affections ner- LA FAMILLE N
mmes distingués (Trélat). Cette coïncidence des tics avec des états
cérébraux
divers vont à l'appui de l'origine centrale ' d
, la déformation du cou n'est point la consé- quence de l'affection
cérébrale
, comme les phéno- mènes hémiplégiques que l'on
coïncidence, relevée encore par Dunlop2, qu'est basée la théorie
cérébrale
. Le père des trois malades de Dunlop est mort a
'im- bécillité, qui peuvent s'expliquer par la présence de foyers
cérébraux
de sclérose, non sans analogie avec la sclérose
e. C'est à dessein que nous avons omis de parler de l'hémorrhagie
cérébrale
qui est aussi fréquemment héréditaire, et du ra
a tète, qui était raide. Le médecin disait qu'elle avait le collier
cérébral
. Pas de vomisse- ments. Au commencement de 1881
ose latérale amyotrophique ou de dégénérescence secondaire de cause
cérébrale
. D'ailleurs, nous devons le dire, étant données
ait que les symptômes d'une lésion spinale (comme ceux d'une lésion
cérébrale
) dépendent du siège de la lésion, non de sa nat
DE PHYSIOLOGIE I. Recherches sur la structure comparée DE l'écorce
cérébrale
; par W. Bevan LFwts. (Communication faite par
se remarquent surtout au voisinage de la partie moyenne de l'écorce
cérébrale
. Les éléments anatomiques constituent des group
s rencontre dans le cerveau des idiots, se retrouvent dans l'écorce
cérébrale
du mouton et du porc. . B. II. DU TRAJET DES
C- TION unilatérale du bulbe sur le développement des hémisphères
cérébraux
; par Fûrstner. (Archiv f. Psych. u. Nervenk., XI
du côte opposé à la lésion, une diminution de volume de la région
cérébrale
délimitée plus haut, surtout en son segment antér
ommande en outre à la nutrition des faisceaux latéraux du pédoncule
cérébral
. Ceux-ci, à la suite de son ablation, s'atrophi
de volume de certaines portions de l'étape supérieur des pédoncules
cérébraux
ainsi que d'un faisceau d'association qui rejoi
-t-il avoir affaire à un cas d'épilepsie symptomatique d'une lésion
cérébrale
gauche ayant amené l'hémispasme de tout le côté
res analogues à ceux qu'elles affectent dans l'épilepsie par lésion
cérébrale
localisée ou épilepsie jackso- nienne 2. M. B.
èse inaugurale d'Amsterdam, 1883. Quoique la nature de la commotion
cérébrale
ait été déjà bien souvent étudiée, il n'était p
e, ils préconisaient dans cette monographie l'idée que la commotion
cérébrale
sans complications passe sans que la moindre lé
er dans ses Études expérimentales et cliniques sur les traumatismes
cérébraux
, que les cas de commotion cérébrale sont toujou
cliniques sur les traumatismes cérébraux, que les cas de commotion
cérébrale
sont toujours accompagnés d'hémorrhagies dans l
bulbaire), etc., que Duret décrit comme constantes dans lacommotion
cérébrale
, sont vraiment toujours rencontrées ? Plusieurs o
lo-racbidien serait sans influence sur la naissance d'une commotion
cérébrale
, il était nécessaire de poser la question suiva
difficulté; on leur trouvait les symptômes ordinaires de commotion
cérébrale
. Ainsi il était bien prouvé que la commotion cé
commotion cérébrale. Ainsi il était bien prouvé que la commotion
cérébrale
n'est pas exclusivement l'effet du choc céphalo-r
tout du plancher du ventricule bulbaire, de provoquer la, commotion
cérébrale
ou des symptômes de cette affec- tion ? ou comm
t une lésion des hémisphères, comme l'ébranlement dans la commotion
cérébrale
, pourrait déterminer les symptômes de cette mal
. VARIA. 137 pourraient suppléer l'une l'autre. Dans la commotion
cérébrale
, au contraire, quand toutes les parties sont af
ar paralysie des muscles articulateurs, dépendant soit d'une lésion
cérébrale
, soit d'une lésion protubéran- tielle. L'étude
rier. Fonctions du cerveau, p. 230. De la localisation des maladies
cérébrales
, p.t33-134. DES LOCALISATIONS CEREBRALES. 1 17
ement désignés, nous n'avons pu nous eu servir. DES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 1 Il i) 5° Rosenthal (Beitrdye zur Kentniss de
f hypoglosse étaient sains. 6° Ferrier (Localisation des maladies
cérébrales
, p. 136, 137) rapporte le cas suivant publié pa
ormalement à l'action du cou- rant faradique. « Pour résumer l'état
cérébral
, dit le 1)' Barlow, il paraissait y avoir perte
s de phénomènes convulsifs ou paralytiques surve- DES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 151 nant dans le domaine musculaire de l'hypog
-laryngée. Ces faits de paralysie labio-glosso-laryngée d'origine
cérébrale
ont été signalés pour la première fois par M. l
oca, sont saines. Des coupes multiples pratiquées dans la substance
cérébrale
amènent à l'extrémité postérieure des deux noya
Observation V ? Paralysie Inbi()-gloss()-phaJ',1/lIgée d'origine
cérébrale
; foyer unilatéral. (Résumée.) Observation pu- 1
y déterminent des aecès"de suffoca- 0 . 1..1 o. DES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 1G3 tion. Quant aux liquides, ils sont souvent
laire des paupières ni des muscles moteurs de l'oeil. Affaissement
cérébral
assez accentué. Intelligence très af- faiblie a
, , . , ' , lmi , y S ? lv\i ')·tyw Dans la paralysie glo5so.1abiée
cérébrale
, le début ? F5 ..nt ,.y v W n W ·1.\v . Iv ï1B r
? It ? I.t' tf P'. i· 111 f si dR'1"1111 e glosso-lablee d origine
cérébrale
, tout un ensemble de ri 1 vtll ' 6t -t t . r "
lt;d p'a'iâis ? 1"'t' "I ' "Ilff'l'oi ? c l ;14/1 DES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 1115 La paralysie glosso-labiée d'origine céré
LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 1115 La paralysie glosso-labiée d'origine
cérébrale
,'une fois constituée, trois particularités serv
ans la paralysie glosso- 1 ... JI' 1 ? t 1 t ( t labiée d'origine
cérébrale
tout un ensemble de syn ? p- ii III" 1 Il 1 Ir.
tout un ensemble de syn ? p- ii III" 1 Il 1 Ir. 1 ! t J, l' tomes
cérébraux
qui font défaut dans la paralysie bul- baire pr
dans la paralysie glosso-labiée am, '" l ,\, \. 1 - \ . d'origine
cérébrale
, le malade est emporté soit par 1 .. ,1 1) 1 f'
ier abord, qu'une lésion I,f 1110" hl 'II Jl.. l, l 1"I.t · 111 1
cérébrale
puisse donner lieu aux symptômes de la ii-ni "]
trémité posté- rieure de la troisième frontale. DES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 167 - Quoique datant de 1837, le cas de Magnus
-laryngée. Le faisceau frontal inférieur renferme donc les fibres
cérébrales
de l'hypoglosse et du facial inférieur ; il con
'hypoglosse et du facial inférieur ; il contient de plus les fibres
cérébrales
de la branche motrice du trijumeau, car il est
Pourrait. prononcer les consonnes séparées, mais DES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 171 1 non les syllabes et les mots entiers. Ec
ce. M. Charcot fait remarquer que toutes les formes du rhumatisme
cérébral
, la céphalée, le délire aigu, la folie enfin se
te. Edition française, 1867, p. 386. 3 Belliard. Des manifestations
cérébrales
de la gorztte.'llzèse,1883, p.8. * Da Costa. T'
tes chroniques. Un frère faible d'intelligence aurait eu une lièvre
cérébrale
( ? ) à douze ans. La diathèse urique, d'après
UE. 183 d'une impression subite quelconque ' d'excès de tra- vail
cérébral
, on cite les congestions cérébrales fu- gaces,
quelconque ' d'excès de tra- vail cérébral, on cite les congestions
cérébrales
fu- gaces, avec céphalalgie, vertige, perte de
s sujets à ces sortes d'accidents, et il dit que quand les troubles
cérébraux
se manifestent, on trouve généralement que les
hémiatrophie de la langue peut s'observer à la suite des affections
cérébrales
, des affections bulbaires ou des lésions périph
dans le processus pathologique. En portant le diagnostic de tumeur
cérébrale
, M. Charcot avait fait toutes réserves sur le s
ismes du crdne. Thèse de Paris, 1883. DES TROUVES URINAIRES. 27
cérébrales
avec ictus apoplectique, dans l'hémorrhagie en pa
ion et de l'apoplexie rénales dans leurs rapports avec Chémorrhagie
cérébrale
. (Arcli. gén. de nzccl. lévrier 1871#). - Etude
ions dans la sécrétion urinaire consécu- fille it l'ltérnol'rltagie
cérébrale
. (Gazette hebdoi ? z., 1875, 11°' Il,12, 13.) '
rches de M. Ollivier' ont montré qu'après une attaque à'hémorrhagie
cérébrale
, la quantité d'urée diminue à mesure que la tem
e la quantité de l'it- rée à la suite de <'/temor<'/<a ? e
cérébrale
. (arcs. de ph ! ls. et yath. ; 2' Série, t. III
se reproduisent, que le choc ait été pro- duit par une hémorrhagie
cérébrale
, par un ramollissement embolique, etc. ; et ils
ouble et ils ne paraissent pas être sous la dépendance de la lésion
cérébrale
. A l'autopsie des anciens hémiplégiques on ne t
troubles n'existent d'une ma- nière continue dans aucune affection
cérébrale
; la paralysie générale des aliénés, qui parait
plu- sieurs enfants de la même famille. G. D. XI. DE l'irritation
cérébrale
chez les enfants; par M. Jules Simon. (Fiance m
sans lésion d'aucune espèce, si ce n'est peut-être une circulation
cérébrale
trop active. Les enfants qui sont atteints de c
ium constituent le meilleur mode de traitement. G. D. XII. SYPHILIS
cérébrale
, guérison; par M. CHANTEMESSE. (France médicale
rées. Il convient d'attendre, pour les permettre, que la résistance
cérébrale
soit suffisamment établie. L'aliéné à qui l'on
acial, se comporte comme celles qui sont déterminées par une lésion
cérébrale
et peuvent comme elles entraîner une dégénéresc
a chorée rhumatismale considérée comme une variété de rhu- 1Ïwlisme
cérébral
et de la mort dans la chorée; par Il.\NNEQUIN. Th
ar Il.\NNEQUIN. Thèse de Paris. 1883. - 1 Paralysie glosso-labiée
cérébrale
; par PuicA. Thèse de Pa- ris, 1883. ' 1 ' Con
ion. PATHOLOGIE NERVEUSE CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
(trajet INTRA-CÉnÉBn IL de L'II'POGLOSSE Par
1 Voiries Archives de Neurologie, t. VII, p. 14,. DES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 97 3' Le genou de la capsule contient le faisc
e pour servir el l'histoire des dégén. secondaires drc pérlon- cule
cérébral
(Soc. Biologie. 1882, p. S ? 9.) 298 PATHOLOGIE
ralysie à gauche. Etat actuel. Malade très affaissé au point de vue
cérébral
. La mémoire n'est pas encore complètement perdu
orrespondantes n'existent plus. L'examen du bulbe DES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 305 fait reconnaître que les noyaux de l'hyp
mbres. Mort par épanchement pleural. A l'AUTOPSIE, pas de lésions
cérébrales
. Rien au bulbe. Comme seules lésions, on trouve
t sur Archives, t. Vil. 20 306 PATHOLOGIE NERVEUSE. LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. les membres et le facial inférieur du côté gau
r là, à regarder ce point comme étant le lieu de passage des fibres
cérébrales
de l'hypoglosse, et, par suite, du faisceaugéni
Nées du pied de la circonvolution frontale ascen- dante, les fibres
cérébrales
de l'hypoglosse suivent le faisceau frontal inf
icolas, à PétersbourD 1. L'oblitération des sinus de la dure-mère
cérébrale
est pro- duite le plus souvent par une inflamma
et il est vrai que la littérature fait encore mention de néoplasies
cérébrales
ayant déterminé l'occlusion de la lumière des s
e, trouble et oedémateuse et se sépare facilement de la substance
cérébrale
; dans l'espace sous-arachnoïdien, on trouve une
t chez les enfants seulement); plus loin, il reçoit : il les veines
cérébrales
supérieures, de 10 à 12 de chaque côté, qui por
par des maux de tête et des troubles dans les fonctions des régions
cérébrales
corres- pondantes, c'est-à-dire des troubles da
ement dite. (Voy. Hitzig, Ferrier et d'autres sur les localisations
cérébrales
.) Voyons maintenant jusqu'à quel point ces cond
inique de la maladie, ce qui estévident parla distension des veines
cérébrales
antérieures etl'aedème des régions correspondan
nsmise au centre par les fibres de l'étage supérieur des pédoncules
cérébraux
qui, pour Flechsig, seraient centripètes. Obser
, une ataxie évidente et, de plus, quelques symp- tômes de syphilis
cérébrale
(amnésie, troubles' de la parole, névrite optiq
rs des altérations vasculaires pathogénétiques. Quoique l'affection
cérébrale
soit unilatérale, les deux faisceaux pyrami- da
l'autopsie des épaississements partiels des méninges et de l'oedème
cérébral
consécutif à une hypérémie qui cesse dans les m
, rapprochée de celle d'un grand nombre d'observations d'hémiplégie
cérébrale
, amène l'auteur à conclure que tout processus q
lent mealle breack. Nous ne vous ferons pas l'histoire des troubles
cérébraux
dési- gnés sous le nom d'encéphalopathie saturn
ts par Grisolle, Devouges, pro- fesseur Bail et Régis. L'alcoolisme
cérébral
des ouvriers qui travail- lent les alcools, les
vingt et un cas d'intoxication arsenicale simulant les symptômes
cérébraux
de l'alcoolisme (1868) ; d'ailleurs rien d'étonna
d sur le système nerveux périphérique et central, sur la congestion
cérébrale
, fait entrevoir aussi la possibi- lité de l'act
re- nante, la seule nette que nous ayons pu trouver. Les troubles
cérébraux
désignés sous le nom de The horror (Dietrich), ra
mentale partempérature excessive ; toutefois rappelons les troubles
cérébraux
observés chez les ouvriers qui travaillent le zin
ables de pressions atmosphériques ont pu déterminer des congestions
cérébrales
, des inflammations, des hémorrhagies cérébrales
r des congestions cérébrales, des inflammations, des hémorrhagies
cérébrales
ou méningées (cela a été souvent constaté, de môm
ies réflexes ou sympathiques, grâce aux recherches sur les embolies
cérébrales
et leur origine car- diaque, grâce aux observat
ortance de ce groupe de professions agissant par- le retentissement
cérébral
secondaire des maladies d'appareils qu'elles on
ste influence. Parmi les traumatismes et surtout les traumatismes
cérébraux
, plaies de tête, commotion, etc., auxquelles ce
soins de la maison; ces vertiges dont la relation avec les troubles
cérébraux
est aussi bien démontrée font comprendre la pos
é des fonctions intellectuelles, on ne peut méconnaître les dangers
cérébraux
que courent les individus qui, pour remplir leu
et aussi aux habitudes anciennes. Dans le domaine de la pathologie
cérébrale
, pas un médecin ne méconnaît l'influence des fo
présence de vers inteslinaw sont aussi connues que l'étourdissement
cérébral
après un repas trop copieux, que le caractère m
sité, goutte, gravelle, diabète), menacent toujours au point de vue
cérébral
. Enfin, les professions considérées dans leur r
entretenait notre collègue Dally, est applicable aussi aux dangers
cérébraux
de la profession ; d'un autre côté, si la folie
rmettent de comprendre l'importance de l'appréciation des fonctions
cérébrales
, dans le choix d'une profession, l'intérêt qu'i
s ce ne peut être, eu dernier ressort, que l'atrophie du parenchyme
cérébral
, qui Archives, t. VU. 12 -i. 370 SOCIÉTÉS sav
s de la démence paralytique, les uns dérivent de l'ataxie d'origine
cérébrale
. Les mouvements étant éduqués par de nombreuses
e dans la formation réticulée de l'étage supérieur des pé- doncules
cérébraux
(champ moteur), mi-partie dans l'olive infé- ri
x ? Un ne put arrivera le déterminer. Dans vingt types d'affections
cérébrales
non paralytiques, l'examen du fond de l'oeil dé
f, la soif de l'alcool, le sommeil, le délire des persécutions, les
cérébraux
, questions de thérapeutique mentale, de la resp
alcoo- lique n'est pas un délire mais un rêiie, des manifestations
cérébrales
de l'alcoolisme, dipsomanie et alcoolisme, des
s nerveux du diabète, ergotisme convulsif épidémique, des accidents
cérébraux
qui surviennent dans le cours de la nzaladie de
roupe comprenant des alcooliques avérés ayant déjà eu des accidents
cérébraux
etchez lesquels il s'agit véritablement de réve
second groupe comprenant les sujets qui n'ont jamais eu d'accidents
cérébraux
attribuables à l'alcoolisme et chez lesquels il
du Joui n. of azervous and meiitcal diseases, 188 : 3). Possible
cérébral
origin of the symptoms usuully classed under «
(Boston nzcd. and surg. Journ. 1 8b3.) Spinal irritation ; probable
cérébral
origin of the symptoms some- limes classed unde
es expérimentales sur l'excitabilité électrique des circonvolutions
cérébrales
et sur la période d'excitation Intente du cerve
(T.). De l'aniblynpie croisée et de l'hémianopsie dans les lésions
cérébrales
. (Nouveau schéma du trajet présumé des fibres opt
394. Capsule externe (irradiations de la), par Aleyiiei t, 374.
Cérébrale
(irritation - chez les en- fants), par J. Simon
- chez les en- fants), par J. Simon, 248; - (sy- philos), 249.
Cérébrale
(recherches sur la struc- ture comparée de l'éc
sur la struc- ture comparée de l'écorce), par Bevan Lewis, 120.
Cérébrales
(localisations), 145. 'Cérébraux (nouvelle comm
l'), par Erb, 245. Hydrothérapie, 86. Hypoglosse (trajet intra
cérébral
de 1'), par Raymond et Artaud, 145, 296. Hy
Législation des asiles d'aliénés en Amérique, 137. Localisations
cérébrales
, 145, 296, 337, 339. Localisations spinales,
Surmenage dans les établissements d'instruction, 363. Syphilis
cérébrale
, par Chante- messe, 249. Système nerveux (des
- Mère : asymétrie faciale. A dix-sept ans, variole avec accidents
cérébraux
graves (délire, coma). Peu intel- ligente, très
avec elle une véritable parésie paraplégique... le choc ner- veux
cérébral
, produira en pareil cas. chez un sujet prédis-
s deux cordons antérieurs n'offrent aucun changement. Dans le tronc
cérébral
, on n'a trouvé rien d'anormal. - Ainsi résumons
ogramme. J'ai d'abord cherché le raccordement dans le pédon- cule
cérébral
même. Les connexions du carrefour et du pédoncu
s la bonne voie. Faisceau médullaire. Dans ce cas, le pédoncule
cérébral
présentait sur sa face interne un faisceau tel-
espace perforé postérieur. Il est constamment séparé du pédoncule
cérébral
adjacent par un interstice perforé, très mince
pour aller directement au champ objectif - C'est entre le pédoncule
cérébral
et le pilier antérieur qu'il faut chercher le f
es faisceaux qui apparaissent sur la face inférieure du pédoncule
cérébral
et qui sont très probablement une émanation du
isceau principal dont quelques fibres ont pénétré dans le pédoncule
cérébral
; 2° par un faisceau principal qui, prenant son
le, à propos de la « struc- ture de la partie fondamentale du noyau
cérébral
» décrit en dedans du pédoncule cérébral deux f
rtie fondamentale du noyau cérébral » décrit en dedans du pédoncule
cérébral
deux faisceaux, un postérieur et un moyen, qu'i
nt de l'appareil olfactif aux faisceaux inférieurs des pédon- cules
cérébraux
. On voit qu'il désire amener au lobule olfactif,
on peut suivre l'insertion du nerf olfactif jusque sur le pédoncule
cérébral
. » LEBIEPF, d'après P. BERGER, signale le faisc
e second arc (arc intermé- diaire). Passons au troisième arc, l'arc
cérébral
. Je n'ai pas la prétention de croire que ma des
TIQUE (DU TUBERCULE ANTÉRIEUR DE LA COUCHE OPTIQUE) AVEC l'ÉCORCE
cérébrale
. (Arc cérébral.) Ces connexions sont établies p
ULE ANTÉRIEUR DE LA COUCHE OPTIQUE) AVEC l'ÉCORCE cérébrale. (Arc
cérébral
.) Ces connexions sont établies par les piliers
que les bandelettes olfactives appar- tiennent à l'arc supérieur ou
cérébral
. La communication par le trigone est la princip
corps genouillés externes super- posés, les deux arcs, rachidien et
cérébral
, entrant en contact à leur niveau. 90 ANATOMI
la courbure s'expliquait par l'évolution embryo- génique. La masse
cérébrale
s'enroulant d'arrière en avant autour de l'axe
mier, avec Fritsch (1870), quel'excitation élec- trique de l'écorce
cérébrale
peut provoquer des accès convulsifs sur le côté
dues à l'irritation de cer- taines circonvolutions de l'hémisphère
cérébral
opposé, relié fonctionnel- lement au corps stri
s convulsions va- rient'. " La propriété épileptogène de l'écorce
cérébrale
, Albertoni avait cru pouvoir la localiser à la
'avait trouvée en con= nexion directe et unique avec les pédoncules
cérébraux
et leurs expansions. Après l'ablation de la zon
rois chefs suivants les modifications de l'excitabilité de l'écorce
cérébrale
: 1° le chloroforme, l'éther, le bromure de pot
et Pitres). Enfin, les irritations pathologiques, les traumatismes
cérébraux
, les lésions irritatives de la zone motrice provo
onsiste dans un état anormal d'irritation ou de tension de l'écorce
cérébrale
, capable de troubler, sous forme de paroxysme,
prof. Pierre Albertoni. z Le localizzazioni motrici nelta corleccia
cérébrale
... - Riv. speri- ment. di frenialria, 1878, p.
natomique des différents centres moteurs du cerveau. Bref, l'écorce
cérébrale
, et en particulier la zone motrice, est pour Lu
ique assez que le point de départ de l'accès est bien dans l'écorce
cérébrale
et que, contrairement à l'ancienne doctrine, le
corticaux vaso-moteurs, dont l'excitation détermine, avec l'anémie
cérébrale
, la perte de conscience, coïncident précisément
n seulement l'épilepsie a toujours pour sphère essentielle l'écorce
cérébrale
: elle est toujours directe, jamais réflexe. De
ptogènes des lésions destructives de l'écorce et des trauma- tismes
cérébraux
, effets dus au tissu fibreux cicatriciel rempla-
êmes épileptiques, avaient subi des pertes de substance de l'écorce
cérébrale
. Chez d'autres animaux (chats), l'épilepsie cor
déterminaient des accès d'épilepsie en agissant l'une sur l'écorce
cérébrale
, l'autre sur le bulbe et la moelle. La différen
ni soutiennent que cette action est secondaire, tandis que l'écorce
cérébrale
est primitivement atteinte. Si les centres mote
d'autres poisons de l'intelligence, la substance grise de l'écorce
cérébrale
, et en particulier les centres moteurs, ce sont
t-ils toujours déterminés par des lésions circonscrites de l'écorce
cérébrale
, ainsi qu'on le suppose d'ordinaire ? Seppilli,
ù l'on ne trouva, à l'autopsie, aucune lésion organique de l'écorce
cérébrale
, mais seulement une méningite chronique diffuse
ilepsie partielle, il doit exister une lésion organique de l'écorce
cérébrale
(adhérences, ramollissement de l'écorce, néopla
ani et de Seppilli sur les localisations fonctionnelles de l'écorce
cérébrale
. V. cncore Sullo spasnio clonico della lingua. No
ca (Riv : speriment. di frein., 1888, 271 sq.) Cf. La c '1Î1'U1'gia
cérébrale
(Riv. speriment. d fren., 1889, p. 20.) , 106
s fais- 110 REVUE critique. ceaux de cet ordre, reliant les lobes
cérébraux
les plus éloi- gnés' . Il faut surtout songer a
vo- motrice, en rapport avec l'ensemble des procpssus de l'écorce
cérébrale
, centres d'arrêt, de tension cérébrale, d'innerva
le des procpssus de l'écorce cérébrale, centres d'arrêt, de tension
cérébrale
, d'innervation des muscles qui se contractent d
irs, de sensations, de mouvements, qui rentrent dans la physiologie
cérébrale
, ont peut-être là leur substratum ana- tomique.
stratum anatomique les aires sensitives et sensorielles de l'écorce
cérébrale
(Munk, Luciani), ou si d'autres territoires cor
partie de la sphère sensitive ou « sensitivo-motrice » de l'écorce
cérébrale
. Il paraît bien, toutefois, que les lésions pat
is de se demander quelle est l'influence de la ligature des artères
cérébrales
sur l'excitabilité des cen- tres moteurs de l'é
res cérébrales sur l'excitabilité des cen- tres moteurs de l'écorce
cérébrale
. Les résultats des expériences instituées par K
pille du nerf optique. Le spasme artériel des vaisseaux de l'écorce
cérébrale
provoque l'accès par une perturbation de la nut
le spasme initial l'image des processus vaso-moteurs de l'écorce
cérébrale
3. Les convulsions épileptiformes, accompagnées
tré que ces con- vulsions étaient sûrement le résultat d'une anémie
cérébrale
, consécutive à un processus de contraction vaso
so-motrice. Les substances qui abaissent l'excitabilité de l'écorce
cérébrale
agi- raient comme la cocaïne. Vetter maintien
érebrale, la perte subite de conscience. Mais ce spasme des artères
cérébrales
peut résulter de l'excitation réflexe du centre
s ganglions sous- corticaux entreraient en activité. Bref, l'écorce
cérébrale
parti- ciperait au processus dans les deux form
convulsions épilep- tiques par l'excitation directe des hémisphères
cérébraux
ou des ganglions sous-corticaux. On arrive au m
és lorsqu'on enlève des parties de l'écorce, puis les hémisphères
cérébraux
, ces réflexes convulsifs reparaissent ensuite : l
ncluent que le centre de l'épilepsie ne peut pas être dans l'écorce
cérébrale
. Ce centre, ils le cherchent dans le cerveau mo
région déterminerait, sous l'influence de l'excitation de l'écorce
cérébrale
, les mouve- ments et les convulsions observés d
la sphère sensitivo-motrice représente l'unique partie de l'écorce
cérébrale
capable de provoquer par soi l'accès d'épilepsi
tension ou d'irritation de la substance grise du cerveau; l'écorce
cérébrale
, et en particulier la zone motrice, n'est pas l
d'autres organes, sans 1 Contribuzioni allô studio della patologia
cérébrale
. Emiplegia, emie- pilessia, afasia, trapanazion
i, la suite d'un état de tension et d'hyperexcitabilité des centres
cérébraux
; la limitation ou la généralisation des convuls
convulsions est, dans ces cas, l'aire sensitivo-motrice de l'écorce
cérébrale
. L'hypothèse la plus probable est donc que cett
rie corticale ». « On peut sans doute, dit-il, en excitant l'écorce
cérébrale
,' provoquer des accès d'épi- lepsie, mais non t
ion des ganglions sous-corticaux, les secondes de celle de l'écorce
cérébrale
. L'excitation mécanique ou faradique du noyau c
nt la région corticale d'une. extrémité a été enlevée, l'excitation
cérébrale
ne détermine plus de convulsions cloniques, mai
aient fort sur les deux côtés du corps. Du côté opposé à l'atrophie
cérébrale
, laquelle occupait les parties postérieures des
ut être provoquée par une lésion de n'importe quel point du manteau
cérébral
ou des autres régions de l'encéphale (capsule i
iel de sa pathogénèse, le complexus des centres moteurs de l'écorce
cérébrale
. » G. Seppilli, Tumori cée- /n'aU, 32. 2 L. B
'on suivait dans la capsule interne du même côté, dans le pédoncule
cérébral
, dans la pyra- mide bulbaire et dans le cordon
dans une certaine mesure, les aires motrices détruites de l'écorce
cérébrale
. Ces ganglions de la base, dont les fonc- tions
ffisante de sa pathogénèse, ce sont les centres moteurs de l'écorce
cérébrale
ainsi que les gan- glions sous-corticaux, de na
(Neurol. Centralbl., 1889.) HUGUENIN s'exprime ainsi : « Les veines
cérébrales
au niveau du sinus longitudinal supérieur sont
ontré cinquante-neuf exemples d'anomalies semblables pourles veines
cérébrales
supérieures et neuf exemples pour les veines cé-
illeure heure que dans les autres cas. . P. K. XI. Un cas DE tumeur
cérébrale
; par OPPENHEIm et Remak. (Neurol. Centralbl., 1
(Neurol. Centralbl., 1889.)' M. Oppenheim diagnostique une tumeur
cérébrale
originaire de la zone motrice du côté gauche, s
ION DE la PROPRIÉTÉ ÉPILEPTOGÈNE DE LA ZONE POSTÉRIEURE DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
; par P. ROSENBACH. (Neurol. Centralbl., 1889).
rigidité articulaire spasmodique DE l'enfance INDIQUE-T-IL LE SIÈGE
cérébral
DE la lésion ; par Fr. ZIEHL. (Neurol. Centralb
tuées sur cinquante-trois lapins auxquels on enlève les hémisphères
cérébraux
et le trigone pour agir sur les ganglions de la
de grosses cellules épilhélioïdes, de même que le ramollissement
cérébral
a pour élément anatomopathologique la cellule gra
à la base, dans la région du troisième ventricule; 2° le trousseau
cérébral
du pédoncule cérébelleux moyen dont la partie p
des lobes frontaux et avec la partie postérieure des hémis- phères
cérébraux
; 3" les fibres du pédoncule cérébelleux antérieur
quer la ma- nie et la mélancolie par des troubles de la circulation
cérébrale
. Seuls un ou deux cas ont rendu cette théorie e
L. La genèse des troubles intellectuels par l'hyperémie ou l'anémie
cérébrale
a contre elle les trois sortes de constatations
aires; il n'est pas rare de constater de l'hyperémie ou de l'anémie
cérébrale
alors que pendant la vie il n'y avait eu ni mél
ue de malades présentent des signes de l'anémie ou de l'hyperémie
cérébrale
sans être affectés de manie, ni de mélancolie. Le
se de trente à cinquante ans ; la race jaune et slave, le surmenage
cérébral
et toutes ses causes, les toxiques : alcool, ta
menage intellectuel et des passions déprimantes. 3° La dépres- sion
cérébrale
portant sur toutes les facultés, surtout su riamé
AUCHE PROGRESSIVE, CONSECUTIVE A LA DESTRUCTION DES CIRCONVOLUTIONS
CÉRÉBRALES
CORRESPONDANTES); Par M. le D' PETRUCCI, Dire
progressive, et consécu- tive à la destruction des circonvolutions
cérébrales
motrices correspondantes. J'étais loin de m'att
sommet de la tète. Le crâne est fracturé, per- foré ; la substance
cérébrale
à nu. La plaie se trouve sur la suture médiane
complet que possible. On aperçoit alors distinctement la substance
cérébrale
; elle semble avoir été attaquée, et on peut rec
tère dont on a parlé plus haut. On n'a pas retiré d'autre substance
cérébrale
. A quatre heures du soir même état général. Tem
le facilité le cerveau a suivi la calotte crânienne. Les pédoncules
cérébraux
ont été arrachés en partie avec la boîte osseus
ant de solidité que le cuir chevelu à l'extérieur. Les adhérences
cérébrales
ne pouvant être rompues, il y a néces- sité de
AUMATISME AVEC PERFORATION DU CRANE. 183 La surface de l'hémisphère
cérébral
droit est plus congestionnée que la gauche. Les
exus choroïdes droits semblent y avoir macéré. Les deux hémisphères
cérébraux
pèsent chacun 570 gr. A la partie postérieure
niveau de la lyre, près les piliers posté- rieurs droits du trigone
cérébral
, et de là dans les ventricules laté- raux, par
uivre pas à pas les troubles fonctionnels correspondant aux lésions
cérébrales
, au sur et à mesure qu'elles se sont pro- duite
Nous ne devons pas perdre de vue ce grand prin- cipe de pathologie
cérébrale
, que les convulsions correspondent presque touj
aralysie générale, ne sont que l'expression de poussées congestives
cérébrales
intermittentes. N'en est-il pas de même de l'ép
es soient aiguës, diffuses ou spécifiques. Dans le cas de tumeurs
cérébrales
de traumatismes avec ou sans fragments osseux,
ux lésions des parties TRAUMATISME AVEC PERFORATION DU CRANE. 187
cérébrales
intéressées, et dont les aura sont la première ex
lutions épileptiques ont été causées par des troubles de la surface
cérébrale
, probablement de nature circulatoire, venant eu
du côté droit, ou bien elles des- cendent de leurs anciens centres
cérébraux
(dont nous admet- tons l'existence dans l'hémis
e d'Alger. w VI. CONNEXIONS DU CARREFOUR OLFACTIF AVEC L'ÉCORCE
cérébrale
. [Arc direct.) Toutes les fibres nerveuses qui
sent t les relations directes du carrefour olfactif avec l'écorce
cérébrale
. Ces relations sont de deux sortes : a, les une
deux, sont absolument directes et vont sans intermédiaire au noyau
cérébral
ou à ses pro- longements ; b, l'autre a lieu pa
s. Bien qu'il y ait un intermédiaire entre le carrefour et l'écorce
cérébrale
, je considère la communication comme directe, p
ourrait en faire un simple raccordement entre le carrefour et l'arc
cérébral
. ' 908 ' . ANATOMIE. ' En résumé, l'arc direc
les cas d'anosmie non croisée; l'entre-croisement partiel de l'arc
cérébral
dans les chiasmas des bandelettes olfactives ex
dans une courte étendue. Elle disparaît dans le point où l'écorce
cérébrale
se termine par un bord tranchant. La plus interne
insi que le septum luci- dum (racine grise du chiasma). C'est l'arc
cérébral
. La formation godronnée constitue le noyau cort
supérieur du corps godronné et les nerfs de Lancisi; 3° avec l'arc
cérébral
, par les piliers anté- rieurs. C'est l'arc dire
nte, au point de vue de la conformation physique ni de la structure
cérébrale
, rien de particulier. S'il a volé, il aura cédé
rois que cette perversion est une espèce particulière d'affec- tion
cérébrale
, une manie, et comme telle sujette à traitement.
appelle la paralysie générale alcoolique n'est, au fond, qu'un état
cérébral
particulier, qu'ils appellent pseudo-paralysie
que nous paraît insuffisante dans l'étude d'affections où la lésion
cérébrale
joue un rôle aussi considérable. M. Magnan reme
mptômes de la paralysie générale, n'ont jamais présenté de troubles
cérébraux
; 5° L'intoxication alcoolique peut produire tou
de comprendre et de réunir dans un même ensemble tous les troubles
cérébraux
dus à l'alcoolisme depuis l'ivresse jusqu'à la
lité, les cas de rémission ou de guérison, quelle que soit la forme
cérébrale
qu'ait revêtu l'alcoolisme. - M. Mordrét présen
olie sensorielle est sous la dépendance de troubles de la nutrition
cérébrale
ayant déterminé des auto-intoxications. Enfin,
ile d'aliénés de Budapest, sur l'atrophie partielle des hémisphères
cérébraux
. Neurasthénie tardive. Idées obsédantes. Ramoll
s cérébraux. Neurasthénie tardive. Idées obsédantes. Ramollissement
cérébral
.- M. SÉGLAS communique l'observation d'un indiv
M. BoUCHEREAU. M. ROUILLARD lit une note sur trois cas de troubles
cérébraux
consécutifs à la scarlatine. M. A. Voisin pen
Par comparaison, l'orateur présente un malade atteint de paralysie
cérébrale
de l'extrémité inférieure gauche et en particul
t des muscles sont simultanées. M. OI'PE1VI1G1M. Un cas de tumeur
cérébrale
. Mémoire publié à part. M. Oi'l'ENUE). Des al
secondaire de la couche optique et du faisceau latéral du pédoncule
cérébral
. Le mémoire sera publié en détail. M. Landere
nt remarquer qu'il s'agit peut-être là d'une hypoplasie des régions
cérébrales
en ques- tion et que le kyste a pu se développe
mieux mettre en relief les travaux des partisans des localisations
cérébrales
; en tous cas, l'auteur n'a pas à y perdre. Le m
rveux pendant la période d'activité, d'où il résulte que le travail
cérébral
est une forme de l'énergie et que l'intelligenc
ckwell and Churchill. MORDRET (A.-E.). Deux observations d'atrophie
cérébrale
. Brochure in-8° de' 24 pages. Le Mans, 1888. Ty
n, 1891. - A. Hoelder. FERRIER (D.). - Leçons sur les localisations
cérébrales
, traduites par SOREL (R.). Brochure in-8° de 13
RVEUSE. tiques un assez grand nombre étaient morts d'affec- tions
cérébrales
, d'autres d'aliénation mentale. Il relève dans
ère aliéné. « La fré- quence, dit-il, des troubles intellectuels et
cérébraux
trouve son explication dans les antécédents hér
89), elle eut une attaque qu'on qua- lifia, dit-elle, de congestion
cérébrale
, suivie de parésie passagère du bras et de la l
est précédée de faiblesse générale, de maux de tête, de congestion
cérébrale
, de vertige, parfois de troubles visuels. A l'â
stérie, arriération intellec- tuelle et instabilité mentale, fièvre
cérébrale
). II. L'hystéro-épilepsie s'est développée sur
E ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES XXVII. Ablation des hémisphères
cérébraux
chez le pigeon; par le Dr DE 13oECE et L. LE l3
l'écorce. G. DENY. XXVIII. Contribution A L'ÉTUDE delà circulation
cérébrale
; parles Dr de BOECK et I. WERUOOGEX. (Bull. de
bonique, de l'éther sulfurique et de la morphine sur la circulation
cérébrale
. Ils ont constaté : 1° que l'acide carbonique p
a pression artérielle générale et augmentait le débit des vaisseaux
cérébraux
; 3° que sous l'influence de la morphine, il se
anomalies oculaires, dans la sclérose en plaques, et les affections
cérébrales
en foyer chez les neurasthéniques, il est propo
f.Psych.,XXU,l.) 1.) . , Deux observations montrant que les lésions
cérébrales
du lobe occipital atteint pendant son développe
delette optique. M. Moeli fait à ce propos remar- quer que l'artère
cérébrale
postérieure irrigue non seulement les lobesocci
t rompu avec l'existence amollie des. Arabes pour se mêler à la vie
cérébrale
des Européens, adoptant leurs moeurs, leurs hab
e. , Les lésions anciennes indiquent qu'il y a eu des congestions
cérébrales
ayant très bien pu être suivies temporairement d'
en raison inverse des centres corticaux. L'épuisement des fonctions
cérébrales
est le générateur de cette interversion. Suivan
t une encéphalite interstitielle diffuse terminée par de l'atrophie
cérébrale
. ' P. K. XVIII. QUELQUES MOTS sur l'association
ion des symptômes de l'hystérie avec la gliose spinale, la syphilis
cérébrale
, la paralysie faciale périphé- rique. En revanc
la couche optique du côté opposé. Comme il n'y a pas d'altérations
cérébrales
intenses, comme il n'y a pas eu inflam- mation
énignité criminelle décroissante : paralysie générale, infériorités
cérébrales
(imbécillité, idiotie, démence, états mélan- co
considéré, on peut con- clure que la forme particulière du travail
cérébral
suivi par le père ne peut exercer qu'une très m
he rectum zn the rabbit, both normally and after destruction of the
cérébral
cortex. Brochure in-8" de 7 pages. London, 1891.
lach, 230; - cerveau dans la , par lVoIlenLern, 274. Circulation
CÉRÉBRALE
par de Boeck et Werhoogen, 397. CoNGnËs des m
e Reil, histologie du -, par Rossolimo, 129. Scarlatine, troubles
cérébraux
con- sécutifs à la -, par Rouillard, 267. Scl
argowla, 266. Strabisme, comme indication du siège de la lésion
cérébrale
dans la rigidité spasmodique de l'en- fance,
, origine de la substance blanche des -, par Held. 401. Tumeurs
cérébrales
, par Oppenheim et Remak, 127 ; - Symptomato-
cordons latéraux des pyramides, allant des centres de coordination
cérébrale
aux appareils périphériques de la motilité, il
oyenne, mais chez le premier nous avons trouvé une atrophie du lobe
cérébral
gauche et de la splénisation pul- monaire. Chez
nisme. Ces mala- des sont des épuisés et des surmenés. Le surmenage
cérébral
déterminé par l'éréthisme des centres sensitivo
vec des troubles plus ou moins graves de - la nutrition de l'écorce
cérébrale
et parfois même de l'axe céré- bro-spinal en so
u. Outre que par suite de la situation horizontale la circulation
cérébrale
est facilitée et le cerveau mieux irrigué, l'alit
vante : nous savons que le gliome est une variété commune de tumeur
cérébrale
, et qu'il est sujet à des hémorragies qui se pr
parmi ces cas, il y en a dont les symptômes sont dus à des lésions
cérébrales
, et d'autres dans lesquels ces lésions ne se ren-
és qui ne sau- raient à aucun point de vue être appelés des lésions
cérébrales
. , On peut donc distinguer parmi les habitudes
vidu s'y abandonne volontairement; celles qui sont dues à des états
cérébraux
héréditaires ; celles qui sont dues soit à un v
quantité de sérosité. Arachnoïde et pie-mère normales. Epanchement
cérébral
à la surface du cerveau, dans la scissure de Sy
contrer, ces mouvements étant involontaires et sans point de départ
cérébral
. Pour expliquer ces phénomènes, il invoque un p
par les observations de M. Bevan Lewis, à savoir, que dans l'écorce
cérébrale
les mouvements des grandes articulations sont rep
); 2° mélancolie, avec ou sans démence, probablement due à l'anémie
cérébrale
. - II. Folie de la syphilis tardive (période te
e de la convexité. Ileaucoup de cas, sinon tous les cas de syphilis
cérébrale
dans lesquels la folie a été causée par l'épile
ent alors apporter une co-opération considé- rable au développement
cérébral
. Le langage permet à l'enfant de représenter le
A'E-CL : 1Y. XIII. Cas d'impulsion au suicide en état d'automatisme
cérébral
, par W. E. Sullivan. (1'he JOi()'aal of dlental
'he JOi()'aal of dlental Science, avril 1899.) L'état d'automatisme
cérébral
est un état intéressant au double point de vue
r, mais on y observe nettement le mode suivant lequel les processus
cérébraux
antérieurs influencent la nature et la directio
atrick). L'enfant présente les manifestations suivantes : paralysie
cérébrale
infantile bilatérale, imbécillité ou idiotie, a
ure résiste ou, après avoir succombé, se régénère. Dans les tumeurs
cérébrales
on observe une sorte de tabès qui reproduit tra
it de fausses couches. Il faut signaler l'hérédité de l'hémorrhagie
cérébrale
dans sa famille maternelle. l'âge de 31 ans, il
ve des réflexes tendineux d'un ou plusieurs membres, une hémiplégie
cérébrale
restera flaccide, sans réflexe et sans contract
te au-dessus des noyaux du pneumogastrique jusque dans le pédoncule
cérébral
droit. Diabète insipide dépendant d'un Gliome d
ndant envahie par le néoplasme. Diagnostic de la nature des Tumeurs
Cérébrales
; par M. Dupont (de Paris). (La fin au prochai
ymptomatique : d'une affection médullaire (Farges), d'une affection
cérébrale
(Morvan). M. Léopold Lévi a observé pendant son
ues qui survenaient par crises. A l'autopsie, on trouve de l'eedème
cérébral
très accentué. .SOCIÉTÉS SAVANTES. 87 Un cas
abès à ce point de vue. ' M. Touche présente une pièce d'hémorragie
cérébrale
comprise tout entière au-dessus de la coupe de
0 novembre 1900. Troubles psychiques en rapport nvec la compression
cérébrale
. M. Aubkau présente un malade qui, à la suite d
n traumatisme de la région pariétale droite, a été pris d'accidents
cérébraux
gra- ves. Ceux-ci ont disparu après avoir duré
SOCIÉTÉS SAVANTES. - suivi de l'abolition des principales fonctions
cérébrales
, avec idio- tiei et gâtisme. Une large trépanat
thylisme; il est extrêmement curieux et instructif que la chirurgie
cérébrale
puisse ainsi guérir une confusion mentale acqui
êtres frappés, l'un de démence pré- coce et l'autre d'une affection
cérébrale
mortelle d'origine alcoolique'. Je relève un tr
udence commença un peu plus lard à donner des signes de dérangement
cérébral
; cela commença par des rêves terrifiants, de l
certain rôle dans l'éclo- sion des désordres mentaux. d'accidents
cérébraux
indéterminés qualifiés de « sorte de ménin- git
ceux où la dégénération typique du tabes avait précédé l'affection
cérébrale
d'avec ceux, plus rares, où ces cordons avaient
plus rares, où ces cordons avaient dégénéré au cours de l'affection
cérébrale
. » ' , Quelle que soit la cause des altérations
ble de faire dériver la dégénération spinale du tabès- de processus
cérébraux
.. Il fait remarquer que, dans.le tabès, ce sont
me spéciale que Pierre Marie appelle le labes supérieur ou le tabès
cérébral
. Il admet que dans cette forme l'évolution de l
lupart des symptômes tabé- tiques relèvent d'une lésion de l'écorce
cérébrale
; le tabes dorsal n'est pas une maladie de la m
sont plus gréles qu'à l'état normal. « L'examen des circonvolutions
cérébrales
, portant spécialement sur celles du corps calle
rapports avec le status mental : étude de morphologie de la surface
cérébrale
; par W. Junus Mickle. (The Journal of Mental S
t trop imparfaite analyse. R. M. C. II. Flechsig et la localisation
cérébrale
des processus mentaux ; par W. IRELAND. (The Jo
La méthode employée consiste à colorer de petits morceaux d'écorce
cérébrale
avec le bleu de méthylène et à les comprimer so
r a pratiqué l'examen méthodique d'un point particulier de l'écorce
cérébrale
: le point choisi a été la circonvolution front
E PATHOLOGIQUES. 149 XXVII. De l'évolution des cellules de l'écorce
cérébrale
chez l'homme; par W.-M. Bechterew. (Obozrenie p
me tardives. P. Keraval. XXVIII. Action de l'éther sur les cellules
cérébrales
; par 1110 STE- fanowska. (Journal de Neurologie
ique. - lg6 SOCIÉTÉS SAVANTES. Idiotie micl'océphalique. Agénésie
cérébrale
. Cerveau pse21do-kystiq2e; par Bourneville et O
deux vastes pseudo-kystes dont les parois sont formées de substance
cérébrale
atrophiée. Au point de vue clinique cet enfan
era publiée ainsi qne la suivante.) Atrophie Cérébelleuse. Diplégie
cérébrale
spasmodique infantile chez deux frères; par MM.
ou apoplecti- forme (apoplexie hystérique) simulant une hémorragie
cérébrale
. Mais l'apoplexie hystérique n'est probablement
symptomatologie propre à celle qu'engendre la lésion de la cellule
cérébrale
. Goitre exophtalmique traité sans succès par la
e. L'isolement, une hygiène plus sévère, en dominant l'ex- citation
cérébrale
, ont pu permettre au malade de mettre à profit
fille,- dix-huit ans, bien portante. Lui-même aurait eu une fièvre
cérébrale
(' ? ) à l'âge de onze. ans. Il y a deux ans, i
ensité est très variable.suivant les cas et les. attaques les nerfs
cérébraux
sont d'ordinaire intacts. Il ! estE digne·.de r
ues. ' VI. La démence paralytique. VII. LES psychoses DES lésions
CÉRÉBRALES
. VIII. Les psychoses DE la période d'involution
ée avec succès sans qu'on y joigne l'étude approfondie des maladies
cérébrales
organiques, y compris la paralysie générale. C'
Aujourd'hui on ensei- gne partout dans ces cliniques la pathologie
cérébrale
tout entière. La clinique médicale et la cliniq
recours de nos jours à l'emploi du trépan en présence d'ac- cidents
cérébraux
dont on néglige de déterminer au préalable la n
de le diagnostic de la thrombose des sinus crâ- niens et des veines
cérébrales
; de sorte que l'on doit être très réservé quant
éclatante démonstra- tion. " G. D. \'III. Encéphalocèle etaction
cérébrale
singulière; parA.-P. Brown. (T/te 11'iv-York li
ration; et son contenu, au toucher, paraissait se composer de tissu
cérébral
vrai. A l'aid e d'une légère pression, qui ne s
, ni adhérente : le cerveau est volumineux et symétrique ; le tissu
cérébral
est ferme; l'ensemble est sain. Au-dessus de la
à rechercher l'avis d'un médecin jusqu'au moment où une hémorrhagie
cérébrale
met brusquement fin à sa vie. R. DE Musgrave CL
as étaient compliqués de démence paralytique et par conséquent plus
cérébraux
que spinaux ; enfin l'auteur lui-même l'a renco
ne paraissent pas très athéromateux et on ne constate aucune lésion
cérébrale
. La surface postérieure de la moelle est couver
USGRAVE CLAY. 252 ) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XI1. Néoplasmes
cérébraux
: analyse clinique de seize cas person- nels (q
les, mais surtout de signaler les symptômes précoces des néoplasmes
cérébraux
. Les seize cas qu'il a observés se décomposent
d'après M. Krauss l'analyse de ces cas : le dia- gnostic de tumeur
cérébrale
a été fait dans douze sur treize des cas qui co
le cervelet. La névrite optique existait dans dix sur douze des cas
cérébraux
, elle n'a pas été recherchée dans un cas, elle
oserait de la manière suivante les symptômes classiques des tumeurs
cérébrales
dans l'ordre de leur importance : 1° Céphalalgi
que faire de cette lésion lo symptôme pathognomonique des tumeurs
cérébrales
. Ce travail se termine par la relation détaillée
Bicêtre de 1880 à 1900 un certain nombre d'observations de tumeurs
cérébrales
. 254 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. des écriva
ale, qu'il présente des troubles marqués et incurables des facultés
cérébrales
et qu'il y a lieu de le diriger sur un asile sp
sistance des sutures. '28 1 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. Les pédoncules
cérébraux
sont très rétrécis, blancs et symétriques. Les.
t grêles. Les artères vertébrales et sont régulières. Les 'obères
cérébrales
sont très réduites de volume. Le cervelet, a un
mère, extrêmement amincie, et il ne semble pas y avoir de substance
cérébrale
. La partie des poches qui répond aux lobes pari
IDIOTIE MICROCÉPHALIQUE. 285. Quand on écarte les deux hémisphères
cérébraux
, on voit qu'à gauche, au niveau du lobe frontal
de la base et, dans l'espèce, compression intéressant le pédoncule
cérébral
96 - CLINIQUE NERVEUSE. - '0 ! < (parésie
articularités, non adhérentes et non congestion- nées. Léger oedème
cérébral
au niveau de la partie supérieure du lobe front
inférieure de T1, la partie moyenne de T2 et de @r3 la subs- tance
cérébrale
présente un aspect lardacé, elle est pâle, anémié
face interne rouge et tomenteuse. Cette poche est entourée de tissu
cérébral
ramolli ; les lésions ne dépassent pas les limi
l'étroit exerçait une compression progressive sur le pédon- cule
cérébral
droit ce qui donnait l'explication de la parésie
e toute une série de circonstances, on porta le diagnostic d'urémie
cérébrale
; il y avait, d'ail- leurs, albuminurie, puis ce
ait abouti à ce résultat, car tout autour de l'abcès la substance
cérébrale
était ramollie et, si l'on en croit' Debaisieux,
NTS M\HDES. SERVICE DE M. LE De DESCROCZILLES. Un cas de congestion
cérébrale
active . avec autopsie; Par Albert h1'IZ, int
c autopsie; Par Albert h1'IZ, interne des hôpitaux. La congestion
cérébrale
, nous parlons de la congestion active, idiopath
des anciens médecins qui voyaient partout la « pléthore, la fluxion
cérébrale
» succéda la réac- tion vigoureuse des clinicie
e médecine ' et dans ses leçons cliniques 2 porta à la « congestion
cérébrale
» le coup le plus sensible. Depuis cette époque
dans un récent travail de M. Pierre Marie '' que : « La congestion
cérébrale
est un de ces faits que personne n'a directemen
ce titre aussi que nous rela- tons le cas suivant d'une cpngestion
cérébrale
idiopathique - 4° 1 Trousseau. C. R. Acacl. d
seau. C. R. Acacl. de médecine, 15 janvier 1861. De la conges- tion
cérébrale
apoplectique dans ses rapports avec l'épilepsie.
3 Jules Simon. Progrès médical, 1884. * Pierre Marie. La congestion
cérébrale
devant l'Académie de médecine en 1861. (Presse
en 1861. (Presse médicale, 3 février 1900.) UN CAS DE CONGESTION
CÉRÉBRALE
ACTIVE. 303- chez un enfant que nous eûmes l'oc
du coeur et des poumons nous fait poser le diagnostic de congestion
cérébrale
apoplectiformi chez un enfant subitement refroi
le 16 novembre à 9 heures du matin (41 heures UN CAS DE CONGESTION
CÉRÉBRALE
ACTIVE. 305 après la mort'. Il n'y a aucune alt
t des accidents. 1 L'autopsie démontre l'existence d'une congestion
cérébrale
très prononcée, ce qui explique les phénomènes
Ce cas légitime, d'après nous, la réhabilitation de la con- gestion
cérébrale
idiopathique active, que beaucoup d'au- teurs,
raux étaient ramollis. La tumeur, grisâtre, avait l'aspect du tissu
cérébral
; la moelle était saine, sauf les efforts de la co
ogue aux espaces péri-vascu- laires. Ils sont situés dans -l'écorce
cérébrale
, et forment de grandes masses irréguiières dans
abcès du cerveau. I. DE MUSGItdV); CL4T. Anatomie et psychologie
cérébrales
; par Stëwaht l'.arov. (The IYeo l'orh Médical
psychologie est principalement dû aux travaux accomplis en anatomie
cérébrale
. Après un historique concis, mais substantiel,
our certaines affections mentales caractérisées par des altérations
cérébrale
bien défiuit,. Par exemple, les conditions de s
Par exemple, les conditions de structure qui existent dans l'écorce
cérébrale
de l'enfant pendant la deuxième année de sa vie
ns ses rapports avec les modifications corrélatives de la structure
cérébrale
est incon- testablement l'une des études nécess
élevés sont incapables d'activité fonctionnelle, parce que l'écorce
cérébrale
de la truite ne se compose que de cellules épit
capables d'activité fonctionnelle, les con- ditions de sa structure
cérébrale
offrent une possibilité d'association des diver
c'est des recherches de Golgi que date une ère nouvelle en anatomie
cérébrale
; à ses travaux sont venus se joindre pour les
rie nouvelles dépendent d'une exacte connaissance de la structure
cérébrale
. La classification des processus mentaux, normaux
quatorze cerveaux d'hommes et seize cerveaux de femmes. Les régions
cérébrales
choisies pour cette étude sont : 1° le milieu d
lie ci-dessus indiquées dans leur ensemble, et les diverses régions
cérébrales
également dans leur ensemble, on trouve comme p
IE Séance du 7 février 1901. Présidence de M. Raymond. Glyomalose
cérébrale
. ' M. GILI3ERT-I3.1LLET présente trois cerveaux
lution frontale gauche. Les symptômes avaient été ceux d'une tumeur
cérébrale
; mais il n'y avait pas eu trace d'aphasie, grâc
e gauche. Dans ces trois cas les symptômes ont été ceux des tumeurs
cérébrales
en général, mais pas le moindre signe de locali
tubercu- lose. mais celle-ci n'avait aucun rapport avec l'affection
cérébrale
. L'autopsie a en effet montré des lésions de ba
montré des lésions de bacillose pulmonaire. L'absence de réactions
cérébrales
locales serait due à la lenteur du processus gl
a saignée dans l'urémie, dont l'aspect symptomatique, dans sa forme
cérébrale
a des analogies avec le tableau symptomatique d
eau symptomatique des néoplasmes crâniens. La théo- rie de l'aedème
cérébral
actuellement peu en faveur, ne contien- drait-e
la ponction rachidienne chez des malades atteints d'urémie à forme
cérébrale
. Hé7nyasyizc),gie avec hémilremblemenl d'origin
n voit sur la pièce une destruction complète de l'un des pédoncules
cérébraux
par un foyer de ramollissement exactement limit
fonctions (ménopause) que se montre la dépression, simple réaction
cérébrale
provoquée par cet amoindrissement chez les préd
le au point de vue de l'entretien et de la réparation des fonctions
cérébrales
, les stimulants habituels de l'intelligence y f
cllanicomto. Vocr (C.). Élude sur la myênilisalion des hémisphères
cérébraux
. z in-8° de 72 pages, avec 20 figures. Paris, 1
ôté du corps, partent de centres moteurs situés dans l'hémi- sphère
cérébral
du côté opposé et dans une zone limitée de l'éc
ando ; à ce niveau/la dure- mère était un peu adhérente et l'écorce
cérébrale
avait une teinte jaunâtre. Le centre cortical d
lade n'avait pas eu de nouvelles attaques. 3° IENN (Five cases of
cérébral
surgery, etc. Americacz Journal of the médical
rgien, 1891, p. 17, obs. 2. 3° A. D. ANTONA. Nove casi di chirurgia
cérébrale
(épilessia). Socielri italiana cli chirurgien,
cli chirurgien, 1893, p. 147, obs. 3. 4° Warnots. Sur la chirurgie
cérébrale
. Congrès français de chi- rurgie, 1893, p. 483.
nte de la même manière. 2° Elle se rencontre aussi dans la syphilis
cérébrale
et peut être limitée d'une façon permanente à u
orce avec la pie-mère, accumulation de liquide dans les ventricules
cérébraux
. Réseau vasculaire de la pie-mère et de l'écorc
le développement du tissu conjonctif, et l'atrophie de la substance
cérébrale
, selon l'étendue du processus pathologique. L
yer de sclérose : le tout causé par une endar- térite nodulaire des
cérébrales
postérieures avec oblitération com- plète à dro
de l'arrêt de développement des régions occipitales des hémisphères
cérébraux
. Raccourcissement du corps calleux. surtout en
is, atrophie de la VI° paire à gauche, rien du côté des hémisphères
cérébraux
, com- pression totale du bulbe et de la protubé
divers dans lesquels se trouve fré- quemment comme cause une tumeur
cérébrale
et qui ne permet- tent pas au clinicien, non pl
médullaire' chez des nouveaux nés syphilitiques sans aucun trouble
cérébral
. Il y avait paralysie des membres supérieurs et
épanché : il est démontré que l'irritation des méninges spinales ou
cérébrales
provoque des mouvements convulsifs. La mort souda
ont il s'agit; et l'on pourrait ajouter : 5° la rareté du carcinome
cérébral
, soit primitif, soit secondaire. La séparation
Le gliome est représenté comme la forme la plus fréquente de tumeur
cérébrale
. Comme le carcinome il dérive de cellules ayant
semble plus que possible que la tumeur, primitive dans la substance
cérébrale
, ait pris naissance dans de l'épithélium épendy
épendymaire adulte, qui était inclus dans les profondeurs du tissu
cérébral
, et que le néoplasme ait été entièrement séparé
primitif de i'infection tuberculeuse. La lésion bacillaire du tissu
cérébral
n'a été découverte que lors de l'examen histolo
que de l'organisme. Mais il est rationnel de supposer que la tumeur
cérébrale
s'est comportée. comme un locits iiii21o),is resi
ulose. Peut-être s'apercevra-t-on à l'avenir que pour les tu- meurs
cérébrales
, comme pour les néosplasmes des autres parties
tre ceux de la méningite qui précède la paralysie, et les symptômes
cérébraux
dans la forme cérébro-spinale; dans la forme or
braux envahis et aussi à cause des effets consécutifs de la lésion
cérébrale
sur les autres parties de l'organisme. La malade
temporale inférieure : dans toute cette étendue les circonvolutions
cérébrales
manquaient complètement. L'arachnoïde était o
™t f Eulenburg distingue trois degrés .dans les anomalies psyché
cérébrales
: 10 L'hermaphrodisme psycho-sexuel, le malade se
es. On se fera ainsi une opinion sur le siège probable de la lésion
cérébrale
, et l'on sera renseigné sur l'état des organes
e on constate dans les deux cas que les os du crâne et la dure-mère
cérébrale
sont intacts; la pie-mère est très hyperémiée,
ent oedémateuse, parsemée de quelques légères hémorragies. L'écorce
cérébrale
est un peu oedémateuse, très hyperémiée. A l'ex
s et un saturnin entrés à l'hôpital pour l'impaludisme, apo- plexie
cérébrale
, embolie de l'articulation sylvienne et paralysie
Or, la supériorité intellectuelle ne gênant, pas le fonctionnement
cérébral
, mais au contraire le favorisant, n'est pas une
ent par sa tante, qui l'accompagnait. Bien de connu au point de vue
cérébral
du côté des grands-parents paternels Une soeur
donner des renseignements plus précis à ce sujet. Pas d'antécédents
cérébraux
, vésaniques ou névropathiques du côté maternel.
niec- tomie employée comme moyen pour produire le développe- ment
cérébral
, en modifiant favorablement le fonctionnement d
une relation de l'état du faisceau pyramidal déduite de la lésion
cérébrale
. Cestan, dans le travail que je viens de citer,
n descendante, que l'on devait / ? '0 ! fue ? ' d'après les lésions
cérébrales
et les symptômes présentés par le malade (contr
ration des réflexes et contractures per- mauentes, avec des lésions
cérébrales
destructives, sans que l'examen le plus minutie
simple ouverture du crâne qui ne montra pas de lésions méningées ni
cérébrales
appréciables, sans que l'on puisse nier pour ce
ve ne se perd pas tout à coup malgré la plus grande expan- sibilité
cérébrale
1. - 1 Nous invitons notre distingué collaborat
fassent suite à l'alcoolisme, à la confusion mentale ou à un choc
cérébral
. Il en serait de même pour des hallucinations t
malades, elle exerce une action net- tement stimulante sur l'écorce
cérébrale
. 20° Dans la plupart des cas, il y a une tendan
res signes de dégénérescence : paralysies infantiles hémilatérales,
cérébrales
et spinales, mala- die de Liltle, chorée congét
s ana- tomiques présentaient une diffusion uniforme sur les lobes
cérébraux
de nature à exclure d'emblée l'idée d'un rapport
e talent à un développement spécial de parties séparées de l'écorce
cérébrale
, et d'établir un rapport entre les aptitudes in
Voici maintenant des phénomènes plus complexes, auxquels le travail
cérébral
participe, bien que l'impression suit moins vive
Doutrebenle fait remarquer que le décubitus aigu, après hémorragie
cérébrale
suivie d'hémiplégie, se produit habituellement
e début de l'affection. L'autopsie permet de relever une atrophie
cérébrale
manifeste, des adhérences de la pie-mère avec l
- , SOCIÉTÉS SAVANTES. 501 S'agit-il ici de P. G. ou de syphilis
cérébrale
comparable aux myélites embryonnaires diffuses
ervations dans lescluellés on passe histologiquement de la syphilis
cérébrale
à la paralysie générale. La même interprétation
m- pression des amygdales cérébelleuse dans des cas d'hémorrhagie
cérébrale
de la région postérieure. ,111,oose doidoureuse
de la connaissance de la cause provocatrice. EMo<Ae7/om< :
cérébral
. MM. et Revaux montrent la pièce et des dessins
stante est pour eux l'infiltration par les grains bleus de l'écorce
cérébrale
et de la gaine lymphatique des cellules nerveus
imple, e) poli-névrites; 2° Maladies de l'encéphale : a) hémorragie
cérébrale
, b) embolie et trombose de l'artère s3,lvieiine
ère s3,lvieiine, c) méninge-encéphalite, d) encéphalite,e) syphilis
cérébrale
, /') tumeurs cérébrales, h) ané- vrisme de la c
inge-encéphalite, d) encéphalite,e) syphilis cérébrale, /') tumeurs
cérébrales
, h) ané- vrisme de la carotide interne, k) tume
ementde lamaelle allongée, par llun, 391. Anatomie et psychologie
cérébrale
, par Stewait flatou. 312. - Ani.ve5sw de l'ar
in, par Ossipow, 394. CI"111 ? IELI,EUSE. Atlopllie -. Diplégie
cérébrale
spasmodique infantile chez deux frères, par Bou
ue infantile chez deux frères, par Bourneville et Crouzon, In7.
Cérébraux
. Valeur intellectuelle comparée des lobes , par
. par Atiglt(le, 3î6. Compression. Troubles ps;chiques dus à la -
cérébrale
, par Aubeati, 89. Congestion cérébrale active
es ps;chiques dus à la - cérébrale, par Aubeati, 89. Congestion
cérébrale
active avec autopsie, par Katz, 302. Congrès
et thrombose des sinus, par Ladame, 241. EKCLPHALOCÈLE et action
cérébrale
singulière, par Brown, 241. Encéphalopaihies
consécutives à l'iiiillienza, par Gordon, 257. E ? DO-111EI.IOi.%
cérébral
, par,Dupré et Devaux, 507. Epice)NE. Lésions
ure du péroné chez un mélan- colique, par Briscol, 51. Gliomatose
cérébrale
, par Gilbeit Ballet, 341. 53 Il TABLE DES MAT
aurosique, par Patrick et liult, 02. - microcé- phatmue, Agénésie
cérébrale
. Cerveau hsPUdo-I : y,till e, par et bertluir
ogie. Le Dr Viret, 3à8 111. liasse, 359; D'Singer, 447. Néopusmes
cérébraux
, par Krauss, 252. Ncurs. - Lésions traumatiqu
de Bourneville, voyaient dans l'idiotie myxoedémateuse une maladie
cérébrale
compliquée de troubles trophiques,-disons : demyx
Examen anatomique. Rien à noter à l'oeil nu dans les hémisphères
cérébraux
dont les méninges ne sont pas épaissies. Le c
s plaident les cas de puberté, précoce coexistant avec des troubles
cérébraux
et survenus précisément à la suite d'une affect
e l'analogie entre la paralysie spinale infantile et l'hémi- plégie
cérébrale
infantile,- soutenue d'abord par Vizioli, Strümpe
s les relevons dans les autopsies les plus habituelles de paralysie
cérébrale
infantile, les lésions de début. Or, seules ces l
rer d'une façon péremptoire l'identité anato- mique de l'hémiplégie
cérébrale
infantile et de la paralysie spinale infan- til
que grâce à un hasard favorable on verra quelque jour l'hémiplégie
cérébrale
infantile et la paralysie spinale infantile coïnc
ître Pierre Marie, à Bicêtre, d'un cas de coexistence de paraplégie
cérébrale
infantile et de paralysie spinale infantile.
e l'ana- logie de la paralysie spinale infantile et de l'hémiplégie
cérébrale
infan- tile peut bien s'étendre à la diplégie c
'hémiplégie cérébrale infan- tile peut bien s'étendre à la diplégie
cérébrale
. Celle-ci, en effet, comme l'hémiplégie cérébra
dre à la diplégie cérébrale. Celle-ci, en effet, comme l'hémiplégie
cérébrale
infantile, n'est qu'une variété de la paralysie c
NOUVELLE Iconographie de la Salpêtrière T. XX. PI. XXV PARALYSIE
CÉRÉBRALE
INFANTILE ET PARALYSIE SPINALE INFANTILE PARAPL
, à la suite d'appendicite. AUTOPSIE. - Il existe dans l'hémisphère
cérébral
gauche un foyer de ramol- lissement ayant compl
terne ne présentent pas de lésions ma- croscopiques. L'hémisphère
cérébral
droit présente une lésion qui est exactement la m
araît ratatiné, extrêmement atrophié. Dans le reste des hémisphères
cérébraux
, tant à la base qu'à la convexité, il n'y a rie
NOUVELLE Iconographie DE la SALPÊJR1ÈRE. T. XX, PI. XXVI PARALYSIE
CÉRÉBRALE
INFANTILE ET PARALYSIE SPINALE INFANTILE (1. Ro
la Salpêtrière T. XX. Pli. XXVIII II d Ville c IV c PARALYSIE
CÉRÉBRALE
INFANTILE ET PARALYSIE SPINALE INFANTILE (I. Ro
oso-marginale. C'est à ce foyer que doit être rapporté la paralysie
cérébrale
infantile de notre malade. Dans la moelle, l'
s nous appliquons maintenant. En effet, les autopsies de paraplégie
cérébrale
infantile, du moins des cas stricte- ment limit
la mère, il paraît bien qu'il ne s'a- git pas ici d'une paraplégie
cérébrale
infantile, résidu d'une diplégie, mais plutôt d
rale infantile, résidu d'une diplégie, mais plutôt d'une paraplégie
cérébrale
pure, et s'étant présentée comme telle d'emblée
le et symétrique, dé- truisant une partie du territoire de l'artère
cérébrale
antérieure, notam- ment la face interne des deu
yélitique. Mais de- vant la bilatéralité et la symétrie des lésions
cérébrales
, n'est-il pas plus logique de rattacher ce phén
façon typique l'ensemble des phénomènes spastiques de la paralysie
cérébrale
infantile ? S'il en était t réellement ainsi, l
on poliomyélitique,la seule expression de la spasmodicité d'origine
cérébrale
, si manifeste dans le membre inférieur droit (1
association aussi nette que possible des symptômes de la paraplégie
cérébrale
infantile et de la para- lysie spinale infantil
et d'évolution de la paralysie spinale infantile et de l'hémiplégie
cérébrale
infantile. Mais c'est à Strümpell et à Pierre Mar
articipation légère du faisceau pyramidal croisé, soit d'une lésion
cérébrale
concomitante, comme on peut en voir dans la par
en voir dans la paralysie spinale infantile. (2) VzIOLI, Emiplegia
cérébrale
, Il Morgagni, 1880, p. 568. 132 ITALO ROSSI e
appé par les caractères cliniques de certaine forme de l'hémiplégie
cérébrale
infantile, fut amené à penser qu'à ces particul
r lui détachée du groupe cliniquement bien délimité de l'hémiplégie
cérébrale
infantile, présen- tait avec une affection spin
cliniques Strümpell fut amené à considérer sa variété d'hémiplégie
cérébrale
infantile,comme le résultat de la localisation cé
rise antérieure de la moelle,-il concluai t que dans l'hé- miplégie
cérébrale
infantile, le siège de l'affection devait se trou
indiquer encore mieux les analogies liant entre elles l'hémiplégie
cérébrale
infan- tile et la paralysie spinale infantile.
ale est le siège de l'affection dans la forme clinique d'hémiplégie
cérébrale
infan- tile dont il est question, résiderait po
ileptiformes, athétose), mais aussi dans les autopsies d'hémiplégie
cérébrale
infantile jusqu'alors publiées. Ces autopsies m
la paralysie spinale infantile et de beaucoup des cas d'hémiplégie
cérébrale
infantile. Il pense, lui aussi, que dans la plupa
tomique systématisé à la substance grise, engendrant l'hé- miplégie
cérébrale
infantile, - conception uniquement basée sur des
lenberg (3), Hoven (4) et autres auteurs). (1) P. Marie, Hémiplégie
cérébrale
infantile et maladies infectieuses. Progrès méd
nitiales va- riées. Dans la plus grande partie des cas d'hémiplégie
cérébrale
infan-, tile suivie d'autopsie, les lésions ren
saient aussi plus ou moins la substance blanche. Même, l'hémiplégie
cérébrale
infantile pouvait être due à un foyer situé dan
dant l'en- céphalite comme lésion initiale possible de l'hémiplégie
cérébrale
infantile et précisément de la forme ayant les
cette encéphalite des enfants susceptibles d'engendrer l'hémiplégie
cérébrale
infantile; mais il en admet la possibilité en s
spinale infantile et. une certaine variété au moins de l'hémiplégie
cérébrale
infantile. En effet, les travaux anatomiques pa
soutenue par Vizioli, Pierre Marie et Strümpell entre l'hémiplégie
cérébrale
infantile et la paralysie spinale infantile, on
stad (26). En ce qui concerne la nature infectieuse de l'hémiplégie
cérébrale
infan- tile, on peut aussi dire que presque tou
s étiologiques qui existent entre un bon nombre de cas d'hémiplégie
cérébrale
infantile et les maladies infectieuses aiguës, ra
(27). En effet, comme le faisait remarquer cet auteur, l'hémiplégie
cérébrale
infantile s'observe assez souvent, dans le cour
, etc.) ; il est probable que souvent aussi les imposants symptômes
cérébraux
masquent les autres signes d'une maladie infectie
. Mag. for hocgevidensk., avril 1906. (27) Pierre Marie, hémiplégie
cérébrale
infantile et maladies infectieuses. Le Progrès
38 ITALO ROSSI ni dans la paralysie infantile, ni dans l'hémiplégie
cérébrale
infantile, constitue un caractère commun à ces
aralysie spinale infantile, chez le troisième celui de l'hémiplégie
cérébrale
infantile. Buccelli (4) (1897) rapporte une épi
de 18 cas de paralysie infan- tile, à forme tantôt spinale, tantôt
cérébrale
, survenue dans un quar- tier de Gènes, dans une
ient atteints de paralysie spinale infantile, d'autres de paralysie
cérébrale
infantile (hé- miplégie ou diplégie spastique).
e de fréquence de la paralysie spinale infantile et de la paralysie
cérébrale
infantile est parallèle et qu'elle atteint son
eloppa chez l'un une paralysie spinale, chez l'autre une hémiplégie
cérébrale
typique, avec athétose, clonus du pied et phénomè
rès faible. A l'autopsie, porencéphalie (acquise) dans l'hémisphère
cérébral
droit, intéressant la première circonvolution t
March. 4, p. 591. 140 : *ITALO ROSSI brachiale droite, caractère
cérébral
, et d'une paralysie spinale infantile du membre
paralysie infantile et d'une certaine variété au moins de paralysie
cérébrale
infantile, n'est pas seulement étiologique et c
logie anatomique serait donnée par l'autopsie d'un cas d'hémiplégie
cérébrale
infantile où on constaterait comme processus in
agique qui, pour Strümpell et d'autres auteurs, serait l'équivalent
cérébral
du proces- sus anatomique de la paralysie spina
à dit, au fait que, dans la plus grande partie des cas d'hémiplégie
cérébrale
infantile, la mort ne survient que longtemps ap
ant à faire admettre que dans un certain nombre de cas l'hémiplégie
cérébrale
infantile puisse être due à une en- céphalite a
otrice, auraient pu donner lieu au tableau clinique de la paralysie
cérébrale
infantile. Il est inutile, croyons-nous, d'insi
ralysie spinale infantile et une cer- taine variété de la paralysie
cérébrale
infantile, des analogies étiologiques (infectio
celui de la poliomyélite puisse être une des causes de la paralysie
cérébrale
infan- tile est rendue très vraisemblable. -
nt toxi-infectieux commun agisse dans la pathogénie de la paralysie
cérébrale
inlantile non pas toujours (1) Kaiser, Deutsche
usivement en localisant ses effets sur les capillaire du parenchyme
cérébral
(encéphalite aiguë hémorragique), mais aussi en s
hémorragiques, que pourrait être due dans certains cas la paralysie
cérébrale
infantile. Même dans ces cas l'analogie anatomi
que entre la paralysie spinale infantile et la variété de paralysie
cérébrale
infantile d'origine infectieuse ne serait pas é
a toujours prodigués. (1) Il va sans dire que les cas de paralysie
cérébrale
infantile observée au cours de maladies infecti
nges ne sont pas épaissies et ne sont pas adhérentes à la substance
cérébrale
. Au niveau de la base du cerveau, on remarque q
tronc encéphalique (capsule interne, région sous-optique et pédoncule
cérébral
) ; de même la protubérance et le bulbe. Les lob
Luys. La figure suivante (fig. 6 représente une coupe du pédoncule
cérébral
in- NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière.
blable à celui qu'on observe communément dans les cas d'hémiplégie
cérébrale
infantile très ancienne, c'est-à-dire une résor
icté soit par les rapports de contiguïté que contracte le pédoncule
cérébral
avec des organes dont la destruction est suscep
commu- nauté d'irrigation artérielle qui existe entre le pédoncule
cérébral
et les voies optiques centrales. Il est facil
de comprendre qu'une tumeur, siégeant dans une moitié du pédoncule
cérébral
puisse, par extension en dehors, intéresser soit
d'une pachyméningite syphilitique. Pour ce qui est de la syphilis
cérébrale
en particulier, où l'on voit si souvent coïncid
t pas due, comme c'est le cas plus habituel au cours de la syphilis
cérébrale
, à une gomme ou à un foyer de ramollissement du p
cérébrale, à une gomme ou à un foyer de ramollissement du pédoncule
cérébral
, mais elle relevait de la coexistence d'une ménin
erne du même côté. La lésion intéressant en même temps le pédoncule
cérébral
et la ban- delette optique peut être aussi d'or
t là pour le prouver. Les conditions de la circulation du pédoncule
cérébral
, des voies et des centres optiques peuvent nous
t être due à l'oblitération d'un tronc vasculaire unique : l'artère
cérébrale
postérieure. On sait en effet que cette artère
térieure - donne de nombreuses collatérales se rendant au pédoncule
cérébral
, et surtout à la partie antérieure et interne de
là du point d'anastomose avec la communicante postérieure, l'artère
cérébrale
postérieure donne des artères collatérales et ter
d aisé- ment que l'oblitération isolée de la première portion de la
cérébrale
pos- térieure, tenant sous sa dépendance par se
rieure est « fonction de l'oblitération de la portion directe de la
cérébrale
postérieure ou de ses branches ». Mais si la th
. Mais si la thrombose ne se limite pas à la première portion de la
cérébrale
postérieure et qu'elle s'étend encore jus- qu'a
chure de la communicante postérieure, les branches terminales de la
cérébrale
postérieure ne trouveront plus comme dans les c
era donc aussi interrompue dans les branches terminales de l'artère
cérébrale
postérieure et on aura dans ces conditions un d
provo- quant l'hémianopsie. (1) D'AsTnos, Pathologie du pédoncule
cérébral
, Revue de médecine, t. XIV, janvier et février
côté siégeant dans le domaine des branches termi- nales de l'artère
cérébrale
postérieure (un foyer à l'extrémité de la corne
c- tion. A l'autopsie, purement macroscopique, on constate : artère
cérébrale
postérieure oblitérée, pédoncule petit, aplati,
mme la paralysie alterne supérieure, à l'oblité- ration de l'artère
cérébrale
postérieure. Pour lui, le complexus sympto- mat
s hémianopsie - est caracté- ristique de l'oblitération de l'artère
cérébrale
postérieure. Une observation clinique analogue
ser le point précis où doit s'être produit la thrombose de l'artère
cérébrale
postérieure droite. A cause de l'amélioration d
l'ictus, l'auteur rejette l'hy- pothèse d'une thrombose de l'artère
cérébrale
postérieure sur la plus grande partie de son tr
térieure. Il admet au contraire l'hypo- thèse d'une thrombose de la
cérébrale
postérieure au niveau de l'anasto- (1) LUT011,
ralentissement considérable de la circulation dans la partie de la
cérébrale
postérieure s'étendant de son origine jusqu'au
a possibilité de l'association morbide en question par lésion de la
cérébrale
postérieure : « la coïncidence, dit-il, de lésion
ieure : « la coïncidence, dit-il, de lésions oblité- rantes dans la
cérébrale
postérieure à son origine (ramollissement pé- d
par l'intermédiaire du ramollissement occipital que la lésion de la
cérébrale
postérieure pourrait donner lieu à l'hémianopsi
ès vraisemblablement sous la dépendance d'une affection de l'artère
cérébrale
postérieure, n'est pas soutenable, selon d'Astr
rt des artères de la bande- lette optique proviennent non pas de la
cérébrale
postérieure, mais de la communicante postérieur
s au district d'irrigation de toutes les artères collatérales de la
cérébrale
postérieure se rendant au pédoncule. Nous avons
ompatible avec l'oblitération complète de la première portion de la
cérébrale
posté- rieure, car dans ce cas,c'est justement
parmi les artères collatérales issues de la première portion de la
cérébrale
postérieure, celles qui se rendent aux parties
te région ; au contraire, les collatérales de la même portion de la
cérébrale
postérieure se rendant à la partie externe du p
te, avec des collatérales issues soit de la portion réfléchie de la
cérébrale
postérieure, soit de la communicante postérieur
a partie externe de la calotte, prouve que la portion directe de la
cérébrale
postérieure n'a pas été oblitérée complètement
que d'autres collatérales issues soit de la portion réfléchie de la
cérébrale
postérieure, soit delà communicante postérieure,
e l'interruption de la circulation dans une collatérale issue de la
cérébrale
postérieure (artère des corps genouillés qui vi
(artère des corps genouillés qui vient de la partie réfléchie de la
cérébrale
postérieure), la lésion de la bandelette optiqu
e réunir en un seul, n'estpas étranger aux caractères de l'artérite
cérébrale
syphilitique ; il peut encore expliquer l'évolu
; bulles d'air surtout dans les veines. Le cerveau.- Les vaisseaux
cérébraux
étaient pleins de petites bulles d'air, comme d
c le doigt on pouvait les pousser le long du vais- seau. La surface
cérébrale
aussi bien que tout l'organe, en congestion. Dans
ère du frontal et de l'occipital, on voit fort bien les hémisphères
cérébraux
. L'ampoule a été placée de telle façon que les
CLINIQUE PSYOUATHIQUE DE GENÈVE DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU
CÉRÉBRAL
DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS, PAR R R. WEB
hie de la Salpêtrière, no 3, 9908. DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU
CÉRÉBRAL
277 Tranquille et orienté, mais se plaignant to
avril 1904. Exitus. Il en résulte, que nécessairement ce néoplasme
cérébral
eut une longue période latente. Je chercherai à
e : 1.650 grammes. Ceci sont les signes habituels de la compression
cérébrale
par augmen- tation de volume de l'encéphale.
ant une partie de la F. S. a poussé en avant et en arrière le tissu
cérébral
. Les scissures nombreuses, fron- tales et occip
ord c'est une sorte d'U, recouvert DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU
CÉRÉBRAL
279 de pie-mère, dans lequel sont abritées artè
vaisseau est complètement rentré dans l'écorce (fig. 2). ' Le tissu
cérébral
cède donc déjà à une pression moindre que celle d
au carrefour. Fig. 2. Vaisseaux faisant empreinte dans la substance
cérébrale
. Fig. 3. - Coupe du ventricule droit. Fig. 3
ons anatomiques les plus marquées. DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU
CÉRÉBRAL
281 C'est un peu en arrière du corps calleux qu
oupe 1055. Fig. 7. - Coupe 1495. DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU
CÉRÉBRAL
283 L'hémisphère gauche est fortement hyperémié
j'ai fait des constatations analogues dans une observation d'oedème
cérébral
aigu chez un syphilitique (Dr Paohantoni, Revue
omènes psychiques accompagnant l'évolution d'une 284 WEBER tumeur
cérébrale
, il est urgent d'en étudier encore beaucoup mieux
inuent sansaucun doute avec l'intensité de ces altérations du tissu
cérébral
, car elles sont en bonne partie irréparables.
nographie DE la Salpêtrière. .T. XX. Pl. LII ALTÉRATIONS DU TISSU
CÉRÉBRAL
DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS. (Weber). Obser
onographie DE la Salpêtrière. T. XX. Pl. LUI ALTÉRATIONS DU TISSU
CÉRÉBRAL
DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS. (Weber). DE QU
LA PRÉSENCE DE TUMEURS. (Weber). DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU
CÉRÉBRAL
285 vinrent s'ajouter des crises d'angoisse. Un
ononcées. Le pourtour de l'aqueduc DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU
CÉRÉBRAL
z81 de S. et du IV° ventricule est semé de vacu
e du liquide céphalo-rachidien est DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU
CÉRÉBRAL
289 la cause première de toutes ces altérations
a semaine qui suivit la capitulation. Les formes de cette affection
cérébrale
étaient les suivantes. Dans trois cas, l'alcool
ction cérébrale étaient les suivantes. Dans trois cas, l'alcoolisme
cérébral
chronique, dans un, dégé- nération psychique al
et le développement de la mala- die étaient brusques. Les troubles
cérébraux
se firent remarquer à la suite d'un long assaut
tous deux réservistes devaient avoir depuis longtemps des troubles
cérébraux
. Jusqu'au départ de Port-Arthur, toute la catég
vient d'être dit plus haut, que sur 37 soldats atteints de troubles
cérébraux
pendant le siège, il y avait 17 réservistes, ce
05, nous en trouvons 39 (officiers et soldats) atteints de troubles
cérébraux
pendant le siège, dont 2 moururent et le troisi
ge. Conclusions : 1° Le nombre de militaires atteints de troubles
cérébraux
pendant la période du siège (officiers et solda
e dans le mémoire de Catola (1) sur les « Lacunes de désintégration
cérébrale
», mémoire très documenté sur les états lacunai
linique et anatomo-pathologique sur les lacunes de désintégra- lion
cérébrale
. Revue de médecine, n° 10, octobre 1904. (2) AN
uméro du 7 avril 1907. - ANGLAI>E et FOUI12ÇIAL, Noyau de sclérose
cérébrale
chez une persécutée sénile, Société d'anatomie
e sont pas négligeables dans les symptômes cliniques de la sénilité
cérébrale
; que les vertiges en font partie, que la march
ovembre 1907 (en préparation). , (3) ANGLAOE, loc. eu. ' TUMEUR
CÉRÉBRALE
DE LA RÉGION DES CIRCONVOLU- TIONS PARIÉTALES S
rimant et refoulant d'une façon extraordinaire les deux hémisphères
cérébraux
sur une étendue très con- sidérable. En dehor
antaire se fait en flexion de chaque côté. Les réflexes cré- TUMEUR
CÉRÉBRALE
DE LA RÉGION DES CIRCONVOLUTIONS PARIÉTALES 367
3. Le malade est condamné au lit et gâte 'quel- quefois. La torpeur
cérébrale
est assez accusée, sans aucun trouble de la rai-
Masson et Cl=, Éditeurs ..r.hOl0tYIH llertl1J.u.ù, P-ui;.™ TUMEUR
CÉRÉBRALE
DE LA REGION DES CIRCONVOLUTIONS PARIÉTALES 369
'un sarcome pur fuso-cellulairé. L'examen d'un fragment de l'écorce
cérébrale
, pris loin de la tumeur dans le lobe orbitaire, p
tion de la dure-mère, l'écartement elle refoulement des hémisphères
cérébraux
qui [sont forte- ment comprimés et extraordinai
plètement la capsule interne. Rien de semblable dans les pédoncules
cérébraux
. 2" Dans la protubérance annulaire et la partie
ié une autopsie où les lacunes de désintégration étaient uniquement
cérébrales
, interrompant, des deux côtés, la voie motrice
ts ressemblant au nôtre par la présence, indépendamment des lésions
cérébrales
localisées, de foyers bulbo-protubérantiels. Ce
lusieurs cas de paralysie pseudo-bulbaire avec lésions du pédoncule
cérébral
et de la protubérance et conclut que les lésion
situées au-dessus des noyaux bulbaires. Ces lésions, habituellement
cérébrales
, peuvent également occuper la protubérance. 2°
des troubles intellec- tuels qui indiquent l'existence des lésions
cérébrales
, d'autres symptômes tels que le nystagmus, la p
; il y aura lieu aussi de faire un examen microscopique de l'écorce
cérébrale
. Une telle étude sera publiée ultérieurement.
ctive importante doit être soulignée. Le poids des deux hémisphères
cérébraux
ne présen- IIEMIMÉLIE AVEC ATROPHIE NUMÉRIQUE D
cavité développée aux dépens de la presque totalité de l'hémisphère
cérébral
gauche, une absence à peu près complète du faisce
absence à peu près complète du faisceau pyramidal dans le pédoncule
cérébral
, dans le pont et dans le bulbe du côté gauche,
orte aplasie du faisceau sensitif (ruban de Reil) dans le pédoncule
cérébral
, le pont et le bulbe du côté gauche, une aplasie
lable- ment vasculaire, dans le domaine des 2" et 3e branches de la
cérébrale
moyenne, quoiqu'on ne retrouve pas de reliquat
dal, extrêmement aminci, il est réduit une simple lame de substance
cérébrale
épaisse de 2 centimètres environ et limitant la
T ANDRÉ BARBÉ spongieux, est circonscrite au niveau de la substance
cérébrale
à laquelle elle adhère par une petite zone de u
t du cerveau et a trouvé possible de tracer le dessin de la surface
cérébrale
sur les endroits correspon- dants d'une demi-ma
tion mathématiquement pré- cise, parce que les caries de la surface
cérébrale
d'individus de différents index crâniens, c'est
uction d'un appareil que nous pro- posons d'appeler « le topographe
cérébral
». Le principe de notre appa- reil consiste en
xiliaires, nous avons joint il l'appareil une carte des hémisphères
cérébraux
, utilisant en cela l'idée de la mappemonde géog
aquelle nous avons attribué un rôle important dans notre topographe
cérébral
, n'aurait pas dans cet état en- tièrement attei
rayon. Construit comme nous venons de le décrire, le « topographe
cérébral
» permet de résoudre facilement et rapidement l
t encé-ol)alomètre : A) Poser sur la surface de la tête une carte
cérébrale
ou un de ses points quelconque : pour cela, en
celui-ci et l'on indique par quels endroits de la surface du globe
cérébral
a passé la goupille, Nouvelle Iconographie DE l
euse qu'il localise, non pas à la périphérie, mais dans les centres
cérébraux
. Il ne croit pas à une lésion grave, irrémédiab
e la substance LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS MENTAL 469 nerveuse
cérébrale
. Et il faut bien convenir que cette palhogénie ad
lui qui reste indemne quand l'on détruit le tronc du troisième nerf
cérébral
. On a rapporté aussi des cas cliniques pour con
pl.), 66. Rossi. Coïncidence chez un ? me mlllade de paraplégie
cérébrale
infantile et de paralysie spinale infantile. Au
nsuccès du traitement chirur- gical (1 pi.), 459. Souques. Tumeur
cérébrale
de la région des clcnuvolutious pariétales supé
uments et des troncs ner- veux) (1 pi.), par E. Long, 155. Tumeur
cérébrale
de la region des circon- volutions pariétales s
tions pariétales supérieures (2 pi.), par Souques, 365. ' Tumeurs
cérébrales
[de quelques altérations dues à leur présence) (
ez une syphilitique (CHARTIER et P. DEscoNips), X, XI. Paraplégie
cérébrale
infantile et paralysie spinale infantile (1 Ros
e (ETIENNE), XXIX. Tumeur cérebrale (Souques), LXIV, LXV. Tumeurs
cérébrales
(R WEBER), LU, LUI. Le gérant : P. Bouchez. I
ple qu'une agitation plus ou moins intense coïncide avec une atonie
cérébrale
? VA, réciproquement, une prostration apparente
aque est au moins singulière. Entre ce degré extrême de la rigidité
cérébrale
et celui de la simple extase, il ya des intermé
s, qui se produisent dans les membres, consécutivement à une lésion
cérébrale
, sont beaucoup plus complexes qu'on ne le suppo
s paraly- tiques chez les malades atteints d'hémiplégie d'origine
cérébrale
. Il résulte des observations du professeur du C
des observations du professeur du Collège de France, qu'une lésion
cérébrale
unilatérale ne produit pas exclusivement et inv
ES DU COTÉ OPPOSÉ A L'HÉMIPLÉGIE 1° Dans l'lcénziplégie d'origine
cérébrale
les membres du côté opposé à F hémiplégie sont
ment limitée à l'un d'eux, dans les cas, bien entendu, où la lésion
cérébrale
est unilatérale. II. ÉTAT DES FORCES DANS LES M
à l'étude de l'hémiplégie, c'est que, dans l'hémi- plégie d'origine
cérébrale
, la force de pression mesurée par le dynamomètr
mouvement délicat ou compliqué exi- geant une certaine surveillance
cérébrale
. On verra alors, non sans étonuement, que tel m
t des forces est secondaire. Ce qui est essentiel dans la paralysie
cérébrale
, c'est la perte absolue ou relative de la motil
la dépendance moins immédiate et moins exclusive des hémisphères
cérébraux
que celle des membres supé- rieurs. Aussi obser
raissent en quelques jours, mais n'en laissent pas moins du malaise
cérébral
et une certaine tristesse. Toutefois, au bout d
gré ses soixante-seize ans, veut lui donner des soins. Les troubles
cérébraux
augmentent, le malade ne dort pas, et devient d
Poids de l'encéphale : 770 grammes. Simplicité des circonvolutions
cérébrales
. Cher... (Philibert-Auguste), âgé de cinquante-
coupe. Protubérance, bulbe, quatrième ventricule, rien. Hémisphères
cérébraux
. Le droit a 16 centimètres de longueur ; le gau
re à la mensuration. il pèse 5 gr. de plus que le droit. Hémisphère
cérébral
gauche. La s'enlève très facilement; le ventric
e l'autre, nous paraissent avoir exercé une action sur la condition
cérébrale
de notre malade. Cette hypothèse trouve encore
moitié du corps se trouve en con- nexion avec les deux hémisphères
cérébraux
, et que chaque hémisphère a une action bilatéra
epuis près de vingt ans, il a été frappé de ce fait que les lésions
cérébrales
s'accompagnent en général d'une hémiplégie croi
s les voies de communication entre les zones motrices de la surface
cérébrale
et les membres. (l3ull. de la Soc. de biol., 18
à montrer la relation bilatérale qui existe entre chaque hémisphère
cérébral
et les deux côtés du corps et surtout les deux
SENSITIF ET LES TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ DANS LES CAS DE LÉSIONS
CÉRÉBRALES
; Par Gilbert BALLET, Chef de clinique à la Fa
ts des lésions de la couche optique avec l'hémianesthésie d'origine
cérébrale
. Paris, < 877. III. DES tiioubles DE la SENS
D1NS leurs rapports avec les lésions du centre ovale ou DE l'écorce
cérébrale
. Flou- rens, Recherches expérimentales sur les
ns du cerveau, Tr. Fr. Paris, 1878, et De localisation des maladies
cérébrales
, Paris, 1880. H. Munk, Zur phys. der grosslzimz
er, De l'anesthésie produite par les lésions des circon- volzctions
cérébrales
. (Revue mensuelle de médecine et de chirurgie,
rz Iii-ai2- keiten. J. Grasset, Des localisations dans les maladies
cérébrales
. Paris, 1880. Exner, Untersucleungezz ciber die
ES FIBRES SENSITIVES. Il n'est plus douteux que les circonvolutions
cérébrales
soient le siège des organes de perception. Les
par les couches corticales du cerveau. De la périphérie à l'écorce
cérébrale
ces impressions parcourent un chemin com- pliqu
, Duval et Sappey) si bien que ceux de droite occupent le pédoncule
cérébral
gauche, et réciproquement. Au niveau de ces péd
ion l'existence d'un faisceau de fibres qui se détache du pédoncule
cérébral
, derrière l'extrémité postérieure du noyau lent
autre tractus, déjà décrit par Gratiolet, sous le nom d'expansions
cérébrales
optiques et dont les fibres émanées des corps g
uvait tirer des colorations imprimées par le liquide à la substance
cérébrale
en vue de déterminer la direction des certains
admises, détermine chez l'homme l'hémianesthésie dite d'ori- gine
cérébrale
. La seconde coupe, parallèle à la première, est
sen- sitif.) Mais à peine a-t-il abordé le seuil de l'hémisphère
cérébral
, que ses éléments constitutifs commencent à div
servation anatomique seule, quelles sont celles des circonvolutions
cérébrales
auxquelles vont aboutir les fibres émanées du f
AUX DIVERSES LÉSIONS DU FAISCEAU SENSITIF, DANS SON TRAJET INTRA-
CÉRÉBRAL
. La connaissance que nous possédons, d'après le
dans leurs rapports avec les lésions du centre ovale et de l'écorce
cérébrale
. Cette question a été envisagée de façons bien
pérer une prompte entente. Les lois qui, en matière de pathologie
cérébrale
, semblaient les mieux assises, sont remises en qu
, nous rendait dans l'étude des troubles de la sensibilté d'origine
cérébrale
les mêmes services que nous lui devons en matiè
core, dit-il, d'observations de troubles auditifs dans les maladies
cérébrales
, principalement dans le ramollissement;... pas
ns les plus diverses, intéressant les différents points de l'écorce
cérébrale
, peuvent évoluer sans s'accompagner de troubles
ité. Est-ce à dire que, au point de vue des perceptions, l'écorce
cérébrale
soit fonctionnellement homogène, dans l'acception
SUR LES températures inférieures des malades atteints d'une lésion
cérébrale
; par SIiL01VSIiY. flTratscla, 1880, n° 12.) L
x, non seulement d'affections médullaires, mais encore d'affections
cérébrales
ou de troubles psychiques. Cn. F. REVUE DE PA
est-à-dire que la moelle allongée influence d'abord les vasomoteurs
cérébraux
, et que l'attaque classique est la résultante d
age pas l'opinion de M. Billod qui, par la théorie de la suppléance
cérébrale
, explique comment l'in- telligence peut rester
urdonnements d'oreilles, odeur de cha- rogne). VII. Les symptômes
cérébraux
et psychiques sont très impor- tants. Les plus
ue entraine, comme à la suite de toute autre pyrexie, des accidents
cérébraux
de nature asthénique au moment de la convalesce
dépression. On en rapprocherait la forme méningi- tique (excitation
cérébrale
) de Liebermeister, survenant brus- quement au c
ions et le trismus qui indiquent toujours l'intensité des processus
cérébraux
. Les autopsies pratiquées décèlent del'liypérém
parle on perçoit une vibration, a recherché si certaines maladies
cérébrales
ne pourraient pas modifierla transmission desparo
à la suite d'une chute, à toutes les manifestations d'une affection
cérébrale
grave. Comme le patient chancelle sans présen-
cluent toute conclusion. M. Reinhardt, vu l'athéromasie des artères
cérébrales
, pense qu'une série de poussées exsudatives ont
malignité du principe infectieux et au caractère de l'inflammation
cérébrale
chez tel ou tel individu. L'auteur rappelle à c
sphères sensitives. AI. Rieger. De l'albuminurie dans les maladies
cérébrales
. Ayant eu l'occasion d'être consulté au sujet d
agit non d'une néphrite ayant causé la psychose, mais d'une maladie
cérébrale
héréditaire, dont AI. Hagen n'avait vu que le p
donc tout au moins avoir con- tribué à la production des phénomènes
cérébraux
. M. FURSTNER. L'albuminurie, au même titre que
ilité motrice, doit prendre rang parmi les symptômes des affections
cérébrales
. Bof. Rieger admet que l'on puisse considérer s
but. Elle prend racine dans les profondeurs mêmes de l'organisation
cérébrale
. Quand elle fait son apparition, le plus souven
u patient, ici encore pour se développer, elle nécessite un terrain
cérébral
longtemps et profon- dément remué, car il est f
ue. Or, tandis que les malades ' n'apprécient point leur exaltation
cérébrale
, dans le stade précédent ils ont la notion clai
d'ordinaire impossible. Mais il est une autre variété de congestion
cérébrale
, la plus habituelle même, qui se manifeste par
sont morts en bas âge, l'un de la coqueluche, l'autre d'une fièvre
cérébrale
. Les troubles intellectuels datent de deux ans.
oche de ses troubles psychiques et en conclut à un ramollisse- ment
cérébral
. Elle consentirait volontiers, dit-elle, à souffr
lysie générale a débuté en janvier 1879 par une violente congestion
cérébrale
. Depuis lors marche progressive des accidents.
n extraire des esquilles, des cheveux et des fragments de substance
cérébrale
; puis il ramena l'oeil en place et lit plusieu
it pas indiqué d'une façon plus précise la topographie de la lésion
cérébrale
, sa largeur, sa profondeur, et les régions de l
gagni, 1881, fasc.VI.) Le professeur Chirone affirme que l'écorce
cérébrale
n'est pas le centre indispensable des mouvement
ent des convulsions épileptiques en agissant, les unes sur l'écorce
cérébrale
, les autres directement sur la moelle sans qu'i
s épileptiques généralisées ; mais, après leur avoir enlevé un lobe
cérébral
, il n'a plus obtenu de convulsions épileptiques
ps correspondant au côté de la lésion ; si on enlève les deux lobes
cérébraux
, on ne peut plus détermi- ner du tout de convul
duire les manifestations épileptiques alors même que les deux lobes
cérébraux
avaient été extirpés ; il ne saurait donc dans
nc dans ce cas être question de l'action épileptogène de l'é- corce
cérébrale
. L'auteur n'admet pas l'objection faite antérie
i quelquefois l'épilepsie est produite par l'excitation de l'écorce
cérébrale
, souvent aussi elle est due à l'excitation d'au
sur la substance corticale de la partie postérieure des hémisphères
cérébraux
, on observe ordinairement le resserre- ment de
LES HéMORRAGIES primitives, immédiates OU directes des ventricules
cérébraux
(2e partie Sympto- matologie ') ; par Edward Sa
éris- tique et sont entièrement analogues à ceux de l'hémorrhagie
cérébrale
ordinaire, dont il est impossible de les distingu
ie. En ce qui concerne le début, la ressemblance avec l'hémorrhagie
cérébrale
ordinaire est, ici encore, complète. En effet,
trouve le visage congestionné. -Dans un cas, on a observé la tache
cérébrale
. 11° Amélioration apparente. Elle a été observé
ceptions irrésistibles, en exagéranil'arrt de l'ensemble du travail
cérébral
, augmente à ce point les tensions centrales qu'
nerveux tel que progressive- ment s'est développée cette affection
cérébrale
La manifesta- tion d'un exanthème aussi violent
le processus physiologique en rapport avec la conscience. Un acte
cérébral
complet se composant de deux éléments, l'un cen-
éponse, la connaissance n'est ni un phénomène autonome du mécanisme
cérébral
, ni une fonction d'un ordre élevé, ni une propr
e, jusqu'au moment où une complication du côté d'un des hémisphères
cérébraux
(ramollissement) entraînait des mani- festation
tre, convalescente de rougeole, est frappée à ce moment d'apoplexie
cérébrale
: hémiplégie droite totale, convulsions éIlCtll
veau. Or, les manifestations relatées témoignent d'une irrita- tion
cérébrale
avec laquelle les lésions décrites n'ont rien avo
n esprit fut celle, non de la paralysie générale, mais d'une tumeur
cérébrale
. I'oor 11. VEaYtcne, la s3 mp- tomatologie auss
février). Séance du 26 janvier. M. Hollender traite de I'oedèine
cérébral
circonscrit coinïlz, cause de symptômes des lés
n, avec perte de connaissance; mort en six heures ; simple atrophie
cérébrale
à l'autopsie. 51. MEYXERT insiste à ce propos s
ire l'ectasie vasoparalytique consé- cutive au spasme des vaisseaux
cérébraux
, s'accompagne d'une atrophie de la corne d'Ammo
le, parce qu'il est rare qu'un épileptique possède une irriga- tion
cérébrale
moyenne ; les oscillations extrêmes dans l'afflux
athes M. Meynert rapporte aussi un cas d'oedème vrai d'un pédoncule
cérébral
dans lequel les symptômes notés trois jours ava
allucinations. M. Lf.chner. Apport à la pathogénie des hémorrhagies
cérébrales
dans les formes syphilitiques précoces. M. PA
. M. PASTERNATZ6Y. La structure de l'étage inférieur du pédoncule
cérébral
et de la lamelle du noyau lenticulaire. (Analyse,
sous l'influence d'un épisode aigu, ou en conséquence d'une lésion
cérébrale
. Les troubles digestifs sont analogues à ceux de
; par Bn ? Thèse de Paris, 1882. Du fractionnement des opérations
cérébrales
et en particulier de leur dédoublement dans les
oria de un caso de histerico- cataleptifornze i oltro de conlestion
cérébral
co;t coninlsio tes i afnsza- Brochure in-18 de
allemands. C'est un appareil symp- tomatique d'allure positivement
cérébrale
, et qui a pu maintes fois causer des erreurs de
énérés. Les dégénérés, dèsl'enfance, portent la marque d'une tare
cérébrale
qui, chez quelques-uns, peut simplement se trad
facultés intellectuelles. Il avait aussi déjà une grande exaltation
cérébrale
, et c'est à cette époque que remonte le début d
rariétés, comme aussi les joies et les plaisirs. La surexci- tation
cérébrale
va même parfois jusqu'à produire des illusions
nt le père metancu- 1. [(Ill(" çs n).0t't, : i la suite d'accidents
cérébraux
aigus. Laissant de coté les autres tlésprdre$I2
a race humaine dans des proportions, énormes, tandis que la masse
cérébrale
subit des variations très limitées. Notre cas o
it par des altérations humorales, et par le trouble de la nutrition
cérébrale
qui peut en être la conséquence, soit par les a
n'est pas rare de voir des dia- bétiques succomber à des accidents
cérébraux
précisément au moment où ils ne sont plus glyco
tigante qui semble le premier indice des troubles de la circulation
cérébrale
et peut être l'avant-courcur de phénomènes plus
e de Marchai (de Calvi)4, le coït provoquait, avec de la congestion
cérébrale
, une douleur atroce et subite à la nuque, une c
bétiques pourra sans doute aider à pénétrer la nature des accidents
cérébraux
de même ori- gine. Nous ne parlerons pas de l
ité 1131anlcaart d' : lmsterdam (IG88) ; il s'agissait d'une tumeur
cérébrale
et il y avait pure coïncidence, comme le montre
res, l'hémorrhagio rétinienne serait le pré- lude d'une hémorrbagie
cérébrale
. Des troubles oculaires pareils ont été décrits
abète chez les enfants se termine assez sou- vent par des accidents
cérébraux
, quelquefois par des phéno- mènes d'intoxicatio
indre excitation. L'auteur pense qu'il s'est agi là d'une contusion
cérébrale
portant sur la partie postérieure du lobe antér
des grands sinus veineux, ou de la jugulaire. A propos de l'abcès
cérébral
, l'auteur rappelle que, d'après une statistique
ond, par extension de la suppuration et destruction de la substance
cérébrale
. Dans l'abcès aigu, la maladie évolue vers la m
température, et qu'en aucun cas il n'eut à noter de phéno- mènes
cérébraux
. Le bromure agirait plutôt sur les cellules cor
r, il est généralement admis par les physiologistes que la fonction
cérébrale
nécessaire à l'attention consiste en un pro- ce
urs du cerveau. » Il n'est donc pas étonnant, lorsqu'une lésion -
cérébrale
affecte dans une mesure plus ou moins considérabl
rale affecte dans une mesure plus ou moins considérable les centres
cérébraux
les plus élevés et ceux qui sont le siège du po
d'assurer, par une méthode graduée et appropriée le fonctionnement
cérébral
de ces malades, leur surprise, née d'une erreur
SPÉCIALEMENT DANS LEURS RAPEORTS AVEC LA LOCALISATION DES FONCTIONS
CÉRÉBRALES
; par W. Julius Mickle. (Tlie ./OM ? 'H<.o ?
inations de la paralysie générale au point de vue des localisations
cérébrales
, on peut tirer un parti utile de la distributio
vrier. Thèse de Paris, 1882. Contribution à l'élude de l'atrophie
cérébrale
infantile ; par Des- homme. Thèse de Paris, 188
Ferré. Thèse de Bordeaux, 1882. Contribution à l'étude de l'abcès
cérébral
idiopcithiqzie; par STAHL. Thèse de Nancy, 1882
idérées spéciale- ment dans leurs rapports avec les localisations
cérébrales
, 396. Hemiataxie posthémiplégique, par Ugo Ba
té des), par Axenfeld et Huchard, 260. Nominations, 268. OEdème
cérébral
circonscrit comme cause de symptômes de lésions
sceau), et les troubles de la sensibilité dans les cas de lésions
cérébrales
, par Ballet, 67. Sexuelles (recherches cliniq
), 371. Tumeurs du cerveau (localisation des), 38). Ventricules
cérébraux
(études sur les hémorrhagies primitives, immé
comme celle-là ne s'observe guère qu'à la suite d'un trauma- tisme
cérébral
grave, ou d'un ictus épileptique, Or, Delannoy
te COMMENT DÉBUTENT LES DÉGÉNÉRESCENCES SPINALES. 33 d'un trouble
cérébral
quelconque, car il ne présente en rien les cara
érescences spinales, souvent elles ne débutent qu'après les lésions
cérébrales
, de sorte qu'au jour de l'autopsie, elles sont
l'origine des dégénérescences wallériennes secondaires à des foyers
cérébraux
; elle se montre dans les scléroses combinées ',
Dawson, et Waldo. La théorie sensitive de Leyden, motrice de Erb et
cérébrale
de Jendrassik sont passées en revue ainsi que l
que la paralysie générale soit associée au tabès, les altéra- tions
cérébrales
pouvant s'étendre aux noyaux encéphaliques et b
ical journal, 5 janvier 1895.) Dans ces trois cas d'abcès dont deux
cérébraux
et un cérébel- leux, l'intervention chirurgical
. A. M. XIX. Notes sur LE pronostic DE l'apoplexie par hémorragie
cérébrale
; par Alf. BARRS. (British médical journal, 18 mai
e trouve, au point de vue vasculaire sous la dépendance de l'artère
cérébrale
postérieure, mais il ne porte pas sur la totali
IX. DE L'INFLUENCE qu'exerce l'inflammation traumatique DE l'écorce
cérébrale
sur son excitabilité; par DE BECIITEtiEV. (Neu)
ts volontaires de la face et à la mimique. D'autre part, les noyaux
cérébraux
sous-corti- .eaux sont le foyer de centres comb
rs. La même genèse préside à leur entrée en jeu dans les affections
cérébrales
, soit par arrêt d'excitations modéra- trices, s
nt sur les principes généraux de la physiologie et de la pathologie
cérébrales
, fait ressortir la légitimité théorique d'une i
l'état de la circulation intracranienne et par suite de la tension
cérébrale
. La mentalité étant visiblement dépendante de l'é
tions et pense que la question doit être réservée, la phy- siologie
cérébrale
et les localisations pas plus que la chirurgie
âne fut frac- turé, et une quantité assez considérable de substance
cérébrale
sortit par la plaie. Le malade demeura inconsci
la base du triangle osseux avait pénétré profondément dans le tissu
cérébral
, formant presque un angle e droit avec le crâne
olongée d'un corps étranger (esquille ou tumeur), dans la substance
cérébrale
, donne lieu, dans le tissu nerveux périphérique
ec adhérences des mem- branes, soit entre elles, soit avec l'écorce
cérébrale
, on décide d'avoir recours à la trépanation. On
es propriétés sezsitivo-motrices de l'aire dite motrice de l'écorce
cérébrale
, mais Ils peuvent encore nous fournir le moyen de
cause des attaques, à savoir : Ja compression exercée sur l'écorce
cérébrale
par la dure-mère considérablement épaissie : ce
. » - li. DE MUSGRAVE CL.\Y. 76' REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. TUMEUR
cérébrale
: opération suivie DE succès; par Charles L. D.
L'analyse des symptômes révélait nettement l'existence d'une tumeur
cérébrale
et permettait de les localiser. La paralysie du
acile à diagnostiquer une lésion du centre brachial de l'hémisphère
cérébral
droit. La douleur et la pares- thésie ainsi que
'hallucinations unilatérales : par lésion sensorielle et par lésion
cérébrale
. IV. Nécessité de la prédisposition pour la pro
cachexie, il ne devait pas tarder à présenter de nouveaux troubles
cérébraux
. Merc... est entré dans notre service le 19 oct
sidérer le phénomène hallucinatoire, comme une erreur de l'activité
cérébrale
qui s'est manifestée 102 CLINIQUE MENTALE. to
ou originelle, c'est l'état d'infériorité fonctionnelle des centres
cérébraux
. Sans cela tous les malades qui ont des lésions
ane sensoriel, et ceux où elle semble être l'effet d'une altération
cérébrale
. Il serait facile de justifier la constitution
problème encore plus ardu. D'autres fois encore il y a des lésions
cérébrales
telle- ment diffuses ou tellement profondes qu'
résentées comme exemples d'hallucinations uni- latérales par lésion
cérébrale
, dont plusieurs doivent être reje- tées du déba
ssant prouver l'existence des hallucinations par lésion des centres
cérébraux
. Une malade, dont l'histoire très curieuse nous
déjà des hallucinations de la vue et de l'ouïe. En somme, la lésion
cérébrale
donne lieu dans les cas de ce genre à des troub
tions. C'est donc l'état hallucinogénique du sujet et non la lésion
cérébrale
qui fait l'hallucination ; la lésion cérébrale ne
jet et non la lésion cérébrale qui fait l'hallucination ; la lésion
cérébrale
ne produit que des fourmillements, des engourdi
v. LES HALLUCINATIONS UNILATÉRALES. 107 en conséquence de lésions
cérébrales
a été exposée dans la thèse de mon élève M. Wor
ns chroniques de l'ouïe, ce qui conduirait à penser que les lésions
cérébrales
unilatérales peuvent, dans certains cas, donner
ais il importe de s'expliquer nettement sur ce point. Si une lésion
cérébrale
détruit un centre, elle se traduit alors sympto
rticaux ou sous-corticaux, des ménin- gites chroniques, des tumeurs
cérébrales
, et s'observerait communément dans la paralysie
ois plus près de nous, qui, ainsi que les lésions sensorielles ou
cérébrales
actionnent et donnent une forme précise à la préd
douche et le bain statiques. Il y ajoute, lorsqu'il y des symptômes
cérébraux
ou médullaires, la galvanisation ascendante ou
II. Sur LES affections DE la faculté musicale ,dans LES maladies
cérébrales
; par William W. IRELAND. (The Journal of mental
ndent pas sur les rapports de la faculté musicale avec les maladies
cérébrales
et l'aliénation mentale; aussi pensons-nous qu'
orte quinze cas d'amnésie sensorielle consécutive à une affec- tion
cérébrale
. Dans quelques cas d'aphasie soigneusement obse
sions sui- vantes que nous traduisons textuellement : « La région
cérébrale
dans laquelle siègent le sentiment musical et l
paraît aussi que la faculté musicale peut survivre à des lésions
cérébrales
étendues, alors même que celles-ci ont plus profo
ifération cellulaire dans la mem- brane qui tapisse les ventricules
cérébraux
et la moelle, proliféra- tion qui est un caract
dement mortels de paralysie générale, dans lesquels les altérations
cérébrales
et les troubles mentaux n'avaient pas eu le tem
s ait été entièrement sous la dépendance des modifications du tissu
cérébral
. L'auteur ne se propose pas de discuter les aut
dales supér ieure, moyenne et inférieure. Sous le robinet, le tissu
cérébral
laisse voir une cavité qui pénètre dans la scis
he indiquait une lésion fort capable d'avoir provoqué les désordres
cérébraux
aboutissant aux manifestations morbides observé
e dont le résultat d'ailleurs, même au point de vue exclusivement
cérébral
, ne pouvait être que fort incertain. Pendant le
s muscles du pharynx, dans la démence paralytique, dans la syphilis
cérébrale
, la mé- ningite, etc. ; spasme du pharynx dans
Liebermeister et rr.ntzel ont même noté la coïncidence de troubles
cérébraux
graves avec une température peu élevée. March
ffmann a constaté très fré- quemment chez des typhiques de l'oedème
cérébral
; il a noté aussi de l'hypérémie, des hémorragi
esinger, en 1857, considérait déjà les manifesta- tions nerveuse et
cérébrales
de la fièvre typhoïde comme dues à une intoxica
iminuerait l'hyperthermie, en même temps qu'il agirait sur l'écorce
cérébrale
comme un alcaloïde narcotique. L'auteur rap- po
ison de santé où elle avait été internée à la suite de dérangements
cérébraux
, et semblait guérie, lorsque hier, à la suite d
première fois que Mme Ythier est victime de dange- . reuses crises
cérébrales
, il est probable que l'on se trouvera dans la n
quantité des fibres dégénérées. L'examen microscopique de l'écorce
cérébrale
par la méthode de Marchi ne nous a pas donné de
e à cellule et de région à région. R. M. C. IV. Dualité DE l'action
cérébrale
; par Samuel-B. Lyon. (The Neiv-York Médical Jou
tire de ce fait des conclusions favorables à la dualité de l'action
cérébrale
. La possibilité d'une action indépendanle des d
u moins, il y avait inéga- lité de poids entre les deux hémisphères
cérébraux
; Jaffa a fait aussi des recherches dans cette
e fait remarquable que l'écart normal de poids entre les deux lobes
cérébraux
, dont le maximum habituel est de 5 ou 6 grammes,
ment intéressant, d'abord au point de vue de la dualité de l'action
cérébrale
; ensuite parce que, à la suite d'une ovariotomi
'une des veines pulmonaires a pénétré dans l'une des branches de la
cérébrale
moyenne droite, et qu'il y a lieu de craindre u
sure de Sylvius. A un pouce et demi de profondeur dans la substance
cérébrale
, un trocart explo- rateur rencontra une résista
cès. Les deux abcès ne com- muniquaient pas : autour d'eux le tissu
cérébral
était un peu ramolli. L'auteur termine par qu
cile à détacher, 'mais quelquefois elle entraine avec elle du tissu
cérébral
, comme cela arrive dans la paralysie générale.
e et une diminution de poids plus ou moins considérable. La surface
cérébrale
est géné- ralement ferme : sur une section, l'é
Altérations microscopiques de l'encéphale. Une section de l'écorce
cérébrale
révèle un épaississement de la pie-mère et de l
nérescence pigmentaire. - Les éléments constitutifs des vaisseaux
cérébraux
de l'écorce ne se dégagent pas nettement, et leur
de la dure-mère. R. M. C. IX. Observation d'un cas 1)'IIÉMIATROPHIE
cérébrale
; par John J. CowAN. (The Journal of Mental Scie
ure sur l'écorce motrice et à la diminution consécutive de l'action
cérébrale
de contrôle sur les centres réflexes inférieurs.
de ceux que l'on rencontre dans les vieilles hémiplégies d'origine
cérébrale
pour que l'auteur a cru devoir rapporter cette
pliquer la pathogénie de l'amyo- trophie dans les lésions d'origine
cérébrale
; sa conclusion est que, à l'heure actuelle, il
é relative que présente le diagnostic différentiel des traumatismes
cérébraux
avec les états morbides intra-craniens, en même
l'existence d'une lacération. En somme le diagnostic de lacération
cérébrale
repose surtout sur la présence de certaines par
les céphalalgies des neurasthéniques, des chlorotiques, des tumeurs
cérébrales
. P. K. XIX. DE l'influence DE l'écorce DU cerve
I. DE la circulation DES régions DE la protubérance et DU pédoncule
cérébral
, ET EN particulier DU noyau DE L'OCULO-110- TEU
ux contournant d'avant en arrière la protubérance et les pédoncules
cérébraux
. Toutefois il existe des districts vasculaires
les coupes transverses et perpendiculaires à travers les pédoncules
cérébraux
et les tubercules quadrijumeaux antérieurs. A l
ent nombre de petits vaisseaux, dans l'angle même où les pédoncules
cérébraux
touchent à la face antérieure de la protubéranc
seaux des parties latérales et médianes de la région des pédoncules
cérébraux
. La partie médiane du côté où l'on a fait l'inj
injectée, a la forme d'un triangle à base vers le pied du pédoncule
cérébral
,' à angle dirigé vers l'aqueduc de Sylvius c'es
d'un côté et le vaissean médian de l'autre; mais, dans le pédoncule
cérébral
même, il n'y a pas d'anastomoses entre les deux
rent un certain trajet avec la bandelette optique dans l'hémisphère
cérébral
opposé, mais elles s'en séparent avant d'entrer
structure ; la méthode de Nissl même est impuissante. La commotion
cérébrale
provoque donc des lésions étendues des fibres n
XXXII. SUR LES oscillations périodiques DES FONCTIONS DE l'écorce
cérébrale
; par H. Stern. (Arch. sur Psychiatrie und Neroenk
OGIE pathologiques. 235 au début de signes non douteux d'une lésion
cérébrale
localisée. Chez les deux autres, on n'observait
l'idiotie par arrêt de développement ; d) l'i- diotie avec sclérose
cérébrale
; e) l'idiotie consécutive à la ménin- gite ; f
e est vide. - La topographie, le volume, le poids des-hé- misphères
cérébraux
ne s'écartent point de la moyenne. Les artères
. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 263 aTlVlli. Sur r..1 compression
cérébrale
; par John MACPHERSOK. (The Journal of Mental Sc
avons sur la pathogénie de l'état décrit sous le nom de compression
cérébrale
- aussi bien d'ail- leurs que les faits générau
ions chirurgicales pratiquées en vue de remé- dier à la compression
cérébrale
; 3° les opérations de ce genre sont légitimes
vers le crâne fracturé, trois d'entre elles pénètrent dans le tissu
cérébral
. Le siège du traumatisme était la tempe gauche.
produisit et causa la mort. Un cinquième fait est celui d'un abcès
cérébral
consécutif aune suppuration de l'oreille moyenn
ou un abcès du cervelet. R. DE MUSGRAVE CLAY. XLVIII. La syphilis
cérébrale
: étude clinique; par Léo STIEGLITZ. (The New-Y
dissement du bras gauche. Le diagnostic porté fut celui de syphilis
cérébrale
. Le chancellement vers la gauche indiquait un f
ment ioduré. Ce cas se rattache à la première catégorie de syphilis
cérébrale
de Fournier, c'est-à-dire à la syphilis à forme
halalgie est le symptôme précurseur par excellence dans la syphilis
cérébrale
en même temps qu'elle est le phénomène le plus
e qu'il démontre la valeur du traitement mercuriel dans la syphilis
cérébrale
; la malade, en effet, avait pris des doses énor
nclut que, en raison des allures protéiformes que revêt la syphilis
cérébrale
, elle donne lieu, à son début, à de fré- quente
on spéciale et absolue il faut dans la thérapeutique de la syphilis
cérébrale
associer le mercure à l'iodure de potassium ; 2
épilepsie partielle qui se produiraient à la suite d'une excitation
cérébrale
limitée et circonscrite. M. Zucarelli leur donn
la glande pituitaire sur l'organisme. P. Keraval. Lll, AYYOTAXI8
cérébrale
; différentes SORTES DE convulsions d'origine c
, AYYOTAXI8 cérébrale ; différentes SORTES DE convulsions d'origine
cérébrale
; fonds dégénératif; par G. ROSSOLI)10. (lVBt1-
centres psychiques sur l'appareil moteur. Tells--estJ'amt/o<aa'M
cérébrale
due à un vice de construclion ? é £ 'Wiéi' £ rrur
evue Neurolo- flique, juin 1895.) E. Blin. LXVI. Un cas DE TUMEUR
cérébrale
avec hémianestiiésie ; par J. Macfay. (Brain, é
avail se termine par l'observation d'un malade atteint d'hémiplégie
cérébrale
infantile qui, cinquante ans plus tard, fut fra
inique bien accusé ; mais en comparant cette maladie avec des états
cérébraux
connexes, j'ai essayé de montrer que son identi
eprésenter reliées entre elles les diverses parties de notre écorce
cérébrale
. C'est le jeu des ondes qui projette au-dessus du
s les cas d'excitation mécanique de la protubérance, de com- motion
cérébrale
, d'intoxication, mais il faut que l'écorce inter-
terrain, manifestant seulement son sourd travail par les troubles
cérébraux
et nerveux. (Annales médi';o-psyclwlogi'1ues, déc
ale créées par l'émancipation, succédant brusquement à l'inac- tion
cérébrale
la plus complète, suffisent à expliquer cet accro
les hémorrha- gies capillaires, l'excès de pression due aux tumeurs
cérébrales
. P. K. LXVI. L'algésiomètre DE iIOTSCIlUT60R'SR
. ' P. IiERA\·.1L. LXX. Contribution A la casuistique DES maladies'
cérébrales
aiguës DE l'enfance; par W. 1\IURATOW. (Neurolo
1\IURATOW. (Neurolog. Centt'albl., XIV, 189J.) Observation 1. Abcès
cérébral
à la base, ayant, chez une fillette de dix ans,
pulmonaire. Il en est résulté cliniquement, d'abord des phénomènes
cérébraux
diffus correspondant à l'abcès des lobes fronta
e douze couronnes de trépan. Mort. - A. M. LXXV. Deux cas d'abcès
cérébraux
; par \I11. BARIiAU etIliRSCHFELDER . '(de San
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. ce nerf et qui intéresse le pédoncule
cérébral
droit (ce qui explique la parésie gauche). 2°
sceaux que le noyau lenticulaire jette dans la calotte du pédoncule
cérébral
. P. Keraval XXXV. DE l'importance DES détails d
couche interne correspondante visite la .paroi médiane de la corne
cérébrale
antérieure jusqu'à l'écorce, ainsi que l'insula
produire des mouvements des globes ocu- laires ; excitez le centre
cérébral
de l'ouie, vous engendrerez des mouvements du p
sographie. P. K. XLVI. Partie supérieure DU ruban DE REIL ET écorce
cérébrale
; par M. BOELScHowsKY. (Neurolog. Centralbl., XI
ns rendus idiots par Goltz à la suite de l'ablation des hémisphères
cérébraux
(voir les pièces de l'Institut de Senckenberg)
89 de communication chargée de transmettre les ordres de l'écorce
cérébrale
aux muscles ; cette voie ne passe pas par les pyr
aminer. P. K. LII. D'un TROUBLE VASO-MOTEUR HÊMILATËRAL d'origine
cérébrale
; par Kaiser. (Neurolog. Centmlbl" XIV, 1895.)
e développe à la suite d'une maladie infec- tieuse ou d'une maladie
cérébrale
aiguë, chez les adultes, par exemple. L'hérédit
er une endovascularite secon- daire E. B. Lita. LE fonctionnement
cérébral
pendant LE SOMMEIL hypnotique ; par le Dr LANP1
lle est l'état normal de fonctionnement psychogé- nique des centres
cérébraux
. L'auteur considère comme nécessaire à l'état d
aurait inhibition du centre supérieur. E. B. LX. Circonvolutions
cérébrales
anormales; par le Dr J. ! \IICKLE. L'auteur con
igures donnés comme représentant le type normal des circonvolutions
cérébrales
sont d'une part insuffisants, d'autre part erro
tes par l'action DE l'alcool éthylique SUR LES CELLULES DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
; par le Dr BEItCELET. En étudiant par les nouve
En étudiant par les nouvelles méthodes de coloration les cel- lules
cérébrales
de lapins à qui on avait donné pendanl plusieurs
ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 2° Des troubles de la circulation
cérébrale
liés à des altérations locales (artérite chroni
ture normale ET altérations AN.1TOM0-P.4THOLOG1QUES des capillaires
cérébraux
les plus fins; par M. LAPINSEY. (A1'ch, f. Psyc
pathologiques des vaisseaux dans la paralysie générale, la syphilis
cérébrale
, etc... P. K. LXVIII. POINTS relatifs A la LOI
e chronique, leptoméningite chronique, dila- tation des ventricules
cérébraux
, dégénérescence du nerf optique et de l'oculomo
Péterabourg.) : Communications annoncées : Histologie de l'écorce
cérébrale
chez les criminels et les épilepti- ques. (Rapp
i qu'elle n'existerait pas encore sur les collatérales des neurones
cérébraux
dans la première semaine après la naissance (Fl
se compose d'un centre cellulaire siégeant dans les circonvolutions
cérébrales
, de dendrites, d'un prolongement cylindraxe don
Deux neurones suffisent à établir la communication entre l'écorce
cérébrale
et les muscles, c'est-à-dire que la chaîne motr
téléneurone, ou réciproque- ment. Supposons, par exemple, un foyer
cérébral
sectionnant l'archineurone au niveau de la caps
oncle paternel suicidé. Grand' tante paternelle morte de congestion
cérébrale
. - Autre grand' 'tante paternelle démente. - Mè
'tante paternelle démente. - Mère, convulsions de l'enfance, fièvre
cérébrale
a quatorze ans accompagnée de canitie partielle
uicidé par pendaison. - Grand" tante paternelle morte de congestion
cérébrale
à soixante-quatorze ans.- Mère morte à soixante
tumeur blanche du genou ; à quatorze ans, elle avait eu une fièvre
cérébrale
grave, durant laquelle une grande partie de ses
ttacher aux convulsions, probablement symptomatiques d'une sclérose
cérébrale
, le premier groupe ' d'accidents pathologiques
e, borde latéralement l'appendice antérieur ou ventral du pédoncule
cérébral
et est antérieure au gros noyau pédonculaire. L
méthode embryogénique a démontré que le développement des fonctions
cérébrales
, chez les nouveau-nés, va de pair avec le dével
OGIQUES. lequel l'acte conscient parait en rapport avec les centres
cérébraux
inférieurs, jusqu'au degré le plus élevé, dans
crâne. Quand le patient penche la tête à gauche on sent la masse
cérébrale
s'appliquer sur la paroi. Comme troubles qui ont
émianesthésie hystérique, un cas de para- lysie infantile d'origine
cérébrale
avec névralgie hystérique des articulations, un
ncier nettement ici la paralysie spinale atrophique de la paralysie
cérébrale
spasmodique de l'enfance. z Mal de Pott et para
élude sur trois ordres de faits : a 1° les conditions du dynamisme
cérébral
; 2° le dynamisme cérébral lui-même; 3° les phén
faits : a 1° les conditions du dynamisme cérébral; 2° le dynamisme
cérébral
lui-même; 3° les phénomènes psychiques qui acco
1. 32 TABLE DES MATIERES Abcès intracranien, par Murray, 49. -
cérébraux
, par Barkan et Hirs- chfelder, 372. Acromégal
foration de la base du crâne, par Abel et Colman, 48. A)IYOTA.Xir
cérébrale
, par Rossolimo, 284. Anthropologie criminelle
e, par Sanphear, 365. Apoplexie. Pronostic de 1' par hémorragie
cérébrale
, par Barrs, 49. Archives cliniques, 47. Arr
, 272. Cérébelleux. Faisceaux - descen- dants par Bield, 475.
Cérébrale
, 'lumeur -; opération suivie de succès, par Dan
ro-spinale. Anato- mie pathologique, pai Bikeles, 232 Compression
cérébrale
, par Mac- pherson, 263. Concours des médecins
en- tier, 153. LOIDE Weber-Fetcuneb, parWaller, 397. Maladies
cérébrales
aiguës de l'en- fance, par Muratow, 369. Effets
dild, 297. Musicale. Affections de la faculté dans les maladies
cérébrales
, par Ireland, 128. Musique et faculté musical
aelir, 404. Pleurs. Rires et - inextinguibles dans les affections
cérébrales
, par de Bechterew, 57. Plexus DE ERB. Paralys
ar Woods, 357. Rires et pleurs inextinguibles dans les affections
cérébrales
, par de Bechterew, 57. Ruban DE Reil et écorc
ections cérébrales, par de Bechterew, 57. Ruban DE Reil et écorce
cérébrale
, par Bielscbowsky, 387. Trajet du , par Jakob
t aphasie hystérique chez un homme, par Sanphear, 365. Syphilis
cérébrale
, par Stiéglitz,274. Lésions vasculaires dans la
icale traitée par la trépanation, par Beevor et Bal- lance, 59. -
cérébrale
; opération suivie de succès, par Dana et Con-
Bussel Strapp, 139. Vaso-moieur. Trouble - unilatéral d'origine
cérébrale
, par Kaiser,389. Ventricule. Sarcome du 1Va -,
protubérance annulaire, des pédoncules cérébelleux et des pédoncules
cérébraux
d'un nouveau-né, jusques et y compris les tractus
taire. LL, tractus optiques. M, éminen-ces mamillaires. N, pédoncules
cérébraux
. 4-, espace triangulaire inter-• médiaire aux péd
es cérébraux. 4-, espace triangulaire inter-• médiaire aux pédoncules
cérébraux
. S, corps géniculé interne. S', corps géniculé ex
es voisines, qui sont d'un gris tendre et transparent. N, pédoncule
cérébral
. I S C, hémisphère cérébelleux. B, lobule céré-be
a moelle allongée, la dissection de la région fasciculée du pédoncule
cérébral
. Tous les fais-ceaux de cette région du pédoncule
us d'une dissection de la moelle allongée, une coupe médiane du noyau
cérébral
; elle montre même, en dehors de ce noyau , le ce
diane du corps calleux. C'', prolongement conoïde postérieur du noyau
cérébral
. +, lieu de concours de l'extrémité antérieure du
oelle épinière. P, faisceau moyen. N, région fasciculée du pédon-cule
cérébral
faisant suite au faisceau antérieur de la moelle.
r lequel la région fasciculée du pédon-cule se prolonge dans le noyau
cérébral
. bbbbN', prolongements en éventail de la région
bbN', prolongements en éventail de la région fasciculée dans le noyau
cérébral
. N 0, face profonde de la région fasciculée en co
protubé-rance des faisceaux W N" de la région fasciculée du pédoncule
cérébral
N, avec les faisceaux de la région fasciculée du
terne du pédoncule du cervelet. N N, région fasciculée du pédoncule
cérébral
. P, protubérance. M, sil-lon médian de cette prot
nulaire. P, protubérance annulaire. N, région fasciculée du pédoncule
cérébral
. M, éminences mamillaires. L, tractus optique. S
taire. FIGURE 2. Cette figure représente la face externe du noyau
cérébral
dont la saillie centrale est encore revêtue par l
J A A b, couches fibreuses excentriques de la face la-térale du noyau
cérébral
, a, tubérosilé temporale de la circonvolution de
e au groupe quadrilatère. FIGURE 2p. Face convexe d'un hémisphère
cérébral
du côté gauche. D , extrémité antérieure. D', ext
pitale à la grande circonvolution de deuxième ordre. Cet hémisphère
cérébral
a été figuré comme un exemple de développe-ment m
ésente la face interne et la zone cérébello-temporale de l'hémisphère
cérébral
du côté gauche. Le corps calleux a été coupé sur
à montrer les cir-convolutions de la base du cerveau ; les pédoncules
cérébraux
ont été cou-pés à quelque distance en arrière des
ité du cerveau. FIGURE ]'-. Celte (igure représente un hémisphère
cérébral
vu de profil par sa face externe. Cet hémisphère
deuxième ordre- FIGURE 2e. Cette figure représente un hémisphère
cérébral
vu par en haut. Le dé-veloppement des circonvolut
Cette figure a pour objet de faire comprendre les rapports du noyau
cérébral
avec les hémisphères. Le cerveau, reposant sur
-f- -f-, ruban fibreux de l'ourlet. A', pointe pos-térieure du noyau
cérébral
Cette planche présente deux figures destinées à
sente deux figures destinées à faire comprendre les rapports du noyau
cérébral
avec l'hémisphère. FIGURE 1re. Cette figure,
s, présente en K K K la face interne de l'hémisphère séparée du noyau
cérébral
; en V V la doublure fibreuse de l'insula, séparé
ère du côté droit est resté dans ses rap-ports naturels avec le noyau
cérébral
; celui du côté gauche a été séparé du noyau céréb
ls avec le noyau cérébral; celui du côté gauche a été séparé du noyau
cérébral
. La moitié gauche du noyau est à découvert. Pou
se frontale. K', pointe du prolongement conoïde postérieur du noyau
cérébral
. Cette pointe correspond au prolongement postérie
eux figures destinées à représenter les surfaces extérieures du noyau
cérébral
. FIGURE **e. Cette figure montre toute l'éten
Cette figure montre toute l'étendue de la face supérieure du noyau
cérébral
, et laisse voir en raccourci une partie de ses fa
antérieures du corps calleux, a', sommet du cône postérieur du noyau
cérébral
. J, partie fran-chement transversale du corps cal
osité temporale de la circonvolution de l'ourlet. R , partie du noyau
cérébral
répondant à la corne temporale du ventricule. Q Q
te figure représente une vue de face des parties inférieures du noyau
cérébral
, et une vue fuyante de quelques-unes de ses parti
t été faites pour montrer, d'une part, les connexions de l'hémisphère
cérébral
avec le noyau cérébral; et, d'une autre part, la
er, d'une part, les connexions de l'hémisphère cérébral avec le noyau
cérébral
; et, d'une autre part, la disposition des élément
artiennent à l'hémisphère. FIGURE 1". Dans cette figure, le noyau
cérébral
partiellement séparé de l'hémi-sphère , est vu de
artiellement séparé de l'hémi-sphère , est vu de face. L'hémisphère
cérébral
, qui se présente aussi de face, a été entamé tran
sèque de l'hémisphère. Ce tronc s'insère à la partie externe du noyau
cérébral
dans l'intervalle des couches fibreuses qui monte
calleux, d, tractus médians longitu-dinaux de ce corps. L'hémisphère
cérébral
du côté gauche a été enlevé. On voit en C le moig
a figure 1re. On a divisé avec lui la moitié correspon-dante du noyau
cérébral
. On voit en H' le tronc fibreux qui fait suite
H montre les prolongements de ce tronc fibreux à leur sortie du noyau
cérébral
; H"H" H", les prolongements de ce tronc fibreux d
es à faire comprendre la structure de la partie fondamentale du noyau
cérébral
. FIGURE \™. Cette figure montre la face infér
rne se continuant en haut avec les fibres arquées (voir Topographie
cérébrale
, deuxième zone, face postérieure°-), nous pouvo
u moment où elles contournent les expansions 1 Essni de topographie
cérébrale
. {Progrès médical, 1878.) lne. cit, 6 ANATOMI
'artère de l'hémorrhagie centrale (Charcot), venant elle-même de la
cérébrale
moyenne. La direc- DES IRRADIATIONS CAPSULAIRES
iculaire à celle des artères terminales de la portion latente. La
cérébrale
antérieure fournit également du sang, sinon tou
t, je n'ai constaté leur im- portance anatomique que sur les coupes
cérébrales
. Dans les transversales, elles donnent lieu trè
Pitres.-Recleerches sur les lésions du centre ovale des hémisphères
cérébraux
étudiés au point de vue des localisations cérébra
des hémisphères cérébraux étudiés au point de vue des localisations
cérébrales
. Paris, 1877. 2 Clozel de Boyer. Etudes topog
aie gauche, méninges épaisses et adhérentes. En ce point, substance
cérébrale
déprimée et diminuée de consistance. Abcès du v
tés se continuent sans ligne de démarcation distincte avec le tissu
cérébral
voisin ; sa con- sistance est molle, tremblotan
re de la couche optique. S l, Septum lucidum. C. c, a, Commissure
cérébrale
antérieure. C m, 4, Centre moyen de Luys. 1 F
ur. 0. g. n. o, Origine grise des nerfs optiques. 7'. c, Ti,igone
cérébral
. V. m, Ventricule moyen. CLINIQUE MENTALE 1
ttaques nerveuses, et il mourut quelque temps après d'une affection
cérébrale
. Un cousin germain de la ligne 42 -') PATHOLOGI
e troubles de la sensibilité; pas de paralysie franche. Aucun foyer
cérébral
. ill. Kirchhoff rapproche ce fait des accidents
chorea dimidiata d'Eulenburg), à la résorption biliaire (excitation
cérébrale
) de l'atrophie jaune aiguë du foie. Peut-être l
quoiqu'en dise l'auteur. CH. F. XIX. Contribution aux localisations
cérébrales
, par S ? LSI19RRRY. (The Lancet, septembre et o
hère. CH. F. XX. PÉNÉTRATION d'un FRAGMENT DE FER DANS LA SUBSTANCE
CÉRÉBRALE
; mort en quatre mois; autopsie; par Boni. (Tite
eu de céphalalgie et une légère surdité, mais pas d'autres troubles
cérébraux
. Des tentatives furent faites pour extraire le
anger, mais elles n'aboutirent qu'à pro- duire l'issue delà matière
cérébrale
, ce qui les fit cesser immédiate- ment. Néanmoi
vaso- ? i2oteur de cette partie de la face. Pas d'autres q mptômes
cérébraux
ou sp)- naux. Par conséquent, l'auteur considèr
ardiaque), l'époque des règles, l'existence d'une tare psychique ou
cérébrale
au moins latente, se traduisant, aux yeux d'un
lie pas à une analyse, il faudrait la copier. P. K. XIV. Pression
cérébrale
ET psychose consécutives A UNE synostose prémat
table interne témoignerait de l'augmentation de la pression intra-
cérébrale
; elle expliquerait en même temps, de concert ave
aires, myélites chroniques, ataxies locomotrices, ramol- lissements
cérébraux
, etc. Ce sont les atrophies musculaires d'origine
poids du cervelet, du bulbe de la pro tubérance et des hémisphères
cérébraux
, d'après les registres de Broca qui lui ont été
eur rapporte plusieurs cas de somnolence prolongée dans la syphilis
cérébrale
, il rattache ce phénomène à des lésions arté- r
Plusieurs autopsies faites chez des idiots ,et montrant des lésions
cérébrales
et méningées plus ou moins étendues et profonde
t une apoplexie avec hémiplégie consécutive, simulant l'hémorrhagie
cérébrale
ou le ramollissement; tantôt c'est une monoplég
ou un monospasme rappelant plus ou moins les symptômes des tumeurs
cérébrales
; tantôt c'est un délire aigu, sans paralysie, n
norme qui va parfois jusqu'à l'oblitération complète. Les lésions
cérébrales
de la méningite tuberculeuse sont de nature inf
s complète, l'auteur a examiné histologiquement un ramol- lissement
cérébral
récent et un ramollissement ancien; dans ces de
e. J. COMBY. 126 BIBLIOGRAPHIE. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE Accidents
cérébraux
au début de la pneumonie chez les enfants ; par
r Jacquemart. Thèse de Paris, l 884. De la mort rapide par cedème
cérébral
chez les vieillards atteints de néphrite inters
expérimentales sur l'excitabilité électrique des circon- volutions
cérébrales
et sur la p< ! ) iode d'excitation latente du
nalogue à celui qu'on observe chez les individus atteints de lésion
cérébrale
1 P. nicher. - Eludes cliniques sur l'hi/aléro-
artielle hystérique) présente avec l'épilepsie partielle par lésion
cérébrale
, il existe des signes qui permettent d'établir
apporte, on va le voir, à un cas d'épilepsie partielle par lésion
cérébrale
. Ce signe négatif, c'est l'absence de paralysie
.dia- gnostic différentiel entre l'épilepsie·partiellé par.lésion
cérébrale
et l'épilepsie partielle hystérique sur ? les tro
L'examen attentif des cent vingt-sept observations d'hémorrhagie
cérébrale
colligées par Gintrac nous conduit au même résu
a nuance où-variété que présente ici l'aphasie ? Où donc l'écorce
cérébrale
est-elle aussi bien placée qu'à la partie anté-
tr' 9r'll,tn^ uA rl9 Sn'1 : `1R0 rameaux que leur, fournit 1 artère
cérébrale
antérieure, on aurait, pu^avancer, que la ruptu
uble origine, indépendante l'une de l'autre, l'une appartenant à la
cérébrale
moyenne, l'autre à-la,cérébrale antérieure.-
e l'autre, l'une appartenant à la cérébrale moyenne, l'autre à-la,
cérébrale
antérieure.- iir.1 , - 89 f .2° Lésions sit
e tubercule interceptant les moyens de communication entre l'écorce
cérébrale
et le centre, l'aphasie aurait dd se produire,
r ses : ] ésidus en ligne de compte pourcl'explication des troubles
cérébraux
, et rapporter tousicesiderniers à. l'altération
Nous avons dit que, sur cent vingt-sept observations d'hémorrhagies
cérébrales
, le lobe ;moyen, gauche^en avait été cinquante-
on'dta'c'erebraleant'eneurear'u'n'cait['o ? io'n'de'15 ? tian de la
cérébrale
antérieure par un caillot long de 15 riollu. 'A
e. Aujourd'hui, après le travail de M. Duret sur la cir- culation
cérébrale
; après notre travail sur l'état de la couronne
a paralysie à gauche et de ne pas la rap- porter à l'athérome de la
cérébrale
antérieure chargée d'artérialiser la tête du no
ventricule latéral. On notera, d'ailleurs, que les rejetons de la
cérébrale
moyenne, artères lenticulo-striées, dont la dis
notre opinion. Ainsi, tous les faits d'aphasie concernant les lobes
cérébraux
, an- térieur et moyen, concourraient à la confi
disparaî- tre. L'exagération de la poussée sanguine dans Tarière
cérébrale
moyenne survenant forcément au moment où "là'de
ue ou plutôt de l'iit`flûçiicç tle 'l'ictus' épileptique sur l'état
cérébral
normal et pathologique (1883)'. u ? ^ 9 '< "Wn
é, le délire chronique, quel qu'il soit, ou que DES CIRCONVOLUTIONS
CÉRÉBRALES
. 181 ··rt P d'autres états pathologiques se g
de la Salpê/rière, 2e (lit., 1881. 1. l.,u ,11 DES CIRCONVOLUTIONS
CÉRÉBRALES
. 183 qu'elle devient plus étroite, à mesure qu'
fait à bon droit remarquer que, dans le mémoire de Gratiolet (Plis
cérébraux
, etc.), le lobe frontal ne comprend que les tro
iii211s, rln.Dir.fionrrnirr. Encyrtolrtirfrrc.. DES CIRCONVOLUTIONS
CÉRÉBRALES
. 185 rejoindre ceux de la face convexe latéra
'aA;'& ! <cA ? ]87n. , ,, -i'h'i 9 iom 1 DES CIRCONVOLUTIONS
CÉRÉBRALES
. 187 Synonymie : Sillon infero-frontal (Huxley)
lerior (Pansch) ; Circonvolution proerolandique DES CIRCONVOLUTIONS
CÉRÉBRALES
. 189 (Broca) ; Circonvolution verticale antérie
e revêt un aspect polymorphe ? Qu'on en juge. DES CIRCONVOLUTIONS
CÉRÉBRALES
. 191 b.Loi3UI,P t'ARiÉTAL INFÉRIEUR (Ecker).La
temporosphe- noidal convolution (Turner). ' " DES CIRCONVOLUTIONS
CÉRÉBRALES
. 197 Située au-dessous de la scissure de Sylviu
troisième circonvo- lution occipitale. n ' e DES CIRCONVOLUTIONS
CÉRÉBRALES
. 199'') i temporaux trazzsverses, qui, au nombr
de MeckelJ. - Parallèle dans sa moitié antérieure à la grande fente
cérébrale
de Bichat, dans sa moitié postérieure à la scis
i 1 ,1 l'Mflu i i b aiIJ : DRUrY cas d'épilepsie liée a une tumeur
cérébrale
; par Herbert a ii pz pACKER : v(Joürrial of n'z
de serni-purulent, venant de l'espace sous-arachnoïdien. Le tissu
cérébral
est ferme; à la base du cerveau, on voit une me
d'une mince capsule, molle, de couleur jaune pâle, partant du lobe
cérébral
moyen droit, faisant saillie dans l'espace interp
de la corne descendante du ventricule latéral, par de la substance
cérébrale
. L'examen microscopique montra qu'il s'agissait
s après la mort), on trouve la dure-mère un peu adhérente; le tissu
cérébral
est ferme. A gauche, dans la portion extra-veut
ractère criminel de l'acte commis. Il suffit que de pareils états
cérébraux
existent, et que leur pos- sibilité soit reconn
mme 'd'ordinâiré^desUé- sions'de la névroglie; du tissùlôoiincc'tif
cérébral
? ton trou ? o'Ia''në' vroglie normale sa peine
214 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE , * 1 quide mêlé de pus. Le tissu
cérébral
,était de consistance peu u i.i l .ion. >", -
3 ruptiiro'tarlérielle a 'été précédée d'un trouble de la nutrition
cérébrale
, reconnaissant prob'ablemdnttpour'càuse l'état
.il lu ^lliJU.lOlliA-i tin du *Vl.>i fL, V; luiopsié. Arle ! res
cérébrales
, altérées : ( membrane épaisse, com- prenant l'
n on ne constatait ni inégalité pupillaire, ni aucun autre symptôme
cérébral
; le tabes était très accusé. Le 22 sept. 1881,
pèse que 67n grammes; la réduction estexcessive dans l'hémisphère
cérébral
gauche; il y a en outre asymétrie des sillons et
qu'elle a détruit, en s'étendant jusqu'au voisinage du pédon- cule
cérébral
; la seconde (de couleur brun-rouge) occupe la par
les troisième et quatrième ventricules et a déchiré les pédoncules
cérébraux
, surtout celui de droite. L'auteur attribue au
quer ses deux phases par la théorie de l'anémie et de 1'li,péi-émie
cérébrale
. C'est une maladie rare, puisque dans son servi
t loca- - Usées en un point peut servir à l'étude des localisations
cérébrales
; notamment pour l'aphasie. Quanta lanzigruirz
issait-il d'une simple hystérique ou d'une épilep- tique par lésion
cérébrale
? Le tableau symptomatique autorisait à la fois
ment à la suite des attaques d'épilepsie partielle due à une lésion
cérébrale
. Si Ang... ne peut mouvoir son bras qu'avec dif
is encore, à notre connaissance, rencontré dans les cas de tumeur
cérébrale
, n'avaient éveillé les doutes et pro- voqué les
- lepsie partielle (épilepsie jacksonnienne, épilepsie par lésion
cérébrale
) ; . 4° La fausse épilepsie partielle de nature
à l'étude des localisations céré- brales; observation d'hémiplégie
cérébrale
infantile spasmo- dique (épilepsie partielle).
ues. État de mal. J)f0t'<. Autopsie : Atrophie de l'hémisphère
cérébral
droit et de l'hémisphère cérébelleux du même cô
cin aurait dit que « ça sentait la fièvre typhoïde et la congestion
cérébrale
» ; durée : trois mois. Lorsqu'il a quitté le li
es, les tubercules mamillaires sont égaux et blancs. Le pédoncule
cérébral
droit n'est pas aussi bombé que le gauche. Il exi
es sont également colorées. L'encéphale pèse 1,090 gr. L'hémisphère
cérébral
droit pèse 90 gr. de moins que le gauche. Cerve
re, entre autres l'élé- vation de la température. IV. Les lésions
cérébrales
trouvées à l'autopsie n'intéressent que l'hémis
ortement atteint que le memb' e supérieur ; or, DES CIRCONVOLUTIONS
CÉRÉBRALES
. 3H l'autopsie nous a montré que, au niveau de
des asiles de la Seine. II. Face INTERNE ou médiane DES hémisphères
cérébraux
. C'est la surface plane qui, dans chaque hémisp
'volution temporo-occipitale ou lobule lingual. DES CIRCONVOLUTIONS
CÉRÉBRALES
. 313 moment où elle s'infléchit pour rejoindre
son sens, le lobe falciforme, limité en dedans par la grande fente
cérébrale
de Bichat, et en dehors par la scissure limbique
iforme rattacherait la circonvolution marginale DES CIRCONVOLUTIONS
CÉRÉBRALES
. 319 externe (à vrai dire, le gyrus fornicalus)
sse, à celui d'une enfant normale du même âge. Les deux hémisphères
cérébraux
sont similaires. Dans le lobe frontal, les circ
té cutanée et DU SENS TOUS- OCULAIRE A Li SUBI'.4CE DES HÉMISPHÈRES
CÉRÉBRAUX
; par BECIITEREW. (Neurol. Central6l. 1883.)
é- rations ordinaires de la méningo-périencéphalite; la substance
cérébrale
et la moelle sont dures et élastiques. Le microsc
midal ne s'observe ni dans la moelle allongée, ni dans le pédoncule
cérébral
et que la lésion des cornes antérieures est la
que l'asphyxie due au laryitgisme. Roseiithal y joint l'hémorrhagie
cérébrale
et la syncope. Dans le cas présent, la mort par
, une dégénérescence secon- daire qui occupait le pied du pédoncule
cérébral
, la protubérance, la pyramide de la moelle allo
k a eu l'idée de soumettre à la méthode d'Exner les circonvolutions
cérébrales
de deux nouveau-nés à terme, d'un nouveau-né av
aux con- clusions suivantes : 1° Dans toutes les circonvolutions
cérébrales
, c'est d'abord à la lisière de la substance bla
us l'influence, de par l'hématome, de l'augmentation de la pression
cérébrale
, les gaines des nerfs optiques se remplissent d
ale du nerf optique. Puis survenaient des phénomènes de compression
cérébrale
; mais, en somme, après une amélioration notable
SUR la PERTE DE force DES membres non paralysés dans L'HÉ- MIPLÉGIE
cérébrale
; par R. Friedlcender. (JVCM-0<. Centralbl.,
lysée perd en moyenne 18 8 kiL de sa force ; 2° dans l'hémiplé- gie
cérébrale
droite, le bras indemne perd plus de sa force que
ire soient le fait d'un maladie; 2" l'examen microscopique du tissu
cérébral
, l'observation des effets de l'alcool nous donnen
uteur rappelle que l'on décrit ordinairement deux formes d'atrophie
cérébrale
: l'une dans laquelle on constate un arrêt de d
pas à mourir, après avoir présenté les symptômes d'une complication
cérébrale
nou- velle. A l'autopsie, on trouve au-dessus
s se dilatent et deviennent souvent un peu paresseuses. Circulation
cérébrale
. On observe quelquefois de la congestion de la
qu'il s'est hâté de réveiller le patient; toute- fois les troubles
cérébraux
quelque peu sérieux paraissent très rares. Re
« 4° Tant que la conscience persiste, la perception de cette action
cérébrale
réflexe et automatique donne au sujet l'impressio
la pie-mère, pesait 1,100 grammes dont 503 grammespourl'hémisphère
cérébral
droit et475 grammes pour l'hémisphère cérébral
mmespourl'hémisphère cérébral droit et475 grammes pour l'hémisphère
cérébral
gauche, 84 grammes pour le cervelet, la moelle
ÉTÉS SAVANTES. 371 I cules quadrijumeaux sont normaux. Le pédoncule
cérébral
gauche est plus fort que celui de droite. La fo
éparé, qu'on a même détruit, à l'aide d'une cu- rette, la substance
cérébrale
d'un côté, ou dans les deux hémis- phères, les
ait à priori tout à fait improbable que l'énorme masse de substance
cérébrale
qui forme le lobe frontal de l'homme soit total
t assez marquée ; mais toujours on note simultanément des symptômes
cérébraux
accentués tels que la céphalalgie et des vertig
oncé et très étendu de l'artère sylvienne gauche, mais la substance
cérébrale
ne présentait aucun résidu anatomopathologique
neté du début de la perturbation et la concomitance des symptômes
cérébraux
, soit dès son installation soit au cours de son d
e ces essences (du camphre, par exemple) dépendent d'une congestion
cérébrale
due à la paralysie de la tu- nique musculeuse d
i. A collection a7ad una- 1 sis of the anzerican cases of localized
cérébral
dtsease. Brochure in-8" de 53 pages. New-York,
pileptique), 3ïs ; 'lésion hémilatérale du), 308. Circonvolutions
cérébrales
de l'hom- me (synonymiedes), par Kéraval, 181
ie (traitement de l' par les bromures), li9; - (liée à une tumeur
cérébrale
), 204. Epileptiforme (étude d'une nouvelle va
rpentier), 206. Force des membres non paralysés dans l'hémiplégie
cérébrale
, 344. Friedreich (maladie de), 365. Galvano-f
iopathiques de la), par 0. Berger, 85. Latah, 68. Localisations
cérébrales
, Sharkey, 87. Loi de 1838 (quelques modificat
phénomènes produits par la section des fibres dans l'hé- misphère
cérébral
), par Bechte- rew, 78. Paralvsie progressive
par Vi- ,-otii,otix, 273. Trijumeau (paralysie du), 396. Tumeur
cérébrale
avec surdité cen- trale unilatérale, 82. Tume
Tumeur cérébrale avec surdité cen- trale unilatérale, 82. Tumeurs
cérébrales
.( casuistique des), par Iiicliter, 83. Voyag
ieur. 0. g. n. o, Origine grise des nerfs optiques. T. c, Trigone
cérébral
. V. Ventricule moyen. Archives de Neurologie.
ident que les deux autres coupes divisent un centimètre d'épaisseur
cérébrale
. La cinquième zone traverse le putamen de Burda
t com- plètement privée de tout processus provenant des par- ties
cérébrales
qui l'entourent. La branche postérieure de la c
ue. A son pied, elle se continue avec les trois étages du pédoncule
cérébral
, mais principale- ment avec l'inférieur. Le loc
ant, non des rayons dirigés vers les divers points de la périphérie
cérébrale
, mais des courbes concaves en bas d'inégale gra
tre les parties réfléchie et directe du pilier antérieur du trigone
cérébral
en dedans, et le pédoncule cérébral en dehors,
u pilier antérieur du trigone cérébral en dedans, et le pédoncule
cérébral
en dehors, se réfléchit sur ce der- nier et se
econ- dairement par les faisceaux les plus reculés du pédon- cule
cérébral
. Gratiolet a le premier attiré l'attention sur
ule interne (Flechsig) correspond aux piliers antérieurs du trigone
cérébral
au moment où ils sont en rapport avec la portio
où ils sont en rapport avec la portion apparente de la commissure
cérébrale
antérieure, et en est séparé par une couche de
nglions sont des confluents où les conducteurs de la force nerveuse
cérébrale
subiraient une in- terruption (Meynert), ou, à
LE INTERNE ET DE LA COURONNE RAYONNANTE. 13 du cerveau au pédoncule
cérébral
: ils sont, comme on dit, directs. Or, pour n
n le croit, sont au contraire restreints, au lieu de toute l'écorce
cérébrale
, ce n'est que quelques-uns de ses districts qu'
ture à nous faire admettre la moindre connexion entre la périphérie
cérébrale
et la capsule. Cependant, les auteurs y décrive
nt il s'agit nous voyons une infinité de rayons unissant l'écorce
cérébrale
aux ganglions; mais, s'il existait réellement d
contre l'opinion qui faisait converger sur eux toutes les fibres
cérébrales
environnantes. Néanmoins , on enseigne que la p
ant par le bord postérieur du noyau lenticu- laire et la commissure
cérébrale
postérieure. Ce sont les fibres optiques de Gra
laires continus eux-mêmes à ceux de l'étage supérieur du pédoncule
cérébral
. Contrairement à l'opinion gé- nérale, cette co
quence im- portante, que, toutes les fois qu'un district de coupe
cérébrale
sera d'aspect hétérogène, nous devrons le consi
austrum, qu'il traverse pour se mêler aux fibres de la commissure
cérébrale
antérieure et venir former les couches les plus
insula de Reil en haut, à celles qui la limitent en bas sur la base
cérébrale
. Aux connexions que Meynert lui attribue, avec
es finissent par disparaître au moment où se présente la commissure
cérébrale
antérieure destinée à les remplacer pour l'unio
mée de deux espèces de fibres jusqu'à la rencontre de la commissure
cérébrale
anté- rieure : les unes, venant du corps' calle
où ses fibres commissurales vont être remplacées par la commissure
cérébrale
antérieure (Pl. XVII, t. I). 36 ANATOMIE. *
à effectuer, puisque la surface de frottement que la subs- tance
cérébrale
présente au couteau est notablement moins étend
nsula de Reil. i,. St., noyau rouge de Stilling. P. c., pédoncule
cérébral
. Il. r. conique, prolongement conique. Tr. c.
. p. ·., tri;one céréLral, portion réfléchie. Tr. c. p. d., trigone
cérébral
, portion directe. PLANCHE VI C. i., capsule i
audé. V, v·. St., noyau rouge de Stilling. P. c. f. s., pédoncule
cérébral
; faisceaux sensitifs. DE LA CAPSULE INTERNE ET
exe chez les grenouilles décapitées. Schiff a, par diverses lésions
cérébrales
, déterminé une diminution unilatérale de la sen
transfert, la voie des impressions sensitives dans les hémisphères
cérébraux
. De son côté, M. Adamkiewicz voit, dans le tran
tion d'une portée limitée du tégument dans l'anesthésie par lésions
cérébrales
, l'intoxication satur- 7M' ? ! C, l'hystérie et
t prouver, en outre, qu'il existe une troisième sorte de mouvements
cérébraux
, complètement indépendants de toute action resp
même agent électrique déterminaient l'hypérémie de l'hémis- phère
cérébral
de l'autre côté, et vice versa. P. K. V. NOUVEL
le chien de fortes éten- dues des couches corticales dans les lobes
cérébraux
sans dé- terminer de paralysie ni d'anesthésie
tous ces cas, le réflexe est d'autant plus accentué que l'influence
cérébrale
se fait moins sentir. De plus, la durée moyenne
allie à l'opinion de M. Luys, et admet comme lui que l'hé- misphère
cérébral
gauche se développe le premier, d'où la prédomi
EVUE DE PHYSIOLOGIE. XII. CENTRES DE la vision dans LES HÉMISPHÈRES
cérébraux
; par J.-C. DALTON. (Tlte médical Record, New-Y
du singe et de l'homme, M. Dalton a enlevé cette partie de l'écorce
cérébrale
sur deux chiens, une fois à droite et une fois
e Dr BEACH dit : 1° qu'il n'a que rarement rencontré l'hypertrophie
cérébrale
limitée ; et que, d'accord sur ce point avec Br
ryologie) ; Par MATIIIAs DUVAL. De toutes les régions de l'écorce
cérébrale
, il en est peu qui, par leur disposition partic
(avec le corps bordant). Cepen- dant, cette partie des hémisphères
cérébraux
n'a encore été en France l'objet d'aucune monog
2 ANATOMIE. tiers considéré comme une partie étrangère à l'écorce
cérébrale
, placée dans l'intérieur des ventricules. En Al
l'ensemble de la corne d'Ammon et le reste des cir- convolutions
cérébrales
. C'est pourquoi, ayant repris, à l'aide de nomb
rne d'Ammon elle-même, et ne font commencer la région de la surface
cérébrale
qu'au delà (en dedans, par rapport à l'axe médi
e fente faisant communiquer la cavité ventriculaire avec la surface
cérébrale
; la cavité ventriculaire cesse au niveau du bor
hémisphères, il reste encore chez les lissencéphales un seul gyrus
cérébral
, la circonvolution godronnée, reconnaissable au
En voici le résumé, fait par l'auteur lui-même. Après une attaque
cérébrale
aiguë, impossibilité absolue de lire les mots é
es et des objets. Mort par apoplexie, athérome étendu des vaisseaux
cérébraux
. An- ciens caillots dans l'hémisphère gauche av
llots dans l'hémisphère gauche avec ramollissement 'de la substance
cérébrale
siégeant en dehors du ventricule laté- ral, à s
ur la localisation des diffé- rents centres sensitifs dans l'écorce
cérébrale
, et, d'autre' part,1 sur l'acquisition à l'aide
'Académie de médecine de Belgique, 1865, t. vin, p. 64 ; Broadbent.
Cérébral
mechanis mof thought and speech, in Med. chir.
quelque sorte délaissés dans cette question, ainsi que les méninges
cérébrales
, comme si des symptômes cérébraux ne pouvaient
estion, ainsi que les méninges cérébrales, comme si des symptômes
cérébraux
ne pouvaient pas exister dans quelques formes d'a
sur les symptômes anormaux, et en particulier sur les symp- tômes
cérébraux
qui se montrent parfois dans l'atrophie mus- cu
nt alors de grouper à part ces atrophies musculaires avec symptômes
cérébraux
et bul- baires '. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUS
capital dans deux cas, dans l'un' desquels il y avait1 urié lésion'
cérébrale
! La leucocytose fut observée 'dans 'deux cas ;
isement ou par fièvre hectique. Dans deux cas on'trouva des tumeurs
cérébrales
; dans quatre des tumeurs dans le canal'rachidie
disparition de céphalalgies opiniâtres, l'amélioration de maladies,
cérébrales
chroniques, dès le début, consécutivement à l'i
erruption descelles dés' fibres 'centrifuges'qui partent des foyers
cérébraux
modérateurs''du' système'réflexe''(observation
a l'aide des « recherches » de notre maître 'sur l'hémi-anesthésie
cérébrale
et hystérique. ` > f, r' z r p .-irf r-Ml/j
yant déterminé des lésions dans le noyau lenticulaire, le pédoncule
cérébral
et les portions avoisinantes de l'hémisphère dr
iels du service. , . , r ... XI. SUR la pathogénie DE l'hémorrhagie
cérébrale
dans LES formes précoces DE la' syphilis; par C
par le traitement ? et rapportées par les' auteurs à'ia' congestion
cérébrale
).'1 Quant'aux altérations vasculaires dans' les
de reproduire,ici, l'auteur étudie la fréquence des hémor- rhagies
cérébrales
aux différents, mois qui, suivent l'infection,
telle partie de, cet organe; il ne, connaît aucun cas d'hémorrhagie
cérébrale
syphilitique dans l'épaisseur déjà ? couche opt
l'existence constante des lésions artérielles dans les hémorrhagies
cérébrales
des premières périodes de la syphilis, Lechner
sposition.tn,éln5 8t S9jrfi JxrolTira .aaj[)T'(.mà1 1 L'hémorrhagie
cérébrale
de la période des accidents secon-; daires surv
pourra voir dans la période des ace id e t iair s 1 'l orr i* iaoie
cérébrale
se mon-, trer de nouveau, mais, alors, ce n'est
, trer de nouveau, mais, alors, ce n'est'plus dans les ganglions,
cérébraux
qu'est son siège de prédilection, c'est dans la c
6'de la'-sy"pliilii'cez 1'liomme, l'auteur trouve que Diémorrhagie "
cérébrale
est' sensiblement plus fréquente'chez1 l'homme
siter qu'entre la paralysie progres- sive des aliénés et une lésion
cérébrale
localisée. Si la première trouvait ses argument
éciable ? s'était- greffée une" poussée aiguë purulente de l'écorce
cérébrale
, expliquant les modifications séméiologiques et
ii8d' f· a9 Pd'q^f XIV.' PARALYSIE LABIO-GLOSSO-PHARYNGÉE d'origine
cérébrale
53'A1FOYER unilatéral'; par Kirchhoff. ATClt2v.
- Le traitement doit avoir pour but de régulariser la circulation
cérébrale
; l'auteur emploie .l'acide, cyanhydrique, le sir
ne femme, âgée' de ving-deux ans, avait eu une attaque d'hémorragie
cérébrale
deux ans auparavant.1 Il était resté, une grand
bi : ` Vv'arner pense' que' l'on peut déterminer des localisations
cérébrales
par les paralysies limitées ; on peut également
ons aiguës-gvaste "plan qui comprend' la totalité » des .accidents [
cérébraux
jpassa- - 1gers ou persistants'en rapport avec
e), à la fois de l'action, irritative du-, ferment sur les cellules
cérébrales
et médullaires, à la fois de la' localisation f
.t chreiber pendant l'accès), les foyers pigmentaires de-, l'écorce
cérébrale
,' etc., pârfois même, des.exsudats plastiques^
plupart des cas,on rencontre, en étudiant a 'mal.,ide, des'troubles
cérébraux
profonds ,dus soit'à à 1 héiédité; sôit à `dés
? t ? t)i ? )'t ? i ? i) ? j''i ? f " 1 altération de 1 hémisphère
cérébral
qu elle a déterminée, a Il, l'hémi-sp." cere ra
on),, réside id'ràllèl&în611t"da'nsllw diminution-dé l'activité
cérébrale
et. dans ''l'irritation' des 'centres sensôriel
ortant.^ La balle fractura l'occipital et détermina des accidents i
cérébraux
-t qui en trois jours enlevèrent notre malheureu
oire de M. ROLLER sur les Racines. spinales des jierfs jen- soriels
cérébraux
sera analysé, irai ? r ,. «jt/. , ,"r r· ? 111. J
' température extérieure peut amener là mort par suite 'de troubles
cérébraux
," c'est ! le cas" du' coup de chaleur (Ch'. VAL
Vzrchôw'sArcha'v. T. LXVIII, p. p+5) ont cru trouver dans l'écorce
cérébrale
du chien des centres' modérateurs de la colorif
détailscet''aec6mpagnées 302 BiBLIOGRAPHI des schèmes'des lésions
cérébrales
produites. Expériences' 76 à'95) : On peut'en c
'a remarqué une production sensible de chaleur, sitôli la blessure,
cérébrale
effectuée, tandis que dans treize des premières
accusés. 11 faut donc admettre que : la, destruction' de1 la région
cérébrale
connue comme la première circonvolution cérébra
on' de1 la région cérébrale connue comme la première circonvolution
cérébrale
postérieure am sillon cru- cial, effectuée près
nt certains états fébriles excessifs et subits, comme le rhumatisme
cérébral
, peuvent 'être dus à une paralysie complète des
ure sur les phéno- mènes, de 'calorification et,, sur les symptômes
cérébraux
de l'hyperthermie, puis s'assurer de la part qu
irradiations corticales dans les couches superficielles du manteau
cérébral
. H. DE BOYER. f, IV. Marche de la paz·alysie gé
J.-B.-Ch. LAMEREUx. (Thèse de Paris, 188).) . j Des complications
cérébrales
des affections cardiaques ; par M. BAGOT (Thèse
unications à la Société Anatomique, notamment sur les Localisations
cérébrales
, et sur {'Etat des nerfs et des os dans les moi
gnifiques travaux de MM. Char- cot et Ferrier sur les localisations
cérébrales
, avait, été dignement récompensée par la Facult
ngite cérébro-spinalc aiguë, une revue critique sur la thermométrie
cérébrale
, fort utile à' con- sulter, et justement estimé
phasie' et suivie de guérison), '"2S9. ' o £ V ? " -^ Hémorrhagie
cérébrale
(pathogénie de la) dans les périodes précoces
mons, 140 : ' Labio-glosso-pharyngée (,paralysie il, d'origine
cérébrale
à,foyer uni- -* latéral), par Kerchoff, 256.
ff, 215. · S),pliilis '(sui ? Ia 'patliogénie de 1'liémori,ha,-ie
cérébrale
dans les - ? formes- précoces 1 de la), ''par
sb nsarsm i N. r. St., noyau rouge de Stilling. P. c., pédoncule
cérébral
. P. r. conique, prolongement conique. Tr. c.
ébral. P. r. conique, prolongement conique. Tr. c. p. r., trigone
cérébral
, portion réfléchie. Tr. c. p. d., trigone céréb
. p. r., trigone cérébral, portion réfléchie. Tr. c. p. d., trigone
cérébral
, portion directe. 326 EXPLICATION DES PLANCHES.
, N. ·. It., noyau rouge de Stilling. 1 - P. c. f. s., pédoncule
cérébral
; faisceaux sensitifs.. , ""Iltz-1 i, n. j uhi t
hilitiques du système nerveux, compare bien les lésions de l'écorce
cérébrale
, dans un cas de paralysie générale, à celles de
ans les capillaires du cerveau et plus particulièrement de l'écorce
cérébrale
. Cette lésion est-elle différente anatomique- m
lément nerveux, or le malade n'avait présenté, en fait de symptômes
cérébraux
, que trois attaques d'aphasie transitoire ; ce
elques prodromes lointains avaient encore seuls annoncé l'affection
cérébrale
. ' A ces trois observations complètes, avec aut
de la marche et de l'évolu- tion de certains accidents de syphilis
cérébrale
. Observation I. Syphilis datant de quatorze ans
ingée ci la base du cerveau. Foyers d'oedème localisé dans l'écorce
cérébrale
. Voir. Delphine, âgée de quarante-cinq ans, mén
moitié antérieure de la protubérance et il contourne les pédoncules
cérébraux
pour arriver jusqu'à la face supérieure du cervel
ais à un degré moindre. Les méninges molles adhèrent à la substance
cérébrale
et en arrachent des lambeaux lors de la décorti
toutes les fibres périphé- riques de ce nerf. Cerveau. - L'écorce
cérébrale
est le siège d'une lésion vasculaire diffuse, q
sur l'adventice des capillaires, faisant saillie dans la substance
cérébrale
, et donnant par places l'aspect de grappes. Les
inflammation interstitielle diffuse n'est pas spés ciale à l'écorce
cérébrale
; on la retrouve dans toutes les autre- ÉTUDE D
et la moelle où nous la retrouverons tout à l'heure. Dans l'écorce
cérébrale
elle est à son maximum dans tout le lobe frontal,
où les capillaires quittent la méninge pour pénétrer dans l'écorce
cérébrale
. En résumé le cerveau est atteint de méningo-en
es sous forme de houppes assez régulièrement espacées. Pédoncules
cérébraux
, protubérance et bulbe. Les lésions des vaissea
rondes ; elles ne contiennent pas de capillaires. Fig. 8. - Artère
cérébrale
postérieure. Péri-artérite nodulaire ; une plaq
êtée dans son développement. ? " "' · Si nous comparons les lésions
cérébrales
capables d'entraîner la démence à celtes qu'on
vons beaucoup de semblables ? le ramollissement et l'hémor- rhagie
cérébrale
, la méningo-encéphalite, la sclérose.cérébrale,
te. La maladie véritable 'c'est' l'hémorrhagie ou le ramollissement
cérébral
, c'est la méhingo-encéphalite, etc. Pourquoi co
il est beaucoup plus difficile de ratta- cher l'idiotie à la lésion
cérébrale
qui,.l'a produite, que -la. - démence. Il est b
paralytique général et à' un"1 Hémiplégique avec "ramollissement ,
cérébral
ZD ·c"y li il ? i11;1»lt'39n.t °i miiioiu1 1 fàxm
e rapproche singulièrement de la survie des déments à leurs lésions
cérébrales
, tandis que la moyenne de la vie des imbéciles
types de malades. Toits les idiots en effet présentent des lésions
cérébrales
, tandis que les imbéciles n'en offrent pas. Telle
po"n-vùlsif,711àmàii4ue ? suivant 'en somme les symptômes' d'ordre'
cérébral
dont il s'accompagne, tandis que l'imbécillité
et fatuité simple'. Autant ces auteurs ont été frappés des lésions
cérébrales
rencontrées dans l'idiotie, autant celles de' l
diotie; il s'agit alors' d'idiotie ordinaire conséquence dé lésions
cérébrales
.' Tantôt enfin l'épilepsie s'ac- compagne de l'
giqùe. Jusqu'à ce qu'on ait appris à diagnosti- quer les affections
cérébrales
de l'enfance entraînant de l'idio- tie, il faut
ais elle;-estjitile encore, en ce sens qu'elle, diminue l'éréthisme
cérébral
, et, la tendance^ aux actes dangereux ou délic-
gissait pas de démence précoce, et s'il n'y avait .. pas de lésions
cérébrales
capables d'expliquer cet état démentiel.' Quant
1 t'^'. f 1 , li 1 ? j-' ,, M. CHRISTIAN n'a'constaté aucune lésion
cérébrale
macroscopique. ? ; " - , ' ' i ? '' " ' lfancHa
du D'' Bourne- ville, l'éducation des enfants atteints d'affections
cérébrales
est un problème sur lequel doit se' porter l'at
verses questions à l'ordre du jour * s m, L'histoire des scléroses'
cérébrales
et-'des encéphalites )'de l'en- >' fance "es
ines ! la , pathologie- eU l'anatomie patholo- gique des affections
cérébrales
d'origine congénitale ? . '.f .ji ? ïitJ.av'Iyo
tissus normaux et pathologiques; la découverte des localisations
cérébrales
a éclairé le diagnostic. Dans le domaine de la th
près saines. Il, n'en est' pas de même desfcapillaires de l'écorce
cérébrale
qui.dans îlBraioru -i "fi W,f a( ? )61W' u'lU 1
aineradventicè7et-fôiit ail lie PI'Utôt ? dans > lai substance i
cérébrale
rque ' dans l'espace'Iympliatique : Ce' sont le
us"d'impoftance "au1 point" 'dé vue de'la ! nosographie'de l'oedème
cérébral
: ™,,f ? ' « "™'> "'fy df'ul n ? ") ? t'T"T
rs caraétères'anatomiques,tsont comparables'à'celles'de l'écorce'
cérébrale
; peut-être's'agit-il du inème ,f ïirocessus,'des
un infirmé.' y` a environ trois ans,, il présenté'' dès accidents1'
cérébraux
très, graves en appa-, rence,' car il a success
ésenté, trois ans avant'sa mort; des'symptômes graves d'affection
cérébrale
? des symptômes qui sont souvent les précurseurs
nce'de lésions des éléments nerveux explique l'absence1 de troubles
cérébraux
; ce malade, bien qu'atteint d'encéphalite', vas
, la première montre,des,lésions,vasculaires diffuses de l'écorce
cérébrale
qui se continuent directement avec des lésions go
pation antérieure des gros vaisseaux. Dans les trois cas, la lésion
cérébrale
était associée à diverses lésions diffuses de l
; cette altération peut se limiter aux vaisseaux de la subs- tance
cérébrale
et de la pie-mère, mais elle peut aussi descendre
cinquante-quatre ans. Son père est mort jeune, d'un ramollissèm eut
cérébral
; sa mère fantasque, avait de' nombreuses manie
1 vue ' des phénomènes tabétiques qu'au point de vue des phénomènes
cérébraux
. ' i» , c . ; 1 f t. il, ? t ') ? / ,j,t - , '
eurs, rien n'est variable comme l'évolution clinique de la syphilis
cérébrale
; mais sur ce sujet il n'y a rien à ajouter à c
une unité indiscutable ; c'est là une'belle synthèse de la syphilis
cérébrale
, à laquelle je ne peux que souscrire .'Mais, au
itement ? Ont traitera plutôt le malade, l'état général, que l'état
cérébral
même lorsqu'on a affaire au groupe c oti préser
nerveux tout entier, avec prédo- minance, si l'on veut, de l'écorce
cérébrale
, » Quanta en conclure que l'hystérie est une ma
entend toute maladie dans laquelle les phéno- mènes psychologiques
cérébraux
jouent un grand rôle, par la négative au contra
avec autopsie : Observation I. Thrombose de presque tous les sinus
cérébraux
et des veines centrales. Il n'y avait aucun des
l'101\ II. - Frisson initial, accidents aigus et subits,symp- tômes
cérébraux
: obtusion mentale céphalalgie frontale intense
x schémas intéressants, en particulier sur la structure de l'écorce
cérébrale
(fig. 22). L'étude se termine par des rappro- c
st, 389, XIV, 3.) A'. AL '1 .'t, 4 .12 ? 1 f n - .. XV. Paralysie
cérébrale
spasmodique DE .ERH ; par Manuel CARMONA, .T. V
daux,' ces paralysies sont apparues consécutivement à des accidents
cérébraux
de l'âge adulte avec vertiges, troubles des sens
hilitique. Cécité psy- chique et corticale. Observation IL Tumeur
cérébrale
indéniable. Compression et destruction de tout
iation de l'instinct, hypertrophie des centres génitaux, spinaux et
cérébraux
, sans que l'intelligence et la conscience en so
rastie, d'un animal qu'il sodomisera'. Enfin, il a été également un
cérébral
antérieur, autrement dit un plato- nique, ayant
ur 'ainsi dire; et notre malade est alors au point de vue sexuel un
cérébral
anté- rieur, et sous tous 'les rapports 'un obs
lsions/ voilà à-quoi se réduisent'en somme tous les actes de sa vie
cérébrale
: c'est par impulsion qu'il est un perverti sex
'dont ! 1 drol on'té"n'e ? p êùt-'diri'g'el' lés^divers territoires
cérébraux
; 'ceux-ci/ au' lieu d'agir sur l'ordre de la cons
ritable explication psychologique de l'obsession et de l'impulsion,
cérébrale
ou spinale. L'acte ordinairement qualifié de vo
s" qui ne' le sont pas. ? Voici'les limites exactes de cette lésion
cérébrale
: n4yATir< ? tfi .r srrp flià4t'yq,% aaa En
ce généralisée ,.sauf-toutefois,en,ce,.qui concerne les hémisphères
cérébraux
, et le ? i''< ? vGSl.lttl4.db. G·1.1a1dVa·Jalf
vrite parenchymateuse. chronique du cubital droit. Leptoménirigite.
cérébrale
chronique. Endartérite et mésartérite syphiliti
ii ' r <' , ti'. va,-<\. m ŸXXVIIt. SUR deux cas D'HÉMIPLÉGIE
cérébrale
consécutive A la , ,DIPHTIIÉRIE; Par P.. SEIEIT
le dans le sang peut engendrer directement soit des ramollissements
cérébraux
, soit des altérations inflammatoiresdans les va
laires, l'extrémité antérieure de la protubérance, les pédoncules
cérébraux
. ,j i" ? -ir- ., ? z r ? ·,. P. K. // '' ) >
eptiques,' la paralysie, malgré la large extirpation de' substances
cérébrales
ne s'acerlit, pas, mais même s'aniéliora'notabl
qu'elles peuvent échapper et laisser croire' une atrophie d'origine
cérébrale
. Dans son observation de pouls lent permanent l
les difficultés que présente la détermination du siège des lésions
cérébrales
soudaines. Sans le brusque^arrêt respiratoire du
NTRIBUTIO\ylIL9 méthode, (Expérimentale EN matière de « physiologie
cérébrale
; pàr : ,G,. '. RossO LIMO. (Netir(IlOg. Centralbl
vent présenter certaines variétés en rapport avec les localisations
cérébrales
; ' 8° la cocaïne, la , propriété ( d'exciter. l
tesi parties du cerveau, l'in- troduction dans l'économie du poison
cérébral
révèle des troubles fonc- tionnels latents; 12°
rs, du ruban de Reil du côté gauche, d'une petite zone du pédoncule
cérébral
droit ? , i <)0 .- q ..8«ionuB 1 ''numtar.am
, 1res athéromateux. Les circonvolutions, sont àlrophiéesjile tissu
cérébral
mou etspou- gieux. Il y a un,,vaste ramollissem
s pyramidales rassemblées dans la capsule interne vont au pédoncule
cérébral
; le ruban de Reil cortical entre directement da
UN C.1S.D'HÉTÉROTOPIE DE la SUBSTANCE GRISE dans LES HÉMI- SPHÈRES
cérébraux
;' par M. MATELL. (Arch. f. Psychiat., XXV, 1.)
..il* ' ' ' < . 11111. LES CONSÉQUENCES mécaniques d'une.tumeur
cérébrale
; . par Sommer. (Jahrbùch. f. Psychiat., XII, 1,
le trousseau antérieur, des -trois, quarts -internes du ;pédondule
cérébral
y compris le faisceau pyramidal, les fibres qui
édiaire déjà substance grise protubérantielle, un des hémi- sphères
cérébraux
commande au pédoncule cérébelleux moyen du ' cô
ndant a celui-ci ; 4° le corps genouilié interne dépend de l'écorce
cérébrale
; 5° le corps de Luys dépénd'âüssi;dû'corvéaù;
srtih s,r,r.'l, -j » XXXIIL' Recherches anatomiques sur les artères
cérébrales
(Etude , sur la non-terminalité des artères de
sr. p·) r : ? c')ttat,Jf ! 9m9 ) r ' 4r t Injectant dans une artère
cérébrale
de 'l'alcool tenant en sus- pension 'dé, laHcir
tre elles. L'existence, constante d'anasto- moses entre les artères
cérébrales
dans leur trajet pie-mérien, ne suffit pas touj
LVI.j LÉSION DES ARTICULATIONS ETUDES MUSCLES DANS LES HÉMIPLÉGIES ^
cérébrales
; par IL. DARKSCHER'ITSCH.(Archzv. Psychial., XXI
) -$"Nrp.-fe. isfeq , -ifUï"ff 1/ L'auteur surtout dans, les formes
cérébrales
,de la neurasthénie préconisé le traitement par
e `tare neurôpa- thique. Son père était toutefois mortd'hémorrbagie
cérébrale
. j9^ M : 3 BRIAND demandeisi 1l : GarodischeVes
de la communication, puisqu'un ascendant est mort d hxmor- rha,"ie
cérébrale
. Cesn deux3 observationsparaissenti enr,toutcas
e ? r'. t·lr L : ' F 'ItIr loi- rt·'v v. M. Ballet ? Lnemorrhagie
cérébrale
ne peut guère constituer une tare héréditaire,
re de Sandon, qui devenait aliéné après chacune de ses hémorrhagies
cérébrales
;- i L'hémorrhagie cérébrales peut bien être con
iéné après chacune de ses hémorrhagies cérébrales;- i L'hémorrhagie
cérébrales
peut bien être considérée comme une tare neurop
une forte prédominance des manifestations maniaques, l'excitation
cérébrale
atteignant chez eux un degré extrême. Après avoir
éthodes différentes' ont été appliquées à l'étude des Localisations
cérébrales
: la méthode expérimentale et la mé- thode anat
M. Pitres, un travail d'ensemble sur la doctrine des Localisations
cérébrales
. La partie de ce tra- vail relative aux centres
s, tout événement psycho-physiologique, tout phénomène d'activité
cérébrale
a un côté subjectif sur lequel les animaux sont i
s, n'ont apporté aucune donnée nouvelle à l'étude des localisations
cérébrales
; et comme il est très vraisemblable qu'on n*en
habere et inter se compàrare. Appliquée à l'étude des localisations
cérébrales
, la méthode anatomo-clinique a pour but la déte
autent aux yeux. D'abord, elle n'utilise pour l'étude des fonctions
cérébrales
de l'homme que le cerveau humain. Ensuite, elle
mort, une plaque jaune ancienne sur la surface d'une circonvolution
cérébrale
. Quelle expérience de laboratoire démontrerait
ion, comme étant, par principe, impropres l'élude des localisations
cérébrales
, toutes les observations, anciennes ou récentes
tions postérieures sont indépendantes de l'appareil moteur intra-
cérébral
et que leurs lésions destructives ne provoquent p
palh. du corps humain, pi. 111, tij. 1- ? . ÉTUDE DES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. L)5 rentre au contraire dans le groupe des fai
ature à présenter quelque intérêt au point de vue des localisations
cérébrales
, avec un soin méticuleux, et à des- siner aussi
aris, dans la séance du 22 décembre 1876, la moitié d'un hémisphère
cérébral
dans lequel se trouvait un abcès. D'après lui,
lies ne sont pas égale- ment favorables à l'étude des localisations
cérébrales
. Les cas simples dans lesquels une lésion ancie
réter et partant beaucoup moins démonstratifs. Les cas de tumeurs
cérébrales
ne valent guère mieux. La plupart des tumeurs n
liquent à tel point les réactions fonction- nelles que toute tumeur
cérébrale
, quelle que bien limitée qu'elle paraisse à l'a
ique : Rejeter comme étant impropres à l'élude des 'localisations
cérébrales
tous les cas de lésions mzclliples ou diffuses, d
ites, d'hémorrhagies méningées, de tumeurs, ÉTUDE DES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 347 7 etc., dans lesquels des phénomènes d'irr
, la topographie fonctionnelle du cerveau. L'étude de la géographie
cérébrale
doit être faite d'abord avec les cas les plus s
s le choix des observations applicables à l'étude des localisations
cérébrales
. Il nous reste à formuler mainte- nant les règl
s- tante d'un symptôme déterminé avec les lésions d'un territoire
cérébral
également déterminé ; r. "Y}. L. 1 1 1 - t G).
ue des lésions, maisriparce qu'iljyra'dans l'étude de la pathologie
cérébrale
un certain nombre de causes d'erreurs à peu prè
r dans le dossier des' localisations.. .1 , ÉTUDE DES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 1-1 9 Autre cause d'erreur : * Certaines1, cir
es peuvent modifier les aptitudes fonctionnelles desT hémisphères
cérébraux
. Les lésions qui causent l'aphasie motrice 'siège
. Mais quelques sujets ontune sorte' de transposition des organes
cérébraux
et deviennént'aphasiques par levait de lésions de
à trouver dans les documents relatifs à l'étude des localisations
cérébrales
la rigoureuse et constante uniformité qui ne se r
les cliniciens désireux de se livrer' à l'étude des localisations
cérébrales
. En les suivant rigoureusement,' on doit arriver
odifié nos opinions sur ce point; il les a, ÉTUDE DES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 51 au contraire, affermies. Nous croyons toujo
entre l'hallucination et l'illusion. Peut-être, au fond, le trouble
cérébral
est-il le même, dans les deux cas. Cependant, il
rove- nant en dernière analyse d'une excitation interne du centre
cérébral
..Cette excitation, suivant, les uns, naît sur- pl
.ul t ir111f1t11.'Ir1)W ty v·,flp ? i ? f ? àitous) esjyqntrieules,
cérébraux
, sans- autre généralisation. Nous ne connaisson
fant est en proieppendant la1 nuit prhicipaléméht^à de l'excitation
cérébrale
, chantant a-tue-tête des refrains populaires et
tredagnostc; deux^fois au lit" de la. malade (méningite ; tubercule
cérébral
dans.une zone, ndifférente,iolqîqqtal. ? ) ? Ia
pouvait' pas avoiri ilnél action(, biènJèfficaca sur les' lésions *
cérébrales
qu'occasionnents les diverses9 ! formes ? de l'id
troubles intellectuels dus à,un abcès'du cer- sjveaujà une tumeur;
cérébrale
; dont;le siège : peuta.ètrélpécisé. gGesremarqu
jusqu'à (présent; àïsavoir.'iqueM'impaludismecrée' une intolérance
cérébrale
absolue- aux alcools'. 9 lenoi'iJ hb aup-iJiT* »
ionnelle aux alcools, lé 'miasme^paludéen placé la cellule nerveuse
cérébrale
vis^à-vis ' Jdes ^liqueurs' fortes ^dans ''dés"
des, mais qu'il sera en outre exposé à une forme grave d'alcoolisme
cérébral
avec démence précoce consécutive. (Annales médi
e râver9dé°la' liste des maladies inflaiiffiiatoiresrdes, méninges^
cérébrales
,9 ùnê' lésion 'qui, "pbur'lùi, éttdûê-plutôt`a'
rois actes aussi, clairement volontaires ;, et^aussi indéniablement
cérébraux
doivent, être représentés, dans l'é- core ? dan
é'sijnalée`dansla'rpara- lysie générale et dans d'autres affections
cérébrales
.'1'1^ ti u ? M. Christian rapporte l'observatio
paralysie générale. (Soc. de Biologie, 8 nov. 1879.) Localisations
cérébrales
dans la paralysie gé- nérale. Lésions^ accident
't : q'' e 'q . . : Grasset. --Des localisations dans les maladies'
cérébrales
,. 1880 ? F. Raymond et Artaud. Contribution à l
"' i j Ferrier ? 1« « The,Croonianleclures » sur (les localisations
cérébrales
, trad. franc. SorR).'(4;'cA; Neurologie ? 1891,
? 1891, n 61.)lsa ? r.·.u 1,' t * · 2 Lépine.- Du trismus d'origine
cérébrale
. (Revue de médecine, 1882.) 340 ^ .. < , ...
. des muscles de la mastication et du tris- , mus dans les maladies
cérébrales
en foyer. Wien. med. Wochensch. ,.1886 (cité pa
. ' . ? - " " lep .. z ' Ferrier. - De la localisation des maladies
cérébrales
,; p. 136 ? . z 4'Lépine. - euMeme)MMeee'c/t : '
ui puisse jouer un rôle aussi'rapide,'c'est le sang dès vais- seaux
cérébraux
, soit qu'il y ! ait constriction de ces vaisseaux
" la combustion qui se passe dans les centres, les cordons nerveux,
cérébraux
et spinaux sont amenés à l'état de tension' pro
st à l'état de tension complète, mais non excessive^ quand lé' feu'
cérébral
brûle j ? ii ? n - -j. a . , . avec toute son
fatigue et de sommeil : cet état persiste jusqu'au moment où le feu
cérébral
se^allume, où la tensionse'rélablit, et . où le
les mémoires' du déclin'de sa vie ? doit être attribuée à un foyer
cérébral
gauche et non au désir de cacher les secrets de
que ne cédera'la place à la ! mécanique 'que lorsque la mécanique :
cérébrale
ne reposera plus'sur des constructions dou- teu
nterprétation,'] il est "vrai, -va' l'encontre de'' la doc- trine.'
cérébrale
de; la ! paralysie généra ! e'*pbùr laquelle -tou
l'autopsie( desquels on, à-trouvé des lésions de circonvolutions'
cérébrales
? bien que pendant la maladie on n'eût constaté a
é : De l'emploi du séton et de la pommade stibiée dans les maladies
cérébrales
. ? M. ScHROETER.En plusieurs cas d'épilepsie le
processus menstruel normal est souvent modifié par lès'affections'
cérébrales
,* en revanche il' exerce aussi une certaine inf
Le tableau se complique de paraphasie ^prolapsus de*la substance
cérébrale
, écoulement de liquide céphalo-rachidien. La' mal
entales, nous avons trente-deux fois établi le diagnostic de tumeur
cérébrale
,, c'est-à-dire dans,l et demi p. 100. Seize foi
hamps, d'où la nécessité de lutter non seulement contre les lésions
cérébrales
qui ont occasionné l'arrêt de développement des
te, la tâche est moins difficile, car on n'a qu'à remédier à l'état
cérébral
et non plus, par surcroît, à des mauvaises habitu
que z autonome, par la nature, le mode d'évolution, des désordres
cérébraux
, car il s'agit de maladies médico-fégaies tant el
ent, gastralgies dyspepsies avec ou sans choc direct.' Les troubles
cérébraux
peu- veuf survenir après des traumatismes crani
dans certaines observations, où. j il·ést;cônclü ? à;dë"s trôùblés
cérébraux
d'origine traumatique avec ou sans anomalies et
onné son nom, ne l'a pas empêché de mourir subitement d'hémorrhagie
cérébrale
. Brown-Séquard fut marié trois fois : une premi
épilepsie,9 ? la folie systématique' (5'cas) ? = l''cas de syphilis
cérébrale
; 3 cas d'alcuolisméchronique; = 5'câsdedébilité
147. .- ? 03 <*. ,f · - 1 .,·t,··,, '<t.f\ n 1 ARTÈRES
cérébrales
, recherches ana- toniques sur les -, par Biscon
coce; par. Vigoureux, 380. Diphtérie, sur deux cas d'hémiplé- gie
cérébrale
consécutifs à la -, ., par.5eifert, 192. , r '
ptégique, par Targowla, 145 ? ,j "' " ' i Hémiplégie, deux cas d'-
cérébrale
' consécutive à la diphtérie, par , Seifert,
par , Seifert, 192 ; lésions des artères et des muscles dans les
cérébrales
, par Dai-h-sclie-witsch, 222. IHÉ1'ÉROTOI'IB
, 222. IHÉ1'ÉROTOI'IB de la substance grise, dans les hémisphères
cérébraux
, par Matett, 208 ; de la substance ' grise'de
iier; - t4&. - v ? ? ' HYPÉRESTIIÉSIE 1 optique;t d'origine
cérébrale
, par Freund, 196 ? ' ? H1'POGLOSSE, blessure gr
un cas de fruste, par Schaefer, ' 10J.. t .- -\ .. - n' paralysie
cérébrale
spasmodique *de Erb; par.Carmona, 151. Paraly
.Carmona, 151. Paralysie infantile, une forme rare de . d'origine
cérébrale
, par Kcenig,,454. Paralysie générale progress
Sullivan, 303. SÉTON,' de l'emploi du -.rdans les 'l' maladies."
cérébrales
, par Erlen- mayer, 452. , Société médico-psyc
.... ,m 1 Thrombose, deux observations de , autochtones des sinus
cérébraux
, par Bucklers, 148. THYROIDECTO.IISÉ, la toxi
i, 217; dans les asiles (..d'idiots, pat Wulff, 293. Tumeurs, les
cérébrales
et la question du traitement opératoire, r. p
mère, par Lish- y man, 205; les conséquences mé- - caniques d'une
cérébrale
, par Sommer, 208. Visuel, rétrécissement du c
e (point de départ de l'infiltration sanguine), lésions des artères
cérébrales
, léger degré de sclérose rénale. Voilà donc le
comme symptôme moins fréquent et plus tardif que dans l'hémorrhagie
cérébrale
. M. le profes- seur Lépine l'observait dans les
irmer. Tous les auteurs sont unanimes sur ce point. L'hémor- rhagie
cérébrale
est cependant plus systématisée dans ses symptô
culaire apparaissent les contractures précoces. Le ramollissement
cérébral
a ordinairement pour lui son mode de début et s
rement pour lui son mode de début et son étiologie. La congestion
cérébrale
a une durée moindre et une symp- tomatologie mo
e et une symp- tomatologie moins brutale. Et quant t la commotion
cérébrale
, à laquelle on peut tou- jours penser, surtout
sortie clairement pour nous de l'examen nécropsique des hémisphères
cérébraux
. Néanmoins la trépanation et l'inci- sion de la
ne au cours d'un coma, même lorsqu'ils indiquent une localisation
cérébrale
précise, ne constituent pas une indication opéra-
scléreux atteints, 11. des degrés plus ou moins marqués, d'artérite
cérébrale
Elle est habituellement déterminée par la ruptu
culose pulmonaire. Ilots de sclérose tubéreuse des deux hémisphères
cérébraux
; petites- tumeurs sclél'C1/sr-s du sillon upto-
oncle maternel serait mort relativement jeune d'un ramollisse- ment
cérébral
. Il avait deux enfants dont l'un a succombé à la
st filiforme. Les nerfs, les tubercules mamillaires, les pédoncules
cérébraux
, etc., sont égaux. - La glande pinéale a son as
athéromateuses diffuses des capillaires et des cellules de l'écorce
cérébrale
. Cette affection se distingue essentiellement c
tique. Cette athéromasie n'est d'ailleurs pas localisée à l'écorce
cérébrale
; elle se montre ailleurs sur l'ensemble du systèm
rénales (le malade avait de l'albumi- nurie) ; athérome des artères
cérébrales
et piemériennes. Pas la moindre lésion d'encéph
.) M. Wigtesworth a décrit il y a peu de temps deux cas de maladies
cérébrales
à forme de dégénérescence observés chez des enf
e; 2° malades atteints de démence oiganique, chez lesquels le tissu
cérébral
est en état de dégénérescence pro- gressive ; 3
eune fille de dix-sept ans, morte avec tous les signes d'une tumeur
cérébrale
. A l'autopsie : épithélioma du corps pituitaire.
n ralentissant les échanges, en rendant moins active la circulation
cérébrale
, de façon à permettre l'apport d'une quantité p
prudence aux malades affaiblis physiquement, atteints d'affections
cérébrales
en foyer ou présentant de la tendance à l'état
la chi- rurgie crânienne pure a conduit aux excisions de matière
cérébrale
, prélevée dans les régions corticales corresponda
IV. - Can..., trente-trois ans, couturière. Père mort d'hémorragie
cérébrale
. Famille nerveuse. Pas d'antécé- dents personne
iégera dans le cerveau, créant ainsi une hémiplégie ou une diplégie
cérébrale
syphi- litique avec signe d'Argyll, comme nous
fesseur Raymond : homme atteint dans l'enfance d'une hémi- plégie
cérébrale
droite spasmodique ; prend la syphilis, pré- se
signe de Romberg, le signe d'Argyll ; fait ensuite une hé= miplégie
cérébrale
gauche, de telle sorte qu'il se présente avec u
ésente avec une paralysie spasmodique créée par une double lésion
cérébrale
, la droite relevant de l'enfance, la gauche provo
droite relevant de l'enfance, la gauche provo- quée par la syphilis
cérébrale
, paralysie qui évolue avec des douleurs fulgura
odiques médullaires par l'absence d'ictus, de troubles bulbaires et
cérébraux
, par l'évolution lente et caractéristique de le
it beaucoup ennuyée de sa mère » et elle présenta quelques troubles
cérébraux
, sur lesquels nous reviendrons, ce qui fit qu'on
aires un état somatique particulier au-dessous des manifes- tations
cérébrales
de la maladie '. H. de 111USGnAVE-CLaY. XIV. Un
l'inhibition corticale. R. DE MUSGRAVE-CLAY. XV. Un cas de tumeur
cérébrale
avec autopsie; par G. L. WALLON. (Brain, vol. X
re à l'existence d'une atrophie quelconque. XIX. Un cas de tumeur
cérébrale
avec autopsie; par van GEIIUCIITFN et Le Mort.
des voies motrices dans leur passage à travers les deux pedoncules
cérébraux
. ' Ce fait prouve donc une fois de plus que les
qui tend à prouver que c'est bien a la compression, des pédoncules
cérébraux
que doivent être rattachés les troubles, moteur
tée en ce cas particu- lier étaient en rapport avec les altérations
cérébrales
des régions frontales, occipitales. P. KERAVAL.
ifiés. Le malade vit encore. P. KERAVAL. XIX. Thrombose de l'artère
cérébrale
antérieure; par G. L31KELES. (Neurolog. Central
e, vont à la région snbthalamiqne. Intégrité de l'anse du pédoncule
cérébral
, c'est-à-dire des fibres du noyau lenticulaire
Rien d'anormal dans le globus palhdus. P. Keraval. XX. De l'ataxie
cérébrale
aiguë ; par M. \)Ii'OELEIL (Nelll'ologisch. Cer
couronne rayonnante et des gros ganglions de la base aux pédoncules
cérébraux
. (V. Observations de Leyden, 'irchow's - Archiu
ubles mentaux pouvant faire soup çonner la coexistence d'une lésion
cérébrale
localisée '. L'hérédité dans la paralysie génér
ticulaire et enfin dans le stratum intermedium du pied du pédoncule
cérébral
et dans la partie dorso-médiane de la moitié in
s la partie dorso-médiane de la moitié interne du pied du pédoncule
cérébral
. Sur les coupes passant par le tubercule qua- d
mp H de Foret et enfin dans la partie latérale du pied du pédoncule
cérébral
. On voit presque sur toutes les coupes, faites
on correspondante des fibres dégénérées monter du pied du pédoncule
cérébral
vers le tubercule quadrijumeau antérieur. Ces f
ong. Outre ces faisceaux de fibres dégénérées issues du pédoncule
cérébral
on voit encore, après l'extirpation du centre par
uisqu'il développe le pouvoir d'arrêt ou d'inhibition. Les images
cérébrales
et l'activité mentale. - M. PAU de Saint- MARTI
ion and clinical description in brain disease autopsy (Hémisphère
cérébral
divisé transversalement en trente-sept coupes, mo
oléculaire par compression ou étirement (hémichorée par hémorrhagie
cérébrale
, épilepsie par tumeur cérébrale, etc.) ; 4° S
irement (hémichorée par hémorrhagie cérébrale, épilepsie par tumeur
cérébrale
, etc.) ; 4° Soit à une déchirure ou à une ruptu
FAITS. Idiotie épileptique. Inégalité de poids des hémisphe- res
cérébraux
. Malformation des lobes occipitaux dans lesquel
térieure des lobes occipitaux pour former ces sinus. L'hémisphère
cérébral
gauche est beaucoup moins volumineux que le dro
m qui est à la fois inutile et trompeur. A. POULAIID. XXX. Lésion
cérébrale
par contre-coup ; par les D ? DE BucK et VAN DE
uva en présence d'une vaste cavité remplie de liquide. La substance
cérébrale
était retombée à environ six centimètres de la
analysé. P. Keraval, , 111'IIT. Des modifications de la circulation
cérébrale
dans l'intoxication alcoolique aiguë; par Beiva
ions tuberculeuses. Mais il existait dans la calotte des pédoncules
cérébraux
une tumeur, du volume d'une noix, s'étendant de
ns leur trajet pédonculaire, la lésion enfin du pied du pédon- cule
cérébral
gauche et la destruction des fibres de la calotte
n de la paralysie de la langue. A. FENAYROU. XLIII. La congestion
cérébrale
devant l'Académie de médecine en 1861 ; par M.
le, 3 février 1900.) L'auteur estime qu'on attribue à la congestion
cérébrale
, en nosographie, une importance qu'elle est loi
tance qu'elle est loin d'avoir réellement. Selon lui, la congestion
cérébrale
, considérée en tant qu'affection autonome, est
ts morbides ou de symptômes ordinairement attribués à la congestion
cérébrale
apoplectiforme relèvent, en réalité, d'affec-,
dire, concluait-il, que je nie d'une manière absolue la congestion
cérébrale
? Non, certes. J'admets la congestion, l'hyperh
ester l'existence ; mais je dis que ce qu'on a appelé la congestion
cérébrale
apoplectiforme est, dans le plus grand nombre d
et mourut en état de mal. A l'autopsie on trouva dans l'hémisphère
cérébral
droit une tumeur qui s'étendait du pôle occipit
e, occupant le domaine des lobules lingual et fusi- forme. L'artère
cérébrale
postérieure était obstruée par un throm- bus. L
a clinique, ont fait faire un grand pas à l'étude des localisations
cérébrales
et cette étude fertile en résultats intéressant
nstatées dans les examens nécros- copiques, démontrent que l'écorce
cérébrale
et les méninges sont le siège d'un processus mo
s que très rarement de la paralysie progres- sive ou de la syphilis
cérébrale
. , M. WAHL. - La prédisposition héréditaire jou
e générale. Le troisième renferme les malades emportés par un ictus
cérébral
, et il compte 36 cas. La conclusion qui découle
e ces faits est que, contrairement à la doctrine classique, l'ictus
cérébral
n'est pas une complication de la paralysie géné
aires, et â la partie antérieure de la face interne de l'hémisphère
cérébral
. L'examen histologique démontra que les lésions
n histologique démontra que les lésions des méninges et de l'écorce
cérébrale
sont généralisées, mais beaucoup plus pro- nonc
es circonvolutions qui avoisinent le sillon de Holando. La pie-mère
cérébrale
est formée par un lacis serré de fascicules fib
u'on avait encore de l'organisation fonctionnelle des hémis- phères
cérébraux
. A l'époque dont je vous parle, le dogme erroné
ue l'on connaissait déjà à la moelle. La doctrine des localisations
cérébrales
était encore dans les limbes. Toutefois, ceux q
dogme de Flourens. On n'en consi- dérait pas moins les hémisphères
cérébraux
comme une masse de substance nerveuse, homogène
ssement de leurs fonctions comme adéquat à la quantité de substance
cérébrale
, détruite ou anni- hilée. En 487U, une découv
cliniciens ; leur but commun était de démontrer que les hémisphères
cérébraux
se décomposent en territoires aux fonc- tions t
x. Nous le sommes un peu moins bien sur les territoires de l'écorce
cérébrale
auxquels aboutit la voie sensitive (sensibilité
is cette époque, toutes deux avaient donné des signes de trou- bles
cérébraux
; que 'sa belle-soeur était depuis deux mois envir
les fibres nerveuses, à des agglomérations de cellules de l'écorce
cérébrale
, après avoir traversé un plus ou moins grand no
CTION DE PSYCHIATRIE. 303 tie observés par lui, les circonvolutions
cérébrales
étaient moins nombreuses que d'ordinaire et Mal
é chez les idiots, de la sécheresse et de la dureté de la substance
cérébrale
. Bonnet et Haller, ensuite relatent des tumeurs
raité classique des maladies mentales, note que les circonvolutions
cérébrales
des idiots sont, en règle générale, petites, at
2° L'hydrocéphalie. 3° La scaphocéphalie. 4° Les imperfections
cérébrales
de type « mongol », des tissus osseux, cutané,
ns semblent être : un raccourcis- sement postérieur des hémisphères
cérébraux
tel que le cervelet restait découvert; l'arrêt
survenant très tôt dans la vie d'enfants atteints de dégénérescence
cérébrale
, comme l'ont décrite Sachs, Ko- plick, Kingdon
utions frontales ne sont que peu intéressées. Quand il y a diplégie
cérébrale
, Trend a trouvé que la cause la plus fréquente
cause une rigidité spasmodique, de la paraplégie, ou de la diplégie
cérébrale
. Dans ces cas, l'intelligence peut n'être que p
un véritable arrêt de développement de cer- taines régions du tissu
cérébral
. qui peut être constaté par la pré- sence desne
ent les cerveaux dans lesquels la substance blanche des hémisphères
cérébraux
est très peu développée, tan- dis que la substa
mi-ovale, par la distension énorme des ventricules, les hémisphères
cérébraux
se transformant en vessies à parois minces ; l'
l'arrêt de développe- ment de la substance blanche des hémisphères
cérébraux
au degré le plus avancé, viennent les cerveaux
pécial consiste en ce que, entre la substance grise des hémisphères
cérébraux
et le centre semi-ovale, le tissu nerveux parfo
le véritable arrêt de développement de cer- taines parties du tissu
cérébral
, provoque sans doute l'insuffisance des fonctio
ules nerveuses et contribuer à rehausser l'acti- vité des fonctions
cérébrales
. C'est ainsi peut-être que s'expliquent des cas
ent ne répond qu'à une seule indication thérapeu- tique », le repos
cérébral
. Je tiens à bien préciser ce terme « phy- siolo
ques, on était sur le point d'en faire l'application aux phénomènes
cérébraux
supérieurs; mais on ne peut méconnaître que ces
es neurones d'association dans la zone du langage des hémi- sphères
cérébraux
, nous proposons en conséquence de classer les a
de lésions assez limitées de l'écorce cébrale. Le pied du pédoncule
cérébral
gauche est un peu moins bien coloré dans son ti
rveau humain; par Paul LLECIIS1G (Leipzig). La division de l'écorce
cérébrale
qui résulte de mes travaux, SECTION DE NEUROLOG
toute particulière, au niveau des masses de fibres des hémisphères
cérébraux
. Ainsi, par exem- ple après la formation succes
s courts et longs d'association, on arrive à délimiter sur l'écorce
cérébrale
des champs corticaux myélogénétiques, sur toute
ronne rayonnante de fibres groupées en faisceaux, unissant l'écorce
cérébrale
aux organes terminaux périphériques et réalisan
e s'établit, justifiant la légitimité de notre division de l'écorce
cérébrale
en centres sensoriels (centres de projection) e
iation. Mais il parait certain que certains territoires de l'écorce
cérébrale
possèdent un bien moins grand nombre de fibres de
in ne se prononce pas encore sur les rapports de l'artério-sclérose
cérébrale
avec les états mélancoliques. Paul SÉRIEUX. V
iquer, est l'un des plus importants de .' M. Frenkel. De l'exercice
cérébral
appliqué au traitement de certains troubles mot
par les courants électriques dans une zone déterminée, que l'écorce
cérébrale
se composait de centres circonscrits possédant
possédant des fonctions différentes. La doctrine des localisations
cérébrales
, dont Broca avait jeté les bases au point de vu
ion considérable des masses nerveuses constituant les hémis- phères
cérébraux
- on peut presque dire leur moitié est en rappo
rches de M. Hitzig sur les sphères visuelle et auditive de l'écorce
cérébrale
(1874-1883-1889). En 1874, Hitzig fait remarque
s mouvements de la colonne vertébrale à l'énorme masse de substance
cérébrale
qui constitue les lobes frontaux de l'homme. Ex
s prononcés et une hypersécré- tion sudorale très marquée, l'effort
cérébral
que le malade faisait pour exécuter un mouvemen
me auteur je dois citer un important travail sur la gal- vanisaiion
cérébrale
lu à la Société française d'électrothérapie et
a été affirmé à l'Académie de Médecine par Marey, la galvanisation
cérébrale
est sans danger comme sans inconvénients lorsqu
oute variation brusque de potentiel. Les effets de la galvanisation
cérébrale
varient suivant le pôle actif. Le négatif exerc
face du cerveau et de la moelle. On trouve, aussi sous les méninges
cérébrales
ou spinales de nombreuses, bulles de gaz. Le co
le ou partielle dans un certain nombre de, maladies nerveuses, soit
cérébrales
, soit périphériques et l'a trouvée tantôt à la su
rdiaques et gastriques, la neurasthénie, l'hypochondrie, la fatigue
cérébrale
ou nerveuse. La migraine, le goitre exolihthalm
rogrès des recher- ches embryologiques, Flechsig partage la surface
cérébrale
en qua- rante districts, chez lesquels laimyéli
es dans la couronne rayonnante, et répandues sur toute la surface
cérébrale
, ne se trouve définitivement eu concrétion direct
médullaire limitante. Il existe en conséquence sur toute la surface
cérébrale
des espaces considérables, plus ou moins étendu
itoires des hémisphères-. Du reste, il existe dans d'autres régions
cérébrales
(la substance grise centrale) des par tics, d'u
L DE MÉDECINE. sentation des noyaux intracorticaux (les contingents
cérébraux
, Gi,ossili ? n(i71lheile de von Monakow), dont
es. Le mode de répartition des fibres de pro- jection dans l'écorce
cérébrale
est inégal et varie beaucoup. Il est sujet à de
s qui con- courent an travail psychique comme répandus sur l'écorce
cérébrale
tout entière. Il existe sûrement pour le travai
e Berlin). Jusqu'au dernier moment toutes nos études sur les fibres
cérébrales
n'ont fait que confirmer ce que M"10 Vogt et mo
ibres du corps cal- 1 0. Vogt. Sur la myélinisation de l'hémisphère
cérébral
du chat. Comptes rendus des séances de la Soc.
e, vol. 56. C. Vogt. Etude sur la i)2yéliiiisatioii des hémisphères
cérébraux
. Paris, 1900, Steinheil. 0. \'ot. Flechsig's
'établisse- ment de l'homologie des différentes régions de l'écorce
cérébrale
. Xlll- Congrès international de médecine. Secti
unication d'Arton sur les troubles du sens muscu- laire, par lésion
cérébrale
, où il se trouvait chez trois malades atteints
M. le professeur OBERSTEINER (de Vienne). -Je pense, la subs- tance
cérébrale
étant incompressible, que la formation de telles
, pour ainsi dire le fait habituel. Parmi ces vieillards, à lésions
cérébrales
circonscrites, certains peuvent devenir hémiplé
facteurs celui qui m'a paru primer tous les autres, c'est l'oedème
cérébral
en rapport avec le mauvais fonctionnement de l'ap
par le D1' Kocu (d'Aix-la-Chapelle). Présentation d'un hémisphère
cérébral
pour la démonstration et d'un eslhésiomètre; pa
ne fois de plus, que l'on peut avoir certains troubles fonctionnels
cérébraux
; mêmes accen- tués, sans que la lésion correspo
élires fébrile, confusion mentale, hallucinations, etc.) à l'action
cérébrale
des poisons fabriqués dans un organisme infecté
nt semblables à celles que nous venons de montrer dans les cellules
cérébrales
. De même que les polynévrites sont formées de s
le de l'Asile clinique, je définis l'obsession « un mode d'activité
cérébrale
dans lequel un mot, une pensée, une image s'imp
énérescence mentale, l'obsession est donc une variété d'automatisme
cérébral
conscient, imposant ci. l'esprit d'une façon pa
es se sont développées pour aboutir au dénouement decet automatisme
cérébral
conscient, c'est-à-dire à la satisfaction du be
t par le traitement médico-pédagogique. L'idiotie relève de lésions
cérébrales
variées : sclérose atrophique, sclérose tubéreu
de la moelle : les réflexes sont exagérés; Troisième type. Forme
cérébrale
: les cordons de la moelle sont intacts, les ré
res régions sensitivo-sensoriclles ou psycho-motri- ces de l'écorce
cérébrale
explique la production de ces hallucina- tions
n peut les rencontrer chez des indi- vidus dont toutes les facultés
cérébrales
sont bien développées. L'idiotie morale s'accom
e morale est produite par des malformations et des lésions morbides
cérébrales
; elles sont moins bien connues que celles de l
ulente. Là, MM. Roubinovitcii et Ylavianos trouvèrent : de l'oedème
cérébral
et de l'injection pie-mérienne très accentuée.
fois de plus, que l'on peut avoir cer- tains troubles fonctionnels
cérébraux
, même accentués, sans que la lésion corresponda
délire fébrile, confusion mentale, hallucinations, etc.) à l'action
cérébrale
des poisons fabriqués dans . SECTION DE PSYCHIA
able folie; l'hérédité nerveuse; l'hérédité diathésique; l'hérédité
cérébrale
et l'hérédité alcoolique. Voici les conclusio
familles d'aliénés, de psychiques, de diathésiques, de nerveux, de
cérébraux
et d'alcooliques ; 3° La di- minution de la' ré
s aux familles des aliénés, des dialhé- siques, des psychiques, des
cérébraux
, des nerveux et des alcooli- ques ; il' La léth
le moins grand nombre d'enfants sont : les hérédités vésanique et
cérébrale
; puis viennent les hérédités diatéhsique et nerve
autres arcs spinaux ou spino-cérébraux. L'ablation des hémisphères
cérébraux
entraîne immédiatement une très grande exaltati
chez les animaux les réflexes dépendent en grande partie des influx
cérébraux
, et que chez l'homme ils ne peuvent même pas ex
rent très nettement la dépendance du tonus des muscles des procédés
cérébraux
, fait sur lequel M. Bruns a insisté avec tant d
ne diminution de volume du ruban de Reil du même côté que la lésion
cérébrale
et qui peut être suivie dans les fibres arcifor
cus superficiel, contournent la partie interne du pied du pédoncule
cérébral
et descendent le long de la partie interne du S
: un plus grand nombre de mots sont retrouvés. Mort par hémorragie
cérébrale
dans le cerveau droit (oct. 1896). Autopsie :
clérose. Les racines postérieures sont dégénérées. b) Les tumeurs
cérébrales
produisent fréquemment des lésions dans les cor
ement un complexus symptomatique indiquant l'existence d'une tumeur
cérébrale
(céphalalgies, somnolence, vertiges, névrite RE
oelle, elle a dû être déterminée, d'après l'auteur, par la pression
cérébrale
: celle-ci aurait exercé sur la circulation de la
own, 131. Phénomène smgu- lier de l'-locomotrice, parWard, 149. -
cérébrale
aiguë, par Din- ides', 157. Atrophie musculai
s des - des cornes antérieures en action, par Luxem- burg, 133.
Cérébrale
. Lésion - par contre- coup, par de Buck et van
fusion mentale, par ltoubino- witch et Vlavianos, 491. Congestion
cérébrale
devant l'Aca- démie, en 1861, par P. Marie, 2
e des -, par Kouindjy. 353. Hémisphères. llvélinisation des - z
cérébraux
, par Vogt, 174. Hérédité dans les états mentaux
eville, 319, par Oberthnr, 320. - morale, par Brunet, 489. Images
cérébrales
et activité men- tale, par Pau de Saint-Martin,
tion glandulaire, par le -, par Parker, 17. Thrombose de l'artère
cérébrale
an- térieure, par Bllceles, 156. Thyroïdien.
par Péclarmant, 521. Tubercules. Traitement chirui-gical des -
cérébraux
, par Treyer, 147. Tubercules quadrijumaux. Co
aux. Con- nexions des - chez le lapin, par Paw;low, 123. Tumeur
cérébrale
avec autopsie, par Walton; 130, par van Gehucht
e des symptômes pré- curseurs du tabes; l'antériorité des symptômes
cérébraux
sur les symptômes spinaux l'entraîne à se deman
Dans aucun de ces deux mémoires, Baillarger ne parle de syphilis
cérébrale
, et nous ne serions pas surpris que pour ' Bail
? 7. - Moelle cervicale supéie ure. 16 CLINIQUE MENTALE. Écorce
cérébrale
. L'examen des coupes de l'écorce cérébrale des
CLINIQUE MENTALE. Écorce cérébrale. L'examen des coupes de l'écorce
cérébrale
des lobes frontaux temporaux, pariétaux et occi
toutes les fibres issues du ganglion spinal en bas, et de l'écorce
cérébrale
en haut. Or, nous avons noté au cours de la des
s DE contusion DU cerveau. CONTRIBUTION A l'étude DES localisations
cérébrales
; par le professeur LUIGI L.MARCHII. (Il Morgag
n signe clinique permettant d'affirmer le diagnostic de contusion
cérébrale
, plutôt que celui d'hél11orlha ! ! ie méningée, e
ne discussion très intéres- sante au point de vue des localisations
cérébrales
, particulièremen. en ce qui concerne les différ
oduire à la suite d'une 48 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. lésion
cérébrale
: hémiplégie purement motrice ou compliquée de
ervés peuvent s'expliquer « par la production d'une thrombose de la
cérébrale
postérieure au ni- veau même de son union avec
es de cette artère et très ralentie dans la pre- mière partie de la
cérébrale
postérieure qui donne naissance aux dix collaté
des artères de l'oculo-moteur (artères terminales, éma- nant de la
cérébrale
postérieure) qu'il faut chercher le point de dé
s accidents antérieurs. Quant à la forme cataleptique des accidents
cérébraux
, on peut. sans invoquer l'hypothèse de la prédo
nastique que lursqu'un ne constatera plus de symptômes d'excitation
cérébrale
. Les vertiges dont se plaignent les hémiplégiqu
e de l'éco- nomie, une sénilité anticipée. Sous le nom d'hérédité
cérébrale
, MM. Mairet et Vires compren- nent les différen
ascendants, telles que la paralysie générale, les ramollisse- ments
cérébraux
suivis de démence, les attaques d'apoplexie. Cett
irement transmise; les observations sont plus nombreuses d'hérédité
cérébrale
par ramollissement créant chez les descendants
e ordinaire avec prédominance nette de la déchéance de la cellule
cérébrale
. L'interprétation pathogénique de ces faits doit
l'inflammation des vaisseaux et la moindre résistance de la cellule
cérébrale
. L'hérédité alcoolique est aussi une cause path
n réalité, il n'en est rien; il s'agit dans ces cas d'une paralysie
cérébrale
à forme de paralysie générale, ou mieux d'une p
ou bien une tare directe du système nerveux, comme dans l'hérédité
cérébrale
, ou bien est l'expression d'un état général, d'
s capricieuse encore que celle des cellules pyramidales de l'écorce
cérébrale
. En revanche, cette même méthode nous a fourni
la ferme conviction que dans quelques cas de nécropsie avec lésion
cérébrale
négative ou douteuse, la lésion médullaire, évi
es symptômes paralytiques. Le malade fut emporté par une congestion
cérébrale
, et l'autopsie nous montra toutes les lésions d
nte, ayant pour point de départ la cel- lule pyramidale de l'écorce
cérébrale
. Avec d'autant plus de raison que l'altération
eau pyramidal à travers le bulbe et la protu- bérance, le pédoncule
cérébral
et la capsule interne même, d'après Klippel, on
absolument fixe de persécution et de gran- deur et de l'excitation
cérébrale
, qu'elle était transférée dans notre seivice en
res convul- sifs chez les prédisposés, en contractant les vaisseaux
cérébraux
par l'intermédiaire des centres vaso-moteurs du
hémorragique dans le territoire de la protubérance, des pédoncules
cérébraux
et des gros ganglions, avec localisation principa
n préfère, la forme de Sttümpell, modifiée à l'usage des pédoncules
cérébraux
et de la protubérance. 4° La diminution progres
cette partie de j'oculomoteur qui occupe la substance du pédoncule
cérébral
. Enfin, il faut noter un trouble marqué de la s
les membres paralysés des hémiplégiques et monoplégiques par lésion
cérébrale
. R. C. XXXVI. Phénomènes pulmonaires graves D'O
traîne pas de conséquences locales mais produit un fort ébranlement
cérébral
. Pendaut vingt minutes, il est complètement par
omme ci plaisir. Enfin, il y a un an, il a eu une hémiplégie droite
cérébrale
à ictus prolongé (il est artérioscléreux) ; contr
est caractéristique ; il y avait lésions artérielles et hémorrhagie
cérébrale
. Mais il peut y avoir thrombose avec les accide
a- teux et meurt. On croit qu'il s'agit d'une seconde hémorrhagie
cérébrale
. L'autopsie montre : athérome diffus, plus accent
L'autopsie montre : athérome diffus, plus accentué pour les artères
cérébrales
; petit foyer de ramollissement dans la cap- sul
opé1'atoi1'es; par le Dr Régis. - Les centres viscéraux de l'écorce
cérébrale
. Un cas de chorée saltatoire hystérique datant
t presque aussitôt le dernier soupir, succombant à une conges- tion
cérébrale
causée par l'absinthe, plutôt qu'aux blessures as
mort). - Calotte crânienne normale. Hyperémie veineuse des méninges
cérébrales
. A la base du cerveau, dans le lobe temporal ga
NGOMYÉLIE ET SARCOMATOSE DE LA MOELLE. 177 dominé par des accidents
cérébraux
, dans les deux autres par des accidents cérébel
ection. Dans les autres cas on croyait avoir affaire à une tumeur
cérébrale
(Westphal,), à une tumeurdu cervelet (Busch),àune
n particulier l'iodoforme; ? 1 (j ' SOCIÉTÉS SAVANTES. l'anémie
cérébrale
ou la cachexie du sujet; l'alcoolisme; l'infectio
d'un cas véritable d'intoxication iodoformique, la notion de l'état
cérébral
antérieur doit intervenir pour expliquer l'appa
intervenir pour expliquer l'apparition des acci- dents. L'anémie
cérébrale
, la cachexie du sujet ne jouent qu'un rôle très
rare chez les imbéciles. Ceux-ci n'ont évidemment pas une activité
cérébrale
suffisante pour mériter la paralysie générale.
cence secondaire des faisceaux pyrami- daux, qu'elle soit d'origine
cérébrale
ou spinale, est toujours suivie d'une paralysie
neurones qui commandent à leurs mouvements sont séparés des centres
cérébraux
, je rejetais l'explication de Claude Bernard, q
ée), d'un neurasthénique, d'un de ces dégénérés dont l'insuffisance
cérébrale
éclate plus dans la conduite que dans les opéra
à un processus hypérémiant intense, mais transitoire dans l'écorce
cérébrale
». Or, quels sont les indi- vidus chez lesquels
iplégie pro- gressive parait indissolublement lié au ramollissement
cérébral
à début lent, à étapes successives qui s'observ
du facial supérieur et du moteur oculaire commun dans l'hémiplégie
cérébrale
. M. Mirallié (Je Nantes). Dans deux communicati
ganique et se manifester à la suite d'une attaque de ramollissement
cérébral
. En résumé, dans les quatre observations présen
250 SOCIÉTÉS SAVANTES. taires menacés ou déjà atteints de lésions
cérébrales
d'origine vasculaire (athérome cérébral, foyers
déjà atteints de lésions cérébrales d'origine vasculaire (athérome
cérébral
, foyers de ramollissement). Elle est la conséqu
e Ros, M'ol- terset Oster qui admettent la prédominance des lésions
cérébrales
sur les lésions médullaires', les lésions du fa
...« estatteinte de démence liée à des manifestations tuberculeuses
cérébrales
. « Elle est très agitée, ne peut rester en plac
nstants de conver- sation, probablement sous l'influence de fatigue
cérébrale
qui arrive promptement, éclate de l'excitation
de fatigue cérébrale qui arrive promptement, éclate de l'excitation
cérébrale
avec anxiété, sensiblerie, crises de larmes, et
ncore de la confusion mentale avec sensiblerie, un peu d'excitation
cérébrale
. Santé physique relativement satisfaisante. D
ur tour, par la paralysie; peu après, se sont produits des troubles
cérébraux
: délire tranquille avec hallu- cinations visue
: REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 291' lo Apparition de troubles
cérébraux
très accentués, précédant même les troubles bul
s apoplectlformes que par la com- plication, soit d'une hémorrhagie
cérébrale
dans les tissus de néo- formation, soit d'une h
rF. LXV. Parésie transitoire ET récurrente dans LE ramollissement
cérébral
aigu ; par 0. itLICIiENZIE. (Brit. med. Journal,
du muscle cardiaque (cardio-bulbar sclerosis). A. Marie. LXX. Abcès
cérébral
; par J. ltosson. (Occidental medical Journal, f
e humeur douce et agréable. , Dans la paralysie infantile d'origine
cérébrale
, l'état mental pré- sente des degrés divers en
s une foule de processus toxiques mortels. A. Fenayrou. II. Abcès
cérébraux
EN rapport avec DES suppurations CHRONIQUES DE
ons. A. Marie. III. LÉSIONS RÉTINIENNES EN RAPPORT AVEC DES LÉSIONS
CÉRÉBRALES
; . par WILLIAMSON. (British med. Journal, juin
es chez des malades atteints d'hémorrhagies, embolies ou thromboses
cérébrales
, altérations coïncidant souvent avec des lésion
gnalé des lésions oculaires analo- gues en rapport avec les lésions
cérébrales
de la paralysie générale (Thèse Paris, 1890). A
ur 15 '. R. C. VI. STRUCTURE DE la couche superficielle DE l'écorce
cérébrale
; par BEWAN LEwIS. (Edinburglt Médical Journal,
ni circulatoires. En l'absence des symptômes cardinaux d'une tumeur
cérébrale
, il était difficile de faire un diagnostic et s
ie dans le cas particulier. RELLAY. VIII. Diagnostic D'UNE TUMEUR
cérébrale
sans localisation possible; par E. Brissaud et
peut résulter la mort. > R. C. IX. CE QU'ON appelle la PRESSION
cérébrale
, LE mouvement DU LIQUIDE CÉPHALORACHIDIEN DANS
la surface de l'encéphale vivant, loin de rétrécir les capillaires
cérébraux
, les dilate ; les phénomènes décompression ains
i en revanche peuvent aussi apparaître 'sans qu'il y ait pres- sion
cérébrale
, et provenir, par exemple, de l'excitation ou de
y avoir d'excès de tension du liquide intra- cranien ni de pression
cérébrale
puisque les veines du crâne com- pensent elles-
agnation du liquide céphalorachidien. Il n'y a donc pas de pression
cérébrale
. Mais il peut y avoir compression du cerveau. U
r avec le liquide cérébrospinal. Il y a compression de la substance
cérébrale
et non production de pression .cérébrale, S'agi
tions quantitatives de l'excitabilité électrique ? Dans les lésions
cérébrales
, on tend il admettre que les hémorragies, vieille
spèce d'une épilepsie paralytique. Elle est, suivant lui, d'origine
cérébrale
. En voici les caractères : aura au début; accès c
rande gêne de la déglutition ; le marasme arrive, les con- gestions
cérébrales
se déclarent et la mort survient sur la fin de
Cette excavation est située à la partie postérieure de l'hémisphère
cérébral
droit. Il y a peu d'hypérémie généralisée de la
2 ) SOCIÉTÉS SAVANTES. sujet après douze ans de présence; substance
cérébrale
des deux hé- misphères très injectée; membranes
uche. - Foyer hémorrhagique à la partie postéro- interne. Substance
cérébrale
des deux hémisphères très injectée. La protubér
ins anciens, situés aux endroits que je vais indiquer. Hémisphère
cérébral
gauche. A l'extrémité inférieure du lobe moyen,
4, 5, 6 et 11); atrophie (obs. 9); hypertrophie des circonvolutions
cérébrales
(obs. 8 et 11); épanchement séreux intra-arachn
ces diverses lésions, principalement les adhérences de la pie-mère
cérébrale
à la substance corticale ramollie, diffèrent si
le septum pellucidum et le corps calleux dispa- raissent. L'écorce
cérébrale
sous l'influence de la forte pression intérieur
rs le sommet dorsal du ruban latéral. Dans la région des pédoncules
cérébraux
, au niveau des éminences antérieu- res du corps
région lombaire). On trouve de petits amas de pus dans la pie-mère
cérébrale
, à la base du cerveau, dans la région du tuber
région du tuber cinereum et des corps mammillaires. La substance
cérébrale
et cérébelleuse est normale. Les organes internes
ompte du délire ? Enfin, hypothèse plus vraisemblable, les troubles
cérébral
et hépatique ne doivent- ils pas être imputés à
ourdeur céphalique et de l'obtusion intellectuelle. Mais les effets
cérébraux
de l'auto-intoxication hépatique étaient prépar
sur la cellule hépatique ». Et pourquoi pas aussi sur la cellule
cérébrale
? N'est-il pas plus naturel d'admettre qu'il s'ag
ntelligence normale. On constate néanmoins encore un peu de fatigue
cérébrale
; en écrivant, elle omet des mots, écrit correc
nstipation ; la stupeur n'est pas de la stupeur, mais de la torpeur
cérébrale
; cette torpeur est rémittente et entrecoupée d
as omettre de recon- naître que si, dans ces conditions, la cellule
cérébrale
suc- combe, c'est qu'elle était préalablement m
mais n'ont qu'une valeur secondaire. Ils acceptent une anes- thésie
cérébrale
précédant les troubles moteurs, et ajoutent qu'
la paralysie du facial SUPÉRIEUR dans L'JIÉ511- . PLEG)E par lésion
cérébrale
; par Ch. FÉRÉ. (nous. IC0720Cf1'. de la Salpét
bactériologique du sang, de la pulpe splé- nique et de la substance
cérébrale
resta négatif. (Revue neurolo- gique, mai 1898.
ermirent dès l'arrivée du ma- lade, de porter le diagnostic d'abcès
cérébral
dans le lobe temporal gauche. ' Une intervent
la volonté, sont lises. L'alcoolique est dans un état d'automatisme
cérébral
. C'est un malade ; il y a des relations étroite
ouleur jaunâtre et assez dures au toucher. Le reste des hémisphères
cérébraux
, la protubérance, le bulbe, le cervelet sont no
oyers sus-mentionnés ainsi que ceux de la structure de la substance
cérébrale
en général, nous consta- tous que celle dernièr
erons d'abord par les altérations les plus pro- noncées de l'écorce
cérébrale
les foyers circonscrits et conti- nuerons avec
i ne paraissent pas être en plus grand nombre ici que dans l'écorce
cérébrale
normale. Les artères présentent des modi- ficat
est là toute la ressemblance de ces foyers avec un ramollisse- ment
cérébral
nécrobiolique. Nous ne trouvons nulle part des co
s formes de foyers précédemment décrits siègent dans la corticalité
cérébrale
. Mais la substance blanche n'est pas indemne d'
ns diffuses de la POUSSÉES d'encéphalite aiguë. 441 J substance
cérébrale
des circonvolutions atteintes. Faisons cet exa-
antitative des cellules névrogliques. Les altérations de l'écorce
cérébrale
, à mesure qu'on s'éloigne des gros troncs vascu
c histologique suivant : in- .Ilammation en foyer de la corticalité
cérébrale
, encéphalite. Chez nous, cette dernière se mani
tout le profit désirable de l'analyse de notre cas d'in- flammation
cérébrale
, nous jugeons utile de passer rapide- ment en r
scussions qui s'élevèrent à cette époque au sujet du ramollissement
cérébral
. Rohitansl : y ' l'identifiait avec l'encéphali
a thèse de Poumeau Uu rôle de l'inflammation dans le ramollissement
cérébral
, Paris, t86(i) poussées d'encéphalite aiguë.
tout dans celle de Proust (Des différentes formes de ramollissement
cérébral
, Paris, 1886) la plus riche bibliographie. ' (l
s et portées au rouge, ils obser- vèrent toujours les mêmes lésions
cérébrales
et la même évolution de l'inflammation dans tou
nflamma- toire continue longtemps après. Si la perte de substance
cérébrale
n'est pas très considérable, elle est remplacée p
lente, méningite purulente très prononcée, des foyers hémorragiques
cérébraux
purs; les méninges nageaient dans du pus. Ces t
anatomiquement à peu près par les mêmes altérations de la substance
cérébrale
. Seulement les foyers de cette dernière siègent
s vaisseaux très altérée, fragile, et de simples hypérémies actives
cérébrales
peuvent amener des extravasations sanguines cap
des régions rolandiques et des lobes frontaux des deux hémisphères
cérébraux
. Mais c'est tout particulièrement la région rol
te chronique, ou ce qu'on appelle plus communé- ment de la sclérose
cérébrale
. Mais ici il s'agit de la sclérose cérébrale se
ment de la sclérose cérébrale. Mais ici il s'agit de la sclérose
cérébrale
secondaire ayant succédé aux poussées inflamma-
d'encéphalite subaiguë paraissent avoir évolué comme de la sclérose
cérébrale
. Après ce qui vient d'être dit nous nous croyon
hemine à travers une série de neurones qui le conduisent à l'écorce
cérébrale
. Des cônes et bâtonnets (A) il passe succes- si
oyaux gris centraux ; les radia- tions optiques (1), enfin l'écorce
cérébrale
(K). A chaque articulation de neurones (aux poi
nt de réflexion dans les noyaux de la base, le second dans l'écorce
cérébrale
. La pathologie se charge d'ailleurs dé les diss
de projection. Ce trajet complexe constitue la voie des réflexes
cérébraux
, qui sont tout le substratum des phénomènes de la
nne les contacts et diminue les résistances. 466 PSYCHOLOGIE.
cérébrale
a sensiblement la même structure en tous ses poin
ensiblement la même structure en tous ses points; tous les réflexes
cérébraux
doivent se produire d'une façon analogue, il no
acha à la médecine générale. Les progrès en anatomie et physiologie
cérébrale
furent rapides, trop peut-être pour que ces not
résultats bien connus de l'ablation expérimentale des hémisphères
cérébraux
, ils sont bien d'accord avec les effets observés
6. Cette exagération n'est pas due à la suppression de l'influence
cérébrale
, puisqu'elle a sou minimum de fréquence à la dern
ière cause, de sorte qu'il y a des cas où l'addition à l'invalidité
cérébrale
de la syphilis suffit pour engendrer la para- l
ais ébranlement de deux incisives déjà peu solides. Donc, commotion
cérébrale
indi- recte, caractérisée par une première inco
tait passé. Pendant toute la journée, il fut en proie à une torpeur
cérébrale
légère qui gêna le jeu de la mémoire et lui ren
tant entre eux une grande ressemblance. Macroscopiquemenl, le tronc
cérébral
seul est conservé avec une moelle allongée, un
hes optiques défigurées ; absence presque absolue des hémis- phères
cérébraux
, intégrité du cervelet, absence absolue des fais-
du prolongement cylindraxile de la cellule pyrami- dale de l'écorce
cérébrale
. Tant qu'il n'y a pas eu de contact entre la ce
t le prolongement cylindraxile de la cellule pyramidale de l'écorce
cérébrale
, la cellule motrice de la moelle ne possède que
raumatisme opératoire, accumulation de pigment dans les capillaires
cérébraux
, lésion du sympathique, auto-intoxication). Deu
s altérations apporte une nouvelle preuve en faveur de leur origine
cérébrale
, car il s'agit uniquement d'une altération ou d
ment bilatérale, elle pourrait être croisée par rapport à la lésion
cérébrale
. Ces variations dépendent du siège et de retendue
e pas le bulbe et que rien ne permet de l'attribuer à une affection
cérébrale
, il reproduit ce que l'on a observé dans la dég
n simple étudié dans SES rapports avec la courbe PLETHISMOGRAPHIQUE
cérébrale
; par P.11RIZI. (Itiv. sp. di fren., fasc. II, 1
asc. II, 1897.) L'oscillation de l'activité spécifique des cellules
cérébrales
et celle de la circnlation du cerveau suivent c
. Redlich s'occupe plus spécialement des voies d'union de la partie
cérébrale
extirpée avec les ganglions sous-corticaux. Les
ue le déplacement de ce liquide en fournisse le cube. Mais la masse
cérébrale
d'un individu est-elle pendant la vie une grand
t sanguin; n'est-elle pas modifiée par la pénétration de la matière
cérébrale
par l'eau et par sa faculté d'élimination de la
u ? Ou jouit-il de celte propriété dans le cas seulement de lésions
cérébrales
notamment de lésions paralyti- ques ? Questions
ogiques. JO Les expériences instituées pour déterminer l'imbibition
cérébrale
du lapin dans l'eau courante ou non'semblont mo
eaux neurones établissant de nouvelles communications avec l'écorce
cérébrale
du côté opposé, où ils se relient aux neurones
exclusive du territoire de la pyramide gauche, dans le pédon- cule
cérébral
, la protubérance, le bulbe ; entrecroisement au
sceau du cordon latéral dans la pyramide du même côté que la lésion
cérébrale
. Donc, un )réllaisyhène cérébral est en communi
mide du même côté que la lésion cérébrale. Donc, un )réllaisyhène
cérébral
est en communication avec les deux cordons laté
ulaire normale ou un peu augmen- tée) peut accompagner des troubles
cérébraux
. Il est des cas où elle est combinée à des trou
r A. Marie et Vigoureux, 16. 534 . TABLE DES MATIÈRES. Ecorce
cérébrale
. Structure de l ? par Bewan Lewis, 303. Ecrit
Desnoyer, 289. - transitoire el récuriente dans le ramollissement
cérébral
aigu, par i\lacliensip, 295. - du deltoïde de
! non, 520. - Rétiniennes. Lésions - en rapport avec les lésions
cérébrales
, par Villiamson, 302. Richer l'aul.-B ! onrap
ale amyotrophique il début hnthaire, par Bonardi, 45. - en plaque
cérébrale
consécutive il l'iutluenza, par Sogorni, 123.
mplète de l'anatomie pathologique de l'hémianopsie d'origine intra-
cérébrale
. Si je me décide à reprendre ces recherches c'est
ch. f. Psych., vol. XVI, XVII, XX et XXIII. (3) Vialet, Les centres
cérébraux
de la vision et l'appareil visuel intra-cérébral,
ns l'hémisphère droit un ramollissement dans le domaine de l'artère
cérébrale
postérieure, qui avait détruit la région de la sc
n'observe rien de pathologique. L'examen microscopique du pédoncule
cérébral
et de la moelle donna des résultats négatifs.
qu'à son entrée à l'hospice. Le malade avait en outre des troubles
cérébraux
. L'examen du malade, pratiqué le 2 février 1897,m
ramollissement ; il reste seulement une mince couche de l'écorce
cérébrale
, qui limite l'endroit du ramollis- sement sur l
eure de ce lobe, il ne reste qu'une très mince couche de l'é- corce
cérébrale
, qui limite la lésion. La partie interne du lobe
re de nombreux corps granuleux. Les vaisseaux (branches de l'artère
cérébrale
postérieure) sont athéromateux. 3° Sur les coup
gual. - (La lésion est indiquée en blanc.) 8 JOUKOWSKY L'écorce
cérébrale
de la circonvolution limbique et du lobe lingual
le lobe fusiforme reste seulement une couche très mince de l'écorce
cérébrale
. Le foyer du ramollissement arrive jusqu'à la p
re-mère, une po- che se rompt faisant éclater la coque de substance
cérébrale
qui l'entoure et laissant échapper un liquide c
parasitaires DU cerveau 2t 1 L'examen microscopique de la substance
cérébrale
au voisinage du kyste ne nous a pas montré d'al
sur 255 cas. Quant à leur fréquence par rapport aux autres tumeurs
cérébrales
,-la statistique de Haie White sur 100 cas de tu
e de pigment noir. Davaine avait déjà remarqué que les cysticerques
cérébraux
étaient souvent le siège d'altérations variées,
rvations complètes, 10 cas de kystes de cette nature dans les lobes
cérébraux
, 8 dans le cervelet, 4 dans les ventricules, 2 da
e noix. (1) Il existe dans la science trois observations de coenure
cérébral
chez l'homme. La ira appartient à Zéser, la 2°
ar les fosses na- sales. Il paraît exceptionnel que les hydatides
cérébrales
puissent se manifes- ter par des symptômes phys
émissement que l'hydatide provoque quelqu efois Parmi les tumeurs
cérébrales
, il n'en est pas dont le diagnostic positif f s
un traumatisme ; Babinski et Vulpian ont pour des cas d'hydati- des
cérébrales
observé des faits analogues. D'après ce que nou
bles, n'amenant d'autre part que tar- divement des lésions du tissu
cérébral
sont justiciables de la trépanation 30 . MONSSE
érison. Progrès méd., 1899. BRALLT ET LoEpEn. - Trois cas de tumeur
cérébrale
à forme psycho-paralytique, Archives général, d
T,1 L AN DlI¿IL (SERVICE DE M. LE D' MATHIEU). UN CAS DE LADRERIE
CÉRÉBRALE
PAR MM. LÉOPOLD LÉVI ET LOUIS LEMAIRE Ancie
terne lauréat des hôpitaux Externe des hôpitaux Les cas de ladrerie
cérébrale
, tout en n'étant pas exceptionnels, ne sont pas
ée est telle que nous por- tons d'emblée le diagnostic de néoplasme
cérébral
. Elle est cependant nomenta- nément soulagée pa
nous puissions mettre en doute son existence. r UN CAS DE LADRERIE
CÉRÉBRALE
33 Dans la pensée que les phénomènes délirants
n existe trois dans la protubérance, et deux au niveau du pédoncule
cérébral
gauche (Fig. 2). Les aspects sous lesquels se p
- Deux cysticerques appendus à une artériole. UN CAS DE LADRERIE
CÉRÉBRALE
35 En le comprimant entre deux lames, on fait s
5. Recessus scole- cis ; - fi. Membrane propre du toenia; 1. Tissu
cérébral
organisé autour du toenia ; - 8. Vaisseaux. 3
seaux. 36 LÉVI ET LEMAIRE II La connaissance de la cysticercose
cérébrale
est très ancienne. Déjà en 1558, Rummler, puis
rgane (1866). Plus tard Kuchenmeister réunit 88 cas de cysticerques
cérébraux
. Bastrocchi, Clémenceau (th.Paris, 1870),Joire,
de dans la protubérance, et dans le pédoncule. i UN CAS DE LADRERIE
CÉRÉBRALE
37 Une question fort intéressante qui se pose à
- ble de kystes qui sont tous venus se constituer dans la substance
cérébrale
. Comment expliquer que c'est la substance grise
Il n'y aurait pas de symptômes dans les 2/3 des cas de parasitisme
cérébral
(Clémenceau). , Il est néanmoins certains signe
e crise. L'autopsie fait constater la présence dans les hémisphères
cérébraux
(à l'exclusion de toute autre région du corps)
ie n° 1 (Pl XI) est représentée par derrière la vue des hémisphères
cérébraux
, du cervelet, de la région cervicale de la moel
u représenté par la phot. n°2 (PI. XI). Toutes les parties du tronc
cérébral
se trouvant devant le cervelet sont (1) Rapport
E NERVEUX CENTRAL DANS LE SPINA BIFIDA 119 séparées des hémisphères
cérébraux
; dans les ventricules latéraux se trouvait une
ci dans les détails, qu'une lésion irrilative de la substance grise
cérébrale
donne lieu à du spasme, qu'une destruction in-
ot, Saint-Dizier (Haute-Marne). 14e Année N° 3. ' MAI-JUIN TUMEUR
CÉRÉBRALE
(Etude histologique et pathogénique) PAR ER
our expliquer la physiologie pathologique des symptômes des tumeurs
cérébrales
, une hypothèse nouvelle, destinée, non pas à remp
anche XXV. Observation. SOMMAIRE. Clinique : Syndrome des tumeurs
cérébrales
: d'abord cépha- lée, quelques vertiges et vomi
asculaires et formations an- (1) E. Dupn et A. Devaux, Endolhéliome
cérébral
. Soc. de Neurologie, 18 avril 1901. xiv 13
APHIE DE LA SALPÊTRIÈRE T. XIV. PL. XXIV Eig.1 i Fig. 2. TUMEUR
CÉRÉBRALE
(Ernest Dupré et Albert Devait. TUMEUR CÉRÉBRAL
Fig. 2. TUMEUR CÉRÉBRALE (Ernest Dupré et Albert Devait. TUMEUR
CÉRÉBRALE
175 quelques troubles de caractère hystérique :
rieur, l'apparition de sa cécité et le développement de sa lé- sion
cérébrale
. Aucun trouble des sphincters. Sommeil bon et r
Dr Rénon, qui, après examen, conclut à la probabilité d'une tumeur
cérébrale
. Sur la demande de Rénon, le Dr Sauvineau examine
nge, d'une consistance demi-molle, analogue à celle de la substance
cérébrale
, d'une couleur gris-rosé, et nettement circons-
dure-mère, très épaissie et enflam- mée it ce niveau, dans la fosse
cérébrale
antérieure gauche. Eu dedans, elle refoule vers
.A 13essJn, Del-loll> E Marchl'ze, Imp 9,rueChampoll'on TUMEUR
CÉRÉBRALE
177 misphère et en augmente beaucoup les dimens
to-temporale inférieure. Au niveau de la partie externe de la fosse
cérébrale
antérieure, une zone assez étendue de pachyméni
être rompues pour énucléer le lobe frontal et sa tumeur de la fosse
cérébrale
, et de petits fragments du néoplasme restèrent at
l'intermédiaire de la pie-mère et de ses vaisseaux, à la substance
cérébrale
. Le résultat des pesées est le suivant : Poid
ment nerveux dans le néoplasme. L'examen histologique de l'écorce
cérébrale
sur des fragments prélevés loin de la tumeur (l
E CLINIQUE. Tout a déjà été dit sur l'histoire clinique des tumeurs
cérébrales
: et pourtant il ne sera pas sans intérêt de re
es qu'elle exerçait sur le pôle temporal, le lobule de l'in- TUMEUR
CÉRÉBRALE
179 sula, et les régions inféro-externes du lob
céphale ; enfin et surtout, les rapports du néoplasme avec l'écorce
cérébrale
. Celle-ci n'était que refoulée et comprimée, et
la note psychopatltique dominante du tableau clini- que des tumeurs
cérébrales
: c'est un état qui, associé à un degré plus ou
mble avoir bien remarqué aussi, dans la symptomatologie des tumeurs
cérébrales
, lorsqu'il écrit : « c'est un simple retour à l
lité extrême dans la conversation, la (1) E. Brissaud, Art. Tumeurs
cérébrales
, Traité de médecine, t. VI. TUMEUR CÉRÉBRALE 18
rissaud, Art. Tumeurs cérébrales, Traité de médecine, t. VI. TUMEUR
CÉRÉBRALE
181 nature puérile des désirs, des occupations,
- Localisation im Gehirn,Berlin,1888. (3) BRAULT et LOEPER, Tumeurs
cérébrales
il forme psycho-paralytique. Archiv. de Médecin
e. Archiv. de Médecine, mars 1900. (4) DEVIC et GAUTHIER, Tumeurs
cérébrales
à forme ysycleo paralylique, Id., dé- cembre 19
éoplasme sur le centre cortical de la VIle paire, en raison du type
cérébral
de la paralysie faciale ; et sur le tronc de l'
gique de notre observation. L'étude clinique et pathogénique TUMEUR
CÉRÉBRALE
183 demande cependant à être éclairée par une c
histologique détaillée, d'abord de la tumeur, en- suite de l'écorce
cérébrale
dans des zones plus ou moins rapprochées du néo
rtant à la fois sur la périphérie et sur la portion de la substance
cérébrale
adjacente à la tumeur, la présence d'une membra
cette membrane d'enveloppe restée adhérente aux parois de la fosse
cérébrale
antérieure ; à la face supérieure on la distingua
ition périlacunaire semble représenter le der- nier terme. TUMEUR
CÉRÉBRALE
185 S'agit-il là d'un mécanisme analogue à celu
être contenus dans la paroi même. Cette dernière a uuestruc- TUMEUR
CÉRÉBRALE
187 ture très particulière. Elle est formée par
ation de tous les auteurs, montre qu'il s'agit non pas d'une tumeur
cérébrale
proprement dite, mais bien d'une tumeur ayant p
) Cruveimiier, Analomie pathologique générale, 1855, t. ]Il. TUMEUR
CÉRÉBRALE
189 Bouchard (18û'l) (-1), à propos d'une prése
(7) BRAULT, in Cornil et Ranvier, Histologie pathologique. TUMEUR
CÉRÉBRALE
191 vasculaire c'est' que les cellules voisines
ac, cit. (4) lrevcn, Virchow arch. (18 : i9), t. XVII. ? , TUMEUR
CÉRÉBRALE
193 pens de l'épithélium de l'arachnoïde. Rokit
rimordial revient à la dégénérescence des parois vasculaires TUMEUR
CÉRÉBRALE
195 dont la rétraction tasse, resserre et orien
corps chromatopliiles ont l'aspect de fine poussière et sont TUMEUR
CÉRÉBRALE
197 beaucoup moins abondants. Cette chromatolys
la conservation relative de la forme cellulaire normale : TUMEUR
CÉRÉBRALE
199 Souvent aussi la cellule apparaît divisée e
(7) VA ? GEHUCHTEN, Loc. cit., et Congrès de Moscou, 1897. TUMEUR
CÉRÉBRALE
203 tère trop absolu de ces conclusions, sans l
elles que les a décrites Neumayer; dans toute l'étendue de l'écorce
cérébrale
, les cellules présentaient l'aspect d'éléments
raitement de la myélite aiguë. Congrès 1900, Sect. neurol. · TUMEUR
CÉRÉBRALE
205 matolyse, et conclut que la neuronophagie e
lés dans les conducteurs des mouvements volontaires depuis l'écorce
cérébrale
jusqu'aux muscles. Il n'est pas douteux que les
é- rences observed in the température of the body as snaptomatio of
cérébral
lésions. The Brit. med. Journ., 1889, p. 1406.
Kc(t& ! d.,p.l43). L'excitabilité comparée des deux hémisphères
cérébraux
chez l'homme (ibid., p. 143). - De l'influence
TISSU ? La fatigue et l'entraînement physique, 1897, p. 291. TUMEUR
CÉRÉBRALE
(Etude histologique et pathogénique) PAR ER
tion des accidents si variés et si nombreux du syndrome des tumeurs
cérébrales
. Pour fixer un peu les idées et restreindre, dans
le pathogénique que doit jouer, dans la symptomatologie des tumeurs
cérébrales
, un autre facteur d'ordre toxique ; c'est l'impré
autre facteur d'ordre toxique ; c'est l'impré- gnation de la masse
cérébrale
, par les produits de désassimilation, les toxin
t lymphatique de l'encéphale : c'est l'intoxication de la substance
cérébrale
par les poisons cellulaires d'origine néoplasique
de l'urémie, du diabète, du saturnisme, et du syndrome des tumeurs
cérébrales
. Or, il est certain que le tableau clinique des
certain que le tableau clinique des accidents présentés par TUMEUR
CÉRÉBRALE
355 notre malade rappelle, dans ses grands trai
s ses grands traits et son évolution progressive, celui de l'urémie
cérébrale
, ou encore, quoique de plus loin, et dans ses d
communs aux grands syndro- mes, d'origine autotoxique, de l'urémie
cérébrale
et du diabète sucré, et au syndrome des tumeurs
l'urémie cérébrale et du diabète sucré, et au syndrome des tumeurs
cérébrales
. Cette analogie générale des deux séries cliniq
semblance des deux tableaux cli- niques de l'urémie et de la tumeur
cérébrale
, et se demande si beaucoup des symptômes de l'u
meur cérébrale, et se demande si beaucoup des symptômes de l'urémie
cérébrale
ne reconnaissent pas pour cause l'hypertension
cause l'hypertension du liquide céphalo-rachidien, causant l'oedème
cérébral
et l'hydropisie ventriculaire. A propos d'une c
ension. L'hydropisie ventriculaire de Leindot et Odick, les oedèmes
cérébraux
décrits par Franck en rapport avec l'hypertension
liquide céphalo-rachidien tel qu'on le constate dans les tu- meurs
cérébrales
par exemple. Il y aurait donc lieu de différencie
utsche med. Wochensch., 1897). Mais une série d'autres cas d'urémie
cérébrale
a fourni des résultats défavorables à la méthode
inverse a aussi été maintes fois commise : le diagnostic d'uré- mie
cérébrale
a été posé, dans des cas où la nécropsie a démont
nislro. Rivista di Patologia nervosa e mentale, mars 1900. TUMEUR
CÉRÉBRALE
357 7 Après avoir insisté sur l'analogie des ta
constance de l'hypertension céphalo-rachidienne chez les urémiques
cérébraux
, qu'il resterait à discuter le mode d'action de c
scuter le mode d'action de cette hypertension sur le fonctionnement
cérébral
. Il est logique de supposer que l'hypertension
est l'origine toxique des accidents. La nature toxique des troubles
cérébraux
de l'urémie est bien plus démontrée que ne l'es
'est la réalité de l'hypertension intracrâ- nienne dans les tumeurs
cérébrales
: et il nous semble plus logique de trouver une
plication univoque, des symptômes communs aux tumeurs et à l'urémie
cérébrales
, dans l'intoxication cérébrale, facteur pathogéni
s communs aux tumeurs et à l'urémie cérébrales, dans l'intoxication
cérébrale
, facteur pathogénique classique, démontré, que
s analogies cliniques des deux syndromes des tumeurs et de l'urémie
cérébrales
, d'accord avec eux pour chercher une cause path
s'achève dans le coma terminal.' , L'hypothèse de la compression
cérébrale
, invoquée comme cause des accidents diffus des
on cérébrale, invoquée comme cause des accidents diffus des tumeurs
cérébrales
, est passive d'objections capitales, d'ordre cl
stituées pour élucider le mécanisme et les effets de la compression
cérébrale
, une conclusion générale nous semble se dé- gag
e nous semble se dé- gager : c'est que les effets de la compression
cérébrale
, en général continus et proportionnels à l'inte
ique des phénomènes expérimentalement provoqués par ! a compression
cérébrale
, et l'évolution clinique des symptômes dus aux tu
cérébrale, et l'évolution clinique des symptômes dus aux tu- meurs
cérébrales
, et attribués par hypothèse à la compression de l
II ne semble d'ailleurs pas logique de chercher dans la compression
cérébrale
par une tumeur, c'est-à-dire dans un processus di
iche série d'accidents qui composent le syndrome diffus des tumeurs
cérébrales
ces accidents témoignent au contraire de l'atte
, dont les effets présentent avec ceux de certaines intoxica- tions
cérébrales
chroniques des analogies indiscutables. . (1) J
Compression, p. 719. Dictionnaire de physio- logie, t. II. TUMEUR
CÉRÉBRALE
359 - La'similitude de l'expression clinique es
hies aussi diverses d'origine (urémie, diabète, saturnisme, tumeurs
cérébrales
). A l'appui de cette thèse de l'influence toxiq
thèse de l'influence toxique exercée sur le cerveau par les tumeurs
cérébrales
, on peut invoquer certains arguments d'ordre ph
njonctives et vasculaires avec l'appareil méningé et la circulation
cérébrale
, par son régime biologique, étroitement associé
sitaire sans cesse grandissante du néoplasme doit tuer la substance
cérébrale
. Ces considérations s'appli- quent littéralemen
cates et les plus précoces aux imprégnations toxiques. C'est TUMEUR
CÉRÉBRALE
361 sur cette notion générale que sont fondées
njecter à petites doses, incessamment répétées, dans la circulation
cérébrale
, des toxines vivantes, empruntées à un néoplasm
ques de l'encéphale, des toxines issues des néoplasmes ou des abcès
cérébraux
, on éclaire le problème pathogénique de l'actio
toxique de l'encéphale, le syndrome diffus des tumeurs ou des abcès
cérébraux
: une telle hypothèse vaut bien celle de la compr
s cérébraux : une telle hypothèse vaut bien celle de la compression
cérébrale
, ou celle de l'irritation réflexe à distance. Dan
èse de l'intoxication du cortex par les produits émanés des tumeurs
cérébrales
a été formulée en termes' explicites par P. Marie
uées à l'appui de la théorie toxique du syndrome diffus des tumeurs
cérébrales
. Les documents sont rares, parce que l'examen h
et il consacre un chapitre au syndrome de Korsakoffdans les tumeurs
cérébrales
. La constatation de ce syndrome, d'ordre essent
ce syndrome, d'ordre essentiellement toxique, au cours des tumeurs
cérébrales
, a déjà été faite par Meyer, par 111nlcemller e
es des analogies histopathologiques, dans les réactions de l'écorce
cérébrale
aux différentes intoxications générales exogène
Syndrome de Korsakoff et lésions médullaires dans un cas de tumeur
cérébrale
. AUgem. Zeitsch. f. Psych., octobre 1899. TUMEU
e tumeur cérébrale. AUgem. Zeitsch. f. Psych., octobre 1899. TUMEUR
CÉRÉBRALE
365 cérébrales. Nous croyons qu'elle offre un i
le. AUgem. Zeitsch. f. Psych., octobre 1899. TUMEUR CÉRÉBRALE 365
cérébrales
. Nous croyons qu'elle offre un indéniable intérêt
vons présentées, et dont presque toutes les observations de tumeurs
cérébrales
représentent, chacune à leur manière, un intére
capable d'expliquer beaucoup des éléments du syndrome des tu- meurs
cérébrales
; ce facteur pathogénique est l'intoxication de f
de la même année de nouveaux symptômes sont observés : X..., TUMEUR
cérébrale
367 devenu très irritable, s'emporte pour des m
ervation de M. Touche, Société anatomique, 1899. [Résumé). Tumeur
cérébrale
: Le malade, âgé de 45 ans, présente un état de
r cérébrale : Le malade, âgé de 45 ans, présente un état de torpeur
cérébrale
très accusé ; continuellement somnolent, il rép
t de dehors en dedans, prenant en ces points une disposition TUMEUR
CÉRÉBRALE
369 lamelleuse. La face profonde de la portion
e part, il est bien évident que la tumeur est indépendante du tissu
cérébral
. C'est dans la pie-mère, croyons-nous, qu'il faud
sculaires (1). - CONCLUSIONS I. - Les malades porteurs de tumeurs
cérébrales
, présentent à côté de la dépression et de la di
rique et excentricité du noyau. IV. -Dans la pathogénie des tumeurs
cérébrales
, à côté de la com- pression de l'encéphale qui
e du néoplasme et de l'encéphale permettant l'imprégnation du tissu
cérébral
par les toxines issues du foyer pathologique ;
ènes vasculaires) invoqués pour expliquer les symptômes des tumeurs
cérébrales
. (1) Il nous semble, d'après la description his
ration se poursuit jusque dans l'endroit où se forment les pédoncules
cérébraux
(PI. XLVIII, C et D). , Les cellules de la su
supérieurs sont sains dans toute leur étendue. Dans les pédoncules
cérébraux
on ne constate pas de lésion. Sous l'épendyme d
e du côté du corps thyroïde. Système nerveux. - Les circonvolutions
cérébrales
, après durcissement dans le lllüller, ont été e
, Vol. III, n^ 2). (2) L'excitabilité comparée des deux hémisphères
cérébraux
chez l'homme (L'an- née psychologique, 1901, p.
mala- dies articulaires, aux fractures, aux névralgies, aux lésions
cérébrales
, (1) LANnouzv, Revue mens. de méd. et chir., 18
le disait, il y a vingt ans, M. Gubler, à propos du ramollissement
cérébral
atrophi- que, « la pathologie fournira des lumi
tation et totalement incapables d'en opérer le triage. Aux cellules
cérébrales
seules incombe le soin de cette délicate sélectio
t exacte de ce qui revient dans la genèse de l'affection au système
cérébral
d'un côté ou au système spinal de l'autre, et b
vie , par A. BEAUVOIS (1 fig.), 62. Hémianopsie d'origine intra -
cérébrale
(Anatomie pathologique de l'), par Jou- IWWSK
SEAUX, DE GOTHARD et RICHE (1 pl. en photocollogr.), 19. Ladrerie
cérébrale
(Un cas de), par Lùo- pOLD-Lnvi et Louis LEMAIR
(Observation de), par MABILLE (1 pl. en photograv.), 503. Tumeur
cérébrale
, par E. Dupré et A. De- vaux (2 pl. en couleur)
(2 pl. en couleur), 173 et 354. Dupré Ernest et A. Devaux. Tumeur
cérébrale
(2 pl. en couleur), 113 et 354. Féré CH. Recher
llogr.), 402. LEMAIRE (Louis) et Léopold-Lévi. Un cas de ladrerie
cérébrale
(4 fig.), 32. LÉOPOLD-LÉVI et Louis LEMAIRE. Un
(4 fig.), 32. LÉOPOLD-LÉVI et Louis LEMAIRE. Un, cas de ladrerie
cérébrale
(4 fig.), 32. ' LONG E. et Wiki. Sur l'état ati
V à LXVI. Trophoedème (observation de) (MABILLE), LXVII. Tumeur
cérébrale
(E. DupRÉ et A. DEVAUx), XXIV et XXV. Vase gr
lade car il s'agit là d'une vraie malade est atteinte d'un syndrome
cérébral
qui semble déterminé « par une forme d'hydro- c
hypophyse ». D'autre part, étant donné la complexité de ce syndrome
cérébral
, il me semble que les arguments tirés par M. E.
arcinome du sein (Spiller- Weisenburg) où il y avait de symp- tômes
cérébraux
, on constata à côté de lésions insignifiantes des
, Lubarsch) ; les autres au contraire sont d'avis que les symptômes
cérébraux
et médullaires dépendent du processus cancéreux
on peut éliminer tout de suite la sclérose en plaques, la sclérose
cérébrale
primi- tive, la diplégie cérébrale familiale de
sclérose en plaques, la sclérose cérébrale primi- tive, la diplégie
cérébrale
familiale de Freud, la paraplégie familiale de
cas deux ordres de symptômes bien évidents. D'un côté des symptômes
cérébraux
qui rappellent les formes de la diplégie famili
ès particulier qui servi- rait de trait d'union entre les diplégies
cérébrales
familiales et les para- plégies spinales famili
s cette observation d'Iligier, il y avait, en plus des phé- nomènes
cérébraux
, des signes certains de participation médullaire,
ents, même début dans la première enfance, enfin tous les symptômes
cérébraux
sont identiques : la déchéance psychique, l'ama
formes de passage, c'est-à-dire à califourchon entre les diplégies
cérébrales
infantiles familiales et les paraplégies infantil
ent nous ne pouvons pas assimiler cet état de simple irrita- bilité
cérébrale
à l'état mental de nos trois malades, mais il fau
actères de l'atrophie osseuse que l'on rencontre dans les diplégies
cérébrales
infantiles, mais que plutôt cette atrophie glob
e maladie familiale. Nous avons souligné avant tout les symptômes
cérébraux
communs chez eux et analogues à ceux que l'on r
chez eux et analogues à ceux que l'on rencontre dans les diplégies
cérébrales
infantiles du type familial. Ensuite nous avo
un âge plus jeune. Chez l'adulte, les troubles trophiques d'origine
cérébrale
, sans être très rares, ne sont jamais ni profon
raumatisme crâ- nien, des troubles trop.hjques de la main d'origine
cérébrale
ont abouti à des déformations des doigts persis
16 avril 1903. Antécédents héréditaires. - Père mort de congestion
cérébrale
à l'âge de 79 ans ; mère morte à l'âge de 78 an
disparaître et le sujet put être considéré comme guéri. La lésion
cérébrale
, cause de ces divers troubles, est difficile à pr
ême des symptômes, nous avons rejeté l'hypo- thèse d'une hémorragie
cérébrale
. La succession des divers symptômes et la lente
urs sujets atteints de troubles mentaux aigus. A cette inflammation
cérébrale
diffuse s'est asso- ciée une recrudescence dans
celles 118 FLATAU constatées maintes fois dans les cas de tumeurs
cérébrales
et surtout cé- rébelleuses. Grâce aux recherche
bronchiques très augmentés, à la coupe lisses et d'une consistance
cérébrale
. Au cou, le long des gros vaisseaux, les gangli
te-t-il, comme base anatomique des maladies mentales, des lé- sions
cérébrales
typiques, constantes et faciles à démontrer ? 2
dernier refuge en démontrant que, dans les vésanies aussi, l'écorce
cérébrale
ne restait pas indemne, que les cellules, les f
n microscopique dans quelques-uns de ces cas montre une sub- stance
cérébrale
qui n'est pas indemne, il y a des altérations, so
s altérations fines, plus ou moins consi- dérables, de la substance
cérébrale
, sous l'action d'agents toxiques tandis que l'é
sur les modifications fonctionnelles qui accompagnent l'ac- tivité
cérébrale
, le travail intellectuel et la fatigue. Gley, d
que s'accompagne de modifications physico-chimiques de la substance
cérébrale
ou qu'un trouble psychique est constamment lié à
qu'un trouble psychique est constamment lié à la lésion d'une zone
cérébrale
toujours la même, ce jour-là la preuve sera fai
a pas une affection men- tale pour laquelle on ait trouvé l'écorce
cérébrale
indemne de toute altéra- lion. Que l'on se trou
rriver à un résultat dans ce domaine, c'est l'étude des altérations
cérébrales
en utilisant les données architecturales fournies
ns histologiques des éléments cellulaires et des tissus de l'écorce
cérébrale
observées dans les maladies mentales sont, en fai
éciale que peuvent avoir les diverses altérations de la subs- tance
cérébrale
du fait de la présence de la névroglie. La comb
au contraire parfaitement conforme à la théorie des loca- lisations
cérébrales
, physiologiques et anatomiques. Les psychoses s
ttront aussi bien du temps pour disparaître. Aussi l'organe, l'aire
cérébrale
d'où ils proviennent doit-elle continuer à réap
e-dépressive pourrait bien être un vice de conformation de l'écorce
cérébrale
, quelque chose comme une aberra- tion, un retou
eau normal nous sera mal connu, tant que la physiologie de l'écorce
cérébrale
n'aura pas expli- qué le fonctionnement des nom
timons que la constitution cyto et myéloarchitectonique de l'écorce
cérébrale
, qui nous permet de diviser le manteau encéphaliq
par des modifications dans les échanges nutritifs, dans le chimisme
cérébral
, il y a bien des chances pour qu'on en soit au
us l'influence d'un processus pathologique qui évolue dans l'écorce
cérébrale
et dont les manifestations psychiques se tradui
Brachymélie métapodiale congénitale du quatrième rayon. Diplégie
cérébrale
fruste. Imbécillité. Louise Cli., âgée de quinz
e Babinski est bilatéral ; pas de gâtisme. Il s'agit d'une diplégie
cérébrale
fruste prédominant à droite. Les stigmates de l
ons survenus à 4 ans. Le sixième, atteint à 18 mois d'une infection
cérébrale
, resta trois mois paralysé des deux membres inf
plusieurs jôurs.. Hérédité encéphalopathique et alcoolique, lésion
cérébrale
ou épilepsie progressive, à ces tares s'ajoute
e, une autre de tuberculose à 34 ans et un frère d'une hémor- ragie
cérébrale
à 65 ans. Personne, soit chez les ascendants, soi
ie nerveuse, on ne pourrait mettre en ligne de compte qu'une lésion
cérébrale
nu une lésion périphérique ; la moelle épinière
e qui nous puisse faire soupçonner l'existence d'une de ces lésions
cérébrales
(hémorragies, ramollisse- ments) qui sont, dans
: Prof. G. 111'(GA7.lIN[. OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA. SYPHILIS
CÉRÉBRALE
PRÉCOCE ET MALIGNE . PAR F. COSTANTINI Aide
uels font déjà, dans leurs monographies, mention de cas de syphilis
cérébrale
s'étant développée dans une période précoce, il
de ses propres observations, dans lesquelles les premiers symptômes
cérébraux
se manifestèrent quelques mois seulement après la
période précoce. Le second fait osciller les limites de la syphilis
cérébrale
entre les 6 mois et les 12 ans qui suivent la c
IONS CLINIQUES SUIT LA SYPHILIS CKRÉBRADS ' 287 vations de syphilis
cérébrales
, dans lesquelles les premiers symptômes de l'af
tre 3 et 18 mois après le syphilome initial. Sur 40 cas de syphilis
cérébrale
cités par Rumpf, 9 se développèrent pendant la
premières années après l'in- fection des cas de paralysie des nerfs
cérébraux
, d'ophtalmoplégie en môme temps que d'aphasie,
st pas rare. Parmi les observations les plus détaillées de syphilis
cérébrale
précoce connues jusqu'ici, je résumerai brièvem
ment cliniques. Kahler, à l'autopsie d'un individu mort de syphilis
cérébrale
, alors que l'ulcère initial n'était pas encore
ent mourut. L'autopsie fit relever une forme vasculaire de syphilis
cérébrale
avec un ramollissement dans la partie droite du
ultat négatif. Mingazzini, dans son premier travail sur la syphilis
cérébrale
précoce et maligne, rapporte (Beob. I) le cas d
troubles psychiques, et mal- OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS
CÉRÉBRALE
289 gré un traitement énergique d'injections in
lions de la base de gauche et une endoartérite de plusieurs artères
cérébrales
, de la fosse de Sylvius, des vertébrales et de la
ent sur le même sujet, fit con- naître trois autres cas de syphilis
cérébrale
précoce et maligne, observés durant la vie des
un traitement spécifique. Six mois après l'apparition des symptômes
cérébraux
, se manifesta une hémiplégie droite avec aphasi
e Mingazzini, Panichi a aussi publié en Italie deux cas de syphilis
cérébrale
précoce et maligne. Le premier de ces cas regarde
'infection, soignée au moyen OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS
CÉRÉBRALE
291 de composés mercuriels et de iodure, fut fr
pacité des mêmes parties en correspondance avec les circonvolutions
cérébrales
; artères de la hase fortement épaissies ; les
e cas d'un officier su- balterne de 54 ans chez lequel une syphilis
cérébrale
donna, quatre mois déjà après l'infection, les
éhosclérose. 292 COSTANTINI Ayant ainsi parlé des cas de syphilis
cérébrale
précoce et maligne fournis de données anatomopa
connaître le cas d'une syphilis très diffuse et grave des méninges
cérébrales
et spinales et qui s'était déjà manifestée deux
gauche, dix mois après l'in- OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS
CÉRÉBRALE
293 fection syphilitique qui fuf soignée irrégu
la cure. Il y a quelques années, Kreibich publia un cas de syphilis
cérébrale
, dans lequel les premiers symptômes apparurent
Mais le malade continua toujours à présenter des signes de syphilis
cérébrale
. Nonne, dans la dernière édition (1909) de l'ou
ccasion d'observer à l'Asile des aliénés de Rome un cas de syphilis
cérébrale
qui s'était développée quatre mois après l'appa
avec une éruption maculo-pa- OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS
CÉRÉBRALE
295 puleuse diffuse. Un second cas d'hémiplégie
rochiée : 22 centimètres. Le OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS
CÉRÉBRALE
297 patient ne réussit pas à étendre complète
iaux, la suggestion est évi- OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS
CÉRÉBRALE
299 dente, mais en dehors de celle-ci le pouvoi
ces troubles sont épisodiques ferait penser à des crises de torpeur
cérébrale
plus grave qu'à l'habitude. Le patient reste à
lques mois après. Il s'agit donc dans les deux cas d'une syphilis
cérébrale
grave, qui s'était développée déjà dans la péri
ilis et selon toute probabi- OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS
CÉRÉBRALE
301 lité, d'une arteritis luetica -et non d'une
CÉRÉBRALE 301 lité, d'une arteritis luetica -et non d'une affection
cérébrale
d'une autre nature. L'infection syphilitique dé
ents étioiogiques, qui. dans celle forme particulière de syphi- lis
cérébrale
, ont été incriminés, par divers auteurs, sont mul
un autre côté, examinant minutieusement de nombreux cas de-syphilis
cérébrale
de formes diverses (artérite, méningite, méning
certaine,névropathique ou psychopa Inique : Sur 185 cas de syphilis
cérébrale
, spinale et cérébro-spinale, 24 fois il n'a trouv
ce de la tare héréditaire sur celle formeparticulièrede la syphilis
cérébrale
. L'importance de cette hérédité sur les formes
érature, on déduit que sur 37 cas, y compris les miens, de syphilis
cérébrale
précoce et maligne, dont on con- naît l'âge, le
c raison que Mingaz- zini affirme que la moitié des cas de syphilis
cérébrale
précoce et maligne se développent entre 20 et 3
bien qu'un dénouement malheureux puisse avoir lieu dans la syphilis
cérébrale
, quel que soit l'âge auquel est survenue l'infe
infection une des principales causes de la malignité de la syphilis
cérébrale
. Cela est encore d'accord avec les vues de Naun
de l'influence de l'âge avancé sur le développement de la syphilis
cérébrale
précoce et maligne se lie intimement à celle d'un
i l'agent syphili- tique pénètre dans l'organisme quand les artères
cérébrales
sont déjà affai- blies par l'âge et par l'intox
, et qui a déjà été remarqué OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS
CÉRÉBRALE
303 par d'autres auteurs (Althaus, Neumann, Min
plique à son tour un autre-caractère de la malignité de la syphilis
cérébrale
précoce, c'est-à-dire' : « la rapide succession d
is pustuleuse et ulcéreuse, et conduisant précocement àja sypliilis
cérébrale
. Une statistique de Tarnowski, selon laquelle sur
de Tarnowski, selon laquelle sur 100 patients affectés de syphilis
cérébrale
, pas moins de 43 étaient des buveurs habituels,
utre moment étiologique qui, dans le développement des affec- tions
cérébrales
, a toujours été et est maintenant plus que jamais
les traumatismes de la tête. Ainsi-leur influence dans les tumeurs
cérébrales
, déjà admise par Oppenheim et Bruns, est désorm
atisme. Du reste, l'importance de ces traumatismes pour la syphilis
cérébrale
a été reconnue par un grand nombre d'auteurs co
t, Meyer s'est occupé des rapports qui existent entre les symptômes
cérébraux
et les chocs trauma tiques de la tête chez les
s chocs traumatiques de la tête sur le développement de la syphilis
cérébrale
, se basant sur sa propre expérience, croit qu'u
as qui lui appartien- nent dans lesquels l'apparition des symptômes
cérébraux
avait été précé- dée d'un choc traumatique. Le
soignée à l'hôpital deEppendorf pour une syphilis 304 COSTANTINI
cérébrale
(céphalalgie, ! convulsions épileptiques, stase p
atique peut créer un locus minoris resistel1tiæ, et que la syphilis
cérébrale
peut succéder à un choc de la lête; d'autre par
es chocs traumatiques eux-mêmes sur le développement de la syphilis
cérébrale
; en général, on n'en parle pas d'une manière par
énergique a la même valeur. OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS
CÉRÉBRALE
305 Rnmpf, au contraire, et avec lui beaucoup d
ait une cure antisyphilitique intense est menacée d'une affec- tion
cérébrale
dans une mesure bien moindre que l'autre, qui n'a
se montre parfois insuffisant à prévenir ou à retarder une syphilis
cérébrale
. Et c'est surtout évident dans la syphilis céré
r une syphilis cérébrale. Et c'est surtout évident dans la syphilis
cérébrale
précoce et maligne, dans laquelle, de nombreux
malignité de la syphilis précoce. En effet, les premiers symptômes
cérébraux
disparaissent ou s'améliorent la suite d'une cu
res qui sont rebelles à tout OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS
CÉRÉBRALE
307 traitement et qui souvent mènent le malade
stants ou la manifestation de nouveaux symptô- mes dans la syphilis
cérébrale
précoce et maligne, nous ne la connaissons pas.
ne devons être aucunement étonnés si, d'au- tre part, les symptômes
cérébraux
restent tels quels ou même s'améliorent peu mal
s importants qui aient été pris en considé- ration dans la syphilis
cérébrale
précoce et maligne. Mais les auteurs par- lent
quels on doit attribuer la précocité et la malignité de la syphilis
cérébrale
. Il peut parfois venir s'y mêler d'autres cause
ebrale précoce. Gaz. méd. de Nantes, 1909, p. n0. CHABYET. Syphilis
cérébrale
sept mois après l'accident primitif. Oblitération
. Vienne, 1894. Tageblatt. OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS
CÉRÉBRALE
309 Juscurscuswo. - Ueber/ruhzeitigesyphilit. E
-1575. Vol. VI, et Anu. de Deruialol. 1879. 111LWTnuas. Accidents
cérébraux
au début de la période secondaire. Ann. de Derma-
it beaucoup d'urine (normale). Le diagnostic fut posé de syphilis
cérébrale
et de diabète insipide. Le trai- tement spécifi
érente à la dure- 358 FLATAU mère, dure à la palpation ; le tissu
cérébral
ambiant est ramolli. Les vaisseaux sur la base
athologique). Nous avons posé le diagnostic dans ce cas de syphilis
cérébrale
. Pen- dant le dernier séjour de la malade à l'h
question qui semblait être un fait acquis pour l'histo-physiologie
cérébrale
. Brodmann () a eu l'occasion d'examiner,au poin
ments athétoïdes à la main gauche, enlève cette région de l'écorce
cérébrale
dans toute l'étendue et toute la profondeur de
, 1906, p. 277. (8) E. SM[ïn. new topographical survey ol the human
cérébral
cortex. Journal of Anat. and Physiol., vol. XLI
gro- sine. Von Monakow (2) en examinant, après six mois, l'écorce
cérébrale
d'un chat, dont il avait sectionné la portion a
pu observer les modi- fications de la structure intime des cellules
cérébrales
. Dotto et Pusateri (4) ont examiné le cerveau d
p, .H8. 1 (3) CAtti.0 Ceni, Sulle fine allerazioni della corleccia
cérébrale
consécutive aile le- sioni della midolla spinal
j.'ai montré des coupes de cerveaux d'un cas de lésion du pédoncule
cérébral
, de six cas de compression de la moelle et d'un
urrait tirer de l'étude de tels cas pour les localisations motrices
cérébrales
. Mes élèves Parhon et Goldstein (1) ont publié
produit indifféremment si cette destruction a lieu dans son trajet
cérébral
ou médullaire. Récemment Holmes et Page May (2)
épondre aux questions suivantes : 1° De quelle région de l'écorce
cérébrale
naît le faisceau pyramidal ? 2° De quelles cell
estions, les auteurs étudient la réaction à dis- tance des cellules
cérébrales
après la section du faisceau cérébro-spinal che
terrompue du faisceau pyramidal delà moelle sacrée jusqu'à l'écorce
cérébrale
. De tels cas ont été publiés par Kojewnikoff (1),
Franceschi (13), etc. On comprend facilement pour les localisations
cérébrales
l'importance d'une lésion du système pyramidal
une certaine région de l'écorce et plus encore à certaines cellules
cérébrales
. En effet, Ko- jewnikoff, Charcot et Marie, 111
térale amyotrophique avec la dégénérescence accusée depuis l'écorce
cérébrale
jusqu'aux muscles. Contribution from. tho w. Pep-
9. DES CELLULES DE BETZ ET DES MOUVEMENTS VOLONTAIRES 383 motrice
cérébrale
. Ils arrivent à la conclusion que la localisation
omplète. Durée de la maladie 2 mois. Examen macroscopique. - Tumeur
cérébrale
détruisant les noyaux de la base du côté droit.
Examen macroscopique. Foyer hémorragique à l'intérieur d'une tumeur
cérébrale
qui avait détruit les noyaux de la 'base du côté
tre la région plus ou moins atteinte par celte paralysie et la zone
cérébrale
occupée par les cellules lésées. Dans les hémiplé
t assez ancien, ne produit pas de réaction dans les centres moteurs
cérébraux
. On conçoit facilement l'importance de cette co
s corticales de même que entre le membre plus atteint et son centre
cérébral
. En effet, chez les paraplégiques les lésions d
e des frontales ascen- dantes. Dans les cas d'hémiplégies d'origine
cérébrale
, où le membre su- périeur était le plus touché,
baires la réaction et l'atrophie des cel- lules géantes de l'écorce
cérébrale
correspondent en partie avec les cons- tatation
ieurs étant également plus atteints, il est naturel que les centres
cérébraux
des noyaux bulbaires et des noyaux DES CELLULES
ouvement isolé. J'ai expliqué ce phénomène par le fait que l'écorce
cérébrale
présiderait à l'exécution des mouvements spécia
s diffuses (sarcomes, gommes) il y a une combinaison de symp- tômes
cérébraux
et médullaires. Tantôt les phénomènes cérébraux (
ison de symp- tômes cérébraux et médullaires. Tantôt les phénomènes
cérébraux
(l'am- blyopie et l'amaurose le. plus souvent d
omatiques. On lui doit aussi plusieurs études sur les localisations
cérébrales
et bulbaires, en particu- lier sur le Noyau du
ques pour démontrer comment, chez les gauchers, les circonvolutions
cérébrales
du langage, quand elles sont lésées à droite pr
de coupes sériées, les lésions qu'on rencontre dans les hémisphères
cérébraux
d'individus gauchers atteints d'aphasie sensori
ques d'un gaucher, mort dans la suite, j'ai examiné les hémisphères
cérébraux
de ce sujet, en les coupant par séries horizont
dure-mère et de la pie-mère La convexité et la base de l'hémisphère
cérébral
gauche sont normales. L'examen de l'hémisphère
'hémisphère cérébral gauche sont normales. L'examen de l'hémisphère
cérébral
droit montre que le cinquième inférieur du gyrus
n a pratiqué des coupes horizontales en série, tant de l'hémisphère
cérébral
droit, que du gauche ; puis on les a colorées a
Il n'a rien été trouvé d'anormal l'hémisphère gauche. Hémisphère
cérébral
droit. Coupes horizontales. Dans une section pass
parésie facio- brachiale, a montré, a l'autopsie, dans l'hémisphère
cérébral
droit, une destruction presque complète de la c
, les conséquences des lésions des zones du langage de l'hémisphère
cérébral
droit offrent la plus grande ressemblance avec
roitiers, par suite de lésions des zones du langage de l'hémisphère
cérébral
gauche. Il y a, en effet, dans notre cas, trois
l'on raisonne par analogie avec ce qui se passe dans l'hémi- sphère
cérébral
gauche on est porté à croire que cette altération
aient demeu- rés intacts. A l'autopsie, on trouva dans l'hémisphère
cérébral
droit, au point de passage du lobe pariétal dan
ck et le mien) démontrent donc que chez les gauchers l'hé- misphère
cérébral
droit et proprement le gyrus an[]llla1'is et l'ai
à fait analogue à celle des parties correspondantes de l'hémisphère
cérébral
gauche chez les droitiers. Il convient à ce pro
te de la section est normal. C. - Coups horizontale de l'hémisphère
cérébral
droit pratiquée à 48 millimètres au-dessous du
mplète s'il est déjà formé. Un emplacement vicieux soit de l'artère
cérébrale
antérieure (Sairder),soit de la faux du cerveau
; elle représente la plus longue Voie d'association de l'hémisphère
cérébral
et sert à relier entre eux les différents lobes
es reliquats incontestables de mé- ningite chronique et de sclérose
cérébrale
. C'est à cette méningite et à l'épendymite gran
que, qu'on peut trouver dans les cas de déficit psychique d'origine
cérébrale
inflammatoire ou hypobiotrophique. Chez beaucou
us trai- tons ici, admettent l'existence d'une microsomie d'origine
cérébrale
. M. Pellizzi, s'exprime à ce sujet de la façon
s beaucoup de cas de déficit intellectuel d'origine inflam- matoire
cérébrale
, on observe des retards ou des arrêts du développ
ue ni essentielle, mais est au contraire strictement liée la lésion
cérébrale
. » M. Sainton et 1l.Launois admettent aussi l'e
l'existence de cette forme de 530 / ETTORE LEVI nanisme d'origine
cérébrale
, mais aussi bien que M. Pellizzi ils n'en dé- f
d'une lésion chronique des centres nerveux, telle que la sclérose.
cérébrale
, ils ne se développent que difficilement et dem
tique (la microcéphalie est fréquente dans ces sujets). La sclérose
cérébrale
hypotrophique congénitale donne le plus souvent
celui de l'épilepsie pure. Dans ces formes de microsomie d'origine
cérébrale
, soit inflammatoire, soit hypobiotrophique les
ccord avec M. Pellizzi à ne considérer cette mi- crosomie d'origine
cérébrale
ni comme infantilique, ni comme essen- tielle ;
allons même plus loin en affirmant que cette microsomie d'o- rigine
cérébrale
ne doit pas être prise en considération dans cett
on constate plusieurs foyers de ramollissement dans t'hémi- sphère
cérébral
gauche. L'examen histologique de la moelle montre
in. Chir., 42,1891, p. 812. Réxon et TmH : tt. Sur un cas de tumeur
cérébrale
sec il une tumeur du sein. Rev. neurol., 190 ï,
ion des humeurs. G.Ofhuys penche pour le désordre de la circulation
cérébrale
, causé par la lésion d'une certaine veine, dont
existe plusieurs plaques de sclé- rose, à distance, en plein tissu
cérébral
. Notamment on en trouve deux, assez petites (1
un tissu névroglique lâche, faisant trou au milieu de la substance
cérébrale
avoisinante, sont formées par des fibrilles den
ur de larges surfaces ; elles s'enfoncent ensuite dans la substance
cérébrale
dont elles sont séparées par une ligne sinueuse,
diquant un léger processus réactionnel. Altérations de la substance
cérébrale
entourant les plaques de sclérose. Nous avons v
es autour des plaques. Elles le sont d'autant plus que la substance
cérébrale
, à ce niveau est dense et forte- ment colorée ;
le, à ce niveau est dense et forte- ment colorée ; de plus le tissu
cérébral
est infiltré à ce niveau de très non- breuses c
lement.Dans les plaques périvasculaires situées en pleine substance
cérébrale
, le réseau des cylindraxes est tout à fait identi
rps granuleux. - Il en existe très peu dans les plaques de sclérose
cérébrale
. Autour des plaques périventriculaires, on en voi
bre. (La recherche des corps granuleux a été faite pour les plaques
cérébrales
à l'aide du soudan sur des coupes à congélation
une dissémination médullaire des plaques de sclé- rose. Les plaques
cérébrales
étaient en petit nombre comparativement, les lé
océphalie passive, ex vacuo, commandée par la rétrac- tion du tissu
cérébral
dans son ensemble (Valentiner) (1). Les choses
e des mastzellen, tant dans les parois de l'aorte que dans l'écorce
cérébrale
et ses vaisseaux. Microscopie : Mésaortite gomm
sse avant d'atteindre la cicatrice définitive. Le cas de syphilis
cérébrale
diffuse relaté présentait des lésions aorti- qu
erne du ventricule reçoit le pilier antérieur descendant du trigone
cérébral
qui en occupe environ la moitié inférieure. Ce fa
convolution de l'hippocampe, entre celle-ci et le pied du pédoncule
cérébral
, qui expli- quent sans doute la dégénérescence
lenticulaire de la capsule interne jusque dans le pied du pédoncule
cérébral
, sont tous des détails anatomiques de la plus h
ne du noyau rouge, d'autres enfin, contournent le pied du pédoncule
cérébral
et s'épuisent dans la partie antérieure du corps
aut, il n'y a rien'de changé dans l'architectonique de l'hémisphère
cérébral
; on re- trouve la même disposition de noyaux e
CORPS CALLEUX 657 tion, tels que l'emplacement vicieux de l'artère
cérébrale
antérieure (San- der) ou de la faux du cerveau
lleux et ne se retrouve pas dans le cerveau normal. 4° Le trigone
cérébral
est formé non seulement par des fibres directes
Timidité des - essai de pa- thogénie), par Bernard, 224. Syphilis
cérébrale
précoce (Observations cliniques sur la et malig
3,429, 5-il, 685. CosTwTm. Observations cliniques sur la syphilis
cérébrale
précoce et maligne, 286. DEBouis et BAGER. Tr
s (Bauer et DEsaoLls), XLV et XLVI. Troubles trophiques d'origine
cérébrale
(Marchand), XIV. Le gérant : P. Boucher. Im
oir eu du délire et beaucoup souffert et qu'elle appelait sa fièvre
cérébrale
. C'est bien plus tard seulement et par le récit
ystères scieii- tifiques. - Pendant ce nouvel intervalle d'activité
cérébrale
automa- tique, Cam... reçoit de Deus des quanti
obtenir volontairement, il faut un certain effort de concentration
cérébrale
, le secours de la table est dans ce cas même quel
IQUE. Sur les modifications craniennes consécutives aux atrophies
cérébrales
unilatérales (hémiplégie infan- tile). PAR G.
leurs, sans avoir recours à des exemples pathologiques, ATROPHIES
CÉRÉBRALES
UNILATÉRALES. 29 n'est-il pas prouvé que la per
métopique est en relation avec une augmentation normale du volume
cérébral
'. Le crâne par cette anomalie continue à remplir
ropologie, 16 avril 1896. ' Le crâne dans les idioties. ATROPHIES
CÉRÉBRALES
UNILATÉRALES. 31 avec cette loi que partout où
re, n'est donc que secondaire et nullement la cause de l'atro- phie
cérébrale
. Ce qui est vrai pour les cas de microcéphalie
notre mémoire Le Crâne dans les Idioties, sur le défaut d'expansion
cérébrale
en vertu duquel les déformations sont peu accen
ications fort appréciables. Mais sur ce dernier encore, l'influence
cérébrale
s'exerce inégalement : alors que la base cranie
la base du crâne (-1898), Société d'Anthro- pologie. , ATROPHIES
CÉRÉBRALES
UNILATÉRALES. 33 plus fortement. La portion cra
e certaines parties osseuses du côté malade (diminution de la fosse
cérébrale
moyenne par exemple), l'asymétrie de la base cr
récise de l'affaissement en masse de la base (effet direct du poids
cérébral
) et de ses différences. Pour les mettre en évid
ns le tableau sui- vant aui donne l'angle nétroclivien. ATROPHIES
CÉRÉBRALES
UNILATÉRALES. 35 tissu osseux 1 ; c'était un my
escriptions relatives aux nécropsies s'accompagnant d'hémiatrophies
cérébrales
. Sa genèse est simple : lorsque les deux hémisp
crânes ayant donné asile â une porencéphalie double. ' ATROPHIES
CÉRÉBRALES
UNILATÉRALES. 37 un aspect normal, tandis que d
fermant l'hémisphère malade. En voici quelques autres : l'expansion
cérébrale
s'étant faite dans tous les sens au niveau de l
l est parfaitement appréciable à la vue. - En arrière la pression
cérébrale
a produit un véritable renversement du bord sup
s rares, l'atrophie cérébelleuse existe du même côté que l'atrophie
cérébrale
. Enfin, souvent, tandis que les hémisphères cér
ue l'atrophie cérébrale. Enfin, souvent, tandis que les hémisphères
cérébraux
sont inégaux, les hémisphères cérébelleux sont
au moins, ce qui ressort du tableau sur l'Inégalité des hémisphères
cérébraux
et cérébelleux, comprenant 90 cas que nous avon
il faut inter- vertir les lettres G et D. BouRNEviLLE. ATROPHIES
CÉRÉBRALES
UNILATÉRALES. 39 que l'épaisseur de la paroi es
es crânes où l'inflammation ne parait pas avoir Fig. 9. ATROPHIES
CÉRÉBRALES
UNILATÉRALES. 41 influencé, l'augmentation d'ép
oit une anomalie assez curieuse, l'agrandisse- Fig. 11. ATROPHIES
CÉRÉBRALES
UNILATÉRALES. 43 ment des trous pariétaux. Nous
traumatismes, des arrêts de l'ig. 13. - Cane de Perr... ATROPHIES
CÉRÉBRALES
UNILATÉRALES. 45 développement limités à une zo
s, une synostose plus avancée en raison de l'arrêt de développement
cérébral
qui ne s'oppose pas à leur envahissement par le
elques crânes notamment, il est curieux de voir au fond de la fosse
cérébrale
moyenne d'un côté une suture sphéno-temporale d
ncéphale de PCI'I'... ' 4 50 ' ANATOMIE PATHOLOGIQUE. des lésions
cérébrales
et à la diversité des troubles patholo- giques.
e suffisait à maintenir la pression intracrànienne. Les ventricules
cérébraux
(voir les Planches qui les représentent dans le
gite tuberculeuse; cancer de l'oesophage, urémie lente, hémorrhagie
cérébrale
au cours d'une néphrite chronique. Ces malades
cataleptoïdes et la respi- ration de Cheyne-Stokes. Une inhibition
cérébrale
profonde semble £ ' être la raison fondamentale
t de la maladie. L'autopsie montre une malformation de l'hémisphère
cérébral
gauche, et des lésions de méningo-encéphalite s
sept ans, présenta des accidents REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 59
cérébraux
graves qui en imposèrent pour une méningite au co
es sont directs et non croisés, comme pour celles des hémis- phères
cérébraux
; les troubles dits cérébelleux (perturbation de
uarante-cinq ans, dont les vomissements présentaient le caractère «
cérébral
», c'est- à-dire s'effectuaient sans effort, co
LL.11N ; (Nouv. Iconog. de la Salpêtrière. n°2, 1903). Hémiplégie
cérébrale
infantile, arrêt de développement de tout le cô
ni fraction spécifique. Dans ces conditions, ce sont les fonctions -
cérébrales
les plus anciennes qui sont aussi le plus organ
70 p. 100. R. de lIIUSGR1VE-CLAY. 11. Les résultats de la chirurgie
cérébrale
dans l'épilepsie et dans les défectuosités ment
rieur, par de vastes ramollissements dans la région des hémisphères
cérébrales
, ce qui 86 - SOCIÉTÉS SAVANTES. n'exclut pas
psychose s'est associé un vaste ramollissement dans les hémisphères
cérébraux
; à l'examen microscopique furent cons^ tatés d
sque la maladie de Korsakoff typique est compliquée par des lésions
cérébrales
organiques et non provoquées par elles. W.-P. S
nquante ans, donnait depuis quelque temps des signes de dérangement
cérébral
. Hier, vers six heures du matin, alors que son
lle n'avait, en tous cas, parlé de rien que de sa très vague fièvre
cérébrale
. Tous ces souvenirs se sont, au contraire, réve
ation d'un malade ayant présenté comme manifestation rare de tumeur
cérébrale
des vomissements poussés jusqu'à l'incoercibili
e paralytique, chez le non paralytique, d'infusions, de bouil- lons
cérébraux
de concentrationsetde valeursprécises. Ces infusi
u'il est exagéré d'un seul côté dans les cas de lésions anatomiques
cérébrales
et spino- cervicales. Ce n'est pas un réflexe m
gère de concert avec les autres réflexes dans toutes les affections
cérébrales
et dans les affections cérébrospinales siégeant
rselli dans la démence paraly- tique, de Bechterew dans la syphilis
cérébrale
, de Leitz dans là méningite tuberculeuse, de Si
série, t. XVIII. 11 162 SOCIÉTÉS SAVANTES. XXXVII. La circulation
cérébrale
pendant le coït; par L.-M. Poos- SEPE. (06o,M ?
générale tombe notablement, l'animal est moins vivant. l'hyperémie
cérébrale
est moins accentuée. P. KERAVAL. SOCIÉTÉS SAV
nt, traitées par la nouvelle méthode de Cajal, des coupes d'écorces
cérébrales
de paralytique général et de tuberculeux pris c
ique et' d'autres métamérique. Troubles auditifs dans les tumeurs
cérébrales
. M. Souques, chez un homme atteint de tumeur cé
les tumeurs cérébrales. M. Souques, chez un homme atteint de tumeur
cérébrale
, une surdité complète et bilatérale, ayant évol
es dégénérations du cordon antérieur. Consécutivement aux lésious
cérébrales
très vastes le tractus de sclérose du faisceau py
fait quelquefois défaut. Les dégénérations de ce cordon par lésions
cérébrales
sont l'exception. Ces dégénérations consécutive
re que n'empêcheront point des soins minutieux : celles d'o- rigine
cérébrale
, médullaire, névritique. L'auteur apporte deux
KOFF, peut aussi se développer après l'apoplexie, dans les ambolies
cérébrales
, etc. Dans la démence sénile peut aussi être ob
is avec pgeudoréminiscences. peut aussi s'observer dans les tumeurs
cérébrales
; les rapporteurs ne réfutent point la .possibi
OCIÉTÉS SAVANTES. rares il est vrai, de la combinaison de la tumeur
cérébrale
avec la psychose de EORSAEOFF (cas de MEYER, MO
: .IOLLER et KAPLAN); z ici se rapportent aussi les cas de syphilis
cérébrale
, où, d'après l'avis de M. Mouravieff, les fauss
a- die en question, peuvent s'associer des vastes ramollissements
cérébraux
. Les cas de la psychose de KonsAKOFF, sans polyné
ie par la suggestion hypnotique. , L'ectoscopie et l'ectothérapie
cérébrales
. M. Biafciii. L'ectothérapie, en général, repos
hilosophes anglais et français. Bordeu a deviné les lo- calisations
cérébrales
, que découvrirent à la fin du XIXe siè- cle, Ch
as de démence chronique, de lésions matérielles de la corticalité
cérébrale
, et en montrant que l'intensité de ces lésions ét
dehors des tubercu- leuses. Au microscope, on ne voit dans l'écorce
cérébrale
aucune lésion des méninges ni des vaisseaux ; i
tuels des viscères trouvés à l'autopsie d'un phthi- sique. L'écorce
cérébrale
, comparée à celle d'un phthisique de même âge p
tionnels du bulbe indépendamment de leur représentation consciente,
cérébrale
, avec laquelle on les confond si souvent. Il a
a engagé ces auteurs à en faire la publication. Lésions de l'écorce
cérébrale
et cérébelleuse chez une idiote aveugle-née.
i fait de la paralysie générale une affection due surtout à l'usure
cérébrale
, les autres causes étant seulement occasionnell
aladie particulière à d'autres affections du système nerveux (ictus
cérébral
, etc.) dont la symptomatologie moins bruyante s
Prix : 4 francs. 0. Doin, éditeur. UGOLOTTI (Ferdinando). Sclerosi
cérébrale
tuberosa associl1¡la aspe- ciali attemzio1l'Î d
Développement régulier, fièvre typhoïde à douze ans, sans accidents
cérébraux
bien graves. Intel- ligence ordinaire; L... a é
ctieuses, la rougeole, les oreillons et la varicelle sans accidents
cérébraux
. Très brillantes facultés intellectuelles. Au p
tion lumineuse appartenant à l'image-fantôme est d'origine purement
cérébrale
et, par suite, s'ajoute à la sensation colorée
conforme au développement embryonnaire du cerveau. Les hémisphères
cérébraux
avec les ganglions sous-corticaux procèdent de
érébraux avec les ganglions sous-corticaux procèdent de la vésicule
cérébrale
pri- mitive antérieure : ils sont principalemen
reçoit le sang du système artériel postérieur par l'entremise de la
cérébrale
postérieure. Les dérivés des deux vésicules pri
imitives postérieures, tubercules quadrijumeaux avec les pédoncules
cérébraux
, cervelet et bulbe avec la protubérance, reçoiv
mportantes : il s'en suit qu'une anomalie de formation d'une artère
cérébrale
ne peut être équi- librée par la compensation d
anomalies de formation des artères qui nourrissent les hémisphères
cérébraux
avec les ganglions sous-corticaux et qui formen
no- malies s'observent au premier chef dans la région de l'artère
cérébrale
antérieure qui irrigue la province si importante
,3 p. 100. Elles sont 'donc un peu plus rares dans le système de la
cérébrale
postérieure : 17,8 p. 100. 0. Elles sont incomp
lies particulières à chaque artère se peuvent résumer ainsi. A. Les
cérébrales
antérieures peuvent provenir d'un tronc commun
n prématurée, l'anasto- mose de l'artère du côté opposé. B. Une des
cérébrales
antérieures, presque toujours la gauche, fourni
au dessous de la branche normale. D. La principale anomalie de la
cérébrale
postérieure consiste en ce qu'elle provienne, non
ais de la carotide interne : dans ces conditions un des hémisphères
cérébraux
, car il est extrêmement rare que l'anomalie soi
. 10. Quand on lie la carotide interne, il importe de savoir que la
cérébrale
postérieure peut émaner de la carotide interne,
troubles ner- veux graves et chroniques consécutifs à la commotion
cérébrale
. . P. KERAVAL. XLVI. Des convulsions rhythmiq
jambe parétique une atrophie musculaire précoce qui dépend du foyer
cérébral
. P. KERAVAL. LXIII. L'imprégnation des cylindra
tovze Sll1'Vit à la disparition de l'hémicranie et de tout symptôme
cérébral
, pendant vingt-six jours; le champ visuel norma
ment dit eut cessé, il persista encore des symptômes d'exci- tation
cérébrale
. P. Keraval. XXXVI. Les états d'obnubilation ps
u. (Bévue de médecine. Novembre 1902.) - M. H. XL. Hérédosyphylis
cérébrale
tardive; par L. HAUDnIx. (P&IiCli- nique de
veau. Minkowski, Grawitz, Krewer font de la myoclonie une affection
cérébrale
. Lorsqu'elle se produit dans l'épilepsie, elle
uses. Chez ce malade la myoclonie fut très probablement d'origine
cérébrale
. En effet, d'abord unilatérales, les convulsions
y, âgé de soixante- douze ans, cultivateur, en proie à des troubles
cérébraux
, s'est jeté dans la mare située dans sa cour. (
soit interrompu à la plus légère apparition de signes de fatigue
cérébrale
ou d'obtusion intellectuelle. L'exercice physiq
n à deux grammes, suivant les indications individuelles (excitation
cérébrale
, insomnie, instabilité simple, etc...), dose ad
LXXVIII. Quelques expériences sur l'action du calcium sur l'écorce
cérébrale
; par le Dr Roncoroni (Riu. Sp.,cli fren. 1903, fa
u d'avoir jamais prétendu que les lésions des vaisseaux de l'écorce
cérébrale
étaient toujours primitives dans la paralysie g
ltat d'un phénomène d'arrêt, d'inhibition ou de sommeil des centres
cérébraux
. L'anesthésie est la marque, le sigillum de cet
Pour réveiller un hystérique c'est- à-dire pour ramener ses centres
cérébraux
à l'activité, il faut agir directement sur eux
théorie permet de mettre en évidence (existence d'une cénesthésie
cérébrale
, détermination de centres viscéraux, etc.) G. DEN
ronostic dans le typhus, la pneumonie, etc. accompagné de symptômes
cérébraux
graves et dans les cas d'abcès cérébraux sus- c
c. accompagné de symptômes cérébraux graves et dans les cas d'abcès
cérébraux
sus- ceptibles d'une intervention chirurgicale.
ion chirurgicale. Elle est utile encore pour distinguer la syphilis
cérébrale
des autres maladies du cerveau et de la moelle
e Schultze) contre le danger de la ponction dans le cas de tumeur
cérébrale
. Schünborn a ponctionné 100 malades à la cliniq
ltats négatifs dans le tétanos, la carie des vertébres, les tumeurs
cérébrales
, les névroses. 11 a fait dans 20 cas la cryosco
de vue thérapeutique, on a eu de bons résultats dans la compression
cérébrale
, dans l'idiotie post-méningitique. Nonne (Hambo
l'idiotie post-méningitique. Nonne (Hambourg). Cas de pseudo-tumeur
cérébrale
avec guérison. L'auteur a observé 12 cas d'une
nes aliénés, il n'a pas trouvé un paralytique ou un cas de syphilis
cérébrale
, tandis que sur 50 aliénés européens il en a co
trophie de la papille] qui ont évolué parallèlement aux altérations
cérébrales
et se sont traduites histologiquement par la pr
pour augmenter la capa- cité des ventricules latéraux : l'atrophie
cérébrale
, et la pression exagérée du liquide céphalo-rac
mpliation des ventricules latéraux est la conséquence de l'atrophie
cérébrale
. G. D. Asile d'aliénés DES P1'RÉNÉES-OItIENT.
LIX. Paralysie faciale : rire et pleurer spasmodiques; localisation
cérébrale
; par M. Piéry. (Société des Sciences médicale, d
s de cette observation M. Piéry pose le problème de la localisation
cérébrale
du rire et pleurer spasmodiques et de celle du
aves) que l'auteur crut pouvoir attribuer à une paralysie d'origine
cérébrale
du crico- thyroïdien. Cette hypothèse fut con
pilepsie; état de mal mort; atrophie considérable de l'hémisphère
cérébral
droit. 1 Par BOURNEVILLE ET Reine MAUGERET So
ntal et du pariétal droits. - Atrophie considérable de l'hémisphère
cérébral
droit; des nerfs et des artères de la base de l
pais, très épais même dans sa moitié droite, correspondant au foyer
cérébral
(le frontal droit mesure 9 millimètres, le pariét
plus petite que la gauche; il en est de même de la sylvienne, de la
cérébrale
Fig. 15. - Crâne de Ham... SCLÉROSE ATROPHIQU
SCLÉROSE ATROPHIQUE DE L'HÉMISPHÈRE DROIT. 473 antérieure, de la
cérébrale
postérieure. Les faces internes des lobes front
ntérieure droite est tout à fait effacée. La coupe des pédoncules
cérébraux
montre que le droit est d'au moins un quart plu
qui se rencontrent fréquemment, mais non toujours dans l'hémiplégie
cérébrale
infantile. c. L'épilepsie a débuté à deux ans e
oins longue et notablement plus étroite que la gauche, l'hémisphère
cérébral
droit extrêmement atro- REVUE D'ANATOMIE ET DE
emple de sclérose atrophiqtteintéressant l'resque tout l'hémisphère
cérébral
droit, avec atrophie croisée du cervelet et com
dans les cas où il existe des symptômes nets mais diffus de tumeur
cérébrale
, la simple ponction lombaire peut améliorer cer
ie. . G. C. ' XCV. Idiotie microcéphalique ; épilepsie; asymétrie
cérébrale
; microgyrie; ulégyrie; cuir chevelu suggestif
t exposée la fine organisation du tissu cérébral' et de la fonction
cérébrale
. Cliniquement, un cas d' « amentia » primitive
urnzal o/' Izzsuzzily, I, 03, p. 441-446. 1 planche). S. CV. Tumeur
cérébrale
chez une femme de soixante-dix-huit ans T par J
pasmodique est fonction de la lésion médullaire et non de la lésion
cérébrale
. Les lésions cérébrales, dans leurs observation
de la lésion médullaire et non de la lésion cérébrale. Les lésions
cérébrales
, dans leurs observations, tiennent sous leur dé
E NERVEUSE. 493 lards athéromateux, on peut observer des phénomènes
cérébraux
z qui sont directement fonction des troubles ci
ché aux affections spasmo- paralytiques de l'enfance, aux diplégies
cérébrales
infantiles. M. Lannois dans saclassification de
edème d'une dystrophie probablement complexe. Ici le retentissement
cérébral
est inconstant. - 3° Pour l'adipose douloureuse
plusieurs glandes vasculaires sanguines etayant un retentissement
cérébral
très fréquent. 4° Pour le pseudo-oedème catatoniq
l très fréquent. 4° Pour le pseudo-oedème catatonique, d'un trouble
cérébral
probablement primitif et atteignant ultéiieui'e-
e observation dans laquelle on constate des lésions syphilitiques
cérébrales
surajoutées à celles de la paralysie générale.
e planche montre très nettement le degré d'atrophie de l'hémisphère
cérébral
droit. ' Planche VII. Hémisphère cérébral gauch
trophie de l'hémisphère cérébral droit. ' Planche VII. Hémisphère
cérébral
gauche : face interne. F', frontale interne, av
e trigone Tg. CO, couche optique. NO, nerf optique. - PC, pédoncule
cérébral
. - il, incisure temporale très marquée. -, CII,
le pariétal inférieur. LO, lobe Qccipital. Planche IX. Hémisphère
cérébral
droit : face convexe. - L'hémis- phète est renv
très réduit. -, CS, corps strié. f0, couche optique. PC, pédoncule
cérébral
. Planche XI. Hémisphère droit : face inférieure
axie. De l'- cérébelleuse : aiguë, par Bechterew, Ï46. Atrophies,
cérébrales
unilatérales, par Paul-Boncour. 28. AUTOC\'TO
l'étude des fonctions de la ? par Benaky, 385. Circulation. La
cérébrale
pen- dantle coït, par Poussèpe, '162. Crâne.
T en valgus, par Pauly, 39f. COULEUR. - Voir Neurasthénie. Ecorce
cérébrale
. Lésions de l ? et cérébelleuse chez une idiote
veules, par Huen- tobler, 525. ECTOSCOPIE L'- et l'ectothérapie
cérébrales
, par Biafchi, 181. Education physique. L ? appl
e- ment de l ? par W. Thomson. 70 Les résultats de la chirurgie
cérébrale
dans l'- et dans les défectuosités mentales con
tômes méningitiques, par Achard et Ramond, 509 fiMOEDO&YpmLis
cérébrale
tardive, par Haudrix, 350. Hippus. L'- dans l
epsie; état de mal; mort; atro- phie considérable de l'hémisphère
cérébral
droit, par Bournemlle et MIlo Maugeret, 461.
dron, 417. faciale : rire et pleurer spasmo- ditlues localisation
cérébrale
, par 425 - faciale. Voir Phénomène palpébral.
, par Lépine, 60. Voir Vomissements. Troubles au- ditifs dans les
cérébrales
, par Souques, 161. cérébrale chez une femme d
ments. Troubles au- ditifs dans les cérébrales, par Souques, 161.
cérébrale
chez une femme de soixante-dix-huit ans, par
aucun des signes objectifs permanents qui accompagnent les lésions
cérébrales
ou spinales. En outre, la marche de la maladie,
pathologique des accidents nerveux. Com- mençons par les accidents
cérébraux
et tâchons d'ex- pliquer une à une les formes c
s accidents cérébraux et tâchons d'ex- pliquer une à une les formes
cérébrales
. oc). Forme aphasique. La clinique est arrivée,
attendre, mais jusqu'à présent, je n'en ai jamais observé. FORME
cérébrale
paralytique. L'étude de la localisation des lés
n à peu près exacte de l'en- droit où l'on doit placer les troubles
cérébraux
para- lytiques d'origine scaphandrienne. Cet en
igine scaphandrienne. Cet endroit c'est la zone motrice de l'écorce
cérébrale
1. Type de paralysie partielle. - L'embolie de
r du membre inférieur sont irriguées par la brauche moyenne de la
cérébrale
antérieure. L'embolie donc et l'ischémie plus o
supérieur, ce qui explique la durée de trois mois de cet accident
cérébral
paralytique, mais cette altération n'était cert
que l'explosion sou- daine de gaz dans les interstices de l'écorce
cérébrale
d'un héréditaire dégénéré, a dû violemment trou
acti- vité. La présence de bullettes de gaz aux différentes zones
cérébrales
avait déterminé chez notre malade l'excitation
sance. La perte de con- naissance est certainement due à l'ischémie
cérébrale
, suite d'oblitérations artérielles. Nous voil
xtrinsèques. L'étude de la phy- siologie pathologique des accidents
cérébraux
, nous fait dispenser de nous occuper du groupe
onsécutives aux lésions destructives des diverses zones de l'écorce
cérébrale
du chien et du singe, ont porté : 9 sur la sphè
ur que les territoires sensoriels et sensitivo- moteurs de l'écorce
cérébrale
ne forment pas des centres complètement distinc
es aires de Krause ne suffit pas : il faut enlever toute la masse
cérébrale
en avant du sillon crucial ; encore les phé- no
mann et par Goltz, que, lorsqu'on excite par l'électricité l'écorce
cérébrale
, et spéciale- ment la zone motrice, le cervelet
le développement insolite de la partie antérieure des hémisphères
cérébraux
, et surtout du gyrus sigmoïde, dans les cas de
n Bartholow. Sciamanna, répondant aux adversaires des localisations
cérébrales
, à Brown-Séquard, à Goltz, à Marcacci ', a cons
malade ne connaissait évidemment pas la théorie des localisations
cérébrales
». Sans doute, tous les sujets hystériques ne r
nérale 1. Voilà pour l'étendue de la zone sensitive de l'écorce
cérébrale
. Mais, comme les troubles de la sensibilité .mu
é générale ont réellement et exclusivement leur siège dans l'écorce
cérébrale
. Si une lésion destructive de l'écorce les para
es, atrophie s'étendant jusqu'à la statiun terminale, dans l'écorce
cérébrale
, des faisceaux sensittfs. Mais le pro- cessus d
urol. Centralbl., 1887). L'immense majorité (90 0/0) des apoplexies
cérébrales
et des affections en foyer du cerveau respecten
res. ' P. Keraval. IX. Contribution A la QUESTION DES localisations
CÉRÉBRALES
EN TENANT PLUS PARTICULIÈREMENT COMPTE DES TROU
ENANT PLUS PARTICULIÈREMENT COMPTE DES TROUBLES UE LA VUE d'origine
cérébrale
; par C. REINHARD. (A ? ,ch. f. Psych., XVII, 3;
ce long travail. 1° Les lésions de l'ensemble des circonvolutions
cérébrales
produisent des troubles de la motilité d'autant
ement et passagèrement provo- quer des troubles de la vue d'origine
cérébrale
; ô° le déficit de la perception consciente des
aire à la cécité corticale' ; - 6° les troubles de la vue d'origine
cérébrale
peuvent être hémi ou bi-latéraux, complets ou inc
réalité certaines parti- cularités des troubles de la vue d'origine
cérébrale
; - 1° les objec- tions de Goltz contre l'exist
tions de Goltz contre l'existence des troubles de la vue d'origine
cérébrale
ne s'appliquent pas à l'homme). P. Kekaval. X
motrice, placée au centre. - Quant à la doctrine des localisations
cérébrales
, M. Forel pense que divers districts de l'écorc
es nerfs du cuir chevelu, peuvent s'accompagner d'autres phénomènes
cérébraux
; 2° les troubles trophiques peuvent s'étendre
tion du cerveau, représentaient assurément plusieurs onces de tissu
cérébral
. Si donc on ajoute au poids du cerveau un poids d
comme représentant le poids perdu par suite de l'atrophie du tissu
cérébral
, on obtiendra pour ce cerveau un poids total de
urement paraly- tiques généraux, et les malades atteints de lésions
cérébrales
gros- ses, il reste vingt cas d'immobilité pupi
pura, il n'est pas rare de voir la mort survenir par hémorrhagie
cérébrale
et qu'il serait intéressant de savoir si lapachym
obres par eux-mêmes, intelligents, et souvent doués d'une puissance
cérébrale
peu commune et qui, à la moindre excitation (ém
PETEMOK (F.). - Cranial meaSU1'emellt. in twenty cases of infantile
cérébral
hemiplegia. - Brochure in 4° de 9 pa- ges avec
tous les territoires sensoriels et sensi- tivo-moteurs de l'écorce
cérébrale
. Pour Golgi, les idées courantes sur la texture
elient les éléments cellulaires des différentes régions de l'écorce
cérébrale
. Les fibres de la 11C catégorie, qui n'émettent
s, ou sensitivo - motrices, et les régions sensorielles de l'écorce
cérébrale
, Golgi l'ex- plique encore par anastomoses reli
ynert et de Betz à ce sujet que Golgi a étudié deux circonvolulions
cérébrales
de fonctions très différentes, la frontale asce
i peu que, à son tour, l'auteur italien propose de diviser l'écorce
cérébrale
non plus, il est vrai, en cinq couches, mais en
phériques des fibres. La spécificité de fonction des diverses zones
cérébrales
dépend, non point de l'organisation de ces zone
us ténues, qui vont constituer le réseau nerveux diffus de l'écorce
cérébrale
, « elles peuvent désormais être considérées ave
ntres nerveux, se dégage une conception de la structure de l'écorce
cérébrale
qui fournit enfin une base scientifique aux hyp
lgi, une base anatomique : « Dans les différentes zones de l'écorce
cérébrale
, les fonctions de la sensibilité et celles de l
Golgi. Considérations anatomiques sur la doctrine des localisations
cérébrales
. - Archives ital. de biologie, 11, p. 249. ' Mo
re et de la nature fonctionnelle des diverses régions de l'écorce
cérébrale
ne peut sans doute être posé dans des termes au
les différences fonctionnelles propres aux diverses circonvolutions
cérébrales
trouvent leur raison d'être, non pas dans les p
iques des sens : la spécificité de fonction des différentes zones
cérébrales
serait déterminée par la spécificité de l'or- L
er et Munie, des « localisations fonctionnelles » dans l'é- corce
cérébrale
, et que les différentes aires corticales lui pa
pelons-le en passant, que les centres prétendus moteurs de l'écorce
cérébrale
ne sont, en vérité, que des centres de sensibil
fférents centres de la sensibilité générale et spéciale de l'écorce
cérébrale
. L'hétérogénéité fonctionnelle des éléments ner
irement, des différents centres sensitifs et sensoriels de l'écorce
cérébrale
, vient de recevoir des travaux de llermann Munk
IIoc/'t11 bei den Wirbelthieren, 1889. 186 PHYSIOLOGIE l'écorce
cérébrale
étant fonctionnellement indifférents, selon l'a
uire impunément : l'animal verra avec les éléments d'autres régions
cérébrales
. C'est ce qu'avait cru ob- server Gudden dans d
n'accepte pas non plus sans réserve la théo- rie des localisations
cérébrales
qui semble résulter de la doctrine de Golgi. Le
s aliénistes allemands, des figures des différentes circonvolutions
cérébrales
, insistait sur la diversité de leur constitutio
lli appuie la doctrine de l'hétérogénéité fonctionnelle de l'écorce
cérébrale
sur l'existence des variétés correspondantes de
sibilité et du mouvement, auxquels se ramènent toutes les fonctions
cérébrales
, se trouvent partout con- fondus dans l'écorce,
on des éléments histologiques'dans les diverses zones de l'écorce
cérébrale
, telle qu'elle ressort des études de Golgi, ne
ions », aucune influence fâcheuse sur la doctrine des localisations
cérébrales
. Golgi, en effet, en dépit de ses critiques, n'
isines, il les admet formellement : là sont les sièges de fonctions
cérébrales
spéciales, en rapport avec la nature des organe
paisseur de l'écorce du cerceau humain '. L'épais- seur de l'écorce
cérébrale
, qui oscille entre 2 et 3 millimètres, varie av
mite la scissure postcentrale. Le maximum d'épaisseur de l'écorce
cérébrale
se montre donc chez l'homme au sommet et à la p
- naître l'épaisseur relative des différentes régions de l'écorce
cérébrale
: il faudrait déterminer quelle est celle des c
male de Conti. Dans ce premier essai sur l'Epaisseur de l'écorce
cérébrale
chez les aliénés*, l'auteur n'a. A. Cionini. Su
aliénés*, l'auteur n'a. A. Cionini. Sulla spessoi,e délia corlcccia
cérébrale
negli alienati. 1. Paralisi generaiep7,ogi-essi
e. Mais Seppilli, dont le travail Sur le poids des hénti- sphères
cérébraux
chez les aliénés 2, a paru presque en même temp
pécifique pro- purtionl1ellemelltsupérieure à celle des hémisphères
cérébraux
, par rapport à ce qui s'observe chez les indivi
z les individus sains d'esprit. Le poids spécifique de la substance
cérébrale
est généralement plus élevé pour les cerveaux e
iéna- tions accompagnées de processus atrophiques de la substance
cérébrale
; médiocre dans les formes aiguës typiques de foli
crâne serait la règle, comme c'est le cas pour les deux hémisphères
cérébraux
. Il y a longtemps que la symétrie du cerveau et
il nous semble, être considérée comme l'effet d'une malformation
cérébrale
héréditaire, d'un arrêt de développement du cer
ments, analogues à ceux qui annoncent l'imminence del'hémorrhagie
cérébrale
, et qui pourtant ne sont point liés à ce grave ac
OGIE NERVEUSE. 241J sang qui peut expliquer l'éclosion des troubles
cérébraux
; mais la soudaineté de l'alternance (lorsque, p
ent souvent masquer, au moins dans un certain temps, les troubles
cérébraux
: dans ce cas encore, il est probable que les tro
chapitre de clinique physiologique en même temps que de philosophie
cérébrale
, si l'on veut bien nous permettre cette express
ut remarquable, parce que la présence de tumeurs affectant l'écorce
cérébrale
n'a été révélée pendant la vie par aucun des sy
e de zip gauche, diminution de l'ouïe, de la mémoire, de l'activité
cérébrale
. En octobre, blépharoptose droite, parésie des
La nécropsie révèle l'existence d'une leptoinénin21te chronique,
cérébrale
, basiléaire et spinale ; endartérite et phlébite
ment osseux irritant la surface du cerveau, puis deux cas de tumeur
cérébrale
par Mi. Holsti et Ruhnberg, ainsi qu'un cas d'a
simultané des facultés mentales et physiques. Bien que les tumeurs
cérébrales
s'accompagnent le plus souvent de troubles mentau
mence progressive de la paralysie générale que simulent les tumeurs
cérébrales
. Il confirme égale- ment l'opinion du Dr Cloust
terne de la circonvolution de l'hippocampe. A la base, la substance
cérébrale
intermédiaire à la bandelette optique et aux pé
e cérébrale intermédiaire à la bandelette optique et aux pédoncules
cérébraux
n'a pas disparu. Les deux corps striés man- que
tés en communica tion physiologique avec les moignons de pédoncules
cérébraux
: on serait donc en droit de prétendre que le c
que bien des auteurs rattachent, chez les verté- brés, à l'activité
cérébrale
. Pendant les quelques heures qu'. suivirent la
'agissait ici de : 19 cas de démence paralytique, 3 cas de syphilis
cérébrale
, 2 cas de tumeuis du cerveau, 4 cas de psychose
t. le dénouement paralytique. Les trois individus morts de syphilis
cérébrale
étaient âgés de 35, 50, 52, ans. Des quatre ali
51 ans, le plus vieux 66. Les patients ayant succombé à une tumeur
cérébrale
avaient 29 et 35 ans. Les vésaniques comptaient
ntégrité des vaisseaux chez un jeune homme de 22 ans mort de tumeur
cérébrale
et chez une paralytique non svphilique de 39 an
e endartérite avec dégénérescence grais- seuse et hyaline (syphilis
cérébrale
), et vingt et une endartérites chroniques simpl
autopsie. Mais il est évident que les individus atteints de lésions
cérébrales
organiques présentent de bonne heure des altéra
rès la naissance, on a enlevé la plus grande partie de l'hémisphère
cérébral
droit. Il n'est resté, outre l'extrémité du lob
à toute minute que les mots : aggravation progressive; ac- cidents
cérébraux
et médullaires obligeant à interrompre les séan
halite, et en séparant l'in- flammation primitive du ramollissement
cérébral
, on a eu surtout pour objectif les formes suppu
extraordinaire en il Il fit des cours sur les maladies nerveuses et
cérébrales
; en 1874, il fut nommé professeur ordinaire de
cera, 1889. Tipojrafia del111anicurnio. Sirut (A.). - De l'atrophie
cérébrale
partielle d'origine périphériques Brochure in-8
ades de sisterna nerurioso sislemasmederlares, plan de distribucion
cérébral
del ucitor 1881. - Brochure in-8 de 80 pages. B
à l'appui de sa thèse. C'étaient surtout des cas de ramollissement
cérébral
, lorsqu'il y avait eu une autopsie, et au point
n partielle de dégénérescence du jambier antérieur. Pas de troubles
cérébraux
. Quelques sensations dysesthé- siques dans les
trouve des lésions très avancées. , Système nerveux. - Les méninges
cérébrales
non plus que le cerveau et le cervelet n'offren
fait semblable à celle des dégéné- rescences descendantes d'origine
cérébrale
. La lésion diminue à la partie inférieure du bu
tion volontaire, tandis que la réac- tion musculaire est un réflexe
cérébral
. Lange veut dire par là que la réaction muscula
n'at- teint pas son point lucide; en un mot, c'est une réac- tion
cérébrale
dans la dernière limite de conscience, et, par
conséquent, bon nombre de cas de démence sénile, de ramollissement
cérébral
, etc. R. M. C. Archives, t, XIX. 26 402 REVUE
chiatrie, XLVI, 4.) P. KERAVAL. BIBLIOGRAPHIE IV. De l'atrophie
cérébrale
partielle d'origine périphérique; par le Dr A.
l3aillière et fils, Paris, 1890.) L'atrophie localisée de l'écorce
cérébrale
peut reconnaître deux 1 Ceci est erroné. Séglas
'un membre ou sa paralysie atropllique. La modification de l'écorce
cérébrale
sera d'autant plus accentuée que le sujet était
même dans les propositions suivantes : 1. A l'état normal, l'écorce
cérébrale
présente des différences énormes, suivant les i
6. Les modifications fonctionnelles qui surviennent dans l'écorce
cérébrale
dans la démence secondaire sont primitivement et
e des sens ne stimulent pas, dans les conditions normales, l'écorce
cérébrale
d'un dément; si cependant le stimulus extérieur
s macroscopiques et micros- copiques que l'on observe dans l'écorce
cérébrale
dans les cas an- ciens de démence peuvent s'exp
ce secondaire est le type de ce même échec pendant le développement
cérébral
. 25. La démence secondaire pure indique un éch
demeurent 8, avenue du Maine. Cette jeune fille, atteinte de fièvre
cérébrale
, à la suite de maladie noire, s'est précipitée
n- dort, 281. - Dystrophies spinales, par Hitzig, 261. Ecorce
cérébrale
(développement des cellules multipolaires de l'
Verrucktheit et \Vahmsinns, par Werner, 418. Vue (locolisations
cérébrales
con- cernant la), par Heinhardt, 112. TABLE D
UN CAS DE GLIOME VOLUMINEUX DU CERVELET. 3 Le diagnostic de tumeur
cérébrale
probable fut alors posé. A l'heure actuelle, l'
moelle. Au point de vue macroscopique, sauf un léger degré d'oedème
cérébral
,^ les hémisphères cérébraux et la moelle, n'off
roscopique, sauf un léger degré d'oedème cérébral,^ les hémisphères
cérébraux
et la moelle, n'offrent aucune particularité. A
3 Jacobsohn et Jamane. Sur la pathologie des tumeurs de la fosse
cérébrale
inférieure. (Arch. f. Psychiatrie, 29, 1, 1896.)
compare la fréquence des perturbations de ce genre dans les foyers
cérébraux
à localisation déterminée, et quand on considèr
e suicide impulsive motivant l'internement, eten un état de torpeur
cérébrale
s'accentuant de plus en plus. On a noté dans le
eur cérébelleuse à la circulation encéphalique et au fonctionnement
cérébral
, et d'un autre côté par leur nature même, par l
expressions suprêmes, du moins, est en rapport intime avec l'écorce
cérébrale
. Ici siègent les neu- rones pyramidaux, nommés
as en vain que ces dernières portent cette dénomination. L'écorce
cérébrale
de tous les vertébrés inférieurs est pourvue de c
munies du plus grand nombre de dendrites se trouvent dans l'écorce
cérébrale
de l'homme. On ne peut pas dire qu'une vie psyc
s corps cellulaires s'attouchent presque ; tandis que dans l'écorce
cérébrale
de l'homme les éléments psychiques sont pour ai
ssu indifférent et soutenant. Les éléments pyramidaux de l'écorce
cérébrale
sont nommés cellules psychiques, uniquement par
e rapporter en entier aux neurones psychiques, situés dans l'écorce
cérébrale
, et aussi aux procès psychiques Archives, 2° sé
taines dendrites aux autres, c'est-à-dire, d'une région de l'écorce
cérébrale
à une autre. L'observation simple nous convainc
d'inaction, il pût se faire dans un endroit quelconque de l'écorce
cérébrale
une interruption de la transmission du courant
tte remarque ne s'applique pas seulement aux neu- rones de l'écorce
cérébrale
; mais peut se rapporter aussi à toutes les régi
nter- rompue et les procès conscients qui s'opèrent dans l'écorce
cérébrale
exigent une plus forte vibration de la substance
re différents neurones. Même pendant le sommeil, alors que l'écorce
cérébrale
entière est plongée dans un état de repos relat
conductrice plus large et plus libre est nécessaire à une vibration
cérébrale
renforcée, c'est- à-dire, à un courant nerveux
tre les individus humains, outre les diverses facultés des neurones
cérébraux
de produire de nouveaux con- tacts, se trouve l
Nous savons que dans la couche moléculaire supérieure de l'écorce
cérébrale
existeun réseauépais, formé par les panaches pr
é, son influence nuisible tout d'abord sur cette région de l'écorce
cérébrale
, laquelle, d'après notre avis, est en rapport i
s de démence, fût- elle amenée par une lésion organique de l'écorce
cérébrale
, ou par une psychose quelconque, qui n'y occasi
éments nerveux et bien que leurs traces se conservent dans l'écorce
cérébrale
, elles se présentent comme un matériel mort, qu
ce phénomène est-il amené ? Nous pouvons supposer que dans l'écorce
cérébrale
sont atteintes tout d'abord les arborisations t
des fibres centrifuges. Quand une irritation morbide, née au centre
cérébral
, parvient par ces dernières, la sensation fauss
t du retard de l'intelligence de D... était certainement une lésion
cérébrale
. L'esprit de ce sujet avait dû être lésé dès l'
l exprimer. Son mutisme provenait plutôt de ce que son insuffisance
cérébrale
ne lui avait pas permis d'apprendre à parler to
nt fait défaut chez notre jeune D..., par suite de son insuffisance
cérébrale
. Nous dûmes lui ensei- gner la prononciation co
donnera de résultats. Dans la paralysie qui succède à l'hémorragie
cérébrale
, l'électricité peut produire une amélioration p
s et c'est là qu'in- tervenaient ces troubles plus rares, d'origine
cérébrale
. Ces vues prirent encore une valeur plus grande
cordons latéraux, sclérose deutéropathique consécutive à une lésion
cérébrale
dont la locali- sation était parfaitement défin
s faisceaux pyramidaux est toujours sous la dépendance d'une lésion
cérébrale
, que la rigidité spasmodique peut exister indépen
s épileptiques présentés par la malade admet l'existence de lésions
cérébrales
aujourd'hui éteintes mais dont le cerveau porte
assez souvent; l'impulsion volontaire paraît se diriger de l'écorce
cérébrale
tout droit vers le muscle donné indépendamment
s son avis il y a dans le cerveau des voies qui unis- sent l'écorce
cérébrale
avec des muscles isolés; mais ces voies ne sont
ur Kojevnikoff. Séance du 10 mai 1896. I. M. Mouratoff. Paralysie
cérébrale
bilatérale congénitale, comme entité clinique.
male. Dans deux semaines la malade mou- rut. Autopsie : Il tumeur
cérébrale
sarcomateuse dans le milieu des circonvolutions
hémorragique dans la région de la protu- bérance et des pédoncules
cérébraux
, qui se localisait principale- ment, mais non e
orme, décrite par St1'umpell, mais se modifiant dans les pédoncules
cérébraux
et dans le pont de Varole, à cause des particul
s manifestations spasmodiques. 11 n'existe pas de trace de troubles
cérébraux
. Le professeur admet avec réserve l'existence d
oelle. Un enfant, dont le père et la mère sont atteints de syphilis
cérébrale
, présente une monoplégie brachiale avec atrophi
n cas remarquable d'hémi- plégie alterne sensitive due à une tumeur
cérébrale
dont les exemples sont extrêmement rares. Les l
ne on peut localiser rigoureusement les lésions. Dans les tumeurs
cérébrales
, une grande partie de la symptoma- tologie relè
e (Lyon) : La pathogénie du labes en y comprenant ses locolisations
cérébrales
. » Pr W. Erb (de Ileidel- berg) : « Ueber die T
st la période où s'établit cet immense chapitre des loca- lisations
cérébrales
et spinales qui, complétant le chapitre antérie
e lui a pas volés : '1887, Fournier : hémiplégie gauche et syphilis
cérébrale
. Oreillons. - Décembre 1893, Raymond (Lariboisi
et peu injectée »; 9° des plaques de sclérose rares sur les artères
cérébrales
de la base ; 10° du côté des poumons : « un peu
r chez le même sujet. Ainsi la paraplégie tardive des hémiplégiques
cérébraux
, étudiée par Pitres, est due à une sclérose dif
rt de pneumonie ci cinquante-neuf ans. Foyer ancien de l'hémisphère
cérébral
gauche. - Aucune modification symptomatique pen
générescence athéromateuse des artères de l'encéphale. Hémisphère
cérébral
gauche. - Toutes les circonvolutions de cet hém
s et à la parietale inférieure. Au niveau de ce foyer, l'arachnoïde
cérébrale
et la pie-mère sont épaissies, opales- centes,
rès atrophiée, a moitié moins d'épaisseur que celle de l'hémisphère
cérébral
droit, est augmentée de consistance. La partie
cerveau qui limite ce foyer est légèrement indu- rée. L'hémisphère
cérébral
droit, le cervelet, la protubérance, le bulbe n
ébut de l'aphasie à vingt-un ans par un vaste foyer de l'hémisphère
cérébral
gauche, sa longue durée, trente-huit OBSERVATIO
- admettent avec Broca que lorsque les parties- des circonvolutions
cérébrales
gauches qui président à la faculté du langage o
andois et Stirling) la régénération ne se produit pas dans l'écorce
cérébrale
détruite. La récupération de fonction, après un
YSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. I. Sur les anomalies des circonvolutions
cérébrales
; par S. Mickle. (B1'ilish Médical Journal, 28
tologie moins bien définie que celle des lésions des autres régions
cérébrales
donnerait d'après Bianchi les conclu- sions sui
lésions massives du lobe préfrontal est difficile parmi les tumeurs
cérébrales
en général, il l'est surtout d'avec les tumeurs
le jusqu'à l'ablation de la dure-mère ou d'une portion de substance
cérébrale
, ou jusqu'aux interventions portant sur des rég
Il s'est servi de l'appareil à chariot de Dubois-Reymond, l'écorce
cérébrale
recouverte de la pie-mère a été excitée par des
éologie, qui décidé- ment influait d'une façon néfaste sur son état
cérébral
. Mais \III° M... ne tint aucun compte de ses sa
ice progressive, les lésions des nerfs périphériques et de l'écorce
cérébrale
, comme le démontrent des travaux récents. Nous
ée d'un cas plus simple, M. Rossolimo conclut ainsi : la L'artère
cérébrale
postérieure alimente l'appareil central optique e
acines, de l'oculomoteur commun dans l'étage inférieur du pédoncule
cérébral
. - 2o Les conditions de nutrition sont les même
aduelle et progressive), l'ataxie ptsyclao-motrice et les accidents
cérébraux
. La démence généralisée et progressive, avec le
des signes d'artério-sclérose, il faut se souvenir que l'athérome
cérébral
généralisé peut simuler cliniquement la paralysie
iner d'autres lésions des centres nerveux : ces lésions de syphilis
cérébrale
don- nent souvent lieu à un complexus symptomat
de faits matériels qu'ils ne s'expliquent pas. L'artériosclérose
cérébrale
peut débuter comme celle de la moelle par des é
ssique de Bayle où le cachet démentiel ouvre la scène, les cellules
cérébrales
et les tubes ner- veux sont les premiers frappé
summum s'observe à la troisièmepériode delà maladie. Les adhérences
cérébrales
se font de l'encéphale aux méninges, c'est-à-di
nts venus de la vessie et chez eux tout se passe comme si le centre
cérébral
de la miction n'existait pas, ou plutôt était p
n palpébrable droite. Peut-être est-elle en rapport avec une lésion
cérébrale
? ' L'Open-door. M. CHRISTIAN. - M. Marandon
mois d'octobre de 1896. - La conscience est nette. Peu de symptômes
cérébraux
généraux subjectifs. OEdème de la papille avec
t constata ce qui suit : une conscience intacte ; peu de phénomènes
cérébraux
généraux ; hémiatrophie de la langue du côté dr
ce dernier c'est pour n'avoir pas compris que les quelques cases
cérébrales
qui lui restaient encore de libres, en raison de
médullaires. II. Manifestations hystériques simulant les affections
cérébrales
. 111. Manifestations hystériques simu- lant les
n se fait bien et pas de fièvre. A une lésion organique des centres
cérébraux
spinaux ? Le mode de début, l'intégrité des mem
ondantes sur le visage; le ventre n'est pas rétracté, mais la tache
cérébrale
existe avec une grande netteté. La constipation
réunis par Freud dans un même groupe nosogl'aphique : les diplégies
cérébrales
infantiles, sans que cet auteur ait cru devoir
. Mais au lieu d'attribuer à ces dernières affections une origine
cérébrale
comme le font Marie et Brissaud, M. Van Gehuchten
syndrome spasmodique, avec absence complète de symptômes d'origine
cérébrale
. Ce sont ces affections spasmodiques que Erb a
rovisoirement sous le nom d'états spasmodiques infantiles d'origine
cérébrale
. (Revue neurologique, février 1897.) E. B. XX.
ie spasmodique et d'hyslérie, l'auteur, en présence de la dyspragie
cérébrale
, se demande si la moelle ne peut pas être elle
ue se produit sous l'influence d'un état parti- culier d'épuisement
cérébral
engendré par la constitution hyslé- rique du sy
duits conceptuels; or, ils ne s'y forment que pendant l'épuisement
cérébral
et l'insomnie des hystériques. P. IEaA ? 1L. RE
re supérieure guérie par LE traitement 10DURÉ ET SUIVIE D'ACCIDENTS
CÉRÉBRAUX
TRAITÉS SANS SUCCÈS PAR L'IODURE ET LES FRICTIO
s récents, les auteurs appellent surtout l'attention sur l'atrophie
cérébrale
, qui est des plus accu- sée ; l'encéphale entie
seuls. Les facteurs qui peuvent reslerseuls sont : les héré- dités
cérébrale
, arthritique, alcoolique ; l'alcoolisme personnel
la paralysie générale sont : les hérédités arthritique alcoolique,
cérébrale
, et l'alcoolisme per- SOCIÉTÉS SAVANTES. 337 I
ité, dégénérescence grais- seuse ou scléro-graisseuse. L'hérédité
cérébrale
produit du côté du système nerveux central, d'u
résistance orga- nique du système nerveux cenlral, comme l'hérédité
cérébrale
. L'alcoolisme personnel mine le cerveau, atteig
te lésion anato- mique peut être due à une maladie locale (hérédité
cérébrale
) ou une maladie générale (arthritisme, alcoolis
exie paludéenne, je ne me souviens pas d'avoir observé des troubles
cérébraux
persistants. Sans nier l'existence de ces trouble
nt conduire à la cachexie. Or, si les accès pernicieux, surtout les
cérébraux
qui, ainsi que le prouvent les autopsies, sont
anifester l'un sans l'autre; ils semblent démontrer que les centres
cérébraux
du moi splanchnique offrent une plus grande rés
rande résistance aux influences de l'intoxication. Les phénomènes
cérébraux
ont réapparu à peu près dans l'ordre dans leque
ont apparu en dernier lieu. Ce qui semble prouver que les cellules
cérébrales
qui sont le substratum des souvenirs ont résist
ibres descendantes. Les unes et les autres s'achèvent dans l'écorce
cérébrale
. Les fibres descendantes des faisceaux disséminés
onstatées encore, par la méthode de Marchi, dans six cas de tumeurs
cérébrales
. Dans tous ces cas on a pu voir la dégénérescen
. Contribution à l'étude de la pathologie générale des destructions
cérébrales
précoces par rapport à l'épilepsie. Observation
lesse de com- binaisons. L'auteur est porté à expliquer la lésion
cérébrale
si précoce par un ramollissement cérébral, déve
té à expliquer la lésion cérébrale si précoce par un ramollissement
cérébral
, développé sur un terrain d'altération innée de
innée de vaisseaux. Les apoplexies infantiles diffèrent des lésions
cérébrales
des adultes par l'étendue plus vaste des dégéné
ard, ainsi que par des destructions plus vastes - au ramollissement
cérébral
infun- dibuliforme (porencéphalie). Le rappor
s coupes on remarque un amincissement local très marqué de l'écorce
cérébrale
. Ce cas peut être regardé comme une forme inter
FF fait attention à ce que la cause dominante de ce que les lésions
cérébrales
circonscrites chez les enfants provoquent chez
M. Mouratoff. De certaines particularités cliniques, dans la lésion
cérébrale
circonscrite d'origine traumatique ou à la suite
rgi. En comparant ces deux cas, le rapporteur nota que la paralysie
cérébrale
infantile d'origine traumatique possède les mêm
ive en forme de foyer causé par la dégéné- rescence de la substance
cérébrale
donna un tableau d'idiotisme paralytique. Les a
ngite hystérique (observa- 1 Toutes les maladies du système nerveux
cérébral
. (Thèse Barde), 189,3, et Fabvre, 1883, Marseil
cerveau, lui, s'agite, il ne chôme pas, il travaille, et ce travail
cérébral
, souvent répété, peut entraîner par la suite le
aro résume ces particularités de structure en disant que l'écorce
cérébrale
est un organe composé d'éléments dissemblables
es grains dans la couche moléculaire du cervelet. Outre les écorces
cérébrale
et cérébelleuse, il existe d'autres lames 1 E.
ont le mécanisme possède une grande uni- formité relative. L'écorce
cérébrale
est au contraire un grand centre de coordinatio
Tout mouvement volontaire, parti des zones rolandiques de l'écorce
cérébrale
, doit donc agir, dans une certaine mesure, sur
d à produire en déplaçant le centre de gravité du corps. L'écorce
cérébrale
de chaque espèce possède, à titre de caractère
une augmentation en surface et en poids de l'écorce. Mais l'écorce
cérébrale
n'est pas seulement un organe de projection ; c
cation des prolongements protoplas- miques des cellules de l'écorce
cérébrale
des amphibiens, on s'élève graduellement aux ra
o amano e le variaziôni corrélative del cranio e delta super- ficie
cérébrale
, e studio crilico sulla gerzesi délie circonvoluz
on de l'origine et de la nature des plis et des sillons de l'écorce
cérébrale
1. Dans le développement lent et continu de la
uelle. la chirurgie puisse. agir. La connaissance des localisations
cérébrales
a fait faire un grand pas au traitement chirurg
ropose d'empêcher indirectement ou de traiter un état d'hyperhéruie
cérébrale
, active ou passive. J. S. XXVII. LE surmenage o
paralytique géné- ral qui, héréditairement prédisposé aux maladies
cérébrales
, con- tracte la syphilis et, de plus, se livre
pagées. Altération des cordons postérieurs secondaire ci une lésion
cérébrale
en foyer; par le D'' G. DURANTE (Paris). Nouv
ons postérieurs con- sécutive à une altération en foyer de l'écorce
cérébrale
. Cette obser- vation vient appuyer celles que n
u fait d'altération des cordons postérieurs secondaire à une lésion
cérébrale
, par dégénérescence rétrograde propagée à tra-
ertaine impotence et qui, dans un cas, se compliquaient d'accidents
cérébraux
, céder très rapide- ment à l'antisepsie du tube
mouvements des membres produits par L'excitation de l'hémis- phère
cérébral
du côté correspondant; par MM. E. Wertheimer et
vingt-sept ans, (épilepsie). Pas d'antécédents héréditaires. Fièvre
cérébrale
( ? ) iL douze ans. Pre- mière attaque à seize
ntre des psychoses à forme dépressive, alors que logiquement l'état
cérébral
de cette affection semble conduire naturellemen
nnaît avoir affaire à un mécanicien qui, à la suite d'une commotion
cérébrale
due à une chute sur la tête, changea de caractè
ompte actuellement 60 opérations de trépan faites pour des, lésions
cérébrales
sans origine traumatique ou se rapportant à des
irurgiens ont été assez heureux pour rencontrer des cas d'accidents
cérébraux
caractérisés par de l'épilepsie jackso- nienne
actérisés par de l'épilepsie jackso- nienne dans lesquels la lésion
cérébrale
était bien limitée à un peint de la région des
n limitée à un peint de la région des centres moteurs dans l'écorce
cérébrale
. Ces cas simples sont relativement peu communs
elet, et la troisième de la base du crâne sans lésion du parenchyme
cérébral
. Dans ces cas il y eut des attaques d'épilepsie
nvient d'élargir l'in- tervention de l'un à l'autre des hémisphères
cérébraux
avec la seule restriction de respecter les gran
a décompression facile, complète, la désingurgitation du parenchyme
cérébral
, et s'évitent les lésions régressives. Le but d
ité et urgence de l'intervention opératoire dans les cas de lésions
cérébrales
; par le Dr LAVIST.1 (de Mexico). Les efforts qu
pour modifier les multiples lésions occasionnées par les désordres
cérébraux
, aussi bien d'ordre psychologique que d'ordre s
nous poursuivons. Croire que les centres ou territoires de l'écorce
cérébrale
sont définitivement limités, c'est une véritabl
soulevant les ostéophytes qui, en s'introduisant dans la substance
cérébrale
, maintenaient l'horrible situation indiquée ci-
itié droite parce que plus communément la lésion existe sur le lobe
cérébral
gauche. Beaucoup de causes peuvent produire d
radicale a été d'origine traumatique et serapporte à celui du kyste
cérébral
déjà mentionné. Le mieux passager dans les cas
cérébral déjà mentionné. Le mieux passager dans les cas de syphilis
cérébrale
(syphilome méningé) n'a donné que le bienfait q
pratiquée dans l'avenir. b). L'épilepsie. - La théorie de l'anémie
cérébrale
comme cause déterminante de l'attaque épileptiq
névrose de l'estomac et dis- paraissent avec elle Cas de maladies
cérébrales
dans lesquelles les fonctions respiratoires ces
dres). Je donnerai sommaire-' ment les détails de 4 cas : 3 d'abcès
cérébraux
ou cérébelleux pro- duits par des otites moyenn
duits par des otites moyenne ssuppuratives, et un cas d'hémorragie
cérébrale
par suite de traumatisme, dans lesquels le malade
ns lesquelles le délire de persécution revêt l'allure d'un symqtôme
cérébral
. Râle du spasme et de la contracture dans les a
identelles qui se manifestent et viennent compliquer les affections
cérébrales
, afin d'en informer le médecin lors de sa visit
iE persistante avec idées de suicide, par Voisin et Lasve, 341.
Cérébrale
. Lésion - circonscrite, parllouratoff, 357. Néc
ique, par Rispal et Baylac, 310. Circonvolutions. Anomalies des -
cérébrales
, par Mickle, 146. Ge- nèse des du cerveau et du
32G. trauma- tique, par Dllhuisson et Anglade, 333. Destructions
cérébrales
pré- coces par rapport il l' -, par . \lourat
n, 'i08. Paralysie asthénique hulhaire, par lioevnil : off, 73. -
cérébrale
bila- térale congénitale, par Mouralow, 77. b
colle et Ilalipré, 60. SYPIIILIDE de la paupière avec trou- bles
cérébraux
, par liernardbei' et Duharry, 339. ` Syphilis
mis- phère gauche et nous y inscrivons le siège des localisations
cérébrales
chez l'homme les mieux démontrées par les faits
I, la plus récente qui ait été faite sur le siège des localisations
cérébrales
chez l'homme (schéma deMM. Charcot et Pitres, d
e la trépanation des os du crâne au point de vue de la localisation
cérébrale
. Th. Paris, 1876. Lucas-Championnière. Des loca
cérébrale. Th. Paris, 1876. Lucas-Championnière. Des localisations
cérébrales
, rôles qu'elles peuvent jouer dans le diagnosti
de chir prat., oct. 1876.) Des indications tirées des localisations
cérébrales
pour la trépanation du crâne. (Acad. de i ? zéd
? zéd., 9 janv. 1877.) La trépanation guidée par les localisations
cérébrales
. (Joit ? ,n. de nzéd. et de chir. prat , fév. 1
877.) Proust et Terrillon. Contribution à l'élude des localisations
cérébrales
, etc. (Acad. de méd., nov. 1876; Soc. de chir., i
de méd., nov. 1876; Soc. de chir., ibid.) Pozzi. Des localisations
cérébrales
et des rapports du crâne avec le cer- DE L'AXE
orts du crâne avec le cer- DE L'AXE CÉRÉBRO-SPINAL. 41 à l'écorce
cérébrale
dans les différentes formes d'apltasie : l'aphé-
Decle, 1876, surtout pour l'historique. Charcot. Des localisations
cérébrales
, 1880 ; heç. sur les mal. du syst. eiee-v., Par
Boyer. Etudes cliniques sur les lésions corticales des hémisphères
cérébraux
, th. Paris 1879. Perdrier, th. Paris 1882. 3 Vo
C.-It. Soc. Biol., 10 oct. 1871.) Sur les fonctions des hémisphères
cérébraux
(Mé- moite détaillé, Arch. de Physiol., 1875.)
du cerveau (Réactions volontaires et organiques) et sur l'epilepsie
cérébrale
. Paris, 1887. ' Hermann Munk. Berlin. Klin. Y
épanation et l'ablation de la région malade dans six cas de lésions
cérébrales
chez l'homme avec épilepsie partielle. Ces trépa-
dent pas non plus à une surface très considérable de l'écorce grise
cérébrale
, comme le veut E ? ner5, contredit par Charcot
doctrine des localisations motrices dans l'écorce des hé- misphères
cérébraux
de l'homme (Rev. dsMcd. 1883, p. 152.) ° Hitzig
. mens., nov. 1878, fév. 1879. . Ferrier. Localisation des maladies
cérébrales
, p. 136, 137, in loc. cit, d'après Barlow (B ?
bution à l'étude des troubles fonctionnels de la vision par lésions
cérébrales
(Amblyopie croisée et hémianopsie), th. Paris, 18
émianopsie), th. Paris, 1882. - (Deux faits d'hémianopsie d'origine
cérébrale
avec autopsies), in Arch. de Nezi ? ,. 1885, IX
ressant d'ins- crire le siège de façon à les envisager sur l'écorce
cérébrale
dans leurs rapports réciproques, sur lesquels n
ert) par crampes vaso-motrices ou de cram- pes de certaines régions
cérébrales
(Kalhbaum, Neisser), varia- bles, multiples et
iples et que nos données actuelles sur l'anatomie et la physiologie
cérébrales
nous permettent bien peu de déter- miner. Kal
XVI. SCLÉROSE OU dégénérescence spinale CONSÉCUTIVE A DES lésions
cérébrales
; par W. J11liUS MlCl, : LE. 77 ! e</OM ? 'Ha/
isées ; voici pour chacun de ces neuf cas l'indication de la lésion
cérébrale
: OBs. I. Lésion de la surface des circonvoluti
de même que dans l'alcoolisme. Il va de soi que, si la perturbation
cérébrale
persiste, la systématisation s'effectue et le d
e 0,05-0,-15 contre les hallucinations, en stimulant la circulation
cérébrale
et en la régularisant ; mais il n'en faudrait p
relatés dans le présent mémoire constituent des exemples d'un état
cérébral
morbide , dans lequel les symptômes mentaux obs
'une façon générale que les degrés les plus élevés du développement
cérébral
, ceux que met en jeu l'exercice du con- trôle
oltz (de Strasbourg) Des conséquences de la section dac pédon- cule
cérébral
avec présentation de pièces et de patients. Le ma
a pu, après avoir complètement séparé par la section un pédoncule
cérébral
du cerveau, conserver des chiens en vie pendant p
le chien dont on a par la section séparé du cerveau le pédoncule
cérébral
gauche, exécute de fréquents mouvements de manège
tre chienvivant auquel, il y ajuste un an, il a enlevé l'hémisphère
cérébral
gauche. On peut se convaincre de l'énorme perte
blable à celle de celui chez lequel on avait sectionné le pédoncule
cérébral
du même côté. L'animal qui n'a plus d'hémisphèr
ce qu'il présente. Il ne reste de l'ensemble descirconvo- - lutions
cérébrales
gauches qu'un lambeau tout petit qui appar- tie
ysie ou des troubles de la sensibilité nulle part. Chaque pédoncule
cérébral
doit renfermer les tractus moteurs et sensitifs
encontre pas de dégénérescence des cordons postérieurs. Les lésions
cérébrales
du labes sont d'une autre es- pèce que celles d
perturbations sont elles-mêmes dues à l'augmentation de la pression
cérébrale
. Pièces à l'appui. D'autres préparations mont
(Rabl Rüclihardt) qui ne possèdent encore pas de circonvolu- tions
cérébrales
nerveuses, et chez les amphibies ou les reptiles
voir rappelé les principales no- tions d'anatomie et de physiologie
cérébrales
nécessaires pour l'intelligence du sujet, l'aut
donnés à rechercher pour les expliquer. Dans la lésion des cellules
cérébrales
doit certainement résider toute l'expression de l
e travail fournie. Il doit y avoir une prédisposition de la cellule
cérébrale
à être lésée et les troubles psychiques ne se man
e proportion de 5 ? 68 p. 100 chez les hommes. Parmi les affections
cérébrales
, l'auteur a trouvé 17 cas d'affections des méni
sées en trois grandes catégories : A), Formes spinales; B), Formes
cérébrales
, et C), Formes cérébro-spinales. A. Formes spin
'intervalle de bien-être parfait entre la disparition des symptômes
cérébraux
et 1'(ipptil'i- tion de la paraplégie. Syndrome
s inférieurs fait place à une paraplégie complète. Pas de symptômes
cérébraux
. Ce nouvel accident dure une heure et demie, ap
rémité supérieure gauche que nous considérons comme étant d'origine
cérébrale
. A côté de ces symptômes, c'est-à-dire, pressio
s inférieurs avec rétention d'urines et de selles. Pas de symptômes
cérébraux
gastriques ou autres. Evolution des symptômes s
cette aphasie, que nous décrirons comme forme spéciale d'accidents *
cérébraux
; on peut l'appeler aphasie par embolie gazeuse.
en tempête. Peu de temps avant ce voyage, il a eu une congestion
cérébrale
assez forte; eh bien, cette fois, il n'a pas souf
fois, il n'a pas souffert du ver- tige marin; est-ce la congestion
cérébrale
qui a contribué à cela ? L'aliéné, maniaque, âg
à un obstacle à l'accès du sang vers l'encéphale, d'où l'ané- mie
cérébrale
avec ses symptômes. » Mais M. Autric ne nous ex
e les vaisseaux capillaires du cerveau et provoque ainsi l'anémie
cérébrale
. Cette chute brusque provoque aussi la commotio
l'anémie cérébrale. Cette chute brusque provoque aussi la commotion
cérébrale
et par inimitio ? i con- tribue à la production
elle. Le plus souvent, le vertige marin est le résultat de l'anémie
cérébrale
, laquelle se produit par le liquide céphalo-2ac
surtout par sa descente brusque, survient soit un choc avec anémie
cérébrale
et ébranlement cérébelleux, soit des grands et
comprimant le ventre, et, par conséquent, nous dimi- nuons l'anémie
cérébrale
. Il faut manger quelques heures avant d'entrer
omprime, les mouvements du diaphragme diminuent, la circu- lation
cérébrale
s'active et par conséquent l'anémie cérébrale d
t, la circu- lation cérébrale s'active et par conséquent l'anémie
cérébrale
diminue. , " On ne doit pas se promener, surtou
es lésions principales trou- vées à la nécropsie étaient l'atrophie
cérébrale
et la méninge - en cépha Vite . Observation X
rale et la méninge - en cépha Vite . Observation XLIV. - Atrophie
cérébrale
. e/n/ë ? <' gauche. Débilité mentale et épil
Anomalies artérielles. Hydrocéphalie légère. Atrophie du pédoncule
cérébral
droit, de la moitié droite de la protubérance, de
qu'à seize mois. A six mois il aurait été soigné pour des accidents
cérébraux
qui ont duré deux mois, sans convulsions, ni pa
r suite de la déviation du tronc basilaire vers la gauche, l'artère
cérébrale
postérieure droite est plus longue que la gauche.
la gauche. La communiquante postérieure est filiforme ainsi que la
cérébrale
antérieure du même côté. Le pédoncule cérébral
iforme ainsi que la cérébrale antérieure du même côté. Le pédoncule
cérébral
droit paraît plus étroit que le gauche. La pyra
marque quelques traces d'adhérences ; la coloration de la substance
cérébrale
paraît à peu près normale. Le lobe occipital, s
nce grise. Ces membranes n'ont pas enlevé des portions de substance
cérébrale
en se détachant; la première couche de la subst
ns la plupart des cerveaux d'idiots. - Ce malade a eu des accidents
cérébraux
dès l'âge de six mois sans convulsions, ni para
à l'autopsie, qui étaient en effet plus prononcées sur l'hémisphère
cérébral
droit et atteignaient surtout les centres moteu
roite. L'autopsie nous a fait voir une atrophie de l'hémi- sphère
cérébral
droit qui pèse 50 grammes de moins que le gauch
e est oedématiée, l'artère communicante postérieure et l'ar- tère
cérébrale
antérieure gauches sont filiformes; le pédoncul
- tère cérébrale antérieure gauches sont filiformes; le pédoncule
cérébral
et la pyramide du côté droit sont atrophiés.' C
reviendrons pas sur les lésions rencontrées sur les circonvolutions
cérébrales
; elles ont été décrites plus haut; nous rappell
entres moteurs. Le cervelet est moins atteint que les hémisphères
cérébraux
; ce n'est du reste que tardivement, vers 1880,
par la méthode expérimentale, nous sommes tenté de diviser l'écorce
cérébrale
en deux régions : une pre- mière région, dont l
e des troubles de la motilité, comprend toute l'étendue de l'écorce
cérébrale
qui ne répond pas à la zone motrice. Dans la zo
ont nous avons indiqué le siège. Chacune de ces zones de l'écorce
cérébrale
est l'aboutissant ' Grasset. Rev. mens. (Fév. 1
n doit faire de restrictions, non seulement sur le siège à l'écorce
cérébrale
de la zone sensitive, comme de la zone intellec
tachée à chaque faisceau des fibres. Nous prendrons donc à l'écorce
cérébrale
pour les suivre successivement dans leur trajet
e Flechsig pour celle de la capsule interne, une coupe du pédoncule
cérébral
, de la protubérance et une coupe de la moelle,
s du centre ovale des hémisphères au point de vue des localisations
cérébrales
. Th. Paris, 1877. /iMM/)AerM ' Bitôt. Essai de
rébrales. Th. Paris, 1877. /iMM/)AerM ' Bitôt. Essai de topographie
cérébrale
par la cérébrolomin métho- clique. Paris, 1878.
oelle à laquelle nous nous reporterons pour retrouver les faisceaux
cérébraux
, capsulaires, pédonculaires et protubéran- tiel
rieur; 2° les autres, de chacun des noyaux gris centraux à l'écorce
cérébrale
(libres cortico- optiques ou thalamiques et fib
cences secondaires. Chaque fois que la lésion première à l'écorce
cérébrale
, ou au centre ovale ou àla capsule interne porte
es lésions causales de la paralysie labio-glosso-laryngée d'origine
cérébrale
et les trois faits per- sonnels de glossoplégie
x connu dans son trajet. Ses fibres centrifuges partent de l'écorce
cérébrale
, de toutel'étendue de la zone corticale motrice
1887. Le- çons XXVII et XXVIII. 1 Le point de départ, à l'écorce
cérébrale
du faisceau pyramidal, dépasse certainement la
r des troubles psychiques (zone intellectuelle). Ce sont ces fibres
cérébrales
antérieures non mo- trices, entrant néanmoins d
ébro-spinal. 259 Elles réunissent les cellules motrices de l'écorce
cérébrale
aux grandes cellules motrices des cornes antéri
Chacun de ces fascicules moteurs représente les origines à l'écorce
cérébrale
des nerfs moteurs périphériques (hypoglosse, ne
e fait anatomo-physiologique : l'origine aux cel- lules de l'écorce
cérébrale
, des nerfs périphériques. 'Fr.-Franck. Fonction
herches cliniques et expérimentales sur l'hémianesthésie c de cause
cérébrale
. Th. Paris, 187 i. 3 Carville et Duret. Critiqu
ie, déc. 1873 et janvier 1874). Sur les fonc- tions des hémisphères
cérébraux
, (.1. cli. de phr)siol. Mai-juillet. 1875). 264
her la question de la topographie du faisceau pyramidal. A l'écorce
cérébrale
, pour qu'il y ait paralysie, il faut une lésion
ou moins complètement séparées de leur centre trophique à l'écorce
cérébrale
. ' Fr.-Franck. et Pitres. Bull. de la Soc. de b
ésions localisées des hémisphères, la partie interne du pé- doncule
cérébral
, les faits anatomiques avancés par Flechsig. DE
herches cliniques et expérimentales sur l'laénzianeslhésie de cause
cérébrale
. Paris, 1874, n- 379. Rendu. Thèse d'agrégation
qu'unmême faisceau partant en aboutissant à une région de l'écorce
cérébrale
d'autant plus antérieure, occupe dans l'étage inf
de l'aphasie, géniculé sont connus, surtout le dernier, de l'écorce
cérébrale
au bulbe, ce sont les trois faisceaux cortico-b
plètement décrits, surtout le premier, dans leur trajet de l'écorce
cérébrale
à la moelle, ils représentent les deux faisceau
érieur. '1 Veyssière. licch. cliniq. et expér. sur l'hémianesthésie
cérébrale
. Th. Paris, 1874, p. 379. DE Laye CEREBRO-SPI
on de la sciss. de Sylvius, Fie. 7. Coupe transversale du pédoncule
cérébral
immédiatement en avant de la protubérance . - 1
tl. 3 ; étage supérieur. PLANCHE Il IC. 1. - Coupe des pédoncules
cérébraux
immédiatement au-dessus de la protit&o'ace.
au ne semblent présenter aucune altération pathologique. Le tissu
cérébral
est anémié; les cavités des ventricules latéraux
tion allégorique) bien plus dangereux que les persécutés purement
cérébraux
. Mais il y a des exceptions à faire. La folie sys
dit immédiatement : « Voyez-vous, c'est l'es- prit ! » Les centres
cérébraux
interviennent aussi ; elle accompa- gne souvent
de soi, lors- qu'on envisage leur présence dans diverses affections
cérébrales
. Cependant, lorsqu'on veut faire la part de leu
ou de la moelle allongée; c'est ainsi que chez Duch... l'hémisphère
cérébral
gauche, le pédoncule cérébral gauche et la moit
t ainsi que chez Duch... l'hémisphère cérébral gauche, le pédoncule
cérébral
gauche et la moitié correspondante de la protub
érance était plus petite qu'à droite. Chez Maisonh..., le pédoncule
cérébral
droit, la pyramide et l'olive droite sont atrop
quelques mots de la physiologie de la protu- bérance des pédoncules
cérébraux
et du corps strié. On sait que la galvanisation
duit des convulsions épileptiformes et que la lésion d'un pédoncule
cérébral
produit un mouvement de manège du côté opposé à
CURSIVE. 3 lésion de la partie supérieure et externe du pédoncule
cérébral
, le même auteur a constaté des mouvements de ro
ts de l'attaque ne contredisent nullement à l'idée que l'hémisphère
cérébral
non excité, a, par propagation de la sollicitat
e, l'auteur établit que, selon toutes probabilités, la localisation
cérébrale
du foyer scléreux joue le rôle nécessaire à la
jusqu'en bas. P. K. XXIV. Contribution C\SUtSHQUE aux localisations
Cérébrales
par Siemerling. (.4och. f. Psych., XVIII, 3.)
ers volumes dans l'écorce et la substance blanche de l'hémisphère
cérébral
gauche. P. li. XXV. Localisations CLItÉBli.ILCS
s de Neurologie. Revues analytiques. SOCIÉTÉS SAVANTES. 433 pères
cérébraux
et le système optoslrié, pour exercer de là son
s à une seule extré- mité), doivent être rattachées aux hémisphères
cérébraux
. M. OEDEKE. Chez un malade observé par lui, à l
nnée. Le cerveau pèse 1,350. La' substance SOCIÉTÉS SAVANTES. 457
cérébrale
sèche, ferme, pâteuse, offre à la coupe de nombre
Paris, Lecrosnier et Bahé, éditeurs, 1888. Une étude de morphologie
cérébrale
qui intéressera au plus haut point les lecteurs
e monographie des plus com- plètes sur la principale circonvolution
cérébrale
, la Bi,ocit's circon- volution des Anglais. L'a
cet ouvrage, que tout neurologiste devra lire en entier. Le type
cérébral
primitif des primates est un type à deux et non à
clinique des anesthésies dépendant de lésions en foyer de l'écorce
cérébrale
. Tostivint : Contribution cc l'étude de l'hysté
r et Babé. Luis (.T.).- Eludes sur le dédoublement des opérations
cérébrales
et sur le rôle isolé de chaque hémisphère dans
280.. v- Dégénérescence secondaire à travers la substance blanche
cérébrale
, par Zacher, 9. Délire aigu (écoroe cérébrale
a substance blanche cérébrale, par Zacher, 9. Délire aigu (écoroe
cérébrale
d'nne malade morte de), par Snell, 450. Délir
21(i; - (par la j[ardl- déliyds), pnr Ilchm, ;103. Localisations
cérébrales
, par Sie- merling, 439. Médecine psychologiqu
, par Richaidièie, 68. Sclérose spinale consécutive à des lésions
cérébrales
, par iNlickle,-i5; inuililoctil;tire du système
ze, 86. Syphilis (intoxication chronique par la), par Rumpf, 88; (
cérébrale
), par Hertz, 449. Système nerveux (affections
on de la sciss. de Sylvius, FtG. 7. Coupe transversale du pédoncule
cérébral
immédiatement en avaitt de /sp''o<t<&
ICATION DES PLANCHES. 409 PLANCHE Il FiG. 1. Coupe des pédoncules
cérébraux
immédiatement au-dessus de la protubérance. 1,
Ajoutons qu'en maints endroits sa minceur était telle que la couche
cérébrale
n'avait même pas un millimètre. OBS. II. IDIO
ce convexe : on voit que la partie postérieure des deux hémisphères
cérébraux
fait défaut, ce qui explique l'affaissement de
la pointe du lobe occipital droit. Soulèvement partiel de l'écorce
cérébrale
. Corps thyroïde : 10 gr. Traces de thymus. '
ans. - Grand-père maternel, excès de boisson, mort de . congestion
cérébrale
. Pas de consanguinité. Inégalité - d'âge de 10
stion pulmonaire; mort. Autopsie. -P01'LCSW'ai des deux hémisphères
cérébraux
. DIé12112o-elzcé2halite chronique. - Atrophie d
elle, 1ze)'ueusc. - Arrière- grand-père paternel mort d'hémorrhagic
cérébrale
. Cou- sin paternel, excès de boisson, aliénés O
faciales. Grand-père maternel, excès de boisson, mort de congestion
cérébrale
, avec paralysie du côté 7a1cc1)e. - ( : 1'ancl'
le, Bicêtre. t893. 3 3f¡ IDIOTIE. Fij'. 13. Ons. IX. Hémisphère
cérébral
gauche; face supérieure. 1,1', lobe frontal.
. TRAITEMENT CHIRURGICAL. 35 Fin. 1 S. - Ons., IX. Ilénilspliirvc
cérébral
i'p.l1che rf : ICC «sterne. p1 Fli, F3. premièr
sr, sillon de Rolando. 26 IDIOTIE. Fin. 15 Ons. IX. Hémisphère
cérébral
droit; face externe. 1 : F2, F3, première, seco
ndo TRAITEMENT CHIRURGICAL. 37 Fin. 16. - Ol1s. Six. - Hémisphère
cérébral
droit : face interne. F, l'remiere circonvoluti
. X. TRAITEMENT CHIRURGICAL. 39 fit. 1S. - Ons. X. - Hémisphère
cérébral
gauche; face interne. ui, i, première frontale.
illon de Rolamio. .0 idiotie. 1 ig. lU, - Olls. l. - Hëmisphure
cérébral
tranche : face externe. 1m, I=, 13, première, s
Les Fi(l..18 et 1 ! 1 représententla face convexe de l'hémisphère
cérébral
gauche de Sellcff.... En PK, sur la première, se
état du cencau. OIIS. XI )1S.-IDIOTIE SI'11PT01L11'IQUU de sclérose
cérébrale
. SOMMAIRE. Père, caractère violent. Grand'mère
traitement CHtRUR&ICAL. 43 Fin. 21. - Ons. SI. - Hémisphère
cérébral
gauchc ; face externe. F', F2, 11';1, première,
sillon de Rolando. 44 idiotie. Fig. 22. - Ons. XI. - Hémisphère
cérébral
gauche ; face interne. FI, première frontale.
lando. traitement chirurgical. 45 Fig. 23. 0118. XI. Hémisphère
cérébral
droit; face externe. Fi, F,2, l'3, première, de
illon de Rolando 4G IDIOTIE. - Fig. 24. - Ou;. 11. - Hémisphère
cérébral
droit ; face interne. .t",première frontale.
tose, aspect chagriné, plisse- , ment des circonvolutions, sclérose
cérébrale
, la substance grise semble mobile sur la substa
obile sur la substance blanche. - Légère . dilatation du ventricule
cérébral
gauche. . Houger... (Marcel) est né à Paris, le
. Xir. Idiotie symptomatique DE SCLÉROSE atrophique DE.L'HÉMISPHÈRE
CÉRÉBRAL
GAUCHE ET DE MÉNÜWO-ENCÉ- PHALITE DE L'HÉMISPHÈ
, crises de nerfs. Arrière-grand-père paternel; m01't d'hèmorrhagie
cérébrale
. - A1'1'iè7'G'-Jr21nCl'lnèl'e ? atL'7'12elle, m
gauche du cerveau. Atrophie de la bandelette optique, du pédoncule
cérébral
, du tubercule mamillaire gauches. Sclérose atro
bercule mamillaire gauches. Sclérose atrophique de l'hémis- phère
cérébral
gauche. Mèningo-encèphulitc de l'hémis- phère c
mis- phère cérébral gauche. Mèningo-encèphulitc de l'hémis- phère
cérébral
droit. Hug... (Georges) est né à Paris, le 21 m
25. - Ons. XII. ..., 50 0 idiotie. Fig. 20. Ous.XIÎ. Hémisphère
cérébral
gauche; face externe. Fil, F2, F3, première, se
Sylvius. traitement chirurgical. 51 Fig. 27. Ons. XII. Hémisphère
cérébral
gauche ; face interne. 1.'1, première circonvol
cS.XIIt.IDIOTIE SYMPTOMATIQUE de IÉN[NGO-EKCÉPHAL1TE ET DE SCLÉROSE
CÉRÉBRALE
. SoMMAinE. Père, caractère très emporté. Grand-
tanelle antérieure. Aspect gélali'- : nij'ol'lne' des circonvolutions
cérébrales
. Bourg... (rcrn. A.) est né à Paris le 1"1' jui
pituitaire.un peu hypertrophiée.-Simplicité des circon- volutions
cérébrales
. Pseudo-lipom.es. : Absence complète delà gland
sarcoma- TEUSE DU cervelet (Hydrocéphalie) (1). Sommaire. Tumeur
cérébrale
, hydrocéphalie symptoma- tique. Grand-père pate
et 1893. OBS. IL-IDIOTIE PROBABLEMENT SYMPTOMATIQUE.DE SCLÉROSE '
CÉRÉBRALE
. Sommaire. -Père, nombreux excès deboisson, vio
survenus progressivement chez lui de 1880 à 1893.. OBS IX. Sclérose
cérébrale
: imbécillité ET hémiplégie DROITE AVEC ATHÉTOS
BS. X. Imbécillité ET HÉMIPLÉGIE DROITE, symptomatiques DE SCLÉROSE
CÉRÉBRALE
. SOMMAIRE. - Père mort tuberculeux, nombreux ex
neuse, caractère violent. Grand père pater- nelle mort d'hémiplégie
cérébrale
, nombreux excès de tous genres. Renseignements
est ainsi conçu : . A eu depuis une fièvre typ/fjfde des accidents
cérébraux
se manifestant par de la faiblesse d'esprit et
re de la coupe. Cette zone a au moins 3 mm. d'épaisseur. Hémisphère
cérébral
droit. Adhérences disséminées sur toute la face
s à 18 ans, migraines. - Grand-père maternel mort d'une hémorrhagie
cérébrale
. Grand'mère mater- nelle, morte paralytique. Ar
sions jusqu'à 11 ans. - Soeur morte de rougeole auec complication
cérébrale
. - Pas de consanguinité. Violent chagrin au 4e
phè- nes. [Père d'un caractère calme, mort à 53 ans, d'hémorragie
cérébrale
. Mère morte à 66 ans, d'une paralysie probable-
INJECTIONS DU LIQUIDE testiculaire. 127 ment due à un ramolissement
cérébral
. -, Un frère, aujour- d'hui en bonne santé, a e
à 13 mois, une autre morte de rougeole à 3 ans, avec complications
cérébrales
; une autre morte de bronchite à G semaines. Sa
bérance est assez fortement congestionnée et épaissie. Hémisphère
cérébral
droit. Face convexe. Quelques petites adhérence
. Sur le bulbe, la colo- ration est presque naturelle. Hémisphère
cérébral
gauche,- La pte-mere s'enlève facile- ment, san
nt. VI. Notons encore la différence de poids des deux hémisphères
cérébraux
, le gauche pesant plus que le droit, différence
anards. VII. Idiotie et épielpsie symptomatiques d'une anomalie
cérébrale
{Tumeur des tubercules mamillaires) ; Par BOURN
nuls. Etat de mal épileptique; broncho-pneu- monie. - Mort. -Atypie
cérébrale
. ' IDIOTIE et 'Epilepsie 165 Mont Léon, né le
plus profond Fig. 41. - : 0, nerf optique. T, tumeur. P, pédoncule
cérébral
. HÉTÉROTOPIE CÉRÉBRALE. 171 et plus postérieu
refoule en avant et sur les côtés, et en arrière parles pédoncules
cérébraux
. Le pédoncule droit parait un peu plus petit qu
le-ci est très large et se continue directe- ment avec la substance
cérébrale
. Elle est presque quadrila- tère et mesure '25
trouve un aspect qui rappelle absolument celui d'une circonvolution
cérébrale
, au niveau de la substance grise, les cellules
malement devenues de la substance grise. II. Outre cette anomalie
cérébrale
, on observe encore des traces d'une affection c
te anomalie cérébrale, on observe encore des traces d'une affection
cérébrale
, dans l'a- dhérence si intime de la dure-mère à
cerveau s'affaisse comme une poche. L'affaissement des hémisphères
cérébraux
existait avant l'ouverture de la dure- mère, sa
tites attaques syncopales (probablement symptomatiques de thrombose
cérébrale
). Trois oncles pa- ternels, morts assez âgés, o
mbrane lisser mince, surlaquelle on constate des îlots de substance
cérébrale
.; La suture 111te1·IIé)111SIV1'tllite est seule
de trouver la trace de la scissure de Sylviusa Un îlot de substance
cérébrale
de 5 centimètres carrés environ forme le vestig
lobe frontal qui, lui ? est représenté par une plaque de substance
cérébrale
offrant : ' l'aspect de circonvolutions mal dél
poro-sphénoîdal. L'hémisphère droit offre encore moins de substance]
cérébrale
. Le lobe frontal y est représen- té par une for
re un aspect membraneux, recouvert de minces couches de substance
cérébrale
. On peut constater sur la base des dépressions qu
sse et a un seul prolongement frontal peu dilaté. > . Hémisphère
cérébral
gauche. - Il offre L-s mêmes lésions à un degré
pose sur la face postérieure de laprotubé-' rance et des pédoncules
cérébraux
et est en rapport avec le lobe médian du cervel
la face interne sont réduits à une simple lamelle unie de substance
cérébrale
. - Les gal1 ! llions centraux, fortement déprim
incolore, assez épaisse, tapisse cette vaste poche. ' Hémisphère
cérébral
gauche. La même description s'applique, en géné
Notons cependant un aplatissement plus considérable de la substance
cérébrale
sur une bande allant verticalement de la branch
ite chronique ( ? ).- Grand'tante paternelle, morte de con- gestion
cérébrale
. Oncle paternel, mort de rhumatismes. Autre onc
IE. - Examen de la calotte crânienne. Description . des hémisphères
cérébraux
. - Dilatation des ventricules latéraux, du fim°
- culeux. Une tante maternelle est morte à 78 ans de conges- tion
cérébrale
. Deux tantes maternelles : une, âgée de 80' ans
aternel et chez un oncle paternel, qui s'est suicidé, des accidents
cérébraux
et la tuberculose tant du côté du père que de c
es, de ces phénomènes dont l'origine primordiale était certainement
cérébrale
. Une remar- que intéressante que nous retrouvon
lume d'une plume de corbeau provenant de la surface de l'hémisphère
cérébral
gauche et aboutissant au sinus latéral du même
la base du crâne. Aplatissement et distension des circonvolutions
cérébrales
. Dilatation considérable des ventricules laté-
très facilement ; delà, décortication pénible. Les circonvolutions
cérébrales
sont aplaties, étalées. La substance encéphaliq
ge d'un an. Soeur morte de convulsions et deux autres de congestion
cérébrale
. Chute à 3 mois. Première dent à un ans. Parole
rappé d'apoplexie avec hémiplégie qui ne dura qu'un mois (thrombose
cérébrale
.) Pas de démence. Mère, morte il 56 ans, cl'ér5
e santé; pas de convulsions; 5° garçon, mort à 5 mois de congestion
cérébrale
sans convul- sions ; 6° garçon de 15 ans, intel
nt, pas de convulsions ; 79 autre garçon, mort à 5 mois d'accidents
cérébraux
( ? ) sans convulsions ; 8° garçon, 13 ans, 9°
troisième mort au régiment d'une fièvre typhoïde avec acct- dents
cérébraux
; 4° les trois autres frères sont bien pour- ta
otale de sérosité hydrocéphalique recueillie. Cerveau. - Hémisphère
cérébral
gauche. La pie-mère adhère fortement partout et
ur céré- brale compliquée d'hydrocéphalie (1). SOMMAIRE. - Tumeur
cérébrale
, hydrocéphalie symptomati- que. Grand-père pate
bulbe et du cervelet. Hydrocéphalie : dilatation des ventricules
cérébraux
. Berl... (Chartes), âgé de 12 ans, est entré ai
Au niveau de la base, dans l'espace situé au-devant des pédoncules
cérébraux
, elle est épaissie et présente un aspect laiteu
rme générale soit notablement modifiée. L'épaisseur de la substance
cérébrale
qui sépare la paroi ventriculaire de la surface
e céphalo-rachidien, recueil- lie quand on a séparé les hémisphères
cérébraux
et qui n'était pas moindre de 600 grammes, indi
il, à un léger degré de paralysie spasmodique, d'origine purement
cérébrale
, qui pourrait être considérée en quelque sorte
t de faire disparaître ou de réduire à une mince paroi la substance
cérébrale
. Cette compression doit s'opérer très lentement
'VC 2L1'CalLt de réflexe après l'amincissement com- plet du manteau
cérébral
. Ainsi Ess..., dont le cerveau était réduit à u
parié- taux. Les artères de la base sont symétriques. La pie-mère
cérébrale
est très notablemant hypérémiée. Sa vascularisati
ternelle nerveuse. - Arrière-grand-père paternel mort d'hémorrhagie
cérébrale
. - Cousin paternel, excès de boisson, aliéné. O
ciales. - Grand-père maternel, excès de boisson, mort de congestion
cérébrale
, auec paralysie du côté gauche - Grand'mère mat
crises nerveuses. - Grand-père paternel mort à 60 ans d'hémorrhagie
cérébrale
; il n'était pas nerveux. Grand'mère paternelle,
nt chez elle par une sage-femme. [Père, mort à 40 ans de congestion
cérébrale
après 3 semaines de maladie, avec hémiplégie ga
les nerfs olfactifs, optiques, les ban- delettes et les pédoncules
cérébraux
, sont symétriques, mais le tubercule mamillaire
de Sylvius, au-dessous de sa branche verticale, jusqu'au pédoncule
cérébral
(PL. i et II). La circonférence adhère ainsi, a
dehors en dedans et d'arrière en avant jusqu'au-dessus du pédoncule
cérébral
qu'elle atteint à l'union de son tiers interne
n trouve chez les ascendants paternels, l'alcoolisme, des accidents
cérébraux
, des convulsions ; chez un collatéral, l'alcool
oolisme et la folie ; du côté maternel, l'alcoolisme, des accidents
cérébraux
. De plus, la tuberculose apparaît chez les asce
orrespondant au pseudo-kyste. L'inégalité de poids cles hémisphères
cérébraux
, le gauche pesant 55 gr. de moins que le droit
tinale. - Mort. Autopsie : sclérose atrophique des circonvolutions
cérébrales
. - Ulcérations tuberculeuses de l'intestin.- Ad
ion de Liège, 31 août 1892. Réflexions. 37 crues sur l'hémisphère
cérébral
droit qui pesait 30 gr. de moins que le gauche
tion secondaire portant sur le tubercule mamillaire, le pédoncule
cérébral
, et la pyramide antérieure du côté droit. Les h
wor- miens. - Inégalité de poids de 75 gr. des deux hémis- phères
cérébraux
.- Atrophie de l'hémisphère cérébral, du nerf op
75 gr. des deux hémis- phères cérébraux.- Atrophie de l'hémisphère
cérébral
, du nerf optique et du pédoncule cérébral gauch
Atrophie de l'hémisphère cérébral, du nerf optique et du pédoncule
cérébral
gauches. Adhé- rences partielles de la pie-mère
NGITE; ATROPHIE DE L'HÉMISPHÈRE GAUCHE. RÉFLEXIONS. 51 Hémisphère
cérébral
droit. - Mêmes particularités que sur l'hémisph
AIRE. - Père tuberculeux. - Grand'mère paternelle morte d'apoplexie
cérébrale
. - Arrière-grand-père paternel, nombreux excès
; pas d'excès de boisson. - Mère, sobre, morte à 70 ans d'apoplexie
cérébrale
sans hémi- plégie. Pas d'excès de boisson. - Gr
les tuber- cules mamillaircs sont un peu gros. - Les hémisphères
cérébraux
paraisssent avoir la môme longueur. Les lobes o
s. Ces phénomènes sont en Réflexions. 65 rapport avec la sclérose
cérébrale
constatée à l'auto- psie. IV. Remarquons, com
sie. IV. Remarquons, comme dans de nombreux autres cas de lésions
cérébrales
, la facile production des eschares. Enfin attir
ien été justifiée. L'égalité parfaite du poids des deux hémisphères
cérébraux
et les lésions méninge- tiques, bien qu'elles n
e de synostose; p ! agiocëphahe. lëa- lité de poids des hémisphères
cérébraux
. - Os dormi- ens. - Sclérose atrophique d'un ce
pondait un écart de poids de ! 0 grammes entre les deux hémisphères
cérébraux
qui étaient le siège de sclérose atrophique.
on pulmonaire ; mort. Autopsie : Porus vrais des deux hémisphères
cérébraux
Méningo-encéphalite chronique; atrophie de la p
tout c'est la dispro- portion qui existe entre les deux hémisphères
cérébraux
. Le gauche est allongé, en quelque sorte athlé
ule /attirât qui est quel- que peu dilaté. On aperçoit le pédoncule
cérébral
qui est gros et renflé. Les noyaux gris centrau
i est assez nette. (Voir Planches VIII, IX, X, ,XI.) Les pédoncules
cérébraux
n'offrent rien de particulier. Le quatrième ven
une encéphalite destructive. Suivant le même auteur, l'hémorrhagie
cérébrale
ne saurait être sérieusement invoquée. On sait
aralysies et les contrac- tures sont le cortège habituel d'un parus
cérébral
. La lecture de nos observations suffira pour s'
re la lésion varie peu. C'est toujours le territoire irrigué par la
cérébrale
moyenne qui est creusé par le porus. 1 ? F A, P
ie, nous avons pu examiner son cerveau et son crâne, L'hémisphère
cérébral
gauche était le siège de lésions de méningo-enc
s unes et les autres, à l'intervention chirurgicale. L'hémisphère
cérébral
droit, qui pesait 20 grammes de plus que le dro
de nerfs. - Arrière-grand-père paternel mort d'héii-Lo ? - ? ,hagie
cérébrale
. - Arrière-grand' mère paternelle morte d'un ca
auche du cerveau. - Atrophie de la bandelette optique, du pédoncule
cérébral
, du tubercule mamillaire gauches. - Sclérose at
ntécédents héréditaires. 133 - ' ;, ,i ."......,. a '.T ? i phère
cérébral
gauche. - Méningo-encéphalite de l'hémis- phère
i phère cérébral gauche. - Méningo-encéphalite de l'hémis- phère
cérébral
droit. 1 1 1 1 1 , f . Ilug... (Georges), né à
herché à dissimuler. - Grand- père paternel, mort d'une hémarrhagie
cérébrale
à 54 ans. Grand'mère paternelle, morte à 38 ans
rien d'anormal. - Le corps strié, la couche optique et le pédoncule
cérébral
sont très développés. L'hé- misphère droit prés
fisam- ment nettes pour expliquer la prédisposition aux accidents
cérébraux
des trois enfants issus de ce mariage. II. A
iotie était symptomatique d'une sclérose atrophique do l'hémisphère
cérébral
gauche, com- pliquée d'une dégénération seconda
correspondent à des diff renées très tranchées des deux hémisphères
cérébraux
. A gauche, nous trouvons une sclérose atrophiqu
e de la bandelette optique, du tubercule mamillaire et du pédoncule
cérébral
. A droite, nous avons découvert une méningo-
ien portante, a eu trois attaques à HO ans qualifiées de congestion
cérébrale
. Il y eut chute accompagnée de congestion de la
de même des nerfs, des tubercules mamillaires et des pédon- cules
cérébraux
. La pie-mère de la base n'est pas vascu- larisé
use. La plus antérieure l'e.,t beaucoup moins. (Fig. 4). Hémisphère
cérébral
gauche. Il est de consistance ferme, , la pie-m
corne d'Ammon, la couche optique, le corps strié. ' * Hémisphère
cérébral
droit. - La pie-mère s'enlève très facilement.
trois attaques sans paralysie, étiquetées attaques de congestion
cérébrale
. Quelques céphalalgies chez le père, chez cette
, optiques, les tubercules mamillaires, les artères, les pédoncules
cérébraux
sont symétriques. Corps pituitaire de la grosse
s'était faite alternativement dans l'un ou l'autre des hémisphères
cérébraux
. V. L'autopsie ne nous a apporté aucune notion
ingite chronique de la con- vexité et de la base. - Circonvolutions
cérébrales
et scis- sures assez irrégulières. - Rien de pa
s de la pie-mère à la dure-mère, d'une part, et auec la substance
cérébrale
d'autre part. Broncho-pneumonie en foyers dissé
is n'est plus dévote. - Le second, mort à 5' ? ans de conges- tion.
cérébrale
, a eu quatre enfants bien portants. -- Le 3 ? 4
veux : un d'eux est mort paralysé, un second est mort de congestion
cérébrale
, un troisième a un fils paralysé et hydrocéphal
trophique prédominant à gauche. - Inégalité notable des hémisphères
cérébraux
(115 gr.) et des hémisphères cérébelleux. - Dég
mamillaire gauche parait plus petit que le droit. Le pédon- cule
cérébral
gauche est moins large, et moins bombé que le d
te et moins large que la droite. Lorsqu'on sépare les hémisphères
cérébraux
il s'écoule une assez grande quantité de liquid
ère céré- belleux droit. XIX. Idiotie symptcmatique de sclérose
cérébrale
atrophique ; Par BOURNEVILLE et NOIR. Somma
du pédoncule. Le ventricule latéral est un peu dilaté. Hémisphère
cérébral
gauche. - La scissure de Sylvius est entrouvert
santé; une grand'tante maternelle est atteinte de ramollissement
cérébral
. Un frère jumeau, qui était bien conformé, est
it par la face supérieure. Cerveau; hydrocéphalie. 247 Hémisphère
cérébral
droit. - La face externe, très courbe et très h
te dilatation a amené un amincissement considérable de la substance
cérébrale
, amincissement plus prononcé au niveau de la pa
ane épaisse et blanchâtre les recouvre et leur adhère. Hémisphère
cérébral
gauche. - La face externe est moins altérée que
coupe unie et dont la couleur rappelle celle des circonvo- lutions
cérébrales
. La partie supérieure et externe de cette masse
enflammée. Ces espèces de glomé- rules sont séparés de la substance
cérébrale
par des interval- les qui étaient remplis de li
ut en montre le vif intérêt. XXI. Idiotie congénitale; - Atrophie
cérébrale
; - Tics nombreux : PAR BOURXEVILLE ET NOIR.
SOMMAIRE. - Père, céphalalgies, coléreux, rhumatisme, acci- dents
cérébraux
, alcoolique. - Grand-père paternel, calcu- leux
eul maternel, diabétique ( ? ). Oncle maternel ? mort de congestion
cérébrale
. - Cou- sin germain, mort de convulsions. Soeur
idents articulaire avec fiè- vre qui s'accompagnèrent de phénomènes
cérébraux
graves (délire, perte de la connaissance, duran
i migraineuse. - 3 frères dont un mort à treize ans de « congestion
cérébrale
, accompagnée Fig. 12. - Ros... devenu propre et
décrite. 302 ETAT.DES SUTURES DU CRANE dans l'IdIOtIe. Hémisphère
cérébral
droit. On ne constate la présence d'aucun tuber
ortiquer; en certains points on enlève de petits fragments de pulpe
cérébrale
. Tout l'hé- misphère présente comme particulari
tal est bien conformé ainsi que le lobule de l'insula. Hémisphère
cérébral
gauche. - Sur cet hémisphère comme sur -le droi
CJ,1.rF,LE').'N{¡Jq) : QçéphaUe) ! 1 ¡ ! ; If.. ? Sommaire. Tumeur
cérébrale
, hydrocéphalie symploma- -, tiqué. Grand-père p
fontanelle antérieure. - Aspect gélati- niforme des circonvolutions
cérébrales
. Bourg... (Fern. A.); 5 ans. (V. l'obs., Conpte
lente. - Méningite de la conve- xité et de la base. Circonvolutions
cérébrales
et scissures assez irrégulières. - Rien de part
stion pulmonaire; mort. AUTOPSIE. - Porus vrai des deux hémisphères
cérébraux
. Iléningo-encéphalite chronique. - Atrophie de
use, de caractère bizarre. - Un frère de la mère mort de congestion
cérébrale
. Un autre frère de la mère a eu un fils paralys
ces de la pie-mère à la dure-mère d'une part et avec la substance
cérébrale
d'autre part. - Broncho-pneumonie en foyers dis
onstater sur les photogra- phies : Idiotie symptomatique de tumeurs
cérébrales
, de méningo-encéphalite, de sclérose atrophique
7 Obs. III. - IDIOTIE probablement symptomatique DE > sclérose
cérébrale
. Sommaihe. Père emporté, céphalalgies, excès al
phtisie. Grand père paternel, mort probablement d'une congestion
cérébrale
. - Arrière grand-père paternel mort d'un coup d
S PLANCHES. 336 Explication DES planches. Planche I. Hémisphère
cérébral
gauche; face externe. (Ons. de Scheff ? p. 10-1
planches. Planche II. (OBs. de Scheff..., p. 10-19). Hémisphère
cérébral
gauche; face interne. I ? première frontale.
S planches. Planche III. (OBS. de Sal..., p. 22-30). Hémisphère
cérébral
gauche; face externe. I'i, F2, F3, première, se
planches. · Planche IV. (OBS. de Sal..., p. 22-30). Hémisphère
cérébral
gauche; face interne. F', première frontale.
S planches. ' Planche V. (OBs. de Sal..., p. 22-30). Hémisphère
cérébral
droit; face externe. Fi, F2, F3, première, deux
DES planches. Planche VI. (OBs, de Sal ? p. 22-30). Hémisphère
cérébral
droit; face interne. r, première frontale. LP
ES planches. Planche VIII. (Ons. de Roq ? p. 88-96). Hémisphère
cérébral
gauche; face supérieure. LF, lobe frontal. LO
DES planches. PLANCHE IX. (OBs. de Roc ? p. 88-96). Hémisphère
cérébral
gauche; face externe. FI, F2, F3, première, sec
DES planches. Planche XI. (OBs. de Itoc ? p. 88-96). Hémisphère
cérébral
droit ; face interne. Fi. première circonvoluti
S PLANCHES. Planche XII. (OBS.de Hug... p. 132-141). Hémisphère
cérébral
gauche; face externe. FI, F2, F3, première, sec
planches. Planche XIII. (OBS. de IIug ? p. 13'2-1H). Hémisphère
cérébral
gauche; face interne. F', première circonvoluti
S planches. Planche XIV. (Ons, de Hug ? p. 132-141). Hémisphère
cérébral
drot; face interne. FI, F2, F3, première, secon
compulsifs ne seraient que des phéno- mènes de rappel de scléroses
cérébrales
, ne se traduisant clini- quement. par aucun sym
on du masséter et du Leiiipoi-al. G. 1) l ? N Y. 111. Les lésions
cérébrales
dans les psychoses d'origi.- ne toxique : par )
st parce que nos techniques sont insuffisantes. Parmi les lésions
cérébrales
microscopiques accompagnées de troubles mentaux
a circulation et la nutrition, et, secondairement, sur les cellules
cérébrales
dont ils ont perturbé les moyens de réparation et
este de l'économie paraît intact. Parfois, au contraire, la cellule
cérébrale
peut rester intacte en apparence et une action
les cas de démence précoce. 1 ? . Tissot. \'I. Sur un cas de tumeur
cérébrale
à forme psychi- que ; asthénie générale sans pa
et Beutter. (Lyon médical, '20 mai 1900, p. 1008.) Cas de tumeur
cérébrale
chez une femme de 40 ans à hérédité nerveuse.
rvation concourt à l'étude de la forme psycho-mo- trice des tumeurs
cérébrales
. Les phénomènes psychiques, comme le font remar
ypérémie de la glande pitui- taire par exemple dans les congestions
cérébrales
, dans l'alcoo- lisme aigu, dans l'épilepsie où
patique, a laquelle viennent se join- drelesinsuflisances rénale et
cérébrale
. F. TISSOT. '1. - Formes atypiques de la paraly
c'estaetie qu'il faut attribuer l'ischémie productrice d'hémiplégie
cérébrale
et de la dégénérescence secondaire ; plus avant
tres inconnues,toutes causes déprimantes et créatrices d'épuisement
cérébral
. Et ces troubles somatiques peuvent engendrer u
corps calleux et du lobe limbique ; anomalies des circonvolutions
cérébrales
; Par Cl. bonne Médecin adjoint à l'asile de
non festonnée, à peine visible à' l'oeil nu ; le pied du pédoncule
cérébral
droit ne représente guère en étendue que la moi
le plancher du 4, ventricule ; n d, noyau denté. Les hémisphères
cérébraux
(fig. 8 à 13) présentent, outre de multiples an
la face interne de l'hémisphère droit et l'asymétrie des pédoncules
cérébraux
, dont le pied est beaucoup plus déve- loppé à g
postérieure est normale. Les malformations des circo;avolaitio2s
cérébrales
sont si nombreuses et si complexes qu'il est ir
oit émerger de dessous l'hémisphère atrophié, entourer le pédoncule
cérébral
puis se perdre sur la face interne de celui-ci
t rapporté par les auteurs, du cerveau postérieur et des pédoncules
cérébraux
, dénota de plus l'atrophie (les noyaux et des r
ment celle (fig. 5) qui représente la face latérale droite du tronc
cérébral
et du cer- velet, montrent une grande analogie
ux moitiés du corps que les voies longues dépendant des hémisphères
cérébraux
. On comprend donc que les impressions reçues au
édilection des lésions de la péri- encéphalite pour les hémisphères
cérébraux
: ce serait donc l'intervention de ces derniers
. On sait, d'autre part, que les lésions éten- dues d'un hémisphère
cérébral
entraînent une atrophie croisée du cervelet, ma
port direct avec le noyau rouge. Le poids de chacun des hémisphères
cérébraux
ne peut d'ailleurs pas donner à ce sujet des in
llimètres. D'ailleurs l'asymétrie compensatrice des hémisphè- res
cérébraux
est impossible à évaluer, grâce aux mal- format
e de faire la part de l'alcool, du tabac, du sucre, et de la lésion
cérébrale
, car toules ces causes contribuent à l'affaibli
laires sont très dilatées par suite de l'atrophie de la substance
cérébrale
, les parois ventriculaires présentent des modi-
é ou dilatations isolées) paraissent tenir au retrait du parenchyme
cérébral
atrophié autour des gaines vasculaires. Le ce
périvasculaire.Onvoit quelquefois une sclérose miliaire de l'écorce
cérébrale
qui parait être en rapport avec des crises d'ép
tat vermoulu ; 6. de gros foyers de ramollissement et à'hémorrhagie
cérébrale
. 5° Les lésions diffuses ne paraissent, au cont
IONS en foyer dans la sénilité. Les ramollissements et hémorrhagies
cérébrales
, assez fré- quentes dans la sénilité, ne diffèr
te. III. Aperçu clinique. - A. NEUROLOGIE. - L'arté- rio-sclérose
cérébrale
. L'artério-sclérose est rare- ment purement cér
rio-sclérose cérébrale. L'artério-sclérose est rare- ment purement
cérébrale
, on en trouve ailleurs des si- gnes somatiques.
illeurs des si- gnes somatiques. Les signes de l'artério-sclérose
cérébrale
ne sont pas proportionnés à l'intensité des lés
'intensité des lésions vasculaires. Les signes de l'artériosclérose
cérébrale
présentent le ca- ractère intermittent ou parox
accidents fugitifs et les « ictus» lacunaires. L'artério-sclérose
cérébrale
peut prendre, au début, l'aspect de la neurasth
à celles de l'adulte et dues au ramollis- sement ou à l'hémorrhagie
cérébrale
, ne sont pas les plus fréquentes chez le vieill
minante l'état vermoulu ou surtout la sclérose miliaire de l'écorce
cérébrale
: dans les 5 cas jusqu'ici signalés de cette de
ir s'expliquer par l'atrophie et la dégénérescence des cellu- les
cérébrales
et des fibres nerveuses ils peuvent appa- raîtr
nerveuses ils peuvent appa- raître précocement, commme la sénilité
cérébrale
anato- mique, chez des intoxiqués chroniques, n
ou moins grand nom- bre de signes somatiques de l'artério sclérose
cérébrale
ou généralisée (cardiaque, aortique, rénale, pé
ents dans la sénilité.et s'agit d'organes qui sont des émanations
cérébrales
,que la sclérose frappe au même titre que le cer-
rive au fond de la question, à l'é- tude des lésions de la sénilité
cérébrale
. La lésion des cellu- les cérébrales est indisc
tude des lésions de la sénilité cérébrale. La lésion des cellu- les
cérébrales
est indiscutable. Les éléments nerveux sont alt
, en regar- dant de nombreuses préparations provenant de maladies
cérébrales
très différentes, que l'on pouvait considérer la
llards et montré que parmi ces paraplégies certaines sont d'origine
cérébrale
, d'autres d'ori- gine médullaire, d'autres enfi
ne médullaire, d'autres enfin d'origine musculaire. Les paraplégies
cérébrales
sont bien dues aux lacunes de désintégration, m
culaires sans paraplégie, de même qu'il existe chez eux des lacunes
cérébrales
sans hémi ni paraplé- gie : ce n'est pas là un
l'attention sur un détail curieux de certaines formes de paralysie
cérébrale
chez les scléreux qui marchent à petits pas et
l'automatisme moteur, de la marche inconsciente, delà coordination
cérébrale
plu- tôt que de la marche volontaire et conscie
dont je parle des faits de paraplégie médullaireet d'hémiplé- gie
cérébrale
bilatérale. M. àlEIGE (de Paris). La distinctio
s après commandement, dans certains cas d'hémi ou de para- plégie
cérébrale
, est très utile à connaître, car elle permet d'
ions des faisceaux pyrami. daux dépendent manifestement des lacunes
cérébrales
, d'une lacune de la capsule interne, par exempl
même leur état mental a toujours pour cause un manque d'équilibre
cérébral
. Ce manque d'équilibre est la cause de la mobilit
s mentaux épileptiques, symptômes en foyer (dans les cas de tumeurs
cérébrales
) et en l'absence de symptômes physiques de para
e de la cellule. - J. SL3GLAS. XI. Action du calcium sur l'écorce
cérébrale
; par IloucoROrrr. lIn Rivista sperimentale di
as nettement démontré ; l'action dépressive du bromure sur l'écorce
cérébrale
a été bien mise en lumière par les recherches d
ble l'expérience, en provo- quant une congestion de toute la région
cérébrale
..1. Séglas. XII. - Le mode de formation de.la c
logique des maladies nerveuses et mentales. J. Séglas. - Atrophie
cérébrale
expérimentale et atrophie cra- nienne concomita
premier travail publié en 1901, il avait établi qu'à l'hémiatrophie
cérébrale
s'associe toujours une hémiatrophie crânienne.
à formuler les conclusions suivantes : quand l'ablation de l'écorce
cérébrale
est limitée et superficielle, on n'observe aucu
et atteint la substance blanche, on a une atrophie de l'hémisphère
cérébral
correspondant, plus ou moins marqué selon l'int
us ces cas, le développement du crâne s'adapte toujours à la lésion
cérébrale
et il en résulte une hémiatrophie crânienne de
substance blanche sous-jacente ; il obtint ainsi une hé- miatrophie
cérébrale
et crânienne. Enfin, dans une troisième série,
voûte sur une plus grande étendue, en enlevant une portion d'écorce
cérébrale
de même étendue : le résultat fut une hémia- tr
orce cérébrale de même étendue : le résultat fut une hémia- trophie
cérébrale
associée à une hémiatrophie crânienne corres- p
ophie crânienne est due exclusive- ment à la lésion de l'hémisphère
cérébral
correspondant. En somme, tous ces faits expérim
ment, limite la puissance évolutive non seulement de l'hémis- phère
cérébral
correspondant à la localisation morbide, mais en-
cherches expérimentales sur la pathogéniede l'amyotrophie d'origine
cérébrale
; par Caracciolo. (In Rivista sperimentale di 7'
que les théories palliogéniques émises sur l'amyotroplue d'origine
cérébrale
peuvent être classées de la façon suivante : 1.
e grise spinale (Dorglierini). IX. Présence de centres trophiques
cérébraux
dans l'écorce, au voisinage des centres moteurs (
rations trophiques qui inter- viennent dans les muscles par lésions
cérébrales
doiventleur ori- gine à la propagation des lési
t à ce dernier. Preuve, disent ces auteurs, les cas d'apo- plexie
cérébrale
compliqués immédiatement de contrac- ture,convu
ns et exagérations des réflexes tendineux. Dans ces cas l'apoplexie
cérébrale
est produite par une grande hémorrhagie,ou par
ces phénomènes produits par une réac- tion inflammatoire d'un foyer
cérébral
disparaissent dans peu de temps. Babinski (1)
au plus un trouble fonctionnel du faisceau pyramidal. (1) Tumeur
cérébrale
comprimant la loue rolandique gauche, hémiplégi
il fait mort A TEL, il se sou- vient d'avoir éprouvé une commotion
cérébrale
lorsqu'il donna du feu, le passant a dû lui env
syphiliti- que. Divel'sc5 coupes pratiquées dans les hémisphères
cérébraux
,dans le centre ou l'isthme ne révèlent aucune l
intellectuelle générale. Il existait quelques signes de compression
cérébrale
: céphalée, vomissements, stase papillaire légè
e méd., n° de mai 1905.) On doit désigner sous ce nom les accidents
cérébraux
apoplec- liformes survenant plus ou moins tardi
t même du myosis double. La lésion anatomi- que est une hémorrhagie
cérébrale
due probablement à un throm- bus. L. WAHL. BI
65 ans, ménagère, qui depuis quelque temps avait des dérange- ments
cérébraux
, M. Dam ille, marchand de vins, fit pari de son
s d'un affaiblissement mental lié à la destruction des cel- lules
cérébrales
intellectuelles, guérissent, au dire de M. Arch
organisation du corps était identique, de même ici l'or- ganisation
cérébrale
doit offrir de profondes analogies. La conclusi
du moins la plus puissante d'u- ne pareille identité d'organisation
cérébrale
. Or, pour le professeur Bail, c'est seulement,
ellaire, sinon dans tous, une profonde analo- gie de l'organisation
cérébrale
, qui est, affirme-t-il, la seule origine pathol
au, dit M. Cullerre sur la pro- portion considérable des infirmités
cérébrales
incurables dans le nombre des admissions, dont
quelques verres de vin même, suffisent à ré- veiller les accidents
cérébraux
. J'ai même vu, au cours de l'an- née, un alcool
sur ce point. Peut-être existait-il chez D ? au niveau de l'écorce
cérébrale
gauche l'épine orga- nique qui, selon l'express
e, sui- vant une distribution radiculaire. E. C. L. Pseudo-tumeur
cérébrale
par empyème ventricu- laire ; par MOCQUIN. (Nou
ès ingénieuses sur l'histophysiologie du tissu nerveux, de l'écorce
cérébrale
en particulier, appuyées sur les hypothèses d'o
s renfle- ments successifs irrégulièrement espacés. Dans l'écorce
cérébrale
, la lésion atteint surtout les grandes cellules
urs desquelles on observe la symptomatologie générale des tumeurs
cérébrales
, stades intermédiaires également prolongés ; verl
tion de la plasticité cellulaire et en particulier de la plasticité
cérébrale
. G. DENI'. XXV. L'accommodateur dans la paral
présentait depuis quelques mois des signes évidents de dérangement
cérébral
. Il prétendait que safemme avait une « mine d'o
ativement l'état d'inanition,ce dernier s'accompagnant d'excitation
cérébrale
. Le travail mécanique est consi- dérablement au
ou dans les muscles. Dans les différentes paralysies, médullaires,
cérébrales
ou pé- riphériques, l'examen des paramètres des
ne autopsie complète, de planches représentant l'un des hémisphères
cérébraux
et enfin d'un examen histologiste dû à M. le Dr
: bons résultats. Tuberculose généralisée : mort. Autopsie : tumeur
cérébrale
; - tuberculose généralisée. Cotl ? (Augustine-
on en H. La tumeur ne con- tracte aucune adhérence avec la pie-mère
cérébrale
qui tapisse le fond de la dépression ci-dessus
fond de la dépression ci-dessus décrite. A ce ni- veau la substance
cérébrale
présente une consistance plu- tôt molle. A la
Epaississement de la pie-mère au niveau du chiasma. Les pédoncules
cérébraux
, les scissures de Sylvius, les nerfs, les artèr
idérations à propos d'un cas d'hyppus ob- servé au cours d'un abcèi
cérébral
; par NI. Ch. DouRRET. (Lyon médical, '21 juin 1
suite d'une otorrhée avec troubles du côté de la mastoide, un abcès
cérébral
. Il présenta avec des phénomènes cérébraux inqu
de la mastoide, un abcès cérébral. Il présenta avec des phénomènes
cérébraux
inquiétants, le phé- nomène d'hippus à gauche ;
'01UIll3d'UIl oeuf de pigeon, contenu à l'intérieur de la substance
cérébrale
et paraissant siéger au niveau de la partie moy
évi- dent, avec prédominance encore du cù(3 gaucho. Les symptômes
cérébraux
reparurent, une ponction lombaire donna issue à u
culaire ni méningite. On sectionne sans dif- ficulté les pédoncules
cérébraux
. Au momcntoù on veut séparer le cervelet du bul
une homme de 16 ans, signes de réaction mastoïdienne avec symptômes
cérébraux
de- puis huit jours. A l'entrée. Leptoméningi
arge de l'apophyse, carie du toit de l'antre, ouverture de la fosse
cérébrale
moyenne, incision cru- rale de la dure-mère, po
enne, incision cru- rale de la dure-mère, ponctions de la substance
cérébrale
: li- quide céphalo-rachidien louche s'écoulant
uls. Reprise des phéno- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 4C7 mènes
cérébraux
douze jours après l'intervention. Deuxième ponc
dicale du foyer infectieux auriculaire. - 2" Ouverture de la fosse
cérébrale
ou cérébelleuse et mise à nu de la dure-mère crân
470 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. \lut. - Quelques manifestations
cérébrales
du rhuma- tisme chronique ; par M. LÉPIivE. (Ly
M. LÉPIivE. (Lyon médical, 7 octobre 1906, no 40.) La pathologie
cérébrale
comme la pathologie médullaire ou périphérique,
, idées délirantes mélancoliques et obsessions chez les prédisposés
cérébraux
. Elle explique l'importance des phénomènes dus
48 Recherches expérimentales sur la pathogénie de 1' d'origine
cérébrale
, par Caracciolo, p. 1 o. Anesthésies. Des psy
philis héréditaire probable, par Cres- pin, p. 191. 1. Atrophie
cérébrale
expérimen- tale et crânienne concomi- .lncume
Bunzen. Voir J\{01H11lSCl1. Calcium. Action du -- sur l'é- corce
cérébrale
, par Rouco- roni, p. 140. Causes morbides. Vo
e puerpérale, par de Bruine Plocs Van lmstel, p. 221. I. Ecorce
cérébrale
. Voir Cal- CiUH1. Empyème. Voir 7-fMO-7'tt))M
u corps calleux et du lobe hmbique, anomalies des circonvolutions
cérébrales
, par Bonne, p. 65. Hémianopsie, Deux cas d' -
opie de la moelle épi- mère, par Guido-Garbini, p. 147. Lésions
cérébrales
. oit Psy- choses. Lobe OCCIPIT.\L. Voir Glio-
SIE générale progressive, par Ingegiiieros, p. 24 Pseudo-tumeur
cérébrale
par empyème ventriculaire, par loc4ulli, p. 3
iva, p. 386. H. 1111 \1\ 1"[<\1[', Quelques manife;- talions
cérébrales
du chro - nique par Lépine. p. 470. 5U1 Il
es asiles d'aliénés, par A. Marie et Rolet, p. 287, 362. Tumeur
cérébrale
. Sur un cas de à forme psychique, asthé- nie
te-Anne) le 11 avril 1885. Son père est mort à la suite d'accidents
cérébraux
. Elle a fait, dans son enfance, une chute grave s
. Supposons une des- truction définitive et matérielle des cellules
cérébrales
qui ont emmagasiné les modifications inconnues
oint de départ dans les perturbations produites dans la circulation
cérébrale
par cette série d'attaques. 60 RECUEIL DE FAI
ces deux indi- vidus ont un substratum originel et un développement
cérébral
semblables, ce sont deux organes psychiques ide
, brillamment doué. Influenza en décembre 1888, sans autre symptôme
cérébral
qu'une vive céphalalgie. L'influenza ne dure qu
mains. La dyslexie a pour subs- tratum anatomique de graves lésions
cérébrales
(oblitération des vaisseaux), la claudication p
que son élément moteur. P. K. XII. DES TROUBLES visuels par TUMEUR
cérébrale
; par F. HIRSCxBERG. (Neurol. Centralbl., 1891.)
lusieurs heures. 2° Troubles permanents par lésions de la substance
cérébrale
. a. hémianopsie homonyme bilaté- rale; destruct
t le suivant : De la vision chez les idiots.- Observation de tumeur
cérébrale
. M. CHRISTIAN communique à à la Société l'obser
tre explication : On constata à l'autopsie la présence d'une tumeur
cérébrale
du poids de 20 grammes, pédiculée sur la base d
SOCIÉTÉS SAVANTES. 85 - M. JOFFAOY. La majorité des cas de tumeur
cérébrale
venus à ma connaissance se sont terminés par la
tés par l'hypochondrie, redoutent perpétuellement le ramollissement
cérébral
, ne sauraient être internés dans un asile d'ali
eut considérer comme un symptôme de dé- ficit émané d'un territoire
cérébral
irrigué par l'artère choroi- dienne. Les troubl
et leur décours dans le temps; - 9° Le diagnostic local des lésions
cérébrales
est, en temps que science des faits, tout à fait
nitale. Mais, dit-il, quand c'est le terrain mental, l'organisation
cérébrale
du sujet qui produit ces tendances vicieuses ou
é morbide et certaines conditions de vie dans les villes (surmenage
cérébral
, manque de travail manuel au grand air, etc.).
vations que c'est aux anévrysmes miliaires qu'est due l'hémorrhagie
cérébrale
. L'in- fluence trophique des lésions du cerveau
ysie diabétique, l'hystérie mâle, le syndrome de Weber, la syphilis
cérébrale
, les formes frustes de la sclérose en plaques. Ce
t-on, depuis longtemps, des mar- ques non équivoques de dérangement
cérébral
, et elle avait à plu- sieurs reprises déjà mani
; et si, avant la majorité, pour n'importe quelle raison, infirmité
cérébrale
, congénitale ou acquise, épilep- tique, folie à
C'est par le concours de ses travaux anatomiques que la physiologie
cérébrale
prit un essor nouveau. C'est par son esprit gén
un mot. Plus tard à la suite de mani- festations graves de syphilis
cérébrale
, ces syndromes se sont nota- blement amendés.
son où il y avait un mort. Une soeur est morte à cinq ans de fièvre
cérébrale
. P..., affectée à l'âge de cinq ans d'une fièvr
ers centi- mètres cubes. Autopsie. Congestion rénale, pulmonaire,
cérébrale
intense. Epanchement de liquide dans le péritoi
transitoire tire sa pathogénie de troubles vaso-moteurs de l'écorce
cérébrale
; et justement les troubles vaso-moteurs du . ce
ransitoire est due au même ordre de troubles dynamiques de l'écorce
cérébrale
, dont l'hystérie tire sa pathogénie'. Nous ne s
lite intersti- tielle diffuse, siégeant de préférence dans l'écorce
cérébrale
. Or, les localisations différentes de cette lés
de l'amblyopie transitoire siège dans les centres visuels du cortex
cérébral
, non pas le long des. voies qui rattachent ces
longtemps qu'est clos le débat sur la légitimité des localisations
cérébrales
pour qu'une observa- tion bien nette, bien préc
mètres de longueur. Observation. Cardiopathie rhumatismale. Embolie
cérébrale
. Aphasie motrice pure et isolée. Foyer très cir
de perte de connais- sance. Mémoire très affaiblie. Affaiblissement
cérébral
et général très accentué. Insomnie; il ne dorma
e le lobule de l'Insula. La pie-mère est adhé- rente à la substance
cérébrale
ramollie qui se laisse arracher avec elle. (Voy
n'ayant amené pendant la vie d'autre symptôme qu'un affaiblissement
cérébral
vague. A gauche, une lésion d'étendue minime, s
ictus, c'est-à-dire tout processus brusque aboutissant à une lésion
cérébrale
, si circonscrite qu'elle soit, détermine la sus-
s récent, de l'hémisphère droit. THÉRAPEUTIQUE. LES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
ET LEURS RELATIONS AVEC LA THÉRAPEUTIQUE Comm
et dont l'importance aura été jugée suffisante. DES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 239 ' Tout récemment, les conditions du concou
lus hauts intérêts de l'agriculture; qu'en ce qui DES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 241 concerne leur puissance, on ne saurait enc
ladies et des moyens de les prévenir. La localisation des fonctions
cérébrales
marque une nouvelle étape dans le cours des pro
vue de la lumière qu'elle a jetée sur le diagnostic des maladies
cérébrales
et les moyens de les traiter dans le présent et d
s constater combien peu satisfaisant était l'état de la physiologie
cérébrale
, si éloquemment exposée pour- tant, par notre v
rtant et très estimé mémoire sur la Topographie des circonvolutions
cérébrales
. Il met- tait en évidence l'ordre, la forme et
ughlings Jackson, dont les vues sur la pathologie et la physiologie
cérébrales
étaient fort en avance sur son temps, et différ
fondement à mes propres recherches. C'est à Hugh- DES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 243 lings Jackson que je suis redevable de la
t que j'ai prise dans l'établissement du principe des localisations
cérébrales
. Je n'abuserai pas de votre patience en vous fa
les prin- cipes qu'elles avancent. Nous avons enseigné que l'écorce
cérébrale
n'est pas dans toutes ses parties fonctionnelle
s phénomènes similaires, d'obser- vation courante dans les maladies
cérébrales
, ouvrent la porte à de très intéressants problè
ité et d'irritation particulières de la substance grise de l'écorce
cérébrale
. Chez beaucoup d'animaux, et chez certains, bea
de vue de l'hérédité épileptique chez l'homme. DES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. ' 247 Dans les méthodes expérimentales qui se
ettra de se guider à travers l'inextricable labyrinthe des maladies
cérébrales
, au milieu duquel l'observation clinique, aban-
c peu ou point de risques pour la vie, et sans crainte de la hernie
cérébrale
de mauvaise augure, ou de l'universelle méningite
oper, regardait la trépanation comme une des plus DES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 249 dangereuses opérations de la chirurgie. C'
ns chirurgicales qui découlaient de la doctrine des locali- sations
cérébrales
, M. Gosselin a exprimé cette opinion absolue, q
is été amplement démontrée par les états de service de la chirurgie
cérébrale
durant les dix dernières années. Je puis citer
ne saurait trouver un plus bel argument en faveur de la chi- rurgie
cérébrale
. Si l'on s'en était tenu aux traces de traumatism
une infirmité incurable. La nécessité et la valeur de la chirurgie
cérébrale
prophylactique ont été aussi bien mises en évid
e on pouvait se convaincre qu'immédiatement après DES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 251 l'accident, une quinzaine environ, s'étaie
au cerveau lui-même. Nos nouvelle ? connaissances en physiologie
cérébrale
ont ouvert une voie nouvelle à la chirurgie du
r le cerveau, guidé qu'il était par les principes des localisations
cérébrales
. Sur vingt-deux cas, il en a opéré dix-huit ave
lepsie traumatique provenant d'une lésion existante de la substance
cérébrale
, le tissu cicatriciel épileptogène a été excisé
ue, M. Harsley, qui s'est distingué à un si haut point en chirurgie
cérébrale
. C'était là, je crois sa première opération et le
laté au cours de cette séance à Edimbourg même. DES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. 253 3 Il s'agit d'un jeune garçon d'Edimbourg
s convulsions épileptiformes ne sont pas seule- ment les affections
cérébrales
importantes avec lesquels nous ayons à lutter.
elles entraînent a été donnée par la connaissance des localisations
cérébrales
. A part ceux qui relèvent du traumatisme, les a
ions cérébrales. A part ceux qui relèvent du traumatisme, les abcès
cérébraux
sont surtout en connexion avec les maladies aig
cation diagnostique bien déterminée. Quoique la mortalité par abcès
cérébraux
soit toujours très grande, nous pouvons citer b
se trouvèrent impuissants à soulager. Je veux parler des tumeurs
cérébrales
. ' m Malheureusement, une forte proportion de t
cérébrales. ' m Malheureusement, une forte proportion de tumeurs
cérébrales
, peut-être 40 p. 100 et plus, sont de par leur
de aux étreintes de la mort. Le premier cas d'opération pour tumeur
cérébrale
fut diagnos- tiqué par Hughues Bennett et opéré
es départements de la médecine, S6 THÉRAPEUTIQUE. DES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
. c'est le seul qui puisse retirer un profit spé
ion dans l'étude des aspects objectifs et subjectifs de la fonction
cérébrale
à l'état de santé, il n'est point surprenant qu
nt été le moins bien appliquées. Cependant, la nouvelle physiologie
cérébrale
n'a pas été sans effet sur la médecine psychia-
application pratique plus étendue des doctrines de la localisation
cérébrale
. Mais les remarquables succès de la chirurgie e
efforts vers ces problèmes de la thérapeutique et de la pathologie
cérébrale
qui sont encore insolubles. Je suis profondémen
et des olives ; 2° une notable multi- plication des circonvolutions
cérébrales
; il était impossible de découvrir les circonvol
ppement augmente le volume du contenu, grossit la surface; la masse
cérébrale
augmente, les circonvolutions s'épaississent et s
tomie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. 261 jusque dans le pédoncule
cérébral
. Ainsi donc : lésions des nerfs crâniens périph
Ses fibres se composent d'une partie des fibres anté- rieures (côté
cérébral
) du noyau rouge de la calotte, se dirigent en b
sième ventricule, puis, tout le long du plan inférieur du pédoncule
cérébral
, s'insinuent entre ce pédoncule et la bandelett
aux lenticulaires. P. KERAVAL. XIV. DE l'innervation ET DES centres
cérébraux
DE la sécrétion lacrymale; par W. 13ECHTEREN et
ids encéphalique avec celui d'un autre animal, en tant que ce poids
cérébral
dépend des fonctions physiques; p est le facteu
s. Mort. - Autopsie. Epaississement de la pie-mère et des vaisseaux
cérébraux
; épendymite. Atrophie des cornes antérieures de
us les règnes et dont une des propriétés est d'altére les fonctions
cérébrales
, l'auteur s'est efforcé de faire une sorte de s
s excitantes pour son système nerveux. Chaque peuple a son poison
cérébral
. Cet empoisonnement volontaire s'étend de quelque
mixtes et les états vésaniques (toujours symptomatiques d'une tare
cérébrale
.) Les autres phénomènes pathologiques contempor
sutures avec les différentes régions du crâne (étude de l'atrophie
cérébrale
des paralytiques généraux) l'auteur photographi
et les divers accidents normaux et anormaux du crâne sur l'image
cérébrale
sous-jacente. Vous obtenez ainsi la projection ex
ans le corps strié droit. Dégénérescence descendante du pédon- cule
cérébral
, occupant le tiers interne de ce dernier, on la s
noyaux se sont multipliés. Conclusion. Amyotrophie et arthropathie
cérébrales
par foyer de ramollis- sement dans l'hémisphère
et partant de la dure-mère, qui n'était pas proprement un'néoplasme
cérébral
. Cette opération fut faite par le DrKeen, le 15
ujet, les résultats des opéra- tions pour l'extirpation des tumeurs
cérébrales
, ne peuvent pas passer pour bien brillants. 1
es, et rarement couronnés de succès. Dans la collection des tumeurs
cérébrales
de Starr, s'élevant au nombre de trois cents, d
phie de la moitié gauche du crâne. P. K. XVIII. SUR UNE affection
cérébrale
PRODUITE FAR la syphilis CONGÉ- NITALE ; par A.
observations). Elle ressemble à la paralysie infantile d'ori- gine
cérébrale
, moins la paralysie et la contracture qui font to
urait là qu'une question de degré, ou plutôt d'étendue de la lésion
cérébrale
. Dans les deux espèces morbides, il y a inflamm
se connue. On a, il est vrai, aussi attribué la paralysie infantile
cérébrale
à un germe infectieux, parce que, parfois, elle
ale, foie muscade; gastro-entérite catarrliale chronique, hypérémie
cérébrale
, syno- vite panneuse de l'articulation de l'épa
parativement. La pre- mière se rattache cliniquement à une syphilis
cérébrale
certaine, mais à l'autopsie on ne trouve pas de
oglie qui remonte jus- qu'à l'encéphale. Le second fait de syphilis
cérébrale
certaine a été confirmé par l'autopsie; pachymé
plète de sclérose des faisceaux blancs. Au point de vue des lésions
cérébrales
, les vaisseaux sont peu enflammés, les gaines v
e rapporter est-il un cas de paralysie générale type ou de syphilis
cérébrale
? M. JOFF&oY. La syphilis n'est pas en caus
de mort rapide. A mon avis, les enfants atteints d'un développement
cérébral
aussi faible, accompagné comme dans mon troisiè
Cette morta- lité, qui est tout à fait anormale dans les opérations
cérébrales
ordinaires, nous conduit naturellement à dire a
formulée et tendant à iden- tifier cette maladie avec l'hémiplégie
cérébrale
infantile. L'histoire de la sclérose latérale a
te à discuter en première ligne l'hypothèse d'une : a. - Syphilis
cérébrale
: 1° Ses phénomènes les plus carac- téristiques
nocturne, intense, profonde, qui est caractéristique de la syphilis
cérébrale
. La céphalée ici est très superficielle; on la
nfin l'évolution de la maladie est bien différente dans la syphilis
cérébrale
. Ici, les phénomènes ont été plus graves dans l
représentés. C'est le contraire que l'on observe dans la syphilis
cérébrale
. Si l'on ajoute à cela l'absence de tout signe de
emarquer que le siège de prédilection de la tuberculose de l'écorce
cérébrale
, c'est le lobule paracentral, à savoir les cent
tation épileptogène, laquelle en se répandant à travers de l'écorce
cérébrale
donnerait lieu à des phénomènes diffus (perte d
e d'épilepsie partielle motrice simulant l'évolution de la syphilis
cérébrale
. Fiq... âgé de trente-cinq ans, graveur sur cui
ous offre un tableau extrêmement ressemblant à celui de la syphilis
cérébrale
: céphalée atroce s'exacerbant la nuit, persist
a été si bien décrit par M. Fournier dans son livre sur la syphilis
cérébrale
; et en effet, les médecins de l'hôpital Tenon e
ine, nerf optique, tractus), les autres, l'attribuaient aux centres
cérébraux
de la vision. C'est ainsi, que Parry et Fotherg
vais- seaux et une anémie momentanée et limitée de la substance -
cérébrale
, qui peut être suivie dans certains cas d'une pér
vertige, c'est-à-dire en général les mêmes signes que pour l'anémie
cérébrale
, et ils s'effacent aussi vite que les troubles
tères et phénomènes associés de la migraine ophtal- mique, le siège
cérébral
de l'affection, il restait encore à préci- ser
nous autoriser à admettre d'autre locali- sation que dans l'écorce
cérébrale
. Quant aux formes plus rares de l'hémiopie tran
physiopathologie semble se rapprocher du trouble de circula- lion
cérébrale
que nous avons admis pour expliquer l'amblyopie
; 2° Le fait, que même dans le début d'un évanouissement (anémie
cérébrale
) apparaissent des phénomènes assez sembla- bles
lier), l'obscurcissement de la vue a évidemment pour cause l'anémie
cérébrale
. Cet obscurcissement peut être encore le symptô
e la sensibilité ou de la motilité, des altérations des fonctions
cérébrales
, notamment de la parole et des activités psychi-
à des troubles passagers dans lesquels les trou- bles vaso-moteurs
cérébraux
jouent un grand rôle. Les condi- tions physiopa
la digestion) et dans plusieurs de ces cas le trouble vaso-moteur
cérébral
peut être envisagé comme un phénomène réflexe.
el qui cause l'amblyopie transitoire siège sans doute dans l'écorce
cérébrale
. L'anesthésie ou l'irri- tation de ces centres
a localisation de l'affection dans la substance grise de l'écorce
cérébrale
. Le plus souvent, le centre cortical de la visi
bution à l'étude des troubles fonctionnels de la vision par lésions
cérébrales
. (Th. de Paris, 1882.) 27. Charcot. - Leçons su
pports croisés et directs des nerfs op- tique savec les hémisphères
cérébraux
. (Société de biologie, séance du Il mars 1882.)
aphasie faisaient donc éléminer d'emblée l'idée de ramol- lissement
cérébral
droit chez un gaucher du cerveau (hémi- plégie
conservation et même le développement anormal de certaines facultés
cérébrales
sont alors propres à dérouter l'observateur, la
héréditaires, de stigmates physiques de dégénéres- cence et d'actes
cérébraux
anormaux, nous devrons aller plus loin et décla
s'améliorent, parfois très rapidement, et manifestent un équilibre
cérébral
qui fait illusion, et même ne permet pas légale
raphique et de l'asepsie. Enfin, il convient de créer une chirurgie
cérébrale
phy- siologique propre à l'homme ( ? ). Le mémo
asmodique, croit que dans les cas de ce genre, il s'agit de lésions
cérébrales
organiques congénitales ou se produisant dès la
nce DE M. JOLLY. M. HIRSCEIBERG. 'Des troubles de la vue par tumeur
cérébrale
avec présentation de malades. (Publié dans le N
ircilblatt '.) M. BRASCII. Des lésions artérielles dans la syphilis
cérébrale
avec présentation de malades et préparation. (P
agère ou pas du tout. Dans la céphalée d'oiigine organique (lésions
cérébrales
), elle exerce une atténuation parfois remarquab
s. 2° Psychologie physiologique. - La recherche des localisations
cérébrales
a été l'objet de communications très importantes
aller a lu un grand travail sur les fonctions attribuées à l'écorce
cérébrale
: il insiste surtout sur le mélange et la dépen
la filosofia'dei lobri pre-fronlali del cer- vello e alla chirurgia
cérébrale
. Volume in-8° de 118 pages, avec 2 planches hor
nger, Lewald,75, Lallemant, 325. DYSLEXIE, par Pick, 80. Écorce
cérébrale
, excision de Il-, par Burckhardt, 488. ELECTR
. LECTURE, troubles de la -, par Weissenberg, 76. Localisations
cérébrales
, par Fer- rier, 238. Magnétisme, 365. Médec
Deventer, 485. Syphilis, et tabes, par Minar, 128 ; affections
cérébrales
produites par la congénitale, par Erlen- meye
et, 55; - pour microcéphalie, par liages Agnew, 351 ; pour tumeur
cérébrale
, par liages Agnew, 272. Tumeur cérébrale, tro
new, 351 ; pour tumeur cérébrale, par liages Agnew, 272. Tumeur
cérébrale
, troubles vi- suels par -, par Hichsberg, 83,
nt conformés à nos conseils, il n'est survenu jusqu'ici d'accidents
cérébraux
. Traitement de l'épilepsie. L\'rI formes du m
quelques excès de boisson : - Oncle maternel, mort d'hé- morrhagie
cérébrale
. - Petite cousine, faible d'esprit. Gémellarité
et n'ont pas d'en- fants ; l'autre est mort à 47 ans, d'hémorrhagie
cérébrale
avec hémiplégie, quelques jours après l'attaque
que plus prononcée à gauche. - Nodosités crétacées de la pie-mère
cérébrale
et cérébelleuse. Sclérose atrophique Antécédent
ose atrophique Antécédents héréditaires. 199 de tout l'hémisphère
cérébral
gauche. - Atrophie croisée du cerveau et du cer
e. Il en est de même du tubercule mamillaire gauche. Le pédoncule
cérébral
gauche est plus petit et moins bombé que le dro
it est normal), et de ses cornes, la face interne de l'hémisphère
cérébral
gauche est affaissée. (PL. III.) La moitié gauche
pie-mère droite. Indurations crétacées d'un fragment de la pie-mère
cérébrale
et cérébelleuse à droite. Lpaississement notabl
ent notable du crâne à gauche. Inégalité de poids des hémisphères
cérébraux
de 200 gr.. Pas de granulations tuberculeuses.
céphale présente une très-grande inégalité de poids des hémisphères
cérébraux
, le gauche pesant 200 gr. de moins que le droit
de la bande- lette optique, du tubercule mamillaire, du pédoncule
cérébral
, du corps strié, de la couche optique et de la
hère gauche, croisée, par conséquent, par rapport à l'iné- galité
cérébrale
. VI. Il s'agissait, en somme, d'une épilepsie p
ce, avoir été liée aux lésions de méningite plutôt qu'à la sclérose
cérébrale
. - La sclérose atrophique avait déterminé une i
avait déterminé une inégalité de poids considérable des hémisphères
cérébraux
. Et cette inégalité avait entraîné à son tour,
sissement considérable de la calotte crânienne du côté de la lésion
cérébrale
, sans qu'il y ait eu, d'ailleurs, augmentation
n peut vérifier en comparant la face iuterne des deux hémisphères
cérébraux
. (PL. VII et IX.) Avec l'inégalité de poids des
es-rendus de la section des enfants, que dans les cas d'inégalité
cérébrale
cette coïncidence est un peu plus fréquen- te q
est dû il une méningo-encéplwlitc limitée à l'un des hémisphères
cérébraux
ou prédomine à un degré prononcé sur l'un des h
eg V. Sur les modifications craniennes consécutives aux atrophies
cérébrales
unilatérales. (Hémiplégie infantile). Pau G.
olume Bourneville, Bicêtre, 1903. 15 226 Anatomie pathologique.
cérébral
'. Le crâne par cette anomalie continue à remplir
l'idiotie, compte rendu de Bicêtre pour 1901, page 193. Atrophies
cérébrales
unilatérales.. 227 pas une hypothèse, et le fai
re, n'est donc que secondaire et nullement la cause de l'atro- phie
cérébrale
. Ce qui est vrai pour les cas de microcéphalie
notre mémoire Le Crâne dans les Idioties, sur/le défaut d'expansion
cérébrale
en vertu duquel les déformations sont peu accen
diminution des diamètres) : le retard de développement. Atrophies
cérébrales
unilatérales. 229 Nous pensons que ces explicat
ications fort appréciables. Mais sur ce dernier encore, l'influence
cérébrale
s'exerce inégalement : alors que la base cranie
e certaines parties osseuses du côté malade (diminution de la fosse
cérébrale
moyenne par exemple), l'asymétrie de la base cr
récise de l'affaissement en masse de la base (effet direct du poids
cérébral
) et de ses différences. Pour les mettre en évid
aire). Voici les valeurs de l'angle orbito-horizontal : Atrophies
cérébrales
unilatérales. 23t peu accentuée d'autre part ce
escriptions relatives aux nécropsies s'accompagnant d'hémiatrophies
cérébrales
. Sa genèse est simple : lorsque les deux hémisp
on de l'apophyse à l'inégalité de volume des hémisphères. Atrophies
cérébrales
unilatérales. 233 crânes normaux à différents â
fermant l'hémisphère malade. En voici quelques autres : l'expansion
cérébrale
s'étant faite dans tous les sens au niveau de l
il est parfaitement appréciable à la vue. En arrière la pression
cérébrale
a produit un véritable renversement du bord sup
de l'expansion du cerveau. Voici les angles obtenus : ' Atrophies
cérébrales
unilatérales. 23o cérébelleux atrophié : les ra
s rares, l'atrophie cérébelleuse existe du même côté que l'atrophie
cérébrale
. Enfin, souvent, tandis que les hémisphères cér
ue l'atrophie cérébrale. Enfin, souvent, tandis que les hémisphères
cérébraux
sont inégaux, les hémisphères cérébelleux sont
au moins, ce qui ressort du tableau sur l'Inégalité des hémisphères
cérébraux
et cérébelleux, comprenant 90 cas que nous avon
oupe de crâne de Vey... (hauteur réelle 14 ; largeur 13). Atrophies
cérébrales
unilatérales. 237 cela n'a rien d'étonnant. Mai
'atrophie des lobes frontaux a laissé un large Fit. 62. Atrophies
cérébrales
unilatérales. 239 espace rétro-frontal où des
la Société d'An- thropologie janvier 1902). Fig. 64. Atrophies
cérébrales
unilatérales. 241 Ces faits méritent donc d'att
s, une synostose plus avancée en raison de l'arrêt de développement
cérébral
qui ' ne s'oppose pas à leur envahissement par
elques crânes notamment, il est curieux de voir au fond de la fosse
cérébrale
moyenne d'un côté une suture sphéno-temporale d
t Bulletin de la Société d'Anthropologie. 1900 et 1901. Atrophies
cérébrales
unilatérales. 247 des lésions cérébrales et il.
1900 et 1901. Atrophies cérébrales unilatérales. 247 des lésions
cérébrales
et il. la diversité des troubles patholo- gique
e suffisait à maintenir la pression intracranienne. Les ventricules
cérébraux
(voir les PLANCUES qui les représentent dans le
; état de mal; mort; atrophie très considérable de l'hémis- phère
cérébral
droit; absence du corps calleux; . Par BOURNEVI
ntal et du pariétal droits. - Atrophie considérable de l'hémisphère
cérébral
droit; - des nerfs et des artères de la base de
pais, très épais même dans sa moitié droite, correspondant au foyer
cérébral
(le frontal droit mesure 9 millimètres, le pariét
lus petite que la gauche; il en est de même' de la sylvienne, de la
cérébrale
Fig. 67. - Crâne de Ham... réduit de 16 cent. 5
260 Sclérose ATROPHIQUE DE l'hémisphère DROIT. antérieure, de la
cérébrale
postérieure. Les faces internes des lobes front
ntérieure droite est tout à fait effacée. La coupe des pédoncules
cérébraux
montre que le droit est d'au moins un quart plu
sions : Sclérose 1TROPHIQUE DE l'hémisphère droit. 261 Hémisphère
cérébral
gauche. - Il a un volume normal (588 gr.). Tout
, et per- met de constater l'absence du corps calleux. Hémisphère
cérébral
DROIT.- Les PL. VI, VII, IX, X, XI, XIII, font
133 grammes, est inférieur de 425 grammes il celui de l'hémisphère
cérébral
gauche. Les dimensions comparatives des deux hé
particula- ' Bourneville, Contribution à l'élude des localisalio71s
cérébrales
; ob- servation d'hémiplégie cérébrale infantil
l'élude des localisalio71s cérébrales ; ob- servation d'hémiplégie
cérébrale
infantile (Mém. de la Soc. de Biologie, 1876, p
ui se rencontrent fréquemment, mais non toujours, dans l'hémiplégie
cérébrale
infantile. c. L'épilepsie a débuté à deux ans e
t due à une méningo- en- céphalite limitée à l'un des hémisphères
cérébraux
ou prédominant sur l'un d'eux. ) Les facultés
oins longue et notablement plus étroite que la gauche, l'hémisphère
cérébral
droit - extrêmement atro- plaié - ne l'ayant pa
mple de scléi-ose alîophiqzteintéressaiitl,resque tout l'hémisphère
cérébral
droit, avec atrophie croisée du cervelet et com
ues (Filles et garçons). XIII. Inégalité de poids des hémisphères
cérébraux
et cérébelleux; Par BOURNEVILLE. Le tableau q
avons trouvé, à l'autopsie, une inégalité de poids des hémisphères
cérébraux
ou cérébelleux ou des deux, croisée ou non. X
; corps calleux normal ainsi que les plexus choroïdes. Hémisphère
cérébral
droit. La pie-mère, un peu mince, s'enlève sans
rié, la corne d'Ammon n'offrent rien de particu- lier. Hémisphère
cérébral
gauche. - Décortication facile. Circonvolutions
de L'avant-bras droit et du radius gauche. Atrophie de l'hémisphère
cérébral
droit et de l'hémisphère cérébelleux gauche. Hy
c'est la différence de volume et d'aspect des deux hémisphè- res
cérébraux
et cérébelleux. Tandis que l'hémisphère céré- b
reste de l'hémisphère. Au niv)U de ce pli de passage la substance
cérébrale
est très mince, le ventricule étant fort dilaté à
Une dépression assez profonde due à l'amincicement de la substance
cérébrale
à cepointtandis qu'elle reste plus épaisse sur
le m.imillaire droit est moins saillant que le gauche. Le pécdonule
cérébral
gauche est plus large et plus bombé POIDS DES o
. Poids des organes. 322 Réflexions. Hypothèses SUR LES LÉSIONS
cérébrales
. 323 IV. L'hémiparésie gauche permettait de fai
fluence de l'accouchement anormal sur le développement des troubles
cérébraux
de l'enfant. Thèse de Paris. FwRS (A.). - Du
es, etc., p. CLXXXIV). Planche II. Face convexe de l'hémisphère
cérébral
de Veyr..., ( p. 228 et 244). Planche III.
.., ( p. 228 et 244). Planche III. Face interne de l'hémisphère
cérébral
droit de Veyr..., (p. 228 et 243). PLANCHEIV.
e Perr ? (p. 246 et 271. Planche VI. Face convexe de l'hémisphère
cérébral
gauche de Tard... (Obs., p. 198 et 2111), r,
ion des planches. 33 i, Planche VII. Face interne de l'hémisphère
cérébral
gauche de Tard. (p. 198 et 214). I'a, premièr
L O, lobe occipital. Planche VIII. Face convexe de l'hémisphère
cérébral
droit de Tard. (Même signification des lettres
res que pour la PL. VI). Planche IX. Face interne de l'hémisphère
cérébral
droit de Tard.. (Même signification des lettres
(Voir p. 248, 259, etc.). - Elle montre l'atrophie de l'hémisphère
cérébral
droit et de l'hémisphère cérébelleux gauche.
e planche montre très nettement le degré d'atrophie de l'hémisphère
cérébral
droit. BOURNEVILLE, Bicêtre, 1903. 22 338 Exp
1903. 22 338 Explication DES planches. Planche XII. Hémisphère
cérébral
gauche : face interne. F, frontale interne, ave
e XIII. Elle représente également la face interne de l'hémisphère
cérébral
gauche. La cloison et le trigone Tg, ont été re
ariétal inférieur. - LO, lobe occipital. Planche XV. Hémisphère
cérébral
droit : face convexe. - L'hémisphère est renver
ès réduit. - CS, corps strié. - CO, couche optique. - PC, pédoncule
cérébral
. Planche XVII. Hémisphère droit : face inféri
V. Sur les modifications crâniennes con- sécutives aux atrophies
cérébrales
uni- latérales, hémiplégie infantile; par '''
epsie; état de mal, mort, atrophie considéra- ble de l'hémisphère
cérébral
droit; absence du corps calleux; par BOURNE-
................... 294 XIII. Inégalité de poids des hémisphères-
cérébraux
et cérébelleux; par BOURNE- ville 299 XIV. Ép
XV. Hydrocéphalie congénitale avec atrophie croisée de l'hémisphère
cérébral
droit et l'hémisphère cérébelleux gauche ; par
ATOMIE DU C E RVE'AU DE L'HOMME MORPHOLOGIE DES HÉMISPHÈRES
CÉRÉBRAUX
, OU CERVEAU PROPREMENT DIT TEXTE ET FIGURES P
iptive, on peut aborder l'étude des régions. L'anatomie des régions
cérébrales
est, par-dessus tout, nécessaire aux médecins qui
s applications immédiates. En réalité, il n'existe que deux régions
cérébrales
naturelles : Yécorce et le seuil; jusqu'à Yicq d'
utes les découvertes qu'on a faites dans le domaine des localisations
cérébrales
profondes ont été subordonnées à la détermination
ut tirer tout le parti possible d'une autopsie, dans un cas de lésion
cérébrale
, il faut ne rien omettre, pour le cerveau lui-mêm
rant, une technique assez simple pour ce qui concerne les hémisphères
cérébraux
. La patience surtout garantit le succès. Lorsqu
le façon que l'espace interpédonculaire se déchire, et que le trigone
cérébral
se fend par le milieu. Ces accidents sont peu à r
de l'autre en tirant légèrement à droite et à gauche sur les artères
cérébrales
antérieures et en les coupant avec des ciseaux.
urs de durcissement. On ne peut se figurer la susceptibilité du tissu
cérébral
sous ce rapport. Si l'on s'astreint aux précautio
de procéder aux sections méthodiques, on s'expose à voir la substance
cérébrale
s'émietter sous le couteau en petits blocs ou en
st telle, surtout chez les sujets qui ont succombé à une grave lésion
cérébrale
, que la plupart des autopsies, pour ce qui ne con
Lorsqu'on fait une coupe bien régulière, bien plane, d'un hémisphère
cérébral
préalablement durci dans le bichromate d'ammoniaq
variations de la couleur sur les surfaces de section de l'hémisphère
cérébral
, en déterminant la répartition des zones jclaires
comprendra, d'autre part, que la déter-mination du trajet des fibres
cérébrales
exige l'emploi alternatif des coupes en série hor
ne prétendons pas qu'il réponde à toutes les exigences de l'anatomie
cérébrale
; il présente deux inconvénients principaux que no
nombreux élèves, comblent en partie cette grande lacune de l'anatomie
cérébrale
de l'homme. Mais il est fâcheux qu'elles soient é
avons borné notre tâche à l'étude et à la description de l'hémisphère
cérébral
, c'est-à-dire du cerveau proprement dit. VII
uf premières planches de notre atlas représentent les circonvolutions
cérébrales
. Elles sont destinées à faire voir les principale
lobe carré, 22, 29. PO. Pôle occipital, 16. PP. Pied du pédoncule
cérébral
. pro. Sillon prœ-ovalaire, 21. PRU. Sillon pr
ion, 27, 29. TM. Tubercule mamillaire, corpus candicans. TRI. Trigone
cérébral
, voûte à trois piliers fornix, 17. Une. Crochet,
ou pentagone du lobe carré. PO. Pôle occipital. PP. Pied du pédoncule
cérébral
. pro. Sillon prœ-ovalaire, 42. PS. Pôle sphénoïda
Tubercule de jonction, 44. TM. Tubercule mamillaire. TRI. Trigone
cérébral
. VL. Fibres du pont de Varole se croisant sur l
M. Tubercule mamillaire. TRH. Triangle de l'habénule TRI. Trigone
cérébral
, voûte à trois piliers fornix. E. BRISSAUD _ LE
PEN. Pli, ourlet, ou pentagone du lobe carré. PP. Pied du pédoncule
cérébral
. pro. Sillon pra ovalaire. PRU. Sillon prse-u
. Pied de la troisième circonvolution frontale. PP. Pied du pédoncule
cérébral
, 63. PRU. Sillon prawincique. PS. Pôle sphénoïdal
ularis, 189. TAP. Tapelum, 189. Th. Thalamus, 188. TRI. Trigone
cérébral
, 188, 192. ZO. Stratum zonale de la bandelette
etum, 198. TEG. Tegmentum, 201. Th. Thalamus, 197. TRI. Trigone
cérébral
. TRO. Tractus opticus zonalis, 202. Vd. Racin
220. TEG. Tegmentum, 216. Th. Thalamus, 206, 216. TRI. Trigone
cérébral
. TRO. Tractus opticus zonalis, 207, 219. ZGI.
m, 227, 228, 229. Th. Thalamus, couche optique, 224. TRI. Trigone
cérébral
, 257. TRO. Tractus opticus zonalis, 252. ZS.
unculi (Gudden), faisceau en écharpe (Foré), 245, 245. TRI. Trigone
cérébral
, 252. TRO. Tractus opticus zonalis. VS. Corne sph
ris, 2(59. TAP. Tapetum, 270. TEG. Tegmentum, 265. TRI. Trigone
cérébral
, 270. Tt. Circonvolution temporale transverse,
circularis, 284. TEC. Tegmentum, 280. Th. Thalamus, 275. TRI. Trigone
cérébral
, 285. Tl. Circonvolution temporale transverse,
505. Pcs. Pédoncule cérébelleux supérieur, 295. PP. Pied du pédoncule
cérébral
. prs. Sillon preerolandique supérieur, 290. PUT.
e optique, 292. TP. Tractus transvers us pedunculi, 297. TRI. Trigone
cérébral
, 502. Tt. Circonvolution temporale transverse,
us, 508. Thï. Racine inférieure du thalamus, 520, 522. TRI. Trigone
cérébral
. Tt. Circonvolution temporale transverse, pli d
52, 545. ThI. Racine inférieure du thalamus, 552, 544. THI. Trigone
cérébral
. Tt. Circonvolution temporale transveise, pli d
Tmp. Pédoncule postérieur du tubercule mamillaire, 566. TRI. Trigone
cérébral
, 559, 571. Tt. Circonvolution temporale transve
us, 579, 581. Thl. Racine inférieure du thalamus, 582. TRI. Trigone
cérébral
, 586. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU P L . 3 0 Héli
97, 599. ThI. Racine inférieure du thalamus, 598, 599. TRI. Trigone
cérébral
, 598. ZS. Stratum zonale, 598, 599. E. BRISSAUD
x supérieur, 428, 451. PL Pôle de l'insula. PP. Pied du pédoncule
cérébral
, 428, 451, 454. psp. Pédoncule du septum lucidu
cipito-temporal. PI. Pôle de l'insula, 460. PP. Pied du pédoncule
cérébral
, 459. PRU. Sillon prœ-uncique. PS. Pôle sphén
oral. Pcs. Pédoncule cérébelleux supérieur. PP. Pied du pédoncule
cérébral
. Pul. Pulvinar. PUT. Putamen. PV. Pont de V
etum. tec. Tsenia tecta, 463, 464. TEG. Tegmentum. TRI. Trigone
cérébral
, 464. Une. Crochet, uncus. E. BRISSAUD _ LE C
ettemélhodeanatomo- clinique qui a fait découvrir les localisations
cérébrales
: étudier avec soin et détail la disposition de
rait surtout alors que la malade a beaucoup marché. Les fonctions
cérébrales
, sont tout à fait normales : l'intelligence, la m
syringomyélie, d'amyotrophies secondaires au tabes, d'amyotro- phie
cérébrale
, de scléroses latérales amyotrophiques, qui ne so
. Elle ne présente pas non plus aucun signe somatique de souffrance
cérébrale
: elle n'est pas épileptique, elle n'est pas hy
- « veloppement aussi marqué. » C'est probablement à des troubles
cérébraux
, plus ou moins voisins de ceux-là, qu'il faudra
RE DE )1. PIERRE MARIE). ANATOMIE DES LACUNES DE DÉSINTÉGRATION
CÉRÉBRALE
PAR JEAN FERRAND, Interne des hôpitaux. L
JEAN FERRAND, Interne des hôpitaux. Les lacunes de désintégration
cérébrale
étaient peu étudiées lorsque M. Pierre Marie le
vaisseaux artériels des gros troncs de la base du cerveau. L'artère
cérébrale
antérieure envoie les artères striées antérieur
es antérieures qui vont se perdre dans la tête du noyau caudé. La
cérébrale
moyenne ou sylvienne donne deux groupes artériels
un travail d'ensemble à l'étude clinique et anatomique des lacunes
cérébrales
: Cf. Jean FERRAND, Essai sur l'hémiplégie des vi
ssai sur l'hémiplégie des vieillards. Les lacunes de désintégration
cérébrale
, thèse Paris, 1902, Rousset, édit. 102 FERRAND
tie externe et antérieure delà couche optique. - . Enfin l'artère
cérébrale
postérieure envoie à la couche optique plusieurs
BRALE (COUPE DE FLECHSIG) (/. Faraud) . LACUNES DE DÉSINTÉGRATION
CÉRÉBRALE
103 ment des coupes frontales d'avant en arrièr
ans les noyaux cen- traux et 13 seulement dans la substance blanche
cérébrale
. Il existe encore un centre nerveux que paraiss
s ni dans les circon- volutions de l'écorce, ni dans les pédoncules
cérébraux
, ni dans le bulbe. Nous ne voulons pas nier qu'
corps granuleux, éléments de désintégration, envahissent la substance
cérébrale
Au centre, un vaisseau altéré, mais perméable.
ré.e : Dr l'h¡'m : '1tnx\'ll ! 1l ? e(1 z LACUNES DE DÉSINTÉGRATION
CÉRÉBRALE
105 106 FERRAND une tendance à se multiplier
té paraît remplie d'une substance plus ou LACUNES DE DÉSINTÉGRATION
CÉRÉBRALE
107 moins louche, semifluide n'adhérant pas aux
euse contenant une substance variable, produit de la désintégration
cérébrale
et un vaisseau qui occupe le centre de la cavit
e ces vaisseaux sont encore apparents, mais au- tour d'eux le tissu
cérébral
paraît un peu affaissé et grisâtre laissant ainsi
e cavité et de ne former qu'une simple ligne colorée en plein tissu
cérébral
. On sera assurément tenté de prendre cette lési
apidement et rien n'a pu faire supposer qu'il y avait eu hémorragie
cérébrale
. Dirons-nous que anato- miquement il n'y a pas
ces hémorragies limitées, il y a il peine une dissociation du tissu
cérébral
environnant, on constate encore la présence de va
qu'y jouent les lésions artérielles et son rôle dans l'hé- morragie
cérébrale
mortelle. On comprendra alors que nous revendiqui
phases anatomiques un peu différentes. ' LACUNES DE DÉSINTÉGRATION
CÉRÉBRALE
109 Dans la première elle n'est pas constituée
liaire. Elle est caractérisée par ce fait qu'autour d'une artériole
cérébrale
le tissu est raréfié, mais il adhère au vaissea
e formation d'une cavité entre le vaisseau central et le parenchyme
cérébral
: c'est une lacune vraie. Ce degré d'altération
perméable. Autour d'elle dans un rayon assez variable le parenchyme
cérébral
paraît raréfié, c'est-à-dire que les mailles né
Degré de la lacune. - Nous décrivons à la lacune de désintégration
cérébrale
un deuxième degré qui s'est caractérisé surtout p
ffisamment étendu entre l'artère centrale .de la lacune et le tissu
cérébral
même altéré qui la limite, espace dans lequel s
ns le 1er degré il n'y avait pas encore de ca- vité : seul le tissu
cérébral
était raréfié autour du vaisseau ; mais on n'obse
y a 110 FERRAND une véritable cavité, un manque dans la substance
cérébrale
, lésion typique qui a donné son nom l'afl'ectio
l'artère, la deuxième ou périphé- rique est constituée par le tissu
cérébral
, et la troisième ou intermédiaire est un espace
quelconque. Ce phénomène qui n'est du reste pas spécial aux artères
cérébrales
mais qui est commun à toutes les artères sénile
es thèse de lllontpellier, 1894-1895. ' LACUNES DE DÉSINTÉGRATION
CÉRÉBRALE
111 1 Enfin disons pour compléter l'anatomie no
1 Enfin disons pour compléter l'anatomie normale de ces artérioles
cérébrales
qu'elles sont entourées en dehors de leur tuniq
le liquide céphalo-rachidien. Considérée dans la lacune l'artériole
cérébrale
semble très altérée. Cependant avant d'étudier
rite (1). » ' Toujours est-il que pour ce qui est de nos artérioles
cérébrales
intra-lacu- naires nous n'y avons guère découve
des maladies du coeue, et des vaisseaux. LACUNES DE DÉSINTÉGRATION
CÉRÉBRALE
113 on n'y voit jamais de dépôt ni de formation
ades et de la constitution anatomique un peu spéciale des artè- res
cérébrales
. 2° Parois de la lacune. Les parois de la cavit
. Les parois de la cavité lacunaire sont consti- tuées par le tissu
cérébral
lui-même un peu modifié et altéré. En premier lie
rte de chevelu qui flotte dans la lacune. LACUNES DE DÉSINTÉGRATION
CÉRÉBRALE
115 Souvent tout le long de ce bord on voit une
ste un espace vide entre le.vaisseau central et les parois de tissu
cérébral
ces parois sont toujours anfractueuses. C'est c
régulières et que l'espace vide situé entre le vaisseau et le tissu
cérébral
ne contient pas d'éléments. « Les dimensions de c
endant des figures un peu analogues. Dans certaines coupes de tissu
cérébral
normal nous avons observé des vaisseaux aux paroi
des réactifs fixateurs et laissant ainsi entre eux et le parenchyme
cérébral
un espace clair limité par des parois nettes et
ujours vu celle-ci caractérisée par la désintégration même du tissu
cérébral
. Dans une première période le tissu se désagrège
s ont décrit une membrane qui limiterait la cavité du côté du tissu
cérébral
. « On distingue, limitant celle-ci (la cavité),
ce pelli- (1) Duras et DE VAUX, Foyers lacunaires de désintégration
cérébrale
, Soc. de Neur. 4 juillet 1901. 116 FERRAND
semblable. Immédiatement en arrière des bords de la lacune le tissu
cérébral
est encore très altéré. Ce sont surtout les élé
s autour des vaisseaux d'où ils se dissé- LACUNES DE DÉSINTÉGRATION
CÉRÉBRALE
'. 117- minent dans le tissu environnant ; on v
schématiquement que nous avous distingué trois zones dans le tissu
cérébral
péri-lacunaire.Nous avons vu dans quel état se tr
dans la lacune entre le vaisseau qui en forme le centre et le tissu
cérébral
qui en constitue les parois. Comme on peut s'y
re on y trouve deux sortes d'éléments, les uns venant du parenchyme
cérébral
, les autres émigrés du vaisseau. Tous sont pars
d'une hémorragie, nous n'avons jamais vu LACUNES DE DÉSINTÉGRATION
CÉRÉBRALE
119 de leucocytes polynucléaires, seuls les lym
s avaient franchi la gaine et participaient déjà il la désintégration
cérébrale
tandis que ceux qui étaient en dedans étaient s
e plus, la méthode osmio-chromique montre LACUNES DE DÉSINTÉGRATION
CÉRÉBRALE
121 que les corps granuleux envahissent les par
es et s'étendent par- fois très loin dans l'intérieur du parenchyme
cérébral
, tandis que les globules grenus se rencontrent
is toujours perméable. Cette cavité est limitée par un paren- chyme
cérébral
en voie de désintégration dont nous avons suivi l
ation peut se limiter, et si l'existence du malade le permet la plaie
cérébrale
se cicatrisera. Mettant sans doute à profit son
nue son oeuvre néfaste, s'avançant petit à petit dans le parenchyme
cérébral
et la lacune s'agrandit. Quoique les lésions rest
er que nous sommes ici en présence d'nne des causes de l'hémorragie
cérébrale
. Nous pouvons seulement dire que nous n'avons j
t dans le faisceau moteur que se creusent LACUNES DE DÉSINTÉGRATION
CÉRÉBRALE
123 les lacunes. Les fibres en sont alors dilac
urs fibres ou bien de lésions traumatiques agissant sur les centres
cérébraux
spinaux, ou mieux encore, résulter de dégénéres
avant terme, contracture spasmodique des membres, absence de lésion
cérébrale
et tendance à la guérison spontanée et progressiv
° Les contractures spasmodiques des membres avec absence de lésions
cérébrales
. - Il semble que ces symptômes soient bien peu dé
gies infantiles; quant à l'ab- 140 GASTON DANIEL sence de lésions
cérébrales
, il faul évidemment distinguer les lésions cé-
nt presque toujours des hydrocéphalies, porencéphalies ou scléroses
cérébrales
qui sont signalées (Déjerine). Dans un cas de
e des faisceaux pyramidaux dans tout leur parcours, depuis l'écorce
cérébrale
à travers la capsule interne, le pédon- cule, l
icot. Manuel des maladies de l'Enfance. Paris, 1890. 14. Osier. The
cérébral
paralysies of chzld ? -e71. E-hiladelphia, 1889.
Congrès des aliénistes français, 1898. 17. Rosenthal. Les diplégies
cérébrales
de l'enfance. Paris, 1891. 18. Cestan. Archives
u sens des attitudes. 148 BONNIER Tous les éléments de nos masses
cérébrales
sont distribués dans l'espace et nous savons qu
s l'espace et nous savons qu'il est impossible que deux productions
cérébrales
différentes s'élaborent en un même point ou que
t réaliser un office identique. Il en résulte que toute élaboration
cérébrale
, de l'ordre le plus élevé comme de la nature la
e, vue à rebours, des manifestations de notre pénible développement
cérébral
. 150 BONNIER Ma conception si inoffensive d'u
physiologiques, n'en on plus aucun avec l'anatomie même de l'organe
cérébral
, cette conception antif' que de l'hétérogénéité
subjectives n'ont pas d'existence concrète; l'ame anime notre masse
cérébrale
comme Pau animait le vieux paysage grec. Et l'on
laquelle l'auteur se sert des termes subjectifs au lieu des termes
cérébraux
, sans y attacher d'importance ; il veut dire pe
ses images transversalement, vers le pôle op- posé de la convexité
cérébrale
, c'est;à-dire dans la région rolandique ; celles
e la sensibilité géné- rale consécutifs aux lésions des hémisphères
cérébraux
chez l'homme (1), re- marque que dans les cas o
Je n'ai jamais rencontré le cas inverse. » Il s'agit ici de lésions
cérébrales
, portant sur les centres les plus élevés de l'é
la sensibilité générale, consécutifs aux lésions des hémi- sphères
cérébraux
, p. Sa 4. LE SENS DES ATTITUDES ' 163 « La no
née, se précise par l'exercice et disparaît dans certaines maladies
cérébrales
, bien que la sensibilité brute soit conservée. »
aux spé- culations corticales, plus nous verrons, dans les maladies
cérébrales
, des systé- matisations psychiques atteintes en
iser un geste, un effort moteur, - c'est toujours la même sensation
cérébrale
que j'éprouve, une perception de tension, d'atten
l'écorce en attributions fonctionnelles, ce qui fait que telle région
cérébrale
semble toute différente de telle autre, ce n'es
nt la'danse et la marche, sans différer pour cela en tant qu'écorce
cérébrale
tout en offrant de grandes différences dans l'off
e dans tous les points où nous éveillons l'activité de notre écorce
cérébrale
. « Il n'y a donc pas de sens musculaire spécial
e de garder un instant la pensée que tous les points de notre masse
cérébrale
puissent indifféremment remplir le même office ph
c sur des conditions anatomiques et le vieux terme de localisations
cérébrales
, maintenant que sa signification s'est élucidée
NOUVELLE Iconographie DE la SALPÈTRILITE. T. XV PI. XXV TUMEUR
CÉRÉBRALE
Obs. I. Tumeur gliomateuse du lobe frontal gauc
avec une persistance relative des mouvements commandés par l'écorce
cérébrale
sous-jacente, quoique celle-ci soit refoulée, a
quée par M.Dupont dans un but de diagnostic delà nature delà tumeur
cérébrale
, a amené une élévation de température de 1°6. M
ation de température de 1°6. Mais sans exagération des phé- nomènes
cérébraux
; on en conclut que cette réaction est due seuleme
oncée « on a l'aspect de la papillite dans les lésions méningées ou
cérébrales
». 9 Novembre : ' ? Dans la journée, le malade
NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XV, Pl. XXVI TUMEUR
CÉRÉBRALE
Obs. II. Sarcome du lobe frontal gauche. (En
tater que la tumeur paraît tout à fait indépendante de la substance
cérébrale
qui est simplement refoulée et comprimée. Mais la
de l'encéphale a été très grande, car les symptômes de compression
cérébrale
, tels que les vomis- sements, la céphalée, la s
ce relativement peu étendue, appartenait à la catégorie des tumeurs
cérébrales
qui légitiment une intervention chirur- gicale.
galement indemne, il n'y a aucune lésion ni tumeur des pé- doncules
cérébraux
ni du nerf optique. La protubérance coupée tran
ect anormal. Ce n'est qu'après la séparation des deux hémisphères
cérébraux
qu'on dé- couvre les lésions, qui siègent sur l
t par suite tout aspect caractéristique de la structure de l'écorce
cérébrale
; on se trouve en pré- sence d'amas de cellules
s'expliquer simplement par la commo- tion, les symptômes de lésion
cérébrale
sont apparus au bout de huit jours, sous forme
édicule de l'encé- plialocèle s'isole assez facilement de la hernie
cérébrale
, mais vers l'extrémité, la paroi méningu-encéph
tense déformation vient du point d'arrivée antérieur des pédoncules
cérébraux
. En examinant la face inférieure du cerveau, nous
que nous mar- quions (3) sur le schéma qui précède est le pédoncule
cérébral
droit. Fig. 3. Schéma des formations interhémis
stérieure. 2 postéro-supérieure. 3 postéro-supérieure : pédoncule
cérébral
droit. Le pédoncule gauche ne se voit pas sur l
rt bref. Vouloir homologuera des scissures et à des circonvolutions
cérébrales
des sillons en partie vasculaires et les sailli
vius ? On peut en somme imaginer ce qu'on veut. Mais si l'aspect «.
cérébral
» est gardé sur presque tonte la surface de l'e
pas d'interprétation hypothétique à proposer. Entre cette écorce
cérébrale
, essentiellement irrégulière, et les cavités dis-
ha ainsi l'ossification des os du crâne à ce niveau,ou si la lésion
cérébrale
fut amenée par une modification des parois moll
ur parait normale; elle est celle de l'imprégnation de la substance
cérébrale
saine par le bichromate de potasse. La dégéné
alcarine, puisque cette partie du corps calleux est irriguée par la
cérébrale
antérieure, il apparaît avec évidence, sur la c
réfléchie du splenium ; qu'elle laisse intactes les fibres du trigone
cérébral
; qu'elle ne s'étend pas au fascia dentata ; qu
ouleurs. En 1900 la malade présente des symptômes de ramollissement
cérébral
, elle répond lentement et difficilement aux que
dans l'immobilité d'une position et d'une attitude. ' « L'écorce
cérébrale
a certainement une action sur le tonus, nous pou-
es dégé- nérescences radiculaires de la moelle au cours des tumeurs
cérébrales
reconnaissent la même pathogénie et constituera
laquelle succède une anémie par con- traction active des vaisseaux
cérébraux
. Les autres bromures provoqueraient aussi une h
cérébraux. Les autres bromures provoqueraient aussi une hyperhémie
cérébrale
, mais sans anémie consécutive. Guerver n'a pas
eut tenir à ce que si chez les animaux comme chez l'homme, l'écorce
cérébrale
est sensible aux irritants mécaniques, chimique
physiologi- ques.. 1 " *' La manière propre de réagir de l'écorce
cérébrale
, c'est le mouvement volontaire ; la manière phy
re environ. Les méninges molles (pie-mère et arachnoïde spinales et
cérébrales
) sont partout un peu épaissies et opalines. A
ire radiculaire (méthode de Marchi). De plus. la moelle et l'écorce
cérébrale
ont été étudiées sur des coupes colorées à l'hé
bulbe, de la protubérance et des tubercules quadrijumeaux. L'écorce
cérébrale
est indemne; elle ne présente qu'un certain degré
qui nous occupe sur l'é- corce du cervelet dans un cas de sclérose
cérébrale
infantile avec atrophie de l'hémisphère cérébel
ain, la pie-mère est nettement augmentée d'épaisseur. Corticalité
cérébrale
(prélevée dans la région motrice), recueillie dan
as le moindre épaississement de leur adventice. Pour la substance
cérébrale
sous-jacente, elle offre les signes d'une inflam-
'aspect normal est relativement conservé. «... Pour les hémisphères
cérébraux
, le droit (du côté opposé à la lésion cérébelle
parait nettement secondaire, c'est-à-dire dans les cas de sclérose
cérébrale
infantile où l'on sait qu'il se produit consécu
I. Hémiplégie spasmodique infantile droite. - Epilepsie. Sclérose
cérébrale
de l'hémisphère gauche avec atrophie croisée du c
omme flétries et desséchées. Examen histologique. 1° Circonvolution
cérébrale
atrophiée. Hémi- sphère gauche. - Pièce recueil
férente, atrophie d'apparence primitive, lepto- méningite chronique
cérébrale
et cérébelleuse, sclérose cérébrale infantile.
ive, lepto- méningite chronique cérébrale et cérébelleuse, sclérose
cérébrale
infantile. Nous avons dit aussi qu'on pouvait s
ons concernant l'état des prolongements protoplasmiques de l'écorce
cérébrale
dans différentes conditions et l'absence des re
le, par exemple, des cellules qu'on rencontre parfois dans l'écorce
cérébrale
, cellules de Golgi, de Martinet ti, de Cajal. Il
ces sont plus subordonnées que les cellules pyramidales de l'écorce
cérébrale
et les cellules de Purkinje; les cellu- les spi
es cellu- les spinales motrices dépendent de l'activité de l'écorce
cérébrale
(par le faisceau pyramidal), exécutant les ordr
ER"ES1' DupnL et Philippe Pagmez, 124. Lacunes de désintégration
cérébrale
(Ana- Lomie des) (2 pl. en photocollogr.), par
e alrophique (1 pl.et 5 pioto.rav.), par RossoLmo, 63. Néoplasies
cérébrales
(Trois cas de) (2 pl. en photocollogr., 8 dessi
93. Ballet (GILDERT) et DrLILLr (ARMAND). Trois cas de néoplasies
cérébrales
(2 pl. en photocollogr., 8 dessins), 201. BOL
s), 435. FRFIIIAND (Jean). Anatomie des lacunes de désintégration
cérébrale
(2 pl. en pho- tocollogr.), 101. Geyer (R.).
Brissaud (Dupnù et PA- G\tsz), XIV, XV. Lacunes de désintégration
cérébrale
(FER- rand), XII, XIII. La maladie, tableau d
XXXIX à XL11. Torticolis spasmodique (DESTAItAc), LUI. Tumeurs
cérébrales
(Ballet et Armant DBLILLB), XXV, XXVI. Urolog
riture est modifiée quand elle traduit la pensée des « vio- lateurs
cérébraux
». Séglas a bien décrit' le mécanisme de ces ha
revêtir le caractère psychique; plus tard, après les congestions
cérébrales
épileptiformes ou apoplectil'ormes qui semblent
en, entré le 9 novembre 1893. Première période. Alcool et surmenage
cérébral
. A son entrée il avoue que depuis cinq ans il e
en; entré le 27 avril 1891. Première période. Syphilis et surmenage
cérébral
. Forme expansive calme avec abolition du sens g
ns est la preuve de la non-gué- rison. REVUE CRITIQUE. Anatomie
cérébrale
et Psychologie ; Par Jules SOURY, Directeur d
ciété de Senckenberg, de sa dernière publication intitulée Anatomie
cérébrale
et Psycho- ' L. Edinger. Vorlesunçien iibcr den
Jlenschcn und der Thiere, 50 édition, 1896 Leipzig, Vogel. ANATOMIE
CÉRÉBRALE
ET PSYCHOLOGIE. 29 . . logie', tout Edinger e
nger, n'avait écrit une histoire ancienne aussi complète du manteau
cérébral
ou pallium. Depuis son origine chez les poisson
fférences non essen- tielles, il n'en est point de même de l'écorce
cérébrale
. « Je ne connais, dit Edinger, aucune autre par
ésente de beaucoup des changements aussi considérables que l'écorce
cérébrale
, qu'elle ait évolué ou involué » ; or, comme l'
our la première fois, chez les reptiles, sous l'aspect d'une écorce
cérébrale
véritable. Le pallium tout entier s'est tra5sfo
e. Le pallium tout entier s'est tra5sformé 'en subs- tance nerveuse
cérébrale
; seule, la région la plus posté- rieure du cerv
ivité d'un organe ou d'un groupe d'organes, il est incorn- ANATOMIE
CÉRÉBRALE
ET PSYCHOLOGIE. 31 préhensible qu'on prétende é
croyant avoir été à bonne école, perpétuent ces erreurs ! Anatomie
cérébrale
et Psychologie, dont la solidité scien- tifique
stations vitales déterminées des animaux qui pos- sèdent une écorce
cérébrale
, et que la conscience ne se développât que dans
développât que dans la mesure où cette écorce s'accroît ANATOMIE
CÉRÉBRALE
ET PSYCHOLOGIE. 33 progressivement dans la séri
nce : le médecin de la prison avait porté le diagnostic de syphilis
cérébrale
et tumeur cérébelleuse. L'auteur indique ici le
sité d'un musée et d'un laboratoire de pathologie et de physiologie
cérébrale
; par A. H. NEwTdt. (The j01tmal of Mental Scien
boratoire où certaines recherches de physiolo- gie et de pathologie
cérébrales
pourraient être faites avec un outil- lage plus
et le moment d'apparition des lésions cadavé- riques dans l'écorce
cérébrale
de l'homme, méthode de Nissl. (Ti avait du labo
à quel moment apparaissent les lésions cadavériques dans l'écorce
cérébrale
des cerveaux recueillis deux ou trois jours après
et orageux. - Conclusions : 1° Les lésions cadavériques de l'écorce
cérébrale
étudiées par la méthode de Nissl se produisent
étaient nulles.) M. Touche montre les pièces d'un cas d'hémorragie
cérébrale
optico-bulbaire avec ptosis, et d'un cas de par
de concevoir des cas où l'agent infectieux fera d'abord son emprise
cérébral
. Rien ne peut établir que le cerveau doive touj
a pas à disparaître, en dehors de cette lenteur dans les opérations
cérébrales
, surtout appréciable le premier mois, on ne con
risée surtout par de l'apathie et de la lenteur dans les opérations
cérébrales
, ce qui d'abord a frappé, c'est l'amnésie. Amné
de psychologie de 1900 l'observation d'un homme atteint de syphilis
cérébrale
chez qui à la suite d'une attaque épileptiforme
ch. ? expier. Palhol. und Pharmuc, XXIX. REVUE CRITIQUE. Anatomie
cérébrale
et Psychologie 1 ; Par Jules SOURY, Directeur
oduction ci ta zoologie. Paris, 1880, p. 66, 81, passim. ANATOMIE
CÉRÉBRALE
ET PSYCHOLOGIE. 9S de grenouilles. Telles encor
des parties du cerveau situées entre la moelle allongée et l'écorce
cérébrale
. Pour les bien connaître, il faudrait étu- dier
a faculté d' « apprendre » est fort médiocre. Les mou- 1 ANATOMIE
CÉRÉBRALE
ET PSYCHOLOGIE. '101 vements dirigés vers la no
ion doctrinale d'Edinger, dérivée de l'étude directe, com- ANATOMIE
CÉRÉBRALE
ET PSYCHOLOGIE. ' '103 parée, de la constitutio
SYCHOLOGIE. ' '103 parée, de la constitution anatomique de l'écorce
cérébrale
dans la série des vertébrés, a pour la psycholo
, de son entendement. Parmi les propriétés ou fonctions de l'écorce
cérébrale
, c'est-à-dire de 1' « appareil psychique d'asso
es ». Chez l'homme, notre connaissance des connexions de l'écorce
cérébrale
avec les centres inférieurs et de celles des di
hé qu'à l'étude de mammifères, partant des êtres d'une organisation
cérébrale
beaucoup trop élevée. Il fallait commencer par
sente plus qu'un problème, sinon simple, du moins « sim- ANATOMIE
CÉRÉBRALE
ET PSYCHOLOGIE. 105 plifié ». La raison en est
qu'on transporte aux vertébrés inférieurs encore privés d'écorce
cérébrale
: « Nous savons cependant qu'il y a des circons
la méthode la plus sûre est l'étude de la psychologie des ANATOMIE
CÉRÉBRALE
ET PSYCHOLOGIE. 107 animaux dont les actes, aus
IE PATHOLOGIQUES. 111 donne régulièrement naissance à des symptômes
cérébraux
graves. 11 y a donc quelque chose qui comprime
nt situés dans les régions postérieures de l'écorce des hémisphères
cérébraux
. P. KRAV,\L. XII. Contribution à l'étude de l
zi. (Il IIÉtî,g(tg711, 1900, mais.) Résumé de trente cas de tumeurs
cérébrales
avec autopsie. 124 REVUE d'aNATOMIE ET DE PHYSI
ment prononcée. Par contre, elle n'existerait pas dans l'hémiplégie
cérébrale
organique. L'auteur conclut que cette réaction
r pendant une année, au bout de laquelle il est frappé d'hémorragie
cérébrale
avec hémiplégie droite, et réapparition des tro
retentisse- ment aucun sur l'état mental; d'autre part l'hémorragie
cérébrale
survenue un an plus tard, en nous révélant la d
lement une atrophie complète des deux nerfs optiques sans symptômes
cérébraux
concomittants. Dans les cas appartenant à la 4°
cas dans la démence; c'était le cas dans une observation de tumeur
cérébrale
intéressant le cortex, rapportée par D1S Mills
riphérique ou médullaire, il sera assez juste d'admettre une lésion
cérébrale
. De telles manifestations n'indiqueraient pas s
d'un petit foyer de ramollissement à la partie interne du pédoncule
cérébral
du même côté. Ce foyer pénétrait dans la profon
incontestablement par une véritable inflamma- tion de la substance
cérébrale
(écorce, faisceaux blancs, même noyaux opto-str
Puis survient le symptôme capital, l'hémi- plégie motrice, du type
cérébral
, précédée ou non d'un ictus apo- plectique et a
matologie rappelle la symptomatologie clas- sique du ramollissement
cérébral
ischémique à évolution pro- gressive. Et cepend
hologie humaine l'inflammation aiguë, non suppurée, de la substance
cérébrale
, inflammation si longtemps niée; cette encé- ph
nt sous sa dépendance beaucoup des hémiplégies et autres phénomènes
cérébraux
observés chez le vieillard. Rire et pleurs spas
et de l'aqueduc de Sylvius et sous la pie-mère médullaire. , Tumeur
cérébrale
à forme psycho-paralytique. * 1\1111. CESlAi'
des céphalées et dés vomissements, signes révélateurs d'une tumeur
cérébrale
. Le diagnostic de siège fut fait d'une part par
alade sont différents de ceux que produisent en général les tumeurs
cérébrales
quel qu'en soit le siège, et permettaient ainsi
longue retraite de contemplation mentale intensive, par un travail
cérébral
excessif, par une fruga- lité extrême et peut-ê
et Laignel-Lavastine. 1° Sur la présence de microbes dans l'écorce
cérébrale
et lé liquide céphalo-rachidien (projections) ;
oubles mentaux toxi-infeetieux avec examen histologique de l'écorce
cérébrale
(projections). - I.annois et G. Pau- tet. Hémim
tait une inflammation aiguë du cerveau : pour Thulié, de l'ané- mie
cérébrale
; pour Lucas, Marie, Lunier, Dagol1et, la forme la
ulier, attachent une grande importance à la stase de la circulation
cérébrale
amenant l'oedème et la congestion active du cer
n 1898. Cet auteur a examiné dans trois cas de délire aigu l'écorce
cérébrale
des lobes préfrontaux, des circonvulutions cent
s périvascu- laires, quelques grains fins de pigments. Les méninges
cérébrales
et spinales sont normales, ainsi que la névrogl
normales, ainsi que la névroglie. Les fibres nerveuses des écorces
cérébrale
et cérébelleuse, du corpslleiiLelë ? sotWto ? e
sont détruites surtout dans les couches superficielles du cortex
cérébral
et cérébelleux. Dans le bulbe, la moelle, les rac
a pu trouver, et si facilement, des bacilles dans le sang, l'écorce
cérébrale
, le liquide céphalo-rachidien des délirants aig
Boulevard des Batignolles, la dame Jules M..., atteinte de troubles
cérébraux
, a mélangé à du thé une infusion de pavots et a
heureux, qui donnait depuis quelque temps des signes de dérangement
cérébral
, vient d'être frappé d'aliéna- tion mentale. M.
du côté hémiplégique ou hémiparé- tique, et ont succédé à un ictus
cérébral
. Il s'agit presque certai- nement d'une hémorra
n ictus cérébral. Il s'agit presque certai- nement d'une hémorragie
cérébrale
limitée, qui s'est effectuée tout près des fibr
t adopter la subdivi- sion du tabes en « forme spinale » et « forme
cérébrale
» ou « forme optique». Dans la « forme optique
dge. (The New York Médical Journal, 14 juillet 1900.) La syphilis
cérébrale
est héréditaire ou acquise, et sous cette derni
des cas (la démence paralytique et le tabes exclus). Les symptômes
cérébraux
d'origine syphilitique apparais- sent dans 12 p
de temps après la lésion ininiale voit-on apparaître les symptômes
cérébraux
? le délai est variable : les altérations et dé
douze ans; les gommes sont plus précoces : mais il y a des syphilis
cérébrales
hâtives (de un à quelques mois après l'infection)
ction, on ne peut jamais déclarer le malade à l'abri de la syphilis
cérébrale
. Il est à peu près admis que toutes les causes
ionnement normal du cerveau contribuent à faire éclater des lésions
cérébrales
jusque-là latentes. Les effets directs de la sy
il examine sommairement le diagnostic dillé- rentiel de la syphilis
cérébrale
avec les autres affections organiques intra-cra
perçoit pas. L'hystérie est donc un processus psychique. L'écorce
cérébrale
étant le siège d'une perturbation, quel est l'e
es : 1° affaiblissement de l'excitabilité senso- rielle de l'écorce
cérébrale
(hypo-esthésie, anesthésie, hypalgésie et analg
blement déplacées. Sa consistance est plus ferme que celle du tissu
cérébral
, et autour d'elle s'est collectée environ une o
géographie bizarre, qui violent toutes les règles de localisation
cérébrale
, spinale ou 'périphérique. Ajoutons que ces anest
e la tonicité sphinctérienne; 61 les lésions destructives des lobes
cérébraux
donnent des résultats différents suivant les an
être placé à la fois dans les ganglions basilaires et dans l'écorce
cérébrale
. Le tonus sphinctérien se maintient comme chez
eux et cuta- nés (fiq. 8) ; G° les lésions destructives de l'écorce
cérébrale
don- nent lieu, chez tous les animaux, à une ex
hez l'homme, chez lesquels le mécanisme du tonus dépend de l'écorce
cérébrale
. Le= contractures particulières que l'on observ
g). La thèse soutenue par M. Crocq relativement à une -localisation
cérébrale
exclusive des réflexes chez certains animaux et
que, dans les lésions à localisation variée qui créent l'hémiplégie
cérébrale
, les fibres destinées aux extenseurs seraient t
Bourneville a rappelé que, outre les cas d'urémie et d'apo- plexie
cérébrale
, accompagnés d'un abaissement de la température,
vaso-moteurs et de 1,'expression émotive, au détriment des centres
cérébraux
supé- rieurs. Il n'est pas du tout prouvé que,
ne fois de plus, que l'on peut avoir certains troubles fonctionnels
cérébraux
, même accentués, sans que la lésion corresponda
lire fébrile, confusion men- iale, hallucinations, etc.) à l'action
cérébrale
des poisons fabriqués dans un organisme infecté
nt semblables à celles que nous venons de montrer dans les cellules
cérébrales
. De même que les polyné- vrites sont formées de
des grandes cellules pyra- midales dans la zone motrice de l'écorce
cérébrale
, après la section expé- rimentale des fibres de
lésions macroscopiques étaient banales : mais l'examen de l'écorce
cérébrale
à l'hématosyline, éosine, au picro-carmin et pa
de dégénéres- cence ou symptomatique d'une égalité des hémisphères
cérébraux
. En tous cas, lorsqu'on aura à examiner des mal
tention des observateurs. M. Régis rappelle l'existence de troubles
cérébraux
consécutifs ! une insolation. Les troubles obse
guéris par la suggestion. AI. Blanchi (de Parme). Phonendos- copie
cérébrale
. - AI. ARAGON. Etude anédico-1éy«le sur le doute.
nt sera l'iodure à faible dose. Quant à l'intervention chirurgicale
cérébrale
, crânienne ou autre, elle n'aura de raison d'êt
que, 1901, p. 88.) - L'excitabilité comparée des deux hémis- phères
cérébraux
chez l'homme. (Ibid., p. 143.) De l'influence de
. 1 CI' août 1864. Tout le temps qu'il a passé à l'asile son état
cérébral
a toujours été à peu près le même. Il restait ass
e diffuse chronique prédomine souvent sur l'un des deux hémisphères
cérébraux
, mais il est très rare qu'elle soit limitée à u
nt. La marche était très gênée, et, du côté opposé à l'inflammation
cérébrale
, les membres étaient très rigides. L'embarras d
peuvent être suivies tout le long du trajet moteur depuis l'écorce
cérébrale
jusqu'à la moelle lombaire, et augmentent d'int
âge variait de sept à quinze ans. Neuf étaient des cas de paralysie
cérébrale
infantile, et dans tous les cas, sauf trois, l'
parce que les facteurs étiologiques de l'idiotie et de la paralysie
cérébrale
infantile sont nombreux : mais on est frappé de
ées de la paralysie générale : un seul cas était un cas de syphilis
cérébrale
. R. de MU5Gl\.\\'E-CL\Y. Xi. Emphysème du tis
un que 80 grammes. Vessie rétractée, sans urine. ' Pas de lésions
cérébrales
macroscopiques sauf un épanchement abondant de
STÉRÉOTYPIES. 501 sensitifs (hémianesthésie) indiquant des lésions
cérébrales
, parce que la volonté ne peut les arrêter à auc
i toutefois qu'on a vu des tremblements sans qu'il y ait de lésions
cérébrales
et qui sont dus à une idée fixe ou à une idée d
avités à contours plus ou moins irréguliers. A leur niveau le tissu
cérébral
semble avoir été déchiré et détruit. On les ren
s laissons de côté naturellement la paralysie générale, la syphilis
cérébrale
, l'alcoolisme, l'épilepsie et les psychoses à g
d'une vieille hémorrhagie et soit dû à un trouble de la circulation
cérébrale
. R. DE MusGRAVE-CLAY. LXIII. Deux cas de leptom
des streptocoques de même aspect et se colorant de même. L'écorce
cérébrale
sous-jacente colorée par la méthode de V. Giesen
num, et la probablement a été la source de l'infection des méninges
cérébrales
: un dépôt caséeux a été rencontré entre la dur
nt dans la lymphe qui revêtait l'épendyme des ventricules. L'écorce
cérébrale
sous-jacente colorée par la méthode de V. Giese
urnal of Mental Science, juillet 1900.) Les tumeurs de la substance
cérébrale
déterminant des affec- tions mentales sont rela
tendait en haut et laté- ralement jusqu'à un demi-pouce de l'écorce
cérébrale
, intéressant dans une certaine mesure le gyrus
bservations de lésions du faisceau pyra- midal soit dans sa portion
cérébrale
, soit dans sa portion médul- 526 REVUE D'ANATOM
IQUE. I. Étude sur l'action du gelsemium sur les noyaux des nerfs
cérébraux
moteurs; par R.-H. \1'mTemnn. (The New 1'01 IL Me
omatolyse des cellules qui constituent les noyaux des nerfs moteurs
cérébraux
; 2° les altéra- tions ainsi provoquées n'ont au
ropriés des résultats positifs. R. DE Musgrave-Clay. V. Chirurgie
cérébrale
moderne; par G. l : nnsoN Brewer. (New- York Me
ithine la possibilité de péné- trer, par le sang, dans la substance
cérébrale
, on favorise le réta blissement de l'équilibre
ite tubercu- leuse. , 542 SOCIÉTÉS SAVANTES. · Un cas de gliome
cérébral
. M. ViGouRoux rapporte une autre observation re
iGouRoux rapporte une autre observation relative à un cas de gliome
cérébral
l'amenant-aux remarques suivantes : malgré son
on finit par les comprendre. M. PACTET. - Le diagnostic de tumeur
cérébrale
n'est souvent fait qu'à l'autopsie, malgré qu'i
que la suspension produit une diminution du' » calibre des artères
cérébrales
, une élévation de la pression arté- rielle et u
nt, il se produit alors' un ' agrandissement du calibre des artères
cérébrales
, un abaisse- ment de la pression artérielle et
41. sug- gérée pendant le sommeil, par Manfroni, 358. Aa TOnue
cérébrale
et psychologie, par J, Soury, 28, 97. Anestii
278. Cérébelleuse. Tumeur - et élii- lcpsie, par Marchand, 269.
Cérébrale
. Tumeur - à forme psycho-par;lytique. par Cesta
ue. Etude d'un cas de para- lysie -, par Marinesco, 1 ;'9. Ecorce
cérébrale
. Sur la physio- nomie et le moment d'apparition
noyaux des nerfs moteurs, par Whitehead, 529. Gliome. Un cas de -
cérébral
, par Vigouroux, 542. Glycosurie. Influence de
essité d'un - et d'un laboratoire de pathologie et de physiologie
cérébrales
, par Newth, 49. Muitsme. Le - hystérique dans
Nécessité d'un musée et d'un laboialoii-e de - et de physiologie
cérébrale
, pai Newth, 49 Patronage familial en IIolland
n- tempérance qui accrurent encore son irritabilité ner- veuse et
cérébrale
. Mais X... n'a jamais eu de visions d'animaux;
ion A la question DES dégénérescences secondaires dans LE pédoncule
cérébral
; par V. 13CCIfTEREI1'.(A7·CIt. f. Psych., XIX,
u'il en soit, ce sont surtout les granulations normales des couches
cérébrales
du système nerveux et non les grosses cellules
Altération DES centres nerveux dans un ,C1S DE paralysie infantile
cérébrale
; par WALLENBERG. (Arch. f. Psych., XIX, 2.) Obs
par WALLENBERG. (Arch. f. Psych., XIX, 2.) Observation de paralysie
cérébrale
infantile, suite d'endocardite. Accidents datan
r de l'organe, l'analogie des altéra- tion avec celles du pédoncule
cérébral
, leur forme au sein des cordons postérieurs ,
ment et primitivement spinale. En revanche, le foyer d2c pédonc2tle
cérébral
gauche (kyste apoplectique) explique par son âg
iamètre. Cela n'implique pas une moindre irrigation de l'hémisphère
cérébral
droit, à raison des communicantes et du cercle
artérielles, ou même la dégéné- rescence athéromateuse des artères
cérébrales
se manifeste d'une façon absolument indépendant
termine par quelques considérations sur la structure des vaisseaux
cérébraux
à l'état sain et dans quelques formes particuli
l'asile peut et doit être écartée. Il succombabientôt à l'affection
cérébrale
qui avait motivé son internement, età l'autopsi
Voisin, diverses sortes de lésions, de la connexité des hémisphères
cérébraux
; on trouverait de même dans la mélancolie des
ctions mentales, dus en grande partie à la connaissance des lésions
cérébrales
pour une partie d'entre elles : Le système des
iglesworth considère la monomanie comme due à une lésion des plexus
cérébraux
chargés du contrôle et de la coordination. Ces
dont la lésion réside dans des malformations des circonvolutions
cérébrales
. Le D'' Campbell Clark amène la discussion sur le
L'hydrocéphalie peut être congé- nitale ou acquise. L'hypertrophie
cérébrale
, affection rare est due d'après Hokitansky à un
ectuelle, de la difficulté à marcher et des convulsions. L'atrophie
cérébrale
* est due à un développement incomplet ou à une
a crcarziométrie et l« céphaloscopie clmas les maladies mentales et
cérébrales
. · Le D'' Hack-Tuke admet que dans la productio
OCIÉTÉS SAVANTES. risée, l'excitation peut ne pas dépasser l'écorce
cérébrale
. Si elle s'extériorise, les organes des sens et
ucination peut être au niveau des organes des sens, des gan- glions
cérébraux
et de l'écorce cérébrale; le point de départ peut
veau des organes des sens, des gan- glions cérébraux et de l'écorce
cérébrale
; le point de départ peut être extérieur ; le vo
on de l'instinct génésique après une fièvre typhoïde, une apoplexie
cérébrale
, un priapisme. Les hallucinations, rares dans l
ci la connaissance de l'hypertrophie de la névroglie dans l'écorce
cérébrale
. Préparations empruntées à un cerveau présentan
brile, septique aiguë, chronique, etc.), ou bien, soit à une lésion
cérébrale
organique, soit à un trouble fonc- tionuel, név
centres visuels et auditifs 2. Ces formes particulières de troubles
cérébraux
peuvent être considérées comme des types d'amné
lex.liros\au, 1871. î. ' On the Various Fornas of Loss of Speech in
Cérébral
Discase (l3rilisl ancl Foreign dlecl. Chir. lie
est bien fait pour élucider cette branche obscm e de la pathologie
cérébrale
. Dans le chapitre qui traite de l'effacement pa
tal des images auditives des mots, M. Ballet dit que les opérations
cérébrales
qui succèdent aux im- pressions de l'ouïe, quel
vient de désigner l'abolition de l'audition, sous le nom de surdité
cérébrale
ou corticale. (7 ? MMM), l'abolition de l'audit
très minutieusement, il semblerait que dans l'hémianopsie de cause
cérébrale
, d'origine corticale, la lésion occupe à peu pr
la ne semble pas être, car on peut citer des exemples d'hémianopsie
cérébrale
sans cécité verbale, et de cécité verbale sans
es minutes, en quelques heures ou en quelques jours. B. Accidents
cérébraux
ou formes cérébrales. Les accidents cérébraux q
ues heures ou en quelques jours. B. Accidents cérébraux ou formes
cérébrales
. Les accidents cérébraux qui peuvent survenir c
jours. B. Accidents cérébraux ou formes cérébrales. Les accidents
cérébraux
qui peuvent survenir chez les plongeurs à scaph
me ; DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 229 .4, la forme
cérébrale
paralytique; 5, la forme verti- gineuse ; 6, la
Etant déjà en connaissance de la fu-itivité extrême des acci- dents
cérébraux
, j'ai prédit au malade et à ses parents que ses
une rupture du tympan gauche. 3. FORME ÉPILEPTIFORME. Cette forme
cérébrale
doit certainement être rare pour que nous ne so
appris que depuis lors les accès n'ont jamais réapparu. 4. FORME
CÉRÉBRALE
PARALYTIQUE. Les différentes paralysies d'origi
. FORME CÉRÉBRALE PARALYTIQUE. Les différentes paralysies d'origine
cérébrale
n'ont DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRE
ncore les mêmes caractères qui servent à spécialiser les paralysies
cérébrales
d'origine scaphandrienne, à savoir : 1° la brus
très fugitive ; 4° leur curabilité constante en cas d'ac- cidents
cérébraux
, non fugitifs plus ou moins per- sistants. C'es
e faculté, nous a communiqué qu'il a observé deux cas d'hémiplégies
cérébrales
chez deux scaphandriers qui, après avoir duré q
VEUSE. 277 Maladies diffuses. Angio-sarcome diffus de la pie-mère
cérébrale
et médullaire. Dans les faits de cet ordre se ran
de cet ordre se range un cas d'angio-sarcome diffus de la pie-mère
cérébrale
et médullaire, publié par 11\Z. Schatalolf et N
et NilciforofF. Les sym- ptômes ressemblaient à ceux d'une embolie
cérébrale
: une hémiplégie droite, sans aphasie, après de
citations extérieures, par une grenouille privée de ses hémisphères
cérébraux
. Il a conclu que l'influence excitatrice, aussi
es troubles de la conductibilité, les changements de l'irritabilité
cérébrale
, l'aptitude variable à la réceptivité des stati
tion A la morphologie et A LA morphogénése du tronc des hémisphères
cérébraux
; par G. JEL01· : RS3f.l. Traduit du hollan- dai
ervelet à l'écorce (double voie en sens inverse). SCHÉMA Ecorce
cérébrale
. Capsula interne. Couche optique. Capsule inter
ne. Couche optique. Capsule interne. Noyau rouge. Pied du pédoncule
cérébral
, Raphé. Protubérance Olive. Pédoncule cérébra
Pied du pédoncule cérébral, Raphé. Protubérance Olive. Pédoncule
cérébral
. Raphé. liapllé. Noyau dentelé. Pédoncule moyen
ussion du diagnostic. Affection en foyer du côté droit du pédoncule
cérébral
(méningite plus ou moins circonscrite de la fos
rculation lymphatique en retour de l'encéphale; c'est un épuisement
cérébral
par rétention produisant en somme les mêmes sym
s lié à des maladies du nez. M. Arndt. Rappelons les manifestations
cérébrales
du rhume de cerveau, surtout chez les personnes
de neurasthénie avec prédominance de symptômes céphaliques (tension
cérébrale
, insomnie), -de céphalalgie de différents ordre
montrent que, dans les cas récents, quand il existe des phénomènes
cérébraux
congestifs se tra- duisant par des accidents ps
omènes de la mimique sont la résultante même, directe, du mécanisme
cérébral
sous-jacent. Ils constituent des moweue : lsrNf
ZENKËH (d'Erlangen). Contribution à la pathogénie des hémorrhagies
cérébrales
spontnnées. - La théorie des anévrysmes miliair
n effet, on constate en même temps des troubles de la vue d'origine
cérébrale
: hémianopsie du côté droit, trouble grave de l
La part de l'Italie dans l'étude scientifique des loca- lisations
cérébrales
peut être dès maintenant indiquée et caractéris
it d'une façon spéciale à la théorie scientifique des localisations
cérébrales
. Cette théorie repose, on le sait, sur le solid
expérimentale et de l'observation clini- que. Quoique la pathologie
cérébrale
ait devancé l'expérimentation physiologique en
orie'. » Le théorie qui la remplace, la théorie des localisations
cérébrales
, n'a été définie par personne en meilleurs term
ble, que par ce maître illustre : « Le principe des localisations
cérébrales
est fondé sur la proposition suivante, dit M. C
ables discussions de la Société de biologie sur les locali- sations
cérébrales
. ' Leçons sur les localisations dans les maladi
r, à un moment de son développement, la théo- rie des localisations
cérébrales
en Italie, et en particu- `' Sulla geiiesi déli
mes du cerveau. Une théorie vraiment scientifique des localisations
cérébrales
implique né- cessairement cette loi : chaque ré
identiques chez tous les individus de la même espèce; les régions
cérébrales
homologues des autres espèces possèdent les mêm
par- lies hétéronomes du cerveau. Le principe des locali- sations
cérébrales
postule que des phénomènes de déficit identique
rveau. IV. Critère des effets négatifs et positifs d'extirpations
cérébrales
successives pratiquées sur le ? ? Me ? ? ? M ?
s éta- blit, d'une manière décisive, la réalité des suppléan- ces
cérébrales
. Une extirpation pratiquée sur une région déter
rétation des phénomènes' ? V. Critère des plus petites extirpations
cérébrales
nécessaires et suffisantes pour obtenir des phé
s italiens, était la négation même de la doctrine des localisations
cérébrales
. Nous verrons plus loin quelle hypothèse ils y
ue, par phénomènes de déficit au maximum d'une fonction de l'écorce
cérébrale
, de la vue ou de l'ouïe, par exemple, Luciani n
dit-il, une connaissance suffisante des fonctions de toute l'écorce
cérébrale
; nous ne pouvons les distinguer nettement de ce
possible de réaliser par la destruction de cette partie de l'écorce
cérébrale
. De même en clinique. Les mêmes lois doivent
s du cerveau humain. Mais la théorie scientifique des localisations
cérébrales
chez l'homme ne saurait être uniquement édifiée
les pour établir jusqu'à quel point la loca- lisation des fonctions
cérébrales
diffère chez l'homme de celle des autres animau
d'erreurs presque sécu- laires dans la physiologie et la pathologie
cérébrales
. 1 J.-M. Charcot et A. Pitres. Etude critique e
n sur les animaux, à déterminer la nature et le siège des fonctions
cérébrales
. Exner, Charcot et Pitres ont naturellement une
mouvement volontaire d'un membre, il réunit tous les cas de lésions
cérébrales
dans lesquels la motilité de ce membre était de
en trois ce critérium, selon qu'il s'agit des effets des lésions
cérébrales
homonymes , non homonymes, suc- cessives, uni o
à détermina- tion des différents centres fonctionnels de l'écorce
cérébrale
. Nous aurons le loisir de la faire quand nous e
a : eux aussi sont des latitudi- naires en matière de localisation
cérébrale
, et l'ex- tension qu'ils accordent à leurs zone
ent travail sur les Derniers résultats de l'étude des localisations
cérébrales
, publié dans la Wiener naedi- ziiîische Wochens
e de cas où il existait tel symptôme et où telle région de l'écorce
cérébrale
se trouvait lésée, quoique j'aie montré en son
jectifs qui accompagnent, chez les animaux, les lésions de l'écorce
cérébrale
. En outre, les maladies du cer- veau sont souve
qu'à présent décrit les différentes formes des accidents spinaux et
cérébraux
, suivant que la localisation de l'agent pathogè
fugitive qui, suivant sa localisation dans tel ou tel territoire
cérébral
, apporte tel ou tel dérangement fonctionnel ab
, mais des mois et des années; nous avons là des véritables lésions
cérébrales
, qui coexistent avec celles de la moelle ; en d
son travail : 1° des accidents douloureux multiples; 2° Un accident
cérébral
appartenant à la forme pa- ralytique, type hémi
au fond et décompression 132 CLINIQUE NERVEUSE. brusque. Accident
cérébral
complexe (pote de connaissance, aphasie, hémipl
son travail quatre accidents différents. Le premier est un accident
cérébral
complexe. La perte de connaissance qui peut fig
dres, l'aphasie de la forme aphasique et l'hémi- plégie de la forme
cérébrale
paralytique ont contribué à la constitution de
la constitution de cet accident complexe. Le second est un accident
cérébral
simple, typique, la perte de connaissance qui,
, la nuit, alors que toute surveillance semble éteinte, l'éréthisme
cérébral
contenu pendant le jour éclate en gestes et en
donc faciles à expliquer. On comprend que ce tourbillon d'activité
cérébrale
morbide ait en- traîné les forces de l'activité
nimaux et que cette différence est en rapport avec le développement
cérébral
. Le premier, il a com- paré-1'hypnotisme des an
ires dans l'hyp- notisme. La grenouille privée d'un seul hémisphère
cérébral
se comporte dans les expériences d'hypnotisme c
1887. - De la physiologie de la région psycho-motrice de l'écorce
cérébrale
. At'c/t. de Kovalewslig, t. IX, n° 3, 1887. Des
aneyskaia. De l'anatomie microscopique comparée des circonvolutions
cérébrales
. Arch. de liouctlc2o'slai, t. IX, n° 3, t887.
, Saint-Pétersbourg, 1887. ' Kosturine. Des altérations de l'écorce
cérébrale
dans la démence ' ' séniie.LeiVedec ! ') ! ,n''
evslry, t. IX, n° 3, 1887. Tchoudnowsky. Un cas d'hydro-méningocele
cérébral
congé- nital. Le Médecin, n 44., 188G. Tekout
excitantes de la cocaine sur la couche corticale des hémisphères
cérébraux
, d'autre part sur son pouvoir d'arrêt sur les ext
te dame voyait et sentait de petits vers sur ses mains. Accidents
cérébraux
consécutifs (i l'empoisonnement par l'oxyde de
e New-York). Observations d'épilepsie consécu- tives à l'hémiplégie
cérébrale
.-Les lésions de cette sorte d'épilepsie, de mêm
de même que celle de l'épilepsie idiopathique, portent sur l'écorce
cérébrale
. M. le Dr ROBERT T. EDES (de Washington). Rappo
ème nerveux. (Urémie.) M. le D'' C.-L. (de New-York). Localisations
cérébrales
des sensations cutanées. Il y a une identité co
ensibilité, à cause du voisi- nage de l'hypocampe et des pédoncules
cérébraux
. Il pense que les centres tactiles sont bilatér
de la sensi- bilité. Il a vu Schitt' enlever des points de l'écorce
cérébrale
chez des chiens, avec des troubles d'anesthésie
aura sensitif dans l'épilepsie jacksonienne dans des cas de tumeurs
cérébrales
ou d'autres lésions corticales. Une dysestésie sp
intéressant l'humanité. P. KERAVAL. XIII. Le cerveau et l'activité
cérébrale
au point de vue psycho- physiologique ; par A.
artie, M. Herzen a étudié les conditions dans lesquelles l'activité
cérébrale
devient consciente. Il formule ainsi la la loi
ture, qui ne semblent être autre chose que des troubles de sclérose
cérébrale
. Ces hémiplégies ont été suivies de spasmes toniq
e, la neurasthénie, les psychoses (anxiété, hypocondrie, dépression
cérébrale
). L'auteur à leur suite a rencontré un complexu
métrie, par Beiiedilit, 308. Délire restreint, avec exacerbations
cérébrales
, troubles tabétiques, : etc., par Bonnet, 433.
Folie systématique originelle, par Neisser, 212, 309. Hémisphères
cérébraux
(morpholo- gie et morpho-genpse du tronc des)
ie et morpho-genpse du tronc des), par Kurella, 292. Hémarrhagies
cérébrales
(pathogé- nie des spontanées), par Zen- ker,
syphilitique, 464. v Névroglie(hypertrophie de la- dans l'écorce
cérébrale
), par Buchholx, 131. Névropathes (mouvements
1. 0 Paralysie dans le mal de Polt, par Althaus, 290. Pédoncule
cérébral
(dégénérescences secondaires dans le), par Bech
mitive de la motilité volontaire. Ce sont des excitdnts'de l'écorce
cérébrale
'dont la manière^ propre de réagir est l'activi
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 59 les [territoires*. de ..l'hémisphère
cérébral
désignés par Flechsig comme des centres d'assoc
IE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. de concert avec les accidents '
cérébraux
, d'abord penser à' une tumeur cérébrale. L'évol
oncert avec les accidents ' cérébraux, d'abord penser à' une tumeur
cérébrale
. L'évolution fit abandonner ce 'diagnostic ? Plus
évolution fit abandonner ce 'diagnostic ? Plus tard, les phénomènes
cérébraux
et leur marche imposèrent l'idée du foyer de ra
ne s'y rattachait plus. On opina pour l'indépendance de l'affection
cérébrale
et de l'affection ocu- laire, ayant cependant p
tion doit en cette manière être rapprochée des exemples d'affection
cérébrale
ou spinale compliqués de névrite optique, dans
vieillards et sa lésion anatomique : les lacunes de désintégration
cérébrale
. On appelle du nom de lacunes les pertes de sub
constitue l'axe. "La lacune est formée par une raréfaction du tissu
cérébral
autour d'une artériole, perméable, présentant q
and Fardel qui est un aspect normal dû aux artérioles, de la porose
cérébrale
en fromage de gruyère qui est due probablement
'urine et de matières, eschares) ; il peut succomber à l'hémorragie
cérébrale
, lésion qui est peut-être née de la lacune. Les
lébion consiste en une tumeur logée dans la calotte des pédoncules
cérébraux
( ? 7). Avant tout durcissement, cette tumeur e
e grosse olive placée au centre de la calotte des deux pédoncules
cérébraux
, en avant de l'aqueduc de Sylvius dont elle est s
la quatrième paire ; son axe général est parallèle à celui du tronc
cérébral
et placé, dans sa partie toute inférieure, dans
. Si nous' suivons son pourtour pour étudier les parties du tronc
cérébral
lésées, nous voyons sa partie antérieure affleure
sarcome soit de gliome ; il n'existe pas au voisinage du pédoncule
cérébral
une glande capable de dégénérer en un epithélio
1, p. 431, 1898) Xiégler admet que les cellules de l'endothéliome
cérébral
peuvent revêtir l'aspect cubique, cylindrique, vo
très exceptionnel de tumeurs primi- tives pie-mériennes, papillome
cérébral
pour Rindfleisch, endothé- liome épithélioïde p
choroïde du ventricule latéral bien que contour- nant le pédoncule
cérébral
sur sa face supérieure et externe se trouve ass
Nous avons indiqué aussi l'intégrité du pied des deux pédoncules
cérébraux
. Une lésion ainsi placée a détruit la troisième
u, mais bien un néoplasme primitivement développé dans le pédoncule
cérébral
, pro- bablement une variété d'aspect épithélial
perte du sens articulaire), dus à des lésions des voies sensitives
cérébrales
, ne s'accompagnaient pas forcément d'ataxie de
au rouge, du pédoncule cérébelleux supérieur au niveau du pédoncule
cérébral
, détermine une ataxie cérébelleuse avec tremble
tros, dans les syndromes de Weber par ramollissement du pédoncule
cérébral
et presque toujours du pédoncule cérébral gauche,
mollissement du pédoncule cérébral et presque toujours du pédoncule
cérébral
gauche, ils peuvent dépendre de grosses lésions
e aveugles-nés. 11 s'agit donc ici d'une affection à manifestations
cérébrales
variables apparaissant chez quelques-uns seulem
trois mouve- ments de trépidation épileptoïde très nette. Signes
cérébraux
. L'enfant s'est bien élevé, est venu au monde f
ns la thèse du professeur Lan- douzy, où, dans certaines affections
cérébrales
accompagnées de troubles de la motilité des mus
voi- sinage peuvent être intéressés. Dans le nystagmus d'origine
cérébrale
, c'est probablement le centre excito-moteur de
vrai accentué et très apparent, qui dépend d'une lésion bulbaire ou
cérébral
, les secousses nystagmiformes qui se produisent
le délire épileptique est le produit de deux fac- teurs : 1° l'état
cérébral
; 2° l'ictus épileptique. Ce dernier peut déter
tres, saines et morbides ». C'est ce que Respault a appelé « l'état
cérébral
», état indépendant de l'épilepsie, antérieur a
us qui provoque l'acte inconscient épileptique, mais c'est l'état
cérébral
antérieur de l'individu qui en fait les frais et
de NOTE SUR UN CAS DE DÉLIRE ÉPILEPTIQUE. 1'23 nouveaux accidents
cérébraux
capables de l'obliger à un nouvel internement ;
n dehors de sa manifestation épileptique, ce malade avait un « état
cérébral
» qui le fai- sait se préoccuper et à juste tit
apparence inexplicables, mais qui puisent leur origine dans un état
cérébral
patholo- gique, au lieu que dans l'observation
es, il existe une graduation dans l'envahissement des hémi- sphères
cérébraux
par les vapeurs anesthésiques ; la sensibilité
ectives pour des systèmes déterminés de neurones. Dans les maladies
cérébrales
d'ailleurs comme dans les autres états mor- bid
transmission du son par les os du crâne dans la paralysie infantile
cérébrale
, la syphilis céré- brale, l'alcoolisme chroniqu
donc dans les deux cas le produit ou l'expression de l'automatisme
cérébral
pur et on doit les rencontrer dans tous les éta
a conscience est annihilée, en un mot, dans tous les cas de stupeur
cérébrale
. C'est pour ce motif qu'ils sont d'autant plus
ion de lui-même ; qu'ils sont d'autant plus fréquents que l'inertie
cérébrale
est plus grande. Cette manière de comprendre la
rement, et ceux de la seconde si fréquemment de la dégéné- rescence
cérébrale
. Est-ce le résultat du traitement anti-syphi- l
ques ont accompagné, et masqué pendant un certain temps, une tumeur
cérébrale
. Le premier diagnostic d'hystérie avait été l'e
et en rappelle un exemple. Action des sérums toxiques sur l'écorce
cérébrale
du cobaye. XL Dopter. Des travaux antérieurs on
en intensité suivant les cas. Les dernières ont porté sur l'écorce
cérébrale
et atteint surtout les grandes cellules pyramid
mbreux mémoires qui touchent à toutes les branches de la pathologie
cérébrale
. Dans tous ces travaux, Jules Falret a semé des
études sur la Catalepsie (185î), sur la Séméioloqie des affections
cérébrales
(1860), sur les Principes à suivre dans la c/tts-
roubles du langage et de la mémoire des mois dans les tiffec- tions
cérébrales
(1864), sur la Folie raisonnante ou folie morale
t de vue évolutif et dégénératif et au point de vue de dissociation
cérébrale
accidentelles et acquises. La partie clinique d
t avec les névroses ; 5° délires secondaires aux lésions organiques
cérébrales
(tumeurs, traumatisme, coup de chaleurs sénilit
de la visite de sa mère) a paru stimuler favorablement son activité
cérébrale
. ,- Observation IV. Antoine P... âgé de trente-
éréditaires inconnus : aurait été victime en 1899, d'un traumatisme
cérébral
grave (chute de sur une charrette) ayant exigé
avec ses mains. Cette affection ayant débuté après un trau- matisme
cérébral
grave, il est fort à craindre que ce qui se pré-
vité du mal, et leur aspect suffit seul pour annoncer une affection
cérébrale
. Leur expression est généralement sinistre, et
ns inflammatoires, enfin leur relation constante avec des accidents
cérébraux
de nature profonde et grave, indi- quent que là
hogénique, le trijumeau reste l'agent canalisateur des stimulations
cérébrales
sus- ceptibles d'influencer le tissu cornéen, n
à peu près normal, à part un certain état de torpeur ou de fatigue
cérébrale
avec accès d'irritabilité. Toujours manque d'ap
Ce serait mieux encore de les désigner sous le nom d'hallucinations
cérébrales
, qui .désignerait nettement leur nature. Les
a fait de Broca un initiateur dans la découverte des localisations
cérébrales
- ? Du jour où la psychologie est devenue biolo
e auditive pour- rait être en rapport avec un phénomène vaso-moteur
cérébral
. Les troubles respiratoires sont dus à la contr
té seule persiste, on se trouve en présence d'un simple phé- nomène
cérébral
. M. Dupré trouve que le rapporteur n'a pas insi
tude quelques précisions : Une réaction motrice à laquelle l'écorce
cérébrale
ne prend pas et n'a jamais pris part n'est pas un
o-spinal, c'est un spasme; une réaction motrice à laquelle l'écorce
cérébrale
prend ou a pris part n'est pas un spasme, si ce
ce phénomène moteur où se recon- naît la participation de l'écorce
cérébrale
prend ou a pris part n'est pas un spasme ; si c
si ce phénomène moteur où se reconnaît la participation de l'écorce
cérébrale
présente certains caractères pathologiques dist
ux centres inférieurs, chez le chien, remontent vers la corticalité
cérébrale
à mesure que l'on s'adresse à un animal plus él
peut donc très bien avoir son centre. chez l'homme, dans la région
cérébrale
. ' M. Ballet (de Paris). Au cours de cette disc
des rappels, d'oiigiiie toxique ou infectieuse, d'anciennes lésions
cérébrales
. Par opposition à ces deux cas et pour montrer
Minodier donnait depuis quelque temps des signes de dérangements
cérébraux
et avait dû cesser tout travail. Sa femme, âgée d
le bientôt guéri, tantôt un aliéné incurable, suivant sa résistance
cérébrale
et l'ascendant de son parte- naire. Baillarge
remplis de sang et leurs parois sont infiltrées. Dans la substance
cérébrale
, diapédèse abondante, infiltration du tissu par
s malheureusement réduits à des hypothèses : Influence de la lésion
cérébrale
due à l'al- coolisme chronique, troubles circul
rises épileptiformes liées à l'albuminurie, 2 cas de ramollissement
cérébral
et 1 cas d'hydro- céphalie, le nombre des éléme
où sans la ponction lombaire, le diagnostic avec le ramollissement
cérébral
serait très difficile. Mais il y a des cas tr
git de troubles pas- sagers, ou si l'on doit incriminer des lésions
cérébrales
de para- lysie générale. Ici la ponction lombai
troisième enfin une hémiatrophie croisée consécutive à une sclérose
cérébrale
infantile. Dans ces trois cas, la lésion a ét
; elles atteignent l'appa- reil de la vision en simulant une tumeur
cérébrale
ou orbitaire. Les véritables métastases cancére
e, à évolution lente, elles se développent au niveau des méninges
cérébrales
ou médullaires. Leurs processus dégénératifs sont
et, quand on examine les coupes de la moelle ou des circonvolutions
cérébrales
immédiatement adjacentes à la tumeur, on voit l
MM. Dupré et Devaux à propos d'un cas d'endothéliome des mé- ninges
cérébrales
. Un dernier point à souligner, et que Bruns a b
ant de comprimer le segment de moelle adjacent ou la circonvolution
cérébrale
avoisinante, mais sans les envahir à proprement
trois s'étaient développés en pleine masse blanche des hémisphères
cérébraux
; le quatrième avait détruit le centre ovale du
qu'à amener la destruction de la presque totalité d'un hémis- phère
cérébral
ou du cervelet, comme dans nos cas. II. Sarcome
sous la forme de noyaux isolés, plus ou moins volumineux (méninges
cérébrales
et médullaires ; racines rachidiennes, en parti
aciale souvent unilatérales ; symptômes habituels de la compression
cérébrale
. 11 est à remar- quer que les noyaux de la moel
ations mentales très diverses. L'auteur responsable du mauvais état
cérébral
de la famille entière parait être le grand-père
371 L Sur V innervation des vaisseaux de la pie-mère elde l'écorce
cérébrale
. 013REGL.%. Lorsqu'on détache la pie-mère de la
de Ramon, situées dans la couche la plus superficielle de l'écorce
cérébrale
, sont préposées à l'innervation des vaisseaux cor
cellules polyaxoniques de Ramon et les vaisseaux de la corticalité
cérébrale
. 372 SOCIÉTÉS SAVANTES. Séance du 5 août (soi
2° dans le fait que l'extension du gros orteil est, dans les états
cérébraux
, un accident de contracture susceptible de se mon
t alcoolique. une mère nerveuse arthritique, un grand-père maternel
cérébral
. Ses frères et soeurs étaient tous morts en bas
e. Prolifération névroglique très marquée dans la substance blanche
cérébrale
et médullaire. Cette observation présente plusi
irmé le dia- gnostic, et l'examen histologique a montré les lésions
cérébrales
. ' hépatiques, rénales de la maladie. L'anamnès
cette affection chez les débiles. Etude histologique de l'écorce
cérébrale
dans 18 cas de mé21cgile. MM. MAURICE F,%URE et
nstaté des lésions des valvules, de l'aorte et de certaines artères
cérébrales
, une surcharge graisseuse'très accentuée du coeur
5 cas), soit en association avec d'autres affections : l'hémiplégie
cérébrale
(6 cas), la méninge-myélite (4 cas), etc. Mais
tent toutes les réactions chimiques et histochimiques des nucléines
cérébrales
. L'étude physio- logique de ces composés n'est
e cinq enfants, était depuis près d'un mois en proie à des troubles
cérébraux
. C'est dans un moment de crise qu'il s'est suic
nuité et la durée de l'obsession finissent par produire une fatigue
cérébrale
qui a pour résultante un affai- blissement rela
le cer- tificat a Epilepsie » et qu'il a succombé à une congestion
cérébrale
. 420 RECUEIL DE FAITS. Accouchement : à terme
omprendre cette locali- sation singulière, E. B. XXXVII. Syphilis
cérébrale
sept mois après l'accident primitif. Oblitérati
trois jours. Consi- dérations sur l'évolution clinique des lésions
cérébrales
préco- ces de nature artérielle au cours de la
aisseaux de l'hexagone. Noyau dur siégeant au point d'origine de la
cérébrale
antérieure et de la sylvienne gauche, ayant dét
e, surtout autour des artérioles et des capillaires de la substance
cérébrale
, mais aucune des altérations décrites comme car
de l'état et du développement des cel- lules nerveuses de l'écorce
cérébrale
chez quelques vertébrés nouveau-nés ; par le D1
neurologique, septembre 1899.) Les cellules nerveuses de l'écorce
cérébrale
de différents verté- brés nouveau-nés présenten
ie en état embryonnaire ; d'un autre côté, la structure de l'écorce
cérébrale
du cobaye nouveau-né diffère très peu de celle
e celle d'un cobaye adulte normal. Quant à la structure de l'écorce
cérébrale
des oiseaux nouveau- nés, il est à remarquer qu
ar un état embryonnaire très marqué ; mais la structure de l'écorce
cérébrale
d'un poulet, qui vient de sortir de l'oeuf, dif
e s'accompagne des mêmes aspects mor- phologiques dans les cellules
cérébrales
et dans les cellules - spinales, il y a lieu de
l y a lieu de présumer l'origine secondaire des lésions cellulaires
cérébrales
observées. E. B. XII. Tic de déglutition chez u
méthode dans le tabes, la paralysie générale, certains néo- plasmes
cérébraux
. Tous ces résultats sont consignés dans cette p
die qui n'arrivait pas jusqu'à l'angoisse. Le jour où les centres
cérébraux
supérieurs ont perdu leur contrôle et leur infl
es circonstances démontrent 'que le syndrome est avant tout un état
cérébral
. L'ouuluatonomie, la folie du doute, le délire
iagnostic différentiel entre l'atrophie scapulo- humérale d'origine
cérébrale
et l'atrophie scapulo-humérale .d'ori- REVUE D'
s cutanées périphériques sont transmises au cervelet et aux centres
cérébraux
coordinateurs par la voie céré- 'belleuse direc
ir d'être prémédité et machiné. P. Keraval. XXXV. La localisation
cérébrale
de la mélancolie ; par Bernard IIOLLANDER. (Tit
e, certaines cellules des ganglions spi- naux et certaines cellules
cérébrales
; dans ces dernières la subs- tance chromatique
avec nécropsie (2 figures). L\-1. Localisations motrices du cortex
cérébral
; par C. S. Sciierrington et GRiiN13AU.NI(Bi'it
iques à des animaux aussi proches que pos- sible de la conformation
cérébrale
humaine. XLVII. Théories sur l'hérédité ; par A
de ces enfants sont, à la lettre, « nés fatigués » et leur fatigue
cérébrale
, comme d'ailleurs leur fatigue physique se ma-
où les troubles mentaux seront plutôt ceux qui relèvent de l'anémie
cérébrale
. Les observations cliniques paraissent con- lir
es pathologiques, tels que hémiparésie, hémianesthésie par foyers
cérébraux
, peuvent étendre à ces troubles l'hypothèse qu'il
té de comparer est localisée dans la couche moléculaire de l'écorce
cérébrale
et qu'elle est effectuée par les petites cellules
e prus- sienne. Son père souffrit pendant onze mois d'une affection
cérébrale
et mourut quand il avait cinq ans. Olla Hausson
on insomnie était due à une dégénérescence artérielle des vaisseaux
cérébraux
. Il se plaignait de la conspiration du silence
it ce travail, Nietzche succombait (2 août 1000), à une hémorrhagie
cérébrale
. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. - 529 Les admir
entre les fines lésions de capillaires des divers tissus hépatique,
cérébral
, stomacal, etc., comparés à l'état normal de ce
ièrement le long des artères vertébrales, du tronc basilaire et des
cérébrales
postérieures, ces dernières étant presque compl
. Voir Queue de cheval. Cordons postérieurs Voir Fibres. Cortex
cérébral
. Localisations mo- tiices du, par Scherriiigton
velet, par Lannois et Paviot, 357. Etude histologique de l'écorce
cérébrale
dans 18 cas méningite par MM. Faure et de Lai
mant, par 17éi-(, 506. SERUMS ' toxiques. Action des sur l'écorce
cérébrale
du'cobaye, par Dopter, 178. Sons. Voir Cervea
Epilepsie. S1DH0\IE occipital I)OLBLE, j)iU Dide, 179. Syphilis
cérébrale
sept mois après l'accident, par Clumrt, 437.
e d'un affaiblissement portant sur toutes les fonctions de l'écorce
cérébrale
et se rattachent-elles par con- séquent à un tr
oire à un épuisement localisé. L'épuisement général des fonctions
cérébrales
a été signalé par beaucoup d'auteurs, les hysté
l est nécessaire de préciser ce que l'on entend par cette faiblesse
cérébrale
. Il ne suffit pas de dire, ce qui d'ailleurs es
ébralement affaiblie, car il y a mille variétés d'af- faiblissement
cérébral
, et il faut, autant que possible, montrer celui
u champ de la conscience n'est qu'une manifestation de l'épuisement
cérébral
général que l'on a admis. Cet épuisement nous s
ies par segment de membre, disait'M. G. Guinon, sont des phénomènes
cérébraux
, l'hémianesthésie également, l'état mental, syn
faut donc admettre que l'hystérie est une névrose particulièrement
cérébrale
z. » * L'hystérie n'est qu'une manière de fonct
lier ; il n'y a pas une maladie hystérique... c'est le mécanisme
cérébral
qui est hystérique, ce n'est pas l'affection ? »
nt défectueux des centres fonc- tionnels les plus élevés del'écprce
cérébrale
... On court moins de risque de se tromper en co
lement l'hystérie à un trouble dans le fonctionnement des régions
cérébrales
les plus élevées. L'hystérie est moins, d'après e
ÉCENTES DE L'HYSTERIE. '1 ' i qu'une insuffisance du fonctionnement
cérébral
ne s'accom- pagne pas de beaucoup d'autres trou
ces modifications physiologiques qui accompagnent les insuffisances
cérébrales
seront déterminées d'une manière assez précise
modifications physio- logiques qui accompagnent cette insuffisance
cérébrale
. Nous espérons seulement que cette définition t
rices, la paralysie périphéro-spinale (ou bulbaire) et la paralysie
cérébrale
. Cette distinction est parfaitement en accord a
érieures dans la moelle, et le second qui va de là jusqu'à l'écorce
cérébrale
. La nouvelle histologie du système nerveux, fon
lysie périphéro-spinale est une paralysie détaillée, la para- lysie
cérébrale
est une paralysie en masse. Le type de la pre-
ndis que l'autre en souffre d'une manière constante. La paralysie
cérébrale
, au contraire, est toujours une affec- tiôn qui
ction de laquelle ils sont l'instrument unique. Dans les paralysies
cérébrales
des extrémités, on peut remar- quer que les seg
s paralysée que l'épaule. Il n'y a pas, que je sache, une paralysie
cérébrale
isolée de l'épaule, la main conservant sa motil
nce importante entre la paralysie périphéro-spinale et la paralysie
cérébrale
doit être cherchée dans la structure du système
correspondent sous ce rapport à la paralysie de représentation, ou
cérébrale
organique. En outre, en ce qui concerne la nutr
ralysie hystérique présente les mêmes carac- tères que la paralysie
cérébrale
organique. Si la paralysio hystérique se rattac
ique. Si la paralysio hystérique se rattache ainsi à la paralysie
cérébrale
et particulièrement à la paralysie corticale, qui
le n'est pas soumise à cette règle, constante dans les paraly- sies
cérébrales
organiques, il savoir que le segment périphé- P
olées, en contradiction avec les règles de la paralysie orga- nique
cérébrale
. Sous ce rapport important, la paralysie hystér
, sujette aux strictes lois qui régissent la dernière, la paralysie
cérébrale
. Ces res- trictions faites, on peut soutenir qu
e et la paralysie corticale, type le plus parfait de la para- lysie
cérébrale
organique. Le premier de ces caractères dis- ti
e, peut être beaucoup plus dissociée, systématisée que la paralysie
cérébrale
. Les symptômes de la paralysie orga- nique se r
fois et c'est en cela qu'elle contraste le plus avec la paralysie
cérébrale
organique, dans laquelle, d'une manière constante
s nerveux qui ne sont pas complètement détruits. En cas de lésion
cérébrale
, on connaît la fréquence et la durée de l'hémi-
t digne d'être relevé, c'est qu'il y a quelques formes de paralysie
cérébrale
qui ne se trouvent pas réalisées dans l'hystéri
sur les conditions qui dominent la symptomatologie de la paralysie
cérébrale
. Ce sont les faits de l'anatomie, la constructi
'il n'y a pas une grande facilité de dissociation pour la paralysie
cérébrale
commune, c'est parce que les fibres de conducti
en est l'expression clinique, comme tous les détails des paralysies
cérébrales
sont l'expres- sion clinique d'un fait anatomiq
'un fait anatomique. Comme il ne peut y avoir qu'une seule anatomie
cérébrale
qui soit la vraie et comme elle trouve son expr
trouve son expression dans les caractères cliniques des paralysies
cérébrales
, il est évidem- ment impossible que cette anato
r cette raison, il n'est pas permis de tirer au sujet de l'anatomie
cérébrale
des conclusions basées sur la symptomatologie d
s, adhé- rence, par places, de la pie-mère et de l'écorce, atrophie
cérébrale
, surtout des lobes frontaux, vaisseaux scléreux
otie. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 51 sation
cérébrale
des sensations du toucher, de la douleur, de la
Il s'agit d'un homme ayant présenté les symptômes d'un néoplasme
cérébral
avec attaques d'épilepsie partielle, puis hémiplé
par le Dr 111NDRED. L'auteur décrit le procédé des coupes de tissu
cérébral
par con- gélation, procédé qu'il s'étonne de ne
f ïnsanity, 1892.) E. B. IX. DES FIBRES D'ASSOCIATION DANS L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
DES PARALY- TIQUES généraux; par M. Lioubimov.
élaboration des images verbales motrices. La surdi-mutité d'origine
cérébrale
, différant en cela de celle qui résulte d'une a
f insanity, 1891.) E. B. XVI. LA PRÉTENDUE AIRE MOTRICE DE L'ÉCORCE
CÉRÉBRALE
; par le Dr LANE. Après avoir repris l'histoi
nt donné de la couche corticale, il ne s'en suit pas que cette aire
cérébrale
soit, à l'état sain, le siège d'une impulsion v
t du mouvement qui en est la conséquence. La tota- lité de l'écorce
cérébrale
serait une région sensorielle, siège de la mémo
e la nature sensorielle de la soi-disant aire mo- trice de l'écorce
cérébrale
trouve un appui dans l'existence des hallucinat
esophagien. ' 2° Vaisseaux de la base du cerveau avec embolie de la
cérébrale
postérieure gauche et alhérome de la cérébrale
u avec embolie de la cérébrale postérieure gauche et alhérome de la
cérébrale
moyenne. -Coeur du même mavégétations aortiques
ations micrographiques de ces divers tissus. 3° Section de l'écorce
cérébrale
(aire motrice) dans un cas de mélancolie aiguë,
ée du sternum. En outre, on cons- tate toute une série de symptômes
cérébraux
et spinaux, tels que céphalée, indolence, apath
s qu'une fraction plus considérable se pro- longe dans la direction
cérébrale
et fait partie du ruban de Reil, puis se dirige
critérium clinique les troubles moteurs et sensitifs de la syphilis
cérébrale
, et comme critérium anatomo-pathologique les lé
m la paralysie générale syphilitique; mais il admet que la syphilis
cérébrale
peut au début revêtir le masque symptomatique d
révelant la nature organique de la folie; de même aussi la syphilis
cérébrale
peut revêtir le masque de la para- lysie généra
des mi- cracéphales (1859-60 et 1875) ; - le poids des hémisphères
cérébraux
; sur un crâne parisien déformé ; sur l'homme et
troubles actuels des sphincters. Vue, ouïe, normales. Les fonctions
cérébrales
ne laissent rien à désirer. L'examen des yeux e
dans les autres viscères, foie, rein, rate. Cerveau. Les méninges
cérébrales
sont injectées, leurs veines sont fortement dil
leux et ressemble beaucoup à celle que l'on rencontre dans l'écorce
cérébrale
; mais à un fort grossissement on aperçoit encor
e, dont l'aspect, se .rapprochait beau- . coup de celui d'un gliome
cérébral
..C'est sans, doutera cette circonstance qu'il f
PI dlH ho ? tfJP qn f)c''1l1c. V. Un CAS D APHASIE DANS la syphilis
cérébrale
; p.r K..H ! f.llO ? r ? E,R '.1 ,^v J' d. - L(A
e qui avait rem- placé une portion assez importante de la substance
cérébrale
, ne 134 REVUEf'DE PATHOLOGIE NERVEUSE. .saura
ce malade il y a- eu, comme accidentrprimordial;' une· concussion'
cérébrale
, ayant' eu., pour .'résultat immédiat; une dest
hétisant tous les mouvements anormaux qu'on rencontre dans l'ataxie
cérébrale
, cérébelleuse, bul- baire ou spinale. On ne peu
a'pro)iférér; il y a eu, par suite;' irritation' de' là substance'
cérébrale
à1' laquelle* on peut' rapporter la' chorée L'i
e produit.- · Li,- . G. D. ., , i . j . · ? 1 , , XXX. Hémiplégie
cérébrale
spasmodique avec imbécillité ; par ·LItONCELLI
fil l' ¡ 1 . XIII. INTERVENTION DE la chirurgie dans LES maladies
cérébrales
DE l'enfance; par le Dr Franck Parsons-Norbury,
De l'emploi des médicaments * dérivatif externes dans les maladies
cérébrales
et nerveuses. Le séton à la nuque est indiqué q
tingue les formes atteignant le sys- tème nerveux (cérébro-spinale,
cérébrale
, spinale, périphérique), l'appareil digestif (n
'action des bro- mures. Dans l'épilepsie symptomatique de lésions
cérébrales
, on doit administrer ces médicaments avec prude
ées dans plusieurs thèses de doctorat et dans l'article Hémorrhagie
cérébrale
, inséré par M. Brouar- del dans le Dictionnaire
rose en plaques, les arthro- pathies, la pathogénie de Phémorrhagie
cérébrale
, etc. Il donnait le sujet, traçait le plan, fou
a doctrine des localisations motrices dans l'écorce des hémisphères
cérébraux
de l'homme (en collaboration avec Pitres, 1883)
9) ; - Traitement du vertige de Minière (1890) - Un cas de syphilis
cérébrale
héréditaire tardive; Encore deux cas de syphilis
réditaire tardive; Encore deux cas de syphilis 206 J.-M. CHARCOT.
cérébrale
; Sur un cas de claudication intermittente par ob
; non, c'est en calmant directement, paraît-il, la cellule nerveuse
cérébrale
en éréthisme qu'elle amena l'apaisement, tout e
i- lise dans le quartier; aucun indice d'accoutumance; congestion
cérébrale
suivie de mort dans les quarante-huit heures. O
cune trace de foyer septique permettant d'expliquer la complication
cérébrale
par le mécanisme de l'auto-intoxication infecti
médication orchi- tique, thyroïdienne, pancréatique, capsulaire et
cérébrale
, les injections d'extraits organiques, la trans
11 n'existe encore que peu d'observations de cette sorte de tumeur
cérébrale
où des cellules ganglionnaires entrent à titre
des fibres à myéline tangentielles de l'écorce dans la compression
cérébrale
. Voici cette observation, qui, au point de vue
range, parti de la face interne du lobe frontal gauche. Compression
cérébrale
; atrophie par com- pression des fibres tangenti
nant compte de la lenteur des réactions qui est le fait de son état
cérébral
; elle est peut-être un peu diminuée à gauche; enf
eignements fournis sur son compte, on porte le diagnostic de tumeur
cérébrale
. Les 76 CLINIQUE NERVEUSE. troubles de l'équi
. Origine des cellules néoplasiques. Sur toute la tumeur l'écorce
cérébrale
envahie par le néoplasme ne se distingue plus du
lyser exactement la nature de cette altération. La portion d'écorce
cérébrale
détruite complètement ne représente qu'un petit
ouvent avec des îlots de substance grise dans l'épaisseur des lobes
cérébraux
, sans connexions avec l'écorce. Tùngcl, Mesched
à la base du nez, aux dépens sans doute d'un pincement de l'écorce
cérébrale
; elle n'avait d'ailleurs plus aucun rapport ave
la tumeur que je viens de décrire; ses connexions avec , ^l'écorce
cérébrale
, qu'elle ''envahit de proche en proche; son dév
naître que quelques formes d'aliénation mentale liées à une lésion
cérébrale
sont cependant sous l'étroite dépendance du milie
a névrite périphérique. Peut- être s'agit-il de lésions de l'écorce
cérébrale
qui, dans, l'état actuel de nos connaissances,
1 M. LEYDEN. La sclérose en plaques disséminées, avec symp- tômes
cérébraux
, diffère de la sclérose en plaques purement spi-
lusivement fonctionnelles, et il est douteux que tous les symptômes
cérébraux
, qui ne relèvent pas de lésions anatomiques per
ation la masse du cervelet avec les con- ducteurs émanés du système
cérébral
. Enfin, dans notre observation, comme dans cell
de l'esprit. Il y a donc une lacune dans l'exercice des fonctions
cérébrales
de tels hommes. C'est M. Magnan qui en a donné
eur d'évolution, et contenant cha- cun un groupe de circonvolutions
cérébrales
. Le plan inférieur est formé par la moelle, la
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 387 la région rolandique de l'écorce
cérébrale
et les ganglions du corps strié : il est le lie
'y a pas d'épilepsie. Cela étant, ce n'est pas dans les territoires
cérébraux
qui président au mouvement, mais dans ceux qui
est amené à la localiser dans la partie antérieure des hémisphères
cérébraux
, conclusion qui coïncide absolument avec celle
nt enfin ceux qui se mani- festent après l'ablation des hémisphères
cérébraux
chez un ani- mal : les centres locomoteurs de l
le de symptômes est dû. à un trouble de la circulation de la lymphe
cérébrale
. De là des troubles de nutrition des cellules n
- ladie, la tendance héréditaire de certains types d'organisation
cérébrale
. » On ne saurait d'ailleurs résumer la thèse, trè
rative de la dégénéres- cence secondaire consécutive aux affections
cérébrales
et spinales. Conclusion : Nous tendrions à ad
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 397 court à l'innervation des vaisseaux
cérébraux
, par des fibres vaso- constrictives et vaso-dil
ons moléculaires. P. K. XXXVIII. Attributs fonctionnels DE l'écorce
cérébrale
; par Aug. Raller. (Braiii, Parts LIX et XL, p.
on. P. SOLLIER. XXXIX. Description DE la couche motrice DE l'écorce
cérébrale
d'un enfant; par le Dr Edwin GOODÀLL. L'auteu
déceler la présence chez l'enfant, il les a constatés dans l'écorce
cérébrale
du chat. En résumé, trois couches de l'écorce o
richesse des réseaux vasculaires. En comparaison avec cette écorce
cérébrale
d'enfant de dix-huit heures, l'auteur a examiné
cérébrale d'enfant de dix-huit heures, l'auteur a examiné l'écorce
cérébrale
motrice d'un enfant de deux ans. La différenc
l'aspect des couches élait à peu de chose près celui de l'écorce
cérébrale
chez l'adulte. (Ime·ic«n jo2z·nul of ins«zit, 189
raît s'accentuer parallèlement à la chronicité. L'atrophie du tissu
cérébral
existe dans les deux tiers des cas, et si l'on
observe au lieu de la pâleur. La diminution de consistance du tissu
cérébral
, les granulations épendymaires appartiendraient
hagies méningées. L'atrophie, la diminution de consistance du tissu
cérébral
manquent presque toujours. Les signes de conges
veuses et de leurs noyaux dans l'épilepsie. R. M.-C. XLII. Tumeur
cérébrale
intéressant les lobes frontaux; par A. HILL Gri
traux que régit immédiatement l'écorce, car alors chaque hémisphère
cérébral
innerve suffisamment les muscles chargés de mou
aladies psychiques constitution- nelles consécutives aux affections
cérébrales
; m) les maladies mentales constitutionnelles co
a syphilis céré- brale et l'affaiblissement intellectuel par lésion
cérébrale
circons- crite. Enfin la troisième classe compr
une pure neurasthénique, car la céphalée, l'insomnie, la dépression
cérébrale
, l'asthénie motrice, l'atonie gastro-intestinale,
e très peu d'alcooliques, surtout d'alcooliques avec manifestations
cérébrales
. On constatera bien quelques scléroses hépatiqu
mydriase; - amélioration spontanée; - le 15 mars 1881, intégrité
cérébrale
, mais parésie du bras droit, hypoesthésie du cubi
e l'éminence hypothé- nar;t endartérite syphililique'diffuse de' la
cérébrale
.moyenne, de la cérébrale antérieure,, de laibas
;t endartérite syphililique'diffuse de' la cérébrale.moyenne, de la
cérébrale
antérieure,, de laibasilaire et de leurs 'branche
nétique des centres corticaux et de l'appareil', olfactif. L'écorce
cérébrale
la plus ancienne, celle des reptiles; «se -conf
à trois heures. Il est très probable qu'ils tiennent à de l'anémie,
cérébrale
par suite d'un afflux exagéré du sang aux viscère
moins suspendue; il y a du désordre dans les idées par automatisme
cérébral
, par profusion dans les excitations personnelle
ne s'était pas borné à la simuler. P. SOLLlER. XI. Les diplégies
cérébrales
de l'enfance; par E. ROSENTIIAL. Paris, J.-B. B
qu'inspirée par M. le Dr Freud, de Vienne (Autriche). Par diplégies
cérébrales
, l'auteur désigne quatre types patholo- giques
os observations, prises dans son service, ont trait à des diplégies
cérébrales
, nous avons nous-même soutenu la même hypothèse
de pseudo-athétoses, etc., pour- raient recevoir celui de diplégies
cérébrales
. Les critiques que nous ferons à M. Rosenthal s
lus loin, nous lisons : « Pour nous, l'hypoéhondrie est une névrose
cérébrale
dépendant d'une altération de nutrition du cerv
es. - pagne, 1893. Chez l'auteur. 1 r. " ' J' VIALET. Les centres
cérébraux
de la vision et l'appareil nerveux visuel intra
d' hystérique; par llolst, 1 ia. i 1 1 Aphasie, dans la syphilis
cérébrale
, par Heilbronner, 132; de l' - dans la paraly
e par la douche statique. par ' A. Voisin,413. 1 1 i ;, - , ' .1,
Cérébrale
,' attributs fonctionnels de l'écorce , par A'.
'; 507.' Chirurgie, intervention de t lat - ,J dans les'maladies'
cérébrales
'de l'enfance, par Parsons' Norbury, tr 1b8 :
,, de l'emploi des mél31ca- ments - externes dans les mala- 'dies
cérébrales
et nerveuses, par Erlenmeyer, 165. ; , Diplég
es cérébrales et nerveuses, par Erlenmeyer, 165. ; , Diplégies, -
cérébrales
de l'enfance. par Rosenthal, 503 ' ,, 1 Doigt
rale avec cécité psychique, par Vorster, 155. , , ' Hémiplégie
cérébrale
spasmodique 1 .avec imbécilité, par Limoncelli
? par Grasset, 504. ' Motrice, prétendue aire jdel'é-; , corce
cérébrale
, par, L'âne, 57. 1 MvËnTE ? chronique/, et, lés
estion' de 'la ' et du tabès,' par L. Minora 132; aphasie dans la
cérébrale
,1 par Heilbronner; 132. te t tin z a il , Î S
t 1899. WiLLiAHSON. Lésions rétiniennes en rapport avec des lésions
cérébrales
. Thèse Paris 1890. Les fugues dans les psychose
ntral ; et bien qu'il soit aisé de construire un schéma de l'écorce
cérébrale
qui réconci- lie les faits observés par Cajal a
. C. VII. Etudes histologiques sur la localisation de la fonction
cérébrale
; par Alfred W. Campbell. (The Journal of Mental
à la .-)2 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. perturbation des cellules
cérébrales
corticales qui donne naissance à l'attaque d'ép
sance à l'attaque d'épilepsie. R. de Musgrave CLaY. II. Anévrysme
cérébral
de dimensions remarquables avec - remarques sur
hie du cerveau dans les deux régions pariétales. Un anévrysme de la
cérébrale
anté- rieure droite comprime et déprime la circ
it à son extrémité où la sonde passe de la carotide interne dans la
cérébrale
antérieure. Le caillot mesure 3 cent. 4 dans le
t ce poids sont exceptionnels. R. de Musgrave-Clay. III. Syphilis
cérébrale
avec ophthalmoplégie double; par lcHa&n. (B
tous les médicaments qui modifient le fonctionnement des fonctions
cérébrales
supé- rieures, et par conséquent la question de
on lui aurait épargné une longue maladie destructrice des cellules
cérébrales
. Plusieurs faits publiés paraissent indiquer qu
e variation structurale s'écartant du type normal de l'architecture
cérébrale
et consti, tuant une grosse différence dans les
différence dans les dimensions ou dans l'arrange, ment des cellules
cérébrales
, ou dans ces deux choses à la fois ; 2° une var
même chose. Le mysticisme dualiste,en séparant l'âme de l'activité
cérébrale
.com- pliquait inutilement la question ; mais le
es généra- tions actuelles contre les effets menaçants du surmenage
cérébral
et des causes de dégénérescence inhérentes à no
Ensuite Stchcrhak s'étend longuement sur 5 cas d'affection du tronc
cérébral
(dont un cas avec autopsie), servant d'exacte ill
n détail devant le lecteur, toute l'anatomie physiologique du tronc
cérébral
; ces cas sont : 1° affection bulbo-spinale gliom
sement de la partie supérieure de la protubérance et du pé- doncule
cérébral
; 5° tumeur de l'hémisphère droit du cervelet.
l'ouvrage intitulée par l'auteur « anatomie physiologique du tronc
cérébral
étudiée au moyen de l'observation clinique », rep
illeurs matériaux pour l'étude de l'anatomie microscopique du tronc
cérébral
pour ainsi dire au su- jet vivant, mais encore
i-egi-elle sa conduite et l'attribue franchement à son dérangement
cérébral
. Les observations II et III se rapportent à des
les : ainsi l'alcool qui circule dans le sang. stress; l'hémorhagie
cérébrale
, stress; l'apparition de la puberté, stress; la
de soigner d'une manière spéciale les enfants dont le développement
cérébral
est défectueux est de plus en plus généralement
rtance des sept premières années de l'enfant dans son développement
cérébral
est pourtant démon- trée d'une façon simple et
MM. Deny et Camus soient autori- sés à faire intervenir une lésion
cérébrale
pour le déterminer. M. ARNAUD fait observer que
avec les troubles oculaires, un symptôme important de trau- matisme
cérébral
. Si dans le cas cité le traumatisme est inter-
nt normales et même exagérées. Petites hémorrhagiessous la pie-mère
cérébrale
dans l'épilepsie. AI.QUIER et Anfimou ont const
ur d'habits nommé Charles Despouy donnait des signes de dérangement
cérébral
. II vivait à Cazarilh, petite commune de la val
«le dédoublement et l'indépendance fonction- nelle des hémisphères
cérébraux
. » En 1882, les fameuses expériences d'hypnotis
plaques métalliques avait transféré d'un côté à l'autre l'activité
cérébrale
et l'hypnotisme avait rendu ma- nifeste cette a
té cérébrale et l'hypnotisme avait rendu ma- nifeste cette activité
cérébrale
unilatérale n. Séance du 8 juillet (voir l'inde
l'ceil recouvert par le bandeau. Alors on constate que l'excitation
cérébrale
croisée est en rapport avec le degré de la caus
ultats des effets de l'in- dépendance même relative des hémisphères
cérébraux
; elles n'ont L à ce sujet pas plus de valeur q
successive- mentdel'anatomie,de la physiologie, de la thermométrie
cérébrale
, etc., sont tels qu'on se les représente en se
- blation d'un hémisphère chez diverses espèces ; les suppléances
cérébrales
; les atrophies cérébrales unilatérales ; les hal
chez diverses espèces ; les suppléances cérébrales ; les atrophies
cérébrales
unilatérales ; les hallu- cinations unilatérale
, de la dualité et des différences phy- siologiques des hémisphères
cérébraux
. Supposant que' dans les cas d'agraphie ou d'ap
. Janet (1894, p. 415 à 419). Entre temps,la question du dualisme
cérébral
et des rapports de chaque hémisphère avec les d
2) l'indication de quelques-uns des travaux faits sur le dua- lisme
cérébral
depuis Wigan. On peut ajouter à cette liste ceux
ns les nombreuses théories qui concernent plus ou moins le dualisme
cérébral
. Remarquons enfin que toutes ces hy- pothèses s
ou bilobé». Il se demande si « de la simpli- cité de leur ganglion
cérébral
», on peut « conclure à la simplicité de leur s
iques (Voir L. Bolk, 1906, surtout p. 383 à 398). Les hémisphères
cérébraux
suivent un développement en rapport avec la com
adrijumeaux antérieurs, deux pulvinars, mais il n'y a qu'une rétine
cérébrale
. Nous dé- lopperons ce point à propos de la phy
s un seul groupe de pyramidales isodynamiques. L'unité de la rétine
cérébrale
corrige la dualité de l'impression centrale. La
phes sur l'indépendance possible des 220 LÉGISLATION. hémisphères
cérébraux
ne sont plus admissibles aujour- d'hui, du moin
enfin incapable d'expliquer les nombreux cas connus d'hémiatrophie
cérébrale
ou de vaste porencéphalie uni- latérale demeuré
pendance fonctionnelle, tempo- raire ou permanente, des hémisphères
cérébraux
, ill'est, en outre, à toutes celles qui visent
ilibré, prédisposé, au moment de la condamnation. Il avait une tare
cérébrale
qui a été méconnue et qui était de nature à fai
ir pris.') cachets de Ogr.10 de corps thyroïde, une surex- citation
cérébrale
désagréable, des colères, des crises de larmes,
provoqué de l'insomnie, des crises de pleurs, de 1'liypeie;- thénie
cérébrale
. Il est permis d'admetlre dans ce dernier cas,
de caractères importants tels que l'altération diffuse de l'écorce
cérébrale
sans altérations ma- croscopiques, et l'absence
250 REVUE D ? \.1«ATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. l'écorce
cérébrale
, signala pour la première fois un type cellulaire
ication alcoolique aété reconnue comme cause exclusive des troubles
cérébraux
. B) Le second groupe comprendra les cas d'alcoo
en faveur de l'alternance d'action ou de suprématie des hémisphères
cérébraux
? i Du reste, avant de passcspar les«six états
stence des nombreux centres hiérarchisés du diencéphale et du tronc
cérébral
qui pré- sident aux mouvements de la face et qu
s; pour les autres,' c'est un trouble physiologique de l'é- corce
cérébrale
, unique dans sa nature, mais variable dans son
ersonne n'est d'accord, pourquoi ne pas s'adresser à la physiologie
cérébrale
qui est mieux connue, et comment nous,médecins,
à rechercher s'il n'y avait pas un trouble de'cerveau, des centres
cérébraux
- où tout le monde. est ,'d'accord,je crois.pou
ations 'somatiques et psychiques concomi- tantes. -, Notre écorce
cérébrale
est formée de deux parties : l'une postéro-laté
en partie déterminés. Quoi qu'il en soit,on admet que,sur l'écorce
cérébrale
, l'organisme tout entier se trouve projeté dans
res années, il a parlé comme moi de l'engourdissement des centres
cérébraux
comme fondement des troubles hysté- riques. Nou
substituées les unes aux autres, liées qu'elles étaient à des états
cérébraux
nouveaux provoqués par ces causes. On a ainsi l
idées fixes. En réalité, ces idées disparaissent par ce que l'état
cérébral
qui amenait ces troubles les entrete- nait en m
st une fonction normale du cerveau en activité normale. Le réveil
cérébral
s'accompagne de réactions motrices, sensitives,
à deux causes : 1° le degré de l'engourdis- sement, de l'inhibition
cérébrale
, et 2° l'étendue,le nom- bre des centres attein
s, ce sont les varia- tions de l'état d'engourdissement des centres
cérébraux
atteints. Ceux-ci peuvent bien dans certains ca
ons parallèles des troubles hystériques et de l'engourdisse- ment
cérébral
. Nous avons ainsi, dans les expériences dr réve
ttant de rapporter chaque phé- nomène à tel ou tel degré du sommeil
cérébral
, et aus- si une méthode thérapeutique, pathogén
sensations de perceptions peuvent être « communi- quées par la voie
cérébrale
, d'un individu à l'autre indivi- du » (p. 89).
le corps calleux n'est donc qu'une annexe, un dérivé de l'écorce
cérébrale
; il n'apporte pas à son fonctionnement d'élément
ment exagéré des fibres nerveuses de la névroglie dans la substance
cérébrale
; et 2° une altération simultanément étendue des
hies correspondent en grande partie à la zone de distribution de la
cérébrale
moyenne. On conçoit facilement, d'ailleurs, que
ar les observations rapportées.que les diverses couches de cellules
cérébrales
réagissent différemment à l'égard des agents ir
423 0 dans les états ou dans les rapports de celles des cellules
cérébrales
dont les activités normales sont accompagnées d
CFAY- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 429 l lIr.- Un cas de tumeur
cérébrale
avec sommeil; par 11AILLARD et J\ ! ILHIT, (L'E
sphénoidal gauche. En raison de la diversité du siège des tumeurs
cérébrales
, il parait impossible de rapporter le symptôme so
ses convulsives avec hématémèses abondantes, et un cas de néoplasme
cérébral
ayant débuté par une hémorragie, précédée elle-
I. Thomas d'un vieillard hémi- plégique du côté gauche avec lésions
cérébrales
du côté droit, SOCIÉTÉS SAVANTES. in mais atr
ents anatomiques que le pathologiste a à consi- dérer dans l'écorce
cérébrale
, les fibres myéliniques sont certai- nement ceu
misphères de 41 sujets ayant de 3 mois à 97 ans, indemnes de lésion
cérébrale
, pour lesquels l'auteur asoin de donner les ren
uvent, à son genre de vie dans les agglomérations et au sur- menage
cérébral
et psychique qui en est le corollaire. Peut-êtr
du système nerveux. Les onze can- didats ont eu à traiter : Artères
cérébrales
. Les questions restées dans l'urne étaient : Co
mmeil' localisé ou généralisé, passager ou permanent, des centres
cérébraux
, et se traduisant, par conséquent, suivant les ce
vrais cependant y ajouter quelque chose, c'est que tous les centres
cérébraux
étant doués d'irrita- bilité, toute diminution
eil, par- tiels, atteignant seulement certaines parties de l'écorce
cérébrale
. A;cames, 3° série, 1907, t. I. 29 450 CLINIQ
ar elle traduit exactement l'étendue et l'intensité de l'inhibition
cérébrale
. Prenons, en effet, un centre cérébral quelconq
intensité de l'inhibition cérébrale. Prenons, en effet, un centre
cérébral
quelconque et supposons-le frappé d'un état d'i
c ce centre va se trouver diminuée, et, suivant le rôle du centre
cérébral
intéressé, nous observerons des troubles de sen
Cependant de deux choses l'une : ou l'on admet les localisa- tions
cérébrales
, et alors il est naturel d'admettre que les centr
ions des centres fonctionnels ; ou on n'admet pas les localisations
cérébrales
, et alors je ne peux m'expliquer comment l'espr
fonctionnels, et que depuis longtemps je soutiens que les cen- tres
cérébraux
sont avant tout des centres dynamiques. Leur sièg
actuelle, soit de son étendue ou de sa profondeur. Tous les centres
cérébraux
ne participent pas au mê- me titre à la fonctio
mais les phénomènes psychologiques étant la conséquence de l'état
cérébral
et non sa cause,et n'étant pas constants, il es
imitif de l'hystérie constitué par une sorte de sommeil des centres
cérébraux
, d'engourdissement cérébral. Pour le dire je m'
é par une sorte de sommeil des centres cérébraux, d'engourdissement
cérébral
. Pour le dire je m'appuie sur ce fait, sur cett
e et consiste essentiellement dans une sorte de sommeil des centres
cérébraux
. Mais quel est ce sommeil ? J'ai fait à ce suje
ensuite me reprocher-à tort du reste-d'avoir con- fondu le sommeil
cérébral
, cause de l'hystérie, avec le sommeil naturel.
'ai pas été cependant sans m'inquiéter de la natu- re de ce sommeil
cérébral
,ou pour mieux dire de sa cause. Car,sur sa natu
ie au sommeil naturel. Il m'accuse de rattacher cet engourdissement
cérébral
à de l'épuisement, intoxiqué que j'étais par la
produit au cours de l'adolescence des arrêts dans le développement
cérébral
. Ces arrêts peuvent persister, et l'écart entre
e est une manière de fonctionner du cerveau, que c'est le mécanisme
cérébral
qui est hys- térique, et non l'affection. Par
tte manière de voir sans l'a- dopter. Mon idée de l'engourdissement
cérébral
provo- quant l'hystérie est qu'il est analogue
pas beaucoup ni la question du sommeil normal, ni celle du sommeil
cérébral
spécial à l'hystérie, et que, au point de vue c
t avoir aucune prise. Com- ment dès lors cet état d'engourdissement
cérébral
tout (1) Ce réveil amène des réactions très spé
s, parce que je les attribue à une diminution de l'irrita- bilité
cérébrale
, produisant un état de vie latente qui se tradu
n qui ne se pose pas à mon avis. Il est rare en effet que l'arrêt
cérébral
soit complet, même dans le cas où il apparaît c
, tout en restant toujours au-dessous de la normale de l'activité
cérébrale
, les centres engourdis et ils ne le sont pas to
ersonnalité et une transformation complète de leur état,leur réveil
cérébral
et leur guérison de ce fait même. Mais cette
de ces phénomènes comme des réactions dues au réveil de l'activité
cérébrale
. Sur le premier point aucune discussion a prior
- qu'à l'inhibition complète des centres fonctionnels de l'écorce
cérébrale
. L'hystérie n'est donc que l'exagéra- tion de c
us une conception dynamique et non purement mécanique de l'activité
cérébrale
, dans laquel- le l'autonomie étroite des centre
question de l'indépendance fonctionnelle relative des hémisphères
cérébraux
, non pas telle que la présente le duplicisme, don
ILLON (Edgar). De l'indépendance fonctionnelle des deux hémisphères
cérébraux
, thèse de Paris, 31 juillet 1884, 187 pages. Bt
s les voies de communication entre les zones motrices de la surface
cérébrale
et les membres. CAJAL (Santiago Ramon y-).- Est
DUMONTPALLIER. De l'indépendance fonctionnelle de chaque hémisphère
cérébral
et de l'influence du degré des excitations péri-
sur le degré des manifestations fonctionnelles de chaque hémisphère
cérébral
chez l'hystérique hypnotisée, Soc. Biol., 8 jui
1 DUMONTPALLIER. Indépendance fonctionnelle de chaque hémisphère
cérébral
. Illusions, hallucinations unilatérales ou bi-
à 797. FÉRÉ (Ch.). -L'excitabilité comparée des deux hémisphères
cérébraux
chez l'homme, Année psyclaol., VII, p. 143 à 160,
1901. FÉRÉ (Ch.). L'alternance de l'activité des deux hémisphères
cérébraux
, Année psychol., VIII, p. 107 à 149, 1902. Longue
chol., VIII, p. 107 à 149, 1902. Longue biblio- graphie du dualisme
cérébral
(p. 107 et 108 et 146 à la fin). Ce mé- moire (
édical, XIX, 1904. L'action motrice bilatérale de chaque hémisphère
cérébral
, Année psychol, XI, p. 434 à 445, 1905. HARAL
ppement antérieurs à 1903. Magniez Du fractionnement des opérations
cérébrales
et en partie de leur dédoublement dans les psyc
de la névrite radiculaire trans- verse. j F. Tisser. XXVI. Abcès
cérébral
, nécrose corticale, syndrome méningé ; par DUPR
e vaux. (Nouv. Icon. de .la Salpêtrière, 1906, no 3.) - Les abcès
cérébraux
les plus nettement circonscrits, s'ils repré- s
cation corticale. F. TISSOT. XXVIL-De quelques altérations du tissu
cérébral
dues à la pré- sence de tumeurs (Suite) ; par W
à par l'aqueduc au quatrième ; la production d'altérations du tissu
cérébral
sous l'influence de la pression développée par
une fibre de l'écorce occipitale ne passe dans le pied du pédoncule
cérébral
; toutes les fibres que les ré- gions postéro-i
e avec délire systématisé, dans la folie par épuisement, par anémie
cérébrale
, etc. Il a noté en outre que les globules rouges
hèse (1882) sur les «Troubles fonctionnels de la vision par lésions
cérébrales
(amblyopie croisée et hémianopsie) » en est la
bution et l'étude des troubles fonctionnels delà vision par lésions
cérébrales
. 1 vol, 1882 ; - Hysteria epilepsy and the spas
ntelligence, au nombre, à l'activité, à la cohésion de ses neurones
cérébraux
, à l'excellente constitution dont sagaité n'éta
primerie Daix frères et Thiron. TABLE- DES MATIÈRES Voir Otite. -
cérébral
, nécrose corticale, syndrome méningé ; par Du
juvénile progres- sive ; par Lejonne et Rose, p. 438. Anévrysme
cérébral
de dimen- sions remarquables avec re- marques
latérale du et sur l'indépendance fonctionnelle des hémisphères
cérébraux
,; par Bonne, p. 177, 293, 370, 466. - thyroïde
e folie ; par Atilson Rhodes, p. -131. -, Voir Troubles. Fonction
cérébrale
. Etudes his- tologiques sur la localisation d
trophie croi- sée du cervelet ; par Thomas, p. 438. Hémisphères
cérébraux
. Voir Corps. Hémorkiiagies. Petites sous la
cérébraux. Voir Corps. Hémorkiiagies. Petites sous la pie-mère
cérébrale
dans l'épilepsie ; par Alquier et An- fimou,
11C/- ladies somatiques. Syndrome méningé. Voir Abcès. Syphilis
cérébrale
avec ophtal- moplégie double ; par Achard, p.
Maillard ct Dlilliit,1>. 429. De quelques altérations du tissu
cérébral
dues à la pré- sence de ; par Weber, p. 488.
sans contredit l'in- tégrité du facial supérieur dans l'hémiplégie
cérébrale
ba- nale. Tous les classiques sont unanimes à c
. Tous les classiques sont unanimes à cet égard : dans l'hémiplégie
cérébrale
le facial inférieur seul est intéressé, le faci
e pour le facial supérieur un centre cortical et un trajet intra-
cérébral
complètement indépendants de ceux qui appartien-
ense majorité des cas, presque dans tous les cas d'liéiiii- 'plégie
cérébrale
infantile se montrant chez le nouveau-né, le fa
ier avait établi l'intégrité du facial supé- rieur dans les lésions
cérébrales
comme signe différentiel avec la paralysie faci
l'orbiculaire à la paralysie, dans l'hémi- plégie faciale de cause
cérébrale
, et d'avoir établi cette opi- nion sur des fait
ans son voisinage immédiat, et viennent se placer dans le pédoncule
cérébral
avec le faisceau bulbaire en dedans du faisceau
ré plus ou moins grand, et suivant le siège, l'étendue de la lésion
cérébrale
et certaines dispositions individuelles. Que le
it déjà hospitalisé dans le service comme atteint de ramollissement
cérébral
avec gâtisme, quand il fut frappé subitement d'
, la paralysie du facial supérieur est la règle dans l'hémiplégie
cérébrale
vulgaire. Dans tous les cas d'hémiplégie que nous
n tout cas, cette paralysie du facial supérieur dans l'hémi- plégie
cérébrale
n'est pas aussi intense que celle que l'on obse
paralysé au même degré que le facial inférieur ; dans l'hémiplégie
cérébrale
il y a une différence considérable dans l'inten
lus parler d'intégrité réelle du facial supérieur dans l'hémiplégie
cérébrale
, il existe bien cependant une intégrité relativ
al forme un seul nerf ayant même origine corti- cale et même trajet
cérébral
. Nous venons de voir les symptômes de la parési
s'agit évidemment, au point de vue clinique, d'un ptosis d'origine
cérébrale
. Sans vouloir refaire ici tout l'historique de
attribuait de la valeur dans la symptoma- tologie du ramollissement
cérébral
. Prévost' publie six obser- vations de ptosis a
signalé un fait célèbre de ptosis et paralysie faciale avec lésion
cérébrale
très combinée ; Landouzy 1 a consacré à cette q
uer cette contradiction paradoxale, si on n'admet pas que la lésion
cérébrale
a frappé le centre originel du moteur oculaire.
a frappé le centre originel du moteur oculaire. En résumé la lésion
cérébrale
paralyse du même coup toute la moitié du corps
altérations viscérales qui par sympathie pro- duisent des troubles
cérébraux
. 30 PATHOLOGIE MENTALE. La mélancolie est l
départ, l'origine, la cause de cet état de dépression de l'activité
cérébrale
paraissent dus à une altéra- tion soit vasculai
mentale. Mais ici malgré l'apparence d'abolition de toute activité
cérébrale
du mélancolique avec stupeur, d'après cer- .
n arrêt complet de toutes les for- mes et manifestations d'activité
cérébrale
dans un état de LES MÉLANCOLIQUES. 37 stupe
e sol. {The Alienist and ivcuî,ologist, janvier 1898.) Xi. Syphilis
cérébrale
avec lésions étendues des nerfs crâniens ; par
niens ; par le D1' Preston. Intéressante observation de' syphilis
cérébrale
chez un nègre de trente-sept ans. Les manifes
intellectuelles. Il est probable que les connexions entre l'écorce
cérébrale
et les ovaires sont plus ou moins intimes suiva
de bases à l'étude complète et raisonnée du diagnostic des tumeurs
cérébrales
, La plupart des observations ci-dessus sont sui
la manifestation la plus fréquente et la plus fréquente des tumeurs
cérébrales
; les vomissements ressemblent plutôt à de simples
néoplasme. Ce diagnostic topographique repose sur les localisations
cérébrales
, dont il nécessite la connaissance appro- fondi
passe en revue successivement chaque lobe et chaque circonvolution
cérébrale
, chaque fonction du cer- veau. Si beaucoup de l
rsonnelles. Première leçon. Diagnostic et pronostic de Vhémorrhagie
cérébrale
et des états ahohlectifonmes. Traitement des hé
posé détaillé de l'étiologie et de la patho- génie de l'hémorrhagie
cérébrale
où nous notons des recherches inédites sur la s
où nous notons des recherches inédites sur la structure des artères
cérébrales
, suivi d'un tableau clinique de l'attaque d'apo
ectiques ou comateux qui peuvent simuler l'ictus de l'hémor- rhagie
cérébrale
et divise ces états apoplectiques en : 1° état ap
marche de la tempé- rature peut être la même que dans l'hémorrhagie
cérébrale
, mais qui sont différenciés par les antécédents
zone hystérogène. Après l'attaque d'apoplexie, due à l'hémorrhagie
cérébrale
, sur- viendra en général si le malade ne succom
cula- tion lésée *. Le traitement prophylactique de l'hémorrhagie
cérébrale
aura surtout pour but d'empêcher nn excès de pr
onnait depuis quelque temps déjà des signes évidents de dérangement
cérébral
. Hier ma- lin, pris d'une soudaine crise de fol
roy. M. Davenne était atteint depuis quelque temps déjà de troubles
cérébraux
et avait mani- festé à plusieurs reprises l'int
s cas ; un liquide céphalo- rachidien abondant dans les ventricules
cérébraux
, remplis- sant les anfractuosités et sillons de
olutions, oedème de la pie-mère, de l'arachnoïde et de la substance
cérébrale
. Cette lésion surtout fréquente est presque car
1898.) " E. B. Il. Modifications des cellules nerveuses de l'écorce
cérébrale
dans un cas de délire aigu et dans un cas de de
s relations intimes entre le développement ana- tomique des centres
cérébraux
supérieurs et leur expression fonc- tionnelle p
logique. En étudiant comparativement le développement des centres
cérébraux
dans la série des vertébrés, on voit que les cent
ossible de dire que parmi les éléments qui constituent cette écorce
cérébrale
, aucun, soit fibre, soit cellule, soit carac- t
nt du fait de la disposition des centres corti- caux. Les centres
cérébraux
supérieurs peuvent être considérés comme un tou
on la plus élevée du type mammifère, on trouve un type de structure
cérébrale
varié mais, progressivement complexe, en même t
recherches sur la formation de la substance blanche dans les lobes
cérébraux
de l'homme ; par P. FLE- cRsiG (Neurologische C
riétés d'allures du ruban de Reil de l'étage inférieur du pédoncule
cérébral
. Ce ruban se com- pose de deux trousseaux : 1 ?
au pyramidal, de la capsule interne, gagnant le pied du pédoncule
cérébral
, se dirigeant en bas et s'appliquant au ruban de
eurs des nerfs. 6) Il peut gagner la surface du pied du pédon- cule
cérébral
en dedans, se placer en dedans du faisceau d'Arno
des variétés du trajet des fibres à la surface du pied du pédoncule
cérébral
et de la protubérance (Henle). Il peut donc y a
t par suite moins résistants. - A. Fenayrou. X. Deux cas de tumeurs
cérébrales
opérées avec succès et suivis de guérison; parl
, reconnut alors que la mort avait été provoquée par une congestion
cérébrale
. (Le Soleil du 14 décembre 1898.) Voici encore
épilepsie, parait résul- ter, d'une part, d'une maladie-de l'écorce
cérébrale
, hérédi- taire' ou individuelle, d'autre part,
remplissent le rôle de l'intoxication externe, en excitant l'écorce
cérébrale
prédisposée et provoquant l'attaque. Il y a l
SIE. 187 D'autre part, le professeur Depaul invoque la congestion
cérébrale
, la lésion rénale et l'altération du sang pour ex
non. Il faut qu'il existe surtout et avant tout une prédisposition
cérébrale
, sur laquelle M. le professeur Jotiroy a si sou
ui provoque l'explosion de chaque paroxysme, en irritant l'écorce
cérébrale
endommagée par les causes précédentes. Et il ra
s fréquentes chez les ascendants des épi- leptiques. Les affections
cérébrales
, la méningite en particu- lier, se rencontrent
hobies, ne se développent que chez des sujets tarés au point de vue
cérébral
, chez des nerveux, des neurasthéniques, des hys
parfois fort difficile ; avec l'alcoolisme chronique, les troubles
cérébraux
consécutifs aux traumatismes crâniens, la démen
des problèmes les plus difficiles de la psychologie. Dans l'écorce
cérébrale
existe outre les cellules des connexions multip
ands et réels ser- vices dans les cas d'insommie due à l'byperhémie
cérébrale
accom- pagnée de mélancolie et de tendance au s
de, il est dangereux dans les cas d'insommie provoquée par l'anémie
cérébrale
qu'il aggrave. L'opium associé au tartre siribi
base du crâne. L'hydrocéphalie se limitant à la première vésicule
cérébrale
, il en résulte l'absence des hémisphères; se li
eur a examiné d'après la méthode de Golgi, les cellules de l'écorce
cérébrale
des cobayes qui avaient subi un empoisonne- men
utre tumeur sarcomateuse large et peu proémi- nente de la dure-mère
cérébrale
, et une autre tumeur molle de la dure-mère spin
mences. Dans la démence sénile et dans la démence liée à une lésion
cérébrale
circonscrite (ramollissement, hémorragie, tumeu
eurer plongés sans éton- nement, avec indifférence, dans l'inaction
cérébrale
la plus complète. Très souvent cette torpeur va
'ils sont sous l'influence d'une narcose toxique. Avec la torpeur
cérébrale
, existe un état particulier des facultés qu'on
ivant un ordre déterminé. Ce n'est pas non plus l'amnésie des ictus
cérébraux
, incomplète et plus ou moins systématique. C'es
r de s'en défendre. « Il est certain, dit-il, que sous l'oppression
cérébrale
, les rêves, qu'on me passe celle expression, ne
ivent les rémis- sions, il faut activer sans relâche les opérations
cérébrales
; il faut interroger les malades, fixer leur att
phonétiques (les mots). La clinique nous apprend la loca- lisation
cérébrale
en divers endroits du cerveau des diverses espèce
re rapportée à un accouchement difficile et prolongé (hémorragies
cérébrales
postérieures). Cliniquement les lésions occipital
du traitement. L'article contient le pronostic général des tumeurs
cérébrales
, les proportions de celles qui sont opérables,
ntale primitive, à l'autopsie desquelles ils ont trouvé des lésions
cérébrales
importantes. Ces malades, du sexe féminin, étai
es manifestes et à des lésions accusées de polynévrite. Les lésions
cérébrales
constatées sur des coupes colorées par la métho
consécutives à la poly- névrite et engendrées par elle. Les lésions
cérébrales
aussi n'étaient peut-être pas primitives; il n'
nt venues confirmer cette manière de voir. Des fragments d'écorce
cérébrale
de lapin plongés, aussitôt après la décapitatio
que de telles altérations rencontrées dans les cellules de l'écorce
cérébrale
d'un aliéné devront être considérées comme n'ay
2° à un degré plus accentué, elle supprime non seule- ment l'écorce
cérébrale
, mais la voûte crânienne. 11 ne reste que la mo
'agit ici d'un cas de paralysie pseudo-bulbaire partielle d'origine
cérébrale
. Le syndrome pseudo-bulbaire est dM le plus sou
tante dans le diagnostic de la paralysie pseudo- bulbaire d'origine
cérébrale
. (Revue neurologique, décembre 1898 ) E. B. L
rt entre les noevi étendus, surtout ceux de la face, et les lésions
cérébrales
se traduisant par l'idiotie, les affec- tions s
nhibition des régions psycho-motrices de l'écorce 1 VARIA.. 335
cérébrale
, place le sujet dans un état analogue à l'état d'
mais ces troubles sont en grande partie masqués par une exaltation
cérébrale
intense. Par instants, la malade pousse de tout
esque complètement tombée; il ne reste plus guère qu'une exaltation
cérébrale
, considérable encore, il est vrai; le délire of
est sensiblement atténuée, l'incohérence moins grande, l'exaltation
cérébrale
légè- rement diminuée ; par contre, les trouble
ire et accidentellement acquise, chez unin dividudont les fonctions
cérébrales
étaient jusque-là normales, et dont la maladie
.. deux phases distinctes : une première, au début, où l'exaltation
cérébrale
masquait en partie les troubles sensoriels, où
gements périphériques jusque dans les muscles atrophiés, les tissus
cérébral
et médullaire ont conservé leur aspect, leur co
vie intra-utérine rompt mécaniquement quelques unes des vésicules
cérébrales
, entrave la formation d'une partie correspondante
é de cinquante-deux ans seulement, fut emporté par une' hémorrhagie
cérébrale
foudroyante. i\Im0 Aubanel, en souvenir de son
nt de surprise accueillit cette opinion ; l'association de troubles
cérébraux
et d'une lésion polynévritique parut singulière
névrite elle-même. En effet, les lésions névritiques et les lésions
cérébrales
produi- sant les troubles mentaux ne sont que d
ersister le jour, rêveries objectivant l'intoxication de la cellule
cérébrale
. C'est dans cette forme que l'on observe les dé
taires des cellules, mais on n'avait pas trouvé la véritable lésion
cérébrale
. M. Ballet a eu la bonne fortune de trouver trois
ences de Marinesco, de Ballet et de Faure ont montré que la cellule
cérébrale
se comporte comme la cellule médullaire vis-à-v
porte comme la cellule médullaire vis-à-vis des nerfs. Les cellules
cérébrales
s'atrophient sans qu'on puisse dire cependant s
ment se prononcer avec certitude sur le fait de savoir si la lésion
cérébrale
est primitive ou secondaire. Cette seconde hypo
t pour la fibre blanche. On peut donc dire qu'il existe des lésions
cérébrales
dans les psychoses polynévritiques. Existent-el
a connaissance plus profonde des lésions histologiques des cellules
cérébrales
à diviser ces maladies en deux grandes caté- go
°les psychoses accidentelles, comprenant toutes les intoxi- cations
cérébrales
y compris même la paralysie générale ; 2° les p
s guère qu'une polynévrite pût à elle seule déterminer des troubles
cérébraux
, et quand on lit les ob- servations de psychose
cellules pyramidales des deuxième et troisième couches de l'écorce
cérébrale
dans les zones psycho- motrices, une atrophie d
urtout ganglionnaire trachée-bronchique, lorsque quelques symptômes
cérébraux
se montrent : tristesse, inertie, etc. Un mois
; on rapporte ce syndrome nouveau à un ramollissement du pédoncule
cérébral
gauche. L'enfant succomba au bout de cinq jours
ecchymotique, et la patho- génie de ce ramollissement du pédoncule
cérébral
relève très habituellement d'oblitération artér
uellement d'oblitération artérielle portant soit sur le tissu de la
cérébrale
postérieure, soit sur les branches qui en naissen
rt au bout de cinq jours. A l'autopsie, ramollissement du pédoncule
cérébral
par thrombose de la veine basilaire. 404 SOCI
nt de la même nature que ceux produits par l'excitation de l'écorce
cérébrale
; ce sont notamment des contractions cloniques
ère opposée du cerveau, et vice versa (l'ablation d'un hémisphère
cérébral
amène une hyperexcitabilité de l'hémisphère céréb
ique. L'hémiplégie peut être mise sur le compte d'un ramollissement
cérébral
d'origine alcoolique. Observation IV. Malade âg
i l'accompagne. L'anatomie pathologique en est inconnue (l'cedème
cérébral
signalé n'est pas constant). L'étiologie est au
uble psychologique, dont l'intoxication, la compression ou l'anémie
cérébrale
ne sont que des causes occasionnelles. Dans l'h
iscltcs Ceiilrulblall, nos 4 et 5, 1898). Du rapport des paralysies
cérébrales
chez )'enfant avec diverses catégories des vices
mme un ensemble d'associations qui se font uniquement dans l'écorce
cérébrale
, avec le concours de mémoire et d'attention; ce
faiblies par suite d'un vice quelconque de la nutrition de l'écorce
cérébrale
. Le mutisme véritable est pour la plupart dû à
ssant comme cause du porus : dans le premier cas, un ramollissement
cérébral
trombosique datant de longues années, dans le s
ui est étrangère. Si ce soi-di-ant indiscipliné est, par hasard, un
cérébral
, son état sera méconnu, car les fugues et les i
enons de le démontrer à l'absence d'un filtre capable d'arrêter les
cérébraux
au seuil des conseils de guerre ou de disciplin
de la dure-mère correspondant à la zone rolandique de l'hémisphère
cérébral
gauche, est tapissée par un hématome dur, noirâ
sont aplaties, déprimées, congestionnées. La coupe de l'hémisphère
cérébral
gauche montre un piqueté rouge considérable et
in, congestion et su"-iliitioiisdes poumons; hépérémie des méninges
cérébrales
et des plexus choroïdes. Héma- torachis fort ab
361. Syndrome de d'origine -obstétricale, par Boiiiet, 198. Lobes
cérébraux
. Nouvelles recher- ches sur la formation de la
drome D'EriB. Une observation nouvelle, par Roques, 321. Syphilis
cérébrale
avec lésions éten- dues des uelfs crâniens, par
n- taire dans la sclérose en plaques, par Grasset, 395. Tumeurs
cérébrales
. Deux cas de opérées avec succès et suivis de
n arrachant d'avant en arrière la faux du cerveau. Les deux moitiés
cérébrales
, ou hémisphères, sont séparées l'une de l'autre p
és : les circonvolutions. brissaud. a Schéma 1. — Les hémisphères
cérébraux
vus par leur convexité. F,F, circonvolutions fr
s séparant la région orbitaire de la région temporale; PP, pédoncules
cérébraux
; OLB, bulbe olfactif; OL, n.erf olfactif; Cil, cl
du pont de Varóle ou protubérance annulaire (PV), avec les pédoncules
cérébraux
(PP) qui se portent du pont de Varóle dans l'hémi
cules mamillaires ; GIP, ganglions interpédonculaires; PP, pédoncules
cérébraux
; M0C, nerf moteur oculaire commun, ou troisième p
culaires; et derrière ceux-ci, au fond de l'interstice des pédoncules
cérébraux
(PP), on aperçoit un petit espace perforé (EP) :
t espace perforé (EP) : l'espace perforé postérieur. Les pédoncules
cérébraux
(PP) sont deux grosses masses de faisceaux nerveu
MOC) ou nerf de la troisième paire. Ce bord postérieur des pédoncules
cérébraux
, mal limité, se confond insensiblement avec une t
e une disposition bilobée qui correspond à l'émergence des pédoncules
cérébraux
. Sur la surface de section, on distingue, en avan
ace perforé antérieur, l'autre à la direction des fibres du pédoncule
cérébral
. 1° psp. Bandelette diagonale. Nous avons dit q
uli ou faisceau en écharpe croise obliquement les fibres du pédoncule
cérébral
gauche, vu par sa face inférieure (d'après Féré).
(voy. pl. XXllI, fig. 73, et pl. XXYI, fig. 96). § III Hémisphère
cérébral
. Nous avons rapidement passé en revue les point
il s'agit d'un examen anatomo-pathologique, on étudie les hémisphères
cérébraux
isolément. Presque toutes les parties constituant
est ainsi extraite de la boîte du crâne, on la place sur la convexité
cérébrale
. La région postérieure des hémisphères est cachée
le couteau a traversé le corps calleux, c'est-à-dire lorsque la masse
cérébrale
est complètement divisée, on ne cesse pas pour ce
ibère définitivement. Dorénavant nous n'étudierons que l'hémisphère
cérébral
. L'hémisphère cérébral a la forme d'un demi-ovo
orénavant nous n'étudierons que l'hémisphère cérébral. L'hémisphère
cérébral
a la forme d'un demi-ovoïde, dont la grosse extré
SO, nerf optique; LMV, substance réticulaire d'Arnold; Tlil, trigone
cérébral
ou voi"ite à trois piliers; DF, pilier descendant
nfundibulim; M, gouttière do Monro; trm, trou de Monro; PP, pédoncule
cérébral
; PV, pont de Varole; QA, Lubercule quadrijumeau a
on observe parfois sur les coupes verticales en série. TRI. Trigone
cérébral
. — Delà face inférieure du corps calleux, un peu
ue en s'effîlant comme une lame aplatie, en dehors : c'est le trigone
cérébral
ou voûte à trois piliers, ou fornix. Dans ce traj
sphère, après ablation de la région protubérantielle. PP, pédoncule
cérébral
; GE, corps genouillé externe ; Pul, pulvinar ; N
ganes qui appartiennent à la base du cerveau : on divise le pédoncule
cérébral
d'avant en arrière au niveau même où il pénètre
uil après cette préparation. On voit sur ce schéma que le pédoncule
cérébral
(PP) pénètre dans l'hémisphère au-dessous de la m
lutions; elles n'appartiennent plus au limen. § V Circonvolutions
cérébrales
. Les replis de la surface du cerveau, dont l'en
e. Un de ses derniers mémoires, sous le titre modeste de Nomenclature
cérébrale
résoud toutes les difficultés du problème. Il est
n occipitale. À l'époque encore peu éloignée où les plis du manteau
cérébral
semblaient inextricables à ce point qu'on renonça
. De Blainville entreprit la tâche d'établir la filiation des types
cérébraux
chez les vertébrés; mais il ne l'acheva pas. Grat
en tirer un parti merveilleux : il reconnut d'abord la fixité du type
cérébral
dans les différentes espèces de singes, et démont
érences de volume ou de courbure; en un mot s'il n'existe pas un type
cérébral
humain, en quelque sorte idéal et susceptible d'ê
it-on; on pourrait ajouter autant de conformations et de physionomies
cérébrales
. Nous insisterons plus loin sur ces variations de
est préférable de rechercher encore dans l'histoire du développement
cérébral
les éléments de la schématisation. La date à la
rmelles sur l'âge d'un fœtus d'après l'ordre d'apparition de ses plis
cérébraux
. Le moment auquel il faut rapporter l'état schéma
(PF). § VII Modifications du type schématique des circonvolutions
cérébrales
. Les modifications du type schématique des circ
vons-nous dit, au point de vue morphologique, autant d'individualités
cérébrales
que d'individus : il en est des cerveaux comme de
On s'est attaché beaucoup trop exclusivement à l'étude de la surface
cérébrale
; qu'on ne nous reproche pas un jeu de mots si nou
e; elles sont aussi celles qui s'enfoncent le plus loin dans la masse
cérébrale
. Mais la scissure de Bolando qui, à tous les poin
On a beaucoup écrit et beaucoup disputé sur les causes du plissement
cérébral
. Cette question est encore bien loin d'être éluci
ervalles, réunissent et confondent les lobes. En résumé, la surface
cérébrale
, chez les lissencéphales et chez le fœtus, est co
implique qu'il faut avoir à sa disposition au moins trois hémisphères
cérébraux
; mais quand il s'agit de recherches anatomo-patho
leux ; GC, genou du corps calleux ; SP, splenium ; TRI, trigone
cérébral
; Bf, fente de Bichat; VF, corne frontale (hi
pratique une série de coupes ce, coi'iis calleux ; Tlil, trigone
cérébral
; FI, fimbria ; Fil, l'ascia dentata ; Ilip,
ne de la_corne occipitale). Au-dessous du corps calleux, le trigone
cérébral
se recourbe en avant, en dehors et en bas pour de
dent que la situa- iNC noyau caudé ; Tic, ta'iiia ; P, ])édonculo
cérébral
IKMn'tranL dans la couche optique (CO) ; x, y,
'est pas exactement médian. Au-dessous du corps calleux, le trigonc
cérébral
(TRI), obliquement dirigé en bas et en avant, pas
a face interne du cerveau schématique. Figure 2. Ici l'hémisphère
cérébral
droit a été séparé de l'hémisphère gauche non par
d'une constance à peu près absolue*, destinée au passage de l'artère
cérébrale
antérieure au moment où cette artère quitte l'esp
est bordé, en haut et en dehors, par le pilier postérieur du trigonc
cérébral
ou fimbria (Fi). La concavité antérieure de la fi
corps calleux (sC). conscritcs si l'on cherche à rapporter le type
cérébral
représenté ici au type du cerveau schématique.
la lecture. BRISSAUD. 3 PLANCHE IV FACE EXTERNE DE L'HÉMISPHÈRE
CÉRÉBRAL
Les deux figures de cette planche représentent
onvolution temporale (T'). PLANCHE V FACE INTERNE DE L'HÉMISPHÈRE
CÉRÉBRAL
Les trois figures de cette planclie représenten
de ce que nous avançons. PLANCHE VI FACE INTERNE DE L'HÉMISPHÈRE
CÉRÉBRAL
Les trois hémisphères cérébraux représentés sur
HE VI FACE INTERNE DE L'HÉMISPHÈRE CÉRÉBRAL Les trois hémisphères
cérébraux
représentés sur cette planche sont destinés, comm
deux scissures soit ordinaire : elle est censée appartenir aux types
cérébraux
inférieurs. Le lobe carré se trouve donc divisé p
ment par son milieu ; le cervelet ayant été ainsi détaché de la masse
cérébrale
, une coupe sagittale a été pratiquée sur la ligne
nterne, en respectant soigneusement tout ce qui appartient à l'écorce
cérébrale
. Le couteau passe ainsi (fig. 1) en dehors des tu
oin de regarder de temps à autre en dessous et en dehors du pédoncule
cérébral
, pour s'assurer qu'on ne lèse pas l'écorce du lob
eau de Turck-Meynert est la portion la plus posté rieure du pédoncule
cérébral
. Le pédoncule a été sectionné ici, juste au nivea
FP. Le faisceau pyramidal est la portion moyenne du pied du pédoncule
cérébral
. Il s'enfonce dans l'hémisphère au-dessous d'im n
même. Les deux figures de cette planche représentent des hémisphères
cérébraux
qui, à première vue, s'écartent tellement du type
lques millimètres de surface. Il est rare de rencontrer un hémisphère
cérébral
où les branches antérieures de Sylvius soient à c
les préparations dont il s'agit proviennent toutes du même hémisphère
cérébral
. Cet hémisphère a été choisi à dessein parmi le
scissure calcarine, s'enfonçant à une grande profondeur dans la masse
cérébrale
, réduit l'espace vide aux proportions et à l'aspe
quente d'ailleurs, pour la différentiation des faisceaux de la région
cérébrale
postérieure. Il est donc de beaucoup préférable
n arrière le système des faisceaux antéro-postérieurs de l'hémisphère
cérébral
. Cette étroite fusion de fibres qui étaient dis
I, fig. 1 et 2), s'enfonce à une grande profondeur dans la substance
cérébrale
; la couche corticale qui le revêt arrive ainsi p
rejoindre. Cela fait que le lobe carré semble n'être relié à la masse
cérébrale
que par un pédicule limité à droite et à gauche p
errompt les rapports profonds de ce sillon, sauf en cas d'anomalies
cérébrales
tout à fait monstrueuses. Ici, en effet, on peut
e la couche optique, en bas au-dessous du noyau caudô et du pédoncule
cérébral
. Elle s'allonge également dans le sens latéral, o
face inférieure du corps calleux, est le pilier postérieur du trigone
cérébral
ou fìmbria (FI). Sur une coupe plus antérieure, o
ique (Th), est le prolongement antérieur et médian de la grande fente
cérébrale
de Bichat. Cavité ventriculaire Outre ce qui
e et externe du corps calleux : c'est le pilier postérieur du trigone
cérébral
. Le tronçon inférieur, coupé perpendiculairement
orrespond au corps calleux proprement dit, et l'inférieure au trigone
cérébral
. CO. Le faisceau sensitif du centre ovale manif
-protubérantielle, où l'on voit, à la partie postérieure du pédoncule
cérébral
gauche (PP), la bandelette optique (BO) se contin
venues de la couche optique, du corps genouillé et même du'pédoncule
cérébral
. TRO. Le tractus opticus zonalis, dont nous rep
du fasciculus retroflexus. PV, pont de Varole ; PP, pied du pédoncule
cérébral
; QA, QP, tubercules quadrijumeaux ; Pul, pulvina
hir dans la paroi externe du ventricule sphénoïdal. TRI. Le trigone
cérébral
(fig. 68) diminue de largeur. H forme une mince l
arrière, comme nous l'avons antérieurement observé. TRI. Le trigone
cérébral
(fig. 77) perd de plus en plus de sa largeur; i
de passage fronto-lim-bique (7:F). La complexité plus grande des plis
cérébraux
à ce niveau entraîne toujours un renforcement des
dehors en dedans, entre le corps calleux (ce, fig. 80) et le trigone
cérébral
, de telle sorte que ce dernier commence à se pédi
re de chaque côté de la ligne médiane, juste au-dessus des pédoncules
cérébraux
dont ils sont séparés par la Projection horizon
direction d'une coupe perpendiculaire au plan antérieur du pédoncule
cérébral
, et permettant toujours de sectionner le noyau ro
re en faisant une section vertico-transversale au milieu du pédoncule
cérébral
(schéma 118). C'est à partir de la figure 83 qu
rouge de la calotte (NR). PV, pont de Varole ; PP, pied du pédoncule
cérébral
; LN, locus niger de Sœmmering ; Pcs, pédoncule c
es fibres du faisceau longitudinal inférieur (FLl). TRI. Le trigone
cérébral
(fig. 80) s'isole du corps calleux par une incisu
la couronne rayonnante l'ensemble des fibres qui passent du pédoncule
cérébral
dans la capsule interne, au niveau même où le péd
couronne rayonnante du noyau caudé (RNC, fig. 88). TRI. Le trigone
cérébral
n'est plus relié au corps calleux que par un minc
l'étage supérieur, PV. Le pont de Varole;, PP, le pied du pédoncule
cérébral
; LN,locus niger de Sœmmering. VM, le ventricul
u noyau caudé, à l'extrémité externe du corps calleux, que les fibres
cérébrales
présentent l'intrication la plus compliquée. C'es
st par la capsule interne qu'il entre en rapport direct avec l'écorce
cérébrale
. Plus en avant (fig. 94), il envoie dans le noyau
ricule sphénoïdal. ce. Corps calleux (voir pl. XXY). TRI. Trigone
cérébral
(voir pl. XXV et XXVll). FSe. Le faisceau sensi
oncule cérébelleux supérieur renferme des fibres destinées à l'écorce
cérébrale
, c'est évidemment dans le faisceau cérébello-thal
ris, RFP). Leur rôle consisterait à mettre en rapport direct l'écorce
cérébrale
avec les noyaux moteurs de l'œil à travers la cap
ttre les rapports du faisceau longitudinal postérieur avec la surface
cérébrale
. La radiatio fasciculi posterions sert de trait d
e Le corps calleux, fig. 98 (voy. pl. XXIV et XXV). TRI. Le trigone
cérébral
, fig. 98 (voy. pl. XXIV et XXV). FSe. Le faisce
es différentes parties de leur surface. Il n'est pas jusqu'à l'écorce
cérébrale
elle-même (sorte d'épanouissement de la substance
devant de la protubérance, la coupe n'intéresse plus que le pédoncule
cérébral
(fig. 106, 107, 108), où l'on reconnaît deux étag
du trajet de la lamina tegmenti, le long du bord interne du pédoncule
cérébral
. Lorsque, après avoir dépouillé très soigneusemen
erforé postérieur, on écarte doucement l'un de l'autre les pédoncules
cérébraux
, on voit parfois saillir en arrière des tubercule
ajet de l'anse du noyau lenticulaire, lorsqu'elle quitte le pédoncule
cérébral
pour s'insinuer sous le noyau lenticulaire du cor
ganglions, dans la couronne rayonnante, probablement jusqu'à l'écorce
cérébrale
. A sa partie inférieure le faisceau capsulairc
acine inférieure du thalamus (ThI). ce, corps calleux ; TR, trigone
cérébral
; DF, pilier descendant de la voûte aboutissant a
éral; Bf, fente de Bichat; YC, ventricule de la cloison; TRI, trigone
cérébral
; ce, corps calleux ; NC, noyau caudé ; PUT, puta
Le corps calleux (fig. 104). Voy. pl. XXIV et XXV. TRI. Le trigone
cérébral
(fig. 104). Voy. pl. XXIV et XXV. FSe. Le faisc
Azyr considérait comme le prolongement du pilier antérieur du trigone
cérébral
, et qui va, d'une façon évidente, se terminer à
res de la couronne rayonnante du noyau caudé (RNC). TRI. Le trigone
cérébral
(fig. 114) n'est plus relié au corps calleux que
en dedans, de façon à former le faisceau le plus interne du pédoncule
cérébral
, limitées en dehors par le faisceau géniculé. S
reconnaît l'espace perforé aux incisures vasculaires de la substance
cérébrale
, en dehors de la bandelette optique (BO). Ici enc
gion antérieure du noyau caudé (NC). ce, corps calleux ; TRI, trigone
cérébral
; Th, couche optique ; R.NC, couronne rayonnante
la tête du corps strié (voy. pl. XXXIII, fig. 155). TRI. Le trigone
cérébral
(fig. 118, 119, 120), ramassé sur lui-même, ne se
sus de la pénétration des artères lenticulo-striées dans la substance
cérébrale
. A ce niveau, d'autre part, la capsule externe se
x (fig. 125, 124, 125, 126) (voy. pl. XXX, p. 585). TRI. Le trigone
cérébral
(fig. 122, 125) se confond avec le pilier descend
t dit (PEL, fig. 151), elle s'enfonce à la partie externe de l'écorce
cérébrale
en dehors du scptum pour former la capsule extern
ps calleux de l'hémisphère gauche. ce, corps calleux ; TRI, trigone
cérébral
; ROS, rostrum; CA, commissure antérieure; ps
L'hémisphère est relié à la protubérance (fig. 1) par le pédoncule
cérébral
(PP), qui s'avance de dedans en dehors et d'arriè
ubercule quadrijumeau antérieur forme à la surface même de l'isthme
cérébral
, la paroi interne de la fente de Bichat. Il se po
échit en dedans et en haut et, s'insinuant dans le sillon de l'artère
cérébrale
antérieure, va mourir à la face interne du gyrus
l'insula, pied de l'insula. PO. Pôle occipital. PP. Pied du pédoncule
cérébral
. pP\ Pied de la deuxième circonvolution pariétale
eau en écharpe (Féré). TRII. Triangle de l'habénule. TRI. Trigone
cérébral
, voûte à trois piliers fornix. trm. TroudeMonro
tale (troisième circonvolution), (F-')............ 9 H Hémisphère
cérébral
.................... i Habénule, habena (HAB)...
temporale transversale (pTt). . ,......... l, 12 Pied du pédoncule
cérébral
(PP).......... . iv, 265, 4ol Pied du petit hip
515 Triangle sous-calleux (TSC)...........Lxxxn, 59, 179, Trigone
cérébral
(TRI)................... xxj Trou borgne {TB)..
l'emplacement de la selle turcique est très abaissé et que la fosse
cérébrale
moyenne se trouve à peu près au même niveau que
iqué est la trépanation décompressive. De même que dans les tumeurs
cérébrales
, la ponction lombaire peut être directement nuisi
mes, comme elles se rencontrent souvent dans les cas d'hypertension
cérébrale
. Elles ont été observées chez des oty- céphales
ais- seaux qui partent de la moitié antérieure du cercle de Willis (
cérébrale
anté- rieure et sylvienne) ont un calibre exces
e a été décrit par le professeur Weber dans certains cas de tumeurs
cérébrales
(2). Quel peut être le mécanisme de celte augme
us semble intervenir : c'est la différence d'épais- seur du manteau
cérébral
suivant les régions. L'augmentation de pres- si
r sur la table interne au maximum dans les endroits où la substance
cérébrale
est la plus étroite et offre donc la moindre ré
ervelet. C'est dans les diamètres a et i que la couche de substance
cérébrale
est de beaucoup la plus étroite et constitue en
s fosses moyennes). Dans toutes les autres directions, la substance
cérébrale
est plus épaisse; les impressions cor- responda
avant par le sinus coronaire. Quant aux artères, la sylvienne et la
cérébrale
antérieure sont très minces des deux côtés ; ce
avoir comment il agit. Ici nous rappellerons que certains vaisseaux
cérébraux
ceux de la moitié antérieure nous frappèrent pa
impressions digitées correspond à l'épaisseur la moindre du manteau
cérébral
et de la boîte crânienne ; 4° L'oxycéphalie, en
urs ; 5° L'oxycéphalie est peut-être en rapport avec une croissance
cérébrale
irrégulière, périodique et n'intéressant pas si
ade succombé dans' un étal de cachexie extrême. Aulopsie : L'écorce
cérébrale
ne montre que' les altérations à caractère aigu
sur certains malades atteints d'épilepsie idiopathique t'hyperémie
cérébrale
suivant la méthode de Bier, je n'ai pu obtenir
e je le relate plus bas, je ne me suis plus servi de l'liy- perémie
cérébrale
dans mes expériences. D'ailleurs il est plus co
i donc essayé de provoquer par la pression des carotides une anémie
cérébrale
instantanée afin d'obtenir par ce moyen une altér
autant que possible la brusque altération circulatoire à la région
cérébrale
nourrie par les carotides. Chez les épileptique
e étude, j'avais l'altération fonctionnelle hystérique sur l'écorce
cérébrale
, de laquelle altération dépendent tous les symptô
cé en arrière et en dedans. Dans la face inférieure de l'hémisphère
cérébral
droit existe une cavité où était le néoplasme,
difficile. C'est ici la même chose : B... a conclu à une méningite
cérébrale
, mais Ross et Bury regardent le cas comme une p
hocytose. Auparavant, une période avec les symptômes d'une syphilis
cérébrale
. Après deux mois, presque guéri pendant un trai
eux cas de Buzzard me semblent être des cas assez nets de méningite
cérébrale
. Le cas de Stiefler n'est pas une polynévrite m
pro- cessus morbides de nature syphilitique localisés aux méninges
cérébrales
. Mais, en ce cas, il est évident que les symptô
x ou cordons postérieurs ; elle s'étend parfois aussi à la cortical
cérébrale
. De sorte que la « myélite syphilitique amyotroph
s d'intéresser de façon générale un tronc nerveux ou ses ori- gines
cérébrales
, mais encore par presque toutes les lésions auric
ature ? Nous éliminerons facilement la paralysie faciale par lésion
cérébrale
.. Dans ces conditions, le facial supérieur est
cation n'a plus de valeur quand il s'agit d'une diplégie. La lésion
cérébrale
susceptible d'amener une paralysie faciale siège
eux neurones centraux des mouvements de la face. Dans la sclérose
cérébrale
il y a parfois diplégie faciale, mais jamais ce
culaire qui ne se rencontrent jamais dans les paralysies d'origine
cérébrale
. Seule persiste l'hypothèse d'une atteinte des
ns lequel il y avait une dispo- sition anormale des circonvolutions
cérébrales
. ' e) Théorie toxique. Dans cette théorie, le s
a remémoration, de l'évocation des souvenirs et des idées. L'effort
cérébral
est pénible comme l'effort musculaire ; si le mal
éressant à ce point de vue de comparer l'histoire de deux diplégies
cérébrales
infantiles, dont l'une représente un cas d'apha-
t le signe de Babinski est positif. Notre diagnostic est : Diplégie
cérébrale
de cause spécifique remontant à la vie intra-ut
ire est resté très restreint. Nous attribuons ce fait à la diplégie
cérébrale
. Il est,probable que les deux circonvolutions d
ire à l'école. F Observation II. Dysarthrie spasmodique. Diplégie
cérébrale
- . avec athétose et mouvements claoréiformes (
s membres supérieurs. Il s'agit donc, dans ce cas, d'une diplégie
cérébrale
bien caractérisée, quoi- qu'il manque quelques
de l'enfant. Nous pensons que la maladie 'est due à une hémorragie
cérébrale
ou méningée provoquée par la compression du cou
mai 1907. 3. Ernest GAunAn. Conlrilution à l'étude de l'hémiplégie
cérébrale
infantile. Thèse de Genève, 1884. - ' 4. IIIe
is. Berlin, 1902. SUR LA SYMPTOMATOLOGIE DES TUMEURS ET DES ABCÈS
CÉRÉBRAUX
. CONSIDÉRATIONS SUR LE CEN- TRE CORTICAL DE LA
ît les difficultés qu'on a à déterminer la localisation des tumeurs
cérébrales
et aussi leur nature. Le cas de la malade dont
ce du 26 février 1916. * SYMPTOMATOLOGIE DES tumeurs ET DES abcès
cérébraux
307 Le 15. - Fièvre à 39°. L'assistant constata
d les 27 et 28 janvier 1 z SyMPTOMATOLOGIE DES TUMEURS ET DES ABCÈS
CÉRÉBRAUX
309 5o Céphalée depuis le commencement delà mal
. Fm. 2, - Coupe IX 300. SYMPTOMATOLOGIE DES TUMEURS ET DES ABCÈS
CÉRÉBRAUX
311 vaisseaux de néoformation. Les noyaux sont
ence d'un sarcome ? . - Nous devons faire remarquer que les tumeurs
cérébrales
ne donnent pas des réactions d'après leur grand
inflammatoires plus ou moins intenses qui atteignent la ' substance
cérébrale
environnante. Sur une malade opérée, il y a deu
ntre cortical et que les mômes phénomènes produits dans deux points
cérébraux
éloignés n'aient pas d'autre signification qUj3
obable de la tumeur. Collusion. 1° La symptomatologie des tumeurs
cérébrales
peul,^dans certains cas, être semblable à celle
érébrales peul,^dans certains cas, être semblable à celle des abcès
cérébraux
. 2° La déviation conjuguée,des yeux et de la tè
est très fréquent, et depuis longtemps reconnu, que les hémorragies
cérébrales
pures, où le foyer se trouve la surface de l'hé
foyer se trouve la surface de l'hémisphère, traversent la pie-mère
cérébrale
particulièrement mince et peu résistante, pénèt
" * SUR LES HÉMORRAGIES MÉNINGÉES ' 315 Ces formes d'hémorragies
cérébrales
, qui sont caractérisées par un foyer. pénétrant
pie-mère est ici beaucoup plusépaisse et résistante que la pie-mère
cérébrale
, et en partie de ce que les hémorragies superfici
chronique avec urémie. Hémor- ragie sous-arachnoïdienne (Hémorragie
cérébrale
) ? `t '- - 311) INGVAR Diagnostic pathologiqu
caillots de sang entourent complètement le commencement de l'artère
cérébrale
moyenne droite, la communicante postérieure droit
ions se sont révélées très fermes et fixées. Au sondage de l'artère
cérébrale
moyenne avec une sonde fine, on n'a pas réussi à
spéciale a été donnée aux petits vaisseaux, qui partent de l'artère
cérébrale
moyenne et postérieure, et qui 'se perdent dans
ique droite, pour s'étendre dans les autres parties de la substance
cérébrale
, et on n'a pas trouvé non plus d'épanchement san-
dehors de l'épanchement. Aucune autre altération dans la substance
cérébrale
. Aux coupes transversales, pratiquées dans la r
sans rien à signaler. , 1 Dans une coupe longitudinale de l'artère
cérébrale
moyenne droite, on a constaté sur un espace d'e
erne. ' , A un examen microscopique plus approfondi de la substance
cérébrale
et de ses vaisseaux sanguins dans le voisinage
morragique de la scissure olfactive, des déchirures de la substance
cérébrale
avec des masses'de globules de sang répandus dans
rale avec des masses'de globules de sang répandus dans la substance
cérébrale
'ou agglomérés dans les vaisseaux lymphatiques au
ée. Mais ce fait est compensé par l'observation faite dans l'artère
cérébrale
moyenne droite de la cicatrisation de l'endarlère
le processus arlérioscléreux a continué son action dans les artères
cérébrales
de la patiente,' et une nou- velle irruption, a
ès le premier réveil, rappelle celle qui survient lors d'une tumeur
cérébrale
. Elle était tout à fait orientée et répondait cla
pait des méninges, une infiltration sanguinolente de la subs- tance
cérébrale
, environ de la grosseur d'une noisette. Cet endro
es de la partie arrière de la scissure calca- rine). La substance
cérébrale
du reste sans particularité. Le crâne sans rien à
ite correspondait à une infiltration hémorragique dans la substance
cérébrale
de la grosseur d'une noisette. Une infiltration
Diagnostic clinique : Néphrite chronique interstitielle. Hémorragie
cérébrale
. Diagnostic pathologique anatomique : Artériosc
ic pathologique anatomique : Artériosclérose. Auévrisme de l'artère
cérébrale
moyenne gauche avec hémorragie méningée sous-arac
caillot presque de la grosseur d'une noix, gisant dans'ta substance
cérébrale
à la pointe du lobe temporal. Là-dessus, l'encé
é dans du formol. On dissèque avec beaucoup de précautions l'artère
cérébrale
moyenne gauche. Alors on a trouvé que la partie
l'extrémité du lobe temporal, se détache nettement de la substance
cérébrale
bien conservée. Du reste, l'encéphale et son sy
é de chemin de fer, âgé de 37 ans. Diagnostic clinique : Hémorragie
cérébrale
. Diagnostic pathologique anatomique : Anévrisme
rébrale. Diagnostic pathologique anatomique : Anévrisme de l'artère
cérébrale
moyenne droite avec perforation et hémorragie c
de l'artère cérébrale moyenne droite avec perforation et hémorragie
cérébrale
ventriculaire. Entré le 27 mars 1915. Le pati
HÉMORRAGIES MÉNINGÉES (51'CII Ingvar.) CI. Sonde dans l'-ii-tèt
cérébrale
moyenne. b ? nW r·snte. c. I" : P,111Chl'lI1l.11t
s de la base du crâne du cerveau sans sclérose. Les circonvolutions
cérébrales
sont toutes très fortement aplaties. 328 - INGV
peu plus humide. De plus, on trouve l'une des branches de l'artère
cérébrale
moyenne droite, qui monte vers les ganglions fo
ations III et IV sont ici reproduites comme exemples d'ané- vrismes
cérébraux
, donnant par leur rupture des hémorragies méningé
e trouve à l'endroit ordinaire... dans une des branches de l'artère
cérébrale
moyenne. Il donne un épanchement considérable s
ent considérable sanguin, qui dilacère. secondairement la substance
cérébrale
et pénètre dans le ventricule laté- ral. Les de
on connaît depuis long- temps comme caractéristique des hémorragies
cérébrales
ventriculaires. SUR LES HÉlIlORIlAGmS MÉNINGÉES
ue le patient a subie à 14 .ans, fait conclure à un état infectieux
cérébral
très grave, une méningo-encépllalite aiguë. Les
tion, par rétraction ou de quelque autre manière, a excité l'écorce
cérébrale
et causé les attaques épileptiques. Ce patient
après les efforts musculaires (danse) fait croire à une hémorragie
cérébrale
. L'absence de raideur dans la nuque, les contra
l'hémorragie. Comme traces non équivoques de la maladie infectieuse
cérébrale
que le patient a subie à 14 ans, nous trouvons
he une cicatrice de forme kystique, autour de laquelle la substance
cérébrale
montre des signes de" ramollissement dans une l
a rupture d'un vaisseau, pas trop petit. Il s'ensuit une hémorragie
cérébrale
, qui déchire la substance de l'encéphale et, en
e étiologique le plus important dans les hémor- 339 INGVAR ragies
cérébrales
ordinaires, ont la plus grande importance pour la
'importance de l'artériosclérose pour la production de l'hémorragie
cérébrale
ordinaire. On a attribué à la syphilis aussi un
emps une barrière contre les ruptures. · Les anévrismes des artères
cérébrales
ne sont plus en général regardés comme dus à l'
maire, ou à une secondaire, causée par hémorragie dans la substance
cérébrale
. Il n'y a que les cas qui ontété vérifiés à l'a
tatis- tique de Gowers, comprenant 653 observations de l'hémorragie
cérébrale
, on en trouve. 22. 0/0 qui sont apparus avant t
âgés des hémorragies dans la substance xxvm 23 334 .1 INGVAR..
cérébrale
. Ceci ne me semble pourtant pas être un obstacle
dans la discussion étiologique mise en parallèle avec l'hémorragie
cérébrale
. - Quant aux causes des hémorragies méningées,
ouvé à l'au- topsie des altérations athéromateuses dans les artères
cérébrales
. Une rup- ture de l'endartère guérie, très nett
sidération de cela, la trouvaille d'une artériosclérose des artères
cérébrales
était assez inattendue à t'age de la patiente,
sclérose chez les individus âgés pour la production'de l'hémorragie
cérébrale
, il me semble tout vraisemblable qu'un nombre,
es, Wegelin a trouvé des ruptures spontanées fréquentes des artères
cérébrales
. Les hémorragies méningées qui se présentent ch
ie ordinaire. - Selon que l'hémorragie se produit dans les méninges
cérébrales
ou spinales, on trouve une image variante de la
trouve une image variante de la maladie avec des symptômes surtout
cérébraux
ou radiculaires. Du reste, les symptômes se divis
agie cérébro- méningée, c'est-à-dire d'une hémorragie dans la pulpe
cérébrale
, qui s'est propagée aux méninges. r Toutefois
irritation ou de perte de fonction, si elle atteint une des régions
cérébrales
non sourdes. Ainsi, il est permis de supposer q
à un épanchement assez grand, tandis que dans les cas d'hémorragie
cérébrale
l'épanchement sanguin n'est, dans cer- taines l
émorragie méningée est primaire ou secondaire (due à une hémorragie
cérébrale
primaire). A ce sujet, il faut étudier à fond 3
u'il s'agit de distinguer chez les sujets âgés entre une hémorragie
cérébrale
pénétrée dans l'espace sous- arachnoïdien et un
ori, il semble curieux qu'une opération qui, à la pure hémorra- gie
cérébrale
, est jugée dangereuse et amenant de grands risque
ues qui permettent de nous former une opinion exacte de la pression
cérébrale
pendant le processus héntafo- lytique. Les aute
ans doute, on a le droit de'comparer, l'exacerbation de la pression
cérébrale
et les symptômes tardifs d'irritation méningitiqu
ment des caractères sexuels secondaires. Parmi les signes de tumeur
cérébrale
, la céphalée, diffuse, souvent accompagnée de d
t accusé par le populaire de produire toutes sortes de dérangements
cérébraux
. On l'appelait aussi avertin (de vertere, tourn
cérébelleux, 196. Sur la symptomatologie des tumeurs et des abcès
cérébraux
. Le centre corti- cal de la déviation conjuguée
- que plus prononcée à gauche. Nodosités crétacées de la pie-mère
cérébrale
et cérébelleuse. - Sclérose atrophique 1 de tou
brale et cérébelleuse. - Sclérose atrophique 1 de tout l'hémisphère
cérébral
gauche. Atrophie croisée du cerveau et du cerve
e. Il en est de même du tu ercule mamillaire gauche. Le pédoncule
cérébral
gauche est plus petit et moins bombé que le dro
it est normal), et de ses cornes, la face interne de l'hémisphère
cérébral
gauche est affaissée. (PL. II.) La moitié gauche
pie-mère droite. Indurations crétacées d'un fragment de la pie-mère
cérébrale
et cérébelleuse à droite. Épaississement 1 nota
t 1 notable du crâne à gauche. Inégalité de poids des hémisphères
cérébraux
de 200 gr.. Pas de granulations tuberculeuses.
céphale présente une très-grande inégalité de poids des hémisphères
cérébraux
, le gauche pesant 200 gr. de moins que le droit
de la bande- lette optique, du tuhercule mamillaire, du pédoncule
cérébral
, du corps strié, de la couche optique et de la
hère gauche, croisée, par conséquent, par rapport à l'iné- galité
cérébrale
. VI. Il s'agissait, en somme, d'une épilepsie p
ce, avoir été liée aux lésions do méningite plutôt qu'à la sclérose
cérébrale
. La sclérose atrophique avait déterminé une iné
avait déterminé une inégalité de poids considérable des hémisphères
cérébraux
. Et cette inégalité avait entraîné à son tour,
sissement considérable de la calotte crânienne du côté de la lésion
cérébrale
, sans qu'il y ait eu, d'ailleurs, augmentation
n peut vérifier en comparant la face iuterne des deux hémisphères
cérébraux
. (PL. VII et IX.) Avec l'inégalité de poids des
es-rendus de la section des enfants, que dans les cas d'inégalité
cérébrale
cette coïncidence est un peu plus fréquen- te q
, est dû a une méningo-encéphalite limitée à l'un des hémisphères
cérébraux
ou prédominant un degré prononcé sur l'un des h
aberrantes superficiel- les 1)osté*o-extei-ies du pied du pédoncule
cérébral
, ou 2)es leit- Archives, 2- série 1905, l. XIX.
rlic la dé- générescence du faisceau ly ramitlal, dans le pédoncule
cérébral
, la protubérance, le bulbe ; elle présente les
ule interne est surtout dégénérée dans les points où les pédoncules
cérébraux
commencent à se dévelop- per (mottes de myéline
système nerveux central, et avant tout sur l'écorce des hémisphères
cérébraux
; il s'en est suivi une de- cneance des libres
il la confusion mentale, à la démence sénile, à l'artério-sclérosc
cérébrale
, aux tumeurs cérébrales, la syphilis cérébrale, l
e, à la démence sénile, à l'artério-sclérosc cérébrale, aux tumeurs
cérébrales
, la syphilis cérébrale, la pa- ralyiu générale,
à l'artério-sclérosc cérébrale, aux tumeurs cérébrales, la syphilis
cérébrale
, la pa- ralyiu générale, à la polioencéphalite
illes : 3 types. On ne pourrait la confondre qu'avec de la diplégie
cérébrale
, assez rare, affection familiale qui s'accompag
maladies nerveuses ou mentales très diverses : arll'rio ? c1l'rose
cérébrale
, mélancolie, neurasthénie, folie obsé- dante, h
CIÉTÉS SAVANTES. se présente chez des individus en état de fatigue,
cérébrale
et doit s'expliquer par une altération de la pe
a pas apporté à son e- prit le calme désiré. Peu a peu l'excitation
cérébrale
a pris des proportions de plus en plus furies,
e père parait indemne, mais son frère est mort à 45 ans d'accidents
cérébraux
. La mère est névropathe. De leurs six en- l'tit
itale. L'expérimentation a démontré qu'il existe, dans le manteau
cérébral
, des centres des besoins et des appétits et en
n d'idées relatives aux fonctions sexuelles. Au dessous de l'écorce
cérébrale
existent une série d'or- (1) Des centres cérébr
sous de l'écorce cérébrale existent une série d'or- (1) Des centres
cérébraux
dirigeant l'érection du pénis et l'activité des
ourut 8 jours après son hospilali-alion, par suile d'une congestion
cérébrale
, Gel individu était lils unique d'un père qui a
du 1'2 février au 11- mars 1897, IaLe de sa mort par ramollissement
cérébral
. (Jetait a son entrée un dément sénile, avec ex
rte moins d'un mois, étant morte le 1 juiu, par suite de connestion
cérébrale
. L'autopsie ne. put ette pratiquée, en raison d
ouvait son père, dé- ment sénile, mort il l'asile de ramollissement
cérébral
, 102 RECUEIL DE FAITS. et que, du côté de la
eurs également retrouvée dans l'évolution morbide des acci- dents
cérébraux
, puisque le mari mourut paralytique un peu plus
sieur qui a toujours eu une vie monotone, indemne de toulo tension
cérébrale
. haut-il, pour expliquer cette paralysie généra
(Xeurolog. Centralblatt, XXH1, l'JU4.) L'animal privéde son écorce
cérébrale
conserve le mécanisme brut de tous <<es m
ivo constaté l'existence d'une papille étranglée dans une alreclion
cérébrale
, M. Kam- lllierstein a relevé la dilatation du
sie seule dans un de ces cas démontra une néphrite sans altérations
cérébrales
. Même remarque pour l'intoxication saturnine. De
est pas aussi al'ceuLnée qu'elle l'1'5L dans la papille {'Lmn- glée
cérébrale
typique. Il est manifeste que le processus a élé
nt les yeux en dedans ; les impulsions parties des deux hémisphères
cérébraux
doivent en même temps se porter sur l'un el l'a
r- gence. P. 11ERAV : 1L. XXVI. De la région visuelle de l'écorce
cérébrale
et de ses rapports avec les muscles des yeux; p
connaissances sur le rôle de la partie postérieure' des hémisphères
cérébraux
. De la de nouvelles recherches physiologiques s
s trois états, c'est le déséquilibre, la dissociation de l'activité
cérébrale
. Si bien que le caLnLoni.mu lcuL être considéré
eSSi\ClIll'nl dans l'échelle animale, de la moelle jusqu'à l'écorce
cérébrale
; bulbo-médullaire chez la grenouille verte, bulb
que l'introduction dans le foyer de l'énergie psychique d'un groupe
cérébral
déterminé, exercera une act)0)ie.\tincH\e;e ! ! e
présenté d'interruption dans les fonc- lions sexuelles. Les lésions
cérébrales
microscopiques constatées chez le catatonique n
faut faire exception dans les méningites aiguës et dans les tumeurs
cérébrales
où l'on a vu des accidents mortels. Puis il ind
t, le diplocoque, le bacille de l'influenza ; 4° tumeurs et abcès
cérébraux
: il faut éviter la ponction lombaire dans les ca
équence des éosinophiles dans la sclérose en plaques el la syphilis
cérébrale
; 7° hydrocéphalie chronique, abondance du liqu
sant connaître le ré- sulLaL de l'examen 111SLC101(lUl; de l'écorce
cérébrale
qu'il a fait, pal' la méthode de Ilal1lnn y Caj
use. Lesmouvemenlschoréïques dus vraisembla- blement à une sclérose
cérébrale
légère ont entretenu des con- tractions muscula
IH'nl, supprimé les accès paro- 1)( même, dans l'insomnie d'origine
cérébrale
, par préoccupations mentales, celle narcose cou
ate préside au symptôme, une modification directe de la cel- lule
cérébrale
sous l'action d'un toxique présumé, condi- tion
a faveur d'une action directe d'un toxique présumé sur les cellules
cérébrales
, action dont les effets immédiats ont dû rétroc
MENTALE. mol, derrière son agitation, un profond engourdissement
cérébral
, en dépit de l'activité apparente. Cet état tran-
ur d'une action directe d'un principe modificateur sur les cellules
cérébrales
, ac- tion d ailleurs susceptible de rétrocéder
hasie motrice, de l'hémiparésie droite. Un trouve dans l'hémisphère
cérébral
gauche un gros foyer de ra- REVUE D'ANATOMIE ET
és en dedans du faisceau pyramidal proprement dit dans le pédoncule
cérébral
. P. KERAVAL.. XLVM1. Contribution à la conser
tre les modifi- cations que le malade présenterait durant un effort
cérébral
et les variétés de composition de l'urine penda
ues, maille tableau clinique. P. Keraval. XXXVIII. -Des symptômes
cérébraux
dans la carcinoma- tose ; par A. SAENGER, (Neu1
ement nombreux examinés par l'auteur, il résulte que les s\ mplômes
cérébraux
de la 2liathèe cancéreuse sont de deux ordres p
incipaux : 1° d'ordre général ; 2° d'ordre spécial. Les symptômes
cérébraux
d'ordre général se manifestent par le 244 REVUE
es troubles sont probablement de nature toxique.. , , Les symptômes
cérébraux
spéciaux, ou symptômes de lésions en foyer se t
néoplasmes métastatiques. 11 peuty avoir combinaison de symptômes
cérébraux
de nature générale et de symptômes cérébraux de
mbinaison de symptômes cérébraux de nature générale et de symptômes
cérébraux
de nature spéciale...) P. KERAVAL. XXXIX. Mut
de l'Idiotie simple comparée àl'étiologie de la paralysie infantile
cérébrale
; par le D1' W. KOENIG, de Dulldorf. (lllfena.
on, de la vision, etc..., soit par la lenteur de leur développement
cérébral
. Ces enfants alv piques sont anormaux ; en puis
uloureux et il se produisit de l'inégalité pupillaire. Hémiplégie
cérébrale
infantile. il. Faure-Beaulieu montre un malade
donnant ainsi lieu à des hallucinations unilatérales. L'hémisphère
cérébral
droit, qui commande le côté gauche du corps, lé
xcitation du noyau après ablation couche par couche de l'hémisphère
cérébral
du chien détermine : la tension tonique des mus
ulum, et ne touchant pas à la base de la protubérance, au pédoncule
cérébral
. 11 s'agissait d'un tubercule solitaire. Ce mal
ie des vertébrés des voies conductrices et îles centres de l'écorce
cérébrale
. Il montre comment celle-ci apparaît chez les v
ules nerveuses de la moelle épinière. Il, C. LXXX. Un cas de tumeur
cérébrale
à forme psycho- paralytique ; par Cornu. (1\'oL
a mois et ayant présenté à côté des b) mptômes généraux des tumeurs
cérébrales
, les signes de la dé- mence parais tique el un
, des hallucinations, des illusions, c'est un véritable automatisme
cérébral
, un rêve. Marandon de : \IollL)el insiste sur l
ésordres mentaux variés, paresthésies, congestions et, hemorrhagies
cérébrales
, la perversion sexuelle alternant avec des accè
'un accès de colère, elle subit par action réflexe de la congestion
cérébrale
généralisée ; mais le choc agit à l'excès sur l
ie fonctionnelle, soif tlue le aamlrmne ait lieu sans aucun trouble
cérébral
, soif (pic des troubles cérébraux précèdent ou
mlrmne ait lieu sans aucun trouble cérébral, soif (pic des troubles
cérébraux
précèdent ou suivent l'atta(me. Deux autres obs
it des élé- ments étrangers dans le tableau clinique de la syphilis
cérébrale
. P. Keraval. LXV. De l'angoisse dans l'hystér
nir de déci- der pourquoi. 1. 11BRA\'.1L. LXVlll. De la méningite
cérébrale
; par .\, .'1. Lievvkovvskv. co&o ? c;)t0.s
ulée ! laformeaiguo. La morl sun ienlle plus souvent par congestion
cérébrale
. - Dans un second chapitre, l'auteur rapporte 2
e de l'observa- teur uniquement préoccupé le ta recherche des tares
cérébrales
dégénérât i vos. Comme les psychoses par épui
, nous les condamnons, sous je ne sais quel prétexte de gymnastique
cérébrale
, à l'étude de la mort. (1) Yves Délace. L'hér
les métamères sous-encéphaliques sont rare- ment touchés, l'écorce
cérébrale
l'est presque toujours. Ce défaut de développem
és,et surtout les dégénérés moyens et supérieurs, c'est l'asymétrie
cérébrale
. Cette asymétrie, qui a pour conséquence la dés
parties antérieures. P. KERAVAL. LXXXV1. Sur un cas d'hémorrhagie
cérébrale
avec inon- dation ventriculaire chez un enfant
nte. Infarctus rénaux, infarctus suppuré de la rate. Ramollissement
cérébral
à gauche par embolie de la sylv ienne. Hémorrha
ssement cérébral à gauche par embolie de la sylv ienne. Hémorrhagie
cérébrale
à droite avec inondation ventriculaire. Il s'ag
aire. Il s'agit dans ce cas, d'après les auteurs, d'une hémorrhagie
cérébrale
d'origine emboliqne. On sait actuel- lement, de
férieur de la rate prouvent l'origine embolique tle l'lumor l'hagie
cérébrale
. Ce cas est intéressant moins pour sa rareté an
à la démonstration delà véritable signi- licalion de l'bemorrhagie
cérébrale
. G. Carrier. LXXXVIl. Un cas de cancer primitif
XXVI11. Coexistence d'un rétrécissement mitral et d'une hémorrhagie
cérébrale
, par MM. LECLERC et r.EUTTJ : R,(Soci ? tif méd
. des hôp. de Lyoo, 15 nov. 1904.) La coexistence d'une hémorrhagie
cérébrale
et d'un rétrécisse- ment mitral est exceptionne
poussée endocardique aiguë ousubaigue, on peut voir une hémorrhagie
cérébrale
d'origine embolique. C'est un processus spécial
Le cas de M. Leclerc est tout autre, il a trait à une hémorrha- gie
cérébrale
chez un malade porteur d'un vieux rétrécissement
LXXX IX. Néoplasme de l'estomac, endocardite végétante; embolies
cérébrales
; déviation conjuguée de la tête et des yeux av
Ia plupart des cas de déviation conjuguée non spasmodique d'origine
cérébrale
à l'influence d'une hémianopsie. Chez le maladu
cal et était séparé (le l'é- corce par une l'l'aisseunle parenchyme
cérébral
de un centimètre et demi. Il se trouvait sur le
accès épileptique il y REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 387 a anémie
cérébrale
; toute condition qui diminuera cette an é mie,
la droite parce que lajugulaire interne droite ramène plus de sang
cérébrale
que la gauche ; que son calibre est en général
troisième de l'automatisme post paroxys- tique. 6^ Tous les centres
cérébraux
ne souffrant pas à un égal degré pendant l'auto
lucinations, folie morale, affaiblissement intellectuel, excitation
cérébrale
, etc.). D'autre part se placent les malades qui
donculaire, d'ailleurs très puissamment développé. Par le pédoncule
cérébral
, grêle, ils arrivent dans la circonvolution sig-
, aveclacou- ronne rayonnante faiblement développée de l'hémisphère
cérébral
. - En ce qui concerne son trajet descendant, la
e de Weber et hémianopsie droite par thrombose probable de l'artère
cérébrale
postérieure. Contractures familiales. MM. GIL
teiision il la lace postérieure de la moelle dans les hémorrliagies
cérébrales
. Escarre sacrée.. M. Boy rapporte le cas d'un
ne vertébrale, par Péhuet Coste,382. C,ncmowrose. Des symptômes
cérébraux
dans la-,parSaen- gel', 24 : : 1. Catatonie.
ardite. Voir Hémorrhagie. végétante. Voir Néoplasme. ENDOTHÉLIOMA
cérébral
, par p, Marie, 451. Enfance anormale. Créatio
vements associés en dehors de l ? par Brissaud et Si- card, 249.
cérébrale
infan- tile, par Faure-Beaulieu, 250. - , par
rau- matique à la base du crâne, par Liass, 319. Sur un cas d'-
cérébrale
avec inondation ven- triculaire chez un enfant
ante, par Gallavardin et Jambon, 381. 502 ' TABLE DES MATIÈRES.
cérébrale
. Voir Rétrécisse- ment mit rai. - sous-pie-mé-
hocytique dans les oreillons, par Chauffard et Boidin, 316. De la
cérébrale
, par Liew- kowsky, 320. hémorragique subaigue
décubitus \ latéral gauche, par Crocq, 63." Muscles. Voir Ecorce
cérébrale
. La dualité fonctionnelle du, par Mlle Yoteyk
u gisement des - craniens mo- teurs dans le pied du pédon- cule
cérébral
, parBikeles, 230. De l'origine du dépresseur
Contribution àla-;par Lé- vy, l3onniat et Taguet, 73. Pédoncule
cérébral
Voir Nerfs crâniens. Personnel médical. Voir
érale par Marandon de Montyel,417. Région visuelle. Voir Ecorcc
cérébrale
. Br,ii,. Voir Syringomyélie. La voie lectosp
Rétrécissement mitral. Coe- xistence d'un et d'une hé- morrhagie
cérébrale
, par Le- clerc et Beutter, 382. SAC;is..Voir
s cérébelleux, par Bloumenaou et 'l'ikhomirow, : Z94. Un cas de
cérébrale
à forme psy- cho-paralytique. par Cornu, 303.
nsécutive à l'excitation de la langue d'un animal privé de l'écorce
cérébrale
. Ici nous trouvons au commencement'une exci- ta
chez lequel on avait enlevé la glande pinéale avec les hémisphères
cérébraux
, dit : « Si Descartes eût eu l'idée de faire ce
-dire pour les fonctions de l'âme. Flourens (2) dit : « Les lobes
cérébraux
concourant effectivement, par tout leur ensembl
consistait à ne considérer que tels ou tels points donnés des lobes
cérébraux
, quand il fallait les considérer tous. » En out
étendues du cerveau prouvent « qu'une lésion déterminée, des lobes
cérébraux
, quel qu'en soit le siège, peut très bien, pour
psychiques et que d'un autre côté la perle considérable de matière
cérébrale
dans des lésions profondes de l'os frontal n'ex
s pro- fondes des circonvolutions frontales avec perte de substance
cérébrale
et suppuration peuvent être guéries et sans lai
t du cerveau, l'excitation partant des parois du kyste hémorragique
cérébral
qui sont enflammées. La première partie de la pro
e peut se pro- duire sans elle. I ! faut seulement que les cellules
cérébrales
, d'où parlent ces fibres, soient lésées ou que
de certaines régions corticales et que les pertes de la subs- tance
cérébrale
correspondant il un membre produisent de l'ataxie
ire, ou la contracture, dans les cas où l'influence des hémisphères
cérébraux
est seule suspendue comme dans l'hémiplégie ;
s. Il est très possible que l'abolition de l'influence que l'écorce
cérébrale
exerce sur certaines parties de la moelle épinièr
essantes des dégénérescences consécutives à ces lésions secondaires
cérébrales
. Observation I Résumé : Monoplégie crurale, à
aire, mais constituée dans la capsule interne. le pied du pédoncule
cérébral
et l'isthme de l'encéphale par un simple tassem
ostérieur du segment postérieur de la capsule in- FIG. 3. Pédoncule
cérébral
droit. Fio. 4. partie inférieure du bulbe rac
r toute la hauteur de la capsule interne, dans le pied du pédoncule
cérébral
et dans l'isthme de l'en- céphale. La figure
me de l'en- céphale. La figure 3 représente la coupe du pédoncule
cérébral
droit (retournée par erreur). Il n'y a pas de b
et n'a pas de signification spéciale. Remarques. A. Localisations
cérébrales
. On trouve dans cette observation une dé- monst
i par la physiologie expérimentale et par l'étude dés localisations
cérébrales
chez l'homme ; mais cette dernière a été faite
ers en date, y ont insisté que pendant plusieurs semaines les lésions
cérébrales
ajoutent aux symptômes de déficit des phénomène
Pour élucider cette question dont l'importance pour la physiologie
cérébrale
est considérable, il est préférable d'utiliser
on re- trouve au milieu des tissus nécrosés des fragments d'écorce
cérébrale
en état de conservation relative (1). Or, si ce
MONOPLÉGIE CRURALE ET LÉSION DE LA RÉGION ROLANDIQUE 45 d'origine
cérébrale
s'améliorent en général assez rapidement,celte am
elles ne le sont plus dans la capsule interne, le pied du pédoncule
cérébral
, la protubérance annulaire et le bulbe, mais el
is d'un défaut de sclérose de remplacement. Dans les cas de lésions
cérébrales
infantiles avec longue survie, il est pour ains
ion porencéphalique très étendue de la face externe de l'hémisphère
cérébral
droit, n'ayant laissé intact que le tiers supér
E PARACENTRAL (LO/lP') PORENCEPIIADE CONGÉNITALE 47 7 pédoncule
cérébral
. Atrophie secondaire du pédoncule cérébral et de
NGÉNITALE 47 7 pédoncule cérébral. Atrophie secondaire du pédoncule
cérébral
et de la protubérance annulaire. Atrophie crois
en HISTOLOGIQUE. '71 Coupes microscopiques sériées, de l'hémisphère
cérébral
droit, des pédoncules cérébraux, de la protubér
roscopiques sériées, de l'hémisphère cérébral droit, des pédoncules
cérébraux
, de la protubérance, annulaire et du bulbe rachid
ôté interne une bande de PORENCÉPHALIE CONGÉNITALE 49 substance
cérébrale
composée : par l'écorce de la face interne du cer
us-jacentes. . La lésion destructive a limité ses dégâts à l'écorce
cérébrale
et au centre ovale; elle ne s'étend pas aux rég
n sous-thalamique et jusque dans la partie supérieure du pédoncule'
cérébral
, les fibres du segment postérieur de la capsule i
verticales. En effet, immédiatement au-dessous, dans le pédoncule
cérébral
, tout tissu de sclérose interstitielle a de nou
externe (fig. 10). Sur cette coupe comprenant les deux pédoncules
cérébraux
on voit, par com- paraison avec le côté sain, l
m- paraison avec le côté sain, l'atrophie considérable du pédoncule
cérébral
droit, atrophie portant également sur la calott
rend à cette anamnèse toute sa valeur; il s'agit bien d'une lésion
cérébrale
précoce. En relevant sur la face externe de l'h
cérébrale précoce. En relevant sur la face externe de l'hémisphère
cérébral
droit les limi- tes du territoire détruit on vo
, pendant la vie intra-utérine, une nécrose très étendue du manteau
cérébral
; après résorption des tissus nécrosés il est r
é conservée dans des proportions inusitées. La ré- gion de l'écorce
cérébrale
qui correspond à la localisation motrice- du me
phénomènes de suppléance ont pu, grâce à la précocité de la lésion
cérébrale
, s'exercer dans une large proportion. Ils doive
mandés par les deux hémisphères à la fois et qu'il faut des lésions
cérébrales
bilatérales pour produire leur pa- ralysie perm
interne et plus bas dans les segments internes du pied du pédoncule
cérébral
. Or nous voyons au contraire dans notre cas que
upent toute l'étendue de la capsule interne et du pied du pédoncule
cérébral
. Il semble et c'est I;i plus qu'une simple hypo
la vie intra-utérine, et on peut admettre que la lésion du manteau
cérébral
s'est produite à cette époque ou même avant. Ma
l'état normal toute la capsule interne et tout le pied du pédoncule
cérébral
.En d'autres termes il s'est fait itnepï,ei2zière
intéressante. Chez le pre- mier, un vieillard de 74 ans, une lésion
cérébrale
peu étendue laisse une paralysie permanente ; l
au- teurs, que les ombres foncées représenteraient les hémisphères
cérébraux
et qu'on pourrait même apercevoir les scissures
U 9 JANVIER 1908 , ANÉVRYSME VOLUMINEUX D'UNE BRANCHE DE L'ARTÈRE
CÉRÉBRALE
MOYENNE OU SYLVIENNE , SIGNES CLASSIQUES DE T
TÈRE CÉRÉBRALE MOYENNE OU SYLVIENNE , SIGNES CLASSIQUES DE TUMEUR
CÉRÉBRALE
, DURÉE DE CINQUANTE-, CINQ ANS ET TERMINAISON P
eu de prédilection de ces der- niers est incontestablement l'artère
cérébrale
moyenne ou sylvienne. L'histoire clinique des a
effet. Un jour, surviennent brusquement les signes d'une hémorragie
cérébrale
foudroyante, et à l'autopsie on trouve un anévr
ie adjacente de Ti,en avant le pied de F3 (PI. XVIII). La substance
cérébrale
voisine de la tumeur est de couleur jaune-ocreu
large et profond dans cette scissure aux dépens des circonvolutions
cérébrales
qu'elle refoule et ramollit un peu. Elle en est,
ut à fait indépendante et assez facilement énucléable. La substance
cérébrale
qui l'entoure a perdu sa forme normale et sa coul
ôle de l'insula à la partie la plus reculée de la scissure. La loge
cérébrale
qui la renferme a 8 centimètres de long, 4 centim
qui feront l'objet d'une communication spéciale. Enfin, les artères
cérébrales
présentent des lésions très nettes et très nom-
d que le malade a présenté la symptomatologie classique des tumeurs
cérébrales
: céphalée paroxystique avec nausées, ver- tige
rmes et apoplecliformes, amaurose rapide. Le dia- gnostic de tumeur
cérébrale
a été porté du vivant du malade ; le siège de l
ait faire penser à un anévrysme et le diagnostic avait été : tumeur
cérébrale
bénigne. En raison de cette bénignité, et aus
lus d'un petit foyer de ramollissement par artérite de l'hémisphère
cérébral
droit, une symphyse méningo-radiculaire de la m
ar « éclusées », nous a-t-il souvent répété, par « tension de cumul
cérébral
», que la facilité pour le travail s'offre à mo
un peu moins profondément atteinte que celle des idiots par lésions
cérébrales
macroscopiques. Dans certains cas le myxoedème co
te, dont les troubles psychiques consistent, avant tout, en torpeur
cérébrale
. Il n'y a plus arrêt de développement,mais seu-
incible, 212 LAIGNEL-LAVASTINE une extrême fatigue, de l'asthénie
cérébrale
, des troubles digestifs, de la constipation. L'
hyroïdienne les éléments delà neurasthénie : asthénie musculaire et
cérébrale
, poussée jusqu'à l'apathie la plus complète, cé
s dont les perturbations secondaires peuvent entraîner des troubles
cérébraux
. Ainsi, dans des expériences semblables, Delitala
de l'intoxication thyroïdienne, des modifications de la circulation
cérébrale
, de la dégénérescence et d'une disposition psychi
ations, thermophobie, crampes, urticaire, qui retrouvent leur calme
cérébral
et une humeur égale après avoir usé de la thyro
actifs, excités, fournis- sant pendant la nuit suivante un travail
cérébral
intensif, sans tendance au sommeil, la mémoire
, chez l'enfant, par son insuffisance, en arrêtant le développement
cérébral
, comme celui du reste de l'orga- xxi 15 226 L
xiquant l'encéphale, produit, selon son intensité et la résistance
cérébrale
, soit des troubles élémentaires, soit des psych
ASTI : iE Renaut. Observation pour servir à l'histoire des troubles
cérébraux
dans la maladie de Basedow. Soc. méd. des hôp.,
f London, 23 novembre 1883. SOLBRIG. Maladie de Basedow et troubles
cérébraux
. Allgemeine Zeitschrift sur Psychiatrie, 1871.
hognomonique de l'hystérie : il existe, en effet, dans l'hémorragie
cérébrale
, une période de début de l'hémiplégie, variable
ehors des lésions de méningite déjà signalées. C'est l'hémi- sphère
cérébral
d'un enfant de trois ans. Rien de notable égale
son épaisseur est diminuée (3 min. 5 à la partie moyenne). Le tronc
cérébral
semble de même normal. Quant au cervelet, nous
ocytes et de diplocoques, mais le fait n'est pas constant. Ecorce
cérébrale
. Les cellules pyramidales présentent des altérati
ndamment de ces altérations graves de la cellule nerveuse, l'écorce
cérébrale
présente encore des modifications de la charpente
yons-nous, qui a entraîné comme conséquence la microgyrie. Ecorce
cérébrale
. La couche la plus externe de l'écorce cérébrale
microgyrie. Ecorce cérébrale. La couche la plus externe de l'écorce
cérébrale
est «ici représentée par une zone névroglique e
s-arachnoïdien. V. Lumière d'un vaisseau pie-mérien, - e. c. écorce
cérébrale
. PI. XLIX. Fic. D, E, F. Cellules pyramidales
des fibrilles plus fines. Fic.. H. Cellules pyramidales de l'écorce
cérébrale
du pied de F3 g. Chromatolyse du corps cellulai
d'hémiparésie droite, s'ils ne pourraient relever d'une même cause
cérébrale
: les symptômes paraissent être purement oculaire
ma- toires provoquent une exsudation ventricutaireet une dilatation
cérébrale
tout d'abord inoffensives, tant que les fontane
sens inverse de l'axe du rétrécissement et cela grâce à la poussée
cérébrale
qui exagère ses effets au niveau des points où
ONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE T. XXI. PI. L1R ALTÉRATIONS DU TISSU
CÉRÉBRAL
DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS. (Weber). , Obs
IATRIQUE DE L'UNIVERSITÉ DE GENÈVE DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU
CÉRÉBRAL
DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS PAR R. WEBER,
y avait peut-être hémianopsie. - . QUELQUES altérations DU tissu
cérébral
361 Le diagnostic différentiel était devenu imp
ont une grande lumière ; elles se sont fait place dans la substance
cérébrale
. Il est pro- bable que la circulation sanguine,
conographie DE la Salpêtriere T. XXI. Pl. LX ALTÉRATIONS DU TISSU
CÉRÉBRAL
DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS. (Weber). QUELQ
A LA PRÉSENCE DE TUMEURS. (Weber). QUELQUES altérations DU TISSU
cérébral
363 pôle frontal ; c'est la moitié supérieure d
s mouches. Autopsie. - Tuberculose pulmonaire et intestinale.Tumeur
cérébrale
. Notre observation clinique est, je dois l'avou
pauvreté en est-elle précisément le côté intéressant. Ce néoplasme
cérébral
a fait si peu de symptômes que le malade fut co
nerveuses. 2° D'une invasion très étendue et mal délimitée du tissu
cérébral
par des cellules sarcomateuses. 3° De dégénér
xpérience plus élendue. D'autre part il est à supposer que le tissu
cérébral
a été en partie re- poussé, mais aussi en parti
s avons rencontré pour la seconde fois chez un phtisique un sarcome
cérébral
au lieu du tuber- cule diagnostiqué. (Voir obs.
onographie DE la SALFÊTRIÉRE T. XXI. Pl. LXI ALTÉRATIONS DU TISSU
CÉRÉBRAL
DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS. QUELQUES ALTÉRAT
RÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS. QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU
CÉRÉBRAL
367 Observation XII (PI. LXI). Du t3 août 190
er à une tumeur. Le manque de phénomènes 368 R. WEBER de pression
cérébrale
tels que ralentissement du pouls, vomissements,
térations du tissu ne se voient plus. QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU
CÉRÉBRAL
369 Signalons en passant la pauvreté en fibres
ris l'habitude d'identifier en quelque sorte intelligence et écorce
cérébrale
, parfois même intelligence et cellules nerveuses
erché les lésions diffuses de l'écorce dans quelques cas de tumeurs
cérébrales
(Festschrift zur Feier des 25 'jach1 ? l3estan-
nérées, une augmentation des cellules QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU
CÉRÉBRAL
371 satellites et des amas disséminés de noyaux
nt démontrable. La grande difficulté est évidemment que la pression
cérébrale
exagérée peut, à elle seule et en peu de temps,
de Erdheim pour qui l'adiposité dépendrait de la lésion d'un centre
cérébral
de la base. Schuller pense que dans de tels cas
jours assez graves pour faire porter un diagnostic erroné de tumeur
cérébrale
; dans quelques cas la guérison seule révéla l'er
nostique n'est donc pas accep- table. L'hypothèse d'une néoplasie
cérébrale
à développement très. lent et de nature probabl
de deux ans) ne parle pas absolument contre le diagnostic de tumeur
cérébrale
, parce que nous savons que surtout les tumeurs
mbés brusque- ment malades avec les symptômes d'une grave affection
cérébrale
(cépha- lée, vomissements, apathie, névrite opt
coup plus riche et telle que l'erreur de diagnostic avec une tumeur
cérébrale
est presque inévitable ; on peut avoir de l'hém
ortion entre les signes de l'inflammation et la quantité du liquide
cérébral
et l'on peut voir de l'hy- drocéphalie évidente
u con- traire des méningites évidentes sans augmentation du liquide
cérébral
. Dans notre cas nous n'eûmes d'aucune façon la
plus haut, et qui conduit presque forcément au diagnostic de tumeur
cérébrale
, et nous n'eûmes non plus aucun symptôme de ménin
e la puberté seulement se rendait manifeste par de graves symptômes
cérébraux
. Rien ne nous empêche donc d'admettre que la sy
ogique de la race et de la consanguinité des parents. Le syndrome
cérébral
qui s'est développé secondairement chez l'aînée
namnése et des faits objectifs,que la cause du syndrome secondaire
cérébral
chez Marguerite Ser. a été déterminée par une f
heilkunde. AIÜLLER. -Ueber die Beeinflussung der Menstruation durch
cérébrale
Herderkrankung, Neurol. Centralbl., 1905, p 790
onlributo allo studio analo ? iio-patologico delle cisli dell'lho/isi
cérébrale
e dell'Infantilismo. Il Policlinico, 1906, p. 4
of the med. Sciences, 1898. ' RAYMOND. Le sommeil dans les tumeurs
cérébrales
. Pr. médicale, 3 janv. 1906. REONAULT. - La bas
y a méningite chronique, avec les mêmes caractères que la méningite
cérébrale
. Les résultats importants nous sont fournis par
ressionualfilité.la mythomanie (Du- pré), la diminution du contrôle
cérébral
. Elle comprend aussi un état physique spécial c
l.), 249. Souques. Anévrysme volumineux d'une branche de l'artère
cérébrale
moyenne ou sylvienne. Signes classiques de tu-
ère cérébrale moyenne ou sylvienne. Signes classiques de tu- meur
cérébrale
, durée de cinquante-cinq ans et terminaison par
par CATOLA, 129. Anévrysme volumineux d'une branche de l'artère
cérébrale
moyenne ou sylvienne : signes de tumeur cérébra
che de l'artère cérébrale moyenne ou sylvienne : signes de tumeur
cérébrale
; durée de 55 ans ; terminaison par suicide (1
tations d' -) chez deux aliénés (2 pl.), par Pailhas, 162. Artère
cérébrale
moyenne(Anévrysme'volu- mineux d'une branche de
u- mineux d'une branche de l' -) ou syl- vienne. signes de tumeur
cérébrale
: durée de 55 a-s - terminaison par suicide (
ER, 396. Cathédrale de Reims, sculptures (1 pi.), par HEITZ 90.
Cérébral
(Altérations du lissu dues à la présence de tum
ue - aiguë à type descendant) \3 pl.), par L'ATOLA, 129. Tumeur
cérébrale
(Anévrysme volumineux d'une branche de l'artère
Tumeur cérébrale (Anévrysme volumineux d'une branche de l'artère
cérébrale
moyenne ou sylvienne ; signes de-; durée de 5
suicide) (1 pl.), par Souques, 108. Tumeurs (Altérations du tissu
cérébral
dues à la présence de-) (6 pl. par Weber, 359.
, VU et VIII. Trophoedème (COUnTEI.LE ? 10 ? T), IX et X. Tumeurs
cérébrales
(Weber), LIX à LXl. Le gérant : P. Bouchez. I
rculation artérielle des centres nerveux. On sait que les artères
cérébrales
se coudent et s'in- fléchissent à plusieurs rep
rétrécissant le crâne, et en diminuent la quantité de sa matière
cérébrale
. J'ai déjà notablement diminué son angle facial.
ement et définitivement le jour où le malade fut frappé d'accidents
cérébraux
, dus probablement à une hémorrhagie du cerveau,
es ou telles maladies organiques du système nerveux (ramollissement
cérébral
, ataxie locomotrice), victimes en outre de cert
ralbl. f. Nervenheilk . , 1890.) - L'obturation subite d'une artère
cérébrale
produit-elle, par suite des modifications qui s
é, un effet mécanique capable d'agir à distance sur les pro- vinces
cérébrales
non directement atteintes et d'amener, par suite,
GIE NERVEUSE. i. ' * XIII. Contribution LA pathologie DES TUMEURS
cérébrales
; , , par II. OPPENREIM. (Archiv. f. Pschini., X
La pupille étranglée est le signe le plus important d'une 'tumeur
cérébrale
, après lui viennent l'obtusion intellectuelle et
uteurs. Il conclut en .ces termes : Pour diagnostiquer une tumeur
cérébrale
, il faut qu'il existe des symp- * tomes de pres
umeur cérébrale, il faut qu'il existe des symp- * tomes de pression
cérébrale
, mais ces symptômes n'assurent pas la loca- '¡¡
es de lésions un foyer tandis que les phénomènes généraux d'origine
cérébrale
sont peu développés, permettent d'espérer un résu
gauche. C'est tout. Une tante maternelle est atteinte de paralysie
cérébrale
spasmodique et d'épilepsie, depuis sa jeunesse.
altération de l'excitabilité ÉLEC- · TRIQUE DANS LES CAS DE FOYERS
CÉRÉBRAUX
; pal' C. EISENLOHR. (Neurol. Ces<)'( ! ;6 ?
vec autopsie. A une époque peu éloi- gnée de la paralysie d'origine
cérébrale
, on constate de l'atrophie musculaire des membr
ra- midaux qu'il faut attribuer ces phénomènes. Quant à la région
cérébrale
trophique, il est jusqu'à nouvel ordre impossible
symptomatique dans ce cas, a été absolument celui d'une hémorrhagie
cérébrale
ordinaire : ictus apoplectique chez un sujet je
nale, dans la seconde il semblait qu'on eût affaire à une affection
cérébrale
, la troisième paraissait être une combinaison d
ection syphilitique de la moelle, sur la simultanéité des symptômes
cérébraux
, l'évolution par poussées, les oscillations éta
l'espèce l'action quinine; on sait que la suppression de l'action
cérébrale
se traduit par une exagération des réflexes. Mais
qu'un syndrome, et ce syndrome peut s'observer dans les affections
cérébrales
, dans les maladies de la moelle, dans les névri
ns les névroses. Aussi distingue-t-il l'athé- tose double d'origine
cérébrale
, et l'athétose double d'origine extra-cérébrale
mènes hystériques ne sont-ils pas essentiellement liés au dynamisme
cérébral
. L'auteur repousse l'opinion de l'entité cliniq
ces cas, folie proprement dite, mais cependant le fonctionnement
cérébral
n'est pas normal, il est pathologique. Dans' de
il s'agit de la manie épileptique. Voilà le processus pathologique
cérébral
qui aboutit à l'homicide, chez les. alcoolisés,
ce alcoolique, certaines modifi- cations morbides du fonctionnement
cérébral
. L'alcoo- lisé qui, avant qu'il ne se fut intox
r morte d'apoplexie à soixante-dix ans. Un frère mort d'une maladie
cérébrale
; cela lui était venu quatre ans après un incend
mémoire est bonne, mais lente, comme toutes les autres ' fonctions
cérébrales
. R. M. C. VIII. UNE observation d'état CONVULSI
XIV. Sur L'ÉTUDE DES conditions DE DÉVELOPPEMENT et.de l'activité
cérébrale
CHEZ LES enfants ; par Francis W,\R ! OER. (Tite
conditions de dévelop- pement des enfants, ainsi que leur puissance
cérébrale
tant phy- sique que mentale, et l'avantage qu'i
fants, en sorte que l'on pourrait à la rigueur voir dans ce trouble
cérébral
un phénomène de physiologie régressive des fonc
ssible de diagnostiquer la localisation d'un foyer d'inflam- mation
cérébrale
chez le chien aussi bien que chez l'homme ? Voi
mentation animale. Il n'est pas possible d'appliquer l'extirpation
cérébrale
du chien à la pathologie humaine, parce que ces m
riedmann. Contribution à l'étude des conséquences de la com- motion
cérébrale
. -11 s'agit de deux observations avec autopsie et
inte de dégénérescence hyaline. M. Friedmann croit que la commotion
cérébrale
a affaibli les centres vaso-moteurs ; de là les
e l'observation de Sperling et Kronthai, il appert que la commotion
cérébrale
porte avant tout son action sur le système vasc
ort qui a lieu le 13 janvier. - Autopsie. Pas d'embolie des artères
cérébrales
;, nulle cause orga- nique d'hémiplégie ; l'enc
contractilité élec- trique normale. Aucune lésion des autres nerfs
cérébraux
. Pupilles égales; à la lumière leur réaction es
Alcan, éditeur. ' M. Sollier définit l'idiotie : « une affection
cérébrale
chronique 260 BIBLIOGRAPHIE. à lésions variée
r découvrir, dans certains cas, les premiers indices ,d'un désordre
cérébral
, d'entraver dès son origine le 'processus morbi
le apprit qu'il était marié, il se manifesta chez elle des troubles
cérébraux
. Elle n'eut plus conscience de ses actes. Elle
férente d'elle-même qu'on peut croire à un léger degré d'excitation
cérébrale
. Le 24 avril apparaît la première crise. ' J'
quérir l'as- pect de la délibération. Les divers modes d'activité
cérébrale
(sentiments, volonté, attention, mémoire, jugem
fférents segments de la moelle, du méso- céphale et des hémisphères
cérébraux
qui étaient ainsi mis en jeu de la façon la plu
olo- gique, p. 39 et p. 305. ' Herzen. - Le cerveau et l'activité
cérébrale
, 1887. Consulter tout le chapitre excellent sur
ectuels et, qu'en somme, son cas n'avait rien d'anormal. C'était un
cérébral
, comme Lasègue appelait cette sorte de malade.
tare héréditaire se trouve cependant, par le fait de son affection
cérébrale
qui date de neuf mois, dans les mêmes condition
nt héréditaires d'eux- mêmes. , A..., parle fait de son affection
cérébrale
, est donc devenu un dégénéré intellectuel, et j
s de ce genre ne naissent que dans les conditions de dégénérescence
cérébrale
, dégénéres- cence héréditaire le plus souvent,
ur l'expérience, c'est-à-dire sur la clinique et sur la physiologie
cérébrale
. La forme de ce court travail m'obligeait à pré
ailleurs est bien en rapport avec l'idée que l'on se fait de l'état
cérébral
des mélancoliques. Ce qui domine chez eux c'est
s déprimés comme chez les anxieux ce n'est donc pas tant le travail
cérébral
qui fait défaut, qu'un travail qui manque d'ens
n; il sent que le mal réside en lui, con- 1 Etudes sur les maladies
cérébrales
et mentales, p. 425. 392 RECUEIL DE FAITS. '
AL. (Neurol. Cenlralbl., 1890.) . Méthode d'étude des capillaires
cérébraux
en général. A un cerveau frais, on prend un mor
ration consécutive des cellules nerveuses, finalement, l'atro- phie
cérébrale
. Or, c'est au début qu'il faut surprendre les lés
res à myéline. On trouve encore de celles-ci dans les prolongements
cérébraux
des pyramides. Mais il ne faut pas les confondr
pyramides, mais au niveau de la protubérance et dans les pédoncules
cérébraux
, quels qu'aient été le volume et l'in- tensité
érébraux, quels qu'aient été le volume et l'in- tensité des lésions
cérébrales
ou spinales, est en faveur de cette opi- nion.
Pas de névrite. P. K. X. CONTRIBUTION A la connaissance DU GLIOME
cérébral
; par BUC880LZ. (Arch. f. Psych., XXII, 2.) O
e : gliosarcome diffus de la moitié antérieure des deux hémisphères
cérébraux
. Hydrocéphalie interne. Compression céré- brale
oint de vue clinique, tare héréditaire, symptômes d'hyper- pression
cérébrale
. Quoique la tumeur ait un certain volume, et que
on (lobe temporal). P. KERAVAL. XIII. La GENÈSE DES circonvolutions
cérébrales
; par F. SCHNOPF- HAGEN. (Jahrbuch. f. Psych £
du présent cahier. M. Schnopf- hagen, après avoir coloré la matière
cérébrale
au chlorure d'or et de potassium et au chlorure
P. KERAVAL. XIV. D'UN cas d'atrophie musculaire PRÉCOCE D'ORIGINE
cérébrale
; par A. BORGÜBRINI. (Neurol. Centi-(tlbl., 189
tié droite de la moelle. Et c'est tout. P. KERAVAL. XV. Hémorrhagie
cérébrale
CONSÉCUTIVE A UNE EMBOLIE hydatique des artères
morrhagie cérébrale CONSÉCUTIVE A UNE EMBOLIE hydatique des artères
cérébrales
; par DOEHNHARDT. (Neurol. CM<;'a/6 ? 1890.)
. On trouve à l'autopsie une vésicule hydatiqueobli- térantl'artère
cérébrale
postérieure gauche, et les artères sylviennes d
. XVI. UN TROUBLE DE l'innervation DE L'OESOPHAGE dû A UNE tumeur
cérébrale
occupant l'espace postérieur du crâne ; par J. NE
indiquer la présence. E. B. XVIII. Recherches SUR la circulation
cérébrale
pendant l'hypnose; par de SARLO et BERNARDIN).
BERNARDIN). (Riv. sp. di f1'G11., t. IX-X11-XVIL) - La circulation
cérébrale
diffère suivant les états hypnotiques : il semb
dans les états hypnotiques, d'antagonisme entre les circulations
cérébrale
et périphérique. Le pouls augmente de fréquence e
grenues au toucher; c'étaient celles qui constituent le territoire
cérébral
irrigué par la cérébrale moyenne droite. Le péd
taient celles qui constituent le territoire cérébral irrigué par la
cérébrale
moyenne droite. Le pédoncule droit, la moitié dro
côté opposé. Les artères de la base étaient athéromateuses, et la
cérébrale
moyenne droite, ainsi que ses branches, étaient i
se traduisent ulté- rieurement par un mouvement. (79). Inhibition
cérébrale
. L'inhibition cérébrale et ses suites nous cond
eurement par un mouvement. (79). Inhibition cérébrale. L'inhibition
cérébrale
et ses suites nous conduisent à supposer qu'il
E PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. (83). Remarque sur la quantité d'usure
cérébrale
dans l'action mentale. Le déploiement de l'inte
rès son entrée, céphalalgie et vomissements de nature manifestement
cérébrale
, rebelles à tout traitement; quatre jours plus
absolument défaut. R. M. C. XXIV. DES altérations DE la PIE-MÈRE
cérébrale
CHEZ LES aliénés; par Francesco del GRECO. (Riv
rtérite des plus petits vaisseaux de la pie-mère et de la substance
cérébrale
, et une infiltration nucléaire diffuse de la pie-
les individus morts au début de la maladie, alors que la substance
cérébrale
ne pré- sente pas de signe de sclérose et d'atr
airement par la face, qui est en rapport avec les cir- convolutions
cérébrales
. J. SÉGLAS. XXV. Les substances albuminoïdes ph
ant à la cérébrine, elle constitue une propriété exclusive du tissu
cérébral
. Ces trois substances présenlent une propriété
as conclure de là que ces substances non albuminoïdes de la masse
cérébrale
présentent seules la base matérielle du protoplas
sons albuminoïdes. Tous les éléments consti- tutifs de la substance
cérébrale
peuvent être divisés en plusieuis groupes natur
stances inor- ganiques y compris H2o. La présence dans la substance
cérébrale
des combinaisons organiques contenant du phosph
les autres non azotées. Parmi les substances albuminoïdes du tissu
cérébral
deux jusqu'à présent ont été établies : la nucl
uroglobuline avec une quantité déterminée de phosphore, La stromine
cérébrale
contient aussi du- phosphore, et les auteurs l'
e jurisconsultes et psychiatres. M. ERLENMEYER. Sur une affection
cérébrale
produite par la syphilis ' Voy. Archives de Neu
ette modalité morbide ressemble évidemment à la paralysie infantile
cérébrale
, moins la paralysie et la contracture. Il se po
centre ovale (porencéphalie) dans la paralysie infantile d'origine
cérébrale
. En des cas tout à fait semblables à ceux d'Erlen
s après le début de cette psychose aiguë, il meurt par épuisement
cérébral
. A l'autopsie, on constate : d'abord des altérati
es incurables. Nous n'avons pas la prétention de guérir des lésions
cérébrales
organiques dont l'évolution est irrévocablement
lepsie très court. De temps à autre, tendance à la sudation, taches
cérébrales
, urti- caire factice. En outre, violentes cépha
rémités supérieures dépend le plus souvent directement de la lésion
cérébrale
. C'est une synovite qui peut être aiguë ou suba
e musculaire est causée par la localisation spéciale de la lésion
cérébrale
. BIBLIOGRAPHIE. VII. Recherches cliniques et
n particulier, l'observation IV, Idiotie symptomatique d'une tumeur
cérébrale
. On y voit que, sous l'in- flnence de tumeurs c
e (atrophie, sclérose). Obs. III. Idiotie symptomatique de sclérose
cérébrale
atrophique. Obs. V. Idiotie symptomatique de mé
es observations d'at- tente en vue de la localisation des fonctions
cérébrales
. On menait de front, se completant, s'expliquan
modique, parScheiber, 100. Atrophie musculaire, dans les foyers
cérébraux
, par Eisenlohr, 101 ; - par IJoenhaL'rlt, 110;
de l'écorce du , par Dees, 399; -hydatides du - avec hémorrhagie
cérébrale
, par Doenhardt, 405 ; ;- substances albuminoï
Moravcsik, 96. ' CHORÉE et rOLIE, par Cape, 225. Circonvolutions
cérébrales
, genèse des -, par Schnopfhagen, 402. Colorat
n, 402. Coloration de la myéline, par Wei- gent, 216. Commotion
cérébrale
, par Fried- mann, 243. Congrès ries neurologu
' Glande pituitaire, tumeur de la-, par Wliitweil, 412. Gliome
cérébral
, par Buchholz, 400. Hallucinations, du souvenir
pertrophie congénitale, par Hoff- mann, 247. Hypnose, circulation
cérébrale
pen- dant l ? par Sarlo et Borgherini, 406.
de la par Manz, 251. Sensibilité, troubles de la dans les foyers
cérébraux
, par Darksche- witsch, 105; dans la sclérose en
x ET bruits laryngés des hysté- riques, par Charcot, 69. Tumeurs-
cérébrales
, par Oppen- heim, 98; troubles de l'inner- va
conductibilité dans un point quelconque du trajet entre l'écorce
cérébrale
et la plaque terminale de Rou- get. En tout cas
oit qu'il est sourd. Soigné pendant un mois pour une conges- tion
cérébrale
sans être soulagé de ses vertiges. Chute à terr
érapie et le bromure depotas- sium ont suffi à rétablir l'équilibre
cérébral
, du moins pour le moment. Observation VII. Hé
il du sens interne. Comment, en effet, une lésion qui amène l'usure
cérébrale
, la destruction des cellules intellectuelles se
pte spasmodique ; noyaux disséminés de sclérose sur les ventricules
cérébraux
, plaques coiiflitei2tes sur la partie inférieure
é impossible de constater la moindre lésion sur les circonvolutions
cérébrales
; tous les recoins du territoire extérieur de l
e trois à quatre millimètres. Sur la face inférieure des pédoncules
cérébraux
et de la protu- bérance il existe un certain no
up occupé dans ces dernières années des anomalies et des asymétries
cérébrales
. I. On a voulu mettre en rapport avec l'absence
e genre ne pouvaient nullement servir à l'étude des localisations
cérébrales
, dont la doctrine ne peut s'appuyer que sur les
, p. 71. 3 Pitres. Sur les atrophies partielles des circonvolutions
cérébrales
, consécutivement aux amputations anciennes des
ol., 1877, p. 26.) GO RECUEIL DE FAITS. dant d'une circonvolution
cérébrale
soit bien démontré. Pas plus les faits de Broca
nedikt 4, on s'est efforcé d'établir un rapport entre les anomalies
cérébrales
et non seulement les altérations de l'in- telli
és dont la folie a été de longue durée, on n'a trouvé aucune lésion
cérébrale
appré- 1 P. Broca. Localisations cérébrales sur
n'a trouvé aucune lésion cérébrale appré- 1 P. Broca. Localisations
cérébrales
sur le cerveau d'un ec'0 ! ? : e7;e ? ). (l3ull
? : e7;e ? ). (l3ull. Soc. Azttlirop., 1879, p. G(S9). Localisation
cérébrale
sur le cerveau d'un cul-de-jatte. (Ibid., 18SO,
le vivant, et il convient de faire remarquer que les malformations
cérébrales
qu'on leur a attribuées s'ap- pliquent exclusiv
tc. Si la plupart des malfaiteurs ne présentent que des anomalies
cérébrales
insignifiantes, il existe d'autre part des sujets
on génitale; lesbisme; Anoma- lies asymétriques des circonvolutions
cérébrales
; trois plis de pas- saga dans le sillon de Rol
nt des anomalies notables. ANOMALIE DU CERVEAU. 65 Les pédoncules
cérébraux
, la protubérance, le cervelet, le bulbe, ne pré
des modifications mor- phologiques très importantes d'un hémisphère
cérébral
. La dépression antérieure qui donne un aspect s
de la moelle. II. NOUVELLES RECHERCHES SUR la topographie CR.N10-
cérébrale
; par CH. Féré. [Revue d'anthropologie, 2e série,
éré indique un moyen plus facile d'établir les rapports des sillons
cérébraux
et du crâne par la détermination des plans glab
- 9*) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. tion apoplectiforme(hypérémie
cérébrale
) comprenant des chan- gements de coloration du
maul (appareil d'articulation fondamental). La priorité des lésions
cérébrales
ou du moins leur prééminence ressort de l'évolu
E. 91 tachant parfaitement comme les réflexes exagérés à la forme
cérébrale
(Ordenstcin, l3amurond, Setschenow) et les lésion
s corps optû-striés et delà région sublllalamique, des pé- doncules
cérébraux
, de la moelle allongée, du faisceau pyra- midal
miques et histo- logiques dans la moelle, le bulbe, les hémisphères
cérébraux
; il rappelle la topographie si importante des
ubérance, et aborde l'exposé des faits acquis sur les localisations
cérébrales
. Passant ensuite aux localisations pathologique
Une fois, par hasard, ils ont dit à peu près la vérité sur le petit
cérébral
dont nous parle M. Dally. J'ai en effet reçu, un
le malade prend de l'iodure de potassium. Mémoire sur les tumeurs
cérébrales
, par M. Mills. Ce travail contient douze observ
inlra-crâ- niennes est plus facile que celui des autres affections
cérébrales
et qu'il doit être fait en se basant sur les sy
une observation où, pendant la vie, tous les symptômes des tumeurs
cérébrales
s'étaient montrés, mais où l'autopsie ne vint r
e ce symptôme ne suffit pas pour éloigner le dia- gnostic de tumeur
cérébrale
. Il signale chez les sujets atteints de cette m
E NERVEUSE. nuées ou plus complexes. Le diagnostic des affections
cérébrales
semble devoir trouver de précieux éléments dans
ôté que la paralysie oculaire, qui est également celui de la lésion
cérébrale
, tandis que l'hémiplégie occupe le côté opposé.
s la lèvre et toute la mâchoire inférieure. Le diagnostic de tumeur
cérébrale
porté dès le début par M. Charcot se confirme p
u chiasma et des nerfs optiques. « Sur le bord externe du pédoncule
cérébral
, depuis l'inser- tion cérébrale jusqu'à l'inser
« Sur le bord externe du pédoncule cérébral, depuis l'inser- tion
cérébrale
jusqu'à l'insertion protubérantielle, il existe u
e, sans tournoiement. On l'a soigné depuis lors pour une congestion
cérébrale
(saignées répétées, purgatifs chaque jour, etc.
égion fronto-pariétale elle entraîne de gros fragments de substance
cérébrale
ramollie. Il existe, en effet, un large foyer d
VRITES PÉRIPHÉRIQUES NON TRAUMATIQUES. 21.1 différente de la lésion
cérébrale
qui, au lieu de détruire, se bornait à comprime
ares à la fesse du côté paralysé dans l'hémiplégie récente de cause
cérébrale
. (Archives de Physiologie normale et pathologiq
H ! on'/taye méningée; injection et fausse membrane de la dure-mère
cérébrale
et rachidienne. Exsudais purulents et granulati
e deSylvius. La pie-mère est injectée et adhé- rente à la substance
cérébrale
, sur plusieurs points des circonvo- lutions fro
res de l'hexagone. Rien à signaler dans l'épaisseur de la substance
cérébrale
. Rien au cervelet, ni dans le bulbe. Moelle.
de traces. Il est plus probable que, dans ce dernier cas, l'écorce
cérébrale
n'étant plus apte à percevoir, la force nerveuse
es cornes grises antérieures. P. K. XIV. Note sur un cas DE surdité
cérébrale
[surdité psychique) PAR LÉSIONS DES DEUX PREMIÈ
e la scissure de Sylvius. A son niveau, destruction de la substance
cérébrale
, réduite en masse rosée, avec petit foyer hémor
le corps thyroïde a été trouve diminué de volume. Au point de vue
cérébral
: lenteur de l'intelligence, perte de la mémoir
, ni des réflexes, avec les réactions électriques de l'hé- miplégie
cérébrale
. Aucun de ces malades n'eut d'attaque apoplec-
ttaques épileptiformes; enfin il mourait tout d'un coup d'apoplexie
cérébrale
, sur les marches du palais de justice, où il al
iniforme, étendu à toute la base du cerveau. Pie-mère de la surface
cérébrale
légèrement trouble; nulle part de tubercules. Les
quevilicmcntet la rayure sont-ils spéciaux aux cellules de l'écorce
cérébrale
et cérébelleuse, sans toutefois se montrer cons
avant, ayant engendré d.'s enfants indemnes, et mourant de syphilis
cérébrale
. Il n'3- avait pas lieu dans l'espèce de soupço
stoire d'un paralysé général syphili- tique, chez lequel la maladie
cérébrale
avait impitoyablement pro- gressé, après la dis
à la détacher, on constate qu'elle adhère fortement à la substance
cérébrale
, qui se laisse désa- gréger. Une coupe transv
...,. noncées dont. nous venons de parler, iapie-mcro et le tissu
cérébral
sont'sains/L'es lésions'sont parfaitement circons
dissociation' les'substahcës grise et'blanche'des diverses régions-
cérébrales
au voisinage et à,une'certaine distance, du,.fo
1'(t ? iesthésie 1»otlitile pcii, les lésions des circonvolu- tions
cérébrales
. (Revue mensuelle de médecine et de chirurgie; il
en à la périphérie que dans la pro- fondeur. A droite,' l'artère.
cérébrale
antérieure, vers, Impartie posté- rieure du sil
ent une sorte de'noyau qui semblait plonger aumilieude la substance
cérébrale
devenue, adhérente, ramollie et ^pigmentée de r
ICATION DU LA PLANCHE 1\7. Figure 1. - Face externe de l'hémisphère
cérébral
droit. F, Circonvolution frontale ascendante.
ul fàit'qu'elle était liystérique,1' exagé- rait les manifestations
cérébrales
susceptibles d'apparaître soifs l'ilifl'uèllè'(
tion à l'étude des troubles fonctionnels de la vi- sion par lésions
cérébrales
, 1882, p. 236. ' SUR LES PLEXUS DES NERFS SPINA
ragraphes. Le premier, relatif à l'héînzaiîesthésie et à la torpeur
cérébrale
hémilalérale, établit que l'hallucination ne pe
jumeau et la moitié correspondante du cerveau. Telle est la torpeur
cérébrale
qui explique l'inexcitabilité des nerfs optique
courants en cet endroit engendrera tous les phénomènes d'excitation
cérébrale
accoutumés, même après l'insensibilisation arti
s l'insensibilisation artificielle du point en question. La torpeur
cérébrale
, loin de dépendre de l'anes- thésie du trijumea
nt demeurée entière. A raison de la non-alternance del'anes- thésie
cérébrale
et somatique, et du transfert obtenu simulta- n
ule interne, M. Rosen- thal rattache l'hémianesthésie et la torpeur
cérébrale
concomi- tante fronto-latérale à une excitation
nthal' fait ressortir le déplacement' coiico1 mitant' de la'torpeur
cérébrale
.' Le nitrite' d'amyle''en inhala- ii611s rafraî
'auteur ajoute comme'argument : les allures identiquesde la torpeur
cérébrale
et[lesconstatationsophthalmoscopiquesdeIIugueni
des applications d'eau a 55° et 5G° ; le déplacement de la torpeur
cérébrale
par l'électrisa- tion galvanique, source parfoi
u courant des accès (Regnard) ; '; l'étude'du transfert par embolie
cérébrale
(anesthésie du côté hémiplé- gique, hyperesthés
. - . REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. -3jl sympathique après lésion
cérébrale
clinique (Nothnagel in Vir- claow's Archiv, t.
pparu.' ' Ces assertions expliquent la concomitance de la torpeur
cérébrale
et de l'hémianesthésie du même côté, la codispari
s excitants extérieurs. , P. K. XXVIII. Traitement DE l'hyperémie
cérébrale
ET méningée par la révulsion cutanée; par Max B
iples (pneumonie et gangrène pulmonaire, alcoolisme;- hémorrhagie
cérébrale
et méningée; - petitesse congénitale du coeur, de
t être reliés à l'état des reins. Ces psychoses seraient à l'urémie
cérébrale
ce que les vésanies épileptiques et hysté- riqu
one ni dans la commissure antérieure. Légère réduction du pédoncule
cérébral
à gauche. M. Kirchhoff estime que l'atrophie sc
hiques dépendant de l'aphasie et ceux res- sortissant à l'affection
cérébrale
ou à ses conséquences. Celle-ci entraînerait to
w 1^ W·.·) 11111111 Ji, -1- 4 i 1 organisation spéciale des centres
cérébraux
; deux.varieles a ' ? no. ? r.i i ^^."in-i t ,-
ut au plus si l'on pourrait arguer de l'influence de la ' commotion
cérébrale
. 'Il- n'y aipoint eu continuité dans les alté-
âltpr'des toniclues et lavie en commun>(troublés0de'1 nutrition1
cérébrale
). "Toiis'Tés1 - ? ? ',i'i»*>(i > n-, ,i-
des aliénés placés volontairement, M. Ball rapporte un cas d'anémie
cérébrale
: il s'agit d'un médecin de campagne atteint au
a trentième attaque. On doit attribuer ces accidents à une ischémie
cérébrale
fonctionnelle, sans altération organique qui dé
. Foville a en effet édifié une théorie de l'épilepsie sur l'anémie
cérébrale
; cette théorie a beaucoup de partisans, mais je
s nous avez parlé aussi d'un homme qui, pendant un accès d'ischémie
cérébrale
, avait commis un crime inconscient. Un acte inc
ppelés idiots tous les psychopathes qui, à la suite d'une affection
cérébrale
congénitale ou acquise dès les premières années d
sion des crétins de cette définition, considère que les altérations
cérébrales
sont souvent absentes et que le patient est sou
t le développement mental est entravé ou arrêté par une affection
cérébrale
congénitale ou acquise dès les premières années d
'onanisme, des troubles du développement, de cer- taines affections
cérébrales
, de maladies fébriles. 3° Pour arriver à des ré
sir en sa situation nor- male le plan qui réellement sépare la cage
cérébrale
du squelette facial. Il détermine sur le sujet
ions athéromateuses (athérome, anévrysmes miliaires des capillaires
cérébraux
, foyers de ramollissement jaune). Il fournit
de règle. Cette période est remarquable par l'existence d'accidents
cérébraux
, en particulier de phénomènes congestifs, qui n
l'aura, « cette manifestation extérieure du malaise de la région
cérébrale
sur laquelle va tout d'abord se porter la décharg
ations précieuses au point de vue de la recherche des localisations
cérébrales
. Enfin les hallucinations (h. sensorielle), ou
entation chez les ani- maux démontrent l'existence d'une congestion
cérébrale
au début de l'attaque. Des tracés placés à la f
Paris, 1883. Des manifestations hystériques simulant le rhumatisme
cérébral
; par Repéré. Thèse de Paris, 1883. Des lésion
i avec certitude au diagnostic. Il ne néglige aucune des affections
cérébrales
ou mentales dont le délire, parfois très actif,
pproche l'état de surexcitation du délire aigu, l'état du surmenage
cérébral
de l'état du surmenage des hôpitaux. Enfin il i
pathologique du erétinisme, la trophonévrose faciale, les accidents
cérébraux
dans le mal de Bright, l'alcoolisme chronique,
ie de l'épilepsie, le vol aux étalages, la mélancolie perplexe, les
cérébraux
, le délire alcoolique n'est pas un délire mais
veuses, parmi lesquels nous citerons des articles sur la pathologie
cérébrale
et le crétinisme, sur la maladie cérébro-cardia
propres, par ScliC.1e, 379. Aliénés (protection des), 423. Anémie
cérébrale
, 387. Aphasie (de l'influence de l'- sur la c
t aux fonctions de nutrition et de relation), par Brunton, 234.
Cérébrales
(tumeurs), 118. Cerveau du lapin (de quelques a
e attaque de méningite aiguë, par lliathelin, 245. 0 llyperlrémie
cérébrale
et méningée traitée par la révulsion cutanée,
des mouvements volontaires, par Bal- let et Marie, 1 . Surdité
cérébrale
par lésion des deux premières circonvolutions
N DES PLANCHES. PLANCHE IV Figure 1. Face externe de l'hémisphère
cérébral
droit. F, Circonvolution frontale ascendante.
titue un individu, un zonite,de même je crois que chaque hémisphère
cérébral
avec la moitié du corps qu'il régit, constitue
fortiori admettre l'indépendance fonctionnelle des deux hémisphères
cérébraux
. Or cette théorie, qui fut soutenue par Dumontp
ercé-, ce qui implique une plus grande acti- vité dans la direction
cérébrale
; 2° que le langage siège dans le cerveau gauch
érences dans le relief topographique de la superficie de l'é- corce
cérébrale
suivant les hémisphères, on reste frappé de la no
- rence de sensibilité, localisation du langage dans l'hémisphère
cérébral
gauche. Ces différences d'aptitudes sont accompag
ros orteil et la flexion plantaire du pied. Dans cinq cas de lésion
cérébrale
organique, Schaefer (Neurol. Ctrbl. 1899, p. 10
e à peu près suivant la normale, et opposé par Carl Vogt au « crâne
cérébral
». Ch. BONNE. V. Zur Frage der trophischen Nerv
E D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. du bulbe. Hémisphères
cérébraux
sains sauf aplatissement des circonvolutions et
on des ventricules. Au microscope, lé- sions chroniques de l'écorce
cérébrale
« habituelles dans la dé- mence artério-scléreu
que le pneumocoque, cause fréquente de lepto-méningites et d'abcès
cérébraux
, a été moins souvent ren- contré dans des encép
s- seaux sanguins. Ch. Bonne. X. Sur une localisation de fonction
cérébrale
; réponse au Dr Shan Bolton. par Alfred W. CA 1
amas purulents qui tapissaient les méninges au niveau de la fosse
cérébrale
moyenne. G. Deny XVI. Quelques types de plaies
rant sanguin, dans une portion (généralement li- mitée) de l'écorce
cérébrale
, stase due aux caillots intra-vasculaires ci-de
antes, il résume les preuves de l'in- fluence de la stase ou anémie
cérébrale
sur la détermination des phénomènes convulsifs.
détermination des phénomènes convulsifs. 1° Ligature des artères
cérébrales
chez les animaux. Astley Cooper lie les deux ca
ie peuvent être provoquées par une stase soudaine de la circulation
cérébrale
, mais elles démontrent en même temps la nécessi
sénile du système nerveux, et ensuite un état de stase ou d'anémie
cérébrale
résultant des lésions artérielles. Dans plusieu
que fût son origine, rétinienne ou, bien plus vraisemblablement,
cérébrale
. Elle permet au sujet de reporter toute son atten
ires de suc de substance grise dans les insuffisances de la cellule
cérébrale
. Neuf observations à ce sujet sont présentées'p
(de Metz) et VOIVENEI, ; dans la plupart des cas cette opothérapie
cérébrale
paraît avoir donné des résultats satisfaisants.
s : 1° Surdité complète succédant à une attaque de ramollissement
cérébral
et vraisemblablement attribuable à des lésions bi
nt seules ; c'est que la paralysie du coeur a occasionné une anémie
cérébrale
qui a annihilé l'action de la couche corticale,
rience a été vériiiée par un autre assistant, qui a obtenu l'anémie
cérébrale
en liant les artères cérébrales. Chez le chie
tre assistant, qui a obtenu l'anémie cérébrale en liant les artères
cérébrales
. Chez le chien pris comme type, l'application d
modalités d'application. Tant qu'un anormal a assez de discernement
cérébral
pour que la crainte de la répression CONGRÈS DU
« la prolifération névroglique dans toutes les régions de l'écorce
cérébrale
, mais prédominant très nettement : 1° au niveau
li entre les aggravations de symp- tômes cardiaques et les troubles
cérébraux
montrent bien le rapport intime existant entre
issement intellec- tuel engendré par les troubles de la circulation
cérébrale
ou par l'intoxication. Il a la valeur d'un phén
s une « modification plus ou moins durable du ré- gime des réflexes
cérébraux
» qui, suivant qu'ils seraient inhi- bés ou exc
'ac- CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 153 tivité
cérébrale
auquel il correspond, les différents symptô- me
ue les premières. Toutes sont au même titre fonctions de l'activité
cérébrale
. J'ai con- sidéré comme une sorte de sommeil d'
sentiellement caractérisé par de l'amoindrissement de l'ac- tivité
cérébrale
, en ajoutant que cet état a une tendance à res'
cial de réagir du système nerveux et particulière- ment de l'écorce
cérébrale
, qui a tendance à rester fixé dans les états de
s- formation des sensations en idées ; le rétrécissement du champ
cérébral
. L'affaiblissement mental existait donc déjà à
tions d'intéressantes photographies et coupes d'un cas d'agénésie
cérébrale
par transformation kystique d'un cerveau pendant
ës encéphaliques, les hypothermies sont en rapport avec des lésions
cérébrales
à évolution lente, et sont un signe précurseur
chez les paralytiques généraux et chez les déments dont l'affection
cérébrale
a suivi un cours régulier et lentement progress
ique et sclérose de la couche moléculaire du cortex ; athéro- matie
cérébrale
et nombreux foyers lacunaires. Pas de lésions m
nature alcoolique est très rare en Grèce. A propos de la syphilis
cérébrale
diffuse. M. Ch. Ladame (asile de Saint-Pirminsb
iffuse. M. Ch. Ladame (asile de Saint-Pirminsberg). - La syphilis
cérébrale
diffuse appartient au groupe des formes vascula
ues sont : a) macroscopiques : Leptu- méningite chronique, atrophie
cérébrale
, parfois plus mar- quée au niveau de certaines
ronophagie et destruction des cellules ganglionnaires. La syphilis
cérébrale
diffuse se distingue essentiellement sinon touj
servé d'accidents nerveux im- putables à des lésions médullaires ou
cérébrales
. Quand l'ani- mal succombe, la mort est imputab
-t-il, à user de ce traitement chez l'hom- me, au cas de néoplasies
cérébrales
ou médullaires, traitées opératoirement et réci
ne pas le tabès, mais il soigne des tabétiques. Un cas d'agénésie
cérébrale
par transformation kystique du cer- veau pendan
développées par des scissures et des sillons peu profonds. L'écorce
cérébrale
n'est en effet qu'une mince membrane recouvrant
ui ne peuvent être que le résultat d'une résorption de la substance
cérébrale
sous-corticale à la suite d'un processus inflam
aspect rosâtre, tandis qu'au cours de la période clonique, l'écorce
cérébrale
avait une coloration rougeâtre. J'ai étudié un
et aucun signe ne permettait de rapporter l'affection à une lésion
cérébrale
médullaire ou névritique. Tubes ataxo-spasmodiq
mblablement unique intéressant la 3° paire droi- te et le pédoncule
cérébral
et empiétant sur la 3e paire gauche. Le tremble
ceau géniculé au niveau de la région sous-op- tique ou du pédoncule
cérébral
. . Spasmes et parésie dans le territoire du fac
)1. le médecin-directeur M. )lonestier. BIBLIOGRAPHIE IL L'écorce
cérébrale
; par le Dl Ch. Bonne, médecin-adjoint des asil
nèbres, donnait, depuis quelques semaines des signes de dérangement
cérébral
. Hier soir, comme il venait de se mettre à tabl
bnubilation intellectuelle, le malade étant sous le coup d'un ictus
cérébral
, dont le trouble visuel est pour ainsi dire la
avec stéatose hépatique et lésions cellulaires toxique de l'écorce
cérébrale
. Bulletin de la Société unalomique, novembre 1905
( Lubouschine. Modifications anatomo-pathologiques de l'é- COITC
cérébrale
dans deux cas de démence précoce. (In Journal de
font suivre leur relation histologique d'un résumé des altérations
cérébrales
que l'on trouve dans la tuberculose pulmonaire
t sur l'appareil cérébelleux et sont à rapprocher des malformations
cérébrales
sur lesquel- les les auteurs ont insisté et qu'
lésions les plus importantes portent sur les mé- ninges et l'écorce
cérébrale
et ce sont celles-là qui ont donné naissance au
raplégie spas- modique. Chez le frère, on constate une insuffisance
cérébrale
très marquée. La soeur présente une paraplégie
us une conception dynamique et non purement mécanique de l'activité
cérébrale
, dans la- quelle l'autonomie étroite des centre
leurs descendants sont des dégénérés. Pression sanguine générale et
cérébrale
dans l'épilepsie électrique. Par Mlle le Docteu
r- mal quand les convulsions cloniques cessent. Pression sanguine
cérébrale
. On expose le cerveau d'un chien par trépanatio
u circuit et pendant la phase clonique de l'atta- que, la substance
cérébrale
devient de plus en plus rose, les vais- seaux c
a substance cérébrale devient de plus en plus rose, les vais- seaux
cérébraux
se dilatent sensiblement à mesure que les convul-
ues sont au maximum de leur intensité. Comment se comporte la masse
cérébrale
pendant l'attaque d'épi- lepsie électrique ? .
érébrale pendant l'attaque d'épi- lepsie électrique ? . 1° La masse
cérébrale
exposée par la trépana- tion commence à augment
gmenter de volume aussitôt que commence la dilatation des vaisseaux
cérébraux
après la rupture du circuit. Et à mesure que le
érébraux après la rupture du circuit. Et à mesure que les vaisseaux
cérébraux
se dilatent progressivement pendant que les con
ulsions d'abord toniques et puis cloniques se manifestent, la masse
cérébrale
augmente de volume de plus en plus jusqu'à ce q
au maximum de l'intensité des convulsions cloniques. 2° La hernie
cérébrale
commence à diminuer de volume avec la diminutio
diminution de l'intensité des convulsions cloniques, et la masse
cérébrale
rentre dans la boîte crânienne à sa place normale
raphiquement dans ma thèse citée ci-dessus. 4° La pression sanguine
cérébrale
a été étudiée et publiée il y a trente ans, par
EVUE t J, P : 1T.IOLU Il : NERVEUSE. XXII. Sur un cas de rhumatisme
cérébral
; recherches bactério- logiques ; ponction lomb
etin de la Soc. méd. des hôp. de Layon, 30 juin 1905.) Rhumatisme
cérébral
chez un sujet de 33 ans, nerveux et sur- mené a
miers jours n'ont pas été connues. Coïnci- dence avec les accidents
cérébraux
d'une éruption cutanée qui pour les auteurs doi
XIV.- Coexistence d'un rétrécissement mitral et d'une hémor- lhagie
cérébrale
; par : MJ\I. BÊRIEL et P. Savy. (Soc. des sc.
n méd., 31 mars 1907. Observation : Hémiplégie gauche ; hémorrhagie
cérébrale
re- montant à cinq jours chez une éthylique de
ivement rares, car on ne rencon- tre généralement pas l'hémorrhagie
cérébrale
au cours du rétré- cissement mitral. Dans ce ca
rdiopathe valvulaire, un brightique. Ainsi s'explique l'hémorrhagio
cérébrale
et la lésion mitrale y est tout à fait étran- g
sentier des Houes, était depuis quel- que temps atteint de troubles
cérébraux
. Seul, hier soir, dans son logis, il en profita
du cerveau avec méninges 1170 gr. Dure-mère assez tendue. La fosse
cérébrale
postérieure et la selle turcique sont couvertes
lésions de la moelle cervicale et d'un faisceau allant de l'écorce
cérébrale
au bulbe ; l'imm. réfl. au- rait pour cause la
e lésion du cerveau postérieur, ou bien un trouble de l'arc réflexe
cérébral
générale- ment admis. B.a vu souvent manquer,da
constater des lésions de tous les éléments constitutifs de l'écorce
cérébrale
. Les lésions les plus accentuées occupent la co
ut par les trois derniers doigts. SOCIÉTÉS SAVANTES. 303 Diplégie
cérébrale
infantile à type pseudo-bulbaire. M. P. ARMAND
vaient été traumatisés dans sa jeunesse. Monoplégie crurale. Lésion
cérébrale
congénitale. .)I.LONG lit le procès-verbal de d
-l'Evêque, le sieur Léonce Dossin, 26 ans, at- teint de dérangement
cérébral
, s'est tranché la jambe droite à coups de serpe
d'une certaine noto- riété, présentait des symptômes de dérangement
cérébral
. La nuit dernière, il demanda à sa femme d'alle
s axones sont bien développés dans toute la moelle et dans le tronc
cérébral
, tandis que la formation des fibrilles est enco
ugte Gehirn-Atrophie und damit verbnn- dene Schadel-Atrophie. (Atr.
cérébrale
expérimentale- et a. crâ- nienne en résultant ;
estiblité. L'hyperimpressionna- bilité et la diminution du contrôle
cérébral
qui sont la cause vraie de la suggestibilité de
lles pas la conséquence directe de la dimi- nution de leur contrôle
cérébral
? L'exagération des réflexes tendi- neux niée p
t l'hystérie : l'hyperimpressionnabilité, la diminution du contrôle
cérébral
et l'hypersuggestibilité ; ce dernier facteur r
es bien connues de Lipps sur l'association : quand deux territoires
cérébraux
A, B, sont associés, il y a d'abord écoulement
de celles de la démence sénile, l'artério- sclérose de la syphilis
cérébrale
» arrivent jamais à déceler des dif- férences a
dans le nerf optique et le tronc céré- bral, mais non dans l'écorce
cérébrale
. Elle manqua dans un cas de pseudo-tabes alcool
égie gauche qui présenta constamment les caractères de l'hémiplégie
cérébrale
. Intégrité absolue des fibres pyramidales dans
Les tumeurs de l'encéphale qui produisent une forte compres- sion
cérébrale
, s'accompagnent fréquemment d'un syndrome parti-
turne d'urine. Ce profond sommeil,en éliminant l'action des centres
cérébraux
qui pendant l'état de veille règlent les foncti
de feu par carabine Flaubert dans la région frontale, balle intra-
cérébrale
, détermination et extraction de la balle ; kyste
e,qui n'est qu'une variété de la folie circulaire ? sur les tumeurs
cérébrales
? sur les auto-intoxications rénales ou hépatiq
pour étudier la topographie et l'étendue de n'importe quelle lésion
cérébrale
, les lésions corticales en foyer, même les plus m
tait apte à manier le sang, dont dépend naturellement la psychicité
cérébrale
elle-même. » · bibliographie. 389 De l'ensemb
nt un organe actif, impor- tant pour les manifestations affectives,
cérébrales
. L'extension de la vie individuelle de l'homme,
nc que les autres im- pulsifs sont déterminés par leur organisation
cérébrale
à obéir aux mobiles. Or, qu'est-ce que l'impuls
e la polynévrite, des ma- ladies différentes de la moelle, du tronc
cérébral
et du cerveau. Mais, dans notre cas, le manque
bral et du cerveau. Mais, dans notre cas, le manque des symptômes
cérébraux
et spinaux, la marche de la maladie, l'amé- lio
e). L'absence de symptômes apparents du côté du cerveau et du tronc
cérébral
dans notre cas témoigne contre l'ingérence de c
par MM. Claude et APPEaT. L'existence du nystagmus dans l'apoplexie
cérébrale
. M. Souques signale l'existence, dans le coma a
lisme : 1° Intoxications alcooliques, causes exclusives de troubles
cérébraux
chez les femmes, situation au 1 cr janvier ¡vom
hommes : jo Intoxication alcoolique cause déterminante des troubles
cérébraux
chez les femmes ; ! l° Même tableau pour les ho
tale du système ra- dial, par Français et Kgger, p. 73. Un cas d'
cérébrale
par 'transformation kystique du cerveau penda
uée par un traumatisme, par Rose et Lemailrc, p. 303. Apoplexie
cérébrale
. Voir Xys- lugmus. - Apraxie et démence, par
que de la précoce, par An- theaume et \liSnot, p. 458. Dll'LlèGIE
cérébrale
intanLile à type pseudo-bulbaire, par A. Deli
- trophique, par Trendelenburg, p. 57. Sur une localisation de-
cérébrale
, réponse au Dr Sa]m Bolton, p. 62. Fracture.
s de suc de substan- ce grise dans les insuffisance de la cellule
cérébrale
, par Ré- monel et Voivencl, p. 86. Dan- ger d
'. par Blaclt, p. 299. Nystagmus. L'existence du dans l'apoplexie
cérébrale
, par Souques, p. 405. Névroses. Quelques rema
récissement \IIT ! 1 \I.. Co- existence d'un et d'une hémorrhagie
cérébrale
, par Bé- riel et Savy, p. 235. Rhumatisme. Su
rale, par Bé- riel et Savy, p. 235. Rhumatisme. Sur un cas de -
cérébral
, recherches bactériolo- giques, ponction lombai
ire, par Raymond, p. 231. Syphilis. Voir Sclérose. A propos de la
cérébrale
diffuse, par Ladame, p. 157. Traitement de la
maitre, M. le professeur Grasset, un malade atteint z d'une tumeur
cérébrale
dont l'observation offre un certain inté- rêt,
qui est bilatérale. Elle présente des adhérences avec la substance
cérébrale
. Ces adhérences siègent dans toute l'étendue des
int, sans entraîner en même. temps de petits fragments de substance
cérébrale
. Le cerveau enlevé et dépouillé de ses envelopp
ontale permet de constater une augmentation de consistance du tissu
cérébral
, dont le maxi- mum se trouve au niveau de la po
mbre. Elle est, en quelque sorte, isolée du restant de la substance
cérébrale
par une zone assez large de ramollisse- ment (f
que les sarcomes constituent une variété exceptionnelle de tumeurs
cérébrales
, ces tumeurs étant elles- mêmes fort rares. b
en Starr nous montre que les localisations exclusives des tumeurs
cérébrales
dans la substance blanche sont rares, puisqu'elle
te remarque de MM. Grasset et Rauzier', dans tous les cas de tumeur
cérébrale
volumineuse siégeant à l'intérieur de l'en- cép
Une autre conséquence de la présence de cette volumi- neuse tumeur
cérébrale
a été un agrandissement de la cavité cranienne.
e chefs les hypothèses tendant à expliquer cet état : 1° congestion
cérébrale
; 2° névrose; 3° lésion rénale; 4° altération d
'une cicatrice ; chez les uns ce sera sous l'influence d'une lésion
cérébrale
ou d'une irritation quelconque des terminaisons
cette mala- 32 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. die était due à l'anémie
cérébrale
, comme l'ont voulu certains auteurs'. - 'L'op
mes d'une fracture de la base avec troubles intellectuels d'origine
cérébrale
, et au sujet duquel on asuccessivement diagnost
voudrait s'appuyer sur l'interprétation schématique des phénomènes
cérébraux
pour intervenir chirurgicalement. Tout intéress
atation ne servira que le jour où l'on pourra constater les lésions
cérébrales
. - P. KERAVAL. IX. Raretés d'un asile d'alién
otions psycho- physiques). Nos sensations résultent de l'excitation
cérébrale
poly- morphe. La perception d'un mouvement est
par ScuAECEe. (Allg. Zeitschr. f. Psychiatrie, LI, 4.) La commotion
cérébrale
(ébranlement du cerveau) est une affec- tion di
par traumatisme cranien, le médecin-expert conclura à l'ébranlement
cérébral
si le traumatisme est démontré, si la mort a su
ce d'un malade, l'expert, avant de poser le diagnostic de commotion
cérébrale
, s'enquerra des circonstances au cours desquell
isme. Une enquête minutieuse évitera la confusion de la commo- tion
cérébrale
avec l'ivresse grave. L'évolution des symptômes d
ale avec l'ivresse grave. L'évolution des symptômes de la commotion
cérébrale
serait-elle favorable, l'expert devra néan- moi
n es sur la possibilité de complications tar- dives : la résistance
cérébrale
est d'ailleurs toujours diminuée. En cas de mor
sure de l'écorce et quand bien même on consta- terait de l'artérite
cérébrale
ou une pachyméningite hémorragique. Observe-t-o
le entre le traumatisme et l'apparition de symptômes de compression
cérébrale
, on sera autorisé à admettre l'existence d'un f
. - Le rapport de cause à effet entre le développement d'une tumeur
cérébrale
et un traumatisme crânien ne peut être admis qu
âniens sont dus soit à l'ébranlement du cerveau, soit à des lésions
cérébrales
variées (cicatrices, abcès, kystes, foyers de r
générescence, sur lequel viennent en outre se greffer des désordres
cérébraux
périodiques (obnubilation passagère avec troubl
chorée et de troubles périodiques de la conscience et de l'activité
cérébrale
. Il conclut à l'irresponsabilité. P. S. V. LE
vec paralysie atrophique des membres supérieurs, avec des symptômes
cérébraux
en plus, et elle est certainement sous la dépen
ourent un chemin bien plus long. Un de ces arcs va jusqu'à l'écorce
cérébrale
d'où il repart pour aboutir aux racines antérie
nutritive des os et des cartilages ne connaissent rien de l'écorce
cérébrale
. - - Camuset. REVUE.DE pathologie NERVEUSE. 71
préjuger de la nature intime de cetle affection, ni de ses lésions
cérébrales
ou médullaires, sans rechercher non plus si la
ne variété d'une grande classe nosologique, les diplégies d'origine
cérébrale
, les auteurs croient pouvoir avancer que la syp
roisée consiste en une lésion de la troisième paire et du pédoncule
cérébral
d'un même côté. Deux observations. Première obs
rante-trois ans, donnait des signes non équi- voques de dérangement
cérébral
. Hier matin, un apprenti, Emile Bachan, se prés
re deces 104 MÉDECINE LÉGALE. accidents ainsi que de l'exaltation
cérébrale
constatée chez elle depuis sa détention ont un
s, en accès incomplets en attaques hysté- riformes et en excitation
cérébrale
, mais cela plus rarement. Pour faire cesser ces
e épileptique ordinaire, une sorte de tabes spasmodique ou diplégie
cérébrale
; 8° Le traitement doit viser deux points : 1° l
ar ScHLOESS. (Jahrbüch. f. Psychiat., XII, 3.) Examen de la surface
cérébrale
de cinquante-deux aliénés héré- ditaires dont s
ratum organique de l'anomalie psychique réside dans les ano- malies
cérébrales
. Comparant les cerveaux d'individus dont le dév
ne question insoluble,jusqu'ici du moins, par l'étude de l'anatomie
cérébrale
. » P. 1(EllnvaL. IV. LE phénomène du genou ET l
VI. DES lésions anatomiques DE la MOELLE dans LES cas DE TUMEURS
cérébrales
; par C. MAYER. (Jahrbuch. f. Psychiat., Yll, 3.)
YER. (Jahrbuch. f. Psychiat., Yll, 3.) Deux observations de tumeurs
cérébrales
avec absences partielles de réflexes, lésion ré
es patellaires; cette abolition résulte plutôt de processus d'arrêt
cérébral
dus à la tumeur. P. K. REVUE D'ANATOMIE ET DE
er et à juger. P. K. VIII. Un TUBERCULE solitaire dans LE pédoncule
cérébral
DROIT ou DANS LA CALOTTE, AVEC DÉGÉNÉRESCENCE D
posent de deux faisceaux : un gros faisceau appartenant à la région
cérébrale
, un faisceau plus petit apparte- tenant au plan
ves, t. XXX. il 162 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. cas une atrophie
cérébrale
très marquée. L'adhérence des mem- branes exist
neurologist, avril 1895.) E. B. XXXI. Psychiatrie ET localisations
cérébrales
; par le DI' MINK, L'auteur estime que la doctri
leur explication par Jalésion de telle ou telle région de l'écorce
cérébrale
. (The alienist and neu- rologist, octobre 1894.
sente un aspect louche, les sinus sont gorgés de sang, la substance
cérébrale
est dissociée et fortement injectée. J. Roubino
tacher ces douleurs et ces paresthé- sies aux troubles fonctionnels
cérébraux
par suite de l'excitation venue des nerfs bronc
ologique, t. ICI', 1881, au chapitre de la tuberculose des méninges
cérébrales
, presque de la même manière que nous le décrivo
-dire à la partie essentielle de la pathologie et de la physiologie
cérébrales
. Ce résultat, Messieurs, est dû à une éducation
la démence. La plupart du temps, ce n'est qu'à la suite d'un ictus
cérébral
qu'ils présentent les premiers symptômes de cet
au peut manquer dans les cas récents ou être masquée par l'oedème
cérébral
, mais elle ne manque pas dans les cas anciens. Le
c cette forme de grandes analogies. Il est probable que les lésions
cérébrales
sont les mêmes. M. ALZHEI)fER fait observer que
iquent assez facilement, mais entraînent des fragments de substance
cérébrale
, surtout sur le lobe temporo- sphénoïdal qui pr
ible sous les granulations de l'épen- dyme. Cerveau. - La pie-mwe
cérébrale
, dans toute son étendue, même sur les lobes occ
les coupes colorées à l'hématoxyline. Les vaisseaux de la substance
cérébrale
sont extrêmement malades particulièrement dans
relativement moins atteints que dans beau- coup de cas de paralysie
cérébrale
. Les fibres à myéline sont relativement peu tou
onsidérable, à la dégénérescence colloïde des vaisseaux de l'écorce
cérébrale
, décrite par M. Magnan dans quelques cas de pa
is ne paraît pas sensiblement 'diminué de volume. - Les hémisphères
cérébraux
se laissent faci- lement décortiquer, ils ne pr
surface du bulbe, de la protu- bérance et même des circonvolutions
cérébrales
d'une lésion de même nature, montrent avec la d
ndyme du quatrième ven- tricule est finement granuleut, Les artères
cérébrales
sont saines. Le cerveau ne présente' aucune lés
cervicale et dorsale que dans le renflement lombaire. Les méninges
cérébrales
et les capillaires de l'écorce ne présentent pa
ait à des tabétiques, dont un, au moins, ne présente pas de lésions
cérébrales
. Néanmoins, si nous fai- sons abstraction de la
cher, des colorants muléaires électifs. II. Les lésions de l'écorce
cérébrale
cause de la paralysie générale, celles des nerf
syphilis qu'il relève. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. C0lfèfOTlON
cérébrale
, blessure DU cerveau ou névrose; parTHOMSEN. (A
ont présenté des difficul- tés. Fallait-il incriminer la commotion
cérébrale
? Mais les symp- tômes de celle-ci suivent immé
de distance, les convulsions appuient le diagnostic de compression
cérébrale
, que la fugacité des symp- tômes, l'absence de
ême interprétation à nombre de symp- tômes attribués à la commotion
cérébrale
ou à la compression ? 2 P. SÉRIEUX. XII. UN c
de ceux des arthropathies neuro-spinales. E. BLIN. XV. Accidents
cérébraux
dans LE cours DE la BLE : VNGRRII1GIE; par le p
le : M. Tambourer attribue à une embolie gonococcique les accidents
cérébraux
qui ont entraîné la mort de son malade. . Si le
les sensitivo- sensoriels, trophiques, électriques, vésico-rectaux,
cérébraux
, etc., font défaut ; la motilité est intacte au
logique, janvier 1895.) E. B. XXXV. Observation D'UN cas DE dualité
cérébrale
; . par Lewis BRUCE. (Brain, part. LXIX, 1895,
e (dans un cas grippale) et due à la localisation dans les cellules
cérébrales
et les espaces lymphatiques de l'écorce de baci
e : la grand'- mère, morte à quatre-vingt-deux ans d'une congestion
cérébrale
, a souffert toute sa vie de migraines. Plusieur
vie de migraines. Plusieurs grands-oncles sont morts de congestion
cérébrale
. Notre malade est né à terme. A sept mois la mè
tique et la mère nerveuse. Elle a eu deux frères morts d'affections
cérébrales
suspectes. Elle-même, à l'âge de dix- neuf ans,
par allaitement et ayant^ présenté peu de temps après des accidents
cérébraux
graves (apoplexie, hémiplégie droite, aphasie m
hez le vieillard). HALl PRÉ. La paralysie pseudo-bulbaire d'origine
cérébrale
. LEBL.is. De la puberté dans l'hémiplégie spasm
henne-Aran ? AI"ILENOfF. Alauifestations oculaires de la syphi- lis
cérébrale
.- M. LE FILLFATRE. Essai sur les troubles moteurs
et inculpé de possession démo- niaque comme en proie à des troubles
cérébraux
. Cependant Nider (mort en 1440) est cité par Ca
an journal of insanity, avril 1895.) E. B. VIII. SUR la chirurgie
cérébrale
dans LES aliénations mentales; par le Il René S
ale puisse être dis- cutée. D'après les partisans de la chirurgie
cérébrale
chez les aliénés, on peut toujours, dans les ca
xcision plus ou moins complète de telle ou telle partie de l'écorce
cérébrale
, cette pra- tique parait inacceptable. (Annales
Conclusion. 1. Le ruban de Reil de l'étage inférieur du pédon- cule
cérébral
a bien le trajet que lui a assigné Flechisg à la
le des épileptiques, sensibilité occipitale de certaines affections
cérébrales
), les syphilis locales anciennes de la moelle e
res termes, fonds de syphilis héréditaire, arrêt de dévelop- pement
cérébral
, affection spinale semblable à celle des observat
es spinales hémorragiques sont de beaucoup moins fréquentes que les
cérébrales
, l'auteur ne les a vues que dans une proportion
E PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 391 XXXIV. DE la structure DES artères
cérébrales
; par les Drs 111,,CER et de 13OEK. (Bull. de la
ition anatomique est surtout manifeste dans le cerveau; les artères
cérébrales
ne fournissent pas de branches corticales disti
le mésocéphale. La structure et le mode de distribution des artères
cérébrales
ont pour conséquence d'assurer une circulation
e disposition histologique spéciale dans la musculature des artères
cérébrales
; l'allure spéciale de la circulation encéphaliq
une plus exacte adaptation de l'appareil. R. M. C. XXXVII. KYSTE
cérébral
D'ORIGINE traumatique, ayant provoqué DE l'apha
SUR la dégénérescence DES CELLULES NERVEUSES dans UN cas d'atrophie
cérébrale
localisée; par le Dr PROUT. Chez un épileptique
poison ayant une affinité élective parti- culière sur la substance
cérébrale
, dont il déterminerait peu à peu l'altération e
XLVIII. Contribution A L'ÉTUDE anatomo-clinique DES localisations
cérébrales
; par James SHAW, (bain, part. LX1X, 1895, p. 74.)
les, et surtout en rapport avec des altérations des circonvolutions
cérébrales
. Elle n'est pour lui, en résumé, « qu'une alhét
e démontre non seulement que les nerfs périphériques et la subtance
cérébrale
sont altérés en même temps, mais permet encore
sur les fibres périphériques (polynévrite), tantôt sur la substance
cérébrale
(symptômes psychiques); quelquefois en lésant e
de la substance corticale du cerveau. Parallèlement aux troubles
cérébraux
se montrent les symptômes de la névrite multipl
lité des nerfs à la pression, hypereslhésie cutanée. Les troubles
cérébraux
et les symptômes de la polynévrite peuvent se t
e antérieure de la moelle, ramollissement superficiel de l'écorce
cérébrale
, et enfin dégénérescence colloïde de la glande th
i sur les observations anatomo-cliniques et les lésions de l'écorce
cérébrale
décrites dans certains cas d'intoxi- cation gra
mille plusieurs ascendants paternels et maternels morts d'apoplexie
cérébrale
. J. SÉGL.as. XLIX. Nouvelle contribution A la D
. LuGARO. (Riv. sp. di fi·e72., t. XX, fasc 11l-IV.) LIV. La GLIOSE
cérébrale
chez les épileptiques; par TDESCI ! 1, (Riv. sp
Autopsie. Hémisphère gauche. Oblitération par embolie de l'artère
cérébrale
postérieure, au niveau des tubercules quadriju-
et sur d'autres personnes indifférentes. Ils ont mesuré l'activité
cérébrale
et la force musculaire de l'individu à l'aide d
éclosion par l'état d'excitation dans lequel il entretient l'écorce
cérébrale
. Les descen- dants d'alcoolisés sont des candid
odeïne. Du 'chlorhydrate d' par Toy, 328. Artères. Structure des-
cérébrales
par Heger et Boek, 391. A RTII RO P,\TIII ES
mputation congénitale par Le- clerc, 152. B.cwoaea.uae. Accidents
cérébraux
dans la , par Pitres 209. Blennorriugique. Fo
Campell, 155. Gliosar- come du -, par de Michèle, 475. Chirurgie
cérébrale
dans les aliéna- tions mentales par Semelaigne,
e l'ensemble du système nerveux par Nissl et Rosin, Hl. Commotion
cérébrale
, blessure du cerveau ou névrose, par Thomsen
tion chez les aliénés par Larroussinie, 336. Dualité. Deux cas de
cérébrale
par Bruce, 319. Ecorce. Fibres nerveuses à my
tiques. La conscience dans les crises -, par Bombarda, 38. Gliose
cérébrale
chez les par Tedeschi, 467. Etat mental de S.
63, 474. Kleptomanie chez une choréique, par Kurella, 58. KYSTE
cérébral
d'origine trauma- tique, par Mayo, 393. Labor
-, par Fraenkel, 62. Localisations. Contribution à l'étude des
cérébrales
, par Shaw, 398 Médecine mentale. Origine et pro
u, par Remak, tî3. Pédoncule. Un tubercule solitaire dans le -,
cérébral
droit par Grelwe, 141. Percussion du crâne et
eaux. Une tumeur dans la région des , par Weinland, 397. Tumeur
cérébrale
. Lésions anato- miques de la moelle dans les ca
rge que lorsqu'il s'agit d'une dégénérescence secondaire par lésion
cérébrale
. Une bande noire souligne, dans la moitié posté
membres inférieurs, du tremblement, de l'amnésie et de la torpeur
cérébrale
. Un jour, il s'affaisse brusquement durant la m
insi qu'une paraplégie complète avec halluci- nations et dépression
cérébrale
, et s'éteint doucement treize- jours plus tard.
té,-puis de l'autre, sans aucun signe de congestion ni d'hémorhagie
cérébrales
; 3° l'abolition du réflexe palpébral ; 4° l'ab
recherches expérimentales ingénieuses en vue de localiser le siège
cérébral
des lésions et de présenter réunies les quelques
ostica la présence d'un tubercule solitaire comprimant le pédoncule
cérébral
droit et le haut de la protubé- rance avec le m
ue en même temps qu'elles laissent à penser combien les changements
cérébraux
épileptiques et migraineux sont étroitement lié
sensorielle) acquiert des relations avec les changements permanents
cérébraux
que nous devons supposer tant pour l'hémi- cran
entes entre elles, et devant être rapportées à un commun changement
cérébral
différent d'in- tensité et d'étendue. 7° L'ép
erfs spinaux, nerfs craniens sensitifs et moteurs, bulbe, substance
cérébrale
corticale et gan- glions sous-corticaux, n'arri
Observation d'un homme éprouvant depuis une attaque de con- gestion
cérébrale
, des accès passagers d'amnésie, qu'il décrit per-
blancs autour des noyaux du bulbe ». R. C. LU. Un cas de ladrerie
cérébrale
; par MM. Léopold Lévi et Louis LEmAiRE. (Nouv.
tement. A l'autopsie on trouve la périphé- rie des deux hémisphères
cérébraux
farcie de petits kystes lenticu- laires contena
ie on constate dans la substance grise périphérique des hémisphères
cérébraux
(à l'exclusion de toute autre région du corps)
sation exacte de la lésion, mais aussi quant à sa nature. - Tumeur
cérébrale
avec autopsie. . Ilill. KL1PPEL ET JARVIS rappo
a congénitale, héréditaire, familiale, aiguë ou chronique. Porose
cérébrale
. M. G. GUILLAIN présente deux pièces relatives
M. G. GUILLAIN présente deux pièces relatives à deux cas de porose
cérébrale
, « L'état de fromage de gruyère » qui caractérise
s au niveau du centre ovale, des ganglions centraux, des pédoncules
cérébraux
et de la protubérance, est surtout le fait de c
u 5 décembre 1901. PRÉSIDENCE DE M. LE professeur RAYMOND. Tumeur
cérébrale
chez un enfant. MM. LENOBLE et Aubineau (de Bre
l'hémorrhagie. Association d'hémiplégie hystérique et de diplégie
cérébrale
infantile. M. LAIGNEL-LAVASTINE (présentation d
survenu sur des lésions organiques plus anciennes. 1 Hémorrhagie
cérébrale
chez un diabétique. MM. KLIPl'EL et Jarvis rapp
ntes dans le domaine de la circulation céré- brale : 1° les artères
cérébrales
se rétrécissent; 2° la pression artérielle augm
de la pression artérielle, d'où il résulte une anémie des vaisseaux,
cérébraux
et une hyperhémie consécutive. Outre l'hyperhém
end des réels services dans le traitement des affections médullo-
cérébrales
et doit être essayée chaque fois, qu'on est appel
de l'entre- croisement des fibres sensitives. H. C. XXIII. Tumeur
cérébrale
: par Ernest DurijÉ et Albert DEVAUX. (Sollv.le
discussion documentée sur la physio- logie pathologique des tumeurs
cérébrales
, discussion tendant à étayer une hypothèse nouv
dans les conclusions suivantes : 1° Les malades porteurs de tumeurs
cérébrales
, présentent à côté de la dépression et de la di
rique et excentricité du noyau. 4° Dans la pathogénie des tumeurs
cérébrales
, à côté de la com- pression de l'encéphale qui
ne et lymphalique du néoplasme permettans l'imprégnation du tissu
cérébral
par les toxines issues du foyer pathologique, ext
vascu- laires) invoqués pour expliquer les symptômes des tumeurs
cérébrales
. il. C. XXIV. Des rapports entre le contenu men
entendre les premières voix en faveur de l'existence dans l'écorce
cérébrale
de centres indépendants : centres présidant à t
niques excellentes. Depuis trente ans, la théorie des localisations
cérébrales
a remarquablement progressé : en outre des cent
nièrement, on s'est encore mis à élucider l'in- fluence de l'écorce
cérébrale
sur diverses fonctions végétatives etc. Enfin,
veau est très large, à l'opération on retire une abondante bouillie
cérébrale
et des esquilles d'os considérables enfoncées d
ralysie générale, et se ranger parmi les autres causes de scléroses
cérébrales
. Le phénomène est analogue au processus du rein
me; légère opacité et épaississement de la pie-mère de la convexité
cérébrale
, notamment sur le trajet des sillons. Légère hy
n trouve à peu près les mêmes altérations dans le cervelet, la tige
cérébrale
et la moelle épinière, où elles sont plus prononc
ppenheim, il considère les modifi- cations pathologiques de la tige
cérébrale
et de la moelle épinière comme étant d'origine
, on peut conclure que les souvenirs sont localisés dans l'écorce
cérébrale
du côté gauche chez les droitiers, du côté droit
le drame. Sylvain Pourbaix, qui donnait des signes de dérangements
cérébraux
et avait, en outre, des raisons d'en vouloir à
la source de ces changements intellectuels émotifs. Les phénomènes
cérébraux
sont la genèse initiale des change- ments somat
pendance, que dans la théorie, si incertaine ici, des localisations
cérébrales
. D'autant mieux que la rougeur, si les expérien
e membre supérienr droit : la percussion de la zone d'hyperesthésie
cérébrale
du membre supérieur droit me produit ceci : vou
érieurs à la mort. L'auteur a de plus coloré des coupes de l'écorce
cérébrale
et cérébelleuse, et décrit les lésions qu'il a
avec les affec- tions suivantes : alcoolisme chronique et syphilis
cérébrale
, assez en détail ; puis, plus brièvement : fati
rveuse profonde des travailleurs de la pensée, manie aiguë, tumeurs
cérébrales
, démence organique, sclérose disséminée et atax
: atrophie simple, etc. ; 3° la patho- logie des artères et veines
cérébrales
, en particulier les lésions séniles et de sclér
t. Hien de précis sur les rapports de la structure et des fonctions
cérébrales
. L'atrophie musculaire progressive du type Oran
Mais irritation névralgique plus intense, déterminant un changement
cérébral
diffus, et surtout quand elle portera sur le sy
en foyer qui, grâce à une locali- sation particulière du processus
cérébral
, ressemblent de très près par leur évolution et
rr. XXXVII. Mort d'un aliéné par fracture du crâne et hémorrhagie
cérébrale
. Crâne de minceur anormale; par H. MOULTON. (The
odifications de la vie organique, rendues conscientes par les voies
cérébrales
, dominées par un centre encéphalique, centre de
e comprend deux chapitres. Chapitre I. Notes sur 60 cas de syphilis
cérébrale
observés, à l'asile et à l'hôpital (dont 22 cas
indépendamment de la volonté, par le jeu spontané de l'automatisme
cérébral
. Dans l'état normal, ce phénomène apparaît asse
e qu'il en éprouve. L'obsession morbide est donc un mode d'activité
cérébrale
sur lequel le contrôle de la volonté est nul ou
rs expériences sur un cas d ? ·e2cilaop7aobie, « que les phénomènes
cérébraux
sont la genèse initiale des changements somatiq
Marchand) fournissent de nouvelles raisons de croire que le travail
cérébral
détermine direc- tement certaines modifications
enforcé par les modifications organiques qui accompagent le travail
cérébral
, mais ces modifications, à elles seules, ne sau
'il ne s'y joint la perception ou le souvenir, c'est à dire le fait
cérébral
qui met en branle toute la série. « La conscien
tive ordinaire ; ainsi qu'on l'a souvent remarqué, elle est surtout
cérébrale
, intellectuelle ; c'est une anxiété mentale plu
iques peuvent-ils tenir les stigmates électriques de leur affection
cérébrale
? Non, car il. est très rare d'observer dans l'
s becs de gaz que l'on vient d'allumer, ou dans le cas d'excitation
cérébrale
due, par exemple à la fatigue, invariablement a
plète diffusion ne présentait aucun caractère particulier. Cécité
cérébrale
et déviation conjuguée de la tète et des yeux.
pas à quoi elle répond. 330 SOCIÉTÉS -SAVANTES. - '. Atrophie
cérébrale
. M. Dorai : montre le moulage du cerveau d'une
ai : montre le moulage du cerveau d'une malade atteinte de diplégie
cérébrale
infantile avec maximum à gauche, idiotie et épi
dure-mère adhérente à cet endroit aux os du crâne et à la substance
cérébrale
. L'opération eut un effet très heureux sur l'év
rendre en considération les altérations secondaires de la substance
cérébrale
, provoquées par la présence du cysticerque (inf
itution des accès d'épilepsie généralisée et provoquer des troubles
cérébraux
graves qui ont déterminé la mort. A noter dans
es méninges du bulbe et une épendymite granu- leuse des ventricules
cérébraux
. A l'examen microscopique, on constate dans la
ommence la dégénération du faisceau pyramidal. Dans les ventricules
cérébraux
(4°. 3° et latéraux), on constate une épendymit
e lésions paren- chymateuses des cellules et des fibres de l'écorce
cérébrale
. Comme ces dernières lésions se sont développée
Cheyne-Stokes compris à ce point-de-vue très général ; la théorie
cérébrale
est plus satisfaisante. Mais s'agit-il d'une insu
cérébrale est plus satisfaisante. Mais s'agit-il d'une insuffisance
cérébrale
où d'un état convulsif là se pose le problème il
aurait été atteint, cinq mois avant son entrée, d'une « congestion
cérébrale
» et depuis cette époque, aurait donné quelques s
senta tout à coup, peu de jours avant, sans aucun signe de troubles
cérébraux
. Exploré par moi, il avait une abolition des mo
mais du côté gauche, et survenu aussi subitement, et sans troubles
cérébraux
. A première vue, la nouvelle paralysie était ex
Obnubilation crépusculaire avec amnésie consécutive à une commotion
cérébrale
légère; par W. KLINK. (Neurolog. Ceaztralbl., X
¡¡¡¡AVAL. LXVIII. De la syphilis comme cause de paralysie infantile
cérébrale
; par W. KOENIG. (Neurolog. Centralbl., XIX, 190
rift f. Nervenheilk., t. XIII, établi que les paralysies infantiles
cérébrales
avaient pour facteurs étiologiques certains : i
appartiennent aux formes de transition entre la paralysie infantile
cérébrale
et l'idiotie simple. P. Keraval. LXIX. Tabes
lysé. , P. IiERAV-1L. LXXX. Des accidents paralytiques d'origine
cérébrale
consécutifs à l'influenza ; par Guttmann. (Neur
hilis nerveuse, souvent très accessible au traitement ; Î5° Lésions
cérébrales
diffuses, simulant la paralysie générale pro- g
e nous sommes amenés à supposer l'existence d'altération des tissus
cérébraux
à spécialisation élevée. On ne peut même pas av
comkial essentiel aussi bien que dans des états liés à des tumeur;,
cérébrales
. Il a trouvé les cellules nerveuses et particu-
attacher la paralysie des nerfs moteurs ni à une lésion des centres
cérébraux
, ni à une lésion d'origine nucléaire. Les argum
touche l'encéphale comme le démontrent ses divers symptômes; l'arc
cérébral
modé- rateur réflexe est excité et exerce une a
tale depuis une vingtaine de jours, sous l'influence d'une crise
cérébrale
, menaça soudain ses parents de les crucifier. S
nde majorité des cas, les manifestations convulsives de la syphilis
cérébrale
se présentent sous les .dehors de l'épilepsie p
étiologie de l'épi- lepsie et sur les manifestations de la syphilis
cérébrale
. Il est reconnu aussi qu'en pareilles circonsta
s ces conditions, il faut évidemment faire inter- venir des lésions
cérébrales
diffuses. Rappelez-vous que les lésions de la s
s cérébrales diffuses. Rappelez-vous que les lésions de la syphilis
cérébrale
sont de trois ordres, et qu'on peut les résumer
e, soit homonyme, survenue en tant qu'épiphéno- mène de la syphilis
cérébrale
. Or, tandis que les deux premières catégories d
tait là un nouvel argument en faveur de l'unilatéralité des lésions
cérébrales
diffuses que nous supposons exister chez cette
USE. .postérieur de la couche optique, de faisceau optique intra-
cérébral
(Testut). ' A son origine, il occupe la région
e signe révélateur d'une démence paralytique ou d'un ramollissement
cérébral
. Il ne présente pas non plus de dysarthrie. Bre
cet homme sur le compte, soit d'une embolie, soit d'une hémorrhagie
cérébrale
. Or, L... n'a pas de mala- die de coeur. Il a t
t eu deux petites attaques d'aphasie. L'hypothèse d'une hémorrhagie
cérébrale
se concilie très bien avec ce mode d'évolution.
rant, L..., est parvenu à la période de la vie, où des hémorrhagies
cérébrales
, révélées par des attaques d'apoplexie, sont re
donc volontiers à cette hypothèse : intervention d'une hémorrhagie
cérébrale
, comme cause prochaine des accidents présentés
nd à la scissure calcarine. Rappelez-vous que les circonvolutions
cérébrales
sont ali- mentées par trois vaisseaux artériels
rales antérieure, moyenne etpostérieure. Rappelez-vous que l'artère
cérébrale
moyenne ou sylvienne (fig. 29) irrigue la plus
e, survenue dans le territoire ali- menté par l'artère sylvienne ou
cérébrale
moyenne, est à même de nous rendre compte de pr
cond foyer hémorrha- gique, situé dans l'aire de distribution de la
cérébrale
pos- Fig. 28. - Les parties ombrées représenten
ties ombrées représentent le territoire de distribution de l'artère
cérébrale
postérieure. SUR TROIS cas d'hémianopsie. 467
agique, consécutif à une rupture de l'artère sylvienne, de l'artère
cérébrale
moyenne, ayant retenti sur le faisceau cérébral
ienne, de l'artère cérébrale moyenne, ayant retenti sur le faisceau
cérébral
optique, par voie de compression et d'is- chémi
es parties ombrées représentent la zone de distribution de l'artère
cérébrale
moyenne. 468 CLINIQUE NERVEUSE. l'hémianopsie
isinage du point où la bandelette optique se perd dans l'hémisphère
cérébral
. Il n'en est plus de même, quand la lésion sièg
s de paralysie motrice dans les membres (compression des pédoncules
cérébraux
), c'est signe que les deux bandelettes optiques
es-ci sont en rapport avec la compression ou la lésion du pédoncule
cérébral
(hémiplégie motrice, plus SUR TROIS cas d'hémia
voir son mari interné présenta peu de temps après quelques troubles
cérébraux
. Deux ans après le début de l'affection chez le
ou tout au moins l'agent provo- cateur de l'apparition des troubles
cérébraux
chez le mari. i. L'affection de la femme est at
ns le cas de constitution congénitale sans syphilis. Prédisposition
cérébrale
et tare héréditaire ne coïncident du reste pas
toujours. La tare héréditaire peut avoir produit la prédisposition
cérébrale
, mais celle-ci existe assez souvent sans la pre
parations d'un cas de tumeur épithélioïde de la région pédonculaire
cérébrale
gauche, ayant épargné complètement les fibres p
chlorures, et diminution de l'urée. Nouvelle méthode de mensuration
cérébrale
. M. DmE propose un procédé pour mesurer les hém
ssai sur l'hémiplégie des vieillards, les lacunes de désintégration
cérébrale
, in-8- de 192 pages avec 8 planches. Prix : 6 f
ute, 431. Fracture du chane. Mortd'un aliéné par - et hémorrhagie
cérébrale
, par Moulton, 239. Gaz. Etat mental d'un suje
que, par Mar- tial, 51 Association d' hysté- rique et de diplégie
cérébrale
infantile, par Lalguel-Lavas«uel 89. Hypertro
ie ultérieure de la corde lucale, par Lannois, 3G. HÉIIORHHAGIE
cérébrale
. Voir Fme- 1 lire. Hémorrhagie méningée spina
Voir Meurtre. Influenza . Des accidents paraly- tiques d'ongine
cérébrale
consé- cutifs à l' - par Guttmann, 389. Kyste
he, 143. -- ostéo-fibreux du ceneau, par Vigouroux, 321. Ladrerie
cérébrale
, par Lévi et L. Lemaire, 72. Landry. Contllbu
I; crépusculaire avec am- nésie consécutive il une COIn1110- tlon
cérébrale
légère. Obsession. Sur la théorie de 1 ? par
r Glo- rieux, 54. - ou Poliomyélite, par Bnssaud, t21. z POROSE
cérébrale
, par Guillain, 85. Possession. La - par des rep
ar \fourato(f, 340. De la - comme cause de la paralysie infantile
cérébrale
, par Koenig, 381 Synytômestabétiques observés
'l'HICIIO-UYI'Ú\ES 1 Il Ls lE, par Beclite- "e W. 311. r. Tumeur
cérébrale
, par Kl1ppel et parvis, 82. - chez un enfant,
pinière y ont surtout été conduits par analogie avec la commotion
cérébrale
; mais l'étude plus complète de l'anatomie et de
l ne resle que quelques vestiges de la couche optique. Le pédoncule
cérébral
est libre au milieu de la cicatrice. L'intégrit
es provenant d'encéphales mutilés (vivisection), de ramollissements
cérébraux
anciens, de lésions traumatiques du cerveau che
omènes bulbaires, des symptômes du côté du trijumeau, des symptômes
cérébraux
. Quant à l'atteinte de la substance blanche, el
e primitive des plexus coordonnateurs les plus éle\és de l'écorce
cérébrale
; par suite de l'abolition, permanente ou temporai
ntres inférieurs, qui comprennent la plus grande partie de l'écorce
cérébrale
, sont mis en activité ; la tendance même de ces
ivers points de l'observation, à dire que s'il y a une alté- ration
cérébrale
, elle a son siège dans la moitié droite du cervea
territoires musculaires dont les centres sont situés, dans l'écorce
cérébrale
, les uns à côté des autres ; 4" La charpente musc
ents se manifestent encore après la section transverse du pédoncule
cérébral
et de la moelle. Fréquemment ils présentent un
le les uns des autres, par de profondes incisures dans la substance
cérébrale
, des départements corticaux voisins. En pra- ti
romure de zinc. et le bromure de potassium diminuent l'excitabilité
cérébrale
. Le bromure de zinc doit celte action autant au
rendent aux noyaux bulbaires. (Voy. le fait de Jolly par sclé- rose
cérébrale
, 1872.) Il y faut joindre les cas de démence para
t en bas, mais en diminuant d'intensité, jusque dans les pédoncules
cérébraux
; elle consistait en une énorme accumulation de
e se plient à aucune explication. On a bien affaire à une affection
cérébrale
, car la paralysie débute par de la céphalalgie
lepsie à la suite d'un traumatisme (fracture des osdunex, commotion
cérébrale
) l'âge de vingt- neuf ans, en 18î6. La moyenne
agit qu'indirectement. Comme hypnotique, en dilninuantl'exci talion
cérébrale
; celle-ci diminuée, le sommeil survient spontan
même façon. Enfin, en guise de synthèse, l'auteur examine le tronc
cérébral
à l'aide de coupes horizontales, et résume les sy
rès avoir fait connaître la manière dont il envisage le méca- nisme
cérébral
de la vision, l'auteur passe en revue les faits c
(B.) et Mosso (G.). Contributions allô studio délia circola- zione
cérébrale
. Broc))ure i))-8'' de 30 pages, avec 14 figures d
r de pareilles observations que les faits sem- blables de commotion
cérébrale
. Ces faits me paraissent trouver confirmation d
comme type. On constata à l'autopsie une injection de la pie-mère
cérébrale
qui était en même temps infiltrée de lymphe, qu
athique. Accès de colère de la première en- fance ci 1881. - Fièvre
cérébrale
et convulsions ci 7 ans (1876). Premier accès e
moins intelligent que notre ma- lade ; 3° garçon, mort d'une fièvre
cérébrale
avec convulsions con- sécutives à une chute ; -
cès. On croit qu'il se livre à l'onanisme. Rougeole à 3 ans, fièvre
cérébrale
à 7 ans, attribuée à un coup de soleil et duran
en que les recherches relatives aux troubles de la vision d'origine
cérébrale
se soient multipliées dans ces dernières années
que si on peut observer l'hémianopsie en conséquence d'une lésion
cérébrale
, on rencontre au moins aussi souvent une amblyopi
ution à l'étude des troubles fonctionnels de la vision par lésioiis
cérébrales
, t883. - ' Lec. cit., p. 137. 22 le RECUEIL d
s de lésions du fond de I*o-il. le Ier avril 1884. - Le pédoncule
cérébral
gauche est aplati, beaucoup plus petit que le d
mptomatique de l'hémianesthésie sensitivo-sen- sorielle d'origine
cérébrale
, et à l'hémianesthésie des hystériques permet
mai 1884 à une pneumonie. AuTOi'siK.La face inférieure du pédoncule
cérébral
gauche présente un aplatissement notable. Toute
l'oeil (fig. 5). Mort le 24 décembre 1881. Autopsie. Les pédoncules
cérébraux
sont systématiques et d'aspect normal, il en es
onc encore à dire, que la localisation de l'hémianopsie d'origine
cérébrale
est encore insuffisamment établie ; et nous somme
t point nettement établie. « L'existence de l'amblyopie d'origine
cérébrale
est nette- ment établie par des faits cliniques
l. Suivant qu'ils trouvent ou non, sous l'influence de l'activité
cérébrale
, une augmentation dans le chiffre d'acide pliosph
-esbel-ichl, 1833. 2 Wood. Recherches sur l'influence de l'acliu'té
cérébrale
sur l'exeré- tioit de 1'(icide I)hospho)-i(lite
sur la relation qui existe il l'état physiologique entre l'activité
cérébrale
et la composition des- urwrec. Ttr. de Paris, 18H
s recherches. Considérations générales. Pour savoir si l'activité
cérébrale
modifie l'élimination de l'acide phosphorique,
ns l'élimination de l'acide phosphorique, pendant l'état d'activité
cérébrale
, attribuer ces modifications à cette seule acti
'alimentation que nous venons d'indiquer, on met enjeu l'ac- tivité
cérébrale
et si des modifications se produisent dans l'éli-
augmentation des phosphates terreux sous l'influence de l'activité
cérébrale
. Un même travail augmentera d'autant plus le ch
être augmenté. Telles sont les modifications que produit l'activité
cérébrale
sur l'élimination de l'acide phosphorique et de
que démontre qu'il s'agit d'une ré- duction delà substance nerveuse
cérébrale
, surtout au niveau de la troisième frontale, de
e rapide du bras droit; en même temps apparaissent des phénomènes
cérébraux
. Mort dans le coma. Diagnostic. D'abord, dégénére
UE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. tance blanche, surtout dans l'hémisphère
cérébral
gauche. Au microscope, la moelle présente une d
OGIE MENTALE. 261 complications 1. - A ce propos, le ramollissement
cérébral
observé ici comme accident ultime constitue une
ngée, une hydrocéphalie chronique externe et interne, de )'oedème
cérébral
, de la sclérose avec atrophie de tout le cervelet
particularités se rencontrent encore dans les maladies nerveuses et
cérébrales
d'un autre ordre, voire dans le délire de la fi
emble de l'encéphale pèse 846 gr. 76. Différence entre l'hémisphère
cérébral
gauche et l'hémisphère droit, 33 gr. 34. Dans u
psychose ultérieure, ce qui s'explique d'autant mieux que la lésion
cérébrale
ne correspond pas toujours à l'endroit où agit
ermettent de conclure que le traumatisme a laissé quelque infirmité
cérébrale
. Ces accidents sont : la propension à des conge
la folie soupçonneuse des phti- siques, la démence par athéromasie
cérébrale
, la folie diabétique et goutteuse, les folies d
ilitique, la morphiomauie, et surtout l'immense groupe des troubles
cérébraux
alcooliques ont été successivement étudiés. Nou
ets de cet âge; dans tous ces cas, sénilité précoce et perturbation
cérébrale
sont liées à un autre élément étiologique : épi
278 sociétés savantes. nous trompons pas, les héréditaires d'ordre
cérébral
ou névro- sique souvent vieillissent de bonne h
, pour son mémoire sur les localisations sensorielles dans l'écorce
cérébrale
. Enfants, idiots. Des développements apportés d
evons d'abord signaler, dans un grand nombre de cas, des troubles
cérébraux
de début, tenant à la commotion du cerveau qui
up plus persistants dans la commotion spinale que dans la commotion
cérébrale
, probablement parce que les éléments anatomique
e nos malades épileptiques traités par le curare. Chemin fai- 1 Les
cérébraux
(Etude de pathologie mentale), (Arch. de méd., 18
ne fois des convulsions, attribuées par le médecin à une congestion
cérébrale
. On ne sait combien de temps elles ont duré, ni
tié droite de l'espace perforé est aussi moins grande. Le pédoncule
cérébral
droit est moins large, moins épais que le gauche.
r. de plus que le gauche. Cervelet et isthme : 170 gr. L'hémisphère
cérébral
droit est en retrait de 2 centimètres en avant
s, le pseudo-kyste longe la bandelette optique droite, le pédoncule
cérébral
qu'il contourne, et la corne tempo- rale du ven
de l'hippocampe et corne d'Ammon normaux. Corps calleux, pédoncule
cérébral
, couche optique, corps strié, bien développés,
ère et de bas en haut, et qui coupe en quelque sorte l'hémis- phère
cérébral
en deux parties, l'une antérieure (lobe frontal e
tim. 8 dixièmes; largeur, 5 centim. Examen du foyer. L'hémisphère
cérébral
droit, après être resté plusieurs mois dans l'a
le du lobe temporal, la séparation presque complète de l'hémisphère
cérébral
droit en deux tronçons ne communiquant que par
intellectuelle de plus en plus accusée. Observation XXII. Atrophie
cérébrale
. Epilepsie symptoma- tique et imbécillité. Hypo
rynx par un morceau de viande; mort.- Autopsie : sur l'hémis- phère
cérébral
droit (face convexe) : atrophie de la plupart des
u- jours été régulière. A vingt et un ans, elle eut des accidents
cérébraux
mal déter- minés, qui furent suivis d'une conva
les recherches qu'il a faites : « En général, dans les affections
cérébrales
chroniques, la quantité d'acide phosphorique él
as. Pendant la période d'état de la maladie, alors que les troubles
cérébraux
sont intenses, que les idées sont très embrouil
endant les périodes de déclin de la maladie, alors que les troubles
cérébraux
sont peu intenses, l'acide phosphorique uni aux
t l'état de dépression, alors que, à part l'agitation, les troubles
cérébraux
persistent et s'accusent par de l'apathie, un v
is encore ici faut-il distinguer les cas dans lesquels les troubles
cérébraux
sont très marqués de ceux dans lesquels ces tro
'une part, que c'est dans la période d'état, alors que les troubles
cérébraux
sont le plus intenses, que le chiffre de l'acid
ériodes d'agitation du déclin de la maladie, alors que les troubles
cérébraux
sont moins marqués que pendant l'état de dépres
s rapports qui existent entre l'acide phosphorique etles troubles
cérébraux
. En effet, si ces résultats nous portent à penser
il se lie intimement à la nutrition de ce dernier; 3° L'activité
cérébrale
et les maladies fonctionnelles du système nerve
ystème nerveux modifient la nutrition de ce système ; 4° L'activité
cérébrale
physiologique et pathologique retentit sur la n
ladies fonctionnelles de ce système, retentisse- ment de l'activité
cérébrale
sur la nutrition générale, mérite- raient de no
opsie, qui est très probablement un trouble fonctionnel de l'écorce
cérébrale
, met le même obstacle à l'hallucination qu'à la
s du côté de l'oeil. M. Féré a observé que, dans le cas des lésions
cérébrales
et dans l'hystérie, il existe un rapport consta
gestives et particulièrement de vieux buveurs, dont la circulation
cérébrale
est ralentie, et l'activité individuelle diminuée
ce sont des lents. Quand ils deviennent actifs, c'est qu'un trouble
cérébral
nouveau s'est pro- duit. II n'y a donc pas mati
us parle M. Charpentier ; mais là encore, il s'agissait de troubles
cérébraux
se traduisant par des paralysies. M. Charpent
'est l'onanisme chez l'idiot complet. Pour les seconds, les spinaux
cérébraux
postérieurs, le réflexe part de l'écorce cérébr
nds, les spinaux cérébraux postérieurs, le réflexe part de l'écorce
cérébrale
postérieure et aboutit à la moelle. La vue seul
nstinctif purement brutal. Un troisième groupe comprend les spinaux
cérébraux
antérieurs. Le point de départ du rétlexe est d
rébraux antérieurs. Le point de départ du rétlexe est dans l'écorce
cérébrale
antérieure; c'est une influence psychique, comm
s l'idée, le sentiment ou le penchant sont ici pervertis. Enfin les
cérébraux
antérieurs ou psychiques, ce sont les extatiques,
lus élevée que l'extrémité gauche. L'irrégularité des hémis- phères
cérébraux
était révélée par un développement plus mar- qu
e, il faisait valoir l'importance de la malformation crâ- nienne et
cérébrale
de cet homme, et protestait hautement contre la
hie spinale, on fera venir, au point de vue statistique, l'atrophie
cérébrale
. Un assez vif intérêt s'attache à l'atrophie des
ésentation, par M. RicHTER (de Dalldorf), de quelques hémis- phères
cérébraux
représentant des types anormaux de circonvolu-
s, l'animal meurt. La force centrifuge a provoqué de l'liype- rémie
cérébrale
. Inversement, si l'on place la tête au milieu de
n 1877. D'après son expérience, c'est toujours une sorte d'asthénie
cérébrale
, quelles qu'en soient les causes les plus multi
ent chez un individu autrement bien por- tant. L'impressionnabilité
cérébrale
constitue un élément vague. Il est certain que
; elles sont symétriquement placées dans le territoire de l'artère
cérébrale
postérieure, à peu près à la limite qui sépare le
ns la vie ordinaire en nous présentant tous les demi-fous, tous les
cérébraux
, tous les bizarres, tous les excentriques, qui pu
es. Prix : 6 fr. Paris, 1855. Librairie Alcan. Obersteiner (H.) The
cérébral
blood-vessels in lteallh and disease. Extrait d
énéralisée. Troubles de la circulation dans le cervelet et le tronc
cérébral
. Traitements Régime lacté mitigé. Iodure de sod
belleuse moyenne est oblitérée à gauche. La surface des hémisphères
cérébraux
n'offre rien de spécial à mentionner. Les circo
ucune ano- malie. Nulle part la pie-mère n'est adhérente à l'écorce
cérébrale
. Elle s'enlève partout très facilement. La pl
. A l'endroit où elle se divise pour donner nais- sance aux artères
cérébrales
postérieures on remarque à gauche une forte dila-
dilatée ; de même la carotide interne avec l'artère sylvienne et la
cérébrale
antérieure ; cette dernière est encore plus tortu
ilatées, mais à un moindre degré qu'à gau- che. Cervelet et tronc
cérébral
. L'hémisphère droit du cervelet est parfaitement
gulaire. Le vermis est aussi totalement nécrosé. La hase du tronc
cérébral
présente de même une atrophie prononcée par com
gions des endroits ramollis, de consistance amoindrie. ' Le tronc
cérébral
fut. séparé des hémisphères cérébraux au niveau d
sistance amoindrie. ' Le tronc cérébral fut. séparé des hémisphères
cérébraux
au niveau des pé- doncules cérébraux et placé a
al fut. séparé des hémisphères cérébraux au niveau des pé- doncules
cérébraux
et placé avec le cervelet dans le liquide de Bull
piquement. Les autres nerfs de la base étaient normaux. Hémisphères
cérébraux
. Malgré la sclérose si généralisée des artères le
raux. Malgré la sclérose si généralisée des artères les hémisphères
cérébraux
ne présentaient aucune lésion macroscopique, ni a
ns l'alcool avant d'être coupés. Examen microscopique. - Le tronc
cérébral
avec le cervelet et la protubé- rance furent dé
iques et leurs annexes, ainsi que certaines parties des hémisphères
cérébraux
, furent traitées de même en coupes vertico-tran
C. MONAKOW min donna des résultats très satisfaisants dans le tronc
cérébral
, moins bons pour les couches optiques, le cerve
à gauche droite (PI. I, A). Dans les coupes supérieures, du côté
cérébral
, on constate une dégénéres- cence considérable
peut poursuivre cette dégénérescence dans toutes les coupes du côté
cérébral
jusqu'à la terminaison de ce noyau, dans la régio
placés latéralement, n'étaient pas comprimés à leur sortie du tronc
cérébral
(PI. 111). La substance grise du pont est très
existe seul (PI. III, F). 12 p. LADAME ET C. MONAKOW La racine
cérébrale
de la cinquième paire est plus mince à gauche qu'
x moyen que par une étroite languette de tissu nerveux. Pédoncule
cérébral
. Les modifications produites par la compression d
ions produites par la compression de l'anévrysme à la hase du tronc
cérébral
sont de telle nature que les restes du pédoncul
du tronc cérébral sont de telle nature que les restes du pédoncule
cérébral
, qui sont normalement conservés, paraissent forme
partie basale de la protubérance en avant (PI. Ut, F). Le pédoncule
cérébral
est du reste absolument normal dans sa structur
déformé, surtout dans la région des voies pyramidales. Le pédoncule
cérébral
gauche est heaucoup plus mince que le droit ; s
s nettement de région nettement dégénérée dans le pied du pédoncule
cérébral
gauche, mais on a l'impression cependant qu'il ex
érescence se- condaire ancienne constatée dans le pied du pédoncule
cérébral
. Les corps genouillés interne et externe à droi
s, parfois aussi épaisses que la lumière du vaisseau. Hémisphères
cérébraux
. Dans le centre ovale et dans la substance médul-
s les graves lé- sions, suites de la compression intense de régions
cérébrales
très impor- tantes. Malgré les grosses lésions
e puisque l'acoustique est en connexion avec les deux hémisphè- res
cérébraux
. L'abolition de la sensibilité à la douleur dan
até dans notre cas un amincissement général du pont et du pédoncule
cérébral
à gauche surtout dans la partie médiane; cette
ance grise du côté opposé, à gauche. Dans les deux cas le pédoncule
cérébral
était atrophié segment interne du pédoncule cér
au antérieur, mais elle disparaissait à la hauteur de la commissure
cérébrale
postérieure. Dans la figure 9 du mémoire de Edi
d'autres connexions importantes, spécialement avec les hémisphères
cérébraux
CI).. (1) Voir M. et Mme Déjerine sur les conne
Mme Déjerine sur les connexions du noyau rouge avec la corticalilé
cérébrale
. Comptes-rendus de la Soc. de Biologie, 30 mars 1
n du thalamus et du noyau rouge siégeant du même côté que la lésion
cérébrale
et consécutive à cette dernière. Or, cette thès
ion nécessaire de l'atrophie croisée du cervelet quand l'hémisphère
cérébral
du côté opposé a été lésé primitivement. (1) G.
affection. , Par contre chez plusieurs malades il existai ! un état
cérébral
anormal se traduisant tantôt par de l'irritabil
tabac le croyaient, par contre, capable de toutes sortes de méfaits
cérébraux
. Simon Pauli affirmait que les fumeurs avaient
la partie postérieure elle écartait vi- goureusement les pédoncules
cérébraux
marquant son empreinte surtout sur le pédoncule
e très différentes. Le sommeil n'a pas été signalé dans les tumeurs
cérébrales
? Si fait, mais la question est malgré tout sin-
e est aussi un phénomène assez communément observé dans les tumeurs
cérébrales
. Mais peut-on fixer cette fréquence par un chif
ner exactement la fréquence réelle du vrai sommeil dans les tumeurs
cérébrales
'; mais je crois que c'est là un phénomène posi-
optiques en avant et en haut et comprime en arrière les pédoncules
cérébraux
, de même que les tubercules quadrijumeaux. L'aq
e anosmie droite), le chiasma et les bandelettes, et les pédoncules
cérébraux
, surtoutle gauche (parésie droite). Comment donc
favorables eut pu désorganiser le chiasma et comprimer le pédoncule
cérébral
. Et je passe les conditions vitales. Conclusion
Etat stationnaire jusqu'en janvier 1898.A cette époque, hemorrhagie
cérébrale
, ictus, mort dans le coma. Autopsie. - Moelle
suit leurs moindres divi- sions jusqu'à l'intérieur de la substance
cérébrale
qui paraît comme injectée. A la face interne de
que, on voit survenir, avec ou sans phénomènes associés de syphilis
cérébrale
, des paralysies lentement progressives, et à cara
r la méthode de Pal, les met en évidence. On voit dans le pédoncule
cérébral
droit un foyer ou plutôt deux petits foyers de
ers s'étendent sur une hauteur de 10 à 15 millim. Dans le pédoncule
cérébral
gauche, il n'existe qu.'un petit foyer scléreux
t 'il peu près' normal (PI. XVII, C). .Enfin l'examen des artères
cérébrales
montre deux foyers d'artérite nodulaire, situés
foyers d'artérite nodulaire, situés symétriquement sur les artères
cérébrales
postérieures, entre la bifurcation dû tronc' ba
auche, sain (Méthode de Pal). C, - droit, dégénéré D, Coupe de la
cérébrale
postérieure gauche. E, droite. Massos ET G",
E SYNDROME DE WÉBER SUIVI D'AUTOPSIE 175 localisés aux deux artères
cérébrales
postérieures, en un point très- limité, situé e
il droite du moins, un ramollissement du lobe occipital, puisque la
cérébrale
postérieure, de ce côté était tout fait oblitér
ésions est, somme toute,facile à saisir : artérite nodulaire sur la
cérébrale
postérieure, englobant une ou plusieurs artériole
deuxième catégorie. La théorie nerveuse s'appuie surtout sur l'état
cérébral
des malades, sur la distribution symétrique des
en place, nous retirions la tige. Le plus délicat était l'autopsie
cérébrale
consécutive. Avec un peu d'habitude nous sommes
in. Un fait plus sérieux peut se produire, c'est l'issue de matière
cérébrale
sous forme d'amas pulpeux et blanchâtres. Cette p
ur, à la formation d'un caillot sanguin qui a comprimé la substance
cérébrale
. Cette interprétation est d'autant plus admissibl
lpe blanchâtre qu'il est facile de reconnaître pour de la ma- tière
cérébrale
et qui est mélangée à du sang provenant d'un épan
hamp visuel s'observent, du reste dans les hémiplégies par lé- sion
cérébrale
. Dans ces conditions, en l'absence de commémora
bing les accès correspondent à une rupture vasculaire dans l'écorce
cérébrale
qui amène une suspension momentanée des fonctio
voiture, luxation de l'épaule, fissure probable du crâne, commotion
cérébrale
. Augmenta- tion des douleurs fulgurantes. A 51
nte ans, le malade fit une chute de voiture. Il eut une com- motion
cérébrale
assez grave, une plaie du cuir chevelu et peut-êt
, ni adhérence, aussi bien sur le cervelet qu'au niveau de l'écorce
cérébrale
, de l'encéphale ou de la moelle. Les artères
tubercules quadrijumeaux antérieurs et postérieurs. Les pédoncules
cérébraux
sont petits et relativement peu colorés par la mé
externes et du corps resti fornze. Les pyramides et les pédoncules
cérébraux
paraissent plus petits que normalement, mais sa
se poursuit jusqu'à l'origine de la moelle lombaire. La pie-mère
cérébrale
est oedématiée et opaque, principalement au nivea
la fracture, on l'avait trouvé complètement retourné dans la plaie
cérébrale
, la table interne regardant en dehors. Très sou
i l'avoisinent.Un fragment de l'écaillé s'enfonce dans la substance
cérébrale
. Suivant M. Monakow, de Zurich, il DE l'hémiplé
ords déchiquetés du fragment peuvent déchirer, lacérer la substance
cérébrale
, d'une manière directe. Mais ici intervient une
e qui suit le traumatismecrânien (et c'est un symptôme de commotion
cérébrale
), et les signes de compression tels que : somno
s notre statistique. Ces traumatismes, même atteignant la substance
cérébrale
, n'entraînent pas la paralysie. Lépine (thèse a
qui se manifeste sur un territoire plus ou moins étendu de l'écorce
cérébrale
. Il se produit alors un arrêt des fonctions qui
u crâne, ni lésion du cortex. Il se produit de petites hémorrhagies
cérébrales
de peu d'é- tendue qui ne vont pas jusqu'à l'ap
se produisent ces épanchements dans la profondeur de la sub- stance
cérébrale
. Voici ce que pensent les auteurs. NOUV. ICONOG
e, ou bien il y a une hémorrhagie sous-corticale, dans la substance
cérébrale
, du même côté que du traumatisme, et une paralysi
ée par de la masse cé- rébrale spongieuse. 3° Une zone de matière
cérébrale
tiraillée, où le tissu nerveux est dé- chiré pa
as de lésion il se forme une sorte de magma de sang et de substance
cérébrale
. Mais, en s'aidant de l'observation clinique et
l'angle interne de l'oeil droit et était parvenu dans la substance
cérébrale
, déterminant une hémiparésie gauche d'origine c
te ceci de commun que ce sont toujours à peu près les mêmes régions
cérébrales
qui sont blessées. N'avons-nous pas vu d'ailleurs
lysie s'ex- plique naturellement par la localisation de la blessure
cérébrale
. En 1893, C. Wernicke présenta à la polycliniqu
avantage une fois la barrière franchie. Néanmoins certaines régions
cérébrales
sont plus exposées au trauma- tisme. Fic. 1 e
. CC, Corps calleux. - bu, Bandelette optique intacte. P, Pédoncule
cérébral
tra- versé de part en part. - NOUV. ICONOGRAP
sant la bandelette optique, le tubercule mamillaire et le pédoncule
cérébral
. " Fin. \-1 Gs. Coupe horizontale de la face in
e antérieure de la scissure de Sylvius, elle suit dans la substance
cérébrale
la scissure parallèle au-dessus de la deuxième
tique, traverse le tubercule mm.m;31üre gauche, aborde le pédoncule
cérébral
par sa face ,tntét-intférneanm eu, en ressort p
ule latéral, les fibres commissurales et rentrent dans la substance
cérébrale
pour ne s'arrêter qu'aux environs du cuneus. Ce
rop grande. En somme, il résulte de ces expériences que les parties
cérébrales
lésées en cas de pénétration par la voie orbita
la seule qui puisse se faire et con- duire à la lésion des centres
cérébraux
. Nous avons trouvé deux cas de pénétration par
e trois ans (Foulhioux,l81u), brû- lure à laquelle succéda un abcès
cérébral
de l'hémisphère gauche, une hémiplégie avec aph
consécutive à une fracture du crâne avec ostéite supprimée et abcès
cérébral
(Vignard,1899) ; une autre paralysie contra- la
e-mère et des méninges 392 RENÉ MARTIAL sous-jacentes il la pulpe
cérébrale
au uiveau de la corne sphénoïdale gauche. Cette
ations dans lesquelles elle a eu lieu même après perte de substance
cérébrale
. Cela s'est produit dans un cas de M. le profes
r un jardinier guérit de sa paralysie malgré une perte de substance
cérébrale
très nette- 394 RENÉ MARTIAL ment accusée. M.
n il était pris de violentes douleurs de tète et mourait d'un abcès
cérébral
; Geschwind et Koeler, cités par le même auteur,
ol- ver. Le magistrat guérit mais mourut un an plus tard d'un abcès
cérébral
ayant le projectile pour origine. La responsabi
thyroïdien est d'autant soulagé et depuis quelque temps le malaise
cérébral
a beaucoup diminué. Les dents et les gencives p
es. Autopsie. Examen microscopique. Procédé DE GOLGI. 1. Ecorce
cérébrale
du lobe frontal. -'Sur beaucoup de préparations d
urtout sur les dendrites qui passent auprès de la surface de l'écorce
cérébrale
. 3. Zone motrice du côté gauche. a) Région supé
ions de la région supérieure. L'examen des préparations de l'écorce
cérébrale
par la méthode de Golgi dans le cas donné a dém
prolongements protoplasma tiques des cellules nerveuses de l'écorce
cérébrale
est bien plus prononcé en général, surtout sur
les dendrites terminales, disposées près de la surface de l'écorce
cérébrale
. Sur quelques-unes des coupes, comme, par exemp
oeil nu. Sur beau- coup de préparations, on rencontre dans l'écorce
cérébrale
elle-même et dans la substance blanche aussi de
rveux dans la circonférence des vaisseaux. Les cellules de l'écorce
cérébrale
sont toutes remplies d'un pigment noir brun. Da
rs 1 ! \1 dedans se trouvent aussi auprès de la surface de l'écorce
cérébrale
. Concer- nant le tableau microscopique observé
réparations, traitées par la méthode de Busch et prises de l'écorce
cérébrale
et de la substance blanche sous-jacente de diffé-
et désagrégation de la myéline. Dans les autres régions de l'écorce
cérébrale
on n'en observe que par places, parfois en quan-
liniques et avec une masse de globules granuleux. IV. Pédoncules
cérébraux
plus haut des fibres radiculaires des oculomo-
substance blanche sous-corticale de la capsule interne et du tronc
cérébral
nous donne la possibilité de nous assurer, que le
leux. Sur toutes les coupes examinées, prises de la partie du tronc
cérébral
, les cel- lules nerveuses sont remplies de glob
nérescence à l'examen des morceaux de la région motrice de l'écorce
cérébrale
et de la substance sous-corticale de l'hémisphè
nt ; on peut les voir dans les couches su- perficielles de l'écorce
cérébrale
. Point de très grand développement de vais- (1)
s, souvent disposés en groupes, auprès de la périphérie de l'écorce
cérébrale
.- b) Région occipitale.- On observe appro- xima
ellules ner- veuses que là-bas. Auprès de la périphérie de l'écorce
cérébrale
on voit une accu- mulation de points noirs, dis
t parfois des anévrysmes. En comparant les préparations de l'écorce
cérébrale
et de la substance blan- che sous-corticale ave
nerveuses était plus accentuée qu'ici. Là il y avait dans l'écorce
cérébrale
un développement exagéré des vaisseaux, le périss
s faible. Là, sur les préparations de la région motrice de l'écorce
cérébrale
et de la substance blanche sous-corticale du côté
nt portait un caractère dis- séminé. II. Au niveau des pédoncules
cérébraux
. Des fibres dégénérées disséminées s'accumulent
continuation de la dégénérescence de la région motrice de l'écorce
cérébrale
. Dans ce cas aussi on a noté aux niveaux des pé
e cérébrale. Dans ce cas aussi on a noté aux niveaux des pédoncules
cérébraux
une quantité assez visible de globules pigmenta
ion de la dégénérescence des voies pyra- midales qui va de l'écorce
cérébrale
et descend par le tronc cérébral dans la moelle
pyra- midales qui va de l'écorce cérébrale et descend par le tronc
cérébral
dans la moelle épinière. Elle n'est pas compact
graisseuse des cellules corticales des cellules nerveuses du tronc
cérébral
de la moelle épinière, la dégénérescence dans d
ceaux pyramidaux dépend de la modification des cellules de l'écorce
cérébrale
; leur altération se trouve en connexion intime av
cations vasculaires. Les modifications très profondes dans l'écorce
cérébrale
des lobes fron- taux ont une autre pathogénèse,
cence pig- mentaire et graisseuse qu'on peut observer dans l'écorce
cérébrale
, de même que sur toute l'étendue du tronc céréb
r dans l'écorce cérébrale, de même que sur toute l'étendue du tronc
cérébral
et de la moelle épinière. La dégénérescence déc
crite plus haut de la voie pyramidale, en commen- çant par l'écorce
cérébrale
jusqu'à la moelle épinière, dans le premier cas
ndaire des voies pyramidales, qui va de la zone motrice de l'écorce
cérébrale
et qui peut être constatée par le procédé deMar
sans symptômes psychiques et mo- teurs de l'excitation de l'écorce
cérébrale
. Starlinger admet la possibilité de l'existence
oliques, que sa mère morte à 75 ans à la Salpê- trière, d'accidents
cérébraux
, avait toujours été très nerveuse, impressionnabl
a formation du pus entre les lames de l'arachnoïde sur l'hémisphère
cérébral
gauche. Il est vrai que l'arachnitis circonscri
foyer restreint si rare, peut être sans exemple lorsque l'affection
cérébrale
se forme indépendamment des blessures, au contr
... Octobre 16. - Il s'habille..... abondante exsudation de matière
cérébrale
. 17. - Paralysie complète de l'extrémité inféri
'o- reille. Pendant les jours suivants, il y eut perte de substance
cérébrale
. Il conserva sa connaissance jusqu'au lendemain
occupations pendant treize jours sans la plus légère marque de lésion
cérébrale
ou cérébelleuse, se plaignant seulement d'un ma
substances de la voûte du crâne par laquelle sortit de la substance
cérébrale
. Etat au 17 février : Cet homme grand et bien m
oncé on peut facilement introduire une sonde jusqu'à la subs- tance
cérébrale
. Environ quatre centimètres en arrière et au-dess
etés et irréguliers. Au fond : des esquilles mélangées de substance
cérébrale
. Des deux blessures s'échappe une petite quanti
dans le pariétal droit d'où sort du sang mélangé à de la substance
cérébrale
. Dans les parties molles on trouve par place d'
ns la partie la plus proche de la scissure de Sylvius. La substance
cérébrale
est livide, l'hémisphère droit dans ses deux tier
servé, afin de pouvoir fournir au juge un certificat sur sa maladie
cérébrale
. Il racontait qu'il avait été blessé, il y a tr
et devint fistuleux. Toujours est-il qu'il n'y eut pas de symptômes
cérébraux
, car la malade put reprendre ses occupations au
revolver. Hémiplégie droite; issue 55 G RENÉ martial - de matière
cérébrale
. -Gz4éz·isozz complète. Rétablissement des foncti
DEL / '1899. VIGN.IRD. - Fracture du crâne, ostéite suppurée, abcès
cérébral
, hémiplégie, etc., Gaz. méd. Nantes, 4 février.
de l'aorte abdominale, des oblitérations pathologiques des artères
cérébrales
, des injections de pou- dres inertes (Lamy, Rot
e de l'oeil gauche, nous pouvons conclure, les symptômes de lésions
cérébrales
manquant complètement, que des nodules fibromat
ui marque déjà un certain degré d'affaiblissement. de la résistance
cérébrale
, les délirants chroniques marchent graduellemen
usu des propos et parfois par de la pseudo-aphasie. Les hémisphères
cérébraux
, dont l'activité est affaiblie, engendrent en o
mentale ainsi constituée est un symptôme de l'épilepsie, de lésions
cérébrales
en foyer, de la mélancolie, de la manie, du dél
lexion, imputables à la diminution et à l'ex- clusion de l'activité
cérébrale
. La folie systématique chronique type (typische
ain, part. 111, 1893, p. 393.) L'auteur pense que dans les maladies
cérébrales
les fonctions troublées, qu'elles soient mental
t de Varole et l'espace interpédonculaire et englobant le pédoncule
cérébral
droit. P. S. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOG
OLOGIE PATHOLOGIQUES. 39 XV. Sur UNE action inhibitrice DE L'ÉCORCE
cérébrale
; par le Dr S. SHERR1NGTON. Il est intéressant
R1NGTON. Il est intéressant, pour l'étude des fonctions de l'écorce
cérébrale
, de constater d'une façon expérimentale que cel
vidus ont été pendus, qui portaient des traces évidentes de maladie
cérébrale
. (American journal of insanity, 1894.) E. B.
représentatives des mou- vements, mais arrêté dans les associations
cérébrales
nécessaires à la transformation des conceptions
ent de la Sarthe, où l'on, ne distille que des pommes, l'alcoolisme
cérébral
est une rareté. M. BRIAND, sans nier l'influenc
nale. C. 141AYEn. Lésions anatomiques de la moelle dans les tumeurs
cérébrales
. DE SOFLDFR. Présentation d'un cas de pfM'(H7M/
ns les Archiv f. Psychiatrie. 1 Voyez Synonymie des circonvolutions
cérébrales
de l'homme. (Ar- chives de Neurologie, t. VIII,
éphalite diffuse, à l'état simple ou com- pliqué, du ramollissement
cérébral
local aigu et chronique, de l'hémorrhagie eéréb
érale des aliénés, t. XXIII, p. 133 à 158. A. 1841 ; Ramollissement
cérébral
, t. XXVII, p. 205 à 227. A. 1843 ; Suicide, t.
t des idées. Il en résulte un désordre, un pèle-môle, une confusion
cérébrale
qui est la Verrwirrtlieil ou confusion mentale.
embre (9), dans le British Médical Journal. A. Marie. Vil. Troubles
cérébraux
dans la chlorose ET l'aménorrhée ; par Burton .
or, dans des cas analogues. Ils inclinent à attribuer les accidents
cérébraux
douloureux à un oedème cérébral ou à une méning
nclinent à attribuer les accidents cérébraux douloureux à un oedème
cérébral
ou à une méningite partielle peut-être tubercu-
ne jouent le rôle que de simples causes occasionnelles. La syphilis
cérébrale
peut déter- miner dans l'organisme des modifica
périosté, extravasations sanguines, mort. A l'autopsie, hémorrhagie
cérébrale
et méningée. 2e cas : fille de quatorze mois, r
ry HANDFORD. (Brain, part. III, 1893, p. 440.) Deux cas de syphilis
cérébrale
, dont l'un accompagné d'accès épileptiformes, d
ste hydatique volumineux de la partie posté- rieure de l'hémisphère
cérébral
gauche; un autre kyste siégeait en arrière de l
, Chauffard, Mackenzie en publient chacun un. J.-B. C. XXIX. OEDÈME
cérébral
; par Georges-J. PRESTONM. D. (Journ. ofnervous
être également le point de départ d'acci- dents toxiques. L'oedème
cérébral
serait un accident bien plus fré- quent et plus
centes données de l'anatomie, de la physiologie et de la pathologie
cérébrales
, a su donner au phé- nomène toute l'inportance
droites. Les ascendantes sont intactes ainsi que les autres régions
cérébrales
. Réplétion forte des vaisseaux méningés, lepto-
les différents genres d'aliénation : paralysie générale, infirmités
cérébrales
, états mélancoliques, états maniaques, folie puer
, Robert de Clermont, folie traumatique consécutive à une commotion
cérébrale
. Hérédité descendante : CliarlesVII mort sitiopho
ntécédents personnels. A trois mois, elle aurait éprouvé une fièvre
cérébrale
( ? ) très grave qui dura plus de deux mois et mi
nomènes de Raynaud existe au niveau des vaisseaux encépha- liques
cérébraux
et que la dépression n'est que le résultat de l
es cérébraux et que la dépression n'est que le résultat de l'anémie
cérébrale
consécutive à cette contraction spasmodique. Il
e de dépression (Lasègue) ; Délire d'inanition (Becquet); Torpeur
cérébrale
(Bail); Acùte primoere Verrücktheit (Westphal)
nsécutive à la ma- nie, à la mélancolie, à la paranoïa, aux lésions
cérébrales
orga- niques, à la sénilité, la paralysie génér
o-traumatisme, pas non plus de paralysie infantile. Seule l'origine
cérébrale
pouvait être incri- minée ; le début de l'hémip
apoplectique impliquait incontestablement l'existence d'une lésion
cérébrale
de peu d'étendue. ' e6 REVUE DE PATHOLOGIE NE
ue. {Revue neurologique, janvier 1894.) E. B. XLII. LES diplégies
cérébrales
infantiles; par le D1' FREUD. Par un ensemble d
eur se voit autorisé à faire de la rigidité généra- lisée d'origine
cérébrale
(LitLie disease, AUgemeine cérébrale slarre), d
gidité généra- lisée d'origine cérébrale (LitLie disease, AUgemeine
cérébrale
slarre), de la rigidité paraplégique (tabès dor
tes, types auxquels on pourrait donner le nom commun de diplégies
cérébrales
infantiles. (Revue neurologique, 1893.) E. B. X
s fixes. Dans la seconde, il se demande quelles sont les conditions
cérébrales
qui accompagnent les idées fixes. 11 y a psycho
estant une intoxication chronique par l'alcool avec les symp- tômes
cérébraux
que comporte cette intoxication dans les formes
de dégéné- rescence graisseuse.. En présence de cette excitation
cérébrale
intense, avec loquacité, désordre dans les idée
e temps avant, une épidémie de fièvre typhoïde à phénomènes surtout
cérébraux
. En conséquence, le SOCIÉTÉS SAVANTES. 233 dé
use, de l'urémie, de la méningite cérébro-spinale, de la congestion
cérébrale
, autant de facteurs pathogénétiques à démon- tr
stématique de cette dernière dans un grand nombre de cas de lésions
cérébrales
localisées, recueillis dans son vaste ser- vice
'auteur d'élucider un grand nombre de points spéciaux de la texture
cérébrale
. Il a exposé en détail la méthode qu'il a suivi
eau. C'est la partie la plus originale de l'ouvrage. La morphologie
cérébrale
y est exposée dans les plus grands détails, et ri
'on ne manquait pas d'avoir quand après avoir appris sa morphologie
cérébrale
dans un traité d'anatomie, on cherchait à s'y r
qui constituent les quatre cinquièmes internes du pied du pédoncule
cérébral
. Grâce à elle encore M. Déjerine a pu éta- blir
isceau de Furet qui constituent le cin- quième externe du pédoncule
cérébral
proviennent non pas comme on le disait jusqu'ic
rizontales ou légèrement obliques. L'auteur étudie ensuite l'écorce
cérébrale
et termine par l'étude de la substance blanche
cours de la paralysie générale, dans la sénilité, dans les lésions
cérébrales
circonscrites, dans la confusion mentale primit
i revient à dire que, dans toute psychopathie, dans toute affection
cérébrale
en général, il peut survenir des accès de délir
iborg (Danemark). Les découvertes dans le domaine des localisations
cérébrales
d'un côté, l'asepsie chirurgicale de l'autre, o
saillante entra, après avoir passé une couche mince de subs- tance
cérébrale
, dans une cavité kystique, du volume d'une noi-
e de la sensibilité générale et perte du sens musculaire par lésion
cérébrale
corti- cale. A l'autopsie on a constaté une pla
t appuyer l'opinion suivant laquelle il n'existe pas, dans l'écorce
cérébrale
, des zones sensitives indépendantes des zones m
neurologique, oct. 1894.) 1;. 13. XXI. NOTE SUR DEUX cas DE tumeur
cérébrale
avec autopsies ; par le Dr Irwin NEFF. Le pre
elle était adhérente à la pie- mère et à la dure-mère. La substance
cérébrale
subjacente pré- sentait un léger degré de ramol
ES. 305 CONTRIBUTION A la connaissance DE la richesse DE l'écorce
cérébrale
DE l'homme en fibres nerveuses : 1 myéline ; par
mince ; les ventri- cules sont dilatés; aplatissement du pédoncule
cérébral
et de la pyramide du côté gauche. Petitesse des
oire ou repro- duction d'états affectifs d'une part, des conditions
cérébrales
aux- quelles s'ajoutent, d'autre part, des cond
qui peut être de quelque.valeur diagnostique, et démontrer un état
cérébral
inférieur. Combien 'donc de ces stigmates devro
' . par le Dr ŸIIITE. ' ", . r - Il est indubitable que l'écorce
cérébrale
, la portion la plus com-" plexe du système nerv
se développer : suivant que ces forces latentes de déve- loppement
cérébral
sont dissipées de bonne heure par des condi- ti
urd'hui quinze mois qu'on est intervenu. JM. Laquer. Des phénomènes
cérébraux
qui accompagnent les vio- lents accès douloureu
algie de la i cinquième paire avec troubles passagers de l'activité
cérébrale
. Le premier cas concerne un homme de cinquante-
latéraux est secondaire et ne dépend point du tout des, altérations
cérébrales
. Sans doute le tabès et la paralysie générale (
ses de la couche bibliographie. 331 optique dépendent de l'écorce
cérébrale
; elles confirment l'exacti- tude des descriptio
lequel se inani- » testèrent, quelques mois plus tard, des troubles
cérébraux
. '' Après cette déposition, M° Dasque développe
Conl. à l'élude des troubles fonctionnels de la vision par lésions
cérébrales
. 1882. ' Chareot. Leçons du mardi, I, 88. 0 B
de- mande dans l'esprit un effort de synthèse, un fonctionnement
cérébral
^ supérieur, et que l'absence' de cette synthèse c
elle est la manifestation de la, perception per- d'aune faiblesse
cérébrale
, d'une diminution de la perception per- sonnell
')i ? ? «V"f . P ,, i i J 't., 9 '* r invoquaient des lors 1 anémie
cérébrale
. Les autres preten- c1 Irl 1`, W r ,tl, -ro y h
que la pâleur du visage allait, au contraire, avec la con- gestion
cérébrale
. Quoi qu il en soit, il est manifeste que, sous
le; mais ce tableau clinique du tabès spasmo- dique, de la diplégie
cérébrale
n'existe pas. Ces malades sont DE l'intoxicatio
e tout à fait frappant et caractéristique fait penser à la diplégie
cérébrale
(maladie de Little) dans ses formes tardives ou
vier 1894, ont montré des cas où le tableau clinique de la diplégie
cérébrale
apparaissait tardivement chez l'adulte. Ils ont
Little. M. Brissaud pense avec plusieurs auteurs que ces diplégies
cérébrales
, liées à l'arrêt de développement ou à la dégén
t terme ou dont l'accouchement fut laborieux, n'ont pas de diplégie
cérébrale
? Et du reste il est des sujets, atteints de ce
un des malades présentés par M. Brissaud dans sa leçon, la diplégie
cérébrale
, le tabès spasmodique ont commencé à dix ans, à
ut au moment de ses règles. Le grand-père est mort d'une hémorragie
cérébrale
et était goutteux. Un oncle bien portant appart
chique, cette inflammation aurait coupé les communications intra-
cérébrales
entre les centres sensoriels intacts et ceux plac
veloppait dans la convalescence de la manie suraiguë et des fièvres
cérébrales
ataxiques. Cette affection était caractérisée p
bsolue d'idées, une dis- position enfin dans laquelle les fonctions
cérébrales
étaient mo- mentanément mortes et comme paralys
; ce sont chez eux des rêves en rap- port avec l'état d'oppression
cérébrale
dont ils sont atteints et qui est marquée au co
confusion mentale, l'obscurcissement intellectuel et l'automatisme
cérébral
. Notre distingué confrère veut bien rappeler ég
oses (hystérie, épilepsie) et se montrant dans le cours des tumeurs
cérébrales
, de l'urémie, de l'albuminu- rie, de la glycosu
artie ; elles sont consécutives à la fièvre typhoïde, l'éry- sipèle
cérébral
, les délires aigus, l'urémie, quelques affections
urémie, quelques affections diathésiques, l'alcoolisme, les tumeurs
cérébrales
, l'épilepsie, la neurasthénie, etc. La physio
e fondamentale que l'aliéné est une personne atteinte d'une maladie
cérébrale
et comme conséquence logique de cette notion, l
u cas et indiquer les mesures à prendre; de même, en cas de maladie
cérébrale
, un rapport devrait être fait par le médecin or
nvoquant la congestion due au décubitus dorsal, les autres l'anémie
cérébrale
qui est, comme l'a mon- tré Durham, une conditi
rophysiologie ont surtout roulé cette année sur l'étude des centres
cérébraux
. Cette question est loin encore d'être élucidée
e 14 espèces de poisons sur l'exci- tabilité électrique de l'écorce
cérébrale
chez les chiens, les chats et les lapins. Après
e du 16 juin 1894) et intitulée : Note sur l'excitation de l'écorce
cérébrale
par la fara- dtsn<<o ? : unipolaire. Afin
fara- dtsn<<o ? : unipolaire. Afin de déterminer si l'écorce
cérébrale
est exci- table par la faradisation unipolaire,
e lorsqu'on excite avec un seul pôle certaines portions de l'écorce
cérébrale
. Contrairement aux schémas de Ferrier ces porti
écise II est aussi important à noter que l'excitabilité de l'écorce
cérébrale
à ce mode d'électrisation disparaît assez rapid
ite, il faut se souvenir que lorsque le tissu cardiaque et le tissu
cérébral
sont libérés de l'agent étranger qui a compromi
manière dont le myxoe- dème agit sur l'activité mentale de l'écorce
cérébrale
ne pourra être considérée comme suffisante et c
é crânienne, il est légitime de diminuer l'excita- bilité du centre
cérébral
et en particulier de l'écorce par le bro- mure,
errel, touche un point très obscur et très discuté de la pathologie
cérébrale
, la pathogénie des accidents apoplectiformes et
celles admises jusqu'à ce jour : je veux parler de la con- gestion
cérébrale
et de l'encéphalite aiguë, de l'apoplexie séreuse
rébrale et de l'encéphalite aiguë, de l'apoplexie séreuse ou oedème
cérébral
, brillamment défendus par M. Tourmer en 1893, e
siles il y eût, au cours de 1893, 85 décès dont 65 dus à des causes
cérébrales
et 20 à des maladies thoraciques, parmi lesquel
gne, 331 ; situation des -, par Iloppe, 491. Aménorrhée, troubles
cérébraux
dans la chlorose et l' -, par Janning et Joll
Creuser, 70. Céphalalgie post influetizique, par Rowland, 119.
Cérébrale
, action inhibitrice de l'é- corce-, par Slierri
gie de la moelle épinière, par Thornburn, 119. Chlorose, troubles
cérébraux
dans la et l'aménorrhée par Jan- ning et Joll
17 ; troubles vaso-moteurs dans la -, par Iloyt, 312. DirLÉGiES
cérébrales
infantiles, par Freud, 206. DOULOUREUX, phéno
iES cérébrales infantiles, par Freud, 206. DOULOUREUX, phénomènes
cérébraux
accompagnant les violents accès - , par Laque
harcot, 81. Dyspepsie et lypémauie, par Bau- melon, 154. Ecorce
cérébrale
, richesse de 1' en fibres à myéline, par Kaes,
ar Tlomson, 102. OEdème angionervoux, par Wills et Cooper, 35 ; -
cérébral
, par Pres- ton, 129. Ostéo-arthropathie pneum
générale progressive, lé- sions histologiques fines de l'é- corcc
cérébrale
dans la , par Carter. 36; pathogénie de la ,
la moelle, par Bruns, 144 ; - du frontal gauche, par Wuiff, 145 ,
cérébrales
avec autopsie, par Neff, 300. 506 TABLE DES A
sez nombreuses pour que Groenouw (4) pût, (1) A. 1'01'1'1, L'ipoZSi
cérébrale
e faringea e la glaiandula pineale in patologia.
cher l'évolution de la névrite optique consécutive à l'hypertension
cérébrale
. Le Professeur Raymond, Directeur de la Cliniqu
une déviation du profil basal du crâne avec enfoncement de la fosse
cérébrale
moyenne. Déjà Schuller, en 1908, avait montré a
ule région du plancher basal qui puisse résister à l'hy- pertension
cérébrale
. Après le rocher nous voyons que le profil de l
n considérable, donnée par la projection radiographique de la fosse
cérébrale
postérieure, limitée en arrière par l'écaille occ
isparition des sinus frontal et sphénoidal, enfoncement de la fosse
cérébrale
moyenne ; inversion de l'angle sphénoïdal. Ma
es dans un plan à peu près horizontal de façon que, seule, la fosse
cérébrale
postérieure reste située dans la radiographie lat
empla- cement de la selle turcique est très enfoncé et que la fosse
cérébrale
moyenne reste placée à peu près au même niveau
rébrale moyenne reste placée à peu près au même niveau que la fosse
cérébrale
postérieure. Ce fait très important, nous perme
ssions digitales et qui correspondent aux circonvolutions des lobes
cérébraux
antérieurs. 24 BERTOLOTTI Une autre particula
rquée dans mes clichés radiographiques, c'est l'empreinte des sinus
cérébraux
(sinus latéral et sinus pélreux), fait que je n
ette malfor- mation crânienne fût sous la dépendance d'une pression
cérébrale
exagé- rée. Or, cette question n'a pas encore é
seraient autant d'arguments contre l'hypothèse de l'hyper- tension
cérébrale
. Avant de chercher à expliquer le fait de la cy
s l'hydrocéphalie (enfant de 6 ans) on note l'enfoncement de la fosse
cérébrale
postérieure ; dans l'oxycéphalie (crâne du musé
u musée Riberi, Hôpital St-Jean) l'enfoncement a lieu dans la fosse
cérébrale
moyenne. Masson & Cne, Éditeurs l'JUllnl1
érations des os de la face. A la suite de la dépression de la fosse
cérébrale
antérieure et de la fosse moyenne, les os nasal
tion de l'activité ostéogénétique des os du crâne. L'hypertension
cérébrale
prodromique des états oxycéphaliques est in- di
in- diquée par la constatation de la profondeur anormale des fosses
cérébrales
, (1) Loc. cit. ÉTUDE DU SYNDROME OXYCÉPHALIQU
cit. ÉTUDE DU SYNDROME OXYCÉPHALIQUE 31 et notamment de la fosse
cérébrale
moyenne, par les altérations du pro- fil radiog
ession endocranienne. H ressort à première vue que l'hyper- tension
cérébrale
dans l'oxycéphalie conduit à des altérations abso
hydrocéphalie et dans les autres états pathologiques d'hypertension
cérébrale
de l'enfance. Je crois que mes études radiologi
de dans le fait que, dans l'hydrocéphalie de l'enfance, la pression
cérébrale
trouve bon jeu dans ! 'épanchement des os de la
ns les crânes rachitiques sont sous la dépendance de l'hypertension
cérébrale
et que l'on peut sérieusement envisager l'exist
nts au sens radiologique (1), portent à admettre que l'hypertension
cérébrale
peut retentir sur la face interne de la calotte e
halie aiguë sans augmen- tation de volume de la tête et les tumeurs
cérébrales
au moyen des rayons de Rontgen. Bévue Neurol.,
est intéressant de constater comment, à la suite de l'hypertension
cérébrale
, l'usure du plancher interne de la calotte peut s
de la deuxième enfance, ou même de l'âge adulte, où l'hypertension
cérébrale
n'a pas pour conséquence d'altérer le volume de l
pre- mière enfance, et en général dans tous les cas d'hypertension
cérébrale
du premier âge, m'ont démontré que le mécanisme
a calotte sont normalement enclavées. Dans ces cas l'hypertension
cérébrale
, retentissant sur la surface interne de la calo
éningite séreuse venlriculaire (hydrocéphalie aiguë) et les tumeurs
cérébrales
, n'est pas toujoursaisée. Au contraire, les rés
tats obtenus à l'autopsie dans des cas nombreux étiquetés « tumeurs
cérébrales
», ont démontré qu'il s'agissait en réalité d'h
e; pendant la vie du malade on avait posé le dia- gnostic de tumeur
cérébrale
, constata à l'autopsie qu'il s'agissait de méni
se crut autorisé à employer dans ces cas le terme de pseudo-tumeur
cérébrale
. Cette déno- mination fut dans la suite adoptée
drocéphalie, non seulement peut réaliser les symptômes d'une tumeur
cérébrale
, mais elle peut simuler à s'y méprendre le synd
diographie, elle montre nettement l'em- preinte des circonvolutions
cérébrales
. )-, dans un Li-avail paru dans Il A ce propos,
radiographie, de faire le diagnostic différentiel entre les tumeurs
cérébrales
et l'hydrocéphalie aiguë (2). Un mois plus tard
hydrocéphalie sans augmentation de volume de la tète et les tumeurs
cérébrales
au moyen des rayons de Röntgen. Cet auteur insi
par SchÜl1er avaient déjà mis en relief les changements de pression
cérébrale
dans le crâne. Voir à ce propos : A. Scuuller,
e peut, l'état normal, fixer parla radiographie le trajet des sinus
cérébraux
; or, dans tous mes cas d'oxycéphalie j'ai pu (
j'ai pu (16111011ll'e1', par la radiographie, que les sinus veinenx
cérébraux
sont dilatés et ont laissé une empreinte très pro
que de l'oxycé- phalie, il faut admettre d'un côté une hypertension
cérébrale
etde l'autre une réaction inflammatoire des os
sé- quence d'une réaction ostéogénique à la suite de l'hypertension
cérébrale
causée, soit par l'hydrocéphalie, soit par la m
basi-post- sphéno'ide, à la dérivation embryologique de l'hypophyse
cérébrale
, il l'existence du tissu hypophysaire du pharyn
nternes on pourrait encore se demander si par hasard l'hypertension
cérébrale
dans l'oxycé- phalie n'aurait pn retentir sur l
ième enfance, en plus des troubles cl assiques dus à la compression
cérébrale
(névrite optique, asthénie, asynergie cérébelleus
ltérieure de la dystrophie oxycéphalique. (1) A. Poppi, Lépofisie
cérébrale
, faringea e la ghiandola pineale in pathologia,
ent un complexus symptoma- tique justifiant le diagnostic de tumeur
cérébrale
, mais où plus tard la marche de l'affection ou
nt désignés, à l'exemple de Nonne (1), sous le nom de pseudo-tumeur
cérébrale
. Ce ternie, qui n'est pas satisfai- sant, trouv
puis quelques années, on tend à isoler du groupe des pseudo tumeurs
cérébrales
les cas où on peut porter le diagnostic pathogé
nt pas il tombe vers le côté droit. Le jour suivant les symptômes
cérébraux
se sont aggravés encore. La cé- pbatée persiste
ne. Ayant en vue ces symptômes nous mettons le diagnostic de tumeur
cérébrale
. ° Un confrère appelé en consultation par la fa
et ces sensations lui doivent être venues à la suite de sa maladie
cérébrale
. Il n'a plus de la céphalée, il s'oppose à une no
veux sous-épendymaire est infiltré dans ces endroits. La substance
cérébrale
et bulbaire prend aussi part à l'inflammation,
ait qu'à présent on réussit mieux à préciser la cause des symptômes
cérébraux
, surtout dans les cas de méningite séreuse et d
s plus fréquentes, ne sont pas les seules qui simu- lent une tumeur
cérébrale
et dans de tels cas il peut être question égale-,
dans de tels cas il peut être question égale-, ment de la syphilis
cérébrale
,de la thrombose des sinus. Saenger est même d'a
els existait cliniquement le complexus symptomatique d'un néoplasme
cérébral
. Trois ont guéri et trois sont morts. A l'autop
a méningile séreuse. Un autre facteur qui peut simuler une tumeur
cérébrale
et auquel il faut donner quelque attention, est
athologiques qui donnent naissance au tableau clinique d'une tumeur
cérébrale
, et nous nous limiterons aux deux causes qui on
nt entre la méningite et l'hydro- céphal ie. · Les manifestations
cérébrales
très intenses, les paralysies, l'aphasie, la fi
ges de la convexité se transmet aussi plus ou moins il la substance
cérébrale
. Ce fait a été vérifié par l'autopsie dans un c
jusqu'à un certain point en admettant la participation de l'écorce
cérébrale
au processus inflamma- toire et en intitulant s
t lieu à des symptômes en foyer. La participation de la substance
cérébrale
semble être moins intense et moins fréquenle da
) RAYMOND et CLAUDE, Méningite séreuse circonscrite de la corticalité
cérébrale
. Semaine médicale, 8 décembre 1909. (2) Vrijd
. Le cerveau n'a pas été examiné. - La participation des méninges
cérébrales
semble certaine dans les ma- ladies infectieuse
s semble certaine dans les ma- ladies infectieuses où les symptômes
cérébraux
sont fréquents (fièvre ty- phoïde, exanthèmes a
ituée par des plaques diffuses. Quand elle se limite à la convexité
cérébrale
, comme cela doit s'être passé dans notre premier
opsie d'une femme de 28 ans présen- tant les symptômes d'une tumeur
cérébrale
et morte après six mois, une hydrocéphalie avec
ysiologiques qui attribuent (1) P. Merle, Etude sur les épendymiles
cérébrales
. Thèse de Paris, 1910.. (2) RzEXTKonsK;, Plexus
tieux indéterminé, ayant frappé primitivement les méninges internes
cérébrales
et spinales, l'épendyme ventriculaire el les pl
le diagnostic différentiel entre la méningite séreuse et une tumeur
cérébrale
. Mais ce résultai positif f n'a pas été signalé
(5), Tiktine (6), Knox et Sla- den (7),ont trouvé dans les cavités
cérébrales
différents microbes. On a éga- leiiient noté la
ù elle a pu être masquée jusqu'à un certain point par les symptômes
cérébraux
alarmants. La température peu élevée indiquerait
as ainsi que l'examen des plexus choroïdes dans diverses affections
cérébrales
, nous pensons être en droit de nous rattacher à
exemple l'irritation du faisceau pyramidal consécutive à la lésion
cérébrale
qui conditionne l'hémiplégie et l'on assistera
'irritation que subit le faisceau pyramidal à la suite de la lésion
cérébrale
, et qui, par un méca- nisme encore mal discuté,
ares, et le cas présentant, en outre, un certain nombre de troubles
cérébraux
intéressants, il nous a paru mériter d'être décri
ssements commencèrent. A ce moment, on constata que de la substance
cérébrale
sortait de la plaie. Moins d'une heure après l'
déchiquetés et au fond de laquelle des esquil- les, de la substance
cérébrale
et des cheveux forment un magma. Dans le pan- s
. Dans le pan- sement provisoire une certaine quantité de substance
cérébrale
. Après l'admi- nistration de cordiaux (camphre
nt de pansement, on trouva * une assez grande quantité de substance
cérébrale
tant dans le pansement qu'autour de la plaie ;
e pansement qu'autour de la plaie ; la quantité totale de substance
cérébrale
perdue pourra approximativement être évaluée il
evoir de l'existence chez le malade d'un certain nombre de troubles
cérébraux
dont la description sera donnée dans la seconde
aminant le siège de la blessure, on perçoit nettement une pulsation
cérébrale
sans cependant constater de saillie anor- male.
n un certain nombre de fragments lesquels forment avec la substance
cérébrale
et la dure-mère un magma enchevèti é ; dans les
cés de faire la détermination topo- graphique du siège de la lésion
cérébrale
. En adaptant ce crâniométre à la tête du malade
ésion, qui est en même temps l'endroit où l'écoulement de substance
cérébrale
se manifesta sur- 108 JOHANSSON ET FnOEDERSTI\0
'a pas été ouvert ; pour la discussion plus approfondie des lésions
cérébrales
, nous renvoyons le lecteur à la seconde partie
un article publié par Cushing, le célèbre spécialiste de chirurgie
cérébrale
américain, et Crowe, les auteurs rapportent que d
me on l'a vu d'après la description chirurgicale, la lésion crânio-
cérébrale
est localisée à une région dont l'importance dans
le est localisée à une région dont l'importance dans la topographie
cérébrale
ne saurait être méconnue, c'est-à-dire à la parti
t de 8 centimètres et nous donne un parcours à travers la substance
cérébrale
de 7 centimètres au maximum, le point le plus pro
ésion crânienne, non seulement de grandes par- ties de la substance
cérébrale
ont été détruites, mais les parties corres- pon
d'une partie de leur enveloppe durale ; en conséquence, la pression
cérébrale
et la vascularisation ont subi des modifications,
neu- rasthéniques, laquelle dépend, selon Janet, d'un « épuisement
cérébral
». Une diminution analogue de l'énergie percept
d'association à la lecture courante ont été détruites par la lésion
cérébrale
, sa faculté d'interpréter certains mots et part
non devant la région locomotrice. Bien que, par suite de la lésion
cérébrale
, ses facultés intellectuelles aient été affaibl
parmi les exceptions rares lorsqu'il s'agit de pertes de substance
cérébrale
réelles. L'expérience clinique tend prouver que
nte pas de symptômes secondaires prove- nant de la cicatrice crânio
cérébrale
susceptibles de déterminer des trou- bles dans
ls pénètrent dans les luyaux nerveux qui consti- tuent la substance
cérébrale
et plus loin les nerfs.Ils ont la force d'élargir
Pawlow et les physio- logistes de son école sous le nom de réflexes
cérébraux
. Voyons en effet, comment « les passions sont e
que ! Mais si cette conception purement mécaniste du fonctionnement
cérébral
, et l'hypothèse qu'elle imposait d'un courant mat
re, et que la substance qui la forme est continue avec la substance
cérébrale
(5). . Nous n'entreprendrons pas de retracer ic
au système ner- veux et il a pu réaliser, en traitant la substance
cérébrale
fraîche par le nitrate d'argent et la piridine,
n portant, après un repas copieux ; il peut s'agir d'une hémorragie
cérébrale
. L'un et l'autre étaient bien conformés, leur c
sités rappellent l'aspect de hautes papilles ou des circonvolutions
cérébrales
(ce sont les membranes papillaires) . Les plis
che légèrement. Le cal osseux parait partout constitué, et le pouls
cérébral
n'est pas perceptible dans la cicatrice. Les os
ent crânien, avec plaie extérieure plus ou moins infectée et hernie
cérébrale
, ait amené l'éclosion d'une méningite, d'abord
que; mais, dans la suite, en vertu d'une loi générale en pathologie
cérébrale
, cette méningite s'est étendue progressivement
erise, elle est molle, tremblottante et lisse, comme la subs- tance
cérébrale
. Elle a une couleur blanche, et de fins petits va
Foix, 353 et 427. Méningite séreuse (Deux cas de pseudo-tu- meur
cérébrale
: - et et hydrocéphalie ac- 496 TABLE DES MATIÈ
24. Goldstein (M.) et IIL\RINESCO (G.). Deux cas de pseudo-tumeur
cérébrale
: méningite séreuse et hydrocéphale acquise (1
las Divis, électro-théra- peute (IlASKo\Ec), LXVII. Pseudo-tumeur
cérébrale
(Marinesco et GOLDSTEIN), XI. Rachis, ostéo-a
se faire est certainement celle d'une lésion siégeant dans l'écorce
cérébrale
au con- tact des méninges, intéressant la zone
nd très bien puisque cette complication dans la paralysie d'origine
cérébrale
a été fréquemment signalée (Charcot, Pierret, B
urs et la mort surviendra-t-elle par le bulbe ? Ou une complication
cérébrale
terminera-t-elle la scène ? Ou encore est-ce le
du système nerveux diminue successive- ment. Puisque toute fonction
cérébrale
du médium est concentrée dans ce moment à l'obj
mouvements de la face. G. D. VIII. UN cas d'hémianesthésie DE cause
cérébrale
avec MOUVEMENTS anormaux du bras ET DE la jambe
r l'épilepsie jacksonienne, ce qui prouve qu'à la suite des lésions
cérébrales
, même lorsque la zone corticale est indemne on
M. PAUL Berthod. (Gaz. m(M. de Paris, 4884.1 XI. Deux cas de lésion
cérébrale
; par le Dr A. Brousse, chef de clinique de la f
es à l'autopsie étaient conformes à la doctrine des localisa- tions
cérébrales
. XII. Ess Il DE localisation d'une cécité accom
e". G. D. 60 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XIII. LES localisations
cérébrales
DE L HERPÉTISÜE par le Dr LAN- CEREAUX, leçon c
t comme devant. L'intervention était trop tardive car les lésions
cérébrales
étaient définitives, mais elle n'en reste pas moi
sychique de cet idiot se rattachait aux déformations et agéné- sies
cérébrales
; l'absence de la parole provenait de l'atteinte d
et de leur voisinage ? Les recherches d'Adamkiewicz sur la pression
cérébrale
(Acad. des sciences de Berlin, t. LXXXV111, III
268. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 65 Observation IL Glio-sarcome
cérébral
. Epilepsie. Tumeur occupant la couche optique e
ues carac- téristiques, plus, chez l'homme, de l'anémie avec oedème
cérébral
et, chez la femme, de l'hyperémie cérébrale not
de l'anémie avec oedème cérébral et, chez la femme, de l'hyperémie
cérébrale
notamment des ganglions centraux et de l'écorce
- teux, et de remédier aux perturbations dioptriques : l'activité
cérébrale
est par conséquent seule en jeu. On interroge fin
tance est due à ce qu'elles « sont sous la dépendance d'altérations
cérébrales
consécutives à « des hyperémies répétées. - 6°
sens. » R. M. C. XIV. SUR QUELQUES symptômes mentaux DES affections
cérébrales
ordinaires; par le Dr GASQUET. (The Journal of
(une de sclérose mul- tiple, une de syphilis, une de ramollissement
cérébral
chronique et une d'hémorrhagie cérébrale suivie
ilis, une de ramollissement cérébral chronique et une d'hémorrhagie
cérébrale
suivie d'hémiplégie), dans les- quelles il a pu
uit, l'auteur n'hésite pas à attri- buer à cette chorée une origine
cérébrale
plutôt que spinale. Recherchant ensuite la natu
nnées, on tend à faire de la. masturbation un symptôme des troubles
cérébraux
bien plutôt qu'une cause d'aliénation. L'excès
s DE démence avec aphasie. ATROPIIIE(uvecsclérose7) DE l'hémisphère
cérébral
GAUCHE; par Arthur RANNIE. (The Joumal of Menta
l y a quatre ans, été atteint d'une affection grave avec phénomènes
cérébraux
(vingt-cinq jours de durée) d'un caractère irri
mble du développement, disparait le premier au début des affections
cérébrales
, dans la vieillesse, dans l'alcoolisme, et l'on
sur le cerveau, c'est-à-dire son action chimi- que sur la substance
cérébrale
. Nous ne connaissons que son effet sur certains
, aussitôt l'on aperçoit l'augmen- tation de volume de la substance
cérébrale
; ce phénomène dis- paraît quand l'on éloigne l
ique. On constata, ici aussi une augmentation de volume de la masse
cérébrale
; pendant douze pulsations la courbe ne se modi
et la rougeur de la face. Cet état est désigné sous le nom d'oedème
cérébral
. La circulation gênée par la réplétion des vais
de nouvelles ondées sanguines très difficile, et produit une anémie
cérébrale
qui est la cause des attaques épileptoïdes que
expériences nous prouvent qu'il y a modification de la circulation
cérébrale
à la suite d'inhalation d'amylnitrite. La sec
tes et moyennes situé dans le territoire de la calotte du pédoncule
cérébral
, en arrière du noyau rouge, en dedans du ruban
calotte pédonculaire, la capsule in- terne et de là les hémisphères
cérébraux
. Il faut noter qu'il n'y a que le système latér
ié supérieure des fibres transverses de la protubé- rance ou moitié
cérébrale
; l'autre ne se compose que de fibres à myéline
doncule cérébel- leux antérieures ou supérieures; 2° par le système
cérébral
du pédoncule cérébelleux moyen ; 3° par le segm
érieurs ? ) la fonction centripète de transmettre aux hémis- phères
cérébraux
la sensation extérieure (notion de situation de
n de situation de l'individu; sentiment de l'équilibre), le système
cérébral
du pédoncule cérébelleux moyen, centi iftige,'d
ui ne s'entrecroise jamais. Le faisceau le plus précoce du faisceau
cérébral
placé en dehors et avant du faisceau spinal, mo
ue général. Si l'on fait abstraction des malades affectés de lésion
cérébrale
grossière, on rencontre la rigidité, l'immo- bi
ntre de préférence chez les tabétiques et, en particulier, chez les
cérébraux
syphilitiques : c'est peut-être le seul symptôm
ontre ces troubles dans la syphilis spinale, la chorée, les tumeurs
cérébrales
, l'hémiplégie, la paralysie saturnine, l'hys- t
t marqué des cordes vocales et de la parésie des adducteurs. Tumeur
cérébrale
: un cas de gliosarcome du corps strié et du lo
nclure que les rapports des nerfs optiques avec les centres visuels
cérébraux
sont plus complexes qu'on ne l'a cru jusqu'ici.
. Plusieurs circonvolutions sont atrophiées par place. La substance
cérébrale
est hypérémiée et présente un certain degré de
trophie développée du côté para- lysé, dans une hémiplégie de cause
cérébrale
, suivie de dégénération descendante, et qui éta
vec contracture rappelant tout à fait comme aspect les paralysies
cérébrales
de date ancienne. Le bras absolument inerte était
en l83o. Le père, mort à soixante-quatorze ans d'une hé- moi rhagie
cérébrale
, avait toujours été bien portant. sauf qu'il so
ui semblent indiquer une légère altération bien limitée de l'écorce
cérébrale
, c'est-à-dire le trouble peu marqué de la parol
conscrite, s'est développée sur un point quelconque des hémisphères
cérébraux
, et qu'il se produit, à plus forte raison, et p
rcot, /. c. 210 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XVI. DE la pression
cérébrale
et DE la compression du cerveau. par A. AD.\MK[
génie. M. Erlenmeyer prononce le mot de faiblesse irritable d'abord
cérébrale
, puis spinale. La guérison eut lieu par la supp
des tubercules qua- drijumeaux, des cornes d'Ammon, des pédoncules
cérébraux
, de la protubérance, du bulbe, des circonvoluti
ire. L'ensemble symptomatique ne permet de songer ni à une lésion
cérébrale
, ni à une affection cérébelleuse, mais ce n'est p
lle du cordon latéral droit, qui n'a rien à faire avec l'hémisphère
cérébral
droit indemne, augmente en étendue à Archives,
e, deux sortes de lésions presque contemporaines; un ramollissement
cérébral
et une myélite transverse ayant débuté par l'en
ur une grande étendue des deux côtés. P. K. XXXIX. UN CAS DE TUMEUR
CÉRÉBRALE
(GLIOSARCOME DE LA glande pinéale 1885, par L.
1 XLIII. Un cas DE tumeurs SYPHILITIQUES ( ? ) dans LES méninges
cérébrales
; par J. ALTHAUS. (Arch. f. Psych., XVI, 2.) Un
que DES TUMEURS DU CER- veau ET A LA CONNAISSANCE DES LOCALISATIONS
CÉRÉBRALES
J par TH. SOELAN. (Allg. Zeitschr. f. Psych., X
mianopsie temporale gauche unilatérale. Diagnostic erroné de tumeur
cérébrale
. La constatation successive de ce symptôme, pui
E particulière DE paralysie SPAS- MODIQUE accompagnée DE PHÉNOMÈNES
cérébraux
, ENTÉE sur un fonds D'HÉRÉDITÉ (SCLÉROSE multil
es cas mêmes où celui-ci n'offre originellement aucune défectuosité
cérébrale
. SARDINE. LU. Automatisme EPILEPTIQUE ; par le
facial est normal, ce qui arrive rarement dans les cas d'hémiplégie
cérébrale
suivie d'anesthésie; malgré une durée de deux m
des paralysies de nature cérébro-spinale à des affections de nature
cérébrale
, la combinaison d'une paraplégie avec une hémia
ès sensible de longueur entre les deux hémisphères : l'hémis- phère
cérébral
gauche mesure 18 centim., l'hémisphère droit dé
des ventricules. Rien aux plexus choroïdes. - Les deux hémisphères
cérébraux
décortiqués son égaux. Crdne. - Aucune suture
nvolutions. Les ventricules latéraux sont peu dilatés. La substance
cérébrale
est légèrement hyperémiée sans autres modificat
, la glande thyroïde comme un organe ré- gulateur de la circulation
cérébrale
, s'y est rallié après avoir montré, dans ses de
opérations sur l'homme, craignant qu'il ne produise une excitation
cérébrale
; le chloroforme, au con- traire, produit une dé
s sur ce sujet ont sans doute entravé les progrès de la chirurgie
cérébrale
jusqu'à ce que le Dr Ferrier et le professeur Yeo
lié dans les Medico-chi1'w'g¡'cal Transactions; 2° un cas de tumeur
cérébrale
que je viens d'opérer). Si rien d'anormal ne
ns l'épaisseur du cerveau, mais il faut se rappeler que les tumeurs
cérébrales
situées sous l'écorce sont à peine visibles san
au et surtout de leur sillon, pour permettre d'enlever la substance
cérébrale
sous-jacente, pendant que en même temps la paro
n veut éviter. Sa principale résistance à la hernie de la substance
cérébrale
normale est faite autrement. (Voir Drai- nage,
é une fracture en éclats, avec enfoncement, avec perte de substance
cérébrale
, à l'endroit indiqué plus bas. Les fragments os
ent. La cicatrice à peu près à un demi centimètre de la subs- tance
cérébrale
avoisinante, fut excisée sur une profondeur de
tion fut également enlevée et la plaie fermée. En enlevant la masse
cérébrale
on a dû lier trois grosses veines venant du cen
t large seulement de douze milli- mètres ; mais, comme la substance
cérébrale
qui l'entourait pa- raissait sombre et livide s
M. BINSWANGEI\ (de Iéna). De l'histologie pathologique de l'écorce
cérébrale
dans la démence paralytique. Préparations microsc
entres corticaux moteurs. Conclusions fo La même région de l'écorce
cérébrale
(gyrus sigmoide) contient le centre des sensati
ECTION DE pédiatrie M. RANKE (de Munich). De la paralysie infantile
cérébrale
.- L'été dernier, l'auteur a observé neuf cas de
cérébrale.- L'été dernier, l'auteur a observé neuf cas de paralysie
cérébrale
corres- pondant au tableau morbide de la polien
ure et intérieure de l'encéphale. Le chapitre IV (les hémisphères
cérébraux
) comprend les des- criptions nouvelles de la sc
hale et du cervelet; tout un chapitre est consacré à la circulation
cérébrale
avec les nombreuses questions physiologiques et
lecteur de se retrouver, sans effort d'esprit, dans la topographie
cérébrale
et de déterminer rapidement le siège des lésion
rps du roi a prouvé que non seulement il existait de graves lésions
cérébrales
, mais encore que l'état durait depuis longiemps
3. Catatonie, 250. Cécité et hemichorée, par Hal- lopeau, 59.
Cérébrales
(localisations dans l'herpétisme), par OEttinge
es des affections catar- l'hales, par ltaymoud, 59. Localisations
cérébrales
(fait t pour servir à t'histoire des), par ll
- spinale chronique), 60. Mentaux (troubles dans les affections
cérébrales
ordinai- res, par Gasquet,'70. Morpfnomanes (
aux (au tomie des), 102. I Tumeurs (syphilitiques des m' ninges
cérébrales
), 231 ; -r. (sarcome du lobe frontal), : 1.2 1
divers organes situés à la face inférieure du cerveau. Hémisphère
cérébral
gauche, pas d'anomalie des circonvo- lutions, c
pto-strié, ventricule latéral, corne d'Ammon, normaux. Hémisphère
cérébral
droit. - Sillon profond entre les cir- convolut
le médicament ne l'a pas arrêtée définitivement. IV. L'hémisphère
cérébral
gauche est moins long BOURNEVILLE, Bicêtre, 189
e, 1897. 3 34 Épilepsie ; démence. et pèse moins que l'hémisphère
cérébral
droit, sans qu'on puisse en inférer qu'il y a u
aut bien se rappeler, dit Cruveilhier (1), que les deux hémisphères
cérébraux
n'ont jamais exactement le même volume, et que
ort. Autopsie. - Asymétrie crânienne. Inégalité des hémis- phères
cérébraux
: H. gauche 55 gr. de moins que le droit. - Adh
, de la bandelette optique, du tubercule mamillaire, du pédoncule
cérébral
, de la protubérance et de la pyramide bulbaire.
ude en bonne santé; il y a 15 ans, il aurait eu un ramol- lissement
cérébral
, non accompagné de paralysie, mais son caractèr
ement plus petit que le droit ; il en est de même pour le pédoncule
cérébral
gauche, qui a une coloration grise sur son bord
ère n'est autre que la pie-mère externe s'accolant avec la pie-mère
cérébrale
, de la paroi externe du ventricule latéral. Une
mère interne. Il y a donc ainsi dispa- rition de toute cette région
cérébrale
qui correspond iL l'in- sula : capsule interne,
e ; - du côté maternel, le grand-père est atteint de ramollissement
cérébral
, un grand-oncle est mort paralysé, une grand'ta
du pseuclo-13.ste ou de la pseudo-porencéphalie de l'hé- misphère
cérébral
gauche, dont nous avons tracé la description. L
sant la bandelette optique, le tubercule mamil- laire, le pédoncule
cérébral
, la pyramide antérieure du côté gauche, la dimi
e de la protubérance, l'arrêt de développement de tout l'hémisphère
cérébral
gauche, se traduisant par une infériorité de po
t de même des tubercules mamillaires. A gauche encore, le pédoncule
cérébral
est manifestement plus petit que du côté opposé
e particulière. Il y à là nettement une destruction de la substance
cérébrale
(PL. II, Fo). Le lobule du pli courbe présente
o-porencéphalie. décrit minutieusement la lésion de l'hémisphère,
cérébral
gauche, que nous avons désignée du nom de poren
eil cas, il peut y avoir une des- truction complète de la substance
cérébrale
. Enfin tout autour de la perte de substance les
sque tou- jours la région périsylvicnne ou territoire de l'artère
cérébrale
moyenne (1). - (1) Ce travail a été communiqué
ion du processus et sa nature au niveau des méninges et de l'écorce
cérébrale
. La décortication, à l'état frais, a trop profo
ère, rien de particulier. Grand' père pater- nel mort de congestion
cérébrale
. - Arrière grand-père paternel, excès de boisso
bien portant. - [Père, mort subitement, sans doute d'une congestion
cérébrale
. C'était l'hiver, par un temps très froid ; il
ularités suivantes : grand-père paternel, mort d'une conges- tion
cérébrale
; des excès de boisson chez l'un des arrière-gr
es Planches VII et IX, représentant la face convexe des hémisphères
cérébraux
montre avec netteté : 1° l'aspect globuleux du
éral gauche, signalés dans le cas d'atrophie de tout l'hémisphère
cérébral
gauche, avec hémiplégie droite, relevés dans l'
embrane épaisse, très vascularisée, tapisse la cavité. Le pédoncule
cérébral
a l'aspect d'un pédicule recouvert de cette mem
internes. Elles n'auraient pas entravé le développement physique et
cérébral
de l'enfant qui paraissait intelligent, riait e
illaires sont très petits (3 il, 4 miiîim. au plus). Les pédoncules
cérébraux
, la protubérance et le bulbe ne présentent rien
ns diverses de la syphilis héréditaire, mais rare- ment des lésions
cérébrales
aboutissant à l'idiotie ou même à l'épilepsie.
tales et prédominant il gauche. - Inégalité croisée des hémisphères
cérébraux
et des hémisphères cérébelleux. - Dilatation du
de, chez lui, aurait été grave, se serait accompagnée de troubles
cérébraux
avec perte de la connaissance, aurait déterminé
insi : enfant normal jusqu'à 3 ans ; fièvre typhoïde avec accidents
cérébraux
, d'oit sclérose et arrêt de développement des c
lobes occipitaux, l'asymétrie très remarquable des circonvolutions
cérébrales
la fois sur les faces convexe et interne des de
l'SEUDO-PORENCÉPHALIE unilatérale. » Face externe de l'hémisphère
cérébral
gauche (p. 49). F', Fez, 1·, prmière, seconde e
. 49). F', Fez, 1·, prmière, seconde et troisième circonvolutions
cérébrales
. FA, frontale ascendante. SR, sillon de Rolan
IL PSEUDO-PORFNCÉPHALIE bilatérale. Face convexe de l'hémisphère
cérébral
droit (p. 60). F', F2, F3, première, seconde et
. 60). F', F2, F3, première, seconde et troisième circonvolutions
cérébrales
. FA, frontale ascendante. PA, pariétale ascen
'SEtiDO-l'ORENC1 : YH.1LIE bilatérale. Face convexe de l'hémisphère
cérébral
gauche (p. 61). 1 ? F2, 1 ? première seconde et
p. 61). 1 ? F2, 1 ? première seconde et troisième circonvolutions
cérébrales
. FA, frontale ascendante. ! 'A, pariétale ascen
. Planche IV. Porencéphalie vraie. Face convexe de l'hémisphère
cérébral
droit (p. 60). F', 1 ? 1 ? première, seconde et
S. Planche V. Porencéphalie vraie. Face interne de l'hémisphère
cérébral
droit (p. 70). I ? première circonvolution fron
'hipocampc. TT, circonvolutions temporales. P, coupe du pédoncule
cérébral
. CO, couche optique. NC, noyau coudé. VL, v
ule latéral. 196 EXPLICATION DES PLANCHES. Planche VI. Sclérose
cérébrale
ATROPHIQUE. Coupe du crâne (p.403) Cette coup
rose ATROPHIQUE DU LOBE frontal DROIT. Face interne de l'hémisphère
cérébral
droit (p. 122), 1 ? F2, portions restantes des
rose ATROPHIQUE DU lobe frontal droit. Face interne de l'hémisphère
cérébral
droit (p. 156). F1, première circonvolution fro
ose ATROPHIQUE du lobe frontal gauche. Face convexe de l'hémisphère
cérébral
gauche (p.406). FA, frontale ascendante. SO,
OSE ATROPHIQUE DU LOBE frontal gauche. Face interne de l'hémisphère
cérébral
gauche (p. 106). Fi. première circonvolution fr
nches. Planche XII. Hydrocéphalie. Face interne de l'hémisphère
cérébral
gauche (p. 120). Cette planche montre d'une faç
Arrêt de développement du cerveau. " Face interne de V hémisphère
cérébral
droit (p. 159). 1· , F2, 1 ? première, seconde
gonc. COa, commissurc antérieure. Th. thalamus. - l', pédoncule
cérébral
. CII, circonvolution de l'hippocampe. T3, tro
Arrêt de développement du cerveau. Face coiivexe de l'hémisphère
cérébral
gauche (la. 159). 1 , F2, 13, première, seconde
. Arrêt de développement du cerveau. Face interne de l'hémisphère
cérébral
gauche (11. 'la. 1 , première circonvolution fr
are fessière, développée dans le cours de l'apoplexie par hémorrbagie
cérébrale
ou par ramollis-sement du cerveau, permettait de
une masse représentant environ le volume d'une noisette. La substance
cérébrale
voisine, surtout auprès du cervelet, était ramoll
con-sécutivement à la formation d'un foyer sanguin dans l'hémisphère
cérébral
droit. Les membres du côté paralysé, qui, de très
chorcuse, — Decubitus aigu dans l'apoplexie symptomatique des lésions
cérébrales
en foyer. Il se manifeste sur les membres frappés
myélite primitive, dans l'hémiplégie récente, liée au ramollis-sement
cérébral
. Ces arthropathies occupent les jointures dés mem
roduction servile ; en général même, les troubles trophiques de cause
cérébrale
ou spinale, ainsi que nous aurons plusieurs fois
été brusque, se rattachait à la formation, dans l'un des hémisphères
cérébraux
, d'un foyer de ramollissement, déterminé lui-même
sement, déterminé lui-même par l'oblitération em-bolique d'une artère
cérébrale
postérieure. Quant au zona, voici, je pense, suiv
offrent des infarctus à divers degrés de développement. — Hémisphère
cérébral
du côté droit ; sur plusieurs points du lobe occi
lui-même est ramolli à peu près dans toute son étendue ; la substance
cérébrale
présente-là une teinte grisâtre et, en un point,
s ramollies un épanchement sanguin du volume d'une amande. — L'artère
cérébrale
postérieure du même côté est complètement oblitér
parfois même quelques heures seulement après le début de l'affection
cérébrale
ou spinale, ou encore à la suite d'une brusque ex
schare à la fesse du côté paralysé dans l'hémiplégie récente de cause
cérébrale
. In Archiv. de physiolog. normale et patholog.. I
que dans les ventricules latéraux. Dans tous ces points, la substance
cérébrale
est teintée à sa surface et dans une certaine éte
sommaire, il faut, avec Ollivier (d'Angers), rattacher les symptômes
cérébraux
ou cérébro-spinaux graves, assez mal définis enco
aigu. A. Déeidritus aigu dans l'apoplexie symptomatique de lésions
cérébrales
en foyer. C'est surtout dans l'apoplexie con-sécu
u calé paralysé dans un cas d'hémiplégie consé-cutive à l'hémorrhagie
cérébrale
. — a, Partie mortifiée: — b, Zone érythé-mateuse.
l'autre à droite, vers la partie moyenne du pariétal. La substance
cérébrale
faisait issue sous forme de champignon à travers
ermique. —Le ma-lade succomba le 5. Autopsie. —Les deux hémisphères
cérébraux
, à leur partie moyenne et supé-rieure, dans les p
plus ou moins accusée, sur les membres frappés d'hémi-plégie de cause
cérébrale
, par une élévation relative de la tem-pérature. M
au-dessus et en dedans du siège de prédilection des esehares de cause
cérébrale
: là, il occupe la ligne médiane et s'étend aux p
d'ailleurs,—-contrairement à ce qui s'observe dans les cas de lésions
cérébrales
, — que les divers points des membres para-lysés q
s, comme exemple de ce genre (2). 111. Des arthropathies de cause
cérébrale
et spinale. Les trou-bles de la nutrition consécu
aisseuse. — Couyba : Thèse de Paris, 1871. Obs. XII, p. 53. lésions
cérébrales
ou spinales qui leur donnent naissance, m'ont con
miplégiques, comme une conséquence plus ou moins directe de la lésion
cérébrale
, en dehors de toute influence de la goutte, du rh
e les articulations des membres paralysés dans l'hé-miplégie de cause
cérébrale
ne soient, comme le veut M. S. Alison, particuliè
ouvent lemembre supérieur ; c'est surtout à lasuite du ramollissement
cérébral
en foyer qu'elles surviennent, plus rarement en c
trouva une vaste cicatrice ocreuse, vestige d'un foyer d'hémor-rhagie
cérébrale
, situé-en dehors du noyau extra-vcntriculaire du
produisent clans les membres paralysés, en consé-quence d'une lésion
cérébrale
, résultent généralement d'une irritation directe
ection à laquelle se lient souvent certaines formes de ramollissement
cérébral
et qui, d'ailleurs, se manifesle aussi parfois à
se de la moelle épinière. Dans le cas où il s'agit du ramollis-sement
cérébral
, la sclérose descendante de l'un des cordons laté
dans les nécrop-sies, des lésions banales, en particulier l'atrophie
cérébrale
sénile; or, celle-ci peut exister, comme on le sa
nous voyons affectés et les tubercules mamillaires et les pédon-cules
cérébraux
(Pl. III, Fig. 1 et 3; Pl. VIII,Fig.. 1 à 5). N
ssu cellulaire séreux extrêmement délié qui unit et sépare les fibres
cérébrales
et qui forme une trame excessivement ténue ». (Lo
poplecti-formes dans la paralysie générale et dans les cas de lésions
cérébrales
en foyer de date ancienne hémorrhagie et ramollis
'hui d'appeler en premier lieu votre attention sur certains accidents
cérébraux
qui peuvent venir compliquer la symptomatologie d
icolas, présentée à la Société de Biologie, par M. Joffroy. lésions
cérébrales
en foyer de dates anciennes et accompagnées d'hém
nnes et accompagnées d'hémiplégie permanente. Telles sonïYhémorrhagie
cérébrale
et le ramollissement dit cerveau, lorsqu'ils ont
antôt diffuse, tantôt fasciculée, qui occupe à la fois les pédoncules
cérébraux
, la protubérance, le bulbe et certaines régions d
e jour-là 42°,4-A l'autopsie, on trouva, à la surface de l'hémisphère
cérébral
du côté gauche, une dépression considérable répon
de 61 ans, atteinte d'hémiplégie droite consécutive à une hémorrhagïe
cérébrale
datant de deux ans. Cette femme avait éprouvé déj
de Biologie, I. I. .• série, 1869-1870, p. 145. actuelle d'un foyer
cérébral
soit d'hémorragie, soif de ramollis-sement, ou au
oplexie vraie, princi-palement lorsqu'elle se rattache à l'hémorragie
cérébrale
, la température s'abaisse consfammentquelques ins
sur la temp, des parties centrales dans l'apoplexie liée à Vhémorrh.
cérébrale
et au l'amollissement du cerveau. (Société de Bio
verses formes que peut revêtir la sclérose multiloculaire. Les formes
cérébrale
:, et spinale correspondant à un envahissement inc
même recueil, 1871, Bd-VIII, p. 223: —4° Baldwin: A case of diffused
cérébral
Sclerosis. [Journal of mental science, 1873, juil
gies el du même coup, vous êtes frap-pés du contraste : les accidents
cérébraux
sont inévitables, à un moment donné, dans les cas
à déclarer, dans ce temps-là, qu'on n'avait pas affaire à une lésion
cérébrale
en foyer. Un autre trait distinctif qui existe
absolument spécifiques parce que nous verrons bentôt que des lésions
cérébrales
grossières, circons-crites à certains département
ité exceptionnels, mais parfai-tement authentiques, certaines lésions
cérébrales
en foyer peuvent reproduire l'hémianesthésie avec
fournies par l'expérimentation chez les animaux, veut que les lésions
cérébrales
en foyer qui affectent si profondément la motilit
plus bas, dans la protubérance et peut-être aussi dans les pédoncules
cérébraux
, que résiderait le centre des impressions sensiti
et de dé-terminer la compression des parties voisines, des pédoncules
cérébraux
, par exemple. Il est bien établi, d'un autre côté
ets sous vos yeux une coupe frontale faite au travers des hémisphères
cérébraux
, immédiatement en arrière des émi-nences mamillai
plectique (Obs. III, du mémoire de M. Tiirck.) Voir la note p. 316.
cérébral
, et qui vont s'épanouir dans le centre ovale pour
e l'hémianesthésie. Quelques autres faits dTiémianesthésie de cause
cérébrale
, publiés postérieurement à ceux de Tûrck, signale
peut conclure, je crois, de ce qui précède que, dans les hémisphères
cérébraux
, il existe une région complexe dont la lésion dét
oir été été signalée, en conséquence d'une altération des hémisphères
cérébraux
; de telle sorte queJTo/mubilation des \ sens spé
é attentivement explorés dans les faits d'hémianeslhésie par lésion
cérébrale
publiés jusqu'à ce jour ;_j les observations ne
que de trois li-gnes de la queue du corps strié. Les circonvolutions
cérébrales
placées au-des-sous étaient sur une éleudue égale
rieure de la couche optique et les parties adjacentes de l'hémisphère
cérébral
situées en dehors de celles-ci. Or, rhémianesth
grande étendue de la partie postérieure du rayonne-ment du pédoncule
cérébral
, une partie delà capsule interne et peut-être aus
produite, dans certains cas, par une lésion en foyer des hémis-phères
cérébraux
(1). 1. Les vues exposées dans cette leçon, rel
'elle est très rare dans l'hémiplégie liée à l'existence d'une lésion
cérébrale
en foyer, et qu'elle est, au contraire, pour ains
ce symptôme ne s'observe que très rarement dans Y hémiplégie de cause
cérébrale
, et s'il s'agissait de Yhémiplégie spinale, c'est
de semblable ne s'observe dans les prodromes des hémiplégies de cause
cérébrale
, et il est au contraire très habituel de voir ces
omalie considérable dans un cas d'hémiplégie consécutive à une lésion
cérébrale
, car, en pareil cas, la rigidité tardive se i.
aques, avec ou sans convulsions,qui s'observent dans les cas de foyer
cérébral
ancien (hémorragie ou ramol-lissement) ou de tume
de foyer cérébral ancien (hémorragie ou ramol-lissement) ou de tumeur
cérébrale
, quelle qu'en soit la nature. Cette élévation the
à peu près toujours, au mo-ment de la formation du foyer hémorragique
cérébral
, et c'est là, ainsi que je l'ai démontré, un cara
és de sang; cir-convolutions postérieures un peu aplaties : susbtancc
cérébrale
un peu dure. Léger épaississement trouble de la p
dure. Léger épaississement trouble de la pie-mere de la base. Cavités
cérébrales
de capacité à peu près normale, à parois de consi
n trait qui distingueï'hémianesthésie hystérique de l'hémianes-thésie
cérébrale
de cause organique. Pour ce qui est relatif aux
e les autres manifesta- 1. Charcot. — Leçons- sur les localisa/ions
cérébrales
,]). 118. lions locales de la diathôse hystériqu
genre d'amblyopie appartien-nent donc, on le voit, à l'hémianesthésie
cérébrale
en général, 1. Leçons sur les Localisations dan
uction deïhémianesthésie totale — sensorielle et sensitive — de cause
cérébrale
, semble dési-gner tout naturellement le siège que
restée saine d'un nerf optique. c, Ilots scléreux sur le pédoncule
cérébral
gauche. d, Plaques de sclérose disséminées en d
ose sur les nerfs optiques. — c, Ilots de sclérose sur les pédoncules
cérébraux
. d, Plaques de sclérose, disséminées en divers
reux irrégulièrement disséminés dans la substance blanche des régions
cérébrales
postérieures ; quelques-uns sont très profonds.
reux irrégulièrement disséminés dans la substance blanche des régions
cérébrales
postérieures. Quelques-uns sont très profonds.
choreuse. — Decubitus aigu dans l'apoplexie symptomatique des lésions
cérébrales
en loyer. Il se manifeste sur les membres frappés
myélite primitive, dans l'hémiplégie récente, liée au ramollis-sement
cérébral
. Ces arthropathies occupent les jointures des mem
poplecti-formes dans la paralysie générale et dans les cas de lésions
cérébrales
en foyer de date ancienne (hémorrhagïe et ramolli
eures, 122 ; — dans Vatrophie musculaire progressive, 124. — de cause
cérébrale
et spi-nale, 112 ; — dans ['hémiparaplégie trauma
s la sclérose en plaques, 245. — tardive dans l'hémiplégie de canse
cérébrale
, 351. — des uretères, 297. Convulsionnaires, 30
ie agi-tante, 163, 174. E Ecchymoses viscérales dans les lé-sions
cérébrales
en foyer (endo-carde, estomac, plèvre, vessie), 1
empérature (Signification de l'a-baissement de la) dans l'apoplexie
cérébrale
, 94. — Abaissement de la, — accompagnant les lési
et, engendrant ainsi « des êtres nouveaux, anor- maux, à mécanisme
cérébral
faussé ». Il me semble, en conséquence, que l'a
endroit limité de l'os occipital, rien qui rappellera une tu- meur
cérébrale
: la selle turcique n'est pas agrandie, , Il me
trouvent presque toujours dans l'acromégalie. Ce sont les symptômes
cérébraux
, des symptômes indiquant en général une tumeur
Mais notre malade ne souffre d'aucun symptôme indiquant une tumeur
cérébrale
. L'examen ophtalmoscopique ne démontre ni papil
et la figure normaux, l'absence de tout ce qui rappelle une maladie
cérébrale
, l'hy- pertrophie osseuse non limitée aux termi
r l'assimilation, la pression sanguine, la circulation, la pression
cérébrale
, et probablement aussi sur la sécrétion rénale.
lusieurs années après le commencement de l'acromégalie. Les tumeurs
cérébrales
peuvent exister longtemps à l'état latent. Ne v
e nuisible (à distance), non mécanique... les symp- tômes de tumeur
cérébrale
manqueraient, tandis que l'acromégalie existerait
travaux consa- crés à l'étude des grands faisceaux de l'hémisphère
cérébral
, la question de l'origine et de la terminaison
s de ramollissement étendu des régions postérieures de l'hémisphère
cérébral
; le plus souvent il s'agissait des lésions car
nce grise qui relie l'avant-mur au noyau amygda- lien et à l'écorce
cérébrale
avoisinante. Dans le lobe temporal les fibres des
rieur de la capsule interne et descendent dans le pied du pédoncule
cérébral
dont elles concourent à former le cinquième exter
lingual et fusiforme, ces dernières fibres se rendent au pédoncule
cérébral
. 1. Le faisceau longitudinal inférieur renferme
es'fibres'venant du mésen- cephale, il en est'd'autres que l'écorce
cérébrale
enverrait aux noyaux moteurs des régions inféri
nticulaire. Enfin d'autres fibres passent dans le pied du pédoncule
cérébral
, mais parmi ces dernières, il n'en est pas que
e traverse tout simplement pour se rendre dans le pied du pédoncule
cérébral
dont il constitue le cinquième externe. Starokotl
oint s'est localisée la lé- sion pyramidale; s'agit-il d'une lésion
cérébrale
, ou au contraire d'une lésion de la voie motric
rtiennent au faisceau de Türck et passent dans le pied du pédoncule
cérébral
. Le faisceau normal ne se continue pas directem
plus haut) est respectée ; elle ne pro- vient donc pas de l'écorce
cérébrale
, mais bien des noyaux centraux. Nous voyons ain
s jamais observé de dégénéres- cence au niveau du pied du pédoncule
cérébral
; par contre nous avons constaté cette dégénére
un cas fort intéressant, car il s'agit d'un foyer de désintégration
cérébrale
, d'une lacune, siégant immédiatement au-dessus
inées au pulvinar, au corps genouillé interne, au pied du pédoncule
cérébral
, ces fibres du faisceau optique qui longent encor
une fibre de l'écorce occipitale ne passe dans le pied du pédoncule
cérébral
; toutes les fibres que les régions postéro-infér
élations anatomo-cliniques se marque surtout dans l'étude des abcès
cérébraux
et des encéphalites diffuses. A vrai dire, les ab
bcès cérébraux et des encéphalites diffuses. A vrai dire, les abcès
cérébraux
les plus nettement circonscrits, s'ils représen
insisté sur cette notion dans l'éludé psycho-diagnostique des abcès
cérébraux
(1). Nous apportons ici une observation où la c
le malade meurt le 4 octobre, un mois après le début des phénomènes
cérébraux
localisés. NÉCROPSIE Poids du cerveau : 1.275
ngite légère avec quelques adhérences à la boîte crânienne et ABCÈS
CÉRÉBRAL
, NÉCROSE CORTICALE 241 leptoméningite prédomina
de la poche de 242 DUPRÉ ET DEVAUX cet abcès montre que le tissu
cérébral
environnant est de couleur noirâtre. Dans le pu
le pus, qui est d'odeur très fétide, nagent des détritus de substance
cérébrale
irrégulièrement dissociée. Rien d'appréciable à
ns fait l'étude d'abord des parois des abcès et ensuite de l'écorce
cérébrale
, examinée dans les différentes circonvo- lution
u Nouvelle Iconographie DE la Salpêtrière T. XIX. PI. XXXIX ABCÈS
CÉRÉBRAL
. NÉCROSE CORTICALE. SYNDROME MÉNINGÉ. (E. Dupré
... ? H ? 1' ""1'"\,"\('>11n ? hrY11,'f\ r1r> l{""¡\Cf\ ABCÈS
CÉRÉBRAL
, NÉCROSE CORTICALE 243 se colore par toutes les
'aspect granité. Ici et là, sur les cellules très altérées se ABCÈS
CÉRÉBRAL
, NÉCROSE CORTICALE . 245 rencontrent, à côté d'
idité, la diffusion et la gravité dupro- 246 DUPRÉ ET DEVAUX. ABCÈS
CÉRÉBRAL
, NÉCROSE CORTICALE cessus morbide. La présence
ons tolérantes correspond le syndrome insidieux et fruste des abcès
cérébraux
latents. Aux lésions corticales, rapides et mas-
s de l'écorce, chez un phtisique en pleine évolution de tuberculose
cérébrale
. Il est encore plus intéressant de constater l'
lésion méningée, et l'intégrité histologique de toutes les séreuses
cérébrales
chez un sujet qui a offert le tableau clinique
confirme d'ailleurs une notion clas- sique de l'histoire des abcès
cérébraux
, c'est le caractère clinique presque latent de
CLINIQUE PSYCHIATRIQUE DE GENÈVE DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU
CÉRÉBRAL
DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS (Suite). PAR
s long et minutieux. Le fait seul que la coupe en séries de tumeurs
cérébrales
a été peu pratiquée jusqu'ici, que les lois d'apr
cette perte de substance est sur- DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU
CÉRÉBRAL
249 venu aux dépens de la substance blanche et
onographie DE la Salpêtrière. T. XIX. PI. XL ALTÉRATIONS DU TISSU
CÉRÉBRAL
DUES A LA PRÉSENCE DES TUMEURS (R. Weber.) 1
.l.T 'T7 TT ? -' - rr "'1 ? 7T ? ? DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU
CÉRÉBRAL
251 Enfin le symptôme constant chez B... de la
remarqua une coloration jaunâtre, puis un endroit où la subs- tance
cérébrale
dilacérée laissait apparaître un tissu plus ferme
ement délimitées ; elles ont disséqué en quelque sorte la substance
cérébrale
dans leur entourage, beaucoup plus qu'elles ne
se à la bifurcation d'un vaisseau. DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU
CÉRÉBRAL
253 15 millimètres plus en avant apparaît l'hém
, sont particulièrement 254 WEBER. DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU
CÉRÉBRAL
bien placés pour intercepter le courant lymphat
le marasme profond avec adynamie. L'hypothermie, l'affaiblissement
cérébral
indiquent presque avec certi- tude l'imminence
eil- lard peut relever des causes les plus diverses, être d'origine
cérébrale
, médullaire, névritique, myopathique.S'ait-il d
ie ici l'influence du système nerveux central. Les deux hémisphères
cérébraux
sont loin d'avoir, même à l'état normal, une va
es à droite. (1) I(LIPPI(L, La non-équivalence des deux hémisphères
cérébraux
. Presse médicale, 29 janvier 1898. 288 KLIPPE
dysenterie, du choléra (Joffroy, P. Marie, Catola), du rhu- matisme
cérébral
(Charcot), de la pneumonie et des fièvres paludée
mère est épaissie dans la région opto-pédouculaire. Les hémisphères
cérébraux
et le cervelet ne présentent aucune altération
coupes longitudinales et transversales on voit dans les hémisphères
cérébraux
des plaques grises en très petit nombre, au nivea
re (fig. 15). Cette ressemblance avec les lacunes de désintégration
cérébrale
telles qu'elles ont été décrites chez les vieil
l'identité symptomatique. EN résumé : Epaississement de la pie-mère
cérébrale
au niveau de la région opto-pédonculaire et de
ien de particulier ne s'observe à l'examen extérieur des ménin- ges
cérébrales
et du cerveau. Les coupes horizontales et vertica
pouvoir ainsi démontrer que son schéma sur le mécanisme des centres
cérébraux
dans les aphasies, pouvait s'appliquer au mécan
logique des amusies. De même que des groupes déterminés de cellules
cérébrales
se spéciali- sent pour la parole ordinaire et v
Aires. Il s'agissait d'un aphasique, par lésion diffuse de l'écorce
cérébrale
de nature syphilitique. C'était un aphasique mote
tomique. - Il existe un ramollissement récent du terri- toire de la
cérébrale
antérieure à droite. L'artère était complètement
res dans chaque occur- rence. La diagnostie porté fut « hémorrhagie
cérébrale
» ; et la ponction lombaire,'négative dans le s
évations thermiques se rencon- trer un peu dans toutes les maladies
cérébrales
(1), il est vrai, mais spécia- lement dans les
des positions ennemies, le crâne ouvert, vidé en partie de sa pulpe
cérébrale
. La guerre actuelle est-t-elle plus meurtrière
oit 1 mort pour 4, 3 tués. C'est un record 1 PI. LX. n. 1. Hernie
cérébrale
. Plaie pénétrante du crâne par balle de petit c
russes. Explosion osseuse. Ablation d'esquilles. Volumineuse hernie
cérébrale
de 10 centimètres de long,4 à 5 de large. Sa ha
es intellectuels, moteurs ou sensitifs. PI. LX. n° 3. Double hernie
cérébrale
. Plaie perforante du crâne par balle de shrapne
ur le trajet du projectile. Ablation d'esquilles. Petites hernies
cérébrales
à l'entrée et à la sortie du projectile. Pas de
ne les objets. Pas de troubles de la motilité. Pl. LX, n° 4. Hernie
cérébrale
. Plaie pénétrante du crâne par balle de petit c
Après l'incision les esquilles osseuses ont été enlevées. Hernie
cérébrale
de 7 centimètres de longueur et de 2 centimètres
moteurs, sensitifs ou intellectuels. . PI. LXI. n° 5. Double hernie
cérébrale
. Plaie pénétrante du crâne par balle de petit c
u niveau des orifices d'entrée et de sortie du pro- jectile, hernie
cérébrale
de la grosseur d'une noisette. Paralysie des ex
s intellectuels. 110 ' MATIGNON PI. LXI. na 2. Volumineuse hernie
cérébrale
. Plaie pénétrante du crâne par balle de petit c
i ce n'est une légère dilatation pupillaire. Pl. LXI. n° 3. -Hernie
cérébrale
. Plaie pénétrante du crâne par balle de petit c
s doigts est légèrement diminuée. PI. LXI. n° 4. Volumineuse hernie
cérébrale
. Plaie pénétrante de l'occiput par balle de pet
la sensibilité. Pas de troubles oculaires. PI. LXI. n° 5. Hernie
cérébrale
. Plaie perforante du crâne par balle de petit c
s. Ablation des esquilles. Régularisation à la pince- gouge. Hernie
cérébrale
. Légère suppuration de la pulpe cérébrale super-
à la pince- gouge. Hernie cérébrale. Légère suppuration de la pulpe
cérébrale
super- ficiellement dilacérée. Diminution de
st pas touchée, on n'observe ni paralysie bulbaire ni aucun trouble
cérébral
. La mort survient dans les premières années de
n le diagnostic avec la paralysie infantile, la paralysie d'origine
cérébrale
, l'atrophie névritique Charcot Marie, la myopat
tionale vétérinaire d'Alfort. L'épilepsie symptomatique de tumeur
cérébrale
s'allie ordinairement, chez l'homme, à d'autres
en est d'autres où l'épilepsie est le seul symptôme de la ma- ladie
cérébrale
et l'on classe primitivement ces cas dans le grou
lief ces cas où l'épilepsie est le principal symptôme d'une tumeur
cérébrale
ajoute : « La céphalalgie tenace et violente, c
cerbante,cons- titue la manifestation la plus fréquente des tumeurs
cérébrales
; les atta- ques convulsives peuvent revêtir le
différents symptô- mes pouvant permettre le diagnostic des tumeurs
cérébrales
il faut ajou- ter la stupeur. Celle-ci, dont la
tta- ques épileptiques et de la stupeur symptomatiques d'une tumeur
cérébrale
. (1) L. Marchand, Tumeur cérébelleuse et épilep
upeur si communs chez les aliénés et les malades atteints de tumeur
cérébrale
. Nous insisterons enfin sur les caractères hist
neuse, légèrement transparente et adhère intimement il la substance
cérébrale
voisine ; le tissu néoplasique se confond insen
ion des nerfs optiques et des nerfs ciliaires résultant de l'oedème
cérébral
. La tumeur, d'après les considérations histolog
légère chromatolyse avec pigmentation. Des fragments de l'écorce
cérébrale
(circonvolutions pontale et pariétale ascendant
oupes sériées, par les méthodes de Pal et de Marchi, les pédoncules
cérébraux
, le cervelet, la protubérance, le bulbe et la m
té de même débitées en tranches perpen- diculaires à l'axe du tronc
cérébral
et traitées ensuite alternativement par les mét
s différentes coupes,d'abord dans le cervelet,ensuite dans le tronc
cérébral
au-dessus et au-dessous du cer- velet. * 1°
ge soits-lobaire du lobe semi-lunaire supérieur. 2° Dans le tronc
cérébral
, au-dessus et au-dessous du cervelet. Sur les c
la partie supérieure de la protubérance et l'origine des pédoncules
cérébraux
, il est facile de suivre la dégénérescence ascend
périeur. Ainsi,sur une coupe(fig.9)perpendiculaire à l'axe du tronc
cérébral
et passant par l'étage antérieur et la calotte
e doit avoir une analogie avec celle des foyers de désin- tégration
cérébrale
; à ce propos, Léri, rapporteur au dernier congrè
éroses péri et para-vasales. Ainsi que les foyers de désintégration
cérébrale
, les lacunes médullai- res ont pour caractérist
dans la moelle des cavités semblables à celles de la désintégration
cérébrale
, et. cet état anatomo-pathotogique peut être no
e nos recherches anatomiques sur certains faisceaux de l'hémisphère
cérébral
et nous n'avons pas pensé que même dans cette im-
sur une étendue relativement courte (nous par- lons de l'hémisphère
cérébral
) ; elle est rarement complète ; encore, n'est-ell
onstration de la nature unique- ment corticale du pied du pédoncule
cérébral
et de la pyramide bulbaire mar- que donc le déb
eau du tronc encéphalique sont également applicables à l'hémisphère
cérébral
, sauf dans le voisinage im- médiat de la capsul
ésenter le large ruban compact qui caractérise le pied du pédoncule
cérébral
; aussi sa constitution est-elle plus complexe,
disposition qui rappelle certainement la configuration du pédoncule
cérébral
devient frappante lorsque la substance innominé
ocns niger s'iuterpose entre le noyau rouge et le pied dn pédoncule
cérébral
. La réunion de ces deux pieds de pédoncule forme
e surtout des fibres corticipètes (on sait que le pied du pédoncule
cérébral
est, par contre, corticifuge) ; c'est naturelleme
ulaire et que celle-ci représente un prolongement de la subs- tance
cérébrale
. Toutefois, le mode d'origine du nerf optique se
représenté par la rétine et le nerf optique; mais ce segment extra
cérébral
ne donne pas, il reçoit. Il reçoit des impres-
eurone visuel fondamental prend naissance en dehors de l'hémisphère
cérébral
; s'il LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE
éments nerveux périphériques, se rapproche certainement de l'écorce
cérébrale
et correspond (pour nous) en grande partie à la
uement distinctes et sont séparés par toute la largeur du pédoncule
cérébral
. La discussion est donc nécessairement extra-cé
que l'embryologie a divisé plus tard en deux segments : dont l'nn,
cérébral
, est fonctionnel, réflectif et fait partie du méc
respondent fonctionnellement, du moins en grande partie, à l'écorce
cérébrale
. Bien que cela ne soit pas conforme à la doctrine
ditive, le lemniscus latéral, mais à un degré moindre. Le man- teau
cérébral
est la sphère du physiologisme acquis. Que l'on r
nions pas que le second neurone maculaire se rende à la corticalité
cérébrale
, mais nous croyons que la majorité de ses fibres
bulbaire égale le deuxième cinquième ex- terne du pied du pédoncule
cérébral
. En d'autres termes, le faisceau pyramidal a pa
la couche sagittale externe du lobe occipital. Ainsi qu'une lésion
cérébrale
se traduit par une réaction médullaire qui LE F
elevé 28 syphilis certaines). Ces données relatives à la pathologie
cérébrale
des arabes d'Egypte n'infirment pas forcément l
tielle hypertrophique (5 pl., 6 sch.),477. DEVAUX et Dupré. Abcès
cérébral
, nécrose corticale, syndrome méningé (3 Ilg.,
sie partielle forme atypique (3 pl.), 133. Dupré et DEVAUX. Abcès
cérébral
, nécrose corticale. syndrome méningé (3 fig.,
m- béciles (1 pl.), 95. Weber. De quelques altérations du tissu
cérébral
dues à la présence de tumeurs (3 fig., 1 pl.),
sence de tumeurs (3 fig., 1 pl.), 241. TABLE DES MATIÈRES Abcès
cérébral
, nécrose corticale, syndrome méningé (3 fig., 1
pl.), par Féré, 168. Tumeurs (de quelques altérations du tissu
cérébral
dues à la présence de) (3 fig., 1 pl.), par Web
de) (3 fig., 1 pl.), par Weber, 241. TABLE IDES PLANCHES Abcès
cérébral
. Nécrose corticale, syn- drome méningé (E. DUPR
ystème radial (H. Français et M. EGGCR), LXV. Altération du tissu
cérébral
due à la pré- sence des tumeurs (R. 'VÉDER), XL
ce. Le diaphragme a, lui aussi, un aspect normal. Les hémisphères
cérébraux
ne présentent rien à signaler, les circonvoluti
a recherche des corps granuleux, dans l'intérieur des hémisphères
cérébraux
et dans la moelle. Toutes les coupes ont été fa
ion de Charcot, qui présente plusieurs symp- tômes tant spinaux que
cérébraux
; en d'autres termes, un bel exemple du type cér
o-spinal nous sommes au contraire en présence d'un cas frustre soit
cérébral
soit spinal, soit cérébro-spinal, suivant les s
ntenant à l'interprétation des modi- cations que produit l'activité
cérébrale
sur l'élimination de cet acide et sur celle de
la formeque revêt l'expression sous laquelle se traduit l'activité
cérébrale
, qu'elle se retrouve dans les deux formes les p
à celles que produit le travail intellectuel ; seulement l'activité
cérébrale
étant plus grande que sous l'influence de ce de
la SECTION DES FIBRES DU NERF OPTIQUE A L'INTÉRIEUR DES HÉMISPHÈRES
CÉRÉBRAUX
DANS LE VOISINAGE DU SEGMENT POSTÉRIEUR DE LA C
. K. IV. SUR UN cas DE sclérose granuleuse disséminée DE L'ÉCORCE
cérébrale
; par F. GREIFF. (Neurolog. Centralbl., z884.)
zzi (cirrhose atro- phique granuleuses disséminé des circonvolution
cérébrales
. Encéphale, 1883). P. K. V. SUR LES paralysie
, comprend les psychoses fonctionnelles ajoutées, soit à un trouble
cérébral
organique persistant, soit à un trouble cérébra
soit à un trouble cérébral organique persistant, soit à un trouble
cérébral
par affection somatique momentanée ; elles donn
transformée en folie systématique), avec l'involution ou régression
cérébrale
sénile, avec la démence paralytique (ici se pos
peut, par action réflexe sur le cerveau, déter- miner des symptômes
cérébraux
. Le processus réflexe est toujours ascen- dant.
ants que l'organe primitivement affecté. 9° Je traite les symptômes
cérébraux
à l'aide de l'électrisation de la moelle allong
macroscopiques de l'encéphale ni de la moelle. Seule, la substance
cérébrale
parait oedématiée. Quelquefois on trouve une di
ergence, avaient dis- paru. Pourlui,il s'agit non point d'unetumeur
cérébrale
à accrois- sement périodique (théorie de hiaehi
il rattache à la perte de la coordination fonctionnelle des centres
cérébraux
su- périeurs et passe en revue les principales
rveux, les modifications cliniques ou physiques de la cir- culation
cérébrale
, les maladies qui retentissent par voie réflexe
et mi- cl'oscopiques des méninges, des vaisseaux et de la substance
cérébrale
, qui ont été le plus souvent signalées dans la
chacun de nous (Charcot et l'école de la Salpêtrière). La syphilis
cérébrale
mérite encore un chapitre spécial depuis qu'Heu
u pyramidal au-dessus du bulbe d'examiner des coupes des pédoncules
cérébraux
, la protubérance étant certainement le point le
mal présenté par cette malade. G. D. XXV. Observation DE syphilis
cérébrale
; par le Dr Le DENTU, chirurgien de l'hôpital Sa
ne réussit pas, et le malade fut emporté par de nouveaux accidents
cérébraux
. XXVI. UN cas DE MYÉLOPATIIIE AIGUE.\ MARCHE as
tout sopor pur s'accompagne de myosis (suppres- sion de l'influence
cérébrale
), aux phénomènes convulsifs res- piratoires et
meil et l'état de rêve et, par suite, du supposer que les processus
cérébraux
de l'agonie sont ana- logues à ceux qui préside
ression de la part du liquide céphalo-rachi- dien ; delà une anémie
cérébrale
diffuse, apoplectigène. En d'autres cas, ce ser
ale diffuse, apoplectigène. En d'autres cas, ce sera une congestion
cérébrale
active qui, en élevant la pression artérielle,
ée pour les cerveaux d'un poids inférieur. Dans les autres; régions
cérébrales
, c'est lé droit qui l'emporté sur le gauche; ma
raire à lieu. D'une manière absolue, le poids de toutes les régions
cérébrales
diminue avec l'âge; les variations les plus sen
ré- senté donc un intérêt particulier dans l'étude dé l'évolution
cérébrale
. M. Riu communique deux observations, de délire
à la suite d'attaques répétées, n'a été que le résultat de l'état
cérébral
pathologique dans lequel se trouvait habituelleme
lJlIJat parole existante dispa- milre sou l'illlluence d'affeclions
cérébrales
? ' pt "t" 254 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. TILDEIt1
roit; diltérencecorrespondante dans la couche optique, le pédoncule
cérébral
, le faisceau pyramidal. Mille asymétries dans l
vient du sopor pur, on observera du myosis (déficit de l'exci- tant
cérébral
); si les phénomènes convulsifs prédominent, s'il
, SOCIÉTÉS, SAVANTES. 269 sommeil constant; on pense à une tumeur
cérébrale
(gommes ? ). Autopsie : décembre 1883. "La prem
une étude historique et critique de la question sur la localisation
cérébrale
de la fonction visuelle. Autant que l'étendue d
s diverses excursions, qu'il fait dans le domaine de la physiologie
cérébrale
. , M. Chrisliani a cherché d'abord à déterminer
du nerf optique. En portant ses expériences d'excitation sur la mae
cérébrale
mme, l'auteur est arrivé a limiter un petit end
e centre lou- jours, après l'ablation préalable de deux hémisphères
cérébraux
, toutes .les précautions nécessaires ayant été
els les lamis- AIICIIIVES, t. X. 18 H 274 BIBLIOGRAPHIE. phères
cérébraux
ont été préalal>lenentenlevés,jusqu'auxcouches
s coordonnés des animaux, chez lesquels on a enlevé les hémisphères
cérébraux
elles corps striés ne sont entravés en rien tan
lusion, que les animaux, chez lesquels on a extirpé les hémisphères
cérébraux
avec les corps striés, ne sont pas aveugles et
ps striés, ne sont pas aveugles et que l'importance des hémisphères
cérébraux
pour la vision n'est pas aussi grande que quelq
par INDEX BIBLIOGRAPHIQUE. 275 laquelle on enlève les hémisphères
cérébraux
avec les corps striés; dans ce cas là, M. Chris
écité complète attribuée par M. Munk à l'abla- tion des hémisphères
cérébraux
^ Les chapitres V, VI et VII de ce livre sont en
question de la fonction visuelle au point de vue de sa localisation
cérébrale
. Nous ne saurions pas suivre les détails de cel
parlent pas d'une manière absolue en faveur de la théorie de cécité
cérébrale
émise par M. Munk, que la lésion de la couche s
peut pas être regardé comme l'origine unique de la cécité de cause
cérébrale
. La lecture du livre deM. Christiani, où la cla
n unique des problèmes aussi com- plexes que ceux de la physiologie
cérébrale
. M. Mendelsoun. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE Essai d
l'électricité statique dans le traitement de l'hémiplégie de cause
cérébrale
; par PL \cÉ. (Thèse de Paris, 4885.) ,) VAK1A
on XI. IDIOTIE congénitale complète. Pas de convulsions. Congestion
cérébrale
à trois ans ( ? ). - Parole nulle. - Incapacité
lalgie, ce qui le dis- tingue du vertige symptomatique d'une lésion
cérébrale
en' voie d'évolution. Il apparaît dans des cas
si bien en droit de faire de cette aphasie le symptôme d'une lésion
cérébrale
ou rénale qu'une manifestation diabétique. L'
BS. XIX, XX), une sensibilité exagérée. La fréquence des troubles
cérébraux
et intellectuels trouve son explication dans le
il existe des cas assez nombreux de ramollissement et d'hémorragie
cérébrale
coexistant avec un diabète indiscutable, et d'a
t constaté la fréquence de la glycosurie à la suite des hémorragies
cérébrales
, cette glycosurie a toujours été passagère. Nou
ent recherché le sucre dans l'urine des sujets frappés d'hémorragie
cérébrale
, nous n'avons que rarement constaté l'existence
con- ditions. Chez la femme comme chez l'homme, les phénomènes
cérébraux
qui coexistent avec la présence du sucre dans l'u
cinquième fait de Libert un cas de diabète symptomatique de lésion
cérébrale
; la malade, en effet, âgée de cinquante et un a
enveloppes de l'encé- phale. Seegen signale quatre cas d'hémorragie
cérébrale
ou méningée, rapidement suivie de coma et de mo
femme que des cas de ramollissement (OBS. XX. XXI) et d'hémorrhagie
cérébrale
(OBs. XVIII, LX111). Chez la première de nos
paraître avec plus d'intensité. Quant à nos deux faits d'hémorragie
cérébrale
, ils se pro- duisirent dans les conditions suiv
che optique, il occupe entre elle et le milieu du pied du pédoncule
cérébral
la place exacte où passe le faisceau pyramidal;
on périphérique (plénitude de la vessie) ou intra-erânienne (oedème
cérébral
, anomalies circulatoires) provoque la surac- ti
ertrophie partielle se traduisant par des phénomènes de compression
cérébrale
. Observation d'épilepsie chez un jeune homme de
tissus voisins étaient très ramollis. Chez ce malade, les symptômes
cérébraux
à la lin de la vie étaient très marqués, mais n
roit; ils suivaient donc surtout la distribution des branches de la
cérébrale
postérieure droite, bien qu'à la vérité on en ren
mentées par les branches pariétales antérieure et postérieure de la
cérébrale
moyenne droite. Sans être unique, cette distrib
créas, dans les ganglions abdominaux. Chez ce malade, les symptômes
cérébraux
avaient été de courte durée; les symptômes mote
e surtout les deux cas de ce second groupe, c'est que les symptômes
cérébraux
ne se sont manifestés que consécutivement à des
ésenté que des caractères de début, c'est enfin que des symp- tûmes
cérébraux
bien accusés n'ont été nulle part accompagnés d
icotinique (trois cas). Aux affections en rapport avec le surmenage
cérébral
ou musculaire, avec les fatigues physiques, on
ce DE M. OAGONET. )1. REY lit une note sur le poids des hémisphères
cérébraux
. Ces recherches portent sur 235 pesées de cerve
céder par séries comprenant d'un côté les vésaniques de l'autre les
cérébraux
. Il rappelle à cette occasion 428 SOCIÉTÉS SAVA
téressants mais mal interprétés; il y a des crises et des accidents
cérébraux
subits à apparence grave, mais d'un pronostic m
nce grave, mais d'un pronostic moins sérieux. Toutefois, ces crises
cérébrales
sont souvent un des modes de terminaison de tou
moelle ? C'est que des lésions patho- logiques ont annulé l'action
cérébrale
. Ces lésions cérébrales (ramollissements, hémor
lésions patho- logiques ont annulé l'action cérébrale. Ces lésions
cérébrales
(ramollissements, hémorragies, scléroses circon
des akinésies à prendre, chez les enfants, la forme hémiplégique ou
cérébrale
. Tous ces désordres sont la conséquence de lési
ême lésion fonctionnelle, qu'il s'agisse des centres médullaires ou
cérébraux
. Ce qui prédomine dans la folie des héréditaire
rd qu'il s'agit d'une dissociation de l'action des deux hémisphères
cérébraux
, et nous cherchons tout naturellement, par des
les entées sur de l'anémie que celles greffées sur de l'hype- rémie
cérébrale
; il y a aussi des cas dans lesquels l'état psychi
é ce désordre ; car la dure-mère est demeurée intacte, la substance
cérébrale
avec ses méninges molles s'est imprimée dans le
es lésions attribuées à la paralysie générale. notamment l'atrophie
cérébrale
, l'inflammation des méninges et de la dure-mère
le in extenso. P. Kéraval. VII. Hypnotisme expérimental. La dualité
cérébrale
et l'indépen- dance fonctionnelle des deux hémi
té cérébrale et l'indépen- dance fonctionnelle des deux hémisphères
cérébraux
; par le Dr E. Bérillon. Précédé d'une lettre-pr
ors- qu'il s'agit de l'indépendance fonctionnelle des hémisphères
cérébraux
, Wigan, poursuivant la démonstration de cette thé
tout particulièrement, sur les faits de dédoublement des opérations
cérébrales
dans les maladies mentales. Depuis lors, de nom
ravaux ont paru sur cette question de psychologie ou de physiologie
cérébrale
, des faits nombreux, recueillis avec toute la r
bler tous les documents relatifs à l'indépendance des hémisphères
cérébraux
en mettant, tour à tour, à contribution l'anatomi
ologie, l'embryogénie, l'observation psychologique et la pathologie
cérébrale
. En exécution de ce vaste plan, l'auteur consac
ts susceptibles d'être invoqués pour la démonstration de la dualité
cérébrale
. Dissemblance morphologique entre les deux hémi
t le dédoublement et l'indé- pendance fonctionnelle des hémisphères
cérébraux
, en même temps qu'ils désignent les centres sen
idement la doctrine de l'indépendance fonctionnelle des hémisphères
cérébraux
. Outre les résultats si intéressants fournis pa
tous les faits relatifs à cette importante question de physiologie
cérébrale
. P. CAMPER. VIII. De l'aliénation mentale chez
Cannabinone, 122. Cellules nerveuses (vacuoles dans les), 90.
Cérébrale
(Dualité), par Bérillon, 457. Cerveau (poids
té verbale, 95. Syphilis, 99; - (centrale secon- daire), 226 j - (
cérébrale
), 226. Système nerveux (nutrition du), A l'ét
robuste,, mais non exempt de prédisposition aux 5accidenJ,s^nprve^
cérébraux
,. tqmbe,.p sur, l'angle, d'une. table ? et se f
ions, intellectuelles Et le même -auteur, étudiant,,les : accidents
cérébraux
, du, mal de.,Bright, met en premièret;ligne4des
e.strptluool6'lsb sïi 3s sup buo'oq ulq 111, Lasèguer Des accidents
cérébraux
qui surviennent daas; le,coiers de la maladie d
: religions, arts primitifs, études du développement des fonctions
cérébrales
chez les enfants'et les ado- lescents, des et1c
7 y -<- y tr . . 1 ............. - .. i XIV. Les localisations
cérébrales
dans la région CAPSULO-STRIÉE : I°A PROPOS'D'UN
'tîiwi 't u' -it' ? dn Jk'tt ", 1 , LV.(SUR(,U1' C.%SJDEleSYPIIILIS
cérébrale
; par Je'D'' Etllile BiT01'. io 11, Il (Arelt. c
bilité, la rachialgie syphilitique de Charcot, et par des accidents
cérébraux
moins constants, comme la céphalée, les paralys
t donc de savoir si X...a réellement par inter- valles des troubles
cérébraux
, de déterminer la nature de ceux-ci et de voir
es questions avaient été mises dans l'urne : Capsule interne, sinus
cérébraux
. Epreuve orale. La, question, tirée au, sort a
, Golgi lui-même3 a décrit les altérations des cellules de l'écorce
cérébrale
, qu'il a pu observer dans la rage expérimentale
uche on rencontre y. 3. Cellules pyramidales altérées dans l'écorce
cérébrale
d'un paralytique général et d'une mélancolique.
e cet élément si complexe dans sa structure, la cellule de l'écorce
cérébrale
. Les éléments anatomiques n'ont pas tant de faç
90 ' ANATOMIE PATHOLOGIQUE. signer à la destruction de la cellule
cérébrale
un processus que l'on puisse qualifier de spéci
s nouvelles, elle vient confirmer ce fait déjà connu que la cellule
cérébrale
est touchée par la maladie qui nous occupe ; ma
le et la sphère morale. Les malades ont le dégoût pour tout travail
cérébral
, ils éprouvent depuis une paresse intellectuell
s éprouvent depuis une paresse intellectuelle jusqu'à l'impotence
cérébrale
complète, et à l'impossiblité absolue de penser e
ue à un épuisement rapide, à une défaillance de l'impulsion motrice
cérébrale
, et un effort de la volonté peut le faire dispa
s jours il a suspendu toute sa correspon- dance. Il a une impotence
cérébrale
presque complète. Mélan- colie sans raison. Emo
les symptômes d'une neurasthénie très accusée, à savoir : impotence
cérébrale
, la malade ne peut pas faire une simple additio
es et douleurs spinales). P. K. X. Note SUR deux cas DE CHIRURGIE
CÉRÉBRALE
; par le Dr CHIPAULT. Le premier cas est relat
vers le milieu de la ligne rolandique. L'exploration de la surface
cérébrale
sur une ouverture de 6 centimètres de diamètre,
MENTALE. 129 XII. Injections hypodermiques d'extraits DE substance
cérébrale
dans l'aliénation MENTALE; par RYAU (de Norfolk
nt la station assise en équilibre et un éveil relatif des fonctions
cérébrales
en six mois. A. Marie. VIII. Des indices PflY
des fonctions psychiques, est produite par l'atro- phie de l'écorce
cérébrale
. Elle imprime à la physionomie des carac- tères
des muscles peauciers de la face est sous la dépendance de l'écorce
cérébrale
. La parésie de ces muscles dans la démence prov
ractérisée anatomiquement par l'atrophie systéma- tisée de l'écorce
cérébrale
, et rnimiqvemelzt par l'affaiblissement ou la p
ilepsie syphi- litique ou mieux la forme épileptique de la syphilis
cérébrale
. Cette épilepsie présente les caractères suivan
e, car en produisant des altérations au niveau de certaines régions
cérébrales
elle peut provoquer le tableau clinique qui res
otamment son étude si pénétrante, si judicieuse du fonc- tionnement
cérébral
dans cette période intercalaire à la- veille et
ant en évidence l'une des modalités les plus curieuses du mécanisme
cérébral
, l'automatisme. C'est là un vrai trait de génie
mode de production des hallucinations hypnagogiques, l'automatisme
cérébral
, étaient la révélation de l'existence des centr
tumeur occipitale du volume d'une orange, contenant de la substance
cérébrale
comme le montra l'opération. Après la fermeture
nt d'liémorrlia"ie d'une des branches postérieures terminales de la
cérébrale
moyenne corres- pondant aux circonvolutions mar
ai 1894.) A. 111ARIE. " XXXIV. Chlorose ET aménorrhée avec troubles
cérébraux
, par CRAWFORD THOMSON. Observation d'une jeun
érieux. A l'autopsie, les lésions sont localisées dans l'hémisphère
cérébral
gauche. Elles consistent en une tumeur volumineus
bulbaires, les myélites systématiques ; enfin sur les localisations
cérébrales
. A l'étranger, comme en France, on a l'habitude
mourir, tuée par ses propres produits, si les opérations de voirie
cérébrale
sont entravées de quelque façon. Réunissez les no
bien que par ses symptômes à laquelle se rattachent les désordres
cérébraux
relevés chez les hystériques. ? Pour remplir ce
ommunauté d'origine : elles dérivent d'un même trouble du mécanisme
cérébral
qui parait être la caractéristique palhogënique
u (au moment de l'attaque) il absorbe à son profit toute l'activité
cérébrale
et sup- prime la conscience. Il n'en est pas de
n est de même pour l'alcoolisme chronique, à l'heure où les lésions
cérébrales
définitives ont compromis l'in- tégrité de l'or
ce, revint chez lui et comme il ne s'améliorait pas au point de vue
cérébral
, on me l'amena le 10 juillet. Il est hébété; on
nc pas au hasard. Il faut, pour le faire naître, une certaine forme
cérébrale
qui est presque toujours donnée par l'hérédité.
orsque DÉLIRES SYSTÉMATISÉS DANS LES PSYCHOSES. 281 sa résistance
cérébrale
commence à diminuer, sa personnalité exagérée r
faits, la prédisposition joue le rôle le plus important ; la lésion
cérébrale
n'a été que la cause détermi- nante du délire.
le chez le paralytique général dément, chez celui où tout mécanisme
cérébral
est rompu, où, en face de la lésion maxima, il
e dans notre population de 525 aliénés. Hémorrhagies et congestions
cérébrales
, 6 cas; bronchites asile DE BONNEVAL. 289 div
nce- vésanique et de démence sénile et organique, 20 ^hémorragie'
cérébrale
, 2; paralysie générale, 13; broncho-pneumonie, 3;
ie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. 315 apportés par la circulation
cérébrale
dans les cas d'hypertension vasculaire correspo
éressante série de six coupes vertico-transversales de l'hémisphère
cérébral
, l'auteur étudie l'importante région de la calo
ie consécutive aune dégénérescence secondaire prématurée par foyers
cérébraux
; 3° même asymétrie accompagnée d'asymétrie de
R. XVII. Du RÔLE DU LIQUIDE CÊPHALO-RACHIDIhN DANS LA CIRCULATION
cérébrale
; par le De .IOL7"ET. (Gaz. /teM. des se. méd. de
signes de Romberg et d'Argyll Robertson, etc., etc., aucun trouble
cérébral
. L'année suivantej'envoyai ce malade à Lamalou,
, et, à son arrivée, on remarqua qu'il présentait quelques troubles
cérébraux
survenus inopinément pendant le voyage : peut-ê
veloppèrent qui firent songer à la possibi-' lité d'une compression
cérébrale
par la dépression crânienne existante ; c'est a
rasthénies préparalytiques, prémonitoires de certaines affections
cérébrales
organiques, telles que la paralysie générale par
istologiques et de dessins représentant des altérations de cellules
cérébrales
, médullaires et du grand sympathique dans la pa
ions du système nerveux central (hémiplégie hystérique et d'origine
cérébrale
). En outre, chez tous les hystériques, à une di
qui, cinq ans auparavant, avait présenté des accidents de syphilis
cérébrale
extrêmement graves. Elle avait conservé une hém
e qu'eux. M. DEVAY (de Lyon) lit un travail sur les localisations
cérébrales
des convulsions chez les animaux intoxiqués. Il
ement neufs pour l'acromégaJie, J'épilepsie, l'aphasie, la sclérose
cérébrale
, l'athélose double, la chorée chronique, la poren
us citerons particulièrement les chapitres : aphasies, localisation
cérébrale
, tabès, sclérose en plaques, paralysie générale
hysiologique, et particulièrement en ce qui concerne la physiologie
cérébrale
2. La bibliothèque générale de l'Université ren
onférence crânienne augmenta de trois quarts de pouce, sans lésions
cérébrales
ni mentales appré- ciables. (British Oled. Jour
itique chez un jeune garçon de huit ans, causée par une hémorrhagie
cérébrale
; hémiplégie droite avec contracture persistant
ogique de la moelle lombaire. P. K. ' LXV. Des formes de diplégie
cérébrale
héréditaire; par S. FREUD. (Neurolog. Centralbl
haos des névropa- thies du système moteur de l'enfance. La diplégie
cérébrale
est constituée, suivant lui, par : 1° l'atrophi
° chorée congénitale et héiniatliétose. Ce sont là des affec- tions
cérébrales
; on y peut joindre les complexus moteurs sans d
ique et de la diminution de l'acuité centrale. . L'origine en est
cérébrale
. Ils apparaissent de concert avec d'autres symp
tendance à la démence à la fois primitive (de par l'affaiblissement
cérébral
préalable) et secon- daire (de par la psychose
7 dent. La démence ne se produit que lorsque de nouvelles lésions
cérébrales
interviennent (sénilité, athérome). Le délire s
raissent dans l'ordre indiqué pourvu qu'il y ait la demi-irritation
cérébrale
intermédiaire au sommeil et à la veille. Pathog
aire au sommeil et à la veille. Pathogénie : Excitation du faisceau
cérébral
moteur du triju- meau ; secousse du tenseur du
ne, sociétés de patronage pour les aliénés mis en liberté, syphilis
cérébrale
et démence paralytique, injections hypodermique
ne intéressante communication anatomo- pathologique sur les centres
cérébraux
d'Hitzig chez une femme amputée dès l'enfance.
isme'. Troubles de la personnalité. Diminution de la résis- tance
cérébrale
. . Troisième période : Période des grandeurs. M
est dans un état d'éréthisme tel qu'à chaque vibration de l'écorce
cérébrale
, aussi faible et localisée soit-elle, il peut e
ngt-deux ans. Les trois frères sont en excellente santé physique et
cérébrale
. Elle-même a toujours paru bien équilibrée, et
me, etc., etc. C'est que déjà l'intelligence fléchit, la résistance
cérébrale
diminue sous la double poussée de l'âge (athéro
xistence de lésions traumatiques ou spontanées dans les hémisphères
cérébraux
, dans la moelle ou dans les nerfs périphériques.
esoin de supposer un centre vaso- moteur rénal, situé dans l'écorce
cérébrale
. Donc, en pensant 1 Babinski. Polyurie hystériq
a grande quantité de docu- ments que nous possédons sur la syphilis
cérébrale
. Cette pénurie relative s'explique par des rais
ltiples. Outre leur fréquence moindre que celle des localisations
cérébrales
, les accidents spinaux sont beaucoup moins variés
breuses, jusqu'à l'emporter sur celles qui concernent la syphilis
cérébrale
actuellement mieux connue. Les examens microsco
lors, une arlérite médullaire syphilitique comme il y aune artérite
cérébrale
. En 1889, Gilbert et Lion réunissaient dans un
s |bien nets'. Dans les deux cas elle était associée à la méningite
cérébrale
de la base, et elle était compliquée de névrite
est caractérisée par des accidents cérébro-spinaux. Les phénomènes
cérébraux
sont alors généralement les premiers en date. C
typique. Il est à remarquer que c'est presque toujours la méningite
cérébrale
de la base qui inaugure cette série d'accidents
caractères de la phase prémonitoire et la coexistence des accidents
cérébraux
mentionnés plus haut. C. Myélite. Dans un assez
ir donné à la thérapeutique d'aussi beaux succès que les phénomènes
cérébraux
. Sans doute les complications mortelles sont ra
GIQUE, lésions méningées du côté de la base du cerveau, des nerfs
cérébraux
, du chiasma en particulier. B. La leptomyélite
ntes, elles entrent dans le cercle des préoccupations de l'activité
cérébrale
et en constituent l'aliment ordinaire, de sorte
it développement c'est une dislocation, une perversion du tra- vail
cérébral
qui engendre de toutes pièces.des conceptions fau
ude des cervaux d'em- bryons animaux, l'est moins pour la substance
cérébrale
humaine adulte. L'auteur propose l'emploi du bi
yanoses, les troubles vaso-trophiques et les troubles des fonctions
cérébrales
et respiratoires dans le myxoedème et les cas a
rses parties de l'encéphale. 5° Mais la compression d'un hémisphère
cérébral
enflamme le globe de l'oeil du côté opposé tout
chique de la lecture. Lors donc qu'en pareil cas ou trouve un foyer
cérébral
, c'est que ce foyer a agi à distance et troublé
foyer (paralysie générale avec athéromasie); 4° quand il y a foyer
cérébral
, la dyslexie en est l'effet à distance et non d
t l'effet à distance et non direct; 5° il n'y a pas de localisation
cérébrale
du centre de la lecture. Chez l'homme, il est i
termittentes, si bien que l'on pourrait presque croire à un trouble
cérébral
isolé, à une excitation du centre auditif. Fina
u, ce qui est peut-être la même chose, à un trouble de la nutrition
cérébrale
, à l'épuisement du cerveau, n'a rien de frappan
encore 'pu suivre les conquêtes de l'anatomie et de la physiologie
cérébrales
et de la psychologie. Or la bibliographie et le
procédé didactique contestable et malgré la fréquence des troubles
cérébraux
et des névrites, associés à l'alcoolisme, M. Ko
512 BIBLIOGRAPHIE. procher les névrites périphériques des troubles
cérébraux
qui les accompagnent, les précèdent, mais aussi
tence de lésions graves des cellules, des tubes et des vaisseaux
cérébraux
. Dans les cas où l'autopsie a pu être faite, on
fuses, en plaques, combinées ou compliquées. Les phénomènes d'ordre
cérébral
sont de deux sortes : les troubles mentaux et d
es mentaux et d'autres phénomènes d'ordinaire rattachés à la sphère
cérébrale
, les vomissements, les vertiges, le nystagmus,
troisième volume, nous trouvons 75 pages sur la chirurgie crazzio-
cérébrale
, rachidienne et des nerfs périphériques pendant l
r, 62. CÉI'lIALO-IiAC111D1E\,durùledu liyuide dans la circulation
cérébrale
, par Jolyet, 318. Cervelet," sur un cas de ky
Charcot, souscription , 147. Chirurgie, note sur deux cas de -
cérébrale
, par Ciiil)atilt, 1 ? 7. Ciiloralose, paralysie
e par la -, par Féré, 412. Chlorose et aménorrhée avec trou- bles
cérébraux
, par Tlomson, 208. Chorée, paralysie générale a
Stcherbach, 316 ; un cas d'hémiplégie,par Donath, 398. DIPLÉGIE
cérébrale
héréditaire, par Freud, 399. Dure-mère, sur u
syringomyétique, par Pitres et Sabrazès, 37. Localisations, les
cérébrales
dans la région capsulo-striée, par Pi- tres,
és dans la pro- vince du Rhin, par Finkelnbourg, 144. SUBSTANCE
cérébrale
, injections hy- podermiques de -, dans l'aliéna
5; de la mémngo- myélite -, par Lamy, 48. Syphilis, sur un cas de
cérébrale
, par Bitot, 41; troubles mentaux dans la -, p
e développement que l'on observe presque toujours dans l'hémiplégie
cérébrale
infantile ou dans la paralysie infantile, trou-
trale. ' Ce mot d'origine centrale doit-il sous-entendre une lésion
cérébrale
, soit diffuse, soit localisée ? Oui pour certai
e dans ces cas un trouble de fonctionne- ment de la substance grise
cérébrale
: à un premier slade d'irritation simple de cet
r qu'il y a, ou non, lésion anatomique de telles ou telles cellules
cérébrales
, à l'origine des spasmes dont la cause péri- ph
toute lésion périphérique, il faudra invoquer une origine centrale,
cérébrale
; et ce sera d'ailleurs dans la majorité des ca
rissaud, Hallion et Meige(21), montre qu'une excitation de l'écorce
cérébrale
, au niveau de la zone psycho-motrice, peut non
S PROFESSIONNELLES 81 t lésion est strictement localisée à l'écorce
cérébrale
, et chez lesquels on voit survenir des troubles
s artistiques émanant d'individus atteints eux-mêmes de dérangement
cérébral
. Dans les oeuvres d'art que nous avons envisagé
en particulier dans le bulbe olfactif, le cervelet, les pédoncules
cérébraux
. Il existe également quelques foyers de ramolli
et Faure-Bentliea). A Exp. 2. Hémorrhagies minimes sous la pie-mère
cérébrale
. B - Exp. 4. (Dose de sel radifère presque doub
us considérables, sous la pie-mère, et dans l'intérieur de l'écorce
cérébrale
. C - E\p. 3. Moelle cervicale inférieure (au vo
us (1) a observé, avec Anfimow, dans le cerveau ou sous la pie-mère
cérébrale
d'épileptiques mortes en état de Mal, ou après de
her le faisceau sensitif respectif et le cordon moteur du pédoncule
cérébral
droit. Nous n'insistons pas tant sur la natur
1907 d'un ictus d'apparition brusque, proba- blement par hémorragie
cérébrale
, qui a déterminé la présence d'une hémiplé- gie
veuses qui commandent soit au rire soit au pleurer dans les lésions
cérébrales
sont certainement les mê- mes, et qu'il y a tou
Ruckenmark, 2 Aull., 1899. (2) Du pleurer impulsif dans les lésions
cérébrales
, Revue russe de Psychiatrie, de Neurologie et P
t bien sous la dé- pendance d'une lésion capsulaire (par hémorragie
cérébrale
) comme le veut BRISSAUD. Le second de nos mal
lgré tout qu'une valeur très minime, car la découverte du mécanisme
cérébral
, si elle doit se produire un jour, permettrait
le soleil parce qu'elle est logique et imposée par la constitution
cérébrale
. - Mais comment s'y prendre, à quelles méthodes
n'a permis jusque maintenant de déchiffrer l'imbroglio de la fonction
cérébrale
. C'est qu'apparemment elles ne peuvent aboutir
a fonction intellectuelle par l'analyse des détails de la structure
cérébrale
exclusivement, mais il y a lieu, au moins à tit
de déductions logiques à fondement positif. Sans voir le mécanisme
cérébral
, nous devons arriver, avec le seul secours de nos
nce, ni faire des recherches. Mon idée de reconstituer le mécanisme
cérébral
par le raisonnement n'aura plus rien d'étrange
peut-être ne serait-il pas impossible de reconstituer le mécanisme
cérébral
sur une base analogue. L'homme est le roi de
ariations correspondantes dans la qualité ou la quantité de matière
cérébrale
. Cette proposition étant, je pense, admise sans c
de la conscience et l'augmentation sensible du poids de la matière
cérébrale
sem- ble être concomitante. Laquelle de ces man
corps humain fonctionnent en dehors de la conscience. Le mécanisme
cérébral
ne fait donc pas exception à la règle générale. T
i n'a réussi d'ailleurs qu'à en élucider quelques-uns. Le mécanisme
cérébral
n'est donc pas le seul qui reste à découvrir, m
tages. L'inférieur sera inconscient et contiendra tout le mécanisme
cérébral
dont le travail est insensible, puisque son exi
me peut-il émettre la prétention justifiée d'agir sur son mécanisme
cérébral
dont il ignore tout jusqu'à l'existence ! Comme
distinguer sous le microscope une cellule médullaire d'une cellule
cérébrale
,il il devient logique, même à priori,de suppo-
rincipalement les excitations extérieures qui agissent sur la matière
cérébrale
soit immédiatement soit médiatement par l'inter
ité sensitive (entrée) et l'extrémité motrice (sortie) du mécanisme
cérébral
. Enfin, l'excitation extérieure ne manque jamai
ur une base d'une valeur indiscutable la nécessité d'un méca- nisme
cérébral
et ne laisse place à aucune conception psychologi
tion. ' . ESSAI SUR LA PHYSIOLOGIE DE L'ESPRIT 181 L'automatisme
cérébral
apparaît à chaque instant dans la manifestation d
à l'extérieur. Les excitations externes se peignent dans la matière
cérébrale
. Les choses doivent, du reste, se passer ainsi, c
d'injustice, ce parti-pris est une manifestation de l'automa- tisme
cérébral
qui prend sa source dans les organisations intéri
nt suivi pas à pas mes déductions, la reconstitution du méca- nisme
cérébral
, pour autant qu'elle ait quelque valeur, paraîtra
que plus tard et par fragments. Je me représente donc la structure
cérébrale
comme un lacis inextricable d'arc réflexes nais
irrésistibilité, une fatalité d'autant plus grandes que la substance
cérébrale
se rapproche davantage de son état primitif che
vient capable de réflexion et, dans la reconstitution du mécanisme
cérébral
, il y a lieu de tenir compte de ce perfectionne
raisonnement comme méthode possible de reconstitution du mécanisme
cérébral
. Pour faire sortir les affec- tions mentales et
u, chez les sujets atteints de crampes professionnelles. Le travail
cérébral
exagéré favorise l'apparition ou la recrudescence
peut également s'attribuer à la fixation du poison sur des cellules
cérébrales
physiologiquement épuisées par un travail trop
ion des centres ou des conducteurs nerveux : hémi- plégie d'origine
cérébrale
par exemple, section traumatique du nerf médian
s Onimus ; hommes et femmes en sont égalements atteints. Le travail
cérébral
intensif et le surmenage local que nécessite la m
es. En réa- lité, quel que soit le mode de transmission, le travail
cérébral
garde sa même intensité avec les deux sortes d'
res que doivent souvent accomplir les bras, et surtout du surmenage
cérébral
qu'impose la conduite d'une automobile pendant t
donner une maladie non seulement par la modification du substratum
cérébral
mais encore peut-être plus souvent par suite d'
crit les atrophies et les différentes maladies de la peau d'origine
cérébrale
. Le docteur Majevsky examinant une maladie d'or
diante ayant six doigs. La peur peut blanchir les cheveux. L'écorce
cérébrale
peut ainsi influencer la nutrition de la structur
onnés. Par exemple, la contracture musculaire peut être d'ori- gine
cérébrale
et d'origine médullaire,maisdans l'un et l'autre
pareillement aux phénomènes observés dans les hémiplégies d'origine
cérébrale
où les symptômes morbides apparaissent, quoique
ence apparente de lésion cardiaque, on fait le diagnostic d'embolie
cérébrale
. 21 janvier. Les vomissements ont complètement
s ; d'autre part il permettra aux muscles surmenés, et aux cellules
cérébrales
excitées ou épuisées, de reprendre leur tonicit
articipation active dans l'exécution des actes commandés : l'écorce
cérébrale
du sujet doit intervenir à tout instant. La disci
ROLOGIE DE PARIS (SÉANCE DU 17 JUILLET 1909) TROIS CAS DE TUMEURS
CÉRÉBRALES
, PAK E. BOINET, Professeur de clinique médi
Médecin des hôpitaux de Marseille. Les deux premiers cas de tumeurs
cérébrales
sont secondaires, l'un à un cancer de l'estomac
mple de volumineux gliome pri- mitif comprimant les deux pédoncules
cérébraux
et les bandelettes optiques, développé au nivea
daire au niveau des centres corticaux moteurs des circon- volutions
cérébrales
gauches. , Eilepsie jzclaonzienne. Le 12 octobr
runâtres. Des taches analogues existent sur le TROIS CAS DE TUMEURS
CÉRÉBRALES
335 gland. Ces signes sont évidemment l'indice
n- des centres nerveux. Examen microscopique. Ce noyau métaslatique
cérébral
est nettement constitué par un épithélioma cyli
UVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXII. l'1. XXXIX TUMEUR
CÉRÉBRALE
Obs. Il TROIS CAS DE TUMEU11S CÉRÉBRALES 337
8°3. Cette faible hy- perthermie élimine le diagnostic d'hémorragie
cérébrale
. Le 24 janvier 1908, le malade présente tous le
tiques de l'aphasie que l'on explique par l'hypothèse d'une embolie
cérébrale
, d'origine anévrysmatique. Ce diagnostic paraissa
ecine. Séance du 30 mars 1909, p. 411 il 421). TROIS CAS DE TUMEURS
CÉRÉBRALES
339 est intermittent. Malgré la difficulté des
de l'état général, le malade accuse de l'hémianopsie. L'obtusion
cérébrale
augmente, les battements du coeur sont mous et pr
ux entrecoupé de crises d'épilepsie jacksonnienne. Autopsie. Tumeur
cérébrale
. Une tumeur cancéreuse secondaire, mesurant 4 c
rne du prolongement occipital du ventricule latéral de l'hémisphère
cérébral
droit. La base de cette tumeur repose sur le plan
lle affleure la portion posté- rieure du corps calleux. La tumeur
cérébrale
est entourée d'une enveloppe fibreuse, épaisse, s
ancer primitif du rein qui en a été le point de départ. La tumeur
cérébrale
est constituée par un épithélioma entouré d'une c
ndaires du sternum et des côtes où l'on trouve comme dans la tumeur
cérébrale
des vaisseaux très dilatés, d'abondantes hé- mo
iée comprimant le chiasma, les bandelettes optiques, le pé- doncule
cérébral
gauche et le tiers supérieur et latéral gauche de
iers supérieur et latéral gauche de la pro- tubérance, le pédoncule
cérébral
droit dans ses trois quarts supérieurs, les ner
hissant les deux ventricules latéraux et leurs parois, la substance
cérébrale
de l'hémisphère surtout dans la région de l'ins
UVELLE Iconographie DE la Salpêtrière T. XXII. Pl. XXXVIII TUMEUR
CÉRÉBRALE
Obs. III (E. Boinet). TROIS CAS DE TUMEURS
I TUMEUR CÉRÉBRALE Obs. III (E. Boinet). TROIS CAS DE TUMEURS
CÉRÉBRALES
341 1 Conception d'un enfant de six mois mort e
1905, on constate une paralysie du type facial inférieur, d'origine
cérébrale
, avec hé- miplégie droite et paralysie des nerf
irement de la bouche ; elle ne se durcit pas ' TROIS CAS DE TUMEURS
CÉRÉBRALES
343 sous l'influence d'une contraction ; elle r
isme interne plus prononcé de l'oeil droit. Description du gliome
cérébral
. - A l'examen de l'encéphale par sa face inféri
eau du chiasma et des bandelettes optiques une vo- lumineuse tumeur
cérébrale
, de nature,gliomateuse, développée dans la ré-
périeur de la pro- tubérance, recouvrant et comprimant le pédoncule
cérébral
gauche sur toute son étendue et le pédoncule cé
le pédoncule cérébral gauche sur toute son étendue et le pédoncule
cérébral
droit dans ses trois quarts supérieurs. Cette c
ses trois quarts supérieurs. Cette compression des deux pédoncules
cérébraux
explique la plupart des symptômes observés pend
ns son ensemble une forme semi-circulaire, englobant les pédoncules
cérébraux
et surplombant le bord supérieur de la protubér
se à découvert six millimètres de la partie inférieure du pédoncule
cérébral
droit sur lequel on voit passer l'artère cérébral
eure du pédoncule cérébral droit sur lequel on voit passer l'artère
cérébrale
pos- térieure. Cette tumeur située à la base
icules latéraux et leurs parois comprime donc : les deux pédoncules
cérébraux
, la face latérale gauche de la protubérance jus
se soudant à la couche op- tique et se continuant avec la substance
cérébrale
de l'hémisphère comme dans notre cas. (1) Lec
muscles, la présence des troubles sphinctériens, de l'obnubilation
cérébrale
, l'existence de vives douleurs, tous symptômes
USIIALTER et Colin (3) l'ont signalée et dessinée dans les cellules
cérébrales
d'un hémisphère microgyrique. SOLOVTZOFF (4) av
abétiques, par MARINEsco et MERLE dans les foyers de ramollissement
cérébral
, et par bien d'autres encore dans des circonstanc
pas vu de cas avec symptômes indiquant net- tement la localisation
cérébrale
de la méningite, sauf les troubles passa- gers
issements. Pour les autres signes incontestables d'une localisation
cérébrale
de la méningite (par exemple symptômes pupillai
ue celle infiltra- tion, si elle existe également dans les méninges
cérébrales
, y est beaucoup moins prononcée (Bickel. Wickma
signes évidents d'une localisation de la méningite et aux méninges
cérébrales
et aux méninges spinales ; dans une épidémie de
sparu, et il n'y a maintenant aucun symptôme net d'une localisation
cérébrale
de la ménin- gite. La raideur de la nuque est n
ervé chez des enfants des cas avec le tableau clinique d'une tumeur
cérébrale
causée par une affection tuberculeuse où les symp
les mais en même temps, de façon très distincte, aussi aux méninges
cérébrales
(casXXVIl : les pupilles sans réaction pour la
vont porté sur les circonvolutions rolandiques,sur les pédoncu- les
cérébraux
au niveau du noyau de la lue paire, sur des coupe
mpell a comparée à celle qu'on observe dans certains cas de tumeurs
cérébrales
; State a parlé aussi de lésions tabétiformes d
e petits amas libres. La plupart des cellules nerveuses de l'écorce
cérébrale
montrent des différents signes de dégénérescenc
réquence ; est-ce qu'il y a un rapport entre les cas d'hé- morragie
cérébrale
et ceux d'angine de poitrine vraie ? D'autre pa
vait seulement pendant quelques heures montré une espèce de torpeur
cérébrale
et uriné dans le lit. Quand la respiration s'ar-
ards, sans altérations macroscopiques appréciables, et les méninges
cérébrales
paraissent saines. Les vaisseaux de la base de
d'athérome. Il existe en outre une atrophie prononcée du pédoncule
cérébral
gauche, qui à sa sortie de la protubérance appa
le chiasma paraissent intacts macroscopiquement. Les hémisphères
cérébraux
sont normaux. Les viscères ne présentent rien d
Foyer d'origine. Nous avons vu que macros- copiquement le pédoncule
cérébral
gauche est atrophié ainsi que la III' paire du
l reconnais- sait pour cause un petit foyer situé dans le pédoncule
cérébral
gauche, avec à son niveau destruction complète
Il n'y a donc aucune relation directe entre la lésion du pédoncule
cérébral
gauche et l'atrophie olivo-rubro-cérébelleuse.
lésion restait toutefois obscure : les principaux signes de tumeur
cérébrale
(papilles de stase, vomissements, céphalée) faisa
ble. La distension du cerveau est tellement grande que la substance
cérébrale
pénètre dans tous les orifices des os. Après qu
'on vient de vider. Les méninges ne sont pas épaisses. La substance
cérébrale
sur une section transversale parait très réduite
atation considérable des ventricules avec amincissement de l'écorce
cérébrale
. Nous n'avons constaté ni inflammation des plexus
i un fait bien connu qui aide même à préciser le siège d'une tumeur
cérébrale
. Ainsi Pechkranz (1) a publié le cas d'un jeune
nlribulo allô studio analomo-patolo,gico délie cisli dell'. ipofisi
cérébrale
e dell' infantilisme. Il Policlinico, vol. XIII,
de l'hypophyse les troubles géni- taux, cardans deux cas de tumeurs
cérébrales
, chez lesquels la glande pi- tuitaire n'était p
e (1) nuano MUSLLER, Ueber die Reeinflussung der Menstruation durch
cérébrale
Her- derhrankungen. Neurologisches Centralblatt
à savoir que l'adi- pose qu'on observe dans certains cas de tumeurs
cérébrales
, ne dépen- drait pas delà localisation de ceux-
es, même fatals, après les ponctions faites dans des cas de tumeurs
cérébrales
. En effet Lapersonne et; Cerise ont communiqué
e tels cas. L'un de nous (M. Marinesco) a vu, dans un cas de tumeur
cérébrale
, sur- venir la mort 30 heures après une ponctio
ves du type spinal aussi en des individus frappés par une paralysie
cérébrale
infantile comme dans le cas décrit par Bisping
ent aux méninges spinales et que des symptômes nets d'une méningite
cérébrale
manquent"te"plus souvent. Pour notre part, nous
encéphalite con- sistent en grande partie en symptômes de méningite
cérébrale
aiguë avec troubles marqués de la conscience, c
G fait connaître chez l'adulte d'analogies nettes avec l'hémiplégie
cérébrale
infantile à début brusque sous l'aspect d'une i
inion, il invoque la présence dans la poliomyélite aiguë de lésions
cérébrales
constatées par l'examen anatomique. Mais si nous
anatomique. Mais si nous laissons de côté les altérations du tronc
cérébral
et ne regardons que les lésions des hémisphères
Ë 663 part, celles qu'on constate en examinant des cas d'hémiplégie
cérébrale
infantile, qu'est-ce que la comparaison nous dé
ommun à la plupart des cas ou à tous les cas, c'est que ces lésions
cérébrales
s'étendent à tout un hémisphère et qu'elles son
an a trouvé deux fois des lésions anatomiques des circonvo- lutions
cérébrales
consistant en quelques petits foyers d'infiltrati
croscope. Cadwalader a, dans un cas, constaté aux circonvolu- tions
cérébrales
seulement une petite infiltration cellulaire de l
h a trouvé une dilatation de quelques vaisseaux des circonvolutions
cérébrales
, mais seulement une infiltration cellulaire lég
raison entre les résultats obtenus à l'examen des circonvolu- tions
cérébrales
dans les cas ordinaires de poliomyélite et dans l
ans les cas ordinaires de poliomyélite et dans les cas d'hémiplégie
cérébrale
infantile nous montre combien la différence est
oliomyélite, n'y ont trouvé aucune alté- ration des circonvolutions
cérébrales
, mais des altérations du bulbe, ce qui démontre
nous pouvons conclure que les lésions légères des cir- convolutions
cérébrales
trouvées plusieurs fois dans des cas de poliomyél
es ; en tout cas, cette observation ne peut démontrer qu'une lésion
cérébrale
tout à fait légère. Rossi a cité un cas de Webe
ait « possible » qu'il eût existé une paralysie due à une affection
cérébrale
(qui avait d'ailleurs disparu). Cependant, la d
ra- ordinaire de l'infection, ou de la poliomyélite aux hémisphères
cérébraux
, ou de la poliencéphalite à la moelle épinière.
itish Med. Journ., 1891, t. II, p. 1253. 61. Marie (P.). Hémiplégie
cérébrale
infantile el maladies infectieuses, Progrès s m
892. 63. - Sur la coïncidence, chez un même malade de la paraplégie
cérébrale
infantile et de la paralysie spinale infantile,
86. Rossi (1.). - Coïncidence chez un même malade de la paraplégie
cérébrale
infan- tile el de la paralysie spinale infantil
. Ueber die acule Enceplialilis der Kieilei- (Poliencephalitis acula,
cérébrale
Kin- derllihmung), Jahrbuch sur Kinderheilk. Bd
r de ses préjugés. Les concep- tions qui imprègnent notre substance
cérébrale
et qui y ont été enchâs- sées par l'éducation n
argu- ments, par l'expérimentation accidentelle même, de la matière
cérébrale
en partie héritée, en partie organisée après la
nécessités, aux mêmes lois. Or, à chaque accroissement de la masse
cérébrale
correspondent un développement de l'intelligenc
e et aliénée (1 pl.), par RAMADIJ : ;11 et Marchand, 275. Tumeurs
cérébrales
, 3 cas (2 pl.). par Boinet, 333. Ulcérations
; leur psvchologie (3 pl.), 5SS. . a BOINER. Trois cas de tumeurs
cérébrales
(2 pl.), 333. BOUDON et L-lrG ? EL-LAV.1STI\E
treuse et ovariotomisée (RAMADIEN et DIAnC11.1ND), XXXV1. Tumeurs
cérébrales
(E. BOJ : OET). XXXVIII et XXXIX. Ulcérations
ction a été nulle. Chez An..., si l'on fait abstraction de la léion
cérébrale
qui a déterminé l'hémiplégie de l'un des ascend
les trois autres observations, nous voyons la paralysie par lésion*
cérébrale
figurer constamment au nombre des antécédents hér
ystérique de l'hémiplégie nous renseigne sur la nature des troubles
cérébraux
qui leur donnèrent origine. Il est évident que
côté gauche. Comme on le voit, la ressemblance avec l'apo- plexie
cérébrale
était frappante, d'autant plus que ce tableau s
Archives, L. XXV. 4 50 PATHOLOGIE NERVEUSE. posent à l'hémorragie
cérébrale
. La preuve que ce que nous venons de dire n'est
yphilis, avec des artères saines, absent de tout symptôme de tumeur
cérébrale
; de plus, le développement de l'hémiplégie avai
grave lésion cranienne n'avait pas produit de dommages sur l'écorce
cérébrale
subjacente. Ces examens répétés- peuvent bien a
s, quelle lésion peut expliquer le mal comitial ? Des localisations
cérébrales
ne peuvent expliquer des symptômes qui nécessit
gieuse et laïque ne pouvant être dédoublée, c'est la même opération
cérébrale
produisant des effets identiques. La science qu
E DE l'épilepsie jacksonienne ET DB l'atrophie musculaire D'ORIGINE
cérébrale
; par L. KR.1MER. (Jahrbùch. f. Psychiat., X, 1
nlohr). Autopsie. Leptoméningite chronique, atrophie et hypérémie
cérébrale
. Pneumonie lobulaire. Ostéome de la dure-mère ave
éterminé, surtout du côté gauche, une attrition direcle de l'écorce
cérébrale
ayant eu, tout d'abord, pour résultat, des phén
epsie vraie. Enfin, insensiblement, s'est produite une accoutumance
cérébrale
, l'encéphale n'a plus réagi aussi vivement, et
ions peu marquées; la substance grise est pâle, décolorée, la pulpe
cérébrale
ramollie, lésions d'une paralysie générale arri-
s des repas. Dans les inter- valles, il n'existait aucuns symptômes
cérébraux
. L'examen démon- tra seulement qu'il y avait un
nerveuses sont prédominantes, sinon exclusives. L'origine nerveuse,
cérébrale
, de ci s morts subites, étant admise, répondent
ême mécanisme palhogé- nique ? Sont-elles le résultat de congestion
cérébrale
apoplecti- forme, ou d'aploplexie nerveuse, cet
de nature épileptoïde ? sont-elles la résultante d'une hémorrhagie
cérébrale
foudroyante consécutives à des lésions vasculaire
aux membres paralysés. On éduque, ou plutôt on rééduque les centres
cérébraux
moteurs lésés, ou du moins on réincite les fibr
, pendant l'attaque d'épilepsie, la pression monte dans les artères
cérébrales
, tandis qu'elle diminue dans les extrémités cen
DAIRE DI : S FIBRES OPTIQUES ET DU FAISCEAU LATÉRAL DU PÉDONCULE
cérébral
; par H. Kreuper. (Allg. Zeitsch. f. Psychiat , XL
(Allg. Zeitsch. f. Psychiat , XLVIII, 1,2.) Cas de ramollissement
cérébral
ischérnique portant quatre ans avant la mort su
s- ceau anormal qui gagne le segment latéral du pied du pédoncule
cérébral
et un autre faisceau, plus gros, qui va directeme
eure). La dégénérescence du faisceau latéral du pied du pédon- cule
cérébral
se rattache à la région pariélo-temporale, maison
XXIII, i.) Chez l'homme, il est de règle, dans les cas de lésions
cérébrales
Il'-) REVUE. D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHO
XVII. DE la dégénérescence secondaire dans la paralysie infantile
cérébrale
; par GIERLICIi. (Archiv f. Psychiat., XXIII, 1.)
jours consécutifs. Il ne se produit ultérieurement qu'un prolapsus
cérébral
passager; réunion par première intention sans f
ère est contre-indiquée. , M. VORSTER. Sur un cas d'héinianesthésie
cérébrale
. - Il s'agit d'un homme de quarante-neuf ans qu
d'autres régions craniennes. Chez les malades atteints d'affections
cérébrales
chroniques, la sensibilité des sutures est plus
ésentant de commerce. M. II. était, dirent-ils, atteint de troubles
cérébraux
. Ils s'enga- geaient à payer le temps perdu par
a besoin de marcher avec son cerveau, avec attention, par un effort
cérébral
, au lieu de marcher, comme quelqu'un qui lit, a
ontré avec le carton. Mais ils ont besoin de toute leur atten- tion
cérébrale
pour diriger leur marche ; la moelle épinière,
anxiété, d'état moral, tout cela n'indique-t-il pas cette sensation
cérébrale
qui consti- tue pour nous le vertige quand elle
ébut de l'artério-sclérose et des affections cardiaques, rénales et
cérébrales
de nature scléreuse, et de même à la période d'
la période d'hypertension, au moment de l'asystolie et de l'anémie
cérébrale
. Il est à remarquer que ces troubles vertigineu
ous nos yeux un certain nombre de cas de surdité dues à des lésions
cérébrales
ou intra- crâniennes. Ils ont pour la plupart u
Fig. 20. 228 8 recueil de faits. IDIOTIE CONGÉNITALE; ATROPHIE
CÉRÉBRALE
; TICS NOMBREUX; Par BOURNEVILLE et NOIR. So
R. Sommaire. Père, céphalalgies, coléreux, rhumatismes, accidents
cérébraux
, alcoolique. Grand-père paternel, calculeux. More
ul maternel, diabétique ( ? ). Oncle maternel, mort de conges- tion
cérébrale
. - Cousin germain, mort de convulsions. Soell1',
cidents articulaires avec fièvre qui s'accompagnèrent de phénomènes
cérébraux
graves (délire, perte de la connaissance durant
ssi migraineuse. 3 frères dont un mort à treize ans de « congestion
cérébrale
accompagnée de convulsions ». Cette maladie aur
aire l'autopsie, de poser le diagnostic à' arrêt de développement
cérébral
. Cette atrophie, d'origine congénitale, doit même
tes. P. KERAvAI,. XXIX. Communication D'UN cas DE POLYURIE CHEZ UNE
cérébrale
; par WIEDEfEISTER. (Neurolog. Centralbl., 1892.
g. Zeitsch. f. Psychiat., XLVII, 5.) L'étude de toutes les maladies
cérébrales
envisagées à ce point de vue, montre, d'après l
scillations considérables dues à des modi- fications de la pression
cérébrale
, mais la déchéance pondérable, rapide, se relèv
UNE forme grave spéciale d'épiphénomènes consécutifs A la COMMOTION
CÉRÉBRALE
, ET DU COMPLEXUS VASOMOTEUR QUI GÉNÉRALE- MENT
l y a trois grands groupes d'accidents consécutifs au trauma- tisme
cérébral
, qui ne sont pas invariablement les mêmes : 1° Un
le à la scissure de Romande. Sa présence avait détruit la substance
cérébrale
formant une cavité irrégulière de 55 millimètre
début de l'affection. Autopsie. Léger oedème de la pie-mère. Anémie
cérébrale
. Vacuolisation des cellules nerveuses du noyau
se des basilaires, des artères spinales sociétés savantes. 27S et
cérébrales
moyenne et antérieures des deux côtés. Un ané-
friabilité dans les interventions ultérieures. M. EnB. - Une tumeur
cérébrale
enlevée par deux fois avec succès . Il s'agit d
, et de la titubation en marchant. Aucune autre espèce de symptômes
cérébraux
. Voici les lésions histolo- giques : 1° Dans le
résultante intellectuelle pathologique du travail d'élucubration
cérébrale
des sensations. Il est évident qu'il y avait par
rynx, du pharynx, ainsi que les organes des sens. Pas d'acci- dents
cérébraux
. L'autopsie d'un des sujets a jusqu'ici démontré
d'une affection chronique du cerveau, fait partie de la pathologie
cérébrale
. Elle emprunte ses particularités spéciales à c
n représente la vivisection à telle ou telle phase du développement
cérébral
, à celle de la craniologie, car le système osse
de coupes transverscs et per- pendiculaires à travers un hémisphère
cérébral
grossi deux à trois fois. On les trouvera dans
tion (ou malformation) crânienne résulte du manque de développement
cérébral
. Il n'est pas de microcéphalie qui dépende, à l
ment du cer- veau, mais si elle ne peut se développer, l'hémisphère
cérébral
ne le peut non plus, parce qu'il est renfermé d
e que l'activité du système osseux l'emporte sur celle du système
cérébral
? S'il nous était possible de connaître que le ce
êt du développement, ou bien le défaut de développement des organes
cérébraux
, l'opération sera un insuccès. Si la nutrition
qu'une exagération du tonus musculaire. Quant aux preuves du siège
cérébral
de quelques formes de la contracture hystérique,
s syphilitiques du sys- tème nerveux, gommes, méningites chroniques
cérébrales
locali- sées, artérites et leurs conséquences,
econnaitre que cette maladie csttaconséqucnced'un état d'épuisement
cérébral
qui amène un état de faiblesse irritable du sys
classe à part. Il lui faut pour se développer un état d'invalidité
cérébrale
, résultant d'un épuisement fonctionnel, et une
et une anomalie plus ou moins grave du caractère. Celte invalidité
cérébrale
augmente par le fait des facteurs d'apaisement
iel peut se développer à la suite d'intoxications sans invali- dité
cérébrale
préexistante ne semble pas prouvée à l'auteur. Si
n limitée, ou un rapport, de causa- lité, action sur toute l'écorce
cérébrale
d'une poliencéphalite de la première enfance. Q
n état analogue à un commencement de convalescence. 5° Les troubles
cérébraux
d'ordre purement psychique n'ont été aucunement
t atta- ché à étudier l'état des fibres d'associalion dans l'écorce
cérébrale
des paralytiques généraux, et au cours de son t
schlolf, les découvertes de Heitzig et Fritsch (les crises internes
cérébrales
), Morel (la dégénérescence), Fechner (la psychoph
ant avec lésions por encéphaliques symétriques dans les hémisphères
cérébraux
. Sera publié in extenso. M. f3orur;. Expérime
79); La médecine men- tale à travers les siècles, 1879 ; - Ischémie
cérébrale
fonctionnelle (Encéphale. 25 mars 1881) ; Impul
uelles (Ibid.); - Phtisie et folie (Ibid., 25 juin 1881); - Torpeur
cérébrale
(Ibid., 25 septembre 1881); La stigmatisée de S
linique des maladies mentales; Erythème symptomatique des tu- meurs
cérébrales
(Encéphale, 1881); - Mal perforant du pied dans
Paris, 1893. Jouvet et Ciel HiaTa (G.). La vue plastique. Fonction
cérébrale
. Vol. i n-8° de 119 p. -avec 34 planches hors t
üi- Nervenheilkunde und Psychiatrie. Rosekthal. (E.). Les diplégies
cérébrales
de l'enfance. Vol. in-8° de 160 pages. Prix 4 f
« L'hystérie, disait Brachet, est une né- vrose du système nerveux
cérébral
, qui se manifeste plus ou moins brusquement par
eu changé de point de vue et on a cherché si parmi les phé- nomènes
cérébraux
, psychiques, que l'on avait observés depuis lon
tie du liquide ne doit être suivi que d'une expansion de la matière
cérébrale
telle que l'afflux sanguin se faisant librement,
n des idées, d'étour- dissements et de fatigue; enfin les symptômes
cérébraux
ou moteurs plus ou moins sérieux qui peuvent se
u mouvement qui produi- sent l'asymétrie et les états pathologiques
cérébraux
qui, dans cer- tains cas, leur correspondent, o
- niaque, la forme hystérique. R. M.-C. L1YYI\'. UN cas DE tumeur
cérébrale
; par James RORIE. (The Journal of Mental Scienc
-mère adhérente aux os du crâne. M. Roller trouva aussi des régions
cérébrales
atrophiées, c'est-à-dire des circonvolutions at
as il constatait des anomalies des sillons et des circon- volutions
cérébrales
. Le mémoire sera publié in extenso. A ce propos
at., XLIX, 3.) . P. KERAVAL. BIBLIOGRAPHIE. XIII. Les diplégies
cérébrales
de l'enfance; par le Dr Rosenthal de Vienne (Au
DES GEHIRNS. Contributions cliniques et anatomiques à la pathologie
cérébrale
) ; par von S.-E. HENSCHEN. (Upsala, 1892. Deuxi
rente avec autopsie) pour l'élucidation des questions de pathologie
cérébrale
les plus discutés, surtout celle des localisati
rre, 404 ; in- version sexuelle, par Chevalier, 405 ; - diplégies
cérébrales
de l'enfance, par Rosenthal, 479; contributio
al, 479; contributions cliniques et anato- miques à la pathologie
cérébrale
, par Henschen, 480. 0 Biliaires, calculs chez
63. Collapsus, délire du -, par Aschaf- fenburg, 282. Commotion
cérébrale
, parFriedmann, 262. Confusion mentale primiti
OPlIIE faciale expérimentale, par Girard, 261. HÉ)11,%,NESTIIISIE
cérébrale
, par Vors- tel, 126. 111;'1 h1\OTOPU : de la
lIochwarth 1113; dégé- nerescence secondaire dans la`- infantile
cérébrale
, par Gierlich, 113; - hystériques par ceinte,
par Gowers, 141. Polynévrite, par Gilbert, 284. POLIURIE chez une
cérébrale
, par Wiedemeister, 258. Porencéphalie du lobe
corps avec un certain nombre de , par Stern, 261. Ramollissement
cérébral
, inflamma- tion de la névroglie dans le, par
Wagner, 451. Trijumeau, racines du , par de Gudden, 111. Tumeur
cérébrale
, par Erb, 275 ; Rorie, 463. Urines, chez les
incriminé, n'agissent directe- ment sur la production des troubles
cérébraux
que dans les cas aigus (ivresse délirante). M.
premier lieu les psychoses organiques (paralysie générale, tumeurs
cérébrales
, artério-sclérose, etc.), à l'aide de démonstra
ser, mesurer et reproduire les diverses manifestations des troubles
cérébraux
, mais il en a montré les utiles résultats au po
rait plu- sieurs fois par semaine, violente, morte d'une congestion
cérébrale
avec aphasie.Gr.-père maternel, pas de renseign
e ducerveau, celle de la grand'mère, alcoolique, par une congestion
cérébrale
, des convulsions chez plusieurs cousins. II.
erçue (Quinke); elle peut se borner à des symptômes de neurasthénie
cérébrale
(Quinke), elle peut aussi simuler la paralysie
ydrocéphalie interne, et de la destruction des cellules de l'écorce
cérébrale
qui va de pair avec celle des fibres du corps c
'insiste pas, et se borne à poser la question suggérée par cet état
cérébral
, et par l'état mental du malade - de savoir s'i
u l'autre des deux écoles. R. de MUSGRAVE-CLAY. XIV. Localisation
cérébrale
et fonctionnement du cerveau ; par L. HARR150N-
suivantes : 1° Les aires motrice et sensorielle connues de l'écorce
cérébrale
ne sont pas nettement différentiables l'une de
plus bas qu'elles; 11° Les fonctions sensitivo-motrices de l'écorce
cérébrale
sont de nature psychique, mais elles agissent s
d'irritabilité réflexe. H. DEMusGRAVE-CLAY. XV. Un cas de tumeur
cérébrale
, par le Dr CUYLITZ. (l3zcll. de la Soc. de Belg
, et à l'autopsie de laquelle on trouva au niveau de l'hémi- sphère
cérébral
gauche dans la région rolandique, une volumineuse
ujet. Cettemalade asuccombé en présentant des signes nets de tumeur
cérébrale
(céphalée, vomis- sements, cécité), etc. A l'
en 1858, soit trente-huit ans après. Maladie de Littlesans lésions
cérébrales
. M. Déjerine, a pratiqué dans sa carrière trois
ints du syndrome de Little. Un de ces sujets présentait les lésions
cérébrales
classiques. Un autre avait un encéphale complè-
ait donc des cas de la maladie dite de Little où la dou- ble lésion
cérébrale
ferait défaut. Le diagnostic différentiel (d'inté
ticipation active dans l'exécution des actes comman- dés : l'écorce
cérébrale
du sujet doit intervenir à tout instant. La dis
ccidents polymorphes qu'elle occa- sionne, déterminer des accidents
cérébraux
. Mais ce qu'il y a de fort intéressant c'est l'
ie générale peut-elle être distinguée anatomiquement de la syphilis
cérébrale
diffuse ? (Thèse). in-8° de Si pages. Lausanne.
légère sclérose névrogliques des régions superficielles de l'écoice
cérébrale
. Méningite. -Cette méningite n'est nulle part t
utres que les pyramidales. Ainsi, toutes les rote- ches de l'écorce
cérébrale
coiitioni2ent moins de cellules qu'à l'état nor
rouvent, encore assez nombreuses, dans toutes les zones de l'écorce
cérébrale
, depuis la zone d'Ext)er Itisqu'a.1 centre oval
légère sclérose des régions tout-à-fait superficielles de l'écorce
cérébrale
, la névroglie ne parait pas avoir pris une part
grisâtre, le cltrnsnzu présente le même aspect. Les circonvolutions
cérébrales
qui ne semblent pas très atrophiées sont le siè
senté de l'albuminurie intermittente. Jamais il n'eut de troubles
cérébraux
. Soigné pour ses accidents cardiaques, il était a
et celles-ci sont en voie de dégénérescence hyaline. La substance
cérébrale
est le siège d'une inflammation relative- ment
ues des médicaments. Cela est surtout vrai dans les cas de siphylis
cérébrale
, où l'on voit quelquefois les phénomè- nes de c
rs médicaments et termine en rapportant une observation de syphilis
cérébrale
sérieusement améliorée par des doses formida- b
ceptions délirantes optimistes sont étroitement liées aux lésions
cérébrales
, et l'on a été jusqu'à considérer le délire cxpan
ue de l'hyperhémie corticale. Les recherches récentes de pathologie
cérébrale
, qui ont singuliè- rement étendu nos connaissan
rticales appré- ciables. L'hypothèse qui explique par des lésions
cérébrales
spéciales les variétés de sentiments et de pens
coolisme, de sénilité, la démence est seule le résultat des lésions
cérébrales
et son degré est proportionnée à leur étendue.
guinolente du liquide céphalo-rachidien dans deux cas d'hémorrhagie
cérébrale
, Braun, IirBuig, en Allemagne, Netter et Clerc,
aaéuraxe à siège sous-dure-mérien, qu'elle reconnaisse une origine
cérébrale
médullaire ou méningée, le liquide cépha)o-rachid
ée des principales branches de la 3° pair fait penser à la syphilis
cérébrale
, maisl'échec du traitement spécifique permet de
diverses, spécialement à celles qui entrai- nent une détermination
cérébrale
, certaines cellules nerveuses apparaissent part
nerveux qui réclame une connaissance aussi exacte des localisations
cérébrales
que l'épilepsie. Le caractère de la crise indiq
sie évolue avec une physionomie clinique spéciale, signes de tumeur
cérébrale
avec titulation cérébelleuse et surdité bilatér
la maladie de Little. S'il y a une maladie de Utile spinale et une
cérébrale
, il faut la redéciire, La conrénitalilé ne suff
e, syndrome révélateur de la vulnérabilité particulière de l'écorce
cérébrale
, et de l'aptitude spéciale de son appareil méni
e intenses, en l'absence de toute lésion saisissable, les réactions
cérébrales
qui caractérisent le méningisme. y compris la c
ue les autres facultés humaines. Etant donné la loi : toute cellule
cérébrale
actionnée par une idée actionne à sou tour les
queue de cheval et du cône terminal, les polynévrites, les tumeurs
cérébrales
, les nombreuses modalités cli- niques de la syr
ment du tabès cloosalis, la conduite à tenir dans les cas de tumeur
cérébrale
, le traitement des atrophies musculaires pro- g
multiples des psychoses, il entre dans la séméiologie des troubles
cérébraux
: troubles de la perception, troubles de la con
es, psychoses par auto- toxication, psychoses citées aux affections
cérébrales
, psychoses d'involution, psychoses indéterminée
saire. Celle-ci ne réussit pas et l'enfant succomba à des accidents
cérébraux
. Le pauvre père devint alors complètement alién
iques anciennes. Depuis quatre ans déjà, il avait quelques troubles
cérébraux
, du délire nocturne. Il avait de plus des envie
ie (hémiplégie gauche). Grand-père paternel décédé d'une congestion
cérébrale
, croit-on. Grand'mère pater- nelle, morte à soi
on qu'elle a éprouvée à la mort de son mari, frappé de con- gestion
cérébrale
et emporté en deux jours. Elle a toujours bu én
st atteint, en d'autres termes dans la plupart des états de stupeur
cérébrale
(traumatismes crâniens, hystérie, épilepsie etc
s le délire aigu et que tant d'autres décrivent dans les infections
cérébrales
, viennent en- ' core compléter les analogies. L
ncrimine les toxines de ces microbes et, dans beaucoup d'infections
cérébrales
, même dans des abcès, dont l'origine infectieus
léments nerveux et des artérioles à tunique lymphatique de l'écorce
cérébrale
. Les SOCIÉTÉS SAVANTES. 233 cellules hépatiqu
t dans le tabes des dégénérescences des tubes nerveux de l'écorce
cérébrale
. Ces lésions sont tabétiques. Aussi faut-il con
a cellule ner- veuse s'altère, se désorganise. Mais le parenchyme
cérébral
est-il bien le premier atteint, comme le croit
ades moins aptes à être soignés, car à l'état mental dû aux lésions
cérébrales
, viennent s'ajouter les mauvaises habitudes due
oïde normale, persistance du thymus, simplicité des circonvolutions
cérébrales
qui offrent peu de plis de passage. 0 N'ig. 2
ces, examens) Effets. Les effets immédiats du trac sont : l'inertie
cérébrale
, diminution des per- ceptions sensorielles, l'i
n lorsque la malade succomba. A l'examen, outre le ramollissement
cérébral
et la sclérose des- cendante, on trouva, à la p
les diverses théories de l'6rythro- mélalgie (nerveuse, médullaire,
cérébrale
, névropathique) et tout en tenant compte des in
es, reposant unique- 278 SOCIÉTÉS SAVANTES. ment sur des troubles
cérébraux
en tout point analogues à ceux que l'on observe
que, dans la moelle, dans le bulbe ou au niveau même de l'écorce
cérébrale
. La préco,-ilé de l'apparition de l'oedème perm
le malheureux donnait, depuis quelque temps, des signes de troubles
cérébraux
. (L'Aurore du 13 août 1903.) Suicide. Mercredi
Cette femme donnait depuis quelque temps des signes de dérangement
cérébral
. Ces faits montrent une fois de plus la nécessi
'on découvre sur leur personne, restes le plus souvent d'affections
cérébrales
de l'enfance ou de la puberté. Or D... est bien
uit ans une insolation qui parait avoir influencé son développement
cérébral
, nous sommes fixés sur ses habitudes d'intempér
ésentent dans la matinée au fait que l'ané- mie nécessaire au repos
cérébral
ne se produit pas ceci ne peut être accepté que
iques (B.). 318 SOCIÉTÉS SAVANTES. ses premiers travaux, l'anémie
cérébrale
dans le sommeil et la congestion au réveil, ave
meil, une augmentation du volume et une éléva- tion de la pulsation
cérébrale
; au réveil une diminution progres- sive de volu
uelle, impossible d'accep- ter intégralement la théorie de l'anémie
cérébrale
comme cause du sommeil. On ne saurait trop répé
e l'action des médicaments sur l'état vaso-moleur de la circulation
cérébrale
. C'est là une question à reprendre tout entière
lier par de l3oeclc et Verhoogen, d'une anémie de certaines régions
cérébrales
et d'une congestion simultanée d'autres régions
rborisations des fibres nerveuses dans la moelle épinière. l'écorce
cérébrale
et cérc- belleuse, se terminent par des boutons
suggestion;, les premiers vertiges étaient réels, dus à l'ischémie
cérébrale
; les autres étaient surtout auto-suggestifs.
ommeil. C'est que le sommeil n'est pas l'inconscience, ni l'inertie
cérébrale
. Le cerveau pendant le som- meil peut penser et
est atteint, en d'autres mots dans la plupart des états de stupeur
cérébrale
(traumatisme, délire aigu, hystérie ( ? ), épil
t M. Ernest DiilR (de Paris). J'ai observé, au cours d'affections
cérébrales
très variées (tumeurs et abcès encéphaliques ; al
iniciens allemands et anglais (Mohr, Gowers, etc.) dans les tumeurs
cérébrales
(K : ;)tS- cher 6Yeseiz; C.ilcdisleness). Le
prononcées surtout du côté droit. L'examen histologique de l'écorce
cérébrale
a montré les lésions suivantes : Un très grand
infection. Des lésions marquées des cellules nerveuses de l'écorce
cérébrale
ont été constatées. Fréquence et évolution des
térieure d'un trouble, d'une lésion plus ou moins grave des centres
cérébraux
et le chirurgien ne peut rien obtenir. Je pui
tera habituellement déprimée, bientôt sans tristesse, sans activité
cérébrale
, se tenant par habitude le plus possible à l'éc
if à ce refus ; à la confusion mentale succède bientôt l'inactivité
cérébrale
, la malade ne peut plus donner la moindre répon
MENTALE. tiens) et une amélioration de l'état physique, l'activité
cérébrale
reparait peu à peu, les troubles automatiques (
toxication. Alors, résultant de l'activité délirante, de la fatigue
cérébrale
occasionnée par des préoccupations conti- nues,
médiaire de con- fusion mentale succède la suspension de l'activité
cérébrale
, la phase catatonique, qui durera plus ou moins
aucune émotion, qu'il n'y a généralement chez elle aucune activité
cérébrale
. Elle reste toujours la même lorsque nous l'int
observons de loin en loin encore des périodes de mutisme, d'inertie
cérébrale
, avec sourires automatiques, absolument sans mo
tte religieuse dans un interrogatoire'. La diminution de l'activité
cérébrale
dans les intervalles de mo- ments de stupeur ca
ité avec laquelle se produit maintenant la suspension de l'activité
cérébrale
s'explique assez facilement, en somme, et par la
facilement, en somme, et par la diminution habituelle de l'activité
cérébrale
et par la durée et la fré- quence des crises de
urprise, le moindre heurt amène une suspension totale de l'activité
cérébrale
. 420 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. évolution particu
ïdes. On ne voit nulle fibre nerveuse. Cet arrêt de développe- ment
cérébral
est antérieur au 51 mois de la vie inlra-utérine
termine la tlémei2ce sénile; il peut aussi se produire une atrophie
cérébrale
prématurée, qui entraîne la démence juvénile. M
elle dorsale. Il est cependant impossible d'eu préciser l'ori- gine
cérébrale
. Mais il est extrêmement probable que la plupart
, mais dans tout le noyau. C'est inexplicable. L'élude du pédoncule
cérébral
montre que comme l'a dit Mellus (Journal ofnerv
)'. 39 et 40, mort. utopste.Hyperémie veineuse notable des méninges
cérébrales
. Hyperémie très marquée des méninges et de la s
ypopression ou l'hyperpression du sang. 4° L'écorce des hémisphères
cérébraux
donne naissance à des conduc- teurs qui influen
es le plus souvent rapportés à la paralysie générale, à des tumeurs
cérébrales
, ou aux amauroses brightiques et nicotiniques.
roite, au niveau du lobe pariétal, plaque de ramollissement. Ecorce
cérébrale
mince et pâle; ventricules dilatés; granulations
. Passant maintenant à la formation et au renouvellement des images
cérébrales
, nous pouvons concevoir que des impressions ven
sition : « C'est l'état llallucinogénique du sujet et non la lésion
cérébrale
qui a fait l'hallucination 1 » ' · Celle préd
es). REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XXIX. Hématome de la dure-mère
cérébrale
(Pachyméningite hé- morrhagique interne) associ
. ne llosca.wr : -Cr.w. XXX. Sur la manière de soigner l'hémorragie
cérébrale
et sur son traitement abortif ; par William Bro
du système ner- veux, consistant, tantôt en phénomènes d'excitation
cérébrale
, tantôt en phénomènes de dépression, sous l'inf
et de favoriser l'éli- mination des toxines agissant sur la cellule
cérébrale
et le malade guérit de ses troubles intellectue
tes tuberculeuses, la Sarcomatose du sys- teme nerveux, les Lésions
cérébrales
dans la sclérose en plaques, les Amyolrophics a
associée une hémorra- gie du co'on, parLongworlh, 510. Hémorragie
cérébrale
. Sur la ma- nière de soigner l' - et sur son
llexe, par et Goldsletu, 5S L'origine réelle et le trajet intra-
cérébral
des moteurs établis par la méthode de la dégéné
en particulier avec la neurasthénie, par Coggethal, 419. Tunmun
cérébrale
Un cas de -, par Cuylitz. 66. -Voit- Lobes fron
s inflammatoires récents, rarement dans les anciens. Dans le cortex
cérébral
, dans les noyaux centraux, dans la protubérance,
ronique de la maladie, le syndrome le plus fréquent est la diplégie
cérébrale
, ce qui est en rapport avec les localisations d
ingo-encéphalite chronique ; parasites dans le cerveau. 2. Diplégie
cérébrale
spasmodique (8 ans). 10. Diplégie cérébrale spasm
le cerveau. 2. Diplégie cérébrale spasmodique (8 ans). 10. Diplégie
cérébrale
spasmodique. Idiotie. ? j« ? aiLJMfeiC,Çir^l ? rg
DE LA MALADIE DE CHAGAS 6. Paralysie supra-bulbaire. - 9. Diplégie
cérébrale
; rires et pleurs spasmodiques. 7. Diplégie cér
- 9. Diplégie cérébrale ; rires et pleurs spasmodiques. 7. Diplégie
cérébrale
spasmodique. Masson & Cie, Editeurs. NOUV
XVI. PI. III FORMES NERVEUSES DE LA MALADIE DE CHAGAS 3. Diplégie
cérébrale
spasmodique. Idiotie. 24 ans. Méningo-encéphalite
chronique ; parasites dans le cerveau et les muscles. 8. Diplégie
cérébrale
spasmodique. Idiotie. Masson & Cie, Editeur
motilité normale des membres. Les éléments du syndrome de diplégie
cérébrale
sont, presque toujours, accompagnés de signes c
tions motrices des membres(PI. TI, ph. G). Dans les cas de diplégie
cérébrale
ancienne et de grande intensité, on observe, le
simultanément des troubles delà motilité, dénonciateurs de lésions
cérébrales
; il s'agit donc de l'idiotie organique. Du cô
se, dans lesquels on rencontre aussi tous les signes de la diplégie
cérébrale
. Nous donnons, comme spécimen des faits de ce g
XVl. Pl. IV FORMES NERVEUSES DE LA MALADIE DE CHAGAS 12. Diplégie
cérébrale
spasmodique. Idiotie. 4. Diplégie cérébrale. Sy
E CHAGAS 12. Diplégie cérébrale spasmodique. Idiotie. 4. Diplégie
cérébrale
. Syndrome cérébelleux. NOUVELLE Iconographie DE
. XXVI. Pl. V -FORMES NERVEUSES DE LA MALADIE DES CHAGAS Diplégie
cérébrale
spasmodique. Idiotie. Masson & Cie, Éditeur
osomiase. - Observation. Observation résumée d'un cas de diplégie
cérébrale
spasmodique, avec syn- drome cérébelleux : Jo
vent sur le bulbe, la protubérance, le cervelet et les pédon- cules
cérébraux
, formant une couche blanchâtre qui englobe les va
a base englobant le bulbe B., la protubérance Po., les pédon- cules
cérébraux
P., le cervelet, les origines des nerf*, crâniens
tte époque que l'on re- marqua les premiers indices d'une affection
cérébrale
. Bien que l'on ne pût en préciser le mode d'app
TIONS DE L'APHASIE 23 Les premières manifestations de son affection
cérébrale
sont survenues dans les conditions suivantes. L
d'une aphasie motrice déterminée, vraisemblablement, par une lésion
cérébrale
d'origine vasculaire. Cette aphasie était absol
tiformes surve- nant au cours des lésions circonscrites de l'écorce
cérébrale
. Tout ce que l'on peut dire c'est que chez notr
intracranienne, ni aucune altération des ménin- ges ou de l'écorce
cérébrale
. Le malade mourut un an plus tard d'une affecti
E DE LA MOITIÉ DROITE DU CORPS, PRÉDOMINANT A LA FACE, PAR LÉSION
CÉRÉBRALE
PAR G. RAUZIER et H. ROGER (de Montpellier)
t leurs prolongements dans les nerfs périphériques ? 2° L'origine
cérébrale
de l'hémiatrophie linguale a pu être discutée.
, un rôle vaso-moteur, facteur de troubles trophiques. Une lésion
cérébrale
et non une hémiatrophie linguale gauche, avec h
e une double lésion : bulbaire pour r hémiatrophie linguale gauche,
cérébrale
pour la paralysie faciale et l'hémiparésie droi
l'hémiparésie droites. B. - 8ans discuter l'étiologie de la lésion
cérébrale
concomitante, il nous reste à établir la nature
lbe, étiologie qui a le mérite de s'appliquer également à la lésion
cérébrale
, cause de l'hémiparésie droite totale. C.- Qu
N71RI (A.). Contrzb.allo studio anat. pat. dette cisti dell' ipofisi
cérébrale
e dell' in- /a)t<t7)'Mno. 11 Policlinico, se
e d'une maladie très probable- ment infectieuse, avec localisations
cérébrales
, d'après les travaux de Ca- vagni et Stefanini.
vements myocloniques congénitaux, laquelle était une hémi- plégique
cérébrale
infantile congénitale. Les mouvements étaient loc
olu- tions frontales, droite et gauche (Rossi et Gonzales) ; oedème
cérébral
(Ferrero) ; lésions de méningo-encéphalite \Pav
vons des groupes de cellules Fie. 12 et 13. Cas d'épilepsie. Ecorce
cérébrale
, fixation Eisath. Coloration d'après Alzheimer.
nimaux adultes. Fig. 14 - Premier cas de paralysie agitante. Ecorce
cérébrale
. Mêmes méthodes. Cellules névrogliques. DU SY
r tout ce que nous voyons dans FiG. 16. Nouveau-né. A gauche écorce
cérébrale
d'après Eisath-Alzheim er, réseau nêvroglique.
on. Réseau névroglique avec un noyau. Fio. Il. - Même cas. Ecorce
cérébrale
. Eisath ? Izheimer. Réseau névroglique' avec je
ns la figure 20. FIO, 19. Premier cas de paralysie agitante. Ecorce
cérébrale
. Stratum zonale. Eisath-Alzheim er. DU SYSTÈM
ation bien avancée comme d'ailleurs toutes les cellules de l'écorce
cérébrale
qui offrent des altérations régressives évident
jal. La pig- mentation des grandes cellules pyramidales de l'écorce
cérébrale
offre le même aspect caractéristique que la pig
déductions diagnostiques. Etant exclue la pensée d'une méningite
cérébrale
, on devait penser, en premier lieu, que la caus
stase-papillaireel cécité, une oscillation des symptômes des nerfs
cérébraux
et du cortex. RÉACUTISATION DE L'HYDROCEPHALIE
etien tqu 'en certainscas l'hydrocéphalieseprésenle comme la tumeur
cérébrale
, et que l'identité de l'ensemble symptomatique es
uide cérébro-spinal, puisque le contenu d'al- bumine dans la tumeur
cérébrale
est augmenté, tandis que dans l'hy- drocéphalie
bable cette forme spéciale, dans laquelle en outre, les fonc- tions
cérébrales
sont, au contraire de mon cas, presque toujours i
paralysie organique Ce n'est pas non plus, une paralysie d'origine
cérébrale
corticale. Le tableau clinique qu'a tracé des p
épinières de malades, qui avaient la tumeur siégeant dans la fosse
cérébrale
postérieure, Jacobsohn et Ja- mane (2) ont noté
énérescence (1) BATTEZ and Collier, Spinal cord changes in cases of
cérébral
tumour, Brain, Part. IV, 1899. (2) Jacobsohn
du segment dorsal. Dans trois cas de tumeur de la fosse postérieure
cérébrale
, Jacobsohn et Jamane n'ont noté rien d'anormal da
dans la moelle dorsale au cours des tumeurs siégeant dans la fosse
cérébrale
postérieure est assez rarement noté dans la lit
e toujours examiner à l'autopsie en quel état se trouve l'hypophyse
cérébrale
. En 1902, Lafond (1) publia un mémoire sur ce s
yglot- tisme, etc... l'éducation respective de ses deux hémisphères
cérébraux
(droitier, gaucher,ambidextre); les autres d'or
hémisphère droit qui paraissait abso- lument normal. Le pédoncule
cérébral
gauche est considérablement atrophié, il en est d
du noyau lenticulaire. Sur les coupes perpendiculaires du pédoncule
cérébral
, l'étage inférieur est très rétréci ; la partie
ce blanche du lobe frontal. Plus bas la dégénérescence du pédoncule
cérébral
se poursuit dans l'étage antérieur de la protub
une céphalée extrêmement vio- lente. On diagnostiqua alors un abcès
cérébral
. La trépanation fut aussitôt pratiquée par M. Q
cun résultat. Aussitôt après l'opération il se produisit une hernie
cérébrale
, hernie qui augmenta peu à peu de volume pendan
intellectuel. Bon ; la mémoire a fortement baissé, mais l'activité
cérébrale
est suffisante. L'attention est capable de se fix
térieur de la couronne rayonnante. Le faisceau interne du pédoncule
cérébral
passe par le segment antérieur de la capsule in
roduite. La porencéphalie est ici la conséquence d'une vaste hernie
cérébrale
qui s'est effectuée au coûts d'une trépanation, e
353 coupes sériées permet d'évaluer la quantité énorme de substance
cérébrale
qui s'est écoulée à travers la brèche crânienne
ulée à travers la brèche crânienne. La circonférence de la ca- vité
cérébrale
correspond à celle de la partie trépanée : ses li
photographie macroscopique que sur les coupes, des résidus d'écorce
cérébrale
plus ou moins tassés et recroque- villés, qui s
qui apprend parler, à moins qu'il n'existe préalablement une lésion
cérébrale
, les images verbales ne se sont pas encore locali
nt pas encore localisées avec autant de sélection dans l'hémisphère
cérébral
gauche (s'il est droitier) ou sur le droit (s'i
r- sisté très longtemps et a été causée par de très grosses lésions
cérébrales
(comme dans le cas présent où la IIIe circonvol
ATION DU LANGAGE DANS L'APHASIE DE BROCA 355 revient à l'hémisphère
cérébral
sain dans les suppléances, et combien les reliq
est atteinte de paralysie faciale ancienne et se plaint de troubles
cérébraux
divers. On ne trouve rien à signaler dans ses a
x cas de paraly- sie générale précédés d'ictus, un cas d'hémiplégie
cérébrale
infantile, deux cas d'hé- miplégie par foyer hé
ocier les signes observés en deux grandes catégories, des symptômes
cérébraux
(céphalée, troubles visuels, paralysies de la f
malaise. Notre malade était cependant atteinte de plusieurs tumeurs
cérébrales
. Nous n'avions pas fait ce diagnostic, par suit
ystématiquement bannie de la thérapeu- tique palliative des tumeurs
cérébrales
, et, en terminant, nous ne pour- rions mieux fa
tpellier, 1913. (1) Par ce terme, nous entendons toutes les tumeurs
cérébrales
. 406 RAUZ1ER ET BAUMEL BESREDKA. Etude sur le
à gauche; pas de synostose. Atrophie considérable de l'hémis- phère
cérébral
droit, sa longueur est de douze centimètres (cell
tre montrent un abaisse- ment de la selle turcique tel que la fosse
cérébrale
moyenne au lieu d'être dans un plan horizontal
u lieu d'être dans un plan horizontal supérieur à celui de la fosse
cérébrale
postérieure se trouve à peu près au même niveau
sions digitales résulteraient d'après Bertolotti, de l'hypertension
cérébrale
prodromique des états d'oxycéphalie; or l'amin-
oraux les méninges étaient adhérentes entre elles et à la substance
cérébrale
sous-jacente, surtout sur l'hémisphère gau- che
ssie; pie-mère opaque, oedé- mateuse et aussi hyperémiée ; le tissu
cérébral
présentait les mêmes caractères d'hyperémie, d'
. Dans certains endroits les adhérences des méninges à la substance
cérébrale
étaient si fortes qu'on ne pouvait pas les sépa
s ajouterons qu'on rencontre dans les méninges el dans la substance
cérébrale
des foyers microscopiques d'hé- morragies et de
étude du tissu néuoglir¡1te, nous devons remarquer que la substance
cérébrale
de l'hémisphère présente ses modifications pathol
c les espaces lymphatiques susdits pour la circulation de la lymphe
cérébrale
, la signification fonctionnelle du gliaspongium
vroglique s'éten- dent perpendiculairement à la surface de l'écorce
cérébrale
; dans la même direction s'étendent les mailles
llaires voisins sont réunies par des fibrilles allant dans le tissu
cérébral
intervasculaire (S. Ramon y Cajal). Que voyons-no
ous [examinons, où, grâce à l'adhérence des méninges à la substance
cérébrale
, on peut s'attendre à trouver un développement co
ient aux méninges, la partie inférieure à la périphérie de l'écorce
cérébrale
modifiée. Nous voyons comment les fibres collag
nt les fibres collagènes se dirigent en faisceaux dans la substance
cérébrale
et là, en se débarrassant de la substance collagè
on des fibres collagènes. En allant plus profondément dans le tissu
cérébral
, nous nous occupe- rons exclusivement de l'exam
es vieilles cellules conjonctives des méninges et dans la substance
cérébrale
par les membranes réticulaires des espaces périva
s- mique cellulaire, c'est-à-dire une lésion du système lympatluque
cérébral
en général, jouent à ce qui parait non le derni
ettement au-dessus du rebord postérieur), la dépression de la fosse
cérébrale
antérieure, la bascule de la face (comparer la
i bien en avant que sur les côtés, il y a un abaissement des fosses
cérébrales
. En avant, il y a un abaissement de la fosse cé
des fosses cérébrales. En avant, il y a un abaissement de la fosse
cérébrale
antérieure, moins sùr jes côtés, où les voûtes
lèvement de l'apopliyse basilaire et de cet abaissement de la fosse
cérébrale
antérieure résulte, pour ainsi dire, une cyphose
éno-basilaire a pour con- séquence l'abaissement relatif déS fosses
cérébrales
moyennes et de la ÉTUDE DE LA HASE DU CRANE DAN
'abaissement de toutes les parties périphériques de la base, fosses
cérébrales
antérieures et fosses cérébrales moyennes, n'est
s périphériques de la base, fosses cérébrales antérieures et fosses
cérébrales
moyennes, n'est pas seulement relatif et dû au
ire, il est aussi repoussé en arrière par l'abaissement de la fosse
cérébrale
antérieure : il bascule pour ainsi dire, ce qui
abaissement de la partie externe des rochers d'une pari, des fosses
cérébrales
antérieures el des voûtes orbitaires d'autre part
occipital ; il a pour conséquences l'abaissement relatif des fosses
cérébrales
antérieures et moyennes, l'incurvation antéro-
évation toute du massif sphéno-basilaire, la dépression de la fosse
cérébrale
antérieure, l'aplatissement de la selle turcique,
l'ut obi- line dans le liquide céphalo-rach id ien de l'hémorragie
cérébrale
, Bard a décrit « la coloration biliaire du liqu
cembre 19Ul. MAHMESM G. et GOLOSTEIN M. Deux cas de pseudo-tumeur
cérébrale
: méningite séreuse et hydrocéphalie acquise. N
de la moitié droite du corps, prédomi- nant à la face, par lésion
cérébrale
, 28. Ravenna (Ferruccio) ide Parme). Achon- d
t pas lieu de s'en prévaloir. On connaît bien des cas de congestion
cérébrale
, bien des cas de convulsions, bien des cas de pro
te, de manière a agir à la fois par polarité sur les deux hémisphères
cérébraux
. En imposant la main droite sur le front, je dé
ale (passim). (2) Cosmos, tome IX, p. 379.1888. — Les localisations
cérébrales
. (3) Chez Benoist, l'extase est accompagnée de
elle n'en est pas moins l'expression d'un état anormal de l'activité
cérébrale
^ bien qu'elle ne soit pas toute la folie, elle n'
ou a un état spastique, inconnu dans sa nature, de certaines régions
cérébrales
, état qui aurait la plus grande analogie avec les
bsolument comme celles qui auraient comme siège organique des lésions
cérébrales
; mais ce qui les distingue et les caractérise, c
ble que ces suggestions de hasard se traduiront par des perturbations
cérébrales
, par des symptômes névropathiques semblables à ce
égion déterminée qui accapare pour ainsi dire à elle seule l'activité
cérébrale
. Ici l'illusion est complète encore, ou peut l'êt
orte de l'extérieur vers l'intérieur, de la périphérie vers le centre
cérébral
* Ce point de départ, c'est lïmpressionnabilité, c
oelle épinière l'acte réflexe ; c'est en quelque sorte l'acte réflexe
cérébral
atteignant son plus haut degré ; c'est le cer-vea
les chiens, les chevaux, les oiseaux doués d'un ccr-uia développement
cérébral
... Quand je parle d'animaux inférieurs, je ne v
n réflexe veille toujours, à un degré plus ou moins élevé. L'activité
cérébrale
ne fait jamais complètement déûut. Supposez que c
ient-ils? Evidemment non: seulement, il y avait chez eux une activité
cérébrale
qui différait de l'activité normale. L'activité i
ssitôt après cet élancement dans la verge, survient du retentissement
cérébral
. La vue, à ce que nous dit le malade, se trouble,
t qu'il appréhende le retour de ces élancements pour que les troubles
cérébraux
apparaissent sans être précédés d'aucun signe uré
ètement. 5 avril. — Notre malade accuse du mieux. Le retentissement
cérébral
existe toujours, mais de moindre intensité. Quoiq
eignement. De toutes les causes de perturbations Je la fonctionnalité
cérébrale
, « il n'en est peut-être point de plus efficace,
ans l'un ou l'autre état, la léthargie étant un eut d'engourdissement
cérébral
plus profond que les deux autres. Quand il s'en
, en apparence aveugle, voit: l'image es: perçue par le centre visuel
cérébral
: mais celle perception n'est pas consciente:
ation, alors que celle-ci suspend le pouvoir d'inhibition des centres
cérébraux
, a été reconnu depuis longtemps Les crises des ma
ir. On me répondra c-être qu'une grenouille privée de ses hémisphères
cérébraux
en fait autant; mais ce n'est pas une raison suff
s, (.'étude de l'hypnotisme a élargi nos connaissances en physiologie
cérébrale
; jusqu'à présent, elle ne les a point bouleversée
800 fr. à M. le Dr. Edgar Bcrillon, pour son travail sur ; La dualité
cérébrale
, ex une citation honorable à MM. Binct et Fére, p
te impression arrive d'abord jusqu'aux cellules nerveuses de l'écorce
cérébrale
, auxquelles se termine le nerf sensoriel impressi
ong de son prolongement intra-cérébral jusqu'aux cellules de l'écorce
cérébrale
(lobe occipital ou lobule du pli courbe), il faut
le (lobe occipital ou lobule du pli courbe), il faut que les cellules
cérébrales
, terminaison du nerf, soient actionnées. Ceci est
peut-être par transmission de l'excitation reçue à d'autres cellules
cérébrales
, cellules psychiques, cellules nrtposées aux phén
et conception, je n'insiste pas et je dirai : impression sensorielle
cérébrale
^au lieu de perception) pour le premier acte : ré
istré par une modification moléculaire dans les cellules sensorielles
cérébrales
réveille l'activité des cellules psvehiques et do
aire. M n'y avait point d'atrophie des nerfs optiques, ni de sclérose
cérébrale
. AUTOPSIE. Habitude extérieure. — Emaciation
aines des vaisseaux; un peu d'injection superficielle de la substance
cérébrale
. De 60 à 80 grammes de liquide céphalo-rachidien,
vient pas d'une défectuosité radicale dans le mode du fonctionnement
cérébral
. Elle tient à l'indigence des points de comparais
des soins avait en effet déclaré qu'il s'était produit une congestion
cérébrale
, et que probablement Fouie ne reviendrait pas. El
ommeil dépend d'une contraction vas-culaire ayant lieu dans les lobes
cérébraux
(Durham, Hammond) est absolument fausse, comme ¡e
eux nerfs grands sympathiques.au cou. dorment comme si la circulation
cérébrale
était à l'état normal, c'est-à-dire lorsqu'elle p
produit comme à l'ordinaire, non seulement ne dépend pas d'une anémie
cérébrale
par contraction vasculairc. mais encore peut exis
dentelles ou pathologiques, est l'effet d'une inhibition des facultés
cérébrales
. Je me fonde, pour établir cette opinion : t* s
r ; 5* Contraction des vaisseaux sanguins de la rétine et des lobes
cérébraux
. J'ajoute qu'en outre de l'inhibition des facul
s les parties excitables de la base de l'encéphale que dans les lobes
cérébraux
. Avant de conclure, je rappellerai que. dans l'
ez l'homme. Je rappellerai aussi que la perte de toutes les activités
cérébrales
peut avoir lieu, par inhibition, comme je l'ai mo
sur ses bras. Ces divers mouvements, indépendants de toute influence
cérébrale
, puisqu'ils sont étrangers à toute sensation perç
différente à toutes autres choses, qu'elle est incapable de tout acte
cérébral
spontané, incapable d'avoir une idée, un désir, u
— Endormie de nouveau, elle revient immédiatement au mode d activité
cérébrale
que le réveil avait interrompu : elle me demande
tch, 1887. , La Physiologie de la région psrcho-motrice de l'écorce
cérébrale
, par le professeur Bechtercw, 1880. Traité de P
n Russie, l'étude de la neuropathologie. VARIÉTÉS LE DÉDOUBLEMENT
CÉRÉBRAL
DU PIANISTE Par M. le docteur J. LUYS, médecin
e d'une façon précise la participation inégale que prennent les lobes
cérébraux
dans les opérations mentales, et la pré- ponJ
it, tantôt du côté gauche, elles s'opèrent isolément dans chaque lobe
cérébral
pour diriger le mouvement de la main correspondan
nifestent d'une façon synchronique ! Dans ces opérations, chaque lobe
cérébral
devient donc ainsi une unité isolée, séparée de s
8. E. Mesnet. — Rapports de la paralysie générale et de la syphilis
cérébrale
. Masson, in-S*, 43 pages, 18S8. Léon Besse. — T
t physiologique en même temps, un des laits fondamentaux du dynamisme
cérébral
. Aussi la notion de l'autosuggestion vient-elle s
vec les anciennes notions d'actions réflexes coordonnées, de réflexes
cérébraux
, d'automatismes cérébraux, de cérébration inconsc
d'actions réflexes coordonnées, de réflexes cérébraux, d'automatismes
cérébraux
, de cérébration inconsciente, d'inconscient, etc.
ument. Voilà la suggestion. Pour cela, il faut que les associations
cérébrales
, les agrégats dynamiques cérébraux de B, dans leu
ela, il faut que les associations cérébrales, les agrégats dynamiques
cérébraux
de B, dans leur ensemble conscient et inconscient
; c'est comme la panique d'une armée qui se produit dans sa dynamique
cérébrale
. Cette dernière devient plastique et tombe à la m
ique et tombe à la merci de A ; B se sent subjugué, et ses dynamismes
cérébraux
inconscients ou conscients obéissent, en tout ou
ces psychiques d'un homme, c'est-à-dire des forces de ses hémisphères
cérébraux
et de les faire jouer à sa guise, comme un docile
le. La suggestion vient nous révéler avec queile puissance les (orcc%
cérébrales
bien dirigées, bien concentrées, peuvent agir sur
s apparentes, il est absolument nécessaire d'approfondir le dynamisme
cérébral
dont une partie est ce que nous appelons la pensé
culier, individuel, des manifestations de cette force, y L'activité
cérébrale
ne peut donc pas être divisée en une activité phy
tre dans ce malheureux dualisme qui embrouille tout. Or, l'activité
cérébrale
, qui n'est elle-même qu'une partie de l'activité
Par cette étude, nous arrivons toujours plus à trouver que l'activité
cérébrale
consciente n'est pas quelque chose de différent d
visme. Il est vrai qu'une particularité de l'activité des hémisphères
cérébraux
, sa faculté de concentration plus ou moins forte
ention, c'est-à-dire des concentrations successives de notre activité
cérébrale
. La plupart des éléments de cette activité, c'est
semble de notre subjectivisme, réside uniquement dans les hémisphères
cérébraux
. Elle ne miroite l'activité d'aucun autre centre
dont nous n'avons pas conscience, c'est-à-dire dont notre conscience
cérébrale
n'a pas conscience. Ajoutons à ces laits celui
é concentrative de l'attention sur telle ou telle voie des éléments
cérébraux
. Comme sur la même corde ou sur la même plaque
nous ayons besoin de nous inquiéter de ce qu'on appelle localisations
cérébrales
, c'est-à-dire des domaines divers de l'écorce où
ments organisés, automatisés) est de même un phénomène absolument
cérébral
, ce que beaucoup de gens oublient toujours. Rap
l'enchaînement des états de conscience et un phénomène de dynamogénie
cérébrale
produit par une simple perception. Que la percept
i nous étonne, nous subjugue. La partie consciente de notre dynamisme
cérébral
s'étonne de l'effet qu'elle subit de l'action d'u
ient. Dans l'hypnotisme, nous ne faisons qu'utiliser ces dynamîsmes
cérébraux
propres à tout homme ; nous surprenons, envahisso
tout homme ; nous surprenons, envahissons «subjuguons tes dynamismes
cérébraux
du sujeten nous servant de sa suggestibilité : no
ions conscientes spontanées et alors nous pouvons mouler sa dynamique
cérébrale
de plus en plus à notre guise, grâce à la tendanc
ir pas de simulador, ji). mais d'un dualisme artificiel d¿ l'activité
cérébrale
.d'une inhibition incomplète, de phénomènes parent
1 Illusion de la réalisation des suggestions, alors que le dynamisme
cérébral
complet (inconscient) n'a point cette illusion, e
s le système nerveux par la suggestion, c'est-à-dire par le dynamisme
cérébral
que nous appelons l'âme. Ces effets peuvent se bo
a) Qu'est-ce que voir r L'a p:*con auquel on a enlevé les hémisphères
cérébraux
voit, c'est-à-dire ui lobes optiques (tubercules
optiques (tubercules bijumsaux antérieurs; votent. Cependant son moi
cérébral
, c'est-à-dire ce qui devenait conscient chez le r
moins complètement dirigée par l'hypnotiseur, maïs tout son dvnamUme
cérébral
, tant sensoriel icemri-pète) que moteur (centrifi
ces phénomènes sont liés à une modification brusque de la circulation
cérébrale
. Mais M. Féré a rapporté deux faits qui semblent
ille des antécédents héréditaires; son père est mort d'une congestion
cérébrale
. Du côté de la ligne maternelle, une lante. sueur
les mouvements, par l'intermédiaire de l'un ou de l'autre hémisphère
cérébral
. On sait que chez les chiens et les singes, les a
triques sur des points d'une assez grande étendue des circonvolutions
cérébrales
sont suivies de mouvements divers et plus ou moin
st probable que l'incitation partait de l'un ou de l'autre hémisphère
cérébral
, mais que le mouvement était exécuté simultanémen
e de centres soi-disant psycho-moteurs des membres dans un hémisphère
cérébral
sans paralysie aucune comme conséquence. SOCI
. 165. Dangers de l'hypnotisme extra-scientifique, 63. Dédoublement
cérébral
du pianiste, par Luys, 282. Dégradation sociale
oisin. 130. Physiologie pathologique. 257. Pianiste (dédoublement
cérébral
du).282. Pratique médicale (applications de l'h
chantérienne. Une saignée est pratiquée pour dissiper la congestion
cérébrale
manifestée par la rougeur de la face et un léger
inueux, affectant assez exactement la disposition des circonvolutions
cérébrales
. Ces replis, si irrégulièrement contournés sur eu
ée. Dans la cavité du crâne on ne rencontre aucune trace de substance
cérébrale
, mais on trouve une masse semblable à celle qui a
t, à cette forme anatomique de phlegmasie correspondent des symptômes
cérébraux
sous forme délirante, qui emportent le malade en
ent toutes les circonstances de cette cruelle maladie. L'exaltation
cérébrale
avec exacerbation est à-peu-près permanente: en m
céreuse: une première qui occupait la région frontale de l'hémisphère
cérébral
droit, une deuxième qui occupait la région occipi
'en enlevant la tumeur, on enlevait en même temps une couche de tissu
cérébral
. Des vaisseaux veineux très développés, rampaient
timement. Le tissu de la dure-mère était parfaitement sain. La face
cérébrale
de la tumeur était déprimée en godet à la manière
lement adhérente à la dure-mère était également entourée de substance
cérébrale
en bouillie. La troisième tumeur ou tumeur cérébe
l nu. Ces trois tumeurs m'ont paru formées aux dépens de la substance
cérébrale
. Réflexions. Il est rare que la cachexie cancér
erveau a été envahi. On voit d'ailleurs assez fréquemment des tumeurs
cérébrales
sans phénomènes appréciables. La figure 3 repré
uance, qui rappelle celle des caillots sanguins dans les hémorrhagies
cérébrales
qui ont un mois ou deux d'ancienneté. Du côté d
la surface interne de la base du crâne. — Pénétration de la substance
cérébrale
dans les érosions ou petites excavations accident
e ne fus point arrêté par l'idée que l'opium favorise les congestions
cérébrales
; car, avant toutes choses, il fallait soulager.
res pour l'ablation du cerveau suffisaient pour déchirer la substance
cérébrale
dont quelques petites portions restaient engagées
vations de la base du crâne, sans exception, s'enfonçait la substance
cérébrale
. La voûte du crâne m'a présenté des empreintes
une observation de carie du rocher, avec abcès du cervelet, méningite
cérébrale
et hydropisies des ventricules, rapportées par M.
tte poche était remplie par un liquide puriforme, et par la substance
cérébrale
qui s'engageait dans la cavité du pédicule. La du
u subaiguë, ayant pour effet une sorte de combinaison de la substance
cérébrale
avec la sérosité. C'est à ce ramollissement que p
la dure-mère crânienne ou qui se développent dans le tissu cellulaire
cérébral
sous-arachnoïdien. Cerveau, cervelet et partie
iment et du mouvement qui mourut presque subitement d'une hémorrhagie
cérébrale
. Indépendamment du foyer apoplectique du cerveau,
une cellulosité infiltrée de pulpe blanche, semblable à de la matière
cérébrale
écrasée et délayée, ou à un lait de chaux. Or, il
ur l'obligea une attitude désordonnée qui rappelle celle des maladies
cérébrales
. La malade est assise sur son lit,la tête incliné
t induratio n de la moelle.—Epaississement et densité de V arachnoïde
cérébrale
.—Mort de pneumonie. Martinaud, âgée de 60 ans ,
moelle. — Mort par ramollissement rouge amarante des circonvolutions
cérébrales
. Hamel (Jeanne), 72 ans, à la Salpêtrière depui
ullaire. Ramollissement rouge amarante de plusieurs circonvolutions
cérébrales
: la rougeur est limitée à la substance grise; da
nvolutions flétries. Infiltration séreuse et porosité de la substance
cérébrale
sous-jacente. L'infiltration séreuse ou œdème du
anes de l'arachnoïde spinale et les fausses membranes de l'arachnoïde
cérébrale
, qui présentent si souvent la disposition enkysté
e à celui qu'on observe dans les grands ramollisemens de la substance
cérébrale
, La tumeur de îa queue de cheval donne lieu aux
également éprouvée dans toute leur épaisseur. Cerveau. Le pédoncule
cérébral
droita.VB.it éprouvé la transformation grise dans
e ne seront pas déplacées ici. Dans l'hémiplégie, suite d'hémorrhagie
cérébrale
, le mouvement seul est intéressé, et j'ai eu souv
fs. On peut poser pour règle que l'hémiplégie, suite de l'hémorrhagie
cérébrale
, intéresse le mouvement, et jamais le sentiment.
Qu'il me soit permis de dire ici que les hémiplégies par hêmorrhagie
cérébrale
sont très rarement accompagnées de perte de conna
e d'altération que je n'ai pas encore rencontrée dans les hémisphères
cérébraux
proprement dits. 3° L'altération occupait la mo
MALADIES DU CERVEAU. Apoplexie de la protubérance et des pédoncules
cérébraux
et cérébelleux. (Planche i, xxr8 livraison.)
rolongeant en avant et de chaque côté dans l'épaisseur des pédoncules
cérébraux
PA, PA, se prolongeant en arrière et à droite dan
C; cette poche était largement ouverte en avant entre les pédoncules
cérébraux
et au niveau de ces pédoncules, lesquels étaient
el je n'ai aucun renseignement, présente une déchirure des pédoncules
cérébraux
et du plan supérieur de l'isthme de l'encéphale.
ses membranes, c'est-à-dire entre le feuillet crânien et le feuillet
cérébral
de l'arachnoïde, dans la cavité même de l'arachno
umentaires, l'une cutanée, l'autre muqueuse. Apoplexie du pédoncule
cérébral
droit et de la moitié correspondante de la protub
it irruption ni au dedans ni au dehors dans aucun point. La substance
cérébrale
, qui est en contact immédiat avec le sang, est dé
transporta à l'infirmerie le 28 avril, et nous constatâmes que l'état
cérébral
était identiquement le même que celui précédemmen
levé (et j'ai coutume de l'enlever seul par la section des pédoncules
cérébraux
), j'ai vainement cherché dans cet organe la cause
cervelet et la protubérance étaient parfaitement intacts, que l'état
cérébral
était sympathique de l'affection de l'utérus. L'é
e de la protubérance, car l'art possède des observations d'apoplexies
cérébrales
mortelles en moins d'une heure. La question des
ère à se creuser une cavité par le simple refoulement de la substance
cérébrale
? Bien qu'il soit par fois difficile de distingue
e de distinguer l'un de l'autre ces deux sièges différens des tumeurs
cérébrales
, cependant, dans ce cas, il est probable que le d
que le développement de la tumeur s'est effectué aux dépens du tissu
cérébral
lui-même; car s'il y avait eu simple dépression,
te de son étendue, en était séparée par une couche mince de substance
cérébrale
. Les tubercules dont cette tumeur est hérissée s'
ficile de les séparer complètement. Le ramollissement de la substance
cérébrale
s'étendait à une assez grande distance; il était
ège tantôt le tissu cellulaire sous-arachnoïdien, tantôt la substance
cérébrale
elle-même. Je mentionnerai un fait dans lequel un
seudo-membrane parcourue par des vaisseaux : tout autour la substance
cérébrale
était ramollie. L'autre abcès, plus considérable
épais : il communiquait dans le ventricule à travers la grande fente
cérébrale
. Le plexus choroïde était infiltré de pus. Les co
ur la tête avec perte de connaissance. Le ramollissement de la couche
cérébrale
qui environnait le premier abcès, la communicatio
spondant, se concilient difficilement avec l'absence de tout symptôme
cérébral
. Tel était encore le cas d'une jeune fille de 1
dien, était rouge, comme granuleuse. Dans d'autres cas, les tumeurs
cérébrales
ne révèlent leur présence que par une hémiplégie
cée par la tumeur, mais bien à une lésion consécutive de la substance
cérébrale
ambiante, et cette lésion peut être une apoplexie
aires. Une circonstance qui peut aider au diagnostic de ces tumeurs
cérébrales
, c'est la présence dans d'autres parties du corps
u, on conçoit qu'une femme cancéreuse puisse être prise d'hémorrhagie
cérébrale
ou de ramollissement, indépendamment de toute tum
ulsive que sous la forme apoplectique que se manifestent les accidens
cérébraux
qui résultent de la présence d'une tumeur cérébra
tent les accidens cérébraux qui résultent de la présence d'une tumeur
cérébrale
; telle est l'observation suivante : (i) Blanc (
elle attaque; mort à six heures. A l'autopsie, on trouve les veines
cérébrales
, les sinus de la dure-mère gorgés d'une grande qu
gie me porte à considérer comme un mode de terminaison des tubercules
cérébraux
, l'altération suivante observée chez une jeune fi
raîner la mort par suite d'une lésion des méninges ou de la substance
cérébrale
. MALADIES DU CERVEAU. ygf livraison Pl. 2.
ré, par un grand nombre de faits (i), i° qu'il existe une hémorrhagie
cérébrale
spontanée capillaire, qui est à l'apoplexie avec
es sont converties en une espèce de pulpe semblable à de la substance
cérébrale
broyée avec du sang; 4° que des degrés insensible
n, et ne résulte nullement de la combinaison du pus avec la substance
cérébrale
; 6° que le ramollissement rouge et le ramollisse
u'ils peuvent le plus habituellement être distingués de l'hémorrhagie
cérébrale
avec foyer; 90 que, cependant, dans un certain no
es circonvolutions détruites. Cette membrane était dense, et le tissu
cérébral
voisin induré dans quelques points. Dans une anfr
u de daim remplace les circonvolutions détruites. Induration du tissu
cérébral
ambiant. 77/orax.Pleurésie hémori hagique dans
es points rouges sont quelquefois linéairement disposés. La substance
cérébrale
n'a pas subi de ramollissement : c'est l'apoplexi
les, les autres étaient recouvertes par une couche mince de substance
cérébrale
à travers la transparence de laquelle on pouvait
lutions. En effet, dans l'apoplexie, il y a déchirure de la substance
cérébrale
, comme dans la contusion, mais avec cette différe
la pie-mère; les autres recouverts par une couche mince de substance
cérébrale
. Ces petits foyers miliaires doivent être disting
rale. Ces petits foyers miliaires doivent être distingués des varices
cérébrales
qui en diffèrent en ce que, dans celles-ci, le sa
née envahit un très grand nombre de points à-la-fois, et la substance
cérébrale
intermédiaire est toujours dans l'état le plus pa
si l'art du diagnostic pourra aller jusque-là ; car, si les fonctions
cérébrales
éprouvent quelque dérangement par suite de la lés
fin j'ai beaucoup insisté sur l'affinité qui existe entre la phlébite
cérébrale
et l'apoplexie capillaire. J'avais montré, dans m
r analogie que l'inflammation des sinus de la dure-mère et des veines
cérébrales
adjacentes devait amener le même résultat pour le
t avec une inflammation du sinus longitudinal supérieur et des veines
cérébrales
adjacentes. La figure i,planche i, xxxvie livra
is non à l'exclusion de la substance blanche, est entourée d'un tissu
cérébral
jaune serin, ayant la consistance et l'aspect du
dont l'infirmité est le résultat ordinaire d'un grand affaiblissement
cérébral
. A ïouverture, sinus longitudinal supérieur, ve
sement cérébral. A ïouverture, sinus longitudinal supérieur, veines
cérébrales
supérieures distendues par du sang concret et adh
'un sinus rempli par une injection noire très consistante. Les veines
cérébrales
supérieures, également distendues, ressemblaient
de la substance grise. Ces ecchymoses se voyaient le long des veines
cérébrales
enflammées, à la convexité et surtout à la base d
Relativement à l'inflammation des sinus de la dure-mère et des veines
cérébrales
attenantes, je me reproche amèrement de n'avoir p
nt est borné a toutes les parties du cerveau qui répondent aux veines
cérébrales
enflammées. — Phlébite de la veine iliaque primit
écemment épanché, qui occupe toute la surface convexe des hémisphères
cérébraux
. Sous l'arachnoïde cérébrale, couche de sérosité
toute la surface convexe des hémisphères cérébraux. Sous l'arachnoïde
cérébrale
, couche de sérosité de deux lignes d'épaisseur. L
tend qu'à un pouce du confluent ou pressoir d'Hérophile. Les veines
cérébrales
supérieures sont également distendues par du sang
est pas considérable, à peine y a-t-il ramollissement de la substance
cérébrale
. Quelques foyers de ramollissement semblent n'êtr
églutition. Diagnostic. Cet état d'abolition complète des fonctions
cérébrales
peut avoir lieu sans cause matérielle appréciable
fectées. Je ne pensai pas à la possibilité d'un double ramollissement
cérébral
. La malade mourut dans la journée. A Y ouverture
e précau-sion entraîne, dans plusieurs points, une couche de bouillie
cérébrale
appartenant aux parties ramollies. Les deux gross
sidérable et les membranes s'enlèvent sans lacération de la substance
cérébrale
; en aucun point la maladie n'a franchi la substa
ons. Le dévoiement, moyen si puissant de dérivation dans les maladies
cérébrales
, ne préserve donc pas des congestions sanguines v
de ramollissement, on conçoit combien grande doit être la compression
cérébrale
qui en est la conséquence nécessaire. EXPLICATI
lie-de-vin qui résultent de la combinaison du sang avec la substance
cérébrale
, on voit à la surface du cerveau des globules san
oyer. Réflexions. Il est donc démontré qu'il existe une hémorrhagie
cérébrale
capillaire, comme une hémorrhagie cérébrale avec
il existe une hémorrhagie cérébrale capillaire, comme une hémorrhagie
cérébrale
avec foyers sanguins, que des degrés insensibles
avité contenait une très grande quantité de sérosité. Les hémisphères
cérébraux
étaient remplacés par une membrane mince MC, brun
u-dronnés. On reconnaît aisément dans ces petites masses la substance
cérébrale
, mais indurée, d'une couleur brun-marron clair, c
le siège d'un foyer sanguin. Au-dessous de ce débris des hémisphères
cérébraux
se voit de chaque côté une grosse masse formée pa
t des olives. PV est le pont de varole, duquel partent les pédoncules
cérébraux
et les pédoncules cérébelleux,lesquels m'ont paru
s nerfs étaient dans l'état d'intégrité. —CC sont les circonvolutions
cérébrales
qui avoisinent le cervelet et la protubérance; el
C est la membrane mince en laquelle étaient convertis les hémisphères
cérébraux
. Dans le cas précédent, le cervelet était intac
, le cervelet était intact, la protubérance annulaire, les pédoncules
cérébraux
et cérébelleux et les circonvolutions cérébrales
laire, les pédoncules cérébraux et cérébelleux et les circonvolutions
cérébrales
qui les avoisinent, présentaient leur état normal
état normal; il ne manquait, à proprement parler, que les hémisphères
cérébraux
: les parties centrales avaient été conservées; da
rocéphalie, à moins qu'il n'existe une encéphalocèle ou une cystocèle
cérébrale
; je ne sais si des observations ultérieures confi
ne des lames de la cloison transparente. Ainsi, les circonvolutions
cérébrales
des hémisphères, le corps calleux, les pyramides
t remarquable à la dure-mère; au centre de la tumeur est la substance
cérébrale
. Il y avait donc encéphalocèle. La masse totale d
rulent peut être très aisément énu-cléé, mais une couche de substance
cérébrale
ramollie est restée adhérente à sa surface extern
e semblent se détacher de, ces parois pour pénétrer dans la substance
cérébrale
. lie pus fétide, filant et grumeleux dont j'ai
mptoires, de M. Lallemand contre l'opinion de M. Itard sur l'otorrhée
cérébrale
. Suivant ce dernier auteur, un certain nombre d'o
e conduit auditif externe, soit par la trompe d'Eustache ; l'otorrhée
cérébrale
serait donc, d'après la théorie de M. Itard, la t
on causée au cerveau et à ses membranes, inflammation de la substance
cérébrale
, formation d'un abcès enkysté. Plus tard encore ,
rieure à la pie-mère intérieure; et le ramollissement de la substance
cérébrale
peut être consécutif à l'inflammation de la membr
nkystés du cerveau ne révèlent leur présence que lorsque la substance
cérébrale
qui les environne est le siège d'un travail morbi
la méningite des enfans me donne incontinent l'éveil sur une maladie
cérébrale
et mes soupçons se convertissent en certitude, lo
Point de lésion appréciable du sentiment et du mouvement. La lésion
cérébrale
est enfin diagnostiquée; je me demande si la mala
maladie a son siège dans la séreuse ven-triculaire, dans la substance
cérébrale
ou dans l'arachnoïde extérieure. Dans tous les ca
rieur de l'hémisphère gauche, d'une mollesse remarquable;l'arachnoïde
cérébrale
adhérait à l'arachnoïde pariétale dans un petit e
'une collection de liquide au-dessous d'une couche mince de substance
cérébrale
; et, en effet, une ponction peu profonde donne is
et d'une couleur rosacée. Sa surface externe adhérait à la substance
cérébrale
ramollie. Cette membrane était composée de deux f
eaux déliés , qui pénétraient déjà la fausse membrane. La substance
cérébrale
qui environnait les kytes présentait,dans l'épais
olon ascendant. Réflexions. Voilà un cas d'inflammation de la pulpe
cérébrale
terminé par suppuration avec enkystement et ramol
ation avec enkystement et ramollissement blanc-manger de la substance
cérébrale
environnante. Nous ne trouvons nullement ici le
nte. Nous ne trouvons nullement ici les symptômes de ramollissement
cérébral
: point de paralysie lente et graduelle; et, chose
alade put aller prendre ses repas au réfectoire. Les faits de maladie
cérébrale
abondent en exemples d'amélioration semblable, no
combé, soit à des pneumonies latentes, soit à une attaque d'apoplexie
cérébrale
, pour lesquelles elles sont entrées dans mon serv
llectuelles tout-à-fait semblable à celui qui succède à une apoplexie
cérébrale
ordinaire. L'observation suivante, qui a pour s
on attenante du corps strié. — Cicatrice de deux foyers apoplectiques
cérébraux
, occupant la même région. — Mort par engouement d
hémisphère gauche du cerveau, un foyer sanguin, qui occupait le noyau
cérébral
proprement dit, c'est-à-dire la masse gangliforme
er est coagulé, d'un noir brunâtre, tellement adhérent à la substance
cérébrale
adjacente, qu'on ne peut l'en séparer sans déchir
brale adjacente, qu'on ne peut l'en séparer sans déchirure. La couche
cérébrale
adjacente est d'ailleurs d'une couleur rougeâtre
e finissent presque toujours les apoplectiques, lorsque l'hémorrhagie
cérébrale
ne tue pas dans les premiers jours. L'étude des o
montre la ténuité de cette pellicule, et l'intégrité de la substance
cérébrale
sous-jacente. Une circonstance commune à toutes
te apoplexie existait presque toujours concurremment avec l'apoplexie
cérébrale
, et qu'il est par conséquent difficile de faire l
cerveau, soit qu'elles établissent l'identité absolue des apoplexies
cérébrales
et des apoplexies cérébelleuses sous le point de
ne prenait naissance dans le crâne et se continuait avec la substance
cérébrale
. Ce fait me paraît expliquer la timidité, je di
e la base de l'hémisphère droit. Elle occupait encore la grande fente
cérébrale
, la face inférieure de la protubérance, et s'étai
pparent. L'hémiplégie, ce caractère presque constant de l'hémorrhagie
cérébrale
, manquait complètement dans le cas actuel, ou , s
n une pulpe qui avait beaucoup d'analogie pour l'aspect avec la pulpe
cérébrale
, et cette pulpe, pénétrée de foyers de sang, avai
dans l'épaisseur du cerveau et adhérait à la pie-mère : la substance
cérébrale
ambiante avait subi, dans une grande étendue, un
ncéphaloïde me paraît avoir été développée aux dépens de la substance
cérébrale
avec laquelle elle se continuait sans kyste qui é
it molle, mais d'une mollesse bien supérieure à celle de la substance
cérébrale
ramollie qui l'environnait. Sa coupe présentait d
en effet qu'ici, comme dans tous les cas du même ordre, les accidens
cérébraux
tenaient, non point à la présence de la petite tu
ssement, ou plutôt une infiltration séreuse, dans lequel la substance
cérébrale
a perdu sa disposition linéaire et se convertit e
sanguins; ailleurs par une sorte de combinaison du sang avec le tissu
cérébral
. Cette altération était bornée à la substance gri
t des symptômes de l'apoplexie de la moelle et de ceux de l'apoplexie
cérébrale
. 3e liv., pl. vi, p. 4. — Apoplexie foudroyante d
fibreuse ramollie de l'utérus. 5e liv., pl. vi, p. 2. — Hé-morrhagie
cérébrale
spontanée de la couche optique avec communication
liv., pl. 1,11,p. 40.— Apoplexie de la protubérance et despédon cules
cérébraux
etcérébelleux. Apoplexie de la protubérance morte
ventricule seulement. 21e liv., pl. v, p. 2. — Apoplexie du pédoncule
cérébral
droit et de la moitié correspondante de la protub
— Apoplexie capillaire du cervelet. = Identité absolue des apoplexies
cérébrales
et cérébelleuses sous le point de vue de la séméi
uë. 38e liv., pl. v, p. 2. ARACHNOÏDE. Epaississement de l'arachnoïde
cérébrale
. 32e liv. pl. 1, 11, p. 45. ARITHMÉTIQUE. Le ca
. Différence entre l'atrophie et la solution de continuité des fibres
cérébrales
. 8e liv., pl. v, p. 2. — Divers modes d'atrophie
. 2e liv., pl. vi, p. 4. — Rapprochement des symptômes de l'apoplexie
cérébrale
et de ceux de l'apoplexie de la moelle épinière.
ité de sérosité. Induration et disposition rameuse de quelques fibres
cérébrales
. 5e liv., pl. iv, v, p. 2. — Idiotie par atrophie
eur du corps strié du même côté. 5e liv., pl. vi, p. 2. — Hémorrhagie
cérébrale
spontanée de la couche optique avec communication
. Différence entre l'atrophie et la solution de continuité des fibres
cérébrales
. Résultats différens de l'atrophie du cerveau par
, p. t.— Transformation celluleuse, atrophie avec induration du tissu
cérébral
, perte de substance, transformation d'une partie
v., pl. m, iv. p. 2. — Apoplexie de la protubérance et des pédoncules
cérébraux
et cérébelleux : Fréquence et variété de ces apop
ventricule seulement. 21e liv., pl. v, p. s.— Apoplexie du pédoncule
cérébral
droit et de la moitié correspondante de la protub
11, p. 4- — Cas de ramollissement rouge amarante des circonvolutions
cérébrales
. 32e liv., pl. 1,11,p. tô.—Ramollissement de la s
nt est borné à toutes les parties du cerveau qui répondent aux veines
cérébrales
enflammées. Phlébite de la veine iliaque primitiv
tre mois. Nouvelle hémiplégie. Mort. Deux tubercules dans la pie-mère
cérébrale
. Ramollissement de toutes les parties centrales d
tion attenante du corps strié. Cicatrice de deux foyers apoplectiques
cérébraux
, occupant la même région. Mort par engouement du
e la surface interne de la base du crâne. Pénétration de la substance
cérébrale
dans les érosions ou petites excavations accident
tre mois. Nouvelle hémiplégie. Mort. Deux tubercules dans la pie-mère
cérébrale
. Ramollissement de toutes les parties centrales d
. — Entérite folliculeuse pustuleuse ; correspondance des symptômes
cérébraux
délirans avec celle forme anatomique de phlegmasi
rtance des phénomènes hémiplégiques dans le diagnostic des affections
cérébrales
. 20e liv., pl. m, iv, p. y. — On s'attache trop à
té de sérosité ; induration et disposition rameuse de quelques fibres
cérébrales
. 5e liv., pl. iv, v, p. 2. — Difficulté de distin
3. — Entérite folliculeuse pustuleuse. Correspondance des symptômes
cérébraux
délirans avec celte forme anatomique de phlegmasi
mptômes de l'apoplexie de la moelle épinièreet de ceux de l'apoplexie
cérébrale
. 3e liv., pl .vi, p. A,— L'indépendance des diver
et induration de la moelle. Epaississemenl et densité de l'arachnoïde
cérébrale
. Mort de pneumonie. — Paraplégie avec rétraction
i ,p. 8. OTORRHÉE. Opinions de ItardetdeM. Lallemand sur l'otorrhée
cérébrale
. 33e liv.,pl. m,p. 2. OVAIRE. Maladies de l'ova
et induration de la moelle. Epaississement et densité de l'arachnoïde
cérébrale
. Mort de pneumonie. = Paraplégie avec rétraction
ion ; traitement. 35e liv., pl. v, p. 5. — Affinité entre la phlébite
cérébrale
et l'apoplexie capillaire. 36e liv., pl. i ,p. i.
nt est borné à toutes les parties du cerveau qui répondent aux veines
cérébrales
enflammées. Phlébite de la veine iliaque primitiv
ue finissent presque toujours les apoplectiques lorsque l'hémorrhagie
cérébrale
ne les tue pas dans Jeê premiers jours. 37e liv.,
e liv., pl. n, p. s. — Apoplexie de la protubérance et des pédoncules
cérébraux
et cérébelleux. 21e liv., pl. v,p. 2.—Apoplexie c
nt est borné à toutes les parties du cerveau qui répondent aux veines
cérébrales
enflammées. Phlébite de la veine iliaque primitiv
e la surface interne de la base du crâne. Pénétration de la substance
cérébrale
dans les érosions ou petites excavations accident
re mois ; nouvelle hémiplégie. Mort. Deux tubercules dans la pie-mère
cérébrale
. Ramollissement de toutes les parties centrales d
, pl. 1, p. — Preuves de la co-existence de l'inflammation des veines
cérébrales
avec un ramollissement apoplectique. 20e liv., pl
d'une lésion médullaire ne nous suffît plus. Il nous faut une lésion
cérébrale
, pour tout expliquer. S'agirait-il là d'une lésio
e porte pas sur la partie du tronc nerveux qui contourne le pédoncule
cérébral
, car une telle légion ne pourrait guère manquer d
ayant causé une plaie contuse du front du côté droit, sans commotion
cérébrale
, et des fractures des bras. En juillet 1889, M.
parties motrices de l'axe gris bulbo-médullaire, depuis le pédoncule
cérébral
jusqu'à la fin de la moelle lombaire. L'ophthalmo
ts à l'appui de sa thèse. C'étaient surtout des cas de ramollissement
cérébral
, lorsqu'il y avait eu une autopsie, et au point d
n partielle de dégénérescence du jambier antérieur. Pas de troubles
cérébraux
. Quelques sensations dysesthé-siques dans les pie
s membres du côté opposé). Il est produit par une lésion du pédoncule
cérébral
intéressant les fibres du moteur oculaire commun
devables d'une fort intéressante étude sur la pathologie du pédoncule
cérébral
\ Si je vous propose cette dénomination, c'est pa
ontrant qu'une lésion de la partie inférieure et interne du pédoncule
cérébral
produit un syndrome caractérisé par une paralysie
est bien démonstratif : un tubercule isolé siégeant dans le pédoncule
cérébral
gauche avait amené le syndrome clinique en questi
our toute altération encéphalique qu'une lésion ancienne du pédoncule
cérébral
. Dans ce cas 1res évidemment l'oculo-moteur commu
orté deux faits où l'autopsie fit voir un tubercule dans un pédoncule
cérébral
, alors que, du vivant des malades, on n'avait poi
i ions vous retiendrez ceci, qu'il y a certaines lésions du pédoncule
cérébral
(partie inférieure et interne) qui sont caractéri
nir l'analo-mie et d'étudier sommairement les rapports des pédoncules
cérébraux
avec la protubérance et les organes adjacents. Vo
ubérance et les organes adjacents. Vous savez que les deux pédoncules
cérébraux
émergent de la protubérance, s'écartent aussitôt
ts intrinsèques du pédoncule avec l'oculo-moteur commun. Le pédoncule
cérébral
est, vous le savez, un tractus complexe dont l'ét
la troisième paire droite résultant d'un ramollissement du pédon:ule
cérébral
droit. [Gazette méd. de Paris, n° 47, p. 585,1870
iques (1). Sommaire. — L'hémiplégique organique vulgaire par lésion
cérébrale
marche « en fauchant. » Observations de Todd. Exp
ntestablement hystérique, a fait considérer comme atteint de syphilis
cérébrale
. Chez notre second malade, l'hémiplégie, bien q
souvent impuissants moyens de traitement. XIX. Un cas de syphilis
cérébrale
héréditaire tardive (1). Sommaire. — Rôle de la
le diagnostic de l'hémiplégie syphilitique. Lésions de la syphilis
cérébrale
. Historique. Plaques gom-meuses des méninges: pac
ile de vous rappeler ici ce que fanatomie pathologique de la syphilis
cérébrale
enseigne en pareil cas. Règle générale, les lés
enseigne en pareil cas. Règle générale, les lésions de la syphilis
cérébrale
sont des lésions méningées, et, dans la majorité
rficielles en tout cas qui n'affectent d'abord la substance corticale
cérébrale
et les organes voisins que par irritation de vois
doutables, soit à un ramollissement plus ou moins profond de la pulpe
cérébrale
elle-même. Mais laissons pour aujourd'hui ces lés
intellectuels, l'amnésie par exemple. Et la théorie des localisations
cérébrales
trouve ici sa pleine application. Donc nous sup
, m'objecterez-vous, vous avez supposé assez gratuitement la syphilis
cérébrale
, la pachyméningite gomnieuse. Tout cela est fort
e; il y a pachyméningite gommeuse, et nous sommes menacés d'accidents
cérébraux
plus graves dont l'apparence clinique : aphasie,
ale qui doit se trouver à peu près régulièrement clans toute syphilis
cérébrale
. Voilà donc encore, en outre de la céphalée, un n
té m'ont paru intéressants à souligner. En effet, n'a pas la syphilis
cérébrale
qui veut. Quelques auteurs ont remarqué déjà que,
st un certain nombre qui sont par hérédité prédisposés aux affections
cérébrales
vulgaires. Notre cas vient évidemment à l'appui d
rnier, et moi, il y a près de quinze ans, à une époque où la syphilis
cérébrale
était encore dans les limbes, n'oublions jamais q
outer que cette lésion s'étende dans la profondeur, dans la substance
cérébrale
elle-même, et y détermine des hémiplégies désorma
à l'iodure les frictions mercu-rielles. Quand on parle de syphilis
cérébrale
en général, il ne faut pas thérapeutiquement se m
squelles elle était entrée à l'hôpital. Encore deux cas de syphilis
cérébrale
(I). Sommaire. — Variétés de la syphilis cérébr
cas de syphilis cérébrale (I). Sommaire. — Variétés de la syphilis
cérébrale
. Artérite syphilitique ; le ramollissement cérébr
s de la syphilis cérébrale. Artérite syphilitique ; le ramollissement
cérébral
vulgaire qui en est le résultat ; les lésions ain
ade de ce genre. Cécité verbale avec hémiopie et agraphie. Syphilis
cérébrale
par pachyméningite gommeuse. Epilepsie Jacksonnie
ns la précédente leçon, nous avons étudié ensemble un cas de syphilis
cérébrale
(2) qui vous a montré cette affection sous un asp
droit et n'ayant pas encore déterminé de lésion organique de l'écorce
cérébrale
de ces régions. En pareil cas, on (1) Leçon rec
aminer avec vous sont également, à mon avis, des exemples de syphilis
cérébrale
, mais le tableau est si différent dans les deux c
l'encéphale. C'est que, dans l'anatomie pathologique de la syphilis
cérébrale
que j'ai esquissée devant vous, mardi dernier, en
re est oblitérée : il se produit en aval une ischémie de la substance
cérébrale
dans les territoires irrigués par le vaisseau. Et
ar le point de fixation. Ainsi donc, ce sont l'écorce et le manteau
cérébral
qui ont souffert. D'abord, à un moment, toutes le
es accidents, allez-vous me dire, comme la conséquence de la syphilis
cérébrale
. Nous ne voyons-là que des méfaits vulgaires que
pas banal, un épisode qui ne se rencontre pas dans le ramollissement
cérébral
vulgaire. Évidemment, la syphilis était là présen
s savez. Laissez-moi vous dire cependant que toutes les hémiplégies
cérébrales
dans la syphilis n'ont ni cette signification ni
dans la connaissance approfondie des moindres indices de la syphilis
cérébrale
, si on veut épargner aux malades, qui viennent no
sclérose en plaques ( I ) ; Sommaire. — Formes classiques, spinale,
cérébrale
et cérébrospinale de la sclérose en plaques. Quel
ique et le tremblement intentionnel. Quant aux symptômes bulbaires et
cérébraux
, quelque complexes qu'ils soient en apparence, n'
disse-minées. Paris, 1869. Le fait n'est pas rare dans les tumeurs
cérébrales
. Eh bien, d'après M. Oppenheim, il en serait de m
Io La variété hémiplégique. — L'hémiplégie, sous forme d'hémiplégie
cérébrale
, n'est pas absolument étrangère à la sclérose mul
but s'est fait au milieu d'accidents comateux rapportés au rhumatisme
cérébral
et à juste titre, je crois. Il se pourrait cepend
origine, entremêlées avec les manifestations comateuses du rhumatisme
cérébral
, de façon à constituer une espèce d'état mixte. C
e articulaire aigu depuis douze jours, et chez laquelle des accidents
cérébraux
graves s'étaient déclarés depuis quelques heure
(1) Féréol. Note sur l'efficacité des bains froids dans le rhumatisme
cérébral
. (Soc. méd. des hôp., 8 juin 1877.) qui tenaien
s membres du côté opposé). Il est produit par une lésion du pédoncule
cérébral
intéressant les fibres du moteur oculaire commun
(Leçon). Sommaire. — L'hémiplégique organique vulgaire par lésion
cérébrale
marche « en fauchant. » Observations de Todd. Exp
c (de é.x.w, traîner) chez le second. 363 XIX. Un cas de syphilis
cérébrale
héréditaire tardive. (Leçon). Sommaire. — Rôl
le diagnostic de l'hémiplégie syphilitique. Lésions de la syphilis
cérébrale
. Historique. Plaques gom-meuses des méninges: pac
e. Pronostic..................370 XX. Encore deux cas de syphilis
cérébrale
. (Leçon). Sommaire. — Variétés de la syphilis
syphilis cérébrale. (Leçon). Sommaire. — Variétés de la syphilis
cérébrale
. Artérite syphilitique ; le ramollissement cérébr
s de la syphilis cérébrale. Artérite syphilitique ; le ramollissement
cérébral
vulgaire qui en est le résultat ; les lésions ain
ade de ce genre. Cécité verbale avec hémiopie et agraphie. Syphilis
cérébrale
par pachyméningite gommeuse. Epilepsie Jacksoni
rose en plaques. (Leçon). Sommaire. — Formes classiques, spinale,
cérébrale
et cérébrospinale de la sclérose en plaques. Quel
, 41 ; — dans les paralysies hystériques, 36. Artérite syphilitique
cérébrale
, 373, 386. Arthritisme et névropathie, 368. A
dans la scia-tique, 127, 169, 179. Névrite optique dans la syphilis
cérébrale
, 380. Nez : lésions du — dans la syphilis héréd
60 ; Chiro-mégalie dans la —, 359 ; — et aeromégalie, 358. Syphilis
cérébrale
, 380,385 ; — héréditaire tardive 370; — et hérédi
—, 385 ; Traitement de la —. 383, 395. Syphilis héréditaire tardive :
cérébrale
, 370; Atrophie choroï-dïenne dans la —,380; Lésio
30 PATHOLOGIE NERVEUSE. être y a-t-il un retard dans l'incitation
cérébrale
des muscles, et alors l'incoordination résulter
, mort à soixante-trois ans de fièvre typhoïde avec complications
cérébrales
, était sujet à des névralgies. - -Mère, actrice t
plus longtemps de ce côté, tandis que dans la paralysie d'origine
cérébrale
la fonction est égale des deux côtés. Ir OBSE
On ne trouve aucun signe de tabes, de paralysie générale, de tumeur
cérébrale
d'hystérie. 12 janvier. On a injecté sous la pe
e rapporte le cas d'un jeune homme qui, à la suite d'une congestion
cérébrale
vit survenir des sueurs du côté droit de la têt
fit donner une édu- cation très complète. Toutes ces acquisitions
cérébrales
se dissocièrent un jour, et après avoir inquiét
piration et de la circulation ; tout fait craindre une congestion
cérébrale
, une sorte d'apoplexie hystérique; d'autres ibis
mence POST- FÉBRILE. Remarques sur les fibres nerveuses de l'éeorce
cérébrale
; par H. E31MINGHAUS. (Arch. f. Psych., XVII, 3.
ie. Artérite syphilitique de l'encéphale ayant déterminé une anémie
cérébrale
extrême et rien de plus. L'au- teur adopte la p
t s'effacer et 's'évanouissent souvent quand éclatent les symptômes
cérébraux
qui caractérisent la maladie confirmée. D'une f
éléments étiologiques de l'idiotie, de lutter contre les affections
cérébrales
de l'enfance dont l'idiotie^ est souvent la con
mités; ce n'est alors que plus tard que le diagnostic des accidents
cérébraux
apparaît indubi- table. Dans ces cas-là, il est
e que, étant donné ces diverses lésions spi- nales, les altérations
cérébrales
de la paralysie générale sont toujours itentiqu
). Contribution à l'anatomie pathologique de la paralysie infantile
cérébrale
. On ne connaît cette maladie que depuis vingt a
SAVANTES. croscope décèle une sclérose diffuse des circonvolutions
cérébrales
por- tant sur la substance blanche comme sur la
is ans. L'autopsie révèle une atrophie très accusée d'un hémisphère
cérébral
sans autre dégénéres- cence ; pas d'encéphalite
s le premier assaut, à décroître, tandis que la paralysie infantile
cérébrale
tend à progresser. M. le Docent Enrcessen (de F
as, absence absolue de toute altération manifeste de la substance
cérébrale
, mais en revanche, l'artère sylvienne gauche et c
quel qu'en ait été le mode d'évolution ultérieur, dans les artères
cérébrales
. M. le Dr von HOFF3fAIN (de Bade). Sur un cas d
J.-B. Baillière et fils. , HEBZEN (A.). Le cerveau et l'activité
cérébrale
, au point de vue psycho-physiologique. Volume i
sposition variable correspond à des airs différents. Dans le groupe
cérébral
cortical serait le ressort qu'il suffit de dépl
u'au lieu de commander soit la station, soit la marche, le groupe
cérébral
puisse mettre en jeu les groupes cel- lulaires
qui la contient quand on la touche ; mais ce n'est pas là un acte
cérébral
, car si on réchauffe l'eau, la grenouille se la
n du petit nombre de fibres nerveuses qui subsis- taient, un centre
cérébral
organisé pour la marchen'au- rait pas disposé d
coma après avoir présenté tous les symptômes d'une hé- morrhagie
cérébrale
. Nous constatâmes avec du myosis de chaque côté
le. Elles seraient produites soit par la lésion directe de l'écorce
cérébrale
, soit par retentissement sur les centres bulbai
phie cérébelleuse. - Anomalies des circonvolutions et des scissures
cérébrales
. Gr... (Martial-Auguste), né le 21 mai 1867, es
icile de se prononcer. Les lésions portent surtout sur l'hémisphère
cérébral
droit dont certaines circonvolu- tions des lobe
ignorons s'il était procursif. Les circonvolutions et les scissures
cérébrales
étaient très anormales; à gauche la scissure pe
puis fièvre typhoïde et pneu- monie. Rougeole ci quatre Accitieizis
cérébraux
deux aux. - . Scw'latine, premier accès ci dix
Jakson, etc., ont attribué l'automatisme à l'épuisement des centres
cérébraux
supérieurs par la décharge, et à la perte tempo
y aurait au début de la maladie une stase dans ! tous les vaisseaux
cérébraux
, avec exsudation séreuse qui\ amène le ramollis
ent très tardive- ment, ce qui empêche l'agrandissement des cavités
cérébrales
, contrairement à ce qui se passe dans la paraly
gymnastique insuffisante. En résumé, la Catatonie est une maladie
cérébrale
à marche 1 changeant d'une façon cyclique, de t
iée à des restes de méningite ; 2° une autre liée à de l'arzé-m mie
cérébrale
comme on le voit en clinique d'après l'amélio-
ie marchant parallèlement à celle de l'état général. Enfin l'oedème
cérébral
décrit par Etoc-Demazy3 serait une troisième fo
toute autre chose qu'à une atta- que d'hystérie : à une hémorrhagie
cérébrale
, à une at- taque apoplectiforme dans le cours d
t, il n'existe aucune adhérence pathologique. Les circonvolutions
cérébrales
sont remarquablement dévelop- pées et saines. L
lade paraît plongé dans un véritable état apoplectique d'origine
cérébrale
, d'autant plus, qu'au sortir du coma, le sujet co
et si nous songeons à la gravité extrême de l'apoplexie d'origine
cérébrale
, gravité aussi immédiate qu'ultérieure, il devien
stérique, dynamique, ou bien est-il sous la dépendance d'une lésion
cérébrale
: hémorrhagie, ramollissement, tu- meur, attaqu
être fatale à bref délai. Dans la première période de l'hémorrhagie
cérébrale
, la tem- pérature descend au-dessous de la norm
les hémianesthé- sies sensitivo-sensorielles à la suite de lésions
cérébrales
sont extrêmement rares ; elles tendent de jour
es ataxiques, chez des hémiplégiques hémi- anesthésiques par lésion
cérébrale
. M. Grasset2 a rapporté également un cas de mêm
s effets de la faradisation cutanée dans l'hémianesthésie d'origine
cérébrale
. (A¡'cltives de physiologie, t. VIII, 1876, p. 76
ontinues. Parce point, il ressemblait à un malade affecté de tumeur
cérébrale
. Les symptômes contraires à l'idée d'une paraly
érébelleuse trouble ne se détache qu'en petits morceaux. Hémisphère
cérébral
gauche, dépourvu de consistance dans les région
dmettre encore qu'il y avait eu oblitération simultanée de l'artère
cérébrale
postérieure et de l'artère du corps calleux, ca
un homme atteint d'alcoolisme chronique, chez lequel des lésions
cérébrales
définitives ont compromis l'intégrité de l'orga
st diminuée par les conditions d'infériorité de leur organisa- tion
cérébrale
. Elle ne saurait disparaître tout entière, surtou
des enfants qui ne sont guère mieux partagés qu'eux sous le rapport
cérébral
, bien souvent. Ce sont avant tout des infirmes
de même pour les épileptiques adultes qui sont atteints d'infirmité
cérébrale
, d'affaiblissement intellectuel, qui les met en
t-on pas eu la sagesse de faire ainsi pour certains cas d'apoplexie
cérébrale
, dite nerveuse, dont l'obscurité n'a porté aucu
rité n'a porté aucune atteinte à ce que l'histoire de l'hémorrhagie
cérébrale
ou du ramollissement renfermait d'enseignements
essemble plus à l'état apoplectique causé par une vaste hémorrhagie
cérébrale
, que l'état malades atteints de paralysie génér
sies de la septième paire placées sous la dépendance de la syphilis
cérébrale
, celles qui peu- vent être occasionnées par un
ace est également indépendante de la syphilis, car dans la syphilis
cérébrale
,, si le facial vient à être touché, la paralysi
Antécédents héréditaires. Grand-père paternel, mort d'hémorrhagie
cérébrale
; père arthritique, a souvent des poussées d'eczém
ssez longuement et suivi d'autopsie ayant montré, outre des lésions
cérébrales
plus ou moins disséminées, une lésion cérébelle
lobe cérébelleux gauche;-inégalité de poids entre les hémisphères
cérébraux
et entre les hémisphères cérébelleux. Duch... (
e-neuf ans, cocher, assez corpulent, aurait eu en 1867 une « fièvre
cérébrale
» 1 ; n'aurait jamais fait d'excès de boisson ;
o-rachidien. Les artères de la base sont symétriques; toutefois, la
cérébrale
postérieure paraît un peu plus volumineuse à dr
droite. Les tuber- cules mamillaires sont symétriques. La pie-mère
cérébrale
est très notablement hypérémiée; elle a une col
frontaux (face interne), la décortication est facile. Le pédoncule
cérébral
gauche paraît plus petit que le droit; il en es
ale. On ne constate pas de lésions macroscopiques des hémisphères
cérébraux
. Les ventricules latéraux et les cornes d'Ammon n
DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. 389 Encéphale, 1,300'gr. L'hémisphère
cérébral
droit pèse 25 gr. .. de plus que le gauche. Cer
i se sont développés à la suite d'un état de mai'. 1 L'hémisphère
cérébral
droit ne présente que quelques anomalies- de pe
ses scissures. On peut le considérer comme normal. Il hémisphère
cérébral
gauche, qui pèse 25 grammes de moins que le dro
appliquions toujours la muselière. Balancement d'un chien et anémie
cérébrale
absolue. - Nous avons balancé un chien, qui p
es conditions. 4o. PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. provoquer l'anémie
cérébrale
. Pendant le balance- ment nous avons voulu étud
le balance- ment nous avons voulu étudier l'influence de l'anémie
cérébrale
sur ce chien. La respiration est devenue plus a
uentes. - Sur un chien chez lequel nous avons arrêté la circulation
cérébrale
par la compression des carotides et vertébrales
eut décrire, Kalhbaum fait de la verbigération une crampe du centre
cérébral
des organes de la parole; il en serait de même
soin d'invoquer pour cela une crampe coordonnée de certains centres
cérébraux
. Un exemple bien connu est celui du gémisseU1',
rien qui doive surprendre. Ne sait-on pas, en effet, que le travail
cérébral
peut parfois déterminer l'apparition du sucre d
chez lesquels le niveau mental a notablement baissé, leur activité
cérébrale
se borne à ressasser quelques conceptions déliran
secondaires, c'est qu'il n'y en a pas. ,,1. WESTPIIAL. Les tumeurs
cérébrales
ne peuvent servir à l'étude des localisations c
es tumeurs cérébrales ne peuvent servir à l'étude des localisations
cérébrales
; quand le microscope ne decèle pas de lésions s
malformations crâniennes qui sont sous la dépendance des anomalies
cérébrales
. Les causes de ces anomalies sont une lepto-mén
iode qu'on n'en voit plus de traces et que l'arrêt de développement
cérébral
qu'ils ont déterminé soit à la naissance le seu
V. Leçons sur les fonctions motrices du cerveau et sur l'épilepsie
cérébrale
; par le Dr François FRANCS, professeur suppléant
des physiologiques modernes, la grande question des locali- sations
cérébrales
. Les matériaux qui ont servi à la rédaction de
e par tous ceux qui s'intéressent à la physiologie et la pathologie
cérébrales
. Le plan en est facile à saisir : la première p
hysiologiques an- térieures ; puis il expose la topographie motrice
cérébrale
, d'après la méthode des excitations. Une note i
n documents précieux, à l'opposé de ce qui concerne les excitations
cérébrales
. Les troubles moteurs consécutifs aux lésions e
et alors on entre de plein pied dans le domaine de la pathologie
cérébrale
. Il expose l'état actuel de la question, tel qu'i
s du centre ovale qui correspondent à ces deux portions de l'écorce
cérébrale
. La seconde partie de ce volume est consacrée,
ies qui traitent : la première de l'excitabilité propre de l'écorce
cérébrale
, la seconde de la nature fonctionnelle des régi
tteint. Cette notion est acceptée sans contrôle en raison de l'état
cérébral
que nous avons dit, et il en résulte la suppres-
it, et il en résulte la suppres- sion de toutes les représentations
cérébrales
motrices relatives au membre. Le chapitre consa
fs on pouvait aussi, dans notre observation II, penser à une lésion
cérébrale
affectant le type clinique de l'hémiplégie spas
ÊTRIÈRE. savoir le jeune âge du sujet, la participation de l'écorce
cérébrale
aux lésions et enfin, le laps de temps nécessai
ment raisonnable de rapporter à des lésions irritatives de l'écorce
cérébrale
. A ces lésions irritatives auraient succédé des
contracture. N'est-ce pas ta le processus classique de toute lésion
cérébrale
qui s'accom- pagne de dégénérescence du faiscea
eur d'une lésion dyna- mique que d'une lésion organique de l'écorce
cérébrale
. Impossible de nier la part d'influence du trau
la part d'influence du traumatisme, peut-être même de la commotion
cérébrale
dans l'apparition des accidents ; mais cela suffi
s un travail déjà cité sur « les localisations motrices de l'écorce
cérébrale
». Ils y ajoutent encore celle-ci, c'est que le
qui avait cru à une épilepsie vraie ou sympto- matique d'une tumeur
cérébrale
. Dans le deuxième, il s'agissait seulement d'un
e. Observation V. Période épileptoïde faisant croire à une tumeur
cérébrale
dans un cas d'Itstéro- épilepsie. Charcot (Leço
e sont pas suivis de paralysies, si enfin il n'y a pas de déchéance
cérébrale
et vitale. Nous regrettons de ne pouvoir reprod
ui est en cause dans la paralysie spinale infantile et non l'écorce
cérébrale
. Reste donc l'origine hystérique que viennent e
mparfaitement avec l'idée d'une hémiplégie par atrophie ou sclérose
cérébrale
. Ce n'est pas ainsi, nous l'avons vu plus haut, q
oit, l'absence de toute paralysie consécutive et de toute déchéance
cérébrale
ou vitale. b). Contractures. Dans quelles c
es peuvent-elles être rapportées à des lésions limitées de l'écorce
cérébrale
? Ces conditions sont évidemment très restreint
infantile avec des lésions plutôt étendues que limitées de l'écorce
cérébrale
, et il s'ensuit une dégénérescence totale du fais
epsie partielle (1). En résumé, une lésion circonscrite de l'écorce
cérébrale
peut provoquer des contractures partielles de d
res hystériques pouvant simuler les maladies organiques de l'écorce
cérébrale
. Les faits qui i pourraient nous intéresser son
icable aux paralysies partielles par lésions limi- tées de l'écorce
cérébrale
. Car, si nous avons pu distinguer, pour les be-
hysiologie pathologique tendent en effet à distinguer dans l'écorce
cérébrale
autant de centres dif- férents qu'il y a de mém
isme hystérique d'origine traumatique. Observation XIV. Commotion
cérébrale
. Mutisme hystérique. Guérison instantanée (de Clo
est le rapport anatomi- que en avant et en haut avec les pédoncules
cérébraux
qui émergent de sa partie supérieure, en bas et
u'il s'agit de délimiter exactement les centres visuels de l'écorce
cérébrale
: Ferrier les localise uniquement dans le pli cou
es trous optiques avant de songer à une lésion possible de l'écorce
cérébrale
. Ce qui n'est pas très rare en clinique, c'est
'hypertrophie du coeur ne compliquait que quelques cas d'hémiplégie
cérébrale
dans ma pratique. J'ai appris qu'elle est une con
faut alors reculer un peu le rhéophore. S'il s'agit de l'hémiplégie
cérébrale
je pose les rhéophores du côté de l'hémisphère
nctives et à des lésions vasculaires. Ce sont surtout les lésions
cérébrales
de cette nature qui ont attiré l'at- tention ;
t- tention ; et, relativement aux nombreux travaux dont la syphilis
cérébrale
(1) Ce mémoire a été présenté au concours des h
du tronc. Les membres supérieurs sont indemnes. Pas de phénomènes
cérébraux
: rien dans les yeux, les réflexes pupillaires
ues d'Adamuck, de Beaunis et surtout de Knies. Enfin, dans l'écorce
cérébrale
, existent vraisemblable- ment d'autres centres
s sont disséminées d'une façon irrégulière sur les deux hémisphères
cérébraux
. Celle première distinction a son importance ; el
ANTS 11l des cas décrits par M. Jules Simon sous le nom de sclérose
cérébrale
chez les enfants. A part une question de mots,
à admettre dans la moelle un processus identique au ramollissement
cérébral
par thrombose artérielle (1.) Toutefois le régi
ns vasculaires. Dès qu'Heubner eut dé- crit l'artérite syphilitique
cérébrale
(1874) la discussion s'est immédiate- ment enga
nges sont sai- nes, la pie-mère se détache facilement de la surface
cérébrale
Le cerveau est normal à la surface et sur les c
otale des fonctions psychiques, produite par l'atrophie de l'écorce
cérébrale
(Kraft-Ebing). L'expression de la physionomie d
moteur, tire son innervation d'une autre source encore, de l'écorce
cérébrale
par exem- ple, directement ou bien par l'entrem
dépendance où se trouve l'innervation mimique vis-à-vis de l'écorce
cérébrale
, ressort de la corrélation intime qui existe entr
le indirectement ou directement des troubles qui affectent l'écorce
cérébrale
. Cette conclusion fondée sur les faits clinique
cé- rébrale. Enfin, pour ce qui est des altérations dans l'écorce
cérébrale
dans la démence, il faut, selon toutes probabil
carie syphilitique des os du crâne peut se propager à la dure-mère
cérébrale
. Bien que ces altérations rachidiennes aient atti
avec participation delà vessie; ictus répétés, quelques trou- bles
cérébraux
(perte de mémoire, lenteur de parole) raideur de
yant contracté la syphilis 7 ans auparavant, présente des accidents
cérébraux
, puis une pa- raplégie qui l'emporte en quelque
n connues, qui précèdent d'ailleurs souvent aussi les complications
cérébrales
. Voici alors comment les accidents se succèdent
es caractères classiques des céphalées spécifiques. Des symp- tômes
cérébraux
tantôt légers, tantôt graves se montrent en même
aissent être en relation avec une poussée de méningite syphilitique
cérébrale
localisée a la base principalement. Mais voici
re, celle qui doit nous occuper tout spécialement ici. Les troubles
cérébraux
graves ont disparu ou à peu près ; les douleurs
et dont les différentes étapes peuvent se résumer ainsi : méningite
cérébrale
- méningite cé- rébro-spinale syphilitique, mén
geance de M. le ])1' Gilles de la Tourelle). Accidents de méningite
cérébrale
syphilitique survenus dans le cours de la pre-
aplégie spinale persiste. Cystite purulente. Par deux fois troubles
cérébraux
congestifs subits. Douleurs en cein- ture. La
vec participation des sphincters. Disparition de tous les accidents
cérébraux
. W... 41 ans, israélite, représentant de commer
p, sans préparation, il eut, à l'âge de 19 ans, une sorte d'absence
cérébrale
, suivie d'une faiblesse très grande dans les memb
ns les cas de ce genre, une ana- logie complète entre les accidents
cérébraux
et ce qui'se passe du côté de la moelle épinièr
ent la participation du tissu nerveux. Toutefois ici, les symptômes
cérébraux
du début peuvent être relative- ment bénins, di
nte atteint d'une paraplégie spasmodique, sans le moindre phénomène
cérébral
en apparence. Mais l'examen des yeux fait décou
is, rigidité modérée des muscles aux membres inférieurs. Phénomènes
cérébraux
légers et transitoires. - Iné- galité pupillair
moelle, par analogie avec ce qui se produit dans le ramollissement
cérébral
. Notre observation I en est un exemple. Nous av
pécifique de ces paraplégies : ne sait-on pas que le ramollissement
cérébral
par artérite syphilitique ne se différencie en
rien au point de vue symptomatique de n'importe quel ramollissement
cérébral
par thrombrose artériel le ? et n'est- il pas b
côté des membres supé- rieurs, des nerfs crâniens ou des fonctions
cérébrales
. Enfin l'affection présente une tendance très m
ce génitale et persistance des troubles vésicaux. Pas de phénomènes
cérébraux
. CIIaf... A. 3 ans, graveur sur acier, se prése
éflexes aux membres supérieurs. Disparition de tous les acci- dents
cérébraux
. Coexistence de lésions syphilitiques cutanées.
nt la nuit seulement. Au bout d'une dizaine de jours, les accidents
cérébraux
devinrent très sérieux : il eut du délire nuit et
baire, paraplégie spasmodique. A elle seule l'existence d'accidents
cérébraux
à un moment donné de la maladie, et principalem
spinale s'accompagne pour ainsi dire presque toujours de symptômes
cérébraux
. C'est avant tout, dit-il, une maladie cérébro-
C'est avant tout, dit-il, une maladie cérébro-spinale. Les troubles
cérébraux
en question peuvent d'ailleurs être très variés
passa- gers, etc. Réciproquement on pourrait dire que la syphilis
cérébrale
s'accompagne, dans un très grand nombre de cas,
prédominance des localisations, tel malade appartiendra la syphilis
cérébrale
, tel autre à la syphilis cérébro- spinale, ou à
psie les plus rigoureu- ses prises dès le début. ' Aucun symptôme
cérébral
n'a été noté pendant cette maladie. Jusqu'à la fi
apparition et dans leur évo- lution ultérieure, avec les paralysies
cérébrales
de même nature, qui sont dues à des thromboses
s au moins, les altérations médullaires observées au ramollissement
cérébral
par thrombose. V. En ce qui concerne les caract
en une rachialgie qui rappelle parfois les céphalées de la syphilis
cérébrale
, ainsi que l'a montré M. le professeur Charcot;
d'obser- ver à cette période, et souvent a son début, des accidents
cérébraux
plus ou moins graves, céphalées, paralysies ocu
ut de la période prodromique, et sur la coexistence de phé- nomènes
cérébraux
dans le passé ou dans le présent. VII. Dans que
lir pour l'une et l'autre forme un lien réciproque entre la maladie
cérébrale
et la lésion des articulations. Au point de vue
ntrecroiser les grandes puissances intellectuelles et les débilités
cérébrales
. A côlé de cette hérédité de race, il faut placer
s'y abandonnera tout entier et la suivra jusqu'à ce que' la fatigue
cérébrale
l'en empêche. Or, cette fatigue n'est pas longue
hode en sémiologie ; la sémiologie; les tumeurs et les compressions
cérébrales
; les affections non pyramidales ; les affection
mer l'existence d'une lésion organique intra-crânienne, d'un oedème
cérébral
, trouble ordinairement lié à un néoplasme, auri
relèverai en 16 LA MÉTHODE EN SÉMIOLOGIE particulier la syphilis
cérébrale
, les diverses néoplasies intracrâniennes, les a
inte d'hémiplégie organique gauche due à une lésion de l'hémisphère
cérébral
droit, remontant à trois ans ; la paralysie occ
s prononcé dans les cas de ce genre que dans l'hémiplégie d'origine
cérébrale
. Ce signe peut exister aussi dans certaines par
nt; il n'est guère causé que par des lésions siégeant dans l'écorce
cérébrale
ou immédiatement au-dessous; en effet, sauf dan
ération des réflexes tendineux dans ses relations avec l'hémiplégie
cérébrale
organique. Voyons d'abord la variété la plus co
Considérons maintenant une hémiplégie organique due à une lésion
cérébrale
qui exerce sur le système pyramidal une action pe
plus communs que les précédents. Je rappelle que, dans l'hémiplégie
cérébrale
déterminée par une lésion en foyer atteignant la
la paraplégie spastique d'Erb. Dans l'hémiplégie vulgaire d'origine
cérébrale
la contracture apparaît ordinairement quand l'e
anique de l'encéphale chez un individu dont le coeur et les artères
cérébrales
sont altérés ; l'igno- rance de cette notion a
cardiaques, plus spécialement le rétrécissement mitral, l'artérite
cérébrale
et plus particulièrement l'artérite syphilitique
ermet pas d'écarter l'hypothèse de ramollis- sement ou d'hémorragie
cérébrale
et que, d'autre part, ainsi que le simple bon s
émiplégie vulgaire, celle qui est liée à une altération de l'écorce
cérébrale
, du centre ovale ou de la capsule interne. Il e
rouble mental que j'ai eu l'occasion j d'observer dans l'hémiplégie
cérébrale
, et qui consiste dans ce fait F que les malades
ques où ils ont été l'objet de travaux spéciaux : dans l'hémiplégie
cérébrale
, dans l'hémiplégie spinale ou syn- drome de Bro
ertains cas patho- logiques, chez les malades atteints d'hémiplégie
cérébrale
organique, la même manoeuvre donne lieu à une s
ck, plus ' accentués dans les lésions spinales que dans les lésions
cérébrales
, ce qui tient peut-être en partie à ce que d'or
r ces faits de paraplégie à début brusque avec les cas d'hémiplégie
cérébrale
succédant à un ictus apoplectique. Souvent, dès
réflexes de défense parait donc bien plus précoce dans l'hémiplégie
cérébrale
vulgaire que dans la paraplégie spinale à début
, à une période plus avancée des RÉFLEXES DE DÉFENSE 1/13 lésions
cérébrales
et spinales. Dans les affections spinales occupan
côté, la réflectivité se comporte peut-être comme dans l'hémiplégie
cérébrale
. J'ai rapporté un cas d'hémiplégie spinale avec a
1\AI. I O r{¡6 SÉMIOLOGIE réflexe(') » a décrit dans l'hémiplégie
cérébrale
des réactions motrices réflexes et a eu surtout
ade de lésions mésocéphaliques, mais sim- plement une double lésion
cérébrale
. La suppression de l'influence des centres méso
) ; une simple lésion destructive suffit, en supprimant l'influence
cérébrale
. » A ce sujet, je rappellerai que dans mon trav
ravail ultérieur, « Automatisme et hyperalgésie dans l'hémi- plégie
cérébrale
» (2), nous avons relaté les faits suivants : che
ux ordres de réactions ('). (') Dans l'hémiplégie liée à une lésion
cérébrale
, on peut observer des phénomènes ayant des ana-
s deux côtés le Hahnen- tritt. Du côté correspondant à l'altération
cérébrale
, dans la patte anté-' 0 rieure droite, ce troub
e tenant en équilibre. Il résulte de cette expérience que la lésion
cérébrale
accentue les troubles qui s'étaient atténués et
e les altérations habituelles, une lésion bilatérale des pédoncules
cérébraux
. Or, dans ce fait, « les troubles de l'équilibr
tion galvanique localisée. T il U / S lli' 111 E PA R TIE TUMEURS
CÉRÉBRALES
ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES TUMEURS CÉRÉBRAL
il U / S lli' 111 E PA R TIE TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS
CÉRÉBRALES
TUMEURS CÉRÉBRALES TUMEUR DU CORPS PITUITAIRE
A R TIE TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES TUMEURS
CÉRÉBRALES
TUMEUR DU CORPS PITUITAIRE SANS ACROMéGALIE E
. Meige). Ce néoplasme a été examiné histologiquement 234 TUMEURS
CÉRÉBRALES
ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES par M. Onanoff, qui
é examiné histologiquement 234 TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS
CÉRÉBRALES
par M. Onanoff, qui a fait de cette étude l'obj
le volet osseux de façon à éviter toute compression de la substance
cérébrale
et la peau est suturée par-dessus le cerveau. E
à cette disposition que les troubles oculaires étaient 238 TUMEURS
CÉRÉBRALES
ET COMPRESSIONS CEREBRALES restés bénins. La ma
a saignée dans l'urémie, dont l'aspect symptomatique, dans sa forme
cérébrale
, a des analogies avec le tableau symptomatique
symptomatique des néoplasmes intra-crâniens. La théorie de l'oedème
cérébral
, dans l'urémie, actuellement peu en faveur, ne co
a ponction rachi- dienne chez des malades atteints d'urémie à forme
cérébrale
. TROIS CAS DE GLIOMATOSE CÉRÉBRALE ? ) (DISCU
é de Neurologie, séance du 7 février igoi. III DEUX CAS DE TUMEUR
CÉRÉBRALE
DU LOBE FRONTAL [J. BABINSKI.] . Publié dans
oins intéressants. Je vais relater brièvement deux cas de néoplasme
cérébral
où le diagnos- tic, exact en partie, n'avait pu
es régions sus et sous-orbitaires, surtout à gauche. j'io TUMEURS
CÉRÉBRALES
ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES Le malade entre dans
bitaires, surtout à gauche. j'io TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS
CÉRÉBRALES
Le malade entre dans mon service à la Pitié le
vision, ne présente aucune véritable perturbation. .CAS DE TUMEUR
CÉRÉBRALE
DU LOBE FRONTAL 241 Il n'y a pas de vertiges, p
inance ; la céphalée avait toujours été n»t>sd. iü 242 TUMEURS
CÉRÉBRALES
ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES limitée à la région
toujours été n»t>sd. iü 242 TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS
CÉRÉBRALES
limitée à la région frontale. L'examen post mor
Serait-il possible de l'éviter dans un cas ana- logue ? La ponction
cérébrale
, suivant la méthode de Neisser, serait peut- êt
u côté où le néoplasme s'était développé. TRÉPANATION POUR TUMEUR
CÉRÉBRALE
. ABLATION DE LA TUMEUR. GRANDE AMÉLIORATION ? )
que possible les malades qui présentent un syndrome d'hypertension
cérébrale
; ce fait vient à l'appui de son opinion. , , .
été de Neurologie de Paris, séance du 2 juillet igo8. . a44 TUMEURS
CÉRÉBRALES
ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES M. Weill a pratiqué
séance du 2 juillet igo8. . a44 TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS
CÉRÉBRALES
M. Weill a pratiqué l'examen du larynx et l'a t
quement sains. Hémisphère gauche : Au niveau des bords de la hernie
cérébrale
qui fait saillie de plus d'un travers du doigt
tes trois complètement indépendantes de la dure-mère et de l'écorce
cérébrale
qu'elles refoulent, paraissent développées dans l
sont appendues les tumeurs paraît ainsi d'un tiers plus 246 TUMEURS
CÉRÉBRALES
ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES large que l'hémisphè
paraît ainsi d'un tiers plus 246 TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS
CÉRÉBRALES
large que l'hémisphère gauche qu'il refoule. Ce
vril 1.9 1 o. On sait que dans la grande majorité des cas de tumeur
cérébrale
la O crâniectomie constitue le seul moyen curat
tion très utile s'il s'agit d'une néoplasie progressive 248 TUMEURS
CÉRÉBRALES
ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES devant entraîner la
d'une néoplasie progressive 248 TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS
CÉRÉBRALES
devant entraîner la mort, car elle rend support
encore plus vrai pour ce qui concerne ces faits de « pseudo- tumeur
cérébrale
» ou l'oedème peut rétrograder et disparaître apr
nts : des malades présentant les symp- tômes essentiels des tumeurs
cérébrales
: de la céphalée intense, des vomissements, de
dire que les dangers de cette interven- tion dans les cas de tumeur
cérébrale
me semblent avoir été considéra- blement exagér
ception- nels, si l'on tient compte du grand nombre de cas d'oedème
cérébral
où la rachicenthèse a été pratiquée : d'ailleur
tifs, tels que des douleurs et un amoindris- sement de la puissance
cérébrale
, que l'on attribue à la neurasthénie. C'est là
intra-cràniennes (Annales d'ocolistiquc, juillet 1907). 250 TUMEURS
CÉRÉBRALES
ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES cure iodurée. Si, ap
'ocolistiquc, juillet 1907). 250 TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS
CÉRÉBRALES
cure iodurée. Si, après avoir soumis un malade
xpose alors à la cécité et qu'en prenant en bloc les faits d'oedème
cérébral
, la disparition de la stase papil- laire sous l
'une opération faite en un autre lieu sont les suivants : la hernie
cérébrale
qui se forme ordinairement après l'incision de
à faire disparaitre la céphalée et les divers troubles que l'oedème
cérébral
avait produits ; on a publié des faits de ce ge
testable que les inconvénients de l'ouverture crânienne 252 TUMEURS
CÉRÉBRALES
ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES sont moindres si la
nts de l'ouverture crânienne 252 TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS
CÉRÉBRALES
sont moindres si la dure-mère n'est pas intéres
ème temps, à l'incision de la dure-mère qui est suivie d'une hernie
cérébrale
plus ou moins grande et qui, parfois, prend un dé
rs c'est grâce à ce phénomène que les dangers imminents de l'oedème
cérébral
sont partiellement conjurés. En résumé, les s
ébitée en tranches minces par des coupes perpendiculaires à la tige
cérébrale
; ces tranches ont été imprégnées d'acide osmiqu
r aussi dans des cas de tumeur intra-crânienne accompagnée d'oedème
cérébral
et d'hyperten- sion du liquide céphalo-rachidie
llant du tableau sympto- matique et peut donner l'idée d'une lésion
cérébrale
en foyer. 8" Des plaques de sclérose disséminée
ippe et li. Cestan. Société de Biologie, an. 97, p. 1080. 3° Tumeur
cérébrale
, comprimant la zone rolandique gauche; hémiplégie
publié il y a sept ans(') m'avaient en effet appris que les tumeurs
cérébrales
étaient capables de produire des para- lysies a
appelés en consultation, sont d'avis que le diagnostic de néoplasme
cérébral
est peu vraisemblable, en raison de l'absence d
avec une diminution de 'acuité visuelle. Le diagnostic de tumeur
cérébrale
me paraissant devoir s'imposer, après la consta
grande facilité, car cette tumeur n'adhère nullement à la substance
cérébrale
. La tumeur pèse 31o grammes('). Immédiatement a
comprimant la région psycho-motrice sans pénétrer dans la substance
cérébrale
. Au point de vue thérapeutique nous avons subi
P1R : 11LL;GICS - AFFECTIONS DE LA MOELLE Mon diagnostic de tumeur
cérébrale
avait été mis en doute au début à cause de l'ab
atteindre un poids de plus de 3oo grammes, donner lieu à un oedème
cérébral
et à une névrite optique intense sans provoquer d
ent, l'absence de céphalée ne permet pas d'écarter l'idée de tumeur
cérébrale
. J'avais fondé en partie mon diagnostic sur les
ais été ainsi amené à admettre l'existence d'une simple compression
cérébrale
par tumeur. J'avais d'ailleurs observé déjà des
pait le territoire correspondant exactement à la région de l'écorce
cérébrale
dont la perturbation était décelée par l'aphasi
èse de tumeur PARALYSIE PAR COMPRESSION DU FAISCEAU PYRAMIDAL 3 ?
cérébrale
acceptable, cette forme de paralysie constitue un
ires et ganglionnaires du sympathique pouvant dépendre d'une lésion
cérébrale
ou médullaire, comme d'une irritation périphéri
t à cette névrite. Parinaud a observé l'association de phénomènes
cérébraux
ou de phénomènes bulbaires (hémiplégie, paralys
uivent sur le bulbe, la protubérance, le cervelet et les pédoncules
cérébraux
, formant une couche blanchâtre qui englobe les va
de la base englobant le bulbe B., la protubérance Po., les pédoncules
cérébraux
P., le cervelet, les origines des nerfs crânien
ar exemple, à un neurasthénique, qui, alarmé de son affaiblissement
cérébral
, est tourmenté par de sombres pensées, des idées
a nécessité l'adjonction d'autres moyens, en particulier d'un repos
cérébral
plus ou moins prolongé. Tout ce qui précède s'a
onoplégie est hystérique ; en effet, si elle dépendait d'une lésion
cérébrale
, le membre devrait être contracturé et les réfl
ychose appartenant au groupe des maladies mentales par insuffisance
cérébrale
; elle est surtout carac- térisée par des sympt
ait affaire à un neurasthénique qui, alarmé de son affaiblissement
cérébral
, est tour- () Voir : Hypnotisme cl hystérie. Du
a nécessité l'adjonction d'autres moyens, en particulier d'un repos
cérébral
pins ou moins prolongé. Ce qui précède s'appliq
cette propriété constitue un caractère qui distingue la syphi- lis
cérébrale
des autres maladies organiques de l'encéphale ; o
Je soutiens depuis longtemps que l'hémiplégie organique par lésion
cérébrale
et la paraplégie par lésion spinale se manifesten
ggestion dont il est l'objet, sorte d'exer- cices d'assouplissement
cérébral
, lui montrent que son médecin est capable de pa
des hématémèses, du meloena, des hématuries et même des hémorragies
cérébrales
hystéri- ques ? On se trouvait, par exemple,. e
les crises hystériques de celles que réalisent parfois des lésions
cérébrales
authentiques. Ces troubles sensitifs étaient co
la compres- sion intra-crânienne (Obs. VII). Dans le cas de tumeur
cérébrale
, les résultats de la ponction lombaire ne peuve
quelconque (Obs. VIII). Chez plusieurs malades atteints de tumeur
cérébrale
, que nous avons observés à l'hôpital dela Pitié
connaissances médicales, ig et 26 octobre 1882). 2. Ramollissement
cérébral
(Bulletins de la Société anatomique, 2 mars 1883)
èse, Paris, 1885, chez Masson). 14. Atrophie musculaire d'origine
cérébrale
avec intégrité des cornes antérieures de la moe
A propos de la communication de M. Ballet sur trois cas de gliomatose
cérébrale
(Id.). 7o. Hémiasynergie avec hémitremblement
de Médecine, mars 1907). 136. Sur la rachicentèse dans les tumeurs
cérébrales
(Société de Neurologie, 2 mai 190'7). 137. Ré
es trophiques attribués à l'hystérie (Id.). 15g. Deux cas de tumeur
cérébrale
(Id., 4 mars igog). t6o. Deux cas de tumeur cér
cas de tumeur cérébrale (Id., 4 mars igog). t6o. Deux cas de tumeur
cérébrale
du lobe frontal (Id., 6 mai 1909). 161. Quelque
cale des Hôpitaux, 3o juillet igog). , IG4. Trépanation pour tumeur
cérébrale
. Ablation de la tumeur. Grande amélioration (en
d.). 170. Utilité de la craniectomie décompressive dans les tumeurs
cérébrales
(Leçon faite à la Pitié. Jouanal de Médecine el
du liquide céphalo-rachidien au cours du ramollissement del'écorce
cérébrale
(en collaboration avec Gendron. Société médicale
). 269. Hyperalgésie et réactions hyperalgésiques dans l'hémiplégie
cérébrale
(en colla- boration avec Jarkowski. Société de
2 février 1922). 270. Automatisme et Hyperalgésie dans l'hémiplégie
cérébrale
(en collaboration avec Jarl;owsl;i. Société de
ntribution à l'étude des troubles mentaux dans l'hémiplégie organique
cérébrale
(Anosognosie) .... , ................ 112 2 V
anticipée des secousses faradiques 224 TROISIÈME PARTIE - TUMEURS
CÉRÉBRALES
ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES . Tumeurs cérébrales
adiques 224 TROISIÈME PARTIE - TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS
CÉRÉBRALES
. Tumeurs cérébrales. I. Tumeur du corps pitu
PARTIE - TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES . Tumeurs
cérébrales
. I. Tumeur du corps pituitaire sans acromégalie
ire guérie par la trépanation crânienne 236 III. Deux cas de tumeur
cérébrale
du lobe frontal 23g IV. - De la craniectomie dé
aient sains. La tumeur TP s'enfonçait en outre entre les pédoncules
cérébraux
PC, PC qu'elle écartait considérablement et qui é
excavation médiane l'excavation bornée en arrière par les pédoncules
cérébraux
, et en avant par les commissures optiques, j C'es
reil désordre, avec la compression de la protubérance, des pédoncules
cérébraux
, des faisceaux sus-olivaires, et des couches opti
t survient. Le ramollissement, qui a lieu si souvent dans les couches
cérébrales
adjacentes, précipite le terme fatal. Il paraît q
'apoplexie de la moelle épinière les données acquises sur l'apoplexie
cérébrale
, nous reconnaîtrons aisément dans le cas actuel t
oelle de ceux de l'apoplexie du cerveau; nous verrons que l'apoplexie
cérébrale
est en général caractérisée par une paralysie sub
gane. Cette difficulté de diagnostic lui est commune avec l'apoplexie
cérébrale
que l'on confond bien souvent avec la compression
nt toujours à une lésion de la moelle épinière ou de ses prolongemens
cérébraux
. L'épidémie de Paris, dont on a tant parlé dans c
tiques. La théorie fondée sur l'analogie qui existe entre l'apoplexie
cérébrale
et l'apoplexie spinale nous apprend que les saign
se est le dernier résultat, le résultat commun de toutes les maladies
cérébrales
: ainsi il est une idiotie apoplectique, une idio
té de sérosité', induration et disposition rameuse de quelques fibres
cérébrales
(*). Rolet (Marie-Françoise), âgée de sept ans,
éniale de l'idiotie acquise, la première étant la suite d'une maladie
cérébrale
éprouvée pendant la vie intrà-utérine, de même qu
vie intrà-utérine, de même que la seconde est une suite d'une maladie
cérébrale
éjDrouvée pendant la vie extra-utérine. Mais quel
dans ce ramollissement, qu'on peut appeler séreux, vu que la pulpe
cérébrale
est comme délayée, triturée dans de la sérosité;
eux reste intact et survit seul à l'absorption nécessaire de la pulpe
cérébrale
devenue corps étranger. Ici le tissu cellulaire e
er. Ici le tissu cellulaire est très-dense, ce qui reste de substance
cérébrale
est également induré et porte les traces d'un tra
la cavité cérébro-rachidienne. La structure fibreuse de la substance
cérébrale
n'a jamais peut-être été mieux démontrée que par
e lésion, n'ont présenté qu'un endurcissement extrême de la substance
cérébrale
. Dans le cas actuel, c'est à l'atrophie et à l'in
ible, et que, pour cette raison, je vais rapporter ici. Hémorrhagie
cérébrale
spontanée de la couche optique avec communication
ès - considérables rampaient à la face externe de la poche. La couche
cérébrale
adjacente était comme granuleuse. Réflexions. —
e du coté de l'hémisphère apoplectique, preuve évidente que la lésion
cérébrale
a été sans influence directe sur le développement
chaque côté par deux lignes, dont l'une est formée par les pédoncules
cérébraux
, et l'autre par une ligne imaginaire étendue de l
e cette masse de tissu cellulaire comme le centre du tissu cellulaire
cérébral
: elle se prolonge le long des gros vaisseaux qui
celui qui accompagne la pie-mère intérieure à travers la grande fente
cérébrale
et se termine au plexus choroïde. Existe-t-il une
e propage comme en s'irradiant le long des vaisseaux et des scissures
cérébrales
et se prolonge jusque dans l'épaisseur de la toil
rapport il pourrait y avoir entre le kyste de l'ovaire et la maladie
cérébrale
. La pleurésie a dû n'avoir lieu que les derniers
petit, très-irrégulier : je vois là tous les symptômes de la maladie
cérébrale
, sauf les cris brusques et les mouvemens désordon
lus de cris au moindre contact comme les jours précédens : la maladie
cérébrale
me paraît confirmée. (Demi-bain.) — Le 22, on vie
avant. Dépérissement rapide. — Diagnostic. Je soupçonne une affection
cérébrale
, quelque tubercule, ou inflammation chronique cir
i faisait moins de mal. Selles involontaires. Je pense que la maladie
cérébrale
fait des progrès, que les accidens de compression
depuis quelques jours et qu'il a beaucoup vomi. — Diagnostic. Maladie
cérébrale
, peut-être tubercule ancien autour duquel va se f
a voûte; aussi les membranes adhèrent-elles intimement à la substance
cérébrale
. Quelques adhérences filamenteuses très-déliées e
sistantes entre l'arachnoïde qui tapisse la dure-mère et l'arachnoïde
cérébrale
. Dans un point, l'adhérence était intime; à ce ni
ils entraînent l'inflammation soit des méninges, soit de la substance
cérébrale
. Il est rare néanmoins que le travail morbide tub
s tubercules TT qui paraissent logés dans l'épaisseur de la substance
cérébrale
ou formés aux dépens de la substance corticale. M
ayant séparé avec précaution les méninges MG (fig. 5) de la substance
cérébrale
SC, tous ces tubercules T ont suivi les membranes
le ramollissement ponctué de rouge qu'on observait dans la substance
cérébrale
adjacente. La plupart de ces tubercules étaient c
ables, et que ces inflammations sans douleur réagissent sur le centre
cérébral
, sur le centre circulatoire, et sur toutes les fo
Les symptômes locaux sont d'autant moins prononcés que les symptômes
cérébraux
sont plus intenses : l'état ataxique est porté au
ent de l'entrée du malade à l'hôpital. Nous voyons que les phénomènes
cérébraux
l'ont de beaucoup emporté sur les phénomènes loca
s-arachnoïdienne dans le cerveau et le canal raehidien, les vaisseaux
cérébraux
injectés; les poumons étaient engoués de sang noi
n du -cerveau, entraînent l'adhérence intime du feuillet arachnoïdien
cérébral
et du feuillet arachnoïdien pariétal, et alors il
sont avertis par aucun phénomène morbide de l'existence d'une lésion
cérébrale
. Mais tôt ou tard la compression exercée sur le c
rences intimes entre la dure-mère et l'arachnoïde : sous l'arachnoïde
cérébrale
était une tumeur carcinomateuse énorme, que j'ai
s très-bien l'instantanéité de l'invasion par cette loi de pathologie
cérébrale
, savoir : que le cerveau, principalement par sa f
le et progressive de l'hémiplégie et autres phénomènes de compression
cérébrale
, permettront toujours de distinguer l'hémiplégie
ysie n'arrive que lorsque ces tumeurs ou l'altération de la substance
cérébrale
qu'elles déterminent atteignent soit les radiatio
gouttières olfactives et qui compriment la face inférieure des lobes
cérébraux
antérieurs interceptent complètement l'olfaction
ession du cerveau. Ainsi une tumeur qui agira sur les circonvolutions
cérébrales
antérieures d'avant en arrière produira sur le ce
estiges. D'ailleurs ces tumeurs n'adhéraient nullement à la substance
cérébrale
et s'enlevaient par une véritable énucléation. Le
u. Il ne restait qu'une couche mince de substance grise. La substance
cérébrale
ambiante SC, SC présente dans une grande épaiss
erveau. Une teinte jaunâtre la distinguait d'ailleurs de la substance
cérébrale
environnante. Des veines flexueuses, très-volumin
ont peut-être le résultat du ramollissement gélatiniforme des couches
cérébrales
adjacentes : voilà bien des fois que je rencontre
n effet, depuis deux ans, le malade avait, à la suite d'une affection
cérébrale
, conservé une paraplégie et un œdème considérable
interne de l'hémisphère du même côté. Dans cette cavité, la substance
cérébrale
n'offrait aucune altération, et l'arachnoïde, sai
convolutions antérieures C du lobe antérieur LA de l'hémisphère droit
cérébral
. Ces circonvolutions étaient déprimées, atrophiée
interne de l'hémisphère du même côté. Dans cette cavité, la substance
cérébrale
n'offrait aucune altération, et l'arachnoïde, sai
de vaisseaux d'apparence veineuse. Elle était reçue dans la substance
cérébrale
déprimée et comme détruite à son niveau. La figur
4 donne une idée de la coupe de cette même tumeur et de la substance
cérébrale
environnante. Cette coupe, qui est transversale,
lules d'inégale capacité qui contenaient de la sérosité. La substance
cérébrale
environnante offre le ramollissement jaunâtre gél
remarque extrêmement importante, c'est que si, d'une part, les veines
cérébrales
sont distinctes à leur embouchure dans les sinus,
ectiques passent à travers toutes les phases des foyers apoplectiques
cérébraux
; de là j'avais conclu qu'il existait (**) des ap
on pouvait obtenir par un moyen quelconque l'inflammation des veines
cérébrales
, on obtiendrait le même résultat que par l'inject
es à ma connaissance, il y avait tantôt stase du sang dans les veines
cérébrales
et exhalation de sérosité, tantôt exhalation de s
es, épanchement sous-arachnoïdien avec ramollissement de la substance
cérébrale
des circonvolutions ; rupture des vaisseaux conte
sinus longitudinal supérieur, le sinus latéral gauche, et les veines
cérébrales
supérieures, étaient distendus par un sang noir e
nt à peine en volume un bon pois à cautère. Tout autour, la substance
cérébrale
était très-légèrement ramollie et présentait une
uche. Dans l'autre cas, le sinus longitudinal supérieur et les veines
cérébrales
supérieures étaient distendues par du sang coagul
mettront peut-être de démêler au milieu de cet ensemble de phénomènes
cérébraux
les données sans lesquelles la solution du problè
ite aux moyens généraux de traitement employés contre les congestions
cérébrales
; peut-être encore, lors même que nous pourrions a
elle ne touchait immédiatement aux parois. Presque toutes les veines
cérébrales
qui vont se rendre dans le sinus longitudinal sup
entricules ne présentait aucune trace d'inflammation, et la substance
cérébrale
était d'ailleurs parfaitement saine. Sous-arach
l'atrophie de l'hémisphère gauche du cerveau, l'atrophie du pédoncule
cérébral
correspondant P A, l'atrophie du tubercule mamill
optique CO' atrophiés étaient exactement en rapport avec le pédoncule
cérébral
également atrophié du même côté PA'. Réflexions
t la cause, et la solution de continuité ou l'interruption des fibres
cérébrales
. Dans l'atrophie, l'instrument de nos sensations
par défaut de nutrition; en un mot, dans le dernier cas, aucune fibre
cérébrale
ne manquait, à proprement parler: elles existaien
lle ou telle faculté a son siège dans telle « ou telle circonvolution
cérébrale
; il faudrait, pour légitimer cette doctrine, que
ndamment de toute circonstance étrangère; mais si les circonvolutions
cérébrales
sont peu développées, ces éminences et ces enfonc
niforme de toutes les autres maladies de l'enfance. Dans la maladie
cérébrale
(hydrocéphale ventriculaire aiguë) il y a de même
ateur attentif, que l'assoupissement est idiopathique dans la maladie
cérébrale
et symptomatique dans la maladie gastro-intestina
astro-intestinale dépassant rarement l'âge de deux ans, et la maladie
cérébrale
embrassant depuis deux jusqu'à dix-huit ans; si l
t suspicieuse, qui se manifeste dès les premiers momens de la maladie
cérébrale
, à l'état de la face, des pupilles, au grincement
rture des cadavres, à peine trouve-t-on les vestiges d'une congestion
cérébrale
; à peine un peu de sérosité sous-arachnoïdienne o
soit du cervelet, bien que dans certaines circonstances, la substance
cérébrale
tout entière fût tellement injectée, qu'elle prés
toujours exempte de foyers sanguins et de déchirures de la substance
cérébrale
. V. La cause de l'apoplexie des enfants pendant
ompagne d'une hypertrophie plus ou moins considérable de la substance
cérébrale
. C'est dans des cas de cette espèce qu'on a vu de
on, par une fluxion séreuse ou inflammatoire dirigée sur la substance
cérébrale
; et si des circonstances étrangères au cerveau l
nimes de masse encéphalique. Du reste, l'altération de la substance
cérébrale
dans l'hydrocéphalie, n'est nullement en rapport
r constituer les parois de cet aqueduc. La face interne de la poche
cérébrale
présentait des bosselures correspondantes aux anf
litres au moins de sérosité' limpide, sans aucun débris de substance
cérébrale
; un seul flocon albumineux. La fig. 1 représen
, du frontal droit et de la partie supérieure de l'occipital. La faux
cérébrale
, F, est énorme; sur elle est appliquée une membra
misphère est indurée, comme froncée, et est continuée par la membrane
cérébrale
extrêmement ténue qui tapissait la totalité de la
és, CS ; les nerfs olfactifs, NOL, NOL, qui en partent; les membranes
cérébrales
. La fig. 5 montre la masse encéphalique, vue d'
re en avant : on voit manifestement ce qui reste des deux hémisphères
cérébraux
. La fig. 4 reproduit la partie antérieure de la
bstance; les pyramides antérieures se terminaient dans les pédoncules
cérébraux
. )) Des nerfs cérébraux, on ne peut distinguer
érieures se terminaient dans les pédoncules cérébraux. )) Des nerfs
cérébraux
, on ne peut distinguer que les origines des premi
bre des enfants soumis à mon observation, j'ai trouvé les ventricules
cérébraux
distendus par une certaine quantité de sérosité ;
I.) Atrophie des circonvolutions. Les lésions des circonvolutions
cérébrales
et cérébelleuses constituent un point très intére
4° Il est une atrophie des circonvolutions avec induration du tissu
cérébral
qui quelquefois devient aussi dense qu'un cartila
pince, présente des lignes radiées qui sont peut-être quelques fibres
cérébrales
qui ont échappé à l'atrophie. Les circonvolutions
présentent les circonvolutions atrophiées, prouvent que les lamelles
cérébrales
peuvent se résoudre en fibres, ainsi que le prouv
e d'une vive frayeur , il fut pris , disent les parents, d'une fièvre
cérébrale
qui dura plusieurs semaines. Pendant la convalesc
ait au premier abord qu'ils occupent l'épaisseur même de la substance
cérébrale
. Ces tubercules peuvent être libres de toute adhé
met une énucléation facile. D'autres fois ils adhèrent à la substance
cérébrale
presque toujours altérée, ramollie, et dont on em
anche du cerveau. Les cas d'adhérence des tubercules à la substance
cérébrale
, doivent être bien distingués «3 de ceux où l
de ceux où la matière tuberculeuse est infiltrée dans la substance
cérébrale
elle-même. Dans le cas d'infiltration, la matiè
les soient formés par une matière infiltrée dans les mailles du tissu
cérébral
ou simplement déposée au sein de ce tissu, leurs
ganglions mésentériques étaient parfaitement sains. Des tubercules
cérébraux
, même très considérables, peuvent exister sans do
que lorsque l'irritation qui les accompagne se propage à la substance
cérébrale
, ou lorsque par son accroissement la tumeur agit
la mort est presque inévitable, et le ramollissement de la substance
cérébrale
environnante en est la cause la plus habituelle.
nous avons dit co-exister le plus habituellement avec les tubercules
cérébraux
. La marche insidieuse de la maladie est bien de
re mois 3 Nouvelle hémiplégie. Mort. Deux tubercules dans la pie-mère
cérébrale
. Ramollissèment de toutes les parties centrales d
ois auparavant, me parurent le résultat de l'inflammation des couches
cérébrales
adjacentes. L'entorse avait été le résultat de l'
des membres et n'eût présenté en un mot aucun symptôme de compression
cérébrale
, je présumai que l'amaurose était symptomatique d
ier la profondeur de la perte de substance : on voit que la substance
cérébrale
est remplacée par une cellulosité jaune-sale, par
e quantité de liquide trouble jaunâtre qui la pénétrait. La substance
cérébrale
qui environnait cette perte de substance était tr
ce de l'inflammation des sinus de la dure-mère et de celle des veines
cérébrales
avec un ramollissement apoplectique. Il n'est pas
sible de déterminer expérimentalement une inflammation dans les sinus
cérébraux
et dans les veines cérébrales, 011 obtiendrait le
talement une inflammation dans les sinus cérébraux et dans les veines
cérébrales
, 011 obtiendrait les mêmes résultats. Les belles
veines collatérales, il y avait tantôt exhalation de sérosité (œdème
cérébral
et sous-arachnoïdien), tantôt exhalation de sang
e sinus longitudinal supérieur, le sinus latéral gauche et les veines
cérébrales
supérieures étaient distendus par un sang noir et
aient à peine en volume un pois de senteur. Tout autour, la substance
cérébrale
était très légèrement ramollie, et pi'ésenlait un
uche. Dans l'autre cas, le sinus longitudinal supérieur et la veine
cérébrale
supérieure étaient distendues par du sang coagulé
llaire, ramollissement inflammation, phlébite des sinus et des veines
cérébrales
, lésions que semblait d'abord séparer un interval
faible secours pour le diagnostic. Toutefois l'invasion des symptômes
cérébraux
, l'incurvation du tronc en avant, les mouvemens c
méninges ont-elles pu être enlevées sans déchirement de la substance
cérébrale
; mais le moindre contact, l'immersion dans l'eau
nvient qu'à cette nuance de ramollissement dans laquelle la substance
cérébrale
se trouve combinée avec une certaine quantité de
ne pulpe molle qui s'enlève avec les membranes, comme si la substance
cérébrale
avait été broyée avec du sang noir. Le ramollisse
changement notable de couleur du lobe antérieur gauche. La substance
cérébrale
est difïluente. L'altération s'étend jusqu'à la m
s. — Cette observation prouve : Qu'il est des lésions de la substance
cérébrale
trop circonscrites pour déterminer une paralysie
aire bilatérale. 2G avril. La malade a eu des vomissements à type
cérébral
, qui sont survenus sans efforts, au moment où ell
diagnostic précis, et pour essayer d'obtenir une décompres- sion
cérébrale
. L'excès de pression intraC1'dnienne semblait i
membrane, qui s'étend en arrière sur le cervelet et les pédoncules
cérébraux
, qui rayonne encore vers les vallées de Sylvius
ussi épaissie, d'aspect blanchâtre laiteux ; elle adhère à l'écorce
cérébrale
qu'elle entraîne quand on veut l'enlever. Ces l
ma, des nerfs optiques et olfactifs. Rappelons que l'hémis- phère
cérébral
gauche pesait 50 gr. de moins que le droit, dif
éléments inférieurs protubérantiels jusqu'à ses éléments supérieurs
cérébraux
, devient ainsi l'origine commune des manifestat
isme moyen dans 81 0/0 des cas ; tandis qu'au contraire la syphilis
cérébrale
, à début hémiplégique se rencontrait dès l'anné
osé par des néoplasmes spécifiques, des mé- ninges ou de la surface
cérébrale
; elle peut se développer également sous l'influ
- ture d'équilibre dans le fonctionnement des centres de l'écorce
cérébrale
. Lorsque l'intimidation est portée à son degré le
de l'otopathie, la forme des troubles mentaux, la prédispo- sition
cérébrale
, l'âge des malades sont les principaux fac- teu
ils sont le siège d'une atrophie croisée avec celle des hémisphère»
cérébraux
et portant sur le luhc gauche, en particulier au
'on doit lui faire une certaine part dans le diagnostic des tumeurs
cérébrales
. Les kystes des méninges molles sont d'après ce
s mouvements de compensation ou de remplacement dans les affections
cérébrales
, par W. M. de BECHTEREW, (0&o : )'eMtt ! ps
psichiatrii. 1'lll.) Les malades hémiparétiques à la suite d'ictus
cérébraux
n'exé- cutent jamais les mouvements qu'on leur
en ont bien la volonté, mais le stimulus qui part de l'hémisphe- re
cérébral
atteint se transmet, en raison de l'altération de
rolog. Centralbl. XXIII.) Pièces anatomiques de paralysie infantile
cérébrale
. llémiatro- phie du cerveau. Asymétrie de la mo
ent de sensations désagréables. , Dans sept observations de lésions
cérébrales
organiques, carac- térisées par l'exagération d
ir à ce que dans l'espèce les lésions génératrices de l'hémiparésie
cérébrale
excitaient simultanément et peut-être aussi les
) par l'irritation de quel- ques ganglions centraux et du pédoncule
cérébral
; d) par l'irrita- tion de certaines régions de
AVAL. XV. Pseudomélie paresthésique symptomatique d'une affection
cérébrale
dans le territoire du noyau lenticu- laire ; pa
e tardive des muscles hémiplégies ou en état de paralysie infantile
cérébrale
n'a pas fourni de son ; celui-ci est instantané
VUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 129 taire d'origine
cérébrale
et oscillant se distinguerait-il de celui de l'
du coude et du poignet. La distribution musculaire des paralysies
cérébrales
incomplètes se fait. par groupes musculaires péri
ique par la voie frouto-cérébclleusc. C'est donc jusqu'à a l'écorce
cérébrale
elle-même qu'il faut reculer le centre neuroni-
clinique et anatomo-pathologique sur les lacunes de désintégration
cérébrale
; parl : ATOL.1. (llevucde Médecine, nu d'octob
désignée tourà tour sousiesnomsd'oedémcdu cerveau, de conges- tion
cérébrale
ou d'hémiplégie due à la dégénérescence primaire
nes ; mais ce qui est plus caractéristique, des atrophies du cortex
cérébral
et en par- ticulier de la 3" frontale (état ver
océda peu àpeu.'Etait-on en présence : 1° d'une lésion du pédoncule
cérébral
; 2° d'une fracture du crâne amenée par la chut
rd après un trau- matisme et la difficulté médico-légale de tumeurs
cérébrales
et de paralysies générales survenues après des
tion partie de l'utérus et transmise aux zones motrices de l'écorce
cérébrale
. Le rôle de' la gros- sesse est certainement pl
es convulsifs qui se rapprochent de l'enfant et des animaux, et les
cérébraux
, bien supérieurs aux précédents dans leur dégén
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES XXXVL De quelques altérations du tissu
cérébral
dues à la présence de tumeurs; par WEBER et Pap
ère, 1905, n° 2.) Les troubles cliniques déterminés par les fumeurs
cérébrales
paraissent liés non a leur volume, mais bien au
s ventricules sont dilatés, dans le voisinage de ceux-ci ; le tissu
cérébral
, grâce à la résistance qu'il y oppose, en dimin
re l'aulo-inloxiea- tiondueà des produits résiduels de la nutrition
cérébrale
ou de la dégénérescence des fibres que la circu
oppée sur les indi- vidus ayant eu la syphilis, le système artériel
cérébral
montre des lésions histologiques qui paraissent
al interprétées. J. S. XL1V. Recherches histologi ques sur l'écorce
cérébrale
du dauphin ; par Vincenzo 11L-\.NCHI. (Annali d
est bien plus appa- rente que réelle ; car si les deux hémisphères
cérébraux
du dau- phin conservent le type de la dispositi
se rapproche de celui des microcéphales. La structure de l'écorce
cérébrale
se distingue de celle des mammifères, plus intc
dales, et la pauvreté des prolongements de celles-ci. Dans l'écorce
cérébrale
, du dauphin, on yoitc1ail'emenl les rapports qui
ur peu de volume l'uniformité des éléments constitutifs de l'écorce
cérébrale
, la rareté des cellules pyrami- dales géantes,
, puis rapide de la maladie. Lésions très accentuées de la pie-mère
cérébrale
, sans altéra- tions particulièrement accentuées
diminution numérique des éléments nerveux de la couche corti- cale
cérébrale
, siégeant surtout au niveau de la région frontale
appeler des crises d'épilepsie chez des malades porteurs de lésions
cérébrales
plus ou moins déterminées. G. 1. XXtX. Hystérie
e la lésion cardiaque crée l'hysté- rie par un trouble circulatoire
cérébral
. C'cstia pathogénie de l'épilupsie de Lemoine.
upsie de Lemoine. S'agif-il d'une lésion aortique ! 1;'est l'anémie
cérébrale
qui intervient. S'agit-il d'une lésion rnilrale
xtrinsèques de l'oeil, de nature scléreuse. Syndrome de compression
cérébrale
et radiculo-ganglionnaire. MM. Raymond et LEJON
halo-rachidien caractérisée par les signes vulgaires de compression
cérébrale
avec augmentation pro- gressive de la tète et b
certains troubles : parole hachée, lente, exigeant tout un travail
cérébral
quoique le malade possède tout son vocabulaire
yndrome do Littte a été li- mité par l'auteur « aux cas du diplégie
cérébrale
spasmodique « très souvent congénitaux, ou data
ons du faisceau moteur vn- lontaire sont la conséquence des lésions
cérébrales
(1). K. ÀUBRY. NÉCROLOGIE Dr VERNET Le l&
étant donnés des traumatismes plus ou moins anciens, une affection
cérébrale
déterminée quelconque (folie, dé- mence, paraly
aire cortico-spinale. C'est une véritable expérience de vivisection
cérébrale
. Le trépan pa- rut tout d'abord produire une am
hoire et le fit demeurer cinq mois à l'hôpi- tal avec une commotion
cérébrale
dont il resta durant trois mois comme hébété. S
attitude athétosique figée delà main rappelle celle de l'hémiplégie
cérébrale
infantile, de même le pied creux avecéquinisme
opatlii(lue antérieur à l'accident peut se combiner à des accidents
cérébraux
traumatiqucsnon moins réels. l'OLIES TRAUMATI
e (railway spine, etc.), de même on pourrait admettre des accidents
cérébraux
traumatiques réalisant des troubles mentaux ana
ait d'être étudié par un spécialiste. » Sur le terrain des troubles
cérébraux
ou mentaux as- sociés au traumatisme, la simula
de pourrait lui permettre d'exagérer certains troubles nerveux ou
cérébraux
réels, et par difficulté de simulation au cas où
chiques est à prévoir (traumatisme du crâne ou durachis, commotions
cérébrales
concomitantes,etc.) Au moment des premiers soin
e et le traumatisme s'appuiera sur la constatation de symptô- mes
cérébraux
, au moment même de l'accident et leur persistan
t distin- guer ici des incapacités physiques et mentales (mutilés
cérébraux
). Pour chacune d'elles, il 3· a lieu de bien exa-
é de se suicider. Son acte doit donc être attribué au dé- rangement
cérébral
dont elle était atteinte. (Semeur de l'Oise, 2'i
icat ainsi conçu : « Est atteint d'idiotie liée à un ramollissement
cérébral
. Cette affection, absolument incurable, exige u
i délire de persécution des sénilcs et des porteurs de le-' sions
cérébrales
en foyer. Les renseignements font complètement
ds en enfance, les paralytiques généraux et les porteurs de lésions
cérébrales
circQnscrites. Il y a encore d'autres catégorie
miers malades, les plus délirants, des antécédents héré- ditaires
cérébraux
et psychiques. Chez les deux derniers, nous avo
LOGIQUE Note sur l'histologie pathologique de la paroi dé l'abcès
cérébral
. Par Ch.1111RALLI1 : . Nour possédons encore
core peu de renseignements sur l'histologie pathologique de l'abcès
cérébral
, et les tra- vaux consacrés à ce sujet sont enc
qui se transforme plus loin en tissu conjonctif fascicule. Le tissu
cérébral
autour de l'abcès est d'ordinaire, et souvent s
. » Barbacci (1) a publié un très intéressant travail sur l'abcès
cérébral
expérimental, par inoculation directe dans la s
par suite la même origine. A la périphérie de l'abcès, la substance
cérébrale
présente des phénomènes de réac. tion secondair
venli.) l. XXV, p. ·165, 1803, HISTOLOGIE PATHOLOGIQUE DE L'ABCÈS
CÉRÉBRAL
. 455 La névroglie n'entre pas en considération
anfractuosités plus ou moins irrégulières, circonscrivant des blocs
cérébraux
qu'elles isolent. Cependant, de la comparaison
on d'ensemble de l'histologie patho- logique de la paroi de l'abcès
cérébral
, et confirment dans leurs grandes lignes les tr
avons cités. On peut avec Kôlpin, reconnaître à la paroi de l'abcès
cérébral
trois zones principales : une zone interne gran
correspondre à la réalité des HISTOLOGIE PATHOLOGIQUE DE L'ABCÈS
CÉRÉBRAL
. 459 faits. Nous ne saurions toutefois accepter
de la capsule : il s'agit d'un tractus névroglique de la substance
cérébrale
non encore envahie par le processus de dégénére
oubles nutritifs cellulaires qui suivent la suppression de l'influx
cérébral
. [Revue neurologique, février 1905.) E. B. LXXI
rouve. L. \\'aHC.. LXXIlI. -Recherches histologiques sur l'écorce
cérébrale
des tuberculeux; par L.-iiGNEi.-LAVASTINE. (li
es de la vie des tuberculeux, les lésions cellulaires de son écorce
cérébrale
sont toujours sous la dépendance d'un empoisonn
Malformation du cervelet. M. Rossi présente un cervelet de diplégie
cérébrale
infantile. Absence de l'échancrure marsupiale e
jargonaphasie Elle s'explique moins par l'atteinte d'un territoire
cérébral
de première nécessité que par l'association d'un
Cerveau. - Note sur l'histologie pathologique de la paroi dc l'-
cérébral
, par Miral- lié, 451. Absinthe. L' à l'école,
thi- ques, par Courmont, Lesieur et 'l'hevenot, 215. Affections
cérébrales
. Voir Mou- vements de compensation. - - nerve
la démence catatonique, par Barbé, 161. Altérations. Voir Tissu
cérébral
. Altruisme morbide. L'- - dans la paralysie g
ie au ixe siècle d'après Iluon de Villeneuve, 427. Désintégration
cérébrale
. Etude clinique et anatomo-palhologi- que sur
moulu de 1 ? par Marie, 154. - Recherches his- tologiques sur l'-
cérébrale
du dauphin, par Vincenzo 131anchi, 200. - Rec
n, par Vincenzo 131anchi, 200. - Recherches histologiques sur l'-
cérébrale
des tubercu- leux, par Laignel-Lavastine, 500.
de compensation. Des - - ou de remplacement, dans les affections
cérébrales
, par de Bechterew, 122. Muscle. Auscultation
typhoïde, sans fièvre nouvelle, sans douleur aucune, sans troubles
cérébraux
ou sphinctériens, la démarche devint, peu à peu,
n plus fréquente à l'âge adulte, débutant souvent par des accidents
cérébraux
, ne présente jamais l'incoordination motrice que
ns,d'une affection du cervelet, son oncle à 66 ans d'une hémorragie
cérébrale
, inondation ventri- culaire. Il y a quelques tr
ppe. Elle a un peu de paraphasie. Morte à la suite d'une hémorragie
cérébrale
de la région capsulo-striée du côté droit. Du c
athies organiques, in Pathologie mentale de Ballet. Article Tumeurs
cérébrales
. NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPTRIÈRE. T. XVI1
at- teint. Les progrès de la maladie vont lentement, sans troubles
cérébraux
d'aucune nature, sans phénomènes oculaires ou s
les oculaires quelconques, qu'il est indemme de toute manifestation
cérébrale
et que les réflexes sont t diminués ? De la m
sont rapprochées les unes des autres ; de même les circonvolutions
cérébrales
, quoique régulières, sont plus minces que norma
s minces que normalement. La protubérance, le bulbe, les pédoncules
cérébraux
sont aussi un peu grêles. Pas de méningite. Un
vers réactifs. Quelques morceaux de moelle, de cervelet et d'écorce
cérébrale
ont été mis directement à l'alcool ou au liquid
Les constatations histologiques sont les sui- vantes : A. Ecorce
cérébrale
. - Elle ne se distingue d'une écorce normale que
tre le type classique, cérébrospinal, il existe des formes frustes,
cérébrale
, spinale, bulbaire ou cérébelleuse. La sclérose
différents liés à des lésions « encore hé- réditaires » de systèmes
cérébraux
ou médullaires C'est ainsi que Pauly et Nonne,
ême chaîne. UNIVERSITÉ DE GENÈVE DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU
CÉRÉBRAL
DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS PAR R. WEBER-
t en deux catégories. 1° La tumeur se développe aux dépens du tissu
cérébral
,qu'elle « mange » en quelque sorte. 2° Le néo
sible que les phénomènes macroscopiques habituels de la compression
cérébrale
aient presque complètement fait défaut. La substa
nt attribuable uniquement à la compression. Il ALTÉRATIONS DU TISSU
CÉRÉBRAL
DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS 141 est en effet
se, recou- verte de grosses veines ; séparé partout de la substance
cérébrale
par un épais tégument de tissu conjonctif. Poin
uvelle Iconographie DE la Salpli'rilre T, XVIII. PI. XXIII TUMEUR
CÉRÉBRALE
(11 ? bei- el Papadaki) Cfa, circonvolution f
rochet. . - ..7 .. an ,1/, (;1e F{ht'JrO;' c ALTÉRATIONS DU TISSU
CÉRÉBRAL
DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS 143 substance bla
Nouvelle Iconographie DE la SALPÊTRIERE T. XVIII. Pl. XXIV TUMEUR
CÉRÉBRALE
(Weber et Papadaki) Observation III Masson
13. Dilatation du ventricule (Obs. 1\' a.. n ALTÉRATIONS DU TISSU
CÉRÉBRAL
DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS 14T à la compress
x névrogliques. Esp, espace péri-vasculaire. ALTÉRATIONS DU TISSU
CÉRÉBRAL
DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS 149 comme celles-
ams endroits où probablement il était très difficile à la substance
cérébrale
de faire place (p. ex. c. de la Pl. XXV soumis à
et la moelle épinière. Résumé. Tumeur sise en avant des ventricules
cérébraux
. Phénomènes locaux d'atrophie des 1 ? et 2e pai
llaire minime la lumière et à l'accommodation. ALTÉRATIONS DU TISSU
CÉRÉBRAL
DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS loti En mars 1899
onvolutions étaient aplaties et les ventricules dilatés. Le manteau
cérébral
n'a malheureuse- ment pas été conservé. L'exame
artout nettement délimité ; bien qu'il soit en majeure partie extra
cérébral
et entouré de tissu conjonctif, il y a cependan
doncule cérébelleux supé- rieur. Tm, tumeur. ALTÉRATIONS DU TISSU
CÉRÉBRAL
DUES A LA PRÉSENCE -DE TUMEURS I'a'3 alterne in
atéraux étaient dilatés et cela naturellement aux dépens du manteau
cérébral
. Malheureusement celui-ci n'était plus à notre
de dimensions variables. Nous admettons que probablement le manteau
cérébral
se trouvait dans le même étal et en concluons q
es dans le tronc encéphali- que et sans doute aussi dans le manteau
cérébral
. En d'autres termes effet à distance général et
ntre des alvéoles se trouve un petit vaisseau. ALTÉRATIONS DU TISSU
CÉRÉBRAL
DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS 155 Partout sépar
LA PRÉSENCE DE TUMEURS 155 Partout séparation nette d'avec le tissu
cérébral
; point de zone d'in(lamma- tion. Grosses cellu
le latéral. FIG. 12. Espace péri-capillaire. ALTÉRATIONS DU TISSU
CÉRÉBRAL
DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS 157 par contre le
es ventricules sont dilatés, dans le voisinage de ceux-ci. Le tissu
cérébral
, grâce à la résistance qu'il y oppose, en dimin
us à éliminer; ces produits seraient des résidus ou de la nutrition
cérébrale
ou de la dégénérescence des fibres nerveuses. N
ilis et toute autre infection. Facies caractéristique des tumeurs
cérébrales
, démarche ébrieuse, hémipa- résie du bras et de
L'examen de la motilité démontre qu'il existe une hémiplégie à type
cérébral
avec participation du facial inférieur, la bouc
ig, Thiry, Schiff) pla- cent dans la protubérance et les pédoncules
cérébraux
, les centres vaso- moteurs. Il est important en
e. (1) RICKAROS, Relation d'un cas d'hémorragie dans les pédoncules
cérébraux
. Brit. med. journ., 24 avril 1886. (2) Voir l
ujours eu des époques régulières. La même année elle a « une fièvre
cérébrale
» qui dure huit mois avec délire pendant 24 jou
utopsies de vieillards et de paralytiques généraux, trouvé du sable
cérébral
, néanmoins l'intensité de nombre et de (i) LAuç
a face interne du lobe sphénoïdal et du lobe orbitaire. Les artères
cérébrales
ne présentent pas de grosses lésions d'athérome.
e présentent pas de grosses lésions d'athérome. Les circonvolutions
cérébrales
sont cependant atrophiées. Pas de granula- tion
èle la présence de streptocoques. Examen HISTOLOGIQUE. - Hémisphère
cérébral
droit. - A l'hématoxyline- éosine, la pie-mère
e 35 heures après la mort. La pie-mère qui recouvre les hémisphères
cérébraux
est épaissie et injectée de sang. Elle est extr
méningite ; les cellules nerveuses paraissent nor- males. Ecorce
cérébrale
. Les méninges, peu épaissies, sont infiltrées, su
22 VIGOUROUX ET LAIGNEL-LAVASTINE - Examen histologique. - Méninges
cérébrales
. Epaississement considé- rable de la pie-mère,
losse et du pneumogastrique sont normales. Au niveau des pédoncules
cérébraux
, pas d'infiltration cellulaire. Au Weigert, vue
es latéraux avec granula- tions de l'épendyme ; les circonvolutions
cérébrales
sont manifestement atro- phiées. Examen nISTO
on en voit parfois chez les paralytiques généraux, de l'hémisphère
cérébral
du côté opposé. En effet, depuis ce ramollissemen
e totalité dans la partie de la protubérance voisine des pédoncules
cérébraux
, et que les fibres dégénérées ne dépassent pas la
ne qu'on appelle « la maladie des chiens », montre qu'une affection
cérébrale
à lésions bien définies peut être produite par di
contractures et les attitudes bizarres observées dans l'hémiplégie
cérébrale
infantile. Au cours de cette dernière affection
n et du pied du côté paralysé donnent l'impression d'une hémiplégie
cérébrale
infantile avec contractures. L'histoire de la m
ssion produite par la main est plutôt celle d'une main d'hémiplégie
cérébrale
infantile ; étant donné l'âge de la malade, le
e déjà cité de M. Dejerine qui se rapportent à des cas d'hémiplégie
cérébrale
in- fantile.. Nous n'avons pas joint la photo
relativement peu chargée. Son père est mort à 78 ans d'hé- morragie
cérébrale
, mais il est à retenir que sa mère est morte à la
on, fonctions, qui néces- sitent un surcroît de fatigue physique et
cérébrale
. En 1892, une forte grippe la retient trois sem
ème nerveux et le tissu cérébro-spinal. I. Moelle épinière et tissu
cérébral
des foetus à canal rachidien clos : étude d'ensem
ent du canal de l'épendyme) ; constitution et ge- nèse de la tumeur
cérébrale
; ganglions crâniens ; marche générale du process
stige de tissu nerveux ; per- sistance de fibres nerveuses ; tumeur
cérébrale
sacciforme. Chapitre III. - Répercussion de la
rânienne ou crânio-spinale. Ce contenu n'est jamais de la substance
cérébrale
: dans la pseudencéphalie, c'est une tumeur rou
égards se puisse concilier avec l'absence absolue de tout appareil
cérébral
ou spinal » (1); à son avis, le liquide que l'o
une poche logée dans la gouttière crânienne représente la substance
cérébrale
. Il considère, en effet, cette eau comme une pr
e eau comme une production primitive, car il admet que la substance
cérébrale
apparaît dès l'abord sous forme d'un fluide trans
phalie dans les cavités kystiques que l'on rencontre dans la tumeur
cérébrale
. Cette tumeur doit être expliquée « par une cau
lame mésodermi- que interposée entre l'ectoderme cutané et la voûte
cérébrale
est peu abon- dante ou nulle, de sorte que les
n de l'étude de ces productions congénitales. Sans doute, la tumeur
cérébrale
des pseudencépbaliens avait attiré l'attention ;
mais dont la disposition ne rappelle nullement les circonvolutions
cérébrales
; elle est plus ou moins épaisse suivant les cas
hes profondes en gagnant vers les régions intéressées par la tumeur
cérébrale
, on constate faci- lement que cette peau, loin
est des exemples où l'hémicrânie se trouve liée à des dispositions
cérébrales
tout à fait étrangères à la Pseudencéphalie et
ne suffit-il pas d'analyser avec minutie la structure de la tumeur
cérébrale
. Le tissu de la tumeur est, en effet, un tissu
spositions céphaliques ou rachidiennes. I. MOELLE épinière ET TISSU
cérébral
DES FOETUS A CANAL RACHIDIEN CLOS. J'ai eu à
ure et la ferme- ture consécutive des deux demi-parois. 3° Tumeur
cérébrale
. Réduite à sa description histologique, la cons
Réduite à sa description histologique, la constitution de la tumeur
cérébrale
est extrêmement simple. Elle a été faite à dive
de le faire. a) Structure. Sur une coupe morphologique de la tumeur
cérébrale
, le premier fait frappant, c'est la différence
'est la différence essentielle qui sépare le tissu examiné du tissu
cérébral
. Il n'existe aucune circonvolution superficielle,
. L'inflammation a également marché vers l'intérieur, vers le tissu
cérébral
. De celui-ci on retrouve parfois des traces plu
njonctive. S'il en est ainsi, et tout permet de le croire, le tissu
cérébral
s'est touvé pris de tous côtés, par le dehors e
dedans nous conduit à comprendre le mode de formation de la tumeur
cérébrale
et la valeur même de cette tumeur, sa propagati
formations kystiques que l'on observe constam- ment dans la tumeur
cérébrale
. L'intérêt gît principalement sur le sort dévolu
éponse simple ; nous allons voir, dans un instant, que la méningite
cérébrale
évolue parfois seule durant un assez long temps
oit infiniment plus lente, divers indices montrent que la méningite
cérébrale
est encore, dans ce cas particulier, le facteur
tandis qu'elle se développe, comme à l'ordinaire, aux dépens du tissu
cérébral
. Il s'en suit que la méninge péri-médullaire es
t, pour une bonne part, que la continuation anatomique des cellules
cérébrales
; le retentissement est 388 RABAUD ici beauco
conditions, l'encéphale est exclu de la cavité céphalique, la tumeur
cérébrale
repose sur le dos. Nous aurons à rechercher l'o
gorie de foetus, est la similitude parfaite existant entre leur tissu
cérébral
et le tissu cérébral de foetus qui possèdent en
similitude parfaite existant entre leur tissu cérébral et le tissu
cérébral
de foetus qui possèdent encore une moelle netteme
ue vasculaires. De toutes façons, l'évidence s'impose : les tumeurs
cérébrales
que nous examinons ici et celles que nous avons
lus grande nette- té, nous l'avons également observé dans la tumeur
cérébrale
de certains sujets ; il s'agit donc d'un proces
vement la méninge rachidienne ainsi que le montre l'examen du tissu
cérébral
, les nerfs rachidiens postérieurs se trouvent e
disparu dès les pre- mières atteintes de la méningite. 3° Tumeur
cérébrale
sacciforme. Les mêmes foetus présentent une sec
icularité sur laquelle il importe de s'arrêter. Chez eux, la tumeur
cérébrale
ne constitue pas un bloc compact creusé de quel
vacuoles irrégulièrement disposées et sans rapport avec les cavités
cérébrales
normales. Ce sac est également sessile, il est co
core, dans la partie centrale, une cer- taine quantité de substance
cérébrale
; mais elle est peu distincte et sa nature ne p
lacunes de plus en plus grandes, détrui- sant devant elles le tissu
cérébral
. Hémorragies et exsudations, nous les avons vu
Maurice Renaud) . A. Névroglie à la superficie d'une circonvolution
cérébrale
. B Névroglie a la périphérie de la moelle. C.
xiste d'ailleurs un certain degré 412 ' BALLET ET ROSE de torpeur
cérébrale
. Les mouvements de la mimique sont impossibles ou
haut. Chez notre malade elles doivent atteindre jusqu'au pédoncule
cérébral
. Et, de fait, dans le malade n° 2 de Strümpell (1
ou bulbo-cérébello-spinale. Touchant les voies optiques et l'écorce
cérébrale
, on verrait apparaître l'amaurose avec idiotie
uit : Méningo-encéphalite chronique diffuse, athérome des vaisseaux
cérébraux
ainsi que de l'aorte, cir- rhose atrophique du
, Pans SCLÉROSE EN PLAQUES 587 que la pie-mère et les hémisphères
cérébraux
apparaissent complètement nor- maux. Les deux h
ts. Pédoncule eérébral. - Sauf une certaine petitesse, le pédoncule
cérébral
590 CATOLA ne présente pas de lésions appréci
s que disparaissent les tissus de la voûte du crâne, la subs- tance
cérébrale
elle-même disparaît peu à peu, et la masse intra-
E Iconographie DE la Salpêtrière T. XVIII. PI. LXXV PSEUDO TUMEUR
CÉRÉBRALE
PAR EMPYÈME VENTRICULAIRE (.\1u(quiu.) A. Asp
ation ne pénètre profondément entre les lobules. Quant à la méninge
cérébrale
, elle peut-être considérée comme intacte sauf e
er de masses purulentes et dès ce moment les phénomènes de pression
cérébrale
jouè- rent un rôle prédominant. C'est à cette p
tion (voir Weber et Papadaki) l'atrophie et la destruction de tissu
cérébral
, constituant en quelque sorte une dernière défens
traventriculaire aura mis obstacle au développement d'une méningite
cérébrale
externe. Il y a là peut-être une certaine analo
urologie, 1905.2. fiHASLIN,CO)ili'ibnlt07t à l'élude de la sclérose
cérébrale
. Archives de médecine expérimen- tale, 1891.
- tale, 1891. WEBER ET Papadaki, De quelques altérations du tissu
cérébral
dues à la présence de tumeurs. Nouv. Iconogr. d
ine évolution normale par une atteinte morbide interne ; les tissus
cérébral
et mé- dullaire ont été secondairement détruits
s et dérencéphales chez lesquels la méningite est plus spécialement
cérébrale
et d'un autre côté les pseudencéphales, chez les-
le que la non-propagation de la mé- ningite au reste des enveloppes
cérébrales
résulte de cette situation nettement exencéphal
e méningite, on de méningite provoquant l'exclusion de la substance
cérébrale
hors du crâne, la méningite n'eu reste pas moin
phalie coïncide avec une dégénérescence granulo-graisseuse du tissu
cérébral
. ij En d'autres circonstances, les parois du cr
ées chez les pseudencépha- liens. Mais ici, la destruction du tissu
cérébral
résultait en somme d'une action purement mécani
tion du sympathique, l'oeil étant complètement isolé de tout centre
cérébral
ou médullaire. Ce rôle du sympathique après la
me maladie congénitale. II. Cette maladie est une méningite à début
cérébral
qui se propage pro- gressivement vers les ménin
- riques chez les enfants (2 fig.), par BROCA et HERBINET, 443.
Cérébral
(de quelques altérations du tissu - dues à la p
la -) (12 fig., 4 pi.), par Rabaud, 345, 602, 675. Pseudo-tumeur
cérébrale
par empyème ventriculaire (1 pl.), MocQuiN, 65J
ntale, par Bonnus, 285. Tumeurs (de quelques altérations du tissu
cérébral
dues à la présence de -) (14 fig. 3 pl.), par W
pi.), 661. PAP,DAKI et WEBEn. De quelques altéra- tions du tissu
cérébral
dues a la présence de tumeurs (14 fig., 3 pl),
g.), 304. WEBE11 et P APADAKI. De quelques altéra- tions du tissu
cérébral
dues à la pré- sence de tumeurs (14 fig., 3 pl.
Rabaud), XLIV et XLV, XLIV bis, XLV bis, XLV ter. Pseudo-tumeur
cérébrale
par empyèrne ventriculaire (IOeQUI1'o'), LXXV.
et Bertolotti). Trophoedème chonique (V,%.LOBnA), XXVIII. Tumeur
cérébrale
(WEILit et PApADAKt), XXII à XXV. Le gérant :
e les cellules pyramidales, ces éléments fondamen- taux de l'écorce
cérébrale
, font les frais de modifications philo- génétiq
cé simples ou doubles, qui entourent les cylindraxes. Dans l'écorce
cérébrale
on perçoit et les fibres tangentielles et les f
la partie supéro-externe du chiasma. Paralysie générale et syphilis
cérébrale
diffuse. M. Duprk et Devaux. Les caractères his
ation de néo- vaisseaux. 54 sociétés savantes. Dans la syphilis
cérébrale
, l'infiltration périvasculaire, lors- qu'elle e
ation avec le centre visuel verbal. Amélioration générale. OEdème
cérébral
probable ajouté au foyer de ramollissement. '
odes de pin'énopédie, la nécessité du traitement hâtif des maladies
cérébrales
, l'amélioration des moyens de traitement dans l
chapitre aux modifica- tions crâniennes consécutives aux atrophies
cérébrales
unilatérales (hémiplégie cérébrale infantile).
nnes consécutives aux atrophies cérébrales unilatérales (hémiplégie
cérébrale
infantile). Il montre que toutes les fois qu'un
hroniques du système nerveux ; {'inégalité de poids des hémisphères
cérébraux
et cc')'t'6e/ ! enr,te[s sont les principaux cha-
9 la paralysie générale des formes non inflammatoires de syphilis
cérébrale
. Usemble que dans ces dernières, comme dans les p
oce, l'épilepsie (I cas, 1 ponc- tion), ou encore entre la syphilis
cérébrale
, et la paralysie géné- rale (4 cas, 8 ponctions
echerches expérimentales relatives à 1 influence sur la circulation
cérébrale
de la cérébrine de Poehl ; par L. M. POUSSÈYRE.
oint éprouvé d'accidents secondaires, l'auteur croit à une syphilis
cérébrale
compliquée d'endartérile (thrombose) avec ménin
s maladies indemnes de toute toxine telles qu'anévrysme des artères
cérébrales
, hématome de la 121 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYS
anguines et lymphatiques d'écoulement. L'é- lévation de la pression
cérébrale
joue le rôle principal dans la genèse de l'hydr
tre ou diminuer la tuméfac- tion delà papille même dans les tumeurs
cérébrales
inopérables. La ponction lombaire montre l'augm
et peut atténuer l'oedème papillairc. Pourquoi, dans les tumeurs
cérébrales
, la papille étranglée peut-elle manquer ou rétr
ique suppriment la communication des gaines optiques avec la cavité
cérébrale
et l'oedème central ne peut se propager au tron
ns le sinus caver- neux. AoAMKtEwicz. 1. Il n'y a pas de pression
cérébrale
parce que quand le liquide céphalo-rachidien af
es de la sensibilité thermique et algique peuvent avoir une origine
cérébrale
, spinale ou périphérique. On en observe dans l'
spasmodique avec amyotrophie des membres inférieurs, sans troubles
cérébraux
ni pseudo-bulbaires. L'angiosclérose doit être
rieure de l'avant bras. Ils ne l'ont pas retrouvé dans l'hémiplégie
cérébrale
de l'adulte. Osteo-(l1.thropathies tabétiques.
l'autre, un cancer de la petite courbure de l'estomac, avec lésions
cérébrales
beau- coup moins importantes. Suppurations et
rale, en laissant complètement de côté la cénesthésie cen- trale ou
cérébrale
, dont l'existence a été démontrée par les expér
un trouble, à une perturbation fonc- tionnelle de cette cénesthésie
cérébrale
qu'il faut rattacher les états hypochondriaques
ébranlement, d'origine périphérique ou centrale, de la cénesthésie
cérébrale
, en un mot une psycho-céneslhésiopa- thie. 11 e
te tout le poids de son expérience pour défendre l'antique doctrine
cérébrale
de l'hypochondrie et NI. Deny tente de rajeunir
plus souvent dans le tabes, la paralysie générale et les lésions
cérébrales
syphilitiques. Dans le tabes on observe : le sign
nature, que l'on observe dans beaucoup de lésions médullai- res ou
cérébrales
et, en particulier, dans les lésions très an- c
iquement centrale. Or, la paralysie générale, affection des centres
cérébraux
et des méninges cérébrales, peut très bien se p
paralysie générale, affection des centres cérébraux et des méninges
cérébrales
, peut très bien se propager à la moelle et aux
'il traduisait simplement une lésion du cerveau ou des ménin- ges
cérébrales
. Il résulte de ces observations que le signe de
ée de quantités comprises entre 6° et 9° 1/2. De la galvanisation
cérébrale
. Signification thérapeu- tique et clinique. D
une électrode sur le front et une autre à la nuque, ont une action
cérébrale
incontestable, et variable avec le sens du cour
ertige voltaïque et de son importance dans le diagnostic de lésions
cérébrales
et auriculaires, d'après Babinski. Enfin Vu- ne
er. 11 semblé bien que, dans ce cas, on ait affaire à de l'oedème
cérébral
. Les paralysies transitoires des urémiques et, il
e : Dilatationdes ventricules latéraux, pasd'athé- rome des artères
cérébrales
, plaques jaunâtres sur les ménin- gites molles
lisée à la partie antérieure des bords su- périeurs des hémisphères
cérébraux
avec une atrophie des lobes frontaux très accen
monium elle bisulfite de soude) en contact.avec les circonvolutions
cérébrales
. Des convul- sions ont apparu ; puis le nombre
ner. Il semble bien que dans ce cas, on ait affaire à de l'oedème
cérébral
. Les paralysies transitoires des urémiques, et, à
tions de cellules hématomacrôphages provenant d'un cas d'hémorragie
cérébrale
avec irruption ventriculaire (liquide rachidien
vité et de la sensibilité morale. ' Le trouble de la cénesthésie
cérébrale
ayant envahi peu à peu l'élément organique, myo
En faisant jouer le principal rôle aux troubles de la cénesthésie
cérébrale
dans la genèse du délire de notre malade et des
par suite d'un état maladif des régions correspondantes de l'écorce
cérébrale
, ne sont 200 CLINIQUE MENTALE. plus adéquates
rps, les unes par rapport (1) .1. COTARD. - Etudes sur les maladies
cérébrales
et mentales, p. 388. ' (2) SÉGLAS. Leçons cli
aide. Joannes Millier a démontré que le volume des hémis- phères
cérébraux
augmente en fonction de la diminu- tion des gan
- nert (2) aux rapports entre la base et le sommet des pédoncules
cérébraux
. Les voies conductrices afférentes aux centres
ndividu atteint d'épilepsie jacksonnienne la zone lésée de l'écorce
cérébrale
, on enlève, avec le mal, l'activité volontaire
le cas de deux jeunes gens auxquels on avait enlevé à l'un l'écorce
cérébrale
au niveau du centre du membre supérieur gauche,
z les enfants en bas âge que chez l'individu il qui manque l'écorce
cérébrale
. Le phéno- mène du jambier antérieur est aussi
primitivement observé dans les cas d'hémiplégies orga- niques ou
cérébrales
est imputé par les auteurs à des lésions du fai
e interprétation comme exacte, nous disons que l'absence d'écorce
cérébrale
peut, comme les troubles des voies conductrices
qui implique une absencedecor- tex, c'est donc grâce aux ganglions
cérébraux
que la vie peut se maintenir chez les anencépha
céphale de MM. Vaschide et Vurpas possédait un bulbe sans ganglions
cérébraux
. Ces gan- glions qui, avec le cortex, constitue
ulaires confirment le rôle que la physiologie assigne aux ganglions
cérébraux
. Les ganglions inférieurs sont des centres réfl
devons y voir que leproduit del'entrée en fonction des ganglions
cérébraux
. Il n'y a rien de psychique dans l'activité du
Chez un tabétique artério-scléreux mort à 50 ans d'hémorrha- gie
cérébrale
, il fut trouvé des formations calcaires dans les
de ces granulations. F. T. X. Analyse de quelques cas d'affections
cérébrales
; par 31. J. FÉDOROW. (Obozréuié psichiatrii, V
ogie nerveuse. 317 diagnostiquer un processus occupant les méninges
cérébrales
et la surface de la couche corticale au niveau
quand plusieurs mots ont disparu du 326 bibliographie. réservoir
cérébral
, ceux qui sont restés sont et demeurent d'au- t
ysie géné- rale s'associent à des lésions non douteuses de syphilis
cérébrale
la coexistence de ces lésions est beaucoup plus
roit généralement; 2° par l'examen des méninges du fond des sillons
cérébraux
, épaissies à un tel point qu'on pense immédia-
respondante offre des adhérences à la substance grise. Hémisphère
cérébral
gauche. La pic-)nére s'enlève en général assez,
ue mi- nime qu'en soit la dose. le délire apparaît. La résistance
cérébrale
a cédé et le sujet devient psychopathe. Ce rapp
la cholémie. est un toxique. Chez le sujet pondéré, au point de vue
cérébral
, ce mélange n'amène qu'une simple dépression.
baser non sur l'intensité de la cholémie, mais sur la résistance
cérébrale
du sujet, pour se rendre compte du degré de la
ans l'enfance. Pendant son service militaire, il a eu une affection
cérébrale
(1885). Pas de renseigne- ments sur cet état, t
(constamment ? exprimait sa crainte d'être repris de l'affec- tion
cérébrale
qu'il avait eue au régiment. Son étal s'aggravait
sécution. Elle est morte dans cet état il la suite d'une congestion
cérébrale
. Dans sa jeunesse, elle avait eu la chorée. Une
es impressions douloureuses. La dou- leur est un phénomène central,
cérébral
, résultant uniquement de la difficulté qu'éprou
ne serait que l'expression du mode le plus élevé du fonctionnement
cérébral
: clic apparaît dès que ce fonc- liunncmcnt dim
s traces de méningite purulente ni ra- nltirlicnne, ni bulbaire, ni
cérébrale
, pas même des signes appa- l'cn[,,llel11l'ningi
apitre, l'auteur étudie lessYll1ptômes atlribua- bles à des lésions
cérébrales
en foyers que l'on peut trouver dans la psychos
naux; infectieux di vers, peuvenl produire la psychose. Les tumeurs
cérébrales
, la sénilité peuvent la reproduire. L'auleur
mps dépassé Cbarlres, quand la jeune fille, sujette il des troubles
cérébraux
, alla s'enfermer dans les uater-closcts, brisa
ent elles sont le siège de fongus analogues il ceux de la dure-mère
cérébrale
. » A la théorie purement mécanique d'Ollivicr e
ialhorrée à l'issue de cette phase, reprise d'une certaine activité
cérébrale
délirante de couleur mélancolique, suicide (hér
nt donné éga- lement des résultats encourageants : Xlll. Syphilis
cérébrale
et injections d'hermophényl ; par MM. Roque et
Lyon médical, 21 mai 1905, no 21.) Quatrcohservations de syphilis
cérébrale
à manifestations va- l'iées, que les auteurs on
injections d'hermophényl à hautes doses. Observation 1 ? Syphilis
cérébrale
, céphalée en un point fixe, à recrudescence noc
s. Guérison de tous les ac- cidents. 0&M)'Mt(tO)t/7T.Syphilis
cérébrale
. Paralysie. Injections de 1 gr. 52 d'hermophény
ions d'hermoplu- nyl constituent un traitement actif de la syphilis
cérébrale
. ' ' Les auteursontinjecté à ces divers malades
hényl on soit en posses- sion d'un mode de traitement delà syphilis
cérébrale
, permettant de pousser, aussi loin qu'on le jug
rachidien jusqu'à la première paire dorsale. Diagnostic des tumeurs
cérébrales
. , M. CESTAN.Lanévritooptique oedémateuse est l
syndrome d'hypertension céphalo-rachidienne causé par les tu- meurs
cérébrales
, mais on peut hésiter quand il n'existe pas enco-
so laryngée, probablement liée à une lésion congénitale de l'écorce
cérébrale
chez une fille de 9 ans 1/2. (Soc. méi, des ltt
d'examiner un malade. Hémiplégie ; Mémorrha- gie et ramollissement
cérébral
. Tumeurs cérébrales. Aphasies. Encéphalopathies
ade. Hémiplégie ; Mémorrha- gie et ramollissement cérébral. Tumeurs
cérébrales
. Aphasies. Encéphalopathies infantiles (maladie
les. Voir timibles qicyullaires. ' Analyse de quelques cas cl'-
cérébrales
, par Fedorovv, p. 310. .LLBUI<IIi\O-DLIn\O
]iérédo-ataxic cérébelleuse, par Raymond, p. 313. Galvanisation
cérébrale
. , Signification thérapeutique et clinique, p
ne an- cienne faciale, par Lamy, n. 53. - énérale et syphi- lis
cérébrale
diffuse, par Du- pré et Dcvnw, p. 53. Suppu-
rches expérimen- tales relatives à l'influence sur la circulation
cérébrale
de la cerebrino de -, par Pousseyre, p. 111.
le familiale con- génitale, pal Taguet et Fov. p. 131. Syphilis
cérébrale
. Voir Para- lysre pén`s7ale. - cérébr : llo e
pie-mère. Pas de lésions macroscopiques importantes de la substance
cérébrale
. Vaisseaux : Athérome des artères basilaire et
le d'Armentières le 13 décembre 1901. Sa mère est morte de « fièvre
cérébrale
». Lui même est alcoo- lique, il a eu du rhumat
, rien de particulier à signaler. L'examen histologique de l'écorce
cérébrale
, nous a permis de constater les lésions ordinai
ait avec elle des fragments de substance grise. Les circonvolutions
cérébrales
étaient atrophiées et la couche de substance gr
. Il n'y avait pas d'autre altération macroscopique de la substance
cérébrale
. Les vaisseaux delà base, la basilaire notammen
mbre de centres, médullaires, bulbo-protubérantiels, cérébelleux et
cérébraux
, dont nous commençons à entrevoir le rôle. Or
, entre autres causes, par les impres- sions sensitives et l'action
cérébrale
, nous pouvons dès maintenant comprendre que, po
tion à un but déterminé exige ou a exigé l'intervention des centres
cérébraux
conscients. Or, associations et coordinations s
cocaïne dilate promptement la pupille (P. Schultz). Le sympathique
cérébral
est-il lésé ? C'est un terri- toire encore trop
traitement des hémor- ragies intra-cràniennes. G. DENY. IX. Abcès
cérébral
double après chute sur le front. Trépanation. G
, mais '100 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. les phénomènes de compression
cérébrale
subsistent. Dix-neuf jours après l'ouverture du
. Il paraît que depuis un mois il donnait des signes de dérangement
cérébral
et l'on a tout lieu de croire que c'est dans un
ue lemps, la marchande de légumes donnait des signes de dérangement
cérébral
: « Je ne sais pas ce que j'ai, disait-elle par
urent pendant la première semaine de faiblesse, convulsions. oedème
cérébral
, etc. 6 étaient idiots, 5 étaient rabougtis, de
tion. Mais cesimpressions répétées ébranlent petit à petit son état
cérébral
instable, puis réveillent l'état vésanique late
s deux dernières se confondent : une première période d'ébranlement
cérébral
qui correspond à l'accepta- tion des idées déli
nts divers, toutes fonction de la déséquilibration des départements
cérébraux
. Sans examiner en détail ces variétés syndromiq
ène qui s'impose (Magnan). Il y a rupture de l'harmonie des centres
cérébraux
et exubérance d'un cer- tain nombre d'entre eux
enfants arriérés et l'un d'eux a été réformé, à cause de ce défaut
cérébral
, du service militaire. Le père de la malade est
ans et avec grande difficulté; deux ans après, elle eut unetfievre
cérébrale
qui i lui est survenue à la suite d'une frayeur
oute lésion oculaire. Ces deux cas viennent à l'appui de la théorie
cérébrale
du nys- tagmus. Knies définit le mystagmus cong
a été trouvé dans le sang pendant la vie, dans le pus des méninges
cérébrales
et spinales, dans les végétations de l'endocard
ntre modérateur du coeur, vers le centre vaso- moteur etc. L'anémie
cérébrale
en résulterait. On peut penser aussi à une cris
à une lésion du thymus. G. C. XXIII. Note sur un cas de sclérose
cérébrale
infantile d'origine hérédo-syphilitique. L'héré
surface de l'hémisphère gauche, l'existence d'une zone de sclérose
cérébrale
. Au niveau d'une région répondant fort exacteme
s grand nombre des cas, l'origine hérédo-syphilitique des scléroses
cérébrales
dont la traduction clinique répond au diverses
s encéplalo- pathies syphiliques. Or, toutes les formes de syphilis
cérébrales
ne se terminent pas par la paralysie générale.
onto-céréhelleuse avec dégénérescence pres- que totale du pédoncule
cérébral
, sauf le second cinquième interne SOCIÉTÉS SAVA
de plaques de sclérose sur le cervelet, la protubérance et l'écorce
cérébrale
, étant donnée la suppléance possible entre l'éc
e qui depuis deux mois à des hallucinations, un état d'excitation
cérébrale
très spécial. Les troubles psychiques, dans nos
'asile que parce qu'ils ont présenté après l'opération des troubles
cérébraux
persistants. Dans une première communication
onsidérable de cas, où une opération pourra mettre fin aux troubles
cérébraux
. Enfin, en terminant et comme conclusion généra
atives, ce qui* évidemment, peut indiquer l'existence dans l'écorce
cérébrale
de centres séparés indépendants affectés aux pr
ade qui a succombé dans son service avec les symptômes d'une tumeur
cérébrale
. Les troubles avaient débuté par une céphalée n
était devenue double. Il y a un an, on lit le diagnostic de tumeur
cérébrale
. La malade succomba dans une crise épi- leptoïd
ique caractérisée par l'existence de cavités creusées dans le tissu
cérébral
, quelle que soit leur origine. - Ils rapporte
du crâne, suivie d'une réparation osseuse incomplète ; la substance
cérébrale
avait été . remplacée par une cavité infundibul
iforme, en communication avec le ventricule latéral. La déformation
cérébrale
était restée latente jusqu'à l'âge de seize ans
eint. Le mode d'ac- tion du traumatisme (lacération de la substance
cérébrale
, hémor- rhagie. trouble trophique, inflammation
de la volonté, autrement dit au début une intervention de l'écorce
cérébrale
est nécessaire. Dans quelques cas cependant c'est
a période critique de l'insénescence prochaine. XLVIII. Commotion
cérébrale
et hystéro-épilepsie ; par WILL- NOYES. (i)Iecl
) C'est un chapitre des rapports des névroses avec le traumatisme
cérébral
. L'auteur rappelle, à propos d'un cas personnel,
normaux, devient vite mélancolie délirante chez les hérédi- taires
cérébraux
. C'est ce dont M. Bienvenu s'est assuré par des
érescences descendantes consécutives au ramollissement du pédoncule
cérébral
. M. Cestan insiste sur la dégénérescence du fai
générale habituelle. On ne relève chez lui aucun signe de lésion
cérébrale
ou spinale ; l'examen du liquide céphalo-rachidie
aitement par le chlorure d'éthyle, elle est soignée pour rhumatisme
cérébral
. Néanmoins, les douleurs persistent violentes d
où elle se trouve. Par moments, elle manifeste un peu d'exaltation
cérébrale
avec idées de satisfaction et de richesses : « el
e satisfaction et de richesses. 27 juillet. - Un peu d'excitation
cérébrale
sans modification de la santé physique; elle ra
- 361 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. chait la faiblesse congénitale
cérébrale
de ses malades à l'alcoolisme des parents'. 1.
rmit, avec l'évo- lution de la maladie, de diagnostiquer une tumeur
cérébrale
. Les attaques d'épilepsie jacksonnienne permett
deux stades bien différents. Au début, il y avait une com- pression
cérébrale
générale, caractérisée par la céphalée, les vomis
générale. Plus tard, tous les phénomènes somatiques de compression
cérébrale
générale disparurent pour faire place à une pér
arcome des méninges, ayant refoulé puis détruit les circonvolutions
cérébrales
avoLinantes. (Revue neurologique, septembre 190
alysies n'étaient pas stables. Excluant le trauma- tisme, la tumeur
cérébrale
et l'encéphalite, l'auteur suppose dans le cas
nt ainsi : « En présence d'une réaction motrice à laquelle l'écorce
cérébrale
ne prend pas et n'a jamais pris part, nous diro
t un spasme. En présence d'une réaction motrice à laquelle l'écorce
cérébrale
prend ou a pris part, nous dirons : ce n'est pas
se reconnaît la partici- pation à un moment quelconque de l'écorce
cérébrale
, présente en outre certains caractères patholog
tes : céphalée, rachialgie, asthénie neuro-mus- culaire, dépression
cérébrale
, insomnie, dyspepsie atonique, est essentiellem
t. Il n'y a ni asthénie, ni céphalée, ni dyspepsie, ni dépres- sion
cérébrale
; aucun des symptômes de la neurasthénie clas-
avec hallucinations et idées mé- lancoliques rappelle les accidents
cérébraux
qui surviennent, au cours de la lièvre typhoïde
de préciser le siège du centre ou plutôt des centres vaso-moteurs
cérébraux
: en les examinant, on est frappé de la grande fr
ique, oct. 1902). 1;. 13. XXXVI. Nouvelle méthode de mensurations
cérébrales
. Atrophie relative du lobe pariétal par rapport
timent pourtant que les connexions entre la destruction de l'écorce
cérébrale
et la lésion du corps calleux sont assez loin d
la lésion. » R. Cnaaon. XL. Anatomie des lacunes de désintégration
cérébrale
; par J. FERRAND (Nouv. Icmaogr. de la ff/pe ?
dé, capsule interne, c'est-à- dire dans le domaine d'irrigation des
cérébrales
. Le lieu d'élection des lacunes se trouve au ni
propre- ment parler, c'est la lacune miliaire (raréfaction du tissu
cérébral
autour du vaisseau sans solution de continuité)
es parois mais toujours perméable, cavité limitée par un parenchyme
cérébral
en voie de désintégration contenant des élément
S. lisée au sommet droit, entré dans le service pour des troubles
cérébraux
qui ont brusquement débuté, sans ictus, il y a tr
che et de la jambe du côté droit. Dans ce même cas il y a une algie
cérébrale
persistante continuelle, résistant à toute médi
ariables; dans 1 cas, la manifestation des symptômes de la syphilis
cérébrale
influa d'une manière favorable sur les idées ob
ituels dirigés contre le lymphatisme, la tuberculose, les accidents
cérébraux
et surtout l'épilepsie. J'ai obtenu de bons rés
l'Hystérie et de la Suggestion basée sur un schéma des fonc- tions
cérébrales
: le Centre 0 et le Polygone. Nous essaierons pro
une table mobile. Sur les parois delà salle, 40 planches d'anatomie
cérébrale
macroscopique. Dans la salle sont conservées les
scles sont séparés par la section médullaire de leur centre tonique
cérébral
, d'où paralysie flasque, tansdis que les réflexes
xistence d'une tachycardie assez mar- quée. G. C. LXXVH. Syphilis
cérébrale
? Souffle céphalique ; par M. CLAMENT (Société
double, plus accusée à droite. Il s'agissait donc d'une compression
cérébrale
, probablement par une tumeur, siégeant dans les p
qu'il s'agit d'un bruit vasculaire lié à l'exis- tence d'une lésion
cérébrale
. Ce phénomène pourrait être dû, dit l'auteur, s
une artérite, avec anévrisme ; soit enfin à la présence d'une gomme
cérébrale
ou de plaques scléro- gommeuses des méninges co
part au moins des relations du développement intérieur des lobes
cérébraux
. Pour en apprécier le code il faut seulement dist
s qui reposait SOCIÉTÉS SAVANTES. 545 uniquement sur des troubles
cérébraux
en tout point analogues à ceux que l'on observe
ique, dans la moelle, dans le bulbe ou au niveau même de l'é- corce
cérébrale
. La précocité de l'apparition de l'oedème permet
trouble dissocié de la sensibilité cutanée dans la lésion du tronc
cérébral
. Dr G. Rossolysio. L'auteur communique quatre o
dination de. type cérébelleux et avec le trouble de divers nerfs
cérébraux
. Cas 1. Malade K ? de soixante-cinq ans. La pér
les céréhelleux antérieurs de reconnaître l'existence dans le tronc
cérébral
des voies particulières, ne correspondant pas a
montré que les anesthésies organiques du tabès, de l'hémianesthésie
cérébrale
, de la sclérose en plaque, de la névrite, ont c
urant rue Damrémont, donnait des signes de varia. 575 dérangement
cérébral
. Hier soir, s'imaginant que sa femme voulait l'
fromagerie, donnant depuis quelques mois des signes de dérangement
cérébral
, s'est noyé dimanche. Il s'était attaché au cou
boulevard Saint-Germain, Paris (61) SiiUiNDA (Anastas). ocn'M/ton
cérébrale
du nerf pneumogastrique, in-S° de 28 pages. Gut
er. Le rédacteur-gérant : Bouhneville. TABLE DES MATIÈRES Abcès
cérébral
double après chute sur le front. Trépanation. G
cences descendantes con- sécutives au ramollissement du pédoncule
cérébral
, par Cestan, 293. Les stigmates obstétricaux
logiques dans la - . par Dile et Cllénais, 371. Voir Mensurations
cérébrales
. Désespoir d'une boulangère, 121. Désintégrai
ions cérébrales. Désespoir d'une boulangère, 121. Désintégrai ion
cérébrale
. Anatomie des lacunes de-, par Ferranci, 158.
o-pathologique de , par An- glade et Chocreaux, 197. Mensurations
cérébrales
. Nouvelle méthode de -. Atrophie relative du
nigne, par Devay, 534. - ocu- laires. Voir Diplégie. Tédoncule
cérébral
. Voir Dégéné- rescences. . Voir atrophie. PEL
ann, 282. - et,itropliiem(isculaire, 1)tr Vacher, 535. Sclérose
cérébrale
in'antile d'oli- gine hérédo-syphililique. L'hé
chez les ascendants, par 111alllerbe, 86. Trépanation. Voir abcès
cérébral
double. -(le t'apophysemastoide. Voir Acciden
Du - dissocié de la sensibilité cutanée dans la lésion du tronc
cérébral
, par Rossoluno, 519. 'I'ROI'llol-DÈ31F. Sur le
nges (méningite spinale posté-rieure) ; 3° celle des différents nerfs
cérébraux
, et entre autres, des nerfs optique, moteur ocula
mes cephaliques, et qui ont pour point de départ une lésion des nerfs
cérébraux
ou bulbaires, tels que les nerfs optiques, par ex
t obscurcir le diagnostic, et faire songer à l'existence d'une lésion
cérébrale
ou cérébelleuse. — C'est un point sur lequel nous
l'examen oph-talmoscopique dans le diagnostic de quelques affections
cérébrales
. Existence isolée de l'amaurose tabétique ; sa
t dans le nerf optique en conséquence de la né-vrite liée aux tumeurs
cérébrales
{névrite optique) et l'indura-tion grise de ce mê
nostic est bien différent de ce qu'il est dans l'hypothèse de tumeurs
cérébrales
. S'il s'agit, en particu-lier, d'une lésion syphi
incertain. Il n'est pas douteux pour moi que certains cas de tumeurs
cérébrales
, sans nul doute fort exceptionnels, doivent être
nt pas, d'ailleurs, un fait absolument exceptionnel en cas de tumeurs
cérébrales
. Ainsi, sur 233 cas, M. Ladame a mentionné 23 foi
champ. Il devenait évident que Ler... était sous le coup d'une tumeur
cérébrale
, et l'autopsie l'a vérifié ; quant à Deg..., elle
Physio-logie, Bd. II, p. 511. la vessie viendraient des pédoncules
cérébraux
. Passant par les corps restiformes, ils pourraien
s très te-naces, très persistants, sont, en dehors de toute commotion
cérébrale
, un symptôme immédiat assez fréquemment lié aux l
sur les maladies du système nerveux, tome L, p. 218, 219. commotion
cérébrale
, —ne plus battre que 48 fois à la mi-nute i. Suiv
ment des pulsations \ Bien entendu toute intervention de la commotion
cérébrale
se trouve écartée dans ses observations. Dans la
la région de la 6e vertèbre cervicale. Les symp-tômes d'une commotion
cérébrale
légère et tout à fait transi-toire se manifestère
se, avec ou sans accompagnement de convulsions, ou d'autres symptômes
cérébraux
et quelquefois de contrac-tures passagères. Cet
ccasionnée dans les membres inférieurs par la suppression de l'action
cérébrale
pourra être complète, absolue, et cependant les m
t des faisceaux de Tiirck. Sclérose latérale consécutive à une lésion
cérébrale
. Sclérose latérale symétrique primitive. — Anatom
t aussi dans la protubérance et dans l'étage inférieur des pédoncules
cérébraux
. Or, ces régions de l'isthme de l'en-céphale et d
t être suivie jusqu'à l'entre-croise-ment, du même côté que la lésion
cérébrale
. Au-dessous de l'entre-croissement, au contraire,
lle ne s'est pas trop longtemps prolongée. Dans le cas où la lésion
cérébrale
primitive occuperait simul-tanément les points co
nséquent d'une sclérose latérale symétrique, consécutive à une lésion
cérébrale
. Mais la sclérose symétrique totale des faiscea
ref, parce que je suppose connues les scléroses consécutives de cause
cérébrale
, dont les caractères anatomiques se confondent, à
s de la sclérose la-térale primitive jusque dans le pied du pédoncule
cérébral
(étage inférieur du pédoncule) : mais on ignore c
et aussi chez certains sujets atteints, consécutivement à une lé-sion
cérébrale
en foyer, d'hémiplégie avec contracture. Cette tr
eurs surtout commencent à s'atrophier fort peu de temps /hémiplégie
cérébrale
avec sclérose descendante consécutive ; — c) dans
dans les faisceaux latéraux à la suite de diverses lésions en foyer,
cérébrales
ou spinales, ne retentissent-elles pas, à l'insta
ophie. Ainsi, j'ai observé plusieurs fois des hémiplégies, de cause
cérébrale
, succédant par exemple à la formation d'un foyer
ulaires qui, dans la dure-mère spinale, de même que dans la dure-mère
cérébrale
(moins souvent, toutefois, dans celle-là que dans
é de la moelle, dans la sclérose des-cendante consécutive aux lésions
cérébrales
ou spinales en foyer ; 2° les faisceaux de Tùrck,
use : contractures hémiplégiques dura-bles, consécutives à une lésion
cérébrale
en foyer, paralysie générale progressive, myélite
avec tout l'appareil si original des symptômes spinaux, bulbaires et
cérébraux
qui la caractérisent dans son type de complet dév
s scléreuses disséminées, limitées à l'étage inférieur des pédoncules
cérébraux
, aux pyramides antérieures dans le bulbe rachidie
les faisceaux latéraux 'région dor-sale inférieure). Les hémisphères
cérébraux
étaient dans toutes leurs parties absolument exem
Le vertige de Meniere est encore peu connu. — Diagnostic : congestion
cérébrale
apoplectiforme ; — petit mal épileptique ; — vert
ont à des espèces plus vulgaires telles, en autres, que la congestion
cérébrale
apoplectiforme ou coup de sang, le pelit mal épil
s'est, à l'origine, présentée chez R... sous la forme de l'apoplexie
cérébrale
suivie d'hémiplégie telle qu'elle se présente en
ue dans quelques cas exceptionnels d'hé-morragie ou de ramollissement
cérébral
en foyer, l'hémiplé-gie, contrairement à la règle
e circonstance remarquable, déjà mise en relief, que Yhémia-nesthésie
cérébrale
, c'est-à-dire avec participation de tous les sens
localisées dans certains points, toujours les mêmes, des hémisphères
cérébraux
et dont le siège semble être aujourd'hui à peu pr
Épilepsïe partielle ou hémiplégique. — Ses rapports avec la syphilis
cérébrale
. — Considérations historiques. — Description d'un
-tions, est une des manifestations les plus fréquentes de la Syphilis
cérébrale
. C'est là un fait, on peut le dire, hautement rec
s particularités qu'offre souvent cette forme clinique de la syphilis
cérébrale
. Mais j'aurai surtout à cœur de mettre en relief
ion suivante où, comme dans la première, il s'agit encore de syphilis
cérébrale
. Un confrère étranger, de passage à Paris, me f
rreuse que présentent habituellement les malades atteints de syphilis
cérébrale
, voir au point de vue du diagnostic les re-marque
dans le côté gauche de la face, des grimaces qui se suc- d'origine
cérébrale
puissent être provoqués par certaines manœuvres.
térêt lorsque l'on sait que les parties de la surface des hémisphères
cérébraux
qui sont en rapport avec la région pariétale du c
la zone motrice, ou, autrement dit, comme la seule région de l'écorce
cérébrale
dont l'irrita-tion peut déterminer, sur le côté o
s, durant cette période, il se produisit des rechutes de l'af-fection
cérébrale
, marquées par des accès épileptiformes, moins int
n'ignore pas qu'il se-rait aisé de citer nombre de faits de syphilis
cérébrale
avec épi-lepsiepartielle où, malgré l'assistance
ilepsie partielle, parmi les manifestations si variées de la syphilis
cérébrale
. En septembre 1872, je fus consulté par M. A.,
pilepsie partielle, des formes cliniques très diverses de la syphilis
cérébrale
peuvent relever encore de la pachyméningite gomme
des intervalles libres de tout symptôme permanent la substance grise
cérébrale
, au contact de la pie-mère altérée, n'a subi enco
ndante, avec hémiplégie permanente, consécutive à une lésion gommeuse
cérébrale
. (Bull, delà Soc. anat., 1870, p. 431). 2 Consu
» Ce malade a été successivement traité comme atteint d'une affection
cérébrale
mal déterminée, d'épilepsie, de vertige stoma-cal
ésion est de même nature ; toutes les trois sont atteintes d'atrophie
cérébrale
uni-latérale, con-sécutive à une lésion encéphali
e l'examen ophtalmoscopique dans le diagnostic de quelques affections
cérébrales
. Existence isolée de l'amaurose tabétique; sa f
t des faisceaux de Tiirck. Sclérose latérale consécutive à une lésion
cérébrale
. Sclérose latérale symétrique primitive. — Anatom
Le vertige de Ménière est encore peu connu. — Diagnostic : congestion
cérébrale
apoplectiforme ; — petit mal épileptique ; — vert
Epilepsie partielle ou hémiplégique. — Ses rapports avec la syphilis
cérébrale
. — Considérations historiques. — Description d'un
nsécutives aux lésions des nerfs périphériques, 74. — Aux hémiplégies
cérébrales
, 74. — Aux lésions traumatiques de la moelle, 7
Dans Yataxie, 18, — Dans V hémiparaplégie, 139. — Dans Y hé-miplégie
cérébrale
, 269. — Dans la myélite aiguë centrale, 215. — Da
363. — Symp-tomatiques, 358. (V. Athétose.) Hémichorée.) Commotion
cérébrale
, 153. Consanguinité, 224. Contractilité élect
me, 90, 273. Hématomyélie, 88, 167, 210, 419. Hémianesthésie de cause
cérébrale
, 360, 366, 3î 1. — Croisée, théorie, 137. — H
miparaplégie spinale avec anes-thésie croisée, 136, 319. Hémiplégie
cérébrale
avec contrac-ture, 240. — spasmodique, 383. — spi
— Bulbaires (Lé-sions des), 42. (V. Amyotrophies, Paralysies, etc.) —
Cérébraux
(Atrophie des), 5, 43. — Optique (Atrophie du), 4
rcules quadrijumeaux, 368.(V. Moelle.)— Des vertèbres, 14s. Tumeurs
cérébrales
, 52, 55. (V. Mé-ninges, Moelle.) Turgk (Dévelop
é de son idée fixe subconsciente ; alors, dans ce temps d’automatisme
cérébral
, une volonté forte se substitue à sa volonté affa
Pour être complet, j’ajouterai qu’à la suite du surmenage physique ou
cérébral
, cette personne subit parfois des crises qui 1 ap
une diminution de la sonorité; à 16 ans, fièvre typhoïde à forme
cérébrale
; l’intestin est resté susceptible; trois mois ap
ésique et d’irriter par contre-coup telle ou telle partie de 1 ecorcc
cérébrale
. A force d’interrogations, j’arrivais ainsi à d
lacer l’idée obsédante et aussi pour fortifier ce temps d’automatisme
cérébral
, j’imprimais aux membres des mouvements réguliers
graphique. Bérillon ET Bianchi : Applications de la phonendoscopie
cérébrale
à l’étude des états hypnotiques. Bianchi (de Pa
étude des états hypnotiques. Bianchi (de Parme) : La phonendoscopie
cérébrale
. Bilhaut (Paris) : La radiographie envisagée da
mais il n'est pas le seul. L'hypnotisme détermine une série d’états
cérébraux
très particuliers, dont l’étude n’est d'ailleurs
effet, dit-il, le dégoût est un processus purement psychique, un acte
cérébral
comme l'appétence. « C’est une grosse erreur de c
Or, il ne s'est agi ni d’hémorragie, ni de ramollissement, ni d’œdème
cérébral
. Celle malade, au réveil, ne s'est pas reconnue;
Ainsi, il ne faut pas confondre la coordination, qui est d’origine
cérébrale
, et l’adaptation, qui est d'origine médullaire. L
qui fait époque dans les annales de l’hyp- notisnie : La dualité
cérébrale
et Vindépendance fonctionnelle des deux hémisphèr
dualité cérébrale et Vindépendance fonctionnelle des deux hémisphères
cérébraux
. En 1884, le ministre de l’intérieur le chargea d
ire, l’association dc-s idées, les lois des phénomènes physiologiques
cérébraux
concomitants. Les découvertes déjà faites dans ce
la formation préalable d’idées dans le cerveau. Les premiers actes
cérébraux
du bébé, sont des actes d’imitation. Lombroso cit
e toute autre faculté psychique a disparu. Tel cet idiot, dont la vie
cérébrale
se bornait à répéter tout ce qu’on faisait devant
illeurs, Sollier qualifie avec plus de raison l’hystérique d’engourdi
cérébral
. L’appareil vérificateur, le sens du contrôle est
. 2) d’où l'acte. Qu’il s’agisse de réflexes médullaires ou d'actes
cérébraux
automatiques, d’actes imités, le schéma est le mê
ous obligent à croire, que des réflexes cutanés sont plutôt d’origine
cérébrale
(Sherrington). (•) Y. D' Félix Regnault; Hypnot
Vous dites : on tend à admettre que certains réflexes ont une origine
cérébrale
; ce n’est donc pas absolument sur. Mais, cela fu
s d’autres sortilèges que ceux de la puissance morale et de l’énergie
cérébrale
dont vous êtes pourvus. Redresser les intellige
ence à Broca, qui le premier établit scientifiquement la localisation
cérébrale
d'une fonction de l’intelligence. Le principe des
brale d'une fonction de l’intelligence. Le principe des localisations
cérébrales
, fondé par Broca, fut confirmé et développé par l
vrirent, au moyen de l’électricité, l’excitabilité propre de l’écorce
cérébrale
. Dans cette partie, consacrée à la période cont
voies d'association et commissurales. Le chapitre consacré à l'écorce
cérébrale
chez l'homme et chez les animaux est des plus rem
t souvent alors par la suggestion, une amélioration marquée de l’état
cérébral
. Mais c’est surtout au moment de la convalescen
s tous leseas où les états toxi-infectieux s’accompagnent de troubles
cérébraux
, et c'est le plus grand nombre, il y a peu ou pro
s. Troubles psychiques en rapport avec la compression de l’écorce
cérébrale
. Par M. le Dr Aubeau. Traumatisme de la régio
e Dr Aubeau. Traumatisme de la région pariétale droite. — Accidents
cérébraux
graves immédiats, persistant pendant plusieurs mo
connue : Délire aigït suivi de l'abolition des principales fonctions
cérébrales
. — Idiotie. — Gâtisme. — Rçtour de toutes les fon
t consécutifs au traumatisme, pourraient s’expliquer par la commotion
cérébrale
et une suffusion sanguine des méninges, suffisant
des méninges, suffisantes pour provoquer de l’irritation de l'écorce
cérébrale
et de ses enveloppes et par conséquent de l’excit
é- rieure allant jusqu’à l'annihilation des principales fonctions
cérébrales
et même jusqu’à l’idiotie et le gâtisme. Mais il
ever l’ordre dans lequel, après l’opération, ont reparu les fonctions
cérébrales
, en allant des inférieures aux plus élevées. D’
nous préparent une source très précieuse d’informations. La chirurgie
cérébrale
, en effet, renouvelle l’histologie, car, au lieu
’a tentés M. Lanneiongue en vue de traiter l’idiotie par la chirurgie
cérébrale
: les résultats ont été médiocres et peu durables
’est caractérisé par un ensemble symptomatique simulant une affection
cérébrale
grave et par la réaction extrêmement nette du mal
r les modifications physiologiques qui accompagnent les insuffisances
cérébrales
seront-elles déterminées dune manière assez préci
un engourdissement, ou, si l’on veut, un état de sommeil des centres
cérébraux
. L’anes-thésie, les troubles moteurs et viscéraux
al des hystériques, 1893. plus ou moins les fonctions des centres
cérébraux
. L'état de sommeil, à partir d’un certain degré,
il n’est pas allé au fond des choses : « Quant à la nature du sommeil
cérébral
qui entrainel’hystérie, on me pardonnera de ne fa
Frey, Ranvier, Jean Demoor (8) et Manouélian ; 5° Pour les cellules
cérébrales
de la grenouille par Waî-ther (9), de la souris p
(10) Querton : Le sommeil hibernal et les modifications des neurones
cérébraux
. (Trav. du lab. de l’institut Solvay, t. II., fas
(1) Micheline Stefanowska : Les appendices terminaux des dendrites
cérébraux
et leurs différents états physiologiques. (Trav.
ukhanoff : Sur les modifications des cellules nerveuses et de Vécorce
cérébrale
dans l'anémie expérimentale. (Trav. du labor, de
, 1898.) (3) Jean Demoor : La plasticité morphologique des neurones
cérébraux
. (Arch, de biologie de Bruxelles, t. XIV, 1896.)
biographies. Ces troubles sont-ils altribuables h l'hyperfonclion
cérébrale
, la maladie frappant de préférence un organe surm
de l’autre en ce que le sujet n’a plus aucune pensée ; c’est un vide
cérébral
complet, puis, quand il revient à lui, il reprend
ec spontanéité. Nous assistons ainsi à un dédoublement des opérations
cérébrales
qui s’accomplit avec un automatisme parfait. Ce p
Or on sait que Soukhanoff a observé l’aspect moniliforme des cellules
cérébrales
du cobaye, après ligature des carotides ; 2° A
yramidales du chien. Pour le trional, par Soukhanoff sur les cellules
cérébrales
du cobaye. Pour la cocaïne, par Jean Demoor sur l
s. C’est ainsi que, suivant Paul Sollier, le retour de la sensibilité
cérébrale
est précédée non seulement de fourmillements et d
eurones de sensation, c'est que l’hystérie est avant tout une maladie
cérébrale
. Mais il est certain que les neurones des voies
témoignage de Bechterew, (2) consécutive à toute anesthésie d’origine
cérébrale
, quelle qu’en soit la cause. Dans l’hystérie cett
rveux y ont été maintes fois sollicités au cours des opérations
cérébrales
conscientes ou inconscientes. II est des hystér
. I. — Les paralysies hystériques. Dans le réflexe complet à sommet
cérébral
, les ondulations nerveuses, après avoir traversé
au système nerveux ne parviennent pas toutes aux neurones de Técorce
cérébrale
. Beaucoup passent, avant d’y parvenir, des neuron
une partie des ondulations centripètes se perdent dans le labyrinthe
cérébral
, dans la contracture toutes ou presque toutes ces
neuro-diélectriques est due à la rétraction des neurones de l'écorce
cérébrale
. Silos neuro-diélectriques siègent au-dessus du
es musculaires, et ont comme ceux-ci leur point initial dans l’écorce
cérébrale
. Cela résulte des expériences de Hitzig, Eulenbur
t d’ondulations nerveuses aux arcs diastaltiques séparés du réservoir
cérébral
par les neuro-diélcctriques, a pour effet d’augme
e du constricteur du vagin, muscle obéissant surtout à des influences
cérébrales
et dont la contracture cesse précisément sous une
de la manière suivante : « Par suite de l’engourdissement des centres
cérébraux
dans le vigilambulisme (2), il n'y a plus de cont
i la première ni la dernière hystérique qui, grâce à une hypertension
cérébrale
localisée, accomplira de grandes choses. Si Ton f
Puis, plus tard, un confrère a diagnostiqué neurasthénie paranémie
cérébrale
, dilatation des cavités droites du cœur avec un c
obligent à constater que, loin de provoquer le moindre « détraquement
cérébral
o, la suggestion hypnotique, lorsqu’elle réussit,
études cliniques et anatomiques sur l’aphasie, sur les localisations
cérébrales
et encéphaliques et parvint, par des examens hist
u’il étudia les fibres d'association et de projection des hémisphères
cérébraux
. Dans un de ses mémoires, il battait en brèche la
de Reil, de la couche optique et du noyau rouge, avec la corticalité
cérébrale
, la localisation de l’hémianesthésie dite capsula
57. Troubles psychiques en rapport avec la compression de l’écorce
cérébrale
, par Aubeau, p. 245. Vaginisine(Caractère psych
décida, à cet âge, à en manger, mais il eut de l'insomnie, une fièvre
cérébrale
et mourut (Journal de médecine, août 1760). Un
ue se fait chez lui avec une extrême facilité. C'est son organisation
cérébrale
et psychique qui fait sa suggestibiiité ; je n'ai
fluence sur eux ; leur état AU??-SGGESTION ET CONTRE-SUGGESTION
cérébral
est inerte; ils se suggèrent consciemment ou inco
ne auto-suggestion pure; sans doute, il y a peut-être dans la cellule
cérébrale
qui crée ladouleur un processus anormal, peut-êtr
is que la sensation de vertige, de nausée, etc., sont des perceptions
cérébrales
de ces états nucléaires inférieurs. Il y a, si no
mais encore suffisamment claire, une âme bulbaire au-dessous de l'âme
cérébrale
, et celle-ci n'est le plus souvent, au moins en m
ons nettement contradictoires pour développer dans les foules un état
cérébral
particulier impliquant une obéissance facile et d
nt son infirmité psychique, certainement héréditaire. Sa réflectivité
cérébrale
exagérée sera, je le crains fort, toujours la mêm
udi 23 janvier, à cinq heures, une conférence sur Les circonvolutions
cérébrales
et sur un nouveau procédé de conservation du cerv
i 30 janvier, à cinq heures, une conférence sur : Les circonvolutions
cérébrales
et sur un nouveau procédé de conservation du cerv
-thier-Villars et Fils. Paris, 1895. Dr Lautps. — Le fonctionnement
cérébral
pendant le rêve elpendant le sommeil hypnotique.
ans la capsule interne, dans les radiations optiques ou dans l'écorce
cérébrale
. L'association de l'hémianopsie avec la cécité de
i 30 janvier, à cinq heures, une conférence sur : Les circonvolutions
cérébrales
et sur un nouveau procédé de conservation du cerv
u-thier-Villars et Fils. Paris, 1895. D'Lautps. — Le fonctionnement
cérébral
pendant le rêve elpendant le sommeil hypnotique.
diminution de l'initiative intellectuelle, par une faible spontanéité
cérébrale
. Cet état peut être normal chez beaucoup d'indivi
é variable dans cet état» s'explique aussi par l'absence d'initiative
cérébrale
. Le tonus musculaire, on le sait, est un phénomèn
nt, on conçoit que le tonus musculaire, ne subissant plus l'influence
cérébrale
modératrice, s'exagère et tende à devenir contrac
dance à l'automatisme rotatoire, le membre continuant sans résistance
cérébrale
à tourner, gardant automatiquement le mouvement,
ertaines émotions ou certains états morbides diminuant la spontanéité
cérébrale
. société d'hypnologie et de psychologie SOC
tre, six fois par jour cette impulsion souvent maladive, les cellules
cérébrales
sont vite épuisées et remises sans cesse en état
à démontrer l'existence d'un centre respiratoire dans les hémisphères
cérébraux
. Tout le monde, au contraire, admet l'existence d
sans provoquer de mouvements respiratoires. Ce qui confirme l'origine
cérébrale
de l'aphonie hystérique, c'est que les muscles in
ment. Ils reproduisent la plupart, grandeur naturelle, la morphologie
cérébrale
et cérébelleuse, l'aspect des hémisphères vus en
e siège se trouve, comme vous le savez, au niveau des circonvolutions
cérébrales
; nous pourrions donc dire que l'hypnose est le so
périodes qui se rapportent aux trois formes de sommeil : une période
cérébrale
, une période cérébro-médullaire, une période bulb
e, une période cérébro-médullaire, une période bulbaire. La période
cérébrale
est caractérisée au début, après une phase d'exci
éviter de les employer dans les délires symptoma-tiques d'altération
cérébrale
: chez un cardiaque, chez un pneu-monique, le chl
ou la narcose, et même, à petites doses, des phénomènes d'excitation
cérébrale
. Je vous ai dit, tout à l'heure, la différence en
s précédentes leçons. Si nous avons affaire à une insomnie de cause
cérébrale
, il ne faudra pas donner d'emblée des narcotiques
itations vasculaires sont susceptibles de faire varier la circulation
cérébrale
et de produire soit l'anémie, soit la congestion
médicaments hypnotiques seraient susceptibles d'amener la congestion
cérébrale
, et le bromure et le chloral doivent être dans ce
e l'on a faites sur -la structure de l'encéphale et les localisations
cérébrales
des facultés, malgré les recherches de la physiol
dire l'augmentation de vivacité et de complexité des courants nerveux
cérébraux
ou extra-cérébraux, dont parle M. L. Manouvrier,
supérieurs de la conscience et du raisonnement siégeant dans l'écorce
cérébrale
, reste intact ou non. « Comme l'a fait remarquer
sie s'expliquent fort bien par une suspension transitoire du contrôle
cérébral
, suspension qui peut devenir très longue et about
Raymond (Voir Revue de l'Hypnotisme, juin 1895). Si alors le contrôle
cérébral
sur les centres subconscients est entravé ou supp
à se transformer en acte, par suite de la diminution du contrôle
cérébral
; on peut donc, comme le professe fort bien l'Éco
ne parvenaient pas à donner la clef du mécanisme de ces modifications
cérébrales
. La contiguïté et l'induction nerveuses expliquen
r absolue ; dans ces affections, les cellules pyramidales de l'écorce
cérébrale
, qui sont les centres de l'intelligence, ont leur
et aux autopsies faites dans les maisons d'aliénés, que les cellules
cérébrales
aussi bien que les cellules de la moelle épinière
rveau, et, comme conséquence, la perte irrémédiable du fonctionnement
cérébral
normal. Une question qui se pose de suite est cel
mesure ce jour-là? A-t-il fait un rêve, qui aurait attiré l'activité
cérébrale
d'un autre côté? L'inconscient a été distrait, et
homme qui dort,dit ??. le professeur Mathias Duval; les ramifications
cérébrales
du neurone sensitif central (comme dit Van Gehuch
réactions réflexes, mais ne passent pas dans les cellules de l'écorce
cérébrale
; des excitations plus fortes amènent l'allongemen
; des excitations plus fortes amènent l'allongement des ramifications
cérébrales
du neurone sensitif, par suite le passage jusque
orte un stimulus nouveau qui ranime leur modalité engourdie; l'influx
cérébral
arrive, par cette excitation dynamogénique, à se
ses propriétés, elle parait en somme avoir été astreinte à un travail
cérébral
et en lutte à des préoccupations industrielles qu
sans s'exclure. De même pour le sommeil : l'état de la circulation
cérébrale
, l'intensité des combustions, de la production de
ombustions, de la production de chaleur, l'état électrique des masses
cérébrales
sont des conditions précieuses à déterminer ; mai
omènes réflexes ; au-dessus, le mond&des phénomènes psychiques ou
cérébraux
. Dans le sommeil, les réflexes ne sont pas abol
e neurone à neurone sur le domaine des phénomènes réflexes. Les actes
cérébraux
ne sont pas complètement abolis, comme le montren
lables entre d'autres neurones. D'abord entre les neurones centraux
cérébraux
. L'incohérence des rêves, la manière brusque, inu
irs, montrent qu'évidemment les voies intercommunicantes des cellules
cérébrales
ne sont pas toutes largement ouvertes comme à l'é
lement les neurones qui établissent les communications entre le monde
cérébral
et les neurones périphériques ont rétracté leurs
r par la cessation de toute activité, mais dans le monde des neurones
cérébraux
, dans les centres cérébraux proprement dits, dans
activité, mais dans le monde des neurones cérébraux, dans les centres
cérébraux
proprement dits, dans leurs neurones d'associatio
les expériences de Goltz (*). Le chien, privé de ses deux hémisphères
cérébraux
, présentait des alternatives de veille et de somm
même cervelet), était rendu visible par son isolement de tout sommeil
cérébral
, par lequel il est voilé d'ordinaire chez l'anima
nt près de deux ans un chien auquel il avait enlevé les a hémisphères
cérébraux
. Comme chez un animal intact, on observait sur ce
re, quelque épuisée qu'elle soit. De même on peut forcer les cellules
cérébrales
à demeurer en activité malgré leur besoin de repo
désarticulent; la pensée n'a plus sa coordination normale; le travail
cérébral
prend les caractères des rêves; et finalement le
eux-mêmes; les désarticulations se produisent graduellement; le monde
cérébral
, la pensée continue parfois à être ce qu'elle éta
u, le fait est rare ; la plupart du temps nombre de neurones du monde
cérébral
sont encore en activité intercommunicante. Est-ce
ents, des autres neurones, est partiel et contingent dans les centres
cérébraux
, témoin les rêves. ¦ — Le sommeil des neurones
état de réceptivité, caractérisé par une crédivité et un automatisme
cérébral
supérieurs à la normale. Il faut qu'elle trouve u
grave de l'activité chimique des cellules ganglionnaires de l'écorce
cérébrale
. On a probablement affaire à une inanition prod
quelles il ne manifestât pas une indifférence absolue. Les troubles
cérébraux
survenus chez ce chien, dans les circonstances qu
u-thier-Villars et Fils. Paris, 1895. D'Lautps. — Le fonctionnement
cérébral
pendant le rêve el pendant te sommeil hypnotique.
M"" A..., quarante-quatre ans, à l'asile depuis sept ans. Hérédité
cérébrale
. Illusions viscérales se rat- tachant à une tub
CBTOPI31 : NONE EN ALIÉNATION MENTALE. 15 5 laire et sur l'activité
cérébrale
ni le jour ni la nuit. L'hémo- globine baisse p
entale, peu importe la nature fonctionnelle ou organique du travail
cérébral
qui tenait sous sa dépendance l'agitation mania
ivrer suffit chez ces prédisposés à occasionner de graves désordres
cérébraux
. Enfin, tous ces incendies se produisent à la c
té- rieure de maladies fébriles, qui jetteront du jour sur la vie
cérébrale
de l'accusé. Parmi ces maladies fébriles, la fi
formé, ayant vécu cinquante-trois ans. Absence complète d'accidents
cérébraux
pen- dant tout le cours de l'existence. Mort ca
istence. Mort causée pur un cancer du foie. Autopsie : Hypertrophie
cérébrale
avec adhérences ménin- gées. Description du cer
alescente, cependant elle laisse voir par transparence la substance
cérébrale
étalée et lisse, comme turgescente presque sans
rmet de constater que l'hypertrophie porte sur la matière amorphe
cérébrale
, constituant la névroglie et sur les myélocites q
de corps granuleux de toutes dimensions, indiquant que la substance
cérébrale
a subi un commencementderégression. Des fragmen
rale a subi un commencementderégression. Des fragments de substance
cérébrale
empruntés à la troisième frontale et aux circon
t quelquefois des adhérences méningées et souvent de l'hypertrophie
cérébrale
, la rencontre me semble des plus naturelles.
elles. Il me semble probable que le développement de cette lésion
cérébrale
remontait à l'enfance et s'était arrêté à une épo
semble encore venir à l'appui de ma manière de voir. L'hypertrophie
cérébrale
constituait pour son cerveau un état acquis sta
. XIV, page 303), sont un des symptômes constants de l'hypertrophie
cérébrale
, me semble aussi mériter l'attention. Parmi l
e grise est plus colorée qu'à l'état normal : « les circonvolutions
cérébrales
ne sont ni aplaties ni tassées ». La première
he optique et probablement aussi les parties contiguës du pédoncule
cérébral
d'un côté. Trois mois après, on le tue, et l'on
e atrophie de la moitié correspondante du crâne ; 2° l'hémisphère
cérébral
gauche est transformé en un sac vide à parois min
en partie par l'intermédiaire de la portion latérale du pédoncule
cérébral
; le noyau latéral de la couche optique est en co
ois révèlesur toute la hauteur de la protubérance-et des pédoncules
cérébraux
, dans la région de la calotte, un cordon volumi
fibres nerveuses qui partent de la face inférieure des pédoncules
cérébraux
pour se rendre aux bandelettes optiques ne conte-
toujours trouvée acide. Si l'on se hâte de restituer la circulation
cérébrale
, on voit, mais bien lentement, réapparaître l'a
lier. En vertu de quelle disposition, vic- time de son organisation
cérébrale
, un individu appartient-il à 90 SOCIÉTÉS SAVANT
up de maladies aiguës de l'enfance n'ont un si grave retentissement
cérébral
que, grâce à la connivence d'une instabilité pr
and on s'adiesse à la méthode anatomo-clinique. (Voy. Localisations
cérébrales
de M. Charcot. Maladies de l'encéphale et localis
du renflement olfactif sont parties cons- tituantes des hémisphères
cérébraux
. La bandelette olfactive est un faisceau de pro
nt dans la bandelette olfactive l'union de son centre avec l'écorce
cérébrale
. Ainsi, excisez une narine d'un lapin nouveau-
, l'écorce étant déve- loppée et exercée normalement, les fonctions
cérébrales
s'y loca- lisaient en deux régions principales
'intact qu'un tout petit reste des faisceaux pyra- midaux, l'écorce
cérébrale
révélait une atrophie presque complète, des gra
', j'ai produit des figures de diverses circonvolutions de l'écorce
cérébrale
, et fait remarquer la diversité de leur constit
l'écorce grise révèle qu'en divers points la structure de l'écorce
cérébrale
est différente. Ceci indique que les fonctions
our d'autres; il est diffi- cile de dire quelles sont les fonctions
cérébrales
à centre fixe qui sont transmises, congéniales,
de poussées. Enfin les psychoses sont analogues aux autres maladies
cérébrales
. De même qu'au milieu de convulsions et de doul
ix Falret. 1,000 fr. Des rapports entre la paralysie générale et la
cérébrale
. Aucun mémoire n'ayant été adressé, l'Académie
ns restées dans l'urne étaient : Substance grise de la moelle; Lobe
cérébral
antérieur. Questions orales : 1° Symp- tômes et
p. H5. 3 il. Munck.- Voir : Duret, La physiologie des localisations
cérébrales
en Alleiitagite in Progrès médical, n" 9 et smv
PATHOLOGIE NERVEUSE. une distinction entre la surdité corticale ou
cérébrale
, la surdité psychique et la surdité des mots. P
onfusion : en effet, la surdité des mots n'est-elle pas une surdité
cérébrale
, c'est-à-dire par atteinte du cerveau, aussi bi
la séparation des divers groupes de surdités dues ci une atteinte
cérébrale
. On peut diviser celles-ci en totales et partie
a signification des mots'. » Les surdités partielles par atteinte
cérébrale
sont loin d'être rares, et on les trouvera sans
sous l'in- fluence d'une stimulation volontaire, ou tout au moins
cérébrale
. Mais rien ne démontre à priori que le centre d
rer ces deux ordres de mémoire comme siégeant dans un même centre
cérébral
? Je ne le pense pas. J'insiste sur ce point :
iphé- riques moteurs, transmis par la voie centripète à un centre
cérébral
d'emmagasiuement et de contrôle, qui communique
r ainsi) sont mises en jeu par un acte volontaire, ou tout au moins
cérébral
, et elles aboutissent à des contractions muscul
même organe, qu'ils puissent siéger en un même centre de l'écorce
cérébrale
; une telle superposition fonctionnelle n'est gu
LE. 199 occupe probablement une portion distincte du terri- toire
cérébral
affecté à cette dernière mémoire; 4°qu'il 1 y a
ette dernière mémoire; 4°qu'il 1 y a donc, en résumé, trois centres
cérébraux
distincts, destinés à la fonction de la parole,
69, p. 153, 161. Etudes de thermométrie clinique dans l'hémorrhagie
cérébrale
et dans quelques maladies de l'en- céphale. Par
a réplétion des veines encéphalorachi- diennes.Dans la grande fente
cérébrale
de Blchat, au niveau des tubercules quadrijumea
toile choroïdienne et les plexus choroïdes, sans léser la substance
cérébrale
à laquelle elle n'ad- hère pas; compression des
s reprises en proie à des coliques satur- nines et à des phénomènes
cérébraux
. En 1879, faiblesse des extrémités inférieures
groupes musculaires, la parésie des muscles des yeux, les troubles
cérébraux
. D'un autre côté, la rigidité musculaire n'est
bdo- minaux oedème avec anémie du corps calleux et des pédoncules
cérébraux
; inflammation et perforation du grand cul-de-sac
ndre intelli- giblement par le,- dessin des régions des hémisphères
cérébraux
très difficile à prendre, par exemple le lobe o
ing a contribution to the subject of the dissolution of speech from
cérébral
discase. Vol in-8" cartonné de 128 pages avec f
voit chez un certain nombre d'autres malades atteints d'affections
cérébrales
. OBSERVATION. - Mélancolie avec stupeur à forme
ificat mé- dical suivant du docteur Lasègue : « Stupeur Accidents
cérébraux
indéterminés eu Afrique. Retour en France. Hébé-
vol. Il a éprouvé en Afrique des accès de fièvre, et des accidents
cérébraux
de nature indéterminée. Buvait un peu à cette é
du cerveau. Décortication facile qui n'entraîne pas de sub- stance
cérébrale
. Sur la face inférieure les méninges sont plus
ssage. A la coupe on constate de la fermeté notable de la substance
cérébrale
dans toute l'étendue. En pratiquant les coupes
ion sur les injections d'éther. Au lieu d'obte- nir de l'excitation
cérébrale
, nous avons obtenu de l'ex- citation du coeur,
donc être attribuée qu'à une lésion (appréciable ou non) des voies
cérébrales
destinées à conduire la parole jusqu'au centre
jusqu'au centre des images orales (fibres appartenant au faisceau
cérébral
sensitif). Il sera toujours bon, pour établir l
atteinte dans la surdité verbale brute. Observation II. - Surdité
cérébrale
partielle. Surdité ver- bale brute et incomplèt
de mon diagnostic de surdité verbale brute. En effet, les fibres
cérébrales
aboutissant au centre auditif des mots doivent
u ni pour le bulbe, mais les coupes prati- quées sur les pédoncules
cérébraux
permirent de constater l'ab- sence de toute lés
eux sont classées parmi les Paraplarénies (anomalies de l'évolution
cérébrale
avec forma- tion anormale ouperversion de la pe
fibres de projec- tion appartenant au segment latéral du pédoncule
cérébral
et du bras du tubercule quadrijumeau postérieur
nt une sorte de porencéphalie acquise par ischémie des deux artères
cérébrales
postérieures (conservation de leur perméabilité
K. ' Voy. I releire.s de Neurologie. Synonymie des circonvolutions
cérébrales
de l'homme, t. VII, p. 181. REVUE d'aNATOMIE
insistent sur le diagnostic différentiel entre ce genre de sclérose
cérébrale
et la sclérose en plaques. Dans les cas pré- se
mystique. Son père, adonné à l'ivrognerie est mort d'une apoplexie
cérébrale
, sa mère est nerveuse mal équilibrée ; une de s
e. Les deux autres questions restées dans l'urne étaient : pie-mère
cérébrale
, circulation cérébrale; quatrième ventri- cule,
tions restées dans l'urne étaient : pie-mère cérébrale, circulation
cérébrale
; quatrième ventri- cule, anatomie et physiologi
cédents concours les ques- tions traitées ont été : Circonvolutions
cérébrales
(<879); Corps strié (-1880); Pneumo-gaslriqu
ad. A. Rousselet), 121. Localisations des fonctions dans l'écorce
cérébrale
, par de Gudden, 105. Loi sur les aliénés, )3
février 1882). De l'indépendance fonctionnelle de chaque hémisphère
cérébral
. (Société de Biologie, 3 juin 1882). De l'indép
3 juin 1882). De l'indépendance fonctionnelle de chaque hémisphère
cérébral
et de l'influence du degré des excitations pé
s sur le degré des manifestations fonctionnelles de chaque hémisphère
cérébral
chez l'hystérique hypnotisable. (Société de Biolo
du corps, on peut : 1° En agissant isolément sur un seul hémisphère
cérébral
, rendre manifeste celte indépendance fonctionnell
corps, est en rapport avec le degré d'exci-ation de chaque hémisphère
cérébral
. Etude expérimentale sur la métalloscopie, l'hy
15 et 19 mai 1896). Indépendance fonctionnelle des deux hémisphères
cérébraux
.— Hallucinations bilatérales simultanées dans l'h
plus indiscutable, l'indépendance fonctionnelle des deux hémisphères
cérébraux
. L'ensemble de ces expériences a été réuni par M.
. Bérillon, élève de M. Dumontpallier, sous ce litre : La dualité
cérébrale
et Vindépendance fonctionnelle des hémisphères cé
La dualité cérébrale et Vindépendance fonctionnelle des hémisphères
cérébraux
(1). De l'action vasomotrice de la suggestion c
éléments essentiels de la vie animale, et principalement d'un centre
cérébral
ou quasi-cérébral, et d'un centre psychique ou mo
lule bulbaire. — A, A', A", A'", cellules intellectuelles de l'écorcc
cérébrale
. — a. cylindraxe de A. prenant contact par ses co
Le cylindraxe de B se met en rapport avec la cellule A de l'écorce
cérébrale
intellectuelle. A, par son cylindraxe ramifié a',
es antagonistes. La perception visuelle fait donc vibrer des cellules
cérébrales
rappelant des douleurs et des haines ; celles-ci
ire ou bulbaire, nous pouvons avoir des actes involontaires d'origine
cérébrale
. Si un,e sensation ne provoque pas d'associatio
tions d'idées, de raisonnement. Chez le passionné, certaines cellules
cérébrales
correspondantes à sa passion, dès qu'elles sont e
pour recevoir et traiter les alcooliques qui présentent des accidents
cérébraux
. Musée de psychologie et de chiminologie. — L'o
pilles se dilatent après chaque injection. Il semble que l'activité
cérébrale
soit excitée et le cerveau travaille sans et même
oulevard Saint-Germain. Paris, 1896. Dr Ladtps. — Le fonctionnement
cérébral
pondant le rêve el pendant le sommeil hypnotique.
pas Tétonnement : or l'aliénation procède à la manière des affections
cérébrales
par un progrès insensible. Je sais combien il e
me psychique le plus pénible pour Mlle Sh... est la sensation de vide
cérébral
qui suit tout effort de pensée ou d'attention, ai
obligent à constater que, loin de provoquer le moindre « détraquement
cérébral
», la suggestion hypnotique, lorsqu'elle réussit,
s leurs actes, mais, cependant, ils donnent des signes de dérangement
cérébral
. A certains- moments, on dirait qu'ils sortent d'
e spinal peut entrer en jeu par une excitation venue soit de l'écorce
cérébrale
— antérieure ou postérieure : réflexe descendant
inal, se réfléchit vers les zones de l'idêation de la substance grise
cérébrale
et la symptomatologie montre des irrégularités de
rovoquer ainsi le sommeil s'accompagne toujours d'une extrême tension
cérébrale
; il ne suffit pas de penser une seule fois qu'on
e que la première ; mais enfin, après deux minutes environ de lension
cérébrale
, j'eus la satisfaction de voir Gustave P. ouvrir
bre 1878. également possibles dans un temps donné ; les molécules
cérébrales
ne peuvent se disposer que d'une seule manière, c
prendre le trajet le plus court. Ainsi la marche est d'abord un acte
cérébral
voulu, appris ; puis quand l'habitude est venue,
e existe donc de naissance. L'acte instinctif peut être médullaire ou
cérébral
. Ce dernier peut être très compliqué ; une sensat
un autre. Ce dernier de suite commet ce même acte. Une représentation
cérébrale
de l'acte est nécessaire pour déterminer une séri
ot, l'enfant en bas âge répètent les paroles (2). La représentation
cérébrale
, au lieu d'être provoquée par l'acte même, peut l
on simple de l'acte perçu fait intervenir au minimum la participation
cérébrale
. Celle-ci augmente quand l'acte perçu est reprodu
s'agissait d'une petite Aille de 12 ans, paraissant atteinte d'abcès
cérébral
consécutif à une otite, et qui fut trépanée in ex
on est joueur de par les circonstances qui agissent sur une propriété
cérébrale
, la suggestion. Cette propriété ne disparaîtra po
oulevard Saint-Germain. Paris, 1896. Dr Lautps. — Le fonctionnement
cérébral
pendant te rêve el pendant le sommeil hypnotique.
à courte ou longue échéance. Je le considère comme un puissant agent
cérébral
, et je n'hésite pas à faire de lui le modificateu
de dissocier pour cet exercice le fonctionnement des deux hémisphères
cérébraux
. On sait que les centres qui commandent aux mou
on n'a pas à se produire ; — mais au -piano, les deux hémisphères
cérébraux
doivent fonctionner en toute indépendance de l'un
nts distincts. — La dissociation des fonctions des deux hémisphères
cérébraux
n'est pas seulement montrée par le jeu distinct d
s articulations des mains et des doigts, développent aussi la dualité
cérébrale
, qui existe chez tous à l'état latent ; il faut q
aptation des organes et la dissociation fonctionnelle des hémisphères
cérébraux
. L'adaptation des organes est créée dans le som
es centres moteurs correspondants, les autres parties de la substance
cérébrale
étant plongées en hypotaxte, et dépourvues d'atte
'entraînement analogue. Le dédoublement fonctionnel des hémisphères
cérébraux
est aussi bien connue des médecins psychotérapeut
ovoquer ainsi le sommeil, s'accompagne toujours d'une extrême tension
cérébrale
, et, à mesure que cette tension se prolonge, la f
et bien portants, au fonctionnement mental régulier, dont les rouages
cérébraux
n'ont pas été faussés par les influences délétère
utre phénomène, inconscient celui-ci. Les centres sexuels de l'écorce
cérébrale
, de la moelle allongée et de la moelle lombaire c
; hypnotisme uni-latéral ; indépendance fonctionnelle des hémisphères
cérébraux
. Samedi 20 Mars. — Phénomènes psychiques de l'h
boulevard Saint-Germain. Paris 1896. D'Lautps. — Le fonctionnement
cérébral
pendant le rêve elpendant le sommeil hypnotique.
le phénomène mesmérique reposait sur le changement d'état des centres
cérébraux
spinaux et des systèmes circulatoire, respiratoir
. lettres qu'elle exerce ses ravages. On cherche d'abord l'excitation
cérébrale
et rapidement on devient l'esclave de l'excitant
boulevard Saint-Germain. Paris 1896. D' Laltps. — Le fonctionnement
cérébral
pendant le rêve el pendant le sommeil hypnotique.
iage sont nés quinze enfants, neuf sont morts en bas âge d'affections
cérébrales
variées, six ont atteint l'âge adulte, deux fils
oyées pour préserver de la douleur par la suspension de la conscience
cérébrale
. C'est un point de départ; il constitue la premiè
mentale est en grande partie celle du dynanisme nerveux, du dynanisme
cérébral
. (1) Discours de M. Bousquet. Académie de Médec
un étage inférieur dévolu aux facultés d'imagination, à l'automatisme
cérébral
. Le premier a une action modératrice sur le secon
nifester. Nous réfléchissons. La réflexion modère ainsi l'automatisme
cérébral
. La loi des réflexes domine la physiologie nerv
c (contusion, mauvaise nouvelle) cause d'abord en bloc une excitation
cérébrale
confuse d'où l'idée se dégage lentement s'il est
e dont il nous faut maintenant parler. Chacun tient de sa structure
cérébrale
, façonnée par les conditions diverses héréditaire
ises, une spécialité de sensations. La succession des interprétations
cérébrales
des sensations, l'ensemble des modes particuliers
ndividualité psychique. Elle est placée sous la dépendance du terrain
cérébral
. Celui-ci, portion capitale du système nerveux, a
onception variable "qui fait l'individualité psychique. De ce travail
cérébral
nous ne connaissons que l'idée ou la sensation in
es individualités sont groupables. D'unefaçon générale, leuraptitude'
cérébrale
à recevoir facilement des impressions fait dire d
tant l'apanage d'individualités psychiques en souffrance, de terrains
cérébraux
viciés seuls que leur défectuosité rend plus acce
é à la conformation du cerveau ; il est variable avec l'individualité
cérébrale
. LA SUGGESTION COLLECTIVE par M. le Dr Max No
ire au développement corporel; ils ne devront aboutir ni à la fatigue
cérébrale
, ni à l'épuisement nerveux ; ils ne devront pas n
tive ou émotive, etc. Chacun sait que dans ces terribles affections
cérébrales
qui coûtent la vie à un si grand nombre d'enfants
Otto présente une tare neuropathologique, laquelle explique son état
cérébral
anormal. Dès lors, le développement intellectuel
nières heures. - A l'examen du cadavre, on trouva la pro- tubérance
cérébrale
changée en une poche remplie de sang en partie
. - A l'examen du cerveau fait par M. Henle, on trouva la substance
cérébrale
solide, compacte, gorgée de sang, et dans le ve
étroite, revêtue d'une membrane brun foncé et entourée de substance
cérébrale
un peu dure. Le réseau vasculaire à la base du
te ans, est mort à cinquante-deux ans, des suites d'une hémorrhagie
cérébrale
( ? ) (hémiplégie droite avec aphasie, intellig
e longueur de 20 centim. et une hauteur de 1 centim. - L'hémisphère
cérébral
gauche pèse dix grammes de moins que l'autre. L
la tête. - Quatre frères, l'un est mort en huit jours, d'accidents
cérébraux
con- sécutifs, à la peur des Prussiens qui avai
nerfs, etc.), pourtant le tubercule mamil- lairegaucheetlepédoncule
cérébral
du même côté sont un peu plus petits. - Pie-mèr
galement dans toute son étendue; adhérente par place à la substance
cérébrale
, elle s'enlève assez difficilement quoique asse
e s'enlève assez difficilement quoique assez épaisse. Hémis- phères
cérébraux
égaux, substance très molle. Cervelet et isthme
phie cérébelleuse. - Anomalies des circonvolutions et des scissures
cérébrales
. Gr... (Martial-Auguste), né le 21 mai 1867, es
icile de se prononcer. Les lésions portent surtout sur l'hémisphère
cérébral
droit dont certaines circonvolu- tions des lobe
ignorons s'il était procursif. Les circonvolutions et les scissures
cérébrales
étaient très anormales; à gauche la scissure pe
is fièvre typhoïde et pneu- monic.-Rougeole à quatre azs.-Accidcnts
cérébraux
ci deux ans. - Scarlatine, premier accès à dix
Jakson, etc., ont attribué l'automatisme à l'épuisement des centres
cérébraux
supérieurs par la décharge, et à la perte tempo
l'épilepsie PROCURSIVE. d'autopsie ayant montré, outre des lésions
cérébrales
plus ou moins disséminées, une lésion cérébelle
lobe cérébelleux gauche; -inégalité de poids entre les hémisphères
cérébraux
et entre les hémisphères cérébelleux. Duch... (
e-neuf ans, cocher, assez corpulent, aurait eu en 1867 une « fièvre
cérébrale
o 1 ; n'aurait jamais fait d'excès de boisson ;
achidien. - Les artères de la base sont symétriques ; toutefois, la
cérébrale
postérieure paraît un peu plus volumineuse à dr
ite. - Les tuber- cules mamillaires sont symétriques. - La pic-mère
cérébrale
est très notablement hypérémiée; elle a une col
rontaux (face interne), la décortication est facile. - Le pédoncule
cérébral
gauche parait plus petit que le droit; il en es
ale. On ne constate pas de lésions macroscopiques des hémisphères
cérébraux
. Les ventricules latéraux et les cornes d'Ammon n
DE l'épilepsie PROCURSIVE. 131 Encéphale, 1,300 gr. L'hémisphère
cérébral
droit pèse 25 gr. de plus que le gauche. Cervel
se sont développés à la suite d'un état de ni-,il '. L'hémisphère
cérébral
droit ne présente que quelques anomalies de peu
e ses scissures. On peut le considérer comme normal. L'hémisphère
cérébral
gauche, qui pèse 25 grammes de moins que le dro
es lésions principales trou- vées à la nécropsie étaient l'atrophie
cérébrale
et la lnéJ/il1go-encéplwlite. Observation XL1
ébrale et la lnéJ/il1go-encéplwlite. Observation XL1V. - Atrophie
cérébrale
. - Hémiplégie gauche. Débilité mentale et épile
malies artérielles. - Hydrocéphalie légère. - Atrophie du pédoncule
cérébral
droit, de la moitié droite de la protubérance, de
qu'à seize mois. A six mois il aurait été soigné pour des accidents
cérébraux
qui ont duré deux mois, sans convulsions, ni pa
r suite de la déviation du tronc basilaire vers la gauche, l'artère
cérébrale
postérieure droite est plus longue que la gauche.
la gauche. La communiquante postérieure est filiforme ainsi que la
cérébrale
antérieure du même côté. - Le pédoncule cérébra
orme ainsi que la cérébrale antérieure du même côté. - Le pédoncule
cérébral
droit paraît plus étroit que le gauche. La pyra
marque quelques traces d'adhérences ; la coloration de la substance
cérébrale
parait à peu près normale. ' Le lobe occipital,
nce grise. Ces membranes n'ont pas enlevé des portions de substance
cérébrale
en se détachant; la première couche de la subst
dans la plupart des cerveaux d'idiots. Ce malade a eu des accidents
cérébraux
dès l'âge de six mois sans convulsions, ni para
l'autopsie, qui étaient en effet plus prononcées sur l' hémisphère
cérébral
droit et atteignaient surtout les centres moteu
ite. L'autopsie nous a fait voir une atrophie de 1'11érni- sphère
cérébral
droit qui pèse 50 grammes de moins que le gauch
e est oedématiée, l'artère communicante postérieure et l'ar- tère
cérébrale
antérieure gauches sont filiformes; le pédoncul
- tère cérébrale antérieure gauches sont filiformes; le pédoncule
cérébral
et la pyramide du côté droit sont atrophiés. Co
reviendrons pas sur les lésions rencontrées sur les circonvolutions
cérébrales
; elles ont été décrites plus haut; nous rappell
entres moteurs. Le cervelet est moins atteint que les hémisphères
cérébraux
; ce n'est du reste que tardivement, vers 1880,
de soi lors- qu'on envisage leur présence dans diverses affections
cérébrales
. Cependant, lorsqu'on veut faire la part de leu
ou de la moelle allongée; c'est ainsi que chez Duch... l'hémisphère
cérébral
gauche, le pédoncule cérébral gauche et la moit
t ainsi que chez Duch... l'hémisphère cérébral gauche, le pédoncule
cérébral
gauche et la moitié correspondante cle la protu
tubérance était plus petite droite. - Chez Maisonh..., le pédoncule
cérébral
droit, la pyramide et l'olive droite sont atrop
quelques mots de la physiologie de la protu- bérance des pédoncules
cérébraux
et du corps strié. On sait que la galvanisation
duit des convulsions épileptiformes et que la lésion d'un pédoncule
cérébral
produit un mouvement de manège du côté opposé à
ois cas de lésion de la partie supérieure et externe du pédoncule
cérébral
, le même auteur a constaté des mouvements de ro
ions; mais, depuis trois ans, il serait sujet à de petits accidents
cérébraux
que l'on décrit ainsi : yeux fixes, perte de co
, p. 153, 161. - Etudes de thermométrie clinique dans l'hémorrhagie
cérébrale
et dans quelques maladies de l'en- céphale. Par
ans, et enfin de dix à treize ans. Vers sept ans, âge de la puberté
cérébrale
selon l'heureuse expression de Lasègue, se mont
ciente pendant le sommeil. Si comme le dit M. L. Guinon, le réflexe
cérébral
qui, en temps normal, dirige le centre médul- l
a première en- fance ; n'a jamais eu de convulsions, ni d'accidents
cérébraux
. Sa mère me l'amène parce qu'étant dans la misè
l'incontinence est due vraisem- blablement à l'inhibition du centre
cérébral
de la miction occasionnée par des préoccupation
nfirmité s'aggrave à partir de sept ans, époque où le développement
cérébral
subit une poussée. Le traitement agit d'une faç
a semaine, maux de tête, épistaxis, vomissements, grande excitation
cérébrale
. La première nuit il s'est réveillé deux fois ;
L'occlusion des yeux suffit donc à produire une certaine passivité
cérébrale
suffisante pour développer la suggestibilité du
isses), a été le point de départ d'une sorte d'inhibition du centre
cérébral
correspondant à la fonction urinaire. A remar-
ENCE D'URINE PAR SUGGESTION. 31 C'est sans doute dans les accidents
cérébraux
survenus à plu- sieurs reprises chez cet enfant
omène morbide paraît consister au début en une sorte de distraction
cérébrale
. Le centre mictionnel oublie sa fonction ou ne
n'en connaît pas la lésion détermi- nante. On a signalé la sclérose
cérébrale
; d'autres fois on a soup- çonné une altération
y, janvier 1896.) E. B. XV. Étude SUR QUELQUES points DE pathologie
cérébrale
; par le D'' A. MEYER. Sur vingt cerveaux d'ép
tenant à une forme spéciale de gliome et situés, l'un dans l'écorce
cérébrale
, au niveau de la partie moyenne de la seconde c
de décider. Il faut considérer tout ce processus comme une atrophie
cérébrale
par artério-sclérose, très analogue aux cas que
lon (1er), 1\hIGNAL (2°) et BAUDRON (3e), Epreuve écrite : Méninges
cérébrales
; épreuve orale : Complications de la fièvre typ
Rome, Naples. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. Auvrsnv (M.). Les tumeurs
cérébrales
. Volume in-8°, de 467 pages, avec 29 figures da
ostic plus générale- ment obscur que la pachyméningite hémorragique
cérébrale
. Qu'elle complique une paralysie générale ou un
sclérose en plaques, de la paralysie générale et de l'hémor- ragie
cérébrale
vulgaire, « Cette dernière, ajoute-t-il, s'accom-
eu obèse. Une soeur serait morte à vingt-quatre ans d'une affection
cérébrale
dont je n'ai pu établir la nalure. S... n'a pas
u tibia, rien nulle part qui Béliier. 7'«c/;yh ! e) : t<iy'<e
cérébrale
. Paris, 1873. 102 PATHOLOGIE NERVEUSE. puisse
pouvaient nous égarer dans le sens d'une tumeur, d'une hémorragie
cérébrale
ou d'un ramollissement; mais, avec l'état intelle
itre spécial traite de l'liérédo-53philis, de ses formes spinale et
cérébrale
, des hémiplégies graves après traumalismes anodin
, la définition de M. Magnan : « L'impulsion est un mode d'activité
cérébrale
qui pousse à des actes que la volonté est impui
Magnan. C'est aussi le début brusque par le vertige mental ou ictus
cérébral
de Lasègue. On peut objecter que la plupart des
nstration des recherches de Fritsch et Iitzig sur les localisations
cérébrales
; -, il établit l'exactitude des recherches de
iques. La troisième période commence avec l'élude des localisations
cérébrales
, et sétend jusqu'à l'époque actuelle où domine
es produisent par suite de la ten- sion d'esprit une grande fatigue
cérébrale
. Cependant au sur et à mesure qu'ils se familia
à mesure qu'ils se familiarisent avec les exercices, cette fatigue
cérébrale
se fait de moins en moins sentir. Nous avons l'
" Nous avons dit plus haut que la coordination était une fonc- tion
cérébrale
. Il était donc logique d'incriminer l'encéphale
dination motrice. C'est surtout Jendrassik' qui a défendu l'origine
cérébrale
du tabes. Selon lui le symptôme ataxie est le r
upérer la coordination de ses mouvements. L'intégrité des fonctions
cérébrales
est même une condition essentielle pour la réus
sensibilité ce sont plutôt les centres psycho-moteurs de l'é- corce
cérébrale
qui, à force d'habitude, c'est-à-dire d'exercice
ce nombre sont la sclérose en plaques, le tabes, le ramollissement
cérébral
et la paralysie générale elle-même dont la vari
eur admet l'hypo- thèse de l'origine intellectuelle par automatisme
cérébral
ou résul- tant d'un système d'idées délirantes,
élirantes, lorsque l'on ne peut invoquer ni une lésion crânienne ou
cérébrale
, ni une cause toxique ou asthénique. Pour l'h
er ainsi : toute hallucination est un phénomène d'origine centrale,
cérébrale
; il n'y a pas d'halluci- nation d'origine péri
; or, tous ces phénomènes successifs sont essentiellement de nature
cérébrale
: il est donc logique de considérer l'hallucina
e considérer l'hallucination elle-même comme un trouble d'origine
cérébrale
. Une autre preuve delà nature cérébrale, et pur
omme un trouble d'origine cérébrale. Une autre preuve delà nature
cérébrale
, et purement cérébrale, des hallucinations se d
ne cérébrale. Une autre preuve delà nature cérébrale, et purement
cérébrale
, des hallucinations se déduit de ce fait qùe le
entre elles et le délire : ce qui indique bien encore leur origine
cérébrale
, leur caractère purement psychique. Le grand
ÉS SAVANTES. 249 grammes; poids du cervelet, 225 grammes. Substance
cérébrale
généralement ramollie. Circonvolutions normales
bles de produire (étouffements, palpitations, vertiges, congestion
cérébrale
), pouvant même entraîner la mort. Le début a lieu
tablir le diagnostic, c'est la recherche de la syphilis. L'hérédité
cérébrale
est une présomp- tion de paralysie générale, ta
étaient suivies, comme dans la migraine, d'ano- rexie et de torpeur
cérébrale
. M. Laurent. Analyse des troubles psychiques de
ports pour les cas spéciaux : 282 11) asiles d'aliénés. affection
cérébrale
ou spinale, hystérie, épilepsie, hypocondrie, c
le pour produire des paraplégies spasmodiques indemnes de symptômes
cérébraux
concomitants. Lorsque la syphilis touche la moe
affaire ? Trois diagnostics doivent être discutés : la tuberculose
cérébrale
, la syphilis cérébrale, le tabes supérieur. L
stics doivent être discutés : la tuberculose cérébrale, la syphilis
cérébrale
, le tabes supérieur. La méningite bacillaire
bstance qui a la propriété de modifier l'excita- bilité de l'écorce
cérébrale
, la cocaïne. D'autre part il parait admis que l
s auxquelles il est arrivé : 1° la cocaïne ap- pliquée sur l'écorce
cérébrale
(gyrus sigmoïde), diminue et à la fin annihile
brale (gyrus sigmoïde), diminue et à la fin annihile l'excitabilité
cérébrale
; 2° la cataphorèse électrique céré- brale avec
e l'ophtalmoplégie externe qui peut dépendre du tabes, d'une lésion
cérébrale
localisée, d'une compression du moteur commun,
ta clinica e terapezelica. Naples, 1896, 110 2.) C. 11.11. Syphilis
cérébrale
; parle professeur DE l3EVZr, de l'Université d
tion reste telle pendant deux jours. On diag- nostique une syphilis
cérébrale
, diagnostic que l'autopsie vint bientôt confirm
ffuse avec artério-sclérose, et des petits foyers de ramollissement
cérébral
, enfin des hémorragies puncti- formes multiples
ATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE - PATHOLOGIQUES. I. SUR UN C\S DE tumeur
cérébrale
ET SUR LES rapports DES TUMEURS du cerveau avec
ément être commise. L'auteur rapporte un cas dans lequel une tumeur
cérébrale
a pu, pendant plusieurs mois, simuler une psych
UX. II. UN cas DE lésion DE la bandelette OPTIQUE ET DU pédoncule
CÉRÉBRAL
; par le Dr E. lllau.tNE. (Joum. de Neurol., 1896,
ège de la lésion au niveau de la bandelette optique et du pédoncule
cérébral
du côté gauche et voit qu'il s'agit d'un tuberc
artient, entre toutes les par- ties de l'encéphale, aux hémisphères
cérébraux
, c'est la cervelle qui souffre le moins. Toutes
ues autresmala- dies nerveuses (polynévrites, tumeurs et commotions
cérébrales
, épilepsie, maladie de Friedreich, etc.). Sous
mblements; 2° les tremblements sont en principe d'origine centrale,
cérébrale
et cérébro-spinale, rarement d'origine purement
ment intentionnel de la sclérose multiple dépend de la localisation
cérébrale
de foyers sclérotiques; 2° que l'existence de f
GIE ET A L\ PSYCHIATRIE. M. Bouveyr'on (Alexandre) : Des affections
cérébrales
d'origine obs- tétricale et de leur interprétat
e. Les causes de l'aphasie sont le plus souvent le ramollissement
cérébral
parfois l'hémorragie et les tumeurs. La lésion
ltat d'une connaissance trop exacte de la clinique et de l'anatomie
cérébrales
pour ne pas perdre beaucoup dans un résumé fût-
la constitution du moi. « Il est évident que la même disposition
cérébrale
qui nous fait attribuer une origine externe au
nnervation de la vessie, sur les réflexes urinaires ; médullaire et
cérébraux
, insistant sur le pouvoir inhibiteur de ces der
ôté, établissant ainsi une communica- tion entre la zone rolandique
cérébrale
et l'écorce cérébelleuse; 5° Substance grise ré
Bechtereff étudie les différentes méthodes employées en histologie
cérébrale
et les faisceaux qui composent le cerveau et la
parties principales : substance grise de la moelle, celle du tronc
cérébral
, celle du cervelet avec ses noyaux et celle des
érébral, celle du cervelet avec ses noyaux et celle des hémisphères
cérébraux
. Cette dernière partie com- prend les deux noya
lles des racines posté- rieures et antérieures; les fibres du tronc
cérébral
ainsi que les faisceaux qui unissent les différ
cervelet avec la substance grise médullaire et les noyaux du tronc
cérébral
de même que celles qui unissent les différentes
parties du cervelet entre elles; enfin, les fibres des hémisphères
cérébraux
qui com- prennent : a, les faisceaux unissant l
centraux avec la substance grise médullaire et les noyaux du tronc
cérébral
(système des libres de projection), et b, faiscea
faisceaux reliant entre eux les divers territoires des hémisphères
cérébraux
(système de fibres d'association). J. ROUBIVOVI
es maladies du système l1erveux (3 volumes). - 2° Les localisations
cérébrales
. - 31 Les maladies des poumons et du système va
urette, 474. Bandelette 01' 1 Inu. Lésion de la - et du pédoncule
cérébral
, par 11a- haine, 315. Ii.lSDO`5'. Etat mental
ressant plus particulièrement l'oculo-moteur gauche. 2. La syphilis
cérébrale
. v 3. Le tabès supérieur. En faveur de la pre
ntre en pareil cas. Nous allons voir que l'hypothèse d'une syphilis
cérébrale
n'estpasplus satisfaisante. La fréquence des lé
es symptômes oculaires sont contraires il l'hypo- thèse de syphilis
cérébrale
: une lésion méningée, une infiltration jadis e
endante ou d'étranglement de la papille que dans toutes les tumeurs
cérébrales
. Il y a loin, de cet aspect spécial, à la papil
opique de V... Enfin ce n'est qu'exceptionnellement que la syphilis
cérébrale
se manifeste par les paralysies partielles du gen
était porteur d'aucune autre lésion tuberculeuse, ni pulmonaire, ni
cérébrale
, ni intestinale^ d'autre part il était incon- t
existait bien des troubles de la motilité in- dépendants de lésions
cérébrales
, mais ceux-ci se rapportaient à des phé- nomène
rdite interstitielle. Macroscopiquement, le cerveau et les méninges
cérébrales
paraissent sains mais on trouve, au microscope,
n affaissement (marasme) général de tous les organes. La pie-mère
cérébrale
est molle et épaissie. Le cerveau qui a conservé
ère hyper- calcification des centres d'ossification. La substance
cérébrale
ramollie ne permet de relever aucune lésion tant
trouve dans les cas d'anencé- phalie où, à la place de la substance
cérébrale
, il n'y a que du tissu conjonctif disposé en re
milieu des symptômes presque toujours prédominants d'une affection
cérébrale
, à rechercher ce qui appartient, primitivement
e de même. Le ta- bleau clinique est nettement celui de la sclérose
cérébrale
(avec participa- tion primitive ou secondaire d
imbécillité et les accès d'épilepsie. Et c'est encore à la sclérose
cérébrale
, sinon encéphalo-médul- laire, qu'il faut attri
bides dans lesquelles on retrouve un singulier mélange de symptômes
cérébraux
et médullaires. Les symptômes cérébraux paraiss
gulier mélange de symptômes cérébraux et médullaires. Les symptômes
cérébraux
paraissent prédominer : avec les troubles des f
Nous venons de montrer que, dans la majorité des cas, les symptômes
cérébraux
étaient prédominants par rapport aux phénomènes m
ents,des troubles fréquents de l'intelligence allant de la débilité
cérébrale
à l'idiotie complète avec ou sans accès épilept
, appartiennent incontestablement il cette catégorie où les lésions
cérébrales
sont prédo- minantes, l'opinion émise par Gardi
épidation spinale. Jamais,chez cet enfant,il n'a existé de troubles
cérébraux
, l'intelligence z est remarquablement'développé
la jambe. Le membre inférieur droit resta sain ; pas de phénomènes
cérébraux
. Le membre inférieur gauche devint le siège de
ans ce cas, l'altération de la moelle était consécutive aux lésions
cérébrales
, lesquelles paraissaient elles-mêmes, sous la d
hilitiques. Chez tous les deux, il existait des lésions de sclérose
cérébrale
uni et bilatérale, avec oblitération de l'artèr
ées de scléroses descendantes de la moelle consécutives aux lésions
cérébrales
. Toutefois, lorsque les phénomènes cérébraux pr
sécutives aux lésions cérébrales. Toutefois, lorsque les phénomènes
cérébraux
prédominent, il n'en fau- (1) Signalons, à' ce
ens. Les nerfs optiques étaient complètement dégénérés. Les artères
cérébrales
présentaient de l'endo- périartérite. - ' Au
e. Les artères médul- laires étaient moins envahies que les artères
cérébrales
. La substance grise était saine, surtout au niv
s dit, l'expres- sion clinique a surtout trait à des manifestations
cérébrales
, mais l'autop- sie démontra que les lésions gom
chez lequel l'affection débuta par des phénomènes de compres- sion
cérébrale
s'accompagnant de strabisme et d'attaques épilept
tisyphilitique. L'enfant est intelligent ; il n'y a pas de troubles
cérébraux
. Nous pourrions faire remarquer qu'il existait
lisée ou paraplégique d'origine congénitale dans lesquels la lésion
cérébrale
intervient presque toujours, il existe, dans la
t notre observation I est un exemple. ' , L'absence de phénomènes
cérébraux
dans ces derniers cas, qui à la vé- rité ne son
inze autres frères et soeurs succombèrent en bas-âge à des maladies
cérébrales
, méningite, etc. La malade fut élevée au sein.
bruit de l'eau qui bout. Champ au- ditif normal. Pas de troubles
cérébraux
; mémoire conservée ; intelligence nette, pas de
rison. Antécédents héréditaires. Père mort il 75 ans, de congestion
cérébrale
. Mère morte à 42 ans de la variole qu'elle cont
plus souvent dominés par les phénomènes cli- niques de la sclérose
cérébrale
. Il devient cependant possible, par une analyse
pour produire des paraplégies spasmodiques, indemnes de phénomènes
cérébraux
concomitants. Il est rare toutefois que, même d
r nous donnaient la conviction que nous avions affaire à une lésion
cérébrale
survenue à un âge reculé et [ayant produit un a
pée et donne.une incision profonde dans la circonférence supérieure
cérébrale
. Comme le montre très distinctement la Pl.XXVI,
tif. 3° Le processus destructif ne s'est localisé que dans l'écorce
cérébrale
et l'amas blanc sous-jacent des parties malform
le et l'amas blanc sous-jacent des parties malformées de la surface
cérébrale
, tandis que les noyaux centraux sont restés int
les ventricules sont dilatés. 5° La substance blanche de la surface
cérébrale
saine en apparence, ainsi que la substance gris
erchée dans l'atrophie de la substance blanche et grise de l'écorce
cérébrale
. z On peut encore observer que la flexion delà
céphalite du lobe temporal, qui s'est répandue de lu sur l'é- corce
cérébrale
gauche. Cette inflammation doit être d'ancienne d
uvons dire où la méningite a trouvé son origine. - Les pédoncules
cérébraux
, la protubérance, le cervelet et le bulbe ne so
vaisseaux ont des parois élargies. Le tissu conjonctif de l'écorce
cérébrale
plus ou moins intacte a subi peu d'altérations
ent nerveux qui nous frappe. B. Une atrophie du pied du pédoncule
cérébral
gauche, qui s'est ré- LA TERMINAISON CORTICALE
i concerne les noyaux rouges de Slilliîèfl. L'atrophie du pédoncule
cérébral
gauche et du pédoncule cérébelleux supérieur dr
trajet auraient dû être plus grandes. Dans la partie du' pédoncule
cérébral
située au-dessus de la substance grise de SoeMM
on de ces fibres blanches dans les réseaux des cellules de l'écorce
cérébrale
, les opinions ne divergent pas moins. Suivant l'e
rposition des cellules nerveuses des noyaux centraux, dans l'écorce
cérébrale
, ou du moins que ces noyaux centraux ne font pa
autant plus séduisante qu'alors les fi- bres, provenant de l'écorce
cérébrale
motrice [circonvolutions frontales, centrales e
ontre cette opinion. I. Bechterew (obs. I). Destruction de l'écorce
cérébrale
entière, datant dès la jeunesse, sauf le lobe t
ELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE lésion principale de la surface
cérébrale
était suivie d'une dégénération du faisceau lat
e. Pas d'autres symptômes. Mort de diphtérie. ' . « Autopsie. Gomme
cérébrale
, hydrocéphalie interne. Le périoste des vertè-
87 philitiques. Chez tous deux,.il existait des lésions de sclérose
cérébrale
et des altérations vasculaires considérables, m
que les lésions de la sclérose descendante consécutive aux lésions
cérébrales
. Gangitano (1) rapporte trois autopsies de syph
cidents secondaires. « Macroscopiquement le cerveau et les méninges
cérébrales
paraissentsains, mais on trouve au microscope u
n affaissement (marasme) général de tous les organes. La pie-mère^
cérébrale
est molle et épaissie. Le cerveau, qui a conservé
rès légèrement macéré. Viscères d'apparence normaux. La substance
cérébrale
est de consistance normale. Il y a une légère suf
et collègue Vauverts. Les viscères semblent normaux. La substance
cérébrale
, les méninges ont leur aspect habituel, mais il y
RIERE de date ancienne, il est noirâtre, non adhérent il,la surface
cérébrale
sous-ja- cente. L'examen de la moelle qui, à
gnent les dimen- sions du petit doigt d'un adulte. ' La substance
cérébrale
parait normale. Moelle. Tout est normal sauf la
point. Vous n'ignorez pas que, sur cette question des localisations
cérébrales
, le désarroi est pour le moment dans le camp des
térieure de la capsule interne produisent le syndrome hé-mianesthésie
cérébrale
; pour ce qui est maintenant de l'écorce des hémi
octrine arrêtée, concernant le rôle physiologique de diverses régions
cérébrales
. Mais, tels qu'ils sont, ils représentent comme a
thèse de M. Féré : Des troubles fonctionnels de la vision par lésions
cérébrales
, 1882, p. 109.) la parésie d'un membre, après s
nière particularité, ils peuvent se rencontrer dans le cas de lésions
cérébrales
en foyer occupant la capsule interne. Fig. 14.
e vraie ou consécutive à une affection encéphalique grave, une tumeur
cérébrale
, par exemple. Les attaques épileptiformes existai
ute aussi, chez des sujets à lésions organiques (sclérose descendante
cérébrale
ou spinale), on peut voir le même accident se pro
troubles sen-sitifs ne pourraient être déterminés que par une lésion
cérébrale
en foyer, siégeant au niveau du carrefour sensiti
dans une discussion en règle, relative à la question de l'hémianopsie
cérébrale
qui, pour être convenablement traitée, exigerait
peut être la conséquence delà lésion de certaines parties de l'écorce
cérébrale
Or, il semble résulter aussi de ces observations
ces observations que, presque constamment dans l'hémianopsie de cause
cérébrale
d'origine corticale, la lésion occupe à peu près
Quoi qu'il en soit, les données fournies relativement à l'hémianopsie
cérébrale
, chez l'homme, pourraient servir à nous faire com
ribution à l'étude des froubles fonctionnels de la vision par lésions
cérébrales
[amblyopie croisée et hémianopsie), 18S2. . ¦ d
a difficulté qui se présente : si la cécité verbale et i'hé-mianopsie
cérébrale
reconnaissent le même siège dans Je Fig. 2ô. —
ela ne semble pas être ; car on peut citer des exemples d'hémianopsie
cérébrale
, sans cécité verbale et de cécité verbale sans hé
rrait bien être un des caractères cliniques de l'hémianopsie de cause
cérébrale
. Pour en finir, il me reste encore à rechercher
cela que nous en sommes réduits, en fait de physiologie pathologique
cérébrale
. Je n'ai pas besoin de vous rappeler que l'artè
a eu pour conséquence une altération plus ou moins prononcée du tissu
cérébral
. Mais, en quoi consiste la lésion vasculaire, spa
ories, est un fait capital en pathologie aussi bien qu'en physiologie
cérébrale
; il conduit nécessairement à admettre que ces gr
dans la pathogénie, la maladie étant en pareil cas liée à des lésions
cérébrales
localisées d'une certaine façon. Il en est de m
l'apparition de l'hystérie. Parmi tous ces traumatismes des fonctions
cérébrales
, il n'en est peut-être point de plus efficace, et
lification, que des squelettes vivants. Et de quelle vie ! la torpeur
cérébrale
a succédé à l'agitation factice du début ; depuis
ence, tout naturellement, que cette monoplégie dépendait d'une lésion
cérébrale
en foyer, corticale, étroitement limitée dans la
détromper. Sans doute, la monoplégie en question dérive d'une lésion
cérébrale
corticale, principalement localisée dans la zone
a chute sur l'épaule? S'agit-il d'une lésion spinale? ou d'une lésion
cérébrale
en foyer? Telles sont les hypothèses qu'il convie
veux par conséquent ; s'agit-il donc d'une lésion organique en foyer,
cérébrale
ou spinale ? Il me sera facile, je pense, de vous
— Amyotrophies dépendant d'une lésion articulaire ; lésion spinale ou
cérébrale
en foyer. — Symptômes nettement hystériques chez
elève-t-elle d'une lésion en foyer siégeant dans l'un des hémisphères
cérébraux
? Nous ne nous arrêterons pas longtemps à discut
int, mais je considérerai d'un peu plus près l'hypothèse d'une lésion
cérébrale
en foyer. Dans quelle région des hémisphères céré
e d'une lésion cérébrale en foyer. Dans quelle région des hémisphères
cérébraux
une lésion de ce genre devrait-elle être localisé
tres etmoi, dans nos travaux relatifs à la question des localisations
cérébrales
corticales Or, dans le cas de notre malade, et c'
e la doctrine des localisations motrices dans Vécorce des hémisphères
cérébraux
de l'homme. [Revue de médecine, 1883, n°s 5, 6, 8
he Brain, a collection and analysis of the american case of localised
cérébral
disease, pp. 48 et 49 (The american nombre de f
e est sa nature? C'est, je pense, dans l'écorce grise de l'hémisphère
cérébral
du côté opposé à la paralysie et, plus précisémen
, véritablement inexplicable, dans l'hypothèse d'une lésion organique
cérébrale
, spinale ou des nerfs périphériques, se montre, a
point et telle qu'on ne l'observe guère dans les paralysies de cause
cérébrale
reconnaissant une autre origine. Je signalerai en
spinale, celle enfin d'une lésion organique en foyer des hémisphères
cérébraux
que la présence de l'insuffisance aorlique dont l
lésion destructive occupant l'écorce grise de l'un des hémisphères
cérébraux
. Personne ne saurait contester, je pense, que d
uement que si elle provenait d'une lésion destructive de la substance
cérébrale
. Ce sont là des assertions que je vais dans un in
prédisposés comme l'étaient certainement Porcz... et Pin..., à l'état
cérébral
que déterminent chez les hystériques les pratique
r les membres depuis longtemps immobilisés dans l'hémiplégie de cause
cérébrale
; mais la disparition bien constatée dans le cas
reconnaissant pour point de départ une lésion matérielle appréciable
cérébrale
ou spinale, à l'aide de certains caractères clini
me de leur développement ; c'est dans l'é-corce grise des hémisphères
cérébraux
— je crois pouvoir l'admettre sans m'avancer trop
a Reine. Il est très vraisemblable qu'il a éprouvé là une commotion
cérébrale
intense, suivie de cette forme d'amnésie que MM.
ue affectant celles des zones motrices etsensitives de l'écorce grise
cérébrale
qui, à l'état normal, président au fonctionnement
e directe sur la boîte crânienne, c'est-à-dire avec ou sans commotion
cérébrale
, ce dernier terme étant pris dans l'acceplion chi
sie paraplégique accompagnée parfois de tremblement1. Le choc nerveux
cérébral
(nervous-shock), inséparable de l'émotion, produi
particulièrement quand le choc a été précédé ou suivi d'une commotion
cérébrale
physique. Ces accidents-là ont été parfaitement d
it d'assez longues courses sans trop de fatigue. Cependant la torpeur
cérébrale
subsiste toujours à un certain degré, et les stig
at de suggestibilité, il s'est développé par le fait de l'ébranlement
cérébral
produit par le choc nerveux. On remarquera que la
té de ce centre sensitif à celle des centres moteurs... Le substratum
cérébral
de l'esprit ne comprend donc, en aucune manière,
lourdissement, aucun vestige de convulsion, en un mot aucun phénomène
cérébral
; la paralysie occupe le membre inférieur et le me
c diminution des réflexes tendineux, à début brusque, sans phénomènes
cérébraux
épilepti-formes ou apoplectiformes ; cette monopl
la nature de cette hémiplégie. Et d'abord, est-elle due à une lésion
cérébrale
en foyer, hémorrhagie ou ramol lissement ? On p
t pas là les allures ordinaires de l'hémorrhagie ou du ramollissement
cérébral
; car, nous l'avons vu, il n'existe pas dans notre
. 31 phie développée du côté paralysé, dans une hémiplégie de cause
cérébrale
suivie de dégénération descendante, et qui était
— Amyotrophies dépendant d'une lésion articulaire ; lésion spinale ou
cérébrale
en foyer. Symptômes nettement hystériques chez ce
e ou hystérique, 216-225. Choréiformes (Mouvements), 214. Commotion
cérébrale
, 443. Compression, son influence sur le dévelop
s le travail de Frend sur les formes héréditaires des diplé- gies
cérébrales
publié en 1893, on a vu successivement paraître
travail de Trénel relatant un cas de maladie familiale à symptômes
cérébraux
et médullaires carac- térisée par des troubles
symptômes cérébro-spinaux qui caractérisent la diplégie spasmodique
cérébrale
in- fantile. Tous deux étaient atteints d'idiot
ysie, excès de boisson, tentative de suicide, mort d'une congestion
cérébrale
. Plusieurs cousins morts de méningite, une cous
ébastopol. Grand-mère maternelle, morte à 76 ans d'une congestion
cérébrale
avec paralysie, est restée plusieurs jours malade
ort. Sommaire. Père alcoolique. Tante paternelle morte d'un abcès
cérébral
. Une autre tante aliénée. Trois frères morts je
âgée de 55 ans, est en parfaite santé, l'autre est morte d'un abcès
cérébral
consécutif à une otite moyenne aiguë ; la trois
es d'amnésie. - Arrière-grand-père maternel, mort de con- gestion
cérébrale
. -Arrière-grand'mère maternelle, morte à sa 3e
72 ans, sobre. Grand'mère paternelle morte subitement de congestion
cérébrale
. - Grand-père maternel, sobre, a succombé à sa
amnésie, un arrière grand père et une arrière grand'mère, accidents
cérébraux
. Notons aussi un demi oncle et une demi tante m
ale, qu'il présente des troubles marqués et incurables des facultés
cérébrales
et qu'il y a lieu de le diriger sur un asile sp
ersistance des sutures. 92 Idiotie 11CROCPHILItUE. Les pédoncules
cérébraux
sont très rétrécis, blancs et symétriques. Les
Les artères vertébrales et basilaire sont régulières. - Les artères
cérébrales
sont très réduites de volume. , Le cervelet a u
mère, extrêmement amincie, et il ne semble pas y avoir de substance
cérébrale
. La partie des poches qui répond aux lobes pari
Cerveau PSEUDO-IiISTIQUE. 93 Quand on écarte les deux hémisphères
cérébraux
, on voit qu'à gauche, au niveau du lobe frontal
qu'elle « est atteinte d'idiotie liée à la présence d'une tumeur
cérébrale
, que cet état s'accompagne d'une excitation men-
e leucocytes polynucléaires. S V. -Idiotie symptomatique d'atrophie
cérébrale
; pachyméningite; kyste de la dure-mère. \la&
à un faible grossissement une coupe per- pendiculaire à la surface
cérébrale
, intéressant plusieurs cir- convolutions et s'é
Les vaisseaux, qu'ils appartiennent aux méninges ou à la substance
cérébrale
, ont le même aspect ; leurs parois sont très ép
s en pleine substance grise. 120 IDIOTIES. B. Lésions de l'écorce
cérébrale
. - L'écorce, dans les points où la méningite es
le tissu des points nécrosé,. - Dans certaines régions la substance
cérébrale
résiste mieux, puisqu'elle a des con- tours net
deux autres couches de l'écorce. Néanmoins, dans toute la substance
cérébrale
, existent de nombreuses altérations : cellules
sonner leur lumière et en amener l'oblitération. - II. Scléroses
cérébrales
atrophiques. Elles s'accompagnent rarement d'un
se répartissent ainsi : XIII. Inégalité de poids des hémisphères
cérébraux
et cérébelleux ; Par ItpUItVI : VI1.LL. Voi
, mort d'albuminurie. - Grand-père paternel mort de, ramollissement
cérébral
. Grand'mère parternelle morte d'un cancer utéri
e à de violentes colères. Grand-oncle paternel mort d'acci- dents
cérébraux
à l'asile de Dry. - Un autre grand-oncle patern
boisson. Grand'lante paternelle, très coléreuse, morte d'accidents
cérébraux
. Autre grand' tante paternelle morte d'un cance
complète. SOMMAIRE. - Père, boucheur à l'émeri, mort d'une tumeur
cérébrale
à 55 ans, sobre. Oncle paternel, noceur. Tante
nombreuses combinaisons morpholo- giques. - Évaluation du volume
cérébral
. En premier lieu il faut évaluer la capacité cr
e du crâne. - On ne peut évaluer la quantité des différents lobes
cérébraux
. Le développement du front, en-effet, ne donne
capacité faible relativement 1\ la taille, la comparaison du volume
cérébral
avec le poids du corps. On peut se baser de mêm
orte raison, devant les déformations qui ne modifient pas le volume
cérébral
, on ne peut porter un jugement sur l'état du ce
cularité n'existe pas, on doit invoquer l'inégalité des hémisphères
cérébraux
. Qu'on ait à faire à une hémiplégie spasmodique
fluence de l'accouchement anormal sur le développement des troubles
cérébraux
de l'enfant. Thèse de Paris. FÈVRE (A.). Du m
tte planche montre la face convexe de l'encéphale : les hémisphères
cérébraux
sont transformés en kystes, le cerve- let est i
p. 81-96.) Elle montre les deux hémisphères ouverts, la substance
cérébrale
réduite à une mince couche, les ventricules lat
s prononcé dans les cas de ce genre que dans l'hémiplégie d'origine
cérébrale
. « Ce signe peut exister aussi dans certaines p
certains cas pathologiques, chez des malades atteints d'hémiplégie
cérébrale
organique, la même manoeuvre donne lieu à une s
1902). 3o° Le signe de Babinski immédiatement consécutif aux ictus
cérébraux
, par Brissaud (Société de Neurologie de Paris,
ies d'origine spinale que dans celles qui dépendent d'une affection
cérébrale
. » Il n'existe pas, du moins à ma connaissance.
(i 8g) quelques faits établissant qu'un ramollissement de l'écorce
cérébrale
peut s'accompagner d'une leucocytose abondante
au cours de l'urémie convulsive (Chauffard), soit à une hémorragie
cérébrale
(Mosny, Claude), dans nos observations I et III
aude et Verdun nous montre que, dans les 7-2 SEMIOLOGIE u lésions
cérébrales
en foyer qui s'accompagnent de leucocytose, à la
ptomatique et l'on pourrait être tenté de le rapporter à une lésion
cérébrale
en foyer. « Des plaques de sclérose disséminées
ar Brissaud et Souques). Amyotrophie. Dans l'hémiplégie d'origine
cérébrale
il se développe parfois une atrophie des muscle
des cornes antérieures de la moelle. J'ai montré (i4) qu'une lésion
cérébrale
accompagnée de dégéné- HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE 127
a mienne et se porte en arrière. C'est dans la monoplégie d'origine
cérébrale
que j'ai observé pour la première fois ces phén
deux modes de balancement du bras. TUMEURS INTRA-CRANIENNES. OEDÈME
CÉRÉBRAL
Diagnostic. A. J'ai attiré l'attention sur ce
des néoplasmes intra-crâniens : la TUMEURS INTRA-CRANIENNES. OEDÈME
CÉRÉBRAL
13l céphalée, les vomissements, la stase papill
l'observation anatomo-clinique d'un sujet qui, atteint d'une tumeur
cérébrale
dont le poids dépassait 3oo grammes, n'avait jama
écelé la présence de trois tumeurs méningées refoulant l'hémisphère
cérébral
droit ; à gauche, il n'y avait pas de tumeur. Cet
associée à d'autres signes rendant acceptable l'hypothèse de tumeur
cérébrale
, constitue un argu- ment de grande valeur à l'a
j'ai fait connaître (voir p. 167). TUMEURS INTRA-CRANIENNES. OEDÈME
CÉRÉBRAL
133 Traitement. Médication hydrargyrique. D
autorisé à dire que j'ai contribué au développement de la chirurgie
cérébrale
en France. La craniectomie, malgré les travaux
n remarquable que la craniectomie est à même d'exercer sur l'oedème
cérébral
. J'ai-insisté sur l'utilité de la craniectomie dé
ha- lée, de la stase papillaire et des autres troubles que l'oedème
cérébral
avait provoqués, grâce à la simple résection d'
et de Martel, j'estime, en effet, que dans nombre de cas de tumeur
cérébrale
, il faut être beaucoup plus réservé que Tuilier d
ésie du côté droit dans l'observation XII de son Traité des tumeurs
cérébrales
publié en 1907. La lésion occupait l'hémisphère c
s. A l'autopsie (outre un foyer de ramollissement dans l'hémisphère
cérébral
droit qui avait causé l'hémiplégie gau- che) on
e radicu- laire (méthode de Marchi). De plus, la moelle et l'écorce
cérébrale
sont examinées sur des coupes colorées à l'héma
r aussi dans des cas de tumeur intra-crânienne accompagnée d'oedème
cérébral
et d'hyper- tension du liquide céphalo-rachidie
delabyrinthite suppurée, de commotion laby- rinthique, de syphilis
cérébrale
avec paralysie faciale et acoustique, de maladie
rs caractères intrinsèques, de ceux que déterminent des altérations
cérébrales
ou médullaires. On la croyait en état de donner
connaissances médicales, 19 et 26 octobre 1882). 2. Ramollissement
cérébral
(Bulletins de la Société anatomique, 2 mars 1883)
se, Paris, )885, chez Masson). Il¡. Atrophie musculaire d'origine
cérébrale
avec intégrité des cornes anté- rieures de la m
s de Médecine, mars tgo). 136. Sur la rachicentèse dans les tumeurs
cérébrales
(Société de Neurologie, 2 mai 1907). 137. Rés
es trophiques attribués à l'hystérie (Id.). 15g. Deux cas de tumeur
cérébrale
(Id., 4 mars igog). 160. Deux cas de tumeur cér
cas de tumeur cérébrale (Id., 4 mars igog). 160. Deux cas de tumeur
cérébrale
du lobe frontal (Id., G mai igog). 161. Quelque
t J (09)' INDEX BIBLIOGRAPHIQUE 227 Il)4. Trépanation pour tumeur
cérébrale
. Ablation de la tumeur. Grande amé- lioration (
d.). 173. Utilité de la craniectomie décompressive dans les tumeurs
cérébrales
(Leçon faite à la Pitié. Journal de Médecine et
du liquide céphalo-rachidien au cours du ramollissement de l'écorce
cérébrale
(en collaboration avec Gendron. Société médicale
modes de balancement du bras) 128 Tumeurs intra-cràniennes. OEdème
cérébral
130 - Diagnostic 130 Traitement I 33 Médica
▲