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1 (1901) Anatomie des centres nerveux. Tome 2, Fascicule 1 : Anatomie du cerveau (suite), anatomie du rhombencéphale
ÈME PARTIE (suite) CHAPITRE VI FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE On désigne sous le nom de fibres de projection
ÉRÉBRALE On désigne sous le nom de fibres de projection de l'écorce cérébrale l'ensemble des fibres qui, prenant leur origine
res qui, prenant leur origine dans les cellules de la cor- ticalité cérébrale , relient cette dernière aux différents segments d
x différents segments du névraxe. Elles comprennent, comme l'écorce cérébrale elle-même, deux grands systèmes : le système du
e cérébrale elle-même, deux grands systèmes : le système du manteau cérébral elle système du rhinencéphale. Le système du ma
nteau cérébral elle système du rhinencéphale. Le système du manteau cérébral envoie ses fibres de projection dans la capsule
plus haut degré de développement chez l'homme. Il relie le manteau cérébral aux ganglions infracorticaux, au rhombencéphale
son ensemble un vaste cùnc dont la base correspond à la corticalité cérébrale et le som- met à l'extrémité inférieure de la m
rosmatiques; il constitue les radiations olfactives et le lri- gone cérébral et n'envoie que très peu Je fibres dans la capsul
La capsule interne représente donc une formation propre au manteau cérébral . Dans la série des vertébrés, elle n'apparaît qu'
rnier. Elle fait défaut non seulement chez les poissons où l'écorce cérébrale se réduit à une mince couche épithéliale, mais
oie les siennes dans les radiations olfactives, et le tri- gono cérébral . La capsule interne n'existe que chez les v
OMIE DES CENTRES NERVEUX. Les fibres do pro- jection du manteau cérébral sont des fi- bres corticifuges. Leurs aractèr
onne naissance à un groupe de fibres qui est l'homologue du trigone cérébral . I. SYSTÈME DES FIBRES DE PROJECTION DU MANTEAU
du trigone cérébral. I. SYSTÈME DES FIBRES DE PROJECTION DU MANTEAU CÉRÉBRAL . NEURONES CORTICAUX DE PROJECTION Les fibres
NES CORTICAUX DE PROJECTION Les fibres de projection du man- teau cérébral sont des fibres corlici- luges. Elles pré- se
oyennes et dans quelques cellules poly- morphes de l'é- corce cérébrale ; t 2° de dégénérer ' de haut en bas ( dégén
s Fig. 1. - Schéma du système des libres de projection du manteau cérébral . 13 bulbe. - Ce. corps calleux. - CL, corps d
onstituent la voie pédonculaire (VP), occupent le pied du pédoncule cérébral , abordent ensuite le rhombencéphale, pénètrent
utres se rendent dans les noyaux des nerfs moteurs crâniens (fibres cérébrales des nerfs moteurs crâniens) et repré- sentent l
as). Par son trajet, le système des fibres de projection du manteau cérébral appartient donc aux différents segments du névr
térieur, inter- médiaire et moyen, et qui s'étend de la corticalité cérébrale au bord supérieur de la protubérance. Nous renv
MÉDIAIRE ET MOYEN. CENTRE OVALE, CAPSULE INTERNE, PIED DU PÉDONCULE CÉRÉBRAL . A. CENTRE OVALE A leur origine, les fibres d
A. CENTRE OVALE A leur origine, les fibres de projection du manteau cérébral concourent, avec les fibres calleuses, les fibr
s sous le nom de substance blanche non différenciée de l'hémisphère cérébral , elles s'entre-croisent a angle droit avec les
férieur de la couronne rayonnante. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 5 tail largement déployé dont les rayons (rccc
suit que les lésions patho- logiques destructives de la corticalité cérébrale intéresseront toujours chez l'enfant le faiscea
2 et G). Sur les coupes horizontales microscopiques de l'hémisphère cérébral (Fig. 3, 13 et 14) traitées par les méthodes de
e et interne du thalamus. NC, tête FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 7 grosses libres à myéline, fortement colorées
ne frontale du ventricule latéral. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 9 rieur de la couronne rayonnante se présente
e la capsule interne et leur continuation dans le pied du pédoncule cérébral . Coupe vertico-transversale sectionnant la partie
e sectionnant la partie moyenne du FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . H giqucs, destructives du lobe frontal, en par
ollatéral et au troisième sillon temporal. - P, pied du pédon- cule cérébral . - Pa, circonvolution pariétale ascendante, - Par
e de la capsule interne (Fig. 7) et de là dans le pied du pédoncule cérébral (voy. coupe sagittale Fig. 282). 3. Segment pos
le segment retrolenticulairo de la FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 17 capsule interne. Coupe horizontale intéress
orne sphénoïdale et sectionnant le noyau amygdalien et le pédoncule cérébral . Méthode de Weigert. (Voy. description de cette
iculaires de la troisième paire. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 19 noyau caudé (NC"), ces fibres se portent en
7'(il), tapelum. - Th, thalamus. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 21 Fin. 44. - Coupe hori- zontale de l'hémi-
optique de Forel et en continuité directe avec le pied du pédoncule cérébral (P). Sur toutes les coupes vertico-transversale
-lenticulaire (Cisl) et la branche commune par le pied du pédoncule cérébral (P) (Fig. -17). La division de la capsule inter
e de la capsule, la région sous- thalamique et le pied du pédoncule cérébral se continuent sans ligne de démarcation nette.
thalamique de la capsule interne. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 2a 5 FiG. 17. - Série de coupes vertico-Iransv
la région sous-optique de la capsule interne et du pied du pédoncule cérébral . Cia, segment antérieur; Ci(g), genou; Ci])[th)
egment postérieur de la couronne rayonnante. - P, pied du pédoncule cérébral . - l'y, sa continuation dans la région protubér
ns la région sous-thalamique (6, 7, 8) et dans le pied du pédoncule cérébral (9). La ligne poin- tillée verticale de ces cou
a capsule interne et formant la partie externe du pied du pédoncule cérébral . - Arc, noyau caudé. - NL3, iYI2, NL,, les troi
es en Médecine de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 27 Fic. 19. - Le segment antérieur ou lenticul
nterne du globus pallidus (NL,) et FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 31 ne. 21. - Coupe horizontale dû la région th
es en Médecine de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 33 Fia. 23. - Le genou de la capsule interne e
ip), et plus bas, le cinquième le plus interne du pied du pédoncule cérébral . Cette étude montre en outre que le faisceau gé
t pos- térieur (Cip) et dans la partie interne du pied du pédoncule cérébral (Voy. cas Rivaut, Racle, Richard, Fig. H2 il 16
transversal de l'hémisphère el convergent vers le pied du pédoncule cérébral . Les fibres antérieures, adjacentes au segment
s, en dedans et en avant (Fig. 6). FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 35 Fig. 24. - Le segment sous-lenticulaire et
es en Médecine de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 37 segments interne et externe du globus pal
ro et sous-lenticulaire de la capsule interne, le pied du pédoncule cérébral et le faisceau de Turck vus sur une coupe horizon
amen). - NR, noyau rouge. - P, étage inférieur ou pied du pédoncule cérébral . PTml, pédoncule du tubercule mamillaire. l'ul, p
n oblique, jusque dans les régions supérieures du pied du pédoncule cérébral (Fig. 25). Il s'agit, en effet, ici de fibres à
ourbe en bas et descend dans la partie externe du pied du pédoncule cérébral en formant le faisceau de Turck. Le segment pos
oyau lenticulaire, puis se coude et entre dans le pied du pédoncule cérébral . A un examen superficiel, ce faisceau paraît ve
yau caudé et représenter le contingent strié du pied du pédon- cule cérébral . En réalité, il s'agit ici d'un faisceau cortical
é en 1893 que toutes les fibres longitudinales du pied du pédoncule cérébral sont d'origine corticale. Les fibres du segment
s s'irradient en très grand nombre FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 39 Fig. 26. - Les segments postérieur, rétro-l
et sous-lenticulaire de la capsule interne et le pied du pédoncule cérébral vus sur une coupe vertico-transversale pas- san
sceau qui contient des fibres de projection. - P, pied du pédoncule cérébral . 11-I, deuxième circonvolution pariétale. - l'a
es se continuent directement avec les fibres du pied du pédon- cule cérébral en formant la voie pédonculaire. 3. Segment rét
, la partie supérieure de la coupe FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 41 correspond au segment postérieur de la caps
la capsule interne n'envoie pas de fibres dans le pied du pédoncule cérébral ; tributaire du lobe occipital (en particulier d
Ce segment n'en- voie pas de fibres dans le pied du pé- doncule cérébral . Disposition ·bnc- rale du segment sous- le
- cend ensuite dans le cin- quième externe du pied du pédoncule cérébral , après s avoir abandonné des fibres au corps
isceau de Tiirck (FT), forme la partie externe du pied du pédoncule cérébral , et dont l'autre faisceau temporo-thalamique d'
culaire.-11. Bandelette optique. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 43 Fic. 28. - Le segment sous-lenticulaire de
ostérieur de la cap- sule interne au voisinage du pied du pédoncule cérébral et ses rapports dans la région sous-optique ave
éressant la corne d'Ammon, le faisceau externe du pied du pédoncule cérébral et le noyau rouge. Méthode de Weigert. Alv, alv
gment sous-lenticulaire de la cap- FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 4 : i su e interne. - Ln, locus niger. -.VC' p
ment inférieur de la couronne rayonnante jusqu'au pied du pédoncule cérébral (Fig. 29 et 7). La couche inférieure est con- s
es eh Médecine de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 47 lésion de la face interne et de la pointe d
ieur de la capsule interne au voisinage immédiat du pied du pédoncule cérébral . z Cisl, segment sous-lenticulaire de la capsul
essoire. - 7 ? pilier antérieur ; Tgp, pilier postérieur du trigone cérébral . - U, circonvolution du crochet. - VSph, corne
de la première circon- volution temporale. C. - PIED DU PÉDONCULE CÉRÉBRAL . VOIE PÉDONCULAIRE Le pied du pédoncule cérébra
PIED DU PÉDONCULE CÉRÉBRAL. VOIE PÉDONCULAIRE Le pied du pédoncule cérébral (P, Fig. 12, 25, 33, 34, 35, 36, i) fait suite
fibres n'entrent dans la conslitu- FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . zip FiG. 33. - Le segment sous-lenticulaire de
gment sous-thalamique de la capsule interne et le pied du pédoncule cérébral . - Coupe horizontale passant par la partie laté
aire. -11'R, noyau rouge. - P, étage inférieur ou pied du pédoncule cérébral . - pCR, pied de la couronne rayonnante. - PiTh,
le latéral. If, bandelette optique. FIG. 34. - Le pied du pédoncule cérébral , ses rapports avec le pédoncule du tubercule ma
pédoncule du tubercule mamillaire. - Coupe horizontale du pédoncule cérébral sectionnant le noyau rouge, l'espace perforé an
postérieur. 1,ilI. faisceau rétro- FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . as flexe de Meynert. Fus, lobule fusiforme.
- ol, sillon collatéral. - l', étage inférieur ou pied du pédoncule cérébral . - pCR, pied de la couronne rayonnante. PTott,
arallèles à la bandelette optique, sectionnent le pied du pédoncule cérébral perpendiculairement à sa direction (Fig. 12, 25
tum inter- medium (Meynert), de couche dorsale du pied du pédoncule cérébral (Flechsig). (Stri el PLp, Fig. 35.) Du stratu
de la profondeur du deuxième cinquième externe du pied du pédoncule cérébral , on voit se détacher un certain nombre de gros
de Reil médian dans les régions inférieures du pied du pédon- cule cérébral . Ils constituent le faisceau du pied à la calotte
ent en bas et en dedans, croiser la face libre du pied du pédoncule cérébral en formant le faisceau en écharpe de Féré. Au n
otubérantiel, elles atteignent le bord interne du pied du pédoncule cérébral et se placent en dedans de son faisceau interne
dian. Plus bas, elles rentrent dans Fig. 35. - Le pied du pédoncule cérébral , sa couche intermédiaire ou profonde, et le pes
nde, et le pes lemniscus profond. - Coupe transversale du pédoncule cérébral , au voisinage du sillon pédonculo-protubérantie
n arrière de l'aqueduc de Sylvius. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 53 la constitution de la pyramide bulbaire o
e du pes FiG. 36. - La dissociation des libres du pied du pédoncule cérébral , en particulier du stratum intermedium et du pe
sement au ruban de Reil médian. - Coupe transversale du pédon- cule cérébral passant au-dessous de la coupe précédente (Fig. 3
dehors; elles contournent le faisceau externe du pied du pédoncule cérébral , puis s'infléchissent en dedans au voisinage de
e Gudden. Lorsqu'on étudie les dégénérescences du pied du pédoncule cérébral , en particulier celles de sa partie interne, on
Dans les dégé- nérescences du faisceau interne du pied du pédoncule cérébral , on trou- vera toujours aux confins de la régio
der de considérer comme appartenant au système du pied du pédoncule cérébral . Si dans ces cas Fic. 37 et 38.-Dégénérescence
ncules céré- belleux supérieurs. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 55 FiG. 39 et 40. - Cas Bizaguet. Dégénéresc
Bizaguet. Dégénérescence de la partie moyenne du pied du pédoncule cérébral consécutive à une lésion corticale et sous-cortic
l'atrophie extrême des régions non dégénérées du pied du pédoncule cérébral et dans la figure 40 l'hémiatrophie en masse de
noyau rouge. Niv, noyau du nerf pathétique. - l', pied du pédoncule cérébral ; P', son faisceau interne sain; P(d), sa zone m
PLs) dégénéré le long de la face superficielle du pied du pédoncule cérébral et on verra ses fibres horizontales se placer e
de prime abord anormales, du faisceau moyen du pied du pédon- cule cérébral , telles que le cas Bizaguet (Fig. 39 et 40). Dans
horizontales contourner les fibres verticales du pied du pédoncule cérébral . Elles ne quittent pas le voisinage immédiat du s
r les coupes sériées, le long de la face libre du pied du pédoncule cérébral et jusque sur la face latérale de l'isthme de l
411'E DES DIFFÉRENTES CATÉGORIES DE FIBRES DE PROJECTION DU MANTEAU CÉRÉBRAL (Résultats basés sur l'étude de 53 cas de dégén
nérescences secondaires.) Les connexions directes de la corlicalité cérébrale avec les masses grises du névraxe s'effectuent
de longueur différente : 1° Les unes courtes relient la corticalilé cérébrale aux noyaux gris des cerveaux intermédiaire el m
ou de bras'. 2° Les autres longues passent par le pied du pédoncule cérébral for- ment la voie pédonculaire et réunissent la
érébral for- ment la voie pédonculaire et réunissent la corlicalité cérébrale au locus niger, au rhombencéphale et à la moell
nnante du thalamus, et proviennent de toutes les régions du manteau cérébral , puisqu'une lésion corticale pathologique ou ex
), genou; Cip, segment postérieur; FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 59 Cirl, segment rétro-lenticulaire de la caps
plexus choroïdes. - PTg, plicature du pilier postérieur du trigone cérébral . Rsth, radia- tions strio-thalamiques. - SI, se
halamus. - Tga, pilier antérieur; Tgp, pilier postérieur du trigone cérébral . Th, thalamus. tr,c, tienia semi-circularis. -
t aux fibres cor- ticipèles que le thalamus envoie à la corlicalité cérébrale , mais la délimi- tation elle-même des pédoncule
en quatre faisceaux ou pédoncules. Connexions de la corticalité cérébrale avec le thalamus. A chaque territoire cor-
-postérieur explique pourquoi, sur FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 61 Fig. 42. - Coupe sagittale des ganglions
rt. - fez, fibres perforantes du corps calleux destinées au trigone cérébral dont elles concourent à former le fornix longus
e de la première cir- convolution frontale. - Il, pied du pédoncule cérébral . - ]les. pédoncule cérébelleux supérieur. - Plc
horoidienne et le corps.du trigone et appartenant à la grande fente cérébrale de Bichat. Srlq, substance grise de l'aqueduc de
es horizontales qui intéressent la FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 63 1'ic. 43. Les fibres radiées du thalamus (n
la substance innommée sous-lenticulaire de Reichert et le pédoncule cérébral . Méthode de Weigert. 2/1 grandeur nature. Détails
érieur. - Ip, insula postérieur. - FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . M Lms, lame médullaire superficielle. - Ln, lo
en). - J"fI, noyau rouge. - P, étage inférieur ou pied du pédoncule cérébral . - pCR, pied de la couronne rayonnante. - PiTh, p
et en dehors de la région sous-optique et du pied du pédon- cule cérébral (cette coupe appartient au cas Bras, cécité cor
es en Médecine de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . G7 semblent faire suite à la couche sagittale
yau externe du thalamus. - NIl, noyau rouge. - P, pied du pédoncule cérébral . - PiTh, pédoncule inféro-interne du tha- lamus
thalamus. II, bandelette optique. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 69 FiG. 47. - Les segments antérieur, postérie
emporal, en particulier de la pre- FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . il FiG. 48. - Coupe horizontale oblique para
passant par le noyau rouge, le corps de Luys, le pied du pédoncule cérébral , le segment rétro-len- ticulaire de la capsule
tamen). - A7Î, noyau rouge. - P, étage inférieur ou pied du pédoncule cérébral . - l'ul, pulvinar. - Qa, tubercule quadrijumeau
u noyau ROUGE. - Le noyau rouge reçoit des fibres de la corticalité cérébrale , ainsi que nous l'avons démontré en 1895; il dégé
égé- nère, en effet, à la suite de vastes lésions de la corticalité cérébrale , en particulier, de la corticalité pariétale (V
se, le neurone cortico-rubrique. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 73 B. ORIGINE CORTICALE ET TRAJET CAPSULAIRE D
RTICO-BULBAIRES ET CORTICO-MÉDULLAIRES. FIBRES du pied du pédoncule cérébral . - Les fibres de projection corticales destinée
re et forment à elles seules toutes les fibres du pied du pédoncule cérébral . Les recherches de l'un de nous, parues en 1893
trairement à ce qu'on croyait jusqu'alors, que If pied du pédoncule cérébral ne contient, ni dans sa couche périphérique, ni
ans sa totalité à la suite de lésions déterminées de la corticalité cérébrale . Ces recherches ont démontré encore, contrairem
rt, n'envoient de fibres de projection ni dans le pied du pédoncule cérébral , ni dans l'étage antérieur de la protubérance.
la voie pédonculaire proviennent du secteur moyen de l'hé- misphère cérébral , passent par le genou (Ci(g), les segments postér
ecteur occupent les quatre cinquièmes internes du pied du pédoncule cérébral , celles de la partie sous-sylvienne ou temporal
interne, cinquième inlerne ou faisceau interne du pied du pédoncule cérébral reçoit ses fibres de l'opercule rolandique et de
érieur (Cip), puis forment la partie interne du pied du pé- doncule cérébral . (Voy. cas Schweigoffer, Fig. 116 à 122.) Le pl
es secondaires La voie pédoncu- laire. Le pied du pédon- culo cérébral est exclusivement forme de libres (le projec-
ntre que la dégénérescence du faisceau interne du pied du pédoncule cérébral s'accompagne d'une dégénérescence de la partie in
bérance (Voy. Fig. 3 -i0). Le faisceau interne du pied du pédoncule cérébral a été identifié par Meynert avec l'anse du noya
ares fibres pyramidales. Le faisceau interne du pied du pédoncule cérébral dégénère à la suite de lésions de l'opercule ro
nent pas la dégénérescence dn faisceau interne du pied du pédoncule cérébral . Les lésions de la partie antérieure du seg- FI
ns de la partie antérieure du seg- FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 16 ment postérieur de la capsule inlerne (Cip)
ig. 186 à 188), respectent le faisceau interne du pied du pédoncule cérébral et la distance qui sépare, dans la région sous-th
une dégénérescence totale, du faisceau interne du pied du pédoncule cérébral . On y rencontre quelquefois des fibres saines,
nne rayonnante jusque dans le faisceau interne du pied du pédoncule cérébral . (Voy. cas Rivaud, Fig. 142 à 162, p. 151 et suiv
lésion cor- ticale avec dégénérescence totale du pied du pédoncule cérébral et intégrité complète des corps striés Fig. 66
égions s'accompagnent d'une intégrité parfaite du pied du pédoncule cérébral , en particulier de son faisceau interne. Le cas M
fait de la dégénérescence du faisceau interne du pied du pédoncule cérébral , obtenu par Ferrier et Turner chez le singe après
me la zone motrice rolandique, des fibres dans le pied du pédoncule cérébral . Chez l'homme, l'existence même de cette zone mot
es; il faut toutefois se rappeler qu'il s'agit ici d'une malformation cérébrale remontant aux premiers mois de la vie embryonna
t pédon culaire de ses diffé rentes parties. Ses terminaisons cérébral au corps opto-strié, à une époque, par conséquent
2, 3, 4. La partie moyenne, ou faisceau moyen du pied du pédoncule cérébral , est constituée par des fibres qui tirent leur or
(Parc). Ces fibres descendent directement dans le pied du pédoncule cérébral sans s'arrêter dans les ganglions centraux. Ell
les deuxième et troisième cinquièmes internes Au pied du pédoncule cérébral (Fig. 49), et passent par la partie moyenne du
ui les refoulent en avant; elles occupent dans le pied du pédoncule cérébral le deuxième cinquième externe et sont limitées en
g. t9). Les libres des trois cinquièmes moyens du pied du pédoncule cérébral abandonnent chemin faisant de nombreuses fibres
ocus niger, entrent dans la constitution de la calotte du pédoncule cérébral et s'adossent au ruban de Reil médian (Rm), en
es en Médecine de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 77 .'IG. 49. - Le trajet capsulaire et le traj
t le trajet pédonculaire des fibres de projection de la corticalité cérébrale . Le secteur antérieur ou frontal de l'hémisphère
orticalité cérébrale. Le secteur antérieur ou frontal de l'hémisphère cérébral (coloré en bleu) envoie ses libres de projectio
et forment à elles seules l'étage inférieur du pied du pédon- cule cérébral . Les fibres du segment supérieur ou sus-sylvien d
us-thalamique les cinq sixièmes antérieurs, dans le pied du pédoncule cérébral les quatre cinquièmes internes. Elles occupent
de la capsule interne et le cinquième externe du pied du pédoncule cérébral . C,qe, corps genouillé externe. Qrli, corps gen
ive de leurs fibres dans la capsule interne et le pied du pédoncule cérébral . Les fibres de la partie moyenne du pied du péd
cule cérébral. Les fibres de la partie moyenne du pied du pédoncule cérébral con- tiennent donc des neurones corticaux du lo
gées les unes avec les autres, aussi bien dans le pied du pédoncule cérébral que dans le segment postérieur de la capsule in
égé- nérescence des quatre cinquièmes internes du pied du pédoncule cérébral , retentit à la fois sur le locus niger, la subs
que toute dégénérescence de la moitié interne du pied du pédoncule cérébral retentit en outre sur les neurones corticaux de
moteurs crâniens. 11 n'existe donc pas dans le pied du pédon- cule cérébral , comme le veulent certains auteurs, un faisceau c
âniens se groupent surtout à la partie interne du pied du pédoncule cérébral , tandis que les fibres pyramidales sont plus ab
rminent toujours une diminution de FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 9 volume de la pyramide bulbaire (cas Schweigo
. 5. - La partie externe ou faisceau externe du pied du pédoncule cérébral ou faisceau de Türck (FT)tire son origine de la p
segment postérieur de la capsule interne dans le pied du pédoncule cérébral et en occupent le cinquième externe. Dans son t
dans la pyramide bulbaire. Le faisceau externe du pied du pédoncule cérébral ne contient donc que des fibres temporo-pro- lu
ibres pour le locus niger. Le faisceau externe du pied du pédoncule cérébral a été désigné sous les noms de faisceau de Turc
rches qui démon- trent que le faisceau externe du pied du pédoncule cérébral tire son origine exclusivement du lobe temporal
ions du lobe occipital ne retentissent pas sur le pied du pédoncule cérébral . Ces recherches ont depuis été confir- mées che
ère de haut en bas, comme les autres faisceaux du pied du pédoncule cérébral . « S'il dégénère moins souvent que ces derniers,
être suivie jusque dans le segment FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 81 sous-lenticulaire de la capsule interne et
alamique de la capsule. En RÉSUMÉ : Les fibres du pied du pédoncule cérébral émanent toutes di- rectement de la corticalilé
u pédoncule cérébral émanent toutes di- rectement de la corticalilé cérébrale , sans interruption aucune, au niveau des gangli
ganglions centraux, et provienne» dit secteur moyen de l'hémisphère cérébral . Les fibres du pied du pédoncule cérébral compr
eur moyen de l'hémisphère cérébral. Les fibres du pied du pédoncule cérébral comprennent les radiations du locus niger, les
? ? 'oM6e7'cHze/'<, les neurones corlico- bulbaires (ou faisceau cérébral des nerfs craniens moteurs), les neurones corli
intense lorsque le deuxième cinquième externe du pied du pédoncule cérébral est dégénéré, que lorsque la dégénérescence occ
urs des noyaux pontiques. Toute dégénérescence du pied du pédoncule cérébral est toujours accompagnée d'une dégénérescence d
eur de la protubérance. Les neurones cortico-bulbaires (ou faisceau cérébral des nerfs moteurs crâniens) tirent leur origine
ou de la capsule interne et le faisceau interne dupied du pédoncule cérébral , et sont enchevêtrées à ce niveau avec des fibr
stérieur, occupent les trois cinquièmes moyens du pied du pédoncule cérébral et forment la pyramide bulbaire. Ils ne reçoive
). Les dégénérescences des trois quarts moyens du pied du pédoncule cérébral sont, par contre, toujours accompagnées d'une d
le,Fig. 112). Historique des fibres de projection de la corticalité cérébrale et en parti- culier de la voie pédonculaire. -
ulier de la voie pédonculaire. - La constitution du pied du pédoncule cérébral , telle que nous venons de la décrire et l'origi
les opinions admises alors, d'après lesquelles le pied du pédoncule cérébral contenaient de nom- breuses fibres originaires
cerveau entraînent du côté correspondant une atrophie du pédoncule cérébral , de la protubérance et du bulbe rachidien, et Rok
arcot et Turner (185`3), Schroeder FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 83 van der Kolk (18;;2), Turner (1836), Char
x de Charcot et de ses élèves basés sur l'étude des localisations cérébrales , jusqu'aux travaux de Flechsig basés sur le dév
u caudé. Pour Meynert, en effet, les connexions de la corticalité cérébrale avec la périphérie du corps étaient indirectes
entrale (cornes médullaires et noyaux des nerfs crâniens). L'écorce cérébrale était reliée aux ganglions de la base par le sy
Fie. 50. - Les connexions des ganglions de la baseaveclacorticalité cérébrale et avec le pied du pédoncule céré- bral, d'ap
es directes. -' FK. fibres du noyau caudé qui vont à la corticalité cérébrale . - FL, fibres du pédoncule destinées au noyau
oïdaL- FT, fibres de la couche optique qui vont il la corticalité cérébrale . La doctrino de Meynert sur la tex- ture du
titution du tronc encéphalique, en particulier du pied du pédoncule cérébral , d'après Meynert (arcs. f. 7)/c/t., 1874). Sept
les tubercules ciuaari- jumeaux antérieurs et le pied du pédoncule cérébral au-dessous de l'oiigine du nerf moteur oculaire
rtie sous-olivaire du bulbe rachi- FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 85 dien; 6, par l'entre-croisement inférieur d
cérébelleux en jaune. Cf, le faisceau interne du pied du pédoncule cérébral (fibres de l'anse lenticulaire); il occupe la p
n antérieur homolatéral. - Cbr, région moyenne du pied du pédoncule cérébral dans laquelle les fibres de la pyramide sont méla
e cérébelleux moyen. - Cp, le faisceau externe du pied du pédoncule cérébral ou faisceau de Turck; il provient de l'écorce des
bres de pro- jection de deuxième ordre dans la calotte du pédoncule cérébral . Le corps strié envoyait les siennes dans le pi
bral. Le corps strié envoyait les siennes dans le pied du pédoncule cérébral (Fig. 50). Les fibres du noyau caudé (FC) et le
e inférieure du globus pallidus, contournaient le pied du pédoncule cérébral à la manière de la bandelette optique au-dessus
as et formaient t les fibres les plus internes du pied du pédoncule cérébral (CF, Fig. 1). La plupart des fibres de l'anse l
es fibres de l'anse lenticulaire abandonnaient le pied du pédoncule cérébral après un court trajet, s'entre-croisaient avec
l'anse lenticulaire n'étaient en effet pour Meynert que les fibres cérébrales des nerfs moteurs crâniens. Les autres fibres de
Contingent lenticu- lo-caudé des libres du pied du pédon- cule cérébral . 86 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Conttngon
ié qui occupait les parties interne et moyenne du pied du pédoncule cérébral ltig. 51, coupe 1), celui-ci recevait en- core
. Ces dernières occupaient la partie externe du pied du pédoncule cérébral (Fig. 51, coupe 1, Cp), la partie externe de la
de la moelle. Meynert, eu égard aux cas d'hémianesthésie d'origine cérébrale rapportés par Tiirck, désigna ce faisceau sous
m intermedium des parties in- terne et moyenne du pied du pédoncule cérébral , puis descendaient dans la pyramide du bulbe.
de Meynert en démontrant l'existence, dans le pied du pé- doncule cérébral et dans la pyramide bulbaire, de /tores cortico
vaux ulté- rieurs (1879), Meyneit admet dans le pied du pédoncule cérébral , outre les faisceaux du corps strié, du noyau l
ème - - - -- ..... 1 1 - misceau, allant directement uu peuoncute cérébral au lobe H"UllLt11 sans passer par les ganglions
l. Cet auteur fut ainsi conduit à admettre que le pied du pédoncule cérébral contenait à côté de FiG. 52. - La région pyrami
ôté de FiG. 52. - La région pyrami- dale du pied du pédon- cule cérébral , d'après Charcot. (Localisations cérébrales,
u pied du pédon- cule cérébral, d'après Charcot. (Localisations cérébrales , p. 200.) D, dégénération secon- daire occupa
age inférieur du côté ma- lade. - T, étage supérieur du pédoncule cérébral . Bibliothèque des Internes en Médecine de la
qui dégénère parfois, mais exceptionnellement à la suite de lésions cérébrales , et dont la dégénérescence ne peut être suivie
d au moins les deux quarts moyens de l'étage inférieur du pédoncule cérébral et répond aux deux tiers antérieurs du segment
de la capsule interne; 3, coupe transversale du pied du pédon- cule cérébral . a, le faisceau externe de la couche inférieure
a, le faisceau externe de la couche inférieure du pied du pédoncule cérébral (faisceau occipito-temporo-protubérantiel non e
- c, le faisceau interne de la couche inférieure du pied du pédoncule cérébral (fibres du noyau caudé) non encore myélinisé. -
e interne de la couche supérieure ou dor- sale du pied du pédoncule cérébral (fibres du lobe frontal, du noyau lenticulaire et
tie externe de la couche supérieure ou dorsale du pied du pédoncule cérébral (fibres du noyau lenticulaire et de la queue du n
sions de ces régions, occupent le bord interne du pied du pédoncule cérébral , deviennent profondes dans la partie inférieure d
- feiilingel-Brückenbahn). La couche dorsale du pied du pédoncule cérébral est située au voisinage immédiat du locus niger
fibres du noyau lenticulaire (b). FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 89 Les auteurs qui ont succédé à Flechsig se
chterew, v. Monakow, Zacher) et admettent dans le pied du pédoncule cérébral : un faisceau cortico-protubérantiel antérieur, u
chez l'homme, - ont démontré (Fig. 49) : l°Que le pied du pédoncule cérébral ne contient pas de fibres striées, qu'il est excl
génère en totalité à la suite de lésions étendues de la corticalité cérébrale ; 2° Que le faisceau interne du pied du pédoncul
ticalité cérébrale; 2° Que le faisceau interne du pied du pédoncule cérébral tire son origine non pas du lobe frontal tout e
pyramidal occupe les trois cinquièmes moyens du pied du pédoncule cérébral . En 1894 et 189G, Flechsig mo- difiant ses an
t la sphère 1 ic. 34. La région pyramidale du pied du pédon- cule cérébral , d'après Dejerine. (Yoy. aussi Fig.49,) Travaux
ine exclusivement corti- cale des fibres du pied du pédoncule cérébral . Les nouvelles idées le Flechsig sur la tex
scend dans l'échelle zoologique. Cette conception de la corticalité cérébrale , que Flechsig a émise dans plusieurs publicatio
des dégénérescences secondaires, démontre que toute la corticalité cérébrale contient des fibres de projection, y compris prob
41, p. 90 à 149) montrent une fois de plus que toute la corticalité cérébrale possède des fibres de projection. Mais le secte
hère envoie seul des fibres de projection dans le pied du pédoncule cérébral , et de là dans les régions inférieures du névraxe
qui en dépendent, mais n'en envoient pas dans le pied du pédoncule cérébral . En 1897, Sachs est de même arrivé à des résult
v. Monakow, en 1898, étu- diant la myélinisation de la corticalité cérébrale chez un enfant âgé de quatre mois, a pu constat
chez des enfants de un à treize mois a constaté que la corticalité cérébrale tout entière, y compris l'insula, possède des fib
peu, puis se fusionnent et s'étendent bientôt à toute la corticalité cérébrale . La nouvelle conception de Flechsig est donc er
tion de Flechsig est donc erronée. Qu'une grande partie de l'écorce cérébrale soit encore dépourvue de fibres de projection che
dre que les zones de projection. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 91 III. - TRAJET DES FIBRES DE PROJECTION DU M
RCE CÉRÉBRALE. 91 III. - TRAJET DES FIBRES DE PROJECTION DU MANTEAU CÉRÉBRAL ÉTUDIÉES : 1° PAR LA MÉTHODE DES DÉGÉNÉRESCENCE
e système de projection du rhinencéphale, en particulier le trigone cérébral (Fig. 61, cas Rivaud), mais encore toute la moi
cas Rivaud) et la moitié de la moelle épinière opposée à la lésion cérébrale (Fig. 77, cas Pradel; Fig. 157, 158, 159, cas R
ne. Il est intéressant de comparer à cet égard les cas d'hémiplégie cérébrale infantile (cas Pichepin, Fig. 56 à 59; cas Riva
ngt-deux ans de durée (Fig. 178,179,180). Dans les cas d'hémiplégie cérébrale remontant à l'enfance et s'accom- 9uc. 5. - Dég
es du nerf moteur oculaire commun. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 93 FIG, : ;1. 1 c. SG, : i ï et : i8. - Cas
93 FIG, : ;1. 1 c. SG, : i ï et : i8. - Cas Pichepin, hémiplégie cérébrale infantile, datant de l'âge de 7 ans chez un suj
hie en masse du tronc encéphalique dans un cas Ù'heIl11- plégie cérébrale m- t'antilo gauche (pla- que jaune de partie
ier do la pyra- mide du côte sain, dans certaines hémi- plégies cérébrales infantiles. Les lésions corti- cales déterm
de Burdach et de Goll gauches (\G, \B), du côté opposé à la lésion cérébrale . (Méthode de Weigert.) pagnant d'une dégénéresc
hypertrophie de tout le système des fibres de projection du manteau cérébral , en particulier de la voie pédonculaire et de la
.) Fig. 61. FiG. 60. Atrophie en masse de la calolte du pédoncule cérébral et de la voie pédon- culaire dans un cas de dég
un cas de dégénérescence de la partie moyenne du pied du pédoncule cérébral . (Cas Bizaguet, voy. Fig. 39, p. 55.) FiG. Gi.
ie en masse du pilier antérieur du trigone dans un cas d'hémiplégie cérébrale infantile. (Cas Rivaud, Fig. 142 à 162, p. l : il
atrophie indirecte du ruban do Reil médian dans un cas d'hémiplégie cérébrale infantile. (Cas Rivaud, Fig. 142 à 162, p. 150
dullaire située sur le trajet des fibres de pro- jection du manteau cérébral , l'étendue de la zone dégénérée est toujours pl
même étendue; 2° à ce que dans leur long trajet étendu du manteau - cérébral au filum terminal, les fibres de projection n'exi
imement avec les fibres commissurales et d'asso- ciation du manteau cérébral ; dans la couronne rayonnante et la capsule inte
(fibres tha- lamo-corticales et autres), se terminent dans l'écorce cérébrale en suivant en sens inverse le trajet des fibres
thalamus, à la'région sous-thalamique et à la calotte du pédoncule cérébral , - suivent, pour arriver à leur destination, da
sent plus ou moins obliquement. Dans l'étage inférieur du pédoncule cérébral , par contre, elles existent à l'état isolé sans
t qui suivent la voie de la capsule interne et du pied du pédoncule cérébral , appartiennent aux fibres de projection du mant
doncule cérébral, appartiennent aux fibres de projection du manteau cérébral ; ce sont des fibres corticifuges. Les fibres qu
, etc., qui sec- tionnent les libres do projection du man- teau cérébral en- traînent la dégéné- rescence do co syst
pagner d'une atrophie complète des cellules pyramidales de l'écorce cérébrale et au-dessous de la lésion une dégénérescence r
es est enfin bien mis en évidence dans certaines agénésies du manteau cérébral (voir cas Longery et Richard, p. 185 et suivant
édonculaire, remontant plus ou moins haut dans le pied du pédoncule cérébral et le segment postérieur de la capsule interne,
e et ses terminaisons; aussi, dans FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 99 ces cas, ne faut-il jamais négliger d'étu
ences secondaires démontre que de tous les points de la corticalité cérébrale se détachent des fibres de pro- jection. Mais l
asses grises inférieures du né- vraxe, et l'étude des localisations cérébrales montre qu'elle est loin d'avoir partout la même
tout en complétant certains détails et démontrent : 10 Que l'écorce cérébrale entre en relation intime, directe et étroite av
n vasculaire des circonvolutions de la face externe de l'hémisphère cérébral ; figure pouvant servir à la topographie vasculair
asculaire des foyers de ramollisse- ments localisés de la convexité cérébrale . Les branches de l'artère cérébrale antérieure
ments localisés de la convexité cérébrale. Les branches de l'artère cérébrale antérieure : artère frontale interne et anté- r
Fip) sont colorées en rose. - Les branches de l'artère sylvienne ou cérébrale moyenne : artère frontale inférieure (Fi), artère
postérieure (Tp) sont colorées en bleu. - Les branches de l'artère cérébrale postérieure : artère occipito-temporale antérie
bien que n'affectant aucune espèce de connexion avec la corticalité cérébrale (mé- thode de Marchi), participent néanmoins da
ndaires con- sécutives : 1° Aux lésions très étendues de l'écorce cérébrale ; 2° Aux lésions corticales plus restreintes, li
ces secondaires, consécutives aux lésions très étendues de l'écorce cérébrale . Le trajet, la longueur, la terminaison inférie
é- rescences consécutives aux très vastes lésions de la corticalité cérébrale , lesquelles, détruisant la presque totalité de
é cérébrale, lesquelles, détruisant la presque totalité de l'écorce cérébrale , intéressent de ce fait à peu près toutes les f
. Dejerine, Mém. Soc. RioL, 1893). FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 101 Il s'agit d'une vaste plaque jaune, qui oc
conce de tout le système des fibre : de projection du man- teau cérébral . Dégé- nérescence totale du pied du pédoncule
- teau cérébral. Dégé- nérescence totale du pied du pédoncule cérébral . 102 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Prad
scence de tout le système des fibres de projection du man- teau cérébral . Dégé- nérescence totale du pied du pédonculo
- teau cérébral. Dégé- nérescence totale du pied du pédonculo cérébral . (C'est-à-dire le territoire vasculaire de l'ar
'artère sylvienne et des branches antérieure et moyenne de l'artère cérébrale antérieure (Fig. 65 et 79). La plaque jaune intér
, ce cas correspond en réalité à une destruction de tout le manteau cérébral de l'hémisphère gauche. Cette plaque jaune qui
e de Weigert. 2/1 grandeur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 103 1° Il existe dans ce cas : une dégénéres
e totale de toutes les fibres longi- tudinales du pied du pédoncule cérébral (P), y compris le stratum intermedium (Stri; (F
escence de tout lesystème des fibres de projection du man- teau cérébral . Dégé- nerescence totale du pied du pédoncule
- teau cérébral. Dégé- nerescence totale du pied du pédoncule cérébral . loi ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Prad
scence de tout lo système des fibres de projection du man- teau cérébral . Dégé- nérescence totale du pied du pédoncule
- teau cérébral. Dégé- nérescence totale du pied du pédoncule cérébral . corps de Luys (Fig. G8-ï0) étaient intacts ou
mes, toutes les connexions de la couche optique avec la corticalité cérébrale étaient détruites, tandis que les systèmes de fib
égion sous-thalamique. - Dégénérescence totale du pied du pédoncule cérébral (P). Les fibres qui traversent le pied du pédoncu
e de Weigert. 2/1 grandeur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . Ce cas montre donc : 1° Que la corticalité c
DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. Ce cas montre donc : 1° Que la corticalité cérébrale envoie des fibres à toute l'étendue des noyau e
donculaire supérieure. - Dégénérescence totale du pied du pédoncule cérébral (P). Dégénérescence des corps genouillés externe
scence de tout le système des fibres de projection du man- teau cérébral . Dege- nérescence totale du du pied pédoncule
- teau cérébral. Dege- nérescence totale du du pied pédoncule cérébral . 1 106 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Pr
scence do tout le système des fibres de projection du man- teau cérébral . Dégé- nérescence totale du pied du pédoncule
- teau cérébral. Dégé- nérescence totale du pied du pédoncule cérébral . 2° Que le pied du pédoncule cérébral (P), y co
tale du pied du pédoncule cérébral. 2° Que le pied du pédoncule cérébral (P), y compris le stratum intermedium, est en-
nne et inférieure. - Dégéné- rescence complète du pied du pédoncule cérébral : les fibres qui limitent le pied du pédoncule
u pédoncule cérébral : les fibres qui limitent le pied du pédoncule cérébral en dedans correspondent dans la figure 73 aux fib
lles qui comblent le trou borgne et dissocient le pied du pédoncule cérébral (comparez avec coupe normale Fig. 36). Remarque
n Médecine de la Saïpêtrière 107 FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . substance grise de l'étage antérieur de la pro
ur intégrité) ne reçoivent pas de fibres directes de la corticalité cérébrale (Voy. Ruban de Reil, IIIe partie) ; 4° Ce cas
nous renseigne parfaitement sur les con- nexions de la corticalité cérébrale avec le thalamus et le noyau rouge et l'absence o
'état normal par les fihres du système de projection du man- teau cérébral . Méthode de Weigert 15/i grandeur nature. Cas
- teau cérebral. Dégé- nérescence totale du pied du pédoncule cérébral . 108 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. peu de con
8 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. peu de connexions de la corticalité cérébrale av ec le corps strié et le corps de Luys, s'il
rps de Luys, s'il montre que toutes les fibres du pied du pédoncule cérébral prennent leur origine dans la corticalité céréb
ied du pédoncule cérébral prennent leur origine dans la corticalité cérébrale , il ne nous renseigne nullement - étant donnée l'
de projection soit dans le thalamus, soit dans le pied du pédoncule cérébral . - Ce der- nier problème ne peut être résolu qu
consécutives à des lésions restreintes, limitées, de la corticalité cérébrale . 2. Dégénérescences secondaires consécutives au
n vasculaire des circonvolutions de la face interne de l'hémisphère cérébral et des masses centrales.-Figure pouvant servir à
hémisphère et dans les masses centrales. - Les branches de l'artère cérébrale antérieure : artère frontale interne et antérie
postérieure (Fip) sont colorées en rose. - Les branches de l'artère cérébrale postérieure : artère temporo-occipitale antérieur
ccipitale postérieure sont colorées en vert. Le tronc de l'artère cérébrale antérieure (rose) irrigue la tête du noyau caudé
ères lenticulo-striées et lenticulo-opLiques), le tronc de l'artère cérébrale postérieure (vert) irrigue l'espace perforé posté
space perforé postérieur, la paroi du IIIe ventricule, le pédoncule cérébral et la partie postérieure du thalamus (artères o
ique et de la région sous-optique. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 109 des fibres radiées du pulvinar et des fibr
ci- pitales, mais livre passage aux fibres commissurales du trigone cérébral tributaires du lobe limbique (Voy. p. 278). D
llé interne (RCgi), le faisceau de Turck (FT), le pied du pédoncule cérébral (P) sont absolument normaux. (Fig. 82 à 85).
, 1893, et Tome I, p. 798 et 800.) FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 111 major dans le bourrelet du corps calleux
rieur. Intégrité du faisceau de Turck et du pieddu pédoncule cérébral . 112 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Cour
p) en particulier du faisceau deTûrck et du pied du pédon- cule cérébral . Fc. 82 et 83. Cas Courrière. Cécité veibale pu
e de Weigert. 3/2 grandeur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . t13 FIG. 84 et 85. - Cas Courrière. Cécité v
au voisinage de la bandelette optique (Fig. 84) et par le pédoncule cérébral (Fig. 8a). Méthode de Weigert. 3/2 gran- deur n
le interne (Cip), du faisceau de Tiirck et du pied du pédoncule cérébral . 114 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Fie. 86. -
inféro-interne de l'hémisphère. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 115 Le cas Bras a trait à un vieillard de 64
es en Médecine de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 117 Le segment postérieur de la capsule inte
7 Le segment postérieur de la capsule interne, le pied du pédoncule cérébral , en particulier le faisceau de Turck sont absol
ntégrité parfaite du faisceau de Turcl : , du pied du pédoncule cérébral et do la bandelette optique. , 118 ANATOM
. Intégrité parfaite du faisceau de Turck, du pied du pédoncule cérébral et de la bandelette optique. qu'une plaque
ur (Qa), des piliers'postérieur (Tgp) et antérieur (Tga) du trigone cérébral . - Intégrité du segmen t postérieur de la capsu
e de Weigert. 3/2 grandeur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . n9 qui doublent la paroi inférieure de la co
Th, Fli, Cisl, Pul, Cge, \V. Inté- grité du pied du pé- doncule cérébral du faisceau de Tùrck et de la bandelette op
. Intégrité parfaite du faisceau de Turck, du pied du pédoncule cérébral et de la bandelette optique. partie interne
e de Weigert. 3/2 grandeur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 121 genouillé externe (Cge), de la zone de W
ubercule. La bandelette optique est intacte et le pied du pédoncule cérébral est parfaitement normal (Fig. 94 et 95). LOBE P
s (Fig. 91), la région sous-optique (Fig. 95), le pied du pédoncule cérébral et la bandelette optique gauches. Dégénérescence
nar (Pul) et de la zone de Wernicke. Intégrité du pied du pédoncule cérébral . - Les zones dégénérées sont colorées en jaune.
inar. Intégri- té de la moitié ex- terne du pied du pé- doncule cérébral . Monoplégie facio- linguale. Foyer lacu- na
générescence du deuxième cinquième interne du pied du pédoncule cérébral . limitées et n'intéressent que le pli courbe, p
partie adjacente du lobule pariétal inférieur. (Voy. localisations cérébrales , p. 236.) La lésion capsulaire a entraîné une d
être suivie dans le deuxième cinquième interne du pied du pédoncule cérébral et du locus niger (Fig. 99, 100). Il existe enf
e de Weigert. 2/1 grandeur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 123 postérieur de la couronne rayonnante. Da
inar. Intégri- te de la moitié ex- terne du pied du pé- doncule cérébral . Monoplégie facio- lingualo. Foyer lacu- na
générescence du deuxième cinquième interne du pied du pédoncule cérébral . L 124 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas
générescence du deuxième cinquième interne du pied du pédoncule cérébral . L'écorce du gyrus supra-marginalis est ratatin
capsule interne (Cip), aucune ne descend dans le pied du pédoncule cérébral (l'). Ce fait démontre donc que le pli courbe c
. Dégénérescence du deuxième cinquième interne du pied du pédoncule cérébral et du locus niger consécutive à la lésion du se
ce cas l'intégrité de la moitié postérieure du pied du pédon- cule cérébral , malgré la lésion du pli courbe. Le pli courbe n'
upérieure (Fig. 99) et la partie inférieure (Fig. 100) du pédoncule cérébral . Méthode de Weigert. 2/1 grandeur nature. FIBRE
e de Weigert. 2/1 grandeur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 125 les envoie dans le pulvinar par les couche
i d'autopsie. C. R. Soc. Biol., 1891, p. 167 et Vialet. Les centres cérébraux de la vision. Th. Paris, 1893. Obs. IV, p. 293.)
poral, formenl le faisceau de Turck (FT); dans le pied du pédoncule cérébral (Fig. 105), la dégénéres- cence se place en ava
générescence du deuxième cinquième externe du pied du pédoncule cérébral , intégrité du faisceau de Turck. 126 ANAT
générescence du deuxième cinquième externe du pied du pédoncule cérébral Intégrité du faisceau de Turck. FiG. 102, 1
Dégénérescence du deuxième cin- quième externe du pied du pédoncule cérébral . Intégrité du faisceau de Turck (FT); ce dernie
es en Médecine de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 121 Cas Leudot Apha- sie sensorielle. Lé-
générescence du deuxième cinquième externe du pied du pédoncule cérébral . Intégrité du faisceau do 'l'urck. g2g ANAT
eure n'envoie pas de fibres de projection dans le pied du pédoncule cérébral et ne contient ni fibres cortico-protubérantielle
r la couche optique (Th), le locus niger (Ln), le pied du pédoncule cérébral (P) et la pyramide bulbaire (Py) et la zone dégén
interne (Cip) et les quatre cinquièmes internes du pied du pédoncule cérébral . Dans le segment postérieur de la capsule inter
iétale ascendante. Coupe horizontale passant par le pied du pédoncule cérébral . Dégénérescence du deuxième cinquième externe d
. Dégénérescence du deuxième cinquième externe du pied du pédoncule cérébral (P(d). Intégrité du faisceau de Tiirck (FT). Mé
e de Weigert. 2/1 grandeur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 129 .rolandique (OpR) et la partie adjacente
stérieure de la capsule interne (Cip), et dans le pied du pédoncule cérébral le deuxième cinquième externe. Dans les lésions d
u genou de la capsule interne et du bord interne du pied du pédoncule cérébral (Cas Naudin,Fig. 113 à 41a, cas Heudebert, Fit.
halamus, du deuxième cin- quième externe du pied du pédoncule cérébral , du pes lcm- niscus profond, du lo- cus niger
e de Weigert, 2/1 grandeur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 131 sous-optique; mais elle en envoie au loc
upérieure (Fig.110) et infé- rieure (Fig. 111) du pied du pédoncule cérébral et la partie moyenne du bulbe (Fig. 112). Dégén
. Dégénérescence du deuxième cinquième externe du pied du pédoncule cérébral (Cip (d,), P d), du locus niger (Ln), du pes lemn
halamus, du deuxième cin- quième externe du pied du pédoncule cérébral , du pes lem- niscus profond, du le- cils des
xterne du thalamus, du cin- quième moyen du pied du pédoncule cérébral et du locus niger. dégénéré dans les lésions
sulaire. Dégénérescence du cin- quième moyen du pied du pédoncule cérébral et du locus niger. Méthode de Weigert, 3/2 gran
4). Il en est de même pour le secteur dégénéré du pied du pédoncule cérébral (P). (Fig. If;j). Comme dans le cas précédent, il
érieure du thala- mus, du faisceau interne du pied du pédoncule cérébral . Légère diminution de volume de la py ra- m
mido bulbaire. de la capsule interne (Cip) et le pied du pédoncule cérébral (P). Mais la zone de dégéné- rescence est repor
érieure du thala- mus, du faisceau interne du pied du pédoncule cérébral . Légère diminution de volume de la pyra- mi
érieure du thala- mus, du faisceau interne du pied du pédoncule cérébral . Légère diminution de volume delà la pyra-
es en Médecine de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 137 occupe la partie postérieure du segment
iculaire(.11), puis forme le cinquième interne du pied du pédoncule cérébral (P) (Fig.121). La dégénérescence, très ma- ni
. Une partie des fibres du cin- quième interne du pied du pédoncule cérébral descend dans la protubérance annu- laire (Po),
1 et 122. - Dégénérescence du faisceau interne du pied du pédoncule cérébral et du locus niger dans le cas Schweigoffer. (
érieure du thala- mus, du faisceau interne du pied du pédoncule cérébral . Légèrodiminution de volume de la pyra- mid
e et relè\enl de troubles circulatoires dans le domaine de l'artère cérébrale postérieure (Fig. 65, p. 99). Les lésions du lobe
postérieure (Fig. 65, p. 99). Les lésions du lobe pariétal (artère cérébrale moyenne), lorsqu'elles atteignent le lobe tempora
celui de l'artère céré- brale antérieure en rose, celui de l'artère cérébrale postérieure en vert. Fig. 124. - Cas Heudebert
sule interne, et du deuxième cinquième interne du pied du pédoncule cérébral ; 2° lésion du lobe occipito-temporal, des segment
interne et du faisceau de Tiirck. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 139 rG. 126. Cas Heudebert. Aphasie tota
- terne et du deuxième cinquième interne du pied du pédoncule cérébral ; 21 lésion du lobcoccipito-tempo- ral. Dégéné
- terne et du deuxième cinquième interne du pied du pédoncule cérébral ; 2° lésion du lobe occipito-tempo- ral. Dégé
capsule interne (Fig. 126) et par la partie supérieure du pédoncule cérébral (Fig. 127). 1° La lésion du lobe occipito-tempo
e dégénérescence du deuxième cinquième externe du pied du pédoncule cérébral (Fig. 127 et 128). Méthode de Weigert-Pal. 3/2 gr
orales une dégénérescence du cinquième externe du pied du pédoncule cérébral , c'est-à-dire du faisceau de Tiirck (FT), et dans
nérescence du deuxième cin- quième interne du pied du pédon- cule cérébral , de la partie adjacente du locus niger et du fa
lus inférieures il occupe le cinquième externe du pied du pédoncule cérébral (Fig. 128). Il existe donc dans ce cas une dégé
externes ; 3" des libres du cinquième externe du pied du pédoncule cérébral . Il est impossible dans ce cas de déter- miner
temporal. Mais, vu l'absence de dégénérescence du pied du pédoncule cérébral dans les lésions du lobe occipital rapportées plu
mer que la dégénérescence du cinquième externe du pied du pédoncule cérébral relève unique- ment de la lésion du lobe tempor
olution postérieure de l'insula. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE 143 externe l",e, Il') au cuaiamus. Dégénéres
générescence du deuxième cinquième externe du pied du pédoncule cérébral Dégénérescence très intense de la pyra- mid
générescence du deuxième cinquième externe du pied du pédoncule cérébral . Dégénérescence très intense de la py ra- m
plégie gauche avec contracture. Coupe trans- versale du pédoncule cérébral . Dégéné- rescence du deuxième cinquième ex- t
né- rescence du deuxième cinquième ex- terne du pied du pédoncule cérébral , du pes lemniscus profond (Stri) et du locus
outefois pas complètement indemne. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 145 Dans ce cas, il existe donc une dégénéresc
e dégénérescence du deuxième cinquième externe du pied du pédoncule cérébral (Fig. 133). Il existe en outre une dégénérescen
ne et descend dans le deuxième segment externe du pied du pédoncule cérébral . Ce cas présente en outre une particularité int
antes.) La dégénérescence du cinquième externe du pied du pédoncule cérébral que l'on observe, soit lorsque la lésion du lob
lées du lobe occipital ne retentissent pas sur le pied du pédoncule cérébral . La dégénérescence du cin- quième externe du pi
bral. La dégénérescence du cin- quième externe du pied du pédoncule cérébral dépend en effet de la lésion temporale; elle ne
capsule interne (Cisl) et du cinquième externe du pied du pédoncule cérébral ou faisceau de Tûrck (FT). Cette dernière ne peut
llé inlerne (Cgi) et dans le cinquième externe du pied du pédoncule cérébral . Toutes ces fibres passent par le segment sous-
, topographie de la lésion corticale. Fig. 135, coupe dupédoncule cérébral . Fig. 136, coupe des pyramides anté- rieures
faisceau de T1ÏI'ck (FT) (cinquième externe du pied du pédoncule cérébral ) et s'épuisent dans la substance grise de la
trémité antérieure du thalamus. Intégrité du pied du pédoncule cérébral . 148 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Mori
trémité antérieure du thalamus. Intégrité du pied du pédoncule cérébral . FiG. 138 et 139. - Cas Moriceau (Bicêtre, 189)
frontales droites. Dégénérescence FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . U9 du genou du corps calleux (Ce), du segmen
nterne du thalamus (Th). Pas de dégénérescence du pied du pédoncule cérébral . La zone dégénérée est colorée en jaune. Méthod
u thalamus, mais elles ne retentissent pas sur le pied du pédoncule cérébral . Les lésions des deux tiers antérieurs de la tr
interne du thalamus et respectent elles aussi le pied du pédoncule cérébral (Fig. 141). Dans ces deux variétés de lésion, l
- Cas Moriceau. Hémisphère gauche. Inté grité du pied du pédoncule cérébral dans un cas d destruction des deux tiers antéri
lles n'envoient pas de fibres de projection dans le pied du pédoncule cérébral et ne contiennent par conséquent pas de fibres
de ces libres dans la capsule interne et dans le pied du pédoncule cérébral . Si l'on fait abstraction des fibres de project
n et l'autre cas, il existe une dégénérescence du pied du pédoncule cérébral et du segment postérieur de la capsule interne
(région sous-thalamique) et la partie interne du pied du pédoncule cérébral . Lorsque c'est le segment moyen de la couronne
ceau interne du pied du pédoncule. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . loi Les lésions du segment postérieur de la ca
ière du genou respectent le faisceau interne du pied du pédon- cule cérébral , et la zone dégénérée en occupe le deuxième cinqu
interne (Cip) font dégénérer la partie moyenne du pied du pédoncule cérébral (cas James, Fig. 184); les lésions de la partie
e dégénérescence du deuxième cinquième externe du pied du pédoncule cérébral et respectent le faisceau de Türck. Ce dernier fa
rck. Ce dernier fais- ceau - cinquième externe du pied du pédoncule cérébral ne dégénère que lorsque la lésion intéresse le
rl) sont très rares et ne retentissent pas sur le pied du pédoncule cérébral . Les lésions de la partie supérieure du segment r
dégénérescence du deuxième cinquième externe du pied du pédoncule cérébral . Par contre, les lésions de la partie inférieure
ose pulmonaire. Elle s'est traduite cliniquement par une hémiplégie cérébrale infantile, en particulier une monoplégie brachial
g. 144) ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Hicaud. lIé- miplégie cérébrale infantile gauche. o. Plaque jaune de l'in-
ieure FiG. 142 el 143. - Cas Rivaud. (Bi- cêtre 1893.) Hémiplégie cérébrale infantile gauche. Topographie de la lésion co
rizontale (Fig. 143) sectionne le tiers supérieur de l'hémisphère cérébral et passe au-dessus du noyau caudé et du tronc d
grossissement de 12 diamètres.( FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 153 de Cip. Elles peuvent, sur les coupes séri
, être suivies dans les tiers interne et moyen du pied du pédoncule cérébral (P) (Fig. 150) et s'épuisent dans le locus niger
u pulvinar (Pul), des noyaux Fic. 144. - Cas Rivaud. Hémiplé- gie cérébrale infantile gauche. Topographie de la lésion sous
fibres respectées du segment moyen de Cas Rivaud. Hé- miplégie cérébrale infantile gauche. Plaque jaune de l'in- sul
l. 154 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Rivaud. Hé- miplégie cérébrale infantile gauche. Plaque jaune de l'in- sul
. 156 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Rivaud. Ilê- miplégie cérébrale infantile gauche. Plaque jaune de 1 in- sul
es en Médecine de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 157 Fig. 150. - Cas Rivaud. Dégéné- rescence
thode de Weigert. 2/1 grandeur nature. Cas Rivaud. Hé- miplégie cérébrale infantile gauche. Plaque jaune de l'in- sul
l. 158 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Rivaud. Hé- miplégie cérébrale infantile gauche. Plaque jaune de l'm- sula
ue contenant le noyau arqué. Les libres saines du pied du pédoncule cérébral (Fig. 150) se sont toutes épuisées dans la subs
de gauche. Mé- thode de Weigert. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 159 la partie supérieure et postérieure du noy
e de Weigert-Pal. 6/1 grandeur nature. Cas Rivaud. Hé- miplégie cérébrale infantile gauche. Plaque jaune dcl'in- sula
che; faisceau py- ramidal homolatéral. Cas Rivaud. Hé- miplégie cérébrale infantile gauche. Plaque jaune del'in- sula
e de Weigert,.6/1 grand, nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 161 {Ln) (Fig. 150), du tubercule quadrijume
resque complète des quatre cinquièmes internes du pied du pédoncule cérébral (P) (Fig. 150), une atrophie très accusée de la s
a pyramide (Py) démontre que les fibres saines du pied du pédoncule cérébral , soit celles du faisceau de Ticrch (FT), soit les
qu'il n'existe pas ici une dégénérescence totale du pied du pédoncule cérébral ce cas présente néanmoins de nombreuses analogi
éthode de Itosin. 6/1 grandeur nature. Cas Rivaud. Hé- miplégie cérébrale infantile gauche. Plaque jaune de l'in- sul
l. 162 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Rivaud. Hé- miplégie cérébrale infantile gauche. Plaque jaune de l'in- sul
atrophie secondaire indirecte, il faut citer : Y atrophie du trigone cérébral (Tg) (Fig. 61, p. 94) et du faisceau de Vicq d'
dons de Goll (NCG) et de Burdach (\C13) du côté opposé iL la lésion cérébrale (Fig. 153). Cette atrophie est en tout comparab
ion, mais ici intervient proba- I'tc. 160. - Cas Rivaud. Hémiplégie cérébrale infantile. Un fragment grossi de la partie anté
volume (Fig. 155 à 159)'; c'est là un fail banal dans l'hémiplégie cérébrale infantile. Ce qui frappe encore dans le cas Riv
ns étroites de la partie supérieure du thalamus avec la corticalité cérébrale , et les relations insigni- fiantes de l'écorce
nésie presque complète des fibres du système de projection du manteau cérébral permet de suivre avec facilité le trajet des sy
de Weigert- Pal. 10/1 grandeur nature. Cas Hivaud. Hé- miplégie cérébrale infantile gattelie Plaque jaune de 1"111 su
- ment. -]Dans les cas d'agénésie par malformations des hémisphères cérébraux remontant aux premiers mois de la vie intra-uté
Weigert-Pal. 15/1 grandeur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 165 un présence ue cène Hypertrophie considéra
tro-lenticulaire (Cirl) de la capsule interne. Le tronc de l'artère cérébrale antérieure (artères striées antérieures, co- lo
du segment posléi ieur de la capsule interne. Le tronc de l'artère cérébrale postérieure (artères optiques colorées en vert)
urs de la couche optique, de la légion sous-optique et du pédoncule cérébral . - L'artère communicante postérieure et le tron
de la capsule interne, et la partie supérieure du pied du pédoncule cérébral . Bibliothèque des Internes en Médecine de la
nes en Médecine de la Salpêtrièr FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 167 B. - Lésions centrales circonscrites. a.
de \VeigerL. 3/2 grandeur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 169 la capsule interne. Elle respecte la moiti
artie adjacente du putamen (Fig. 169 et 170), irriguée par l'artère cérébrale antérieure, la région du faisceau géniculé et d
r l'artère communicante postérieure. Elle n'affleure la corticalité cérébrale qu'en un point très limité correspon- dant à la
s lenticulo- striées (Fig. iG5-1G7), qui atteint la cortica- lité cérébrale dans la région de la circonvo- lution postérieu
et le fais- Fin. 172. - Cas Racle. Cinq coupes du pied du pédoncule cérébral passant par le tuber cinereum, le faisceau aber
tubérantiel. Dégénérescence de la région moyenne du pied du pédoncule cérébral , conservation partielle du faisceau interne don
eut être suivie dans la région sous-optique et le pied du pédoncule cérébral où elle est limitée en dedans par les fibres sa
rne, du faisceau de Tiirck et du tiers externe du pied du pédoncule cérébral . Une intégrité du noyau rouge, des radiations d
in- terne Cip (Fig. 175 et 176). FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . - 173 FiG. 1 îa. - Cas Cogery (Bicêtre, 1893).
CÉRÉBRALE. - 173 FiG. 1 îa. - Cas Cogery (Bicêtre, 1893). Syphilis cérébrale chez un homme mort à : i3 ans. Hémiplégie gauch
dégénérescence des parties moyenne et interne du pied du pédoncule cérébral avec intégrité partielle du faisceau interne et i
u de Tiirck et du deuxième cin- quième externe du pied du pédoncule cérébral (Fig. 177). Dégénérescence du bras (BrQa) et de
s Cogery. Coupe pas- sant par la partie inférieure du pé- doncule cérébral . 1° Dégénérescence du faisceau de Turck et de l
de Turck et de la partie externe adjacente du pied du pédon- cule cérébral . 2° La dégénérescence du faisceau interne du pi
cences distinctes dans la cap- sule interne et le pied du pédoncule cérébral : Fig. 178, 179, 180. - Cas Cogery. Coupes pass
antérieure du quart postérieur de Cip. Dans le pied du , pédoncule cérébral elle est mal délimitée et fusionne avec la dégéné
(Cip) (Fig. 17G), puis le faisceau inlerne du pied du . pédoncule cérébral (Fig. 177). Elle a entraîné, en outre, une dé
es en Médecine de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . t77 7 genouillé et le pulvinar, se tel minent
nouillé et le pulvinar, ou qui descendent dans le pied du pédoncule cérébral . Au-dessous de la lésion primitive, la dégénéresc
ive, la dégénérescence occupe le tiers externe du pied du pédoncule cérébral (Fig. 178); elle intéresse, par conséquent, le
de fibres saines la sépare du faisceau interne du pied du pédoncule cérébral dégénéré à la suite de la lésion du genou (Fig.
ence pédonculaire respecte le faisceau interne du pied du pédoncule cérébral , et siège immé- diatement en dehors de lui (Fig
, dans la région sous-oplique (Fig. 187) et dans le pied du pédoncule cérébral (Fig. 188), une situation plus postérieure que
. La dégé- nérescence occupe la partie moyenne du pied du pédoncule cérébral (Fig. 181), et la pyramide bulbaire est ici dég
. Dégénérescence du deuxième cinquième interne du pied du pédoncule cérébral et de la partie adja- cente du locus niger. Mét
interne. Dégénéres- cence de la paitie moyenne du pied du pédoncule cérébral , dégénérescence presque complète de la pyramide
e la pyramide antérieure du bulbe. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . n9 ? b. W 50, 10/, 100. - Lias uarre. Double l
; dégénérescence du deuxième cinquième interne du pied du pédoncule cérébral et du locus niger (Fig. 188). 2° Lésion destruc-
dégénérescence du deuxième segment interne du pied du pédoncule cérébral . 2° Lésion du quart postérieur de Cip, dégé
dégénérescence du deuxième segment interne du pied du pédonculo cérébral . 2° Lésion du quart postérieur de Cip, dégé
s- cence du deuxième cinquième externe du pied du pédon- cule cérébral Inté- grité du faisceau de Turck. tine de l
k; elle occupe le deuxième cin- quième externe du pied du pédoncule cérébral . Dégénérescence du locus niger et du stratum
e de Weigert. 3/2 grandeur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 181 Le loyer pnmItlroccupe, dans la couche o
dégénérescence du deuxième cinquième externe du pied du pédoncule cérébral , du stratum intermedium (Stri) et du pes lemnis
la région thalamique de la capsule interne et du pied du pédoncule cérébral (Fig. 191). nié- thode de Weigert. 3/2 grandeur
res- cenco du deuxième cinquième externe du pied du pédonculo cérébral . Intégrité du faisceau do Turck. 182 ANATOMIE
. 191) et occupe le deuxième cinquième externe du pied du pédoncule cérébral , la zone dégénérée occupe une situa- tion encor
Weigert-Pal. 5/4 grandeur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 183 Dégénérescence complète des couches sagitt
aisceau de Turck, atteint la partie supérieure du pied du pédoncule cérébral et a entraîné une dégénérescence de la partie moy
rieur. Dégénérescences des deux tiers externes du pied du pédoncule cérébral et du locus niger Dégénérescence incom- plète d
e Weigert-Pal 5/4 grandeur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 185 interne (Cgi, Fig. 194); 2° une dégénéresc
le pilier postérieur et empiété sur la partie externe du pédoncule cérébral . Il existe dans ce cas une intégrité parfaite d
r ceux que fournissent certaines anomalies d'évolu- tion du manteau cérébral . Bien que pas très rares, ces agénésies cérébrale
u- tion du manteau cérébral. Bien que pas très rares, ces agénésies cérébrales n'ont pas encore été étudiées au point de vue s
oint de vue spécial du système des fibres de projection de l'écorce cérébrale , la plupart des auteurs qui en ont rapporté des
(cas Longery), le rhinencéphale est presque normal, mais le manteau cérébral est en grande partie réduit à une mince membran
par la pie-mère, et le système des fibres de projeclion de l'écorce cérébrale fait complètement défaut. Ni le pied du pédoncu
'écorce cérébrale fait complètement défaut. Ni le pied du pédoncule cérébral , ni l'étage antérieur de la protubérance, ne co
d'une anomalie d'évolution, d'une agénésie des fibres de projection cérébrale , le manteau faisan t défaut, tandis que chez Pr
le. Dans le deuxième cas (cas Richard), il existe bien un manteau cérébral (Fig. 213, 214, 216) presque complètement dévelop
es cas Pradel et Rivaud en ce que l'anomalie d'évolution du manteau cérébral est bilatérale, qu'elle remonte aux premiers âges
premiers âges de la vie em- bryonnaire, avant la soudure du manteau cérébral au corps opto-strié. Ils en diffèrent encore pa
sition n'est pas sans soulever un point intéressant d'embryo- génie cérébrale . Que l'on admette, avec Mihalkovicz et His, le dé
i qui dans nos deux cas a déterminé l'absence de soudure du manteau cérébral au corps opto-strié et entraîné chez Longery l'ag
u corps opto-strié et entraîné chez Longery l'agé- nésie du manteau cérébral , et chez Richard la porencéphalie. Ce der- nier
CE CÉRÉBRALE. 187 Étant donné que dans notre cas Longery le manteau cérébral n'était comparativement guère plus développé qu
isées qui proviennent toutes du thalamus, se dirigent vers l'écorce cérébrale (qu'elles n'ont pu atteindre) et représentent le
région sous-thalamique de la capsule inlerne, le pied du pédoncule cérébral , l'étage antérieur de la protubé- rance et la p
s. Cas Longery. - (Fig. 197 il 212). Hydrocéphale avec malformation cérébrale , mort il t'age de 2 mois et demi. (Voy. J. Deje
scissure de Sylvius très accentuée. Il n'existe de circonvolutions cérébrales véritables que dans des régions très limi- tées
rois quarts pos- lérieurs (Fig. 200). A gauche, les circonvolutions cérébrales développées sont plus nom- breuses et on reconn
bord externe du lobule fusi- forme droit. Tout le reste du manteau cérébral , - à savoir : la convexité tout enlière et la f
aires, l'infundibulum, l'espace interpédoncu- laire. Les pédoncules cérébraux sont peu saillants et grisâtres, il en est de mêm
t 198. - Cas Longery. Topographie des régions agénésiées du manteau cérébral chez un hydrocéphale avec malformation cérébrale
énésiées du manteau cérébral chez un hydrocéphale avec malformation cérébrale mort à l'âge de deux mois et demi. Les circon
cérébrale mort à l'âge de deux mois et demi. Les circonvolutions cérébrales ne sont développées que dans les zones blanches
ones blanches des schémas; au niveau des régions teintées, l'écorce cérébrale était réduite à une mince membrane translucide
Fie. 199. - Cas Longery. L'encéphale (hydrocéphalie avec malformation cérébrale et agénésie du manteau cérébral) vu par sa face
e (hydrocéphalie avec malformation cérébrale et agénésie du manteau cérébral ) vu par sa face inférieure. Remarquer à la face
bulbe l'absence des pyramides et le méplat interolivaire. L'écorce cérébrale n'est développée que dans la région teintée en gr
gauche. (D'après une photographie.) Cas Lougery. \fal- lormation cérébrale : Agénésie du man- teau cérébral, de son sy
Cas Lougery. \fal- lormation cérébrale : Agénésie du man- teau cérébral , de son système de fibres de projection et du
ion sous- optique (le lacapsule interne et lo pied du pédoncule cérébral . Absence de la voie pédonculaire dans son t
. 190 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Longery. Mal- formation cérébrale . Agénésie du man- teau cérébral, de son sys
Cas Longery. Mal- formation cérébrale. Agénésie du man- teau cérébral , de son systemo do libres de projection et du
ion sous- optique de la capsule interne et le pied du pédoncule cérébral . Absence de la voie pédonculaire dans son t
alleux. Développe- ment normal du rhi- nencéphale et du trigone cérébral . Dé- monstration de l'exi- stence d'un systèm
e déchirure de la membrane on pénètre dans la cavité de la vésicule cérébrale (Fig. 200), on constate que les deux hémisphères
le corps de Luys (CL) et la partie antérieure du pied du pédoncule cérébral . Remarquer le grand nombre de fibres thalamo-cort
ery. Coupe vertico-transversale passant à droite par le pédon- cule cérébral (P), le noyau amygdalien (NA), le corps de Luys (
Weigert-Pal. 5/2 grandeur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 193 Fig. 206. - Cas Longery. Coupe vertico-tra
re. FiG 207. - Cas Longery. Coupe vertico-transversale du pédoncule cérébral passant par la partie postérieure du thalamus e
t pas la moindre fibre. IO'1E n. 13 Cas Longery. Mal- formation cérébrale . Agenésie du manteau cérébral, de son b3 -
13 Cas Longery. Mal- formation cérébrale. Agenésie du manteau cérébral , de son b3 - tème do libres de projection et
s callcux. Dwo- loppement normal du rhinencéphale et du trigone cérébral . Dé- monstration de l'exis- tence d'un systèm
contre bien déve- loppée ; ses fibres se rendent dans le trigone cérébral mais ne sont pas encore myélinisées ; sur les c
L'indépendance complète des ganglions de la base d'avec le manteau cérébral nous indique que cette malformation remonte aux
striés. Les ganglions de la base et la partie adjacente de l'écorce cérébrale ont été débités en coupes vertico-transversales
cortico-médullaires, fait complètement défaut; le pied du pédoncule cérébral (Fig. 202 à 207) et l'étage antérieur 'de la prot
ert-l'al. 3/1 t grandeur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 195 on trouve, de chaque côté du sillon médian
de Weigert-Pal. 3/1 grandeur nature. Cas Longery. Mal- formation cérébrale . Agénésio du manteau cérébral, de son sys-
e. Cas Longery. Mal- formation cérébrale. Agénésio du manteau cérébral , de son sys- tème do libres de pro- jection e
sous-opti- quc do la capsule in- terne et le pied du pédoncule cérébral . Absence de la voie pédonculaire dans son t
leux. Développement normal du rliinencé- liliale et du trigone cérébral . Démonstra- tion do l'existence d'un système
alité qu'elles n'ont pu atteindre par suite même de la malformation cérébrale . Elles existent FiG. 210. - Cas Longery. Coupe
es en Médecine de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 197 dans ce cas à l'état de pureté, sans mélan
sont aussi dépourvues de fibres verticales que le pied du pédoncule cérébral , l'étage antérieur de la protubérance et la pyr
e Weigert-Pal. 7/1 grandeur nature. Cas Longery. Mat- formation cérébrale . Agenésie du manteau cérébral, do son sys-
e. Cas Longery. Mat- formation cérébrale. Agenésie du manteau cérébral , do son sys- tème de fibres de pro- jection e
us-opti- 1- que do la capsule in- terne et lo pied du pédoncule cérébral . Absence de la voie pédonculaire dans son t
du corps cal- leux. normal du rlinencé- l'hale et du trigone cérébral , Démonstra- tion de l'existence d'un système
nfant normal. Cas Richard. - Porencéphalie double avec malformation cérébrale . (Voy. J. Dejk- RI,NE et E. Long : Soc. de Biol
ouvent qu'un autre enfant du même âge. Bien que les circonvolutions cérébrales soient en grande partie développées chez cet Fi
cet Fig. 213. - Cas Richard. Porencéphalie double avec malformation cérébrale et hydro- céphalie. Face supérieure de l'encéph
à 221). D'après une photographie. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 190 hydrocéphale, il s'agit ici encore d'une
ÉBRALE. 190 hydrocéphale, il s'agit ici encore d'une malformation cérébrale très analogue à celle du cas Longery et survenu
premiers stades de la vie embryonnaire, avant la soudure du manteau cérébral aux corps opto-striés. Le cerveau antérieur rep
e une vaste vésicule à cavité ventriculaire unique, mais le manteau cérébral , au lieu d'ètre réduit à une mince membrane trans
nce membrane trans- lucide, a donné naissance à des circonvolutions cérébrales dans les régions interne supérieure, inférieure
atéral. Cas Richard. Por- encéphalie double avec malformation cérébrale et hydro- céphalie. Absence de soudure du seg
céphalie. Absence de soudure du segment supérieur du man- teau cérébral aux corps opta - striés. Agenésie du septum
ion sous- optique de la capsule interne et le pied du pédoncule cérébral à l'exception du fais- ceau géniculé et d'u
ment des fibres d'associa- tion et commissu- rales du manteau cérébral avec age- nesie partielle du tronc du corps c
t assez exactement (moins la pointe temporale toutefois) au manteau cérébral que l'on obtient en pratiquant sur un encé- pha
rd. Fig. 210. - Cas Richard. Porencéphalie double avec malformation cérébrale . Face inférieure de l'encéphale. Étranglement d
ure de l'encéphale. Étranglement de la partie antérieure du manteau cérébral (Etr), absence des pyramides antérieures du bulbe
ement la vaste porencéphalie (po). FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 201 partie avant de tapisser la cavité ventr
ieure de la ca\ité ventriculaire commune, après ablation du manteau cérébral . Remarquer la situation du trigone cérébral (Tg)
rès ablation du manteau cérébral. Remarquer la situation du trigone cérébral (Tg) entre les ganglions de la base (GB) et ses
(SI). Cas ltichard. Yor- encéphalie double avec malformation cérébrale et hydro- céphalie.Absence de soudure du segm
céphalie.Absence de soudure du segment supérieur du man- teau cérébral aux corps opto-striés. ,1,-énésie du septum
ion sous- optiquo de la capsule interne et le pied du pédoncule cérébral à l'exception du fais- ceau géniculé et d'u
. La cavité ventriculaire unique est limitée en haut par le manteau cérébral et la mince membrane qui occupe le fond de la s
en bas par les ganglions de la base (corps opto-strié), le trigone cérébral et la face latérale du putamen. De chaque côté,
niveau de la porencéphalie (po). FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 203 pied de la couronne rayonnante, que le p
e sur la face externe du putamen. Étude microscopique. - Le manteau cérébral a été débité en coupes vertico-transver- sales
optique. II résulte de l'examen de ces coupes : 1° Que le manteau cérébral de cet hydrocéphale possède une substance blanche
nature. Cas Richard. Por- encéphalie double avec malformation cérébrale et hydro- céphalie. Absence de soudure du seg
céphalie. Absence de soudure du segment supérieur du man- teau cérébral aux corps opta - striés, Agénésie du septum
ion sous- optique de la capsule interno et le pied du pédoncule cérébral à l'exception du fais- ceau géniculé et d'u
NERVEUX. Cas Richard Por- encéphalie double avec malformation cérébrale et hydro- cephalIe. Absenco de soudure du seg
cephalIe. Absenco de soudure du segment supérieur du man- teau cérébral aux corps opto-striés. Agenésie du septum l
ion sous- optique de la capsule intorno et le pied du hédoncnlc cérébral a l'exception du fais- ceau genicule et d'u
ong de la face externe (Fig. 220)' FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 203 et de l'angle inféro-externe (Fig. 221)
- Cas Richard. Fragment d'une coupe vertico-transversale du manteau cérébral passant par la ligne de repère 3 de la Fig. 213.
es en Médecine de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 207 repliée de l'hémisphère sont particulièr
e cette disposition dans toute l'étendue de la convexité du manteau cérébral . Il diminue seulement d'épaisseur dans la parti
mente d'épaisseur qu'au voisinage de la partie étranglée du manteau cérébral . En comparant avec soin les coupes vertico-tran
où le Fig. 22 - Cas Richard. Coupe vertico-transversale du manteau cérébral du cas Richard, passant par la ligne de repère
embraneuse interhémisphérique qui relie les deux moitiés du manteau cérébral . ; Cas Richard. Por- encéphalie double avec
bral. ; Cas Richard. Por- encéphalie double avec malformation cérébrale et hydro- céphalie Absence de soudure du segm
céphalie Absence de soudure du segment supérieur du man- teau cérébral aux corps opfo-striés. Agénésio du septum 1
n sous- optique de la capsule interne et le pied du ' pédoncule cérébral à l'exception du fais- ceau géniculé et d'u
pe vertico-transversale sectionnant la partie antérieure du manteau cérébral et passant par la ligne de repère 1 de la Fig. 21
209 Fie. 220. - Cas Richard. Porencéphalie double avec malformation cérébrale et Ilydro- céphalie. Coupe horizontale oblique
dans le faisceau supérieur de la couronne rayonnante(CR) du manteau cérébral (Fig. 223); elles représentent très probablement
par laquelle un certain nombre de fibres de la convexité du manteau cérébral arrivent à la capsule interne. Cette coupe sectio
l1' II. a Cas Richard. P rencéphalio double avec malformation cérébrale et hydro- céphalie. Absence de soudure du seg
céphalie. Absence de soudure du segment supérieur du man- teau cérébral aux corps s pto-striés. Agénésie du septum
ion sous- optique de la capsule interne et le pied du pédoncule cérébral à l'exception du fais- ceau géniculé et d'u
eloppement des fibres d'association et commissurales du manteau cérébral avec agénésie par- tielle du tronc du corps
Weigert-Pal. 2/1 Grandeur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 211 On pourrait même par analogie se demande
ature. Cas Richard. Po- rencéplialie double avec malformation cérébrale et hydro- céphalie. Absence do soudure du seg
céphalie. Absence do soudure du segment supérieur du man- teau cérébral aux corps opto-striés. Agénésio du septum l
ion sous- optique de la capsule interne et le pied du pédoncule cérébral à l'exception du fais- ceau géniculé et d'u
ERVEUX. Cas Richard. Po- rencéphalie double avec malformation cérébrale et hydro- céphalie. Absence de soudure du seg
céphalie. Absence de soudure du segment supérieur du man- teau cérébral aux corps opto-striés. Agenésie du septum l
ion sous- optique de la capsule interne et le pied du pédoncule cérébral a l'exception du fais- ceau géniculé et d'u
ablir, étant donné les connexions de ces segments avec la corticalité cérébrale . On peut, en outre, affirmer que le segment ant
g. 228, 229, 230), et plus bas la partie interne du pied du pédoncule cérébral (Fi, Fig. 231), puis s'épuisent rapidement dans
ne corticale de ces fibres du faisceau interne du pied du pédoncule cérébral (Fig. 231)' ? proviennent-elles comme les apparen
le inlerne (Cip), bien que, sans connexion aucune avec le manteau cérébral , il contient néanmoins un grand nombre de fibre
rectement FiG. 231. - Cas Richard. Coupe passant par le pédoncule cérébral . Agénésie presque totale de la voie pé- doncu
re. Fic. 232. - Cas Richard. Porencéphalie double avec malformation cérébrale . Coupe transversale de la protubérance au nivea
1899.) Cas Richard. l'o- rencéphalie double avec malformation cérébrale et b5dro- céphalie. Absence do soudure du seg
céphalie. Absence do soudure du segment supérieur du man- teau cérébral aux corps opto-striés. Agénésie du septum l
ion sous- optique de la capsule interne et le pied du pédoncule cérébral a 1 exception du fais- ceau géniculé et d'u
appartenant au faisceau lenticulaire de Forel. Le pied du pédoncule cérébral (Fig. 231) ne contient (à l'exception de sa parti
mala- dies du système nerveux, 1874. - Charcot et Turnkr. Atrophie cérébrale avec atrophie el dégénémtion dans une moitié du
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IV. LOCALISATIONS S CÉR É BII .\LCS. La question des localisations cérébrales fut nettement posée et résolue à l'aide de la m
jour (1870) où Fritsch et Hitzig démontrèrent, dans la corticalité cérébrale du chien, l'existence de zones dont l'excitatio
de Fritsch et Ilitzig ouvrirent une voie nouvelle à la physiologie cérébrale . Ils furent bientôt suivis de nombreuses recherch
ge et chez l'homme les localisations, dans l'écorce des hémisphères cérébraux , des fonctions motrices, sensitives, sensoriell
amburini, de Franck et Pitres; les FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 219 recherches expérimentales et cliniques de
eau occupe la partie sus-sylvienne du secteur moyen de l'hémisphère cérébral ; elle comprend par conséquent les circonvolutio
ir, une dégénérescence secondaire du thalamus, du pied du pédoncule cérébral , de l'étage antérieur de la protubérance et du fa
sensitivo-moteurs et sensoriels de la face externe de l'hémisphère cérébral de l'homme. Ac, centre cortical de l'audition.
ensitivo-moteurs et sensoiiols de la face interne de l'hémi- sphère cérébral de l'homme. DIl, centre cortical du membre infé
ion.- V, centre cortical visuel. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 221 chez l'homme que chez le singe un mouvemen
Double porencéphalie congénitale de la face externe des hémisphères cérébraux chez un homme atteint, dès sa plus tendre enfance
l supérieur, de si courte durée dans l'hémiplégie faciale d'origine cérébrale , elle est cependant d'une interprétation facile
nouveau cas de paralysie 1·seudo- FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 225 bulbaire d'origine corticale. Dans ce ca
paralysie de la corde vocale sié- geait du cûlé opposé à la lésion cérébrale . Quant aux centres corticaux des mouvements du
es en Médecine de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 227 la question des fines localisations cortic
- MS, centre du membre supérieur. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 2M Rolando. Les centres du membre supérieur so
tation de la FiG. 241. - Les régions sensitivo-motrices de l'écorce cérébrale du singe (macacus sinicus), d'après Beevor et H
(Philos. Trans., 1890, B. p. 81). FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 231 partie antérieure de cette zone détermin
moue des deux lèvres. FiG. 242. La région motrice de la corticalité cérébrale de l'orang (simia satyrus), d'après Beevor et H
nt basées sur quarante-trois expé- FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 233 riences faites toutes sur le macacus sin
due dans la région sous-thalamique aux confins du pied du pédoncule cérébral . L'excitation de la capsule interne détermine d
orsley (Philos. Trans., t8go, (3). FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 235 236 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Les lé
sens stéréognos- tique. 2. - LOCALISATIONS SENSITIVES DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . - Nous savons par l'anatomie que le ruban de R
dans l'écorce; s'il est universellement reconnu que la corticalité cérébrale est l'aboutissant des fibres de tous les modes
le plus paralysé. En d'autres termes, dans l'hémiplégie par lésion cérébrale compliquée d'hémianesthésie, les troubles de la
n'avons jamais rencontréedans l'hémianesthésie relevant d'une lésion cérébrale . L'intensité de cette hémianesthésie organique
-motrices de la région rolandique. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 239 Mais on peut se demander si, comme le veut
observe un reste de vision dans le champ visuel opposé à la portion cérébrale intacte. Enfin, si on enlève dans le milieu de ch
psie corticale de Bouveret (1887), FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 241 de Chauffard (1885), de Dejerine et Vial
ns sous-corticales et capsulaires. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 243 FIG. 210. - Les voies conductrices de la v
voies conductrices de la vision : appareil visuel central ou intra- cérébral , et appareil visuel périphérique. Connexions de l
itaire de la première circonvolution frontale.- ? pied du pédoncule cérébral . - Pc, pli courbe. P'c pli courbe droit. - l'ul,
cécité peul être complète et ne s'accompagner d'aucun autre trouble cérébral , comme chez le malade dont Dejerine et Vialet ont
us ces cas, il s'agit d'une double FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 245 lésion occipitale, intéressant plus partic
es en Médecine de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 247 chez le chien, la perception des sons él
e est détruite, ou partielle; elle FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 249 revêt alors deux types cliniques bien dist
ommissurales reliant entre eux les FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 251 deux plis courbes. - paf, fibres rehaut le
re des cas véritablement utilisables pour l'étude des localisations cérébrales ; môme dans ce dernier cas, ne doit-on pas s'att
ne se traduisent par aucun trouble FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 253 moteur appréciable, lorsqu'elles n'occupen
ncore diversement interprétée. Nous savons que, comme une paralysie cérébrale quelconque, elle peut être d'origine corticale
culaire, en effet, n'envoie pas de fibres dans le pied du pédoncule cérébral et n'en reçoit pas de la corticalité. Ses fibres
lysés. Les muscles des membres in- FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 2¡j5 férieurs fonctionnant d'une manière autom
ir de lésions qui lèsent plutôt qu'elles ne détruisent la substance cérébrale . Le : mêmes réflexions s'appliquent à l'athétos
émiplé- gique. Nous avons constaté l'hémiilhétose dans l'hémiplégie cérébrale infantile à la suite de lésions corticales de l
térieur (Cip) représente déjà il cette hauteur le pie( du pédoncule cérébral . Dans cette région, les fibres de projection de l
es en Médecine de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 21î¡ ce genre sont aujourd'hui assez nombreux
stérieur de la capsule interne pour aller s'arboriser dans l'écorce cérébrale ? Lorsque l'on examine les observations d'hémia
rice sont plus ou moins détruites. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 259 Dans ce dernier cas, la lésion est du rest
-motrice - d'où émanent ces dernières. BIBLIOGRAPHIE. Localisations cérébrales . ALIJEI\TOi'\1 et Micuieli. Sui centri cere- hm
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sur l'hémianesthésie de cause cérébrale, J80L - -Vialet. Les centres cérébraux de la Vision et l'appareil visuel intra-cérébra
n trajet bien distinct de celui des fibres de projection du manteau cérébral : les fibres de projection du lobe olfactif et
de la circonvolution de l'hippocampe forment le système du trigone cérébral . Quant à la première circonvolution limbique -
véritable région de transition entre le rhinencéphale et le manteau cérébral dont elle pré- sente la morphologie et la struc
ons, elle envoie ses fibres de projection en partie dans le trigone cérébral et en partie dans la capsule interne. FIBRES DE
1. radiations olfactives. - Comme les circonvolutions du man- teau cérébral , le lobe olfactif émet des fibres de projection,
s libres de projection, d'association el de commissure du manteau cérébral . Suivant qu'elles occupent la surface du lobe
ar des îlots allongés de substance FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 265 grise. Arrivés au niveau du tubercule olfa
es en Médecine de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 267 d'elle. Parmi ces fascicules, les uns se p
gitudinales de la région sous-optique et de la calotte du pédoncule cérébral (Fig. 252). Les radiations olfactives profondes
ar des fibres directes; 5° probablement à la calotte du pédon- cule cérébral . 2. faisceau SEPTO-THALAMIQUE. - Le faisceau se
noyau rouge et sa capsule de fibres (CNlI). - P, pied du pédoncule cérébral . PaTh, pédoncule antérieur du thalamus. - Rolp,
thalamus. 11, bandelette optique. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 269 3. TÆNIA SEMICIRCULARIS (stria tcrminali
, noyau externe du thalamus. NR, noyau rouge. l', pied du pédoncule cérébral . - Pt771, pédoncule inféro-interne du thalamus. p
ans l'avant-mur, le noyau lenticu- FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 271 laire et l'écorce de la pointe du lobe t
res longitudinales de la capsule interne. - Cas Rivaud. (Hémiplégie cérébrale infantile (p. 150) détail de la fig. 1 \'5, p. 15
ES NERVEUX. Ses connexions tlialamiques. Système du tri- gone cérébral Sa constitution complexe. Ses quatre par-
du taenia semicircularis. SYSTÈME DU TRIGONE CÉRÉBRAL Le trigone cérébral est un faisceau complexe comme les radiations olf
ts de fibres qu'il reçoit ou qu'il émet, on peut diviser le trigone cérébral en quatre parties : la première occupe la corne
eps major du corps calleux, occupe FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 273 le carrefour ventriculaire et s'étend de
ire de la capsule interne, le faisceau externe du pied du pédoncule cérébral et le noyau rouge. Méthode de Weigert. Alv, alv
ulaire, en particulier avec le faisceau externe du 'pied du pédoncule cérébral . - (Tilt, faisceau temporo-thalamique d'Arnold
lg. 7, 11, '15, 16, 21, /21, 2, 2, 30, 33, 3, I 7, 256.) Le trigone cérébral prend son origine principale dans la corne d'Am
iculaire présentent sur les coupes FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 275 vertico-transversales de l'hémisphère un a
est là un fait que mettent bien en évidence certaines malformations cérébrales , certaines vastes hydrocéphalies remontant aux
agnant d'un arrêt de développement plus ou moins complet du manteau cérébral , du corps calleux et du septum lucidum. Dans
l'occasion d'exa- miner, il existe une agénésie variable du manteau cérébral et un développement presque normal du rhinencép
particulier des circonvolutions de l'hippocampe : aussi le trigone cérébral est-il très bien développé ainsi que la commissur
- 17SI, ventricule de la cloison. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 29 sous du bourrelet du corps calleux, puis
rieur (Spl) (r) contient les fibres commissurales, saines, du trigone cérébral . La zone dégénérée est colorée en jaune. Méthod
eigert-Pal. Gj j GranLlcur nature. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 281 1 du tiers moyen (Fig. 262) du corps cal
entrecroisement sous-thalamique pos- térieur de Forel. - P13, fente cérébrale de Bichat. - F,11, faisceau rétroflexe de Meynert
l[, nerf moteur oculaire commun. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 283 du corps calleux avant de se couder et de
R, noyau rouge. - CNR, sa capsule de fibres. - P, pied du pédoncule cérébral . - l'o, protubérance. - l'Tin, pédoncule du tuber
Il[, nerf moteur oculaire commun. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 283 Immédiatement en avant du trou de Monro,
es en Médecine de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 287 ventrale du tubercule mamillaire, et con
circonvolution de l'hippocampe. Dégé- nérescence du tri- gone cérébral : al- meus, fimbria. piliers postérieur et an
che profonde sous-épen- dymaire. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 289 a'dmmon du côté opposé; le pilier antéri
circonvolution do l'hippocampe. Dégé- nérescence du tri- COUD cérébral : al- vous, fimbria, piliers postérieur et an
sont normaux. Outre celte dégénérescence dans le système du trigone cérébral , il existe (Fig. 267 et 268) une dégénérescence
circonvolution de l'hippocampe. Dégé- nérescence du tri- gone cérébral : al- vous, fimbria, piliers postérieur et an
circonvolution de 1 hippocampe Dégé- nérescence du tri- zone cérébral : al- \ eus, fimbria, piliers postérieur et a
térieur de la couronne rayonnante. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 293 puis la partie inférieure de la paroi exte
cerveau de notre hydro- céphale avec porencéphalie et malformation cérébrale (cas Richard, Fig. 220 à 223, p. 201). Chez l'a
. De celte disposition, il résulte un agencement spécial du trigone cérébral : le coips du Lligone n'existe pour ainsi dite
ieur du trigone et le pédoncule du FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 295 septum lucidum. Les libres transversales
t externe du thalamus. - NC, le noyau caudé. - P, pied du pédoncule cérébral . - aPcs, entre-croisement du pédoncule cérébelleu
es en Médecine de la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 297 et à l'absence de son segment dorsal. Chez
aire. - Ir3, troisième ventricule. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 299 interne l'entoure complètement et le sépar
st en rapport en dehors avec la partie interne du pied du pédoncule cérébral , du corps de Luys et du faisceau lenticulaire d
dans l'espace compris entre le noyau externe, le pied du pédoncule cérébral et la surface du tuber cinereum, on trouve un p
e, en bas et en dedans, et pénètre dans la calotte du pédon- cule cérébral . II passe au-dessus du noyau rouge, entre dans
u interne du tubercule mamillaire. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 301 sales et sagittales sériées où l'on voit
NR, noyau rouge. - C\-R, sa capsule de fibres. - P, pied du pédoncule cérébral . - l'o, protubérance. - 1'1'111, pédoncule du t
rieur du trigone. Il dégénère à la suite d'ablalion de l'hémisphère cérébral , sans lésion concomitante du corps strié et de
er, entre la substance perforée postérieure et le pied du pédoncule cérébral , et croise les fibres du nerf moteur oculaire com
mmon, de la circonvolution godronnée et du pli rétrolimbique. Trigone cérébral , com- missure antérieure, faisceau inférieur du
e putamen, présente une structure très voisine de celle de l'écorce cérébrale . On y trouve : 1° des cellules nerveuses et des c
trajet descendant (Cajal); aucun ne se porte en haut vers l'écorce cérébrale ; dans quelques cas rares, ils émettent au nive
es et épendymaires. Connexions du corps strié avec la corticalité cérébrale . - Le corps strié, en particulier le noyau caud
putamen) n'est donc pas en con- nexion directe avec la corticalité cérébrale et l'existence de fibres cortico- striées direc
egment postérieur de la capsule interne avec le pied du pédon- cule cérébral ; l'aspect de la zone réticulée et de la lame méd
), soit qu'il s'agisse d'une destruction complète de la corticalité cérébrale (cas Pradel, Fig. 66 à 78, p. 100 et suiv.) Dans
ogie de développement et de structure du corps strié et de l'écorce cérébrale établie par Wernicke, l'existence d'un fais- ce
ipito-frontal et dégénèrent à la suite de lésions de la corticalilé cérébrale [lobe frontal, zone rolandique (cas Schweigoffer,
on cortico-striée dont les cellules d'origine siègent dans l'écorce cérébrale et dont les arborisations abou- tissent au corp
er- cortical, reliant deux points plus ou moins éloignés du manteau cérébral . Radiations corticales du globus pallidus. Si l
au caudé el le putamen ne reçoivent pas de fibres de la corticalité cérébrale , il ne parait pas en être de même du globus pal
est dévolue la tâche d'élucider celle question. Deux cas de lésions cérébrales récentes, l'une étendue, l'autre limitée, exami
Luys reçoivent tous deux des fibres de projection de la corticalilé cérébrale . Cas Caillot. Hémiplégie gauche récente avec hé
moyen en [particulier du 3° cinquième externe du pied du pédoncule cérébral (Fig. 285); une dégénérescence de l'étage antér
es coupes qui passent par le tiers supé- rieur du pied du pédoncule cérébral , c'est-à-dire sur toutes les coupes qui intéresse
me circonvolution occipitale. Il n'existe dans le pied du pédoncule cérébral , examiné à la méthode de Marchi, aucune dégénér
e dégénérescence des trois cinquièmes externes du pied du pédoncule cérébral peu prononcée au niveau du faisceau de Turcs; une
onfins de la région sous-optique (Fig. 288) et le pied du pédoncule cérébral (Fig. 28'.)). Bibliothèque des Internes ' en
. chez les poissons forme à lui seul le cerveau antérieur. L'écorce cérébrale ne dépasse pas, en effet, chez les poissons car
'homologue, ainsi que Ad. Meyer l'a montré, du système du tri- gone cérébral . En dehors de la formation ammonique, le reste de
e cérébral. En dehors de la formation ammonique, le reste de l'écorce cérébrale n'atteint pas dans ces classes de vertébrés un
intrication avec le système des fibres de pro- jection de l'écorce cérébrale . Il ne peut donc être étudié à l'aide de cerveaux
secondaires chez un chien auquel Goltz avait enlevé toute l'écorce cérébrale sans lésion concomitLante du corps strié. V. Mona
veau avec arrêt de développement plus ou moins complet du man- teau cérébral , remontant aux premiers alges de la vie embryonna
et commune aux deux hémisphères et l'absence de soudure du manteau cérébral à la partie supérieure du corps strié. Dans l'u
Slrz, stratum zonale du thalamus. Tga, pilier antérieur du trigone cérébral . - Top, pilier postérieur. - Th, thalamus. - lsc,
(Rsth) de la région thalamique moyenne, dans un cas d'hé- miplégie cérébrale infantile avec dégénérescence complète des fibres
(ttstn) de la région thalamique intérieure dans un cas d'hémiplégie cérébral infantile avec dégénérescence complète des fibres
a cap- sule interne et de la partie supérieure du pied du pédoncule cérébral en fascicules denses, nombreux, serrés et paral
, tapetum. Tga, pilier antérieur ; 7qp pilier postérieur du trigone cérébral . lsc, toenia semi-circularis. IV, zone de Wernick
blation de la bandelette optique, con- tourner le pied du pédoncule cérébral au niveau de sa pénétration dans le cerveau. Le
ques dégénèrent à la suite de toute lésion centrale des hémisphères cérébraux qui détruit le corps strié ou sectionne les rad
eaux des artères striées antérieures qui se déta- chent de l'artère cérébrale antérieure; des artères lenticulo-striées et len-
rouge et de sa cap- sule de fibres. externe du pied du pédoncule cérébral , y compris le faisceau de Turck (Fig. 299 et 300)
isolés. Dégénérescence de la partie moyenne du pied du pédoncule cérébral , qui, dans la région pédonculaire inférieure, '
apidement d'intensité de haut en bas et dans la région du pédoncule cérébral (Fig. 300), le noyau rouge (NR), le ruban de Re
e ne concourt pas à former le faisceau interne du pied du pédoncule cérébral et n'envoie pas de fibres dans la voie TOME II.
ieur de la capsule interne (Fig. 303 à 30), et du pied du pédoncule cérébral (Fig. 30G à 309), dégénérescence qui peut être su
nt postérieur de la cap- sule interne et du pied du pédonculo cérébral , du locus niger. du pes lem- niscus profond
du ruban de Reil et du faisceau interne du pied du pédon- cule cérébral . 31O ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Gard
nt postérieur de la cap- sule interno et du pied du pédoncule cérébral , du locus niger, dupes lem- niscus profond et
du ruban de Reil et du faisceau interne du pied du pédon- cule cérébral . thalamique jusque dans le noyau lenticulaire.
Marchi.) GANGLIONS INFRACORTICAUX : CORPS STRIÉ. 341 pédoncule cérébral (P) (Fig. 307, 308). L'anse lenticulaire n'envoie
ées que l'on constate dans le faisceau interne du pied du pédoncule cérébral au voisinage du sillon pédonculo-protubéran- ti
re, 189G). Dégénérescence de la partie moyenne du pied du pédoncule cérébral et du locus niger (Ln) consécutive à un ramolli
e (Tm) (Fig. 306). Intégrité du faisceau interne du pied du pédoncule cérébral . (Méthode de Marchi.) Cas Gardette. Dou- bl
ent postérieur dola cap- sule interne et du pied du pédonculo cérébral , du locus niger, du pes lem- niscus profond e
du ruban do Reil et du faisceau interne du pied du pédon- cule cérébral . 342 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Gardet
nt postérieur de la cap- sule interne et du pied du pédoncule cérébral , du locus niger, du pes lem- nisciis profond
du ruban de Reil et du faisceau interne du pied du pédon- cule cérébral . Il existe d'autre part une dégénérescence du p
re, 189G). Dégénérescence de la partie moyenne du pied du pédoncule cérébral (P, I), du locus niger (Ln), du pes lemniscus p
amique de Forel. Intégrité du faisceau inlerne du pied du pédoncule cérébral , malgré la dégénérescence de l'anse lenticulaire.
l'anse lenticulaire n'envoie pas de fibres dans le pied du pédoncule cérébral , en particulier dans le faisceau interne de la
mêmes. Sur les connexions de la couche optique avec la corticalité cérébrale . Soc. de Biologie, 1898 p. 1131. - EDINGER. Ueb
noyaux du thalamus. Les noyaux intrin- sèques. removal of the cérébral cortex and corpora striata in the Dog. Journ. of
connexions des différents groupes cellulaires avec la cortica- lité cérébrale , décrivit, dans chacun des quatre noyaux lhalamiq
parties, qui toutes les deux sont en connexion avec la corticalité cérébrale , se fait d'une manière graduelle et insensible,
e s'ef- fectueraient les connexions du thalamus avec la corticalité cérébrale , d'une part, et avec la région de la calotte, d
u- jours respecté, même dans les lésions étendues de la corticalité cérébrale , comme dans le cas Rivaud (p. 151). Il était to
. Ce noyau entre donc chez l'homme en connexion avec la corticalité cérébrale , mais son intégrité, dans le cas Scheule (p. 133)
ynert. fp, fibres perforantes du corps calleux destinées au trigone cérébral dont elles concourent à former le fornix longus
aire de la première circonvolution frontale. - P, pied du pédoncule cérébral . - Pcs, pédoncule cérébelleux supérieur. - Plc%
oroïdienne et le corps du trigone et appartenant il la grande fente cérébrale de Bichat. ? 7-'f ? substance grise de l'aqueduc
TRES NERVEUX. Sa structure Ses connexions avec la corticalité cérébrale . dans le plan vertico-transversal et dans le pl
ue ce centre affecte des connexions importantes avec la corticalité cérébrale et avec la région de la calotte. Dans sa partie s
de de Weigert. 2/1 grandeur nature. Aol, aire olfactive. - B, fente cérébrale de Bichat. - BrQa, bras du tubercule quadriju-
taire de la première circonvolution frontale. - l', pied du pédoncule cérébral . - Plch plexus choroïdes du ventricule latéral.
pro- venant de la région sous-optique ou de la calotte du pédoncule cérébral en particulier du pédoncule cérébelleux supérie
s, fibres cortico-thalamiques , prennent leur origine dans l'écorce cérébrale , appartiennent au système de projection corticale
(g), Cip, Cisl). Elles proviennent du secteur moyen de l'hémisphère cérébral , en particulier des circonvolutions rolandiques
sradt6os. Connexion du noyau externe : 11) avec la corticahté cérébrale ; 356 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. 2° a^ ce
(noyaux antérieur, interne et externe), se terminent dans l'écorce cérébrale et suivent en sens inverse le trajet des fibres
ire dans nos deux cas d'hydrocéphalie congénitale avec malformation cérébrale remontant aux premiers stades de la vie embryon
la bandelette optique et la partie postérieure du pied du pédoncule cérébral (v. Monakow). Les cellules nerveuses du noyau e
mbrasse dans sa courbe la partie posté- rieure du pied du pédoncule cérébral (P), dont le séparent les corps genouillés exte
-axes pénètrent dans la capsule interne et se portent dans l'écorce cérébrale . Le pulvinar contient, comme les noyaux externe
lamelles imbri- Connexions du pul- vinar avec la corti- calité cérébrale , en particulier avec la zone visuelle. Corp
er. Il est situé à la partie postérieure de la calotte du pédoncule cérébral et sur les coupes horizontales (Fig. 28, p. 43
. 69 et Fig. 312). Plus bas, aux confins de la calotte du pédoncule cérébral (Fig. 24, p. 33), lorsque le corps genouillé inte
bres cortico- thalamirjues. de nombreuses fibres à la corticalité cérébrale , au corps strié, au cervelet et au tronc encéph
s du rhinencéphale . Les connexions du thalamus avec la corticalité cérébrale et avec le corps strié s'établissent surtout pa
ncéphalique. 1. Connexions de la couche optique avec la corticalité cérébrale . L'union si intime de la couche optique avec la
rébrale. L'union si intime de la couche optique avec la corticalité cérébrale ('oy. Dégénérescences secondaires, p. 91 et sui
lement par les innombrables fibres de projection que la corticalité cérébrale envoie à la couche optique (p. 57), mais encore
les corps genouillés interne et externe, se terminent dans l'écorce cérébrale et suivent en sens inverse le trajet des fibres
ion de Flechsig et II&sel, en connexion directe avec la corticale cérébrale par l'intermédiaire de fibres passant par la co
e, par nos deux cas d'hydrocéphalie congé- nitale avec malformation cérébrale (cas Longery, Richard). Dans l'un des cas (cas
loppée en partie, mais par suite de l'absence de soudure du manteau cérébral aux corps opto-striés, le système des fibres de p
calité qu'elles n'ont pu atteindre par suite même de la malformation cérébrale . 2. Connexions de la couche optique avec le cor
postérieur de la capsule inlerne dans un cas d'agénésie du manteau cérébral . (Voy. Cas Longery, p. 186, Fig. 197 a 212.)
ommissure postérieure no reçoit pas de fibres de la corticalité cérébrale . Malgré son volume on ne connaît encore que peu
la commissure postérieure, entrent en connexion avec la corticalité cérébrale , hypothèse émise déjà par Darks- chewitch et Be
reraient à la suite d'ablation du tiers anté- rieur de l'hémisphère cérébral ; d'après Bechterew, consécutivement à l'ablati
la commissure postérieure ne reçoit pas de libres de la corticalité cérébrale et partant qu'elle ne dégé- nère pas à la suite
daires et sur l'étude de certaines anomalies d'évolution du manteau cérébral démontrent en effet que la couche optique n'env
e la couche optique n'envoie aucune fibre dans le pied du pédoncule cérébral et qu'elle n'en reçoit aucune. 4. Connexions du
ste chez les vertébrés les plus inférieurs dépourvus de manteau cérébral . Son volume parait être, d'après Edinger, con
orticale, dégénère à la suite de lésions étendues de la corticalité cérébrale , et passe par les segments antérieur et postérieu
Connexions dou- teuses du txnia tlia- la1111 avec le trigone cérébral . 382 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Lotheisen,
bandelette optique, contourneraient avec elle le pied du pédoncule cérébral , atteindraient ainsi les parties latérales et p
celui-ci à la suite de certaines lésions étendues de la corticalité cérébrale (Fig. 320). La commissure interhabe- nulaire re
fibreux qui relie le sommet de la glande à la pie-mère de la fente cérébrale de Bichat, ainsi qu'à la petite circonférence d
sappartiennent au système sympa- thique. les acervules ou sable cérébral et qui sont composées de carbonate et de phosph
la couche optique, au-dessus du locus niger et du pied du pédoncule cérébral , entre la capsule inlerne et la substance grise
bas, sans ligne de démarcation nette, avec la calotte du pédoncule cérébral . Elle représente l'extrémité antérieure, termin
1° La région sous-optique; 2° L'étage moyen ou calotte du pédoncule cérébral ; 3° L'étage postérieur ou calotte de la protubé-
sous-optique n'est pas située dans l'axe de la calotte du pédoncule cérébral , mais forme avec elle un angle ouvert en bas et e
ptique, ses deux tiers posléro-inféricurs à la calotte du pédoncule cérébral (Fig. 310, p. 348). Considérée dans son ensembl
lle ne comprend sur la Figure 44, p. 61, que la partie du pédoncule cérébral qui contient le corps de Luys, et la partie du
(FT), c'est-à-dire les éléments con- stitutifs du pied du pédoncule cérébral qui affectent seuls des rapports avec la région
antérieur de la couche optique, et sectionnant le pied du pédoncule cérébral et la substance innominée sous- lenticulaire de
met du globus pallidus, au-dessus et en dedans du pied du pédoncule cérébral et de la partie supérieure du locus niger, au-d
L,, les trois segments du noyau lenticulaire. - Il, pied du pédoncule cérébral . l'cid, plexus choroïdes du ventricule latéral.
née sous-lenticulaire de Reichert, à la limite du pied du pédoncule cérébral et de la région sous-optique. Il diminue (Fig.
que le locus niger croît. 11 a disparu lorsque le pied du pédoncule cérébral apparaît librement à la base du cerveau, au-des
le segment postérieur de la capsule interne et le pied du pédoncule cérébral deviennent très manifestes; il occupe en effet
n sous-thalamique) et dans la partie adjacente du pied du pédoncule cérébral . Les fibres de la capsule interne séparent cett
illaire, est en rapport avec la partie interne du pied du pédoncule cérébral (Fig. 32 et 325). L'extrémité postérieure du co
oit dans les cas de destruction étendue ou totale de la corticalité cérébrale sans participation des corps opto-striés (cas Pra
Fig. 148, 149), soit dans les anomalies d'évolu- tions de l'écorce cérébrale et du système de projection corticale (cas Lon-
ps de Luys reçoit donc quelques très rares fibres de la corticalité cérébrale , mais leur nombre est insigni- fiant lorsqu'on
les fibres du corps de Luys qui tome Il. 26 Avec la corticalité cérébrale . Connexions dou- teuses. Avec les noyaux
e la commissure de Meynert à la partie interne du pied du pédoncule cérébral . Or, les deux premiers cas montrent simplement
la substance grise inter- pédonculaire et reçoit de la corticalité cérébrale quelques très rares fibres qui passent par les
sont beaucoup plus serrées que celles du noyau rouge ou de l'écorce cérébrale par exemple. IV. - SUBSTANCE GRISE CENTRALE ET
nge opto- pédonculaire, entre la bandelette optique et le pédoncule cérébral , une petite région recouverte partiellement par
yen et intermédiaire étiré en lame par la divergence des pédoncules cérébraux ; comme pour le système des fibres commissurales
sous-optique comprise entre la couche optique, le pied du pédoncule cérébral et le locus niger comprend le corps de Luys et la
Nez, les trois segments du noyau lenticulaire. - P, pied du pédoncule cérébral . Ilchl, plexus choroïdes du ventricule latéral.
nètre entre les faisceaux de la partie moyenne du pied du pédoncule cérébral (Voy. T. 1er, Fig. 191, p. 326). Meynert, Forel
'ont pu la suivre au delà de la partie moyenne du pied du pédoncule cérébral ; Darkschewitsch et Pribytkow la mettent GANGLIO
Meynert persiste intacte, soit encore dans certaines malformations cérébrales , telles que le cas d'anophtalmie bilatérale rap
- factif et optique re- présentent do vé- ritables formations cérébrales . Voie oltactwe pé- riphériquc ou de ler ord
représentent l'un et l'autre de véritables émanations ou formations cérébrales : le nerf olfactif étant un lobe cérébral dével
manations ou formations cérébrales : le nerf olfactif étant un lobe cérébral développé aux dépens du cerveau antérieur; le ner
e pédoncule et les stries olfactives. Ces formations véritable lobe cérébral con- tiennent les voies olfactives centrales.
superficielles et profondes, le læina semicircularis et le trigone cérébral . Les centres olfactifs primaires, de même que les
or- ticaux entre eux ; le système du tubercule mamillaire - trigone cérébral (Tg), tubercule mamillaire (Tm), pédoncule du t
ives centrales. (Systèmes des radiations olfactives et du tri- gone cérébral .) Aol, aire olfactive. - Bol, bulbe olfactif. -
emi-circularis (tsc) (neurone de iiie ordre) et émettent le trigone cérébral (Tg), la partie hémisphérique de la commissure
la circonvolution godronnée sont les cellules d'origine du trigone cérébral . Par ses fibres commissurales (commissure a/<
aires ou cor- ticaux et neurones olfactifs de 4' ordre. Trigone cérébral . Cingulum. Leur système de fibres commissur
tifs corticaux sont enfin reliés aux différentes régions du manteau cérébral par des libres courtes et longues d'association.
ui limitent l'espace opto- pédonculaire, contournent les pédoncules cérébraux , adhèrent comme le chiasma à la substance grise
comprend que des voies centrales. Les voies optiques extra - cérébrales : nerfs,clmsma et lian- delettes optiques.
voies conductrices de la vision : appareil visuel central ou intra- cérébral , et appareil visuel périphérique. - Connexions de
taire de la première circonvolution frontale. - P, pied du pédoncul cérébral . Pc, pli courbe gauche. Pc' pli courbe droit. - l
artielle du chiasma humain est aujourd'hui un des points d'anatomie cérébrale les plus solidement établis. 3° Dans la bandele
er à une projection de la macula en un îlot circonscrit de l'écorce cérébrale . Bien au contraire, la dissociation des fibres ma
ps genouillé interne, le noyau lenticulaire et le pied du pédoncule cérébral . Mais les résultats fournis par l'étude des dégén
et jamais chez l'homme une dégénérescence soit du pied du pédoncule cérébral , soit du noyau lenticulaire. Il est probable que
pports croisés et directs des nerfs optiques avec les gémi- sphères cérébraux . C. R. Soc. de Biologie, 1882. - M. PROBST. Ueber
. Experiments on the electrical excitation of the visual area ofthe cérébral cortex in the monkey. Brain April 18SS. - SCHAP
s Arch. f. Ophthalm.vol. XXXII, 3, p. 93. 1884. VIOLET. Les centres cérébraux de la vision et l'appareil nerveux visuel intracé
de l'isthme postérieur, une scissure plus profonde encore, la fente cérébrale postérieure, le sépare du bulbe racliidien. Le
au et la moelle épinière. Il est situé au-dessous des hémi- sphères cérébraux qui le recouvrent entièrement, et dont le sépare
ièrement, et dont le sépare une profonde scissure : la grande fente cérébrale transverse qui loge la tente du cervelet, en ar
st en outre a découvert, elle est située en arrière des hémisphères cérébraux et du cerveau moyen souvent très développé. S
Meynert (Voy. T. 1er, Fig. 3 et 4), c'est-à-dir( séparer le manteau cérébral du tronc encéphalique et des corps opto- striés
e du cerveau par une coupe horizontale qui passe pai les pédoncules cérébraux et les tubercules quadrijumeaux. On constate al
érieur. - Oi, olive inférieure ou bulbaire. - Il, pied du pédoncule cérébral . - Py, pyramide antérieure du bulbe. - Pyc, pyram
s, tout à fait comparables aux plis de passage profonds de l'écorce cérébrale . Loues secondaires. Ces lobes, au nombre de qua
érieur.-Lsls, lobe semi-lunaire supérieur. - P, pied du pédon- cule cérébral . - Po, protubérance. - Py, pyramide antérieure du
iibé),ciiiiiel supérieur, qui sépare la protubérance des pédoncules cérébraux ; en arrière, par un léger sillon transversal, q
r ou pédonculo- protubérantiel; il la sépare du pied des pédoncules cérébraux el forme sur la ligne médiane le trou borgne su
r la lame perforée postérieure el compris entre les deux pédoncules cérébraux et la protubérance, légèrement échancrée à ce ni-
ncrée à ce ni- veau. Au niveau du bord externe du pied du pédoncule cérébral , le sillon protubérantiel supérieur se jette à
t au bulbe rachidien, mais encore u ]a protubérance et aux pédoncules cérébraux . Baller le premier l'employa dans un sens plus
bulbe. - Oi, olive inférieure ou bul baire. - P, pied du pédoncule cérébral , - l'o, protu bérance. - Py, pyramide antérieur
i limitent la protubérance, masquant ainsi en partie les pédoncules cérébraux et la partie supérieure du bulbe. Ils s'incurvent
et inférieur, et se moulent en haut autour de chacun des pédoncules cérébraux , en bas autour de chacune des pyramides, les envi
les environnant d'une espèce de collier : le collier des pédoncules cérébraux et le collier des pyramides , de Cruveilhier.
ême très réduites; elles ne recouvrent pas en haut les pédon- cules cérébraux , ne dépassent guère en bas l'émergence du trijume
ubérantiel supérieur, entre la protubérance et le pied du pédoncule cérébral . Le plus souvent il est unique le long du bord
Lorsque le faisceau pyramidal est lésé dans son trajet de l'écorce cérébrale à la partie inférieure de la protubérance, la pyr
uvent complètement faire défaut dans les cas d'agénésie de l'écorce cérébrale , par hydrocéphalie, porencéphalie, etc. ,,etc. ,
nerf optique. - Oi, olive bulbaire ou infé- rieure. - Il, pédoncule cérébral . - ! 'cm, pédoncule cérébelleux moyen. ! 'cs, p
, funiculi teretes. -Le, locus caeruteus. - ? pied du pédon- cule cérébral . Pcm, pédoncule cérébelleux moyen. - F. pyramid
pendance du double feuillet pie-mérien qui s'invagine dans la fente cérébrale posté- rieure, et sépare le bulbe du cervelet.
7 1. - DURET. Études expérimentales et cliniques sur les traumatismes cérébraux , Th. Paris, 1878. - FOVILLE. Traité complet de
e de vie de la région de transition entre le vermis et l'hémisphère cérébral . - Coupe sagittale passant par les noyaux dentelé
. Coupe horizontale un peu oblique en haut et en avant du pédoncule cérébral , au voisinage du sillon pédonculo-protubérantiel,
tes : l'une fail suite à la capsule interne et au pied du pédoncule cérébral , forme l'étage antérieur de la protubérance et la
tre s'étend de la région sous-optique et de la calotte du pédoncule cérébral à la moelle cervicale, contient tous les noyaux d
en occupe toute la hauteur, forme à elle seule le pied du pédoncule cérébral et la pyramide bulbaire et comprend toutes les
ide bulbaire et comprend toutes les fibres de projection du manteau cérébral qui ne se sont arrêtées ni dans le thalamus et se
avons démontré qu'elle pro- vient du secteur moyen de l'hémisphère cérébral , passe par le genou, les segments postérieur et
la capsule interne, et occupe toute l'étendue du pied du pédoncule cérébral . En pénétrant dans l'étage antérieur de la prot
aeja aans les régions moyenne et intérieure uu pieu uu peuon- cule cérébral (coupe P 1, Fig. 364), où l'on assiste à un chang
et se groupent le long de la face postérieure du pied du pédoncule cérébral en petits fascicules arrondis, séparés les uns
ssociation commence à la partie anléro-interne du pied du pédoncule cérébral , de chaque côté du trou borgne supérieur (coupe P
déterminer quelle part les différents segments du pied du pédoncule cérébral prennent à la constitu- tion de la pyramide bul
nérescence, même limitée, de la partie moyenne du pied du pédoncule cérébral , retentit à la fois sur la pyramide bulbaire et s
pédonculaire peut faire défaut, soit dans les cas de malfor- mation cérébrale avec agénésie complète des fibres de projection c
8 à 212 et 231 à 233), soit dans les cas de lésions de l'hémisphère cérébral sur- venant dans les premiers âges de la vie et
. Dans les cas que nous avons été à même d'obser- ver, le pédoncule cérébral est plus petit qu'à l'état normal, la protubéranc
la face profonde du deuxième cinquième externe du pied du pédoncule cérébral , traverse obliquement le locus niger et s'accole
fibres aberrantes de la voie pédonculaire de la région du pédoncule cérébral : Pes lemniscus profond (PLp), (Fig. 375, 3 in, 3
TOMIE DES CENTRES NERVEUX. Fibres aberrantes protubérantielles. cérébral , le pes lemniscus superficiel participerait en ou
re latérale. La colonne cellulaire médiane forme, dans le pédoncule cérébral , les noyaux d'origine des nerfs moteurs oculair
e-croisements dorsal et ventral de la calotte et le pied du pédoncule cérébral . Coupe horizontale oblique parallèle à la bande
la commis- sure en fer à cheval de Wernekink. Le pied du pédoncule cérébral au niveau du sillon pédonculo-protubérantiel et
s : l'intemc reste profond, monte en ligne droite dans le pédoncule cérébral et se place en arrière du locus niger ; l'externe
sur la face latérale de l'isthme de l'encéphale entre le pédoncule cérébral et les pédoncules cérébelleux supérieur et moyen,
t en avant, fusionnerait le long du bord externe du pied du pédoncule cérébral avec le faisceau interne, profond ou vertical,
du bulbe, montaient avec elles dans la protubérance et le pédoncule cérébral dont elles occupaient la partie externe, puis s
cus niger, puis s'étalaient le long de la face externe du pédoncule cérébral et pénétraient dans la couche optique. Ces auteur
externe de la pyramide et de la partie externe du pied du pédoncule cérébral . Mais ce ne fut qu'en 1883, qu'Edinger, puis Fl
IEURE DU RHOMBENCÉPHALE. 579 Dans les régions voisines du pédoncule cérébral (coupes P3, P4, Fig. 369 et 368, p. 536 et 535)
r croisé ; sa terminaison dans les régions inférieures du pédoncule cérébral lui a encore valu le nom de ruban de Reil infér
genouillé interne (Cgi), la partie postérieure du pied du pédoncule cérébral (P) et du locus niger (Ln). Quelques fibres se
nent le pédoncule CONFIGURATION INTÉRIEURE DU RHOMBENCÉPHALE. 581 cérébral , la protubérance et la partie supérieure du bulbe
Mm" DEJERINE. Sur les connexions du ruban de Reil avec la corticalité cérébrale . C. Il. Soc. - Biologie, 1895, p. 285. -DES Mêm
laires externes du cervelet. - Coupe sagittale S 7, de l'hémisphère cérébral au voisinage de la région de transi- tion, pass
e la masse blanche non différenciée du centre ovale de l'hémisphère cérébral , et contient comme celle-ci des fibres d'associat
à mon- trer la manière dont les éléments constitutifs du pédoncule cérébral abordent le rhombencéphale, les modifications q
horizontales et horizontales obliques, à la formation du pédoncule cérébral . Nous avons vu : 1° que la calotte procède du tha
ostérieur; 2° que la voie pédonculaire ou voie du pied du pédoncule cérébral fait suite à la capsule interne et qu'elle ne con
erne et qu'elle ne contient que des fibres de projection du manteau cérébral (T. II, p. 73). Les quatre coupes P1, P2, P3, P
e coupes P1, P2, P3, P4, (Fig. 419 à 422), sectionnent le pédoncule cérébral presque parallèlement au plan du sillon pédonculo
ofonde dépression, située sur la ligne médiane entre les pédoncules cérébraux et la protubérance, et dont la lèvre supérieure
Toutes ces coupes sectionnent donc obliquement le pied du pédoncule cérébral , et c'est ainsi que s'explique la différence d'
es transversales de la protubérance, intéresse le pied du pédoncule cérébral au voisinage de son bord inférieur et sectionne e
à son embouchure dans le quatrième ventricule. Pied du pédoncule cérébral . Les fibres du pied du pédoncule ou de la voie
nt horizontaux et se groupent à la face profonde du pied du pédoncule cérébral en une couche de lâches fascicules, la couche d
ncomplè- tement l'étage inférieur de l'étage supérieur du pédoncule cérébral . Biblàatqu des Internes en ? ecine de la Salp
tre-croisent en fascicules presque FIG. 419. - Le pied du pédoncule cérébral , sa couche intermédiaire ou profonde, et le pes
pe P 1, coupe horizontale oblique en liaut et en avant du pédoncule cérébral , au voisinage du sillon pédonculo-protubérantiel,
qui s'effectue sur une grande hau- Fic. 420. - Le pied du pédoncule cérébral , la couche intermédiaire, le pes lemniscus prof
ales, superposées d'arrière en avant. FiG. 421. - Pied du pédoncule cérébral en particulier dissociation des fibres du stra-
e (SR). FiG. 422. - La dissociation des fibres du pied du pédoncule cérébral par les fibres transversales profondes du pont.
laire; ils appar- tiennent aux fibres externes du pied du pédoncule cérébral , au faisceau de Turck, et s'épuisent, ainsi que
e la voie pédonculaire du côté opposé et représentait une ori- gine cérébrale directe du trijumeau. Les recherches modernes ne
t pas à la voie pédonculaire, ne provenant pas du pied du pédoncule cérébral et ne se con- tinuant pas directement avec les
s qui recouvrent les dendrites des cellules pyramidales de l'écorce cérébrale . Rameaux et ramuscules se terminent par des ext
ibres tangen- tielles superficielle, si caractéristique de l'écorce cérébrale , et ne présente que des fibres radiaires et lon
s avons décrites dans les couches profondes de l'écorce des sillons cérébraux (Voy. T. I, p. 71.8). Les libres à myéline que
rquées, des fibres en U ou fibres courtes d'association de l'écorce cérébrale . Elles unissent deux lamelles ou lobules voisins,
cules comparables aux longs faisceaux d'association des hémisphères cérébraux . S'il n'existe pas dans la substance blanche ce
de longs faisceaux d'association comparables à ceux des hémisphères cérébraux , les diffé- rentes régions du cervelet sont néa
2 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
n, 108 1893 PREMIÈRE LEÇON De la localisation dans les maladies cérébrales . Sommaire. — Préambule. — Aridité apparente de
le mieux sentir. C'est, en effet, sur le principe des loca-lisations cérébrales qu'est fondé ce qu'on pourrait appeler le {diagno
orts du clinicien. D'un autre côté cette question des localisations cérébrales vient d'entrer dans une phase nouvelle et elle fi
end par localisation, quand on parle de physio-logie et de pathologie cérébrales . Le terme est, depuis longtemps, passé dans la la
ie. Je me bornerai à vous rappeler que le prin-cipe des localisations cérébrales est fondé sur la proposition suivante : L'encépha
'extré-mité supérieure de ce qu'on désigne sous le nom de pédon-cules cérébraux . Les deux hémisphères, vous le savez, sont symé
ssus de la protubérance, vous voyez la face inférieure du pédoncule cérébral , dont le pied ou étage inférieur est issu, pour u
lancs sont les prolongements des pédoncules à travers les hémisphères cérébraux . Les pédoncules cérébraux, en effet, d'abord ir
des pédoncules à travers les hémisphères cérébraux. Les pédoncules cérébraux , en effet, d'abord irrégulière-ment quadrilatères
nante est le point d'émergence des pédoncules au-dessus des ganglions cérébraux . On peut caractériser cette disposition des pédon
nt, sauf à y revenir plus tard, la situation respective des ganglions cérébraux par rap-port à cet éventail. Lorsque, suivant l
eu-res, celle qui est pratiquée immédiatement en avant des pédoncules cérébraux . (Fig. 1). Vous reconnaissez ici, en PP, la par
ves au pronostic. Un exem-ple, emprunté à l'histoire de l'hémorrhagie cérébrale , vous prouvera sur le champ que ce n'est point là
toute impossibilité de faire un pas dans l'histoire des localisations cérébrales les plus importantes. Prenons un exemple. Comment
ation de M. Broca. Elle est intitulée : Etude sur les circonvolutions cérébrales chez l'homme et chez le singe (1874). L'anatomi
courbe (pc) ou gyrus angularis. La surface externe de l'hémisphère cérébral se trouve donc divisée en quatre lobes : le lobe
nalés qu'a rendus notre éminent collègue à la cause des localisations cérébrales . Lobe pariétal. — Le lobe pariétal, dont l'étud
quer sur son compte. Après cette étude sommaire des circonvolutions cérébrales chez le singe, celle des circonvolutions correspo
a pas manquer de jeter quelque jour sur l'his-toire des localisations cérébrales . TROISIÈME LEÇON Considérations sur la struct
tres psycho-moteurs. Description de la face interne des hémisphères cérébraux . — Lobule para-central. — Circonvolutions ascenda
l'avez pas oublié, de la théorie des localisations dans les maladies cérébrales — je dois mettre la dernière main aux considéra-t
étudiée comparativement dans les divers dé-partements des hémisphères cérébraux . A. Cette structure, j'ai dû l'envisager tout d
a première fois reconnues par Fig.6. — Face interne de l'hémisphère cérébral , dessinée d'après nature, -h S cm, Scissure callo
— 3, Couche optique ; —4, Partie antérieure et externe du pé-doncule cérébral : — 5, Corps godronné (1). M. Betz et M. Mierzej
ouche optique (Fig. 6, 3), puis, la surface de section des pédoncules cérébraux (Fig. G, 4). Prenons, pour nous mieux orienter,
ollègue, à la Salpêtrière, a noté une atrophie jyip^ (nrcortvolulions cérébrales du côté opposé au membre ampute\ Malheureusement,
QUATRIÈME LEÇON arallèle entre les lésions spinales et les lésions cérébrales . Sommaire. — Conditions indispensables pour l'é
tude de la distribution des vaisseaux. — Aperçu extérieur des artères cérébrales . Messieurs, J'espère avoir été assez heureux
urtout manifeste dans toutes les ques-tions relatives à la pathologie cérébrale . Vous allez, dans un instant, le reconnaître une
pensables pour aborder les problèmes qui concernent les Localisations cérébrales dans les maladies chez l'homme. Ces conditions fo
re dans le bulbe rachidien, dans la protubérance, dans les pédoncules cérébraux eux-mêmes. Je citerai, comme exemples, les dégé-n
son origine sur le sommet de la courbe de la sous-olavière. est la cérébrale antérieure ; l'autre, qui se dirige latérale-ment
utre, qui se dirige latérale-ment, porte le nom à'artère sylvienne ou cérébrale moyenne. (Fig. 8, S.). Une anastomose transversal
sale (communicante antérieure) réunit, près de leur origine, les deux cérébrales antérieures, et associe d'une façon plus ou moins
artérielle de la base de l'encéphale. — C,G, carotides internes.— GA, cérébrale antérieure. —S, S, Artères deSylvius. — V, V, ver
tères deSylvius. — V, V, vertébrales. — B, tronc basilaire. — GP, CP, cérébrales postérieu-res. — 1,2, 3, 3, 4, 4, groupes des- ar
eur de la protubérance, se divise en deux branches, qu'on appelle les cérébrales postérieures (C P). Ainsi se trouve cons-titué un
llis. Aux angles antérieurs du polygone de Willis, on voit les deux cérébrales antérieurs ; des angles antéro-latéraux par-tent,
rs, les deux sylviennes ; enfin, l'angle postérieur est formé par les cérébrales postérieures. C'est du cercle de Willis et des de
n ori-gine dansla communicante antérieure et dans le commencement des cérébrales antérieures. Les artérioles qui le composent nour
oitié postérieure des communicantes postérieures et de l'o-rigine des cérébrales postérieures. Il nourrit les faces internes (1)
t le sixième — groupes postero-latéraux, 4, 4 —, sont fournis par les cérébrales postérieures après qu'elles ont contourné les péd
s cérébrales postérieures après qu'elles ont contourné les pédoncules cérébraux ; ils nourris-sent une grande partie des couches o
. 8). Les régions corticales (circonvolutions des deux hémis-phères cérébraux ) sont irriguées par les grosses artères que nous
s avons vu former les angles et les côtés du polygone de Willis. La cérébrale antérieure contourne le corps calleux et se répan
ntales; lobule paracentral ; lobule quadrilatère ou avant-coin). La cérébrale postérieure, née de la basilaire, entoure le pédo
La cérébrale postérieure, née de la basilaire, entoure le pédoncule cérébral correspondant, et se divise en trois bran-ches, q
stribue à la partie du lobe frontal qui n'est pas vascularisée par la cérébrale antérieure, et sur toute l'étendue du lobe pari
convolution pariétale ascendante ; — artère du pli courbe ; — artères cérébrale antérieure et cé-rébrale postérieure : leurs bran
ge domine pour ainsi dire la situation dans le champ de la pathologie cérébrale , j'ai dû vous convaincre, du même coup, de la néc
s volontiers, Messieurs, sur ce point de l'anatomie de la circulation cérébrale que vous ne trouve-rez, à cet égard, dans les tra
n ouvrage récent qui traite de l'altéra-tion syphilitique des artères cérébrales (1), M. Heubner émet la prétention d'avoir été l'
irculation artérielle de chaque hémisphère céré-bral. Ce sont : 1° la cérébrale antérieure ; 2° la cérébrale (1) 18 et 25 janvi
ue hémisphère céré-bral. Ce sont : 1° la cérébrale antérieure ; 2° la cérébrale (1) 18 et 25 janvier, 1er février, 8 et 15 nove
ue, établir la classification des hémorrhagies et des ramollissements cérébraux . moyenne ou artère sylvienne, issues l'une et l
re sylvienne, issues l'une et l'autre de la caro-tide interne ; 3° la cérébrale postérieure, branche de la basi-laire, provenant
ial, avant de fournir les petits vaisseaux qui pénètrent dans h pulpe cérébrale et qui sont, à proprement parler, les vaisseaua.
sylvienne, la plus importante et la plus compliquée des trois artères cérébrales . L'histoire des deux autres s'en trou-vera ensuit
fient dans l'épaisseur de la pie-mère avant de pénétrer dans la pulpe cérébrale . immédiatement, je dois vous faire remarquer qu
rtères corticales. —¦ 3, réseaux des artères corticales dans la pulpe cérébrale (1). 1° Les artères longues ou autrement dit mé
ront subir cette sorte de mortification qu'on nomme le ramollissement cérébral ischémique. La disposition réciproque des parties
mais ce que je vais en dire pourrait s'appliquer tout aussi bien à la cérébrale antérieure ou à la cérébrale postérieure — il est
ourrait s'appliquer tout aussi bien à la cérébrale antérieure ou à la cérébrale postérieure — il est des er, s dis-je, dans lesqu
symptôme évident, cas dans lesquels, la mort étant survenue, la pulpe cérébrale , dans les parties correspondantes à l'obli- tér
e l'écorce. C'est là un point capital pour l'étude des localisa-tions cérébrales . Il pourra se faire que la lésion, ainsi limitée,
sus. Artères. — 1° La ligne (...) circonscrit la distribution de la cérébrale antérieure : 2° la ligne (.—.—.), du côté gauche
e (.—.—.—.), du côtédroit de la figure, limite la dis-tribution de la cérébrale postérieure. (Cette figure et les figures 16 et 1
C'est làMessieurs, incontestablement un bel exem-ple de localisation cérébrale (1). La deuxième branche de la sylvienne est Y
par la ligne (...) représentent le champ de distribution de l'artère cérébrale an-térieure. — II. Artères frontales interne et a
ites par la ligne (.—.—.) représentent le champ de distribution de la cérébrale postérieure. — II. Ar-tère temporale postérieure.
leux. Artères. — La ligne (.....) circonscrit la distribution de la cérébrale antérieure {Artères frontales internes et infér
inférieures). La ligne (.—.—.—.—) circons-crit la distribution de la cérébrale postérieure. — 1, artère temporale anté-rieure. —
érieure du lobe sphénoïdal qui, vous le savez, est artérialisé par la cérébrale postérieure. Eh bien, pendant la vie, il n'avait
ements secondaires des grands territoires vasculaires corticaux de la cérébrale antérieure et de la cérébrale postérieure. III.
territoires vasculaires corticaux de la cérébrale antérieure et de la cérébrale postérieure. III. La cérébrale antérieure est
e la cérébrale antérieure et de la cérébrale postérieure. III. La cérébrale antérieure est beaucoup moins fréquemment le sièg
moins souvent que la sylvienne, mais beaucoup plus communément que la cérébrale postérieure, à la circonvolution du corps cal-leu
de la circonvolution frontale ascendante. La troisième branche de la cérébrale antérieure est destinée au lobe carré qui peut êt
ompte, ainsi que j'en ai fourni tout à l'heure un exemple. IV. La cérébrale postérieure (Fig. 12, 16,17) est le siège fréquen
les parties centrales du cerveau. — Rareté relative de l'hé-morrhagie cérébrale dans les parties périphériques ; sa fréquence dan
res artérielles. — Les branches qui composent ce système naissent des cérébrales antérieure et postérieure et de la sylvienne. Dis
-risation des régions centrales, mais cette part est fort inégale. La cérébrale antérieure, par exemple, envoie seulement quelque
ié et encore l'exis-tence de ces rameaux n'est-elle pas constante. La cérébrale postérieure a, dans l'espèce, un domaine beaucoup
optiques, dans une grande étendue, à l'étage supérieur des pédoncules cérébraux et aux tubercules quadrijumeaux. Mais incontestab
caudé, à l'exception du petit domaine des branches inconstantes de la cérébrale antérieure, et aux divers segments du noyau lenti
r quelques mots relatifs aux branches de ce système issues soit de la cérébrale antérieure, soit de la cérébrale postérieure. I
ches de ce système issues soit de la cérébrale antérieure, soit de la cérébrale postérieure. II. Mais, avant d'entrer dans le
très intéressantes, au point de vue de la théorie des loca-lisations cérébrales , à savoir la couche optique, le noyau caudé, le n
opposition au système cortical. Rappelez-vous comment le pédoncule cérébral , arrondi au moment où il aborde la couche optique
Foville, appendus à la cap-sule interne, prolongement des pédoncules cérébraux , à la manière de cotylédons. Du côté des ventri
une portion au moins, la pro-longation, non pas de tout le pédoncule cérébral , mais seu-lement du pied ou crustra, étage inféri
onnante pour la couche optique, celle-ci ne recevant pas du pédoncule cérébral d'autres faisceaux que ceux du tegmentum. Fig.
noyaux gris, sans participation de la capsule interne. — Hémiplégies cérébrales centrales et corticales. — Lésions de la capsule
posté-rieure lenticulo-optique de la capsule interne(hémi-anesthésie cérébrale ); — 2° par l'expérimentation. I. Messieurs,
la capsule interne. Fig. 20. — Coupe transversale des hémisphères cérébraux , faite à un centimè-tre en arrière du chiasma des
rrière avec la couche optique. Territoires vascalaires. — I, artère cérébrale antérieure ; II, artère sylvienne ; — III, artère
I, artère cérébrale antérieure ; II, artère sylvienne ; — III, artère cérébrale postérieure. — I, artère carotide interne ; —2, a
ure. — I, artère carotide interne ; —2, artère sylvienne ;— 3, artère cérébrale antérieure; — 4, 4, artères externes du corps str
est faite d'après une planche de M. Duret.) b) Dans ce système, la cérébrale antérieure a, au con-traire, des attributions for
et encore sa participation n'est-elle pas constante. c) Quant à la cérébrale postérieure, son rôle est plus im-portant et asse
ventricule;— A, corne d'Ammon. Territoires vasculaires. — I, artère cérébrale antérieure; — II, artère syl-vienne ; —III, artèr
, artère cérébrale antérieure; — II, artère syl-vienne ; —III, artère cérébrale postérieure. tion est très étendue, puisqu'elle
iel de connaître relativement aux artères centrales issues soit de la cérébrale antérieure, soit de la cérébrale postérieure. E
artères centrales issues soit de la cérébrale antérieure, soit de la cérébrale postérieure. Emanées du bord supérieur de la sy
ligence de faits importants à savoir pour la théorie de l'hémorrhagie cérébrale vulgaire. Cette préparation consiste à détruire
s n'avons rien de spécial à dire sur la branche ou les branches de la cérébrale antérieure, si ce n'est qu'elles n'existent pas c
que le foyer s'ouvre souvent dans les ventri-cules. Quant à Xartère cérébrale postérieure, elle mérite dans l'espèce, je le rép
t de deux ordres : 1° Vartère optique posté-rieure interne, née de la cérébrale postérieure, tous près de son origine au tronc ba
riculaire ; — 2° Vartère optique postérieure externe, qui vient de la cérébrale postérieure, quand elle a déjà contourné le pédon
de la cérébrale postérieure, quand elle a déjà contourné le pédoncule cérébral et dans lequel elle monte obliquement, avant d'en
Localisations. 7 qui l'usent souvent dans l'épaisseur du pédoncule cérébral . Elle mérite toute votre attention, car, comme no
ts intéres-sants au plus haut degré, pour la théorie des localisation cérébrales pathologiques. Ces faits, nous allons maintenant
u s'en faut, — les districts répondant à la distri-bution des artères cérébrales antérieures et des artères opti-ques postérieures
quefois l'ensemble des masses centrales — n'est autre que Vhémiplégie cérébrale vulgaire, avec accom-pagnement de Yhémianesthésie
émiplégie cérébrale vulgaire, avec accom-pagnement de Yhémianesthésie cérébrale . b) L'analyse peut pénétrer dans cet ensemble c
cas : présents dans le second cas, les symptômes de l'hémianesthésie cérébrale font défaut dans l'autre. B. — Ce qui vient d'ê
ces lésions limitées aux noyaux gris centraux, sont ceux Yhémiplègie cérébrale vul-gaire. Celle, forme d'hémiplégie cérébrale pe
sont ceux Yhémiplègie cérébrale vul-gaire. Celle, forme d'hémiplégie cérébrale peut être dite cen-trale, pour la distinguer des
égions superficielles et que, par opposition j'appellerai hémiplégies cérébrales cor-ticales. b) Dans la majorité des cas, la pa
é, se présentant avec les caractères qui distinguent V hémianesthésie cérébrale , s'y adjoignent parfois, cependant, dans des circ
ubstance des noyaux gris, ces lésions dis-je, produisent l'hémiplégie cérébrale vulgaire, sous une forme, en général, très accent
iveau de la partie postérieure de la couche optique; — hémianeslhésie cérébrale . — A. corps calleux et piliers postérieurs de la
yau lenticulaire et la couche optique, la présence de Yhémianesthésie cérébrale sera pour ainsi dire chose fatale. Le plus souven
ce plus ou moins accentuée. Mais il peut arriver que l'hémianesthésie cérébrale se présente isolée, du moins à titre de phénomène
ie postérieure de la capsule interne, les symptômes d'hémia-nesthésie cérébrale viendront se surajouter à ceux de l'hémiplé-gie m
être suivies par en bas jusqu'à la protubérance, le long du pédoncule cérébral (pied, étage inférieur), dont elles occuperaient
pour conséquence obligatoire la forme d'hémianesthésie, que j'appelle cérébrale , et dans laquelle les sens auxquels président les
lle cérébrale, et dans laquelle les sens auxquels président les nerfs cérébraux proprement dits, nerfs optiques (1) L. Tûrck, v
Recherches cliniques et expérimentales sur l'hémia-nesihésie de cause cérébrale . Thèse de Paris, 1874. (4) H. Rendu. — Des anes
ais plus bas, dans la pro-tubérance, ou peut-être dans les pédoncules cérébraux . Fig. 27. — Coupe transversale d'un cerveau de
ies superfi-cielles du cerveau. DIXIÈME LEÇON De l'hémianesthésie cérébrale (suite). — De l'am-blyopie croisée. — De l'hémiop
ie latérale. Sommaire. — Résumé des caractères de l'hémiariesthésie cérébrale . — Ses ressemblances avec l'hémianesthésie des hy
mp visuel, etc. De l'amblyopie croisée avec hémianesthésie de cause cérébrale : Mêmes symp-tômes. Les lésions des hémisphères
de cause cérébrale : Mêmes symp-tômes. Les lésions des hémisphères cérébraux qui produisent l'hémianesthésie déter-minent égal
dit. C'est seulement dans ces derniers temps que l'hémianesthé-sie cérébrale , par lésion organique grossière— Coarsedisease, c
riques. Si, à celle-ci, nous comparons actuelle-ment l'hémianesthésie cérébrale oaganique, nous reconnaîtrons qu'une parfaite res
équences, — les choses se passent chez les sujets atteints de lésions cérébrales en foyer, absolument comme chez les hystériques.
hystériques ne diffère par aucun caractère essen-tiel de l'amblyopie cérébrale croisée reconnaissant un point de départ organiqu
ême particularité s'est rencontrée dans tous les cas d'hémuinesthésie cérébrale reconnaissant pour point de dé-part une lésion or
é un fait d'une im-portance majeure pour la théorie des localisations cérébrales . Mais il ne saurait vous échapper que ce fait est
avoir : Vhémiopie latérale homologue ; en d'autres termes, une lésion cérébrale en foyer, du côté gauche, devrait, dans la théori
et lui opposer la proposition suivante : Les lésions des hémisphères cérébraux qui pro-duisent l'hémianesthésie déterminent égal
ce tractus, telles que, par exemple, l'é-tage inférieur du pédoncule cérébral (pes) ou encore pulvi-nar. Les autres modes de
s, d'une compression produite sur les points indiqués par les artères cérébrale antérieure et communicante posté-rieure, augmenté
, comment comprendre dans une vue schémati-que cet effet d'une lésion cérébrale , tout en connaissant le (1) Archiv of scientifi
lés par l'observation clinique. ONZIÈME LEÇON Origine des parties cérébrales des nerfs optiques. Sommaire. — Rapports entre
sie sensitive résultant d'une lésion de la capsule interne. Origine cérébrale des nerfs optiques. Couronne rayonnante de Reil
es moyennes (expansions latérales) ; —Fibres postérieures (expansions cérébrales des nerfs optiques). — Rapports anatomiques entre
ales des nerfs optiques). — Rapports anatomiques entre les expansions cérébrales des nerfs optiques et les fibres centripètes de l
nnel de la vision pouvant résulter d'une lésion d'un des hémisphè-res cérébraux ; j'ai essayé, dis-je, de montrer que cette pro-p
nous faut, au préalable, étudier l'origine des par-ties profondes ou cérébrales des nerfs optiques. Nous allons toucher là un suj
s qui unissent l'une à l'autre des parties homologues des hémisphères cérébraux . Tels sont, par exem-ple, les corps calleux, la c
Huguenin.) mier (I), les a bien étudiées, sous le nom d'expansions cérébrales optiques ou des nerfs optiques (/•, k, Fig. 32).
même, mais sur un plan plus profond, que se répandent les expansions cérébrales du faisceau de fibres centripètes dont la lésion
ntripètes dont la lésion détermine Phémianesthésie sensitive de cause cérébrale . Il existe donc une relation de voisinage, de con
illé interne. — Ge, corps genouillé externe. — P, pied du pédoncule cérébral . Om, faisceaux médullaires qui, du lobe occipital
umeaux postérieurs, aux deux corps genouillés, au pied du pédoncule cérébral . qui tiendraient sous leur dépendance la sensib
mblyopie, habituellement partie intégrante du syndrome hémianesthésie cérébrale (1). La région de l'encéphale que je signale à
t sensorielles. C'est un carrefour, ce n'est pas un centre. Le centre cérébral proprement dit doit être cherché sur le prolongem
osé analomique qui vous (1) D'après la théorie, les hémianesthésics cérébrales devront se distinguer de celles qui résulteraient
taines parties de l'isthme, telles, en-tre autres, que les pédoncules cérébraux , est chose notoire. Cela étant, il ne saurait éch
oses descendantes : étendue ; — aspects de la lésion sur le pédoncule cérébral , la protubérance. la pyramide antérieure et le fa
es et différences entre les scléroses latérales consécutives de cause cérébrale et les scléroses fasciculées primitives des faisc
l'écorce grise et qui pénè-trent dans l'étage inférieur du pédoncule cérébral sans s'être mises en rapport avec les noyaux gris
sur la partie la plus inférieure, au voisinage, du pied du pédoncule cérébral , là où toutes les fibres sont ras-semblées dans u
son âge plus ou moins avancé. Ainsi, l'ablation de tout un hémisphère cérébral , chez un pigeon, et. à plus forte raison chez un
bserve chez l'homme, dans les cas de lésions en foyer des hémisphères cérébraux (3). (1) Voir à ce sujet Longet. — Traité de ph
, de la sub-stance grise dans les ré-gions dites motrices de l'écorce cérébrale déter-mine une parésie tempo-raire dans les membr
ale, un rôle prédominant dans le pronostic des hémor-rhagies de cause cérébrale . Io Arrêtons-nous tout d'abord devant un fait q
'abord devant un fait qui domine réellement la question : les lésions cérébrales en foyer, con-sidérées relativement au siège qu'e
ions qui demeurent limitées à la substance des noyaux gris des masses cérébrales , à savoir : le noyau lenticulaire, le noyau caudé
que les scléroses consécutives à une lésion en foyer d'un hémisphère cérébral occupent toujours une moitié du système des faisc
le interne dans son tiers moyen. En pareil cas, le pied du pé-doncule cérébral du côté gauche paraîtra plus aplati et plus étroi
antérieure dans toute son étendue du côté cor-respondant à la lésion cérébrale ; la pyramide lésée est d'ail-leurs étroite et ap
ation secondaire (sclérose fasciculée latérale consé-cutive, de cause cérébrale ) à la suite d'un ramollissement cérébral ayant in
rale consé-cutive, de cause cérébrale) à la suite d'un ramollissement cérébral ayant in-téressé les lobes opto-striés et la caps
ique, existent entre les sclé-roses fasciculées consécutives de cause cérébrale , et ces sclé- (1) L'extension, dans certains ca
-çon tout à fait exceptionnelle dans la sclérose consécutive de cause cérébrale . iVoir, pour plus de détails, page 280 et suivant
fi). Ce n'est pas, dans mon opinion, la rétraction de la cicatrice cérébrale , comme le veut le docteur Todd, non plus que l'en
de l'opinion que je soutiens. Développée à l'occasion d'une lésion cérébrale en foyer, la sclérose consécutive acquiert, vous
me suis guère occupé, jusqu'ici, de la sclérose fasci-culée d'origine cérébrale , qu'en tant qu'elle dépend d'une lé-sion des mass
ubérance et de la pyramide bulbaire du côté correspondant à la lésion cérébrale . La réalité, chez l'homme, de ces fibres pédonc
rmettra d'établir sur des bases solides la doctrine des localisations cérébrales chez l'homme -Mais en somme, Messieurs, ces diver
ment étudié la pathologie de cet âge, à savoir que toutes les lésions cérébrales , même les plus graves, ne se traduisent par aucun
principales dispositions dans le bulbe rachidien, dans les pédoncules cérébraux et jusque dans la profondeur des hé-misphères. Da
s, tout l'intérêt des cas de ce genre, au point de vue des paralysies cérébrales directes. On entend par là, ainsi que vous le sav
ties de l'isthme, c'est-à-dire dans la protubérance et les pédoncules cérébraux , et enfin dans le cerveau proprement dit, où vous
ile de les distinguer. Il n'en est plus de même dans les pédoncules cérébraux , où nous allons les voir se reconstituer en quelq
urs, ces deux colonnes qui rattachent la protubérance aux hémisphères cérébraux et qu'on appelle les pédoncules du cerveau. Je su
s. Si l'on pratique la section horizontale de l'un des hémisphè-res cérébraux , suivant une ligne parallèle à la fissure laté-ra
érences de couleur qui correspondent aux diverses régions de la masse cérébrale suivant l'âge de ces nouveau-nés. Il est certain
on à l'étude des dégénérations secondaires. — Dégé-nérations de cause cérébrale ; elles sont descendantes. — Dégénérations de cau
se périphérique. Conditions de la dégénération descendante de cause cérébrale . — Une ques-tion de localisations domine la situa
un premier groupe sont réunies les dégénérations secondaires de cause cérébrale , c'est-à-dire celles qui procè-dent d'une lésion
ntes sans doute, mais, Fig. 57. — A, dégénération dans le pédoncule cérébral (faisceau pyramidal). — B, faisceau pédonculairc
aussitôt le cor-don antéro-latéral du côté correspondant à la lésion cérébrale ; et du côté opposé à la lésion, le faisceau pyram
, et c'est là justement ce qu'il importe de démontrer. L'hémisphère cérébral , — je vous le faisais remarquer dans la dernière
ble symptomatique bien connu aujourd'hui sous le nom d'hémianesthésie cérébrale (1). Cet ensemble symptomatique est,je vous le ra
e. Sommaire. -- Dans l'étude des degenerations secondaires de cause cérébrale , le siège du foyer cérébral est le point capital.
e des degenerations secondaires de cause cérébrale, le siège du foyer cérébral est le point capital. — Importance de la connaiss
van Lewees. Vue schématique du faisceau pyramidal dans l'hémisphère cérébral , — Région rolandique du manteau. Lésions en foyer
les-quelles les dégénérations résultent de lésions occupant l'écorce cérébrale ? C'est dans ces derniers temps seulement, Mess
ire, nous relèverons, chemin faisant, plusieurs faits de to-pographie cérébrale qu'on a maintes fois l'occasion d'utiliser dans l
avons entreprises (1). Si l'on considère la surface des hémisphères cérébraux de l'homme et qu'on y cherche des points de repèr
rapprochent d'une part les grandes cellules pyrami-dales de l'écorce cérébrale et d'autre part les cellules mo-trices des cornes
localisations dans les malo,' dies du cerveau (3e leçon). de cause cérébrale . 11 n'en est rien cependant. En effet, cette part
ysiolo-giques spéciales ; c'est également dans l'écorce de ce segment cérébral qu'il faut chercher le point de départ des dégéné
elles que les plaques jaunes ou les foyers artifi-ciels d'hémorrhagie cérébrale , surtout quand elles portent sur les deux tiers s
Arch. 3D3, 1874. SIXIÈME LEÇON Dégénérations secondaires de cause cérébrale (fin). — Amyotrophies consécutives. Sommaire. —
té paralysé chez les sujets atteints d'hémiplégie permanente de cause cérébrale , ne présentent d'autres altérations atrophiques q
t, dans ce cas, d'un foyer ocreux, ves-tige d'une ancienne hémorragie cérébrale . Le foyer du volume d'une grosse amande avait tot
atrophie musculaire insolite, survenant dans le cours de l'hémiplégie cérébrale avec contracture secondaire, trou-verait son expl
ération descendante. Ici, de même que dans les dégénérations de cause cérébrale , à moins de complications, la substance grise et
gnalé également dans certains cas de dégénération secondaire de cause cérébrale . Cette propagation d'une altération primiti-vemen
sent parfois dans des cas de lésion unilatérale spinale ou de lésions cérébrales en foyer. HUITIÈME LEÇON Degenerations ascend
ellement à considérer. A côté des dégénérations secon-daires de cause cérébrale et de cause spinale dont l'étude des-criptive est
vres complètes, t. iv, Localisations. 18 secondaires, tant de cause cérébrale que de cause spinale, peuvent être reproduites ex
nale, nous pouvons le répéter des dégénérations secondai-res de cause cérébrale , également déterminées artificiellement chez le c
ripier, De l'anesthésie produite par les lésions des cir-convolutions cérébrales in Revue mensuelle de médecine et de chirurgie, n
ité du prolongement du faisceau pyramidal dans le manteau de l'écorce cérébrale , et nous savons qu'il consti-tue là une languette
ire. transmission. Il n'y a donc pas de fibres longues, directement cérébrales , dans les faisceaux antérieurs (Fig. 77). 3°La
erritoire vasculaire aux dépens duquel s'est pro-duite l'héinorrhagie cérébrale . — Le foyer est circonscrit ou il a des chances d
-rons successivemeut en revue les dégénérations consécutives de cause cérébrale et celles qui reconnaissent pour cause une lésion
impor- tantes, en raison de son rôle fondamental dans l'hémisphère cérébral . Après avoir pénétré dans la profondeur du troi-s
it de petits foyers qui imitent ceux que l'on voit dans l'hémorrhagie cérébrale . Enfin, Messieurs, elles sont particulièrement
des sujets qui ont été frappés autrefois d'apoplexie par hémorrhagie cérébrale , d'extraire des pertuis de l'espace perforé un ce
l'impuissance motrice liée au tabès ataxique, à la paralysie de cause cérébrale ou spinale de l'enfance et encore dans d'autres é
ême genre, tandis qu'il ne manque jamais dans les paralysies de cause cérébrale ou spinale dans lesquelles la contracture existe
erminant la dernière leçon, que dans l'hémiplégie permanente de cause cérébrale , la période des contractures tardives est précédé
tuellement, dans le cours de nos études sur les affections organiques cérébrales et spinales, nous retrouvons maintes fois ces mêm
s du groupe cliniqne des para-lysies spasmodiques, et les hémiplégies cérébrales avec dégé-nération des faisceaux pyramidaux appar
ernière, diverses influ-ences qui, dans l'hémiplégie durable de cause cérébrale , peuvent accroître l'intensité des phénomènes con
s en ce moment, entre l'hémiplégie permanente, résultant d'une lésion cérébrale organique, et l'hémiplégie ne relevant d'au-cune
e. Raison physiologique de ce phénomène. -- A la suite de la lésion cérébrale il faut distinguer deux périodes dans le développ
résulte pas seulement des -la suppression de l'influence modératrice cérébrale . La lésion des cornes antérieures dans l'hémipl
laque jaune ou d'un foyer d'inflammation celluleuse; tantôt la lésion cérébrale est consécutive à l'hémorragie méningée ; tantôt
iste en une sclérose partielle ou généralisée de l'un des hémisphères cérébraux . Les lésions en question sont généralement cortic
cupent le manteau et non les masses centrales. En outre, l'hémisphère cérébral affecté présente dans l'ensemble une atrophie plu
ait, à la rigueur, invo-quer la supression de l'influence modératrice cérébrale qui, dans le cas de section expérimentale des fai
vécu. Il n'y a pas, en effet, d'encéphalite dans le cas d'hémorrhagie cérébrale en foyer, (1) Dans Je cas de contracture hystér
ux, primitivement et indépendamment de l'intervention de toute lésion cérébrale en foyer, de toute encéphalite. Il s'agit d'une
, lalésion ne peut pasêtre suivie ordinaire-ment au-delà du pédoncule cérébral ; elle semble donc se développer de bas en haut (
se produire peu après la nais-sance, sans accompagnement d'accidents cérébraux . La nour-rice s'aperçoit que les membres sont rig
la partie externe du tiers moyen de l'étage inférieur des pédoncules cérébraux , ces auteurs ont trouvé de nombreux corps granule
Note additionnelle à la dixième leçon (page 114) sur l'hémianesthésie cérébrale et l'amblyopie croisée Dans une leçon toute réc
ocalisations. 27 TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE PARTIE Localisations cérébrales PREMIÈRE LEÇON. De la localisation dans les m
s cérébrales PREMIÈRE LEÇON. De la localisation dans les maladies cérébrales . Sommaire. — Préambule. — Aridité apparente de
res psycho-moteurs. Description de la l'ace interne des hémisphères cérébraux . — Lobule para-central. — Circonvolutions ascenda
QUATRIÈME LEÇON. Parallèle entre les lésions spinales et les lésions cérébrales . Sommaire. — Conditions indispensables pour l'é
tude de la distribution des vaisseaux. — Aperçu extérieur des artères cérébrales . M CINQUIÈME ET SIXIÈME LEÇONS, Circulation a
convolution pariétale ascendante ; — artère du pli courbe ; — artères cérébrale antérieure et cé-rébrale postérieure : leurs bran
les parties centrales du cerveau. — Rareté relative de l'hé-morrhagie cérébrale dans les parties périphériques; sa fréquence dans
ures artérielles. —Les branches qui composent ce système naissent des cérébrales antérieure et postérieure et de la sylvienne. D
noyaux gris, sans participation de la capsule interne. — Hémiplégies cérébrales centrales et corticales. — Lésions de la capsule
posté-rieure lenticulo-optique de la capsule interne (hémianesthésie cérébrale ) ; — 2° par l'expérimentation....................
........................... 92 DIXIÈME LEÇON. De l'hémianesthésie cérébrale . — L)e l'amblyopiè croisée. — De l'hémiopie latér
pie latérale. Sommaire. — Résumé des caractères de l'hémianesthésie cérébrale .— Ses ressemblances avec l'hémianesthésie des hys
mp visuel, etc. De l'amblyopiè croisée avec hémianesthésie de cause cérébrale : Mêmes symp-tômes." Les lésions des hémisphère
de cause cérébrale : Mêmes symp-tômes." Les lésions des hémisphères cérébraux qui produisent l'hémianesthésie déter-minent égal
...................... 118 ONZIÈME LEÇON. f Origine des parties cérébrales des nerfs optiques. Sommaire. — Rapports entre
sie sensitiva résultant d'une lésion de la capsule interne. Origine cérébrale des nerfs optiques. Couronne rayonnante de Reil
es moyennes (expansions latérales) ; —Fibres postérieures (expansions cérébrales des nerfs optiques). - Rapports anatomiques entre
ales des nerfs optiques). - Rapports anatomiques entre les expansions cérébrales des nerfs optiques et les fibres centripètes de l
oses descendantes : étendue ; — aspects de la lésion sur le pédoncule cérébral , la protubérance, la pyramide antérieure et le fa
es et différences entre les scléroses latérales consécutives de cause cérébrale et les scléroses fasciculées primitives des faisc
.. 191 TROISIÈME LEÇON, Du faisceau pyramidal dans les pédoncules cérébraux , la capsule interne et le centre ovale. Sommair
on à l'étude des dégénérations secondaires. — Dégé-nérations de cause cérébrale ; elles sont descendantes. — Dégénérations de cau
se périphérique. Conditions de la dégénération descendante de cause cérébrale . — Une ques-tion de localisations domine la situa
e. Sommaire. -- Dans l'étude des dégénérations secondaires de cause cérébrale , le siège du foyer cérébral est le point capital.
e des dégénérations secondaires de cause cérébrale, le siège du foyer cérébral est le point capital. — Importance de la connaiss
van Lewees. Vue schématique du faisceau pyramidal dans l'hémisphère cérébral . — Région rolandique du manteau. — Lésions en foy
ales....... 231 SIXIÈME LEÇON. Dégénérations secondaires de cause cérébrale {fin}. — Amyotrophies consécutives. Sommaire. —
territoire vasculaire aux dépens duquel s'est pro-duite l'hémorrhagie cérébrale . — Le foyer est circonscrit où il a des chances d
e. Raison physiologique de ce phénomène. -- A la suite de la lésion cérébrale , il faut distinguer deux périodes dans le dévelop
e résulte pas seulement des la suppression de l'influence modératrice cérébrale . La lésion des cornes antérieures dans l'hémiplég
.................. 391 II. — Note additionnelle sur rhémianesthésie cérébrale ou l'amblyopie croisée...........................
es mtliaires, 49, — leur impomato dans la pathogénie de l'hémorrhagie cérébrale , 99, 300. Anse rolandique, 213. Antagonistes
de l'encéphale, 50 ; — leur division en systèmes, en groupes, 50 ; — cérébrales postérieures,com-municantes,sylviennes, etc., 50,
Ataxle locomotrice, 180, 268; — Réflexes dans 1' —, 337. Atrophie cérébrale , 335. Atrophie musculaire dans l'hémi-plégie, 2
nérations secondaires ; 157 ; — leurs causes, 157, 217 ; — de cause cérébrale , 218 ; — Dans les — de cause cérébrale, le sièg
auses, 157, 217 ; — de cause cérébrale, 218 ; — Dans les — de cause cérébrale , le siège du foyer cérébral est le point capital,
cérébrale, 218 ; — Dans les — de cause cérébrale, le siège du foyer cérébral est le point capital, 232 ; — Séméiologie général
—, 208. Egorge cérébelleuse, 32 ; — type à trois couches. Ecorce cérébrale , 42; — type à cinq couches, 33. Electrothérapie
oncules, 204, 208 ; — dans la capsule interne, 209 ; — leur origine cérébrale , 215 ; — Dé-génération des —, 221 ; — Schéma des
Corps calleux.) Gyrus sygmoïde, 277. H Hémtanestiiésie, 98 ; — cérébrale , 103, 451 ; — liée aux lésions posté-rieures de l
l'enfance, 163,336. Hémisections spinales, 288, 361. Hémisphères cérébraux . Leurs li-mites, 4. Hémorrhagie cérébrale, 79 :
, 288, 361. Hémisphères cérébraux. Leurs li-mites, 4. Hémorrhagie cérébrale , 79 : — sa rareté relative dans les parties pé-ri
296. Induration multiloculaire. (V- Sclérose en plaques.) Infarctus cérébral , 69. Influence modératrice du cerveau, 293. I
llules). (V. Cel-lules.) Ii Lésions. ( V. Systématiques.) Lobes cérébraux , 13 et suiv. Lobule paracentral, 30, 34, 39; Ex
indirectes, 170 ; — Faisceau pyramidal dans le —, 205 ; Pédoncules cérébraux , 4 ; — leurs rapports de continuité avec la cap-s
3 (1895) Anatomie des centres nerveux. Tome 1 : Méthodes générales d'étude-embryologie-histogénèse et histologie, anatomie du cerveau
ite par la photographie pour tout ce qui a trait à la mor- phologie cérébrale , par le calque ou la projection pour les coupes
on emploi systématique, dans un très grand nombre de cas de lésions cérébrales localisées, recueillis dans l'Hos- pice de l31c
rches, nous a permis d'élucider tel ou tel point spécial d'anatomie cérébrale . Mais l'étude analytique et synthétique du névr
iation qui relient deux régions plus ou moins éloignées de l'écorce cérébrale , faisceaux commissu- raux qui unissent les deux
rincipaux. Le premier comprend les fibres de projection de l'écorce cérébrale qui unissent celte dernière aux gan- glions inf
ût pratiqué pour la première fois des coupes minces de la substance cérébrale , et que Remak et Ehrenberg eussent découvert en
faisceaux dégénèrent dans toute leur longueur à la suite de lésions cérébrales corticales ou centrales, ou à la suite de lésio
sur l'anatomie comparée. L'anatomie comparée a fourni, en anatomie cérébrale , de remarquables résultats, surtout au point de
thode importante de recherches, en montrant que tel ou tel faisceau cérébral ou médullaire, fait défaut à la suite d'arrêt d
rveau est assez délicate, étant donnée la mollesse extrême du tissu cérébral à cette époque de la vie. La méthode qui nous par
plaques osseuses, caria moindre ouverture donne issue il la matière cérébrale . Chez Y adulte, une fois la voûte cranienne enl
long du bord supérieur du rocher, tout en soutenant les hémisphères cérébraux de la main gauche. On sectionne également le re
halique (llirnstamm) d'une part, et les différents lobes du manteau cérébral Différenciation des faisceaux par le dur- c
e Pitres FiG. 3. - Coupe de Meynert. Manteau des deux hémisphères cérébraux réunis par le corps calleux. (D'après une pliot
l'une supérieure comprenant les deux hémisphères, les pédon- cules cérébraux , la partie supérieure de la protubérance et les t
ruban de Reil, puis on sépare l'un de l'autre les deux hémisphères cérébraux . Ici se présente lorsque la lésion n'est pas ap
t Chaslin a été employé par Chaslin dans ses études sur la sclérose cérébrale (1889), par Letulle et l'un de nous, puis par Ach
gi (d'après Stohr et Mercier). On fait durcir des morceaux d'écorce cérébrale , de cervelet et de moelle épinière ayant 2 à 3
e la réaction, les pièces présentent à peu près l'aspect d'un tissu cérébral frais mais lavé à l'eau. Au point de vue de leu
naissance au cerveau proprement dit, c'est-à-dire aux hémisphères cérébraux , aux corps opta-striés et à toute la région q
me ventricule; la vésicule encéphalique moyenne, aux pé- doncules cérébraux et aux tubercules qua- ? ? M : < ? c'est-à-dir
émité antérieure de la tête. - ]Jp, ligne primitive. - FI, vésicule cérébrale . Cet embryon a six proto-vertèbres nette- men
si que nous le verrons plus loin, aux vésicules des hémis- phères cérébraux . Chez beau- coup d'embryons de vertébrés, ell
isphè- res, c'est-à-dire une absence totale des circonvolutions cérébrales , du corps calleux, du trigone, du corps strié e
is, elle n'atteint plus en général en dedans sa base d'implantation cérébrale ; de sorte que l'on peut dès à présent distingu
les auditives.] 3. Fig. 19, 20, 21. - Encéphale et ganglions .' . cérébraux d'un embryon humain d'en- ? viron quatre semaines
qui ne donne naissance ni aux couches optiques, ni aux hémisphères cérébraux . Si la première vésicule encéphalique se dévelo
le nom de cerveau postérieur proprement dit, de quatrième vésicule cérébrale ou de métencéphaloll (CP), et la postérieure celu
et la postérieure celui d'arrière-cer- veau, de cinquième vésicule cérébrale , d'épencéphalon ou de myélencé- phalon (AC.)
bit aucune subdivision; son plancher donne naissance aux pédoncules cérébraux , sa voûte aux tubercules quadrijumeaux, sa cavité
Bis i Is), elle est séparée de la partie postérieure de la vésicule cérébrale antérieure primitive, par un sillon curviligne
halon; la vésicule fille, celui de cerveau antérieur, (CA) vésicule cérébrale antérieure , vésicule des hémisphères ou prosencé
té inférieure de ce sillon n'atteint pas le plancher de la vésicule cérébrale antérieure primitive, de telle sorte que la base
s vésicules hémisphériques proprement dites ou la région du manteau cérébral (Mantclgebiet de His, Pallium cerebri), qui don
l pln- sieurs causes. 1 1 : Courbure du vertex 1 ou inflexion cérébrale i antérieure. La .saillie du ver- tex repré
nom de courbure du vrlex (Schcitelhrümyung de His) ou d' inflexion cérébrale antérieure (Kolli- ver) elle divise le tube enc
térieur formera un trou borgne, compris entre les futurs pédoncules cérébraux et le bord supé- rieur de la protubérance annul
éphalique. Le cerveau antérieur donnera nais- sance aux hémisphères cérébraux , aux corps. striés, au corps calleux et au trig
moyen, aux tubercules quadrijumeaux et à la calotte des pédoncules cérébraux ; le cerveau postérieur, au cervelet et à la pro
tuber- cules quadrijumeaux, des couches optiques et des hémisphères cérébraux , formations qui appartiennent toutes à la lame
au posté- rieur. - Cp, circonvolutions primitives. BC, hémisphère cérébral . - ICu, hémisphère cérébelleux. - M, moollo. -
é chez les mammifères. Les fibres pyramidales, qui relient l'écorce cérébrale à la moelle épinière, n'apparaissent que chez l
s céré- braux. Les deux étages du pédoncule. autres vésicules cérébrales par son petit calibre, et l'absence de plexus cho
rties constituantes de la calotte ou étage supérieur des pédoncules cérébraux . Mais les pédoncules cérébraux n'atteignent leu
te ou étage supérieur des pédoncules cérébraux. Mais les pédoncules cérébraux n'atteignent leur aspect définitif, qu'après le
ois mois, vu par la face postérieure après ablation des hémisphères cérébraux , de la lame des tubercules quadrijumeaux (fig. 37
entricule. DEVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX. 9,; tion de l'écorce cérébrale dans la protubérance, le bulbe et la moelle épi
oyen se développe par la suite moins rapidement que les hémisphères cérébraux ou cérébelleux, de telle sorle que, de super- f
devient de plus en plus profond. Au troisième mois, les hémisphères cérébraux atteignent son bord antérieur; au quatrième mois,
érieure. Cu, lame du cervelet. 7 ? BC. face interne de l'hémisphère cérébral . fp, fissura prima. - /s, fissura serotina. {si,
a vésicule des hémisphères, à savoir : le corps strié et le manteau cérébral . Cette surface suturale opto-striée est entourée
Istl fente en formo de selle. Gp, glande pinéale. - HC, hémisphères cérébraux . - LS, isthme du cerveau postérieur. - Lola, lobe
a qui reçoit le tÆnia thalami. Glande pinéale. (conarium, épiplzyse cérébrale .) Le premier rudiment de la glande pinéale appa
1. - Prf : miCl' développement du cerveau antérieur. Hémisphères cérébraux et portion axiale, lame terminale embryonnaire.
eux parties latérales beaucoup plus volumi- neuses, les hémisphères cérébraux proprement dits, le manteau cérébral ou pallium
lumi- neuses, les hémisphères cérébraux proprement dits, le manteau cérébral ou pallium. Portion axiale. - La surface exté
emaines suivantes, et devient d'autant plus profonde que le manteau cérébral est plus étendu. De très bonne heure, elle donn
rieur (fig. 46, 68, paFS) atteint l'extrémité antérieure du manteau cérébral et en sépare un petit lobe étroit et allongé, l
e ter- minale embryonnaire. -Les vésicules des hémisphères (manteau cérébral , pallium), représentent au début des vésicules
t n'ont rien à voir avec les plis qui se produisent dans le manteau cérébral à cet Age de la vie, sous l'influence des liquide
ssura serotina. - fst, fente en ' forme de selle. - BC, hémisphères cérébraux . - HCn, hémisphères cérébelleux. - 1,'infundibulu
antérieure, la plus étendue, donnera naissance aux circonvolutions cérébrales de la région. La partie postérieure, plus étroi
térieure. ' ' . 1 J 9 Fig. 49. - Face interne de l'hémisphère cérébral d'un em- bryon humain d'environ quatre semaines
tif de la corne d'Ammon de Zuckerkandl. (Voy. structure de l'écorce cérébrale ). La cavité du lobe olfactif postérieur s'ouvre
e olfactif l'homologue d'une partie de la rétine (de la partie dite cérébrale ). 2. - Développement des éminences ganglionnair
ses différentes parties. Via. 50. - Paroi interne de l'hémisphère cérébral de l'embryon de la fig. 49, âge de 4 semaines e
eur de la capsule interne (Cip) pour se rendre au pied du pédoncule cérébral (fig. 52 il 63). La paroi interne de la vésic
de la cavité ventriculaire, par la paroi interne suturée du manteau cérébral , naroi oui donnera naissance à la lame cornée.
mbreuses traver- sent le corps strié : elles proviennent du manteau cérébral , constituent la couronne rayonnante de Reil, et
t en bas et en avant. Elles naissent de toute la surface du manteau cérébral , abordent le corps strié entre le sillon qui le l
a capsule interne.-Cg, corps godronné.- Cst, corps strié. -EC, écorce cérébrale .- Fa, circonvolution frontale ascendante. - Fi,
us-optique de Forel. - MB, masse blanche sous- ' jacente à l'écorce cérébrale . - NA, noyau amygdalien. NC, noyau caudé. - NL3,
L, nerf de Lancisi. - ot, sillon collatéral. - P, pied du pédoncule cérébral . - Pa, circonvolution pariétale ascendante.PcA, p
e sillon temporal. - tee, ttenia tecta. - 7'</, corps du trigone cérébral . T,9p, pilier postérieur du trigone. - Th, tha-
ons centraux, de la capsule interne, du corps calleux et du trigone cérébral (demi-schématique). Le cer- veau intermédiaire
ons centraux, de la capsule interne, du corps calleux et du trigone cérébral (demi sché- matique). Le cerveau intermédiaire(
re. - cop, commissure postérieure. -- Cst, corps strié ? FC, écorce cérébrale . - Fi, Fe, I·'3, pre- mière, deuxième et troisi
rminale embryon- naire. - MB, masse blanche sous-jacente à l'écorce cérébrale . - A'C, noyau caudé. nu', queue du noyau caudé.
capsule interne qui proviennent de l'extrémité frontale du manteau cérébral , se portent d'avant en arrière et de dehors en de
sule interne qui provien- nent de l'extrémité occipitale du manteau cérébral , se portent en avant et en dedans, abordent la
la capsule interne qui proviennent de la partie moyenne du manteau cérébral , se portent en bas et en dedans, et constituent l
oyen, dont il constitue Y étage inférieur ou le pied du . pédoncule cérébral . Les fibres de la couronne rayonnante qui provien
Elles se placent ensuite à la partie externe du pied du pédon- cule cérébral et forment le faisceau de Tiirck (J. Dejerine).
e faisceau de Tiirck (J. Dejerine). Les fibres du pied du pédoncule cérébral atteignent le bord supérieur de la protubérance
3. Développement du septum lucidum et de son ventricule, du trigone cérébral et du corps calleux. Les parois internes des de
s (fig. 41 et 43) donne naissance aux piliers antérieurs du trigone cérébral , au septum. lucidum, au ventricule de la cloi-
rs pos- térieure du trigone; la partie dorsale à une circonvolution cérébrale avortée, la circonvolution godronnée, qui se co
. tricules, qui se développent aux dépens des cavités des vésicules cérébrales . Le ventricule de la cloison n'existe que chez
rtie du corps calleux située en avant des trous de Monro. Trigone cérébral et plexus choroïdes des ventricules laté- raux.
s libres du corps cal- leux naissent de toute la surface du manteau cérébral ; elles convergent vers la paroi interne de l'h
ive; son développement est postérieur à celui des fibres du trigone cérébral et de la couronne rayonnante. Que, par suite
développement du septum lucidum, de telle sorte que les hémisphères cérébraux ne sont unis entre eux que par la lame terminale
lame terminale embryonnaire, les couches optiques et les pédoncules cérébraux (fig. 65). Fie. 65. - Face interne d'un hémisph
eut donc considérer le corps calleux comme l'indice d'une structure cérébrale très élevée. Il ne s'observe, en effet, que chez
nt ni corps calleux, ni trigone. 4. Lobes, développement du manteau cérébral , sillons et circonvolutions cérébrales définiti
obes, développement du manteau cérébral, sillons et circonvolutions cérébrales définitifs. Les hémisphères cérébraux s'accrois
sillons et circonvolutions cérébrales définitifs. Les hémisphères cérébraux s'accroissent rapidement : vers la fin du trois
s vu plus haut, sur la paroi interne et la paroi externe du manteau cérébral , de nombreux sillons, dont les uns sont transit
e, qui se transforme en sinus du corps calleux et qui loge l'artère cérébrale antérieure. Dans la région temporale, le sillon a
terne sont a apparition puis tardive, et n'intéressent que l'écorce cérébrale et la masse blanche sous-jacente. Vers le milie
ace inférieure, qui repose sur la tente du cervelet, sur les fosses cérébrales antérieure et moyenne. Vers cette époque, app
re calcarine. Sillons plus tardifs n'intéressant que o l'écorce cérébrale . , Sillon calloso-mar- ginal. Scissure coll
ire autour du corps calleux, des couches optiques et des pédoncules cérébraux , un anneau presque complet, ouvert seulement en
hémisphère où s'arrête l'écorce grise. Accolée en dedans au trigone cérébral , elle est limitée en dehors par le sillon ammon
e la circonvolution godronnée conserve ces rapports avec le trigone cérébral , et, dans le cerveau adulte, on la trouve situé
s et circonvolutions définitives de la face externe de l'hémisphère cérébral . -Les sillons et circonvolutions de la face exter
cuse les mois suivants, grâce au développement que prend le manteau cérébral , et elle est d'autant plus profonde que le mantea
manteau cérébral, et elle est d'autant plus profonde que le manteau cérébral est plus étendu. Vers le troisième mois, la fos
de l'insula. L'insula est nettement séparé du reste de l'hémisphère cérébral par un sillon circulaire, le sillon marginal, l
es vertébrés, on distingue nettement : le corps strié et le manteau cérébral ou pallium. Le corps strié forme, dans toute la
éphaliques inférieures un volumineux faisceau de fibres. Le manteau cérébral ou pallium, persiste à l'état embryon- naire ch
formation ammonique, que l'on trouve le premier indice de l'écorce cérébrale , caractérisée par des couches superposées de cell
ble, que dans n'imporle quelle autre classe des vertébrés. L'écorce cérébrale prend par contre un développement considérable
sse plus ou moins considérable en circonvolutions d'un hémi- sphère cérébral , n'est donc pas toujours l'indice d'un développem
ici, en eifet, en jeu, tels que l'accroissement relatif de l'écorce cérébrale et de la cavité crâ- nienne, le développement d
rezzcé- phale, il est toujours facile de distinguer dans le manteau cérébral deux parties : l'une, le manteau proprement dit
nent a la pie-mere par un petit renflement conique. Dans l'écorce cérébrale , on trouve en outre des cellules araignées dont l
lent comme aspect une ne. u. uoupe vertico-transversale de 1 ecorce cérébrale (circonvolution temporale) d un foetus humain d
s humain de 7 mois. (D'après G. Retzius.) o, superficie de l'écorce cérébrale . - cz, cellule de Cajal. - ? fibres tangentielles
les cellules pyramidales qéantes de la zone rolandique de l'écorce cérébrale , les cellules motrices mul- tipolai1'es des cor
de rapide de Golgi. (D'après A. Thomas.) a, b, cellules de l'écorce cérébrale d'un foetus de lapin de vingt à vingt-cinq jour
lapin de vingt à vingt-cinq jours environ. - c, cellule de l'écorce cérébrale de la souris âgée de six semaines. HISTOGENES
on les rencontre dans la couche la plus superficielle de l'écorce cérébrale , dans le lobe optique des oi- seaux, dans la su
ale de la dendrite primordiale d'une cellule pyramidale de l'écorce cérébrale de la souris adulte. Méthode rapide de Golgi.
cellules de Purkinje (fig. 111 ) et de certaines cellules de l'écorce cérébrale et cérébelleuse, ainsi que sur les cylindres-ax
de Cajal. Coupe longitudinale de la couche moléculaire de l'écorce cérébrale du lapin âge de huit jours. Méthode rapide de Gol
elle du cerveau; les unes sont pyramidales comme celles de l'écorce cérébrale , les autres polygonales, triangulaires ou irrégul
ygonales, triangulaires ou irrégulières, comme cer- taines cellules cérébrales , comme les cellules mitrales du lobe olfactif
rmes et libres (fig. 102). Les cellules pyramidales de l'écorce cérébrale sont coniques ou pyramidales : de leur base se
lle est épaisse, se dirige vers la couche superficielle de l'écorce cérébrale , donne dans son trajet quelques rares ramificat
un court trajet. FiG. 110. - Cellule pyramidale géante de l'écorce cérébrale de la souris d'un mois. Méthode rapide de Golgi
etc., lors- qu'on fait l'ablation de certaines régions de l'écorce cérébrale ou cérébel- . leuse, ou de certains ganglions p
nt chez les très jeunes ani- maux et chez l'homme, dans les lésions cérébrales soit très anciennes, soit remontant à la premiè
<M7e ? par lesquels elles entrent en connexion, 1. Dans l'écorce cérébrale EC, nous avons figuré deux cellules pyramidales,
le de Cajal se ramifient en effet dans l'épaisseur même de l'écorce cérébrale : la cellule pyramidale de gauche envoie son cyli
lule du thalamus (Th) dont le cylindre-axe s'arborise dans l'écorce cérébrale EC, au voisinage d'une cellule pyramidale, d'un
s. Contribution à l'Étude du développement des cellules de l'écorce cérébrale par la méthode de Golgi. C. R. Soc. de Biol., 189
use de Rolando ; sa couleur varie du gris presque blanc de l'écorce cérébrale au brun noirâtre du /or ? mV/erdeSoemmering. En
par les auteurs anciens à une sorte de pulpe, de là le nom de pulpe cérébrale . La consistance de ces substances varie suivant
rêmement variable, qu'on désigne sous le nom générique de ganglions cérébraux ou encéphaliques. Ces ganglions sont, tantôt ne
se. Elle occupe la périphérie de la moelle épinière, relie l'écorce cérébrale et cérébelleuse aux ganglions encéphaliques et
stance grise centrale. L'ensemble des fibres qui relient l'écorce cérébrale aux ganglions encé- phaliques forme la couronne
nerveux. C'est le système de projection directe qui relie l'écorce cérébrale à la sub- stance grise centrale et qui comprend
s rayon- nantes on trouve dans la substance blanche des hémisphères cérébraux et cérébelleux, ainsi que dans la substance bla
fibrillaire. ? f I Fig. 121. - Cellule névroglique de l'écorce cérébrale d'un supplicié. (D'après Vignal.) 196 . ANATO
as répandues d'une, manière uniforme, dans le ganglion rachidien ou cérébral . On peut les distinguer en cellules marginales.
6. DEUXIÈME PARTIE ANATOMIE DU CERVEAU CHAPITRE I MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE 1. CONSIDÉRATIONS GÉNÉRALES SUR L'ENCÉPHALE L
céphalique antérieure primitive, c'est-à-dire par les hémi- sphères cérébraux , les corps oplo-slriés et la région sous- thalami
ésicule encéphalique moyenne, c'est-à-dire la région des pédoncules cérébraux et des tubercules quadrijumeaux. Le cerveau o
t transversale, qui loge la lente du cervelet : c'est la grande fente cérébrale transversale antérieure. - fissura ceuebri tl'a
un vo- 1,,iîî(, donné de crâne correspond en moyenne un même poids cérébral , qu'il s'agisse des races blanche, jaune et noi
oyenne serait, sui- vant les races et les sexes, de : MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . ? : 3 : 5 ainsi que sur le poids de l'encéphal
ier, dans son mé- moire : 1° Les espèces inférieures ont un poids cérébral relativement faible, parce que le nombre, la va
omplexité des sensations, des idées, des mouvements, des opérations cérébrales en un mot, sont indépendants de la masse de l'o
proportionnelle à la masse et au volume de l'encéphale. L'activité cérébrale , en effet, est le résultat de tant de facteurs au
ujets de 20 à 30 ans, Meynert a isolé et pesé séparément le manteau cérébral (écorce grise et masse blanche sous- jacente),
le cervelet et le tronc encéphalique (corps opto-sfriés, pédoncules cérébraux , protubérance annulaire et bulbe rachidien). Il a
ulbe rachidien). Il arrive aux résul- tats suivants : MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 237 Quant au poids des différents lobes du cer
mpose de deux moitiés à peu près symétriques, les lceini- y sphères cérébraux , désignés depuis Calien sous le nom de cerveau dr
calleux, et sépare complètement les extrémités occipi- MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 239 tales des hémisphères. Cette grande scissu
éraillure de la faux du cerveau que, dans certaines malforma- tions cérébrales , les deux hémisphères sont reliés l'un à l'autre
ité profonde, la vallée de Sylvius, qui se prolonge sur MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 21 la face externe de l'hémisphère sous le nom
éral ou occipito-temporal; ot', ses incisures. - P, pied du pédoncule cérébral . - l'ol, pédoncule olfactif. PT, pôle temporal.
rd interne, concave, recouvre en avant la face externe du pédoncule cérébral (P) ; en arrière, il limite l'extrémité pos- té
es du sillon parallèle. - 12, deuxième sillon temporal. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 2.M partie du bord externe des hémisphères, et
passage, d'anastomose et d'inflexion, impriment à la cortica- lité cérébrale une très grande irrégularité et des variations in
viduelles très nombreuses dans la délimitation des différents lobes cérébraux ; grâce à ces plis, les limites des lobes sont f
sur leurs limites en partie artificielles, qu'il s'agit MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 243 bien plus dans l'espèce de régions, que de
ur que parce qu'elle permet une orientation plus facile de l'écorce cérébrale . Les plis de passage, d'anastomose et d'inflexi
ons est presque le double de la surface apparente. La supé- riorité cérébrale de l'homme ne réside toutefois pas entièrement da
s- pace perforé antérieur et le point de pénétration des pédoncules cérébraux . Les parties constituantes du seuil ou du limen
cerveau et seront étudiées avec cette dernière. Les circonvolutions cérébrales et la base du cerceau appar- tiennent par contr
du cer- ui veau celle de la configuration extérieure des pédoncules cérébraux . CIRCONVOLUTIONS ET ANFRACTUOSITÉS CÉRÉBRALES
érieure des pédoncules cérébraux. CIRCONVOLUTIONS ET ANFRACTUOSITÉS CÉRÉBRALES Pour la facilité de la description, nous étudie
oisième circonvo- lution frontale (F3 [c]). La partie de l'écorce cérébrale , comprise entre la branche horizontale antérieu
set et Giacomini, ont mesuré le degré d'obliquité de la MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 249 scissure de Rolando, et les mensurations d
165 et 166 -qui se rapportent au même hémisphère.) MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 251 occipitalis (Ecker). - External pal'iéto-o
e (f'2) (fig. 163). Lorsque la troisième circonvolution MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 2';3 frontale (F,) s'insère à la circonvolutio
- li, sillon parallèle. - t2, deuxième sillon temporal. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 2bo les bords des deux circonvolutions adjacen
olfactive externe (fig. 183), bord le long duquel s'arrête l'écorce cérébrale . La partie orbitaire de la première circonvolut
quelle elle est généralement réunie par un ou deux plis MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 257 anastomotiques et le sillon frontal inféri
sert olfactif de Broca : tic. 159.-e'ace supérieure des hémisphères cérébraux . - . (Photographie d'une pièce durcie au bichro
érique. - t'i, branche verticale du sillon parallèle. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 259 Elle se réfléchit sur la face convexe de l
on temporale profonde. tp, sillon temporal profond : .. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . « 2Q1 l'homme, qu'elle acquiert brusquement le
ortance anatomique et physiologique, justifient jusqu'à MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . ' 26S j un certain point, la création d'un lob
parallèlement à la circonvolution pariétale ascendante MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 20.'i dont il longe le bord postérieur; puis i
on temporale profonde. - tp, sillon temporal profond. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 267 qucfois le lobule pariétal supérieur au lo
xième sillon temporal. - et, troisième sillon temporal. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 269 ro ... ? J'" 1 . ,... 1 Il .. 1 1 en lor
sphère à l'autre, si importante au point de vue des loca- lisations cérébrales , est rendue d'une étude encore plus complexe par
rales.- t, 12, premier et deuxième sillons temporaux. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 2-il est séparée de la scissure perpendiculair
cipilulis laleralis (Ecker). - Ziocite minière llintcr- MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 2711 lappenwindung (Wagner). -dledio-occipitnl
du sillon parallèle. - 12, deuxième sillon temporal. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 27o ou convexe sont représentées par une ligne
sillon temporal I)rofi)ii(l. - x, connucnt de Tensen. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 277 concourt à former le sillon occipital anté
he postérieure de la scissure de Sylvius (fig. 160). .. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 279 1 L'extrémité inférieure de ce sillon inci
ution temporale profonde.- Ip, sillon temporal profond. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 28t convolution frontale ascendante, c'est-à-d
ure du cunéus, et se prolonge sur la face interne de ce MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 2S5 lobule, où il se continue souvent avec un
- ot, scissure collatérale ou occipito-temporale. - l', lo- doncule cérébral . -Pare, lobule paracentral. - po, scissure pariét
s. - TM, trou de Monro. - U, circonvolution du crochet. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 287 Le fond de la scissure calcarine est const
e du ventricule latéral. - vl, vélum terminale d'.IEby. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 289 passage analogue, le pli de passage pariét
ar la partie verticale de la scissure calloso-marginale MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 291 (cm'), en arrière par la scissure pariéto-
elle se rétrécit considérablement, et s'anastomose avec MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 293 . la circonvolution de l'hij)j)ocon2l)e (H
mus (couche optique). ' U, circonvolution du crochet. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 29H . il Le pli lingual inférieur forme une pe
ace inféro-interne de l'hémisphère le corps calleux et le pédoncule cérébral , et qui se continue en avant avec le lobe olfacti
us ; l'arc inférieur ou s phé no-occipital con- tourne le pédoncule cérébral et constitue la circonvolution de l' hippocampe
(Mathias Duval), dont l'étude rentre dans celle des circonvolutions cérébrales , et en particulier dans celle du lobe limbique
eloppée, laquelle représente le véritable bord d'arrêt de l'écot'ce cérébrale . Dans l'étude du grand lobe limbique de Broca n
ion inlra-limbique (Cg). 5° Le lobe olfactif (Lol). ' MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 297 Première Circonvolution limbique (L,).-STN
as et en avant jusqu'à la base du cerveau, et embrasse le pédoncule cérébral (P). Arrivée à la base du cerveau, et en partic
ève le bourrelet du corps calleux (fig. 177, 181, 182,) MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 299 on se rend facilement compte et de la prof
e pren- nent dans cette région les fibres tangentielles de l'écorce cérébrale (voyez z structure de l'écorce cérébrale). 3°
tangentielles de l'écorce cérébrale (voyez z structure de l'écorce cérébrale ). 3°. Sillon de l'hippocampe (h). Synonymie : D
au du bourrelet du corps calleux, le sillon de l'hippo- MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 301 campe (h) sépare les circonvolutions sous-
nféro-interne de l'hémisphère le véritable bord d'arrêt de l'écorce cérébrale . Cachée profondément dans le sillon de l'hippocam
U, circonvolution du crochet. V3, troisième ventricule. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 303 était, et porte le nom de fasciola cinerea
icroscope, et qui morphologiquement représente une véritable écorce cérébrale plus ou moins modifiée et avortée, est connue s
llln grisellln s'épaissit; les fibres tangentielles de cette écorce cérébrale rudimentaire se développent d'une façon démesurée
-limbique (C g) forme donc, autour du corps calleux et du pédoncule cérébral , un anneau presque complet, ouvert seulement da
es, lorsqu'elles font irruption à la face interne de l'hémi- sphère cérébral primitif pour s'entrecroiser et s'enchevêtrer ave
de vue embryologique, comme en anatomie comparée, un véritable lobe cérébral , Fasciola cinerca. Induseum gri- seum. Ne
de sert donc pour ainsi dire de transition, entre celle de l'écorce cérébrale et celle de la base du cerveau. Lobe olfactif
embryologie et l'anatomie comparée le montrent, de cir- MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 303 11 convolulions cérébrales avortées, connu
e le montrent, de cir- MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 303 11 convolulions cérébrales avortées, connues en anatomie comparée sous le
résente une petite région, située à la face interne de l'hémisphère cérébral , au-dessous du bec du corps calleux. Elle est l
n niveau une légère dépression constante, destinée à loger l'artère cérébrale antérieure, au moment où elle quitte l'espace p
dégagent deux faisceaux blancs d'aspect rubané, qui se MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 30ï continuent avec les bandelettes diagonales
s du septum lucidum, de Fig. 183. - Face inférieure des hémisphères cérébraux . Le pôle temporal a été enlevé de chaque côté,
if ou quatrième sillon frontal. - Fe, faisceau externe du pédoncule cérébral . - Fin,. faisceau interne du pédoncule cérébral
xterne du pédoncule cérébral. - Fin,. faisceau interne du pédoncule cérébral . Fus, lobule fusiforme. - Il, circonvolution de l
es. ot, sillon collatéral. Il, étage inférieur ou pied du pédoncule cérébral . l'ol, pédoncule olfactif. 7,i,l, pli rétro- li
de vue embryologique, comme en anatomie comparée, un véritable lobe cérébral développé au dépens de la vésicule des hémisphè
ignée sous le nom de désert olfactif. Dès que les circonvolutions cérébrales ont été mieux connues et mieux étu- diées, et q
nsi se trouvent étiquetées p. ex., F,, l'=, Fa, 'l'" T" MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 309 1'3' en allant de haut en bas les trois ci
ion marginale su- rieurs Gsm Pli courbe......... Pc MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 311 Lobe temporal T. Sillons : 1. Sillon
u gorille. Revue d'Anthropologie, 1878, p. 1. Du Même. Nomenclature cérébrale . Dénomination des divisions et subdivisions des h
gie, 1878, p. 193. Du Même. Ana- tomie comparée des circonvolutions cérébrales . Le grand lobe limbique et la scissure limbique
ni cerebrali dell'uomo. Torino, 1884. Gratiolet. Mémoire sur les plis cérébraux de l'homme et des primates. Paris, 1854. GOLDDE
VII, 1870. IlAMY. Contribution à l'étude du développement des lobes cérébraux . Revue d'Anthropologie, 1873.- HERVE. La circonvo
ste am Grosshirn des Menschen. Berlin, 1879. Pozzi. Circonvolutions cérébrales . Dictionn. encycl. 18-in. -RoLANDo. Della St1'l¿t
. ZucKERKANDL. Ueber das Riechcentrum. Stuttgart, 1887. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 313 BASE DU CERVEAU . Pour étudier la base d
de du plan de sépa- ration, c'est-à-dire de la coupe des pédoncules cérébraux , peut donc se faire à propos de l'étude de la b
érieur de la protubérance, où elle s'insinue entre les pédon- cules cérébraux en formant le trou borgne antérieur ou supérieur
ligne sinueuse, le long de laquelle s'arrêtent les circonvolutions cérébrales de la face inférieure des hémisphères. La base
en arrière et en dehors, croisent la face inférieure des pédoncules cérébraux , atteignent la face inférieure libre de la couc
eau commissural ou azciforme; ce dernier occupe le bord MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 31;i : > interne de la bandelette et le bor
nert. z FTe, faisccau clu tubcr cinorcuI1l do Guddpn. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 317 . missure de Meynert, un petit faisceau dé
uber - cinereum. Elle représente la paroi inférieure de la vésicule cérébrale anlé- rieure, et ferme en 'avant le troisième v
nerfs optiques, en arrière par le bord interne des deux pédoncules cérébraux , le losange opto-pédonculaire est formé, dans s
u cervelet. - Nt, noyau du toit du cervelet. - P, pied du pédoncule cérébral . Po, protubérance. Put, pulvinar. 1-lyc, pyramide
bercules mamillaires (corpus co-1)î(.y candicans) (Tm), MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 321 sont formés par deux saillies blanches, ar
mamillaire, entre ce dernier et le bord interne -^§%^îe8'|flfevîle cérébral on trouve, dans la commissure grise de la base, u
d aux tubercules mamillaires, par ses bords latéraux aux pédoncules cérébraux dont le sépare un sillon assez profond, le sill
s aux artères lenticulo-optiques branches du tronc basilaire et des cérébrales postérieures; ils sont séparés du sillon du ner
an au ganglion inter-pédonculaire (fig. 184). Région des pédoncules cérébraux . En arrière du losange opto-pédonculaire, on tr
to-pédonculaire, on trouve la section transver- sale des pédoncules cérébraux . Ces derniers, comme du reste la partie posté- '
re faite avec celle de la base du cerveau. La région des pédoncules cérébraux , connue encore sous le nom de région de l'aqued
e en section transversale (fig. 183, 189), la région des pédoncules cérébraux affecte, dans son ensemble, la forme d'un triangl
des racines antérieures de la moelle; il est séparé de MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 323 -1 l'espace perforé postérieur par une ])a
crsale, passant par l'aqueduc de Sylvius, divisent chaque pédoncule cérébral en trois régions : l'une postérieure, la, régio
ied ou l'étage inférieur du pédoncule (P) (y ? e, crus/a, pédoncule cérébral proprement dit), considéré tour à tour comme le
esurent de 12 à 15 millimètres de largeur, les pieds des pédoncules cérébraux , divergent bientôt obliquement en avant, en deh
Locus niger de Socmmeriniri. ? t i Division du pédon- cule cérébral en trois régions. ' - - i Etage intérieur ou
FiG. 189. - Coupe transversale de la partie inférieure du pédoncule cérébral passant au voisinage du bord supérieur de la pr
roisement supérieur du pédoncule cérébelleux supérieur. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 32u accentué dans les faisceaux internes que d
, nerf trijumeau. - VI, nerf moteur oculaire externe. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 327 de fibres arciformes, qui apparaissent tou
s de l'émergence de la 3° paire, entre le bord interne du pédoncule cérébral elle pédoncule du tubercule mamillaire latéral
u moteur ocu- laire commun, embrasse le bord inférieur du pédoncule cérébral . Il apparaît à la surface du pédoncule cérébell
pinéale. - Nu, nerf optique. - Oi, olive bulbaire. - P, pédoncule cérébral . - l'cm, pédoncule cérébelleux moyen. - Pcs, pé
pontis. - 7 ? )/, tractus peduncularis trans- versus. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 329 de l'isthme de l'encéphale (fig. 192) ; on
n Fig. 193. Coupe transversale de la partie supérieure du pédoncule cérébral de l'homme au niveau de la bandelette optique,
ainartige Haubenl : reurung). - ll, bandelette optique. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 331 pédonculaire supérieure (fig. 193), elle e
tubercules quadrijumeaux occupe la partie postérieure du pédoncule cérébral (fig. 194) ; elle s'étend du bord postéro-supérie
nt connus sous le nom de lobes optiques. Les tubercules MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 333 quadrijumeaux postérieurs ne font cependan
TION INTÉRIEURE DU CERVEAU Seuil de l'hémisphère. Les hémisphères cérébraux sont reliés entre eux, au niveau de leur par- -
phère. 334 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Corps calleux. Trigone cérébral . Troisième ventri- cule. Sillon de Monro.
ig. 151 et ! 95), qui sépare l'un de l'autre les deux hémi- sphères cérébraux . Sur cette coupe, on se rend très nettement compt
presque complet, ouvert seulement en bas et en avant, que l'écorce cérébrale des hémisphères, circonscrit autour de son seuil
e, le septum lucidum (SI) ou cloison transparente. Entre le trigone cérébral et la bascllti cerveau, on trouve le troisième
nnue sous le nom de ventricule de la cloison (VSl), puis le trigone cérébral (Tg) qui forme une seconde cloison transver- sa
du cervelet. Nt, noyau du toit du cervelet. - P, pied du pédoncule cérébral . Po, protubérance. Pul, pulvinar. Pyc, pyramide d
recouverte en dedans par la toile choroïdienne (Tch) et le trigone cérébral (Tg), concourt à former dans son segment extern
er des ventricules latéraux (VI) ou premier et deuxième ventricules cérébraux . Le noyau caudé, séparé de la couche optique pa
ment en bas et en dedans, elle se continue en bas avec le pédoncule cérébral (P), et s'irradie en haut dans la masse blanche
s parties constituantes du seuil de l'hémisphère et les ventricules cérébraux . 1° Corps calleux. , 2° Trigone cérébral. 3
re et les ventricules cérébraux. 1° Corps calleux. , 2° Trigone cérébral . 3° Septum lucidlrrnz. 4° Ventricules latérau
nte forme la limite externe des ventricules latéraux. - MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 339 Tronc du corps calleux (Cc). Sur une coupe
ichromate.) AqS, aqueduc de Sylvius. -B, partie moyenne de la fente cérébrale de Bichat. -Cal, calotte du pédoncule cérébral.
moyenne de la fente cérébrale de Bichat. -Cal, calotte du pédoncule cérébral . - CB, carrefour olfactif de Broca. - Ce, corps c
yonnaire. NC, noyau caudé. l', étage inférieur ou pied du pédoncule cérébral . 1'0, protubérance. psl, pédoncule du septum lu
alvule de Vieussens. - xll, chiasma des nerfs optiques. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 311 forme le fond. Elle mesure 15 à 20 millimè
n arrière; elle est encore en rapport avec les artères calleuses ou cérébrales antérieures, enfin avec la première circonvolut
parallèle. Voc, corne occipitale du ventricule latéral. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 343 calleux, connues sous le nom de psalterium
le, dont elle est sépa- rée par la partie moyenne delà grande fente cérébrale de Bichat. C'est au dessous du bourrelet du cor
ur du septum lucidum s'insinue entre le corps calleux et le trigone cérébral , jusqu'au niveau de la pièce intermédiaire, sép
adiations du corps calleux. Forceps du corps calleux. Trigone cérébral . d épaisseur environ; sur une coupe sagittale e
rps calleux. (Voy. ch. IV, fibres com- zzis.szcales. ) 2° Trigone cérébral Le trigone cérébral (Tg), la voûte à trois ou q
IV, fibres com- zzis.szcales. ) 2° Trigone cérébral Le trigone cérébral (Tg), la voûte à trois ou quatre piliers, le fomi
tituent le corps du trigone (Tg) (fig. 200). En arrière MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 34"; et en avant ces faisceaux sont distincts,
latéral. - si, sillon opto-strié. -SI, septum lucidum. -Tg, trigone cérébral . - Tgp, pilier postérieur du trigone. 7';V, trou
ait de nouveau dans la couche optique (Th) et se lermi- MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 347 nait dans son tubercule antérieur (Na). La
eux (rostrum posterior). Cal, calotte ou étage supérieur du pédoncule cérébral . coa, commissure antérieure. - Gp, glande pinéa
eure. - Gp, glande pinéale. P, étage inférieur ou pied du pédoncule cérébral . -ri, diverticule de l'infundibulum. - ro, divert
). Celui-ci constitue en effet un faisceau indépendant du tri- gone cérébral ; il nait de la partie antéro-interne du tubercul
la mince lame épithéliale qui recouvre les plexus , . MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 349 choroïdes des ventricules latéraux et qui
les. Par la majeure partie de ses fibres longitudinales, le trigone cérébral réunit la cone d'Ammon(CA) et la circonvolution
ans le groupe des faisceaux de projection qui unissent l'hémisphère cérébral et en particulier le 1' ! ânenciphalon, au cervea
nt par le corps genouillé externe et la partie externe du pédoncule cérébral . Méthode de Weigert. (Agrandissement de deux diam
noyau lenticulaire. ot, scissure collatérale. l', pied du pédoncule cérébral . - l'es, pédoncule cérébelleux supérieur. - Poa
optique. - III, fibres radicu- laires de la 3- paire. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 35t représente, un véritable faisceau d'associ
delette optique, le ruban de Reil et la partie moyenne du pédoncule cérébral . Méthode cie Weigert. (Agran- dissement de deux
JV/f, noyau rouge. - ol, scissure collatérale. - P, pied du pédoncule cérébral . - Pcs, pé- doncule cérébelleux supérieur. - Pc
pièce durcie dans le bichromate). AqS, Aqueduc de Sylvius. B, fente cérébrale de Bichat. Cal. étage supérieur du pédoncule ou
re circonvolution frontale. P, étage inférieur ou pied du pédoncule cérébral . 7-plp, pli pariéto-limbique posté- rieur. - Qp
l- vule de Vieussens. 2 ? chiasma des nerfs optiques. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 333 les nerfs de Lancisi, puis divergent et tr
rudimentaire les deux couches qui constituent les cir- convolutions cérébrales . La couche interne ou grise représente l'écorce g
arrière, et s'enroulent autour de la couche optique et du pédoncule cérébral , en décrivant une courbe ouverte en bas et en ava
ues, dans l'hydrencéphalie . aiguë ou chronique, dans l'hémorrhagie cérébrale faisant irruption dans a les ventricules, dans
érébrale faisant irruption dans a les ventricules, dans les tumeurs cérébrales développées au dépens des . plexus choroïdes, e
trigonum venlriculi lateralis des auteurs allemands. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 3 : Portion antérieure ou frontale; étage supé
rne est formé par la ligne d'union du corps calleux avec le trigone cérébral ; son bord externe répond à la rencontre du bord e
de haut en bas, la corne sphénoïdale ( Vsph) contourne le pédoncule cérébral et la couche optique, se porte oblique- ment en
ie dans l'alcool.) " Cal, calotte ou étage supérieur du pédoncule cérébral . cm, sillon calloso-marginal. CNC, colliculus d
lamus. Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . z peu plus en dehors, la queue du noyau caudé
e. - Voc, corne occipitale. - Vsph, corne sphénoïdale.' MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 361 la face inféro-interne (fig. 209). Elle es
oisième ventricule par l'intermédiaire du trou de Monro. La fente cérébrale de Bichat, qui établissait pour les anciens auteu
ificiellement lorsqu'on arrache les plexus choroïdes. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 363 S0 Ventricule moyen ou troisième ventricul
le du cervelet. 11'l,noyau du toit du cervelet. l', pied du pédoncule cérébral . Po, protubérance. - Pul, pulvinar. Pue, pyrami
sillon collatéral cl. . au troisième sillon temporal. P, pédoncule cérébral . Pa, circonvolution pariétale ascendante. - Pc/;3
ire de la région sous-optique (STh) et de la calotte des pédoncules cérébraux (fig. 213); plus en avant se trou- vent la subs
(fig. 213); ils sont minces en avant, au niveau du . . MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 367 sommet de la toile choroïdienne, où ils s'
dmettaient toutefois l'existence d'une com- munication par la fente cérébrale de Bichat, grande fente en forme de fer il chev
il cheval, dont les parties latérales entoureraient les pédoncules cérébraux , et dont la partie moyenne serait comprise entr
et les tubercules quadrijumeaux. Les parties latérales de la fente cérébrale de Bichat ne donnent nulle- '. ment accès dans
les ferme compte- . tement en dedans. La partie moyenne de la fente cérébrale de Bichat ne · " permet pas davantage la pénétr
es ventricules latéraux. Les parties latérales . de la grande fente cérébrale de Bichat n'existent donc pas; sa partie moyenne
rieure et sous-épendymaire de la tête du noyau caudé. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 369 5o Les corpora striata 'Íl1femlI et interi
pondraient d'après Vicq d'Azyr, à la substance grise des pédoncules cérébraux , et d'après Burdach à la capsule interne. Vieus
e nom de couche claustrale donnée à la cinquième couche de l'écorce cérébrale . Aujourd'hui les dénominations de Vieussens son
Tiirck et à la couronne rayonnante du lobe temporal. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 371 nonce piriforme ou d'une cornue, située en
é postérieure ou queue, contourne la couche optique et le pédoncule cérébral , et se prolonge en avant jusqu'à l'extrémité an
rcie dans l'alcool.) Cal, calotte ou étage supérieur du pédoncule cérébral . cm, sillon calloso-marginal. : CNC, colliculus d
Vsph, corne sphénoïdale du ventricule latéral. - \' ' MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 3T3 épendymaire (Sge) particulièrement épaisse
coin, dont le sommet situé en dedans et en bas regarde le pédoncule cérébral et, dont la base convexe répond au lobule de l'in
ou de la capsule interne (Ci[g]). En avant du genou, le MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 375 bord interne du noyau lenticulaire se port
et en dehors des tubercules quadrijumeaux, au dessus des pédoncules cérébraux dont elle occupe le côté supérieur et interne e
nies à la capsule interne, à la région sous-optique et au pédoncule cérébral . La face supérieure, convexe dans le sens antér
rande partie au stratum zonale, différencie nettement , MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . : 7 -i la couche optique du noyau caudé. Cette
es laté- raux. Ce sillon, qui correspond au bord externe du trigone cérébral , sert de limite embryologique entre le cerveau
e est recouverte par la toile choroïdienne qui la sépare du trigone cérébral et appartient à la surface extérieure de la cou
ventricule latéral. VSI, ventricule du septum lucidum. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE .. , 379 dans sa courbe, à concavité antérieure
379 dans sa courbe, à concavité antérieure et interne, le pédoncule cérébral . Son bord externe est limité par la bandelette
au-né. Les rapports que la couche optique affecte avec le pédoncule cérébral sont très importants; la partie postérieure de
forment le système de la couche optique et embrassent le pédoncule cérébral à la façon d'un anneau aplati de haut en bas, ouv
le et un peu oblique en arrière et en dehors, limitent le pédoncule cérébral en avant (fig. 245 et 246). Cette zone a été comp
été comparée à une anse, à une écharpe posée en avant du pédoncule cérébral et derrière laquelle, les libres de l'étage inf
e démarcation nette, avec l'étage supérieur ou calotte du pédoncule cérébral . Elle renferme deux noyaux gris nettement délim
dedans en affectant surtout tune direction sagi 1 tale. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE . 381 Le pédoncule supérieur ou moyen, le plus l
et les parties latérales du corps calleux, en bas avec le pédoncule cérébral . A cause de ses connexions avec les noyaux gris
is- ceau de Tiire/e, les parties constituantes du pied du pédoncule cérébral . 11 décrit sur les coupes horizontales une cour
entail. D'abord amassées en un gros faisceau au niveau du pédoncule cérébral , les fibres se dé- ploient, s'étendent en avant
nante ou le grand soleil de Reil (CR) et se portent t vers l'écorce cérébrale . Le point d'épanouissement de la capsule interne,
e Gudden, nous décrivons les apparences que pré- sente l'hémisphère cérébral , lorsqu'on l'étudie sur des surfaces de section
cette coupe un petit îlot complètement séparé du reste de l'écorce cérébrale . A la face externe de l'hémisphère on trouve, d
s par les radiations du corps calleux. Dans certaines malformations cérébrales , dans l'absence congénitale du corps calleux, e
verticale du sillon parallèle, (t,') incise profon- dément l'écorce cérébrale , et les deux circonvolutions qui le bordent const
r conséquent) qui N , . font partie du système du pied du pédoncule cérébral . De la partie postérieure de la couche optique,
et embryologiquement être consi- dérés comme appartenant à l'écorce cérébrale . Le globus pallidus dont le segment moyen (NL,)
les appartiennent en majeure parlie au système du pied du pédoncule cérébral . Les fascicules sont séparés par des libres tra
court à former la lèvre supérieure de la partie moyenne de la fente cérébrale de Bichant. Coupe n° 65 (fixa. 228), passant il
dronnée (Cg) et cette dernière représente le bord d'arrêt de l'écorce cérébrale . .É20 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Substance
t une région de transition entre la capsule interne et le pédoncule cérébral . , . On trouve dans cette région limitée en ded
, et se rapproche déjà par son aspect de celui du pied du pédoncule cérébral . En avant, il est limité par l'anse du noyau le
nce innommée de Reichert (Sti) et la partie supérieure du pédoncule cérébral (P). ' Écorce. - L'écorce de cette coupe ne dif
i- pital antérieur. - ot, sillon collatéral. - P, pied du pédoncule cérébral . - Qa, tubercule quadrijumeau antérieur. - Rnz,
face postérieure concourt à former la lèvre supérieure de la fente cérébrale de Bichat. À la place du globus pallidus, on tr
lenticulaire (Al) qui contour- nent en dedans le pied du pédoncule cérébral . L'anse du noyau lenticulaire (Al) ne peut guèr
nstitue déjà sur celle coupe l'étage inférieur ou pied du pédoncule cérébral (P). Les fibres les plus posté- rieures s'insin
u de la substance perforée antérieure (Spa) et le pied du pédoncule cérébral (P) au niveau de la bandelette optique (II).
(Al), qui contournent la partie antéro-interne du pied du pédoncule cérébral (P), pour occuper la partie la plus antérieure
édonculaire (Voy. Base du cerveau, p. 3c ? 1). Le pied du pédoncule cérébral (P), embrassé par la bandelette optique (II) et l
pour tout ce qui concerne la texture proprement dite des pédoncules cérébraux . Coupe n° 75 (fig. 232), passant à 3 millimètre
ptique (II) est ici sectionnée dans toute sa longueur; le pédoncule cérébral (P) est séparé de la base du cer- veau et il es
substance grise centrale de l'aqueduc (SgAq). Le pied du pédoncule cérébral (P) est embrassé en avant par la bandelette opt
cke. of, sillon collatéral. P, pied ou étage inférieur du pédoncule cérébral . itrl, pli rétro-limbique. -Qa, tubercule quadrij
ntérieur de Wcrnicke. oi, sillon collatéral. - P, pied du pédoncule cérébral . - mi, pli rétro-limbique. - Qa, tubercule quadri
VEUX. Cette coupe sectionne les parties inférieures de l'hémisphère cérébral ; elle rase le lobule orbitaire, intéresse le gy
olution frontale (mF,), parties qui appartiennent toutes au manteau cérébral , et qui comme telles décrivent un arc autour de
interne (Ci[g]) ainsi que les fibres les plus internes du pédoncule cérébral ; elles se placent ensuite (voy. Coupes horizontal
r (Na) de la couche optique (Th), la partie antérieure du pédoncule cérébral (P), le tubercule mamillaire (Tm) et l'extrémit
ol', incisure du sillon collatéral. - ? étage inférieur du pédoncule cérébral . - l'a, circonvolution pariétale ascendante. -
egment postérieur de la capsule interne (Cip) en haut, le pédoncule cérébral (P) en bas. Le noyau lenticu- lairc est divisé
) qui se porte de plus en plus en dehors, a mesure que le pédoncule cérébral (P) se détache librement à la base du cerveau.
collatéral et du troisième sillon temporal. z P, pied du pédoncule cérébral . - Pa, circonvolution pariétale ascendante. Il, s
u lenticulaire (NLa, 2' Il. Il se continue en bas avec le pédoncule cérébral (P) et se dirige obliquement en bas et en dedans.
oupes passent toutes par le lobule paracentral (Parc), le pédoncule cérébral (P) et la partie antérieure de la protubérance (P
collatéral et du troisième sillon temporal. - P, pied du pédoncule cérébral . -- Pa, circonvo- lution pariétale ascendante.
godronnée (Cg) représente le bord le long duquel s'arrête l'écorce cérébrale . Elle est recouverte par le pilier postérieur du
et du troisième silion temporal. P, étage inférieur du pé- doncule cérébral . Pa, circonvolution pariétale ascendante. - Parc,
tale ascendante. - Parc, lobule paracentral. - 11, pied 'du pédoncule cérébral - Pcm, pédoncule cérébelleux moyen. - Pô, protu
ps de Luys. Le locus niger repose toujours sur le pied du pédoncule cérébral (P) et atteint en dedans la face interne du péd
a capside externe (Ce). Ces coupes intéressent le pied du pédoncule cérébral (P), au moment où il s'irradie dans la capsule
rps genouillé externe (Cge), la partie externe du pied du pédoncule cérébral (P) et la région de la calotte du pédoncule cér
d du pédoncule cérébral (P) et la région de la calotte du pédoncule cérébral . Écorce. - L'écorce de ces coupes ne présente r
du noyau caudc. - NC', queue du noyau caudé. - ? pied du pédoncule cérébral . - Pi, circonvolution pariétale inférieure. Pa,
al. - Opp" opercule pariétal. ot, sillon collatéral. - P, pédoncule cérébral . - Pu, circonvolution pariétale inférieure. l'a
couche optique (Th) repose sur la région de la calotte du pédoncule cérébral ; les radiations de la calotte (RC) la séparent du
mus (Ne) et du pulvinar (Pul), en dehors de la calotte du pédoncule cérébral . Sur la coupe n° 89 (fig. 255) le pulvinar le l
irectement sur la coupe n° 83 (lig. 252), avec le pied du pédoncule cérébral (P); sur la coupe n° 86 (fig. 253), elle en est
de la scissure sylvienne, ainsi que l'indique le petit îlot d'écorce cérébrale situé au-dessous de ce faisceau; sur les coupes
s passent en arrière du bourrelet du corps cal- leux (Sp), l'écorce cérébrale n'est nulle part interrompue, elle est 11 peu prè
optique (Th), la région sous-optique (F, NR), le pied du pédoncule cérébral (P), la région des tubercules qzccccloi- iumoaz
sphère. Li ? ne 5 de la figure 2G i. (Grandeur naturelle.) B, fente cérébrale de Bichat. C, cunéus. Cc{g), genou du corps calle
frontale (gyrus rectus). - P, étage inférieur ou pied du pédoncule' cérébral . - P,, première circonvolution pariétale. - Pa, c
éparent le ventricule latéral (VI) de la partie moyenne de la fente cérébrale de Bichat (B). Cette fente, comprise entre le b
antéro-inférieure constitue l'étage inférieur ou pied du pédoncule cérébral (P); la partie postéro-supérieure, beaucoup plus
première circon- volution frontalc.-P, étage inférieur du pédoncule cérébral . P,, circonvolution pariétale, supérieure. - l'
, le pulvinar (Pul) fait saillie dans la partie moyenne de la fente cérébrale de l31claal. Au-dessous du noyau interne (Ni) se
Au-des- sous et en avant du locus niger (Ln), le pied du pédoncule cérébral (P) se prolonge dans la protubérance (Po) pour
rieure de la circonvolution du crochet (U), au-dessous du pédoncule cérébral (P), on trouve la section d'une petite bandelet
de l'encéphale et en particulier aux parties latérales de la fente cérébrale de Bichat Noyaux opto-striés. Le noyau caudé (N
xtrémité postérieure libre, le pulvinar (Pul), qui correspond il la cérébrale de 731clcal. Sur cette coupe n° 10 (fig. 270), le
Pu première circonvolution pariétale. ? étage inférieur du pédoncule cérébral . - l'a, cir- convolution pariétale ascendante.
uivante (n° 17, iig. 272), l'anneau presque complet, que le manteau cérébral décrit autour de la couche optique (Th) et du p
au cérébral décrit autour de la couche optique (Th) et du pédoncule cérébral . Cet anneau n'est ouvert en effet qu'en avant e
directement en arrière avec les parties dites latérales de la fente cérébrale de Bichat, située entre la circonvolution de l'
circonvolution de l'hippocampe (H) d'une part, le pied du pédoncule cérébral (P) et la couche optique (Th) d'autre part. Sur l
icule sphénoklal (Vsph). Elle représente en effet une petite écorce cérébrale , plusieurs fois plissée sur elle-même, recou- v
(H) el forme la lèvre inférieure des parties latérales de la fente cérébrale de lïichat. Au-dessous du pilier posté- rieur d
lriculaire, elle fait saillie sur les parties latérales de la fente cérébrale de Bichat, et se renfle en bas pour former le ]Ju
nar (Pul); en bas et en avant elle repose sur le pied du pédoncule cérébral (P), dont elle est séparée par la zone réticulé
ont situées immédiatement en arrière du rnuu. Le pied du pédoucazle cérébral (P) a diminué de volume, par le fait même de sa
convolutions frontales. ol, sillon collatéral. P, pied du pédoncule cérébral . -P,, première circonvolution pariétale. - l'a, c
fet pas encore changé de direction. En arrière du pied du pédoncule cérébral , entre celui-ci et le pulvinar (Pul), on trouve
le isocèle, extrêmement allongé, compris entre le pied du pédoncule cérébral (P) et l'écorce grise de la corne d'A 11 ? iIOn
en arrière, entoure à la manière d'une fronde le pied du pédoncule cérébral (P) et s'irradie dans le pulvinar (Pul). Ce derni
re. Ligne 17 de la figure 267. (Grandeur na- turelle.) , B, fente cérébrale de Bichat. - CA, corne d'Ammon. Ce, corps calleux
éral. Pi, première circonvolution pariétale. - P, pied du pédoncule cérébral . Pa, circonvolution pariétale ascendante. Pchl,
67. (Grandeur naturelle.) . Alv, alvéus. AU, avant-mur. B, fente- cérébrale de Bichat. - CA, corne d'Ammon.- Ce, capsule ex
tra-ventriculaire,' et correspond aux parties latérales de la fente cérébrale de Bichat (B). - . Noyaux gris centraux. La têt
par conséquent, au dedans d'elle, les parties latérales de la fente cérébrale de Bichat et toute la sur- face extra-ventricul
écorce grise forme un îlot complètement séparé du reste de l'écorce cérébrale , et entoure l'écorce grise de la circonvolution
bres de la capsule interne, de la région sous-optique, du pédoncule cérébral , du cerve- let, de la protubérance, du bulbe ra
n vcrtico-transversale, intéresse toute l'épaisseur de l'hémisphère cérébral et comprend '12 coupes apparte- nant à deux cer
, elle montre en effet très nettement : 1° Les rapports de l'écorce cérébrale avec la masse blanche sous-jaccnte; la façon do
se détachent les mdia- lions du corps calleux pour aborder l'écorce cérébrale , et l'irradiation des fibres de la couronne ray
région sous-thalamique de la capsule interne et le pied du pédoncule cérébral . On pourrait reprochera cette série de coupes v
le interne, de la région sous-optique et de la calotte du pédoncule cérébral , des coupes microscopiques soit vertico-trans-
nterne, la région sous-optique et la partie supérieure du pédoncule cérébral . La coupe supérieure passe par le centre ovale
e centre ovale de Vieussens, la coupe infé- rieure par le pédoncule cérébral et le tubercule quadrijumeau postérieur. Ces co
ion sous-thalamique de Forci, de la calotte et du pied du pédoncule cérébral . IV La quatrième série, enfin, comprend 13 coup
age 315). Elles intéressent la région sous-optique elle pé- doncule cérébral . L'obliquité de ces coupes est particulièrement i
, foncée, licitement distincte de la teinte jaune clair de l'écorce cérébrale ou des FiG. 278. -Face interne d'un hémisphère
e blanche, elles s'épanouissent dans la couche profonde de l'écorce cérébrale , et s'entre-croisent avec les fibres tangentielle
ur de la capsule interne, la partie antérieure du pied du pédoncule cérébral (P), la partie moyenne de la couche optique (Th
on qui sépare la circonvolution du crochet (U) du pied du pédoncule cérébral (P). Du sommet et de la face infé- rieure du gl
des faisceaux semblables venus des différentes parties de l'écorce cérébrale . Outre les fibres radiaires qui impri- ment au
yaux interne et externe du thalamus, en dedans du pied du pédoncule cérébral (P) et de la partie inférieure du segment posté
convolution frontale. ot, sillon collatéral. - P, pied du pédoncule cérébral . - Parc, lobule para central. - pCR, pied de la
. Il appar- tient il la fois ù la région de la calotte du pédoncule cérébral et il la région sous- optique et il est entouré
bres qui entrent plus bas dans la constitution du pied du pédoncule cérébral (P). Ce sont les fibres de projection directes de
lèle aux fibres qui entrent dans la constitution du pied du pédoncule cérébral . Outre la couronne rayonnante du thalamus et le
lésions corticales, les cinq sixièmes internes du pied du pédoncule cérébral (J. Dejerine). Elles sont séparées de la partie
RC). Elle intéresse en outre la partie moyenne du pied du pédoncule cérébral (P) et de l'étage antérieur de la protubérance
ande partie de la région sous-optique et de la calotte du pédoncule cérébral . Il se présente sur cette coupe sous la forme d
ui se rendent, pourla plus grande partie, dans le pied du pédoncule cérébral (P). Elles affectent un aspect onduleux, puis d
asser au-dessus de la bandelette optique (II) et aborder le pédoncule cérébral (P) COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 347 au
nne de la couche optique (Th), le noyau ronge (NR), et le pédoncule cérébral . Elle passe immédiatement en arrière de la circon
lIoyalt 1'( ! Uge(NIl), entre ce dernier et le pied du pédon- cule cérébral (P), se trouve le locus lIiyel' (Ln) qui se confo
latéral et au troisième sillon temporal. - P, pied du pédon- . cule cérébral . - Pa, circonvolution pariétale ascendante. l'arc
lles for- ment les fibres radiaires, soit dans le pied du pédoncule cérébral (P). Ces dernières fibres se réunissent en fais
sceau de 7'M ! 'c ? (FT) ou faisceau externe du pied du pédon- cule cérébral . Ces fibres apparaissent au niveau de la paroi ex
be temporal; occupent le sixième externe environ du pied du pédoncule cérébral et que par conséquent le faisceau.de y'tt;'c/)'
rconvolu- tions temporales (FT'). Les fibres du pied du pédoncule cérébral (P), qu'elles proviennent de la région lhalamiq
périeur (Pcs), ainsi que la partie postérieure du pied du pédoncule cérébral (P)et de Y étage antérieur de la protubérance (Po
de Y étage antérieur de la protubérance (Poa). Le pied du pédoncule cérébral n'est plus en connexion avec la capsule interne
2, opercule pariétal. - ot, sillon collatéral. P, pied du pédoncule cérébral . - Pi, deuxième circonvolution pariétale. Pa, c
uses libres dans le ruban de Reil médian (Rm). Le pied du pédoncule cérébral (P) est complètement séparé de la capsule inter
n bas et en dehors; elle appartient atipilieposléîieiti dit trigone cérébral , forme à elle seule la paroi interne du carre-
. Cette coupe inté- resse les deux tiers antérieurs de l'hémisphère cérébral . Elle passe par l'opercule rolandique (OpR), le
qu'une seule masse, qui apparaît à l'extérieur (CNC) entre l'écorce cérébrale et la lame terminale embryonnaire (lt). Cette mas
affecte déjà dans cette région les apparences du pied du pédoncule cérébral . L'anse du noyau lenticulaire (Al) passe entre le
convolutions frontales. - P, étage infé- rieur ou pied du pédoncule cérébrale . - PTml, pédoncule du tubercule mamillaire latéra
I) la commissure de Meynert (CM) et en avant du pied du pédon- cule cérébral (P), le ganglion du tubercule mamillairc latéral
ibres qui contournent la partie antéro-interne du pied du pédoncule cérébral (P), puis se portent en arrière et en dehors entr
nce innominée de Reichert. - Stri, stratum intermedium du pédoncule cérébral . - T,, première circonvolution temporale. - Tc, t
s : l'une épaisse, fortement colorée contient les fibres du trigone cérébral ; l'autre située en dedans constitue une cou- ch
ENCEPHALIQUE (CAP- SULE INTERNE, RÉGION SOUS-OPTIQUE ET PÉDONCULE CÉRÉBRAL ). Les 1 5 coupes horizontales suivantes font pa
sur un hémisphère gauche, depuis le centre ovale jusqu'au pédoncule cérébral et colorées par la méthode de Weigert. Ces 13 c
en arrière par le sillon calloso- marginal (cm,cm'). De l'écorce cérébrale émanent un grand nombre délires radiées qui pénè-
oison (VS1). Dans la masse des libres non différenciées de l'écorce cérébrale , apparais- sent les circonvolutions de l'insula
structure se rapproche de celle du putamen et de celle de l'écorce cérébrale . Coupe n° 6 (fig. 305), passant par la ligne 6
la couche optique, à la région sous-optique et au pied du pédoncule cérébral , toute la partie enfin située dans la région ré
compris entre le faisceau longitudinal inférieur (Fli) et l'écorce cérébrale et qui relient deux circonvolutions plus ou moi
ion thalamique de la capsule interne, jusqu'à l'entrée du pédoncule cérébral dans la protubérance. Dans le pédoncule, le fais-
segment le plus interne de l'étage infé- rieur ou pied du pédoncule cérébral . En avant et un peu au-dessous du genou (Ci[g])
ourt il former la lèvre inférieure de la partie moyenne de la fente cérébrale de Bichal. Coupe n" 9 (fig. 308 passant par la
a ré- gion sous-optique; elles se rendent ensuite dans le pédoncule cérébral dont elles occupent le bord externe. L'étude de
stérieur de, la capsule interne el le faisceau externe du pédoncule cérébral persistent en effet intacts la suite de lésions
s, et atteint son plus grand déve- loppement au niveau du pédoncule cérébral . Le segment postérieur de la capsule forme en e
le forme en effet, il lui tout seul, l'étage inférieur du pédoncule cérébral . Dans la concavité du segment postérieur de la
tinées au noyau rouge. Il dégénère il la suite de lésions de l'écorce cérébrale et ses fibres dégénérées peuvent être suivies j
postérieur de la capsule interne se transforme en pied du pédoncule cérébral . Il n'est pas encore libre, mais entouré de toute
3 de la ligure 299. Cette coupe intéresse déjà le pied du pédoncule cérébral proprement dit (P), que la bandelette optique (
culaire. - NR, noyau rouge. P, étage inférieur ou pied du pédoncule cérébral . - pCR, pied de la couronne rayonnante. - PiTh, p
y.(CL).La plus grande partie contourne le bord interne du pédoncule cérébral (P), se dirige en arrière et en dedans, passe ent
e du faisceau longitudinal postérieur (Flp). Le pied du pédoncule cérébral (P) est limité en dehors au niveau de sa partie
culaires,au trigone et à la lame cornée, (le) en dehors, au pédoncule cérébral en dedans. En avant, elle se creuse un passage
de l'embouchure de l'aqueduc de Sylvius (Aq). Le pied du pédoncule cérébral (P) n'est adhérent à la base du cerveau qu'au n
e, un relief plus ou moins accentué. En dedans du pied du pédoncule cérébral (P), en dehors An pilier antérieur du trigone (
re s'irradient dans la substance réticulée de la calotte du pédoncule cérébral , qui commence à apparaître de chaque côte de l'
e du pied du pédon- 40 626 ANATOMIE,DES CENTRES NERVEUX. cule cérébral (P) est sillonnée par de nombreuses fibres fortem
millaire latéral (PTml), il contourne le bord interne du pédoncule, cérébral , se porte en arrière et en dehors entre le corps
e Luys (CL) en avant. Le locus niger (Ln) appartient au pédoncule cérébral (P), le corps de Luys a la région sous-thalamiq
ral (P), le corps de Luys a la région sous-thalamique. Le pédoncule cérébral n'est donc pas encore complète- ment constitué
rmedium de Meynert (Voy. fig. 193 et 397, Stri). Le pied du pédoncule cérébral est libre dans ses trois quarts postérieurs; tr
ercule mamillaire, la circonvolution du crochet (U) et le pédoncule cérébral au niveau du tubercule quadrijumeau postérieur
(putamen). NR. noyau rouge. P, étage inférieur ou pied du pédoncule cérébral . peu, pied de la couronne rayonnante. PiTh, péd
rouge. ot, sillon collatéral. P, étage inférieur ou pied du pédoncule cérébral . pCR, pied de la. couronne rayonnante. PTml, pé
n du crochet (U) et 1 perforé antérieur (Epa). Le pied du pédoncule cérébral (P)ne lient plus Ü la base du cerveau que par le
insinue entre la commissure de Meynert (CM) et le pied An pédoncule cérébral (P). Cette petite masse grise donne naissance a
udden (PTml), lequel contourne le bord interne du pied du pédoncule cérébral (P), le bord externe du noyau rouge (NR), et tr
de substance grise (SgAq). En un mot, sur cette coupe, le pédoncule cérébral est complètement constitué. IV. COUPES MICROSCO
utamcn). - NR, noyau rouge. P, étage inférieur ou pied du pédoncule cérébral . Pul, pulvinar. Qa, tubercule quadrijumeau antéri
e. Nous nous trouvons ici en effet à la limite du pied Au pédoncule cérébral (P) et du segment postérieur de la capsule intern
egment postérieur de la capsule interne (Cip). Le pied du pédoncule cérébral (P) décrit une courbe à concavité posté- rieure
du tuber cinereum (Te). En avant et en dehors, le pied du pédoncule cérébral est limité par la bandelette optique (II), qui
ombreux fascicules de fibres dans le pulvinar. Le pied du pédoncule cérébral (P) ne diffère de celui de la coupe précédente n°
putamen). .YR, noyau rouge. P, étage inférieur ou pied du pédoncule cérébral . l'ul, pulvinar. Qa, tubercule quadrijumeau antér
substance grise, au niveau de l'angle interne du pied du pédoncule cérébral , (P.). Le tubercule quadrijumeau antérieur (Qa)
), l'apparition du locus niger (Ln) il la partie interne du pédoncule cérébral et la disposition particulière que présente le
putamen). XR, noyau rouge. l', étage inférieur ou pied du pédoncule cérébral . PTml, pédoncule du tubercule ma- millaire laté
t externe (Cgi, Cge), de la partie postérieure du pied Au pédoncule cérébral (P). Le noyau rouge (NR) commence à diminuer de
u niveau de la partie libre de la face interne du pied du pédoncule cérébral (P), en arrière du locus niger, au niveau de la
large zone d'émergence de la troisième paire. Le pied du pédoncule cérébral (P) est presque complètement constitué sur la c
irl) et correspond au sixième externe environ, du pied du pédoncule cérébral . Le putamen (NL3) est réduit il une petite band
la ligne 10 x de la figure 315. Cette coupe passe par le pédoncule cérébral (P), et du côté de la base du cerveau, par la p
longement sphénoïdal du ven- tricule latéral (Vsph). Le pédoncule cérébral (P) n'est plus relié maintenant à la base du cerv
é interne. (Cgi) est apparent il la surface extérieure du pédoncule cérébral , où il forme un petit noyau ovalaire de substan
ire (putamen). - NR, noyau rouge. - P, étage inférieur du pédoncule cérébral . Plch, plexus choroïde. PTml, pédoncule du tuberc
ion du crochet (U). Cette dernière est séparée du pied du pédoncule cérébral (P) par la bandelette optique (II). Sur cette c
ar la bandelette optique (II). Sur cette coupe le pied du pédoncule cérébral (P) est complètement constitué. Le locus niger
partie postérieure du locus niger. Les fibres du pied du pédoncule cérébral (P) présentent déjà un aspect un peu particulie
ser, pour se continuer avec le stratum : ;rmale(strz). Le pédoncule cérébral est sectionné au voisinage dn sillon transversal
Syl- vius (SgAq). , Après avoir embrassé la petite racine motrice cérébrale ou descendante de la 5° paire (Vc) (voy. coupes
graduelle du noyau rouge et cet aspect si particulier du pédoncule cérébral , lorsqu'on le considère à l'état frais, ont fait
sensiblement avec la substance réticulée de la calotte du pédoncule cérébral (SR), substance l'di- culée qui va prendre sur
a constitution de la substance réticulée de la calotte du pédoncule cérébral (SR) et de la protubé- rance puis dans celle du
supérieur ou calotte du pédoncule, est séparée du pied du pédoncule cérébral (P), par le locus niger (Ln) qui a pris une grand
ules pigmentées disposées en groupes. L'aspect du pied Au pédoncule cérébral ne diffère pas beaucoup de celui de la coupe préc
termedium de Meynert (SIri) (fin. 193 et 297). Le pied du pédoncule cérébral est nettement délimité en arrière; il ne reçoit
eçoit plus aucune fibre de la base du cerveau. Le pied du pédoncule cérébral , de même COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 6M
upe ne diffère du reste que très peu de la précédente. Le pédoncule cérébral est complètement libre et n'adhère plus il aucun
refoule le noyau rouge en avant et en dehors. Le pied du pédoncule cérébral (P) a augmenté de volume ainsi que le locus niger
antérieur. NR, noyau rouge. P, étage inférieur ou pied du pédoncule cérébral . Pes, pédoncule cé- rébelleux supérieur. - Qa,
leux a été décrit par Forel. Ce petit faisceau représente la racine cérébrale ou la petite racine motrice descendante de la cin
cule quadrijumeau postérieur. P, étage inférieur ou pied du pédoncule cérébral . Pcs, pédoncule cérébelleux supérieur. Qp, tube
. Le stmtum intei'medill1n s'est fusionné avec le pied du pédoncule cérébral (P), dans lequel il envoie des fibres horizonta
ec les fibres à direction oblique ou verticale du pied du pédoncule cérébral , En dedans, le pied Au pédoncule cérébral est l
cale du pied du pédoncule cérébral, En dedans, le pied Au pédoncule cérébral est limité par un faisceau arci forme (Tpo), comp
en avant et en dehors, pour entourer le tiers interne du pédoncule cérébral . Obersteiner désigne ces fibres, qui viennent des
araître sur les coupes s suivantes (Voy. t. II, Coupes du pédoncule cérébral ). Pour nous, nous basant sur l'étude des coupes
coude ensuite brusquement au niveau du bord postérieur du pédoncule cérébral , pour se porter en bas, et longer le bord externe
eur, avec lequel il se confond. CHAPITRE IV STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE Si l'on examine une coupe vertico-transversale,
ou sagittale de l'hémisphère, on constate que chaque circonvolution cérébrale est formée de deux substances, l'une blanche en
r la substance blanche, l'entoure de toutes parts et forme l'écorce cérébrale . ° L'écorce cérébrale, mesure en moyenne de 1,5
, l'entoure de toutes parts et forme l'écorce cérébrale. ° L'écorce cérébrale , mesure en moyenne de 1,5 à 4 millimètres, son ép
fig. 330). Au niveau de la face interne du lobe occipital, l'écorce cérébrale apparaît formée seulement par trois couches, l'
ubstance blanche et substance grise des circonvolutions. Ecorce cérébrale . Variations dans l'épaisseur cie l'é- corce
écorce n'est pas partout la même. Kollikcr divisait en z ? l'écorce cérébrale en trois couches : une couche externe blanche,
des huit couches de Meynert (fig. 345). Cette division de l'écorce cérébrale en un nombre limité de couches présente évidemm
s égales, superficielle, moyenne et profonde. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 665 . -- Ramon y Cajal, considérant que la 4°
les progrès réalisés depuis un siècle dans la structure de l'écorce cérébrale . Si on examine au microscope une coupe de cir
s de Weigert ou Pal, soit par le carmin, on constate que l'écorce cérébrale est formée de cellules ner- veuses, de fibres n
angentielles, qu'est dû l'aspect concentrique que présente l'écorce cérébrale sur une coupe Lesquatro couches le Ramon y Ca
quatro couches le Ramon y Cajai. ; i Structure de l'é=; ,orce cérébrale . i Cellules nerveuses Cellules nerveuses.
es ou tangentielles. Fis. 329. - Coupe transversale de l'écorce cérébrale d'un sup- plicié colorée au picro-carmin. Gro
dales. - Pm, couche des cellules polymorphes. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . GG'7 transversale, apparence si facile à const
léments n'est du reste pas la même dans toute l'étendue de l'écorce cérébrale , et il convient de distinguer à cet égard l'éco
brale, et il convient de distinguer à cet égard l'écorce du manteau cérébral (pallium cerebri) de celle du dlinPncéphaloll.
(pallium cerebri) de celle du dlinPncéphaloll. I. ÉCORCE DU MANTEAU CÉRÉBRAL L'écorce du manteau cérébral présente des modif
linPncéphaloll. I. ÉCORCE DU MANTEAU CÉRÉBRAL L'écorce du manteau cérébral présente des modifications structurales qui var
, à l'aide de la méthode de Golgi, que les libres Kcorcedumautcau cérébral et écorce du l'l11noncéphalon. Ecoroodumautca
utcau cérébral et écorce du l'l11noncéphalon. Ecoroodumautcau cérébral . Les quatre couche de Ramon y Cajal. Zone m
Fig. 331. Cellules polygonales de la couche moléculaire de l'écorce cérébrale du lapin de 8 jours. Coupe antéro-postérieure.
pe de Cajal. Coupe longitudinale de la couche moléculaire de l'écorce cérébrale du lapin âgé de 8 jours. Imprégnation par lamét
pe de Cajal. Coupe longitudinale de la couche moléculaire de l'écorce cérébrale du lapin âgé de 8 jours. Imprégnation par la mé
rale d'un supplicié. (D'a- près W. Vignal.) STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 671 des panaches ascendants des cellules pyram
le pyramidale. l'ic. 336. Cellule pyramidale géante de l'écorce cérébrale de la souris d'un mois. Méthode rapide de Golgi
s collatérales. Fig. 338. Cellule pyramidale type moyen de l'écorce cérébrale de l'homme adulte. Lobe frontal. Méthode de Gol
téhrés. Variétés de forme des petites cellules pyramidales. cérébrale , pour se continuer dans la substance blanche, ave
e fibres nerveuses, particulièrement serré au STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 677 niveau de la partie moyenne de la couche d
phes, on trouve encore dans les trois dernières couches de l'écorce cérébrale des cellules de Golgi, cellules à cylindre-axe
rouve dans l'épaisseur de la substance grise et blanche de l'écorce cérébrale un grand nombre de cellules névro- gliques qui
ngs, lisses et ordinairement indivis (fig. 341). Fibres de l'écorce cérébrale . Les fibres de l'écorce cérébrale sont les unes
is (fig. 341). Fibres de l'écorce cérébrale. Les fibres de l'écorce cérébrale sont les unes pourvues, les autres dépourvues d
axes, sont au contraire dépourvus de myéline. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 679 Les fibres myéliniques de l'écorce cérébra
CTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 679 Les fibres myéliniques de l'écorce cérébrale sont décelables à l'aide de l'acide osmique, de
cipales; les unes traversent radiai- rement l'épaisseur de l'écorce cérébrale , ce sontles fibres radiées ; les autres sillonn
lles de l'écorce. Elles occupent toute la hauteur de l'écorce cérébrale . grandes et moyennes et par les cylindres-axes
es aux fibres radiées ; elles occupent toute la hauteur de l'écorce cérébrale , et constituent un feutrage plus ou moins dense p
A, substance blanche. B, couche moléculaire. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . C83 trage super-radiaire et la zone interne so
et la zone interne sous celui de feutrage inler-radiaire. L'écorce cérébrale présente donc de dehors en dedans cinq couches de
il direction tangentielle, qui occupe toute la hauteur de l'écorce cérébrale , sont d'après Cajal les suivants : 1° Les colla
et Exner l'ont montré, les plus fines fibres à myéline de l'écorce cérébrale et constitue un plexus très lâche formé, d'après
l ? 8 (Kaes). Peu développée chez les jeunes STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 685 individus où elle ne contient que quelques
en moyenne 0,11,11,46 (Kaes), occupe la partie moyenne de l'écorce cérébrale et se délimite mal en général des couches adjac
-corticales de Meynert (Fibres d'asso- ciation externes de l'écorce cérébrale [Bechterew], couche d'association externe de, M
fibres tangentiel) es qui occu- pent toute l'épaisseur de l'écorce cérébrale assurent les connexions, soit entre les cellule
La cellule pyramidale occupe en effet toute la hauteur de l'écorce cérébrale : par son panache proloplasmique, elle atteint
, elle atteint les confins de la couche mole- STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 687 culaire, et elle plonge dans les autres co
es connexions nervoso-protoplasmiques dans les cellules de l'écorce cérébrale . (D'après Cajal.) A, petite cellule pyramidale.
les stimulants mécaniques, chimiques et . 1 électriques de l'écorce cérébrale , qui provoquent la contraction de groupes muscu
éritage d'adaptations 'antérieures, soit pour STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . ' 689 d'autres causes, offrent, en compensatio
ligence de l'enfant et de l'époque de la myélini- sation des fibres cérébrales . Elle est encore corroborée par les recherches
e corroborée par les recherches de Kaes sur la richesse de l'écorce cérébrale en fibres myéliniques. Cet auteur a montré, en
Chez des foetus un peu plus âgés sa consistance augmente; l'écorce cérébrale , dans laquelle apparaissent les grandes et les
ellules. Pour Bevann Lewis, les grandes ce 1- STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . <t9t 1 Iules pyramidales, correspondant aux
de l'insula ne se différencie que peu de celle du reste de l'écorce cérébrale (Mayor, Meynert, Mondino). Elle pré- sente les
e principale ou ascendante se dirige vers la superficie de l'écorce cérébrale , leurs dendrites basilaires sont nombreuses et
e de l'écorce et forment une sorte de barrière, qui sépare l'écorce cérébrale de la substance blanche sous-jacente (Mondino). C
ouches dans l'écorce occipitale, à savoir : - STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE .. 693 1° La couche moléculaire; 2° La couche
triangulaires ou étoilées, caractérisées, comme dans toute l'écorce cérébrale , par la multiplicité de leurs cylindres-axes et l
tes cellules pyramidales (2° couche) des autres régions de l'écorce cérébrale , est constituée par des cellules nerveuses et d
uban de Vicq-d'Azyr. v, orifices vasculaires. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 697 rection ascendante, qui se termine dans la
ÉPHALON L'écorce du rhinencéphalon se distingue de celle du manteau cérébral non seulement par l'agencement particulier de s
- convolution du corps calleux, ne se distingue de celle du manteau cérébral , que par quelques légères modifications qui por
fications qui portent surtout sur la présence STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . G99 de la strie interne, de Baillarger, et la
ue (L,) se distingue encore de celle des circonvolutions du manteau cérébral , par les particularités sui- vantes signalées p
antéro-postcricures de la couchc moléculaire. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 701 1 ' une fibre à myéline, soit de la couche
toutes les ex- pansions dendritiques, contient, comme dans l'écorce cérébrale ordinaire, un grand nombre de fibres tangentiel
hose, ainsi que l'a montré Blumenau, qu'un prolongement de l'écorce cérébrale , dont ils possèdent la même structure fondament
èdent la même structure fondamentale. La simplification des couches cérébrales est encore beaucoup plus grande dans l'induseum
e ici, comme dans Les nerfs do Lancisi représentent une ccorC'e cérébrale très simplifiée. Deuxième circon- colution
noyau lenticulaire. - oi, sillon collatéral. l', pied du pédoncule cérébral . - l'es, pédoncule céré- belleux supérieur. - P
de Gratiolet. - SR, substance réticulée de la calotte du pédoncule cérébral . Tap, tapetum. - Tgp, pilier postérieur du trigon
-circularis. Zr, zone réticulée ou grillagée. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 703 2° la couche des petites cellules pyramida
de la région adjacente de la corne d'Ammon; par la voie du trigone cérébral , ces fibres entrent dans la constitution de la
hip- pocampe et avec des régions plus ou moins éloignées du manteau cérébral . 2° Corne d'Ammon. -La corne d'Ammon constitue
sentent, ainsi que Mathias Duval l'a mon- tré, deux circonvolutions cérébrales adhérentes entre elles par leur couche 1 molécu
ge la circonvolu- tion godronnée, qui représente une circonvolution cérébrale avortée, proton- STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRAL
une circonvolution cérébrale avortée, proton- STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 705 1 dément modifiée, plissée en forme débour
u sillon de l'hippocampe ; 2° par la superposition des deux écorces cérébrales dans la région du hile , de la circonvolution (
qu'il existe à ce ni- veau une sllpelposi- tion de deux écorces cérébrales . Limites de la corne d'Ammon. i Région go
d'.\mmon. Structure de la corne d'Ammou. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 707 d'Ammon : 1° La région inférieure ou hippo
e la circonvolution godronnée et il existe à ce niveau deux écorces cérébrales superposées. La ligne poinlillée ..... correspo
couches de la corne d'Ammon et celles de l'écorce du man- teau cérébral . Les 5 couches de la corne d'Ammon de Cajal
uches de la corne d'Ammon aux quatre couches de l'écorce du manteau cérébral , on peut construire le tableau ? 1riv : mt, : v .
t construire le tableau ? 1riv : mt, : v . '. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 70'9 « . tum, la couche dès cellules pyramidal
cette couche soit dans la couche moléculaire. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . ili la couche des cellules pyramidales; il est
le à celle des cellules pyramidales grandes et moyennes de l'écorce cérébrale typique. Les couches les plus supérieures conti
teindre les confins de la couche moléculaire. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . il : ) Les panaches dendritiques (descendants
nstitution des fibres transversales ou commissurales du trigone cérébral . Cette branche col- latérale ne doit pas être c
gnant la périphérie de la couche moléculaire. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 715 Iules pyramidales sedistinguent par des ca
éo de la corno d'Ammon, se conti- nue avec une fibre du trigone cérébral . L'épaisse collaté- rale il trajet ascen- d
e cylindre-axe pénètre dans la corne d'Ammon. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 717 1 3. Stratum oriens. Couche des cellules p
analogue à celui des cellules décrites par Martinotli dans l'écorce cérébrale typique, il s'arborise dans la couche moléculaire
couche moléculaire. - c, c, cylindres-axes. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . il\) présentent des particularités intéressant
laire, la couche des cellules pyramidales, le STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 721 stratum oriens, et sont toutes destinées à
ésente donc en résumé, d'après Cajal, l'écorce d'une circonvolution cérébrale , à texture simplifiée dans les couches pro- fon
le ou moléculaire. Tandis que dans la couche moléculaire de l'écore cérébrale typique, il n'existe STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉ
ire de l'écore cérébrale typique, il n'existe STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 723 qu'un seul plexus formé par les cylindres-
ution godronnée, comme on l'observe dans les autres circonvolutions cérébrales ; elle en est séparée par une deuxième écorce,
volutions cérébrales ; elle en est séparée par une deuxième écorce, cérébrale possédant une couche molécu- laire, une couche
a corne d'Ammon. Il résulte de la superposition de ces deux écorces cérébrales , que les fibres de la circonvolution godronnée
destination (fig. 351 et 353). Cette superposition de deux écorces cérébrales est particulièrement évidente au niveau de la ban
La circonvolu- tion godronnée re- présente une circon- volution cérébrale avortée. Son écorce est su- prpo,rée : l·dc
rois couches fondamen- tales que l'on rencontre dans la corticalité cérébrale et dans la corne d'Ammon, à savoir : la couche
laire. Cette couche, analogue à celle de même nom de la corticalité cérébrale , reçoit les panaches épineux des grains ou cell
onvolution godronnée; on y trouve en outre, comme dans toute écorce cérébrale , un grand nombre de fibres tangentielles et deu
he des éléments polymorphes (fig. 363, c, f). STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 725 . 3 Ramifications cylindre-axiles terminal
s-axes ascendants dans la couche moléculaire. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . ï27 nellement, enfin que ces cellules présente
e nettement des cellules pyramidales des autres régions de l'écorce cérébrale . Le cylindre-axe de ces cellules est fin et dépou
llatéral inférieur d'une de ces expansions. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE , ? )9 fibres moussues (fig. 366). Ils présenten
gue ainsi due l'a indiqué Schâffer, à celle de même nom de l'écorce cérébrale , est limitée en haut par le stratum granulosu
ouche moléculaire.. B, cou- che des grains. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . nI couche moléculaire de la circonvolution god
lfactif. . Bulbe olfactif. - Le lobe olfactif représente une écorce cérébrale pro- fondément modifiée, surtout au niveau du b
inte des flèchesindique le sens des courants. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 737 Iules d'origine sont encore inconnues. Ces
dent dans le tuber- cule mamillaire et dans la calotte du pédoncule cérébral . De ce qui vient d'être dit, il résulte donc, a
ésente, ainsi que Calleja vient de le montrer récemment, une écorce cérébrale avortée caractérisée par le groupement en îlots
iable : les uns sont semi-lunaires et très rapprochés de la surface cérébrale , les autres affectent une forme ovoïde ou arrondi
lon par celle du septum lucidum qui représente une véritable écorce cérébrale profondément modifiée. Le septum lucidum, qui a
e l'hémisphère, et qui est par conséquent l'homo- logue de l'écorce cérébrale , est constitué de la manière suivante : la face d
ventricule delà cloison correspondu bipartie STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 739 superficielle de cette écorce rudimentaire
ie, 1879. CAJAL (S. Ramon y). Te : ¡;(lIra de las ci·convnheci.ones cérébrales de los ? n( ! ))H'/e)'0 ! i inferiores, 10 décemb
de cellulas nerviosas espcciales en la primera capa de la cor- tcza cérébral . Gaz. med. Catalana, 1890. - Du même. Sobre la ex
ifu1'cacionesy colaterales en la primera capa de las circonvoluciones cérébrales . Gaceta medica ~ catalana. Noviembre, 1891. Du
~ catalana. Noviembre, 1891. Du même. Sur la structure de l'écorce cérébrale de quelques mammifères, avec pl. La Cellule, 18
Vicq d'Azyr, 1887. Du même. Contributo allô studio della corteccia cérébrale ed alt' origine dei nervi. Ann. di freniatria e
os de las aves. Gac. san. de Barcelona, 1890. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE . 741 - Du même. El encefalo de los reptiles. ni
it- schr. f. wissench. Zool. 1891, Leipzig. Sala. PONS. La. corteza cérébral de los aves. Madrid, 1893. Schabeer. Beitrag zu
78. Thomas (A.). Contribution à l'étude de l'évolution des cellules cérébrales par la méthode de Golgi (Société de Biologie, 189
rvenk. 4887. - . CHAPITRE V 0 SUBSTANCE BLANCHE DES HÉMISPHÈRES CÉRÉBRAUX Les ^fibres de la substance blanche compren
sous-jacente à n'importe quelle partie de l'écorce, soit du manteau cérébral , soit du rhinencéphalon, comprend quatre espèces
iation qui relient deux régions plus ou moins éloignées de l'écorce cérébrale ; 2° des fibres commissurales qui unissent les d
sphères entre eux; 3° des fibres de projection qui relient l'écorce cérébrale aux ganglions centraux, à la région sous-optique,
omprennent : a, des fibres nées d'une région quelconque de l'écorce cérébrale et qui se terminent en s'arborisant dans une autr
nt par des arborisations libres dans la substance grise de l'écorce cérébrale . Les fibres d'association naissent de préférenc
, la commissure antérieure et les fibres trans- versales du trigone cérébral (fornix transversus de Forel, faisceau commis-
commissural du rhinencéphalon, et le corps calleux celui du manteau cérébral . L'origine des fibres calleuses est complexe. Q
ollatérales, qui setDrnrtlre11t par des arborisations dans l'écorce cérébrale . Chaque fibre calleuse est donc en réalité comp
égions symétriques et asymétriques de l'écorce des deux hémisphères cérébraux . 3 Les fibres de projection naissent de tous le
pètes se terminent par des arborisations libres dans l'écorce cérébrale . Cajal elles viennent en outre des cellules pyr
let ces Ë libres terminales, ne les décrit pas à part dans l'écorce cérébrale . L'étude * .. de ces fibres est en effet partic
considérable pour constituer un facteur très important de l'écorce cérébrale (Cajal). Parmi ces fibres les unes, ainsi que n
ubstance grise dans les couches moyennes et inférieures de l'écorce cérébrale . Nous n'étudierons ici que les systèmes des fib
nert, fibres arquées d'Al'11old, fibres propres des circonvolutions cérébrales ). - Les courtes fibres d'association relient de
l l'autre, qui compliquent l'étude des circonvolu- tions du manteau cérébral . Les fibres les plus courtes et les plus superfi-
l'hémisphère. Les quatre autres faisceaux appartiennent au manteau cérébral dont ils relient les différents lobes. Le faisc
| in]). Arnold le considérait à tort, comme formant avec le trigone cérébral un seul et même système, simple au niveau de la
campe, dédoublé au niveau du corps calleux. Il désignait le trigone cérébral sous le nom de fornix intérims, le cingulum Fon
irconvolutions frontales. Il étage inférieur ou pied du pédon- cule cérébral . - l'Tnl, pédoncule du tubercule mamillaire latér
ance innommée de Reichert. - Slri, stratum intermedium du pédoncule cérébral . - Ti, première circonvolution temporale. - Te, t
splénium), sur le forceps et sur le système commissural du trigone cérébral (Lyre de David) (fig. 378, 379, 380). Le lapetu
me terminale embryonnaire. oisillon occipilo-tcmporal. P, pédoncule cérébral . po, scissure pariéto-occipilale. PrC.précunéus
le influence, s'opérerait une telle transformation. Dans l'agénésie cérébrale congénitale, il s'agit en effet d'un arrêt de d
terne. - ds, diverticule du subiculum. Ec, bord d'arrêt de l'écorce cérébrale . ? Fli, faisceau longitudinal inférieur. - ? ci
demeure intact après la section du corps calleux, lorsque l'écorce cérébrale n'est pas acciden- tellement lésée pendant l'op
tance grise qui relie l'avant-mur au noyau amygdalien et à l'écorce cérébrale avoisinante (fig. 386). Sur les coupes traitées
vec les fibres de ce segment postérieur dans le pied du pédon- cule cérébral , dont elles concourent à former le cinquième exte
partie moyenne de la couche optique, le noyau rouge et le pédoncule cérébral . Méthode de Weigert. Agrandissement 3/2. Détail
collatéral et au troisième sillon temporal. - P, pied du pédoncule cérébral . Pa, circonvolution pariétale ascendante. Parc, l
illé interne, au pulvinar, au globus pallidus, au pied du pédoncule cérébral , etc., etc. ; elle doit donc nécessai- rement.
. jection du lobe temporal qui descendent dans le pied du pédoncule cérébral . 116 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le faiscea
S CENTRES NERVEUX. Le faisceau ex- terne du pied du pé- doncule cérébral ou faisceau « de Tiirck » ne reçoit pas de fi
s qui constituent le cinquième externe environ du pied du pédoncule cérébral , c'est-à-dire que les fibres du « faisceau dit
pes microscopiques sériées, lui ont montré que le pied du pédoncule cérébral , ainsi que le segment posté- rieur de la capsul
apsule seul est altéré. Vialet, dans ses recherches sur les Centres cérébraux de la vision, est arrivé aux mêmes résultats. L
adrijumeau antérieur, mais respecte absolument le pied du pédoncule cérébral . Par contre, dès que les altérations corticales
ccolé, n'envoie pas de libres dans l'étage infé- rieur du pédoncule cérébral . Isolé ou associé aux radiations optiques, le f
lobe occipital et qui constituait le faisceau externe du pédoncule cérébral . Pour Brissaud, qui adopte les idées des auteur
tif interne, aboutissant tous deux au faisceau externe du pédoncule cérébral ou faisceau de Tiirck. Cette conception ne peut
a sensibilité générale. (Voy. t. II, Ruban de Reil et Localisations cérébrales .) Le faisceau de Tùrck n'est pas le seul faisce
des fibres de projection tout comme les autres régions de l'écorce cérébrale , et que ces fibres arrivent à leur destination
terme de fornix est aujourd'hui universellement appliqué au trigone cérébral ; l'usage n'a pas en effet fait prévaloir le terme
pliqué par Arnold au cingulum. Or, nous distinguons dans le trigone cérébral le corps du fornix, les colonnes du fornix, les
e Gudden, Forel, Honegger, etc., ont montré en outre que le trigone cérébral renferme un système fort complexe de fibres : o
es ces raisons nous réserverons donc le terme de forai ? au trigone cérébral et désignerons la couche de fibres d'associatio
verse de Forel. Ce dernier faisceau ne peut être séparé du trigone cérébral , FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 787
u système des fibres de projection. du rhinencéphalon (Voy. Trigone cérébral , t. II). Corps calleux (Ce). Les fibres calle
érique, qui relie entre elles toutes les circonvolutions du manteau cérébral , à l'exception du lobe olfactif et de l'extrémi
sociation ou des fibres de projection. Nées de toute la corticalité cérébrale , elles convergent à la façon des rayons d'une r
misphère du côté opposé. Dans leur trajet radié, étendu de l'écorce cérébrale à l'angle externe du ventricule latéral, les fi
ntant, ainsi que nous l'avons dit à maintes reprises, qu'une écorce cérébrale plus ou moins modifiée; mais, ainsi que le fait
nce du corps calleux dans les lésions occi- pitales. l'écorce cérébrale ne soit pas accidentellement lésée pendant l'opér
es dégénérescences secondaires consécutives aux lésions de l'écorce cérébrale , les fibres du tapetum dégé- nérant en effet co
Les lésions primitives, colorées en orangé, sont limitées à l'écorce cérébrale et épargnent presque complètement la masse blan
de dégé- nérescences secondaires colorées en jaune paille. L'écorce cérébrale est ratatinée et sclérosée au niveau des foyers
tivement à n'importe quelle lésion un peu étendue de la corticalité cérébrale , comme l'ont, mon- Le cas a trait a un maiacie
s sous-corticales ou dans les foyers primitifs, étendus de l'écorce cérébrale à l'épendyme ven- triculaire. Dans ce dernier c
é par un grand nombre de fibres qui, venant de toute la corticalité cérébrale (à l'exception du lobe olfactif et de la pointe
surant le fonctionnement simultané de différents points de l'écorce cérébrale du même côté et du côté opposé. z Quant à l'anc
urs, où son développement est en raison directe de celui du manteau cérébral . La commissure antérieure est un faisceau blanc
ule-striées), qui sont le point de départ fréquent de l'hémorrhagic cérébrale . Sur un cerveau durci par l'alcool ou les bichrom
SCHN : 1LBE. Lehrbuch der Neurologie. 1881. VIOLET (N.). Les centres cérébraux de la vision. Th. de Paris, 1893. Du même. Note
4 (1854) Mémoire sur les plis cérébraux de l'homme et des primatès
MÉMOIRE SUR LES PLIS CÉRÉBRAUX DE L'HOMME Kl DES PRIMATES, PAR M. PIERRE G
t atteindre. J'ai, dans ce travail, étudié scrupuleusement les plis cérébraux des singes. Plusieurs raisons m'ont engagé à trai
aîne de l'Homme aux Hapalinés, j'ai pu étudier l'arrangement des plis cérébraux , et j'ose espérer que, par le nombre de figures o
l'analogie singulière que présentent, dans tous ces êtres, les formes cérébrales . Le cerveau plissé de l'Homme et le cerveau lisse
mun à tous ces êtres. Cette uniformité dans la disposition des plis cérébraux dans l'Homme et dans les Singes est digne, au plu
on des philosophes. De même, il y a un type particulier de plissement cérébral dans les Makis, les Ours, les Felis, les Chiens,
peuvent être aisément réunies d'après la seule considération des plis cérébraux . 11 serait utile d'examiner successivement chac
dans l'état actuel de la science, celle de la détermination des plis cérébraux homologues dans des animaux appartenant à des fam
l'espèce humaine, par une étude approfondie des variétés que les plis cérébraux présentent, aux différents âges de la vie, dans l
hui le comble aux bontés dont il m'honore. MÉMOIRE SUR LES PLIS CÉRÉBRAUX DE L'HOMME ET DES PRIMÂTES. PREMIÈRE PARTIE.
é de son vain système, n'eût enfin donné à cette partie de l'anatomie cérébrale une précision plus grande. Mais il ne s'agissait
es. A. Les premières observations relatives à la structure des plis cérébraux sont dues a Vicq-d'Azyr. Il remarque qu'à la part
n grossière, mais faisant image. Comparons l'écorce de l'hémisphère cérébral à une grande bourse portant une large ouverture.
utes celles qui sortent de sa cavité Ces fibres, attachées au noyau cérébral qui termine l'axe, ne forment point des rayons ré
paisseur des couches corticales. Ces couches, appliquées sur le noyau cérébral et moulées, en quelque sorte, autour des ventricu
ions fausses ou insuffisantes je substitue le nom plus simple de plis cérébraux , qui convient à la description du cerveau de tous
orticales n'ont aucune adhérence avec les fibres qui émanent du noyau cérébral ; au sommet des plis, au contraire, les fibres pé
ent dans les couches, et l'adhérence est intime. % Ainsi les plis cérébraux indiquent, d'une manière fidèle, les séries des p
on avec l'écorce du cerveau. Sous ce point de vue, l'étude des plis cérébraux intéresse éminemment le physiologiste, et leur di
ai donc conçu le dessein de m'élever ainsi à la connaissance des plis cérébraux de l'Homme (1). (1) Les résultats auxquels je s
n-thropologistes l'idée de ne plus négliger la considération des plis cérébraux des races qu'ils étudient. C'est là une mine féco
et pleins, et juger, d'après cela, que l'équivalence du développement cérébral dans les différentes races soit un procédé digne
ando, plusieurs anatomistes ont essayé de décrire les circonvolutions cérébrales . M. le professeur Cruveilhier, après avoir admis
e postérieur sont : 4*' La circonvolution qui longe la grande fente cérébrale et continue la circonvolution du corps calleux ;
s ces circonvolutions partent de la circonvolution de la grande fente cérébrale . De la partie antérieure de cette circonvolution
n résumé, la description que M. Cruveilhier donne des circonvolutions cérébrales de l'Homme. Cette description est bien comprise,
épaisseur, est toujours en raison directe du volume de l'hémisphère « cérébral . » Bien que M. Fréd. Arnold n'ait point essayé
que M. Fréd. Arnold n'ait point essayé de décrire les circonvolutions cérébrales , il serait injuste, toutefois, de le passer sous
son tour, de déterminer la nature et la position des circonvolutions cérébrales des Mammifères et de VUomme (Anat. ñîòð. du cerve
ressortir la comparaison des circonvolutions de l'Homme avec les plis cérébraux des Singes. § "V. Si l'histoire de l'anatomie
eau de l'Orang, et en outre il en a donné le profil externe; les plis cérébraux ne sont nullement indiqués sur ses figures. M.
, les figures qu'ont données MM. Valider Kolk et W. VVrolik; les plis cérébraux du Chimpanzé y sont fort bien étudiés, malheureus
des groupes principaux que forment dans l'Homme, les circonvolutions cérébrales , et, en second lieu, de déterminer suivant quelle
imordiale du type ; dans les derniers, la réduction .'Íes appareils cérébraux est poussée si loin, que nulle ligne circonvoluti
t. Une grande scissure médiane divise, comme dans l'Homme, la masse cérébrale en deux moitiés symétriques ; on donne a ces moit
st, à peu de chose près, plane et régulière. L'ensemble de la masse cérébrale étant ainsi divisé en deux moitiés égales et symé
dre pour n'être point rejetées. J'étudierai successivement les plis cérébraux de la face externe de l'hémisphère et ceux qui en
dignité de chaque espèce et du degré de son intelligence. Les plis cérébraux du Callitriche sont très-simples, assez larges, à
sont, en général, très-profonds et descendent souvent jusqu'au noyau cérébral . Leur description demande absolument le secours
escription demande absolument le secours d'une figure. § vm. PLIS CÉRÉBRAUX DE LA FACE EXTERNE. Deux scissures principales
oyons, en effet, que le rapport des différentes parties de la surface cérébrale avec les trois vertèbres fondamentales du crâne n
u préférables à toutes les autres. Décrivons succinctement les plis cérébraux qui se dessinent sur les quatre lobes que nous av
rd épais remarquable par sa saillie, mais dont les limites, comme pli cérébral , ne sont bien déterminées que du côté de la sciss
le interne du champ olfactif ou quadrilatère perforé. Tous les plis cérébraux de la face interne sont disposés, suivant des dir
tre point qu'il importe de remarquer dans l'histoire du développement cérébral est relatif à la mesure de l'angle que forme la s
ure, divisent d'une façon très-simple la face interne de l'hémisphère cérébral . Toute cette partie de la face interne, qui est
ace interne de l'hémisphère, qui est située au-dessous de l'ouverture cérébrale et de la partie postérieure de la circonvolution
lobule occipital interne, 3° Le lobe occipito-temporal. Les plis cérébraux qui occupent la surface de ces lobes sont, en gén
e bien fait seraient encore préférables. § XIL Tels sont les plis cérébraux du Callitriche. Je les ai décrits avec un soin et
tail peut-être fastidieux ; mais l'uniformité du plan d'organisation cérébrale dans les Primates est si grande, que cette descri
lorié en couleurs diverses, dans mes figures, les différentes régions cérébrales . Je n'avais d'abord appliqué cette méthode qu'à q
l'ordre descendant les Macaques et les Cynocéphales. § XIII. PLIS CÉRÉBRAUX DES GUENONS. Le cerveau des Guenons est, en gén
ient de la manière la plus irrégulière ; quoi qu'il en soit, les plis cérébraux paraissent un peu plus riches dans la Mone que da
n peut tirer de ces particularités des caractères intéressants. PUS CÉRÉBRAUX DES SEMNOPITHÈQUES. Si des Guenons proprement d
tion zoologique du Soulili, d'après les lois connues du développement cérébral . En un mot, les seuls témoins irrécusables, les
grande analogie n'est pas moins évidente dans la disposition des plis cérébraux . S XV. PLIS CÉRÉBRAUX DES GIBBONS. La colle
moins évidente dans la disposition des plis cérébraux. S XV. PLIS CÉRÉBRAUX DES GIBBONS. La collection du muséum ne posséda
erons quelques observations. Dans le fœtus dont il s'agit, les plis cérébraux postérieurs sont bien développés, tandis que les
âge très-avancé, et par conséquent de perfectionner son organisation cérébrale ? Un fait curieux, dont M. Baillarger a entretenu
degrés les plus infimes de cette série, et passons à l'étude des plis cérébraux des Macaques et des Babouins, de ces animaux hide
ieux encore les signes d'une dégradation universelle. § XVI. PLIS CÉRÉBRAUX DES MACAQUES. Nous décrirons séparément le cerv
agots, qui s'en rapprochent par tous les détails de leur organisation cérébrale . (1) C'est là une opinion fort connue de Tiedem
liées par M. Lelut sur les crânes des idiots et des imbéciles. Plis cérébraux des Macaques à queue courte (pi. YIII, fig. 7, 8,
ici, de peur de tomber dans des répétitions inutiles. § XYIL PLIS CÉRÉBRAUX DES VRAIS MACAQUES. Dans tous les Macaques que
iers, nous distinguerons, pour la richesse et la grandeur de ses plis cérébraux , le Pithecus inuus, c'est-à-dire le Magot. Le Man
t le Bonnet chinois paraissent terminer cette série. § XVÏIL PLIS CÉRÉBRAUX DES CH ROPITHÈQUES OU BABOUINS. Le cerveau des
Singes. Par la grandeur de leur lobe pariétal et la richesse des plis cérébraux , ils se distinguent du Rhésus. Par la petitesse d
la juste réputation de leurs auteurs. J'ai analysé avec soin les plis cérébraux de l'Orang et ceux du Chimpanzé ; quand ils m'ont
cerveau de l'Orang-Outang; le cerveau du Chimpanzé. § xx. plis CÉRÉBRAUX DE l'ORANG-OUTANG. J'ai étudié le cerveau de VO
assez les lèvres de la scissure de Sylvius pour les examiner. Plis cérébraux de la face interne. Ces plis étaient bien connus
ses plis, et se rattache à une tout autre catégorie. § XXI. PLIS CÉRÉBRAUX DU TROGLODYTE CHIMPANZÉ. Je ne connais du cerve
Wrolick sont beaucoup meilleures (voy. pl. VI, fîg. 5 et 6). Les plis cérébraux y sont bien caractérisés; malheureusement l'état
je ne suis point en mesure de résoudre, par la considération des plis cérébraux , cette importante question. Toutefois je pourra
is. Ils n'accusent point, il est vrai, tous les détails de la surface cérébrale , qui chez ces animaux, de même que dans VOrang-Ou
que rappelle celle du cerveau des Cynocéphales. Ajoutons que les plis cérébraux laissent sur la boîte du crâne des impressions un
oposition : Le Chimpanzé et VOrang, jugés d'après leur organisation cérébrale , appartiennent à deux groupes, à deux types diffé
avec le type humain les plus grandes analogies. § XXIV. des plis cérébraux de l'homme. On connaît la forme du cerveau de l
ucoup moins excavé. dans la partie qui correspond au cervelet. Plis cérébraux . — Telles sont, en général, les relations des lob
e de deux, à savoir : Un pli supérieur qui longe la grande scissure cérébrale (pl. I, fig. '1.3'3'). Ce pli, fort simple et à p
faut arriver au cerveau des blancs idiots par arrêt de développement cérébral . Plis du lobe pariétal dans l'Homme. Plis asc
jusqu'au lobe occipital forment, de chaque côté de la grande scissure cérébrale , une bande large et chargée de plis nombreux (5'
t superficiels. Ce fait, au point de vue de la comparaison des plis cérébraux de l'Homme et de ceux des Singes, est au plus hau
il me semble qu'il y a plus de variétés dans la disposition des plis cérébraux de VOrang. Le Chimpanzé présente, sous ce point d
ésente, sous ce point de vue, quelques signes d'infériorité. Les plis cérébraux offrant, dans les différents individus de cette e
ts que je ne dois pas omettre ici. Ainsi, dans l'Homme, 4° Les plis cérébraux de la face interne sont beaucoup moins compliqués
liqués que ceux de la face externe ; 2" A la face externe, les plis cérébraux , très-nombreux et très-profonds dans tous les poi
le, les principaux caractères qui distinguent ou rapprochent les plis cérébraux de l'Homme de ceux des Singes. Disons maintenant
étrie rappellent involontairement la régularité, la symétrie des plis cérébraux dans les espèces inférieures. Il y a, sous ce rap
n admiration lorsque, jetant un coup d'œil sur l'arrangement des plis cérébraux , je retrouvai ce groupe de plis réguliers occupan
llèle qu'avec le cerveau des blancs idiots par arrêt de développement cérébral . Or la Vénus hottentote n'était point idiote. C
que nous venons d'invoquer ne s'appliquent pas seulement aux organes cérébraux , ils s'étendent à tous les systèmes organiques. D
que le droit de charité. Nous avons successivement analysé les plis cérébraux de l'Homme et des Primates de l'ancien continent,
nant aux Singes américains; et, après avoir vu comment l'organisation cérébrale s'agrandit et se développe, recherchons suivant q
voie s'opèrent la dégradation successive et l'anéantissement des plis cérébraux dans les Sapajous, dans les Sagouins et dans les
istote, Hisloriœ anim. , lib. II, § 13 ). (ìe vue de l'organisation cérébrale , est un fait que la raison seule aperçoit après u
es Sakis; Au quatrième, enfui, les Pinches et les Ouistitis. PLIS CÉRÉBRAUX DES CÈBES DU PREMIER GROUPE OU SAPAJOUS. Je déc
nt été en mon pouvoir de combler cette lacune (1 ). § XXVII. PLIS CÉRÉBRAUX DE l'aTÈLE BELZÉBUTH. Le cerveau des Áteles, du
au lobe temporal, ses plis ne présentent rien de particulier. Plis cérébraux de la face interne. Les plis cérébraux de la fa
rien de particulier. Plis cérébraux de la face interne. Les plis cérébraux de la face interne sont faciles à reconnaître. La
riches. Sauf ces différences, la description qui convient aux plis cérébraux de l'Atèle convient également aux plis cérébraux
ui convient aux plis cérébraux de l'Atèle convient également aux plis cérébraux du Lagotriche. Tels sont les plis cérébraux de
ient également aux plis cérébraux du Lagotriche. Tels sont les plis cérébraux de l'Atèle et du Lagotriche. Ces plis offrent un
oisins, diffèrent singulièrement au point de vue de leur organisation cérébrale . Je pense qu'en comparant attentivement des Saïs
en soit, le cerveau du Sai diffère beaucoup de celui du Sajou. Plis cérébraux du Saï capucin. Le cerveau du Saï capucin rappe
de la face externe, ils sont extrêmement minces. Tels sont les plis cérébraux du Saï capucin. Ils présentent, comme on l'a vu,
dont nous venons de décrire sommairement le cerveau, § XXX. PLIS CÉRÉBRAUX DU SAJOU BRUN [Ccbus apella). Le cerveau des Sa
s sont les derniers Singes qui présentent le système complet des plis cérébraux . Dans les Sagouins et les Ouistitis, que nous a
connaissance des faits que nous allons sommairement indiquer. PLIS CÉRÉBRAUX DES CÈBES DU TROISIÈME GROUPE. § XXXL PLIS CÉ
quer. PLIS CÉRÉBRAUX DES CÈBES DU TROISIÈME GROUPE. § XXXL PLIS CÉRÉBRAUX DES SAGOUINS. Le cerveau des Sagouins présente
u des Sagouins présente un exemple curieux de la dégradation des plis cérébraux dans les Singes américains. Sa forme générale c
èce humaine, il peut y avoir des animaux absolument dépourvus de plis cérébraux . De même, tandis que les Makis, ces chefs des I
même, tandis que les Makis, ces chefs des Insectivores, ont des plis cérébraux évidents et profonds, les derniers Makis et les I
res, chaque groupe défini présente un type particulier d'organisation cérébrale . 2** Le type n'est point caractérisé par l'abse
type n'est point caractérisé par l'absence ou par la présence de plis cérébraux , mais par la forme intrinsèque du noyau cérébral
la présence de plis cérébraux, mais par la forme intrinsèque du noyau cérébral et des hémisphères, et quand les plis existent pa
s une ressemblance commune. Ainsi, en effaçant par la pensée les plis cérébraux des premières, on retrouverait, au terme de ces r
irait le cerveau des premières. Donc, de ce qu'un animal a des plis cérébraux , on ne peut rigoureusement conclure à sa supérior
istiti, la Chauve-Souris et l'Ecureuil n'en ont point. Ainsi des plis cérébraux peuvent enrichir un type inférieur; mais, en rend
ue soient, d'ailleurs, leur intelligence et la richesse de leurs plis cérébraux . S XXXII. Ce cerveau des Ouistitis et des Pin
al, très-réduit, d'ailleurs, dès cette époque. Le reste de la surface cérébrale est encore absolument lisse. Ainsi, sur ce cerv
chaîne des faits sur lesquels ces vérités reposent. Les hémisphères cérébraux sont essentiellement composés de lames nerveuses
eur. Quant aux collines elles-mêmes, nous leur donnons le nom de plis cérébraux ; ces plis, en se groupant d'une façon régulière,
s régions ou lobes, qui sont des divisions naturelles de l'hémisphère cérébral . Nous distinguons cinq lobes sur la face extern
scissure perpendiculaire externe, sépare du lobe pariétal. Les plis cérébraux sont marqués sur les différents lobes d'une façon
à celles que nous avons signalées sur la face externe de l'hémisphère cérébral se retrouvent sur la face interne, mais avec une
on profonde de la scissure des hippocampes et par la grande ouverture cérébrale . Les plis de ces différents lobes sont très-sim
s concentriques s'enroulant autour du corps calleux et de l'ouverture cérébrale . Une longue scissure les distingue. Le pli qui
antérieure du pli temporal moyen qu'un seul pli entourant l'ouverture cérébrale , qu'ils désignent sous le nom de circonvolution c
rtout les variations que présente la position relative de l'ouverture cérébrale . Dans les Primates les plus élevés, elle s'éloign
ndiculaire interne est très-voisine du bord postérieur de l'ouverture cérébrale ; mais, dans les Singes plus parfaits, elle s'en
ges très-différents, on pourrait concevoir une égale quantité de plis cérébraux ; mais cette quantité ne serait pas distribuée, d
lacement singulier chez les Singes qui ont un système complet de plis cérébraux . Quand les divisions s'effacent, les derniers pli
. § XXXYH. Nous avons enfin terminé cette longue analyse des plis cérébraux dans la série entière des vrais Primates ; nous n
s, si j'ose ainsi m'exprimer, se disputent la surface de l'hémisphère cérébral . Si l'un d'eux s'agrandit, il refoule le lobe v
utre le perd. Ce qui se dit des lobes peut se dire également des plis cérébraux . Mais, quels que soient ces mouvements, ces osc
nous supposons, avec les partisans de cette doctrine, que ces régions cérébrales ont des fonctions distinctes, que chacune d'elles
et libre cavité. C'est une voûte sous laquelle les plis et les lobes cérébraux s'avancent, se reculent, s'étalent, se resserrent
La crânioscopie ne peut révéler qu'une chose, la grandeur de la masse cérébrale . Or qui oserait, d'après la masse seule, juger de
ence n'est point ici ou là dans le cerveau, et que toutes les lésions cérébrales l'affectent ou l'altèrent d'une manière semblable
des hémisphères, uniformément présente à tous les points des surfaces cérébrales , est-elle sollicitée dans tous ces points d'une m
e semblable? C'est là une question que l'examen des plis et des lobes cérébraux m'a suggérée. Ces plis, avons-nous dit ailleurs
es. Ces expansions fibreuses, établissant un rapport entre les plis cérébraux et l'axe médullaire, mettent, par la moelle, ces
t-être posé : de deux choses l'une; ou bien chaque pli, chaque région cérébrale est en rapport uniforme avec le corps tout entier
uniforme avec le corps tout entier, ou bien chaque pli, chaque région cérébrale a avec les centres organiques principaux, sources
tats que donne une étude approfondie des plis, des lobes, des régions cérébrales . Sous ce point de vue, nous regretterons que no
essaire de choisir, relativement à l'Homme, des animaux où les points cérébraux homologues soient parfaitement déterminés; or les
s possibles? Une sensibilité trop vive, l'extrême gravité des lésions cérébrales dans des animaux aussi élevés permettront-elles d
s pour distinguer les effets particuliers de la soustraction d'un pli cérébral d'avec les effets généraux qu'une opération parei
5 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome premier
le de l'homme et des animaux vertébrés (1), comparé à celui des nerfs cérébraux , et montrent que chez les mollusques comme chez l
e antérieure de ce ganglion est peut-être un rudiment des hémisphères cérébraux . Ce rudiment d'hémisphère donne naissance à un ne
un cervelet plutôt qu'un des tubercules quadrijumeaux ou un appendice cérébral . M. Carus a émis une idée théorique sur la vale
à un même nerf, et la cinquième paire peut remplacer les autres nerfs cérébraux . A ce raisonne ment, M. Serres ajoute : « le ga
és. 2. Le double ganglion céphalique n'est pas l'analogue des lobes cérébraux . S. Ce ganglion est toujours situé au côté lumi
lion céphalique à la chaîne ganglionaire, représentent les pédoncules cérébraux . h. Les nerfs de la chaîne ganglionaire ont une
ons encéphaliques sont : 1° les ganglions olfactifs; 2° les ganglions cérébraux ; 3° les ganglions optiques; 4° les tubercules qua
même doubles de chaque côté, on les voit aussi se réunir au ganglion cérébral . Dans ce dernier cas, il n'existe au devant des l
ne séparation bien tranchée entre le ganglion olfactif et le ganglion cérébral , ce sont des organes tout-à-fait distincts l'un d
nerfs, du même nom, en arrière ils sont en contact avec les ganglions cérébraux ; en bas ils sont implantés sur les prolonge-mens
d'une cavité ainsi que les prolongemens qui les unissent au ganglion cérébral . 2° Ganglions cérébraux. Placés en arrière des
es prolongemens qui les unissent au ganglion cérébral. 2° Ganglions cérébraux . Placés en arrière des précédens, ils leur ressem
mmissure , il suffit d'écarter l'un de l'autre les lobes ou ganglions cérébraux , la scissure qui sépare ces lobes est traversée p
e de chaque ganglion. De même que le ganglion olfactif, les ganglions cérébraux sont implantés sur le prolongement antérieur de l
'Azyr, M. Cams, les ont appelés couches optiques; Camper, hémisphères cérébraux ; Scarpa, grands tubercules du cerveau; Tréviranus
rler sont, chez certains poissons, aussi volumineux que les ganglions cérébraux ; on les trouve, après avoir enlevé l'encéphale de
xistence de chacun des ganglions dont je viens de parler. Le ganglion cérébral a été confondu avec les ganglions olfactifs; j'ai
sent une communication entre les ganglions olfactifs et les ganglions cérébraux , et c'est ce qui a fait dire à quelques-uns d'ent
on profond qui se trouve entre le cervelet et la portion de substance cérébrale lobulée chez les poissons osseux, non lobulée che
faudra-t-il admettre qu'elle ait un rapport direct avec la substance cérébrale ? Elle est contenue dans un tissu dont la disposit
a fin du dix-septième siècle, Leeuwcnhoeck, ayant soumis la substance cérébrale à ses recherches microscopiques, annonce que la m
pis pour la science, car il raconte sur la structure de la substance cérébrale , des choses que l'expérience n'a pas du tout con
pinéale, de la moelle épinière et des nerfs; ce Enfin, que la masse cérébrale des mammifères, des oiseaux et des poissons, cons
herches de M. Bauer, ce Si l'on met, dit-il, une portion de substance cérébrale dans l'eau, et qu'après l'y avoir laissée pendant
des fibres de Prochaska. Pour apercevoir la structure de la substance cérébrale , pourquoi recommander défaire macérer cette subst
er, et je n'ai rien vu de ce qu'il a annoncé. Des débris de substance cérébrale , affectant des formes très irrégulières, quelques
ans la même erreur que M. Bauer. Il n'a pas fait macérer la substance cérébrale avant de l'examiner, il s'est au contraire servi
rches. A l'aide de ce moyen, il dit avoir vu qu'en effet la substance cérébrale est composée de globules, et il a fixé le diamètr
u raison de faire choix de cerveaux frais, mais une lame de substance cérébrale , quelque mince qu'on la coupe, est toujours opaqu
n haut degré de certitude. M. Lan genbeck ayant placé de la substance cérébrale entre deux , lames de verre, y a trouve des fibre
u'ayant comprimé, entre deux lames de verre, une portion de substance cérébrale prise aux cuisses du cerveau de la carpe commune,
n être le résultat de la préparation que l'on fait subir à la matière cérébrale , avant de la soumettre à l'examen microscopique.
tiques, les tubercules quadrijumeaux, les lobes inférieurs, les lobes cérébraux et les lobes olfactifs. Les fibres qui entrent da
vont aux lames optiques, aux tubercules quadrijumeaux, aux tubercules cérébraux , aux tubercules olfactifs et aux tubercules infér
animaux. L'analogue du pédoncule est tout trouvé, c'est le pédoncule cérébral ; l'analogue du ganglion de renforcement, c'est le
nsi un faisceau pour le ganglion inférieur, un autre pour le ganglion cérébral , un troisième pour le ganglion olfactif, et un qu
mmissure dont j'ai également parlé, unit entre eux les deux ganglions cérébraux . Le mode d'origine de ces commissures en forme
cer le ganglion antérieur au lobe optique et que j'ai appelé ganglion cérébral ; ensuite vient le ganglion inférieur, puis le cer
ctilignes ; que les fibres des commissures qui unissent les ganglions cérébraux , sont un peu plus grosses que les précédentes et
cteur Valentin a vu s'échapper des tubes nerveux formant la substance cérébrale , une liqueur limpide, lactescente, et comme huile
celles qui croisent la moelle au niveau du cervelet et des ganglions cérébraux postérieurs, celles qui forment l'admirable lasci
té céphalique de la moelle épinière va se terminer dans les ganglions cérébraux ; aux ganglions du nerf vague et du nerf trifacia
uadrijumeaux, aux lobes optiques, aux lobes inférieurs, aux ganglions cérébraux et aux ganglions olfactifs, vont se rendre les fa
nsverses qui forment leur commissure. 11. A l'exception du ganglion cérébral et du cervelet, (i) Histoire naturelle des pois
). Ces derniers ont tous des lobes olfactifs très développés, un lobe cérébral volumineux et un long cervelet; ils ressemblent a
is que d'autres fois il existe à peine ou se confond avec le ganglion cérébral . Il est très petit dans la baudroie, le brochet,
de celui du cervelet. Je ne connais aucun poisson qui ait le ganglion cérébral , comparé aux autres ganglions encéphaliques , plu
ui l'emporte sur les autres, chez le squale-renard, c'est le ganglion cérébral ; le cervelet du squale-renard est énorme et trav
n y peut distinguer de très petits ganglions olfactifs, des ganglions cérébraux très considérables , des tubercules optiques reco
iques recouverts en grande partie par l'extrémité postérieure du lobe cérébral , et un cervelet allongé à-peu-près comme chez le
egarder comme pouvant servir à indiquer les attributs de la substance cérébrale , c'est s'exposer à de nombreux mécomptes. Avec de
, la glande pinéale, et l'origine des nerfs encéphaliques. Io Lobes cérébraux . Dans tous les reptiles, le cerveau l'emporte en
peu renflé, fournit les nerfs olfactifs. Lorsque l'on écarte le lobe cérébral du côté droit de celui du côté gauche, on les tro
nerfs olfactifs de la grenouille. couleur de la substance des lobes cérébraux est d'un gris blanchâtre; celle de la commissure
lacée entre ces lobes a la même apparence. Si l'on incise les lobes cérébraux , on les trouve creux, et la surface interne en es
n petit renflement ganglionaire, analogue au corps strié. Chaque lobe cérébral est comme implanté sur l'extrémité céphalique du
le crapaud et la grenouille, par exemple, il existe en avant du lobe cérébral , un petit ganglion olfactif qui se continue direc
les poissons. Incisés, les lobes optiques présentent comme les lobes cérébraux , une cavité ; la cavité du lobe droit communique
prolongemens olfactifs sont creux chez tous les reptiles ; les lobes cérébraux le sont également ; les lobes optiques sont creux
6° Commissure antérieure. Elle est placée un peu en arrière du lobe cérébral , à l'extrémité antérieure de Vinfu n-dibulum. 7
t les faisceaux de la moelle épinière se prolonger sous les ganglions cérébraux , sans se confondre, ni passer d'un côté à l'autre
t un petit renflement gris que l'on découvre en ouvrant le ventricule cérébral dont j'ai parlé plus haut. 11° Couche optique.
une petite portion de substance médullaire placée sur les pédoncules cérébraux du crocodile, entre ces pédoncules et les lobes o
mens fulcraux de la moelle épinière, avant leur entrée dans les lobes cérébraux . Ue paire. Nerfs pathétiques. Ils existent comm
té opposé. Cette commissure, émanation presque directe des pédoncules cérébraux , est l'analogue du corps calleux. Toute la substa
La partie la plus interne des prolongemens fulcraux se rend aux lobes cérébraux , elle se comporte d'une manière analogue aux fai
enflement où elles disparaissent. La presque totalité de la substance cérébrale , disposée en lame assez mince, est composée d'une
ssons, beaucoup de ganglions inégaux, en nombre variable, et ganglion cérébral souvent inférieur, quant à son volume, à tous les
hez tous les animaux de celle classe, grande prédominance du ganglion cérébral , infériorité relative des ganglions optiques et t
'une différence dans le développement des parties latérales des lobes cérébraux , ou bien du volume variable de quelque partie int
volume variable de quelque partie intérieure? Si l'on incise la lame cérébrale , on la trouve sensiblement aussi épaisse dans les
du cerveau ne tient pas à une différence dans l'épaisseur de la lame cérébrale , mais au volume et à la forme du corps strié sous
ts matériels. En avançant, nous allons voir se développer le ganglion cérébral , et, dans une progression analogue, s'étendre les
seaux; il a signalé la non-existence de circonvolutions sur les lobes cérébraux de ces animaux, et le développement considérable
ès Vicq d'Azyr (U), l'encéphale des oiseaux manque de circonvolutions cérébrales , ou même des hémisphères cérébraux, de corps call
oiseaux manque de circonvolutions cérébrales, ou même des hémisphères cérébraux , de corps calleux, de voûte à trois piliers, de c
ercules sont de petits renflemens placés sur le trajet des pédoncules cérébraux , en avant des lobes optiques. On les voit très bi
érieure. M. Tiedemann combat cette opinion ; il indique sur les lobes cérébraux un seul sillon : c'est la scissure de Sylvius. Il
(i) Op. cit., t. 2 , p. 162. formant la plus grande partie du lobe cérébral , une glande pinéale et une glande pituilaire ; en
parties composant l'encéphale des oiseaux, paraît regarder les lobes cérébraux comme les analogues des corps striés; quant aux l
usage , c'est d'être un ganglion de renforcement pour les pédoncules cérébraux . A cette assertion de Gall, j'opposerai d'abord l
à ce que la couche optique ne soit en même temps, pour les pédoncules cérébraux , un organe de renforcement. Les couches optiques
utefois du corps strié qui, s'il existe, serait confondu avec le lobe cérébral lui-même, ou serait représenté par un petit tuber
, et on doit la regarder comme un progrès dont l'organisation du lobe cérébral : ce sillon loge des vaisseaux sanguins. La par
illon loge des vaisseaux sanguins. La partie interne de chaque lobe cérébral est plane : c'est par là que les deux lobes sont
de son étendue ; le reste de cette face est placée sur les pédoncules cérébraux et sur les lobes optiques. Les lobes cérébraux de
cée sur les pédoncules cérébraux et sur les lobes optiques. Les lobes cérébraux des oiseaux constituent une sorte d'ef-fiorescenc
nte du lobe, jusque tout près de la pointe du cerveau. La substance cérébrale , vue à l'intérieur, ne se sépare pas en deux part
pandre. Le cervelet seul présente la délimitation des deux substances cérébrales , ainsi que je le dirai tout-à-l'heure. Le lobe
ubstances cérébrales, ainsi que je le dirai tout-à-l'heure. Le lobe cérébral des oiseaux n'est pas creusé d'une cavité comme c
bles cavités. Trois commissures réunissent l'un à l'autre les lobes cérébraux : l'une antérieure et inférieure, située tout-à-f
calleux : M. Carus adopte cette détermination. (1) Quoique le lobe cérébral des oiseaux soit comme le corps strié des mammifè
ir de l'expression employée par Gall et Spurzheim, tandis que le lobe cérébral est un organe dans lequel se terminent les fibres
moelle épinière. A sa partie antérieure, terminée en pointe, le lobe cérébral présente un petit tubercule qui donne naissance a
e support. En avant, elle se bifurque pour se terminer dans les lobes cérébraux ; en arrière, à son entrée dans le crâne, elle a
ures des vertébrés, l'augmentation considérable de volume du ganglion cérébral , les dépressions vasculaires qui se remarquent à
la plupart, complet chez les autres, des lobes optiques par les lobes cérébraux , la formation bien déterminée des couches optique
frères YVenasel, M. Serres et M. Lilut. Plus la longueur des lobes cérébraux est considérable, plus ces lobes s'étendent en ar
et qu'il recouvre même quelquefois de la moitié environ. U. Le lobe cérébral n'a pas de cavité, les substances grises et blanc
n'est pas disposée en couche, comme chez les mammifères. Chaque lobe cérébral peut être considéré comme un amas de substance gr
e jaune du cerveau du]pigeon. à laquelle n'atteignent pas les lobes cérébraux de ces animaux. Dans la moelle allongée, il y aus
tre fait qu'il ne faut pas laisser passer inaperçu. Pour le pédoncule cérébral , j'ai noté comme présentant le diamètre des fibre
du cervelet........................ 0,00166 Mésange. Fibre du lobe cérébral .................... 0,00166 Ici. Fibre du nerf
la commissure des lobes optiques...... 0,002 Id. Fibre du pédoncule cérébral ................ 0,0025 Chardonneret. Fibre du l
doncule cérébral................ 0,0025 Chardonneret. Fibre du lobe cérébral .................... 0,002 5 Mésange. Fibre de l
à l'éléphant, etj'ai trouvé partout que, dans les femelles, la partie cérébrale qui correspond à l'organe de l'amour de la progén
rnassiers-insectivores. Mais il y a dans la répartition de la masse cérébrale un fait que les diamètres précités ne révèlent pa
ie, le cervelet reste plus à découvert. Le prolongement de la masse cérébrale en avant el en arrière, serait-il un caractère pr
ligens de ceux qui ne le sont pas ? Il n'est pas douteux que la masse cérébrale antérieure du perroquet soit plus considérable qu
ux suffit pour en donnerla preuve. Quant au développement de la masse cérébrale antérieure, on peut l'apprécier avec encore plus
eaux qui les parcourent. Lè volume relatif et la forme de la tuasse cérébrale des oi- (r) Si l'ôfgane de l'amour des petits p
6. Il n'est pas vrai de dire que les oiseaux femelles aient les lobes cérébraux plus allongés que les oiseaux mâles. 7. Il n'es
dans le renard et le chien. » Perrault décrivant les circonvolutions cérébrales du singe, dit qu'elles sont assez semblables à ce
es singes, comme dans les quadrupèdes en général, les circonvolutions cérébrales sont peu nombreuses, symétriques des deux côtés,
plus exact dans la reproduction de quelques-unes des circonvolutions cérébrales de l'homme, mais la double preuve qu'il ne les a
lis et celle de Malacarne, louchant la régularité des circonvolutions cérébrales , a été fécondée par Cuvier, en ce qui concerne le
lus en plus obscure. Suivant eux, « chez l'homme, les circonvolutions cérébrales d'un côté diffèrent de celles du côté (i) De ba
3) en a exposé la structure. Ainsi dans l'étude des circonvolutions cérébrales , on avance pied à pied et l'on attache si peu d'i
igures n'est exacte et la description qu'il donne des circonvolutions cérébrales , a été faite d'après les planches et non pas d'ap
développement. (1) C'est seulement en 1829 que les circonvolutions cérébrales de l'homme ont été connues et décrites. L'auteur
e année : ce Le nombre, le volume, la disposition des circonvolutions cérébrales sont variés ; sur quelques cerveaux elles sont tr
ait cependant fait une description bien détaillée des circonvolutions cérébrales ; il avait établi leur similitude et leur constan
e évidence et dont on pourra s'assurer en jetant les yeux sur le lobe cérébral d'un éléphant, lobe que l'on conserve au muséum d
degré de ressemblance existe entre les circonvolutions des deux lobes cérébraux . Dans l'énumération que je viens de faire des a
des auteurs qui se sont occupés de la description des circonvolutions cérébrales de l'homme et des animaux, c'est à peine si j'ai
manquent d'exactitude, surtout en ce qui concerne les circonvolutions cérébrales ; celles qui représentent le cerveau des animaux e
n, pas un mot si ce n'est sur la structure intime des circonvolutions cérébrales et sur leurs prétendues fonctions. (1) Depuis G
), aucun progrès touchant les circonvolutions. «.La surface des lobes cérébraux , dit ce dernier, présente des replis que nous avo
ortant que nouveau de s'attacher à bien connaître les circonvolutions cérébrales des animaux, de les individualiser, pour ainsi di
n quoi elles ressemblent, en quoi elles diffèrent des circonvolutions cérébrales de l'homme. J'ai entrepris cette élude qui m'a fo
our caractère unique, la disposition et le nombre des circonvolutions cérébrales . On verra de suite si les animaux classés d'après
escendante, destinée à établir la valeur intellectuelle, ou la valeur cérébrale des animaux, les uns à l'égard des autres. Je com
e des mammifères correspond, quant au défaut de sillonneinent du lobe cérébral , à ceux des oiseaux qui ont peu d'intelligence.
est ici plus prononcée que dans le premier groupe, il y a sur le lobe cérébral des dépressions qui ne manquent pas d'une certain
llon qui circonscrit, surtout chez l'agouti, une portion de substance cérébrale dont l'aspect est, presque celui d'une circonvolu
e Sylvius; les deux autres sont à la partie supérieure de chaque lobe cérébral : sur un cerveau depuis long-temps conservé dans
en rapport avec le volume du cerveau. Le furet qui a sur chaque lobe cérébral , cinq circonvolutions bien distinctes, trois exte
dans son ouvrage, cité précédemment, sur la structure des hémisphères cérébraux , etc'est aussi celui que je lui donne pour ce qui
des exemples. Voyez (pl. iv, fig. 2) la face latérale externe du lobe cérébral droit du renard. En S se trouve un sillon profond
famille des mammifères, celle des renards, quant aux circonvolutions cérébrales . La figure 1 (pl. iv), représentant la face sup
Il y a plusieurs différences essentielles, quant aux circonvolutions cérébrales , entre les renards et les chats; cependant les ty
chats se distinguent donc des renards, quant à leurs circonvolutions cérébrales , par trois circonvolutions supplémentaires qui se
déterminer le développement relatif de telle ou telle circonvolution cérébrale . Le crâne de la loutre exprimerait un développeme
d'elle, et s'étend presque depuis les piliers antérieurs de la voûte cérébrale , jusqu'à la partie externe du lobe d'hippocampe,
des cochons sont ondulées; il en existe deux à la périphérie du lobe cérébral , et la circonvolution supérieure est divisée en a
incte de celle des autres cerveaux. 11e groupe. Les circonvolutions cérébrales du phoque ont de l'analogie avec celles des deu
olutions antérieures. En résumé , le phoque a trois circonvolutions cérébrales : l'une interne qui, en arrière, ressemble à la c
sillons non interrompus partagent d'avant en arrière chacun des lobes cérébraux du marsouin , du dauphin et de la baleine. L'un (
ue le temps m'a manqué pour décrire le cerveau du narval. Les lobes cérébraux de la baleine sont sillonnés de grandes el profon
e la baleine, parce qu'il eût fallu, pour cela, détacher un des lobes cérébraux , ce que je ne pouvais pas faire et ce que je n'au
si chez l'homme. 4 La planche xm représente la face interne du lobe cérébral droit d'un éléphant des Indes (1), et la planche
nvolutions , et cet appareil est situé à la partie supérieure du lobe cérébral . Quant aux sinuosités, aux ondulations des circ
Le nombre, la forme, l'arrangement, les rapports des circonvolutions cérébrales ne sont pas livrées au hasard; chaque famille d'a
chologie. Après cette exposé de la conformation des circonvolutions cérébrales , je vais passer à la description de la base et de
en un petit ganglion placé toul-à-fait en avant des autres ganglions cérébraux ; chez les reptiles, il est creusé d'une cavité et
bre de cas. Du rapprochement de la partie inférieure des deux lobes cérébraux , résulte une cavité que l'on a appelée le troisiè
e cavité qui se prolonge plus ou moins dans la substance même du lobe cérébral ; c'est le ventricule latéral. Les lobes cérébra
tance même du lobe cérébral; c'est le ventricule latéral. Les lobes cérébraux sont réunis entre eux par des commissures, et cha
tricules moyens el latéraux représentent la surface interne des lobes cérébraux , comme les circonvolutions en représentent la sur
r de la moelle épinière que l'on appelle cuisse du cerveau, pédoncule cérébral (p. c. pl. iv, renard, fig. 2 ; pl. vi, loutre, f
le corps strié externe. Au-delà des deux corps striés, le pédoncule cérébral sé paré en faisceaux fibreux, s'étale en rayonn
é en faisceaux fibreux, s'étale en rayonnant dans l'intérieur du lobe cérébral . Le point d'origine de ce lobe est donc celui de
ventricules latéraux sans faire subir aucune déchirure à la substance cérébrale . Ventricule latéral. Ce ventricule, formé par u
ral. Ce ventricule, formé par une sorte d'épanouissement du pédoncule cérébral , qui, reployé sur ce pédoncule, en recouvre les p
ieure ; la partie qui se recourbe derrière el en dessous du pédoncule cérébral , corne inférieure, et la troisième, corne postéri
veau du corps calleux, on enlève la partie supérieure de la substance cérébrale . Corps strié. Dans la corne antérieure du ventr
que dans son intérieur existent des stries blanches qui, du pédoncule cérébral , vont s'épanouir dans l'hémisphère. De la réunion
dante à celle-ci, mais qui adhère à la partie supérieure du pédoncule cérébral , et dont je vais parler. Bandelette demi circul
pe. La corne inférieure descend presque dans cette éminence du lobe cérébral qui est placée en arrière de la scissure de Sylvi
ventricule s'ouvre en haut; la voûte dite à trois piliers ou irigone cérébral est placée sur son ouverture, mais sans y adhérer
e de plan incliné qui correspond aux cuisses du cerveau ou pédoncules cérébraux (p. c. pl. vu, fig. 2 et) ; en bas, il se termine
sure réunit, l'un à l'autre, la partie supérieure de chacun des lobes cérébraux , elle se présente sous la forme d'un corps allong
s les espèces de mammifères, par le prolongement en arrière des lobes cérébraux , ces tubercules se présentent sous la forme de qu
s. pl. vu, fig. k). Deux autres tubercules situés sur le pédoncule cérébral , en arrière et au-dessus de la paire postérieure
(i) Op. cil, V. Archives de médecine, t. m, p. a3o» aimée i8a3. res cérébrales , ce La voûte, dit avec raison M. Owen (1), par se
nd il ajoute que la grande commissure qui unit entre elles les masses cérébrales super-ventriculaires du castor et autres animaux
ai vu bien manifestement un corps calleux, situé entre les deux lobes cérébraux , comme chez les autres mammifères. On sait d'aill
, i; et Annales des science; nature/les, i. vtïr, iHrH. hémisphères cérébraux , et que les hémisphères fussent-ils très petits,
st lui-même en partie recouvert par l'extrémité postérieure des lobes cérébraux . D'avant en arrière, il est divisé de chaque côté
'elles n'ont pas entre elles la même symétrie que les circonvolutions cérébrales , ensuite parce que les contours qu'elles forment
on trouve à la face inférieure de la moelle allongée, les pédoncules cérébraux formés de fibres longitudinales traversés par des
s cependant revenir sur ce que j'ai dit, touchant les circonvolutions cérébrales . La détermination du poids de l'encéphale à cel
a des oiseaux auxquels les assimile déjà l'absence de circonvolutions cérébrales , et ils se trouvent à côté des jeunes mammifères
est le seul dont je n'aie pu mesurer le cerveau (j'ai dit que le lobe cérébral de l'éléphant des Indes, dont je donne la figure,
stor, le phoque, le marsouin. Chez l'éléphant, presque toute la masse cérébrale est en arrière et sur les côtés; chez le porc-épi
4 Les mammifères auxquels il est départi une plus plus longue masse cérébrale antérieure, sont tous ceux qui se trouvent inscri
et vous trouverez qu'au-dessus et en avant du corps calleux, la masse cérébrale s'arrondit et s'élève chez les premiers, tandis q
on contraire a lieu chez les derniers. Le développement de la masse cérébrale , en arrière du corps calleux, range les animaux p
dimensions des os du crâne et leurs rapports avec les circonvolutions cérébrales , sont parfaitement en rapport avec celle disposit
vient recouvrir, comme chez l'homme, l'extrémité postérieure du lobe cérébral , à laquelle la phrénologie a donné pour siège l'a
achevé. Je ne connais bien de l'encéphale de l'éléphant, qu'un lobe cérébral , et je n'ai vu de la moelle allongée de cet anima
dit que peu de chose, il a remarque pourtant que les circonvolutions cérébrales avaient dans leur aspect général de l'analogie av
chez l'homme et chez le singe avec le prolongement en arrière du lobe cérébral . En somme, l'encéphale de l'éléphant, par les c
En somme, l'encéphale de l'éléphant, par les circonvolutions du lobe cérébral est au-dessus de celui du singe, par les tubercul
voisines ; mais à voir le défaut de sinuosités de ses circonvolutions cérébrales , on serait tenté de le prendre pour un rudiment
circonvolutions. 3. Les mammifères qui manquent de circonvolutions cérébrales appartiennent tous aux ordres dont l'organisation
classer les mammifères d'après la similitude de leurs circonvolutions cérébrales . 9. Le classement établi d'après les circonvolu
s autres des animaux à facultés différentes. 7. Les circonvolutions cérébrales ont plusieurs types bien tranchés, cependant on p
hez l'homme. 9. La présence et le développement des circonvolutions cérébrales ne sont pas en rapport direct avec le volume du c
e loup, le chien, le chacal sont les animaux dont les circonvolutions cérébrales ont une grande simplicité. 11. Chez les chats,
ils. 13. Les herbivores ruminans solipèdes, ont des circonvolutions cérébrales moins simples et plus ondulées que les carnivores
ores, et ressemblant assez pour l'aspect général, aux circonvolutions cérébrales de l'homme. 14. Les cochons et les ours, chacun
e que j'ai suivi en exposant la conformation de leurs circonvolutions cérébrales . Pour les circonvolutions, le point de départ et
plupart des groupes établis d'après la conformité des circonvolutions cérébrales , est en rapport avec la conformité des facultés i
ge des organes ». Ainsi quand le principe de la pluralité des organes cérébraux serait vraie, les localisations faites par Gall s
cise le siège de l'amour des petits; on sait de quelle circonvolution cérébrale il veut parler, c'est celle que j'ai appelée la t
se, ont chacun leur organe situé à la partie latérale externe du lobe cérébral ; plus ils sont développés, plus aussi le cerveau
e suivant extrait de l'ouvrage de Gall : ce L'ensemble de celte masse cérébrale située sur le plancher orbitaire et contre le fro
e espèce se trouve douée de plus ou de moins de ces organes, sa masse cérébrale s'étendra plus ou moins sur les côtés, et la surf
seulement des crânes, et quand ils veulent décrire une circonvolution cérébrale , au lieu de la montrer et de la faire toucher, il
nal et la première paire cervicale; il a défiguré les circonvolutions cérébrales , dételle sorte qu'il est impossible d'en retrouve
ans la pensée de l'auteur, désignent la place occupée par les organes cérébraux ; mais dont il a omis de donner l'explication, si
bien, mais la limite sur le crâne? la limite sur les circonvolutions cérébrales ? La limite naturelle enfin? Serait-ce un enfoncem
carnassiers.... Je vis qu'il existe chez les carnassiers des parties cérébrales dont les frugivores sont privés. J'ai trouvé cett
aient que Gall s'est dit : « Voilà au-dessus des oreilles des parties cérébrales qui existent chez les carnassiers et dont les fru
tion de l'organe repose uniquement sur ce fait, que certaines parties cérébrales qui ne se rencontrent que chez les carnassiers et
assiers et aux meurtriers : si donc on vient objecter que les parties cérébrales dont il s'agit se rencontrent chez les herbivores
sage de l'anatomie comparée, pour fonder une doctrine de localisation cérébrale . Spix (1), dont on se ferait une idée trop défa
t, l'imagination et la fantaisie dans l'extrémité postérieure du lobe cérébral que recouvre l'angle postérieur de l'occipital, l
faisceaux inférieurs de la moelle allongée, ainsi que les pédoncules cérébraux : elles s'épanouissent dans les corps striés, et p
'y opère : la mémoire des sensations se fixe dans les circonvolutions cérébrales ; l'association des idées se fait par l'intermédia
te partie de l'occipital qui recouvre l'extrémité postérieure du lobe cérébral de l'homme et du singe, je concluerais, si je rai
pariétal et seulement par cet os. Mais s'il est admis que les organes cérébraux puissent ainsi se déplacer, s'ils peuvent aller d
est fourni par les nerfs encéphaliques ; ils indiquent une substance cérébrale plus grande chez les animaux les plus intelligens
e le centre nerveux céphalo-rachidien. La manière dont la substance cérébrale est répartie, soit en avant, soit en arrière, soi
et chez quelques-uns, le défaut de développement en arrière des lobes cérébraux est tel, que l'on aperçoit entre ces lobes et le
e pour l'éléphant. Je dirai donc du développement en haut de la masse cérébrale , ce que j'ai dit de son développement en arrière
mais non pas une loi. La présence ou l'absence des circonvolutions cérébrales paraît avoir une valeur beaucoup plus grande que
iée à la disposition plus ou moins flexueuse de leurs circonvolutions cérébrales ; la loutre, le putois, la marte sont ordinaireme
, le putois, la marte sont ordinairement seuls; leurs circonvolutions cérébrales sont peu ondulées : le sanglier, le porc, le péca
e tigre, a moins d'ondulations que le tigre, dans les circonvolutions cérébrales ; le cochon tonquin, moins féroce que le sanglier,
ier, à la surface du cerveau. Au reste, la présence des ondulations cérébrales , ni même celle des circonvolutions, n'est liée à
astor. Jusqu'à quel point les ondulations, dans les circonvolutions cérébrales , indiquent-elles l'étendue de l'intelligence? En
vidus de la même espèce, sont en proportion de l'étendue des surfaces cérébrales . » Comme cette proposition est basée sur des fait
partie, pasr, 6ot . il s'ensuit qu'il a en réalité moins de surface cérébrale que nous n'en avons. « 2° Les circonvolutions d
de ceux qui étaient contraires à son système. L'étendue de la surface cérébrale des ruminans dont Desmoulins ne parle pas, celle
erbivores et des carnivores qui n'ont aucune sorte de circonvolutions cérébrales . Si les instincts et les facultés intellectuelles
rminée du cerveau, à une disposition particulière des circonvolutions cérébrales , le cerveau du rat d'eau et celui du cabiai devra
nans. Que si nous mettons en regard, pour le nombre des ondulations cérébrales , les ruminans et les carnassiers, nous voyons que
intestinales que les premiers, ont en même temps les circonvolutions cérébrales les moins sinueuses. Comme les sillons qui sépare
fixer l'attention des anatomistes. La multiplicité des ondulations cérébrales est certainement un progrès dans l'organisation;
et plus on aperçoit le peu de fondement des systèmes de localisations cérébrales : ce qu'un certain nombre de faits avait paru démo
organe de la construction moins développé que l'aï. 11. Les organes cérébraux indiqués sur les crânes ou sur les cerveaux, par
fères, mais les parties postérieures. 17. Plusieurs circonvolutions cérébrales n'étant pas en contact avec les os du crâne, ne s
. 21. Tous les mammifères qui ont le cervelet couvert par les lobes cérébraux sont intelligens : mais tous les mammifères intel
carnivores, herbivores et omnivores qui n'ont pas de circonvolutions cérébrales . 25. On trouve des cerveaux très différens pour
des animaux semblables pour les mœurs. 26. L'étendue de la surface cérébrale n'est pas en rapport nécessaire avec le développe
hant, le singe et le maki, ne prouve rien en faveur des localisations cérébrales . 28. Ni la présence des circonvolutions, ni leu
6 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
et ramollissement du cerveau Charcot. CEuv compi. T. ix. Hémorragie cérébrale . i Dans ce travail, fondé sur des faits nombreu
le. i Dans ce travail, fondé sur des faits nombreux, rhémorrlia-gie cérébrale , au moins celle des vieillards, est rapportée à l
pportée à la rupture d'anévrysmes des petites artères de la substance cérébrale . Ces anévrysmes, dont le rôle pathogénique n'avai
ètre et plus. lis n'ont fait défaut dans aucun des cas d'hémorrliagie cérébrale observés par MM. Cliarcot et Bouchard depuis que
eut être considérée comme la cause la plus fréquente de l'hémorrhagie cérébrale (1). térieure à l'attaque apoplectique ; c'est
vasation sanguine chez des individus qui n'ont présenté aucun trouble cérébral . La transformation en hématoïdine du sang1 conten
s anévrysmes, dont la formation prépare de longue date l'hé-morrhagïe cérébrale , ne sont, pour ainsi dire, que l'expression la pl
et Bouchard, Nouvelles recherches sur la pathogénie de l'hémorrhagie cérébrale (Arch. de physiologie, t. I, p. 110 et p. 3 de ce
vaux de MM, Ctiarcot et Bouchard, sur la pathogénie de l'hémorrhagie cérébrale ont été traduits en anglais par M. T.-S. Maclagan
(B). II. Nouvelles recherches sur la pathogénie de l'hémorrhagie cérébrale (1). En abordant de nouveau la question de la p
En abordant de nouveau la question de la pathogénie de l'hémorragie cérébrale , nous nous proposons de limiter notre étude aux h
é par les recherches de M. Lépine (3). C'est donc aux béniorrhagies cérébrales proprement dites que nous voulons restreindre cet
vaisseaux de l'encéphale ; 2° La diminution de consistance du tissu cérébral préalablement altéré qui ne fournit plus alors qu
s les causes imaginées pour expliquer la production de l'hémorrha-gie cérébrale , et c'est à elles aussi que se rapportent les opi
avons rencontrée constamment dans les cas déjà nombreux d'hémorrhagie cérébrale qui ont passé sous nos yeux. Cette lésion consist
athogénique véritable, nous ne dirons pas de toutes les hémorrliagies cérébrales , mais même de la majorité de ces hémorrliagies.
e rôle pathogénique qu'ils jouent dans la production de l'hémorrhagie cérébrale . Gull rapporte bien à la rupture d'un semblable a
t pas de saisir la relation qu'ils pouvaient avoir avec l'hémorrhagie cérébrale . Ce fut le 15 mars 1866, qu'étudiant le foyer d'u
avec la masse du caillot apoplectique. 1. Cases of Aneurysm of the Cérébral Vessels (Guy's Hospital Reports, sér. III, t. V.
adies autres que celles de l'encéphale. De nouveaux cas d'hémorrhngie cérébrale se présentèrent et le cerveau renfermait toujours
s avait été montré, établir que dans un certain nombre d'hémorrhagies cérébrales ,l'épanchementasa source dans la rupture d'unanévr
d. — Recherches sur quelques points de la pathogénie des hémorrhagies cérébrales ,Paris, 1886.—Charcot, Leçons sur les maladies des
ème partie, . Est-ce à dire que, pour nous, toutes les hémorrhagies cérébrales , sans exception, devront reconnaître pour cause l
pareil intermédiaire. L'Iiémorrhagie qui accompagne le ramollissement cérébral , dans les cas ou une thrombose des sinus fait obs
ur, échappe également à cette interpréta-lion. Enfin les hémorrhagies cérébrales qu'on a signalées dans certaines pyrexies et dans
n des anévrysmes et finalement à leur rupture. C'est là riiémorrhagie cérébrale cérébrale des adultes et même des jeunes gens.
smes et finalement à leur rupture. C'est là riiémorrhagie cérébrale cérébrale des adultes et même des jeunes gens. Nous croyons
ourd'hui en droit d'affirmer que, d'une façon générale, l'hémorrhagie cérébrale résulte de la rupture d'anô-vrysmes miliaires : q
la jeunesse. C'est ce qu'on pourrait appeler la maladie hérnorrhagie cérébrale . Notre manière de voir est appuyée aujourd'hui
e faits, notre statistique ne compte pas moins de 60 cas d'hémorragie cérébrale : sur ce nombre, 42 ont été recueillis dans le mê
i considérable que la Charité de Berlin, vingt-huit cas d'hémorrhagie cérébrale seulement figurent sur les cahiers d'autopsie pou
nstante d'anévrysmes miliaires dans des cas si nombreux d'hémorrhagie cérébrale pourrait faire naître une supposition contre laqu
ncidence dans le cerveau des individus qui succombent à l'hémorrhagie cérébrale . Cette hypothèse se trouverait déjà infirmée par
t seulement alors chez des individus qui succombaient à l'hémorrhagie cérébrale ; tandis que dans la vieillesse, s'ils sont consta
haque âge chez les individus qui n'offrent aucune trace d'hémorrhagie cérébrale ; mais bien qu'ils soient d'autant plus fréquents
nner d'ailleurs les relations qu'ils peuvent avoir avec l'hémorrhagie cérébrale , est arrivé aux résultats suivants : sur 140 auto
u près en rapport avec ce qu'on sait de la fréquence de l'hémorrhagie cérébrale , aux différentes périodes de l'existence. Assurém
e statistique comparable, relative à la distribution de riiémorrhagie cérébrale aux différentes époques de la vie ; nous ne savon
us ne savons pas même approximativement pour quellepart l'hémorrhagie cérébrale intervient à chaque âge dans un nombre déterminé
Rochoux et de M.Durand-Fardel(2)pour secon-vaincre que l'hémorrhagie cérébrale ,presque nulle avant20 ans, est très rare jusqu'à
r ces anévrysmes comme le produit de l'extension aux petits vaisseaux cérébraux de cette artério-sclérose qui amène les incrustat
cierons l'influence de l'athérome dans la production de l'hémorrhagie cérébrale . Cependant, ces deux altérations essentiellemen
oignon. Etudiée seule ment sur les petits vaisseaux de la substance cérébrale , cette artérite scléreuse, qui n'est pas sans que
artérioles de tout calibre qui sont dans l'épaisseur de la substance cérébrale , et intéressent par conséquent les deux variétés
ent formés ultérieurement ? Charcot. Œuvr. compl. t.ix Hérnorrhagie cérébrale . u A défaut d'autre argument, la description qu
reux ou même noirâtre ; et, généralement, la couche contiguë du tissu cérébral présente, à un moindre degré, une coloration anal
t, le centre ovale, les pédoncules cérébelleux moyens, les pédoncules cérébraux , le bulbe, sont par ordre de fréquence décroissan
devons maintenant les étudier dans leurs rapports avec l'hémorrhagie cérébrale . Nous exposerons d'abord les faits d'hémorrhagie
e d'une hémorrbagie antérieure. V. Les observations d'hémorrhagie cérébrale que nous allons rapporter ont pour la plupart été
épanchement récent assez considérable. Autour du caillot, le tissu cérébral est mou, diffllient, et après l'avoir détaché par
Cette femme dont l'observation a été égarée, est morte d'hémorrhagie cérébrale le 24 mai 1806. L'autopsie a relevé des foyers
24 mai 1806. L'autopsie a relevé des foyers multiples d'hémorrhagie cérébrale récente et d'assez nombreux anévrysmes miliaires
i clans l'épais seur de la protubérance, un autre dans le pédoncule cérébral gauche. Ce dernier a fait irruption sous la prémè
ventriculaire du corps strié gauche et l'étage supérieur du pédoncule cérébral gauche. Le sang a fait irruption dans les cavités
rhagique dans l'épaisseur du cervelet. Tout autour du foyer, le tissu cérébral ramolli, mais ne contenant pas de corps granuleux
ôté de l'hémiplégie n'a pas été noté, non plus que celui de la lésion cérébrale ) ; quelques sangsues ayant été i. Obs. communiq
iaires. On en trouve quelques autres dans les parties saines du tissu cérébral . Les artères de la base sont athéromateuses. Le c
ans. — Cette femme, frap- Chaiicot. Œuvr. compl. t. ix, Hémorragie cérébrale . 3 pée d'apoplexie le 30 avril 1807, avec hémip
évrysmes miliaires des circonvolutions. Les vaisseaux de la substance cérébrale présentent au microscope une multiplication très
— Vulpian. C..., 74 ans. — Morte le 10 novembre 1867 d'hémorrhagie cérébrale clu lobe postérieur droit, quatre jours après l'a
oncule cérébelleux moyen. — On rencontre de plus dans les hémisphères cérébraux deux foyers de ramollissement ancien. — On trouve
ique droite. Ce caillot, qui intéresse l'étage supérieur du pédoncule cérébral droit, a déchiré la face supérieure de fa couche
—Vulpian. Lef..., 72 ans. — Morte le 12 janvier 1807 d'hémorrhagie cérébrale . Foyer récent dans la partie postérieure du noyau
oyer récent dans la partie postérieure du noyau blanc de l'hémisphère cérébral gauche. Ancien foyer reconnaissable à une cicatri
trière. — Vulpian. D., 02 ans. —Morte le 4 Avril 1807 d'hémorrhagie cérébrale . Foyer d'hémorrhagie récente dans le noyau blanc
rale. Foyer d'hémorrhagie récente dans le noyau blanc de l'hémisphère cérébral droit, à la partie postérieure. Anciens foyers
re descendante très marquée, caractérisée par l'atrophie du pédoncule cérébral gauche et l'atrophie avec teinte grise de la pyra
éprouvait des sensations subjectives clans le moignon. Des accidents cérébraux , caractérisés par une diminution de la mémoire, d
ne. Il existe une dégénération secondaire très prononcée du pédoncule cérébral gauche, de la pyramide antérieure gauche et du co
ire. Les artères de la base sont fortement athéromateuses. L'artère cérébrale postérieure droite est complètement oblitérée par
Mort le 28 septembre 1866. Charcot. OEuv. compl. t. ix, Hémorragie cérébrale . 4 L'autopsie, indépendamment des lésions des a
s anévrysmes miliaires clans le cervelet et clans les circonvolutions cérébrales . Les artères de la base sont très notablement ath
té détruite au niveau de la lésion, et l'on trouve clans le pédoncule cérébral , la protubérance et la pyramide antérieure du côt
rouve du même côté une dégénération secondaire manifeste du pédoncule cérébral , de la protubérance et de la pyramide antérieure
ennes hémorrhagies. Dégénération secondaire très-marquée du pédoncule cérébral gauche et de la pyramide antérieure gauche. Les a
hémisphère droit. Dégénération secondaire très prononcée du pédoncule cérébral droit, de la pyramide antérieure droite et du cor
ns le corps strié du côté gauche un ancien foyer ocreux d'hémorrhagie cérébrale ; on rencontre dans différentes parties du cerveau
anévrysmes miliaires dans la protubérance et dans les circonvolutions cérébrales . Les artères de la base sont très peu athéromateu
t gagnant le pédoncule cérébelleux. Dans un point des circonvolutions cérébrales , on trouve un petit anévrysme mitiaire. Obs. LX
seulement dans la protubérance, mais encore dans les circonvolutions cérébrales . Les vaisseaux étaient pour la plupart très altér
Obs. LXXVII. Pitié. — Béiiier. Homme de 52 ans, mort d'hémorrhagie cérébrale . A Vautopsie, on a trouvé de nombreux anévrysmes
rmer qu'elles sont encore des exemples de coïncidences de Vhémorragie cérébrale avec les anévrysmes miliaires, bien que la nature
oie d'une généralisation applicable à la pathogénie des hémorrliagies cérébrales habituelles. Il dit du moins que la rupture d'ané
rait bien être plus souvent qu'on ne le croit la cause d'hémorrhagies cérébrales . Obs. LXXIX. — W. Gull (1). Femme de 43 ans.
. Heschl décrivait après M. Meynert ont 1. Cases of Aneurism of the cérébral vessels. (Guy's Hosp. Reports, 3« série, t. V.)
p. Reports, 3« série, t. V.) Charcot. Œuv. compl. t. ix, Hémorragie cérébrale . 5 été observés par lui chez 16 sujets et deux
i chez 16 sujets et deux d'entre eux avaient succombé à l'hémorrhagie cérébrale . Cependant l'auteur, préoccupé surtout de savoir
de l'épilepsie, n'a pas été frappé de la coïncidence de l'hémorrhagie cérébrale dans ces deux cas, et il ne se pose môme pas la q
érance ayant fait irruption dans le quatrième ventricule. Les artères cérébrales étaient très athéromateuses. Le cœur était hypert
LXXXIV. — Bastian. M. Bastian dit qu'il a vu deux cas d'hémorrhagie cérébrale avec des anévrysmes comme ceux auxquels les Franç
anévrysmes comme ceux auxquels les Français rattachent l'hémorrhagie cérébrale , et, de plus, des extravasations dans les gaines.
les anévrysmes en faisant macérer dans l'eau eten lavant la substance cérébrale ainsi ramollie. M. Schu-lhof dit à ce propos qu'i
cienne date. Dégénération secondaire très prononcée dans le pédoncule cérébral droit, la moitié droite de la protubérance et la
résulte de là qu'ils peuvent co-exister aussi avec le ramollissement cérébral . On ne doit donc pas s'étonner de rencontrer des
M. Dieulafoy (1). La lésion, considérée d'abord comme une hémorrhagie cérébrale , ne serait, d'après une discussion à laquelle ce
se reporter maintenant à l'analyse des 84 observations d'hémorrhagie cérébrale que nous avons réunies, on reconnaîtra que dans t
s comme capables de jouer un rôle dans la production de l'hémorrhagie cérébrale , peuvent s'y rencontrer, mais en bien moindre fré
nous est donc permis de dire que les sujets qui meurent d'hémorrhagie cérébrale ont les artères de l'encéphale non athéromateuse
M. Durand Fardel (1) qui avait réuni 32 observations d'hémorrhagie cérébrale où l'état des artères de la base était indiqué, a
pour 100. La proportion des cas ou l'athérome manque dans les artères cérébrales des sujets qui ont été frappés d'hémorrhagie du c
es gens qui succombent à l'apoplexie sanguine, l'athérome des artères cérébrales manque 22 fois sur 100. La différence, on le voit
e là qu'une cause très accessoire dans la production de l'hémorrhagie cérébrale . 1. Durand-Fardel. — Traité clinique des maladi
Bouchard.—Etude sur quelques points de lapathogénie des hémorrliagies cérébrales . Paris, 1867, p. 59. Nous en dirons autant de Y
niques capables de jouer un rôle dans la pathogénie cle l'hémorrhagie cérébrale , une seule, en raison de sa présence constante, n
es émises antérieurement pour expliquer le mécanisme de l'hémorrhagie cérébrale . C'est une tâche que nous n'avons pu remplir dans
hare à la fesse du côté paralysé dans l'hémiplégie récente de cause cérébrale (1). Dans le premier numéro de ce recueil (Arch
uge; enfin, lorsqu'une tumeur comprime fortement l'un des hémisphères cérébraux . Afin de mieux faire connaître les circonstances
tions représentent la totalité des cas d'hémiplégie récente, de cause cérébrale , à début brusque et terminés par la mort, recueil
. T.R. 37°, 4/5. — Mort le dix-septième jour T. R. 40°. L. — Tumeur cérébrale . Obs. XVI. Saunier 45 ans. — Tumeur sarcomateus
s. — Ramollissement rouge de la couche optique gauche et du pédoncule cérébral correspondant. Début le 21 mars 1800. —? Hémipl
e ecchymotique : TR. 37°, 6. Charcot. Œuv. compl. t. ix. Hémorragie cérébrale . 6 Le troisième jour, soulèvement épidermique a
ipital droit. — Oblitération fibrineuse et athéroma-teuse de l'artère cérébrale postérieure correspondante. Hémiplégie gauche ave
phiques survenus à la suite d'irritation centrale. VI. Hémorragie cérébrale du tiers postérieur de la capsule interne (1).
décembre de la Société de biologie, rappelle que dans les hémorragies cérébrales dont le siège est le noyau lenticulaire du corps
n côté du corps, ne constitue-t-il pas un bel exemple de localisation cérébrale ? L'hémiplégie commune, l'hémianesthésie, ensem
un premier groupe dans la classe des maladies dues aux localisations cérébrales . 1. Société de biologie, séance du 11 décembre
empérature des parties centrales dans l'apoplexie liée à l'hémorragie cérébrale et au ramollissement du cerveau (1). M. Charcot
t la température centrale dans l'apoplexie consécutive à l'hémorragie cérébrale et au ramollissement du cerveau. Lorsque l'expl
d'après M. Charcot, dans l'état apoplectique grave lié à l'hémorragie cérébrale , et au ramollissement du cerveau, on peut observe
ononcés. D'après M. Trousseau, il existerait « dans les hémorragies cérébrales un peu considérables un mouvement fébrile sur leq
nstants qui suivent une attaque d'apoplexie causée par une hémorragie cérébrale ou un choc analogue, par exemple un grand traumat
dans la colonne mercurielle. Charcot. Œuv. comp. t. ix. Hémorragie cérébrale 7 Les convulsions étaient déterminées soit par
nd en nappe sur toute l'étendue de la face supérieure de l'hémisphère cérébral droit; à sa partie moyenne, il présente plus d'un
onstituent l'épanchement, on reconnaît que la surface de l'hémisphère cérébral sous-jacent a été très fortement déprimée, tellem
rès avoir été atteinte déjà tout à coup, le 27 mars 1860, d'accidents cérébraux mal déterminés et de courte durée, est prise, le
nstate aucune modification bien marquée, soit de l'état des fonctions cérébrales , soit de la paralysie avec contracture des membre
nous avons vu que plusieurs Charcot. Œuv. corapl. t. ix, Hémorragie cérébrale . 8 mois avant les derniers accidents, il y a eu
do-membraneuses remplies de sérosité dans les cavités de l'arachnoïde cérébrale , p. 598. 3. Ne faudrait-il pas invoquer un méca
pus ou des concrétions floconneuses dans les cavités de l'arachnoïde cérébrale . kQ. 2. Nous pouvons rappeler ici un cas que n
s avons rencontrée» disséminées en très grand nombre dans la pie-mère cérébrale de plusieurs sujets pris au hasard à l'amphithéât
pseudo-membraneuses remplies de sang dans les cavités de l'arachnoïde cérébrale . (4a série, loc. cit.) originales, lanl cliniqu
tance de toutes ces parties. Charcot. Œuv. compl. t. ix. Hémorragie cérébrale . 9 Admet-on que les hémorrliagies consécutives
endant à une partie plus ou moins grande du système de la circulation cérébrale , telles sont ensuite les causes organiques des at
palement lorsqu'il s'agit d'une affection dans laquelle les fonctions cérébrales sont déjà nécessairement troublées ; c'est pourqu
erveau. Il est situé dans la cavité arachnoï-dienne; car l'hémisphère cérébral gauche est encore revêtu du Feuillet viscéral d
e dans les anfractuosités, se sépare assez facilement de la substance cérébrale , qui ne paraît point ramollie ù sa surface. Sur
rouve rien d'anormal. Il n'y a point mémo d'injection de la substance cérébrale . Les parois des ventricules ne sont pas altérées
des, présente une coloration Charcot. Œuv. compl. t. ix, Hémorragie cérébrale . xo d'un violet foncé formant une tache qui rap
. Cornil, interne du service. Il ne sera question que de l'hémisphère cérébral gauche, qui seul présentait des altérations. Sur
urs peu prononcées, existaient sur toutes les parties de l'hémisphère cérébral qui avoisi-naient le foyer de ramollissement. D
érer comme complètement erroné ce point de physiologie, que le centre cérébral qui préside aux mouvements de coordination de la
éciation de la valeur réelle des altérations de la substance nerveuse cérébrale . Sans aucun doute, cette observation se trouve
Recherches cliniques et anatomo-pàthologiques sur le ramollissement cérébral et l'encéphalite (1). L'étude anatomique du ram
cérébral et l'encéphalite (1). L'étude anatomique du ramollissement cérébral chez les vieillards a conduit l'auteur à se ratta
le ramollissement, l'infiltration granulo-graisseuse de la substance cérébrale est la première lésion appréciable. Elle peut êtr
vue anatomique, une distinction fondamentale entre le ramollissement cérébral et l'encéphalite. Cette distinction n'est pas moi
l'étourdissement, par exemple, sont plutôt en rapport avec l'ischémie cérébrale qu'avec la congestion du cerveau, et que certains
ive. Thèse de Paris, 1866). Charcot. OEuv. compl. t. rx. Hémorragie cérébrale . n menîsdu membre. La synoviale était distendue
p. 88. i. Lac. cit., p. 35. Charcot. Œuvr. eomp. t. ix. Hémorragie cérébrale . ia ternes, ainsi que cela a lieu dans la myéli
rôle d'observations nouvelles. Arthrites dans l'hémiplégie de cause cérébrale . Il n'est pas rare de voir survenir dans les me
se produisent dans les membres paralysés, en conséquence d'une lésion cérébrale , résultent généralement d'une irritation directe
, un épaississement, une sorte Chargot. OEuv. comp. t. ix. Hémorragie cérébrale . i3 (le boursouflement ecchymotique très-remarq
pronostic dans l'hémiplégie récente liée à une altération de la pulpe cérébrale (1). Pour le moment, nous voulons nous borner à c
la fesse droite du côté paralysé, dans l'hémiplégie récente de cause cérébrale . (Archives de physiologie, etc. 1868, n° 2, p. 30
t chez les sujets frappés d'hémiplégie, en conséquence d'une lésion cérébrale , nous paraît suffisamment établie, et nous pouvon
lication viscérale inflammatoire ou d'une exacerbaiion de l'affection cérébrale (Obs. II et III). Mais je suis porté à croire que
ticulations des membres atteints d'hémiplégie à la suite d'une lésion cérébrale ? Sur cette question nous serons 1. Il n'est qu
aniques faibles, sur l'anesthésie des hystériques et sur l'anesthésie cérébrale par lésion organique. — Métalloscopie ; métalloth
ystérique, ils se font sentir également dans les cas d'hémianesthésie cérébrale par lésion organique. A. Deux cas d'hémianesthé
d'hémianesthésie liée à une lésion organique du cerveau (hémorrhagie cérébrale ). Rétablissement immédiat de la sensibilité sous
ai vu, de plus, des anesthésies datant de dix ans, dues à des lésions cérébrales , montrer la môme série de phénomènes; des applica
s action. J'ai essayé moi-même, dans un cas d'hémianesthésie de cause cérébrale , une plaque d'or aussi pur qu'il est possible de
ystériques hémianesthésiques, l'achromatopsie a pour cause une lésion cérébrale . Le traitement par la métallothérapie donne le mê
fluence delà métallothérapie, tandis que les mêmes troubles d'origine cérébrale , une fois guéris, ne se reproduisent pas sous cet
les effets obtenus sur deux de nos malades atteintes d'hémianesthésie cérébrale (c'est-à-dire avec participation des sens supérie
es par les aimants et les solénoïdes. Un homme, atteint d'hémorrhagie cérébrale , était anesthésique de tout le côté droit. Ce mal
sivement aux muscles et aux nerfs, mais qu'il s'étend jusqu'au centre cérébral lui-même, du moins en ce qui concerne les parties
ons de l'encéphale. Il ne saurait être question ici de localisation cérébrale précise, et nous ne recherchons pas même, du moin
ou par induction, que les régions intéressées appartiennent àl'écorce cérébrale , au manteau ou aux parties basilaires de l'encéph
Mental Disease, 1883, p. 1.) Note sur quelques faits d'automatisme cérébral observés pendant la période cataleptique de l'hyp
destiné à en masquer les effets, IL Dans les faits à'automatisme cérébral dont nous allons nous occuper à présent, la sugge
logues et les physiologistes, et auquel on a donné le nom automatisme cérébral ou de cérébration inconsciente. Au sujet de l'i
une grande commissure reliant les régions dites motrices de l'écorce cérébrale avec la moelle. 11 est rendu vraisemblable par un
l'excitabilité des cellules motrices, privées de l'action inhibitrice cérébrale , la tonicité se change en contracture par l'actio
ent par les autres moyens n'avait pu procurer.. Dans l'hémianesthésie cérébrale par lésion organique, elle peut ramener la sensib
'œil nu les anévrysmes miliaires A, B, etc., dans les circonvolutions cérébrales . Fig. 3. — Aspect que les anévrysmes miliaires
ntice se multiplient et que le vaisseau se dilate. Fig. 2. — Artère cérébrale moyenne. B, Artère de la couche optique. C, U
être considérée comme la cause la plus fréquente de l'hémorrha- gie cérébrale ................................................ 3
..... 3 II. Nouvelles recherches sur la pathogénie de l'hémorrhagie cérébrale . 5 III. Note sur la formation rapide d'une esch
re à la fesse du côté para- lysé dans l'hémiplégie récente de cause cérébrale .............. 73 IV. Ecchymoses viscérales chez
ophiques............!........................... 87 VI. Hémorrhagie cérébrale du tiers'postérieur de la capsule interne.. 89 VI
érature des parties centrales dans l'apoplexie liée à l'hémorrhagie cérébrale et au ramollissement du cerveau... 91 VIII. Nouve
erches cliniques et anatomo-pathologiqucs sur le ramollissc- sement cérébral et l'encéphalite.............................. 15
e progressive............ 1.19 Arthrites dans l'hémiplégie de cause cérébrale .................. 181 DEUXIÈME PARTIE Métallo
aniques faibles, surl'a-nesthésie des hystériques et sur l'anesthésie cérébrale par lésion organique. — Métalloscopie : métalloth
r................. 431 XIII. Notes sur quelques faits d'automatisme cérébral observé pendant la période cataleptique de l'hy
e, p. 206, — physiologie pathologique, p. 208. Athérome des artères cérébrales cause d'hémorrhagie cérébrale, p. 70; — fréquence
ogique, p. 208. Athérome des artères cérébrales cause d'hémorrhagie cérébrale , p. 70; — fréquence de 1'—, p. 70. Attention ex
nce de 1'—, p. 70. Attention expectante, p. 237, 498. Automatisme cérébral , p. 441, 446. B Burquisme, p. 234. c Caps
441, 446. B Burquisme, p. 234. c Capsule ínterne, hemorrhagic cérébrale du tiers postérieur de la -, p. 89. CaruS h y s
446. Chorée, p. 9/~. Cœur, Hypertrophie du—), cause d'hé-morrhag'ie cérébrale , p. 71. Contraction musculaire, modification de
. 156. Eschare fessière, formation rapide d'une — dans l'hémiplégie cérébrale récente, p. 73; — examen microscopique de r — , p
ÊMICATALEPSIE, p. 260, 307. IlÉMILÉTHARGIE, p. 260, 307. Hémiplégie cérébrale , (Arthrite dans r"_), p. 181, 201, 205 , 206, 208
— récente, p. 73. Hémorrhagie intra-méningée, p. 102. HÉMOimHAGiE cérébrale , altération des petits artères de l'encéphale com
— récente, p. 48; — cas anciens d' —, p. 65, — alliérome des artères cérébrales , cause de r —, p. 70: —? hypertrophie du cœur, ca
17;—distinction de F — avec l'athéronie, p. 18. R Ramollissement cérébral , p. 156. Réflexe tendineux dans la léthargie hy
; — expériences, p. 317. Rcins, atrophie des — cause d'hémor-rhagie cérébrale , p. 172 Rigidité cataleptoïde dans le somnambul
térique par—, p. 474,522. T Température centrale dans l'apoplexie cérébrale , p. 91; — clans certaines affections convulsives,
7 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Après avoir longtemps et vainement cherché la cause de ce trouble cérébral , on finit par apprendre, par une femme de chamb
ait, que les sensations dont elle se plaignait, avaient une origine cérébrale , qu'il était à la fois de son devoir et de son in
mettre que les sujets étaient des candidats sérieux aux accidents cérébraux . Les troubles nerveux et mentaux ayant succédé
surtout comme elle l'est en Italie, la doc- trine des localisations cérébrales aura plus contribué qu'aucune autre à éclairer
es italiennes. Pour ne palier que de la doctrine (les localisations cérébrales , telle qu'elle est exposée clans cet ouvrage, cet
toute délimitation absolue entre ces aires différentes de l'écorce cérébrale , montrent assez comment, presque toujours, « to
ne puis parler ici que des parties qui ont trait aux localisations' cérébrales . J'omets donc à dessein toutes ces admirables é
es les impressions sensibles sont con- duites jusqu'aux hémisphères cérébraux et y produisent une élévation de température pa
nouie dans le rayonnement toujours plus intense de la conscience cérébrale . Les centres spinaux, devenus inconscients, aut
le processus cons- cient est la phase transition d'une organisation cérébrale inférieure à une o ? 'a/;M6 ? e cérébrale supér
sition d'une organisation cérébrale inférieure à une o ? 'a/;M6 ? e cérébrale supérieure 1 ». Les processus psychiques qui no
la conscience finirait sans aucun doute par abandonner l'activité cérébrale ; celle-ci prendrait peu à peu « le caractère in
e sur les centres moteurs pour y provoquer une réaction automatique cérébrale , phénomène d'autant plus fréquent que l'intensi
e à la pathogénie de ce phé- nomène les centres nerveux de l'écorce cérébrale dont la désorganisation s'exprime, fonctionnell
iment géné- rales de son hypothèse des centres mixtes de l'écorce cérébrale , hypothèse présentée en 1876, et que nous avons
us psychiques. La nature mixte des centres fonctionnels de l'écorce cérébrale étant ad- mise, (et les recherches postérieures
ctionnelle des éléments nerveux sensitifs d'un cen- tre de l'écorce cérébrale , excitation qui a lieu en même temps que celle
sentations organisées dans les cen- tres correspondants de l'écorce cérébrale , les parties périphériques du corps peuvent man
les hallucinations en général, puisque tous les centres de l'écorce cérébrale , et non pas seulement les centres dits moteurs,
'une seule et unique propriété des cel- lules nerveuses de l'écorse cérébrale , j'entends de la propriété d'être impressionnée
frontaux, en démontrant que, 48 - PHYSIOLOGIE. pendant l'activité cérébrale , ou sous l'influence de sen- sations et d'émoti
l'intensité de l'attention 2 : cette suractivité de la circulation cérébrale est due, selon Gley, à une influence vaso-motri
l'ormo, 1886. - La doctrine de la fièvre et les centres thoraciques cérébraux . Etude sur l'action des antip)t'iuues. - Gcorm. d
Les expériences de Mosso, appliquées à l'étude de la circulation cérébrale pendant le sommeil ont aussi démontré l'existen
pourtant, qui ont accompagné ces modifications de la circulation cérébrale déterminées par des excitations extérieures. Se
s expériences de Masso démontraient une fois de plus que l'activité cérébrale 1 Tamburini et Seppilli. Recherche sui feuonxen
ses perceptions simples exercent-elles sur l'état de la circulation cérébrale ? Les variations de la circulation cérébrale so
état de la circulation cérébrale ? Les variations de la circulation cérébrale sont-elles une con- dition déterminante de ces
ptions. Le temps où se manifestent les,variations de la circulation cérébrale , consécutives à l'action des stimuli, est beauc
on sont l'effet, et non la cause déterminante, des actions réflexes cérébrales provoquées par les perceptions. Bianchi, depuis
ans la mélancolie'. Citons encore les Recherches sur la circulation cérébrale de G. Rummo et Ferrannini 2, de Naples, qui ont
ale de G. Rummo et Ferrannini 2, de Naples, qui ont étudié le pouls cérébral chez deux individus présentant une ouverture du
sentant une ouverture du crâne : les va- riations de la circulation cérébrale pendant le sommeil leur paraissent également êt
l'augmenta- tion des déchets chimiques qui accompagent le travail cérébral . Ainsi, il faut admettre, concluait A. Gautier,
éduire, en ce cas, de 9/10, tout au moins, la quantité de substance cérébrale pensante. On peut admettre que les facultés pro
omique, je demanderai : Où sont et quels sont ces éléments du tissu cérébral que Robin a voulu baptiser du nom de myélocytes
re nerveuse des diverses catégories d'éléments constituant le tissu cérébral . CI Cela suffirait pour qualifier de fantaisist
westerderselben in hohenalter « sehr nervoes ». LES localisations cérébrales . 69 conclusions mais qui ont été faites avec pl
dante dans le cerveau du chien, relativement plus LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 71 large que chez le singe est indiquée pat le
amstrl11U ! tendon , J/ip, hanche ; Taist, queue. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . z fig. 7), produit des mouvements du dos, de l
après l'excita- tion électrique des différentes parties de l'écorce cérébrale . Ces résultats, à part leur interprétation, ind
notés par Mills dans son excellent mémoire sur les localisations cérébrales et ses conséquences pratiques 3. Dans un de ces c
nt le Congrès de Washington, 1887. (Brain, 1889.) LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 75 vaient les convulsions du malade, était exa
parfaite harmonie avec ceux obtenus par l'excitation de l'écorce cérébrale des singes, et nous avons donc toute raison de cr
ure et postérieure du pli courbe. Règle générale, LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 79 avec les mouvements latéraux, on obtient de
er Akad, d. Wiss zii flel'fin V, 16 janvier 1889. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . Si Il n'y a cependant à peine un point de la d
nt. VII, VIII, Six. Phil, Trans, \01. CLXV, l81a, LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 83 que, lorsque' les deux plis combes furent s
la natine du même cité; divergence des lèvres. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 8» minutes se trainant à tâtons. Alors il repa
iveisity of' City 0 ? 1'eu'-l'ork; n° 1, 1890. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 87 plulôt que l'amblyopie. Les expériences d'H
. -- P, puhinar, - p. comnllssure poste[ ieuie. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 91 fig. 8). l'appui de ce que j'avance, je rap
o-temporale et pénétrait de plusieurs millimètres dans la substance cérébrale divisant les fibres médul- laires qui émergent
toire de l'amblyopie qui résulte de l'extirpation LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 93 unilatérale et de ce fait que, comme dans u
ille. - H, légion du cou. - S. région du tronc. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 0)) saut avec toute la m'ain et tombant en deç
ale du pied gauche. Il se déviait à droite. On le LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 97 le point central qui fut examiné avec grand
hypothèse demanderait que dans tous les cas d'amblyopie par lésion cérébrale il y ait intégrité de la sensibilité du globe d
gie, de l'aphasie et d'aulres symptômes dus aux lésions des tractus cérébraux et des centres dépassent la région occipitale.
majorité des cas sinon tous d'hémiopie avec autopsies, avec lésions cérébrales telles qu'elles n'ont pas certainement compris
ble de la vision à la suite de lésions destructives de l'hémisphère cérébral opposé, qu'il ne rapporte pas cependant spécial
it. Il a donné à cet état le nom de hirnseh- scl1wJche ou amblyopie cérébrale . Elle était entièrement croisée et affectait se
alblatt f. med. Il'issenscha/'ten, 187î. ' Centres 0/ Vision in the cérébral hémisphères. (Med. Record,,1881.) 3 P/luger's A
lever chez les chats entre 3",5 et 3 centimètres cubes de substance cérébrale et entre 4",5 et 6 centimètres cubes chez les c
ui occupe seulement les deux septièmes de tout le LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 105 centre'visuel. Quand ce petit endroit qui,
Das Sehcentrum bei 7'SM<'f)[,August., 1878. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 107 dans la région indiquée, et Munk conclut q
a cécité psychique dans les maladies de l'enfance et les mala- dies cérébrales . P. K. V111. Les voix QUI devancent, accompagne
parlons sans le vouloir et en même temps nous per- cevons les voix cérébrales qui témoignent de la résonance des cellules imp
est-à-dire dans le système nerveux périphérique et dans les centres cérébraux inférieurs. L'entière conservation de la facult
curables. - R. M. C. XXVI. Paralysie générale simulant une tumeur cérébrale , par G.-Il. SAVAGE. (The Journal of Mental Sci
née, il n'y a eu qu'une voix pour admettre l'existence d'une tumeur cérébrale , laquelle devait être presque certainement située
nérale des aliénés, il déclare que dans son groupe c'est la cellule cérébrale intoxiquée qui détermine l'irritabilité du tissu
iscussion, parce qu'il n'est pas histologiste. Pour lui, la cellule cérébrale doit flotter dans une atmosphère de vaisseaux. le
abilité électrique, des fonctions spninctéiiennes. Pas de symptômes cérébraux . Jusqu'à nouvel ordre, il y a lieu de ranger ce
la com- missure provient des fibres entre-croisées des territoires cérébraux immédiatement adjacents au cerveau moyen. Mais
répartis les systèmes de fibres qui occupent le pied du pédon- cule cérébral . Pratiquons, à l'exemple de Flechsig, une section
pyème. Au bout de huit jours de maladie, se montrent des phénomènes cérébraux ; pendant neuf jours, la fièvre tombe, tandis q
L\L (d'Heidelberg). Contribution à la symptomatolo- aie.des tumeurs cérébrales . -Un jeune homme de dix-neuf ans, présentant un
a traité de la structuie de la couche corticale des circonvolutions cérébrales , avec leur superposition de six couches alterna
tation et aux mouvements fluxiou- naires que provoquent les lésions cérébrales ou médullaires, six sont consacrées aux particu
t les néphrites interstitielles, le ramollissement et l'hémorrhagie cérébrale , l'insuffisanceaortique, la sclérose et la stéa
- laire. Dans l'hystérie, pas plus que dans l'hémiplégie de cause cérébrale , l'atrophie n'est chose fatale. Elle peut surveni
pliquer d'atrophie musculaire, tandis que telle hémiplégie de cause cérébrale , où l'impotence fonctionnelle et la contracture
versales de la lyre. Je revien- drai sur ce-point à propos de l'arc cérébral . Le plus ordinairement, la portion ammonique se
e olfactif ayant été considéré par cet auteur comme « une expansion cérébrale projetée à une distance variable de l'hémisphèr
rongeurslissencéphales, il montre qu'il reste cependant un « gyrus cérébral , la circonvolution godronnée, recon- naissable
ue la fascia dentata nous représente le véritable ourlet du manteau cérébral ...» » - Giacomini, rapportant son appareil ains
mini, rapportant son appareil ainsi constitué à l'ourlet du manteau cérébral , semble se rapprocher des idées de FOVILLE, leq
de Lan- cisi rattachent l'un à l'autre les points d'implantation cérébraux des deux racines olfactive externe (corne d'Amm
. « ... Il est à remarquer en outre que le long du bord où l'écorce cérébrale se termine sur le corps cal- - leux par un bord
ou groupes cellulaires différenciés, dont l'un siège dans l'écorce cérébrale , tandis que l'autre réside dans la moelle épini
e. Steiner a vu que si l'on fait l'ablation de l'un des hémisphères cérébraux du squale, celui- ' Russe) Reynolcio. - Brit. m
séquence, de telle sorte que, après l'ablation du second hémisphère cérébral , le même animal continue à nager en cercle. J
mplantait qu'une aiguille thermo-électrique (soudure) dans la masse cérébrale , au lieu de deux .(Schiff), qu'il réunissait au
bien moins, la plupart du temps, une éléva- tion de la température cérébrale , qu'un refroidissement de l'organe. Ainsi, en f
on aux variations successives de la température durant le travail cérébral , on constatait l'existence de vérita- bles osci
conséquent à la surface du cerveau, sans pénétrer dans la substance cérébrale elle-même, ainsi que dans les expériences de Sc
une hypothèse à ' Tanzi. - Ricerche termo-elettriche sulla coreccia cérébrale in rela- zione con gli stati enzotivi. Reggio-E
atives de refroidissement et d'échauffement ont pour siège l'écorce cérébrale " elle-même et pour condition immédiate le trav
on. Ainsi, les t Tanzi. - Ricerche lermo elettriche sulla corteccia cérébrale , p. 32 et 38. LES FONCTIONS DU CERVEAU. 229 9
rches thermo-électriques sur l'équi- valent thermique de l'activité cérébrale , ces auteurs avaient des précurseurs : Lombard,
avaient noté que la température de la tête augmente avec le travail cérébral (travail intellectuel, émotions, mouvements vol
terne du crâne et la 1 Seppilli et Maragliano. Sludi di termometria cérébrale ltiv. speriment. di fren., 1879. ' Contributo
esse, etc. De tous les états subjectifs qui accompagnent le travail cérébral , les émotions, nous l'avons dit, sont certainem
meilleur terrain d'expériences pour l'étude de la trier- mogénèse cérébrale . La pile de Tanzi et Musso était formée de deux
ues corres- pondantes du cerveau, démontrent que, dans l'activité cérébrale aussi, agit cette loi du rhythme qui semble pré
s n'avons ni dissimulées ni affaiblies, il reste que le tra- vail cérébral , comme celui du muscle, est une forme de l'éner
traires. 1 II. - Les différentes aires fonctionnelles de l'écorce cérébrale , outre un territoire propre, un foyer cen- tral
me centres de perception et d'idéation, les fonctions de l'écorce cérébrale . IV. Les différents points de chaque sphère fon
pondant. V. Les rapports de chaque centre fonctionnel de l'écorce cérébrale avec les organes périphériques cor- respondants
VI. Les variétés morphologiques des éléments nerveux de l'écorce cérébrale n'apprennent rien sur leurs fonctions : c'est d
III. La spécificité fonctionnelle des différentes aires de l'écorce cérébrale dépend, non d'une diversité spécifique des élém
les organes périphériques du sens muscu- laire. XI. - L'activité cérébrale , comme l'activité mus- culaire, détermine, au d
et de réintégration fonc- tionnelle des centres nerveux. Le travail cérébral est une forme de l'énergie. L'intelligence a de
OLOGIE PATHOLOGIQUE « THE CROONIAN LECTURES SUR LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES ' Par DAVID FERRIER Médecin du King's Collège
Arei. de Neurolog., n° 60, p. 405; n° 61, p. 68. LES localisations cérébrales . 241 gue (fg. 14) chez les animaux dont la sécu
. ! Philosophical Transactions, Part. II, 1884. , LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 243 faire allusion, soulevèrent des questions
iver chez les animaux, même après l'ablation totale des hémisphères cérébraux . Schoeff er, dans ses premières expériences ave
vol. 10, p. 373. Bi,ain, juillet 1889, p. 164. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 245 parfaitement normal était tout à fait sour
pas aux sons produits dans son voisi- rig. 17. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 247 nage, ni quand on frappait la porte du lab
ne regardait autour de lui, si au même moment il LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 249 était occupé à quelque chose, tandis que l
l'indiquer, la totalité des lobes temporaux comme les autres lobes cérébraux , peut être enlevée sans abolir complètement les
ur les chicns, coirespond à la égion auditive . ' LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 2SI ). plus léger trouble de l'ouïe. Et il con
et que les deux oreilles sont repré- sentées dans chaque hémisphère cérébrale . C'est indubitablement le cas; car l'extirpatio
la circonvo- lution temporale supérieure. La surdité par maladie cérébrale chez l'homme est rare, vu l'ex- trême rareté de
aine de surdité dans ce cas coïncidant avec des symptômes de lésion cérébrale , et l'état du 1 Archives of médecine, février 1
, 1883 (Brain, avril 1888, p. 19). 1 Fig. 22. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 255 cérébrale. Pour exclure toute possibilité
il 1888, p. 19). 1 Fig. 22. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 255 cérébrale . Pour exclure toute possibilité de lésions locale
avec une entière certitude que es lobes temporaux sont les centres cérébraux de l'audition. » Quoique les lésions n'étaient
centre auditif dans ces lobes. Les affections de l'ouie d'origine cérébrale avec lesquelles nous sommes plus familiarisés s
agazine, nov. 1889. " Journal of Anatomy, 1870. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . lSi -1 Les faits tirés de la pathologie humain
eynert, à travers le cervelet dans leur trajet vers les hémisphères cérébraux , hypothèse qui, d'ailleurs, ne concorde pas ave
cas d'autopsie de chorée avec examen microscopique des hémisphères cérébraux , les lésions constatées sont absolument com- pa
stance de la paroi artérielle explique la production d'hémorrhagies cérébrales , de thromboses oblitérantes, et les troubles d
ale, et meurt dans un état de mal. On porte le diagnostic de tumeur cérébrale avec hydrocéphalie et lé- sion de la moelle. L'
LISSA UER. - Observation DE CÉCITÉ PSYCHIQUE ENTRE autres symptômes cérébraux ; par Siemerling. (A7CIL. f. Psychiat., XXI, 1.)
phale entier avec ses ménin- ges; le manteau, le cervelet, le tronc cérébral , avec et sans leurs membranes respectives. Il d
cident. Atrophie de toute la région antérieure des deux hémisphères cérébraux jusqu'au niveau de la frontale ascendante. M. S
bstance trouvées dans LES LOBES PARIÉTAL ET FRONTAL DE L'HÉMISPHÈRE CÉRÉBRAL GAUCHE CHEZ UN DÉ- MENT, SANS QUE PENDANT La VI
ps restiforme, peut-être aussi avec le cervelet. P. K. XXI. LÉSIONS cérébrales intéressantes CHEZ UNE IDIOTE ÉPILEPTIQUE. - CO
- CONTRIBUTION A l'anatomie pathologique DE la paralysie infantile cérébrale ; par TH. ZACHER. (Archiv. f. Psych., XXI, 1.) O
e ordinaire, d'origine bulbaire, parce que l'altération de l'ecorce cérébrale empêche l'action com- pensatrice des centres va
iffèrent des cellules granuleuses dégénéra- tives du ramollissement cérébral , cellules qui ont principalement pour origine d
'est le cervelet qui pré- side à l'arrêt de l'activité des cellules cérébrales . Il est même pro- bable que, dans le système ne
ême pour la partie supérieure de lamoelle, le bulbe, les pédoncules cérébraux , les segments supérieurs des couches optiques (
la substance grise de la moelle- cellules pyramidales de l'é- corce cérébrale - cellules de Purkinje du cervelet- ganglions d
ût comprimé les ascendants, elle n'avait pas occasionné d'accidents cérébraux . M. SNELL. ;L'ep : dmfe d'influenza à l'asile d
ff sans que, pendant la lie, on se trouve cn présence de phénomènes cérébraux et médullaires quelconques; il faut aussi remar
ution du diamètre trans- versal du corps restiforme. Les pédoncules cérébraux n'ont pas été examinés. La sclérose de la pyram
re transversal du corps resti- forme s'observe du côté de la lésion cérébrale . Les nerfs périphé- riques ne présentent aucune
En résumé, à côté de l'atrophie musculaire consécutive à une lésion cérébrale , cette observation présente une coïncidence cu-
gauche fait saillie dans son tiers postérieur. Les circonvolutions cérébrales sont aplaties et- effacées. La glande pituitair
eaux de la base ne présentent rien de particulier. Les pédon- cules cérébraux , la protubérance, le bulbe et la moelle épinière
gie, 1883, n° 18.) BIBLIOGRAPHIE. 299 de l'amyotrophie de cause cérébrale , ce cas présente aussi un intérêt spécial. En
es, sont en résumé, les deux observations d'amyotrophie d'o- rigine cérébrale dont la signification physiologico-pathologique
uis que M. Babinski a démontré que l'atrophie musculaire de cause cérébrale est possible avec des cornes antérieures intactes
onditions dans lesquelles se développent les amyotrophies d'origine cérébrale , sont variables : tantôt on trouve une lésion t
l est évident que leur curabilité dépend exclusivement de la lésion cérébrale fonda- mentale. Il parait donc établi actuell
trophie musculaire peut se développer consécutivement à des lésions cérébrales sans aucune modification du côté des ganglions
localisation exacte des centres trophiques des muscles sur l'écorce cérébrale est inconnue et encore moins la localisation du
moins la localisation du 1 Babinski. Atrophie musculaire d'origine cérébrale , (Comptes rendus de la Société de biologie, 188
insuffisantes pour interpréter les atrophies musculaires d'origine cérébrale ; les auteurs pensent qu'au point de vue anatomiqu
de supposer que chaque impulsion psychomotrice partant de l'écorce cérébrale est accompagnée d'une impulsion vaso-motrice ay
é inconsciente. Les diverses périodes de formation de l'automatisme cérébral qui en dérive, sont distinguées ensuite, et c'e
bles d'une fort intéressante étude sur la pathologie du pédoncule cérébral Si je vous propose cette dénomination, c'est pa
ant qu'une lésion de la partie inférieure et interne du pédoncule cérébral produit un syndrome caractérisé par une paralys
t bien démonstratif : un tubercule isolé siégeant dans le pédoncule cérébral gauche avait amené le syndrome clinique en ques
e alté- ration encéphalique qu'une lésion ancienne du pédon- cule cérébral . Dans ce cas très évidemment l'oculo- moteur co
deux faits où l'autopsie fit voir un tubercule dans un pédoncule cérébral , alors que,, du vivant des malades, on n'avait
l'auatomie et d'étudier sommairement les rapports des pédoncules cérébraux avec la protubérance et les or- ganes adjacents
ntrinsèques du pédoncule avec l'oculo-moteur commun. Le pédoncule cérébral est, vous le savez, un tractus complexe dont l'
a troisième paire droite résultant d'un ramollissement du pédoncule cérébral droit. Gazelte >néd. de Pars, n° 7, p. 555,
éclairant sa chambre, lui faire rêver flammes, incendie; l'action cérébrale provoquée chez lui est toujours en rapport avec
- fois, il apparaît subitement, notamment à la suite de commotion cérébrales vives. Je signalerai encore un symptôme caractéri
OGIE PATHOLOGIQUE « THE CROONIAN LECTURES » SUR LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES « Par DAVID FERRIER, Médecin du King's Collèg
s haut, ils se continuent évidemment dans le tegmentum du pédoncule cérébral et de là dans la partie postérieure de la capsu
ensibilité ou un trouble plus grand que celui Imputable à la lésion cérébrale . - Mais telles que ces expériences sont opposée
ces de Veyssière ' et les recherches de Charcot sur ],hémianesthé1C cérébrale chez l'homme ont' amplement dé- montré que les
Recherches cliniques et expérimentales sur l'hémianestésie de cause cérébrale , 1874. ' LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 379 mo
sur l'hémianestésie de cause cérébrale, 1874. ' LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 379 moins grande destruction du lobe occipital
tération, l'attention par la piqûre, etc., étant 1 Functions of the cérébral Cortex. B. XX Phil. trans. 1888. - 382 ' PHYSIO
aucune sensation, mais après ce laps de temps une LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 383 amélioration se produisait, l'anesthésie g
hez les singes (Phil. Trans., B. YLVIII, 1889). LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 385 leur intégrité n'entraînent à leur suite a
inale du bulbe et du nerf olfactif, d'un diverticule de la vésicule cérébrale antérieure, dont la cavité a été presqueentiè-
a face moyenne, externe, supérieure et inférieure de l'hémisphère cérébral sont considérés comme racines du nerf olfactif. Q
hien, dont le lohule de l'hippocampe est sept 1 Phil. Trans. on the cérébral Commissiures of the marsupial and Monotremata.
issure antérieure. G, septum. - K, corps strié. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 391 fois plus grand que celui du lapin, la por
Section frontale du cerveau du singe il angle droit des pédoncules cérébraux dans la région de la commissure antérieure (grand
d. - ne, novau caudé. - nl, nojau lenticulaire. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 393 L'excitation électrique du lobule de l'hip
ut désorganisé et également une légère détérioration du pédoncule cérébral se produisit, de sorte que l'animal devint complè
ire que les sens du goût et de l'odorat de l'ani- LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . x 397 mal, quoique sérieusement atteints,-n'ét
des réactions tendineuses, comme dans le cas d'hémiplégie incurable cérébrale chez l'homme. Les recherches sur l'état du ce
Bd. XX. 1888. 1 Voir figure : fig. 20, op. cit. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 408 unilatérale de ces centres ne produit aucu
les singes. Dans les c Gulstonian Lectures * sur les localisations cérébrales que j'ai eu l'honneur de faire devant ce collèg
volutions ascendantes ; 33 cas de monoplégie bra- LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 40S chiale, comprenant trois cas d'excision ch
mettre sur le compte des rapports bilatéraux de chaque hé- misphère cérébrale . La théorie de la compensation par d'autres por
compagnée par la perte de 1 Op. cil., p. 4,8. - LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 407 la sensibilité générale de la partie paral
unctions - Localisation au/' der Grosslzirnrinde, 1886. , Locatased cérébral disease. Anzer, Jomm. Med. Se. 1884. » Cortical
ion des Gefuhls in. der Grosshirnzinde, 1882. · LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 409 riable entre une lésion particulière et un
t, la table interne du crâne avait été en- foncée dans la substance cérébrale , produisant ainsi une hémi- plégie générale. Da
p. 21. 9 Wood, Ph. med. Trans., vol. V, p. 470. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 411 l'insula de Reil. Dans le troisième la sen
s 1); Lloyd et Deaver (Am. Jour. )léd. Se., vol. 96, p. 477); Keen ( Cérébral Sargery Am. Jour. Méd. Se, 1888, cas 3). On pourr
our l'ablation de cette tumeur, mais il la trouva LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . H3 par la trépanation située au-dessous du pli
44. 2 The muscular Sensé (Brain, vol. X, 1889). LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 415 quand elle est accompagnée de parésie ou d
des centres inférieurs est assurée sans le concours des hémisphères cérébraux ; et je ne pense pas non plus que les impressio
ndchirn. Archiv. f. d. ges. Phys. Bd. XVII, 1883. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 417 capacités motrices sont plus variées et pl
ériences 19 et 20. l'hil. Traits. Part. II. 188î. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 419 Dans un cas où j'ai enlevé le lobe frontal
a durée de la survie de l'animal. Il mourut subitement d'hémorragie cérébrale , le dixième jour de l'opération. Dans ce cas, l
' Archiv. sur Psychiatrie, 1887 vol. 15. p. 270. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 421 temps. Les cas publiés de traumatismes ou
n que je n'ai pas considérée, ce sont les relations des hémisphères cérébraux et des fonctions de la vie organique. C'est un
ouché que d'une façon incidente au côté psychique des localisations cérébrales . Ce point réclamerait à lui seul un volume et p
la vraie conception des fonctions et des relations des hémisphères cérébraux et de leurs centres n'est pas seulement du plus
pratique important pour le diagnostic et le traitement des maladies cérébrales . ROBER SOREL. REVUE DE PHARMACOLOGIE EXALGI
persécutions. Baillarger a montré que dans la stupeur, les facultés cérébrales n'étaient pas toujours suspendues et qu'on cons
e habituellement, en général au début, de phéno- mènes d'excitation cérébrale , surtout de nature sensorielle. L'influenza dev
éraux. L'asile est indispensable lorsqu'il y a tabes avec accidents cérébraux , notamment avec déchéance intel- lectuelle, car
ec déchéance intel- lectuelle, car généralement alors les accidents cérébraux sont ceux de la paralysie générale. P. K. XXX
he et de la procursion. A l'autopsie, on a constaté de J'atro- phie cérébrale . Notlinaâel faisait dépendre l'épilepsie procursi
rale. Notlinaâel faisait dépendre l'épilepsie procursive de lésions cérébrales . Bourneville et Bricon ont confirmé cette manière
Cramer combat cette opinion. Pour lui, il ne s'agit pas de lésions cérébrales ou cérébelleuses, mais de phénomènes pure- ment
l a sur la pathogénie des atrophies musculaires dans les affections cérébrales ». Voici les conclusions de l'auteur : dans les
rébrales ». Voici les conclusions de l'auteur : dans les affections cérébrales , on peut observer des amyotrophies sans aucune
core impossible de préciser la localisation anatomique de la lésion cérébrale provoquant infail- liblement l'atrophie, mais d
as il faut incrimi- ner une lésion de la région motrice de l'écorce cérébrale . Au point de vue clinique, les atrophies muscul
rale. Au point de vue clinique, les atrophies musculaires d'origine cérébrale peuvent être divisées en deux classes : aiguës
ures n'expliquent pas complètement la pathologie des amyo- trophies cérébrales ; la théorie vaso-motrice l'explique mieux jus-
le professeur Sikorski cite des exemples d'a- phasie où. la lésion cérébrale étant absolument la même, les phé- nomènes clin
dre psychique aux- quels correspondent des processus physiologiques cérébraux , comme par exemple le fait suivant : une impres
151; - Contribution à l'étude de la pathologie des hémisphères cérébraux , par Roth et Mouratoff, 296, ; Intoxication chr
(phénomènes du), absence des - par Pick, 282. GLiosc de l'écorce cérébrale , par Buchholz, 274. GUS7·A·IIF'S (nerfs), par
yer du), par Wernicke, 258. 478 TABLE DES MATIÈRES. Localisations cérébrales , par Fer- ner, 68, 248, 377. MA ! .tE guérie
as de - chez la femme, par Grelpin, 452 ;- sinru- lant une tumeur cérébrale , par Sa\'age, 122; - et intoxication, par A.
ésie traumatique, par Schnell, 265; anatomie pathologique de la cérébrale infantile, par Hoven, 237, Zacher, 280. Param
du - inférieur avec le nerf auditif, pir Flechsig, 285. Tninjns cérébrales , symptomatolo- gie des - , par SclJoenthal, 1 î
8 (1857) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Atlas
ce poisson, vu par sa face supérieure. te. Tubercule ethmoïdal, ou cérébral , to. Tubercule optique, c. Cervelet. Rouget.
l ou nerf vague. Anguille. te. Tubercule ethmoïdal. te. Tubercule cérébral . to.Tubercule optique, c. Cervelet. Squale-rena
signant lés mêmes objets que chez l'anguille. BUSE; te. Tubercule cérébral , gp. Glande pinéale. to. Tubercule optique, c. Ce
osses. ( Il ne restait pas de trace du nerf spinal. ) pc. Pédoncule cérébral , pv. Pont de Varole. bt. Bande transversale sit
e, flocons. Lapin. Fig. ire Face supérieure de l'encéphale. Lobes cérébraux plus allongés que chez le paca 2 ENCÉPHALE DE
longés que chez le paca 2 ENCÉPHALE DES MAMMIFÈRES DONT LES LOBES CÉRÉBRAUX SONT DÉPOURVUS DE CIRCONVOLUTIONS. lobe d'hip
t l'organe de l'alimentivité. c. m. Corps mamillaiie. p. c. Pédoncule cérébral , p. v. Pont de Varole. b. t. Bande transverse.
enté, mais qui n'existent pas toujours aussi marquées. Taupe. Lobes cérébraux pyriformes , se rapprochant de ceux du paca. Ch
prochant de ceux du paca. Chauve-souris. Cervelet volumineux, lobes cérébraux intermédiaires entre ceux des oiseaux et des mamm
de simplicité et de netteté, le caractère propre aux circonvolutions cérébrales de cette famille. Renard. Fig. ire. Face supéri
de chaque côté : il y en a quatre à la partie externe de chaque lobe cérébral , la quatrième est située trop latéralement pour ê
n n'est autre chose que la scissure de Sylvius. P. A. Circonvolutions cérébrales au nombre de quatre; la première circonscrit la s
objets que chez le loup et le renard , cependant les circonvolutions cérébrales sont peu régulières dans leurs contours, elles on
re. OL Circonvolution interne, c m. Corps mamillaire. p. c. Pédoncule cérébral , p. v. Pont de Varole. b. t. Bande transversale
olutions formant toute la partie externe et supérieure de chaque lobe cérébral , et suivre l'analogie qui existe entre le cerveau
cette espèce de circonvolution supplémentaire, et vous aurez un lobe cérébral qui semblera presque calqué sur celui du renarci,
es. Toutefois, je dois faire remarquer qu'il y a en arrière du lobe cérébral droit du chat, un point de jonction entre la troi
eau de cet animal est semblable à celui du chat : les circonvolutions cérébrales présentent des lignes peu flexueuses, et le point
ses, que ces deux circonvolutions se confondent réellement. Le lobe cérébral de l'ours présente à sa surface extérieure, des c
ussitôt et former par sa jonction avec le sillon qui sépare les lobes cérébraux , un enfoncement crucial très marqué. Cet enfoncem
Loutre. L'encéphale de la loutre est aplati et ses circonvolutions cérébrales sont beaucoup plus ondulées et plus divisées que
trouve la scissure de Syb vius, et la séparation des circonvolutions cérébrales en antérieures et en postérieures. La ligne S se
t un mamelon ponctué représentant une partie du lobe olfactif. Lobe cérébral présentant les mêmes circonvolutions que chez le
et antérieures, au point 4- placé sur la ligne S. En arrière du lobe cérébral , on voit les trois lobes du cervelet et plus en a
t que celui du bœuf ; chez l'un et chez l'autre la masse de substance cérébrale située en avant du corps calleux, est plus consid
stérieures. si. si. Sillon antéro-postérieur qui sépare chaque lobe cérébral en deux moitiés; ce sillon se trouve entre la sec
mme chez les herbivores ( ruminans et solipèdes), les circonvolutions cérébrales en deux groupes, dont l'externe est moins dévelop
RSOUIN. Fig. i. Encéphale vu par sa (ace supérieure et dont le lobe cérébral droit (fig. 2) a été détaché par la section du co
fig. 2) a été détaché par la section du corps calleux et du pédoncule cérébral , en avant des tubercules quadrijumeaux. I, II,
eine sont les mêmes que celui du marsouin. PLANCHE TREIZIÈME LOBE CÉRÉBRAL DROIT DE L'ÉLÉPHANT DES INDES; FACE INTERNE. c.
s pour le nombre , l'amplitude et les ondulations des circonvolutions cérébrales . ENCÉPHALE DU C'est un très petit encéphale d
u plutôt un très grand encéphale de fœtus humain. Les circonvolutions cérébrales y sont en même nombre que chez l'homme, mais elle
t le complément sur la figure 3 et sur la figure 4- p. c. Pédoncule cérébral p. v. Pont de Varole. p. a. Pyramide antérieu
portion du lobe moyen du cervelet. Fig. 3. Portion détachée du lobe cérébral gauche, en arrière de la scissure de Sylvius, et
fig. 5. 3. Troisième lobe du cervelet ou flocons. Fig. 5. Le lobe cérébral gauche a été enlevé ; on voit en relief le cervel
oisième paire de nerfs ou nerf moteur commun des yeux et le pédoncule cérébral gauche. i, a, 3. Les trois lobes du cervelet.
mparez cette figure à celles qui représentent la face interne du lobe cérébral du bœuf et du cheval (pl. IX), du mouton (pl. VII
vée pour découvrir le profil du bulbe, du cervelet et de l'hémisphère cérébral . fr. Os frontal, pa. Os pariétal, oc. Occipital
ieure de la même moelle. a. Éminences mammillaires. b. Pédoncules cérébraux . c. Protubérance. d. Pyramide antérieure. /'.
tang, de la collection du Muséum (extrait de mon ouvrage sur les plis cérébraux de l'homme et des primates). E. F. Extrémité fr
uperficiel de la protubérance intact du côté gauche. f. Pédoncule cérébral gauche, qui s'engage sous la bandelette optique
ment forme une anse qui se confond avec certaines fibres du pédoncule cérébral , et embrasse l'étage inférieur de ces pédoncules.
5. Face supérieure du corps calleux énu-cléé avec l'ensemble du noyau cérébral , dans l'homme (d'après M. Foviiie). a. Corps st
, (Reil). Faisceau olivaire (Tied.) m. Étage inférieur du pédoncule cérébral . n. Nerf optique, o. Corps strié externe occupa
ieur. h. Fibres postérieures du cornet pédonculaire. i. Pédoncule cérébral . j. Anse du pédoncule. k. Corps genouillé inter
ieur. r. Écorce du cervelet. L. A. Lobe antérieur de l'hémisphère cérébral . L. P. Lobe postérieur. STRUCTURE DES HÉMISPHÈR
misphère cérébral. L. P. Lobe postérieur. STRUCTURE DES HÉMISPHÈRES CÉRÉBRAUX D'UN PAPIÓN. Cette planche représente l'hémisph
PHÈRES CÉRÉBRAUX D'UN PAPIÓN. Cette planche représente l'hémisphère cérébral droit d'un Fig. \. Les couches corticales seule
t le tractus gris du corps strié inférieur (p fig. 5). Les expansions cérébrales du nerf optique ont été mises de la sorte à déc
isphère après l'ablation du nerf optique et du plan de ses expansions cérébrales . d. Pilier droit de la voûte coupé. e. Lame d
été indiquées, g, fig. 1. k.k. Faisceau perforé et anse du pédoncule cérébral . /. Faisceau perforant du pédoncule. n. Commi
aisceau perforé du pédoncule se portent directement dans l'hémisphère cérébral . l . Leurs entre-croisements avec les fibres du c
d. Trapèze. e. Plan superficiel de la protubérance. f. Pédoncule cérébral . g. Tuber cinereum et éminences mamillaires.
externe. d. Tapis de Reil détaché et soulevé. e. Pian des racines cérébrales du nerf optique. f. Corps genouillé interne.
0. Racine de l'un de ces faisceaux. Fig. 6. Ensemble des expansions cérébrales du nerf optique dans le Saï Capucin. à. Bulbe.
Olives. d. Trapèze. e. Protubérance annulaire. f. f. Pédoncules cérébraux . fi Prolongement des fibres du pédoncule consti
du vermis latéral. d\ Masse du vermis latéral. e. Bulbe. Pédoncule cérébral . Fig. 6. Même cervelet; les plans profonds de l
n'aperçoit aucun indice de division transversale. H. C. Hémisphères cérébraux , semblables encore à deux vésicules creuses. Fi
rveau d'un fœtus de vache, représenté à une époque où les hémisphères cérébraux ne recouvraient point encore les lobes optiques.
. L. 0. Lobes optiques divisés en quatre tubercules. P. Pédoncule cérébral déjà bien formé. C. P. Masse grise de l'infundi
bien formé. C. P. Masse grise de l'infundibulum. H. C. Hémisphère cérébral présentant déjà quelques gros plis dans l'ensembl
que plus grand relativement que dans l'âge adulte. H. C. Hémisphère cérébral vésiculaire dont la surface est encore complèteme
r laquelle apparaîtra plus tard le vermis latéral. P. C. Pédoncules cérébraux dans l'intervalle desquels se distinguent d'arriè
es, le tuber cineréum et les nerfs optiques. H.C.—H. C. Hémisphères cérébraux déjà nette- ment divisés en deux masses, l'une
sse grise de l'infundibulum. N. OL. Lobe olfactif. H. C. Hémisphère cérébral où se remarquent déjà quelques indices d'une foss
és en deux masses latérales par un sillon médian. H. G. Hémisphères cérébraux encore vésiculeux mais ayant acquis une amplitu
ntaire. P. V. Pont de Varole, parfaitement développé. P. C. Pédoncule cérébral . N. OP. Nerfs optiques très-grêles. L. OL. Lobe
e. P. A. Pyramide antérieure. P. V. Pont de Varole. P. C. Pédoncule cérébral . N. 0. Nerf optique. CL. Cervelet latéral. C. A.
Cervelet latéral. T. Touffe. P. V. Pont de Varole. P. C. Pédoncule cérébral . E. M. Emmenées mamillaires. C. P.Tuber cinereu
ncyroïde, ainsi que cela a lieu dans les singes. Fig \\. Expansions cérébrales du nerf optique . Cf. Pl. XXVI, fig. 4. N. OP.
r dans les tubercules quadrijumeaux, en sorte qu'il n'a pas de racine cérébrale directe. CERVEAU DU FOETUS ET DE L'ENFANT NOUVE
cissure de Sylvius, encore béante malgré l'affaissement de la masse cérébrale . S. R. Sillon de Roland o. P. F. A. Pli frontal a
'ensemble de ces figures montre qu'à la naissance le système des plis cérébraux est complet. Fig. 4. Face supérieure. C. Bulbe.
velet gauche. CD. Cervelet droit. L. A. Touffe. P. C. Pédoncule cérébral . 3me P. Troisième paire. Ë. M. Éminences mami
9 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
, à ce sujet, des confusions telles qu'on a comparé les anesthésies cérébrales aux anesthésies spinales. Le siège primitif de
pas comparables à ceux de l'ataxie; dans un cas, ils sont d'origine cérébrale ; dans l'autre, d'origine spinale; dans l'un, l'
sme, il impose son propre délire, lequel se greffant sur le trouble cérébral préexistant, l'influence de diverses manières.
la base du crâne. - Aplatissement et distension des circonvolutions cérébrales . Dilatation considérable des ventricules latéra
facilement; de là, décortication pénible ? , 1) Les circonvolutions cérébrales sont aplaties, étalées. La substance encéphaliq
que, jusqu'à nouvel ordre, nous désignerons sous le nom d'atrophie cérébrale . OBSERVATION II ATROPHIE CEREBRALE : IDIOTIE
base sont normales. Les nerfs crâniens sont réguliers. Le pédoncule cérébral droit semble un peu moins large que le gauche ;
volutions. OBSERVATION III SCLÉROSE TUBÉREUSE DES CIRCONVOLUTIONS CÉRÉBRALES : IDIOTIE ET ÉPILEPSIE HÉMIPLÉGIQUE. Sobwmn.
rose hypertrophique. - Leur distribution sur les deux hémi- sphères cérébraux . -Anomalie des olives, etc. Pit.. L. Marie, âgé
t un peu plus grosse et plus arrondie que la gauche. - Le pédoncule cérébral gauche, surtout à sa partie supérieure, est plu
mmes de moins que le gauche. notes SUR L'IDIOTIE. 87 Hémisphère cérébral gauche. La pie-neère est très mince et s'enlève
es par notre ami, M. E. Brissaud. 88 CLINIQUE mentale. Hémisphère cérébral droit. Même aspect de la pie-mère ; mêmes lésio
tômes positifs et négatifs, nous portons le diagnostic d'hémorragie cérébrale . Les jours suivants, les 19, 20 et 21 mars, peu
t l'autre cas. Dans le premier, elle fut rapportée à une hémorragie cérébrale par M. Gilbert, mais il convient de répéter, qu
d human Tempéra- ture par E. SEGUIN, New-York. 1876. Titerinométrie cérébrale ; par P. BRocî. (Congrès de l'Association frança
tifique 2° série. 15 septembre 1877; Progrès médical, 1877, n° 36). Cérébral Ther- mometry; par Gray. (New-York àled. Journ.
9; et, Bull. Acad. de Médecine, p. 38, n° 3, 1880. - Thermo- mêtrie cérébrale ; par Mills, New-York med. Record, 1878, décem-
ecord, 1878, décem- bre, et même journal 1879. - De la Thermomêtrie cérébrale , par P. Bers. (Soc. de Biologie, 18 janvier 187
ain, par LORAIN, vol. I. Paris, 1877. Recherches sur la température cérébrale , etc. ; par Maragliano, 100 REVUE CRITIQUE. (
et Rev. clin, di Bologna n° 20. 4879). - Studii di the1'lnometl'ia cérébrale negli alienati; par Maragliano et L Seppilli.,
erv. and ment, diseuse, Janv. 4880. V. N° 1, p. 51). - Thermométrie cérébrale , dans : Revue des maladies du système nerveux p
muscular move- ments on the température of the head : new study of cérébral cortical localization; par R. W. Amidon. (Archi
. de Biologie, de Paris. FRANCK. Communications sur la thermométrie cérébrale (Société de Biologie, 29 mai et 12 juin 1880).
pour l'avancement des sciences une note relative à la thermométrie cérébrale et à la valeur diagnostique de l'exploration th
du cerveau. Avant cette communication de M. Broca, la thermométrie cérébrale avait été étudiée, mais à des points de vue tou
eut donc le mérite d'appliquer à la clinique un mode d'exploration cérébrale nouveau dans ses détails, dans des conditions f
nt indiquer l'intérêt que les auteurs attachent à la thermométrie cérébrale . Mais, avant de passer en revue ces travaux et ce
r de l'origine réelle de cette chaleur : provient-elle des surfaces cérébrales mêmes, est-elle sous la dépendance de la conges
iés ou non à des modifications de l'irrigation sanguine de la pulpe cérébrale ? Ce sont autant de questions sur lesquelles le
iste était grossier ; on plongeait un ther- momètre à même la pulpe cérébrale à travers le trou occipital; la température par
mométrie céphalique, il faudrait séparer la thermométrie réellement cérébrale de la thermomé- trie des surfaces externes, émi
cielle, on plonge des aiguilles thermo-électriques à même la pulpe cérébrale ; ou bien, chez le poulet principalement, on met
n, chez le poulet principalement, on met au travers des hémisphères cérébraux une pile do bismuth DE LA THERMOMETRIE CÉPHALIQ
température en rapport direct avec la doctrine des localisa- tions cérébrales . M. Bert reconnaissait aussi qu'il serait préfé-
de notre travail. DE LA THERMOMETRIE CEPHALIQUE. 105 clinique cérébrale quand il donnait en 1877 : d'une part, la moyen
. Bert, Soc. Biol., janvier 1879.) Au point de vue de la clinique cérébrale , nous en trouvons des applications dans les trava
e de Mmo Mary Putnam Jacobi. Dans son article sur la thermométrie cérébrale , M. Gray donne l'observation d'une femme de 34
ées, du ptosis et du strabisme, indiquaient nettement une affection cérébrale . Les douleurs s'exagéraient par intervalles irr
appliquer la thermométrie céphalique à l'étude des localisa- tions cérébrales . Partant de ce principe, que l'exécution d'un m
ie, qu'il s'est ensuite appliqué à faire coïncider avec les centres cérébraux sous-jacents : cette com- paraison se poursuit
température, obtenue à grand'peine, répond bien à celle des parties cérébrales sous-jacentes. On ne peut pas actuellement réso
s objections possibles de la part des adversaires des localisations cérébrales . Et cependant les faits cliniques que nous rapp
us semblent bien plaider en faveur de la thermométrie véritablement cérébrale ; il y a là un faisceau d'observations dont nous
uche plus ou moins complète produite par la section de l'hémisphère cérébral droit, au niveau de l'extré- mité antérieure du
cérébral droit, au niveau de l'extré- mité antérieure du pédoncule cérébral , a pu être transformée en hyperesthésie par une
. V. VI. RECHERCHES expérimentales SUR la PHYSIOLOGIE DE l'écorce cérébrale ; par OTTO BINSWANGER. (Réunion des médecins et
rpation REVUE DE PHYSIOLOGIE. 137 des centres moteurs de l'écorce cérébrale chez le chien, dans le but de déterminer, au mo
ation de ces voies motrices profondes arrive seulement à la surface cérébrale . Les faits expérimentaux de lésion de l'écorce
vation : 1° la longue durée de la maladie et l'absence de symptômes cérébraux ; 2° la coïncidence de l'hypertrophie cardiaque
ot convenable pour rendre sa pensée. L'auteur attribue ces troubles cérébraux à la rupture de quelque petit vaisseau, due à l
oit, il existait une tumeur du volume d'une petite orange; le tissu cérébral avait en partie disparu à ce niveau, en sorte q
me un sarcome. H. D'O. VI. Cas d'endocardite ulcéreuse avec EMBOLIE cérébrale ; par E. Thompson. (The Lancet, mars z880, p. 43
u, autour du chiasma et dans l'es- pace interpédonculaire. L'artère cérébrale moyenne droite était oblitérée à son origine. L
(un dollar mexicain). Par cette blessure était sortie la substance cérébrale en notable quantité. La petite malade comprenai
al de démontrer que dans les formes mentales compliquées, les ictus cérébraux qui y sont si fréquents déterminent à distance
s particularités intéressantes pour la doctrine des loca- lisations cérébrales ou relatives à d'autres considérations étran- g
pendant la vio ou à l'autopsie ont pour cause immédiate la lésion cérébrale . Cette conclusion est plus contestable pour la
IQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE CHEZ UN HALLUCINÉ MORT DE CONGESTION CÉRÉBRALE ; par M. Cil. Du- TERQUE. Le titre de l'observ
pachyméningite dans la région pariétale gauche et à la compression cérébrale ainsi produite pendant les périodes de gonfleme
e plus tard et serait liée à l'altération consécu- tive de l'écorce cérébrale . (Journal of ment. Science, janvier 1880.) H. D
deuxième chapitre, M. Arnozan s'occupe des amyo- trophies d'origine cérébrale , spinale ou périphérique. Le troisième chapitre
'admet pas l'in- fluence de la syphilis sur la congestion, l'anémie cérébrales , l'hémorragie cérébrale; mais il reconnaît l'in
de la syphilis sur la congestion, l'anémie cérébrales, l'hémorragie cérébrale ; mais il reconnaît l'influence de la diathèse s
thèse sur la production de l'hémorragie méningée, du ramollissement cérébral , de la méningite cérébrale, et de l'encé- phali
l'hémorragie méningée, du ramollissement cérébral, de la méningite cérébrale , et de l'encé- phalite. M. Chauvet ne croit pas
su rassembler si vite. L'oeil est consi- déré, en tant qu'émanation cérébrale , au point de vue de ses connexions cérébrales m
, en tant qu'émanation cérébrale, au point de vue de ses connexions cérébrales motrices, sensorielles, sensibles, circula- toi
t les symptômes du strabisme à propos d'une thèse de patholo- gie cérébrale . Il nous semble que faire l'étude des troubles
els on peut baser un diagnostic probable, quels, sont les symptômes cérébraux associés au trouble oculaire qui permettront de
e trouble des fonctions de l'oeil ? Enfin, quelles sont les lésions cérébrales qui sont en rapport avec ce trouble oculaire co
s coupes multipliées ne font découvrir rien d'anormal. L'hémisphère cérébral gauche pèse dix gr. de moins que le droit. - Ce
centimètre ' et demi, puis se séparenttpour, donner naissance' aux cérébrales antérieures. Vj, 9 ^ ljjp , % jW> n ^ j , ,
es antérieures. Vj, 9 ^ ljjp , % jW> n ^ j , , .\ # Hémisphère cérébral gauche : il pèse 10, gr..de plus que le droit.
ne présentent aucune lésion.' ' ' , j 1 Il '' Il - '' Hémisphère cérébral droit : Décortication facile. - Circonvo- lutio
étendues, mais toujours profondes, des méninges et de la substance cérébrale . Observation III. Epilepsie. Mélancolie. Déme
; adhérence intime des lobes frontaux droit et gauche. Hémisphère cérébral gauche. - Erosions des circonvolutions sur la f
lobe occipital que les lésions sont le moins accentuées. Hémisphère cérébral droit. Erosions multiples sur la fron- tale asc
et et isthme, 155 gr. DE LA DÉMENCE ÉPILEPTIQUE. 231 L'hémisphère cérébral droit pèse 10 grammes de moins que le gauche. S
HMe ? ano ? Ma//M des artères de la base; inégalité des hémisphères cérébraux ? ^ méningo-encéphalite. ' ' ' ' ? ' f|' "^H 1
rouge qui résiste au lavage et au grattage. Les deux hémisphères cérébraux présentent une congestion considérable vers la
térieure gau- clle est beaucoup plus petite que la droite. Les deux cérébrales antérieures sont ' largement anastomosées par l
be et protubérance, 30 gr. - «L'inégalité de volume des hémisphères cérébraux est très ap- . c'parente a'la'vue.)Du côté gauc
obe sphénoïdal gauche, que la pie-mère est adhérente à la substance cérébrale sur une étendue de 4 ou 5 centimètres carrés. z
tères de la base de l'encéphale ; enfin l'inégalité des hémisphères cérébraux , très accusée puisque l'hémisphère gauche pesai
les lésions des méninges l'emportaient sur celles de la substance cérébrale ; l'examen histologique, comme on le verra tout
tout à l'heure, a démontré que c'était, au contraire, la substance cérébrale qui était la plus pro- fondément atteinte. II
a description clinique précède; car la, technique de l'histologie cérébrale est très insuffisante encore et ne donne pas to
t pas très avancée, on peut la distinguer nettement du parenchyme cérébral , quoiqu'elle fasse corps avec ce dernier; on y
ingo-éncéphaliti 1 su perficielle ! r¡.1J ;>/1 ¡; LéS" lésions 1 cérébrales n'occupaient' que ' les- lobes 1 fron'talÍx r;-
On s'explique ainsi comment les cellules nerveuses des hémisphères cérébraux et de la moelle épinière, après avoir subi au c
dive (dans les premières heures), ou d'une congestion pulmonaire ou cérébrale . Les lésions pathologiques des viscères et les
s sur L'ANES- THÉSIE PRODUITE par LES lésions DES circonvolutions cérébrales ; par H. Tripier. (Acad. des sciences, 19 jan- v
de l'intérêt au point de vue de la physiologie des circonvolutions cérébrales . Du mo- ment où une même lésion produit à la fo
n. (The Vii-ginia médical iliozithly, mars 1880.) XXII. Phospuoue cérébral ; par Antonio 1".IDO ? ! La Andalucia me- dicà,
ML> : SJ DISSOÇIÉE IDEpLA TROISIÈME J PAIRE,' DANS; LA SYPHILIS, CÉRÉBRALE J parjPARINAUD ? 5oC. \ l'^>Wj99h^hvÏ^FJP ?
jtT ! tf/1lQ'1 ' ! "il ... Les cO'11tions dans lesquelles (lésions cérébrales syphilitir ques vra,isen.,2bles M. Parinàud a s
r,' en terminant, les faits'discutables, en matière de localisation cérébrale , peuvent être dus à des con- formations particu
elles, des couches corticales du cerveau. Les anomalies des sillons cérébraux ne sont pas très rares,- et il est possible que
XII. UN cas DE méningite TU ERCULEUSE avec PRISE DES tempéra- TURES cérébrales ; par M ? Mary hUTN-1TI-,1.1COBI. (The journal of
isease, 1 °r fascieule 1 S80, p. 5 t .) ' , Travail de thermométrie cérébrale dont il a1 déjà été rendu compte dans le n° 4 :
Ju y . "111' \ ' . 1 ...,' ,1 111. - -i XXIII. Tumeur du pédoncule cérébral . (illed. Tii2îes and Gaz. . ' "'17 janvier 1880
upérieur droit pendant plusieurs attaques fit supposer une' lésion' cérébrale gauche; l'affaiblissement du bras ét de' la jam
l existait sur la face interne de la moitié antérieure du pédoncule cérébral droit une petite tumeur 'dure, ' lobulée, de 6
iblissement intellectuel ; 'quelquefois-, à, l'inverse ? le trouble cérébral ,' impossible à constater au'moment, de l'arres-
et. ^L'important 'est17 de savoir'au juste ce' qu'il recouvre;} Les cérébraux seraient des in- dividus dont l'état cérébral a
qu'il recouvre;} Les cérébraux seraient des in- dividus dont l'état cérébral a,été troublé par une affection encé- phaliquo'
né à' « fairf' dut cerveau un terrain sans parité avec le ter- l'am cérébral d'un individu indemne » ? Ou bien encore, un en-
e maladie ultérieure' accidentel- lemen surveÍ1ùe : - d'unI terrain cérébral modifie par les convul- sions' ? 1 Il noüs semb
s' l'hésitation" de' M. Lasègue. est dômc"diffiilel de voir'dans le cérébral un malade avant, par le fait dlun 1 ., . t l If
? i , t Il 1 ? ,it< ? -il -ji». ''iiiioa su o « Lorsque la santé cérébrale a été troublée, ne fut-ce qu un n..... ". l 'II
duite par M. La- sègue serait juste, sinon précise ; on dirait les' cérébraux pour désigner les malades atteints d'affection
irait les' cérébraux pour désigner les malades atteints d'affection cérébrale , comme on dit les cardiaques, pour nommer d'une
us ou moins tranché^ Reste, donc l'allure spéciale aux crises )'des cérébraux , leur^orme incom- plète; irrégulière. Cet 'aspe
fllfl 1 ? ..> 'I.,j Il; ..... 'II, TI' j U 111,'1.) Hi : ' 'H n cérébraux ne s appliquerait plus qu à des vertigineux et à
stence en sera établie, -, qu'il faudra'ré- server l'appellation de cérébraux , à défaut d'une autre en indi- quant mieux les
nesthésie ne doit pas être atteinte. La disposition à la congestion cérébrale , la pléthore, contre-indiqueraient ce genre de
températures périphériques et en particulier des températures dites cérébrales dans les cas de pa- ralysz*es d'origine encépha
dû rechercher non seulement les températures céphaliques « dites cérébrales », mais encore les températures périphéri- ques
es», mais encore les températures périphéri- ques dans les maladies cérébrales . Nous serons bref sur la première partie de ce
le titre même de la thèse de Montpellier indique bien que l'origine cérébrale de la température céphalique est con- sidérée c
une manifestation extérieure de la température réelle de la masse cérébrale elle-même. Pour ce qui est de l'application de
uro- logie. 1880, n° 1, t. I, p. 99 et seq.) bibliographie. 343 cérébrale », M. Blaise croit qu'elle ne peut guère être pro
qu'elle ne peut guère être profi- table à l'étude des localisations cérébrales , en tant que mode de recherche, Il n'admet donc
Blaise arrive à la conclusion suivante : « Dans le ra- mollissement cérébral il existe, d'une manière générale, une certaine
r une différence en faveur du côté lésé. (p. 8). Pour l'hémorrhagie cérébrale , le fait important démontré par M. Blaise est q
ise reste dans la réserve par rapport aux faits de M. Mills (tumeur cérébrale ), de Mm0 Put- nam Jacobi (méningite tuberculeus
ut- nam Jacobi (méningite tuberculeuse), et pour ceux de sclérose cérébrale dont M. Grasset a observé deux cas. La deuxième
la température des aisselles et des membres dans le cas de lésions cérébrales . Le sujet avait déjà été traité, au moins parti
erches sont le 1 Etudes de thermométrie clinique dans l'hémorrhagie cérébrale et dans quelques autres maladies de l'encéphale
la localisation des propriétés physiologiques dans les hémisphères cérébraux . » 2° question : « Etudier, en se basant sur de
marquables études de M. Duval sur la morphologie et l'em- bryogénie cérébrales le désignaient à ce choix, qui nous paraît ex-
OMIE PATHOLOGIQUE i il 1 CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES f (observation . DE porencéphalie fausse ? doub
ysiologie normale et pathologique, relative- ment auxII6ca]isati6ns cérébrales . , - z De toutes ces régions du' cerveau, dont
corps humain. Paris, 1829-1842. - Livre 17, PL. I. LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 355 contracturés, dès qu'on le lâchait, il rev
de développement congénital, sur un point spécial des hémisphères cérébraux , et d'un seul côté : la malforma- tion, notamme
enfant de 8 mois. Sur LOCALISATIONS CEREBRALES. 357 l'hémisphère cérébral gauche on trouva une cavité, large de pouces 1/
environ d'un liquide séreux. Quant à la surface des circonvolutions cérébrales , par- tout elle se montrait tapissée d'une pie-
resté fort arriéré. Heschl trouva sur la convexité de l'hémisphère cérébral gauche une lacune : et là, une fois la dure-mèr
'accompagne toujours d'un développement insuffisant des hémisphères cérébraux sur plusieurs points. 3° La porencéphalie ne
t l'effet d'anomalies variables, qui se produisent dans l'évolution cérébrale . En 1861, 'Heschl1 publia une autre observation
ljahi,schi,. f. pract. Heil- kuncle. 1861, p. 105.) LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 359 corps : le bras droit pouvait à peine effe
volutions limitrophes. Sur le point correspondant de la convexité cérébrale , on remarquait, encore, comme un petit entonnoi
t s'ouvrir au dehors. Mais on sait que la substance des hémisphères cérébraux , et notam- ment l'écorce grise, ne commence à s
donc s'expliquer que par une défectueuse évolution de la substance cérébrale : et cela, sans que l'hydrocéphalie y ait pris
Gehirns. (AUgern, Zeitschr. sur Psych Band 26, 1869.) LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 361 A l'autopsie, ce qui frappa d'abord, ce fu
distinguait la couche optique et le noyau caudé. Sur l'hémisphère cérébral gauche, on ne découvrait aucune communication e
utopsie, se présenta, recouvrant toute la sur- face de l'hémisphère cérébral droit, un kyste, qui con- tenait 16 onces d'un
[Journal of mental science , octobre 1879, p. 329.) LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 363 transparente. Ces trois kystes reposaient
bleaux suivants donnent les dimensions des os de Bog- LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 367 danow; puis, leur épaisseur, comparée à
on entre les os d'un sujet sain et ceux de Bogdanow . LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 569 30 Comparaison des longueurs des os, sur B
lie l'insula (PL. XI, In : p.). Une étude attentive de la surface cérébrale fait reconnaître le sillon frontal supérieur (P
bas, la 3° frontale (PL. XI, Fui). En arrière enfin, sur la surface cérébrale , proémine fortement un petit' mamelon, isolé, d
tal (ou sillon occipital, ou scissure perpendiculaire LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 371 interne et externe, de Gratiolet) (PL. X,
le de l'insula (PL. X, XI, In : p.) qui fait saillie sur la surface cérébrale , et qui a la forme d'un petit mamelon irrégulie
éningite tuberculeuse, d'accidents ménin- gés au cours d'une lésion cérébrale plus ancienne, ou de rhumatisme cérébral : chac
gés au cours d'une lésion cérébrale plus ancienne, ou de rhumatisme cérébral : chacune de ces trois hypothèses pouvait se di
2° L'hypothèse d'accidents aigus, greffés sur une an- cienne lésion cérébrale , n'avait pour elle que le début brusque des acc
it d'une complication, anatomi- quement indépendante, de rhumatisme cérébral . Le lendemain (mardi 23), continuation de cet é
cidents nouveaux, d'origine médul- laire, greffés sur les accidents cérébraux des jours précédents. Dans la journée, la malad
rvées pour l'examen histologique ainsi que des portions de l'écorce cérébrale . La surface externe des circonvolutions est le
ns tuberculeuses, même sur la sylvienne et ses branches. Le tissu cérébral était altéré superficiellement, au moins comme
hysionomie de la maladie diffère du tableau ordinaire du rhumatisme cérébral , surtout par suite de l'absence de fluxion arti
lièrement éliminé par les urines. Castoréum 0,50. Si les phénomènes cérébraux s'accentuent, on fera au malade des allusions f
ns symptomatiques des lésions atrophiques des deux hé'* misphères cérébraux , dues, selon toute probabilité, à l'alcoolisme
ervation V. ENCÉPHALITE OU SCLÉROSE TUBÉREUSE DES CIRCONVOLUTIONS CÉRÉBRALES . Sommaire. Antécédents héréditaires. Emotions v
droit. Nombreux îlots de sclérose à la surface des circonvolutions cérébrales . Anomalie du coeur : persistance du trou de Bot
pie-mère, une quantité assez considérable de sang et la subs- tance cérébrale , jusqu'au centre dulobe frontal, est ramollie et
gie nerveuse. Les observations publiées sous le titre de sclérose cérébrale concernent des faits très disparates au nombre
5, M. d'Espine2 faisait mention de la sclérose et de l'hypertrophie cérébrale qu'on peut trouver chez . les idiots. Ces donné
d'examens anatomiques relatifs aux mo- difications de la substance cérébrale chez les idiots épileptiques. Dans une observat
eu de faire rentrer ces faits dans la caté- gorie des hypertrophies cérébrales , ^attendu que l'hyper- trophie du cerveau est p
de l'affection. Tantôt la lésion occupe une seule partie d'un repli cérébral ; tantôt elle envahit plusieurs circonvolutions
normale; on a noté de l'anal- gésie chez les sujets dont l'activité cérébrale est suspendue, de l'hyperalgésie au contraire c
tisme, pleurésie, fièvre typhoïde, fièvre pa- ludéenne, hémorrhagie cérébrale ). 2° L'arrachement des deux ou trois premières
est un commentaire assez détaillé de 9 observa- tions d'hémiplégie cérébrale , à l'occasion desquelles l'auteur reproduit la
fin, si la contracture des hémiplégiques résultait d'une excitation cérébrale par association, on devrait voir toujours se pr
ui précède. On a de tout temps constaté que l'hémiplégie de cause cérébrale est, dansl'immense majorité des cas, beaucoup p
Vulpian, lorsqu'il s'agit de discuter la théorie des localisations cérébrales , faut-il refuser presque toute valeur aux cas d
de, surtout à la con- vexité de l'hémisphère droit. Circonvolutions cérébrales peu amples et en même temps mal accusées; écorc
iformément atrophiés; leur substance grise est brunâtre. Pédoncules cérébraux normaux. La protubérance au niveau de l'ecchond
lésion de la moelle soustrait une région de celle-ci à l'influence cérébrale , enfin Erb qui réunit le pre- mier (1875. Encyc
bles vésicaux et gé- nitaux, d'atrophie, d'eschares et de symptômes cérébraux .- Les observations de M. Russell présentent que
heilkunde, etc., n° 6.) R. V. XLVI. Quatre observations DE maladies cérébrales ; par M. J.-C.MACKENSiE, de Cincinnati. (The Cz
un mois plus tard après une journée de 45 accès. Autopsie. Tumeur cérébrale occupant la première circonvo- lution frontale
cope, doivent être rapportées à la maladie de Bright ou à la tumeur cérébrale , et conclut en faveur de cette dernière. 458 RE
qu'il a eu l'occasion d'ob- server. Observation IL-Ramollissement cérébral d'origine syphilitique. Daniel J..., 24 ans. An
au microscope un épaississement très notable des parois des artères cérébrales . M. Mackensie ajoute, en commentant cette obser
eubner attache une grande importance au point de vue de la syphilis cérébrale , REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 459 L'auteur r
VEUSE. 459 L'auteur rapporte ensuite deux observations de tumeurs cérébrales . Observation III. Sarcôme du cerveau. - David V
ies superficielles, très altérée au niveau des sillons. - Substance cérébrale avoisinant la tumeur, jaunâtre et ramollie. Sec
lobule du pli courbe), EN rapport avec la théorie DES localisations cérébrales ; par GIOVANNI ANGELUCCI. (Archivio Italiano pe
l'emploi. Nous reviendrons sur cette question. Ce. F. LI. Symptômes cérébraux dans la pneumonie ; par le Dr RUSSELL. (Brit. m
ique. Le 4e jour seulement, se produisit une détente des phénomènes cérébraux ; quelques vésicules d'herpès parurent aux lèvr
SE. 463 du diagnostic, ce début de la pneumonie par des accidents cérébraux , qui, chez un esprit non prévenu pourraient détou
, les autres organes présenteraient une anémie relative et l'anémie cérébrale et médullaire ainsi pro- duite suffirait, d'apr
. D'après une statistique de 168 cas, pris au hasard, les accidents cérébraux et médullaires seraient plus fréquents dans la
C. T. LIV. MÉLANO-S ARC011fE DU PIED ; généralisations ; tumeurs cérébrales DE même nature; par BARETTE. (Un. médicale, oct
it manifestement aphasique. A l'autopsie, on trouva les hémisphères cérébraux parsemés de nombreuses tumeurs mélaniques, vari
az. médicale de Paris, juin 1880.) LXIX. SUR UN cas d'hémorrhagie cérébrale , LIMITÉE A la capsule externe, chez un JEUNE ho
icales ET DE SURDITÉ, (datant de près d'un an, mort par hémorrhagie cérébrale ) ; par BAREGGI. (Gazetta degli ospitali, - 1° a
emment avec les accidents trau- matiques, s'amendent les phénomènes cérébraux . Au début de 1878, toutest rentré dans l'ordre.
jouent peut-être un certain rôle dans la régénération des éléments cérébraux détruits ou altérés. On peut enfin supposer q
ine par l'exposé des rapports de la psychiatrie avec la physiologie cérébrale et avec la pathologie nerveuse en ajou- tant po
xact entre les symp- tômes psychiques manifestés et les altérations cérébrales qui les produisent ». Personne ne contestant la
efois, de définir modestement la psychologie, l'étude des fonctions cérébrales , M. Despine ne rencontrera pas un seul psychoph
par la démence para- lytique véritable, à la suite d'une congestion cérébrale inter- currente. La mort eut lieu un an après l
repris leur disposition normale. H. D'O. XIX. UN cas DE SYPHILIS cérébrale ; par GAMBERINI (Giornale Jtaliano délie malade
parM. Charcot sur les localisa- tions et les dégénérations de cause cérébrale , étude qui a eu 32 498 bibliographie. pour
yse la plus minutieuse à tra- vers laprotubérance et les pédoncules cérébraux , la dégénération des fibres atteintes par la lé
ns l'aphasie ce faisceau est généralement dégénéré sur le pédoncule cérébral gauche. Le faisceau interne du pédoncule corr
inière. Anatomie et physiologie. Artères du cerveau. Ci),- culation cérébrale . La question orale a été la suivante : Signes e
rissiTentedneuna eptf6e< ! .aa'8«<ud< : o'<rMoM ! tKeMi'o cérébrale , brochure in'4° de 7 pages avec une planche. Pe
Fratelli rechiedei, editori, Milano. Morte improvisa per anémia, cérébrale da rflttura del sino longitudinale sup enior, f
IE ANATOMIE PATHOLOGIQUE CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES (observation DE PORENCÉPHALIE fausse DOUBLE) ;
lui ! -ci,omrema.rqua,les ~méandre17dènqiïélq'ûës;cir'cojQvolutiohs cérébrales , nqui'jontipç- °fiétrë1jrisqùé)aans'lIintérieur
upérieur(.de rrhémisphèreqest, enjqeque sorte, eisoléides ganglions cérébraux : îles fibres^qui en, partent, à l'état mornïal
e ? qui -.s'interpose aentre,le lobe pariétal, Pv et les ,ganglions cérébraux , -, et nej permet aucune relation, directe en-
·. -'rr ? ? f- dullobe occipital. Diamètre transversal du pédoncule cérébral , 'près delà protubérancej o jaos .ânn'ulaire :
? ) mince membrane. Eu égard a 1 analogie de ces deux maltormations cérébrales ^ j'âi^cïH'devoi'f donner air1 cas de Bogaanow l
5e,,â de.telle5 LleStlOllS lle 8lltf euere.tre .TK3J LOCALISATIONS^ CÉRÉBRALES . 519 qu'hypothétique- : cela. se .comprend ? de
de formati'on'l,làâ'liëùd ? ttirë7r'là, lui et en dedans la surface cérébrale , viendra, sur un certain' p31ntârea'i'nir'au' d
halie, : llqui;ies venue., troubler irrll'évolutionude cette région cérébrale ,- iup 3dû 9b aiol t2°arAu .premier aspect,,role
9bêîhézqui.me ? impulsioncmotriceTse'.cformerait dans 1Q'ltéôrcé cérébrale ? ellë ne pourraitaprèsssondép'art, st car- le
cg ? rslq des, gjrmjq - 1JU 1 c mu iGc clfm 1 li Ji i . volutions cérébrales ; le troisième enfin, une nJéQsplrgq mation, si
1, et'q JüT^ ? 2l`I 9111 titi at, Z'Jr'L(1-Jllki`Ji 1 yU 91nq tissu cérébral . Ei5enmatin regarde ces divers, cas,, t1592 9u
;J(A.< l clmnc a1J dans son corps, la question des localisations cérébrales 110- 9Jl ) UI`flyl .tCfi.'M^ '; le . *»fi ! ~t.
la masse, ganglionnaire de , , ^ , , r. .9-llh.>lUlU i la base cérébrale . Son origine ou pied commence au moment ou fini
brale. Son origine ou pied commence au moment ou finit le pédoncule cérébral et sa terminai- , . 01) luorae-uibuii.uoo son
«j0Ufaa 01j/uii 01» 9JaJ G..I n))il91jf'jH lésion de la substance', cérébrale ^affectera, dans cette : 111 `LAI toliii W üGl· i
i 41) ,t0«;n;,V.r;inr'' ,.) ? [rxij Su : 116 ;> t R ? 0 . zone . cérébrale 10 a 15 minutes dans 1 eau ordinaire. Le grand
? ~ , , - , la capsule interne et par conséquent sur le pédoncule cérébral auquel le tronc fait suite. (PL. XIX.) >Li&g
u .6r'iot»Mijli»l 0BVU'l <ILr8S'0<i ! l0fl9TI ? B ! pe- ? ? , cérébral , : cette traînée ou bandelette formée par des ^
rtant et entièrement nouveau : dans certaines hémiplégies d'origine cérébrale , avec hémianesthésie, la faradi- sation, locali
ée et d'hémia- nesthésie sensitivo-sensorielle, par suite de lésion cérébrale ancienne. Le résultat fut1 immédiat et la guéri
ibilité ou du mouvement, dues, selon toute apparence, à des lésions cérébrales , ont présenté le transfert et n'ont cédé qu'apr
ou GLIOMATEUSE dans LES masses centrales au-dessous des pédoncules cérébraux ; par MM. KUSSMAUL et MEYER (de Strasbourg). Obs
ndre en considération l'état d'excitation, la nature de'l'affection cérébrale , l'épuise- ment'du malade. Quoiqu'il en soit, l
l, février 1881, p. 721.) L'auteur rappelle d'abord qu'une tumeur cérébrale peut être trouvée à d'autopsie, sans que rien p
entre la dure-mère et les os, et se creusant une loge dans le tissu cérébral . Le pariétal, à ce niveau, : était aminci, et d
d'un grand intérêt pratique. Chaque fois qu'on soupçonne une tumeur cérébrale , dans le cas par exemple de céphalalgie persist
riétés de vertige : l'une due-. à des troubles de' ' la circulation cérébrale , vertige circulatoire; l'autre dépendant d'une
ans l'enfance se classent ainsi par ordre de fréquence : affections cérébrales , convulsions, méningite cérébro-spinale, fièvre
diète lactée la plus sévère. M. LUI. DE L'INFLUENCE DES maladies cérébrales SUR la marche DE LA PHTHISIE pulmonaire; par le
ert alors une grande valeur. D'autre part, l'existence d'une tumeur cérébrale chez un indi- REVUE DE pathologie mentale. 609
Dans deux cas d'hémiplégie que l'auteur rapporte à une hémorrhagie cérébrale , l'application des aimants eut les mêmes effets
endance à la syncope. Cette faiblesse d'impulsion amène de l'anémie cérébrale , de l'affaiblissement musculaire, etc. Foie.-Co
o-motrice, etc., oedèmes, ulcérations, etc. Cel'veau.- Les troubles cérébraux suivent l'usage prolongé du chloral, mais il fa
la mémoire, l'imbécillité, la démence et en outre tous les troubles cérébraux possibles. L'étiologie comprend deux points : l
ntribuera à éclaircir cette partie encore obscure de la physiologie cérébrale ; son importance médico-légale n'échappera à per
' , ' eti 1 1 f1l j > ' Tous ces sujets sont atteints d'atrophie cérébrale ; mais l'hémi- plégic, chez les, malades attein
ébrale ; mais l'hémi- plégic, chez les, malades atteints d'atrophie cérébrale , avec athétosc ou hémichoréo, diffère de l'hémi
o, diffère de l'hémiplégie 'des "autres malades atteints d'atrophie cérébrale sans phénomènes choréi- formes ; chez les,premi
fois il existe des troubles de la 'parole en rapport avec la lésion cérébrale , mais la répétition des accès n'a aucune influe
'1. ? > f"'b' '1 ? E -lIIaRAGLIA\0, i.n-8ot XI. La température*^ cérébrale ;' par 'Maragliano, i.n-8°, ''L1 ? T'l Bologiie,
tenant de nombreux documents - nouveaux'à' propos de la température cérébrale ; d'autant plus que ces recherches étaient en co
de vue physiologique et celui de la clinique. L'étude do l'embolie cérébrale est faite au moyen de cinq observations, celle
tres les plus intéressants sont ceux qui ont trait à la température cérébrale pendant le sommeil naturel et provoqué, et au m
'amyle (15 observations). M. Maragliano a aussi pris la température cérébrale après l'action du bromure de potassium à la dos
ire de savoir si la température céphalique est bien une température cérébrale locale et s'il est possible d'établir un rappor
ablir un rapport de causalité entre les lésions limitées du manteau cérébral et les élévations thermiques localisées du cuir
r Duret, 273. Anesthésie produite par lésions des circonvolutions cérébrales , par R. Tripier, 281; -(Historique de l'), pa
par F. Tartuferi, 433. Cerveau d'un assassin, par Broca, 290. Cérébraux (les), par Lasègue, 315. Cérébrotomie méthodiqu
mpsie (traitement de l') par le jaborandi, par Ilunt, 620. Ecorce cérébrale (expériences sur laphysiologiedel'), par Otto B
es dans l'), chez le cochon d'Inde, par Gom- bau1t, 12. Embolie cérébrale (endocardite ul- céreuse avec), par Thompsou,
e l'estomac au cours de la paralysie, par Krueg, 608. Hémorrhagie cérébrale , sous-arach- noïdienne, par Bareggi, 476. Hém
e cérébrale, sous-arach- noïdienne, par Bareggi, 476. Hémorrhagie cérébrale précoce, li- mitée à la capsule externe, par
ville, Brissaud, 69. 391. Introduction, par Charcot, t. Ischémie cérébrale , par Bail, 340. Ivresse par le chloral, 61S.
ales (deux cas de), de la zone motrice, par Gatti, 475. Lésions cérébrales (quatre observa- tions de), par Iackensie, 457.
érébrales (quatre observa- tions de), par Iackensie, 457. Lésions cérébrales (trois cas de), par Osier, 141. Localisations
Lésions cérébrales (trois cas de), par Osier, 141. Localisations cérébrales , par Gon- zales et Verga, 460; par G. An- gel
on- zales et Verga, 460; par G. An- gelucci, 460. Localisations cérébrales (contribu- tion il l'étude des), par Mierze-
tion il l'étude des), par Mierze- jewsky, 353, 513. Localisations cérébrales , par Ami- don, 305. Lumière polarisée (emploi
ssell, li53. Paralysie de la 3e paire, dissociée dans la syphilis cérébrale , par Parinaud, 299. Paresthésie (sur la), de
Paresthésie (un cas de), des mains, par Putnam, G03. Pédoncule cérébral (tumeur du), 306. Phosphore cérébral, par Fad
par Putnam, G03. Pédoncule cérébral (tumeur du), 306. Phosphore cérébral , par Fadon, 2s ? 1 Phtisie pulmonaire (rappor
n, 2s ? 1 Phtisie pulmonaire (rapports delà), et des affections cérébrales , par Baumler, 608. Picrotoxine (épilepsie tra
ture des raci- nes du), par Hutchinson, 305. Pneumonie (symptômes cérébraux de. la), par Russe ? 462. Pneumogastrique (li
de la), sur les maladies nerveuses, par Chauvet. 164. Syphilis cérébrale , parStenger,5SS. Syphilis cérébrale, par H. Jac
par Chauvet. 164. Syphilis cérébrale, parStenger,5SS. Syphilis cérébrale , par H. Jackson, 142. Syphilis (rapports de l
(rapports de la syphi- lis et du), par Westphal, 580 Températures cérébrales (tempéra- tures périphériques et), dans les p
paralysies, par Blaise, 34 ? ;- par Maragliano, 633. Température cérébrale , par Putnam Jacobi, 306;-pardeBoyer,99. Tétan
par Beard, 333; l'épilepsie, etc, par Rus- sell, 491; - syphilis cérébrale , par Gamberini, 492; de l'épi- lepsie par la
ue, par H. de Boyer, 99. TABLE DES MATIERES. 659 Thermométrie cérébrale , par Workman, 313. Trijumeau (névralgie syphi
utifs aux maladies du système nerveux, par Arnozan, 163. Tumeur cérébrale avec généralisa- tion, par Morris, 140 ; sarcom
antérieure). s, mince lamelle de tissu, qui sépare, de la surface cérébrale , le ven- tricule latéral. B, Coupe transversa
l. s, mince lamelle, qui sépare le ventricule latéral de la surface cérébrale . F a, substance grise des circonvolutions front
ut. I y, portion postérieure de l'insula, en saillie sur la surface cérébrale . la, portion antérieure de l'insula, en retrait
du lobe pariétal, qui arrive sur la substance blanche de la région cérébrale sous-jacente. 0, avant-mur (claust1'um). Ip,
érieure delà couche optique. S l, septum lucidum. cca, commissure cérébrale antérieure. c m L, centre moyen de Luys. si f
férieur. o ! ln o, origine grise des nerfs optiques. t c, trigone cérébral . Vm, ventricule moyen. EXPLICATION DES PLANCH
us niger de Soemméring. L. par., lobule paracentral. P, pédoncule cérébral . R, ruban paracentral. 1. wreux. l"h IIERISSR
10 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
volution chronique, etc., obs. XXXIII, p. 190 et suiv. 5 Excitation cérébrale , délire ambitieux et mystique à forme rémil- le
, d'un examen médico-légal qui conclut qu'il jouit de ses fonctions cérébrales et qu'il est responsable de ses actes. Mais le
GIE NERVEUSE. mère est épaissie, adhérente par endroits il l'écorce cérébrale , laquelle présente un certain degré d'atrophie.
. B. II. LA. TEMPÉRATURE SUPERFICIELLE DU CRANE DANS LES MALADIES cérébrales ; par le Dr MAc-C%srry. L'étude de la températur
superficielle de la tête peut-elle aider au diagnostic des maladies cérébrales D'après les recherches classiques de Lombard, f
uses, non qu'elles permettront de déterminer la nature d'une lésion cérébrale , abcès, tumeur, hémorragie, etc. ; mais elles p
rynx. (Masini, Brissaud.) P. KERAVAL. VII. Observations DE tumeur cérébrale ayant procédé par DES ATTA- QUES SPÉCIALES ET P
xtrêmement probable (sa femme, qui est probablementjnorte de tumeur cérébrale , a subi plusieurs avortements dont un foetus pu
ans l'oreille droite; pas de lésions de l'oreille moyenne. Syphilis cérébrale probable. Papille stasique déjà en voie de régr
affections mastoïdiennes et de l'oreille moyenne avec complications cérébrales , (Th. Barr et Macewen). Dans le numéro suivant
eures conditions opératoires. F. BOlssnOE. XXIX. UN cas de tumeur cérébrale ; symptômes initiaux surtout SEN- SITIFS dans LE
s'agit de la manifestation, à l'âge de vintet un ans, d'une maladie cérébrale organique chez un individu indemne de tare héré
uré. 2° Symptômes témoignant d'un trouble mécanique de l'irrigation cérébrale . Confusion men- tale, apathie complète, amnésie
étanoïdes. -Autopsie. Lésion des artères de la base et surtout delà cérébrale moyenne (parois épaissies, thrombose) ; foyers
moins d'être prématurément emporté par quelque complication : ictus cérébral , escarres, pneumonie, diarrhée, asphyxie par bo
suivante : 26 malades sur 33 les 4/5 ont été enlevés par un ictus cérébral ; 6 ont succombé à des complications accidentelle
es permanentes, etc.). En conséquence, on doit admettre que l'ictus cérébral n'est pas seulement, comme le veut. l'opinion t
st la terminaison naturelle. Le para- lytique général meurt d'ictus cérébral quand il n'est pas emporté avant l'heure par un
armi eux. 98 sont morts d'attaques épileptiformes, 23 de congestion cérébrale , les autres ont succombé, pour la plupart, dans
e aigu, de le paralysie générale, de la démence sénile, des lésions cérébrales circonscrites, de l'idiotie, de la folie morale,
es tous les territoires sensoriels et sensitivo-moteurs de l'écorce cérébrale . Pour GOLGI, les idées courantes sur la texture
- naires. Dès 1867, Meynert, indiquait l'existence, dans l'écorce cérébrale , de couches d'éléments nerveux, à morphologie d
s fusiformes. Meynert étudia la structure his- tolnidue de l'écorce cérébrale sur des coupes durcies dans le chro- mate doubl
surface de l'écorce. Les faisceaux de fibres à myéline de l'écorce cérébrale n'avaient pu être suivis, par Meynert, dans leu
tentissement ou la projection du monde exté- rieur jusqu'à l'écorce cérébrale , la vie tout entière des représenta- tions, les
ien de plus frappant, à cet égard, que les deux scbémas de l'écorce cérébrale de Meynert et d'Exner : l'un montre les formes
ient les éléments cellu- laires des différentes régions de l'écorce cérébrale . Les fibres de la première catégorie, qui n'éme
ives ou sensitivo-motrices, et les régions sensorielles de l'écorce cérébrale , Golgi l'explique encore par les anastomoses re
ert et de Betz (1) à ce sujet que Golgi étudia deux circonvolutions cérébrales de fonction très différente, la frontale ascend
upérieure et moyenne de l'écorce. Golgi propose de diviser l'écorce cérébrale , non plus en cinq couches, mais en trois : 10 e
des fibres nerveuses. La spécificité de fonction des diverses zones cérébrales dépend, en effet, non point de l'organisation d
us ténues, qui vont constituer le réseau nerveux diffus de l'écorce cérébrale , < elles peuvent désormais être considérées av
res nerveux se dégageait une conception de la structure de l'écorce cérébrale qui fournit déjà une base scientifique aux expé
Golgi, une base anatomique. Dans les différentes zones de l'écorce cérébrale , les fonctions de la sensibilité et celles de l
gi. Considérations anatomiques sU ? ' la doctrine des localisations cérébrales . Arch. ital. de biol., 11, 1882, p. 249.) Cette
s résultats de mes recherches histologiques, concernant les centres cérébraux relatifs, sont très probants. » (Ibid., p. ? )
s différences fonc- tionnelles propres aux diverses circonvolutions cérébrales trouvent leur raison d'être, non pas dans les p
ériques des sens : la spécificité de fonction des différentes zones cérébrales serait déterminée par la spécificité de l'organ
Meynert eût admis « des localisations fonctionnelles dans l'écorce cérébrale , et que les différentes aires corticales lui pa
ant lequel cette colonie sociale de cellules se range dans l'écorce cérébrale est une disposition tactique pour triompher de
là plus qu'une simple comparaison. Seule, la conscience de l'écorce cérébrale tombe chez l'homme sous l'attention, et grâce a
mme la seule sensible, quoique nous voyions des animaux sans écorce cérébrale encore capables de beaucoup de perceptions et d
ns conscientes. Cette conscience en apparence exclusive de l'écorce cérébrale ne repose que sur une question de degré d'inten
n. » L'écorce du cerveau, que Meynert appelle la capitale de l'Etat cérébral (capitale qui, chez l'homme, est « plus grande
veaux tels que ceux de la taupe et de la chauve-souris, où l'écorce cérébrale n'est qu'une sorte de coiffe recouvrant les aut
fférents centres de la sensibilité générale et spéciale de l'écorce cérébrale . L'hétérogénéité fonctionnelle des éléments ner
érédité, des différents centres sensilifs et sensoriels de l'écorce cérébrale , a reçu naguère des travaux de Hermann Munk une
rent guère de celles de Meynert. Les élé- ments nerveux de l'écorce cérébrale étant fonctionnellement indifférents, selon l'a
re impunément : l'animal verra avec les éléments d'autres régions cérébrales . C'est ce qu'avait cru observer Gudden. Mais en e
it qu'il avait démontré dans les couches superficielles de l'écorce cérébrale l'existence d'une quantité considérable de fibr
i appuyait la doctrine de l'hétérogénéité fonctionnelle de l'écorce cérébrale sur l'existence des variétés correspondantes de
ne influence fâcheuse sur la théorie scientifique des localisations cérébrales (1882). Golgi, en effet, en dépit des critiques
isines, il les admet formellement : là sont les sièges de fonctions cérébrales spéciales, en rapport avec la nature des or- ga
nerveux, telles qu'en ont signalé en certaines régions de l'écorce cérébrale Ramon y Cajal, Kolliker, van Gehuchten. Il n'ad
guïté ». Jules SouRY. 1 C. Golgi. - Sur l'origine du quatrième nerf cérébral (pathétique) el sur un point d'ltislo-physiolog
ceau dorsal qui vient du putamen, traverse l'épaisseur du pédoncule cérébral ; passe, en lui fournissant une enveloppe, sur
re trophique qui se trouve dans une région déter- minée de l'écorce cérébrale . Les autres noyaux gris de la calotte de la pro
ation des territoires corticaux lésés, et d'autre les « dépendances cérébrales » qui ont été plus ou moins profondé- ment atte
spinale dans lequel l'innelvalion spinale pré- domine l'innervation cérébrale affaiblie. Dans son cas une série d'éléments ém
de la capsule interne de la cou- che optique, du pied du pédoncule cérébral du segment situé en avant du milieu de la couch
ction; ils se perdent dans les fibres externes du pied du pédoncule cérébral . 2° Un peu au- dessus de ces trousseaux protubé
isceau qui va du ruban Reil au pied ou étage inférieur du pédoncule cérébral . 11 est à à croire qu'il y a union directe, san
OLOGIE pathologiques. XIII. Recherche B1CTÉBIOSCOPIQUE SUR L'ÉCORCE cérébrale D'INDIVIDUS MORTS DE paralysie générale PROGRES
l'action DE QUELQUES substances médicamenteuses SUR la circulation cérébrale ; par GIANNELLI. (Ann. di nevrol., anno XIV, fas
ase. III, IV.) XVIII. INFLUENCE de l'électricité sur la circulation cérébrale DE l'homme; par Capriati. (Ann. di névrol, anno
favorisée par les lésions des centres nerveux, comme l'hémorragie cérébrale , le ramollissement, les lésions bnlbaires, etc...
emière matière, c'est-à-dire les images conservées dans les centres cérébraux correspondants. Il est clair que celui qui ne s
auditifs et d'articulation, produisant de plus d'autres altérations cérébrales qui rendent impossible toute manifes- tation in
hallucinatoire en vertu de l'excitation que produit en ses centres cérébraux une maladie mentale, ne pourront être que des r
ement, tandis que ceux-ci possèdent accumulées dans leurs centres cérébraux d'énormes quantités de représentations verbales,
e toute autre chose, de la fréquence et des causes. La pathologie cérébrale du sourd-muet reste à faire et rien n'a été écr
ue pendant des années et des années, de toutes ces parties (centres cérébraux , voies conductrices, plaques impressionnables)
a question de localisation de ces centres dans la cappe de l'écorce cérébrale . Mais ce n'est pas de cela qu'il s'agit. Ce q
uis), par sa cons- titution psychique défectueuse dérivée du défaut cérébral (qui est déjà une tare importante), le sourd-mu
êt que ces données de psychologie du langage ont pour la pathologie cérébrale des 1 Voir Ballet. Op. cil. Stricker. Op. cil.
systématisée peut, cela est tout naturel, se compliquer de lésions cérébrales (hémorragie, ramollissement, etc.). Une remarqu
le à tel point qu'on pourrait croire que ce sont les mêmes cellules cérébrales qui prési- dent aux deux phénomènes. Souvent ce
ligieuse ou prostituée. (Obs. XVII.) . RECUEIL DE FAITS. SCLÉROSE CÉRÉBRALE HÉMISPHÉRIQUE : IDIOTIE, HÉMIPLÉGIE DROITE ET É
quide céphalo-rachidien abondant. - Atrophie totale de l'hémisphère cérébral gauche. Atrophie du pédoncule cérébral, du tube
hie totale de l'hémisphère cérébral gauche. Atrophie du pédoncule cérébral , du tubercule mamillaire et de la bandelette opti
riode qu'est né le malade. Pas de syphilis. [Père inconnu. SCLÉROSE CÉRÉBRALE HÉMISPHÉRIQUE. 187 Mère, a fait des excès de bo
es pièces, prenait des sous pour les donner aux enfants. SCLÉROSE CÉRÉBRALE HÉMISPITÉRIQUE. 189 Etat actuel. Tête assez gro
toïdienne. 190 RECUEIL DE FAITS. Membres supérieurs. SCLÉROSE CÉRÉBRALE HÉMISPHÉRIQUE. 191 flexion est facile, mais l'e
écutif assez prolongé. TABLEAU DU POIDS ET DE LA TAILLE. SCLÉROSE CÉRÉBRALE HÉMISPHÉRIQUE. 195 tion notable. Le seul bénéfi
mètres de diamètre ; 2° trois larges cicatrices d'escarres SCLÉROSE CÉRÉBRALE HÉMISPHÉRIQUE. 197 un peu plus petites. Rien de
accès. 198 RECUEIL DE FAITS. Température après décès. SCLÉROSE CÉRÉBRALE HÉMISPHÉRIQUE. 199 dian gauche, entre autres, p
e latéral est très dilaté. - Le pédon- 200 RECUEIL DE FAITS. cule cérébral gauche, la moitié gauche de la protubérance et du
ercule mamillaire et de la bandelette optique gauches. Le pédoncule cérébral gauche est fortement déprimé. Il mesure 9 mil-
e optique, il mesure 20 millim. - à droite, 17 à gauche. SCLÉROSE cérébrale hémisphérique. 201 ment assez grande sur les ci
tées par le malade. 3° Huit années après l'apparition des lésions cérébrales encéphalite - qui s'était traduite cliniquement
e. Les accès se présentaient par séries, ainsi qu'on l'ob- sclérose cérébrale hémisphérique. 203 serve communément dans cette
pelons seulement qu'il s'agit là d'une forme assez rare de sclérose cérébrale . Comme lésions consécutives nous devons mention
ssement du crâne notablement plus accusé à gauche côté de la lésion cérébrale ,'qui contribuait, avec une grande quantité de l
sant la ban- delette optique, le tubercule mamillaire, le pédoncule cérébral gauches, de même que la moitié correspondante d
musculaire est le meilleur moyen d'obtenir par dérivation le repos cérébral . Il n'y a qu'un petit nombre de malades chez le
nse en effet, que, dans beaucoup de cas, la nutrition de la cellule cérébrale est plus sûrement obtenue par l'exercice que pa
les men- taux et à des troubles somatiques. Si, au moment où l'état cérébral agit d'une manière si fâcheuse sur l'organisme
phalie àsa véritable cause, c'est-à-dire à l'arrêt du développement cérébral , il pensait néanmoins qu'il y avait une compres
s qu'il y avait une compression exagérée, avec une sorte de nanisme cérébral consécutivement à la pression osseuse, et que l
ser pénétrer un corps étranger ; il y avait cependant dans la plaie cérébrale un éclat de bois, qui avait pénétré transversal
éclat de la table interne qui avait pénétré avec lui dans le tissu cérébral . Le cas démontre l'utilité d'une intervention r
au et de la moelle com- muniquent entre eux et avec les ventricules cérébraux ; 2° la moelle descend chez l'adulte jusqu'à la
mine au point de vue du diagnostic diffé- rentiel entre les tumeurs cérébrales , les abcès du cerveau, la mé- ningite. A ce pro
c différentiel des diverses affections inflammatoires des membranes cérébrales , et elle aide à reconnaître les hémorragies int
. de MusGRavE CLAY. VIII. Diagnostic ET traitement DES HÉfORRHAGIES cérébrales MENIN- GÉES ; par G. W. MAC CASKEY. (New-Yod¡ J
riables, à de la paralysie, à de l'idiotie, ou à d'autres symptômes cérébraux , avec atrophie cérébrale, sclérose ou kystes co
e, à de l'idiotie, ou à d'autres symptômes cérébraux, avec atrophie cérébrale , sclérose ou kystes consécutifs à la lésion pri
la tête, l'habitude convulsive est si puissante, et les altérations cérébrales sont ordinairement si anciennes et si profondes
utile au malade ; 2° il constitue un agent direct de stimula- tion cérébrale ; 3° il est excessivement probable que, à certaine
issement intellectuel, étant le résultat d'un vice ou d'une maladie cérébrale , congénitale ou acquise, qui s'oppose à l'évolu
i s'oppose à l'évolution normale du cer- veau, toutes les fonctions cérébrales peuvent être atteintes sans qu'aucune faculté p
. 100 l'intempérance et la syphi- lis ; dans 100 p. 10 le surmenage cérébral . Sur les 368 malades observés, 311 sont morts e
si que la paralysie générale de nature syphilitique et la « maladie cérébrale syphili- tique D, ont de nombreux points de con
ntre six et quinze ans. Dans aucun des cas exami- nés, le surmenage cérébral n'a pu être incriminé comme cause de la maladie
blement attribuer aux changements qui s'opèrent dans la circulation cérébrale . Dans les deux cas cités par l'auteur de troubl
enant les cas consé- cutifs à la méningo-encéphalite ou aux tumeurs cérébrales . L'étiologie a le plus souvent pour base l'héré
i sont ordinairement les premiers signes d'une thrombose des veines cérébrales dans la première enfance. Une lésion aiguë des
traumatique provoquée par une lacération partielle de la substance cérébrale qui s'est produite directement et par contre-co
nt défaut, et il ne sub- siste que les effets généraux de la lésion cérébrale . Le second est surtout intéressant à rapprocher
ines et anxiétés morales étaient signalées comme cause des troubles cérébraux . Dans les douze cas aigus, sauf un, il existait
si les diffé- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 237 Î rentes réactions cérébrales normales qui concourentà la formation d'une men
rche des événements fut identique, identiques aussi les altérations cérébrales constatées à l'autopsie Si bizarre que fût l'an
st aussi la façon dont elle s'accentuait à la suite d'un épuisement cérébral quelconque; c'est enfin sa disparition progress
grité d'une certaine partie du cerveau et spécialement de l'écorce cérébrale . Celle-ci intéressée par un processus pathologiqu
nce chez les épilep- tiques, les sujets ayant subi des traumatismes cérébraux , et les dégénérés. L'auteur termine par les pro
lysie générale. , M. JoREs. Sur l'anatomie pathologique des tumeurs cérébrales . L'auteur, après avoir signalé qu'on s'attache
e et à leur classification, communique deux observations de tumeurs cérébrales . Dans le premier cas, intéressant par sa locali
nstatait en outre l'existence de nombreuses hernies de la substance cérébrale en dehors de la dure-mère, et d'une atro- phie
s symptômes dont les derniers observés étaient dus à la compression cérébrale , à l'atro- phie des nerfs et à la compression d
t Stroebe sur la présence de kystes à épithélium dans des tumeurs cérébrales (gliomes). Il pense, avec les observateurs précéd
es à symptômes olfactifs et gustatifs. L'examen des circonvolutions cérébrales , portant spécialement sur celles du corps calle
toutes les formes de transition existent à cet égard dans l'écorce cérébrale , le bulbe olfactif, la corne d'Ammon, la moelle
dans les divers seg- ments de la moelle épinière. Dans l'çC0ltCE cérébrale , identique au fond chez tous les mammi- fères,
rine. Veratti. Su alcune parlicularita di slrutlura délia corleccia cérébrale . Soc. méd. cleiratrg. di Pâma, 1896. THÉORIE DE
ymorphes, convergent dans la capsule interne et dans les pédoncules cérébraux ; à la hauteur du corps calleux, un certain nomb
ent des petites cellules pyramidales de tous les points de l'écorce cérébrale d'un hémisphère et s'arbo- risant dans tous les
fibres d'association montent dans les diverses couches de l'écorce cérébrale et atteignent même la zone molécu- laire, où el
ellules pyramidales. Ces fibres représentent-elles la termi- naison cérébrale des nerfs sens ! tifs, ou du moins celle des cyli
l'activité presque toute entière des élé- ments nerveux de l'écorce cérébrale . Mais ce n'en est pas moins une remarque précie
s ramures protaplasmiques des cellules pyra- midales. Dans l'écorce cérébrale des reptiles, non seulement les cylindraxes des
ovoque l'excitation mécanique, chi- mique ou électrique de l'écorce cérébrale : les excitations dif- fusées dans la zone molé
limitées à une sphère d'activité et la conserva- tion des fonctions cérébrales dans les cas de grave lésion de tel ou tel dépa
me des fonctions de l'inner- vation centrale, de celles de l'écorce cérébrale en particulier, ce n'est donc pas la morphologi
J. Ni la structure interne ni les connexions de la cellule nerveuse cérébrale n'ont rien qui la distingue des autres cellules n
es aux- quelles nous rapportons les plus hautes fonctions de la vie cérébrale (association des idées, mémoire, intelligence).
cience ne doit point perdre courage : ce qui distingue les cellules cérébrales de celles de la moelle et des ganglions, n'est
eut-être des milliers de cellules nerveuses d'un centre de l'écorce cérébrale , et cela grâce à cette avalanche de conduction
trale, un organe de Corli central, etc. Toutefois, dans l'écorce cérébrale , chaque cellule d'un organe périphérique des sens
possible de pousser plus avant l'ana- lyse du mécanisme du travail cérébral , ignorants que nous sommes de ce qu'est « le mo
xpansions protoplasmiques des cellules résidant dans le même centre cérébral ; peut-être les cellules à cylindraxe ascendant
llules d'association et celles des flores calleuses des hémisphères cérébraux : grâce à ces cellules, les groupes des pyramid
s pour expliquer ces changements : inhibitions de cer- taines zones cérébrales ; interférences des courants nerveux; aug- menta
chimiques sans altération anatomique ou histologique de la tramc cérébrale . Mais ces hypothèses ne reposent, suivant Cajal,
e la névroglie n'existent que dans certains territoires de l'écorce cérébrale , et elles sont précisément en plus grand nombre
u graudsympatbiqueseraitici peu efficace. En effet, les capillaires cérébraux manquent de nerfs et de fibres musculaires liss
éjà de la forme des cellules en araignées se montrent dans l'écorce cérébrale et le lobe optique des oiseaux. En outre, plus
al; 2° les surfaces externes du système nerveux cen- tral (l'écorce cérébrale , par exemple) présentent aussi un épaissis- sem
ontre pourtant toujours même dans les couches profondes de l'écorce cérébrale , où les fibrilles de névroglie n'apparaissent p
e. Sans la gaine de névroglie, les parois des vaisseaux de l'écorce cérébrale n'oppo- seraient souvent qu'une résistance insu
t l'âge de l'individu. Dans la vieillesse, la névroglie de l'écorce cérébrale (Golgi) et de cette couche en particulier est plu
saurait, à coup sûr, exister dans les couches profondes de l'écorce cérébrale , puisqu'il ne s'y rencontre plus même de fibril
que aiguë CHEZ UN JEUNE enfant : CONVULSIONS ET PARALYSIE D'ORIGINE CÉRÉBRALE ; NÉVRITE MULTIPLE; par C.-A. HEURTER. (New-Yor
n réalité, devant l'absence de toute observation d'hémianesthésie cérébrale complète, on manque de preuves en faveur d'une dé
-clérose, l'alcoolisme, la syphilis, les chocs moraux, les maladies cérébrales , etc. Les manifestations de l'épilepsie sénile
; on sait d'ailleurs que l'ictère peut-être accompagné de troubles cérébraux graves. Damsch a observé la catalepsie, et Disc
de Paris, et Maubrac, de Paris, pour leur ouvrage sur la Chirurgie cérébrale . Prix Allemand, 1,800 francs. Le prix est décer
lasmiques très caractéristiques ne se rencontrent que dans l'écorce cérébrale ; nous n'en voyons plus nulle part; les cel- lul
de cellules psychiques, que nous trouvons uniquement dans l'écorce cérébrale en constituent la partie la plus active et la p
occupent la seconde et la troisième des quatre couches de l'écorce cérébrale . Les petites cellules pyra- midales sont située
s cette région, c'est- à-dire dans la couche supérieure de l'écorce cérébrale , dans ce réseau épais, formé par les éventails
t une tendance à prendre une position parallèle au bord de l'écorce cérébrale ; ce sont elles qui constituent la couche des f
pyramidales. Comme ces panaches montent vers la surface de l'écorce cérébrale presque perpendiculairement, tandis que les fib
, tantôt se contractant. Ainsi, dans la première couche de l'écorce cérébrale siège un mécanisme extrêmement sensible et très
nc le rôle des cellules situées dans la première couche de l'écorce cérébrale ? Sont-elles destinées à remplir la fonction de
vironnants, entrent en contact avec différentes régions de l'écorce cérébrale , du cerveau en géné- ral, de la moelle épinière
s cellules pyrami- dales ou de quelques autres cellules de l'écorce cérébrale , dans cette dernière passent les ondes nerveuse
tacts. Avant de terminer ce court aperçu du mécanisme de l'écorce cérébrale , notons, que dans sa quatrième couche sont située
à la transmission des courants quelconques prove- nant de l'écorce cérébrale . Les neurones de l'écorce cérébrale subissent l
nques prove- nant de l'écorce cérébrale. Les neurones de l'écorce cérébrale subissent l'influence sti- mulante de différent
résulte que les impulsions centrifuges, qui se dirigent de l'écorce cérébrale portent des traces des particularités reçues de
d'autres cellules, situées dans la couche sous- jacente. L'écorce cérébrale garde presque partout les traits caracté- risti
s centres psychi- LA THÉORIE DES NEURONES. ' 34S ques de l'écorce cérébrale , varie selon la complexité 'et la ri- chesse de
ones périphériques. L'excitation, parvenue aux cellules de l'écorce cérébrale par l'organe de la vue, se trans- met tôt ou ta
s situées dans deux régions éloignées l'une de l'autre, de l'écorce cérébrale , entrent en contact entre elles de façon à ce q
a abseuce de connexion directe entre la zone motrice de l'écorce cérébrale et la substance grise de la corne antérieure de l
hes de Flechsig sur les connexions des diverses régions de l'écorce cérébrale entre elles et avec les masses grises inférieur
les masses grises inférieures du névraxe. D'après Flechsig l'écorce cérébrale doit être divisée en deux zones distinctes ; une
nsitives, et centrifuges ou motrices. Tout ce qui reste de l'écorce cérébrale en dehors des sphères sensorielles constitue la
trouve pas de lésions de ce genre dans les autres circon- volutions cérébrales , et il est évident que l'existence de la qua- t
ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. tains centres de l'écorce cérébrale répondentàl'excitation électrique par des mouve
tous les mouvements ne sont pas abolis au même degré par une lésion cérébrale et que le malade ne les recouvre pas non plus t
Indépendance FONCTIONNELLE DES deux hémisphères (Dual action OF THE cérébral hémisphères); par James 111ERNAN. (illediciae,
égèrement proéminente et animée de battements indique une hypérémie cérébrale , comme le fait se pro- duit dans les maladies f
II, fasc. 1.) XLIV. Guérison des altérations DES CELLULES NERVEUSES cérébrales ; par eiLE5Sl. (Il l11anicomio, XII, fasc. 1.)
romique, certains phé- nomènes de nature expansive, de l'excitation cérébrale , de l'irasci- bilité, des accès d'activité. Les
ostic parait mauvais. Un autre infirmier a été atteint de commotion cérébrale à la suite d'un traumatisme crânien, qui déterm
i dans l'enfance un traumatisme crânien ou qui ont eu une affection cérébrale orga- nique (paralysie infantile cérébrale). Fü
qui ont eu une affection cérébrale orga- nique (paralysie infantile cérébrale ). Fürstner cite plusieurs exem- ples, entres au
e des attaques épileptiformes qui sont les prodromes d'affec- tions cérébrales organiques (tumeurs, lésions vasculaires par alli
r un nouvel accès. 4° Il s'agit, dans la catatonie, d'une aflectiou cérébrale organi- que qui aboutit il une démence plus ou
l a observés, ce sont présentés sous l'aspect clinique d'une tumeur cérébrale ou de la paralysie générale, tandis que .la dég
SOCIÉTÉS SAVANTES. 403 M. 'l'HOMA (Illenau). - Trois cas de tumeur cérébrale . - En général les médecins qui s'occupent de cl
meurs du cerveau. Les troubles psychiques prodromiques d'une tumeur cérébrale (dépres- sion, irascibilité, inaptitude au trav
cervelet (sarcome) de la grosseur d'un oeuf comprimant le pédoncule cérébral droit et les tubercules quadrijumeaux du même c
rché à décrire les troubles psychiques caractéristiques des tumeurs cérébrales (Jastrowitz, Oppenheim) : état maniaque spécial
ont des hérédi- taires, des anormaux, ce qui explique qu'une tumeur cérébrale ait déterminé chez eux des troubles psychiques.
e. Celui-ci n'est donc pas en rapport avec l'existence d'une tumeur cérébrale . M. TRONER (Ileidelberg). Modifications patholo
kson arrive à montrer que l'interrup- tion subite de la circulation cérébrale provoque la perte de con- naissance et des conv
pileptique est toujours accompagnée de constric- tion des vaisseaux cérébraux (au moins à son premier stade); 2° que cette va
eut être produite que par l'irrita- tion de la partie de la surface cérébrale dont l'irritation amène aussi la vaso-constrict
gel) montre qu'une irritation périphérique peut produire une anémie cérébrale et que cette anémie chez un individu prédisposé
phie. 423 rique produise l'attaque par l'intermédiaire d'une anémie cérébrale , du moins tout parle en faveur de cette théorie
donnée la sensibilité extrême et plus ou moins durable des éléments cérébraux à toute modification brusque de leur nutrition
doit avoir pour conséquence une mise hors de fonction des centres cérébraux . Ce trouble fonctionnel passager se manifeste par
plications de l'élec- tricité, les recherches sur les localisations cérébrales , les nouvelles VARIA. 427 conceptions consécu
en 3 groupes fort inégaux, suivant que la mort a résulté d'un ictus cérébral , d'une affection intercurrente ou d'un état de
ues généraux a été 440 PATHOLOGIE MENTALE. due 26 fois à un ictus cérébral , 6 fois à une affection inter- currente, une se
urte : deux ans en moyenne. Les 26 malades qui sont morts par ictus cérébral forment deux catégories. La première comprend c
Dans la deuxième catégorie se rangent 14 malades emportés par ictus cérébral , mais après une période d'affaiblissement plus
ue les 4/5 de nos malades, 26 sur 33, ont été emportés par un ictus cérébral ' Voir Annales médico-psycholo,qiques, 1897, t.
t par une différence dans la fréquence et dans la gravité des ictus cérébraux , dont les uns et les autres sont atteints. Chez
s variétés en question en les désignant ainsi : variété ataxique ou cérébrale , variété ataxo-spasmodique ou céébro-spi7aale.
ccompagné la naissance de cet enfant, c'est aux pro- fondes lésions cérébrales engendrées durant les derniers mois de l'évolut
de la guérison, quelle que soit la gravité apparente, d'une lésion cérébrale . R. M.-C. ' ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 459
s le tableau symptomatique de la neuras- thénie. LXV. Tuberculose cérébrale ; par Gallois. Le 19 avril, entrait à la Crèche
diagnostic porté avait été tumeur siégeant au niveau des pédoncules cérébraux et n'ayant intéressé que les noyaux d'origine o
foyer de ramollissement étroitement loca- lisé au pied du pédoncule cérébral gauche, localisation qui explique exactement le
s et l'enfant succomba. Autopsie. - Hydrocéphalie interne; la masse cérébrale des deux hémisphères est amincie jusqu'à 5 mill
ns par le degré et non par la localisation de la lésion de l'écorce cérébrale . M. Ryi3,rorp. De la narcolepsie. - L'auteur a
86 SOCIÉTÉS savantes. ventricule latéral; petit abcès dans l'écorce cérébrale de la circon- volution frontale'première; en ou
nt la vie, est du pus des abcès après l'autopsie et de la substance cérébrale autour de ces derniers indiqua que cette lésion
, 111. , : J 498 EXPLICATION DES PLANCHES. PHKMOEl. I. Sclérose cérébrale hémisphérique. Face convexe de l'encéphale (p.
lanche montre à quel degré est prononcée l'atrophie de l'hémisphère cérébral gauche. EXPLICATION DES PLANCHES. 499 PL.1\CI
al gauche. EXPLICATION DES PLANCHES. 499 PL.1\CIIE II. Sclérose cérébrale hémisphérique. Face inférieure de l'encéphale (
ette planche on se rend compte, en outre de l'atrophie du pédoncule cérébral gauche, P, de la moitié gauche de la protubéran
x droit. 500 EXPLICATION DES PLANCHES. P ? wcm : 11 f. Sclérose cérébrale hémisphérique. Pig. 1. - Face convexe de l'hémi
, 363. Cérébelleuse. Développement de l'écorce -, par Lui, 354. Cérébrale . Trois cas de tumeur , par Thomas, 403. Cescn
rculation. Action de quelques substances médicamenteuses sur la - cérébrale , par Giannelli, 140. Circulatoire. Sur certains
réti- nite pigmentaire, par Sambuc, 153. Convulsions d'origine cérébrale , par Versiloff, 483. Convulsifs. Pathologie d
rme de tour, par Weber,248. Fracture du - avec perte de substance cérébrale , par Smith, 458. CR.\'ECTO)iiE. Sur la -, par
orragie des muqueuses dans la neurasthénie, par Beinichon, 117. - cérébrales et méningées, par Mac Casliey, 215. Histologi
e d'in- toaication -, par J.-B. Charcot et Ivon, 3'rî. Sclérose cérébrale hémisphérique (idiotie, hémiplégie droite et ép
reland, 255. Température superficielle du crâne dans les maladies cérébrales , par Mac Casl : ey, 6. Testiculaire. Prothèse
consécutif à l'in- Iluenza, par Buck et de Moor, 130. Tuberculose cérébrale , par Gallois, 466. Tumeur cérébrale ayant pro
t de Moor, 130. Tuberculose cérébrale, par Gallois, 466. Tumeur cérébrale ayant procédé par attaques spéciales et trouble
11 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
pas de diastases ; aucune empreinte marquant le parcours des sinus cérébraux . Radiographie des membres. - Bras gauche : Nous
es symptômes cardinaux que présente cette malade sont des symptômes cérébraux caractérisés parde la céphalée,des vomissements,
nettement pathologique d'insuffisance pituitaire avec des symptômes cérébraux en foyer, avec de la céphalée, des vomis- semen
manifestant par l'ictère, des oedèmes, l'ascite. Signes de lésions cérébrales ; somnolence, crises d'irritabilité extrême, ra
production de grands noyaux clairs, souvent déformés, dans l'écorce cérébrale et les centres sous-corti- caux ; enfin un proc
ique et somatique. En opposition- au type classique, où l'affection cérébrale se manifeste d'une manière brutale au cours de
ulées trouve ici sa terminaison. Arrivées à la calotte du pédoncule cérébral , ces fibres résiduelles se déplacent bientôt d'
éticulée qui arrive à la calotte protu- béranlielle et au pédoncule cérébral . Les dernières connexions ascendantes se font :
ls d'après la topographie des muscles, ou des nerfs, ou des centres cérébraux . Et même, lorsque nous concevons ces troubles com
naître un état spécial, l'anxiété, qui vient troubler les processus cérébraux qui s'effectuent dans l'acte désiré. C'est na
. La sensibilité était normale, les réflexes faibles, les fonctions cérébrales nor- males aussi. Le tremblement était constitu
e lequel des trois départements de l'appareil auditif. Les troubles cérébraux , el surtout ceux du cervelet, peuvent produire de
s un département ou dans un autre, puisqu'un père avec insuffisance cérébrale peut transmettre la tare qui apparaît chez ses de
ois cas dans lesquels des foyers strictement limités à l'hémisphère cérébral avaient entraîné une atrophie notable du noyau
une atrophie très marquée du noyau rouge déterminée par des lésions cérébrales très étendues et ayant débuté, le plus souvent, d
ondaires étaient d'autant plus intenses que les lésions de l'écorce cérébrale étaient plus anciennes et plus étendues. Bien q
, ce cas correspond en réalité à une destruction de tout le manteau cérébral de l'hémisphère gauche )1. Il est donc impossib
lésions (kystes hémorragi- ques, foyers de ramollissement, sclérose cérébrale ) occupant soit le lobe pariétal ou le lobe fron
oyau rouge, les circonvolutions du bord inférieur de l'hémi- sphère cérébral et la première circonvolution limbique, et n'adme
enne intéressant la totalité ou la presque totalité d'un hémisphère cérébral , on observe toujours au niveau du noyau rouge u
açon générale, considérer le noyau principal comme étant le segment cérébral z antérieur du noyau ronge (Grosshirnanteil de
n'était que, le tronc encéphalique ayant été séparé de l'hémisphère cérébral en un point beaucoup trop élevé, le noyau rouge
ste dans ce cas aucune autre lésion, soit au niveau de l'hémisphère cérébral , soit au niveau du tronc encéphalique. Dès cette
e lorsque les lésions siègent en d'au- tres régions de l'hémisphère cérébral , nous avons soumis à l'étude deux cas de ramoll
fronlale; dans un autre, enfin, il s'agit d'un ramollissement de la cérébrale antérieure, lequel intéresse surtout la premièr
a capsule interne se poursuit directement daus le pied du pédoncule cérébral et paraît tout à fait normale, sauf dans cette
oyau rouge, puis elle descend directement dans le pied du pédoncule cérébral . Au niveau de la couche optique, on remarque outr
capsule interne à l'endroit où celle-ci s'unit au pied du pédoncule cérébral . On dirait que la dégénérescence s'épuise en pa
a zone dégénérée qui sépare la capsule interne du pied du pédoncule cérébral . Cette zone paraît être plus considérable que s
ancien de l'hémisphère droit, occupant le domaine ir- rigué par la cérébrale antérieure. La lésion intéresse le précunéus, le
'auparavant, peut être suivie directement dans le pied du pédoncule cérébral . Au niveau de la couche optique, on constate la d
it des radiations corticales de différentes régions de l'hémisphère cérébral ; nous avons pu nous convaincre que certaines de
enir que le noyau rouge ne reçoit aucune fibre du reste de l'écorce cérébrale , bien que nous puissions affirmer que dans les
rne pour se rendre aux ganglions cen- traux et au pied du pédoncule cérébral . Ces lésions entraînent, au niveau de la couche
S DU NOYAU ROUGE 221 1 noyau, à la suite de lésions de l'hémisphère cérébral , varie dans sa topo- graphie selon le siège de
éflexes ou automatiques, les fibres nerveuses provenant de l'écorce cérébrale ne sont encore que très incom- iylélement myéli
s intellectuelles, du psychisme, esl. plus parfait, et que l'écorce cérébrale préside plus exclusivement au fonctionnement de
il des radiations corlicales de différentes régions de l'hémisphère cérébral . Certaines de ces radiations proviennent du lobe
héréditaires. Père vivant et bien portant. Mère morte d'hémorragie cérébrale . Antécédents collatéraux. Deux frères vivants e
e apparaissent de temps à autre des vomis- sements faciles, du type cérébral . Quelques bourdonnements d'oreille à gau- che.
ans la pathogénie de la glycosurie, l'action de centres régulateurs cérébraux placés dans la substance grise interpédonculair
tension crânienne et enfin où elle a manqué dans un cas de tumeur cérébrale . La discussion est donc encore ouverte sur la v
ion de la force musculaire, la somnolence, la torpeur des fonctions cérébrales , la chute des poils, la sécheresse de la peau, la
réflexe émotif exagéré (Bernheim), d'une perver- sion des fonctions cérébrales les plus élevées (Bastian), mais on n'a pas bie
s la cénesthésie, à savoir dans la synthèse des sensations internes cérébrales qui tirent leur origine des impressions sensiti
dement de l'énergie nerveuse, d'où son irradiation à toute l'écorce cérébrale , au bulbe; l'émotion nait, en effet, toutes les f
rare que l'hystérie se joigne à une affection organique des centres cérébraux et médullaires ; son associa- tion est fréquent
sclérose en plaques, la démence précoce et parfois avec les tumeurs cérébrales et cérébelleuses, le tabes (dans le sexe féminin
tout à fait le diagnostic d'une altération organi- que des centres cérébraux , et qui ont été guéris par la suggestion. La cé
éorie en acceptant t que la lésion de certaines parties de l'écorce cérébrale en connexion avec les noyaux rouges peut provoq
ns dans ce cerveau les signes ordinaires de la vieillesse. L'écorce cérébrale el cérébelleuse est intacte. Ce n'est que dans
énéral et de vomissements : son médecin diagnostique une congestion cérébrale causée par une mauvaise digestion ( ? ) Cependa
physe. Anderson, Schuster, Uhthoff signalent de même l'adiposité cérébrale fréquente dans les tumeurs de l'hypophyse. Fr
avant la puberté), par la polyurie, et les symptômes de compression cérébrale . Pour faciliter l'exposition de notre cas, nous
des détails et dont nous nous sommes beaucoup servi. Les symptômes cérébraux , quoique quelquefois absents, se manifestent pa
hypophysaire. Mais la polyurie peut exister aussi dans des maladies cérébrales qui n'intéressent pas l'hypophyse, mais qui res
me dans la sclérose en plaques, 1'liéi,éclo-sypliilis, l'hémorragie cérébrale , l'hydrocéphalie, le ramollissement cérébral. Dan
pliilis, l'hémorragie cérébrale, l'hydrocéphalie, le ramollissement cérébral . Dans bien des diabètes insipides traumatiques
lla, arrêt de développement à (le 13 ans. Dans les cas de processus cérébraux qui intéressent secondairement l'hypophyse on t
al la malade était une arriérée avec épilepsie. Parmi les symptômes cérébraux consécutifs à l'insuffisance expérimen- tale de
malades, dont l'état n'était pas amélioré, souffraient de maladies cérébrales primitives, accompagnées d'attaques présentant bi
en aucun cas, parler d'épilepsie essentielle, mais d'une affection cérébrale primitive quelconque, accompagnée parfois d'att
épileptiformes (hydrocéphalie interne, tumeur du cerveau, paralysie cérébrale infantile; tumeur de l'hypophyse, sclérose, tub
els on pouvait reconnaître le carac- 366 BOLTEN tére du processus cérébral primitif, il y avait encore une autre grande ca
orencéphaiie, la sclérose tubéreuse (forme d'idiotie), la paralysie cérébrale infantile, le tubercule solitaire, les tumeurs de
yphilis du système nerveux central (syphilis héréditaire, paralysie cérébrale progressive, syphilis cérébrale comme l'encépha
al (syphilis héréditaire, paralysie cérébrale progressive, syphilis cérébrale comme l'encéphalite gommeuse, la méningite syph
hique des Anglais, genuine Epilepsie des Allemands), et l'épilepsie cérébrale (symptomatique ou secondaire) consécutive une i
ôt qu'à l'épilepsie céré- hrale. Il faut entendre par l'épilepsie cérébrale (symptomatique) cette épilepsie qui se montre à
e recherches toujours plus exactes, celui de l'épilepsie organique ( cérébrale ) va en s'élargissant. Cependant il res- tera to
'épilepsie essentielle et, plus tard, les recherches microscopiques cérébrales servent d'arguments à l'origine cérébrale organ
echerches microscopiques cérébrales servent d'arguments à l'origine cérébrale organique du processus morbide de l'épilepsie ess
épilepsie est sympto- matique et, en fait, dépendante d'une maladie cérébrale quelconque primitive. Par contre, il exisle u
re, dans lesquels on ne peut réellement constater aucune altération cérébrale primitive. Cela veut dire que dans les cas réce
venons de parler, ce groupe (dans lequel manque toute altéra- tion cérébrale primitive) ne comprend que l'épilepsie essentiell
aitement : d'une part, un processus diffus, organique dans l'écorce cérébrale (accompagné ou non d'altérations méningiliques)
LEPSIE 369 Il semble, à priori, vraisemblable que, dans l'épilepsie cérébrale , c'est-à-dire dans les troubles provenant d'ano
e hyper- tension, altérations cellulaires) dans des cas d'épilepsie cérébrale (hydro- céphalie interne, méningites) et aussi
le, se montre tout aussi bien chez les malades atteints d'épilepsie cérébrale et, d'autre part, la démence épilepli- que inte
rvient aussi bien dans l'épilepsie essentielle que dans l'épilepsie cérébrale ; il me semble toujours de plus en plus certain q
semble toujours de plus en plus certain qu'en général , l'épilepsie cérébrale , succédant à une mén ingo-encépha 1 i le diffuse,
: je connais'des cas tant d'épilepsie essentielle que d'.épilepsie cérébrale , dans lesquels le caractère n'est que peu ou mê
s après le début des accès, on avait toujours affaire à l'épilepsie cérébrale (hydrocéphalie interne, syphilis héréditaire, m
sitif : on peut être alors très autorisé à croire à une épi- lepsie cérébrale (tumeur du cerveau ou des méninges, grand foyer d
tent quelque durée, faire pencher la balance du côté de l'épilepsie cérébrale (foyers encéphaliques dans le lobe frontal gauc
tables symptômes de foyer ou autre indication précise d'épi- lepsie cérébrale , Le symptôme de Babinski est encore beaucoup moin
d'après cela, que l'on se trouve toujours en présence d'altérations cérébrales . Comme Binswanger et«d'au- tres l'ont démontré,
encéphalite ou d'autres foyers, ni hydrocéphalie, ni une altération cérébrale quelconque (l'examen microscopique du cerveau est
). Dans ce cas il ne s'agissait donc certainement pas d'épi- lepsie cérébrale , mais d'épilepsie essentielle. Dans ces cas d'é
e essentielle, sans symptômes de foyer préalables et sans affection cérébrale anatomique, nous ne pouvons guère, suivant en c
l'usage de la main gauche se pré- sente aussi bien dans l'épilepsie cérébrale (avec hémisphère gauche plus spécialement attei
iation conjuguée (tourner le visage et les yeux du côté des lésions cérébrales ). Benders a appelé l'attention sur le fait que
t, nous avions donc, très .vraisemblablement, affaire à l'épilepsie cérébrale (encéphalite diffuse, qui esl exclusivement, ou
eau (écorce) qui a atteint d'une façon prépondérante l'hémi- sphère cérébral opposé ; s'ils sont alternatifs et ne se montrent
corps, il est alors très vraisemblable qu'il s'agit d'une épilepsie cérébrale qui a atteint un hémisphère plus que l'autre. E
n hémisphère plus que l'autre. Et quand des phénomènes de paralysie cérébrale infantile existent chez des épileptiques, ne fût-
e même qu'en une faible mesure, alors on peut être sûr de l'origine cérébrale des phé- nomènes épileptiques. , ' : , Il fau
ournissent la moindre réponse au dilemme : épilepsie essentielle ou cérébrale (corticale), nous devons essayer de combler, auta
dans la jeunesse, correspondante ou très apparentée à une paralysie cérébrale infantile (sans toutefois montrer 'toujours les
méninges et de leur développement se faisant avec celui de l'écorce cérébrale , ce qu'il put prouver par des autopsies de ses
corticale, suite de la méningo-encéphalite. Ces formes d'épilepsie cérébrale se rattachent donc tout à fait à l'épilepsie ca
e rattachent donc tout à fait à l'épilepsie causée par la paralysie cérébrale infantile, car, dans la grande ma- jorité de ce
si se dévelop- per chez un sujet atteint déjà d'une autre affection cérébrale quelconque et ainsi la véritable épilepsie peut
epsie peut se déclarer aussi chez les malades atteints de paralysie cérébrale infantile. Toutefois, cela ne sera qu'une excep
ne même cause. Si nous rencontrons donc également dans la paralysie cérébrale infantile des attaques épileptiques, celte épil
tile des attaques épileptiques, celte épilepsie doit être d'origine cérébrale et n'appartient donc pas à l'épilepsie essentie
ne qui cause dans un cas l'épilepsie, dans un deuxième la paralysie cérébrale infantile et dans un troisième ces deux affecti
épileptiques se présentent seuls, Freud parle alors de « paralysie cérébrale infantile sans paralysie ». Quoi- que cette exp
ès différents et cette cause est la base anatomique de la paralysie cérébrale infantile, dans laquelle se montrent tantôt des p
ite et de PATHOGÉNIE DE QUELQUES FORMES D'ÉPILEPSIE 375 paralysie cérébrale infantile sont bien loin de causer plus tard l'ép
cérébrale infantile sont bien loin de causer plus tard l'épilepsie ( cérébrale ) et, par suite, il admet que, dans les cas où se
it s'appliquer naturellement qu'aux cas de combinaison de paralysie cérébrale infantile avec l'épilepsie véritable essentielle.
infantile avec l'épilepsie véritable essentielle. Pour l'épilepsie cérébrale , la prédisposition n'est absolument pas nécessair
grandeur des foyers encéphaliques ; s'ils gênent tellement l'écorce cérébrale pour la circulation de sa lymphe et de son sang
le donc aussi étrange quand Redlich dit : « Revenant à la paralysie cérébrale in- fantile, je crois que les conceptions de Fr
ent servir vraiment que pour quelques cas et que, dans la paralysie cérébrale infantile, avec ou sans paralysie, il peut se dév
qui, sans le savoir ou sans le vou- loir, montrent que l'épilepsie cérébrale et l'épilepsie essentielle se res- semblent cli
sie essentielle sera rarement aussi bien combinée avec la paralysie cérébrale infantile qu'avec la maladie de Hirschprung (pour
pour don- ner un exemple) ; si nous trouvons associées la paralysie cérébrale infan- tile et l'épilepsie, toutes deux doivent
rs venir de la même origine et l'épilepsie est, dès lors, d'origine cérébrale . Redlich montre cela même surabondamment en pro
arurent. C'est la preuve par- faite que l'épilepsie était d'origine cérébrale et qu'il ne s'agissait donc absolument pas d'ép
- sence ou de l'absence des attaques épileptiques dans la paralysie cérébrale infantile est dans le fait que, dans un cas, il
rs reprises attirée sur ce fait, que chez les enfants les processus cérébraux pathologiques ont une tendance 370 BOLTEN à s
si diffusément qu'elles causent' tant l'épilepsie que la paralysie cérébrale infantile, il y a alors épilepsie cérébrale et
lepsie que la paralysie cérébrale infantile, il y a alors épilepsie cérébrale et non épilepsie essentielle ; si, par contre, le
. Il n'y a aucune raison pour séparer celle forme des autres formes cérébrales et pour lui donner un autre nom (épilepsie hydroc
l'une de l'autre toutes les formes presque innombrables d'épilepsie cérébrale et de donner à chacune une étiquette propre.
s les cas de porencéphalie, les attaques sont la suite du processus cérébral primitif et on doit donc également ranger cette f
tif et on doit donc également ranger cette forme dans l'épi- lepsie cérébrale . Il en est de même pour les cas d'oxycéphaiie : s
méninges épaissies et cause, par une pression directe sur l'écorce cérébrale , des troubles de circulation qui provoquent des
onner doivent donc, sans restriction, être comptés parmi les formes cérébrales sous réserve de la possibilité que l'épilepsie
l'affection primitive et les attaques appartiennent donc à la forme cérébrale de l'épilepsie. Naturellement on doit admettre ic
es infectieuses aiguës doit donc aussi êlre rangée dans l'épilepsie cérébrale . En outre, il peut se passer un grand nombre d'
l y a des symptômes de foyer, nous avons une indication d'épilepsie cérébrale ; cependant dans la plus grande majorité des cas
rébrale; cependant dans la plus grande majorité des cas d'épilepsie cérébrale , tous les symptômes de foyer font absolument dé
ins l'épilepsie traumatique se montrât toujours comme une affection cérébrale primitive localisable, ou à ce qu'au moins l'hé-
es à celles de l'épilepsie essentielle ; seulement dans la syphilis cérébrale congénitale, les troubles de l'intelligence précé
m- pagnent et par la réaction de Wassermann. Parmi les affections cérébrales primitives, qui peuvent causer des atta- ques s
Et aussi dans ces derniers cas il est sûrement question d'épilepsie cérébrale : si l'on extrait la tumeur de l'hypophyse, les
, j'ai trouvé qu'ils se composaient de : 380 BOLTEN · Paralysie cérébrale infantile (avec attaques épileptiformes), trois c
ment différents l'un de l'autre, mais tous probablement d'épilepsie cérébrale primitive ; hors de ce groupe, il reslait une p
- être reporter un ou plusieurs de ces cas au compte de l'épilepsie cérébrale ; i seule l'autopsie pouirait fournir ce sujet
n- tielle » ; si nous en excluons maintenant les 3 cas de paralysie cérébrale infantile que le médecin de la famille se refus
essentielle et qui, plus tard, paraissaient appartenir aux tumeurs cérébrales . Et contre ces 40 cas pour lesquels, sur une ba
plus grande partie appartient à toutes sortes de formes d'épilepsie cérébrale et seulement la minorité à l'épi- lepsie essent
il faudrait finalement rapporter toutes les formes à des affections cérébrales (Redlich, Heilbronner). , Il résulterait bien
té, suivant l'opinion de Redlich, que les épilepsies essentielle et cérébrale peuvent se transformer l'une dans l'autre ; ce
ar- faitementjuste, la deuxième ne peut être vraie. Que l'épilepsie cérébrale 'ne représente qu'un développement général diff
changer l'une dans l'autre : la première est un processus primitif cérébral diffus (le plus souvent corti- cal), la deuxièm
le, ne se présente- ront pas chez'les malades, atteints d'épilepsie cérébrale (affections corti- cales diffuses, ayant attein
partie de la pathologie encore si peu étudiée : dans l'épi- lepsie cérébrale on n'a que des troubles de circulation (hyperémie
des inflammations diffuses chimiques dans ou au voisinage du cortex cérébral ; le malade, atteint d'épilepsie essentielle, a
ement que la plupart d'entre eux souffrent t sans doute d'épilepsie cérébrale : plusieurs de ses malades avaient eu dans leur
tion anormale des élé- ments essentiels du cerveau par un processus cérébral quelconque. Quand un tissu cérébral s'altère, o
els du cerveau par un processus cérébral quelconque. Quand un tissu cérébral s'altère, on peut constater qu'un des éléments pr
essive, processus qui cause une désintégration évidente de l'écorce cérébrale . Jach montra à l'aide de recherches, faites sur
s cliniques, tant dans l'épilepsie essentielle que dans l'épilepsie cérébrale et essayons d'en donner une explication. J'adme
ison tétani- que » ; ce dernier n'agit pas directement sur l'écorce cérébrale , « mais il provoque des troubles dans d'aulres
attaques, tant dans l'épilepsie es- sentiellè que dans l'épilepsie cérébrale (corticale). Dans la première, il existe une fa
mportant intervient encore, à savoir la grande affinité de l'écorce cérébrale pour des poisons et des toxiques de toutes sort
xines. Ils purent même montrer facilement in vitro que la substance cérébrale est très avide de toxines ; si l'on place de peti
t très avide de toxines ; si l'on place de petits morceaux de tissu cérébral dans la toxine diphtérique et qu'on les rince ens
nt admettre que certaines parties du cerveau (spécialement l'écorce cérébrale ? ) ont aussi une grande affinité pour les prod
remier de ses toxines (reins, poumons et peau) et ensuite le cortex cérébral donne une partie des siennes au sang, qui à ce mo
encore où et de quel le manière elles sont retenues dans le cortex cérébral , nous pouvons, en tout cas, supposer (et celte
réaction utile de l'organisme contre l'intoxication. Que le cortex cérébral reçoive, par ces décharges, un petit choc etquele
s déblayeuses de substances nuisibles : si leur sang et leur cortex cérébral sont saturés de toxines, ils ne se sentent pas
très fortement remplies, des adhérences de la pie-mère et du cortex cérébral , etc. ; les petits résultats relatifs que l'on ob
a dure mère et on arrive ainsi à diminuer la pression des membranes cérébrales oedémateuses, épaissies et adhérentes. Doberer
lo-rachidien vers les vaisseaux du diploé. Dans les cas d'épilepsie cérébrale qui sont la sùite d'une méningite simple, on pe
on suivant la méthode de Doberer; dans ces cas, cependant, l'écorce cérébrale est comprimée (et, par conséquent, La circulation
tic différentiel exact entre l'épilepsie essentielle et l'épilepsie cérébrale ; cela est du plus haut intérêt pour le malade
tique el le pronostic est alors favorable ; s'il souffre d'épilepsie cérébrale , on peut pratiquer la trépanation-soupape, et,
que l'épilepsie essentielle (maladie du métabolisme) et l'épilepsie cérébrale (affection cérébrale organique primitive) peuvent
tielle (maladie du métabolisme) et l'épilepsie cérébrale (affection cérébrale organique primitive) peuvent se ressembler d'un
e précisément la môme chose : à savoir une intoxication de l'écorce cérébrale . L'origine seule des toxines est différente : d
t des pro- duits du métabolisme de tout le corps ; dans l'épilepsie cérébrale , par con- tre, l'intoxication est causée par le
l'intoxication est causée par les produits du métabolisme du cortex cérébral lui-même, des produits insuffisamment évacués, et
s trou- bles de la circulation. Mais, clans les deux cas, le cortex cérébral est inondé de toxines et empoisonné par elles;
ées, on peut encore donner une autre explication : dans l'épilepsie cérébrale , les toxines proviennent exclusivement des par-
a revient à dire : en général les malades qui souffrent d'épilepsie cérébrale deviennent beaucoup plus rapidement déments que
avaient été internés dans des asiles, souffraient tous d'épilepsie cérébrale . Par contre, j'ai plusieurs malades qui ont dé-
me temps une explication du fait que les épilepsies essentielles et cérébrales se ressens 400 ' BOLTEN blent parfaitement no
tabilité et, finalement, la démence. Dans les deux formes le cortex cérébral est intoxiqué : dans l'épilepsie essentielle pa
r les produits du métabolisme de tout l'organisme, dans l'épilepsie cérébrale par ceux provenant du cortex même et des par- t
onc pas conclure que l'épilepsie essentielle n'est pas un processus cérébral primitif, mais nne intoxication, car, dans l'ép
'une trace quelconque d'anomalies organiques(anatomiques) du cortex cérébral dans les cas récents d'épilepsie- essentielle p
psie 401 - CONCLUSIONS. 1° L'épilepsie essentielle et l'épilepsie cérébrale sous ses formes nom- breuses ne peuvent absolum
t servir comme élément de diagnostic différentiel. 2° L'épilepsie cérébrale se produit à la suite de n'importe quelle affec-
à la suite de n'importe quelle affec- tion des méninges, du cortex cérébral ou des parties plus profondes qui, soit par aug
ose, provoquent des troubles étendus de circula- tion dans l'écorce cérébrale (hyperémie veineuse). 3° L'épilepsie essentiell
olisme intermédiaire est fortement diminuée. fi' Dans l'épilepsie cérébrale comme dans l'épilepsie essenlielle, le cortex c
l'épilepsie cérébrale comme dans l'épilepsie essenlielle, le cortex cérébral avec sa grande affinité pour de nombreux poisons
olisme de lout l'organisme et de l'ali- mentation ; dans les formes cérébrales , au contraire, elles proviennent du cortex céré
ns les formes cérébrales, au contraire, elles proviennent du cortex cérébral lui-même dans lequel, à la suite des troubles de
au niveau des reins, des poumons et de la peau, plus tard le cortex cérébral en évacue une partie dans le sang, à ce moment
ître pour toujours tous les phénomènes morbides. Dans l'épilepsie cérébrale , ce traitement n'a aucun effet ; en ce cas une
ps ihyi-oïde et de l'Hypophyse. Paris, 1908. Marchand (L.). Lésions cérébrales dans l'épilepsie dite essentielle. Comptes rendus
stabilité. Irritabilité. - S'il y a fatigue de la cellule nerveuse, cérébrale , médullaire, ou même des ganglions sympathiques,
ccompagne habituelle- ment l'intoxication et la fatigue de l'écorce cérébrale , de la moelle, du système sympathique, c'est-à-
NERVEUSE 413 perte de conscience. L'irritabilité facile de l'écorce cérébrale pour les décharges motrices convulsives inconsc
rs, méningites, traumatismes des zones; dites motrices, de l'écorce cérébrale , peuvent occasionner des décharges de type épil
bles, qui dépendent de méningite ou de scléroses 414 AUSTREGÈS1L0 cérébrales qui ont passé ou passent inaperçues, ou d'une irr
me causes d'épuisement, chez ce blessé, en dehors de la commo- tion cérébrale traumatiques, il importe de noter le rôle probabl
e quelques formes d' - dites épilepsie essentielle et épi- lepsie cérébrale ), par BOLTEN, 360. jacksonienne portant sur le
12 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s; aussi n'en est-il rien. On peut même dire que les manifestations cérébrales des oreillons devaient être parmi les premières
qui puissent causer la mort. La terminaison fatale par accidents cérébraux est déjà signalée par Hamilton ' qui en rapport
d'autopsie. Trenel 2 rapporte deux cas de mort dûs à des troubles cérébraux mal déterminés, et Astley Coopter 3 a vu la dis
tion soudaine des oreillons être suivie de symptômes de compression cérébrale et de délire chez un enfant qui succomba au bou
ement d'autres cas de termi- naison fatale à la suite des accidents cérébraux tels qu'ils ont été indiqués parles anciens aut
de ses malades avaient déjà présenté antérieurement des accidents cérébraux graves (convulsions', attaques épileptiformes,
ou coïncidant avec celle-ci, on voit parfois survenir des troubles cérébraux très intenses, rappelant la méningite, et qui,
1 Glénereau. Sur une épidémie d'oreillons 'compliqués d'accidents cérébraux (Bull. de Thérap., mai, É884). 4 CLINIQUE NERVE
on trouve un cas d'o- reillons dans lequel il survint des accidents cérébraux sous forme de délire avec illusions des sens et
arenté du rhumatisme et desoreillons, les compare aux complications cérébrales du rhuma- tisme articulaire aigu. Il rapporte s
ntrer, c'est qu'il existe dans le cours des oreillons des accidents cérébraux autres que ces phénomènes méningitiques, accide
t, d'après le i Sorel. Orchite ourlienue atrophiatte; complications cérébrales , aphasie légère, mais prolongée (Arch. de inéd.
ichhorst', ces accidents seraient dûs simple- ment à une hyperhémie cérébrale passive, reconnaissant pour cause la compressio
faits (celui de Janson-Zuède, par exemple) dans lesquels la lésion cérébrale siège du côté opposé à l'oreillon, ou d'observa
l'oreillon, ou d'observations dans lesquelles on voit les troubles cérébraux survenir précisément au moment où la parotidite
tre que l'embolie ne pourrait expliquer les phénomènes d'excitation cérébrale , il est des cas, comme le nôtre, où l'intégrité
endre compte assez facilement des phénomènes obser- vés : la lésion cérébrale consécutive à la méningite, peut-être à des exs
ns présen- NEVRALGIE ET PARALYSIE OCULAIRE. 15 tant des symptômes cérébraux qui peuvent tout à coup prendre des allures men
est aplati, gri- sâtre. Dans ses racines, à la sortie du pédoncule cérébral , existent des granulations nombreuses,grises, d
bien marqués ne laissent aucun doute sur l'existence d'une tumeur cérébrale , il est survenu une première fois de la diplopi
ent de la diplopie avec récidives, coïncidant généra- . DES ZONES CÉRÉBRALES MOTRICES. ' 29 lement avec une aggravation des
ainsi dans la paralysie générale, dans certaines formes de syphilis cérébrale , où les rechutes échappent à toute règle. Mais,
IE NERVEUSE OBSERVATIONS POUR SERVIR A LA DÉTERMINATION DES ZONES CÉRÉBRALES MOTRICES ET A LA PATHOGÉNIE DES DÉGÉNÉRESCENCES
nelle). Pêriencéphalite chronique. Foyeas étendus de ramollissement cérébral occupant la zone rolundique du côté gauche (cou
ions médul- laires secondaires accompagnant visiblement les lésions cérébrales diagnostiquées à gauche, la paralysie se généra
ues frémissements se manifestant parfois dans les muscles DES ZONES CÉRÉBRALES MOTRICES. 31 de la face (des lèvres en particul
nom- breuses des méninges à la face convexe des deux hémisphères cérébraux , surtout au niveau des lobes frontaux, et à gauch
e une plaque jaune avec diminution de consis- tance de la substance cérébrale , un ramollissement assez étendu sans constituer
nche, par sa coloration gris-jaunâtre, sur le reste de la substance cérébrale . Les diverses coupes du cerveau (centre ovale,
lat. Rech. anatom. et cliniques sur le faisceau sensitif. DES ZONES cérébrales motrices. 33 1° sur les deux tiers supérieurs d
me un phénomène habituel chez les sujets atteints de ramollissement cérébral . Observation' 11 (Personnelle). Athérôme artéri
ion' 11 (Personnelle). Athérôme artériel généralisé. Ramollissement cérébral : 1" vaste foyer central à droite (corps calleu
anse 7-ola71111qzie); lésion dégénérative secon- duire du pédoncule cérébral et du faisceau pyramidal correspon- dant ; hémi
il a fait une chute sur la tête, laquelle a déterminé une commotion cérébrale intense; il s'est fait, en môme temps, une fractu
tic d'une nouvelle lésion destructive, siégeant dans l'hémi- sphère cérébral gauche, vraisemblablement sur les circonvolutions
n'est aussi complète que dans les tuniques des artères sylvienne et cérébrale antérieure droites, qui ne sont plus que des cy
leurs, envahi la presque totalité du système artériel : les artères cérébrales postérieures, vertébrales, basilaire, ra- diale
nt en arrière des tubercules mamillaires et en avant des pédoncules cérébraux montre un vaste foyer de ramollissement blanc q
o ; enfin, à sa partie inférieure, la lésion a détruit la substance cérébrale presque jusqu'à la membrane épendymaire, et la
cessus de réparation. En outre, le corps calleux lui-même DES ZONES CÉRÉBRALES MOTRICES. 37 est gravement intéressé : il est d
cule latéral, le plancher du canal circumpédoncutaire. Le trigone cérébral est intact. La couche optique, le noyau lenticula
ur au toucher, et très manifestement gris. Sur le pied du pédoncule cérébral correspondant existe une coloration grise des f
e l'ischémie de ce territoire. A gauche, c'est le département de la cérébrale antérieure (lobe frontal) qui a seul souffert;
arctus ne se fut-il pas produit, alors que le tronc basilaire et la cérébrale postérieure étaient, comme les autres artères,
e dans 1'OnsERVAïfON I, cette lésion a déterminé la perte DES ZONES CÉRÉBRALES MOTRICES. 39 de la faculté du langage, et une h
Pitres. Recherches sur les lésions du centre ovale des hémisphères cérébraux étudiées au point de vue des localisations cérébr
es hémisphères cérébraux étudiées au point de vue des localisations cérébrales . Paris, 1878. M PATHOLOGIE NERVEUSE. blanche
ymptôme qu'on sait d'ailleurs accom- pagner d'ordinaire les lésions cérébrales qui produisent l'hé- mianesthésie (Charcot). Ce
s expériences de l'iourens et l'observation de Bastian. DES ZONES CÉRÉBRALES MOTRICES. il sont appréciables qu'au microscope
LISSEMENT, AVANT D,TnmT LA MOITIÉ DU CORPS CALLEUX, ETC. Hémisphère cérébral droit de Bid... (Ons. II). Coupe verticale et tra
trans- versale, entre les tubercules mnmitlaires et les pédoncules cérébraux , dessin demi-schématique d'après croquis fait d
enté des troubles psy- chiques analogues. II y a une véritable tare cérébrale que l'on retrouve en analysant soigneusement la
oma diabétique. Si l'on invoque l'anémie, la congestion ou l'oedème cérébral , que signifient des lésions aussi disparates po
gestion ou l'oedème du cerveau se rencontrent dans le rhuma- tisme cérébral , dans le mal de Bright, dans bien d'autres mala
dans le mal de Bright, dans bien d'autres maladies à manifestations cérébrales ; ils sont les effets de la cause première qui
plus ou moins passagère, sans qu'il en résulte le moindre trouble cérébral dyspnéique. La théorie de Sanders et de Hamilto
vue plus générale. Or, abstraction faite des apoplexies par lésion cérébrale grossière, ramollissement ou hémorragie, et des
e, de^ douleurs dans le ventre et l'hypochondre droit. L'excitation cérébrale se traduit par une vivacité inaccoutumée, une l
psychiques qui dominent; un changement brusque dans les habitudes cérébrales du malade : une gaieté ou une vivacité anormales,
ral, des douleurs en divers points du corps, ou bien une excitation cérébrale anormale, semblables à celle d'une légère ivres
c'est que ces troubles convul- sifs n'étaient pas liés à une lésion cérébrale . Si on rejette l'acétonémie, on ne pourrait guè
portance d'un symptôme de lésion en foyer ; c'est une manifestation cérébrale d'ordre général. - 13^ L'anesthésie ou l'hémian
QUELQUES POINTS DE LA PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE DU RAMOLLISSE- MENT cérébral ; par M. MAYET. (Lyon méd., 1884, t. XLV.) Chez
on trouva l'artère basilaire oblitérée en arrière de l'origine des cérébrales postérieurespar un caillotdur, blanchâtre et homo
destinées à élucider la physiologie pathologique du ramollissement cérébral terminent cette observation. G. D. XI. Noie S
ne phase de transition ; dans l'état maniaque en effet (hypérémie cérébrale ), les nerfs sensoriels sont physiologiquement cen
ogiquement centri- pètes, dans l'autre ensemble syndromique (anémie cérébrale ), ils ont une fonction centrifuge. Ceci posé, i
raison des altérations pathologiques, s'exagèrent dès leur origine cérébrale par l'intermédiaire des tractus nerveux dont le
rquer en arrière et se perdre dans l'étage supérieur des pédoncules cérébraux (calotte) : Ce faisceau de la calotte des tuber
encéphale, en arrière, entre le faisceau de Meynert et le pédoncule cérébral . Enlevez un hémisphère cérébral à un lapin, vou
faisceau de Meynert et le pédoncule cérébral. Enlevez un hémisphère cérébral à un lapin, vous obtiendrez l'atrophie du faisc
faisceau de la calotte qui en part. Mais l'ablation d'unhémisphère cérébral , comprisla corne d'Ammon, sans le corps strié,
entreprises depuis cette époque. On peut enlever, avec l'hémisphère cérébral , le corps strié, avec le corps strié la partie
ppement par pression, de même que, dans l'asymétrie des hémisphères cérébraux de l'homme, le renflement du nerf ol- faclif ne
par l'apophyse crista-patli, sur laquelle se renverse l'hémisphère cérébral normal ; de là l'atrophie partielle du nerf lui
temps meurt le faisceau de la calotte. L'ablation d'un hé- misphère cérébral , avec ou sans le corps strié, avec ou sans la p
ion ne provienne pas de ces extrémités mêmes. 2° Ce sont les veines cérébrales qui doi- vent être tenues pour les extrémités p
comme les parois des sinus sont peu compressibles et que les veines cérébrales possèdent des parois tellement minces que leur lu
produise de pression extérieure positive, il suffit que la pression cérébrale s'accroisse pour que les veines cérébrales entren
il suffit que la pression cérébrale s'accroisse pour que les veines cérébrales entrent en vibration avant leur abouchement dan
ue la pression régnante dans les eatrémités lniphérntnes des veines cérébrales , pression qui, comme l'on sait, estégale.'i la ré
e cette résistance peut arrêter les vibrations tant que la pression cérébrale n'a pas subi une élévation parallèle. 4· Si l'o
n arrive a juger par leur intensité de la grandeur de la pres- sion cérébrale même dans un crâne intact; leur existence prouve
le même dans un crâne intact; leur existence prouve que la pression cérébrale a atteint un degré d'élévation égal pour le moins
nous venons de consigner. 5° La doctrine ac- tuelle de la pression cérébrale prétend établir que, lorsque cette pression aug
étend établir que, lorsque cette pression augmente, les capillaires cérébraux sont comprimés en première ligne. Cette asserti
capillaires possèdent des parois plus minces que les grosses veines cérébrales , ils ne l'empottent nullement sur les grosses v
aires est supérieure il la pression du sang dans les grosses veines cérébrales ; par suite, l'augne Million de la pression céré
rosses veines cérébrales; par suite, l'augne Million de la pression cérébrale déterminera une cont- pression des grosses vein
ut à la surface du crâne percevoir un bruit tout particulier (bruit cérébral ou crânien). L'origine de ce bruit n'est encore
roubles circula- toires semblables à ceux qui engendrent les bruits cérébraux des enfants ? Rép. Cela n'est faisable que quan
ts sert à établir le diagnostic différentiel entre ]'hémianesthésie cérébrale et l'hémianesthésie hystérique. A côté des cas, r
e malade qui offre uu exemple assez remarquable de trois existences cérébrales distinctes. 11 s'agit d'une hystérique dont les
la personnalité par l'indé- pendance fonctionnelle des hémisphères cérébraux . Cette remarquable observation avait été précéd
- jours très décousue, l'intelligence embrouillée ; l'ébranlement cérébral est évidemment considérable. B... se rend compte
e, sans pré- disposition acquise, et sur lequel pèse une hérédité cérébrale peu marquée, et plus particulièrement carac- té
même âge. Il faut donc chercher ailleurs la cause des troubles cérébraux qu'a présentés B... C'est à la suite d'une émot
suivies d'aliénation mentale ; ou bien elles trouvent un terrain cérébral tout préparé pour l'éclosion de la maladie, et
ce, une simple querelle. Aussi, pour avoir produit sur les cellules cérébrales un ébran- lement suffisant pour aboutir à la fo
, cette cause dû être puissamment aidée. Et cependant, le terrain cérébral : sur lequel elle agis- sait était peu prédispo
uve la marche sui- il,,) PATHOLOGIE MENTALE. vie par les troubles cérébraux . Les troubles somatiques disparaissent en effet
alors que les idées, délirantes ont disparu, indique que la cellule cérébrale a été plus profondé- ment atteinte qu'elle ne l
nous rend parfaitement compte de l'évolution qu'a suivi le travail cérébral . D'abord plus généralisé, ainsi que l'indique l
du travail pathologique qui tenait sous sa dépendance les troubles cérébraux qui existent chez B..., s'est imposée à nous pa
ravaux de M. Bail- larger ', il ne suffit plus, pour qu'une maladie cérébrale puisse être rattachée à une méningo-encéphalite
ée par les lésions de l'oreille sur le développement des troubles cérébraux n'est qu'un côté, le plus important il est vrai
as susceptibles de retentir sur l'appa- reil auditif ? Les troubles cérébraux et les lésions de l'oreille ne peuvent-ils pas
nette et précise, à une des questions qui précèdent, les troubles cérébraux et les lésions de l'oreille ne peuvent-ils pas
ée par les symptômes les plus alarmants Tantôt c'est une congestion cérébrale avec des convul sions épileptiformes, tantôt un
n'a de par sa nature, que très peu de ten- dance aux localisations cérébrales , qu'il faut des con- ditions spéciales pour que
s'appuyer dessus. Absolument rien du côté des sens et des fonctions cérébrales . L'aspect et l'histoire de ce malade font imméd
la récente découverte des localisations fonctionnelles de l'écorce cérébrale , une impor- tance assez grande pour mériter une
e entre le symptôme hémianopsie et certaines lésions centrales ou cérébrales . J'essaierai de montrer la valeur séméiologique
mois plus tard, et ne s'accompagna de presque aucun autre symptôme cérébral . Le diagnostic topographique de la lésion fait
t de la doctrine, de jour en jour plus lumineuse, des localisations cérébrales . Avant de donner la relation du cas que j'ai ob
t composé de fibres ne servant pas à la vision; c'est la commissure cérébrale inférieure. 2. Les connexions des bandelettes o
mbre de seize, où l'hémianopsie était due à des lésions de l'écorce cérébrale , seule ou avec la substance DE L'HÉMIANOPSIE CO
hauteur de ce foyer était de 2 à 3 centimètres. Pas d'autre lésion cérébrale . Les bandelettes, le chiasma et les nerfs optiq
de 2, 5 centimètres ensevelie presque entièrement dans la substance cérébrale . La base du lobe occipital n'était pas atteinte
R. Agnew ». Mondiagnostic était : Embolie de la branche de l'artère cérébrale postérieure irriguant la face postéro-interne d
de sorte qu'on pouvait croire qu'il ne s'était fait aucune embolie cérébrale depuis l'attaque de novembre. On répéta à plu-
au en général était anémié ; les vaisseaux delà base et les artères cérébrales moyennes exemptes d'embolie et de throm- bose.
t était produit par une embolie de la troisième branche de l'artère cérébrale postérieure, artère occipitale de Duret. Les
ue, une lésion superficielle étendue à l'aire irriguée par l'artère cérébrale moyenne. On devra s'attendre à trouver (comme d
41, 1885. Féré, Ça. Trois autopsies pour servir 1 la localisation cérébrale des troubles de la \ision. Cas iii (du service de
e fort variable, eut des convulsions épileptiformes par hémorrhagie cérébrale , et meurt paralysée longtemps après. Grand-pè
s pupilles d'une personne en bonne santé. 222 RECUEIL DE FAITS. cérébrale -là elle est prompte à s'impatienter, à changer dé
constance à signaler, c'est l'absence de délire ou d'autre accident cérébral observés chez des rhumati- sants non hystérique
eurs n'est que partiel). Aucun rapport direct avec les pé- doncules cérébraux ; les pédoncules cérébraux paraissent tenir des c
cun rapport direct avec les pé- doncules cérébraux ; les pédoncules cérébraux paraissent tenir des cellules protubérantielles
, non plus que de l'apparition et de l'évolution de ses or- « ganes cérébraux , lesquelles procèdent d'une façon aussi incons-
; nous en repro- duisons les dernières lignes : c..... Le progrès cérébral ou intellectuel.... n'a d'autres limites « que
, sans aucun doute, par se « détacher de plus en plus de l'activité cérébrale qui prendra pro- « gressivement un caractère in
NJEL (Arch- Psycit., XV, 3). Chez un individu sain-toute activité cérébrale , quelle qu'en soit l'origine, se traduit par un
l'intervention expérimentalelaplus simple détermine uneirritatiun cérébrale qui a pour effet de produire le phénomène en ques
du bras répondent promptement par leur rétraction à des impressions cérébrales faibles, de même que chez l'homme sain, mais al
endant l'expé- rience des oscillations témoignant de l'irritabilité cérébrale ; ces oscillations ont lieu à intervalles inégau
s conditions physiologiques de l'anta- gonisme entre la circulation cérébrale et la circulation périphé- rique; inversement o
Peut-être a-t-ilélé un peu loin, car l'histoire des loca- lisations cérébrales est troppeu avancée pour qu'on soit très affir-
genre, on a trouvé à l'autopsie de la pachyméningite, de l'atrophie cérébrale , de la périhépatile et de la périsplénite. M.
es et des trophonévroses; 20 il existe des angionévroses centrales ( cérébrales , médullaires, hulhaires) et des angionévrojes p
ques des états patholo- giques suivants. Sous le nom de compression cérébrale , on enseigne qu'il y a un foyer intracrânien qu
nt de tension à l'intérieur du crâne. Il en résulterait de l'anémie cérébrale . On a supposé, en établissant cette doctrine que
rronées, il y a, dans l'espèce, non point anémie, mais liyperéiiiie cérébrale ; L'expression de contusion cérébrale désigne un
oint anémie, mais liyperéiiiie cérébrale; L'expression de contusion cérébrale désigne une lésion trauma- tique du cerveau se
sivement de la fonction de l'endroit lésé. La rubrique de commotion cérébrale englobait une foule d'états coma- teux engendré
les distinguerait en états de surexcitation et états de paralysie' cérébrale . En résumé, ' . SOCIETES SAVANTES. a compress
ologie propre, caractéristique. De même que les effets d'une lésion cérébrale dépendent du mode de lésion, de même ceux de la
ysie générale et, notam- ment, des cas dans lesquels, les symptômes cérébraux se précédaient ou suivaient des phénomènes tabé
ce, sont produites par un substratum anatomique (gliose de l'écorce cérébrale ); à un âge plus avancé, quand ces lésions ont p
ésions ont pris une certaine exten- sion, se montrent des symptômes cérébraux plus vastes rappelant les perturbations de la p
5, VI p. 403. , . ' 'H. 3 Communication sur la gliose de l'écorce cérébrale , plus haut, p. 305. * Et de tout le monde en Fr
excep- tion) ; si une destruction quelconque se fait sur l'écorce cérébrale humaine, jamais l'individu ne pourra remuer soi
t 33); le nys- tagmus dans 4 (ti" 1, 2, 17 et 18); les phénomènes cérébraux proprement dits (parole, intelligence, ver- tig
ne déviation des propriétés physiologiques des cellules ner- veuses cérébrales , ou bulbaires et ne possédant pas une lésion an
nterstitiel, d'une dégénérescence graisseuse et du ramollisse- ment cérébral , de l'ectasie des capillaires cérébraux et de l'é
seuse et du ramollisse- ment cérébral, de l'ectasie des capillaires cérébraux et de l'épais- sissement de leurs parois, ainsi
icularités patholo- giques dans la moelle allongée et dans l'écorce cérébrale ; mais ce sont là des faits inconstants, seconda
ent présenté des crises épileptiformes dans le cours d'une lésion cérébrale . C'est la constatation d'une lésion identique, éc
itales des deux ventricules latéraux. Tout le reste de la substance cérébrale , à part une consistance un peu moindre des circ
grosseur d'une noix et recouverte par une mince couche de substance cérébrale . Cette tumeur forme l'une des parois d'une cavi
i ont trait à deux individus qui pendant le cours d'une affection cérébrale présentèrent des crises épileptiformes : là encor
bservation III. 31.... âgé de soixante-seie, boulanger. Hémorrhagie cérébrale . Crises épileptiformes. Autopsie : ramollisseme
udes invétérées d'onanisme. Il y a trois ans, il eut une congestion cérébrale avec perte de connaissance dont il guérit compl
ces altérations anatomiques ou leur exagération dans l'hémisphère cérébral opposé au côté du corps où les convulsions sont p
toujours plus marquées dans le côté du corps opposé à l'hémisphère cérébral plus particulièrement atteint; , . 3° Que l'i
dure qu'elle crie sous le scalpel. Elle n'est pas entourée de tissu cérébral ramolli, et elle est presque partout séparallle
niveau du foyer de ramollissement. G. D. XXIV. Un cas de congestion cérébrale POPLECTIRORME ou d'apoplexie séreuse ; par Jose
tous les points importants de l'observation clinique. La congestion cérébrale idiopathique, terminée par la mort, est une aff
422 REVUE de pathologie NERVEUSE. festement ceux de la compression cérébrale , et ils étaient telle- ment marqués, ils sont s
ement qu'on' a porté en toute confiance le diagnostic d'hémorrhagie cérébrale , probable- ment ventriculaire. Les phénomènes o
nt; peut-on' en faire le diagnostic différentiel avec l'bémorrhagie cérébrale , surtout si celle-ci est ventriculaire ? Cela e
ic précis; mais l'analogie des symptômes avec ceux de l'hémorrhagie cérébrale rend cette modification pratiquement bien diffi
coma et mort. - A l'autopsie, on constate de l'alhérôme des artères cérébrales ; mais, en outre, ces artères pré- senteutles an
ais, en outre, ces artères pré- senteutles anomalies suivantes : la cérébrale postérieure droite est fournie par la carotide
petite branche commu- niquante postérieure qui rejoint en avant la cérébrale postérieure droite. A gauche les artères fourni
ssion exercée par un caillot relativement volumineux sur les fibres cérébrales du côté droit de la protubérance et de la moell
urément un fait rare. La mère à la vérité est morte d'une affection cérébrale , mais qui parait avoir été d'un caractère accid
é de 42 ans, chez lequel on notait en même temps que des trouble^ cérébraux , les signes parfaitement caractérisés de la malad
t appelée à remplir : * « 1° Obtenir l'équilibre de l'innervation cérébrale en agissant « directement sur la nutrition de c
le pinceau) M rendent des services. » « 3° Lorsque les phénomènes cérébraux sont liés à des troubles des « viscères abdomin
ante de l'expérience de Weber. L'hypothèse de l'iden- tité de siège cérébral des états de conscience semblables expli- que b
ableau symptomatique, et peut donner faussement l'idée d'une lésion cérébrale en foyer. Des plaques de sclérose disséminées d
t qui sont souvent masqués par les troubles propres à l'infec- tion cérébrale concomitante. Cu. F. X. Zehn Vorlesungea ùber f
aris, 188ï.) 460 NÉCROLOGIE. Contribution à l'étude du rhumatisme cérébral , traitement par l'hydrothérapie; par H. DUPI1É.
olonies agricoles, 389. Colonisation des aliénés, 118. ConRestion cérébrale apopiectifbrme, 421. Archives, L. XI. 30 fe
r là tête), 429; - (et delirium tremens), 434. Gliose de l'écorce cérébrale , par Fnerstner, 30p. Grossesse et paraplégie,
du système), par Front], 233. par Beiiedikt, 123. Neurasthemie cérébrale , par Anjel, 254. Névrite segmentaire (contrib
ISSEMENT AYANT DÉTRUIT LA MOITIE DU CORPS C1LLCIJY, ETC. Hémisphère cérébral droit de 131d... (Ons. II). Coupe verticale et &l
M ? M- versale, entre les tubercules mamill aires et les pédoncules cérébraux , dessin deini-schëmanque d'après un croquis fai
13 (1911) La pratique neurologique
s voies optiques dans toute leur longueur, de la rétine il l'écorcc cérébrale . Il importe de connaîlre toutes ces différentes
ystérie. Il faut la distinguer de l'amaurose par double hémianopsie cérébrale (cécité corticale), de l'alnaurose par troubles c
ale (cécité corticale), de l'alnaurose par troubles cir- culatoires cérébraux . L'embolie de l'artère centrale de la rétine, cer
de leur entre-croisement, c'est-à-dire entre le chiasma et l'écorcc cérébrale .- , La marche des fibres nerveuses qui constitu
istance de la vision centrale, on a émis des opinions. La substance cérébrale préposée à la vision centrale est dans de meill
(lig. 59), les'fibres de la voie optique vont de l'oeil il l'écol'ce cérébrale des cunéus en deux étapes. Elles font un arrêt
Cécité avec conservation des réflexes pupillaires signifie : lésion cérébrale , sur les voies optiques, en arrière des noyaux
dent grandement i à localiser la lésion. ' Hémianopsie par lésion cérébrale corticale. Elle est souvent précédée d'un ictus
e sylvienne. La lésion productrice siège dans le terri- toire de la cérébrale postérieure le plus souvent au niveau du lobule
t rentrer dans le groupe des aphasies. , . Hémianopsie par lésion cérébrale sous-corticale. Beaucoup des symptômes associés
dans toute la longueur des voies optiques, de la rétine il l'écorcc cérébrale . C'est une opinion contredite (Bernheimer). Pou
re. Car, s'il est inté- ressant de déterminer le siège d'une lésion cérébrale , il est bien plus important, au point de vue th
ie par lésion organique appréciable. Presque lotîtes les alleclions cérébrales organiques, quelle que soit leur [POULARD.] o
oment donné l'hémianopsie. Ne pouvant étudier toutes les affections cérébrales dans leurs relations avec l'hémianopsie, il fau
te; état défectueux du coeur, àge avancé du malade. Autres troubles cérébraux de ramollisse- ment : mémoire diminuée, affaibl
ée, hébétude; néoplasie ailleurs; ponction lom- baire (Voir Tumeurs cérébrales , p. 120). Abcès. Examen de l'oreille, foyer de
nopsie a pour cause une hémorragie, un ramol- lissement, une tumeur cérébrale , c'est une première étape dans le dia- gnostic
ros tubercules, qui provoquent les symptômes cliniques de la tumeur cérébrale ; elle peut aussi produire des lésions diffuses, d
e des hémor- ragies, du ramollissement en agissant sur la substance cérébrale par l'intermédiaire du système vasculaire (arté
e syphilitique); elle peut, aussi, en diffusant dans les enveloppes cérébrales , donner une méningite. C'est elle, enfin, qu'on
ikt considère ce syndrome comme résultant d'une lésion du pédoncule cérébral au niveau du noyau du M. 0. C, à l'émergence
rf MOE; A, centre mesencephalique d'association réflexe; CA, centre cérébral d'association antérieur, sensitivo-moteur; CP, ce
centre cérébral d'association antérieur, sensitivo-moteur; CP, centre cérébral d'associa- tion postérieur, sensorio-moteur. Le
oncs nerveux, les uns dans le mésocéphale, les autres dans l'écorce cérébrale . Ils sont réunis entre eux et aux noyaux d'origin
nous venons de donner aux nerfs oculogyres : a) lésions de l'écorcc cérébrale frontale ou occipitalo- pariétale ; b) lésion d
ieure au voisinage des radiations optiques; d) lésions du pédoncule cérébral dans l'étage supérieur (faisceau de la calotte)
tic précis. Syndrome type Foville dans les lésions pédonculaires ou cérébrales : paralysie du facial, des membres et de l'ocul
uelquefois, exophlahnie unilatérale, paralysies dissociées. Tumeurs cérébrales (base). La tuberculose et la syphilis (li 10),
ue, de l'odorat, de l'ouïe. Ici, connue dans tous les cas de lésion cérébrale , la ponction lombaire, sera souvent utile pour
ur expliquer le mécanisme des mouvements pupillaires. A, pédoncules cérébraux ; C, protubérance; B, bulbe; M, moelle; GS, gangli
dans lesquelles le myosis se voit très sou- vent, c'est la syphilis cérébrale et spinale, le tubes et la paralysie générale.
au delà des noyaux du mesoce-J ! pliafe, entre ceux-ci et l'éeorce cérébrale . La persistance des réflexes pupillaires à la l
du releveur suivent le trajet du M. 0. C. Du mésocéphale à l'écorce cérébrale , leur TROUBLES DE LA MOTILITÉ DES PAUPIÈRES. 10
c les théories logiques de Fleschsig, sur les fonctions de l'écorce cérébrale . Diagnostic de la cause. Aspects cliniques vari
ite optique, paralysies oculaires, symptômes de méningite. Syphilis cérébrale héréditaire, maladie de Friedreich, Ilérédo- at
tée au globe oculaire. L'anesthésie cornéenne peut être d'origine cérébrale et accompagner les hémianesthésies organiques o
ue de, explo- ration du champ visuel (p. 7 et suivantes). TUMEURS CÉRÉBRALES . 12t XII TUMEURS CÉRÉBRALES Troubles oculai
visuel (p. 7 et suivantes). TUMEURS CÉRÉBRALES. 12t XII TUMEURS CÉRÉBRALES Troubles oculaires daxs les tumeurs cérébrales.
12t XII TUMEURS CÉRÉBRALES Troubles oculaires daxs les tumeurs cérébrales . Il est très fréquent de constater des troubles
neoformations variées qu'on désigne sous le nom commun de « tumeurs cérébrales ». . Ces troubles oculaires ont, dans la sl'lI1
troubles oculaires, les uns paraissent communs à toutes les tumeurs cérébrales , quel que soit leur siège dans i'cncepate. D'autr
uivant le siège de la lésion. Troubles communs à toutes les tumeurs cérébrales . Obnubilations passagères. Très souvent, dès le
du nerf optique. Les lésions du nerf optique au cours d'une tumeur cérébrale sont si fréquentes qu'elles constituent un de ses
papillite à divers degrés d'intensité. Cepcn dant, dans les tumeurs cérébrales , la papillite intense est de règle; la papille,
laire, possèdent une réelle importance pour le diagnostic de tumeur cérébrale , la valeur séméiologique de la papillite intense,
sous l'action du toxique, et donne la papillite intense des tumeurs cérébrales . Atrophie optique. Elle peut résulter d'une com
econnaître si une papillile accentuée a précédé l'atrophie. TUMEURS CÉRÉBRALES .- 123 Saillie des yeux. Cette saillie des yeux
chique (perte de la mémoire visuelle des choses) (p. 55). Tumeurs cérébrales centrales sous-corticales. IIemianopsie à carac
(p. 55); Mêmes symptômes que pour les tumeurs corticales. Tumeurs cérébrales centrales avec lésion des ganglions centraux. -
ent pour point de départ l'étiologie de Little ou les inflammations cérébrales de la première enfance et aboutissent à la sclé
nt consécutive il la méningite. ;¡C Hémorrhagie et Ramollissement cérébral . -11 existe quelques rares observations ancienn
ues rares observations anciennes de surdité croisée par hémorrhagie cérébrale ; mais elles semblent dues à des erreurs d'observa
celles qu'on trouve souvent dans les viscères par suite d'apoplexie cérébrale . 4° Tumeurs cérébrales. Les troubles auditifs s
uvent dans les viscères par suite d'apoplexie cérébrale. 4° Tumeurs cérébrales . Les troubles auditifs sont fréquents dans les
s cérébrales. Les troubles auditifs sont fréquents dans les tumeurs cérébrales . Ils peuvent prendre la valeur d'un signe de lo
vent faire croire à de vraies mastoïdites ou même aux complications cérébrales des otites et qui guérissent par suggestion (Lan-
sation des règles, les intoxications médicamenteuses, l'apo- plexie cérébrale ont pu être invoquées. Mais la cause la plus habi
trajet inlra-crùnien. dans ses centres bulbaires, dans ses centres cérébraux . 1° Dans son trajet iul2'cr-c2'iuicn. Il y a de
à la surdité et au vertige. Nous avons vu déjà Faction des tumeurs cérébrales sur 1<' ]](,l'l'at'OIIS- tique el sur le lab
servi de point de départ la thèse de Chèze. 5". Dans ses centres cérébraux . Nous avons vu que le noyau vesti- lmlaire entr
hnoïde et le pus pourra pénétrer plus directement dans la substance cérébrale , c'est l'abcès cérébral ou cérébelleux. Très so
énétrer plus directement dans la substance cérébrale, c'est l'abcès cérébral ou cérébelleux. Très souvent ces doux dernières
nt plus facilement la méningite; les affections chroniques, l'abcès cérébral . Les abcès extra-duraux se rencontrent à peu près
de la lésion auriculaire a une très grande influence sur la lésion cérébrale secondaire. Les lésions du-toit de la caisse et d
it de la caisse et de l'antre donnent les complications de la fosse cérébrale moyenne et l'abcès tem- poro-sphénoïdal qui est
t la thrombo-phlébite latérale, les abcès extra- duraux de la fosse cérébrale postérieure et les abcès cérébelleux. Les laby-
ent citées, celle de Kôrner, donne il cas de sinusite pour 45 abcès cérébraux et seulement 51 méningites : celle de Pitt, ind
ites et 18 abcès céré- braux, etc. - En ce qui concerne les abcès cérébraux , je crois qu'on peut affirmer que les sept dixi
s et notamment du sinus frontal. Quant au chiffre relatif des abcès cérébraux et cérébel- leux, il a été très diversement int
i les cas guéris. Malgré quelques dé- boires, l'ouverture des abcès cérébraux donne de nombreux cas de gué- rison et la ménin
les filets nerveux, dans les exostoses, les méningites, les tumeurs cérébrales , les abcès, l'hydropisie ventriculairc, les hémor
ent fréquentes dans les sinusites sphénoïdales. Les complications cérébrales se rencontrent surtout dans les sinusites, et p
et intra- duraux, de la pachy- et de la lepto-méningite, des abcès cérébraux , des thrombo-phlébites. Les propagations peuven
envoyons aux chapitres spéciaux pour l'étude de ces complica- tions cérébrales des affections du nez. Rappelons seulement qu'une
s intra- et extra- duraux, 24 méningites, 2 encéphalites, 20 abcès, cérébraux et 11 throm- ])oses des sinus. - '2" Troubles
o-moteurs de la muqueuse entraînant une gêne dans le fonctionnement cérébral . Mais il est d'autres cas, dans l'ozène par exe
ression du liquide céphalo- rachidien sY11lptomatiqlle d'une tumeur cérébrale (2). On voit quelles intéressantes indications
auditif interne, de la congestion, de l'inflammation ou de l'oedème cérébral ou méningé, explique aussi certains vertiges des
é, explique aussi certains vertiges des ménin- gites et des tumeurs cérébrales . Les modifications de la pression sanguine dans
es infectieuses, utenin- gites, tabès, sclérose en plaques, tumeurs cérébrales , syphilis, etc.), qui éclairciront le diagnosti
rodromes plus ou moins prolongés, semblables à ceux de l'hémorragie cérébrale , précédant l'accès de quelques minutes à plusieur
algie occipitale permanente et les vomissements répétés à caractère cérébral , sans nausées, le peu d'intensité ordinaire des t
souvent de signes, oculaires ou autres, de compression ou d'oedeme cérébral et méninge. On admet géné- ralement que ces tum
du cervelet, soit de l'oreille interne, n'est pas élucidé. La cause cérébrale la plus fréquente du vertige est l'artério-sclé-
use cérébrale la plus fréquente du vertige est l'artério-sclé- rose cérébrale ; ce rôle de i'arterio-scterosc a été mis en lumiè
phérique, soit surtout de quelques autres signes d'arterio-scierosé cérébrale : céphalalgies surtout nocturnes, bourdonnements
s non suivies d'hémiplégie. C'est sans doute a )'arterio-sc)erose cérébrale qu'il faut rapporter la plu- part des vertiges
de l'hémiplégie confirmée due il l'hémorragie ou au ramollissement cérébral ; dans ces derniers cas pourtant on peut aussi i
peut aussi incriminer, comme pour les tumeurs, la stase on l'anémie cérébrale . Les vertiges de l'aortite et de l'insuffisance
ension et d'hypotension sanguine, de congestion et surtout d'anémie cérébrale . C'est également aux modifications de la cir- c
ie cérébrale. C'est également aux modifications de la cir- culation cérébrale , à la congestion ou à l'hypertension, que l'on a
ou tuberculeuse, de la pachyméningite hémorragique, de la syphilis cérébrale ou méningée, au cours et surtout au début de la
auditives diverses et peut affecter toutes les variétés du vertige cérébral : sensations de tournoiement, de soulèvement, d
i variable et. est aussi méconnue que celle des différents vertiges cérébraux ; pourtant la sensation illusoire de déplacement
ge peut être le prélude d'une crise convulsive ou une manifestation cérébrale isolée. On l'observe aussi dans s le sommeil hy
niques; or, c'est précisément à celte période de l'artério-sclérosc cérébrale qu'on observe surtout le vertige : bien des ver
but brutal, par la suppression subite et instantanée des opérations cérébrales , des sensations et de la inutilité. En cas de s
s plusieurs jours après le traumatisme, l'intégrité des fonc- tions cérébrales ayant pu être à peu près complète dans l'interval
tténuent à la fois. En même temps que se récupèrent les fonctions cérébrales , les signes d'une hémiplégie s'accusent d'ordin
creuse un puits rapidement élargi, sans que les escarres d'origine cérébrale pré- sentent jamais la profondeur ou l'étendue
s apoplexies tardives. Le traumatisme peut déterminer une contusion cérébrale ou une compression par hémorragie; dans le premie
tense que l'examen extérieur n'explique point. Certaines affections cérébrales déterminent également avec le coma le syndrome
és, ictus et coma, dépendent el' hél1w1Tagies ou de ramollissements cérébraux . Ces accidents déter- minent les syndromes typi
ter que le diagnostic peut rester en suspens, l'urémie, les tumeurs cérébrales , les méningites, un hématome pouvant déter- min
SOMMEIL MORBIDE Le sommeil normal est la suspension de l'activité cérébrale volontaire. Il n'existe pas d'anesthésie pendan
aboutit enfin aun coma profond ». ' Le sommeil, dans les tumeurs cérébrales , peut se présenter sous deux formes. On observe
c le sommeil hystérique, le sommeil symptomatique d'une ! néoplasie cérébrale est souvent d'un diagnostic délicat. La coexisten
omnie, plutôt que le sopor, étant (le règle au cours de la syphilis cérébrale . Dans la paralysie générale au contraire, la narc
s contractions fibrillaires font défaut dans la paralysie d'origine cérébrale ou paralysie pseudo-bulbaire. Les ma- lades pré
u rire et du pleurer spasmodiques, des signes évidents d'hémiplégie cérébrale double, généralement plus accusée d'un certain
hémisphère gauche, celte zone, étant constituée par un quadrilatère cérébral compris entre deux plans frontaux passant par l
R.] 200 LES TROUBLES DE LA PAROLE. Dans les dysarthries d'origine cérébrale , l'atrophie musculaire fait à peu près complète
de réaction de dégénérescence. ' L'hémorragie et le ramollissement cérébraux déterminent parfois des troubles très accusés d
l'étal crépusculaire qui suit la crise (A. Pick), dans les tumeurs cérébrales (l3rissaucl).. - Les fautes de grammaire (agr
peut être minus habens à des degrés très divers). Dans la sclérose cérébrale infantile, la parole est souvent incomplète, c'
tôt il s'agit de déficit intellectuel, d'absence de développe- ment cérébral , comme chez l'idiot, le dégénéré, tantôt l'agraph
ration et des troubles de l'équilibre qui en imposent pour un ictus cérébral . Il. Examen de la parole. a) Parole spontanée.
thrie et de l'aphasie de Wernicke (vaste lésion du territoire de la cérébrale moyenne ou sylvienne) réalise l'aphasie de Broc
es. Cette variété d'aphasie relève d'une lésion du territoire de la cérébrale postérieure (cuneus et voies d'association). Il
pure. Les définitions données supposent une dissociation des actes cérébraux indiscernable et de fait indiscernee dans la pr
s plus vagues.' L'apraxie en effet, a été observée dans les lésions cérébrales en foyer, tumeurs, hémorrhagies, ramollissement
rique (affaiblissement du tact, de la vue, de l'ouïe) et du trouble cérébral . Cela est flagrant surtout pour rasynrbolie tacti
tions généralement bilatérales et symétriques du terri- toire de la cérébrale postérieure, notamment des lobules lingual et f
ement intellectuel, tels qu'on en voi dans la stupidité, la stupeur cérébrale , la confusion mentale. Dans ces différents état
auto-intoxications (urémie, dia- bète), dans certains cas de tumeur cérébrale . ' 11 faut distinguer aussi la démence de la dé
u sommeil (hallucinations hypnagogiques), il la suite de la fatigue cérébrale , de l'inanition, dans le cours des maladies inf
atrophique peut porter alors sur tout un hémisphère ou sur un lobe cérébral ou quelquefois sur quelques circonvolutions. 4°
ne rayonnante, vont se terminer dans la substance grise de l'écorce cérébrale . On n'admet plus aujourd'hui l'existence d'un fai
olivai°e. De l'écorce cérébelleuse, les fibres vont gagner l'écorce cérébrale par plusieurs relais, dont le premier se lait a
ents inaugurant une ère nouvelle dans l'histoire, des localisations cérébrales et ne figurant pas encore dans la plupart des t
e la baresthésie se rencontrent dans un certain nombre d'affections cérébrales , médullaires ou périphériques (Striimpell, Mari
les sensibilités superfi- cielles sont intactes. Dans hémiplégie cérébrale , ces [roubles peuvent exister et s'asso- cien
dullaires, dans les lésions médullaires en foyer, dans l'hémiplégie cérébrale ou médullaire, enfin dans les névrites pé1'iphé-
grand nombre d'affections centrales, comme le tabes ou les lésions cérébrales en foyer. Séméiologie. La perte du sens muscula
dépression, vibratoires). On peut donc l'observer dans l'hémiplégie cérébrale , dans le tabès où elle est fréquente; dans les
fonction indépendante mais bien un phénomène complexe de 1 activité cérébrale ; c'est dans ce sens que le terme de sens stéréo
OUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 505 de localisation des lésions cérébrales en foyer. Un hémiplégique, en effet, peut prése
en est de même dans les paralysies datant de l'enfance (hémiplégie cérébrale infantile, paralysie obstétricale). Ici. les suje
ribution des racines), segmentaire (métamél'1 : que), médullaire ou cérébrale . Nous étudierons ces différentes variétés topog
en clinique : '1" dans les affections de ['encéphale (hémi- sphères cérébraux , pédoncule, protubérance, bulbe); 2° dans le* a
mianesthésie organique de cause encéphalique ou hémianesthésie dite cérébrale . L'hémianesthésie spinale et l'hémianesthésie hys
tes sensitives dans la pro- tubérance, le pédoncule ou l'hémisphère cérébral . Début. Le début des troubles sensitifs, dans l
hémianesthésie organique occupe le côté du corps opposé à la lésion cérébrale . Elle s'arrête sur la ligne médiane du corps, e
roubles sensitifs sont en voie d'améiiu- lei ? 13. - Hémianesthésie cérébrale . Anesthésie au.tacl, it la pirplre, avec erreur d
s l'extrémité du membre (Dejerine). Dans l'hémianesthésie organique cérébrale , les troubles sensitifs re- vêtent une distribu
distribution si régulière que l'on peut parler d'une topngra- phie cérébrale des troubles sen- sitifs. Dans de très rares
encore résolue. Exceptionnellement enfin, à la suite d'une lésion cérébrale bilaté- rale, l'anesthésie peut envahir toute
envahir toute la surface du corps. Caractères. L'hémianesthésie cérébrale est d'intensité variable; exceptionnellement ab
atérale; aussi, lorsqu'une lésion aura détruit les libres visuelles cérébrales d'un côté, il en résultera pour la vision un tr
elle peut guider dans la recherche de la localisation d'une lésion cérébrale . Il est indispensable pour cela que le malade s
aque apoplectique, période pendant laquelle son état d'obnubilation cérébrale rend l'examen de la sensibilité très difficile.
esthésie thalamique ne s'observe pas,' comme l'liéluianes- thésie cérébrale du reste, sans qu'il n'y ait en même temps de l
eront supposer une lésion du cortex. Diagnostic des hémianesthésies cérébrales . Le diag- nostic de l'hémianesthésie organique
es cérébrales. Le diag- nostic de l'hémianesthésie organique à type cérébral (corticale ou centrale) offre souvent en cliniq
, qui simulent., à s'y méprendre, celles qui relèvent, d'une lésion cérébrale . Nous verrons bientôt, par l'étude des troubles
inale est donc toujours partielle, contrairement à l'hémianesthésie cérébrale , qui est ordinairement totale. Elle revêt soit
vent le type hémi-paraplégique. Comme dans les anesthésies de cause cérébrale , les troubles sensitifs ne sont habituellement pa
s paraplégies par compression, les polynévrites. Dans les lésions cérébrales , on l'a vu, les troubles sensitifs, à l'instar
té à distribution radiculaire dans le cours de certaines affections cérébrales . Leurs manifestations sont particulièrement fugac
e ils sont notés. Cette topogra- phie très spéciale de l'anesthésie cérébrale ne s'observe, semble-t-il, que dans les lésions
s les affections du cerveau, la céphalée accompagne les congestions cérébrales , les hémorragies, les ramollissements cérébraux.
ne les congestions cérébrales, les hémorragies, les ramollissements cérébraux . Mais il est deux ordres de lésions du cerveau
apitale par sa fréquence et par son intensité : ce sont la syphilis cérébrale et les tumeurs du cerveau. Dans la syphilis, la
iaire, la céphalée est un des symptômes prédominants de la syphilis cérébrale (forme artérielle ou méningée). On l'observe dans
yphilitique a une signification pronostique grave. Dans les tumeurs cérébrales , la céphalée, à peu près constante, est souvent
es de l'affection. Elle fait partie des signes communs, des tumeurs cérébrales , quel qu'en soit le siège, et, dans certains ca
n, précieux pour le dia- gnostic. Au début, la céphalée des tumeurs cérébrales est sourde, pro- gressive, elle devient dans la
disparaître dans la suite. C'est donc surtout au début des tumeurs cérébrales que la céphalée, isolée ou associée aux convuls
giques passagers (Féré). Dans l'épilepsie symplomalique (par tumeur cérébrale par exemple), la céphalée est constante; elle exi
ermettront de l'aire un diagnostic de iocaiisation dans les lésions cérébrales en foyer. Files foui, en effet, partie du syndr
s sont plus apparentes que réelles, 'n'influencent pas les facultés cérébrales et paraissent s'atténuer ou même disparaître, l
e la symptomatologie des affections constituées du cerveau (lésions cérébrales en foyer, hémorragies, ramol- lissement, tumeur
rconscrites semblent dépendre le plus souvent de lésions crâniennes cérébrales ou méningées localisées. La valeur séinio- logi
vraxe. La céphalée est un symptôme fréquent dans l'arlério-sclérose cérébrale et souvent existe longtemps avant les troubles pa
existe longtemps avant les troubles paralytiques du ramollissement cérébral sénile. La céphalée des neurasthéniques se cara
latérales et frontale de la tête (sensation de casque). Les algies cérébrales des hystériques (clou hystérique) sont, comme t
gie et l'absence de contracture seraient l'indice d'une compression cérébrale au niveau de la région rolandique, compression pr
niveau de la région rolandique, compression produite par une tumeur cérébrale . L'abolition ou la diminution des réflexes s'ob
alisée des réflexes tendineux peut s'observer au cours d'affections cérébrales . Elle apparaît dès le début de Y apoplexie ; dans
drome, qu'il soit produit par l'hémorragie ou par le ramollissement cérébral , l'abolition des réflexes peut exister dès le d
llaires. Enfin on observe l'abolition des réflexes dans les tumeurs cérébrales et cérébelleuses. ' En ce qui concerne les tu
avec la gravité de l'état général et avec l'intensité des troubles cérébraux du début. Sur les 55 enfants qui l'ont présenté,
ieil- lards où il existe des lacunes multiples des deux hémisphères cérébraux comme l'ont montré Pierre Marie et Guillain.
s : sclérose latérale amyolropliique, sclérose en pla- ques, tumeur cérébrale . [CROUZON]' .44< : ' RÉFLEXES. Elle est
turbation dans le système pyramidal, qu'il s'agisse d'une affection cérébrale ou d'une affection spinale et il paraît pathogn
communiqué à la Société Anatomique, en 1898, un cas d'hémi- plégie cérébrale dans lequel il avait observé le phénomène des ort
fesseur Dipulafoy, de la production d'une hémiplégie par hémorragie cérébrale : il s'était écoulé entre le moment de l'ictus et
araplégie l'altération du faisceau pyramidal. 4" Dans la paraplégie cérébrale infantile (diplégie ou hémiplégie) Cestan a pu
lésions centrales et, parmi elles, dans les régions médullaires et cérébrales , dans les régions méningées. L'hyperréflectibil
ns les lésions centrales graves : tels sont les traumatismes graves cérébraux ou médullaires, les comas, les affections aiguë
er en trois grandes variétés : I. L'hémiplégie organique par lésion cérébrale , ou pédonculaire, ou protubérantielle, ou spina
rement névropatltique. Enfin, chez l'enfant, l'hémiplégie organique cérébrale se présente avec des caractères tellement parti
u'il y a lieu de lui consacrer une place à part : 111. Hémiplégie cérébrale infantile. Au point de vue purement clinique, i
parler des variétés d'intensité de l'hémi- plégie due à une lésion cérébrale ; ces variétés sont d'ailleurs beaucoup plus app
l'ont fait surtout remarquer Wcr- nicke et Mann, dans l'hémiplégie cérébrale la paralysie ne frappe pas isolément tel ou tel
'il s'agit d'une hémianesthésie par lésion en foyer d'un hémisphère cérébral . Et, dans ces cas, il s'agit le plus souvent d'
difficile. Un début subit doit faire surtout penser il l'hémorragie cérébrale , au ramollissement et aux lacunes de désintégra
, au ramollissement et aux lacunes de désintégration. Les tumeurs cérébrales , l'hémorragie méningée, les méningites n'amè- n
e, quand il est bien prononcé, indique ordinairement une hémorragie cérébrale : le ramollissement et même l'hémorragie méning
terminent pas ordinairement un état aussi comateux que l'hémorragie cérébrale ; c'est surtout dans celle-ci qu'on voit se produi
ans aucun ictus, on a le plus souvent à faire à un ramol- lissement cérébral ou à des lacunes. On peut le plus souvent diagn
de différencier l'hémiplégie par lacune de celle par ramollissement cérébral , c'est l'hémianopsie, qui est extrême- ment rar
être pro- duite par cette lésion, tandis que dans le ramollissement cérébral c'est un symptôme assez fréquent. De même l'aph
chez les lacunaires). Quant à l'hémiplégie produite par les tumeurs cérébrales , il est bien difficile de la caractériser puisq
a caractériser puisque, comme tous les autres symptômes des tumeurs cérébrales , elle est susceptible des modifications les plus
verses. Nous noterons cependant, ce fait que c'est dans les tumeurs cérébrales que l'on voit presque exclusivement (abstractio
nt ou de l'lumichorée. Assez souvent aussi l'hémiplégie des tumeurs cérébrales s'accompagne d'épi- lepsie jacksonienne. Bien e
tenir compte de tous les autres symptômes révéla- leurs des tumeurs cérébrales , et notamment l'examen du fond de l'oeil rendra
vices; mais, dans les cas aigus, on n'oubliera pas que 1 hémorragie cérébrale est susceptible elle aussi de déterminer de l'oed
, d'après Mann, à peu près la même que dans l'hémiplégie par lésion cérébrale . En réalité, nous manquons de caractères spécia
alades, l'hémiplégie peut tout aussi bien être duc à une hémorragie cérébrale ou à un ramollissement. Les lésions du coeur et
iens, etc.... s'accompagnent plus ou moins fréquemment d'hémiplégie cérébrale , hulbo-prolllbéran- ticllc ou spinale. - Il.
soupçon d'une hémiplégie d'origine névropathique. 111. L'hémiplégie cérébrale infantile diffère par un certain nombre de poin
en extension (').. ' L'aphasie ne se montre guère dans l'hémiplégie cérébrale infantile, même quand il existe des lésions de
uvements se rencontrent beaucoup plus fréquemment dans l'hémiplégie cérébrale infantile que dans l'hémiplégie de l'adulte, et e
du cerveau en foyer sans réactions méningées, dans les hémorragies cérébrales , dans les lésions destructives du cerveau (Abad
es, dans les lésions destructives du cerveau (Abadic), dans l'abcès cérébral (Klippel). Enfin, le signe de Kernig a été renc
s quelques affections médullaires ou quelques affections du système cérébral dans lesquelles les lésions méningées n'étaient p
paralysie motrice des membres inférieurs. Elle peut être d'origine cérébrale , médullaire, névritique, musculaire ou fonction
égies spasmodiques. La division rigoureuse en paraplégies d'origine cérébrale , médullaire, né- vritique, musculaire et foncti
les paraplégies de l'enfant et du vieillard sont souvent d'origine cérébrale , et que parmi les paraplégies de l'adulte les f
es sym- ptômes méningés initiaux. Ils sont de deux ordres : les uns cérébraux , ', diplopie, céphalée, les autres rachidiens,
r des para- plégies ducs à des lésions encéphaliques. Ces diplégies cérébrales de l'enfance relèvent généralement de pqrenceph
se peut noter chez le même individu la coexistence d'une hémiplégie cérébrale infantile et d'une paralysie infantile (Pierre
égie par double 1rW ni- plégie. Lacunaires. La paraplégie d'origine cérébrale est une para- plégie lacunaire. Elle peut succé
s, on peut distinguer, d'après Lherinitte, une paraplégie lacunaire cérébrale « à début insidieux, ne succédant pas il des ic
'orienter le diagnostic en une certaine mesure. Les grandes lésions cérébrales , la maladie de Little, les diplé- gics, la spin
upérieures. [G, GUILLAIN.] SEMÉIOLOGIE DES PARALYSIES D'ORIGINE CÉRÉBRALE , MÉDULLAIRE, RADICULAIRE ET PÉRIPHÉRIQUE .. P
eau pyramidal est principalement prérolandique. Les localisations cérébrales motrices chez l'homme sont intéressantes à conn
servation des sujets trépanés (d'après J,31narr¡). ''.' TOPOGRAPHIE CÉRÉBRALE . 595 Grasset, en s'appuyant sur quelques cas de
d'après Beevor et Horsley (1890) ; .. Fig. 6 cb 7. Localisations cérébrales chez l'homme, d'après Ch. K. Mills (1904). TOPO
s cérébrales chez l'homme, d'après Ch. K. Mills (1904). TOPOGRAPHIE CÉRÉBRALE . 597 2° Les centres moteurs corticaux du llacac
nzé, d'après Grunbaum et Sherrington (1905). 5° Les localisations cérébrales chez l'homme d'après Ch. K. llills (1904). Le
e l'on ne constate pas d'autres symptômes de syphilis médullaire ou cérébrale . De Peters a fait une étude des paralysies que
tout un membre, comme cela se voit dans les paralysies d'ori- gine cérébrale . La nature syphilitique de ces paralysies est pro
des lésions ne puisse être précisé. La paralysie faciale d'origine cérébrale est accompagnée le plus souvent d'une hémiplégi
es du même côté. Les caractères de la para- lysie faciale d'origine cérébrale sont : la persistance des mouvements réflexes p
onne encore comme signccaractensquedeht paralysie faciale d'origine cérébrale l'intégrité du facial supérieur; celle ET DES N
eut remarquer aussi que dans les cas de paralysie faciale d'origine cérébrale , même lorsque le facial supérieur semble intact
constitue un acte volontaire dont le centre doit être dans l'écorce cérébrale . La seconde, fonction primordiale et indispen-
ce moindre qui siège dans le bulbe pour la phonation, dans l'écorce cérébrale pour la respiration : dans des limites «assez res
on médiane. Cela lui paraît impossible pour des lésions de l'écorce cérébrale , non seulement en raison des faits expérimentau
Quant à la position cadavérique de la corde à la suite d'une lésion cérébrale , dit-il en terminant, elle est absolument irréali
s en contraction tonique. B) Spasme d'origine centrale. Les lésions cérébrales ne parais- sent pas déterminer souvent de spasm
gé ; il convient cependant de citer sa possibilité dans les tumeurs cérébrales et la paralysie générale progressive, mais dans
canisme patbogenique reste ignoré. Charcot penchait pour un vertige cérébral à manifestai ion laryngée. Le fait que le vertige
Le spasme glottique pho- nique est parfois symptomatique de lésions cérébrales ou bulbaires. Presser .lames a décrit le « béga
pinale aiguë de l'adulte ; liématomyélie ; myélites. b) D'origine cérébrale : paralysies cérébrales infantiles : hémiplégie,
lte ; liématomyélie ; myélites. b) D'origine cérébrale : paralysies cérébrales infantiles : hémiplégie, etc.; hémi- plégie de
o-hypertrophique « paralysie hypertrophique de l'en- fance de cause cérébrale » ; en 1868 (') il renonça lui-même à attribuer
ncéphale, « parce que dans un certain nombre de cas aucun phénomène cérébral ne s'était montré dans le cours delà maladie ».
ier cas, suivant que le siège de la lésion nerveuse est médullaire, cérébral ou périphé- rique ; dans chacun de ces cas elle
n médullaire. b) Atrophies consécutives à une paralysie d'origine cérébrale . Dans toutes' les paralysies cérébrales infantile
es à une paralysie d'origine cérébrale. Dans toutes' les paralysies cérébrales infantiles, hémi- plégie, diplégie, paraplégie,
t proportionnelle à l'intensité de la paralysie. Dans la paraplégie cérébrale infantile, le trouble du développement musculai
pas respectés. L'atrophie musculaire et os- seuse des hémiplégies cérébrales infantiles est un arrêt de dévelop- pement dû
est un arrêt de dévelop- pement dû au retentissement de la lésion cérébrale , par l'inter- médiaire du faisceau pyramidal,
embres paralysés dans un cas d'hémiplégie gauche avec para- lysie cérébrale infantile. L'atrophie est sur- tout nette au ni
due souvent à la lésion même des cellules pyramidales de l'écorce cérébrale , pour Borgherini, Eisenlohr, Quincke à la lésio
orgherini, Eisenlohr, Quincke à la lésion de cen- tres trophiques cérébraux spéciaux de ' l'écorce ou de la couche optique,
à des troubles circu- latoires intramusculaires à point de départ cérébral , pour Dejerine à une névrite périphérique intra
plégiques et due à la suppression de l'influx ner- veux d'origine cérébrale agissant sur les grandes cellules de la corne a
lte; hématomyélie ; myélites ; compression médullaire. b) D'origine cérébrale : paralysies cérébrales infantiles : hémiplégies,
lites ; compression médullaire. b) D'origine cérébrale : paralysies cérébrales infantiles : hémiplégies, etc.; hémi- plégie de
n les observe alors chez des sujets atteints il ! utero de sclérose cérébrale et nés avec les signes d'une hémiplégie ou d'une
cérébrale et nés avec les signes d'une hémiplégie ou d'une diplégie cérébrale infantile, avec une hémi-athétose ou une alhétose
diot qui fut opéré M mois et mourut à 90 mois : ses circonvolutions cérébrales étaient altérées. ' . Quoiqu'il en soit, que
ire se joignent souvent à un degré variable, des symptômes d'ataxie cérébrale ou bulbo-protubérantielle par altération des vo
ité de 1 hémiplégie. Elle serait plus fréquente dans les néoplasmes cérébraux que dans les ramollissements ou hémorrhagies. E
uë dans les cas de Leyden, Westphal, Dinkler, etc.) L'iiémiataxic cérébrale , comme l'hémianesthésie cérébrale, présente une
l, Dinkler, etc.) L'iiémiataxic cérébrale, comme l'hémianesthésie cérébrale , présente une allure symptomatique assez spécia
résente une allure symptomatique assez spéciale. L'hémianesthésie cérébrale n'est jamais complète ; l'hémiplégique par tume
complète ; l'hémiplégique par tumeur, ramollissement ou hémorrhagie cérébrale , quel que soit le siège de la lésion, couche op
vers la racine des membres que vers leur extrémité. L'hémiataxie cérébrale n'est jamais complète non plus ; elle est très
e de la coordination dans les cas d'altération des voies sensitives cérébrales à la création, pen- dant l'apprentissage des mo
que nous avons dit du degré toujours incomplet de l'hémiancsthésie cérébrale nous fait penser qu'il y a là aussi peut-être u
ut-être une cause de l'intensité toujours modérée de 1'1ll'miataxic cérébrale . Quelle que soit l'interprétation, il est certa
e ne fait pas partie du tableau clinique habituel de l'hémi- plégie cérébrale infantile; Boucaud en a cependant récemment rappo
res que nous avons énumérés plus haut et de signes de com- pression cérébrale , souvent de signes d'altération d'organes voisins
hémianesthésie (par hémorragie ou ramollis- sement, surtout tumeur cérébrale ) ; Concomitance d'hémiplégie cérébrale infantil
llis- sement, surtout tumeur cérébrale) ; Concomitance d'hémiplégie cérébrale infantile exceptionnellement (Rouchaud). e) S
tagmus, vomissements, céphalalgie occipitale, signes de compression cérébrale , souvent aiaxie labyrinthique. b) Affection des
tabétiques paralytiques généraux, même tout au début de leur lésion cérébrale . Frenkel cite les anciens officiers, intelligen
ondre surtout ce complexus morbide avec le syndrome pseudo-bulbaire cérébral dont nous signalerons plus loin les caractères
ue s'ajoutent le plus habituellement . desaccidents moteurs du type cérébral . Ces diffé- rentes altérations sont ordinaireme
ent se rencontre spécialement chez les pseudo-hul- baires à lésions cérébrales nombreuses, mais de faible volume individuel, c
une paralysie congénitale liées lune et l'autre à de gros accidents cérébraux , atrophie et sclérose corticales, microgyrie, p
e ne fait que refléter l'excitation des centres nerveux de l'écorce cérébrale . Ce dernier mécanisme est des plus importants e
jack- sonienne) ou se généraliser. - Chez les malades, des lésions cérébrales , des toxines microbiennes, des toxiques agissen
convulsion est remplacée par la paralysie, l'excitation de l'écorce cérébrale à un mo- ment donné arrivant en quelque sorte à
e de connaissance et est le plus souvent symptomatique d'une lésion cérébrale (hémorragie, ramollissement, tumeur, inflammation
r par des con- vulsions jacksoniennes et, d'autre part, des lésions cérébrales peuvent donner des convulsions généralisées que
mais dans les convulsions symptoma- liyues si fréquentes de lésions cérébrales et surtout dans l'éclampsie, dans le syndrome d
l'exa- men des urines. Les convulsions symptomatiques de lésions cérébrales ou méningées se montrent surtout chez l'enfant
il la possibilité d'une encéphalite. Nom- breuses sont les lésions cérébrales apyrétiques : congestion, anémie, trau- matisme
s apyrétiques : congestion, anémie, trau- matisme crânien, sclérose cérébrale , hémorragie, ramollissement, qui peuvent amener
ile à reconnaître et la convulsion n'est qu'un épisode. Les tumeurs cérébrales , les abcès occasionnent des convulsions le plus
lus souvent partielles, accompagnées des troubles de la compression cérébrale , tels que stase papillaire, céphalée, torpeur, vo
ctures et dcspara- lysies localisées. Les complications de l'urémie cérébrale , auxquelles il faut toujours penser, quoiqu'ell
nt immédiatement sur la voie : grossesse, lièvre intense, affection cérébrale ancienne et notoire, albuminurie. Appelé auprès
ie primitive (Char- tier). Un malade infecté présente des symptômes cérébraux , céphalée, délire, jactation. agitation des mem
agnostic des convulsions est encore facile dans d'autres affections cérébrales et méningées, apyrétiques, et dont le début remon
emonte à des mois ou à des années. C'est ainsi que dans la sclérose cérébrale chro- nique vous constaterez qu'il v a des para
s qui résultent de l'insolation et celles qui dépendent de l'anémie cérébrale consécutive aux grandes hémorragies externes et
ées ou partielles pourront être les premiers symptômes d'une tumeur cérébrale , d'un abcès, d'une lésion tubercu- leuse limité
n nocturne de la douleur, les antécédents spécifiques à la syphilis cérébrale . Toutes ces conditions seront quelque- fois ins
ui rend plutôt le service de porter son attention sur une étiologie cérébrale possible. Il s'agit de malades qui souffrent de
u tremblement de forme parkinsonienne symptomatique d'une affection cérébrale : tels sont les tremblements parkinsoniens symp
tremblements parkinsoniens symptomatiques d'une tumeur du pédoncule cérébral (cas de Bloch et Marinesco, Société de Biologie,
peuvent également s'observer : on peut voir survenir une hémorragie cérébrale , une embolie cérébrale comme dans les cas de Si
erver : on peut voir survenir une hémorragie cérébrale, une embolie cérébrale comme dans les cas de Simon et Crouzon où une h
ires : endocardite végétante ou embolie, en parti- culier l'embolie cérébrale , ou ce sont des complications nerveuses : délire,
es et articulaires. Les complications nerveuses sont : l'hémorragie cérébrale , l'embolie cérébrale pouvant amener l'hémiplégi
es complications nerveuses sont : l'hémorragie cérébrale, l'embolie cérébrale pouvant amener l'hémiplégie et l'aphasie comme da
cas de L. G. Simon et Crouzon. On peut observer aussi un rhumatisme cérébral au cours de la chorée ; enfin Aper't a observé
c et p, Call1Us ont constaté une myoclonie au cours de l'hémiplégie cérébrale infantile. Description. Les myoclonies sont car
une entité morbide, il est symp- tomatique de nombreuses affections cérébrales (Murri, Progrès médical, - l 002; ()razio d'All
cire sympto- matiquc de la maladie de Heckiinghausen et de l'urémie cérébrale ; on l'a observé également dans la sclérose en p
oisine de l'athétose double, car elle a comme substratum une lésion cérébrale : c'est, comme l'athétose double, une diplégie
une lésion cérébrale : c'est, comme l'athétose double, une diplégie cérébrale . DIAGNOSTIC. ET DESCRIPTION DES VARIÉTÉS D'ATHÉ
l'enfance ce syndrome mental a été lié comme l'athetosc Ü la plegic cérébrale . Cependant, dans une proportion évaluée par Briss
L'hémiathétose est donc consécutive comme l'hémiplégie à une lésion cérébrale en foyer et cette lésion peut être une hémorragie
conséquences sur l'état physique. Le déséquilibre des IÏI(.(11- tés cérébrales ne va pas le plus souvent sans un déséquilibre de
en réalité, à des cas disparates de tics, de chorées et de lésions cérébrales . Les mouvements athétosiques ont souvent une ap
mie, maladie du sommeil (Sicard et Moutier), granulie, hémor- ragie cérébrale , rhumatisme aigu, dans la plupart des intoxicatio
loppée au cours d'une myélite. « TROUBLES TROPHIQUES. 925 tions cérébrales ). On voit apparaître tout d'abord un placard éryt
On la ren- contre dans l'aliénation mentale, le tabès, les tumeurs cérébrales , du côté malade chez les hémiplégiques. Elle pe
s un traumatisme céphalique dans l'enfance ou à propos d'une tumeur cérébrale chez l'adulte (l1émieraniose de Brissaud ctLt're-
'hyperthermie peut être due il une lésion centrale soit de l'écorce cérébrale (Ch. Bichet) soit d'une zone située entre le corp
de cette fièvre est la fièvre de la méningite. Dans les méningites cérébrales aiguës, la fièvre débute par un grand frisson,
empérature de 1'(pil(,I)sie. Dans la première heure de Y hémorragie cérébrale , la température centrale est abaissée en dépit
ns ce cas a un pronostic extrêmement grave, elle indique une lésion cérébrale , elle s'accompagne le plus souvent d'albuminurie
ntraîne un pronostic fatal. La température locale dans l'hémorragie cérébrale est toujours plus élevée du côté paralysé, il y
e du pouls sans élévation de la température. Dans le ramollissement cérébral il n'y a pas d'abaissement initial de la tempér
e urémie associée il une grippe, à un état infectieux, à une lésion cérébrale (Giraudeau, Crouron). HYPOTHERMIE L'hypotherm
; cependant il peut être un symptôme prémonitoire de l'hémor- ragie cérébrale , de Y éclaihpsie puerpérale (Chirié, Thèse dePari
de même que dans l'athérome du tronc basilaire ou dans l'hémorragie cérébrale . Dans l'ictns cérébelleux, l'apnée peut être un
s lent temporaire peut être vu dans la méningite, dans l'hémorragie cérébrale , dans les crises gastriques du tabès, dans les
on de nombreuses affections du système nerveux. Dans l'hémorragie cérébrale , après l'ictus, la rétention est aussi rare qu'
incom- plète préexistante. Il en est de même dans le ramollissement cérébral . On l'observe rarement dans les méningites aigu
ble qu'il n'y ait pas de phénomènes mictionnels propres à la lésion cérébrale excepté à la période ultime, à laquelle d'aille
ons enfin la rétention qui accompagne les commotions médullaires et cérébrales , dont la durée est d'ordinaire très courte el qui
'incontinence se succèdent souvent. Il en est ainsi de l'hémorragie cérébrale et du ramollissement; l'incon- tinence succède
nte avec une signification et une, modalité spéciales. L'hémorragie cérébrale donne lieu presque toujours il une polyurie d'a
a lésion première. On la constate dans un grand nombre d'affections cérébrales et médullaires, dans presque toutes les formes
ots, qu'elle soit ou non précédée de masturbation, dans la syphilis cérébrale et surtout dans la paralysie générale à la prem
n l'a signalée dans la méningite, dans la contusion et la commotion cérébrale . Elle accompagne souvent l'hystérie et l'épilep
l'accouplement. Quelquefois elle constitue un symptôme d'une lésion cérébrale ou médullaire; ou bien elle est d'origine psych
e en dépressions et saillies rappelant l'aspect des circonvolutions cérébrales . Des conlrac- tions vermiculaires très vives ag
u con- tinue, qui peut avoir dans la thrombose et le ramollissement cérébraux la valeur d'un prodrome ou d'un reliquat. Il s'
existence est peu précise : on a bien signalé, au cours d'accidents cérébraux ou plutôt bulbaires, dans les altérations du pneu
u'hypersécrétion glandulaire. L'idiot; l'enfant atteint de sclérose cérébrale avec ses contractures, son strabisme, ses jambe
ec désir d'exonération se mani- feste. Au contraire, le vomissement cérébral est un vomissement simple; il se fait. facileme
l'apoplexie céré- bratc. et marque surtout l'évolution des tumeurs cérébrales ou céréttet- leuses. Il peut même, quand le bul
un âge avancé, et des hématémèses apparues à la suite d'hémorragies cérébrales . Crises liées à l'athérome cérébral. Ces crises
rues à la suite d'hémorragies cérébrales. Crises liées à l'athérome cérébral . Ces crises gastriques réalisent le type de l'i
ollissement à marche souvent rapide. Ajoutons que celte indigestion cérébrale est toujours nocturne, et que son importance pron
e d'autres l'ois plusieurs heures. Le vomissement n'est pas du type cérébral , mais du type bulbaire (Brissaud) ; loin de rejet
Il y a incontinence du sphincter anal dans le coma de l'apoplexie cérébrale , dans les paraplégies flasques quel que soit leur
ses tiraille- ments. X Faim phobique. C'est une faim angoissante, cérébrale et non bulbaire, survenant chez des sujets taré
ertains sommeils morbides tels qu'en peuvent déterminer les tumeurs cérébrales , les méningites, les trypanosomiases, 1 hystéri
sion soma- tique de mégalomane. GATISME. 10B 1 Dans les tumeurs cérébrales , on rencontre parfois de l'affaiblisse- ment de
ont profondément atteints, ont assez souvent de 1'j "Tosses lésions cérébrales amenant des iclus parfois répétés. Le gâtisme e
ainsi que par mala- dresse. Beaucoup de gâteux par ramollissement cérébral roulent constamment entre leurs doigts, leurs c
- membre congénitale est plus souvent la conséquence d'une sclérose cérébrale que d'un véritable arrêt de développement pri-
d'encéphalite foetale et in- fantile, d'hémiplégie et de diplégie cérébrale infantile, de syndrome de Little chez les préma
tout à fait exces- sives que l'on observe souvent dans l'hémiplégie cérébrale infantile. La main-bote de l'hémiplégie hystéri
ost-hémiplégique est bien plus fréquente à la suite des hémiplégies cérébrales infantiles qu'à la suite des hémiplégies de l'a
ongénitales ou acquises, myopathiques. nevritiques, myetopathiques. cérébrales ou fonctionnelles : aucune variété n'est palhogno
t beaucoup plus fré- quent. Il est unilatéral dans l'hémi- plégie cérébrale infantile ; il est généralement alors en varus
e tous les cas de soi-disant maladie de Little on trouve une lésion cérébrale (') et non seulement,. 4. Les lésions cérébrale
n trouve une lésion cérébrale (') et non seulement,. 4. Les lésions cérébrales grossières, les hémorragies surtout, ne sont pas
acquis paralytique s'observe dans un grand nombre d'affections : a) cérébrales , b) médullaires, c) névritiques, d) myopathi- q
iques, d) myopathi- ques, e) fonctionnelles. a) Dans l'hémiplégie cérébrale , à la période de flaccidité, on observe un pied
ed-bot acquis spasmodique s'observe dans cerlaiues a(l'ec- tions a) cérébrales , b) médullaires, c) fonctionnelles. o) Dans l'h
cérébrales, b) médullaires, c) fonctionnelles. o) Dans l'hémiplégie cérébrale de l'adulte avec contracture, le pied est en ex
nt presque toujours beaucoup moins prononcées que dans l'hémiplégie cérébrale infantile. ú) Dans toutes les paraplégies spa
ante le tourmente, il présente même parfois le syndrome des tumeurs cérébrales . Les crises épilepti- formes, les troubles visu
étant en général diffi- ciles, voire disproportionnées avec l'état cérébral de l'immense majorité. Maladies nerveuses congé
oûte pharyngienne à la pression, dans les cas de tumeur de la fosse cérébrale moyenne. La percussion s'emploie principalement
chez des urémiques, et 3 fois chez des individus atteints de tumeur cérébrale . Lichteim, Gumprecht, Martin ont observé des cas
ont eu un cas de mort après ponction lombaire dans un cas de tumeur cérébrale . Toutefois, cette complication est rare. Jean N
it une hyperé- mie des méninges et pouvait augmenter une hémorragie cérébrale déjà existante. Enfin, on a signalé des modif
ge cerise. Elle s'observe dans les grandes hémorragies : hémorragie cérébrale , fracture du crâne ; cet aspect est pathognomon
2 de tabes. Il l'a trouvé, aussi dans l'épilepsie, dans les tumeurs cérébrales , dans l'hématomyélie. Il montre qu'il y a corré-
ans la démence sénile, dans la démence organique par ramollissement cérébral , dans la mélancolie avec délire, les résultats on
la convexité. Enfin, elle peut s'observer au cours des hémorragies cérébrales , sans inondation ventriculaire, ni inondation m
ingée d'après Crouzon; il existe en effet, au cours des hémorragies cérébrales , des hémorragies pie mériennes siégeant au nive
à une inondation méningée, elles sont secondaires à une hémorragie cérébrale , mais sans rapport direct avec elle ; l'aspect
ble il l'inondation méningée et peut être le signe d'une hémorragie cérébrale à topographie normale. Des faits analogues ont
ée du tout ou qu'elle ait disparu. Cyto-diagnostic dans les tumeurs cérébrales . La statistique de Babinski et Nageotte comport
La statistique de Babinski et Nageotte comporte sept cas de tumeur cérébrale sans réac- tion méningée. Gombaut et Ilalbron o
on méningée. Gombaut et Ilalbron ont observé, dans un cas de tumeur cérébrale , d'abord de la polynucléose, puis de la lymphocyt
sarcouiatose du liquide céphalo-rachi- dicn dans un cas de sarcome cérébral . Widal et Abrami ont trouvé des cellules néopla
tant quelques lymphocytes. Cyto-diagnostic dans le ramollissement cérébral . Nageotte et Jarnet y ont trouvé une lymphocyto
de dire que le cyto-diagnostic a été négatif dans un cas de tumeur cérébrale , dans un cas de migraine ophtalmoplégique, etc.
ntusions recouvrant presque toute la face externe de 1 honi- sphère cérébral . La contusion peut donc, comme la fracture, provo
iochard, de Guinard, etc. Nous savons d'autre pari que l'hémorragie cérébrale peut provoquer aussi la teinte rosée du liquide
r le crâne; et encore il peut s'agir d'un épanchement par contusion cérébrale . PONCTION LOMBAIRE THÉRAPEUTIQUE Nous avons v
contre la céphalée dans la méningite tuberculeuse dans les tumeurs cérébrales , par Carrière Hbodes. Celte étude est faite à p
os de chacune de ces affections. Ponction lombaire dans les tumeurs cérébrales . L'heureux effet de la décompression dans les t
rs cérébrales. L'heureux effet de la décompression dans les tumeurs cérébrales a été mentionné par Babinski. Antérieurement, C
ats, consécutifs à l'inondation des ventricules par les hémorragies cérébrales ou choroïdiennes (syn- drome hémorragique) el d
e partie tout au moins par 1 hypertension ventriculaire, les signes cérébraux sont nombreux et variés, mais de fréquence et,
la somnolence constituent les éléments positifs majeurs du syndrome cérébral , l'absence habituelle de rétraction du ventre, de
(Mocquin), le nystagmus (Parkes-Weber). Contrairement aux troubles cérébraux , ils paraissent résulter indifféremment de l'hype
pas ou aggrave, lorsqu'elle est répétée, les signes d'hypertension cérébrale ; on peut en inférer que les ventricules ne com
ingravescent apupiexy de Broadbent, l'ictus initial de l'hémorragie cérébrale ordinaire est bien remplacé par de la céphalée, d
t de la localisation des lésions causales au niveau des ventricules cérébraux , de l'aqueduc de Sylvius ou dû 4c ventricule, d
ve, pseudo-méningitique, pseudo-tumorale, comateuse de l'épendymite cérébrale , les principaux types de l'épen- dymite sylvien
quide sanglant (hémocéphalie) ou purulent (pyocéphalie ou cmpyèllie cérébral ). Hydrocéphalie. Si le liquide clair, de densit
peut éliminer l'hypothèse d'une hémorragie ventriculaire d'origine cérébrale , épendymaire ou choroïdienne à cause de la lent
ondaire, résultant, exceptionnellement, de l'ou- verture d'un abcès cérébral clans la cavité ventriculaires et, fréquemment,
n, Fischer). Épendymite pseudo-suppurative, à type clinique d'abcès cérébral . L'invasion est assez brutale pour légitimer l'
ité des accidents, on ne manque pas de porter le diagnostic d'abcès cérébral . On trépane. Devant l'intégrité des méninges, on
endymites séreuses se manifestent, sous les appa- rences d'un abcès cérébral alors que certaines 1"pendYlIlites suppurées se
e naturellement à l'esprit. * Ependymite à forme clinique de tumeur cérébrale .- Le syndrome pseudo-tumoral est tantôt général
l'analyse symptomatique ces variétés apyrétiques des vraies tumeurs cérébrales . A peine, si leur prédilection pour les enfants,
but, il est vrai, a été précédé par une broncho-pneumonie, un abcès cérébral , une méningite; avant d'être à la normale ou en h
au verlex; de la constipation suivie, de diarrhée; des vomissements cérébraux ; de la ` diminution de l'acuité visuelle avec p
mites bulbaires soit plus caractéristique que celui des épendymites cérébrales . L'hypothèse de la latence obligatoire étant in
te primitive- [G. DELAMARE. 1160 SYNDROMES VENTRICULAIRES. ment cérébrale devient successivement sylvienne, rhomboïdale et
écanique est mise en évidence par la disparition de certains signes cérébraux (céphalée, convulsions) et bulbaires (bradycard
nt une tolérance inversement proportionnelle au degré de perfection cérébrale du sujet en expérience. Est-il bien nécessaire
compte, l'introduction de paraffine ou de vaseline dans les cavités cérébrales du cobaye et du chien n'est guère propre qu'il
la majorité des signes bulbaires et la presque totalité des signes cérébraux proviennent des effets purement mécaniques de l
CULAIRES. Util peuvent avoir une histoire clinique, les épendymites cérébrales restent frustes ou latentes quand elles ne comp
, les atrophies osseuses de la paralysie infantile et des scléroses cérébrales infantiles, les déformations des névrites et de
s le premier cas la radiographie permet d'affirmer que les troubles cérébraux qui auront pu se produire sont dus soit il la pré
r dans le crâne, soit il l'existence d'une hémorragie mé- ningée ou cérébrale , ou sont simplement attribuables il une contusion
es os du crâne ou du rachis. f Enfin parfois il s'agira de troubles cérébraux ou médullaires, dépen- dant bien réellement du
en- dant bien réellement du traumatisme préalable. ' ? Les troubles cérébraux , et tout spécialement les crises d'épilepsie ja
Astie. Elles nous paraissent avoir même pathogénie que les troubles cérébraux post-trauma1.iques tardifs, à savoir la productio
un foyer pathologique situé dans la profondeur de l'hémi- sphère cérébral gauche dans la zone des lignes de flux les pl
u à des périodes peu avancées. On l'a constatée dans des paralysies cérébrales récentes, dans la paralysie générale progressiv
tes, dans la paralysie générale progressive, dans des cas de tumeur cérébrale . On l'a rencon- trée encore dans des méningites
olution. Ainsi on aura occasion de l'observer dans des pa- ralysies cérébrales anciennes, clans les myélites, dans le tabes, dan
atrophies musculaires qu'on observe parfois dans les hémi- plégies cérébrales , l'excitabilité électrique est souvent peu altéré
uellement défaut; ainsi on ne la rencontre pas. dans les paralysies cérébrales par hémorragies, par ramollissements ou par tum
oins prononcée, dans d'autres affections, telles que des paralysies cérébrales (1 ? enedil;t), des cas de maladie de Basedow,
à explorer ainsi l'état de la sensibilité dans certaines affections cérébrales et spinales, dans des compressions ou des section
n ! 'a vue très diminuée. Dubois a trouvé dans des cas d'hémiplégie cérébrale la résistance nota- blement augmentée sur le cô
rones moteurs centraux nous prendrons les paralysies par hémorragie cérébrale , l'hémiplégie cérébrale. Faut-il intervenir par
ous prendrons les paralysies par hémorragie cérébrale, l'hémiplégie cérébrale . Faut-il intervenir par un traitement électriqu
tervenir par un traitement électrique dès le début d'une hémiplégie cérébrale ? Quelques électro-thérapeutes conseillent d'appl
dimensions également, en rapport avec l'autre pôle, est HÉMIPLÉGIE CÉRÉBRALE . ? '- . . 1289 placée sur la nuque. Ou, comme l
e démontrée. D'autre part, en raison de l'action sur la circulation cérébrale , il n'est peut-être, pas sans inconvénient d'em
galvanique dirigé sur la tête dans des conditions où les vaisseaux cérébraux sont devenus plus ou moins fragiles. Aussi, cro
yons-nous préférable de s'abstenir généralement de la galvanisation cérébrale dans l'hémiplégie organique, surtout avec des c
peu prononcées d'intensité. Les lésions primitives de l'hémorragie cérébrale sont suivies habituel- lement de lésions second
nes sem- blent suffisantes. On pourrait combiner la galvanisation cérébrale à la galvanisation de la moelle en plaçant une
l'action que ce mode d'électrisation peut avoir sur la circulation cérébrale il importe d'agir avec prudence, de ne pas employ
se parfois encore de ce traitement périphérique dans les paralysies cérébrales . Il peut présenter, en effet, des inconvénients
ces inconvénients. Les excitations ainsi provoquées à la HÉMIPLÉGIE CÉRÉBRALE . 1291 périphérie sur les nerfs et sur les muscl
ec circonspection le traitement périphé- rique dans les hémiplégies cérébrales . ne faut pas le commencer trop tôt. Duchenne ét
hie parfois assez prononcée de certains muscles dans les paralysies cérébrales , leur excita- bilité faradique est généralement
ou trois fois par semaine. On a employé aussi dans les hémiplégies cérébrales le traitement fara- dique avec le courant de la
t été utilisés aussi pour le traitement périphérique des paralysies cérébrales , le plus souvent sous la forme de galvanisation
durée totale qu'il convient de lui donner, sur les mena- HÉMIPLÉGIE CÉRÉBRALE . 1295 céments avec lesquels il faut le diriger,
e traitement de certaines complications secondaires des hémiplégies cérébrales . Sous l'inlluence de l'inaction fonctionnelle d
employé l'électrisation statique dans le traitement des hémiplégies cérébrales . Ce traitement consiste habituellement dans le
être employée avec ménagement chez les hémiplégiques par hémorragie cérébrale ou par ramollissement dû à la thrombose des vaiss
; ces inconvénients seraient moins à redouter dans le cas d'embolie cérébrale , chez des sujets jeunes tout au moins. Avec l'é
ment en vue le traitement électrique des hémiplégies par hémorragie cérébrale . Les [E HUCT,] 1294 ÉLECTROTHÉRAPIE. mêmes
nt, soit par thromhose, soit par embolie, aux monoplégies d'origine cérébrale , et aux hémiplégies par lésions de l'isthme de
urra attendre moins longtemps que pour le traitement des paralysies cérébrales . La galvanisation continue de la moelle constit
ble dans les mêmes conditions que pour le traitement des paralysies cérébrales . Suivant les cas on la fait porter davantage su
être appliqué suivant les procédés indiqués à propos des paralysies cérébrales . Ce genre de traitement doit être aussi employé
laires, la contracture est moins à redouter que dans les paralysies cérébrales ; dans d'autres elle existe aussi et. parfois mêm
demment pour la galvanisation de la moelle il propos des paralysies cérébrales ou médullaires et des poliomyélites. Dans le
tète et sur la nuque. On pourra aussi pra- tiquer la galvanisation cérébrale : une électrode de 15 il 20 centimètres de long
taxo-adynann- ques, principalement, dans les formes cliniques dites cérébrales de ces maladies (lièvre typhoïde, rhumatisme ar
mme une névrose mais connue une affection créée soit par une lésion cérébrale soit par une intoxication des centres nerveux,
aques osseuses, « car la moindre ouverture donne issue à la matière cérébrale . » Pour faire l'autopsie de la moellc épinière,
rachidiennes. Avant de séparer l'un de l'autre les deux hémisphères cérébraux , je conseille, suivant l'usage du Professeur Pi
ui sont loin d'être rares dans cette région. Les deux hémisphères cérébraux sont séparés l'un de l'autre par une section du
surtout employée pour l'étude des fibres tangentielles de l'écorce cérébrale . r Méthode d'Azoulay. Fixation et durcissement
mais Nageotte a remarqué que les fibres les plus fines de l'écorce cérébrale .sont altérées par cette solution et il préconi
nerveux entre elles. [G. GVILLAWl INDEX ALPHABÉTIQUE A Abcès cérébraux d'origine otique, 141. . .. déterminés par des
' musculaire, 723. Artériosclérose. Atrophie musculaire, 707. - cérébrale , vertiges, 170. Arthropathies nerveuses, 931, 9
tronc, . 795. Exercices des membrcs supé- rieurs, 796. Athérome cérébral , crises gastriques, 991. .Athétose, 871. Desc
laire Charcol- Marie, Voy. Afnyotrophie. optique dans les tumeurs cérébrales , 122. Atrophies musculaires. Définition, 657.
paralysie. La paralysie est d'origine médullaire, 711. d'origine cérébrale , 715. d'ori- gine périphérique, 71G : d'origine
i ! ). (Affections du -). Troubles de la sensibilité, 505. Ataxie cérébrale , 165. (Traumatismes du -). Pe- cherche des co
es de l'épilepsie, 829. de l'hystérie, 85'1. - liées à l'alhérome cérébral , 991. - tabétiques, 992. dans la sclérose en pl
vraxe, l -154. - Méningites, U155. - Paralysie infantile. Tumeurs cérébrales , 1156. Autres maladies, 117.· - Syphilis, .1138
- o ! ogie, 585. Diphtérie. Atrophie musculaire, 722. Diplégies cérébrales infantiles, 509. atrophies musculaires, 714. pi
Électrothérapie. Lésions des neurones violeurs centraux. Hémiplégie cérébrale , 1288. ? Maladies des neurones moteurs périph
, 1152.- Pny- SIOLOGIE pathologique, 1159.- Traite- ment, 1162. cérébrales . Kpendymile hydrocc'hlta- loïde des nourrissons
alie, pyocéphalie, 1152, 9153. pseudo- suppurative à type d'abcès cérébral . pseudoméningilique, 1151·. - à forme cliniqu
cérébral. pseudoméningilique, 1151·. - à forme clinique de tumeur cérébrale , 1155. I : pendymo-choroïdite comateuse, 1157.
opsie, 50. Hémianesthésie bulbaire, 515. - cap- . sulaire, 511. - cérébrale , 505. Distribution, 506. - Caractères, 507. -
alterne, 472. facial hystérique, 895. Hémorragie bulbaire, 805. - cérébrale . lésions de l'oreille, '127. du laly- rinthe,
. Monoplégie brachiale, 621. - d'origine hystérique. - par lésion cérébrale , médullaire, radiculaire, 622. - ou névritiqu
, 2. - explo- ration électrique, 4371. , lésions dans les tumeurs cérébrales , 121. pathétique, paralysie, 69. phrénique, n
s méningites, l ' : 1ü. - par l'hémorragie et le ramollis- sement cérébral , par les tumeurs céré- brales, 127. - par la sc
- La main, 1040. Le pied, 909.- Traitement électrique, 1559. - cérébrale infantile, atrophies muscu- laires, 715. - de
e médullaire, atro- phies musculaires secondaires, 711. d'origine cérébrale , atrophies muscu- laires secondaires, 715. d'or
variables sui- vant la cause. Traumatisme, compres- sion, tumeurs cérébrales , méningites, maladies du système nerveux, 81. -
nelles, 506. - ,de l'enfant. Little. Spina bifida, 508. Diplégies cérébrales . Paraplégie spa- smodique familiale, 509. - d
1. spasmodiques, z. - - acquis paralytiques dans les affec- tions cérébrales , médullaires, 1055. - dans les altérations des
leuse, contre l'urémie, 1141. Dans les comas, céphalées, tumeurs cérébrales , z. - Dans les troubles auriculaires, dans le
tre exophtalmique, névralgies et névrites, 1189. Ramollissement cérébral , lésions de l'oreille, 127. Ranvier. Voy. Car
tions et intoxications, 189. - dans les mé- ningites, les tumeurs cérébrales , 190. - dans l'hystérie, 191. Somnambulisme,
poalgies. Caractères, 575. - séméio- logie, 574, 583. Topographie cérébrale , 592. cranio- cérébrale, 597. - insulaire des
- séméio- logie, 574, 583. Topographie cérébrale, 592. cranio- cérébrale , 597. - insulaire des troubles de la sensibilit
Névrites et atrophie mus- culaire, 725. Tumeurs bullaires, 805. - cérébrales , troubles oculaires, 121, 12a. - lésions de l
seaux. Lésions, atrophie musculaire consécutive, 707. Ventricules cérébraux . Syndromes ven- l'ItICUL.IIRFS. Syndrome' infla
et aman- roses, 35. - Ohuttbilalions passagères dans les tumeurs cérébrales , 121. - - centrale, exploration. Vision central
14 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
dmissible qu'une blessure du crâne produise une certaine excitation cérébrale chez un individu parvi in,c/ezü, on ne saurait
tures du crâne, d'épanchement sanguin, ou de perte de subs- tance cérébrale , etc...; dans d'autres cas au contraire, ce n'e
e sauraient soulever aucune difficulté. Il s'agit d'une affection cérébrale qui débute par le traumatisme, et se poursuit s
oin d'être la cause, ne sont au contraire que l'effet d'une maladie cérébrale déjà existante. DES TRAUMATISMES DU CRANE. 'I1
e mets pas en doute qu'un certain nombre d'affections et de lésions cérébrales ne soient l'origine de la paralysie générale...
, comme dans DES TRAUMATISMES DU CRANE. '13 les cas d'hémorrhagie cérébrale , et ne se dissiper qu'à la suite d'une opératio
e le fait remarquer Lasègue, « l'ictus chirur- gical, comme l'ictus cérébral non traumatique, est susceptible de revêtir d'e
, comateuse, épileptique., hémiplégique passa- gère, intellectuelle cérébrale , forme avec céphalée, vomissements, etc. » (Re
ils se manifestent sous forme de méningite, d'encéphalite, d'abcès cérébraux , etc. Ce sont les faits de ce genre qui ont été
crâne, à des pertes de subs- tance des os, ou même de la substance cérébrale . D'autres ont vécu, gardant dans leur cerveau u
iaires, qui se manifestent principalement sous la forme de troubles cérébraux chroniques, appartien- nent-ils à la même série
ires et secondaires peut être définitive, et telle qu'aucun trouble cérébral , imputable au trauma- tisme, ne se manifeste pl
a, loc. cit.) Il est évident que dans ce cas, il y a eu commotion cérébrale , mais qui n'a pas laissé de traces. On sait que
extraordinaire se trouve dans Ferrier (Loca- lisation des maladies cérébrales , trad. Varigny, Paris, 1879, p. 15) : Un jeune
battait qu'à l'arme blanche ! » DES TRAUMATISMES DU CRANE. - )Il cérébraux , qu'elle peut se concilier avec le fonction- ne
ses se passent de même ? Et si alors on voit survenir des accidents cérébraux , n'est-il pas légitime de les rapporter cette é
de Duret démontrent qu'il en est souvent ainsi (Duret, Traumatismes cérébraux , Paris, 1878). Mais ce n'est pas par une ruptur
e que l'on peut toujours expliquer les phénomènes da la commotion cérébrale . 11 y a plus et il y a autre chose : il y a un
: il y a un trouble profond porté dans la trame même de l'organe cérébral , et, s'il n'est pas possible de dire exactement
Laugier (art. Encéphale du Dict. de Jaccoud) dé- finit la commotion cérébrale : « Une lésion de fonction qui résulte de l'ébr
veau aient été lésées ou qu'elles soient restées intactes, le tissu cérébral subit dans sa structure intime une modification
membrane très épaisse recouvrant la convexité des deux hémisphères cérébraux . . Observation VJ. M..., lieutenant d'infanteri
optiques, etc., « les faisceaux de fibres issus des circonvolutions cérébrales posté- rieures » concourent à la formation des
e, « sans qu'il en résulte aucun désordre dans les autres fonctions cérébrales » : il notait, chez un oiseau dont un oeil avai
zza savait qu'une lésion unilatérale d'une partie de la substance cérébrale des lobes postérieurs produit, sur l'oeil du cô
qui ont inauguré de nos jours la science nouvelle des localisations cérébrales , comme Munk lui-même au début, du moins quant a
'un phénomène pathologique bien connu de tous, qu'après un désordre cérébral il y a souvent cécité complète d'un oeil, l'aut
es expéri- mentales sur les centres psycho-sensoriels de l'écorce cérébrale , en particulier sur les centres de la vision et
idère comme faisant partie de la sphère visuelle toutes les aires cérébrales dont la destruction provoque des troubles de la
int de la rétine soutiendrait, avec un point correspond de l'écorce cérébrale , un rapport constant et fixe. Les éléments réti
s, ou si les sensations ont pour siège, en dehors des hémisphères cérébraux , le mésocéphale, les couches optiques, les tube
ue les poissons et les batraciens, après l'ablation des hémisphères cérébraux , continuent de voir avec conscience : ils ne so
restres et palustres, les effets de l'ex- tirpation des hémisphères cérébraux seulement, en respectant les thalami et les lob
res normales'. Mais, chez les oiseaux, si l'ex- tirpation des lobes cérébraux est complète des deux côtés, la cécité est abso
« cécité corticale », il vaudrait mieux dire sans doute « amaurose cérébrale >, car les deux sortes de cécité décrites par
re de Dario Maragliano sur les localisations motrices dans l'écorce cérébrale 1, ils avaient voulu tenter une entreprise du m
tal. Tamburini et Luciani Le localizzazioni motrici nella corteccia cérébrale , studiate special- mente dal lato clinico. Ric.
lobule du pli courbe) relativement à la théo- rie des localisations cérébrales ' . Ce médecin partit de cette vue, profonde se
omme la méthode physiologique, établit donc que chaque hémisphère cérébral a des fonctions visuelles bilatérales. Et, pour
lque solidité que du jour où la terminaison centrale, dans l'écorce cérébrale et non ailleurs, des appareils périphériques de
, ne se manifestent guère qu'à la période irritative des affections cérébrales ; elles cèdent d'ordinaire en partie devant l'en
la vue peuvent servir à déterminer le point circonscrit de l'écorce cérébrale où siège la lé- sion dont elles sont le symptôm
e circonscrit, il devient possible également de délimiter la région cérébrale des lésions, soit irritatives, soit destructive
té objective. L'hypothèse d'un ou de plusieurs centres d'idéation cérébraux est une simple vue de l'esprit, de tous points
Les centres moteurs, sensitifs et sensoriels constituant l'écorce cérébrale sont les seuls substrata connus des sensa- tion
nt : Considérations anatomiques sur la doctrine des localisa- tions cérébrales , publiée dans la Gazzelta degli ospilali, 3° anné
nsiste sur les rapports de chaque oreille avec les deux hémisphères cérébraux au moyen d'un faisceau croisé et d'un faisceau
la localisation et le diagnostic exact du siège des affec- tions cérébrales . Voici le tableau où le savant médecin du manic
lle naturellement ce que nous a appris l'anatomie de la circulation cérébrale (Duret, Heubner) sur la distribution de l'artèr
de développement des lobes temporaux au regard des autres régions cérébrales , en particulier une atrophie marquée, sur l'un
x, indiquent les rapports du faisceau olfactif direct avec l'écorce cérébrale , les points noirs, moins nombreux, ceux du fais
nt avec tous les travaux de l'École italienne sur les localisations cérébrales '. Après un aperçu historique des théories de G
la perte complète de l'odorat a lieu du côté opposé à l'affection cérébrale , et si l'on cherche l'explication de ce fait, f
es conges- tions et a deshémorrhagies abdominables médullaires et cérébrales . Mais le mode de production, dit-il, de ces con
e d'air, au moment où cette bulle d'air pénètre dans la circulation cérébrale , l'animal en expérience tombe comme sidéré. Cet
rs dans le tronc aortique par les anastomoses artérielles (hexagone cérébral ), à cause de la résis- tance opposée par les ca
ent pour produire une chute complète de la tension; les fonctions cérébrales et respiratoires s'arrêtent et le coeur enfin ces
les cas de paralysie agitante, de myélite transverse, d'hémiplégie cérébrale , de maladie de Freidreich, a été aussi notée pa
aisseaux axillaires par les courroies, des congestions, l'apoplexie cérébrale ; les lésions valvulaires du coeur, la sclérose d
. RoumnoYiTcn. ]V. MÉMOIRE sur l'arrêt DES hémorrhagies DE l'artère cérébrale MOYENNE ET DE SES BRANCHES PAR LA COMPRESSION D
lvienne et ses branches, principalement l'artère de l'hémor- rhagie cérébrale de Charcot, sont sous la dépendance directe du
avoir éthérisé un singe, ils mettent à nu le territoire de l'artère cérébrale moyenne et noient J'état de la circulation de la
assez grande surface du crâne pour pouvoir voir les territoires des cérébrales antérieures et postérieures, on note aucun chan
ne compression de la carotide primitive de 30 à 45 secondes pour la cérébrale moyenne et immédiatement pour Tarière lenticulo
- V. Rapport sur LES expériences au sujet des fonctions DE l'écorce cérébrale ; par LIOllSU : , ET SCII.lOEll. (Philusophical tm
s à la fois de l'excitation électrique et de l'ablation des régions cérébrales dans leurs recherches. Les expériences sur l'ex
M. SIOLI. Des systèmes de fibres qui occupent le pied du pédoncule cérébral et de leur dégénérescence. - Après avoir résumé l
Breslau, 1888. 0 : SOCIÉTÉS SAVANTES. 155 étendu de l'hémisphère cérébral droit qui, à première vue, portait sur les asce
hode de Weigert, montre que la partie latérale du pied du pédoncule cérébral contient des trousseaux de fibres issue du lobe
es rapports avec les dernières notions d'anatomie et de physiologie cérébrales (commission : G.-B. Vergen, Tanzi, Bianchi, rap
mique. Nous n'avons pas fait non plus un travail de topo- graphie cérébrale ; et cela pour deux raisons; la pre- mière et la
par Traube, Schiff, etc., par la lésion du bulbe et des pédoncules cérébraux , et parce que récemment, MM. Bianchi et Armanni
e, de ce qu'ont décrit MM. Bizzozero et Golgi sous le nom de porose cérébrale . Dans la substance blanche, il n'y a que peu ou
u d'un effort soutenu : ils ren- trent dans la grande catégorie des cérébraux de Lasègue. Ces cas sont fréquents. Observati
e directement atteint, l'ébranlement se transmet à toute la masse cérébrale , et qui pourrait dire où aboutit la résultante
outit la résultante finale ? Il faut réfléchir ensuite que la vie cérébrale est in- finiment complexe, que le traumatisme n
e la maladie mentale. DES TRAUMATISMES DU CRANE. 201 des troubles cérébraux , céphalalgie, vertiges, éclipses de mémoire. Ce
de avait eu des alternatives de mélancolie profonde et d'excitation cérébrale ; que dans sa période d'excitation, il avait fa
époque éloignée; la chute n'avait été qu'un des effets de la lésion cérébrale . Féré a raconté l'histoire d'un ouvrier qui tom
e et reste étendu mort : l'autopsie fit dé- couvrir une hémorrhagie cérébrale considérable, et c'est elle qui avait occasionn
des contusions sans gravité; il avait succombé à une hémorrhagie cérébrale toute récente et très abondante. Il était donc év
e coïncidence, le mendiant avait été fou- droyé par son hémorrhagie cérébrale au moment même où arri- vaient les cavaliers, e
on plus ou moins profonde, et plus ou moins étendue de la substance cérébrale . Traitement. Je n'ai rien à dire ici du traitem
st con- sidéré comme guéri et il l'est en effet; mais il reste un cérébral , pour employer l'expression de Lasègue, - il ga
que le choc a déterminée dans la trame nerveuse, dans la cellule cérébrale . De cette modification, nous ne savons - absolu
ans les circonstances suivantes : on lui demande si une affection cérébrale chronique (folie, démence, para- lysie générale
étio- logique. A 10 brasses de profondeur, est survenu l'accident cérébral de l'OBs. XXXVI ayant revêtu la DES ACCIDENTS P
à 20 minutes. A la profondeur de 17 brasses a eu lieu l'accident cérébral de l'OBSERVATION XXXVII sous la forme sen- sori
a soupape pour se faire instantanément re- monter. 3). L'accident cérébral de l'OBSERVATION LUI pour les mêmes raisons que
or- taitles symptômes d'une inflammation subaiguë de la substance cérébrale , ce qui expliquerait tous les phénomènes du systè
eur admettrait plus volontiers l'irritation directe de la substance cérébrale par les parcelles de plomb entraînées dans le t
plus de trois semaines s'étant écoulées entre le début des troubles cérébraux et le moment où l'exa- men ophthalmoscoque devi
être considérée comme une lésion descendante émanant, des centres cérébraux avec lesquels le nerf optique est en relation.
rencontré, quoi qu'on en ait dit, de concordance entre les lésions cérébrales et la forme du délire observé pendant la vie. Q
te d'une véritable anarchie psychique, aboulie, idées de mort, vide cérébral , alternatives de dépression et d'excitation, an
il y a à consi- dérer les formes aiguës ou subaiguës du rhumatisme cérébral et en outre les troubles de la nutrition des ar
que, il n'y a aucune relation entre les diverses formes de syphilis cérébrale et les lésions de la périencéphalite chro- niqu
placé dans l'é- chelle des êtres au point de vue de la conformation cérébrale , plus l'hypnose est profonde. As. GALTON (de
, pas plus que lorsque l'alcoolisme chronique a produit des lésions cérébrales définitives. Dans la discussion qui suivit l'ex-
siologie. 1\1. Bernheim répond qu'il existe une loi : toute cellule cérébrale impressionnée par une idée tend à la transforme
« CUM MATERIA » DU SYSTÈME nerveux. Il a pu guérir des hémiplégies cérébrales ainsi que des myélites et des scléroses en'plaq
il sur ce sujet, constate en bloc l'exis- tence de troubles nerveux cérébraux ou médullaires, sans les classifier. Il estime
, les plus graves se rapppochent beaucoup plus des grands processus cérébraux et en particulier de la paralysie générale. 111
état mental des traumatisés, les fait renlrer daus la catégorie des cérébraux de Lasègue. nI. Gilles DE la TouRETTE répond qu
s, occasionnées par des attaques d'apoplexie répétées (hémorrhagies cérébrales ), occupent la face médiane du lobe frontal et l
atisant; un oncle paternel, mort à quarante- quatre ans d'affection cérébrale , inconnue; deux autres oncles, bien portants, a
viennent à occuper, soit au début, soit ultérieurement, les zones cérébrales dont l'altération provoque le syndrome de la mi
culièrement énormes; les capillaires qui plongent dans la substance cérébrale sont aussi très gonflés et parfaitement visible
I. Le malade suivant était aussi un épileptique, atteint d'atrophie cérébrale , mais cette atrophie n'était point la LÉSIONS D
ras de la parole, et de la débilité mentale. A l'autopsie, sclérose cérébrale (les détails de l'obser- vation ont été publiés
grise. - Les membranes n'o nt pas enlevé des portions de substance cérébrale en se détachant; la première couche de la .subs
nt aujourd'hui queles centres moteurs ou psycho-moteurs de l'écorce cérébrale , comme on les appelle, peuvent être déterminés
cience comme unique jusqu'ici dans la théorie des localisa- tions cérébrales . L'étude des centres fonctionnels de la vision
. le point d'où partent les réactions excito-motrices de l'écorce cérébrale , et auquel les paralysies du mouvement et de la
polémique de Goltz contre la doctrine nouvelle des localisations cérébrales . De ce qu'un chien peut marcher, courir, sauter
thésie), théorie pour laquelle les centres dits moteurs de l'écorce cérébrale sont les origines centrales du sens ou de la co
e de Schiff, suivant laquelle les troubles de la motilité d'origine cérébrale résultent de la perte de la sensibilité tactile
t les réflexes ordinaires consisterait dans le point de départ, ici cérébral , là cutané, mais en tout cas périphérique par r
qui présentaient des accès épileptiformes symptomatiques de lésions cérébrales , la sensibilité avait été altérée ou abolie après
iten. Wies- baden, 1887, p. H-18. LES FONCTIONS DU CERVEAU. 371 cérébrale , peut donner une idée de la complexité des prob
fficul- tés quand on aborde ces hautes questions de physio- logie cérébrale . La clarté de l'esprit, la beauté des raisonnem
hi sur la nature fonctionnelle des ré- gions excitables de l'écorce cérébrale , le physiologiste et le clinicien avoueront san
tomo-cliniques,qu'ilsont conscience de leur ignorance des processus cérébraux . II. Entre toutes les conceptions théoriques
de Nothnagel, Dario Maragliano -écrivait que les points de l'écorce cérébrale dont l'ir- : ritation donne lieu à des phénomènes
ur ces auteurs, ainsi que nous .l'avons déjà rappelé, dans l'écorce cérébrale , mais dans « cet tains centres pédonclilaires e
tres moteurs volontaires puisse être accomplie par d'autres contres cérébraux ; cela paraît même improbable. » * Tre casi di 2
motrice. Ce qui est vrai, c'est que ces aires motrices de l'écorce cérébrale ne sont pas les seuls et uniques centres des mu
trales relient les corps striés aux diverses régions de l'activité cérébrale ». Une excitation partie des « centres psychiqu
idées que Seppilli se range dans son récent travail sur les Tumeurs cérébrales , d'une érudition si étendue et d'une doctrine sci
iés, et que les impulsions motrices volontaires émanant de l'écorce cérébrale prennent une autre route. De ce que les fonctio
'hypothèse an- cienne sur la suppléance des fonctions de l'écorce cérébrale par les corps opto-striés', il n'y a sans doute
st que le corps strié est dans les mêmes rapports avec le pédoncule cérébral (pied et calotte) et avec le cervelet, que l'es
onnelle ob- servée est due aux parties restées indemnes de l'écorce cérébrale elle- même. Die in's Gehil'7l und 7 ! Mc ? e ?
fonctions aux cosps striés qu'aux parties sus-jacentes de l'écorce cérébrale . « Les corps striés, disent expres- sément Bagi
une partie in- tégrante des appareils ganglionnaires de l'écorce cérébrale située au-dessus. » Mais il existe des faits, q
d in the température of the Iwo sides of the body as symplomalic of cérébral lésions . -1'le Brit. med. Journ. 1889. - . LES
ns les mem- bres, le tronc ou la face du côté opposé à la lésion, cérébrale , ce n'est pas l'énergie des mouvements musculai
Goltz avait noté le même fait après la mutilation d'un hémisphère cérébral ; seulement, outre la sensibilité tactile, la s
la sensibilité tactile. Il ne faut plus le chercher dans l'écorce cérébrale ; il doit siéger quelque part, dans les parties
s de la motilité qui succèdent aux plus minimes lésions de l'écorce cérébrale ? 2 Schiff a rencontré de plus rudes adversaire
sur la localisation de la sensibilité cutanée dans les hémisphères cérébraux . 390 PllTSIOLOGIE. des contradicteurs au verb
es éléments excitables de l'écorce ne fussent que les prolongements cérébraux des faisceaux sensitifs des cordons postérieurs
nt inexcitable. Cf., pour la question de l'excitabilité de l'écorce cérébrale , en Italie, les recherches expérimentales de Ci
s, Hitzig avait vaguement indiqué que la zone excitable de l'écorce cérébrale devait renfermer à la fois des éléments nerveux
est la fonction physiologique des cellules ner- veuses de l'écorce cérébrale ? Sentir et percevoir les excitations centripèt
ais cer- tainement plus vraie, moins exclusive, des localisations cérébrales . Ainsi, la surface du cerveau ne doit pas être
) ou se trouvent très rapprochés (in gran vicinana) dans l'écorce cérébrale . » Avec Seppilli, Luciani avait cons- ' Luciani
tous les centres moteurs, il faudrait donc enle- ver toute l'écorce cérébrale . » L'expression de pareilles idées chez les aut
périences sur l'Excitabilité des différents territoires de l'écorce cérébrale chez les animaux nouveau-nés 1. i. Ainsi l'exci
us variés, n'a-t-elle pas pour substratum anatomique toute l'écorce cérébrale ? Tou- tefois, avec Vulpian, Albertom admettait
lable selon nous, qui a été exposée plus haut, savoir, que l'écorce cérébrale est le siège des idées et de la mémoire, c'est-
ement à ce qu'on observe quand la lésion n'intéresse que l'écorce cérébrale . Puisqu'il est impossible, avec la méthode des
la représentation schématique de l'extension probable, sur l'écorce cérébrale du chien, de l'aire sensitivo-motrice de Lucian
la motilité volontaire, se sont montrés du côté opposé à la lésion cérébrale , non du côté correspondant. Les fibres nerveuse
téraux de l'hémiplégie, Pitres a ' Le /ou ? molrici nella c-rlcccia cérébrale , in /{if. sperinzeni. di frein., 1878, 33 sq.
consécutive a lesioni sperimenlali in diverse zone delta corleccia cérébrale . Riv. speiiment. di freniatria, 1886, XI, -992;
marche à un an ; blésilé, fièvre typhoïde à onze ans avec accidents cérébraux . - Fugue ci douze ans et demi, débutant après u
tre ans, apprenait bien. Fièvre typhoïde à onze ans, avec accidents cérébraux . Pas de troubles intellectuels consécutifs. 1 E
t relevant de causes toutes différentes. R. M. C. III. Affections cérébrales d'origine traumatique; DEUX observations; par J
térieure gauche et au niveau de l'insula du môme côté. L'hémisphère cérébral gauche était atrophié dans son ensemble, mais d
s, comme dans le premier, il existait un cer- tain degré d'atrophie cérébrale , ayant, selon tarègle, comme siège unique ou pr
de ces deux maladies. Il. M. C. IV. Deux cas de thrombose DES sinus cérébraux ; par Joseph WIGLESWORTII. (The Journal of Menta
ce fait qu'une lésion limitée à la surface convexe des hémisphères cérébraux a été suffisante pour produire des symptômes oc
fusion entre les manifestations goutteuses et celles de la maladie cérébrale . Il semble donc légitime de conclure des partic
c de maladies des vaisseaux de l'économie etnolamment des d'artères cérébrales . M. 1l.tuz (de Fribourg). De la névrite optique
mptomatiquc. De Groefe rattachait la névrite optique des affections cérébrales à une augmentation de la pression intracrânienn
iques ou parasites, qu'il contient et qu'il a puisées dans le foyer cérébral . Passons donc en revue les différentes affections
revue les différentes affections de l'en- céphale. Dans les tumeurs cérébrales , ce n'est pas à une névrite que l'on a affaire
ation dans le pronostic. Ainsi les accès épileptoïdes, l'excitation cérébrale (céphalalgie), les vertiges avec attaques synco
cerveau.. ` M. Edinger (de Francfort). Du développement du manteau cérébral dans la série animale. Comment se comportent l'
rie animale. Comment se comportent l'ensemble des cir- convolutions cérébrales et les ganglions de la base chez les divers ani
thénie. -Les auteurs les plus mar- quants englobent dans l'asthénie cérébrale toutes les psychoses possibles. Il conviendrait
nt mais ils ne représentent plus de l'asthénie simple. L'as- thénie cérébrale se complique du trouble de l'énergie de la puis-
Pour le moment, il importe de se souvenir d'appliquer à l'asthénie cérébrale la dé- nomination de phrénasthénie. 462 SOCIÉ
d'origine nerveuse Bien des motifs militent en faveur de la genèse cérébrale et de la genèse vasomotrice des altérations org
s que rien expliquât cette fin. L'autopsie révéla : des altérations cérébrales insigni- fiantes. Mais les muscles du coeur ava
e que la phy- siologie psychologique démontre faction de l'activité cérébrale sur l'orgaue de la circulation, les auteurs rel
innervation et de pertubations trophiques produits par.l'altération cérébrale présidant à la psychose; la myocardite sera tenue
sibilité, le sens musculaire sont intacts; il n'y a pas de troubles cérébraux . Enfin il y a l'aspect empoté, la propulsion ou
ez un chien' par Richet, 283. Centres moteurs, par Herzen, 284. Cérébrale ,arrêt des hémorrhagies de l'artère --moyenne p
, 301. Dystrophie musculaire progressive, par Et, 447. Ecorce cérébrale (fonctions de l'), par Horsley et hcheefer, 148
rlina, 299; - (hémorha- gies dans la), par Savage, 433. Pédoncule cérébral , par Sioli, 151. Pénitentiaires (psychoses), pa
troubles trophiques du). par Ioilière, 'r30. Thrombose des sinus cérébraux , par Wiglesworth, 135. Trijumeau (racines du)
15 (1905) Oreille et encéphale : étude d'anatomie chirurgicale
zygomatique. Il contribue ainsi à la formation des fosses temporale, cérébrale moyenne et cérébelleuse. Chez le nouveau-né on
rapport en dehors avec la fosse temporale et en dedans avec la fosse cérébrale moyenne, et un segment sous-zygomati-que, ou basi
oral, la face interne montre une partie supérieure qui forme le champ cérébral de l'écaillé, et une partie inférieure en rapport
blissant ainsi une communication entre le système veineux de la fosse cérébrale moyenne et celui de la fosse cérébelleuse. Selon
t au-dessus de la ligne pointillée qui marque le plancher de la fosse cérébrale moyenne (fig. 1 et 5), tantôt au-dessous (fig. 2
seize rochers de gauche, soit 26,6 pour cent, le plancher de la fosse cérébrale se rapproche à deux millimètres au moins de la cr
avant l'opération, par rapport a cette ligne, la hauteur de la fosse cérébrale moyenne. Il crut pouvoir répondre à cette questio
s.............................. 17 21 Si 18 Le plancher de la fosse cérébrale moyenne ( Moyenne . . . mill. 11,3 8,7 5,2 5,2
.............(Minima .... » 7,0 4,o 2,0 2,0 Le plancher de la fosse cérébrale moyenne ( Moyenne ... » i5,i 12,1 7,6 6,4 se tr
0 7,0 5,o 4,o Ce tableau lui démontrait que le plancher de la fosse cérébrale moyenne était plus élevé chez les dolichocéphales
ques, sont favorables a la théorie de Korner. Elévation de la fosse cérébrale moyenne au-dessus de l'horizontale tangente au bo
e Garnault a mesuré la région la plus externe du plancher de la fosse cérébrale moyenne. Les conclusions de Korner, basées sur
isseur et creusée quelquefois de petites cellules, confine à la fosse cérébrale moyenne. L'extrémité inférieure, si l'antre est v
les, quelquefois assez volumineuses, en rapport en haut avec la fosse cérébrale moyenne, et en dedans avec le sinus latéral : c'e
s postéro-supérieures sinuso-cérébrales menacent à la fois les fosses cérébrales moyenne et cérébelleuse. La topographie du groupe
ieure de la ligne astérion-zygomatique marque le plancher de la fosse cérébrale moyenne. Le point supérieur du plan médian indiqu
e, nommée zone de l'antrotomie. Elle est limitée en haut par la fosse cérébrale moyenne, en avant par la corticale pré-mastoïdien
e restreinte de haut en bas par l'abaissement du plancher de la fosse cérébrale moyenne. C'est alors une véritable impasse, dans
On craignait la blessure du sinus latéral et l'ouverture de la fosse cérébrale moyenne, accident opératoire considéré comme plus
aideront à contourner un sinus trop procident et à ménager une fosse cérébrale démesurément profonde. S /,. — PORTION PÉTREUSE
pyramide et forme ainsi Veminentia arcuata; il est séparé de la fosse cérébrale moyenne par une lame osseuse, souvent aussi mince
e. Dans le reste de son étendue, le limaçon répond en haut à la fosse cérébrale moyenne un peu en dedans de l'hiatus de Fallope:
). Jansen a démontré que les abcès exlra-duraux profonds des fosses cérébrales moyenne et cérébelleuse se développent à la suite
pontanée. » Complications endocrâniennes des cochléites. — La fosse cérébrale moyenne est mieux protégée contre les suppuration
................................... 60 fois La méningite et l'abcès cérébral .................................. 6 — L'abcès c
Soupçonne-1-on l'existence d'un abcès extra-dural profond de la fosse cérébrale moyenne ? On fera sauter le tegmen antri et l'on
e insensiblement avec le plancher de la caisse. Paroi supérieure ou cérébrale (tegmen tympani).—Formée presque toujours par une
r une très fine lamelle d'aspect vitré, cette paroi répond à la fosse cérébrale moyenne. Chez le nouveau-né, elle présente la fis
tes. Le trait d'union presque obligé entre l'otite et la complication cérébrale est la carie du tegmen tympani. Paroi inférieur
euse, dont l'épaisseur atteint 2-3 millimètres, la sépare de la fosse cérébrale moyenne. Portion tympanique. — Presque horizont
ar la fosse jugulaire. Le canal de Fallope communique avec la fosse cérébrale moyenne par l'hiatus de Fallope, avec la fosse cé
sceau génicuié), traversent le cinquième interne du pied du pédoncule cérébral , le ruban accessoire ou pé-donculaire médial (pes
dinal supérieur qui reçoit les veines de la convexité des hémisphères cérébraux se dévie à droite ou à gauche de la protubérance
tes les veines de la face inférieure du cerveau et une bonne part des cérébrales externes et inférieures. Le second lac sanguin es
cérébelleuses latérales supérieures et inférieures ; c) Les veines cérébrales postérieures externes et inférieures ; d) La ve
et se jeter dans le sinus latéral. En s'anastomosant avec les veines cérébrales , elles forment plusieurs troncs contenus dans l'é
es sinus à la protubérance occipitale interne. » (Hédon). c) Veines cérébrales postérieures externes et inférieures temporo-occi
ostérieures externes et inférieures temporo-occipitales. — Les veines cérébrales postérieures externes, dirigées d'avant en arrièr
elles s'anastomosent en avant avec les veines sylviennes. Les veines cérébrales postérieures et inférieures, parcourent la face i
ente du cervelet leur est ordinairement commune avec celle des veines cérébrales de la face externe, tributaire du sinus latéral,
flocculus (Merkel) ; les plexus veineux protubérantiels ; des veines cérébrales latérales et inférieures, et enfin le sinus ophth
aires : le tegmen tympani et Yemineniia arcuata au niveau de la fosse cérébrale moyenne, la région mastoïdienne et la zone de la
aux de la fosse cérébelleuse sont plus fréquents que ceux de la fosse cérébrale moyenne. Gela s'explique si Ton considère que Y o
cérébelleuse..................................... 3o \ Sur la fosse cérébrale moyenne................................ 12 , fois
cérébelleuse..................................... 33 ] Sur la fosse cérébrale moyenne................................ 10 fois s
ique, tubercules quadriju-meaux antérieurs et postérieurs, pédoncules cérébraux , protubérance annulaire, bulbe). On peut rencontr
re. Structure des lobes temporaux et occipitaux. — Dans chaque lobe cérébral , on doit considérer séparément la substance grise
e grise corticale et la substance blanche. Substance grise : écorce cérébrale . — D'après Ramon y Cajal, l'écorce cérébrale est
Substance grise : écorce cérébrale. — D'après Ramon y Cajal, l'écorce cérébrale est formée de quatre couches de cellules, disposé
, d'association intra-hémisphérique). Localisations. — Sur l'écorce cérébrale , on a délimité différents territoires nommés cent
u bien ces centres occupent des points symétriques sur la corticalité cérébrale , ou bien ils siègent sur un hémisphère seulement,
et psychiques. « Ce sont là trois troubles différents des opérations cérébrales qui succèdent aux impressions de l'ouïe ou de la
onvient de désigner l'abolition de l'audition, sous le nom de surdité cérébrale ou corticale, l'abolition de l'audition des objet
ire de la capsule interne et occupe le cinquième externe du pédoncule cérébral ) ; b) La radiatio acustica du corps genouillé i
lobe occipital, se rendent aux différenls centres du langage. Abcès cérébral otitique. — L'abcès cérébral otitique siège presq
x différenls centres du langage. Abcès cérébral otitique. — L'abcès cérébral otitique siège presque toujours dans le lobe temp
gagne peu à peu en profondeur pour constituer définitivement l'abcès cérébral interlobaire. Ce mécanisme pathogénique serait un
nkystée, laquelle, à son tour, produirait l'infection de la substance cérébrale . Quoi qu'il en soit, le point essentiel à noter
stéite et de l'encéphalite. Si, donc, l'on est en présence d'un abcès cérébral sans symptômes précis de localisation, comme c'es
ré que les foyers d'ostéite du temporal siègent au niveau de la fosse cérébrale moyenne, soit sur le tegmen tympani, soit sur Vem
dépourvues de signification physiologique bien déterminée. L'abcès cérébral otitique peut se développer, soit en longueur, so
t l\ centimètres de dedans en dehors Le tableau clinique de l'abcès cérébral ne se prête pas à une description d'ensemble. Ent
ble de la lésion. Depuis Bergmann, on range les symptômes des abcès cérébraux sous trois chefs : i° Symptômes généraux dûs à l'
lement une diminution de l'acuité auditive du côté opposé à la lésion cérébrale . D'après Korner, cette surdité d'origine centrale
éclaire la moitié obscure du champ visuel. « Le diagnostic d'abcès cérébral ayant été posé, cette constatation permettait d'e
troubles de la sensibilité. Pick et Zaufal diagnostiquèrent un abcès cérébral siégeant au niveau de la portion postérieure des
urdité verbale aurait été signalée deux fois seulement dans les abcès cérébraux otitiques du lobe temporal gauche. Par contre, la
ncore observé un cas indiscutable d'aphasie motrice pure dans l'abcès cérébral . Troubles de l'odorat. — Une lésion capable d'a
Ces troubles olfactifs siégeront toujours du même côté que la lésion cérébrale , étant donnée la non-décussation des fibres olfac
la voie afférente. Bechterew y distingue deux faisceaux qu'il dénomme cérébral et spinal. Le faisceau cérébral, voie afférente
tingue deux faisceaux qu'il dénomme cérébral et spinal. Le faisceau cérébral , voie afférente, tire son origine des noyaux poli
de Meynert, et, finalement, avec les ganglions de la base et l'écorce cérébrale parles fibres rubro-thalamiques et rubro-cortical
de grande valeur pour établir le diagnostic différentiel avec l'abcès cérébral (Bourgeois.) Elle résulte d'une compression, soit
, on va droit au but. L'attico-antrotomie terminée, on ouvre la fosse cérébrale moyenne sur des points et à l'aide de procédés qu
ent sur le tegmen antri ou sur le tegmen tympani, on ouvrira la fosse cérébrale moyenne. Si l'on trouve une fistule au niveau du
latéral. Voie squamo-auriculaire. — On doit d'abord ouvrir l'abcès cérébral par la voie auriculaire, pour pratiquer ensuite u
récy (M.), Les troubles de la sensibilité dans l'hémiplégie d'origine cérébrale . Paris 1902. Brindel, Des mastoïdites latentes.
opératoire de l'oreille moyenne. Paris 1899. — Précis de chirurgie cérébrale . Paris, 1903. — et Maubrac (P.), Traité de chir
rgie cérébrale. Paris, 1903. — et Maubrac (P.), Traité de chirurgie cérébrale . Paris 1896. — et Lubet-Barbon (F.), Les suppur
ertation. Kônisberg, 1897. — (H.), Contribution à l'étude des abcès cérébraux d'origine otitique. Archives internationales de l
vue hebdomadaire, 1903. — et Jaboulay, L'hémianopsie dans les abcès cérébraux d'origine otique. Revue de Médecine. N° 8, 1896.
e Paris, igoo. — Sur deux cas de complications encéphaliques (abcès cérébraux ) d'origine otitique. Revue hebdomadaire, rgoo. Na
ur la figure i. La ligne pointillée indique le plancher de la fosse cérébrale moyenne. On la voit très rapprochée du pôle supér
entia arcuata. Une très mince cloison osseuse le séparait de la fosse cérébrale moyenne. La branche postérieure croise à angle dr
e pneumatique. Au-dessus du sinus latéral, on aperçoit la dure-mère cérébrale qui tapisse la face externe du lobe occipital.
ut être éviclée sans crainte de blesser le sinus ni d'ouvrir la fosse cérébrale moyenne. La ligne horizontale, passant par le r
ral, le segment sous-lenticulaire de la capsule interne, le pédoncule cérébral , le corps calleux ; 4° parmi les faisceaux d'asso
pe du canal demi-circulaire externe, et, sous le plancher de la fosse cérébrale moyenne, celle du canal demi-circulaire vertical
première, postéro-supérieure ou sinuso-cérébrale, confine à la fosse cérébrale moyenne, à la loge cérébelleuse et au sinus latér
16 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ment, quoi qu'il n'ait donné aucun signe de fo- lie ou de désordres cérébraux , son caractère empoité lui valut plusieurs puni
f de clinique médicale à l'Université de Bordeaux. IL- LOCALISATION cérébrale DU sens musculaire. Le rôle physiologique des s
issenscli, vol. XXXV. 1859. 2 Véyssière. L'hémiallesthésie de cause cérébrale . Thèse de Paris, 1874. i. ' G. Ballet. Le fai
2u Lorsque le thalamus étant intact ses connexions avec l'écorce cérébrale sont complètement détruites; pour réaliser cette
uche optique. La clinique montre en tout cas que dans l'hémi plégie cérébrale vulgaire due à des lésions. capsulaires empiétant
ence des troubles de la 1 Tripier. De l'anesthésie dans les lésions cérébrales . (Revue de méde- cinq, 1880,) 3Ltedlict. Uebe
cilato 36 REVUE CRITIQUE. sensibilité générale dans l'hémiplégie cérébrale et admet lui aussi l'indépendance relative des
v. Localisation du sens musculaire à propos d'un cas de traumatisme cérébral . (Nell1'ologischen Cecilrcclblall, 1898.) 3 Hen
Verger. Les troubles de la sensibilité générale dans l'hémiplé- gie cérébrale vulgaire. (Archives cliniques de Bordeaux, 1897.)
CULAIRE. 37 existaient dans l'immense majorité des cas d'hémiplégie cérébrale , mais qu'ils tendaient à s'atténuer et même à d
t pour ainsi dire la règle dans la première période de l'hémiplégie cérébrale , il nous est plus difficile de savoir exac- tem
epousser cette opinion et tend à rattacher toutes les anes- thésies cérébrales à une lésion de la partie postérieure de la capsu
sensations musculaires. En revanche la question de la localisation cérébrale du sens muscu- laire et de ses rapports physiol
l'humanité, dont l'organi- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 43 sation cérébrale parfaite constitue l'épanouissement suprême des
ec le bleu de mé- thylène, une chromatolyse centrale. Dans l'écorce cérébrale , les cellules de la névroglie sont nombreuses a
git la source féconde de ce perfectionne- ment continu du dynamisme cérébral , qui se produit, selon l'ex- pression consacrée
l'instruction populaire; car, pour lui, améliorer le fonctionnement cérébral , c'est augmenter d'autant la force de résistanc
les nerveuses ou neurones. R. de \luscnAVr.-CLar. XXII. La syphilis cérébrale et méningée, son traitement par les injections
as l'intervention chirurgicale est-elle justifiée dans les maladies cérébrales ; par Edward D. Fisiier. ( The neuf York Médica
cutive à une otite moyenne. L'auteur ajoute que dans les opérations cérébrales il faut se garder des ouvertures trop petites q
mieux. R. DE nIUSGIt3VE-CL.11. XXIV. Étude sur deux cas de tumeur cérébrale , avec la relation des résultats opératoires dan
s de troubles trophiques. Tous ces symptômes indiquent un néoplasme cérébral ; le traitement anti- syphilitique reste sans e
ordinairement. Le second, marié, a une fille atteinte d'hémiplégie cérébrale infantile. Parmi les quatre soeurs, deux sont c
lle eut six enfants, dont quatre sont morts en bas âge d'affections cérébrales (méningites ? ) ; une fille (bye enfant) morte
es des centres nerveux, idiotie, paralysie, épilepsie, hémi- plégie cérébrale infantile. A propos des circonstances héréditai
utions; elle se détache partout très facilement sur les hémisphères cérébraux et sur le cervelet. OEdème du cerveau ; les cir
ession vers le bord supérieur de l'hémisphère. Un pont de substance cérébrale sépare d'abord com- plètement les deux parties
aler. Très peu d'auteurs ont donné des détails sur la mor- phologie cérébrale dans la maladie de Huntington. Kronlhal et Kali
éjà pensé M. Dou- trebente ; enfin parce qu'à l'instar des maladies cérébrales , elle naît des maladies cérébrales et engendre
parce qu'à l'instar des maladies cérébrales, elle naît des maladies cérébrales et engendre des maladies cérébrales. Les paraly
rales, elle naît des maladies cérébrales et engendre des maladies cérébrales . Les paralytiques généraux appartiennent non pas
istent pour ainsi dire pas dans ces familles, mais aux familles des cérébraux , et s'il existe une hérédité pour la paralysie
n'est point l'héré- dité vésanique ou de la folie, mais l'hérédité cérébrale ou, 122 , CLINIQUE MENTALE. comme disait M. D
aralytiques généraux, n'engen- drent point des vésaniques, mais des cérébraux et que si les enfants de ces malades sont voués
e ou de leur mère, ce n'est point à la folie, mais aux affections cérébrales et aux affections cérébrales de tout ordre. » C
point à la folie, mais aux affections cérébrales et aux affections cérébrales de tout ordre. » Cette manière de voir nous sem
s dans les familles des paralytiques généraux sont les affections cérébrales qui y figurent pour le chiffre de 143, alors que
maladies de l'appareil respiratoire avec '7C, ensuite les maladies cérébrales avec 40, les névroses et la folie avec 35, les ma
servé dans la plupart des cas. P. KERAVAL. IL Observation de tumeur cérébrale s'étant traduite par les symptômes du mal sous-
iser exactement les voies cherchées dans le territoire du pédoncule cérébral et de la capsule interne, car. dans ces deux ré
imètres de profondeur. La combinaison des deux méthodes, spinale et cérébrale , doit donner d'excellents résultats Mais il ser
rritoire de la partie réticulée de l'étage supérieur des pédoncules cérébraux à l'exception des fibres radiculaires des faisc
rdon antérieur des pyramides, en continuant directement leur trajet cérébral . Dans les cas donc où il n'y a pas de cordon an
. A la hauteur du noyau latéral de l'étage supérieur des pédoncules cérébraux , le faisceau de Gowers décrit une courbe brusqu
calcification qui a évidemment déterminé un trouble de la nutrition cérébrale (thèse de Coulbault, 1881), ne s'explique ici n
toxique ou auto-toxique. Kussmaul et Tenner ont montré que l'anémie cérébrale brusque provoquait des convulsions généralisées
on de 61 à 183 grammes dans 27 cas. A l'état normal les hémisphères cérébraux sont à peu près égaux en poids et on peut consi
ont plutôt en faveur d'une lésion cir- conscrite, ou d'une syphilis cérébrale plutôt qu'en faveur d'une paralysie générale.
gique de l'aphémie. « Quant à la théorie actuelle des localisations cérébrales , telle qu'elle a été constituée par les travaux
er, elle est née de la découverte de l'excitabilité de la substance cérébrale au moyen de l'électricité; elle date de 1870 et
Comme l'a dit Meynert, le corps entier se projette dans l'écorce cérébrale . Tous les tissus, tous les organes, toutes les fo
rès laquelle il existerait des organes périphériques et des centres cérébraux de la douleur. La douleur n'est pas une sensati
vée de notre connaissance de l'univers considéré comme un phénomène cérébral . » M. Jules Soury rend par son livre unique d'i
épendent des faisceaux d'associa- tion, unissant les divers centres cérébraux . L'attitude de M. J. Soury en présence de tant
ns. Depuis quelque temps, la mère donnait des signes de dérangement cérébral ; mais ces troubles étaient bien loin de faire p
ire de la miction, déter- miné par Budge, il existe aussi un centre cérébral analogue, résultat du fonctionnement psychique
polla- kiurie impérieuse, mais commandée par l'activité du centre cérébral urinaire. Le cas de notre malade n'est cependan
ssus du lobule du pli courbe dans la première pariétale. Les points cérébraux sont accusés très vivement par la malade lorsqu
de régres- sion. En plein travail, je percute doucement les points cérébraux sans avoir prévenu ma malade. Je lui demande ce
uis au pied des deux deuxièmes frontales. Si je comprime les points cérébraux en même temps que le point médullaire, la malad
lques mouvements z Je sens mes bras + La tête me fait mal là (point cérébral de la poitrine). Je per- cute le point : je sen
ler les vues si intéressantes de M. Sollier sur les loca- lisations cérébrales . J'ai toujours constaté la corrélation qui exis
ullaire au-dessous du renflement cervical et deux points douloureux cérébraux au pied des deux deuxièmes frontales. A un mome
A un moment donné, je comprime en même temps les points douloureux cérébraux et médullaires. Je note alors une plus grande a
ue, par le fait que je cesse brusquement la compression, les points cérébraux et médullaires ne se réveillent pas, amenant ai
ler par une action directe sur les points douloureux médullaires ou cérébraux ? C'est là une simple vue de l'esprit, déductio
p- çonner une cause d'irritation dans un point limité de l'écorce cérébrale . Comment l'attaque d'hémiplégie a-t-elle agi chez
r, en même temps qu'on pratiqua, une ablation large de la substance cérébrale , les suites immédiates de l'opération furent de
sain, mieux vaut se replier en bon ordre. Atta- quer la corticalité cérébrale , c'est enlever une partie des cellules et secti
ées au niveau de la saillie osseuse. A ce niveau aussi la substance cérébrale est déprimée, mais normale d'aspect. On pratiqu
spécial, d'autant qu'elle s'accompagne invariablement d'une douleur cérébrale particulière. Enfin la prédominance du rouge da
rk. R. M. C. XXXVI. Les points de différenciation entre la syphilis cérébrale et la paralysie générale des aliénés ; par Iioc
boutissant finalement à l'atrophie et à la destruction des éléments cérébraux , surtout des éléments corticaux. Le type classi
lésions bilatérales dans la région pédonculaire ; dans le pédoncule cérébrale droit, un foyer de ra- mollissement qui détruit
oteur commun et une partie du pied du pédoncule ; dans le pédoncule cérébral gauche, un foyer scléreux détruisant le quart 2
ophiques plus ac- centués après les ictus. A l'autopsie, sclérose cérébrale atrophique, probablement dif- fuse (diminution
tue un exemple exceptionnel d'un cas d'aphasie due à la sclérose cérébrale atrophique ; 3° comme contribution à l'histoire,
à l'histoire, à peine connue, de la symptomatologie de la sclérose cérébrale de l'adulte. Epilepsie. M. de FLEURY présente
d'épilepsie géné- rale et leurs rapports avec l'ancienne affection cérébrale est évi- ' dente. 2° Malade adulte. A partir
psie générale dans beaucoup de cas est l'expression d'une affection cérébrale , dans d'autres cas c'est une , névrose de l'éco
uère que pour quereller la vieille femme. Les signes de dérangement cérébral qu'on avait autrefois remar- qués devinrent che
s protoplasmiques ou dendrites des cel- lules nerveuses de l'écorce cérébrale des animaux vertébrés adultes, traitée par la m
été aussi trouvés par quelques auteurs non seulement dans l'écorce cérébrale , mais encore dans diverses régions du cerveau.
pyramidales et les dendrites de la couche superficielle de l'écorce cérébrale , qui sont richement pourvus d'appendices collat
tre seulement à quelque distance du corps cellulaire. Dans l'écorce cérébrale les dendrites de presque toutes les cellules ne
d'appendices collatéraux, mais il faut remarquer, que dans l'écorce cérébrale des animaux adultes bien por- tants on rencontr
ombre. En nous basant sur les recherches personnelles de l'écorce cérébrale de quelques animaux vertébrés nouveau-nés, nous
la souris, le chaton, le choucas, etc...) la structure de l'écorce cérébrale diffère de beaucoup de celle des animaux adulte
aye, le poulet, etc.); cette différence histdlogique entre l'écorce cérébrale em- bryonnaire et entre l'écorce cérébrale bien
tdlogique entre l'écorce cérébrale em- bryonnaire et entre l'écorce cérébrale bien développée con- cerne non seulement le deg
flements et sont pauvres en appendices collatéraux. Dans l'écorce cérébrale des animaux adultes normaux quelques-unes des d
lement celles qui traversent les couches superficielles de l'écorce cérébrale , se trouvent par place en état perlé; mais ce d
rolongements protoplasmatiques des cellules ner- veuses de l'écorce cérébrale des animaux adultes normaux sont couverts d'une
atéraux; 2° ce n'est que çà et là qu'on peut observer dans l'écorce cérébrale . 276 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. des dendrites te
at perlé ; 3° chez quelques-unes des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale , que l'on rencontre très rarement et qui n'appa
manifeste parce que l'état moniliforme, qu'on observe dans l'écorce cérébrale des .animaux adultes nor- maux très rarement, d
nt celles qui passent dans les couches superfi- cielles de l'écorce cérébrale ; le processus variqueux se. pro- page ordinaire
rapidement dans le trouble brusque de la circulation dans l'écorce cérébrale , comme, par exemple, dans nos expériences de li
nmes jamais à constater un état variqueux des dendrites de l'écorce cérébrale peu de temps après l'intoxi- cation ; il se dév
rolongements proto- plasmatiques des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale peu- vent se modifier, donnant un tableau d'un
et demi à quatre jours à une forte gelée, la structure de l'écorce cérébrale ne présente rien de particulier. Si le cadavre
Confirmons ce que nous venons de dire d'un exemple : dans l'écorce cérébrale d'un cobaye soumis pendant plus de dix jours à
dernier et ses élèves aussi admettent que les dendrites de l'écorce cérébrale ont la propriété de changer rapidement leur for
nous l'avons vu, presque toutes les cellules nerveuses de l'écorce cérébrale ont sur leurs dendrites une grande quantité d'a
prolongements protoplasmatiques des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale ne peut pas servir d'expression du procès physi
ons déjà indiqué plus haut que les cellules ner- veuses de l'écorce cérébrale dans diverses conditions patho- logiques réagis
s. Quelle est donc la forme du trouble de nutrition dans l'écorce cérébrale qui mène à l'état moniliforme des prolongements
mène à des défor- mations très profondes des dendrites de l'écorce cérébrale ; quant à l'h3'perbémie causée par l'influence
t d'assez longue durée, peut-être qu'il n'y a point dans l'écorce cérébrale d'aussi grossiers changements vasculaires, comme,
prolongements protoplasmatiques des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale qui a été constaté dans des maladies psychiques
ces collatéraux des prolon- gements protoplasmatiques dans l'écorce cérébrale , diminue évidemment, au sur et à mesure que les
rolongements protoplas- matiques des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale dans des maladies mentales sont pour le moment
se trou- vent en état variqueux. Ainsi par exemple dans l'écorce cérébrale d'un chaton normal, qui a vécu trois jours, nous
atéraux, ce qui saute aux yeux à l'examen microscopique de l'écorce cérébrale d'un chaton nouveau-né. En comparant l'écorce c
de l'écorce cérébrale d'un chaton nouveau-né. En comparant l'écorce cérébrale traitée par la méthode de Golgi, prise chez un
à-dire, avec une atrophie variqueuse de ces derniers, et l'écorce cérébrale des animaux nouveau-nés qui viennent au monde d
rolongements protoplas- matiques des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale doit correspondre, évidemment, à l'affaiblissem
iatrie, 1896, p. 23.) Cajal (Hamon y). Sur la structure de l'écorce cérébrale de quelques mammifères. (La Cellule. 1891, t. V
, p. 163. DEMOOR (Jean). La plasticité morphologique des neurones cérébraux . (Archives de Biologie, Liège, 1890, t. XIV.) D
' Klinische Wochenschrift, 1894, n° 14, s. 32 : j.) HAMILTON. The cérébral cortical cell under the influence of poisonous
ogique des éléments nerveux dans le processus provenant d'embolisme cérébral . Con- sidérations sur la signification physiolo
rton (Louis). Le sommeil hibernal et les modifications des neurones cérébraux . Travaux de laboratoire de l'Institut de Solvay
STEFANO\VoKA (Micheline). Les appendices terminaux des den- drites cérébrales et leurs différents états physiologiques. Travaux
anowska (Micheline). -Sur le mode d'articulation entre les neurones cérébraux . (Société de Biologie de Paris, 19 novembre, 18
tion à l'étude des modifications des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale dans l'anémie expérimen- tale. (Journal de Neur
use en rapport avec l'atrophie variqueuse des dendrites de l'écorce cérébrale . (La Cellule, 1898, t. XIV, 2° fascicule.) Souk
de l'état et du dévelop- pement des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale chez quelques ver- té6rés nouveau-nés. (Revue N
'étude de l'état moniliforme des dendrites des cellules de l'écorce cérébrale . Mos- cou, 1899. TANzi (Eugenio). I fatti e l
ETS DE PIÉTÉ COMME INSTRUMENTS DE MEURTRE. 289 cellules de l'écorce cérébrale par la méthode de Golgi. Comptes rendus hebdoma
variable et le signe de Seeling-Muller inconstant. Dans les tumeurs cérébrales il existe presque toujours des troubles pupillair
des troubles pupillaires graves et complexes. Dans les hémorragies cérébrales , ils sont moins fréquents, sauf le myosis qui e
chonévroses, le poids spécifique des diverses par- ties de l'écorce cérébrale , de la substance blanche, du cervelet ne s'éloi
ngestive delà paralysie générale, le poids spé- cifique de l'écorce cérébrale est supérieur à la normale. Par ordre de fréque
avec des processus d'inflammation aiguë, d'anémie ou d'hyper- hémie cérébrales . Il en fut de même pour le bulbe. J. Ségalas. X
. (Riv. di pat. nerv. et ment., fasc. VIII, 1899.) XLIV. Le pouls cérébral dans les diverses positions du sujet ; par le p
professeur Sciammana. (Riv. Sp. di frein., fasc. I, 1899.) Le pouls cérébral est d'autant plus ample que la position du suje
roite. La position du sujet et du tronc res- tant la même, le pouls cérébral est d'autant plus ample que des changements de
hers sulfuriques. J. SEGLAS. LIV. Des altérations de la circulation cérébrale dans l'intoxication alcoolique aiguë; par W. DE
les ondes du pouls deviennent plus rares, et appa- raît de l'anémie cérébrale déjà manifeste à la fin du premier stade de l'a
en augmente, mais, malgré l'exagération de la pression, l'hypérémie cérébrale ne reparait point. L'introduction dans les vein
entation de la pression du sang et assez égale- ment de l'hypérémie cérébrale ; il y a un certain parallélisme entre les deux
ites doses produit une modification insignifiante de la circulation cérébrale ; on constate, REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGI
ngestion stomacale d'alcool à hautes doses pro- voque une hypérémie cérébrale persistante suivie d'une anémie : parfois c'est
elle du lapin, les fines cellules-araignées de la substance blanche cérébrale et cérébelleuse, enfin la moelle d'un tabétique ;
tout simplement à l'opération psychique correspondante en l'écorce cérébrale et non aux phénomènes physiques vasculaires inv
es du cordon latéral. A la partie la plus inférieure du pédoncule cérébral , le ruban de Reil se partage en trois faisceaux
n tout cas, de très bonne heure, apparaît dans le pied du pédoncule cérébral un premier et unique faisceau qui doit être att
e le premier segment du même organe et se rend au pied du pédoncule cérébral ; il occupe successivement par rapport au trous
-ci est bien une REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 333 dégénérescence cérébrale , stigmate organique qui ne disparait qu'avec la
sence est uniquement une altération héréditaire de l'organisation cérébrale ; ou elle est le résultat de causes déterminantes
ossédant sensibilité, discernement et volonté, à l'instar du centre cérébral proprement dit, siège de ce que nous nommons no
ons étaient constatées dans tout le système nerveux central (écorce cérébrale et cérébelleuse, noyaux bulbaires, cellu- les d
nd nombre de cas d'acromégalie on observe : des symptômes de tumeur cérébrale (céphalée, vertiges, névrite optique) ; de l'hé
ion du bulbe dans le processus du coma et de la mort par hémorragie cérébrale . Origine infectieuse du diabète hydrurique. M.
ait aussi la surdité verbale pure, malheureusement une hémorragie cérébrale qui entraîna la mort détruisit et noya la lésion
mmunications à la Société de biologie sur la pathogénie des lésions cérébrales , révèlent par les considérations qui les accomp
es sujets choisis ont été : de l'idiotie liée à « certaines lésions cérébrales ; des actes impulsifs dans les « différentes fo
'une réelle importance au point de vue de la pathogénie des lésions cérébrales . En 1884, sur la question délicate du régime al
dans une grande agitation. D'autres alcooliques, toujours à écorce cérébrale hyperes- thésiée, ayant des hallucinations, voi
sie, que nous cherchons, dans ce travail, à localiser dans l'écorce cérébrale , dans les centres des sens, n'est cependant pas
t le nervosisme et amoindrissant la force volontaire, la résistance cérébrale . Au moment de ses règles, contrainte par le syn
eures du soir. Antécédents héréditaires. - Père mort, d'hémorrhagie cérébrale , très buveur. Mère morte d'une maladie de poitr
peur, dit-il, est un phé- nomène d'arrêt, dans lequel les fonctions cérébrales sont partiellement suspendues, tant au point de
implique l'origine traumatique des accidents dus à une hémorrhagie cérébrale , de cette espèce, suivie de ramollissement. Les
alité et la quantité du mouvement effectué, il faut que les centres cérébraux fonction- nent ensemble, et que, par conséquent
s le cervelet, mais non dans le bulbe. Les deux courants sanguins cérébraux et spinaux se biisenlà la limite du bulbe. Le b
es troubles des fonctions génitales chez la femme, les traumatismes cérébraux , la sénilité, etc. Outre les causes énumérées c
peut grouper les épileptiques en 4 catégories : 1° grosses lésions cérébrales , telles que ramollisse- ments localisés, gommes
syphilis en tant que virus, saturnisme, etc., sans signes de lésion cérébrale localisée ; 3° cas hystéroïdes, assez incurable
iennent' que la céphalalgie ne prend jamais naissance dans le tissu cérébral , et beaucoup de psychologistes assurent que tou
'argument tiré de la céphalalgie qui succède à une sim- ple fatigue cérébrale par excès de travail et qui ne peut être due qu
ux particuliers de la sensibi- lité vibratoire. Dans les affections cérébrales avec anesthèsies cutanées, les troubles vibrato
nant les interruptions de toutes les caté- gories d'identifications cérébrales aura-t-il peut-être l'avantage de faire mieux r
processus parcourt deux niveaux, deux catégories d'identifications cérébrales : les identifi- cations primaires (sensations s
ecin psychologue reconnaîtra sans peine cette forme de neurasthénie cérébrale qui s'accompagne si souvent de dépression profo
commencement de celte année des marques manifestes de dérangement cérébral . Il avait dû cesser, voici quelques semaines, de
ar ces événements tragiques, est mort dans la nuit d'une congestion cérébrale dont les médecins font remonter la cause à l'ém
roscopique attentif n'a rien pu faire découvrir d'anormal. Ecorce cérébrale . - Méthode de Nissl. - Circonvolution frontale
rendre compte des rapport des petites cellules avec Fiy. Il. Ecorce cérébrale , Frontale ascendante-droite. (Méthode de Nissl.
ndance des petites cellules rondes dans toute l'étendue de l'écorce cérébrale . Elle est la représentation exacte du champ mic
développement de ces petites cellules est égale- Fir. 12. - Écorce cérébrale . (.Méthode de Nissl. Vérick. Oc. 3, Obj. i. Nou
Nous ne nous sommes point borné à l'examen des cellules de l'écorce cérébrale et avons pratiqué les méthodes de Weigert et de
les mêmes rapports que ceux décrits plus haut à propos de l'écorce cérébrale . Notons en outre que les cellules nerveuses de
ration des cellules pyramidales et des petites cellules de l'écorce cérébrale allant de la raréfaction protoplasmique périnuc
tion. « L'hallucination est donc toujours et constamment un trouble cérébral , d'origine cérébrale centrifuge, et jamais un t
n est donc toujours et constamment un trouble cérébral, d'origine cérébrale centrifuge, et jamais un trouble périphérique. »
'il y a émission de pensée sans excitation quelconque d'une cellule cérébrale . Nulle idee abstraite ou objective n'est conçue
ce de M. Magnan un dégénéré, avec appoint alcoolique, dont l'écorce cérébrale était hyperesthésiée un mois encore après son i
ez les autres, il y a une hyperesthésie corticale, une excitabilité cérébrale telle qu'un choc suffit pour produire l'image h
ool, ces déshérités avaient déjà un caractère irritable, une écorce cérébrale facilement excitable. L'alcool est venu, l'exci
e sylvienne droite est moitié ohM petite que la gauche. Les artères cérébrales antérieures paraissent égales, il en est de mêm
peu plus petit que le gauche. Dans son tiers interne, le pédoncule cérébral droit est moins bombé que le gauche ; il en est
en relief par les mensu- rations comparatives des deux hémisphères cérébraux que nous avons données et qui s'est traduit par
es en avant, passent en décri- vant un arc par le pied du pédoncule cérébral et fournissent des collatérales au corps de Luy
ralement ressortent de la couche optique et traversent le pédoncule cérébral , arrivent au noyau lenticulaire du même côté, s
ijumeau ; et il conclut que : il l'exis- tence d'un seul hémisphère cérébral suffit à la vision binoculaire; chaque bandelet
re-croisement incomplet. P. IERAV : 1L. LXXV. Observation de tumeur cérébrale de la région motrice gauche ; hémiplégie gauche
de faiblesse colossale. Jamais de con- vulsions. Diagnostic. Tumeur cérébrale probable. La paralysie ne s'accroît pas ; la cé
de supposer que les fibres nerveuses laryngées, parties de l'écorce cérébrale un peu en arrière du pied de la troisième fron-
foyer dépassait en bas lacouche optique et intéressait le pédoncule cérébral au niveau de l'émergence de la troisième paire;
postérieur de la capsule interne était également envahie. L'écorce cérébrale était intacte; on n'a constaté aucun foyer sous
émiplégie alterne et son absence dans les hémi- plégies par lésions cérébrales . A. rENAYROU. 516 6 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUS
des symptômes semblables à ceux de la méningite vraie : 1° OEdème cérébral aigu, d'oidinaire consécutif à des trauma- tism
IE NERVEUSE. . toujours très sensible. Troubles vaso-moteurs (tâche cérébrale ). Peau perd son élasticité (putty skin). Quelqu
chidien a toujours été négatif. Symptômes. - Symptômes d'irritation cérébrale : Céphalée, délire, suivis de stupeur et coma.
ire. La forme chronique ; prend quelquefois les symptômes de tumeur cérébrale : Névrite optique, céphalée, vomissements, vert
aît que vingt cas. Il n'y a aucun changement dans le fonctionnement cérébral tant qu'elles ne sont pas grandes. Bristowe a e
ns spasmo-paralytiques infantiles désignées sous le nom de diplégie cérébrale spasmodique infantile ou maladie de Little. Le
e Little. Le diagnostic de la sclérose en plaques et de la diplégie cérébrale spasmodique constitue souvent un problème très
des, plus fréquent dans la sclérose en plaques que dans la diplégie cérébrale spasmodique tendait encore à faire rejeter ce d
yers de ramollissement intéressant le pédon- 534 BIOGRAPHIE. cule cérébral gauche et ayant détruit les noyaux de la troisièm
représente-t-elle une unité em- bryologique, par Onoflio, 311. Cérébrale . Excitabilité de l'écorce - citez les animaux n
, par Joffroy et 1,el-valix, 258. - Altérations de la circulation cérébrale dans l' - alcoolique aiguë, par de Bechte- te
dème des paupières et crises de sommeil, par Meige, 346. Maladies cérébrales . Intervention chirurgicale dans les -, par Fi
7. Pupilles dans un cas de - au début, par Tanzi. 233. Si- philis cérébrale et -, par Pa- trick, 240. Diagnostic précoce de
douloureuse d'une tuberculeuse, par Du- four, 256. Pouls. Le - cérébral , par Sciam- mana, 310. Pmx Aubanel, 439. Pr
la- par Klippel, 255. Tumeurs du corps calleux, par Touche, 171. cérébrales , par Wiener, 78, par Wenhardt, 139. du corps
17 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
enveloppes : boite crânienne et méninger ; tantôt sur la substance cérébrale elle-même ; tantôt enfin sur ses vaisseaux. Sur
ions inflammatoires banales et de la sclérose ; dans la substance cérébrale encore des gommes, de l'infiltration gommeuse d
" 1 2 CLINIQUE NERVEUSE. La richesse symptomatique de la syphilis cérébrale est très grande; on s'est ingénié à la dépister
moindres ma- nifestations et à la distinguer des autres affections cérébrales . Cette étude est bien faite partout; nous ne la
s cliniques serait impossible : chacun des symptômes de la syphilis cérébrale se rencontrant indifféremment, quelle que soit
ons pu crbserver longuement et minutieusement trois cas de syphilis cérébrale dans' lesquels la vérification nécropsique ou c
EMIER De la syphilis artérielle. De toutes les formes de syphilis cérébrale , celle qui frappe les artères est certainement
résente peuvent aussi se montrer dans les autres formes de syphilis cérébrale , et réciproquement. L'édification d'un tableau
ctère le plus général est le suivant : dans la syphilis des artères cérébrales comme dans presque toutes les affections encéph
es agit presque uniquement en ischémiant ou ané- miant la substance cérébrale , c'est-à-dire en supprimant fonctionnellement o
gères, sponta- nément curables, qui surviennent sans autre symptôme cérébral et paraissent dues à l'action directe du virus
e. - On peut distinguer dans l'évolution de la syphilis des artères cérébrales , deux périodes assez distinctes : l'une pendant
es oblitérantes. Leur mode d'action est l'is- chémie ; la substance cérébrale reçoit moins de sang que normalement; elle est
vail. Tant qu'elle n'est soumise qu'à' un ' Deulafoy. Des artérites cérébrales syphilitiques (Gaz. hebdoma- claire, 1892, p. 5
magistralement décrite par Fournier dans son traité de la syphilis cérébrale . D'autres fois, mais plus rarement, on a une hé
ectasiantes comme les oblitérantes agissent surtout par l'ischémie cérébrale . Elles se distinguent simplement par l'adjoncti
leuse intérieure. La troisième paire, par son voisinage de l'artère cérébrale postérieure, paraît tout particulièrement expos
un cas de Knapp ' il y avait une dilatation bilatérale des artères cérébrales antérieures, et une hémianopsie bilatérale nasa
isant songer à une méningite de la base. Les anévrismes des artères cérébrales ont été bien décrits par Spillmanu=. Pour com
riode de début, nous dirons qu'on a voulu rattacher à la syphilis cérébrale certains cas de migraine ophtalmique; que souvent
: amaigrissement, perte des forces, etc., prélude de cette cachexie cérébrale particu- lière qui emporte souvent les syphilit
ation d'un thrombus, et a produit un ramollissement de la substance cérébrale . Ou bien les parois infiltrées de l'artère ont
mollis- sements très limités dans tous les points de la substance cérébrale . Le diagnostic de la cause se basera surtout sur
ue incurable par thrombose. Il suffit de dire que le ramollissement cérébral avec toutes ses localisations peut reconnaître
la syphilis des artères. Nous dirons la môme chose de l'hémorragie cérébrale : très rare d'ailleurs, elle n'offre pas de sym
artérielle, qu'il s'agisse de la carotide, de la sylvienne ou d'une cérébrale , sont toujours identiques. La totalité des memb
raves qui emportent le malade. Lés cas bien connus où la syphilis cérébrale prend le masque de la paralysie générale ne nous
à distinguer la forme artérielle des autres variétés de [syphilis cérébrale . Nous avons cru bon de les réunir dans un tableau
e également à la coupe aucune lésion appréciable. Les hémisphères cérébraux étant séparés l'un de l'autre, on pra- tique d'
e la surface des coupes, et un état un peu poisseux de la substance cérébrale . Mais l'autopsie a été faite quarante-huit heur
logues ne sont pas exceptionnels. UhtholT', sur 150 cas de syphilis cérébrale a relevé 26 fois la paralysie de la sixième pai
de droite et les sixième et septième paires du même côté. Le type cérébral de la paralysie faciale gauche dans notre cas n
t la septième, n'ayant contracté aucune adhérence avec la substance cérébrale , ne paraissant pas exercer de compres- sion de
rvenir la néphrite et l'auto-intoxication, favorisée par l'ischémie cérébrale . (A suivre.) CLINIQUE MENTALE. LES TROUBLES T
étroites qui existent entre les lésions nerveuses, médullaires et cérébrales dans la paralysie générale. M. Auguste Voisin',
les altérations de la pupille el du nerf optique dans les maladies cérébrales (Union août 1866). ' Magnan. Signes essentiels
se latérale amyotro- phique, la sclérose en plaques, les affections cérébrales et spinales en foyer, toutes les fois qu'il y a
. P. KERAVAL. XII. SUR LES terminaisons NERVEUSES dans la dure-mère cérébrale DE l'homme ; par V. ACQUISTO et E. PUSATERI. (R
idées. Jusqu'ici on avait expliqué ces phénomènes par de l'anémie cérébrale consécutive à la diminution du calibre des gros v
lement en modifiant l'équilibre chimique des cel- lules de l'écorce cérébrale , source de l'énergie nerveuse. Les effets local
r, en cas de besoin, les alléguer comme une preuve de déran- gement cérébral et par suite se concilier tout au moins l'indul-
e la maladie à la syphilis avouée de son père et aussi à l'hérédité cérébrale (le grand-père paternel est mort du ramollis- s
- nolente ; le 1er mars, elle mourut avec des phénomènes d'oedème cérébral . A l'autopsie, outre un oedème de la pie-mère,
uels à l'au- topsie on trouva des anévrismes artériels dans la base cérébrale . Premier cas. La malade, âgée de quarante-sept
ha de faire un examen détaillé. A l'autopsie, on trouva sur la base cérébrale une tumeur de la grandeur d'un oeuf de poule, q
artères vertébrales et de sa partie anté- neutre sorte les artères cérébrales postérieures'. La tumeur a l'aspect d'une châta
térieure de la moelle allongée, le pont de Varole et les pédoncules cérébraux sont considérablement aplatis. Les nerfs oculo-
modifications très marquées des cellules dans la région du tronc cérébral , ce qui donne la possibilité ,de rapporter la par
la dépendance d'un état d'engourdissement ou de sommeil des centres cérébraux . Suivant que ces centres sont frappés isolément
de la névrose. Quant à la nature de ce sommeil spécial des centres cérébraux , elle reste entière à déterminer. Telle estla
itaux de Lvon. CHAPITRE II , , , , De la méningite syphilitique cérébrale . La syphilis peut porter son action sur les mén
ndaires, propagées soit de la boîte cranienne, soit de la substance cérébrale : dans ce cas la méningite vient simple- ment d
imitives des méninges peuvent secon- dairement envahir la substance cérébrale (le cas est fréquent pour la gomme circonscrite
mettant de les distinguer quelquefois des autres formes de syphilis cérébrale . § 1. Caractères généraux DES symptômes DE la s
taque épileptiforme, qui appartient à toutes les formes de syphilis cérébrale , est parti- culièrement fréquente dans la forme
vers observateurs : c'est l'existence de la fièvre dans la syphilis cérébrale . Depuis les travaux de Four- nier on connaît bi
syphilitique secondaire. Nous pouvons affirmer que dans la syphilis cérébrale on observe assez souvent aussi des élévations d
pu hésiter pendant plusieurs jours entre le diagnostic de syphilis cérébrale et celui de fièvre typhoïde : le séro-diagnosti
ur au point de vue du diagnostic des différentes formes de syphilis cérébrale . Tout ce que nous pouvons dire, c'est que le mo
i est blanche, épaissie, dure, .scléreuse, adhérente à la substance cérébrale . Il n'y a ni gommes, ni infiltrations gommeuses
résistante à la coupe, ne se laissant pas détacher de la substance cérébrale à laquelle elle adhère fortement. La décor- tic
a- raît nettement comme un vaisseau s'enfonçant dans la substance cérébrale . Les hémisphères sont séparés; les ventricules
de l'intelligence indiquaient l'intégrité relative de la substance cérébrale Nous donnons ici un tableau symptomatique de la
les cas. Produits habituellement par la destruction de la substance cérébrale , quelquefois par la compression simple, ils pré
où une gomme puisse impunément se développer, détruire la substance cérébrale , sans donner des phénomènes de, déficit ? On l'
s les passer en revue ici, ce sont tous les symptômes des tumeurs cérébrales . Nous dirons seulement un mot de leur pathogéni
eules ces intoxications ne produiraient probablement aucun symptôme cérébral ; portant leur action sur une substance Archive
substance Archives, 2c série, t. V. 8 11 Il CLINIQUE NERVEUSE. cérébrale mise en état de moindre résistance, elles peuvent
attribuer la congestion signalée autour des gommes et des tumeurs cérébrales en général. Nous serions même disposé, mais san
intoxication le ramollissement qui a été observé autour des tumeurs cérébrales (Bouveret 1), que nous avons retrouvé nous-même
cès du volume d'une orange. flottait en quelque sorte dans la pulpe cérébrale ramollie tout autour, et formant une seconde cavi
oit dus « soit à la compression qu'exerce le néoplasme sur le tissu cérébral voisin, soit au rétrécissement et à l'obli- tér
ons pas de types cliniques : ce serait faire l'histoire des tumeurs cérébrales , dont les gommes peuvent reproduire tous les sy
roduire tous les symptômes. L'évolution est aussi celle des tumeurs cérébrales ; sa carac- téristique est de se faire par pouss
urones, ouverture de voies collatérales pour le trajet des réflexes cérébraux un instant supprimés; la guérison peut être com
tomatologie des gommes du cerveau est entièrement celle des tumeurs cérébrales . Dans la syphilis artérielle et méningée on pos
is artérielle et méningée on pose d'abord le diagnostic de syphilis cérébrale ; ce n'est qu'ensuite et par une analyse minutie
lis gommeuse, au contraire, on pose d'abord le diagnostic de tumeur cérébrale ; ce n'est que par la con- naissance des antécéd
'intervention chirurgicale, le diagnostic restait simplement tumeur cérébrale , sans que nous ayons pu en préciser la nature.
culeuse de la colonne vertébrale, en même temps qu'une localisation cérébrale pour l'explication des symptômes antérieurs.
ce que nous avons dit plus haut. La gomme évolue comme toute tumeur cérébrale . Nous nous sommes efforcé dans cette étude de p
gnostic différentiel entre trois variétés anato- miques de syphilis cérébrale . Nous n'apportons, il est vrai, que trois obser
note, la forme de la folie alcoolique : exubérante chez cer- tains cérébraux , l'aliénation mentale affectera la forme de man
y déterminant des altérations spéciales : il se produit une lésion cérébrale (gomme, méningite, encéphalite) qui entraîne à
ent, ce qui tient sans doute à ce qu'il s'est produit dans le tissu cérébral des destructions irréparables ; la syphilis, en t
change, si l'on fait rentrer la paralysie générale dans la syphilis cérébrale ! La théorie syphilitique de la paralysie génér
vue pathologique qu'au point de vue symptomatologique. L'atrophie cérébrale chronique est le type le plus important à consi
plus que d'une façon irrégu- lière l'apport de sang à la substance cérébrale . Furstner répartit en trois groupes les désordr
s somatiques correspondantes; 3' les psychoses séniles avec démence cérébrale , dans lesquelles la folie est associée non à un
e de distinguer l'amenza stupide avec une forme simple ou torpeur cérébrale simple et une forme grave ou stupeur primitive et
mentale, un retour régressif à des formes inférieures d'affections cérébrales , une déchéance progressive morale et physique,
ation intellectuels pour la plus haute perfection de toute activité cérébrale , nous en induirons que l'affaiblissement de ces
neux du membre inférieur droit semblent se rattacher à une sclérose cérébrale infantile. A. FENAYROU. XXX. UN cas DE PERVER
ux que de la congestion passive, de la stase sanguine avec oedème cérébral . L'absence de microorganismes dans le liquide exs
s, d'une simple phobie ayant pour objet la peur du ramollis- sement cérébral . S'il s'agit d'états neurasthéniques accidentels,
ge, l'apparence, mais surtout la peur de la paralysie générale. Les cérébraux , descendants de congestifs ou d'apoplectiques, pr
iques, pré- sentent à la suite de la syphilis une neurasthénie plus cérébrale que nerveuse, s'accompagnant de symptômes nouve
ité nerveuse, etc., pourraient être sous la dépendance d'une anémie cérébrale perma- nente, due à l'excitation des nerfs vaso
thique cervical ; la section de ce nerf ferait disparaître l'anémie cérébrale , et, avec elle, les troubles qui en dépendent.
vec des exercices coor- dinatoires. XVIII. SUR un cas DE syphilis cérébrale énergiquement traité avec LE MERCURE, suivi DE
s de méningo-encéphalite spécifique sont, parmi les cas de syphilis cérébrale , les plus susceptibles de guérison, à la condi-
Elle est surtout indiquée quand il existe des signes de compression cérébrale , c'est- à-dire quand on trouve associés la tend
un oncle maternel a eu des enfants qui sont morts tous d'accidents cérébraux . J... Gabriel est à la seconde période de la pa
ymptômes paralytiques et convulsifs) qui, par suite, sont d'origine cérébrale et spinale. J. S. XXXVII. Recherches SUR la cap
i ont per- mis de constater qu'à la suite d'une lésion du pédoncule cérébral on observait chez le cobaye une dégénérescence
mort. Chez d'autres malades, l'intoxication a engendré des troubles cérébraux simulant un délire vésanique (forme délirante)
e direction spéciale. Un important centre vaso-moteur des vaisseaux cérébraux existe sous forme de couche diffuse placée entr
re à la suite d'un traumatisme crânien, ou au cours d'une affection cérébrale telle qu'une tumeur, le diagnostic peut offrir
s le trouble sécrétoire peut aussi être la conséquence d'un trouble cérébral . On sait que l'hystérie se combine avec toutes
ébral. On sait que l'hystérie se combine avec toutes les affections cérébrales , et plus spécialement avec les affections céréb
que les nerfs périphériques ». M. HAMEL. XXVIII. UN cas DE gliome cérébral ; par DEVIC et CODMONT. (Revue de médecine, avri
ant penser dix, vingt fois plus vite, devra, pour que la continuité cérébrale ne s'interrompe pas un instant, puiser dans la ré
? C'est quelquefois l'anémie, ou bien au contraire la con- gestion cérébrale . C'est peut-être aussi la présence de toxines ou
qu'en provoquant par voie réflexe cette congestion ou cette anémie cérébrale . Questions complexes que seules des expériences p
daison, il y a compression des carotides, et par conséquent, anémie cérébrale . Au contraire, au début de l'as- phyxie par imm
ands échanges nutritifs dans le cerveau, et par suite hyperactivité cérébrale .. Une hypermnésie qui est plus facile à expliqu
isme. Nous avons dit qu'elle n'était qu'un résultat de l'irritation cérébrale qui, limitée dans d'autres cas à une zone motri
oint d'où part l'irritation, celle-ci aboutit toujours à la cellule cérébrale . Seulement le syndrome épileptique évolue diflé-
la spécialisation génitale est déjà réalisée, la spécia- , lisation cérébrale est encore latente. On peut comprendre que la s
, malgré une spé- cialisation génitale régulière, la spécialisation cérébrale soit en défaut, pervertie ou invertie. Le fait
la mère, elle perdit con- naissance, le médecin parla de congestion cérébrale , lui fit prendre des bains à la moutarde. Elle
embrane épaisse, très vascularisée, tapisse la cavité. Le pédoncule cérébral a l'aspect d'un pédicule recouvert de cette mem
qui, ayant une héré- dité convenable, a une forme et une structure cérébrales requises et se trouve dans un entourage convena
x jouent le rôle de causes prédisposantes ; sur 100 cas de syphilis cérébrale , Carnowsky a trouvé l'alcoolisme dans 43 cas, la
e une première période avec des signes de méningite ; des symptômes cérébraux transi- toires tels que céphalées nocturnes, pa
vraies de 15 à 35 p. 100. Dans la plupart des formes de la syphilis cérébrale , les symp- tômes les plus graves sont précédés
nouveaux symptômes caractéfistiquesdes diverses formes de syphilis cérébrale dont l'au- teur décrit les trois types suivants
philitique et les gommes. Sur une statistique de 90 cas de syphilis cérébrale publiée par Fournier, il y eut 14 morts, 33 cas
coulé plus de temps entre l'infection et l'apparition de la maladie cérébrale . C'est le traitement mixte qu'il faudra institu
e tuberculose. Autopsie : cavité cérébelleuse étroite, hémisphère cérébral gauche atrophié, cervelet symétriquement diminu
ne série de symptômes qui depuisla simple amyesthénie et asthé- nie cérébrales peuvent progresser jusqu'aux phobies et obsession
chaînement dont les anneaux pourront être disparates : insuffisance cérébrale massive (idiotie), ou partielle (déséquilibrati
e- mières doivent être rattachées aux psychoses par malformations cérébrales , et les secondes aux états mélancoliques qu'elles
ce des poisons variés, organiques et inorganiques, sur la structure cérébrale . (Alile- rican Journal of inscclzity, juillet 1
um thérapique de la neurothérapie. Dr F. ViLLARB. Il. Les tumeurs cérébrales ; par le Dr Maurice AuvRAY. In-8°. Paris, 1896,
1896, J.-B. Baillière et fils, éditeurs. Le traitement des tumeurs cérébrales qui, avant ces dix der- nières années, avait pr
e par les études physiologiques à la connaissance des localisations cérébrales et, d'autre part, aux procédés antiseptiques ut
de localisation joue un rôle capital dans la chirurgie des tumeurs cérébrales . Il y a dans cette voie de nom- breux progrès à
effort volitionnel dans la constitution du moi. La même disposition cérébrale qui nous fait attribuer une origine externe au
elle est finalement projetée sur différents territoires de l'écorce cérébrale , tels que le lobe frontal, toujours dans une di-
réceptrice (cellules de Purkinje, cellules pyramidales de l'écorce cérébrale ). Elles appartiendraient, avec les dentrites, à
corps cellulaire. Dans un article sur l'origine du quatrième nerf cérébral et sur un point d'histophysiologie générale qui
SION BILATÉRALE. 391 ment des époques, et des périodes d'excitation cérébrale suivies de dépression avec tendances au suicide
automatisme considéré comme une DES MA111PEST.aLIOYS DE la syphilis cérébrale ; par le professeur BECHTEREW. Jusqu'à présent,
titre de phénomène parfaitement indépendant aussi daus la syphilis cérébrale . Il s'agit d'un homme de trente-sept ans, sans
lusion que l'état du malade était sous la dépendance de la syphilis cérébrale . En faveur de cette supposition parle non seule
état morbide développé indépendamment sur le terrain de la syphilis cérébrale ? M. Bechterew considère cette dernière manière
la troisième paire, sont situés dans l'étage supérieur du pédoncule cérébral , au-dessous des tubercules quadrijumeaux. C'est
que des lésions syphilitiques. sociétés savantes. 413 Les lésions cérébrales de la paralysie générale étudiées par la méthod
mière malade a montré ceci : la dure-mère est normale ; la pie-mère cérébrale est très congestionnée, quelque peu oedémateuse
c petites hémorrhagies disséminées. Hypéré- mie intense de l'écorce cérébrale , qui se détache facilement de la substance blan
encéphalite, localisée principalement dans la substance de l'écorce cérébrale . Il est tou- tefois impossible d'admettre des l
ois cas la cavité crânienne ne contenait que le cervelet et la tige cérébrale , avec corps quadrijumeaux et couches optiques dif
s optiques difformes et couverts de méninges; quant aux hémisphères cérébraux , elles faisaient entièrement défaut : à leur pl
le ont provoqué des lésions dégénératives dans la région de la tige cérébrale . Si l'on compare le tableau clinique au tableau a
émichorée. Le diagnostic anatomique suppose uue lésion du pédoncule cérébral gauche avec participation probable du noyau rou
rieurs sert de connexion entre le cervelet et les noyaux de la tige cérébrale (couche optique et noyau lenticulaire), l'auteu
ban interne (médiate Schleife) de la protubérance et des pédoncules cérébraux ; on peut suivre de la dégénération de ces faisc
les du ruban interne, dans la protubérance et dans les pédon- cules cérébraux . Discussion. M. Weidenhamer fait remarquer que
ve loconzotor ataxie ; - Lectures of the localisation of spinal and cérébral diseases; - A co7z- tribution to the médicinal
the nervous System; A second contribution to the study of localized cérébral lésions ; -Imporlance of the enrly reco- gnitio
Ce ! 'e6''« : <t ? t; A z contribution to the study of localized cérébral lésions ; Contribution to the diagno- sis and S
8. Centralblatt sur Gynse- . kologie. CHABANEIX (P.). Physiologie cérébrale . Le subconscient chez l'artiste, les savants et
bstratum anatomique de l'acte réflexe simple, inconscient, el l'arc cérébral , représentant la voie suivie par l'acle volonta
ence de la suppression de la fonction modératrice exercée par l'arc cérébral sur l'arcmédullaire. Seules, les lésions- du ne
la sclérose latérale amyotrophique, soit secondaires à des causes cérébrales (hémorrhagies, ramollissements), ou médullaires (
ittle. A. FENAYROU. LXXXII. La non-équivalence PES deux hémisphères cérébraux ; par M. M. Klippel. (Presse médicale, 29 janvi
s centres communs présidant déjà à d'autres actes du fonctionnement cérébral naturel et spontané (vision, mouve- ments des m
e au langage écrit et indépendant du langage parlé. Sa localisation cérébrale n'est pas la même que celle du langage phonétiq
lieu en réalité par la transmission de l'excitation aux hémisphères cérébraux , et en particulier à l'écorce de la région motr
d on pique le pont de Varole du lapin, il se produit une congestion cérébrale tempo- raire par diminution de l'action des art
hémorrhagies violentes, ou quand on a lié, soit les quatre artères cérébrales , soit les veines encépha- liques, même chez les
excitation de l'écorce. On les constate notamment dans la commotion cérébrale , même chez les animaux privés de leurs zones co
à la hase, à l'endroit où le nerf vient d'entrer dans la substance cérébrale , on constate : a) La dégénérescence des fibres
ssède des cellules vésiculiformes qui donnent naissance à la racine cérébrale de la cinquième paire (Obersteiner), entraîne u
xions du cervelet avec le trijumeau. 5° Les lésions de la substance cérébrale dans la région de la substance ferrugineuse ne
raphé au noyau moteur. Ce sont peut-être les fibres des pédoncules cérébraux décrites par Meynert qui relient le noyau du tr
rcule quadrijumeau, arriverait à l'étage supérieur des pédon- cules cérébraux où, situé en dedans du ruban de Reil principal, i
a sensibilité à la douleur. En résumé, la conséquence de la fatigue cérébrale est l'/tt/pet'es- thésie accompagnée (I'hype ?
la suspension n'a été que temporaire, se traduit par de l'hyperémie cérébrale qui suc- cède à l'anémie, dès que le pouls et l
ptions auxquelles les interventions opératoires dans les affections cérébrales , et notamment dans l'épi- lepsie, ont donné lie
ales, et notamment dans l'épi- lepsie, ont donné lieu, la chirurgie cérébrale est restée à l'ordre du jour.. Le champ est tro
s cette nouvelle voie ouverte par la connaissance des localisations cérébrales , et que les progrès de l'antisepsie proté- geai
plus juste appréciation des choses en ce qui concerne la chirurgie cérébrale , qui, comme le Dr Winider, cherchent avant tout
connaissances actuelles sur les localisations et sur la topographie cérébrale . L'idée de la décharge paroxystique est applica
a celle du cerveau et du crâne. La prétention de celte chirurgie cérébrale est de pouvoir recon- naître quelques épilepsie
concordance topo- graphique absolue de la cicatrice avec la lésion cérébrale est un cas rare. Nombreux sont les cas où, aprè
dant le spasme, l'aura elle-même, dépendent uniquement de la lésion cérébrale . . Il s'agit donc de déterminer exactement le s
doigt, identique aux convulsions sponta- nées. Ce point de l'écorce cérébrale est excisé au thermocautère. Le résultat fut tr
dépend le résul- tat de l'opération. Ainsi comprise, la chirurgie cérébrale , liée intimement à la physiologie du cerveau, j
n rôle très grand dans l'avenir, lorsque la physiologie de l'écorce cérébrale sera plus connue. : DARDEZ. 508 BIBLIOGRAPHIE.
de la paralysie générale qui, sou- vent, peut être appelée syphilis cérébrale diffuse. n La thérapeutique iodurée et mercurie
es sens musculaire et stéréognostique dans les hémiplégies de cause cérébrale . Antheaume (André). Contribution à l'étude de l
musculaire et du sens stéréognostique dans les hémiplégies de cause cérébrale . Cabrol (Emile). Sur un cas de tabes avec artli
aires 510 () BIBLIOGRAPHIE. paralysés dans l'hémiplégie d'origine cérébrale . "Clément (Emma- nuel-François). Zona et pneumo
olie, car depuis quelque temps il donnait des signes de dérangement cérébral . (Le Républicain Orléanais, 15 avril.) A Tourbe
arition du sieur Derminot, atteint depuis quelque temps de troubles cérébraux . - Or, samedi 30 avril le cadavre du malheureux
eu à traiter la question suivante : Cellules nerveuses de l'écorce cérébrale , anatomie et phy- siologie. Les questions resté
aient : 10 Faisceau pyramidal, anatomie et physiologie; 2° Pie-mère cérébrale , anato- mie et physiologie. Les candidats éta
Klippel, 61. Artériosclérose. Etat des capillaires de l'écorce cérébrale dans l' - des gros vaisseaux, par Lapinski, 09.
. Génital. Perversion du sens , par Itosenn.tcu, 15 ? - Gt,tone cérébral , par Devic et Cour- mont, 240. Goitre faophta
par Vigouroux et Mally, 223. Hémisphère. Non-éqnivalence ries - cérébraux , par lilippel, 482. ! ! EKi'.DnË dans les maladie
s,2H. - , 536 TABLE DES MATIÈRES. Maladie familiale à symptômes cérébraux bulbaires, par Pauly et Bonne, 238. Manie err
phale : Diagnostic dtfftienHei.par J. Teissieret J. Row, 1, 91. - cérébrale , par Kraus,)64.du système ner- veux central,
, 323. Tuberculeuses. Névroses. -, par Escti(lei,, 231. Tumeurs cérébrales et épilepsie lachsonienne, par Abrams et Du-
18 (1886) L'encéphale : structure et description iconographique du cerveau, du cervelet et du bulbe : avec atlas de 59 planches en glyptographie
TEUR Atlas d'Anatomie topographique du cerveau et des localisations cérébrales . 1882. 1 vol. in-4, 200 pages avec 18 planches ch
vail, j'ai fait l'étude du cerveau au point de vue des loca-lisations cérébrales ; j'ai donc déjà décrit la surface externe et donn
de Yanatomie topographique du cerveau pour l'étude des localisations cérébrales ; j'ai désiré le compléter par la description tech
ipital. Il est en continuité supérieurement avec les deux hémisphères cérébraux , inférieurement avec les deux lobes cérébelleux.
du cerveau (Pl. I, 2), situé verticalement entre les deux hémisphères cérébraux ; on trouve ensuite la tente du cervelet, interpos
'expansion du cerveau pendant l'activité momentanée de la circulation cérébrale . Il était donc utile que ce liquide ne fût pas à
ement devant lui pour occuper les espaces laissés libres par la masse cérébrale , tandis que le cerveau se porte vers la partie la
Gavoy, Atlas d'anatomie topographique du cerveau et des localisations cérébrales . Ces deux zones sont séparées par un petit lisé
noyau et de ramifications. Elle occupe le centre même de l'hémisphère cérébral et fait saillie au milieu de la face hiterne de l
ées dans le même hémisphère. A la région antérieure d'un hémisphère cérébral , on trouve un faisceau curviligne, le faisceau ar
r le côté externe de la corne pos- (1) Charcot, De V hémianesthésie cérébrale , Leçons sur les localisations dans les maladies d
s genouillé interne et le corpus Luysii, et pénètre dans le pédoncule cérébral (Pl. XXVI, 5). C'est sans doute le groupe de libr
et inférieures de ce faisceau gagnent la région externe du pédoncule cérébral . Le système de fibres convergentes comprend don
nné celui de voûte à trois piliers ; Chaussier les a appelées trigone cérébral , et Vicq-d'Azyr triangle médullaire (Pl. IV, 4; X
l'intérieur de chaque lobe cérébelleux, comme dans chaque hémisphère cérébral , un noyau décrit par Vieussens sous le nom de cor
grise, de la même manière que les fibres médullaires des hémisphères cérébraux . Au centre de chaque circonvolution cérébelleus
e sont les analogues des fibres arciformes de la substance médullaire cérébrale . § 2. Le système des fibres commissurantes est
inférieur, formé par la moelle allongée, constitué par les pédoncules cérébraux , les pédoncules céré-belleux moyens, la protubéra
ion postéro-inférieure des couches optiques sur les bords de la fente cérébrale de Bichat, appuyés contre les fibres pédonculaire
isceau unique. Ce faisceau contourne le bord supérieur des pédoncules cérébraux , sous le nom de bandelettes optiques, se sépare p
rise forme, de chaque côté de la ligne médiane, dans chaque pédoncule cérébral , un noyau transversal curviligne. Ce noyau renfer
VIII, 12; XL, 22). § 3. A ïextrémité supérieure de chaque pédoncule cérébral , la substance grise se réunit en un noyau de coul
protubérance ; ils émergent au dehors pour constituer les pédoncules cérébraux . La portion motrice, considéra-blement augmentée
a portion motrice par la substance grise du locus niger. Le pédoncule cérébral semble ainsi partagé en deux moitiés blanches : l
nerveuses spinales. — Arrivé à l'extrémité supérieure des pédoncules cérébraux , chaque cordon de la moelle se dirige vers les él
ance grise de ces noyaux. Les fibres les plus internes du pédoncule cérébral se détachent du faisceau principal, se groupent s
ouges de Stilling. Il occupe le plan le plus inférieur des pédoncules cérébraux et forme leur bord le plus interne. Il se dirige
nti-culaire. Il descend, par sa portion interne, entre les pédoncules cérébraux , côtoie la ligne médiane, gagne le côté opposé, s
atéraux de la moelle. La totalité de l'étage inférieur du pédoncule cérébral ne s'est pas épuisée dans le corps strié et le no
e grise qui entoure l'aqueduc de Sylvius, pénètre dans les pédoncules cérébraux , où il rencontre les pédoncules cérébelleux supér
re sagittale. Le bord inférieur est libre entre les deux hé-misphères cérébraux au-dessus du corps calleux et loge le sinus longi
isses, planes et en rapport avec la face interne de chaque hémisphère cérébral ; la base est en continuité en arrière et en bas a
s. La gouttière basilaire reçoit sur son plan in-cliné les pédoncules cérébraux (14), la protubérance annulaire et le bulbe rachi
m ou bourrelet, qui constitue la lèvre supé-rieure de la grande fente cérébrale de Bichat. 3. — La cloison transparente ou sept
d inférieur se fixe sur une bandelette de fibres blanches, le trigone cérébral . Ces deux lames laissent entre elles un petit esp
Voir E. Gavoy, Anatomie topographique du Cerveau et des Localisations cérébrales . Paris, 1882. La face interne est grisâtre et t
piliers antérieurs du trigone. 9. — Section médiane des pédoncules cérébraux , au point où ils se séparent à angle aigu pour se
région pos-térieure, les pyramides postérieures (19). a. — L'artère cérébrale antérieure, branche de la carotide interne, irrig
du bord supérieur de la protubérance, en deux branches : les artères cérébrales postérieures. d. — Branche de l'artère cérébral
hes : les artères cérébrales postérieures. d. — Branche de l'artère cérébrale postérieure. — L'artère cérébrale postérieure se
rieures. d. — Branche de l'artère cérébrale postérieure. — L'artère cérébrale postérieure se partage en trois artères : la prem
couvre une couche de substance blanche, formant l'écorce du pédoncule cérébral (pes, crusta) ou Xétage inférieur, par opposition
ceaux de fibres blanches, qui s'étend du bulbe rachidien au pédoncule cérébral , dont il constitue l'étage supérieur. La sectio
r sortie de la protubérance, formant le plan inférieur des pédoncules cérébraux , recouvertes par la substance grise du locus nige
es fibres spinales postérieures, qui sont séparées, dans le pédoncule cérébral , des fibres spinales antérieures par la substance
us niger occupe à ce niveau à peu près toute l'épaisseur du pédoncule cérébral . 14. — Section de la bandelette optique. Au-des
inue son trajet di-rect; c'est le faisceau direct moteur du pédoncule cérébral . Le groupe postérieur de fibres, qui paraît s'arr
en avant, puis se séparent : les unes se relèvent vers les pédoncules cérébraux , les autres s'inclinent vers le bulbe. Le fais-ce
ou splenium, est arrondie; elle forme la lèvre supérieure de la fente cérébrale de Richat. La face supérieure présente un sillo
face interne, est recouvert par les bandelettes géminées, ou trigone cérébral , qui sépare le ventricule de la voûte formée par
erne, suit le bord interne du lobe sphénoïdal, et entre, par la fente cérébrale de Bichat, dans la cavité des ventricules latérau
(10, 11, pl. II), en avant du vermis superior, au milieu de la fente cérébrale de Bichat. Ils sont constitués par une masse de s
l'angle postérieur du noyau lenticulaire et plonge dans le pédoncule cérébral en dehors et en arrière du faisceau des fibres sp
niger de Sœmmering a fait son apparition dans la coupe des pédoncules cérébraux ; en avant est le corpus Luysii, en dedans sont le
e du corps genouillé externe. Ces bandelettes embrassent le pédoncule cérébral et se dirigent d'arrière en avant. 10. — Sectio
. 11. — Section des fibres spinales. Étage inférieur des pédoncules cérébraux (pes, crusta). 12. — Sustance grise du locus ni
rtères lenticulo-striées et lenticulo-optiques. La coupe du pédoncule cérébral , obliquement dirigée d'avant en arrière et de hau
oyen. 7. — Section de la bandelette optique en avant des pédoncules cérébraux (voir Pl. XXIX). 8. — Substance grise du gangli
16. — Fibres spinales postérieures, étage supérieur des pédoncules cérébraux . 17. — Fibres transversales provenant des pédon
r la ligne médiane, appartenant à la région antérieure des pédoncules cérébraux . 18. — Substance grise interpédonculaire. 19.
trou optique, avant sa ter-minaison en quatre branches : (3) L'artère cérébrale antérieure, unie à celle du côté opposé par la co
unie à celle du côté opposé par la communicante antérieure ; l'artère cérébrale moyenne ou sylvienne qui s'engage dans la scissur
muns. Ils ont leur origine apparente à la face interne des pédoncules cérébraux , au-dessus du bord supérieur de la pro-tubérance.
supérieur de la pro-tubérance. 9. — Face inférieure des pédoncules cérébraux . 11. — Section de la substance grise de la corn
ondulations et les lamelles formés par la sub-stance grise corticale cérébrale et cérébelleuse. Le centre médullaire des hémis
e fibres commissurantes. En haut le vermis superior couvre la fente cérébrale de Bichat; le vermis inferior masque, en bas, la
poris callosi ; en bas, elles forment la lèvre supérieure de la fente cérébrale de Bichat ; leur entre-croisement constitue un ra
uadrijumeaux ; elle montre la disposition et les rapports de la fente cérébrale de Bichat avec les cavités ventriculaires ; la si
eau formé par les fibres antérieures les plus internes des pédoncules cérébraux (voir Pl. XXVI, PL XXIX et 14, PL XXX), le faisce
re, caractérisée par ses fïexuosités prononcées, et une branche de la cérébrale postérieure qui se rend à la partie inférieure du
veux sont en rapport avec la série d'artérioles fournies par l'artère cérébrale antérieure, qui irrigue la tête du corps strié, e
a substance grise corticale enveloppe de toutes parts les hémisphères cérébraux ; ils ne comprennent que leur portion antérieure,
est moins abondante que dans les régions postérieures des hémisphères cérébraux ; cependant elle présente une grande épaisseur su
19 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
r MM. Roonmomrcu et DuFoun en Janvier 1897. L'hémiplégie par lésion cérébrale revêt des formes plus ou moins com- pliquées et
tie inférieure de la face, dans le côté du corps opposé à la lésion cérébrale . Dans ces cas cette lésion siège soit sur les cir
sceau moteur qui partant de ces centres se dirige vers le pédoncule cérébral . Le point important à noter ici c'est que la lési
oujours du côté opposé à l'hémiplégie, parce que le faisceau moteur cérébral s'entrecroise au niveau du bulbe avec celui du cô
et comme eux siégeant du côté opposé à la lésion de l'hémi- sphère cérébral . Parmi les' troubles sensoriels produits par un
re cérébral. Parmi les' troubles sensoriels produits par une lésion cérébrale il en est un fort intéressant, se rattachant à
t xi i 2 A. JOFFROY croisée et siège du côté opposé à la lésion cérébrale . Ce n'est là qu'une apparence, car si le malade
e sorte d'anomalie à la loi générale qui semble régir en pathologie cérébrale la distribution des troubles moteurs et sensiti
ls qui constituent l'hémiplégie, siègent du côté opposé à la lésion cérébrale . Je veux encore attirer votre attention sur une
ubles de la sensibilité, et la lésion siège alors dans l'hémisphère cérébral gauche, atteignant, suivant la variété d'aphasie
alade, l'aphasie se combine avec une hémiplégie gauche et la lésion cérébrale siège dans l'hémisphère cé- rébral droit. Voi
principales formes d'hémiplégie obser- vées à la suite d'une lésion cérébrale ; voyons maintenant quelles sont les modificati
es quand la lésion siège au-dessous du cerveau, dans les pédoncules cérébraux , la protubérance ou le bulbe. Tantôt on aura
elettes optiques qui sont en connexion intime avec les pé- doncules cérébraux qu'ils contournent. Plus en arrière, le nerf de
e réunissent et viennent émerger sur le côté interne des pédoncules cérébraux , séparé du chiasma optique par la lige pituitai
millaires. Plus en arrière encore, sur le bord externe du pédoncule cérébral et le contournant, le nerf de la 4e paire ou pa
Corps pituitaire. - T M. Tubercules mamillaires. - Ped. Pédoncules cérébraux . - C G. Corps ge- nouillés. - P A. Protubérance
ulbe, et ces noyaux qui sont en rapport avec des centres supérieurs cérébraux , en-' voient des nerfs aux muscles de l'oeil, d
Or, au niveau des noyaux de ces nerfs se trouve le faisceau moteur cérébral , ou faisceau pyramidal qui n'a pas encore effec
lives. Une seule et même lésion siégeant dans l'un des pédon- cules cérébraux , dans l'une des moitiés de la protubérance ou du
u du moins n'aurait été que peu marquée, si seuls les prolongements cérébraux de l'hypoglosse, c'est-à-dire ses neurones mote
ements cérébraux de l'hypoglosse, c'est-à-dire ses neurones moteurs cérébraux eussent été détruits ou lésés. Voilà une premiè
ence de la troisième paire se fait sur le côté interne du pédoncule cérébral , que le moteur oculaire commun tient sous sa dé
apoplexie dépasse de beaucoup les limites de la région du pédoncule cérébral . J'attirerai aussi votre attention, d'après les
il y a des troubles du langage consécutifs à la lésion du pédoncule cérébral gauche il s'agit, ou bien simplement de trouble
e habituellement à une seule et môme lésion atteignant le pédoncule cérébral droit. SYNDROME TEMPORAIRE DE WEBER AVEC HÉMIOP
e rapidement comme cela arrive dès que l'hémor- rhagie du pédoncule cérébral atteint certaines dimensions ; et même de cette
confirment dans l'opinion d'une lésion très limi- tée du pédoncule cérébral qui suffit pour expliquer le syndrome de Weber
siques et les troubles hémiopiques. Si l'hémorrhagie du pédoncule cérébral ne peut, dans ce cas, expliquer les phénomènes
a- tion de l'artère basilaire qui donne ainsi naissance aux artères cérébrales postérieures. vA 1 centimètre environ de leur
postérieures. vA 1 centimètre environ de leur origine, les artères cérébrales postérieu- res reçoivent la communicante postér
res reçoivent la communicante postérieure, contournent le pédoncule cérébral correspondant jusqu'au voisinage des tubercules q
térieure, c'est-à-dire dans la partie directe ou as- cendante de la cérébrale postérieure sur une longueur de 5 à 12 millimé-
andelette optique. Si maintenant nous supposons une thrombose de la cérébrale postérieure après qu'elle a reçu la communicant
teur au remarquable travail de L. o'AsTnos, Pathologie du pédoncule cérébral , in Revue de Médecine, 189'r, p. 125. SYNDROME
fonction. On trouverait donc dans l'hypothèse d'une thromhose de la cérébrale pos- térieure après qu'elle a reçu la communica
oit, hémiopie gauche et paraphasie en admettant une thrombose de la cérébrale postérieure droite sur la plus grande partie de
un, nous pensons qu'on peut supposer une thromhose siégeant dans la cérébrale postérieure au niveau même de son union avec la c
très ralentie, mais non interrompue, dans la première partie de la cérébrale postérieure qui donne naissance aux 10 collatér
nous semble logique de penser que l'obstruction thrombosique de la cérébrale postérieure, au niveau de l'embouchure de la comm
l'hypothèse que nous formulons, celle d'une throm- bose de l'artère cérébrale postérieure droite au niveau de l'embouchure de
ion complète de la circulation dans les branches termi- nales de la cérébrale postérieure donnant lieu à un ramollissement de
lentissement considérable de la circulation dans cette partie de la cérébrale postérieure droite, s'étendant de son origine jus
moteur oculaire commun, ainsi que de la partie motrice du pédoncule cérébral . Ce trouble circulatoire aurait donné lieu aux
'encoche centrale constatée habituellement dans l'hémiopie de cause cérébrale . En définitive nous arrivons à cette conclusion
définitive nous arrivons à cette conclusion, que la thrombose de la cérébrale postérieure peut, suivant son étendue et sa local
siège dans la première partie, partie directe ou as- cendante de la cérébrale postérieure, qui forme un des côtés de l'hexagone
- ber (1). 2° Si la thrombose siège au delà de l'anastomose de la cérébrale pos- térieure avec la communicante postérieure,
unicante postérieure, c'est-à-dire dans la partie ré- fléchie de la cérébrale postérieure, la circulation de l'hexagone de Will
aura aucune lésion, aucun trouble cir- culatoire dans le pédoncule cérébral , tandis qu'il se produira un ramol- lissement é
dans la communicante postérieure et dans la pre- mière partie de la cérébrale postérieure et en particulier le syndrome de We
la sorte le syndrome de Weber temporaire. 4° L'oblitération de la cérébrale postérieure pourrait être assez étendue pour ob
hier et de Pick, de Mnyor, d'Oyon, de Ley- den. 1C A. JOFFROY . cérébral , de la couche optique, du lobe occipital et de la
ielle, sous quelle influence s'est faite cette obli- tération de la cérébrale postérieure ? S'agit-il d'une artérite vulgaire,
fs de clini- que a cru pouvoir étayer la possibilité de la syphilis cérébrale sur les faits suivants : le mari de la malade a
t il ne faut pas oublier que les phénomènes produits par une lésion cérébrale en foyer (qu'il s'agisse d'une hémorrhagie ou d'u
n traitement aiiti-sypliilitique institué dès le début des troubles cérébraux donne très rapidement des effets salutaires, il s
'agit là surtout et avant tout d'une affection irritative du cortex cérébral , capable de troubler, directement ou indirectemen
. Le grand-père maternel, rhu- matisant, est mort d'une hémorrhagie cérébrale , et son père d'une phtlli- sie laryngée. Tant d
qui, d'habitude, n'a point de valeur pour l'étude des localisations cérébrales à cause des phéno- mènes de voisinage qu'elle p
une importance considérable sous le point de vue des localisations cérébrales . Il me semble donc, d'après ces travaux, et sans
ou- jours le résultat de décharges des éléments moteurs de l'écorce cérébrale , les lésions corticales qui provoquent ces déch
la clinique en démon- trant que l'excitation électrique de l'écorce cérébrale chez les animaux peut produire des convulsions
(1) GIUSEPPE Silyestiuni, Contribuzione allo studio della patologia cérébrale , dans la Riv. sperimentale di freniatra, 1880,
nt, nous savons que la destruction de certaines parties de l'écorce cérébrale est suivie de la paralysie des muscles du côté op
st peu marquée et seule elle est localisée dans les circonvolutions cérébrales . C'est qu'en 52 G. GASNE effet les centres ro
Il y a donc, comme le soutient M. Pitres,, confusion dans l'écorce cérébrale des territoires d'association et des terri- toi
isphère envoie des fibres de projec- tion dans le pied du pédoncule cérébral , les secteurs antérieur et posté- rieur sont re
ortés sont des exemples frappants de la dissociation de ces centres cérébraux , les uns centres de projection servant à la sen
éflexe rotulien, d'abord aboli, a reparu du fait d'une complication cérébrale . Il n'en est pas toujours ainsi [De- bove (2),
ce sur la réflectivité de cet organe. Lorsque survient un processus cérébral qui, annihilant les centres d'arrêt, exalte la ré
SUR LA PARALYSIE DU FACIAL SUPÉRIEUR DANS L'HÉMIPLÉGIE PAR LÉSION CÉRÉBRALE PAR CH. FÉRÉ Médecin de Bicêtre. La parti
s mouvements voloizlai- Tes considérés dans l'hémiplégie par lésion cérébrale , dans l'amyosthénie hystérique et en particulie
l'appui de cette systématisation. Dans les paralysies par lésions cérébrales , on a admis aussi des restric- tions relativeme
oeil sain. Coingt, tout en admettant que, dans l'hémiplégie faciale cérébrale , la pa- ralysie de l'orbiculaire n'est jamais c
XVIII PARALYSIE DU FACIAL SUPÉRIEUR dans l'Hemip)cgic par lésion cérébrale (Ch. Iiré) MASSON & Cie, Editeurs NOTE
mai). Cette observation présente un double intérêt : 1° Une lésion cérébrale datant de l'enfance et laissé ces cas de troubl
se pour être toujours indemne dans l'hémiplégie ancienne par lésion cérébrale . Celle participation de l'orbiculaire à la paraly
ersistance de la participation du facial supé- rieur à l'hémiplégie cérébrale n'est pas plus fréquente qu'on ne le pense, en
cons- tatation ne comporte pas la conclusion que dans l'hémiplégie cérébrale comprenant le facial tout le domaine du facial
vis, vigoureusement en faveur de l'existence d'une lésion centrale, cérébrale ou médullaire, peut être d'un simple trou- ble
pement du cerveau peut être vicié. Alors apparaissent des anomalies cérébrales qui se traduisent cliniquement par des phénomènes
érieurement. Dans la fosse médiane on voit une portion de substance cérébrale recouverte d'une membrane qui se continue en arri
s la fosse médiane, il recouvre du côté droit un reste de substance cérébrale et du côté gauche ce prolongement s'amincit et
incit et devient si transparent qu'on voit il travers lui une masse cérébrale de la grosseur d'une noix. Dans la fosse crânie
les os frontaux et s'attachent à la membrane qui recouvre la masse cérébrale disposée dans la fosse crânienne médiane. (PL XXI
fosse à forme rhomboïde dont le fond est recouvert d'une substance cérébrale provenant de l'hémisphère droit. Les tubercules
uit : la moelle allongée, le cervelet en dessous, un reste du tronc cérébral et un reste des hémisphères long de 5 centimètr
ventrale. Derrière cette couche se trouvait un reste de subs- tance cérébrale , recouvert d'une grosse et luisante membrane ; ce
cend jusqu'à la base du crâne et recouvre ici un reste de substance cérébrale , situé dans la fosse médiane du crâne; postérie
este de SUR LES DIFFORMITÉS CONGÉNITALES DU CERVEAU 1S9 substance cérébrale , mais il est plus petit. Derrière le reste du cer
ste une grande ressemblance entre eux. Dans tous les trois le tronc cérébral seul était conservé, la moelle allongée, le pon
ant sa vie. La voûte crâ- nienne manquait chez l'enfant et la masse cérébrale était disposée sur la base crânienne présentant
s cordons latéraux de la moelle épinière et plus haut dans le tronc cérébral le manque de la voie pyramidale ? L'unique explic
rce s'est arrêté aussi ; de là l'absence de pyramides dans le tronc cérébral et l'existence de la fissure dans la moelle épini
e sont développées normalement ? Dans nos trois cas les hémisphères cérébraux manquent presque totalement, c'est pourquoi sont
ces cellules ne reçoivent pas des cellules pyramidales de l'écorce cérébrale le stimulus nécessaire pour leur développement. E
oppement. En effet à cette époque la cellule pyramidale de l'écorce cérébrale ne s'est pas encore mise en connexion avec la cel
ces de la moelle épinière et les cellules pyrami- dales de l'écorce cérébrale , de sorte que pour les cellules motrices de la
du prolongement cylindre-axile de la cellule pyramidale de l'écorce cérébrale . Tant qu'il n'y a pas eu de contact entre la ce
le prolongement cylindre-axile de la cellule pyramidale de l'écorce cérébrale , la cellule motrice de la moelle épinière ne poss
re dans le courant de cette année, sur d'autres exemples de tumeurs cérébrales . Ce sera pour moi l'occasion d'entreprendre une
oi l'occasion d'entreprendre une étude clinique des localisa- tions cérébrales . Cette étude doit vous intéresser à deux points d
à l'intervention opératoire, en tant qu'il s'agit des tumeurs dites cérébrales , des tumeurs inlra-cràniennes. La malade dont i
détail. Je ne vois guère que la sclérose en plaques et les tumeurs cérébrales qui puissent entrer en ligne de compte. Il ne sau
ques, mais tel n'est pas mon avis. Reste l'hypothèse d'une tumeur cérébrale . A plusieurs reprises, j'ai déjà ri eu l'occasi
ous orienter dans la voie de celle hypothèse un peu vague de tumeur cérébrale , il en est trois autres, dont la siginfication es
re accentuer nos présomptions en faveur de l'existence d'une tumeur cérébrale ; ils sont propres à nous éclairer sur le siège
ives au mécanisme pathogénique des accidents causés par les tumeurs cérébrales . Je suppose le cas où une néoplasie susceptible
désorganisant. Tous les éléments de la symptomatologie des tumeurs cérébrales découlent de là. Tous, ils se ramènent, soità à d
. Il est donc entendu que les phénomènes en rapport avec une tumeur cérébrale sont de deux ordres : phénomènes de compression g
ue toujours, la névrite oedémateuse est la conséquence d'une tumeur cérébrale . Chez notre malade, elle parait être en rapport
ent que toutes les présomptions parlent dans le sens d'une tu- meur cérébrale , il nous reste à préciser le siège de celte tumeu
ose à attendre de la thérapeutique in- terne. Seules, les tumeurs cérébrales d'origine syphilitique sont justiciables, dans
neurasthénie, puis, plus certainement, à l'invasion d'une syphilis cérébrale . Guérison d'une rapidité significative par la m
ymptômes multiples d'ostéites naso-crhniennes. rnvasion de troubles cérébraux symptomatiques, et mort en 1878 (1). Marié en 1
un bébé à vingt ans ». Vers trente ans, elle fut prise d'accidents cérébraux , devint maniaque, puis démente, et succomba.
e : enfant venu Ù terme, syphilitique ; mort à dix mois d'accidents cérébraux . Observation (communiquée par M. le Dr 13AnTnr
un excès dépression intra- crânienne, une hydrocéphalie, une tumeur cérébrale , un état de souffrance cérébrale quelconque ? N
nne, une hydrocéphalie, une tumeur cérébrale, un état de souffrance cérébrale quelconque ? Ne serait-elle donc qu'un phénomène
u membre inférieur droit et aplasie osseuse. Atrophie médullaire et cérébrale . liourl... François, âgé de 41 ans, musicien, e
ATROPHIE DES CENTRES NERVEUX (ACHARD et LËOPOLD-LÉVi) Hémisphères cérébraux vus par leur face interne. (Photographies dues
ans. On constate une atrophie simple de la moelle et de l'atrophie cérébrale . Quant à la cause de l'arthrite, elle reste un
e laxité exagérée. Il nous faut maintenant revenir sur l'atrophie cérébrale . Elle est loca- lisée ici au lobule paracentral
du volume des grandes cellules pyramidales. L'atrophie de l'écorce cérébrale , répondant comme siège au centre mo- teur du me
îne la perturbation fonctionnelle puis l'atrophie du neurone moteur cérébral (1). (1) M. Apert a présenté tout récemment à l
nale' une atrophie de la corne antérieure de la moelle et du centre cérébral correspondant au membre paralysé. A l'occasio
nécropsie et il ne constate aucune différence entre les hémisphères cérébraux et les nerfs crâniens de droite et de gauche :
on est cependant augmenté de volume et déprime in situ la substance cérébrale . IIeumann attire l'attention sur la rudesse spé
t est plus volumineux que le gauche et qu'à son niveau la substance cérébrale est déprimée. Il n'y a an- cune différence dans
rveau, ou plus exactement malgré l'absence totale des hémis- phères cérébraux , les enfants en question sont venus au monde, non
RAL 369 pement, peut amener à une atrophie complète des hémisphères cérébraux et peut même conduire à l'anencéphalie. Dans
oute, influer sur les parties avoisinant cerveau, et c'est l'écorce cérébrale qui s'atrophie d'abord sous l'inflt de la compr
ls occupent à eux seuls presque toute la cavité crânienne. L'écorce cérébrale devient alors si mince qu'elle se transforme en
e la fosse crânienne médiane qu'on aperçoit un restant de substance cérébrale , formant deux couches et ressemblant à des oeuf
iquide, que sous l'influence de sa pression, presque toute l'écorce cérébrale s'est transformée en une membrane très fine, l'en
on ne retrouve que la membrane, qui n'est autre chose que l'écorce cérébrale amincie sous l'influence de l'accumulation du liq
es couches optiques ; dans la fosse postérieure, un reste de l'écorce cérébrale attenant au repli falciforme. C. Cas I. Base
- Cas IL Encéphale : moelle allongée, cervelet, et un reste d'écorce cérébrale soulevé. MASSONS & Cie, Editeurs DES DIFF
coupée en deux, auprès d'elle est situé un petit reste de l'écorce cérébrale qui dans d'autres en- droits s'est transformé e
tricules latéraux, se produit la disparition totale des hémisphères cérébraux . Mais quelque- fois ce phénomène est plus compl
les parois-de la vésicule, qui s'est formée aux dépens de l'écorce cérébrale , peuvent se rapprocher, lorsque dans certaines
iques. Et quand on enlève le cerveau on ne trouve plus que le tronc cérébral recouvert de membranes fibreuses assez épaisses
survient une distension considérable des ventricules, mais l'écorce cérébrale amincie ne prend pas 372 NICOLAS SOLOVTZOFF l
recouvrent les couches optiques. En somme, dans les cas où l'écorce cérébrale amincie ne prend pas l'as- pect d'un globe reco
etrouver ici , avec les fais- ceaux fibreux, des restes de l'écorce cérébrale amincie, en forme de mem- brane. Ainsi donc,
risées parce fait que, de tout le cerveau, il ne reste que le tronc cérébral , et le cervelet. Quant à l'écorce cérébrale, el
il ne reste que le tronc cérébral, et le cervelet. Quant à l'écorce cérébrale , elle manque quelquefois totalement; d'autres foi
as, on devra considérer que les faisceaux fibreux qui vont du tronc cérébral vers la surface interne des os, permettent de p
e cause tout à fait différente peut également produire une anomalie cérébrale d'apparence analogue. Nous voulons parler du cas
nasal. Il est intéressant de remarquer que le reste des hémisphères cérébraux est tout à fait isolé, et n'est lié avec les au
ésicule ophtalmique n'est autre chose qu'une portion de la vésicule cérébrale primitive prolongée en avant, il faut penser qu
htalmiques. L'accumulation considérable du liquide dans la vésicule cérébrale pro- voqua un élargissement non seulement de ce
rébrale pro- voqua un élargissement non seulement de cette vésicule cérébrale primi- tive, mais aussi de toutes les enveloppe
ienne seule resta recouverte d'une membrane, reste de la vé- sicule cérébrale qui ne pouvai plus se développer parce qu'elle se
interne. Il est certain, que chez l'en- fant de 2 ans dont le tronc cérébral était conservé et dont l'écorce cérébrale seule
fant de 2 ans dont le tronc cérébral était conservé et dont l'écorce cérébrale seule était transformée en membrane, le process
chez lequel sous l'iiinence d'une hy- drocéphalie interne, l'écorce cérébrale s'est transformée en membrane très fine, revêta
e interne du crâne (PI. XI, A, IL C). Le cerveau se réduit au tronc cérébral . 2° Enfant âgé de 4 jours seulement, on ne retr
Enfant âgé de 4 jours seulement, on ne retrouve encore que le tronc cérébral ; ici la difformité a été provoquée par la soudur
ances blanche et grise des parties lombaire et dorsale de la moelle cérébrale ,mais dans la région cervicale les particularités
eil, qui est très diminué et en général toutes les parties du tronc cérébral à ce niveau, à l'exception des pyramides, qui m
développé ; mais il n'y a point de pyramides; à cela près le tronc cérébral ne présente rien d'anormal à ce niveau (PI. XLI
s que, outre l'absence des pyramides sur toute la longueur du tronc cérébral , on re- marque les particularités suivantes ; l
ue (PI. XLIV, U). Plus loin, au niveau de la naissance du pédoncule cérébral il l'endroit où l'entrecroisement des pédoncule
encore. Plus liant, au niveau des noyaux rouge à l'endroit du tronc cérébral où, du côté laté- ral, sont situés les pédoncul
rieurs, il n'y a pas de pulvinar, en outre à la base du pé- doncule cérébral , les fibres à myéline manquenl totalement (PI. XL
(pli. XLV, Y). Voilà tout ce qui reste des hémisphères et du tronc cérébral . Quant il l'écorce cérébrale,elle or.;\'. ICO'O
e qui reste des hémisphères et du tronc cérébral. Quant il l'écorce cérébrale ,elle or.;\'. ICO'OGI(,%IIIIL ni' la SILi'F1RILH
ur- tant on ne rencontre point les cellules spéciales de l'écorce cérébrale ; cependant dans la partie des hémisphères qui
ications est double. Certaines d'entre elles (l'absence de l'écorce cérébrale , du pulvinar, du corps genouillé, etc.), s'expl
tres modifica- tions secondaires résultent de l'absence de l'écorce cérébrale : telles sont l'absence des pyramides (c'est-à-
e des pyramides (c'est-à-dire de la voie motrice allant de l'écorce cérébrale vers les cellules des cornes antérieures), l'abse
postérieurs bien dévelop- Fig. 2. Cellule pyramidale de l'écorce cérébrale (Cas I). 380 NICOLAS SOLOVTZOFF pés; quant au
ntérieure résulte de l'absence des cellules pyramidales de l'écorce cérébrale . Dans la première moitié de la vie intra-utérin
rolongements cylindres-axiles des cellules pyramidales 'de l'écorce cérébrale et les dendrites des cellules motrices de la co
ions qui ont pu remplacer l'absence d'impulsions venant de l'écorce cérébrale . ' Quant aux autres monstres leurs cellules pré
x aussi le degré de l'anomalie dé- pend de la quantité de substance cérébrale qui persiste. Moins était gros le reste de la s
e cérébrale qui persiste. Moins était gros le reste de la substance cérébrale , plus l'aspect des cellules était bi- zarre : m
buté à une période très précoce de la vie embryonnaire, la vésicule cérébrale se distendit tellement qu'elle fut sou- mise à
du ruban de Reil s'explique par l'absence presque complète de tronc cérébral ; l'absence des olives et des voies cérébelleuses
e processus morbide est plus accentué, alors non seulement l'écorce cérébrale manque, mais encore toute la voûte crânienne; il
finie. Dans ce qu'on est convenu d'appeler l'écorce des hémisphères cérébraux , il y a un territoire chargé spécialement de co
relation. Voilà ce que nous enseigne la doctrine des localisations cérébrales , entrevue par quelques esprits éminents, dès la
inées des uns et des autres la doctrine naissante des localisations cérébrales . Messieurs, l'avènement de cette doctrine a été
connaissances que nous avons acquises, touchant les locali- sations cérébrales , il nous est devenu possible de déterminer, dans
ues explications sur ce sujet. A l'état de veille, notre activité cérébrale s'exerce de deux façons distinctes : Tantôt, no
e fonctionnement des centres nerveux est le propre de l'automatisme cérébral ; lui seul subsiste, pendant le sommeil naturel ou
nté étrangère. Son activité psychique est dominée par l'automatisme cérébral ; il suffira, pour le mettre en mouvement d'une
mise en mou- 412 INAUGURATION DU MONUMENT vement de l'automatisme cérébral , chez un être humain infériorisé, dont la vo- l
de conscience propres, pour ne laisser subsister que l'automatisme cérébral : il faut endormir le sujet, avant de le soumet
surnaturel : ce sont essentiellement des produits de l'automatisme cérébral , au même titre que les autres manifestations de
a plus grosse part, il l'édification de la doctrine des localisations cérébrales , qui est devenue quelque chose comme la préface
er aux proportions plus modestes de manifestations de l'automatisme cérébral chez des sujets hystériques. Je vous ai laiss
st alcoolique. Mère morte après 8 jours de maladie d'une congestion cérébrale . Pas de consanguinité entre le père et la mère;
demi-idiotie et à l'épilepsie. D'une part, on sait que les lésions cérébrales (scléroses, porencéphalie, etc.) qui donnent les
nulle. Il est donc très probable que chez notre malade, les lésions cérébrales et celles de la face sont anatomiquement de mêm
entre les nfcvi étendus, sur- tout ceux de la face, et les lésions cérébrales se traduisant par l'idiotie, les affections spa
419. Paralysie du facial supérieur dans l'hémi- plégie par lésion cérébrale , par Cil. Flré £ (2 phot.), 147. Peintres de
sur la paralysie du facial supérieur dans l'hémiplégie par lésion cérébrale (2 phot.), 147. Fournier (Edmond). Les malforma
VII. Paralysie du facial supérieur dans l'hémi- plégie par lésion cérébrale (Cn. Féré), XVIII. Paralysie du grand dentelé
20 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
oblème de la constitution de la moelle épinière, du bulbe et du noyau cérébral , un nouveau mode de description de ces parties, u
calleux et de la voûte à trois piliers, la découverte des expansions cérébrales du nerf optique et de leurs curieuses modificatio
tomie comparée ; enfin, une étude attentive de l'évolution des formes cérébrales a permis de déterminer avec plus de certitude les
és deux cordons terminés en deux bandelettes qui, de la base du noyau cérébral , se portent à sa face supérieure, en s'enroulant
uverture qui divise en arrière la paroi de l'ensemble des ventricules cérébraux , passant de chaque côté, du milieu du bord postér
ouverture est la fente en fer à cheval. L'ensemble des ventricules cérébraux est immédiatement recouvert au côté dorsal par un
eux ventricules latéraux. On donne à ces coiffes le nom d'hémisphères cérébraux . Quant à la quatrième, elle consiste en deux ma
nt en particulier chacune de ses régions. § S. Description du noyau cérébral . Ce noyau est dès à présent divisé pour nous en
érentes régions sont surtout distinctes à la face inférieure du noyau cérébral , nous décrirons en premier lieu cette face en pre
paraît immédiatement au-devant du bulbe à la face inférieure du noyau cérébral . 2a Deuxième région, ou région de la protubéran
ons nous faire une idée assez complète de la face inférieure du noyau cérébral considéré dans son ensemble. Sur les côtés, les
. § 3. Face supérieure du noyau. Les parties supérieures du noyau cérébral , la plupart enveloppées par des parties surajouté
part avec le ventricule de la moelle, de l'autre avec les ventricules cérébraux . Une troisième appendice est médiane et occupe
bien distinct (sillon latéral de l'isthme) les distingue du pédoncule cérébral proprement dit. Reil les avait décrits sous le no
ant toute la vie. Ces concrétions sont désignées sous le nom de sable cérébral . On en ignore complètement les usages. Elles manq
e sens du plan médian de l'encéphale, entre les deux moitiés du noyau cérébral , les autres se développent latéralement, et sont
d'indiquer. Nous lui avons donné le nom de vestibule des ventricules cérébraux . La modification de l'étage supérieur du ventri
par suite du crâne qui doit le contenir. Ajoutons que les ventricules cérébraux sont presque tout le cerveau du fœtus. Les part
De là une ouverture en fer à cheval qiu divise la paroi du ventricule cérébral d'une corne sphenoidale à l'autre, en passant par
rties est la voûte à trois piliers, Fornix, autrement appelée trigone cérébral , nous la nommerons, pour abréger, voûte tout simp
a corne sphenoidale. Ils limitent ainsi la paroi propre du ventricule cérébral . De là ce nom de corps bordants, corpora fimbriat
res rayonnantes se recourbent au-dessus de l'ensemble des ventricules cérébraux , de manière à former au-dessus de cet ensemble un
bas en haut, puis d'avant en arrière. Une coupe transversale du noyau cérébral fait bien voir la première courbure. Une coupe mé
ces filaments se rattachent. Pour compléter cette histoire du noyau cérébral , nous devons indiquer maintenant les rapports qui
et les loges cérébelleuses du crâne, dépassant de chaque côté la loge cérébrale , donnaient au crâne une forme bizarre. Chez les p
ure en fera comprendre la haute signification. § 3. Des hémisphères cérébraux en général. Le cerveau est divisé en deux moiti
le. Ces bourses coiffent, en quelque sorte, les deux moitiés du noyau cérébral , auquel elles sont attachées par une masse énorme
ons, les vallées qui les séparent sont des anfractuosités. Les plis cérébraux sont fort compliqués dans l'homme. Cette complica
. Je l'ai moi-même traitée fort au long dans mon ouvrage sur les plis cérébraux des primates, dont je résumerai ici les principau
ports véritables. Chaque hémisphère coiffe une des moitiés du noyau cérébral en se moulant, pour ainsi dire, autour d'elle. Le
ouvre très-exactement. Puis elle recouvre toute cette partie du noyau cérébral qui enferme le ventricule latéral et s'avance jus
l. Ainsi le fond de la vallée répond aux parties inférieures du noyau cérébral et touche au champ olfactif. La face interne de
i ne la présente. Nous la décrirons plus au long en traitant des plis cérébraux . Telle est, d'une manière générale, la configur
phénoïdaux. Entre ces deux saillies, on aperçoit les parties du noyau cérébral que ne recouvrent point les poches des hémisphère
recouvrent point les poches des hémisphères, savoir : les pédoncules cérébraux , le tuber cinereum, le chiasma des bandelettes op
ncéphales ont un grand bulbe, un grand cervelet, avec des hémisphères cérébraux très-réduits. Dans une idiote, âgée de vingt et u
ale ; elle est située un centimètre environ en arrière de l'ouverture cérébrale et descend du bord supérieur de l'hémisphère sur
pendiculaire interne; il circonscrit le bord antérieur de l'ouverture cérébrale . Nous lui donnons le nom de lobe fronto-pariétal
noidal au dessous du lobe occipital interne et de la grande ouverture cérébrale . Nous le désignerons ainsi : lobe occipito-spheno
'y a plus que des rudiments, que dis-je, des fragments d'organisation cérébrale . Ce fait est l'un des mieux constatés que possède
pèce humaine, sont, en quelque sorte, une subdivision des hémisphères cérébraux ; très-grêles dans l'homme, dans les singes et da
ie du bord de la grande ouverture de l'hémisphère qui adhère au noyau cérébral au devant des couches du corps strié extra-ventri
es encéphaliques; ces processus ne sont point séparés des hémisphères cérébraux comme le sont le cervelet et les tubercules quadr
e, on peut dans tous les cas admettre la similitude de l'organisation cérébrale . Nous regardons, quant à nous, cette opinion comm
ui, du cordon postérieur de la moelle, se portent vers les pédoncules cérébraux ? Il semble que la partie superficielle des cordon
stes ont décrit sous le nom de base ou d'étage inférieur du pédoncule cérébral . Un amas remarquable de substance grise, désigné
externes. 11 y a donc une sorte de correspondance au travers du noyau cérébral tout entier, entre les deux corps striés externes
Quand on a séparé par un écartement mesuré les deux moitiés du noyau cérébral , le noyau gris de la couche optique étant pris co
couronne contient à la fois des fibres qui proviennent des pédoncules cérébraux proprement dits, et des fibres émanées soit des c
uent aussi des masses latérales du cervelet, et celui des hémisphères cérébraux . Ces parties latérales du cervelet constituent en
us constante. Ces tubercules sont très-grands quand les hémisphères cérébraux sont petits. Ils sont très-petits quand les hémis
res cérébraux sont petits. Ils sont très-petits quand les hémisphères cérébraux sont grands. C'est là une alternative remarquable
s ne présentent rien de spécial (1). § 3. Structure des hémisphères cérébraux . Nous avons vu plus haut que le cerveau, propre
s irradiations fibreuses qui remplissent la concavité des hémisphères cérébraux . Pour simplifier par avance le dédale de l'expo
vant au corps calleux. Le troisième est la paroi propre du ventricule cérébral . Autour de la courbe du corps calleux et des ba
misphère embrassant et ceignant exactement une des moitiés du noyau cérébral . 11 serait superflu de revenir sur ce point d'ana
isphère par un prolongement qui suit le bord inférieur de l'ouverture cérébrale . Ce prolongement mérite d'être attentivement exam
e donne en même temps une idée excellente de l'ensemble du ventricule cérébral et de cette portion de la bandelette de la voûte
s, dans une préparation hardie, ou, énucléant d'un seul coup le noyau cérébral tout entier à l'aide du doigt rapidement promené
ction sur la ligne médiane d'extrémités de fibres des deux pédoncules cérébraux . Tiedemann, Anatamie du cerveau. Paris, 1823, pag
ration fait voir, d'une manière admirable, la forme générale du noyau cérébral , et serait parfaite, à coup sûr, si malheureuseme
ue couronne radiante à l'hémisphère opposé, au-dessus des ventricules cérébraux ; fait difficile à constater, par suite du parallé
ur disposition est rigoureusement traduite par l'arrangement des plis cérébraux saillants à la superficie de l'hémisphère. Ainsi,
incipale du nerf ou plutôt de la bandelette optique dans l'hémisphère cérébral (1). (1) J'ai fait pour la première fois cetle
n avant le plan commencé, si je puis ainsi dire, par les expansions cérébrales de la racine interne. Ainsi, d'une manière généra
nt en arrière. Ce changement de direction des fibres dans l'expansion cérébrale du nerf optique me paraît un fait très-important,
ciale. On peut suivre aisément les rayons de cette grande expansion cérébrale du nerf optique dans toutes les parties du bord s
térieurs, est relativement assez considérable. Toutefois, l'expansion cérébrale est médiocre et proportionnée à la grandeur d'un
s, sont comparativement assez grêles ; mais, en revanche, l'expansion cérébrale acquiert un développement prodigieux. Ces observa
prouvent qu'il y a un rapport direct entre la grandeur de l'expansion cérébrale et celle de l'hémisphère, mais le volume du nerf
à la grandeur des tubercules quadrijumeaux antérieurs. L'expansion cérébrale du nerf optique est très-difficile à découvrir da
faits, il m'a été impossible de découvrir aucune trace de l'expansion cérébrale , c'est là un fait bien remarquable. Le nerf opti
animaux il y a entre ces deux racines un rapport inverse : la racine cérébrale est au minimum, elle peut être nulle; en revanche
autre plan fort remarquable ; ce nouveau plan résulte des expansions cérébrales de la commissure antérieure. On peut distinguer
l'extrémité du lobe occipital, doublent dans les singes tous les plis cérébraux qui occupent la face externe de l'hémisphère au-d
lfactifs. Y a-t-il une meilleure preuve que le plan de l'organisation cérébrale est réalisé d'une manière très-différente dans le
ous le nom de tapis ; 7° En dehors du tapis, le plan des expansions cérébrales du nerf optique; 8° Après celles-ci, le plan de
es deux hémisphères ; 3° Des fibres développées entre un hémisphère cérébral et le pédoncule qui lui correspond; 4° D'autres
noidal, en suivant la partie adhérente du bord de la grande ouverture cérébrale . C'est à cette bande qu'on a donné le nom de raci
ulaires du facial jusque dans les faisceaux ascendants des pédoncules cérébraux . En résumé, c'est dans le plancher du quatrième
chez l'homme et les singes, s'épanouit dans l'écorce des hémisphères cérébraux . En conséquence, leurs fibres entrent dans la com
le comme l'avait annoncé Vieussens. J'ai fait remarquer que la racine cérébrale et celle des lobes optiques étaient, quant à leur
mportance relative, en sens inverse l'une de l'autre. Quand la racine cérébrale est au maximum, l'autre est au minimun, et récipr
analogies, que les deux nerfs pourraient bien dépendre du même organe cérébral ; mais je ne veux rien préjuger. Ces nerfs pénèt
des dissections n'ait pas permis de pousser la recherche des racines cérébrales de (1) Kôlliker (Histologie humaine) partage en
usions en exclusions, nous sommes forcés de voir dans les hémisphères cérébraux eux-mêmes la condition première des sensations au
son du défaut de correspondance qui existe entre le nombre des fibres cérébrales et celui des fibres nerveuses médullaires ou péri
je retrouve chez eux un centre ovale très-réduit, avec une expansion cérébrale peu riche pour un si gros nerf si je la compare à
seule; 3" d'une cellule multipolaire où s'uniraient plusieurs fibres cérébrales , pourraient sortir un moindre nombre de fibres ce
oppement des corps genouillés externes est lié à celui des expansions cérébrales du nerf optique. Or, la multiplication des libr
u cerveau antérieur; enfin les faisceaux de la moelle, les pédoncules cérébraux , et toutes les formations fibreuses de l'axe se d
ar suite de l'accroissement prodigieux du cervelet et des hémisphères cérébraux . Je dois Caire remarquer toutefois que jusque ver
s ont acquis assez d'épaisseur pour leur mériter le nom d'hémisphères cérébraux ; les lobes olfactifs sont, dès avant ce temps, pa
n distinguait, en outre, avec la plus grande évidence, les pédoncules cérébraux , le tuber cinereum et deux petits nerfs optiques
us réservant d'y revenir plus en détail par la suite : tous les nerfs cérébraux étaient distincts mais extrêmement grêles. Dans
euse d'un cas de microcephalic compliquée d'hydrocéphalie. Les parois cérébrales étaient fort minces et présentaient des traces de
maux ou plutôt les lobes optiques; venaient ensuite les hémisphères cérébraux , puis le cervelet. A l'époque où nous sommes arri
avant de se montrer à gauche. D'ailleurs, ce développement des plis cérébraux va si vite, qu'à la naissance le système de ces p
iffèrent, au premier coup d'œil, de la protubérance et des pédoncules cérébraux . Peut-être y a-t-il là quelque indice d'une liais
x offrent peu de différences, il n'en est pas de même des hémisphères cérébraux . Il n'y a par exemple aucun parallèle à établir e
ances plus grandes qui rapprochent, au point de vue de l'organisation cérébrale , ces deux groupes naturels. En effet, à certains
èvres se soit effectué, des plis nombreux se dessinent sur la surface cérébrale et à la naissance ; alors même que leur système e
à l'âge adulte. Prenons, par exemple, le moment où les hémisphères cérébraux ne recouvraient point dans le fœtus les tubercule
vache par exemple. Choisissons toujours le moment où les hémisphères cérébraux touchent aux tubercules quadrijumeaux, mais sans
s quand elle se détache absolument de la terre. sur les hémisphères cérébraux , aucune trace de circonvolutions. Il y a donc là
. S'il y a entre la taille de l'animal et la complication de ses plis cérébraux un rapport réel? / On peut encore tirer des f
ier, elle sera égale à deux dans le second ; en conséquence, les plis cérébraux étant semblables dans l'un et dans l'autre, l'éte
eau du grand pourra être tout au plus 1 1/2. En conséquence, les plis cérébraux étant supposés semblables dans l'un et l'autre ce
ait acquis un grand développement relatif. L'état des circonvolutions cérébrales était remarquable, elles ne dépassaient pas en co
Aztecs, tenait sans doute à une réduction congéniale du développement cérébral . Cette observation ne justifie en rien la proposi
qui, sous le nom de faux ou de tentes, séparent les deux hémisphères cérébraux l'un de l'autre et constituent au-dessus du cerve
e de ces replis existent des lacunes qui reçoivent le sang des veines cérébrales et sont connues sous le nom de sinus. Après une i
'un de ces replis est horizontal, il sépare dans le crâne la région cérébrale d'avec la région cérébelleuse. M. Cruveilher l'a
système nerveux, en les mettant en rapport immédiat avec les surfaces cérébrales (1). § 4. Structure des enveloppes membraneuse*
e leur distribution, sont essentiellement les artères des hémisphères cérébraux . — Les deux vertébrales pénètrent dans le crâne
tribue aux parties postérieures des hémisphères sous le nom d'artères cérébrales postérieures ou profondes. Une division considéra
. Ces artères, désignées sous le nom de communicantes, unissent les cérébrales postérieures aux troncs des carotides, à leur ent
fini dans la pie-mère encéphalique avant de se ramifier dans la masse cérébrale . Toutefois elles donnent quelques petits rameaux
s communs les sinus de la dure-mère. On distingue : 1° Les veines cérébrales supérieures. Leurs racines, logées dans lo fond d
s'ouvrent enfin dans le sinus longitudinal supérieur. 2° Les veines cérébrales postérieures. Elles s'ouvrent dans les sinus laté
les sinus latéraux près des sinus pétreux supérieurs. 3° Les veines cérébrales antérieures. Nées de la partie inférieure des lob
aux enveloppes du cerveau. Les artères et les veines de la substance cérébrale naissent directement des réseaux vasculaires de l
e que j'ai fait connaître dans un autre ouvrage (Mémoire sur les plis cérébraux de l'homme el des primates, 1854.) Je l'ai trouvé
re part certains auteurs habiles, se fondant sur ce fait que la masse cérébrale s'accroît d'avant en arrière en recouvrant de plu
u cerveau. Évidemment la réponse est facile. La capacité des fosses cérébrales de l'occipital étant assez faible, un grand accro
oute peu de chose à l'ampliation du crâne en général, et de sa région cérébrale en particulier. Au contraire, l'ampliation du fro
d'avant en arrière. Ce n'est pas tout; chez l'enfant blanc la région cérébrale de l'occiput l'emporte beaucoup sur ses parties c
ce étant par excellence l'âge de l'hydrocéphalie, et que les maladies cérébrales étant pour beaucoup dans la mortalité de l'enfanc
qu'elle peut donner une idée fort exacte du développement des régions cérébrales comprises entre le sommet de la scissure de Sylvi
nné une grande attention à la détermination des régions de la surface cérébrale , qui caractérisent plus particulièrement le cerve
nous sommes entrés touchant l'excellence typique de certaines régions cérébrales ne permettent point d'accepter celte manière de v
ne faut point négliger. Le plus souvent, dans l'homme blanc, les plis cérébraux ne laissent sur la table interne du crâne aucune
ns ce cas les plis laisseront des empreintes, ou ce sera la substance cérébrale , et alors il ne s'en produira pas. L'existence de
oppement poussé aussi loin que possible, eu égard à la masse du noyau cérébral et des centres blancs des hémisphères. Le fait es
is qu'elles sont plus ou moins profondes dans tous les cas d'atrophie cérébrale , et il en est de même chez les singes inférieurs
s, d'Alfouroux, de Mongols ou de blancs, eussent-ils la même capacité cérébrale , il ne faudrait pas conclure de ce fait à l'équiv
fication des vertèbres céphaliques et l'accroissement de la substance cérébrale . En général, quand le cerveau est grand, le crâne
ette tendance en ramenant en avant le frontal, signe du développement cérébral et de la puissance intellectuelle. M. le docteu
nts, le ganglion antérieur du cerveau, qui correspond aux hémisphères cérébraux et aux obes olfactifs, est l'organe de l'esprit e
arus que le cervelet, les tubercules quadrijumeaux et les hémisphères cérébraux ont des fonctions distinctes, ce que M. Flourens
sant la large bande circonvolu-tionnaire qui longe la grande scissure cérébrale . Ainsi cette région nous paraît-elle mériter de f
suffit-elle au développement complet de leurs facultés, et des formes cérébrales qui trahiraient l'intelligence d'un blanc suffise
n blanc suffisent à ces faibles natures. Cette suffisance d'une forme cérébrale inférieure dans ces hommes inférieurs s'explique
ement faite, renverserait bien des préjugés. (1) P. Gratinlet, Plis cérébraux de l'homme et des primates. Paris, Arthus Bertran
aisserons ici de côté les mouvements alternatifs qui agitent la masse cérébrale . Ces mouvements, qui ont peut-être sur les foncti
nt un fait sans précédent dans la science : c'est que les hémisphères cérébraux étant détruits, les rapports du corps avec l'âme
effet direct et un effet croisé. «J'enlevai, dit M. Flourens, le lobe cérébral droit à un pigeon : l'animal perdit aussitôt la v
nature de la sensation, agit seul ou réclame le concours des « lobes cérébraux . » Il faut distinguer avec soin le mouvement de
nt résulte constamment d'une lésion incomplète de l'un des pédoncules cérébraux . L'animal tourne alors sur le côté opposé à celui
omme centre. Suivant M. Longet, après l'ablation des deux hémisphères cérébraux et des deux corps striés, la station et la progre
auquel on ne peut atteindre sans blesser profondément les hémisphères cérébraux , la voûte et le corps calleux, et sans ouvrir lar
possible, et cependant en voyant la paralysie qui suit les apoplexies cérébrales affecter tantôt les bras, tantôt les jambes, il m
corps pituitaire, et de la plupart des parties constituantes du noyau cérébral . Depuis que l'hypothèse cartésienne sur la glande
eine à admettre que son développement est lié à celui des hémisphères cérébraux . Quoi qu'il en soit, les mammifères seuls ont un
est heureusement plus avancée à l'égard du cervelet, des hémisphères cérébraux , des tubercules quadrijumeaux et des lobes olfact
s chez différents auteurs, qu'une atrophie qui porte sur l'hémisphère cérébral droit, par exemple, entraîne l'atrophie de l'hémi
logistes ont écrit sur la localisation des sensations et des facultés cérébrales . Il n'est point prouvé que la destruction des lob
rôle qu'on pourrait attribuer aux différentes parties des hémisphères cérébraux . Nous ne résoudrons pas, sans doute, le problème;
loppement est, en général, en raison inverse de celui des hémisphères cérébraux . Ils sont fort petits, en effet, dans l'éléphant,
M. Longet une expérience curieuse. Un pigeon privé de ses hémisphères cérébraux , suivait avec sa tête les mouvements d'une bougie
ce d'un reste de sensibilité réelle, après l'ablation des hémisphères cérébraux . Nous ne disons point que l'animal réduit à la co
bandelettes optiques s'épanouissent directement dans les hémisphères cérébraux . Les observations de mon savant maître, M. le pro
mais évidemment ils sont un diverticulum de l'écorce des hémisphères cérébraux . Ils reçoivent, d'ailleurs, un grand nombre de ne
lés, j'insiterai plus particulièrement sur celui-ci : les hémisphères cérébraux sont les organes et le siège immédiat de l'intell
quer; et il est permis de supposer que c'est là un phénomène purement cérébral et où les yeux ne sont pour rien. Ainsi, avec d
belle expérience de Longet (2) montrent assez qu'à côté de la vision cérébrale ou intellectuelle, il y a une vision automatique
d'autant plus disposé à le penser, que dans le raptus des congestions cérébrales , les objets extérieurs eux-mêmes semblent tourner
ires, est une cause immédiate de congestion, ou du moins d'hyperhémie cérébrale . Je ne puis m'empêcher de rendre ici justice à la
produisant plus aisément dans les natures affaiblies, ces excitations cérébrales sont surtout fréquentes chez des hommes livrés au
point le principe de ces tendances nouvelles dans les circonvolutions cérébrales ; la cause est un calcul biliaire, un ver intesti
gulière industrie ? Les plis que présente la surface de ses ganglions cérébraux comme l'a vu, il y a peu d'années, notre célèbre
et du nerf optique; la seconde suit le développement de l'hémisphère cérébral . Ces faits n'indiqueraient-ils pas qu'il y a de
i donc l'intelligence est abolie après la destruction des hémisphères cérébraux , nous pensons avec M. Flourens que toutes les sen
pe ou dans une grenouille auxquelles on a soustrait leurs hémisphères cérébraux ; de même celle de voler, quand on l'excite, de c
sollicitée dans le sens des impressions qui dominent dans l'économie cérébrale . Ainsi s'explique probablement le phénomène, au p
novembre 1855. t'ois il n'y a aucune déviation monstrueuse du type cérébral , en sont la preuve. L'intelligence est faible, il
nes et esquisse première............. ib. § 2. Description du noyau cérébral ............... 44 § 3. Face supérieure du noyau
Des tubercules quadrijumeaux............... 99 § 3. Des hémisphères cérébraux en général........... 100 § 4. Des relations qu
bercules quadrijumeaux.......... 159 § 3. Structure des hémisphères cérébraux ............ 160 § 4. Structure des lobes olfact
S'il y a entre la taille de l'animal et la complication de ses plis cérébraux un rapport réel............... 258 CHAPITRE VII
21 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
umain au niveau de l'extrémité toute postérieure des pédon- cules cérébraux , est destinée à montrer les rapports de la form
e sui- vant, extrait de Ch. Richet (Structure des circonvolutions cérébrales . Thèse de concours, Paris, 1878J. « Cette lame
ver chez les oiseaux, les reptiles, les poissons, etc. , une partie cérébrale qui rappelle par sa forme ou au moins par ses d
trouver chez les vertébrés autres que les mammifères une par- tie cérébrale qui reproduise la forme de la corne d'Ammon, ca
en grande partie à faire, et il sera possible que, sur une écorce cérébrale uniforme en surface, on trouve, en une région,
ps bordant. Dans les divers ouvrages où l'évo- lution des vésicules cérébrales est aujourd'hui traitée d'une manière si complè
ont déjà bien formées, en avant et sur les côtés de la vési- cule cérébrale moyenne, de sorte que la cavité des ventricules
abondance dans ce pli, et refoulent de plus en plus la mince paroi cérébrale vers la cavité du ventricule. Ainsi vont se for
oit dans la figure 13 (mouton, long. 21 millimètres) : ici la paroi cérébrale a gagné en épaisseur; ses sillons transitoires
ure de l'hémisphère. C'est sur cette dernière portion de la paroi cérébrale , c'est-à-dire contre la lèvre postérieure de l'
e lapin long de 17 millimètres), on voit en ce point (enX) la paroi cérébrale , demeurée relativement mince, présenter un plis
et stratifications qui conduisent à la formation des enve- loppes cérébrales . En avant de ce sillon est une véri- table circ
ronné avec le corps bordant). En arrière est une partie de la paroi cérébrale qui formera ce qui, chez les rongeurs, est l'ho
ur mode déformation, ces plexus sont toujours en dehors des cavités cérébrales , c'est-à-dire qu'ils ne viennent se loger dans
se loger dans les ventricules qu'en repoussant devant eux la paroi cérébrale et non en la perforant; et cela est ainsi non s
fréquentes en 18G9 et 1870. Elles sont précédées par une excitation cérébrale qui empê- chant le malade de fixer une idée et
les troubles de la sensibilité observés pendant la vie. La paresse cérébrale si remarquable des malades, leur lenteur dans t
aire se produirait plutôt. En résumé, il attribue les symp- tômes cérébraux à une lésion cérébrale de même nature que celle
utôt. En résumé, il attribue les symp- tômes cérébraux à une lésion cérébrale de même nature que celle qui porte sur les tégu
jecter à l'auteur anglais que Ord n'a pas pu découvrir cette lésion cérébrale et qu'il a observé dans un cas de sclérodermie
ie- dro, l'ancienne Sagonte, en Espagne. A .l'égard des symptômes cérébraux , M. Hadden propose l'interpré- tation suivante
ire fussent infiltrés longtemps avant l'apparition des phénomènes cérébraux . Or, aucune des observations publiées par Ord e
ajoute que, dans l'hypo- thèse de Ord, les désordres de l'activité cérébrale seraient de règle dans les cas où « les impress
aon est « presque tenté de mettre au premier rang cette pa- resse cérébrale et de faire dépendre d'elle la plupart des autr
trois mois à un an; puis la gaieté revenait, ainsi que l'activité cérébrale , et, chose remarquable, les lésions périphériqu
, altérations remarquables de la- peau et du tissu cellulaire, état cérébral particulier. La fin de ce travail comprend la r
les deux 1 Hammond. On mi/.xoedema . wilh spécial référence lo its cérébral and nervous symptoms. ([nA'eM;'o<oytC6 ! <
on maniaque observées dans certains cas. » Il rattache les troubles cérébraux à une lésion de l'encéphale, caractérisée par l
IaOND et F. DREYFOUS. S'il est, dans l'histoire des localisations cérébrales , un fait indiscutable, c'est bien celui relatif
de le faire que, à l'autopsie, on trouve un foyer de ramollissement cérébral à droite. Et si les investigations s'arrêtent l
ation' I. Cirrhose atrophique du foie chez un alcoolique. Apoplexie cérébrale . Hémiplégie et /tt ? tK;) : c</te4;(; gauches,
t;/te4;(; gauches, avec aphasie. Foyers multiples de ramollissement cérébral . J... (Antoine), soixante-cinq ans, employé d'o
sa profession. Une tarda pas a présenter les troubles digestifs et cérébraux habituels aux alcooliques : pituite tous les ma
iplégie de l'autre; 2° Ceux pour lesquels on a admis la « gaucherie cérébrale ». Notre cas appartient à la première catégorie
. H. de Boyer, dans son remarquable travail sur les locali- sations cérébrales , donne un cas personnel, analogue aux deux préc
au plus pour un petit nombre d'entre eux : celle de la « gaucherie cérébrale ». Avant de la discuter, il faut bien savoir co
si à la faculté du langage ; chez lui il y aura de « la gaucherie cérébrale ». A l'appui de cette,;hypothèse, on peut fournir
a\oir présenté aucun signe nouveau. Autopsie (résumée). Hémisphère cérébral droit. La pie-mère et l'arachnoïde, qui recouvr
placée profondément. Une doctrine, comme celle des localisations cérébrales , dont la démonstration détruit, defond en combl
L'analyse hislologique démontre : une prolifération de la névralgie cérébrale : réplétion énorme des vaisseaux, exsuda- tion
n mentale se calma rapidement. A la fin du second mois tout trouble cérébral avait cessé ; en même temps la rigidité et le t
elques POINTS DE LA pathologie DES lésions oculaires DE LA SYPHILIS CÉRÉBRALE ET SPINALE ; par STE111AN BULL. (American journ
inée par l'atrophie du nerf, optique droit ? sans autre phénomène* " cérébral , que do la cé- phalée ''' ? '' 'I ,J ? ? " JUJ"
ve aux lésions du sourcil est généra- lement causée par des lésions cérébrales ; la preuve, c'est que dans le plus grand nombr
IrRIORRIIAGIE5 primitives; immédiates ou DIRECTES des ventricules1' cérébraux ; par Edward SAN- ders. (771eAM ! M' : eaH Jour
lus uniformément ré- partie entre les divers âges que l'hémorrhagie cérébrale pro- prement dite. Elle paraît avoir été observ
ilis, etc.) qui, en provo- quant l'altération des paroisvasculaires cérébrales , prédisposent à l'hémorrhagie cérébrale ordinai
tion des paroisvasculaires cérébrales, prédisposent à l'hémorrhagie cérébrale ordinaire^ paraissent devoir prédispo- ser égal
nt pas autrement à l'égard de cette lésion que les autres.vaisseaux cérébraux . En dehors des conditions particulières qui rés
guer l'hémorrhagio'intra-vcntriculaire primitive do l'hé- morrhagie cérébrale ordinaire et (le" L'auteur à' résumé dans déûtâ
t ' . XVIIL1 DLUlII : IE contribution L'ÉTUDE des localisations , cérébrales ; par E.-C. SEGUIN., (.021T2t. 0/. nervous a2ad ?
natomie pathologique. Par exemple, dans son étude du ramollissement cérébral , il confond les lésions propres à la paralysie
s propres à la paralysie générale avec celles d'autres affections cérébrales . Il avoue du reste, qu'il est loin, malgré de n
inière (anato- mie et physiologie); Artères du cerveau. Circulation cérébrale . Questions orales. 1er concours (1880) : De l'é
il Milan, Dumolard. Brousse (A.). Réflexions sur un cas de syphilis cérébrale (Hémiplégie gauche, à forme intermittente). Bro
. SEGUIN (E.-C.) A second contribution to llee sii4cly of localised cérébral lésions. Broch. in-8" de 43 pages, avec il figu
que quinze ans quand elle devint enceinte, et aurait eu une fièvre cérébrale ( ? ) pendant sa grossesse ; elle était rhumati
ans, un an après les premières attaques, elle aurait eu une fièvre cérébrale . Elle a été réglée à treize ans. A partir de ce
rs plus petit que le gauche, et de coloration normale. Le pédoncule cérébral droit est notablement atrophié, aplati et moins
e du côté opposé. Sur une coupe, la surface de section du pédoncule cérébral droit est de deux tiers moindre à droite qu'à g
u'à gauche. Les tubercules quadrijumeaux sont normaux. L'hémisphère cérébral droit pèse 1 li grammes de moins que le gauche,
deux hémis- phères sont égaux. 182 RECUEIL DE FAITS. Hémisphère cérébral gauche. La décortication est facile; les circon
est sensiblement accrue. Considéré dans son ensemble, l'hémisphère cérébral droit est moins long, moins épais et moins haut
développent dans l'axe cérébro-spinal consécutivement à une lésion cérébrale en foyer, ayant causé une hémiplégie et secon-
e, laquelle, comme on sait, se détache prématurément du tronc de la cérébrale moyenne, se trouve englobé dans la zone ischémi
te à travers l'étage inférieur de la pro- lzzbérazzce, du pédoncule cérébral et la pyramide antérieure du bulbe, etc. Pour c
et de chirurgie, 1877; Grasset, Des localisations dans les maladies cérébrales ; H. de Bojer, Études topographiques sur les lés
r, Études topographiques sur les lésions corticales des hémisphères cérébraux ; Ferrier, De la localisation dans les maladies
e a dû acquérir par le fait même de sa maladie une sorte de paresse cérébrale qui, « la rend moins apte à percevoir certaines
des arguments en faveur de la conclusion que le système des replis cérébraux paraît témoigner bien plus d'un excès que d'un
rcu- lation collatérale qui vient alors entraver le développement cérébral . L'ischémie carotidienne est démontrée par les in
en nécessiterait l'exposé détaillé. P. K. III. Cas DE malformation cérébrale ; par le Dr L. WILLE. (Arch. f. Psych. u. Nex·v
let de prolonge- ments durc-mériens dans la masse nerveuse (ni faux cérébrale , ni tente du cervelet). Dépourvue de lame cribl
- noïdes antérieures et postérieures. ' Les grosses malformations cérébrales qui correspondent aux anomalies osseuses précéd
rmale du vermis cérébelleux, comparé aux dimensions des hémisphères cérébraux , une réduction peu prononcée des pé- doncules d
ilaire). La vésicule des hémisphères une fois sortie de la vésicule cérébrale antérieure (sens de Virchow) n'a pas subi dans
e pareilles conditions (Dareste), à arrêter l'évolution des régions cérébrales internes (paroi postérieure de la vésicule des
ulier du cerveau par les mélan- colies, l'hystérie, les congestions cérébrales , les insomnies, les névralgies, etc. Dans le co
rison. Les deux nécropsies démontrent, ,en un cas, de la congestion cérébrale et de la réplétion des vaisseaux méningés; dans
dans l'autre de la congestion et du ramollissement des hémisphères cérébraux , des macules d'hypérémie et des ecchymoses dans
ans) offrent, pour l'auteur, tous les attributs d'une intoxication cérébrale ; angoisse extrême des prodromes, marche impétue
ir encore, il fournit du moins à la psychologie et à la physiologie cérébrale une précieuse méthode d'investi- gation. Le p
puis. Bien que l'opération n'ait pas révélé la cause d'irritation cérébrale que l'on supposait exister, et que l'on se propos
oren, Rumpf, Berlin. Des analogies entre la commotion rétinienne et cérébrale , par le professeur BERLIN. Traçant d'abord une
rs un obscurcissement passager de l'oeil, l'analogue delà commotion cérébrale passagère, qui, éphémère, échappe à nos in- ves
de la calotte et des revêtements membraneux et non de la commotion cérébrale optique ou rétinienne. De l'occurrence des accè
... attribue à la narcose chlorofor- mique la genèse d'une ischémie cérébrale possédant les mêmes propriétés que celle qui dé
ectionnant chez la grenouille les nerfs olfactifs et les pédoncules cérébraux dans la cavité crânienne, SOCIETES SAVANTES. 24
plus forte, et ils persistent un certain temps après que l'activité cérébrale a cessé. Ces modifications ne dépendent pas de
t revêtir le caractère psychique ; plus tard, après les congestions cérébrales épileptiformes ou apoplectiformes, qui sem- ble
le, contrairement à ce qui aurait lieu s'il s'agissait de commotion cérébrale . Nous avons cependant observé une lenteur, une
e, cette maladie si éminemment suggestive, à l'étude des affections cérébrales . M. Charcot, se basant sur ce que les hystériqu
e l'hémianesthésie des hystériques et l'hé- mianesthésie par lésion cérébrale , nous avons pu voir que, comme les hystériques,
s avons pu voir que, comme les hystériques, les hémianesthésiques cérébraux qui ont des troubles de la sensibilité des memb
on à l'étude des troubles fonctionnels de la vision par les lésions cérébrales . Paris, 18S9. 286 CLINIQUE NERVEUSE. est dimi
i reconnaissent pour cause tantôt une sclérose atrophzque (atrophie cérébrale ), tantôt une sclérose 328 RECUEIL DE faits. h
st bien portante, un peu nerveuse. Un frère est mort d'une fièvre cérébrale à trois ans ; deux cousins de la troisième généra
que la diarrhée n'a laissé aucune trace ' et pas- sons aux lésions cérébrales qui, à notre avis, méritent tout particulièreme
ger. REVUE CRITIQUE AMBLY0P1E CROISÉE ET IIÉMIANOPSIE D'ORIGINE CÉRÉBRALE ; ParCB.FÉRÈ. De GMFE. Comptes rendus de la So
p. 151-154. CHARCOT. Leçons sur les localisations dans les maladies cérébrales , 4873. Scaôn. Die Leh ? ,e vo2n Gesichtsfelde u
bution a l'étude des troubles fonctionnels de la vision par lésions cérébrales , 1882. Lorsque de Groefe émit l'opinion que dan
psie, il ne trouva pas de contradicteurs. L'hémianopsie d'o- rigine cérébrale fut acceptée universellement comme une sorte de
hémianopsie n'était pas exclusive- ment la conséquence d'une lésion cérébrale , mais encore que son existence n'était nullemen
isuel, l'amblyopie croisée, dont la relation avec certaines lésions cérébrales parais- sait hors de doute. Mais cette opinion
uité visuelle. Cette amblyopie prédomine du côté opposé à la lésion cérébrale , mais elle existe ordinai- rement à un certain
côté. L'existence de cette amblyopie en relation avec les lésions cérébrales était déjà mise en lumière par ce fait qu'on la r
ante pour démon- trer l'existence d'une amblyopie liée à une lésion cérébrale dé- terminée : une observation de M. Charcot co
pinion émise tout d'abord par M. Charcot. Cette amblyopie d'origine cérébrale est toujours associée à un certain degré d'hémi
peut être limitée à la région qui avoisine l'oeil. Quand une lésion cérébrale détermine des troubles seusitifs des téguments
mme nous l'avons indiqué ailleurs '. Lorsqu'il s'agit d'amblyopie cérébrale , les faits cliniques purs ont presque la même v
déterminé à distance parla lésion qui produit les autres symptômes cérébraux . Les faits purement cliniques d'hémianopsie qui
urrait bien être là la carac- téristique de l'hémianopsie d'origine cérébrale (rir.30)'. I. Fer- rier avait observé que l'inté
région avoisinante semblait spéciale aux hémaniopsies d'ori- gine cérébrale , mais nous ferons remarquer que dans le cas de
'hui que l'amblyopie et l'hémianopsie peuvent résulter d'une lésion cérébrale avec intégrité des nerfs optiques et des bandel
se est possible mais non démontrée. Si on considère qu'une lésion cérébrale produisant l'amblyo- pie croisée détermine en m
d'am- blyopie du côté correspondant, que d'autre part une lésion cérébrale peut déterminer la paralysie des fibres rétinienn
ttre que chaque oeil a une relation bilatérale avec les hémisphères cérébraux , qui ont surtout des relations multiples avec l
pratique alors par une fenêtre de trépan la section d'un hémisphère cérébral immédiatement eu arrière de la couche optique,
e centre ano-spi- nal. H.D'O. VII. STRUCTURE DU PIED DU PÉDONCULE cérébral ET DU noyau lentiforme ; par J. PASTËRNATZKY, 1
c'est-à-dire parallèlement, ou à peu près, aux fibres du pédoncule cérébral . Du lobe occipital du cerveau on voit partir qu
divisions déjà connues. Ou. F. VIII. Variétés des circonvolutions cérébrales DE l'homme ; par C. Giacomini, Torino, Ermano L
se que les variétés si fréquentes dans la dispo- sition de l'écorce cérébrale , ne sont pas des déviations du type 3 4s REVUE
sances, il est impossible d'affirmer que la disposition de l'écorce cérébrale soit en connexion avec le degré du développemen
ajoute que l'étude des variations dans l'arrange- ment de l'écorce cérébrale ne doit pas porter seulement sur la disposition
a minutieuse- ment le trajet intra-crànien du nerf. Dans la fosse cérébrale postérieure, l'arachnoïde et la dure- mère le s
extrémités, pense que la migraine ophthalmique dépend d'une anémie cérébrale con- sécutive elle-même à une excitation du sym
la rigueur mathématique la topographie fonctionnelle de l'é- corce cérébrale , ont péché par excès de précision, au risque de d
son que l'indication du siège des altérations à la surface des plis cérébraux ne présentait pas la précision nécessaire. Ap
e jeu de patience, consistant à figurer sur des schémas de l'écorce cérébrale les lésions mentionnées dans ces 167 obser- vat
ices de l'écorce et des portions non motrices. Or, dans les régions cérébrales où siègent les centres de mouvement, la destruc
reurs nocturnes en deux groupes distincts : les unes sont d'origine cérébrale , les autres ont leur source ailleurs. Ces derni
uelquefois des mala- dies guéries qui ont laissé dans les fonctions cérébrales un trouble plus ou moins durable ; on les renco
d'inanition. D'autres fois, elles sont les symptômes de maladies cérébrales actuelles, comme dans l'idiotie, etc.; elles sont
ntes. D'autres fois, enfin, elles sont les prodromes d'affec- tions cérébrales à venir ; c'est alors qu'on doit tenir compte de
Santos Fernandez, 98. Amblyopie croisée et hémianopsie d'origine cérébrale , par Ch, Féré, 338. Anatomie comparée du syst
(altérations du pig- ment) chez les aliénés, 361. Circomolutions cérébrales (variétés des), par Giacomiui, 318. Commotion
s des), par Giacomiui, 318. Commotion rétinienne el commo- tion cérébrale , 238. Congrès médical tle Sévillc, 270 des ne
bmorrliayes pwmitles, immé- diates ou (litectes des ei)tti- cules cérébraux , par Sanders, tOO. Hydrocéphalie, 366. it\p
tillu; v3S, Patronage familial (lettres sur le), 358. Pédoncule cérébral (structure du pied du et du noyau leuti- lonn
un aliéné, goW amt complète, par Mackintosb, 223. Ventiiciilcs cérébraux (étude sur les héinorihagies primitives, im-
22 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
r 1904. N° 97. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. Tumeur cérébrale avec abolition des réflexes tendineux. (Leçon
ère vue ; il s'agit, je vous le dis, par avance, d'un cas de tumeur cérébrale . Mais, de plus, on trouve, chez cette malade, q
lade, quelques phé- nomènes que ne suffit pas à expliquer la tumeur cérébrale ; c'est sur ces phénomènes, sur leur significati
tion et déjà orienter votre esprit vers le dia- gnostic. - TUMEUR CÉRÉBRALE ET RÉFLEXES TENDINEUX. 3 Cet état persiste pend
malade ne présente que des phénomènes de parésie et d'as-' TUMEUR CÉRÉBRALE ET RÉFLEXES TENDINEUX. 5 thénie musculaire géné
l'épaule). Ce n'est pas la règle, vous le savez, dans les tumeurs cérébrales ; il est commun au contraire de trouver chez le
ivement trois grands signes, la céphalée, des vomissements à type cérébral , de la diplopie. Dans le cours des deux derniers
nextensible, la boîte crânienne : ce sont des signes de compression cérébrale ; et je trouve comme la signature de cette compr
cette compression, caractérisée par l'augmentation de lai TUMEUR CÉRÉBRALE ET RÉFLEXES TENDINEUX. 7 pression du liquide cé
n a-t-elle atteint direc- tement les noyaux, ou bien les pédoncules cérébraux , par- ticulièrement le pédoncule cérébral droit
, ou bien les pédoncules cérébraux, par- ticulièrement le pédoncule cérébral droit, ont-ils été sim- plement comprimés par l
tte abolition des réflexes est encore sous l'influence de la tumeur cérébrale et qu'elle est due à la compression médullaire
e est due à la compression médullaire qui accompagne la compression cérébrale . 1 La malade vient de mourir; l'examen macrosco
e la région optique inférieure droite avec compression du pédoncule cérébral correspondant et des tubercules quadrijumeaux v
des travaux assez récents ont montré l'existence, dans les tumeurs cérébrales , de lésions médullaires : en Allemagne et en Au
MM. Cl. Philippe et P. Lejonne, à entreprendre quelques re- TUMEUR CÉRÉBRALE ET RÉFLEXES TENDINEUX. 9 cherches, surtout dans
ont été conduits à admettre que les lésions médullaires des tumeurs cérébrales sont nettement individualisées non seulement pa
souvent dès les premières manifestations symptômatiques des tumeurs cérébrales , au niveau des cordons et racines postérieurs.
extraits de leur canal osseux, on fut surpris de constater TUMEUR CÉRÉBRALE ET RÉFLEXES TENDINEUX. J ! 1 leur volume relati
nt augmentée, souvent à un degré considérable, au cours dès tumeurs cérébrales , ainsi que ces auteurs ont pu s'en convaincre e
cès de tension du liquide céphalo-rachidien, comme dans les tumeurs cérébrales , et nécessairement il y aura d'abord élargissem
patho- logie générale, placer à côté des accidents de compression cérébrale , si communs au cours des tumeurs de l'encé- pha
vent, pour une grosse part, être dus aux modifications de tension cérébrale , cela se conçoit sans peine. Par contre, les trou
malades ne souffrent pas autant que les tabétiques, cela est TUMEUR CÉRÉBRALE ET RÉFLEXES TENDINEUX. 13 certain d'après les o
que se réduit la compression médullaire, consécutive aux tumeurs cérébrales , dans tous les cas observés à la Salpê- trière
re attention. Donc, lorsque vous rencontrerez, au cours des tumeurs cérébrales (ce. mot étant pris dans son sens général) l'ab
n degré, quoique très retenus et modifiés morbidement. L'activité cérébrale d'association, si même elle existe chez lui, se
intonation très expres- sive et en chantonnant. Les associations cérébrales , premièrement sont très ralenties, secondement
isqu'elles manquent, mais c'est à la suite du trouble de l'activité cérébrale des associations que cela provient. Ainsi don
e la catatonie, note le développement de la névroglie dans l'écorce cérébrale , qui influent sur le caractère orga- nique de l
'était pas encore si avancée dans l'étude des fonctions de l'écorce cérébrale , comme actuellement ; c'est pour cela que Kahlb
es poses stéréotypes habituelles, et voyons quel rôle joue l'écorce cérébrale dans l'origine de ce symp- "tôme. Dans une autr
CLINIQUE MENTALE. le phénomène ordinaire de disjonction de l'écorce cérébrale avec ses conducteurs, c'est un symptôme de préd
ux et spinaux sur la région corti- cale. C'est justement l'écorce cérébrale qui, en influant d'une manière d'inhibition sur
ontre aussi, mais dans une forme moins marquée, dans les apoplexies cérébrales , à des conditions de la distri- bution des cond
it. Ainsi donc, ici, il y a justement l'enlèvement des associations cérébrales , qui exigent la transmission de l'excitation da
tatonie quelque trouble grossier dans la sphère motrice de l'écorce cérébrale ; assurément dans la période primordiale de la
dans la localisation des lésions et dans la dégénérescence du tissu cérébral au moment de l'opération. Le mal était trop éte
été de même danp le cas présent. Tout le monde sait que des lésions cérébrales peuvent rester silencieuses pendant des années,
vités correspondent aux points non calcifiés. Les sinus et le tissu cérébral paraissent nor- maux. De la fontanelle postérie
minées par ilots, des plaques de tissu gélatineux blanc, de nature cérébrale . R. de Musgrave-Clay. V. Contribution à la ques
scend. La bifurcation a lieu après l'entrecroisement des pédoncules cérébraux . La branche descendante va dans la formation ré
éfend pas à l'anatomiste et au physiologiste d'expliquer l'activité cérébrale , comme s'il s'agissait d'une machine, mais ce n
KERAVAL. IX. De la localisation des centres olfactifs dans l'écorce cérébrale , par 1.-1'. GOIISCIIKOW (Obozrénié psichialrü,
bides de l'organisme; souvent elle disparait dans les inflammations cérébrales , alors que le goût persiste. V. Le degré de l'h
peu plus constant que le réflexe épigastrique. Dans les affections cérébrales , il a les mêmes allures que le réflexe abdomina
des de la protubérance, jusque dans le seg- ment moyen du pédoncule cérébral , point où se fait la jonction d'un faisceau sup
. On a trouvé ce réflexe diminué (à gauche) dans un cas de syphilis cérébrale avec paraly- sie complète de la 5° paire à gauc
d'utiles renseignements. R. Charron. XX. Trois cas de néoplasies cérébrales ; par Gilbert Ballet et A. DELILLE (Nouv. Icono
la main gauche. ' G. D. XXXIII. Examen histologique d'une tumeur cérébrale présentée par le Dr Cuylitz ; par le Ur voN IsE
, la pre- mière a été suivie d'autopsie; il s'agissait d'une tumeur cérébrale intéressant la pituitaire naturellement. La nat
la protubérance, empiétant légèrement sur la région des pédoncules cérébraux , et en outre un tubercule crû occupant la moiti
le de cette fillette est due à l'atavisme et à une dégénéres- cence cérébrale . (Petit Parisien 26 septembre). Alcoolisme des
celles qui, par exem- ple, déterminent, par arrêt de développement cérébral , certai- nes idioties, certaines imbécillités ;
érations méningo-corti- cales profondes de certains idiots, tumeurs cérébrales , esquil- les, etc.). Je remarquai que les épile
Son mari est mort il y a deux ans et demi à la suite d'accidents cérébraux . Elle raconte qu'il a été cinq ans malade ; qu'il
lement la femme en traitement. « Le dit R... est mort d'accidents cérébraux qui se sont succédé dans l'ordre habituel de la
ité) entre l'infection initiale et le développe- ment de la maladie cérébrale . L'infection du mari a dû pré- céder le mariage
st une fonction psychique dont les centres sont dans l'écorce grise cérébrale et qui doit être cependant soigneusement distin
flexes supérieurs, automatisme infé- rieur). Ils sont dans l'écorce cérébrale mais se distinguent des centres du psychisme su
centres du psychisme supérieur également situés dans celte écorce cérébrale 3. » Pour faire'saisir avec plus de clarté sa con
centres, tous situés dans la substance grise des circonvolu- tions cérébrales sont reliés entre eux de toutes manières par des
lité consciente, de la volonté libre el du moi responsable : écorce cérébrale au lobe préfrontal ( ? ) ; AVTEMK, polygone des
alité. Ce n'est pas l'interprétation d'une coupe avec localisations cérébrales , mais une hypothèse que la suite de l'ouvrage a
mique de l'exis- tence des divers centres qu'il situe dans l'écorce cérébrale (psy- chisme supérieur et automatisme psychique
érenciés bien que situés par hypothèse dans la même région : écorce cérébrale du lobe préfrontal. - Sur ce terrain des hypo
ée : localisation possible dans un territoire anatomique déterminé, cérébral , bulbaire ou médullaire de l'agent « Sugges- ti
tomiques, ne peut produire les mêmes effets qu'une lésion organique cérébrale , bulbaire ou médullaire. La suggestion porte su
t loin d'être identiques à une aphasie et à une agraphie par lésion cérébrale . Tandis que les organiques se présentent à l'ob
expériences si elles étaient confirmées - prouveraient que l'écorce cérébrale contient un grand nombre de centres en rapport
même, lorsque Grasset écrit « aucun organe n'échappe à l'influence cérébrale , cela explique qu'aucun organe n'échappe à la s
dans un syllo- gisme dont les termes ne sont pas prouvés. Influence cérébrale et influence de la suggestion ou de la volonté
lus ac2clus dans une hémiplégie organique est bien sous l'influence cérébrale , cause de l'hémiplégie, et cependant la suggest
ent manifestée qu'à l'âge de neuf ans par l'apparition de symptômes cérébraux graves, les signes de dégénérescence et l'arrêt
présenté dès le début des troubles cer- tains. Depuis les accidents cérébraux , l'état morbide a progressé lentement mais sans
tion; par G. ScnEne. La question de la lombo-ponction dans l'urémie cérébrale est d'actualité, et la série des cas défavorabl
e-neuf ans, entré à l'hôpital avec des symptômes insolites d'urémie cérébrale , empruntant le double masque du syndrome confus
ations d'origine exo ou endogène, altérations des vaisseaux, foyers cérébraux , etc...) occupent une place remarquable ; - 3°
régulières de sommeil et d'alimen- tation, insolation, traumatismes cérébraux , etc., interviennent éga- lement. SIMON. XXXV
lièrement lente et une issue douteuse, vec évidence d'altérations cérébrales graves. Elles se développent sur une base d'épuis
vec syndrome paralytique chez un aliéné atteint . de pachyméningite cérébrale et de gomme du cervelet. 11. DOIJTREBENTE rappo
Séance du 30 décembre 1903. Présidence de M. G. Ballet. Syphilis cérébrale et démence. M. \TCCOUnoUx communique l'observat
M. \TCCOUnoUx communique l'observation d'un homme mort de syphilis cérébrale et dont l'état démentiel rappelait celui de la
hez une jeune fille de quinze ans, fille d'un père mort de syphilis cérébrale . C'était une para- lysie générale juvénile à dé
he. 188 . VARIA. tous lestas d'inégalité de poids des hémisphères cérébraux et cé- rébelleux qu'il lui a été donné d'observ
es lésions du fond de l'oeil paraissant indépendantes de la maladie cérébrale dont elles étaient affectées. Observation XXX
tivité fonction- nelle de ces glandes s'accompagne d'une excitation cérébrale spéciale, d'une exaltation particulière des sen
début de la suspension des manifestations psychiques de l'activité cérébrale . Nous croyons trouver là une preuve d'une espèc
ec les cellules ? Est-ce un trou- ble mécanique dans la circulation cérébrale ? Voilà ce que nous ignorons encore, et ce que
qu'ultérieurement se soit développée une tumeur isolée du pédoncule cérébral . REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQU
sion de 150 à 200 millimètres de mercure, au milieu des neu- vrones cérébraux , il y aura un dégagement soudain et considérable
lète, mais porte presque exclusivement sur les neurones de l'écorce cérébrale . Il y a perte du sentiment de l'unité du moi, p
20 septembre 1902 B. W. Mouravieff. Sur la symptomatologie du lues cérébral (avec présentation de la malade). Malade, demoi
méliorer. Le rap- porteur compte assez caractéristique pour le lues cérébral les symptômes suivants : la somnolence, le trou
seulement dans la sclérose disséminée, mais aussi dans la syphilis cérébrale . L'aggravation temporaire des symptô- mes morbi
avec la dépression psychique n'est pas caractéristique pour le lues cérébral et que ces symptômes peuvent aussi se ren- cont
ales du cer- veau. ' N. P. PosTOVSKY trouve le diagnostic du lues cérébral trop géné- ralisé et aurait voulu que de tels c
tesse du diag- nostic. W. P. SERBSKY doute de l'existence du lues cérébral dans le cas donné, vu l'absence complète des in
pour lui donner des soins. L'enfant devint plus faible; une lésion cérébrale se déclara, sui- vie de la perte de la vue, et
Depuis trois mois environ, la malheu- refuse souffrait de troubles cérébraux . Elle avait quitté le domicile paternel depuis
en à voir avec la paraplégie ou l'hémiplégie de cause médullaire ou cérébrale . Ici l'impuis- sance motrice n'est point complè
bro-spinale, la méningite tuber- culeuse, la syphilis, le tubercule cérébral , l'intoxication chronique par les liqueurs à es
pseudo-cérébelleux d'origine bulbaire. G. Carrier., XXVII. Tumeur cérébrale avec symptômes d'immobilité ; par 11. L. 1)oR (
n dehors de ce symptôme rien n'indiquerait l'existence d'une tumeur cérébrale , s'il ne présentait une « immobilité » comparab
psie, on trouva un athérome très prononcé du tronc basilaire et des cérébrales postérieures et un double ramollisse- ment des
concours du neurone moteur supérieur ou plus exactement de l'écorce cérébrale sont normaux. Seuls, ceux qui sont volontaires
ution de l'attention consciente. Les auteurs font de leur malade un cérébral , un cortical et en précisant un hystérique. C'e
été médicale des hôpi- , taux de Lyon, 28 février 1902). L'urémie cérébrale comprend trois formes différentes : une forme c
git, croit-il, de délire survenant seulement chez des prédis- posés cérébraux , à la faveur d'un trouble circulatoire fréquent à
bservation visent deux jeunes femmes, prédisposées par une hérédité cérébrale qui au cours d'une néphrite, font des phénomène
'agit d'une brigh- tique ancienne, ayant eu au début une hémorragie cérébrale gauche et qui quatre mois plus tard. sans ictus
es différents cas qui sont tous impu- tables, croit-il, à un oedème cérébral chez un prédisposé, émet les considérations sui
mblable. 3° Ces délires n'éclatent que chez des gens ayant une tare cérébrale héréditaire ou acquise, et leur caractère dépen
en dehors d'elle. 5° Dans les autopsies on ne retrouve pas l'oedème cérébral qui disparait après la mort, mais on note de la
ites et des globules rou- ges.- 2° L'existence d'une pachyméningite cérébrale très accentuée, lésion qui a été trouvée^ rarem
endu le diagnostic facile avec le tremble- ment d'origine organique cérébrale . Le tremblement était si carac- téristique que
iquide cérébro-spinal, une congestion généralisée des vaisseaux x ¡ cérébraux , de la congestion des poumons, du l'oie et des re
, c'est le contraire de ce que l'on observe ordinairement. Le tissu cérébral était oedematié ainsi que les poumons. Malgré l
ssu cérébral était oedematié ainsi que les poumons. Malgré l'oedème cérébral aucun signe de comptes- sion ne fut constaté. L
vrier 1904. Présidence de M. Brunet. Paralysie générale et syphilis cérébrale . M,l", TISSOT, interne à Villejuif, communique
renant le schéma de Meinert, elle démontre que le pied du pédoncule cérébral et la pyramide bulbaire ne contiennent que des
moteur. Dans les hémiplégies anciennes avec contracture par lésion cérébrale et chez une femme atteinte de paraplégie spasmo
e du délire de la persécution et on attribue sa mort à des troubles cérébraux . Vendredi dernier, elle avait déjà voulu se pen
pendue. La jeune fille a dû agir sous l'influence d'un dérangement cérébral , car elle avait déjà manifesté des symptômes d'
ce cas indiquent comme cause de la porencéphalie une embolie de la cérébrale moyenne gauche survenue vers la fin de la premi
l étaient les suivantes : 1° Il y avait une défectuosité du manteau cérébral à gauche, intéressant l'opercule, l'insula de I
re que l'opacité et l'épaississement des membranes, et l'atro- phie cérébrale que l'on rencontre dans les autopsies d'asile che
par ce fait que la dégénérescence des fibres provenant de l'écorce cérébrale et de la couche optique est survenue avant que
mécanique, mais représentent le mécanisme vaso- moteur des centres cérébraux les plus élevés, servant à les proté- ger contr
igmentaire est-elle un phénomène accessoire de la fonction nerveuse cérébrale normale, ou bien un stigmate intra- crânien de
e leur réseau fibrillaire chez la grenouille vivante. La sclérose cérébrale diffère de la sclérose des autres tissus par le
la contractilité de ce prolongement peut exercer sur la circulation cérébrale , et d'admettre que l'hypertro- AnC ! l1VE. 2° s
des cellules de la névroglie une issue nécessaire hors de l'écorce cérébrale ; il se peut encore que le processns soit invers
ase du crâne, les fractures du vertex avec dépression, la commotion cérébrale , la déchirure du cerveau et l'hémorrhagie. Il s
tion du squelette des enfants. G. Carrier. XXXXVI. Un cas de tumeur cérébrale à forme psycho-paralytique et à évolution fébri
e irritation des cen- tres perceptifs ou psycho-moteurs de l'écorce cérébrale . La théorie, d'abord acceptée avec beaucoup de
ENTALE. 409 de cette proposition. 6° Les processus du développement cérébral et mental jusqu'à vingt-cinq ans, ceux de l'inv
ction toxique les conditions ciné- tiques pathologiques de l'écorce cérébrale ? 13° Les tendances de la pathologie moderne so
14° Le psychologue mé- decin ne doit pas perdre de vue que l'écorce cérébrale est le véri- table centre régulateur de tout l'
ie comprend au moins trois états très différents : 1° les anomalies cérébrales ; 2° les troubles cérébraux par traumatisme ou t
tats très différents : 1° les anomalies cérébrales; 2° les troubles cérébraux par traumatisme ou toxémie intra ou extra-utéri
causes sont à chercher. L'orateur ne peut pas attribuer à l'écorce cérébrale l'influence que lui reconnaît M. Clouston sur l
qu'elle permet d'espérer des progrès thérapeutiques : si la cellule cérébrale devient spontanément malade, il est clair que tou
L'auteur montre le côté fantaisiste de l'hypothèse de la dualité cérébrale pour l'explication des hallucinations unilatérale
e lésions organiques du cerveau et en particulier du ramollissement cérébral . Féré attribue ce rire prodromique, non pas à u
3). E. B. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. IX. Stase papillaire par tumeur cérébrale . Intervention; par L. Dort {Société des science
, 19 mars 1902). M. L. Dor présente une femme atteinte d'une tumeur cérébrale . Elle présentait il y a neuf ans une stase papi
alo-rachidien. Par exemple, on l'a trouvé dans des cas d'hémorragie cérébrale , tabes (dix fois sur douze) paraplégie, tumeur
hémorragie cérébrale, tabes (dix fois sur douze) paraplégie, tumeur cérébrale , épilepsie tardive et jacksonienne. Ellea manqué
sition du sang (action chimique) qui agit directement sur un centre cérébral pour déterminer l'apparition d'un souvenir, poi
fonction des petites cel- lules rondes qui infiltrent la substance cérébrale dans les proces- sus pathologiques. Il discut
ique sur les cellules du cer- veau. VI. La fréquence des troubles cérébraux chez les alcooliques chroniques, résulte : d'un
es ou nuto-toxiques ; il exaspère par cela même la pré- disposition cérébrale héréditaire. ? VII. Dans tout délire alcoolique,
chez des alcooliques chro- niques et dans lequel la prédisposition cérébrale héréditaire est secondaire, les lésions d'alcoo
aque se trahit par une exagération de l'activité tant somatique que cérébrale qui le rend gai, exubérant, loquace, et accélèr
conceptions délirantes, extrêmement vagues. Sur ce fonds de torpeur cérébrale se développent quelques illusions, quelques int
r penser à quelque chose, pour ne pas persister dans l'état de vide cérébral qui lui est habituel. Expérimenter sur un tel s
EMENCE PRÉCOCE. 449 était le plus souvent indifférent '. L'activité cérébrale est, de ce fait même, lésée assez profondément,
toute plas- UN CAS DE FORME FRUSTE DE DÉMENCE PRÉCOCE. 453 ticité cérébrale , parce qu'il a perdu les ressorts mêmes de cett
et accès aigu, la pauvreté -intellectuelle du sujet et son inaction cérébrale se sont ma- nifestées par la pauvreté du délire
e des impul- sions d'inhibition partent continuellement de l'écorce cérébrale vers les centres spinaux et exercent un antagon
les impulsions d'accroissement et d'inhibition émanant de l'écorce cérébrale , il est clair que, l'équilibre une fois rompu, le
est composée de neurones d'association, dont le nombre dans lécorce cérébrale est infini. Nous devons toutefois supposer que
et la quantité du sang qui alimente le système nerveux et l'écorce cérébrale . L'auteur recherche ensuite comment les centres
II. Quelques caractères nouveaux de la structure intime de l'écorce cérébrale chez l'homme ; par John TURNEP (The Journal of
seau en chapelet qui enveloppe les cellules pyramidales de l'écorce cérébrale et qui n'avait jusqu'ici jamais été observé dan
tre travail l'auteur a fait remarquer que, tandis que dans l'écorce cérébrale les cellules pâles sont beaucoup plus nombreuse
tème nerveux et paraissant traverser sans interruption les cellules cérébrales , il faut se dire qu'il y a encore bien des rech
tesses de structure. R. DE MUSGW1VE-CLaY. LXXIX. Un cas de tumeur cérébrale compliqué de folie confusion- nelle d'origine a
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 481 fussent communs à toutes les tumeurs cérébrales . La réponse est forcément négative,pusique les
. Les recherches statistiques démontrent que dans les cas de tumeur cérébrale , les troubles mentaux ou intellectuels. se renc
de la démence et décrivent une forme psycho-paralytique de tumeur cérébrale , dans laquelle les troubles psychiques prédominen
t régulière. Rail a donné l'instabilité comme un symptôme de tumeur cérébrale , permettant le diagnostic diffé- rentiel entre
la curiosité de l'enfance. On a donné aussi comme signe des tumeurs cérébrales les impulsions, puis un «automatisme ambulatoir
ntéressée, il peut y avoir des troubles de la parole. Les tu- meurs cérébrales doivent être différenciées de la démence sénile,
aucun symptôme qui soit caractéristique de la présence d'une tumeur cérébrale , ni indication du siège de cette tumeur. R. de
ute l'étendue des méninges molles vas- culo-conjouclives aussi bien cérébrales que spinales, et secondaire- ment existait une
prélude des manifestations les plus graves. Atrophie cérébelleuse cérébrale . lliV. Boasrrenrr,LE et CRouzoN rappellent qu'i
1900 l'observation de deux frères atteints d'idiotie et de diplégie cérébrale infantile. L'un des deux frères était mort son
SOCIÉTÉS SAVANTES. ' 497 cliniquement par l'idiotie et la diplégie cérébrale infantile et ana- tomiquement par l'atrophie cé
pyramidal suite d'un ramollissement sous- cortical d'un hémisphère cérébral . , Ainsi, ces scléroses combinées médullaires o
Tabès, dégénérescence descendante du système pyramidal par lésion cérébrale , foyers de méningo-myélite de même nature que la
rr- AHCmvrs, 2' série, t. XVII. 33 514 BIBLIOGRAPHIE. dissement cérébral tel que le sujet ne manifeste plus aucune activ
ort, une diminution de 1 éoislance, d'origine toxique, des neurones cérébraux , qui favorise leur déchéance physiologique. Cet
ype Charcot-Marie, par Déjerine et A. Delille, 79. - cérébelleuse cérébrale , par Bour- neville et Crouzon. 496. - Atropin
507. Centres olfactifs. De la localisation , des - dans l'écorce cérébrale . par Gorschkow, 52. Cerveau. Voir Anatomie. D
psychiques. EnnxocnnuE du cerveau, par Fedo- row, 238. Econcn cérébrale . Voir Centres ol- faclifs. Des modifications su
, par Brissaud et Bauer, 62. Logl3o-*POI\CTION. Voir Urémie. Lues cérébral . Sur la symptomato- logie du , par Mouravieff,
hode corrélative, par Bond, 407. Stase papillaire. - par tumeur cérébrale . Intervention, -414. Stimulus. Voir Système ner
24. Sur un - thalamique, pal' Tho- mas et Chiray, 496. Syphilis cérébrale et démence, par Vigoureux. 101. Voir Para- ly
<lle 11\'I'C symptômes (l'immobilité, par Dur 323. Un cas de - cérébrale a forme pavclto-paralyttqne et à évolmton féb
o-paralyttqne et à évolmton fébrile, par Lamois Il Porot, 396. -. cérébrale , 1 ? Stase papillaire. Un cas com- pltqué de
23 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
re DE l'affection actuelle. - A l'âge de H ans aurait eu une fièvre cérébrale ( ? ). Depuis 11 ans jusqu'à 17 ans, on l'a tou
Sée, que le malade fut d'abord considéré comme atteint d'une tumeur cérébrale , pro- bablement de nature syphilitique. Il prés
e. L'épilepsie ne peut, chez lui, être rattachée à aucune affection cérébrale , elle est bien idiopathique. 11 a eu des conv
Gowers a, parmi d'autres, fort bien défendu la théorie de l'origine cérébrale dé l'épilepsie. Il compare, après Schroeder van
T DE SES PRÉPARATIONS. 65 elles reviennent aussitôt que la décharge cérébrale est apaisée. - Elles obéissent aux cellules cér
e la décharge cérébrale est apaisée. - Elles obéissent aux cellules cérébrales à cause de la subor- dination de la moelle par
ac, la circulation s'accélère, et il survient une légère excitation cérébrale et musculaire avec sueur et diurèse.On observe
inations chez une imbécile maltraitée (Obs. VI). L'examen de l'état cérébral chez les choréiques, comparé avec les accidents
rée et psychose sont constamment l'expression d'un même processus cérébral ; l'allure générale du tableau morbide résulte du
mamillaires, le bord antérieur de la protubérance et les pédoncules cérébraux , gomme englobant les deux oculo-moteurs communs
les des yeux. P. K. XIV. Contribution A la pathologie DES TUMEURS cérébrales ; par H. OPPENHEIM. (Arch. f. Psych., XXI, 2-3.
par Tu. Proskauer (Centralbl. f. Ne1'venheilk. 1889.) Une tumeur cérébrale peut, sans intéresser la protubérance, provoque
périphériques. Observation avec autopsie, de tumeur d'un hémisphère cérébral , réalisant ces conditions-là. P. K. XIX. Diag
se continue jusqu'à la première division de la sylvienne ; le lobe cérébral gauche est par suite plus anémié que le lobe dr
ulz. (Neurol. Centralbl., 1886.) I. Furoncle de la nuque. Méningite cérébrale . Furoncle de la peau ayant versé des amas de st
sence de tout signe objectif local précis, on diagnostique : tumeur cérébrale avec com- pression et excitation des faisceaux
'afflux sanguin qui alimente les centres ganglionnaires de l'écorce cérébrale . Les cas, assez communs, dans lesquels le jeûne
que la première, invoque des changements moléculaires dans l'écorce cérébrale ; c'est celle que Russell Reynolds a ingénieusem
sourds, aveugles, impotents. Le microscope révèle que les districts cérébraux correspondants sont embryonnaires et que, dans
he ; - 2° après les extirpations en question, l'examen du pédoncule cérébral révèle qu'il n'y a que le tiers la- téral de so
de commun avec la paralysie générale, notamment dans les affections cérébrales dues à la sénilité; dans ces cas, -l'atrophie d
scence graisseuse des cellules nerveuses et des vaisseaux, d'oedème cérébral ou de folie systématique avec lésion cardiaque;
entre-croisement en arrière du canal central, se rendent à l'écorce cérébrale . P. K. XV. SUR LES rapports DU CORPS HESTIFORME
myélinique, se rattache la connexion de ces organes avec les fibres cérébrales du côté opposé. Nous avons, disent les auteurs,
té en une gouttière fai- sant saillie entre l'extrémité de l'écorce cérébrale (gjrus forni- catus) et le ventricule latéral.
C. XXI. UN cas DE dégénérescence totale DU pied D'UN pédoncule ; cérébral par G. RossoLYnco. (Neurol. Centralbl., 1886.) .
yant entraîné une dégénérescence secondaire de la base du pédoncule cérébral dans ses trois segments; plus bas, la dégéné- r
la dégénérescence descendante comprenait toute la base du pédoncule cérébral . L'auteur annonce la publication d'une observat
érescence secondaire du tiers moyen et externe du pied du pédoncule cérébral . P. K. XXII. ETAT ANATO) ! JQUE DES MUSCLES DAN
excitations DOU- BLES dans LES cas DE FOYERS occupant un hémisphère cérébral ,* par L. Bruns. (Neurol. Centralbl., 1886.) zut
ent la moitié du corps qui n'est pas soumise à l'influence du foyer cérébral . Si au contraire on exa- mine chez lui la sensi
aut chez cette femme, et il était logique de supposer que le centre cérébral qui correspond à cette région présenterait les
ifestement un certain degré d'amaigrissement ou d'atrophie du tissu cérébral , la tension artérielle estélevée, et, règle génér
sie : dégénérescence et atrophie des cellules nerveuses de l'ecorce cérébrale et de la moelle. Sclérose médullaire primitive
ntrent une fois de plus avec quel soin on doit, dans les affections cérébrales et mentales, étudier l'enchaîne- ment des sympt
ncore moins à la pathogénie interstitielle de l'atrophie des fibres cérébrales . Le cervelet est atteint de la même façon que l
bro-hulbaire et montrent une fois de plus la rareté de la paralysie cérébrale pure. L'artério-sclerose syphilitique y joue le
t encore inconnue. « Selon toute vraisemblance, c'est une affection cérébrale ou céré- 1ro-splIJale; nous sommes portés à pen
, elles représentent le type classique de l'hémi- plégie par lésion cérébrale vulgaire : paralysie du bras, de la jambe et d'
ourdon, de Klebs ', de Poelchen2); elle est due alors à des lésions cérébrales facilement reconnaissables. Les paralysies gé
Les paralysies par l'oxyde de carbone peuvent-elles être d'origine cérébrale ? Le fait est démontré par les observations d'h
n plaques. C'est bien l'agent toxique qui est la cause de la lésion cérébrale ; quant à son mode d'action, on l'ignore. Mais
reconnaissent la même cause. On peut se demander si la congestion cérébrale , symptôme si fréquent de l'intoxication oxy- ca
supposer que si le terrain avait été plus propice, si la résistance cérébrale avait été amoindrie par une névrose ou une into
. Névrose diabétique paraissant dépendre de la glycosurie. Troubles cérébraux . Accidents du côté de la motilité de l'oeil et
sion : électrisation, guérison. - L'autre, de paralysie d'ori- gine cérébrale ' : un traumatisme ayant porté sur les parties le
luent seulement sur la marche de la maladie. Comme dans la syphilis cérébrale à lésion diffuse, le traitement spécifique n'ag
de temps à autre des gémissements, accuse des douleurs occipitales, cérébrales , abdominales. Gâtisme, malpropreté, inco- héren
M. RÉGNIER fait une communication sur les rapports de la syphi- lis cérébrale et de la paralysie générale progressive, ainsi qu
et l'évolution de cette affection. II sépare nettement la syphilis cérébrale de la paralysie générale, admettant que celle-c
a recherche de la syphilis et de ne pas prendre des cas de syphilis cérébrale pour des paralysies générales. Le traite- ment,
que toujours le début de la démence consé- cutive au ramollissement cérébral et de la paralysie générale, et elle est ordina
SAuRY regarde les malades de M. Doutrebente comme des syphilitiques cérébraux et non comme des paralytiques généraux vrais, p
rents ont été frappés soit d'apo- plexie soit d'une autre affection cérébrale grave. Je crois qu'il y a lieu de songer à des
rstitielle et celle-ci à l'intoxication pri- mordiale de la cellule cérébrale ; cette prolifération serait d'abord un adjuvan
t d'admettre qu'une lésion organique puisse occuper le territoire cérébral qu'envahit l'hystérie lorsqu'elle provoque l'ap
sorte de station intermédiaire entre la vie rachidienne et la vie cérébrale ; les impressions périphériques subissant là une
e pre- mier, s'ajoute un troisième arc de perfectionnement, l'arc cérébral , dont une branche va à la partie posté- rieure
cérébral, dont une branche va à la partie posté- rieure de l'écorce cérébrale et dont l'autre branche vient de la partie anté
rise des circonvolutions au niveau des vertèbres crâniennes (cornes cérébrales ) ' 1 représentent des centres d'ordre de plus e
st pas applicable, et j'ai déjà dit que l'étude des localisations cérébrales échappe le plus souvent à cette dernière méthod
e l'olfaction; - 3° Arc rachidien ; 4° Arc intermédiaire ; 5° Arc cérébral ; - 6° Arc direct, comprenant un rattache- ment
attache- ment du carrefour avec : a, le noyau cortical ; b, l'arc cérébral . Le schéma ci-joint (.1'ig. 28) donnera une idé
t au niveau de l'espace intcrpédoncularre, en dedans des pédoncules cérébraux : il entre en relation avec le tubercule mamillai
i P. r., qui va à la couche optique. Ces éléments constituent l'arc cérébral . H. p. o. Ruban péri-optique, reliant la couche
de la bande diagonale L. r. Tous ces éléments forment l'arc direct cérébral . A. d. d. Arc demi-direct rattachant l'arc céré
l'arc direct cérébral. A. d. d. Arc demi-direct rattachant l'arc cérébral à la bande diagonale. ' Les arcs rachidien, cér
ttachant l'arc cérébral à la bande diagonale. ' Les arcs rachidien, cérébral et intermédiaire sont striés en long. L'arc direc
rachidien, l'arc inter- médiaire et la partie postérieure de l'arc cérébral pilier postérieur et voûte. La partie antérieur
érébral pilier postérieur et voûte. La partie antérieure de l'arc cérébral pilier antérieur et pilier réfléchi est dans un
atomie comparée, on a fait de ces renfle- ments de véritables lobes cérébraux , constitués de toutes pièces et reliés à la mas
de l'anatomie comparée, il faut faire de la rétine un autre lobe cérébral , car elle a été également une vésicule cérébral
ine un autre lobe cérébral, car elle a été également une vésicule cérébrale , le nerf optique a été creusé d'une cavité et a
et a contenu de la substance grise ; quant à sa texture, elle est cérébrale en grande partie. DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL
'il n'est pas plus rationnel de cher- cher le centre de l'olfaction cérébrale , dans la région où se trouvent certainement, qu
ce d'étalement que partiront les arcs rachi- dien, intermédiaire et cérébral . Qu'à cette surface on ajoute : 1° la bande dia
dans la catégorie des- quels nous rangeons : l'hémiplégie d'origine cérébrale sans hémypiopie, la paralysie générale progress
e locomotrice progressive (tabès), alcoolisme, hé- miopie d'origine cérébrale (hémiplégie) et l'hystérie. A. Tabès. Nous avon
exerce sur l'attention, ou bien aurait-on affaire à une synthèse cérébrale des excitants fournis par les deux yeux ? Nous
xication alcoolique, chez les ataxiques et dans d'autres affections cérébrales de cause organique; 2° Ceux dans lesquels la pe
OGIE PATHOLOGIQUE « THE CROONIAN LECTURES » SUR LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES Faites devant le Collège royal des médecins de
squelles il expose l'état actuel de la ques- tion des localisations cérébrales et le résultat de ses dernières recherches. Il
lectures d'esquisser l'évo- lution de la théorie des localisations cérébrales , d'indiquer les principales données sur lesquel
existence de centres spéciaux et leur situation exacte sur l'écorce cérébrale . Avant de considérer les faits ayant trait à la
s ayant trait à la localisation spéciale des fonctions sur l'écorce cérébrale , je crois utile, même nécessaire de considérer
même nécessaire de considérer l'effet de l'ablation des hémisphères cérébraux dans les différentes classes d'animaux. Une b
récentes recherches sur les effets de l'ablation des hémis- phères cérébraux .par des méthodes perfectionnées ont nécessité
les ganglions qui correspondent morphologi- quement aux hémisphères cérébraux des vertébrés, il y a peu de choses, sinon rien
vision. Vulpian dit : < En effet, lorsqu'on a en- levé les lobes cérébraux sur un poisson, offrant de la résistance à LES
ébraux sur un poisson, offrant de la résistance à LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 407 ces sortes d'opérations, sur un gardon par
, \ 408 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. mer l'ablation des hémisphères cérébraux , qui sont presque exclu- sivement en relation a
Gallz * et Steiner '. les grenouilles privées de leurs hémisphères cérébraux se conduisent, cælc1'is lW1'iIJUs, essentiellem
optique. - C, Cervelet. - 0. Lobe ol- factif. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 409 ou l'évite de quelque façon. Dans toutes c
seaux. - Voyons maintenant les effets de l'ablation des hémisphères cérébraux chez les oiseaux et spécialement chez les pigeo
. Op. cit. 3 Observations and experiments on the Corpora strata and cérébral Hémisphères of Pigeons. Royal Society, Edimbour
.) Das' Sehcentl'um bei Froschen. Berlin, 1880. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 411 de Munk, ne conduisent pas à des conclusio
un certain nombre de pigeons, auxquels il a enlevé les hémisphères cérébraux , la vision n'était pas entièrement abolie et qu
pense que tous ceux qui ont soutenu que l'ablation des hémisphères cérébraux n'entraîne pas une cécité complète sont dans l'
s chez deux pigeons dont il avait enlevé totalement les hémisphères cérébraux comme en fait foi l'autopsie de von Recklinghau
t rien de l'écorce, mais seulement quelques restes des pédon- cules cérébraux qui étaient ramollis. Peu de jours après l'opérat
guident leurs mouvements malgré l'ablation complète des hémisphères cérébraux . Mammifères. - L'ablation des hémisphères céréb
des hémisphères cérébraux. Mammifères. - L'ablation des hémisphères cérébraux (compre- nant les corps striés) dans les vertéb
la période de calme passée, font quelques courses Les localisations cérébrales . 413 d'apparence spontanées, mais en réalité ca
e Christiani et Munk1 . Après l'ablation minutieuse des hémisphères cérébraux et des corps striés immé- diatement au-devant d
e Christiani et dit que les lapins après l'ablation des hémisphères cérébraux sont complètement aveugles, et ne montrent aucu
ces expériences pour base de sa polémique contre les localisations cérébrales , mais pour le moment, faisons abstraction de le
ns il a enlevé une grande partie des deux hémisphères. La substance cérébrale détruite avec l'atrophie secondaire consécutive
ent aucun signe de plaisir; ' Op. cit., p. 134. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 418 d'un autre côté ils étaient tous deux mis
phères entièrement. Et quand nous considérons les effets de lésions cérébrales partielles chez l'homme, nous avons quelque rai
tions adaptées à un but, qui survivent à l'ablation des hémisphères cérébraux chez les animaux infé- rieurs. Il parait donc
IQUE. tume de considérer chez l'homme comme d'ordre exclusivement cérébral , et conscients se trouvent chez ces animaux avec
trouvent chez ces animaux avec une absence complète des hémisphères cérébraux . Nous ne pouvons pas dire non plus que la spont
ue l'on considère habituellement comme une fonction des hémisphères cérébraux , fasse défaut entièrementchez les animaux sans
scientes sont unies indis- solublement à l'activité des hémisphères cérébraux . Les résultats de l'ablation des hémisphères cé
hémisphères cérébraux. Les résultats de l'ablation des hémisphères cérébraux ne prou- vent rien ni pour ni contre la doctrin
les capables de se manifester en l'absence complète des hémisphères cérébraux , il reste tou- jours la question de savoir si l
étaphysiques quand nous étudions les effets des lésions de l'écorce cérébrale . Nous avons affaire à des entités matérielles L
ale. Nous avons affaire à des entités matérielles LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 417 en connection avec les tractus sensitifs o
n connu, n'admet aucune espèce de localisation dans les hémisphères cérébraux . Il semble avoir été amené à cette con- clusion
oit par en haut, soit par côté, une portion assez étendue des lobes cérébraux , sans que leurs fonctions soient perdues. Une por
passé certaines limites, elles sont tout à fait éteintes. Les lobes cérébraux concourent donc par tout leur ensemble à l'exer
and pathological Researches on the Newan System. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 41Ô 0 lutions produisaient des convulsions loc
ifficulté de distinguer les effets directs ou indirects des lésions cérébrales a fourni à f3rown-Séquard des arguments ' Pysio
faveur de son idée particulière que tous les symptômes de ma- ladie cérébrale sont dus à quelque influence dynamique exercée
que c'est une simple coïncidence. La physiologie et la pathologie cérébrale ont été révolutionnées par la découverte faite
ation directe de l'électricité sur des régions définies de l'écorce cérébrale d'un chien. Comme maintenant ces expériences on
eichert U. Du Bois Raymond' Archiv, 1870, heft 2. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 421 1 rieur et quelque peu plus en arrière. L'
ré la voie, qu'est née toute la doctrine moderne de la localisation cérébrale exacte. Avant de discuter les différentes réact
evue les caractères et les conditions de l'excitabilité de l'écorce cérébrale . A l'état normal, la substance grise de l'écorc
nvolutions exci- tables mécaniquement après la ligature des artères cérébrales . Que nous acceptions ces résultats comme strict
e du cerveau du chien, suivant Fritsch et Hitzig. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 423 l'application des électrodes sur différent
eau, 1873. . Proceding Royal Souetz, juin 1873. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 428 plètement l'hypothèse de la conductibilité
0. 3 Pflùger Archiv of Physiologie, 1881. 1 Sur la circonvolution cérébrale , 1879. 0 Boston met and Surgical Journal, 1874.
LES processus dégénératifs DE la substance BLANCHE DES HÉMISPHÈRES CÉRÉBRAUX ; par M. FrIEDMANN. ENCORE UN MOT SUR LES PROCES
LES PROCESSUS DÉGÉNÉRATIFS DE LA SUBSTANCE BLANCHE DES HÉMISPHÈRES CÉRÉBRAUX ET EN PARTICULIER DANS LA PARALYSIE progressive
es au'contraire se confinent à la subslance blanche des hémisphères cérébraux . Mais la première (générale) parait plus spécia
parties en réseaux tenus seuls capable de pénétrer dans la matière cérébrale . Les sillons en sont donc le produit. Ce sont d
cerveau; par M. Bissons. Il résulte de ce travail que les artères cérébrales , au moins les corticales, appartiennent non au
rolongement comprimait la bandelette optique gauche et le pédoncule cérébral du même côté d'ou l'hé-* miplégie et l'hémianop
NCE secondaire descendante DU faisceau EXTERNE DU PIED DU PÉDONCULE CÉRÉBRAL ; par C. WINELER. - UN CAS DE DÉGÉNÉRESCENCE SE
ENCE SECONDAIRE BILATERALE DU FAISCEAU EXTERNE DU PIED DU PÉDONCULE CÉRÉBRAL AVEC ATROPHIE DE LA MOITIÉ SUPÉ- RIEURE (DORSAL
érescence porte surtout sur la partie latérale du pied du pédoncule cérébral ; on la voit se poursuivre dans la pyramide du m
S DU LOBE occipital DES mammifères ET résultats DE pesées DES lobes cérébraux d'hommes atteints DE lésions ANATOMIQUES, par T
dice comprend des ta- bleaux. donnant le poids des diverses régions cérébrales et le calcul de leurs rapports pondéraux respec
elles n'arri- vent que par leur intermédiaire au pied du pédoncule cérébral . Les parties latérales de ce dernier renferment
ent dirigé mesure 1 pouce et demi à deux pouces, indique une lésion cérébrale , qu'il y ait ou non lésion du fond de l'oeil, n
res sont consacrés à l'anatomie pathologiqne et aux localisa- tions cérébrales de ces divers troubles du langage articulé. Ce
87; de la substance blanche, par Friedmann, 428 ; du pédon- cule cérébral , par Vinkler, Jel- gersma, 431, parSioli, 434.
, par : \Ioebius, 2'il Hystériforme, symptômes - dans la svphvlis cérébrale , par MOI'aw- sil : . `3f0. Hystérique, bégaie
ratum de la boule hystéri- que, par Langrenter, 74. Localisations cérébrales , par Fer- rier 403. Martyrologe de la psychia
ire, affaiblissement général de la - , par Freund, 4tU. Méningite cérébrale , par Scltulz, 80. Mentales (maladies), classi
r Thornsen, par Zichen, 251 ; - symptômes hystériformes dans la - cérébrale , par Morawsik, 240. Tabès .1T.1\0-SI'AS : IfO
uss, 95. Trapèze, absence bilatérale du -, par Erb, 71. Tumeurs cérébrales , par Oppcn- hein, 74. Urique, excrétion de l'
24 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
LAURENT), l'erreur du malade, renforcer, pour ainsi dire le trouble cérébral ; Y hallucination n'est pas la cause propre de
nie. - Toute apathie intellectuelle en rapport avec une défaillance cérébrale fonctionnelle, durable ou tem- poraire, peut pr
s. Elle semble un lien entre la faiblesse irritable et l'excitation cérébrale spéciale que M. Wernicke accuse de la disjoncti
cience où elles se répercutent comme s'il y avait une espèce d'écho cérébral , en vertu duquel il semble qu'elles soient réfl
sible de rien savoir sur l'hérédité. Il ne parait y avoir ni tumeur cérébrale (intégrité du fond de l'oeil), ni paralysie gén
nfin, quoique l'accès de migraine soit suivi d'une certaine fatigue cérébrale , le travail consécutif est néanmoins possible et
lement un endolorissement céphalique cor- respondant à l'hémisphère cérébral originaire des troubles. Cette céphalée est com
ice sur le tonus ? Tous les auteurs disent : elle est dans l'écorce cérébrale . Et alors à tous les auteurs on objecte : pourq
dans l'écorce, mais soit plus bas, dans la protubérance. L'écorce cérébrale a certainement une action sur les réflexes et s
e de laquelle MM. Démange et Spillmann ont trouvé dans l'hémisphère cérébral droit un vaste foyer de ramollissement occupant
de la substance blanche jusqu'aux régions postérieures de l'écorce cérébrale . Les s auteurs pensent que les troubles de la v
tata, du côté droit, des lésions d'endo-périartérite ancienne de.la cérébrale moyenne, et un foyer de ramollissement périphér
si par bien des côtés le délire des dégé- nérés : sensation de vide cérébral , fatigue intellectuelle rapide, difficulté de s
, ce qu'il raconte : Vers l'âge de trois ans, ayant fait une fièvre cérébrale , à ce qu'on lui a dit, le Dr S... qui le soi- g
ARRÊT DE DÉVELOPPEMENT DE L'HUMERUS GAUCHE DANS UN CAS D'HÉMIPLÉGIE CÉRÉBRALE INFANTILE ; Par M. R wnon BEIINARD, \Iéecin-m
nt une ménin- gite et établissant une relation entre les phénomènes cérébraux actuels et l'impotence du bras gauche ( ? ) Che
liquer le fait actuel sont : la paralysie infantile et l'hémiplégie cérébrale infan- ' P.-S. de Magalheies. Un cas de raccour
autres considérations amenaient à conclure en faveur d'une sclérose cérébrale . L'intelligence de Chen... peut être considérée
existé pendant toute l'enfance de Chen ? Le diagnostic de sclérose cérébrale semble bien légitime. Au- reste, l'observation
. Sole sur l'arrêt de développement des membres dans l'hé- miplégie cérébrale infantile el sur ses analogies avec des malformat
ique infantile ? 11 semble plus logique de suppo- ser que la lésion cérébrale a retenti sur l'autre côté en frap- pant le côt
serait pas sans intérêt de rapprocher de pareils faits les lésions cérébrales observées dans certaines monstruosités'; mais u
hériques la diversité des propriétés des diverses aires de l'écorce cérébrale ; celle des particularités qui, à l'instar de m
s diverses couches stratifiées d'une aire fonctionnelle de l'écorce cérébrale , de l'aire de la « rétine corticale », qu'il ex
elle ou essentielle comme le résultat de l'irritabilité de l'écorce cérébrale . Cette irritabilité peut être produite par une
ides de l'organisme au mo- ment de l'accès et qui agit sur l'écorce cérébrale , comme dans l'épilepsie essentielle. Ici nous s
transformation des matières. Les corps qui agissent sur l'écorce . cérébrale sont des leucomaïnes et toxalbumines; ce sont les
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 1. Les phénomènes de la distraction cérébrale et les états dits de dédoublement de la personn
s sont distraits du méca- 140 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.. nisme cérébral pour lequel ils ne sont momentanément pas néces-
pas d'érection. » C'est, en effet, un perverti sexuel psychique, un cérébral antérieur. .Nous ne trouvons pas chez T... l'ac
fection ou d'une intoxication ayant lésé plus ou moins les cellules cérébrales , et c'est le reliquat de cette lésion qui, ulté
n, mémoire, association d'idées, raisonnement, imagination, travail cérébral court, s'inscrivent tous sur le tracé pléthysmo
mène vaso-moteur est nettement secondaire et consécutif à l'acte cérébral . Quant au temps perdu, à l'intensité et à la duré
peuvent se pré- senter : a) si le phénomène de volonté est purement cérébral , le tracé pléthysmographique présente une chute
de produire le délire, qui- est la manière de réagir de l'organe cérébral . Et quels sont les individus qui délirent sous
emin de la force, répète volontiers le professeur Pierret. L'écorce cérébrale reçoit de l'influx nerveux et en projette : pou
xperiznents on the eleclrical excitations of the visual area of the cérébral cortex in the monkey (Bmin, avril 1888). DOUBLE
IAL; Par F.-J. 1 ! OSC et V. VEDEL (de Montpellier). L'hémorragie cérébrale ne se marque pas toujours par l'attaque d'apopl
typiques dans un mémoire de 1859 'sur les anévrysmes des vaisseaux cérébraux . Pour Abercrombie et Thomas Watson 3 qui en ont
London, 18f6, XIII, 415). ' William Gull. Cases of aneurism of lhe cérébral vessels (Guy's Ilo ? 1). Reports, 1859, 281).
l'hémisphère est creusée par un caillot qui a mangé la substance cérébrale depuis la partie antérieure de la troisième front
d'aspect sanglant. Un examen plus attentif montre que la substance cérébrale du pied de la frontale ascendante et du tiers p
oit ; ce dernier étant vidé, l'hémisphère s'aplatit et la substance cérébrale ramollie subit, au niveau de l'insula, une déch
gros caillots noirs. La plus légère pression déchire la substance cérébrale , pour ainsi dire réduite en bouillie. En explor
t signale fréquemment comme phénomène de début un état de confusion cérébrale qui fait ressembler ces malades à des personnes
ux-mêmes. Ces derniers se retrouvent dans le tableau de l'apoplexie cérébrale en général. Dans l'apoplexie progressive, la
sanguines sous les méninges molles, des modifications de la surface cérébrale , notamment au niveau de l'insula et du lobe fro
nsion qui les déplisse en forme de sac. En ces points, la substance cérébrale distendue est ramollie, se laisse très faci- le
foyer hémorragique, à travers une très mince couche de substance cérébrale ramollie. Dans certains cas cependant (Obs. I et
ascendante, une dila- cération à bords irréguliers de la substance cérébrale ; ces bords étaient distendus par un caillot no
et par la résistance légère opposée en ce point par la substance cérébrale à l'hémorragie. 214 PATHOLOGIE NERVEUSE. Quan
rure de la substance grise, ni compression violente de la substance cérébrale , phénomènes par lesquels on explique ordinairem
chemin facile à l'hémorragie. La pression exercée sur la substance cérébrale par le sang extravasé est empêchée par la proxi
isinage de cavités empêchant une distension brusque de la substance cérébrale , telles sont les deux rai- sons essentielles du
Bouchard ont montré être le territoire préféré de l'hémorra- gie cérébrale . Elle se fait sur le parcours de vaisseaux volu-
que l'hémorragie se fasse dans la région habituelle de l'hémorragie cérébrale . Chez son malade, en .effet, qui présentait la
eau de la protubérance. Voici le cas de William Gull. Cases of tlae cérébral vessels. (Guy's IIospital Reports). Cas. II. An
rapport avec la localisation, dans un point précis, de la substance cérébrale . La cause de la progression est-elle en rapport
vasation de sang pourrait se faire entre les fibres de la substance cérébrale , au lieu d'une issue brusque capable de provoqu
topsie aucune lésion hémorra- gique, mais seulement un peu d'oedème cérébral avec épan- chement de sérosité dans le ventricu
, à attribuer le syndrome de l'apoplexie progressive à des troubles cérébraux liés à l'urémie ou à quelque autre auto-intoxic
son ouverture par usure avec passage lent du sang dans la substance cérébrale au voi- sinage d'un point eompressible, comme u
e qui se rejoignent à la partie dorsale pour constituer la vésicule cérébrale antérieure et, de l'époque plus ou moins précoc
t produit la cyclopie et de l'airét de développement de la vésicule cérébrale antérieure. III. Ces causes auraient leur sou
éphalique de l'embryon, d'autant plus que l'atrophie de la vésicule cérébrale antérieure est toujours accompagnée de l'atroph
avec dépression des fragments, qu'il y ait ou non des complications cérébrales . Ces complications en effet peuvent se manifest
génitaux, la moelle se trouve émancipée et soustraite à l'influence cérébrale psycho-motrice ; les centres inférieurs sont in
je lis il la page 27 cette phrase : Les femmes, dont l'infériorité cérébrale parait admise par la science contemporaine, etc
on seulement sur l'étiologie et la symptomatologie de ces désordres cérébraux , mais encore sur le sens précis qu'il faut attr
i des intoxiqués ». D'après lui, dans ces derniers cas les troubles cérébraux - se manifestent sous la'forme d'états d'excita
cep- tibles d'être incriminés dans la pathogénie de ces désordres cérébraux . M. Rayneau les a relatées, en détail, dans son
édicaments aggravait encore la situation. L'intensité des désordres cérébraux s'accrut graduellement. La désorientation d'esp
son esprit engourdi. La lenleur avec laquelle s'effectue le travail cérébral est attestée par les longues hésitations qui pr
se terminer, n'a laissé aucune trace fâcheuse dans son organisation cérébrale , il n'existe pas d'affaiblissement intellectuel
mble des faits qui se sont écoulés pendant cette période de trouble cérébral . Peu à peu, en même temps que son intelligence
insiste beaucoup moins sur sa désorientation d'esprit et sa torpeur cérébrale , que sur ses hallucinations et ses illusions sen-
été le rôle de chacun de ces éléments dans la genèse des désordres cérébraux . Quoique son existence entière se fut passée sa
nées, il a pu, à son gré, satisfaire sa passion; son orga- nisation cérébrale a subi alors, sans accident, l'action toxique d
e à celle des troubles d'ordre physique ; d'une part, les désordres cérébraux ont présenté un carac- tère d'acuité très marqu
port de coexistence entre l'infection, d'une part, et les désordres cérébraux , d'autre part, mais 1 D' Hégis. Sole sur les dé
produisent, à la suite des opérations chirurgicales, des désordres cérébraux qualifiés suivant les cas et suivant les auteur
oires, selon M. Régis, n'engendre pas plus fatalement des désordres cérébraux que les facteurs d'ordre psychique auxquels M.
prit, s'accompagnant d'une suspension par- tielle du fonctionnement cérébral . Mais ce signe a été mas- qué dans une certaine
gressivement, jusqu'à la guérison complète. Le réveil de l'activité cérébrale consciente et volontaire, s'est fait d'une faço
r le schéma ci-joint. Les lésions sont les suivantes : Hémorragie cérébrale ayant détruit le tiers postérieur au noyau le
interne à la zone rolandique. En résumé, il s'agit d'une hémorragie cérébrale ayant détruit : 1° Au niveau du centre ovale :
la plus inférieme de la couche optique. L'extension vers l'écorce cérébrale en dehors est de moins en moins grande à mesure q
re de psychoses ont leur origine clans les troubles de l'irrigation cérébrale . Ainsi s'ex- pliqueraient par l'anémie ou va.so
peut être attribuée à trois causes : l'état d'anémie; la congestion cérébrale ; les troubles de l'innervation génitale. La
l'aménorrhée à la déri- vation sanguine provenant de la congestion cérébrale maniaque ? Il y aurait anémie partielle des org
ade continue-t-elle à ne pas avoir ses règles lorsque la congestion cérébrale n'existe plus ? Le délire a duré quinze .jours
ême aménorrhée dans des états mélancoliques, c'est- à-dire d'anémie cérébrale . L'aménorrhée n'est donc occa- sionnée ici ni p
mettre que le mouvement nerveux ne se transmet pas jusqu'à l'écorce cérébrale . Il s'arrêterait au bulbe, sans doute à l'endro
-moteurs, que Schiff place dans la protubé- rance et les pédoncules cérébraux . Le réflexe se produirait alors, qui, par les v
les causes de la mort, qui ne peut être attribuée qu'à l'hémorragie cérébrale de l'hé- misphère gauche. La pneumonie chroniqu
s, le tremblement qu'il attribue à une lésion des cellules motrices cérébrales ou tout au moins du faisceau pyramidal intra- c
ent généralisée à l'en- semble du système nerveux, mais une névrose cérébrale pouvant même n'intéresser qu'un seul hémisphère
e quoiqu'il y ait des points de contact avec la paralysie infantile cérébrale à forme monoplé- gique, avec la contracture tar
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. mais il repousse l'idée d'une lésion cérébrale , encore plus celle d'une lésion' du nerf dans s
s auteurs affirment l'existence d'une forme épileptique de syphilis cérébrale secondaire qui peut être regardée non seulement
1899.) E. B. XXII. Les trépidations et les phobies de la neuratonie cérébrale ; par le or HUGHES. Aux appellations ordinair
primitive de la neuratonie est la nutrition défectueuse de l'écorce cérébrale , en particulier des neurones psychiques. Il peu
éningite cérébro-spinale avec localisation ultérieure dans l'écorce cérébrale . D1 PRLOBHAJh'1\bhY. - Deux cas de paralysies b
qui a duré six heures. A l'autopsie on a trouvé sous la pre- mière cérébrale douze cysticerques, en partie calcifiés, en parti
s sont contenus dans une capsule fibreuse consistante. La substance cérébrale est hypérémiée et oedémateuse ; les ventricules
, et enfin sur la rareté des phéno- mènes d'abolition des fonctions cérébrales . Les symptômes céré- braux irritatifs marchent
ne myélite par com- pression à marche rapide, sans aucuns symptômes cérébraux . On constata sous la peau la présence de nombre
veau de la région dorsale de la moelle; en outre les ventriculaires cérébraux contenaient toute une colonie de cysticerques l
colonie de cysticerques libres. M. Mouratoff, vu que les symptômes cérébraux font défaut pendant la première phase de l'immi
la cause de ces symptômes réside dans la dégénéra- tion de l'écorce cérébrale . M. KOJEWNJKOFF pense que les phénomènes cérébr
tion de l'écorce cérébrale. M. KOJEWNJKOFF pense que les phénomènes cérébraux orageux et 336 sociétés savantes. graves qui
e labes dorscclis. Le phénomène faisait défaut dans les hémiplégies cérébrales (8 cas), du côté malade, comme du côté sain et
é des altérations cellulaires, on trouve une hypérémie des méninges cérébrales et surtout médullaires, et une hypérémie de la
e un simple syndrome laisant partie du grand groupe des diplégies cérébrales , au même tilre que l'hémiplégie spasmodique, l'hé
rent au début de la maladie de Little, comme au début des diplégies cérébrales proprement dites. La spasticité, la paralysie,
e dans la maladie de Little. De plus, il existe toujours une lésion cérébrale , mais très variée de siège, de nature et d'm- t
uis quelque temps la pauvre femme donnait des signes de dérangement cérébral . Le nommé Léandre Gesse, âgé de vingt-quatre an
constate un oedème très marqué des espaces mé- ningés ; ventricules cérébraux très dilatés. L'examen extérieur et les coupes
ue, boit du rhum tous les matins à jeun. Mère morte d'une affection cérébrale , encépha- lite ( ? ) suivant les médecins qui l
Trois actes aussi clairement volontaires et aussi indéniablement cérébraux doivent être représentés dans l'écorce, dans des
les autres troubles hallucinatoires, la conséquence de l'éréthisme cérébral provoqué par l'intoxication alcoo- lique. REC
cardiaque. - Grand'mère maternelle, crises net- veuses, congestion cérébrale . Pas d'autres renseignements sur la famille mat
x heures; elle a toujours été malade, a eu récemment une congestion cérébrale . Un frère bien portant, sobre. Pas d'alie- nés,
e optique ; -, 7° Les connexions de la couche optique avec l'écorce cérébrale se font par le système des libres thalamo-corti
rticales ou transversales de la capsule interne ; 8° Sur l'écorce cérébrale , la motilité, la sensibilité générale et le sen
ibres posté- rieures de celui-ci occupent dans le bulbe, le segment cérébral du corps restiforme; les fibres antérieures (ou
ite quantité dans la cavité sous-arachnoïdienne lombaire et surtout cérébrale , s'opère lentement ; en règle générale, le main
RCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. FOYERS DE RAMOLLISSEMENT CÉRÉBRAL ET TROUBLES PSYCHIQUES ; 'Par Je D' R.OiARON,
de Saint-Atban (Lozère). I. L'étude des rapports du ramollissement cérébral avec l'aliénation mentale n'occupe, aussi bien
leurs Eludes physiologiques et pathologiques sur le ramollissement cérébral , déclarent brièvement qu'aux phénomènes physiqu
avant l'attaque, rattacher, comme l'étourdissement, à l'is- chémie cérébrale » ; mais qu'en résumé, le délire est un symptôm
hiques qu'on observe le plus souvent dans les cas de ramollissement cérébral en foyer consistent dans un état de stupeur ou
re d'agitation à forme maniaque. D'après Luys les lésions du lobe cérébral droit sont pres- que toujours accompagnées d'un
asset nous donne plusieurs observations complètes de ramollissement cérébral étendu (écorce et centre ovale), avec troubles
tiques à ceux de la démence sénile. » Pour André, le ramollissement cérébral ne produit pas de troubles intellectuels très m
ue, parmi les lésions circons- crites du cerveau, le ramollissement cérébral est celle qui produit les troubles intellectuel
es aliénés, indiqués à l'admission comme atteints de ramollissement cérébral , dont il nous a été donné de prati- quer l'auto
, nous avons recueilli six observations complètes de ramollissement cérébral en foyer, remarquables autant par la localisati
ne d'elles avant l'admission. De fait le diagnostic, ramollissement cérébral est souvent, dans la pratique ordinaire, erroné
nt l'étude puisse conduire ou aider au diagnostic de ramollissement cérébral en foyer ? C'est ce que nous avons voulu recher
e. A été atteinte il y a trois ans de troubles qua- lifiés « Fièvre cérébrale » par la famille. Les renseignements recueillis
s terrifiantes : se voit poursuivie par des hommes.. RAMOLLISSEMENT CÉRÉBRAL ET TROUBLES PSYCHIQUES. 437 A l'admission la ma
opsie. Ramollissement très étendu du centre ovale de l'hémi- sphère cérébral droit, formant une cavité bifide en avant et s'ét
,3, troubles gastriques. Suburration et fétidité des RAMOLLISSEMENT CÉRÉBRAL ET TROUBLES PSYCHIQUES. 439 voies digestives. P
us les cas, de douleurs céphaliques, en même temps que l'excitation cérébrale et, dans la plupart des cas, de symp- tômes con
it nombre de nos observations, l'extrême variété des RAMOLLISSEMENT CÉRÉBRAL ET TROUBLES PSYCHIQUES. 441 symptômes objectifs
ique de l'état mental qui accompagne les foyers de ramollissement cérébral . Disons seulement que notre expérience personnell
considérer comme très probable l'existence d'un foyer de nécrobiose cérébral , d'une étendue importante et causé par des obli
rganisme. Ces sujets sont des épuisés et des surmenés. Le surmenage cérébral déterminé par l'éréthisme des centres sensitivo
vec des troubles plus ou moins graves de la nutrition de l'écorce cérébrale et parfois même du système nerveux en son en- t
au ; outre que par suite de la situation horizontale la circulation cérébrale est facilitée et le cerveau mieux irri- gué, l'
rsal complet aussi prolongé que possible, de lutter contre l'anémie cérébrale et de soustraire le malade aux influences extér
ionner le cerveau, et par là de combattre l'insomnie due à l'anémie cérébrale ". Seguin's seriesof zlmerican clinical lectures
es sens musculaire et sléréognostiquc dans les hémiplégies de cause cérébrale . Thèse de Paris, 1>i96. 2 Bourdicault-Duma
sens murs- eulaire el du sens stéréognostigite dans les hémiplégies cérébrales . Thèse de Paris, 1894. 3 Cherechewslu. Le sen
phériques et ne fait intervenir la sensation centrale et d'activité cérébrale qu'à l'occasion des mouvements actifs =. Cherch
qu'il faille admettre à l'origine du mou- vement actif un phénomène cérébral conscient, et que ce soit la reviviscence mnési
épisode délirant. L'alcool est la pierre de touche de la résistance cérébrale ; il décèle les prédispositions vésaniques late
eur mécanicien, est né en 1854. Son père est mort de ramollissement cérébral à l'asile des aliénés d'Evreux où il était entr
e. (Annules médico-psychologiques, août 1899.) E. B. LUI. Théorie cérébrale de la respiration de Cheyne-Stockes; par M. H \
récédée, ou au moins accompagnée par les symptômes d'une inhibition cérébrale profonde, par les signes nettement accusés de l
accusés de la perte de l'influx nerveux encéphalique. La théorie cérébrale de la respiration de Cheyne-Stockes se concilie
d'application moins favorable. La paralysie infantile spinale, ou cérébrale , en portant atteinte aux adducteurs et aux exte
e de hauteur de un à trois centimètres. Dans la paralysie d'origine cérébrale , il s'abaisse de cinq à dix millimètres, et, pa
onclut : Il y a soit névrite, soit altération de la moelle, rien de cérébral . Ce fait offre une grande ressemblance avec l'i
e, égale des deux côtés, rappelant la papille étranglée des tumeurs cérébrales . Asymétrie faciale ; déviation de la luette à g
disséminées; exagération des réflexes patellaires. Pas d'accidents cérébraux généraux. Ilien aux organes internes. Apyrexie.
ultant d'une excitation d'en- semble de la zone motrice de l'écorce cérébrale et des centres qui y sont placés ; 7° L'asphyxi
produire la cécité verbale. P. KERAVAL. LXIV. Deux cas de tumeur cérébrale avec diagnostic précis de la localisation; par
ralysie ou une pseudo- paralysie générale alcoolique, et une tumeur cérébrale . L'autopsie montre simplement une hydrocéphalie
ncéphalique. La pression intraventriculaire a comprimé la substance cérébrale contre les parois du crâne, barré les veines et
s granulations de Pacchioni. Il y a donc eu accidents de pres- sion cérébrale et à la fois symptômes convulsifs dus à l'influen
ubles parétiques ne saurait se rat- tacher à un épanchement sanguin cérébral ou spinal, car la malade dit elle-même qu'elle
'urémie purement rénale est parfois identique il celle d'une tumeur cérébrale . L'urémie et la tumeur cérébrale peuvent produi
is identique il celle d'une tumeur cérébrale. L'urémie et la tumeur cérébrale peuvent produire : céphalalgies, vomissements,
isodes aigus des affections chroniques (paralysie générale, lésions cérébrales en foyers, délires systéma- tisés chroniques).
un rôle important dans la genèse de ces délires. M. IiLIPPEL. Abcès cérébral et méningite aiguë. L'auteur rap- porte l'obser
e Kernig manifeste. L'autopsie démontra qu'il s'agissait d'un abcès cérébral situé à gauche dans le centre ovale, sans la mo
vie. MM. Cl. Philippe et Jonia. Anatomie pathologique de l'écorce cérébrale dans la sclérose en plaques. Les auteurs ont étud
te. Ces résultats histologiques permettent de penser que l'écorce cérébrale et ses lésions entrent pour une large part dans l
intelligent, n'avait jamais présenté aucun symptôme de dérangement cérébral , son attaque l'avait pris si subitement qu'il n
utlon il la casnistlque de l'astasie -, par Goldeteiu, 316. Abcès cérébral et méningite aiguë, par Klippel, 514. Abstine
Ba,7elloff, 325. Dédoublement. Les phénomènes de la distraction cérébrale et les états dits de de la personnalité, par
z les enfants, par Looft, 73. Distraction. Les phénomènes de la cérébrale et les états dits de dédoublement de la personn
, 113. IIÉ111CIioIiEES. Sur les -, par La Riva, 312, Hémiplégie cérébrale infantile. Arrêt de développement de l'humérus
uerbach, 405. Neurasthénie. Les trépidations et les phobies de la cérébrale , par Hughes, 330. Névralgie paresthésique. Né
tion, par Lépinay, 162. Les trépidations et los - de la neuratome cérébrale , par lluglies, 330. Phtisie. Delà et en parti
hiques par Charon, 433. Respiration de Cheane- Stockes. Théorie cérébrale de la -, par ISahé, 4S` ? . - pendant le som-
différen- tiel entre la et l'hystérie, par Blizzard, 313. Ecorce cérébrale dans la -, par Philippe et Jones, 514. Scol
ar Boinet, 480. Trépidations. Les et les phobies de la neuratonie cérébrale , par Ilugltes, 330. Trihromure de salol. Le -
l'etio- logie ries maladies nerveuses, par Gauppe. 497. Tumeurs cérébrales avec diagnostic rie la localisation, par Bruns,
25 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
fait que les intoxications provoquées ne déterminent de troubles cérébraux que chez les sujets prédisposés : dans les expé
n que l'alcool est la pierre de touche de l'équilibre des fonctions cérébrales . On peut faire les mêmes réserves pour les trau
les centres d'idéation comme dans les centres moteurs, les cellules cérébrales aient une tendance à se spécialiser et à acquér
a folie; elle naît des ma- ladies pébrales et engendre des maladies cérébrales . Nous verrons qu'elle a de fréquents rapports a
complexité et l'irrégularité de la morphologie des circonvolutions cérébrales . Nous avons dit ailleurs que nous ne considério
rie atavique du crime. L'existence quelquefois constatée de lésions cérébrales 5, est encore à l'appui de l'opinion que nous d
que les microcéphales et les idiots représentent, au point de vue cérébral , un état normal de quelqu'un de nos an- cêtres,
'épilepsie, le strabisme, la paralysie, les névralgies, les fièvres cérébrales , l'apoplexie, l'excentricité, les tics, le béga
nt dite qui peut engendrer l'aliénation par hérédité. Les lésions cérébrales de tout genre, les affections ner- LA FAMILLE N
mmes distingués (Trélat). Cette coïncidence des tics avec des états cérébraux divers vont à l'appui de l'origine centrale ' d
, la déformation du cou n'est point la consé- quence de l'affection cérébrale , comme les phéno- mènes hémiplégiques que l'on
coïncidence, relevée encore par Dunlop2, qu'est basée la théorie cérébrale . Le père des trois malades de Dunlop est mort a
'im- bécillité, qui peuvent s'expliquer par la présence de foyers cérébraux de sclérose, non sans analogie avec la sclérose
e. C'est à dessein que nous avons omis de parler de l'hémorrhagie cérébrale qui est aussi fréquemment héréditaire, et du ra
a tète, qui était raide. Le médecin disait qu'elle avait le collier cérébral . Pas de vomisse- ments. Au commencement de 1881
ose latérale amyotrophique ou de dégénérescence secondaire de cause cérébrale . D'ailleurs, nous devons le dire, étant données
ait que les symptômes d'une lésion spinale (comme ceux d'une lésion cérébrale ) dépendent du siège de la lésion, non de sa nat
DE PHYSIOLOGIE I. Recherches sur la structure comparée DE l'écorce cérébrale ; par W. Bevan LFwts. (Communication faite par
se remarquent surtout au voisinage de la partie moyenne de l'écorce cérébrale . Les éléments anatomiques constituent des group
s rencontre dans le cerveau des idiots, se retrouvent dans l'écorce cérébrale du mouton et du porc. . B. II. DU TRAJET DES
C- TION unilatérale du bulbe sur le développement des hémisphères cérébraux ; par Fûrstner. (Archiv f. Psych. u. Nervenk., XI
du côte opposé à la lésion, une diminution de volume de la région cérébrale délimitée plus haut, surtout en son segment antér
ommande en outre à la nutrition des faisceaux latéraux du pédoncule cérébral . Ceux-ci, à la suite de son ablation, s'atrophi
de volume de certaines portions de l'étape supérieur des pédoncules cérébraux ainsi que d'un faisceau d'association qui rejoi
-t-il avoir affaire à un cas d'épilepsie symptomatique d'une lésion cérébrale gauche ayant amené l'hémispasme de tout le côté
res analogues à ceux qu'elles affectent dans l'épilepsie par lésion cérébrale localisée ou épilepsie jackso- nienne 2. M. B.
èse inaugurale d'Amsterdam, 1883. Quoique la nature de la commotion cérébrale ait été déjà bien souvent étudiée, il n'était p
e, ils préconisaient dans cette monographie l'idée que la commotion cérébrale sans complications passe sans que la moindre lé
er dans ses Études expérimentales et cliniques sur les traumatismes cérébraux , que les cas de commotion cérébrale sont toujou
cliniques sur les traumatismes cérébraux, que les cas de commotion cérébrale sont toujours accompagnés d'hémorrhagies dans l
bulbaire), etc., que Duret décrit comme constantes dans lacommotion cérébrale , sont vraiment toujours rencontrées ? Plusieurs o
lo-racbidien serait sans influence sur la naissance d'une commotion cérébrale , il était nécessaire de poser la question suiva
difficulté; on leur trouvait les symptômes ordinaires de commotion cérébrale . Ainsi il était bien prouvé que la commotion cé
commotion cérébrale. Ainsi il était bien prouvé que la commotion cérébrale n'est pas exclusivement l'effet du choc céphalo-r
tout du plancher du ventricule bulbaire, de provoquer la, commotion cérébrale ou des symptômes de cette affec- tion ? ou comm
t une lésion des hémisphères, comme l'ébranlement dans la commotion cérébrale , pourrait déterminer les symptômes de cette mal
. VARIA. 137 pourraient suppléer l'une l'autre. Dans la commotion cérébrale , au contraire, quand toutes les parties sont af
ar paralysie des muscles articulateurs, dépendant soit d'une lésion cérébrale , soit d'une lésion protubéran- tielle. L'étude
rier. Fonctions du cerveau, p. 230. De la localisation des maladies cérébrales , p.t33-134. DES LOCALISATIONS CEREBRALES. 1 17
ement désignés, nous n'avons pu nous eu servir. DES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 1 Il i) 5° Rosenthal (Beitrdye zur Kentniss de
f hypoglosse étaient sains. 6° Ferrier (Localisation des maladies cérébrales , p. 136, 137) rapporte le cas suivant publié pa
ormalement à l'action du cou- rant faradique. « Pour résumer l'état cérébral , dit le 1)' Barlow, il paraissait y avoir perte
s de phénomènes convulsifs ou paralytiques surve- DES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 151 nant dans le domaine musculaire de l'hypog
-laryngée. Ces faits de paralysie labio-glosso-laryngée d'origine cérébrale ont été signalés pour la première fois par M. l
oca, sont saines. Des coupes multiples pratiquées dans la substance cérébrale amènent à l'extrémité postérieure des deux noya
Observation V ? Paralysie Inbi()-gloss()-phaJ',1/lIgée d'origine cérébrale ; foyer unilatéral. (Résumée.) Observation pu- 1
y déterminent des aecès"de suffoca- 0 . 1..1 o. DES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 1G3 tion. Quant aux liquides, ils sont souvent
laire des paupières ni des muscles moteurs de l'oeil. Affaissement cérébral assez accentué. Intelligence très af- faiblie a
, , . , ' , lmi , y S ? lv\i ')·tyw Dans la paralysie glo5so.1abiée cérébrale , le début ? F5 ..nt ,.y v W n W ·1.\v . Iv ï1B r
? It ? I.t' tf P'. i· 111 f si dR'1"1111 e glosso-lablee d origine cérébrale , tout un ensemble de ri 1 vtll ' 6t -t t . r "
lt;d p'a'iâis ? 1"'t' "I ' "Ilff'l'oi ? c l ;14/1 DES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 1115 La paralysie glosso-labiée d'origine céré
LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 1115 La paralysie glosso-labiée d'origine cérébrale ,'une fois constituée, trois particularités serv
ans la paralysie glosso- 1 ... JI' 1 ? t 1 t ( t labiée d'origine cérébrale tout un ensemble de syn ? p- ii III" 1 Il 1 Ir.
tout un ensemble de syn ? p- ii III" 1 Il 1 Ir. 1 ! t J, l' tomes cérébraux qui font défaut dans la paralysie bul- baire pr
dans la paralysie glosso-labiée am, '" l ,\, \. 1 - \ . d'origine cérébrale , le malade est emporté soit par 1 .. ,1 1) 1 f'
ier abord, qu'une lésion I,f 1110" hl 'II Jl.. l, l 1"I.t · 111 1 cérébrale puisse donner lieu aux symptômes de la ii-ni "]
trémité posté- rieure de la troisième frontale. DES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 167 - Quoique datant de 1837, le cas de Magnus
-laryngée. Le faisceau frontal inférieur renferme donc les fibres cérébrales de l'hypoglosse et du facial inférieur ; il con
'hypoglosse et du facial inférieur ; il contient de plus les fibres cérébrales de la branche motrice du trijumeau, car il est
Pourrait. prononcer les consonnes séparées, mais DES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 171 1 non les syllabes et les mots entiers. Ec
ce. M. Charcot fait remarquer que toutes les formes du rhumatisme cérébral , la céphalée, le délire aigu, la folie enfin se
te. Edition française, 1867, p. 386. 3 Belliard. Des manifestations cérébrales de la gorztte.'llzèse,1883, p.8. * Da Costa. T'
tes chroniques. Un frère faible d'intelligence aurait eu une lièvre cérébrale ( ? ) à douze ans. La diathèse urique, d'après
UE. 183 d'une impression subite quelconque ' d'excès de tra- vail cérébral , on cite les congestions cérébrales fu- gaces,
quelconque ' d'excès de tra- vail cérébral, on cite les congestions cérébrales fu- gaces, avec céphalalgie, vertige, perte de
s sujets à ces sortes d'accidents, et il dit que quand les troubles cérébraux se manifestent, on trouve généralement que les
hémiatrophie de la langue peut s'observer à la suite des affections cérébrales , des affections bulbaires ou des lésions périph
dans le processus pathologique. En portant le diagnostic de tumeur cérébrale , M. Charcot avait fait toutes réserves sur le s
ismes du crdne. Thèse de Paris, 1883. DES TROUVES URINAIRES. 27 cérébrales avec ictus apoplectique, dans l'hémorrhagie en pa
ion et de l'apoplexie rénales dans leurs rapports avec Chémorrhagie cérébrale . (Arcli. gén. de nzccl. lévrier 1871#). - Etude
ions dans la sécrétion urinaire consécu- fille it l'ltérnol'rltagie cérébrale . (Gazette hebdoi ? z., 1875, 11°' Il,12, 13.) '
rches de M. Ollivier' ont montré qu'après une attaque à'hémorrhagie cérébrale , la quantité d'urée diminue à mesure que la tem
e la quantité de l'it- rée à la suite de <'/temor<'/<a ? e cérébrale . (arcs. de ph ! ls. et yath. ; 2' Série, t. III
se reproduisent, que le choc ait été pro- duit par une hémorrhagie cérébrale , par un ramollissement embolique, etc. ; et ils
ouble et ils ne paraissent pas être sous la dépendance de la lésion cérébrale . A l'autopsie des anciens hémiplégiques on ne t
troubles n'existent d'une ma- nière continue dans aucune affection cérébrale ; la paralysie générale des aliénés, qui parait
plu- sieurs enfants de la même famille. G. D. XI. DE l'irritation cérébrale chez les enfants; par M. Jules Simon. (Fiance m
sans lésion d'aucune espèce, si ce n'est peut-être une circulation cérébrale trop active. Les enfants qui sont atteints de c
ium constituent le meilleur mode de traitement. G. D. XII. SYPHILIS cérébrale , guérison; par M. CHANTEMESSE. (France médicale
rées. Il convient d'attendre, pour les permettre, que la résistance cérébrale soit suffisamment établie. L'aliéné à qui l'on
acial, se comporte comme celles qui sont déterminées par une lésion cérébrale et peuvent comme elles entraîner une dégénéresc
a chorée rhumatismale considérée comme une variété de rhu- 1Ïwlisme cérébral et de la mort dans la chorée; par Il.\NNEQUIN. Th
ar Il.\NNEQUIN. Thèse de Paris. 1883. - 1 Paralysie glosso-labiée cérébrale ; par PuicA. Thèse de Pa- ris, 1883. ' 1 ' Con
ion. PATHOLOGIE NERVEUSE CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES (trajet INTRA-CÉnÉBn IL de L'II'POGLOSSE Par
1 Voiries Archives de Neurologie, t. VII, p. 14,. DES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 97 3' Le genou de la capsule contient le faisc
e pour servir el l'histoire des dégén. secondaires drc pérlon- cule cérébral (Soc. Biologie. 1882, p. S ? 9.) 298 PATHOLOGIE
ralysie à gauche. Etat actuel. Malade très affaissé au point de vue cérébral . La mémoire n'est pas encore complètement perdu
orrespondantes n'existent plus. L'examen du bulbe DES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 305 fait reconnaître que les noyaux de l'hyp
mbres. Mort par épanchement pleural. A l'AUTOPSIE, pas de lésions cérébrales . Rien au bulbe. Comme seules lésions, on trouve
t sur Archives, t. Vil. 20 306 PATHOLOGIE NERVEUSE. LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . les membres et le facial inférieur du côté gau
r là, à regarder ce point comme étant le lieu de passage des fibres cérébrales de l'hypoglosse, et, par suite, du faisceaugéni
Nées du pied de la circonvolution frontale ascen- dante, les fibres cérébrales de l'hypoglosse suivent le faisceau frontal inf
icolas, à PétersbourD 1. L'oblitération des sinus de la dure-mère cérébrale est pro- duite le plus souvent par une inflamma
et il est vrai que la littérature fait encore mention de néoplasies cérébrales ayant déterminé l'occlusion de la lumière des s
e, trouble et oedémateuse et se sépare facilement de la substance cérébrale ; dans l'espace sous-arachnoïdien, on trouve une
t chez les enfants seulement); plus loin, il reçoit : il les veines cérébrales supérieures, de 10 à 12 de chaque côté, qui por
par des maux de tête et des troubles dans les fonctions des régions cérébrales corres- pondantes, c'est-à-dire des troubles da
ement dite. (Voy. Hitzig, Ferrier et d'autres sur les localisations cérébrales .) Voyons maintenant jusqu'à quel point ces cond
inique de la maladie, ce qui estévident parla distension des veines cérébrales antérieures etl'aedème des régions correspondan
nsmise au centre par les fibres de l'étage supérieur des pédoncules cérébraux qui, pour Flechsig, seraient centripètes. Obser
, une ataxie évidente et, de plus, quelques symp- tômes de syphilis cérébrale (amnésie, troubles' de la parole, névrite optiq
rs des altérations vasculaires pathogénétiques. Quoique l'affection cérébrale soit unilatérale, les deux faisceaux pyrami- da
l'autopsie des épaississements partiels des méninges et de l'oedème cérébral consécutif à une hypérémie qui cesse dans les m
, rapprochée de celle d'un grand nombre d'observations d'hémiplégie cérébrale , amène l'auteur à conclure que tout processus q
lent mealle breack. Nous ne vous ferons pas l'histoire des troubles cérébraux dési- gnés sous le nom d'encéphalopathie saturn
ts par Grisolle, Devouges, pro- fesseur Bail et Régis. L'alcoolisme cérébral des ouvriers qui travail- lent les alcools, les
vingt et un cas d'intoxication arsenicale simulant les symptômes cérébraux de l'alcoolisme (1868) ; d'ailleurs rien d'étonna
d sur le système nerveux périphérique et central, sur la congestion cérébrale , fait entrevoir aussi la possibi- lité de l'act
re- nante, la seule nette que nous ayons pu trouver. Les troubles cérébraux désignés sous le nom de The horror (Dietrich), ra
mentale partempérature excessive ; toutefois rappelons les troubles cérébraux observés chez les ouvriers qui travaillent le zin
ables de pressions atmosphériques ont pu déterminer des congestions cérébrales , des inflammations, des hémorrhagies cérébrales
r des congestions cérébrales, des inflammations, des hémorrhagies cérébrales ou méningées (cela a été souvent constaté, de môm
ies réflexes ou sympathiques, grâce aux recherches sur les embolies cérébrales et leur origine car- diaque, grâce aux observat
ortance de ce groupe de professions agissant par- le retentissement cérébral secondaire des maladies d'appareils qu'elles on
ste influence. Parmi les traumatismes et surtout les traumatismes cérébraux , plaies de tête, commotion, etc., auxquelles ce
soins de la maison; ces vertiges dont la relation avec les troubles cérébraux est aussi bien démontrée font comprendre la pos
é des fonctions intellectuelles, on ne peut méconnaître les dangers cérébraux que courent les individus qui, pour remplir leu
et aussi aux habitudes anciennes. Dans le domaine de la pathologie cérébrale , pas un médecin ne méconnaît l'influence des fo
présence de vers inteslinaw sont aussi connues que l'étourdissement cérébral après un repas trop copieux, que le caractère m
sité, goutte, gravelle, diabète), menacent toujours au point de vue cérébral . Enfin, les professions considérées dans leur r
entretenait notre collègue Dally, est applicable aussi aux dangers cérébraux de la profession ; d'un autre côté, si la folie
rmettent de comprendre l'importance de l'appréciation des fonctions cérébrales , dans le choix d'une profession, l'intérêt qu'i
s ce ne peut être, eu dernier ressort, que l'atrophie du parenchyme cérébral , qui Archives, t. VU. 12 -i. 370 SOCIÉTÉS sav
s de la démence paralytique, les uns dérivent de l'ataxie d'origine cérébrale . Les mouvements étant éduqués par de nombreuses
e dans la formation réticulée de l'étage supérieur des pé- doncules cérébraux (champ moteur), mi-partie dans l'olive infé- ri
x ? Un ne put arrivera le déterminer. Dans vingt types d'affections cérébrales non paralytiques, l'examen du fond de l'oeil dé
f, la soif de l'alcool, le sommeil, le délire des persécutions, les cérébraux , questions de thérapeutique mentale, de la resp
alcoo- lique n'est pas un délire mais un rêiie, des manifestations cérébrales de l'alcoolisme, dipsomanie et alcoolisme, des
s nerveux du diabète, ergotisme convulsif épidémique, des accidents cérébraux qui surviennent dans le cours de la nzaladie de
roupe comprenant des alcooliques avérés ayant déjà eu des accidents cérébraux etchez lesquels il s'agit véritablement de réve
second groupe comprenant les sujets qui n'ont jamais eu d'accidents cérébraux attribuables à l'alcoolisme et chez lesquels il
du Joui n. of azervous and meiitcal diseases, 188 : 3). Possible cérébral origin of the symptoms usuully classed under «
(Boston nzcd. and surg. Journ. 1 8b3.) Spinal irritation ; probable cérébral origin of the symptoms some- limes classed unde
es expérimentales sur l'excitabilité électrique des circonvolutions cérébrales et sur la période d'excitation Intente du cerve
(T.). De l'aniblynpie croisée et de l'hémianopsie dans les lésions cérébrales . (Nouveau schéma du trajet présumé des fibres opt
394. Capsule externe (irradiations de la), par Aleyiiei t, 374. Cérébrale (irritation - chez les en- fants), par J. Simon
- chez les en- fants), par J. Simon, 248; - (sy- philos), 249. Cérébrale (recherches sur la struc- ture comparée de l'éc
sur la struc- ture comparée de l'écorce), par Bevan Lewis, 120. Cérébrales (localisations), 145. 'Cérébraux (nouvelle comm
l'), par Erb, 245. Hydrothérapie, 86. Hypoglosse (trajet intra cérébral de 1'), par Raymond et Artaud, 145, 296. Hy
Législation des asiles d'aliénés en Amérique, 137. Localisations cérébrales , 145, 296, 337, 339. Localisations spinales,
Surmenage dans les établissements d'instruction, 363. Syphilis cérébrale , par Chante- messe, 249. Système nerveux (des
26 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
- Mère : asymétrie faciale. A dix-sept ans, variole avec accidents cérébraux graves (délire, coma). Peu intel- ligente, très
avec elle une véritable parésie paraplégique... le choc ner- veux cérébral , produira en pareil cas. chez un sujet prédis-
s deux cordons antérieurs n'offrent aucun changement. Dans le tronc cérébral , on n'a trouvé rien d'anormal. - Ainsi résumons
ogramme. J'ai d'abord cherché le raccordement dans le pédon- cule cérébral même. Les connexions du carrefour et du pédoncu
s la bonne voie. Faisceau médullaire. Dans ce cas, le pédoncule cérébral présentait sur sa face interne un faisceau tel-
espace perforé postérieur. Il est constamment séparé du pédoncule cérébral adjacent par un interstice perforé, très mince
pour aller directement au champ objectif - C'est entre le pédoncule cérébral et le pilier antérieur qu'il faut chercher le f
es faisceaux qui apparaissent sur la face inférieure du pédoncule cérébral et qui sont très probablement une émanation du
isceau principal dont quelques fibres ont pénétré dans le pédoncule cérébral ; 2° par un faisceau principal qui, prenant son
le, à propos de la « struc- ture de la partie fondamentale du noyau cérébral » décrit en dedans du pédoncule cérébral deux f
rtie fondamentale du noyau cérébral » décrit en dedans du pédoncule cérébral deux faisceaux, un postérieur et un moyen, qu'i
nt de l'appareil olfactif aux faisceaux inférieurs des pédon- cules cérébraux . On voit qu'il désire amener au lobule olfactif,
on peut suivre l'insertion du nerf olfactif jusque sur le pédoncule cérébral . » LEBIEPF, d'après P. BERGER, signale le faisc
e second arc (arc intermé- diaire). Passons au troisième arc, l'arc cérébral . Je n'ai pas la prétention de croire que ma des
TIQUE (DU TUBERCULE ANTÉRIEUR DE LA COUCHE OPTIQUE) AVEC l'ÉCORCE cérébrale . (Arc cérébral.) Ces connexions sont établies p
ULE ANTÉRIEUR DE LA COUCHE OPTIQUE) AVEC l'ÉCORCE cérébrale. (Arc cérébral .) Ces connexions sont établies par les piliers
que les bandelettes olfactives appar- tiennent à l'arc supérieur ou cérébral . La communication par le trigone est la princip
corps genouillés externes super- posés, les deux arcs, rachidien et cérébral , entrant en contact à leur niveau. 90 ANATOMI
la courbure s'expliquait par l'évolution embryo- génique. La masse cérébrale s'enroulant d'arrière en avant autour de l'axe
mier, avec Fritsch (1870), quel'excitation élec- trique de l'écorce cérébrale peut provoquer des accès convulsifs sur le côté
dues à l'irritation de cer- taines circonvolutions de l'hémisphère cérébral opposé, relié fonctionnel- lement au corps stri
s convulsions va- rient'. " La propriété épileptogène de l'écorce cérébrale , Albertoni avait cru pouvoir la localiser à la
'avait trouvée en con= nexion directe et unique avec les pédoncules cérébraux et leurs expansions. Après l'ablation de la zon
rois chefs suivants les modifications de l'excitabilité de l'écorce cérébrale : 1° le chloroforme, l'éther, le bromure de pot
et Pitres). Enfin, les irritations pathologiques, les traumatismes cérébraux , les lésions irritatives de la zone motrice provo
onsiste dans un état anormal d'irritation ou de tension de l'écorce cérébrale , capable de troubler, sous forme de paroxysme,
prof. Pierre Albertoni. z Le localizzazioni motrici nelta corleccia cérébrale ... - Riv. speri- ment. di frenialria, 1878, p.
natomique des différents centres moteurs du cerveau. Bref, l'écorce cérébrale , et en particulier la zone motrice, est pour Lu
ique assez que le point de départ de l'accès est bien dans l'écorce cérébrale et que, contrairement à l'ancienne doctrine, le
corticaux vaso-moteurs, dont l'excitation détermine, avec l'anémie cérébrale , la perte de conscience, coïncident précisément
n seulement l'épilepsie a toujours pour sphère essentielle l'écorce cérébrale : elle est toujours directe, jamais réflexe. De
ptogènes des lésions destructives de l'écorce et des trauma- tismes cérébraux , effets dus au tissu fibreux cicatriciel rempla-
êmes épileptiques, avaient subi des pertes de substance de l'écorce cérébrale . Chez d'autres animaux (chats), l'épilepsie cor
déterminaient des accès d'épilepsie en agissant l'une sur l'écorce cérébrale , l'autre sur le bulbe et la moelle. La différen
ni soutiennent que cette action est secondaire, tandis que l'écorce cérébrale est primitivement atteinte. Si les centres mote
d'autres poisons de l'intelligence, la substance grise de l'écorce cérébrale , et en particulier les centres moteurs, ce sont
t-ils toujours déterminés par des lésions circonscrites de l'écorce cérébrale , ainsi qu'on le suppose d'ordinaire ? Seppilli,
ù l'on ne trouva, à l'autopsie, aucune lésion organique de l'écorce cérébrale , mais seulement une méningite chronique diffuse
ilepsie partielle, il doit exister une lésion organique de l'écorce cérébrale (adhérences, ramollissement de l'écorce, néopla
ani et de Seppilli sur les localisations fonctionnelles de l'écorce cérébrale . V. cncore Sullo spasnio clonico della lingua. No
ca (Riv : speriment. di frein., 1888, 271 sq.) Cf. La c '1Î1'U1'gia cérébrale (Riv. speriment. d fren., 1889, p. 20.) , 106
s fais- 110 REVUE critique. ceaux de cet ordre, reliant les lobes cérébraux les plus éloi- gnés' . Il faut surtout songer a
vo- motrice, en rapport avec l'ensemble des procpssus de l'écorce cérébrale , centres d'arrêt, de tension cérébrale, d'innerva
le des procpssus de l'écorce cérébrale, centres d'arrêt, de tension cérébrale , d'innervation des muscles qui se contractent d
irs, de sensations, de mouvements, qui rentrent dans la physiologie cérébrale , ont peut-être là leur substratum ana- tomique.
stratum anatomique les aires sensitives et sensorielles de l'écorce cérébrale (Munk, Luciani), ou si d'autres territoires cor
partie de la sphère sensitive ou « sensitivo-motrice » de l'écorce cérébrale . Il paraît bien, toutefois, que les lésions pat
is de se demander quelle est l'influence de la ligature des artères cérébrales sur l'excitabilité des cen- tres moteurs de l'é
res cérébrales sur l'excitabilité des cen- tres moteurs de l'écorce cérébrale . Les résultats des expériences instituées par K
pille du nerf optique. Le spasme artériel des vaisseaux de l'écorce cérébrale provoque l'accès par une perturbation de la nut
le spasme initial l'image des processus vaso-moteurs de l'écorce cérébrale 3. Les convulsions épileptiformes, accompagnées
tré que ces con- vulsions étaient sûrement le résultat d'une anémie cérébrale , consécutive à un processus de contraction vaso
so-motrice. Les substances qui abaissent l'excitabilité de l'écorce cérébrale agi- raient comme la cocaïne. Vetter maintien
érebrale, la perte subite de conscience. Mais ce spasme des artères cérébrales peut résulter de l'excitation réflexe du centre
s ganglions sous- corticaux entreraient en activité. Bref, l'écorce cérébrale parti- ciperait au processus dans les deux form
convulsions épilep- tiques par l'excitation directe des hémisphères cérébraux ou des ganglions sous-corticaux. On arrive au m
és lorsqu'on enlève des parties de l'écorce, puis les hémisphères cérébraux , ces réflexes convulsifs reparaissent ensuite : l
ncluent que le centre de l'épilepsie ne peut pas être dans l'écorce cérébrale . Ce centre, ils le cherchent dans le cerveau mo
région déterminerait, sous l'influence de l'excitation de l'écorce cérébrale , les mouve- ments et les convulsions observés d
la sphère sensitivo-motrice représente l'unique partie de l'écorce cérébrale capable de provoquer par soi l'accès d'épilepsi
tension ou d'irritation de la substance grise du cerveau; l'écorce cérébrale , et en particulier la zone motrice, n'est pas l
d'autres organes, sans 1 Contribuzioni allô studio della patologia cérébrale . Emiplegia, emie- pilessia, afasia, trapanazion
i, la suite d'un état de tension et d'hyperexcitabilité des centres cérébraux ; la limitation ou la généralisation des convuls
convulsions est, dans ces cas, l'aire sensitivo-motrice de l'écorce cérébrale . L'hypothèse la plus probable est donc que cett
rie corticale ». « On peut sans doute, dit-il, en excitant l'écorce cérébrale ,' provoquer des accès d'épi- lepsie, mais non t
ion des ganglions sous-corticaux, les secondes de celle de l'écorce cérébrale . L'excitation mécanique ou faradique du noyau c
nt la région corticale d'une. extrémité a été enlevée, l'excitation cérébrale ne détermine plus de convulsions cloniques, mai
aient fort sur les deux côtés du corps. Du côté opposé à l'atrophie cérébrale , laquelle occupait les parties postérieures des
ut être provoquée par une lésion de n'importe quel point du manteau cérébral ou des autres régions de l'encéphale (capsule i
iel de sa pathogénèse, le complexus des centres moteurs de l'écorce cérébrale . » G. Seppilli, Tumori cée- /n'aU, 32. 2 L. B
'on suivait dans la capsule interne du même côté, dans le pédoncule cérébral , dans la pyra- mide bulbaire et dans le cordon
dans une certaine mesure, les aires motrices détruites de l'écorce cérébrale . Ces ganglions de la base, dont les fonc- tions
ffisante de sa pathogénèse, ce sont les centres moteurs de l'écorce cérébrale ainsi que les gan- glions sous-corticaux, de na
(Neurol. Centralbl., 1889.) HUGUENIN s'exprime ainsi : « Les veines cérébrales au niveau du sinus longitudinal supérieur sont
ontré cinquante-neuf exemples d'anomalies semblables pourles veines cérébrales supérieures et neuf exemples pour les veines cé-
illeure heure que dans les autres cas. . P. K. XI. Un cas DE tumeur cérébrale ; par OPPENHEIm et Remak. (Neurol. Centralbl., 1
(Neurol. Centralbl., 1889.)' M. Oppenheim diagnostique une tumeur cérébrale originaire de la zone motrice du côté gauche, s
ION DE la PROPRIÉTÉ ÉPILEPTOGÈNE DE LA ZONE POSTÉRIEURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE ; par P. ROSENBACH. (Neurol. Centralbl., 1889).
rigidité articulaire spasmodique DE l'enfance INDIQUE-T-IL LE SIÈGE cérébral DE la lésion ; par Fr. ZIEHL. (Neurol. Centralb
tuées sur cinquante-trois lapins auxquels on enlève les hémisphères cérébraux et le trigone pour agir sur les ganglions de la
de grosses cellules épilhélioïdes, de même que le ramollissement cérébral a pour élément anatomopathologique la cellule gra
à la base, dans la région du troisième ventricule; 2° le trousseau cérébral du pédoncule cérébelleux moyen dont la partie p
des lobes frontaux et avec la partie postérieure des hémis- phères cérébraux ; 3" les fibres du pédoncule cérébelleux antérieur
quer la ma- nie et la mélancolie par des troubles de la circulation cérébrale . Seuls un ou deux cas ont rendu cette théorie e
L. La genèse des troubles intellectuels par l'hyperémie ou l'anémie cérébrale a contre elle les trois sortes de constatations
aires; il n'est pas rare de constater de l'hyperémie ou de l'anémie cérébrale alors que pendant la vie il n'y avait eu ni mél
ue de malades présentent des signes de l'anémie ou de l'hyperémie cérébrale sans être affectés de manie, ni de mélancolie. Le
se de trente à cinquante ans ; la race jaune et slave, le surmenage cérébral et toutes ses causes, les toxiques : alcool, ta
menage intellectuel et des passions déprimantes. 3° La dépres- sion cérébrale portant sur toutes les facultés, surtout su riamé
AUCHE PROGRESSIVE, CONSECUTIVE A LA DESTRUCTION DES CIRCONVOLUTIONS CÉRÉBRALES CORRESPONDANTES); Par M. le D' PETRUCCI, Dire
progressive, et consécu- tive à la destruction des circonvolutions cérébrales motrices correspondantes. J'étais loin de m'att
sommet de la tète. Le crâne est fracturé, per- foré ; la substance cérébrale à nu. La plaie se trouve sur la suture médiane
complet que possible. On aperçoit alors distinctement la substance cérébrale ; elle semble avoir été attaquée, et on peut rec
tère dont on a parlé plus haut. On n'a pas retiré d'autre substance cérébrale . A quatre heures du soir même état général. Tem
le facilité le cerveau a suivi la calotte crânienne. Les pédoncules cérébraux ont été arrachés en partie avec la boîte osseus
ant de solidité que le cuir chevelu à l'extérieur. Les adhérences cérébrales ne pouvant être rompues, il y a néces- sité de
AUMATISME AVEC PERFORATION DU CRANE. 183 La surface de l'hémisphère cérébral droit est plus congestionnée que la gauche. Les
exus choroïdes droits semblent y avoir macéré. Les deux hémisphères cérébraux pèsent chacun 570 gr. A la partie postérieure
niveau de la lyre, près les piliers posté- rieurs droits du trigone cérébral , et de là dans les ventricules laté- raux, par
uivre pas à pas les troubles fonctionnels correspondant aux lésions cérébrales , au sur et à mesure qu'elles se sont pro- duite
Nous ne devons pas perdre de vue ce grand prin- cipe de pathologie cérébrale , que les convulsions correspondent presque touj
aralysie générale, ne sont que l'expression de poussées congestives cérébrales intermittentes. N'en est-il pas de même de l'ép
es soient aiguës, diffuses ou spécifiques. Dans le cas de tumeurs cérébrales de traumatismes avec ou sans fragments osseux,
ux lésions des parties TRAUMATISME AVEC PERFORATION DU CRANE. 187 cérébrales intéressées, et dont les aura sont la première ex
lutions épileptiques ont été causées par des troubles de la surface cérébrale , probablement de nature circulatoire, venant eu
du côté droit, ou bien elles des- cendent de leurs anciens centres cérébraux (dont nous admet- tons l'existence dans l'hémis
e d'Alger. w VI. CONNEXIONS DU CARREFOUR OLFACTIF AVEC L'ÉCORCE cérébrale . [Arc direct.) Toutes les fibres nerveuses qui
sent t les relations directes du carrefour olfactif avec l'écorce cérébrale . Ces relations sont de deux sortes : a, les une
deux, sont absolument directes et vont sans intermédiaire au noyau cérébral ou à ses pro- longements ; b, l'autre a lieu pa
s. Bien qu'il y ait un intermédiaire entre le carrefour et l'écorce cérébrale , je considère la communication comme directe, p
ourrait en faire un simple raccordement entre le carrefour et l'arc cérébral . ' 908 ' . ANATOMIE. ' En résumé, l'arc direc
les cas d'anosmie non croisée; l'entre-croisement partiel de l'arc cérébral dans les chiasmas des bandelettes olfactives ex
dans une courte étendue. Elle disparaît dans le point où l'écorce cérébrale se termine par un bord tranchant. La plus interne
insi que le septum luci- dum (racine grise du chiasma). C'est l'arc cérébral . La formation godronnée constitue le noyau cort
supérieur du corps godronné et les nerfs de Lancisi; 3° avec l'arc cérébral , par les piliers anté- rieurs. C'est l'arc dire
nte, au point de vue de la conformation physique ni de la structure cérébrale , rien de particulier. S'il a volé, il aura cédé
rois que cette perversion est une espèce particulière d'affec- tion cérébrale , une manie, et comme telle sujette à traitement.
appelle la paralysie générale alcoolique n'est, au fond, qu'un état cérébral particulier, qu'ils appellent pseudo-paralysie
que nous paraît insuffisante dans l'étude d'affections où la lésion cérébrale joue un rôle aussi considérable. M. Magnan reme
mptômes de la paralysie générale, n'ont jamais présenté de troubles cérébraux ; 5° L'intoxication alcoolique peut produire tou
de comprendre et de réunir dans un même ensemble tous les troubles cérébraux dus à l'alcoolisme depuis l'ivresse jusqu'à la
lité, les cas de rémission ou de guérison, quelle que soit la forme cérébrale qu'ait revêtu l'alcoolisme. - M. Mordrét présen
olie sensorielle est sous la dépendance de troubles de la nutrition cérébrale ayant déterminé des auto-intoxications. Enfin,
ile d'aliénés de Budapest, sur l'atrophie partielle des hémisphères cérébraux . Neurasthénie tardive. Idées obsédantes. Ramoll
s cérébraux. Neurasthénie tardive. Idées obsédantes. Ramollissement cérébral .- M. SÉGLAS communique l'observation d'un indiv
M. BoUCHEREAU. M. ROUILLARD lit une note sur trois cas de troubles cérébraux consécutifs à la scarlatine. M. A. Voisin pen
Par comparaison, l'orateur présente un malade atteint de paralysie cérébrale de l'extrémité inférieure gauche et en particul
t des muscles sont simultanées. M. OI'PE1VI1G1M. Un cas de tumeur cérébrale . Mémoire publié à part. M. Oi'l'ENUE). Des al
secondaire de la couche optique et du faisceau latéral du pédoncule cérébral . Le mémoire sera publié en détail. M. Landere
nt remarquer qu'il s'agit peut-être là d'une hypoplasie des régions cérébrales en ques- tion et que le kyste a pu se développe
mieux mettre en relief les travaux des partisans des localisations cérébrales ; en tous cas, l'auteur n'a pas à y perdre. Le m
rveux pendant la période d'activité, d'où il résulte que le travail cérébral est une forme de l'énergie et que l'intelligenc
ckwell and Churchill. MORDRET (A.-E.). Deux observations d'atrophie cérébrale . Brochure in-8° de' 24 pages. Le Mans, 1888. Ty
n, 1891. - A. Hoelder. FERRIER (D.). - Leçons sur les localisations cérébrales , traduites par SOREL (R.). Brochure in-8° de 13
RVEUSE. tiques un assez grand nombre étaient morts d'affec- tions cérébrales , d'autres d'aliénation mentale. Il relève dans
ère aliéné. « La fré- quence, dit-il, des troubles intellectuels et cérébraux trouve son explication dans les antécédents hér
89), elle eut une attaque qu'on qua- lifia, dit-elle, de congestion cérébrale , suivie de parésie passagère du bras et de la l
est précédée de faiblesse générale, de maux de tête, de congestion cérébrale , de vertige, parfois de troubles visuels. A l'â
stérie, arriération intellec- tuelle et instabilité mentale, fièvre cérébrale ). II. L'hystéro-épilepsie s'est développée sur
E ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES XXVII. Ablation des hémisphères cérébraux chez le pigeon; par le Dr DE 13oECE et L. LE l3
l'écorce. G. DENY. XXVIII. Contribution A L'ÉTUDE delà circulation cérébrale ; parles Dr de BOECK et I. WERUOOGEX. (Bull. de
bonique, de l'éther sulfurique et de la morphine sur la circulation cérébrale . Ils ont constaté : 1° que l'acide carbonique p
a pression artérielle générale et augmentait le débit des vaisseaux cérébraux ; 3° que sous l'influence de la morphine, il se
anomalies oculaires, dans la sclérose en plaques, et les affections cérébrales en foyer chez les neurasthéniques, il est propo
f.Psych.,XXU,l.) 1.) . , Deux observations montrant que les lésions cérébrales du lobe occipital atteint pendant son développe
delette optique. M. Moeli fait à ce propos remar- quer que l'artère cérébrale postérieure irrigue non seulement les lobesocci
t rompu avec l'existence amollie des. Arabes pour se mêler à la vie cérébrale des Européens, adoptant leurs moeurs, leurs hab
e. , Les lésions anciennes indiquent qu'il y a eu des congestions cérébrales ayant très bien pu être suivies temporairement d'
en raison inverse des centres corticaux. L'épuisement des fonctions cérébrales est le générateur de cette interversion. Suivan
t une encéphalite interstitielle diffuse terminée par de l'atrophie cérébrale . ' P. K. XVIII. QUELQUES MOTS sur l'association
ion des symptômes de l'hystérie avec la gliose spinale, la syphilis cérébrale , la paralysie faciale périphé- rique. En revanc
la couche optique du côté opposé. Comme il n'y a pas d'altérations cérébrales intenses, comme il n'y a pas eu inflam- mation
énignité criminelle décroissante : paralysie générale, infériorités cérébrales (imbécillité, idiotie, démence, états mélan- co
considéré, on peut con- clure que la forme particulière du travail cérébral suivi par le père ne peut exercer qu'une très m
he rectum zn the rabbit, both normally and after destruction of the cérébral cortex. Brochure in-8" de 7 pages. London, 1891.
lach, 230; - cerveau dans la , par lVoIlenLern, 274. Circulation CÉRÉBRALE par de Boeck et Werhoogen, 397. CoNGnËs des m
e Reil, histologie du -, par Rossolimo, 129. Scarlatine, troubles cérébraux con- sécutifs à la -, par Rouillard, 267. Scl
argowla, 266. Strabisme, comme indication du siège de la lésion cérébrale dans la rigidité spasmodique de l'en- fance,
, origine de la substance blanche des -, par Held. 401. Tumeurs cérébrales , par Oppenheim et Remak, 127 ; - Symptomato-
27 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cordons latéraux des pyramides, allant des centres de coordination cérébrale aux appareils périphériques de la motilité, il
oyenne, mais chez le premier nous avons trouvé une atrophie du lobe cérébral gauche et de la splénisation pul- monaire. Chez
nisme. Ces mala- des sont des épuisés et des surmenés. Le surmenage cérébral déterminé par l'éréthisme des centres sensitivo
vec des troubles plus ou moins graves de - la nutrition de l'écorce cérébrale et parfois même de l'axe céré- bro-spinal en so
u. Outre que par suite de la situation horizontale la circulation cérébrale est facilitée et le cerveau mieux irrigué, l'alit
vante : nous savons que le gliome est une variété commune de tumeur cérébrale , et qu'il est sujet à des hémorragies qui se pr
parmi ces cas, il y en a dont les symptômes sont dus à des lésions cérébrales , et d'autres dans lesquels ces lésions ne se ren-
és qui ne sau- raient à aucun point de vue être appelés des lésions cérébrales . , On peut donc distinguer parmi les habitudes
vidu s'y abandonne volontairement; celles qui sont dues à des états cérébraux héréditaires ; celles qui sont dues soit à un v
quantité de sérosité. Arachnoïde et pie-mère normales. Epanchement cérébral à la surface du cerveau, dans la scissure de Sy
contrer, ces mouvements étant involontaires et sans point de départ cérébral . Pour expliquer ces phénomènes, il invoque un p
par les observations de M. Bevan Lewis, à savoir, que dans l'écorce cérébrale les mouvements des grandes articulations sont rep
); 2° mélancolie, avec ou sans démence, probablement due à l'anémie cérébrale . - II. Folie de la syphilis tardive (période te
e de la convexité. Ileaucoup de cas, sinon tous les cas de syphilis cérébrale dans lesquels la folie a été causée par l'épile
ent alors apporter une co-opération considé- rable au développement cérébral . Le langage permet à l'enfant de représenter le
A'E-CL : 1Y. XIII. Cas d'impulsion au suicide en état d'automatisme cérébral , par W. E. Sullivan. (1'he JOi()'aal of dlental
'he JOi()'aal of dlental Science, avril 1899.) L'état d'automatisme cérébral est un état intéressant au double point de vue
r, mais on y observe nettement le mode suivant lequel les processus cérébraux antérieurs influencent la nature et la directio
atrick). L'enfant présente les manifestations suivantes : paralysie cérébrale infantile bilatérale, imbécillité ou idiotie, a
ure résiste ou, après avoir succombé, se régénère. Dans les tumeurs cérébrales on observe une sorte de tabès qui reproduit tra
it de fausses couches. Il faut signaler l'hérédité de l'hémorrhagie cérébrale dans sa famille maternelle. l'âge de 31 ans, il
ve des réflexes tendineux d'un ou plusieurs membres, une hémiplégie cérébrale restera flaccide, sans réflexe et sans contract
te au-dessus des noyaux du pneumogastrique jusque dans le pédoncule cérébral droit. Diabète insipide dépendant d'un Gliome d
ndant envahie par le néoplasme. Diagnostic de la nature des Tumeurs Cérébrales ; par M. Dupont (de Paris). (La fin au prochai
ymptomatique : d'une affection médullaire (Farges), d'une affection cérébrale (Morvan). M. Léopold Lévi a observé pendant son
ues qui survenaient par crises. A l'autopsie, on trouve de l'eedème cérébral très accentué. .SOCIÉTÉS SAVANTES. 87 Un cas
abès à ce point de vue. ' M. Touche présente une pièce d'hémorragie cérébrale comprise tout entière au-dessus de la coupe de
0 novembre 1900. Troubles psychiques en rapport nvec la compression cérébrale . M. Aubkau présente un malade qui, à la suite d
n traumatisme de la région pariétale droite, a été pris d'accidents cérébraux gra- ves. Ceux-ci ont disparu après avoir duré
SOCIÉTÉS SAVANTES. - suivi de l'abolition des principales fonctions cérébrales , avec idio- tiei et gâtisme. Une large trépanat
thylisme; il est extrêmement curieux et instructif que la chirurgie cérébrale puisse ainsi guérir une confusion mentale acqui
êtres frappés, l'un de démence pré- coce et l'autre d'une affection cérébrale mortelle d'origine alcoolique'. Je relève un tr
udence commença un peu plus lard à donner des signes de dérangement cérébral ; cela commença par des rêves terrifiants, de l
certain rôle dans l'éclo- sion des désordres mentaux. d'accidents cérébraux indéterminés qualifiés de « sorte de ménin- git
ceux où la dégénération typique du tabes avait précédé l'affection cérébrale d'avec ceux, plus rares, où ces cordons avaient
plus rares, où ces cordons avaient dégénéré au cours de l'affection cérébrale . » ' , Quelle que soit la cause des altérations
ble de faire dériver la dégénération spinale du tabès- de processus cérébraux .. Il fait remarquer que, dans.le tabès, ce sont
me spéciale que Pierre Marie appelle le labes supérieur ou le tabès cérébral . Il admet que dans cette forme l'évolution de l
lupart des symptômes tabé- tiques relèvent d'une lésion de l'écorce cérébrale ; le tabes dorsal n'est pas une maladie de la m
sont plus gréles qu'à l'état normal. « L'examen des circonvolutions cérébrales , portant spécialement sur celles du corps calle
rapports avec le status mental : étude de morphologie de la surface cérébrale ; par W. Junus Mickle. (The Journal of Mental S
t trop imparfaite analyse. R. M. C. II. Flechsig et la localisation cérébrale des processus mentaux ; par W. IRELAND. (The Jo
La méthode employée consiste à colorer de petits morceaux d'écorce cérébrale avec le bleu de méthylène et à les comprimer so
r a pratiqué l'examen méthodique d'un point particulier de l'écorce cérébrale : le point choisi a été la circonvolution front
E PATHOLOGIQUES. 149 XXVII. De l'évolution des cellules de l'écorce cérébrale chez l'homme; par W.-M. Bechterew. (Obozrenie p
me tardives. P. Keraval. XXVIII. Action de l'éther sur les cellules cérébrales ; par 1110 STE- fanowska. (Journal de Neurologie
ique. - lg6 SOCIÉTÉS SAVANTES. Idiotie micl'océphalique. Agénésie cérébrale . Cerveau pse21do-kystiq2e; par Bourneville et O
deux vastes pseudo-kystes dont les parois sont formées de substance cérébrale atrophiée. Au point de vue clinique cet enfan
era publiée ainsi qne la suivante.) Atrophie Cérébelleuse. Diplégie cérébrale spasmodique infantile chez deux frères; par MM.
ou apoplecti- forme (apoplexie hystérique) simulant une hémorragie cérébrale . Mais l'apoplexie hystérique n'est probablement
symptomatologie propre à celle qu'engendre la lésion de la cellule cérébrale . Goitre exophtalmique traité sans succès par la
e. L'isolement, une hygiène plus sévère, en dominant l'ex- citation cérébrale , ont pu permettre au malade de mettre à profit
fille,- dix-huit ans, bien portante. Lui-même aurait eu une fièvre cérébrale (' ? ) à l'âge de onze. ans. Il y a deux ans, i
ensité est très variable.suivant les cas et les. attaques les nerfs cérébraux sont d'ordinaire intacts. Il ! estE digne·.de r
ues. ' VI. La démence paralytique. VII. LES psychoses DES lésions CÉRÉBRALES . VIII. Les psychoses DE la période d'involution
ée avec succès sans qu'on y joigne l'étude approfondie des maladies cérébrales organiques, y compris la paralysie générale. C'
Aujourd'hui on ensei- gne partout dans ces cliniques la pathologie cérébrale tout entière. La clinique médicale et la cliniq
recours de nos jours à l'emploi du trépan en présence d'ac- cidents cérébraux dont on néglige de déterminer au préalable la n
de le diagnostic de la thrombose des sinus crâ- niens et des veines cérébrales ; de sorte que l'on doit être très réservé quant
éclatante démonstra- tion. " G. D. \'III. Encéphalocèle etaction cérébrale singulière; parA.-P. Brown. (T/te 11'iv-York li
ration; et son contenu, au toucher, paraissait se composer de tissu cérébral vrai. A l'aid e d'une légère pression, qui ne s
, ni adhérente : le cerveau est volumineux et symétrique ; le tissu cérébral est ferme; l'ensemble est sain. Au-dessus de la
à rechercher l'avis d'un médecin jusqu'au moment où une hémorrhagie cérébrale met brusquement fin à sa vie. R. DE Musgrave CL
as étaient compliqués de démence paralytique et par conséquent plus cérébraux que spinaux ; enfin l'auteur lui-même l'a renco
ne paraissent pas très athéromateux et on ne constate aucune lésion cérébrale . La surface postérieure de la moelle est couver
USGRAVE CLAY. 252 ) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XI1. Néoplasmes cérébraux : analyse clinique de seize cas person- nels (q
les, mais surtout de signaler les symptômes précoces des néoplasmes cérébraux . Les seize cas qu'il a observés se décomposent
d'après M. Krauss l'analyse de ces cas : le dia- gnostic de tumeur cérébrale a été fait dans douze sur treize des cas qui co
le cervelet. La névrite optique existait dans dix sur douze des cas cérébraux , elle n'a pas été recherchée dans un cas, elle
oserait de la manière suivante les symptômes classiques des tumeurs cérébrales dans l'ordre de leur importance : 1° Céphalalgi
que faire de cette lésion lo symptôme pathognomonique des tumeurs cérébrales . Ce travail se termine par la relation détaillée
Bicêtre de 1880 à 1900 un certain nombre d'observations de tumeurs cérébrales . 254 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. des écriva
ale, qu'il présente des troubles marqués et incurables des facultés cérébrales et qu'il y a lieu de le diriger sur un asile sp
sistance des sutures. '28 1 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. Les pédoncules cérébraux sont très rétrécis, blancs et symétriques. Les.
t grêles. Les artères vertébrales et sont régulières. Les 'obères cérébrales sont très réduites de volume. Le cervelet, a un
mère, extrêmement amincie, et il ne semble pas y avoir de substance cérébrale . La partie des poches qui répond aux lobes pari
IDIOTIE MICROCÉPHALIQUE. 285. Quand on écarte les deux hémisphères cérébraux , on voit qu'à gauche, au niveau du lobe frontal
de la base et, dans l'espèce, compression intéressant le pédoncule cérébral 96 - CLINIQUE NERVEUSE. - '0 ! < (parésie
articularités, non adhérentes et non congestion- nées. Léger oedème cérébral au niveau de la partie supérieure du lobe front
inférieure de T1, la partie moyenne de T2 et de @r3 la subs- tance cérébrale présente un aspect lardacé, elle est pâle, anémié
face interne rouge et tomenteuse. Cette poche est entourée de tissu cérébral ramolli ; les lésions ne dépassent pas les limi
l'étroit exerçait une compression progressive sur le pédon- cule cérébral droit ce qui donnait l'explication de la parésie
e toute une série de circonstances, on porta le diagnostic d'urémie cérébrale ; il y avait, d'ail- leurs, albuminurie, puis ce
ait abouti à ce résultat, car tout autour de l'abcès la substance cérébrale était ramollie et, si l'on en croit' Debaisieux,
NTS M\HDES. SERVICE DE M. LE De DESCROCZILLES. Un cas de congestion cérébrale active . avec autopsie; Par Albert h1'IZ, int
c autopsie; Par Albert h1'IZ, interne des hôpitaux. La congestion cérébrale , nous parlons de la congestion active, idiopath
des anciens médecins qui voyaient partout la « pléthore, la fluxion cérébrale » succéda la réac- tion vigoureuse des clinicie
e médecine ' et dans ses leçons cliniques 2 porta à la « congestion cérébrale » le coup le plus sensible. Depuis cette époque
dans un récent travail de M. Pierre Marie '' que : « La congestion cérébrale est un de ces faits que personne n'a directemen
ce titre aussi que nous rela- tons le cas suivant d'une cpngestion cérébrale idiopathique - 4° 1 Trousseau. C. R. Acacl. d
seau. C. R. Acacl. de médecine, 15 janvier 1861. De la conges- tion cérébrale apoplectique dans ses rapports avec l'épilepsie.
3 Jules Simon. Progrès médical, 1884. * Pierre Marie. La congestion cérébrale devant l'Académie de médecine en 1861. (Presse
en 1861. (Presse médicale, 3 février 1900.) UN CAS DE CONGESTION CÉRÉBRALE ACTIVE. 303- chez un enfant que nous eûmes l'oc
du coeur et des poumons nous fait poser le diagnostic de congestion cérébrale apoplectiformi chez un enfant subitement refroi
le 16 novembre à 9 heures du matin (41 heures UN CAS DE CONGESTION CÉRÉBRALE ACTIVE. 305 après la mort'. Il n'y a aucune alt
t des accidents. 1 L'autopsie démontre l'existence d'une congestion cérébrale très prononcée, ce qui explique les phénomènes
Ce cas légitime, d'après nous, la réhabilitation de la con- gestion cérébrale idiopathique active, que beaucoup d'au- teurs,
raux étaient ramollis. La tumeur, grisâtre, avait l'aspect du tissu cérébral ; la moelle était saine, sauf les efforts de la co
ogue aux espaces péri-vascu- laires. Ils sont situés dans -l'écorce cérébrale , et forment de grandes masses irréguiières dans
abcès du cerveau. I. DE MUSGItdV); CL4T. Anatomie et psychologie cérébrales ; par Stëwaht l'.arov. (The IYeo l'orh Médical
psychologie est principalement dû aux travaux accomplis en anatomie cérébrale . Après un historique concis, mais substantiel,
our certaines affections mentales caractérisées par des altérations cérébrale bien défiuit,. Par exemple, les conditions de s
Par exemple, les conditions de structure qui existent dans l'écorce cérébrale de l'enfant pendant la deuxième année de sa vie
ns ses rapports avec les modifications corrélatives de la structure cérébrale est incon- testablement l'une des études nécess
élevés sont incapables d'activité fonctionnelle, parce que l'écorce cérébrale de la truite ne se compose que de cellules épit
capables d'activité fonctionnelle, les con- ditions de sa structure cérébrale offrent une possibilité d'association des diver
c'est des recherches de Golgi que date une ère nouvelle en anatomie cérébrale ; à ses travaux sont venus se joindre pour les
rie nouvelles dépendent d'une exacte connaissance de la structure cérébrale . La classification des processus mentaux, normaux
quatorze cerveaux d'hommes et seize cerveaux de femmes. Les régions cérébrales choisies pour cette étude sont : 1° le milieu d
lie ci-dessus indiquées dans leur ensemble, et les diverses régions cérébrales également dans leur ensemble, on trouve comme p
IE Séance du 7 février 1901. Présidence de M. Raymond. Glyomalose cérébrale . ' M. GILI3ERT-I3.1LLET présente trois cerveaux
lution frontale gauche. Les symptômes avaient été ceux d'une tumeur cérébrale ; mais il n'y avait pas eu trace d'aphasie, grâc
e gauche. Dans ces trois cas les symptômes ont été ceux des tumeurs cérébrales en général, mais pas le moindre signe de locali
tubercu- lose. mais celle-ci n'avait aucun rapport avec l'affection cérébrale . L'autopsie a en effet montré des lésions de ba
montré des lésions de bacillose pulmonaire. L'absence de réactions cérébrales locales serait due à la lenteur du processus gl
a saignée dans l'urémie, dont l'aspect symptomatique, dans sa forme cérébrale a des analogies avec le tableau symptomatique d
eau symptomatique des néoplasmes crâniens. La théo- rie de l'aedème cérébral actuellement peu en faveur, ne contien- drait-e
la ponction rachidienne chez des malades atteints d'urémie à forme cérébrale . Hé7nyasyizc),gie avec hémilremblemenl d'origin
n voit sur la pièce une destruction complète de l'un des pédoncules cérébraux par un foyer de ramollissement exactement limit
fonctions (ménopause) que se montre la dépression, simple réaction cérébrale provoquée par cet amoindrissement chez les préd
le au point de vue de l'entretien et de la réparation des fonctions cérébrales , les stimulants habituels de l'intelligence y f
cllanicomto. Vocr (C.). Élude sur la myênilisalion des hémisphères cérébraux . z in-8° de 72 pages, avec 20 figures. Paris, 1
ôté du corps, partent de centres moteurs situés dans l'hémi- sphère cérébral du côté opposé et dans une zone limitée de l'éc
ando ; à ce niveau/la dure- mère était un peu adhérente et l'écorce cérébrale avait une teinte jaunâtre. Le centre cortical d
lade n'avait pas eu de nouvelles attaques. 3° IENN (Five cases of cérébral surgery, etc. Americacz Journal of the médical
rgien, 1891, p. 17, obs. 2. 3° A. D. ANTONA. Nove casi di chirurgia cérébrale (épilessia). Socielri italiana cli chirurgien,
cli chirurgien, 1893, p. 147, obs. 3. 4° Warnots. Sur la chirurgie cérébrale . Congrès français de chi- rurgie, 1893, p. 483.
nte de la même manière. 2° Elle se rencontre aussi dans la syphilis cérébrale et peut être limitée d'une façon permanente à u
orce avec la pie-mère, accumulation de liquide dans les ventricules cérébraux . Réseau vasculaire de la pie-mère et de l'écorc
le développement du tissu conjonctif, et l'atrophie de la substance cérébrale , selon l'étendue du processus pathologique. L
yer de sclérose : le tout causé par une endar- térite nodulaire des cérébrales postérieures avec oblitération com- plète à dro
de l'arrêt de développement des régions occipitales des hémisphères cérébraux . Raccourcissement du corps calleux. surtout en
is, atrophie de la VI° paire à gauche, rien du côté des hémisphères cérébraux , com- pression totale du bulbe et de la protubé
divers dans lesquels se trouve fré- quemment comme cause une tumeur cérébrale et qui ne permet- tent pas au clinicien, non pl
médullaire' chez des nouveaux nés syphilitiques sans aucun trouble cérébral . Il y avait paralysie des membres supérieurs et
épanché : il est démontré que l'irritation des méninges spinales ou cérébrales provoque des mouvements convulsifs. La mort souda
ont il s'agit; et l'on pourrait ajouter : 5° la rareté du carcinome cérébral , soit primitif, soit secondaire. La séparation
Le gliome est représenté comme la forme la plus fréquente de tumeur cérébrale . Comme le carcinome il dérive de cellules ayant
semble plus que possible que la tumeur, primitive dans la substance cérébrale , ait pris naissance dans de l'épithélium épendy
épendymaire adulte, qui était inclus dans les profondeurs du tissu cérébral , et que le néoplasme ait été entièrement séparé
primitif de i'infection tuberculeuse. La lésion bacillaire du tissu cérébral n'a été découverte que lors de l'examen histolo
que de l'organisme. Mais il est rationnel de supposer que la tumeur cérébrale s'est comportée. comme un locits iiii21o),is resi
ulose. Peut-être s'apercevra-t-on à l'avenir que pour les tu- meurs cérébrales , comme pour les néosplasmes des autres parties
tre ceux de la méningite qui précède la paralysie, et les symptômes cérébraux dans la forme cérébro-spinale; dans la forme or
braux envahis et aussi à cause des effets consécutifs de la lésion cérébrale sur les autres parties de l'organisme. La malade
temporale inférieure : dans toute cette étendue les circonvolutions cérébrales manquaient complètement. L'arachnoïde était o
™t f Eulenburg distingue trois degrés .dans les anomalies psyché cérébrales : 10 L'hermaphrodisme psycho-sexuel, le malade se
es. On se fera ainsi une opinion sur le siège probable de la lésion cérébrale , et l'on sera renseigné sur l'état des organes
e on constate dans les deux cas que les os du crâne et la dure-mère cérébrale sont intacts; la pie-mère est très hyperémiée,
ent oedémateuse, parsemée de quelques légères hémorragies. L'écorce cérébrale est un peu oedémateuse, très hyperémiée. A l'ex
s et un saturnin entrés à l'hôpital pour l'impaludisme, apo- plexie cérébrale , embolie de l'articulation sylvienne et paralysie
Or, la supériorité intellectuelle ne gênant, pas le fonctionnement cérébral , mais au contraire le favorisant, n'est pas une
ent par sa tante, qui l'accompagnait. Bien de connu au point de vue cérébral du côté des grands-parents paternels Une soeur
donner des renseignements plus précis à ce sujet. Pas d'antécédents cérébraux , vésaniques ou névropathiques du côté maternel.
niec- tomie employée comme moyen pour produire le développe- ment cérébral , en modifiant favorablement le fonctionnement d
une relation de l'état du faisceau pyramidal déduite de la lésion cérébrale . Cestan, dans le travail que je viens de citer,
n descendante, que l'on devait / ? '0 ! fue ? ' d'après les lésions cérébrales et les symptômes présentés par le malade (contr
ration des réflexes et contractures per- mauentes, avec des lésions cérébrales destructives, sans que l'examen le plus minutie
simple ouverture du crâne qui ne montra pas de lésions méningées ni cérébrales appréciables, sans que l'on puisse nier pour ce
ve ne se perd pas tout à coup malgré la plus grande expan- sibilité cérébrale 1. - 1 Nous invitons notre distingué collaborat
fassent suite à l'alcoolisme, à la confusion mentale ou à un choc cérébral . Il en serait de même pour des hallucinations t
malades, elle exerce une action net- tement stimulante sur l'écorce cérébrale . 20° Dans la plupart des cas, il y a une tendan
res signes de dégénérescence : paralysies infantiles hémilatérales, cérébrales et spinales, mala- die de Liltle, chorée congét
s ana- tomiques présentaient une diffusion uniforme sur les lobes cérébraux de nature à exclure d'emblée l'idée d'un rapport
e talent à un développement spécial de parties séparées de l'écorce cérébrale , et d'établir un rapport entre les aptitudes in
Voici maintenant des phénomènes plus complexes, auxquels le travail cérébral participe, bien que l'impression suit moins vive
Doutrebenle fait remarquer que le décubitus aigu, après hémorragie cérébrale suivie d'hémiplégie, se produit habituellement
e début de l'affection. L'autopsie permet de relever une atrophie cérébrale manifeste, des adhérences de la pie-mère avec l
- , SOCIÉTÉS SAVANTES. 501 S'agit-il ici de P. G. ou de syphilis cérébrale comparable aux myélites embryonnaires diffuses
ervations dans lescluellés on passe histologiquement de la syphilis cérébrale à la paralysie générale. La même interprétation
m- pression des amygdales cérébelleuse dans des cas d'hémorrhagie cérébrale de la région postérieure. ,111,oose doidoureuse
de la connaissance de la cause provocatrice. EMo<Ae7/om< : cérébral . MM. et Revaux montrent la pièce et des dessins
stante est pour eux l'infiltration par les grains bleus de l'écorce cérébrale et de la gaine lymphatique des cellules nerveus
imple, e) poli-névrites; 2° Maladies de l'encéphale : a) hémorragie cérébrale , b) embolie et trombose de l'artère s3,lvieiine
ère s3,lvieiine, c) méninge-encéphalite, d) encéphalite,e) syphilis cérébrale , /') tumeurs cérébrales, h) ané- vrisme de la c
inge-encéphalite, d) encéphalite,e) syphilis cérébrale, /') tumeurs cérébrales , h) ané- vrisme de la carotide interne, k) tume
ementde lamaelle allongée, par llun, 391. Anatomie et psychologie cérébrale , par Stewait flatou. 312. - Ani.ve5sw de l'ar
in, par Ossipow, 394. CI"111 ? IELI,EUSE. Atlopllie -. Diplégie cérébrale spasmodique infantile chez deux frères, par Bou
ue infantile chez deux frères, par Bourneville et Crouzon, In7. Cérébraux . Valeur intellectuelle comparée des lobes , par
. par Atiglt(le, 3î6. Compression. Troubles ps;chiques dus à la - cérébrale , par Aubeati, 89. Congestion cérébrale active
es ps;chiques dus à la - cérébrale, par Aubeati, 89. Congestion cérébrale active avec autopsie, par Katz, 302. Congrès
et thrombose des sinus, par Ladame, 241. EKCLPHALOCÈLE et action cérébrale singulière, par Brown, 241. Encéphalopaihies
consécutives à l'iiiillienza, par Gordon, 257. E ? DO-111EI.IOi.% cérébral , par,Dupré et Devaux, 507. Epice)NE. Lésions
ure du péroné chez un mélan- colique, par Briscol, 51. Gliomatose cérébrale , par Gilbeit Ballet, 341. 53 Il TABLE DES MAT
aurosique, par Patrick et liult, 02. - microcé- phatmue, Agénésie cérébrale . Cerveau hsPUdo-I : y,till e, par et bertluir
ogie. Le Dr Viret, 3à8 111. liasse, 359; D'Singer, 447. Néopusmes cérébraux , par Krauss, 252. Ncurs. - Lésions traumatiqu
28 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
de Bourneville, voyaient dans l'idiotie myxoedémateuse une maladie cérébrale compliquée de troubles trophiques,-disons : demyx
Examen anatomique. Rien à noter à l'oeil nu dans les hémisphères cérébraux dont les méninges ne sont pas épaissies. Le c
s plaident les cas de puberté, précoce coexistant avec des troubles cérébraux et survenus précisément à la suite d'une affect
e l'analogie entre la paralysie spinale infantile et l'hémi- plégie cérébrale infantile,- soutenue d'abord par Vizioli, Strümpe
s les relevons dans les autopsies les plus habituelles de paralysie cérébrale infantile, les lésions de début. Or, seules ces l
rer d'une façon péremptoire l'identité anato- mique de l'hémiplégie cérébrale infantile et de la paralysie spinale infan- til
que grâce à un hasard favorable on verra quelque jour l'hémiplégie cérébrale infantile et la paralysie spinale infantile coïnc
ître Pierre Marie, à Bicêtre, d'un cas de coexistence de paraplégie cérébrale infantile et de paralysie spinale infantile.
e l'ana- logie de la paralysie spinale infantile et de l'hémiplégie cérébrale infan- tile peut bien s'étendre à la diplégie c
'hémiplégie cérébrale infan- tile peut bien s'étendre à la diplégie cérébrale . Celle-ci, en effet, comme l'hémiplégie cérébra
dre à la diplégie cérébrale. Celle-ci, en effet, comme l'hémiplégie cérébrale infantile, n'est qu'une variété de la paralysie c
NOUVELLE Iconographie de la Salpêtrière T. XX. PI. XXV PARALYSIE CÉRÉBRALE INFANTILE ET PARALYSIE SPINALE INFANTILE PARAPL
, à la suite d'appendicite. AUTOPSIE. - Il existe dans l'hémisphère cérébral gauche un foyer de ramol- lissement ayant compl
terne ne présentent pas de lésions ma- croscopiques. L'hémisphère cérébral droit présente une lésion qui est exactement la m
araît ratatiné, extrêmement atrophié. Dans le reste des hémisphères cérébraux , tant à la base qu'à la convexité, il n'y a rie
NOUVELLE Iconographie DE la SALPÊJR1ÈRE. T. XX, PI. XXVI PARALYSIE CÉRÉBRALE INFANTILE ET PARALYSIE SPINALE INFANTILE (1. Ro
la Salpêtrière T. XX. Pli. XXVIII II d Ville c IV c PARALYSIE CÉRÉBRALE INFANTILE ET PARALYSIE SPINALE INFANTILE (I. Ro
oso-marginale. C'est à ce foyer que doit être rapporté la paralysie cérébrale infantile de notre malade. Dans la moelle, l'
s nous appliquons maintenant. En effet, les autopsies de paraplégie cérébrale infantile, du moins des cas stricte- ment limit
la mère, il paraît bien qu'il ne s'a- git pas ici d'une paraplégie cérébrale infantile, résidu d'une diplégie, mais plutôt d
rale infantile, résidu d'une diplégie, mais plutôt d'une paraplégie cérébrale pure, et s'étant présentée comme telle d'emblée
le et symétrique, dé- truisant une partie du territoire de l'artère cérébrale antérieure, notam- ment la face interne des deu
yélitique. Mais de- vant la bilatéralité et la symétrie des lésions cérébrales , n'est-il pas plus logique de rattacher ce phén
façon typique l'ensemble des phénomènes spastiques de la paralysie cérébrale infantile ? S'il en était t réellement ainsi, l
on poliomyélitique,la seule expression de la spasmodicité d'origine cérébrale , si manifeste dans le membre inférieur droit (1
association aussi nette que possible des symptômes de la paraplégie cérébrale infantile et de la para- lysie spinale infantil
et d'évolution de la paralysie spinale infantile et de l'hémiplégie cérébrale infantile. Mais c'est à Strümpell et à Pierre Mar
articipation légère du faisceau pyramidal croisé, soit d'une lésion cérébrale concomitante, comme on peut en voir dans la par
en voir dans la paralysie spinale infantile. (2) VzIOLI, Emiplegia cérébrale , Il Morgagni, 1880, p. 568. 132 ITALO ROSSI e
appé par les caractères cliniques de certaine forme de l'hémiplégie cérébrale infantile, fut amené à penser qu'à ces particul
r lui détachée du groupe cliniquement bien délimité de l'hémiplégie cérébrale infantile, présen- tait avec une affection spin
cliniques Strümpell fut amené à considérer sa variété d'hémiplégie cérébrale infantile,comme le résultat de la localisation cé
rise antérieure de la moelle,-il concluai t que dans l'hé- miplégie cérébrale infantile, le siège de l'affection devait se trou
indiquer encore mieux les analogies liant entre elles l'hémiplégie cérébrale infan- tile et la paralysie spinale infantile.
ale est le siège de l'affection dans la forme clinique d'hémiplégie cérébrale infan- tile dont il est question, résiderait po
ileptiformes, athétose), mais aussi dans les autopsies d'hémiplégie cérébrale infantile jusqu'alors publiées. Ces autopsies m
la paralysie spinale infantile et de beaucoup des cas d'hémiplégie cérébrale infantile. Il pense, lui aussi, que dans la plupa
tomique systématisé à la substance grise, engendrant l'hé- miplégie cérébrale infantile, - conception uniquement basée sur des
lenberg (3), Hoven (4) et autres auteurs). (1) P. Marie, Hémiplégie cérébrale infantile et maladies infectieuses. Progrès méd
nitiales va- riées. Dans la plus grande partie des cas d'hémiplégie cérébrale infan-, tile suivie d'autopsie, les lésions ren
saient aussi plus ou moins la substance blanche. Même, l'hémiplégie cérébrale infantile pouvait être due à un foyer situé dan
dant l'en- céphalite comme lésion initiale possible de l'hémiplégie cérébrale infantile et précisément de la forme ayant les
cette encéphalite des enfants susceptibles d'engendrer l'hémiplégie cérébrale infantile; mais il en admet la possibilité en s
spinale infantile et. une certaine variété au moins de l'hémiplégie cérébrale infantile. En effet, les travaux anatomiques pa
soutenue par Vizioli, Pierre Marie et Strümpell entre l'hémiplégie cérébrale infantile et la paralysie spinale infantile, on
stad (26). En ce qui concerne la nature infectieuse de l'hémiplégie cérébrale infan- tile, on peut aussi dire que presque tou
s étiologiques qui existent entre un bon nombre de cas d'hémiplégie cérébrale infantile et les maladies infectieuses aiguës, ra
(27). En effet, comme le faisait remarquer cet auteur, l'hémiplégie cérébrale infantile s'observe assez souvent, dans le cour
, etc.) ; il est probable que souvent aussi les imposants symptômes cérébraux masquent les autres signes d'une maladie infectie
. Mag. for hocgevidensk., avril 1906. (27) Pierre Marie, hémiplégie cérébrale infantile et maladies infectieuses. Le Progrès
38 ITALO ROSSI ni dans la paralysie infantile, ni dans l'hémiplégie cérébrale infantile, constitue un caractère commun à ces
aralysie spinale infantile, chez le troisième celui de l'hémiplégie cérébrale infantile. Buccelli (4) (1897) rapporte une épi
de 18 cas de paralysie infan- tile, à forme tantôt spinale, tantôt cérébrale , survenue dans un quar- tier de Gènes, dans une
ient atteints de paralysie spinale infantile, d'autres de paralysie cérébrale infantile (hé- miplégie ou diplégie spastique).
e de fréquence de la paralysie spinale infantile et de la paralysie cérébrale infantile est parallèle et qu'elle atteint son
eloppa chez l'un une paralysie spinale, chez l'autre une hémiplégie cérébrale typique, avec athétose, clonus du pied et phénomè
rès faible. A l'autopsie, porencéphalie (acquise) dans l'hémisphère cérébral droit, intéressant la première circonvolution t
March. 4, p. 591. 140 : *ITALO ROSSI brachiale droite, caractère cérébral , et d'une paralysie spinale infantile du membre
paralysie infantile et d'une certaine variété au moins de paralysie cérébrale infantile, n'est pas seulement étiologique et c
logie anatomique serait donnée par l'autopsie d'un cas d'hémiplégie cérébrale infantile où on constaterait comme processus in
agique qui, pour Strümpell et d'autres auteurs, serait l'équivalent cérébral du proces- sus anatomique de la paralysie spina
à dit, au fait que, dans la plus grande partie des cas d'hémiplégie cérébrale infantile, la mort ne survient que longtemps ap
ant à faire admettre que dans un certain nombre de cas l'hémiplégie cérébrale infantile puisse être due à une en- céphalite a
otrice, auraient pu donner lieu au tableau clinique de la paralysie cérébrale infantile. Il est inutile, croyons-nous, d'insi
ralysie spinale infantile et une cer- taine variété de la paralysie cérébrale infantile, des analogies étiologiques (infectio
celui de la poliomyélite puisse être une des causes de la paralysie cérébrale infan- tile est rendue très vraisemblable. -
nt toxi-infectieux commun agisse dans la pathogénie de la paralysie cérébrale inlantile non pas toujours (1) Kaiser, Deutsche
usivement en localisant ses effets sur les capillaire du parenchyme cérébral (encéphalite aiguë hémorragique), mais aussi en s
hémorragiques, que pourrait être due dans certains cas la paralysie cérébrale infantile. Même dans ces cas l'analogie anatomi
que entre la paralysie spinale infantile et la variété de paralysie cérébrale infantile d'origine infectieuse ne serait pas é
a toujours prodigués. (1) Il va sans dire que les cas de paralysie cérébrale infantile observée au cours de maladies infecti
nges ne sont pas épaissies et ne sont pas adhérentes à la substance cérébrale . Au niveau de la base du cerveau, on remarque q
tronc encéphalique (capsule interne, région sous-optique et pédoncule cérébral ) ; de même la protubérance et le bulbe. Les lob
Luys. La figure suivante (fig. 6 représente une coupe du pédoncule cérébral in- NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière.
blable à celui qu'on observe communément dans les cas d'hémiplégie cérébrale infantile très ancienne, c'est-à-dire une résor
icté soit par les rapports de contiguïté que contracte le pédoncule cérébral avec des organes dont la destruction est suscep
commu- nauté d'irrigation artérielle qui existe entre le pédoncule cérébral et les voies optiques centrales. Il est facil
de comprendre qu'une tumeur, siégeant dans une moitié du pédoncule cérébral puisse, par extension en dehors, intéresser soit
d'une pachyméningite syphilitique. Pour ce qui est de la syphilis cérébrale en particulier, où l'on voit si souvent coïncid
t pas due, comme c'est le cas plus habituel au cours de la syphilis cérébrale , à une gomme ou à un foyer de ramollissement du p
cérébrale, à une gomme ou à un foyer de ramollissement du pédoncule cérébral , mais elle relevait de la coexistence d'une ménin
erne du même côté. La lésion intéressant en même temps le pédoncule cérébral et la ban- delette optique peut être aussi d'or
t là pour le prouver. Les conditions de la circulation du pédoncule cérébral , des voies et des centres optiques peuvent nous
t être due à l'oblitération d'un tronc vasculaire unique : l'artère cérébrale postérieure. On sait en effet que cette artère
térieure - donne de nombreuses collatérales se rendant au pédoncule cérébral , et surtout à la partie antérieure et interne de
là du point d'anastomose avec la communicante postérieure, l'artère cérébrale postérieure donne des artères collatérales et ter
d aisé- ment que l'oblitération isolée de la première portion de la cérébrale pos- térieure, tenant sous sa dépendance par se
rieure est « fonction de l'oblitération de la portion directe de la cérébrale postérieure ou de ses branches ». Mais si la th
. Mais si la thrombose ne se limite pas à la première portion de la cérébrale postérieure et qu'elle s'étend encore jus- qu'a
chure de la communicante postérieure, les branches terminales de la cérébrale postérieure ne trouveront plus comme dans les c
era donc aussi interrompue dans les branches terminales de l'artère cérébrale postérieure et on aura dans ces conditions un d
provo- quant l'hémianopsie. (1) D'AsTnos, Pathologie du pédoncule cérébral , Revue de médecine, t. XIV, janvier et février
côté siégeant dans le domaine des branches termi- nales de l'artère cérébrale postérieure (un foyer à l'extrémité de la corne
c- tion. A l'autopsie, purement macroscopique, on constate : artère cérébrale postérieure oblitérée, pédoncule petit, aplati,
mme la paralysie alterne supérieure, à l'oblité- ration de l'artère cérébrale postérieure. Pour lui, le complexus sympto- mat
s hémianopsie - est caracté- ristique de l'oblitération de l'artère cérébrale postérieure. Une observation clinique analogue
ser le point précis où doit s'être produit la thrombose de l'artère cérébrale postérieure droite. A cause de l'amélioration d
l'ictus, l'auteur rejette l'hy- pothèse d'une thrombose de l'artère cérébrale postérieure sur la plus grande partie de son tr
térieure. Il admet au contraire l'hypo- thèse d'une thrombose de la cérébrale postérieure au niveau de l'anasto- (1) LUT011,
ralentissement considérable de la circulation dans la partie de la cérébrale postérieure s'étendant de son origine jusqu'au
a possibilité de l'association morbide en question par lésion de la cérébrale postérieure : « la coïncidence, dit-il, de lésion
ieure : « la coïncidence, dit-il, de lésions oblité- rantes dans la cérébrale postérieure à son origine (ramollissement pé- d
par l'intermédiaire du ramollissement occipital que la lésion de la cérébrale postérieure pourrait donner lieu à l'hémianopsi
ès vraisemblablement sous la dépendance d'une affection de l'artère cérébrale postérieure, n'est pas soutenable, selon d'Astr
rt des artères de la bande- lette optique proviennent non pas de la cérébrale postérieure, mais de la communicante postérieur
s au district d'irrigation de toutes les artères collatérales de la cérébrale postérieure se rendant au pédoncule. Nous avons
ompatible avec l'oblitération complète de la première portion de la cérébrale posté- rieure, car dans ce cas,c'est justement
parmi les artères collatérales issues de la première portion de la cérébrale postérieure, celles qui se rendent aux parties
te région ; au contraire, les collatérales de la même portion de la cérébrale postérieure se rendant à la partie externe du p
te, avec des collatérales issues soit de la portion réfléchie de la cérébrale postérieure, soit de la communicante postérieur
a partie externe de la calotte, prouve que la portion directe de la cérébrale postérieure n'a pas été oblitérée complètement
que d'autres collatérales issues soit de la portion réfléchie de la cérébrale postérieure, soit delà communicante postérieure,
e l'interruption de la circulation dans une collatérale issue de la cérébrale postérieure (artère des corps genouillés qui vi
(artère des corps genouillés qui vient de la partie réfléchie de la cérébrale postérieure), la lésion de la bandelette optiqu
e réunir en un seul, n'estpas étranger aux caractères de l'artérite cérébrale syphilitique ; il peut encore expliquer l'évolu
; bulles d'air surtout dans les veines. Le cerveau.- Les vaisseaux cérébraux étaient pleins de petites bulles d'air, comme d
c le doigt on pouvait les pousser le long du vais- seau. La surface cérébrale aussi bien que tout l'organe, en congestion. Dans
ère du frontal et de l'occipital, on voit fort bien les hémisphères cérébraux . L'ampoule a été placée de telle façon que les
CLINIQUE PSYOUATHIQUE DE GENÈVE DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS, PAR R R. WEB
hie de la Salpêtrière, no 3, 9908. DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL 277 Tranquille et orienté, mais se plaignant to
avril 1904. Exitus. Il en résulte, que nécessairement ce néoplasme cérébral eut une longue période latente. Je chercherai à
e : 1.650 grammes. Ceci sont les signes habituels de la compression cérébrale par augmen- tation de volume de l'encéphale.
ant une partie de la F. S. a poussé en avant et en arrière le tissu cérébral . Les scissures nombreuses, fron- tales et occip
ord c'est une sorte d'U, recouvert DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL 279 de pie-mère, dans lequel sont abritées artè
vaisseau est complètement rentré dans l'écorce (fig. 2). ' Le tissu cérébral cède donc déjà à une pression moindre que celle d
au carrefour. Fig. 2. Vaisseaux faisant empreinte dans la substance cérébrale . Fig. 3. - Coupe du ventricule droit. Fig. 3
ons anatomiques les plus marquées. DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL 281 C'est un peu en arrière du corps calleux qu
oupe 1055. Fig. 7. - Coupe 1495. DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL 283 L'hémisphère gauche est fortement hyperémié
j'ai fait des constatations analogues dans une observation d'oedème cérébral aigu chez un syphilitique (Dr Paohantoni, Revue
omènes psychiques accompagnant l'évolution d'une 284 WEBER tumeur cérébrale , il est urgent d'en étudier encore beaucoup mieux
inuent sansaucun doute avec l'intensité de ces altérations du tissu cérébral , car elles sont en bonne partie irréparables.
nographie DE la Salpêtrière. .T. XX. Pl. LII ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS. (Weber). Obser
onographie DE la Salpêtrière. T. XX. Pl. LUI ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS. (Weber). DE QU
LA PRÉSENCE DE TUMEURS. (Weber). DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL 285 vinrent s'ajouter des crises d'angoisse. Un
ononcées. Le pourtour de l'aqueduc DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL z81 de S. et du IV° ventricule est semé de vacu
e du liquide céphalo-rachidien est DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL 289 la cause première de toutes ces altérations
a semaine qui suivit la capitulation. Les formes de cette affection cérébrale étaient les suivantes. Dans trois cas, l'alcool
ction cérébrale étaient les suivantes. Dans trois cas, l'alcoolisme cérébral chronique, dans un, dégé- nération psychique al
et le développement de la mala- die étaient brusques. Les troubles cérébraux se firent remarquer à la suite d'un long assaut
tous deux réservistes devaient avoir depuis longtemps des troubles cérébraux . Jusqu'au départ de Port-Arthur, toute la catég
vient d'être dit plus haut, que sur 37 soldats atteints de troubles cérébraux pendant le siège, il y avait 17 réservistes, ce
05, nous en trouvons 39 (officiers et soldats) atteints de troubles cérébraux pendant le siège, dont 2 moururent et le troisi
ge. Conclusions : 1° Le nombre de militaires atteints de troubles cérébraux pendant la période du siège (officiers et solda
e dans le mémoire de Catola (1) sur les « Lacunes de désintégration cérébrale », mémoire très documenté sur les états lacunai
linique et anatomo-pathologique sur les lacunes de désintégra- lion cérébrale . Revue de médecine, n° 10, octobre 1904. (2) AN
uméro du 7 avril 1907. - ANGLAI>E et FOUI12ÇIAL, Noyau de sclérose cérébrale chez une persécutée sénile, Société d'anatomie
e sont pas négligeables dans les symptômes cliniques de la sénilité cérébrale ; que les vertiges en font partie, que la march
ovembre 1907 (en préparation). , (3) ANGLAOE, loc. eu. ' TUMEUR CÉRÉBRALE DE LA RÉGION DES CIRCONVOLU- TIONS PARIÉTALES S
rimant et refoulant d'une façon extraordinaire les deux hémisphères cérébraux sur une étendue très con- sidérable. En dehor
antaire se fait en flexion de chaque côté. Les réflexes cré- TUMEUR CÉRÉBRALE DE LA RÉGION DES CIRCONVOLUTIONS PARIÉTALES 367
3. Le malade est condamné au lit et gâte 'quel- quefois. La torpeur cérébrale est assez accusée, sans aucun trouble de la rai-
Masson et Cl=, Éditeurs ..r.hOl0tYIH llertl1J.u.ù, P-ui;.™ TUMEUR CÉRÉBRALE DE LA REGION DES CIRCONVOLUTIONS PARIÉTALES 369
'un sarcome pur fuso-cellulairé. L'examen d'un fragment de l'écorce cérébrale , pris loin de la tumeur dans le lobe orbitaire, p
tion de la dure-mère, l'écartement elle refoulement des hémisphères cérébraux qui [sont forte- ment comprimés et extraordinai
plètement la capsule interne. Rien de semblable dans les pédoncules cérébraux . 2" Dans la protubérance annulaire et la partie
ié une autopsie où les lacunes de désintégration étaient uniquement cérébrales , interrompant, des deux côtés, la voie motrice
ts ressemblant au nôtre par la présence, indépendamment des lésions cérébrales localisées, de foyers bulbo-protubérantiels. Ce
lusieurs cas de paralysie pseudo-bulbaire avec lésions du pédoncule cérébral et de la protubérance et conclut que les lésion
situées au-dessus des noyaux bulbaires. Ces lésions, habituellement cérébrales , peuvent également occuper la protubérance. 2°
des troubles intellec- tuels qui indiquent l'existence des lésions cérébrales , d'autres symptômes tels que le nystagmus, la p
; il y aura lieu aussi de faire un examen microscopique de l'écorce cérébrale . Une telle étude sera publiée ultérieurement.
ctive importante doit être soulignée. Le poids des deux hémisphères cérébraux ne présen- IIEMIMÉLIE AVEC ATROPHIE NUMÉRIQUE D
cavité développée aux dépens de la presque totalité de l'hémisphère cérébral gauche, une absence à peu près complète du faisce
absence à peu près complète du faisceau pyramidal dans le pédoncule cérébral , dans le pont et dans le bulbe du côté gauche,
orte aplasie du faisceau sensitif (ruban de Reil) dans le pédoncule cérébral , le pont et le bulbe du côté gauche, une aplasie
lable- ment vasculaire, dans le domaine des 2" et 3e branches de la cérébrale moyenne, quoiqu'on ne retrouve pas de reliquat
dal, extrêmement aminci, il est réduit une simple lame de substance cérébrale épaisse de 2 centimètres environ et limitant la
T ANDRÉ BARBÉ spongieux, est circonscrite au niveau de la substance cérébrale à laquelle elle adhère par une petite zone de u
t du cerveau et a trouvé possible de tracer le dessin de la surface cérébrale sur les endroits correspon- dants d'une demi-ma
tion mathématiquement pré- cise, parce que les caries de la surface cérébrale d'individus de différents index crâniens, c'est
uction d'un appareil que nous pro- posons d'appeler « le topographe cérébral ». Le principe de notre appa- reil consiste en
xiliaires, nous avons joint il l'appareil une carte des hémisphères cérébraux , utilisant en cela l'idée de la mappemonde géog
aquelle nous avons attribué un rôle important dans notre topographe cérébral , n'aurait pas dans cet état en- tièrement attei
rayon. Construit comme nous venons de le décrire, le « topographe cérébral » permet de résoudre facilement et rapidement l
t encé-ol)alomètre : A) Poser sur la surface de la tête une carte cérébrale ou un de ses points quelconque : pour cela, en
celui-ci et l'on indique par quels endroits de la surface du globe cérébral a passé la goupille, Nouvelle Iconographie DE l
euse qu'il localise, non pas à la périphérie, mais dans les centres cérébraux . Il ne croit pas à une lésion grave, irrémédiab
e la substance LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS MENTAL 469 nerveuse cérébrale . Et il faut bien convenir que cette palhogénie ad
lui qui reste indemne quand l'on détruit le tronc du troisième nerf cérébral . On a rapporté aussi des cas cliniques pour con
pl.), 66. Rossi. Coïncidence chez un ? me mlllade de paraplégie cérébrale infantile et de paralysie spinale infantile. Au
nsuccès du traitement chirur- gical (1 pi.), 459. Souques. Tumeur cérébrale de la région des clcnuvolutious pariétales supé
uments et des troncs ner- veux) (1 pi.), par E. Long, 155. Tumeur cérébrale de la region des circon- volutions pariétales s
tions pariétales supérieures (2 pi.), par Souques, 365. ' Tumeurs cérébrales [de quelques altérations dues à leur présence) (
ez une syphilitique (CHARTIER et P. DEscoNips), X, XI. Paraplégie cérébrale infantile et paralysie spinale infantile (1 Ros
e (ETIENNE), XXIX. Tumeur cérebrale (Souques), LXIV, LXV. Tumeurs cérébrales (R WEBER), LU, LUI. Le gérant : P. Bouchez. I
29 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ple qu'une agitation plus ou moins intense coïncide avec une atonie cérébrale ? VA, réciproquement, une prostration apparente
aque est au moins singulière. Entre ce degré extrême de la rigidité cérébrale et celui de la simple extase, il ya des intermé
s, qui se produisent dans les membres, consécutivement à une lésion cérébrale , sont beaucoup plus complexes qu'on ne le suppo
s paraly- tiques chez les malades atteints d'hémiplégie d'origine cérébrale . Il résulte des observations du professeur du C
des observations du professeur du Collège de France, qu'une lésion cérébrale unilatérale ne produit pas exclusivement et inv
ES DU COTÉ OPPOSÉ A L'HÉMIPLÉGIE 1° Dans l'lcénziplégie d'origine cérébrale les membres du côté opposé à F hémiplégie sont
ment limitée à l'un d'eux, dans les cas, bien entendu, où la lésion cérébrale est unilatérale. II. ÉTAT DES FORCES DANS LES M
à l'étude de l'hémiplégie, c'est que, dans l'hémi- plégie d'origine cérébrale , la force de pression mesurée par le dynamomètr
mouvement délicat ou compliqué exi- geant une certaine surveillance cérébrale . On verra alors, non sans étonuement, que tel m
t des forces est secondaire. Ce qui est essentiel dans la paralysie cérébrale , c'est la perte absolue ou relative de la motil
la dépendance moins immédiate et moins exclusive des hémisphères cérébraux que celle des membres supé- rieurs. Aussi obser
raissent en quelques jours, mais n'en laissent pas moins du malaise cérébral et une certaine tristesse. Toutefois, au bout d
gré ses soixante-seize ans, veut lui donner des soins. Les troubles cérébraux augmentent, le malade ne dort pas, et devient d
Poids de l'encéphale : 770 grammes. Simplicité des circonvolutions cérébrales . Cher... (Philibert-Auguste), âgé de cinquante-
coupe. Protubérance, bulbe, quatrième ventricule, rien. Hémisphères cérébraux . Le droit a 16 centimètres de longueur ; le gau
re à la mensuration. il pèse 5 gr. de plus que le droit. Hémisphère cérébral gauche. La s'enlève très facilement; le ventric
e l'autre, nous paraissent avoir exercé une action sur la condition cérébrale de notre malade. Cette hypothèse trouve encore
moitié du corps se trouve en con- nexion avec les deux hémisphères cérébraux , et que chaque hémisphère a une action bilatéra
epuis près de vingt ans, il a été frappé de ce fait que les lésions cérébrales s'accompagnent en général d'une hémiplégie croi
s les voies de communication entre les zones motrices de la surface cérébrale et les membres. (l3ull. de la Soc. de biol., 18
à montrer la relation bilatérale qui existe entre chaque hémisphère cérébral et les deux côtés du corps et surtout les deux
SENSITIF ET LES TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ DANS LES CAS DE LÉSIONS CÉRÉBRALES ; Par Gilbert BALLET, Chef de clinique à la Fa
ts des lésions de la couche optique avec l'hémianesthésie d'origine cérébrale . Paris, < 877. III. DES tiioubles DE la SENS
D1NS leurs rapports avec les lésions du centre ovale ou DE l'écorce cérébrale . Flou- rens, Recherches expérimentales sur les
ns du cerveau, Tr. Fr. Paris, 1878, et De localisation des maladies cérébrales , Paris, 1880. H. Munk, Zur phys. der grosslzimz
er, De l'anesthésie produite par les lésions des circon- volzctions cérébrales . (Revue mensuelle de médecine et de chirurgie,
rz Iii-ai2- keiten. J. Grasset, Des localisations dans les maladies cérébrales . Paris, 1880. Exner, Untersucleungezz ciber die
ES FIBRES SENSITIVES. Il n'est plus douteux que les circonvolutions cérébrales soient le siège des organes de perception. Les
par les couches corticales du cerveau. De la périphérie à l'écorce cérébrale ces impressions parcourent un chemin com- pliqu
, Duval et Sappey) si bien que ceux de droite occupent le pédoncule cérébral gauche, et réciproquement. Au niveau de ces péd
ion l'existence d'un faisceau de fibres qui se détache du pédoncule cérébral , derrière l'extrémité postérieure du noyau lent
autre tractus, déjà décrit par Gratiolet, sous le nom d'expansions cérébrales optiques et dont les fibres émanées des corps g
uvait tirer des colorations imprimées par le liquide à la substance cérébrale en vue de déterminer la direction des certains
admises, détermine chez l'homme l'hémianesthésie dite d'ori- gine cérébrale . La seconde coupe, parallèle à la première, est
sen- sitif.) Mais à peine a-t-il abordé le seuil de l'hémisphère cérébral , que ses éléments constitutifs commencent à div
servation anatomique seule, quelles sont celles des circonvolutions cérébrales auxquelles vont aboutir les fibres émanées du f
AUX DIVERSES LÉSIONS DU FAISCEAU SENSITIF, DANS SON TRAJET INTRA- CÉRÉBRAL . La connaissance que nous possédons, d'après le
dans leurs rapports avec les lésions du centre ovale et de l'écorce cérébrale . Cette question a été envisagée de façons bien
pérer une prompte entente. Les lois qui, en matière de pathologie cérébrale , semblaient les mieux assises, sont remises en qu
, nous rendait dans l'étude des troubles de la sensibilté d'origine cérébrale les mêmes services que nous lui devons en matiè
core, dit-il, d'observations de troubles auditifs dans les maladies cérébrales , principalement dans le ramollissement;... pas
ns les plus diverses, intéressant les différents points de l'écorce cérébrale , peuvent évoluer sans s'accompagner de troubles
ité. Est-ce à dire que, au point de vue des perceptions, l'écorce cérébrale soit fonctionnellement homogène, dans l'acception
SUR LES températures inférieures des malades atteints d'une lésion cérébrale ; par SIiL01VSIiY. flTratscla, 1880, n° 12.) L
x, non seulement d'affections médullaires, mais encore d'affections cérébrales ou de troubles psychiques. Cn. F. REVUE DE PA
est-à-dire que la moelle allongée influence d'abord les vasomoteurs cérébraux , et que l'attaque classique est la résultante d
age pas l'opinion de M. Billod qui, par la théorie de la suppléance cérébrale , explique comment l'in- telligence peut rester
urdonnements d'oreilles, odeur de cha- rogne). VII. Les symptômes cérébraux et psychiques sont très impor- tants. Les plus
ue entraine, comme à la suite de toute autre pyrexie, des accidents cérébraux de nature asthénique au moment de la convalesce
dépression. On en rapprocherait la forme méningi- tique (excitation cérébrale ) de Liebermeister, survenant brus- quement au c
ions et le trismus qui indiquent toujours l'intensité des processus cérébraux . Les autopsies pratiquées décèlent del'liypérém
parle on perçoit une vibration, a recherché si certaines maladies cérébrales ne pourraient pas modifierla transmission desparo
à la suite d'une chute, à toutes les manifestations d'une affection cérébrale grave. Comme le patient chancelle sans présen-
cluent toute conclusion. M. Reinhardt, vu l'athéromasie des artères cérébrales , pense qu'une série de poussées exsudatives ont
malignité du principe infectieux et au caractère de l'inflammation cérébrale chez tel ou tel individu. L'auteur rappelle à c
sphères sensitives. AI. Rieger. De l'albuminurie dans les maladies cérébrales . Ayant eu l'occasion d'être consulté au sujet d
agit non d'une néphrite ayant causé la psychose, mais d'une maladie cérébrale héréditaire, dont AI. Hagen n'avait vu que le p
donc tout au moins avoir con- tribué à la production des phénomènes cérébraux . M. FURSTNER. L'albuminurie, au même titre que
ilité motrice, doit prendre rang parmi les symptômes des affections cérébrales . Bof. Rieger admet que l'on puisse considérer s
but. Elle prend racine dans les profondeurs mêmes de l'organisation cérébrale . Quand elle fait son apparition, le plus souven
u patient, ici encore pour se développer, elle nécessite un terrain cérébral longtemps et profon- dément remué, car il est f
ue. Or, tandis que les malades ' n'apprécient point leur exaltation cérébrale , dans le stade précédent ils ont la notion clai
d'ordinaire impossible. Mais il est une autre variété de congestion cérébrale , la plus habituelle même, qui se manifeste par
sont morts en bas âge, l'un de la coqueluche, l'autre d'une fièvre cérébrale . Les troubles intellectuels datent de deux ans.
oche de ses troubles psychiques et en conclut à un ramollisse- ment cérébral . Elle consentirait volontiers, dit-elle, à souffr
lysie générale a débuté en janvier 1879 par une violente congestion cérébrale . Depuis lors marche progressive des accidents.
n extraire des esquilles, des cheveux et des fragments de substance cérébrale ; puis il ramena l'oeil en place et lit plusieu
it pas indiqué d'une façon plus précise la topographie de la lésion cérébrale , sa largeur, sa profondeur, et les régions de l
gagni, 1881, fasc.VI.) Le professeur Chirone affirme que l'écorce cérébrale n'est pas le centre indispensable des mouvement
ent des convulsions épileptiques en agissant, les unes sur l'écorce cérébrale , les autres directement sur la moelle sans qu'i
s épileptiques généralisées ; mais, après leur avoir enlevé un lobe cérébral , il n'a plus obtenu de convulsions épileptiques
ps correspondant au côté de la lésion ; si on enlève les deux lobes cérébraux , on ne peut plus détermi- ner du tout de convul
duire les manifestations épileptiques alors même que les deux lobes cérébraux avaient été extirpés ; il ne saurait donc dans
nc dans ce cas être question de l'action épileptogène de l'é- corce cérébrale . L'auteur n'admet pas l'objection faite antérie
i quelquefois l'épilepsie est produite par l'excitation de l'écorce cérébrale , souvent aussi elle est due à l'excitation d'au
sur la substance corticale de la partie postérieure des hémisphères cérébraux , on observe ordinairement le resserre- ment de
LES HéMORRAGIES primitives, immédiates OU directes des ventricules cérébraux (2e partie Sympto- matologie ') ; par Edward Sa
éris- tique et sont entièrement analogues à ceux de l'hémorrhagie cérébrale ordinaire, dont il est impossible de les distingu
ie. En ce qui concerne le début, la ressemblance avec l'hémorrhagie cérébrale ordinaire est, ici encore, complète. En effet,
trouve le visage congestionné. -Dans un cas, on a observé la tache cérébrale . 11° Amélioration apparente. Elle a été observé
ceptions irrésistibles, en exagéranil'arrt de l'ensemble du travail cérébral , augmente à ce point les tensions centrales qu'
nerveux tel que progressive- ment s'est développée cette affection cérébrale La manifesta- tion d'un exanthème aussi violent
le processus physiologique en rapport avec la conscience. Un acte cérébral complet se composant de deux éléments, l'un cen-
éponse, la connaissance n'est ni un phénomène autonome du mécanisme cérébral , ni une fonction d'un ordre élevé, ni une propr
e, jusqu'au moment où une complication du côté d'un des hémisphères cérébraux (ramollissement) entraînait des mani- festation
tre, convalescente de rougeole, est frappée à ce moment d'apoplexie cérébrale : hémiplégie droite totale, convulsions éIlCtll
veau. Or, les manifestations relatées témoignent d'une irrita- tion cérébrale avec laquelle les lésions décrites n'ont rien avo
n esprit fut celle, non de la paralysie générale, mais d'une tumeur cérébrale . I'oor 11. VEaYtcne, la s3 mp- tomatologie auss
février). Séance du 26 janvier. M. Hollender traite de I'oedèine cérébral circonscrit coinïlz, cause de symptômes des lés
n, avec perte de connaissance; mort en six heures ; simple atrophie cérébrale à l'autopsie. 51. MEYXERT insiste à ce propos s
ire l'ectasie vasoparalytique consé- cutive au spasme des vaisseaux cérébraux , s'accompagne d'une atrophie de la corne d'Ammo
le, parce qu'il est rare qu'un épileptique possède une irriga- tion cérébrale moyenne ; les oscillations extrêmes dans l'afflux
athes M. Meynert rapporte aussi un cas d'oedème vrai d'un pédoncule cérébral dans lequel les symptômes notés trois jours ava
allucinations. M. Lf.chner. Apport à la pathogénie des hémorrhagies cérébrales dans les formes syphilitiques précoces. M. PA
. M. PASTERNATZ6Y. La structure de l'étage inférieur du pédoncule cérébral et de la lamelle du noyau lenticulaire. (Analyse,
sous l'influence d'un épisode aigu, ou en conséquence d'une lésion cérébrale . Les troubles digestifs sont analogues à ceux de
; par Bn ? Thèse de Paris, 1882. Du fractionnement des opérations cérébrales et en particulier de leur dédoublement dans les
oria de un caso de histerico- cataleptifornze i oltro de conlestion cérébral co;t coninlsio tes i afnsza- Brochure in-18 de
allemands. C'est un appareil symp- tomatique d'allure positivement cérébrale , et qui a pu maintes fois causer des erreurs de
énérés. Les dégénérés, dèsl'enfance, portent la marque d'une tare cérébrale qui, chez quelques-uns, peut simplement se trad
facultés intellectuelles. Il avait aussi déjà une grande exaltation cérébrale , et c'est à cette époque que remonte le début d
rariétés, comme aussi les joies et les plaisirs. La surexci- tation cérébrale va même parfois jusqu'à produire des illusions
nt le père metancu- 1. [(Ill(" çs n).0t't, : i la suite d'accidents cérébraux aigus. Laissant de coté les autres tlésprdre$I2
a race humaine dans des proportions, énormes, tandis que la masse cérébrale subit des variations très limitées. Notre cas o
it par des altérations humorales, et par le trouble de la nutrition cérébrale qui peut en être la conséquence, soit par les a
n'est pas rare de voir des dia- bétiques succomber à des accidents cérébraux précisément au moment où ils ne sont plus glyco
tigante qui semble le premier indice des troubles de la circulation cérébrale et peut être l'avant-courcur de phénomènes plus
e de Marchai (de Calvi)4, le coït provoquait, avec de la congestion cérébrale , une douleur atroce et subite à la nuque, une c
bétiques pourra sans doute aider à pénétrer la nature des accidents cérébraux de même ori- gine. Nous ne parlerons pas de l
ité 1131anlcaart d' : lmsterdam (IG88) ; il s'agissait d'une tumeur cérébrale et il y avait pure coïncidence, comme le montre
res, l'hémorrhagio rétinienne serait le pré- lude d'une hémorrbagie cérébrale . Des troubles oculaires pareils ont été décrits
abète chez les enfants se termine assez sou- vent par des accidents cérébraux , quelquefois par des phéno- mènes d'intoxicatio
indre excitation. L'auteur pense qu'il s'est agi là d'une contusion cérébrale portant sur la partie postérieure du lobe antér
des grands sinus veineux, ou de la jugulaire. A propos de l'abcès cérébral , l'auteur rappelle que, d'après une statistique
ond, par extension de la suppuration et destruction de la substance cérébrale . Dans l'abcès aigu, la maladie évolue vers la m
température, et qu'en aucun cas il n'eut à noter de phéno- mènes cérébraux . Le bromure agirait plutôt sur les cellules cor
r, il est généralement admis par les physiologistes que la fonction cérébrale nécessaire à l'attention consiste en un pro- ce
urs du cerveau. » Il n'est donc pas étonnant, lorsqu'une lésion - cérébrale affecte dans une mesure plus ou moins considérabl
rale affecte dans une mesure plus ou moins considérable les centres cérébraux les plus élevés et ceux qui sont le siège du po
d'assurer, par une méthode graduée et appropriée le fonctionnement cérébral de ces malades, leur surprise, née d'une erreur
SPÉCIALEMENT DANS LEURS RAPEORTS AVEC LA LOCALISATION DES FONCTIONS CÉRÉBRALES ; par W. Julius Mickle. (Tlie ./OM ? 'H<.o ?
inations de la paralysie générale au point de vue des localisations cérébrales , on peut tirer un parti utile de la distributio
vrier. Thèse de Paris, 1882. Contribution à l'élude de l'atrophie cérébrale infantile ; par Des- homme. Thèse de Paris, 188
Ferré. Thèse de Bordeaux, 1882. Contribution à l'étude de l'abcès cérébral idiopcithiqzie; par STAHL. Thèse de Nancy, 1882
idérées spéciale- ment dans leurs rapports avec les localisations cérébrales , 396. Hemiataxie posthémiplégique, par Ugo Ba
té des), par Axenfeld et Huchard, 260. Nominations, 268. OEdème cérébral circonscrit comme cause de symptômes de lésions
sceau), et les troubles de la sensibilité dans les cas de lésions cérébrales , par Ballet, 67. Sexuelles (recherches cliniq
), 371. Tumeurs du cerveau (localisation des), 38). Ventricules cérébraux (études sur les hémorrhagies primitives, immé
30 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
comme celle-là ne s'observe guère qu'à la suite d'un trauma- tisme cérébral grave, ou d'un ictus épileptique, Or, Delannoy
te COMMENT DÉBUTENT LES DÉGÉNÉRESCENCES SPINALES. 33 d'un trouble cérébral quelconque, car il ne présente en rien les cara
érescences spinales, souvent elles ne débutent qu'après les lésions cérébrales , de sorte qu'au jour de l'autopsie, elles sont
l'origine des dégénérescences wallériennes secondaires à des foyers cérébraux ; elle se montre dans les scléroses combinées ',
Dawson, et Waldo. La théorie sensitive de Leyden, motrice de Erb et cérébrale de Jendrassik sont passées en revue ainsi que l
que la paralysie générale soit associée au tabès, les altéra- tions cérébrales pouvant s'étendre aux noyaux encéphaliques et b
ical journal, 5 janvier 1895.) Dans ces trois cas d'abcès dont deux cérébraux et un cérébel- leux, l'intervention chirurgical
. A. M. XIX. Notes sur LE pronostic DE l'apoplexie par hémorragie cérébrale ; par Alf. BARRS. (British médical journal, 18 mai
e trouve, au point de vue vasculaire sous la dépendance de l'artère cérébrale postérieure, mais il ne porte pas sur la totali
IX. DE L'INFLUENCE qu'exerce l'inflammation traumatique DE l'écorce cérébrale sur son excitabilité; par DE BECIITEtiEV. (Neu)
ts volontaires de la face et à la mimique. D'autre part, les noyaux cérébraux sous-corti- .eaux sont le foyer de centres comb
rs. La même genèse préside à leur entrée en jeu dans les affections cérébrales , soit par arrêt d'excitations modéra- trices, s
nt sur les principes généraux de la physiologie et de la pathologie cérébrales , fait ressortir la légitimité théorique d'une i
l'état de la circulation intracranienne et par suite de la tension cérébrale . La mentalité étant visiblement dépendante de l'é
tions et pense que la question doit être réservée, la phy- siologie cérébrale et les localisations pas plus que la chirurgie
âne fut frac- turé, et une quantité assez considérable de substance cérébrale sortit par la plaie. Le malade demeura inconsci
la base du triangle osseux avait pénétré profondément dans le tissu cérébral , formant presque un angle e droit avec le crâne
olongée d'un corps étranger (esquille ou tumeur), dans la substance cérébrale , donne lieu, dans le tissu nerveux périphérique
ec adhérences des mem- branes, soit entre elles, soit avec l'écorce cérébrale , on décide d'avoir recours à la trépanation. On
es propriétés sezsitivo-motrices de l'aire dite motrice de l'écorce cérébrale , mais Ils peuvent encore nous fournir le moyen de
cause des attaques, à savoir : Ja compression exercée sur l'écorce cérébrale par la dure-mère considérablement épaissie : ce
. » - li. DE MUSGRAVE CL.\Y. 76' REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. TUMEUR cérébrale : opération suivie DE succès; par Charles L. D.
L'analyse des symptômes révélait nettement l'existence d'une tumeur cérébrale et permettait de les localiser. La paralysie du
acile à diagnostiquer une lésion du centre brachial de l'hémisphère cérébral droit. La douleur et la pares- thésie ainsi que
'hallucinations unilatérales : par lésion sensorielle et par lésion cérébrale . IV. Nécessité de la prédisposition pour la pro
cachexie, il ne devait pas tarder à présenter de nouveaux troubles cérébraux . Merc... est entré dans notre service le 19 oct
sidérer le phénomène hallucinatoire, comme une erreur de l'activité cérébrale qui s'est manifestée 102 CLINIQUE MENTALE. to
ou originelle, c'est l'état d'infériorité fonctionnelle des centres cérébraux . Sans cela tous les malades qui ont des lésions
ane sensoriel, et ceux où elle semble être l'effet d'une altération cérébrale . Il serait facile de justifier la constitution
problème encore plus ardu. D'autres fois encore il y a des lésions cérébrales telle- ment diffuses ou tellement profondes qu'
résentées comme exemples d'hallucinations uni- latérales par lésion cérébrale , dont plusieurs doivent être reje- tées du déba
ssant prouver l'existence des hallucinations par lésion des centres cérébraux . Une malade, dont l'histoire très curieuse nous
déjà des hallucinations de la vue et de l'ouïe. En somme, la lésion cérébrale donne lieu dans les cas de ce genre à des troub
tions. C'est donc l'état hallucinogénique du sujet et non la lésion cérébrale qui fait l'hallucination ; la lésion cérébrale ne
jet et non la lésion cérébrale qui fait l'hallucination ; la lésion cérébrale ne produit que des fourmillements, des engourdi
v. LES HALLUCINATIONS UNILATÉRALES. 107 en conséquence de lésions cérébrales a été exposée dans la thèse de mon élève M. Wor
ns chroniques de l'ouïe, ce qui conduirait à penser que les lésions cérébrales unilatérales peuvent, dans certains cas, donner
ais il importe de s'expliquer nettement sur ce point. Si une lésion cérébrale détruit un centre, elle se traduit alors sympto
rticaux ou sous-corticaux, des ménin- gites chroniques, des tumeurs cérébrales , et s'observerait communément dans la paralysie
ois plus près de nous, qui, ainsi que les lésions sensorielles ou cérébrales actionnent et donnent une forme précise à la préd
douche et le bain statiques. Il y ajoute, lorsqu'il y des symptômes cérébraux ou médullaires, la galvanisation ascendante ou
II. Sur LES affections DE la faculté musicale ,dans LES maladies cérébrales ; par William W. IRELAND. (The Journal of mental
ndent pas sur les rapports de la faculté musicale avec les maladies cérébrales et l'aliénation mentale; aussi pensons-nous qu'
orte quinze cas d'amnésie sensorielle consécutive à une affec- tion cérébrale . Dans quelques cas d'aphasie soigneusement obse
sions sui- vantes que nous traduisons textuellement : « La région cérébrale dans laquelle siègent le sentiment musical et l
paraît aussi que la faculté musicale peut survivre à des lésions cérébrales étendues, alors même que celles-ci ont plus profo
ifération cellulaire dans la mem- brane qui tapisse les ventricules cérébraux et la moelle, proliféra- tion qui est un caract
dement mortels de paralysie générale, dans lesquels les altérations cérébrales et les troubles mentaux n'avaient pas eu le tem
s ait été entièrement sous la dépendance des modifications du tissu cérébral . L'auteur ne se propose pas de discuter les aut
dales supér ieure, moyenne et inférieure. Sous le robinet, le tissu cérébral laisse voir une cavité qui pénètre dans la scis
he indiquait une lésion fort capable d'avoir provoqué les désordres cérébraux aboutissant aux manifestations morbides observé
e dont le résultat d'ailleurs, même au point de vue exclusivement cérébral , ne pouvait être que fort incertain. Pendant le
s muscles du pharynx, dans la démence paralytique, dans la syphilis cérébrale , la mé- ningite, etc. ; spasme du pharynx dans
Liebermeister et rr.ntzel ont même noté la coïncidence de troubles cérébraux graves avec une température peu élevée. March
ffmann a constaté très fré- quemment chez des typhiques de l'oedème cérébral ; il a noté aussi de l'hypérémie, des hémorragi
esinger, en 1857, considérait déjà les manifesta- tions nerveuse et cérébrales de la fièvre typhoïde comme dues à une intoxica
iminuerait l'hyperthermie, en même temps qu'il agirait sur l'écorce cérébrale comme un alcaloïde narcotique. L'auteur rap- po
ison de santé où elle avait été internée à la suite de dérangements cérébraux , et semblait guérie, lorsque hier, à la suite d
première fois que Mme Ythier est victime de dange- . reuses crises cérébrales , il est probable que l'on se trouvera dans la n
quantité des fibres dégénérées. L'examen microscopique de l'écorce cérébrale par la méthode de Marchi ne nous a pas donné de
e à cellule et de région à région. R. M. C. IV. Dualité DE l'action cérébrale ; par Samuel-B. Lyon. (The Neiv-York Médical Jou
tire de ce fait des conclusions favorables à la dualité de l'action cérébrale . La possibilité d'une action indépendanle des d
u moins, il y avait inéga- lité de poids entre les deux hémisphères cérébraux ; Jaffa a fait aussi des recherches dans cette
e fait remarquable que l'écart normal de poids entre les deux lobes cérébraux , dont le maximum habituel est de 5 ou 6 grammes,
ment intéressant, d'abord au point de vue de la dualité de l'action cérébrale ; ensuite parce que, à la suite d'une ovariotomi
'une des veines pulmonaires a pénétré dans l'une des branches de la cérébrale moyenne droite, et qu'il y a lieu de craindre u
sure de Sylvius. A un pouce et demi de profondeur dans la substance cérébrale , un trocart explo- rateur rencontra une résista
cès. Les deux abcès ne com- muniquaient pas : autour d'eux le tissu cérébral était un peu ramolli. L'auteur termine par qu
cile à détacher, 'mais quelquefois elle entraine avec elle du tissu cérébral , comme cela arrive dans la paralysie générale.
e et une diminution de poids plus ou moins considérable. La surface cérébrale est géné- ralement ferme : sur une section, l'é
Altérations microscopiques de l'encéphale. Une section de l'écorce cérébrale révèle un épaississement de la pie-mère et de l
nérescence pigmentaire. - Les éléments constitutifs des vaisseaux cérébraux de l'écorce ne se dégagent pas nettement, et leur
de la dure-mère. R. M. C. IX. Observation d'un cas 1)'IIÉMIATROPHIE cérébrale ; par John J. CowAN. (The Journal of Mental Scie
ure sur l'écorce motrice et à la diminution consécutive de l'action cérébrale de contrôle sur les centres réflexes inférieurs.
de ceux que l'on rencontre dans les vieilles hémiplégies d'origine cérébrale pour que l'auteur a cru devoir rapporter cette
pliquer la pathogénie de l'amyo- trophie dans les lésions d'origine cérébrale ; sa conclusion est que, à l'heure actuelle, il
é relative que présente le diagnostic différentiel des traumatismes cérébraux avec les états morbides intra-craniens, en même
l'existence d'une lacération. En somme le diagnostic de lacération cérébrale repose surtout sur la présence de certaines par
les céphalalgies des neurasthéniques, des chlorotiques, des tumeurs cérébrales . P. K. XIX. DE l'influence DE l'écorce DU cerve
I. DE la circulation DES régions DE la protubérance et DU pédoncule cérébral , ET EN particulier DU noyau DE L'OCULO-110- TEU
ux contournant d'avant en arrière la protubérance et les pédoncules cérébraux . Toutefois il existe des districts vasculaires
les coupes transverses et perpendiculaires à travers les pédoncules cérébraux et les tubercules quadrijumeaux antérieurs. A l
ent nombre de petits vaisseaux, dans l'angle même où les pédoncules cérébraux touchent à la face antérieure de la protubéranc
seaux des parties latérales et médianes de la région des pédoncules cérébraux . La partie médiane du côté où l'on a fait l'inj
injectée, a la forme d'un triangle à base vers le pied du pédoncule cérébral ,' à angle dirigé vers l'aqueduc de Sylvius c'es
d'un côté et le vaissean médian de l'autre; mais, dans le pédoncule cérébral même, il n'y a pas d'anastomoses entre les deux
rent un certain trajet avec la bandelette optique dans l'hémisphère cérébral opposé, mais elles s'en séparent avant d'entrer
structure ; la méthode de Nissl même est impuissante. La commotion cérébrale provoque donc des lésions étendues des fibres n
XXXII. SUR LES oscillations périodiques DES FONCTIONS DE l'écorce cérébrale ; par H. Stern. (Arch. sur Psychiatrie und Neroenk
OGIE pathologiques. 235 au début de signes non douteux d'une lésion cérébrale localisée. Chez les deux autres, on n'observait
l'idiotie par arrêt de développement ; d) l'i- diotie avec sclérose cérébrale ; e) l'idiotie consécutive à la ménin- gite ; f
e est vide. - La topographie, le volume, le poids des-hé- misphères cérébraux ne s'écartent point de la moyenne. Les artères
. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 263 aTlVlli. Sur r..1 compression cérébrale ; par John MACPHERSOK. (The Journal of Mental Sc
avons sur la pathogénie de l'état décrit sous le nom de compression cérébrale - aussi bien d'ail- leurs que les faits générau
ions chirurgicales pratiquées en vue de remé- dier à la compression cérébrale ; 3° les opérations de ce genre sont légitimes
vers le crâne fracturé, trois d'entre elles pénètrent dans le tissu cérébral . Le siège du traumatisme était la tempe gauche.
produisit et causa la mort. Un cinquième fait est celui d'un abcès cérébral consécutif aune suppuration de l'oreille moyenn
ou un abcès du cervelet. R. DE MUSGRAVE CLAY. XLVIII. La syphilis cérébrale : étude clinique; par Léo STIEGLITZ. (The New-Y
dissement du bras gauche. Le diagnostic porté fut celui de syphilis cérébrale . Le chancellement vers la gauche indiquait un f
ment ioduré. Ce cas se rattache à la première catégorie de syphilis cérébrale de Fournier, c'est-à-dire à la syphilis à forme
halalgie est le symptôme précurseur par excellence dans la syphilis cérébrale en même temps qu'elle est le phénomène le plus
e qu'il démontre la valeur du traitement mercuriel dans la syphilis cérébrale ; la malade, en effet, avait pris des doses énor
nclut que, en raison des allures protéiformes que revêt la syphilis cérébrale , elle donne lieu, à son début, à de fré- quente
on spéciale et absolue il faut dans la thérapeutique de la syphilis cérébrale associer le mercure à l'iodure de potassium ; 2
épilepsie partielle qui se produiraient à la suite d'une excitation cérébrale limitée et circonscrite. M. Zucarelli leur donn
la glande pituitaire sur l'organisme. P. Keraval. Lll, AYYOTAXI8 cérébrale ; différentes SORTES DE convulsions d'origine c
, AYYOTAXI8 cérébrale ; différentes SORTES DE convulsions d'origine cérébrale ; fonds dégénératif; par G. ROSSOLI)10. (lVBt1-
centres psychiques sur l'appareil moteur. Tells--estJ'amt/o<aa'M cérébrale due à un vice de construclion ? é £ 'Wiéi' £ rrur
evue Neurolo- flique, juin 1895.) E. Blin. LXVI. Un cas DE TUMEUR cérébrale avec hémianestiiésie ; par J. Macfay. (Brain, é
avail se termine par l'observation d'un malade atteint d'hémiplégie cérébrale infantile qui, cinquante ans plus tard, fut fra
inique bien accusé ; mais en comparant cette maladie avec des états cérébraux connexes, j'ai essayé de montrer que son identi
eprésenter reliées entre elles les diverses parties de notre écorce cérébrale . C'est le jeu des ondes qui projette au-dessus du
s les cas d'excitation mécanique de la protubérance, de com- motion cérébrale , d'intoxication, mais il faut que l'écorce inter-
terrain, manifestant seulement son sourd travail par les troubles cérébraux et nerveux. (Annales médi';o-psyclwlogi'1ues, déc
ale créées par l'émancipation, succédant brusquement à l'inac- tion cérébrale la plus complète, suffisent à expliquer cet accro
les hémorrha- gies capillaires, l'excès de pression due aux tumeurs cérébrales . P. K. LXVI. L'algésiomètre DE iIOTSCIlUT60R'SR
. ' P. IiERA\·.1L. LXX. Contribution A la casuistique DES maladies' cérébrales aiguës DE l'enfance; par W. 1\IURATOW. (Neurolo
1\IURATOW. (Neurolog. Centt'albl., XIV, 189J.) Observation 1. Abcès cérébral à la base, ayant, chez une fillette de dix ans,
pulmonaire. Il en est résulté cliniquement, d'abord des phénomènes cérébraux diffus correspondant à l'abcès des lobes fronta
e douze couronnes de trépan. Mort. - A. M. LXXV. Deux cas d'abcès cérébraux ; par \I11. BARIiAU etIliRSCHFELDER . '(de San
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. ce nerf et qui intéresse le pédoncule cérébral droit (ce qui explique la parésie gauche). 2°
sceaux que le noyau lenticulaire jette dans la calotte du pédoncule cérébral . P. Keraval XXXV. DE l'importance DES détails d
couche interne correspondante visite la .paroi médiane de la corne cérébrale antérieure jusqu'à l'écorce, ainsi que l'insula
produire des mouvements des globes ocu- laires ; excitez le centre cérébral de l'ouie, vous engendrerez des mouvements du p
sographie. P. K. XLVI. Partie supérieure DU ruban DE REIL ET écorce cérébrale ; par M. BOELScHowsKY. (Neurolog. Centralbl., XI
ns rendus idiots par Goltz à la suite de l'ablation des hémisphères cérébraux (voir les pièces de l'Institut de Senckenberg)
89 de communication chargée de transmettre les ordres de l'écorce cérébrale aux muscles ; cette voie ne passe pas par les pyr
aminer. P. K. LII. D'un TROUBLE VASO-MOTEUR HÊMILATËRAL d'origine cérébrale ; par Kaiser. (Neurolog. Centmlbl" XIV, 1895.)
e développe à la suite d'une maladie infec- tieuse ou d'une maladie cérébrale aiguë, chez les adultes, par exemple. L'hérédit
er une endovascularite secon- daire E. B. Lita. LE fonctionnement cérébral pendant LE SOMMEIL hypnotique ; par le Dr LANP1
lle est l'état normal de fonctionnement psychogé- nique des centres cérébraux . L'auteur considère comme nécessaire à l'état d
aurait inhibition du centre supérieur. E. B. LX. Circonvolutions cérébrales anormales; par le Dr J. ! \IICKLE. L'auteur con
igures donnés comme représentant le type normal des circonvolutions cérébrales sont d'une part insuffisants, d'autre part erro
tes par l'action DE l'alcool éthylique SUR LES CELLULES DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE ; par le Dr BEItCELET. En étudiant par les nouve
En étudiant par les nouvelles méthodes de coloration les cel- lules cérébrales de lapins à qui on avait donné pendanl plusieurs
ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 2° Des troubles de la circulation cérébrale liés à des altérations locales (artérite chroni
ture normale ET altérations AN.1TOM0-P.4THOLOG1QUES des capillaires cérébraux les plus fins; par M. LAPINSEY. (A1'ch, f. Psyc
pathologiques des vaisseaux dans la paralysie générale, la syphilis cérébrale , etc... P. K. LXVIII. POINTS relatifs A la LOI
e chronique, leptoméningite chronique, dila- tation des ventricules cérébraux , dégénérescence du nerf optique et de l'oculomo
Péterabourg.) : Communications annoncées : Histologie de l'écorce cérébrale chez les criminels et les épilepti- ques. (Rapp
i qu'elle n'existerait pas encore sur les collatérales des neurones cérébraux dans la première semaine après la naissance (Fl
se compose d'un centre cellulaire siégeant dans les circonvolutions cérébrales , de dendrites, d'un prolongement cylindraxe don
Deux neurones suffisent à établir la communication entre l'écorce cérébrale et les muscles, c'est-à-dire que la chaîne motr
téléneurone, ou réciproque- ment. Supposons, par exemple, un foyer cérébral sectionnant l'archineurone au niveau de la caps
oncle paternel suicidé. Grand' tante paternelle morte de congestion cérébrale . - Autre grand' 'tante paternelle démente. - Mè
'tante paternelle démente. - Mère, convulsions de l'enfance, fièvre cérébrale a quatorze ans accompagnée de canitie partielle
uicidé par pendaison. - Grand" tante paternelle morte de congestion cérébrale à soixante-quatorze ans.- Mère morte à soixante
tumeur blanche du genou ; à quatorze ans, elle avait eu une fièvre cérébrale grave, durant laquelle une grande partie de ses
ttacher aux convulsions, probablement symptomatiques d'une sclérose cérébrale , le premier groupe ' d'accidents pathologiques
e, borde latéralement l'appendice antérieur ou ventral du pédoncule cérébral et est antérieure au gros noyau pédonculaire. L
méthode embryogénique a démontré que le développement des fonctions cérébrales , chez les nouveau-nés, va de pair avec le dével
OGIQUES. lequel l'acte conscient parait en rapport avec les centres cérébraux inférieurs, jusqu'au degré le plus élevé, dans
crâne. Quand le patient penche la tête à gauche on sent la masse cérébrale s'appliquer sur la paroi. Comme troubles qui ont
émianesthésie hystérique, un cas de para- lysie infantile d'origine cérébrale avec névralgie hystérique des articulations, un
ncier nettement ici la paralysie spinale atrophique de la paralysie cérébrale spasmodique de l'enfance. z Mal de Pott et para
élude sur trois ordres de faits : a 1° les conditions du dynamisme cérébral ; 2° le dynamisme cérébral lui-même; 3° les phén
faits : a 1° les conditions du dynamisme cérébral; 2° le dynamisme cérébral lui-même; 3° les phénomènes psychiques qui acco
1. 32 TABLE DES MATIERES Abcès intracranien, par Murray, 49. - cérébraux , par Barkan et Hirs- chfelder, 372. Acromégal
foration de la base du crâne, par Abel et Colman, 48. A)IYOTA.Xir cérébrale , par Rossolimo, 284. Anthropologie criminelle
e, par Sanphear, 365. Apoplexie. Pronostic de 1' par hémorragie cérébrale , par Barrs, 49. Archives cliniques, 47. Arr
, 272. Cérébelleux. Faisceaux - descen- dants par Bield, 475. Cérébrale , 'lumeur -; opération suivie de succès, par Dan
ro-spinale. Anato- mie pathologique, pai Bikeles, 232 Compression cérébrale , par Mac- pherson, 263. Concours des médecins
en- tier, 153. LOIDE Weber-Fetcuneb, parWaller, 397. Maladies cérébrales aiguës de l'en- fance, par Muratow, 369. Effets
dild, 297. Musicale. Affections de la faculté dans les maladies cérébrales , par Ireland, 128. Musique et faculté musical
aelir, 404. Pleurs. Rires et - inextinguibles dans les affections cérébrales , par de Bechterew, 57. Plexus DE ERB. Paralys
ar Woods, 357. Rires et pleurs inextinguibles dans les affections cérébrales , par de Bechterew, 57. Ruban DE Reil et écorc
ections cérébrales, par de Bechterew, 57. Ruban DE Reil et écorce cérébrale , par Bielscbowsky, 387. Trajet du , par Jakob
t aphasie hystérique chez un homme, par Sanphear, 365. Syphilis cérébrale , par Stiéglitz,274. Lésions vasculaires dans la
icale traitée par la trépanation, par Beevor et Bal- lance, 59. - cérébrale ; opération suivie de succès, par Dana et Con-
Bussel Strapp, 139. Vaso-moieur. Trouble - unilatéral d'origine cérébrale , par Kaiser,389. Ventricule. Sarcome du 1Va -,
31 (1844) Traité complet de l'anatomie, de la physiologie et de la pathologie du système nerveux cérébro-spinal. Première partie. Anatomie
protubérance annulaire, des pédoncules cérébelleux et des pédoncules cérébraux d'un nouveau-né, jusques et y compris les tractus
taire. LL, tractus optiques. M, éminen-ces mamillaires. N, pédoncules cérébraux . 4-, espace triangulaire inter-• médiaire aux péd
es cérébraux. 4-, espace triangulaire inter-• médiaire aux pédoncules cérébraux . S, corps géniculé interne. S', corps géniculé ex
es voisines, qui sont d'un gris tendre et transparent. N, pédoncule cérébral . I S C, hémisphère cérébelleux. B, lobule céré-be
a moelle allongée, la dissection de la région fasciculée du pédoncule cérébral . Tous les fais-ceaux de cette région du pédoncule
us d'une dissection de la moelle allongée, une coupe médiane du noyau cérébral ; elle montre même, en dehors de ce noyau , le ce
diane du corps calleux. C'', prolongement conoïde postérieur du noyau cérébral . +, lieu de concours de l'extrémité antérieure du
oelle épinière. P, faisceau moyen. N, région fasciculée du pédon-cule cérébral faisant suite au faisceau antérieur de la moelle.
r lequel la région fasciculée du pédon-cule se prolonge dans le noyau cérébral . bbbbN', prolongements en éventail de la région
bbN', prolongements en éventail de la région fasciculée dans le noyau cérébral . N 0, face profonde de la région fasciculée en co
protubé-rance des faisceaux W N" de la région fasciculée du pédoncule cérébral N, avec les faisceaux de la région fasciculée du
terne du pédoncule du cervelet. N N, région fasciculée du pédoncule cérébral . P, protubérance. M, sil-lon médian de cette prot
nulaire. P, protubérance annulaire. N, région fasciculée du pédoncule cérébral . M, éminences mamillaires. L, tractus optique. S
taire. FIGURE 2. Cette figure représente la face externe du noyau cérébral dont la saillie centrale est encore revêtue par l
J A A b, couches fibreuses excentriques de la face la-térale du noyau cérébral , a, tubérosilé temporale de la circonvolution de
e au groupe quadrilatère. FIGURE 2p. Face convexe d'un hémisphère cérébral du côté gauche. D , extrémité antérieure. D', ext
pitale à la grande circonvolution de deuxième ordre. Cet hémisphère cérébral a été figuré comme un exemple de développe-ment m
ésente la face interne et la zone cérébello-temporale de l'hémisphère cérébral du côté gauche. Le corps calleux a été coupé sur
à montrer les cir-convolutions de la base du cerveau ; les pédoncules cérébraux ont été cou-pés à quelque distance en arrière des
ité du cerveau. FIGURE ]'-. Celte (igure représente un hémisphère cérébral vu de profil par sa face externe. Cet hémisphère
deuxième ordre- FIGURE 2e. Cette figure représente un hémisphère cérébral vu par en haut. Le dé-veloppement des circonvolut
Cette figure a pour objet de faire comprendre les rapports du noyau cérébral avec les hémisphères. Le cerveau, reposant sur
-f- -f-, ruban fibreux de l'ourlet. A', pointe pos-térieure du noyau cérébral Cette planche présente deux figures destinées à
sente deux figures destinées à faire comprendre les rapports du noyau cérébral avec l'hémisphère. FIGURE 1re. Cette figure,
s, présente en K K K la face interne de l'hémisphère séparée du noyau cérébral ; en V V la doublure fibreuse de l'insula, séparé
ère du côté droit est resté dans ses rap-ports naturels avec le noyau cérébral ; celui du côté gauche a été séparé du noyau céréb
ls avec le noyau cérébral; celui du côté gauche a été séparé du noyau cérébral . La moitié gauche du noyau est à découvert. Pou
se frontale. K', pointe du prolongement conoïde postérieur du noyau cérébral . Cette pointe correspond au prolongement postérie
eux figures destinées à représenter les surfaces extérieures du noyau cérébral . FIGURE **e. Cette figure montre toute l'éten
Cette figure montre toute l'étendue de la face supérieure du noyau cérébral , et laisse voir en raccourci une partie de ses fa
antérieures du corps calleux, a', sommet du cône postérieur du noyau cérébral . J, partie fran-chement transversale du corps cal
osité temporale de la circonvolution de l'ourlet. R , partie du noyau cérébral répondant à la corne temporale du ventricule. Q Q
te figure représente une vue de face des parties inférieures du noyau cérébral , et une vue fuyante de quelques-unes de ses parti
t été faites pour montrer, d'une part, les connexions de l'hémisphère cérébral avec le noyau cérébral; et, d'une autre part, la
er, d'une part, les connexions de l'hémisphère cérébral avec le noyau cérébral ; et, d'une autre part, la disposition des élément
artiennent à l'hémisphère. FIGURE 1". Dans cette figure, le noyau cérébral partiellement séparé de l'hémi-sphère , est vu de
artiellement séparé de l'hémi-sphère , est vu de face. L'hémisphère cérébral , qui se présente aussi de face, a été entamé tran
sèque de l'hémisphère. Ce tronc s'insère à la partie externe du noyau cérébral dans l'intervalle des couches fibreuses qui monte
calleux, d, tractus médians longitu-dinaux de ce corps. L'hémisphère cérébral du côté gauche a été enlevé. On voit en C le moig
a figure 1re. On a divisé avec lui la moitié correspon-dante du noyau cérébral . On voit en H' le tronc fibreux qui fait suite
H montre les prolongements de ce tronc fibreux à leur sortie du noyau cérébral ; H"H" H", les prolongements de ce tronc fibreux d
es à faire comprendre la structure de la partie fondamentale du noyau cérébral . FIGURE \™. Cette figure montre la face infér
32 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
rne se continuant en haut avec les fibres arquées (voir Topographie cérébrale , deuxième zone, face postérieure°-), nous pouvo
u moment où elles contournent les expansions 1 Essni de topographie cérébrale . {Progrès médical, 1878.) lne. cit, 6 ANATOMI
'artère de l'hémorrhagie centrale (Charcot), venant elle-même de la cérébrale moyenne. La direc- DES IRRADIATIONS CAPSULAIRES
iculaire à celle des artères terminales de la portion latente. La cérébrale antérieure fournit également du sang, sinon tou
t, je n'ai constaté leur im- portance anatomique que sur les coupes cérébrales . Dans les transversales, elles donnent lieu trè
Pitres.-Recleerches sur les lésions du centre ovale des hémisphères cérébraux étudiés au point de vue des localisations cérébra
des hémisphères cérébraux étudiés au point de vue des localisations cérébrales . Paris, 1877. 2 Clozel de Boyer. Etudes topog
aie gauche, méninges épaisses et adhérentes. En ce point, substance cérébrale déprimée et diminuée de consistance. Abcès du v
tés se continuent sans ligne de démarcation distincte avec le tissu cérébral voisin ; sa con- sistance est molle, tremblotan
re de la couche optique. S l, Septum lucidum. C. c, a, Commissure cérébrale antérieure. C m, 4, Centre moyen de Luys. 1 F
ur. 0. g. n. o, Origine grise des nerfs optiques. 7'. c, Ti,igone cérébral . V. m, Ventricule moyen. CLINIQUE MENTALE 1
ttaques nerveuses, et il mourut quelque temps après d'une affection cérébrale . Un cousin germain de la ligne 42 -') PATHOLOGI
e troubles de la sensibilité; pas de paralysie franche. Aucun foyer cérébral . ill. Kirchhoff rapproche ce fait des accidents
chorea dimidiata d'Eulenburg), à la résorption biliaire (excitation cérébrale ) de l'atrophie jaune aiguë du foie. Peut-être l
quoiqu'en dise l'auteur. CH. F. XIX. Contribution aux localisations cérébrales , par S ? LSI19RRRY. (The Lancet, septembre et o
hère. CH. F. XX. PÉNÉTRATION d'un FRAGMENT DE FER DANS LA SUBSTANCE CÉRÉBRALE ; mort en quatre mois; autopsie; par Boni. (Tite
eu de céphalalgie et une légère surdité, mais pas d'autres troubles cérébraux . Des tentatives furent faites pour extraire le
anger, mais elles n'aboutirent qu'à pro- duire l'issue delà matière cérébrale , ce qui les fit cesser immédiate- ment. Néanmoi
vaso- ? i2oteur de cette partie de la face. Pas d'autres q mptômes cérébraux ou sp)- naux. Par conséquent, l'auteur considèr
ardiaque), l'époque des règles, l'existence d'une tare psychique ou cérébrale au moins latente, se traduisant, aux yeux d'un
lie pas à une analyse, il faudrait la copier. P. K. XIV. Pression cérébrale ET psychose consécutives A UNE synostose prémat
table interne témoignerait de l'augmentation de la pression intra- cérébrale ; elle expliquerait en même temps, de concert ave
aires, myélites chroniques, ataxies locomotrices, ramol- lissements cérébraux , etc. Ce sont les atrophies musculaires d'origine
poids du cervelet, du bulbe de la pro tubérance et des hémisphères cérébraux , d'après les registres de Broca qui lui ont été
eur rapporte plusieurs cas de somnolence prolongée dans la syphilis cérébrale , il rattache ce phénomène à des lésions arté- r
Plusieurs autopsies faites chez des idiots ,et montrant des lésions cérébrales et méningées plus ou moins étendues et profonde
t une apoplexie avec hémiplégie consécutive, simulant l'hémorrhagie cérébrale ou le ramollissement; tantôt c'est une monoplég
ou un monospasme rappelant plus ou moins les symptômes des tumeurs cérébrales ; tantôt c'est un délire aigu, sans paralysie, n
norme qui va parfois jusqu'à l'oblitération complète. Les lésions cérébrales de la méningite tuberculeuse sont de nature inf
s complète, l'auteur a examiné histologiquement un ramol- lissement cérébral récent et un ramollissement ancien; dans ces de
e. J. COMBY. 126 BIBLIOGRAPHIE. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE Accidents cérébraux au début de la pneumonie chez les enfants ; par
r Jacquemart. Thèse de Paris, l 884. De la mort rapide par cedème cérébral chez les vieillards atteints de néphrite inters
expérimentales sur l'excitabilité électrique des circon- volutions cérébrales et sur la p< ! ) iode d'excitation latente du
nalogue à celui qu'on observe chez les individus atteints de lésion cérébrale 1 P. nicher. - Eludes cliniques sur l'hi/aléro-
artielle hystérique) présente avec l'épilepsie partielle par lésion cérébrale , il existe des signes qui permettent d'établir
apporte, on va le voir, à un cas d'épilepsie partielle par lésion cérébrale . Ce signe négatif, c'est l'absence de paralysie
.dia- gnostic différentiel entre l'épilepsie·partiellé par.lésion cérébrale et l'épilepsie partielle hystérique sur ? les tro
L'examen attentif des cent vingt-sept observations d'hémorrhagie cérébrale colligées par Gintrac nous conduit au même résu
a nuance où-variété que présente ici l'aphasie ? Où donc l'écorce cérébrale est-elle aussi bien placée qu'à la partie anté-
tr' 9r'll,tn^ uA rl9 Sn'1 : `1R0 rameaux que leur, fournit 1 artère cérébrale antérieure, on aurait, pu^avancer, que la ruptu
uble origine, indépendante l'une de l'autre, l'une appartenant à la cérébrale moyenne, l'autre à-la,cérébrale antérieure.-
e l'autre, l'une appartenant à la cérébrale moyenne, l'autre à-la, cérébrale antérieure.- iir.1 , - 89 f .2° Lésions sit
e tubercule interceptant les moyens de communication entre l'écorce cérébrale et le centre, l'aphasie aurait dd se produire,
r ses : ] ésidus en ligne de compte pourcl'explication des troubles cérébraux , et rapporter tousicesiderniers à. l'altération
Nous avons dit que, sur cent vingt-sept observations d'hémorrhagies cérébrales , le lobe ;moyen, gauche^en avait été cinquante-
on'dta'c'erebraleant'eneurear'u'n'cait['o ? io'n'de'15 ? tian de la cérébrale antérieure par un caillot long de 15 riollu. 'A
e. Aujourd'hui, après le travail de M. Duret sur la cir- culation cérébrale ; après notre travail sur l'état de la couronne
a paralysie à gauche et de ne pas la rap- porter à l'athérome de la cérébrale antérieure chargée d'artérialiser la tête du no
ventricule latéral. On notera, d'ailleurs, que les rejetons de la cérébrale moyenne, artères lenticulo-striées, dont la dis
notre opinion. Ainsi, tous les faits d'aphasie concernant les lobes cérébraux , an- térieur et moyen, concourraient à la confi
disparaî- tre. L'exagération de la poussée sanguine dans Tarière cérébrale moyenne survenant forcément au moment où "là'de
ue ou plutôt de l'iit`flûçiicç tle 'l'ictus' épileptique sur l'état cérébral normal et pathologique (1883)'. u ? ^ 9 '< "Wn
é, le délire chronique, quel qu'il soit, ou que DES CIRCONVOLUTIONS CÉRÉBRALES . 181 ··rt P d'autres états pathologiques se g
de la Salpê/rière, 2e (lit., 1881. 1. l.,u ,11 DES CIRCONVOLUTIONS CÉRÉBRALES . 183 qu'elle devient plus étroite, à mesure qu'
fait à bon droit remarquer que, dans le mémoire de Gratiolet (Plis cérébraux , etc.), le lobe frontal ne comprend que les tro
iii211s, rln.Dir.fionrrnirr. Encyrtolrtirfrrc.. DES CIRCONVOLUTIONS CÉRÉBRALES . 185 rejoindre ceux de la face convexe latéra
'aA;'& ! <cA ? ]87n. , ,, -i'h'i 9 iom 1 DES CIRCONVOLUTIONS CÉRÉBRALES . 187 Synonymie : Sillon infero-frontal (Huxley)
lerior (Pansch) ; Circonvolution proerolandique DES CIRCONVOLUTIONS CÉRÉBRALES . 189 (Broca) ; Circonvolution verticale antérie
e revêt un aspect polymorphe ? Qu'on en juge. DES CIRCONVOLUTIONS CÉRÉBRALES . 191 b.Loi3UI,P t'ARiÉTAL INFÉRIEUR (Ecker).La
temporosphe- noidal convolution (Turner). ' " DES CIRCONVOLUTIONS CÉRÉBRALES . 197 Située au-dessous de la scissure de Sylviu
troisième circonvo- lution occipitale. n ' e DES CIRCONVOLUTIONS CÉRÉBRALES . 199'') i temporaux trazzsverses, qui, au nombr
de MeckelJ. - Parallèle dans sa moitié antérieure à la grande fente cérébrale de Bichat, dans sa moitié postérieure à la scis
i 1 ,1 l'Mflu i i b aiIJ : DRUrY cas d'épilepsie liée a une tumeur cérébrale ; par Herbert a ii pz pACKER : v(Joürrial of n'z
de serni-purulent, venant de l'espace sous-arachnoïdien. Le tissu cérébral est ferme; à la base du cerveau, on voit une me
d'une mince capsule, molle, de couleur jaune pâle, partant du lobe cérébral moyen droit, faisant saillie dans l'espace interp
de la corne descendante du ventricule latéral, par de la substance cérébrale . L'examen microscopique montra qu'il s'agissait
s après la mort), on trouve la dure-mère un peu adhérente; le tissu cérébral est ferme. A gauche, dans la portion extra-veut
ractère criminel de l'acte commis. Il suffit que de pareils états cérébraux existent, et que leur pos- sibilité soit reconn
mme 'd'ordinâiré^desUé- sions'de la névroglie; du tissùlôoiincc'tif cérébral ? ton trou ? o'Ia''në' vroglie normale sa peine
214 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE , * 1 quide mêlé de pus. Le tissu cérébral ,était de consistance peu u i.i l .ion. >", -
3 ruptiiro'tarlérielle a 'été précédée d'un trouble de la nutrition cérébrale , reconnaissant prob'ablemdnttpour'càuse l'état
.il lu ^lliJU.lOlliA-i tin du *Vl.>i fL, V; luiopsié. Arle ! res cérébrales , altérées : ( membrane épaisse, com- prenant l'
n on ne constatait ni inégalité pupillaire, ni aucun autre symptôme cérébral ; le tabes était très accusé. Le 22 sept. 1881,
pèse que 67n grammes; la réduction estexcessive dans l'hémisphère cérébral gauche; il y a en outre asymétrie des sillons et
qu'elle a détruit, en s'étendant jusqu'au voisinage du pédon- cule cérébral ; la seconde (de couleur brun-rouge) occupe la par
les troisième et quatrième ventricules et a déchiré les pédoncules cérébraux , surtout celui de droite. L'auteur attribue au
quer ses deux phases par la théorie de l'anémie et de 1'li,péi-émie cérébrale . C'est une maladie rare, puisque dans son servi
t loca- - Usées en un point peut servir à l'étude des localisations cérébrales ; notamment pour l'aphasie. Quanta lanzigruirz
issait-il d'une simple hystérique ou d'une épilep- tique par lésion cérébrale ? Le tableau symptomatique autorisait à la fois
ment à la suite des attaques d'épilepsie partielle due à une lésion cérébrale . Si Ang... ne peut mouvoir son bras qu'avec dif
is encore, à notre connaissance, rencontré dans les cas de tumeur cérébrale , n'avaient éveillé les doutes et pro- voqué les
- lepsie partielle (épilepsie jacksonnienne, épilepsie par lésion cérébrale ) ; . 4° La fausse épilepsie partielle de nature
à l'étude des localisations céré- brales; observation d'hémiplégie cérébrale infantile spasmo- dique (épilepsie partielle).
ues. État de mal. J)f0t'<. Autopsie : Atrophie de l'hémisphère cérébral droit et de l'hémisphère cérébelleux du même cô
cin aurait dit que « ça sentait la fièvre typhoïde et la congestion cérébrale » ; durée : trois mois. Lorsqu'il a quitté le li
es, les tubercules mamillaires sont égaux et blancs. Le pédoncule cérébral droit n'est pas aussi bombé que le gauche. Il exi
es sont également colorées. L'encéphale pèse 1,090 gr. L'hémisphère cérébral droit pèse 90 gr. de moins que le gauche. Cerve
re, entre autres l'élé- vation de la température. IV. Les lésions cérébrales trouvées à l'autopsie n'intéressent que l'hémis
ortement atteint que le memb' e supérieur ; or, DES CIRCONVOLUTIONS CÉRÉBRALES . 3H l'autopsie nous a montré que, au niveau de
des asiles de la Seine. II. Face INTERNE ou médiane DES hémisphères cérébraux . C'est la surface plane qui, dans chaque hémisp
'volution temporo-occipitale ou lobule lingual. DES CIRCONVOLUTIONS CÉRÉBRALES . 313 moment où elle s'infléchit pour rejoindre
son sens, le lobe falciforme, limité en dedans par la grande fente cérébrale de Bichat, et en dehors par la scissure limbique
iforme rattacherait la circonvolution marginale DES CIRCONVOLUTIONS CÉRÉBRALES . 319 externe (à vrai dire, le gyrus fornicalus)
sse, à celui d'une enfant normale du même âge. Les deux hémisphères cérébraux sont similaires. Dans le lobe frontal, les circ
té cutanée et DU SENS TOUS- OCULAIRE A Li SUBI'.4CE DES HÉMISPHÈRES CÉRÉBRAUX ; par BECIITEREW. (Neurol. Central6l. 1883.)
é- rations ordinaires de la méningo-périencéphalite; la substance cérébrale et la moelle sont dures et élastiques. Le microsc
midal ne s'observe ni dans la moelle allongée, ni dans le pédoncule cérébral et que la lésion des cornes antérieures est la
que l'asphyxie due au laryitgisme. Roseiithal y joint l'hémorrhagie cérébrale et la syncope. Dans le cas présent, la mort par
, une dégénérescence secon- daire qui occupait le pied du pédoncule cérébral , la protubérance, la pyramide de la moelle allo
k a eu l'idée de soumettre à la méthode d'Exner les circonvolutions cérébrales de deux nouveau-nés à terme, d'un nouveau-né av
aux con- clusions suivantes : 1° Dans toutes les circonvolutions cérébrales , c'est d'abord à la lisière de la substance bla
us l'influence, de par l'hématome, de l'augmentation de la pression cérébrale , les gaines des nerfs optiques se remplissent d
ale du nerf optique. Puis survenaient des phénomènes de compression cérébrale ; mais, en somme, après une amélioration notable
SUR la PERTE DE force DES membres non paralysés dans L'HÉ- MIPLÉGIE cérébrale ; par R. Friedlcender. (JVCM-0<. Centralbl.,
lysée perd en moyenne 18 8 kiL de sa force ; 2° dans l'hémiplé- gie cérébrale droite, le bras indemne perd plus de sa force que
ire soient le fait d'un maladie; 2" l'examen microscopique du tissu cérébral , l'observation des effets de l'alcool nous donnen
uteur rappelle que l'on décrit ordinairement deux formes d'atrophie cérébrale : l'une dans laquelle on constate un arrêt de d
pas à mourir, après avoir présenté les symptômes d'une complication cérébrale nou- velle. A l'autopsie, on trouve au-dessus
s se dilatent et deviennent souvent un peu paresseuses. Circulation cérébrale . On observe quelquefois de la congestion de la
qu'il s'est hâté de réveiller le patient; toute- fois les troubles cérébraux quelque peu sérieux paraissent très rares. Re
« 4° Tant que la conscience persiste, la perception de cette action cérébrale réflexe et automatique donne au sujet l'impressio
la pie-mère, pesait 1,100 grammes dont 503 grammespourl'hémisphère cérébral droit et475 grammes pour l'hémisphère cérébral
mmespourl'hémisphère cérébral droit et475 grammes pour l'hémisphère cérébral gauche, 84 grammes pour le cervelet, la moelle
ÉTÉS SAVANTES. 371 I cules quadrijumeaux sont normaux. Le pédoncule cérébral gauche est plus fort que celui de droite. La fo
éparé, qu'on a même détruit, à l'aide d'une cu- rette, la substance cérébrale d'un côté, ou dans les deux hémis- phères, les
ait à priori tout à fait improbable que l'énorme masse de substance cérébrale qui forme le lobe frontal de l'homme soit total
t assez marquée ; mais toujours on note simultanément des symptômes cérébraux accentués tels que la céphalalgie et des vertig
oncé et très étendu de l'artère sylvienne gauche, mais la substance cérébrale ne présentait aucun résidu anatomopathologique
neté du début de la perturbation et la concomitance des symptômes cérébraux , soit dès son installation soit au cours de son d
e ces essences (du camphre, par exemple) dépendent d'une congestion cérébrale due à la paralysie de la tu- nique musculeuse d
i. A collection a7ad una- 1 sis of the anzerican cases of localized cérébral dtsease. Brochure in-8" de 53 pages. New-York,
pileptique), 3ïs ; 'lésion hémilatérale du), 308. Circonvolutions cérébrales de l'hom- me (synonymiedes), par Kéraval, 181
ie (traitement de l' par les bromures), li9; - (liée à une tumeur cérébrale ), 204. Epileptiforme (étude d'une nouvelle va
rpentier), 206. Force des membres non paralysés dans l'hémiplégie cérébrale , 344. Friedreich (maladie de), 365. Galvano-f
iopathiques de la), par 0. Berger, 85. Latah, 68. Localisations cérébrales , Sharkey, 87. Loi de 1838 (quelques modificat
phénomènes produits par la section des fibres dans l'hé- misphère cérébral ), par Bechte- rew, 78. Paralvsie progressive
par Vi- ,-otii,otix, 273. Trijumeau (paralysie du), 396. Tumeur cérébrale avec surdité cen- trale unilatérale, 82. Tume
Tumeur cérébrale avec surdité cen- trale unilatérale, 82. Tumeurs cérébrales .( casuistique des), par Iiicliter, 83. Voyag
ieur. 0. g. n. o, Origine grise des nerfs optiques. T. c, Trigone cérébral . V. Ventricule moyen. Archives de Neurologie.
33 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
ident que les deux autres coupes divisent un centimètre d'épaisseur cérébrale . La cinquième zone traverse le putamen de Burda
t com- plètement privée de tout processus provenant des par- ties cérébrales qui l'entourent. La branche postérieure de la c
ue. A son pied, elle se continue avec les trois étages du pédoncule cérébral , mais principale- ment avec l'inférieur. Le loc
ant, non des rayons dirigés vers les divers points de la périphérie cérébrale , mais des courbes concaves en bas d'inégale gra
tre les parties réfléchie et directe du pilier antérieur du trigone cérébral en dedans, et le pédoncule cérébral en dehors,
u pilier antérieur du trigone cérébral en dedans, et le pédoncule cérébral en dehors, se réfléchit sur ce der- nier et se
econ- dairement par les faisceaux les plus reculés du pédon- cule cérébral . Gratiolet a le premier attiré l'attention sur
ule interne (Flechsig) correspond aux piliers antérieurs du trigone cérébral au moment où ils sont en rapport avec la portio
où ils sont en rapport avec la portion apparente de la commissure cérébrale antérieure, et en est séparé par une couche de
nglions sont des confluents où les conducteurs de la force nerveuse cérébrale subiraient une in- terruption (Meynert), ou, à
LE INTERNE ET DE LA COURONNE RAYONNANTE. 13 du cerveau au pédoncule cérébral : ils sont, comme on dit, directs. Or, pour n
n le croit, sont au contraire restreints, au lieu de toute l'écorce cérébrale , ce n'est que quelques-uns de ses districts qu'
ture à nous faire admettre la moindre connexion entre la périphérie cérébrale et la capsule. Cependant, les auteurs y décrive
nt il s'agit nous voyons une infinité de rayons unissant l'écorce cérébrale aux ganglions; mais, s'il existait réellement d
contre l'opinion qui faisait converger sur eux toutes les fibres cérébrales environnantes. Néanmoins , on enseigne que la p
ant par le bord postérieur du noyau lenticu- laire et la commissure cérébrale postérieure. Ce sont les fibres optiques de Gra
laires continus eux-mêmes à ceux de l'étage supérieur du pédoncule cérébral . Contrairement à l'opinion gé- nérale, cette co
quence im- portante, que, toutes les fois qu'un district de coupe cérébrale sera d'aspect hétérogène, nous devrons le consi
austrum, qu'il traverse pour se mêler aux fibres de la commissure cérébrale antérieure et venir former les couches les plus
insula de Reil en haut, à celles qui la limitent en bas sur la base cérébrale . Aux connexions que Meynert lui attribue, avec
es finissent par disparaître au moment où se présente la commissure cérébrale antérieure destinée à les remplacer pour l'unio
mée de deux espèces de fibres jusqu'à la rencontre de la commissure cérébrale anté- rieure : les unes, venant du corps' calle
où ses fibres commissurales vont être remplacées par la commissure cérébrale antérieure (Pl. XVII, t. I). 36 ANATOMIE. *
à effectuer, puisque la surface de frottement que la subs- tance cérébrale présente au couteau est notablement moins étend
nsula de Reil. i,. St., noyau rouge de Stilling. P. c., pédoncule cérébral . Il. r. conique, prolongement conique. Tr. c.
. p. ·., tri;one céréLral, portion réfléchie. Tr. c. p. d., trigone cérébral , portion directe. PLANCHE VI C. i., capsule i
audé. V, v·. St., noyau rouge de Stilling. P. c. f. s., pédoncule cérébral ; faisceaux sensitifs. DE LA CAPSULE INTERNE ET
exe chez les grenouilles décapitées. Schiff a, par diverses lésions cérébrales , déterminé une diminution unilatérale de la sen
transfert, la voie des impressions sensitives dans les hémisphères cérébraux . De son côté, M. Adamkiewicz voit, dans le tran
tion d'une portée limitée du tégument dans l'anesthésie par lésions cérébrales , l'intoxication satur- 7M' ? ! C, l'hystérie et
t prouver, en outre, qu'il existe une troisième sorte de mouvements cérébraux , complètement indépendants de toute action resp
même agent électrique déterminaient l'hypérémie de l'hémis- phère cérébral de l'autre côté, et vice versa. P. K. V. NOUVEL
le chien de fortes éten- dues des couches corticales dans les lobes cérébraux sans dé- terminer de paralysie ni d'anesthésie
tous ces cas, le réflexe est d'autant plus accentué que l'influence cérébrale se fait moins sentir. De plus, la durée moyenne
allie à l'opinion de M. Luys, et admet comme lui que l'hé- misphère cérébral gauche se développe le premier, d'où la prédomi
EVUE DE PHYSIOLOGIE. XII. CENTRES DE la vision dans LES HÉMISPHÈRES cérébraux ; par J.-C. DALTON. (Tlte médical Record, New-Y
du singe et de l'homme, M. Dalton a enlevé cette partie de l'écorce cérébrale sur deux chiens, une fois à droite et une fois
e Dr BEACH dit : 1° qu'il n'a que rarement rencontré l'hypertrophie cérébrale limitée ; et que, d'accord sur ce point avec Br
ryologie) ; Par MATIIIAs DUVAL. De toutes les régions de l'écorce cérébrale , il en est peu qui, par leur disposition partic
(avec le corps bordant). Cepen- dant, cette partie des hémisphères cérébraux n'a encore été en France l'objet d'aucune monog
2 ANATOMIE. tiers considéré comme une partie étrangère à l'écorce cérébrale , placée dans l'intérieur des ventricules. En Al
l'ensemble de la corne d'Ammon et le reste des cir- convolutions cérébrales . C'est pourquoi, ayant repris, à l'aide de nomb
rne d'Ammon elle-même, et ne font commencer la région de la surface cérébrale qu'au delà (en dedans, par rapport à l'axe médi
e fente faisant communiquer la cavité ventriculaire avec la surface cérébrale ; la cavité ventriculaire cesse au niveau du bor
hémisphères, il reste encore chez les lissencéphales un seul gyrus cérébral , la circonvolution godronnée, reconnaissable au
En voici le résumé, fait par l'auteur lui-même. Après une attaque cérébrale aiguë, impossibilité absolue de lire les mots é
es et des objets. Mort par apoplexie, athérome étendu des vaisseaux cérébraux . An- ciens caillots dans l'hémisphère gauche av
llots dans l'hémisphère gauche avec ramollissement 'de la substance cérébrale siégeant en dehors du ventricule laté- ral, à s
ur la localisation des diffé- rents centres sensitifs dans l'écorce cérébrale , et, d'autre' part,1 sur l'acquisition à l'aide
'Académie de médecine de Belgique, 1865, t. vin, p. 64 ; Broadbent. Cérébral mechanis mof thought and speech, in Med. chir.
quelque sorte délaissés dans cette question, ainsi que les méninges cérébrales , comme si des symptômes cérébraux ne pouvaient
estion, ainsi que les méninges cérébrales, comme si des symptômes cérébraux ne pouvaient pas exister dans quelques formes d'a
sur les symptômes anormaux, et en particulier sur les symp- tômes cérébraux qui se montrent parfois dans l'atrophie mus- cu
nt alors de grouper à part ces atrophies musculaires avec symptômes cérébraux et bul- baires '. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUS
capital dans deux cas, dans l'un' desquels il y avait1 urié lésion' cérébrale ! La leucocytose fut observée 'dans 'deux cas ;
isement ou par fièvre hectique. Dans deux cas on'trouva des tumeurs cérébrales ; dans quatre des tumeurs dans le canal'rachidie
disparition de céphalalgies opiniâtres, l'amélioration de maladies, cérébrales chroniques, dès le début, consécutivement à l'i
erruption descelles dés' fibres 'centrifuges'qui partent des foyers cérébraux modérateurs''du' système'réflexe''(observation
a l'aide des « recherches » de notre maître 'sur l'hémi-anesthésie cérébrale et hystérique. ` > f, r' z r p .-irf r-Ml/j
yant déterminé des lésions dans le noyau lenticulaire, le pédoncule cérébral et les portions avoisinantes de l'hémisphère dr
iels du service. , . , r ... XI. SUR la pathogénie DE l'hémorrhagie cérébrale dans LES formes précoces DE la' syphilis; par C
par le traitement ? et rapportées par les' auteurs à'ia' congestion cérébrale ).'1 Quant'aux altérations vasculaires dans' les
de reproduire,ici, l'auteur étudie la fréquence des hémor- rhagies cérébrales aux différents, mois qui, suivent l'infection,
telle partie de, cet organe; il ne, connaît aucun cas d'hémorrhagie cérébrale syphilitique dans l'épaisseur déjà ? couche opt
l'existence constante des lésions artérielles dans les hémorrhagies cérébrales des premières périodes de la syphilis, Lechner
sposition.tn,éln5 8t S9jrfi JxrolTira .aaj[)T'(.mà1 1 L'hémorrhagie cérébrale de la période des accidents secon-; daires surv
pourra voir dans la période des ace id e t iair s 1 'l orr i* iaoie cérébrale se mon-, trer de nouveau, mais, alors, ce n'est
, trer de nouveau, mais, alors, ce n'est'plus dans les ganglions, cérébraux qu'est son siège de prédilection, c'est dans la c
6'de la'-sy"pliilii'cez 1'liomme, l'auteur trouve que Diémorrhagie " cérébrale est' sensiblement plus fréquente'chez1 l'homme
siter qu'entre la paralysie progres- sive des aliénés et une lésion cérébrale localisée. Si la première trouvait ses argument
éciable ? s'était- greffée une" poussée aiguë purulente de l'écorce cérébrale , expliquant les modifications séméiologiques et
ii8d' f· a9 Pd'q^f XIV.' PARALYSIE LABIO-GLOSSO-PHARYNGÉE d'origine cérébrale 53'A1FOYER unilatéral'; par Kirchhoff. ATClt2v.
- Le traitement doit avoir pour but de régulariser la circulation cérébrale ; l'auteur emploie .l'acide, cyanhydrique, le sir
ne femme, âgée' de ving-deux ans, avait eu une attaque d'hémorragie cérébrale deux ans auparavant.1 Il était resté, une grand
bi : ` Vv'arner pense' que' l'on peut déterminer des localisations cérébrales par les paralysies limitées ; on peut également
ons aiguës-gvaste "plan qui comprend' la totalité » des .accidents [ cérébraux jpassa- - 1gers ou persistants'en rapport avec
e), à la fois de l'action, irritative du-, ferment sur les cellules cérébrales et médullaires, à la fois de la' localisation f
.t chreiber pendant l'accès), les foyers pigmentaires de-, l'écorce cérébrale ,' etc., pârfois même, des.exsudats plastiques^
plupart des cas,on rencontre, en étudiant a 'mal.,ide, des'troubles cérébraux profonds ,dus soit'à à 1 héiédité; sôit à `dés
? t ? t)i ? )'t ? i ? i) ? j''i ? f " 1 altération de 1 hémisphère cérébral qu elle a déterminée, a Il, l'hémi-sp." cere ra
on),, réside id'ràllèl&în611t"da'nsllw diminution-dé l'activité cérébrale et. dans ''l'irritation' des 'centres sensôriel
ortant.^ La balle fractura l'occipital et détermina des accidents i cérébraux -t qui en trois jours enlevèrent notre malheureu
oire de M. ROLLER sur les Racines. spinales des jierfs jen- soriels cérébraux sera analysé, irai ? r ,. «jt/. , ,"r r· ? 111. J
' température extérieure peut amener là mort par suite 'de troubles cérébraux ," c'est ! le cas" du' coup de chaleur (Ch'. VAL
Vzrchôw'sArcha'v. T. LXVIII, p. p+5) ont cru trouver dans l'écorce cérébrale du chien des centres' modérateurs de la colorif
détailscet''aec6mpagnées 302 BiBLIOGRAPHI des schèmes'des lésions cérébrales produites. Expériences' 76 à'95) : On peut'en c
'a remarqué une production sensible de chaleur, sitôli la blessure, cérébrale effectuée, tandis que dans treize des premières
accusés. 11 faut donc admettre que : la, destruction' de1 la région cérébrale connue comme la première circonvolution cérébra
on' de1 la région cérébrale connue comme la première circonvolution cérébrale postérieure am sillon cru- cial, effectuée près
nt certains états fébriles excessifs et subits, comme le rhumatisme cérébral , peuvent 'être dus à une paralysie complète des
ure sur les phéno- mènes, de 'calorification et,, sur les symptômes cérébraux de l'hyperthermie, puis s'assurer de la part qu
irradiations corticales dans les couches superficielles du manteau cérébral . H. DE BOYER. f, IV. Marche de la paz·alysie gé
J.-B.-Ch. LAMEREUx. (Thèse de Paris, 188).) . j Des complications cérébrales des affections cardiaques ; par M. BAGOT (Thèse
unications à la Société Anatomique, notamment sur les Localisations cérébrales , et sur {'Etat des nerfs et des os dans les moi
gnifiques travaux de MM. Char- cot et Ferrier sur les localisations cérébrales , avait, été dignement récompensée par la Facult
ngite cérébro-spinalc aiguë, une revue critique sur la thermométrie cérébrale , fort utile à' con- sulter, et justement estimé
phasie' et suivie de guérison), '"2S9. ' o £ V ? " -^ Hémorrhagie cérébrale (pathogénie de la) dans les périodes précoces
mons, 140 : ' Labio-glosso-pharyngée (,paralysie il, d'origine cérébrale à,foyer uni- -* latéral), par Kerchoff, 256.
ff, 215. · S),pliilis '(sui ? Ia 'patliogénie de 1'liémori,ha,-ie cérébrale dans les - ? formes- précoces 1 de la), ''par
sb nsarsm i N. r. St., noyau rouge de Stilling. P. c., pédoncule cérébral . P. r. conique, prolongement conique. Tr. c.
ébral. P. r. conique, prolongement conique. Tr. c. p. r., trigone cérébral , portion réfléchie. Tr. c. p. d., trigone céréb
. p. r., trigone cérébral, portion réfléchie. Tr. c. p. d., trigone cérébral , portion directe. 326 EXPLICATION DES PLANCHES.
, N. ·. It., noyau rouge de Stilling. 1 - P. c. f. s., pédoncule cérébral ; faisceaux sensitifs.. , ""Iltz-1 i, n. j uhi t
34 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
hilitiques du système nerveux, compare bien les lésions de l'écorce cérébrale , dans un cas de paralysie générale, à celles de
ans les capillaires du cerveau et plus particulièrement de l'écorce cérébrale . Cette lésion est-elle différente anatomique- m
lément nerveux, or le malade n'avait présenté, en fait de symptômes cérébraux , que trois attaques d'aphasie transitoire ; ce
elques prodromes lointains avaient encore seuls annoncé l'affection cérébrale . ' A ces trois observations complètes, avec aut
de la marche et de l'évolu- tion de certains accidents de syphilis cérébrale . Observation I. Syphilis datant de quatorze ans
ingée ci la base du cerveau. Foyers d'oedème localisé dans l'écorce cérébrale . Voir. Delphine, âgée de quarante-cinq ans, mén
moitié antérieure de la protubérance et il contourne les pédoncules cérébraux pour arriver jusqu'à la face supérieure du cervel
ais à un degré moindre. Les méninges molles adhèrent à la substance cérébrale et en arrachent des lambeaux lors de la décorti
toutes les fibres périphé- riques de ce nerf. Cerveau. - L'écorce cérébrale est le siège d'une lésion vasculaire diffuse, q
sur l'adventice des capillaires, faisant saillie dans la substance cérébrale , et donnant par places l'aspect de grappes. Les
inflammation interstitielle diffuse n'est pas spés ciale à l'écorce cérébrale ; on la retrouve dans toutes les autre- ÉTUDE D
et la moelle où nous la retrouverons tout à l'heure. Dans l'écorce cérébrale elle est à son maximum dans tout le lobe frontal,
où les capillaires quittent la méninge pour pénétrer dans l'écorce cérébrale . En résumé le cerveau est atteint de méningo-en
es sous forme de houppes assez régulièrement espacées. Pédoncules cérébraux , protubérance et bulbe. Les lésions des vaissea
rondes ; elles ne contiennent pas de capillaires. Fig. 8. - Artère cérébrale postérieure. Péri-artérite nodulaire ; une plaq
êtée dans son développement. ? " "' · Si nous comparons les lésions cérébrales capables d'entraîner la démence à celtes qu'on
vons beaucoup de semblables ? le ramollissement et l'hémor- rhagie cérébrale , la méningo-encéphalite, la sclérose.cérébrale,
te. La maladie véritable 'c'est' l'hémorrhagie ou le ramollissement cérébral , c'est la méhingo-encéphalite, etc. Pourquoi co
il est beaucoup plus difficile de ratta- cher l'idiotie à la lésion cérébrale qui,.l'a produite, que -la. - démence. Il est b
paralytique général et à' un"1 Hémiplégique avec "ramollissement , cérébral ZD ·c"y li il ? i11;1»lt'39n.t °i miiioiu1 1 fàxm
e rapproche singulièrement de la survie des déments à leurs lésions cérébrales , tandis que la moyenne de la vie des imbéciles
types de malades. Toits les idiots en effet présentent des lésions cérébrales , tandis que les imbéciles n'en offrent pas. Telle
po"n-vùlsif,711àmàii4ue ? suivant 'en somme les symptômes' d'ordre' cérébral dont il s'accompagne, tandis que l'imbécillité
et fatuité simple'. Autant ces auteurs ont été frappés des lésions cérébrales rencontrées dans l'idiotie, autant celles de' l
diotie; il s'agit alors' d'idiotie ordinaire conséquence dé lésions cérébrales .' Tantôt enfin l'épilepsie s'ac- compagne de l'
giqùe. Jusqu'à ce qu'on ait appris à diagnosti- quer les affections cérébrales de l'enfance entraînant de l'idio- tie, il faut
ais elle;-estjitile encore, en ce sens qu'elle, diminue l'éréthisme cérébral , et, la tendance^ aux actes dangereux ou délic-
gissait pas de démence précoce, et s'il n'y avait .. pas de lésions cérébrales capables d'expliquer cet état démentiel.' Quant
1 t'^'. f 1 , li 1 ? j-' ,, M. CHRISTIAN n'a'constaté aucune lésion cérébrale macroscopique. ? ; " - , ' ' i ? '' " ' lfancHa
du D'' Bourne- ville, l'éducation des enfants atteints d'affections cérébrales est un problème sur lequel doit se' porter l'at
verses questions à l'ordre du jour * s m, L'histoire des scléroses' cérébrales et-'des encéphalites )'de l'en- >' fance "es
ines ! la , pathologie- eU l'anatomie patholo- gique des affections cérébrales d'origine congénitale ? . '.f .ji ? ïitJ.av'Iyo
tissus normaux et pathologiques; la découverte des localisations cérébrales a éclairé le diagnostic. Dans le domaine de la th
près saines. Il, n'en est' pas de même desfcapillaires de l'écorce cérébrale qui.dans îlBraioru -i "fi W,f a( ? )61W' u'lU 1
aineradventicè7et-fôiit ail lie PI'Utôt ? dans > lai substance i cérébrale rque ' dans l'espace'Iympliatique : Ce' sont le
us"d'impoftance "au1 point" 'dé vue de'la ! nosographie'de l'oedème cérébral : ™,,f ? ' « "™'> "'fy df'ul n ? ") ? t'T"T
rs caraétères'anatomiques,tsont comparables'à'celles'de l'écorce' cérébrale ; peut-être's'agit-il du inème ,f ïirocessus,'des
un infirmé.' y` a environ trois ans,, il présenté'' dès accidents1' cérébraux très, graves en appa-, rence,' car il a success
ésenté, trois ans avant'sa mort; des'symptômes graves d'affection cérébrale ? des symptômes qui sont souvent les précurseurs
nce'de lésions des éléments nerveux explique l'absence1 de troubles cérébraux ; ce malade, bien qu'atteint d'encéphalite', vas
, la première montre,des,lésions,vasculaires diffuses de l'écorce cérébrale qui se continuent directement avec des lésions go
pation antérieure des gros vaisseaux. Dans les trois cas, la lésion cérébrale était associée à diverses lésions diffuses de l
; cette altération peut se limiter aux vaisseaux de la subs- tance cérébrale et de la pie-mère, mais elle peut aussi descendre
cinquante-quatre ans. Son père est mort jeune, d'un ramollissèm eut cérébral ; sa mère fantasque, avait de' nombreuses manie
1 vue ' des phénomènes tabétiques qu'au point de vue des phénomènes cérébraux . ' i» , c . ; 1 f t. il, ? t ') ? / ,j,t - , '
eurs, rien n'est variable comme l'évolution clinique de la syphilis cérébrale ; mais sur ce sujet il n'y a rien à ajouter à c
une unité indiscutable ; c'est là une'belle synthèse de la syphilis cérébrale , à laquelle je ne peux que souscrire .'Mais, au
itement ? Ont traitera plutôt le malade, l'état général, que l'état cérébral même lorsqu'on a affaire au groupe c oti préser
nerveux tout entier, avec prédo- minance, si l'on veut, de l'écorce cérébrale , » Quanta en conclure que l'hystérie est une ma
entend toute maladie dans laquelle les phéno- mènes psychologiques cérébraux jouent un grand rôle, par la négative au contra
avec autopsie : Observation I. Thrombose de presque tous les sinus cérébraux et des veines centrales. Il n'y avait aucun des
l'101\ II. - Frisson initial, accidents aigus et subits,symp- tômes cérébraux : obtusion mentale céphalalgie frontale intense
x schémas intéressants, en particulier sur la structure de l'écorce cérébrale (fig. 22). L'étude se termine par des rappro- c
st, 389, XIV, 3.) A'. AL '1 .'t, 4 .12 ? 1 f n - .. XV. Paralysie cérébrale spasmodique DE .ERH ; par Manuel CARMONA, .T. V
daux,' ces paralysies sont apparues consécutivement à des accidents cérébraux de l'âge adulte avec vertiges, troubles des sens
hilitique. Cécité psy- chique et corticale. Observation IL Tumeur cérébrale indéniable. Compression et destruction de tout
iation de l'instinct, hypertrophie des centres génitaux, spinaux et cérébraux , sans que l'intelligence et la conscience en so
rastie, d'un animal qu'il sodomisera'. Enfin, il a été également un cérébral antérieur, autrement dit un plato- nique, ayant
ur 'ainsi dire; et notre malade est alors au point de vue sexuel un cérébral anté- rieur, et sous tous 'les rapports 'un obs
lsions/ voilà à-quoi se réduisent'en somme tous les actes de sa vie cérébrale : c'est par impulsion qu'il est un perverti sex
'dont ! 1 drol on'té"n'e ? p êùt-'diri'g'el' lés^divers territoires cérébraux ; 'ceux-ci/ au' lieu d'agir sur l'ordre de la cons
ritable explication psychologique de l'obsession et de l'impulsion, cérébrale ou spinale. L'acte ordinairement qualifié de vo
s" qui ne' le sont pas. ? Voici'les limites exactes de cette lésion cérébrale : n4yATir< ? tfi .r srrp flià4t'yq,% aaa En
ce généralisée ,.sauf-toutefois,en,ce,.qui concerne les hémisphères cérébraux , et le ? i''< ? vGSl.lttl4.db. G·1.1a1dVa·Jalf
vrite parenchymateuse. chronique du cubital droit. Leptoménirigite. cérébrale chronique. Endartérite et mésartérite syphiliti
ii ' r <' , ti'. va,-<\. m ŸXXVIIt. SUR deux cas D'HÉMIPLÉGIE cérébrale consécutive A la , ,DIPHTIIÉRIE; Par P.. SEIEIT
le dans le sang peut engendrer directement soit des ramollissements cérébraux , soit des altérations inflammatoiresdans les va
laires, l'extrémité antérieure de la protubérance, les pédoncules cérébraux . ,j i" ? -ir- ., ? z r ? ·,. P. K. // '' ) >
eptiques,' la paralysie, malgré la large extirpation de' substances cérébrales ne s'acerlit, pas, mais même s'aniéliora'notabl
qu'elles peuvent échapper et laisser croire' une atrophie d'origine cérébrale . Dans son observation de pouls lent permanent l
les difficultés que présente la détermination du siège des lésions cérébrales soudaines. Sans le brusque^arrêt respiratoire du
NTRIBUTIO\ylIL9 méthode, (Expérimentale EN matière de « physiologie cérébrale ; pàr : ,G,. '. RossO LIMO. (Netir(IlOg. Centralbl
vent présenter certaines variétés en rapport avec les localisations cérébrales ; ' 8° la cocaïne, la , propriété ( d'exciter. l
tesi parties du cerveau, l'in- troduction dans l'économie du poison cérébral révèle des troubles fonc- tionnels latents; 12°
rs, du ruban de Reil du côté gauche, d'une petite zone du pédoncule cérébral droit ? , i <)0 .- q ..8«ionuB 1 ''numtar.am
, 1res athéromateux. Les circonvolutions, sont àlrophiéesjile tissu cérébral mou etspou- gieux. Il y a un,,vaste ramollissem
s pyramidales rassemblées dans la capsule interne vont au pédoncule cérébral ; le ruban de Reil cortical entre directement da
UN C.1S.D'HÉTÉROTOPIE DE la SUBSTANCE GRISE dans LES HÉMI- SPHÈRES cérébraux ;' par M. MATELL. (Arch. f. Psychiat., XXV, 1.)
..il* ' ' ' < . 11111. LES CONSÉQUENCES mécaniques d'une.tumeur cérébrale ; . par Sommer. (Jahrbùch. f. Psychiat., XII, 1,
le trousseau antérieur, des -trois, quarts -internes du ;pédondule cérébral y compris le faisceau pyramidal, les fibres qui
édiaire déjà substance grise protubérantielle, un des hémi- sphères cérébraux commande au pédoncule cérébelleux moyen du ' cô
ndant a celui-ci ; 4° le corps genouilié interne dépend de l'écorce cérébrale ; 5° le corps de Luys dépénd'âüssi;dû'corvéaù;
srtih s,r,r.'l, -j » XXXIIL' Recherches anatomiques sur les artères cérébrales (Etude , sur la non-terminalité des artères de
sr. p·) r : ? c')ttat,Jf ! 9m9 ) r ' 4r t Injectant dans une artère cérébrale de 'l'alcool tenant en sus- pension 'dé, laHcir
tre elles. L'existence, constante d'anasto- moses entre les artères cérébrales dans leur trajet pie-mérien, ne suffit pas touj
LVI.j LÉSION DES ARTICULATIONS ETUDES MUSCLES DANS LES HÉMIPLÉGIES ^ cérébrales ; par IL. DARKSCHER'ITSCH.(Archzv. Psychial., XXI
) -$"Nrp.-fe. isfeq , -ifUï"ff 1/ L'auteur surtout dans, les formes cérébrales ,de la neurasthénie préconisé le traitement par
e `tare neurôpa- thique. Son père était toutefois mortd'hémorrbagie cérébrale . j9^ M : 3 BRIAND demandeisi 1l : GarodischeVes
de la communication, puisqu'un ascendant est mort d hxmor- rha,"ie cérébrale . Cesn deux3 observationsparaissenti enr,toutcas
e ? r'. t·lr L : ' F 'ItIr loi- rt·'v v. M. Ballet ? Lnemorrhagie cérébrale ne peut guère constituer une tare héréditaire,
re de Sandon, qui devenait aliéné après chacune de ses hémorrhagies cérébrales ;- i L'hémorrhagie cérébrales peut bien être con
iéné après chacune de ses hémorrhagies cérébrales;- i L'hémorrhagie cérébrales peut bien être considérée comme une tare neurop
une forte prédominance des manifestations maniaques, l'excitation cérébrale atteignant chez eux un degré extrême. Après avoir
éthodes différentes' ont été appliquées à l'étude des Localisations cérébrales : la méthode expérimentale et la mé- thode anat
M. Pitres, un travail d'ensemble sur la doctrine des Localisations cérébrales . La partie de ce tra- vail relative aux centres
s, tout événement psycho-physiologique, tout phénomène d'activité cérébrale a un côté subjectif sur lequel les animaux sont i
s, n'ont apporté aucune donnée nouvelle à l'étude des localisations cérébrales ; et comme il est très vraisemblable qu'on n*en
habere et inter se compàrare. Appliquée à l'étude des localisations cérébrales , la méthode anatomo-clinique a pour but la déte
autent aux yeux. D'abord, elle n'utilise pour l'étude des fonctions cérébrales de l'homme que le cerveau humain. Ensuite, elle
mort, une plaque jaune ancienne sur la surface d'une circonvolution cérébrale . Quelle expérience de laboratoire démontrerait
ion, comme étant, par principe, impropres l'élude des localisations cérébrales , toutes les observations, anciennes ou récentes
tions postérieures sont indépendantes de l'appareil moteur intra- cérébral et que leurs lésions destructives ne provoquent p
palh. du corps humain, pi. 111, tij. 1- ? . ÉTUDE DES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . L)5 rentre au contraire dans le groupe des fai
ature à présenter quelque intérêt au point de vue des localisations cérébrales , avec un soin méticuleux, et à des- siner aussi
aris, dans la séance du 22 décembre 1876, la moitié d'un hémisphère cérébral dans lequel se trouvait un abcès. D'après lui,
lies ne sont pas égale- ment favorables à l'étude des localisations cérébrales . Les cas simples dans lesquels une lésion ancie
réter et partant beaucoup moins démonstratifs. Les cas de tumeurs cérébrales ne valent guère mieux. La plupart des tumeurs n
liquent à tel point les réactions fonction- nelles que toute tumeur cérébrale , quelle que bien limitée qu'elle paraisse à l'a
ique : Rejeter comme étant impropres à l'élude des 'localisations cérébrales tous les cas de lésions mzclliples ou diffuses, d
ites, d'hémorrhagies méningées, de tumeurs, ÉTUDE DES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 347 7 etc., dans lesquels des phénomènes d'irr
, la topographie fonctionnelle du cerveau. L'étude de la géographie cérébrale doit être faite d'abord avec les cas les plus s
s le choix des observations applicables à l'étude des localisations cérébrales . Il nous reste à formuler mainte- nant les règl
s- tante d'un symptôme déterminé avec les lésions d'un territoire cérébral également déterminé ; r. "Y}. L. 1 1 1 - t G).
ue des lésions, maisriparce qu'iljyra'dans l'étude de la pathologie cérébrale un certain nombre de causes d'erreurs à peu prè
r dans le dossier des' localisations.. .1 , ÉTUDE DES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 1-1 9 Autre cause d'erreur : * Certaines1, cir
es peuvent modifier les aptitudes fonctionnelles desT hémisphères cérébraux . Les lésions qui causent l'aphasie motrice 'siège
. Mais quelques sujets ontune sorte' de transposition des organes cérébraux et deviennént'aphasiques par levait de lésions de
à trouver dans les documents relatifs à l'étude des localisations cérébrales la rigoureuse et constante uniformité qui ne se r
les cliniciens désireux de se livrer' à l'étude des localisations cérébrales . En les suivant rigoureusement,' on doit arriver
odifié nos opinions sur ce point; il les a, ÉTUDE DES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 51 au contraire, affermies. Nous croyons toujo
entre l'hallucination et l'illusion. Peut-être, au fond, le trouble cérébral est-il le même, dans les deux cas. Cependant, il
rove- nant en dernière analyse d'une excitation interne du centre cérébral ..Cette excitation, suivant, les uns, naît sur- pl
.ul t ir111f1t11.'Ir1)W ty v·,flp ? i ? f ? àitous) esjyqntrieules, cérébraux , sans- autre généralisation. Nous ne connaisson
fant est en proieppendant la1 nuit prhicipaléméht^à de l'excitation cérébrale , chantant a-tue-tête des refrains populaires et
tredagnostc; deux^fois au lit" de la. malade (méningite ; tubercule cérébral dans.une zone, ndifférente,iolqîqqtal. ? ) ? Ia
pouvait' pas avoiri ilnél action(, biènJèfficaca sur les' lésions * cérébrales qu'occasionnents les diverses9 ! formes ? de l'id
troubles intellectuels dus à,un abcès'du cer- sjveaujà une tumeur; cérébrale ; dont;le siège : peuta.ètrélpécisé. gGesremarqu
jusqu'à (présent; àïsavoir.'iqueM'impaludismecrée' une intolérance cérébrale absolue- aux alcools'. 9 lenoi'iJ hb aup-iJiT* »
ionnelle aux alcools, lé 'miasme^paludéen placé la cellule nerveuse cérébrale vis^à-vis ' Jdes ^liqueurs' fortes ^dans ''dés"
des, mais qu'il sera en outre exposé à une forme grave d'alcoolisme cérébral avec démence précoce consécutive. (Annales médi
e râver9dé°la' liste des maladies inflaiiffiiatoiresrdes, méninges^ cérébrales ,9 ùnê' lésion 'qui, "pbur'lùi, éttdûê-plutôt`a'
rois actes aussi, clairement volontaires ;, et^aussi indéniablement cérébraux doivent, être représentés, dans l'é- core ? dan
é'sijnalée`dansla'rpara- lysie générale et dans d'autres affections cérébrales .'1'1^ ti u ? M. Christian rapporte l'observatio
paralysie générale. (Soc. de Biologie, 8 nov. 1879.) Localisations cérébrales dans la paralysie gé- nérale. Lésions^ accident
't : q'' e 'q . . : Grasset. --Des localisations dans les maladies' cérébrales ,. 1880 ? F. Raymond et Artaud. Contribution à l
"' i j Ferrier ? 1« « The,Croonianleclures » sur (les localisations cérébrales , trad. franc. SorR).'(4;'cA; Neurologie ? 1891,
? 1891, n 61.)lsa ? r.·.u 1,' t * · 2 Lépine.- Du trismus d'origine cérébrale . (Revue de médecine, 1882.) 340 ^ .. < , ...
. des muscles de la mastication et du tris- , mus dans les maladies cérébrales en foyer. Wien. med. Wochensch. ,.1886 (cité pa
. ' . ? - " " lep .. z ' Ferrier. - De la localisation des maladies cérébrales ,; p. 136 ? . z 4'Lépine. - euMeme)MMeee'c/t : '
ui puisse jouer un rôle aussi'rapide,'c'est le sang dès vais- seaux cérébraux , soit qu'il y ! ait constriction de ces vaisseaux
" la combustion qui se passe dans les centres, les cordons nerveux, cérébraux et spinaux sont amenés à l'état de tension' pro
st à l'état de tension complète, mais non excessive^ quand lé' feu' cérébral brûle j ? ii ? n - -j. a . , . avec toute son
fatigue et de sommeil : cet état persiste jusqu'au moment où le feu cérébral se^allume, où la tensionse'rélablit, et . où le
les mémoires' du déclin'de sa vie ? doit être attribuée à un foyer cérébral gauche et non au désir de cacher les secrets de
que ne cédera'la place à la ! mécanique 'que lorsque la mécanique : cérébrale ne reposera plus'sur des constructions dou- teu
nterprétation,'] il est "vrai, -va' l'encontre de'' la doc- trine.' cérébrale de; la ! paralysie généra ! e'*pbùr laquelle -tou
l'autopsie( desquels on, à-trouvé des lésions de circonvolutions' cérébrales ? bien que pendant la maladie on n'eût constaté a
é : De l'emploi du séton et de la pommade stibiée dans les maladies cérébrales . ? M. ScHROETER.En plusieurs cas d'épilepsie le
processus menstruel normal est souvent modifié par lès'affections' cérébrales ,* en revanche il' exerce aussi une certaine inf
Le tableau se complique de paraphasie ^prolapsus de*la substance cérébrale , écoulement de liquide céphalo-rachidien. La' mal
entales, nous avons trente-deux fois établi le diagnostic de tumeur cérébrale ,, c'est-à-dire dans,l et demi p. 100. Seize foi
hamps, d'où la nécessité de lutter non seulement contre les lésions cérébrales qui ont occasionné l'arrêt de développement des
te, la tâche est moins difficile, car on n'a qu'à remédier à l'état cérébral et non plus, par surcroît, à des mauvaises habitu
que z autonome, par la nature, le mode d'évolution, des désordres cérébraux , car il s'agit de maladies médico-fégaies tant el
ent, gastralgies dyspepsies avec ou sans choc direct.' Les troubles cérébraux peu- veuf survenir après des traumatismes crani
dans certaines observations, où. j il·ést;cônclü ? à;dë"s trôùblés cérébraux d'origine traumatique avec ou sans anomalies et
onné son nom, ne l'a pas empêché de mourir subitement d'hémorrhagie cérébrale . Brown-Séquard fut marié trois fois : une premi
épilepsie,9 ? la folie systématique' (5'cas) ? = l''cas de syphilis cérébrale ; 3 cas d'alcuolisméchronique; = 5'câsdedébilité
147. .- ? 03 <*. ,f · - 1 .,·t,··,, '<t.f\ n 1 ARTÈRES cérébrales , recherches ana- toniques sur les -, par Biscon
coce; par. Vigoureux, 380. Diphtérie, sur deux cas d'hémiplé- gie cérébrale consécutifs à la -, ., par.5eifert, 192. , r '
ptégique, par Targowla, 145 ? ,j "' " ' i Hémiplégie, deux cas d'- cérébrale ' consécutive à la diphtérie, par , Seifert,
par , Seifert, 192 ; lésions des artères et des muscles dans les cérébrales , par Dai-h-sclie-witsch, 222. IHÉ1'ÉROTOI'IB
, 222. IHÉ1'ÉROTOI'IB de la substance grise, dans les hémisphères cérébraux , par Matett, 208 ; de la substance ' grise'de
iier; - t4&. - v ? ? ' HYPÉRESTIIÉSIE 1 optique;t d'origine cérébrale , par Freund, 196 ? ' ? H1'POGLOSSE, blessure gr
un cas de fruste, par Schaefer, ' 10J.. t .- -\ .. - n' paralysie cérébrale spasmodique *de Erb; par.Carmona, 151. Paraly
.Carmona, 151. Paralysie infantile, une forme rare de . d'origine cérébrale , par Kcenig,,454. Paralysie générale progress
Sullivan, 303. SÉTON,' de l'emploi du -.rdans les 'l' maladies." cérébrales , par Erlen- mayer, 452. , Société médico-psyc
.... ,m 1 Thrombose, deux observations de , autochtones des sinus cérébraux , par Bucklers, 148. THYROIDECTO.IISÉ, la toxi
i, 217; dans les asiles (..d'idiots, pat Wulff, 293. Tumeurs, les cérébrales et la question du traitement opératoire, r. p
mère, par Lish- y man, 205; les conséquences mé- - caniques d'une cérébrale , par Sommer, 208. Visuel, rétrécissement du c
35 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e (point de départ de l'infiltration sanguine), lésions des artères cérébrales , léger degré de sclérose rénale. Voilà donc le
comme symptôme moins fréquent et plus tardif que dans l'hémorrhagie cérébrale . M. le profes- seur Lépine l'observait dans les
irmer. Tous les auteurs sont unanimes sur ce point. L'hémor- rhagie cérébrale est cependant plus systématisée dans ses symptô
culaire apparaissent les contractures précoces. Le ramollissement cérébral a ordinairement pour lui son mode de début et s
rement pour lui son mode de début et son étiologie. La congestion cérébrale a une durée moindre et une symp- tomatologie mo
e et une symp- tomatologie moins brutale. Et quant t la commotion cérébrale , à laquelle on peut tou- jours penser, surtout
sortie clairement pour nous de l'examen nécropsique des hémisphères cérébraux . Néanmoins la trépanation et l'inci- sion de la
ne au cours d'un coma, même lorsqu'ils indiquent une localisation cérébrale précise, ne constituent pas une indication opéra-
scléreux atteints, 11. des degrés plus ou moins marqués, d'artérite cérébrale Elle est habituellement déterminée par la ruptu
culose pulmonaire. Ilots de sclérose tubéreuse des deux hémisphères cérébraux ; petites- tumeurs sclél'C1/sr-s du sillon upto-
oncle maternel serait mort relativement jeune d'un ramollisse- ment cérébral . Il avait deux enfants dont l'un a succombé à la
st filiforme. Les nerfs, les tubercules mamillaires, les pédoncules cérébraux , etc., sont égaux. - La glande pinéale a son as
athéromateuses diffuses des capillaires et des cellules de l'écorce cérébrale . Cette affection se distingue essentiellement c
tique. Cette athéromasie n'est d'ailleurs pas localisée à l'écorce cérébrale ; elle se montre ailleurs sur l'ensemble du systèm
rénales (le malade avait de l'albumi- nurie) ; athérome des artères cérébrales et piemériennes. Pas la moindre lésion d'encéph
.) M. Wigtesworth a décrit il y a peu de temps deux cas de maladies cérébrales à forme de dégénérescence observés chez des enf
e; 2° malades atteints de démence oiganique, chez lesquels le tissu cérébral est en état de dégénérescence pro- gressive ; 3
eune fille de dix-sept ans, morte avec tous les signes d'une tumeur cérébrale . A l'autopsie : épithélioma du corps pituitaire.
n ralentissant les échanges, en rendant moins active la circulation cérébrale , de façon à permettre l'apport d'une quantité p
prudence aux malades affaiblis physiquement, atteints d'affections cérébrales en foyer ou présentant de la tendance à l'état
la chi- rurgie crânienne pure a conduit aux excisions de matière cérébrale , prélevée dans les régions corticales corresponda
IV. - Can..., trente-trois ans, couturière. Père mort d'hémorragie cérébrale . Famille nerveuse. Pas d'antécé- dents personne
iégera dans le cerveau, créant ainsi une hémiplégie ou une diplégie cérébrale syphi- litique avec signe d'Argyll, comme nous
fesseur Raymond : homme atteint dans l'enfance d'une hémi- plégie cérébrale droite spasmodique ; prend la syphilis, pré- se
signe de Romberg, le signe d'Argyll ; fait ensuite une hé= miplégie cérébrale gauche, de telle sorte qu'il se présente avec u
ésente avec une paralysie spasmodique créée par une double lésion cérébrale , la droite relevant de l'enfance, la gauche provo
droite relevant de l'enfance, la gauche provo- quée par la syphilis cérébrale , paralysie qui évolue avec des douleurs fulgura
odiques médullaires par l'absence d'ictus, de troubles bulbaires et cérébraux , par l'évolution lente et caractéristique de le
it beaucoup ennuyée de sa mère » et elle présenta quelques troubles cérébraux , sur lesquels nous reviendrons, ce qui fit qu'on
aires un état somatique particulier au-dessous des manifes- tations cérébrales de la maladie '. H. de 111USGnAVE-CLaY. XIV. Un
l'inhibition corticale. R. DE MUSGRAVE-CLAY. XV. Un cas de tumeur cérébrale avec autopsie; par G. L. WALLON. (Brain, vol. X
re à l'existence d'une atrophie quelconque. XIX. Un cas de tumeur cérébrale avec autopsie; par van GEIIUCIITFN et Le Mort.
des voies motrices dans leur passage à travers les deux pedoncules cérébraux . ' Ce fait prouve donc une fois de plus que les
qui tend à prouver que c'est bien a la compression, des pédoncules cérébraux que doivent être rattachés les troubles, moteur
tée en ce cas particu- lier étaient en rapport avec les altérations cérébrales des régions frontales, occipitales. P. KERAVAL.
ifiés. Le malade vit encore. P. KERAVAL. XIX. Thrombose de l'artère cérébrale antérieure; par G. L31KELES. (Neurolog. Central
e, vont à la région snbthalamiqne. Intégrité de l'anse du pédoncule cérébral , c'est-à-dire des fibres du noyau lenticulaire
Rien d'anormal dans le globus palhdus. P. Keraval. XX. De l'ataxie cérébrale aiguë ; par M. \)Ii'OELEIL (Nelll'ologisch. Cer
couronne rayonnante et des gros ganglions de la base aux pédoncules cérébraux . (V. Observations de Leyden, 'irchow's - Archiu
ubles mentaux pouvant faire soup çonner la coexistence d'une lésion cérébrale localisée '. L'hérédité dans la paralysie génér
ticulaire et enfin dans le stratum intermedium du pied du pédoncule cérébral et dans la partie dorso-médiane de la moitié in
s la partie dorso-médiane de la moitié interne du pied du pédoncule cérébral . Sur les coupes passant par le tubercule qua- d
mp H de Foret et enfin dans la partie latérale du pied du pédoncule cérébral . On voit presque sur toutes les coupes, faites
on correspondante des fibres dégénérées monter du pied du pédoncule cérébral vers le tubercule quadrijumeau antérieur. Ces f
ong. Outre ces faisceaux de fibres dégénérées issues du pédoncule cérébral on voit encore, après l'extirpation du centre par
uisqu'il développe le pouvoir d'arrêt ou d'inhibition. Les images cérébrales et l'activité mentale. - M. PAU de Saint- MARTI
ion and clinical description in brain disease autopsy (Hémisphère cérébral divisé transversalement en trente-sept coupes, mo
oléculaire par compression ou étirement (hémichorée par hémorrhagie cérébrale , épilepsie par tumeur cérébrale, etc.) ; 4° S
irement (hémichorée par hémorrhagie cérébrale, épilepsie par tumeur cérébrale , etc.) ; 4° Soit à une déchirure ou à une ruptu
FAITS. Idiotie épileptique. Inégalité de poids des hémisphe- res cérébraux . Malformation des lobes occipitaux dans lesquel
térieure des lobes occipitaux pour former ces sinus. L'hémisphère cérébral gauche est beaucoup moins volumineux que le dro
m qui est à la fois inutile et trompeur. A. POULAIID. XXX. Lésion cérébrale par contre-coup ; par les D ? DE BucK et VAN DE
uva en présence d'une vaste cavité remplie de liquide. La substance cérébrale était retombée à environ six centimètres de la
analysé. P. Keraval, , 111'IIT. Des modifications de la circulation cérébrale dans l'intoxication alcoolique aiguë; par Beiva
ions tuberculeuses. Mais il existait dans la calotte des pédoncules cérébraux une tumeur, du volume d'une noix, s'étendant de
ns leur trajet pédonculaire, la lésion enfin du pied du pédon- cule cérébral gauche et la destruction des fibres de la calotte
n de la paralysie de la langue. A. FENAYROU. XLIII. La congestion cérébrale devant l'Académie de médecine en 1861 ; par M.
le, 3 février 1900.) L'auteur estime qu'on attribue à la congestion cérébrale , en nosographie, une importance qu'elle est loi
tance qu'elle est loin d'avoir réellement. Selon lui, la congestion cérébrale , considérée en tant qu'affection autonome, est
ts morbides ou de symptômes ordinairement attribués à la congestion cérébrale apoplectiforme relèvent, en réalité, d'affec-,
dire, concluait-il, que je nie d'une manière absolue la congestion cérébrale ? Non, certes. J'admets la congestion, l'hyperh
ester l'existence ; mais je dis que ce qu'on a appelé la congestion cérébrale apoplectiforme est, dans le plus grand nombre d
et mourut en état de mal. A l'autopsie on trouva dans l'hémisphère cérébral droit une tumeur qui s'étendait du pôle occipit
e, occupant le domaine des lobules lingual et fusi- forme. L'artère cérébrale postérieure était obstruée par un throm- bus. L
a clinique, ont fait faire un grand pas à l'étude des localisations cérébrales et cette étude fertile en résultats intéressant
nstatées dans les examens nécros- copiques, démontrent que l'écorce cérébrale et les méninges sont le siège d'un processus mo
s que très rarement de la paralysie progres- sive ou de la syphilis cérébrale . , M. WAHL. - La prédisposition héréditaire jou
e générale. Le troisième renferme les malades emportés par un ictus cérébral , et il compte 36 cas. La conclusion qui découle
e ces faits est que, contrairement à la doctrine classique, l'ictus cérébral n'est pas une complication de la paralysie géné
aires, et â la partie antérieure de la face interne de l'hémisphère cérébral . L'examen histologique démontra que les lésions
n histologique démontra que les lésions des méninges et de l'écorce cérébrale sont généralisées, mais beaucoup plus pro- nonc
es circonvolutions qui avoisinent le sillon de Holando. La pie-mère cérébrale est formée par un lacis serré de fascicules fib
u'on avait encore de l'organisation fonctionnelle des hémis- phères cérébraux . A l'époque dont je vous parle, le dogme erroné
ue l'on connaissait déjà à la moelle. La doctrine des localisations cérébrales était encore dans les limbes. Toutefois, ceux q
dogme de Flourens. On n'en consi- dérait pas moins les hémisphères cérébraux comme une masse de substance nerveuse, homogène
ssement de leurs fonctions comme adéquat à la quantité de substance cérébrale , détruite ou anni- hilée. En 487U, une découv
cliniciens ; leur but commun était de démontrer que les hémisphères cérébraux se décomposent en territoires aux fonc- tions t
x. Nous le sommes un peu moins bien sur les territoires de l'écorce cérébrale auxquels aboutit la voie sensitive (sensibilité
is cette époque, toutes deux avaient donné des signes de trou- bles cérébraux ; que 'sa belle-soeur était depuis deux mois envir
les fibres nerveuses, à des agglomérations de cellules de l'écorce cérébrale , après avoir traversé un plus ou moins grand no
CTION DE PSYCHIATRIE. 303 tie observés par lui, les circonvolutions cérébrales étaient moins nombreuses que d'ordinaire et Mal
é chez les idiots, de la sécheresse et de la dureté de la substance cérébrale . Bonnet et Haller, ensuite relatent des tumeurs
raité classique des maladies mentales, note que les circonvolutions cérébrales des idiots sont, en règle générale, petites, at
2° L'hydrocéphalie. 3° La scaphocéphalie. 4° Les imperfections cérébrales de type « mongol », des tissus osseux, cutané,
ns semblent être : un raccourcis- sement postérieur des hémisphères cérébraux tel que le cervelet restait découvert; l'arrêt
survenant très tôt dans la vie d'enfants atteints de dégénérescence cérébrale , comme l'ont décrite Sachs, Ko- plick, Kingdon
utions frontales ne sont que peu intéressées. Quand il y a diplégie cérébrale , Trend a trouvé que la cause la plus fréquente
cause une rigidité spasmodique, de la paraplégie, ou de la diplégie cérébrale . Dans ces cas, l'intelligence peut n'être que p
un véritable arrêt de développement de cer- taines régions du tissu cérébral . qui peut être constaté par la pré- sence desne
ent les cerveaux dans lesquels la substance blanche des hémisphères cérébraux est très peu développée, tan- dis que la substa
mi-ovale, par la distension énorme des ventricules, les hémisphères cérébraux se transformant en vessies à parois minces ; l'
l'arrêt de développe- ment de la substance blanche des hémisphères cérébraux au degré le plus avancé, viennent les cerveaux
pécial consiste en ce que, entre la substance grise des hémisphères cérébraux et le centre semi-ovale, le tissu nerveux parfo
le véritable arrêt de développement de cer- taines parties du tissu cérébral , provoque sans doute l'insuffisance des fonctio
ules nerveuses et contribuer à rehausser l'acti- vité des fonctions cérébrales . C'est ainsi peut-être que s'expliquent des cas
ent ne répond qu'à une seule indication thérapeu- tique », le repos cérébral . Je tiens à bien préciser ce terme « phy- siolo
ques, on était sur le point d'en faire l'application aux phénomènes cérébraux supérieurs; mais on ne peut méconnaître que ces
es neurones d'association dans la zone du langage des hémi- sphères cérébraux , nous proposons en conséquence de classer les a
de lésions assez limitées de l'écorce cébrale. Le pied du pédoncule cérébral gauche est un peu moins bien coloré dans son ti
rveau humain; par Paul LLECIIS1G (Leipzig). La division de l'écorce cérébrale qui résulte de mes travaux, SECTION DE NEUROLOG
toute particulière, au niveau des masses de fibres des hémisphères cérébraux . Ainsi, par exem- ple après la formation succes
s courts et longs d'association, on arrive à délimiter sur l'écorce cérébrale des champs corticaux myélogénétiques, sur toute
ronne rayonnante de fibres groupées en faisceaux, unissant l'écorce cérébrale aux organes terminaux périphériques et réalisan
e s'établit, justifiant la légitimité de notre division de l'écorce cérébrale en centres sensoriels (centres de projection) e
iation. Mais il parait certain que certains territoires de l'écorce cérébrale possèdent un bien moins grand nombre de fibres de
in ne se prononce pas encore sur les rapports de l'artério-sclérose cérébrale avec les états mélancoliques. Paul SÉRIEUX. V
iquer, est l'un des plus importants de .' M. Frenkel. De l'exercice cérébral appliqué au traitement de certains troubles mot
par les courants électriques dans une zone déterminée, que l'écorce cérébrale se composait de centres circonscrits possédant
possédant des fonctions différentes. La doctrine des localisations cérébrales , dont Broca avait jeté les bases au point de vu
ion considérable des masses nerveuses constituant les hémis- phères cérébraux - on peut presque dire leur moitié est en rappo
rches de M. Hitzig sur les sphères visuelle et auditive de l'écorce cérébrale (1874-1883-1889). En 1874, Hitzig fait remarque
s mouvements de la colonne vertébrale à l'énorme masse de substance cérébrale qui constitue les lobes frontaux de l'homme. Ex
s prononcés et une hypersécré- tion sudorale très marquée, l'effort cérébral que le malade faisait pour exécuter un mouvemen
me auteur je dois citer un important travail sur la gal- vanisaiion cérébrale lu à la Société française d'électrothérapie et
a été affirmé à l'Académie de Médecine par Marey, la galvanisation cérébrale est sans danger comme sans inconvénients lorsqu
oute variation brusque de potentiel. Les effets de la galvanisation cérébrale varient suivant le pôle actif. Le négatif exerc
face du cerveau et de la moelle. On trouve, aussi sous les méninges cérébrales ou spinales de nombreuses, bulles de gaz. Le co
le ou partielle dans un certain nombre de, maladies nerveuses, soit cérébrales , soit périphériques et l'a trouvée tantôt à la su
rdiaques et gastriques, la neurasthénie, l'hypochondrie, la fatigue cérébrale ou nerveuse. La migraine, le goitre exolihthalm
rogrès des recher- ches embryologiques, Flechsig partage la surface cérébrale en qua- rante districts, chez lesquels laimyéli
es dans la couronne rayonnante, et répandues sur toute la surface cérébrale , ne se trouve définitivement eu concrétion direct
médullaire limitante. Il existe en conséquence sur toute la surface cérébrale des espaces considérables, plus ou moins étendu
itoires des hémisphères-. Du reste, il existe dans d'autres régions cérébrales (la substance grise centrale) des par tics, d'u
L DE MÉDECINE. sentation des noyaux intracorticaux (les contingents cérébraux , Gi,ossili ? n(i71lheile de von Monakow), dont
es. Le mode de répartition des fibres de pro- jection dans l'écorce cérébrale est inégal et varie beaucoup. Il est sujet à de
s qui con- courent an travail psychique comme répandus sur l'écorce cérébrale tout entière. Il existe sûrement pour le travai
e Berlin). Jusqu'au dernier moment toutes nos études sur les fibres cérébrales n'ont fait que confirmer ce que M"10 Vogt et mo
ibres du corps cal- 1 0. Vogt. Sur la myélinisation de l'hémisphère cérébral du chat. Comptes rendus des séances de la Soc.
e, vol. 56. C. Vogt. Etude sur la i)2yéliiiisatioii des hémisphères cérébraux . Paris, 1900, Steinheil. 0. \'ot. Flechsig's
'établisse- ment de l'homologie des différentes régions de l'écorce cérébrale . Xlll- Congrès international de médecine. Secti
unication d'Arton sur les troubles du sens muscu- laire, par lésion cérébrale , où il se trouvait chez trois malades atteints
M. le professeur OBERSTEINER (de Vienne). -Je pense, la subs- tance cérébrale étant incompressible, que la formation de telles
, pour ainsi dire le fait habituel. Parmi ces vieillards, à lésions cérébrales circonscrites, certains peuvent devenir hémiplé
facteurs celui qui m'a paru primer tous les autres, c'est l'oedème cérébral en rapport avec le mauvais fonctionnement de l'ap
par le D1' Kocu (d'Aix-la-Chapelle). Présentation d'un hémisphère cérébral pour la démonstration et d'un eslhésiomètre; pa
ne fois de plus, que l'on peut avoir certains troubles fonctionnels cérébraux ; mêmes accen- tués, sans que la lésion correspo
élires fébrile, confusion mentale, hallucinations, etc.) à l'action cérébrale des poisons fabriqués dans un organisme infecté
nt semblables à celles que nous venons de montrer dans les cellules cérébrales . De même que les polynévrites sont formées de s
le de l'Asile clinique, je définis l'obsession « un mode d'activité cérébrale dans lequel un mot, une pensée, une image s'imp
énérescence mentale, l'obsession est donc une variété d'automatisme cérébral conscient, imposant ci. l'esprit d'une façon pa
es se sont développées pour aboutir au dénouement decet automatisme cérébral conscient, c'est-à-dire à la satisfaction du be
t par le traitement médico-pédagogique. L'idiotie relève de lésions cérébrales variées : sclérose atrophique, sclérose tubéreu
de la moelle : les réflexes sont exagérés; Troisième type. Forme cérébrale : les cordons de la moelle sont intacts, les ré
res régions sensitivo-sensoriclles ou psycho-motri- ces de l'écorce cérébrale explique la production de ces hallucina- tions
n peut les rencontrer chez des indi- vidus dont toutes les facultés cérébrales sont bien développées. L'idiotie morale s'accom
e morale est produite par des malformations et des lésions morbides cérébrales ; elles sont moins bien connues que celles de l
ulente. Là, MM. Roubinovitcii et Ylavianos trouvèrent : de l'oedème cérébral et de l'injection pie-mérienne très accentuée.
fois de plus, que l'on peut avoir cer- tains troubles fonctionnels cérébraux , même accentués, sans que la lésion corresponda
délire fébrile, confusion mentale, hallucinations, etc.) à l'action cérébrale des poisons fabriqués dans . SECTION DE PSYCHIA
able folie; l'hérédité nerveuse; l'hérédité diathésique; l'hérédité cérébrale et l'hérédité alcoolique. Voici les conclusio
familles d'aliénés, de psychiques, de diathésiques, de nerveux, de cérébraux et d'alcooliques ; 3° La di- minution de la' ré
s aux familles des aliénés, des dialhé- siques, des psychiques, des cérébraux , des nerveux et des alcooli- ques ; il' La léth
le moins grand nombre d'enfants sont : les hérédités vésanique et cérébrale ; puis viennent les hérédités diatéhsique et nerve
autres arcs spinaux ou spino-cérébraux. L'ablation des hémisphères cérébraux entraîne immédiatement une très grande exaltati
chez les animaux les réflexes dépendent en grande partie des influx cérébraux , et que chez l'homme ils ne peuvent même pas ex
rent très nettement la dépendance du tonus des muscles des procédés cérébraux , fait sur lequel M. Bruns a insisté avec tant d
ne diminution de volume du ruban de Reil du même côté que la lésion cérébrale et qui peut être suivie dans les fibres arcifor
cus superficiel, contournent la partie interne du pied du pédoncule cérébral et descendent le long de la partie interne du S
: un plus grand nombre de mots sont retrouvés. Mort par hémorragie cérébrale dans le cerveau droit (oct. 1896). Autopsie :
clérose. Les racines postérieures sont dégénérées. b) Les tumeurs cérébrales produisent fréquemment des lésions dans les cor
ement un complexus symptomatique indiquant l'existence d'une tumeur cérébrale (céphalalgies, somnolence, vertiges, névrite RE
oelle, elle a dû être déterminée, d'après l'auteur, par la pression cérébrale : celle-ci aurait exercé sur la circulation de la
own, 131. Phénomène smgu- lier de l'-locomotrice, parWard, 149. - cérébrale aiguë, par Din- ides', 157. Atrophie musculai
s des - des cornes antérieures en action, par Luxem- burg, 133. Cérébrale . Lésion - par contre- coup, par de Buck et van
fusion mentale, par ltoubino- witch et Vlavianos, 491. Congestion cérébrale devant l'Aca- démie, en 1861, par P. Marie, 2
e des -, par Kouindjy. 353. Hémisphères. llvélinisation des - z cérébraux , par Vogt, 174. Hérédité dans les états mentaux
eville, 319, par Oberthnr, 320. - morale, par Brunet, 489. Images cérébrales et activité men- tale, par Pau de Saint-Martin,
tion glandulaire, par le -, par Parker, 17. Thrombose de l'artère cérébrale an- térieure, par Bllceles, 156. Thyroïdien.
par Péclarmant, 521. Tubercules. Traitement chirui-gical des - cérébraux , par Treyer, 147. Tubercules quadrijumaux. Co
aux. Con- nexions des - chez le lapin, par Paw;low, 123. Tumeur cérébrale avec autopsie, par Walton; 130, par van Gehucht
36 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e des symptômes pré- curseurs du tabes; l'antériorité des symptômes cérébraux sur les symptômes spinaux l'entraîne à se deman
Dans aucun de ces deux mémoires, Baillarger ne parle de syphilis cérébrale , et nous ne serions pas surpris que pour ' Bail
? 7. - Moelle cervicale supéie ure. 16 CLINIQUE MENTALE. Écorce cérébrale . L'examen des coupes de l'écorce cérébrale des
CLINIQUE MENTALE. Écorce cérébrale. L'examen des coupes de l'écorce cérébrale des lobes frontaux temporaux, pariétaux et occi
toutes les fibres issues du ganglion spinal en bas, et de l'écorce cérébrale en haut. Or, nous avons noté au cours de la des
s DE contusion DU cerveau. CONTRIBUTION A l'étude DES localisations cérébrales ; par le professeur LUIGI L.MARCHII. (Il Morgag
n signe clinique permettant d'affirmer le diagnostic de contusion cérébrale , plutôt que celui d'hél11orlha ! ! ie méningée, e
ne discussion très intéres- sante au point de vue des localisations cérébrales , particulièremen. en ce qui concerne les différ
oduire à la suite d'une 48 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. lésion cérébrale : hémiplégie purement motrice ou compliquée de
ervés peuvent s'expliquer « par la production d'une thrombose de la cérébrale postérieure au ni- veau même de son union avec
es de cette artère et très ralentie dans la pre- mière partie de la cérébrale postérieure qui donne naissance aux dix collaté
des artères de l'oculo-moteur (artères terminales, éma- nant de la cérébrale postérieure) qu'il faut chercher le point de dé
s accidents antérieurs. Quant à la forme cataleptique des accidents cérébraux , on peut. sans invoquer l'hypothèse de la prédo
nastique que lursqu'un ne constatera plus de symptômes d'excitation cérébrale . Les vertiges dont se plaignent les hémiplégiqu
e de l'éco- nomie, une sénilité anticipée. Sous le nom d'hérédité cérébrale , MM. Mairet et Vires compren- nent les différen
ascendants, telles que la paralysie générale, les ramollisse- ments cérébraux suivis de démence, les attaques d'apoplexie. Cett
irement transmise; les observations sont plus nombreuses d'hérédité cérébrale par ramollissement créant chez les descendants
e ordinaire avec prédominance nette de la déchéance de la cellule cérébrale . L'interprétation pathogénique de ces faits doit
l'inflammation des vaisseaux et la moindre résistance de la cellule cérébrale . L'hérédité alcoolique est aussi une cause path
n réalité, il n'en est rien; il s'agit dans ces cas d'une paralysie cérébrale à forme de paralysie générale, ou mieux d'une p
ou bien une tare directe du système nerveux, comme dans l'hérédité cérébrale , ou bien est l'expression d'un état général, d'
s capricieuse encore que celle des cellules pyramidales de l'écorce cérébrale . En revanche, cette même méthode nous a fourni
la ferme conviction que dans quelques cas de nécropsie avec lésion cérébrale négative ou douteuse, la lésion médullaire, évi
es symptômes paralytiques. Le malade fut emporté par une congestion cérébrale , et l'autopsie nous montra toutes les lésions d
nte, ayant pour point de départ la cel- lule pyramidale de l'écorce cérébrale . Avec d'autant plus de raison que l'altération
eau pyramidal à travers le bulbe et la protu- bérance, le pédoncule cérébral et la capsule interne même, d'après Klippel, on
absolument fixe de persécution et de gran- deur et de l'excitation cérébrale , qu'elle était transférée dans notre seivice en
res convul- sifs chez les prédisposés, en contractant les vaisseaux cérébraux par l'intermédiaire des centres vaso-moteurs du
hémorragique dans le territoire de la protubérance, des pédoncules cérébraux et des gros ganglions, avec localisation principa
n préfère, la forme de Sttümpell, modifiée à l'usage des pédoncules cérébraux et de la protubérance. 4° La diminution progres
cette partie de j'oculomoteur qui occupe la substance du pédoncule cérébral . Enfin, il faut noter un trouble marqué de la s
les membres paralysés des hémiplégiques et monoplégiques par lésion cérébrale . R. C. XXXVI. Phénomènes pulmonaires graves D'O
traîne pas de conséquences locales mais produit un fort ébranlement cérébral . Pendaut vingt minutes, il est complètement par
omme ci plaisir. Enfin, il y a un an, il a eu une hémiplégie droite cérébrale à ictus prolongé (il est artérioscléreux) ; contr
est caractéristique ; il y avait lésions artérielles et hémorrhagie cérébrale . Mais il peut y avoir thrombose avec les accide
a- teux et meurt. On croit qu'il s'agit d'une seconde hémorrhagie cérébrale . L'autopsie montre : athérome diffus, plus accent
L'autopsie montre : athérome diffus, plus accentué pour les artères cérébrales ; petit foyer de ramollissement dans la cap- sul
opé1'atoi1'es; par le Dr Régis. - Les centres viscéraux de l'écorce cérébrale . Un cas de chorée saltatoire hystérique datant
t presque aussitôt le dernier soupir, succombant à une conges- tion cérébrale causée par l'absinthe, plutôt qu'aux blessures as
mort). - Calotte crânienne normale. Hyperémie veineuse des méninges cérébrales . A la base du cerveau, dans le lobe temporal ga
NGOMYÉLIE ET SARCOMATOSE DE LA MOELLE. 177 dominé par des accidents cérébraux , dans les deux autres par des accidents cérébel
ection. Dans les autres cas on croyait avoir affaire à une tumeur cérébrale (Westphal,), à une tumeurdu cervelet (Busch),àune
n particulier l'iodoforme; ? 1 (j ' SOCIÉTÉS SAVANTES. l'anémie cérébrale ou la cachexie du sujet; l'alcoolisme; l'infectio
d'un cas véritable d'intoxication iodoformique, la notion de l'état cérébral antérieur doit intervenir pour expliquer l'appa
intervenir pour expliquer l'apparition des acci- dents. L'anémie cérébrale , la cachexie du sujet ne jouent qu'un rôle très
rare chez les imbéciles. Ceux-ci n'ont évidemment pas une activité cérébrale suffisante pour mériter la paralysie générale.
cence secondaire des faisceaux pyrami- daux, qu'elle soit d'origine cérébrale ou spinale, est toujours suivie d'une paralysie
neurones qui commandent à leurs mouvements sont séparés des centres cérébraux , je rejetais l'explication de Claude Bernard, q
ée), d'un neurasthénique, d'un de ces dégénérés dont l'insuffisance cérébrale éclate plus dans la conduite que dans les opéra
à un processus hypérémiant intense, mais transitoire dans l'écorce cérébrale ». Or, quels sont les indi- vidus chez lesquels
iplégie pro- gressive parait indissolublement lié au ramollissement cérébral à début lent, à étapes successives qui s'observ
du facial supérieur et du moteur oculaire commun dans l'hémiplégie cérébrale . M. Mirallié (Je Nantes). Dans deux communicati
ganique et se manifester à la suite d'une attaque de ramollissement cérébral . En résumé, dans les quatre observations présen
250 SOCIÉTÉS SAVANTES. taires menacés ou déjà atteints de lésions cérébrales d'origine vasculaire (athérome cérébral, foyers
déjà atteints de lésions cérébrales d'origine vasculaire (athérome cérébral , foyers de ramollissement). Elle est la conséqu
e Ros, M'ol- terset Oster qui admettent la prédominance des lésions cérébrales sur les lésions médullaires', les lésions du fa
...« estatteinte de démence liée à des manifestations tuberculeuses cérébrales . « Elle est très agitée, ne peut rester en plac
nstants de conver- sation, probablement sous l'influence de fatigue cérébrale qui arrive promptement, éclate de l'excitation
de fatigue cérébrale qui arrive promptement, éclate de l'excitation cérébrale avec anxiété, sensiblerie, crises de larmes, et
ncore de la confusion mentale avec sensiblerie, un peu d'excitation cérébrale . Santé physique relativement satisfaisante. D
ur tour, par la paralysie; peu après, se sont produits des troubles cérébraux : délire tranquille avec hallu- cinations visue
: REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 291' lo Apparition de troubles cérébraux très accentués, précédant même les troubles bul
s apoplectlformes que par la com- plication, soit d'une hémorrhagie cérébrale dans les tissus de néo- formation, soit d'une h
rF. LXV. Parésie transitoire ET récurrente dans LE ramollissement cérébral aigu ; par 0. itLICIiENZIE. (Brit. med. Journal,
du muscle cardiaque (cardio-bulbar sclerosis). A. Marie. LXX. Abcès cérébral ; par J. ltosson. (Occidental medical Journal, f
e humeur douce et agréable. , Dans la paralysie infantile d'origine cérébrale , l'état mental pré- sente des degrés divers en
s une foule de processus toxiques mortels. A. Fenayrou. II. Abcès cérébraux EN rapport avec DES suppurations CHRONIQUES DE
ons. A. Marie. III. LÉSIONS RÉTINIENNES EN RAPPORT AVEC DES LÉSIONS CÉRÉBRALES ; . par WILLIAMSON. (British med. Journal, juin
es chez des malades atteints d'hémorrhagies, embolies ou thromboses cérébrales , altérations coïncidant souvent avec des lésion
gnalé des lésions oculaires analo- gues en rapport avec les lésions cérébrales de la paralysie générale (Thèse Paris, 1890). A
ur 15 '. R. C. VI. STRUCTURE DE la couche superficielle DE l'écorce cérébrale ; par BEWAN LEwIS. (Edinburglt Médical Journal,
ni circulatoires. En l'absence des symptômes cardinaux d'une tumeur cérébrale , il était difficile de faire un diagnostic et s
ie dans le cas particulier. RELLAY. VIII. Diagnostic D'UNE TUMEUR cérébrale sans localisation possible; par E. Brissaud et
peut résulter la mort. > R. C. IX. CE QU'ON appelle la PRESSION cérébrale , LE mouvement DU LIQUIDE CÉPHALORACHIDIEN DANS
la surface de l'encéphale vivant, loin de rétrécir les capillaires cérébraux , les dilate ; les phénomènes décompression ains
i en revanche peuvent aussi apparaître 'sans qu'il y ait pres- sion cérébrale , et provenir, par exemple, de l'excitation ou de
y avoir d'excès de tension du liquide intra- cranien ni de pression cérébrale puisque les veines du crâne com- pensent elles-
agnation du liquide céphalorachidien. Il n'y a donc pas de pression cérébrale . Mais il peut y avoir compression du cerveau. U
r avec le liquide cérébrospinal. Il y a compression de la substance cérébrale et non production de pression .cérébrale, S'agi
tions quantitatives de l'excitabilité électrique ? Dans les lésions cérébrales , on tend il admettre que les hémorragies, vieille
spèce d'une épilepsie paralytique. Elle est, suivant lui, d'origine cérébrale . En voici les caractères : aura au début; accès c
rande gêne de la déglutition ; le marasme arrive, les con- gestions cérébrales se déclarent et la mort survient sur la fin de
Cette excavation est située à la partie postérieure de l'hémisphère cérébral droit. Il y a peu d'hypérémie généralisée de la
2 ) SOCIÉTÉS SAVANTES. sujet après douze ans de présence; substance cérébrale des deux hé- misphères très injectée; membranes
uche. - Foyer hémorrhagique à la partie postéro- interne. Substance cérébrale des deux hémisphères très injectée. La protubér
ins anciens, situés aux endroits que je vais indiquer. Hémisphère cérébral gauche. A l'extrémité inférieure du lobe moyen,
4, 5, 6 et 11); atrophie (obs. 9); hypertrophie des circonvolutions cérébrales (obs. 8 et 11); épanchement séreux intra-arachn
ces diverses lésions, principalement les adhérences de la pie-mère cérébrale à la substance corticale ramollie, diffèrent si
le septum pellucidum et le corps calleux dispa- raissent. L'écorce cérébrale sous l'influence de la forte pression intérieur
rs le sommet dorsal du ruban latéral. Dans la région des pédoncules cérébraux , au niveau des éminences antérieu- res du corps
région lombaire). On trouve de petits amas de pus dans la pie-mère cérébrale , à la base du cerveau, dans la région du tuber
région du tuber cinereum et des corps mammillaires. La substance cérébrale et cérébelleuse est normale. Les organes internes
ompte du délire ? Enfin, hypothèse plus vraisemblable, les troubles cérébral et hépatique ne doivent- ils pas être imputés à
ourdeur céphalique et de l'obtusion intellectuelle. Mais les effets cérébraux de l'auto-intoxication hépatique étaient prépar
sur la cellule hépatique ». Et pourquoi pas aussi sur la cellule cérébrale ? N'est-il pas plus naturel d'admettre qu'il s'ag
ntelligence normale. On constate néanmoins encore un peu de fatigue cérébrale ; en écrivant, elle omet des mots, écrit correc
nstipation ; la stupeur n'est pas de la stupeur, mais de la torpeur cérébrale ; cette torpeur est rémittente et entrecoupée d
as omettre de recon- naître que si, dans ces conditions, la cellule cérébrale suc- combe, c'est qu'elle était préalablement m
mais n'ont qu'une valeur secondaire. Ils acceptent une anes- thésie cérébrale précédant les troubles moteurs, et ajoutent qu'
la paralysie du facial SUPÉRIEUR dans L'JIÉ511- . PLEG)E par lésion cérébrale ; par Ch. FÉRÉ. (nous. IC0720Cf1'. de la Salpét
bactériologique du sang, de la pulpe splé- nique et de la substance cérébrale resta négatif. (Revue neurolo- gique, mai 1898.
ermirent dès l'arrivée du ma- lade, de porter le diagnostic d'abcès cérébral dans le lobe temporal gauche. ' Une intervent
la volonté, sont lises. L'alcoolique est dans un état d'automatisme cérébral . C'est un malade ; il y a des relations étroite
ouleur jaunâtre et assez dures au toucher. Le reste des hémisphères cérébraux , la protubérance, le bulbe, le cervelet sont no
oyers sus-mentionnés ainsi que ceux de la structure de la substance cérébrale en général, nous consta- tous que celle dernièr
erons d'abord par les altérations les plus pro- noncées de l'écorce cérébrale les foyers circonscrits et conti- nuerons avec
i ne paraissent pas être en plus grand nombre ici que dans l'écorce cérébrale normale. Les artères présentent des modi- ficat
est là toute la ressemblance de ces foyers avec un ramollisse- ment cérébral nécrobiolique. Nous ne trouvons nulle part des co
s formes de foyers précédemment décrits siègent dans la corticalité cérébrale . Mais la substance blanche n'est pas indemne d'
ns diffuses de la POUSSÉES d'encéphalite aiguë. 441 J substance cérébrale des circonvolutions atteintes. Faisons cet exa-
antitative des cellules névrogliques. Les altérations de l'écorce cérébrale , à mesure qu'on s'éloigne des gros troncs vascu
c histologique suivant : in- .Ilammation en foyer de la corticalité cérébrale , encéphalite. Chez nous, cette dernière se mani
tout le profit désirable de l'analyse de notre cas d'in- flammation cérébrale , nous jugeons utile de passer rapide- ment en r
scussions qui s'élevèrent à cette époque au sujet du ramollissement cérébral . Rohitansl : y ' l'identifiait avec l'encéphali
a thèse de Poumeau Uu rôle de l'inflammation dans le ramollissement cérébral , Paris, t86(i) poussées d'encéphalite aiguë.
tout dans celle de Proust (Des différentes formes de ramollissement cérébral , Paris, 1886) la plus riche bibliographie. ' (l
s et portées au rouge, ils obser- vèrent toujours les mêmes lésions cérébrales et la même évolution de l'inflammation dans tou
nflamma- toire continue longtemps après. Si la perte de substance cérébrale n'est pas très considérable, elle est remplacée p
lente, méningite purulente très prononcée, des foyers hémorragiques cérébraux purs; les méninges nageaient dans du pus. Ces t
anatomiquement à peu près par les mêmes altérations de la substance cérébrale . Seulement les foyers de cette dernière siègent
s vaisseaux très altérée, fragile, et de simples hypérémies actives cérébrales peuvent amener des extravasations sanguines cap
des régions rolandiques et des lobes frontaux des deux hémisphères cérébraux . Mais c'est tout particulièrement la région rol
te chronique, ou ce qu'on appelle plus communé- ment de la sclérose cérébrale . Mais ici il s'agit de la sclérose cérébrale se
ment de la sclérose cérébrale. Mais ici il s'agit de la sclérose cérébrale secondaire ayant succédé aux poussées inflamma-
d'encéphalite subaiguë paraissent avoir évolué comme de la sclérose cérébrale . Après ce qui vient d'être dit nous nous croyon
hemine à travers une série de neurones qui le conduisent à l'écorce cérébrale . Des cônes et bâtonnets (A) il passe succes- si
oyaux gris centraux ; les radia- tions optiques (1), enfin l'écorce cérébrale (K). A chaque articulation de neurones (aux poi
nt de réflexion dans les noyaux de la base, le second dans l'écorce cérébrale . La pathologie se charge d'ailleurs dé les diss
de projection. Ce trajet complexe constitue la voie des réflexes cérébraux , qui sont tout le substratum des phénomènes de la
nne les contacts et diminue les résistances. 466 PSYCHOLOGIE. cérébrale a sensiblement la même structure en tous ses poin
ensiblement la même structure en tous ses points; tous les réflexes cérébraux doivent se produire d'une façon analogue, il no
acha à la médecine générale. Les progrès en anatomie et physiologie cérébrale furent rapides, trop peut-être pour que ces not
résultats bien connus de l'ablation expérimentale des hémisphères cérébraux , ils sont bien d'accord avec les effets observés
6. Cette exagération n'est pas due à la suppression de l'influence cérébrale , puisqu'elle a sou minimum de fréquence à la dern
ière cause, de sorte qu'il y a des cas où l'addition à l'invalidité cérébrale de la syphilis suffit pour engendrer la para- l
ais ébranlement de deux incisives déjà peu solides. Donc, commotion cérébrale indi- recte, caractérisée par une première inco
tait passé. Pendant toute la journée, il fut en proie à une torpeur cérébrale légère qui gêna le jeu de la mémoire et lui ren
tant entre eux une grande ressemblance. Macroscopiquemenl, le tronc cérébral seul est conservé avec une moelle allongée, un
hes optiques défigurées ; absence presque absolue des hémis- phères cérébraux , intégrité du cervelet, absence absolue des fais-
du prolongement cylindraxile de la cellule pyrami- dale de l'écorce cérébrale . Tant qu'il n'y a pas eu de contact entre la ce
t le prolongement cylindraxile de la cellule pyramidale de l'écorce cérébrale , la cellule motrice de la moelle ne possède que
raumatisme opératoire, accumulation de pigment dans les capillaires cérébraux , lésion du sympathique, auto-intoxication). Deu
s altérations apporte une nouvelle preuve en faveur de leur origine cérébrale , car il s'agit uniquement d'une altération ou d
ment bilatérale, elle pourrait être croisée par rapport à la lésion cérébrale . Ces variations dépendent du siège et de retendue
e pas le bulbe et que rien ne permet de l'attribuer à une affection cérébrale , il reproduit ce que l'on a observé dans la dég
n simple étudié dans SES rapports avec la courbe PLETHISMOGRAPHIQUE cérébrale ; par P.11RIZI. (Itiv. sp. di fren., fasc. II, 1
asc. II, 1897.) L'oscillation de l'activité spécifique des cellules cérébrales et celle de la circnlation du cerveau suivent c
. Redlich s'occupe plus spécialement des voies d'union de la partie cérébrale extirpée avec les ganglions sous-corticaux. Les
ue le déplacement de ce liquide en fournisse le cube. Mais la masse cérébrale d'un individu est-elle pendant la vie une grand
t sanguin; n'est-elle pas modifiée par la pénétration de la matière cérébrale par l'eau et par sa faculté d'élimination de la
u ? Ou jouit-il de celte propriété dans le cas seulement de lésions cérébrales notamment de lésions paralyti- ques ? Questions
ogiques. JO Les expériences instituées pour déterminer l'imbibition cérébrale du lapin dans l'eau courante ou non'semblont mo
eaux neurones établissant de nouvelles communications avec l'écorce cérébrale du côté opposé, où ils se relient aux neurones
exclusive du territoire de la pyramide gauche, dans le pédon- cule cérébral , la protubérance, le bulbe ; entrecroisement au
sceau du cordon latéral dans la pyramide du même côté que la lésion cérébrale . Donc, un )réllaisyhène cérébral est en communi
mide du même côté que la lésion cérébrale. Donc, un )réllaisyhène cérébral est en communication avec les deux cordons laté
ulaire normale ou un peu augmen- tée) peut accompagner des troubles cérébraux . Il est des cas où elle est combinée à des trou
r A. Marie et Vigoureux, 16. 534 . TABLE DES MATIÈRES. Ecorce cérébrale . Structure de l ? par Bewan Lewis, 303. Ecrit
Desnoyer, 289. - transitoire el récuriente dans le ramollissement cérébral aigu, par i\lacliensip, 295. - du deltoïde de
! non, 520. - Rétiniennes. Lésions - en rapport avec les lésions cérébrales , par Villiamson, 302. Richer l'aul.-B ! onrap
ale amyotrophique il début hnthaire, par Bonardi, 45. - en plaque cérébrale consécutive il l'iutluenza, par Sogorni, 123.
37 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
mplète de l'anatomie pathologique de l'hémianopsie d'origine intra- cérébrale . Si je me décide à reprendre ces recherches c'est
ch. f. Psych., vol. XVI, XVII, XX et XXIII. (3) Vialet, Les centres cérébraux de la vision et l'appareil visuel intra-cérébral,
ns l'hémisphère droit un ramollissement dans le domaine de l'artère cérébrale postérieure, qui avait détruit la région de la sc
n'observe rien de pathologique. L'examen microscopique du pédoncule cérébral et de la moelle donna des résultats négatifs.
qu'à son entrée à l'hospice. Le malade avait en outre des troubles cérébraux . L'examen du malade, pratiqué le 2 février 1897,m
ramollissement ; il reste seulement une mince couche de l'écorce cérébrale , qui limite l'endroit du ramollis- sement sur l
eure de ce lobe, il ne reste qu'une très mince couche de l'é- corce cérébrale , qui limite la lésion. La partie interne du lobe
re de nombreux corps granuleux. Les vaisseaux (branches de l'artère cérébrale postérieure) sont athéromateux. 3° Sur les coup
gual. - (La lésion est indiquée en blanc.) 8 JOUKOWSKY L'écorce cérébrale de la circonvolution limbique et du lobe lingual
le lobe fusiforme reste seulement une couche très mince de l'écorce cérébrale . Le foyer du ramollissement arrive jusqu'à la p
re-mère, une po- che se rompt faisant éclater la coque de substance cérébrale qui l'entoure et laissant échapper un liquide c
parasitaires DU cerveau 2t 1 L'examen microscopique de la substance cérébrale au voisinage du kyste ne nous a pas montré d'al
sur 255 cas. Quant à leur fréquence par rapport aux autres tumeurs cérébrales ,-la statistique de Haie White sur 100 cas de tu
e de pigment noir. Davaine avait déjà remarqué que les cysticerques cérébraux étaient souvent le siège d'altérations variées,
rvations complètes, 10 cas de kystes de cette nature dans les lobes cérébraux , 8 dans le cervelet, 4 dans les ventricules, 2 da
e noix. (1) Il existe dans la science trois observations de coenure cérébral chez l'homme. La ira appartient à Zéser, la 2°
ar les fosses na- sales. Il paraît exceptionnel que les hydatides cérébrales puissent se manifes- ter par des symptômes phys
émissement que l'hydatide provoque quelqu efois Parmi les tumeurs cérébrales , il n'en est pas dont le diagnostic positif f s
un traumatisme ; Babinski et Vulpian ont pour des cas d'hydati- des cérébrales observé des faits analogues. D'après ce que nou
bles, n'amenant d'autre part que tar- divement des lésions du tissu cérébral sont justiciables de la trépanation 30 . MONSSE
érison. Progrès méd., 1899. BRALLT ET LoEpEn. - Trois cas de tumeur cérébrale à forme psycho-paralytique, Archives général, d
T,1 L AN DlI¿IL (SERVICE DE M. LE D' MATHIEU). UN CAS DE LADRERIE CÉRÉBRALE PAR MM. LÉOPOLD LÉVI ET LOUIS LEMAIRE Ancie
terne lauréat des hôpitaux Externe des hôpitaux Les cas de ladrerie cérébrale , tout en n'étant pas exceptionnels, ne sont pas
ée est telle que nous por- tons d'emblée le diagnostic de néoplasme cérébral . Elle est cependant nomenta- nément soulagée pa
nous puissions mettre en doute son existence. r UN CAS DE LADRERIE CÉRÉBRALE 33 Dans la pensée que les phénomènes délirants
n existe trois dans la protubérance, et deux au niveau du pédoncule cérébral gauche (Fig. 2). Les aspects sous lesquels se p
- Deux cysticerques appendus à une artériole. UN CAS DE LADRERIE CÉRÉBRALE 35 En le comprimant entre deux lames, on fait s
5. Recessus scole- cis ; - fi. Membrane propre du toenia; 1. Tissu cérébral organisé autour du toenia ; - 8. Vaisseaux. 3
seaux. 36 LÉVI ET LEMAIRE II La connaissance de la cysticercose cérébrale est très ancienne. Déjà en 1558, Rummler, puis
rgane (1866). Plus tard Kuchenmeister réunit 88 cas de cysticerques cérébraux . Bastrocchi, Clémenceau (th.Paris, 1870),Joire,
de dans la protubérance, et dans le pédoncule. i UN CAS DE LADRERIE CÉRÉBRALE 37 Une question fort intéressante qui se pose à
- ble de kystes qui sont tous venus se constituer dans la substance cérébrale . Comment expliquer que c'est la substance grise
Il n'y aurait pas de symptômes dans les 2/3 des cas de parasitisme cérébral (Clémenceau). , Il est néanmoins certains signe
e crise. L'autopsie fait constater la présence dans les hémisphères cérébraux (à l'exclusion de toute autre région du corps)
ie n° 1 (Pl XI) est représentée par derrière la vue des hémisphères cérébraux , du cervelet, de la région cervicale de la moel
u représenté par la phot. n°2 (PI. XI). Toutes les parties du tronc cérébral se trouvant devant le cervelet sont (1) Rapport
E NERVEUX CENTRAL DANS LE SPINA BIFIDA 119 séparées des hémisphères cérébraux ; dans les ventricules latéraux se trouvait une
ci dans les détails, qu'une lésion irrilative de la substance grise cérébrale donne lieu à du spasme, qu'une destruction in-
ot, Saint-Dizier (Haute-Marne). 14e Année N° 3. ' MAI-JUIN TUMEUR CÉRÉBRALE (Etude histologique et pathogénique) PAR ER
our expliquer la physiologie pathologique des symptômes des tumeurs cérébrales , une hypothèse nouvelle, destinée, non pas à remp
anche XXV. Observation. SOMMAIRE. Clinique : Syndrome des tumeurs cérébrales : d'abord cépha- lée, quelques vertiges et vomi
asculaires et formations an- (1) E. Dupn et A. Devaux, Endolhéliome cérébral . Soc. de Neurologie, 18 avril 1901. xiv 13
APHIE DE LA SALPÊTRIÈRE T. XIV. PL. XXIV Eig.1 i Fig. 2. TUMEUR CÉRÉBRALE (Ernest Dupré et Albert Devait. TUMEUR CÉRÉBRAL
Fig. 2. TUMEUR CÉRÉBRALE (Ernest Dupré et Albert Devait. TUMEUR CÉRÉBRALE 175 quelques troubles de caractère hystérique :
rieur, l'apparition de sa cécité et le développement de sa lé- sion cérébrale . Aucun trouble des sphincters. Sommeil bon et r
Dr Rénon, qui, après examen, conclut à la probabilité d'une tumeur cérébrale . Sur la demande de Rénon, le Dr Sauvineau examine
nge, d'une consistance demi-molle, analogue à celle de la substance cérébrale , d'une couleur gris-rosé, et nettement circons-
dure-mère, très épaissie et enflam- mée it ce niveau, dans la fosse cérébrale antérieure gauche. Eu dedans, elle refoule vers
.A 13essJn, Del-loll> E Marchl'ze, Imp 9,rueChampoll'on TUMEUR CÉRÉBRALE 177 misphère et en augmente beaucoup les dimens
to-temporale inférieure. Au niveau de la partie externe de la fosse cérébrale antérieure, une zone assez étendue de pachyméni
être rompues pour énucléer le lobe frontal et sa tumeur de la fosse cérébrale , et de petits fragments du néoplasme restèrent at
l'intermédiaire de la pie-mère et de ses vaisseaux, à la substance cérébrale . Le résultat des pesées est le suivant : Poid
ment nerveux dans le néoplasme. L'examen histologique de l'écorce cérébrale sur des fragments prélevés loin de la tumeur (l
E CLINIQUE. Tout a déjà été dit sur l'histoire clinique des tumeurs cérébrales : et pourtant il ne sera pas sans intérêt de re
es qu'elle exerçait sur le pôle temporal, le lobule de l'in- TUMEUR CÉRÉBRALE 179 sula, et les régions inféro-externes du lob
céphale ; enfin et surtout, les rapports du néoplasme avec l'écorce cérébrale . Celle-ci n'était que refoulée et comprimée, et
la note psychopatltique dominante du tableau clini- que des tumeurs cérébrales : c'est un état qui, associé à un degré plus ou
mble avoir bien remarqué aussi, dans la symptomatologie des tumeurs cérébrales , lorsqu'il écrit : « c'est un simple retour à l
lité extrême dans la conversation, la (1) E. Brissaud, Art. Tumeurs cérébrales , Traité de médecine, t. VI. TUMEUR CÉRÉBRALE 18
rissaud, Art. Tumeurs cérébrales, Traité de médecine, t. VI. TUMEUR CÉRÉBRALE 181 nature puérile des désirs, des occupations,
- Localisation im Gehirn,Berlin,1888. (3) BRAULT et LOEPER, Tumeurs cérébrales il forme psycho-paralytique. Archiv. de Médecin
e. Archiv. de Médecine, mars 1900. (4) DEVIC et GAUTHIER, Tumeurs cérébrales à forme ysycleo paralylique, Id., dé- cembre 19
éoplasme sur le centre cortical de la VIle paire, en raison du type cérébral de la paralysie faciale ; et sur le tronc de l'
gique de notre observation. L'étude clinique et pathogénique TUMEUR CÉRÉBRALE 183 demande cependant à être éclairée par une c
histologique détaillée, d'abord de la tumeur, en- suite de l'écorce cérébrale dans des zones plus ou moins rapprochées du néo
rtant à la fois sur la périphérie et sur la portion de la substance cérébrale adjacente à la tumeur, la présence d'une membra
cette membrane d'enveloppe restée adhérente aux parois de la fosse cérébrale antérieure ; à la face supérieure on la distingua
ition périlacunaire semble représenter le der- nier terme. TUMEUR CÉRÉBRALE 185 S'agit-il là d'un mécanisme analogue à celu
être contenus dans la paroi même. Cette dernière a uuestruc- TUMEUR CÉRÉBRALE 187 ture très particulière. Elle est formée par
ation de tous les auteurs, montre qu'il s'agit non pas d'une tumeur cérébrale proprement dite, mais bien d'une tumeur ayant p
) Cruveimiier, Analomie pathologique générale, 1855, t. ]Il. TUMEUR CÉRÉBRALE 189 Bouchard (18û'l) (-1), à propos d'une prése
(7) BRAULT, in Cornil et Ranvier, Histologie pathologique. TUMEUR CÉRÉBRALE 191 vasculaire c'est' que les cellules voisines
ac, cit. (4) lrevcn, Virchow arch. (18 : i9), t. XVII. ? , TUMEUR CÉRÉBRALE 193 pens de l'épithélium de l'arachnoïde. Rokit
rimordial revient à la dégénérescence des parois vasculaires TUMEUR CÉRÉBRALE 195 dont la rétraction tasse, resserre et orien
corps chromatopliiles ont l'aspect de fine poussière et sont TUMEUR CÉRÉBRALE 197 beaucoup moins abondants. Cette chromatolys
la conservation relative de la forme cellulaire normale : TUMEUR CÉRÉBRALE 199 Souvent aussi la cellule apparaît divisée e
(7) VA ? GEHUCHTEN, Loc. cit., et Congrès de Moscou, 1897. TUMEUR CÉRÉBRALE 203 tère trop absolu de ces conclusions, sans l
elles que les a décrites Neumayer; dans toute l'étendue de l'écorce cérébrale , les cellules présentaient l'aspect d'éléments
raitement de la myélite aiguë. Congrès 1900, Sect. neurol. · TUMEUR CÉRÉBRALE 205 matolyse, et conclut que la neuronophagie e
lés dans les conducteurs des mouvements volontaires depuis l'écorce cérébrale jusqu'aux muscles. Il n'est pas douteux que les
é- rences observed in the température of the body as snaptomatio of cérébral lésions. The Brit. med. Journ., 1889, p. 1406.
Kc(t& ! d.,p.l43). L'excitabilité comparée des deux hémisphères cérébraux chez l'homme (ibid., p. 143). - De l'influence
TISSU ? La fatigue et l'entraînement physique, 1897, p. 291. TUMEUR CÉRÉBRALE (Etude histologique et pathogénique) PAR ER
tion des accidents si variés et si nombreux du syndrome des tumeurs cérébrales . Pour fixer un peu les idées et restreindre, dans
le pathogénique que doit jouer, dans la symptomatologie des tumeurs cérébrales , un autre facteur d'ordre toxique ; c'est l'impré
autre facteur d'ordre toxique ; c'est l'impré- gnation de la masse cérébrale , par les produits de désassimilation, les toxin
t lymphatique de l'encéphale : c'est l'intoxication de la substance cérébrale par les poisons cellulaires d'origine néoplasique
de l'urémie, du diabète, du saturnisme, et du syndrome des tumeurs cérébrales . Or, il est certain que le tableau clinique des
certain que le tableau clinique des accidents présentés par TUMEUR CÉRÉBRALE 355 notre malade rappelle, dans ses grands trai
s ses grands traits et son évolution progressive, celui de l'urémie cérébrale , ou encore, quoique de plus loin, et dans ses d
communs aux grands syndro- mes, d'origine autotoxique, de l'urémie cérébrale et du diabète sucré, et au syndrome des tumeurs
l'urémie cérébrale et du diabète sucré, et au syndrome des tumeurs cérébrales . Cette analogie générale des deux séries cliniq
semblance des deux tableaux cli- niques de l'urémie et de la tumeur cérébrale , et se demande si beaucoup des symptômes de l'u
meur cérébrale, et se demande si beaucoup des symptômes de l'urémie cérébrale ne reconnaissent pas pour cause l'hypertension
cause l'hypertension du liquide céphalo-rachidien, causant l'oedème cérébral et l'hydropisie ventriculaire. A propos d'une c
ension. L'hydropisie ventriculaire de Leindot et Odick, les oedèmes cérébraux décrits par Franck en rapport avec l'hypertension
liquide céphalo-rachidien tel qu'on le constate dans les tu- meurs cérébrales par exemple. Il y aurait donc lieu de différencie
utsche med. Wochensch., 1897). Mais une série d'autres cas d'urémie cérébrale a fourni des résultats défavorables à la méthode
inverse a aussi été maintes fois commise : le diagnostic d'uré- mie cérébrale a été posé, dans des cas où la nécropsie a démont
nislro. Rivista di Patologia nervosa e mentale, mars 1900. TUMEUR CÉRÉBRALE 357 7 Après avoir insisté sur l'analogie des ta
constance de l'hypertension céphalo-rachidienne chez les urémiques cérébraux , qu'il resterait à discuter le mode d'action de c
scuter le mode d'action de cette hypertension sur le fonctionnement cérébral . Il est logique de supposer que l'hypertension
est l'origine toxique des accidents. La nature toxique des troubles cérébraux de l'urémie est bien plus démontrée que ne l'es
'est la réalité de l'hypertension intracrâ- nienne dans les tumeurs cérébrales : et il nous semble plus logique de trouver une
plication univoque, des symptômes communs aux tumeurs et à l'urémie cérébrales , dans l'intoxication cérébrale, facteur pathogéni
s communs aux tumeurs et à l'urémie cérébrales, dans l'intoxication cérébrale , facteur pathogénique classique, démontré, que
s analogies cliniques des deux syndromes des tumeurs et de l'urémie cérébrales , d'accord avec eux pour chercher une cause path
s'achève dans le coma terminal.' , L'hypothèse de la compression cérébrale , invoquée comme cause des accidents diffus des
on cérébrale, invoquée comme cause des accidents diffus des tumeurs cérébrales , est passive d'objections capitales, d'ordre cl
stituées pour élucider le mécanisme et les effets de la compression cérébrale , une conclusion générale nous semble se dé- gag
e nous semble se dé- gager : c'est que les effets de la compression cérébrale , en général continus et proportionnels à l'inte
ique des phénomènes expérimentalement provoqués par ! a compression cérébrale , et l'évolution clinique des symptômes dus aux tu
cérébrale, et l'évolution clinique des symptômes dus aux tu- meurs cérébrales , et attribués par hypothèse à la compression de l
II ne semble d'ailleurs pas logique de chercher dans la compression cérébrale par une tumeur, c'est-à-dire dans un processus di
iche série d'accidents qui composent le syndrome diffus des tumeurs cérébrales ces accidents témoignent au contraire de l'atte
, dont les effets présentent avec ceux de certaines intoxica- tions cérébrales chroniques des analogies indiscutables. . (1) J
Compression, p. 719. Dictionnaire de physio- logie, t. II. TUMEUR CÉRÉBRALE 359 - La'similitude de l'expression clinique es
hies aussi diverses d'origine (urémie, diabète, saturnisme, tumeurs cérébrales ). A l'appui de cette thèse de l'influence toxiq
thèse de l'influence toxique exercée sur le cerveau par les tumeurs cérébrales , on peut invoquer certains arguments d'ordre ph
njonctives et vasculaires avec l'appareil méningé et la circulation cérébrale , par son régime biologique, étroitement associé
sitaire sans cesse grandissante du néoplasme doit tuer la substance cérébrale . Ces considérations s'appli- quent littéralemen
cates et les plus précoces aux imprégnations toxiques. C'est TUMEUR CÉRÉBRALE 361 sur cette notion générale que sont fondées
njecter à petites doses, incessamment répétées, dans la circulation cérébrale , des toxines vivantes, empruntées à un néoplasm
ques de l'encéphale, des toxines issues des néoplasmes ou des abcès cérébraux , on éclaire le problème pathogénique de l'actio
toxique de l'encéphale, le syndrome diffus des tumeurs ou des abcès cérébraux : une telle hypothèse vaut bien celle de la compr
s cérébraux : une telle hypothèse vaut bien celle de la compression cérébrale , ou celle de l'irritation réflexe à distance. Dan
èse de l'intoxication du cortex par les produits émanés des tumeurs cérébrales a été formulée en termes' explicites par P. Marie
uées à l'appui de la théorie toxique du syndrome diffus des tumeurs cérébrales . Les documents sont rares, parce que l'examen h
et il consacre un chapitre au syndrome de Korsakoffdans les tumeurs cérébrales . La constatation de ce syndrome, d'ordre essent
ce syndrome, d'ordre essentiellement toxique, au cours des tumeurs cérébrales , a déjà été faite par Meyer, par 111nlcemller e
es des analogies histopathologiques, dans les réactions de l'écorce cérébrale aux différentes intoxications générales exogène
Syndrome de Korsakoff et lésions médullaires dans un cas de tumeur cérébrale . AUgem. Zeitsch. f. Psych., octobre 1899. TUMEU
e tumeur cérébrale. AUgem. Zeitsch. f. Psych., octobre 1899. TUMEUR CÉRÉBRALE 365 cérébrales. Nous croyons qu'elle offre un i
le. AUgem. Zeitsch. f. Psych., octobre 1899. TUMEUR CÉRÉBRALE 365 cérébrales . Nous croyons qu'elle offre un indéniable intérêt
vons présentées, et dont presque toutes les observations de tumeurs cérébrales représentent, chacune à leur manière, un intére
capable d'expliquer beaucoup des éléments du syndrome des tu- meurs cérébrales ; ce facteur pathogénique est l'intoxication de f
de la même année de nouveaux symptômes sont observés : X..., TUMEUR cérébrale 367 devenu très irritable, s'emporte pour des m
ervation de M. Touche, Société anatomique, 1899. [Résumé). Tumeur cérébrale : Le malade, âgé de 45 ans, présente un état de
r cérébrale : Le malade, âgé de 45 ans, présente un état de torpeur cérébrale très accusé ; continuellement somnolent, il rép
t de dehors en dedans, prenant en ces points une disposition TUMEUR CÉRÉBRALE 369 lamelleuse. La face profonde de la portion
e part, il est bien évident que la tumeur est indépendante du tissu cérébral . C'est dans la pie-mère, croyons-nous, qu'il faud
sculaires (1). - CONCLUSIONS I. - Les malades porteurs de tumeurs cérébrales , présentent à côté de la dépression et de la di
rique et excentricité du noyau. IV. -Dans la pathogénie des tumeurs cérébrales , à côté de la com- pression de l'encéphale qui
e du néoplasme et de l'encéphale permettant l'imprégnation du tissu cérébral par les toxines issues du foyer pathologique ;
ènes vasculaires) invoqués pour expliquer les symptômes des tumeurs cérébrales . (1) Il nous semble, d'après la description his
ration se poursuit jusque dans l'endroit où se forment les pédoncules cérébraux (PI. XLVIII, C et D). , Les cellules de la su
supérieurs sont sains dans toute leur étendue. Dans les pédoncules cérébraux on ne constate pas de lésion. Sous l'épendyme d
e du côté du corps thyroïde. Système nerveux. - Les circonvolutions cérébrales , après durcissement dans le lllüller, ont été e
, Vol. III, n^ 2). (2) L'excitabilité comparée des deux hémisphères cérébraux chez l'homme (L'an- née psychologique, 1901, p.
mala- dies articulaires, aux fractures, aux névralgies, aux lésions cérébrales , (1) LANnouzv, Revue mens. de méd. et chir., 18
le disait, il y a vingt ans, M. Gubler, à propos du ramollissement cérébral atrophi- que, « la pathologie fournira des lumi
tation et totalement incapables d'en opérer le triage. Aux cellules cérébrales seules incombe le soin de cette délicate sélectio
t exacte de ce qui revient dans la genèse de l'affection au système cérébral d'un côté ou au système spinal de l'autre, et b
vie , par A. BEAUVOIS (1 fig.), 62. Hémianopsie d'origine intra - cérébrale (Anatomie pathologique de l'), par Jou- IWWSK
SEAUX, DE GOTHARD et RICHE (1 pl. en photocollogr.), 19. Ladrerie cérébrale (Un cas de), par Lùo- pOLD-Lnvi et Louis LEMAIR
(Observation de), par MABILLE (1 pl. en photograv.), 503. Tumeur cérébrale , par E. Dupré et A. De- vaux (2 pl. en couleur)
(2 pl. en couleur), 173 et 354. Dupré Ernest et A. Devaux. Tumeur cérébrale (2 pl. en couleur), 113 et 354. Féré CH. Recher
llogr.), 402. LEMAIRE (Louis) et Léopold-Lévi. Un cas de ladrerie cérébrale (4 fig.), 32. LÉOPOLD-LÉVI et Louis LEMAIRE. Un
(4 fig.), 32. LÉOPOLD-LÉVI et Louis LEMAIRE. Un, cas de ladrerie cérébrale (4 fig.), 32. ' LONG E. et Wiki. Sur l'état ati
V à LXVI. Trophoedème (observation de) (MABILLE), LXVII. Tumeur cérébrale (E. DupRÉ et A. DEVAUx), XXIV et XXV. Vase gr
38 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
lade car il s'agit là d'une vraie malade est atteinte d'un syndrome cérébral qui semble déterminé « par une forme d'hydro- c
hypophyse ». D'autre part, étant donné la complexité de ce syndrome cérébral , il me semble que les arguments tirés par M. E.
arcinome du sein (Spiller- Weisenburg) où il y avait de symp- tômes cérébraux , on constata à côté de lésions insignifiantes des
, Lubarsch) ; les autres au contraire sont d'avis que les symptômes cérébraux et médullaires dépendent du processus cancéreux
on peut éliminer tout de suite la sclérose en plaques, la sclérose cérébrale primi- tive, la diplégie cérébrale familiale de
sclérose en plaques, la sclérose cérébrale primi- tive, la diplégie cérébrale familiale de Freud, la paraplégie familiale de
cas deux ordres de symptômes bien évidents. D'un côté des symptômes cérébraux qui rappellent les formes de la diplégie famili
ès particulier qui servi- rait de trait d'union entre les diplégies cérébrales familiales et les para- plégies spinales famili
s cette observation d'Iligier, il y avait, en plus des phé- nomènes cérébraux , des signes certains de participation médullaire,
ents, même début dans la première enfance, enfin tous les symptômes cérébraux sont identiques : la déchéance psychique, l'ama
formes de passage, c'est-à-dire à califourchon entre les diplégies cérébrales infantiles familiales et les paraplégies infantil
ent nous ne pouvons pas assimiler cet état de simple irrita- bilité cérébrale à l'état mental de nos trois malades, mais il fau
actères de l'atrophie osseuse que l'on rencontre dans les diplégies cérébrales infantiles, mais que plutôt cette atrophie glob
e maladie familiale. Nous avons souligné avant tout les symptômes cérébraux communs chez eux et analogues à ceux que l'on r
chez eux et analogues à ceux que l'on rencontre dans les diplégies cérébrales infantiles du type familial. Ensuite nous avo
un âge plus jeune. Chez l'adulte, les troubles trophiques d'origine cérébrale , sans être très rares, ne sont jamais ni profon
raumatisme crâ- nien, des troubles trop.hjques de la main d'origine cérébrale ont abouti à des déformations des doigts persis
16 avril 1903. Antécédents héréditaires. - Père mort de congestion cérébrale à l'âge de 79 ans ; mère morte à l'âge de 78 an
disparaître et le sujet put être considéré comme guéri. La lésion cérébrale , cause de ces divers troubles, est difficile à pr
ême des symptômes, nous avons rejeté l'hypo- thèse d'une hémorragie cérébrale . La succession des divers symptômes et la lente
urs sujets atteints de troubles mentaux aigus. A cette inflammation cérébrale diffuse s'est asso- ciée une recrudescence dans
celles 118 FLATAU constatées maintes fois dans les cas de tumeurs cérébrales et surtout cé- rébelleuses. Grâce aux recherche
bronchiques très augmentés, à la coupe lisses et d'une consistance cérébrale . Au cou, le long des gros vaisseaux, les gangli
te-t-il, comme base anatomique des maladies mentales, des lé- sions cérébrales typiques, constantes et faciles à démontrer ? 2
dernier refuge en démontrant que, dans les vésanies aussi, l'écorce cérébrale ne restait pas indemne, que les cellules, les f
n microscopique dans quelques-uns de ces cas montre une sub- stance cérébrale qui n'est pas indemne, il y a des altérations, so
s altérations fines, plus ou moins consi- dérables, de la substance cérébrale , sous l'action d'agents toxiques tandis que l'é
sur les modifications fonctionnelles qui accompagnent l'ac- tivité cérébrale , le travail intellectuel et la fatigue. Gley, d
que s'accompagne de modifications physico-chimiques de la substance cérébrale ou qu'un trouble psychique est constamment lié à
qu'un trouble psychique est constamment lié à la lésion d'une zone cérébrale toujours la même, ce jour-là la preuve sera fai
a pas une affection men- tale pour laquelle on ait trouvé l'écorce cérébrale indemne de toute altéra- lion. Que l'on se trou
rriver à un résultat dans ce domaine, c'est l'étude des altérations cérébrales en utilisant les données architecturales fournies
ns histologiques des éléments cellulaires et des tissus de l'écorce cérébrale observées dans les maladies mentales sont, en fai
éciale que peuvent avoir les diverses altérations de la subs- tance cérébrale du fait de la présence de la névroglie. La comb
au contraire parfaitement conforme à la théorie des loca- lisations cérébrales , physiologiques et anatomiques. Les psychoses s
ttront aussi bien du temps pour disparaître. Aussi l'organe, l'aire cérébrale d'où ils proviennent doit-elle continuer à réap
e-dépressive pourrait bien être un vice de conformation de l'écorce cérébrale , quelque chose comme une aberra- tion, un retou
eau normal nous sera mal connu, tant que la physiologie de l'écorce cérébrale n'aura pas expli- qué le fonctionnement des nom
timons que la constitution cyto et myéloarchitectonique de l'écorce cérébrale , qui nous permet de diviser le manteau encéphaliq
par des modifications dans les échanges nutritifs, dans le chimisme cérébral , il y a bien des chances pour qu'on en soit au
us l'influence d'un processus pathologique qui évolue dans l'écorce cérébrale et dont les manifestations psychiques se tradui
Brachymélie métapodiale congénitale du quatrième rayon. Diplégie cérébrale fruste. Imbécillité. Louise Cli., âgée de quinz
e Babinski est bilatéral ; pas de gâtisme. Il s'agit d'une diplégie cérébrale fruste prédominant à droite. Les stigmates de l
ons survenus à 4 ans. Le sixième, atteint à 18 mois d'une infection cérébrale , resta trois mois paralysé des deux membres inf
plusieurs jôurs.. Hérédité encéphalopathique et alcoolique, lésion cérébrale ou épilepsie progressive, à ces tares s'ajoute
e, une autre de tuberculose à 34 ans et un frère d'une hémor- ragie cérébrale à 65 ans. Personne, soit chez les ascendants, soi
ie nerveuse, on ne pourrait mettre en ligne de compte qu'une lésion cérébrale nu une lésion périphérique ; la moelle épinière
e qui nous puisse faire soupçonner l'existence d'une de ces lésions cérébrales (hémorragies, ramollisse- ments) qui sont, dans
: Prof. G. 111'(GA7.lIN[. OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA. SYPHILIS CÉRÉBRALE PRÉCOCE ET MALIGNE . PAR F. COSTANTINI Aide
uels font déjà, dans leurs monographies, mention de cas de syphilis cérébrale s'étant développée dans une période précoce, il
de ses propres observations, dans lesquelles les premiers symptômes cérébraux se manifestèrent quelques mois seulement après la
période précoce. Le second fait osciller les limites de la syphilis cérébrale entre les 6 mois et les 12 ans qui suivent la c
IONS CLINIQUES SUIT LA SYPHILIS CKRÉBRADS ' 287 vations de syphilis cérébrales , dans lesquelles les premiers symptômes de l'af
tre 3 et 18 mois après le syphilome initial. Sur 40 cas de syphilis cérébrale cités par Rumpf, 9 se développèrent pendant la
premières années après l'in- fection des cas de paralysie des nerfs cérébraux , d'ophtalmoplégie en môme temps que d'aphasie,
st pas rare. Parmi les observations les plus détaillées de syphilis cérébrale précoce connues jusqu'ici, je résumerai brièvem
ment cliniques. Kahler, à l'autopsie d'un individu mort de syphilis cérébrale , alors que l'ulcère initial n'était pas encore
ent mourut. L'autopsie fit relever une forme vasculaire de syphilis cérébrale avec un ramollissement dans la partie droite du
ultat négatif. Mingazzini, dans son premier travail sur la syphilis cérébrale précoce et maligne, rapporte (Beob. I) le cas d
troubles psychiques, et mal- OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 289 gré un traitement énergique d'injections in
lions de la base de gauche et une endoartérite de plusieurs artères cérébrales , de la fosse de Sylvius, des vertébrales et de la
ent sur le même sujet, fit con- naître trois autres cas de syphilis cérébrale précoce et maligne, observés durant la vie des
un traitement spécifique. Six mois après l'apparition des symptômes cérébraux , se manifesta une hémiplégie droite avec aphasi
e Mingazzini, Panichi a aussi publié en Italie deux cas de syphilis cérébrale précoce et maligne. Le premier de ces cas regarde
'infection, soignée au moyen OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 291 de composés mercuriels et de iodure, fut fr
pacité des mêmes parties en correspondance avec les circonvolutions cérébrales ; artères de la hase fortement épaissies ; les
e cas d'un officier su- balterne de 54 ans chez lequel une syphilis cérébrale donna, quatre mois déjà après l'infection, les
éhosclérose. 292 COSTANTINI Ayant ainsi parlé des cas de syphilis cérébrale précoce et maligne fournis de données anatomopa
connaître le cas d'une syphilis très diffuse et grave des méninges cérébrales et spinales et qui s'était déjà manifestée deux
gauche, dix mois après l'in- OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 293 fection syphilitique qui fuf soignée irrégu
la cure. Il y a quelques années, Kreibich publia un cas de syphilis cérébrale , dans lequel les premiers symptômes apparurent
Mais le malade continua toujours à présenter des signes de syphilis cérébrale . Nonne, dans la dernière édition (1909) de l'ou
ccasion d'observer à l'Asile des aliénés de Rome un cas de syphilis cérébrale qui s'était développée quatre mois après l'appa
avec une éruption maculo-pa- OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 295 puleuse diffuse. Un second cas d'hémiplégie
rochiée : 22 centimètres. Le OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 297 patient ne réussit pas à étendre complète
iaux, la suggestion est évi- OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 299 dente, mais en dehors de celle-ci le pouvoi
ces troubles sont épisodiques ferait penser à des crises de torpeur cérébrale plus grave qu'à l'habitude. Le patient reste à
lques mois après. Il s'agit donc dans les deux cas d'une syphilis cérébrale grave, qui s'était développée déjà dans la péri
ilis et selon toute probabi- OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 301 lité, d'une arteritis luetica -et non d'une
CÉRÉBRALE 301 lité, d'une arteritis luetica -et non d'une affection cérébrale d'une autre nature. L'infection syphilitique dé
ents étioiogiques, qui. dans celle forme particulière de syphi- lis cérébrale , ont été incriminés, par divers auteurs, sont mul
un autre côté, examinant minutieusement de nombreux cas de-syphilis cérébrale de formes diverses (artérite, méningite, méning
certaine,névropathique ou psychopa Inique : Sur 185 cas de syphilis cérébrale , spinale et cérébro-spinale, 24 fois il n'a trouv
ce de la tare héréditaire sur celle formeparticulièrede la syphilis cérébrale . L'importance de cette hérédité sur les formes
érature, on déduit que sur 37 cas, y compris les miens, de syphilis cérébrale précoce et maligne, dont on con- naît l'âge, le
c raison que Mingaz- zini affirme que la moitié des cas de syphilis cérébrale précoce et maligne se développent entre 20 et 3
bien qu'un dénouement malheureux puisse avoir lieu dans la syphilis cérébrale , quel que soit l'âge auquel est survenue l'infe
infection une des principales causes de la malignité de la syphilis cérébrale . Cela est encore d'accord avec les vues de Naun
de l'influence de l'âge avancé sur le développement de la syphilis cérébrale précoce et maligne se lie intimement à celle d'un
i l'agent syphili- tique pénètre dans l'organisme quand les artères cérébrales sont déjà affai- blies par l'âge et par l'intox
, et qui a déjà été remarqué OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 303 par d'autres auteurs (Althaus, Neumann, Min
plique à son tour un autre-caractère de la malignité de la syphilis cérébrale précoce, c'est-à-dire' : « la rapide succession d
is pustuleuse et ulcéreuse, et conduisant précocement àja sypliilis cérébrale . Une statistique de Tarnowski, selon laquelle sur
de Tarnowski, selon laquelle sur 100 patients affectés de syphilis cérébrale , pas moins de 43 étaient des buveurs habituels,
utre moment étiologique qui, dans le développement des affec- tions cérébrales , a toujours été et est maintenant plus que jamais
les traumatismes de la tête. Ainsi-leur influence dans les tumeurs cérébrales , déjà admise par Oppenheim et Bruns, est désorm
atisme. Du reste, l'importance de ces traumatismes pour la syphilis cérébrale a été reconnue par un grand nombre d'auteurs co
t, Meyer s'est occupé des rapports qui existent entre les symptômes cérébraux et les chocs trauma tiques de la tête chez les
s chocs traumatiques de la tête sur le développement de la syphilis cérébrale , se basant sur sa propre expérience, croit qu'u
as qui lui appartien- nent dans lesquels l'apparition des symptômes cérébraux avait été précé- dée d'un choc traumatique. Le
soignée à l'hôpital deEppendorf pour une syphilis 304 COSTANTINI cérébrale (céphalalgie, ! convulsions épileptiques, stase p
atique peut créer un locus minoris resistel1tiæ, et que la syphilis cérébrale peut succéder à un choc de la lête; d'autre par
es chocs traumatiques eux-mêmes sur le développement de la syphilis cérébrale ; en général, on n'en parle pas d'une manière par
énergique a la même valeur. OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 305 Rnmpf, au contraire, et avec lui beaucoup d
ait une cure antisyphilitique intense est menacée d'une affec- tion cérébrale dans une mesure bien moindre que l'autre, qui n'a
se montre parfois insuffisant à prévenir ou à retarder une syphilis cérébrale . Et c'est surtout évident dans la syphilis céré
r une syphilis cérébrale. Et c'est surtout évident dans la syphilis cérébrale précoce et maligne, dans laquelle, de nombreux
malignité de la syphilis précoce. En effet, les premiers symptômes cérébraux disparaissent ou s'améliorent la suite d'une cu
res qui sont rebelles à tout OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 307 traitement et qui souvent mènent le malade
stants ou la manifestation de nouveaux symptô- mes dans la syphilis cérébrale précoce et maligne, nous ne la connaissons pas.
ne devons être aucunement étonnés si, d'au- tre part, les symptômes cérébraux restent tels quels ou même s'améliorent peu mal
s importants qui aient été pris en considé- ration dans la syphilis cérébrale précoce et maligne. Mais les auteurs par- lent
quels on doit attribuer la précocité et la malignité de la syphilis cérébrale . Il peut parfois venir s'y mêler d'autres cause
ebrale précoce. Gaz. méd. de Nantes, 1909, p. n0. CHABYET. Syphilis cérébrale sept mois après l'accident primitif. Oblitération
. Vienne, 1894. Tageblatt. OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 309 Juscurscuswo. - Ueber/ruhzeitigesyphilit. E
-1575. Vol. VI, et Anu. de Deruialol. 1879. 111LWTnuas. Accidents cérébraux au début de la période secondaire. Ann. de Derma-
it beaucoup d'urine (normale). Le diagnostic fut posé de syphilis cérébrale et de diabète insipide. Le trai- tement spécifi
érente à la dure- 358 FLATAU mère, dure à la palpation ; le tissu cérébral ambiant est ramolli. Les vaisseaux sur la base
athologique). Nous avons posé le diagnostic dans ce cas de syphilis cérébrale . Pen- dant le dernier séjour de la malade à l'h
question qui semblait être un fait acquis pour l'histo-physiologie cérébrale . Brodmann () a eu l'occasion d'examiner,au poin
ments athétoïdes à la main gauche, enlève cette région de l'écorce cérébrale dans toute l'étendue et toute la profondeur de
, 1906, p. 277. (8) E. SM[ïn. new topographical survey ol the human cérébral cortex. Journal of Anat. and Physiol., vol. XLI
gro- sine. Von Monakow (2) en examinant, après six mois, l'écorce cérébrale d'un chat, dont il avait sectionné la portion a
pu observer les modi- fications de la structure intime des cellules cérébrales . Dotto et Pusateri (4) ont examiné le cerveau d
p, .H8. 1 (3) CAtti.0 Ceni, Sulle fine allerazioni della corleccia cérébrale consécutive aile le- sioni della midolla spinal
j.'ai montré des coupes de cerveaux d'un cas de lésion du pédoncule cérébral , de six cas de compression de la moelle et d'un
urrait tirer de l'étude de tels cas pour les localisations motrices cérébrales . Mes élèves Parhon et Goldstein (1) ont publié
produit indifféremment si cette destruction a lieu dans son trajet cérébral ou médullaire. Récemment Holmes et Page May (2)
épondre aux questions suivantes : 1° De quelle région de l'écorce cérébrale naît le faisceau pyramidal ? 2° De quelles cell
estions, les auteurs étudient la réaction à dis- tance des cellules cérébrales après la section du faisceau cérébro-spinal che
terrompue du faisceau pyramidal delà moelle sacrée jusqu'à l'écorce cérébrale . De tels cas ont été publiés par Kojewnikoff (1),
Franceschi (13), etc. On comprend facilement pour les localisations cérébrales l'importance d'une lésion du système pyramidal
une certaine région de l'écorce et plus encore à certaines cellules cérébrales . En effet, Ko- jewnikoff, Charcot et Marie, 111
térale amyotrophique avec la dégénérescence accusée depuis l'écorce cérébrale jusqu'aux muscles. Contribution from. tho w. Pep-
9. DES CELLULES DE BETZ ET DES MOUVEMENTS VOLONTAIRES 383 motrice cérébrale . Ils arrivent à la conclusion que la localisation
omplète. Durée de la maladie 2 mois. Examen macroscopique. - Tumeur cérébrale détruisant les noyaux de la base du côté droit.
Examen macroscopique. Foyer hémorragique à l'intérieur d'une tumeur cérébrale qui avait détruit les noyaux de la 'base du côté
tre la région plus ou moins atteinte par celte paralysie et la zone cérébrale occupée par les cellules lésées. Dans les hémiplé
t assez ancien, ne produit pas de réaction dans les centres moteurs cérébraux . On conçoit facilement l'importance de cette co
s corticales de même que entre le membre plus atteint et son centre cérébral . En effet, chez les paraplégiques les lésions d
e des frontales ascen- dantes. Dans les cas d'hémiplégies d'origine cérébrale , où le membre su- périeur était le plus touché,
baires la réaction et l'atrophie des cel- lules géantes de l'écorce cérébrale correspondent en partie avec les cons- tatation
ieurs étant également plus atteints, il est naturel que les centres cérébraux des noyaux bulbaires et des noyaux DES CELLULES
ouvement isolé. J'ai expliqué ce phénomène par le fait que l'écorce cérébrale présiderait à l'exécution des mouvements spécia
s diffuses (sarcomes, gommes) il y a une combinaison de symp- tômes cérébraux et médullaires. Tantôt les phénomènes cérébraux (
ison de symp- tômes cérébraux et médullaires. Tantôt les phénomènes cérébraux (l'am- blyopie et l'amaurose le. plus souvent d
omatiques. On lui doit aussi plusieurs études sur les localisations cérébrales et bulbaires, en particu- lier sur le Noyau du
ques pour démontrer comment, chez les gauchers, les circonvolutions cérébrales du langage, quand elles sont lésées à droite pr
de coupes sériées, les lésions qu'on rencontre dans les hémisphères cérébraux d'individus gauchers atteints d'aphasie sensori
ques d'un gaucher, mort dans la suite, j'ai examiné les hémisphères cérébraux de ce sujet, en les coupant par séries horizont
dure-mère et de la pie-mère La convexité et la base de l'hémisphère cérébral gauche sont normales. L'examen de l'hémisphère
'hémisphère cérébral gauche sont normales. L'examen de l'hémisphère cérébral droit montre que le cinquième inférieur du gyrus
n a pratiqué des coupes horizontales en série, tant de l'hémisphère cérébral droit, que du gauche ; puis on les a colorées a
Il n'a rien été trouvé d'anormal l'hémisphère gauche. Hémisphère cérébral droit. Coupes horizontales. Dans une section pass
parésie facio- brachiale, a montré, a l'autopsie, dans l'hémisphère cérébral droit, une destruction presque complète de la c
, les conséquences des lésions des zones du langage de l'hémisphère cérébral droit offrent la plus grande ressemblance avec
roitiers, par suite de lésions des zones du langage de l'hémisphère cérébral gauche. Il y a, en effet, dans notre cas, trois
l'on raisonne par analogie avec ce qui se passe dans l'hémi- sphère cérébral gauche on est porté à croire que cette altération
aient demeu- rés intacts. A l'autopsie, on trouva dans l'hémisphère cérébral droit, au point de passage du lobe pariétal dan
ck et le mien) démontrent donc que chez les gauchers l'hé- misphère cérébral droit et proprement le gyrus an[]llla1'is et l'ai
à fait analogue à celle des parties correspondantes de l'hémisphère cérébral gauche chez les droitiers. Il convient à ce pro
te de la section est normal. C. - Coups horizontale de l'hémisphère cérébral droit pratiquée à 48 millimètres au-dessous du
mplète s'il est déjà formé. Un emplacement vicieux soit de l'artère cérébrale antérieure (Sairder),soit de la faux du cerveau
; elle représente la plus longue Voie d'association de l'hémisphère cérébral et sert à relier entre eux les différents lobes
es reliquats incontestables de mé- ningite chronique et de sclérose cérébrale . C'est à cette méningite et à l'épendymite gran
que, qu'on peut trouver dans les cas de déficit psychique d'origine cérébrale inflammatoire ou hypobiotrophique. Chez beaucou
us trai- tons ici, admettent l'existence d'une microsomie d'origine cérébrale . M. Pellizzi, s'exprime à ce sujet de la façon
s beaucoup de cas de déficit intellectuel d'origine inflam- matoire cérébrale , on observe des retards ou des arrêts du développ
ue ni essentielle, mais est au contraire strictement liée la lésion cérébrale . » M. Sainton et 1l.Launois admettent aussi l'e
l'existence de cette forme de 530 / ETTORE LEVI nanisme d'origine cérébrale , mais aussi bien que M. Pellizzi ils n'en dé- f
d'une lésion chronique des centres nerveux, telle que la sclérose. cérébrale , ils ne se développent que difficilement et dem
tique (la microcéphalie est fréquente dans ces sujets). La sclérose cérébrale hypotrophique congénitale donne le plus souvent
celui de l'épilepsie pure. Dans ces formes de microsomie d'origine cérébrale , soit inflammatoire, soit hypobiotrophique les
ccord avec M. Pellizzi à ne considérer cette mi- crosomie d'origine cérébrale ni comme infantilique, ni comme essen- tielle ;
allons même plus loin en affirmant que cette microsomie d'o- rigine cérébrale ne doit pas être prise en considération dans cett
on constate plusieurs foyers de ramollissement dans t'hémi- sphère cérébral gauche. L'examen histologique de la moelle montre
in. Chir., 42,1891, p. 812. Réxon et TmH : tt. Sur un cas de tumeur cérébrale sec il une tumeur du sein. Rev. neurol., 190 ï,
ion des humeurs. G.Ofhuys penche pour le désordre de la circulation cérébrale , causé par la lésion d'une certaine veine, dont
existe plusieurs plaques de sclé- rose, à distance, en plein tissu cérébral . Notamment on en trouve deux, assez petites (1
un tissu névroglique lâche, faisant trou au milieu de la substance cérébrale avoisinante, sont formées par des fibrilles den
ur de larges surfaces ; elles s'enfoncent ensuite dans la substance cérébrale dont elles sont séparées par une ligne sinueuse,
diquant un léger processus réactionnel. Altérations de la substance cérébrale entourant les plaques de sclérose. Nous avons v
es autour des plaques. Elles le sont d'autant plus que la substance cérébrale , à ce niveau est dense et forte- ment colorée ;
le, à ce niveau est dense et forte- ment colorée ; de plus le tissu cérébral est infiltré à ce niveau de très non- breuses c
lement.Dans les plaques périvasculaires situées en pleine substance cérébrale , le réseau des cylindraxes est tout à fait identi
rps granuleux. - Il en existe très peu dans les plaques de sclérose cérébrale . Autour des plaques périventriculaires, on en voi
bre. (La recherche des corps granuleux a été faite pour les plaques cérébrales à l'aide du soudan sur des coupes à congélation
une dissémination médullaire des plaques de sclé- rose. Les plaques cérébrales étaient en petit nombre comparativement, les lé
océphalie passive, ex vacuo, commandée par la rétrac- tion du tissu cérébral dans son ensemble (Valentiner) (1). Les choses
e des mastzellen, tant dans les parois de l'aorte que dans l'écorce cérébrale et ses vaisseaux. Microscopie : Mésaortite gomm
sse avant d'atteindre la cicatrice définitive. Le cas de syphilis cérébrale diffuse relaté présentait des lésions aorti- qu
erne du ventricule reçoit le pilier antérieur descendant du trigone cérébral qui en occupe environ la moitié inférieure. Ce fa
convolution de l'hippocampe, entre celle-ci et le pied du pédoncule cérébral , qui expli- quent sans doute la dégénérescence
lenticulaire de la capsule interne jusque dans le pied du pédoncule cérébral , sont tous des détails anatomiques de la plus h
ne du noyau rouge, d'autres enfin, contournent le pied du pédoncule cérébral et s'épuisent dans la partie antérieure du corps
aut, il n'y a rien'de changé dans l'architectonique de l'hémisphère cérébral ; on re- trouve la même disposition de noyaux e
CORPS CALLEUX 657 tion, tels que l'emplacement vicieux de l'artère cérébrale antérieure (San- der) ou de la faux du cerveau
lleux et ne se retrouve pas dans le cerveau normal. 4° Le trigone cérébral est formé non seulement par des fibres directes
Timidité des - essai de pa- thogénie), par Bernard, 224. Syphilis cérébrale précoce (Observations cliniques sur la et malig
3,429, 5-il, 685. CosTwTm. Observations cliniques sur la syphilis cérébrale précoce et maligne, 286. DEBouis et BAGER. Tr
s (Bauer et DEsaoLls), XLV et XLVI. Troubles trophiques d'origine cérébrale (Marchand), XIV. Le gérant : P. Boucher. Im
39 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
oir eu du délire et beaucoup souffert et qu'elle appelait sa fièvre cérébrale . C'est bien plus tard seulement et par le récit
ystères scieii- tifiques. - Pendant ce nouvel intervalle d'activité cérébrale automa- tique, Cam... reçoit de Deus des quanti
obtenir volontairement, il faut un certain effort de concentration cérébrale , le secours de la table est dans ce cas même quel
IQUE. Sur les modifications craniennes consécutives aux atrophies cérébrales unilatérales (hémiplégie infan- tile). PAR G.
leurs, sans avoir recours à des exemples pathologiques, ATROPHIES CÉRÉBRALES UNILATÉRALES. 29 n'est-il pas prouvé que la per
métopique est en relation avec une augmentation normale du volume cérébral '. Le crâne par cette anomalie continue à remplir
ropologie, 16 avril 1896. ' Le crâne dans les idioties. ATROPHIES CÉRÉBRALES UNILATÉRALES. 31 avec cette loi que partout où
re, n'est donc que secondaire et nullement la cause de l'atro- phie cérébrale . Ce qui est vrai pour les cas de microcéphalie
notre mémoire Le Crâne dans les Idioties, sur le défaut d'expansion cérébrale en vertu duquel les déformations sont peu accen
ications fort appréciables. Mais sur ce dernier encore, l'influence cérébrale s'exerce inégalement : alors que la base cranie
la base du crâne (-1898), Société d'Anthro- pologie. , ATROPHIES CÉRÉBRALES UNILATÉRALES. 33 plus fortement. La portion cra
e certaines parties osseuses du côté malade (diminution de la fosse cérébrale moyenne par exemple), l'asymétrie de la base cr
récise de l'affaissement en masse de la base (effet direct du poids cérébral ) et de ses différences. Pour les mettre en évid
ns le tableau sui- vant aui donne l'angle nétroclivien. ATROPHIES CÉRÉBRALES UNILATÉRALES. 35 tissu osseux 1 ; c'était un my
escriptions relatives aux nécropsies s'accompagnant d'hémiatrophies cérébrales . Sa genèse est simple : lorsque les deux hémisp
crânes ayant donné asile â une porencéphalie double. ' ATROPHIES CÉRÉBRALES UNILATÉRALES. 37 un aspect normal, tandis que d
fermant l'hémisphère malade. En voici quelques autres : l'expansion cérébrale s'étant faite dans tous les sens au niveau de l
l est parfaitement appréciable à la vue. - En arrière la pression cérébrale a produit un véritable renversement du bord sup
s rares, l'atrophie cérébelleuse existe du même côté que l'atrophie cérébrale . Enfin, souvent, tandis que les hémisphères cér
ue l'atrophie cérébrale. Enfin, souvent, tandis que les hémisphères cérébraux sont inégaux, les hémisphères cérébelleux sont
au moins, ce qui ressort du tableau sur l'Inégalité des hémisphères cérébraux et cérébelleux, comprenant 90 cas que nous avon
il faut inter- vertir les lettres G et D. BouRNEviLLE. ATROPHIES CÉRÉBRALES UNILATÉRALES. 39 que l'épaisseur de la paroi es
es crânes où l'inflammation ne parait pas avoir Fig. 9. ATROPHIES CÉRÉBRALES UNILATÉRALES. 41 influencé, l'augmentation d'ép
oit une anomalie assez curieuse, l'agrandisse- Fig. 11. ATROPHIES CÉRÉBRALES UNILATÉRALES. 43 ment des trous pariétaux. Nous
traumatismes, des arrêts de l'ig. 13. - Cane de Perr... ATROPHIES CÉRÉBRALES UNILATÉRALES. 45 développement limités à une zo
s, une synostose plus avancée en raison de l'arrêt de développement cérébral qui ne s'oppose pas à leur envahissement par le
elques crânes notamment, il est curieux de voir au fond de la fosse cérébrale moyenne d'un côté une suture sphéno-temporale d
ncéphale de PCI'I'... ' 4 50 ' ANATOMIE PATHOLOGIQUE. des lésions cérébrales et à la diversité des troubles patholo- giques.
e suffisait à maintenir la pression intracrànienne. Les ventricules cérébraux (voir les Planches qui les représentent dans le
gite tuberculeuse; cancer de l'oesophage, urémie lente, hémorrhagie cérébrale au cours d'une néphrite chronique. Ces malades
cataleptoïdes et la respi- ration de Cheyne-Stokes. Une inhibition cérébrale profonde semble £ ' être la raison fondamentale
t de la maladie. L'autopsie montre une malformation de l'hémisphère cérébral gauche, et des lésions de méningo-encéphalite s
sept ans, présenta des accidents REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 59 cérébraux graves qui en imposèrent pour une méningite au co
es sont directs et non croisés, comme pour celles des hémis- phères cérébraux ; les troubles dits cérébelleux (perturbation de
uarante-cinq ans, dont les vomissements présentaient le caractère « cérébral », c'est- à-dire s'effectuaient sans effort, co
LL.11N ; (Nouv. Iconog. de la Salpêtrière. n°2, 1903). Hémiplégie cérébrale infantile, arrêt de développement de tout le cô
ni fraction spécifique. Dans ces conditions, ce sont les fonctions - cérébrales les plus anciennes qui sont aussi le plus organ
70 p. 100. R. de lIIUSGR1VE-CLAY. 11. Les résultats de la chirurgie cérébrale dans l'épilepsie et dans les défectuosités ment
rieur, par de vastes ramollissements dans la région des hémisphères cérébrales , ce qui 86 - SOCIÉTÉS SAVANTES. n'exclut pas
psychose s'est associé un vaste ramollissement dans les hémisphères cérébraux ; à l'examen microscopique furent cons^ tatés d
sque la maladie de Korsakoff typique est compliquée par des lésions cérébrales organiques et non provoquées par elles. W.-P. S
nquante ans, donnait depuis quelque temps des signes de dérangement cérébral . Hier, vers six heures du matin, alors que son
lle n'avait, en tous cas, parlé de rien que de sa très vague fièvre cérébrale . Tous ces souvenirs se sont, au contraire, réve
ation d'un malade ayant présenté comme manifestation rare de tumeur cérébrale des vomissements poussés jusqu'à l'incoercibili
e paralytique, chez le non paralytique, d'infusions, de bouil- lons cérébraux de concentrationsetde valeursprécises. Ces infusi
u'il est exagéré d'un seul côté dans les cas de lésions anatomiques cérébrales et spino- cervicales. Ce n'est pas un réflexe m
gère de concert avec les autres réflexes dans toutes les affections cérébrales et dans les affections cérébrospinales siégeant
rselli dans la démence paraly- tique, de Bechterew dans la syphilis cérébrale , de Leitz dans là méningite tuberculeuse, de Si
série, t. XVIII. 11 162 SOCIÉTÉS SAVANTES. XXXVII. La circulation cérébrale pendant le coït; par L.-M. Poos- SEPE. (06o,M ?
générale tombe notablement, l'animal est moins vivant. l'hyperémie cérébrale est moins accentuée. P. KERAVAL. SOCIÉTÉS SAV
nt, traitées par la nouvelle méthode de Cajal, des coupes d'écorces cérébrales de paralytique général et de tuberculeux pris c
ique et' d'autres métamérique. Troubles auditifs dans les tumeurs cérébrales . M. Souques, chez un homme atteint de tumeur cé
les tumeurs cérébrales. M. Souques, chez un homme atteint de tumeur cérébrale , une surdité complète et bilatérale, ayant évol
es dégénérations du cordon antérieur. Consécutivement aux lésious cérébrales très vastes le tractus de sclérose du faisceau py
fait quelquefois défaut. Les dégénérations de ce cordon par lésions cérébrales sont l'exception. Ces dégénérations consécutive
re que n'empêcheront point des soins minutieux : celles d'o- rigine cérébrale , médullaire, névritique. L'auteur apporte deux
KOFF, peut aussi se développer après l'apoplexie, dans les ambolies cérébrales , etc. Dans la démence sénile peut aussi être ob
is avec pgeudoréminiscences. peut aussi s'observer dans les tumeurs cérébrales ; les rapporteurs ne réfutent point la .possibi
OCIÉTÉS SAVANTES. rares il est vrai, de la combinaison de la tumeur cérébrale avec la psychose de EORSAEOFF (cas de MEYER, MO
: .IOLLER et KAPLAN); z ici se rapportent aussi les cas de syphilis cérébrale , où, d'après l'avis de M. Mouravieff, les fauss
a- die en question, peuvent s'associer des vastes ramollissements cérébraux . Les cas de la psychose de KonsAKOFF, sans polyné
ie par la suggestion hypnotique. , L'ectoscopie et l'ectothérapie cérébrales . M. Biafciii. L'ectothérapie, en général, repos
hilosophes anglais et français. Bordeu a deviné les lo- calisations cérébrales , que découvrirent à la fin du XIXe siè- cle, Ch
as de démence chronique, de lésions matérielles de la corticalité cérébrale , et en montrant que l'intensité de ces lésions ét
dehors des tubercu- leuses. Au microscope, on ne voit dans l'écorce cérébrale aucune lésion des méninges ni des vaisseaux ; i
tuels des viscères trouvés à l'autopsie d'un phthi- sique. L'écorce cérébrale , comparée à celle d'un phthisique de même âge p
tionnels du bulbe indépendamment de leur représentation consciente, cérébrale , avec laquelle on les confond si souvent. Il a
a engagé ces auteurs à en faire la publication. Lésions de l'écorce cérébrale et cérébelleuse chez une idiote aveugle-née.
i fait de la paralysie générale une affection due surtout à l'usure cérébrale , les autres causes étant seulement occasionnell
aladie particulière à d'autres affections du système nerveux (ictus cérébral , etc.) dont la symptomatologie moins bruyante s
Prix : 4 francs. 0. Doin, éditeur. UGOLOTTI (Ferdinando). Sclerosi cérébrale tuberosa associl1¡la aspe- ciali attemzio1l'Î d
Développement régulier, fièvre typhoïde à douze ans, sans accidents cérébraux bien graves. Intel- ligence ordinaire; L... a é
ctieuses, la rougeole, les oreillons et la varicelle sans accidents cérébraux . Très brillantes facultés intellectuelles. Au p
tion lumineuse appartenant à l'image-fantôme est d'origine purement cérébrale et, par suite, s'ajoute à la sensation colorée
conforme au développement embryonnaire du cerveau. Les hémisphères cérébraux avec les ganglions sous-corticaux procèdent de
érébraux avec les ganglions sous-corticaux procèdent de la vésicule cérébrale pri- mitive antérieure : ils sont principalemen
reçoit le sang du système artériel postérieur par l'entremise de la cérébrale postérieure. Les dérivés des deux vésicules pri
imitives postérieures, tubercules quadrijumeaux avec les pédoncules cérébraux , cervelet et bulbe avec la protubérance, reçoiv
mportantes : il s'en suit qu'une anomalie de formation d'une artère cérébrale ne peut être équi- librée par la compensation d
anomalies de formation des artères qui nourrissent les hémisphères cérébraux avec les ganglions sous-corticaux et qui formen
no- malies s'observent au premier chef dans la région de l'artère cérébrale antérieure qui irrigue la province si importante
,3 p. 100. Elles sont 'donc un peu plus rares dans le système de la cérébrale postérieure : 17,8 p. 100. 0. Elles sont incomp
lies particulières à chaque artère se peuvent résumer ainsi. A. Les cérébrales antérieures peuvent provenir d'un tronc commun
n prématurée, l'anasto- mose de l'artère du côté opposé. B. Une des cérébrales antérieures, presque toujours la gauche, fourni
au dessous de la branche normale. D. La principale anomalie de la cérébrale postérieure consiste en ce qu'elle provienne, non
ais de la carotide interne : dans ces conditions un des hémisphères cérébraux , car il est extrêmement rare que l'anomalie soi
. 10. Quand on lie la carotide interne, il importe de savoir que la cérébrale postérieure peut émaner de la carotide interne,
troubles ner- veux graves et chroniques consécutifs à la commotion cérébrale . . P. KERAVAL. XLVI. Des convulsions rhythmiq
jambe parétique une atrophie musculaire précoce qui dépend du foyer cérébral . P. KERAVAL. LXIII. L'imprégnation des cylindra
tovze Sll1'Vit à la disparition de l'hémicranie et de tout symptôme cérébral , pendant vingt-six jours; le champ visuel norma
ment dit eut cessé, il persista encore des symptômes d'exci- tation cérébrale . P. Keraval. XXXVI. Les états d'obnubilation ps
u. (Bévue de médecine. Novembre 1902.) - M. H. XL. Hérédosyphylis cérébrale tardive; par L. HAUDnIx. (P&IiCli- nique de
veau. Minkowski, Grawitz, Krewer font de la myoclonie une affection cérébrale . Lorsqu'elle se produit dans l'épilepsie, elle
uses. Chez ce malade la myoclonie fut très probablement d'origine cérébrale . En effet, d'abord unilatérales, les convulsions
y, âgé de soixante- douze ans, cultivateur, en proie à des troubles cérébraux , s'est jeté dans la mare située dans sa cour. (
soit interrompu à la plus légère apparition de signes de fatigue cérébrale ou d'obtusion intellectuelle. L'exercice physiq
n à deux grammes, suivant les indications individuelles (excitation cérébrale , insomnie, instabilité simple, etc...), dose ad
LXXVIII. Quelques expériences sur l'action du calcium sur l'écorce cérébrale ; par le Dr Roncoroni (Riu. Sp.,cli fren. 1903, fa
u d'avoir jamais prétendu que les lésions des vaisseaux de l'écorce cérébrale étaient toujours primitives dans la paralysie g
ltat d'un phénomène d'arrêt, d'inhibition ou de sommeil des centres cérébraux . L'anesthésie est la marque, le sigillum de cet
Pour réveiller un hystérique c'est- à-dire pour ramener ses centres cérébraux à l'activité, il faut agir directement sur eux
théorie permet de mettre en évidence (existence d'une cénesthésie cérébrale , détermination de centres viscéraux, etc.) G. DEN
ronostic dans le typhus, la pneumonie, etc. accompagné de symptômes cérébraux graves et dans les cas d'abcès cérébraux sus- c
c. accompagné de symptômes cérébraux graves et dans les cas d'abcès cérébraux sus- ceptibles d'une intervention chirurgicale.
ion chirurgicale. Elle est utile encore pour distinguer la syphilis cérébrale des autres maladies du cerveau et de la moelle
e Schultze) contre le danger de la ponction dans le cas de tumeur cérébrale . Schünborn a ponctionné 100 malades à la cliniq
ltats négatifs dans le tétanos, la carie des vertébres, les tumeurs cérébrales , les névroses. 11 a fait dans 20 cas la cryosco
de vue thérapeutique, on a eu de bons résultats dans la compression cérébrale , dans l'idiotie post-méningitique. Nonne (Hambo
l'idiotie post-méningitique. Nonne (Hambourg). Cas de pseudo-tumeur cérébrale avec guérison. L'auteur a observé 12 cas d'une
nes aliénés, il n'a pas trouvé un paralytique ou un cas de syphilis cérébrale , tandis que sur 50 aliénés européens il en a co
trophie de la papille] qui ont évolué parallèlement aux altérations cérébrales et se sont traduites histologiquement par la pr
pour augmenter la capa- cité des ventricules latéraux : l'atrophie cérébrale , et la pression exagérée du liquide céphalo-rac
mpliation des ventricules latéraux est la conséquence de l'atrophie cérébrale . G. D. Asile d'aliénés DES P1'RÉNÉES-OItIENT.
LIX. Paralysie faciale : rire et pleurer spasmodiques; localisation cérébrale ; par M. Piéry. (Société des Sciences médicale, d
s de cette observation M. Piéry pose le problème de la localisation cérébrale du rire et pleurer spasmodiques et de celle du
aves) que l'auteur crut pouvoir attribuer à une paralysie d'origine cérébrale du crico- thyroïdien. Cette hypothèse fut con
pilepsie; état de mal mort; atrophie considérable de l'hémisphère cérébral droit. 1 Par BOURNEVILLE ET Reine MAUGERET So
ntal et du pariétal droits. - Atrophie considérable de l'hémisphère cérébral droit; des nerfs et des artères de la base de l
pais, très épais même dans sa moitié droite, correspondant au foyer cérébral (le frontal droit mesure 9 millimètres, le pariét
plus petite que la gauche; il en est de même de la sylvienne, de la cérébrale Fig. 15. - Crâne de Ham... SCLÉROSE ATROPHIQU
SCLÉROSE ATROPHIQUE DE L'HÉMISPHÈRE DROIT. 473 antérieure, de la cérébrale postérieure. Les faces internes des lobes front
ntérieure droite est tout à fait effacée. La coupe des pédoncules cérébraux montre que le droit est d'au moins un quart plu
qui se rencontrent fréquemment, mais non toujours dans l'hémiplégie cérébrale infantile. c. L'épilepsie a débuté à deux ans e
oins longue et notablement plus étroite que la gauche, l'hémisphère cérébral droit extrêmement atro- REVUE D'ANATOMIE ET DE
emple de sclérose atrophiqtteintéressant l'resque tout l'hémisphère cérébral droit, avec atrophie croisée du cervelet et com
dans les cas où il existe des symptômes nets mais diffus de tumeur cérébrale , la simple ponction lombaire peut améliorer cer
ie. . G. C. ' XCV. Idiotie microcéphalique ; épilepsie; asymétrie cérébrale ; microgyrie; ulégyrie; cuir chevelu suggestif
t exposée la fine organisation du tissu cérébral' et de la fonction cérébrale . Cliniquement, un cas d' « amentia » primitive
urnzal o/' Izzsuzzily, I, 03, p. 441-446. 1 planche). S. CV. Tumeur cérébrale chez une femme de soixante-dix-huit ans T par J
pasmodique est fonction de la lésion médullaire et non de la lésion cérébrale . Les lésions cérébrales, dans leurs observation
de la lésion médullaire et non de la lésion cérébrale. Les lésions cérébrales , dans leurs observations, tiennent sous leur dé
E NERVEUSE. 493 lards athéromateux, on peut observer des phénomènes cérébraux z qui sont directement fonction des troubles ci
ché aux affections spasmo- paralytiques de l'enfance, aux diplégies cérébrales infantiles. M. Lannois dans saclassification de
edème d'une dystrophie probablement complexe. Ici le retentissement cérébral est inconstant. - 3° Pour l'adipose douloureuse
plusieurs glandes vasculaires sanguines etayant un retentissement cérébral très fréquent. 4° Pour le pseudo-oedème catatoniq
l très fréquent. 4° Pour le pseudo-oedème catatonique, d'un trouble cérébral probablement primitif et atteignant ultéiieui'e-
e observation dans laquelle on constate des lésions syphilitiques cérébrales surajoutées à celles de la paralysie générale.
e planche montre très nettement le degré d'atrophie de l'hémisphère cérébral droit. ' Planche VII. Hémisphère cérébral gauch
trophie de l'hémisphère cérébral droit. ' Planche VII. Hémisphère cérébral gauche : face interne. F', frontale interne, av
e trigone Tg. CO, couche optique. NO, nerf optique. - PC, pédoncule cérébral . - il, incisure temporale très marquée. -, CII,
le pariétal inférieur. LO, lobe Qccipital. Planche IX. Hémisphère cérébral droit : face convexe. - L'hémis- phète est renv
très réduit. -, CS, corps strié. f0, couche optique. PC, pédoncule cérébral . Planche XI. Hémisphère droit : face inférieure
axie. De l'- cérébelleuse : aiguë, par Bechterew, Ï46. Atrophies, cérébrales unilatérales, par Paul-Boncour. 28. AUTOC\'TO
l'étude des fonctions de la ? par Benaky, 385. Circulation. La cérébrale pen- dantle coït, par Poussèpe, '162. Crâne.
T en valgus, par Pauly, 39f. COULEUR. - Voir Neurasthénie. Ecorce cérébrale . Lésions de l ? et cérébelleuse chez une idiote
veules, par Huen- tobler, 525. ECTOSCOPIE L'- et l'ectothérapie cérébrales , par Biafchi, 181. Education physique. L ? appl
e- ment de l ? par W. Thomson. 70 Les résultats de la chirurgie cérébrale dans l'- et dans les défectuosités mentales con
tômes méningitiques, par Achard et Ramond, 509 fiMOEDO&YpmLis cérébrale tardive, par Haudrix, 350. Hippus. L'- dans l
epsie; état de mal; mort; atro- phie considérable de l'hémisphère cérébral droit, par Bournemlle et MIlo Maugeret, 461.
dron, 417. faciale : rire et pleurer spasmo- ditlues localisation cérébrale , par 425 - faciale. Voir Phénomène palpébral.
, par Lépine, 60. Voir Vomissements. Troubles au- ditifs dans les cérébrales , par Souques, 161. cérébrale chez une femme d
ments. Troubles au- ditifs dans les cérébrales, par Souques, 161. cérébrale chez une femme de soixante-dix-huit ans, par
40 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
aucun des signes objectifs permanents qui accompagnent les lésions cérébrales ou spinales. En outre, la marche de la maladie,
pathologique des accidents nerveux. Com- mençons par les accidents cérébraux et tâchons d'ex- pliquer une à une les formes c
s accidents cérébraux et tâchons d'ex- pliquer une à une les formes cérébrales . oc). Forme aphasique. La clinique est arrivée,
attendre, mais jusqu'à présent, je n'en ai jamais observé. FORME cérébrale paralytique. L'étude de la localisation des lés
n à peu près exacte de l'en- droit où l'on doit placer les troubles cérébraux para- lytiques d'origine scaphandrienne. Cet en
igine scaphandrienne. Cet endroit c'est la zone motrice de l'écorce cérébrale 1. Type de paralysie partielle. - L'embolie de
r du membre inférieur sont irriguées par la brauche moyenne de la cérébrale antérieure. L'embolie donc et l'ischémie plus o
supérieur, ce qui explique la durée de trois mois de cet accident cérébral paralytique, mais cette altération n'était cert
que l'explosion sou- daine de gaz dans les interstices de l'écorce cérébrale d'un héréditaire dégénéré, a dû violemment trou
acti- vité. La présence de bullettes de gaz aux différentes zones cérébrales avait déterminé chez notre malade l'excitation
sance. La perte de con- naissance est certainement due à l'ischémie cérébrale , suite d'oblitérations artérielles. Nous voil
xtrinsèques. L'étude de la phy- siologie pathologique des accidents cérébraux , nous fait dispenser de nous occuper du groupe
onsécutives aux lésions destructives des diverses zones de l'écorce cérébrale du chien et du singe, ont porté : 9 sur la sphè
ur que les territoires sensoriels et sensitivo- moteurs de l'écorce cérébrale ne forment pas des centres complètement distinc
es aires de Krause ne suffit pas : il faut enlever toute la masse cérébrale en avant du sillon crucial ; encore les phé- no
mann et par Goltz, que, lorsqu'on excite par l'électricité l'écorce cérébrale , et spéciale- ment la zone motrice, le cervelet
le développement insolite de la partie antérieure des hémisphères cérébraux , et surtout du gyrus sigmoïde, dans les cas de
n Bartholow. Sciamanna, répondant aux adversaires des localisations cérébrales , à Brown-Séquard, à Goltz, à Marcacci ', a cons
malade ne connaissait évidemment pas la théorie des localisations cérébrales ». Sans doute, tous les sujets hystériques ne r
nérale 1. Voilà pour l'étendue de la zone sensitive de l'écorce cérébrale . Mais, comme les troubles de la sensibilité .mu
é générale ont réellement et exclusivement leur siège dans l'écorce cérébrale . Si une lésion destructive de l'écorce les para
es, atrophie s'étendant jusqu'à la statiun terminale, dans l'écorce cérébrale , des faisceaux sensittfs. Mais le pro- cessus d
urol. Centralbl., 1887). L'immense majorité (90 0/0) des apoplexies cérébrales et des affections en foyer du cerveau respecten
res. ' P. Keraval. IX. Contribution A la QUESTION DES localisations CÉRÉBRALES EN TENANT PLUS PARTICULIÈREMENT COMPTE DES TROU
ENANT PLUS PARTICULIÈREMENT COMPTE DES TROUBLES UE LA VUE d'origine cérébrale ; par C. REINHARD. (A ? ,ch. f. Psych., XVII, 3;
ce long travail. 1° Les lésions de l'ensemble des circonvolutions cérébrales produisent des troubles de la motilité d'autant
ement et passagèrement provo- quer des troubles de la vue d'origine cérébrale ; ô° le déficit de la perception consciente des
aire à la cécité corticale' ; - 6° les troubles de la vue d'origine cérébrale peuvent être hémi ou bi-latéraux, complets ou inc
réalité certaines parti- cularités des troubles de la vue d'origine cérébrale ; - 1° les objec- tions de Goltz contre l'exist
tions de Goltz contre l'existence des troubles de la vue d'origine cérébrale ne s'appliquent pas à l'homme). P. Kekaval. X
motrice, placée au centre. - Quant à la doctrine des localisations cérébrales , M. Forel pense que divers districts de l'écorc
es nerfs du cuir chevelu, peuvent s'accompagner d'autres phénomènes cérébraux ; 2° les troubles trophiques peuvent s'étendre
tion du cerveau, représentaient assurément plusieurs onces de tissu cérébral . Si donc on ajoute au poids du cerveau un poids d
comme représentant le poids perdu par suite de l'atrophie du tissu cérébral , on obtiendra pour ce cerveau un poids total de
urement paraly- tiques généraux, et les malades atteints de lésions cérébrales gros- ses, il reste vingt cas d'immobilité pupi
pura, il n'est pas rare de voir la mort survenir par hémorrhagie cérébrale et qu'il serait intéressant de savoir si lapachym
obres par eux-mêmes, intelligents, et souvent doués d'une puissance cérébrale peu commune et qui, à la moindre excitation (ém
PETEMOK (F.). - Cranial meaSU1'emellt. in twenty cases of infantile cérébral hemiplegia. - Brochure in 4° de 9 pa- ges avec
tous les territoires sensoriels et sensi- tivo-moteurs de l'écorce cérébrale . Pour Golgi, les idées courantes sur la texture
elient les éléments cellulaires des différentes régions de l'écorce cérébrale . Les fibres de la 11C catégorie, qui n'émettent
s, ou sensitivo - motrices, et les régions sensorielles de l'écorce cérébrale , Golgi l'ex- plique encore par anastomoses reli
ynert et de Betz à ce sujet que Golgi a étudié deux circonvolulions cérébrales de fonctions très différentes, la frontale asce
i peu que, à son tour, l'auteur italien propose de diviser l'écorce cérébrale non plus, il est vrai, en cinq couches, mais en
phériques des fibres. La spécificité de fonction des diverses zones cérébrales dépend, non point de l'organisation de ces zone
us ténues, qui vont constituer le réseau nerveux diffus de l'écorce cérébrale , « elles peuvent désormais être considérées ave
ntres nerveux, se dégage une conception de la structure de l'écorce cérébrale qui fournit enfin une base scientifique aux hyp
lgi, une base anatomique : « Dans les différentes zones de l'écorce cérébrale , les fonctions de la sensibilité et celles de l
Golgi. Considérations anatomiques sur la doctrine des localisations cérébrales . - Archives ital. de biologie, 11, p. 249. ' Mo
re et de la nature fonctionnelle des diverses régions de l'écorce cérébrale ne peut sans doute être posé dans des termes au
les différences fonctionnelles propres aux diverses circonvolutions cérébrales trouvent leur raison d'être, non pas dans les p
iques des sens : la spécificité de fonction des différentes zones cérébrales serait déterminée par la spécificité de l'or- L
er et Munie, des « localisations fonctionnelles » dans l'é- corce cérébrale , et que les différentes aires corticales lui pa
pelons-le en passant, que les centres prétendus moteurs de l'écorce cérébrale ne sont, en vérité, que des centres de sensibil
fférents centres de la sensibilité générale et spéciale de l'écorce cérébrale . L'hétérogénéité fonctionnelle des éléments ner
irement, des différents centres sensitifs et sensoriels de l'écorce cérébrale , vient de recevoir des travaux de llermann Munk
IIoc/'t11 bei den Wirbelthieren, 1889. 186 PHYSIOLOGIE l'écorce cérébrale étant fonctionnellement indifférents, selon l'a
uire impunément : l'animal verra avec les éléments d'autres régions cérébrales . C'est ce qu'avait cru ob- server Gudden dans d
n'accepte pas non plus sans réserve la théo- rie des localisations cérébrales qui semble résulter de la doctrine de Golgi. Le
s aliénistes allemands, des figures des différentes circonvolutions cérébrales , insistait sur la diversité de leur constitutio
lli appuie la doctrine de l'hétérogénéité fonctionnelle de l'écorce cérébrale sur l'existence des variétés correspondantes de
sibilité et du mouvement, auxquels se ramènent toutes les fonctions cérébrales , se trouvent partout con- fondus dans l'écorce,
on des éléments histologiques'dans les diverses zones de l'écorce cérébrale , telle qu'elle ressort des études de Golgi, ne
ions », aucune influence fâcheuse sur la doctrine des localisations cérébrales . Golgi, en effet, en dépit de ses critiques, n'
isines, il les admet formellement : là sont les sièges de fonctions cérébrales spéciales, en rapport avec la nature des organe
paisseur de l'écorce du cerceau humain '. L'épais- seur de l'écorce cérébrale , qui oscille entre 2 et 3 millimètres, varie av
mite la scissure postcentrale. Le maximum d'épaisseur de l'écorce cérébrale se montre donc chez l'homme au sommet et à la p
- naître l'épaisseur relative des différentes régions de l'écorce cérébrale : il faudrait déterminer quelle est celle des c
male de Conti. Dans ce premier essai sur l'Epaisseur de l'écorce cérébrale chez les aliénés*, l'auteur n'a. A. Cionini. Su
aliénés*, l'auteur n'a. A. Cionini. Sulla spessoi,e délia corlcccia cérébrale negli alienati. 1. Paralisi generaiep7,ogi-essi
e. Mais Seppilli, dont le travail Sur le poids des hénti- sphères cérébraux chez les aliénés 2, a paru presque en même temp
pécifique pro- purtionl1ellemelltsupérieure à celle des hémisphères cérébraux , par rapport à ce qui s'observe chez les indivi
z les individus sains d'esprit. Le poids spécifique de la substance cérébrale est généralement plus élevé pour les cerveaux e
iéna- tions accompagnées de processus atrophiques de la substance cérébrale ; médiocre dans les formes aiguës typiques de foli
crâne serait la règle, comme c'est le cas pour les deux hémisphères cérébraux . Il y a longtemps que la symétrie du cerveau et
il nous semble, être considérée comme l'effet d'une malformation cérébrale héréditaire, d'un arrêt de développement du cer
ments, analogues à ceux qui annoncent l'imminence del'hémorrhagie cérébrale , et qui pourtant ne sont point liés à ce grave ac
OGIE NERVEUSE. 241J sang qui peut expliquer l'éclosion des troubles cérébraux ; mais la soudaineté de l'alternance (lorsque, p
ent souvent masquer, au moins dans un certain temps, les troubles cérébraux : dans ce cas encore, il est probable que les tro
chapitre de clinique physiologique en même temps que de philosophie cérébrale , si l'on veut bien nous permettre cette express
ut remarquable, parce que la présence de tumeurs affectant l'écorce cérébrale n'a été révélée pendant la vie par aucun des sy
e de zip gauche, diminution de l'ouïe, de la mémoire, de l'activité cérébrale . En octobre, blépharoptose droite, parésie des
La nécropsie révèle l'existence d'une leptoinénin21te chronique, cérébrale , basiléaire et spinale ; endartérite et phlébite
ment osseux irritant la surface du cerveau, puis deux cas de tumeur cérébrale par Mi. Holsti et Ruhnberg, ainsi qu'un cas d'a
simultané des facultés mentales et physiques. Bien que les tumeurs cérébrales s'accompagnent le plus souvent de troubles mentau
mence progressive de la paralysie générale que simulent les tumeurs cérébrales . Il confirme égale- ment l'opinion du Dr Cloust
terne de la circonvolution de l'hippocampe. A la base, la substance cérébrale intermédiaire à la bandelette optique et aux pé
e cérébrale intermédiaire à la bandelette optique et aux pédoncules cérébraux n'a pas disparu. Les deux corps striés man- que
tés en communica tion physiologique avec les moignons de pédoncules cérébraux : on serait donc en droit de prétendre que le c
que bien des auteurs rattachent, chez les verté- brés, à l'activité cérébrale . Pendant les quelques heures qu'. suivirent la
'agissait ici de : 19 cas de démence paralytique, 3 cas de syphilis cérébrale , 2 cas de tumeuis du cerveau, 4 cas de psychose
t. le dénouement paralytique. Les trois individus morts de syphilis cérébrale étaient âgés de 35, 50, 52, ans. Des quatre ali
51 ans, le plus vieux 66. Les patients ayant succombé à une tumeur cérébrale avaient 29 et 35 ans. Les vésaniques comptaient
ntégrité des vaisseaux chez un jeune homme de 22 ans mort de tumeur cérébrale et chez une paralytique non svphilique de 39 an
e endartérite avec dégénérescence grais- seuse et hyaline (syphilis cérébrale ), et vingt et une endartérites chroniques simpl
autopsie. Mais il est évident que les individus atteints de lésions cérébrales organiques présentent de bonne heure des altéra
rès la naissance, on a enlevé la plus grande partie de l'hémisphère cérébral droit. Il n'est resté, outre l'extrémité du lob
à toute minute que les mots : aggravation progressive; ac- cidents cérébraux et médullaires obligeant à interrompre les séan
halite, et en séparant l'in- flammation primitive du ramollissement cérébral , on a eu surtout pour objectif les formes suppu
extraordinaire en il Il fit des cours sur les maladies nerveuses et cérébrales ; en 1874, il fut nommé professeur ordinaire de
cera, 1889. Tipojrafia del111anicurnio. Sirut (A.). - De l'atrophie cérébrale partielle d'origine périphériques Brochure in-8
ades de sisterna nerurioso sislemasmederlares, plan de distribucion cérébral del ucitor 1881. - Brochure in-8 de 80 pages. B
à l'appui de sa thèse. C'étaient surtout des cas de ramollissement cérébral , lorsqu'il y avait eu une autopsie, et au point
n partielle de dégénérescence du jambier antérieur. Pas de troubles cérébraux . Quelques sensations dysesthé- siques dans les
trouve des lésions très avancées. , Système nerveux. - Les méninges cérébrales non plus que le cerveau et le cervelet n'offren
fait semblable à celle des dégéné- rescences descendantes d'origine cérébrale . La lésion diminue à la partie inférieure du bu
tion volontaire, tandis que la réac- tion musculaire est un réflexe cérébral . Lange veut dire par là que la réaction muscula
n'at- teint pas son point lucide; en un mot, c'est une réac- tion cérébrale dans la dernière limite de conscience, et, par
conséquent, bon nombre de cas de démence sénile, de ramollissement cérébral , etc. R. M. C. Archives, t, XIX. 26 402 REVUE
chiatrie, XLVI, 4.) P. KERAVAL. BIBLIOGRAPHIE IV. De l'atrophie cérébrale partielle d'origine périphérique; par le Dr A.
l3aillière et fils, Paris, 1890.) L'atrophie localisée de l'écorce cérébrale peut reconnaître deux 1 Ceci est erroné. Séglas
'un membre ou sa paralysie atropllique. La modification de l'écorce cérébrale sera d'autant plus accentuée que le sujet était
même dans les propositions suivantes : 1. A l'état normal, l'écorce cérébrale présente des différences énormes, suivant les i
6. Les modifications fonctionnelles qui surviennent dans l'écorce cérébrale dans la démence secondaire sont primitivement et
e des sens ne stimulent pas, dans les conditions normales, l'écorce cérébrale d'un dément; si cependant le stimulus extérieur
s macroscopiques et micros- copiques que l'on observe dans l'écorce cérébrale dans les cas an- ciens de démence peuvent s'exp
ce secondaire est le type de ce même échec pendant le développement cérébral . 25. La démence secondaire pure indique un éch
demeurent 8, avenue du Maine. Cette jeune fille, atteinte de fièvre cérébrale , à la suite de maladie noire, s'est précipitée
n- dort, 281. - Dystrophies spinales, par Hitzig, 261. Ecorce cérébrale (développement des cellules multipolaires de l'
Verrucktheit et \Vahmsinns, par Werner, 418. Vue (locolisations cérébrales con- cernant la), par Heinhardt, 112. TABLE D
41 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
UN CAS DE GLIOME VOLUMINEUX DU CERVELET. 3 Le diagnostic de tumeur cérébrale probable fut alors posé. A l'heure actuelle, l'
moelle. Au point de vue macroscopique, sauf un léger degré d'oedème cérébral ,^ les hémisphères cérébraux et la moelle, n'off
roscopique, sauf un léger degré d'oedème cérébral,^ les hémisphères cérébraux et la moelle, n'offrent aucune particularité. A
3 Jacobsohn et Jamane. Sur la pathologie des tumeurs de la fosse cérébrale inférieure. (Arch. f. Psychiatrie, 29, 1, 1896.)
compare la fréquence des perturbations de ce genre dans les foyers cérébraux à localisation déterminée, et quand on considèr
e suicide impulsive motivant l'internement, eten un état de torpeur cérébrale s'accentuant de plus en plus. On a noté dans le
eur cérébelleuse à la circulation encéphalique et au fonctionnement cérébral , et d'un autre côté par leur nature même, par l
expressions suprêmes, du moins, est en rapport intime avec l'écorce cérébrale . Ici siègent les neu- rones pyramidaux, nommés
as en vain que ces dernières portent cette dénomination. L'écorce cérébrale de tous les vertébrés inférieurs est pourvue de c
munies du plus grand nombre de dendrites se trouvent dans l'écorce cérébrale de l'homme. On ne peut pas dire qu'une vie psyc
s corps cellulaires s'attouchent presque ; tandis que dans l'écorce cérébrale de l'homme les éléments psychiques sont pour ai
ssu indifférent et soutenant. Les éléments pyramidaux de l'écorce cérébrale sont nommés cellules psychiques, uniquement par
e rapporter en entier aux neurones psychiques, situés dans l'écorce cérébrale , et aussi aux procès psychiques Archives, 2° sé
taines dendrites aux autres, c'est-à-dire, d'une région de l'écorce cérébrale à une autre. L'observation simple nous convainc
d'inaction, il pût se faire dans un endroit quelconque de l'écorce cérébrale une interruption de la transmission du courant
tte remarque ne s'applique pas seulement aux neu- rones de l'écorce cérébrale ; mais peut se rapporter aussi à toutes les régi
nter- rompue et les procès conscients qui s'opèrent dans l'écorce cérébrale exigent une plus forte vibration de la substance
re différents neurones. Même pendant le sommeil, alors que l'écorce cérébrale entière est plongée dans un état de repos relat
conductrice plus large et plus libre est nécessaire à une vibration cérébrale renforcée, c'est- à-dire, à un courant nerveux
tre les individus humains, outre les diverses facultés des neurones cérébraux de produire de nouveaux con- tacts, se trouve l
Nous savons que dans la couche moléculaire supérieure de l'écorce cérébrale existeun réseauépais, formé par les panaches pr
é, son influence nuisible tout d'abord sur cette région de l'écorce cérébrale , laquelle, d'après notre avis, est en rapport i
s de démence, fût- elle amenée par une lésion organique de l'écorce cérébrale , ou par une psychose quelconque, qui n'y occasi
éments nerveux et bien que leurs traces se conservent dans l'écorce cérébrale , elles se présentent comme un matériel mort, qu
ce phénomène est-il amené ? Nous pouvons supposer que dans l'écorce cérébrale sont atteintes tout d'abord les arborisations t
des fibres centrifuges. Quand une irritation morbide, née au centre cérébral , parvient par ces dernières, la sensation fauss
t du retard de l'intelligence de D... était certainement une lésion cérébrale . L'esprit de ce sujet avait dû être lésé dès l'
l exprimer. Son mutisme provenait plutôt de ce que son insuffisance cérébrale ne lui avait pas permis d'apprendre à parler to
nt fait défaut chez notre jeune D..., par suite de son insuffisance cérébrale . Nous dûmes lui ensei- gner la prononciation co
donnera de résultats. Dans la paralysie qui succède à l'hémorragie cérébrale , l'électricité peut produire une amélioration p
s et c'est là qu'in- tervenaient ces troubles plus rares, d'origine cérébrale . Ces vues prirent encore une valeur plus grande
cordons latéraux, sclérose deutéropathique consécutive à une lésion cérébrale dont la locali- sation était parfaitement défin
s faisceaux pyramidaux est toujours sous la dépendance d'une lésion cérébrale , que la rigidité spasmodique peut exister indépen
s épileptiques présentés par la malade admet l'existence de lésions cérébrales aujourd'hui éteintes mais dont le cerveau porte
assez souvent; l'impulsion volontaire paraît se diriger de l'écorce cérébrale tout droit vers le muscle donné indépendamment
s son avis il y a dans le cerveau des voies qui unis- sent l'écorce cérébrale avec des muscles isolés; mais ces voies ne sont
ur Kojevnikoff. Séance du 10 mai 1896. I. M. Mouratoff. Paralysie cérébrale bilatérale congénitale, comme entité clinique.
male. Dans deux semaines la malade mou- rut. Autopsie : Il tumeur cérébrale sarcomateuse dans le milieu des circonvolutions
hémorragique dans la région de la protu- bérance et des pédoncules cérébraux , qui se localisait principale- ment, mais non e
orme, décrite par St1'umpell, mais se modifiant dans les pédoncules cérébraux et dans le pont de Varole, à cause des particul
s manifestations spasmodiques. 11 n'existe pas de trace de troubles cérébraux . Le professeur admet avec réserve l'existence d
oelle. Un enfant, dont le père et la mère sont atteints de syphilis cérébrale , présente une monoplégie brachiale avec atrophi
n cas remarquable d'hémi- plégie alterne sensitive due à une tumeur cérébrale dont les exemples sont extrêmement rares. Les l
ne on peut localiser rigoureusement les lésions. Dans les tumeurs cérébrales , une grande partie de la symptoma- tologie relè
e (Lyon) : La pathogénie du labes en y comprenant ses locolisations cérébrales . » Pr W. Erb (de Ileidel- berg) : « Ueber die T
st la période où s'établit cet immense chapitre des loca- lisations cérébrales et spinales qui, complétant le chapitre antérie
e lui a pas volés : '1887, Fournier : hémiplégie gauche et syphilis cérébrale . Oreillons. - Décembre 1893, Raymond (Lariboisi
et peu injectée »; 9° des plaques de sclérose rares sur les artères cérébrales de la base ; 10° du côté des poumons : « un peu
r chez le même sujet. Ainsi la paraplégie tardive des hémiplégiques cérébraux , étudiée par Pitres, est due à une sclérose dif
rt de pneumonie ci cinquante-neuf ans. Foyer ancien de l'hémisphère cérébral gauche. - Aucune modification symptomatique pen
générescence athéromateuse des artères de l'encéphale. Hémisphère cérébral gauche. - Toutes les circonvolutions de cet hém
s et à la parietale inférieure. Au niveau de ce foyer, l'arachnoïde cérébrale et la pie-mère sont épaissies, opales- centes,
rès atrophiée, a moitié moins d'épaisseur que celle de l'hémisphère cérébral droit, est augmentée de consistance. La partie
cerveau qui limite ce foyer est légèrement indu- rée. L'hémisphère cérébral droit, le cervelet, la protubérance, le bulbe n
ébut de l'aphasie à vingt-un ans par un vaste foyer de l'hémisphère cérébral gauche, sa longue durée, trente-huit OBSERVATIO
- admettent avec Broca que lorsque les parties- des circonvolutions cérébrales gauches qui président à la faculté du langage o
andois et Stirling) la régénération ne se produit pas dans l'écorce cérébrale détruite. La récupération de fonction, après un
YSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. I. Sur les anomalies des circonvolutions cérébrales ; par S. Mickle. (B1'ilish Médical Journal, 28
tologie moins bien définie que celle des lésions des autres régions cérébrales donnerait d'après Bianchi les conclu- sions sui
lésions massives du lobe préfrontal est difficile parmi les tumeurs cérébrales en général, il l'est surtout d'avec les tumeurs
le jusqu'à l'ablation de la dure-mère ou d'une portion de substance cérébrale , ou jusqu'aux interventions portant sur des rég
Il s'est servi de l'appareil à chariot de Dubois-Reymond, l'écorce cérébrale recouverte de la pie-mère a été excitée par des
éologie, qui décidé- ment influait d'une façon néfaste sur son état cérébral . Mais \III° M... ne tint aucun compte de ses sa
ice progressive, les lésions des nerfs périphériques et de l'écorce cérébrale , comme le démontrent des travaux récents. Nous
ée d'un cas plus simple, M. Rossolimo conclut ainsi : la L'artère cérébrale postérieure alimente l'appareil central optique e
acines, de l'oculomoteur commun dans l'étage inférieur du pédoncule cérébral . - 2o Les conditions de nutrition sont les même
aduelle et progressive), l'ataxie ptsyclao-motrice et les accidents cérébraux . La démence généralisée et progressive, avec le
des signes d'artério-sclérose, il faut se souvenir que l'athérome cérébral généralisé peut simuler cliniquement la paralysie
iner d'autres lésions des centres nerveux : ces lésions de syphilis cérébrale don- nent souvent lieu à un complexus symptomat
de faits matériels qu'ils ne s'expliquent pas. L'artériosclérose cérébrale peut débuter comme celle de la moelle par des é
ssique de Bayle où le cachet démentiel ouvre la scène, les cellules cérébrales et les tubes ner- veux sont les premiers frappé
summum s'observe à la troisièmepériode delà maladie. Les adhérences cérébrales se font de l'encéphale aux méninges, c'est-à-di
nts venus de la vessie et chez eux tout se passe comme si le centre cérébral de la miction n'existait pas, ou plutôt était p
n palpébrable droite. Peut-être est-elle en rapport avec une lésion cérébrale ? ' L'Open-door. M. CHRISTIAN. - M. Marandon
mois d'octobre de 1896. - La conscience est nette. Peu de symptômes cérébraux généraux subjectifs. OEdème de la papille avec
t constata ce qui suit : une conscience intacte ; peu de phénomènes cérébraux généraux ; hémiatrophie de la langue du côté dr
ce dernier c'est pour n'avoir pas compris que les quelques cases cérébrales qui lui restaient encore de libres, en raison de
médullaires. II. Manifestations hystériques simulant les affections cérébrales . 111. Manifestations hystériques simu- lant les
n se fait bien et pas de fièvre. A une lésion organique des centres cérébraux spinaux ? Le mode de début, l'intégrité des mem
ondantes sur le visage; le ventre n'est pas rétracté, mais la tache cérébrale existe avec une grande netteté. La constipation
réunis par Freud dans un même groupe nosogl'aphique : les diplégies cérébrales infantiles, sans que cet auteur ait cru devoir
. Mais au lieu d'attribuer à ces dernières affections une origine cérébrale comme le font Marie et Brissaud, M. Van Gehuchten
syndrome spasmodique, avec absence complète de symptômes d'origine cérébrale . Ce sont ces affections spasmodiques que Erb a
rovisoirement sous le nom d'états spasmodiques infantiles d'origine cérébrale . (Revue neurologique, février 1897.) E. B. XX.
ie spasmodique et d'hyslérie, l'auteur, en présence de la dyspragie cérébrale , se demande si la moelle ne peut pas être elle
ue se produit sous l'influence d'un état parti- culier d'épuisement cérébral engendré par la constitution hyslé- rique du sy
duits conceptuels; or, ils ne s'y forment que pendant l'épuisement cérébral et l'insomnie des hystériques. P. IEaA ? 1L. RE
re supérieure guérie par LE traitement 10DURÉ ET SUIVIE D'ACCIDENTS CÉRÉBRAUX TRAITÉS SANS SUCCÈS PAR L'IODURE ET LES FRICTIO
s récents, les auteurs appellent surtout l'attention sur l'atrophie cérébrale , qui est des plus accu- sée ; l'encéphale entie
seuls. Les facteurs qui peuvent reslerseuls sont : les héré- dités cérébrale , arthritique, alcoolique ; l'alcoolisme personnel
la paralysie générale sont : les hérédités arthritique alcoolique, cérébrale , et l'alcoolisme per- SOCIÉTÉS SAVANTES. 337 I
ité, dégénérescence grais- seuse ou scléro-graisseuse. L'hérédité cérébrale produit du côté du système nerveux central, d'u
résistance orga- nique du système nerveux cenlral, comme l'hérédité cérébrale . L'alcoolisme personnel mine le cerveau, atteig
te lésion anato- mique peut être due à une maladie locale (hérédité cérébrale ) ou une maladie générale (arthritisme, alcoolis
exie paludéenne, je ne me souviens pas d'avoir observé des troubles cérébraux persistants. Sans nier l'existence de ces trouble
nt conduire à la cachexie. Or, si les accès pernicieux, surtout les cérébraux qui, ainsi que le prouvent les autopsies, sont
anifester l'un sans l'autre; ils semblent démontrer que les centres cérébraux du moi splanchnique offrent une plus grande rés
rande résistance aux influences de l'intoxication. Les phénomènes cérébraux ont réapparu à peu près dans l'ordre dans leque
ont apparu en dernier lieu. Ce qui semble prouver que les cellules cérébrales qui sont le substratum des souvenirs ont résist
ibres descendantes. Les unes et les autres s'achèvent dans l'écorce cérébrale . Les fibres descendantes des faisceaux disséminés
onstatées encore, par la méthode de Marchi, dans six cas de tumeurs cérébrales . Dans tous ces cas on a pu voir la dégénérescen
. Contribution à l'étude de la pathologie générale des destructions cérébrales précoces par rapport à l'épilepsie. Observation
lesse de com- binaisons. L'auteur est porté à expliquer la lésion cérébrale si précoce par un ramollissement cérébral, déve
té à expliquer la lésion cérébrale si précoce par un ramollissement cérébral , développé sur un terrain d'altération innée de
innée de vaisseaux. Les apoplexies infantiles diffèrent des lésions cérébrales des adultes par l'étendue plus vaste des dégéné
ard, ainsi que par des destructions plus vastes - au ramollissement cérébral infun- dibuliforme (porencéphalie). Le rappor
s coupes on remarque un amincissement local très marqué de l'écorce cérébrale . Ce cas peut être regardé comme une forme inter
FF fait attention à ce que la cause dominante de ce que les lésions cérébrales circonscrites chez les enfants provoquent chez
M. Mouratoff. De certaines particularités cliniques, dans la lésion cérébrale circonscrite d'origine traumatique ou à la suite
rgi. En comparant ces deux cas, le rapporteur nota que la paralysie cérébrale infantile d'origine traumatique possède les mêm
ive en forme de foyer causé par la dégéné- rescence de la substance cérébrale donna un tableau d'idiotisme paralytique. Les a
ngite hystérique (observa- 1 Toutes les maladies du système nerveux cérébral . (Thèse Barde), 189,3, et Fabvre, 1883, Marseil
cerveau, lui, s'agite, il ne chôme pas, il travaille, et ce travail cérébral , souvent répété, peut entraîner par la suite le
aro résume ces particularités de structure en disant que l'écorce cérébrale est un organe composé d'éléments dissemblables
es grains dans la couche moléculaire du cervelet. Outre les écorces cérébrale et cérébelleuse, il existe d'autres lames 1 E.
ont le mécanisme possède une grande uni- formité relative. L'écorce cérébrale est au contraire un grand centre de coordinatio
Tout mouvement volontaire, parti des zones rolandiques de l'écorce cérébrale , doit donc agir, dans une certaine mesure, sur
d à produire en déplaçant le centre de gravité du corps. L'écorce cérébrale de chaque espèce possède, à titre de caractère
une augmentation en surface et en poids de l'écorce. Mais l'écorce cérébrale n'est pas seulement un organe de projection ; c
cation des prolongements protoplas- miques des cellules de l'écorce cérébrale des amphibiens, on s'élève graduellement aux ra
o amano e le variaziôni corrélative del cranio e delta super- ficie cérébrale , e studio crilico sulla gerzesi délie circonvoluz
on de l'origine et de la nature des plis et des sillons de l'écorce cérébrale 1. Dans le développement lent et continu de la
uelle. la chirurgie puisse. agir. La connaissance des localisations cérébrales a fait faire un grand pas au traitement chirurg
ropose d'empêcher indirectement ou de traiter un état d'hyperhéruie cérébrale , active ou passive. J. S. XXVII. LE surmenage o
paralytique géné- ral qui, héréditairement prédisposé aux maladies cérébrales , con- tracte la syphilis et, de plus, se livre
pagées. Altération des cordons postérieurs secondaire ci une lésion cérébrale en foyer; par le D'' G. DURANTE (Paris). Nouv
ons postérieurs con- sécutive à une altération en foyer de l'écorce cérébrale . Cette obser- vation vient appuyer celles que n
u fait d'altération des cordons postérieurs secondaire à une lésion cérébrale , par dégénérescence rétrograde propagée à tra-
ertaine impotence et qui, dans un cas, se compliquaient d'accidents cérébraux , céder très rapide- ment à l'antisepsie du tube
mouvements des membres produits par L'excitation de l'hémis- phère cérébral du côté correspondant; par MM. E. Wertheimer et
vingt-sept ans, (épilepsie). Pas d'antécédents héréditaires. Fièvre cérébrale ( ? ) iL douze ans. Pre- mière attaque à seize
ntre des psychoses à forme dépressive, alors que logiquement l'état cérébral de cette affection semble conduire naturellemen
nnaît avoir affaire à un mécanicien qui, à la suite d'une commotion cérébrale due à une chute sur la tête, changea de caractè
ompte actuellement 60 opérations de trépan faites pour des, lésions cérébrales sans origine traumatique ou se rapportant à des
irurgiens ont été assez heureux pour rencontrer des cas d'accidents cérébraux caractérisés par de l'épilepsie jackso- nienne
actérisés par de l'épilepsie jackso- nienne dans lesquels la lésion cérébrale était bien limitée à un peint de la région des
n limitée à un peint de la région des centres moteurs dans l'écorce cérébrale . Ces cas simples sont relativement peu communs
elet, et la troisième de la base du crâne sans lésion du parenchyme cérébral . Dans ces cas il y eut des attaques d'épilepsie
nvient d'élargir l'in- tervention de l'un à l'autre des hémisphères cérébraux avec la seule restriction de respecter les gran
a décompression facile, complète, la désingurgitation du parenchyme cérébral , et s'évitent les lésions régressives. Le but d
ité et urgence de l'intervention opératoire dans les cas de lésions cérébrales ; par le Dr LAVIST.1 (de Mexico). Les efforts qu
pour modifier les multiples lésions occasionnées par les désordres cérébraux , aussi bien d'ordre psychologique que d'ordre s
nous poursuivons. Croire que les centres ou territoires de l'écorce cérébrale sont définitivement limités, c'est une véritabl
soulevant les ostéophytes qui, en s'introduisant dans la substance cérébrale , maintenaient l'horrible situation indiquée ci-
itié droite parce que plus communément la lésion existe sur le lobe cérébral gauche. Beaucoup de causes peuvent produire d
radicale a été d'origine traumatique et serapporte à celui du kyste cérébral déjà mentionné. Le mieux passager dans les cas
cérébral déjà mentionné. Le mieux passager dans les cas de syphilis cérébrale (syphilome méningé) n'a donné que le bienfait q
pratiquée dans l'avenir. b). L'épilepsie. - La théorie de l'anémie cérébrale comme cause déterminante de l'attaque épileptiq
névrose de l'estomac et dis- paraissent avec elle Cas de maladies cérébrales dans lesquelles les fonctions respiratoires ces
dres). Je donnerai sommaire-' ment les détails de 4 cas : 3 d'abcès cérébraux ou cérébelleux pro- duits par des otites moyenn
duits par des otites moyenne ssuppuratives, et un cas d'hémorragie cérébrale par suite de traumatisme, dans lesquels le malade
ns lesquelles le délire de persécution revêt l'allure d'un symqtôme cérébral . Râle du spasme et de la contracture dans les a
identelles qui se manifestent et viennent compliquer les affections cérébrales , afin d'en informer le médecin lors de sa visit
iE persistante avec idées de suicide, par Voisin et Lasve, 341. Cérébrale . Lésion - circonscrite, parllouratoff, 357. Néc
ique, par Rispal et Baylac, 310. Circonvolutions. Anomalies des - cérébrales , par Mickle, 146. Ge- nèse des du cerveau et du
32G. trauma- tique, par Dllhuisson et Anglade, 333. Destructions cérébrales pré- coces par rapport il l' -, par . \lourat
n, 'i08. Paralysie asthénique hulhaire, par lioevnil : off, 73. - cérébrale bila- térale congénitale, par Mouralow, 77. b
colle et Ilalipré, 60. SYPIIILIDE de la paupière avec trou- bles cérébraux , par liernardbei' et Duharry, 339. ` Syphilis
42 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
mis- phère gauche et nous y inscrivons le siège des localisations cérébrales chez l'homme les mieux démontrées par les faits
I, la plus récente qui ait été faite sur le siège des localisations cérébrales chez l'homme (schéma deMM. Charcot et Pitres, d
e la trépanation des os du crâne au point de vue de la localisation cérébrale . Th. Paris, 1876. Lucas-Championnière. Des loca
cérébrale. Th. Paris, 1876. Lucas-Championnière. Des localisations cérébrales , rôles qu'elles peuvent jouer dans le diagnosti
de chir prat., oct. 1876.) Des indications tirées des localisations cérébrales pour la trépanation du crâne. (Acad. de i ? zéd
? zéd., 9 janv. 1877.) La trépanation guidée par les localisations cérébrales . (Joit ? ,n. de nzéd. et de chir. prat , fév. 1
877.) Proust et Terrillon. Contribution à l'élude des localisations cérébrales , etc. (Acad. de méd., nov. 1876; Soc. de chir., i
de méd., nov. 1876; Soc. de chir., ibid.) Pozzi. Des localisations cérébrales et des rapports du crâne avec le cer- DE L'AXE
orts du crâne avec le cer- DE L'AXE CÉRÉBRO-SPINAL. 41 à l'écorce cérébrale dans les différentes formes d'apltasie : l'aphé-
Decle, 1876, surtout pour l'historique. Charcot. Des localisations cérébrales , 1880 ; heç. sur les mal. du syst. eiee-v., Par
Boyer. Etudes cliniques sur les lésions corticales des hémisphères cérébraux , th. Paris 1879. Perdrier, th. Paris 1882. 3 Vo
C.-It. Soc. Biol., 10 oct. 1871.) Sur les fonctions des hémisphères cérébraux (Mé- moite détaillé, Arch. de Physiol., 1875.)
du cerveau (Réactions volontaires et organiques) et sur l'epilepsie cérébrale . Paris, 1887. ' Hermann Munk. Berlin. Klin. Y
épanation et l'ablation de la région malade dans six cas de lésions cérébrales chez l'homme avec épilepsie partielle. Ces trépa-
dent pas non plus à une surface très considérable de l'écorce grise cérébrale , comme le veut E ? ner5, contredit par Charcot
doctrine des localisations motrices dans l'écorce des hé- misphères cérébraux de l'homme (Rev. dsMcd. 1883, p. 152.) ° Hitzig
. mens., nov. 1878, fév. 1879. . Ferrier. Localisation des maladies cérébrales , p. 136, 137, in loc. cit, d'après Barlow (B ?
bution à l'étude des troubles fonctionnels de la vision par lésions cérébrales (Amblyopie croisée et hémianopsie), th. Paris, 18
émianopsie), th. Paris, 1882. - (Deux faits d'hémianopsie d'origine cérébrale avec autopsies), in Arch. de Nezi ? ,. 1885, IX
ressant d'ins- crire le siège de façon à les envisager sur l'écorce cérébrale dans leurs rapports réciproques, sur lesquels n
ert) par crampes vaso-motrices ou de cram- pes de certaines régions cérébrales (Kalhbaum, Neisser), varia- bles, multiples et
iples et que nos données actuelles sur l'anatomie et la physiologie cérébrales nous permettent bien peu de déter- miner. Kal
XVI. SCLÉROSE OU dégénérescence spinale CONSÉCUTIVE A DES lésions cérébrales ; par W. J11liUS MlCl, : LE. 77 ! e</OM ? 'Ha/
isées ; voici pour chacun de ces neuf cas l'indication de la lésion cérébrale : OBs. I. Lésion de la surface des circonvoluti
de même que dans l'alcoolisme. Il va de soi que, si la perturbation cérébrale persiste, la systématisation s'effectue et le d
e 0,05-0,-15 contre les hallucinations, en stimulant la circulation cérébrale et en la régularisant ; mais il n'en faudrait p
relatés dans le présent mémoire constituent des exemples d'un état cérébral morbide , dans lequel les symptômes mentaux obs
'une façon générale que les degrés les plus élevés du développement cérébral , ceux que met en jeu l'exercice du con- trôle
oltz (de Strasbourg) Des conséquences de la section dac pédon- cule cérébral avec présentation de pièces et de patients. Le ma
a pu, après avoir complètement séparé par la section un pédoncule cérébral du cerveau, conserver des chiens en vie pendant p
le chien dont on a par la section séparé du cerveau le pédoncule cérébral gauche, exécute de fréquents mouvements de manège
tre chienvivant auquel, il y ajuste un an, il a enlevé l'hémisphère cérébral gauche. On peut se convaincre de l'énorme perte
blable à celle de celui chez lequel on avait sectionné le pédoncule cérébral du même côté. L'animal qui n'a plus d'hémisphèr
ce qu'il présente. Il ne reste de l'ensemble descirconvo- - lutions cérébrales gauches qu'un lambeau tout petit qui appar- tie
ysie ou des troubles de la sensibilité nulle part. Chaque pédoncule cérébral doit renfermer les tractus moteurs et sensitifs
encontre pas de dégénérescence des cordons postérieurs. Les lésions cérébrales du labes sont d'une autre es- pèce que celles d
perturbations sont elles-mêmes dues à l'augmentation de la pression cérébrale . Pièces à l'appui. D'autres préparations mont
(Rabl Rüclihardt) qui ne possèdent encore pas de circonvolu- tions cérébrales nerveuses, et chez les amphibies ou les reptiles
voir rappelé les principales no- tions d'anatomie et de physiologie cérébrales nécessaires pour l'intelligence du sujet, l'aut
donnés à rechercher pour les expliquer. Dans la lésion des cellules cérébrales doit certainement résider toute l'expression de l
e travail fournie. Il doit y avoir une prédisposition de la cellule cérébrale à être lésée et les troubles psychiques ne se man
e proportion de 5 ? 68 p. 100 chez les hommes. Parmi les affections cérébrales , l'auteur a trouvé 17 cas d'affections des méni
sées en trois grandes catégories : A), Formes spinales; B), Formes cérébrales , et C), Formes cérébro-spinales. A. Formes spin
'intervalle de bien-être parfait entre la disparition des symptômes cérébraux et 1'(ipptil'i- tion de la paraplégie. Syndrome
s inférieurs fait place à une paraplégie complète. Pas de symptômes cérébraux . Ce nouvel accident dure une heure et demie, ap
rémité supérieure gauche que nous considérons comme étant d'origine cérébrale . A côté de ces symptômes, c'est-à-dire, pressio
s inférieurs avec rétention d'urines et de selles. Pas de symptômes cérébraux gastriques ou autres. Evolution des symptômes s
cette aphasie, que nous décrirons comme forme spéciale d'accidents * cérébraux ; on peut l'appeler aphasie par embolie gazeuse.
en tempête. Peu de temps avant ce voyage, il a eu une congestion cérébrale assez forte; eh bien, cette fois, il n'a pas souf
fois, il n'a pas souffert du ver- tige marin; est-ce la congestion cérébrale qui a contribué à cela ? L'aliéné, maniaque, âg
à un obstacle à l'accès du sang vers l'encéphale, d'où l'ané- mie cérébrale avec ses symptômes. » Mais M. Autric ne nous ex
e les vaisseaux capillaires du cerveau et provoque ainsi l'anémie cérébrale . Cette chute brusque provoque aussi la commotio
l'anémie cérébrale. Cette chute brusque provoque aussi la commotion cérébrale et par inimitio ? i con- tribue à la production
elle. Le plus souvent, le vertige marin est le résultat de l'anémie cérébrale , laquelle se produit par le liquide céphalo-2ac
surtout par sa descente brusque, survient soit un choc avec anémie cérébrale et ébranlement cérébelleux, soit des grands et
comprimant le ventre, et, par conséquent, nous dimi- nuons l'anémie cérébrale . Il faut manger quelques heures avant d'entrer
omprime, les mouvements du diaphragme diminuent, la circu- lation cérébrale s'active et par conséquent l'anémie cérébrale d
t, la circu- lation cérébrale s'active et par conséquent l'anémie cérébrale diminue. , " On ne doit pas se promener, surtou
es lésions principales trou- vées à la nécropsie étaient l'atrophie cérébrale et la méninge - en cépha Vite . Observation X
rale et la méninge - en cépha Vite . Observation XLIV. - Atrophie cérébrale . e/n/ë ? <' gauche. Débilité mentale et épil
Anomalies artérielles. Hydrocéphalie légère. Atrophie du pédoncule cérébral droit, de la moitié droite de la protubérance, de
qu'à seize mois. A six mois il aurait été soigné pour des accidents cérébraux qui ont duré deux mois, sans convulsions, ni pa
r suite de la déviation du tronc basilaire vers la gauche, l'artère cérébrale postérieure droite est plus longue que la gauche.
la gauche. La communiquante postérieure est filiforme ainsi que la cérébrale antérieure du même côté. Le pédoncule cérébral
iforme ainsi que la cérébrale antérieure du même côté. Le pédoncule cérébral droit paraît plus étroit que le gauche. La pyra
marque quelques traces d'adhérences ; la coloration de la substance cérébrale paraît à peu près normale. Le lobe occipital, s
nce grise. Ces membranes n'ont pas enlevé des portions de substance cérébrale en se détachant; la première couche de la subst
ns la plupart des cerveaux d'idiots. - Ce malade a eu des accidents cérébraux dès l'âge de six mois sans convulsions, ni para
à l'autopsie, qui étaient en effet plus prononcées sur l'hémisphère cérébral droit et atteignaient surtout les centres moteu
roite. L'autopsie nous a fait voir une atrophie de l'hémi- sphère cérébral droit qui pèse 50 grammes de moins que le gauch
e est oedématiée, l'artère communicante postérieure et l'ar- tère cérébrale antérieure gauches sont filiformes; le pédoncul
- tère cérébrale antérieure gauches sont filiformes; le pédoncule cérébral et la pyramide du côté droit sont atrophiés.' C
reviendrons pas sur les lésions rencontrées sur les circonvolutions cérébrales ; elles ont été décrites plus haut; nous rappell
entres moteurs. Le cervelet est moins atteint que les hémisphères cérébraux ; ce n'est du reste que tardivement, vers 1880,
par la méthode expérimentale, nous sommes tenté de diviser l'écorce cérébrale en deux régions : une pre- mière région, dont l
e des troubles de la motilité, comprend toute l'étendue de l'écorce cérébrale qui ne répond pas à la zone motrice. Dans la zo
ont nous avons indiqué le siège. Chacune de ces zones de l'écorce cérébrale est l'aboutissant ' Grasset. Rev. mens. (Fév. 1
n doit faire de restrictions, non seulement sur le siège à l'écorce cérébrale de la zone sensitive, comme de la zone intellec
tachée à chaque faisceau des fibres. Nous prendrons donc à l'écorce cérébrale pour les suivre successivement dans leur trajet
e Flechsig pour celle de la capsule interne, une coupe du pédoncule cérébral , de la protubérance et une coupe de la moelle,
s du centre ovale des hémisphères au point de vue des localisations cérébrales . Th. Paris, 1877. /iMM/)AerM ' Bitôt. Essai de
rébrales. Th. Paris, 1877. /iMM/)AerM ' Bitôt. Essai de topographie cérébrale par la cérébrolomin métho- clique. Paris, 1878.
oelle à laquelle nous nous reporterons pour retrouver les faisceaux cérébraux , capsulaires, pédonculaires et protubéran- tiel
rieur; 2° les autres, de chacun des noyaux gris centraux à l'écorce cérébrale (libres cortico- optiques ou thalamiques et fib
cences secondaires. Chaque fois que la lésion première à l'écorce cérébrale , ou au centre ovale ou àla capsule interne porte
es lésions causales de la paralysie labio-glosso-laryngée d'origine cérébrale et les trois faits per- sonnels de glossoplégie
x connu dans son trajet. Ses fibres centrifuges partent de l'écorce cérébrale , de toutel'étendue de la zone corticale motrice
1887. Le- çons XXVII et XXVIII. 1 Le point de départ, à l'écorce cérébrale du faisceau pyramidal, dépasse certainement la
r des troubles psychiques (zone intellectuelle). Ce sont ces fibres cérébrales antérieures non mo- trices, entrant néanmoins d
ébro-spinal. 259 Elles réunissent les cellules motrices de l'écorce cérébrale aux grandes cellules motrices des cornes antéri
Chacun de ces fascicules moteurs représente les origines à l'écorce cérébrale des nerfs moteurs périphériques (hypoglosse, ne
e fait anatomo-physiologique : l'origine aux cel- lules de l'écorce cérébrale , des nerfs périphériques. 'Fr.-Franck. Fonction
herches cliniques et expérimentales sur l'hémianesthésie c de cause cérébrale . Th. Paris, 187 i. 3 Carville et Duret. Critiqu
ie, déc. 1873 et janvier 1874). Sur les fonc- tions des hémisphères cérébraux , (.1. cli. de phr)siol. Mai-juillet. 1875). 264
her la question de la topographie du faisceau pyramidal. A l'écorce cérébrale , pour qu'il y ait paralysie, il faut une lésion
ou moins complètement séparées de leur centre trophique à l'écorce cérébrale . ' Fr.-Franck. et Pitres. Bull. de la Soc. de b
ésions localisées des hémisphères, la partie interne du pé- doncule cérébral , les faits anatomiques avancés par Flechsig. DE
herches cliniques et expérimentales sur l'laénzianeslhésie de cause cérébrale . Paris, 1874, n- 379. Rendu. Thèse d'agrégation
qu'unmême faisceau partant en aboutissant à une région de l'écorce cérébrale d'autant plus antérieure, occupe dans l'étage inf
de l'aphasie, géniculé sont connus, surtout le dernier, de l'écorce cérébrale au bulbe, ce sont les trois faisceaux cortico-b
plètement décrits, surtout le premier, dans leur trajet de l'écorce cérébrale à la moelle, ils représentent les deux faisceau
érieur. '1 Veyssière. licch. cliniq. et expér. sur l'hémianesthésie cérébrale . Th. Paris, 1874, p. 379. DE Laye CEREBRO-SPI
on de la sciss. de Sylvius, Fie. 7. Coupe transversale du pédoncule cérébral immédiatement en avant de la protubérance . - 1
tl. 3 ; étage supérieur. PLANCHE Il IC. 1. - Coupe des pédoncules cérébraux immédiatement au-dessus de la protit&o'ace.
au ne semblent présenter aucune altération pathologique. Le tissu cérébral est anémié; les cavités des ventricules latéraux
tion allégorique) bien plus dangereux que les persécutés purement cérébraux . Mais il y a des exceptions à faire. La folie sys
dit immédiatement : « Voyez-vous, c'est l'es- prit ! » Les centres cérébraux interviennent aussi ; elle accompa- gne souvent
de soi, lors- qu'on envisage leur présence dans diverses affections cérébrales . Cependant, lorsqu'on veut faire la part de leu
ou de la moelle allongée; c'est ainsi que chez Duch... l'hémisphère cérébral gauche, le pédoncule cérébral gauche et la moit
t ainsi que chez Duch... l'hémisphère cérébral gauche, le pédoncule cérébral gauche et la moitié correspondante de la protub
érance était plus petite qu'à droite. Chez Maisonh..., le pédoncule cérébral droit, la pyramide et l'olive droite sont atrop
quelques mots de la physiologie de la protu- bérance des pédoncules cérébraux et du corps strié. On sait que la galvanisation
duit des convulsions épileptiformes et que la lésion d'un pédoncule cérébral produit un mouvement de manège du côté opposé à
CURSIVE. 3 lésion de la partie supérieure et externe du pédoncule cérébral , le même auteur a constaté des mouvements de ro
ts de l'attaque ne contredisent nullement à l'idée que l'hémisphère cérébral non excité, a, par propagation de la sollicitat
e, l'auteur établit que, selon toutes probabilités, la localisation cérébrale du foyer scléreux joue le rôle nécessaire à la
jusqu'en bas. P. K. XXIV. Contribution C\SUtSHQUE aux localisations Cérébrales par Siemerling. (.4och. f. Psych., XVIII, 3.)
ers volumes dans l'écorce et la substance blanche de l'hémisphère cérébral gauche. P. li. XXV. Localisations CLItÉBli.ILCS
s de Neurologie. Revues analytiques. SOCIÉTÉS SAVANTES. 433 pères cérébraux et le système optoslrié, pour exercer de là son
s à une seule extré- mité), doivent être rattachées aux hémisphères cérébraux . M. OEDEKE. Chez un malade observé par lui, à l
nnée. Le cerveau pèse 1,350. La' substance SOCIÉTÉS SAVANTES. 457 cérébrale sèche, ferme, pâteuse, offre à la coupe de nombre
Paris, Lecrosnier et Bahé, éditeurs, 1888. Une étude de morphologie cérébrale qui intéressera au plus haut point les lecteurs
e monographie des plus com- plètes sur la principale circonvolution cérébrale , la Bi,ocit's circon- volution des Anglais. L'a
cet ouvrage, que tout neurologiste devra lire en entier. Le type cérébral primitif des primates est un type à deux et non à
clinique des anesthésies dépendant de lésions en foyer de l'écorce cérébrale . Tostivint : Contribution cc l'étude de l'hysté
r et Babé. Luis (.T.).- Eludes sur le dédoublement des opérations cérébrales et sur le rôle isolé de chaque hémisphère dans
280.. v- Dégénérescence secondaire à travers la substance blanche cérébrale , par Zacher, 9. Délire aigu (écoroe cérébrale
a substance blanche cérébrale, par Zacher, 9. Délire aigu (écoroe cérébrale d'nne malade morte de), par Snell, 450. Délir
21(i; - (par la j[ardl- déliyds), pnr Ilchm, ;103. Localisations cérébrales , par Sie- merling, 439. Médecine psychologiqu
, par Richaidièie, 68. Sclérose spinale consécutive à des lésions cérébrales , par iNlickle,-i5; inuililoctil;tire du système
ze, 86. Syphilis (intoxication chronique par la), par Rumpf, 88; ( cérébrale ), par Hertz, 449. Système nerveux (affections
on de la sciss. de Sylvius, FtG. 7. Coupe transversale du pédoncule cérébral immédiatement en avaitt de /sp''o<t<&
ICATION DES PLANCHES. 409 PLANCHE Il FiG. 1. Coupe des pédoncules cérébraux immédiatement au-dessus de la protubérance. 1,
43 (1894) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie, l'idiotie et l'hydrocéphalie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1893
Ajoutons qu'en maints endroits sa minceur était telle que la couche cérébrale n'avait même pas un millimètre. OBS. II. IDIO
ce convexe : on voit que la partie postérieure des deux hémisphères cérébraux fait défaut, ce qui explique l'affaissement de
la pointe du lobe occipital droit. Soulèvement partiel de l'écorce cérébrale . Corps thyroïde : 10 gr. Traces de thymus. '
ans. - Grand-père maternel, excès de boisson, mort de . congestion cérébrale . Pas de consanguinité. Inégalité - d'âge de 10
stion pulmonaire; mort. Autopsie. -P01'LCSW'ai des deux hémisphères cérébraux . DIé12112o-elzcé2halite chronique. - Atrophie d
elle, 1ze)'ueusc. - Arrière- grand-père paternel mort d'hémorrhagic cérébrale . Cou- sin paternel, excès de boisson, aliénés O
faciales. Grand-père maternel, excès de boisson, mort de congestion cérébrale , avec paralysie du côté 7a1cc1)e. - ( : 1'ancl'
le, Bicêtre. t893. 3 3f¡ IDIOTIE. Fij'. 13. Ons. IX. Hémisphère cérébral gauche; face supérieure. 1,1', lobe frontal.
. TRAITEMENT CHIRURGICAL. 35 Fin. 1 S. - Ons., IX. Ilénilspliirvc cérébral i'p.l1che rf : ICC «sterne. p1 Fli, F3. premièr
sr, sillon de Rolando. 26 IDIOTIE. Fin. 15 Ons. IX. Hémisphère cérébral droit; face externe. 1 : F2, F3, première, seco
ndo TRAITEMENT CHIRURGICAL. 37 Fin. 16. - Ol1s. Six. - Hémisphère cérébral droit : face interne. F, l'remiere circonvoluti
. X. TRAITEMENT CHIRURGICAL. 39 fit. 1S. - Ons. X. - Hémisphère cérébral gauche; face interne. ui, i, première frontale.
illon de Rolamio. .0 idiotie. 1 ig. lU, - Olls. l. - Hëmisphure cérébral tranche : face externe. 1m, I=, 13, première, s
Les Fi(l..18 et 1 ! 1 représententla face convexe de l'hémisphère cérébral gauche de Sellcff.... En PK, sur la première, se
état du cencau. OIIS. XI )1S.-IDIOTIE SI'11PT01L11'IQUU de sclérose cérébrale . SOMMAIRE. Père, caractère violent. Grand'mère
traitement CHtRUR&ICAL. 43 Fin. 21. - Ons. SI. - Hémisphère cérébral gauchc ; face externe. F', F2, 11';1, première,
sillon de Rolando. 44 idiotie. Fig. 22. - Ons. XI. - Hémisphère cérébral gauche ; face interne. FI, première frontale.
lando. traitement chirurgical. 45 Fig. 23. 0118. XI. Hémisphère cérébral droit; face externe. Fi, F,2, l'3, première, de
illon de Rolando 4G IDIOTIE. - Fig. 24. - Ou;. 11. - Hémisphère cérébral droit ; face interne. .t",première frontale.
tose, aspect chagriné, plisse- , ment des circonvolutions, sclérose cérébrale , la substance grise semble mobile sur la substa
obile sur la substance blanche. - Légère . dilatation du ventricule cérébral gauche. . Houger... (Marcel) est né à Paris, le
. Xir. Idiotie symptomatique DE SCLÉROSE atrophique DE.L'HÉMISPHÈRE CÉRÉBRAL GAUCHE ET DE MÉNÜWO-ENCÉ- PHALITE DE L'HÉMISPHÈ
, crises de nerfs. Arrière-grand-père paternel; m01't d'hèmorrhagie cérébrale . - A1'1'iè7'G'-Jr21nCl'lnèl'e ? atL'7'12elle, m
gauche du cerveau. Atrophie de la bandelette optique, du pédoncule cérébral , du tubercule mamillaire gauches. Sclérose atro
bercule mamillaire gauches. Sclérose atrophique de l'hémis- phère cérébral gauche. Mèningo-encèphulitc de l'hémis- phère c
mis- phère cérébral gauche. Mèningo-encèphulitc de l'hémis- phère cérébral droit. Hug... (Georges) est né à Paris, le 21 m
25. - Ons. XII. ..., 50 0 idiotie. Fig. 20. Ous.XIÎ. Hémisphère cérébral gauche; face externe. Fil, F2, F3, première, se
Sylvius. traitement chirurgical. 51 Fig. 27. Ons. XII. Hémisphère cérébral gauche ; face interne. 1.'1, première circonvol
cS.XIIt.IDIOTIE SYMPTOMATIQUE de IÉN[NGO-EKCÉPHAL1TE ET DE SCLÉROSE CÉRÉBRALE . SoMMAinE. Père, caractère très emporté. Grand-
tanelle antérieure. Aspect gélali'- : nij'ol'lne' des circonvolutions cérébrales . Bourg... (rcrn. A.) est né à Paris le 1"1' jui
pituitaire.un peu hypertrophiée.-Simplicité des circon- volutions cérébrales . Pseudo-lipom.es. : Absence complète delà gland
sarcoma- TEUSE DU cervelet (Hydrocéphalie) (1). Sommaire. Tumeur cérébrale , hydrocéphalie symptoma- tique. Grand-père pate
et 1893. OBS. IL-IDIOTIE PROBABLEMENT SYMPTOMATIQUE.DE SCLÉROSE ' CÉRÉBRALE . Sommaire. -Père, nombreux excès deboisson, vio
survenus progressivement chez lui de 1880 à 1893.. OBS IX. Sclérose cérébrale : imbécillité ET hémiplégie DROITE AVEC ATHÉTOS
BS. X. Imbécillité ET HÉMIPLÉGIE DROITE, symptomatiques DE SCLÉROSE CÉRÉBRALE . SOMMAIRE. - Père mort tuberculeux, nombreux ex
neuse, caractère violent. Grand père pater- nelle mort d'hémiplégie cérébrale , nombreux excès de tous genres. Renseignements
est ainsi conçu : . A eu depuis une fièvre typ/fjfde des accidents cérébraux se manifestant par de la faiblesse d'esprit et
re de la coupe. Cette zone a au moins 3 mm. d'épaisseur. Hémisphère cérébral droit. Adhérences disséminées sur toute la face
s à 18 ans, migraines. - Grand-père maternel mort d'une hémorrhagie cérébrale . Grand'mère mater- nelle, morte paralytique. Ar
sions jusqu'à 11 ans. - Soeur morte de rougeole auec complication cérébrale . - Pas de consanguinité. Violent chagrin au 4e
phè- nes. [Père d'un caractère calme, mort à 53 ans, d'hémorragie cérébrale . Mère morte à 66 ans, d'une paralysie probable-
INJECTIONS DU LIQUIDE testiculaire. 127 ment due à un ramolissement cérébral . -, Un frère, aujour- d'hui en bonne santé, a e
à 13 mois, une autre morte de rougeole à 3 ans, avec complications cérébrales ; une autre morte de bronchite à G semaines. Sa
bérance est assez fortement congestionnée et épaissie. Hémisphère cérébral droit. Face convexe. Quelques petites adhérence
. Sur le bulbe, la colo- ration est presque naturelle. Hémisphère cérébral gauche,- La pte-mere s'enlève facile- ment, san
nt. VI. Notons encore la différence de poids des deux hémisphères cérébraux , le gauche pesant plus que le droit, différence
anards. VII. Idiotie et épielpsie symptomatiques d'une anomalie cérébrale {Tumeur des tubercules mamillaires) ; Par BOURN
nuls. Etat de mal épileptique; broncho-pneu- monie. - Mort. -Atypie cérébrale . ' IDIOTIE et 'Epilepsie 165 Mont Léon, né le
plus profond Fig. 41. - : 0, nerf optique. T, tumeur. P, pédoncule cérébral . HÉTÉROTOPIE CÉRÉBRALE. 171 et plus postérieu
refoule en avant et sur les côtés, et en arrière parles pédoncules cérébraux . Le pédoncule droit parait un peu plus petit qu
le-ci est très large et se continue directe- ment avec la substance cérébrale . Elle est presque quadrila- tère et mesure '25
trouve un aspect qui rappelle absolument celui d'une circonvolution cérébrale , au niveau de la substance grise, les cellules
malement devenues de la substance grise. II. Outre cette anomalie cérébrale , on observe encore des traces d'une affection c
te anomalie cérébrale, on observe encore des traces d'une affection cérébrale , dans l'a- dhérence si intime de la dure-mère à
cerveau s'affaisse comme une poche. L'affaissement des hémisphères cérébraux existait avant l'ouverture de la dure- mère, sa
tites attaques syncopales (probablement symptomatiques de thrombose cérébrale ). Trois oncles pa- ternels, morts assez âgés, o
mbrane lisser mince, surlaquelle on constate des îlots de substance cérébrale .; La suture 111te1·IIé)111SIV1'tllite est seule
de trouver la trace de la scissure de Sylviusa Un îlot de substance cérébrale de 5 centimètres carrés environ forme le vestig
lobe frontal qui, lui ? est représenté par une plaque de substance cérébrale offrant : ' l'aspect de circonvolutions mal dél
poro-sphénoîdal. L'hémisphère droit offre encore moins de substance] cérébrale . Le lobe frontal y est représen- té par une for
re un aspect membraneux, recouvert de minces couches de substance cérébrale . On peut constater sur la base des dépressions qu
sse et a un seul prolongement frontal peu dilaté. > . Hémisphère cérébral gauche. - Il offre L-s mêmes lésions à un degré
pose sur la face postérieure de laprotubé-' rance et des pédoncules cérébraux et est en rapport avec le lobe médian du cervel
la face interne sont réduits à une simple lamelle unie de substance cérébrale . - Les gal1 ! llions centraux, fortement déprim
incolore, assez épaisse, tapisse cette vaste poche. ' Hémisphère cérébral gauche. La même description s'applique, en géné
Notons cependant un aplatissement plus considérable de la substance cérébrale sur une bande allant verticalement de la branch
ite chronique ( ? ).- Grand'tante paternelle, morte de con- gestion cérébrale . Oncle paternel, mort de rhumatismes. Autre onc
IE. - Examen de la calotte crânienne. Description . des hémisphères cérébraux . - Dilatation des ventricules latéraux, du fim°
- culeux. Une tante maternelle est morte à 78 ans de conges- tion cérébrale . Deux tantes maternelles : une, âgée de 80' ans
aternel et chez un oncle paternel, qui s'est suicidé, des accidents cérébraux et la tuberculose tant du côté du père que de c
es, de ces phénomènes dont l'origine primordiale était certainement cérébrale . Une remar- que intéressante que nous retrouvon
lume d'une plume de corbeau provenant de la surface de l'hémisphère cérébral gauche et aboutissant au sinus latéral du même
la base du crâne. Aplatissement et distension des circonvolutions cérébrales . Dilatation considérable des ventricules laté-
très facilement ; delà, décortication pénible. Les circonvolutions cérébrales sont aplaties, étalées. La substance encéphaliq
ge d'un an. Soeur morte de convulsions et deux autres de congestion cérébrale . Chute à 3 mois. Première dent à un ans. Parole
rappé d'apoplexie avec hémiplégie qui ne dura qu'un mois (thrombose cérébrale .) Pas de démence. Mère, morte il 56 ans, cl'ér5
e santé; pas de convulsions; 5° garçon, mort à 5 mois de congestion cérébrale sans convul- sions ; 6° garçon de 15 ans, intel
nt, pas de convulsions ; 79 autre garçon, mort à 5 mois d'accidents cérébraux ( ? ) sans convulsions ; 8° garçon, 13 ans, 9°
troisième mort au régiment d'une fièvre typhoïde avec acct- dents cérébraux ; 4° les trois autres frères sont bien pour- ta
otale de sérosité hydrocéphalique recueillie. Cerveau. - Hémisphère cérébral gauche. La pie-mère adhère fortement partout et
ur céré- brale compliquée d'hydrocéphalie (1). SOMMAIRE. - Tumeur cérébrale , hydrocéphalie symptomati- que. Grand-père pate
bulbe et du cervelet. Hydrocéphalie : dilatation des ventricules cérébraux . Berl... (Chartes), âgé de 12 ans, est entré ai
Au niveau de la base, dans l'espace situé au-devant des pédoncules cérébraux , elle est épaissie et présente un aspect laiteu
rme générale soit notablement modifiée. L'épaisseur de la substance cérébrale qui sépare la paroi ventriculaire de la surface
e céphalo-rachidien, recueil- lie quand on a séparé les hémisphères cérébraux et qui n'était pas moindre de 600 grammes, indi
il, à un léger degré de paralysie spasmodique, d'origine purement cérébrale , qui pourrait être considérée en quelque sorte
t de faire disparaître ou de réduire à une mince paroi la substance cérébrale . Cette compression doit s'opérer très lentement
'VC 2L1'CalLt de réflexe après l'amincissement com- plet du manteau cérébral . Ainsi Ess..., dont le cerveau était réduit à u
44 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
parié- taux. Les artères de la base sont symétriques. La pie-mère cérébrale est très notablemant hypérémiée. Sa vascularisati
ternelle nerveuse. - Arrière-grand-père paternel mort d'hémorrhagie cérébrale . - Cousin paternel, excès de boisson, aliéné. O
ciales. - Grand-père maternel, excès de boisson, mort de congestion cérébrale , auec paralysie du côté gauche - Grand'mère mat
crises nerveuses. - Grand-père paternel mort à 60 ans d'hémorrhagie cérébrale ; il n'était pas nerveux. Grand'mère paternelle,
nt chez elle par une sage-femme. [Père, mort à 40 ans de congestion cérébrale après 3 semaines de maladie, avec hémiplégie ga
les nerfs olfactifs, optiques, les ban- delettes et les pédoncules cérébraux , sont symétriques, mais le tubercule mamillaire
de Sylvius, au-dessous de sa branche verticale, jusqu'au pédoncule cérébral (PL. i et II). La circonférence adhère ainsi, a
dehors en dedans et d'arrière en avant jusqu'au-dessus du pédoncule cérébral qu'elle atteint à l'union de son tiers interne
n trouve chez les ascendants paternels, l'alcoolisme, des accidents cérébraux , des convulsions ; chez un collatéral, l'alcool
oolisme et la folie ; du côté maternel, l'alcoolisme, des accidents cérébraux . De plus, la tuberculose apparaît chez les asce
orrespondant au pseudo-kyste. L'inégalité de poids cles hémisphères cérébraux , le gauche pesant 55 gr. de moins que le droit
tinale. - Mort. Autopsie : sclérose atrophique des circonvolutions cérébrales . - Ulcérations tuberculeuses de l'intestin.- Ad
ion de Liège, 31 août 1892. Réflexions. 37 crues sur l'hémisphère cérébral droit qui pesait 30 gr. de moins que le gauche
tion secondaire portant sur le tubercule mamillaire, le pédoncule cérébral , et la pyramide antérieure du côté droit. Les h
wor- miens. - Inégalité de poids de 75 gr. des deux hémis- phères cérébraux .- Atrophie de l'hémisphère cérébral, du nerf op
75 gr. des deux hémis- phères cérébraux.- Atrophie de l'hémisphère cérébral , du nerf optique et du pédoncule cérébral gauch
Atrophie de l'hémisphère cérébral, du nerf optique et du pédoncule cérébral gauches. Adhé- rences partielles de la pie-mère
NGITE; ATROPHIE DE L'HÉMISPHÈRE GAUCHE. RÉFLEXIONS. 51 Hémisphère cérébral droit. - Mêmes particularités que sur l'hémisph
AIRE. - Père tuberculeux. - Grand'mère paternelle morte d'apoplexie cérébrale . - Arrière-grand-père paternel, nombreux excès
; pas d'excès de boisson. - Mère, sobre, morte à 70 ans d'apoplexie cérébrale sans hémi- plégie. Pas d'excès de boisson. - Gr
les tuber- cules mamillaircs sont un peu gros. - Les hémisphères cérébraux paraisssent avoir la môme longueur. Les lobes o
s. Ces phénomènes sont en Réflexions. 65 rapport avec la sclérose cérébrale constatée à l'auto- psie. IV. Remarquons, com
sie. IV. Remarquons, comme dans de nombreux autres cas de lésions cérébrales , la facile production des eschares. Enfin attir
ien été justifiée. L'égalité parfaite du poids des deux hémisphères cérébraux et les lésions méninge- tiques, bien qu'elles n
e de synostose; p ! agiocëphahe. lëa- lité de poids des hémisphères cérébraux . - Os dormi- ens. - Sclérose atrophique d'un ce
pondait un écart de poids de ! 0 grammes entre les deux hémisphères cérébraux qui étaient le siège de sclérose atrophique.
on pulmonaire ; mort. Autopsie : Porus vrais des deux hémisphères cérébraux Méningo-encéphalite chronique; atrophie de la p
tout c'est la dispro- portion qui existe entre les deux hémisphères cérébraux . Le gauche est allongé, en quelque sorte athlé
ule /attirât qui est quel- que peu dilaté. On aperçoit le pédoncule cérébral qui est gros et renflé. Les noyaux gris centrau
i est assez nette. (Voir Planches VIII, IX, X, ,XI.) Les pédoncules cérébraux n'offrent rien de particulier. Le quatrième ven
une encéphalite destructive. Suivant le même auteur, l'hémorrhagie cérébrale ne saurait être sérieusement invoquée. On sait
aralysies et les contrac- tures sont le cortège habituel d'un parus cérébral . La lecture de nos observations suffira pour s'
re la lésion varie peu. C'est toujours le territoire irrigué par la cérébrale moyenne qui est creusé par le porus. 1 ? F A, P
ie, nous avons pu examiner son cerveau et son crâne, L'hémisphère cérébral gauche était le siège de lésions de méningo-enc
s unes et les autres, à l'intervention chirurgicale. L'hémisphère cérébral droit, qui pesait 20 grammes de plus que le dro
de nerfs. - Arrière-grand-père paternel mort d'héii-Lo ? - ? ,hagie cérébrale . - Arrière-grand' mère paternelle morte d'un ca
auche du cerveau. - Atrophie de la bandelette optique, du pédoncule cérébral , du tubercule mamillaire gauches. - Sclérose at
ntécédents héréditaires. 133 - ' ;, ,i ."......,. a '.T ? i phère cérébral gauche. - Méningo-encéphalite de l'hémis- phère
i phère cérébral gauche. - Méningo-encéphalite de l'hémis- phère cérébral droit. 1 1 1 1 1 , f . Ilug... (Georges), né à
herché à dissimuler. - Grand- père paternel, mort d'une hémarrhagie cérébrale à 54 ans. Grand'mère paternelle, morte à 38 ans
rien d'anormal. - Le corps strié, la couche optique et le pédoncule cérébral sont très développés. L'hé- misphère droit prés
fisam- ment nettes pour expliquer la prédisposition aux accidents cérébraux des trois enfants issus de ce mariage. II. A
iotie était symptomatique d'une sclérose atrophique do l'hémisphère cérébral gauche, com- pliquée d'une dégénération seconda
correspondent à des diff renées très tranchées des deux hémisphères cérébraux . A gauche, nous trouvons une sclérose atrophiqu
e de la bandelette optique, du tubercule mamillaire et du pédoncule cérébral . A droite, nous avons découvert une méningo-
ien portante, a eu trois attaques à HO ans qualifiées de congestion cérébrale . Il y eut chute accompagnée de congestion de la
de même des nerfs, des tubercules mamillaires et des pédon- cules cérébraux . La pie-mère de la base n'est pas vascu- larisé
use. La plus antérieure l'e.,t beaucoup moins. (Fig. 4). Hémisphère cérébral gauche. Il est de consistance ferme, , la pie-m
corne d'Ammon, la couche optique, le corps strié. ' * Hémisphère cérébral droit. - La pie-mère s'enlève très facilement.
trois attaques sans paralysie, étiquetées attaques de congestion cérébrale . Quelques céphalalgies chez le père, chez cette
, optiques, les tubercules mamillaires, les artères, les pédoncules cérébraux sont symétriques. Corps pituitaire de la grosse
s'était faite alternativement dans l'un ou l'autre des hémisphères cérébraux . V. L'autopsie ne nous a apporté aucune notion
ingite chronique de la con- vexité et de la base. - Circonvolutions cérébrales et scis- sures assez irrégulières. - Rien de pa
s de la pie-mère à la dure-mère, d'une part, et auec la substance cérébrale d'autre part. Broncho-pneumonie en foyers dissé
is n'est plus dévote. - Le second, mort à 5' ? ans de conges- tion. cérébrale , a eu quatre enfants bien portants. -- Le 3 ? 4
veux : un d'eux est mort paralysé, un second est mort de congestion cérébrale , un troisième a un fils paralysé et hydrocéphal
trophique prédominant à gauche. - Inégalité notable des hémisphères cérébraux (115 gr.) et des hémisphères cérébelleux. - Dég
mamillaire gauche parait plus petit que le droit. Le pédon- cule cérébral gauche est moins large, et moins bombé que le d
te et moins large que la droite. Lorsqu'on sépare les hémisphères cérébraux il s'écoule une assez grande quantité de liquid
ère céré- belleux droit. XIX. Idiotie symptcmatique de sclérose cérébrale atrophique ; Par BOURNEVILLE et NOIR. Somma
du pédoncule. Le ventricule latéral est un peu dilaté. Hémisphère cérébral gauche. - La scissure de Sylvius est entrouvert
santé; une grand'tante maternelle est atteinte de ramollissement cérébral . Un frère jumeau, qui était bien conformé, est
it par la face supérieure. Cerveau; hydrocéphalie. 247 Hémisphère cérébral droit. - La face externe, très courbe et très h
te dilatation a amené un amincissement considérable de la substance cérébrale , amincissement plus prononcé au niveau de la pa
ane épaisse et blanchâtre les recouvre et leur adhère. Hémisphère cérébral gauche. - La face externe est moins altérée que
coupe unie et dont la couleur rappelle celle des circonvo- lutions cérébrales . La partie supérieure et externe de cette masse
enflammée. Ces espèces de glomé- rules sont séparés de la substance cérébrale par des interval- les qui étaient remplis de li
ut en montre le vif intérêt. XXI. Idiotie congénitale; - Atrophie cérébrale ; - Tics nombreux : PAR BOURXEVILLE ET NOIR.
SOMMAIRE. - Père, céphalalgies, coléreux, rhumatisme, acci- dents cérébraux , alcoolique. - Grand-père paternel, calcu- leux
eul maternel, diabétique ( ? ). Oncle maternel ? mort de congestion cérébrale . - Cou- sin germain, mort de convulsions. Soeur
idents articulaire avec fiè- vre qui s'accompagnèrent de phénomènes cérébraux graves (délire, perte de la connaissance, duran
i migraineuse. - 3 frères dont un mort à treize ans de « congestion cérébrale , accompagnée Fig. 12. - Ros... devenu propre et
décrite. 302 ETAT.DES SUTURES DU CRANE dans l'IdIOtIe. Hémisphère cérébral droit. On ne constate la présence d'aucun tuber
ortiquer; en certains points on enlève de petits fragments de pulpe cérébrale . Tout l'hé- misphère présente comme particulari
tal est bien conformé ainsi que le lobule de l'insula. Hémisphère cérébral gauche. - Sur cet hémisphère comme sur -le droi
CJ,1.rF,LE').'N{¡Jq) : QçéphaUe) ! 1 ¡ ! ; If.. ? Sommaire. Tumeur cérébrale , hydrocéphalie symploma- -, tiqué. Grand-père p
fontanelle antérieure. - Aspect gélati- niforme des circonvolutions cérébrales . Bourg... (Fern. A.); 5 ans. (V. l'obs., Conpte
lente. - Méningite de la conve- xité et de la base. Circonvolutions cérébrales et scissures assez irrégulières. - Rien de part
stion pulmonaire; mort. AUTOPSIE. - Porus vrai des deux hémisphères cérébraux . Iléningo-encéphalite chronique. - Atrophie de
use, de caractère bizarre. - Un frère de la mère mort de congestion cérébrale . Un autre frère de la mère a eu un fils paralys
ces de la pie-mère à la dure-mère d'une part et avec la substance cérébrale d'autre part. - Broncho-pneumonie en foyers dis
onstater sur les photogra- phies : Idiotie symptomatique de tumeurs cérébrales , de méningo-encéphalite, de sclérose atrophique
7 Obs. III. - IDIOTIE probablement symptomatique DE > sclérose cérébrale . Sommaihe. Père emporté, céphalalgies, excès al
phtisie. Grand père paternel, mort probablement d'une congestion cérébrale . - Arrière grand-père paternel mort d'un coup d
S PLANCHES. 336 Explication DES planches. Planche I. Hémisphère cérébral gauche; face externe. (Ons. de Scheff ? p. 10-1
planches. Planche II. (OBs. de Scheff..., p. 10-19). Hémisphère cérébral gauche; face interne. I ? première frontale.
S planches. Planche III. (OBS. de Sal..., p. 22-30). Hémisphère cérébral gauche; face externe. I'i, F2, F3, première, se
planches. · Planche IV. (OBS. de Sal..., p. 22-30). Hémisphère cérébral gauche; face interne. F', première frontale.
S planches. ' Planche V. (OBs. de Sal..., p. 22-30). Hémisphère cérébral droit; face externe. Fi, F2, F3, première, deux
DES planches. Planche VI. (OBs, de Sal ? p. 22-30). Hémisphère cérébral droit; face interne. r, première frontale. LP
ES planches. Planche VIII. (Ons. de Roq ? p. 88-96). Hémisphère cérébral gauche; face supérieure. LF, lobe frontal. LO
DES planches. PLANCHE IX. (OBs. de Roc ? p. 88-96). Hémisphère cérébral gauche; face externe. FI, F2, F3, première, sec
DES planches. Planche XI. (OBs. de Itoc ? p. 88-96). Hémisphère cérébral droit ; face interne. Fi. première circonvoluti
S PLANCHES. Planche XII. (OBS.de Hug... p. 132-141). Hémisphère cérébral gauche; face externe. FI, F2, F3, première, sec
planches. Planche XIII. (OBS. de IIug ? p. 13'2-1H). Hémisphère cérébral gauche; face interne. F', première circonvoluti
S planches. Planche XIV. (Ons, de Hug ? p. 132-141). Hémisphère cérébral drot; face interne. FI, F2, F3, première, secon
45 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
compulsifs ne seraient que des phéno- mènes de rappel de scléroses cérébrales , ne se traduisant clini- quement. par aucun sym
on du masséter et du Leiiipoi-al. G. 1) l ? N Y. 111. Les lésions cérébrales dans les psychoses d'origi.- ne toxique : par )
st parce que nos techniques sont insuffisantes. Parmi les lésions cérébrales microscopiques accompagnées de troubles mentaux
a circulation et la nutrition, et, secondairement, sur les cellules cérébrales dont ils ont perturbé les moyens de réparation et
este de l'économie paraît intact. Parfois, au contraire, la cellule cérébrale peut rester intacte en apparence et une action
les cas de démence précoce. 1 ? . Tissot. \'I. Sur un cas de tumeur cérébrale à forme psychi- que ; asthénie générale sans pa
et Beutter. (Lyon médical, '20 mai 1900, p. 1008.) Cas de tumeur cérébrale chez une femme de 40 ans à hérédité nerveuse.
rvation concourt à l'étude de la forme psycho-mo- trice des tumeurs cérébrales . Les phénomènes psychiques, comme le font remar
ypérémie de la glande pitui- taire par exemple dans les congestions cérébrales , dans l'alcoo- lisme aigu, dans l'épilepsie où
patique, a laquelle viennent se join- drelesinsuflisances rénale et cérébrale . F. TISSOT. '1. - Formes atypiques de la paraly
c'estaetie qu'il faut attribuer l'ischémie productrice d'hémiplégie cérébrale et de la dégénérescence secondaire ; plus avant
tres inconnues,toutes causes déprimantes et créatrices d'épuisement cérébral . Et ces troubles somatiques peuvent engendrer u
corps calleux et du lobe limbique ; anomalies des circonvolutions cérébrales ; Par Cl. bonne Médecin adjoint à l'asile de
non festonnée, à peine visible à' l'oeil nu ; le pied du pédoncule cérébral droit ne représente guère en étendue que la moi
le plancher du 4, ventricule ; n d, noyau denté. Les hémisphères cérébraux (fig. 8 à 13) présentent, outre de multiples an
la face interne de l'hémisphère droit et l'asymétrie des pédoncules cérébraux , dont le pied est beaucoup plus déve- loppé à g
postérieure est normale. Les malformations des circo;avolaitio2s cérébrales sont si nombreuses et si complexes qu'il est ir
oit émerger de dessous l'hémisphère atrophié, entourer le pédoncule cérébral puis se perdre sur la face interne de celui-ci
t rapporté par les auteurs, du cerveau postérieur et des pédoncules cérébraux , dénota de plus l'atrophie (les noyaux et des r
ment celle (fig. 5) qui représente la face latérale droite du tronc cérébral et du cer- velet, montrent une grande analogie
ux moitiés du corps que les voies longues dépendant des hémisphères cérébraux . On comprend donc que les impressions reçues au
édilection des lésions de la péri- encéphalite pour les hémisphères cérébraux : ce serait donc l'intervention de ces derniers
. On sait, d'autre part, que les lésions éten- dues d'un hémisphère cérébral entraînent une atrophie croisée du cervelet, ma
port direct avec le noyau rouge. Le poids de chacun des hémisphères cérébraux ne peut d'ailleurs pas donner à ce sujet des in
llimètres. D'ailleurs l'asymétrie compensatrice des hémisphè- res cérébraux est impossible à évaluer, grâce aux mal- format
e de faire la part de l'alcool, du tabac, du sucre, et de la lésion cérébrale , car toules ces causes contribuent à l'affaibli
laires sont très dilatées par suite de l'atrophie de la substance cérébrale , les parois ventriculaires présentent des modi-
é ou dilatations isolées) paraissent tenir au retrait du parenchyme cérébral atrophié autour des gaines vasculaires. Le ce
périvasculaire.Onvoit quelquefois une sclérose miliaire de l'écorce cérébrale qui parait être en rapport avec des crises d'ép
tat vermoulu ; 6. de gros foyers de ramollissement et à'hémorrhagie cérébrale . 5° Les lésions diffuses ne paraissent, au cont
IONS en foyer dans la sénilité. Les ramollissements et hémorrhagies cérébrales , assez fré- quentes dans la sénilité, ne diffèr
te. III. Aperçu clinique. - A. NEUROLOGIE. - L'arté- rio-sclérose cérébrale . L'artério-sclérose est rare- ment purement cér
rio-sclérose cérébrale. L'artério-sclérose est rare- ment purement cérébrale , on en trouve ailleurs des si- gnes somatiques.
illeurs des si- gnes somatiques. Les signes de l'artério-sclérose cérébrale ne sont pas proportionnés à l'intensité des lés
'intensité des lésions vasculaires. Les signes de l'artériosclérose cérébrale présentent le ca- ractère intermittent ou parox
accidents fugitifs et les « ictus» lacunaires. L'artério-sclérose cérébrale peut prendre, au début, l'aspect de la neurasth
à celles de l'adulte et dues au ramollis- sement ou à l'hémorrhagie cérébrale , ne sont pas les plus fréquentes chez le vieill
minante l'état vermoulu ou surtout la sclérose miliaire de l'écorce cérébrale : dans les 5 cas jusqu'ici signalés de cette de
ir s'expliquer par l'atrophie et la dégénérescence des cellu- les cérébrales et des fibres nerveuses ils peuvent appa- raîtr
nerveuses ils peuvent appa- raître précocement, commme la sénilité cérébrale anato- mique, chez des intoxiqués chroniques, n
ou moins grand nom- bre de signes somatiques de l'artério sclérose cérébrale ou généralisée (cardiaque, aortique, rénale, pé
ents dans la sénilité.et s'agit d'organes qui sont des émanations cérébrales ,que la sclérose frappe au même titre que le cer-
rive au fond de la question, à l'é- tude des lésions de la sénilité cérébrale . La lésion des cellu- les cérébrales est indisc
tude des lésions de la sénilité cérébrale. La lésion des cellu- les cérébrales est indiscutable. Les éléments nerveux sont alt
, en regar- dant de nombreuses préparations provenant de maladies cérébrales très différentes, que l'on pouvait considérer la
llards et montré que parmi ces paraplégies certaines sont d'origine cérébrale , d'autres d'ori- gine médullaire, d'autres enfi
ne médullaire, d'autres enfin d'origine musculaire. Les paraplégies cérébrales sont bien dues aux lacunes de désintégration, m
culaires sans paraplégie, de même qu'il existe chez eux des lacunes cérébrales sans hémi ni paraplé- gie : ce n'est pas là un
l'attention sur un détail curieux de certaines formes de paralysie cérébrale chez les scléreux qui marchent à petits pas et
l'automatisme moteur, de la marche inconsciente, delà coordination cérébrale plu- tôt que de la marche volontaire et conscie
dont je parle des faits de paraplégie médullaireet d'hémiplé- gie cérébrale bilatérale. M. àlEIGE (de Paris). La distinctio
s après commandement, dans certains cas d'hémi ou de para- plégie cérébrale , est très utile à connaître, car elle permet d'
ions des faisceaux pyrami. daux dépendent manifestement des lacunes cérébrales , d'une lacune de la capsule interne, par exempl
même leur état mental a toujours pour cause un manque d'équilibre cérébral . Ce manque d'équilibre est la cause de la mobilit
s mentaux épileptiques, symptômes en foyer (dans les cas de tumeurs cérébrales ) et en l'absence de symptômes physiques de para
e de la cellule. - J. SL3GLAS. XI. Action du calcium sur l'écorce cérébrale ; par IloucoROrrr. lIn Rivista sperimentale di
as nettement démontré ; l'action dépressive du bromure sur l'écorce cérébrale a été bien mise en lumière par les recherches d
ble l'expérience, en provo- quant une congestion de toute la région cérébrale ..1. Séglas. XII. - Le mode de formation de.la c
logique des maladies nerveuses et mentales. J. Séglas. - Atrophie cérébrale expérimentale et atrophie cra- nienne concomita
premier travail publié en 1901, il avait établi qu'à l'hémiatrophie cérébrale s'associe toujours une hémiatrophie crânienne.
à formuler les conclusions suivantes : quand l'ablation de l'écorce cérébrale est limitée et superficielle, on n'observe aucu
et atteint la substance blanche, on a une atrophie de l'hémisphère cérébral correspondant, plus ou moins marqué selon l'int
us ces cas, le développement du crâne s'adapte toujours à la lésion cérébrale et il en résulte une hémiatrophie crânienne de
substance blanche sous-jacente ; il obtint ainsi une hé- miatrophie cérébrale et crânienne. Enfin, dans une troisième série,
voûte sur une plus grande étendue, en enlevant une portion d'écorce cérébrale de même étendue : le résultat fut une hémia- tr
orce cérébrale de même étendue : le résultat fut une hémia- trophie cérébrale associée à une hémiatrophie crânienne corres- p
ophie crânienne est due exclusive- ment à la lésion de l'hémisphère cérébral correspondant. En somme, tous ces faits expérim
ment, limite la puissance évolutive non seulement de l'hémis- phère cérébral correspondant à la localisation morbide, mais en-
cherches expérimentales sur la pathogéniede l'amyotrophie d'origine cérébrale ; par Caracciolo. (In Rivista sperimentale di 7'
que les théories palliogéniques émises sur l'amyotroplue d'origine cérébrale peuvent être classées de la façon suivante : 1.
e grise spinale (Dorglierini). IX. Présence de centres trophiques cérébraux dans l'écorce, au voisinage des centres moteurs (
rations trophiques qui inter- viennent dans les muscles par lésions cérébrales doiventleur ori- gine à la propagation des lési
t à ce dernier. Preuve, disent ces auteurs, les cas d'apo- plexie cérébrale compliqués immédiatement de contrac- ture,convu
ns et exagérations des réflexes tendineux. Dans ces cas l'apoplexie cérébrale est produite par une grande hémorrhagie,ou par
ces phénomènes produits par une réac- tion inflammatoire d'un foyer cérébral disparaissent dans peu de temps. Babinski (1)
au plus un trouble fonctionnel du faisceau pyramidal. (1) Tumeur cérébrale comprimant la loue rolandique gauche, hémiplégi
il fait mort A TEL, il se sou- vient d'avoir éprouvé une commotion cérébrale lorsqu'il donna du feu, le passant a dû lui env
syphiliti- que. Divel'sc5 coupes pratiquées dans les hémisphères cérébraux ,dans le centre ou l'isthme ne révèlent aucune l
intellectuelle générale. Il existait quelques signes de compression cérébrale : céphalée, vomissements, stase papillaire légè
e méd., n° de mai 1905.) On doit désigner sous ce nom les accidents cérébraux apoplec- liformes survenant plus ou moins tardi
t même du myosis double. La lésion anatomi- que est une hémorrhagie cérébrale due probablement à un throm- bus. L. WAHL. BI
65 ans, ménagère, qui depuis quelque temps avait des dérange- ments cérébraux , M. Dam ille, marchand de vins, fit pari de son
s d'un affaiblissement mental lié à la destruction des cel- lules cérébrales intellectuelles, guérissent, au dire de M. Arch
organisation du corps était identique, de même ici l'or- ganisation cérébrale doit offrir de profondes analogies. La conclusi
du moins la plus puissante d'u- ne pareille identité d'organisation cérébrale . Or, pour le professeur Bail, c'est seulement,
ellaire, sinon dans tous, une profonde analo- gie de l'organisation cérébrale , qui est, affirme-t-il, la seule origine pathol
au, dit M. Cullerre sur la pro- portion considérable des infirmités cérébrales incurables dans le nombre des admissions, dont
quelques verres de vin même, suffisent à ré- veiller les accidents cérébraux . J'ai même vu, au cours de l'an- née, un alcool
sur ce point. Peut-être existait-il chez D ? au niveau de l'écorce cérébrale gauche l'épine orga- nique qui, selon l'express
e, sui- vant une distribution radiculaire. E. C. L. Pseudo-tumeur cérébrale par empyème ventricu- laire ; par MOCQUIN. (Nou
ès ingénieuses sur l'histophysiologie du tissu nerveux, de l'écorce cérébrale en particulier, appuyées sur les hypothèses d'o
s renfle- ments successifs irrégulièrement espacés. Dans l'écorce cérébrale , la lésion atteint surtout les grandes cellules
urs desquelles on observe la symptomatologie générale des tumeurs cérébrales , stades intermédiaires également prolongés ; verl
tion de la plasticité cellulaire et en particulier de la plasticité cérébrale . G. DENI'. XXV. L'accommodateur dans la paral
présentait depuis quelques mois des signes évidents de dérangement cérébral . Il prétendait que safemme avait une « mine d'o
ativement l'état d'inanition,ce dernier s'accompagnant d'excitation cérébrale . Le travail mécanique est consi- dérablement au
ou dans les muscles. Dans les différentes paralysies, médullaires, cérébrales ou pé- riphériques, l'examen des paramètres des
ne autopsie complète, de planches représentant l'un des hémisphères cérébraux et enfin d'un examen histologiste dû à M. le Dr
: bons résultats. Tuberculose généralisée : mort. Autopsie : tumeur cérébrale ; - tuberculose généralisée. Cotl ? (Augustine-
on en H. La tumeur ne con- tracte aucune adhérence avec la pie-mère cérébrale qui tapisse le fond de la dépression ci-dessus
fond de la dépression ci-dessus décrite. A ce ni- veau la substance cérébrale présente une consistance plu- tôt molle. A la
Epaississement de la pie-mère au niveau du chiasma. Les pédoncules cérébraux , les scissures de Sylvius, les nerfs, les artèr
idérations à propos d'un cas d'hyppus ob- servé au cours d'un abcèi cérébral ; par NI. Ch. DouRRET. (Lyon médical, '21 juin 1
suite d'une otorrhée avec troubles du côté de la mastoide, un abcès cérébral . Il présenta avec des phénomènes cérébraux inqu
de la mastoide, un abcès cérébral. Il présenta avec des phénomènes cérébraux inquiétants, le phé- nomène d'hippus à gauche ;
'01UIll3d'UIl oeuf de pigeon, contenu à l'intérieur de la substance cérébrale et paraissant siéger au niveau de la partie moy
évi- dent, avec prédominance encore du cù(3 gaucho. Les symptômes cérébraux reparurent, une ponction lombaire donna issue à u
culaire ni méningite. On sectionne sans dif- ficulté les pédoncules cérébraux . Au momcntoù on veut séparer le cervelet du bul
une homme de 16 ans, signes de réaction mastoïdienne avec symptômes cérébraux de- puis huit jours. A l'entrée. Leptoméningi
arge de l'apophyse, carie du toit de l'antre, ouverture de la fosse cérébrale moyenne, incision cru- rale de la dure-mère, po
enne, incision cru- rale de la dure-mère, ponctions de la substance cérébrale : li- quide céphalo-rachidien louche s'écoulant
uls. Reprise des phéno- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 4C7 mènes cérébraux douze jours après l'intervention. Deuxième ponc
dicale du foyer infectieux auriculaire. - 2" Ouverture de la fosse cérébrale ou cérébelleuse et mise à nu de la dure-mère crân
470 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. \lut. - Quelques manifestations cérébrales du rhuma- tisme chronique ; par M. LÉPIivE. (Ly
M. LÉPIivE. (Lyon médical, 7 octobre 1906, no 40.) La pathologie cérébrale comme la pathologie médullaire ou périphérique,
, idées délirantes mélancoliques et obsessions chez les prédisposés cérébraux . Elle explique l'importance des phénomènes dus
48 Recherches expérimentales sur la pathogénie de 1' d'origine cérébrale , par Caracciolo, p. 1 o. Anesthésies. Des psy
philis héréditaire probable, par Cres- pin, p. 191. 1. Atrophie cérébrale expérimen- tale et crânienne concomi- .lncume
Bunzen. Voir J\{01H11lSCl1. Calcium. Action du -- sur l'é- corce cérébrale , par Rouco- roni, p. 140. Causes morbides. Vo
e puerpérale, par de Bruine Plocs Van lmstel, p. 221. I. Ecorce cérébrale . Voir Cal- CiUH1. Empyème. Voir 7-fMO-7'tt))M
u corps calleux et du lobe hmbique, anomalies des circonvolutions cérébrales , par Bonne, p. 65. Hémianopsie, Deux cas d' -
opie de la moelle épi- mère, par Guido-Garbini, p. 147. Lésions cérébrales . oit Psy- choses. Lobe OCCIPIT.\L. Voir Glio-
SIE générale progressive, par Ingegiiieros, p. 24 Pseudo-tumeur cérébrale par empyème ventriculaire, par loc4ulli, p. 3
iva, p. 386. H. 1111 \1\ 1"[<\1[', Quelques manife;- talions cérébrales du chro - nique par Lépine. p. 470. 5U1 Il
es asiles d'aliénés, par A. Marie et Rolet, p. 287, 362. Tumeur cérébrale . Sur un cas de à forme psychique, asthé- nie
46 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
te-Anne) le 11 avril 1885. Son père est mort à la suite d'accidents cérébraux . Elle a fait, dans son enfance, une chute grave s
. Supposons une des- truction définitive et matérielle des cellules cérébrales qui ont emmagasiné les modifications inconnues
oint de départ dans les perturbations produites dans la circulation cérébrale par cette série d'attaques. 60 RECUEIL DE FAI
ces deux indi- vidus ont un substratum originel et un développement cérébral semblables, ce sont deux organes psychiques ide
, brillamment doué. Influenza en décembre 1888, sans autre symptôme cérébral qu'une vive céphalalgie. L'influenza ne dure qu
mains. La dyslexie a pour subs- tratum anatomique de graves lésions cérébrales (oblitération des vaisseaux), la claudication p
que son élément moteur. P. K. XII. DES TROUBLES visuels par TUMEUR cérébrale ; par F. HIRSCxBERG. (Neurol. Centralbl., 1891.)
lusieurs heures. 2° Troubles permanents par lésions de la substance cérébrale . a. hémianopsie homonyme bilaté- rale; destruct
t le suivant : De la vision chez les idiots.- Observation de tumeur cérébrale . M. CHRISTIAN communique à à la Société l'obser
tre explication : On constata à l'autopsie la présence d'une tumeur cérébrale du poids de 20 grammes, pédiculée sur la base d
SOCIÉTÉS SAVANTES. 85 - M. JOFFAOY. La majorité des cas de tumeur cérébrale venus à ma connaissance se sont terminés par la
tés par l'hypochondrie, redoutent perpétuellement le ramollissement cérébral , ne sauraient être internés dans un asile d'ali
eut considérer comme un symptôme de dé- ficit émané d'un territoire cérébral irrigué par l'artère choroi- dienne. Les troubl
et leur décours dans le temps; - 9° Le diagnostic local des lésions cérébrales est, en temps que science des faits, tout à fait
nitale. Mais, dit-il, quand c'est le terrain mental, l'organisation cérébrale du sujet qui produit ces tendances vicieuses ou
é morbide et certaines conditions de vie dans les villes (surmenage cérébral , manque de travail manuel au grand air, etc.).
vations que c'est aux anévrysmes miliaires qu'est due l'hémorrhagie cérébrale . L'in- fluence trophique des lésions du cerveau
ysie diabétique, l'hystérie mâle, le syndrome de Weber, la syphilis cérébrale , les formes frustes de la sclérose en plaques. Ce
t-on, depuis longtemps, des mar- ques non équivoques de dérangement cérébral , et elle avait à plu- sieurs reprises déjà mani
; et si, avant la majorité, pour n'importe quelle raison, infirmité cérébrale , congénitale ou acquise, épilep- tique, folie à
C'est par le concours de ses travaux anatomiques que la physiologie cérébrale prit un essor nouveau. C'est par son esprit gén
un mot. Plus tard à la suite de mani- festations graves de syphilis cérébrale , ces syndromes se sont nota- blement amendés.
son où il y avait un mort. Une soeur est morte à cinq ans de fièvre cérébrale . P..., affectée à l'âge de cinq ans d'une fièvr
ers centi- mètres cubes. Autopsie. Congestion rénale, pulmonaire, cérébrale intense. Epanchement de liquide dans le péritoi
transitoire tire sa pathogénie de troubles vaso-moteurs de l'écorce cérébrale ; et justement les troubles vaso-moteurs du . ce
ransitoire est due au même ordre de troubles dynamiques de l'écorce cérébrale , dont l'hystérie tire sa pathogénie'. Nous ne s
lite intersti- tielle diffuse, siégeant de préférence dans l'écorce cérébrale . Or, les localisations différentes de cette lés
de l'amblyopie transitoire siège dans les centres visuels du cortex cérébral , non pas le long des. voies qui rattachent ces
longtemps qu'est clos le débat sur la légitimité des localisations cérébrales pour qu'une observa- tion bien nette, bien préc
mètres de longueur. Observation. Cardiopathie rhumatismale. Embolie cérébrale . Aphasie motrice pure et isolée. Foyer très cir
de perte de connais- sance. Mémoire très affaiblie. Affaiblissement cérébral et général très accentué. Insomnie; il ne dorma
e le lobule de l'Insula. La pie-mère est adhé- rente à la substance cérébrale ramollie qui se laisse arracher avec elle. (Voy
n'ayant amené pendant la vie d'autre symptôme qu'un affaiblissement cérébral vague. A gauche, une lésion d'étendue minime, s
ictus, c'est-à-dire tout processus brusque aboutissant à une lésion cérébrale , si circonscrite qu'elle soit, détermine la sus-
s récent, de l'hémisphère droit. THÉRAPEUTIQUE. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES ET LEURS RELATIONS AVEC LA THÉRAPEUTIQUE Comm
et dont l'importance aura été jugée suffisante. DES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 239 ' Tout récemment, les conditions du concou
lus hauts intérêts de l'agriculture; qu'en ce qui DES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 241 concerne leur puissance, on ne saurait enc
ladies et des moyens de les prévenir. La localisation des fonctions cérébrales marque une nouvelle étape dans le cours des pro
vue de la lumière qu'elle a jetée sur le diagnostic des maladies cérébrales et les moyens de les traiter dans le présent et d
s constater combien peu satisfaisant était l'état de la physiologie cérébrale , si éloquemment exposée pour- tant, par notre v
rtant et très estimé mémoire sur la Topographie des circonvolutions cérébrales . Il met- tait en évidence l'ordre, la forme et
ughlings Jackson, dont les vues sur la pathologie et la physiologie cérébrales étaient fort en avance sur son temps, et différ
fondement à mes propres recherches. C'est à Hugh- DES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 243 lings Jackson que je suis redevable de la
t que j'ai prise dans l'établissement du principe des localisations cérébrales . Je n'abuserai pas de votre patience en vous fa
les prin- cipes qu'elles avancent. Nous avons enseigné que l'écorce cérébrale n'est pas dans toutes ses parties fonctionnelle
s phénomènes similaires, d'obser- vation courante dans les maladies cérébrales , ouvrent la porte à de très intéressants problè
ité et d'irritation particulières de la substance grise de l'écorce cérébrale . Chez beaucoup d'animaux, et chez certains, bea
de vue de l'hérédité épileptique chez l'homme. DES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . ' 247 Dans les méthodes expérimentales qui se
ettra de se guider à travers l'inextricable labyrinthe des maladies cérébrales , au milieu duquel l'observation clinique, aban-
c peu ou point de risques pour la vie, et sans crainte de la hernie cérébrale de mauvaise augure, ou de l'universelle méningite
oper, regardait la trépanation comme une des plus DES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 249 dangereuses opérations de la chirurgie. C'
ns chirurgicales qui découlaient de la doctrine des locali- sations cérébrales , M. Gosselin a exprimé cette opinion absolue, q
is été amplement démontrée par les états de service de la chirurgie cérébrale durant les dix dernières années. Je puis citer
ne saurait trouver un plus bel argument en faveur de la chi- rurgie cérébrale . Si l'on s'en était tenu aux traces de traumatism
une infirmité incurable. La nécessité et la valeur de la chirurgie cérébrale prophylactique ont été aussi bien mises en évid
e on pouvait se convaincre qu'immédiatement après DES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 251 l'accident, une quinzaine environ, s'étaie
au cerveau lui-même. Nos nouvelle ? connaissances en physiologie cérébrale ont ouvert une voie nouvelle à la chirurgie du
r le cerveau, guidé qu'il était par les principes des localisations cérébrales . Sur vingt-deux cas, il en a opéré dix-huit ave
lepsie traumatique provenant d'une lésion existante de la substance cérébrale , le tissu cicatriciel épileptogène a été excisé
ue, M. Harsley, qui s'est distingué à un si haut point en chirurgie cérébrale . C'était là, je crois sa première opération et le
laté au cours de cette séance à Edimbourg même. DES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . 253 3 Il s'agit d'un jeune garçon d'Edimbourg
s convulsions épileptiformes ne sont pas seule- ment les affections cérébrales importantes avec lesquels nous ayons à lutter.
elles entraînent a été donnée par la connaissance des localisations cérébrales . A part ceux qui relèvent du traumatisme, les a
ions cérébrales. A part ceux qui relèvent du traumatisme, les abcès cérébraux sont surtout en connexion avec les maladies aig
cation diagnostique bien déterminée. Quoique la mortalité par abcès cérébraux soit toujours très grande, nous pouvons citer b
se trouvèrent impuissants à soulager. Je veux parler des tumeurs cérébrales . ' m Malheureusement, une forte proportion de t
cérébrales. ' m Malheureusement, une forte proportion de tumeurs cérébrales , peut-être 40 p. 100 et plus, sont de par leur
de aux étreintes de la mort. Le premier cas d'opération pour tumeur cérébrale fut diagnos- tiqué par Hughues Bennett et opéré
es départements de la médecine, S6 THÉRAPEUTIQUE. DES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES . c'est le seul qui puisse retirer un profit spé
ion dans l'étude des aspects objectifs et subjectifs de la fonction cérébrale à l'état de santé, il n'est point surprenant qu
nt été le moins bien appliquées. Cependant, la nouvelle physiologie cérébrale n'a pas été sans effet sur la médecine psychia-
application pratique plus étendue des doctrines de la localisation cérébrale . Mais les remarquables succès de la chirurgie e
efforts vers ces problèmes de la thérapeutique et de la pathologie cérébrale qui sont encore insolubles. Je suis profondémen
et des olives ; 2° une notable multi- plication des circonvolutions cérébrales ; il était impossible de découvrir les circonvol
ppement augmente le volume du contenu, grossit la surface; la masse cérébrale augmente, les circonvolutions s'épaississent et s
tomie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. 261 jusque dans le pédoncule cérébral . Ainsi donc : lésions des nerfs crâniens périph
Ses fibres se composent d'une partie des fibres anté- rieures (côté cérébral ) du noyau rouge de la calotte, se dirigent en b
sième ventricule, puis, tout le long du plan inférieur du pédoncule cérébral , s'insinuent entre ce pédoncule et la bandelett
aux lenticulaires. P. KERAVAL. XIV. DE l'innervation ET DES centres cérébraux DE la sécrétion lacrymale; par W. 13ECHTEREN et
ids encéphalique avec celui d'un autre animal, en tant que ce poids cérébral dépend des fonctions physiques; p est le facteu
s. Mort. - Autopsie. Epaississement de la pie-mère et des vaisseaux cérébraux ; épendymite. Atrophie des cornes antérieures de
us les règnes et dont une des propriétés est d'altére les fonctions cérébrales , l'auteur s'est efforcé de faire une sorte de s
s excitantes pour son système nerveux. Chaque peuple a son poison cérébral . Cet empoisonnement volontaire s'étend de quelque
mixtes et les états vésaniques (toujours symptomatiques d'une tare cérébrale .) Les autres phénomènes pathologiques contempor
sutures avec les différentes régions du crâne (étude de l'atrophie cérébrale des paralytiques généraux) l'auteur photographi
et les divers accidents normaux et anormaux du crâne sur l'image cérébrale sous-jacente. Vous obtenez ainsi la projection ex
ans le corps strié droit. Dégénérescence descendante du pédon- cule cérébral , occupant le tiers interne de ce dernier, on la s
noyaux se sont multipliés. Conclusion. Amyotrophie et arthropathie cérébrales par foyer de ramollis- sement dans l'hémisphère
et partant de la dure-mère, qui n'était pas proprement un'néoplasme cérébral . Cette opération fut faite par le DrKeen, le 15
ujet, les résultats des opéra- tions pour l'extirpation des tumeurs cérébrales , ne peuvent pas passer pour bien brillants. 1
es, et rarement couronnés de succès. Dans la collection des tumeurs cérébrales de Starr, s'élevant au nombre de trois cents, d
phie de la moitié gauche du crâne. P. K. XVIII. SUR UNE affection cérébrale PRODUITE FAR la syphilis CONGÉ- NITALE ; par A.
observations). Elle ressemble à la paralysie infantile d'ori- gine cérébrale , moins la paralysie et la contracture qui font to
urait là qu'une question de degré, ou plutôt d'étendue de la lésion cérébrale . Dans les deux espèces morbides, il y a inflamm
se connue. On a, il est vrai, aussi attribué la paralysie infantile cérébrale à un germe infectieux, parce que, parfois, elle
ale, foie muscade; gastro-entérite catarrliale chronique, hypérémie cérébrale , syno- vite panneuse de l'articulation de l'épa
parativement. La pre- mière se rattache cliniquement à une syphilis cérébrale certaine, mais à l'autopsie on ne trouve pas de
oglie qui remonte jus- qu'à l'encéphale. Le second fait de syphilis cérébrale certaine a été confirmé par l'autopsie; pachymé
plète de sclérose des faisceaux blancs. Au point de vue des lésions cérébrales , les vaisseaux sont peu enflammés, les gaines v
e rapporter est-il un cas de paralysie générale type ou de syphilis cérébrale ? M. JOFF&oY. La syphilis n'est pas en caus
de mort rapide. A mon avis, les enfants atteints d'un développement cérébral aussi faible, accompagné comme dans mon troisiè
Cette morta- lité, qui est tout à fait anormale dans les opérations cérébrales ordinaires, nous conduit naturellement à dire a
formulée et tendant à iden- tifier cette maladie avec l'hémiplégie cérébrale infantile. L'histoire de la sclérose latérale a
te à discuter en première ligne l'hypothèse d'une : a. - Syphilis cérébrale : 1° Ses phénomènes les plus carac- téristiques
nocturne, intense, profonde, qui est caractéristique de la syphilis cérébrale . La céphalée ici est très superficielle; on la
nfin l'évolution de la maladie est bien différente dans la syphilis cérébrale . Ici, les phénomènes ont été plus graves dans l
représentés. C'est le contraire que l'on observe dans la syphilis cérébrale . Si l'on ajoute à cela l'absence de tout signe de
emarquer que le siège de prédilection de la tuberculose de l'écorce cérébrale , c'est le lobule paracentral, à savoir les cent
tation épileptogène, laquelle en se répandant à travers de l'écorce cérébrale donnerait lieu à des phénomènes diffus (perte d
e d'épilepsie partielle motrice simulant l'évolution de la syphilis cérébrale . Fiq... âgé de trente-cinq ans, graveur sur cui
ous offre un tableau extrêmement ressemblant à celui de la syphilis cérébrale : céphalée atroce s'exacerbant la nuit, persist
a été si bien décrit par M. Fournier dans son livre sur la syphilis cérébrale ; et en effet, les médecins de l'hôpital Tenon e
ine, nerf optique, tractus), les autres, l'attribuaient aux centres cérébraux de la vision. C'est ainsi, que Parry et Fotherg
vais- seaux et une anémie momentanée et limitée de la substance - cérébrale , qui peut être suivie dans certains cas d'une pér
vertige, c'est-à-dire en général les mêmes signes que pour l'anémie cérébrale , et ils s'effacent aussi vite que les troubles
tères et phénomènes associés de la migraine ophtal- mique, le siège cérébral de l'affection, il restait encore à préci- ser
nous autoriser à admettre d'autre locali- sation que dans l'écorce cérébrale . Quant aux formes plus rares de l'hémiopie tran
physiopathologie semble se rapprocher du trouble de circula- lion cérébrale que nous avons admis pour expliquer l'amblyopie
; 2° Le fait, que même dans le début d'un évanouissement (anémie cérébrale ) apparaissent des phénomènes assez sembla- bles
lier), l'obscurcissement de la vue a évidemment pour cause l'anémie cérébrale . Cet obscurcissement peut être encore le symptô
e la sensibilité ou de la motilité, des altérations des fonctions cérébrales , notamment de la parole et des activités psychi-
à des troubles passagers dans lesquels les trou- bles vaso-moteurs cérébraux jouent un grand rôle. Les condi- tions physiopa
la digestion) et dans plusieurs de ces cas le trouble vaso-moteur cérébral peut être envisagé comme un phénomène réflexe.
el qui cause l'amblyopie transitoire siège sans doute dans l'écorce cérébrale . L'anesthésie ou l'irri- tation de ces centres
a localisation de l'affection dans la substance grise de l'écorce cérébrale . Le plus souvent, le centre cortical de la visi
bution à l'étude des troubles fonctionnels de la vision par lésions cérébrales . (Th. de Paris, 1882.) 27. Charcot. - Leçons su
pports croisés et directs des nerfs op- tique savec les hémisphères cérébraux . (Société de biologie, séance du Il mars 1882.)
aphasie faisaient donc éléminer d'emblée l'idée de ramol- lissement cérébral droit chez un gaucher du cerveau (hémi- plégie
conservation et même le développement anormal de certaines facultés cérébrales sont alors propres à dérouter l'observateur, la
héréditaires, de stigmates physiques de dégénéres- cence et d'actes cérébraux anormaux, nous devrons aller plus loin et décla
s'améliorent, parfois très rapidement, et manifestent un équilibre cérébral qui fait illusion, et même ne permet pas légale
raphique et de l'asepsie. Enfin, il convient de créer une chirurgie cérébrale phy- siologique propre à l'homme ( ? ). Le mémo
asmodique, croit que dans les cas de ce genre, il s'agit de lésions cérébrales organiques congénitales ou se produisant dès la
nce DE M. JOLLY. M. HIRSCEIBERG. 'Des troubles de la vue par tumeur cérébrale avec présentation de malades. (Publié dans le N
ircilblatt '.) M. BRASCII. Des lésions artérielles dans la syphilis cérébrale avec présentation de malades et préparation. (P
agère ou pas du tout. Dans la céphalée d'oiigine organique (lésions cérébrales ), elle exerce une atténuation parfois remarquab
s. 2° Psychologie physiologique. - La recherche des localisations cérébrales a été l'objet de communications très importantes
aller a lu un grand travail sur les fonctions attribuées à l'écorce cérébrale : il insiste surtout sur le mélange et la dépen
la filosofia'dei lobri pre-fronlali del cer- vello e alla chirurgia cérébrale . Volume in-8° de 118 pages, avec 2 planches hor
nger, Lewald,75, Lallemant, 325. DYSLEXIE, par Pick, 80. Écorce cérébrale , excision de Il-, par Burckhardt, 488. ELECTR
. LECTURE, troubles de la -, par Weissenberg, 76. Localisations cérébrales , par Fer- rier, 238. Magnétisme, 365. Médec
Deventer, 485. Syphilis, et tabes, par Minar, 128 ; affections cérébrales produites par la congénitale, par Erlen- meye
et, 55; - pour microcéphalie, par liages Agnew, 351 ; pour tumeur cérébrale , par liages Agnew, 272. Tumeur cérébrale, tro
new, 351 ; pour tumeur cérébrale, par liages Agnew, 272. Tumeur cérébrale , troubles vi- suels par -, par Hichsberg, 83,
47 (1904) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1903
nt conformés à nos conseils, il n'est survenu jusqu'ici d'accidents cérébraux . Traitement de l'épilepsie. L\'rI formes du m
quelques excès de boisson : - Oncle maternel, mort d'hé- morrhagie cérébrale . - Petite cousine, faible d'esprit. Gémellarité
et n'ont pas d'en- fants ; l'autre est mort à 47 ans, d'hémorrhagie cérébrale avec hémiplégie, quelques jours après l'attaque
que plus prononcée à gauche. - Nodosités crétacées de la pie-mère cérébrale et cérébelleuse. Sclérose atrophique Antécédent
ose atrophique Antécédents héréditaires. 199 de tout l'hémisphère cérébral gauche. - Atrophie croisée du cerveau et du cer
e. Il en est de même du tubercule mamillaire gauche. Le pédoncule cérébral gauche est plus petit et moins bombé que le dro
it est normal), et de ses cornes, la face interne de l'hémisphère cérébral gauche est affaissée. (PL. III.) La moitié gauche
pie-mère droite. Indurations crétacées d'un fragment de la pie-mère cérébrale et cérébelleuse à droite. Lpaississement notabl
ent notable du crâne à gauche. Inégalité de poids des hémisphères cérébraux de 200 gr.. Pas de granulations tuberculeuses.
céphale présente une très-grande inégalité de poids des hémisphères cérébraux , le gauche pesant 200 gr. de moins que le droit
de la bande- lette optique, du tubercule mamillaire, du pédoncule cérébral , du corps strié, de la couche optique et de la
hère gauche, croisée, par conséquent, par rapport à l'iné- galité cérébrale . VI. Il s'agissait, en somme, d'une épilepsie p
ce, avoir été liée aux lésions de méningite plutôt qu'à la sclérose cérébrale . - La sclérose atrophique avait déterminé une i
avait déterminé une inégalité de poids considérable des hémisphères cérébraux . Et cette inégalité avait entraîné à son tour,
sissement considérable de la calotte crânienne du côté de la lésion cérébrale , sans qu'il y ait eu, d'ailleurs, augmentation
n peut vérifier en comparant la face iuterne des deux hémisphères cérébraux . (PL. VII et IX.) Avec l'inégalité de poids des
es-rendus de la section des enfants, que dans les cas d'inégalité cérébrale cette coïncidence est un peu plus fréquen- te q
est dû il une méningo-encéplwlitc limitée à l'un des hémisphères cérébraux ou prédomine à un degré prononcé sur l'un des h
eg V. Sur les modifications craniennes consécutives aux atrophies cérébrales unilatérales. (Hémiplégie infantile). Pau G.
olume Bourneville, Bicêtre, 1903. 15 226 Anatomie pathologique. cérébral '. Le crâne par cette anomalie continue à remplir
l'idiotie, compte rendu de Bicêtre pour 1901, page 193. Atrophies cérébrales unilatérales.. 227 pas une hypothèse, et le fai
re, n'est donc que secondaire et nullement la cause de l'atro- phie cérébrale . Ce qui est vrai pour les cas de microcéphalie
notre mémoire Le Crâne dans les Idioties, sur/le défaut d'expansion cérébrale en vertu duquel les déformations sont peu accen
diminution des diamètres) : le retard de développement. Atrophies cérébrales unilatérales. 229 Nous pensons que ces explicat
ications fort appréciables. Mais sur ce dernier encore, l'influence cérébrale s'exerce inégalement : alors que la base cranie
e certaines parties osseuses du côté malade (diminution de la fosse cérébrale moyenne par exemple), l'asymétrie de la base cr
récise de l'affaissement en masse de la base (effet direct du poids cérébral ) et de ses différences. Pour les mettre en évid
aire). Voici les valeurs de l'angle orbito-horizontal : Atrophies cérébrales unilatérales. 23t peu accentuée d'autre part ce
escriptions relatives aux nécropsies s'accompagnant d'hémiatrophies cérébrales . Sa genèse est simple : lorsque les deux hémisp
on de l'apophyse à l'inégalité de volume des hémisphères. Atrophies cérébrales unilatérales. 233 crânes normaux à différents â
fermant l'hémisphère malade. En voici quelques autres : l'expansion cérébrale s'étant faite dans tous les sens au niveau de l
il est parfaitement appréciable à la vue. En arrière la pression cérébrale a produit un véritable renversement du bord sup
de l'expansion du cerveau. Voici les angles obtenus : ' Atrophies cérébrales unilatérales. 23o cérébelleux atrophié : les ra
s rares, l'atrophie cérébelleuse existe du même côté que l'atrophie cérébrale . Enfin, souvent, tandis que les hémisphères cér
ue l'atrophie cérébrale. Enfin, souvent, tandis que les hémisphères cérébraux sont inégaux, les hémisphères cérébelleux sont
au moins, ce qui ressort du tableau sur l'Inégalité des hémisphères cérébraux et cérébelleux, comprenant 90 cas que nous avon
oupe de crâne de Vey... (hauteur réelle 14 ; largeur 13). Atrophies cérébrales unilatérales. 237 cela n'a rien d'étonnant. Mai
'atrophie des lobes frontaux a laissé un large Fit. 62. Atrophies cérébrales unilatérales. 239 espace rétro-frontal où des
la Société d'An- thropologie janvier 1902). Fig. 64. Atrophies cérébrales unilatérales. 241 Ces faits méritent donc d'att
s, une synostose plus avancée en raison de l'arrêt de développement cérébral qui ' ne s'oppose pas à leur envahissement par
elques crânes notamment, il est curieux de voir au fond de la fosse cérébrale moyenne d'un côté une suture sphéno-temporale d
t Bulletin de la Société d'Anthropologie. 1900 et 1901. Atrophies cérébrales unilatérales. 247 des lésions cérébrales et il.
1900 et 1901. Atrophies cérébrales unilatérales. 247 des lésions cérébrales et il. la diversité des troubles patholo- gique
e suffisait à maintenir la pression intracranienne. Les ventricules cérébraux (voir les PLANCUES qui les représentent dans le
; état de mal; mort; atrophie très considérable de l'hémis- phère cérébral droit; absence du corps calleux; . Par BOURNEVI
ntal et du pariétal droits. - Atrophie considérable de l'hémisphère cérébral droit; - des nerfs et des artères de la base de
pais, très épais même dans sa moitié droite, correspondant au foyer cérébral (le frontal droit mesure 9 millimètres, le pariét
lus petite que la gauche; il en est de même' de la sylvienne, de la cérébrale Fig. 67. - Crâne de Ham... réduit de 16 cent. 5
260 Sclérose ATROPHIQUE DE l'hémisphère DROIT. antérieure, de la cérébrale postérieure. Les faces internes des lobes front
ntérieure droite est tout à fait effacée. La coupe des pédoncules cérébraux montre que le droit est d'au moins un quart plu
sions : Sclérose 1TROPHIQUE DE l'hémisphère droit. 261 Hémisphère cérébral gauche. - Il a un volume normal (588 gr.). Tout
, et per- met de constater l'absence du corps calleux. Hémisphère cérébral DROIT.- Les PL. VI, VII, IX, X, XI, XIII, font
133 grammes, est inférieur de 425 grammes il celui de l'hémisphère cérébral gauche. Les dimensions comparatives des deux hé
particula- ' Bourneville, Contribution à l'élude des localisalio71s cérébrales ; ob- servation d'hémiplégie cérébrale infantil
l'élude des localisalio71s cérébrales ; ob- servation d'hémiplégie cérébrale infantile (Mém. de la Soc. de Biologie, 1876, p
ui se rencontrent fréquemment, mais non toujours, dans l'hémiplégie cérébrale infantile. c. L'épilepsie a débuté à deux ans e
t due à une méningo- en- céphalite limitée à l'un des hémisphères cérébraux ou prédominant sur l'un d'eux. ) Les facultés
oins longue et notablement plus étroite que la gauche, l'hémisphère cérébral droit - extrêmement atro- plaié - ne l'ayant pa
mple de scléi-ose alîophiqzteintéressaiitl,resque tout l'hémisphère cérébral droit, avec atrophie croisée du cervelet et com
ues (Filles et garçons). XIII. Inégalité de poids des hémisphères cérébraux et cérébelleux; Par BOURNEVILLE. Le tableau q
avons trouvé, à l'autopsie, une inégalité de poids des hémisphères cérébraux ou cérébelleux ou des deux, croisée ou non. X
; corps calleux normal ainsi que les plexus choroïdes. Hémisphère cérébral droit. La pie-mère, un peu mince, s'enlève sans
rié, la corne d'Ammon n'offrent rien de particu- lier. Hémisphère cérébral gauche. - Décortication facile. Circonvolutions
de L'avant-bras droit et du radius gauche. Atrophie de l'hémisphère cérébral droit et de l'hémisphère cérébelleux gauche. Hy
c'est la différence de volume et d'aspect des deux hémisphè- res cérébraux et cérébelleux. Tandis que l'hémisphère céré- b
reste de l'hémisphère. Au niv)U de ce pli de passage la substance cérébrale est très mince, le ventricule étant fort dilaté à
Une dépression assez profonde due à l'amincicement de la substance cérébrale à cepointtandis qu'elle reste plus épaisse sur
le m.imillaire droit est moins saillant que le gauche. Le pécdonule cérébral gauche est plus large et plus bombé POIDS DES o
. Poids des organes. 322 Réflexions. Hypothèses SUR LES LÉSIONS cérébrales . 323 IV. L'hémiparésie gauche permettait de fai
fluence de l'accouchement anormal sur le développement des troubles cérébraux de l'enfant. Thèse de Paris. FwRS (A.). - Du
es, etc., p. CLXXXIV). Planche II. Face convexe de l'hémisphère cérébral de Veyr..., ( p. 228 et 244). Planche III.
.., ( p. 228 et 244). Planche III. Face interne de l'hémisphère cérébral droit de Veyr..., (p. 228 et 243). PLANCHEIV.
e Perr ? (p. 246 et 271. Planche VI. Face convexe de l'hémisphère cérébral gauche de Tard... (Obs., p. 198 et 2111), r,
ion des planches. 33 i, Planche VII. Face interne de l'hémisphère cérébral gauche de Tard. (p. 198 et 214). I'a, premièr
L O, lobe occipital. Planche VIII. Face convexe de l'hémisphère cérébral droit de Tard. (Même signification des lettres
res que pour la PL. VI). Planche IX. Face interne de l'hémisphère cérébral droit de Tard.. (Même signification des lettres
(Voir p. 248, 259, etc.). - Elle montre l'atrophie de l'hémisphère cérébral droit et de l'hémisphère cérébelleux gauche.
e planche montre très nettement le degré d'atrophie de l'hémisphère cérébral droit. BOURNEVILLE, Bicêtre, 1903. 22 338 Exp
1903. 22 338 Explication DES planches. Planche XII. Hémisphère cérébral gauche : face interne. F, frontale interne, ave
e XIII. Elle représente également la face interne de l'hémisphère cérébral gauche. La cloison et le trigone Tg, ont été re
ariétal inférieur. - LO, lobe occipital. Planche XV. Hémisphère cérébral droit : face convexe. - L'hémisphère est renver
ès réduit. - CS, corps strié. - CO, couche optique. - PC, pédoncule cérébral . Planche XVII. Hémisphère droit : face inféri
V. Sur les modifications crâniennes con- sécutives aux atrophies cérébrales uni- latérales, hémiplégie infantile; par '''
epsie; état de mal, mort, atrophie considéra- ble de l'hémisphère cérébral droit; absence du corps calleux; par BOURNE-
................... 294 XIII. Inégalité de poids des hémisphères- cérébraux et cérébelleux; par BOURNE- ville 299 XIV. Ép
XV. Hydrocéphalie congénitale avec atrophie croisée de l'hémisphère cérébral droit et l'hémisphère cérébelleux gauche ; par
48 (1893) Anatomie du cerveau de l'homme : morphologie des hémisphères cérébraux, ou cerveau proprement dit. Atlas
ATOMIE DU C E RVE'AU DE L'HOMME MORPHOLOGIE DES HÉMISPHÈRES CÉRÉBRAUX , OU CERVEAU PROPREMENT DIT TEXTE ET FIGURES P
iptive, on peut aborder l'étude des régions. L'anatomie des régions cérébrales est, par-dessus tout, nécessaire aux médecins qui
s applications immédiates. En réalité, il n'existe que deux régions cérébrales naturelles : Yécorce et le seuil; jusqu'à Yicq d'
utes les découvertes qu'on a faites dans le domaine des localisations cérébrales profondes ont été subordonnées à la détermination
ut tirer tout le parti possible d'une autopsie, dans un cas de lésion cérébrale , il faut ne rien omettre, pour le cerveau lui-mêm
rant, une technique assez simple pour ce qui concerne les hémisphères cérébraux . La patience surtout garantit le succès. Lorsqu
le façon que l'espace interpédonculaire se déchire, et que le trigone cérébral se fend par le milieu. Ces accidents sont peu à r
de l'autre en tirant légèrement à droite et à gauche sur les artères cérébrales antérieures et en les coupant avec des ciseaux.
urs de durcissement. On ne peut se figurer la susceptibilité du tissu cérébral sous ce rapport. Si l'on s'astreint aux précautio
de procéder aux sections méthodiques, on s'expose à voir la substance cérébrale s'émietter sous le couteau en petits blocs ou en
st telle, surtout chez les sujets qui ont succombé à une grave lésion cérébrale , que la plupart des autopsies, pour ce qui ne con
Lorsqu'on fait une coupe bien régulière, bien plane, d'un hémisphère cérébral préalablement durci dans le bichromate d'ammoniaq
variations de la couleur sur les surfaces de section de l'hémisphère cérébral , en déterminant la répartition des zones jclaires
comprendra, d'autre part, que la déter-mination du trajet des fibres cérébrales exige l'emploi alternatif des coupes en série hor
ne prétendons pas qu'il réponde à toutes les exigences de l'anatomie cérébrale ; il présente deux inconvénients principaux que no
nombreux élèves, comblent en partie cette grande lacune de l'anatomie cérébrale de l'homme. Mais il est fâcheux qu'elles soient é
avons borné notre tâche à l'étude et à la description de l'hémisphère cérébral , c'est-à-dire du cerveau proprement dit. VII
uf premières planches de notre atlas représentent les circonvolutions cérébrales . Elles sont destinées à faire voir les principale
lobe carré, 22, 29. PO. Pôle occipital, 16. PP. Pied du pédoncule cérébral . pro. Sillon prœ-ovalaire, 21. PRU. Sillon pr
ion, 27, 29. TM. Tubercule mamillaire, corpus candicans. TRI. Trigone cérébral , voûte à trois piliers fornix, 17. Une. Crochet,
ou pentagone du lobe carré. PO. Pôle occipital. PP. Pied du pédoncule cérébral . pro. Sillon prœ-ovalaire, 42. PS. Pôle sphénoïda
Tubercule de jonction, 44. TM. Tubercule mamillaire. TRI. Trigone cérébral . VL. Fibres du pont de Varole se croisant sur l
M. Tubercule mamillaire. TRH. Triangle de l'habénule TRI. Trigone cérébral , voûte à trois piliers fornix. E. BRISSAUD _ LE
PEN. Pli, ourlet, ou pentagone du lobe carré. PP. Pied du pédoncule cérébral . pro. Sillon pra ovalaire. PRU. Sillon prse-u
. Pied de la troisième circonvolution frontale. PP. Pied du pédoncule cérébral , 63. PRU. Sillon prawincique. PS. Pôle sphénoïdal
ularis, 189. TAP. Tapelum, 189. Th. Thalamus, 188. TRI. Trigone cérébral , 188, 192. ZO. Stratum zonale de la bandelette
etum, 198. TEG. Tegmentum, 201. Th. Thalamus, 197. TRI. Trigone cérébral . TRO. Tractus opticus zonalis, 202. Vd. Racin
220. TEG. Tegmentum, 216. Th. Thalamus, 206, 216. TRI. Trigone cérébral . TRO. Tractus opticus zonalis, 207, 219. ZGI.
m, 227, 228, 229. Th. Thalamus, couche optique, 224. TRI. Trigone cérébral , 257. TRO. Tractus opticus zonalis, 252. ZS.
unculi (Gudden), faisceau en écharpe (Foré), 245, 245. TRI. Trigone cérébral , 252. TRO. Tractus opticus zonalis. VS. Corne sph
ris, 2(59. TAP. Tapetum, 270. TEG. Tegmentum, 265. TRI. Trigone cérébral , 270. Tt. Circonvolution temporale transverse,
circularis, 284. TEC. Tegmentum, 280. Th. Thalamus, 275. TRI. Trigone cérébral , 285. Tl. Circonvolution temporale transverse,
505. Pcs. Pédoncule cérébelleux supérieur, 295. PP. Pied du pédoncule cérébral . prs. Sillon preerolandique supérieur, 290. PUT.
e optique, 292. TP. Tractus transvers us pedunculi, 297. TRI. Trigone cérébral , 502. Tt. Circonvolution temporale transverse,
us, 508. Thï. Racine inférieure du thalamus, 520, 522. TRI. Trigone cérébral . Tt. Circonvolution temporale transverse, pli d
52, 545. ThI. Racine inférieure du thalamus, 552, 544. THI. Trigone cérébral . Tt. Circonvolution temporale transveise, pli d
Tmp. Pédoncule postérieur du tubercule mamillaire, 566. TRI. Trigone cérébral , 559, 571. Tt. Circonvolution temporale transve
us, 579, 581. Thl. Racine inférieure du thalamus, 582. TRI. Trigone cérébral , 586. E. BRISSAUD _ LE CERVEAU P L . 3 0 Héli
97, 599. ThI. Racine inférieure du thalamus, 598, 599. TRI. Trigone cérébral , 598. ZS. Stratum zonale, 598, 599. E. BRISSAUD
x supérieur, 428, 451. PL Pôle de l'insula. PP. Pied du pédoncule cérébral , 428, 451, 454. psp. Pédoncule du septum lucidu
cipito-temporal. PI. Pôle de l'insula, 460. PP. Pied du pédoncule cérébral , 459. PRU. Sillon prœ-uncique. PS. Pôle sphén
oral. Pcs. Pédoncule cérébelleux supérieur. PP. Pied du pédoncule cérébral . Pul. Pulvinar. PUT. Putamen. PV. Pont de V
etum. tec. Tsenia tecta, 463, 464. TEG. Tegmentum. TRI. Trigone cérébral , 464. Une. Crochet, uncus. E. BRISSAUD _ LE C
49 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
ettemélhodeanatomo- clinique qui a fait découvrir les localisations cérébrales : étudier avec soin et détail la disposition de
rait surtout alors que la malade a beaucoup marché. Les fonctions cérébrales , sont tout à fait normales : l'intelligence, la m
syringomyélie, d'amyotrophies secondaires au tabes, d'amyotro- phie cérébrale , de scléroses latérales amyotrophiques, qui ne so
. Elle ne présente pas non plus aucun signe somatique de souffrance cérébrale : elle n'est pas épileptique, elle n'est pas hy
- « veloppement aussi marqué. » C'est probablement à des troubles cérébraux , plus ou moins voisins de ceux-là, qu'il faudra
RE DE )1. PIERRE MARIE). ANATOMIE DES LACUNES DE DÉSINTÉGRATION CÉRÉBRALE PAR JEAN FERRAND, Interne des hôpitaux. L
JEAN FERRAND, Interne des hôpitaux. Les lacunes de désintégration cérébrale étaient peu étudiées lorsque M. Pierre Marie le
vaisseaux artériels des gros troncs de la base du cerveau. L'artère cérébrale antérieure envoie les artères striées antérieur
es antérieures qui vont se perdre dans la tête du noyau caudé. La cérébrale moyenne ou sylvienne donne deux groupes artériels
un travail d'ensemble à l'étude clinique et anatomique des lacunes cérébrales : Cf. Jean FERRAND, Essai sur l'hémiplégie des vi
ssai sur l'hémiplégie des vieillards. Les lacunes de désintégration cérébrale , thèse Paris, 1902, Rousset, édit. 102 FERRAND
tie externe et antérieure delà couche optique. - . Enfin l'artère cérébrale postérieure envoie à la couche optique plusieurs
BRALE (COUPE DE FLECHSIG) (/. Faraud) . LACUNES DE DÉSINTÉGRATION CÉRÉBRALE 103 ment des coupes frontales d'avant en arrièr
ans les noyaux cen- traux et 13 seulement dans la substance blanche cérébrale . Il existe encore un centre nerveux que paraiss
s ni dans les circon- volutions de l'écorce, ni dans les pédoncules cérébraux , ni dans le bulbe. Nous ne voulons pas nier qu'
corps granuleux, éléments de désintégration, envahissent la substance cérébrale Au centre, un vaisseau altéré, mais perméable.
ré.e : Dr l'h¡'m : '1tnx\'ll ! 1l ? e(1 z LACUNES DE DÉSINTÉGRATION CÉRÉBRALE 105 106 FERRAND une tendance à se multiplier
té paraît remplie d'une substance plus ou LACUNES DE DÉSINTÉGRATION CÉRÉBRALE 107 moins louche, semifluide n'adhérant pas aux
euse contenant une substance variable, produit de la désintégration cérébrale et un vaisseau qui occupe le centre de la cavit
e ces vaisseaux sont encore apparents, mais au- tour d'eux le tissu cérébral paraît un peu affaissé et grisâtre laissant ainsi
e cavité et de ne former qu'une simple ligne colorée en plein tissu cérébral . On sera assurément tenté de prendre cette lési
apidement et rien n'a pu faire supposer qu'il y avait eu hémorragie cérébrale . Dirons-nous que anato- miquement il n'y a pas
ces hémorragies limitées, il y a il peine une dissociation du tissu cérébral environnant, on constate encore la présence de va
qu'y jouent les lésions artérielles et son rôle dans l'hé- morragie cérébrale mortelle. On comprendra alors que nous revendiqui
phases anatomiques un peu différentes. ' LACUNES DE DÉSINTÉGRATION CÉRÉBRALE 109 Dans la première elle n'est pas constituée
liaire. Elle est caractérisée par ce fait qu'autour d'une artériole cérébrale le tissu est raréfié, mais il adhère au vaissea
e formation d'une cavité entre le vaisseau central et le parenchyme cérébral : c'est une lacune vraie. Ce degré d'altération
perméable. Autour d'elle dans un rayon assez variable le parenchyme cérébral paraît raréfié, c'est-à-dire que les mailles né
Degré de la lacune. - Nous décrivons à la lacune de désintégration cérébrale un deuxième degré qui s'est caractérisé surtout p
ffisamment étendu entre l'artère centrale .de la lacune et le tissu cérébral même altéré qui la limite, espace dans lequel s
ns le 1er degré il n'y avait pas encore de ca- vité : seul le tissu cérébral était raréfié autour du vaisseau ; mais on n'obse
y a 110 FERRAND une véritable cavité, un manque dans la substance cérébrale , lésion typique qui a donné son nom l'afl'ectio
l'artère, la deuxième ou périphé- rique est constituée par le tissu cérébral , et la troisième ou intermédiaire est un espace
quelconque. Ce phénomène qui n'est du reste pas spécial aux artères cérébrales mais qui est commun à toutes les artères sénile
es thèse de lllontpellier, 1894-1895. ' LACUNES DE DÉSINTÉGRATION CÉRÉBRALE 111 1 Enfin disons pour compléter l'anatomie no
1 Enfin disons pour compléter l'anatomie normale de ces artérioles cérébrales qu'elles sont entourées en dehors de leur tuniq
le liquide céphalo-rachidien. Considérée dans la lacune l'artériole cérébrale semble très altérée. Cependant avant d'étudier
rite (1). » ' Toujours est-il que pour ce qui est de nos artérioles cérébrales intra-lacu- naires nous n'y avons guère découve
des maladies du coeue, et des vaisseaux. LACUNES DE DÉSINTÉGRATION CÉRÉBRALE 113 on n'y voit jamais de dépôt ni de formation
ades et de la constitution anatomique un peu spéciale des artè- res cérébrales . 2° Parois de la lacune. Les parois de la cavit
. Les parois de la cavité lacunaire sont consti- tuées par le tissu cérébral lui-même un peu modifié et altéré. En premier lie
rte de chevelu qui flotte dans la lacune. LACUNES DE DÉSINTÉGRATION CÉRÉBRALE 115 Souvent tout le long de ce bord on voit une
ste un espace vide entre le.vaisseau central et les parois de tissu cérébral ces parois sont toujours anfractueuses. C'est c
régulières et que l'espace vide situé entre le vaisseau et le tissu cérébral ne contient pas d'éléments. « Les dimensions de c
endant des figures un peu analogues. Dans certaines coupes de tissu cérébral normal nous avons observé des vaisseaux aux paroi
des réactifs fixateurs et laissant ainsi entre eux et le parenchyme cérébral un espace clair limité par des parois nettes et
ujours vu celle-ci caractérisée par la désintégration même du tissu cérébral . Dans une première période le tissu se désagrège
s ont décrit une membrane qui limiterait la cavité du côté du tissu cérébral . « On distingue, limitant celle-ci (la cavité),
ce pelli- (1) Duras et DE VAUX, Foyers lacunaires de désintégration cérébrale , Soc. de Neur. 4 juillet 1901. 116 FERRAND
semblable. Immédiatement en arrière des bords de la lacune le tissu cérébral est encore très altéré. Ce sont surtout les élé
s autour des vaisseaux d'où ils se dissé- LACUNES DE DÉSINTÉGRATION CÉRÉBRALE '. 117- minent dans le tissu environnant ; on v
schématiquement que nous avous distingué trois zones dans le tissu cérébral péri-lacunaire.Nous avons vu dans quel état se tr
dans la lacune entre le vaisseau qui en forme le centre et le tissu cérébral qui en constitue les parois. Comme on peut s'y
re on y trouve deux sortes d'éléments, les uns venant du parenchyme cérébral , les autres émigrés du vaisseau. Tous sont pars
d'une hémorragie, nous n'avons jamais vu LACUNES DE DÉSINTÉGRATION CÉRÉBRALE 119 de leucocytes polynucléaires, seuls les lym
s avaient franchi la gaine et participaient déjà il la désintégration cérébrale tandis que ceux qui étaient en dedans étaient s
e plus, la méthode osmio-chromique montre LACUNES DE DÉSINTÉGRATION CÉRÉBRALE 121 que les corps granuleux envahissent les par
es et s'étendent par- fois très loin dans l'intérieur du parenchyme cérébral , tandis que les globules grenus se rencontrent
is toujours perméable. Cette cavité est limitée par un paren- chyme cérébral en voie de désintégration dont nous avons suivi l
ation peut se limiter, et si l'existence du malade le permet la plaie cérébrale se cicatrisera. Mettant sans doute à profit son
nue son oeuvre néfaste, s'avançant petit à petit dans le parenchyme cérébral et la lacune s'agrandit. Quoique les lésions rest
er que nous sommes ici en présence d'nne des causes de l'hémorragie cérébrale . Nous pouvons seulement dire que nous n'avons j
t dans le faisceau moteur que se creusent LACUNES DE DÉSINTÉGRATION CÉRÉBRALE 123 les lacunes. Les fibres en sont alors dilac
urs fibres ou bien de lésions traumatiques agissant sur les centres cérébraux spinaux, ou mieux encore, résulter de dégénéres
avant terme, contracture spasmodique des membres, absence de lésion cérébrale et tendance à la guérison spontanée et progressiv
° Les contractures spasmodiques des membres avec absence de lésions cérébrales . - Il semble que ces symptômes soient bien peu dé
gies infantiles; quant à l'ab- 140 GASTON DANIEL sence de lésions cérébrales , il faul évidemment distinguer les lésions cé-
nt presque toujours des hydrocéphalies, porencéphalies ou scléroses cérébrales qui sont signalées (Déjerine). Dans un cas de
e des faisceaux pyramidaux dans tout leur parcours, depuis l'écorce cérébrale à travers la capsule interne, le pédon- cule, l
icot. Manuel des maladies de l'Enfance. Paris, 1890. 14. Osier. The cérébral paralysies of chzld ? -e71. E-hiladelphia, 1889.
Congrès des aliénistes français, 1898. 17. Rosenthal. Les diplégies cérébrales de l'enfance. Paris, 1891. 18. Cestan. Archives
u sens des attitudes. 148 BONNIER Tous les éléments de nos masses cérébrales sont distribués dans l'espace et nous savons qu
s l'espace et nous savons qu'il est impossible que deux productions cérébrales différentes s'élaborent en un même point ou que
t réaliser un office identique. Il en résulte que toute élaboration cérébrale , de l'ordre le plus élevé comme de la nature la
e, vue à rebours, des manifestations de notre pénible développement cérébral . 150 BONNIER Ma conception si inoffensive d'u
physiologiques, n'en on plus aucun avec l'anatomie même de l'organe cérébral , cette conception antif' que de l'hétérogénéité
subjectives n'ont pas d'existence concrète; l'ame anime notre masse cérébrale comme Pau animait le vieux paysage grec. Et l'on
laquelle l'auteur se sert des termes subjectifs au lieu des termes cérébraux , sans y attacher d'importance ; il veut dire pe
ses images transversalement, vers le pôle op- posé de la convexité cérébrale , c'est;à-dire dans la région rolandique ; celles
e la sensibilité géné- rale consécutifs aux lésions des hémisphères cérébraux chez l'homme (1), re- marque que dans les cas o
Je n'ai jamais rencontré le cas inverse. » Il s'agit ici de lésions cérébrales , portant sur les centres les plus élevés de l'é
la sensibilité générale, consécutifs aux lésions des hémi- sphères cérébraux , p. Sa 4. LE SENS DES ATTITUDES ' 163 « La no
née, se précise par l'exercice et disparaît dans certaines maladies cérébrales , bien que la sensibilité brute soit conservée. »
aux spé- culations corticales, plus nous verrons, dans les maladies cérébrales , des systé- matisations psychiques atteintes en
iser un geste, un effort moteur, - c'est toujours la même sensation cérébrale que j'éprouve, une perception de tension, d'atten
l'écorce en attributions fonctionnelles, ce qui fait que telle région cérébrale semble toute différente de telle autre, ce n'es
nt la'danse et la marche, sans différer pour cela en tant qu'écorce cérébrale tout en offrant de grandes différences dans l'off
e dans tous les points où nous éveillons l'activité de notre écorce cérébrale . « Il n'y a donc pas de sens musculaire spécial
e de garder un instant la pensée que tous les points de notre masse cérébrale puissent indifféremment remplir le même office ph
c sur des conditions anatomiques et le vieux terme de localisations cérébrales , maintenant que sa signification s'est élucidée
NOUVELLE Iconographie DE la SALPÈTRILITE. T. XV PI. XXV TUMEUR CÉRÉBRALE Obs. I. Tumeur gliomateuse du lobe frontal gauc
avec une persistance relative des mouvements commandés par l'écorce cérébrale sous-jacente, quoique celle-ci soit refoulée, a
quée par M.Dupont dans un but de diagnostic delà nature delà tumeur cérébrale , a amené une élévation de température de 1°6. M
ation de température de 1°6. Mais sans exagération des phé- nomènes cérébraux ; on en conclut que cette réaction est due seuleme
oncée « on a l'aspect de la papillite dans les lésions méningées ou cérébrales ». 9 Novembre : ' ? Dans la journée, le malade
NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XV, Pl. XXVI TUMEUR CÉRÉBRALE Obs. II. Sarcome du lobe frontal gauche. (En
tater que la tumeur paraît tout à fait indépendante de la substance cérébrale qui est simplement refoulée et comprimée. Mais la
de l'encéphale a été très grande, car les symptômes de compression cérébrale , tels que les vomis- sements, la céphalée, la s
ce relativement peu étendue, appartenait à la catégorie des tumeurs cérébrales qui légitiment une intervention chirur- gicale.
galement indemne, il n'y a aucune lésion ni tumeur des pé- doncules cérébraux ni du nerf optique. La protubérance coupée tran
ect anormal. Ce n'est qu'après la séparation des deux hémisphères cérébraux qu'on dé- couvre les lésions, qui siègent sur l
t par suite tout aspect caractéristique de la structure de l'écorce cérébrale ; on se trouve en pré- sence d'amas de cellules
s'expliquer simplement par la commo- tion, les symptômes de lésion cérébrale sont apparus au bout de huit jours, sous forme
édicule de l'encé- plialocèle s'isole assez facilement de la hernie cérébrale , mais vers l'extrémité, la paroi méningu-encéph
tense déformation vient du point d'arrivée antérieur des pédoncules cérébraux . En examinant la face inférieure du cerveau, nous
que nous mar- quions (3) sur le schéma qui précède est le pédoncule cérébral droit. Fig. 3. Schéma des formations interhémis
stérieure. 2 postéro-supérieure. 3 postéro-supérieure : pédoncule cérébral droit. Le pédoncule gauche ne se voit pas sur l
rt bref. Vouloir homologuera des scissures et à des circonvolutions cérébrales des sillons en partie vasculaires et les sailli
vius ? On peut en somme imaginer ce qu'on veut. Mais si l'aspect «. cérébral » est gardé sur presque tonte la surface de l'e
pas d'interprétation hypothétique à proposer. Entre cette écorce cérébrale , essentiellement irrégulière, et les cavités dis-
ha ainsi l'ossification des os du crâne à ce niveau,ou si la lésion cérébrale fut amenée par une modification des parois moll
ur parait normale; elle est celle de l'imprégnation de la substance cérébrale saine par le bichromate de potasse. La dégéné
alcarine, puisque cette partie du corps calleux est irriguée par la cérébrale antérieure, il apparaît avec évidence, sur la c
réfléchie du splenium ; qu'elle laisse intactes les fibres du trigone cérébral ; qu'elle ne s'étend pas au fascia dentata ; qu
ouleurs. En 1900 la malade présente des symptômes de ramollissement cérébral , elle répond lentement et difficilement aux que
dans l'immobilité d'une position et d'une attitude. ' « L'écorce cérébrale a certainement une action sur le tonus, nous pou-
es dégé- nérescences radiculaires de la moelle au cours des tumeurs cérébrales reconnaissent la même pathogénie et constituera
laquelle succède une anémie par con- traction active des vaisseaux cérébraux . Les autres bromures provoqueraient aussi une h
cérébraux. Les autres bromures provoqueraient aussi une hyperhémie cérébrale , mais sans anémie consécutive. Guerver n'a pas
eut tenir à ce que si chez les animaux comme chez l'homme, l'écorce cérébrale est sensible aux irritants mécaniques, chimique
physiologi- ques.. 1 " *' La manière propre de réagir de l'écorce cérébrale , c'est le mouvement volontaire ; la manière phy
re environ. Les méninges molles (pie-mère et arachnoïde spinales et cérébrales ) sont partout un peu épaissies et opalines. A
ire radiculaire (méthode de Marchi). De plus. la moelle et l'écorce cérébrale ont été étudiées sur des coupes colorées à l'hé
bulbe, de la protubérance et des tubercules quadrijumeaux. L'écorce cérébrale est indemne; elle ne présente qu'un certain degré
qui nous occupe sur l'é- corce du cervelet dans un cas de sclérose cérébrale infantile avec atrophie de l'hémisphère cérébel
ain, la pie-mère est nettement augmentée d'épaisseur. Corticalité cérébrale (prélevée dans la région motrice), recueillie dan
as le moindre épaississement de leur adventice. Pour la substance cérébrale sous-jacente, elle offre les signes d'une inflam-
'aspect normal est relativement conservé. «... Pour les hémisphères cérébraux , le droit (du côté opposé à la lésion cérébelle
parait nettement secondaire, c'est-à-dire dans les cas de sclérose cérébrale infantile où l'on sait qu'il se produit consécu
I. Hémiplégie spasmodique infantile droite. - Epilepsie. Sclérose cérébrale de l'hémisphère gauche avec atrophie croisée du c
omme flétries et desséchées. Examen histologique. 1° Circonvolution cérébrale atrophiée. Hémi- sphère gauche. - Pièce recueil
férente, atrophie d'apparence primitive, lepto- méningite chronique cérébrale et cérébelleuse, sclérose cérébrale infantile.
ive, lepto- méningite chronique cérébrale et cérébelleuse, sclérose cérébrale infantile. Nous avons dit aussi qu'on pouvait s
ons concernant l'état des prolongements protoplasmiques de l'écorce cérébrale dans différentes conditions et l'absence des re
le, par exemple, des cellules qu'on rencontre parfois dans l'écorce cérébrale , cellules de Golgi, de Martinet ti, de Cajal. Il
ces sont plus subordonnées que les cellules pyramidales de l'écorce cérébrale et les cellules de Purkinje; les cellu- les spi
es cellu- les spinales motrices dépendent de l'activité de l'écorce cérébrale (par le faisceau pyramidal), exécutant les ordr
ER"ES1' DupnL et Philippe Pagmez, 124. Lacunes de désintégration cérébrale (Ana- Lomie des) (2 pl. en photocollogr.), par
e alrophique (1 pl.et 5 pioto.rav.), par RossoLmo, 63. Néoplasies cérébrales (Trois cas de) (2 pl. en photocollogr., 8 dessi
93. Ballet (GILDERT) et DrLILLr (ARMAND). Trois cas de néoplasies cérébrales (2 pl. en photocollogr., 8 dessins), 201. BOL
s), 435. FRFIIIAND (Jean). Anatomie des lacunes de désintégration cérébrale (2 pl. en pho- tocollogr.), 101. Geyer (R.).
Brissaud (Dupnù et PA- G\tsz), XIV, XV. Lacunes de désintégration cérébrale (FER- rand), XII, XIII. La maladie, tableau d
XXXIX à XL11. Torticolis spasmodique (DESTAItAc), LUI. Tumeurs cérébrales (Ballet et Armant DBLILLB), XXV, XXVI. Urolog
50 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
riture est modifiée quand elle traduit la pensée des « vio- lateurs cérébraux ». Séglas a bien décrit' le mécanisme de ces ha
revêtir le caractère psychique; plus tard, après les congestions cérébrales épileptiformes ou apoplectil'ormes qui semblent
en, entré le 9 novembre 1893. Première période. Alcool et surmenage cérébral . A son entrée il avoue que depuis cinq ans il e
en; entré le 27 avril 1891. Première période. Syphilis et surmenage cérébral . Forme expansive calme avec abolition du sens g
ns est la preuve de la non-gué- rison. REVUE CRITIQUE. Anatomie cérébrale et Psychologie ; Par Jules SOURY, Directeur d
ciété de Senckenberg, de sa dernière publication intitulée Anatomie cérébrale et Psycho- ' L. Edinger. Vorlesunçien iibcr den
Jlenschcn und der Thiere, 50 édition, 1896 Leipzig, Vogel. ANATOMIE CÉRÉBRALE ET PSYCHOLOGIE. 29 . . logie', tout Edinger e
nger, n'avait écrit une histoire ancienne aussi complète du manteau cérébral ou pallium. Depuis son origine chez les poisson
fférences non essen- tielles, il n'en est point de même de l'écorce cérébrale . « Je ne connais, dit Edinger, aucune autre par
ésente de beaucoup des changements aussi considérables que l'écorce cérébrale , qu'elle ait évolué ou involué » ; or, comme l'
our la première fois, chez les reptiles, sous l'aspect d'une écorce cérébrale véritable. Le pallium tout entier s'est tra5sfo
e. Le pallium tout entier s'est tra5sformé 'en subs- tance nerveuse cérébrale ; seule, la région la plus posté- rieure du cerv
ivité d'un organe ou d'un groupe d'organes, il est incorn- ANATOMIE CÉRÉBRALE ET PSYCHOLOGIE. 31 préhensible qu'on prétende é
croyant avoir été à bonne école, perpétuent ces erreurs ! Anatomie cérébrale et Psychologie, dont la solidité scien- tifique
stations vitales déterminées des animaux qui pos- sèdent une écorce cérébrale , et que la conscience ne se développât que dans
développât que dans la mesure où cette écorce s'accroît ANATOMIE CÉRÉBRALE ET PSYCHOLOGIE. 33 progressivement dans la séri
nce : le médecin de la prison avait porté le diagnostic de syphilis cérébrale et tumeur cérébelleuse. L'auteur indique ici le
sité d'un musée et d'un laboratoire de pathologie et de physiologie cérébrale ; par A. H. NEwTdt. (The j01tmal of Mental Scien
boratoire où certaines recherches de physiolo- gie et de pathologie cérébrales pourraient être faites avec un outil- lage plus
et le moment d'apparition des lésions cadavé- riques dans l'écorce cérébrale de l'homme, méthode de Nissl. (Ti avait du labo
à quel moment apparaissent les lésions cadavériques dans l'écorce cérébrale des cerveaux recueillis deux ou trois jours après
et orageux. - Conclusions : 1° Les lésions cadavériques de l'écorce cérébrale étudiées par la méthode de Nissl se produisent
étaient nulles.) M. Touche montre les pièces d'un cas d'hémorragie cérébrale optico-bulbaire avec ptosis, et d'un cas de par
de concevoir des cas où l'agent infectieux fera d'abord son emprise cérébral . Rien ne peut établir que le cerveau doive touj
a pas à disparaître, en dehors de cette lenteur dans les opérations cérébrales , surtout appréciable le premier mois, on ne con
risée surtout par de l'apathie et de la lenteur dans les opérations cérébrales , ce qui d'abord a frappé, c'est l'amnésie. Amné
de psychologie de 1900 l'observation d'un homme atteint de syphilis cérébrale chez qui à la suite d'une attaque épileptiforme
ch. ? expier. Palhol. und Pharmuc, XXIX. REVUE CRITIQUE. Anatomie cérébrale et Psychologie 1 ; Par Jules SOURY, Directeur
oduction ci ta zoologie. Paris, 1880, p. 66, 81, passim. ANATOMIE CÉRÉBRALE ET PSYCHOLOGIE. 9S de grenouilles. Telles encor
des parties du cerveau situées entre la moelle allongée et l'écorce cérébrale . Pour les bien connaître, il faudrait étu- dier
a faculté d' « apprendre » est fort médiocre. Les mou- 1 ANATOMIE CÉRÉBRALE ET PSYCHOLOGIE. '101 vements dirigés vers la no
ion doctrinale d'Edinger, dérivée de l'étude directe, com- ANATOMIE CÉRÉBRALE ET PSYCHOLOGIE. ' '103 parée, de la constitutio
SYCHOLOGIE. ' '103 parée, de la constitution anatomique de l'écorce cérébrale dans la série des vertébrés, a pour la psycholo
, de son entendement. Parmi les propriétés ou fonctions de l'écorce cérébrale , c'est-à-dire de 1' « appareil psychique d'asso
es ». Chez l'homme, notre connaissance des connexions de l'écorce cérébrale avec les centres inférieurs et de celles des di
hé qu'à l'étude de mammifères, partant des êtres d'une organisation cérébrale beaucoup trop élevée. Il fallait commencer par
sente plus qu'un problème, sinon simple, du moins « sim- ANATOMIE CÉRÉBRALE ET PSYCHOLOGIE. 105 plifié ». La raison en est
qu'on transporte aux vertébrés inférieurs encore privés d'écorce cérébrale : « Nous savons cependant qu'il y a des circons
la méthode la plus sûre est l'étude de la psychologie des ANATOMIE CÉRÉBRALE ET PSYCHOLOGIE. 107 animaux dont les actes, aus
IE PATHOLOGIQUES. 111 donne régulièrement naissance à des symptômes cérébraux graves. 11 y a donc quelque chose qui comprime
nt situés dans les régions postérieures de l'écorce des hémisphères cérébraux . P. KRAV,\L. XII. Contribution à l'étude de l
zi. (Il IIÉtî,g(tg711, 1900, mais.) Résumé de trente cas de tumeurs cérébrales avec autopsie. 124 REVUE d'aNATOMIE ET DE PHYSI
ment prononcée. Par contre, elle n'existerait pas dans l'hémiplégie cérébrale organique. L'auteur conclut que cette réaction
r pendant une année, au bout de laquelle il est frappé d'hémorragie cérébrale avec hémiplégie droite, et réapparition des tro
retentisse- ment aucun sur l'état mental; d'autre part l'hémorragie cérébrale survenue un an plus tard, en nous révélant la d
lement une atrophie complète des deux nerfs optiques sans symptômes cérébraux concomittants. Dans les cas appartenant à la 4°
cas dans la démence; c'était le cas dans une observation de tumeur cérébrale intéressant le cortex, rapportée par D1S Mills
riphérique ou médullaire, il sera assez juste d'admettre une lésion cérébrale . De telles manifestations n'indiqueraient pas s
d'un petit foyer de ramollissement à la partie interne du pédoncule cérébral du même côté. Ce foyer pénétrait dans la profon
incontestablement par une véritable inflamma- tion de la substance cérébrale (écorce, faisceaux blancs, même noyaux opto-str
Puis survient le symptôme capital, l'hémi- plégie motrice, du type cérébral , précédée ou non d'un ictus apo- plectique et a
matologie rappelle la symptomatologie clas- sique du ramollissement cérébral ischémique à évolution pro- gressive. Et cepend
hologie humaine l'inflammation aiguë, non suppurée, de la substance cérébrale , inflammation si longtemps niée; cette encé- ph
nt sous sa dépendance beaucoup des hémiplégies et autres phénomènes cérébraux observés chez le vieillard. Rire et pleurs spas
et de l'aqueduc de Sylvius et sous la pie-mère médullaire. , Tumeur cérébrale à forme psycho-paralytique. * 1\1111. CESlAi'
des céphalées et dés vomissements, signes révélateurs d'une tumeur cérébrale . Le diagnostic de siège fut fait d'une part par
alade sont différents de ceux que produisent en général les tumeurs cérébrales quel qu'en soit le siège, et permettaient ainsi
longue retraite de contemplation mentale intensive, par un travail cérébral excessif, par une fruga- lité extrême et peut-ê
et Laignel-Lavastine. 1° Sur la présence de microbes dans l'écorce cérébrale et lé liquide céphalo-rachidien (projections) ;
oubles mentaux toxi-infeetieux avec examen histologique de l'écorce cérébrale (projections). - I.annois et G. Pau- tet. Hémim
tait une inflammation aiguë du cerveau : pour Thulié, de l'ané- mie cérébrale ; pour Lucas, Marie, Lunier, Dagol1et, la forme la
ulier, attachent une grande importance à la stase de la circulation cérébrale amenant l'oedème et la congestion active du cer
n 1898. Cet auteur a examiné dans trois cas de délire aigu l'écorce cérébrale des lobes préfrontaux, des circonvulutions cent
s périvascu- laires, quelques grains fins de pigments. Les méninges cérébrales et spinales sont normales, ainsi que la névrogl
normales, ainsi que la névroglie. Les fibres nerveuses des écorces cérébrale et cérébelleuse, du corpslleiiLelë ? sotWto ? e
sont détruites surtout dans les couches superficielles du cortex cérébral et cérébelleux. Dans le bulbe, la moelle, les rac
a pu trouver, et si facilement, des bacilles dans le sang, l'écorce cérébrale , le liquide céphalo-rachidien des délirants aig
Boulevard des Batignolles, la dame Jules M..., atteinte de troubles cérébraux , a mélangé à du thé une infusion de pavots et a
heureux, qui donnait depuis quelque temps des signes de dérangement cérébral , vient d'être frappé d'aliéna- tion mentale. M.
du côté hémiplégique ou hémiparé- tique, et ont succédé à un ictus cérébral . Il s'agit presque certai- nement d'une hémorra
n ictus cérébral. Il s'agit presque certai- nement d'une hémorragie cérébrale limitée, qui s'est effectuée tout près des fibr
t adopter la subdivi- sion du tabes en « forme spinale » et « forme cérébrale » ou « forme optique». Dans la « forme optique
dge. (The New York Médical Journal, 14 juillet 1900.) La syphilis cérébrale est héréditaire ou acquise, et sous cette derni
des cas (la démence paralytique et le tabes exclus). Les symptômes cérébraux d'origine syphilitique apparais- sent dans 12 p
de temps après la lésion ininiale voit-on apparaître les symptômes cérébraux ? le délai est variable : les altérations et dé
douze ans; les gommes sont plus précoces : mais il y a des syphilis cérébrales hâtives (de un à quelques mois après l'infection)
ction, on ne peut jamais déclarer le malade à l'abri de la syphilis cérébrale . Il est à peu près admis que toutes les causes
ionnement normal du cerveau contribuent à faire éclater des lésions cérébrales jusque-là latentes. Les effets directs de la sy
il examine sommairement le diagnostic dillé- rentiel de la syphilis cérébrale avec les autres affections organiques intra-cra
perçoit pas. L'hystérie est donc un processus psychique. L'écorce cérébrale étant le siège d'une perturbation, quel est l'e
es : 1° affaiblissement de l'excitabilité senso- rielle de l'écorce cérébrale (hypo-esthésie, anesthésie, hypalgésie et analg
blement déplacées. Sa consistance est plus ferme que celle du tissu cérébral , et autour d'elle s'est collectée environ une o
géographie bizarre, qui violent toutes les règles de localisation cérébrale , spinale ou 'périphérique. Ajoutons que ces anest
e la tonicité sphinctérienne; 61 les lésions destructives des lobes cérébraux donnent des résultats différents suivant les an
être placé à la fois dans les ganglions basilaires et dans l'écorce cérébrale . Le tonus sphinctérien se maintient comme chez
eux et cuta- nés (fiq. 8) ; G° les lésions destructives de l'écorce cérébrale don- nent lieu, chez tous les animaux, à une ex
hez l'homme, chez lesquels le mécanisme du tonus dépend de l'écorce cérébrale . Le= contractures particulières que l'on observ
g). La thèse soutenue par M. Crocq relativement à une -localisation cérébrale exclusive des réflexes chez certains animaux et
que, dans les lésions à localisation variée qui créent l'hémiplégie cérébrale , les fibres destinées aux extenseurs seraient t
Bourneville a rappelé que, outre les cas d'urémie et d'apo- plexie cérébrale , accompagnés d'un abaissement de la température,
vaso-moteurs et de 1,'expression émotive, au détriment des centres cérébraux supé- rieurs. Il n'est pas du tout prouvé que,
ne fois de plus, que l'on peut avoir certains troubles fonctionnels cérébraux , même accentués, sans que la lésion corresponda
lire fébrile, confusion men- iale, hallucinations, etc.) à l'action cérébrale des poisons fabriqués dans un organisme infecté
nt semblables à celles que nous venons de montrer dans les cellules cérébrales . De même que les polyné- vrites sont formées de
des grandes cellules pyra- midales dans la zone motrice de l'écorce cérébrale , après la section expé- rimentale des fibres de
lésions macroscopiques étaient banales : mais l'examen de l'écorce cérébrale à l'hématosyline, éosine, au picro-carmin et pa
de dégénéres- cence ou symptomatique d'une égalité des hémisphères cérébraux . En tous cas, lorsqu'on aura à examiner des mal
tention des observateurs. M. Régis rappelle l'existence de troubles cérébraux consécutifs ! une insolation. Les troubles obse
guéris par la suggestion. AI. Blanchi (de Parme). Phonendos- copie cérébrale . - AI. ARAGON. Etude anédico-1éy«le sur le doute.
nt sera l'iodure à faible dose. Quant à l'intervention chirurgicale cérébrale , crânienne ou autre, elle n'aura de raison d'êt
que, 1901, p. 88.) - L'excitabilité comparée des deux hémis- phères cérébraux chez l'homme. (Ibid., p. 143.) De l'influence de
. 1 CI' août 1864. Tout le temps qu'il a passé à l'asile son état cérébral a toujours été à peu près le même. Il restait ass
e diffuse chronique prédomine souvent sur l'un des deux hémisphères cérébraux , mais il est très rare qu'elle soit limitée à u
nt. La marche était très gênée, et, du côté opposé à l'inflammation cérébrale , les membres étaient très rigides. L'embarras d
peuvent être suivies tout le long du trajet moteur depuis l'écorce cérébrale jusqu'à la moelle lombaire, et augmentent d'int
âge variait de sept à quinze ans. Neuf étaient des cas de paralysie cérébrale infantile, et dans tous les cas, sauf trois, l'
parce que les facteurs étiologiques de l'idiotie et de la paralysie cérébrale infantile sont nombreux : mais on est frappé de
ées de la paralysie générale : un seul cas était un cas de syphilis cérébrale . R. de MU5Gl\.\\'E-CL\Y. Xi. Emphysème du tis
un que 80 grammes. Vessie rétractée, sans urine. ' Pas de lésions cérébrales macroscopiques sauf un épanchement abondant de
STÉRÉOTYPIES. 501 sensitifs (hémianesthésie) indiquant des lésions cérébrales , parce que la volonté ne peut les arrêter à auc
i toutefois qu'on a vu des tremblements sans qu'il y ait de lésions cérébrales et qui sont dus à une idée fixe ou à une idée d
avités à contours plus ou moins irréguliers. A leur niveau le tissu cérébral semble avoir été déchiré et détruit. On les ren
s laissons de côté naturellement la paralysie générale, la syphilis cérébrale , l'alcoolisme, l'épilepsie et les psychoses à g
d'une vieille hémorrhagie et soit dû à un trouble de la circulation cérébrale . R. DE MusGRAVE-CLAY. LXIII. Deux cas de leptom
des streptocoques de même aspect et se colorant de même. L'écorce cérébrale sous-jacente colorée par la méthode de V. Giesen
num, et la probablement a été la source de l'infection des méninges cérébrales : un dépôt caséeux a été rencontré entre la dur
nt dans la lymphe qui revêtait l'épendyme des ventricules. L'écorce cérébrale sous-jacente colorée par la méthode de V. Giese
urnal of Mental Science, juillet 1900.) Les tumeurs de la substance cérébrale déterminant des affec- tions mentales sont rela
tendait en haut et laté- ralement jusqu'à un demi-pouce de l'écorce cérébrale , intéressant dans une certaine mesure le gyrus
bservations de lésions du faisceau pyra- midal soit dans sa portion cérébrale , soit dans sa portion médul- 526 REVUE D'ANATOM
IQUE. I. Étude sur l'action du gelsemium sur les noyaux des nerfs cérébraux moteurs; par R.-H. \1'mTemnn. (The New 1'01 IL Me
omatolyse des cellules qui constituent les noyaux des nerfs moteurs cérébraux ; 2° les altéra- tions ainsi provoquées n'ont au
ropriés des résultats positifs. R. DE Musgrave-Clay. V. Chirurgie cérébrale moderne; par G. l : nnsoN Brewer. (New- York Me
ithine la possibilité de péné- trer, par le sang, dans la substance cérébrale , on favorise le réta blissement de l'équilibre
ite tubercu- leuse. , 542 SOCIÉTÉS SAVANTES. · Un cas de gliome cérébral . M. ViGouRoux rapporte une autre observation re
iGouRoux rapporte une autre observation relative à un cas de gliome cérébral l'amenant-aux remarques suivantes : malgré son
on finit par les comprendre. M. PACTET. - Le diagnostic de tumeur cérébrale n'est souvent fait qu'à l'autopsie, malgré qu'i
que la suspension produit une diminution du' » calibre des artères cérébrales , une élévation de la pression arté- rielle et u
nt, il se produit alors' un ' agrandissement du calibre des artères cérébrales , un abaisse- ment de la pression artérielle et
41. sug- gérée pendant le sommeil, par Manfroni, 358. Aa TOnue cérébrale et psychologie, par J, Soury, 28, 97. Anestii
278. Cérébelleuse. Tumeur - et élii- lcpsie, par Marchand, 269. Cérébrale . Tumeur - à forme psycho-par;lytique. par Cesta
ue. Etude d'un cas de para- lysie -, par Marinesco, 1 ;'9. Ecorce cérébrale . Sur la physio- nomie et le moment d'apparition
noyaux des nerfs moteurs, par Whitehead, 529. Gliome. Un cas de - cérébral , par Vigouroux, 542. Glycosurie. Influence de
essité d'un - et d'un laboratoire de pathologie et de physiologie cérébrales , par Newth, 49. Muitsme. Le - hystérique dans
Nécessité d'un musée et d'un laboialoii-e de - et de physiologie cérébrale , pai Newth, 49 Patronage familial en IIolland
51 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n- tempérance qui accrurent encore son irritabilité ner- veuse et cérébrale . Mais X... n'a jamais eu de visions d'animaux;
ion A la question DES dégénérescences secondaires dans LE pédoncule cérébral ; par V. 13CCIfTEREI1'.(A7·CIt. f. Psych., XIX,
u'il en soit, ce sont surtout les granulations normales des couches cérébrales du système nerveux et non les grosses cellules
Altération DES centres nerveux dans un ,C1S DE paralysie infantile cérébrale ; par WALLENBERG. (Arch. f. Psych., XIX, 2.) Obs
par WALLENBERG. (Arch. f. Psych., XIX, 2.) Observation de paralysie cérébrale infantile, suite d'endocardite. Accidents datan
r de l'organe, l'analogie des altéra- tion avec celles du pédoncule cérébral , leur forme au sein des cordons postérieurs ,
ment et primitivement spinale. En revanche, le foyer d2c pédonc2tle cérébral gauche (kyste apoplectique) explique par son âg
iamètre. Cela n'implique pas une moindre irrigation de l'hémisphère cérébral droit, à raison des communicantes et du cercle
artérielles, ou même la dégéné- rescence athéromateuse des artères cérébrales se manifeste d'une façon absolument indépendant
termine par quelques considérations sur la structure des vaisseaux cérébraux à l'état sain et dans quelques formes particuli
l'asile peut et doit être écartée. Il succombabientôt à l'affection cérébrale qui avait motivé son internement, età l'autopsi
Voisin, diverses sortes de lésions, de la connexité des hémisphères cérébraux ; on trouverait de même dans la mélancolie des
ctions mentales, dus en grande partie à la connaissance des lésions cérébrales pour une partie d'entre elles : Le système des
iglesworth considère la monomanie comme due à une lésion des plexus cérébraux chargés du contrôle et de la coordination. Ces
dont la lésion réside dans des malformations des circonvolutions cérébrales . Le D'' Campbell Clark amène la discussion sur le
L'hydrocéphalie peut être congé- nitale ou acquise. L'hypertrophie cérébrale , affection rare est due d'après Hokitansky à un
ectuelle, de la difficulté à marcher et des convulsions. L'atrophie cérébrale * est due à un développement incomplet ou à une
a crcarziométrie et l« céphaloscopie clmas les maladies mentales et cérébrales . · Le D'' Hack-Tuke admet que dans la productio
OCIÉTÉS SAVANTES. risée, l'excitation peut ne pas dépasser l'écorce cérébrale . Si elle s'extériorise, les organes des sens et
ucination peut être au niveau des organes des sens, des gan- glions cérébraux et de l'écorce cérébrale; le point de départ peut
veau des organes des sens, des gan- glions cérébraux et de l'écorce cérébrale ; le point de départ peut être extérieur ; le vo
on de l'instinct génésique après une fièvre typhoïde, une apoplexie cérébrale , un priapisme. Les hallucinations, rares dans l
ci la connaissance de l'hypertrophie de la névroglie dans l'écorce cérébrale . Préparations empruntées à un cerveau présentan
brile, septique aiguë, chronique, etc.), ou bien, soit à une lésion cérébrale organique, soit à un trouble fonc- tionuel, név
centres visuels et auditifs 2. Ces formes particulières de troubles cérébraux peuvent être considérées comme des types d'amné
lex.liros\au, 1871. î. ' On the Various Fornas of Loss of Speech in Cérébral Discase (l3rilisl ancl Foreign dlecl. Chir. lie
est bien fait pour élucider cette branche obscm e de la pathologie cérébrale . Dans le chapitre qui traite de l'effacement pa
tal des images auditives des mots, M. Ballet dit que les opérations cérébrales qui succèdent aux im- pressions de l'ouïe, quel
vient de désigner l'abolition de l'audition, sous le nom de surdité cérébrale ou corticale. (7 ? MMM), l'abolition de l'audit
très minutieusement, il semblerait que dans l'hémianopsie de cause cérébrale , d'origine corticale, la lésion occupe à peu pr
la ne semble pas être, car on peut citer des exemples d'hémianopsie cérébrale sans cécité verbale, et de cécité verbale sans
es minutes, en quelques heures ou en quelques jours. B. Accidents cérébraux ou formes cérébrales. Les accidents cérébraux q
ues heures ou en quelques jours. B. Accidents cérébraux ou formes cérébrales . Les accidents cérébraux qui peuvent survenir c
jours. B. Accidents cérébraux ou formes cérébrales. Les accidents cérébraux qui peuvent survenir chez les plongeurs à scaph
me ; DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 229 .4, la forme cérébrale paralytique; 5, la forme verti- gineuse ; 6, la
Etant déjà en connaissance de la fu-itivité extrême des acci- dents cérébraux , j'ai prédit au malade et à ses parents que ses
une rupture du tympan gauche. 3. FORME ÉPILEPTIFORME. Cette forme cérébrale doit certainement être rare pour que nous ne so
appris que depuis lors les accès n'ont jamais réapparu. 4. FORME CÉRÉBRALE PARALYTIQUE. Les différentes paralysies d'origi
. FORME CÉRÉBRALE PARALYTIQUE. Les différentes paralysies d'origine cérébrale n'ont DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRE
ncore les mêmes caractères qui servent à spécialiser les paralysies cérébrales d'origine scaphandrienne, à savoir : 1° la brus
très fugitive ; 4° leur curabilité constante en cas d'ac- cidents cérébraux , non fugitifs plus ou moins per- sistants. C'es
e faculté, nous a communiqué qu'il a observé deux cas d'hémiplégies cérébrales chez deux scaphandriers qui, après avoir duré q
VEUSE. 277 Maladies diffuses. Angio-sarcome diffus de la pie-mère cérébrale et médullaire. Dans les faits de cet ordre se ran
de cet ordre se range un cas d'angio-sarcome diffus de la pie-mère cérébrale et médullaire, publié par 11\Z. Schatalolf et N
et NilciforofF. Les sym- ptômes ressemblaient à ceux d'une embolie cérébrale : une hémiplégie droite, sans aphasie, après de
citations extérieures, par une grenouille privée de ses hémisphères cérébraux . Il a conclu que l'influence excitatrice, aussi
es troubles de la conductibilité, les changements de l'irritabilité cérébrale , l'aptitude variable à la réceptivité des stati
tion A la morphologie et A LA morphogénése du tronc des hémisphères cérébraux ; par G. JEL01· : RS3f.l. Traduit du hollan- dai
ervelet à l'écorce (double voie en sens inverse). SCHÉMA Ecorce cérébrale . Capsula interne. Couche optique. Capsule inter
ne. Couche optique. Capsule interne. Noyau rouge. Pied du pédoncule cérébral , Raphé. Protubérance Olive. Pédoncule cérébra
Pied du pédoncule cérébral, Raphé. Protubérance Olive. Pédoncule cérébral . Raphé. liapllé. Noyau dentelé. Pédoncule moyen
ussion du diagnostic. Affection en foyer du côté droit du pédoncule cérébral (méningite plus ou moins circonscrite de la fos
rculation lymphatique en retour de l'encéphale; c'est un épuisement cérébral par rétention produisant en somme les mêmes sym
s lié à des maladies du nez. M. Arndt. Rappelons les manifestations cérébrales du rhume de cerveau, surtout chez les personnes
de neurasthénie avec prédominance de symptômes céphaliques (tension cérébrale , insomnie), -de céphalalgie de différents ordre
montrent que, dans les cas récents, quand il existe des phénomènes cérébraux congestifs se tra- duisant par des accidents ps
omènes de la mimique sont la résultante même, directe, du mécanisme cérébral sous-jacent. Ils constituent des moweue : lsrNf
ZENKËH (d'Erlangen). Contribution à la pathogénie des hémorrhagies cérébrales spontnnées. - La théorie des anévrysmes miliair
n effet, on constate en même temps des troubles de la vue d'origine cérébrale : hémianopsie du côté droit, trouble grave de l
La part de l'Italie dans l'étude scientifique des loca- lisations cérébrales peut être dès maintenant indiquée et caractéris
it d'une façon spéciale à la théorie scientifique des localisations cérébrales . Cette théorie repose, on le sait, sur le solid
expérimentale et de l'observation clini- que. Quoique la pathologie cérébrale ait devancé l'expérimentation physiologique en
orie'. » Le théorie qui la remplace, la théorie des localisations cérébrales , n'a été définie par personne en meilleurs term
ble, que par ce maître illustre : « Le principe des localisations cérébrales est fondé sur la proposition suivante, dit M. C
ables discussions de la Société de biologie sur les locali- sations cérébrales . ' Leçons sur les localisations dans les maladi
r, à un moment de son développement, la théo- rie des localisations cérébrales en Italie, et en particu- `' Sulla geiiesi déli
mes du cerveau. Une théorie vraiment scientifique des localisations cérébrales implique né- cessairement cette loi : chaque ré
identiques chez tous les individus de la même espèce; les régions cérébrales homologues des autres espèces possèdent les mêm
par- lies hétéronomes du cerveau. Le principe des locali- sations cérébrales postule que des phénomènes de déficit identique
rveau. IV. Critère des effets négatifs et positifs d'extirpations cérébrales successives pratiquées sur le ? ? Me ? ? ? M ?
s éta- blit, d'une manière décisive, la réalité des suppléan- ces cérébrales . Une extirpation pratiquée sur une région déter
rétation des phénomènes' ? V. Critère des plus petites extirpations cérébrales nécessaires et suffisantes pour obtenir des phé
s italiens, était la négation même de la doctrine des localisations cérébrales . Nous verrons plus loin quelle hypothèse ils y
ue, par phénomènes de déficit au maximum d'une fonction de l'écorce cérébrale , de la vue ou de l'ouïe, par exemple, Luciani n
dit-il, une connaissance suffisante des fonctions de toute l'écorce cérébrale ; nous ne pouvons les distinguer nettement de ce
possible de réaliser par la destruction de cette partie de l'écorce cérébrale . De même en clinique. Les mêmes lois doivent
s du cerveau humain. Mais la théorie scientifique des localisations cérébrales chez l'homme ne saurait être uniquement édifiée
les pour établir jusqu'à quel point la loca- lisation des fonctions cérébrales diffère chez l'homme de celle des autres animau
d'erreurs presque sécu- laires dans la physiologie et la pathologie cérébrales . 1 J.-M. Charcot et A. Pitres. Etude critique e
n sur les animaux, à déterminer la nature et le siège des fonctions cérébrales . Exner, Charcot et Pitres ont naturellement une
mouvement volontaire d'un membre, il réunit tous les cas de lésions cérébrales dans lesquels la motilité de ce membre était de
en trois ce critérium, selon qu'il s'agit des effets des lésions cérébrales homonymes , non homonymes, suc- cessives, uni o
à détermina- tion des différents centres fonctionnels de l'écorce cérébrale . Nous aurons le loisir de la faire quand nous e
a : eux aussi sont des latitudi- naires en matière de localisation cérébrale , et l'ex- tension qu'ils accordent à leurs zone
ent travail sur les Derniers résultats de l'étude des localisations cérébrales , publié dans la Wiener naedi- ziiîische Wochens
e de cas où il existait tel symptôme et où telle région de l'écorce cérébrale se trouvait lésée, quoique j'aie montré en son
jectifs qui accompagnent, chez les animaux, les lésions de l'écorce cérébrale . En outre, les maladies du cer- veau sont souve
qu'à présent décrit les différentes formes des accidents spinaux et cérébraux , suivant que la localisation de l'agent pathogè
fugitive qui, suivant sa localisation dans tel ou tel territoire cérébral , apporte tel ou tel dérangement fonctionnel ab
, mais des mois et des années; nous avons là des véritables lésions cérébrales , qui coexistent avec celles de la moelle ; en d
son travail : 1° des accidents douloureux multiples; 2° Un accident cérébral appartenant à la forme pa- ralytique, type hémi
au fond et décompression 132 CLINIQUE NERVEUSE. brusque. Accident cérébral complexe (pote de connaissance, aphasie, hémipl
son travail quatre accidents différents. Le premier est un accident cérébral complexe. La perte de connaissance qui peut fig
dres, l'aphasie de la forme aphasique et l'hémi- plégie de la forme cérébrale paralytique ont contribué à la constitution de
la constitution de cet accident complexe. Le second est un accident cérébral simple, typique, la perte de connaissance qui,
, la nuit, alors que toute surveillance semble éteinte, l'éréthisme cérébral contenu pendant le jour éclate en gestes et en
donc faciles à expliquer. On comprend que ce tourbillon d'activité cérébrale morbide ait en- traîné les forces de l'activité
nimaux et que cette différence est en rapport avec le développement cérébral . Le premier, il a com- paré-1'hypnotisme des an
ires dans l'hyp- notisme. La grenouille privée d'un seul hémisphère cérébral se comporte dans les expériences d'hypnotisme c
1887. - De la physiologie de la région psycho-motrice de l'écorce cérébrale . At'c/t. de Kovalewslig, t. IX, n° 3, 1887. Des
aneyskaia. De l'anatomie microscopique comparée des circonvolutions cérébrales . Arch. de liouctlc2o'slai, t. IX, n° 3, t887.
, Saint-Pétersbourg, 1887. ' Kosturine. Des altérations de l'écorce cérébrale dans la démence ' ' séniie.LeiVedec ! ') ! ,n''
evslry, t. IX, n° 3, 1887. Tchoudnowsky. Un cas d'hydro-méningocele cérébral congé- nital. Le Médecin, n 44., 188G. Tekout
excitantes de la cocaine sur la couche corticale des hémisphères cérébraux , d'autre part sur son pouvoir d'arrêt sur les ext
te dame voyait et sentait de petits vers sur ses mains. Accidents cérébraux consécutifs (i l'empoisonnement par l'oxyde de
e New-York). Observations d'épilepsie consécu- tives à l'hémiplégie cérébrale .-Les lésions de cette sorte d'épilepsie, de mêm
de même que celle de l'épilepsie idiopathique, portent sur l'écorce cérébrale . M. le Dr ROBERT T. EDES (de Washington). Rappo
ème nerveux. (Urémie.) M. le D'' C.-L. (de New-York). Localisations cérébrales des sensations cutanées. Il y a une identité co
ensibilité, à cause du voisi- nage de l'hypocampe et des pédoncules cérébraux . Il pense que les centres tactiles sont bilatér
de la sensi- bilité. Il a vu Schitt' enlever des points de l'écorce cérébrale chez des chiens, avec des troubles d'anesthésie
aura sensitif dans l'épilepsie jacksonienne dans des cas de tumeurs cérébrales ou d'autres lésions corticales. Une dysestésie sp
intéressant l'humanité. P. KERAVAL. XIII. Le cerveau et l'activité cérébrale au point de vue psycho- physiologique ; par A.
artie, M. Herzen a étudié les conditions dans lesquelles l'activité cérébrale devient consciente. Il formule ainsi la la loi
ture, qui ne semblent être autre chose que des troubles de sclérose cérébrale . Ces hémiplégies ont été suivies de spasmes toniq
e, la neurasthénie, les psychoses (anxiété, hypocondrie, dépression cérébrale ). L'auteur à leur suite a rencontré un complexu
métrie, par Beiiedilit, 308. Délire restreint, avec exacerbations cérébrales , troubles tabétiques, : etc., par Bonnet, 433.
Folie systématique originelle, par Neisser, 212, 309. Hémisphères cérébraux (morpholo- gie et morpho-genpse du tronc des)
ie et morpho-genpse du tronc des), par Kurella, 292. Hémarrhagies cérébrales (pathogé- nie des spontanées), par Zen- ker,
syphilitique, 464. v Névroglie(hypertrophie de la- dans l'écorce cérébrale ), par Buchholx, 131. Névropathes (mouvements
1. 0 Paralysie dans le mal de Polt, par Althaus, 290. Pédoncule cérébral (dégénérescences secondaires dans le), par Bech
52 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
mitive de la motilité volontaire. Ce sont des excitdnts'de l'écorce cérébrale 'dont la manière^ propre de réagir est l'activi
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 59 les [territoires*. de ..l'hémisphère cérébral désignés par Flechsig comme des centres d'assoc
IE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. de concert avec les accidents ' cérébraux , d'abord penser à' une tumeur cérébrale. L'évol
oncert avec les accidents ' cérébraux, d'abord penser à' une tumeur cérébrale . L'évolution fit abandonner ce 'diagnostic ? Plus
évolution fit abandonner ce 'diagnostic ? Plus tard, les phénomènes cérébraux et leur marche imposèrent l'idée du foyer de ra
ne s'y rattachait plus. On opina pour l'indépendance de l'affection cérébrale et de l'affection ocu- laire, ayant cependant p
tion doit en cette manière être rapprochée des exemples d'affection cérébrale ou spinale compliqués de névrite optique, dans
vieillards et sa lésion anatomique : les lacunes de désintégration cérébrale . On appelle du nom de lacunes les pertes de sub
constitue l'axe. "La lacune est formée par une raréfaction du tissu cérébral autour d'une artériole, perméable, présentant q
and Fardel qui est un aspect normal dû aux artérioles, de la porose cérébrale en fromage de gruyère qui est due probablement
'urine et de matières, eschares) ; il peut succomber à l'hémorragie cérébrale , lésion qui est peut-être née de la lacune. Les
lébion consiste en une tumeur logée dans la calotte des pédoncules cérébraux ( ? 7). Avant tout durcissement, cette tumeur e
e grosse olive placée au centre de la calotte des deux pédoncules cérébraux , en avant de l'aqueduc de Sylvius dont elle est s
la quatrième paire ; son axe général est parallèle à celui du tronc cérébral et placé, dans sa partie toute inférieure, dans
. Si nous' suivons son pourtour pour étudier les parties du tronc cérébral lésées, nous voyons sa partie antérieure affleure
sarcome soit de gliome ; il n'existe pas au voisinage du pédoncule cérébral une glande capable de dégénérer en un epithélio
1, p. 431, 1898) Xiégler admet que les cellules de l'endothéliome cérébral peuvent revêtir l'aspect cubique, cylindrique, vo
très exceptionnel de tumeurs primi- tives pie-mériennes, papillome cérébral pour Rindfleisch, endothé- liome épithélioïde p
choroïde du ventricule latéral bien que contour- nant le pédoncule cérébral sur sa face supérieure et externe se trouve ass
Nous avons indiqué aussi l'intégrité du pied des deux pédoncules cérébraux . Une lésion ainsi placée a détruit la troisième
u, mais bien un néoplasme primitivement développé dans le pédoncule cérébral , pro- bablement une variété d'aspect épithélial
perte du sens articulaire), dus à des lésions des voies sensitives cérébrales , ne s'accompagnaient pas forcément d'ataxie de
au rouge, du pédoncule cérébelleux supérieur au niveau du pédoncule cérébral , détermine une ataxie cérébelleuse avec tremble
tros, dans les syndromes de Weber par ramollissement du pédoncule cérébral et presque toujours du pédoncule cérébral gauche,
mollissement du pédoncule cérébral et presque toujours du pédoncule cérébral gauche, ils peuvent dépendre de grosses lésions
e aveugles-nés. 11 s'agit donc ici d'une affection à manifestations cérébrales variables apparaissant chez quelques-uns seulem
trois mouve- ments de trépidation épileptoïde très nette. Signes cérébraux . L'enfant s'est bien élevé, est venu au monde f
ns la thèse du professeur Lan- douzy, où, dans certaines affections cérébrales accompagnées de troubles de la motilité des mus
voi- sinage peuvent être intéressés. Dans le nystagmus d'origine cérébrale , c'est probablement le centre excito-moteur de
vrai accentué et très apparent, qui dépend d'une lésion bulbaire ou cérébral , les secousses nystagmiformes qui se produisent
le délire épileptique est le produit de deux fac- teurs : 1° l'état cérébral ; 2° l'ictus épileptique. Ce dernier peut déter
tres, saines et morbides ». C'est ce que Respault a appelé « l'état cérébral », état indépendant de l'épilepsie, antérieur a
us qui provoque l'acte inconscient épileptique, mais c'est l'état cérébral antérieur de l'individu qui en fait les frais et
de NOTE SUR UN CAS DE DÉLIRE ÉPILEPTIQUE. 1'23 nouveaux accidents cérébraux capables de l'obliger à un nouvel internement ;
n dehors de sa manifestation épileptique, ce malade avait un « état cérébral » qui le fai- sait se préoccuper et à juste tit
apparence inexplicables, mais qui puisent leur origine dans un état cérébral patholo- gique, au lieu que dans l'observation
es, il existe une graduation dans l'envahissement des hémi- sphères cérébraux par les vapeurs anesthésiques ; la sensibilité
ectives pour des systèmes déterminés de neurones. Dans les maladies cérébrales d'ailleurs comme dans les autres états mor- bid
transmission du son par les os du crâne dans la paralysie infantile cérébrale , la syphilis céré- brale, l'alcoolisme chroniqu
donc dans les deux cas le produit ou l'expression de l'automatisme cérébral pur et on doit les rencontrer dans tous les éta
a conscience est annihilée, en un mot, dans tous les cas de stupeur cérébrale . C'est pour ce motif qu'ils sont d'autant plus
ion de lui-même ; qu'ils sont d'autant plus fréquents que l'inertie cérébrale est plus grande. Cette manière de comprendre la
rement, et ceux de la seconde si fréquemment de la dégéné- rescence cérébrale . Est-ce le résultat du traitement anti-syphi- l
ques ont accompagné, et masqué pendant un certain temps, une tumeur cérébrale . Le premier diagnostic d'hystérie avait été l'e
et en rappelle un exemple. Action des sérums toxiques sur l'écorce cérébrale du cobaye. XL Dopter. Des travaux antérieurs on
en intensité suivant les cas. Les dernières ont porté sur l'écorce cérébrale et atteint surtout les grandes cellules pyramid
mbreux mémoires qui touchent à toutes les branches de la pathologie cérébrale . Dans tous ces travaux, Jules Falret a semé des
études sur la Catalepsie (185î), sur la Séméioloqie des affections cérébrales (1860), sur les Principes à suivre dans la c/tts-
roubles du langage et de la mémoire des mois dans les tiffec- tions cérébrales (1864), sur la Folie raisonnante ou folie morale
t de vue évolutif et dégénératif et au point de vue de dissociation cérébrale accidentelles et acquises. La partie clinique d
t avec les névroses ; 5° délires secondaires aux lésions organiques cérébrales (tumeurs, traumatisme, coup de chaleurs sénilit
de la visite de sa mère) a paru stimuler favorablement son activité cérébrale . ,- Observation IV. Antoine P... âgé de trente-
éréditaires inconnus : aurait été victime en 1899, d'un traumatisme cérébral grave (chute de sur une charrette) ayant exigé
avec ses mains. Cette affection ayant débuté après un trau- matisme cérébral grave, il est fort à craindre que ce qui se pré-
vité du mal, et leur aspect suffit seul pour annoncer une affection cérébrale . Leur expression est généralement sinistre, et
ns inflammatoires, enfin leur relation constante avec des accidents cérébraux de nature profonde et grave, indi- quent que là
hogénique, le trijumeau reste l'agent canalisateur des stimulations cérébrales sus- ceptibles d'influencer le tissu cornéen, n
à peu près normal, à part un certain état de torpeur ou de fatigue cérébrale avec accès d'irritabilité. Toujours manque d'ap
Ce serait mieux encore de les désigner sous le nom d'hallucinations cérébrales , qui .désignerait nettement leur nature. Les
a fait de Broca un initiateur dans la découverte des localisations cérébrales - ? Du jour où la psychologie est devenue biolo
e auditive pour- rait être en rapport avec un phénomène vaso-moteur cérébral . Les troubles respiratoires sont dus à la contr
té seule persiste, on se trouve en présence d'un simple phé- nomène cérébral . M. Dupré trouve que le rapporteur n'a pas insi
tude quelques précisions : Une réaction motrice à laquelle l'écorce cérébrale ne prend pas et n'a jamais pris part n'est pas un
o-spinal, c'est un spasme; une réaction motrice à laquelle l'écorce cérébrale prend ou a pris part n'est pas un spasme, si ce
ce phénomène moteur où se recon- naît la participation de l'écorce cérébrale prend ou a pris part n'est pas un spasme ; si c
si ce phénomène moteur où se reconnaît la participation de l'écorce cérébrale présente certains caractères pathologiques dist
ux centres inférieurs, chez le chien, remontent vers la corticalité cérébrale à mesure que l'on s'adresse à un animal plus él
peut donc très bien avoir son centre. chez l'homme, dans la région cérébrale . ' M. Ballet (de Paris). Au cours de cette disc
des rappels, d'oiigiiie toxique ou infectieuse, d'anciennes lésions cérébrales . Par opposition à ces deux cas et pour montrer
Minodier donnait depuis quelque temps des signes de dérangements cérébraux et avait dû cesser tout travail. Sa femme, âgée d
le bientôt guéri, tantôt un aliéné incurable, suivant sa résistance cérébrale et l'ascendant de son parte- naire. Baillarge
remplis de sang et leurs parois sont infiltrées. Dans la substance cérébrale , diapédèse abondante, infiltration du tissu par
s malheureusement réduits à des hypothèses : Influence de la lésion cérébrale due à l'al- coolisme chronique, troubles circul
rises épileptiformes liées à l'albuminurie, 2 cas de ramollissement cérébral et 1 cas d'hydro- céphalie, le nombre des éléme
où sans la ponction lombaire, le diagnostic avec le ramollissement cérébral serait très difficile. Mais il y a des cas tr
git de troubles pas- sagers, ou si l'on doit incriminer des lésions cérébrales de para- lysie générale. Ici la ponction lombai
troisième enfin une hémiatrophie croisée consécutive à une sclérose cérébrale infantile. Dans ces trois cas, la lésion a ét
; elles atteignent l'appa- reil de la vision en simulant une tumeur cérébrale ou orbitaire. Les véritables métastases cancére
e, à évolution lente, elles se développent au niveau des méninges cérébrales ou médullaires. Leurs processus dégénératifs sont
et, quand on examine les coupes de la moelle ou des circonvolutions cérébrales immédiatement adjacentes à la tumeur, on voit l
MM. Dupré et Devaux à propos d'un cas d'endothéliome des mé- ninges cérébrales . Un dernier point à souligner, et que Bruns a b
ant de comprimer le segment de moelle adjacent ou la circonvolution cérébrale avoisinante, mais sans les envahir à proprement
trois s'étaient développés en pleine masse blanche des hémisphères cérébraux ; le quatrième avait détruit le centre ovale du
qu'à amener la destruction de la presque totalité d'un hémis- phère cérébral ou du cervelet, comme dans nos cas. II. Sarcome
sous la forme de noyaux isolés, plus ou moins volumineux (méninges cérébrales et médullaires ; racines rachidiennes, en parti
aciale souvent unilatérales ; symptômes habituels de la compression cérébrale . 11 est à remar- quer que les noyaux de la moel
ations mentales très diverses. L'auteur responsable du mauvais état cérébral de la famille entière parait être le grand-père
371 L Sur V innervation des vaisseaux de la pie-mère elde l'écorce cérébrale . 013REGL.%. Lorsqu'on détache la pie-mère de la
de Ramon, situées dans la couche la plus superficielle de l'écorce cérébrale , sont préposées à l'innervation des vaisseaux cor
cellules polyaxoniques de Ramon et les vaisseaux de la corticalité cérébrale . 372 SOCIÉTÉS SAVANTES. Séance du 5 août (soi
2° dans le fait que l'extension du gros orteil est, dans les états cérébraux , un accident de contracture susceptible de se mon
t alcoolique. une mère nerveuse arthritique, un grand-père maternel cérébral . Ses frères et soeurs étaient tous morts en bas
e. Prolifération névroglique très marquée dans la substance blanche cérébrale et médullaire. Cette observation présente plusi
irmé le dia- gnostic, et l'examen histologique a montré les lésions cérébrales . ' hépatiques, rénales de la maladie. L'anamnès
cette affection chez les débiles. Etude histologique de l'écorce cérébrale dans 18 cas de mé21cgile. MM. MAURICE F,%URE et
nstaté des lésions des valvules, de l'aorte et de certaines artères cérébrales , une surcharge graisseuse'très accentuée du coeur
5 cas), soit en association avec d'autres affections : l'hémiplégie cérébrale (6 cas), la méninge-myélite (4 cas), etc. Mais
tent toutes les réactions chimiques et histochimiques des nucléines cérébrales . L'étude physio- logique de ces composés n'est
e cinq enfants, était depuis près d'un mois en proie à des troubles cérébraux . C'est dans un moment de crise qu'il s'est suic
nuité et la durée de l'obsession finissent par produire une fatigue cérébrale qui a pour résultante un affai- blissement rela
le cer- tificat a Epilepsie » et qu'il a succombé à une congestion cérébrale . 420 RECUEIL DE FAITS. Accouchement : à terme
omprendre cette locali- sation singulière, E. B. XXXVII. Syphilis cérébrale sept mois après l'accident primitif. Oblitérati
trois jours. Consi- dérations sur l'évolution clinique des lésions cérébrales préco- ces de nature artérielle au cours de la
aisseaux de l'hexagone. Noyau dur siégeant au point d'origine de la cérébrale antérieure et de la sylvienne gauche, ayant dét
e, surtout autour des artérioles et des capillaires de la substance cérébrale , mais aucune des altérations décrites comme car
de l'état et du développement des cel- lules nerveuses de l'écorce cérébrale chez quelques vertébrés nouveau-nés ; par le D1
neurologique, septembre 1899.) Les cellules nerveuses de l'écorce cérébrale de différents verté- brés nouveau-nés présenten
ie en état embryonnaire ; d'un autre côté, la structure de l'écorce cérébrale du cobaye nouveau-né diffère très peu de celle
e celle d'un cobaye adulte normal. Quant à la structure de l'écorce cérébrale des oiseaux nouveau- nés, il est à remarquer qu
ar un état embryonnaire très marqué ; mais la structure de l'écorce cérébrale d'un poulet, qui vient de sortir de l'oeuf, dif
e s'accompagne des mêmes aspects mor- phologiques dans les cellules cérébrales et dans les cellules - spinales, il y a lieu de
l y a lieu de présumer l'origine secondaire des lésions cellulaires cérébrales observées. E. B. XII. Tic de déglutition chez u
méthode dans le tabes, la paralysie générale, certains néo- plasmes cérébraux . Tous ces résultats sont consignés dans cette p
die qui n'arrivait pas jusqu'à l'angoisse. Le jour où les centres cérébraux supérieurs ont perdu leur contrôle et leur infl
es circonstances démontrent 'que le syndrome est avant tout un état cérébral . L'ouuluatonomie, la folie du doute, le délire
iagnostic différentiel entre l'atrophie scapulo- humérale d'origine cérébrale et l'atrophie scapulo-humérale .d'ori- REVUE D'
s cutanées périphériques sont transmises au cervelet et aux centres cérébraux coordinateurs par la voie céré- 'belleuse direc
ir d'être prémédité et machiné. P. Keraval. XXXV. La localisation cérébrale de la mélancolie ; par Bernard IIOLLANDER. (Tit
e, certaines cellules des ganglions spi- naux et certaines cellules cérébrales ; dans ces dernières la subs- tance chromatique
avec nécropsie (2 figures). L\-1. Localisations motrices du cortex cérébral ; par C. S. Sciierrington et GRiiN13AU.NI(Bi'it
iques à des animaux aussi proches que pos- sible de la conformation cérébrale humaine. XLVII. Théories sur l'hérédité ; par A
de ces enfants sont, à la lettre, « nés fatigués » et leur fatigue cérébrale , comme d'ailleurs leur fatigue physique se ma-
où les troubles mentaux seront plutôt ceux qui relèvent de l'anémie cérébrale . Les observations cliniques paraissent con- lir
es pathologiques, tels que hémiparésie, hémianesthésie par foyers cérébraux , peuvent étendre à ces troubles l'hypothèse qu'il
té de comparer est localisée dans la couche moléculaire de l'écorce cérébrale et qu'elle est effectuée par les petites cellules
e prus- sienne. Son père souffrit pendant onze mois d'une affection cérébrale et mourut quand il avait cinq ans. Olla Hausson
on insomnie était due à une dégénérescence artérielle des vaisseaux cérébraux . Il se plaignait de la conspiration du silence
it ce travail, Nietzche succombait (2 août 1000), à une hémorrhagie cérébrale . REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. - 529 Les admir
entre les fines lésions de capillaires des divers tissus hépatique, cérébral , stomacal, etc., comparés à l'état normal de ce
ièrement le long des artères vertébrales, du tronc basilaire et des cérébrales postérieures, ces dernières étant presque compl
. Voir Queue de cheval. Cordons postérieurs Voir Fibres. Cortex cérébral . Localisations mo- tiices du, par Scherriiigton
velet, par Lannois et Paviot, 357. Etude histologique de l'écorce cérébrale dans 18 cas méningite par MM. Faure et de Lai
mant, par 17éi-(, 506. SERUMS ' toxiques. Action des sur l'écorce cérébrale du'cobaye, par Dopter, 178. Sons. Voir Cervea
Epilepsie. S1DH0\IE occipital I)OLBLE, j)iU Dide, 179. Syphilis cérébrale sept mois après l'accident, par Clumrt, 437.
53 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
e d'un affaiblissement portant sur toutes les fonctions de l'écorce cérébrale et se rattachent-elles par con- séquent à un tr
oire à un épuisement localisé. L'épuisement général des fonctions cérébrales a été signalé par beaucoup d'auteurs, les hysté
l est nécessaire de préciser ce que l'on entend par cette faiblesse cérébrale . Il ne suffit pas de dire, ce qui d'ailleurs es
ébralement affaiblie, car il y a mille variétés d'af- faiblissement cérébral , et il faut, autant que possible, montrer celui
u champ de la conscience n'est qu'une manifestation de l'épuisement cérébral général que l'on a admis. Cet épuisement nous s
ies par segment de membre, disait'M. G. Guinon, sont des phénomènes cérébraux , l'hémianesthésie également, l'état mental, syn
faut donc admettre que l'hystérie est une névrose particulièrement cérébrale z. » * L'hystérie n'est qu'une manière de fonct
lier ; il n'y a pas une maladie hystérique... c'est le mécanisme cérébral qui est hystérique, ce n'est pas l'affection ? »
nt défectueux des centres fonc- tionnels les plus élevés del'écprce cérébrale ... On court moins de risque de se tromper en co
lement l'hystérie à un trouble dans le fonctionnement des régions cérébrales les plus élevées. L'hystérie est moins, d'après e
ÉCENTES DE L'HYSTERIE. '1 ' i qu'une insuffisance du fonctionnement cérébral ne s'accom- pagne pas de beaucoup d'autres trou
ces modifications physiologiques qui accompagnent les insuffisances cérébrales seront déterminées d'une manière assez précise
modifications physio- logiques qui accompagnent cette insuffisance cérébrale . Nous espérons seulement que cette définition t
rices, la paralysie périphéro-spinale (ou bulbaire) et la paralysie cérébrale . Cette distinction est parfaitement en accord a
érieures dans la moelle, et le second qui va de là jusqu'à l'écorce cérébrale . La nouvelle histologie du système nerveux, fon
lysie périphéro-spinale est une paralysie détaillée, la para- lysie cérébrale est une paralysie en masse. Le type de la pre-
ndis que l'autre en souffre d'une manière constante. La paralysie cérébrale , au contraire, est toujours une affec- tiôn qui
ction de laquelle ils sont l'instrument unique. Dans les paralysies cérébrales des extrémités, on peut remar- quer que les seg
s paralysée que l'épaule. Il n'y a pas, que je sache, une paralysie cérébrale isolée de l'épaule, la main conservant sa motil
nce importante entre la paralysie périphéro-spinale et la paralysie cérébrale doit être cherchée dans la structure du système
correspondent sous ce rapport à la paralysie de représentation, ou cérébrale organique. En outre, en ce qui concerne la nutr
ralysie hystérique présente les mêmes carac- tères que la paralysie cérébrale organique. Si la paralysio hystérique se rattac
ique. Si la paralysio hystérique se rattache ainsi à la paralysie cérébrale et particulièrement à la paralysie corticale, qui
le n'est pas soumise à cette règle, constante dans les paraly- sies cérébrales organiques, il savoir que le segment périphé- P
olées, en contradiction avec les règles de la paralysie orga- nique cérébrale . Sous ce rapport important, la paralysie hystér
, sujette aux strictes lois qui régissent la dernière, la paralysie cérébrale . Ces res- trictions faites, on peut soutenir qu
e et la paralysie corticale, type le plus parfait de la para- lysie cérébrale organique. Le premier de ces caractères dis- ti
e, peut être beaucoup plus dissociée, systématisée que la paralysie cérébrale . Les symptômes de la paralysie orga- nique se r
fois et c'est en cela qu'elle contraste le plus avec la paralysie cérébrale organique, dans laquelle, d'une manière constante
s nerveux qui ne sont pas complètement détruits. En cas de lésion cérébrale , on connaît la fréquence et la durée de l'hémi-
t digne d'être relevé, c'est qu'il y a quelques formes de paralysie cérébrale qui ne se trouvent pas réalisées dans l'hystéri
sur les conditions qui dominent la symptomatologie de la paralysie cérébrale . Ce sont les faits de l'anatomie, la constructi
'il n'y a pas une grande facilité de dissociation pour la paralysie cérébrale commune, c'est parce que les fibres de conducti
en est l'expression clinique, comme tous les détails des paralysies cérébrales sont l'expres- sion clinique d'un fait anatomiq
'un fait anatomique. Comme il ne peut y avoir qu'une seule anatomie cérébrale qui soit la vraie et comme elle trouve son expr
trouve son expression dans les caractères cliniques des paralysies cérébrales , il est évidem- ment impossible que cette anato
r cette raison, il n'est pas permis de tirer au sujet de l'anatomie cérébrale des conclusions basées sur la symptomatologie d
s, adhé- rence, par places, de la pie-mère et de l'écorce, atrophie cérébrale , surtout des lobes frontaux, vaisseaux scléreux
otie. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 51 sation cérébrale des sensations du toucher, de la douleur, de la
Il s'agit d'un homme ayant présenté les symptômes d'un néoplasme cérébral avec attaques d'épilepsie partielle, puis hémiplé
par le Dr 111NDRED. L'auteur décrit le procédé des coupes de tissu cérébral par con- gélation, procédé qu'il s'étonne de ne
f ïnsanity, 1892.) E. B. IX. DES FIBRES D'ASSOCIATION DANS L'ÉCORCE CÉRÉBRALE DES PARALY- TIQUES généraux; par M. Lioubimov.
élaboration des images verbales motrices. La surdi-mutité d'origine cérébrale , différant en cela de celle qui résulte d'une a
f insanity, 1891.) E. B. XVI. LA PRÉTENDUE AIRE MOTRICE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE ; par le Dr LANE. Après avoir repris l'histoi
nt donné de la couche corticale, il ne s'en suit pas que cette aire cérébrale soit, à l'état sain, le siège d'une impulsion v
t du mouvement qui en est la conséquence. La tota- lité de l'écorce cérébrale serait une région sensorielle, siège de la mémo
e la nature sensorielle de la soi-disant aire mo- trice de l'écorce cérébrale trouve un appui dans l'existence des hallucinat
esophagien. ' 2° Vaisseaux de la base du cerveau avec embolie de la cérébrale postérieure gauche et alhérome de la cérébrale
u avec embolie de la cérébrale postérieure gauche et alhérome de la cérébrale moyenne. -Coeur du même mavégétations aortiques
ations micrographiques de ces divers tissus. 3° Section de l'écorce cérébrale (aire motrice) dans un cas de mélancolie aiguë,
ée du sternum. En outre, on cons- tate toute une série de symptômes cérébraux et spinaux, tels que céphalée, indolence, apath
s qu'une fraction plus considérable se pro- longe dans la direction cérébrale et fait partie du ruban de Reil, puis se dirige
critérium clinique les troubles moteurs et sensitifs de la syphilis cérébrale , et comme critérium anatomo-pathologique les lé
m la paralysie générale syphilitique; mais il admet que la syphilis cérébrale peut au début revêtir le masque symptomatique d
révelant la nature organique de la folie; de même aussi la syphilis cérébrale peut revêtir le masque de la para- lysie généra
des mi- cracéphales (1859-60 et 1875) ; - le poids des hémisphères cérébraux ; sur un crâne parisien déformé ; sur l'homme et
troubles actuels des sphincters. Vue, ouïe, normales. Les fonctions cérébrales ne laissent rien à désirer. L'examen des yeux e
dans les autres viscères, foie, rein, rate. Cerveau. Les méninges cérébrales sont injectées, leurs veines sont fortement dil
leux et ressemble beaucoup à celle que l'on rencontre dans l'écorce cérébrale ; mais à un fort grossissement on aperçoit encor
e, dont l'aspect, se .rapprochait beau- . coup de celui d'un gliome cérébral ..C'est sans, doutera cette circonstance qu'il f
PI dlH ho ? tfJP qn f)c''1l1c. V. Un CAS D APHASIE DANS la syphilis cérébrale ; p.r K..H ! f.llO ? r ? E,R '.1 ,^v J' d. - L(A
e qui avait rem- placé une portion assez importante de la substance cérébrale , ne 134 REVUEf'DE PATHOLOGIE NERVEUSE. .saura
ce malade il y a- eu, comme accidentrprimordial;' une· concussion' cérébrale , ayant' eu., pour .'résultat immédiat; une dest
hétisant tous les mouvements anormaux qu'on rencontre dans l'ataxie cérébrale , cérébelleuse, bul- baire ou spinale. On ne peu
a'pro)iférér; il y a eu, par suite;' irritation' de' là substance' cérébrale à1' laquelle* on peut' rapporter la' chorée L'i
e produit.- · Li,- . G. D. ., , i . j . · ? 1 , , XXX. Hémiplégie cérébrale spasmodique avec imbécillité ; par ·LItONCELLI
fil l' ¡ 1 . XIII. INTERVENTION DE la chirurgie dans LES maladies cérébrales DE l'enfance; par le Dr Franck Parsons-Norbury,
De l'emploi des médicaments * dérivatif externes dans les maladies cérébrales et nerveuses. Le séton à la nuque est indiqué q
tingue les formes atteignant le sys- tème nerveux (cérébro-spinale, cérébrale , spinale, périphérique), l'appareil digestif (n
'action des bro- mures. Dans l'épilepsie symptomatique de lésions cérébrales , on doit administrer ces médicaments avec prude
ées dans plusieurs thèses de doctorat et dans l'article Hémorrhagie cérébrale , inséré par M. Brouar- del dans le Dictionnaire
rose en plaques, les arthro- pathies, la pathogénie de Phémorrhagie cérébrale , etc. Il donnait le sujet, traçait le plan, fou
a doctrine des localisations motrices dans l'écorce des hémisphères cérébraux de l'homme (en collaboration avec Pitres, 1883)
9) ; - Traitement du vertige de Minière (1890) - Un cas de syphilis cérébrale héréditaire tardive; Encore deux cas de syphilis
réditaire tardive; Encore deux cas de syphilis 206 J.-M. CHARCOT. cérébrale ; Sur un cas de claudication intermittente par ob
; non, c'est en calmant directement, paraît-il, la cellule nerveuse cérébrale en éréthisme qu'elle amena l'apaisement, tout e
i- lise dans le quartier; aucun indice d'accoutumance; congestion cérébrale suivie de mort dans les quarante-huit heures. O
cune trace de foyer septique permettant d'expliquer la complication cérébrale par le mécanisme de l'auto-intoxication infecti
médication orchi- tique, thyroïdienne, pancréatique, capsulaire et cérébrale , les injections d'extraits organiques, la trans
11 n'existe encore que peu d'observations de cette sorte de tumeur cérébrale où des cellules ganglionnaires entrent à titre
des fibres à myéline tangentielles de l'écorce dans la compression cérébrale . Voici cette observation, qui, au point de vue
range, parti de la face interne du lobe frontal gauche. Compression cérébrale ; atrophie par com- pression des fibres tangenti
nant compte de la lenteur des réactions qui est le fait de son état cérébral ; elle est peut-être un peu diminuée à gauche; enf
eignements fournis sur son compte, on porte le diagnostic de tumeur cérébrale . Les 76 CLINIQUE NERVEUSE. troubles de l'équi
. Origine des cellules néoplasiques. Sur toute la tumeur l'écorce cérébrale envahie par le néoplasme ne se distingue plus du
lyser exactement la nature de cette altération. La portion d'écorce cérébrale détruite complètement ne représente qu'un petit
ouvent avec des îlots de substance grise dans l'épaisseur des lobes cérébraux , sans connexions avec l'écorce. Tùngcl, Mesched
à la base du nez, aux dépens sans doute d'un pincement de l'écorce cérébrale ; elle n'avait d'ailleurs plus aucun rapport ave
la tumeur que je viens de décrire; ses connexions avec , ^l'écorce cérébrale , qu'elle ''envahit de proche en proche; son dév
naître que quelques formes d'aliénation mentale liées à une lésion cérébrale sont cependant sous l'étroite dépendance du milie
a névrite périphérique. Peut- être s'agit-il de lésions de l'écorce cérébrale qui, dans, l'état actuel de nos connaissances,
1 M. LEYDEN. La sclérose en plaques disséminées, avec symp- tômes cérébraux , diffère de la sclérose en plaques purement spi-
lusivement fonctionnelles, et il est douteux que tous les symptômes cérébraux , qui ne relèvent pas de lésions anatomiques per
ation la masse du cervelet avec les con- ducteurs émanés du système cérébral . Enfin, dans notre observation, comme dans cell
de l'esprit. Il y a donc une lacune dans l'exercice des fonctions cérébrales de tels hommes. C'est M. Magnan qui en a donné
eur d'évolution, et contenant cha- cun un groupe de circonvolutions cérébrales . Le plan inférieur est formé par la moelle, la
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 387 la région rolandique de l'écorce cérébrale et les ganglions du corps strié : il est le lie
'y a pas d'épilepsie. Cela étant, ce n'est pas dans les territoires cérébraux qui président au mouvement, mais dans ceux qui
est amené à la localiser dans la partie antérieure des hémisphères cérébraux , conclusion qui coïncide absolument avec celle
nt enfin ceux qui se mani- festent après l'ablation des hémisphères cérébraux chez un ani- mal : les centres locomoteurs de l
le de symptômes est dû. à un trouble de la circulation de la lymphe cérébrale . De là des troubles de nutrition des cellules n
- ladie, la tendance héréditaire de certains types d'organisation cérébrale . » On ne saurait d'ailleurs résumer la thèse, trè
rative de la dégénéres- cence secondaire consécutive aux affections cérébrales et spinales. Conclusion : Nous tendrions à ad
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 397 court à l'innervation des vaisseaux cérébraux , par des fibres vaso- constrictives et vaso-dil
ons moléculaires. P. K. XXXVIII. Attributs fonctionnels DE l'écorce cérébrale ; par Aug. Raller. (Braiii, Parts LIX et XL, p.
on. P. SOLLIER. XXXIX. Description DE la couche motrice DE l'écorce cérébrale d'un enfant; par le Dr Edwin GOODÀLL. L'auteu
déceler la présence chez l'enfant, il les a constatés dans l'écorce cérébrale du chat. En résumé, trois couches de l'écorce o
richesse des réseaux vasculaires. En comparaison avec cette écorce cérébrale d'enfant de dix-huit heures, l'auteur a examiné
cérébrale d'enfant de dix-huit heures, l'auteur a examiné l'écorce cérébrale motrice d'un enfant de deux ans. La différenc
l'aspect des couches élait à peu de chose près celui de l'écorce cérébrale chez l'adulte. (Ime·ic«n jo2z·nul of ins«zit, 189
raît s'accentuer parallèlement à la chronicité. L'atrophie du tissu cérébral existe dans les deux tiers des cas, et si l'on
observe au lieu de la pâleur. La diminution de consistance du tissu cérébral , les granulations épendymaires appartiendraient
hagies méningées. L'atrophie, la diminution de consistance du tissu cérébral manquent presque toujours. Les signes de conges
veuses et de leurs noyaux dans l'épilepsie. R. M.-C. XLII. Tumeur cérébrale intéressant les lobes frontaux; par A. HILL Gri
traux que régit immédiatement l'écorce, car alors chaque hémisphère cérébral innerve suffisamment les muscles chargés de mou
aladies psychiques constitution- nelles consécutives aux affections cérébrales ; m) les maladies mentales constitutionnelles co
a syphilis céré- brale et l'affaiblissement intellectuel par lésion cérébrale circons- crite. Enfin la troisième classe compr
une pure neurasthénique, car la céphalée, l'insomnie, la dépression cérébrale , l'asthénie motrice, l'atonie gastro-intestinale,
e très peu d'alcooliques, surtout d'alcooliques avec manifestations cérébrales . On constatera bien quelques scléroses hépatiqu
mydriase; - amélioration spontanée; - le 15 mars 1881, intégrité cérébrale , mais parésie du bras droit, hypoesthésie du cubi
e l'éminence hypothé- nar;t endartérite syphililique'diffuse de' la cérébrale .moyenne, de la cérébrale antérieure,, de laibas
;t endartérite syphililique'diffuse de' la cérébrale.moyenne, de la cérébrale antérieure,, de laibasilaire et de leurs 'branche
nétique des centres corticaux et de l'appareil', olfactif. L'écorce cérébrale la plus ancienne, celle des reptiles; «se -conf
à trois heures. Il est très probable qu'ils tiennent à de l'anémie, cérébrale par suite d'un afflux exagéré du sang aux viscère
moins suspendue; il y a du désordre dans les idées par automatisme cérébral , par profusion dans les excitations personnelle
ne s'était pas borné à la simuler. P. SOLLlER. XI. Les diplégies cérébrales de l'enfance; par E. ROSENTIIAL. Paris, J.-B. B
qu'inspirée par M. le Dr Freud, de Vienne (Autriche). Par diplégies cérébrales , l'auteur désigne quatre types patholo- giques
os observations, prises dans son service, ont trait à des diplégies cérébrales , nous avons nous-même soutenu la même hypothèse
de pseudo-athétoses, etc., pour- raient recevoir celui de diplégies cérébrales . Les critiques que nous ferons à M. Rosenthal s
lus loin, nous lisons : « Pour nous, l'hypoéhondrie est une névrose cérébrale dépendant d'une altération de nutrition du cerv
es. - pagne, 1893. Chez l'auteur. 1 r. " ' J' VIALET. Les centres cérébraux de la vision et l'appareil nerveux visuel intra
d' hystérique; par llolst, 1 ia. i 1 1 Aphasie, dans la syphilis cérébrale , par Heilbronner, 132; de l' - dans la paraly
e par la douche statique. par ' A. Voisin,413. 1 1 i ;, - , ' .1, Cérébrale ,' attributs fonctionnels de l'écorce , par A'.
'; 507.' Chirurgie, intervention de t lat - ,J dans les'maladies' cérébrales 'de l'enfance, par Parsons' Norbury, tr 1b8 :
,, de l'emploi des mél31ca- ments - externes dans les mala- 'dies cérébrales et nerveuses, par Erlenmeyer, 165. ; , Diplég
es cérébrales et nerveuses, par Erlenmeyer, 165. ; , Diplégies, - cérébrales de l'enfance. par Rosenthal, 503 ' ,, 1 Doigt
rale avec cécité psychique, par Vorster, 155. , , ' Hémiplégie cérébrale spasmodique 1 .avec imbécilité, par Limoncelli
? par Grasset, 504. ' Motrice, prétendue aire jdel'é-; , corce cérébrale , par, L'âne, 57. 1 MvËnTE ? chronique/, et, lés
estion' de 'la ' et du tabès,' par L. Minora 132; aphasie dans la cérébrale ,1 par Heilbronner; 132. te t tin z a il , Î S
54 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t 1899. WiLLiAHSON. Lésions rétiniennes en rapport avec des lésions cérébrales . Thèse Paris 1890. Les fugues dans les psychose
ntral ; et bien qu'il soit aisé de construire un schéma de l'écorce cérébrale qui réconci- lie les faits observés par Cajal a
. C. VII. Etudes histologiques sur la localisation de la fonction cérébrale ; par Alfred W. Campbell. (The Journal of Mental
à la .-)2 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. perturbation des cellules cérébrales corticales qui donne naissance à l'attaque d'ép
sance à l'attaque d'épilepsie. R. de Musgrave CLaY. II. Anévrysme cérébral de dimensions remarquables avec - remarques sur
hie du cerveau dans les deux régions pariétales. Un anévrysme de la cérébrale anté- rieure droite comprime et déprime la circ
it à son extrémité où la sonde passe de la carotide interne dans la cérébrale antérieure. Le caillot mesure 3 cent. 4 dans le
t ce poids sont exceptionnels. R. de Musgrave-Clay. III. Syphilis cérébrale avec ophthalmoplégie double; par lcHa&n. (B
tous les médicaments qui modifient le fonctionnement des fonctions cérébrales supé- rieures, et par conséquent la question de
on lui aurait épargné une longue maladie destructrice des cellules cérébrales . Plusieurs faits publiés paraissent indiquer qu
e variation structurale s'écartant du type normal de l'architecture cérébrale et consti, tuant une grosse différence dans les
différence dans les dimensions ou dans l'arrange, ment des cellules cérébrales , ou dans ces deux choses à la fois ; 2° une var
même chose. Le mysticisme dualiste,en séparant l'âme de l'activité cérébrale .com- pliquait inutilement la question ; mais le
es généra- tions actuelles contre les effets menaçants du surmenage cérébral et des causes de dégénérescence inhérentes à no
Ensuite Stchcrhak s'étend longuement sur 5 cas d'affection du tronc cérébral (dont un cas avec autopsie), servant d'exacte ill
n détail devant le lecteur, toute l'anatomie physiologique du tronc cérébral ; ces cas sont : 1° affection bulbo-spinale gliom
sement de la partie supérieure de la protubérance et du pé- doncule cérébral ; 5° tumeur de l'hémisphère droit du cervelet.
l'ouvrage intitulée par l'auteur « anatomie physiologique du tronc cérébral étudiée au moyen de l'observation clinique », rep
illeurs matériaux pour l'étude de l'anatomie microscopique du tronc cérébral pour ainsi dire au su- jet vivant, mais encore
i-egi-elle sa conduite et l'attribue franchement à son dérangement cérébral . Les observations II et III se rapportent à des
les : ainsi l'alcool qui circule dans le sang. stress; l'hémorhagie cérébrale , stress; l'apparition de la puberté, stress; la
de soigner d'une manière spéciale les enfants dont le développement cérébral est défectueux est de plus en plus généralement
rtance des sept premières années de l'enfant dans son développement cérébral est pourtant démon- trée d'une façon simple et
MM. Deny et Camus soient autori- sés à faire intervenir une lésion cérébrale pour le déterminer. M. ARNAUD fait observer que
avec les troubles oculaires, un symptôme important de trau- matisme cérébral . Si dans le cas cité le traumatisme est inter-
nt normales et même exagérées. Petites hémorrhagiessous la pie-mère cérébrale dans l'épilepsie. AI.QUIER et Anfimou ont const
ur d'habits nommé Charles Despouy donnait des signes de dérangement cérébral . II vivait à Cazarilh, petite commune de la val
«le dédoublement et l'indépendance fonction- nelle des hémisphères cérébraux . » En 1882, les fameuses expériences d'hypnotis
plaques métalliques avait transféré d'un côté à l'autre l'activité cérébrale et l'hypnotisme avait rendu ma- nifeste cette a
té cérébrale et l'hypnotisme avait rendu ma- nifeste cette activité cérébrale unilatérale n. Séance du 8 juillet (voir l'inde
l'ceil recouvert par le bandeau. Alors on constate que l'excitation cérébrale croisée est en rapport avec le degré de la caus
ultats des effets de l'in- dépendance même relative des hémisphères cérébraux ; elles n'ont L à ce sujet pas plus de valeur q
successive- mentdel'anatomie,de la physiologie, de la thermométrie cérébrale , etc., sont tels qu'on se les représente en se
- blation d'un hémisphère chez diverses espèces ; les suppléances cérébrales ; les atrophies cérébrales unilatérales ; les hal
chez diverses espèces ; les suppléances cérébrales ; les atrophies cérébrales unilatérales ; les hallu- cinations unilatérale
, de la dualité et des différences phy- siologiques des hémisphères cérébraux . Supposant que' dans les cas d'agraphie ou d'ap
. Janet (1894, p. 415 à 419). Entre temps,la question du dualisme cérébral et des rapports de chaque hémisphère avec les d
2) l'indication de quelques-uns des travaux faits sur le dua- lisme cérébral depuis Wigan. On peut ajouter à cette liste ceux
ns les nombreuses théories qui concernent plus ou moins le dualisme cérébral . Remarquons enfin que toutes ces hy- pothèses s
ou bilobé». Il se demande si « de la simpli- cité de leur ganglion cérébral », on peut « conclure à la simplicité de leur s
iques (Voir L. Bolk, 1906, surtout p. 383 à 398). Les hémisphères cérébraux suivent un développement en rapport avec la com
adrijumeaux antérieurs, deux pulvinars, mais il n'y a qu'une rétine cérébrale . Nous dé- lopperons ce point à propos de la phy
s un seul groupe de pyramidales isodynamiques. L'unité de la rétine cérébrale corrige la dualité de l'impression centrale. La
phes sur l'indépendance possible des 220 LÉGISLATION. hémisphères cérébraux ne sont plus admissibles aujour- d'hui, du moin
enfin incapable d'expliquer les nombreux cas connus d'hémiatrophie cérébrale ou de vaste porencéphalie uni- latérale demeuré
pendance fonctionnelle, tempo- raire ou permanente, des hémisphères cérébraux , ill'est, en outre, à toutes celles qui visent
ilibré, prédisposé, au moment de la condamnation. Il avait une tare cérébrale qui a été méconnue et qui était de nature à fai
ir pris.') cachets de Ogr.10 de corps thyroïde, une surex- citation cérébrale désagréable, des colères, des crises de larmes,
provoqué de l'insomnie, des crises de pleurs, de 1'liypeie;- thénie cérébrale . Il est permis d'admetlre dans ce dernier cas,
de caractères importants tels que l'altération diffuse de l'écorce cérébrale sans altérations ma- croscopiques, et l'absence
250 REVUE D ? \.1«ATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. l'écorce cérébrale , signala pour la première fois un type cellulaire
ication alcoolique aété reconnue comme cause exclusive des troubles cérébraux . B) Le second groupe comprendra les cas d'alcoo
en faveur de l'alternance d'action ou de suprématie des hémisphères cérébraux ? i Du reste, avant de passcspar les«six états
stence des nombreux centres hiérarchisés du diencéphale et du tronc cérébral qui pré- sident aux mouvements de la face et qu
s; pour les autres,' c'est un trouble physiologique de l'é- corce cérébrale , unique dans sa nature, mais variable dans son
ersonne n'est d'accord, pourquoi ne pas s'adresser à la physiologie cérébrale qui est mieux connue, et comment nous,médecins,
à rechercher s'il n'y avait pas un trouble de'cerveau, des centres cérébraux - où tout le monde. est ,'d'accord,je crois.pou
ations 'somatiques et psychiques concomi- tantes. -, Notre écorce cérébrale est formée de deux parties : l'une postéro-laté
en partie déterminés. Quoi qu'il en soit,on admet que,sur l'écorce cérébrale , l'organisme tout entier se trouve projeté dans
res années, il a parlé comme moi de l'engourdissement des centres cérébraux comme fondement des troubles hysté- riques. Nou
substituées les unes aux autres, liées qu'elles étaient à des états cérébraux nouveaux provoqués par ces causes. On a ainsi l
idées fixes. En réalité, ces idées disparaissent par ce que l'état cérébral qui amenait ces troubles les entrete- nait en m
st une fonction normale du cerveau en activité normale. Le réveil cérébral s'accompagne de réactions motrices, sensitives,
à deux causes : 1° le degré de l'engourdis- sement, de l'inhibition cérébrale , et 2° l'étendue,le nom- bre des centres attein
s, ce sont les varia- tions de l'état d'engourdissement des centres cérébraux atteints. Ceux-ci peuvent bien dans certains ca
ons parallèles des troubles hystériques et de l'engourdisse- ment cérébral . Nous avons ainsi, dans les expériences dr réve
ttant de rapporter chaque phé- nomène à tel ou tel degré du sommeil cérébral , et aus- si une méthode thérapeutique, pathogén
sensations de perceptions peuvent être « communi- quées par la voie cérébrale , d'un individu à l'autre indivi- du » (p. 89).
le corps calleux n'est donc qu'une annexe, un dérivé de l'écorce cérébrale ; il n'apporte pas à son fonctionnement d'élément
ment exagéré des fibres nerveuses de la névroglie dans la substance cérébrale ; et 2° une altération simultanément étendue des
hies correspondent en grande partie à la zone de distribution de la cérébrale moyenne. On conçoit facilement, d'ailleurs, que
ar les observations rapportées.que les diverses couches de cellules cérébrales réagissent différemment à l'égard des agents ir
423 0 dans les états ou dans les rapports de celles des cellules cérébrales dont les activités normales sont accompagnées d
CFAY- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 429 l lIr.- Un cas de tumeur cérébrale avec sommeil; par 11AILLARD et J\ ! ILHIT, (L'E
sphénoidal gauche. En raison de la diversité du siège des tumeurs cérébrales , il parait impossible de rapporter le symptôme so
ses convulsives avec hématémèses abondantes, et un cas de néoplasme cérébral ayant débuté par une hémorragie, précédée elle-
I. Thomas d'un vieillard hémi- plégique du côté gauche avec lésions cérébrales du côté droit, SOCIÉTÉS SAVANTES. in mais atr
ents anatomiques que le pathologiste a à consi- dérer dans l'écorce cérébrale , les fibres myéliniques sont certai- nement ceu
misphères de 41 sujets ayant de 3 mois à 97 ans, indemnes de lésion cérébrale , pour lesquels l'auteur asoin de donner les ren
uvent, à son genre de vie dans les agglomérations et au sur- menage cérébral et psychique qui en est le corollaire. Peut-êtr
du système nerveux. Les onze can- didats ont eu à traiter : Artères cérébrales . Les questions restées dans l'urne étaient : Co
mmeil' localisé ou généralisé, passager ou permanent, des centres cérébraux , et se traduisant, par conséquent, suivant les ce
vrais cependant y ajouter quelque chose, c'est que tous les centres cérébraux étant doués d'irrita- bilité, toute diminution
eil, par- tiels, atteignant seulement certaines parties de l'écorce cérébrale . A;cames, 3° série, 1907, t. I. 29 450 CLINIQ
ar elle traduit exactement l'étendue et l'intensité de l'inhibition cérébrale . Prenons, en effet, un centre cérébral quelconq
intensité de l'inhibition cérébrale. Prenons, en effet, un centre cérébral quelconque et supposons-le frappé d'un état d'i
c ce centre va se trouver diminuée, et, suivant le rôle du centre cérébral intéressé, nous observerons des troubles de sen
Cependant de deux choses l'une : ou l'on admet les localisa- tions cérébrales , et alors il est naturel d'admettre que les centr
ions des centres fonctionnels ; ou on n'admet pas les localisations cérébrales , et alors je ne peux m'expliquer comment l'espr
fonctionnels, et que depuis longtemps je soutiens que les cen- tres cérébraux sont avant tout des centres dynamiques. Leur sièg
actuelle, soit de son étendue ou de sa profondeur. Tous les centres cérébraux ne participent pas au mê- me titre à la fonctio
mais les phénomènes psychologiques étant la conséquence de l'état cérébral et non sa cause,et n'étant pas constants, il es
imitif de l'hystérie constitué par une sorte de sommeil des centres cérébraux , d'engourdissement cérébral. Pour le dire je m'
é par une sorte de sommeil des centres cérébraux, d'engourdissement cérébral . Pour le dire je m'appuie sur ce fait, sur cett
e et consiste essentiellement dans une sorte de sommeil des centres cérébraux . Mais quel est ce sommeil ? J'ai fait à ce suje
ensuite me reprocher-à tort du reste-d'avoir con- fondu le sommeil cérébral , cause de l'hystérie, avec le sommeil naturel.
'ai pas été cependant sans m'inquiéter de la natu- re de ce sommeil cérébral ,ou pour mieux dire de sa cause. Car,sur sa natu
ie au sommeil naturel. Il m'accuse de rattacher cet engourdissement cérébral à de l'épuisement, intoxiqué que j'étais par la
produit au cours de l'adolescence des arrêts dans le développement cérébral . Ces arrêts peuvent persister, et l'écart entre
e est une manière de fonctionner du cerveau, que c'est le mécanisme cérébral qui est hys- térique, et non l'affection. Par
tte manière de voir sans l'a- dopter. Mon idée de l'engourdissement cérébral provo- quant l'hystérie est qu'il est analogue
pas beaucoup ni la question du sommeil normal, ni celle du sommeil cérébral spécial à l'hystérie, et que, au point de vue c
t avoir aucune prise. Com- ment dès lors cet état d'engourdissement cérébral tout (1) Ce réveil amène des réactions très spé
s, parce que je les attribue à une diminution de l'irrita- bilité cérébrale , produisant un état de vie latente qui se tradu
n qui ne se pose pas à mon avis. Il est rare en effet que l'arrêt cérébral soit complet, même dans le cas où il apparaît c
, tout en restant toujours au-dessous de la normale de l'activité cérébrale , les centres engourdis et ils ne le sont pas to
ersonnalité et une transformation complète de leur état,leur réveil cérébral et leur guérison de ce fait même. Mais cette
de ces phénomènes comme des réactions dues au réveil de l'activité cérébrale . Sur le premier point aucune discussion a prior
- qu'à l'inhibition complète des centres fonctionnels de l'écorce cérébrale . L'hystérie n'est donc que l'exagéra- tion de c
us une conception dynamique et non purement mécanique de l'activité cérébrale , dans laquel- le l'autonomie étroite des centre
question de l'indépendance fonctionnelle relative des hémisphères cérébraux , non pas telle que la présente le duplicisme, don
ILLON (Edgar). De l'indépendance fonctionnelle des deux hémisphères cérébraux , thèse de Paris, 31 juillet 1884, 187 pages. Bt
s les voies de communication entre les zones motrices de la surface cérébrale et les membres. CAJAL (Santiago Ramon y-).- Est
DUMONTPALLIER. De l'indépendance fonctionnelle de chaque hémisphère cérébral et de l'influence du degré des excitations péri-
sur le degré des manifestations fonctionnelles de chaque hémisphère cérébral chez l'hystérique hypnotisée, Soc. Biol., 8 jui
1 DUMONTPALLIER. Indépendance fonctionnelle de chaque hémisphère cérébral . Illusions, hallucinations unilatérales ou bi-
à 797. FÉRÉ (Ch.). -L'excitabilité comparée des deux hémisphères cérébraux chez l'homme, Année psyclaol., VII, p. 143 à 160,
1901. FÉRÉ (Ch.). L'alternance de l'activité des deux hémisphères cérébraux , Année psychol., VIII, p. 107 à 149, 1902. Longue
chol., VIII, p. 107 à 149, 1902. Longue biblio- graphie du dualisme cérébral (p. 107 et 108 et 146 à la fin). Ce mé- moire (
édical, XIX, 1904. L'action motrice bilatérale de chaque hémisphère cérébral , Année psychol, XI, p. 434 à 445, 1905. HARAL
ppement antérieurs à 1903. Magniez Du fractionnement des opérations cérébrales et en partie de leur dédoublement dans les psyc
de la névrite radiculaire trans- verse. j F. Tisser. XXVI. Abcès cérébral , nécrose corticale, syndrome méningé ; par DUPR
e vaux. (Nouv. Icon. de .la Salpêtrière, 1906, no 3.) - Les abcès cérébraux les plus nettement circonscrits, s'ils repré- s
cation corticale. F. TISSOT. XXVIL-De quelques altérations du tissu cérébral dues à la pré- sence de tumeurs (Suite) ; par W
à par l'aqueduc au quatrième ; la production d'altérations du tissu cérébral sous l'influence de la pression développée par
une fibre de l'écorce occipitale ne passe dans le pied du pédoncule cérébral ; toutes les fibres que les ré- gions postéro-i
e avec délire systématisé, dans la folie par épuisement, par anémie cérébrale , etc. Il a noté en outre que les globules rouges
hèse (1882) sur les «Troubles fonctionnels de la vision par lésions cérébrales (amblyopie croisée et hémianopsie) » en est la
bution et l'étude des troubles fonctionnels delà vision par lésions cérébrales . 1 vol, 1882 ; - Hysteria epilepsy and the spas
ntelligence, au nombre, à l'activité, à la cohésion de ses neurones cérébraux , à l'excellente constitution dont sagaité n'éta
primerie Daix frères et Thiron. TABLE- DES MATIÈRES Voir Otite. - cérébral , nécrose corticale, syndrome méningé ; par Du
juvénile progres- sive ; par Lejonne et Rose, p. 438. Anévrysme cérébral de dimen- sions remarquables avec re- marques
latérale du et sur l'indépendance fonctionnelle des hémisphères cérébraux ,; par Bonne, p. 177, 293, 370, 466. - thyroïde
e folie ; par Atilson Rhodes, p. -131. -, Voir Troubles. Fonction cérébrale . Etudes his- tologiques sur la localisation d
trophie croi- sée du cervelet ; par Thomas, p. 438. Hémisphères cérébraux . Voir Corps. Hémorkiiagies. Petites sous la
cérébraux. Voir Corps. Hémorkiiagies. Petites sous la pie-mère cérébrale dans l'épilepsie ; par Alquier et An- fimou,
11C/- ladies somatiques. Syndrome méningé. Voir Abcès. Syphilis cérébrale avec ophtal- moplégie double ; par Achard, p.
Maillard ct Dlilliit,1>. 429. De quelques altérations du tissu cérébral dues à la pré- sence de ; par Weber, p. 488.
55 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sans contredit l'in- tégrité du facial supérieur dans l'hémiplégie cérébrale ba- nale. Tous les classiques sont unanimes à c
. Tous les classiques sont unanimes à cet égard : dans l'hémiplégie cérébrale le facial inférieur seul est intéressé, le faci
e pour le facial supérieur un centre cortical et un trajet intra- cérébral complètement indépendants de ceux qui appartien-
ense majorité des cas, presque dans tous les cas d'liéiiii- 'plégie cérébrale infantile se montrant chez le nouveau-né, le fa
ier avait établi l'intégrité du facial supé- rieur dans les lésions cérébrales comme signe différentiel avec la paralysie faci
l'orbiculaire à la paralysie, dans l'hémi- plégie faciale de cause cérébrale , et d'avoir établi cette opi- nion sur des fait
ans son voisinage immédiat, et viennent se placer dans le pédoncule cérébral avec le faisceau bulbaire en dedans du faisceau
ré plus ou moins grand, et suivant le siège, l'étendue de la lésion cérébrale et certaines dispositions individuelles. Que le
it déjà hospitalisé dans le service comme atteint de ramollissement cérébral avec gâtisme, quand il fut frappé subitement d'
, la paralysie du facial supérieur est la règle dans l'hémiplégie cérébrale vulgaire. Dans tous les cas d'hémiplégie que nous
n tout cas, cette paralysie du facial supérieur dans l'hémi- plégie cérébrale n'est pas aussi intense que celle que l'on obse
paralysé au même degré que le facial inférieur ; dans l'hémiplégie cérébrale il y a une différence considérable dans l'inten
lus parler d'intégrité réelle du facial supérieur dans l'hémiplégie cérébrale , il existe bien cependant une intégrité relativ
al forme un seul nerf ayant même origine corti- cale et même trajet cérébral . Nous venons de voir les symptômes de la parési
s'agit évidemment, au point de vue clinique, d'un ptosis d'origine cérébrale . Sans vouloir refaire ici tout l'historique de
attribuait de la valeur dans la symptoma- tologie du ramollissement cérébral . Prévost' publie six obser- vations de ptosis a
signalé un fait célèbre de ptosis et paralysie faciale avec lésion cérébrale très combinée ; Landouzy 1 a consacré à cette q
uer cette contradiction paradoxale, si on n'admet pas que la lésion cérébrale a frappé le centre originel du moteur oculaire.
a frappé le centre originel du moteur oculaire. En résumé la lésion cérébrale paralyse du même coup toute la moitié du corps
altérations viscérales qui par sympathie pro- duisent des troubles cérébraux . 30 PATHOLOGIE MENTALE. La mélancolie est l
départ, l'origine, la cause de cet état de dépression de l'activité cérébrale paraissent dus à une altéra- tion soit vasculai
mentale. Mais ici malgré l'apparence d'abolition de toute activité cérébrale du mélancolique avec stupeur, d'après cer- .
n arrêt complet de toutes les for- mes et manifestations d'activité cérébrale dans un état de LES MÉLANCOLIQUES. 37 stupe
e sol. {The Alienist and ivcuî,ologist, janvier 1898.) Xi. Syphilis cérébrale avec lésions étendues des nerfs crâniens ; par
niens ; par le D1' Preston. Intéressante observation de' syphilis cérébrale chez un nègre de trente-sept ans. Les manifes
intellectuelles. Il est probable que les connexions entre l'écorce cérébrale et les ovaires sont plus ou moins intimes suiva
de bases à l'étude complète et raisonnée du diagnostic des tumeurs cérébrales , La plupart des observations ci-dessus sont sui
la manifestation la plus fréquente et la plus fréquente des tumeurs cérébrales ; les vomissements ressemblent plutôt à de simples
néoplasme. Ce diagnostic topographique repose sur les localisations cérébrales , dont il nécessite la connaissance appro- fondi
passe en revue successivement chaque lobe et chaque circonvolution cérébrale , chaque fonction du cer- veau. Si beaucoup de l
rsonnelles. Première leçon. Diagnostic et pronostic de Vhémorrhagie cérébrale et des états ahohlectifonmes. Traitement des hé
posé détaillé de l'étiologie et de la patho- génie de l'hémorrhagie cérébrale où nous notons des recherches inédites sur la s
où nous notons des recherches inédites sur la structure des artères cérébrales , suivi d'un tableau clinique de l'attaque d'apo
ectiques ou comateux qui peuvent simuler l'ictus de l'hémor- rhagie cérébrale et divise ces états apoplectiques en : 1° état ap
marche de la tempé- rature peut être la même que dans l'hémorrhagie cérébrale , mais qui sont différenciés par les antécédents
zone hystérogène. Après l'attaque d'apoplexie, due à l'hémorrhagie cérébrale , sur- viendra en général si le malade ne succom
cula- tion lésée *. Le traitement prophylactique de l'hémorrhagie cérébrale aura surtout pour but d'empêcher nn excès de pr
onnait depuis quelque temps déjà des signes évidents de dérangement cérébral . Hier ma- lin, pris d'une soudaine crise de fol
roy. M. Davenne était atteint depuis quelque temps déjà de troubles cérébraux et avait mani- festé à plusieurs reprises l'int
s cas ; un liquide céphalo- rachidien abondant dans les ventricules cérébraux , remplis- sant les anfractuosités et sillons de
olutions, oedème de la pie-mère, de l'arachnoïde et de la substance cérébrale . Cette lésion surtout fréquente est presque car
1898.) " E. B. Il. Modifications des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale dans un cas de délire aigu et dans un cas de de
s relations intimes entre le développement ana- tomique des centres cérébraux supérieurs et leur expression fonc- tionnelle p
logique. En étudiant comparativement le développement des centres cérébraux dans la série des vertébrés, on voit que les cent
ossible de dire que parmi les éléments qui constituent cette écorce cérébrale , aucun, soit fibre, soit cellule, soit carac- t
nt du fait de la disposition des centres corti- caux. Les centres cérébraux supérieurs peuvent être considérés comme un tou
on la plus élevée du type mammifère, on trouve un type de structure cérébrale varié mais, progressivement complexe, en même t
recherches sur la formation de la substance blanche dans les lobes cérébraux de l'homme ; par P. FLE- cRsiG (Neurologische C
riétés d'allures du ruban de Reil de l'étage inférieur du pédoncule cérébral . Ce ruban se com- pose de deux trousseaux : 1 ?
au pyramidal, de la capsule interne, gagnant le pied du pédoncule cérébral , se dirigeant en bas et s'appliquant au ruban de
eurs des nerfs. 6) Il peut gagner la surface du pied du pédon- cule cérébral en dedans, se placer en dedans du faisceau d'Arno
des variétés du trajet des fibres à la surface du pied du pédoncule cérébral et de la protubérance (Henle). Il peut donc y a
t par suite moins résistants. - A. Fenayrou. X. Deux cas de tumeurs cérébrales opérées avec succès et suivis de guérison; parl
, reconnut alors que la mort avait été provoquée par une congestion cérébrale . (Le Soleil du 14 décembre 1898.) Voici encore
épilepsie, parait résul- ter, d'une part, d'une maladie-de l'écorce cérébrale , hérédi- taire' ou individuelle, d'autre part,
remplissent le rôle de l'intoxication externe, en excitant l'écorce cérébrale prédisposée et provoquant l'attaque. Il y a l
SIE. 187 D'autre part, le professeur Depaul invoque la congestion cérébrale , la lésion rénale et l'altération du sang pour ex
non. Il faut qu'il existe surtout et avant tout une prédisposition cérébrale , sur laquelle M. le professeur Jotiroy a si sou
ui provoque l'explosion de chaque paroxysme, en irritant l'écorce cérébrale endommagée par les causes précédentes. Et il ra
s fréquentes chez les ascendants des épi- leptiques. Les affections cérébrales , la méningite en particu- lier, se rencontrent
hobies, ne se développent que chez des sujets tarés au point de vue cérébral , chez des nerveux, des neurasthéniques, des hys
parfois fort difficile ; avec l'alcoolisme chronique, les troubles cérébraux consécutifs aux traumatismes crâniens, la démen
des problèmes les plus difficiles de la psychologie. Dans l'écorce cérébrale existe outre les cellules des connexions multip
ands et réels ser- vices dans les cas d'insommie due à l'byperhémie cérébrale accom- pagnée de mélancolie et de tendance au s
de, il est dangereux dans les cas d'insommie provoquée par l'anémie cérébrale qu'il aggrave. L'opium associé au tartre siribi
base du crâne. L'hydrocéphalie se limitant à la première vésicule cérébrale , il en résulte l'absence des hémisphères; se li
eur a examiné d'après la méthode de Golgi, les cellules de l'écorce cérébrale des cobayes qui avaient subi un empoisonne- men
utre tumeur sarcomateuse large et peu proémi- nente de la dure-mère cérébrale , et une autre tumeur molle de la dure-mère spin
mences. Dans la démence sénile et dans la démence liée à une lésion cérébrale circonscrite (ramollissement, hémorragie, tumeu
eurer plongés sans éton- nement, avec indifférence, dans l'inaction cérébrale la plus complète. Très souvent cette torpeur va
'ils sont sous l'influence d'une narcose toxique. Avec la torpeur cérébrale , existe un état particulier des facultés qu'on
ivant un ordre déterminé. Ce n'est pas non plus l'amnésie des ictus cérébraux , incomplète et plus ou moins systématique. C'es
r de s'en défendre. « Il est certain, dit-il, que sous l'oppression cérébrale , les rêves, qu'on me passe celle expression, ne
ivent les rémis- sions, il faut activer sans relâche les opérations cérébrales ; il faut interroger les malades, fixer leur att
phonétiques (les mots). La clinique nous apprend la loca- lisation cérébrale en divers endroits du cerveau des diverses espèce
re rapportée à un accouchement difficile et prolongé (hémorragies cérébrales postérieures). Cliniquement les lésions occipital
du traitement. L'article contient le pronostic général des tumeurs cérébrales , les proportions de celles qui sont opérables,
ntale primitive, à l'autopsie desquelles ils ont trouvé des lésions cérébrales importantes. Ces malades, du sexe féminin, étai
es manifestes et à des lésions accusées de polynévrite. Les lésions cérébrales constatées sur des coupes colorées par la métho
consécutives à la poly- névrite et engendrées par elle. Les lésions cérébrales aussi n'étaient peut-être pas primitives; il n'
nt venues confirmer cette manière de voir. Des fragments d'écorce cérébrale de lapin plongés, aussitôt après la décapitatio
que de telles altérations rencontrées dans les cellules de l'écorce cérébrale d'un aliéné devront être considérées comme n'ay
2° à un degré plus accentué, elle supprime non seule- ment l'écorce cérébrale , mais la voûte crânienne. 11 ne reste que la mo
'agit ici d'un cas de paralysie pseudo-bulbaire partielle d'origine cérébrale . Le syndrome pseudo-bulbaire est dM le plus sou
tante dans le diagnostic de la paralysie pseudo- bulbaire d'origine cérébrale . (Revue neurologique, décembre 1898 ) E. B. L
rt entre les noevi étendus, surtout ceux de la face, et les lésions cérébrales se traduisant par l'idiotie, les affec- tions s
nhibition des régions psycho-motrices de l'écorce 1 VARIA.. 335 cérébrale , place le sujet dans un état analogue à l'état d'
mais ces troubles sont en grande partie masqués par une exaltation cérébrale intense. Par instants, la malade pousse de tout
esque complètement tombée; il ne reste plus guère qu'une exaltation cérébrale , considérable encore, il est vrai; le délire of
est sensiblement atténuée, l'incohérence moins grande, l'exaltation cérébrale légè- rement diminuée ; par contre, les trouble
ire et accidentellement acquise, chez unin dividudont les fonctions cérébrales étaient jusque-là normales, et dont la maladie
.. deux phases distinctes : une première, au début, où l'exaltation cérébrale masquait en partie les troubles sensoriels, où
gements périphériques jusque dans les muscles atrophiés, les tissus cérébral et médullaire ont conservé leur aspect, leur co
vie intra-utérine rompt mécaniquement quelques unes des vésicules cérébrales , entrave la formation d'une partie correspondante
é de cinquante-deux ans seulement, fut emporté par une' hémorrhagie cérébrale foudroyante. i\Im0 Aubanel, en souvenir de son
nt de surprise accueillit cette opinion ; l'association de troubles cérébraux et d'une lésion polynévritique parut singulière
névrite elle-même. En effet, les lésions névritiques et les lésions cérébrales produi- sant les troubles mentaux ne sont que d
ersister le jour, rêveries objectivant l'intoxication de la cellule cérébrale . C'est dans cette forme que l'on observe les dé
taires des cellules, mais on n'avait pas trouvé la véritable lésion cérébrale . M. Ballet a eu la bonne fortune de trouver trois
ences de Marinesco, de Ballet et de Faure ont montré que la cellule cérébrale se comporte comme la cellule médullaire vis-à-v
porte comme la cellule médullaire vis-à-vis des nerfs. Les cellules cérébrales s'atrophient sans qu'on puisse dire cependant s
ment se prononcer avec certitude sur le fait de savoir si la lésion cérébrale est primitive ou secondaire. Cette seconde hypo
t pour la fibre blanche. On peut donc dire qu'il existe des lésions cérébrales dans les psychoses polynévritiques. Existent-el
a connaissance plus profonde des lésions histologiques des cellules cérébrales à diviser ces maladies en deux grandes caté- go
°les psychoses accidentelles, comprenant toutes les intoxi- cations cérébrales y compris même la paralysie générale ; 2° les p
s guère qu'une polynévrite pût à elle seule déterminer des troubles cérébraux , et quand on lit les ob- servations de psychose
cellules pyramidales des deuxième et troisième couches de l'écorce cérébrale dans les zones psycho- motrices, une atrophie d
urtout ganglionnaire trachée-bronchique, lorsque quelques symptômes cérébraux se montrent : tristesse, inertie, etc. Un mois
; on rapporte ce syndrome nouveau à un ramollissement du pédoncule cérébral gauche. L'enfant succomba au bout de cinq jours
ecchymotique, et la patho- génie de ce ramollissement du pédoncule cérébral relève très habituellement d'oblitération artér
uellement d'oblitération artérielle portant soit sur le tissu de la cérébrale postérieure, soit sur les branches qui en naissen
rt au bout de cinq jours. A l'autopsie, ramollissement du pédoncule cérébral par thrombose de la veine basilaire. 404 SOCI
nt de la même nature que ceux produits par l'excitation de l'écorce cérébrale ; ce sont notamment des contractions cloniques
ère opposée du cerveau, et vice versa (l'ablation d'un hémisphère cérébral amène une hyperexcitabilité de l'hémisphère céréb
ique. L'hémiplégie peut être mise sur le compte d'un ramollissement cérébral d'origine alcoolique. Observation IV. Malade âg
i l'accompagne. L'anatomie pathologique en est inconnue (l'cedème cérébral signalé n'est pas constant). L'étiologie est au
uble psychologique, dont l'intoxication, la compression ou l'anémie cérébrale ne sont que des causes occasionnelles. Dans l'h
iscltcs Ceiilrulblall, nos 4 et 5, 1898). Du rapport des paralysies cérébrales chez )'enfant avec diverses catégories des vices
mme un ensemble d'associations qui se font uniquement dans l'écorce cérébrale , avec le concours de mémoire et d'attention; ce
faiblies par suite d'un vice quelconque de la nutrition de l'écorce cérébrale . Le mutisme véritable est pour la plupart dû à
ssant comme cause du porus : dans le premier cas, un ramollissement cérébral trombosique datant de longues années, dans le s
ui est étrangère. Si ce soi-di-ant indiscipliné est, par hasard, un cérébral , son état sera méconnu, car les fugues et les i
enons de le démontrer à l'absence d'un filtre capable d'arrêter les cérébraux au seuil des conseils de guerre ou de disciplin
de la dure-mère correspondant à la zone rolandique de l'hémisphère cérébral gauche, est tapissée par un hématome dur, noirâ
sont aplaties, déprimées, congestionnées. La coupe de l'hémisphère cérébral gauche montre un piqueté rouge considérable et
in, congestion et su"-iliitioiisdes poumons; hépérémie des méninges cérébrales et des plexus choroïdes. Héma- torachis fort ab
361. Syndrome de d'origine -obstétricale, par Boiiiet, 198. Lobes cérébraux . Nouvelles recher- ches sur la formation de la
drome D'EriB. Une observation nouvelle, par Roques, 321. Syphilis cérébrale avec lésions éten- dues des uelfs crâniens, par
n- taire dans la sclérose en plaques, par Grasset, 395. Tumeurs cérébrales . Deux cas de opérées avec succès et suivis de
56 (1893) Anatomie du cerveau de l'homme : morphologie des hémisphères cérébraux, ou cerveau proprement dit. Texte accompagné de 204 figures schématiques
n arrachant d'avant en arrière la faux du cerveau. Les deux moitiés cérébrales , ou hémisphères, sont séparées l'une de l'autre p
és : les circonvolutions. brissaud. a Schéma 1. — Les hémisphères cérébraux vus par leur convexité. F,F, circonvolutions fr
s séparant la région orbitaire de la région temporale; PP, pédoncules cérébraux ; OLB, bulbe olfactif; OL, n.erf olfactif; Cil, cl
du pont de Varóle ou protubérance annulaire (PV), avec les pédoncules cérébraux (PP) qui se portent du pont de Varóle dans l'hémi
cules mamillaires ; GIP, ganglions interpédonculaires; PP, pédoncules cérébraux ; M0C, nerf moteur oculaire commun, ou troisième p
culaires; et derrière ceux-ci, au fond de l'interstice des pédoncules cérébraux (PP), on aperçoit un petit espace perforé (EP) :
t espace perforé (EP) : l'espace perforé postérieur. Les pédoncules cérébraux (PP) sont deux grosses masses de faisceaux nerveu
MOC) ou nerf de la troisième paire. Ce bord postérieur des pédoncules cérébraux , mal limité, se confond insensiblement avec une t
e une disposition bilobée qui correspond à l'émergence des pédoncules cérébraux . Sur la surface de section, on distingue, en avan
ace perforé antérieur, l'autre à la direction des fibres du pédoncule cérébral . 1° psp. Bandelette diagonale. Nous avons dit q
uli ou faisceau en écharpe croise obliquement les fibres du pédoncule cérébral gauche, vu par sa face inférieure (d'après Féré).
(voy. pl. XXllI, fig. 73, et pl. XXYI, fig. 96). § III Hémisphère cérébral . Nous avons rapidement passé en revue les point
il s'agit d'un examen anatomo-pathologique, on étudie les hémisphères cérébraux isolément. Presque toutes les parties constituant
est ainsi extraite de la boîte du crâne, on la place sur la convexité cérébrale . La région postérieure des hémisphères est cachée
le couteau a traversé le corps calleux, c'est-à-dire lorsque la masse cérébrale est complètement divisée, on ne cesse pas pour ce
ibère définitivement. Dorénavant nous n'étudierons que l'hémisphère cérébral . L'hémisphère cérébral a la forme d'un demi-ovo
orénavant nous n'étudierons que l'hémisphère cérébral. L'hémisphère cérébral a la forme d'un demi-ovoïde, dont la grosse extré
SO, nerf optique; LMV, substance réticulaire d'Arnold; Tlil, trigone cérébral ou voi"ite à trois piliers; DF, pilier descendant
nfundibulim; M, gouttière do Monro; trm, trou de Monro; PP, pédoncule cérébral ; PV, pont de Varole; QA, Lubercule quadrijumeau a
on observe parfois sur les coupes verticales en série. TRI. Trigone cérébral . — Delà face inférieure du corps calleux, un peu
ue en s'effîlant comme une lame aplatie, en dehors : c'est le trigone cérébral ou voûte à trois piliers, ou fornix. Dans ce traj
sphère, après ablation de la région protubérantielle. PP, pédoncule cérébral ; GE, corps genouillé externe ; Pul, pulvinar ; N
ganes qui appartiennent à la base du cerveau : on divise le pédoncule cérébral d'avant en arrière au niveau même où il pénètre
uil après cette préparation. On voit sur ce schéma que le pédoncule cérébral (PP) pénètre dans l'hémisphère au-dessous de la m
lutions; elles n'appartiennent plus au limen. § V Circonvolutions cérébrales . Les replis de la surface du cerveau, dont l'en
e. Un de ses derniers mémoires, sous le titre modeste de Nomenclature cérébrale résoud toutes les difficultés du problème. Il est
n occipitale. À l'époque encore peu éloignée où les plis du manteau cérébral semblaient inextricables à ce point qu'on renonça
. De Blainville entreprit la tâche d'établir la filiation des types cérébraux chez les vertébrés; mais il ne l'acheva pas. Grat
en tirer un parti merveilleux : il reconnut d'abord la fixité du type cérébral dans les différentes espèces de singes, et démont
érences de volume ou de courbure; en un mot s'il n'existe pas un type cérébral humain, en quelque sorte idéal et susceptible d'ê
it-on; on pourrait ajouter autant de conformations et de physionomies cérébrales . Nous insisterons plus loin sur ces variations de
est préférable de rechercher encore dans l'histoire du développement cérébral les éléments de la schématisation. La date à la
rmelles sur l'âge d'un fœtus d'après l'ordre d'apparition de ses plis cérébraux . Le moment auquel il faut rapporter l'état schéma
(PF). § VII Modifications du type schématique des circonvolutions cérébrales . Les modifications du type schématique des circ
vons-nous dit, au point de vue morphologique, autant d'individualités cérébrales que d'individus : il en est des cerveaux comme de
On s'est attaché beaucoup trop exclusivement à l'étude de la surface cérébrale ; qu'on ne nous reproche pas un jeu de mots si nou
e; elles sont aussi celles qui s'enfoncent le plus loin dans la masse cérébrale . Mais la scissure de Bolando qui, à tous les poin
On a beaucoup écrit et beaucoup disputé sur les causes du plissement cérébral . Cette question est encore bien loin d'être éluci
ervalles, réunissent et confondent les lobes. En résumé, la surface cérébrale , chez les lissencéphales et chez le fœtus, est co
implique qu'il faut avoir à sa disposition au moins trois hémisphères cérébraux ; mais quand il s'agit de recherches anatomo-patho
leux ; GC, genou du corps calleux ; SP, splenium ; TRI, trigone cérébral ; Bf, fente de Bichat; VF, corne frontale (hi
pratique une série de coupes ce, coi'iis calleux ; Tlil, trigone cérébral ; FI, fimbria ; Fil, l'ascia dentata ; Ilip,
ne de la_corne occipitale). Au-dessous du corps calleux, le trigone cérébral se recourbe en avant, en dehors et en bas pour de
dent que la situa- iNC noyau caudé ; Tic, ta'iiia ; P, ])édonculo cérébral IKMn'tranL dans la couche optique (CO) ; x, y,
'est pas exactement médian. Au-dessous du corps calleux, le trigonc cérébral (TRI), obliquement dirigé en bas et en avant, pas
a face interne du cerveau schématique. Figure 2. Ici l'hémisphère cérébral droit a été séparé de l'hémisphère gauche non par
d'une constance à peu près absolue*, destinée au passage de l'artère cérébrale antérieure au moment où cette artère quitte l'esp
est bordé, en haut et en dehors, par le pilier postérieur du trigonc cérébral ou fimbria (Fi). La concavité antérieure de la fi
corps calleux (sC). conscritcs si l'on cherche à rapporter le type cérébral représenté ici au type du cerveau schématique.
la lecture. BRISSAUD. 3 PLANCHE IV FACE EXTERNE DE L'HÉMISPHÈRE CÉRÉBRAL Les deux figures de cette planche représentent
onvolution temporale (T'). PLANCHE V FACE INTERNE DE L'HÉMISPHÈRE CÉRÉBRAL Les trois figures de cette planclie représenten
de ce que nous avançons. PLANCHE VI FACE INTERNE DE L'HÉMISPHÈRE CÉRÉBRAL Les trois hémisphères cérébraux représentés sur
HE VI FACE INTERNE DE L'HÉMISPHÈRE CÉRÉBRAL Les trois hémisphères cérébraux représentés sur cette planche sont destinés, comm
deux scissures soit ordinaire : elle est censée appartenir aux types cérébraux inférieurs. Le lobe carré se trouve donc divisé p
ment par son milieu ; le cervelet ayant été ainsi détaché de la masse cérébrale , une coupe sagittale a été pratiquée sur la ligne
nterne, en respectant soigneusement tout ce qui appartient à l'écorce cérébrale . Le couteau passe ainsi (fig. 1) en dehors des tu
oin de regarder de temps à autre en dessous et en dehors du pédoncule cérébral , pour s'assurer qu'on ne lèse pas l'écorce du lob
eau de Turck-Meynert est la portion la plus posté rieure du pédoncule cérébral . Le pédoncule a été sectionné ici, juste au nivea
FP. Le faisceau pyramidal est la portion moyenne du pied du pédoncule cérébral . Il s'enfonce dans l'hémisphère au-dessous d'im n
même. Les deux figures de cette planche représentent des hémisphères cérébraux qui, à première vue, s'écartent tellement du type
lques millimètres de surface. Il est rare de rencontrer un hémisphère cérébral où les branches antérieures de Sylvius soient à c
les préparations dont il s'agit proviennent toutes du même hémisphère cérébral . Cet hémisphère a été choisi à dessein parmi le
scissure calcarine, s'enfonçant à une grande profondeur dans la masse cérébrale , réduit l'espace vide aux proportions et à l'aspe
quente d'ailleurs, pour la différentiation des faisceaux de la région cérébrale postérieure. Il est donc de beaucoup préférable
n arrière le système des faisceaux antéro-postérieurs de l'hémisphère cérébral . Cette étroite fusion de fibres qui étaient dis
I, fig. 1 et 2), s'enfonce à une grande profondeur dans la substance cérébrale ; la couche corticale qui le revêt arrive ainsi p
rejoindre. Cela fait que le lobe carré semble n'être relié à la masse cérébrale que par un pédicule limité à droite et à gauche p
errompt les rapports profonds de ce sillon, sauf en cas d'anomalies cérébrales tout à fait monstrueuses. Ici, en effet, on peut
e la couche optique, en bas au-dessous du noyau caudô et du pédoncule cérébral . Elle s'allonge également dans le sens latéral, o
face inférieure du corps calleux, est le pilier postérieur du trigone cérébral ou fìmbria (FI). Sur une coupe plus antérieure, o
ique (Th), est le prolongement antérieur et médian de la grande fente cérébrale de Bichat. Cavité ventriculaire Outre ce qui
e et externe du corps calleux : c'est le pilier postérieur du trigone cérébral . Le tronçon inférieur, coupé perpendiculairement
orrespond au corps calleux proprement dit, et l'inférieure au trigone cérébral . CO. Le faisceau sensitif du centre ovale manif
-protubérantielle, où l'on voit, à la partie postérieure du pédoncule cérébral gauche (PP), la bandelette optique (BO) se contin
venues de la couche optique, du corps genouillé et même du'pédoncule cérébral . TRO. Le tractus opticus zonalis, dont nous rep
du fasciculus retroflexus. PV, pont de Varole ; PP, pied du pédoncule cérébral ; QA, QP, tubercules quadrijumeaux ; Pul, pulvina
hir dans la paroi externe du ventricule sphénoïdal. TRI. Le trigone cérébral (fig. 68) diminue de largeur. H forme une mince l
arrière, comme nous l'avons antérieurement observé. TRI. Le trigone cérébral (fig. 77) perd de plus en plus de sa largeur; i
de passage fronto-lim-bique (7:F). La complexité plus grande des plis cérébraux à ce niveau entraîne toujours un renforcement des
dehors en dedans, entre le corps calleux (ce, fig. 80) et le trigone cérébral , de telle sorte que ce dernier commence à se pédi
re de chaque côté de la ligne médiane, juste au-dessus des pédoncules cérébraux dont ils sont séparés par la Projection horizon
direction d'une coupe perpendiculaire au plan antérieur du pédoncule cérébral , et permettant toujours de sectionner le noyau ro
re en faisant une section vertico-transversale au milieu du pédoncule cérébral (schéma 118). C'est à partir de la figure 83 qu
rouge de la calotte (NR). PV, pont de Varole ; PP, pied du pédoncule cérébral ; LN, locus niger de Sœmmering ; Pcs, pédoncule c
es fibres du faisceau longitudinal inférieur (FLl). TRI. Le trigone cérébral (fig. 80) s'isole du corps calleux par une incisu
la couronne rayonnante l'ensemble des fibres qui passent du pédoncule cérébral dans la capsule interne, au niveau même où le péd
couronne rayonnante du noyau caudé (RNC, fig. 88). TRI. Le trigone cérébral n'est plus relié au corps calleux que par un minc
l'étage supérieur, PV. Le pont de Varole;, PP, le pied du pédoncule cérébral ; LN,locus niger de Sœmmering. VM, le ventricul
u noyau caudé, à l'extrémité externe du corps calleux, que les fibres cérébrales présentent l'intrication la plus compliquée. C'es
st par la capsule interne qu'il entre en rapport direct avec l'écorce cérébrale . Plus en avant (fig. 94), il envoie dans le noyau
ricule sphénoïdal. ce. Corps calleux (voir pl. XXY). TRI. Trigone cérébral (voir pl. XXV et XXVll). FSe. Le faisceau sensi
oncule cérébelleux supérieur renferme des fibres destinées à l'écorce cérébrale , c'est évidemment dans le faisceau cérébello-thal
ris, RFP). Leur rôle consisterait à mettre en rapport direct l'écorce cérébrale avec les noyaux moteurs de l'œil à travers la cap
ttre les rapports du faisceau longitudinal postérieur avec la surface cérébrale . La radiatio fasciculi posterions sert de trait d
e Le corps calleux, fig. 98 (voy. pl. XXIV et XXV). TRI. Le trigone cérébral , fig. 98 (voy. pl. XXIV et XXV). FSe. Le faisce
es différentes parties de leur surface. Il n'est pas jusqu'à l'écorce cérébrale elle-même (sorte d'épanouissement de la substance
devant de la protubérance, la coupe n'intéresse plus que le pédoncule cérébral (fig. 106, 107, 108), où l'on reconnaît deux étag
du trajet de la lamina tegmenti, le long du bord interne du pédoncule cérébral . Lorsque, après avoir dépouillé très soigneusemen
erforé postérieur, on écarte doucement l'un de l'autre les pédoncules cérébraux , on voit parfois saillir en arrière des tubercule
ajet de l'anse du noyau lenticulaire, lorsqu'elle quitte le pédoncule cérébral pour s'insinuer sous le noyau lenticulaire du cor
ganglions, dans la couronne rayonnante, probablement jusqu'à l'écorce cérébrale . A sa partie inférieure le faisceau capsulairc
acine inférieure du thalamus (ThI). ce, corps calleux ; TR, trigone cérébral ; DF, pilier descendant de la voûte aboutissant a
éral; Bf, fente de Bichat; YC, ventricule de la cloison; TRI, trigone cérébral ; ce, corps calleux ; NC, noyau caudé ; PUT, puta
Le corps calleux (fig. 104). Voy. pl. XXIV et XXV. TRI. Le trigone cérébral (fig. 104). Voy. pl. XXIV et XXV. FSe. Le faisc
Azyr considérait comme le prolongement du pilier antérieur du trigone cérébral , et qui va, d'une façon évidente, se terminer à
res de la couronne rayonnante du noyau caudé (RNC). TRI. Le trigone cérébral (fig. 114) n'est plus relié au corps calleux que
en dedans, de façon à former le faisceau le plus interne du pédoncule cérébral , limitées en dehors par le faisceau géniculé. S
reconnaît l'espace perforé aux incisures vasculaires de la substance cérébrale , en dehors de la bandelette optique (BO). Ici enc
gion antérieure du noyau caudé (NC). ce, corps calleux ; TRI, trigone cérébral ; Th, couche optique ; R.NC, couronne rayonnante
la tête du corps strié (voy. pl. XXXIII, fig. 155). TRI. Le trigone cérébral (fig. 118, 119, 120), ramassé sur lui-même, ne se
sus de la pénétration des artères lenticulo-striées dans la substance cérébrale . A ce niveau, d'autre part, la capsule externe se
x (fig. 125, 124, 125, 126) (voy. pl. XXX, p. 585). TRI. Le trigone cérébral (fig. 122, 125) se confond avec le pilier descend
t dit (PEL, fig. 151), elle s'enfonce à la partie externe de l'écorce cérébrale en dehors du scptum pour former la capsule extern
ps calleux de l'hémisphère gauche. ce, corps calleux ; TRI, trigone cérébral ; ROS, rostrum; CA, commissure antérieure; ps
L'hémisphère est relié à la protubérance (fig. 1) par le pédoncule cérébral (PP), qui s'avance de dedans en dehors et d'arriè
ubercule quadrijumeau antérieur forme à la surface même de l'isthme cérébral , la paroi interne de la fente de Bichat. Il se po
échit en dedans et en haut et, s'insinuant dans le sillon de l'artère cérébrale antérieure, va mourir à la face interne du gyrus
l'insula, pied de l'insula. PO. Pôle occipital. PP. Pied du pédoncule cérébral . pP\ Pied de la deuxième circonvolution pariétale
eau en écharpe (Féré). TRII. Triangle de l'habénule. TRI. Trigone cérébral , voûte à trois piliers fornix. trm. TroudeMonro
tale (troisième circonvolution), (F-')............ 9 H Hémisphère cérébral .................... i Habénule, habena (HAB)...
temporale transversale (pTt). . ,......... l, 12 Pied du pédoncule cérébral (PP).......... . iv, 265, 4ol Pied du petit hip
515 Triangle sous-calleux (TSC)...........Lxxxn, 59, 179, Trigone cérébral (TRI)................... xxj Trou borgne {TB)..
57 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
l'emplacement de la selle turcique est très abaissé et que la fosse cérébrale moyenne se trouve à peu près au même niveau que
iqué est la trépanation décompressive. De même que dans les tumeurs cérébrales , la ponction lombaire peut être directement nuisi
mes, comme elles se rencontrent souvent dans les cas d'hypertension cérébrale . Elles ont été observées chez des oty- céphales
ais- seaux qui partent de la moitié antérieure du cercle de Willis ( cérébrale anté- rieure et sylvienne) ont un calibre exces
e a été décrit par le professeur Weber dans certains cas de tumeurs cérébrales (2). Quel peut être le mécanisme de celte augme
us semble intervenir : c'est la différence d'épais- seur du manteau cérébral suivant les régions. L'augmentation de pres- si
r sur la table interne au maximum dans les endroits où la substance cérébrale est la plus étroite et offre donc la moindre ré
ervelet. C'est dans les diamètres a et i que la couche de substance cérébrale est de beaucoup la plus étroite et constitue en
s fosses moyennes). Dans toutes les autres directions, la substance cérébrale est plus épaisse; les impressions cor- responda
avant par le sinus coronaire. Quant aux artères, la sylvienne et la cérébrale antérieure sont très minces des deux côtés ; ce
avoir comment il agit. Ici nous rappellerons que certains vaisseaux cérébraux ceux de la moitié antérieure nous frappèrent pa
impressions digitées correspond à l'épaisseur la moindre du manteau cérébral et de la boîte crânienne ; 4° L'oxycéphalie, en
urs ; 5° L'oxycéphalie est peut-être en rapport avec une croissance cérébrale irrégulière, périodique et n'intéressant pas si
ade succombé dans' un étal de cachexie extrême. Aulopsie : L'écorce cérébrale ne montre que' les altérations à caractère aigu
sur certains malades atteints d'épilepsie idiopathique t'hyperémie cérébrale suivant la méthode de Bier, je n'ai pu obtenir
e je le relate plus bas, je ne me suis plus servi de l'liy- perémie cérébrale dans mes expériences. D'ailleurs il est plus co
i donc essayé de provoquer par la pression des carotides une anémie cérébrale instantanée afin d'obtenir par ce moyen une altér
autant que possible la brusque altération circulatoire à la région cérébrale nourrie par les carotides. Chez les épileptique
e étude, j'avais l'altération fonctionnelle hystérique sur l'écorce cérébrale , de laquelle altération dépendent tous les symptô
cé en arrière et en dedans. Dans la face inférieure de l'hémisphère cérébral droit existe une cavité où était le néoplasme,
difficile. C'est ici la même chose : B... a conclu à une méningite cérébrale , mais Ross et Bury regardent le cas comme une p
hocytose. Auparavant, une période avec les symptômes d'une syphilis cérébrale . Après deux mois, presque guéri pendant un trai
eux cas de Buzzard me semblent être des cas assez nets de méningite cérébrale . Le cas de Stiefler n'est pas une polynévrite m
pro- cessus morbides de nature syphilitique localisés aux méninges cérébrales . Mais, en ce cas, il est évident que les symptô
x ou cordons postérieurs ; elle s'étend parfois aussi à la cortical cérébrale . De sorte que la « myélite syphilitique amyotroph
s d'intéresser de façon générale un tronc nerveux ou ses ori- gines cérébrales , mais encore par presque toutes les lésions auric
ature ? Nous éliminerons facilement la paralysie faciale par lésion cérébrale .. Dans ces conditions, le facial supérieur est
cation n'a plus de valeur quand il s'agit d'une diplégie. La lésion cérébrale susceptible d'amener une paralysie faciale siège
eux neurones centraux des mouvements de la face. Dans la sclérose cérébrale il y a parfois diplégie faciale, mais jamais ce
culaire qui ne se rencontrent jamais dans les paralysies d'origine cérébrale . Seule persiste l'hypothèse d'une atteinte des
ns lequel il y avait une dispo- sition anormale des circonvolutions cérébrales . ' e) Théorie toxique. Dans cette théorie, le s
a remémoration, de l'évocation des souvenirs et des idées. L'effort cérébral est pénible comme l'effort musculaire ; si le mal
éressant à ce point de vue de comparer l'histoire de deux diplégies cérébrales infantiles, dont l'une représente un cas d'apha-
t le signe de Babinski est positif. Notre diagnostic est : Diplégie cérébrale de cause spécifique remontant à la vie intra-ut
ire est resté très restreint. Nous attribuons ce fait à la diplégie cérébrale . Il est,probable que les deux circonvolutions d
ire à l'école. F Observation II. Dysarthrie spasmodique. Diplégie cérébrale - . avec athétose et mouvements claoréiformes (
s membres supérieurs. Il s'agit donc, dans ce cas, d'une diplégie cérébrale bien caractérisée, quoi- qu'il manque quelques
de l'enfant. Nous pensons que la maladie 'est due à une hémorragie cérébrale ou méningée provoquée par la compression du cou
mai 1907. 3. Ernest GAunAn. Conlrilution à l'étude de l'hémiplégie cérébrale infantile. Thèse de Genève, 1884. - ' 4. IIIe
is. Berlin, 1902. SUR LA SYMPTOMATOLOGIE DES TUMEURS ET DES ABCÈS CÉRÉBRAUX . CONSIDÉRATIONS SUR LE CEN- TRE CORTICAL DE LA
ît les difficultés qu'on a à déterminer la localisation des tumeurs cérébrales et aussi leur nature. Le cas de la malade dont
ce du 26 février 1916. * SYMPTOMATOLOGIE DES tumeurs ET DES abcès cérébraux 307 Le 15. - Fièvre à 39°. L'assistant constata
d les 27 et 28 janvier 1 z SyMPTOMATOLOGIE DES TUMEURS ET DES ABCÈS CÉRÉBRAUX 309 5o Céphalée depuis le commencement delà mal
. Fm. 2, - Coupe IX 300. SYMPTOMATOLOGIE DES TUMEURS ET DES ABCÈS CÉRÉBRAUX 311 vaisseaux de néoformation. Les noyaux sont
ence d'un sarcome ? . - Nous devons faire remarquer que les tumeurs cérébrales ne donnent pas des réactions d'après leur grand
inflammatoires plus ou moins intenses qui atteignent la ' substance cérébrale environnante. Sur une malade opérée, il y a deu
ntre cortical et que les mômes phénomènes produits dans deux points cérébraux éloignés n'aient pas d'autre signification qUj3
obable de la tumeur. Collusion. 1° La symptomatologie des tumeurs cérébrales peul,^dans certains cas, être semblable à celle
érébrales peul,^dans certains cas, être semblable à celle des abcès cérébraux . 2° La déviation conjuguée,des yeux et de la tè
est très fréquent, et depuis longtemps reconnu, que les hémorragies cérébrales pures, où le foyer se trouve la surface de l'hé
foyer se trouve la surface de l'hémisphère, traversent la pie-mère cérébrale particulièrement mince et peu résistante, pénèt
" * SUR LES HÉMORRAGIES MÉNINGÉES ' 315 Ces formes d'hémorragies cérébrales , qui sont caractérisées par un foyer. pénétrant
pie-mère est ici beaucoup plusépaisse et résistante que la pie-mère cérébrale , et en partie de ce que les hémorragies superfici
chronique avec urémie. Hémor- ragie sous-arachnoïdienne (Hémorragie cérébrale ) ? `t '- - 311) INGVAR Diagnostic pathologiqu
caillots de sang entourent complètement le commencement de l'artère cérébrale moyenne droite, la communicante postérieure droit
ions se sont révélées très fermes et fixées. Au sondage de l'artère cérébrale moyenne avec une sonde fine, on n'a pas réussi à
spéciale a été donnée aux petits vaisseaux, qui partent de l'artère cérébrale moyenne et postérieure, et qui 'se perdent dans
ique droite, pour s'étendre dans les autres parties de la substance cérébrale , et on n'a pas trouvé non plus d'épanchement san-
dehors de l'épanchement. Aucune autre altération dans la substance cérébrale . Aux coupes transversales, pratiquées dans la r
sans rien à signaler. , 1 Dans une coupe longitudinale de l'artère cérébrale moyenne droite, on a constaté sur un espace d'e
erne. ' , A un examen microscopique plus approfondi de la substance cérébrale et de ses vaisseaux sanguins dans le voisinage
morragique de la scissure olfactive, des déchirures de la substance cérébrale avec des masses'de globules de sang répandus dans
rale avec des masses'de globules de sang répandus dans la substance cérébrale 'ou agglomérés dans les vaisseaux lymphatiques au
ée. Mais ce fait est compensé par l'observation faite dans l'artère cérébrale moyenne droite de la cicatrisation de l'endarlère
le processus arlérioscléreux a continué son action dans les artères cérébrales de la patiente,' et une nou- velle irruption, a
ès le premier réveil, rappelle celle qui survient lors d'une tumeur cérébrale . Elle était tout à fait orientée et répondait cla
pait des méninges, une infiltration sanguinolente de la subs- tance cérébrale , environ de la grosseur d'une noisette. Cet endro
es de la partie arrière de la scissure calca- rine). La substance cérébrale du reste sans particularité. Le crâne sans rien à
ite correspondait à une infiltration hémorragique dans la substance cérébrale de la grosseur d'une noisette. Une infiltration
Diagnostic clinique : Néphrite chronique interstitielle. Hémorragie cérébrale . Diagnostic pathologique anatomique : Artériosc
ic pathologique anatomique : Artériosclérose. Auévrisme de l'artère cérébrale moyenne gauche avec hémorragie méningée sous-arac
caillot presque de la grosseur d'une noix, gisant dans'ta substance cérébrale à la pointe du lobe temporal. Là-dessus, l'encé
é dans du formol. On dissèque avec beaucoup de précautions l'artère cérébrale moyenne gauche. Alors on a trouvé que la partie
l'extrémité du lobe temporal, se détache nettement de la substance cérébrale bien conservée. Du reste, l'encéphale et son sy
é de chemin de fer, âgé de 37 ans. Diagnostic clinique : Hémorragie cérébrale . Diagnostic pathologique anatomique : Anévrisme
rébrale. Diagnostic pathologique anatomique : Anévrisme de l'artère cérébrale moyenne droite avec perforation et hémorragie c
de l'artère cérébrale moyenne droite avec perforation et hémorragie cérébrale ventriculaire. Entré le 27 mars 1915. Le pati
HÉMORRAGIES MÉNINGÉES (51'CII Ingvar.) CI. Sonde dans l'-ii-tèt cérébrale moyenne. b ? nW r·snte. c. I" : P,111Chl'lI1l.11t
s de la base du crâne du cerveau sans sclérose. Les circonvolutions cérébrales sont toutes très fortement aplaties. 328 - INGV
peu plus humide. De plus, on trouve l'une des branches de l'artère cérébrale moyenne droite, qui monte vers les ganglions fo
ations III et IV sont ici reproduites comme exemples d'ané- vrismes cérébraux , donnant par leur rupture des hémorragies méningé
e trouve à l'endroit ordinaire... dans une des branches de l'artère cérébrale moyenne. Il donne un épanchement considérable s
ent considérable sanguin, qui dilacère. secondairement la substance cérébrale et pénètre dans le ventricule laté- ral. Les de
on connaît depuis long- temps comme caractéristique des hémorragies cérébrales ventriculaires. SUR LES HÉlIlORIlAGmS MÉNINGÉES
ue le patient a subie à 14 .ans, fait conclure à un état infectieux cérébral très grave, une méningo-encépllalite aiguë. Les
tion, par rétraction ou de quelque autre manière, a excité l'écorce cérébrale et causé les attaques épileptiques. Ce patient
après les efforts musculaires (danse) fait croire à une hémorragie cérébrale . L'absence de raideur dans la nuque, les contra
l'hémorragie. Comme traces non équivoques de la maladie infectieuse cérébrale que le patient a subie à 14 ans, nous trouvons
he une cicatrice de forme kystique, autour de laquelle la substance cérébrale montre des signes de" ramollissement dans une l
a rupture d'un vaisseau, pas trop petit. Il s'ensuit une hémorragie cérébrale , qui déchire la substance de l'encéphale et, en
e étiologique le plus important dans les hémor- 339 INGVAR ragies cérébrales ordinaires, ont la plus grande importance pour la
'importance de l'artériosclérose pour la production de l'hémorragie cérébrale ordinaire. On a attribué à la syphilis aussi un
emps une barrière contre les ruptures. · Les anévrismes des artères cérébrales ne sont plus en général regardés comme dus à l'
maire, ou à une secondaire, causée par hémorragie dans la substance cérébrale . Il n'y a que les cas qui ontété vérifiés à l'a
tatis- tique de Gowers, comprenant 653 observations de l'hémorragie cérébrale , on en trouve. 22. 0/0 qui sont apparus avant t
âgés des hémorragies dans la substance xxvm 23 334 .1 INGVAR.. cérébrale . Ceci ne me semble pourtant pas être un obstacle
dans la discussion étiologique mise en parallèle avec l'hémorragie cérébrale . - Quant aux causes des hémorragies méningées,
ouvé à l'au- topsie des altérations athéromateuses dans les artères cérébrales . Une rup- ture de l'endartère guérie, très nett
sidération de cela, la trouvaille d'une artériosclérose des artères cérébrales était assez inattendue à t'age de la patiente,
sclérose chez les individus âgés pour la production'de l'hémorragie cérébrale , il me semble tout vraisemblable qu'un nombre,
es, Wegelin a trouvé des ruptures spontanées fréquentes des artères cérébrales . Les hémorragies méningées qui se présentent ch
ie ordinaire. - Selon que l'hémorragie se produit dans les méninges cérébrales ou spinales, on trouve une image variante de la
trouve une image variante de la maladie avec des symptômes surtout cérébraux ou radiculaires. Du reste, les symptômes se divis
agie cérébro- méningée, c'est-à-dire d'une hémorragie dans la pulpe cérébrale , qui s'est propagée aux méninges. r Toutefois
irritation ou de perte de fonction, si elle atteint une des régions cérébrales non sourdes. Ainsi, il est permis de supposer q
à un épanchement assez grand, tandis que dans les cas d'hémorragie cérébrale l'épanchement sanguin n'est, dans cer- taines l
émorragie méningée est primaire ou secondaire (due à une hémorragie cérébrale primaire). A ce sujet, il faut étudier à fond 3
u'il s'agit de distinguer chez les sujets âgés entre une hémorragie cérébrale pénétrée dans l'espace sous- arachnoïdien et un
ori, il semble curieux qu'une opération qui, à la pure hémorra- gie cérébrale , est jugée dangereuse et amenant de grands risque
ues qui permettent de nous former une opinion exacte de la pression cérébrale pendant le processus héntafo- lytique. Les aute
ans doute, on a le droit de'comparer, l'exacerbation de la pression cérébrale et les symptômes tardifs d'irritation méningitiqu
ment des caractères sexuels secondaires. Parmi les signes de tumeur cérébrale , la céphalée, diffuse, souvent accompagnée de d
t accusé par le populaire de produire toutes sortes de dérangements cérébraux . On l'appelait aussi avertin (de vertere, tourn
cérébelleux, 196. Sur la symptomatologie des tumeurs et des abcès cérébraux . Le centre corti- cal de la déviation conjuguée
58 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
- que plus prononcée à gauche. Nodosités crétacées de la pie-mère cérébrale et cérébelleuse. - Sclérose atrophique 1 de tou
brale et cérébelleuse. - Sclérose atrophique 1 de tout l'hémisphère cérébral gauche. Atrophie croisée du cerveau et du cerve
e. Il en est de même du tu ercule mamillaire gauche. Le pédoncule cérébral gauche est plus petit et moins bombé que le dro
it est normal), et de ses cornes, la face interne de l'hémisphère cérébral gauche est affaissée. (PL. II.) La moitié gauche
pie-mère droite. Indurations crétacées d'un fragment de la pie-mère cérébrale et cérébelleuse à droite. Épaississement 1 nota
t 1 notable du crâne à gauche. Inégalité de poids des hémisphères cérébraux de 200 gr.. Pas de granulations tuberculeuses.
céphale présente une très-grande inégalité de poids des hémisphères cérébraux , le gauche pesant 200 gr. de moins que le droit
de la bande- lette optique, du tuhercule mamillaire, du pédoncule cérébral , du corps strié, de la couche optique et de la
hère gauche, croisée, par conséquent, par rapport à l'iné- galité cérébrale . VI. Il s'agissait, en somme, d'une épilepsie p
ce, avoir été liée aux lésions do méningite plutôt qu'à la sclérose cérébrale . La sclérose atrophique avait déterminé une iné
avait déterminé une inégalité de poids considérable des hémisphères cérébraux . Et cette inégalité avait entraîné à son tour,
sissement considérable de la calotte crânienne du côté de la lésion cérébrale , sans qu'il y ait eu, d'ailleurs, augmentation
n peut vérifier en comparant la face iuterne des deux hémisphères cérébraux . (PL. VII et IX.) Avec l'inégalité de poids des
es-rendus de la section des enfants, que dans les cas d'inégalité cérébrale cette coïncidence est un peu plus fréquen- te q
, est dû a une méningo-encéphalite limitée à l'un des hémisphères cérébraux ou prédominant un degré prononcé sur l'un des h
aberrantes superficiel- les 1)osté*o-extei-ies du pied du pédoncule cérébral , ou 2)es leit- Archives, 2- série 1905, l. XIX.
rlic la dé- générescence du faisceau ly ramitlal, dans le pédoncule cérébral , la protubérance, le bulbe ; elle présente les
ule interne est surtout dégénérée dans les points où les pédoncules cérébraux commencent à se dévelop- per (mottes de myéline
système nerveux central, et avant tout sur l'écorce des hémisphères cérébraux ; il s'en est suivi une de- cneance des libres
il la confusion mentale, à la démence sénile, à l'artério-sclérosc cérébrale , aux tumeurs cérébrales, la syphilis cérébrale, l
e, à la démence sénile, à l'artério-sclérosc cérébrale, aux tumeurs cérébrales , la syphilis cérébrale, la pa- ralyiu générale,
à l'artério-sclérosc cérébrale, aux tumeurs cérébrales, la syphilis cérébrale , la pa- ralyiu générale, à la polioencéphalite
illes : 3 types. On ne pourrait la confondre qu'avec de la diplégie cérébrale , assez rare, affection familiale qui s'accompag
maladies nerveuses ou mentales très diverses : arll'rio ? c1l'rose cérébrale , mélancolie, neurasthénie, folie obsé- dante, h
CIÉTÉS SAVANTES. se présente chez des individus en état de fatigue, cérébrale et doit s'expliquer par une altération de la pe
a pas apporté à son e- prit le calme désiré. Peu a peu l'excitation cérébrale a pris des proportions de plus en plus furies,
e père parait indemne, mais son frère est mort à 45 ans d'accidents cérébraux . La mère est névropathe. De leurs six en- l'tit
itale. L'expérimentation a démontré qu'il existe, dans le manteau cérébral , des centres des besoins et des appétits et en
n d'idées relatives aux fonctions sexuelles. Au dessous de l'écorce cérébrale existent une série d'or- (1) Des centres cérébr
sous de l'écorce cérébrale existent une série d'or- (1) Des centres cérébraux dirigeant l'érection du pénis et l'activité des
ourut 8 jours après son hospilali-alion, par suile d'une congestion cérébrale , Gel individu était lils unique d'un père qui a
du 1'2 février au 11- mars 1897, IaLe de sa mort par ramollissement cérébral . (Jetait a son entrée un dément sénile, avec ex
rte moins d'un mois, étant morte le 1 juiu, par suite de connestion cérébrale . L'autopsie ne. put ette pratiquée, en raison d
ouvait son père, dé- ment sénile, mort il l'asile de ramollissement cérébral , 102 RECUEIL DE FAITS. et que, du côté de la
eurs également retrouvée dans l'évolution morbide des acci- dents cérébraux , puisque le mari mourut paralytique un peu plus
sieur qui a toujours eu une vie monotone, indemne de toulo tension cérébrale . haut-il, pour expliquer cette paralysie généra
(Xeurolog. Centralblatt, XXH1, l'JU4.) L'animal privéde son écorce cérébrale conserve le mécanisme brut de tous <<es m
ivo constaté l'existence d'une papille étranglée dans une alreclion cérébrale , M. Kam- lllierstein a relevé la dilatation du
sie seule dans un de ces cas démontra une néphrite sans altérations cérébrales . Même remarque pour l'intoxication saturnine. De
est pas aussi al'ceuLnée qu'elle l'1'5L dans la papille {'Lmn- glée cérébrale typique. Il est manifeste que le processus a élé
nt les yeux en dedans ; les impulsions parties des deux hémisphères cérébraux doivent en même temps se porter sur l'un el l'a
r- gence. P. 11ERAV : 1L. XXVI. De la région visuelle de l'écorce cérébrale et de ses rapports avec les muscles des yeux; p
connaissances sur le rôle de la partie postérieure' des hémisphères cérébraux . De la de nouvelles recherches physiologiques s
s trois états, c'est le déséquilibre, la dissociation de l'activité cérébrale . Si bien que le caLnLoni.mu lcuL être considéré
eSSi\ClIll'nl dans l'échelle animale, de la moelle jusqu'à l'écorce cérébrale ; bulbo-médullaire chez la grenouille verte, bulb
que l'introduction dans le foyer de l'énergie psychique d'un groupe cérébral déterminé, exercera une act)0)ie.\tincH\e;e ! ! e
présenté d'interruption dans les fonc- lions sexuelles. Les lésions cérébrales microscopiques constatées chez le catatonique n
faut faire exception dans les méningites aiguës et dans les tumeurs cérébrales où l'on a vu des accidents mortels. Puis il ind
t, le diplocoque, le bacille de l'influenza ; 4° tumeurs et abcès cérébraux : il faut éviter la ponction lombaire dans les ca
équence des éosinophiles dans la sclérose en plaques el la syphilis cérébrale ; 7° hydrocéphalie chronique, abondance du liqu
sant connaître le ré- sulLaL de l'examen 111SLC101(lUl; de l'écorce cérébrale qu'il a fait, pal' la méthode de Ilal1lnn y Caj
use. Lesmouvemenlschoréïques dus vraisembla- blement à une sclérose cérébrale légère ont entretenu des con- tractions muscula
IH'nl, supprimé les accès paro- 1)( même, dans l'insomnie d'origine cérébrale , par préoccupations mentales, celle narcose cou
ate préside au symptôme, une modification directe de la cel- lule cérébrale sous l'action d'un toxique présumé, condi- tion
a faveur d'une action directe d'un toxique présumé sur les cellules cérébrales , action dont les effets immédiats ont dû rétroc
MENTALE. mol, derrière son agitation, un profond engourdissement cérébral , en dépit de l'activité apparente. Cet état tran-
ur d'une action directe d'un principe modificateur sur les cellules cérébrales , ac- tion d ailleurs susceptible de rétrocéder
hasie motrice, de l'hémiparésie droite. Un trouve dans l'hémisphère cérébral gauche un gros foyer de ra- REVUE D'ANATOMIE ET
és en dedans du faisceau pyramidal proprement dit dans le pédoncule cérébral . P. KERAVAL.. XLVM1. Contribution à la conser
tre les modifi- cations que le malade présenterait durant un effort cérébral et les variétés de composition de l'urine penda
ues, maille tableau clinique. P. Keraval. XXXVIII. -Des symptômes cérébraux dans la carcinoma- tose ; par A. SAENGER, (Neu1
ement nombreux examinés par l'auteur, il résulte que les s\ mplômes cérébraux de la 2liathèe cancéreuse sont de deux ordres p
incipaux : 1° d'ordre général ; 2° d'ordre spécial. Les symptômes cérébraux d'ordre général se manifestent par le 244 REVUE
es troubles sont probablement de nature toxique.. , , Les symptômes cérébraux spéciaux, ou symptômes de lésions en foyer se t
néoplasmes métastatiques. 11 peuty avoir combinaison de symptômes cérébraux de nature générale et de symptômes cérébraux de
mbinaison de symptômes cérébraux de nature générale et de symptômes cérébraux de nature spéciale...) P. KERAVAL. XXXIX. Mut
de l'Idiotie simple comparée àl'étiologie de la paralysie infantile cérébrale ; par le D1' W. KOENIG, de Dulldorf. (lllfena.
on, de la vision, etc..., soit par la lenteur de leur développement cérébral . Ces enfants alv piques sont anormaux ; en puis
uloureux et il se produisit de l'inégalité pupillaire. Hémiplégie cérébrale infantile. il. Faure-Beaulieu montre un malade
donnant ainsi lieu à des hallucinations unilatérales. L'hémisphère cérébral droit, qui commande le côté gauche du corps, lé
xcitation du noyau après ablation couche par couche de l'hémisphère cérébral du chien détermine : la tension tonique des mus
ulum, et ne touchant pas à la base de la protubérance, au pédoncule cérébral . 11 s'agissait d'un tubercule solitaire. Ce mal
ie des vertébrés des voies conductrices et îles centres de l'écorce cérébrale . Il montre comment celle-ci apparaît chez les v
ules nerveuses de la moelle épinière. Il, C. LXXX. Un cas de tumeur cérébrale à forme psycho- paralytique ; par Cornu. (1\'oL
a mois et ayant présenté à côté des b) mptômes généraux des tumeurs cérébrales , les signes de la dé- mence parais tique el un
, des hallucinations, des illusions, c'est un véritable automatisme cérébral , un rêve. Marandon de : \IollL)el insiste sur l
ésordres mentaux variés, paresthésies, congestions et, hemorrhagies cérébrales , la perversion sexuelle alternant avec des accè
'un accès de colère, elle subit par action réflexe de la congestion cérébrale généralisée ; mais le choc agit à l'excès sur l
ie fonctionnelle, soif tlue le aamlrmne ait lieu sans aucun trouble cérébral , soif (pic des troubles cérébraux précèdent ou
mlrmne ait lieu sans aucun trouble cérébral, soif (pic des troubles cérébraux précèdent ou suivent l'atta(me. Deux autres obs
it des élé- ments étrangers dans le tableau clinique de la syphilis cérébrale . P. Keraval. LXV. De l'angoisse dans l'hystér
nir de déci- der pourquoi. 1. 11BRA\'.1L. LXVlll. De la méningite cérébrale ; par .\, .'1. Lievvkovvskv. co&o ? c;)t0.s
ulée ! laformeaiguo. La morl sun ienlle plus souvent par congestion cérébrale . - Dans un second chapitre, l'auteur rapporte 2
e de l'observa- teur uniquement préoccupé le ta recherche des tares cérébrales dégénérât i vos. Comme les psychoses par épui
, nous les condamnons, sous je ne sais quel prétexte de gymnastique cérébrale , à l'étude de la mort. (1) Yves Délace. L'hér
les métamères sous-encéphaliques sont rare- ment touchés, l'écorce cérébrale l'est presque toujours. Ce défaut de développem
és,et surtout les dégénérés moyens et supérieurs, c'est l'asymétrie cérébrale . Cette asymétrie, qui a pour conséquence la dés
parties antérieures. P. KERAVAL. LXXXV1. Sur un cas d'hémorrhagie cérébrale avec inon- dation ventriculaire chez un enfant
nte. Infarctus rénaux, infarctus suppuré de la rate. Ramollissement cérébral à gauche par embolie de la sylv ienne. Hémorrha
ssement cérébral à gauche par embolie de la sylv ienne. Hémorrhagie cérébrale à droite avec inondation ventriculaire. Il s'ag
aire. Il s'agit dans ce cas, d'après les auteurs, d'une hémorrhagie cérébrale d'origine emboliqne. On sait actuel- lement, de
férieur de la rate prouvent l'origine embolique tle l'lumor l'hagie cérébrale . Ce cas est intéressant moins pour sa rareté an
à la démonstration delà véritable signi- licalion de l'bemorrhagie cérébrale . G. Carrier. LXXXVIl. Un cas de cancer primitif
XXVI11. Coexistence d'un rétrécissement mitral et d'une hémorrhagie cérébrale , par MM. LECLERC et r.EUTTJ : R,(Soci ? tif méd
. des hôp. de Lyoo, 15 nov. 1904.) La coexistence d'une hémorrhagie cérébrale et d'un rétrécisse- ment mitral est exceptionne
poussée endocardique aiguë ousubaigue, on peut voir une hémorrhagie cérébrale d'origine embolique. C'est un processus spécial
Le cas de M. Leclerc est tout autre, il a trait à une hémorrha- gie cérébrale chez un malade porteur d'un vieux rétrécissement
LXXX IX. Néoplasme de l'estomac, endocardite végétante; embolies cérébrales ; déviation conjuguée de la tête et des yeux av
Ia plupart des cas de déviation conjuguée non spasmodique d'origine cérébrale à l'influence d'une hémianopsie. Chez le maladu
cal et était séparé (le l'é- corce par une l'l'aisseunle parenchyme cérébral de un centimètre et demi. Il se trouvait sur le
accès épileptique il y REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 387 a anémie cérébrale ; toute condition qui diminuera cette an é mie,
la droite parce que lajugulaire interne droite ramène plus de sang cérébrale que la gauche ; que son calibre est en général
troisième de l'automatisme post paroxys- tique. 6^ Tous les centres cérébraux ne souffrant pas à un égal degré pendant l'auto
lucinations, folie morale, affaiblissement intellectuel, excitation cérébrale , etc.). D'autre part se placent les malades qui
donculaire, d'ailleurs très puissamment développé. Par le pédoncule cérébral , grêle, ils arrivent dans la circonvolution sig-
, aveclacou- ronne rayonnante faiblement développée de l'hémisphère cérébral . - En ce qui concerne son trajet descendant, la
e de Weber et hémianopsie droite par thrombose probable de l'artère cérébrale postérieure. Contractures familiales. MM. GIL
teiision il la lace postérieure de la moelle dans les hémorrliagies cérébrales . Escarre sacrée.. M. Boy rapporte le cas d'un
ne vertébrale, par Péhuet Coste,382. C,ncmowrose. Des symptômes cérébraux dans la-,parSaen- gel', 24 : : 1. Catatonie.
ardite. Voir Hémorrhagie. végétante. Voir Néoplasme. ENDOTHÉLIOMA cérébral , par p, Marie, 451. Enfance anormale. Créatio
vements associés en dehors de l ? par Brissaud et Si- card, 249. cérébrale infan- tile, par Faure-Beaulieu, 250. - , par
rau- matique à la base du crâne, par Liass, 319. Sur un cas d'- cérébrale avec inondation ven- triculaire chez un enfant
ante, par Gallavardin et Jambon, 381. 502 ' TABLE DES MATIÈRES. cérébrale . Voir Rétrécisse- ment mit rai. - sous-pie-mé-
hocytique dans les oreillons, par Chauffard et Boidin, 316. De la cérébrale , par Liew- kowsky, 320. hémorragique subaigue
décubitus \ latéral gauche, par Crocq, 63." Muscles. Voir Ecorce cérébrale . La dualité fonctionnelle du, par Mlle Yoteyk
u gisement des - craniens mo- teurs dans le pied du pédon- cule cérébral , parBikeles, 230. De l'origine du dépresseur
Contribution àla-;par Lé- vy, l3onniat et Taguet, 73. Pédoncule cérébral Voir Nerfs crâniens. Personnel médical. Voir
érale par Marandon de Montyel,417. Région visuelle. Voir Ecorcc cérébrale . Br,ii,. Voir Syringomyélie. La voie lectosp
Rétrécissement mitral. Coe- xistence d'un et d'une hé- morrhagie cérébrale , par Le- clerc et Beutter, 382. SAC;is..Voir
s cérébelleux, par Bloumenaou et 'l'ikhomirow, : Z94. Un cas de cérébrale à forme psy- cho-paralytique. par Cornu, 303.
59 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
nsécutive à l'excitation de la langue d'un animal privé de l'écorce cérébrale . Ici nous trouvons au commencement'une exci- ta
chez lequel on avait enlevé la glande pinéale avec les hémisphères cérébraux , dit : « Si Descartes eût eu l'idée de faire ce
-dire pour les fonctions de l'âme. Flourens (2) dit : « Les lobes cérébraux concourant effectivement, par tout leur ensembl
consistait à ne considérer que tels ou tels points donnés des lobes cérébraux , quand il fallait les considérer tous. » En out
étendues du cerveau prouvent « qu'une lésion déterminée, des lobes cérébraux , quel qu'en soit le siège, peut très bien, pour
psychiques et que d'un autre côté la perle considérable de matière cérébrale dans des lésions profondes de l'os frontal n'ex
s pro- fondes des circonvolutions frontales avec perte de substance cérébrale et suppuration peuvent être guéries et sans lai
t du cerveau, l'excitation partant des parois du kyste hémorragique cérébral qui sont enflammées. La première partie de la pro
e peut se pro- duire sans elle. I ! faut seulement que les cellules cérébrales , d'où parlent ces fibres, soient lésées ou que
de certaines régions corticales et que les pertes de la subs- tance cérébrale correspondant il un membre produisent de l'ataxie
ire, ou la contracture, dans les cas où l'influence des hémisphères cérébraux est seule suspendue comme dans l'hémiplégie ;
s. Il est très possible que l'abolition de l'influence que l'écorce cérébrale exerce sur certaines parties de la moelle épinièr
essantes des dégénérescences consécutives à ces lésions secondaires cérébrales . Observation I Résumé : Monoplégie crurale, à
aire, mais constituée dans la capsule interne. le pied du pédoncule cérébral et l'isthme de l'encéphale par un simple tassem
ostérieur du segment postérieur de la capsule in- FIG. 3. Pédoncule cérébral droit. Fio. 4. partie inférieure du bulbe rac
r toute la hauteur de la capsule interne, dans le pied du pédoncule cérébral et dans l'isthme de l'en- céphale. La figure
me de l'en- céphale. La figure 3 représente la coupe du pédoncule cérébral droit (retournée par erreur). Il n'y a pas de b
et n'a pas de signification spéciale. Remarques. A. Localisations cérébrales . On trouve dans cette observation une dé- monst
i par la physiologie expérimentale et par l'étude dés localisations cérébrales chez l'homme ; mais cette dernière a été faite
ers en date, y ont insisté que pendant plusieurs semaines les lésions cérébrales ajoutent aux symptômes de déficit des phénomène
Pour élucider cette question dont l'importance pour la physiologie cérébrale est considérable, il est préférable d'utiliser
on re- trouve au milieu des tissus nécrosés des fragments d'écorce cérébrale en état de conservation relative (1). Or, si ce
MONOPLÉGIE CRURALE ET LÉSION DE LA RÉGION ROLANDIQUE 45 d'origine cérébrale s'améliorent en général assez rapidement,celte am
elles ne le sont plus dans la capsule interne, le pied du pédoncule cérébral , la protubérance annulaire et le bulbe, mais el
is d'un défaut de sclérose de remplacement. Dans les cas de lésions cérébrales infantiles avec longue survie, il est pour ains
ion porencéphalique très étendue de la face externe de l'hémisphère cérébral droit, n'ayant laissé intact que le tiers supér
E PARACENTRAL (LO/lP') PORENCEPIIADE CONGÉNITALE 47 7 pédoncule cérébral . Atrophie secondaire du pédoncule cérébral et de
NGÉNITALE 47 7 pédoncule cérébral. Atrophie secondaire du pédoncule cérébral et de la protubérance annulaire. Atrophie crois
en HISTOLOGIQUE. '71 Coupes microscopiques sériées, de l'hémisphère cérébral droit, des pédoncules cérébraux, de la protubér
roscopiques sériées, de l'hémisphère cérébral droit, des pédoncules cérébraux , de la protubérance, annulaire et du bulbe rachid
ôté interne une bande de PORENCÉPHALIE CONGÉNITALE 49 substance cérébrale composée : par l'écorce de la face interne du cer
us-jacentes. . La lésion destructive a limité ses dégâts à l'écorce cérébrale et au centre ovale; elle ne s'étend pas aux rég
n sous-thalamique et jusque dans la partie supérieure du pédoncule' cérébral , les fibres du segment postérieur de la capsule i
verticales. En effet, immédiatement au-dessous, dans le pédoncule cérébral , tout tissu de sclérose interstitielle a de nou
externe (fig. 10). Sur cette coupe comprenant les deux pédoncules cérébraux on voit, par com- paraison avec le côté sain, l
m- paraison avec le côté sain, l'atrophie considérable du pédoncule cérébral droit, atrophie portant également sur la calott
rend à cette anamnèse toute sa valeur; il s'agit bien d'une lésion cérébrale précoce. En relevant sur la face externe de l'h
cérébrale précoce. En relevant sur la face externe de l'hémisphère cérébral droit les limi- tes du territoire détruit on vo
, pendant la vie intra-utérine, une nécrose très étendue du manteau cérébral ; après résorption des tissus nécrosés il est r
é conservée dans des proportions inusitées. La ré- gion de l'écorce cérébrale qui correspond à la localisation motrice- du me
phénomènes de suppléance ont pu, grâce à la précocité de la lésion cérébrale , s'exercer dans une large proportion. Ils doive
mandés par les deux hémisphères à la fois et qu'il faut des lésions cérébrales bilatérales pour produire leur pa- ralysie perm
interne et plus bas dans les segments internes du pied du pédoncule cérébral . Or nous voyons au contraire dans notre cas que
upent toute l'étendue de la capsule interne et du pied du pédoncule cérébral . Il semble et c'est I;i plus qu'une simple hypo
la vie intra-utérine, et on peut admettre que la lésion du manteau cérébral s'est produite à cette époque ou même avant. Ma
l'état normal toute la capsule interne et tout le pied du pédoncule cérébral .En d'autres termes il s'est fait itnepï,ei2zière
intéressante. Chez le pre- mier, un vieillard de 74 ans, une lésion cérébrale peu étendue laisse une paralysie permanente ; l
au- teurs, que les ombres foncées représenteraient les hémisphères cérébraux et qu'on pourrait même apercevoir les scissures
U 9 JANVIER 1908 , ANÉVRYSME VOLUMINEUX D'UNE BRANCHE DE L'ARTÈRE CÉRÉBRALE MOYENNE OU SYLVIENNE , SIGNES CLASSIQUES DE T
TÈRE CÉRÉBRALE MOYENNE OU SYLVIENNE , SIGNES CLASSIQUES DE TUMEUR CÉRÉBRALE , DURÉE DE CINQUANTE-, CINQ ANS ET TERMINAISON P
eu de prédilection de ces der- niers est incontestablement l'artère cérébrale moyenne ou sylvienne. L'histoire clinique des a
effet. Un jour, surviennent brusquement les signes d'une hémorragie cérébrale foudroyante, et à l'autopsie on trouve un anévr
ie adjacente de Ti,en avant le pied de F3 (PI. XVIII). La substance cérébrale voisine de la tumeur est de couleur jaune-ocreu
large et profond dans cette scissure aux dépens des circonvolutions cérébrales qu'elle refoule et ramollit un peu. Elle en est,
ut à fait indépendante et assez facilement énucléable. La substance cérébrale qui l'entoure a perdu sa forme normale et sa coul
ôle de l'insula à la partie la plus reculée de la scissure. La loge cérébrale qui la renferme a 8 centimètres de long, 4 centim
qui feront l'objet d'une communication spéciale. Enfin, les artères cérébrales présentent des lésions très nettes et très nom-
d que le malade a présenté la symptomatologie classique des tumeurs cérébrales : céphalée paroxystique avec nausées, ver- tige
rmes et apoplecliformes, amaurose rapide. Le dia- gnostic de tumeur cérébrale a été porté du vivant du malade ; le siège de l
ait faire penser à un anévrysme et le diagnostic avait été : tumeur cérébrale bénigne. En raison de cette bénignité, et aus
lus d'un petit foyer de ramollissement par artérite de l'hémisphère cérébral droit, une symphyse méningo-radiculaire de la m
ar « éclusées », nous a-t-il souvent répété, par « tension de cumul cérébral », que la facilité pour le travail s'offre à mo
un peu moins profondément atteinte que celle des idiots par lésions cérébrales macroscopiques. Dans certains cas le myxoedème co
te, dont les troubles psychiques consistent, avant tout, en torpeur cérébrale . Il n'y a plus arrêt de développement,mais seu-
incible, 212 LAIGNEL-LAVASTINE une extrême fatigue, de l'asthénie cérébrale , des troubles digestifs, de la constipation. L'
hyroïdienne les éléments delà neurasthénie : asthénie musculaire et cérébrale , poussée jusqu'à l'apathie la plus complète, cé
s dont les perturbations secondaires peuvent entraîner des troubles cérébraux . Ainsi, dans des expériences semblables, Delitala
de l'intoxication thyroïdienne, des modifications de la circulation cérébrale , de la dégénérescence et d'une disposition psychi
ations, thermophobie, crampes, urticaire, qui retrouvent leur calme cérébral et une humeur égale après avoir usé de la thyro
actifs, excités, fournis- sant pendant la nuit suivante un travail cérébral intensif, sans tendance au sommeil, la mémoire
, chez l'enfant, par son insuffisance, en arrêtant le développement cérébral , comme celui du reste de l'orga- xxi 15 226 L
xiquant l'encéphale, produit, selon son intensité et la résistance cérébrale , soit des troubles élémentaires, soit des psych
ASTI : iE Renaut. Observation pour servir à l'histoire des troubles cérébraux dans la maladie de Basedow. Soc. méd. des hôp.,
f London, 23 novembre 1883. SOLBRIG. Maladie de Basedow et troubles cérébraux . Allgemeine Zeitschrift sur Psychiatrie, 1871.
hognomonique de l'hystérie : il existe, en effet, dans l'hémorragie cérébrale , une période de début de l'hémiplégie, variable
ehors des lésions de méningite déjà signalées. C'est l'hémi- sphère cérébral d'un enfant de trois ans. Rien de notable égale
son épaisseur est diminuée (3 min. 5 à la partie moyenne). Le tronc cérébral semble de même normal. Quant au cervelet, nous
ocytes et de diplocoques, mais le fait n'est pas constant. Ecorce cérébrale . Les cellules pyramidales présentent des altérati
ndamment de ces altérations graves de la cellule nerveuse, l'écorce cérébrale présente encore des modifications de la charpente
yons-nous, qui a entraîné comme conséquence la microgyrie. Ecorce cérébrale . La couche la plus externe de l'écorce cérébrale
microgyrie. Ecorce cérébrale. La couche la plus externe de l'écorce cérébrale est «ici représentée par une zone névroglique e
s-arachnoïdien. V. Lumière d'un vaisseau pie-mérien, - e. c. écorce cérébrale . PI. XLIX. Fic. D, E, F. Cellules pyramidales
des fibrilles plus fines. Fic.. H. Cellules pyramidales de l'écorce cérébrale du pied de F3 g. Chromatolyse du corps cellulai
d'hémiparésie droite, s'ils ne pourraient relever d'une même cause cérébrale : les symptômes paraissent être purement oculaire
ma- toires provoquent une exsudation ventricutaireet une dilatation cérébrale tout d'abord inoffensives, tant que les fontane
sens inverse de l'axe du rétrécissement et cela grâce à la poussée cérébrale qui exagère ses effets au niveau des points où
ONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE T. XXI. PI. L1R ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS. (Weber). , Obs
IATRIQUE DE L'UNIVERSITÉ DE GENÈVE DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS PAR R. WEBER,
y avait peut-être hémianopsie. - . QUELQUES altérations DU tissu cérébral 361 Le diagnostic différentiel était devenu imp
ont une grande lumière ; elles se sont fait place dans la substance cérébrale . Il est pro- bable que la circulation sanguine,
conographie DE la Salpêtriere T. XXI. Pl. LX ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS. (Weber). QUELQ
A LA PRÉSENCE DE TUMEURS. (Weber). QUELQUES altérations DU TISSU cérébral 363 pôle frontal ; c'est la moitié supérieure d
s mouches. Autopsie. - Tuberculose pulmonaire et intestinale.Tumeur cérébrale . Notre observation clinique est, je dois l'avou
pauvreté en est-elle précisément le côté intéressant. Ce néoplasme cérébral a fait si peu de symptômes que le malade fut co
nerveuses. 2° D'une invasion très étendue et mal délimitée du tissu cérébral par des cellules sarcomateuses. 3° De dégénér
xpérience plus élendue. D'autre part il est à supposer que le tissu cérébral a été en partie re- poussé, mais aussi en parti
s avons rencontré pour la seconde fois chez un phtisique un sarcome cérébral au lieu du tuber- cule diagnostiqué. (Voir obs.
onographie DE la SALFÊTRIÉRE T. XXI. Pl. LXI ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS. QUELQUES ALTÉRAT
RÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS. QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL 367 Observation XII (PI. LXI). Du t3 août 190
er à une tumeur. Le manque de phénomènes 368 R. WEBER de pression cérébrale tels que ralentissement du pouls, vomissements,
térations du tissu ne se voient plus. QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL 369 Signalons en passant la pauvreté en fibres
ris l'habitude d'identifier en quelque sorte intelligence et écorce cérébrale , parfois même intelligence et cellules nerveuses
erché les lésions diffuses de l'écorce dans quelques cas de tumeurs cérébrales (Festschrift zur Feier des 25 'jach1 ? l3estan-
nérées, une augmentation des cellules QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL 371 satellites et des amas disséminés de noyaux
nt démontrable. La grande difficulté est évidemment que la pression cérébrale exagérée peut, à elle seule et en peu de temps,
de Erdheim pour qui l'adiposité dépendrait de la lésion d'un centre cérébral de la base. Schuller pense que dans de tels cas
jours assez graves pour faire porter un diagnostic erroné de tumeur cérébrale ; dans quelques cas la guérison seule révéla l'er
nostique n'est donc pas accep- table. L'hypothèse d'une néoplasie cérébrale à développement très. lent et de nature probabl
de deux ans) ne parle pas absolument contre le diagnostic de tumeur cérébrale , parce que nous savons que surtout les tumeurs
mbés brusque- ment malades avec les symptômes d'une grave affection cérébrale (cépha- lée, vomissements, apathie, névrite opt
coup plus riche et telle que l'erreur de diagnostic avec une tumeur cérébrale est presque inévitable ; on peut avoir de l'hém
ortion entre les signes de l'inflammation et la quantité du liquide cérébral et l'on peut voir de l'hy- drocéphalie évidente
u con- traire des méningites évidentes sans augmentation du liquide cérébral . Dans notre cas nous n'eûmes d'aucune façon la
plus haut, et qui conduit presque forcément au diagnostic de tumeur cérébrale , et nous n'eûmes non plus aucun symptôme de ménin
e la puberté seulement se rendait manifeste par de graves symptômes cérébraux . Rien ne nous empêche donc d'admettre que la sy
ogique de la race et de la consanguinité des parents. Le syndrome cérébral qui s'est développé secondairement chez l'aînée
namnése et des faits objectifs,que la cause du syndrome secondaire cérébral chez Marguerite Ser. a été déterminée par une f
heilkunde. AIÜLLER. -Ueber die Beeinflussung der Menstruation durch cérébrale Herderkrankung, Neurol. Centralbl., 1905, p 790
onlributo allo studio analo ? iio-patologico delle cisli dell'lho/isi cérébrale e dell'Infantilismo. Il Policlinico, 1906, p. 4
of the med. Sciences, 1898. ' RAYMOND. Le sommeil dans les tumeurs cérébrales . Pr. médicale, 3 janv. 1906. REONAULT. - La bas
y a méningite chronique, avec les mêmes caractères que la méningite cérébrale . Les résultats importants nous sont fournis par
ressionualfilité.la mythomanie (Du- pré), la diminution du contrôle cérébral . Elle comprend aussi un état physique spécial c
l.), 249. Souques. Anévrysme volumineux d'une branche de l'artère cérébrale moyenne ou sylvienne. Signes classiques de tu-
ère cérébrale moyenne ou sylvienne. Signes classiques de tu- meur cérébrale , durée de cinquante-cinq ans et terminaison par
par CATOLA, 129. Anévrysme volumineux d'une branche de l'artère cérébrale moyenne ou sylvienne : signes de tumeur cérébra
che de l'artère cérébrale moyenne ou sylvienne : signes de tumeur cérébrale ; durée de 55 ans ; terminaison par suicide (1
tations d' -) chez deux aliénés (2 pl.), par Pailhas, 162. Artère cérébrale moyenne(Anévrysme'volu- mineux d'une branche de
u- mineux d'une branche de l' -) ou syl- vienne. signes de tumeur cérébrale : durée de 55 a-s - terminaison par suicide (
ER, 396. Cathédrale de Reims, sculptures (1 pi.), par HEITZ 90. Cérébral (Altérations du lissu dues à la présence de tum
ue - aiguë à type descendant) \3 pl.), par L'ATOLA, 129. Tumeur cérébrale (Anévrysme volumineux d'une branche de l'artère
Tumeur cérébrale (Anévrysme volumineux d'une branche de l'artère cérébrale moyenne ou sylvienne ; signes de-; durée de 5
suicide) (1 pl.), par Souques, 108. Tumeurs (Altérations du tissu cérébral dues à la présence de-) (6 pl. par Weber, 359.
, VU et VIII. Trophoedème (COUnTEI.LE ? 10 ? T), IX et X. Tumeurs cérébrales (Weber), LIX à LXl. Le gérant : P. Bouchez. I
60 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rculation artérielle des centres nerveux. On sait que les artères cérébrales se coudent et s'in- fléchissent à plusieurs rep
rétrécissant le crâne, et en diminuent la quantité de sa matière cérébrale . J'ai déjà notablement diminué son angle facial.
ement et définitivement le jour où le malade fut frappé d'accidents cérébraux , dus probablement à une hémorrhagie du cerveau,
es ou telles maladies organiques du système nerveux (ramollissement cérébral , ataxie locomotrice), victimes en outre de cert
ralbl. f. Nervenheilk . , 1890.) - L'obturation subite d'une artère cérébrale produit-elle, par suite des modifications qui s
é, un effet mécanique capable d'agir à distance sur les pro- vinces cérébrales non directement atteintes et d'amener, par suite,
GIE NERVEUSE. i. ' * XIII. Contribution LA pathologie DES TUMEURS cérébrales ; , , par II. OPPENREIM. (Archiv. f. Pschini., X
La pupille étranglée est le signe le plus important d'une 'tumeur cérébrale , après lui viennent l'obtusion intellectuelle et
uteurs. Il conclut en .ces termes : Pour diagnostiquer une tumeur cérébrale , il faut qu'il existe des symp- * tomes de pres
umeur cérébrale, il faut qu'il existe des symp- * tomes de pression cérébrale , mais ces symptômes n'assurent pas la loca- '¡¡
es de lésions un foyer tandis que les phénomènes généraux d'origine cérébrale sont peu développés, permettent d'espérer un résu
gauche. C'est tout. Une tante maternelle est atteinte de paralysie cérébrale spasmodique et d'épilepsie, depuis sa jeunesse.
altération de l'excitabilité ÉLEC- · TRIQUE DANS LES CAS DE FOYERS CÉRÉBRAUX ; pal' C. EISENLOHR. (Neurol. Ces<)'( ! ;6 ?
vec autopsie. A une époque peu éloi- gnée de la paralysie d'origine cérébrale , on constate de l'atrophie musculaire des membr
ra- midaux qu'il faut attribuer ces phénomènes. Quant à la région cérébrale trophique, il est jusqu'à nouvel ordre impossible
symptomatique dans ce cas, a été absolument celui d'une hémorrhagie cérébrale ordinaire : ictus apoplectique chez un sujet je
nale, dans la seconde il semblait qu'on eût affaire à une affection cérébrale , la troisième paraissait être une combinaison d
ection syphilitique de la moelle, sur la simultanéité des symptômes cérébraux , l'évolution par poussées, les oscillations éta
l'espèce l'action quinine; on sait que la suppression de l'action cérébrale se traduit par une exagération des réflexes. Mais
qu'un syndrome, et ce syndrome peut s'observer dans les affections cérébrales , dans les maladies de la moelle, dans les névri
ns les névroses. Aussi distingue-t-il l'athé- tose double d'origine cérébrale , et l'athétose double d'origine extra-cérébrale
mènes hystériques ne sont-ils pas essentiellement liés au dynamisme cérébral . L'auteur repousse l'opinion de l'entité cliniq
ces cas, folie proprement dite, mais cependant le fonctionnement cérébral n'est pas normal, il est pathologique. Dans' de
il s'agit de la manie épileptique. Voilà le processus pathologique cérébral qui aboutit à l'homicide, chez les. alcoolisés,
ce alcoolique, certaines modifi- cations morbides du fonctionnement cérébral . L'alcoo- lisé qui, avant qu'il ne se fut intox
r morte d'apoplexie à soixante-dix ans. Un frère mort d'une maladie cérébrale ; cela lui était venu quatre ans après un incend
mémoire est bonne, mais lente, comme toutes les autres ' fonctions cérébrales . R. M. C. VIII. UNE observation d'état CONVULSI
XIV. Sur L'ÉTUDE DES conditions DE DÉVELOPPEMENT et.de l'activité cérébrale CHEZ LES enfants ; par Francis W,\R ! OER. (Tite
conditions de dévelop- pement des enfants, ainsi que leur puissance cérébrale tant phy- sique que mentale, et l'avantage qu'i
fants, en sorte que l'on pourrait à la rigueur voir dans ce trouble cérébral un phénomène de physiologie régressive des fonc
ssible de diagnostiquer la localisation d'un foyer d'inflam- mation cérébrale chez le chien aussi bien que chez l'homme ? Voi
mentation animale. Il n'est pas possible d'appliquer l'extirpation cérébrale du chien à la pathologie humaine, parce que ces m
riedmann. Contribution à l'étude des conséquences de la com- motion cérébrale . -11 s'agit de deux observations avec autopsie et
inte de dégénérescence hyaline. M. Friedmann croit que la commotion cérébrale a affaibli les centres vaso-moteurs ; de là les
e l'observation de Sperling et Kronthai, il appert que la commotion cérébrale porte avant tout son action sur le système vasc
ort qui a lieu le 13 janvier. - Autopsie. Pas d'embolie des artères cérébrales ;, nulle cause orga- nique d'hémiplégie ; l'enc
contractilité élec- trique normale. Aucune lésion des autres nerfs cérébraux . Pupilles égales; à la lumière leur réaction es
Alcan, éditeur. ' M. Sollier définit l'idiotie : « une affection cérébrale chronique 260 BIBLIOGRAPHIE. à lésions variée
r découvrir, dans certains cas, les premiers indices ,d'un désordre cérébral , d'entraver dès son origine le 'processus morbi
le apprit qu'il était marié, il se manifesta chez elle des troubles cérébraux . Elle n'eut plus conscience de ses actes. Elle
férente d'elle-même qu'on peut croire à un léger degré d'excitation cérébrale . Le 24 avril apparaît la première crise. ' J'
quérir l'as- pect de la délibération. Les divers modes d'activité cérébrale (sentiments, volonté, attention, mémoire, jugem
fférents segments de la moelle, du méso- céphale et des hémisphères cérébraux qui étaient ainsi mis en jeu de la façon la plu
olo- gique, p. 39 et p. 305. ' Herzen. - Le cerveau et l'activité cérébrale , 1887. Consulter tout le chapitre excellent sur
ectuels et, qu'en somme, son cas n'avait rien d'anormal. C'était un cérébral , comme Lasègue appelait cette sorte de malade.
tare héréditaire se trouve cependant, par le fait de son affection cérébrale qui date de neuf mois, dans les mêmes condition
nt héréditaires d'eux- mêmes. , A..., parle fait de son affection cérébrale , est donc devenu un dégénéré intellectuel, et j
s de ce genre ne naissent que dans les conditions de dégénérescence cérébrale , dégénéres- cence héréditaire le plus souvent,
ur l'expérience, c'est-à-dire sur la clinique et sur la physiologie cérébrale . La forme de ce court travail m'obligeait à pré
ailleurs est bien en rapport avec l'idée que l'on se fait de l'état cérébral des mélancoliques. Ce qui domine chez eux c'est
s déprimés comme chez les anxieux ce n'est donc pas tant le travail cérébral qui fait défaut, qu'un travail qui manque d'ens
n; il sent que le mal réside en lui, con- 1 Etudes sur les maladies cérébrales et mentales, p. 425. 392 RECUEIL DE FAITS. '
AL. (Neurol. Cenlralbl., 1890.) . Méthode d'étude des capillaires cérébraux en général. A un cerveau frais, on prend un mor
ration consécutive des cellules nerveuses, finalement, l'atro- phie cérébrale . Or, c'est au début qu'il faut surprendre les lés
res à myéline. On trouve encore de celles-ci dans les prolongements cérébraux des pyramides. Mais il ne faut pas les confondr
pyramides, mais au niveau de la protubérance et dans les pédoncules cérébraux , quels qu'aient été le volume et l'in- tensité
érébraux, quels qu'aient été le volume et l'in- tensité des lésions cérébrales ou spinales, est en faveur de cette opi- nion.
Pas de névrite. P. K. X. CONTRIBUTION A la connaissance DU GLIOME cérébral ; par BUC880LZ. (Arch. f. Psych., XXII, 2.) O
e : gliosarcome diffus de la moitié antérieure des deux hémisphères cérébraux . Hydrocéphalie interne. Compression céré- brale
oint de vue clinique, tare héréditaire, symptômes d'hyper- pression cérébrale . Quoique la tumeur ait un certain volume, et que
on (lobe temporal). P. KERAVAL. XIII. La GENÈSE DES circonvolutions cérébrales ; par F. SCHNOPF- HAGEN. (Jahrbuch. f. Psych £
du présent cahier. M. Schnopf- hagen, après avoir coloré la matière cérébrale au chlorure d'or et de potassium et au chlorure
P. KERAVAL. XIV. D'UN cas d'atrophie musculaire PRÉCOCE D'ORIGINE cérébrale ; par A. BORGÜBRINI. (Neurol. Centi-(tlbl., 189
tié droite de la moelle. Et c'est tout. P. KERAVAL. XV. Hémorrhagie cérébrale CONSÉCUTIVE A UNE EMBOLIE hydatique des artères
morrhagie cérébrale CONSÉCUTIVE A UNE EMBOLIE hydatique des artères cérébrales ; par DOEHNHARDT. (Neurol. CM<;'a/6 ? 1890.)
. On trouve à l'autopsie une vésicule hydatiqueobli- térantl'artère cérébrale postérieure gauche, et les artères sylviennes d
. XVI. UN TROUBLE DE l'innervation DE L'OESOPHAGE dû A UNE tumeur cérébrale occupant l'espace postérieur du crâne ; par J. NE
indiquer la présence. E. B. XVIII. Recherches SUR la circulation cérébrale pendant l'hypnose; par de SARLO et BERNARDIN).
BERNARDIN). (Riv. sp. di f1'G11., t. IX-X11-XVIL) - La circulation cérébrale diffère suivant les états hypnotiques : il semb
dans les états hypnotiques, d'antagonisme entre les circulations cérébrale et périphérique. Le pouls augmente de fréquence e
grenues au toucher; c'étaient celles qui constituent le territoire cérébral irrigué par la cérébrale moyenne droite. Le péd
taient celles qui constituent le territoire cérébral irrigué par la cérébrale moyenne droite. Le pédoncule droit, la moitié dro
côté opposé. Les artères de la base étaient athéromateuses, et la cérébrale moyenne droite, ainsi que ses branches, étaient i
se traduisent ulté- rieurement par un mouvement. (79). Inhibition cérébrale . L'inhibition cérébrale et ses suites nous cond
eurement par un mouvement. (79). Inhibition cérébrale. L'inhibition cérébrale et ses suites nous conduisent à supposer qu'il
E PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. (83). Remarque sur la quantité d'usure cérébrale dans l'action mentale. Le déploiement de l'inte
rès son entrée, céphalalgie et vomissements de nature manifestement cérébrale , rebelles à tout traitement; quatre jours plus
absolument défaut. R. M. C. XXIV. DES altérations DE la PIE-MÈRE cérébrale CHEZ LES aliénés; par Francesco del GRECO. (Riv
rtérite des plus petits vaisseaux de la pie-mère et de la substance cérébrale , et une infiltration nucléaire diffuse de la pie-
les individus morts au début de la maladie, alors que la substance cérébrale ne pré- sente pas de signe de sclérose et d'atr
airement par la face, qui est en rapport avec les cir- convolutions cérébrales . J. SÉGLAS. XXV. Les substances albuminoïdes ph
ant à la cérébrine, elle constitue une propriété exclusive du tissu cérébral . Ces trois substances présenlent une propriété
as conclure de là que ces substances non albuminoïdes de la masse cérébrale présentent seules la base matérielle du protoplas
sons albuminoïdes. Tous les éléments consti- tutifs de la substance cérébrale peuvent être divisés en plusieuis groupes natur
stances inor- ganiques y compris H2o. La présence dans la substance cérébrale des combinaisons organiques contenant du phosph
les autres non azotées. Parmi les substances albuminoïdes du tissu cérébral deux jusqu'à présent ont été établies : la nucl
uroglobuline avec une quantité déterminée de phosphore, La stromine cérébrale contient aussi du- phosphore, et les auteurs l'
e jurisconsultes et psychiatres. M. ERLENMEYER. Sur une affection cérébrale produite par la syphilis ' Voy. Archives de Neu
ette modalité morbide ressemble évidemment à la paralysie infantile cérébrale , moins la paralysie et la contracture. Il se po
centre ovale (porencéphalie) dans la paralysie infantile d'origine cérébrale . En des cas tout à fait semblables à ceux d'Erlen
s après le début de cette psychose aiguë, il meurt par épuisement cérébral . A l'autopsie, on constate : d'abord des altérati
es incurables. Nous n'avons pas la prétention de guérir des lésions cérébrales organiques dont l'évolution est irrévocablement
lepsie très court. De temps à autre, tendance à la sudation, taches cérébrales , urti- caire factice. En outre, violentes cépha
rémités supérieures dépend le plus souvent directement de la lésion cérébrale . C'est une synovite qui peut être aiguë ou suba
e musculaire est causée par la localisation spéciale de la lésion cérébrale . BIBLIOGRAPHIE. VII. Recherches cliniques et
n particulier, l'observation IV, Idiotie symptomatique d'une tumeur cérébrale . On y voit que, sous l'in- flnence de tumeurs c
e (atrophie, sclérose). Obs. III. Idiotie symptomatique de sclérose cérébrale atrophique. Obs. V. Idiotie symptomatique de mé
es observations d'at- tente en vue de la localisation des fonctions cérébrales . On menait de front, se completant, s'expliquan
modique, parScheiber, 100. Atrophie musculaire, dans les foyers cérébraux , par Eisenlohr, 101 ; - par IJoenhaL'rlt, 110;
de l'écorce du , par Dees, 399; -hydatides du - avec hémorrhagie cérébrale , par Doenhardt, 405 ; ;- substances albuminoï
Moravcsik, 96. ' CHORÉE et rOLIE, par Cape, 225. Circonvolutions cérébrales , genèse des -, par Schnopfhagen, 402. Colorat
n, 402. Coloration de la myéline, par Wei- gent, 216. Commotion cérébrale , par Fried- mann, 243. Congrès ries neurologu
' Glande pituitaire, tumeur de la-, par Wliitweil, 412. Gliome cérébral , par Buchholz, 400. Hallucinations, du souvenir
pertrophie congénitale, par Hoff- mann, 247. Hypnose, circulation cérébrale pen- dant l ? par Sarlo et Borgherini, 406.
de la par Manz, 251. Sensibilité, troubles de la dans les foyers cérébraux , par Darksche- witsch, 105; dans la sclérose en
x ET bruits laryngés des hysté- riques, par Charcot, 69. Tumeurs- cérébrales , par Oppen- heim, 98; troubles de l'inner- va
61 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
conductibilité dans un point quelconque du trajet entre l'écorce cérébrale et la plaque terminale de Rou- get. En tout cas
oit qu'il est sourd. Soigné pendant un mois pour une conges- tion cérébrale sans être soulagé de ses vertiges. Chute à terr
érapie et le bromure depotas- sium ont suffi à rétablir l'équilibre cérébral , du moins pour le moment. Observation VII. Hé
il du sens interne. Comment, en effet, une lésion qui amène l'usure cérébrale , la destruction des cellules intellectuelles se
pte spasmodique ; noyaux disséminés de sclérose sur les ventricules cérébraux , plaques coiiflitei2tes sur la partie inférieure
é impossible de constater la moindre lésion sur les circonvolutions cérébrales ; tous les recoins du territoire extérieur de l
e trois à quatre millimètres. Sur la face inférieure des pédoncules cérébraux et de la protu- bérance il existe un certain no
up occupé dans ces dernières années des anomalies et des asymétries cérébrales . I. On a voulu mettre en rapport avec l'absence
e genre ne pouvaient nullement servir à l'étude des localisations cérébrales , dont la doctrine ne peut s'appuyer que sur les
, p. 71. 3 Pitres. Sur les atrophies partielles des circonvolutions cérébrales , consécutivement aux amputations anciennes des
ol., 1877, p. 26.) GO RECUEIL DE FAITS. dant d'une circonvolution cérébrale soit bien démontré. Pas plus les faits de Broca
nedikt 4, on s'est efforcé d'établir un rapport entre les anomalies cérébrales et non seulement les altérations de l'in- telli
és dont la folie a été de longue durée, on n'a trouvé aucune lésion cérébrale appré- 1 P. Broca. Localisations cérébrales sur
n'a trouvé aucune lésion cérébrale appré- 1 P. Broca. Localisations cérébrales sur le cerveau d'un ec'0 ! ? : e7;e ? ). (l3ull
? : e7;e ? ). (l3ull. Soc. Azttlirop., 1879, p. G(S9). Localisation cérébrale sur le cerveau d'un cul-de-jatte. (Ibid., 18SO,
le vivant, et il convient de faire remarquer que les malformations cérébrales qu'on leur a attribuées s'ap- pliquent exclusiv
tc. Si la plupart des malfaiteurs ne présentent que des anomalies cérébrales insignifiantes, il existe d'autre part des sujets
on génitale; lesbisme; Anoma- lies asymétriques des circonvolutions cérébrales ; trois plis de pas- saga dans le sillon de Rol
nt des anomalies notables. ANOMALIE DU CERVEAU. 65 Les pédoncules cérébraux , la protubérance, le cervelet, le bulbe, ne pré
des modifications mor- phologiques très importantes d'un hémisphère cérébral . La dépression antérieure qui donne un aspect s
de la moelle. II. NOUVELLES RECHERCHES SUR la topographie CR.N10- cérébrale ; par CH. Féré. [Revue d'anthropologie, 2e série,
éré indique un moyen plus facile d'établir les rapports des sillons cérébraux et du crâne par la détermination des plans glab
- 9*) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. tion apoplectiforme(hypérémie cérébrale ) comprenant des chan- gements de coloration du
maul (appareil d'articulation fondamental). La priorité des lésions cérébrales ou du moins leur prééminence ressort de l'évolu
E. 91 tachant parfaitement comme les réflexes exagérés à la forme cérébrale (Ordenstcin, l3amurond, Setschenow) et les lésion
s corps optû-striés et delà région sublllalamique, des pé- doncules cérébraux , de la moelle allongée, du faisceau pyra- midal
miques et histo- logiques dans la moelle, le bulbe, les hémisphères cérébraux ; il rappelle la topographie si importante des
ubérance, et aborde l'exposé des faits acquis sur les localisations cérébrales . Passant ensuite aux localisations pathologique
Une fois, par hasard, ils ont dit à peu près la vérité sur le petit cérébral dont nous parle M. Dally. J'ai en effet reçu, un
le malade prend de l'iodure de potassium. Mémoire sur les tumeurs cérébrales , par M. Mills. Ce travail contient douze observ
inlra-crâ- niennes est plus facile que celui des autres affections cérébrales et qu'il doit être fait en se basant sur les sy
une observation où, pendant la vie, tous les symptômes des tumeurs cérébrales s'étaient montrés, mais où l'autopsie ne vint r
e ce symptôme ne suffit pas pour éloigner le dia- gnostic de tumeur cérébrale . Il signale chez les sujets atteints de cette m
E NERVEUSE. nuées ou plus complexes. Le diagnostic des affections cérébrales semble devoir trouver de précieux éléments dans
ôté que la paralysie oculaire, qui est également celui de la lésion cérébrale , tandis que l'hémiplégie occupe le côté opposé.
s la lèvre et toute la mâchoire inférieure. Le diagnostic de tumeur cérébrale porté dès le début par M. Charcot se confirme p
u chiasma et des nerfs optiques. « Sur le bord externe du pédoncule cérébral , depuis l'inser- tion cérébrale jusqu'à l'inser
« Sur le bord externe du pédoncule cérébral, depuis l'inser- tion cérébrale jusqu'à l'insertion protubérantielle, il existe u
e, sans tournoiement. On l'a soigné depuis lors pour une congestion cérébrale (saignées répétées, purgatifs chaque jour, etc.
égion fronto-pariétale elle entraîne de gros fragments de substance cérébrale ramollie. Il existe, en effet, un large foyer d
VRITES PÉRIPHÉRIQUES NON TRAUMATIQUES. 21.1 différente de la lésion cérébrale qui, au lieu de détruire, se bornait à comprime
ares à la fesse du côté paralysé dans l'hémiplégie récente de cause cérébrale . (Archives de Physiologie normale et pathologiq
H ! on'/taye méningée; injection et fausse membrane de la dure-mère cérébrale et rachidienne. Exsudais purulents et granulati
e deSylvius. La pie-mère est injectée et adhé- rente à la substance cérébrale , sur plusieurs points des circonvo- lutions fro
res de l'hexagone. Rien à signaler dans l'épaisseur de la substance cérébrale . Rien au cervelet, ni dans le bulbe. Moelle.
de traces. Il est plus probable que, dans ce dernier cas, l'écorce cérébrale n'étant plus apte à percevoir, la force nerveuse
es cornes grises antérieures. P. K. XIV. Note sur un cas DE surdité cérébrale [surdité psychique) PAR LÉSIONS DES DEUX PREMIÈ
e la scissure de Sylvius. A son niveau, destruction de la substance cérébrale , réduite en masse rosée, avec petit foyer hémor
le corps thyroïde a été trouve diminué de volume. Au point de vue cérébral : lenteur de l'intelligence, perte de la mémoir
, ni des réflexes, avec les réactions électriques de l'hé- miplégie cérébrale . Aucun de ces malades n'eut d'attaque apoplec-
ttaques épileptiformes; enfin il mourait tout d'un coup d'apoplexie cérébrale , sur les marches du palais de justice, où il al
iniforme, étendu à toute la base du cerveau. Pie-mère de la surface cérébrale légèrement trouble; nulle part de tubercules. Les
quevilicmcntet la rayure sont-ils spéciaux aux cellules de l'écorce cérébrale et cérébelleuse, sans toutefois se montrer cons
avant, ayant engendré d.'s enfants indemnes, et mourant de syphilis cérébrale . Il n'3- avait pas lieu dans l'espèce de soupço
stoire d'un paralysé général syphili- tique, chez lequel la maladie cérébrale avait impitoyablement pro- gressé, après la dis
à la détacher, on constate qu'elle adhère fortement à la substance cérébrale , qui se laisse désa- gréger. Une coupe transv
...,. noncées dont. nous venons de parler, iapie-mcro et le tissu cérébral sont'sains/L'es lésions'sont parfaitement circons
dissociation' les'substahcës grise et'blanche'des diverses régions- cérébrales au voisinage et à,une'certaine distance, du,.fo
1'(t ? iesthésie 1»otlitile pcii, les lésions des circonvolu- tions cérébrales . (Revue mensuelle de médecine et de chirurgie; il
en à la périphérie que dans la pro- fondeur. A droite,' l'artère. cérébrale antérieure, vers, Impartie posté- rieure du sil
ent une sorte de'noyau qui semblait plonger aumilieude la substance cérébrale devenue, adhérente, ramollie et ^pigmentée de r
ICATION DU LA PLANCHE 1\7. Figure 1. - Face externe de l'hémisphère cérébral droit. F, Circonvolution frontale ascendante.
ul fàit'qu'elle était liystérique,1' exagé- rait les manifestations cérébrales susceptibles d'apparaître soifs l'ilifl'uèllè'(
tion à l'étude des troubles fonctionnels de la vi- sion par lésions cérébrales , 1882, p. 236. ' SUR LES PLEXUS DES NERFS SPINA
ragraphes. Le premier, relatif à l'héînzaiîesthésie et à la torpeur cérébrale hémilalérale, établit que l'hallucination ne pe
jumeau et la moitié correspondante du cerveau. Telle est la torpeur cérébrale qui explique l'inexcitabilité des nerfs optique
courants en cet endroit engendrera tous les phénomènes d'excitation cérébrale accoutumés, même après l'insensibilisation arti
s l'insensibilisation artificielle du point en question. La torpeur cérébrale , loin de dépendre de l'anes- thésie du trijumea
nt demeurée entière. A raison de la non-alternance del'anes- thésie cérébrale et somatique, et du transfert obtenu simulta- n
ule interne, M. Rosen- thal rattache l'hémianesthésie et la torpeur cérébrale concomi- tante fronto-latérale à une excitation
nthal' fait ressortir le déplacement' coiico1 mitant' de la'torpeur cérébrale .' Le nitrite' d'amyle''en inhala- ii611s rafraî
'auteur ajoute comme'argument : les allures identiquesde la torpeur cérébrale et[lesconstatationsophthalmoscopiquesdeIIugueni
des applications d'eau a 55° et 5G° ; le déplacement de la torpeur cérébrale par l'électrisa- tion galvanique, source parfoi
u courant des accès (Regnard) ; '; l'étude'du transfert par embolie cérébrale (anesthésie du côté hémiplé- gique, hyperesthés
. - . REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. -3jl sympathique après lésion cérébrale clinique (Nothnagel in Vir- claow's Archiv, t.
pparu.' ' Ces assertions expliquent la concomitance de la torpeur cérébrale et de l'hémianesthésie du même côté, la codispari
s excitants extérieurs. , P. K. XXVIII. Traitement DE l'hyperémie cérébrale ET méningée par la révulsion cutanée; par Max B
iples (pneumonie et gangrène pulmonaire, alcoolisme;- hémorrhagie cérébrale et méningée; - petitesse congénitale du coeur, de
t être reliés à l'état des reins. Ces psychoses seraient à l'urémie cérébrale ce que les vésanies épileptiques et hysté- riqu
one ni dans la commissure antérieure. Légère réduction du pédoncule cérébral à gauche. M. Kirchhoff estime que l'atrophie sc
hiques dépendant de l'aphasie et ceux res- sortissant à l'affection cérébrale ou à ses conséquences. Celle-ci entraînerait to
w 1^ W·.·) 11111111 Ji, -1- 4 i 1 organisation spéciale des centres cérébraux ; deux.varieles a ' ? no. ? r.i i ^^."in-i t ,-
ut au plus si l'on pourrait arguer de l'influence de la ' commotion cérébrale . 'Il- n'y aipoint eu continuité dans les alté-
âltpr'des toniclues et lavie en commun>(troublés0de'1 nutrition1 cérébrale ). "Toiis'Tés1 - ? ? ',i'i»*>(i > n-, ,i-
des aliénés placés volontairement, M. Ball rapporte un cas d'anémie cérébrale : il s'agit d'un médecin de campagne atteint au
a trentième attaque. On doit attribuer ces accidents à une ischémie cérébrale fonctionnelle, sans altération organique qui dé
. Foville a en effet édifié une théorie de l'épilepsie sur l'anémie cérébrale ; cette théorie a beaucoup de partisans, mais je
s nous avez parlé aussi d'un homme qui, pendant un accès d'ischémie cérébrale , avait commis un crime inconscient. Un acte inc
ppelés idiots tous les psychopathes qui, à la suite d'une affection cérébrale congénitale ou acquise dès les premières années d
sion des crétins de cette définition, considère que les altérations cérébrales sont souvent absentes et que le patient est sou
t le développement mental est entravé ou arrêté par une affection cérébrale congénitale ou acquise dès les premières années d
'onanisme, des troubles du développement, de cer- taines affections cérébrales , de maladies fébriles. 3° Pour arriver à des ré
sir en sa situation nor- male le plan qui réellement sépare la cage cérébrale du squelette facial. Il détermine sur le sujet
ions athéromateuses (athérome, anévrysmes miliaires des capillaires cérébraux , foyers de ramollissement jaune). Il fournit
de règle. Cette période est remarquable par l'existence d'accidents cérébraux , en particulier de phénomènes congestifs, qui n
l'aura, « cette manifestation extérieure du malaise de la région cérébrale sur laquelle va tout d'abord se porter la décharg
ations précieuses au point de vue de la recherche des localisations cérébrales . Enfin les hallucinations (h. sensorielle), ou
entation chez les ani- maux démontrent l'existence d'une congestion cérébrale au début de l'attaque. Des tracés placés à la f
Paris, 1883. Des manifestations hystériques simulant le rhumatisme cérébral ; par Repéré. Thèse de Paris, 1883. Des lésion
i avec certitude au diagnostic. Il ne néglige aucune des affections cérébrales ou mentales dont le délire, parfois très actif,
pproche l'état de surexcitation du délire aigu, l'état du surmenage cérébral de l'état du surmenage des hôpitaux. Enfin il i
pathologique du erétinisme, la trophonévrose faciale, les accidents cérébraux dans le mal de Bright, l'alcoolisme chronique,
ie de l'épilepsie, le vol aux étalages, la mélancolie perplexe, les cérébraux , le délire alcoolique n'est pas un délire mais
veuses, parmi lesquels nous citerons des articles sur la pathologie cérébrale et le crétinisme, sur la maladie cérébro-cardia
propres, par ScliC.1e, 379. Aliénés (protection des), 423. Anémie cérébrale , 387. Aphasie (de l'influence de l'- sur la c
t aux fonctions de nutrition et de relation), par Brunton, 234. Cérébrales (tumeurs), 118. Cerveau du lapin (de quelques a
e attaque de méningite aiguë, par lliathelin, 245. 0 llyperlrémie cérébrale et méningée traitée par la révulsion cutanée,
des mouvements volontaires, par Bal- let et Marie, 1 . Surdité cérébrale par lésion des deux premières circonvolutions
N DES PLANCHES. PLANCHE IV Figure 1. Face externe de l'hémisphère cérébral droit. F, Circonvolution frontale ascendante.
62 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
titue un individu, un zonite,de même je crois que chaque hémisphère cérébral avec la moitié du corps qu'il régit, constitue
fortiori admettre l'indépendance fonctionnelle des deux hémisphères cérébraux . Or cette théorie, qui fut soutenue par Dumontp
ercé-, ce qui implique une plus grande acti- vité dans la direction cérébrale ; 2° que le langage siège dans le cerveau gauch
érences dans le relief topographique de la superficie de l'é- corce cérébrale suivant les hémisphères, on reste frappé de la no
- rence de sensibilité, localisation du langage dans l'hémisphère cérébral gauche. Ces différences d'aptitudes sont accompag
ros orteil et la flexion plantaire du pied. Dans cinq cas de lésion cérébrale organique, Schaefer (Neurol. Ctrbl. 1899, p. 10
e à peu près suivant la normale, et opposé par Carl Vogt au « crâne cérébral ». Ch. BONNE. V. Zur Frage der trophischen Nerv
E D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. du bulbe. Hémisphères cérébraux sains sauf aplatissement des circonvolutions et
on des ventricules. Au microscope, lé- sions chroniques de l'écorce cérébrale « habituelles dans la dé- mence artério-scléreu
que le pneumocoque, cause fréquente de lepto-méningites et d'abcès cérébraux , a été moins souvent ren- contré dans des encép
s- seaux sanguins. Ch. Bonne. X. Sur une localisation de fonction cérébrale ; réponse au Dr Shan Bolton. par Alfred W. CA 1
amas purulents qui tapissaient les méninges au niveau de la fosse cérébrale moyenne. G. Deny XVI. Quelques types de plaies
rant sanguin, dans une portion (généralement li- mitée) de l'écorce cérébrale , stase due aux caillots intra-vasculaires ci-de
antes, il résume les preuves de l'in- fluence de la stase ou anémie cérébrale sur la détermination des phénomènes convulsifs.
détermination des phénomènes convulsifs. 1° Ligature des artères cérébrales chez les animaux. Astley Cooper lie les deux ca
ie peuvent être provoquées par une stase soudaine de la circulation cérébrale , mais elles démontrent en même temps la nécessi
sénile du système nerveux, et ensuite un état de stase ou d'anémie cérébrale résultant des lésions artérielles. Dans plusieu
que fût son origine, rétinienne ou, bien plus vraisemblablement, cérébrale . Elle permet au sujet de reporter toute son atten
ires de suc de substance grise dans les insuffisances de la cellule cérébrale . Neuf observations à ce sujet sont présentées'p
(de Metz) et VOIVENEI, ; dans la plupart des cas cette opothérapie cérébrale paraît avoir donné des résultats satisfaisants.
s : 1° Surdité complète succédant à une attaque de ramollissement cérébral et vraisemblablement attribuable à des lésions bi
nt seules ; c'est que la paralysie du coeur a occasionné une anémie cérébrale qui a annihilé l'action de la couche corticale,
rience a été vériiiée par un autre assistant, qui a obtenu l'anémie cérébrale en liant les artères cérébrales. Chez le chie
tre assistant, qui a obtenu l'anémie cérébrale en liant les artères cérébrales . Chez le chien pris comme type, l'application d
modalités d'application. Tant qu'un anormal a assez de discernement cérébral pour que la crainte de la répression CONGRÈS DU
« la prolifération névroglique dans toutes les régions de l'écorce cérébrale , mais prédominant très nettement : 1° au niveau
li entre les aggravations de symp- tômes cardiaques et les troubles cérébraux montrent bien le rapport intime existant entre
issement intellec- tuel engendré par les troubles de la circulation cérébrale ou par l'intoxication. Il a la valeur d'un phén
s une « modification plus ou moins durable du ré- gime des réflexes cérébraux » qui, suivant qu'ils seraient inhi- bés ou exc
'ac- CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 153 tivité cérébrale auquel il correspond, les différents symptô- me
ue les premières. Toutes sont au même titre fonctions de l'activité cérébrale . J'ai con- sidéré comme une sorte de sommeil d'
sentiellement caractérisé par de l'amoindrissement de l'ac- tivité cérébrale , en ajoutant que cet état a une tendance à res'
cial de réagir du système nerveux et particulière- ment de l'écorce cérébrale , qui a tendance à rester fixé dans les états de
s- formation des sensations en idées ; le rétrécissement du champ cérébral . L'affaiblissement mental existait donc déjà à
tions d'intéressantes photographies et coupes d'un cas d'agénésie cérébrale par transformation kystique d'un cerveau pendant
ës encéphaliques, les hypothermies sont en rapport avec des lésions cérébrales à évolution lente, et sont un signe précurseur
chez les paralytiques généraux et chez les déments dont l'affection cérébrale a suivi un cours régulier et lentement progress
ique et sclérose de la couche moléculaire du cortex ; athéro- matie cérébrale et nombreux foyers lacunaires. Pas de lésions m
nature alcoolique est très rare en Grèce. A propos de la syphilis cérébrale diffuse. M. Ch. Ladame (asile de Saint-Pirminsb
iffuse. M. Ch. Ladame (asile de Saint-Pirminsberg). - La syphilis cérébrale diffuse appartient au groupe des formes vascula
ues sont : a) macroscopiques : Leptu- méningite chronique, atrophie cérébrale , parfois plus mar- quée au niveau de certaines
ronophagie et destruction des cellules ganglionnaires. La syphilis cérébrale diffuse se distingue essentiellement sinon touj
servé d'accidents nerveux im- putables à des lésions médullaires ou cérébrales . Quand l'ani- mal succombe, la mort est imputab
-t-il, à user de ce traitement chez l'hom- me, au cas de néoplasies cérébrales ou médullaires, traitées opératoirement et réci
ne pas le tabès, mais il soigne des tabétiques. Un cas d'agénésie cérébrale par transformation kystique du cer- veau pendan
développées par des scissures et des sillons peu profonds. L'écorce cérébrale n'est en effet qu'une mince membrane recouvrant
ui ne peuvent être que le résultat d'une résorption de la substance cérébrale sous-corticale à la suite d'un processus inflam
aspect rosâtre, tandis qu'au cours de la période clonique, l'écorce cérébrale avait une coloration rougeâtre. J'ai étudié un
et aucun signe ne permettait de rapporter l'affection à une lésion cérébrale médullaire ou névritique. Tubes ataxo-spasmodiq
mblablement unique intéressant la 3° paire droi- te et le pédoncule cérébral et empiétant sur la 3e paire gauche. Le tremble
ceau géniculé au niveau de la région sous-op- tique ou du pédoncule cérébral . . Spasmes et parésie dans le territoire du fac
)1. le médecin-directeur M. )lonestier. BIBLIOGRAPHIE IL L'écorce cérébrale ; par le Dl Ch. Bonne, médecin-adjoint des asil
nèbres, donnait, depuis quelques semaines des signes de dérangement cérébral . Hier soir, comme il venait de se mettre à tabl
bnubilation intellectuelle, le malade étant sous le coup d'un ictus cérébral , dont le trouble visuel est pour ainsi dire la
avec stéatose hépatique et lésions cellulaires toxique de l'écorce cérébrale . Bulletin de la Société unalomique, novembre 1905
( Lubouschine. Modifications anatomo-pathologiques de l'é- COITC cérébrale dans deux cas de démence précoce. (In Journal de
font suivre leur relation histologique d'un résumé des altérations cérébrales que l'on trouve dans la tuberculose pulmonaire
t sur l'appareil cérébelleux et sont à rapprocher des malformations cérébrales sur lesquel- les les auteurs ont insisté et qu'
lésions les plus importantes portent sur les mé- ninges et l'écorce cérébrale et ce sont celles-là qui ont donné naissance au
raplégie spas- modique. Chez le frère, on constate une insuffisance cérébrale très marquée. La soeur présente une paraplégie
us une conception dynamique et non purement mécanique de l'activité cérébrale , dans la- quelle l'autonomie étroite des centre
leurs descendants sont des dégénérés. Pression sanguine générale et cérébrale dans l'épilepsie électrique. Par Mlle le Docteu
r- mal quand les convulsions cloniques cessent. Pression sanguine cérébrale . On expose le cerveau d'un chien par trépanatio
u circuit et pendant la phase clonique de l'atta- que, la substance cérébrale devient de plus en plus rose, les vais- seaux c
a substance cérébrale devient de plus en plus rose, les vais- seaux cérébraux se dilatent sensiblement à mesure que les convul-
ues sont au maximum de leur intensité. Comment se comporte la masse cérébrale pendant l'attaque d'épi- lepsie électrique ? .
érébrale pendant l'attaque d'épi- lepsie électrique ? . 1° La masse cérébrale exposée par la trépana- tion commence à augment
gmenter de volume aussitôt que commence la dilatation des vaisseaux cérébraux après la rupture du circuit. Et à mesure que le
érébraux après la rupture du circuit. Et à mesure que les vaisseaux cérébraux se dilatent progressivement pendant que les con
ulsions d'abord toniques et puis cloniques se manifestent, la masse cérébrale augmente de volume de plus en plus jusqu'à ce q
au maximum de l'intensité des convulsions cloniques. 2° La hernie cérébrale commence à diminuer de volume avec la diminutio
diminution de l'intensité des convulsions cloniques, et la masse cérébrale rentre dans la boîte crânienne à sa place normale
raphiquement dans ma thèse citée ci-dessus. 4° La pression sanguine cérébrale a été étudiée et publiée il y a trente ans, par
EVUE t J, P : 1T.IOLU Il : NERVEUSE. XXII. Sur un cas de rhumatisme cérébral ; recherches bactério- logiques ; ponction lomb
etin de la Soc. méd. des hôp. de Layon, 30 juin 1905.) Rhumatisme cérébral chez un sujet de 33 ans, nerveux et sur- mené a
miers jours n'ont pas été connues. Coïnci- dence avec les accidents cérébraux d'une éruption cutanée qui pour les auteurs doi
XIV.- Coexistence d'un rétrécissement mitral et d'une hémor- lhagie cérébrale ; par : MJ\I. BÊRIEL et P. Savy. (Soc. des sc.
n méd., 31 mars 1907. Observation : Hémiplégie gauche ; hémorrhagie cérébrale re- montant à cinq jours chez une éthylique de
ivement rares, car on ne rencon- tre généralement pas l'hémorrhagie cérébrale au cours du rétré- cissement mitral. Dans ce ca
rdiopathe valvulaire, un brightique. Ainsi s'explique l'hémorrhagio cérébrale et la lésion mitrale y est tout à fait étran- g
sentier des Houes, était depuis quel- que temps atteint de troubles cérébraux . Seul, hier soir, dans son logis, il en profita
du cerveau avec méninges 1170 gr. Dure-mère assez tendue. La fosse cérébrale postérieure et la selle turcique sont couvertes
lésions de la moelle cervicale et d'un faisceau allant de l'écorce cérébrale au bulbe ; l'imm. réfl. au- rait pour cause la
e lésion du cerveau postérieur, ou bien un trouble de l'arc réflexe cérébral générale- ment admis. B.a vu souvent manquer,da
constater des lésions de tous les éléments constitutifs de l'écorce cérébrale . Les lésions les plus accentuées occupent la co
ut par les trois derniers doigts. SOCIÉTÉS SAVANTES. 303 Diplégie cérébrale infantile à type pseudo-bulbaire. M. P. ARMAND
vaient été traumatisés dans sa jeunesse. Monoplégie crurale. Lésion cérébrale congénitale. .)I.LONG lit le procès-verbal de d
-l'Evêque, le sieur Léonce Dossin, 26 ans, at- teint de dérangement cérébral , s'est tranché la jambe droite à coups de serpe
d'une certaine noto- riété, présentait des symptômes de dérangement cérébral . La nuit dernière, il demanda à sa femme d'alle
s axones sont bien développés dans toute la moelle et dans le tronc cérébral , tandis que la formation des fibrilles est enco
ugte Gehirn-Atrophie und damit verbnn- dene Schadel-Atrophie. (Atr. cérébrale expérimentale- et a. crâ- nienne en résultant ;
estiblité. L'hyperimpressionna- bilité et la diminution du contrôle cérébral qui sont la cause vraie de la suggestibilité de
lles pas la conséquence directe de la dimi- nution de leur contrôle cérébral ? L'exagération des réflexes tendi- neux niée p
t l'hystérie : l'hyperimpressionnabilité, la diminution du contrôle cérébral et l'hypersuggestibilité ; ce dernier facteur r
es bien connues de Lipps sur l'association : quand deux territoires cérébraux A, B, sont associés, il y a d'abord écoulement
de celles de la démence sénile, l'artério- sclérose de la syphilis cérébrale » arrivent jamais à déceler des dif- férences a
dans le nerf optique et le tronc céré- bral, mais non dans l'écorce cérébrale . Elle manqua dans un cas de pseudo-tabes alcool
égie gauche qui présenta constamment les caractères de l'hémiplégie cérébrale . Intégrité absolue des fibres pyramidales dans
Les tumeurs de l'encéphale qui produisent une forte compres- sion cérébrale , s'accompagnent fréquemment d'un syndrome parti-
turne d'urine. Ce profond sommeil,en éliminant l'action des centres cérébraux qui pendant l'état de veille règlent les foncti
de feu par carabine Flaubert dans la région frontale, balle intra- cérébrale , détermination et extraction de la balle ; kyste
e,qui n'est qu'une variété de la folie circulaire ? sur les tumeurs cérébrales ? sur les auto-intoxications rénales ou hépatiq
pour étudier la topographie et l'étendue de n'importe quelle lésion cérébrale , les lésions corticales en foyer, même les plus m
tait apte à manier le sang, dont dépend naturellement la psychicité cérébrale elle-même. » · bibliographie. 389 De l'ensemb
nt un organe actif, impor- tant pour les manifestations affectives, cérébrales . L'extension de la vie individuelle de l'homme,
nc que les autres im- pulsifs sont déterminés par leur organisation cérébrale à obéir aux mobiles. Or, qu'est-ce que l'impuls
e la polynévrite, des ma- ladies différentes de la moelle, du tronc cérébral et du cerveau. Mais, dans notre cas, le manque
bral et du cerveau. Mais, dans notre cas, le manque des symptômes cérébraux et spinaux, la marche de la maladie, l'amé- lio
e). L'absence de symptômes apparents du côté du cerveau et du tronc cérébral dans notre cas témoigne contre l'ingérence de c
par MM. Claude et APPEaT. L'existence du nystagmus dans l'apoplexie cérébrale . M. Souques signale l'existence, dans le coma a
lisme : 1° Intoxications alcooliques, causes exclusives de troubles cérébraux chez les femmes, situation au 1 cr janvier ¡vom
hommes : jo Intoxication alcoolique cause déterminante des troubles cérébraux chez les femmes ; ! l° Même tableau pour les ho
tale du système ra- dial, par Français et Kgger, p. 73. Un cas d' cérébrale par 'transformation kystique du cerveau penda
uée par un traumatisme, par Rose et Lemailrc, p. 303. Apoplexie cérébrale . Voir Xys- lugmus. - Apraxie et démence, par
que de la précoce, par An- theaume et \liSnot, p. 458. Dll'LlèGIE cérébrale intanLile à type pseudo-bulbaire, par A. Deli
- trophique, par Trendelenburg, p. 57. Sur une localisation de- cérébrale , réponse au Dr Sa]m Bolton, p. 62. Fracture.
s de suc de substan- ce grise dans les insuffisance de la cellule cérébrale , par Ré- monel et Voivencl, p. 86. Dan- ger d
'. par Blaclt, p. 299. Nystagmus. L'existence du dans l'apoplexie cérébrale , par Souques, p. 405. Névroses. Quelques rema
récissement \IIT ! 1 \I.. Co- existence d'un et d'une hémorrhagie cérébrale , par Bé- riel et Savy, p. 235. Rhumatisme. Su
rale, par Bé- riel et Savy, p. 235. Rhumatisme. Sur un cas de - cérébral , recherches bactériolo- giques, ponction lombai
ire, par Raymond, p. 231. Syphilis. Voir Sclérose. A propos de la cérébrale diffuse, par Ladame, p. 157. Traitement de la
63 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
maitre, M. le professeur Grasset, un malade atteint z d'une tumeur cérébrale dont l'observation offre un certain inté- rêt,
qui est bilatérale. Elle présente des adhérences avec la substance cérébrale . Ces adhérences siègent dans toute l'étendue des
int, sans entraîner en même. temps de petits fragments de substance cérébrale . Le cerveau enlevé et dépouillé de ses envelopp
ontale permet de constater une augmentation de consistance du tissu cérébral , dont le maxi- mum se trouve au niveau de la po
mbre. Elle est, en quelque sorte, isolée du restant de la substance cérébrale par une zone assez large de ramollisse- ment (f
que les sarcomes constituent une variété exceptionnelle de tumeurs cérébrales , ces tumeurs étant elles- mêmes fort rares. b
en Starr nous montre que les localisations exclusives des tumeurs cérébrales dans la substance blanche sont rares, puisqu'elle
te remarque de MM. Grasset et Rauzier', dans tous les cas de tumeur cérébrale volumineuse siégeant à l'intérieur de l'en- cép
Une autre conséquence de la présence de cette volumi- neuse tumeur cérébrale a été un agrandissement de la cavité cranienne.
e chefs les hypothèses tendant à expliquer cet état : 1° congestion cérébrale ; 2° névrose; 3° lésion rénale; 4° altération d
'une cicatrice ; chez les uns ce sera sous l'influence d'une lésion cérébrale ou d'une irritation quelconque des terminaisons
cette mala- 32 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. die était due à l'anémie cérébrale , comme l'ont voulu certains auteurs'. - 'L'op
mes d'une fracture de la base avec troubles intellectuels d'origine cérébrale , et au sujet duquel on asuccessivement diagnost
voudrait s'appuyer sur l'interprétation schématique des phénomènes cérébraux pour intervenir chirurgicalement. Tout intéress
atation ne servira que le jour où l'on pourra constater les lésions cérébrales . - P. KERAVAL. IX. Raretés d'un asile d'alién
otions psycho- physiques). Nos sensations résultent de l'excitation cérébrale poly- morphe. La perception d'un mouvement est
par ScuAECEe. (Allg. Zeitschr. f. Psychiatrie, LI, 4.) La commotion cérébrale (ébranlement du cerveau) est une affec- tion di
par traumatisme cranien, le médecin-expert conclura à l'ébranlement cérébral si le traumatisme est démontré, si la mort a su
ce d'un malade, l'expert, avant de poser le diagnostic de commotion cérébrale , s'enquerra des circonstances au cours desquell
isme. Une enquête minutieuse évitera la confusion de la commo- tion cérébrale avec l'ivresse grave. L'évolution des symptômes d
ale avec l'ivresse grave. L'évolution des symptômes de la commotion cérébrale serait-elle favorable, l'expert devra néan- moi
n es sur la possibilité de complications tar- dives : la résistance cérébrale est d'ailleurs toujours diminuée. En cas de mor
sure de l'écorce et quand bien même on consta- terait de l'artérite cérébrale ou une pachyméningite hémorragique. Observe-t-o
le entre le traumatisme et l'apparition de symptômes de compression cérébrale , on sera autorisé à admettre l'existence d'un f
. - Le rapport de cause à effet entre le développement d'une tumeur cérébrale et un traumatisme crânien ne peut être admis qu
âniens sont dus soit à l'ébranlement du cerveau, soit à des lésions cérébrales variées (cicatrices, abcès, kystes, foyers de r
générescence, sur lequel viennent en outre se greffer des désordres cérébraux périodiques (obnubilation passagère avec troubl
chorée et de troubles périodiques de la conscience et de l'activité cérébrale . Il conclut à l'irresponsabilité. P. S. V. LE
vec paralysie atrophique des membres supérieurs, avec des symptômes cérébraux en plus, et elle est certainement sous la dépen
ourent un chemin bien plus long. Un de ces arcs va jusqu'à l'écorce cérébrale d'où il repart pour aboutir aux racines antérie
nutritive des os et des cartilages ne connaissent rien de l'écorce cérébrale . - - Camuset. REVUE.DE pathologie NERVEUSE. 71
préjuger de la nature intime de cetle affection, ni de ses lésions cérébrales ou médullaires, sans rechercher non plus si la
ne variété d'une grande classe nosologique, les diplégies d'origine cérébrale , les auteurs croient pouvoir avancer que la syp
roisée consiste en une lésion de la troisième paire et du pédoncule cérébral d'un même côté. Deux observations. Première obs
rante-trois ans, donnait des signes non équi- voques de dérangement cérébral . Hier matin, un apprenti, Emile Bachan, se prés
re deces 104 MÉDECINE LÉGALE. accidents ainsi que de l'exaltation cérébrale constatée chez elle depuis sa détention ont un
s, en accès incomplets en attaques hysté- riformes et en excitation cérébrale , mais cela plus rarement. Pour faire cesser ces
e épileptique ordinaire, une sorte de tabes spasmodique ou diplégie cérébrale ; 8° Le traitement doit viser deux points : 1° l
ar ScHLOESS. (Jahrbüch. f. Psychiat., XII, 3.) Examen de la surface cérébrale de cinquante-deux aliénés héré- ditaires dont s
ratum organique de l'anomalie psychique réside dans les ano- malies cérébrales . Comparant les cerveaux d'individus dont le dév
ne question insoluble,jusqu'ici du moins, par l'étude de l'anatomie cérébrale . » P. 1(EllnvaL. IV. LE phénomène du genou ET l
VI. DES lésions anatomiques DE la MOELLE dans LES cas DE TUMEURS cérébrales ; par C. MAYER. (Jahrbuch. f. Psychiat., Yll, 3.)
YER. (Jahrbuch. f. Psychiat., Yll, 3.) Deux observations de tumeurs cérébrales avec absences partielles de réflexes, lésion ré
es patellaires; cette abolition résulte plutôt de processus d'arrêt cérébral dus à la tumeur. P. K. REVUE D'ANATOMIE ET DE
er et à juger. P. K. VIII. Un TUBERCULE solitaire dans LE pédoncule cérébral DROIT ou DANS LA CALOTTE, AVEC DÉGÉNÉRESCENCE D
posent de deux faisceaux : un gros faisceau appartenant à la région cérébrale , un faisceau plus petit apparte- tenant au plan
ves, t. XXX. il 162 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. cas une atrophie cérébrale très marquée. L'adhérence des mem- branes exist
neurologist, avril 1895.) E. B. XXXI. Psychiatrie ET localisations cérébrales ; par le DI' MINK, L'auteur estime que la doctri
leur explication par Jalésion de telle ou telle région de l'écorce cérébrale . (The alienist and neu- rologist, octobre 1894.
sente un aspect louche, les sinus sont gorgés de sang, la substance cérébrale est dissociée et fortement injectée. J. Roubino
tacher ces douleurs et ces paresthé- sies aux troubles fonctionnels cérébraux par suite de l'excitation venue des nerfs bronc
ologique, t. ICI', 1881, au chapitre de la tuberculose des méninges cérébrales , presque de la même manière que nous le décrivo
-dire à la partie essentielle de la pathologie et de la physiologie cérébrales . Ce résultat, Messieurs, est dû à une éducation
la démence. La plupart du temps, ce n'est qu'à la suite d'un ictus cérébral qu'ils présentent les premiers symptômes de cet
au peut manquer dans les cas récents ou être masquée par l'oedème cérébral , mais elle ne manque pas dans les cas anciens. Le
c cette forme de grandes analogies. Il est probable que les lésions cérébrales sont les mêmes. M. ALZHEI)fER fait observer que
iquent assez facilement, mais entraînent des fragments de substance cérébrale , surtout sur le lobe temporo- sphénoïdal qui pr
ible sous les granulations de l'épen- dyme. Cerveau. - La pie-mwe cérébrale , dans toute son étendue, même sur les lobes occ
les coupes colorées à l'hématoxyline. Les vaisseaux de la substance cérébrale sont extrêmement malades particulièrement dans
relativement moins atteints que dans beau- coup de cas de paralysie cérébrale . Les fibres à myéline sont relativement peu tou
onsidérable, à la dégénérescence colloïde des vaisseaux de l'écorce cérébrale , décrite par M. Magnan dans quelques cas de pa
is ne paraît pas sensiblement 'diminué de volume. - Les hémisphères cérébraux se laissent faci- lement décortiquer, ils ne pr
surface du bulbe, de la protu- bérance et même des circonvolutions cérébrales d'une lésion de même nature, montrent avec la d
ndyme du quatrième ven- tricule est finement granuleut, Les artères cérébrales sont saines. Le cerveau ne présente' aucune lés
cervicale et dorsale que dans le renflement lombaire. Les méninges cérébrales et les capillaires de l'écorce ne présentent pa
ait à des tabétiques, dont un, au moins, ne présente pas de lésions cérébrales . Néanmoins, si nous fai- sons abstraction de la
cher, des colorants muléaires électifs. II. Les lésions de l'écorce cérébrale cause de la paralysie générale, celles des nerf
syphilis qu'il relève. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. C0lfèfOTlON cérébrale , blessure DU cerveau ou névrose; parTHOMSEN. (A
ont présenté des difficul- tés. Fallait-il incriminer la commotion cérébrale ? Mais les symp- tômes de celle-ci suivent immé
de distance, les convulsions appuient le diagnostic de compression cérébrale , que la fugacité des symp- tômes, l'absence de
ême interprétation à nombre de symp- tômes attribués à la commotion cérébrale ou à la compression ? 2 P. SÉRIEUX. XII. UN c
de ceux des arthropathies neuro-spinales. E. BLIN. XV. Accidents cérébraux dans LE cours DE la BLE : VNGRRII1GIE; par le p
le : M. Tambourer attribue à une embolie gonococcique les accidents cérébraux qui ont entraîné la mort de son malade. . Si le
les sensitivo- sensoriels, trophiques, électriques, vésico-rectaux, cérébraux , etc., font défaut ; la motilité est intacte au
logique, janvier 1895.) E. B. XXXV. Observation D'UN cas DE dualité cérébrale ; . par Lewis BRUCE. (Brain, part. LXIX, 1895,
e (dans un cas grippale) et due à la localisation dans les cellules cérébrales et les espaces lymphatiques de l'écorce de baci
e : la grand'- mère, morte à quatre-vingt-deux ans d'une congestion cérébrale , a souffert toute sa vie de migraines. Plusieur
vie de migraines. Plusieurs grands-oncles sont morts de congestion cérébrale . Notre malade est né à terme. A sept mois la mè
tique et la mère nerveuse. Elle a eu deux frères morts d'affections cérébrales suspectes. Elle-même, à l'âge de dix- neuf ans,
par allaitement et ayant^ présenté peu de temps après des accidents cérébraux graves (apoplexie, hémiplégie droite, aphasie m
hez le vieillard). HALl PRÉ. La paralysie pseudo-bulbaire d'origine cérébrale . LEBL.is. De la puberté dans l'hémiplégie spasm
henne-Aran ? AI"ILENOfF. Alauifestations oculaires de la syphi- lis cérébrale .- M. LE FILLFATRE. Essai sur les troubles moteurs
et inculpé de possession démo- niaque comme en proie à des troubles cérébraux . Cependant Nider (mort en 1440) est cité par Ca
an journal of insanity, avril 1895.) E. B. VIII. SUR la chirurgie cérébrale dans LES aliénations mentales; par le Il René S
ale puisse être dis- cutée. D'après les partisans de la chirurgie cérébrale chez les aliénés, on peut toujours, dans les ca
xcision plus ou moins complète de telle ou telle partie de l'écorce cérébrale , cette pra- tique parait inacceptable. (Annales
Conclusion. 1. Le ruban de Reil de l'étage inférieur du pédon- cule cérébral a bien le trajet que lui a assigné Flechisg à la
le des épileptiques, sensibilité occipitale de certaines affections cérébrales ), les syphilis locales anciennes de la moelle e
res termes, fonds de syphilis héréditaire, arrêt de dévelop- pement cérébral , affection spinale semblable à celle des observat
es spinales hémorragiques sont de beaucoup moins fréquentes que les cérébrales , l'auteur ne les a vues que dans une proportion
E PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 391 XXXIV. DE la structure DES artères cérébrales ; par les Drs 111,,CER et de 13OEK. (Bull. de la
ition anatomique est surtout manifeste dans le cerveau; les artères cérébrales ne fournissent pas de branches corticales disti
le mésocéphale. La structure et le mode de distribution des artères cérébrales ont pour conséquence d'assurer une circulation
e disposition histologique spéciale dans la musculature des artères cérébrales ; l'allure spéciale de la circulation encéphaliq
une plus exacte adaptation de l'appareil. R. M. C. XXXVII. KYSTE cérébral D'ORIGINE traumatique, ayant provoqué DE l'apha
SUR la dégénérescence DES CELLULES NERVEUSES dans UN cas d'atrophie cérébrale localisée; par le Dr PROUT. Chez un épileptique
poison ayant une affinité élective parti- culière sur la substance cérébrale , dont il déterminerait peu à peu l'altération e
XLVIII. Contribution A L'ÉTUDE anatomo-clinique DES localisations cérébrales ; par James SHAW, (bain, part. LX1X, 1895, p. 74.)
les, et surtout en rapport avec des altérations des circonvolutions cérébrales . Elle n'est pour lui, en résumé, « qu'une alhét
e démontre non seulement que les nerfs périphériques et la subtance cérébrale sont altérés en même temps, mais permet encore
sur les fibres périphériques (polynévrite), tantôt sur la substance cérébrale (symptômes psychiques); quelquefois en lésant e
de la substance corticale du cerveau. Parallèlement aux troubles cérébraux se montrent les symptômes de la névrite multipl
lité des nerfs à la pression, hypereslhésie cutanée. Les troubles cérébraux et les symptômes de la polynévrite peuvent se t
e antérieure de la moelle, ramollissement superficiel de l'écorce cérébrale , et enfin dégénérescence colloïde de la glande th
i sur les observations anatomo-cliniques et les lésions de l'écorce cérébrale décrites dans certains cas d'intoxi- cation gra
mille plusieurs ascendants paternels et maternels morts d'apoplexie cérébrale . J. SÉGL.as. XLIX. Nouvelle contribution A la D
. LuGARO. (Riv. sp. di fi·e72., t. XX, fasc 11l-IV.) LIV. La GLIOSE cérébrale chez les épileptiques; par TDESCI ! 1, (Riv. sp
Autopsie. Hémisphère gauche. Oblitération par embolie de l'artère cérébrale postérieure, au niveau des tubercules quadriju-
et sur d'autres personnes indifférentes. Ils ont mesuré l'activité cérébrale et la force musculaire de l'individu à l'aide d
éclosion par l'état d'excitation dans lequel il entretient l'écorce cérébrale . Les descen- dants d'alcoolisés sont des candid
odeïne. Du 'chlorhydrate d' par Toy, 328. Artères. Structure des- cérébrales par Heger et Boek, 391. A RTII RO P,\TIII ES
mputation congénitale par Le- clerc, 152. B.cwoaea.uae. Accidents cérébraux dans la , par Pitres 209. Blennorriugique. Fo
Campell, 155. Gliosar- come du -, par de Michèle, 475. Chirurgie cérébrale dans les aliéna- tions mentales par Semelaigne,
e l'ensemble du système nerveux par Nissl et Rosin, Hl. Commotion cérébrale , blessure du cerveau ou névrose, par Thomsen
tion chez les aliénés par Larroussinie, 336. Dualité. Deux cas de cérébrale par Bruce, 319. Ecorce. Fibres nerveuses à my
tiques. La conscience dans les crises -, par Bombarda, 38. Gliose cérébrale chez les par Tedeschi, 467. Etat mental de S.
63, 474. Kleptomanie chez une choréique, par Kurella, 58. KYSTE cérébral d'origine trauma- tique, par Mayo, 393. Labor
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u, par Remak, tî3. Pédoncule. Un tubercule solitaire dans le -, cérébral droit par Grelwe, 141. Percussion du crâne et
eaux. Une tumeur dans la région des , par Weinland, 397. Tumeur cérébrale . Lésions anato- miques de la moelle dans les ca
64 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rge que lorsqu'il s'agit d'une dégénérescence secondaire par lésion cérébrale . Une bande noire souligne, dans la moitié posté
membres inférieurs, du tremblement, de l'amnésie et de la torpeur cérébrale . Un jour, il s'affaisse brusquement durant la m
insi qu'une paraplégie complète avec halluci- nations et dépression cérébrale , et s'éteint doucement treize- jours plus tard.
té,-puis de l'autre, sans aucun signe de congestion ni d'hémorhagie cérébrales ; 3° l'abolition du réflexe palpébral ; 4° l'ab
recherches expérimentales ingénieuses en vue de localiser le siège cérébral des lésions et de présenter réunies les quelques
ostica la présence d'un tubercule solitaire comprimant le pédoncule cérébral droit et le haut de la protubé- rance avec le m
ue en même temps qu'elles laissent à penser combien les changements cérébraux épileptiques et migraineux sont étroitement lié
sensorielle) acquiert des relations avec les changements permanents cérébraux que nous devons supposer tant pour l'hémi- cran
entes entre elles, et devant être rapportées à un commun changement cérébral différent d'in- tensité et d'étendue. 7° L'ép
erfs spinaux, nerfs craniens sensitifs et moteurs, bulbe, substance cérébrale corticale et gan- glions sous-corticaux, n'arri
Observation d'un homme éprouvant depuis une attaque de con- gestion cérébrale , des accès passagers d'amnésie, qu'il décrit per-
blancs autour des noyaux du bulbe ». R. C. LU. Un cas de ladrerie cérébrale ; par MM. Léopold Lévi et Louis LEmAiRE. (Nouv.
tement. A l'autopsie on trouve la périphé- rie des deux hémisphères cérébraux farcie de petits kystes lenticu- laires contena
ie on constate dans la substance grise périphérique des hémisphères cérébraux (à l'exclusion de toute autre région du corps)
sation exacte de la lésion, mais aussi quant à sa nature. - Tumeur cérébrale avec autopsie. . Ilill. KL1PPEL ET JARVIS rappo
a congénitale, héréditaire, familiale, aiguë ou chronique. Porose cérébrale . M. G. GUILLAIN présente deux pièces relatives
M. G. GUILLAIN présente deux pièces relatives à deux cas de porose cérébrale , « L'état de fromage de gruyère » qui caractérise
s au niveau du centre ovale, des ganglions centraux, des pédoncules cérébraux et de la protubérance, est surtout le fait de c
u 5 décembre 1901. PRÉSIDENCE DE M. LE professeur RAYMOND. Tumeur cérébrale chez un enfant. MM. LENOBLE et Aubineau (de Bre
l'hémorrhagie. Association d'hémiplégie hystérique et de diplégie cérébrale infantile. M. LAIGNEL-LAVASTINE (présentation d
survenu sur des lésions organiques plus anciennes. 1 Hémorrhagie cérébrale chez un diabétique. MM. KLIPl'EL et Jarvis rapp
ntes dans le domaine de la circulation céré- brale : 1° les artères cérébrales se rétrécissent; 2° la pression artérielle augm
de la pression artérielle, d'où il résulte une anémie des vaisseaux, cérébraux et une hyperhémie consécutive. Outre l'hyperhém
end des réels services dans le traitement des affections médullo- cérébrales et doit être essayée chaque fois, qu'on est appel
de l'entre- croisement des fibres sensitives. H. C. XXIII. Tumeur cérébrale : par Ernest DurijÉ et Albert DEVAUX. (Sollv.le
discussion documentée sur la physio- logie pathologique des tumeurs cérébrales , discussion tendant à étayer une hypothèse nouv
dans les conclusions suivantes : 1° Les malades porteurs de tumeurs cérébrales , présentent à côté de la dépression et de la di
rique et excentricité du noyau. 4° Dans la pathogénie des tumeurs cérébrales , à côté de la com- pression de l'encéphale qui
ne et lymphalique du néoplasme permettans l'imprégnation du tissu cérébral par les toxines issues du foyer pathologique, ext
vascu- laires) invoqués pour expliquer les symptômes des tumeurs cérébrales . il. C. XXIV. Des rapports entre le contenu men
entendre les premières voix en faveur de l'existence dans l'écorce cérébrale de centres indépendants : centres présidant à t
niques excellentes. Depuis trente ans, la théorie des localisations cérébrales a remarquablement progressé : en outre des cent
nièrement, on s'est encore mis à élucider l'in- fluence de l'écorce cérébrale sur diverses fonctions végétatives etc. Enfin,
veau est très large, à l'opération on retire une abondante bouillie cérébrale et des esquilles d'os considérables enfoncées d
ralysie générale, et se ranger parmi les autres causes de scléroses cérébrales . Le phénomène est analogue au processus du rein
me; légère opacité et épaississement de la pie-mère de la convexité cérébrale , notamment sur le trajet des sillons. Légère hy
n trouve à peu près les mêmes altérations dans le cervelet, la tige cérébrale et la moelle épinière, où elles sont plus prononc
ppenheim, il considère les modifi- cations pathologiques de la tige cérébrale et de la moelle épinière comme étant d'origine
, on peut conclure que les souvenirs sont localisés dans l'écorce cérébrale du côté gauche chez les droitiers, du côté droit
le drame. Sylvain Pourbaix, qui donnait des signes de dérangements cérébraux et avait, en outre, des raisons d'en vouloir à
la source de ces changements intellectuels émotifs. Les phénomènes cérébraux sont la genèse initiale des change- ments somat
pendance, que dans la théorie, si incertaine ici, des localisations cérébrales . D'autant mieux que la rougeur, si les expérien
e membre supérienr droit : la percussion de la zone d'hyperesthésie cérébrale du membre supérieur droit me produit ceci : vou
érieurs à la mort. L'auteur a de plus coloré des coupes de l'écorce cérébrale et cérébelleuse, et décrit les lésions qu'il a
avec les affec- tions suivantes : alcoolisme chronique et syphilis cérébrale , assez en détail ; puis, plus brièvement : fati
rveuse profonde des travailleurs de la pensée, manie aiguë, tumeurs cérébrales , démence organique, sclérose disséminée et atax
: atrophie simple, etc. ; 3° la patho- logie des artères et veines cérébrales , en particulier les lésions séniles et de sclér
t. Hien de précis sur les rapports de la structure et des fonctions cérébrales . L'atrophie musculaire progressive du type Oran
Mais irritation névralgique plus intense, déterminant un changement cérébral diffus, et surtout quand elle portera sur le sy
en foyer qui, grâce à une locali- sation particulière du processus cérébral , ressemblent de très près par leur évolution et
rr. XXXVII. Mort d'un aliéné par fracture du crâne et hémorrhagie cérébrale . Crâne de minceur anormale; par H. MOULTON. (The
odifications de la vie organique, rendues conscientes par les voies cérébrales , dominées par un centre encéphalique, centre de
e comprend deux chapitres. Chapitre I. Notes sur 60 cas de syphilis cérébrale observés, à l'asile et à l'hôpital (dont 22 cas
indépendamment de la volonté, par le jeu spontané de l'automatisme cérébral . Dans l'état normal, ce phénomène apparaît asse
e qu'il en éprouve. L'obsession morbide est donc un mode d'activité cérébrale sur lequel le contrôle de la volonté est nul ou
rs expériences sur un cas d ? ·e2cilaop7aobie, « que les phénomènes cérébraux sont la genèse initiale des changements somatiq
Marchand) fournissent de nouvelles raisons de croire que le travail cérébral détermine direc- tement certaines modifications
enforcé par les modifications organiques qui accompagent le travail cérébral , mais ces modifications, à elles seules, ne sau
'il ne s'y joint la perception ou le souvenir, c'est à dire le fait cérébral qui met en branle toute la série. « La conscien
tive ordinaire ; ainsi qu'on l'a souvent remarqué, elle est surtout cérébrale , intellectuelle ; c'est une anxiété mentale plu
iques peuvent-ils tenir les stigmates électriques de leur affection cérébrale ? Non, car il. est très rare d'observer dans l'
s becs de gaz que l'on vient d'allumer, ou dans le cas d'excitation cérébrale due, par exemple à la fatigue, invariablement a
plète diffusion ne présentait aucun caractère particulier. Cécité cérébrale et déviation conjuguée de la tète et des yeux.
pas à quoi elle répond. 330 SOCIÉTÉS -SAVANTES. - '. Atrophie cérébrale . M. Dorai : montre le moulage du cerveau d'une
ai : montre le moulage du cerveau d'une malade atteinte de diplégie cérébrale infantile avec maximum à gauche, idiotie et épi
dure-mère adhérente à cet endroit aux os du crâne et à la substance cérébrale . L'opération eut un effet très heureux sur l'év
rendre en considération les altérations secondaires de la substance cérébrale , provoquées par la présence du cysticerque (inf
itution des accès d'épilepsie généralisée et provoquer des troubles cérébraux graves qui ont déterminé la mort. A noter dans
es méninges du bulbe et une épendymite granu- leuse des ventricules cérébraux . A l'examen microscopique, on constate dans la
ommence la dégénération du faisceau pyramidal. Dans les ventricules cérébraux (4°. 3° et latéraux), on constate une épendymit
e lésions paren- chymateuses des cellules et des fibres de l'écorce cérébrale . Comme ces dernières lésions se sont développée
Cheyne-Stokes compris à ce point-de-vue très général ; la théorie cérébrale est plus satisfaisante. Mais s'agit-il d'une insu
cérébrale est plus satisfaisante. Mais s'agit-il d'une insuffisance cérébrale où d'un état convulsif là se pose le problème il
aurait été atteint, cinq mois avant son entrée, d'une « congestion cérébrale » et depuis cette époque, aurait donné quelques s
senta tout à coup, peu de jours avant, sans aucun signe de troubles cérébraux . Exploré par moi, il avait une abolition des mo
mais du côté gauche, et survenu aussi subitement, et sans troubles cérébraux . A première vue, la nouvelle paralysie était ex
Obnubilation crépusculaire avec amnésie consécutive à une commotion cérébrale légère; par W. KLINK. (Neurolog. Ceaztralbl., X
¡¡¡¡AVAL. LXVIII. De la syphilis comme cause de paralysie infantile cérébrale ; par W. KOENIG. (Neurolog. Centralbl., XIX, 190
rift f. Nervenheilk., t. XIII, établi que les paralysies infantiles cérébrales avaient pour facteurs étiologiques certains : i
appartiennent aux formes de transition entre la paralysie infantile cérébrale et l'idiotie simple. P. Keraval. LXIX. Tabes
lysé. , P. IiERAV-1L. LXXX. Des accidents paralytiques d'origine cérébrale consécutifs à l'influenza ; par Guttmann. (Neur
hilis nerveuse, souvent très accessible au traitement ; Î5° Lésions cérébrales diffuses, simulant la paralysie générale pro- g
e nous sommes amenés à supposer l'existence d'altération des tissus cérébraux à spécialisation élevée. On ne peut même pas av
comkial essentiel aussi bien que dans des états liés à des tumeur;, cérébrales . Il a trouvé les cellules nerveuses et particu-
attacher la paralysie des nerfs moteurs ni à une lésion des centres cérébraux , ni à une lésion d'origine nucléaire. Les argum
touche l'encéphale comme le démontrent ses divers symptômes; l'arc cérébral modé- rateur réflexe est excité et exerce une a
tale depuis une vingtaine de jours, sous l'influence d'une crise cérébrale , menaça soudain ses parents de les crucifier. S
nde majorité des cas, les manifestations convulsives de la syphilis cérébrale se présentent sous les .dehors de l'épilepsie p
étiologie de l'épi- lepsie et sur les manifestations de la syphilis cérébrale . Il est reconnu aussi qu'en pareilles circonsta
s ces conditions, il faut évidemment faire inter- venir des lésions cérébrales diffuses. Rappelez-vous que les lésions de la s
s cérébrales diffuses. Rappelez-vous que les lésions de la syphilis cérébrale sont de trois ordres, et qu'on peut les résumer
e, soit homonyme, survenue en tant qu'épiphéno- mène de la syphilis cérébrale . Or, tandis que les deux premières catégories d
tait là un nouvel argument en faveur de l'unilatéralité des lésions cérébrales diffuses que nous supposons exister chez cette
USE. .postérieur de la couche optique, de faisceau optique intra- cérébral (Testut). ' A son origine, il occupe la région
e signe révélateur d'une démence paralytique ou d'un ramollissement cérébral . Il ne présente pas non plus de dysarthrie. Bre
cet homme sur le compte, soit d'une embolie, soit d'une hémorrhagie cérébrale . Or, L... n'a pas de mala- die de coeur. Il a t
t eu deux petites attaques d'aphasie. L'hypothèse d'une hémorrhagie cérébrale se concilie très bien avec ce mode d'évolution.
rant, L..., est parvenu à la période de la vie, où des hémorrhagies cérébrales , révélées par des attaques d'apoplexie, sont re
donc volontiers à cette hypothèse : intervention d'une hémorrhagie cérébrale , comme cause prochaine des accidents présentés
nd à la scissure calcarine. Rappelez-vous que les circonvolutions cérébrales sont ali- mentées par trois vaisseaux artériels
rales antérieure, moyenne etpostérieure. Rappelez-vous que l'artère cérébrale moyenne ou sylvienne (fig. 29) irrigue la plus
e, survenue dans le territoire ali- menté par l'artère sylvienne ou cérébrale moyenne, est à même de nous rendre compte de pr
cond foyer hémorrha- gique, situé dans l'aire de distribution de la cérébrale pos- Fig. 28. - Les parties ombrées représenten
ties ombrées représentent le territoire de distribution de l'artère cérébrale postérieure. SUR TROIS cas d'hémianopsie. 467
agique, consécutif à une rupture de l'artère sylvienne, de l'artère cérébrale moyenne, ayant retenti sur le faisceau cérébral
ienne, de l'artère cérébrale moyenne, ayant retenti sur le faisceau cérébral optique, par voie de compression et d'is- chémi
es parties ombrées représentent la zone de distribution de l'artère cérébrale moyenne. 468 CLINIQUE NERVEUSE. l'hémianopsie
isinage du point où la bandelette optique se perd dans l'hémisphère cérébral . Il n'en est plus de même, quand la lésion sièg
s de paralysie motrice dans les membres (compression des pédoncules cérébraux ), c'est signe que les deux bandelettes optiques
es-ci sont en rapport avec la compression ou la lésion du pédoncule cérébral (hémiplégie motrice, plus SUR TROIS cas d'hémia
voir son mari interné présenta peu de temps après quelques troubles cérébraux . Deux ans après le début de l'affection chez le
ou tout au moins l'agent provo- cateur de l'apparition des troubles cérébraux chez le mari. i. L'affection de la femme est at
ns le cas de constitution congénitale sans syphilis. Prédisposition cérébrale et tare héréditaire ne coïncident du reste pas
toujours. La tare héréditaire peut avoir produit la prédisposition cérébrale , mais celle-ci existe assez souvent sans la pre
parations d'un cas de tumeur épithélioïde de la région pédonculaire cérébrale gauche, ayant épargné complètement les fibres p
chlorures, et diminution de l'urée. Nouvelle méthode de mensuration cérébrale . M. DmE propose un procédé pour mesurer les hém
ssai sur l'hémiplégie des vieillards, les lacunes de désintégration cérébrale , in-8- de 192 pages avec 8 planches. Prix : 6 f
ute, 431. Fracture du chane. Mortd'un aliéné par - et hémorrhagie cérébrale , par Moulton, 239. Gaz. Etat mental d'un suje
que, par Mar- tial, 51 Association d' hysté- rique et de diplégie cérébrale infantile, par Lalguel-Lavas«uel 89. Hypertro
ie ultérieure de la corde lucale, par Lannois, 3G. HÉIIORHHAGIE cérébrale . Voir Fme- 1 lire. Hémorrhagie méningée spina
Voir Meurtre. Influenza . Des accidents paraly- tiques d'ongine cérébrale consé- cutifs à l' - par Guttmann, 389. Kyste
he, 143. -- ostéo-fibreux du ceneau, par Vigouroux, 321. Ladrerie cérébrale , par Lévi et L. Lemaire, 72. Landry. Contllbu
I; crépusculaire avec am- nésie consécutive il une COIn1110- tlon cérébrale légère. Obsession. Sur la théorie de 1 ? par
r Glo- rieux, 54. - ou Poliomyélite, par Bnssaud, t21. z POROSE cérébrale , par Guillain, 85. Possession. La - par des rep
ar \fourato(f, 340. De la - comme cause de la paralysie infantile cérébrale , par Koenig, 381 Synytômestabétiques observés
'l'HICIIO-UYI'Ú\ES 1 Il Ls lE, par Beclite- "e W. 311. r. Tumeur cérébrale , par Kl1ppel et parvis, 82. - chez un enfant,
65 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
pinière y ont surtout été conduits par analogie avec la commotion cérébrale ; mais l'étude plus complète de l'anatomie et de
l ne resle que quelques vestiges de la couche optique. Le pédoncule cérébral est libre au milieu de la cicatrice. L'intégrit
es provenant d'encéphales mutilés (vivisection), de ramollissements cérébraux anciens, de lésions traumatiques du cerveau che
omènes bulbaires, des symptômes du côté du trijumeau, des symptômes cérébraux . Quant à l'atteinte de la substance blanche, el
e primitive des plexus coordonnateurs les plus éle\és de l'écorce cérébrale ; par suite de l'abolition, permanente ou temporai
ntres inférieurs, qui comprennent la plus grande partie de l'écorce cérébrale , sont mis en activité ; la tendance même de ces
ivers points de l'observation, à dire que s'il y a une alté- ration cérébrale , elle a son siège dans la moitié droite du cervea
territoires musculaires dont les centres sont situés, dans l'écorce cérébrale , les uns à côté des autres ; 4" La charpente musc
ents se manifestent encore après la section transverse du pédoncule cérébral et de la moelle. Fréquemment ils présentent un
le les uns des autres, par de profondes incisures dans la substance cérébrale , des départements corticaux voisins. En pra- ti
romure de zinc. et le bromure de potassium diminuent l'excitabilité cérébrale . Le bromure de zinc doit celte action autant au
rendent aux noyaux bulbaires. (Voy. le fait de Jolly par sclé- rose cérébrale , 1872.) Il y faut joindre les cas de démence para
t en bas, mais en diminuant d'intensité, jusque dans les pédoncules cérébraux ; elle consistait en une énorme accumulation de
e se plient à aucune explication. On a bien affaire à une affection cérébrale , car la paralysie débute par de la céphalalgie
lepsie à la suite d'un traumatisme (fracture des osdunex, commotion cérébrale ) l'âge de vingt- neuf ans, en 18î6. La moyenne
agit qu'indirectement. Comme hypnotique, en dilninuantl'exci talion cérébrale ; celle-ci diminuée, le sommeil survient spontan
même façon. Enfin, en guise de synthèse, l'auteur examine le tronc cérébral à l'aide de coupes horizontales, et résume les sy
rès avoir fait connaître la manière dont il envisage le méca- nisme cérébral de la vision, l'auteur passe en revue les faits c
(B.) et Mosso (G.). Contributions allô studio délia circola- zione cérébrale . Broc))ure i))-8'' de 30 pages, avec 14 figures d
r de pareilles observations que les faits sem- blables de commotion cérébrale . Ces faits me paraissent trouver confirmation d
comme type. On constata à l'autopsie une injection de la pie-mère cérébrale qui était en même temps infiltrée de lymphe, qu
athique. Accès de colère de la première en- fance ci 1881. - Fièvre cérébrale et convulsions ci 7 ans (1876). Premier accès e
moins intelligent que notre ma- lade ; 3° garçon, mort d'une fièvre cérébrale avec convulsions con- sécutives à une chute ; -
cès. On croit qu'il se livre à l'onanisme. Rougeole à 3 ans, fièvre cérébrale à 7 ans, attribuée à un coup de soleil et duran
en que les recherches relatives aux troubles de la vision d'origine cérébrale se soient multipliées dans ces dernières années
que si on peut observer l'hémianopsie en conséquence d'une lésion cérébrale , on rencontre au moins aussi souvent une amblyopi
ution à l'étude des troubles fonctionnels de la vision par lésioiis cérébrales , t883. - ' Lec. cit., p. 137. 22 le RECUEIL d
s de lésions du fond de I*o-il. le Ier avril 1884. - Le pédoncule cérébral gauche est aplati, beaucoup plus petit que le d
mptomatique de l'hémianesthésie sensitivo-sen- sorielle d'origine cérébrale , et à l'hémianesthésie des hystériques permet
mai 1884 à une pneumonie. AuTOi'siK.La face inférieure du pédoncule cérébral gauche présente un aplatissement notable. Toute
l'oeil (fig. 5). Mort le 24 décembre 1881. Autopsie. Les pédoncules cérébraux sont systématiques et d'aspect normal, il en es
onc encore à dire, que la localisation de l'hémianopsie d'origine cérébrale est encore insuffisamment établie ; et nous somme
t point nettement établie. « L'existence de l'amblyopie d'origine cérébrale est nette- ment établie par des faits cliniques
l. Suivant qu'ils trouvent ou non, sous l'influence de l'activité cérébrale , une augmentation dans le chiffre d'acide pliosph
-esbel-ichl, 1833. 2 Wood. Recherches sur l'influence de l'acliu'té cérébrale sur l'exeré- tioit de 1'(icide I)hospho)-i(lite
sur la relation qui existe il l'état physiologique entre l'activité cérébrale et la composition des- urwrec. Ttr. de Paris, 18H
s recherches. Considérations générales. Pour savoir si l'activité cérébrale modifie l'élimination de l'acide phosphorique,
ns l'élimination de l'acide phosphorique, pendant l'état d'activité cérébrale , attribuer ces modifications à cette seule acti
'alimentation que nous venons d'indiquer, on met enjeu l'ac- tivité cérébrale et si des modifications se produisent dans l'éli-
augmentation des phosphates terreux sous l'influence de l'activité cérébrale . Un même travail augmentera d'autant plus le ch
être augmenté. Telles sont les modifications que produit l'activité cérébrale sur l'élimination de l'acide phosphorique et de
que démontre qu'il s'agit d'une ré- duction delà substance nerveuse cérébrale , surtout au niveau de la troisième frontale, de
e rapide du bras droit; en même temps apparaissent des phénomènes cérébraux . Mort dans le coma. Diagnostic. D'abord, dégénére
UE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. tance blanche, surtout dans l'hémisphère cérébral gauche. Au microscope, la moelle présente une d
OGIE MENTALE. 261 complications 1. - A ce propos, le ramollissement cérébral observé ici comme accident ultime constitue une
ngée, une hydrocéphalie chronique externe et interne, de )'oedème cérébral , de la sclérose avec atrophie de tout le cervelet
particularités se rencontrent encore dans les maladies nerveuses et cérébrales d'un autre ordre, voire dans le délire de la fi
emble de l'encéphale pèse 846 gr. 76. Différence entre l'hémisphère cérébral gauche et l'hémisphère droit, 33 gr. 34. Dans u
psychose ultérieure, ce qui s'explique d'autant mieux que la lésion cérébrale ne correspond pas toujours à l'endroit où agit
ermettent de conclure que le traumatisme a laissé quelque infirmité cérébrale . Ces accidents sont : la propension à des conge
la folie soupçonneuse des phti- siques, la démence par athéromasie cérébrale , la folie diabétique et goutteuse, les folies d
ilitique, la morphiomauie, et surtout l'immense groupe des troubles cérébraux alcooliques ont été successivement étudiés. Nou
ets de cet âge; dans tous ces cas, sénilité précoce et perturbation cérébrale sont liées à un autre élément étiologique : épi
278 sociétés savantes. nous trompons pas, les héréditaires d'ordre cérébral ou névro- sique souvent vieillissent de bonne h
, pour son mémoire sur les localisations sensorielles dans l'écorce cérébrale . Enfants, idiots. Des développements apportés d
evons d'abord signaler, dans un grand nombre de cas, des troubles cérébraux de début, tenant à la commotion du cerveau qui
up plus persistants dans la commotion spinale que dans la commotion cérébrale , probablement parce que les éléments anatomique
e nos malades épileptiques traités par le curare. Chemin fai- 1 Les cérébraux (Etude de pathologie mentale), (Arch. de méd., 18
ne fois des convulsions, attribuées par le médecin à une congestion cérébrale . On ne sait combien de temps elles ont duré, ni
tié droite de l'espace perforé est aussi moins grande. Le pédoncule cérébral droit est moins large, moins épais que le gauche.
r. de plus que le gauche. Cervelet et isthme : 170 gr. L'hémisphère cérébral droit est en retrait de 2 centimètres en avant
s, le pseudo-kyste longe la bandelette optique droite, le pédoncule cérébral qu'il contourne, et la corne tempo- rale du ven
de l'hippocampe et corne d'Ammon normaux. Corps calleux, pédoncule cérébral , couche optique, corps strié, bien développés,
ère et de bas en haut, et qui coupe en quelque sorte l'hémis- phère cérébral en deux parties, l'une antérieure (lobe frontal e
tim. 8 dixièmes; largeur, 5 centim. Examen du foyer. L'hémisphère cérébral droit, après être resté plusieurs mois dans l'a
le du lobe temporal, la séparation presque complète de l'hémisphère cérébral droit en deux tronçons ne communiquant que par
intellectuelle de plus en plus accusée. Observation XXII. Atrophie cérébrale . Epilepsie symptoma- tique et imbécillité. Hypo
rynx par un morceau de viande; mort.- Autopsie : sur l'hémis- phère cérébral droit (face convexe) : atrophie de la plupart des
u- jours été régulière. A vingt et un ans, elle eut des accidents cérébraux mal déter- minés, qui furent suivis d'une conva
les recherches qu'il a faites : « En général, dans les affections cérébrales chroniques, la quantité d'acide phosphorique él
as. Pendant la période d'état de la maladie, alors que les troubles cérébraux sont intenses, que les idées sont très embrouil
endant les périodes de déclin de la maladie, alors que les troubles cérébraux sont peu intenses, l'acide phosphorique uni aux
t l'état de dépression, alors que, à part l'agitation, les troubles cérébraux persistent et s'accusent par de l'apathie, un v
is encore ici faut-il distinguer les cas dans lesquels les troubles cérébraux sont très marqués de ceux dans lesquels ces tro
'une part, que c'est dans la période d'état, alors que les troubles cérébraux sont le plus intenses, que le chiffre de l'acid
ériodes d'agitation du déclin de la maladie, alors que les troubles cérébraux sont moins marqués que pendant l'état de dépres
s rapports qui existent entre l'acide phosphorique etles troubles cérébraux . En effet, si ces résultats nous portent à penser
il se lie intimement à la nutrition de ce dernier; 3° L'activité cérébrale et les maladies fonctionnelles du système nerve
ystème nerveux modifient la nutrition de ce système ; 4° L'activité cérébrale physiologique et pathologique retentit sur la n
ladies fonctionnelles de ce système, retentisse- ment de l'activité cérébrale sur la nutrition générale, mérite- raient de no
opsie, qui est très probablement un trouble fonctionnel de l'écorce cérébrale , met le même obstacle à l'hallucination qu'à la
s du côté de l'oeil. M. Féré a observé que, dans le cas des lésions cérébrales et dans l'hystérie, il existe un rapport consta
gestives et particulièrement de vieux buveurs, dont la circulation cérébrale est ralentie, et l'activité individuelle diminuée
ce sont des lents. Quand ils deviennent actifs, c'est qu'un trouble cérébral nouveau s'est pro- duit. II n'y a donc pas mati
us parle M. Charpentier ; mais là encore, il s'agissait de troubles cérébraux se traduisant par des paralysies. M. Charpent
'est l'onanisme chez l'idiot complet. Pour les seconds, les spinaux cérébraux postérieurs, le réflexe part de l'écorce cérébr
nds, les spinaux cérébraux postérieurs, le réflexe part de l'écorce cérébrale postérieure et aboutit à la moelle. La vue seul
nstinctif purement brutal. Un troisième groupe comprend les spinaux cérébraux antérieurs. Le point de départ du rétlexe est d
rébraux antérieurs. Le point de départ du rétlexe est dans l'écorce cérébrale antérieure; c'est une influence psychique, comm
s l'idée, le sentiment ou le penchant sont ici pervertis. Enfin les cérébraux antérieurs ou psychiques, ce sont les extatiques,
lus élevée que l'extrémité gauche. L'irrégularité des hémis- phères cérébraux était révélée par un développement plus mar- qu
e, il faisait valoir l'importance de la malformation crâ- nienne et cérébrale de cet homme, et protestait hautement contre la
hie spinale, on fera venir, au point de vue statistique, l'atrophie cérébrale . Un assez vif intérêt s'attache à l'atrophie des
ésentation, par M. RicHTER (de Dalldorf), de quelques hémis- phères cérébraux représentant des types anormaux de circonvolu-
s, l'animal meurt. La force centrifuge a provoqué de l'liype- rémie cérébrale . Inversement, si l'on place la tête au milieu de
n 1877. D'après son expérience, c'est toujours une sorte d'asthénie cérébrale , quelles qu'en soient les causes les plus multi
ent chez un individu autrement bien por- tant. L'impressionnabilité cérébrale constitue un élément vague. Il est certain que
; elles sont symétriquement placées dans le territoire de l'artère cérébrale postérieure, à peu près à la limite qui sépare le
ns la vie ordinaire en nous présentant tous les demi-fous, tous les cérébraux , tous les bizarres, tous les excentriques, qui pu
es. Prix : 6 fr. Paris, 1855. Librairie Alcan. Obersteiner (H.) The cérébral blood-vessels in lteallh and disease. Extrait d
66 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
énéralisée. Troubles de la circulation dans le cervelet et le tronc cérébral . Traitements Régime lacté mitigé. Iodure de sod
belleuse moyenne est oblitérée à gauche. La surface des hémisphères cérébraux n'offre rien de spécial à mentionner. Les circo
ucune ano- malie. Nulle part la pie-mère n'est adhérente à l'écorce cérébrale . Elle s'enlève partout très facilement. La pl
. A l'endroit où elle se divise pour donner nais- sance aux artères cérébrales postérieures on remarque à gauche une forte dila-
dilatée ; de même la carotide interne avec l'artère sylvienne et la cérébrale antérieure ; cette dernière est encore plus tortu
ilatées, mais à un moindre degré qu'à gau- che. Cervelet et tronc cérébral . L'hémisphère droit du cervelet est parfaitement
gulaire. Le vermis est aussi totalement nécrosé. La hase du tronc cérébral présente de même une atrophie prononcée par com
gions des endroits ramollis, de consistance amoindrie. ' Le tronc cérébral fut. séparé des hémisphères cérébraux au niveau d
sistance amoindrie. ' Le tronc cérébral fut. séparé des hémisphères cérébraux au niveau des pé- doncules cérébraux et placé a
al fut. séparé des hémisphères cérébraux au niveau des pé- doncules cérébraux et placé avec le cervelet dans le liquide de Bull
piquement. Les autres nerfs de la base étaient normaux. Hémisphères cérébraux . Malgré la sclérose si généralisée des artères le
raux. Malgré la sclérose si généralisée des artères les hémisphères cérébraux ne présentaient aucune lésion macroscopique, ni a
ns l'alcool avant d'être coupés. Examen microscopique. - Le tronc cérébral avec le cervelet et la protubé- rance furent dé
iques et leurs annexes, ainsi que certaines parties des hémisphères cérébraux , furent traitées de même en coupes vertico-tran
C. MONAKOW min donna des résultats très satisfaisants dans le tronc cérébral , moins bons pour les couches optiques, le cerve
à gauche droite (PI. I, A). Dans les coupes supérieures, du côté cérébral , on constate une dégénéres- cence considérable
peut poursuivre cette dégénérescence dans toutes les coupes du côté cérébral jusqu'à la terminaison de ce noyau, dans la régio
placés latéralement, n'étaient pas comprimés à leur sortie du tronc cérébral (PI. 111). La substance grise du pont est très
existe seul (PI. III, F). 12 p. LADAME ET C. MONAKOW La racine cérébrale de la cinquième paire est plus mince à gauche qu'
x moyen que par une étroite languette de tissu nerveux. Pédoncule cérébral . Les modifications produites par la compression d
ions produites par la compression de l'anévrysme à la hase du tronc cérébral sont de telle nature que les restes du pédoncul
du tronc cérébral sont de telle nature que les restes du pédoncule cérébral , qui sont normalement conservés, paraissent forme
partie basale de la protubérance en avant (PI. Ut, F). Le pédoncule cérébral est du reste absolument normal dans sa structur
déformé, surtout dans la région des voies pyramidales. Le pédoncule cérébral gauche est heaucoup plus mince que le droit ; s
s nettement de région nettement dégénérée dans le pied du pédoncule cérébral gauche, mais on a l'impression cependant qu'il ex
érescence se- condaire ancienne constatée dans le pied du pédoncule cérébral . Les corps genouillés interne et externe à droi
s, parfois aussi épaisses que la lumière du vaisseau. Hémisphères cérébraux . Dans le centre ovale et dans la substance médul-
s les graves lé- sions, suites de la compression intense de régions cérébrales très impor- tantes. Malgré les grosses lésions
e puisque l'acoustique est en connexion avec les deux hémisphè- res cérébraux . L'abolition de la sensibilité à la douleur dan
até dans notre cas un amincissement général du pont et du pédoncule cérébral à gauche surtout dans la partie médiane; cette
ance grise du côté opposé, à gauche. Dans les deux cas le pédoncule cérébral était atrophié segment interne du pédoncule cér
au antérieur, mais elle disparaissait à la hauteur de la commissure cérébrale postérieure. Dans la figure 9 du mémoire de Edi
d'autres connexions importantes, spécialement avec les hémisphères cérébraux CI).. (1) Voir M. et Mme Déjerine sur les conne
Mme Déjerine sur les connexions du noyau rouge avec la corticalilé cérébrale . Comptes-rendus de la Soc. de Biologie, 30 mars 1
n du thalamus et du noyau rouge siégeant du même côté que la lésion cérébrale et consécutive à cette dernière. Or, cette thès
ion nécessaire de l'atrophie croisée du cervelet quand l'hémisphère cérébral du côté opposé a été lésé primitivement. (1) G.
affection. , Par contre chez plusieurs malades il existai ! un état cérébral anormal se traduisant tantôt par de l'irritabil
tabac le croyaient, par contre, capable de toutes sortes de méfaits cérébraux . Simon Pauli affirmait que les fumeurs avaient
la partie postérieure elle écartait vi- goureusement les pédoncules cérébraux marquant son empreinte surtout sur le pédoncule
e très différentes. Le sommeil n'a pas été signalé dans les tumeurs cérébrales ? Si fait, mais la question est malgré tout sin-
e est aussi un phénomène assez communément observé dans les tumeurs cérébrales . Mais peut-on fixer cette fréquence par un chif
ner exactement la fréquence réelle du vrai sommeil dans les tumeurs cérébrales '; mais je crois que c'est là un phénomène posi-
optiques en avant et en haut et comprime en arrière les pédoncules cérébraux , de même que les tubercules quadrijumeaux. L'aq
e anosmie droite), le chiasma et les bandelettes, et les pédoncules cérébraux , surtoutle gauche (parésie droite). Comment donc
favorables eut pu désorganiser le chiasma et comprimer le pédoncule cérébral . Et je passe les conditions vitales. Conclusion
Etat stationnaire jusqu'en janvier 1898.A cette époque, hemorrhagie cérébrale , ictus, mort dans le coma. Autopsie. - Moelle
suit leurs moindres divi- sions jusqu'à l'intérieur de la substance cérébrale qui paraît comme injectée. A la face interne de
que, on voit survenir, avec ou sans phénomènes associés de syphilis cérébrale , des paralysies lentement progressives, et à cara
r la méthode de Pal, les met en évidence. On voit dans le pédoncule cérébral droit un foyer ou plutôt deux petits foyers de
ers s'étendent sur une hauteur de 10 à 15 millim. Dans le pédoncule cérébral gauche, il n'existe qu.'un petit foyer scléreux
t 'il peu près' normal (PI. XVII, C). .Enfin l'examen des artères cérébrales montre deux foyers d'artérite nodulaire, situés
foyers d'artérite nodulaire, situés symétriquement sur les artères cérébrales postérieures, entre la bifurcation dû tronc' ba
auche, sain (Méthode de Pal). C, - droit, dégénéré D, Coupe de la cérébrale postérieure gauche. E, droite. Massos ET G",
E SYNDROME DE WÉBER SUIVI D'AUTOPSIE 175 localisés aux deux artères cérébrales postérieures, en un point très- limité, situé e
il droite du moins, un ramollissement du lobe occipital, puisque la cérébrale postérieure, de ce côté était tout fait oblitér
ésions est, somme toute,facile à saisir : artérite nodulaire sur la cérébrale postérieure, englobant une ou plusieurs artériole
deuxième catégorie. La théorie nerveuse s'appuie surtout sur l'état cérébral des malades, sur la distribution symétrique des
en place, nous retirions la tige. Le plus délicat était l'autopsie cérébrale consécutive. Avec un peu d'habitude nous sommes
in. Un fait plus sérieux peut se produire, c'est l'issue de matière cérébrale sous forme d'amas pulpeux et blanchâtres. Cette p
ur, à la formation d'un caillot sanguin qui a comprimé la substance cérébrale . Cette interprétation est d'autant plus admissibl
lpe blanchâtre qu'il est facile de reconnaître pour de la ma- tière cérébrale et qui est mélangée à du sang provenant d'un épan
hamp visuel s'observent, du reste dans les hémiplégies par lé- sion cérébrale . Dans ces conditions, en l'absence de commémora
bing les accès correspondent à une rupture vasculaire dans l'écorce cérébrale qui amène une suspension momentanée des fonctio
voiture, luxation de l'épaule, fissure probable du crâne, commotion cérébrale . Augmenta- tion des douleurs fulgurantes. A 51
nte ans, le malade fit une chute de voiture. Il eut une com- motion cérébrale assez grave, une plaie du cuir chevelu et peut-êt
, ni adhérence, aussi bien sur le cervelet qu'au niveau de l'écorce cérébrale , de l'encéphale ou de la moelle. Les artères
tubercules quadrijumeaux antérieurs et postérieurs. Les pédoncules cérébraux sont petits et relativement peu colorés par la mé
externes et du corps resti fornze. Les pyramides et les pédoncules cérébraux paraissent plus petits que normalement, mais sa
se poursuit jusqu'à l'origine de la moelle lombaire. La pie-mère cérébrale est oedématiée et opaque, principalement au nivea
la fracture, on l'avait trouvé complètement retourné dans la plaie cérébrale , la table interne regardant en dehors. Très sou
i l'avoisinent.Un fragment de l'écaillé s'enfonce dans la substance cérébrale . Suivant M. Monakow, de Zurich, il DE l'hémiplé
ords déchiquetés du fragment peuvent déchirer, lacérer la substance cérébrale , d'une manière directe. Mais ici intervient une
e qui suit le traumatismecrânien (et c'est un symptôme de commotion cérébrale ), et les signes de compression tels que : somno
s notre statistique. Ces traumatismes, même atteignant la substance cérébrale , n'entraînent pas la paralysie. Lépine (thèse a
qui se manifeste sur un territoire plus ou moins étendu de l'écorce cérébrale . Il se produit alors un arrêt des fonctions qui
u crâne, ni lésion du cortex. Il se produit de petites hémorrhagies cérébrales de peu d'é- tendue qui ne vont pas jusqu'à l'ap
se produisent ces épanchements dans la profondeur de la sub- stance cérébrale . Voici ce que pensent les auteurs. NOUV. ICONOG
e, ou bien il y a une hémorrhagie sous-corticale, dans la substance cérébrale , du même côté que du traumatisme, et une paralysi
ée par de la masse cé- rébrale spongieuse. 3° Une zone de matière cérébrale tiraillée, où le tissu nerveux est dé- chiré pa
as de lésion il se forme une sorte de magma de sang et de substance cérébrale . Mais, en s'aidant de l'observation clinique et
l'angle interne de l'oeil droit et était parvenu dans la substance cérébrale , déterminant une hémiparésie gauche d'origine c
te ceci de commun que ce sont toujours à peu près les mêmes régions cérébrales qui sont blessées. N'avons-nous pas vu d'ailleurs
lysie s'ex- plique naturellement par la localisation de la blessure cérébrale . En 1893, C. Wernicke présenta à la polycliniqu
avantage une fois la barrière franchie. Néanmoins certaines régions cérébrales sont plus exposées au trauma- tisme. Fic. 1 e
. CC, Corps calleux. - bu, Bandelette optique intacte. P, Pédoncule cérébral tra- versé de part en part. - NOUV. ICONOGRAP
sant la bandelette optique, le tubercule mamillaire et le pédoncule cérébral . " Fin. \-1 Gs. Coupe horizontale de la face in
e antérieure de la scissure de Sylvius, elle suit dans la substance cérébrale la scissure parallèle au-dessus de la deuxième
tique, traverse le tubercule mm.m;31üre gauche, aborde le pédoncule cérébral par sa face ,tntét-intférneanm eu, en ressort p
ule latéral, les fibres commissurales et rentrent dans la substance cérébrale pour ne s'arrêter qu'aux environs du cuneus. Ce
rop grande. En somme, il résulte de ces expériences que les parties cérébrales lésées en cas de pénétration par la voie orbita
la seule qui puisse se faire et con- duire à la lésion des centres cérébraux . Nous avons trouvé deux cas de pénétration par
e trois ans (Foulhioux,l81u), brû- lure à laquelle succéda un abcès cérébral de l'hémisphère gauche, une hémiplégie avec aph
consécutive à une fracture du crâne avec ostéite supprimée et abcès cérébral (Vignard,1899) ; une autre paralysie contra- la
e-mère et des méninges 392 RENÉ MARTIAL sous-jacentes il la pulpe cérébrale au uiveau de la corne sphénoïdale gauche. Cette
ations dans lesquelles elle a eu lieu même après perte de substance cérébrale . Cela s'est produit dans un cas de M. le profes
r un jardinier guérit de sa paralysie malgré une perte de substance cérébrale très nette- 394 RENÉ MARTIAL ment accusée. M.
n il était pris de violentes douleurs de tète et mourait d'un abcès cérébral ; Geschwind et Koeler, cités par le même auteur,
ol- ver. Le magistrat guérit mais mourut un an plus tard d'un abcès cérébral ayant le projectile pour origine. La responsabi
thyroïdien est d'autant soulagé et depuis quelque temps le malaise cérébral a beaucoup diminué. Les dents et les gencives p
es. Autopsie. Examen microscopique. Procédé DE GOLGI. 1. Ecorce cérébrale du lobe frontal. -'Sur beaucoup de préparations d
urtout sur les dendrites qui passent auprès de la surface de l'écorce cérébrale . 3. Zone motrice du côté gauche. a) Région supé
ions de la région supérieure. L'examen des préparations de l'écorce cérébrale par la méthode de Golgi dans le cas donné a dém
prolongements protoplasma tiques des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale est bien plus prononcé en général, surtout sur
les dendrites terminales, disposées près de la surface de l'écorce cérébrale . Sur quelques-unes des coupes, comme, par exemp
oeil nu. Sur beau- coup de préparations, on rencontre dans l'écorce cérébrale elle-même et dans la substance blanche aussi de
rveux dans la circonférence des vaisseaux. Les cellules de l'écorce cérébrale sont toutes remplies d'un pigment noir brun. Da
rs 1 ! \1 dedans se trouvent aussi auprès de la surface de l'écorce cérébrale . Concer- nant le tableau microscopique observé
réparations, traitées par la méthode de Busch et prises de l'écorce cérébrale et de la substance blanche sous-jacente de diffé-
et désagrégation de la myéline. Dans les autres régions de l'écorce cérébrale on n'en observe que par places, parfois en quan-
liniques et avec une masse de globules granuleux. IV. Pédoncules cérébraux plus haut des fibres radiculaires des oculomo-
substance blanche sous-corticale de la capsule interne et du tronc cérébral nous donne la possibilité de nous assurer, que le
leux. Sur toutes les coupes examinées, prises de la partie du tronc cérébral , les cel- lules nerveuses sont remplies de glob
nérescence à l'examen des morceaux de la région motrice de l'écorce cérébrale et de la substance sous-corticale de l'hémisphè
nt ; on peut les voir dans les couches su- perficielles de l'écorce cérébrale . Point de très grand développement de vais- (1)
s, souvent disposés en groupes, auprès de la périphérie de l'écorce cérébrale .- b) Région occipitale.- On observe appro- xima
ellules ner- veuses que là-bas. Auprès de la périphérie de l'écorce cérébrale on voit une accu- mulation de points noirs, dis
t parfois des anévrysmes. En comparant les préparations de l'écorce cérébrale et de la substance blan- che sous-corticale ave
nerveuses était plus accentuée qu'ici. Là il y avait dans l'écorce cérébrale un développement exagéré des vaisseaux, le périss
s faible. Là, sur les préparations de la région motrice de l'écorce cérébrale et de la substance blanche sous-corticale du côté
nt portait un caractère dis- séminé. II. Au niveau des pédoncules cérébraux . Des fibres dégénérées disséminées s'accumulent
continuation de la dégénérescence de la région motrice de l'écorce cérébrale . Dans ce cas aussi on a noté aux niveaux des pé
e cérébrale. Dans ce cas aussi on a noté aux niveaux des pédoncules cérébraux une quantité assez visible de globules pigmenta
ion de la dégénérescence des voies pyra- midales qui va de l'écorce cérébrale et descend par le tronc cérébral dans la moelle
pyra- midales qui va de l'écorce cérébrale et descend par le tronc cérébral dans la moelle épinière. Elle n'est pas compact
graisseuse des cellules corticales des cellules nerveuses du tronc cérébral de la moelle épinière, la dégénérescence dans d
ceaux pyramidaux dépend de la modification des cellules de l'écorce cérébrale ; leur altération se trouve en connexion intime av
cations vasculaires. Les modifications très profondes dans l'écorce cérébrale des lobes fron- taux ont une autre pathogénèse,
cence pig- mentaire et graisseuse qu'on peut observer dans l'écorce cérébrale , de même que sur toute l'étendue du tronc céréb
r dans l'écorce cérébrale, de même que sur toute l'étendue du tronc cérébral et de la moelle épinière. La dégénérescence déc
crite plus haut de la voie pyramidale, en commen- çant par l'écorce cérébrale jusqu'à la moelle épinière, dans le premier cas
ndaire des voies pyramidales, qui va de la zone motrice de l'écorce cérébrale et qui peut être constatée par le procédé deMar
sans symptômes psychiques et mo- teurs de l'excitation de l'écorce cérébrale . Starlinger admet la possibilité de l'existence
oliques, que sa mère morte à 75 ans à la Salpê- trière, d'accidents cérébraux , avait toujours été très nerveuse, impressionnabl
a formation du pus entre les lames de l'arachnoïde sur l'hémisphère cérébral gauche. Il est vrai que l'arachnitis circonscri
foyer restreint si rare, peut être sans exemple lorsque l'affection cérébrale se forme indépendamment des blessures, au contr
... Octobre 16. - Il s'habille..... abondante exsudation de matière cérébrale . 17. - Paralysie complète de l'extrémité inféri
'o- reille. Pendant les jours suivants, il y eut perte de substance cérébrale . Il conserva sa connaissance jusqu'au lendemain
occupations pendant treize jours sans la plus légère marque de lésion cérébrale ou cérébelleuse, se plaignant seulement d'un ma
substances de la voûte du crâne par laquelle sortit de la substance cérébrale . Etat au 17 février : Cet homme grand et bien m
oncé on peut facilement introduire une sonde jusqu'à la subs- tance cérébrale . Environ quatre centimètres en arrière et au-dess
etés et irréguliers. Au fond : des esquilles mélangées de substance cérébrale . Des deux blessures s'échappe une petite quanti
dans le pariétal droit d'où sort du sang mélangé à de la substance cérébrale . Dans les parties molles on trouve par place d'
ns la partie la plus proche de la scissure de Sylvius. La substance cérébrale est livide, l'hémisphère droit dans ses deux tier
servé, afin de pouvoir fournir au juge un certificat sur sa maladie cérébrale . Il racontait qu'il avait été blessé, il y a tr
et devint fistuleux. Toujours est-il qu'il n'y eut pas de symptômes cérébraux , car la malade put reprendre ses occupations au
revolver. Hémiplégie droite; issue 55 G RENÉ martial - de matière cérébrale . -Gz4éz·isozz complète. Rétablissement des foncti
DEL / '1899. VIGN.IRD. - Fracture du crâne, ostéite suppurée, abcès cérébral , hémiplégie, etc., Gaz. méd. Nantes, 4 février.
de l'aorte abdominale, des oblitérations pathologiques des artères cérébrales , des injections de pou- dres inertes (Lamy, Rot
e de l'oeil gauche, nous pouvons conclure, les symptômes de lésions cérébrales manquant complètement, que des nodules fibromat
67 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ui marque déjà un certain degré d'affaiblissement. de la résistance cérébrale , les délirants chroniques marchent graduellemen
usu des propos et parfois par de la pseudo-aphasie. Les hémisphères cérébraux , dont l'activité est affaiblie, engendrent en o
mentale ainsi constituée est un symptôme de l'épilepsie, de lésions cérébrales en foyer, de la mélancolie, de la manie, du dél
lexion, imputables à la diminution et à l'ex- clusion de l'activité cérébrale . La folie systématique chronique type (typische
ain, part. 111, 1893, p. 393.) L'auteur pense que dans les maladies cérébrales les fonctions troublées, qu'elles soient mental
t de Varole et l'espace interpédonculaire et englobant le pédoncule cérébral droit. P. S. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOG
OLOGIE PATHOLOGIQUES. 39 XV. Sur UNE action inhibitrice DE L'ÉCORCE cérébrale ; par le Dr S. SHERR1NGTON. Il est intéressant
R1NGTON. Il est intéressant, pour l'étude des fonctions de l'écorce cérébrale , de constater d'une façon expérimentale que cel
vidus ont été pendus, qui portaient des traces évidentes de maladie cérébrale . (American journal of insanity, 1894.) E. B.
représentatives des mou- vements, mais arrêté dans les associations cérébrales nécessaires à la transformation des conceptions
ent de la Sarthe, où l'on, ne distille que des pommes, l'alcoolisme cérébral est une rareté. M. BRIAND, sans nier l'influenc
nale. C. 141AYEn. Lésions anatomiques de la moelle dans les tumeurs cérébrales . DE SOFLDFR. Présentation d'un cas de pfM'(H7M/
ns les Archiv f. Psychiatrie. 1 Voyez Synonymie des circonvolutions cérébrales de l'homme. (Ar- chives de Neurologie, t. VIII,
éphalite diffuse, à l'état simple ou com- pliqué, du ramollissement cérébral local aigu et chronique, de l'hémorrhagie eéréb
érale des aliénés, t. XXIII, p. 133 à 158. A. 1841 ; Ramollissement cérébral , t. XXVII, p. 205 à 227. A. 1843 ; Suicide, t.
t des idées. Il en résulte un désordre, un pèle-môle, une confusion cérébrale qui est la Verrwirrtlieil ou confusion mentale.
embre (9), dans le British Médical Journal. A. Marie. Vil. Troubles cérébraux dans la chlorose ET l'aménorrhée ; par Burton .
or, dans des cas analogues. Ils inclinent à attribuer les accidents cérébraux douloureux à un oedème cérébral ou à une méning
nclinent à attribuer les accidents cérébraux douloureux à un oedème cérébral ou à une méningite partielle peut-être tubercu-
ne jouent le rôle que de simples causes occasionnelles. La syphilis cérébrale peut déter- miner dans l'organisme des modifica
périosté, extravasations sanguines, mort. A l'autopsie, hémorrhagie cérébrale et méningée. 2e cas : fille de quatorze mois, r
ry HANDFORD. (Brain, part. III, 1893, p. 440.) Deux cas de syphilis cérébrale , dont l'un accompagné d'accès épileptiformes, d
ste hydatique volumineux de la partie posté- rieure de l'hémisphère cérébral gauche; un autre kyste siégeait en arrière de l
, Chauffard, Mackenzie en publient chacun un. J.-B. C. XXIX. OEDÈME cérébral ; par Georges-J. PRESTONM. D. (Journ. ofnervous
être également le point de départ d'acci- dents toxiques. L'oedème cérébral serait un accident bien plus fré- quent et plus
centes données de l'anatomie, de la physiologie et de la pathologie cérébrales , a su donner au phé- nomène toute l'inportance
droites. Les ascendantes sont intactes ainsi que les autres régions cérébrales . Réplétion forte des vaisseaux méningés, lepto-
les différents genres d'aliénation : paralysie générale, infirmités cérébrales , états mélancoliques, états maniaques, folie puer
, Robert de Clermont, folie traumatique consécutive à une commotion cérébrale . Hérédité descendante : CliarlesVII mort sitiopho
ntécédents personnels. A trois mois, elle aurait éprouvé une fièvre cérébrale ( ? ) très grave qui dura plus de deux mois et mi
nomènes de Raynaud existe au niveau des vaisseaux encépha- liques cérébraux et que la dépression n'est que le résultat de l
es cérébraux et que la dépression n'est que le résultat de l'anémie cérébrale consécutive à cette contraction spasmodique. Il
e de dépression (Lasègue) ; Délire d'inanition (Becquet); Torpeur cérébrale (Bail); Acùte primoere Verrücktheit (Westphal)
nsécutive à la ma- nie, à la mélancolie, à la paranoïa, aux lésions cérébrales orga- niques, à la sénilité, la paralysie génér
o-traumatisme, pas non plus de paralysie infantile. Seule l'origine cérébrale pouvait être incri- minée ; le début de l'hémip
apoplectique impliquait incontestablement l'existence d'une lésion cérébrale de peu d'étendue. ' e6 REVUE DE PATHOLOGIE NE
ue. {Revue neurologique, janvier 1894.) E. B. XLII. LES diplégies cérébrales infantiles; par le D1' FREUD. Par un ensemble d
eur se voit autorisé à faire de la rigidité généra- lisée d'origine cérébrale (LitLie disease, AUgemeine cérébrale slarre), d
gidité généra- lisée d'origine cérébrale (LitLie disease, AUgemeine cérébrale slarre), de la rigidité paraplégique (tabès dor
tes, types auxquels on pourrait donner le nom commun de diplégies cérébrales infantiles. (Revue neurologique, 1893.) E. B. X
s fixes. Dans la seconde, il se demande quelles sont les conditions cérébrales qui accompagnent les idées fixes. 11 y a psycho
estant une intoxication chronique par l'alcool avec les symp- tômes cérébraux que comporte cette intoxication dans les formes
de dégéné- rescence graisseuse.. En présence de cette excitation cérébrale intense, avec loquacité, désordre dans les idée
e temps avant, une épidémie de fièvre typhoïde à phénomènes surtout cérébraux . En conséquence, le SOCIÉTÉS SAVANTES. 233 dé
use, de l'urémie, de la méningite cérébro-spinale, de la congestion cérébrale , autant de facteurs pathogénétiques à démon- tr
stématique de cette dernière dans un grand nombre de cas de lésions cérébrales localisées, recueillis dans son vaste ser- vice
'auteur d'élucider un grand nombre de points spéciaux de la texture cérébrale . Il a exposé en détail la méthode qu'il a suivi
eau. C'est la partie la plus originale de l'ouvrage. La morphologie cérébrale y est exposée dans les plus grands détails, et ri
'on ne manquait pas d'avoir quand après avoir appris sa morphologie cérébrale dans un traité d'anatomie, on cherchait à s'y r
qui constituent les quatre cinquièmes internes du pied du pédoncule cérébral . Grâce à elle encore M. Déjerine a pu éta- blir
isceau de Furet qui constituent le cin- quième externe du pédoncule cérébral proviennent non pas comme on le disait jusqu'ic
rizontales ou légèrement obliques. L'auteur étudie ensuite l'écorce cérébrale et termine par l'étude de la substance blanche
cours de la paralysie générale, dans la sénilité, dans les lésions cérébrales circonscrites, dans la confusion mentale primit
i revient à dire que, dans toute psychopathie, dans toute affection cérébrale en général, il peut survenir des accès de délir
iborg (Danemark). Les découvertes dans le domaine des localisations cérébrales d'un côté, l'asepsie chirurgicale de l'autre, o
saillante entra, après avoir passé une couche mince de subs- tance cérébrale , dans une cavité kystique, du volume d'une noi-
e de la sensibilité générale et perte du sens musculaire par lésion cérébrale corti- cale. A l'autopsie on a constaté une pla
t appuyer l'opinion suivant laquelle il n'existe pas, dans l'écorce cérébrale , des zones sensitives indépendantes des zones m
neurologique, oct. 1894.) 1;. 13. XXI. NOTE SUR DEUX cas DE tumeur cérébrale avec autopsies ; par le Dr Irwin NEFF. Le pre
elle était adhérente à la pie- mère et à la dure-mère. La substance cérébrale subjacente pré- sentait un léger degré de ramol
ES. 305 CONTRIBUTION A la connaissance DE la richesse DE l'écorce cérébrale DE l'homme en fibres nerveuses : 1 myéline ; par
mince ; les ventri- cules sont dilatés; aplatissement du pédoncule cérébral et de la pyramide du côté gauche. Petitesse des
oire ou repro- duction d'états affectifs d'une part, des conditions cérébrales aux- quelles s'ajoutent, d'autre part, des cond
qui peut être de quelque.valeur diagnostique, et démontrer un état cérébral inférieur. Combien 'donc de ces stigmates devro
' . par le Dr ŸIIITE. ' ", . r - Il est indubitable que l'écorce cérébrale , la portion la plus com-" plexe du système nerv
se développer : suivant que ces forces latentes de déve- loppement cérébral sont dissipées de bonne heure par des condi- ti
urd'hui quinze mois qu'on est intervenu. JM. Laquer. Des phénomènes cérébraux qui accompagnent les vio- lents accès douloureu
algie de la i cinquième paire avec troubles passagers de l'activité cérébrale . Le premier cas concerne un homme de cinquante-
latéraux est secondaire et ne dépend point du tout des, altérations cérébrales . Sans doute le tabès et la paralysie générale (
ses de la couche bibliographie. 331 optique dépendent de l'écorce cérébrale ; elles confirment l'exacti- tude des descriptio
lequel se inani- » testèrent, quelques mois plus tard, des troubles cérébraux . '' Après cette déposition, M° Dasque développe
Conl. à l'élude des troubles fonctionnels de la vision par lésions cérébrales . 1882. ' Chareot. Leçons du mardi, I, 88. 0 B
de- mande dans l'esprit un effort de synthèse, un fonctionnement cérébral ^ supérieur, et que l'absence' de cette synthèse c
elle est la manifestation de la, perception per- d'aune faiblesse cérébrale , d'une diminution de la perception per- sonnell
')i ? ? «V"f . P ,, i i J 't., 9 '* r invoquaient des lors 1 anémie cérébrale . Les autres preten- c1 Irl 1`, W r ,tl, -ro y h
que la pâleur du visage allait, au contraire, avec la con- gestion cérébrale . Quoi qu il en soit, il est manifeste que, sous
le; mais ce tableau clinique du tabès spasmo- dique, de la diplégie cérébrale n'existe pas. Ces malades sont DE l'intoxicatio
e tout à fait frappant et caractéristique fait penser à la diplégie cérébrale (maladie de Little) dans ses formes tardives ou
vier 1894, ont montré des cas où le tableau clinique de la diplégie cérébrale apparaissait tardivement chez l'adulte. Ils ont
Little. M. Brissaud pense avec plusieurs auteurs que ces diplégies cérébrales , liées à l'arrêt de développement ou à la dégén
t terme ou dont l'accouchement fut laborieux, n'ont pas de diplégie cérébrale ? Et du reste il est des sujets, atteints de ce
un des malades présentés par M. Brissaud dans sa leçon, la diplégie cérébrale , le tabès spasmodique ont commencé à dix ans, à
ut au moment de ses règles. Le grand-père est mort d'une hémorragie cérébrale et était goutteux. Un oncle bien portant appart
chique, cette inflammation aurait coupé les communications intra- cérébrales entre les centres sensoriels intacts et ceux plac
veloppait dans la convalescence de la manie suraiguë et des fièvres cérébrales ataxiques. Cette affection était caractérisée p
bsolue d'idées, une dis- position enfin dans laquelle les fonctions cérébrales étaient mo- mentanément mortes et comme paralys
; ce sont chez eux des rêves en rap- port avec l'état d'oppression cérébrale dont ils sont atteints et qui est marquée au co
confusion mentale, l'obscurcissement intellectuel et l'automatisme cérébral . Notre distingué confrère veut bien rappeler ég
oses (hystérie, épilepsie) et se montrant dans le cours des tumeurs cérébrales , de l'urémie, de l'albuminu- rie, de la glycosu
artie ; elles sont consécutives à la fièvre typhoïde, l'éry- sipèle cérébral , les délires aigus, l'urémie, quelques affections
urémie, quelques affections diathésiques, l'alcoolisme, les tumeurs cérébrales , l'épilepsie, la neurasthénie, etc. La physio
e fondamentale que l'aliéné est une personne atteinte d'une maladie cérébrale et comme conséquence logique de cette notion, l
u cas et indiquer les mesures à prendre; de même, en cas de maladie cérébrale , un rapport devrait être fait par le médecin or
nvoquant la congestion due au décubitus dorsal, les autres l'anémie cérébrale qui est, comme l'a mon- tré Durham, une conditi
rophysiologie ont surtout roulé cette année sur l'étude des centres cérébraux . Cette question est loin encore d'être élucidée
e 14 espèces de poisons sur l'exci- tabilité électrique de l'écorce cérébrale chez les chiens, les chats et les lapins. Après
e du 16 juin 1894) et intitulée : Note sur l'excitation de l'écorce cérébrale par la fara- dtsn<<o ? : unipolaire. Afin
fara- dtsn<<o ? : unipolaire. Afin de déterminer si l'écorce cérébrale est exci- table par la faradisation unipolaire,
e lorsqu'on excite avec un seul pôle certaines portions de l'écorce cérébrale . Contrairement aux schémas de Ferrier ces porti
écise II est aussi important à noter que l'excitabilité de l'écorce cérébrale à ce mode d'électrisation disparaît assez rapid
ite, il faut se souvenir que lorsque le tissu cardiaque et le tissu cérébral sont libérés de l'agent étranger qui a compromi
manière dont le myxoe- dème agit sur l'activité mentale de l'écorce cérébrale ne pourra être considérée comme suffisante et c
é crânienne, il est légitime de diminuer l'excita- bilité du centre cérébral et en particulier de l'écorce par le bro- mure,
errel, touche un point très obscur et très discuté de la pathologie cérébrale , la pathogénie des accidents apoplectiformes et
celles admises jusqu'à ce jour : je veux parler de la con- gestion cérébrale et de l'encéphalite aiguë, de l'apoplexie séreuse
rébrale et de l'encéphalite aiguë, de l'apoplexie séreuse ou oedème cérébral , brillamment défendus par M. Tourmer en 1893, e
siles il y eût, au cours de 1893, 85 décès dont 65 dus à des causes cérébrales et 20 à des maladies thoraciques, parmi lesquel
gne, 331 ; situation des -, par Iloppe, 491. Aménorrhée, troubles cérébraux dans la chlorose et l' -, par Janning et Joll
Creuser, 70. Céphalalgie post influetizique, par Rowland, 119. Cérébrale , action inhibitrice de l'é- corce-, par Slierri
gie de la moelle épinière, par Thornburn, 119. Chlorose, troubles cérébraux dans la et l'aménorrhée par Jan- ning et Joll
17 ; troubles vaso-moteurs dans la -, par Iloyt, 312. DirLÉGiES cérébrales infantiles, par Freud, 206. DOULOUREUX, phéno
iES cérébrales infantiles, par Freud, 206. DOULOUREUX, phénomènes cérébraux accompagnant les violents accès - , par Laque
harcot, 81. Dyspepsie et lypémauie, par Bau- melon, 154. Ecorce cérébrale , richesse de 1' en fibres à myéline, par Kaes,
ar Tlomson, 102. OEdème angionervoux, par Wills et Cooper, 35 ; - cérébral , par Pres- ton, 129. Ostéo-arthropathie pneum
générale progressive, lé- sions histologiques fines de l'é- corcc cérébrale dans la , par Carter. 36; pathogénie de la ,
la moelle, par Bruns, 144 ; - du frontal gauche, par Wuiff, 145 , cérébrales avec autopsie, par Neff, 300. 506 TABLE DES A
68 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
sez nombreuses pour que Groenouw (4) pût, (1) A. 1'01'1'1, L'ipoZSi cérébrale e faringea e la glaiandula pineale in patologia.
cher l'évolution de la névrite optique consécutive à l'hypertension cérébrale . Le Professeur Raymond, Directeur de la Cliniqu
une déviation du profil basal du crâne avec enfoncement de la fosse cérébrale moyenne. Déjà Schuller, en 1908, avait montré a
ule région du plancher basal qui puisse résister à l'hy- pertension cérébrale . Après le rocher nous voyons que le profil de l
n considérable, donnée par la projection radiographique de la fosse cérébrale postérieure, limitée en arrière par l'écaille occ
isparition des sinus frontal et sphénoidal, enfoncement de la fosse cérébrale moyenne ; inversion de l'angle sphénoïdal. Ma
es dans un plan à peu près horizontal de façon que, seule, la fosse cérébrale postérieure reste située dans la radiographie lat
empla- cement de la selle turcique est très enfoncé et que la fosse cérébrale moyenne reste placée à peu près au même niveau
rébrale moyenne reste placée à peu près au même niveau que la fosse cérébrale postérieure. Ce fait très important, nous perme
ssions digitales et qui correspondent aux circonvolutions des lobes cérébraux antérieurs. 24 BERTOLOTTI Une autre particula
rquée dans mes clichés radiographiques, c'est l'empreinte des sinus cérébraux (sinus latéral et sinus pélreux), fait que je n
ette malfor- mation crânienne fût sous la dépendance d'une pression cérébrale exagé- rée. Or, cette question n'a pas encore é
seraient autant d'arguments contre l'hypothèse de l'hyper- tension cérébrale . Avant de chercher à expliquer le fait de la cy
s l'hydrocéphalie (enfant de 6 ans) on note l'enfoncement de la fosse cérébrale postérieure ; dans l'oxycéphalie (crâne du musé
u musée Riberi, Hôpital St-Jean) l'enfoncement a lieu dans la fosse cérébrale moyenne. Masson & Cne, Éditeurs l'JUllnl1
érations des os de la face. A la suite de la dépression de la fosse cérébrale antérieure et de la fosse moyenne, les os nasal
tion de l'activité ostéogénétique des os du crâne. L'hypertension cérébrale prodromique des états oxycéphaliques est in- di
in- diquée par la constatation de la profondeur anormale des fosses cérébrales , (1) Loc. cit. ÉTUDE DU SYNDROME OXYCÉPHALIQU
cit. ÉTUDE DU SYNDROME OXYCÉPHALIQUE 31 et notamment de la fosse cérébrale moyenne, par les altérations du pro- fil radiog
ession endocranienne. H ressort à première vue que l'hyper- tension cérébrale dans l'oxycéphalie conduit à des altérations abso
hydrocéphalie et dans les autres états pathologiques d'hypertension cérébrale de l'enfance. Je crois que mes études radiologi
de dans le fait que, dans l'hydrocéphalie de l'enfance, la pression cérébrale trouve bon jeu dans ! 'épanchement des os de la
ns les crânes rachitiques sont sous la dépendance de l'hypertension cérébrale et que l'on peut sérieusement envisager l'exist
nts au sens radiologique (1), portent à admettre que l'hypertension cérébrale peut retentir sur la face interne de la calotte e
halie aiguë sans augmen- tation de volume de la tête et les tumeurs cérébrales au moyen des rayons de Rontgen. Bévue Neurol.,
est intéressant de constater comment, à la suite de l'hypertension cérébrale , l'usure du plancher interne de la calotte peut s
de la deuxième enfance, ou même de l'âge adulte, où l'hypertension cérébrale n'a pas pour conséquence d'altérer le volume de l
pre- mière enfance, et en général dans tous les cas d'hypertension cérébrale du premier âge, m'ont démontré que le mécanisme
a calotte sont normalement enclavées. Dans ces cas l'hypertension cérébrale , retentissant sur la surface interne de la calo
éningite séreuse venlriculaire (hydrocéphalie aiguë) et les tumeurs cérébrales , n'est pas toujoursaisée. Au contraire, les rés
tats obtenus à l'autopsie dans des cas nombreux étiquetés « tumeurs cérébrales », ont démontré qu'il s'agissait en réalité d'h
e; pendant la vie du malade on avait posé le dia- gnostic de tumeur cérébrale , constata à l'autopsie qu'il s'agissait de méni
se crut autorisé à employer dans ces cas le terme de pseudo-tumeur cérébrale . Cette déno- mination fut dans la suite adoptée
drocéphalie, non seulement peut réaliser les symptômes d'une tumeur cérébrale , mais elle peut simuler à s'y méprendre le synd
diographie, elle montre nettement l'em- preinte des circonvolutions cérébrales . )-, dans un Li-avail paru dans Il A ce propos,
radiographie, de faire le diagnostic différentiel entre les tumeurs cérébrales et l'hydrocéphalie aiguë (2). Un mois plus tard
hydrocéphalie sans augmentation de volume de la tète et les tumeurs cérébrales au moyen des rayons de Röntgen. Cet auteur insi
par SchÜl1er avaient déjà mis en relief les changements de pression cérébrale dans le crâne. Voir à ce propos : A. Scuuller,
e peut, l'état normal, fixer parla radiographie le trajet des sinus cérébraux ; or, dans tous mes cas d'oxycéphalie j'ai pu (
j'ai pu (16111011ll'e1', par la radiographie, que les sinus veinenx cérébraux sont dilatés et ont laissé une empreinte très pro
que de l'oxycé- phalie, il faut admettre d'un côté une hypertension cérébrale etde l'autre une réaction inflammatoire des os
sé- quence d'une réaction ostéogénique à la suite de l'hypertension cérébrale causée, soit par l'hydrocéphalie, soit par la m
basi-post- sphéno'ide, à la dérivation embryologique de l'hypophyse cérébrale , il l'existence du tissu hypophysaire du pharyn
nternes on pourrait encore se demander si par hasard l'hypertension cérébrale dans l'oxycé- phalie n'aurait pn retentir sur l
ième enfance, en plus des troubles cl assiques dus à la compression cérébrale (névrite optique, asthénie, asynergie cérébelleus
ltérieure de la dystrophie oxycéphalique. (1) A. Poppi, Lépofisie cérébrale , faringea e la ghiandola pineale in pathologia,
ent un complexus symptoma- tique justifiant le diagnostic de tumeur cérébrale , mais où plus tard la marche de l'affection ou
nt désignés, à l'exemple de Nonne (1), sous le nom de pseudo-tumeur cérébrale . Ce ternie, qui n'est pas satisfai- sant, trouv
puis quelques années, on tend à isoler du groupe des pseudo tumeurs cérébrales les cas où on peut porter le diagnostic pathogé
nt pas il tombe vers le côté droit. Le jour suivant les symptômes cérébraux se sont aggravés encore. La cé- pbatée persiste
ne. Ayant en vue ces symptômes nous mettons le diagnostic de tumeur cérébrale . ° Un confrère appelé en consultation par la fa
et ces sensations lui doivent être venues à la suite de sa maladie cérébrale . Il n'a plus de la céphalée, il s'oppose à une no
veux sous-épendymaire est infiltré dans ces endroits. La substance cérébrale et bulbaire prend aussi part à l'inflammation,
ait qu'à présent on réussit mieux à préciser la cause des symptômes cérébraux , surtout dans les cas de méningite séreuse et d
s plus fréquentes, ne sont pas les seules qui simu- lent une tumeur cérébrale et dans de tels cas il peut être question égale-,
dans de tels cas il peut être question égale-, ment de la syphilis cérébrale ,de la thrombose des sinus. Saenger est même d'a
els existait cliniquement le complexus symptomatique d'un néoplasme cérébral . Trois ont guéri et trois sont morts. A l'autop
a méningile séreuse. Un autre facteur qui peut simuler une tumeur cérébrale et auquel il faut donner quelque attention, est
athologiques qui donnent naissance au tableau clinique d'une tumeur cérébrale , et nous nous limiterons aux deux causes qui on
nt entre la méningite et l'hydro- céphal ie. · Les manifestations cérébrales très intenses, les paralysies, l'aphasie, la fi
ges de la convexité se transmet aussi plus ou moins il la substance cérébrale . Ce fait a été vérifié par l'autopsie dans un c
jusqu'à un certain point en admettant la participation de l'écorce cérébrale au processus inflamma- toire et en intitulant s
t lieu à des symptômes en foyer. La participation de la substance cérébrale semble être moins intense et moins fréquenle da
) RAYMOND et CLAUDE, Méningite séreuse circonscrite de la corticalité cérébrale . Semaine médicale, 8 décembre 1909. (2) Vrijd
. Le cerveau n'a pas été examiné. - La participation des méninges cérébrales semble certaine dans les ma- ladies infectieuse
s semble certaine dans les ma- ladies infectieuses où les symptômes cérébraux sont fréquents (fièvre ty- phoïde, exanthèmes a
ituée par des plaques diffuses. Quand elle se limite à la convexité cérébrale , comme cela doit s'être passé dans notre premier
opsie d'une femme de 28 ans présen- tant les symptômes d'une tumeur cérébrale et morte après six mois, une hydrocéphalie avec
ysiologiques qui attribuent (1) P. Merle, Etude sur les épendymiles cérébrales . Thèse de Paris, 1910.. (2) RzEXTKonsK;, Plexus
tieux indéterminé, ayant frappé primitivement les méninges internes cérébrales et spinales, l'épendyme ventriculaire el les pl
le diagnostic différentiel entre la méningite séreuse et une tumeur cérébrale . Mais ce résultai positif f n'a pas été signalé
(5), Tiktine (6), Knox et Sla- den (7),ont trouvé dans les cavités cérébrales différents microbes. On a éga- leiiient noté la
ù elle a pu être masquée jusqu'à un certain point par les symptômes cérébraux alarmants. La température peu élevée indiquerait
as ainsi que l'examen des plexus choroïdes dans diverses affections cérébrales , nous pensons être en droit de nous rattacher à
exemple l'irritation du faisceau pyramidal consécutive à la lésion cérébrale qui conditionne l'hémiplégie et l'on assistera
'irritation que subit le faisceau pyramidal à la suite de la lésion cérébrale , et qui, par un méca- nisme encore mal discuté,
ares, et le cas présentant, en outre, un certain nombre de troubles cérébraux intéressants, il nous a paru mériter d'être décri
ssements commencèrent. A ce moment, on constata que de la substance cérébrale sortait de la plaie. Moins d'une heure après l'
déchiquetés et au fond de laquelle des esquil- les, de la substance cérébrale et des cheveux forment un magma. Dans le pan- s
. Dans le pan- sement provisoire une certaine quantité de substance cérébrale . Après l'admi- nistration de cordiaux (camphre
nt de pansement, on trouva * une assez grande quantité de substance cérébrale tant dans le pansement qu'autour de la plaie ;
e pansement qu'autour de la plaie ; la quantité totale de substance cérébrale perdue pourra approximativement être évaluée il
evoir de l'existence chez le malade d'un certain nombre de troubles cérébraux dont la description sera donnée dans la seconde
aminant le siège de la blessure, on perçoit nettement une pulsation cérébrale sans cependant constater de saillie anor- male.
n un certain nombre de fragments lesquels forment avec la substance cérébrale et la dure-mère un magma enchevèti é ; dans les
cés de faire la détermination topo- graphique du siège de la lésion cérébrale . En adaptant ce crâniométre à la tête du malade
ésion, qui est en même temps l'endroit où l'écoulement de substance cérébrale se manifesta sur- 108 JOHANSSON ET FnOEDERSTI\0
'a pas été ouvert ; pour la discussion plus approfondie des lésions cérébrales , nous renvoyons le lecteur à la seconde partie
un article publié par Cushing, le célèbre spécialiste de chirurgie cérébrale américain, et Crowe, les auteurs rapportent que d
me on l'a vu d'après la description chirurgicale, la lésion crânio- cérébrale est localisée à une région dont l'importance dans
le est localisée à une région dont l'importance dans la topographie cérébrale ne saurait être méconnue, c'est-à-dire à la parti
t de 8 centimètres et nous donne un parcours à travers la substance cérébrale de 7 centimètres au maximum, le point le plus pro
ésion crânienne, non seulement de grandes par- ties de la substance cérébrale ont été détruites, mais les parties corres- pon
d'une partie de leur enveloppe durale ; en conséquence, la pression cérébrale et la vascularisation ont subi des modifications,
neu- rasthéniques, laquelle dépend, selon Janet, d'un « épuisement cérébral ». Une diminution analogue de l'énergie percept
d'association à la lecture courante ont été détruites par la lésion cérébrale , sa faculté d'interpréter certains mots et part
non devant la région locomotrice. Bien que, par suite de la lésion cérébrale , ses facultés intellectuelles aient été affaibl
parmi les exceptions rares lorsqu'il s'agit de pertes de substance cérébrale réelles. L'expérience clinique tend prouver que
nte pas de symptômes secondaires prove- nant de la cicatrice crânio cérébrale susceptibles de déterminer des trou- bles dans
ls pénètrent dans les luyaux nerveux qui consti- tuent la substance cérébrale et plus loin les nerfs.Ils ont la force d'élargir
Pawlow et les physio- logistes de son école sous le nom de réflexes cérébraux . Voyons en effet, comment « les passions sont e
que ! Mais si cette conception purement mécaniste du fonctionnement cérébral , et l'hypothèse qu'elle imposait d'un courant mat
re, et que la substance qui la forme est continue avec la substance cérébrale (5). . Nous n'entreprendrons pas de retracer ic
au système ner- veux et il a pu réaliser, en traitant la substance cérébrale fraîche par le nitrate d'argent et la piridine,
n portant, après un repas copieux ; il peut s'agir d'une hémorragie cérébrale . L'un et l'autre étaient bien conformés, leur c
sités rappellent l'aspect de hautes papilles ou des circonvolutions cérébrales (ce sont les membranes papillaires) . Les plis
che légèrement. Le cal osseux parait partout constitué, et le pouls cérébral n'est pas perceptible dans la cicatrice. Les os
ent crânien, avec plaie extérieure plus ou moins infectée et hernie cérébrale , ait amené l'éclosion d'une méningite, d'abord
que; mais, dans la suite, en vertu d'une loi générale en pathologie cérébrale , cette méningite s'est étendue progressivement
erise, elle est molle, tremblottante et lisse, comme la subs- tance cérébrale . Elle a une couleur blanche, et de fins petits va
Foix, 353 et 427. Méningite séreuse (Deux cas de pseudo-tu- meur cérébrale : - et et hydrocéphalie ac- 496 TABLE DES MATIÈ
24. Goldstein (M.) et IIL\RINESCO (G.). Deux cas de pseudo-tumeur cérébrale : méningite séreuse et hydrocéphale acquise (1
las Divis, électro-théra- peute (IlASKo\Ec), LXVII. Pseudo-tumeur cérébrale (Marinesco et GOLDSTEIN), XI. Rachis, ostéo-a
69 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
se faire est certainement celle d'une lésion siégeant dans l'écorce cérébrale au con- tact des méninges, intéressant la zone
nd très bien puisque cette complication dans la paralysie d'origine cérébrale a été fréquemment signalée (Charcot, Pierret, B
urs et la mort surviendra-t-elle par le bulbe ? Ou une complication cérébrale terminera-t-elle la scène ? Ou encore est-ce le
du système nerveux diminue successive- ment. Puisque toute fonction cérébrale du médium est concentrée dans ce moment à l'obj
mouvements de la face. G. D. VIII. UN cas d'hémianesthésie DE cause cérébrale avec MOUVEMENTS anormaux du bras ET DE la jambe
r l'épilepsie jacksonienne, ce qui prouve qu'à la suite des lésions cérébrales , même lorsque la zone corticale est indemne on
M. PAUL Berthod. (Gaz. m(M. de Paris, 4884.1 XI. Deux cas de lésion cérébrale ; par le Dr A. Brousse, chef de clinique de la f
es à l'autopsie étaient conformes à la doctrine des localisa- tions cérébrales . XII. Ess Il DE localisation d'une cécité accom
e". G. D. 60 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XIII. LES localisations cérébrales DE L HERPÉTISÜE par le Dr LAN- CEREAUX, leçon c
t comme devant. L'intervention était trop tardive car les lésions cérébrales étaient définitives, mais elle n'en reste pas moi
sychique de cet idiot se rattachait aux déformations et agéné- sies cérébrales ; l'absence de la parole provenait de l'atteinte d
et de leur voisinage ? Les recherches d'Adamkiewicz sur la pression cérébrale (Acad. des sciences de Berlin, t. LXXXV111, III
268. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 65 Observation IL Glio-sarcome cérébral . Epilepsie. Tumeur occupant la couche optique e
ues carac- téristiques, plus, chez l'homme, de l'anémie avec oedème cérébral et, chez la femme, de l'hyperémie cérébrale not
de l'anémie avec oedème cérébral et, chez la femme, de l'hyperémie cérébrale notamment des ganglions centraux et de l'écorce
- teux, et de remédier aux perturbations dioptriques : l'activité cérébrale est par conséquent seule en jeu. On interroge fin
tance est due à ce qu'elles « sont sous la dépendance d'altérations cérébrales consécutives à « des hyperémies répétées. - 6°
sens. » R. M. C. XIV. SUR QUELQUES symptômes mentaux DES affections cérébrales ordinaires; par le Dr GASQUET. (The Journal of
(une de sclérose mul- tiple, une de syphilis, une de ramollissement cérébral chronique et une d'hémorrhagie cérébrale suivie
ilis, une de ramollissement cérébral chronique et une d'hémorrhagie cérébrale suivie d'hémiplégie), dans les- quelles il a pu
uit, l'auteur n'hésite pas à attri- buer à cette chorée une origine cérébrale plutôt que spinale. Recherchant ensuite la natu
nnées, on tend à faire de la. masturbation un symptôme des troubles cérébraux bien plutôt qu'une cause d'aliénation. L'excès
s DE démence avec aphasie. ATROPIIIE(uvecsclérose7) DE l'hémisphère cérébral GAUCHE; par Arthur RANNIE. (The Joumal of Menta
l y a quatre ans, été atteint d'une affection grave avec phénomènes cérébraux (vingt-cinq jours de durée) d'un caractère irri
mble du développement, disparait le premier au début des affections cérébrales , dans la vieillesse, dans l'alcoolisme, et l'on
sur le cerveau, c'est-à-dire son action chimi- que sur la substance cérébrale . Nous ne connaissons que son effet sur certains
, aussitôt l'on aperçoit l'augmen- tation de volume de la substance cérébrale ; ce phénomène dis- paraît quand l'on éloigne l
ique. On constata, ici aussi une augmentation de volume de la masse cérébrale ; pendant douze pulsations la courbe ne se modi
et la rougeur de la face. Cet état est désigné sous le nom d'oedème cérébral . La circulation gênée par la réplétion des vais
de nouvelles ondées sanguines très difficile, et produit une anémie cérébrale qui est la cause des attaques épileptoïdes que
expériences nous prouvent qu'il y a modification de la circulation cérébrale à la suite d'inhalation d'amylnitrite. La sec
tes et moyennes situé dans le territoire de la calotte du pédoncule cérébral , en arrière du noyau rouge, en dedans du ruban
calotte pédonculaire, la capsule in- terne et de là les hémisphères cérébraux . Il faut noter qu'il n'y a que le système latér
ié supérieure des fibres transverses de la protubé- rance ou moitié cérébrale ; l'autre ne se compose que de fibres à myéline
doncule cérébel- leux antérieures ou supérieures; 2° par le système cérébral du pédoncule cérébelleux moyen ; 3° par le segm
érieurs ? ) la fonction centripète de transmettre aux hémis- phères cérébraux la sensation extérieure (notion de situation de
n de situation de l'individu; sentiment de l'équilibre), le système cérébral du pédoncule cérébelleux moyen, centi iftige,'d
ui ne s'entrecroise jamais. Le faisceau le plus précoce du faisceau cérébral placé en dehors et avant du faisceau spinal, mo
ue général. Si l'on fait abstraction des malades affectés de lésion cérébrale grossière, on rencontre la rigidité, l'immo- bi
ntre de préférence chez les tabétiques et, en particulier, chez les cérébraux syphilitiques : c'est peut-être le seul symptôm
ontre ces troubles dans la syphilis spinale, la chorée, les tumeurs cérébrales , l'hémiplégie, la paralysie saturnine, l'hys- t
t marqué des cordes vocales et de la parésie des adducteurs. Tumeur cérébrale : un cas de gliosarcome du corps strié et du lo
nclure que les rapports des nerfs optiques avec les centres visuels cérébraux sont plus complexes qu'on ne l'a cru jusqu'ici.
. Plusieurs circonvolutions sont atrophiées par place. La substance cérébrale est hypérémiée et présente un certain degré de
trophie développée du côté para- lysé, dans une hémiplégie de cause cérébrale , suivie de dégénération descendante, et qui éta
vec contracture rappelant tout à fait comme aspect les paralysies cérébrales de date ancienne. Le bras absolument inerte était
en l83o. Le père, mort à soixante-quatorze ans d'une hé- moi rhagie cérébrale , avait toujours été bien portant. sauf qu'il so
ui semblent indiquer une légère altération bien limitée de l'écorce cérébrale , c'est-à-dire le trouble peu marqué de la parol
conscrite, s'est développée sur un point quelconque des hémisphères cérébraux , et qu'il se produit, à plus forte raison, et p
rcot, /. c. 210 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XVI. DE la pression cérébrale et DE la compression du cerveau. par A. AD.\MK[
génie. M. Erlenmeyer prononce le mot de faiblesse irritable d'abord cérébrale , puis spinale. La guérison eut lieu par la supp
des tubercules qua- drijumeaux, des cornes d'Ammon, des pédoncules cérébraux , de la protubérance, du bulbe, des circonvoluti
ire. L'ensemble symptomatique ne permet de songer ni à une lésion cérébrale , ni à une affection cérébelleuse, mais ce n'est p
lle du cordon latéral droit, qui n'a rien à faire avec l'hémisphère cérébral droit indemne, augmente en étendue à Archives,
e, deux sortes de lésions presque contemporaines; un ramollissement cérébral et une myélite transverse ayant débuté par l'en
ur une grande étendue des deux côtés. P. K. XXXIX. UN CAS DE TUMEUR CÉRÉBRALE (GLIOSARCOME DE LA glande pinéale 1885, par L.
1 XLIII. Un cas DE tumeurs SYPHILITIQUES ( ? ) dans LES méninges cérébrales ; par J. ALTHAUS. (Arch. f. Psych., XVI, 2.) Un
que DES TUMEURS DU CER- veau ET A LA CONNAISSANCE DES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES J par TH. SOELAN. (Allg. Zeitschr. f. Psych., X
mianopsie temporale gauche unilatérale. Diagnostic erroné de tumeur cérébrale . La constatation successive de ce symptôme, pui
E particulière DE paralysie SPAS- MODIQUE accompagnée DE PHÉNOMÈNES cérébraux , ENTÉE sur un fonds D'HÉRÉDITÉ (SCLÉROSE multil
es cas mêmes où celui-ci n'offre originellement aucune défectuosité cérébrale . SARDINE. LU. Automatisme EPILEPTIQUE ; par le
facial est normal, ce qui arrive rarement dans les cas d'hémiplégie cérébrale suivie d'anesthésie; malgré une durée de deux m
des paralysies de nature cérébro-spinale à des affections de nature cérébrale , la combinaison d'une paraplégie avec une hémia
ès sensible de longueur entre les deux hémisphères : l'hémis- phère cérébral gauche mesure 18 centim., l'hémisphère droit dé
des ventricules. Rien aux plexus choroïdes. - Les deux hémisphères cérébraux décortiqués son égaux. Crdne. - Aucune suture
nvolutions. Les ventricules latéraux sont peu dilatés. La substance cérébrale est légèrement hyperémiée sans autres modificat
, la glande thyroïde comme un organe ré- gulateur de la circulation cérébrale , s'y est rallié après avoir montré, dans ses de
opérations sur l'homme, craignant qu'il ne produise une excitation cérébrale ; le chloroforme, au con- traire, produit une dé
s sur ce sujet ont sans doute entravé les progrès de la chirurgie cérébrale jusqu'à ce que le Dr Ferrier et le professeur Yeo
lié dans les Medico-chi1'w'g¡'cal Transactions; 2° un cas de tumeur cérébrale que je viens d'opérer). Si rien d'anormal ne
ns l'épaisseur du cerveau, mais il faut se rappeler que les tumeurs cérébrales situées sous l'écorce sont à peine visibles san
au et surtout de leur sillon, pour permettre d'enlever la substance cérébrale sous-jacente, pendant que en même temps la paro
n veut éviter. Sa principale résistance à la hernie de la substance cérébrale normale est faite autrement. (Voir Drai- nage,
é une fracture en éclats, avec enfoncement, avec perte de substance cérébrale , à l'endroit indiqué plus bas. Les fragments os
ent. La cicatrice à peu près à un demi centimètre de la subs- tance cérébrale avoisinante, fut excisée sur une profondeur de
tion fut également enlevée et la plaie fermée. En enlevant la masse cérébrale on a dû lier trois grosses veines venant du cen
t large seulement de douze milli- mètres ; mais, comme la substance cérébrale qui l'entourait pa- raissait sombre et livide s
M. BINSWANGEI\ (de Iéna). De l'histologie pathologique de l'écorce cérébrale dans la démence paralytique. Préparations microsc
entres corticaux moteurs. Conclusions fo La même région de l'écorce cérébrale (gyrus sigmoide) contient le centre des sensati
ECTION DE pédiatrie M. RANKE (de Munich). De la paralysie infantile cérébrale .- L'été dernier, l'auteur a observé neuf cas de
cérébrale.- L'été dernier, l'auteur a observé neuf cas de paralysie cérébrale corres- pondant au tableau morbide de la polien
ure et intérieure de l'encéphale. Le chapitre IV (les hémisphères cérébraux ) comprend les des- criptions nouvelles de la sc
hale et du cervelet; tout un chapitre est consacré à la circulation cérébrale avec les nombreuses questions physiologiques et
lecteur de se retrouver, sans effort d'esprit, dans la topographie cérébrale et de déterminer rapidement le siège des lésion
rps du roi a prouvé que non seulement il existait de graves lésions cérébrales , mais encore que l'état durait depuis longiemps
3. Catatonie, 250. Cécité et hemichorée, par Hal- lopeau, 59. Cérébrales (localisations dans l'herpétisme), par OEttinge
es des affections catar- l'hales, par ltaymoud, 59. Localisations cérébrales (fait t pour servir à t'histoire des), par ll
- spinale chronique), 60. Mentaux (troubles dans les affections cérébrales ordinai- res, par Gasquet,'70. Morpfnomanes (
aux (au tomie des), 102. I Tumeurs (syphilitiques des m' ninges cérébrales ), 231 ; -r. (sarcome du lobe frontal), : 1.2 1
70 (1898) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1897
divers organes situés à la face inférieure du cerveau. Hémisphère cérébral gauche, pas d'anomalie des circonvo- lutions, c
pto-strié, ventricule latéral, corne d'Ammon, normaux. Hémisphère cérébral droit. - Sillon profond entre les cir- convolut
le médicament ne l'a pas arrêtée définitivement. IV. L'hémisphère cérébral gauche est moins long BOURNEVILLE, Bicêtre, 189
e, 1897. 3 34 Épilepsie ; démence. et pèse moins que l'hémisphère cérébral droit, sans qu'on puisse en inférer qu'il y a u
aut bien se rappeler, dit Cruveilhier (1), que les deux hémisphères cérébraux n'ont jamais exactement le même volume, et que
ort. Autopsie. - Asymétrie crânienne. Inégalité des hémis- phères cérébraux : H. gauche 55 gr. de moins que le droit. - Adh
, de la bandelette optique, du tubercule mamillaire, du pédoncule cérébral , de la protubérance et de la pyramide bulbaire.
ude en bonne santé; il y a 15 ans, il aurait eu un ramol- lissement cérébral , non accompagné de paralysie, mais son caractèr
ement plus petit que le droit ; il en est de même pour le pédoncule cérébral gauche, qui a une coloration grise sur son bord
ère n'est autre que la pie-mère externe s'accolant avec la pie-mère cérébrale , de la paroi externe du ventricule latéral. Une
mère interne. Il y a donc ainsi dispa- rition de toute cette région cérébrale qui correspond iL l'in- sula : capsule interne,
e ; - du côté maternel, le grand-père est atteint de ramollissement cérébral , un grand-oncle est mort paralysé, une grand'ta
du pseuclo-13.ste ou de la pseudo-porencéphalie de l'hé- misphère cérébral gauche, dont nous avons tracé la description. L
sant la bandelette optique, le tubercule mamil- laire, le pédoncule cérébral , la pyramide antérieure du côté gauche, la dimi
e de la protubérance, l'arrêt de développement de tout l'hémisphère cérébral gauche, se traduisant par une infériorité de po
t de même des tubercules mamillaires. A gauche encore, le pédoncule cérébral est manifestement plus petit que du côté opposé
e particulière. Il y à là nettement une destruction de la substance cérébrale (PL. II, Fo). Le lobule du pli courbe présente
o-porencéphalie. décrit minutieusement la lésion de l'hémisphère, cérébral gauche, que nous avons désignée du nom de poren
eil cas, il peut y avoir une des- truction complète de la substance cérébrale . Enfin tout autour de la perte de substance les
sque tou- jours la région périsylvicnne ou territoire de l'artère cérébrale moyenne (1). - (1) Ce travail a été communiqué
ion du processus et sa nature au niveau des méninges et de l'écorce cérébrale . La décortication, à l'état frais, a trop profo
ère, rien de particulier. Grand' père pater- nel mort de congestion cérébrale . - Arrière grand-père paternel, excès de boisso
bien portant. - [Père, mort subitement, sans doute d'une congestion cérébrale . C'était l'hiver, par un temps très froid ; il
ularités suivantes : grand-père paternel, mort d'une conges- tion cérébrale ; des excès de boisson chez l'un des arrière-gr
es Planches VII et IX, représentant la face convexe des hémisphères cérébraux montre avec netteté : 1° l'aspect globuleux du
éral gauche, signalés dans le cas d'atrophie de tout l'hémisphère cérébral gauche, avec hémiplégie droite, relevés dans l'
embrane épaisse, très vascularisée, tapisse la cavité. Le pédoncule cérébral a l'aspect d'un pédicule recouvert de cette mem
internes. Elles n'auraient pas entravé le développement physique et cérébral de l'enfant qui paraissait intelligent, riait e
illaires sont très petits (3 il, 4 miiîim. au plus). Les pédoncules cérébraux , la protubérance et le bulbe ne présentent rien
ns diverses de la syphilis héréditaire, mais rare- ment des lésions cérébrales aboutissant à l'idiotie ou même à l'épilepsie.
tales et prédominant il gauche. - Inégalité croisée des hémisphères cérébraux et des hémisphères cérébelleux. - Dilatation du
de, chez lui, aurait été grave, se serait accompagnée de troubles cérébraux avec perte de la connaissance, aurait déterminé
insi : enfant normal jusqu'à 3 ans ; fièvre typhoïde avec accidents cérébraux , d'oit sclérose et arrêt de développement des c
lobes occipitaux, l'asymétrie très remarquable des circonvolutions cérébrales la fois sur les faces convexe et interne des de
l'SEUDO-PORENCÉPHALIE unilatérale. » Face externe de l'hémisphère cérébral gauche (p. 49). F', Fez, 1·, prmière, seconde e
. 49). F', Fez, 1·, prmière, seconde et troisième circonvolutions cérébrales . FA, frontale ascendante. SR, sillon de Rolan
IL PSEUDO-PORFNCÉPHALIE bilatérale. Face convexe de l'hémisphère cérébral droit (p. 60). F', F2, F3, première, seconde et
. 60). F', F2, F3, première, seconde et troisième circonvolutions cérébrales . FA, frontale ascendante. PA, pariétale ascen
'SEtiDO-l'ORENC1 : YH.1LIE bilatérale. Face convexe de l'hémisphère cérébral gauche (p. 61). 1 ? F2, 1 ? première seconde et
p. 61). 1 ? F2, 1 ? première seconde et troisième circonvolutions cérébrales . FA, frontale ascendante. ! 'A, pariétale ascen
. Planche IV. Porencéphalie vraie. Face convexe de l'hémisphère cérébral droit (p. 60). F', 1 ? 1 ? première, seconde et
S. Planche V. Porencéphalie vraie. Face interne de l'hémisphère cérébral droit (p. 70). I ? première circonvolution fron
'hipocampc. TT, circonvolutions temporales. P, coupe du pédoncule cérébral . CO, couche optique. NC, noyau coudé. VL, v
ule latéral. 196 EXPLICATION DES PLANCHES. Planche VI. Sclérose cérébrale ATROPHIQUE. Coupe du crâne (p.403) Cette coup
rose ATROPHIQUE DU LOBE frontal DROIT. Face interne de l'hémisphère cérébral droit (p. 122), 1 ? F2, portions restantes des
rose ATROPHIQUE DU lobe frontal droit. Face interne de l'hémisphère cérébral droit (p. 156). F1, première circonvolution fro
ose ATROPHIQUE du lobe frontal gauche. Face convexe de l'hémisphère cérébral gauche (p.406). FA, frontale ascendante. SO,
OSE ATROPHIQUE DU LOBE frontal gauche. Face interne de l'hémisphère cérébral gauche (p. 106). Fi. première circonvolution fr
nches. Planche XII. Hydrocéphalie. Face interne de l'hémisphère cérébral gauche (p. 120). Cette planche montre d'une faç
Arrêt de développement du cerveau. " Face interne de V hémisphère cérébral droit (p. 159). 1· , F2, 1 ? première, seconde
gonc. COa, commissurc antérieure. Th. thalamus. - l', pédoncule cérébral . CII, circonvolution de l'hippocampe. T3, tro
Arrêt de développement du cerveau. Face coiivexe de l'hémisphère cérébral gauche (la. 159). 1 , F2, 13, première, seconde
. Arrêt de développement du cerveau. Face interne de l'hémisphère cérébral gauche (11. 'la. 1 , première circonvolution fr
71 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
are fessière, développée dans le cours de l'apoplexie par hémorrbagie cérébrale ou par ramollis-sement du cerveau, permettait de
une masse représentant environ le volume d'une noisette. La substance cérébrale voisine, surtout auprès du cervelet, était ramoll
con-sécutivement à la formation d'un foyer sanguin dans l'hémisphère cérébral droit. Les membres du côté paralysé, qui, de très
chorcuse, — Decubitus aigu dans l'apoplexie symptomatique des lésions cérébrales en foyer. Il se manifeste sur les membres frappés
myélite primitive, dans l'hémiplégie récente, liée au ramollis-sement cérébral . Ces arthropathies occupent les jointures dés mem
roduction servile ; en général même, les troubles trophiques de cause cérébrale ou spinale, ainsi que nous aurons plusieurs fois
été brusque, se rattachait à la formation, dans l'un des hémisphères cérébraux , d'un foyer de ramollissement, déterminé lui-même
sement, déterminé lui-même par l'oblitération em-bolique d'une artère cérébrale postérieure. Quant au zona, voici, je pense, suiv
offrent des infarctus à divers degrés de développement. — Hémisphère cérébral du côté droit ; sur plusieurs points du lobe occi
lui-même est ramolli à peu près dans toute son étendue ; la substance cérébrale présente-là une teinte grisâtre et, en un point,
s ramollies un épanchement sanguin du volume d'une amande. — L'artère cérébrale postérieure du même côté est complètement oblitér
parfois même quelques heures seulement après le début de l'affection cérébrale ou spinale, ou encore à la suite d'une brusque ex
schare à la fesse du côté paralysé dans l'hémiplégie récente de cause cérébrale . In Archiv. de physiolog. normale et patholog.. I
que dans les ventricules latéraux. Dans tous ces points, la substance cérébrale est teintée à sa surface et dans une certaine éte
sommaire, il faut, avec Ollivier (d'Angers), rattacher les symptômes cérébraux ou cérébro-spinaux graves, assez mal définis enco
aigu. A. Déeidritus aigu dans l'apoplexie symptomatique de lésions cérébrales en foyer. C'est surtout dans l'apoplexie con-sécu
u calé paralysé dans un cas d'hémiplégie consé-cutive à l'hémorrhagie cérébrale . — a, Partie mortifiée: — b, Zone érythé-mateuse.
l'autre à droite, vers la partie moyenne du pariétal. La substance cérébrale faisait issue sous forme de champignon à travers
ermique. —Le ma-lade succomba le 5. Autopsie. —Les deux hémisphères cérébraux , à leur partie moyenne et supé-rieure, dans les p
plus ou moins accusée, sur les membres frappés d'hémi-plégie de cause cérébrale , par une élévation relative de la tem-pérature. M
au-dessus et en dedans du siège de prédilection des esehares de cause cérébrale : là, il occupe la ligne médiane et s'étend aux p
d'ailleurs,—-contrairement à ce qui s'observe dans les cas de lésions cérébrales , — que les divers points des membres para-lysés q
s, comme exemple de ce genre (2). 111. Des arthropathies de cause cérébrale et spinale. Les trou-bles de la nutrition consécu
aisseuse. — Couyba : Thèse de Paris, 1871. Obs. XII, p. 53. lésions cérébrales ou spinales qui leur donnent naissance, m'ont con
miplégiques, comme une conséquence plus ou moins directe de la lésion cérébrale , en dehors de toute influence de la goutte, du rh
e les articulations des membres paralysés dans l'hé-miplégie de cause cérébrale ne soient, comme le veut M. S. Alison, particuliè
ouvent lemembre supérieur ; c'est surtout à lasuite du ramollissement cérébral en foyer qu'elles surviennent, plus rarement en c
trouva une vaste cicatrice ocreuse, vestige d'un foyer d'hémor-rhagie cérébrale , situé-en dehors du noyau extra-vcntriculaire du
produisent clans les membres paralysés, en consé-quence d'une lésion cérébrale , résultent généralement d'une irritation directe
ection à laquelle se lient souvent certaines formes de ramollissement cérébral et qui, d'ailleurs, se manifesle aussi parfois à
se de la moelle épinière. Dans le cas où il s'agit du ramollis-sement cérébral , la sclérose descendante de l'un des cordons laté
dans les nécrop-sies, des lésions banales, en particulier l'atrophie cérébrale sénile; or, celle-ci peut exister, comme on le sa
nous voyons affectés et les tubercules mamillaires et les pédon-cules cérébraux (Pl. III, Fig. 1 et 3; Pl. VIII,Fig.. 1 à 5). N
ssu cellulaire séreux extrêmement délié qui unit et sépare les fibres cérébrales et qui forme une trame excessivement ténue ». (Lo
poplecti-formes dans la paralysie générale et dans les cas de lésions cérébrales en foyer de date ancienne hémorrhagie et ramollis
'hui d'appeler en premier lieu votre attention sur certains accidents cérébraux qui peuvent venir compliquer la symptomatologie d
icolas, présentée à la Société de Biologie, par M. Joffroy. lésions cérébrales en foyer de dates anciennes et accompagnées d'hém
nnes et accompagnées d'hémiplégie permanente. Telles sonïYhémorrhagie cérébrale et le ramollissement dit cerveau, lorsqu'ils ont
antôt diffuse, tantôt fasciculée, qui occupe à la fois les pédoncules cérébraux , la protubérance, le bulbe et certaines régions d
e jour-là 42°,4-A l'autopsie, on trouva, à la surface de l'hémisphère cérébral du côté gauche, une dépression considérable répon
de 61 ans, atteinte d'hémiplégie droite consécutive à une hémorrhagïe cérébrale datant de deux ans. Cette femme avait éprouvé déj
de Biologie, I. I. .• série, 1869-1870, p. 145. actuelle d'un foyer cérébral soit d'hémorragie, soif de ramollis-sement, ou au
oplexie vraie, princi-palement lorsqu'elle se rattache à l'hémorragie cérébrale , la température s'abaisse consfammentquelques ins
sur la temp, des parties centrales dans l'apoplexie liée à Vhémorrh. cérébrale et au l'amollissement du cerveau. (Société de Bio
verses formes que peut revêtir la sclérose multiloculaire. Les formes cérébrale :, et spinale correspondant à un envahissement inc
même recueil, 1871, Bd-VIII, p. 223: —4° Baldwin: A case of diffused cérébral Sclerosis. [Journal of mental science, 1873, juil
gies el du même coup, vous êtes frap-pés du contraste : les accidents cérébraux sont inévitables, à un moment donné, dans les cas
à déclarer, dans ce temps-là, qu'on n'avait pas affaire à une lésion cérébrale en foyer. Un autre trait distinctif qui existe
absolument spécifiques parce que nous verrons bentôt que des lésions cérébrales grossières, circons-crites à certains département
ité exceptionnels, mais parfai-tement authentiques, certaines lésions cérébrales en foyer peuvent reproduire l'hémianesthésie avec
fournies par l'expérimentation chez les animaux, veut que les lésions cérébrales en foyer qui affectent si profondément la motilit
plus bas, dans la protubérance et peut-être aussi dans les pédoncules cérébraux , que résiderait le centre des impressions sensiti
et de dé-terminer la compression des parties voisines, des pédoncules cérébraux , par exemple. Il est bien établi, d'un autre côté
ets sous vos yeux une coupe frontale faite au travers des hémisphères cérébraux , immédiatement en arrière des émi-nences mamillai
plectique (Obs. III, du mémoire de M. Tiirck.) Voir la note p. 316. cérébral , et qui vont s'épanouir dans le centre ovale pour
e l'hémianesthésie. Quelques autres faits dTiémianesthésie de cause cérébrale , publiés postérieurement à ceux de Tûrck, signale
peut conclure, je crois, de ce qui précède que, dans les hémisphères cérébraux , il existe une région complexe dont la lésion dét
oir été été signalée, en conséquence d'une altération des hémisphères cérébraux ; de telle sorte queJTo/mubilation des \ sens spé
é attentivement explorés dans les faits d'hémianeslhésie par lésion cérébrale publiés jusqu'à ce jour ;_j les observations ne
que de trois li-gnes de la queue du corps strié. Les circonvolutions cérébrales placées au-des-sous étaient sur une éleudue égale
rieure de la couche optique et les parties adjacentes de l'hémisphère cérébral situées en dehors de celles-ci. Or, rhémianesth
grande étendue de la partie postérieure du rayonne-ment du pédoncule cérébral , une partie delà capsule interne et peut-être aus
produite, dans certains cas, par une lésion en foyer des hémis-phères cérébraux (1). 1. Les vues exposées dans cette leçon, rel
'elle est très rare dans l'hémiplégie liée à l'existence d'une lésion cérébrale en foyer, et qu'elle est, au contraire, pour ains
ce symptôme ne s'observe que très rarement dans Y hémiplégie de cause cérébrale , et s'il s'agissait de Yhémiplégie spinale, c'est
de semblable ne s'observe dans les prodromes des hémiplégies de cause cérébrale , et il est au contraire très habituel de voir ces
omalie considérable dans un cas d'hémiplégie consécutive à une lésion cérébrale , car, en pareil cas, la rigidité tardive se i.
aques, avec ou sans convulsions,qui s'observent dans les cas de foyer cérébral ancien (hémorragie ou ramol-lissement) ou de tume
de foyer cérébral ancien (hémorragie ou ramol-lissement) ou de tumeur cérébrale , quelle qu'en soit la nature. Cette élévation the
à peu près toujours, au mo-ment de la formation du foyer hémorragique cérébral , et c'est là, ainsi que je l'ai démontré, un cara
és de sang; cir-convolutions postérieures un peu aplaties : susbtancc cérébrale un peu dure. Léger épaississement trouble de la p
dure. Léger épaississement trouble de la pie-mere de la base. Cavités cérébrales de capacité à peu près normale, à parois de consi
n trait qui distingueï'hémianesthésie hystérique de l'hémianes-thésie cérébrale de cause organique. Pour ce qui est relatif aux
e les autres manifesta- 1. Charcot. — Leçons- sur les localisa/ions cérébrales ,]). 118. lions locales de la diathôse hystériqu
genre d'amblyopie appartien-nent donc, on le voit, à l'hémianesthésie cérébrale en général, 1. Leçons sur les Localisations dan
uction deïhémianesthésie totale — sensorielle et sensitive — de cause cérébrale , semble dési-gner tout naturellement le siège que
restée saine d'un nerf optique. c, Ilots scléreux sur le pédoncule cérébral gauche. d, Plaques de sclérose disséminées en d
ose sur les nerfs optiques. — c, Ilots de sclérose sur les pédoncules cérébraux . d, Plaques de sclérose, disséminées en divers
reux irrégulièrement disséminés dans la substance blanche des régions cérébrales postérieures ; quelques-uns sont très profonds.
reux irrégulièrement disséminés dans la substance blanche des régions cérébrales postérieures. Quelques-uns sont très profonds.
choreuse. — Decubitus aigu dans l'apoplexie symptomatique des lésions cérébrales en loyer. Il se manifeste sur les membres frappés
myélite primitive, dans l'hémiplégie récente, liée au ramollis-sement cérébral . Ces arthropathies occupent les jointures des mem
poplecti-formes dans la paralysie générale et dans les cas de lésions cérébrales en foyer de date ancienne (hémorrhagïe et ramolli
eures, 122 ; — dans Vatrophie musculaire progressive, 124. — de cause cérébrale et spi-nale, 112 ; — dans ['hémiparaplégie trauma
s la sclérose en plaques, 245. — tardive dans l'hémiplégie de canse cérébrale , 351. — des uretères, 297. Convulsionnaires, 30
ie agi-tante, 163, 174. E Ecchymoses viscérales dans les lé-sions cérébrales en foyer (endo-carde, estomac, plèvre, vessie), 1
empérature (Signification de l'a-baissement de la) dans l'apoplexie cérébrale , 94. — Abaissement de la, — accompagnant les lési
72 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
et, engendrant ainsi « des êtres nouveaux, anor- maux, à mécanisme cérébral faussé ». Il me semble, en conséquence, que l'a
endroit limité de l'os occipital, rien qui rappellera une tu- meur cérébrale : la selle turcique n'est pas agrandie, , Il me
trouvent presque toujours dans l'acromégalie. Ce sont les symptômes cérébraux , des symptômes indiquant en général une tumeur
Mais notre malade ne souffre d'aucun symptôme indiquant une tumeur cérébrale . L'examen ophtalmoscopique ne démontre ni papil
et la figure normaux, l'absence de tout ce qui rappelle une maladie cérébrale , l'hy- pertrophie osseuse non limitée aux termi
r l'assimilation, la pression sanguine, la circulation, la pression cérébrale , et probablement aussi sur la sécrétion rénale.
lusieurs années après le commencement de l'acromégalie. Les tumeurs cérébrales peuvent exister longtemps à l'état latent. Ne v
e nuisible (à distance), non mécanique... les symp- tômes de tumeur cérébrale manqueraient, tandis que l'acromégalie existerait
travaux consa- crés à l'étude des grands faisceaux de l'hémisphère cérébral , la question de l'origine et de la terminaison
s de ramollissement étendu des régions postérieures de l'hémisphère cérébral ; le plus souvent il s'agissait des lésions car
nce grise qui relie l'avant-mur au noyau amygda- lien et à l'écorce cérébrale avoisinante. Dans le lobe temporal les fibres des
rieur de la capsule interne et descendent dans le pied du pédoncule cérébral dont elles concourent à former le cinquième exter
lingual et fusiforme, ces dernières fibres se rendent au pédoncule cérébral . 1. Le faisceau longitudinal inférieur renferme
es'fibres'venant du mésen- cephale, il en est'd'autres que l'écorce cérébrale enverrait aux noyaux moteurs des régions inféri
nticulaire. Enfin d'autres fibres passent dans le pied du pédoncule cérébral , mais parmi ces dernières, il n'en est pas que
e traverse tout simplement pour se rendre dans le pied du pédoncule cérébral dont il constitue le cinquième externe. Starokotl
oint s'est localisée la lé- sion pyramidale; s'agit-il d'une lésion cérébrale , ou au contraire d'une lésion de la voie motric
rtiennent au faisceau de Türck et passent dans le pied du pédoncule cérébral . Le faisceau normal ne se continue pas directem
plus haut) est respectée ; elle ne pro- vient donc pas de l'écorce cérébrale , mais bien des noyaux centraux. Nous voyons ain
s jamais observé de dégénéres- cence au niveau du pied du pédoncule cérébral ; par contre nous avons constaté cette dégénére
un cas fort intéressant, car il s'agit d'un foyer de désintégration cérébrale , d'une lacune, siégant immédiatement au-dessus
inées au pulvinar, au corps genouillé interne, au pied du pédoncule cérébral , ces fibres du faisceau optique qui longent encor
une fibre de l'écorce occipitale ne passe dans le pied du pédoncule cérébral ; toutes les fibres que les régions postéro-infér
élations anatomo-cliniques se marque surtout dans l'étude des abcès cérébraux et des encéphalites diffuses. A vrai dire, les ab
bcès cérébraux et des encéphalites diffuses. A vrai dire, les abcès cérébraux les plus nettement circonscrits, s'ils représen
insisté sur cette notion dans l'éludé psycho-diagnostique des abcès cérébraux (1). Nous apportons ici une observation où la c
le malade meurt le 4 octobre, un mois après le début des phénomènes cérébraux localisés. NÉCROPSIE Poids du cerveau : 1.275
ngite légère avec quelques adhérences à la boîte crânienne et ABCÈS CÉRÉBRAL , NÉCROSE CORTICALE 241 leptoméningite prédomina
de la poche de 242 DUPRÉ ET DEVAUX cet abcès montre que le tissu cérébral environnant est de couleur noirâtre. Dans le pu
le pus, qui est d'odeur très fétide, nagent des détritus de substance cérébrale irrégulièrement dissociée. Rien d'appréciable à
ns fait l'étude d'abord des parois des abcès et ensuite de l'écorce cérébrale , examinée dans les différentes circonvo- lution
u Nouvelle Iconographie DE la Salpêtrière T. XIX. PI. XXXIX ABCÈS CÉRÉBRAL . NÉCROSE CORTICALE. SYNDROME MÉNINGÉ. (E. Dupré
... ? H ? 1' ""1'"\,"\('>11n ? hrY11,'f\ r1r> l{""¡\Cf\ ABCÈS CÉRÉBRAL , NÉCROSE CORTICALE 243 se colore par toutes les
'aspect granité. Ici et là, sur les cellules très altérées se ABCÈS CÉRÉBRAL , NÉCROSE CORTICALE . 245 rencontrent, à côté d'
idité, la diffusion et la gravité dupro- 246 DUPRÉ ET DEVAUX. ABCÈS CÉRÉBRAL , NÉCROSE CORTICALE cessus morbide. La présence
ons tolérantes correspond le syndrome insidieux et fruste des abcès cérébraux latents. Aux lésions corticales, rapides et mas-
s de l'écorce, chez un phtisique en pleine évolution de tuberculose cérébrale . Il est encore plus intéressant de constater l'
lésion méningée, et l'intégrité histologique de toutes les séreuses cérébrales chez un sujet qui a offert le tableau clinique
confirme d'ailleurs une notion clas- sique de l'histoire des abcès cérébraux , c'est le caractère clinique presque latent de
CLINIQUE PSYCHIATRIQUE DE GENÈVE DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS (Suite). PAR
s long et minutieux. Le fait seul que la coupe en séries de tumeurs cérébrales a été peu pratiquée jusqu'ici, que les lois d'apr
cette perte de substance est sur- DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL 249 venu aux dépens de la substance blanche et
onographie DE la Salpêtrière. T. XIX. PI. XL ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DES TUMEURS (R. Weber.) 1
.l.T 'T7 TT ? -' - rr "'1 ? 7T ? ? DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL 251 Enfin le symptôme constant chez B... de la
remarqua une coloration jaunâtre, puis un endroit où la subs- tance cérébrale dilacérée laissait apparaître un tissu plus ferme
ement délimitées ; elles ont disséqué en quelque sorte la substance cérébrale dans leur entourage, beaucoup plus qu'elles ne
se à la bifurcation d'un vaisseau. DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL 253 15 millimètres plus en avant apparaît l'hém
, sont particulièrement 254 WEBER. DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL bien placés pour intercepter le courant lymphat
le marasme profond avec adynamie. L'hypothermie, l'affaiblissement cérébral indiquent presque avec certi- tude l'imminence
eil- lard peut relever des causes les plus diverses, être d'origine cérébrale , médullaire, névritique, myopathique.S'ait-il d
ie ici l'influence du système nerveux central. Les deux hémisphères cérébraux sont loin d'avoir, même à l'état normal, une va
es à droite. (1) I(LIPPI(L, La non-équivalence des deux hémisphères cérébraux . Presse médicale, 29 janvier 1898. 288 KLIPPE
dysenterie, du choléra (Joffroy, P. Marie, Catola), du rhu- matisme cérébral (Charcot), de la pneumonie et des fièvres paludée
mère est épaissie dans la région opto-pédouculaire. Les hémisphères cérébraux et le cervelet ne présentent aucune altération
coupes longitudinales et transversales on voit dans les hémisphères cérébraux des plaques grises en très petit nombre, au nivea
re (fig. 15). Cette ressemblance avec les lacunes de désintégration cérébrale telles qu'elles ont été décrites chez les vieil
l'identité symptomatique. EN résumé : Epaississement de la pie-mère cérébrale au niveau de la région opto-pédonculaire et de
ien de particulier ne s'observe à l'examen extérieur des ménin- ges cérébrales et du cerveau. Les coupes horizontales et vertica
pouvoir ainsi démontrer que son schéma sur le mécanisme des centres cérébraux dans les aphasies, pouvait s'appliquer au mécan
logique des amusies. De même que des groupes déterminés de cellules cérébrales se spéciali- sent pour la parole ordinaire et v
Aires. Il s'agissait d'un aphasique, par lésion diffuse de l'écorce cérébrale de nature syphilitique. C'était un aphasique mote
tomique. - Il existe un ramollissement récent du terri- toire de la cérébrale antérieure à droite. L'artère était complètement
res dans chaque occur- rence. La diagnostie porté fut « hémorrhagie cérébrale » ; et la ponction lombaire,'négative dans le s
évations thermiques se rencon- trer un peu dans toutes les maladies cérébrales (1), il est vrai, mais spécia- lement dans les
des positions ennemies, le crâne ouvert, vidé en partie de sa pulpe cérébrale . La guerre actuelle est-t-elle plus meurtrière
oit 1 mort pour 4, 3 tués. C'est un record 1 PI. LX. n. 1. Hernie cérébrale . Plaie pénétrante du crâne par balle de petit c
russes. Explosion osseuse. Ablation d'esquilles. Volumineuse hernie cérébrale de 10 centimètres de long,4 à 5 de large. Sa ha
es intellectuels, moteurs ou sensitifs. PI. LX. n° 3. Double hernie cérébrale . Plaie perforante du crâne par balle de shrapne
ur le trajet du projectile. Ablation d'esquilles. Petites hernies cérébrales à l'entrée et à la sortie du projectile. Pas de
ne les objets. Pas de troubles de la motilité. Pl. LX, n° 4. Hernie cérébrale . Plaie pénétrante du crâne par balle de petit c
Après l'incision les esquilles osseuses ont été enlevées. Hernie cérébrale de 7 centimètres de longueur et de 2 centimètres
moteurs, sensitifs ou intellectuels. . PI. LXI. n° 5. Double hernie cérébrale . Plaie pénétrante du crâne par balle de petit c
u niveau des orifices d'entrée et de sortie du pro- jectile, hernie cérébrale de la grosseur d'une noisette. Paralysie des ex
s intellectuels. 110 ' MATIGNON PI. LXI. na 2. Volumineuse hernie cérébrale . Plaie pénétrante du crâne par balle de petit c
i ce n'est une légère dilatation pupillaire. Pl. LXI. n° 3. -Hernie cérébrale . Plaie pénétrante du crâne par balle de petit c
s doigts est légèrement diminuée. PI. LXI. n° 4. Volumineuse hernie cérébrale . Plaie pénétrante de l'occiput par balle de pet
la sensibilité. Pas de troubles oculaires. PI. LXI. n° 5. Hernie cérébrale . Plaie perforante du crâne par balle de petit c
s. Ablation des esquilles. Régularisation à la pince- gouge. Hernie cérébrale . Légère suppuration de la pulpe cérébrale super-
à la pince- gouge. Hernie cérébrale. Légère suppuration de la pulpe cérébrale super- ficiellement dilacérée. Diminution de
st pas touchée, on n'observe ni paralysie bulbaire ni aucun trouble cérébral . La mort survient dans les premières années de
n le diagnostic avec la paralysie infantile, la paralysie d'origine cérébrale , l'atrophie névritique Charcot Marie, la myopat
tionale vétérinaire d'Alfort. L'épilepsie symptomatique de tumeur cérébrale s'allie ordinairement, chez l'homme, à d'autres
en est d'autres où l'épilepsie est le seul symptôme de la ma- ladie cérébrale et l'on classe primitivement ces cas dans le grou
lief ces cas où l'épilepsie est le principal symptôme d'une tumeur cérébrale ajoute : « La céphalalgie tenace et violente, c
cerbante,cons- titue la manifestation la plus fréquente des tumeurs cérébrales ; les atta- ques convulsives peuvent revêtir le
différents symptô- mes pouvant permettre le diagnostic des tumeurs cérébrales il faut ajou- ter la stupeur. Celle-ci, dont la
tta- ques épileptiques et de la stupeur symptomatiques d'une tumeur cérébrale . (1) L. Marchand, Tumeur cérébelleuse et épilep
upeur si communs chez les aliénés et les malades atteints de tumeur cérébrale . Nous insisterons enfin sur les caractères hist
neuse, légèrement transparente et adhère intimement il la substance cérébrale voisine ; le tissu néoplasique se confond insen
ion des nerfs optiques et des nerfs ciliaires résultant de l'oedème cérébral . La tumeur, d'après les considérations histolog
légère chromatolyse avec pigmentation. Des fragments de l'écorce cérébrale (circonvolutions pontale et pariétale ascendant
oupes sériées, par les méthodes de Pal et de Marchi, les pédoncules cérébraux , le cervelet, la protubérance, le bulbe et la m
té de même débitées en tranches perpen- diculaires à l'axe du tronc cérébral et traitées ensuite alternativement par les mét
s différentes coupes,d'abord dans le cervelet,ensuite dans le tronc cérébral au-dessus et au-dessous du cer- velet. * 1°
ge soits-lobaire du lobe semi-lunaire supérieur. 2° Dans le tronc cérébral , au-dessus et au-dessous du cervelet. Sur les c
la partie supérieure de la protubérance et l'origine des pédoncules cérébraux , il est facile de suivre la dégénérescence ascend
périeur. Ainsi,sur une coupe(fig.9)perpendiculaire à l'axe du tronc cérébral et passant par l'étage antérieur et la calotte
e doit avoir une analogie avec celle des foyers de désin- tégration cérébrale ; à ce propos, Léri, rapporteur au dernier congrè
éroses péri et para-vasales. Ainsi que les foyers de désintégration cérébrale , les lacunes médullai- res ont pour caractérist
dans la moelle des cavités semblables à celles de la désintégration cérébrale , et. cet état anatomo-pathotogique peut être no
e nos recherches anatomiques sur certains faisceaux de l'hémisphère cérébral et nous n'avons pas pensé que même dans cette im-
sur une étendue relativement courte (nous par- lons de l'hémisphère cérébral ) ; elle est rarement complète ; encore, n'est-ell
onstration de la nature unique- ment corticale du pied du pédoncule cérébral et de la pyramide bulbaire mar- que donc le déb
eau du tronc encéphalique sont également applicables à l'hémisphère cérébral , sauf dans le voisinage im- médiat de la capsul
ésenter le large ruban compact qui caractérise le pied du pédoncule cérébral ; aussi sa constitution est-elle plus complexe,
disposition qui rappelle certainement la configuration du pédoncule cérébral devient frappante lorsque la substance innominé
ocns niger s'iuterpose entre le noyau rouge et le pied dn pédoncule cérébral . La réunion de ces deux pieds de pédoncule forme
e surtout des fibres corticipètes (on sait que le pied du pédoncule cérébral est, par contre, corticifuge) ; c'est naturelleme
ulaire et que celle-ci représente un prolongement de la subs- tance cérébrale . Toutefois, le mode d'origine du nerf optique se
représenté par la rétine et le nerf optique; mais ce segment extra cérébral ne donne pas, il reçoit. Il reçoit des impres-
eurone visuel fondamental prend naissance en dehors de l'hémisphère cérébral ; s'il LE FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE
éments nerveux périphériques, se rapproche certainement de l'écorce cérébrale et correspond (pour nous) en grande partie à la
uement distinctes et sont séparés par toute la largeur du pédoncule cérébral . La discussion est donc nécessairement extra-cé
que l'embryologie a divisé plus tard en deux segments : dont l'nn, cérébral , est fonctionnel, réflectif et fait partie du méc
respondent fonctionnellement, du moins en grande partie, à l'écorce cérébrale . Bien que cela ne soit pas conforme à la doctrine
ditive, le lemniscus latéral, mais à un degré moindre. Le man- teau cérébral est la sphère du physiologisme acquis. Que l'on r
nions pas que le second neurone maculaire se rende à la corticalité cérébrale , mais nous croyons que la majorité de ses fibres
bulbaire égale le deuxième cinquième ex- terne du pied du pédoncule cérébral . En d'autres termes, le faisceau pyramidal a pa
la couche sagittale externe du lobe occipital. Ainsi qu'une lésion cérébrale se traduit par une réaction médullaire qui LE F
elevé 28 syphilis certaines). Ces données relatives à la pathologie cérébrale des arabes d'Egypte n'infirment pas forcément l
tielle hypertrophique (5 pl., 6 sch.),477. DEVAUX et Dupré. Abcès cérébral , nécrose corticale, syndrome méningé (3 Ilg.,
sie partielle forme atypique (3 pl.), 133. Dupré et DEVAUX. Abcès cérébral , nécrose corticale. syndrome méningé (3 fig.,
m- béciles (1 pl.), 95. Weber. De quelques altérations du tissu cérébral dues à la présence de tumeurs (3 fig., 1 pl.),
sence de tumeurs (3 fig., 1 pl.), 241. TABLE DES MATIÈRES Abcès cérébral , nécrose corticale, syndrome méningé (3 fig., 1
pl.), par Féré, 168. Tumeurs (de quelques altérations du tissu cérébral dues à la présence de) (3 fig., 1 pl.), par Web
de) (3 fig., 1 pl.), par Weber, 241. TABLE IDES PLANCHES Abcès cérébral . Nécrose corticale, syn- drome méningé (E. DUPR
ystème radial (H. Français et M. EGGCR), LXV. Altération du tissu cérébral due à la pré- sence des tumeurs (R. 'VÉDER), XL
73 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
ce. Le diaphragme a, lui aussi, un aspect normal. Les hémisphères cérébraux ne présentent rien à signaler, les circonvoluti
a recherche des corps granuleux, dans l'intérieur des hémisphères cérébraux et dans la moelle. Toutes les coupes ont été fa
ion de Charcot, qui présente plusieurs symp- tômes tant spinaux que cérébraux ; en d'autres termes, un bel exemple du type cér
o-spinal nous sommes au contraire en présence d'un cas frustre soit cérébral soit spinal, soit cérébro-spinal, suivant les s
ntenant à l'interprétation des modi- cations que produit l'activité cérébrale sur l'élimination de cet acide et sur celle de
la formeque revêt l'expression sous laquelle se traduit l'activité cérébrale , qu'elle se retrouve dans les deux formes les p
à celles que produit le travail intellectuel ; seulement l'activité cérébrale étant plus grande que sous l'influence de ce de
la SECTION DES FIBRES DU NERF OPTIQUE A L'INTÉRIEUR DES HÉMISPHÈRES CÉRÉBRAUX DANS LE VOISINAGE DU SEGMENT POSTÉRIEUR DE LA C
. K. IV. SUR UN cas DE sclérose granuleuse disséminée DE L'ÉCORCE cérébrale ; par F. GREIFF. (Neurolog. Centralbl., z884.)
zzi (cirrhose atro- phique granuleuses disséminé des circonvolution cérébrales . Encéphale, 1883). P. K. V. SUR LES paralysie
, comprend les psychoses fonctionnelles ajoutées, soit à un trouble cérébral organique persistant, soit à un trouble cérébra
soit à un trouble cérébral organique persistant, soit à un trouble cérébral par affection somatique momentanée ; elles donn
transformée en folie systématique), avec l'involution ou régression cérébrale sénile, avec la démence paralytique (ici se pos
peut, par action réflexe sur le cerveau, déter- miner des symptômes cérébraux . Le processus réflexe est toujours ascen- dant.
ants que l'organe primitivement affecté. 9° Je traite les symptômes cérébraux à l'aide de l'électrisation de la moelle allong
macroscopiques de l'encéphale ni de la moelle. Seule, la substance cérébrale parait oedématiée. Quelquefois on trouve une di
ergence, avaient dis- paru. Pourlui,il s'agit non point d'unetumeur cérébrale à accrois- sement périodique (théorie de hiaehi
il rattache à la perte de la coordination fonctionnelle des centres cérébraux su- périeurs et passe en revue les principales
rveux, les modifications cliniques ou physiques de la cir- culation cérébrale , les maladies qui retentissent par voie réflexe
et mi- cl'oscopiques des méninges, des vaisseaux et de la substance cérébrale , qui ont été le plus souvent signalées dans la
chacun de nous (Charcot et l'école de la Salpêtrière). La syphilis cérébrale mérite encore un chapitre spécial depuis qu'Heu
u pyramidal au-dessus du bulbe d'examiner des coupes des pédoncules cérébraux , la protubérance étant certainement le point le
mal présenté par cette malade. G. D. XXV. Observation DE syphilis cérébrale ; par le Dr Le DENTU, chirurgien de l'hôpital Sa
ne réussit pas, et le malade fut emporté par de nouveaux accidents cérébraux . XXVI. UN cas DE MYÉLOPATIIIE AIGUE.\ MARCHE as
tout sopor pur s'accompagne de myosis (suppres- sion de l'influence cérébrale ), aux phénomènes convulsifs res- piratoires et
meil et l'état de rêve et, par suite, du supposer que les processus cérébraux de l'agonie sont ana- logues à ceux qui préside
ression de la part du liquide céphalo-rachi- dien ; delà une anémie cérébrale diffuse, apoplectigène. En d'autres cas, ce ser
ale diffuse, apoplectigène. En d'autres cas, ce sera une congestion cérébrale active qui, en élevant la pression artérielle,
ée pour les cerveaux d'un poids inférieur. Dans les autres; régions cérébrales , c'est lé droit qui l'emporté sur le gauche; ma
raire à lieu. D'une manière absolue, le poids de toutes les régions cérébrales diminue avec l'âge; les variations les plus sen
ré- senté donc un intérêt particulier dans l'étude dé l'évolution cérébrale . M. Riu communique deux observations, de délire
à la suite d'attaques répétées, n'a été que le résultat de l'état cérébral pathologique dans lequel se trouvait habituelleme
lJlIJat parole existante dispa- milre sou l'illlluence d'affeclions cérébrales ? ' pt "t" 254 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. TILDEIt1
roit; diltérencecorrespondante dans la couche optique, le pédoncule cérébral , le faisceau pyramidal. Mille asymétries dans l
vient du sopor pur, on observera du myosis (déficit de l'exci- tant cérébral ); si les phénomènes convulsifs prédominent, s'il
, SOCIÉTÉS, SAVANTES. 269 sommeil constant; on pense à une tumeur cérébrale (gommes ? ). Autopsie : décembre 1883. "La prem
une étude historique et critique de la question sur la localisation cérébrale de la fonction visuelle. Autant que l'étendue d
s diverses excursions, qu'il fait dans le domaine de la physiologie cérébrale . , M. Chrisliani a cherché d'abord à déterminer
du nerf optique. En portant ses expériences d'excitation sur la mae cérébrale mme, l'auteur est arrivé a limiter un petit end
e centre lou- jours, après l'ablation préalable de deux hémisphères cérébraux , toutes .les précautions nécessaires ayant été
els les lamis- AIICIIIVES, t. X. 18 H 274 BIBLIOGRAPHIE. phères cérébraux ont été préalal>lenentenlevés,jusqu'auxcouches
s coordonnés des animaux, chez lesquels on a enlevé les hémisphères cérébraux elles corps striés ne sont entravés en rien tan
lusion, que les animaux, chez lesquels on a extirpé les hémisphères cérébraux avec les corps striés, ne sont pas aveugles et
ps striés, ne sont pas aveugles et que l'importance des hémisphères cérébraux pour la vision n'est pas aussi grande que quelq
par INDEX BIBLIOGRAPHIQUE. 275 laquelle on enlève les hémisphères cérébraux avec les corps striés; dans ce cas là, M. Chris
écité complète attribuée par M. Munk à l'abla- tion des hémisphères cérébraux ^ Les chapitres V, VI et VII de ce livre sont en
question de la fonction visuelle au point de vue de sa localisation cérébrale . Nous ne saurions pas suivre les détails de cel
parlent pas d'une manière absolue en faveur de la théorie de cécité cérébrale émise par M. Munk, que la lésion de la couche s
peut pas être regardé comme l'origine unique de la cécité de cause cérébrale . La lecture du livre deM. Christiani, où la cla
n unique des problèmes aussi com- plexes que ceux de la physiologie cérébrale . M. Mendelsoun. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE Essai d
l'électricité statique dans le traitement de l'hémiplégie de cause cérébrale ; par PL \cÉ. (Thèse de Paris, 4885.) ,) VAK1A
on XI. IDIOTIE congénitale complète. Pas de convulsions. Congestion cérébrale à trois ans ( ? ). - Parole nulle. - Incapacité
lalgie, ce qui le dis- tingue du vertige symptomatique d'une lésion cérébrale en' voie d'évolution. Il apparaît dans des cas
si bien en droit de faire de cette aphasie le symptôme d'une lésion cérébrale ou rénale qu'une manifestation diabétique. L'
BS. XIX, XX), une sensibilité exagérée. La fréquence des troubles cérébraux et intellectuels trouve son explication dans le
il existe des cas assez nombreux de ramollissement et d'hémorragie cérébrale coexistant avec un diabète indiscutable, et d'a
t constaté la fréquence de la glycosurie à la suite des hémorragies cérébrales , cette glycosurie a toujours été passagère. Nou
ent recherché le sucre dans l'urine des sujets frappés d'hémorragie cérébrale , nous n'avons que rarement constaté l'existence
con- ditions. Chez la femme comme chez l'homme, les phénomènes cérébraux qui coexistent avec la présence du sucre dans l'u
cinquième fait de Libert un cas de diabète symptomatique de lésion cérébrale ; la malade, en effet, âgée de cinquante et un a
enveloppes de l'encé- phale. Seegen signale quatre cas d'hémorragie cérébrale ou méningée, rapidement suivie de coma et de mo
femme que des cas de ramollissement (OBS. XX. XXI) et d'hémorrhagie cérébrale (OBs. XVIII, LX111). Chez la première de nos
paraître avec plus d'intensité. Quant à nos deux faits d'hémorragie cérébrale , ils se pro- duisirent dans les conditions suiv
che optique, il occupe entre elle et le milieu du pied du pédoncule cérébral la place exacte où passe le faisceau pyramidal;
on périphérique (plénitude de la vessie) ou intra-erânienne (oedème cérébral , anomalies circulatoires) provoque la surac- ti
ertrophie partielle se traduisant par des phénomènes de compression cérébrale . Observation d'épilepsie chez un jeune homme de
tissus voisins étaient très ramollis. Chez ce malade, les symptômes cérébraux à la lin de la vie étaient très marqués, mais n
roit; ils suivaient donc surtout la distribution des branches de la cérébrale postérieure droite, bien qu'à la vérité on en ren
mentées par les branches pariétales antérieure et postérieure de la cérébrale moyenne droite. Sans être unique, cette distrib
créas, dans les ganglions abdominaux. Chez ce malade, les symptômes cérébraux avaient été de courte durée; les symptômes mote
e surtout les deux cas de ce second groupe, c'est que les symptômes cérébraux ne se sont manifestés que consécutivement à des
ésenté que des caractères de début, c'est enfin que des symp- tûmes cérébraux bien accusés n'ont été nulle part accompagnés d
icotinique (trois cas). Aux affections en rapport avec le surmenage cérébral ou musculaire, avec les fatigues physiques, on
ce DE M. OAGONET. )1. REY lit une note sur le poids des hémisphères cérébraux . Ces recherches portent sur 235 pesées de cerve
céder par séries comprenant d'un côté les vésaniques de l'autre les cérébraux . Il rappelle à cette occasion 428 SOCIÉTÉS SAVA
téressants mais mal interprétés; il y a des crises et des accidents cérébraux subits à apparence grave, mais d'un pronostic m
nce grave, mais d'un pronostic moins sérieux. Toutefois, ces crises cérébrales sont souvent un des modes de terminaison de tou
moelle ? C'est que des lésions patho- logiques ont annulé l'action cérébrale . Ces lésions cérébrales (ramollissements, hémor
lésions patho- logiques ont annulé l'action cérébrale. Ces lésions cérébrales (ramollissements, hémorragies, scléroses circon
des akinésies à prendre, chez les enfants, la forme hémiplégique ou cérébrale . Tous ces désordres sont la conséquence de lési
ême lésion fonctionnelle, qu'il s'agisse des centres médullaires ou cérébraux . Ce qui prédomine dans la folie des héréditaire
rd qu'il s'agit d'une dissociation de l'action des deux hémisphères cérébraux , et nous cherchons tout naturellement, par des
les entées sur de l'anémie que celles greffées sur de l'hype- rémie cérébrale ; il y a aussi des cas dans lesquels l'état psychi
é ce désordre ; car la dure-mère est demeurée intacte, la substance cérébrale avec ses méninges molles s'est imprimée dans le
es lésions attribuées à la paralysie générale. notamment l'atrophie cérébrale , l'inflammation des méninges et de la dure-mère
le in extenso. P. Kéraval. VII. Hypnotisme expérimental. La dualité cérébrale et l'indépen- dance fonctionnelle des deux hémi
té cérébrale et l'indépen- dance fonctionnelle des deux hémisphères cérébraux ; par le Dr E. Bérillon. Précédé d'une lettre-pr
ors- qu'il s'agit de l'indépendance fonctionnelle des hémisphères cérébraux , Wigan, poursuivant la démonstration de cette thé
tout particulièrement, sur les faits de dédoublement des opérations cérébrales dans les maladies mentales. Depuis lors, de nom
ravaux ont paru sur cette question de psychologie ou de physiologie cérébrale , des faits nombreux, recueillis avec toute la r
bler tous les documents relatifs à l'indépendance des hémisphères cérébraux en mettant, tour à tour, à contribution l'anatomi
ologie, l'embryogénie, l'observation psychologique et la pathologie cérébrale . En exécution de ce vaste plan, l'auteur consac
ts susceptibles d'être invoqués pour la démonstration de la dualité cérébrale . Dissemblance morphologique entre les deux hémi
t le dédoublement et l'indé- pendance fonctionnelle des hémisphères cérébraux , en même temps qu'ils désignent les centres sen
idement la doctrine de l'indépendance fonctionnelle des hémisphères cérébraux . Outre les résultats si intéressants fournis pa
tous les faits relatifs à cette importante question de physiologie cérébrale . P. CAMPER. VIII. De l'aliénation mentale chez
Cannabinone, 122. Cellules nerveuses (vacuoles dans les), 90. Cérébrale (Dualité), par Bérillon, 457. Cerveau (poids
té verbale, 95. Syphilis, 99; - (centrale secon- daire), 226 j - ( cérébrale ), 226. Système nerveux (nutrition du), A l'ét
74 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
robuste,, mais non exempt de prédisposition aux 5accidenJ,s^nprve^ cérébraux ,. tqmbe,.p sur, l'angle, d'une. table ? et se f
ions, intellectuelles Et le même -auteur, étudiant,,les : accidents cérébraux , du, mal de.,Bright, met en premièret;ligne4des
e.strptluool6'lsb sïi 3s sup buo'oq ulq 111, Lasèguer Des accidents cérébraux qui surviennent daas; le,coiers de la maladie d
: religions, arts primitifs, études du développement des fonctions cérébrales chez les enfants'et les ado- lescents, des et1c
7 y -<- y tr . . 1 ............. - .. i XIV. Les localisations cérébrales dans la région CAPSULO-STRIÉE : I°A PROPOS'D'UN
'tîiwi 't u' -it' ? dn Jk'tt ", 1 , LV.(SUR(,U1' C.%SJDEleSYPIIILIS cérébrale ; par Je'D'' Etllile BiT01'. io 11, Il (Arelt. c
bilité, la rachialgie syphilitique de Charcot, et par des accidents cérébraux moins constants, comme la céphalée, les paralys
t donc de savoir si X...a réellement par inter- valles des troubles cérébraux , de déterminer la nature de ceux-ci et de voir
es questions avaient été mises dans l'urne : Capsule interne, sinus cérébraux . Epreuve orale. La, question, tirée au, sort a
, Golgi lui-même3 a décrit les altérations des cellules de l'écorce cérébrale , qu'il a pu observer dans la rage expérimentale
uche on rencontre y. 3. Cellules pyramidales altérées dans l'écorce cérébrale d'un paralytique général et d'une mélancolique.
e cet élément si complexe dans sa structure, la cellule de l'écorce cérébrale . Les éléments anatomiques n'ont pas tant de faç
90 ' ANATOMIE PATHOLOGIQUE. signer à la destruction de la cellule cérébrale un processus que l'on puisse qualifier de spéci
s nouvelles, elle vient confirmer ce fait déjà connu que la cellule cérébrale est touchée par la maladie qui nous occupe ; ma
le et la sphère morale. Les malades ont le dégoût pour tout travail cérébral , ils éprouvent depuis une paresse intellectuell
s éprouvent depuis une paresse intellectuelle jusqu'à l'impotence cérébrale complète, et à l'impossiblité absolue de penser e
ue à un épuisement rapide, à une défaillance de l'impulsion motrice cérébrale , et un effort de la volonté peut le faire dispa
s jours il a suspendu toute sa correspon- dance. Il a une impotence cérébrale presque complète. Mélan- colie sans raison. Emo
les symptômes d'une neurasthénie très accusée, à savoir : impotence cérébrale , la malade ne peut pas faire une simple additio
es et douleurs spinales). P. K. X. Note SUR deux cas DE CHIRURGIE CÉRÉBRALE ; par le Dr CHIPAULT. Le premier cas est relat
vers le milieu de la ligne rolandique. L'exploration de la surface cérébrale sur une ouverture de 6 centimètres de diamètre,
MENTALE. 129 XII. Injections hypodermiques d'extraits DE substance cérébrale dans l'aliénation MENTALE; par RYAU (de Norfolk
nt la station assise en équilibre et un éveil relatif des fonctions cérébrales en six mois. A. Marie. VIII. Des indices PflY
des fonctions psychiques, est produite par l'atro- phie de l'écorce cérébrale . Elle imprime à la physionomie des carac- tères
des muscles peauciers de la face est sous la dépendance de l'écorce cérébrale . La parésie de ces muscles dans la démence prov
ractérisée anatomiquement par l'atrophie systéma- tisée de l'écorce cérébrale , et rnimiqvemelzt par l'affaiblissement ou la p
ilepsie syphi- litique ou mieux la forme épileptique de la syphilis cérébrale . Cette épilepsie présente les caractères suivan
e, car en produisant des altérations au niveau de certaines régions cérébrales elle peut provoquer le tableau clinique qui res
otamment son étude si pénétrante, si judicieuse du fonc- tionnement cérébral dans cette période intercalaire à la- veille et
ant en évidence l'une des modalités les plus curieuses du mécanisme cérébral , l'automatisme. C'est là un vrai trait de génie
mode de production des hallucinations hypnagogiques, l'automatisme cérébral , étaient la révélation de l'existence des centr
tumeur occipitale du volume d'une orange, contenant de la substance cérébrale comme le montra l'opération. Après la fermeture
nt d'liémorrlia"ie d'une des branches postérieures terminales de la cérébrale moyenne corres- pondant aux circonvolutions mar
ai 1894.) A. 111ARIE. " XXXIV. Chlorose ET aménorrhée avec troubles cérébraux , par CRAWFORD THOMSON. Observation d'une jeun
érieux. A l'autopsie, les lésions sont localisées dans l'hémisphère cérébral gauche. Elles consistent en une tumeur volumineus
bulbaires, les myélites systématiques ; enfin sur les localisations cérébrales . A l'étranger, comme en France, on a l'habitude
mourir, tuée par ses propres produits, si les opérations de voirie cérébrale sont entravées de quelque façon. Réunissez les no
bien que par ses symptômes à laquelle se rattachent les désordres cérébraux relevés chez les hystériques. ? Pour remplir ce
ommunauté d'origine : elles dérivent d'un même trouble du mécanisme cérébral qui parait être la caractéristique palhogënique
u (au moment de l'attaque) il absorbe à son profit toute l'activité cérébrale et sup- prime la conscience. Il n'en est pas de
n est de même pour l'alcoolisme chronique, à l'heure où les lésions cérébrales définitives ont compromis l'in- tégrité de l'or
ce, revint chez lui et comme il ne s'améliorait pas au point de vue cérébral , on me l'amena le 10 juillet. Il est hébété; on
nc pas au hasard. Il faut, pour le faire naître, une certaine forme cérébrale qui est presque toujours donnée par l'hérédité.
orsque DÉLIRES SYSTÉMATISÉS DANS LES PSYCHOSES. 281 sa résistance cérébrale commence à diminuer, sa personnalité exagérée r
faits, la prédisposition joue le rôle le plus important ; la lésion cérébrale n'a été que la cause détermi- nante du délire.
le chez le paralytique général dément, chez celui où tout mécanisme cérébral est rompu, où, en face de la lésion maxima, il
e dans notre population de 525 aliénés. Hémorrhagies et congestions cérébrales , 6 cas; bronchites asile DE BONNEVAL. 289 div
nce- vésanique et de démence sénile et organique, 20 ^hémorragie' cérébrale , 2; paralysie générale, 13; broncho-pneumonie, 3;
ie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. 315 apportés par la circulation cérébrale dans les cas d'hypertension vasculaire correspo
éressante série de six coupes vertico-transversales de l'hémisphère cérébral , l'auteur étudie l'importante région de la calo
ie consécutive aune dégénérescence secondaire prématurée par foyers cérébraux ; 3° même asymétrie accompagnée d'asymétrie de
R. XVII. Du RÔLE DU LIQUIDE CÊPHALO-RACHIDIhN DANS LA CIRCULATION cérébrale ; par le De .IOL7"ET. (Gaz. /teM. des se. méd. de
signes de Romberg et d'Argyll Robertson, etc., etc., aucun trouble cérébral . L'année suivantej'envoyai ce malade à Lamalou,
, et, à son arrivée, on remarqua qu'il présentait quelques troubles cérébraux survenus inopinément pendant le voyage : peut-ê
veloppèrent qui firent songer à la possibi-' lité d'une compression cérébrale par la dépression crânienne existante ; c'est a
rasthénies préparalytiques, prémonitoires de certaines affections cérébrales organiques, telles que la paralysie générale par
istologiques et de dessins représentant des altérations de cellules cérébrales , médullaires et du grand sympathique dans la pa
ions du système nerveux central (hémiplégie hystérique et d'origine cérébrale ). En outre, chez tous les hystériques, à une di
qui, cinq ans auparavant, avait présenté des accidents de syphilis cérébrale extrêmement graves. Elle avait conservé une hém
e qu'eux. M. DEVAY (de Lyon) lit un travail sur les localisations cérébrales des convulsions chez les animaux intoxiqués. Il
ement neufs pour l'acromégaJie, J'épilepsie, l'aphasie, la sclérose cérébrale , l'athélose double, la chorée chronique, la poren
us citerons particulièrement les chapitres : aphasies, localisation cérébrale , tabès, sclérose en plaques, paralysie générale
hysiologique, et particulièrement en ce qui concerne la physiologie cérébrale 2. La bibliothèque générale de l'Université ren
onférence crânienne augmenta de trois quarts de pouce, sans lésions cérébrales ni mentales appré- ciables. (British Oled. Jour
itique chez un jeune garçon de huit ans, causée par une hémorrhagie cérébrale ; hémiplégie droite avec contracture persistant
ogique de la moelle lombaire. P. K. ' LXV. Des formes de diplégie cérébrale héréditaire; par S. FREUD. (Neurolog. Centralbl
haos des névropa- thies du système moteur de l'enfance. La diplégie cérébrale est constituée, suivant lui, par : 1° l'atrophi
° chorée congénitale et héiniatliétose. Ce sont là des affec- tions cérébrales ; on y peut joindre les complexus moteurs sans d
ique et de la diminution de l'acuité centrale. . L'origine en est cérébrale . Ils apparaissent de concert avec d'autres symp
tendance à la démence à la fois primitive (de par l'affaiblissement cérébral préalable) et secon- daire (de par la psychose
7 dent. La démence ne se produit que lorsque de nouvelles lésions cérébrales interviennent (sénilité, athérome). Le délire s
raissent dans l'ordre indiqué pourvu qu'il y ait la demi-irritation cérébrale intermédiaire au sommeil et à la veille. Pathog
aire au sommeil et à la veille. Pathogénie : Excitation du faisceau cérébral moteur du triju- meau ; secousse du tenseur du
ne, sociétés de patronage pour les aliénés mis en liberté, syphilis cérébrale et démence paralytique, injections hypodermique
ne intéressante communication anatomo- pathologique sur les centres cérébraux d'Hitzig chez une femme amputée dès l'enfance.
isme'. Troubles de la personnalité. Diminution de la résis- tance cérébrale . . Troisième période : Période des grandeurs. M
est dans un état d'éréthisme tel qu'à chaque vibration de l'écorce cérébrale , aussi faible et localisée soit-elle, il peut e
ngt-deux ans. Les trois frères sont en excellente santé physique et cérébrale . Elle-même a toujours paru bien équilibrée, et
me, etc., etc. C'est que déjà l'intelligence fléchit, la résistance cérébrale diminue sous la double poussée de l'âge (athéro
xistence de lésions traumatiques ou spontanées dans les hémisphères cérébraux , dans la moelle ou dans les nerfs périphériques.
esoin de supposer un centre vaso- moteur rénal, situé dans l'écorce cérébrale . Donc, en pensant 1 Babinski. Polyurie hystériq
a grande quantité de docu- ments que nous possédons sur la syphilis cérébrale . Cette pénurie relative s'explique par des rais
ltiples. Outre leur fréquence moindre que celle des localisations cérébrales , les accidents spinaux sont beaucoup moins variés
breuses, jusqu'à l'emporter sur celles qui concernent la syphilis cérébrale actuellement mieux connue. Les examens microsco
lors, une arlérite médullaire syphilitique comme il y aune artérite cérébrale . En 1889, Gilbert et Lion réunissaient dans un
s |bien nets'. Dans les deux cas elle était associée à la méningite cérébrale de la base, et elle était compliquée de névrite
est caractérisée par des accidents cérébro-spinaux. Les phénomènes cérébraux sont alors généralement les premiers en date. C
typique. Il est à remarquer que c'est presque toujours la méningite cérébrale de la base qui inaugure cette série d'accidents
caractères de la phase prémonitoire et la coexistence des accidents cérébraux mentionnés plus haut. C. Myélite. Dans un assez
ir donné à la thérapeutique d'aussi beaux succès que les phénomènes cérébraux . Sans doute les complications mortelles sont ra
GIQUE, lésions méningées du côté de la base du cerveau, des nerfs cérébraux , du chiasma en particulier. B. La leptomyélite
ntes, elles entrent dans le cercle des préoccupations de l'activité cérébrale et en constituent l'aliment ordinaire, de sorte
it développement c'est une dislocation, une perversion du tra- vail cérébral qui engendre de toutes pièces.des conceptions fau
ude des cervaux d'em- bryons animaux, l'est moins pour la substance cérébrale humaine adulte. L'auteur propose l'emploi du bi
yanoses, les troubles vaso-trophiques et les troubles des fonctions cérébrales et respiratoires dans le myxoedème et les cas a
rses parties de l'encéphale. 5° Mais la compression d'un hémisphère cérébral enflamme le globe de l'oeil du côté opposé tout
chique de la lecture. Lors donc qu'en pareil cas ou trouve un foyer cérébral , c'est que ce foyer a agi à distance et troublé
foyer (paralysie générale avec athéromasie); 4° quand il y a foyer cérébral , la dyslexie en est l'effet à distance et non d
t l'effet à distance et non direct; 5° il n'y a pas de localisation cérébrale du centre de la lecture. Chez l'homme, il est i
termittentes, si bien que l'on pourrait presque croire à un trouble cérébral isolé, à une excitation du centre auditif. Fina
u, ce qui est peut-être la même chose, à un trouble de la nutrition cérébrale , à l'épuisement du cerveau, n'a rien de frappan
encore 'pu suivre les conquêtes de l'anatomie et de la physiologie cérébrales et de la psychologie. Or la bibliographie et le
procédé didactique contestable et malgré la fréquence des troubles cérébraux et des névrites, associés à l'alcoolisme, M. Ko
512 BIBLIOGRAPHIE. procher les névrites périphériques des troubles cérébraux qui les accompagnent, les précèdent, mais aussi
tence de lésions graves des cellules, des tubes et des vaisseaux cérébraux . Dans les cas où l'autopsie a pu être faite, on
fuses, en plaques, combinées ou compliquées. Les phénomènes d'ordre cérébral sont de deux sortes : les troubles mentaux et d
es mentaux et d'autres phénomènes d'ordinaire rattachés à la sphère cérébrale , les vomissements, les vertiges, le nystagmus,
troisième volume, nous trouvons 75 pages sur la chirurgie crazzio- cérébrale , rachidienne et des nerfs périphériques pendant l
r, 62. CÉI'lIALO-IiAC111D1E\,durùledu liyuide dans la circulation cérébrale , par Jolyet, 318. Cervelet," sur un cas de ky
Charcot, souscription , 147. Chirurgie, note sur deux cas de - cérébrale , par Ciiil)atilt, 1 ? 7. Ciiloralose, paralysie
e par la -, par Féré, 412. Chlorose et aménorrhée avec trou- bles cérébraux , par Tlomson, 208. Chorée, paralysie générale a
Stcherbach, 316 ; un cas d'hémiplégie,par Donath, 398. DIPLÉGIE cérébrale héréditaire, par Freud, 399. Dure-mère, sur u
syringomyétique, par Pitres et Sabrazès, 37. Localisations, les cérébrales dans la région capsulo-striée, par Pi- tres,
és dans la pro- vince du Rhin, par Finkelnbourg, 144. SUBSTANCE cérébrale , injections hy- podermiques de -, dans l'aliéna
5; de la mémngo- myélite -, par Lamy, 48. Syphilis, sur un cas de cérébrale , par Bitot, 41; troubles mentaux dans la -, p
75 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
e développement que l'on observe presque toujours dans l'hémiplégie cérébrale infantile ou dans la paralysie infantile, trou-
trale. ' Ce mot d'origine centrale doit-il sous-entendre une lésion cérébrale , soit diffuse, soit localisée ? Oui pour certai
e dans ces cas un trouble de fonctionne- ment de la substance grise cérébrale : à un premier slade d'irritation simple de cet
r qu'il y a, ou non, lésion anatomique de telles ou telles cellules cérébrales , à l'origine des spasmes dont la cause péri- ph
toute lésion périphérique, il faudra invoquer une origine centrale, cérébrale ; et ce sera d'ailleurs dans la majorité des ca
rissaud, Hallion et Meige(21), montre qu'une excitation de l'écorce cérébrale , au niveau de la zone psycho-motrice, peut non
S PROFESSIONNELLES 81 t lésion est strictement localisée à l'écorce cérébrale , et chez lesquels on voit survenir des troubles
s artistiques émanant d'individus atteints eux-mêmes de dérangement cérébral . Dans les oeuvres d'art que nous avons envisagé
en particulier dans le bulbe olfactif, le cervelet, les pédoncules cérébraux . Il existe également quelques foyers de ramolli
et Faure-Bentliea). A Exp. 2. Hémorrhagies minimes sous la pie-mère cérébrale . B - Exp. 4. (Dose de sel radifère presque doub
us considérables, sous la pie-mère, et dans l'intérieur de l'écorce cérébrale . C - E\p. 3. Moelle cervicale inférieure (au vo
us (1) a observé, avec Anfimow, dans le cerveau ou sous la pie-mère cérébrale d'épileptiques mortes en état de Mal, ou après de
her le faisceau sensitif respectif et le cordon moteur du pédoncule cérébral droit. Nous n'insistons pas tant sur la natur
1907 d'un ictus d'apparition brusque, proba- blement par hémorragie cérébrale , qui a déterminé la présence d'une hémiplé- gie
veuses qui commandent soit au rire soit au pleurer dans les lésions cérébrales sont certainement les mê- mes, et qu'il y a tou
Ruckenmark, 2 Aull., 1899. (2) Du pleurer impulsif dans les lésions cérébrales , Revue russe de Psychiatrie, de Neurologie et P
t bien sous la dé- pendance d'une lésion capsulaire (par hémorragie cérébrale ) comme le veut BRISSAUD. Le second de nos mal
lgré tout qu'une valeur très minime, car la découverte du mécanisme cérébral , si elle doit se produire un jour, permettrait
le soleil parce qu'elle est logique et imposée par la constitution cérébrale . - Mais comment s'y prendre, à quelles méthodes
n'a permis jusque maintenant de déchiffrer l'imbroglio de la fonction cérébrale . C'est qu'apparemment elles ne peuvent aboutir
a fonction intellectuelle par l'analyse des détails de la structure cérébrale exclusivement, mais il y a lieu, au moins à tit
de déductions logiques à fondement positif. Sans voir le mécanisme cérébral , nous devons arriver, avec le seul secours de nos
nce, ni faire des recherches. Mon idée de reconstituer le mécanisme cérébral par le raisonnement n'aura plus rien d'étrange
peut-être ne serait-il pas impossible de reconstituer le mécanisme cérébral sur une base analogue. L'homme est le roi de
ariations correspondantes dans la qualité ou la quantité de matière cérébrale . Cette proposition étant, je pense, admise sans c
de la conscience et l'augmentation sensible du poids de la matière cérébrale sem- ble être concomitante. Laquelle de ces man
corps humain fonctionnent en dehors de la conscience. Le mécanisme cérébral ne fait donc pas exception à la règle générale. T
i n'a réussi d'ailleurs qu'à en élucider quelques-uns. Le mécanisme cérébral n'est donc pas le seul qui reste à découvrir, m
tages. L'inférieur sera inconscient et contiendra tout le mécanisme cérébral dont le travail est insensible, puisque son exi
me peut-il émettre la prétention justifiée d'agir sur son mécanisme cérébral dont il ignore tout jusqu'à l'existence ! Comme
distinguer sous le microscope une cellule médullaire d'une cellule cérébrale ,il il devient logique, même à priori,de suppo-
rincipalement les excitations extérieures qui agissent sur la matière cérébrale soit immédiatement soit médiatement par l'inter
ité sensitive (entrée) et l'extrémité motrice (sortie) du mécanisme cérébral . Enfin, l'excitation extérieure ne manque jamai
ur une base d'une valeur indiscutable la nécessité d'un méca- nisme cérébral et ne laisse place à aucune conception psychologi
tion. ' . ESSAI SUR LA PHYSIOLOGIE DE L'ESPRIT 181 L'automatisme cérébral apparaît à chaque instant dans la manifestation d
à l'extérieur. Les excitations externes se peignent dans la matière cérébrale . Les choses doivent, du reste, se passer ainsi, c
d'injustice, ce parti-pris est une manifestation de l'automa- tisme cérébral qui prend sa source dans les organisations intéri
nt suivi pas à pas mes déductions, la reconstitution du méca- nisme cérébral , pour autant qu'elle ait quelque valeur, paraîtra
que plus tard et par fragments. Je me représente donc la structure cérébrale comme un lacis inextricable d'arc réflexes nais
irrésistibilité, une fatalité d'autant plus grandes que la substance cérébrale se rapproche davantage de son état primitif che
vient capable de réflexion et, dans la reconstitution du mécanisme cérébral , il y a lieu de tenir compte de ce perfectionne
raisonnement comme méthode possible de reconstitution du mécanisme cérébral . Pour faire sortir les affec- tions mentales et
u, chez les sujets atteints de crampes professionnelles. Le travail cérébral exagéré favorise l'apparition ou la recrudescence
peut également s'attribuer à la fixation du poison sur des cellules cérébrales physiologiquement épuisées par un travail trop
ion des centres ou des conducteurs nerveux : hémi- plégie d'origine cérébrale par exemple, section traumatique du nerf médian
s Onimus ; hommes et femmes en sont égalements atteints. Le travail cérébral intensif et le surmenage local que nécessite la m
es. En réa- lité, quel que soit le mode de transmission, le travail cérébral garde sa même intensité avec les deux sortes d'
res que doivent souvent accomplir les bras, et surtout du surmenage cérébral qu'impose la conduite d'une automobile pendant t
donner une maladie non seulement par la modification du substratum cérébral mais encore peut-être plus souvent par suite d'
crit les atrophies et les différentes maladies de la peau d'origine cérébrale . Le docteur Majevsky examinant une maladie d'or
diante ayant six doigs. La peur peut blanchir les cheveux. L'écorce cérébrale peut ainsi influencer la nutrition de la structur
onnés. Par exemple, la contracture musculaire peut être d'ori- gine cérébrale et d'origine médullaire,maisdans l'un et l'autre
pareillement aux phénomènes observés dans les hémiplégies d'origine cérébrale où les symptômes morbides apparaissent, quoique
ence apparente de lésion cardiaque, on fait le diagnostic d'embolie cérébrale . 21 janvier. Les vomissements ont complètement
s ; d'autre part il permettra aux muscles surmenés, et aux cellules cérébrales excitées ou épuisées, de reprendre leur tonicit
articipation active dans l'exécution des actes commandés : l'écorce cérébrale du sujet doit intervenir à tout instant. La disci
ROLOGIE DE PARIS (SÉANCE DU 17 JUILLET 1909) TROIS CAS DE TUMEURS CÉRÉBRALES , PAK E. BOINET, Professeur de clinique médi
Médecin des hôpitaux de Marseille. Les deux premiers cas de tumeurs cérébrales sont secondaires, l'un à un cancer de l'estomac
mple de volumineux gliome pri- mitif comprimant les deux pédoncules cérébraux et les bandelettes optiques, développé au nivea
daire au niveau des centres corticaux moteurs des circon- volutions cérébrales gauches. , Eilepsie jzclaonzienne. Le 12 octobr
runâtres. Des taches analogues existent sur le TROIS CAS DE TUMEURS CÉRÉBRALES 335 gland. Ces signes sont évidemment l'indice
n- des centres nerveux. Examen microscopique. Ce noyau métaslatique cérébral est nettement constitué par un épithélioma cyli
UVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXII. l'1. XXXIX TUMEUR CÉRÉBRALE Obs. Il TROIS CAS DE TUMEU11S CÉRÉBRALES 337
8°3. Cette faible hy- perthermie élimine le diagnostic d'hémorragie cérébrale . Le 24 janvier 1908, le malade présente tous le
tiques de l'aphasie que l'on explique par l'hypothèse d'une embolie cérébrale , d'origine anévrysmatique. Ce diagnostic paraissa
ecine. Séance du 30 mars 1909, p. 411 il 421). TROIS CAS DE TUMEURS CÉRÉBRALES 339 est intermittent. Malgré la difficulté des
de l'état général, le malade accuse de l'hémianopsie. L'obtusion cérébrale augmente, les battements du coeur sont mous et pr
ux entrecoupé de crises d'épilepsie jacksonnienne. Autopsie. Tumeur cérébrale . Une tumeur cancéreuse secondaire, mesurant 4 c
rne du prolongement occipital du ventricule latéral de l'hémisphère cérébral droit. La base de cette tumeur repose sur le plan
lle affleure la portion posté- rieure du corps calleux. La tumeur cérébrale est entourée d'une enveloppe fibreuse, épaisse, s
ancer primitif du rein qui en a été le point de départ. La tumeur cérébrale est constituée par un épithélioma entouré d'une c
ndaires du sternum et des côtes où l'on trouve comme dans la tumeur cérébrale des vaisseaux très dilatés, d'abondantes hé- mo
iée comprimant le chiasma, les bandelettes optiques, le pé- doncule cérébral gauche et le tiers supérieur et latéral gauche de
iers supérieur et latéral gauche de la pro- tubérance, le pédoncule cérébral droit dans ses trois quarts supérieurs, les ner
hissant les deux ventricules latéraux et leurs parois, la substance cérébrale de l'hémisphère surtout dans la région de l'ins
UVELLE Iconographie DE la Salpêtrière T. XXII. Pl. XXXVIII TUMEUR CÉRÉBRALE Obs. III (E. Boinet). TROIS CAS DE TUMEURS
I TUMEUR CÉRÉBRALE Obs. III (E. Boinet). TROIS CAS DE TUMEURS CÉRÉBRALES 341 1 Conception d'un enfant de six mois mort e
1905, on constate une paralysie du type facial inférieur, d'origine cérébrale , avec hé- miplégie droite et paralysie des nerf
irement de la bouche ; elle ne se durcit pas ' TROIS CAS DE TUMEURS CÉRÉBRALES 343 sous l'influence d'une contraction ; elle r
isme interne plus prononcé de l'oeil droit. Description du gliome cérébral . - A l'examen de l'encéphale par sa face inféri
eau du chiasma et des bandelettes optiques une vo- lumineuse tumeur cérébrale , de nature,gliomateuse, développée dans la ré-
périeur de la pro- tubérance, recouvrant et comprimant le pédoncule cérébral gauche sur toute son étendue et le pédoncule cé
le pédoncule cérébral gauche sur toute son étendue et le pédoncule cérébral droit dans ses trois quarts supérieurs. Cette c
ses trois quarts supérieurs. Cette compression des deux pédoncules cérébraux explique la plupart des symptômes observés pend
ns son ensemble une forme semi-circulaire, englobant les pédoncules cérébraux et surplombant le bord supérieur de la protubér
se à découvert six millimètres de la partie inférieure du pédoncule cérébral droit sur lequel on voit passer l'artère cérébral
eure du pédoncule cérébral droit sur lequel on voit passer l'artère cérébrale pos- térieure. Cette tumeur située à la base
icules latéraux et leurs parois comprime donc : les deux pédoncules cérébraux , la face latérale gauche de la protubérance jus
se soudant à la couche op- tique et se continuant avec la substance cérébrale de l'hémisphère comme dans notre cas. (1) Lec
muscles, la présence des troubles sphinctériens, de l'obnubilation cérébrale , l'existence de vives douleurs, tous symptômes
USIIALTER et Colin (3) l'ont signalée et dessinée dans les cellules cérébrales d'un hémisphère microgyrique. SOLOVTZOFF (4) av
abétiques, par MARINEsco et MERLE dans les foyers de ramollissement cérébral , et par bien d'autres encore dans des circonstanc
pas vu de cas avec symptômes indiquant net- tement la localisation cérébrale de la méningite, sauf les troubles passa- gers
issements. Pour les autres signes incontestables d'une localisation cérébrale de la méningite (par exemple symptômes pupillai
ue celle infiltra- tion, si elle existe également dans les méninges cérébrales , y est beaucoup moins prononcée (Bickel. Wickma
signes évidents d'une localisation de la méningite et aux méninges cérébrales et aux méninges spinales ; dans une épidémie de
sparu, et il n'y a maintenant aucun symptôme net d'une localisation cérébrale de la ménin- gite. La raideur de la nuque est n
ervé chez des enfants des cas avec le tableau clinique d'une tumeur cérébrale causée par une affection tuberculeuse où les symp
les mais en même temps, de façon très distincte, aussi aux méninges cérébrales (casXXVIl : les pupilles sans réaction pour la
vont porté sur les circonvolutions rolandiques,sur les pédoncu- les cérébraux au niveau du noyau de la lue paire, sur des coupe
mpell a comparée à celle qu'on observe dans certains cas de tumeurs cérébrales ; State a parlé aussi de lésions tabétiformes d
e petits amas libres. La plupart des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale montrent des différents signes de dégénérescenc
réquence ; est-ce qu'il y a un rapport entre les cas d'hé- morragie cérébrale et ceux d'angine de poitrine vraie ? D'autre pa
vait seulement pendant quelques heures montré une espèce de torpeur cérébrale et uriné dans le lit. Quand la respiration s'ar-
ards, sans altérations macroscopiques appréciables, et les méninges cérébrales paraissent saines. Les vaisseaux de la base de
d'athérome. Il existe en outre une atrophie prononcée du pédoncule cérébral gauche, qui à sa sortie de la protubérance appa
le chiasma paraissent intacts macroscopiquement. Les hémisphères cérébraux sont normaux. Les viscères ne présentent rien d
Foyer d'origine. Nous avons vu que macros- copiquement le pédoncule cérébral gauche est atrophié ainsi que la III' paire du
l reconnais- sait pour cause un petit foyer situé dans le pédoncule cérébral gauche, avec à son niveau destruction complète
Il n'y a donc aucune relation directe entre la lésion du pédoncule cérébral gauche et l'atrophie olivo-rubro-cérébelleuse.
lésion restait toutefois obscure : les principaux signes de tumeur cérébrale (papilles de stase, vomissements, céphalée) faisa
ble. La distension du cerveau est tellement grande que la substance cérébrale pénètre dans tous les orifices des os. Après qu
'on vient de vider. Les méninges ne sont pas épaisses. La substance cérébrale sur une section transversale parait très réduite
atation considérable des ventricules avec amincissement de l'écorce cérébrale . Nous n'avons constaté ni inflammation des plexus
i un fait bien connu qui aide même à préciser le siège d'une tumeur cérébrale . Ainsi Pechkranz (1) a publié le cas d'un jeune
nlribulo allô studio analomo-patolo,gico délie cisli dell'. ipofisi cérébrale e dell' infantilisme. Il Policlinico, vol. XIII,
de l'hypophyse les troubles géni- taux, cardans deux cas de tumeurs cérébrales , chez lesquels la glande pi- tuitaire n'était p
e (1) nuano MUSLLER, Ueber die Reeinflussung der Menstruation durch cérébrale Her- derhrankungen. Neurologisches Centralblatt
à savoir que l'adi- pose qu'on observe dans certains cas de tumeurs cérébrales , ne dépen- drait pas delà localisation de ceux-
es, même fatals, après les ponctions faites dans des cas de tumeurs cérébrales . En effet Lapersonne et; Cerise ont communiqué
e tels cas. L'un de nous (M. Marinesco) a vu, dans un cas de tumeur cérébrale , sur- venir la mort 30 heures après une ponctio
ves du type spinal aussi en des individus frappés par une paralysie cérébrale infantile comme dans le cas décrit par Bisping
ent aux méninges spinales et que des symptômes nets d'une méningite cérébrale manquent"te"plus souvent. Pour notre part, nous
encéphalite con- sistent en grande partie en symptômes de méningite cérébrale aiguë avec troubles marqués de la conscience, c
G fait connaître chez l'adulte d'analogies nettes avec l'hémiplégie cérébrale infantile à début brusque sous l'aspect d'une i
inion, il invoque la présence dans la poliomyélite aiguë de lésions cérébrales constatées par l'examen anatomique. Mais si nous
anatomique. Mais si nous laissons de côté les altérations du tronc cérébral et ne regardons que les lésions des hémisphères
Ë 663 part, celles qu'on constate en examinant des cas d'hémiplégie cérébrale infantile, qu'est-ce que la comparaison nous dé
ommun à la plupart des cas ou à tous les cas, c'est que ces lésions cérébrales s'étendent à tout un hémisphère et qu'elles son
an a trouvé deux fois des lésions anatomiques des circonvo- lutions cérébrales consistant en quelques petits foyers d'infiltrati
croscope. Cadwalader a, dans un cas, constaté aux circonvolu- tions cérébrales seulement une petite infiltration cellulaire de l
h a trouvé une dilatation de quelques vaisseaux des circonvolutions cérébrales , mais seulement une infiltration cellulaire lég
raison entre les résultats obtenus à l'examen des circonvolu- tions cérébrales dans les cas ordinaires de poliomyélite et dans l
ans les cas ordinaires de poliomyélite et dans les cas d'hémiplégie cérébrale infantile nous montre combien la différence est
oliomyélite, n'y ont trouvé aucune alté- ration des circonvolutions cérébrales , mais des altérations du bulbe, ce qui démontre
nous pouvons conclure que les lésions légères des cir- convolutions cérébrales trouvées plusieurs fois dans des cas de poliomyél
es ; en tout cas, cette observation ne peut démontrer qu'une lésion cérébrale tout à fait légère. Rossi a cité un cas de Webe
ait « possible » qu'il eût existé une paralysie due à une affection cérébrale (qui avait d'ailleurs disparu). Cependant, la d
ra- ordinaire de l'infection, ou de la poliomyélite aux hémisphères cérébraux , ou de la poliencéphalite à la moelle épinière.
itish Med. Journ., 1891, t. II, p. 1253. 61. Marie (P.). Hémiplégie cérébrale infantile el maladies infectieuses, Progrès s m
892. 63. - Sur la coïncidence, chez un même malade de la paraplégie cérébrale infantile et de la paralysie spinale infantile,
86. Rossi (1.). - Coïncidence chez un même malade de la paraplégie cérébrale infan- tile el de la paralysie spinale infantil
. Ueber die acule Enceplialilis der Kieilei- (Poliencephalitis acula, cérébrale Kin- derllihmung), Jahrbuch sur Kinderheilk. Bd
r de ses préjugés. Les concep- tions qui imprègnent notre substance cérébrale et qui y ont été enchâs- sées par l'éducation n
argu- ments, par l'expérimentation accidentelle même, de la matière cérébrale en partie héritée, en partie organisée après la
nécessités, aux mêmes lois. Or, à chaque accroissement de la masse cérébrale correspondent un développement de l'intelligenc
e et aliénée (1 pl.), par RAMADIJ : ;11 et Marchand, 275. Tumeurs cérébrales , 3 cas (2 pl.). par Boinet, 333. Ulcérations
; leur psvchologie (3 pl.), 5SS. . a BOINER. Trois cas de tumeurs cérébrales (2 pl.), 333. BOUDON et L-lrG ? EL-LAV.1STI\E
treuse et ovariotomisée (RAMADIEN et DIAnC11.1ND), XXXV1. Tumeurs cérébrales (E. BOJ : OET). XXXVIII et XXXIX. Ulcérations
76 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ction a été nulle. Chez An..., si l'on fait abstraction de la léion cérébrale qui a déterminé l'hémiplégie de l'un des ascend
les trois autres observations, nous voyons la paralysie par lésion* cérébrale figurer constamment au nombre des antécédents hér
ystérique de l'hémiplégie nous renseigne sur la nature des troubles cérébraux qui leur donnèrent origine. Il est évident que
côté gauche. Comme on le voit, la ressemblance avec l'apo- plexie cérébrale était frappante, d'autant plus que ce tableau s
Archives, L. XXV. 4 50 PATHOLOGIE NERVEUSE. posent à l'hémorragie cérébrale . La preuve que ce que nous venons de dire n'est
yphilis, avec des artères saines, absent de tout symptôme de tumeur cérébrale ; de plus, le développement de l'hémiplégie avai
grave lésion cranienne n'avait pas produit de dommages sur l'écorce cérébrale subjacente. Ces examens répétés- peuvent bien a
s, quelle lésion peut expliquer le mal comitial ? Des localisations cérébrales ne peuvent expliquer des symptômes qui nécessit
gieuse et laïque ne pouvant être dédoublée, c'est la même opération cérébrale produisant des effets identiques. La science qu
E DE l'épilepsie jacksonienne ET DB l'atrophie musculaire D'ORIGINE cérébrale ; par L. KR.1MER. (Jahrbùch. f. Psychiat., X, 1
nlohr). Autopsie. Leptoméningite chronique, atrophie et hypérémie cérébrale . Pneumonie lobulaire. Ostéome de la dure-mère ave
éterminé, surtout du côté gauche, une attrition direcle de l'écorce cérébrale ayant eu, tout d'abord, pour résultat, des phén
epsie vraie. Enfin, insensiblement, s'est produite une accoutumance cérébrale , l'encéphale n'a plus réagi aussi vivement, et
ions peu marquées; la substance grise est pâle, décolorée, la pulpe cérébrale ramollie, lésions d'une paralysie générale arri-
s des repas. Dans les inter- valles, il n'existait aucuns symptômes cérébraux . L'examen démon- tra seulement qu'il y avait un
nerveuses sont prédominantes, sinon exclusives. L'origine nerveuse, cérébrale , de ci s morts subites, étant admise, répondent
ême mécanisme palhogé- nique ? Sont-elles le résultat de congestion cérébrale apoplecti- forme, ou d'aploplexie nerveuse, cet
de nature épileptoïde ? sont-elles la résultante d'une hémorrhagie cérébrale foudroyante consécutives à des lésions vasculaire
aux membres paralysés. On éduque, ou plutôt on rééduque les centres cérébraux moteurs lésés, ou du moins on réincite les fibr
, pendant l'attaque d'épilepsie, la pression monte dans les artères cérébrales , tandis qu'elle diminue dans les extrémités cen
DAIRE DI : S FIBRES OPTIQUES ET DU FAISCEAU LATÉRAL DU PÉDONCULE cérébral ; par H. Kreuper. (Allg. Zeitsch. f. Psychiat , XL
(Allg. Zeitsch. f. Psychiat , XLVIII, 1,2.) Cas de ramollissement cérébral ischérnique portant quatre ans avant la mort su
s- ceau anormal qui gagne le segment latéral du pied du pédoncule cérébral et un autre faisceau, plus gros, qui va directeme
eure). La dégénérescence du faisceau latéral du pied du pédon- cule cérébral se rattache à la région pariélo-temporale, maison
XXIII, i.) Chez l'homme, il est de règle, dans les cas de lésions cérébrales Il'-) REVUE. D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHO
XVII. DE la dégénérescence secondaire dans la paralysie infantile cérébrale ; par GIERLICIi. (Archiv f. Psychiat., XXIII, 1.)
jours consécutifs. Il ne se produit ultérieurement qu'un prolapsus cérébral passager; réunion par première intention sans f
ère est contre-indiquée. , M. VORSTER. Sur un cas d'héinianesthésie cérébrale . - Il s'agit d'un homme de quarante-neuf ans qu
d'autres régions craniennes. Chez les malades atteints d'affections cérébrales chroniques, la sensibilité des sutures est plus
ésentant de commerce. M. II. était, dirent-ils, atteint de troubles cérébraux . Ils s'enga- geaient à payer le temps perdu par
a besoin de marcher avec son cerveau, avec attention, par un effort cérébral , au lieu de marcher, comme quelqu'un qui lit, a
ontré avec le carton. Mais ils ont besoin de toute leur atten- tion cérébrale pour diriger leur marche ; la moelle épinière,
anxiété, d'état moral, tout cela n'indique-t-il pas cette sensation cérébrale qui consti- tue pour nous le vertige quand elle
ébut de l'artério-sclérose et des affections cardiaques, rénales et cérébrales de nature scléreuse, et de même à la période d'
la période d'hypertension, au moment de l'asystolie et de l'anémie cérébrale . Il est à remarquer que ces troubles vertigineu
ous nos yeux un certain nombre de cas de surdité dues à des lésions cérébrales ou intra- crâniennes. Ils ont pour la plupart u
Fig. 20. 228 8 recueil de faits. IDIOTIE CONGÉNITALE; ATROPHIE CÉRÉBRALE ; TICS NOMBREUX; Par BOURNEVILLE et NOIR. So
R. Sommaire. Père, céphalalgies, coléreux, rhumatismes, accidents cérébraux , alcoolique. Grand-père paternel, calculeux. More
ul maternel, diabétique ( ? ). Oncle maternel, mort de conges- tion cérébrale . - Cousin germain, mort de convulsions. Soell1',
cidents articulaires avec fièvre qui s'accompagnèrent de phénomènes cérébraux graves (délire, perte de la connaissance durant
ssi migraineuse. 3 frères dont un mort à treize ans de « congestion cérébrale accompagnée de convulsions ». Cette maladie aur
aire l'autopsie, de poser le diagnostic à' arrêt de développement cérébral . Cette atrophie, d'origine congénitale, doit même
tes. P. KERAvAI,. XXIX. Communication D'UN cas DE POLYURIE CHEZ UNE cérébrale ; par WIEDEfEISTER. (Neurolog. Centralbl., 1892.
g. Zeitsch. f. Psychiat., XLVII, 5.) L'étude de toutes les maladies cérébrales envisagées à ce point de vue, montre, d'après l
scillations considérables dues à des modi- fications de la pression cérébrale , mais la déchéance pondérable, rapide, se relèv
UNE forme grave spéciale d'épiphénomènes consécutifs A la COMMOTION CÉRÉBRALE , ET DU COMPLEXUS VASOMOTEUR QUI GÉNÉRALE- MENT
l y a trois grands groupes d'accidents consécutifs au trauma- tisme cérébral , qui ne sont pas invariablement les mêmes : 1° Un
le à la scissure de Romande. Sa présence avait détruit la substance cérébrale formant une cavité irrégulière de 55 millimètre
début de l'affection. Autopsie. Léger oedème de la pie-mère. Anémie cérébrale . Vacuolisation des cellules nerveuses du noyau
se des basilaires, des artères spinales sociétés savantes. 27S et cérébrales moyenne et antérieures des deux côtés. Un ané-
friabilité dans les interventions ultérieures. M. EnB. - Une tumeur cérébrale enlevée par deux fois avec succès . Il s'agit d
, et de la titubation en marchant. Aucune autre espèce de symptômes cérébraux . Voici les lésions histolo- giques : 1° Dans le
résultante intellectuelle pathologique du travail d'élucubration cérébrale des sensations. Il est évident qu'il y avait par
rynx, du pharynx, ainsi que les organes des sens. Pas d'acci- dents cérébraux . L'autopsie d'un des sujets a jusqu'ici démontré
d'une affection chronique du cerveau, fait partie de la pathologie cérébrale . Elle emprunte ses particularités spéciales à c
n représente la vivisection à telle ou telle phase du développement cérébral , à celle de la craniologie, car le système osse
de coupes transverscs et per- pendiculaires à travers un hémisphère cérébral grossi deux à trois fois. On les trouvera dans
tion (ou malformation) crânienne résulte du manque de développement cérébral . Il n'est pas de microcéphalie qui dépende, à l
ment du cer- veau, mais si elle ne peut se développer, l'hémisphère cérébral ne le peut non plus, parce qu'il est renfermé d
e que l'activité du système osseux l'emporte sur celle du système cérébral ? S'il nous était possible de connaître que le ce
êt du développement, ou bien le défaut de développement des organes cérébraux , l'opération sera un insuccès. Si la nutrition
qu'une exagération du tonus musculaire. Quant aux preuves du siège cérébral de quelques formes de la contracture hystérique,
s syphilitiques du sys- tème nerveux, gommes, méningites chroniques cérébrales locali- sées, artérites et leurs conséquences,
econnaitre que cette maladie csttaconséqucnced'un état d'épuisement cérébral qui amène un état de faiblesse irritable du sys
classe à part. Il lui faut pour se développer un état d'invalidité cérébrale , résultant d'un épuisement fonctionnel, et une
et une anomalie plus ou moins grave du caractère. Celte invalidité cérébrale augmente par le fait des facteurs d'apaisement
iel peut se développer à la suite d'intoxications sans invali- dité cérébrale préexistante ne semble pas prouvée à l'auteur. Si
n limitée, ou un rapport, de causa- lité, action sur toute l'écorce cérébrale d'une poliencéphalite de la première enfance. Q
n état analogue à un commencement de convalescence. 5° Les troubles cérébraux d'ordre purement psychique n'ont été aucunement
t atta- ché à étudier l'état des fibres d'associalion dans l'écorce cérébrale des paralytiques généraux, et au cours de son t
schlolf, les découvertes de Heitzig et Fritsch (les crises internes cérébrales ), Morel (la dégénérescence), Fechner (la psychoph
ant avec lésions por encéphaliques symétriques dans les hémisphères cérébraux . Sera publié in extenso. M. f3orur;. Expérime
79); La médecine men- tale à travers les siècles, 1879 ; - Ischémie cérébrale fonctionnelle (Encéphale. 25 mars 1881) ; Impul
uelles (Ibid.); - Phtisie et folie (Ibid., 25 juin 1881); - Torpeur cérébrale (Ibid., 25 septembre 1881); La stigmatisée de S
linique des maladies mentales; Erythème symptomatique des tu- meurs cérébrales (Encéphale, 1881); - Mal perforant du pied dans
Paris, 1893. Jouvet et Ciel HiaTa (G.). La vue plastique. Fonction cérébrale . Vol. i n-8° de 119 p. -avec 34 planches hors t
üi- Nervenheilkunde und Psychiatrie. Rosekthal. (E.). Les diplégies cérébrales de l'enfance. Vol. in-8° de 160 pages. Prix 4 f
« L'hystérie, disait Brachet, est une né- vrose du système nerveux cérébral , qui se manifeste plus ou moins brusquement par
eu changé de point de vue et on a cherché si parmi les phé- nomènes cérébraux , psychiques, que l'on avait observés depuis lon
tie du liquide ne doit être suivi que d'une expansion de la matière cérébrale telle que l'afflux sanguin se faisant librement,
n des idées, d'étour- dissements et de fatigue; enfin les symptômes cérébraux ou moteurs plus ou moins sérieux qui peuvent se
u mouvement qui produi- sent l'asymétrie et les états pathologiques cérébraux qui, dans cer- tains cas, leur correspondent, o
- niaque, la forme hystérique. R. M.-C. L1YYI\'. UN cas DE tumeur cérébrale ; par James RORIE. (The Journal of Mental Scienc
-mère adhérente aux os du crâne. M. Roller trouva aussi des régions cérébrales atrophiées, c'est-à-dire des circonvolutions at
as il constatait des anomalies des sillons et des circon- volutions cérébrales . Le mémoire sera publié in extenso. A ce propos
at., XLIX, 3.) . P. KERAVAL. BIBLIOGRAPHIE. XIII. Les diplégies cérébrales de l'enfance; par le Dr Rosenthal de Vienne (Au
DES GEHIRNS. Contributions cliniques et anatomiques à la pathologie cérébrale ) ; par von S.-E. HENSCHEN. (Upsala, 1892. Deuxi
rente avec autopsie) pour l'élucidation des questions de pathologie cérébrale les plus discutés, surtout celle des localisati
rre, 404 ; in- version sexuelle, par Chevalier, 405 ; - diplégies cérébrales de l'enfance, par Rosenthal, 479; contributio
al, 479; contributions cliniques et anato- miques à la pathologie cérébrale , par Henschen, 480. 0 Biliaires, calculs chez
63. Collapsus, délire du -, par Aschaf- fenburg, 282. Commotion cérébrale , parFriedmann, 262. Confusion mentale primiti
OPlIIE faciale expérimentale, par Girard, 261. HÉ)11,%,NESTIIISIE cérébrale , par Vors- tel, 126. 111;'1 h1\OTOPU : de la
lIochwarth 1113; dégé- nerescence secondaire dans la`- infantile cérébrale , par Gierlich, 113; - hystériques par ceinte,
par Gowers, 141. Polynévrite, par Gilbert, 284. POLIURIE chez une cérébrale , par Wiedemeister, 258. Porencéphalie du lobe
corps avec un certain nombre de , par Stern, 261. Ramollissement cérébral , inflamma- tion de la névroglie dans le, par
Wagner, 451. Trijumeau, racines du , par de Gudden, 111. Tumeur cérébrale , par Erb, 275 ; Rorie, 463. Urines, chez les
77 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
incriminé, n'agissent directe- ment sur la production des troubles cérébraux que dans les cas aigus (ivresse délirante). M.
premier lieu les psychoses organiques (paralysie générale, tumeurs cérébrales , artério-sclérose, etc.), à l'aide de démonstra
ser, mesurer et reproduire les diverses manifestations des troubles cérébraux , mais il en a montré les utiles résultats au po
rait plu- sieurs fois par semaine, violente, morte d'une congestion cérébrale avec aphasie.Gr.-père maternel, pas de renseign
e ducerveau, celle de la grand'mère, alcoolique, par une congestion cérébrale , des convulsions chez plusieurs cousins. II.
erçue (Quinke); elle peut se borner à des symptômes de neurasthénie cérébrale (Quinke), elle peut aussi simuler la paralysie
ydrocéphalie interne, et de la destruction des cellules de l'écorce cérébrale qui va de pair avec celle des fibres du corps c
'insiste pas, et se borne à poser la question suggérée par cet état cérébral , et par l'état mental du malade - de savoir s'i
u l'autre des deux écoles. R. de MUSGRAVE-CLAY. XIV. Localisation cérébrale et fonctionnement du cerveau ; par L. HARR150N-
suivantes : 1° Les aires motrice et sensorielle connues de l'écorce cérébrale ne sont pas nettement différentiables l'une de
plus bas qu'elles; 11° Les fonctions sensitivo-motrices de l'écorce cérébrale sont de nature psychique, mais elles agissent s
d'irritabilité réflexe. H. DEMusGRAVE-CLAY. XV. Un cas de tumeur cérébrale , par le Dr CUYLITZ. (l3zcll. de la Soc. de Belg
, et à l'autopsie de laquelle on trouva au niveau de l'hémi- sphère cérébral gauche dans la région rolandique, une volumineuse
ujet. Cettemalade asuccombé en présentant des signes nets de tumeur cérébrale (céphalée, vomis- sements, cécité), etc. A l'
en 1858, soit trente-huit ans après. Maladie de Littlesans lésions cérébrales . M. Déjerine, a pratiqué dans sa carrière trois
ints du syndrome de Little. Un de ces sujets présentait les lésions cérébrales classiques. Un autre avait un encéphale complè-
ait donc des cas de la maladie dite de Little où la dou- ble lésion cérébrale ferait défaut. Le diagnostic différentiel (d'inté
ticipation active dans l'exécution des actes comman- dés : l'écorce cérébrale du sujet doit intervenir à tout instant. La dis
ccidents polymorphes qu'elle occa- sionne, déterminer des accidents cérébraux . Mais ce qu'il y a de fort intéressant c'est l'
ie générale peut-elle être distinguée anatomiquement de la syphilis cérébrale diffuse ? (Thèse). in-8° de Si pages. Lausanne.
légère sclérose névrogliques des régions superficielles de l'écoice cérébrale . Méningite. -Cette méningite n'est nulle part t
utres que les pyramidales. Ainsi, toutes les rote- ches de l'écorce cérébrale coiitioni2ent moins de cellules qu'à l'état nor
rouvent, encore assez nombreuses, dans toutes les zones de l'écorce cérébrale , depuis la zone d'Ext)er Itisqu'a.1 centre oval
légère sclérose des régions tout-à-fait superficielles de l'écorce cérébrale , la névroglie ne parait pas avoir pris une part
grisâtre, le cltrnsnzu présente le même aspect. Les circonvolutions cérébrales qui ne semblent pas très atrophiées sont le siè
senté de l'albuminurie intermittente. Jamais il n'eut de troubles cérébraux . Soigné pour ses accidents cardiaques, il était a
et celles-ci sont en voie de dégénérescence hyaline. La substance cérébrale est le siège d'une inflammation relative- ment
ues des médicaments. Cela est surtout vrai dans les cas de siphylis cérébrale , où l'on voit quelquefois les phénomè- nes de c
rs médicaments et termine en rapportant une observation de syphilis cérébrale sérieusement améliorée par des doses formida- b
ceptions délirantes optimistes sont étroitement liées aux lésions cérébrales , et l'on a été jusqu'à considérer le délire cxpan
ue de l'hyperhémie corticale. Les recherches récentes de pathologie cérébrale , qui ont singuliè- rement étendu nos connaissan
rticales appré- ciables. L'hypothèse qui explique par des lésions cérébrales spéciales les variétés de sentiments et de pens
coolisme, de sénilité, la démence est seule le résultat des lésions cérébrales et son degré est proportionnée à leur étendue.
guinolente du liquide céphalo-rachidien dans deux cas d'hémorrhagie cérébrale , Braun, IirBuig, en Allemagne, Netter et Clerc,
aaéuraxe à siège sous-dure-mérien, qu'elle reconnaisse une origine cérébrale médullaire ou méningée, le liquide cépha)o-rachid
ée des principales branches de la 3° pair fait penser à la syphilis cérébrale , maisl'échec du traitement spécifique permet de
diverses, spécialement à celles qui entrai- nent une détermination cérébrale , certaines cellules nerveuses apparaissent part
nerveux qui réclame une connaissance aussi exacte des localisations cérébrales que l'épilepsie. Le caractère de la crise indiq
sie évolue avec une physionomie clinique spéciale, signes de tumeur cérébrale avec titulation cérébelleuse et surdité bilatér
la maladie de Little. S'il y a une maladie de Utile spinale et une cérébrale , il faut la redéciire, La conrénitalilé ne suff
e, syndrome révélateur de la vulnérabilité particulière de l'écorce cérébrale , et de l'aptitude spéciale de son appareil méni
e intenses, en l'absence de toute lésion saisissable, les réactions cérébrales qui caractérisent le méningisme. y compris la c
ue les autres facultés humaines. Etant donné la loi : toute cellule cérébrale actionnée par une idée actionne à sou tour les
queue de cheval et du cône terminal, les polynévrites, les tumeurs cérébrales , les nombreuses modalités cli- niques de la syr
ment du tabès cloosalis, la conduite à tenir dans les cas de tumeur cérébrale , le traitement des atrophies musculaires pro- g
multiples des psychoses, il entre dans la séméiologie des troubles cérébraux : troubles de la perception, troubles de la con
es, psychoses par auto- toxication, psychoses citées aux affections cérébrales , psychoses d'involution, psychoses indéterminée
saire. Celle-ci ne réussit pas et l'enfant succomba à des accidents cérébraux . Le pauvre père devint alors complètement alién
iques anciennes. Depuis quatre ans déjà, il avait quelques troubles cérébraux , du délire nocturne. Il avait de plus des envie
ie (hémiplégie gauche). Grand-père paternel décédé d'une congestion cérébrale , croit-on. Grand'mère pater- nelle, morte à soi
on qu'elle a éprouvée à la mort de son mari, frappé de con- gestion cérébrale et emporté en deux jours. Elle a toujours bu én
st atteint, en d'autres termes dans la plupart des états de stupeur cérébrale (traumatismes crâniens, hystérie, épilepsie etc
s le délire aigu et que tant d'autres décrivent dans les infections cérébrales , viennent en- ' core compléter les analogies. L
ncrimine les toxines de ces microbes et, dans beaucoup d'infections cérébrales , même dans des abcès, dont l'origine infectieus
léments nerveux et des artérioles à tunique lymphatique de l'écorce cérébrale . Les SOCIÉTÉS SAVANTES. 233 cellules hépatiqu
t dans le tabes des dégénérescences des tubes nerveux de l'écorce cérébrale . Ces lésions sont tabétiques. Aussi faut-il con
a cellule ner- veuse s'altère, se désorganise. Mais le parenchyme cérébral est-il bien le premier atteint, comme le croit
ades moins aptes à être soignés, car à l'état mental dû aux lésions cérébrales , viennent s'ajouter les mauvaises habitudes due
oïde normale, persistance du thymus, simplicité des circonvolutions cérébrales qui offrent peu de plis de passage. 0 N'ig. 2
ces, examens) Effets. Les effets immédiats du trac sont : l'inertie cérébrale , diminution des per- ceptions sensorielles, l'i
n lorsque la malade succomba. A l'examen, outre le ramollissement cérébral et la sclérose des- cendante, on trouva, à la p
les diverses théories de l'6rythro- mélalgie (nerveuse, médullaire, cérébrale , névropathique) et tout en tenant compte des in
es, reposant unique- 278 SOCIÉTÉS SAVANTES. ment sur des troubles cérébraux en tout point analogues à ceux que l'on observe
que, dans la moelle, dans le bulbe ou au niveau même de l'écorce cérébrale . La préco,-ilé de l'apparition de l'oedème perm
le malheureux donnait, depuis quelque temps, des signes de troubles cérébraux . (L'Aurore du 13 août 1903.) Suicide. Mercredi
Cette femme donnait depuis quelque temps des signes de dérangement cérébral . Ces faits montrent une fois de plus la nécessi
'on découvre sur leur personne, restes le plus souvent d'affections cérébrales de l'enfance ou de la puberté. Or D... est bien
uit ans une insolation qui parait avoir influencé son développement cérébral , nous sommes fixés sur ses habitudes d'intempér
ésentent dans la matinée au fait que l'ané- mie nécessaire au repos cérébral ne se produit pas ceci ne peut être accepté que
iques (B.). 318 SOCIÉTÉS SAVANTES. ses premiers travaux, l'anémie cérébrale dans le sommeil et la congestion au réveil, ave
meil, une augmentation du volume et une éléva- tion de la pulsation cérébrale ; au réveil une diminution progres- sive de volu
uelle, impossible d'accep- ter intégralement la théorie de l'anémie cérébrale comme cause du sommeil. On ne saurait trop répé
e l'action des médicaments sur l'état vaso-moleur de la circulation cérébrale . C'est là une question à reprendre tout entière
lier par de l3oeclc et Verhoogen, d'une anémie de certaines régions cérébrales et d'une congestion simultanée d'autres régions
rborisations des fibres nerveuses dans la moelle épinière. l'écorce cérébrale et cérc- belleuse, se terminent par des boutons
suggestion;, les premiers vertiges étaient réels, dus à l'ischémie cérébrale ; les autres étaient surtout auto-suggestifs.
ommeil. C'est que le sommeil n'est pas l'inconscience, ni l'inertie cérébrale . Le cerveau pendant le som- meil peut penser et
est atteint, en d'autres mots dans la plupart des états de stupeur cérébrale (traumatisme, délire aigu, hystérie ( ? ), épil
t M. Ernest DiilR (de Paris). J'ai observé, au cours d'affections cérébrales très variées (tumeurs et abcès encéphaliques ; al
iniciens allemands et anglais (Mohr, Gowers, etc.) dans les tumeurs cérébrales (K : ;)tS- cher 6Yeseiz; C.ilcdisleness). Le
prononcées surtout du côté droit. L'examen histologique de l'écorce cérébrale a montré les lésions suivantes : Un très grand
infection. Des lésions marquées des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale ont été constatées. Fréquence et évolution des
térieure d'un trouble, d'une lésion plus ou moins grave des centres cérébraux et le chirurgien ne peut rien obtenir. Je pui
tera habituellement déprimée, bientôt sans tristesse, sans activité cérébrale , se tenant par habitude le plus possible à l'éc
if à ce refus ; à la confusion mentale succède bientôt l'inactivité cérébrale , la malade ne peut plus donner la moindre répon
MENTALE. tiens) et une amélioration de l'état physique, l'activité cérébrale reparait peu à peu, les troubles automatiques (
toxication. Alors, résultant de l'activité délirante, de la fatigue cérébrale occasionnée par des préoccupations conti- nues,
médiaire de con- fusion mentale succède la suspension de l'activité cérébrale , la phase catatonique, qui durera plus ou moins
aucune émotion, qu'il n'y a généralement chez elle aucune activité cérébrale . Elle reste toujours la même lorsque nous l'int
observons de loin en loin encore des périodes de mutisme, d'inertie cérébrale , avec sourires automatiques, absolument sans mo
tte religieuse dans un interrogatoire'. La diminution de l'activité cérébrale dans les intervalles de mo- ments de stupeur ca
ité avec laquelle se produit maintenant la suspension de l'activité cérébrale s'explique assez facilement, en somme, et par la
facilement, en somme, et par la diminution habituelle de l'activité cérébrale et par la durée et la fré- quence des crises de
urprise, le moindre heurt amène une suspension totale de l'activité cérébrale . 420 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. évolution particu
ïdes. On ne voit nulle fibre nerveuse. Cet arrêt de développe- ment cérébral est antérieur au 51 mois de la vie inlra-utérine
termine la tlémei2ce sénile; il peut aussi se produire une atrophie cérébrale prématurée, qui entraîne la démence juvénile. M
elle dorsale. Il est cependant impossible d'eu préciser l'ori- gine cérébrale . Mais il est extrêmement probable que la plupart
, mais dans tout le noyau. C'est inexplicable. L'élude du pédoncule cérébral montre que comme l'a dit Mellus (Journal ofnerv
)'. 39 et 40, mort. utopste.Hyperémie veineuse notable des méninges cérébrales . Hyperémie très marquée des méninges et de la s
ypopression ou l'hyperpression du sang. 4° L'écorce des hémisphères cérébraux donne naissance à des conduc- teurs qui influen
es le plus souvent rapportés à la paralysie générale, à des tumeurs cérébrales , ou aux amauroses brightiques et nicotiniques.
roite, au niveau du lobe pariétal, plaque de ramollissement. Ecorce cérébrale mince et pâle; ventricules dilatés; granulations
. Passant maintenant à la formation et au renouvellement des images cérébrales , nous pouvons concevoir que des impressions ven
sition : « C'est l'état llallucinogénique du sujet et non la lésion cérébrale qui a fait l'hallucination 1 » ' · Celle préd
es). REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XXIX. Hématome de la dure-mère cérébrale (Pachyméningite hé- morrhagique interne) associ
. ne llosca.wr : -Cr.w. XXX. Sur la manière de soigner l'hémorragie cérébrale et sur son traitement abortif ; par William Bro
du système ner- veux, consistant, tantôt en phénomènes d'excitation cérébrale , tantôt en phénomènes de dépression, sous l'inf
et de favoriser l'éli- mination des toxines agissant sur la cellule cérébrale et le malade guérit de ses troubles intellectue
tes tuberculeuses, la Sarcomatose du sys- teme nerveux, les Lésions cérébrales dans la sclérose en plaques, les Amyolrophics a
associée une hémorra- gie du co'on, parLongworlh, 510. Hémorragie cérébrale . Sur la ma- nière de soigner l' - et sur son
llexe, par et Goldsletu, 5S L'origine réelle et le trajet intra- cérébral des moteurs établis par la méthode de la dégéné
en particulier avec la neurasthénie, par Coggethal, 419. Tunmun cérébrale Un cas de -, par Cuylitz. 66. -Voit- Lobes fron
78 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
s inflammatoires récents, rarement dans les anciens. Dans le cortex cérébral , dans les noyaux centraux, dans la protubérance,
ronique de la maladie, le syndrome le plus fréquent est la diplégie cérébrale , ce qui est en rapport avec les localisations d
ingo-encéphalite chronique ; parasites dans le cerveau. 2. Diplégie cérébrale spasmodique (8 ans). 10. Diplégie cérébrale spasm
le cerveau. 2. Diplégie cérébrale spasmodique (8 ans). 10. Diplégie cérébrale spasmodique. Idiotie. ? j« ? aiLJMfeiC,Çir^l ? rg
DE LA MALADIE DE CHAGAS 6. Paralysie supra-bulbaire. - 9. Diplégie cérébrale ; rires et pleurs spasmodiques. 7. Diplégie cér
- 9. Diplégie cérébrale ; rires et pleurs spasmodiques. 7. Diplégie cérébrale spasmodique. Masson & Cie, Editeurs. NOUV
XVI. PI. III FORMES NERVEUSES DE LA MALADIE DE CHAGAS 3. Diplégie cérébrale spasmodique. Idiotie. 24 ans. Méningo-encéphalite
chronique ; parasites dans le cerveau et les muscles. 8. Diplégie cérébrale spasmodique. Idiotie. Masson & Cie, Editeur
motilité normale des membres. Les éléments du syndrome de diplégie cérébrale sont, presque toujours, accompagnés de signes c
tions motrices des membres(PI. TI, ph. G). Dans les cas de diplégie cérébrale ancienne et de grande intensité, on observe, le
simultanément des troubles delà motilité, dénonciateurs de lésions cérébrales ; il s'agit donc de l'idiotie organique. Du cô
se, dans lesquels on rencontre aussi tous les signes de la diplégie cérébrale . Nous donnons, comme spécimen des faits de ce g
XVl. Pl. IV FORMES NERVEUSES DE LA MALADIE DE CHAGAS 12. Diplégie cérébrale spasmodique. Idiotie. 4. Diplégie cérébrale. Sy
E CHAGAS 12. Diplégie cérébrale spasmodique. Idiotie. 4. Diplégie cérébrale . Syndrome cérébelleux. NOUVELLE Iconographie DE
. XXVI. Pl. V -FORMES NERVEUSES DE LA MALADIE DES CHAGAS Diplégie cérébrale spasmodique. Idiotie. Masson & Cie, Éditeur
osomiase. - Observation. Observation résumée d'un cas de diplégie cérébrale spasmodique, avec syn- drome cérébelleux : Jo
vent sur le bulbe, la protubérance, le cervelet et les pédon- cules cérébraux , formant une couche blanchâtre qui englobe les va
a base englobant le bulbe B., la protubérance Po., les pédon- cules cérébraux P., le cervelet, les origines des nerf*, crâniens
tte époque que l'on re- marqua les premiers indices d'une affection cérébrale . Bien que l'on ne pût en préciser le mode d'app
TIONS DE L'APHASIE 23 Les premières manifestations de son affection cérébrale sont survenues dans les conditions suivantes. L
d'une aphasie motrice déterminée, vraisemblablement, par une lésion cérébrale d'origine vasculaire. Cette aphasie était absol
tiformes surve- nant au cours des lésions circonscrites de l'écorce cérébrale . Tout ce que l'on peut dire c'est que chez notr
intracranienne, ni aucune altération des ménin- ges ou de l'écorce cérébrale . Le malade mourut un an plus tard d'une affecti
E DE LA MOITIÉ DROITE DU CORPS, PRÉDOMINANT A LA FACE, PAR LÉSION CÉRÉBRALE PAR G. RAUZIER et H. ROGER (de Montpellier)
t leurs prolongements dans les nerfs périphériques ? 2° L'origine cérébrale de l'hémiatrophie linguale a pu être discutée.
, un rôle vaso-moteur, facteur de troubles trophiques. Une lésion cérébrale et non une hémiatrophie linguale gauche, avec h
e une double lésion : bulbaire pour r hémiatrophie linguale gauche, cérébrale pour la paralysie faciale et l'hémiparésie droi
l'hémiparésie droites. B. - 8ans discuter l'étiologie de la lésion cérébrale concomitante, il nous reste à établir la nature
lbe, étiologie qui a le mérite de s'appliquer également à la lésion cérébrale , cause de l'hémiparésie droite totale. C.- Qu
N71RI (A.). Contrzb.allo studio anat. pat. dette cisti dell' ipofisi cérébrale e dell' in- /a)t<t7)'Mno. 11 Policlinico, se
e d'une maladie très probable- ment infectieuse, avec localisations cérébrales , d'après les travaux de Ca- vagni et Stefanini.
vements myocloniques congénitaux, laquelle était une hémi- plégique cérébrale infantile congénitale. Les mouvements étaient loc
olu- tions frontales, droite et gauche (Rossi et Gonzales) ; oedème cérébral (Ferrero) ; lésions de méningo-encéphalite \Pav
vons des groupes de cellules Fie. 12 et 13. Cas d'épilepsie. Ecorce cérébrale , fixation Eisath. Coloration d'après Alzheimer.
nimaux adultes. Fig. 14 - Premier cas de paralysie agitante. Ecorce cérébrale . Mêmes méthodes. Cellules névrogliques. DU SY
r tout ce que nous voyons dans FiG. 16. Nouveau-né. A gauche écorce cérébrale d'après Eisath-Alzheim er, réseau nêvroglique.
on. Réseau névroglique avec un noyau. Fio. Il. - Même cas. Ecorce cérébrale . Eisath ? Izheimer. Réseau névroglique' avec je
ns la figure 20. FIO, 19. Premier cas de paralysie agitante. Ecorce cérébrale . Stratum zonale. Eisath-Alzheim er. DU SYSTÈM
ation bien avancée comme d'ailleurs toutes les cellules de l'écorce cérébrale qui offrent des altérations régressives évident
jal. La pig- mentation des grandes cellules pyramidales de l'écorce cérébrale offre le même aspect caractéristique que la pig
déductions diagnostiques. Etant exclue la pensée d'une méningite cérébrale , on devait penser, en premier lieu, que la caus
stase-papillaireel cécité, une oscillation des symptômes des nerfs cérébraux et du cortex. RÉACUTISATION DE L'HYDROCEPHALIE
etien tqu 'en certainscas l'hydrocéphalieseprésenle comme la tumeur cérébrale , et que l'identité de l'ensemble symptomatique es
uide cérébro-spinal, puisque le contenu d'al- bumine dans la tumeur cérébrale est augmenté, tandis que dans l'hy- drocéphalie
bable cette forme spéciale, dans laquelle en outre, les fonc- tions cérébrales sont, au contraire de mon cas, presque toujours i
paralysie organique Ce n'est pas non plus, une paralysie d'origine cérébrale corticale. Le tableau clinique qu'a tracé des p
épinières de malades, qui avaient la tumeur siégeant dans la fosse cérébrale postérieure, Jacobsohn et Ja- mane (2) ont noté
énérescence (1) BATTEZ and Collier, Spinal cord changes in cases of cérébral tumour, Brain, Part. IV, 1899. (2) Jacobsohn
du segment dorsal. Dans trois cas de tumeur de la fosse postérieure cérébrale , Jacobsohn et Jamane n'ont noté rien d'anormal da
dans la moelle dorsale au cours des tumeurs siégeant dans la fosse cérébrale postérieure est assez rarement noté dans la lit
e toujours examiner à l'autopsie en quel état se trouve l'hypophyse cérébrale . En 1902, Lafond (1) publia un mémoire sur ce s
yglot- tisme, etc... l'éducation respective de ses deux hémisphères cérébraux (droitier, gaucher,ambidextre); les autres d'or
hémisphère droit qui paraissait abso- lument normal. Le pédoncule cérébral gauche est considérablement atrophié, il en est d
du noyau lenticulaire. Sur les coupes perpendiculaires du pédoncule cérébral , l'étage inférieur est très rétréci ; la partie
ce blanche du lobe frontal. Plus bas la dégénérescence du pédoncule cérébral se poursuit dans l'étage antérieur de la protub
une céphalée extrêmement vio- lente. On diagnostiqua alors un abcès cérébral . La trépanation fut aussitôt pratiquée par M. Q
cun résultat. Aussitôt après l'opération il se produisit une hernie cérébrale , hernie qui augmenta peu à peu de volume pendan
intellectuel. Bon ; la mémoire a fortement baissé, mais l'activité cérébrale est suffisante. L'attention est capable de se fix
térieur de la couronne rayonnante. Le faisceau interne du pédoncule cérébral passe par le segment antérieur de la capsule in
roduite. La porencéphalie est ici la conséquence d'une vaste hernie cérébrale qui s'est effectuée au coûts d'une trépanation, e
353 coupes sériées permet d'évaluer la quantité énorme de substance cérébrale qui s'est écoulée à travers la brèche crânienne
ulée à travers la brèche crânienne. La circonférence de la ca- vité cérébrale correspond à celle de la partie trépanée : ses li
photographie macroscopique que sur les coupes, des résidus d'écorce cérébrale plus ou moins tassés et recroque- villés, qui s
qui apprend parler, à moins qu'il n'existe préalablement une lésion cérébrale , les images verbales ne se sont pas encore locali
nt pas encore localisées avec autant de sélection dans l'hémisphère cérébral gauche (s'il est droitier) ou sur le droit (s'i
r- sisté très longtemps et a été causée par de très grosses lésions cérébrales (comme dans le cas présent où la IIIe circonvol
ATION DU LANGAGE DANS L'APHASIE DE BROCA 355 revient à l'hémisphère cérébral sain dans les suppléances, et combien les reliq
est atteinte de paralysie faciale ancienne et se plaint de troubles cérébraux divers. On ne trouve rien à signaler dans ses a
x cas de paraly- sie générale précédés d'ictus, un cas d'hémiplégie cérébrale infantile, deux cas d'hé- miplégie par foyer hé
ocier les signes observés en deux grandes catégories, des symptômes cérébraux (céphalée, troubles visuels, paralysies de la f
malaise. Notre malade était cependant atteinte de plusieurs tumeurs cérébrales . Nous n'avions pas fait ce diagnostic, par suit
ystématiquement bannie de la thérapeu- tique palliative des tumeurs cérébrales , et, en terminant, nous ne pour- rions mieux fa
tpellier, 1913. (1) Par ce terme, nous entendons toutes les tumeurs cérébrales . 406 RAUZ1ER ET BAUMEL BESREDKA. Etude sur le
à gauche; pas de synostose. Atrophie considérable de l'hémis- phère cérébral droit, sa longueur est de douze centimètres (cell
tre montrent un abaisse- ment de la selle turcique tel que la fosse cérébrale moyenne au lieu d'être dans un plan horizontal
u lieu d'être dans un plan horizontal supérieur à celui de la fosse cérébrale postérieure se trouve à peu près au même niveau
sions digitales résulteraient d'après Bertolotti, de l'hypertension cérébrale prodromique des états d'oxycéphalie; or l'amin-
oraux les méninges étaient adhérentes entre elles et à la substance cérébrale sous-jacente, surtout sur l'hémisphère gau- che
ssie; pie-mère opaque, oedé- mateuse et aussi hyperémiée ; le tissu cérébral présentait les mêmes caractères d'hyperémie, d'
. Dans certains endroits les adhérences des méninges à la substance cérébrale étaient si fortes qu'on ne pouvait pas les sépa
s ajouterons qu'on rencontre dans les méninges el dans la substance cérébrale des foyers microscopiques d'hé- morragies et de
étude du tissu néuoglir¡1te, nous devons remarquer que la substance cérébrale de l'hémisphère présente ses modifications pathol
c les espaces lymphatiques susdits pour la circulation de la lymphe cérébrale , la signification fonctionnelle du gliaspongium
vroglique s'éten- dent perpendiculairement à la surface de l'écorce cérébrale ; dans la même direction s'étendent les mailles
llaires voisins sont réunies par des fibrilles allant dans le tissu cérébral intervasculaire (S. Ramon y Cajal). Que voyons-no
ous [examinons, où, grâce à l'adhérence des méninges à la substance cérébrale , on peut s'attendre à trouver un développement co
ient aux méninges, la partie inférieure à la périphérie de l'écorce cérébrale modifiée. Nous voyons comment les fibres collag
nt les fibres collagènes se dirigent en faisceaux dans la substance cérébrale et là, en se débarrassant de la substance collagè
on des fibres collagènes. En allant plus profondément dans le tissu cérébral , nous nous occupe- rons exclusivement de l'exam
es vieilles cellules conjonctives des méninges et dans la substance cérébrale par les membranes réticulaires des espaces périva
s- mique cellulaire, c'est-à-dire une lésion du système lympatluque cérébral en général, jouent à ce qui parait non le derni
ettement au-dessus du rebord postérieur), la dépression de la fosse cérébrale antérieure, la bascule de la face (comparer la
i bien en avant que sur les côtés, il y a un abaissement des fosses cérébrales . En avant, il y a un abaissement de la fosse cé
des fosses cérébrales. En avant, il y a un abaissement de la fosse cérébrale antérieure, moins sùr jes côtés, où les voûtes
lèvement de l'apopliyse basilaire et de cet abaissement de la fosse cérébrale antérieure résulte, pour ainsi dire, une cyphose
éno-basilaire a pour con- séquence l'abaissement relatif déS fosses cérébrales moyennes et de la ÉTUDE DE LA HASE DU CRANE DAN
'abaissement de toutes les parties périphériques de la base, fosses cérébrales antérieures et fosses cérébrales moyennes, n'est
s périphériques de la base, fosses cérébrales antérieures et fosses cérébrales moyennes, n'est pas seulement relatif et dû au
ire, il est aussi repoussé en arrière par l'abaissement de la fosse cérébrale antérieure : il bascule pour ainsi dire, ce qui
abaissement de la partie externe des rochers d'une pari, des fosses cérébrales antérieures el des voûtes orbitaires d'autre part
occipital ; il a pour conséquences l'abaissement relatif des fosses cérébrales antérieures et moyennes, l'incurvation antéro-
évation toute du massif sphéno-basilaire, la dépression de la fosse cérébrale antérieure, l'aplatissement de la selle turcique,
l'ut obi- line dans le liquide céphalo-rach id ien de l'hémorragie cérébrale , Bard a décrit « la coloration biliaire du liqu
cembre 19Ul. MAHMESM G. et GOLOSTEIN M. Deux cas de pseudo-tumeur cérébrale : méningite séreuse et hydrocéphalie acquise. N
de la moitié droite du corps, prédomi- nant à la face, par lésion cérébrale , 28. Ravenna (Ferruccio) ide Parme). Achon- d
79 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
t pas lieu de s'en prévaloir. On connaît bien des cas de congestion cérébrale , bien des cas de convulsions, bien des cas de pro
te, de manière a agir à la fois par polarité sur les deux hémisphères cérébraux . En imposant la main droite sur le front, je dé
ale (passim). (2) Cosmos, tome IX, p. 379.1888. — Les localisations cérébrales . (3) Chez Benoist, l'extase est accompagnée de
elle n'en est pas moins l'expression d'un état anormal de l'activité cérébrale ^ bien qu'elle ne soit pas toute la folie, elle n'
ou a un état spastique, inconnu dans sa nature, de certaines régions cérébrales , état qui aurait la plus grande analogie avec les
bsolument comme celles qui auraient comme siège organique des lésions cérébrales ; mais ce qui les distingue et les caractérise, c
ble que ces suggestions de hasard se traduiront par des perturbations cérébrales , par des symptômes névropathiques semblables à ce
égion déterminée qui accapare pour ainsi dire à elle seule l'activité cérébrale . Ici l'illusion est complète encore, ou peut l'êt
orte de l'extérieur vers l'intérieur, de la périphérie vers le centre cérébral * Ce point de départ, c'est lïmpressionnabilité, c
oelle épinière l'acte réflexe ; c'est en quelque sorte l'acte réflexe cérébral atteignant son plus haut degré ; c'est le cer-vea
les chiens, les chevaux, les oiseaux doués d'un ccr-uia développement cérébral ... Quand je parle d'animaux inférieurs, je ne v
n réflexe veille toujours, à un degré plus ou moins élevé. L'activité cérébrale ne fait jamais complètement déûut. Supposez que c
ient-ils? Evidemment non: seulement, il y avait chez eux une activité cérébrale qui différait de l'activité normale. L'activité i
ssitôt après cet élancement dans la verge, survient du retentissement cérébral . La vue, à ce que nous dit le malade, se trouble,
t qu'il appréhende le retour de ces élancements pour que les troubles cérébraux apparaissent sans être précédés d'aucun signe uré
ètement. 5 avril. — Notre malade accuse du mieux. Le retentissement cérébral existe toujours, mais de moindre intensité. Quoiq
eignement. De toutes les causes de perturbations Je la fonctionnalité cérébrale , « il n'en est peut-être point de plus efficace,
ans l'un ou l'autre état, la léthargie étant un eut d'engourdissement cérébral plus profond que les deux autres. Quand il s'en
, en apparence aveugle, voit: l'image es: perçue par le centre visuel cérébral : mais celle perception n'est pas consciente:
ation, alors que celle-ci suspend le pouvoir d'inhibition des centres cérébraux , a été reconnu depuis longtemps Les crises des ma
ir. On me répondra c-être qu'une grenouille privée de ses hémisphères cérébraux en fait autant; mais ce n'est pas une raison suff
s, (.'étude de l'hypnotisme a élargi nos connaissances en physiologie cérébrale ; jusqu'à présent, elle ne les a point bouleversée
800 fr. à M. le Dr. Edgar Bcrillon, pour son travail sur ; La dualité cérébrale , ex une citation honorable à MM. Binct et Fére, p
te impression arrive d'abord jusqu'aux cellules nerveuses de l'écorce cérébrale , auxquelles se termine le nerf sensoriel impressi
ong de son prolongement intra-cérébral jusqu'aux cellules de l'écorce cérébrale (lobe occipital ou lobule du pli courbe), il faut
le (lobe occipital ou lobule du pli courbe), il faut que les cellules cérébrales , terminaison du nerf, soient actionnées. Ceci est
peut-être par transmission de l'excitation reçue à d'autres cellules cérébrales , cellules psychiques, cellules nrtposées aux phén
et conception, je n'insiste pas et je dirai : impression sensorielle cérébrale ^au lieu de perception) pour le premier acte : ré
istré par une modification moléculaire dans les cellules sensorielles cérébrales réveille l'activité des cellules psvehiques et do
aire. M n'y avait point d'atrophie des nerfs optiques, ni de sclérose cérébrale . AUTOPSIE. Habitude extérieure. — Emaciation
aines des vaisseaux; un peu d'injection superficielle de la substance cérébrale . De 60 à 80 grammes de liquide céphalo-rachidien,
vient pas d'une défectuosité radicale dans le mode du fonctionnement cérébral . Elle tient à l'indigence des points de comparais
des soins avait en effet déclaré qu'il s'était produit une congestion cérébrale , et que probablement Fouie ne reviendrait pas. El
ommeil dépend d'une contraction vas-culaire ayant lieu dans les lobes cérébraux (Durham, Hammond) est absolument fausse, comme ¡e
eux nerfs grands sympathiques.au cou. dorment comme si la circulation cérébrale était à l'état normal, c'est-à-dire lorsqu'elle p
produit comme à l'ordinaire, non seulement ne dépend pas d'une anémie cérébrale par contraction vasculairc. mais encore peut exis
dentelles ou pathologiques, est l'effet d'une inhibition des facultés cérébrales . Je me fonde, pour établir cette opinion : t* s
r ; 5* Contraction des vaisseaux sanguins de la rétine et des lobes cérébraux . J'ajoute qu'en outre de l'inhibition des facul
s les parties excitables de la base de l'encéphale que dans les lobes cérébraux . Avant de conclure, je rappellerai que. dans l'
ez l'homme. Je rappellerai aussi que la perte de toutes les activités cérébrales peut avoir lieu, par inhibition, comme je l'ai mo
sur ses bras. Ces divers mouvements, indépendants de toute influence cérébrale , puisqu'ils sont étrangers à toute sensation perç
différente à toutes autres choses, qu'elle est incapable de tout acte cérébral spontané, incapable d'avoir une idée, un désir, u
— Endormie de nouveau, elle revient immédiatement au mode d activité cérébrale que le réveil avait interrompu : elle me demande
tch, 1887. , La Physiologie de la région psrcho-motrice de l'écorce cérébrale , par le professeur Bechtercw, 1880. Traité de P
n Russie, l'étude de la neuropathologie. VARIÉTÉS LE DÉDOUBLEMENT CÉRÉBRAL DU PIANISTE Par M. le docteur J. LUYS, médecin
e d'une façon précise la participation inégale que prennent les lobes cérébraux dans les opérations mentales, et la pré- ponJ
it, tantôt du côté gauche, elles s'opèrent isolément dans chaque lobe cérébral pour diriger le mouvement de la main correspondan
nifestent d'une façon synchronique ! Dans ces opérations, chaque lobe cérébral devient donc ainsi une unité isolée, séparée de s
8. E. Mesnet. — Rapports de la paralysie générale et de la syphilis cérébrale . Masson, in-S*, 43 pages, 18S8. Léon Besse. — T
t physiologique en même temps, un des laits fondamentaux du dynamisme cérébral . Aussi la notion de l'autosuggestion vient-elle s
vec les anciennes notions d'actions réflexes coordonnées, de réflexes cérébraux , d'automatismes cérébraux, de cérébration inconsc
d'actions réflexes coordonnées, de réflexes cérébraux, d'automatismes cérébraux , de cérébration inconsciente, d'inconscient, etc.
ument. Voilà la suggestion. Pour cela, il faut que les associations cérébrales , les agrégats dynamiques cérébraux de B, dans leu
ela, il faut que les associations cérébrales, les agrégats dynamiques cérébraux de B, dans leur ensemble conscient et inconscient
; c'est comme la panique d'une armée qui se produit dans sa dynamique cérébrale . Cette dernière devient plastique et tombe à la m
ique et tombe à la merci de A ; B se sent subjugué, et ses dynamismes cérébraux inconscients ou conscients obéissent, en tout ou
ces psychiques d'un homme, c'est-à-dire des forces de ses hémisphères cérébraux et de les faire jouer à sa guise, comme un docile
le. La suggestion vient nous révéler avec queile puissance les (orcc% cérébrales bien dirigées, bien concentrées, peuvent agir sur
s apparentes, il est absolument nécessaire d'approfondir le dynamisme cérébral dont une partie est ce que nous appelons la pensé
culier, individuel, des manifestations de cette force, y L'activité cérébrale ne peut donc pas être divisée en une activité phy
tre dans ce malheureux dualisme qui embrouille tout. Or, l'activité cérébrale , qui n'est elle-même qu'une partie de l'activité
Par cette étude, nous arrivons toujours plus à trouver que l'activité cérébrale consciente n'est pas quelque chose de différent d
visme. Il est vrai qu'une particularité de l'activité des hémisphères cérébraux , sa faculté de concentration plus ou moins forte
ention, c'est-à-dire des concentrations successives de notre activité cérébrale . La plupart des éléments de cette activité, c'est
semble de notre subjectivisme, réside uniquement dans les hémisphères cérébraux . Elle ne miroite l'activité d'aucun autre centre
dont nous n'avons pas conscience, c'est-à-dire dont notre conscience cérébrale n'a pas conscience. Ajoutons à ces laits celui
é concentrative de l'attention sur telle ou telle voie des éléments cérébraux . Comme sur la même corde ou sur la même plaque
nous ayons besoin de nous inquiéter de ce qu'on appelle localisations cérébrales , c'est-à-dire des domaines divers de l'écorce où
ments organisés, automatisés) est de même un phénomène absolument cérébral , ce que beaucoup de gens oublient toujours. Rap
l'enchaînement des états de conscience et un phénomène de dynamogénie cérébrale produit par une simple perception. Que la percept
i nous étonne, nous subjugue. La partie consciente de notre dynamisme cérébral s'étonne de l'effet qu'elle subit de l'action d'u
ient. Dans l'hypnotisme, nous ne faisons qu'utiliser ces dynamîsmes cérébraux propres à tout homme ; nous surprenons, envahisso
tout homme ; nous surprenons, envahissons «subjuguons tes dynamismes cérébraux du sujeten nous servant de sa suggestibilité : no
ions conscientes spontanées et alors nous pouvons mouler sa dynamique cérébrale de plus en plus à notre guise, grâce à la tendanc
ir pas de simulador, ji). mais d'un dualisme artificiel d¿ l'activité cérébrale .d'une inhibition incomplète, de phénomènes parent
1 Illusion de la réalisation des suggestions, alors que le dynamisme cérébral complet (inconscient) n'a point cette illusion, e
s le système nerveux par la suggestion, c'est-à-dire par le dynamisme cérébral que nous appelons l'âme. Ces effets peuvent se bo
a) Qu'est-ce que voir r L'a p:*con auquel on a enlevé les hémisphères cérébraux voit, c'est-à-dire ui lobes optiques (tubercules
optiques (tubercules bijumsaux antérieurs; votent. Cependant son moi cérébral , c'est-à-dire ce qui devenait conscient chez le r
moins complètement dirigée par l'hypnotiseur, maïs tout son dvnamUme cérébral , tant sensoriel icemri-pète) que moteur (centrifi
ces phénomènes sont liés à une modification brusque de la circulation cérébrale . Mais M. Féré a rapporté deux faits qui semblent
ille des antécédents héréditaires; son père est mort d'une congestion cérébrale . Du côté de la ligne maternelle, une lante. sueur
les mouvements, par l'intermédiaire de l'un ou de l'autre hémisphère cérébral . On sait que chez les chiens et les singes, les a
triques sur des points d'une assez grande étendue des circonvolutions cérébrales sont suivies de mouvements divers et plus ou moin
st probable que l'incitation partait de l'un ou de l'autre hémisphère cérébral , mais que le mouvement était exécuté simultanémen
e de centres soi-disant psycho-moteurs des membres dans un hémisphère cérébral sans paralysie aucune comme conséquence. SOCI
. 165. Dangers de l'hypnotisme extra-scientifique, 63. Dédoublement cérébral du pianiste, par Luys, 282. Dégradation sociale
oisin. 130. Physiologie pathologique. 257. Pianiste (dédoublement cérébral du).282. Pratique médicale (applications de l'h
80 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
chantérienne. Une saignée est pratiquée pour dissiper la congestion cérébrale manifestée par la rougeur de la face et un léger
inueux, affectant assez exactement la disposition des circonvolutions cérébrales . Ces replis, si irrégulièrement contournés sur eu
ée. Dans la cavité du crâne on ne rencontre aucune trace de substance cérébrale , mais on trouve une masse semblable à celle qui a
t, à cette forme anatomique de phlegmasie correspondent des symptômes cérébraux sous forme délirante, qui emportent le malade en
ent toutes les circonstances de cette cruelle maladie. L'exaltation cérébrale avec exacerbation est à-peu-près permanente: en m
céreuse: une première qui occupait la région frontale de l'hémisphère cérébral droit, une deuxième qui occupait la région occipi
'en enlevant la tumeur, on enlevait en même temps une couche de tissu cérébral . Des vaisseaux veineux très développés, rampaient
timement. Le tissu de la dure-mère était parfaitement sain. La face cérébrale de la tumeur était déprimée en godet à la manière
lement adhérente à la dure-mère était également entourée de substance cérébrale en bouillie. La troisième tumeur ou tumeur cérébe
l nu. Ces trois tumeurs m'ont paru formées aux dépens de la substance cérébrale . Réflexions. Il est rare que la cachexie cancér
erveau a été envahi. On voit d'ailleurs assez fréquemment des tumeurs cérébrales sans phénomènes appréciables. La figure 3 repré
uance, qui rappelle celle des caillots sanguins dans les hémorrhagies cérébrales qui ont un mois ou deux d'ancienneté. Du côté d
la surface interne de la base du crâne. — Pénétration de la substance cérébrale dans les érosions ou petites excavations accident
e ne fus point arrêté par l'idée que l'opium favorise les congestions cérébrales ; car, avant toutes choses, il fallait soulager.
res pour l'ablation du cerveau suffisaient pour déchirer la substance cérébrale dont quelques petites portions restaient engagées
vations de la base du crâne, sans exception, s'enfonçait la substance cérébrale . La voûte du crâne m'a présenté des empreintes
une observation de carie du rocher, avec abcès du cervelet, méningite cérébrale et hydropisies des ventricules, rapportées par M.
tte poche était remplie par un liquide puriforme, et par la substance cérébrale qui s'engageait dans la cavité du pédicule. La du
u subaiguë, ayant pour effet une sorte de combinaison de la substance cérébrale avec la sérosité. C'est à ce ramollissement que p
la dure-mère crânienne ou qui se développent dans le tissu cellulaire cérébral sous-arachnoïdien. Cerveau, cervelet et partie
iment et du mouvement qui mourut presque subitement d'une hémorrhagie cérébrale . Indépendamment du foyer apoplectique du cerveau,
une cellulosité infiltrée de pulpe blanche, semblable à de la matière cérébrale écrasée et délayée, ou à un lait de chaux. Or, il
ur l'obligea une attitude désordonnée qui rappelle celle des maladies cérébrales . La malade est assise sur son lit,la tête incliné
t induratio n de la moelle.—Epaississement et densité de V arachnoïde cérébrale .—Mort de pneumonie. Martinaud, âgée de 60 ans ,
moelle. — Mort par ramollissement rouge amarante des circonvolutions cérébrales . Hamel (Jeanne), 72 ans, à la Salpêtrière depui
ullaire. Ramollissement rouge amarante de plusieurs circonvolutions cérébrales : la rougeur est limitée à la substance grise; da
nvolutions flétries. Infiltration séreuse et porosité de la substance cérébrale sous-jacente. L'infiltration séreuse ou œdème du
anes de l'arachnoïde spinale et les fausses membranes de l'arachnoïde cérébrale , qui présentent si souvent la disposition enkysté
e à celui qu'on observe dans les grands ramollisemens de la substance cérébrale , La tumeur de îa queue de cheval donne lieu aux
également éprouvée dans toute leur épaisseur. Cerveau. Le pédoncule cérébral droita.VB.it éprouvé la transformation grise dans
e ne seront pas déplacées ici. Dans l'hémiplégie, suite d'hémorrhagie cérébrale , le mouvement seul est intéressé, et j'ai eu souv
fs. On peut poser pour règle que l'hémiplégie, suite de l'hémorrhagie cérébrale , intéresse le mouvement, et jamais le sentiment.
Qu'il me soit permis de dire ici que les hémiplégies par hêmorrhagie cérébrale sont très rarement accompagnées de perte de conna
e d'altération que je n'ai pas encore rencontrée dans les hémisphères cérébraux proprement dits. 3° L'altération occupait la mo
MALADIES DU CERVEAU. Apoplexie de la protubérance et des pédoncules cérébraux et cérébelleux. (Planche i, xxr8 livraison.)
rolongeant en avant et de chaque côté dans l'épaisseur des pédoncules cérébraux PA, PA, se prolongeant en arrière et à droite dan
C; cette poche était largement ouverte en avant entre les pédoncules cérébraux et au niveau de ces pédoncules, lesquels étaient
el je n'ai aucun renseignement, présente une déchirure des pédoncules cérébraux et du plan supérieur de l'isthme de l'encéphale.
ses membranes, c'est-à-dire entre le feuillet crânien et le feuillet cérébral de l'arachnoïde, dans la cavité même de l'arachno
umentaires, l'une cutanée, l'autre muqueuse. Apoplexie du pédoncule cérébral droit et de la moitié correspondante de la protub
it irruption ni au dedans ni au dehors dans aucun point. La substance cérébrale , qui est en contact immédiat avec le sang, est dé
transporta à l'infirmerie le 28 avril, et nous constatâmes que l'état cérébral était identiquement le même que celui précédemmen
levé (et j'ai coutume de l'enlever seul par la section des pédoncules cérébraux ), j'ai vainement cherché dans cet organe la cause
cervelet et la protubérance étaient parfaitement intacts, que l'état cérébral était sympathique de l'affection de l'utérus. L'é
e de la protubérance, car l'art possède des observations d'apoplexies cérébrales mortelles en moins d'une heure. La question des
ère à se creuser une cavité par le simple refoulement de la substance cérébrale ? Bien qu'il soit par fois difficile de distingue
e de distinguer l'un de l'autre ces deux sièges différens des tumeurs cérébrales , cependant, dans ce cas, il est probable que le d
que le développement de la tumeur s'est effectué aux dépens du tissu cérébral lui-même; car s'il y avait eu simple dépression,
te de son étendue, en était séparée par une couche mince de substance cérébrale . Les tubercules dont cette tumeur est hérissée s'
ficile de les séparer complètement. Le ramollissement de la substance cérébrale s'étendait à une assez grande distance; il était
ège tantôt le tissu cellulaire sous-arachnoïdien, tantôt la substance cérébrale elle-même. Je mentionnerai un fait dans lequel un
seudo-membrane parcourue par des vaisseaux : tout autour la substance cérébrale était ramollie. L'autre abcès, plus considérable
épais : il communiquait dans le ventricule à travers la grande fente cérébrale . Le plexus choroïde était infiltré de pus. Les co
ur la tête avec perte de connaissance. Le ramollissement de la couche cérébrale qui environnait le premier abcès, la communicatio
spondant, se concilient difficilement avec l'absence de tout symptôme cérébral . Tel était encore le cas d'une jeune fille de 1
dien, était rouge, comme granuleuse. Dans d'autres cas, les tumeurs cérébrales ne révèlent leur présence que par une hémiplégie
cée par la tumeur, mais bien à une lésion consécutive de la substance cérébrale ambiante, et cette lésion peut être une apoplexie
aires. Une circonstance qui peut aider au diagnostic de ces tumeurs cérébrales , c'est la présence dans d'autres parties du corps
u, on conçoit qu'une femme cancéreuse puisse être prise d'hémorrhagie cérébrale ou de ramollissement, indépendamment de toute tum
ulsive que sous la forme apoplectique que se manifestent les accidens cérébraux qui résultent de la présence d'une tumeur cérébra
tent les accidens cérébraux qui résultent de la présence d'une tumeur cérébrale ; telle est l'observation suivante : (i) Blanc (
elle attaque; mort à six heures. A l'autopsie, on trouve les veines cérébrales , les sinus de la dure-mère gorgés d'une grande qu
gie me porte à considérer comme un mode de terminaison des tubercules cérébraux , l'altération suivante observée chez une jeune fi
raîner la mort par suite d'une lésion des méninges ou de la substance cérébrale . MALADIES DU CERVEAU. ygf livraison Pl. 2.
ré, par un grand nombre de faits (i), i° qu'il existe une hémorrhagie cérébrale spontanée capillaire, qui est à l'apoplexie avec
es sont converties en une espèce de pulpe semblable à de la substance cérébrale broyée avec du sang; 4° que des degrés insensible
n, et ne résulte nullement de la combinaison du pus avec la substance cérébrale ; 6° que le ramollissement rouge et le ramollisse
u'ils peuvent le plus habituellement être distingués de l'hémorrhagie cérébrale avec foyer; 90 que, cependant, dans un certain no
es circonvolutions détruites. Cette membrane était dense, et le tissu cérébral voisin induré dans quelques points. Dans une anfr
u de daim remplace les circonvolutions détruites. Induration du tissu cérébral ambiant. 77/orax.Pleurésie hémori hagique dans
es points rouges sont quelquefois linéairement disposés. La substance cérébrale n'a pas subi de ramollissement : c'est l'apoplexi
les, les autres étaient recouvertes par une couche mince de substance cérébrale à travers la transparence de laquelle on pouvait
lutions. En effet, dans l'apoplexie, il y a déchirure de la substance cérébrale , comme dans la contusion, mais avec cette différe
la pie-mère; les autres recouverts par une couche mince de substance cérébrale . Ces petits foyers miliaires doivent être disting
rale. Ces petits foyers miliaires doivent être distingués des varices cérébrales qui en diffèrent en ce que, dans celles-ci, le sa
née envahit un très grand nombre de points à-la-fois, et la substance cérébrale intermédiaire est toujours dans l'état le plus pa
si l'art du diagnostic pourra aller jusque-là ; car, si les fonctions cérébrales éprouvent quelque dérangement par suite de la lés
fin j'ai beaucoup insisté sur l'affinité qui existe entre la phlébite cérébrale et l'apoplexie capillaire. J'avais montré, dans m
r analogie que l'inflammation des sinus de la dure-mère et des veines cérébrales adjacentes devait amener le même résultat pour le
t avec une inflammation du sinus longitudinal supérieur et des veines cérébrales adjacentes. La figure i,planche i, xxxvie livra
is non à l'exclusion de la substance blanche, est entourée d'un tissu cérébral jaune serin, ayant la consistance et l'aspect du
dont l'infirmité est le résultat ordinaire d'un grand affaiblissement cérébral . A ïouverture, sinus longitudinal supérieur, ve
sement cérébral. A ïouverture, sinus longitudinal supérieur, veines cérébrales supérieures distendues par du sang concret et adh
'un sinus rempli par une injection noire très consistante. Les veines cérébrales supérieures, également distendues, ressemblaient
de la substance grise. Ces ecchymoses se voyaient le long des veines cérébrales enflammées, à la convexité et surtout à la base d
Relativement à l'inflammation des sinus de la dure-mère et des veines cérébrales attenantes, je me reproche amèrement de n'avoir p
nt est borné a toutes les parties du cerveau qui répondent aux veines cérébrales enflammées. — Phlébite de la veine iliaque primit
écemment épanché, qui occupe toute la surface convexe des hémisphères cérébraux . Sous l'arachnoïde cérébrale, couche de sérosité
toute la surface convexe des hémisphères cérébraux. Sous l'arachnoïde cérébrale , couche de sérosité de deux lignes d'épaisseur. L
tend qu'à un pouce du confluent ou pressoir d'Hérophile. Les veines cérébrales supérieures sont également distendues par du sang
est pas considérable, à peine y a-t-il ramollissement de la substance cérébrale . Quelques foyers de ramollissement semblent n'êtr
églutition. Diagnostic. Cet état d'abolition complète des fonctions cérébrales peut avoir lieu sans cause matérielle appréciable
fectées. Je ne pensai pas à la possibilité d'un double ramollissement cérébral . La malade mourut dans la journée. A Y ouverture
e précau-sion entraîne, dans plusieurs points, une couche de bouillie cérébrale appartenant aux parties ramollies. Les deux gross
sidérable et les membranes s'enlèvent sans lacération de la substance cérébrale ; en aucun point la maladie n'a franchi la substa
ons. Le dévoiement, moyen si puissant de dérivation dans les maladies cérébrales , ne préserve donc pas des congestions sanguines v
de ramollissement, on conçoit combien grande doit être la compression cérébrale qui en est la conséquence nécessaire. EXPLICATI
lie-de-vin qui résultent de la combinaison du sang avec la substance cérébrale , on voit à la surface du cerveau des globules san
oyer. Réflexions. Il est donc démontré qu'il existe une hémorrhagie cérébrale capillaire, comme une hémorrhagie cérébrale avec
il existe une hémorrhagie cérébrale capillaire, comme une hémorrhagie cérébrale avec foyers sanguins, que des degrés insensibles
avité contenait une très grande quantité de sérosité. Les hémisphères cérébraux étaient remplacés par une membrane mince MC, brun
u-dronnés. On reconnaît aisément dans ces petites masses la substance cérébrale , mais indurée, d'une couleur brun-marron clair, c
le siège d'un foyer sanguin. Au-dessous de ce débris des hémisphères cérébraux se voit de chaque côté une grosse masse formée pa
t des olives. PV est le pont de varole, duquel partent les pédoncules cérébraux et les pédoncules cérébelleux,lesquels m'ont paru
s nerfs étaient dans l'état d'intégrité. —CC sont les circonvolutions cérébrales qui avoisinent le cervelet et la protubérance; el
C est la membrane mince en laquelle étaient convertis les hémisphères cérébraux . Dans le cas précédent, le cervelet était intac
, le cervelet était intact, la protubérance annulaire, les pédoncules cérébraux et cérébelleux et les circonvolutions cérébrales
laire, les pédoncules cérébraux et cérébelleux et les circonvolutions cérébrales qui les avoisinent, présentaient leur état normal
état normal; il ne manquait, à proprement parler, que les hémisphères cérébraux : les parties centrales avaient été conservées; da
rocéphalie, à moins qu'il n'existe une encéphalocèle ou une cystocèle cérébrale ; je ne sais si des observations ultérieures confi
ne des lames de la cloison transparente. Ainsi, les circonvolutions cérébrales des hémisphères, le corps calleux, les pyramides
t remarquable à la dure-mère; au centre de la tumeur est la substance cérébrale . Il y avait donc encéphalocèle. La masse totale d
rulent peut être très aisément énu-cléé, mais une couche de substance cérébrale ramollie est restée adhérente à sa surface extern
e semblent se détacher de, ces parois pour pénétrer dans la substance cérébrale . lie pus fétide, filant et grumeleux dont j'ai
mptoires, de M. Lallemand contre l'opinion de M. Itard sur l'otorrhée cérébrale . Suivant ce dernier auteur, un certain nombre d'o
e conduit auditif externe, soit par la trompe d'Eustache ; l'otorrhée cérébrale serait donc, d'après la théorie de M. Itard, la t
on causée au cerveau et à ses membranes, inflammation de la substance cérébrale , formation d'un abcès enkysté. Plus tard encore ,
rieure à la pie-mère intérieure; et le ramollissement de la substance cérébrale peut être consécutif à l'inflammation de la membr
nkystés du cerveau ne révèlent leur présence que lorsque la substance cérébrale qui les environne est le siège d'un travail morbi
la méningite des enfans me donne incontinent l'éveil sur une maladie cérébrale et mes soupçons se convertissent en certitude, lo
Point de lésion appréciable du sentiment et du mouvement. La lésion cérébrale est enfin diagnostiquée; je me demande si la mala
maladie a son siège dans la séreuse ven-triculaire, dans la substance cérébrale ou dans l'arachnoïde extérieure. Dans tous les ca
rieur de l'hémisphère gauche, d'une mollesse remarquable;l'arachnoïde cérébrale adhérait à l'arachnoïde pariétale dans un petit e
'une collection de liquide au-dessous d'une couche mince de substance cérébrale ; et, en effet, une ponction peu profonde donne is
et d'une couleur rosacée. Sa surface externe adhérait à la substance cérébrale ramollie. Cette membrane était composée de deux f
eaux déliés , qui pénétraient déjà la fausse membrane. La substance cérébrale qui environnait les kytes présentait,dans l'épais
olon ascendant. Réflexions. Voilà un cas d'inflammation de la pulpe cérébrale terminé par suppuration avec enkystement et ramol
ation avec enkystement et ramollissement blanc-manger de la substance cérébrale environnante. Nous ne trouvons nullement ici le
nte. Nous ne trouvons nullement ici les symptômes de ramollissement cérébral : point de paralysie lente et graduelle; et, chose
alade put aller prendre ses repas au réfectoire. Les faits de maladie cérébrale abondent en exemples d'amélioration semblable, no
combé, soit à des pneumonies latentes, soit à une attaque d'apoplexie cérébrale , pour lesquelles elles sont entrées dans mon serv
llectuelles tout-à-fait semblable à celui qui succède à une apoplexie cérébrale ordinaire. L'observation suivante, qui a pour s
on attenante du corps strié. — Cicatrice de deux foyers apoplectiques cérébraux , occupant la même région. — Mort par engouement d
hémisphère gauche du cerveau, un foyer sanguin, qui occupait le noyau cérébral proprement dit, c'est-à-dire la masse gangliforme
er est coagulé, d'un noir brunâtre, tellement adhérent à la substance cérébrale adjacente, qu'on ne peut l'en séparer sans déchir
brale adjacente, qu'on ne peut l'en séparer sans déchirure. La couche cérébrale adjacente est d'ailleurs d'une couleur rougeâtre
e finissent presque toujours les apoplectiques, lorsque l'hémorrhagie cérébrale ne tue pas dans les premiers jours. L'étude des o
montre la ténuité de cette pellicule, et l'intégrité de la substance cérébrale sous-jacente. Une circonstance commune à toutes
te apoplexie existait presque toujours concurremment avec l'apoplexie cérébrale , et qu'il est par conséquent difficile de faire l
cerveau, soit qu'elles établissent l'identité absolue des apoplexies cérébrales et des apoplexies cérébelleuses sous le point de
ne prenait naissance dans le crâne et se continuait avec la substance cérébrale . Ce fait me paraît expliquer la timidité, je di
e la base de l'hémisphère droit. Elle occupait encore la grande fente cérébrale , la face inférieure de la protubérance, et s'étai
pparent. L'hémiplégie, ce caractère presque constant de l'hémorrhagie cérébrale , manquait complètement dans le cas actuel, ou , s
n une pulpe qui avait beaucoup d'analogie pour l'aspect avec la pulpe cérébrale , et cette pulpe, pénétrée de foyers de sang, avai
dans l'épaisseur du cerveau et adhérait à la pie-mère : la substance cérébrale ambiante avait subi, dans une grande étendue, un
ncéphaloïde me paraît avoir été développée aux dépens de la substance cérébrale avec laquelle elle se continuait sans kyste qui é
it molle, mais d'une mollesse bien supérieure à celle de la substance cérébrale ramollie qui l'environnait. Sa coupe présentait d
en effet qu'ici, comme dans tous les cas du même ordre, les accidens cérébraux tenaient, non point à la présence de la petite tu
ssement, ou plutôt une infiltration séreuse, dans lequel la substance cérébrale a perdu sa disposition linéaire et se convertit e
sanguins; ailleurs par une sorte de combinaison du sang avec le tissu cérébral . Cette altération était bornée à la substance gri
t des symptômes de l'apoplexie de la moelle et de ceux de l'apoplexie cérébrale . 3e liv., pl. vi, p. 4. — Apoplexie foudroyante d
fibreuse ramollie de l'utérus. 5e liv., pl. vi, p. 2. — Hé-morrhagie cérébrale spontanée de la couche optique avec communication
liv., pl. 1,11,p. 40.— Apoplexie de la protubérance et despédon cules cérébraux etcérébelleux. Apoplexie de la protubérance morte
ventricule seulement. 21e liv., pl. v, p. 2. — Apoplexie du pédoncule cérébral droit et de la moitié correspondante de la protub
— Apoplexie capillaire du cervelet. = Identité absolue des apoplexies cérébrales et cérébelleuses sous le point de vue de la séméi
uë. 38e liv., pl. v, p. 2. ARACHNOÏDE. Epaississement de l'arachnoïde cérébrale . 32e liv. pl. 1, 11, p. 45. ARITHMÉTIQUE. Le ca
. Différence entre l'atrophie et la solution de continuité des fibres cérébrales . 8e liv., pl. v, p. 2. — Divers modes d'atrophie
. 2e liv., pl. vi, p. 4. — Rapprochement des symptômes de l'apoplexie cérébrale et de ceux de l'apoplexie de la moelle épinière.
ité de sérosité. Induration et disposition rameuse de quelques fibres cérébrales . 5e liv., pl. iv, v, p. 2. — Idiotie par atrophie
eur du corps strié du même côté. 5e liv., pl. vi, p. 2. — Hémorrhagie cérébrale spontanée de la couche optique avec communication
. Différence entre l'atrophie et la solution de continuité des fibres cérébrales . Résultats différens de l'atrophie du cerveau par
, p. t.— Transformation celluleuse, atrophie avec induration du tissu cérébral , perte de substance, transformation d'une partie
v., pl. m, iv. p. 2. — Apoplexie de la protubérance et des pédoncules cérébraux et cérébelleux : Fréquence et variété de ces apop
ventricule seulement. 21e liv., pl. v, p. s.— Apoplexie du pédoncule cérébral droit et de la moitié correspondante de la protub
11, p. 4- — Cas de ramollissement rouge amarante des circonvolutions cérébrales . 32e liv., pl. 1,11,p. tô.—Ramollissement de la s
nt est borné à toutes les parties du cerveau qui répondent aux veines cérébrales enflammées. Phlébite de la veine iliaque primitiv
tre mois. Nouvelle hémiplégie. Mort. Deux tubercules dans la pie-mère cérébrale . Ramollissement de toutes les parties centrales d
tion attenante du corps strié. Cicatrice de deux foyers apoplectiques cérébraux , occupant la même région. Mort par engouement du
e la surface interne de la base du crâne. Pénétration de la substance cérébrale dans les érosions ou petites excavations accident
tre mois. Nouvelle hémiplégie. Mort. Deux tubercules dans la pie-mère cérébrale . Ramollissement de toutes les parties centrales d
. — Entérite folliculeuse pustuleuse ; correspondance des symptômes cérébraux délirans avec celle forme anatomique de phlegmasi
rtance des phénomènes hémiplégiques dans le diagnostic des affections cérébrales . 20e liv., pl. m, iv, p. y. — On s'attache trop à
té de sérosité ; induration et disposition rameuse de quelques fibres cérébrales . 5e liv., pl. iv, v, p. 2. — Difficulté de distin
3. — Entérite folliculeuse pustuleuse. Correspondance des symptômes cérébraux délirans avec celte forme anatomique de phlegmasi
mptômes de l'apoplexie de la moelle épinièreet de ceux de l'apoplexie cérébrale . 3e liv., pl .vi, p. A,— L'indépendance des diver
et induration de la moelle. Epaississemenl et densité de l'arachnoïde cérébrale . Mort de pneumonie. — Paraplégie avec rétraction
i ,p. 8. OTORRHÉE. Opinions de ItardetdeM. Lallemand sur l'otorrhée cérébrale . 33e liv.,pl. m,p. 2. OVAIRE. Maladies de l'ova
et induration de la moelle. Epaississement et densité de l'arachnoïde cérébrale . Mort de pneumonie. = Paraplégie avec rétraction
ion ; traitement. 35e liv., pl. v, p. 5. — Affinité entre la phlébite cérébrale et l'apoplexie capillaire. 36e liv., pl. i ,p. i.
nt est borné à toutes les parties du cerveau qui répondent aux veines cérébrales enflammées. Phlébite de la veine iliaque primitiv
ue finissent presque toujours les apoplectiques lorsque l'hémorrhagie cérébrale ne les tue pas dans Jeê premiers jours. 37e liv.,
e liv., pl. n, p. s. — Apoplexie de la protubérance et des pédoncules cérébraux et cérébelleux. 21e liv., pl. v,p. 2.—Apoplexie c
nt est borné à toutes les parties du cerveau qui répondent aux veines cérébrales enflammées. Phlébite de la veine iliaque primitiv
e la surface interne de la base du crâne. Pénétration de la substance cérébrale dans les érosions ou petites excavations accident
re mois ; nouvelle hémiplégie. Mort. Deux tubercules dans la pie-mère cérébrale . Ramollissement de toutes les parties centrales d
, pl. 1, p. — Preuves de la co-existence de l'inflammation des veines cérébrales avec un ramollissement apoplectique. 20e liv., pl
81 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
d'une lésion médullaire ne nous suffît plus. Il nous faut une lésion cérébrale , pour tout expliquer. S'agirait-il là d'une lésio
e porte pas sur la partie du tronc nerveux qui contourne le pédoncule cérébral , car une telle légion ne pourrait guère manquer d
ayant causé une plaie contuse du front du côté droit, sans commotion cérébrale , et des fractures des bras. En juillet 1889, M.
parties motrices de l'axe gris bulbo-médullaire, depuis le pédoncule cérébral jusqu'à la fin de la moelle lombaire. L'ophthalmo
ts à l'appui de sa thèse. C'étaient surtout des cas de ramollissement cérébral , lorsqu'il y avait eu une autopsie, et au point d
n partielle de dégénérescence du jambier antérieur. Pas de troubles cérébraux . Quelques sensations dysesthé-siques dans les pie
s membres du côté opposé). Il est produit par une lésion du pédoncule cérébral intéressant les fibres du moteur oculaire commun
devables d'une fort intéressante étude sur la pathologie du pédoncule cérébral \ Si je vous propose cette dénomination, c'est pa
ontrant qu'une lésion de la partie inférieure et interne du pédoncule cérébral produit un syndrome caractérisé par une paralysie
est bien démonstratif : un tubercule isolé siégeant dans le pédoncule cérébral gauche avait amené le syndrome clinique en questi
our toute altération encéphalique qu'une lésion ancienne du pédoncule cérébral . Dans ce cas 1res évidemment l'oculo-moteur commu
orté deux faits où l'autopsie fit voir un tubercule dans un pédoncule cérébral , alors que, du vivant des malades, on n'avait poi
i ions vous retiendrez ceci, qu'il y a certaines lésions du pédoncule cérébral (partie inférieure et interne) qui sont caractéri
nir l'analo-mie et d'étudier sommairement les rapports des pédoncules cérébraux avec la protubérance et les organes adjacents. Vo
ubérance et les organes adjacents. Vous savez que les deux pédoncules cérébraux émergent de la protubérance, s'écartent aussitôt
ts intrinsèques du pédoncule avec l'oculo-moteur commun. Le pédoncule cérébral est, vous le savez, un tractus complexe dont l'ét
la troisième paire droite résultant d'un ramollissement du pédon:ule cérébral droit. [Gazette méd. de Paris, n° 47, p. 585,1870
iques (1). Sommaire. — L'hémiplégique organique vulgaire par lésion cérébrale marche « en fauchant. » Observations de Todd. Exp
ntestablement hystérique, a fait considérer comme atteint de syphilis cérébrale . Chez notre second malade, l'hémiplégie, bien q
souvent impuissants moyens de traitement. XIX. Un cas de syphilis cérébrale héréditaire tardive (1). Sommaire. — Rôle de la
le diagnostic de l'hémiplégie syphilitique. Lésions de la syphilis cérébrale . Historique. Plaques gom-meuses des méninges: pac
ile de vous rappeler ici ce que fanatomie pathologique de la syphilis cérébrale enseigne en pareil cas. Règle générale, les lés
enseigne en pareil cas. Règle générale, les lésions de la syphilis cérébrale sont des lésions méningées, et, dans la majorité
rficielles en tout cas qui n'affectent d'abord la substance corticale cérébrale et les organes voisins que par irritation de vois
doutables, soit à un ramollissement plus ou moins profond de la pulpe cérébrale elle-même. Mais laissons pour aujourd'hui ces lés
intellectuels, l'amnésie par exemple. Et la théorie des localisations cérébrales trouve ici sa pleine application. Donc nous sup
, m'objecterez-vous, vous avez supposé assez gratuitement la syphilis cérébrale , la pachyméningite gomnieuse. Tout cela est fort
e; il y a pachyméningite gommeuse, et nous sommes menacés d'accidents cérébraux plus graves dont l'apparence clinique : aphasie,
ale qui doit se trouver à peu près régulièrement clans toute syphilis cérébrale . Voilà donc encore, en outre de la céphalée, un n
té m'ont paru intéressants à souligner. En effet, n'a pas la syphilis cérébrale qui veut. Quelques auteurs ont remarqué déjà que,
st un certain nombre qui sont par hérédité prédisposés aux affections cérébrales vulgaires. Notre cas vient évidemment à l'appui d
rnier, et moi, il y a près de quinze ans, à une époque où la syphilis cérébrale était encore dans les limbes, n'oublions jamais q
outer que cette lésion s'étende dans la profondeur, dans la substance cérébrale elle-même, et y détermine des hémiplégies désorma
à l'iodure les frictions mercu-rielles. Quand on parle de syphilis cérébrale en général, il ne faut pas thérapeutiquement se m
squelles elle était entrée à l'hôpital. Encore deux cas de syphilis cérébrale (I). Sommaire. — Variétés de la syphilis cérébr
cas de syphilis cérébrale (I). Sommaire. — Variétés de la syphilis cérébrale . Artérite syphilitique ; le ramollissement cérébr
s de la syphilis cérébrale. Artérite syphilitique ; le ramollissement cérébral vulgaire qui en est le résultat ; les lésions ain
ade de ce genre. Cécité verbale avec hémiopie et agraphie. Syphilis cérébrale par pachyméningite gommeuse. Epilepsie Jacksonnie
ns la précédente leçon, nous avons étudié ensemble un cas de syphilis cérébrale (2) qui vous a montré cette affection sous un asp
droit et n'ayant pas encore déterminé de lésion organique de l'écorce cérébrale de ces régions. En pareil cas, on (1) Leçon rec
aminer avec vous sont également, à mon avis, des exemples de syphilis cérébrale , mais le tableau est si différent dans les deux c
l'encéphale. C'est que, dans l'anatomie pathologique de la syphilis cérébrale que j'ai esquissée devant vous, mardi dernier, en
re est oblitérée : il se produit en aval une ischémie de la substance cérébrale dans les territoires irrigués par le vaisseau. Et
ar le point de fixation. Ainsi donc, ce sont l'écorce et le manteau cérébral qui ont souffert. D'abord, à un moment, toutes le
es accidents, allez-vous me dire, comme la conséquence de la syphilis cérébrale . Nous ne voyons-là que des méfaits vulgaires que
pas banal, un épisode qui ne se rencontre pas dans le ramollissement cérébral vulgaire. Évidemment, la syphilis était là présen
s savez. Laissez-moi vous dire cependant que toutes les hémiplégies cérébrales dans la syphilis n'ont ni cette signification ni
dans la connaissance approfondie des moindres indices de la syphilis cérébrale , si on veut épargner aux malades, qui viennent no
sclérose en plaques ( I ) ; Sommaire. — Formes classiques, spinale, cérébrale et cérébrospinale de la sclérose en plaques. Quel
ique et le tremblement intentionnel. Quant aux symptômes bulbaires et cérébraux , quelque complexes qu'ils soient en apparence, n'
disse-minées. Paris, 1869. Le fait n'est pas rare dans les tumeurs cérébrales . Eh bien, d'après M. Oppenheim, il en serait de m
Io La variété hémiplégique. — L'hémiplégie, sous forme d'hémiplégie cérébrale , n'est pas absolument étrangère à la sclérose mul
but s'est fait au milieu d'accidents comateux rapportés au rhumatisme cérébral et à juste titre, je crois. Il se pourrait cepend
origine, entremêlées avec les manifestations comateuses du rhumatisme cérébral , de façon à constituer une espèce d'état mixte. C
e articulaire aigu depuis douze jours, et chez laquelle des accidents cérébraux graves s'étaient déclarés depuis quelques heure
(1) Féréol. Note sur l'efficacité des bains froids dans le rhumatisme cérébral . (Soc. méd. des hôp., 8 juin 1877.) qui tenaien
s membres du côté opposé). Il est produit par une lésion du pédoncule cérébral intéressant les fibres du moteur oculaire commun
(Leçon). Sommaire. — L'hémiplégique organique vulgaire par lésion cérébrale marche « en fauchant. » Observations de Todd. Exp
c (de é.x.w, traîner) chez le second. 363 XIX. Un cas de syphilis cérébrale héréditaire tardive. (Leçon). Sommaire. — Rôl
le diagnostic de l'hémiplégie syphilitique. Lésions de la syphilis cérébrale . Historique. Plaques gom-meuses des méninges: pac
e. Pronostic..................370 XX. Encore deux cas de syphilis cérébrale . (Leçon). Sommaire. — Variétés de la syphilis
syphilis cérébrale. (Leçon). Sommaire. — Variétés de la syphilis cérébrale . Artérite syphilitique ; le ramollissement cérébr
s de la syphilis cérébrale. Artérite syphilitique ; le ramollissement cérébral vulgaire qui en est le résultat ; les lésions ain
ade de ce genre. Cécité verbale avec hémiopie et agraphie. Syphilis cérébrale par pachyméningite gommeuse. Epilepsie Jacksoni
rose en plaques. (Leçon). Sommaire. — Formes classiques, spinale, cérébrale et cérébrospinale de la sclérose en plaques. Quel
, 41 ; — dans les paralysies hystériques, 36. Artérite syphilitique cérébrale , 373, 386. Arthritisme et névropathie, 368. A
dans la scia-tique, 127, 169, 179. Névrite optique dans la syphilis cérébrale , 380. Nez : lésions du — dans la syphilis héréd
60 ; Chiro-mégalie dans la —, 359 ; — et aeromégalie, 358. Syphilis cérébrale , 380,385 ; — héréditaire tardive 370; — et hérédi
—, 385 ; Traitement de la —. 383, 395. Syphilis héréditaire tardive : cérébrale , 370; Atrophie choroï-dïenne dans la —,380; Lésio
82 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
30 PATHOLOGIE NERVEUSE. être y a-t-il un retard dans l'incitation cérébrale des muscles, et alors l'incoordination résulter
, mort à soixante-trois ans de fièvre typhoïde avec complications cérébrales , était sujet à des névralgies. - -Mère, actrice t
plus longtemps de ce côté, tandis que dans la paralysie d'origine cérébrale la fonction est égale des deux côtés. Ir OBSE
On ne trouve aucun signe de tabes, de paralysie générale, de tumeur cérébrale d'hystérie. 12 janvier. On a injecté sous la pe
e rapporte le cas d'un jeune homme qui, à la suite d'une congestion cérébrale vit survenir des sueurs du côté droit de la têt
fit donner une édu- cation très complète. Toutes ces acquisitions cérébrales se dissocièrent un jour, et après avoir inquiét
piration et de la circulation ; tout fait craindre une congestion cérébrale , une sorte d'apoplexie hystérique; d'autres ibis
mence POST- FÉBRILE. Remarques sur les fibres nerveuses de l'éeorce cérébrale ; par H. E31MINGHAUS. (Arch. f. Psych., XVII, 3.
ie. Artérite syphilitique de l'encéphale ayant déterminé une anémie cérébrale extrême et rien de plus. L'au- teur adopte la p
t s'effacer et 's'évanouissent souvent quand éclatent les symptômes cérébraux qui caractérisent la maladie confirmée. D'une f
éléments étiologiques de l'idiotie, de lutter contre les affections cérébrales de l'enfance dont l'idiotie^ est souvent la con
mités; ce n'est alors que plus tard que le diagnostic des accidents cérébraux apparaît indubi- table. Dans ces cas-là, il est
e que, étant donné ces diverses lésions spi- nales, les altérations cérébrales de la paralysie générale sont toujours itentiqu
). Contribution à l'anatomie pathologique de la paralysie infantile cérébrale . On ne connaît cette maladie que depuis vingt a
SAVANTES. croscope décèle une sclérose diffuse des circonvolutions cérébrales por- tant sur la substance blanche comme sur la
is ans. L'autopsie révèle une atrophie très accusée d'un hémisphère cérébral sans autre dégénéres- cence ; pas d'encéphalite
s le premier assaut, à décroître, tandis que la paralysie infantile cérébrale tend à progresser. M. le Docent Enrcessen (de F
as, absence absolue de toute altération manifeste de la substance cérébrale , mais en revanche, l'artère sylvienne gauche et c
quel qu'en ait été le mode d'évolution ultérieur, dans les artères cérébrales . M. le Dr von HOFF3fAIN (de Bade). Sur un cas d
J.-B. Baillière et fils. , HEBZEN (A.). Le cerveau et l'activité cérébrale , au point de vue psycho-physiologique. Volume i
sposition variable correspond à des airs différents. Dans le groupe cérébral cortical serait le ressort qu'il suffit de dépl
u'au lieu de commander soit la station, soit la marche, le groupe cérébral puisse mettre en jeu les groupes cel- lulaires
qui la contient quand on la touche ; mais ce n'est pas là un acte cérébral , car si on réchauffe l'eau, la grenouille se la
n du petit nombre de fibres nerveuses qui subsis- taient, un centre cérébral organisé pour la marchen'au- rait pas disposé d
coma après avoir présenté tous les symptômes d'une hé- morrhagie cérébrale . Nous constatâmes avec du myosis de chaque côté
le. Elles seraient produites soit par la lésion directe de l'écorce cérébrale , soit par retentissement sur les centres bulbai
phie cérébelleuse. - Anomalies des circonvolutions et des scissures cérébrales . Gr... (Martial-Auguste), né le 21 mai 1867, es
icile de se prononcer. Les lésions portent surtout sur l'hémisphère cérébral droit dont certaines circonvolu- tions des lobe
ignorons s'il était procursif. Les circonvolutions et les scissures cérébrales étaient très anormales; à gauche la scissure pe
puis fièvre typhoïde et pneu- monie. Rougeole ci quatre Accitieizis cérébraux deux aux. - . Scw'latine, premier accès ci dix
Jakson, etc., ont attribué l'automatisme à l'épuisement des centres cérébraux supérieurs par la décharge, et à la perte tempo
y aurait au début de la maladie une stase dans ! tous les vaisseaux cérébraux , avec exsudation séreuse qui\ amène le ramollis
ent très tardive- ment, ce qui empêche l'agrandissement des cavités cérébrales , contrairement à ce qui se passe dans la paraly
gymnastique insuffisante. En résumé, la Catatonie est une maladie cérébrale à marche 1 changeant d'une façon cyclique, de t
iée à des restes de méningite ; 2° une autre liée à de l'arzé-m mie cérébrale comme on le voit en clinique d'après l'amélio-
ie marchant parallèlement à celle de l'état général. Enfin l'oedème cérébral décrit par Etoc-Demazy3 serait une troisième fo
toute autre chose qu'à une atta- que d'hystérie : à une hémorrhagie cérébrale , à une at- taque apoplectiforme dans le cours d
t, il n'existe aucune adhérence pathologique. Les circonvolutions cérébrales sont remarquablement dévelop- pées et saines. L
lade paraît plongé dans un véritable état apoplectique d'origine cérébrale , d'autant plus, qu'au sortir du coma, le sujet co
et si nous songeons à la gravité extrême de l'apoplexie d'origine cérébrale , gravité aussi immédiate qu'ultérieure, il devien
stérique, dynamique, ou bien est-il sous la dépendance d'une lésion cérébrale : hémorrhagie, ramollissement, tu- meur, attaqu
être fatale à bref délai. Dans la première période de l'hémorrhagie cérébrale , la tem- pérature descend au-dessous de la norm
les hémianesthé- sies sensitivo-sensorielles à la suite de lésions cérébrales sont extrêmement rares ; elles tendent de jour
es ataxiques, chez des hémiplégiques hémi- anesthésiques par lésion cérébrale . M. Grasset2 a rapporté également un cas de mêm
s effets de la faradisation cutanée dans l'hémianesthésie d'origine cérébrale . (A¡'cltives de physiologie, t. VIII, 1876, p. 76
ontinues. Parce point, il ressemblait à un malade affecté de tumeur cérébrale . Les symptômes contraires à l'idée d'une paraly
érébelleuse trouble ne se détache qu'en petits morceaux. Hémisphère cérébral gauche, dépourvu de consistance dans les région
dmettre encore qu'il y avait eu oblitération simultanée de l'artère cérébrale postérieure et de l'artère du corps calleux, ca
un homme atteint d'alcoolisme chronique, chez lequel des lésions cérébrales définitives ont compromis l'intégrité de l'orga
st diminuée par les conditions d'infériorité de leur organisa- tion cérébrale . Elle ne saurait disparaître tout entière, surtou
des enfants qui ne sont guère mieux partagés qu'eux sous le rapport cérébral , bien souvent. Ce sont avant tout des infirmes
de même pour les épileptiques adultes qui sont atteints d'infirmité cérébrale , d'affaiblissement intellectuel, qui les met en
t-on pas eu la sagesse de faire ainsi pour certains cas d'apoplexie cérébrale , dite nerveuse, dont l'obscurité n'a porté aucu
rité n'a porté aucune atteinte à ce que l'histoire de l'hémorrhagie cérébrale ou du ramollissement renfermait d'enseignements
essemble plus à l'état apoplectique causé par une vaste hémorrhagie cérébrale , que l'état malades atteints de paralysie génér
sies de la septième paire placées sous la dépendance de la syphilis cérébrale , celles qui peu- vent être occasionnées par un
ace est également indépendante de la syphilis, car dans la syphilis cérébrale ,, si le facial vient à être touché, la paralysi
Antécédents héréditaires. Grand-père paternel, mort d'hémorrhagie cérébrale ; père arthritique, a souvent des poussées d'eczém
ssez longuement et suivi d'autopsie ayant montré, outre des lésions cérébrales plus ou moins disséminées, une lésion cérébelle
lobe cérébelleux gauche;-inégalité de poids entre les hémisphères cérébraux et entre les hémisphères cérébelleux. Duch... (
e-neuf ans, cocher, assez corpulent, aurait eu en 1867 une « fièvre cérébrale » 1 ; n'aurait jamais fait d'excès de boisson ;
o-rachidien. Les artères de la base sont symétriques; toutefois, la cérébrale postérieure paraît un peu plus volumineuse à dr
droite. Les tuber- cules mamillaires sont symétriques. La pie-mère cérébrale est très notablement hypérémiée; elle a une col
frontaux (face interne), la décortication est facile. Le pédoncule cérébral gauche paraît plus petit que le droit; il en es
ale. On ne constate pas de lésions macroscopiques des hémisphères cérébraux . Les ventricules latéraux et les cornes d'Ammon n
DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. 389 Encéphale, 1,300'gr. L'hémisphère cérébral droit pèse 25 gr. .. de plus que le gauche. Cer
i se sont développés à la suite d'un état de mai'. 1 L'hémisphère cérébral droit ne présente que quelques anomalies- de pe
ses scissures. On peut le considérer comme normal. Il hémisphère cérébral gauche, qui pèse 25 grammes de moins que le dro
appliquions toujours la muselière. Balancement d'un chien et anémie cérébrale absolue. - Nous avons balancé un chien, qui p
es conditions. 4o. PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. provoquer l'anémie cérébrale . Pendant le balance- ment nous avons voulu étud
le balance- ment nous avons voulu étudier l'influence de l'anémie cérébrale sur ce chien. La respiration est devenue plus a
uentes. - Sur un chien chez lequel nous avons arrêté la circulation cérébrale par la compression des carotides et vertébrales
eut décrire, Kalhbaum fait de la verbigération une crampe du centre cérébral des organes de la parole; il en serait de même
soin d'invoquer pour cela une crampe coordonnée de certains centres cérébraux . Un exemple bien connu est celui du gémisseU1',
rien qui doive surprendre. Ne sait-on pas, en effet, que le travail cérébral peut parfois déterminer l'apparition du sucre d
chez lesquels le niveau mental a notablement baissé, leur activité cérébrale se borne à ressasser quelques conceptions déliran
secondaires, c'est qu'il n'y en a pas. ,,1. WESTPIIAL. Les tumeurs cérébrales ne peuvent servir à l'étude des localisations c
es tumeurs cérébrales ne peuvent servir à l'étude des localisations cérébrales ; quand le microscope ne decèle pas de lésions s
malformations crâniennes qui sont sous la dépendance des anomalies cérébrales . Les causes de ces anomalies sont une lepto-mén
iode qu'on n'en voit plus de traces et que l'arrêt de développement cérébral qu'ils ont déterminé soit à la naissance le seu
V. Leçons sur les fonctions motrices du cerveau et sur l'épilepsie cérébrale ; par le Dr François FRANCS, professeur suppléant
des physiologiques modernes, la grande question des locali- sations cérébrales . Les matériaux qui ont servi à la rédaction de
e par tous ceux qui s'intéressent à la physiologie et la pathologie cérébrales . Le plan en est facile à saisir : la première p
hysiologiques an- térieures ; puis il expose la topographie motrice cérébrale , d'après la méthode des excitations. Une note i
n documents précieux, à l'opposé de ce qui concerne les excitations cérébrales . Les troubles moteurs consécutifs aux lésions e
et alors on entre de plein pied dans le domaine de la pathologie cérébrale . Il expose l'état actuel de la question, tel qu'i
s du centre ovale qui correspondent à ces deux portions de l'écorce cérébrale . La seconde partie de ce volume est consacrée,
ies qui traitent : la première de l'excitabilité propre de l'écorce cérébrale , la seconde de la nature fonctionnelle des régi
tteint. Cette notion est acceptée sans contrôle en raison de l'état cérébral que nous avons dit, et il en résulte la suppres-
it, et il en résulte la suppres- sion de toutes les représentations cérébrales motrices relatives au membre. Le chapitre consa
83 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
fs on pouvait aussi, dans notre observation II, penser à une lésion cérébrale affectant le type clinique de l'hémiplégie spas
ÊTRIÈRE. savoir le jeune âge du sujet, la participation de l'écorce cérébrale aux lésions et enfin, le laps de temps nécessai
ment raisonnable de rapporter à des lésions irritatives de l'écorce cérébrale . A ces lésions irritatives auraient succédé des
contracture. N'est-ce pas ta le processus classique de toute lésion cérébrale qui s'accom- pagne de dégénérescence du faiscea
eur d'une lésion dyna- mique que d'une lésion organique de l'écorce cérébrale . Impossible de nier la part d'influence du trau
la part d'influence du traumatisme, peut-être même de la commotion cérébrale dans l'apparition des accidents ; mais cela suffi
s un travail déjà cité sur « les localisations motrices de l'écorce cérébrale ». Ils y ajoutent encore celle-ci, c'est que le
qui avait cru à une épilepsie vraie ou sympto- matique d'une tumeur cérébrale . Dans le deuxième, il s'agissait seulement d'un
e. Observation V. Période épileptoïde faisant croire à une tumeur cérébrale dans un cas d'Itstéro- épilepsie. Charcot (Leço
e sont pas suivis de paralysies, si enfin il n'y a pas de déchéance cérébrale et vitale. Nous regrettons de ne pouvoir reprod
ui est en cause dans la paralysie spinale infantile et non l'écorce cérébrale . Reste donc l'origine hystérique que viennent e
mparfaitement avec l'idée d'une hémiplégie par atrophie ou sclérose cérébrale . Ce n'est pas ainsi, nous l'avons vu plus haut, q
oit, l'absence de toute paralysie consécutive et de toute déchéance cérébrale ou vitale. b). Contractures. Dans quelles c
es peuvent-elles être rapportées à des lésions limitées de l'écorce cérébrale ? Ces conditions sont évidemment très restreint
infantile avec des lésions plutôt étendues que limitées de l'écorce cérébrale , et il s'ensuit une dégénérescence totale du fais
epsie partielle (1). En résumé, une lésion circonscrite de l'écorce cérébrale peut provoquer des contractures partielles de d
res hystériques pouvant simuler les maladies organiques de l'écorce cérébrale . Les faits qui i pourraient nous intéresser son
icable aux paralysies partielles par lésions limi- tées de l'écorce cérébrale . Car, si nous avons pu distinguer, pour les be-
hysiologie pathologique tendent en effet à distinguer dans l'écorce cérébrale autant de centres dif- férents qu'il y a de mém
isme hystérique d'origine traumatique. Observation XIV. Commotion cérébrale . Mutisme hystérique. Guérison instantanée (de Clo
est le rapport anatomi- que en avant et en haut avec les pédoncules cérébraux qui émergent de sa partie supérieure, en bas et
u'il s'agit de délimiter exactement les centres visuels de l'écorce cérébrale : Ferrier les localise uniquement dans le pli cou
es trous optiques avant de songer à une lésion possible de l'écorce cérébrale . Ce qui n'est pas très rare en clinique, c'est
'hypertrophie du coeur ne compliquait que quelques cas d'hémiplégie cérébrale dans ma pratique. J'ai appris qu'elle est une con
faut alors reculer un peu le rhéophore. S'il s'agit de l'hémiplégie cérébrale je pose les rhéophores du côté de l'hémisphère
nctives et à des lésions vasculaires. Ce sont surtout les lésions cérébrales de cette nature qui ont attiré l'at- tention ;
t- tention ; et, relativement aux nombreux travaux dont la syphilis cérébrale (1) Ce mémoire a été présenté au concours des h
du tronc. Les membres supérieurs sont indemnes. Pas de phénomènes cérébraux : rien dans les yeux, les réflexes pupillaires
ues d'Adamuck, de Beaunis et surtout de Knies. Enfin, dans l'écorce cérébrale , existent vraisemblable- ment d'autres centres
s sont disséminées d'une façon irrégulière sur les deux hémisphères cérébraux . Celle première distinction a son importance ; el
ANTS 11l des cas décrits par M. Jules Simon sous le nom de sclérose cérébrale chez les enfants. A part une question de mots,
à admettre dans la moelle un processus identique au ramollissement cérébral par thrombose artérielle (1.) Toutefois le régi
ns vasculaires. Dès qu'Heubner eut dé- crit l'artérite syphilitique cérébrale (1874) la discussion s'est immédiate- ment enga
nges sont sai- nes, la pie-mère se détache facilement de la surface cérébrale Le cerveau est normal à la surface et sur les c
otale des fonctions psychiques, produite par l'atrophie de l'écorce cérébrale (Kraft-Ebing). L'expression de la physionomie d
moteur, tire son innervation d'une autre source encore, de l'écorce cérébrale par exem- ple, directement ou bien par l'entrem
dépendance où se trouve l'innervation mimique vis-à-vis de l'écorce cérébrale , ressort de la corrélation intime qui existe entr
le indirectement ou directement des troubles qui affectent l'écorce cérébrale . Cette conclusion fondée sur les faits clinique
cé- rébrale. Enfin, pour ce qui est des altérations dans l'écorce cérébrale dans la démence, il faut, selon toutes probabil
carie syphilitique des os du crâne peut se propager à la dure-mère cérébrale . Bien que ces altérations rachidiennes aient atti
avec participation delà vessie; ictus répétés, quelques trou- bles cérébraux (perte de mémoire, lenteur de parole) raideur de
yant contracté la syphilis 7 ans auparavant, présente des accidents cérébraux , puis une pa- raplégie qui l'emporte en quelque
n connues, qui précèdent d'ailleurs souvent aussi les complications cérébrales . Voici alors comment les accidents se succèdent
es caractères classiques des céphalées spécifiques. Des symp- tômes cérébraux tantôt légers, tantôt graves se montrent en même
aissent être en relation avec une poussée de méningite syphilitique cérébrale localisée a la base principalement. Mais voici
re, celle qui doit nous occuper tout spécialement ici. Les troubles cérébraux graves ont disparu ou à peu près ; les douleurs
et dont les différentes étapes peuvent se résumer ainsi : méningite cérébrale - méningite cé- rébro-spinale syphilitique, mén
geance de M. le ])1' Gilles de la Tourelle). Accidents de méningite cérébrale syphilitique survenus dans le cours de la pre-
aplégie spinale persiste. Cystite purulente. Par deux fois troubles cérébraux congestifs subits. Douleurs en cein- ture. La
vec participation des sphincters. Disparition de tous les accidents cérébraux . W... 41 ans, israélite, représentant de commer
p, sans préparation, il eut, à l'âge de 19 ans, une sorte d'absence cérébrale , suivie d'une faiblesse très grande dans les memb
ns les cas de ce genre, une ana- logie complète entre les accidents cérébraux et ce qui'se passe du côté de la moelle épinièr
ent la participation du tissu nerveux. Toutefois ici, les symptômes cérébraux du début peuvent être relative- ment bénins, di
nte atteint d'une paraplégie spasmodique, sans le moindre phénomène cérébral en apparence. Mais l'examen des yeux fait décou
is, rigidité modérée des muscles aux membres inférieurs. Phénomènes cérébraux légers et transitoires. - Iné- galité pupillair
moelle, par analogie avec ce qui se produit dans le ramollissement cérébral . Notre observation I en est un exemple. Nous av
pécifique de ces paraplégies : ne sait-on pas que le ramollissement cérébral par artérite syphilitique ne se différencie en
rien au point de vue symptomatique de n'importe quel ramollissement cérébral par thrombrose artériel le ? et n'est- il pas b
côté des membres supé- rieurs, des nerfs crâniens ou des fonctions cérébrales . Enfin l'affection présente une tendance très m
ce génitale et persistance des troubles vésicaux. Pas de phénomènes cérébraux . CIIaf... A. 3 ans, graveur sur acier, se prése
éflexes aux membres supérieurs. Disparition de tous les acci- dents cérébraux . Coexistence de lésions syphilitiques cutanées.
nt la nuit seulement. Au bout d'une dizaine de jours, les accidents cérébraux devinrent très sérieux : il eut du délire nuit et
baire, paraplégie spasmodique. A elle seule l'existence d'accidents cérébraux à un moment donné de la maladie, et principalem
spinale s'accompagne pour ainsi dire presque toujours de symptômes cérébraux . C'est avant tout, dit-il, une maladie cérébro-
C'est avant tout, dit-il, une maladie cérébro-spinale. Les troubles cérébraux en question peuvent d'ailleurs être très variés
passa- gers, etc. Réciproquement on pourrait dire que la syphilis cérébrale s'accompagne, dans un très grand nombre de cas,
prédominance des localisations, tel malade appartiendra la syphilis cérébrale , tel autre à la syphilis cérébro- spinale, ou à
psie les plus rigoureu- ses prises dès le début. ' Aucun symptôme cérébral n'a été noté pendant cette maladie. Jusqu'à la fi
apparition et dans leur évo- lution ultérieure, avec les paralysies cérébrales de même nature, qui sont dues à des thromboses
s au moins, les altérations médullaires observées au ramollissement cérébral par thrombose. V. En ce qui concerne les caract
en une rachialgie qui rappelle parfois les céphalées de la syphilis cérébrale , ainsi que l'a montré M. le professeur Charcot;
d'obser- ver à cette période, et souvent a son début, des accidents cérébraux plus ou moins graves, céphalées, paralysies ocu
ut de la période prodromique, et sur la coexistence de phé- nomènes cérébraux dans le passé ou dans le présent. VII. Dans que
lir pour l'une et l'autre forme un lien réciproque entre la maladie cérébrale et la lésion des articulations. Au point de vue
ntrecroiser les grandes puissances intellectuelles et les débilités cérébrales . A côlé de cette hérédité de race, il faut placer
s'y abandonnera tout entier et la suivra jusqu'à ce que' la fatigue cérébrale l'en empêche. Or, cette fatigue n'est pas longue
84 (1934) Oeuvre scientifique
hode en sémiologie ; la sémiologie; les tumeurs et les compressions cérébrales ; les affections non pyramidales ; les affection
mer l'existence d'une lésion organique intra-crânienne, d'un oedème cérébral , trouble ordinairement lié à un néoplasme, auri
relèverai en 16 LA MÉTHODE EN SÉMIOLOGIE particulier la syphilis cérébrale , les diverses néoplasies intracrâniennes, les a
inte d'hémiplégie organique gauche due à une lésion de l'hémisphère cérébral droit, remontant à trois ans ; la paralysie occ
s prononcé dans les cas de ce genre que dans l'hémiplégie d'origine cérébrale . Ce signe peut exister aussi dans certaines par
nt; il n'est guère causé que par des lésions siégeant dans l'écorce cérébrale ou immédiatement au-dessous; en effet, sauf dan
ération des réflexes tendineux dans ses relations avec l'hémiplégie cérébrale organique. Voyons d'abord la variété la plus co
Considérons maintenant une hémiplégie organique due à une lésion cérébrale qui exerce sur le système pyramidal une action pe
plus communs que les précédents. Je rappelle que, dans l'hémiplégie cérébrale déterminée par une lésion en foyer atteignant la
la paraplégie spastique d'Erb. Dans l'hémiplégie vulgaire d'origine cérébrale la contracture apparaît ordinairement quand l'e
anique de l'encéphale chez un individu dont le coeur et les artères cérébrales sont altérés ; l'igno- rance de cette notion a
cardiaques, plus spécialement le rétrécissement mitral, l'artérite cérébrale et plus particulièrement l'artérite syphilitique
ermet pas d'écarter l'hypothèse de ramollis- sement ou d'hémorragie cérébrale et que, d'autre part, ainsi que le simple bon s
émiplégie vulgaire, celle qui est liée à une altération de l'écorce cérébrale , du centre ovale ou de la capsule interne. Il e
rouble mental que j'ai eu l'occasion j d'observer dans l'hémiplégie cérébrale , et qui consiste dans ce fait F que les malades
ques où ils ont été l'objet de travaux spéciaux : dans l'hémiplégie cérébrale , dans l'hémiplégie spinale ou syn- drome de Bro
ertains cas patho- logiques, chez les malades atteints d'hémiplégie cérébrale organique, la même manoeuvre donne lieu à une s
ck, plus ' accentués dans les lésions spinales que dans les lésions cérébrales , ce qui tient peut-être en partie à ce que d'or
r ces faits de paraplégie à début brusque avec les cas d'hémiplégie cérébrale succédant à un ictus apoplectique. Souvent, dès
réflexes de défense parait donc bien plus précoce dans l'hémiplégie cérébrale vulgaire que dans la paraplégie spinale à début
, à une période plus avancée des RÉFLEXES DE DÉFENSE 1/13 lésions cérébrales et spinales. Dans les affections spinales occupan
côté, la réflectivité se comporte peut-être comme dans l'hémiplégie cérébrale . J'ai rapporté un cas d'hémiplégie spinale avec a
1\AI. I O r{¡6 SÉMIOLOGIE réflexe(') » a décrit dans l'hémiplégie cérébrale des réactions motrices réflexes et a eu surtout
ade de lésions mésocéphaliques, mais sim- plement une double lésion cérébrale . La suppression de l'influence des centres méso
) ; une simple lésion destructive suffit, en supprimant l'influence cérébrale . » A ce sujet, je rappellerai que dans mon trav
ravail ultérieur, « Automatisme et hyperalgésie dans l'hémi- plégie cérébrale » (2), nous avons relaté les faits suivants : che
ux ordres de réactions ('). (') Dans l'hémiplégie liée à une lésion cérébrale , on peut observer des phénomènes ayant des ana-
s deux côtés le Hahnen- tritt. Du côté correspondant à l'altération cérébrale , dans la patte anté-' 0 rieure droite, ce troub
e tenant en équilibre. Il résulte de cette expérience que la lésion cérébrale accentue les troubles qui s'étaient atténués et
e les altérations habituelles, une lésion bilatérale des pédoncules cérébraux . Or, dans ce fait, « les troubles de l'équilibr
tion galvanique localisée. T il U / S lli' 111 E PA R TIE TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES TUMEURS CÉRÉBRAL
il U / S lli' 111 E PA R TIE TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES TUMEURS CÉRÉBRALES TUMEUR DU CORPS PITUITAIRE
A R TIE TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES TUMEURS CÉRÉBRALES TUMEUR DU CORPS PITUITAIRE SANS ACROMéGALIE E
. Meige). Ce néoplasme a été examiné histologiquement 234 TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES par M. Onanoff, qui
é examiné histologiquement 234 TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES par M. Onanoff, qui a fait de cette étude l'obj
le volet osseux de façon à éviter toute compression de la substance cérébrale et la peau est suturée par-dessus le cerveau. E
à cette disposition que les troubles oculaires étaient 238 TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CEREBRALES restés bénins. La ma
a saignée dans l'urémie, dont l'aspect symptomatique, dans sa forme cérébrale , a des analogies avec le tableau symptomatique
symptomatique des néoplasmes intra-crâniens. La théorie de l'oedème cérébral , dans l'urémie, actuellement peu en faveur, ne co
a ponction rachi- dienne chez des malades atteints d'urémie à forme cérébrale . TROIS CAS DE GLIOMATOSE CÉRÉBRALE ? ) (DISCU
é de Neurologie, séance du 7 février igoi. III DEUX CAS DE TUMEUR CÉRÉBRALE DU LOBE FRONTAL [J. BABINSKI.] . Publié dans
oins intéressants. Je vais relater brièvement deux cas de néoplasme cérébral où le diagnos- tic, exact en partie, n'avait pu
es régions sus et sous-orbitaires, surtout à gauche. j'io TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES Le malade entre dans
bitaires, surtout à gauche. j'io TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES Le malade entre dans mon service à la Pitié le
vision, ne présente aucune véritable perturbation. .CAS DE TUMEUR CÉRÉBRALE DU LOBE FRONTAL 241 Il n'y a pas de vertiges, p
inance ; la céphalée avait toujours été n»t>sd. iü 242 TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES limitée à la région
toujours été n»t>sd. iü 242 TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES limitée à la région frontale. L'examen post mor
Serait-il possible de l'éviter dans un cas ana- logue ? La ponction cérébrale , suivant la méthode de Neisser, serait peut- êt
u côté où le néoplasme s'était développé. TRÉPANATION POUR TUMEUR CÉRÉBRALE . ABLATION DE LA TUMEUR. GRANDE AMÉLIORATION ? )
que possible les malades qui présentent un syndrome d'hypertension cérébrale ; ce fait vient à l'appui de son opinion. , , .
été de Neurologie de Paris, séance du 2 juillet igo8. . a44 TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES M. Weill a pratiqué
séance du 2 juillet igo8. . a44 TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES M. Weill a pratiqué l'examen du larynx et l'a t
quement sains. Hémisphère gauche : Au niveau des bords de la hernie cérébrale qui fait saillie de plus d'un travers du doigt
tes trois complètement indépendantes de la dure-mère et de l'écorce cérébrale qu'elles refoulent, paraissent développées dans l
sont appendues les tumeurs paraît ainsi d'un tiers plus 246 TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES large que l'hémisphè
paraît ainsi d'un tiers plus 246 TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES large que l'hémisphère gauche qu'il refoule. Ce
vril 1.9 1 o. On sait que dans la grande majorité des cas de tumeur cérébrale la O crâniectomie constitue le seul moyen curat
tion très utile s'il s'agit d'une néoplasie progressive 248 TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES devant entraîner la
d'une néoplasie progressive 248 TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES devant entraîner la mort, car elle rend support
encore plus vrai pour ce qui concerne ces faits de « pseudo- tumeur cérébrale » ou l'oedème peut rétrograder et disparaître apr
nts : des malades présentant les symp- tômes essentiels des tumeurs cérébrales : de la céphalée intense, des vomissements, de
dire que les dangers de cette interven- tion dans les cas de tumeur cérébrale me semblent avoir été considéra- blement exagér
ception- nels, si l'on tient compte du grand nombre de cas d'oedème cérébral où la rachicenthèse a été pratiquée : d'ailleur
tifs, tels que des douleurs et un amoindris- sement de la puissance cérébrale , que l'on attribue à la neurasthénie. C'est là
intra-cràniennes (Annales d'ocolistiquc, juillet 1907). 250 TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES cure iodurée. Si, ap
'ocolistiquc, juillet 1907). 250 TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES cure iodurée. Si, après avoir soumis un malade
xpose alors à la cécité et qu'en prenant en bloc les faits d'oedème cérébral , la disparition de la stase papil- laire sous l
'une opération faite en un autre lieu sont les suivants : la hernie cérébrale qui se forme ordinairement après l'incision de
à faire disparaitre la céphalée et les divers troubles que l'oedème cérébral avait produits ; on a publié des faits de ce ge
testable que les inconvénients de l'ouverture crânienne 252 TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES sont moindres si la
nts de l'ouverture crânienne 252 TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES sont moindres si la dure-mère n'est pas intéres
ème temps, à l'incision de la dure-mère qui est suivie d'une hernie cérébrale plus ou moins grande et qui, parfois, prend un dé
rs c'est grâce à ce phénomène que les dangers imminents de l'oedème cérébral sont partiellement conjurés. En résumé, les s
ébitée en tranches minces par des coupes perpendiculaires à la tige cérébrale ; ces tranches ont été imprégnées d'acide osmiqu
r aussi dans des cas de tumeur intra-crânienne accompagnée d'oedème cérébral et d'hyperten- sion du liquide céphalo-rachidie
llant du tableau sympto- matique et peut donner l'idée d'une lésion cérébrale en foyer. 8" Des plaques de sclérose disséminée
ippe et li. Cestan. Société de Biologie, an. 97, p. 1080. 3° Tumeur cérébrale , comprimant la zone rolandique gauche; hémiplégie
publié il y a sept ans(') m'avaient en effet appris que les tumeurs cérébrales étaient capables de produire des para- lysies a
appelés en consultation, sont d'avis que le diagnostic de néoplasme cérébral est peu vraisemblable, en raison de l'absence d
avec une diminution de 'acuité visuelle. Le diagnostic de tumeur cérébrale me paraissant devoir s'imposer, après la consta
grande facilité, car cette tumeur n'adhère nullement à la substance cérébrale . La tumeur pèse 31o grammes('). Immédiatement a
comprimant la région psycho-motrice sans pénétrer dans la substance cérébrale . Au point de vue thérapeutique nous avons subi
P1R : 11LL;GICS - AFFECTIONS DE LA MOELLE Mon diagnostic de tumeur cérébrale avait été mis en doute au début à cause de l'ab
atteindre un poids de plus de 3oo grammes, donner lieu à un oedème cérébral et à une névrite optique intense sans provoquer d
ent, l'absence de céphalée ne permet pas d'écarter l'idée de tumeur cérébrale . J'avais fondé en partie mon diagnostic sur les
ais été ainsi amené à admettre l'existence d'une simple compression cérébrale par tumeur. J'avais d'ailleurs observé déjà des
pait le territoire correspondant exactement à la région de l'écorce cérébrale dont la perturbation était décelée par l'aphasi
èse de tumeur PARALYSIE PAR COMPRESSION DU FAISCEAU PYRAMIDAL 3 ? cérébrale acceptable, cette forme de paralysie constitue un
ires et ganglionnaires du sympathique pouvant dépendre d'une lésion cérébrale ou médullaire, comme d'une irritation périphéri
t à cette névrite. Parinaud a observé l'association de phénomènes cérébraux ou de phénomènes bulbaires (hémiplégie, paralys
uivent sur le bulbe, la protubérance, le cervelet et les pédoncules cérébraux , formant une couche blanchâtre qui englobe les va
de la base englobant le bulbe B., la protubérance Po., les pédoncules cérébraux P., le cervelet, les origines des nerfs crânien
ar exemple, à un neurasthénique, qui, alarmé de son affaiblissement cérébral , est tourmenté par de sombres pensées, des idées
a nécessité l'adjonction d'autres moyens, en particulier d'un repos cérébral plus ou moins prolongé. Tout ce qui précède s'a
onoplégie est hystérique ; en effet, si elle dépendait d'une lésion cérébrale , le membre devrait être contracturé et les réfl
ychose appartenant au groupe des maladies mentales par insuffisance cérébrale ; elle est surtout carac- térisée par des sympt
ait affaire à un neurasthénique qui, alarmé de son affaiblissement cérébral , est tour- () Voir : Hypnotisme cl hystérie. Du
a nécessité l'adjonction d'autres moyens, en particulier d'un repos cérébral pins ou moins prolongé. Ce qui précède s'appliq
cette propriété constitue un caractère qui distingue la syphi- lis cérébrale des autres maladies organiques de l'encéphale ; o
Je soutiens depuis longtemps que l'hémiplégie organique par lésion cérébrale et la paraplégie par lésion spinale se manifesten
ggestion dont il est l'objet, sorte d'exer- cices d'assouplissement cérébral , lui montrent que son médecin est capable de pa
des hématémèses, du meloena, des hématuries et même des hémorragies cérébrales hystéri- ques ? On se trouvait, par exemple,. e
les crises hystériques de celles que réalisent parfois des lésions cérébrales authentiques. Ces troubles sensitifs étaient co
la compres- sion intra-crânienne (Obs. VII). Dans le cas de tumeur cérébrale , les résultats de la ponction lombaire ne peuve
quelconque (Obs. VIII). Chez plusieurs malades atteints de tumeur cérébrale , que nous avons observés à l'hôpital dela Pitié
connaissances médicales, ig et 26 octobre 1882). 2. Ramollissement cérébral (Bulletins de la Société anatomique, 2 mars 1883)
èse, Paris, 1885, chez Masson). 14. Atrophie musculaire d'origine cérébrale avec intégrité des cornes antérieures de la moe
A propos de la communication de M. Ballet sur trois cas de gliomatose cérébrale (Id.). 7o. Hémiasynergie avec hémitremblement
de Médecine, mars 1907). 136. Sur la rachicentèse dans les tumeurs cérébrales (Société de Neurologie, 2 mai 190'7). 137. Ré
es trophiques attribués à l'hystérie (Id.). 15g. Deux cas de tumeur cérébrale (Id., 4 mars igog). t6o. Deux cas de tumeur cér
cas de tumeur cérébrale (Id., 4 mars igog). t6o. Deux cas de tumeur cérébrale du lobe frontal (Id., 6 mai 1909). 161. Quelque
cale des Hôpitaux, 3o juillet igog). , IG4. Trépanation pour tumeur cérébrale . Ablation de la tumeur. Grande amélioration (en
d.). 170. Utilité de la craniectomie décompressive dans les tumeurs cérébrales (Leçon faite à la Pitié. Jouanal de Médecine el
du liquide céphalo-rachidien au cours du ramollissement del'écorce cérébrale (en collaboration avec Gendron. Société médicale
). 269. Hyperalgésie et réactions hyperalgésiques dans l'hémiplégie cérébrale (en colla- boration avec Jarkowski. Société de
2 février 1922). 270. Automatisme et Hyperalgésie dans l'hémiplégie cérébrale (en collaboration avec Jarl;owsl;i. Société de
ntribution à l'étude des troubles mentaux dans l'hémiplégie organique cérébrale (Anosognosie) .... , ................ 112 2 V
anticipée des secousses faradiques 224 TROISIÈME PARTIE - TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES . Tumeurs cérébrales
adiques 224 TROISIÈME PARTIE - TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES . Tumeurs cérébrales. I. Tumeur du corps pitu
PARTIE - TUMEURS CÉRÉBRALES ET COMPRESSIONS CÉRÉBRALES . Tumeurs cérébrales . I. Tumeur du corps pituitaire sans acromégalie
ire guérie par la trépanation crânienne 236 III. Deux cas de tumeur cérébrale du lobe frontal 23g IV. - De la craniectomie dé
85 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
aient sains. La tumeur TP s'enfonçait en outre entre les pédoncules cérébraux PC, PC qu'elle écartait considérablement et qui é
excavation médiane l'excavation bornée en arrière par les pédoncules cérébraux , et en avant par les commissures optiques, j C'es
reil désordre, avec la compression de la protubérance, des pédoncules cérébraux , des faisceaux sus-olivaires, et des couches opti
t survient. Le ramollissement, qui a lieu si souvent dans les couches cérébrales adjacentes, précipite le terme fatal. Il paraît q
'apoplexie de la moelle épinière les données acquises sur l'apoplexie cérébrale , nous reconnaîtrons aisément dans le cas actuel t
oelle de ceux de l'apoplexie du cerveau; nous verrons que l'apoplexie cérébrale est en général caractérisée par une paralysie sub
gane. Cette difficulté de diagnostic lui est commune avec l'apoplexie cérébrale que l'on confond bien souvent avec la compression
nt toujours à une lésion de la moelle épinière ou de ses prolongemens cérébraux . L'épidémie de Paris, dont on a tant parlé dans c
tiques. La théorie fondée sur l'analogie qui existe entre l'apoplexie cérébrale et l'apoplexie spinale nous apprend que les saign
se est le dernier résultat, le résultat commun de toutes les maladies cérébrales : ainsi il est une idiotie apoplectique, une idio
té de sérosité', induration et disposition rameuse de quelques fibres cérébrales (*). Rolet (Marie-Françoise), âgée de sept ans,
éniale de l'idiotie acquise, la première étant la suite d'une maladie cérébrale éprouvée pendant la vie intrà-utérine, de même qu
vie intrà-utérine, de même que la seconde est une suite d'une maladie cérébrale éjDrouvée pendant la vie extra-utérine. Mais quel
dans ce ramollissement, qu'on peut appeler séreux, vu que la pulpe cérébrale est comme délayée, triturée dans de la sérosité;
eux reste intact et survit seul à l'absorption nécessaire de la pulpe cérébrale devenue corps étranger. Ici le tissu cellulaire e
er. Ici le tissu cellulaire est très-dense, ce qui reste de substance cérébrale est également induré et porte les traces d'un tra
la cavité cérébro-rachidienne. La structure fibreuse de la substance cérébrale n'a jamais peut-être été mieux démontrée que par
e lésion, n'ont présenté qu'un endurcissement extrême de la substance cérébrale . Dans le cas actuel, c'est à l'atrophie et à l'in
ible, et que, pour cette raison, je vais rapporter ici. Hémorrhagie cérébrale spontanée de la couche optique avec communication
ès - considérables rampaient à la face externe de la poche. La couche cérébrale adjacente était comme granuleuse. Réflexions. —
e du coté de l'hémisphère apoplectique, preuve évidente que la lésion cérébrale a été sans influence directe sur le développement
chaque côté par deux lignes, dont l'une est formée par les pédoncules cérébraux , et l'autre par une ligne imaginaire étendue de l
e cette masse de tissu cellulaire comme le centre du tissu cellulaire cérébral : elle se prolonge le long des gros vaisseaux qui
celui qui accompagne la pie-mère intérieure à travers la grande fente cérébrale et se termine au plexus choroïde. Existe-t-il une
e propage comme en s'irradiant le long des vaisseaux et des scissures cérébrales et se prolonge jusque dans l'épaisseur de la toil
rapport il pourrait y avoir entre le kyste de l'ovaire et la maladie cérébrale . La pleurésie a dû n'avoir lieu que les derniers
petit, très-irrégulier : je vois là tous les symptômes de la maladie cérébrale , sauf les cris brusques et les mouvemens désordon
lus de cris au moindre contact comme les jours précédens : la maladie cérébrale me paraît confirmée. (Demi-bain.) — Le 22, on vie
avant. Dépérissement rapide. — Diagnostic. Je soupçonne une affection cérébrale , quelque tubercule, ou inflammation chronique cir
i faisait moins de mal. Selles involontaires. Je pense que la maladie cérébrale fait des progrès, que les accidens de compression
depuis quelques jours et qu'il a beaucoup vomi. — Diagnostic. Maladie cérébrale , peut-être tubercule ancien autour duquel va se f
a voûte; aussi les membranes adhèrent-elles intimement à la substance cérébrale . Quelques adhérences filamenteuses très-déliées e
sistantes entre l'arachnoïde qui tapisse la dure-mère et l'arachnoïde cérébrale . Dans un point, l'adhérence était intime; à ce ni
ils entraînent l'inflammation soit des méninges, soit de la substance cérébrale . Il est rare néanmoins que le travail morbide tub
s tubercules TT qui paraissent logés dans l'épaisseur de la substance cérébrale ou formés aux dépens de la substance corticale. M
ayant séparé avec précaution les méninges MG (fig. 5) de la substance cérébrale SC, tous ces tubercules T ont suivi les membranes
le ramollissement ponctué de rouge qu'on observait dans la substance cérébrale adjacente. La plupart de ces tubercules étaient c
ables, et que ces inflammations sans douleur réagissent sur le centre cérébral , sur le centre circulatoire, et sur toutes les fo
Les symptômes locaux sont d'autant moins prononcés que les symptômes cérébraux sont plus intenses : l'état ataxique est porté au
ent de l'entrée du malade à l'hôpital. Nous voyons que les phénomènes cérébraux l'ont de beaucoup emporté sur les phénomènes loca
s-arachnoïdienne dans le cerveau et le canal raehidien, les vaisseaux cérébraux injectés; les poumons étaient engoués de sang noi
n du -cerveau, entraînent l'adhérence intime du feuillet arachnoïdien cérébral et du feuillet arachnoïdien pariétal, et alors il
sont avertis par aucun phénomène morbide de l'existence d'une lésion cérébrale . Mais tôt ou tard la compression exercée sur le c
rences intimes entre la dure-mère et l'arachnoïde : sous l'arachnoïde cérébrale était une tumeur carcinomateuse énorme, que j'ai
s très-bien l'instantanéité de l'invasion par cette loi de pathologie cérébrale , savoir : que le cerveau, principalement par sa f
le et progressive de l'hémiplégie et autres phénomènes de compression cérébrale , permettront toujours de distinguer l'hémiplégie
ysie n'arrive que lorsque ces tumeurs ou l'altération de la substance cérébrale qu'elles déterminent atteignent soit les radiatio
gouttières olfactives et qui compriment la face inférieure des lobes cérébraux antérieurs interceptent complètement l'olfaction
ession du cerveau. Ainsi une tumeur qui agira sur les circonvolutions cérébrales antérieures d'avant en arrière produira sur le ce
estiges. D'ailleurs ces tumeurs n'adhéraient nullement à la substance cérébrale et s'enlevaient par une véritable énucléation. Le
u. Il ne restait qu'une couche mince de substance grise. La substance cérébrale ambiante SC, SC présente dans une grande épaiss
erveau. Une teinte jaunâtre la distinguait d'ailleurs de la substance cérébrale environnante. Des veines flexueuses, très-volumin
ont peut-être le résultat du ramollissement gélatiniforme des couches cérébrales adjacentes : voilà bien des fois que je rencontre
n effet, depuis deux ans, le malade avait, à la suite d'une affection cérébrale , conservé une paraplégie et un œdème considérable
interne de l'hémisphère du même côté. Dans cette cavité, la substance cérébrale n'offrait aucune altération, et l'arachnoïde, sai
convolutions antérieures C du lobe antérieur LA de l'hémisphère droit cérébral . Ces circonvolutions étaient déprimées, atrophiée
interne de l'hémisphère du même côté. Dans cette cavité, la substance cérébrale n'offrait aucune altération, et l'arachnoïde, sai
de vaisseaux d'apparence veineuse. Elle était reçue dans la substance cérébrale déprimée et comme détruite à son niveau. La figur
4 donne une idée de la coupe de cette même tumeur et de la substance cérébrale environnante. Cette coupe, qui est transversale,
lules d'inégale capacité qui contenaient de la sérosité. La substance cérébrale environnante offre le ramollissement jaunâtre gél
remarque extrêmement importante, c'est que si, d'une part, les veines cérébrales sont distinctes à leur embouchure dans les sinus,
ectiques passent à travers toutes les phases des foyers apoplectiques cérébraux ; de là j'avais conclu qu'il existait (**) des ap
on pouvait obtenir par un moyen quelconque l'inflammation des veines cérébrales , on obtiendrait le même résultat que par l'inject
es à ma connaissance, il y avait tantôt stase du sang dans les veines cérébrales et exhalation de sérosité, tantôt exhalation de s
es, épanchement sous-arachnoïdien avec ramollissement de la substance cérébrale des circonvolutions ; rupture des vaisseaux conte
sinus longitudinal supérieur, le sinus latéral gauche, et les veines cérébrales supérieures, étaient distendus par un sang noir e
nt à peine en volume un bon pois à cautère. Tout autour, la substance cérébrale était très-légèrement ramollie et présentait une
uche. Dans l'autre cas, le sinus longitudinal supérieur et les veines cérébrales supérieures étaient distendues par du sang coagul
mettront peut-être de démêler au milieu de cet ensemble de phénomènes cérébraux les données sans lesquelles la solution du problè
ite aux moyens généraux de traitement employés contre les congestions cérébrales ; peut-être encore, lors même que nous pourrions a
elle ne touchait immédiatement aux parois. Presque toutes les veines cérébrales qui vont se rendre dans le sinus longitudinal sup
entricules ne présentait aucune trace d'inflammation, et la substance cérébrale était d'ailleurs parfaitement saine. Sous-arach
l'atrophie de l'hémisphère gauche du cerveau, l'atrophie du pédoncule cérébral correspondant P A, l'atrophie du tubercule mamill
optique CO' atrophiés étaient exactement en rapport avec le pédoncule cérébral également atrophié du même côté PA'. Réflexions
t la cause, et la solution de continuité ou l'interruption des fibres cérébrales . Dans l'atrophie, l'instrument de nos sensations
par défaut de nutrition; en un mot, dans le dernier cas, aucune fibre cérébrale ne manquait, à proprement parler: elles existaien
lle ou telle faculté a son siège dans telle « ou telle circonvolution cérébrale ; il faudrait, pour légitimer cette doctrine, que
ndamment de toute circonstance étrangère; mais si les circonvolutions cérébrales sont peu développées, ces éminences et ces enfonc
niforme de toutes les autres maladies de l'enfance. Dans la maladie cérébrale (hydrocéphale ventriculaire aiguë) il y a de même
ateur attentif, que l'assoupissement est idiopathique dans la maladie cérébrale et symptomatique dans la maladie gastro-intestina
astro-intestinale dépassant rarement l'âge de deux ans, et la maladie cérébrale embrassant depuis deux jusqu'à dix-huit ans; si l
t suspicieuse, qui se manifeste dès les premiers momens de la maladie cérébrale , à l'état de la face, des pupilles, au grincement
rture des cadavres, à peine trouve-t-on les vestiges d'une congestion cérébrale ; à peine un peu de sérosité sous-arachnoïdienne o
soit du cervelet, bien que dans certaines circonstances, la substance cérébrale tout entière fût tellement injectée, qu'elle prés
toujours exempte de foyers sanguins et de déchirures de la substance cérébrale . V. La cause de l'apoplexie des enfants pendant
ompagne d'une hypertrophie plus ou moins considérable de la substance cérébrale . C'est dans des cas de cette espèce qu'on a vu de
on, par une fluxion séreuse ou inflammatoire dirigée sur la substance cérébrale ; et si des circonstances étrangères au cerveau l
nimes de masse encéphalique. Du reste, l'altération de la substance cérébrale dans l'hydrocéphalie, n'est nullement en rapport
r constituer les parois de cet aqueduc. La face interne de la poche cérébrale présentait des bosselures correspondantes aux anf
litres au moins de sérosité' limpide, sans aucun débris de substance cérébrale ; un seul flocon albumineux. La fig. 1 représen
, du frontal droit et de la partie supérieure de l'occipital. La faux cérébrale , F, est énorme; sur elle est appliquée une membra
misphère est indurée, comme froncée, et est continuée par la membrane cérébrale extrêmement ténue qui tapissait la totalité de la
és, CS ; les nerfs olfactifs, NOL, NOL, qui en partent; les membranes cérébrales . La fig. 5 montre la masse encéphalique, vue d'
re en avant : on voit manifestement ce qui reste des deux hémisphères cérébraux . La fig. 4 reproduit la partie antérieure de la
bstance; les pyramides antérieures se terminaient dans les pédoncules cérébraux . )) Des nerfs cérébraux, on ne peut distinguer
érieures se terminaient dans les pédoncules cérébraux. )) Des nerfs cérébraux , on ne peut distinguer que les origines des premi
bre des enfants soumis à mon observation, j'ai trouvé les ventricules cérébraux distendus par une certaine quantité de sérosité ;
I.) Atrophie des circonvolutions. Les lésions des circonvolutions cérébrales et cérébelleuses constituent un point très intére
4° Il est une atrophie des circonvolutions avec induration du tissu cérébral qui quelquefois devient aussi dense qu'un cartila
pince, présente des lignes radiées qui sont peut-être quelques fibres cérébrales qui ont échappé à l'atrophie. Les circonvolutions
présentent les circonvolutions atrophiées, prouvent que les lamelles cérébrales peuvent se résoudre en fibres, ainsi que le prouv
e d'une vive frayeur , il fut pris , disent les parents, d'une fièvre cérébrale qui dura plusieurs semaines. Pendant la convalesc
ait au premier abord qu'ils occupent l'épaisseur même de la substance cérébrale . Ces tubercules peuvent être libres de toute adhé
met une énucléation facile. D'autres fois ils adhèrent à la substance cérébrale presque toujours altérée, ramollie, et dont on em
anche du cerveau. Les cas d'adhérence des tubercules à la substance cérébrale , doivent être bien distingués «3 de ceux où l
de ceux où la matière tuberculeuse est infiltrée dans la substance cérébrale elle-même. Dans le cas d'infiltration, la matiè
les soient formés par une matière infiltrée dans les mailles du tissu cérébral ou simplement déposée au sein de ce tissu, leurs
ganglions mésentériques étaient parfaitement sains. Des tubercules cérébraux , même très considérables, peuvent exister sans do
que lorsque l'irritation qui les accompagne se propage à la substance cérébrale , ou lorsque par son accroissement la tumeur agit
la mort est presque inévitable, et le ramollissement de la substance cérébrale environnante en est la cause la plus habituelle.
nous avons dit co-exister le plus habituellement avec les tubercules cérébraux . La marche insidieuse de la maladie est bien de
re mois 3 Nouvelle hémiplégie. Mort. Deux tubercules dans la pie-mère cérébrale . Ramollissèment de toutes les parties centrales d
ois auparavant, me parurent le résultat de l'inflammation des couches cérébrales adjacentes. L'entorse avait été le résultat de l'
des membres et n'eût présenté en un mot aucun symptôme de compression cérébrale , je présumai que l'amaurose était symptomatique d
ier la profondeur de la perte de substance : on voit que la substance cérébrale est remplacée par une cellulosité jaune-sale, par
e quantité de liquide trouble jaunâtre qui la pénétrait. La substance cérébrale qui environnait cette perte de substance était tr
ce de l'inflammation des sinus de la dure-mère et de celle des veines cérébrales avec un ramollissement apoplectique. Il n'est pas
sible de déterminer expérimentalement une inflammation dans les sinus cérébraux et dans les veines cérébrales, 011 obtiendrait le
talement une inflammation dans les sinus cérébraux et dans les veines cérébrales , 011 obtiendrait les mêmes résultats. Les belles
veines collatérales, il y avait tantôt exhalation de sérosité (œdème cérébral et sous-arachnoïdien), tantôt exhalation de sang
e sinus longitudinal supérieur, le sinus latéral gauche et les veines cérébrales supérieures étaient distendus par un sang noir et
aient à peine en volume un pois de senteur. Tout autour, la substance cérébrale était très légèrement ramollie, et pi'ésenlait un
uche. Dans l'autre cas, le sinus longitudinal supérieur et la veine cérébrale supérieure étaient distendues par du sang coagulé
llaire, ramollissement inflammation, phlébite des sinus et des veines cérébrales , lésions que semblait d'abord séparer un interval
faible secours pour le diagnostic. Toutefois l'invasion des symptômes cérébraux , l'incurvation du tronc en avant, les mouvemens c
méninges ont-elles pu être enlevées sans déchirement de la substance cérébrale ; mais le moindre contact, l'immersion dans l'eau
nvient qu'à cette nuance de ramollissement dans laquelle la substance cérébrale se trouve combinée avec une certaine quantité de
ne pulpe molle qui s'enlève avec les membranes, comme si la substance cérébrale avait été broyée avec du sang noir. Le ramollisse
changement notable de couleur du lobe antérieur gauche. La substance cérébrale est difïluente. L'altération s'étend jusqu'à la m
s. — Cette observation prouve : Qu'il est des lésions de la substance cérébrale trop circonscrites pour déterminer une paralysie
86 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
aire bilatérale. 2G avril. La malade a eu des vomissements à type cérébral , qui sont survenus sans efforts, au moment où ell
diagnostic précis, et pour essayer d'obtenir une décompres- sion cérébrale . L'excès de pression intraC1'dnienne semblait i
membrane, qui s'étend en arrière sur le cervelet et les pédoncules cérébraux , qui rayonne encore vers les vallées de Sylvius
ussi épaissie, d'aspect blanchâtre laiteux ; elle adhère à l'écorce cérébrale qu'elle entraîne quand on veut l'enlever. Ces l
ma, des nerfs optiques et olfactifs. Rappelons que l'hémis- phère cérébral gauche pesait 50 gr. de moins que le droit, dif
éléments inférieurs protubérantiels jusqu'à ses éléments supérieurs cérébraux , devient ainsi l'origine commune des manifestat
isme moyen dans 81 0/0 des cas ; tandis qu'au contraire la syphilis cérébrale , à début hémiplégique se rencontrait dès l'anné
osé par des néoplasmes spécifiques, des mé- ninges ou de la surface cérébrale ; elle peut se développer également sous l'influ
- ture d'équilibre dans le fonctionnement des centres de l'écorce cérébrale . Lorsque l'intimidation est portée à son degré le
de l'otopathie, la forme des troubles mentaux, la prédispo- sition cérébrale , l'âge des malades sont les principaux fac- teu
ils sont le siège d'une atrophie croisée avec celle des hémisphère» cérébraux et portant sur le luhc gauche, en particulier au
'on doit lui faire une certaine part dans le diagnostic des tumeurs cérébrales . Les kystes des méninges molles sont d'après ce
s mouvements de compensation ou de remplacement dans les affections cérébrales , par W. M. de BECHTEREW, (0&o : )'eMtt ! ps
psichiatrii. 1'lll.) Les malades hémiparétiques à la suite d'ictus cérébraux n'exé- cutent jamais les mouvements qu'on leur
en ont bien la volonté, mais le stimulus qui part de l'hémisphe- re cérébral atteint se transmet, en raison de l'altération de
rolog. Centralbl. XXIII.) Pièces anatomiques de paralysie infantile cérébrale . llémiatro- phie du cerveau. Asymétrie de la mo
ent de sensations désagréables. , Dans sept observations de lésions cérébrales organiques, carac- térisées par l'exagération d
ir à ce que dans l'espèce les lésions génératrices de l'hémiparésie cérébrale excitaient simultanément et peut-être aussi les
) par l'irritation de quel- ques ganglions centraux et du pédoncule cérébral ; d) par l'irrita- tion de certaines régions de
AVAL. XV. Pseudomélie paresthésique symptomatique d'une affection cérébrale dans le territoire du noyau lenticu- laire ; pa
e tardive des muscles hémiplégies ou en état de paralysie infantile cérébrale n'a pas fourni de son ; celui-ci est instantané
VUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 129 taire d'origine cérébrale et oscillant se distinguerait-il de celui de l'
du coude et du poignet. La distribution musculaire des paralysies cérébrales incomplètes se fait. par groupes musculaires péri
ique par la voie frouto-cérébclleusc. C'est donc jusqu'à a l'écorce cérébrale elle-même qu'il faut reculer le centre neuroni-
clinique et anatomo-pathologique sur les lacunes de désintégration cérébrale ; parl : ATOL.1. (llevucde Médecine, nu d'octob
désignée tourà tour sousiesnomsd'oedémcdu cerveau, de conges- tion cérébrale ou d'hémiplégie due à la dégénérescence primaire
nes ; mais ce qui est plus caractéristique, des atrophies du cortex cérébral et en par- ticulier de la 3" frontale (état ver
océda peu àpeu.'Etait-on en présence : 1° d'une lésion du pédoncule cérébral ; 2° d'une fracture du crâne amenée par la chut
rd après un trau- matisme et la difficulté médico-légale de tumeurs cérébrales et de paralysies générales survenues après des
tion partie de l'utérus et transmise aux zones motrices de l'écorce cérébrale . Le rôle de' la gros- sesse est certainement pl
es convulsifs qui se rapprochent de l'enfant et des animaux, et les cérébraux , bien supérieurs aux précédents dans leur dégén
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES XXXVL De quelques altérations du tissu cérébral dues à la présence de tumeurs; par WEBER et Pap
ère, 1905, n° 2.) Les troubles cliniques déterminés par les fumeurs cérébrales paraissent liés non a leur volume, mais bien au
s ventricules sont dilatés, dans le voisinage de ceux-ci ; le tissu cérébral , grâce à la résistance qu'il y oppose, en dimin
re l'aulo-inloxiea- tiondueà des produits résiduels de la nutrition cérébrale ou de la dégénérescence des fibres que la circu
oppée sur les indi- vidus ayant eu la syphilis, le système artériel cérébral montre des lésions histologiques qui paraissent
al interprétées. J. S. XL1V. Recherches histologi ques sur l'écorce cérébrale du dauphin ; par Vincenzo 11L-\.NCHI. (Annali d
est bien plus appa- rente que réelle ; car si les deux hémisphères cérébraux du dau- phin conservent le type de la dispositi
se rapproche de celui des microcéphales. La structure de l'écorce cérébrale se distingue de celle des mammifères, plus intc
dales, et la pauvreté des prolongements de celles-ci. Dans l'écorce cérébrale , du dauphin, on yoitc1ail'emenl les rapports qui
ur peu de volume l'uniformité des éléments constitutifs de l'écorce cérébrale , la rareté des cellules pyrami- dales géantes,
, puis rapide de la maladie. Lésions très accentuées de la pie-mère cérébrale , sans altéra- tions particulièrement accentuées
diminution numérique des éléments nerveux de la couche corti- cale cérébrale , siégeant surtout au niveau de la région frontale
appeler des crises d'épilepsie chez des malades porteurs de lésions cérébrales plus ou moins déterminées. G. 1. XXtX. Hystérie
e la lésion cardiaque crée l'hysté- rie par un trouble circulatoire cérébral . C'cstia pathogénie de l'épilupsie de Lemoine.
upsie de Lemoine. S'agif-il d'une lésion aortique ! 1;'est l'anémie cérébrale qui intervient. S'agit-il d'une lésion rnilrale
xtrinsèques de l'oeil, de nature scléreuse. Syndrome de compression cérébrale et radiculo-ganglionnaire. MM. Raymond et LEJON
halo-rachidien caractérisée par les signes vulgaires de compression cérébrale avec augmentation pro- gressive de la tète et b
certains troubles : parole hachée, lente, exigeant tout un travail cérébral quoique le malade possède tout son vocabulaire
yndrome do Littte a été li- mité par l'auteur « aux cas du diplégie cérébrale spasmodique « très souvent congénitaux, ou data
ons du faisceau moteur vn- lontaire sont la conséquence des lésions cérébrales (1). K. ÀUBRY. NÉCROLOGIE Dr VERNET Le l&
étant donnés des traumatismes plus ou moins anciens, une affection cérébrale déterminée quelconque (folie, dé- mence, paraly
aire cortico-spinale. C'est une véritable expérience de vivisection cérébrale . Le trépan pa- rut tout d'abord produire une am
hoire et le fit demeurer cinq mois à l'hôpi- tal avec une commotion cérébrale dont il resta durant trois mois comme hébété. S
attitude athétosique figée delà main rappelle celle de l'hémiplégie cérébrale infantile, de même le pied creux avecéquinisme
opatlii(lue antérieur à l'accident peut se combiner à des accidents cérébraux traumatiqucsnon moins réels. l'OLIES TRAUMATI
e (railway spine, etc.), de même on pourrait admettre des accidents cérébraux traumatiques réalisant des troubles mentaux ana
ait d'être étudié par un spécialiste. » Sur le terrain des troubles cérébraux ou mentaux as- sociés au traumatisme, la simula
de pourrait lui permettre d'exagérer certains troubles nerveux ou cérébraux réels, et par difficulté de simulation au cas où
chiques est à prévoir (traumatisme du crâne ou durachis, commotions cérébrales concomitantes,etc.) Au moment des premiers soin
e et le traumatisme s'appuiera sur la constatation de symptô- mes cérébraux , au moment même de l'accident et leur persistan
t distin- guer ici des incapacités physiques et mentales (mutilés cérébraux ). Pour chacune d'elles, il 3· a lieu de bien exa-
é de se suicider. Son acte doit donc être attribué au dé- rangement cérébral dont elle était atteinte. (Semeur de l'Oise, 2'i
icat ainsi conçu : « Est atteint d'idiotie liée à un ramollissement cérébral . Cette affection, absolument incurable, exige u
i délire de persécution des sénilcs et des porteurs de le-' sions cérébrales en foyer. Les renseignements font complètement
ds en enfance, les paralytiques généraux et les porteurs de lésions cérébrales circQnscrites. Il y a encore d'autres catégorie
miers malades, les plus délirants, des antécédents héré- ditaires cérébraux et psychiques. Chez les deux derniers, nous avo
LOGIQUE Note sur l'histologie pathologique de la paroi dé l'abcès cérébral . Par Ch.1111RALLI1 : . Nour possédons encore
core peu de renseignements sur l'histologie pathologique de l'abcès cérébral , et les tra- vaux consacrés à ce sujet sont enc
qui se transforme plus loin en tissu conjonctif fascicule. Le tissu cérébral autour de l'abcès est d'ordinaire, et souvent s
. » Barbacci (1) a publié un très intéressant travail sur l'abcès cérébral expérimental, par inoculation directe dans la s
par suite la même origine. A la périphérie de l'abcès, la substance cérébrale présente des phénomènes de réac. tion secondair
venli.) l. XXV, p. ·165, 1803, HISTOLOGIE PATHOLOGIQUE DE L'ABCÈS CÉRÉBRAL . 455 La névroglie n'entre pas en considération
anfractuosités plus ou moins irrégulières, circonscrivant des blocs cérébraux qu'elles isolent. Cependant, de la comparaison
on d'ensemble de l'histologie patho- logique de la paroi de l'abcès cérébral , et confirment dans leurs grandes lignes les tr
avons cités. On peut avec Kôlpin, reconnaître à la paroi de l'abcès cérébral trois zones principales : une zone interne gran
correspondre à la réalité des HISTOLOGIE PATHOLOGIQUE DE L'ABCÈS CÉRÉBRAL . 459 faits. Nous ne saurions toutefois accepter
de la capsule : il s'agit d'un tractus névroglique de la substance cérébrale non encore envahie par le processus de dégénére
oubles nutritifs cellulaires qui suivent la suppression de l'influx cérébral . [Revue neurologique, février 1905.) E. B. LXXI
rouve. L. \\'aHC.. LXXIlI. -Recherches histologiques sur l'écorce cérébrale des tuberculeux; par L.-iiGNEi.-LAVASTINE. (li
es de la vie des tuberculeux, les lésions cellulaires de son écorce cérébrale sont toujours sous la dépendance d'un empoisonn
Malformation du cervelet. M. Rossi présente un cervelet de diplégie cérébrale infantile. Absence de l'échancrure marsupiale e
jargonaphasie Elle s'explique moins par l'atteinte d'un territoire cérébral de première nécessité que par l'association d'un
Cerveau. - Note sur l'histologie pathologique de la paroi dc l'- cérébral , par Miral- lié, 451. Absinthe. L' à l'école,
thi- ques, par Courmont, Lesieur et 'l'hevenot, 215. Affections cérébrales . Voir Mou- vements de compensation. - - nerve
la démence catatonique, par Barbé, 161. Altérations. Voir Tissu cérébral . Altruisme morbide. L'- - dans la paralysie g
ie au ixe siècle d'après Iluon de Villeneuve, 427. Désintégration cérébrale . Etude clinique et anatomo-palhologi- que sur
moulu de 1 ? par Marie, 154. - Recherches his- tologiques sur l'- cérébrale du dauphin, par Vincenzo 131anchi, 200. - Rec
n, par Vincenzo 131anchi, 200. - Recherches histologiques sur l'- cérébrale des tubercu- leux, par Laignel-Lavastine, 500.
de compensation. Des - - ou de remplacement, dans les affections cérébrales , par de Bechterew, 122. Muscle. Auscultation
87 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
typhoïde, sans fièvre nouvelle, sans douleur aucune, sans troubles cérébraux ou sphinctériens, la démarche devint, peu à peu,
n plus fréquente à l'âge adulte, débutant souvent par des accidents cérébraux , ne présente jamais l'incoordination motrice que
ns,d'une affection du cervelet, son oncle à 66 ans d'une hémorragie cérébrale , inondation ventri- culaire. Il y a quelques tr
ppe. Elle a un peu de paraphasie. Morte à la suite d'une hémorragie cérébrale de la région capsulo-striée du côté droit. Du c
athies organiques, in Pathologie mentale de Ballet. Article Tumeurs cérébrales . NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPTRIÈRE. T. XVI1
at- teint. Les progrès de la maladie vont lentement, sans troubles cérébraux d'aucune nature, sans phénomènes oculaires ou s
les oculaires quelconques, qu'il est indemme de toute manifestation cérébrale et que les réflexes sont t diminués ? De la m
sont rapprochées les unes des autres ; de même les circonvolutions cérébrales , quoique régulières, sont plus minces que norma
s minces que normalement. La protubérance, le bulbe, les pédoncules cérébraux sont aussi un peu grêles. Pas de méningite. Un
vers réactifs. Quelques morceaux de moelle, de cervelet et d'écorce cérébrale ont été mis directement à l'alcool ou au liquid
Les constatations histologiques sont les sui- vantes : A. Ecorce cérébrale . - Elle ne se distingue d'une écorce normale que
tre le type classique, cérébrospinal, il existe des formes frustes, cérébrale , spinale, bulbaire ou cérébelleuse. La sclérose
différents liés à des lésions « encore hé- réditaires » de systèmes cérébraux ou médullaires C'est ainsi que Pauly et Nonne,
ême chaîne. UNIVERSITÉ DE GENÈVE DE QUELQUES ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS PAR R. WEBER-
t en deux catégories. 1° La tumeur se développe aux dépens du tissu cérébral ,qu'elle « mange » en quelque sorte. 2° Le néo
sible que les phénomènes macroscopiques habituels de la compression cérébrale aient presque complètement fait défaut. La substa
nt attribuable uniquement à la compression. Il ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS 141 est en effet
se, recou- verte de grosses veines ; séparé partout de la substance cérébrale par un épais tégument de tissu conjonctif. Poin
uvelle Iconographie DE la Salpli'rilre T, XVIII. PI. XXIII TUMEUR CÉRÉBRALE (11 ? bei- el Papadaki) Cfa, circonvolution f
rochet. . - ..7 .. an ,1/, (;1e F{ht'JrO;' c ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS 143 substance bla
Nouvelle Iconographie DE la SALPÊTRIERE T. XVIII. Pl. XXIV TUMEUR CÉRÉBRALE (Weber et Papadaki) Observation III Masson
13. Dilatation du ventricule (Obs. 1\' a.. n ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS 14T à la compress
x névrogliques. Esp, espace péri-vasculaire. ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS 149 comme celles-
ams endroits où probablement il était très difficile à la substance cérébrale de faire place (p. ex. c. de la Pl. XXV soumis à
et la moelle épinière. Résumé. Tumeur sise en avant des ventricules cérébraux . Phénomènes locaux d'atrophie des 1 ? et 2e pai
llaire minime la lumière et à l'accommodation. ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS loti En mars 1899
onvolutions étaient aplaties et les ventricules dilatés. Le manteau cérébral n'a malheureuse- ment pas été conservé. L'exame
artout nettement délimité ; bien qu'il soit en majeure partie extra cérébral et entouré de tissu conjonctif, il y a cependan
doncule cérébelleux supé- rieur. Tm, tumeur. ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE -DE TUMEURS I'a'3 alterne in
atéraux étaient dilatés et cela naturellement aux dépens du manteau cérébral . Malheureusement celui-ci n'était plus à notre
de dimensions variables. Nous admettons que probablement le manteau cérébral se trouvait dans le même étal et en concluons q
es dans le tronc encéphali- que et sans doute aussi dans le manteau cérébral . En d'autres termes effet à distance général et
ntre des alvéoles se trouve un petit vaisseau. ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS 155 Partout sépar
LA PRÉSENCE DE TUMEURS 155 Partout séparation nette d'avec le tissu cérébral ; point de zone d'in(lamma- tion. Grosses cellu
le latéral. FIG. 12. Espace péri-capillaire. ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS 157 par contre le
es ventricules sont dilatés, dans le voisinage de ceux-ci. Le tissu cérébral , grâce à la résistance qu'il y oppose, en dimin
us à éliminer; ces produits seraient des résidus ou de la nutrition cérébrale ou de la dégénérescence des fibres nerveuses. N
ilis et toute autre infection. Facies caractéristique des tumeurs cérébrales , démarche ébrieuse, hémipa- résie du bras et de
L'examen de la motilité démontre qu'il existe une hémiplégie à type cérébral avec participation du facial inférieur, la bouc
ig, Thiry, Schiff) pla- cent dans la protubérance et les pédoncules cérébraux , les centres vaso- moteurs. Il est important en
e. (1) RICKAROS, Relation d'un cas d'hémorragie dans les pédoncules cérébraux . Brit. med. journ., 24 avril 1886. (2) Voir l
ujours eu des époques régulières. La même année elle a « une fièvre cérébrale » qui dure huit mois avec délire pendant 24 jou
utopsies de vieillards et de paralytiques généraux, trouvé du sable cérébral , néanmoins l'intensité de nombre et de (i) LAuç
a face interne du lobe sphénoïdal et du lobe orbitaire. Les artères cérébrales ne présentent pas de grosses lésions d'athérome.
e présentent pas de grosses lésions d'athérome. Les circonvolutions cérébrales sont cependant atrophiées. Pas de granula- tion
èle la présence de streptocoques. Examen HISTOLOGIQUE. - Hémisphère cérébral droit. - A l'hématoxyline- éosine, la pie-mère
e 35 heures après la mort. La pie-mère qui recouvre les hémisphères cérébraux est épaissie et injectée de sang. Elle est extr
méningite ; les cellules nerveuses paraissent nor- males. Ecorce cérébrale . Les méninges, peu épaissies, sont infiltrées, su
22 VIGOUROUX ET LAIGNEL-LAVASTINE - Examen histologique. - Méninges cérébrales . Epaississement considé- rable de la pie-mère,
losse et du pneumogastrique sont normales. Au niveau des pédoncules cérébraux , pas d'infiltration cellulaire. Au Weigert, vue
es latéraux avec granula- tions de l'épendyme ; les circonvolutions cérébrales sont manifestement atro- phiées. Examen nISTO
on en voit parfois chez les paralytiques généraux, de l'hémisphère cérébral du côté opposé. En effet, depuis ce ramollissemen
e totalité dans la partie de la protubérance voisine des pédoncules cérébraux , et que les fibres dégénérées ne dépassent pas la
ne qu'on appelle « la maladie des chiens », montre qu'une affection cérébrale à lésions bien définies peut être produite par di
contractures et les attitudes bizarres observées dans l'hémiplégie cérébrale infantile. Au cours de cette dernière affection
n et du pied du côté paralysé donnent l'impression d'une hémiplégie cérébrale infantile avec contractures. L'histoire de la m
ssion produite par la main est plutôt celle d'une main d'hémiplégie cérébrale infantile ; étant donné l'âge de la malade, le
e déjà cité de M. Dejerine qui se rapportent à des cas d'hémiplégie cérébrale in- fantile.. Nous n'avons pas joint la photo
relativement peu chargée. Son père est mort à 78 ans d'hé- morragie cérébrale , mais il est à retenir que sa mère est morte à la
on, fonctions, qui néces- sitent un surcroît de fatigue physique et cérébrale . En 1892, une forte grippe la retient trois sem
ème nerveux et le tissu cérébro-spinal. I. Moelle épinière et tissu cérébral des foetus à canal rachidien clos : étude d'ensem
ent du canal de l'épendyme) ; constitution et ge- nèse de la tumeur cérébrale ; ganglions crâniens ; marche générale du process
stige de tissu nerveux ; per- sistance de fibres nerveuses ; tumeur cérébrale sacciforme. Chapitre III. - Répercussion de la
rânienne ou crânio-spinale. Ce contenu n'est jamais de la substance cérébrale : dans la pseudencéphalie, c'est une tumeur rou
égards se puisse concilier avec l'absence absolue de tout appareil cérébral ou spinal » (1); à son avis, le liquide que l'o
une poche logée dans la gouttière crânienne représente la substance cérébrale . Il considère, en effet, cette eau comme une pr
e eau comme une production primitive, car il admet que la substance cérébrale apparaît dès l'abord sous forme d'un fluide trans
phalie dans les cavités kystiques que l'on rencontre dans la tumeur cérébrale . Cette tumeur doit être expliquée « par une cau
lame mésodermi- que interposée entre l'ectoderme cutané et la voûte cérébrale est peu abon- dante ou nulle, de sorte que les
n de l'étude de ces productions congénitales. Sans doute, la tumeur cérébrale des pseudencépbaliens avait attiré l'attention ;
mais dont la disposition ne rappelle nullement les circonvolutions cérébrales ; elle est plus ou moins épaisse suivant les cas
hes profondes en gagnant vers les régions intéressées par la tumeur cérébrale , on constate faci- lement que cette peau, loin
est des exemples où l'hémicrânie se trouve liée à des dispositions cérébrales tout à fait étrangères à la Pseudencéphalie et
ne suffit-il pas d'analyser avec minutie la structure de la tumeur cérébrale . Le tissu de la tumeur est, en effet, un tissu
spositions céphaliques ou rachidiennes. I. MOELLE épinière ET TISSU cérébral DES FOETUS A CANAL RACHIDIEN CLOS. J'ai eu à
ure et la ferme- ture consécutive des deux demi-parois. 3° Tumeur cérébrale . Réduite à sa description histologique, la cons
Réduite à sa description histologique, la constitution de la tumeur cérébrale est extrêmement simple. Elle a été faite à dive
de le faire. a) Structure. Sur une coupe morphologique de la tumeur cérébrale , le premier fait frappant, c'est la différence
'est la différence essentielle qui sépare le tissu examiné du tissu cérébral . Il n'existe aucune circonvolution superficielle,
. L'inflammation a également marché vers l'intérieur, vers le tissu cérébral . De celui-ci on retrouve parfois des traces plu
njonctive. S'il en est ainsi, et tout permet de le croire, le tissu cérébral s'est touvé pris de tous côtés, par le dehors e
dedans nous conduit à comprendre le mode de formation de la tumeur cérébrale et la valeur même de cette tumeur, sa propagati
formations kystiques que l'on observe constam- ment dans la tumeur cérébrale . L'intérêt gît principalement sur le sort dévolu
éponse simple ; nous allons voir, dans un instant, que la méningite cérébrale évolue parfois seule durant un assez long temps
oit infiniment plus lente, divers indices montrent que la méningite cérébrale est encore, dans ce cas particulier, le facteur
tandis qu'elle se développe, comme à l'ordinaire, aux dépens du tissu cérébral . Il s'en suit que la méninge péri-médullaire es
t, pour une bonne part, que la continuation anatomique des cellules cérébrales ; le retentissement est 388 RABAUD ici beauco
conditions, l'encéphale est exclu de la cavité céphalique, la tumeur cérébrale repose sur le dos. Nous aurons à rechercher l'o
gorie de foetus, est la similitude parfaite existant entre leur tissu cérébral et le tissu cérébral de foetus qui possèdent en
similitude parfaite existant entre leur tissu cérébral et le tissu cérébral de foetus qui possèdent encore une moelle netteme
ue vasculaires. De toutes façons, l'évidence s'impose : les tumeurs cérébrales que nous examinons ici et celles que nous avons
lus grande nette- té, nous l'avons également observé dans la tumeur cérébrale de certains sujets ; il s'agit donc d'un proces
vement la méninge rachidienne ainsi que le montre l'examen du tissu cérébral , les nerfs rachidiens postérieurs se trouvent e
disparu dès les pre- mières atteintes de la méningite. 3° Tumeur cérébrale sacciforme. Les mêmes foetus présentent une sec
icularité sur laquelle il importe de s'arrêter. Chez eux, la tumeur cérébrale ne constitue pas un bloc compact creusé de quel
vacuoles irrégulièrement disposées et sans rapport avec les cavités cérébrales normales. Ce sac est également sessile, il est co
core, dans la partie centrale, une cer- taine quantité de substance cérébrale ; mais elle est peu distincte et sa nature ne p
lacunes de plus en plus grandes, détrui- sant devant elles le tissu cérébral . Hémorragies et exsudations, nous les avons vu
Maurice Renaud) . A. Névroglie à la superficie d'une circonvolution cérébrale . B Névroglie a la périphérie de la moelle. C.
xiste d'ailleurs un certain degré 412 ' BALLET ET ROSE de torpeur cérébrale . Les mouvements de la mimique sont impossibles ou
haut. Chez notre malade elles doivent atteindre jusqu'au pédoncule cérébral . Et, de fait, dans le malade n° 2 de Strümpell (1
ou bulbo-cérébello-spinale. Touchant les voies optiques et l'écorce cérébrale , on verrait apparaître l'amaurose avec idiotie
uit : Méningo-encéphalite chronique diffuse, athérome des vaisseaux cérébraux ainsi que de l'aorte, cir- rhose atrophique du
, Pans SCLÉROSE EN PLAQUES 587 que la pie-mère et les hémisphères cérébraux apparaissent complètement nor- maux. Les deux h
ts. Pédoncule eérébral. - Sauf une certaine petitesse, le pédoncule cérébral 590 CATOLA ne présente pas de lésions appréci
s que disparaissent les tissus de la voûte du crâne, la subs- tance cérébrale elle-même disparaît peu à peu, et la masse intra-
E Iconographie DE la Salpêtrière T. XVIII. PI. LXXV PSEUDO TUMEUR CÉRÉBRALE PAR EMPYÈME VENTRICULAIRE (.\1u(quiu.) A. Asp
ation ne pénètre profondément entre les lobules. Quant à la méninge cérébrale , elle peut-être considérée comme intacte sauf e
er de masses purulentes et dès ce moment les phénomènes de pression cérébrale jouè- rent un rôle prédominant. C'est à cette p
tion (voir Weber et Papadaki) l'atrophie et la destruction de tissu cérébral , constituant en quelque sorte une dernière défens
traventriculaire aura mis obstacle au développement d'une méningite cérébrale externe. Il y a là peut-être une certaine analo
urologie, 1905.2. fiHASLIN,CO)ili'ibnlt07t à l'élude de la sclérose cérébrale . Archives de médecine expérimen- tale, 1891.
- tale, 1891. WEBER ET Papadaki, De quelques altérations du tissu cérébral dues à la présence de tumeurs. Nouv. Iconogr. d
ine évolution normale par une atteinte morbide interne ; les tissus cérébral et mé- dullaire ont été secondairement détruits
s et dérencéphales chez lesquels la méningite est plus spécialement cérébrale et d'un autre côté les pseudencéphales, chez les-
le que la non-propagation de la mé- ningite au reste des enveloppes cérébrales résulte de cette situation nettement exencéphal
e méningite, on de méningite provoquant l'exclusion de la substance cérébrale hors du crâne, la méningite n'eu reste pas moin
phalie coïncide avec une dégénérescence granulo-graisseuse du tissu cérébral . ij En d'autres circonstances, les parois du cr
ées chez les pseudencépha- liens. Mais ici, la destruction du tissu cérébral résultait en somme d'une action purement mécani
tion du sympathique, l'oeil étant complètement isolé de tout centre cérébral ou médullaire. Ce rôle du sympathique après la
me maladie congénitale. II. Cette maladie est une méningite à début cérébral qui se propage pro- gressivement vers les ménin
- riques chez les enfants (2 fig.), par BROCA et HERBINET, 443. Cérébral (de quelques altérations du tissu - dues à la p
la -) (12 fig., 4 pi.), par Rabaud, 345, 602, 675. Pseudo-tumeur cérébrale par empyème ventriculaire (1 pl.), MocQuiN, 65J
ntale, par Bonnus, 285. Tumeurs (de quelques altérations du tissu cérébral dues à la présence de -) (14 fig. 3 pl.), par W
pi.), 661. PAP,DAKI et WEBEn. De quelques altéra- tions du tissu cérébral dues a la présence de tumeurs (14 fig., 3 pl),
g.), 304. WEBE11 et P APADAKI. De quelques altéra- tions du tissu cérébral dues à la pré- sence de tumeurs (14 fig., 3 pl.
Rabaud), XLIV et XLV, XLIV bis, XLV bis, XLV ter. Pseudo-tumeur cérébrale par empyèrne ventriculaire (IOeQUI1'o'), LXXV.
et Bertolotti). Trophoedème chonique (V,%.LOBnA), XXVIII. Tumeur cérébrale (WEILit et PApADAKt), XXII à XXV. Le gérant :
88 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e les cellules pyramidales, ces éléments fondamen- taux de l'écorce cérébrale , font les frais de modifications philo- génétiq
cé simples ou doubles, qui entourent les cylindraxes. Dans l'écorce cérébrale on perçoit et les fibres tangentielles et les f
la partie supéro-externe du chiasma. Paralysie générale et syphilis cérébrale diffuse. M. Duprk et Devaux. Les caractères his
ation de néo- vaisseaux. 54 sociétés savantes. Dans la syphilis cérébrale , l'infiltration périvasculaire, lors- qu'elle e
ation avec le centre visuel verbal. Amélioration générale. OEdème cérébral probable ajouté au foyer de ramollissement. '
odes de pin'énopédie, la nécessité du traitement hâtif des maladies cérébrales , l'amélioration des moyens de traitement dans l
chapitre aux modifica- tions crâniennes consécutives aux atrophies cérébrales unilatérales (hémiplégie cérébrale infantile).
nnes consécutives aux atrophies cérébrales unilatérales (hémiplégie cérébrale infantile). Il montre que toutes les fois qu'un
hroniques du système nerveux ; {'inégalité de poids des hémisphères cérébraux et cc')'t'6e/ ! enr,te[s sont les principaux cha-
9 la paralysie générale des formes non inflammatoires de syphilis cérébrale . Usemble que dans ces dernières, comme dans les p
oce, l'épilepsie (I cas, 1 ponc- tion), ou encore entre la syphilis cérébrale , et la paralysie géné- rale (4 cas, 8 ponctions
echerches expérimentales relatives à 1 influence sur la circulation cérébrale de la cérébrine de Poehl ; par L. M. POUSSÈYRE.
oint éprouvé d'accidents secondaires, l'auteur croit à une syphilis cérébrale compliquée d'endartérile (thrombose) avec ménin
s maladies indemnes de toute toxine telles qu'anévrysme des artères cérébrales , hématome de la 121 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYS
anguines et lymphatiques d'écoulement. L'é- lévation de la pression cérébrale joue le rôle principal dans la genèse de l'hydr
tre ou diminuer la tuméfac- tion delà papille même dans les tumeurs cérébrales inopérables. La ponction lombaire montre l'augm
et peut atténuer l'oedème papillairc. Pourquoi, dans les tumeurs cérébrales , la papille étranglée peut-elle manquer ou rétr
ique suppriment la communication des gaines optiques avec la cavité cérébrale et l'oedème central ne peut se propager au tron
ns le sinus caver- neux. AoAMKtEwicz. 1. Il n'y a pas de pression cérébrale parce que quand le liquide céphalo-rachidien af
es de la sensibilité thermique et algique peuvent avoir une origine cérébrale , spinale ou périphérique. On en observe dans l'
spasmodique avec amyotrophie des membres inférieurs, sans troubles cérébraux ni pseudo-bulbaires. L'angiosclérose doit être
rieure de l'avant bras. Ils ne l'ont pas retrouvé dans l'hémiplégie cérébrale de l'adulte. Osteo-(l1.thropathies tabétiques.
l'autre, un cancer de la petite courbure de l'estomac, avec lésions cérébrales beau- coup moins importantes. Suppurations et
rale, en laissant complètement de côté la cénesthésie cen- trale ou cérébrale , dont l'existence a été démontrée par les expér
un trouble, à une perturbation fonc- tionnelle de cette cénesthésie cérébrale qu'il faut rattacher les états hypochondriaques
ébranlement, d'origine périphérique ou centrale, de la cénesthésie cérébrale , en un mot une psycho-céneslhésiopa- thie. 11 e
te tout le poids de son expérience pour défendre l'antique doctrine cérébrale de l'hypochondrie et NI. Deny tente de rajeunir
plus souvent dans le tabes, la paralysie générale et les lésions cérébrales syphilitiques. Dans le tabes on observe : le sign
nature, que l'on observe dans beaucoup de lésions médullai- res ou cérébrales et, en particulier, dans les lésions très an- c
iquement centrale. Or, la paralysie générale, affection des centres cérébraux et des méninges cérébrales, peut très bien se p
paralysie générale, affection des centres cérébraux et des méninges cérébrales , peut très bien se propager à la moelle et aux
'il traduisait simplement une lésion du cerveau ou des ménin- ges cérébrales . Il résulte de ces observations que le signe de
ée de quantités comprises entre 6° et 9° 1/2. De la galvanisation cérébrale . Signification thérapeu- tique et clinique. D
une électrode sur le front et une autre à la nuque, ont une action cérébrale incontestable, et variable avec le sens du cour
ertige voltaïque et de son importance dans le diagnostic de lésions cérébrales et auriculaires, d'après Babinski. Enfin Vu- ne
er. 11 semblé bien que, dans ce cas, on ait affaire à de l'oedème cérébral . Les paralysies transitoires des urémiques et, il
e : Dilatationdes ventricules latéraux, pasd'athé- rome des artères cérébrales , plaques jaunâtres sur les ménin- gites molles
lisée à la partie antérieure des bords su- périeurs des hémisphères cérébraux avec une atrophie des lobes frontaux très accen
monium elle bisulfite de soude) en contact.avec les circonvolutions cérébrales . Des convul- sions ont apparu ; puis le nombre
ner. Il semble bien que dans ce cas, on ait affaire à de l'oedème cérébral . Les paralysies transitoires des urémiques, et, à
tions de cellules hématomacrôphages provenant d'un cas d'hémorragie cérébrale avec irruption ventriculaire (liquide rachidien
vité et de la sensibilité morale. ' Le trouble de la cénesthésie cérébrale ayant envahi peu à peu l'élément organique, myo
En faisant jouer le principal rôle aux troubles de la cénesthésie cérébrale dans la genèse du délire de notre malade et des
par suite d'un état maladif des régions correspondantes de l'écorce cérébrale , ne sont 200 CLINIQUE MENTALE. plus adéquates
rps, les unes par rapport (1) .1. COTARD. - Etudes sur les maladies cérébrales et mentales, p. 388. ' (2) SÉGLAS. Leçons cli
aide. Joannes Millier a démontré que le volume des hémis- phères cérébraux augmente en fonction de la diminu- tion des gan
- nert (2) aux rapports entre la base et le sommet des pédoncules cérébraux . Les voies conductrices afférentes aux centres
ndividu atteint d'épilepsie jacksonnienne la zone lésée de l'écorce cérébrale , on enlève, avec le mal, l'activité volontaire
le cas de deux jeunes gens auxquels on avait enlevé à l'un l'écorce cérébrale au niveau du centre du membre supérieur gauche,
z les enfants en bas âge que chez l'individu il qui manque l'écorce cérébrale . Le phéno- mène du jambier antérieur est aussi
primitivement observé dans les cas d'hémiplégies orga- niques ou cérébrales est imputé par les auteurs à des lésions du fai
e interprétation comme exacte, nous disons que l'absence d'écorce cérébrale peut, comme les troubles des voies conductrices
qui implique une absencedecor- tex, c'est donc grâce aux ganglions cérébraux que la vie peut se maintenir chez les anencépha
céphale de MM. Vaschide et Vurpas possédait un bulbe sans ganglions cérébraux . Ces gan- glions qui, avec le cortex, constitue
ulaires confirment le rôle que la physiologie assigne aux ganglions cérébraux . Les ganglions inférieurs sont des centres réfl
devons y voir que leproduit del'entrée en fonction des ganglions cérébraux . Il n'y a rien de psychique dans l'activité du
Chez un tabétique artério-scléreux mort à 50 ans d'hémorrha- gie cérébrale , il fut trouvé des formations calcaires dans les
de ces granulations. F. T. X. Analyse de quelques cas d'affections cérébrales ; par 31. J. FÉDOROW. (Obozréuié psichiatrii, V
ogie nerveuse. 317 diagnostiquer un processus occupant les méninges cérébrales et la surface de la couche corticale au niveau
quand plusieurs mots ont disparu du 326 bibliographie. réservoir cérébral , ceux qui sont restés sont et demeurent d'au- t
ysie géné- rale s'associent à des lésions non douteuses de syphilis cérébrale la coexistence de ces lésions est beaucoup plus
roit généralement; 2° par l'examen des méninges du fond des sillons cérébraux , épaissies à un tel point qu'on pense immédia-
respondante offre des adhérences à la substance grise. Hémisphère cérébral gauche. La pic-)nére s'enlève en général assez,
ue mi- nime qu'en soit la dose. le délire apparaît. La résistance cérébrale a cédé et le sujet devient psychopathe. Ce rapp
la cholémie. est un toxique. Chez le sujet pondéré, au point de vue cérébral , ce mélange n'amène qu'une simple dépression.
baser non sur l'intensité de la cholémie, mais sur la résistance cérébrale du sujet, pour se rendre compte du degré de la
ans l'enfance. Pendant son service militaire, il a eu une affection cérébrale (1885). Pas de renseigne- ments sur cet état, t
(constamment ? exprimait sa crainte d'être repris de l'affec- tion cérébrale qu'il avait eue au régiment. Son étal s'aggravait
sécution. Elle est morte dans cet état il la suite d'une congestion cérébrale . Dans sa jeunesse, elle avait eu la chorée. Une
es impressions douloureuses. La dou- leur est un phénomène central, cérébral , résultant uniquement de la difficulté qu'éprou
ne serait que l'expression du mode le plus élevé du fonctionnement cérébral : clic apparaît dès que ce fonc- liunncmcnt dim
s traces de méningite purulente ni ra- nltirlicnne, ni bulbaire, ni cérébrale , pas même des signes appa- l'cn[,,llel11l'ningi
apitre, l'auteur étudie lessYll1ptômes atlribua- bles à des lésions cérébrales en foyers que l'on peut trouver dans la psychos
naux; infectieux di vers, peuvenl produire la psychose. Les tumeurs cérébrales , la sénilité peuvent la reproduire. L'auleur
mps dépassé Cbarlres, quand la jeune fille, sujette il des troubles cérébraux , alla s'enfermer dans les uater-closcts, brisa
ent elles sont le siège de fongus analogues il ceux de la dure-mère cérébrale . » A la théorie purement mécanique d'Ollivicr e
ialhorrée à l'issue de cette phase, reprise d'une certaine activité cérébrale délirante de couleur mélancolique, suicide (hér
nt donné éga- lement des résultats encourageants : Xlll. Syphilis cérébrale et injections d'hermophényl ; par MM. Roque et
Lyon médical, 21 mai 1905, no 21.) Quatrcohservations de syphilis cérébrale à manifestations va- l'iées, que les auteurs on
injections d'hermophényl à hautes doses. Observation 1 ? Syphilis cérébrale , céphalée en un point fixe, à recrudescence noc
s. Guérison de tous les ac- cidents. 0&M)'Mt(tO)t/7T.Syphilis cérébrale . Paralysie. Injections de 1 gr. 52 d'hermophény
ions d'hermoplu- nyl constituent un traitement actif de la syphilis cérébrale . ' ' Les auteursontinjecté à ces divers malades
hényl on soit en posses- sion d'un mode de traitement delà syphilis cérébrale , permettant de pousser, aussi loin qu'on le jug
rachidien jusqu'à la première paire dorsale. Diagnostic des tumeurs cérébrales . , M. CESTAN.Lanévritooptique oedémateuse est l
syndrome d'hypertension céphalo-rachidienne causé par les tu- meurs cérébrales , mais on peut hésiter quand il n'existe pas enco-
so laryngée, probablement liée à une lésion congénitale de l'écorce cérébrale chez une fille de 9 ans 1/2. (Soc. méi, des ltt
d'examiner un malade. Hémiplégie ; Mémorrha- gie et ramollissement cérébral . Tumeurs cérébrales. Aphasies. Encéphalopathies
ade. Hémiplégie ; Mémorrha- gie et ramollissement cérébral. Tumeurs cérébrales . Aphasies. Encéphalopathies infantiles (maladie
les. Voir timibles qicyullaires. ' Analyse de quelques cas cl'- cérébrales , par Fedorovv, p. 310. .LLBUI<IIi\O-DLIn\O
]iérédo-ataxic cérébelleuse, par Raymond, p. 313. Galvanisation cérébrale . , Signification thérapeutique et clinique, p
ne an- cienne faciale, par Lamy, n. 53. - énérale et syphi- lis cérébrale diffuse, par Du- pré et Dcvnw, p. 53. Suppu-
rches expérimen- tales relatives à l'influence sur la circulation cérébrale de la cerebrino de -, par Pousseyre, p. 111.
le familiale con- génitale, pal Taguet et Fov. p. 131. Syphilis cérébrale . Voir Para- lysre pén`s7ale. - cérébr : llo e
89 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
pie-mère. Pas de lésions macroscopiques importantes de la substance cérébrale . Vaisseaux : Athérome des artères basilaire et
le d'Armentières le 13 décembre 1901. Sa mère est morte de « fièvre cérébrale ». Lui même est alcoo- lique, il a eu du rhumat
, rien de particulier à signaler. L'examen histologique de l'écorce cérébrale , nous a permis de constater les lésions ordinai
ait avec elle des fragments de substance grise. Les circonvolutions cérébrales étaient atrophiées et la couche de substance gr
. Il n'y avait pas d'autre altération macroscopique de la substance cérébrale . Les vaisseaux delà base, la basilaire notammen
mbre de centres, médullaires, bulbo-protubérantiels, cérébelleux et cérébraux , dont nous commençons à entrevoir le rôle. Or
, entre autres causes, par les impres- sions sensitives et l'action cérébrale , nous pouvons dès maintenant comprendre que, po
tion à un but déterminé exige ou a exigé l'intervention des centres cérébraux conscients. Or, associations et coordinations s
cocaïne dilate promptement la pupille (P. Schultz). Le sympathique cérébral est-il lésé ? C'est un terri- toire encore trop
traitement des hémor- ragies intra-cràniennes. G. DENY. IX. Abcès cérébral double après chute sur le front. Trépanation. G
, mais '100 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. les phénomènes de compression cérébrale subsistent. Dix-neuf jours après l'ouverture du
. Il paraît que depuis un mois il donnait des signes de dérangement cérébral et l'on a tout lieu de croire que c'est dans un
ue lemps, la marchande de légumes donnait des signes de dérangement cérébral : « Je ne sais pas ce que j'ai, disait-elle par
urent pendant la première semaine de faiblesse, convulsions. oedème cérébral , etc. 6 étaient idiots, 5 étaient rabougtis, de
tion. Mais cesimpressions répétées ébranlent petit à petit son état cérébral instable, puis réveillent l'état vésanique late
s deux dernières se confondent : une première période d'ébranlement cérébral qui correspond à l'accepta- tion des idées déli
nts divers, toutes fonction de la déséquilibration des départements cérébraux . Sans examiner en détail ces variétés syndromiq
ène qui s'impose (Magnan). Il y a rupture de l'harmonie des centres cérébraux et exubérance d'un cer- tain nombre d'entre eux
enfants arriérés et l'un d'eux a été réformé, à cause de ce défaut cérébral , du service militaire. Le père de la malade est
ans et avec grande difficulté; deux ans après, elle eut unetfievre cérébrale qui i lui est survenue à la suite d'une frayeur
oute lésion oculaire. Ces deux cas viennent à l'appui de la théorie cérébrale du nys- tagmus. Knies définit le mystagmus cong
a été trouvé dans le sang pendant la vie, dans le pus des méninges cérébrales et spinales, dans les végétations de l'endocard
ntre modérateur du coeur, vers le centre vaso- moteur etc. L'anémie cérébrale en résulterait. On peut penser aussi à une cris
à une lésion du thymus. G. C. XXIII. Note sur un cas de sclérose cérébrale infantile d'origine hérédo-syphilitique. L'héré
surface de l'hémisphère gauche, l'existence d'une zone de sclérose cérébrale . Au niveau d'une région répondant fort exacteme
s grand nombre des cas, l'origine hérédo-syphilitique des scléroses cérébrales dont la traduction clinique répond au diverses
s encéplalo- pathies syphiliques. Or, toutes les formes de syphilis cérébrales ne se terminent pas par la paralysie générale.
onto-céréhelleuse avec dégénérescence pres- que totale du pédoncule cérébral , sauf le second cinquième interne SOCIÉTÉS SAVA
de plaques de sclérose sur le cervelet, la protubérance et l'écorce cérébrale , étant donnée la suppléance possible entre l'éc
e qui depuis deux mois à des hallucinations, un état d'excitation cérébrale très spécial. Les troubles psychiques, dans nos
'asile que parce qu'ils ont présenté après l'opération des troubles cérébraux persistants. Dans une première communication
onsidérable de cas, où une opération pourra mettre fin aux troubles cérébraux . Enfin, en terminant et comme conclusion généra
atives, ce qui* évidemment, peut indiquer l'existence dans l'écorce cérébrale de centres séparés indépendants affectés aux pr
ade qui a succombé dans son service avec les symptômes d'une tumeur cérébrale . Les troubles avaient débuté par une céphalée n
était devenue double. Il y a un an, on lit le diagnostic de tumeur cérébrale . La malade succomba dans une crise épi- leptoïd
ique caractérisée par l'existence de cavités creusées dans le tissu cérébral , quelle que soit leur origine. - Ils rapporte
du crâne, suivie d'une réparation osseuse incomplète ; la substance cérébrale avait été . remplacée par une cavité infundibul
iforme, en communication avec le ventricule latéral. La déformation cérébrale était restée latente jusqu'à l'âge de seize ans
eint. Le mode d'ac- tion du traumatisme (lacération de la substance cérébrale , hémor- rhagie. trouble trophique, inflammation
de la volonté, autrement dit au début une intervention de l'écorce cérébrale est nécessaire. Dans quelques cas cependant c'est
a période critique de l'insénescence prochaine. XLVIII. Commotion cérébrale et hystéro-épilepsie ; par WILL- NOYES. (i)Iecl
) C'est un chapitre des rapports des névroses avec le traumatisme cérébral . L'auteur rappelle, à propos d'un cas personnel,
normaux, devient vite mélancolie délirante chez les hérédi- taires cérébraux . C'est ce dont M. Bienvenu s'est assuré par des
érescences descendantes consécutives au ramollissement du pédoncule cérébral . M. Cestan insiste sur la dégénérescence du fai
générale habituelle. On ne relève chez lui aucun signe de lésion cérébrale ou spinale ; l'examen du liquide céphalo-rachidie
aitement par le chlorure d'éthyle, elle est soignée pour rhumatisme cérébral . Néanmoins, les douleurs persistent violentes d
où elle se trouve. Par moments, elle manifeste un peu d'exaltation cérébrale avec idées de satisfaction et de richesses : « el
e satisfaction et de richesses. 27 juillet. - Un peu d'excitation cérébrale sans modification de la santé physique; elle ra
- 361 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. chait la faiblesse congénitale cérébrale de ses malades à l'alcoolisme des parents'. 1.
rmit, avec l'évo- lution de la maladie, de diagnostiquer une tumeur cérébrale . Les attaques d'épilepsie jacksonnienne permett
deux stades bien différents. Au début, il y avait une com- pression cérébrale générale, caractérisée par la céphalée, les vomis
générale. Plus tard, tous les phénomènes somatiques de compression cérébrale générale disparurent pour faire place à une pér
arcome des méninges, ayant refoulé puis détruit les circonvolutions cérébrales avoLinantes. (Revue neurologique, septembre 190
alysies n'étaient pas stables. Excluant le trauma- tisme, la tumeur cérébrale et l'encéphalite, l'auteur suppose dans le cas
nt ainsi : « En présence d'une réaction motrice à laquelle l'écorce cérébrale ne prend pas et n'a jamais pris part, nous diro
t un spasme. En présence d'une réaction motrice à laquelle l'écorce cérébrale prend ou a pris part, nous dirons : ce n'est pas
se reconnaît la partici- pation à un moment quelconque de l'écorce cérébrale , présente en outre certains caractères patholog
tes : céphalée, rachialgie, asthénie neuro-mus- culaire, dépression cérébrale , insomnie, dyspepsie atonique, est essentiellem
t. Il n'y a ni asthénie, ni céphalée, ni dyspepsie, ni dépres- sion cérébrale ; aucun des symptômes de la neurasthénie clas-
avec hallucinations et idées mé- lancoliques rappelle les accidents cérébraux qui surviennent, au cours de la lièvre typhoïde
de préciser le siège du centre ou plutôt des centres vaso-moteurs cérébraux : en les examinant, on est frappé de la grande fr
ique, oct. 1902). 1;. 13. XXXVI. Nouvelle méthode de mensurations cérébrales . Atrophie relative du lobe pariétal par rapport
timent pourtant que les connexions entre la destruction de l'écorce cérébrale et la lésion du corps calleux sont assez loin d
la lésion. » R. Cnaaon. XL. Anatomie des lacunes de désintégration cérébrale ; par J. FERRAND (Nouv. Icmaogr. de la ff/pe ?
dé, capsule interne, c'est-à- dire dans le domaine d'irrigation des cérébrales . Le lieu d'élection des lacunes se trouve au ni
propre- ment parler, c'est la lacune miliaire (raréfaction du tissu cérébral autour du vaisseau sans solution de continuité)
es parois mais toujours perméable, cavité limitée par un parenchyme cérébral en voie de désintégration contenant des élément
S. lisée au sommet droit, entré dans le service pour des troubles cérébraux qui ont brusquement débuté, sans ictus, il y a tr
che et de la jambe du côté droit. Dans ce même cas il y a une algie cérébrale persistante continuelle, résistant à toute médi
ariables; dans 1 cas, la manifestation des symptômes de la syphilis cérébrale influa d'une manière favorable sur les idées ob
ituels dirigés contre le lymphatisme, la tuberculose, les accidents cérébraux et surtout l'épilepsie. J'ai obtenu de bons rés
l'Hystérie et de la Suggestion basée sur un schéma des fonc- tions cérébrales : le Centre 0 et le Polygone. Nous essaierons pro
une table mobile. Sur les parois delà salle, 40 planches d'anatomie cérébrale macroscopique. Dans la salle sont conservées les
scles sont séparés par la section médullaire de leur centre tonique cérébral , d'où paralysie flasque, tansdis que les réflexes
xistence d'une tachycardie assez mar- quée. G. C. LXXVH. Syphilis cérébrale ? Souffle céphalique ; par M. CLAMENT (Société
double, plus accusée à droite. Il s'agissait donc d'une compression cérébrale , probablement par une tumeur, siégeant dans les p
qu'il s'agit d'un bruit vasculaire lié à l'exis- tence d'une lésion cérébrale . Ce phénomène pourrait être dû, dit l'auteur, s
une artérite, avec anévrisme ; soit enfin à la présence d'une gomme cérébrale ou de plaques scléro- gommeuses des méninges co
part au moins des relations du développement intérieur des lobes cérébraux . Pour en apprécier le code il faut seulement dist
s qui reposait SOCIÉTÉS SAVANTES. 545 uniquement sur des troubles cérébraux en tout point analogues à ceux que l'on observe
ique, dans la moelle, dans le bulbe ou au niveau même de l'é- corce cérébrale . La précocité de l'apparition de l'oedème permet
trouble dissocié de la sensibilité cutanée dans la lésion du tronc cérébral . Dr G. Rossolysio. L'auteur communique quatre o
dination de. type cérébelleux et avec le trouble de divers nerfs cérébraux . Cas 1. Malade K ? de soixante-cinq ans. La pér
les céréhelleux antérieurs de reconnaître l'existence dans le tronc cérébral des voies particulières, ne correspondant pas a
montré que les anesthésies organiques du tabès, de l'hémianesthésie cérébrale , de la sclérose en plaque, de la névrite, ont c
urant rue Damrémont, donnait des signes de varia. 575 dérangement cérébral . Hier soir, s'imaginant que sa femme voulait l'
fromagerie, donnant depuis quelques mois des signes de dérangement cérébral , s'est noyé dimanche. Il s'était attaché au cou
boulevard Saint-Germain, Paris (61) SiiUiNDA (Anastas). ocn'M/ton cérébrale du nerf pneumogastrique, in-S° de 28 pages. Gut
er. Le rédacteur-gérant : Bouhneville. TABLE DES MATIÈRES Abcès cérébral double après chute sur le front. Trépanation. G
cences descendantes con- sécutives au ramollissement du pédoncule cérébral , par Cestan, 293. Les stigmates obstétricaux
logiques dans la - . par Dile et Cllénais, 371. Voir Mensurations cérébrales . Désespoir d'une boulangère, 121. Désintégrai
ions cérébrales. Désespoir d'une boulangère, 121. Désintégrai ion cérébrale . Anatomie des lacunes de-, par Ferranci, 158.
o-pathologique de , par An- glade et Chocreaux, 197. Mensurations cérébrales . Nouvelle méthode de -. Atrophie relative du
nigne, par Devay, 534. - ocu- laires. Voir Diplégie. Tédoncule cérébral . Voir Dégéné- rescences. . Voir atrophie. PEL
ann, 282. - et,itropliiem(isculaire, 1)tr Vacher, 535. Sclérose cérébrale in'antile d'oli- gine hérédo-syphililique. L'hé
chez les ascendants, par 111alllerbe, 86. Trépanation. Voir abcès cérébral double. -(le t'apophysemastoide. Voir Acciden
Du - dissocié de la sensibilité cutanée dans la lésion du tronc cérébral , par Rossoluno, 519. 'I'ROI'llol-DÈ31F. Sur le
90 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
nges (méningite spinale posté-rieure) ; 3° celle des différents nerfs cérébraux , et entre autres, des nerfs optique, moteur ocula
mes cephaliques, et qui ont pour point de départ une lésion des nerfs cérébraux ou bulbaires, tels que les nerfs optiques, par ex
t obscurcir le diagnostic, et faire songer à l'existence d'une lésion cérébrale ou cérébelleuse. — C'est un point sur lequel nous
l'examen oph-talmoscopique dans le diagnostic de quelques affections cérébrales . Existence isolée de l'amaurose tabétique ; sa
t dans le nerf optique en conséquence de la né-vrite liée aux tumeurs cérébrales {névrite optique) et l'indura-tion grise de ce mê
nostic est bien différent de ce qu'il est dans l'hypothèse de tumeurs cérébrales . S'il s'agit, en particu-lier, d'une lésion syphi
incertain. Il n'est pas douteux pour moi que certains cas de tumeurs cérébrales , sans nul doute fort exceptionnels, doivent être
nt pas, d'ailleurs, un fait absolument exceptionnel en cas de tumeurs cérébrales . Ainsi, sur 233 cas, M. Ladame a mentionné 23 foi
champ. Il devenait évident que Ler... était sous le coup d'une tumeur cérébrale , et l'autopsie l'a vérifié ; quant à Deg..., elle
Physio-logie, Bd. II, p. 511. la vessie viendraient des pédoncules cérébraux . Passant par les corps restiformes, ils pourraien
s très te-naces, très persistants, sont, en dehors de toute commotion cérébrale , un symptôme immédiat assez fréquemment lié aux l
sur les maladies du système nerveux, tome L, p. 218, 219. commotion cérébrale , —ne plus battre que 48 fois à la mi-nute i. Suiv
ment des pulsations \ Bien entendu toute intervention de la commotion cérébrale se trouve écartée dans ses observations. Dans la
la région de la 6e vertèbre cervicale. Les symp-tômes d'une commotion cérébrale légère et tout à fait transi-toire se manifestère
se, avec ou sans accompagnement de convulsions, ou d'autres symptômes cérébraux et quelquefois de contrac-tures passagères. Cet
ccasionnée dans les membres inférieurs par la suppression de l'action cérébrale pourra être complète, absolue, et cependant les m
t des faisceaux de Tiirck. Sclérose latérale consécutive à une lésion cérébrale . Sclérose latérale symétrique primitive. — Anatom
t aussi dans la protubérance et dans l'étage inférieur des pédoncules cérébraux . Or, ces régions de l'isthme de l'en-céphale et d
t être suivie jusqu'à l'entre-croise-ment, du même côté que la lésion cérébrale . Au-dessous de l'entre-croissement, au contraire,
lle ne s'est pas trop longtemps prolongée. Dans le cas où la lésion cérébrale primitive occuperait simul-tanément les points co
nséquent d'une sclérose latérale symétrique, consécutive à une lésion cérébrale . Mais la sclérose symétrique totale des faiscea
ref, parce que je suppose connues les scléroses consécutives de cause cérébrale , dont les caractères anatomiques se confondent, à
s de la sclérose la-térale primitive jusque dans le pied du pédoncule cérébral (étage inférieur du pédoncule) : mais on ignore c
et aussi chez certains sujets atteints, consécutivement à une lé-sion cérébrale en foyer, d'hémiplégie avec contracture. Cette tr
eurs surtout commencent à s'atrophier fort peu de temps /hémiplégie cérébrale avec sclérose descendante consécutive ; — c) dans
dans les faisceaux latéraux à la suite de diverses lésions en foyer, cérébrales ou spinales, ne retentissent-elles pas, à l'insta
ophie. Ainsi, j'ai observé plusieurs fois des hémiplégies, de cause cérébrale , succédant par exemple à la formation d'un foyer
ulaires qui, dans la dure-mère spinale, de même que dans la dure-mère cérébrale (moins souvent, toutefois, dans celle-là que dans
é de la moelle, dans la sclérose des-cendante consécutive aux lésions cérébrales ou spinales en foyer ; 2° les faisceaux de Tùrck,
use : contractures hémiplégiques dura-bles, consécutives à une lésion cérébrale en foyer, paralysie générale progressive, myélite
avec tout l'appareil si original des symptômes spinaux, bulbaires et cérébraux qui la caractérisent dans son type de complet dév
s scléreuses disséminées, limitées à l'étage inférieur des pédoncules cérébraux , aux pyramides antérieures dans le bulbe rachidie
les faisceaux latéraux 'région dor-sale inférieure). Les hémisphères cérébraux étaient dans toutes leurs parties absolument exem
Le vertige de Meniere est encore peu connu. — Diagnostic : congestion cérébrale apoplectiforme ; — petit mal épileptique ; — vert
ont à des espèces plus vulgaires telles, en autres, que la congestion cérébrale apoplectiforme ou coup de sang, le pelit mal épil
s'est, à l'origine, présentée chez R... sous la forme de l'apoplexie cérébrale suivie d'hémiplégie telle qu'elle se présente en
ue dans quelques cas exceptionnels d'hé-morragie ou de ramollissement cérébral en foyer, l'hémiplé-gie, contrairement à la règle
e circonstance remarquable, déjà mise en relief, que Yhémia-nesthésie cérébrale , c'est-à-dire avec participation de tous les sens
localisées dans certains points, toujours les mêmes, des hémisphères cérébraux et dont le siège semble être aujourd'hui à peu pr
Épilepsïe partielle ou hémiplégique. — Ses rapports avec la syphilis cérébrale . — Considérations historiques. — Description d'un
-tions, est une des manifestations les plus fréquentes de la Syphilis cérébrale . C'est là un fait, on peut le dire, hautement rec
s particularités qu'offre souvent cette forme clinique de la syphilis cérébrale . Mais j'aurai surtout à cœur de mettre en relief
ion suivante où, comme dans la première, il s'agit encore de syphilis cérébrale . Un confrère étranger, de passage à Paris, me f
rreuse que présentent habituellement les malades atteints de syphilis cérébrale , voir au point de vue du diagnostic les re-marque
dans le côté gauche de la face, des grimaces qui se suc- d'origine cérébrale puissent être provoqués par certaines manœuvres.
térêt lorsque l'on sait que les parties de la surface des hémisphères cérébraux qui sont en rapport avec la région pariétale du c
la zone motrice, ou, autrement dit, comme la seule région de l'écorce cérébrale dont l'irrita-tion peut déterminer, sur le côté o
s, durant cette période, il se produisit des rechutes de l'af-fection cérébrale , marquées par des accès épileptiformes, moins int
n'ignore pas qu'il se-rait aisé de citer nombre de faits de syphilis cérébrale avec épi-lepsiepartielle où, malgré l'assistance
ilepsie partielle, parmi les manifestations si variées de la syphilis cérébrale . En septembre 1872, je fus consulté par M. A.,
pilepsie partielle, des formes cliniques très diverses de la syphilis cérébrale peuvent relever encore de la pachyméningite gomme
des intervalles libres de tout symptôme permanent la substance grise cérébrale , au contact de la pie-mère altérée, n'a subi enco
ndante, avec hémiplégie permanente, consécutive à une lésion gommeuse cérébrale . (Bull, delà Soc. anat., 1870, p. 431). 2 Consu
» Ce malade a été successivement traité comme atteint d'une affection cérébrale mal déterminée, d'épilepsie, de vertige stoma-cal
ésion est de même nature ; toutes les trois sont atteintes d'atrophie cérébrale uni-latérale, con-sécutive à une lésion encéphali
e l'examen ophtalmoscopique dans le diagnostic de quelques affections cérébrales . Existence isolée de l'amaurose tabétique; sa f
t des faisceaux de Tiirck. Sclérose latérale consécutive à une lésion cérébrale . Sclérose latérale symétrique primitive. — Anatom
Le vertige de Ménière est encore peu connu. — Diagnostic : congestion cérébrale apoplectiforme ; — petit mal épileptique ; — vert
Epilepsie partielle ou hémiplégique. — Ses rapports avec la syphilis cérébrale . — Considérations historiques. — Description d'un
nsécutives aux lésions des nerfs périphériques, 74. — Aux hémiplégies cérébrales , 74. — Aux lésions traumatiques de la moelle, 7
Dans Yataxie, 18, — Dans V hémiparaplégie, 139. — Dans Y hé-miplégie cérébrale , 269. — Dans la myélite aiguë centrale, 215. — Da
363. — Symp-tomatiques, 358. (V. Athétose.) Hémichorée.) Commotion cérébrale , 153. Consanguinité, 224. Contractilité élect
me, 90, 273. Hématomyélie, 88, 167, 210, 419. Hémianesthésie de cause cérébrale , 360, 366, 3î 1. — Croisée, théorie, 137. — H
miparaplégie spinale avec anes-thésie croisée, 136, 319. Hémiplégie cérébrale avec contrac-ture, 240. — spasmodique, 383. — spi
— Bulbaires (Lé-sions des), 42. (V. Amyotrophies, Paralysies, etc.) — Cérébraux (Atrophie des), 5, 43. — Optique (Atrophie du), 4
rcules quadrijumeaux, 368.(V. Moelle.)— Des vertèbres, 14s. Tumeurs cérébrales , 52, 55. (V. Mé-ninges, Moelle.) Turgk (Dévelop
91 (1900) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 15
é de son idée fixe subconsciente ; alors, dans ce temps d’automatisme cérébral , une volonté forte se substitue à sa volonté affa
Pour être complet, j’ajouterai qu’à la suite du surmenage physique ou cérébral , cette personne subit parfois des crises qui 1 ap
une diminution de la sonorité; à 16 ans, fièvre typhoïde à forme cérébrale ; l’intestin est resté susceptible; trois mois ap
ésique et d’irriter par contre-coup telle ou telle partie de 1 ecorcc cérébrale . A force d’interrogations, j’arrivais ainsi à d
lacer l’idée obsédante et aussi pour fortifier ce temps d’automatisme cérébral , j’imprimais aux membres des mouvements réguliers
graphique. Bérillon ET Bianchi : Applications de la phonendoscopie cérébrale à l’étude des états hypnotiques. Bianchi (de Pa
étude des états hypnotiques. Bianchi (de Parme) : La phonendoscopie cérébrale . Bilhaut (Paris) : La radiographie envisagée da
mais il n'est pas le seul. L'hypnotisme détermine une série d’états cérébraux très particuliers, dont l’étude n’est d'ailleurs
effet, dit-il, le dégoût est un processus purement psychique, un acte cérébral comme l'appétence. « C’est une grosse erreur de c
Or, il ne s'est agi ni d’hémorragie, ni de ramollissement, ni d’œdème cérébral . Celle malade, au réveil, ne s'est pas reconnue;
Ainsi, il ne faut pas confondre la coordination, qui est d’origine cérébrale , et l’adaptation, qui est d'origine médullaire. L
qui fait époque dans les annales de l’hyp- notisnie : La dualité cérébrale et Vindépendance fonctionnelle des deux hémisphèr
dualité cérébrale et Vindépendance fonctionnelle des deux hémisphères cérébraux . En 1884, le ministre de l’intérieur le chargea d
ire, l’association dc-s idées, les lois des phénomènes physiologiques cérébraux concomitants. Les découvertes déjà faites dans ce
la formation préalable d’idées dans le cerveau. Les premiers actes cérébraux du bébé, sont des actes d’imitation. Lombroso cit
e toute autre faculté psychique a disparu. Tel cet idiot, dont la vie cérébrale se bornait à répéter tout ce qu’on faisait devant
illeurs, Sollier qualifie avec plus de raison l’hystérique d’engourdi cérébral . L’appareil vérificateur, le sens du contrôle est
. 2) d’où l'acte. Qu’il s’agisse de réflexes médullaires ou d'actes cérébraux automatiques, d’actes imités, le schéma est le mê
ous obligent à croire, que des réflexes cutanés sont plutôt d’origine cérébrale (Sherrington). (•) Y. D' Félix Regnault; Hypnot
Vous dites : on tend à admettre que certains réflexes ont une origine cérébrale ; ce n’est donc pas absolument sur. Mais, cela fu
s d’autres sortilèges que ceux de la puissance morale et de l’énergie cérébrale dont vous êtes pourvus. Redresser les intellige
ence à Broca, qui le premier établit scientifiquement la localisation cérébrale d'une fonction de l’intelligence. Le principe des
brale d'une fonction de l’intelligence. Le principe des localisations cérébrales , fondé par Broca, fut confirmé et développé par l
vrirent, au moyen de l’électricité, l’excitabilité propre de l’écorce cérébrale . Dans cette partie, consacrée à la période cont
voies d'association et commissurales. Le chapitre consacré à l'écorce cérébrale chez l'homme et chez les animaux est des plus rem
t souvent alors par la suggestion, une amélioration marquée de l’état cérébral . Mais c’est surtout au moment de la convalescen
s tous leseas où les états toxi-infectieux s’accompagnent de troubles cérébraux , et c'est le plus grand nombre, il y a peu ou pro
s. Troubles psychiques en rapport avec la compression de l’écorce cérébrale . Par M. le Dr Aubeau. Traumatisme de la régio
e Dr Aubeau. Traumatisme de la région pariétale droite. — Accidents cérébraux graves immédiats, persistant pendant plusieurs mo
connue : Délire aigït suivi de l'abolition des principales fonctions cérébrales . — Idiotie. — Gâtisme. — Rçtour de toutes les fon
t consécutifs au traumatisme, pourraient s’expliquer par la commotion cérébrale et une suffusion sanguine des méninges, suffisant
des méninges, suffisantes pour provoquer de l’irritation de l'écorce cérébrale et de ses enveloppes et par conséquent de l’excit
é- rieure allant jusqu’à l'annihilation des principales fonctions cérébrales et même jusqu’à l’idiotie et le gâtisme. Mais il
ever l’ordre dans lequel, après l’opération, ont reparu les fonctions cérébrales , en allant des inférieures aux plus élevées. D’
nous préparent une source très précieuse d’informations. La chirurgie cérébrale , en effet, renouvelle l’histologie, car, au lieu
’a tentés M. Lanneiongue en vue de traiter l’idiotie par la chirurgie cérébrale : les résultats ont été médiocres et peu durables
’est caractérisé par un ensemble symptomatique simulant une affection cérébrale grave et par la réaction extrêmement nette du mal
r les modifications physiologiques qui accompagnent les insuffisances cérébrales seront-elles déterminées dune manière assez préci
un engourdissement, ou, si l’on veut, un état de sommeil des centres cérébraux . L’anes-thésie, les troubles moteurs et viscéraux
al des hystériques, 1893. plus ou moins les fonctions des centres cérébraux . L'état de sommeil, à partir d’un certain degré,
il n’est pas allé au fond des choses : « Quant à la nature du sommeil cérébral qui entrainel’hystérie, on me pardonnera de ne fa
Frey, Ranvier, Jean Demoor (8) et Manouélian ; 5° Pour les cellules cérébrales de la grenouille par Waî-ther (9), de la souris p
(10) Querton : Le sommeil hibernal et les modifications des neurones cérébraux . (Trav. du lab. de l’institut Solvay, t. II., fas
(1) Micheline Stefanowska : Les appendices terminaux des dendrites cérébraux et leurs différents états physiologiques. (Trav.
ukhanoff : Sur les modifications des cellules nerveuses et de Vécorce cérébrale dans l'anémie expérimentale. (Trav. du labor, de
, 1898.) (3) Jean Demoor : La plasticité morphologique des neurones cérébraux . (Arch, de biologie de Bruxelles, t. XIV, 1896.)
biographies. Ces troubles sont-ils altribuables h l'hyperfonclion cérébrale , la maladie frappant de préférence un organe surm
de l’autre en ce que le sujet n’a plus aucune pensée ; c’est un vide cérébral complet, puis, quand il revient à lui, il reprend
ec spontanéité. Nous assistons ainsi à un dédoublement des opérations cérébrales qui s’accomplit avec un automatisme parfait. Ce p
Or on sait que Soukhanoff a observé l’aspect moniliforme des cellules cérébrales du cobaye, après ligature des carotides ; 2° A
yramidales du chien. Pour le trional, par Soukhanoff sur les cellules cérébrales du cobaye. Pour la cocaïne, par Jean Demoor sur l
s. C’est ainsi que, suivant Paul Sollier, le retour de la sensibilité cérébrale est précédée non seulement de fourmillements et d
eurones de sensation, c'est que l’hystérie est avant tout une maladie cérébrale . Mais il est certain que les neurones des voies
témoignage de Bechterew, (2) consécutive à toute anesthésie d’origine cérébrale , quelle qu’en soit la cause. Dans l’hystérie cett
rveux y ont été maintes fois sollicités au cours des opérations cérébrales conscientes ou inconscientes. II est des hystér
. I. — Les paralysies hystériques. Dans le réflexe complet à sommet cérébral , les ondulations nerveuses, après avoir traversé
au système nerveux ne parviennent pas toutes aux neurones de Técorce cérébrale . Beaucoup passent, avant d’y parvenir, des neuron
une partie des ondulations centripètes se perdent dans le labyrinthe cérébral , dans la contracture toutes ou presque toutes ces
neuro-diélectriques est due à la rétraction des neurones de l'écorce cérébrale . Silos neuro-diélectriques siègent au-dessus du
es musculaires, et ont comme ceux-ci leur point initial dans l’écorce cérébrale . Cela résulte des expériences de Hitzig, Eulenbur
t d’ondulations nerveuses aux arcs diastaltiques séparés du réservoir cérébral par les neuro-diélcctriques, a pour effet d’augme
e du constricteur du vagin, muscle obéissant surtout à des influences cérébrales et dont la contracture cesse précisément sous une
de la manière suivante : « Par suite de l’engourdissement des centres cérébraux dans le vigilambulisme (2), il n'y a plus de cont
i la première ni la dernière hystérique qui, grâce à une hypertension cérébrale localisée, accomplira de grandes choses. Si Ton f
Puis, plus tard, un confrère a diagnostiqué neurasthénie paranémie cérébrale , dilatation des cavités droites du cœur avec un c
obligent à constater que, loin de provoquer le moindre « détraquement cérébral o, la suggestion hypnotique, lorsqu’elle réussit,
études cliniques et anatomiques sur l’aphasie, sur les localisations cérébrales et encéphaliques et parvint, par des examens hist
u’il étudia les fibres d'association et de projection des hémisphères cérébraux . Dans un de ses mémoires, il battait en brèche la
de Reil, de la couche optique et du noyau rouge, avec la corticalité cérébrale , la localisation de l’hémianesthésie dite capsula
57. Troubles psychiques en rapport avec la compression de l’écorce cérébrale , par Aubeau, p. 245. Vaginisine(Caractère psych
92 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
décida, à cet âge, à en manger, mais il eut de l'insomnie, une fièvre cérébrale et mourut (Journal de médecine, août 1760). Un
ue se fait chez lui avec une extrême facilité. C'est son organisation cérébrale et psychique qui fait sa suggestibiiité ; je n'ai
fluence sur eux ; leur état AU??-SGGESTION ET CONTRE-SUGGESTION cérébral est inerte; ils se suggèrent consciemment ou inco
ne auto-suggestion pure; sans doute, il y a peut-être dans la cellule cérébrale qui crée ladouleur un processus anormal, peut-êtr
is que la sensation de vertige, de nausée, etc., sont des perceptions cérébrales de ces états nucléaires inférieurs. Il y a, si no
mais encore suffisamment claire, une âme bulbaire au-dessous de l'âme cérébrale , et celle-ci n'est le plus souvent, au moins en m
ons nettement contradictoires pour développer dans les foules un état cérébral particulier impliquant une obéissance facile et d
nt son infirmité psychique, certainement héréditaire. Sa réflectivité cérébrale exagérée sera, je le crains fort, toujours la mêm
udi 23 janvier, à cinq heures, une conférence sur Les circonvolutions cérébrales et sur un nouveau procédé de conservation du cerv
i 30 janvier, à cinq heures, une conférence sur : Les circonvolutions cérébrales et sur un nouveau procédé de conservation du cerv
-thier-Villars et Fils. Paris, 1895. Dr Lautps. — Le fonctionnement cérébral pendant le rêve elpendant le sommeil hypnotique.
ans la capsule interne, dans les radiations optiques ou dans l'écorce cérébrale . L'association de l'hémianopsie avec la cécité de
i 30 janvier, à cinq heures, une conférence sur : Les circonvolutions cérébrales et sur un nouveau procédé de conservation du cerv
u-thier-Villars et Fils. Paris, 1895. D'Lautps. — Le fonctionnement cérébral pendant le rêve elpendant le sommeil hypnotique.
diminution de l'initiative intellectuelle, par une faible spontanéité cérébrale . Cet état peut être normal chez beaucoup d'indivi
é variable dans cet état» s'explique aussi par l'absence d'initiative cérébrale . Le tonus musculaire, on le sait, est un phénomèn
nt, on conçoit que le tonus musculaire, ne subissant plus l'influence cérébrale modératrice, s'exagère et tende à devenir contrac
dance à l'automatisme rotatoire, le membre continuant sans résistance cérébrale à tourner, gardant automatiquement le mouvement,
ertaines émotions ou certains états morbides diminuant la spontanéité cérébrale . société d'hypnologie et de psychologie SOC
tre, six fois par jour cette impulsion souvent maladive, les cellules cérébrales sont vite épuisées et remises sans cesse en état
à démontrer l'existence d'un centre respiratoire dans les hémisphères cérébraux . Tout le monde, au contraire, admet l'existence d
sans provoquer de mouvements respiratoires. Ce qui confirme l'origine cérébrale de l'aphonie hystérique, c'est que les muscles in
ment. Ils reproduisent la plupart, grandeur naturelle, la morphologie cérébrale et cérébelleuse, l'aspect des hémisphères vus en
e siège se trouve, comme vous le savez, au niveau des circonvolutions cérébrales ; nous pourrions donc dire que l'hypnose est le so
périodes qui se rapportent aux trois formes de sommeil : une période cérébrale , une période cérébro-médullaire, une période bulb
e, une période cérébro-médullaire, une période bulbaire. La période cérébrale est caractérisée au début, après une phase d'exci
éviter de les employer dans les délires symptoma-tiques d'altération cérébrale : chez un cardiaque, chez un pneu-monique, le chl
ou la narcose, et même, à petites doses, des phénomènes d'excitation cérébrale . Je vous ai dit, tout à l'heure, la différence en
s précédentes leçons. Si nous avons affaire à une insomnie de cause cérébrale , il ne faudra pas donner d'emblée des narcotiques
itations vasculaires sont susceptibles de faire varier la circulation cérébrale et de produire soit l'anémie, soit la congestion
médicaments hypnotiques seraient susceptibles d'amener la congestion cérébrale , et le bromure et le chloral doivent être dans ce
e l'on a faites sur -la structure de l'encéphale et les localisations cérébrales des facultés, malgré les recherches de la physiol
dire l'augmentation de vivacité et de complexité des courants nerveux cérébraux ou extra-cérébraux, dont parle M. L. Manouvrier,
supérieurs de la conscience et du raisonnement siégeant dans l'écorce cérébrale , reste intact ou non. « Comme l'a fait remarquer
sie s'expliquent fort bien par une suspension transitoire du contrôle cérébral , suspension qui peut devenir très longue et about
Raymond (Voir Revue de l'Hypnotisme, juin 1895). Si alors le contrôle cérébral sur les centres subconscients est entravé ou supp
à se transformer en acte, par suite de la diminution du contrôle cérébral ; on peut donc, comme le professe fort bien l'Éco
ne parvenaient pas à donner la clef du mécanisme de ces modifications cérébrales . La contiguïté et l'induction nerveuses expliquen
r absolue ; dans ces affections, les cellules pyramidales de l'écorce cérébrale , qui sont les centres de l'intelligence, ont leur
et aux autopsies faites dans les maisons d'aliénés, que les cellules cérébrales aussi bien que les cellules de la moelle épinière
rveau, et, comme conséquence, la perte irrémédiable du fonctionnement cérébral normal. Une question qui se pose de suite est cel
mesure ce jour-là? A-t-il fait un rêve, qui aurait attiré l'activité cérébrale d'un autre côté? L'inconscient a été distrait, et
homme qui dort,dit ??. le professeur Mathias Duval; les ramifications cérébrales du neurone sensitif central (comme dit Van Gehuch
réactions réflexes, mais ne passent pas dans les cellules de l'écorce cérébrale ; des excitations plus fortes amènent l'allongemen
; des excitations plus fortes amènent l'allongement des ramifications cérébrales du neurone sensitif, par suite le passage jusque
orte un stimulus nouveau qui ranime leur modalité engourdie; l'influx cérébral arrive, par cette excitation dynamogénique, à se
ses propriétés, elle parait en somme avoir été astreinte à un travail cérébral et en lutte à des préoccupations industrielles qu
sans s'exclure. De même pour le sommeil : l'état de la circulation cérébrale , l'intensité des combustions, de la production de
ombustions, de la production de chaleur, l'état électrique des masses cérébrales sont des conditions précieuses à déterminer ; mai
omènes réflexes ; au-dessus, le mond&des phénomènes psychiques ou cérébraux . Dans le sommeil, les réflexes ne sont pas abol
e neurone à neurone sur le domaine des phénomènes réflexes. Les actes cérébraux ne sont pas complètement abolis, comme le montren
lables entre d'autres neurones. D'abord entre les neurones centraux cérébraux . L'incohérence des rêves, la manière brusque, inu
irs, montrent qu'évidemment les voies intercommunicantes des cellules cérébrales ne sont pas toutes largement ouvertes comme à l'é
lement les neurones qui établissent les communications entre le monde cérébral et les neurones périphériques ont rétracté leurs
r par la cessation de toute activité, mais dans le monde des neurones cérébraux , dans les centres cérébraux proprement dits, dans
activité, mais dans le monde des neurones cérébraux, dans les centres cérébraux proprement dits, dans leurs neurones d'associatio
les expériences de Goltz (*). Le chien, privé de ses deux hémisphères cérébraux , présentait des alternatives de veille et de somm
même cervelet), était rendu visible par son isolement de tout sommeil cérébral , par lequel il est voilé d'ordinaire chez l'anima
nt près de deux ans un chien auquel il avait enlevé les a hémisphères cérébraux . Comme chez un animal intact, on observait sur ce
re, quelque épuisée qu'elle soit. De même on peut forcer les cellules cérébrales à demeurer en activité malgré leur besoin de repo
désarticulent; la pensée n'a plus sa coordination normale; le travail cérébral prend les caractères des rêves; et finalement le
eux-mêmes; les désarticulations se produisent graduellement; le monde cérébral , la pensée continue parfois à être ce qu'elle éta
u, le fait est rare ; la plupart du temps nombre de neurones du monde cérébral sont encore en activité intercommunicante. Est-ce
ents, des autres neurones, est partiel et contingent dans les centres cérébraux , témoin les rêves. ¦ — Le sommeil des neurones
état de réceptivité, caractérisé par une crédivité et un automatisme cérébral supérieurs à la normale. Il faut qu'elle trouve u
grave de l'activité chimique des cellules ganglionnaires de l'écorce cérébrale . On a probablement affaire à une inanition prod
quelles il ne manifestât pas une indifférence absolue. Les troubles cérébraux survenus chez ce chien, dans les circonstances qu
u-thier-Villars et Fils. Paris, 1895. D'Lautps. — Le fonctionnement cérébral pendant le rêve el pendant te sommeil hypnotique.
93 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
M"" A..., quarante-quatre ans, à l'asile depuis sept ans. Hérédité cérébrale . Illusions viscérales se rat- tachant à une tub
CBTOPI31 : NONE EN ALIÉNATION MENTALE. 15 5 laire et sur l'activité cérébrale ni le jour ni la nuit. L'hémo- globine baisse p
entale, peu importe la nature fonctionnelle ou organique du travail cérébral qui tenait sous sa dépendance l'agitation mania
ivrer suffit chez ces prédisposés à occasionner de graves désordres cérébraux . Enfin, tous ces incendies se produisent à la c
té- rieure de maladies fébriles, qui jetteront du jour sur la vie cérébrale de l'accusé. Parmi ces maladies fébriles, la fi
formé, ayant vécu cinquante-trois ans. Absence complète d'accidents cérébraux pen- dant tout le cours de l'existence. Mort ca
istence. Mort causée pur un cancer du foie. Autopsie : Hypertrophie cérébrale avec adhérences ménin- gées. Description du cer
alescente, cependant elle laisse voir par transparence la substance cérébrale étalée et lisse, comme turgescente presque sans
rmet de constater que l'hypertrophie porte sur la matière amorphe cérébrale , constituant la névroglie et sur les myélocites q
de corps granuleux de toutes dimensions, indiquant que la substance cérébrale a subi un commencementderégression. Des fragmen
rale a subi un commencementderégression. Des fragments de substance cérébrale empruntés à la troisième frontale et aux circon
t quelquefois des adhérences méningées et souvent de l'hypertrophie cérébrale , la rencontre me semble des plus naturelles.
elles. Il me semble probable que le développement de cette lésion cérébrale remontait à l'enfance et s'était arrêté à une épo
semble encore venir à l'appui de ma manière de voir. L'hypertrophie cérébrale constituait pour son cerveau un état acquis sta
. XIV, page 303), sont un des symptômes constants de l'hypertrophie cérébrale , me semble aussi mériter l'attention. Parmi l
e grise est plus colorée qu'à l'état normal : « les circonvolutions cérébrales ne sont ni aplaties ni tassées ». La première
he optique et probablement aussi les parties contiguës du pédoncule cérébral d'un côté. Trois mois après, on le tue, et l'on
e atrophie de la moitié correspondante du crâne ; 2° l'hémisphère cérébral gauche est transformé en un sac vide à parois min
en partie par l'intermédiaire de la portion latérale du pédoncule cérébral ; le noyau latéral de la couche optique est en co
ois révèlesur toute la hauteur de la protubérance-et des pédoncules cérébraux , dans la région de la calotte, un cordon volumi
fibres nerveuses qui partent de la face inférieure des pédoncules cérébraux pour se rendre aux bandelettes optiques ne conte-
toujours trouvée acide. Si l'on se hâte de restituer la circulation cérébrale , on voit, mais bien lentement, réapparaître l'a
lier. En vertu de quelle disposition, vic- time de son organisation cérébrale , un individu appartient-il à 90 SOCIÉTÉS SAVANT
up de maladies aiguës de l'enfance n'ont un si grave retentissement cérébral que, grâce à la connivence d'une instabilité pr
and on s'adiesse à la méthode anatomo-clinique. (Voy. Localisations cérébrales de M. Charcot. Maladies de l'encéphale et localis
du renflement olfactif sont parties cons- tituantes des hémisphères cérébraux . La bandelette olfactive est un faisceau de pro
nt dans la bandelette olfactive l'union de son centre avec l'écorce cérébrale . Ainsi, excisez une narine d'un lapin nouveau-
, l'écorce étant déve- loppée et exercée normalement, les fonctions cérébrales s'y loca- lisaient en deux régions principales
'intact qu'un tout petit reste des faisceaux pyra- midaux, l'écorce cérébrale révélait une atrophie presque complète, des gra
', j'ai produit des figures de diverses circonvolutions de l'écorce cérébrale , et fait remarquer la diversité de leur constit
l'écorce grise révèle qu'en divers points la structure de l'écorce cérébrale est différente. Ceci indique que les fonctions
our d'autres; il est diffi- cile de dire quelles sont les fonctions cérébrales à centre fixe qui sont transmises, congéniales,
de poussées. Enfin les psychoses sont analogues aux autres maladies cérébrales . De même qu'au milieu de convulsions et de doul
ix Falret. 1,000 fr. Des rapports entre la paralysie générale et la cérébrale . Aucun mémoire n'ayant été adressé, l'Académie
ns restées dans l'urne étaient : Substance grise de la moelle; Lobe cérébral antérieur. Questions orales : 1° Symp- tômes et
p. H5. 3 il. Munck.- Voir : Duret, La physiologie des localisations cérébrales en Alleiitagite in Progrès médical, n" 9 et smv
PATHOLOGIE NERVEUSE. une distinction entre la surdité corticale ou cérébrale , la surdité psychique et la surdité des mots. P
onfusion : en effet, la surdité des mots n'est-elle pas une surdité cérébrale , c'est-à-dire par atteinte du cerveau, aussi bi
la séparation des divers groupes de surdités dues ci une atteinte cérébrale . On peut diviser celles-ci en totales et partie
a signification des mots'. » Les surdités partielles par atteinte cérébrale sont loin d'être rares, et on les trouvera sans
sous l'in- fluence d'une stimulation volontaire, ou tout au moins cérébrale . Mais rien ne démontre à priori que le centre d
rer ces deux ordres de mémoire comme siégeant dans un même centre cérébral ? Je ne le pense pas. J'insiste sur ce point :
iphé- riques moteurs, transmis par la voie centripète à un centre cérébral d'emmagasiuement et de contrôle, qui communique
r ainsi) sont mises en jeu par un acte volontaire, ou tout au moins cérébral , et elles aboutissent à des contractions muscul
même organe, qu'ils puissent siéger en un même centre de l'écorce cérébrale ; une telle superposition fonctionnelle n'est gu
LE. 199 occupe probablement une portion distincte du terri- toire cérébral affecté à cette dernière mémoire; 4°qu'il 1 y a
ette dernière mémoire; 4°qu'il 1 y a donc, en résumé, trois centres cérébraux distincts, destinés à la fonction de la parole,
69, p. 153, 161. Etudes de thermométrie clinique dans l'hémorrhagie cérébrale et dans quelques maladies de l'en- céphale. Par
a réplétion des veines encéphalorachi- diennes.Dans la grande fente cérébrale de Blchat, au niveau des tubercules quadrijumea
toile choroïdienne et les plexus choroïdes, sans léser la substance cérébrale à laquelle elle n'ad- hère pas; compression des
s reprises en proie à des coliques satur- nines et à des phénomènes cérébraux . En 1879, faiblesse des extrémités inférieures
groupes musculaires, la parésie des muscles des yeux, les troubles cérébraux . D'un autre côté, la rigidité musculaire n'est
bdo- minaux oedème avec anémie du corps calleux et des pédoncules cérébraux ; inflammation et perforation du grand cul-de-sac
ndre intelli- giblement par le,- dessin des régions des hémisphères cérébraux très difficile à prendre, par exemple le lobe o
ing a contribution to the subject of the dissolution of speech from cérébral discase. Vol in-8" cartonné de 128 pages avec f
voit chez un certain nombre d'autres malades atteints d'affections cérébrales . OBSERVATION. - Mélancolie avec stupeur à forme
ificat mé- dical suivant du docteur Lasègue : « Stupeur Accidents cérébraux indéterminés eu Afrique. Retour en France. Hébé-
vol. Il a éprouvé en Afrique des accès de fièvre, et des accidents cérébraux de nature indéterminée. Buvait un peu à cette é
du cerveau. Décortication facile qui n'entraîne pas de sub- stance cérébrale . Sur la face inférieure les méninges sont plus
ssage. A la coupe on constate de la fermeté notable de la substance cérébrale dans toute l'étendue. En pratiquant les coupes
ion sur les injections d'éther. Au lieu d'obte- nir de l'excitation cérébrale , nous avons obtenu de l'ex- citation du coeur,
donc être attribuée qu'à une lésion (appréciable ou non) des voies cérébrales destinées à conduire la parole jusqu'au centre
jusqu'au centre des images orales (fibres appartenant au faisceau cérébral sensitif). Il sera toujours bon, pour établir l
atteinte dans la surdité verbale brute. Observation II. - Surdité cérébrale partielle. Surdité ver- bale brute et incomplèt
de mon diagnostic de surdité verbale brute. En effet, les fibres cérébrales aboutissant au centre auditif des mots doivent
u ni pour le bulbe, mais les coupes prati- quées sur les pédoncules cérébraux permirent de constater l'ab- sence de toute lés
eux sont classées parmi les Paraplarénies (anomalies de l'évolution cérébrale avec forma- tion anormale ouperversion de la pe
fibres de projec- tion appartenant au segment latéral du pédoncule cérébral et du bras du tubercule quadrijumeau postérieur
nt une sorte de porencéphalie acquise par ischémie des deux artères cérébrales postérieures (conservation de leur perméabilité
K. ' Voy. I releire.s de Neurologie. Synonymie des circonvolutions cérébrales de l'homme, t. VII, p. 181. REVUE d'aNATOMIE
insistent sur le diagnostic différentiel entre ce genre de sclérose cérébrale et la sclérose en plaques. Dans les cas pré- se
mystique. Son père, adonné à l'ivrognerie est mort d'une apoplexie cérébrale , sa mère est nerveuse mal équilibrée ; une de s
e. Les deux autres questions restées dans l'urne étaient : pie-mère cérébrale , circulation cérébrale; quatrième ventri- cule,
tions restées dans l'urne étaient : pie-mère cérébrale, circulation cérébrale ; quatrième ventri- cule, anatomie et physiologi
cédents concours les ques- tions traitées ont été : Circonvolutions cérébrales (<879); Corps strié (-1880); Pneumo-gaslriqu
ad. A. Rousselet), 121. Localisations des fonctions dans l'écorce cérébrale , par de Gudden, 105. Loi sur les aliénés, )3
94 (1896) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 11
février 1882). De l'indépendance fonctionnelle de chaque hémisphère cérébral . (Société de Biologie, 3 juin 1882). De l'indép
3 juin 1882). De l'indépendance fonctionnelle de chaque hémisphère cérébral et de l'influence du degré des excitations pé
s sur le degré des manifestations fonctionnelles de chaque hémisphère cérébral chez l'hystérique hypnotisable. (Société de Biolo
du corps, on peut : 1° En agissant isolément sur un seul hémisphère cérébral , rendre manifeste celte indépendance fonctionnell
corps, est en rapport avec le degré d'exci-ation de chaque hémisphère cérébral . Etude expérimentale sur la métalloscopie, l'hy
15 et 19 mai 1896). Indépendance fonctionnelle des deux hémisphères cérébraux .— Hallucinations bilatérales simultanées dans l'h
plus indiscutable, l'indépendance fonctionnelle des deux hémisphères cérébraux . L'ensemble de ces expériences a été réuni par M.
. Bérillon, élève de M. Dumontpallier, sous ce litre : La dualité cérébrale et Vindépendance fonctionnelle des hémisphères cé
La dualité cérébrale et Vindépendance fonctionnelle des hémisphères cérébraux (1). De l'action vasomotrice de la suggestion c
éléments essentiels de la vie animale, et principalement d'un centre cérébral ou quasi-cérébral, et d'un centre psychique ou mo
lule bulbaire. — A, A', A", A'", cellules intellectuelles de l'écorcc cérébrale . — a. cylindraxe de A. prenant contact par ses co
Le cylindraxe de B se met en rapport avec la cellule A de l'écorce cérébrale intellectuelle. A, par son cylindraxe ramifié a',
es antagonistes. La perception visuelle fait donc vibrer des cellules cérébrales rappelant des douleurs et des haines ; celles-ci
ire ou bulbaire, nous pouvons avoir des actes involontaires d'origine cérébrale . Si un,e sensation ne provoque pas d'associatio
tions d'idées, de raisonnement. Chez le passionné, certaines cellules cérébrales correspondantes à sa passion, dès qu'elles sont e
pour recevoir et traiter les alcooliques qui présentent des accidents cérébraux . Musée de psychologie et de chiminologie. — L'o
pilles se dilatent après chaque injection. Il semble que l'activité cérébrale soit excitée et le cerveau travaille sans et même
oulevard Saint-Germain. Paris, 1896. Dr Ladtps. — Le fonctionnement cérébral pondant le rêve el pendant le sommeil hypnotique.
pas Tétonnement : or l'aliénation procède à la manière des affections cérébrales par un progrès insensible. Je sais combien il e
me psychique le plus pénible pour Mlle Sh... est la sensation de vide cérébral qui suit tout effort de pensée ou d'attention, ai
obligent à constater que, loin de provoquer le moindre « détraquement cérébral », la suggestion hypnotique, lorsqu'elle réussit,
s leurs actes, mais, cependant, ils donnent des signes de dérangement cérébral . A certains- moments, on dirait qu'ils sortent d'
e spinal peut entrer en jeu par une excitation venue soit de l'écorce cérébrale — antérieure ou postérieure : réflexe descendant
inal, se réfléchit vers les zones de l'idêation de la substance grise cérébrale et la symptomatologie montre des irrégularités de
rovoquer ainsi le sommeil s'accompagne toujours d'une extrême tension cérébrale ; il ne suffit pas de penser une seule fois qu'on
e que la première ; mais enfin, après deux minutes environ de lension cérébrale , j'eus la satisfaction de voir Gustave P. ouvrir
bre 1878. également possibles dans un temps donné ; les molécules cérébrales ne peuvent se disposer que d'une seule manière, c
prendre le trajet le plus court. Ainsi la marche est d'abord un acte cérébral voulu, appris ; puis quand l'habitude est venue,
e existe donc de naissance. L'acte instinctif peut être médullaire ou cérébral . Ce dernier peut être très compliqué ; une sensat
un autre. Ce dernier de suite commet ce même acte. Une représentation cérébrale de l'acte est nécessaire pour déterminer une séri
ot, l'enfant en bas âge répètent les paroles (2). La représentation cérébrale , au lieu d'être provoquée par l'acte même, peut l
on simple de l'acte perçu fait intervenir au minimum la participation cérébrale . Celle-ci augmente quand l'acte perçu est reprodu
s'agissait d'une petite Aille de 12 ans, paraissant atteinte d'abcès cérébral consécutif à une otite, et qui fut trépanée in ex
on est joueur de par les circonstances qui agissent sur une propriété cérébrale , la suggestion. Cette propriété ne disparaîtra po
oulevard Saint-Germain. Paris, 1896. Dr Lautps. — Le fonctionnement cérébral pendant te rêve el pendant le sommeil hypnotique.
à courte ou longue échéance. Je le considère comme un puissant agent cérébral , et je n'hésite pas à faire de lui le modificateu
de dissocier pour cet exercice le fonctionnement des deux hémisphères cérébraux . On sait que les centres qui commandent aux mou
on n'a pas à se produire ; — mais au -piano, les deux hémisphères cérébraux doivent fonctionner en toute indépendance de l'un
nts distincts. — La dissociation des fonctions des deux hémisphères cérébraux n'est pas seulement montrée par le jeu distinct d
s articulations des mains et des doigts, développent aussi la dualité cérébrale , qui existe chez tous à l'état latent ; il faut q
aptation des organes et la dissociation fonctionnelle des hémisphères cérébraux . L'adaptation des organes est créée dans le som
es centres moteurs correspondants, les autres parties de la substance cérébrale étant plongées en hypotaxte, et dépourvues d'atte
'entraînement analogue. Le dédoublement fonctionnel des hémisphères cérébraux est aussi bien connue des médecins psychotérapeut
ovoquer ainsi le sommeil, s'accompagne toujours d'une extrême tension cérébrale , et, à mesure que cette tension se prolonge, la f
et bien portants, au fonctionnement mental régulier, dont les rouages cérébraux n'ont pas été faussés par les influences délétère
utre phénomène, inconscient celui-ci. Les centres sexuels de l'écorce cérébrale , de la moelle allongée et de la moelle lombaire c
; hypnotisme uni-latéral ; indépendance fonctionnelle des hémisphères cérébraux . Samedi 20 Mars. — Phénomènes psychiques de l'h
boulevard Saint-Germain. Paris 1896. D'Lautps. — Le fonctionnement cérébral pendant le rêve elpendant le sommeil hypnotique.
le phénomène mesmérique reposait sur le changement d'état des centres cérébraux spinaux et des systèmes circulatoire, respiratoir
. lettres qu'elle exerce ses ravages. On cherche d'abord l'excitation cérébrale et rapidement on devient l'esclave de l'excitant
boulevard Saint-Germain. Paris 1896. D' Laltps. — Le fonctionnement cérébral pendant le rêve el pendant le sommeil hypnotique.
iage sont nés quinze enfants, neuf sont morts en bas âge d'affections cérébrales variées, six ont atteint l'âge adulte, deux fils
oyées pour préserver de la douleur par la suspension de la conscience cérébrale . C'est un point de départ; il constitue la premiè
mentale est en grande partie celle du dynanisme nerveux, du dynanisme cérébral . (1) Discours de M. Bousquet. Académie de Médec
un étage inférieur dévolu aux facultés d'imagination, à l'automatisme cérébral . Le premier a une action modératrice sur le secon
nifester. Nous réfléchissons. La réflexion modère ainsi l'automatisme cérébral . La loi des réflexes domine la physiologie nerv
c (contusion, mauvaise nouvelle) cause d'abord en bloc une excitation cérébrale confuse d'où l'idée se dégage lentement s'il est
e dont il nous faut maintenant parler. Chacun tient de sa structure cérébrale , façonnée par les conditions diverses héréditaire
ises, une spécialité de sensations. La succession des interprétations cérébrales des sensations, l'ensemble des modes particuliers
ndividualité psychique. Elle est placée sous la dépendance du terrain cérébral . Celui-ci, portion capitale du système nerveux, a
onception variable "qui fait l'individualité psychique. De ce travail cérébral nous ne connaissons que l'idée ou la sensation in
es individualités sont groupables. D'unefaçon générale, leuraptitude' cérébrale à recevoir facilement des impressions fait dire d
tant l'apanage d'individualités psychiques en souffrance, de terrains cérébraux viciés seuls que leur défectuosité rend plus acce
é à la conformation du cerveau ; il est variable avec l'individualité cérébrale . LA SUGGESTION COLLECTIVE par M. le Dr Max No
ire au développement corporel; ils ne devront aboutir ni à la fatigue cérébrale , ni à l'épuisement nerveux ; ils ne devront pas n
tive ou émotive, etc. Chacun sait que dans ces terribles affections cérébrales qui coûtent la vie à un si grand nombre d'enfants
Otto présente une tare neuropathologique, laquelle explique son état cérébral anormal. Dès lors, le développement intellectuel
95 (1888) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1887
nières heures. - A l'examen du cadavre, on trouva la pro- tubérance cérébrale changée en une poche remplie de sang en partie
. - A l'examen du cerveau fait par M. Henle, on trouva la substance cérébrale solide, compacte, gorgée de sang, et dans le ve
étroite, revêtue d'une membrane brun foncé et entourée de substance cérébrale un peu dure. Le réseau vasculaire à la base du
te ans, est mort à cinquante-deux ans, des suites d'une hémorrhagie cérébrale ( ? ) (hémiplégie droite avec aphasie, intellig
e longueur de 20 centim. et une hauteur de 1 centim. - L'hémisphère cérébral gauche pèse dix grammes de moins que l'autre. L
la tête. - Quatre frères, l'un est mort en huit jours, d'accidents cérébraux con- sécutifs, à la peur des Prussiens qui avai
nerfs, etc.), pourtant le tubercule mamil- lairegaucheetlepédoncule cérébral du même côté sont un peu plus petits. - Pie-mèr
galement dans toute son étendue; adhérente par place à la substance cérébrale , elle s'enlève assez difficilement quoique asse
e s'enlève assez difficilement quoique assez épaisse. Hémis- phères cérébraux égaux, substance très molle. Cervelet et isthme
phie cérébelleuse. - Anomalies des circonvolutions et des scissures cérébrales . Gr... (Martial-Auguste), né le 21 mai 1867, es
icile de se prononcer. Les lésions portent surtout sur l'hémisphère cérébral droit dont certaines circonvolu- tions des lobe
ignorons s'il était procursif. Les circonvolutions et les scissures cérébrales étaient très anormales; à gauche la scissure pe
is fièvre typhoïde et pneu- monic.-Rougeole à quatre azs.-Accidcnts cérébraux ci deux ans. - Scarlatine, premier accès à dix
Jakson, etc., ont attribué l'automatisme à l'épuisement des centres cérébraux supérieurs par la décharge, et à la perte tempo
l'épilepsie PROCURSIVE. d'autopsie ayant montré, outre des lésions cérébrales plus ou moins disséminées, une lésion cérébelle
lobe cérébelleux gauche; -inégalité de poids entre les hémisphères cérébraux et entre les hémisphères cérébelleux. Duch... (
e-neuf ans, cocher, assez corpulent, aurait eu en 1867 une « fièvre cérébrale o 1 ; n'aurait jamais fait d'excès de boisson ;
achidien. - Les artères de la base sont symétriques ; toutefois, la cérébrale postérieure paraît un peu plus volumineuse à dr
ite. - Les tuber- cules mamillaires sont symétriques. - La pic-mère cérébrale est très notablement hypérémiée; elle a une col
rontaux (face interne), la décortication est facile. - Le pédoncule cérébral gauche parait plus petit que le droit; il en es
ale. On ne constate pas de lésions macroscopiques des hémisphères cérébraux . Les ventricules latéraux et les cornes d'Ammon n
DE l'épilepsie PROCURSIVE. 131 Encéphale, 1,300 gr. L'hémisphère cérébral droit pèse 25 gr. de plus que le gauche. Cervel
se sont développés à la suite d'un état de ni-,il '. L'hémisphère cérébral droit ne présente que quelques anomalies de peu
e ses scissures. On peut le considérer comme normal. L'hémisphère cérébral gauche, qui pèse 25 grammes de moins que le dro
es lésions principales trou- vées à la nécropsie étaient l'atrophie cérébrale et la lnéJ/il1go-encéplwlite. Observation XL1
ébrale et la lnéJ/il1go-encéplwlite. Observation XL1V. - Atrophie cérébrale . - Hémiplégie gauche. Débilité mentale et épile
malies artérielles. - Hydrocéphalie légère. - Atrophie du pédoncule cérébral droit, de la moitié droite de la protubérance, de
qu'à seize mois. A six mois il aurait été soigné pour des accidents cérébraux qui ont duré deux mois, sans convulsions, ni pa
r suite de la déviation du tronc basilaire vers la gauche, l'artère cérébrale postérieure droite est plus longue que la gauche.
la gauche. La communiquante postérieure est filiforme ainsi que la cérébrale antérieure du même côté. - Le pédoncule cérébra
orme ainsi que la cérébrale antérieure du même côté. - Le pédoncule cérébral droit paraît plus étroit que le gauche. La pyra
marque quelques traces d'adhérences ; la coloration de la substance cérébrale parait à peu près normale. ' Le lobe occipital,
nce grise. Ces membranes n'ont pas enlevé des portions de substance cérébrale en se détachant; la première couche de la subst
dans la plupart des cerveaux d'idiots. Ce malade a eu des accidents cérébraux dès l'âge de six mois sans convulsions, ni para
l'autopsie, qui étaient en effet plus prononcées sur l' hémisphère cérébral droit et atteignaient surtout les centres moteu
ite. L'autopsie nous a fait voir une atrophie de 1'11érni- sphère cérébral droit qui pèse 50 grammes de moins que le gauch
e est oedématiée, l'artère communicante postérieure et l'ar- tère cérébrale antérieure gauches sont filiformes; le pédoncul
- tère cérébrale antérieure gauches sont filiformes; le pédoncule cérébral et la pyramide du côté droit sont atrophiés. Co
reviendrons pas sur les lésions rencontrées sur les circonvolutions cérébrales ; elles ont été décrites plus haut; nous rappell
entres moteurs. Le cervelet est moins atteint que les hémisphères cérébraux ; ce n'est du reste que tardivement, vers 1880,
de soi lors- qu'on envisage leur présence dans diverses affections cérébrales . Cependant, lorsqu'on veut faire la part de leu
ou de la moelle allongée; c'est ainsi que chez Duch... l'hémisphère cérébral gauche, le pédoncule cérébral gauche et la moit
t ainsi que chez Duch... l'hémisphère cérébral gauche, le pédoncule cérébral gauche et la moitié correspondante cle la protu
tubérance était plus petite droite. - Chez Maisonh..., le pédoncule cérébral droit, la pyramide et l'olive droite sont atrop
quelques mots de la physiologie de la protu- bérance des pédoncules cérébraux et du corps strié. On sait que la galvanisation
duit des convulsions épileptiformes et que la lésion d'un pédoncule cérébral produit un mouvement de manège du côté opposé à
ois cas de lésion de la partie supérieure et externe du pédoncule cérébral , le même auteur a constaté des mouvements de ro
ions; mais, depuis trois ans, il serait sujet à de petits accidents cérébraux que l'on décrit ainsi : yeux fixes, perte de co
, p. 153, 161. - Etudes de thermométrie clinique dans l'hémorrhagie cérébrale et dans quelques maladies de l'en- céphale. Par
96 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ans, et enfin de dix à treize ans. Vers sept ans, âge de la puberté cérébrale selon l'heureuse expression de Lasègue, se mont
ciente pendant le sommeil. Si comme le dit M. L. Guinon, le réflexe cérébral qui, en temps normal, dirige le centre médul- l
a première en- fance ; n'a jamais eu de convulsions, ni d'accidents cérébraux . Sa mère me l'amène parce qu'étant dans la misè
l'incontinence est due vraisem- blablement à l'inhibition du centre cérébral de la miction occasionnée par des préoccupation
nfirmité s'aggrave à partir de sept ans, époque où le développement cérébral subit une poussée. Le traitement agit d'une faç
a semaine, maux de tête, épistaxis, vomissements, grande excitation cérébrale . La première nuit il s'est réveillé deux fois ;
L'occlusion des yeux suffit donc à produire une certaine passivité cérébrale suffisante pour développer la suggestibilité du
isses), a été le point de départ d'une sorte d'inhibition du centre cérébral correspondant à la fonction urinaire. A remar-
ENCE D'URINE PAR SUGGESTION. 31 C'est sans doute dans les accidents cérébraux survenus à plu- sieurs reprises chez cet enfant
omène morbide paraît consister au début en une sorte de distraction cérébrale . Le centre mictionnel oublie sa fonction ou ne
n'en connaît pas la lésion détermi- nante. On a signalé la sclérose cérébrale ; d'autres fois on a soup- çonné une altération
y, janvier 1896.) E. B. XV. Étude SUR QUELQUES points DE pathologie cérébrale ; par le D'' A. MEYER. Sur vingt cerveaux d'ép
tenant à une forme spéciale de gliome et situés, l'un dans l'écorce cérébrale , au niveau de la partie moyenne de la seconde c
de décider. Il faut considérer tout ce processus comme une atrophie cérébrale par artério-sclérose, très analogue aux cas que
lon (1er), 1\hIGNAL (2°) et BAUDRON (3e), Epreuve écrite : Méninges cérébrales ; épreuve orale : Complications de la fièvre typ
Rome, Naples. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. Auvrsnv (M.). Les tumeurs cérébrales . Volume in-8°, de 467 pages, avec 29 figures da
ostic plus générale- ment obscur que la pachyméningite hémorragique cérébrale . Qu'elle complique une paralysie générale ou un
sclérose en plaques, de la paralysie générale et de l'hémor- ragie cérébrale vulgaire, « Cette dernière, ajoute-t-il, s'accom-
eu obèse. Une soeur serait morte à vingt-quatre ans d'une affection cérébrale dont je n'ai pu établir la nalure. S... n'a pas
u tibia, rien nulle part qui Béliier. 7'«c/;yh ! e) : t<iy'<e cérébrale . Paris, 1873. 102 PATHOLOGIE NERVEUSE. puisse
pouvaient nous égarer dans le sens d'une tumeur, d'une hémorragie cérébrale ou d'un ramollissement; mais, avec l'état intelle
itre spécial traite de l'liérédo-53philis, de ses formes spinale et cérébrale , des hémiplégies graves après traumalismes anodin
, la définition de M. Magnan : « L'impulsion est un mode d'activité cérébrale qui pousse à des actes que la volonté est impui
Magnan. C'est aussi le début brusque par le vertige mental ou ictus cérébral de Lasègue. On peut objecter que la plupart des
nstration des recherches de Fritsch et Iitzig sur les localisations cérébrales ; -, il établit l'exactitude des recherches de
iques. La troisième période commence avec l'élude des localisations cérébrales , et sétend jusqu'à l'époque actuelle où domine
es produisent par suite de la ten- sion d'esprit une grande fatigue cérébrale . Cependant au sur et à mesure qu'ils se familia
à mesure qu'ils se familiarisent avec les exercices, cette fatigue cérébrale se fait de moins en moins sentir. Nous avons l'
" Nous avons dit plus haut que la coordination était une fonc- tion cérébrale . Il était donc logique d'incriminer l'encéphale
dination motrice. C'est surtout Jendrassik' qui a défendu l'origine cérébrale du tabes. Selon lui le symptôme ataxie est le r
upérer la coordination de ses mouvements. L'intégrité des fonctions cérébrales est même une condition essentielle pour la réus
sensibilité ce sont plutôt les centres psycho-moteurs de l'é- corce cérébrale qui, à force d'habitude, c'est-à-dire d'exercice
ce nombre sont la sclérose en plaques, le tabes, le ramollissement cérébral et la paralysie générale elle-même dont la vari
eur admet l'hypo- thèse de l'origine intellectuelle par automatisme cérébral ou résul- tant d'un système d'idées délirantes,
élirantes, lorsque l'on ne peut invoquer ni une lésion crânienne ou cérébrale , ni une cause toxique ou asthénique. Pour l'h
er ainsi : toute hallucination est un phénomène d'origine centrale, cérébrale ; il n'y a pas d'halluci- nation d'origine péri
; or, tous ces phénomènes successifs sont essentiellement de nature cérébrale : il est donc logique de considérer l'hallucina
e considérer l'hallucination elle-même comme un trouble d'origine cérébrale . Une autre preuve delà nature cérébrale, et pur
omme un trouble d'origine cérébrale. Une autre preuve delà nature cérébrale , et purement cérébrale, des hallucinations se d
ne cérébrale. Une autre preuve delà nature cérébrale, et purement cérébrale , des hallucinations se déduit de ce fait qùe le
entre elles et le délire : ce qui indique bien encore leur origine cérébrale , leur caractère purement psychique. Le grand
ÉS SAVANTES. 249 grammes; poids du cervelet, 225 grammes. Substance cérébrale généralement ramollie. Circonvolutions normales
bles de produire (étouffements, palpitations, vertiges, congestion cérébrale ), pouvant même entraîner la mort. Le début a lieu
tablir le diagnostic, c'est la recherche de la syphilis. L'hérédité cérébrale est une présomp- tion de paralysie générale, ta
étaient suivies, comme dans la migraine, d'ano- rexie et de torpeur cérébrale . M. Laurent. Analyse des troubles psychiques de
ports pour les cas spéciaux : 282 11) asiles d'aliénés. affection cérébrale ou spinale, hystérie, épilepsie, hypocondrie, c
le pour produire des paraplégies spasmodiques indemnes de symptômes cérébraux concomitants. Lorsque la syphilis touche la moe
affaire ? Trois diagnostics doivent être discutés : la tuberculose cérébrale , la syphilis cérébrale, le tabes supérieur. L
stics doivent être discutés : la tuberculose cérébrale, la syphilis cérébrale , le tabes supérieur. La méningite bacillaire
bstance qui a la propriété de modifier l'excita- bilité de l'écorce cérébrale , la cocaïne. D'autre part il parait admis que l
s auxquelles il est arrivé : 1° la cocaïne ap- pliquée sur l'écorce cérébrale (gyrus sigmoïde), diminue et à la fin annihile
brale (gyrus sigmoïde), diminue et à la fin annihile l'excitabilité cérébrale ; 2° la cataphorèse électrique céré- brale avec
e l'ophtalmoplégie externe qui peut dépendre du tabes, d'une lésion cérébrale localisée, d'une compression du moteur commun,
ta clinica e terapezelica. Naples, 1896, 110 2.) C. 11.11. Syphilis cérébrale ; parle professeur DE l3EVZr, de l'Université d
tion reste telle pendant deux jours. On diag- nostique une syphilis cérébrale , diagnostic que l'autopsie vint bientôt confirm
ffuse avec artério-sclérose, et des petits foyers de ramollissement cérébral , enfin des hémorragies puncti- formes multiples
ATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE - PATHOLOGIQUES. I. SUR UN C\S DE tumeur cérébrale ET SUR LES rapports DES TUMEURS du cerveau avec
ément être commise. L'auteur rapporte un cas dans lequel une tumeur cérébrale a pu, pendant plusieurs mois, simuler une psych
UX. II. UN cas DE lésion DE la bandelette OPTIQUE ET DU pédoncule CÉRÉBRAL ; par le Dr E. lllau.tNE. (Joum. de Neurol., 1896,
ège de la lésion au niveau de la bandelette optique et du pédoncule cérébral du côté gauche et voit qu'il s'agit d'un tuberc
artient, entre toutes les par- ties de l'encéphale, aux hémisphères cérébraux , c'est la cervelle qui souffre le moins. Toutes
ues autresmala- dies nerveuses (polynévrites, tumeurs et commotions cérébrales , épilepsie, maladie de Friedreich, etc.). Sous
mblements; 2° les tremblements sont en principe d'origine centrale, cérébrale et cérébro-spinale, rarement d'origine purement
ment intentionnel de la sclérose multiple dépend de la localisation cérébrale de foyers sclérotiques; 2° que l'existence de f
GIE ET A L\ PSYCHIATRIE. M. Bouveyr'on (Alexandre) : Des affections cérébrales d'origine obs- tétricale et de leur interprétat
e. Les causes de l'aphasie sont le plus souvent le ramollissement cérébral parfois l'hémorragie et les tumeurs. La lésion
ltat d'une connaissance trop exacte de la clinique et de l'anatomie cérébrales pour ne pas perdre beaucoup dans un résumé fût-
la constitution du moi. « Il est évident que la même disposition cérébrale qui nous fait attribuer une origine externe au
nnervation de la vessie, sur les réflexes urinaires ; médullaire et cérébraux , insistant sur le pouvoir inhibiteur de ces der
ôté, établissant ainsi une communica- tion entre la zone rolandique cérébrale et l'écorce cérébelleuse; 5° Substance grise ré
Bechtereff étudie les différentes méthodes employées en histologie cérébrale et les faisceaux qui composent le cerveau et la
parties principales : substance grise de la moelle, celle du tronc cérébral , celle du cervelet avec ses noyaux et celle des
érébral, celle du cervelet avec ses noyaux et celle des hémisphères cérébraux . Cette dernière partie com- prend les deux noya
lles des racines posté- rieures et antérieures; les fibres du tronc cérébral ainsi que les faisceaux qui unissent les différ
cervelet avec la substance grise médullaire et les noyaux du tronc cérébral de même que celles qui unissent les différentes
parties du cervelet entre elles; enfin, les fibres des hémisphères cérébraux qui com- prennent : a, les faisceaux unissant l
centraux avec la substance grise médullaire et les noyaux du tronc cérébral (système des libres de projection), et b, faiscea
faisceaux reliant entre eux les divers territoires des hémisphères cérébraux (système de fibres d'association). J. ROUBIVOVI
es maladies du système l1erveux (3 volumes). - 2° Les localisations cérébrales . - 31 Les maladies des poumons et du système va
urette, 474. Bandelette 01' 1 Inu. Lésion de la - et du pédoncule cérébral , par 11a- haine, 315. Ii.lSDO`5'. Etat mental
97 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
ressant plus particulièrement l'oculo-moteur gauche. 2. La syphilis cérébrale . v 3. Le tabès supérieur. En faveur de la pre
ntre en pareil cas. Nous allons voir que l'hypothèse d'une syphilis cérébrale n'estpasplus satisfaisante. La fréquence des lé
es symptômes oculaires sont contraires il l'hypo- thèse de syphilis cérébrale : une lésion méningée, une infiltration jadis e
endante ou d'étranglement de la papille que dans toutes les tumeurs cérébrales . Il y a loin, de cet aspect spécial, à la papil
opique de V... Enfin ce n'est qu'exceptionnellement que la syphilis cérébrale se manifeste par les paralysies partielles du gen
était porteur d'aucune autre lésion tuberculeuse, ni pulmonaire, ni cérébrale , ni intestinale^ d'autre part il était incon- t
existait bien des troubles de la motilité in- dépendants de lésions cérébrales , mais ceux-ci se rapportaient à des phé- nomène
rdite interstitielle. Macroscopiquement, le cerveau et les méninges cérébrales paraissent sains mais on trouve, au microscope,
n affaissement (marasme) général de tous les organes. La pie-mère cérébrale est molle et épaissie. Le cerveau qui a conservé
ère hyper- calcification des centres d'ossification. La substance cérébrale ramollie ne permet de relever aucune lésion tant
trouve dans les cas d'anencé- phalie où, à la place de la substance cérébrale , il n'y a que du tissu conjonctif disposé en re
milieu des symptômes presque toujours prédominants d'une affection cérébrale , à rechercher ce qui appartient, primitivement
e de même. Le ta- bleau clinique est nettement celui de la sclérose cérébrale (avec participa- tion primitive ou secondaire d
imbécillité et les accès d'épilepsie. Et c'est encore à la sclérose cérébrale , sinon encéphalo-médul- laire, qu'il faut attri
bides dans lesquelles on retrouve un singulier mélange de symptômes cérébraux et médullaires. Les symptômes cérébraux paraiss
gulier mélange de symptômes cérébraux et médullaires. Les symptômes cérébraux paraissent prédominer : avec les troubles des f
Nous venons de montrer que, dans la majorité des cas, les symptômes cérébraux étaient prédominants par rapport aux phénomènes m
ents,des troubles fréquents de l'intelligence allant de la débilité cérébrale à l'idiotie complète avec ou sans accès épilept
, appartiennent incontestablement il cette catégorie où les lésions cérébrales sont prédo- minantes, l'opinion émise par Gardi
épidation spinale. Jamais,chez cet enfant,il n'a existé de troubles cérébraux , l'intelligence z est remarquablement'développé
la jambe. Le membre inférieur droit resta sain ; pas de phénomènes cérébraux . Le membre inférieur gauche devint le siège de
ans ce cas, l'altération de la moelle était consécutive aux lésions cérébrales , lesquelles paraissaient elles-mêmes, sous la d
hilitiques. Chez tous les deux, il existait des lésions de sclérose cérébrale uni et bilatérale, avec oblitération de l'artèr
ées de scléroses descendantes de la moelle consécutives aux lésions cérébrales . Toutefois, lorsque les phénomènes cérébraux pr
sécutives aux lésions cérébrales. Toutefois, lorsque les phénomènes cérébraux prédominent, il n'en fau- (1) Signalons, à' ce
ens. Les nerfs optiques étaient complètement dégénérés. Les artères cérébrales présentaient de l'endo- périartérite. - ' Au
e. Les artères médul- laires étaient moins envahies que les artères cérébrales . La substance grise était saine, surtout au niv
s dit, l'expres- sion clinique a surtout trait à des manifestations cérébrales , mais l'autop- sie démontra que les lésions gom
chez lequel l'affection débuta par des phénomènes de compres- sion cérébrale s'accompagnant de strabisme et d'attaques épilept
tisyphilitique. L'enfant est intelligent ; il n'y a pas de troubles cérébraux . Nous pourrions faire remarquer qu'il existait
lisée ou paraplégique d'origine congénitale dans lesquels la lésion cérébrale intervient presque toujours, il existe, dans la
t notre observation I est un exemple. ' , L'absence de phénomènes cérébraux dans ces derniers cas, qui à la vé- rité ne son
inze autres frères et soeurs succombèrent en bas-âge à des maladies cérébrales , méningite, etc. La malade fut élevée au sein.
bruit de l'eau qui bout. Champ au- ditif normal. Pas de troubles cérébraux ; mémoire conservée ; intelligence nette, pas de
rison. Antécédents héréditaires. Père mort il 75 ans, de congestion cérébrale . Mère morte à 42 ans de la variole qu'elle cont
plus souvent dominés par les phénomènes cli- niques de la sclérose cérébrale . Il devient cependant possible, par une analyse
pour produire des paraplégies spasmodiques, indemnes de phénomènes cérébraux concomitants. Il est rare toutefois que, même d
r nous donnaient la conviction que nous avions affaire à une lésion cérébrale survenue à un âge reculé et [ayant produit un a
pée et donne.une incision profonde dans la circonférence supérieure cérébrale . Comme le montre très distinctement la Pl.XXVI,
tif. 3° Le processus destructif ne s'est localisé que dans l'écorce cérébrale et l'amas blanc sous-jacent des parties malform
le et l'amas blanc sous-jacent des parties malformées de la surface cérébrale , tandis que les noyaux centraux sont restés int
les ventricules sont dilatés. 5° La substance blanche de la surface cérébrale saine en apparence, ainsi que la substance gris
erchée dans l'atrophie de la substance blanche et grise de l'écorce cérébrale . z On peut encore observer que la flexion delà
céphalite du lobe temporal, qui s'est répandue de lu sur l'é- corce cérébrale gauche. Cette inflammation doit être d'ancienne d
uvons dire où la méningite a trouvé son origine. - Les pédoncules cérébraux , la protubérance, le cervelet et le bulbe ne so
vaisseaux ont des parois élargies. Le tissu conjonctif de l'écorce cérébrale plus ou moins intacte a subi peu d'altérations
ent nerveux qui nous frappe. B. Une atrophie du pied du pédoncule cérébral gauche, qui s'est ré- LA TERMINAISON CORTICALE
i concerne les noyaux rouges de Slilliîèfl. L'atrophie du pédoncule cérébral gauche et du pédoncule cérébelleux supérieur dr
trajet auraient dû être plus grandes. Dans la partie du' pédoncule cérébral située au-dessus de la substance grise de SoeMM
on de ces fibres blanches dans les réseaux des cellules de l'écorce cérébrale , les opinions ne divergent pas moins. Suivant l'e
rposition des cellules nerveuses des noyaux centraux, dans l'écorce cérébrale , ou du moins que ces noyaux centraux ne font pa
autant plus séduisante qu'alors les fi- bres, provenant de l'écorce cérébrale motrice [circonvolutions frontales, centrales e
ontre cette opinion. I. Bechterew (obs. I). Destruction de l'écorce cérébrale entière, datant dès la jeunesse, sauf le lobe t
ELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE lésion principale de la surface cérébrale était suivie d'une dégénération du faisceau lat
e. Pas d'autres symptômes. Mort de diphtérie. ' . « Autopsie. Gomme cérébrale , hydrocéphalie interne. Le périoste des vertè-
87 philitiques. Chez tous deux,.il existait des lésions de sclérose cérébrale et des altérations vasculaires considérables, m
que les lésions de la sclérose descendante consécutive aux lésions cérébrales . Gangitano (1) rapporte trois autopsies de syph
cidents secondaires. « Macroscopiquement le cerveau et les méninges cérébrales paraissentsains, mais on trouve au microscope u
n affaissement (marasme) général de tous les organes. La pie-mère^ cérébrale est molle et épaissie. Le cerveau, qui a conservé
rès légèrement macéré. Viscères d'apparence normaux. La substance cérébrale est de consistance normale. Il y a une légère suf
et collègue Vauverts. Les viscères semblent normaux. La substance cérébrale , les méninges ont leur aspect habituel, mais il y
RIERE de date ancienne, il est noirâtre, non adhérent il,la surface cérébrale sous-ja- cente. L'examen de la moelle qui, à
gnent les dimen- sions du petit doigt d'un adulte. ' La substance cérébrale parait normale. Moelle. Tout est normal sauf la
98 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
point. Vous n'ignorez pas que, sur cette question des localisations cérébrales , le désarroi est pour le moment dans le camp des
térieure de la capsule interne produisent le syndrome hé-mianesthésie cérébrale ; pour ce qui est maintenant de l'écorce des hémi
octrine arrêtée, concernant le rôle physiologique de diverses régions cérébrales . Mais, tels qu'ils sont, ils représentent comme a
thèse de M. Féré : Des troubles fonctionnels de la vision par lésions cérébrales , 1882, p. 109.) la parésie d'un membre, après s
nière particularité, ils peuvent se rencontrer dans le cas de lésions cérébrales en foyer occupant la capsule interne. Fig. 14.
e vraie ou consécutive à une affection encéphalique grave, une tumeur cérébrale , par exemple. Les attaques épileptiformes existai
ute aussi, chez des sujets à lésions organiques (sclérose descendante cérébrale ou spinale), on peut voir le même accident se pro
troubles sen-sitifs ne pourraient être déterminés que par une lésion cérébrale en foyer, siégeant au niveau du carrefour sensiti
dans une discussion en règle, relative à la question de l'hémianopsie cérébrale qui, pour être convenablement traitée, exigerait
peut être la conséquence delà lésion de certaines parties de l'écorce cérébrale Or, il semble résulter aussi de ces observations
ces observations que, presque constamment dans l'hémianopsie de cause cérébrale d'origine corticale, la lésion occupe à peu près
Quoi qu'il en soit, les données fournies relativement à l'hémianopsie cérébrale , chez l'homme, pourraient servir à nous faire com
ribution à l'étude des froubles fonctionnels de la vision par lésions cérébrales [amblyopie croisée et hémianopsie), 18S2. . ¦ d
a difficulté qui se présente : si la cécité verbale et i'hé-mianopsie cérébrale reconnaissent le même siège dans Je Fig. 2ô. —
ela ne semble pas être ; car on peut citer des exemples d'hémianopsie cérébrale , sans cécité verbale et de cécité verbale sans hé
rrait bien être un des caractères cliniques de l'hémianopsie de cause cérébrale . Pour en finir, il me reste encore à rechercher
cela que nous en sommes réduits, en fait de physiologie pathologique cérébrale . Je n'ai pas besoin de vous rappeler que l'artè
a eu pour conséquence une altération plus ou moins prononcée du tissu cérébral . Mais, en quoi consiste la lésion vasculaire, spa
ories, est un fait capital en pathologie aussi bien qu'en physiologie cérébrale ; il conduit nécessairement à admettre que ces gr
dans la pathogénie, la maladie étant en pareil cas liée à des lésions cérébrales localisées d'une certaine façon. Il en est de m
l'apparition de l'hystérie. Parmi tous ces traumatismes des fonctions cérébrales , il n'en est peut-être point de plus efficace, et
lification, que des squelettes vivants. Et de quelle vie ! la torpeur cérébrale a succédé à l'agitation factice du début ; depuis
ence, tout naturellement, que cette monoplégie dépendait d'une lésion cérébrale en foyer, corticale, étroitement limitée dans la
détromper. Sans doute, la monoplégie en question dérive d'une lésion cérébrale corticale, principalement localisée dans la zone
a chute sur l'épaule? S'agit-il d'une lésion spinale? ou d'une lésion cérébrale en foyer? Telles sont les hypothèses qu'il convie
veux par conséquent ; s'agit-il donc d'une lésion organique en foyer, cérébrale ou spinale ? Il me sera facile, je pense, de vous
— Amyotrophies dépendant d'une lésion articulaire ; lésion spinale ou cérébrale en foyer. — Symptômes nettement hystériques chez
elève-t-elle d'une lésion en foyer siégeant dans l'un des hémisphères cérébraux ? Nous ne nous arrêterons pas longtemps à discut
int, mais je considérerai d'un peu plus près l'hypothèse d'une lésion cérébrale en foyer. Dans quelle région des hémisphères céré
e d'une lésion cérébrale en foyer. Dans quelle région des hémisphères cérébraux une lésion de ce genre devrait-elle être localisé
tres etmoi, dans nos travaux relatifs à la question des localisations cérébrales corticales Or, dans le cas de notre malade, et c'
e la doctrine des localisations motrices dans Vécorce des hémisphères cérébraux de l'homme. [Revue de médecine, 1883, n°s 5, 6, 8
he Brain, a collection and analysis of the american case of localised cérébral disease, pp. 48 et 49 (The american nombre de f
e est sa nature? C'est, je pense, dans l'écorce grise de l'hémisphère cérébral du côté opposé à la paralysie et, plus précisémen
, véritablement inexplicable, dans l'hypothèse d'une lésion organique cérébrale , spinale ou des nerfs périphériques, se montre, a
point et telle qu'on ne l'observe guère dans les paralysies de cause cérébrale reconnaissant une autre origine. Je signalerai en
spinale, celle enfin d'une lésion organique en foyer des hémisphères cérébraux que la présence de l'insuffisance aorlique dont l
lésion destructive occupant l'écorce grise de l'un des hémisphères cérébraux . Personne ne saurait contester, je pense, que d
uement que si elle provenait d'une lésion destructive de la substance cérébrale . Ce sont là des assertions que je vais dans un in
prédisposés comme l'étaient certainement Porcz... et Pin..., à l'état cérébral que déterminent chez les hystériques les pratique
r les membres depuis longtemps immobilisés dans l'hémiplégie de cause cérébrale ; mais la disparition bien constatée dans le cas
reconnaissant pour point de départ une lésion matérielle appréciable cérébrale ou spinale, à l'aide de certains caractères clini
me de leur développement ; c'est dans l'é-corce grise des hémisphères cérébraux — je crois pouvoir l'admettre sans m'avancer trop
a Reine. Il est très vraisemblable qu'il a éprouvé là une commotion cérébrale intense, suivie de cette forme d'amnésie que MM.
ue affectant celles des zones motrices etsensitives de l'écorce grise cérébrale qui, à l'état normal, président au fonctionnement
e directe sur la boîte crânienne, c'est-à-dire avec ou sans commotion cérébrale , ce dernier terme étant pris dans l'acceplion chi
sie paraplégique accompagnée parfois de tremblement1. Le choc nerveux cérébral (nervous-shock), inséparable de l'émotion, produi
particulièrement quand le choc a été précédé ou suivi d'une commotion cérébrale physique. Ces accidents-là ont été parfaitement d
it d'assez longues courses sans trop de fatigue. Cependant la torpeur cérébrale subsiste toujours à un certain degré, et les stig
at de suggestibilité, il s'est développé par le fait de l'ébranlement cérébral produit par le choc nerveux. On remarquera que la
té de ce centre sensitif à celle des centres moteurs... Le substratum cérébral de l'esprit ne comprend donc, en aucune manière,
lourdissement, aucun vestige de convulsion, en un mot aucun phénomène cérébral ; la paralysie occupe le membre inférieur et le me
c diminution des réflexes tendineux, à début brusque, sans phénomènes cérébraux épilepti-formes ou apoplectiformes ; cette monopl
la nature de cette hémiplégie. Et d'abord, est-elle due à une lésion cérébrale en foyer, hémorrhagie ou ramol lissement ? On p
t pas là les allures ordinaires de l'hémorrhagie ou du ramollissement cérébral ; car, nous l'avons vu, il n'existe pas dans notre
. 31 phie développée du côté paralysé, dans une hémiplégie de cause cérébrale suivie de dégénération descendante, et qui était
— Amyotrophies dépendant d'une lésion articulaire ; lésion spinale ou cérébrale en foyer. Symptômes nettement hystériques chez ce
e ou hystérique, 216-225. Choréiformes (Mouvements), 214. Commotion cérébrale , 443. Compression, son influence sur le dévelop
99 (1901) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1900
s le travail de Frend sur les formes héréditaires des diplé- gies cérébrales publié en 1893, on a vu successivement paraître
travail de Trénel relatant un cas de maladie familiale à symptômes cérébraux et médullaires carac- térisée par des troubles
symptômes cérébro-spinaux qui caractérisent la diplégie spasmodique cérébrale in- fantile. Tous deux étaient atteints d'idiot
ysie, excès de boisson, tentative de suicide, mort d'une congestion cérébrale . Plusieurs cousins morts de méningite, une cous
ébastopol. Grand-mère maternelle, morte à 76 ans d'une congestion cérébrale avec paralysie, est restée plusieurs jours malade
ort. Sommaire. Père alcoolique. Tante paternelle morte d'un abcès cérébral . Une autre tante aliénée. Trois frères morts je
âgée de 55 ans, est en parfaite santé, l'autre est morte d'un abcès cérébral consécutif à une otite moyenne aiguë ; la trois
es d'amnésie. - Arrière-grand-père maternel, mort de con- gestion cérébrale . -Arrière-grand'mère maternelle, morte à sa 3e
72 ans, sobre. Grand'mère paternelle morte subitement de congestion cérébrale . - Grand-père maternel, sobre, a succombé à sa
amnésie, un arrière grand père et une arrière grand'mère, accidents cérébraux . Notons aussi un demi oncle et une demi tante m
ale, qu'il présente des troubles marqués et incurables des facultés cérébrales et qu'il y a lieu de le diriger sur un asile sp
ersistance des sutures. 92 Idiotie 11CROCPHILItUE. Les pédoncules cérébraux sont très rétrécis, blancs et symétriques. Les
Les artères vertébrales et basilaire sont régulières. - Les artères cérébrales sont très réduites de volume. , Le cervelet a u
mère, extrêmement amincie, et il ne semble pas y avoir de substance cérébrale . La partie des poches qui répond aux lobes pari
Cerveau PSEUDO-IiISTIQUE. 93 Quand on écarte les deux hémisphères cérébraux , on voit qu'à gauche, au niveau du lobe frontal
qu'elle « est atteinte d'idiotie liée à la présence d'une tumeur cérébrale , que cet état s'accompagne d'une excitation men-
e leucocytes polynucléaires. S V. -Idiotie symptomatique d'atrophie cérébrale ; pachyméningite; kyste de la dure-mère. \la&
à un faible grossissement une coupe per- pendiculaire à la surface cérébrale , intéressant plusieurs cir- convolutions et s'é
Les vaisseaux, qu'ils appartiennent aux méninges ou à la substance cérébrale , ont le même aspect ; leurs parois sont très ép
s en pleine substance grise. 120 IDIOTIES. B. Lésions de l'écorce cérébrale . - L'écorce, dans les points où la méningite es
le tissu des points nécrosé,. - Dans certaines régions la substance cérébrale résiste mieux, puisqu'elle a des con- tours net
deux autres couches de l'écorce. Néanmoins, dans toute la substance cérébrale , existent de nombreuses altérations : cellules
sonner leur lumière et en amener l'oblitération. - II. Scléroses cérébrales atrophiques. Elles s'accompagnent rarement d'un
se répartissent ainsi : XIII. Inégalité de poids des hémisphères cérébraux et cérébelleux ; Par ItpUItVI : VI1.LL. Voi
, mort d'albuminurie. - Grand-père paternel mort de, ramollissement cérébral . Grand'mère parternelle morte d'un cancer utéri
e à de violentes colères. Grand-oncle paternel mort d'acci- dents cérébraux à l'asile de Dry. - Un autre grand-oncle patern
boisson. Grand'lante paternelle, très coléreuse, morte d'accidents cérébraux . Autre grand' tante paternelle morte d'un cance
complète. SOMMAIRE. - Père, boucheur à l'émeri, mort d'une tumeur cérébrale à 55 ans, sobre. Oncle paternel, noceur. Tante
nombreuses combinaisons morpholo- giques. - Évaluation du volume cérébral . En premier lieu il faut évaluer la capacité cr
e du crâne. - On ne peut évaluer la quantité des différents lobes cérébraux . Le développement du front, en-effet, ne donne
capacité faible relativement 1\ la taille, la comparaison du volume cérébral avec le poids du corps. On peut se baser de mêm
orte raison, devant les déformations qui ne modifient pas le volume cérébral , on ne peut porter un jugement sur l'état du ce
cularité n'existe pas, on doit invoquer l'inégalité des hémisphères cérébraux . Qu'on ait à faire à une hémiplégie spasmodique
fluence de l'accouchement anormal sur le développement des troubles cérébraux de l'enfant. Thèse de Paris. FÈVRE (A.). Du m
tte planche montre la face convexe de l'encéphale : les hémisphères cérébraux sont transformés en kystes, le cerve- let est i
p. 81-96.) Elle montre les deux hémisphères ouverts, la substance cérébrale réduite à une mince couche, les ventricules lat
100 (1913) Exposé des travaux scientifiques
s prononcé dans les cas de ce genre que dans l'hémiplégie d'origine cérébrale . « Ce signe peut exister aussi dans certaines p
certains cas pathologiques, chez des malades atteints d'hémiplégie cérébrale organique, la même manoeuvre donne lieu à une s
1902). 3o° Le signe de Babinski immédiatement consécutif aux ictus cérébraux , par Brissaud (Société de Neurologie de Paris,
ies d'origine spinale que dans celles qui dépendent d'une affection cérébrale . » Il n'existe pas, du moins à ma connaissance.
(i 8g) quelques faits établissant qu'un ramollissement de l'écorce cérébrale peut s'accompagner d'une leucocytose abondante
au cours de l'urémie convulsive (Chauffard), soit à une hémorragie cérébrale (Mosny, Claude), dans nos observations I et III
aude et Verdun nous montre que, dans les 7-2 SEMIOLOGIE u lésions cérébrales en foyer qui s'accompagnent de leucocytose, à la
ptomatique et l'on pourrait être tenté de le rapporter à une lésion cérébrale en foyer. « Des plaques de sclérose disséminées
ar Brissaud et Souques). Amyotrophie. Dans l'hémiplégie d'origine cérébrale il se développe parfois une atrophie des muscle
des cornes antérieures de la moelle. J'ai montré (i4) qu'une lésion cérébrale accompagnée de dégéné- HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE 127
a mienne et se porte en arrière. C'est dans la monoplégie d'origine cérébrale que j'ai observé pour la première fois ces phén
deux modes de balancement du bras. TUMEURS INTRA-CRANIENNES. OEDÈME CÉRÉBRAL Diagnostic. A. J'ai attiré l'attention sur ce
des néoplasmes intra-crâniens : la TUMEURS INTRA-CRANIENNES. OEDÈME CÉRÉBRAL 13l céphalée, les vomissements, la stase papill
l'observation anatomo-clinique d'un sujet qui, atteint d'une tumeur cérébrale dont le poids dépassait 3oo grammes, n'avait jama
écelé la présence de trois tumeurs méningées refoulant l'hémisphère cérébral droit ; à gauche, il n'y avait pas de tumeur. Cet
associée à d'autres signes rendant acceptable l'hypothèse de tumeur cérébrale , constitue un argu- ment de grande valeur à l'a
j'ai fait connaître (voir p. 167). TUMEURS INTRA-CRANIENNES. OEDÈME CÉRÉBRAL 133 Traitement. Médication hydrargyrique. D
autorisé à dire que j'ai contribué au développement de la chirurgie cérébrale en France. La craniectomie, malgré les travaux
n remarquable que la craniectomie est à même d'exercer sur l'oedème cérébral . J'ai-insisté sur l'utilité de la craniectomie dé
ha- lée, de la stase papillaire et des autres troubles que l'oedème cérébral avait provoqués, grâce à la simple résection d'
et de Martel, j'estime, en effet, que dans nombre de cas de tumeur cérébrale , il faut être beaucoup plus réservé que Tuilier d
ésie du côté droit dans l'observation XII de son Traité des tumeurs cérébrales publié en 1907. La lésion occupait l'hémisphère c
s. A l'autopsie (outre un foyer de ramollissement dans l'hémisphère cérébral droit qui avait causé l'hémiplégie gau- che) on
e radicu- laire (méthode de Marchi). De plus, la moelle et l'écorce cérébrale sont examinées sur des coupes colorées à l'héma
r aussi dans des cas de tumeur intra-crânienne accompagnée d'oedème cérébral et d'hyper- tension du liquide céphalo-rachidie
delabyrinthite suppurée, de commotion laby- rinthique, de syphilis cérébrale avec paralysie faciale et acoustique, de maladie
rs caractères intrinsèques, de ceux que déterminent des altérations cérébrales ou médullaires. On la croyait en état de donner
connaissances médicales, 19 et 26 octobre 1882). 2. Ramollissement cérébral (Bulletins de la Société anatomique, 2 mars 1883)
se, Paris, )885, chez Masson). Il¡. Atrophie musculaire d'origine cérébrale avec intégrité des cornes anté- rieures de la m
s de Médecine, mars tgo). 136. Sur la rachicentèse dans les tumeurs cérébrales (Société de Neurologie, 2 mai 1907). 137. Rés
es trophiques attribués à l'hystérie (Id.). 15g. Deux cas de tumeur cérébrale (Id., 4 mars igog). 160. Deux cas de tumeur cér
cas de tumeur cérébrale (Id., 4 mars igog). 160. Deux cas de tumeur cérébrale du lobe frontal (Id., G mai igog). 161. Quelque
t J (09)' INDEX BIBLIOGRAPHIQUE 227 Il)4. Trépanation pour tumeur cérébrale . Ablation de la tumeur. Grande amé- lioration (
d.). 173. Utilité de la craniectomie décompressive dans les tumeurs cérébrales (Leçon faite à la Pitié. Journal de Médecine et
du liquide céphalo-rachidien au cours du ramollissement de l'écorce cérébrale (en collaboration avec Gendron. Société médicale
modes de balancement du bras) 128 Tumeurs intra-cràniennes. OEdème cérébral 130 - Diagnostic 130 Traitement I 33 Médica
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