es régions du corps, par exemple à l'une des moitiés de la face, à un
bras
ou à une jambe. Historique. — Nous nous bornero
ticularités qui nous intéressent : « A 16 ans, très-grande douleur au
bras
droit, qui le fit évanouir. On le saigna du même
ande douleur au bras droit, qui le fit évanouir. On le saigna du même
bras
, le sang ne vint qu'en bavant ; on fit la saignée
ntir très-souvent, quelquefois avec évanouissement et convulsions des
bras
. L'accès était précédé d'une violente palpitation
ce moment, il prévenait Vaccès en se faisant tirer à grande force le
bras
droit (1). » Ces indications nous font voir que
Celle dont l'accès débute par la tête ; 2° celle qui commence par le
bras
; 3° celle qui irradie par le pied ; 4° celle don
re et se sert de la main gauche. Droite. Gauche. Circonférence du
bras
au niveau de l'aisselle....... 17c,5 22e,5 Circ
épaule, comparativement à la droite, est moins arrondie ; — 2° que le
bras
est, en quelque sorte, collé contre la paroi thor
i thoraci-que; — 3° que l'avant-bras forme un angle droit avec le
bras
;— 4° que la main, et nous insistons sur ce point,
mouvements de l'épaule sont assez étendus ; la malade peut élever le
bras
horizontalement, le porter dans l'adduction et da
suivantes le démontrent : a gauche. a droite . Circonférence du
bras
au niveau de l'aisselle.. 51e 26'' Circonfére
e du bras au niveau de l'aisselle.. 51e 26'' Circonférence du
bras
à 10 cent. au-dessus de l'olécrâne.... 20°, 3
.. . 15e 18e Longueur de la 16e, 5 18e Lec... ne se sert de son
bras
gauche que pour appuyer, pour presser. Elle trava
e la nuque et de la région cervicale postérieure, s'irradient dans le
bras
et dans le coude ; — 2° des douleurs vives dans l
rnum, s'arrête à la base du cou et l'étouffé ; b) une douleur dans le
bras
paralysé qui, partant du coude,s'élève jusqu'à l'
assez bien à celui du nerf médian (?). « On dirait qu'on me coupe le
bras
ou bien que j'ai un mal qui va aboutir. » Cette d
blissement qui se traduit par de l'incertitude dans les mouvements du
bras
le renversement du pied dans la marche, etc. Puis
te que trois dents. Membre supérieur droit (paralysé). Au repos, le
bras
s'appuie le long du thorax ; l'avant-bras, à pein
i lui donne Yaspect d'un crochet. (Planche III.) — La malade élève le
bras
jusqu'à la ligne horizontale, porte la main au fr
douleurs et craquements dans l'épaule, mais aucune douleur le long du
bras
ni dans les autres jointures. Toutefois, au momen
es des deux membres supérieurs. Droit. Gauche. Circonférence du
bras
au niveau de l'aisselle. . . . 18e 25e", 5 Ci
ras au niveau de l'aisselle. . . . 18e 25e", 5 Circonférence du
bras
, à 10 cent. au-dessus del'o- 18 22 Circonfé
'ailleurs légers : D... se plaint de douleurs assez profondes dans le
bras
paralysé, à trajet mal défini; — le pouce n'est p
le jetterait quelquefois un cri et tomberait ensuite par terre ; — le
bras
paralysé se retournerait plus que l'autre, la bou
jours, quelquefois davantage, les parents s'aperçoivent que l'un des
bras
reste inerte, qu'il retombe quand on le soulève,
tate qu'elle ne se tient que difficilement sur la jambe qui répond au
bras
paralysé. Dans la marche, l'enfant traîne cette j
duré neuf heures n'ont frappé que la moitié droite du corps : jambe,
bras
, bouche. Au réveil, elle était paralysée et ne po
che. Au réveil, elle était paralysée et ne pouvait du tout mouvoir le
bras
et la jambe du côté droit. Trois mois se passent,
en traînant la jambe et quelques mouvements redeviennent possibles au
bras
. Bras et jambe étaient alors « comme du chiffon,
înant la jambe et quelques mouvements redeviennent possibles au bras.
Bras
et jambe étaient alors « comme du chiffon, sans v
anches I-VI et aux descriptions consignées dans les observations : le
bras
est d'habitude plus ou moins fortement fixé contr
moins fortement fixé contre le thorax, l'avant-bras est fléchi sur le
bras
, en pronation ainsi que la main qui, souvent, est
ient auparavant. Marguerite serre mieux aujourd'hui qu'autrefois. Son
bras
gauche aurait plus de force.— Inintelligence n'au
gts. Elle peut cependant balayer. Gauche. Droit. Circonférence du
bras
au niveau de l'aisselle......... 30 c. 29 Cire,
a) Gr... ne sent rien dans la main, l'a-vant-bras, le coude ou le
bras
; mais elle éprouve, dans l'épaule gauche, des dou
ers la malade qui, à ce moment, tournait sur elle-même en élevant les
bras
. L'infirmière l'a soutenue dans sa chute et l'a a
e est devenue sourde, qu'elle « ne s'entendait plus parler, » que son
bras
gauche était engourdi et qu'elle sentait qu'elle
t eu une maladie dans le genre de celle de notre malade ; il avait un
bras
paralysé, la parole difficile : c'était un enfant
re admission à la Salpêtrière (1839), Emma se servait encore de son
bras
; elle boitait, mais beaucoup moins qu'aujourd'hui
it augmenté et enfin qu'Emma serait devenue incapable de se servir du
bras
droit. A sa sortie (2 mai 1868), elle parlait un
vulsions, affirme-t-on, étaient plus fortes dans la jambe que dans le
bras
. Emma les sentait venir : elle se plaignait de ba
oyons aujourd'hui. Son père lui avait fait faire de la gymnastique du
bras
; le bras s'assouplissait momentanément, et, peu
urd'hui. Son père lui avait fait faire de la gymnastique du bras ; le
bras
s'assouplissait momentanément, et, peu après, rep
ntures, facile toutefois à vaincre; pas de craquements. D'habitude le
bras
reste ap-pliquécontre le thorax,l'avant-bras fléc
REBRALE : EPILEPSIE PARTIELLE Hü VHP CJK DROITK; IMBECITJJTE le
bras
, le poignet sur l'avant-bras. Les doigts sont inf
e de la main (Pl. V.). S... peut exécuter certains mouvements avec le
bras
droit, porter, par exemple, la main sur la tête,
n général, elle ne s'en sert pas. Droit. Gauche. Circonférence du
bras
au niveau de l'aisselle......... 23c,5 2ic,5 Ci
rence du bras au niveau de l'aisselle......... 23c,5 2ic,5 Cire, du
bras
à 10 cent, au-dessus de l'olécrâne........ 22,7 2
rière., les convulsions étaient plus fortes dans la jambe que dans le
bras
du côté paralysé. Abordons maintenant la descri
n s'aperçut bientôt que l'enfant se servait toujours de préférence du
bras
gauche, que le bras droit restait pendant, était
que l'enfant se servait toujours de préférence du bras gauche, que le
bras
droit restait pendant, était flasque, que la main
vements convulsifs que l'on qualifie d'agitation, dans la jambe et le
bras
du côté droit. Rougeole à 3 ans ; aucune manife
art douloureuse. Membre supérieur droit. — Attitude habituelle : le
bras
est accolé au thorax, l'avant-bras est à angle dr
: le bras est accolé au thorax, l'avant-bras est à angle droit sur le
bras
, appliqué sur la poitrine, au-dessous du sein. La
me un crochet dont l'ouverture est très-étroite. — Elle est, comme le
bras
, dans la pronation. Vépaule est très-rigide ; o
ans la pronation. Vépaule est très-rigide ; on parvient à placer le
bras
à angle droit avec le tronc en provoquant des cra
end, mais imparfaitement, l'avant-bras. — Les mouvements spontanés du
bras
sont encore plus limités. Droit. Gauche. Circ
du bras sont encore plus limités. Droit. Gauche. Circonférence du
bras
au-dessous de l'aisselle. . . 18e 21c,5 Circo
eu des accès « qui revenaient souvent, » et une série d'abcès sur le
bras
et la jambe paralysés. Les accès ont continué,
se pendant les accès. Ceux-ci sont nocturnes et surtout diurnes. Le
bras
droit est appliqué le long du tronc ; l'épaule es
uche; ses mouvements sont assez limités; la malade ne peut écarter le
bras
à plus de 10 ou 12 centimètres du tronc; elle est
n droite sur l'épaule gauche. L'avant-bras est à angle droit sur le
bras
et un peu dans la pronation. Le muscle biceps est
eps est contracture. On parvient à fléchir un peu l'avant-bras sur le
bras
, sans pouvoir dépasser l'angle droit. La main,
halange avec la phalangette du pouce sont souples. On trouve sur le
bras
droit une série de cicatrices froncées, déprimées
de lésions osseuses. Ces cicatrices siègent: 1° à la face externe du
bras
(Pl. VI bis), à 5 centimètres au-dessus du pli du
à 5 centimètres au-dessus du pli du coude ; — 2e à la face interne du
bras
(3 centimètres au-dessus du pli du coude) ; — 3°
marque à la face ; voyons ce qui se passe du côté des membres. Le
bras
droit se contracture clans l'extension et la pr
pronation (Fig. 2) ; la main se tord et se met à angle droit sur le
bras
qui se porte d'abord sur la partie latérale e
e, dans l'extension, mais la contracture est bien moins intense qu'au
bras
; dans certains accès même, elle fait défaut. Ce
'exécute cette rotation, l'avant-bras se fléchit à angle droit sur le
bras
et vient s'appliquer en travers de la région dors
cessent, les yeux s'ouvrent, l'avant-bras s'étend brusquement sur le
bras
qui tressaute, se balance plusieurs fois et retom
la contracture ; toutefois, depuis 1876, on aurait vu quelquefois le
bras
gauche pris de « retournement, » en même temps d'
s et Vagitation, c'est-à-dire les mouvements convulsifs, s'étendit au
bras
correspondant. Enfin, les convulsions ont envahi
, ce qui dénote déjà une paresse ou un affaiblissement paralytique du
bras
droit. Cependant, on a essayé de la faire écrire
P... assure ressentir d'ordinaire , des douleurs lancinantes dans le
bras
gauche, sans trajet bien délimité et prédominant
que une trépidation du membre inférieur gauche, suivie de rigidité du
bras
, de torsion de la tète, bref d'un accès incomplet
r gauche est saisi de secousses rapides qui agitent tout le corps; le
bras
gauche se roidit. — La malade parait avoir une co
R. 38°. — Dans certains accès, il y a aussi un peu de trépidation du
bras
gauche. 8 septembre. — Bien qu'elle n'ait pas
ésente l'état suivant : Les membres du côté droit sont libres. — Le
bras
gauche est allongé; l'épaule est souple, mais le
main demeure fléchie sur l'avant-bras. Une demi-heure plus tard, le
bras
et la jambe du côté gauche étaient de nouveau con
paupières sont à demi-ouvertes; le front est énergiquement plissé. Le
bras
droit, rigide dans la demi-flexion, repose sur le
ent plissé. Le bras droit, rigide dans la demi-flexion, repose sur le
bras
du fauteuil. L'avant-bras gauche, demi-fléchi, éc
souple, même la main. Dès qu'on fait exécuter quelques mouvements au
bras
ou qu'on touche la main, celle-ci et les doigts s
e. — Elle ne prend que du bouillon et des potages.— La contracture du
bras
varie fréquemment ; quelquefois elle disparait en
u'elle répète plusieurs fois. Elle gesticule, fait aller très-bien le
bras
et la jambe gauches. Elle était maintenue par un
la bouche est tirée à gauche (Pl. IX). Le cou est très-tendu. Les
bras
et les jambes sont dans l'extension et rigides, l
léchit sur l'avant-bras (Pl. X). Puis, petits cris : Aïe ! aïe ! le
bras
gauche s'élève, se met à angle droit avec le tron
rtés, les autres doigts étant fléchis à demi ou entièrement. deux
bras
, et les entrecroisent, ou qui lancent la tête d'u
ses que dans le côté gauche. En pareil cas, la malade est assise, les
bras
sont allongés presque horizontalement, les jambes
oculaires convulsés en bas ; nystagmus ; mâchonnement; cou tendu. Les
bras
et Planche XI. HYSTÉRO-EPILEPSIE ÉTAT NOR
nt; la rigidité des membres augmente ; puis, le tronc s'incurve , les
bras
, après s'être fléchis, se placent de nouveau dan
ête à gauche et à droite, ouvre les paupières, fléchit et allonge les
bras
, soulève le ventre. Simultanément la face se cong
ppressée; V... secoue un peu la tête, essaie de lever l'un ou l'autre
bras
, s'asseoit à demi, autant que le lui permet la ca
la contracture générale ne diminue pas, V... soulève brusquement le
bras
droit, ouvre les yeux, regarde à droite. Les plai
Soir.— V... a été tranquille ; il y a des contractures passagères des
bras
, avec contorsions de la face. Surdité absolue. T.
que. — Elle se compose de deux phases : a) Tout le corps seroiditjles
bras
sont fléchis, les jambes allongées. La face est p
ne largement. On remarque des mouvements du ventre, des jambes et des
bras
qui s'allongent et se fléchissent. Durée : 15 à
ns un état de contracture modérée des quatre membres, prédominant aux
bras
et surtout au bras gauche. Le cou n'est pas roide
acture modérée des quatre membres, prédominant aux bras et surtout au
bras
gauche. Le cou n'est pas roide. Attaque. 1° Pér
ue. 1° Période tonique. La face et les yeux se portent à gauche ; les
bras
, déjà allongés, se roidissent davantage et se met
uvement de rotation et se porte sur le côté gauche du lit. Alors, les
bras
se fléchissent à demi et se placent au-dessus de
te à gauche. V... ne peut marcher que si on la soutient sous les deux
bras
. Elle traîne considérablement la jambe gauche, su
otulien, qui consiste en ce que, lorsque la jambe étant placée sur le
bras
de l'opérateur, si l'on frappe un coup sec sur le
sauf-, paralysie, contracture de la jambe droite ; — contracture dit
bras
droit ; — disparition de ces accidents. — Perte d
a comp, ession ovarienne sur la contracture récente. — Contracture du
bras
droit. — Modifications des attaques : crucifiemen
alysie du côté gauche du corps : L... ne pouvait pas se servir de son
bras
qui retombait, ni marcher parce que la jambe fléc
é réglée. Elle a été admise pour une paralysie de la sensibilité du
bras
droit et des attaques d'hystérie grave, précédées
0 à gauche et 30 à droite. Aussi L... fait-elle plus souvent usage du
bras
gauche que de l'autre : « Je m'apprends à être ga
yant les yeux fermés, on imprime différentes positions aux doigts, au
bras
ou à la jambe, elle ne sait plus indiquer, sans e
— Puis, mouvements de latéralité de la tète, mouvements brusques des
bras
et des jambes, ce qui constitue une seconde phase
rêtés. De 5 à 9 heures, attaques incomplètes. Dans la troisième, le
bras
droit s'est contracture dans la demi-flexion, P
deux accidents: torsion exagérée du cou et delà tête, contracture du
bras
,reparaissent et disparaissent à plusieurs reprise
i la malade reprend connaissance, elle se plaint de son cou ou de son
bras
droit qu'elle frotte avec la main gauche : « Otez
de son bras droit qu'elle frotte avec la main gauche : « Otez-moi mon
bras
, dit-elle. » Et elle pleure. Elle a aussi des
Nitrite d'ample : arrêt définitif. — L... a eu des secousses dans le
bras
droit et des douleurs dans l'épaule. Les soubresa
ses du tronc qui se fléchissait en avant; — de la jambe et surtout du
bras
droit. Ces secousses étaient accompagnées de rire
nton. De 6 à 9 heures, 21 attaques. Dans les premières attaques, le
bras
droit s'est placé en travers du dos et la langue
uccédé sans interruption, la contracture de la langue a disparu et le
bras
droit s'est contracture dans l'extension : toutes
De 8 à onze heures, 30 attaques. Disparition de la contracture du
bras
après la quatrième attaque et de la jambe après l
ode de délire (1). Dans quelques attaques, mais non dans toutes, le
bras
droit exécute des moure (l) Nous avons observé
à sa portée. (l) Au début d'autres attaques nous avons vu les deux
bras
se retourner plusieurs fois en devenant rigides.
es grands mouvements, elle est restée, pendant quelques instants, les
bras
en croix (crucifiement). Puis délire : « Qu'est-c
trois attaques épïlepti formes, on note, en outre, une contracture du
bras
droit. Membre inférieur droit : la hanche et le
paule et le coude sont roides, mais la flexion de l'avant-bras sur le
bras
est possible ; le poignet est extrêmement rigide
e épileptoïdé). a) Phase tonique : Tout le corps devient rigide ; les
bras
se roidissent, exécutant ou non un mouvement de c
les pieds; les cheveux sont en désordre, 4. le cou est tendu, les
bras
sont allongés et contractures. Après avoir gardé
on lit et cela à 5, 6.... 10 reprises différentes. En même temps, les
bras
et les jambes sont animés de grands mouvements cl
le est, en effet, contracturée dans l'extension; il en est de même du
bras
droit. — Les membres du côté gauche sont souples.
compression : L... pleure, dit que « ça tire davantage. » Bientôt, le
bras
se détend, se fléchit, devient libre ; puis la ja
rrière !... ils me mordent !... Maman! » Elle rejette brusquement les
bras
, découvrant ainsi les fesses. « Chameau ! Pignouf
ues " » Nouvelle attaque ; puis le délire réparait. L .. croise les
bras
, semble réfléchir; puis elle les décroise, sa phy
st-il permis?... » Elle te cache la figure avec les mains, croise les
bras
, menace de la tête : « Il m'en fait faire du mauv
ts m'en ont dit... Tu qualifies les vices d'un voyou. • Repos ; les
bras
sont croisés. « Toi qui aimes tant ta fille ! (
ières palpitent, la malade devient immobile, le regard est fixe ; les
bras
se croisent et sans avoir eu ni période épileptoï
uri. Plus tard, elle s'est levée et promenée avec un édredon dans les
bras
. Vers une heure, elle a sauté par la fenêtre, sou
che s'ouvre parfois largement, la pointe de la langue se relève ; les
bras
sont allongés, contournés, rapprochés ; les épaul
e voir la langue recourbée en arriérera pointe esttremblot-tante. Les
bras
sont rigides, contournés, secoués. La jambe droit
arrière et vont toucher le lit et l'oreiller ; en même temps : 1° le
bras
se colle contre le tronc ; Lavant-bras, qui était
vient un second temps. centimètres des genoux. Si- multanément le
bras
et la jambe, du côté droit, s'allongent; le bras
- multanément le bras et la jambe, du côté droit, s'allongent; le
bras
et la jambe du côte gauche demeurent tranquilles.
oite fait cesser la contracture des mâchoires et de la jambe, mais le
bras
droit se contracture et la langue reste con-tract
uette. — La compression étant abandonnée, la contracture disparaît au
bras
et revient à la jambe. Les mâchoires conservent l
, d'un spasme du diaphragme, accompagné de hoquet et de secousses des
bras
et des épaules : chloroforme, disparition de ces
ent en haut et à droite. (Pl. XVII et XVIII). Presque toujours, les
bras
sont dans l'extension et la pronation, les poigne
e les yeux, la physionomie dénote la possession,le désir assouvi; les
bras
sont croisés, comme si elle pressait sur son sein
la compression ovarienne. Bientôt, X... incline la tête, croise les
bras
, cache sa figure avec ses cheveux et ses mains, p
econdes environ. Elle se couche à demi sur le côté gauche du lit, les
bras
entre-croisés, la physionomie souriante (Pl. XXI)
né une contracture du iras droit demi fléchi en travers du dos ; — du
bras
gauche demi fléchi en avant ; — des jambes dans l
n n'a eu soin de leur mettre la camisole, de fixer leurs pieds, leurs
bras
et leur tronc. Cette exagération des mouvements,
les talons et les faisant porter sur la » face et sur la bouche, les
bras
roidement étendus, » tellement que les reins s'ar
qui tenoit le Saint-Sacrement » en main, et qtiaiant le corps et les
bras
en forme de (l) Voir aussi l'observation de Ros
et témoigna une grande rage de ce qu'il » avoit dit, se mordant au
bras
, et contournant horri- » blement tous les membr
voir eu une contracture de la jambe droite, puis et successivement du
bras
correspondant, des muscles du pharynx, enfin, des
ité morbide n'est pas bornée au sein, mais s'étend à l'aisselle et au
bras
. On ne trouve pas de tumeur distincte dans la mam
rachialgie en 1876, également après une grande colère. longe les
bras
et les roidit en tendant le tronc, elle rend plus
lant arresté sur la petite grille fort noir, qui se » jettoit sur mon
bras
quand je voulois commencer à (l) Histoire de Ma
es démonolâtres « ont trouvé le moyen de ravir les femmes d'entre les
bras
de leurs époux, et faisant force et violence à ce
ans aide lui-même, contraint de souffrir sa honte à yeux ouverts et à
bras
croisés. » Jeanne Herviliers, dont la mère, pou
sant contre les balustres de la chapelle qui y est, et lui tenaut les
bras
étendus, se mit en état, tout debout, d'avoir sa
le restait au chœur jusqu'à onze « heures prosternée sur le pavé, les
bras
en croix, le visage contre terre. » (Loc. cit., p
onnant d'amour. Comme elle le contemplait ravie, il détacha un de ses
bras
, attira la sainte contre sa poitrine adorable, et
s du tronc et des épaules sont normaux. De même, les mouvements des
bras
sont revenus à l'état physiologique, à l'exceptio
ute brusquement les muscles du malade à la cuisse, ;1 la jambe ou aux
bras
, on provoque une contraction tonique qui persis
nt que ses forces ont beaucoup diminué et il éprouve du côté de ses
bras
une sensation de lassitude et de fai- blesse se
impotence limitée encore aux membres inférieurs atteigne aussi ses
bras
, car il commence à éprouver dans les membres su
ellectuelle peu élevée. De quoi les Démarche vacil- Faiblesse des
bras
Faiblesse des malades se plat- tante et faible
nt-bras avait de la tendance à rester con- tracté en flexion sur le
bras
, le pouce étant replié dans le creux de la main
e plus intense à droite qu'à gauche, l'avant-bras est fléchi sur le
bras
, la 36 TOMMASI DE AMICIS main sur l'avant-bra
muscles étaient intacts. Il fut réformé pour atrophié musculaire du
bras
droit. Il était droitier,mais il travaillait di
bras droit. Il était droitier,mais il travaillait difficilement du
bras
droit; il s'essaya de la main gauche, d'abord s
pierre tendre, et finalement il devint gaucher. Deux ans après, le
bras
gauche a commencé à être inté- ressé et l'atrop
de Lyon, l'a examiné très longuement : seuls les mus- cles des deux
bras
s'étaient en partie atrophiés sans que jamais ils
Membres supérieurs. - Lorsqu'on découvre le malade, on voit que les
bras
sont considérablement émaciés, surtout clans leur
E PRIMITIVE ET PROGRESSIVE AVEC AUTOPSIE 51 La moitié supérieure du
bras
contraste avec la moitié inférieure. Le deltoïd
es mensurations donnent les résultats suivants : Circonférence du
bras
dans la partie inférieure la plus grêle : Il cent
s. L'avant-bras estamaigri, mais relativement beaucoup moins que le
bras
; le long supinateur est le seul muscle complèt
Mouvements Vof.OTT.1112GS.- Le malade ne fléchit l'avant-bras sur le
bras
qu'au prix d'un grand effort du tronc et de l'é
vement de bilboquet et cela sans l'intervention active des muscles du
bras
et de l'avant-bras. Quand le bras est ainsi flé
ntervention active des muscles du bras et de l'avant-bras. Quand le
bras
est ainsi fléchi, son extension volontaire est
n extension volontaire est impossible. Les mouvements d'ensemble du
bras
pour saisir le nez, pour porter la main 1 la bo
mouvements. Pour porter la cuiller ou la fourchette il la bouche le
bras
cherche un point d'appui ; la main est mise en
ires, antérieures et postérieures, le nerf médian au tiers moyen du
bras
, le nerf tibial postérieur; on rencontre toutefoi
n'est pas une moribonde ; elle est encore fort bien en chair et son
bras
nu, ferme et potelé, relevé sur sa tête, encadre
capulaire dans le territoire de la 2e racine dorsale. - D, bande du
bras
en arrière, passant, après interruption, sur l'av
ion supérieure du buste, les membres supérieurs depuis le milieu du
bras
jusqu'à l'extré- mité des doigts. Particularité
n exemple qui vous convaincra (Fig. 17). Cette figure représente le
bras
gauche d'une femme âgée de 40 ans, très bien po
e le malade, en faisant un saut périlleux, tomba sur l'épaule et le
bras
droits ; quand il se releva, toute cette région é
sa- tion pendant quarante jours, dans un appareil à attelles, de ce
bras
qui était t très endolori, au point qu'on ne po
très vives dans l'épaule. Le malade peut cependant se servir de son
bras
; il a du reste travaillé jusqu'à t'âge de 23 a
esauts. La conso- lidation opérée, les douleurs ont disparu dans le
bras
, mais persistent légères dans l'épaule; l'amaig
ts sur la main. La lésion se répare, mais à partir de ce moment, le
bras
est frappé d'impotence presque absolue et ne pe
horax droit ne participent nullement à l'atrophie. Les muscles du
bras
droit sont très atrophiés. Le biceps, réduit il
uit il l'état de corde,a perdu de sa longueur et maintient l'avant-
bras
en légère flexion sur le bras. Le coraco-brachial
de sa longueur et maintient l'avant- bras en légère flexion sur le
bras
. Le coraco-brachial est également très réduit.
eine main on voit qu'il est encore notablement charnu. En somme, le
bras
est très rapetissé et contraste avec l'avant-br
résister à l'extension lorsqu'on met l'avant-bras en flexion sur le
bras
. Les muscles de la région antérieure de l'avant
ux et les lombricaux. Les mensurations donnent : Circonférence du
bras
au niveau du creux axil- droite à gauche laire
xil- droite à gauche laire 17 cent. 1/4 28 cent. Circonférence du
bras
au-dessus du deltoïde. 17 » 27 » Circonférence
onférence du bras au-dessus du deltoïde. 17 » 27 » Circonférence du
bras
au pli du coude.. 17 » 1/4 24 » 1/2 Longueur de
n dynamométrique de la main est de 47 kilogrammes. Les téguments du
bras
droit sont parsemés de petites zones cicatriciell
oite qu'à gauche sur l'avant-bras, et quatre fois plus épais sur le
bras
. Cet épaississe- ment n'est pas dû à de l'oedèm
la main en avant dans Pacte d'uriner. Les mouvements d'abduction du
bras
sont impossibles. Ceux qu'on peut ob- tenir son
us il un mouvement de latéralité du tronc qui vient buter contre le
bras
et le coude et imprimer une oscillation transvers
st obligé de projeter le membre par un mouvement de bilboquet. Le
bras
est constamment en pronation ; la supination est
on du muscle 'cubital antérieur. L'extension de l'avant-bras sur le
bras
n'est qu'ébauchée et ne peut s'obtenir complète m
roid est exagérée dans la région postéro- externe de l'épaule et du
bras
(zone du circonflexe) ainsi que dans la région
sensitive du circonflexe (face postérieure de l'épaule et externe du
bras
). Dans la zone sensitive du musculo-cutané (fac
s vive encore dans la zone sensitive du radial (face postérieure du
bras
et de l'avant-bras). A peine accusée sur la moi
pour devenir postérieure. La préhension du nerf médian au milieu du
bras
est douloureuse, ainsi que la pression exercée
exagérée à droite, sur la totalité du mem- bre, mais surtout sur le
bras
. Elle est normale gauche. Une secousse élec- tr
he. Une secousse élec- trique bien supportée même par le malade, au
bras
gauche, l'a un jour, dans une foire, jeté à la
au-dessous du creux axillaire, au niveau du pli du coude. Le long du
bras
pas de cordon induré appréciable au niveau du p
orsqu'on lui serre brusquement les tendons fléchisseurs de l'avant-
bras
droit, au-dessus du poignet, on détermine une sér
les doigts de la main correspondante ainsi que dans l'épaule et le
bras
gauches. 122 . J. SABRAZÈS ET L. MARTY On se
éception qu'elle abandonne, se porte en avant, impri- mant ainsi au
bras
un mouvement de rotation en dehors et le col anat
M. P. Duval et Guillain ont soutenu qu'au moment de l'ac- cident le
bras
étant brusquement porté en abduction, les troncs
ndantes redressées au ni- veau des trous de conjugaison tant que le
bras
n'aurait pas repris sa direc- tion normale. C
ère du nerf médian. Rien à noter dans la sphère des autres nerfs du
bras
. Cet homme présente de plus quelques symptômes-
xamen permet de constater une paralysie très marquée des muscles du
bras
et de l'avant-bras gauche. Le hras droit même s
oude pour le médian, fait naître une douleur bien plus vive dans le
bras
malade que dans le bras sain. Faut-il mettre to
t naître une douleur bien plus vive dans le bras malade que dans le
bras
sain. Faut-il mettre tous ces troubles sur le c
olio- myélite expliquant l'extension des troubles moteurs à tout le
bras
? la diminution rapide des forces dans le bras
es moteurs à tout le bras ? la diminution rapide des forces dans le
bras
droit qui n'a nullement été tra1l- matisé sembl
n somme, parmi les traumatismes que nous venons d'examiner, ceux du
bras
et de l'épaule en blessant les troncs nerveux exp
s dû s'établir avec évidence lors du premier trau- matisme ; car le
bras
, encore court, se serait arrêté dans son développ
leurs expérimentations cadavériques ont remarqué que l'abduction du
bras
avec rotation de la tête du côté opposé tend tr
nches radicu- laires ne peut-elle pas se poursuivre encore quand le
bras
est pendant le long du corps ? L'écartement de
de la fracture humérale et aussi peut-être pour les autres nerfs du
bras
individualisés au-dessus de l'épaule, en regard
es. De la main gauche, il cherche à prendre un point d'appui sur le
bras
de son siège, tandis que de la droite il s'effo
e et barbu, à gilet vert et chausses blanches, est ligoité corps et
bras
sur un fauteuil, les jambes allongées en avant.
étrange clinique, grosse femme à coiffe blanche qui noue à tour de
bras
un bandage sur le front du patient. L'indiffé
tre fauteuil, un petit homme vêtu de brun, le front bandé, les deux
bras
passés dans une écharpe blan- che, un grand sab
dans une écharpe blan- che, un grand sabre à poignée rouge sous le
bras
, un pied chaussé et l'au- tre nu, son soulier g
ont plus du même avis, au sujet de l'attitude du scapulum, quand le
bras
au repos tombe naturellement sur le côté du tro
t au sujet de la hauteur à laquelle peut s'élever volontairement le
bras
. L'omoplate est-elle déplacée, dans la station de
t le bras. L'omoplate est-elle déplacée, dans la station debout, le
bras
pendant naturellement le long du tronc ? L'élév
pendant naturellement le long du tronc ? L'élévation volontaire du
bras
peut-elle dépasser la ligne horizontale ? Ce so
ISOLÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 179 que gène dans les mouvements du
bras
droit. Pendant toute l'évolution de sa dothiéne
vant, le malade n'avait eu la moindre gêne dans les mouvements de ses
bras
. Palefrenier, il pansait les chevaux et les con
t aux relais. Il était obligé pour soigner ses chevaux de lever les
bras
jusqu'à la verticale et, dans* les mouvements n
il l'étrillage notamment, il ne s'était jamais aperçu qu'un de ses
bras
fut plus faible que l'autre. Les phénomènes de pa
tat actuel. I. Si l'on examine le malade dans la station debout les
bras
tombant le long du corps, on s'aperçoit que la
oïde dont le bord inférieur se dessine nettement. II. Lorsque les
bras
sont élevés directement en avant jusqu'à l'horizo
exe contrastant avec l'aspect normal du côté sain. III. Lorsque les
bras
sont levés en dehors jusqu'à l'horizontale (PI. X
e aussi saillant et aussi dur que dans l'attitude précédente. IV.
Bras
élevés dans la direction verticale. Quand on fait
evés dans la direction verticale. Quand on fait élever au malade le
bras
droit isolément, il arrive à le porter au-dessus
ai, d'in- cliner un peu le tronc du côté opposé, ce qui fait que le
bras
paraît plus élevé qu'il ne l'est en réalité.
il ne l'est en réalité. En effet, quand on lui fait élever les deux
bras
simultanément (PI.XXV, G), il s'incline beaucou
nt (PI.XXV, G), il s'incline beaucoup moins du côté sain ; aussi le
bras
droit, tout en dépassant t l'horizontale, paraî
paraît s'approcher moins de la verticale que dans le cas où le seul
bras
droit était élevé. Ajoutons que, d'ailleurs, da
as droit était élevé. Ajoutons que, d'ailleurs, dans l'élévation du
bras
vers la verticale, la région scapulaire présent
même morphologie que dans les cas où le malade élève directement le
bras
en dehors. 1° Mouvements de l'épaule. L'éléva
t (PI. XXV, H). ' 2° Déformations thoraciques. 1° Station debout,
bras
tombant naturellement le long du corps (Pl. XXIII
face ou de profil le thorax n'offre aucune déformation visible. 2°
Bras
élevés en avant jusqu'à l'horizontale (PI. XXV111
dessous du prolongement de la ligne bimamelonnaire. 3° Lorsque les
bras
sont élevés en dehors jusqu'à l'horizontale (PI.
la précédente, tant en avant qu'en arrière et de profil. fil, Les
bras
aM'7eoe' jusqu'à la verticale, la déformation per
s dans la nuque. Rapidement s'installa une paralysie des muscles du
bras
droit, puis du bras gauche, enfin du grand dent
idement s'installa une paralysie des muscles du bras droit, puis du
bras
gauche, enfin du grand dentelé droit, qui resta l
, Editeurs. PARALYSIE ISOLÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 183 nelle du
bras
droit. Il lui était difficile d'élever ce bras au
DENTELÉ 183 nelle du bras droit. Il lui était difficile d'élever ce
bras
au-dessus de l'ho- rizontale. Il continua cepen
de la faiblesse dans l'épaule droite, avec difficulté d'éle- ver le
bras
correspondant. Il continua cependant son métier,
ras correspondant. Il continua cependant son métier, en s'aidant du
bras
gauche, et, six mois plus tard, il était incapabl
ras gauche, et, six mois plus tard, il était incapable d'élever son
bras
droit et présentait les signes ordinaires de la p
ulaire droite. Presque immédiatement après, il ne peut soulever son
bras
droit au-des- sus de l'horizontale. Enfin le
e la fosse sus-épineuse droite. Aussitôt après il ne peut élever le
bras
correspondant au-dessus de ligne horizontale. Il
ent des douleurs très vives dans l'épaule droite, irradiant dans le
bras
et la nuque. Six à huit semaines après, elle co
huit semaines après, elle constate des troubles dans la motilité du
bras
droit. L'observation, déjà ancienne de Marcbess
même époque, il constata un affaiblissement dans les mouvements du
bras
et la déformation de l'omoplate. Il n'avait jam
rise trois semaines après un accouchement de douleurs vives dans le
bras
droit et consécutivement de paralysie isolée du m
iti'é- rence) en même temps qu'elle est plus élevée. L'élévation du
bras
au-dessus de l'hori- zontale est impossible au
es, l'ayant empêché de dormir pendant quatre nuits, dans la région du
bras
droit. Quelque temps après, on lui fit remarque
ux du premier cas. Toutefois, le malade aurait toujours pu lever le
bras
au-dessus de l'horizontale. PARALYSIE ISOLÉE DU
ont seuls contractés. Le grand dentelé reste fiasque, pourvu que le
bras
soit appliqué contre le thorax. Donc le grand d
Mais nous savons qu'il intervient fortement dans l'acte d'élever le
bras
soit jusqu'à l'horizontale, soit jus- qu'à la v
eur. Il joue donc un rôle primordial, dans les divers mouvements du
bras
. La gène considérable de ces mouvements, dans la
muscle grand dentelé est donc soumis, dans les divers mouvements du
bras
et de l'épaule, à un exercice répété et puissan
ortent sur trois points : 1° Sur l'attitude du scapulum, lorsque le
bras
pend inerte le long du tronc ; 2° Sur l'éléva
ras pend inerte le long du tronc ; 2° Sur l'élévation possible du
bras
au delà de la ligne horizontale ; : 3° Sur la déf
3° Sur la déformation du thorax. L'attitude du scapulum, lorsque le
bras
tombe naturellement le long du corps, a été viv
enne (2), ne se manifestent que pendant l'élé- vation volontaire du
bras
. J'ai démontré, en effet, que l'atrophie du grand
l'attitude de l'épaule, pendant le repos musculaire et lorsque les
bras
tombent sur les côtés du tronc, à moins toutefo
s dans les figures'189 et 190, lorsqu'ils laissaient pen- dre leurs
bras
sur le côté du tronc. » « Je démontrerai plus loi
grand dentelé, alors que le malade nepeut élever volontairement son
bras
. » Cosigne pathognomoni- que, important à conna
e reconnaître la paralysie du grand dentelé, lorsque l'élévation du
bras
est impossible. Pour percevoir ce signe, il fau
ressants à connaître, dans un cas donné d'élé- vation impossible du
bras
, par exemple dans un cas 'de paralysie du del-
lé n'entraîne aucune difformité appréciable de l'épaule, lorsque le
bras
pend naturellement sur le côté du tronc. Lewins
, accom- pagnés de déformation de la région scapulaire, au repos du
bras
, sont des faits complexes. D'autres muscles, di
étaient paralysés. Dans ce cas, le scapulum présentait, au repos du
bras
, les déformations que les Allemands considè- re
les s'insérant sur cet os, lequel n'obéit plus alors qu'au poids du
bras
. Il s'ensuit que le scapulum s'abaisse et s'élo
apèze en effet, à l'état normal, contrebalance l'action du poids du
bras
, puisqu'il élève le moignon de l'épaule, rappro
LXXIV, s. 4î3. 190 A. SOUQUES ET J. CASTAIGNE logique, lorsque le
bras
est au repos. Le seul déplacement qui puisse se
es fois, ajoute-t-il, que dans une paralysie du grand den- telé, le
bras
étant au repos, le bord spinal de l'omoplate est
eut-être légère, mais certaine de la région scapulaire, au repos du
bras
: l'angle inférieur du scapulaire est rapproché d
1 déplacement de la façon suivante : Chez un homme sain, lorsque le
bras
est au repos, l'omoplate est fixé dans sa posit
générale que, dans la paralysie isolée du grand dentelé, lorsque le
bras
est au repos le long du tronc, il y a un déplac
es de la paralysie du grand dentelé, dans l'élévation volontaire du
bras
. Il est tout d'abord un signe que nous ne discu
canisme. Il n'en est pas de même du degré qu'atteint l'élévation du
bras
. Dans la grande majorité des faits, l'élévation
lévation du bras. Dans la grande majorité des faits, l'élévation du
bras
n'atteint pas ou atteint exactement la ligne ho
runs. Dans l'observation de Bammler il est dit que l'élé- vation du
bras
au-dessus de l'horizontale est possible et que ce
é- vation du bras au-dessus de l'horizontale est possible et que ce
bras
peut être élevé, presque sans effort, jusqu'aux
du grand den- telé, Dans un de ces cas, semble-t-il, l'élévation du
bras
au-dessus de (1) Il faut admettre, avec Ilitzig
tion électro-physiologique isolée du deltoïde suffit pour porter le
bras
jusqu'à l'horizontale et que « le maxi- mum d'é
oïde. Or, à l'état physiologique, lors de l'élévation volontaire du
bras
, on ne voit pas ces deux mouvements qui engendr
olément le deltoïde. En effet, à l'état normal, dans l'élévation du
bras
, le grand dentelé agit tou- jours en même temps
titude vicieuse de l'omoplate de se produire pendant l'élévation du
bras
(2). » Que va-t-il se passer dans le cas de par
s le cas de paralysie du grand dentelé. L'éléva- tion volontaire du
bras
jusqu'à l'horizontale est possible ; elle est dét
fectivement ce qui a lieu. Voilà le premier temps de l'élévation du
bras
accompli. Reste le second temps, c'est-à-dire l
AND DENTELÉ 105 Dans Jes conditions physiologiques « l'élévation du
bras
au-dessus de la direction horizontale, déclare
otation nécessaire à la dernière moitié de l'élévation verticale du
bras
. » Duchenne en a fourni la preuve expérimentale
deltoïde.et le grand dentelé à la fois. Dans cette expérience « le
bras
s'élevait verticalement avec une telle énergie
onc logique que, dans la paralysie du grand dentelé, l'élévation du
bras
s'arrête à la ligne horizontale et ne la dépasse
ent de formuler pour expliquer les cas exceptionnels d'élévation du
bras
au-dessus de l'horizontale, dans la paralysie du
le qui jouisse du privilègede déter- miner l'élévation verticale du
bras
, par l'intermédiaire de l'omoplate; le tiers mo
ne pour produire, avec l'aide du deltoïde, l'élévation verticale du
bras
, avec beaucoup moins de puissance toutefois que
léer mutuellement dans la production de ce mouvement d'élévation du
bras
..... Ce fait électro-physiologique est confirmé
CASTAIGNE l'omoplate sur son angle interne, mouvement qui élève le
bras
au-dessus de la ligne horizontale, il faut qu'e
nséquent, dans la paralysie isolée du grand dentelé, l'élévation du
bras
jusqu'à la verticale sera possible, par l'action
peu développée et jouit de peu de force, l'élévation volontaire du
bras
jusqu'à la verticale restera impossible. Comme
runs, le sujet était très bien musclé et cepen- dant l'élévation du
bras
ne dépassait pas l'horizontale. Dans le cas de
le. Notre malade enfin est médiocrement musclé. Il est vrai que son
bras
dépasse à peine la ligne horizontale, Il nous r
du côté paralysé et exclu- sivement dans l'élévation volontaire du
bras
. Elle est essentiellement caractérisée par une
issement de la paroi i antérieure, plus marquée dans l'élévation du
bras
en avant que dans son élévation en dehors; modi
le de peau pâle, lisse. A la face interne du tiers su- périeur du
bras
droit, tache comme 5 francs, lisse, fine, pigme
sparu. Les lâches sont légèrement déprimées. Atrophie en masse du
bras
, de la cuisse et de la jambe du côté droit, l'a
, dur. légèrement exfolié. Etat rugueux de la partie postérieure du
bras
. L'enfant est revue le 9 juin 1898. 11 semble q
cepen- 208 PAUL SAINTON dant fléchir la main sur l'avant-bras. Le
bras
est amaigri, les muscles font une saillie très
conservée. La résistance à la flexion de l'avant-bras droit sur le
bras
est diminuée, la résistance à l'extension est c
n est conservée. Les mouvements d'écartement et de rapprochement du
bras
du tronc sont assez bien consenés. L'examen de
si que les muscles du pied ont complètement disparu. Les muscles du
bras
sont d'aspect normal ; le deltoïde, le grand pect
tronc. Et à part deux masses lipomateuses appendues à la racine des
bras
, c'est surtout aux dépens de la partie sous-diaph
oyez comme elle est pâle, comme ses lèvres sont blanches, comme son
bras
retombe inerte sur ses genoux, quel ma- ladif a
la gorge a nu une gorge fort enviable, même en cette occurrence. Le
bras
droit arrondi au-dessus de la tête,de la main g
enveloppée d'un fichu hlanc, elle abandonne avec non- chalance son
bras
droit au médecin qui lui tâte le pouls. Cette a
es, bourrelets hémorroïdaires. D'autres fois, ce sont les veines du
bras
, du dos de la main, monstrueusement dilatées, mai
membres simultanément. Fréquente est la douleur des épaules et des
bras
; il y a impossibilité de se coiffer. D'au- tre
onstipation. Iliii71go vulvaire. - Douleurs frontales, des épaules,
bras
, genoux. - Douleurs plantaires. - Op- pression
re de douleurs de tête frontales, de douleurs dans Ips épaules, les
bras
, et dans la plante des pieds. Cette douleur pla
membres supérieurs sont douloureux et raides ; elle ne peut lever les
bras
pour se coiffer. Les membres inférieurs sont le
tronc, puissant, bien développé, entre l'aspect des cuisses et des
bras
aux saillies musculaires accusées et la gra- ci
ras, surtout les muscles de la région antérieure ; les mus- cles du
bras
et de la racine du membre sont habituellement int
R. - A. Face antérieure. Hypoalgésie dans tout le bord in- terne du
bras
gauche et au-dessus du genou gauche. Hyperalgésie
ns le même territoire que l'anesthésie. Hyperalgésie à la tête, aux
bras
et au tronc. Il[. Température. - A. Face antéri
ostérieure. - Thermo-hyperesthésie il tout le tronc, à la tête, aux
bras
. Hyperesthésie à la chaleur aux membres inférieur
A. Face antérieure. - Hyperesthésie dans la région ombili- cale aux
bras
, à la face, au cou et il la partie supérieure du
\fy550 Lt C ? Éditeurs. LE MAL D'AMOUR 341 angoisse elle serre le
bras
amaigri de sa fillette. Et chez cette dernière,
eyer Vienne. - Masson et Cic, Editeurs. LE MAL D'AMOUR 343 le
bras
d'un agréable dessin, le poignet et la main d'une
ictime qui, mollement, s'a- bandonne, accoudée sur un oreiller, les
bras
nus, le corsage entrouvert, attendant le verdic
ygne : la main gauche ap- puyée sur sa poitrine, elle abandonne son
bras
droit au médecin qui lui tâte le pouls. Sur ses
prise dans une cornette, une double pèlerine sur les épau- les, le
bras
droit allongé sur les couvertures, la main gauche
rt de tâter le pouls et de soupeser l'urinai avec certain geste des
bras
et certaine posture des jambes qui font de sa con
er l'horizontale de l'avant-bras. La flexion de l'avant-bras sur le
bras
est également limitée, et se fait par 360 G. RE
- partie supérieure de t'avant-bras .... ` ? ') 23 - - moyenne du
bras
........ 23 231/2 - - supérieure du bras.......
` ? ') 23 - - moyenne du bras........ 23 231/2 - - supérieure du
bras
....... su 2S1/2 Les muscles du bras et de l'ava
.. 23 231/2 - - supérieure du bras....... su 2S1/2 Les muscles du
bras
et de l'avant-bras droits sont flasques, surtout
s du bras et de l'avant-bras droits sont flasques, surtout l'avant-
bras
; la force est presque nulle. Le malade s'assied
e. Le malade s'assied et se recouche facilement. Les mouvements des
bras
et des jambes se font bien. Le malade marche bi
es par contractions fibrillaires. En deuxoutrois mois, l'épaule, le
bras
et les mains se sont successivement atrophiées. C
lets ont tou- jours persisté. Etat actuel. - Malade amaigri. Le
bras
et la main gauche présentent exactement les mêmes
La flexion des poignets se fait bien, celle de l'avant-bras sur le
bras
Pst presque complète. Les mouvements de prona
t-bras 17 19 partie supérieure........... 20 18 partie moyenne du
bras
........ 19 20 Les muscles du cou, des bras et d
0 18 partie moyenne du bras........ 19 20 Les muscles du cou, des
bras
et des avant-bras sont très flasques. Les omopl
à la pression. La pression profonde est surtout douloureuse dans le
bras
gauche et au cou. Le malade marche assez bien
che 16 avant-bras circonférence médiane 16.5 partie inférieure du
bras
droit 19.5 gauche 20 partie moyenne du bras d
partie inférieure du bras droit 19.5 gauche 20 partie moyenne du
bras
droit.......... 21 gauche 21 Au palper, état
1 gauche 21 Au palper, état absolument mollasse des muscles. Au
bras
on ne sent que la peau et le tissu cellulaire sou
région prétendineuse, d'où la forme d'avant-bras en fuseaux. Les
bras
ne paraissent pas atrophiés. Pas d'atrophie mus
ant-bras se serait amai- grie avant la face postérieure et avant le
bras
. Depuis deux ans il aurait remarqué la rétracti
embres supérieurs. L'atrophie du thorax aurait accompagné celle des
bras
dont la partie supé- rieure aurait été prise la
étraction du biceps droit ; les muscles de la région postérieure du
bras
sont très diminués surtout à droite. , A la f
e. Mouvements des membres supérieurs. - Le malade ne peut élever le
bras
en abduction et horizontalement. L'adduction de
lever le bras en abduction et horizontalement. L'adduction des deux
bras
se fait encore bien, en avant commme en arrière
mmme en arrière. Il fléchit difficilement l'avant-bras droit sur le
bras
droit. Pendant les flexions le biceps reste mou
e de l'avant-bras droit.... 18 ' ` gauche... 19 partie moyenne du
bras
droit 18 - gauche. ..... 20 partie moyenne de
blent surtout atrophiés quand le sujet est vu de dos ; on croirait le
bras
constitué exclusivement par l'humérus directeme
directement attaché à l'omoplate. Atrophie générale des muscles du
bras
et de l'avant-bras ; à la partie moyenne du bra
ale des muscles du bras et de l'avant-bras ; à la partie moyenne du
bras
gauche; diamètre 20 1/2, à droite 19. A l'avant-b
des membres inférieurs semble intacte. Impossibilité d'élever le
bras
à l'horizontale, abduction très limitée à un an-
de 40° tout au plus des deux côtés. Flexion de l'avant-bras sur le
bras
complète à gauche, moins à droite. Les avant-br
e chez un ouvrier rubanier élevant ou abaissant continuellement les
bras
(Raymond) ; chez un xii 25 370 G. ÉTIENNE o
. Circonférence du tiers supérieur de l'avant-bras, 22 centimètres.
Bras
cylin- drique. Atrophie considérable du deltoïd
cylin- drique. Atrophie considérable du deltoïde et des muscles du
bras
. Le biceps semble assez bien conservé, mais le
onservé, mais le malade ne peut résister quand on veut éten- dre le
bras
fléchi, le muscle contracté reste mou : il ne peu
le bras fléchi, le muscle contracté reste mou : il ne peut élever le
bras
droit à l'horizontale, mais y arrive avec le br
ne peut élever le bras droit à l'horizontale, mais y arrive avec le
bras
gauche ; il peut mettre la main gau- che sur la
che sur la tête, mais non la main droite. Circonférence moyenne du
bras
droit et du bras gauche, 20 centimètres. Les cr
mais non la main droite. Circonférence moyenne du bras droit et du
bras
gauche, 20 centimètres. Les creux sous-clavicul
une atrophie légère des pectoraux, le malade croise facilement les
bras
et porte sans peine la main sur l'épaule opposé
xagérant et,se serait communiquée aux muscles de l'avant-bras et du
bras
droit. Depuis environ 8 mois le malade dit avoi
8 mois le malade dit avoir remarqué une diminution de force dans le
bras
gauche qu'il ne pouvait plus soulever que diffici
ceux de la région antéro-externe. Il en est de même des muscles du
bras
; il est im- possible au malade de mettre le br
me des muscles du bras ; il est im- possible au malade de mettre le
bras
sur la tête et même d'arriver à le mettre horiz
t par les mouvements d'abduction. La flexion de l'avant-bras sur le
bras
se fait bien. La résistance aux mouvements pass
rès nulle ; atrophie considérable des muscles de l'avant-bras et du
bras
. Le malade ne peut soulever le bras même au niv
s muscles de l'avant-bras et du bras. Le malade ne peut soulever le
bras
même au niveau de l'horizontale, il l'écarte du
ements d'abduction est assez bien conservée. Dimensions : Droite,
bras
il 6 centimètres au-dessus du pli du coude. 20 ce
s. Le malade peut se soulever sur son séant, sans le secours de ses
bras
, mais avec difficulté, et il retombe lourdement
'atrophie des muscles de la face n'a pas progressé. Les muscles des
bras
et des jambes, ont sensiblement gardé le même vo-
ans l'articulation de l'épaule droite une douleur irradiant dans le
bras
. Ce bras lui paraissait lourd ; parésie assez acc
iculation de l'épaule droite une douleur irradiant dans le bras. Ce
bras
lui paraissait lourd ; parésie assez accentuée.
re musculaire. Atro- phie notable des muscles de l'avant-bras et du
bras
, surtout accentuée aux groupes dorsaux et plus
nférieur Circonf. avant-bras droit 16 15 22 - - gauche 18 15 22
bras
droit » 23 20 gauche 0) 25 20,5 Subluxation c
est luxée et mobile. 378 G. BTIENNE ' Le malade ne peut élever le
bras
droit jusqu'à la verticale ; pour arriver à ame
ON ÉLECTRIQUE. 1° Electricité galvanique. A. Muscles. Biceps du
bras
: NFC < PFC. A droite, NFC = 11 m. a., PFC =
. Parmi les multiples individus qui tombent, se contusionnent ou un
bras
ou une jambe, qui reçoivent un traumatisme viol
venait con- sulter parce qu'il lui était difficile de soulever les
bras
, il avait perdu ses forces, il avait vu ses bra
le de soulever les bras, il avait perdu ses forces, il avait vu ses
bras
maigrir, bref il lui était impossible de continue
r un hasard malheureux une voiture survient, une roue passe sur son
bras
droit vers le haut du bras, le marchepied attei
voiture survient, une roue passe sur son bras droit vers le haut du
bras
, le marchepied atteint sa joue, il saigne. Il est
ue, et il rentre chez lui seul. Il ne souffrait que fort peu de son
bras
, le re- muait avec facilité. Le lendemain il va
reposer quinze jours, il reste donc chez lui sans souffrance de ses
bras
, s'habillant et se déshabillant seul, conservan
endre ses travaux, mais il a de la difficulté légère à soulever son
bras
droit, et celte difficulté persiste, bien plus el
l n'y avait pas d'arthrite, au contraire le malade constate que son
bras
, que son épaule ont maigri. Cette impotence fonct
malade, qui jusqu'alors avait conservé tous les mouvements dans le
bras
gauche, fit la constatation que son bras gauche
ous les mouvements dans le bras gauche, fit la constatation que son
bras
gauche devenait lourd, qu'il se fatiguait facilem
cette impotence, pour cet amaigrissement de ses épau- les et de ses
bras
que cet homme venait à la Salpêtrière, n'ayant pa
aule et du brasdroi ts et de l'amaigrissement moindre d'ailleurs du
bras
et de l'épaule gauches (PI. LXIV, A). Il a, en
atrophie mus- culaire bilatérale scapulo-lmmérale. La maigreur des
bras
el de l'épaule fait un contraste frappant avec
ectoral a son relief normal. Quand on regarde le malade de dos, les
bras
tombant le long du corps, l'épine de l'omoplate
tion de l'avant-bras. Il peut arriver fléchir l'a- vant-bras sur le
bras
, mais oppose-t-on à ce mouvement une légère résis
ne résistance légère. Il est impossible au malade de soulever les
bras
jusqu'à l'horizontale (PI. LXIV, B et C). Les f
ments maximum qu'il peut donner, il lui est impossible de lever les
bras
plus haut, partant il est incapable de porter les
est incapable de porter les mains à sa tête, il ne peut porter les
bras
en avant ni en arrière, ce qui témoigne de l'im
oculaire. Tous ses orga- nes sont sains. La pression artérielle aux
bras
droit et gauche nous a donné 17 centimètres de
ite. II n'a aucun accident immédiat, il continue à se servir de son
bras
. Un mois après l'accident les mouvements devien
ssent. Sept mois après l'atrophie se montre à l'épaule gauche et au
bras
gauche. Le malade se présente à la Salpêtrière
fait le sujet de notre observation avait tous les mouvements de son
bras
normaux après son accident. Donc la théorie de
n est normale. Il y a de l'hypoesthésie dans la zone du cubital, au
bras
gauche, aux deux mains. B. Face postérieure.
se produisaient principalement la nuit. Elle en eût aussi dans les
bras
. - 412 r) ANDRÉ RICHE ET DE GOTHARD Vers cett
axillaire s'étendant jusqu'au tiers supérieur de la face interne du
bras
. Hypoalgésie au crâne disposée de la même manière
maladie. - Il y a trois ans, elle a ressenti des douleurs dans les
bras
; très violentes elles parcouraient les membres d
ILITÉS DANS LE TABES 415 La force musculaire est un peu diminuée au
bras
droit; le dynamomètre amène à gauche 18 kilogr.
r. La malade souffre actuellement de démangeaisons douloureuses aux
bras
, dans la zone d'innervation du cubital, depuis
ant par le creux axillaire. Hypoesthésie le long du bord interne du
bras
jusqu'à l'extrémité des deux derniers doigts de l
ie qui complète le corset et descend le long de la face interne des
bras
jusqu'aux deux derniers doigts. Hypoalgésie en
ésie en corset, au chaud, descendant le long de la face interne des
bras
. Hypoesthésie au froid, remontant au thorax, pl
plus haut que l'hypoesthésie au chaud, descendant aussi le long des
bras
. Aux autres parties du corps, les sensations th
se traduit par une étroite zone d'anesthésie de la face interne des
bras
et des avant-bras, l'anesthé- sie respectant la
une femme, coiffée d'un bonnet blanc, le cor- sage entr'ouvert, les
bras
croisés sur la taille. Il faut croire que la bout
e gauche. Les yeux clos, elle semble avoir perdu connaissance ; son
bras
pend, inerte, le long du corps. Dort-elle ? Est
autre allongée en avant, le talon raclant le sol. La flaccidité des
bras
, la chute abandonnée de la tête, la pâleur du tei
isser par lerre, auprès d'une chaise sur laquelle repose encore son
bras
gauche. Ses yeux rougis, aux paupiè- res- mi-cl
t son ha- billement. Visage noble et majestueux, gorge de déesse,
bras
et mains d'un irré- prochable modelé, la défail
upée si blonds cheveux frisés, vêtue de salin et de brocatelle, les
bras
et les épaules nues, soutient à deux mains le b
brocatelle, les bras et les épaules nues, soutient à deux mains le
bras
droit de la malade. Une autre, plus âgée, à dro
à demi rempli d'un liquide rutilant. C'est du sang. Et regardez le
bras
droit de la malade. Vous y verrez, au niveau du
ieur gauche présente une contracture incomplète, en demi-flexion ; le
bras
ne OU ? ICOOOKAPHIE DE L SAlPÊIRIÈRF. T. XII.
exagérés ; en dehors de ce dernier symptôme iLn'y a rien à noter au
bras
droit. La malade n'est pas gauchère. Il n'y a
res- pectés. Au-dessus, sur le ventre, la poitrine, le dos, sur les
bras
, sur le cou, sur la face, la peau est mince et
ès notablement diminuée sur toute la moitié droite du corps : tête,
bras
, tronc et jambe. C'était une hémi-hypoesthésie ne
d'un oedème localisé à certaines parties du visage, des mains, des
bras
, des parties génitales ; oedème dur, d'apparition
lure avait débuté par le coude pour s'étendre ensuite d'une part au
bras
, s'arrêtant au moignon de l'é- paule, de l'autr
des Hôpitaux (9 dé- tembrc 1898). Mais il s'agit ici d'un oedème du
bras
, à poussées successives, se pro- pageant de hau
e fatigue elle marche sans boiter. La jambe droite, le tronc, les
bras
, la face, sont entièrement respectés; d'autre p
ut par l'état des membres supérieurs. Dans la sta- lion debout, les
bras
tombent inertes le long du corps (photostéréogra-
e les épicondyliens sont rela- tivement épargnés. Les muscles des
bras
, quoique grêles, sont moins atrophiés ; les bicep
dos, mais difficulté extrême à les placer au niveau de la tête ; le
bras
peut être écarté du tronc d'un angle de 70° ; l
arté du tronc d'un angle de 70° ; la flexion de l'avant-bras sur le
bras
arrive à l'angle droit; l'avant-bras étant en e
un peu de rougeur violacée des poignets. Sur la face postérieure du
bras
gauche, à 4 travers de doigt au-dessus de l'olé
lée on rencontre une seconde tumeur du volume d'un gros haricot. Le
bras
droit porte, an même niveau, une tu- meur sembl
de l'excitabilité faradique pour tous les muscles de l'é- paule, du
bras
et de l'avant-bras ; inexcitabilité des muscles d
n de l'excitabilité faradique pour le nerf médian au tiers moyen du
bras
et pour le radial. Inexcitabilité à peu près comp
e à la piqûre sur toute l'étendue de la main ; à l'avant-bras et au
bras
sensibilité d'autant plus émoussée qu'on se rap
. Température : thermanes- thésie au chaud depuis le tiers moyen du
bras
jusqu'au bout des doigts. La sensibilité au fro
ied sur l'autre, accélérant ou ralentissant sa marche, et élevant les
bras
qu'elle agite au-dessus de sa tête (fig. 1). El
mobile, on la dirait sans vie; puis elle gesticule avec violence, ses
bras
frappent le sol, ses genoux s ecorchent aux gravi
, est comme le sceau de la grande névrose. Fig. 3. — Contracture du
bras
gauche. Un brasse trouve tout à coup contractur
fenêtre. Elle court en chemise jus- FiG. 4. — Contracture des deux
bras
. qu'à la porte de sortie de l'hôpital, disant à
se mettre au lit. Toujours son regard est fixé sur le même point. Ses
bras
et ses jambes commencent à se contracturer. Une
int imaginaire. Les jambes sont contracturées dans l'extension et ses
bras
diversement fléchis (fig. 5). Au bout de peu d'in
nt à gauche qu'à droite ; quelquefois elle était croisée, occupant le
bras
1. 5 février 1878. — Deux heures après midi, Ge
re qui est très pâle. Les parties rouges sont chaudes au toucher. Les
bras
sont plus raides que le matin, surtout le gauche.
aiblesse musculaire augmente; sou-vent la malade ne peut se servir du
bras
anesthésié. Elle ne peut se peigner le matin et l
in et laisse facilement échapper les objets. Ler... dit qu'elle a son
bras
droit aussi lourd à lever qu'un poids de 110 livr
lever qu'un poids de 110 livres: «On dirait que j'ai du plomb dans le
bras
. » Au dyna-momètre elle marque six divisions avec
plu-sieurs reprises par une agitation spasmociique du diaphragme. Les
bras
s'é-tendent et se rapprochent du tronc, l'avant-b
ouve des tressaillements dans les yeux et le long du bord interne des
bras
. Le tout dure 4 à 5 secondes. Ces secousses ou
oups sur les jambes. Elle a des secousses clans les deux jambes et le
bras
gauche. Sa main gauche est prise d'un petit tremb
dentique. Chez Gen..., la contracture commence ha-bituellement par le
bras
gauche, envahit ensuite la jambe droite, puis l
auche, envahit ensuite la jambe droite, puis les autres membres. Le
bras
gauche et les deux jambes sont contracturées dans
ras gauche et les deux jambes sont contracturées dans l'extension, le
bras
droit dans une demi-flexion, la main reposant sur
osant sur l'abdomen, comme il est représenté figure 6. Marc... a le
bras
droit fléchi, le poignet fléchi, la main au nivea
ambes. Il faut que je marche. » Elle éprouve des secousses dans les
bras
, dans le ventre et clans les jambes, surtout dans
s dans la contraction musculaire pendant les mouvements convulsifs du
bras
. Et comme les convulsions lorsqu'elles sont génér
sont bien là les véritables convulsions toniques. Le plus souvent les
bras
exécutent de grands mouvements de circumduc-tion
t recouvert plus ou moins par les doigts forte-ment fléchis; puis les
bras
s'élèvent, le coude se fléchit ensuite, ramenant
nteur. La convulsion se montre quelquefois d'un seul côté, et un seul
bras
exécute le grand mouvement dont il vient d'être q
s mouvements to-niques. La face grimace affreusement (fig. 13). Les
bras
s'élèvent alter-nativement et exécutent une espèc
(fig. 17). Le moulinet s'exécute parfois en plusieurs temps, et le
bras
demeure un moment élevé au-dessus de la tête avan
ig. 20. Phase tonique. Immobilité tonique dans le décubitus latéral
bras
sont étendus dans l'adduction et la rotation en d
ue sur les pieds et la tête, peut simuler Y arc de cercle, et que les
bras
, étendus perpendiculairement au tronc, peuvent fa
u'ieure dj l'avaul-brus. beijut brusque. T. Convulsions ioniques; les
bras
s'élèvent et s'abaissent en se fléchissant. C,
rément ouverte et laisse échapper quelques « Ah! Ah! » gutturaux. Les
bras
—Je poignet fléchi, le pouce dans la paume de la m
. II, p. 41). — Puis les membres demeurent étendus et tétanisés : les
bras
dans l'adduction, l'avant-bras en pronation, le p
he est ouverte, et la langue, sortie, se tord de diverses façons. Les
bras
contractures, passent alternativement devant la f
ns le front. 1° Phase tonique.—a) Grands mouvements toniques. — Les
bras
, con-tractures, exécutent de grands mouvements de
d que par instants pour faire entendre une inspiration sifflante. Les
bras
s'élèvent un peu et se contour-nent en reproduisa
de est écourtée. Les yeux se convulsent, la tête tourne à gauche, les
bras
exécutent le moulinet habi-tuel. Clignotement des
frapper le genou gauche (fig. 49); ou bien la malade réunit les deux
bras
en avant pour les lancer de côté avec violence.
animée d'un mouvement de rotation rapide. Elle se redresse, jette les
bras
de tous côtés, fléchit les jambes pour les étendr
ncde côté et d'autre, en faisant une sorte de salut et en agitant les
bras
(fig- 56). Ces mouvements sont entre-mêlés de cri
jambes frappent le lit, se fléchissent et s'étendent brusquement; les
bras
donnent du poing dans le vide. Enfin l'agitation
arche, et l'accompagne de mouvements ryth-mes de tout le corps et des
bras
particulièrement. 5 juillet 1879. Math... est e
n s'ar-rête, la face se congestionne, les traits sont contractés, les
bras
s'élèvent et s'abaissent lentement en formant une
e temps qu'il augmente de rapidité, s'étend et gagne les membres. Les
bras
, par des mouvements alternatifs de flexion et d'e
imitation du chemin de fer déjà décrite. Au milieu de l'agitation des
bras
, on remarque un mouvement qu'elle répète assez so
ut le corps est agité de secousses qui suivent la même mesure, et les
bras
exécutent un mouvement circulaire qui semble imit
ir la lutte. Tout d'un coup elle supplie; ses mains sont jointes, ses
bras
tendus en i.Il paraît qu'une fois entré dans la
es yeux grands ouverts; son visage exprime la colère et l'effroi; les
bras
sont roides, maintenus perpendiculairement au cor
s l'avoir placée en travers sur le lit, lui attacha la tête, les deux
bras
enjeroix, et une-seule jambe, la jambe droite.
r. Vous me faites mal... Oh! maman!... sale c... tu m'atta-cheras les
bras
et le cou... Oh! je le dirai à tout le monde... à
répond-elle. Fig. 63, — Attitude passionnelle. Puis elle tend les
bras
dans une attitude extatique. « Oh viens! viens! »
ments sont répétés avec instance. Enfin elle se renverse, ferme les
bras
, comme pour étreindre le fantôme, et le couvre de
eu d'un grand jardin planté de marronniers roses. Elle s'y promène au
bras
du préféré. Les soldats sont vêtus de rouge et po
pectacle suivant. Elle voit une négresse entourée d'hommes noirs, aux
bras
robustes, tatoués à la façon de certains ouvriers
ablit une sorte de colloque entre « elle » el ce lui ». A genoux, les
bras
ouverts tout prêts à l'étreindre, elle semble dem
assins (fig. 71). Parfois elle pousse de grands cris, en levant les
bras
(fig. 72). Sa physionomie est celle d'une furie v
ées de danses et de chants. Elle demande du punch..... Elle agite les
bras
en cadence en Fig. 74, — Attitude passionnelle.
aincu et roule sur son lit avec son oreiller qu'elle étreint dans ses
bras
. Pendant cette lutte la connaissance revient pe
saccadée, les jambes se contracturent, s'élèvent et se croisent, les
bras
sont également contractures, la face est congesti
e du tronc comme de grandes salutations, accompagnées d'agitation des
bras
et de mouvements de rotation de la tète. (9 heure
t riant tantôt pleurant. Elle a des mouvements lascifs, et croise ses
bras
sur sa poitrine comme pour embrasser la vision qu
la me gêne. » Elle désigne la courroie de la camisole qui retient son
bras
gauche, on la dénoue. Elle s'assied sur son lit
t.) Ah! du punch! Ah! donne-m'en encore!... » La tête appuyée sur son
bras
fléchi, elle demeure longtemps pensive, puis rian
leptoïde interrompt ce beau discours. — Ensuite elle se redresse, son
bras
gauche demeure contracture. Elle cherche dans son
trième période, n'est habituellement pas douloureuse. Elle atteint un
bras
, une jambe, ou bien une partie de la face, la lan
mitif d'Adam. Sur les six heures, à la suite d'un aura, elle sent son
bras
droit qui tourne, elle croit que c'est le début d
aque, mais elle ne perd pas connaissance. La convulsion s'arrête, son
bras
droit demeure contracture, le poing fermé et fixé
quet qui ne s'accompagne que de légers mouvements convulsifs dans les
bras
. « 20 octobre 1872. —Observation Ler... —Attaqu
ès accusée : phase tonique avec les grands mouvements de moulinet des
bras
, phase clonique avec la respiration sac-cadée....
nts; — la tête frappe l'oreiller; — puis arc de cercle parfait; les
bras
sont dans l'extension; les yeux ne sont pas convu
II; arc de cercle incomplet : elle est couchée sur le côté droit, les
bras
fléchis, les coudes portés en avant et les main
s son lit, se contourne, et finit par se placer en arc de cercle, les
bras
derrière le dos, reposant sur le ventre, dans l'a
ccent de la plus profonde admiration ; elle exécute de la tête et des
bras
un mouvement de balancement cadencé : « Ah ! sont
e par la lumière électrique. Ah! ça balance!... » Elle imite avec les
bras
et la tête le mouvement du bateau. Mais tout d'un
son lit et se tourne de côté et d'autre. Elle s'assied, balance les
bras
et la tète. L'expression est souriante. Le regard
ut le retirer... Ces bonnes sœurs qui les ramassent... Il a mal à son
bras
, celui-là. Il faut lui bander le bras...» — La
les ramassent... Il a mal à son bras, celui-là. Il faut lui bander le
bras
...» — La scène change. « Oh! qu'il est joli! »
h! » Elle rit, et demeure quel-ques instants couchée, la tête sur son
bras
gauche replié. Elle se soulève, un nouveau tabl
e, la tète droite, les yeux convulsés en haut, les dents serrées, les
bras
dans l'extension et la pronation forcée, rapproch
ontre l'autre. Par instants, de légers tressaillements parcourent les
bras
et tout le corps, quelques mouvements de déglutit
ominance des contractions toniques, dure quelques minutes. Puis les
bras
se fléchissent brusquement, et commence alors le
la main au creux de l'estomac, comme quelqu'un qui souffre, puis les
bras
se fléchissent et s'étendent lentement, ébauchant
dans une attitude bizarre : elle ne repose que sur le siège; les deux
bras
, croisés derrière les cuisses, élèvent les deux j
tableau plus riant succède à cette agitation. Assise sur son lit, les
bras
croisés sur ses jambes, elle contemple...; sa phy
n lit, le tronc s'incurve en arrière, les jambes à demi fléchies, les
bras
élevés au-dessus de la tête. La tête est tournée
resse, appelle madame X..., fait des grimaces, tire la lan-gue... Ses
bras
se fixent derrière son dos. « Mes bras ! » crie-t
imaces, tire la lan-gue... Ses bras se fixent derrière son dos. « Mes
bras
! » crie-t-elle d'un ton de souffrance. Elle a au
ton de souffrance. Elle a aussitôt recouvré sa connaissance, et fses
bras
sont contractures. 11. h. 22. Nouvelle attaque.
rc de cercle à concavité postérieure dans le décubitus latéral et les
bras
fixés derrière le dos. c.) Assise sur son lit,
10 h. 48. Mouvement de défense, regard de défi, — elle se croise les
bras
, semble questionner quelqu'un;—vision plus gaie e
ête tourne à droite et tout le corps se tétanise-dans l'extension; le
bras
gauche est fléchi, le poing dans le dos. — Les mo
b). Grands sauts, cris, arc de cercle en avant (emprostotonos), les
bras
et les jambes étendus (fig. 45); d'un bond la mal
st congestionné. —¦ Expression décolère, mouvement de défense avec le
bras
gauche : « Ah bien! non, méchant... » — Elle se s
unique. Bientôt de petites secousses qui soulèvent les épaules et les
bras
indiquent l'immi-nence de nouvelles attaques. En
de fer; bientôt un mouvement rythmé sur le bruit des lèvres gagne les
bras
et tout le corps. L'agitation augmente au point q
urbé en avant, les jambes étendues et soulevées au-dessus du lit, les
bras
étendus également et formant angle droit avec le
eux fermés convul-sivement, et tout le visage rouge et contracté. Les
bras
s'élèvent et font le moulinet en passant alternat
ou-riant, la tète est tournée à gauche, le regard dirigé en haut, les
bras
sont étendus dans une sorte d'attitude extatique
xe en haut, le tronc renversé en arrière, le visage radieux, les deux
bras
levés. 10 h. 27 m. 30 s. Nouvelle attaque qui d
ues larmes seulement viennent aux yeux. De petites secousses dans les
bras
et les épaules indiquent le retour d'une nouvelle
ra pas comme ça... » H h. 4 m. Attitude de béatitude. Elle tend les
bras
, le regard est dirigé en haut, le visage est sour
tombe, le corps courbé en ar-rière, reposant sur le côté droit et les
bras
fixés derrière le dos. Une con-tracture générale
cédente par l'ondula-tion du ventre et la respiration précipitée. Les
bras
sont raidis dans l'exten-sion et la pronation. Su
dans l'attitude de l'arc de cercle avec décubitus latéral droit, les
bras
derrière le dos, la tête renversée et tournée à d
le dos, la tête renversée et tournée à droite. 10 h. 4 m. 40 s. Les
bras
reviennent se placer le long du corps et restent
e vision effrayante: «Oh! j'ai peur. » Elle se cache la tête dans ses
bras
: « Oh! j'ai peur... ce rat... » 10 h. 13 m. On
-minute. 10 h. 26 m. Sauts, cris, stertor; au milieu du stertor les
bras
sont animés de violentes secousses. 10 h. 28 m.
ine est dans le décubitus dorsal, tout le corps dans l'extension, les
bras
dans l'adduction se croisent sur la ligne médiane
be brusquement. Elle se tourne alors de côté et d'autre, et agite les
bras
, les poings fermés. Elle se contor-sionne ainsi p
s le phénomène de l'effort. Aussitôt commence une sorte de lutte, les
bras
se fléchissent et s'étendent avec force ; le tron
bêtes de toutes sortes et particulièrement par des poulpes aux grands
bras
rouges qui s'attachent à ses pieds, et par des se
ins intenses. A la fin du deuxième mois, elle marche appuyée sur le
bras
de sa garde, mais le genou gauche est toujours do
it déclaré pendant la nuit en chemin de fer. Elle fut à la messe au
bras
de son frère, jeune séminariste à Saint-Sul-pice.
, il y avait quelques secondes de calme, puis quelques mouvements des
bras
commençaient la grande attaque; ces mouvements ét
ileptoïde ne semble représentée ici que par les grands mouvements des
bras
qui commençaient la grande attaque; suivaient les
passionnelle. La malade était alors assise sur son lit, avançant les
bras
, appelant son frère; elle s'agenouillait, joignai
ère, pendant lesquelles la malade lève les yeux au ciel et croise les
bras
, jusqu'à ce qu'un mouvement convulsif du bassin l
nts, la malade rejette la tête en arrière, les mains se crispent. Les
bras
et les jambes s'agitent en Pair et sont animés de
a grande attaque est complète : position en cerceau, visions, extase,
bras
en croix, contractures d'un côté, le plus souvent
it depuis une quin-zaine de jours par une contracture qui a envahi le
bras
et la jambe gauches. La main repose sur l'épigast
ement aux membres contractures. On ne peut toucher même légèrement au
bras
contracture sans que la malade pousse des cris. E
e s'assoupir, elle est prise d'étouffements et l'attaque éclate. Le
bras
droit quitte l'aimant, se contracture dans l'exte
igées en haut et à droite; tout le tronc s'incurve vers la droite. Le
bras
droit exécute lentement et à plusieurs reprises u
ve-nir une seconde attaque : la physionomie perd toute expression, le
bras
droit se raidit, la tête se penche à droite, les
se convulsent en haut et à droite ; le tronc s'incurve à droite ; le
bras
droit exécute des mouvements de moulinet. Puis to
dresse sur son séant et se renverse brusquement en étendant les deux
bras
; pour la première fois, le bras gauche contractur
erse brusquement en étendant les deux bras; pour la première fois, le
bras
gauche contracture change de position. Mais au bo
e contracture change de position. Mais au bout de peu d'in-stants, le
bras
gauche reprend sa position habituelle, la malade
le se tire les oreilles et se pince très fortement les téguments. Les
bras
prennent des directions variées. Tantôt ils sont
n point d'orgue. — Deux fois et à des dates différentes, étendant les
bras
comme dans l'attitude du crucifiement, j'ai vu la
ministrer après plusieurs essais. Le 28 avril, j'ai appliqué sur le
bras
droit un aimant en fer à cheval, ma malade s'est
ension, tantôt dans la flexion; les avant-bras se fléchissent sur les
bras
, soit en supination, soit en pronation ; les bras
fléchissent sur les bras, soit en supination, soit en pronation ; les
bras
exécutent des mouvements de rotation en dedans et
ments. 2° Les membres supérieurs sont pris de mouvements lents : le
bras
est porté tantôt en avant et en dehors, tantôt en
ors, tantôt en arrière; puis c'est l'avant-bras qui est fléchi sur le
bras
ou au contraire étendu; c'est la main qui est flé
ayant lieu des deux côtés, faisant tour à tour fléchir et étendre les
bras
et les jambes. Après les convulsions toniques a
la prière; tantôt assise, les jambes étendues, la tête penchée et les
bras
croisés, elle semble révéler une tristesse réfléc
ue l'expiration régulière mais bruyante chasse en grosses bulles. Les
bras
sont rapprochés du corps et se laissent soulever
r les extrémités qui se tournent, se retournent, se contournent ; les
bras
et les avant-bras formant des arcs de cercle, les
de zinc, métal auquel elle est sensible, ou si on place à distance du
bras
un aimant, elle est reprise de mouvements rappela
ranges : les extrémités inférieures se croisent et se décroisent, les
bras
sont contournés et comme tordus, les poignets son
syncopes fréquentes, et de plus d'une heure de durée. — Paralysie du
bras
et de la jambe gauches qui dura six semaines. — A
x questions adressées, et ne donnait aucun signe de connaissance; ses
bras
se raidissaient avec contorsion ; les mâchoires s
, en criant comme de coutume : « Maman, ah! maman, réponds-moi. » Les
bras
sont projetés au loin, la figure est rouge, mais
a d'abord une attaque hystérique : spasmes, convulsions étendues, les
bras
s'agitent en tous sens comme chez une personne qu
aintifs, mais ne peut parler. La face rougit, le corps se raidit, les
bras
sont contractures et très fortement fléchis, les
ivergent. Bientôt, après qu'elle a tiré plusieurs fois la langue, ses
bras
se raidissent et se portent énergique-ment le lon
rieur droit (c'était le côté contracture depuis l'enfance) et dans le
bras
du même côté. Ce bras, fortement porté en arrière
e côté contracture depuis l'enfance) et dans le bras du même côté. Ce
bras
, fortement porté en arrière et fléchi, se tordait
alors de légères convulsions clo-niques du côté gauche de la face, du
bras
et de la jambe gauches, tandis que le côté droit
Pendant le sommeil, et plus rarement à la suite d'une attaque, les
bras
s'étendaient en croix, le corps devenait rigide e
fois indéterminé. Les malades se frappent la poitrine, se tordent les
bras
ou se mordent les mains. Dans leur rage innocente
olents, et la crise s'éteint insensiblement. Les malades étendent les
bras
et les jambes, bâillent et éternuent quelquefois
te dirigée en haut, sort de la bouche. Les membres se raidissent, les
bras
sont étendus ou fléchis diversement, l'avant-bras
devient graduellement raide, les jambes sont légèrement écartées, les
bras
i-ressés fortement contre les faces latérales de
uent sur l'attitude est d'incliner le tronc en avant, de sou-lever le
bras
et de fléchir les jambes ; cependant le tronc peu
ns de décrire comme générale peut être par-tielle, se borner aux deux
bras
, à un seul, à une main, à un doigt, à la tète seu
apparaissent dans la face et les membres du côté droit seulement. Le
bras
s'étend et se met en pronation, le poignet fléchi
r des injures aux paroles qu'on lui adresse. Elle est contracturéc du
bras
gauche dans une demi-flexion et de la jambe droit
gauche contracture; mais la contracture est instable, elle quitte le
bras
pour reparaître à la jambe, et vice versa; elle e
ons au lit et contraclurée ainsi qu'il suit : Les deux jambes et le
bras
gauche sont dans l'extension, le bras droit FiG
suit : Les deux jambes et le bras gauche sont dans l'extension, le
bras
droit FiG. S7. — Contractures généralisées. f
nant la lèvre supérieure. FiG. 81). — Léger accès épileptoïdc. Le
bras
droit se soulève un peu et est animé de courtes o
tée plus violemment. Légère cyanose. Des secousses soulèvent les deux
bras
et aussi les deux jambes. Mouvements de déglutiti
eur pupille, qui ne paraît pas dilatée. L'écume vient aux lèvres. Les
bras
sont soulevés et animés de mouvements cloniques,
urveillante du service. faire rentrer la langue dans la bouche. Les
bras
sont contractures, le gauche dans l'extension, le
, en même temps que l'inspiration devient bruyante et saccadée. Les,
bras
s'élèvent et sont animés, ainsi que la tèle, de c
u'il suit. Les grands mouvements toniques du début sont exagérés, les
bras
, les jambes et tout le corps se contournent étran
on forcée; les jambes, parfois fléchies, se croisent diversement; les
bras
se contournent et se placent derrière le dos; les
-vembre 17i)4-, à La suite d'une longue syncope, après une sa'gaée au
bras
, im accès de vapeur si cofisiiicrable, qu'il fut
e des douleurs aux jambes, à la nuque, enfin à l'épigastre; agite son
bras
droit sur sa lète, comme u:i p3til!on fai-sant ch
encore. Quebpiclbis elle se jette à terre, frappe alternativement des
bras
et des jambes; son corps s'arque tantôt devant, t
ce travail et l'extrême chaleur de l'étable; elle soupire, étend les
bras
, de-mande à boire, à se coucher. Son sommeil est
s mouvements de déglutition. Bientôt, la tétese porte en arrière, les
bras
s'étendent, le tronc se raitlit, les jambes de-vi
aux; sa tête était légèrement inclinée à gauche et en avant; les deux
bras
pendants s'écartaient du corps ci leur partie inf
elle disait. Je soulevai plusieurs fois, et successivement les deux
bras
, jusqu'à l'angle droit; ils redescendaient doucem
oici ce que nous observons durant cette période : )) 1 b. 10 m. Les
bras
sont saisis d'un trendjlement marqué, analogue à
ernière station et se trouve dans la même position qu'au début. Los
bras
tombent deux fois de suite et reprennent leur pos
coup, la malade se rejette en arrière, se couche sur le dos, étend le
bras
de chaque côté et demeure immobile. C'est le mome
n temps la malade fait un effort pour se lever ; alors elle remue les
bras
et entr'ouvre les yeux. Le regard est terne, voil
uisable. Elle accompagne de balancements de tete et de mouvements des
bras
son chant, à peine interrompu de temps en temps p
errière!... Ils me mordent!... Maman! » Elle rejette brusque-ment les
bras
, découvrant ainsi les fesses, a Chameau! Pignouf!
nues? » Nouvelle attaque; puis le délire reparaît, L..., croise les
bras
, semble ré-fléchir; puis elle les décroise, sa ph
st-il permis?... » Elle se cache la figure avec les mains, croise les
bras
, menace de la tête : « il m'en fait faire du mauv
nts m'en ont dit... Tu qualifies les vices d'un voyou. » Repos; les
bras
sont croisés. 1. Gl... est ici désignée parla p
pières palpitent, la malade devient immobile, le regard est fixe; les
bras
se croisent et sans avoir eu ni période épileptoï
ui séparaient les crises. Le malade qui nous voyait lui traverser les
bras
avec des épingles, était fort surpris, car il ne
fréquentes at-taques : par instants le malade s'agitait, lançait les
bras
et les jambes au hasard, ou bien se levait sur so
au hasard, ou bien se levait sur son lit et s'élançait en avant, les
bras
ouverts, vers un but imaginaire. Il fallut l'atta
l s'arrêtait, tendait la tête, écoutait et l^altait la mesure avec le
bras
. Il entendait certainement sa chanteuse. Nous n
ir d'entrer en religion. Il y a deux ans, mademoiselle X.... reçut au
bras
droit une blessure fort grave qui donna lieu à un
ce, elle roulait ses yeux, faisait des grimaces et exécutait avec ses
bras
toutes sortes de mouvements bizarres. Le 21 janvi
a situation droite et, si l'on insiste, la tourne inversement. Sur un
bras
l'excitation des fléchisseurs amène la contractur
lques-unes des expériences qui ont été le plus souvent répétées. Au
BRAS
. — Excitation des muscles. — L'avant-bras est trè
osons notre malade affectée de contracture permanente artificielle du
bras
droit; si Ton fait agir l'aimant sur le bras gauc
rmanente artificielle du bras droit; si Ton fait agir l'aimant sur le
bras
gauche, en plaçant ses pôles actifs à peu de dist
gauche, en plaçant ses pôles actifs à peu de distance de la peau, le
bras
gauche, au bout de peu d'instants, se contracture
auche, au bout de peu d'instants, se contracture en même temps que le
bras
droit retrouve sa sou-plesse normale. Ce procédé
nant un point d'appui sur le mur près duquel elle se trouve; ses deux
bras
, te-nant encore les deux parties de l'instrument,
bout de Fig. 97. quelques instants, on lui ferme l'œil droit, le
bras
droit retombe et la main laisse échapper le percu
main laisse échapper le percuteur; on ferme ensuite l'œil gauche, le
bras
gauche retombe, et la main laisse échapper le gon
iser, elle s'assombrit au contraire, si RICHER. 25 l'on étend les
bras
, les poings fermés, dans un geste plus ou moins d
membres droits de la malade. Par exemple si l'expérimentateur lève le
bras
droit, la malade lèvera le bras gauche, de même p
exemple si l'expérimentateur lève le bras droit, la malade lèvera le
bras
gauche, de même pour la jambe et si l'expérimenta
er ainsi à la malade les mouvements les plus variés non seulement des
bras
et des jambes, mais de la face et de tout le tron
e la malade dans l'attitude du dé-but de l'attaque, c'est-à-dire, les
bras
rapprochés du tronc, les poignets fléchis, le poi
on vient à fermer un de ses yeux, la main correspondante s'arrête, le
bras
re-tombe inerte, les muscles sont en état d'hyper
gt une de ses paupières supérieures et en main-tenant l'œil fermé, le
bras
correspondant s'arrête (il est dans la résolution
. Elle la saisit de la main gauche et exécute autour de la main et du
bras
droit un bandage assez correct. Elle a eu soin de
éfaire son ouvrage, elle déroule la bande et dégage successivement le
bras
, puis la main. Puis elle saisit la bande par l'ex
Si pendant que, de la main gauche, elle tourne la bande autour de son
bras
droit, on vient à fermer son œil gauche, le bras
bande autour de son bras droit, on vient à fermer son œil gauche, le
bras
gauche est immobilisé et garde la bande dans la m
le bras gauche est immobilisé et garde la bande dans la main, mais le
bras
droit persiste à se mouvoir et par des mouvements
bande autour de lui. Si c'est l'œil droit qui est maintenu fermé, le
bras
droit, rendu complètement immobile, reste collé a
immobile, reste collé au tronc et entrave par son inertie l'action du
bras
gauche qui continue son œuvre. On place entre l
l'état cataleptique a cessé, car si l'on cherche à soulever un de ses
bras
qui soutiennent le livre, elle résiste, ou si l'o
se mêle en quelque sorte à leurs jeux, les prend tour à tour dans ses
bras
et les embrasse ; elle les décrit avec des cheveu
u'elle a le vertige, pour qu'aussitôt elle se couvre les yeux avec le
bras
et se laisse tomber à la renverse. Nous la recevo
le bras et se laisse tomber à la renverse. Nous la recevons dans nos
bras
; elle est redevenue cataleptique. Nous essayon
s déjà vu que, pendant cet état cataleptique, il suffit de placer les
bras
de la malade dans l'attitude du début de l'attaqu
endant l'état léthargique, n'est plus possible. Lorsqu'on soulève les
bras
, ils re-tombent inertes et les paupières à peine
rêter immobiles comme une statue, raides et privées de sentiment, les
bras
levés ou étendus, dans des poses expressives. I
tion oîi ils étaient avant qu'ils fussent frappés de la foudre; leurs
bras
restaient dans la même situation qu'on leur donna
er le degré de sa contraction à l'effort qu'il doit vaincre. Ainsi le
bras
étendu perpendiculairement au corps gar-dera la m
tisme. « Si, dit-il, pendant la période de catalepsie, je place les
bras
de mademoiselle X..., dans la position de la priè
e croit dans une cérémonie religieuse ; la tête penchée en avant, les
bras
fléchis, elle sent son esprit envahi par toute un
ces actions vient innnédiatement et avec force; bien mieux, les deux
bras
étant placés dans la position de porter deux seau
xpressément signalée, a été entrevue dans le sommeil hypnotique : les
bras
étant dans la résolution, on prie la malade de se
îmes de violents efforts de contraction des muscles de l'épaule et du
bras
, tout en lui pressant très légère-ment les mains,
nt la dévorer, de grosses écrevisses qui courent sur son lit, sur ses
bras
, sur sa poitrine; elle se réveille en sursaut, co
verse en arrière, se conges-tionne; les traits sont contractures. Les
bras
s'élèvent et se fléchissent, les jambes sont raid
qu'elle a dans la bouche. Elle sent les piqûres qu'on lui a faites au
bras
droit et à la tempe droite, mais nullement celles
, solliciter son attention en lui prenant la main, en lui secouant le
bras
, en la pinçant, en la piquant même fortement, rie
in. Perte de connaissance. —Anesthésie. On peut lui transpercer les
bras
sans provoquer un mouvement. La contracture des m
pouvait la contenir; elle levait les jambes, étendait brusquement les
bras
, cherchait à s'arracher les cheveux et frappait d
rd, je croyais à un état cataleptique; mais si l'on prend un des deux
bras
étendus le long du corps et si, par un effort sou
is se coucher tout doucement sur son oreiller, s'étendre, ramener les
bras
le long du corps et se raidir : elle était dans s
it lui être douloureuse; j'insistai, elle fit quelques mouvements des
bras
qu'elle ramena au-dessus de sa tête et s'éveilla
symptômes suivants : Insomnie, éblouissements, fourmillements dans
bras
et jambes. Sentiment d'étouffement et de strangul
les muscles ne cédaient qu'en résistant à une force su-périeure. Lps
bras
seuls sont susceptibles de ces mouvements catalep
e d'un clignotement con-tinuel. Elle avait les mâchoires collées; ses
bras
et ses jambes restaient dans 1. Bourdin. Traité
'épaule gauche, en même temps que celle-ci se relève fortement, et le
bras
du même côté se rapproche du corps ; un peu plus
plaçant dans une position très pénible, les muscles de l'épaule et du
bras
, par une suite de contractions tétaniques telleme
violentes qu'on les voyait se dessiner sous la peau, maintenaient le
bras
dans la position que je lui avais donnée. Cette s
ouloureuse, que je dus au bout de quelques secondes faire retomber le
bras
sur le lit, » La malade n'eut que ce seul accès
ne affirmatif. « Où souffrez-vous? » — Elle abaisse péniblement son
bras
droit en le dirigeant vers le ventre. « Remuez le
z les membres? » — Elle fait faire quelques mouvements pénibles à son
bras
et à sa jambe droite. Ces deux membres gardent ce
en l'état cataleptique. Nous la laissons quelques instants les deux
bras
et les deux jambes levés perpendiculairement au l
qui rappelle le pleurer à chaudes larmes; congestion de la face; les
bras
s'élèvent et se contournent en s'abaissant; les j
ème période. — Puis Math... demeure immobile, le visage souriant, les
bras
diversement placés, assise sur son lit ou couchée
é musculaire existe. — On contracture par la pression les muscles des
bras
. A la face on contracture les masséters. Les autr
n. Les doigts, les phalanges des doigts, le poignet, l'avant-bras, le
bras
, les yeux, la tête, tout restait immobile dans la
les yeux tournés de tous les côtés qu'on avisait de les tour-ner, les
bras
fléchis et suspendus, sourire également avant de
roide et presque sans pouls. D'une minute à l'autre elle étendait ses
bras
en forme de croix, et s'écriait en langue vulgair
-rant deux minutes , après quoi elle recommençait le même manège. Ses
bras
étaient raides lorsqu'elle les étendait; mais les
respiration régulière, le visage sans expression, les yeux fermés; le
bras
droit, qu'on avait pris pour tâter le pouls, rest
n la pinçait, on lui fourrait des épin-gles et des aiguilles dans les
bras
et les jambes, sans qu'elle donnât aucun signe de
es les parties de son corps lorsqu'on la soulevait; en lui élevant un
bras
, il paraissait léger comme une plume, et il demeu
s eu haut et brillants, les paupières ouvertes et sans mouvement, les
bras
élevés et les mains jointes, comme si elle eût ét
menton, sa bouche s'ent'rouvrait et restait ouverte; on lui levait un
bras
, ensuite l'autre, ils ne retombaient point; on le
e sur ses jambes les mêmes épreuves, et pour donner aux jambes et aux
bras
en même temps des attitudes différentes à souteni
Le 12, à la visite du matin, la raideur des membres a disparu, et les
bras
gardent à peine une minute les positions où on le
la main et l'avant-bras, ceux-ci retom-baient inertes, tandis que le
bras
restait dans l'attitude où nous l'avions placé. M
e indépendance du pied vis-à-vis de la jambe, de la main vis-à-vis du
bras
. Nous avons pu voir aussi que sans frictions, le
beaucoup mieux que pendant la veille, puisqu'il lui fallait alors un
bras
pour la soutenir. La démarche était assurée ; le
elle était assise sur soe lit, les yeux fixes, largement ouverts, les
bras
étendus, paraissant suivre toutes les péripéties
on état cataleptique en la mettant en équilibre sur les ischions, les
bras
levés en l'air, et les membres inférieurs soulevé
vue : son visage exprimait le plaisir, le bonheur; elle éten-dit les
bras
, se souleva lentement, s'assit sur son lit, avanç
as, se souleva lentement, s'assit sur son lit, avança le corps et les
bras
dans la direction de son regard, et resta quelque
nsi dans une véritable extase ; tout à coup elle ferma violemment les
bras
sur sa poi-trine, on eût dit qu'elle y pressait q
elque chose de terrifiant. D'un mouvement rapide, elle se dressa, les
bras
portés en arrière, la poitrine haletante, et elle
chez elle au suprême degré. Je m'approchai d'elle et la pris par les
bras
, et soudain, ses yeux se fermèrent, sa figure red
calme et reprit l'immobilité qu'elle avait dans le somnambulisme. Ses
bras
retombèrent le long de sa poitrine, et je la rame
'action d'un électro-aimant. Si, d'une seule main, on tient un de ses
bras
, la contraction est moitié moindre que si on le t
45 minutes. Pouls à 84. 9 h. 45 minutes. — La malade se croise les
bras
derrière le dos. Pouls à 96. 9 h. 55 minutes. —
croise les bras derrière le dos. Pouls à 96. 9 h. 55 minutes. — Les
bras
et les jambes sont secoués violemment, comme par
15 minutes. — Mousse aux lèvres. 12 h. 18 minutes. — Croisement des
bras
derrière le dos, la tête est for-tement appuyée p
inférieurs, en cadence avec la respiration. 12 h. 25 minutes. — Les
bras
sont retournés et placés derrière le dos, plainte
des mains à la gorge, râles étranglés, 13 h. 26 minutes 1/2. — Les
bras
se tordent et se détordent, violentes secousses d
: «Ma-man ! » maman ! y convulsions très fortes et très étendues des
bras
, du tronc et de la tête; spasme pharyngien ; pouc
dévie à droite, la face ne grimace pas. Il y a des secousses dans les
bras
à la fin de chaque expiration, qui est bruyante e
fois, elles sont précédées de crises épileptoïdes avec tétanisme des
bras
, gon-flement du cou, perte de conscience, après q
sivement en haut, puis en haut et en dedans; les yeux se ferment, les
bras
retombent inertes, et le sommeil s'établit habitu
stituer un doigt dans les quatre doigts que la tante ap-plique sur le
bras
de l'enfant; immédiatement la convulsion commence
chambre, mademoiselle X... veut se lever : la mère la reçoit dans ses
bras
. Immédiatement accès convulsif terrible de grande
utter quel-que peu; mais au bout de quinze secondes tout au plus, ses
bras
se sont raidis de chaque côté du tronc, le visage
érique en particulier, par Fernand Espanet, 1875, p. 33. » Les deux
bras
, pris par le poignet, sont relevés sans grands ef
conservent la position donnée. L'avant-bras gauche est fléchi sur le
bras
et le membre conserve la position coudée. En exéc
d'un enterrement; il tombe tout à coup, perd connaissance, agite les
bras
et les jambes ; la face devient grimaçante ; de l
simple contact et au pincement; il a un tremblement considérable des
bras
et des jambes, des lèvres et de la langue, surtou
éprouve des maux de tête, des étourdisse-ments, des douleurs dans les
bras
et les jambes, une faiblesse dans les membres inf
ts ; à cette époque, il avait parfois des secousses brusques dans les
bras
et dans les jambes. Le 29 juin, il se montre inqu
ndant je n'en étais ni effrayé ni même étonné. Je le prenais dans mes
bras
, et je l'euaportais dans la chambre voisine, en m
ut jamais une plus pure ivresse; il me souriait et tendait ses petits
bras
comme pour m'appeler à lui. Cependant cette douce
tre animé d'un mouvement analogue au membre inférieur gauche, mais le
bras
droit lui-même, avec un retard ap-préciable, est
é, la contracture du membre supérieur estbeaucoupplus fréquente, t Le
bras
est dans l'adduction, appliqué contre le thorax,
ué contre le thorax, l'avant-bras en supination et demi-fléchi sur le
bras
, la main fléchie sur le poignet, les doits fléchi
t. Ainsi des tractions un peu vives opérées sur un membre parésie, le
bras
par exemple, peuvent, dans certains cas, l'immobi
sa position; il en est de même, bien qu'à un degré moindre pour le
bras
du môme côté. L'achromatopsie partielle existe po
tracture provoquée par l'aimant s'étendait à tout le côté gauche ; le
bras
gauche, le cou du même côté pouvaient être contra
, de voir, par exemple, une jeune femme, dont a été piqué ou pincé le
bras
, se plaindre, peu après le petit accident, d'une
sera probablement compliquée d'une action convulsive des muscles du
bras
ou encore d'une contraction continue des muscles
ction continue des muscles fléchisseurs ou de la partie antérieure du
bras
, de telle sorte que l'avant-bras sera tenu courbé
onstate un peu de roideur musculaire. En même temps la contracture du
bras
droit paraît moins intense. Peu à peu les mêmes p
ue du côté opposé. Si maintenant l'on vient à appliquer l'aimant au
bras
droit, le même phénomène que l'on a désigné, par
se reproduit exactement de la même façon et la contracture revient au
bras
droit en même temps qu'elle quitte le bras gauche
la contracture revient au bras droit en même temps qu'elle quitte le
bras
gauche. Et ainsi de suite, l'expérience peut être
n arrière et vont toucher le lit et l'oreiller; en même temps : 1° le
bras
se colle au tronc ; l'avant-bras,qui était allong
le front arrive à quelques centimètres des ge-noux. Simultanément le
bras
et la jambe, du côté droit, s'allon-gent; le bras
x. Simultanément le bras et la jambe, du côté droit, s'allon-gent; le
bras
et la jambe du côté gauche demeurent tranquilles,
bilation de l'intelligence et quelques mouvements convulsifs dans les
bras
. Depuis la plus haute antiquité et chez tous le
et la guérison de la sœur P.. atteinte de contrac-ture hystérique du
bras
gauche, par des applications répétées d'aimant, f
e de l'aimant (voy. p. 566) et les applications étaient faites sur le
bras
sain \ M. Debove, par \es applications prolongé
ux et d'autres plantes aquatiques, oîi ils plongeaient la tête et les
bras
avec une grande volupté. » {Ibid. loc. cit.) Là
nt quand elle voulait goûter du poisson ou du vin, lui renversant les
bras
et les jambes et l'haussant en haut. » Les susd
de la table et lui baillait horrible-ment la question, renversant les
bras
et les jambes, faisant cliquer les os, et rendant
uper lui donnèrent la même torture durant une heure, lui tournant les
bras
et les jambes et puis tout le corps, faisant cliq
lón des Trônes au milieu du front; le deuxième Nephthah des Trônes au
bras
droit; le troisième est un diable nommé sans fin,
ence il dit contremisce toto corpore et puis après, la concussion des
bras
etdes mains succédant, il dit co?ifrc»iîsce capit
esse a eu ladite supérieure plu-sieurs grandes convulsions, avait les
bras
tournés et les mains aussi, et les doigts demi-fe
uplex. Avons vu que ladite sœur laye ayant été piquée fortuitement au
bras
durant ses grandes convulsions, elle aurad dit :
r quelcjues-uns qui étaient les plus près de sa personne, a élevé son
bras
vers la poutre ou soUve et ne touchait, ainsi qu'
sorties de sa bouche, comme si un autre les eût proférées : » que son
bras
ayant été touché par un médecin et lui chirurgien
e, qui tenait le saint sacrement en main, et qu'ayant le corps et les
bras
en forme de croix, il tourna premièrement la paum
, et témoigna une grande l'âge, de ce qu'il avait dit, se mordant aux
bras
, et contournant horriblement tous 1. Histoire d
les attaques d'Isaacarum, qui le renversa deux fois et lui remua les
bras
et les jambes avec des frémissements et des tremb
qu'ede était presque insensible, puisque le père lui prit la peau du
bras
et la perça d^outre en outre avec une épingle, sa
à vous pour vous délivrer de votre affliction, etc.. »11 détacha ses
bras
de la croix et s'approcha d'elle pour l'em-brasse
r le livre qu'elle tenait assez loin d'elle, cans lui voir remuer les
bras
, ce qui arrivait sou-vent quatre ou cinq fois pen
avec mépris, et témoigna y avoir une grande aversion, car passant les
bras
au travers de la grille pour la déchirer, ce démo
sédée du démon Dagon, avec des gestes superbes, une teste éventé, les
bras
ouverts, et une démarche présomptueuse, me disant
arcade sur le derrière de la tête et sur l'extrémité des talons, les
bras
tendus en l'air et les extrémités des doigts, des
e les talons, et les faisant porter sur la face et sur la bouche, les
bras
raidement étendus, tellement que les reins s'arro
de quatre pouces, et tout le reste du corps était en l'air, les deux
bras
étendus et courbés en arrière de bas en haut... l
ux doigts proche de terre, sans que la tête y touchât aucunement, les
bras
raidement étendus de toute leur force, les épaule
fois de suite devant et derrière, la fille demeurant à genoux et les
bras
croisés sur l'estomac, quelquefois, et dans le mê
en cet état, que toutes ou presque toutes demeu-rant à genoux et les
bras
croisés sur l'estomac, se sont courbées en arrièr
vait deux diables en son corps tomba toute roide sur le plancher, les
bras
et les pieds étendus, les extrémités des uns et d
le corps sans aucun mouvement et comme sans vie : on lui remuait les
bras
comme si c'etît été de la laine, et demeura ainsi
ange; ayant les yeux fermés sans aucun mouvement, on lui re-muait les
bras
et les jambes comme si c'eût été de la laine, et
e père de Marie, tournaient les yeux vers le ciel, puis tendaient les
bras
en haut ; avaient l'air de recevoir quelque chose
ements, de petits mouve-ments saccadés et d'aspect choréique dans les
bras
; peu â peu et dans un très court espace de temps
es crises « ne pouvait se tenir sur ses jambes, ni à peine remuer les
bras
; j'ai essayé (c'est le père qui parle) plusieurs
était vivement sentie aux jambes, tandis qu'elle ne l'était point aux
bras
, dans le dos. « La muqueuse nasale, les lèvres,
che... « dès lors il ne reste plus ni mouvement, ni sentiment dans le
bras
de ce côté (gauche) : dès lors, une insensibilité
long toute violette, elle parut souffrir les plus vives douleurs, ses
bras
se raidirent, et elle fit de violents efforts qui
es se raidirent d'une force épouvantable ; tout son corps et même son
bras
et sa jambe paralytiques s'agitèrent avec tant de
le. » « Lorsqu'elle fut ce jour là sur le tombeau, dit la mère, son
bras
et sa jambe gauches s'agitèrent avec plus de fo
t ne pouvaient arrêter la force des secousses qu'elle donnait avec ce
bras
et cette jambe. » Nous apprenons plus loin cet
vulsions qui lui causaient un tremblement et un raidissement dans les
bras
et dans les jambes.) Je fus retirée de dessus le
sez fortes. Pendant quelques intervalles la jambe gauctie et les deux
bras
ont frappé violemment et avec précipitation sur l
ois, la tète me branlait et tournait assez longtemps; quelquefois mes
bras
se raidissaient avec une extrême force. D'autres
it, je ne pus me relever; on fut obligé de me prendre à deux sous les
bras
, pour m'as-seoir sur une chaise où je perdis la c
'on m'ouvrait la tête, il me semblait quelquefois qu'on me tirait les
bras
à quatre clievaux...^ ». Dans les faits que nou
rtement, elle se met à faire inalgré elle des violents mouvements des
bras
, des jambes, de toutes les parties qui sont susce
teur du plancher. Apres quoi, elle fit des convulsions de tête et des
bras
; et ses mamelles, sortant de son corps tournaient
prenait la main de la Charpentier pour lui faire voir la force de son
bras
, dont l'agitation était si extraordinaire que cet
-môme le portrait vivant de la passion de Jésus-fdirisî. Il tient ses
bras
en croix d'une manière immobile, pendant tout le
i les secouent, qui les balancent; tantôt en se faisant tirailler les
bras
, les jambes, le sein, en se renversant la tête en
urs amis, d'oeillades ou de paroles obligeantes. Mais d'ailleurs, les
bras
des Berneurs agitant trop rudement le corps de la
visage. On lui passe plu-sieurs livres et une petite planche sous le
bras
pour le lui soutenir à différents en-droits et au
le poids de son corps ne portât pas sur les clous qui attachaient ses
bras
. On lui soutient la tête et le dos avec des livre
u'elle ne l'avait encore été et presque debout. J'ai déjà dit que les
bras
étaient détachés, les pieds poi'taient à plat sur
res, — les yeux fixes et hagards, les muscles du cou, du tronc et des
bras
innnobiles, — la respi-ration coupée de sanglots,
ou huit fois à la minute. » Les secousses étaient souvent limitées au
bras
, mais c parfois la tète violemment agitée se penc
fait voir. — S'il en est ainsi, venez, continua-t-il en étendant les
bras
vers les assistants, venez à nous, et nous vous m
ps des caresses mystiques. 11 faut le dire, plus d'une fois je vis le
bras
du prêtre passé autour du cou d'une jeune fille.
ures, qui ne devait pas avoir plus de quatorze ans, soutenue dans les
bras
de ses compagnes plus âgées; son visage était cou
sitoire, qui intéressait dans un cas les deux mains, dans un autre le
bras
droit, et dans un troisième tout un côté. Une jeu
énéral, un commencement d'incapacité à mouvoir à volonté la tête, les
bras
et les jambes, une humeur capricieuse, etc. Le vi
à peine son lit de la pointe des pieds, éclatante comme une rose, les
bras
étendus en croix ; et tous les assis-tants remarq
édite. Ainsi on la voit, à Noël, bercer avec une grande joie dans ses
bras
l'Enfant nouveau-né; le jour de l'Epiphanie, elle
nt nouveau-né que l'on baptisa dans sa chambre. Elle le prit dans ses
bras
et manifesta le plus vif intérêt à toute la cérém
étendue sur le sol, couchée sur la poitrine, la tête reposant sur le
bras
gauche; les yeux sont fermés; la bouche est entr'
diverses de l'âme. L'extase se termine par une scène effrayante : les
bras
tombent le long du corps, la tète s'incline sur l
u'd faut noter ici, c'est que pendant le prosternemeut, alors que les
bras
sont étendus transversalement et que les pieds so
'autre par un troisième ressort (D), ressort à coulisse dont les deux
bras
glissent réciproquement l'un sur l'autre, de faço
- tés pendant la vie n'ont été que ceux d'une hémiplégie banale, le
bras
et la jambe étant paralysés du côté opposé a la
la malade qui avait déjà ressenti quelques engourdissements dans le
bras
gauche est prise dans la journée de contracture
st prise dans la journée de contracture du côté gauche (la face, le
bras
et la jambe). Elle était raide « comme un morce
ions il celui du membre opposé. Les seuls mou- vements possibles du
bras
sont des mouvements de rotation en dedans et en
rotation en dedans et en dehors, et du côté de l'avant-bras sur le
bras
de très faibles mouvements de flexion et d'exte
emière cataracte : l'individu qui se trouve sur le même cliché, les
bras
croisés, a persisté, peu respectueux des lois d
, à se placer devant l'objectif; nous ne le regrettons pas, car ses
bras
musculeux ne font que mieux ressortir l'amyotro
é l'exactitude. Et ces crispations des poings, ces contractions des
bras
, ces mouvements brusques des jambes, que le maî
poussant une brouette chargée. La charge est ici supportée par les
bras
et elle ne se déplace qu'à la con- dition d'êtr
ca- ractères fort intéressants. Le corps se penche en avant, les
bras
s'a- gitent de diverses manières et la tête r
é en avant. Les QUELQUES variétés DE la marche ET DE la COURSE 81
bras
accentuent violemment leur balancement ; et ce ba
s peine de perdre en vitesse. En même temps que la jambe gauche, le
bras
gauche est poussé en avant et s'allonge comme p
vant et s'allonge comme pour donner un coup de poing, et de même le
bras
droit doit être projeté en avant avec le pied dro
pour être ramené ensuite en flexion au pas suivant. « Le rôle des
bras
est très important, à leur avis, et doit être étu
'ils ont trouvé utile de rempla- cer le balancement asymétrique des
bras
par un balancement symétrique, et c'est d'autan
100 A. LINDETREM tent le long du bord interne de l'avant-bras et du
bras
gauche jusqu'à la région pectorale et s'enchaîn
minence hypothénar; sur la surface intérieure de l'avant-bras et du
bras
gauche, d'où l'éruption s'étend sur la région p
sans tumeur proprement dite. Raideur de l'articulation du coude Le
bras
droit s'éloigne fort peu du tronc. De Iosetig-Jlo
pas et c'est du cartilage qui se montre (fourche cartilagineuse du
bras
gauche de notre malade, cartilage de l'aponévro
gauche de notre malade, cartilage de l'aponévrose superficielle du
bras
, obs. Florschuetz-Gerber- Mays) : « Ceci n'a ri
ct, là où les os longs affleu- rent la peau, à la partie interne du
bras
, à la face antérieure du tibia, à la partie sup
mble avoir une prédilection marquée pour les aponévroses du cou, du
bras
et de l'avant-bras. C'est encore au cou que Mays
l'aponévrose, sous le splénius droit; la fourche cartilagineuse du
bras
gauche de notre malade siégeait réellement dans
une lame arciforme dans l'aponévrose superfi- cielle, épaissie, du
bras
gauche. Les lésions des ligaments sont de même
la colonne vertébrale. Plus tard, arrive l'atteinte des muscles du
bras
et de l'avant-bras con- duisant le plus souvent
en avant par suite de l'ankylose des cuisses en flexion légère, les
bras
sont croisés sur la poitrine, de telle sorte que
(Swensson), à l'articulation droite de la mâchoire, à l'épaule et au
bras
droits (notre cas). Plusieurs observateurs on
lle a commencé à éprouver des éblouissements, des secousses dans le
bras
droit,des battements dans les paupières du même c
est de 35 à gauche. Tous les mouvements des doigts de la main et du
bras
sont libres. Les réflexes tendineux ne sont pas e
, on voit au bout de quelques minutes se produire un tremblement du
bras
. C'est ainsi que lorsqu'elle porte un objet un
ant la secousse qui consiste en un mouvement de flexion de l'avant-
bras
sur le bras qui se porte en abduction. Quelquefoi
sse qui consiste en un mouvement de flexion de l'avant- bras sur le
bras
qui se porte en abduction. Quelquefois même au re
ire, surtout le premier (Krause, Nicoladini, Munchmeyer, etc.). Les
bras
sont attirés vers le tronc et fixés dans cette po
ormations sont déterminées par les muscles envahis les premiers. Au
bras
, lorsque les masses osseuses sont aussi volumin
e processus ossifiant a débuté par le biceps (obs. llelferich où le
bras
gauche est dans la flexion et le droit dans l'e
grand dorsal gauche et obtient ainsi une certaine mobilité pour le
bras
, mais l'ampleur des mouvements ne tarde pas à se
1884, subitement l'articulation temporo-maxillaire, l'épaule et le
bras
droits, furent pris de gon- flement avec rougeu
e lever et varluer à ses occupations, mais il est resté impotent du
bras
droit et ankylose de la mâchoire. Le malade et so
dorsal, petit et grand ronds, en 1888; enfin en 1889, l'épaule, le
bras
, la région poplitée, le mollet, le cou-de- pied
er le lit pendant huit mois. Tant qu'il a joui de la liberté de son
bras
gauche, Albert Schwartz, en explorant souvent les
m- me costale supérieure et surtout diaphragmatique. (PI. XX.) Au
bras
droit le biceps et le brachial antérieur sont res
le continuer. ; . L'extension et la flexion complètes de l'avant-
bras
sur le bras sont impossibles. La pronation est
. ; . L'extension et la flexion complètes de l'avant- bras sur le
bras
sont impossibles. La pronation est parfaite, la
e à angle droit seulement. A l'union des trois quarts supérieurs du
bras
avec l'inférieur, se voit une fourche cartilagi
la peau, à cheval sur le biceps et le brachial antérieur. Les deux
bras
restent écartés du tronc, comme dans la luxation
s sortir, en raison de l'incertitude de sa marche, qu'en donnant le
bras
à une autre per- sonne, quand, en août 1895, il
i on lui dit de prendre un verre, il le saisit facilement, mais son
bras
présente une série de mouvements successifs, qu
s (Frankfort-sur-Main), sur l'Epaule (Louvre, Coll. Lacaze), sur le
Bras
(Munich). Il n'a d'ailleurs pas oublié les Arra
à l'aide d'un emplâtre étalé sur un carré d'étoffe. Un paysan, le
bras
droit et l'épaule droite mis à nu, est assis sur
le fond, un malade tenant un bâton de la main gauche et portant son
bras
droit en écharpe. Sur le mur, une étagère avec
r un fauteuil auquel elle se cramponne d'une main, levant son autre
bras
en l'air, le poing fermé. Le chirurgien, homme
taucorps il crevés rouges et coiffé d'un béret noir. Il a passé son
bras
gauche derrière le cou de la femme afin de refrén
de est tourné il droite ; il joint les mains au lieu de croiser les
bras
, il grimace horrible- ment au lieu de se mordre
du 1 /3 moyen de la cuisse, de la jambe, de l'épaule et de l'avant-
bras
la sensibilité douloureuse est plus basse. Le d
roite notablement plus développée que la gauche, surtout au niveau du
bras
et de la jambe. Autre observation très curieu
e ; celui-ci fixe complètement la tête. Exostoses multiples sur les
bras
indépendantes de l'ossification des ligaments t
l'ossification des ligaments tendineux de l'aisselle qui fixent les
bras
en adduction ; une autre exostose sur le bassin
ne grande distance du corps. Diminution graduelle des mouvements du
bras
droit jusqu'à sa complète fixation au corps. Peu
rand pectoral ossifié il sa partie supérieure, de la cla- vicule au
bras
. Les dépôts osseux forment une masse surélevée et
seuls les avant-bras continuèrent à se mouvoir librement. Enfin les
bras
et les cuisses devinrent absolument immobiles,
uvements sont très limi- tés ; l'épine dorsale est très raide et le
bras
droit ne peut être ni levé, ni remué ; le gauch
mètres environ, sont entraînées en dehors par l'o- moplate quand le
bras
est levé. A la base de l'omoplate on sent des cra
ticulation droite et très peu dans la gauche. L'extensiondes avant-
bras
est impossible, ils sont en demi-flexion, croisan
que longue, irrégulière, derrière le muscle. Les muscles de l'avant
bras
ne semblent pas affectés. Du côté gauche même é
ers supérieur et postérieur et à la partie inférieure et interne du
bras
. Ossification du bord antérieur des tra- pèzes.
he, il se tient penché en avant au niveau de la co- lonne lombaire.
Bras
un peu en abduction et légèrement fléchis aux cou
es pectoraux sont tendus comme une corde, atrophiés. Mouvements des
bras
très diminués, mais pas complètement abolis. L'hu
ion des ten- dons des grands pectoraux et grands dorsaux fixant les
bras
au tronc. Deltoïde droit contient des noyaux, g
sur le front, légère dépression du frontal à son niveau. OEdème du
bras
gauche à partir du milieu. Idem à la jambe et à l
auches, mais moins. Absence de mouvements de la mâchoire, tête fixée.
Bras
droit lléchi, ankylose de l'épaule, peu de mobi
ule, peu de mobilité au coude, assez de liberté au poignet. Idem au
bras
gauche, sauf une raideur plus grande dans l'artic
culatious avec ankylose graduelle. A 10 ans, les articulations des
bras
et des hanches étaient complètement ankylosées,
t tête et tronc penchés en avant et : c droite, immobiles. Les deux
bras
sont très rapprochés et fixés au tronc; main droi
dans le stade moyen de l'ossification. Peu d'ossifications dans les
bras
. Le biceps se réunit avec le grand pectoral oss
rand pectoral ossifié et l'ossification du deltoïde. Immobilité des
bras
et des avant-bras, le gauche fléchit jusqu'à 45
ilité de la colonne vertébrale et du cou, très grande adduction des
bras
, avant-bras gauche fixé à angle droit, l'avant-br
; en bas, elle envoie une bandelette qui court la partie interne du
bras
pour se terminer librement près de l'insertion du
Sur le chef externe du triceps un noyau osseux. v1Sur l'aponévrose du
bras
une lame osseuse au-dessus de l'olécrane ;.elle
poule, des indurations se sont montrées sur les épaules et sur les
bras
. De temps en temps apparition de taches framboi-
ration. 300 A. WEILL ET J. NISSIM Huth trouve à 2 ans et demi les
bras
presque appuyés contre le tronc, les avant-bras
; à gauche quelques noyaux durs, isolés. Ankylose des épaules, les
bras
sont presque serrés con- tre le tronc. Avant-br
à marcher ; la démarche avait quelque chose de maladroit, mais les
bras
et les jambes étaient entièrement libres. Ultérie
mbres supérieurs et inférieurs. La disparition des mouvements des
bras
coïncidait avec le développement de nombreux pe
ons des pectoraux sont peu réunies aux côtes, elles s'attachent aux
bras
. Les insertions des grands pectoraux et grands do
e gauches des aisselles sont constituées par des travées osseuses. Le
bras
gauche est fixé, une légère adduction et une lé
lferich). 304 1. WEILL ET 1. NISSIM congénitale, sont normaux. Le
bras
droit reste parallèle a l'axe du corps, il peut
es de la paroi antérieure de l'abdomen ont disparu complètement. Le
bras
droit qui, en 1879, était presque entièrement n
éveloppé une raideur et une impotence des muscles de l'épaule et du
bras
; depuis, l'articulation de l'épaule n'a pas reco
culation de l'épaule n'a pas recouvré tous ses usages. Plus tard le
bras
gauche se prit également. Trois ans auparavant, à
inférieur du grand pectoral est très fibreux et dur. L'abduction du
bras
gauche peut se faire jusqu'à 35°, la rotation e
l'é- tendue du muscle grand dorsal ; cette lame se recourbe sur le
bras
droit et se termine sur une bandelette qui suit
. L'ankylose de l'articulation sca- pulo-humérale est complète ; le
bras
se remue en masse avec l'omoplate. Avant-bras e
brale et du dos ainsi qu'une dimi- nution dans la motilité des deux
bras
, de sorte que leur abduction était très diminué
et un peu à droite ; la partie supérieure du corps est voûtée ; les
bras
s'éloignent très peu du thorax. Cicatrice sur le
des bandelettes osseuses, qui, parties de la deuxième côte, vont au
bras
; elles croisent la direction des fibres musculair
; elle semble s'être réunie avec celle qui va du grand pectoral au
bras
. A la hauteur de la petite tubérosité se voit une
té absolue des omoplates. Ossification des sus et sous-épineux. Les
bras
, fléchis à 130°, 140°, sont fixés dans une légè
s bras, fléchis à 130°, 140°, sont fixés dans une légère abduction.
Bras
gauche attiré un peu en arrière et dans une add
droit. Différence d'un centimètre dans la cir- conférence des deux
bras
. Des stalactites osseuses, parties de l'humérus,
Les espaces intercostaux, surtout les 5e, 6° et 7e, sont durs. Les
bras
sont serrés contre le tronc, atrophiés. Atrophie
ant-bras. Ankylose des coudes il angle aigu. Sur le troue, là où le
bras
appuie, on voit une exos- tose de 2 centimètres
rré crural. En 1882, le malade se plaint de douleurs à la nuque, au
bras
et à l'avant- bras ; en examinant ces régions,
, le malade se plaint de douleurs à la nuque, au bras et à l'avant-
bras
; en examinant ces régions, on y trouve des gonfl
Petit à petit des tumeurs semblables se sont montrées au dos et au
bras
droit sans retentissement sur l'état général ; à
droit sans retentissement sur l'état général ; à 7 ans, atteinte du
bras
gauche. A 12, le malade eut des attaques épilepti
s saillies comme des noisettes dans les muscles sacro-lombaires. Le
bras
droit est fléchi à angle droit ; le coude est élo
t trois ossifi - cations comme des pois. Dans le tiers supérieur du
bras
existe une masse de consistance cartilagineuse
onne la sen- sation en avant d'une corde fibreuse. Circonférence du
bras
à l'origine du deltoide 18 cm. 5, au milieu 17
ilieu 17 centimètres ; l'avant-bras, au milieu, 18 cen- timètres.
Bras
gauche. - Coude éloigné du tronc de 10 centimètre
ouvements de la main et des doigts normaux. Atrophie des muscles du
bras
et de la main.Dans le brachial antérieur une mass
survinrent des douleurs dans les hanches. Les mouvements du cou, du
bras
droit, do la cuisse gauche surtout étaient péni
le cou et la cuisse gauche se sou- daient, les mouvements des deux
bras
et de la cuisse droite devenaient un peu limité
rticulations des épaules sont assez étendus, Duf... peut porter ses
bras
dans toutes les directions, mettre les mains su
s directions, mettre les mains sur sa tête, etc. Mais tandis que le
bras
gauche peut être élevé UN CAS DE SPONDYLOSE RII
UN CAS DE SPONDYLOSE RIIIZO\IÉLIQUE 321 presque verticalement, le
bras
droit ne peut s'élever au-dessus d'un angle de
au-dessus d'un angle de 40° avec l'horizontale (PI. XXXVIII, 4). Le
bras
droit peut être porté directement en avant, mai
i ce mouvement est très accentué « ça tire un peu dit le malade. Le
bras
droit est amené plus facilement en arrière. Les
bras droit est amené plus facilement en arrière. Les mouvements du
bras
gauche ne sont que très peu limités. Les mouve-
bras gauche ne sont que très peu limités. Les mouve- ments des deux
bras
s'accompagnent de craquements dans les épaules. L
çoit en posant la main entre les deux omoplates. Les mouvements des
bras
ne causent que peu ou pas de douleur dans les art
, sont plus mobiles que norma- lement, et suivent les mouvements du
bras
. Les sus-épineux et sous-épineux sont normaux.
dans les membres supérieurs. A gauche le malade porte facilement à
bras
tendu une chaise tenue horizontalement par le b
us mo- 328 E. FEINDEL ET P. FROUSSARD bile dans les mouvements du
bras
; en outre le deltoïde droit est plus petit que
e droite). Les mouvements d'élévation forcée, d'abduction forcée du
bras
droit, sont peu douloureux ; il y a plutôt une
eu douloureux ; il y a plutôt une sensation de tiraillement ; pour le
bras
gauche, à peu près rien. Les mouvements de ce
et de la tête, de la cuisse gauche, la limitation des mouvements du
bras
droit et à un degré plus faible du bras gauche,
imitation des mouvements du bras droit et à un degré plus faible du
bras
gauche, et par la limitation des mouvements du ma
'articulation n'est plus douloureuse. - De plus les mouvements du
bras
droit sont moins limités et bien moins dou- lou
les mouvements des'articulations des genoux et des pieds. Pour les
bras
les mouvements d'élévation semblent s'être un peu
che, semblent bien en relation avec la limitation des mouvements du
bras
et de la jambe. Mais en ce qui con- cerne le gr
e est croisée. Tout le côté gauche est atteint, face et membres. Le
bras
gauche est plus long que le droit de 2 cent. 1/
EI,1, Hypertrophie congénitale de la moitié droite de la face et du
bras
correspondant. Société de méd. de Berlin, 18 déce
'oreille droite avait un centimètre de plus que l'autre. De même le
bras
droit était plus long que le gauche. Il exis- t
sé (Finlayson). Dans le cas de Lewin l'hypertrophie est croisée, le
bras
correspondant au côté gauche hypertrophié est p
e)'h'op/t ! eco ? ! e'ttt<c/e de la moitié droite de la face et du
bras
C01'1'es- pondant. Soc. de Aléd. de Berlin, 18
e 4 pouces, dans la paroi postérieure de l'aisselle. L'abduction du
bras
peut atteindre 60° ; l'adduction est complète. La
s peut atteindre 60° ; l'adduction est complète. La projec- tion du
bras
en avant est très limitée ; celle en arrière l'es
exité droite. Le 20 mai éruption de la peau avec T. 38° à 38e. Le
bras
gauche ne peut être éloigné du tronc au delà de 4
6 pl. Garçon. Les muscles du dos et de l'épaule sont atteints ; le
bras
est atteint très violemment, les muscles de la
? 4 ans, amené par sa mère pour le faire opérer afin de libérer les
bras
qui étaient presque fixés aux côtés. A l'examen
de syphilis chez le père. 2 février 1891. - Tentative de libérer le
bras
en réséquant le grand rond depuis l'humérus jus
liose de la colonne vertébrale. A 17 ans, il devient tisserand ; le
bras
droit devient raide, puis le bras gauche et tout
17 ans, il devient tisserand ; le bras droit devient raide, puis le
bras
gauche et tout le tronc de même que les membres
rés au dos, dans les régions scapulaires, et que les mouvements des
bras
étaient un peu * limités. Les tumeurs du dos on
n normaux. Mouvements limités au maxillaire infé- rieur et aux deux
bras
; l'écartement des dents arrive à 5 millimètres (
deux bras ; l'écartement des dents arrive à 5 millimètres (1). Les
bras
n'atteignent pas l'horizontale. Ankylose du coude
ant ne peut porter la cuiller à la bouche ni lever suffisamment les
bras
. A la suite d'une chute qui porte on ne sait su
à l'angle inférieur de l'omoplate gauche limitant les mouvements du
bras
. La tête est inclinée alors du côté gauche. A
neuse qui va de ce point à l'humérus est égale- ment ossifiée. Le
bras
droit n'atteint pas l'horizontale, les doigts arr
gauche, mais moins accusées ; mêmes lésions sur le grand dorsal. Le
bras
droit s'éloigne du tronc de 4raz, les doigts atte
e 4raz, les doigts atteignent la bouche, mais non la tête. Les deux
bras
sont petits et minces. Sur la 8° côte droite, a
roite ; à un an plusieurs nodules sur les côtes. 2P année : fixité du
bras
et augmentation de la masse de l'omoplate, rigi
de la crête iliaque gauche. 5° année : difficulté des mouvements du
bras
gauche et de plier le dos. 6e année : nuque trè
les muscles latéraux de la nuque sont exempts d'ossifications. Le
bras
droit s'éloigne du tronc jusqu'à 45°, mais à cett
ement masse ovale d'un pouce de long sur 1/2 de large, mobile. Le
bras
gauche peut être levé jusqu'à 45°, l'adduction co
r du grand dorsal ; elle ne s'insérait sur aucun os. La mobilité du
bras
augmente un peu, mais ce bénéfice se perd bient
ssu osseux normal. 24 décembre. Reproduction des tumeurs opérées.
Bras
droit. Abduction et flexion de 15°, extension jus
flexion de 15°, extension jusqu'à la ligne axil- laire médiane. '
Bras
gauche. Abduction mis, flexion 15° et extension 4
ints sont : le grand dorsal, les scalènes, la masse sacro-lombaire.
Bras
droit fixé par le tendon ossifié du grand dorsal
le Lépreux figuré par Cornelisz, rampe à genoux, s'appuyant de son
bras
droit sur le sol, et tenant une sébille dans la m
sous-épineuse du côté droit. Cette douleur n'irradiait point dans le
bras
correspondant. En même temps notre homme s'est
même temps notre homme s'est aperçu, qu'il ne pouvait éle- ver son
bras
droit au delà de la ligne horizontale. Il a pourt
RAND DENTELÉ 421 1 A) Station ASSISE.- 1° Le tronc étant droit, les
bras
en avant, les mains sur les genoux. Il y a une
peu près identique, mais moins accusée. * B) Station debout. 1° Les
bras
tombant naturellement le long du tronc. Déforma
appréciable du bord inférieur du rhomboïde (PI. XLIII, C). 2° Les
bras
élevés directement en avant jusqu'à la ligne hori
atrophie des faisceaux acromiaux du trapèze. - (Dans l'élévation du
bras
en deliors, cette gouttière disparaît, comblée
fs du deltoide mais encore des sus et sous-épineux, éléva- teurs du
bras
dans ce cas. 3° Elévation en dehors du bras, ju
neux, éléva- teurs du bras dans ce cas. 3° Elévation en dehors du
bras
, jusqu' l'horizontale. , La déformation scapulo
ssant que, à force de faire répéter les mouve- ments d'élévation du
bras
soit en dehors soit en avant, la situation de l'o
ant quelques instants plus élevé et plus oblique. 4° Elévation du
bras
au delà de la ligne horizontale. - L'élévation vo
bras au delà de la ligne horizontale. - L'élévation volon- taire du
bras
, soit en avant, soit en dehors, atteint la ligne
n reportant en avant et en dehors son angle inférieur, l'élévation du
bras
jusqu'à la verticale est par contre très facile
sous-épineuses, se produisant surtout dans l'élévation maintenue du
bras
; la fatigue, dans cette attitude, survient très
t pénibles et l'épuisement si grand que le malade laisse tomber son
bras
. Il nous faut examiner maintenant les déformati
Malade vu de dos (Pl. XLVIII, D. E. F. G.) a) Station debout les
bras
tombant naturellement. Il n'y a rien à noter, e
thorax proprement dit ne présente pas d'a- symétrie manifeste. b)
Bras
élevés en avant jusqu'à l'horizontale. Sans parle
nsi que le sterno-mastoïdien qui saille for- tement en dehors. c)
Bras
levés en dehors jusqu'à l'horizontale. Le rétréci
2° Malade vu de face (PI. XVLIII, I. K. L). - «.; station debout, les
bras
tombant. Pas de déformation cervicale ou thorac
tombant. Pas de déformation cervicale ou thoracique' visible. - )
Bras
levés en avant jusqu'à l'horizontale. - Déformati
ant plus marquée que le malade fait plus d'efforts pour étendre son
bras
. Au niveau du cou, saillie très considérable du
scapulum pointer derrière la ligne qui va du cou à l'épaule. - y)
Bras
en élévation en dehors jusqu'à l'horizontale. L'é
l'attitude précédente. 3° Malade vu de côté (PI. XLIX, M.R.). - u)
Bras
pendant ; rien d'appré- ciable sauf une saillie
ciable sauf une saillie légère du bord spinal de l'omoplate. (3)
Bras
élevés en avant : scapulum alatll1n simulant une
écrite. Au cou, mêmes re- liefs musculaires que précédemment. -/)
Bras
en élévation en dehors. - La pseudo-gibbosité sca
laite (les « autres muscles qui meuvent l'épaule sur le tronc et le
bras
sur l'épaule. « Dans ce cas,les signes pathogno
e du grand dentelé « étaient aussi prononcés pendant l'élévation du
bras
que lorsque le trapèze « est en même temps lésé
faits où on a noté un trouble de l'attitude de l'épaule, lorsque le
bras
pend normalement le long du corps. Il est vrai de
déformations de l'épaule et du thorax ; ils varient suivant que le
bras
tombe le long du corps, ou suivant qu'il est en
l est en élévation. On peul les résumer ainsi : A. - Au repos, le
bras
tombant le long du corps. 10 Abaissement du moi
431, A. SOUQUES ET P. DUVAL B. - Pendant l'élévation volontaire du
bras
. 1° Impossibilité d'élever le bras au-dessus de
endant l'élévation volontaire du bras. 1° Impossibilité d'élever le
bras
au-dessus de la ligne horizontale. 2° Déformati
présente, en effet, sous les traits suivants : A. - Au repos, le
bras
tombant le long du corps. ,1- Elévation en mass
bord par rapport au rachis. B. - Pendant l'élévation volontaire du
bras
. 1° Possibilité (dans quelques cas) d'élever le
volontaire du bras. 1° Possibilité (dans quelques cas) d'élever le
bras
au-dessus de la ligne horizontale. 2° Déforma
ves conclusions. 1. - Déformation de l'épaule. A. - Au repos du
bras
. L'abaissement du moignon de l'épaule dépend de
at de la fosse sus-épineuse. - B. Pendant l'élévation volontaire du
bras
. Un premier fait qui frappe, pendant l'exécutio
dant l'exécution de ce mouvement, c'est l'impossibilité d'élever le
bras
au-dessus de la ligne horizontale. L'élévation
de la ligne horizontale. L'élévation volontaire ou physiologique du
bras
est déterminée, à l'état normal, par l'action c
qu'à 1'liori- zontale. En effet, dans la paralysie de ce muscle, le
bras
peut être élevé jusqu'à la ligne horizontale pa
onc aidé par le sus-épineux qui est du reste un muscle élévateur du
bras
, et même semble-t-il par le sous-épineux dont l
st moins bien établi. Mais l'action élévatrice s'arrête là, et le
bras
ne dépasse point la ligne horizontale, quelque
iquer, si on veut bien se rappe- ler le mécanisme de l'élévation du
bras
au-dessus de la ligne horizontale. Pour que le
l'élévation du bras au-dessus de la ligne horizontale. Pour que le
bras
dépasse l'horizontale, la condition nécessaire es
t : la rotation précédente se produit et l'élé- vation verticale du
bras
se fait dans des conditions a peu près normales.
, p. 939. PARALYSIE ASSOCIÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 430 ments du
bras
, si l'on en excepte toutefois l'élévation vertica
ralysé, la portion moyenne du trapèze va-t-elle suffire à élever le
bras
jus- qu'à la verticale ? C'est là une question
yenne de son trapèze. Il a donc double raison pour ne pas élever le
bras
au-dessus de la ligne ho- rizontale, le mouveme
ice, au scapulum, son mouvement de rotation : aussitôt il élève son
bras
jusqu'à la verticale avec une grande énergie. -
cond fait, qui frappe l'observateur, dans l'élévation volontaire du
bras
, est l'ensemble des déformations de l'omoplate qu
l'omoplate est élevée en masse, beaucoup plus élevée que lorsque le
bras
pend le long du corps. Cette élévation en masse e
os. Lorsque le grand dentelé est paralysé et que le sujet élève le
bras
jusqu'à la ligne horizontale, c'est le muscle del
n masse de l'omoplate. D'autre part, dans l'élévation volontaire du
bras
jusqu'à l'horizontale, on voit l'omoplate subir
du trapèze, puisque le trapèze n'intervient pas dans l'élévation du
bras
jusqu'à la ligne horizontale. La paralysie du gra
que, dans l'élévation 4M A. SOUQUES ET P. DU VAL physiologique du
bras
, le grand dentelé est, à l'état normal, synergiqu
termes, le grand dentelé, dans l'élévation volontaire et normale du
bras
, fixe le bord spinal du scapulum contre le thor
pine du scapulum tend normalement, clans l'élévation horizontale du
bras
, à écarter du tho- rax le bord spinal de l'omop
tude vicieuse de l'omoplate de se produire pen- dant l'élévation du
bras
(1) ». Cette attitude du scapulum alatum, dans la
liie du grand dentelé, l'omoplale éprouve, pendant l'éléva- tion du
bras
, un mouvement pathologique semblable à celui qui
rand dentelé permet au deltoïde, lors de l'élévation horizontale du
bras
, d'écarter du thorax le bord spinal du scapulum
re cas, l'obliquité du bord spinal du scapulum, dans l'élévation du
bras
. Dans ce mouvement d'élévation, la difformité e
rd spinal du scapulumpeu accusée. Au contraire, dans l'élévation du
bras
en dehors, cette gouttière est peu profonde et
lus profonde dans le premier cas. D'autre part, dans l'élévation du
bras
en dehors, le faisceau acromial du deltoïde agi
dos, de face ou de profil. Elle n'apparaît que dans l'élévation du
bras
. Elle est essentiellement caractérisée par une
stérieure du creux de l'aisselle n'existe plus, dans l'élévation du
bras
en dehors, par exemple, mouvement qui, comme nous
tré, rapproche plus l'omoplate de la ligne médiane que l'élévation du
bras
en avant. Dans l'élévation en avant, cette paro
re du thorax, élargissement plus marqué dans l'élévation directe du
bras
en avant que dans l'élévation en dehors ; 2°
grand dentelé. Ce muscle, en effet, dans l'élévation volontaire du
bras
, à l'état normal, se contracte synergiquement a
ou moins accusée. D'un autre côté, dans l'élévation horizontale du
bras
, du fait de l'omoplate ailée, l'insertion scapu
aractères de cette paralysie associée varient suivant l'altitude du
bras
. Si le bras est au repos, on constate des défor
ette paralysie associée varient suivant l'altitude du bras. Si le
bras
est au repos, on constate des déformations seipul
ane, e) l'écartement de ce même bord par rapport au thorax. Si le
bras
s'élève volontairement, les principaux troubles d
ASSOCIÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 445 a) l'impossibilité d'élever le
bras
au delà de la ligne horizontale, b) l'élévation
- tions de la paroi thoracique, qui surviennent dans l'élévation du
bras
et consistent essentiellement en une asymétrie
mensuration circonféren- tielle donne : ' A la partie moyenne du
bras
gauche 10 centimètres.* ' A la partie moyenne d
ie moyenne du bras gauche 10 centimètres.* ' A la partie moyenne du
bras
droit 20 centimètres. Il n'y a pas de raideur a
considérable de tous les réflexes tendineux du côté gauche, soit au
bras
, soit à la jambe. A la jambe on produit avec une
ait toule la moitié du corps, tel aussi lecasd'Audry (1) où tout un
bras
avait pris un aspect éléphantiasique, il est tout
ambes , 1 fléchissaient alternativement et se jetaient de côté, les
bras
, les épaules, la face, la langue étaient agités
rtout dans la gauche. Le moignon de l'épaule ne se sou- lève pas.Le
bras
s'élève tantôt en avant, tantôt en arrière,tantôt
ls sont agités de mouvements spasmodiques. Pen- dant l'élévation du
bras
, l'omoplate bascule, l'acromion est déprimé, tand
el toïde(-1 ) et celle qu'on observe dans l'élévation volontaire du
bras
dans le cas de paralysie du grand dentelé. La
e d'un léger tremblement particulièrement sensible à la jambe et au
bras
droits. Bientôt survenaient des mouvements très é
e en ce qui concerne l'appareil respiratoire. Un individu reçoit au
bras
un choc insignifiant, et le bras de rester paraly
espiratoire. Un individu reçoit au bras un choc insignifiant, et le
bras
de rester paralysé en plus ou moins de temps. I
es. Depuis 5 à 10 mois difficulté dans les mouvements du cou et des
bras
par suite de la formation de noyaux à leur nive
terne des omoplates, des plaques osseuses dans le grand dorsal. Les
bras
, le plus souvent fléchis, ne peuvent pas s'écar
vent pas s'écarter. Travées dans les tendons des grands pectoraux. Le
bras
droit est très peu mobile. Le biceps et ses ten
me à gau- che, mais moins prononcé. La consistance des miisclesodes
bras
est variable, plus on se rapproche du tendon, p
4 léger état fébrile, doule.urs aux deux épaules et aux muscles des
bras
. Gonflement dans les parties molles de l'épaule g
nt arsenié et KI. Malade amaigri, musculature peu développée. Les
bras
ne peuvent s'élever au-dessus de l'horizontale,
l'horizontale, omoplate gauche peu mobile, projection en arrière du
bras
gauche très limitée. Tumeur bosselée, grosse comm
la 6° vertèbre cervicale, sur le bord du trapèze. Les mus- cles des
bras
et des avant-bras sont particulièrement peu dével
eur sur laquelle les fibres musculaires se contractent en levant le
bras
, légèrement mobile sur l'os. Sur la moitié inféri
uscles. La flexion de la tête est possible, l'extension impossible.
Bras
fixés aux côtés ; on ne peut les éloigner, même a
t développées dans le fas- cia et les muscles, spécialement dans le
bras
et l'avant-bras droits et l'avant bras gauche a
uscles, spécialement dans le bras et l'avant-bras droits et l'avant
bras
gauche ainsi que le long des bords des aisselles
s'accompagnant, de formation de noyaux qui envahirent également le
bras
gauche. En même temps ou un peu plus tard, xi 3
atteinte de l'épaule droite avec les mêmes phénomènes et plus tard du
bras
droit. Dès lors il tombait très souvent et plus
as s'asseoir sur une chaise et montait l'escalier difficilement. Le
bras
et la jambe gauches n'étaient presque pas mobil
ment. Le bras et la jambe gauches n'étaient presque pas mobiles, le
bras
et la jambe droits n'arrivaient pas a 90° au geno
n partie atrophiés, on trouve des pointes osseuses dans le droit.
Bras
dans l'adduction. On voit des masses osseuses tou
a rotation dans l'articulation scapulo-humérale. La pro- jection du
bras
en avant et en arrière est minime. La tension du
oude. Flexion possible jusqu'à 130°. Doigts et pouces normaux. Le
bras
droit s'éloigne du thorax de 45° ; motilité dimin
Ossifications dans quelques fléchisseurs et extenseurs de l'avant-
bras
gauche. L'ossification du grand dorsal empêche
as gauche. L'ossification du grand dorsal empêche les mouvements du
bras
droit, les autres muscles du bras sont normaux.
dorsal empêche les mouvements du bras droit, les autres muscles du
bras
sont normaux. L'épiphyse de l'humérus est hypertr
hée vers la gauche, et deux noyaux se montrèrent : à la nuque et au
bras
droit, ils disparurent sans laisser de traces,
t formation consécutive de deux tumeurs il l'occiput à droite et au
bras
droit. Cette dernière disparut spontanément, l'au
e ; elles disparurent spontanément. Au printemps 1894, chute sur le
bras
droit, gonflement de ce dernier et consécutivem
r et consécutivement raideur plus grande. En novembre, chute sur le
bras
gauche, gonflement de ce dernier, fièvre, doule
douleurs, application d'un bandage plâtré et raideur consécutive du
bras
, plus grande qu'à droite. Pas de fracture. Depu
use est dure ; fosse sous-épineuse également dure. Mouvements des
bras
à l'épaule droite diminués : le bras s'éloigne du
également dure. Mouvements des bras à l'épaule droite diminués : le
bras
s'éloigne du tronc de 39° ; il ne peut pas être
rne libre, l'externe réunie à l'humérus ; adduction et abduction du
bras
très diminuées. Ossification de la paroi antéri
e l'aisselle gauche, s'étendant jusqu'au thorax et envoyant dans le
bras
une bande osseuse jusqu'au pli cubital, immo- b
peut être portée à 3-4 centimètres au-dessus du mamelon droit ; le
bras
ne peut être porté en arrière. Une petite tumeur
que toute la musculature de la nuque, de la poitrine, du dos et des
bras
est ossifiée on dégénérée. Les muscles des jamb
apparaissent et sont suivis de mouvements cloniques très-étendus des
bras
, des jambes et du tronc : c'est cette période qui
résentée toute nue. avec M. Charcot, la période des contorsions. Le
bras
droit s'élève dans l'extension et se place au-des
antôt enfin ce sont les trois premiers doigts qui sont allongés. — Le
bras
gauche est étendu le long du tronc ; les doigts s
let : La Sorcière, p. 80.) rieur gauche, après avoir | fléchit ; le
bras
se porte en exécuté quelques grands mouvements
qui est fermée, s'applique sur la colonne vertébrale. Quelquefois, le
bras
ainsi contracture un cri aigu et prolongé ; la bo
mouvements de déglutition. Bientôt, la tète se porte en arrière, les
bras
s'étendent, le tronc se raidit, les jambes devien
et, témoignant une grande rage de ce qu'il avait dit, se mordait aux
bras
et contournait horriblement tous les membres (lj.
ettes sont colorées, moyennement chaudes. Les jambes s'allongent, les
bras
s'écartent lentement du tronc et se mettent en cr
s XI et XII.) b) Période clonique. — Au bout de deux minutes, les
bras
et les jambes se détendent, la malade secoue la t
us de l'oreiller et la laisse retomber brusquement; elle projette les
bras
de tous côtés, soulève tantôt la poitrine, tantôt
tion que dans l'attaque précédente. Tout le corps devient rigide. Les
bras
se mettent doucement en croix, le gauche d'abord.
ères sont animées de battements rapides. Par un mouvement brusque, le
bras
gauche, puis le droit se placent perpendiculairem
e est entre-ouverte ; le cou est rigide, la tète un peu soulevée; les
bras
sont étendus le long du corps, rigides, les doigt
lle, s'effectue ainsi qu'il suit: Elle fait un mouvement brusque, les
bras
se mettent en croix et deviennent rigides ; les m
d'un coup (il heures 34), Léontine pousse un cri prolongé, étend les
bras
et tombe lentement en arrière. On arrive, en géné
niques et thérapeutiques sur fépilepsie et l'hystérie, p. 24. « Les
bras
sont rigides, étendus perpendiculairement au tron
érieurs, allongés et rapprochés, sont rigides. » A 11 heures 37, le
bras
droit se décontracture et retombe ; les paupières
Période cloni que.-Cris perçants, répétés, mouvements désordonnés des
bras
, des jambes; rotation rapide de la j tète; projec
mencement du moi de mai, Geneviève, dans son délire, s'est saignée au
bras
droit : le sang a coulé en jet. 18 octobre. — D
l'exciter davantage et de lui faire exécuter de grands mouvements des
bras
et des jambes, comme si elle voulait se défendre,
camisole. 14 novembre. — G. s'est pratiqué une nouvelle saignée au
bras
droit avec des ciseaux. Pour atteindre son but, e
générale, assise sur un hanc, toute nue, et tenant sa chemise sur son
bras
. Elle 's'est laissée ramener dans' son lit sans d
membre supérieur droit a été pris d'une contracture très-intense : le
bras
était collé contre le thorax, l'avant-bras demi-f
le bras était collé contre le thorax, l'avant-bras demi-fléchi sur le
bras
, le poignet fléchi sur l'a van t-bras, le pouce c
à gauche; le cou est violemment tendu; tout le corps est rigide; les
bras
et les jambes sont dans l'extension, les mains co
insensible. besqui, actuellement (11 h. 30), sont débarrassées. Le
bras
droit est dans l'extension, rigide dans toutes se
est appliqué sur la paume de la main et re-couvertpar les doigts. Le
bras
gauche a la même attitude et présente la même rig
rédominent à gauche. 11 heures 35. — Lebras droit devient libre. Le
bras
gauche demeure rigide, dans l'extension et la pro
e demeure rigide, dans l'extension et la pronation. Parfois, les deux
bras
sont secoués brusquement. Puis, la scène change :
ndes. Alors, G... soupire, la face rougit, les secousses cessent ; le
bras
droit qui avait été de nouveau contracture, se re
es. De 11 h. 20 à 11 h. 30, les secousses se montraient et dans les
bras
et dans les jambes qui étaient rigides et à demi-
roprement dites. Elle est énervée, a envie de crier, éprouve dans les
bras
et les jambes des sensations qu'elle compare à de
que les infirmières la conduisaient à son lit, en la tenant sous les
bras
, elle s'écrie : « Mais chassez-les !. Ils viennen
elle me faisait garder... Avec elle, je ne me suis jamais blessée aux
bras
... Quand je lui ai jeté un bol à la tète, elle ne
tre est toujours extrêmement ballonné. Tout le corps est rigide ; les
bras
sont placés le long du corps, retournés (en prona
avec grands mouvements du tronc, projection du bassin, agitation des
bras
et des jambes. Compression ovarienne : Détente
veille, elle a de temps en temps des secousses : tout d'un coup, les
bras
se soulèvent, sont secoués brusquement et devienn
he un peu fléchie; toutes les deux sont contrac-turées, immobiles. Le
bras
droit est soulevé, rigide; la main et les doigts
a main et les doigts sont souples. A gauche, la contracture occupe le
bras
, la main et les doigts qui sont fléchis, le pouce
ôt, la physionomie devient immobile ; la contracture diminue dans les
bras
; G... soupire, s'assied, regarde, dit: «Embrasse
rus équin.La jambe droite est allongée, la gauche un peu fléchie. Les
bras
, la jambe gauche, sont pris parfois de secousses
la physionomie est un peu souriante ; G... soupire profondément; les
bras
sont souples; les jambes sont toujours rigides. L
genre particulier, que nous connaissons peu. On dit qu'elle tient les
bras
et les jambes en l'air, croisés, tortillés et qu'
t, elle aussi, plus tard, des convulsions. A un moment, elle mord son
bras
droit avec une violence extrême. On ne parvient à
illes modérément dilatées. — Les membres supérieurs sont rigides : le
bras
gauche est étendu le long de la poitrine, l'avant
le long de la poitrine, l'avant-bras est fléchi à angle droit sur le
bras
et correspond à la ceinture, la main et les doigt
s et correspond à la ceinture, la main et les doigts sont fléchis. Le
bras
et l'avant-bras droits sont allongés et croisent
veux dénoués, couvrent en partie son visage; la tète est inclinée, le
bras
droit est étendu, horizontal; le gauche est contr
mble s'endormir. De temps en temps, on observe des secousses dans les
bras
. Elle demeure tranquille pendant une vingtaine de
le se lève, rit et va se mettre debout dans un coin de sa cellule,les
bras
croisés sur sa poitrine, les yeux fixes, dirigés
à laquelle succède une extase : les yeux sont largement ouverts, les
bras
sont en croix, les jambes allongées, rapprochées
itation est remplacée par une extase : G... est debout, immobile, les
bras
d'abord élevés, puis croisés sur la poitrine... E
durant une quinzaine de minutes. Ensuite, elle s'est agenouillée, les
bras
en l'air, et a gardé cette attitude près d'une de
nuit glaciale ; elle passera des heures toute nue, sa chemise sur le
bras
, assise sur un banc, etc., rappelant pour ainsi d
zée, capucin, exorciste habituel de cette fille, « prenait la peau du
bras
et la perçait d'outre en outre avec une épingle,
ès. Elles sont quelquefois générales, tout le corps est soulevé ; les
bras
sont secoués; d'autres fois, elles sont circonscr
, elles sont circonscrites à l'une des moitiés de la face, à l'un des
bras
(les doigts s'écartent), ou bien les secousses so
met debout sur son lit, n'appuyant qu'un seul pied, étendant l'un des
bras
comme si elle prêchait ou comme si elle menaçait
périeure des Ursulines de Loudun « s'était élevée jusque à porter son
bras
proche de la poutre du planch -r, sans qu'elle to
générale ¦ —Modifications des attaqua ; leur cause- — Contracture du
bras
droit. — Troubles de la vision. — Irrégularités d
x), de tendance à la syncope, de vertige et d'engourdissement dans le
bras
et la jambe gauches. 23 février. — Outre Y hype
cesser sur le champ. On constate que Yanesthesie a envahi, en plus du
bras
droit déjà analgésie, la moitié droite du tronc;
en haut et à gauche, pupilles dilatées ; rigidité générale. b) Les
bras
sont dans l'extension, les mains tordues et tléch
embres supérieurs se contournent simultanément ou successivement : le
bras
gauche, par exemple, (l) Voir page 53. remont
mouvement spontané ou provoqué est impossible. Membre supérieur: Le
bras
est accolé au tronc ; l'avant-bras est fortement
e bras est accolé au tronc ; l'avant-bras est fortement fléchi sur le
bras
et fixé contre le sein ; la main est fléchie à an
au niveau du poignet surtout, de la partie moyenne et postérieure du
bras
, de l'extrémité externe de la clavicule, enfin de
igts (fléchisseurs) ; d'autres fois, il lui semble que la jambe ou le
bras
du côté droit se retirent, se rapetissent, se rét
sa tète légèrement élevée. Dans un autre intervalle, M... ramasse les
bras
sous son menton et parait manifester une vive rép
acture des membres du côté gauche (forme hémiplégique). L'attitude du
bras
est celle que nous avons décrite plus haut (Pl. X
es (plus d'une cuillerée à café) : La face, les oreilles, le cou, les
bras
, la poitrine, le ventre et les cuisses deviennent
la peau. M... revient à elle, vomit, a ses idées mélancoliques. Son
bras
est libre, la jambe allongée; elle marche en boit
ilatent; les muscles de la moitié gauche de la face se convulsent; le
bras
et la jambe droite, qui étaient libres deviennent
une ligne horizontale, passant par l'appendice xi phoïde et sur le
bras
droit. 24 nov. — Contracture du membre inférieu
instants, de taches rouges, irrégulières, sur la face, le cou et les
bras
. Ces 12 taches disparaissent par la pression
é a reparu, mais d'une manière incomplète, à la face, au thorax et au
bras
du côté droit: toute cette moitié, du corps reste
nations commence : c'est sur elle que portent les modifications. Le
bras
gauche est fléchi, la main appliquée sur l'épaule
s. Le bras gauche est fléchi, la main appliquée sur l'épaule ; le
bras
droit est demi fléchi, la main en avant de la poi
erçoit quelqu'un; de la tête, elle lui fait signe de venir, ouvre les
bras
, les rapproche comme si elle étreignait l'être im
sont fixes; la bouche est légèrement en-tr'ouverte (Pl. XXXVII. — Le
bras
droit est un peu écarté du tronc; l'avant-bras, f
hi, vient toucher le menton; le coude est enfoncé dans l'oreiller. Le
bras
gauche a la même attitude. En raison de la positi
e du lit, le corps qui est en quelque sorte ramassé sur lui-même. Les
bras
et les jambes sont entre-croisés ; la physionomie
le voit une de ces compagnes, S..., paralysée, qui la touche de son
bras
pour lui transmettre sa paralysie , ou des cadavr
ans une espèce d'état cataleptique. La figure est immobile; M... a le
bras
gauche accolé au tronc, l'avant-bras fléchi, l'un
grimaces, sourit, fait signe, se couche tout de son long, écarte les
bras
, agite les doigts, remue les jambes, se couche su
es pieds sous mon lit... des pieds d'Ernest!... Il me tenait dans ses
bras
... On éteignit le gaz... on faisait brûler le pun
t pour cela qu'elle s'isole autant que possible. Si l'on soulève le
bras
gauche, qui est libre, l'autre tenant la compress
is tremblement de la jambe droite; parfois, le tremblement envahit le
bras
droit et. plus rarement, le bras et la jambe gauc
; parfois, le tremblement envahit le bras droit et. plus rarement, le
bras
et la jambe gauches. Le tremblement prédomine, en
août au 5 septembre. (l) Le 13 juin, M... s'est fait une saignée au
bras
gauche. Octobre : Les règles font défaut. Nov
légique), qui a duré une dizaine de jours (1) ; 6° une contracture du
bras
droit (forme monoplégique), qui a duré cinq jours
dans le cas actuel, à un état cataleptique : Met-on, par exemple, les
bras
dans l'extension, ils gardent cette position dura
ait plus, du tout le passage du courant électrique. Il avait sur le
bras
plusieurs plaques rouges que le médecin a quali
i a appliqué sur la tempe gauche et sur la région antéro-externe du
bras
gau- che des plaques de zinc, et sur la partie
as gau- che des plaques de zinc, et sur la partie antéro-interne du
bras
une plaque d'argent. Au bout de vingt-trois heu
du coude, du poignet et des'doigts sont absolument impossibles. Le
bras
pend inerte et flasque le long du corps ; les d
ne non imputable à l'affection présente. La diminution de volume du
bras
est considérable; la plus grande circonférence
de volume du bras est considérable; la plus grande circonférence du
bras
gauche est de 22 centi- mètres et celle du bras
de circonférence du bras gauche est de 22 centi- mètres et celle du
bras
droit de 25 centimètres ; l'atrophie semble por
à peu près également sur les muscles anté- rieurs et postérieurs du
bras
; en pressant entre les doigts les muscles bice
é opposé on constate une notable atrophie. L'atrophie de l'avant-
bras
est moins marquée que celle du bras ; la plus gra
trophie. L'atrophie de l'avant- bras est moins marquée que celle du
bras
; la plus grande circonférence est de '-)le cen
de la sensibilité sont abolis. Il semble au malade qu'il n'a pas de
bras
ni d'épaule. Le sens musculaire fait aussi comp
tombe brusquement en avant et à droite; il place sa tête sur son
bras
droit qui est dans l'extension et levé en l'air ;
dans l'extension et levé en l'air ; le poignet est fermé et tout le
bras
est raide; généralement le malade leur de l'éta
VEUSE. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. t0 CLINIQUE NERVEUSE. mord son
bras
; la jambe droite est fléchie sur la cuisse et le
ce dorsale des doigts, gagne la main, puis l'avant-bras et enfin le
bras
et l'épaule ; on dit à ce moment au malade de m
ements spontanés revien- nent avant que la sensibilité ait gagné le
bras
; on lait exécuter ce jour à l'épaule des mouve
s de deux heures. Le malade s'endort le soir pouvant mou-, voir son
bras
. 7. 11 se réveille absolument impotent de son m
7. 11 se réveille absolument impotent de son membre su- périeur. Le
bras
et l'avant-bras sont flasques. La main est fléc
la jambe gauche est pareille à celle de la jambe droite ; entre le
bras
gauche et le bras droit, au lieu de trois centi
st pareille à celle de la jambe droite ; entre le bras gauche et le
bras
droit, au lieu de trois centimètres de différen
ion, cette fois non plus sur la tète mais sur la partie sensible du
bras
malade ; quinze minutes après le début de l'opé
té gauche, il n'y a plus de bien grande différence ; entre les deux
bras
il n'y a plus, dans la circonférence, qu'un cen
, dans la circonférence, qu'un centimètre de différence; l'avant-
bras
qui n'était, il est vrai, que peu atrophié, ne s'
re- produites parfois jusqu'à huit fois par jour. La paralysie du
bras
disparut la première, puis la motilité revint aus
; les muscles sus et sous- épineux sont atrophiés. Le périmètre du
bras
gauche à la par- tie moyenne est de 19 centimèt
ras gauche à la par- tie moyenne est de 19 centimètres, et celui du
bras
droit au même niveau de 22 centimètres. L'atrop
ors même que les deux jambes seraient prises, bien souvent alors un
bras
se comportera différemment et présentera, par e
om ; cinq minutes après votre réveil, il faut que ça saigne à votre
bras
. » A son réveil, légères démangeaisons au bras
ue ça saigne à votre bras. » A son réveil, légères démangeaisons au
bras
gauche. V... cherche à se frotter le bras qu'on
légères démangeaisons au bras gauche. V... cherche à se frotter le
bras
qu'on est obligé de maintenir; puis il tombe da
cas d'hémianesthésie DE cause cérébrale avec MOUVEMENTS anormaux du
bras
ET DE la jambe; par le Dr RAYMOND, médecin de l
artielle, avec aphasie : cette hémiplégie portait sur la face et le
bras
; la jambe en était indemne; la guérison fut len
as; la jambe en était indemne; la guérison fut lente, et lorsque le
bras
droit eut recouvré une cer- taine force, il dev
xe du triceps, aboli à gauche, était très exceptionnellement vif au
bras
droit, et le biceps du même côté donnait la réa
convul- sions quasicontinues dans la moitié gauche de la face et le
bras
gauche; rigidité intervallaire, privation de se
re partie de ce livre; ce patient avait une ten- dance à fléchir le
bras
, ce qui fait remonter la courbe en a. Cette élé
es maladies, il était d'humeur variable; même dans les courbes du
bras
gauche qui était normal, l'influence de l'humeur
itrite produisait un affaiblissement de l'activité volon- taire. Le
bras
qui normalement pouvait rester immobile un temps
aires ont L disparu; la motilité a reparu, quoique faible, dans les
bras
; Ifs jambes tendent à récupérer leurs fonctions
temporo-occipitaux inférieurs gagne, suivant toute probabilité, le
bras
du tubercule bijumeau inférieur, avec les zones
ès tétaniques portant surtout sur le côté droit et empiétant sur le
bras
et la jambe correspondants. Guérison com- plète
uverte de ce type cli- nique ; il ne manque ici que la rigidité des
bras
. Aux questions de MM. AtENDEL et REMAK, M. WEST
ure du sternum, en deux places symétriques de la face antérieure du
bras
, en un point sis à gauche de l'espace compris e
des deux sexes, que six ou huit hommes promenaient étendus sur les
bras
, tout autour de la cha- pelle de Saint-Maur.
nnés, ainsi que le montrent les mensurations ci-après : Longueur du
bras
mesurée del'acromion à l'épicondyle, 19 cent. L
aut noter seulement qu'après une application de l'aimant du côté du
bras
gauche pendant douze heures ; on a obtenu un tr
lysé : les mouvements des doigts, de la main, de l'avant-bras et du
bras
étaient tout à fait abolis. Il resta dans cet é
issent sur la main, la main sur l'avant-bras et l'avant-bras sur le
bras
, , DE l'atrophie musculaire. 167 10. - La rai
up plus grêle que le droit. Entre la plus grande cir- conférence du
bras
droit et celle du bras gauche il y a 3 cen- tim
oit. Entre la plus grande cir- conférence du bras droit et celle du
bras
gauche il y a 3 cen- timètres de différence; à
3 cen- timètres de différence; à la partie supérieure de l'avant-
bras
, il y a entre les deux côtés une différence de 3
a entre les deux côtés une différence de 3 centi- mètres, comme au
bras
. La contractilité faradique persiste, mais elle
auche. Le malade se plaint de fortes douleurs dans la nuque et le
bras
gauche. tel mars. Les douleurs ont disparu. 1
aux mouvements de la main sur l'avant-bras, de l'avant-bras sur le
bras
et du bras sur l'épaule, ils sont toujours abso
ents de la main sur l'avant-bras, de l'avant-bras sur le bras et du
bras
sur l'épaule, ils sont toujours absolument impo
le même état. 9. Le malade commence à mouvoir l'avant-bras sur le
bras
. 0. Le malade commence à mouvoir un peu le bras
avant-bras sur le bras. 0. Le malade commence à mouvoir un peu le
bras
sur l'épaule. 5 mai. Le malade demande à sort
ie est moins accentuée qu'autrefois; entre les circonférences des
bras
et des avant-bras droits et gauches il n'y a plus
camarade, lorsque le crochet cassa, et le malade fut renversé, son
bras
gauche pris sous le boeuf. Il dit avoir entendu
une potion cordiale, et 172 Z CLINIQUE NERVEUSE. lui enveloppa le
bras
de compresses phéniquées. Le malade n'a jamais
esses phéniquées. Le malade n'a jamais éprouvé de douleurs dans son
bras
, ni au moment où il était pris sous le boeuf, n
ait pris sous le boeuf, ni les jours suivants. Mais, voyant que son
bras
enflait toujours, il se décida à entrer à l'hôpit
dent. Non seulement le malade n'éprouvait pas de douleurs dans le
bras
même, mais il ne le sentait pas, le bras était co
it pas de douleurs dans le bras même, mais il ne le sentait pas, le
bras
était comme mort, à partir de l'épaule. Il lui
rt, à partir de l'épaule. Il lui semblait avoir, dit-il, au lieu de
bras
un poids de quarante livres à supporter. Aucun mo
sont aujourd'hui. Huit jours après, il est retourné à la mairie; le
bras
était dans le même état. Puis il est entré à
poche un papier sur lequel elle est inscrite. Le malade porte son
bras
gauche en écharpe. L'avant-bras est légèrement
n bras gauche en écharpe. L'avant-bras est légèrement fléchi sur le
bras
, en faisant avec lui angle obtus; il est dans l
coude est presque complètement immobilisé dans cette position. Le
bras
est dans la position normale, le long du corps, l
re des doigts et dans un triangle qui descend de l'aisselle vers le
bras
. Il en est de même de la sensibilité pro- fonde
massage. Voici ce que l'on fait : on pratique sur les téguments du
bras
gauche des frictions avec les mains enduites de
atisme sur l'épaule droite, est atteint d'une paralysie complète du
bras
droit. Dans les premiers jours, il y avait en m
IE MUSCULAIRE. 179 région sous-claviculaire jusqu'au mamelon, et le
bras
droit auraient été aussi comprimés. Les ouvrier
l s'est aperçu qu'il lui était impossible de mou- voir l'épaule, le
bras
, l'avant-bras et la main; les mouve- ments des
des doigts persista encore deux jours, puis disparut à son tour. Le
bras
fut mis en écharpe. Le lendemain, le gon- fleme
centimètres au-dessus de l'apophyse coracoïde la circonfé- rence du
bras
est de 31 cent. à gauche et de 30 cent, à droite;
les mêmes chiffres qu'à l'Hôtel-Dieu et la diminution de volume du
bras
et de l'avant-bras parait due à \' atrophie des
he paralysé depuis l'épaule jusqu'à la main paraissent atteints; le
bras
est plus atrophié que l'avant-bras; mais si on
avait trois centimètres de différence entre les périmètres des deux
bras
. Dans l'Observation II comme dans la précédente
n mois et demi après le début de la paralysie, il y avait entre les
bras
et les avant-bras gauches et droits une différe
rition de la para- lysie qui avait été brusque, la circonférence du
bras
avait déjà augmenté d'un centimètre, et un mois
es sont pâles, la peau est pâle, sèche, Sur- tout aux jambes et aux
bras
; le tissu cellulaire sous-cutané est atrophié;
urine est difficile. Le malade ne peut remuer la jambe gauche et le
bras
droit, tandis qu'il peut légèrement ramener ver
and on m'amena une femme des environs, paralysée depuis six mois du
bras
droit. On m'apprit qu'elle était âgée de quaran
ques survenue il y avait six mois qu'elle était restée paralysée du
bras
droit; quelques jours après une nouvelle attaqu
à fait comme aspect les paralysies cérébrales de date ancienne. Le
bras
absolument inerte était in- capable du moindre
d'anormal; ni paralysie, ni anesthésie. Sauf l'impotence absolue du
bras
droit la malade était valide et paraissait bien p
n prolongée qu'elle a subie et de la macéra- lion épidermique. Le
bras
et l'avant-bras étaient toujours immobiles ; j'or
lle y réussit d'abord avec peine, puis plus aisément, et bientôt le
bras
droit se meut aussi librement que le gauche. Av
de la main DES LOCALISATIONS FONCTIONNELLES DU CERVEAU. 207 et du
bras
, examen consistant en mouvements et en exercices
rmal à observer. Du côlé gauche, les doigts ainsi que la main et le
bras
fonctionnent normalement. La force dynamométriq
t anormal, pas bien localisé, uni à un sentiment de fatigue dans le
bras
droit, qui a pu durer quelques heures pour disp
ntanément. A l'examen des différentes qualités de la sensibilité du
bras
, de la main et des doigts, rien d'anormal à con
s avant que les secousses surviennent, le sentiment anormal dans le
bras
droit est devenu aussi très rare. Le trouble de
aractère, ont presque disparu; de même le sentiment anormal dans le
bras
droit. Quant à l'é- criture, G... peut souvent
uit ans. légère fatigue rachidienne; se sert moins utilement de ses
bras
, se redresse et soulève des poids diffci- lemen
: corps exagérément fléchi en arrière, ventre proéminent en avant,
bras
et épaules pendantes. il lance pour marcher les
le patient à entrelacer les doigts des deux mains et,en tendant les
bras
horizontalement, à tirer aussi fort que possibl
légère anesthésie; intégrité du sens musculaire ; douleurs dans les
bras
et les jambes; gros troncs nerveux sensibles à
du côté gauche accompagnées de sensations de tremble- ment dans le
bras
et la jambe, du même côté. Aux diverses phases
mps à autre chez une femme grosse et affectant particulièrement les
bras
. Ni perte de connaissance, ni troubles de la se
; dégénérescence grise évidente des deux nerfs radiaux à l'avant-
bras
; décoloration légèrement grisâtre des racines le
e en forme de groin, va et vient en reniflant bruyam- ment, port du
bras
gauche fléchi à angle droit; souvent, pendant d
t manifesté dans les oreilles, il lui a élé impossible de lever les
bras
, une légère timbale lui paraissait lourde comme
, il a été atteint de paraly- sie : paralysie des deux jambes et du
bras
droit, la première fois, paralysie des jambes,
désirs. Le 5 mai, Ch... commence à se plaindre de douleurs dans le
bras
gauche, la sensibilité tactile et douloureuse e
a salle ; tout le corps tressaille; il a des tiraillements dans les
bras
, il vomit de la bile; la température monte; tous
tièrement poussées). Dans la partie supérieure du tronc et dans les
bras
, la sensibilité est aussi émoussée; il ne retir
se met sur les jambes d'une manière particulière : il appuie ses
bras
sur le bord du lit, et, après quelques instants d
les genoux; le dos est immobile et un peu renversé en arrière; les
bras
séparés du corps; il les balance en marchant. T
des palpitations, des douleurs dans la ré- gion du coeur et dans le
bras
gauche. A la fin de juillet 1884, revenu de l'e
urs après son entrée, à l'hôpital, la paralysie s'em- para aussi du
bras
droit. L'examen du malade donna les résul- tats
ns. La sensibilité des jambes a disparu. La faculté de mou- voir le
bras
droit, de le soulever, de le fléchir au coude, ne
re est relâ- chée. Du 19 au 20 juillet, on observe une faiblesse du
bras
gauche; le sujet sent des fourmillements et des
l'épigastre, il a des vomissements.Le 18 juillet, la sensibilité du
bras
gauche dispa- rait aussi, de même que dans laré
douleurs dans le dos et de fortes convulsions dans les jambes et le
bras
gauche. Les mêmes crises se répètent du 2 au 9
du côté droit il ne perçoit ni attouchement, ni douleurs. Les deux
bras
présentent les mêmes phénomènes; le droit est in-
sation de la température n'existe plus ni dans l'un ni dans l'autre
bras
; la sensibilité musculaire persiste dans le côté
s muscles est con- servée ; même la faradique parait plus forte. Le
bras
gauche garde sa faculté de mouvement; le dynamo
te d'accès qui portent le même caractère, savoir : tremblement du
bras
gauche; spasme tonique à la jambe gauche; flexion
ambes, quand il bouge, reparaissent comme aupara- vant ; il lève le
bras
droit en haut. A la mi-mars, le patient commenç
ne; en marchant, il ccurbe le dos en arrière, agite fortement les
bras
, glisse les pieds. Il ne peut s'asseoir lentement
e vasistas était ouvert, le matin il a senti une faiblesse dans les
bras
et dans la jambe gauches, et, le 30 décembre, c
alysés. Le 2 janvier, on a constaté une faiblesse de la jambe et du
bras
droits. A son entrée à l'hô- pital, on observe
pie, ainsi qu'une impossibilité de mouvoir à volonté la jambe et le
bras
gauches. Ce qui fait une différence bien tranch
e de la pointe du pied ; un trem- blement dans la jambe gauche ; le
bras
droit levé le plus haut tremble aussi. La force
archer sans béquilles. Le 10 mars,, la démarche est plus libre ; le
bras
paralysé peut être un peu levé à l'épaule et fl
, de reins et de l'insomnie. Le 23 mars, il marche facile. ment; le
bras
au coude et la main fléchissent, ce n'est qu'à
bras au coude et la main fléchissent, ce n'est qu'à l'épaule que le
bras
ne peut se relever. Sa démarche est carac- téri
troubles de la sensibilité ont disparu; la difficulté de mouvoir le
bras
à l'articulation de l'épaule a duré jusqu'au 9
On soupçonna S... d'avoir volontairement pro- longé l'immobilité du
bras
droit, mais je ne puis pas supposer que ce fût
nt ainsi qu'à la douleur; la sensibilité du côté droit du tronc, du
bras
droit et du côté droit de la face est normale;
vulsions dura une couple de minutes, après quoi la jambe gauche, le
bras
du même côté restèrent contracturés à toutes le
283 que, les yeux fermés, il ne trouve plus son nez, ni son autre
bras
, etc. 11 en est de même pour les membres inférieu
ne respira- tion accélérée. Ensuite, le malade étend subitement les
bras
et les jambes, courbe le dos en arrière en arc
de la position suivante : les jambes sont à l'état d'extension, les
bras
aussi, éloignés du corps; les poings sont fermé
s 6); le 5e malade avait une paralysie des membres inférieurs et du
bras
droit; cinq malades étaient atteints de paraplé
devient raide, ils traînent les pieds sur le sol et balancent les
bras
en les écartant du torse. 8. Les convulsions so
embres paralysés, je les faisais promener en les soutenant sous les
bras
, je les forçais de recourir aux béquilles le pl
22 octobre 't879). Père, architecte, présentait une malformation du
bras
gauche, qui était moins développé que le droit;
ormation du bras gauche, qui était moins développé que le droit; ce
bras
se terminait par un moi- gnon formé par la régi
ent à terme (à Neuilly-sur- Seine), assez long ; on aurait cassé un
bras
de l'enfant, le droit, croit-on, et démis un po
le même à la main; le thermomètre, appliqué sur la face externe des
bras
, marque à droite 33°,8, à gauche 34o,l. La ma
39°,8. 1er avril. - L'érysipèle a pâli au niveau de l'épaule et du
bras
, il prend un aspect rouge-clair moucheté; le bo
let fait défaut; la peau n'est ni chaude, ni résistante. La peau du
bras
est le siège d'une desquamation furfuracée. Le
9°. - Soir : 39°,8. 2. - Envahissement de la partie inférieure du
bras
et supérieure de l'avant-bras droit par l'érysi
, elle atteint seulement le mamelon; de plus, elle a envahi tout le
bras
et l'avant-bras, s'ar- rêtant brusquement par u
du côté droit elle atteint éga- lement le mamelon, a envahi tout le
bras
et l'avant-bras, s'arrê- tant brusquement par u
ptique; le père, intelli- gent, présentait seul une malformation du
bras
gauche, et, sauf une cousine de la mère au troi
dent tout d'un coup aux chevilles ou aux genoux. Les mouvements des
bras
sont libres, mais elle fait tout lentement et a
uellement, il marche en traînant un peu la jambe droite, soulève le
bras
droit, peut mettre la IDIOTIE AVEC CACHEXIE PAC
PACHYDERMIQUE. 313 proéminent, mais la poitrine est normale et les
bras
sont bien faits; les mains sont petites, ramass
e est plus longue que le fémur et l'avant-bras est plus long que le
bras
. Les orteils ne présentent rien de particulier,
100; la malade devient de plus en plus sombre; elle porte aussi au
bras
droit une petite plaie qu'elle s'est faite avec
e glisse- ment, elle s'etait portée du côté gauche, de sorte que le
bras
gauche s'était tourné en arrière et en bas, et
é parait très diminuée, au point que la malade ne retire point le
bras
quand on la pince très fortement. . Vendredi ma
Samedi 4 septembre. B... se plaint de douleurs assez vives dans le
bras
et l'épaule. L'ecchymose provoquée par la corde a
ue ce jour arrivera jamais. Les douleurs dans l'épaule droite et le
bras
sont devenues plus grandes; cette douleur que l
xus brachial, dans le creux sus-claviculaire, dans l'aisselle et au
bras
, sur tout le parcours des principaux nerfs : mé
médian, cubital et radial. On ne trouve pas de douleur à l'avant-
bras
et à la main, mais seulement un léger engourdisse
emière attaque grave eut lieu en mars 1884. Le spasme s'étendait au
bras
et le malade tombait. Il eut la seconde attaque
que. La tête et souvent les yeux étaient tournés vers la droite; le
bras
droit élait étendu par secousses, et le malade
sont quelquefois fléchis. Après l'attaque, le malade disait que son
bras
droit était faible pour quelque temps. Diagno
du cou est au- dessous de ce sillon et que celui de l'extension du
bras
était à peu près à son extrémité postérieure. C
position du sens de la tem- pérature en deux éléments différents Un
bras
profondément engourdi a perdu non seulement le
ommunication porte sur deux observations de mono- plégie typique du
bras
ou de la jambe avec épilepsie corticale. Dans l
BIBLIOGRAPHIE. 411 i la paralysie était surtout accentuée sur le
bras
, arrêté dans sou développement (il en était de
A la suite de cette chute, il n'a plus été à même de se servir de son
bras
. C'est seulement une année plus tard qu'on a es
alade prétend qu'à ce moment-là, il a été question de lui couper le
bras
. Finalement, les choses ont été laissées en leur
ont été laissées en leur état ; le gonflement s'est dissipé, et le
bras
droit est devenu ce qu'il est encore. Nous cons
u coude ; l'avant-bras est immobilisé en très légère flexion sur le
bras
, c'est- à-dire en extension presque complète.
sibilité n'était pas indemne partout ; à la face postéro-eaterhe du
bras
, on notait de l'liypoestliésie dans une zone él
ain ou pied, et se trouve réduit à son segment sus-jacent : soit le
bras
avec l'avant-bras, soit la cuisse avec la jambe
it le bras avec l'avant-bras, soit la cuisse avec la jambe, soit le
bras
seul ou la cuisse seule. L'hémimélie peut être
pe com- prendra les Amèles imparfaits, monstres privés en vérité de
bras
et de jambes, mais présentant dans une ou plusi
pas d'autopsie. 2. IsEnHLanInI, 1800. - Garçon mort-né, privé de
bras
et de jambes ; à la place des membres inférieur
is, montrée à Paris, au Palais-Royal, dans un bocal d'alcool ; sans
bras
ni jambes ; le bas du tronc présentant une ress
nt ayant vécu trois jours; privé des ex- trémités inférieures et du
bras
gauche ; à la place du bras droit, moignon cour
rivé des ex- trémités inférieures et du bras gauche ; à la place du
bras
droit, moignon court renfermant le quart supéri
citéparCholmogoroff). - Enfant nouveau-né, n'ayant aucun vestige de
bras
; extrémités inférieures remplacées par deux moi-
s charnues pour- vues de mamelon (poitrine de femme) ; rudiments de
bras
, contenant un segment d'humérus. (Fig. 8). '"
Forster, il s'agit d'un homme d'un certain âge, privé totalement de
bras
mais pourvu inférieurement de deux appendices é
Tronc normal ; amélie parfaite du côté droit ; à gauche, moignon de
bras
renfermant un os et petit membre inférieur, compo
singulièrement avec son étrange monstruosité : elle était privée de
bras
et de jambes ! Les trois phototypies de la Plan
marchand ambulant qui vendait des grandes poupées de carton n sans
bras
ni jambes, et que cette rencontre l'avait beaucou
orde légèrement les fausses côtes, la rate est également grosse. Le
bras
du côté droit est normal, semblable au bras gauch
st également grosse. Le bras du côté droit est normal, semblable au
bras
gauche, le coude est également bien conformé, m
rte une came de forme spéciale destinée a soulever à chaque tour un
bras
de levier qui porte une lige mé- talliqueplonge
a démontré comme étant le plus convenable, se trouve réalisé. Le
bras
de levier, fixe à une de ses extrémités, est muni
du cou, leurs mains cachées sous leurs tabliers et leurs paniers au
bras
. Et toutes ont la même figure apitoyée, la même
une femme debout, les mains cachées sous son tablier, un panier au
bras
, se penche pour regarder l'opération. Adroite,
,une femmedu peuple,les mainscachées sous son tablier, un panier au
bras
, se penche de côté et regarde timidement, curieus
ude classi- ques, coiffée d'un chapeau à larges bords, un panier au
bras
, les mains (1) P. Poacsr, Ilisl. ! léta. des dr
, parait-il, plus fortes du côté gauche et particulièrement dans le
bras
gauche (le fait est affirmé par plusieurs perso
e, parfois en effet, il sentait comme de petits élancements dans le
bras
gauche, mais très légers et très fugitifs. Le bra
ncements dans le bras gauche, mais très légers et très fugitifs. Le
bras
ne fut d'ailleurs DIAGNOSTIC D'UNE TUMEUR CÉRÉB
l avait remarqué en 1848, alors qu'il travaillait la terre, que son
bras
droit s'était tu- méfié brusquement, tuméfactio
nsi qu'il résulte de. l'aveu du malade, d'un oedème assez étendu du
bras
et qui a duré environ trois semaines. Je rappel
8 à 10 jours. Après, cet accident, il ne pouvait plus travailler, les
bras
et les mains ayant perdu leur souplesse. Mais l
urs, l'avant-bras gauche étant plus pris que l'avant-bras droit et le
bras
droit un peu plus atrophié que le bras gauche.
que l'avant-bras droit et le bras droit un peu plus atrophié que le
bras
gauche. Voici du reste le résultat des mensurat
le résultat des mensurations de ses serments : 94 G. MARINESCO
bras
, mais le triceps se contracte avec force quand on
conservation relative des muscles extenseurs de l'avant-bras et du
bras
a son importance au point de vue de la localisati
neux sont atrophiés des deux côtés. Les mouvements d'élévation du
bras
dépassent l'horizontale, mais le malade ne peut
ux ou trois ans après. En 1878, il ne pouvait plus se servir de ses
bras
pour s'habiller, se boutonner, etc. Presqu'à la m
gré plus marqué à gau- che. La musculature de la face antérieure.du
bras
est non seulement très atro- phiée, mais elle e
galement complètement paralysée. Aussi tout mouvement de flexion du
bras
est impossible ; par contre le triceps atrophié o
re le triceps atrophié oppose une grande résistance à la flexion du
bras
. A l'avant-bras, l'atrophie occupe les muscles
rte ses lèvres à la rencontre de celle-ci. Il ne peut soulever ses-»
bras
: leur flexion est impossible. Quand on veut lu
-»bras : leur flexion est impossible. Quand on veut lui écarter les
bras
du tronc, il n'oppose qu'une faible résistance.
se. Grâce à cette laxité spéciale des articulations de l'épaule et du
bras
, on retrouve ici le type du bras de polichinell
es articulations de l'épaule et du bras, on retrouve ici le type du
bras
de polichinelle. Les mouvements qui persistent à
de la thermo-anesthésie ; en effet au niveau de la face interne du
bras
, il n'y a pas de troubles de sensibilité, la to
u du coude que porte la déformation, L'avant-bras est fléchi sur le
bras
et ne peut s'étendre au delà de l'angle droit.
e souffrance ici-bas. A Munich, il nous montre une Opération sur le
bras
, au Louvre, une Opération sur l'épaule, à Anver
et opérateur ratatiné. Au- dessus d'une chaufferette perchée sur le
bras
d'un fauteuil, elle fait ramol- lir un emplâtre
éjà si- hâlé ces deux eaux-fortes (1). Le chirurgien opère sur le
bras
, mais la ventouseuse sur le pied. C'est elle qu
nous montre une Ventouseuse (/focr en hollandais) appliquant sur le
bras
d'une jeune femme une ventouse, évidemment scar
d'appliquer un large emplâtre sur le genou d'un patient, assis, le
bras
droit en écharpe. On ne chôme pas dans cette of
le de la précédente. Les deux branches supérieures passent sous les
bras
. Au niveau de la région dorsale on les entre-cr
i- ques. La tête sera libre, moyennement fléchie sur le thorax, les
bras
seront pendants ou repliés le long du tronc.
Effectivement la sensibilité est redevenue normale; les muscles du
bras
et de la cuisse ont récupéré leur intégrité fonct
înant le pied droit. Il avait de la dif- ficulté à se servir de son
bras
droit, et il ne pouvait faire mouvoir les doigts
j'ai remarqué une par- ticularité semblable pour les extenseurs du
bras
. Tandis que les fléchis- seurs sont très atroph
sont pris en même temps ou plus lard que ceux de l'avant-bras et du
bras
, mais suivant un ordre que je n'ai pas encore p
u de l'épaule et envahit progressivement les segments sous-jacents,
bras
, avant-bras et main. Dans cette forme scapulo-h
l'intégrité de certains muscles ex- tenseurs de l'avant-bras et du
bras
et nous rend particulièrement compte d'une atti
igrisse- ment général des muscles de la main, de l'avant-bras et du
bras
. Le bras pend le long du corps, fixé dans cette
ment général des muscles de la main, de l'avant-bras et du bras. Le
bras
pend le long du corps, fixé dans cette situatio
st très atrophié. Membre supé- rieur gauche : même situation que le
bras
droit. Il y a ankylose de l'arti- culation scap
che, se rapproche de cette épaule qui se soulève ; en môme temps le
bras
gauche s'applique fortement contre le tronc (PI
uche s'applique fortement contre le tronc (PI. XXVI, 13) ; enfin le
bras
droit est fortement rejeté en arrière (PI. XXVI
tout à fait complexe à ce point de vue, puisque, à son maximum, le
bras
gauche se colle en même temps contre le tronc,
ximum, le bras gauche se colle en même temps contre le tronc, et le
bras
droit est projeté en arrière. Donc, on ne peut
liéniste renommé, le Dr Soubyranne. « A midi et demi, Victorien, le
bras
en écharpe, entrait dans le salon de Soubyranne
e de médecine, 1896, p. 115). - Les proportions relatives des os du
bras
chez les hémiplégiques infantiles et les dégé-
urtout deltoïdienne avec adipose mar- quée in situ. Circonférence :
bras
droit, 27 centimètres ; bras gauche, 29. Se ser
ose mar- quée in situ. Circonférence : bras droit, 27 centimètres ;
bras
gauche, 29. Se sert assez bien de l'avant-bras
iculaires masque en partie l'atrophie deltoïdienne. Circonférence :
bras
droit, au niveau de l'aisselle, 2o cent. 1/2 ;
Circonférence : bras droit, au niveau de l'aisselle, 2o cent. 1/2 ;
bras
gauche, 27 centimètres. Flaccidité des muscles
oite spasmodique avec aphasie depuis 1893. Avant-bras fléchi sur le
bras
collé au tronc. Ankylose absolue de l'articulatio
de la région deltoïdienne, s'étendant un peu sur la face externe du
bras
, masquant l'atrophie sous-jacente. Circonférence
ce externe du bras, masquant l'atrophie sous-jacente. Circonférence :
bras
droit, 27 centimètres; bras gauche, 27 centimèt
'atrophie sous-jacente. Circonférence : bras droit, 27 centimètres;
bras
gauche, 27 centimètres. Quelques craquements da
laire, deltoïde sur- tout. Circonférence, au niveau de l'aisselle :
bras
gauche, 26 centimètres ; bras droit, 28 centimè
irconférence, au niveau de l'aisselle : bras gauche, 26 centimètres ;
bras
droit, 28 centimètres. Les autres articulations
e des muscles de l'é- paule ; adipose très marquée, Circonférence :
bras
droit, 32 centimètres ; bras gauche, 3. Rien à
; adipose très marquée, Circonférence : bras droit, 32 centimètres ;
bras
gauche, 3. Rien à l'avant-bras ni au membre inf
iculation scapulo-humérale. Circonférence au niveau de l'aisselle :
bras
droit, 29 centi- mètres ; bras gauche, 30 centi
conférence au niveau de l'aisselle : bras droit, 29 centi- mètres ;
bras
gauche, 30 centimètres. Les autres articulations
gie gauche 'spasmodique depuis 1893. Flexion de l'avant-bras sur le
bras
; flexion des doigts. Ankylose douloureuse de l'a
e du biceps est masquée par de l'adipose localisée. Circonférence :
bras
gauche, 26 ; bras droit, 26 au niveau de l'aissel
squée par de l'adipose localisée. Circonférence : bras gauche, 26 ;
bras
droit, 26 au niveau de l'aisselle. Arthrite légèr
s de la ceinture scapulaire. et surtout du deltoide. Circonférence;
bras
gauche, 19; bras droit, 21. Ar- thrite de l'art
scapulaire. et surtout du deltoide. Circonférence; bras gauche, 19;
bras
droit, 21. Ar- thrite de l'articulation-métacar
oral, qui n'est pas touché. Circonférence au niveau de l'aisselle :
bras
gauche, 21 centimètres ; bras droit, 23 centimètr
rconférence au niveau de l'aisselle : bras gauche, 21 centimètres ;
bras
droit, 23 centimètres. Pas d'adi- pose. Doule
miplégie droite spasmodique et aphasie. Contracture intense, avant-
bras
fléchi sur le bras; poignet en flexion permanente
smodique et aphasie. Contracture intense, avant- bras fléchi sur le
bras
; poignet en flexion permanente sur le bras, main
vant- bras fléchi sur le bras; poignet en flexion permanente sur le
bras
, main en griffe. Ankylose douloureuse de l'ép
dans les trois segments du membre supérieur droit. Circonférence du
bras
au niveau de la ligne axillaire : 27 cent. 1/2
es articulations du coude et du poignet sont libres, les muscles du
bras
et de l'avant-bras ne sont pas atrophiés. Mais
e ankylose de l'épaule ; coude libre, pas d'atrophie des muscles du
bras
; demi-ankylose du poignet, atrophie des muscles
çon des soldats allemands du XVI0 siècle, meurtrissent il tour de
bras
la chair nue du condamné, l'un avec un faisceau
nt, il n'avaitplus la force d'exécuter quelques mouvements avec les
bras
: on lui donnait à manger comme à un petit en-
périeurs fut complète, puis il pu recom- mencer à, se servir de ses
bras
, mais il ne pouvait marcher : on était con- tra
auche. Transversalement, en des régions symétriques, on note : Au
bras
, 15 centimètres à droite, 24 centimètres à gauche
dduction des doigts. - Le malade peut fléchir son avant-bras sur le
bras
, mais il ne résiste à aucune pression, si légèr
le membre supérieur droit. Sous l'influence du froid, en hiver, son
bras
devient engourdi, bleuâtre. D'ailleurs il existe
les cuisses sur- x 24 338 CH. FÉRÉ tout à la face interne, les
bras
, avaient pris une coloration bronze foncé non p
scles de la ceinture scapulaire, masquée par adipose se limitant au
bras
. Circonférence du bras : à droite, 7 centimètre
apulaire, masquée par adipose se limitant au bras. Circonférence du
bras
: à droite, 7 centimètres ; à gauche, 27 centim
usqu'à l'extrémité des doigts, masquant l'atrophie. Circonférence :
bras
droit, au niveau de l'aisselle, 32 centimètres
rconférence : bras droit, au niveau de l'aisselle, 32 centimètres ;
bras
gauche, 30 ; avant-bras droit, 27 ; gauche, 25.
uel il existe de l'adipose. Circonférence au niveau de l'aisselle :
bras
gauche, 25 cent. 1/2 ; bras droit, 27. Avant-br
Circonférence au niveau de l'aisselle : bras gauche, 25 cent. 1/2 ;
bras
droit, 27. Avant-bras contracture sur l'avant-b
ture scapulaire très marquée au niveau du deltoïde. Circonférence :
bras
droit au niveau de l'aisselle, 25 centi- mètres
conférence : bras droit au niveau de l'aisselle, 25 centi- mètres ;
bras
gauche 27 cent. 1/2 ; adipose très marquée au niv
ulations métacarpo-phalangien- nes ; flexion de l'avant-bras sur le
bras
. Circonférence de l'avant-bras, 4 tra- vers de
gie droite spasmodique datant de 1894. Flexion de l'avant-bras sur le
bras
. Demi-ankylose de l'articulation scapulo-huméra
trophie des muscles de la main. Adipose très marquée généralisée au
bras
et à l'avant-bras. Circonférence ; bras droit,
très marquée généralisée au bras et à l'avant-bras. Circonférence ;
bras
droit, 31 centimètres ; gauche, 31 centimètres
iculaire, deltoïdien. Adipose très marquée in situ. Circonférence :
bras
droit, 27 centimètres; bras gauche, 29. Avant-b
e très marquée in situ. Circonférence : bras droit, 27 centimètres;
bras
gauche, 29. Avant-bras en' flexion sur le bras
oit, 27 centimètres; bras gauche, 29. Avant-bras en' flexion sur le
bras
avec arthrite de l'articulation du coude ; amyo
rence, 17; gauche, 19. Poignet droit immobilisé en extension sur le
bras
, doigts fléchis ; polyarthri- tes, atrophie gén
ans atrophie localisée. 1 centimètre de diffé- rence entre les deux
bras
, à gauche, 27 ; à droite, 28, au niveau de l'aiss
de l'hémiplégie, le malade a pris soin de mobi- liser lui-même son
bras
gauche avec la main droite; peut le porter sur la
plégie droite, aphasie en 1895, spasmodique. Avant-bras fléchi sur le
bras
, main fléchie sur l'avant-bras. Dès l'apparitio
de son hémiplégie, ce malade a pris l'habitude de faire exécuter au
bras
droit, l'aide de la main gauche, quo- tidiennem
sé est apparu sans atrophie. Mais ce malade peut encore mouvoir son
bras
dans tous les sens ; il ne s'est pas produit d'
supérieur, l'évolution des phénomènes est encore plus constante. Le
bras
se contracture en adduction, se colle le long du
ssi plus petit que le sein droit. Les différentes circonférences du
bras
gauche à différentes hauteurs présentent toujou
urs présentent toujours une différence de 1 à 1 cent. 1/2. Les deux
bras
ne sont pas non plus de même longueur (Fig. 5) et
e à l'extrémité des doigls 3G à gauche pour 37 à droite. En tout le
bras
gauche a 64 centimètres, le bras droit 66. Les mê
auche pour 37 à droite. En tout le bras gauche a 64 centimètres, le
bras
droit 66. Les mêmes différences en grosseur et
petit pour sa longueur. Légère atro- phie deltoïdienne ; muscles du
bras
peu développés. Le coude est gros et plus volum
s, développé surtout dans sa partie inférieure est plus gros que le
bras
, à droite et à gauche. Les mains sont très gran
stamment « affalé », assis par terre, la tête penchée en avant, les
bras
reposant sur les cuisses (Pl. XLIII). Lourdeu
st intéressant de signaler les atrophies partielles des muscles des
bras
et des mains, alors que les membres inférieurs n'
culaire généralisée qui se rattachait au froisse- ment des nerfs du
bras
par une luxation de l'humérus. N'est-ce pas là l'
droite. Tout l'intérêt réside dans l'examen de la main gauche, car le
bras
et l'avant-bras de ce membre ne sont pas hypert
e.D'ailleurs l'hy- pertrophie peut dépasser la main, atteindre le
bras
, parfois même une moitié du corps, le cas rentr
cles sont égale- ment spasmodiques, trapèze, pectoraux, muscles des
bras
, avec cette bizar- rerie que ce ne sont pas tou
apèze du côté opposé), de la projection d'une épaule en avant, d'un
bras
appliqué contre le corps, etc. Le tic, pour se pr
t cette attitude, porter les yeux dans différentes directions.. Les
bras
restaient ballants et les mains immobiles, la m
in ; plus tard le malade, toujours assis, est seulement adossé, les
bras
ballants ; encore plus tard, il est debout, pui
ans différentes attitudes du corps, les épaules étant haussées, les
bras
étant levés, ou croisés. On modifie sans cesse,
ptions pendant ans. A 30 ans, par suite de faiblesse croissante des
bras
et des jambes il fut obligé de cesser tout travai
dès le début de l'affection, au dire du malade. L'avant-bras et le
bras
paraissent diminués de volume. Un jeu très accu
accusé de contractions fibrillaires des muscles des avant-bras, des
bras
et des pectoraux. Il ne peut plus écrire mais i
déformation en griffe d'aspect saisissant. Les muscles de l'avant-
bras
sont atteints à leur tour, plus rarement ceux du
s de l'avant- bras sont atteints à leur tour, plus rarement ceux du
bras
. Aux membres inférieurs, une atrophie du même g
ille, la jambe oedématiée, et enveloppée d'une bande, un enfant aux
bras
atrophiés qu'un homme porte sur ses épaules : f
image de la léthargie hystérique, - un homme qui lève en l'air son
bras
au bout duquel la main retombe inerte, -- probabl
d'une bande, s'appuie de la main droite sur un bâton, tandis que le
bras
gauche pend, inerte, sans main, terminé par un
re nerveuse et mutilante. A gauche, un autre s'avance, montrant son
bras
droit très atrophié, avec une main dont les doi
guérissant un malade. Ce dernier, assis par terre, de dos, lève son
bras
droit vers les Apôtres ; il a le front entouré d'
second, assis ou plutôt à genoux, le haut du corps presque nu, les
bras
croisés sur la poitrine, imberbe et complètemen
e nos recherches dans les musées d'Italie (Fig. 4). Le torse, les
bras
et les jambes nus, un linge autour de la ceinture
tations cutanées du début. Les lésions sont éparses sur le dos, les
bras
et les jam- bes, trop régulièrement peut-être e
haut de son corps est affreusement con- trefait : le dos bossu, des
bras
trop courts, des mains trop longues, un visage
ste de salut : cependant les mouvements en semblent limités, car le
bras
reste collé au corps. Hémiplégie droite, paraly
prée. Et l'on en voit partout, sur la poitrine, sur le dos, sur les
bras
et sur les jambes Ce pitoyable Lépreux ne peut
ent du sexe fémi- nin, portant une écuelle : le visage n'a rien, le
bras
gauche est couvert de taches d'un brun rouge, l
poignet est inerte, le mouvement de flexion de l'avant-bras sur le
bras
persiste encore à un certain degré ; or, nous sav
le dos au spectateur, et montrant ses deux jambes mutilées. Sur le
bras
gauche levé pour tendre la sébille, on voit ain
n'a que les trois doigts du milieu. Enfin le front, l'ab- domen, le
bras
et la jambe du côté gauche sont couverts d'une ér
eut-être quelque exagération dans la matière dont est représenté le
bras
gauche, qui est réduit à un état vraiment rudimen
état vraiment rudimentaire. Mais, dans la main qui fait suite à ce
bras
, ne voyons-nous pas des lésions osseuses absolu
456 HENRY MEIGE maladie. Dans l'éruption qui couvre la jambe et le
bras
du côté droit, ne trouvons-nous pas les signes
lque exagération, disait-il, dans la manière dont est représenté le
bras
gauche, qui est réduit à un état vraiment rudim
orse presque nu. Une écharpe passée autour du cou soutient ses deux
bras
croisés sur la poi- trine. La jambe gauche, por
d enveloppé d'un linge. L'épaule gauche semble disloquée et l'avant
bras
estsillonné de réseaux vasculaires dilatés. S
e à des malheureux : une femme décharnée tenant un enfant entre ses
bras
; un homme demi-nu, la face et le crâne couvert
xtension forcée, les orteils recour- bés en forme de crochets. Le
bras
droit se soulève avec peine jusqu'à l'horizontale
rée en flexion et les doigts en griffe soutenant une sonnette. Le
bras
gauche est raidi exagérément. La main qui le term
e malade sont deux petits enfants et une vieille femme qui tend son
bras
vers l'évêque. Ce bras ne présente pas de traces
ts enfants et une vieille femme qui tend son bras vers l'évêque. Ce
bras
ne présente pas de traces d'atrophie musculaire
oupe de miséreux, en quête d'aumône : une femme qui tient entre ses
bras
un enfant presque nu, et deux hommes dont l'un,
répugnant ne peut, appartenir qu'à un Lépreux. On ne voit pas les
bras
, cachés sous de misérables loques ; mais au bout
e « ailée », l'atrophie des muscles de la ceinture scapulaire et du
bras
, les lèvres aux bords retroussés et son oeil do
nez et de ses lèvres, l'affection oculaire et jusqu'à l'atrophie du
bras
et de l'épaule dont il est atteint, tous ces ac
emi-nu, se tient debout sur une seule jambe, deux béquilles sous le
bras
, un pilon sous la jambe droite qui est envelopp
représente le Christ guérissant un Lépreux (n° 475). Celui-ci a les
bras
croisés sur la poitrine, et la tête entourée d'un
emarquer à ce propos que les Lépreux sont souvent re- présentés les
bras
croisés sur la poitrine et la tête entourée d'un
lles, une cliquette à la main. Des chiens lèchent ses jambes et ses
bras
couverts de plaies qui n'ont d'ailleurs aucun c
. Hémianesthésie et hyperesthésie ovarienne droites. — Analgésie du
bras
gauche. — Caractère, allures, etc. Description
mai. — Hémianesthésie du côté droit ; diminution de la sensibilité au
bras
gauche. — Hyperesthésie ovarienne droite, s'exagé
amment un peu d'écume. De temps en temps, secousses qui soulèvent les
bras
et les épaules. C'est sur cette rigidité générale
ieurs auraient été envahis les premiers, et, une heure plus tard, les
bras
. A ce moment (8 heures), W... avait encore sa con
de contracture. Parfois, il se produit des secousses des épaules, des
bras
ou des jambes. P. à 84; R. à 18. — La malade est
araissait, M. Vigouroux a fait appliquer des plaques de cuivre sur le
bras
et la jambe du côté droit. — W... distingue toute
uriné. Ce matin, W... est couchée, immobile. Parfois, secousses des
bras
, des épaules. La physionomie est très mobile ; le
agités de petites secousses convulsives, qui bientôt envahissent les
bras
et les jambes. Au bout de quelques secondes, elle
lle sorte que l'oreiller se rabat sur le visage qu'il dissimule ; les
bras
sont un peu écartés du tronc, les doigts sont for
a physionomie exprime la volupté : « Oh ! Alphonse! » Elle croise les
bras
, soupire. Si, à ce moment, on la réveille par la
la compression ovarienne, elle avoue qu'elle s'imagine être dans les
bras
de son amant. (Pl. V.) ive attaque (11 h. 25).
a sirène, corps tendu, jambes fléchies à angle droit sur les cuisses,
bras
gauche tourné. Durée quarante secondes. ve atta
tique. — M. Charcot ouvre les paupières droites seulement : alors, le
bras
droit, élevé, conserve l'attitude qu'on lui a. im
Rien n'est changé à gauche. — Les paupières droites sont fermées, le
bras
correspondant retombe lourdement. — Si on ouvre l
: « Mais non, faut pas. » Rit aux éclats, tourne la tête; croise les
bras
sur sa poitrine, comme si elle pressait quelqu'un
: « Palapalapola... » en exécutant le mouvement du moulinet avec les
bras
. Elle s'endort définitivement avec lenteur. Mais
, s'imagina de s'envelopper dans un drap, de monter sur une table les
bras
étendus et menaçants. W... entra la première et f
aupières sont écartées, et on observelesphénomènes cataleptiques; les
bras
, soulevés (Pl. IX),conservent cette attitude auss
cette attitude aussi longtemps qu'on le veut. Quand on les ferme, les
bras
retombent : lentement, jusqu'à ce qu'ils aient at
plication. Pendant le sommeil, on observe parfois des secousses des
bras
et des mouvements de déglutition. Au réveil, —
terreur, les paupières sont largement ouvertes, les yeux hagards, le
bras
droit est demi-fléchi, placé parfois au-devant du
e côté droit; la figure est souriante, les paupières sont closes; les
bras
sont croisés étroitement sur la poitrine; la mala
t entièrement rigide : les jambes sont allongées et rapprochées ; les
bras
sont rigides et entre-croisés sur la poitrine, la
a conservent très longtemps. — On abaisse les paupières, aussitôt les
bras
qui étaient élevés tombent le long du tronc, P...
s (hyperexcilabilité musculaire). Nous déterminons une contracture du
bras
droit dans la demi-flexion. —• On écarte les paup
mi-somniation et hémi-catalepsie.— On ouvre les paupières droites: le
bras
correspondant, soulevé, conserve l'attitude qu'on
être menacée d'une attaque. Pour la calmer, il suffit de prendre ses
bras
(passes des magnétiseurs) : la respiration se ral
? — Elle a un voile..., un chapelet en argent. — Qu'a-t-elle dans les
bras
? — Rien. — Qu'y a-t-il à ses pieds ? — Des roses
laisse voir la langue immobile. — La respiration est suspendue. — Les
bras
, rigides, s'allongent, sans décrire de mouvement
s, au nombre de 100, 150 en 24 heures; * Dans quelques attaques, le
bras
gauche est seul le siège de ces convulsions cloni
rvent l'attitude qu'on leur impose, les jambes pendant 5 minutes, les
bras
durant 8 minutes. On voit que, chez M..., il y
-dessous du coude droit. — Application de plaques de zinc sur-l'avant
bras
gauche durant 15 minutes, pas de modification.
é droite du corps. — A gauche, la sensibilité est revenue sur tout le
bras
et sur le tronc, en avant et en arrière, jusqu'à
est conservée sur le thorax, de la clavicule à la ceinture, et sur le
bras
gauche jusqu'au poignet. La main est insensible (
ps en temps, on remarque des secousses qui soulèvent les épaules, les
bras
, ou la tête. Attaque. — a) Phase tonique. — La
s. de Ler... et d'Etch..., p. 122, 146, 166. vement de moulinet des
bras
. La phalange du pouce se met dans l'extension for
r le bal du 1 Jamais nous n'avons vu le mouvement de moulinet : les
bras
, placés le long du corps, se rapprochent simpleme
oins prononcés qu'il y a deux jours. La pression, supportable sur les
bras
, reste très douloureuse sur le tronc et aux jambe
t des écailles, des jambes terminées par des griffes; il étendait les
bras
comme pour me saisir; il avait les yeux rouges; s
s instincts. — On assure que, dans ces derniers mois, la paralysie du
bras
gauche aurait diminué. Dès les premiers temps d
, la raideur augmente, il survient quelques petites secousses dans le
bras
droit. Quelquefois la malade se retourne, sans
la tête dans l'oreiller, a des mouvements de déglutition, se tord les
bras
. « Oui, elles me pincent, pour sûr, c'est vrai...
atin, à 6 heures : T. R. 37°,8. A la visite, D... est endormie. Les
bras
, soulevés, s'abaissent sur-le-champ. Lorsqu'on éc
se réveiller. Au moment de la visite, elle dort encore et parfois les
bras
sont raides.— A 4 heures, elle ouvre les yeux, re
gauche, et rendent les attaques plus violentes. Les mouvements des
bras
sont libres ; H... serre moins bien de la main ga
ouvent des secousses à peu près également dans les jambes et dans les
bras
, secousses qui la font sauter et la réveillent qu
l'hiver dernier une bronchite légère. H... a des douleurs dans les
bras
, surtout à droite et au niveau des trois première
déglutition, et vagues abdominales accompagnées d'un léger bruit. Les
bras
, rigides, se laissent mettre dans l'abduction, et
; R. 16; T. V. 37°, 6. 8 mai. — P. 80; R. 20 ; T. V. 37°, 6. — Les
bras
, élevés, conservent cette attitude pendant 15 min
37°, 6. — La contracture générale persiste; elle est plus marquée aux
bras
qu'aux jambes et à la jambe gauche qu'à la droite
ge de mouvements onduleux. Les autres symptômes n'ont pas changé. Les
bras
conservent la position qu'on leur donne durant qu
ux derniers jours, elle a eu des secousses dans les jambes et dans le
bras
gauche qui est engourdi ; — dans la tête, qui est
e, on voit que les pupilles sont normales ; la bouche est fermée. Les
bras
sont rigides; la rigidité peut être vaincue ; les
st fermée. Les bras sont rigides; la rigidité peut être vaincue ; les
bras
placés perpendiculairement au tronc, les doigts é
ues ébauchées : soulèvement léger de la tête, rigidité plus forte des
bras
; face rouge, battements des paupières, inspirati
Chez H... (Obs. XI), il existait un certain degré de catalepsie : les
bras
, placés dans une attitude, la conservaient pendan
les y laisserez environ une minute, et vous les ramènerez le long des
bras
jusqu'à l'extrémité des doigts, en touchant légèr
de poser les mains sur la tête, et faire les passes suivantes sur les
bras
en commençant par les épaules, et sur le corps en
'abord quelques longues passes, de haut en bas, dans la direction des
bras
, au-devant du visage et suivant l'axe du corps; a
appuyée contre un mur, le corps penché et portant tout entier sur le
bras
, on voit que le sujet reste comme soudé au mur et
vous verrez qu'il vous sera impossible de vous en tirer sans plier le
bras
et sans vous lancer ensuite en quelque sorte loin
ne le fait-elle pas? Simplement parce que, au bout d'un instant, son
bras
est contracture et hors d'état de semou-voir. Vou
avez facilement la preuve en la retirant vous-même ; vous trouvez son
bras
contracture et il vous faut peser vivement dessus
ille, il est facile à reproduire et qu'il suffit de tirer vivement le
bras
de presque toutes les hystériques pour le mettre
ait encore pis, je le sentais couché avec moi, m'entrelaçant dans ses
bras
, me serrant sur son cœur en me disant de m'endorm
urais voulu pouvoir me soulever, mais je ne pouvais pas bouger ni mes
bras
ni ma tête. Cela durait à peu près 4 à o minutes.
'approcher de moi, il se couche à mon côté, il m'entrelaçait dans ses
bras
, m'embrassait, me chatouillait et me touchait. ,
l'extension. Par ce procédé, on fait disparaître la contracture du
bras
gauche, et on réveille la malade : elle est toute
a malade : elle est toute surprise de se voir avec une contracture du
bras
droit. Cette expérience a été renouvelée bien des
it. Cette expérience a été renouvelée bien des fois et on a laissé le
bras
contracture et dans la flexion et dans l'extensio
e personne saine est obligée de faire un effort amenant la flexion du
bras
. Or, l'hystérique ayant cette contracture dans l'
léthargie; l'hyperexcitabilité musculaire y est présente et on met le
bras
droit en contracture. — A gauche, les paupières s
en contracture. — A gauche, les paupières sont demeurées ouvertes; le
bras
correspondant est élevé et garde cette position :
quantités. » g) L'expérimentateur abaisse ses paupières , remet ses
bras
dans l'extension , puis ouvre les yeux, prend le
he (côté sensible à l'état de veille). 29 août.— Quand on touche le
bras
droit de B..., éveillée, avec le diapason vibrant
B... par le regard ; puis, il frictionne les muscles extenseurs ; les
bras
ne Planche XIX. LÉTHARGIE SOMNIATION : HYPE
r la compression ovarienne droite. — Dans une autre expérience, les
bras
étant contractures, par la même manœuvre, nous ré
(Pl. XXII) : elle est prise de catalepsie. Le corps est immobile; les
bras
demi fléchis et elle garderait longtemps cette po
u léthargie) ; on écarte les paupières, elle est en catalepsie et les
bras
élevés, gardent cette position. (Pl. XXIV). Nou
tudions ensuite les phénomènes de suggestion. On place le corps et le
bras
dans l'attitude d'une personne qui montre un obje
étincelles, ni boule rouge). S... sent que son cou se raidit, que ses
bras
tournent et assure qu'elle se voit tomber. C'est
u. 2° Période des contorsions. — Au bout d'un temps très court, les
bras
se mettent en croix, les membres inférieurs sont
ils disparaissent... Ces poissons... (Soubresauts, frémissements des
bras
, battements des paupières.) Tiens, allons-nous en
n'ai pas à juger mes parents... » Suzanne soupire, se plaint, met son
bras
sur son front et demeure immobile. — Au bout de q
éférés.) S... a de temps en temps des secousses dans les épaules, les
bras
, la tête, aussi parle-t-elle d'une façon entrecou
ile de produire des contractures variées. Dans la Planche XXXI, les
bras
sont contractures, l'un en anse, l'autre en flexi
il n'y a pas d'hyperex-citabilité neuro-musculaire. En revanche, les-
bras
, le corps, prennent et conservent l'attitude qu'o
ts de 5 millimètres que ceux de la main droite. Les avant-bras, les
bras
, les deux moitiés du tronc, les seins, ont les
ns la résolution la plus complète. Le chatouillement, le pincement (
bras
, tronc, jambes), ne pro- duisent aucun mouvemen
xaminer les yeux à l'ophthalmoscope, L... agite la tête et remue le
bras
gauche. La face est pâle, terreuse, non sudoral
a eu deux gar- de-robes. Tout à l'heure, la malade a maintenu le
bras
gauche élevé au-dessus du lit; ce membre, en gé
avant l'accès, elle éprouve une sensation d'engourdissement dans le
bras
gauche, prédominant dans le poignet; cette sens
auche, prédominant dans le poignet; cette sensation fait monter son
bras
« en l'air. » Puis, la tête se tourne à droite.
tout le matin, au moment du réveil. Avant l'accès, Br... a dans les
bras
, les jambes, le tronc, des secousses subites, r
tre : on eût dit qu'elle était morte. B... ne souffrait que dans le
bras
gauche. Elle n'avait point de battements de coe
é, jusqu'à 3 heures, la sensation d'eau glacée qui passait dans son
bras
gauche, depuis la main jusqu'à l'épaule. Elle a
des- sous du genou et ne se montre que très-légère sur les avant-
bras
. La rougeur des bras jusqu'aux coudes, du tronc,
et ne se montre que très-légère sur les avant- bras. La rougeur des
bras
jusqu'aux coudes, du tronc, des hanches, a été
er accès suivi d'un léger vertige. - Aura : spasme de l'index et du
bras
gau- che. - Nitrite d'amyle, diminution du nomb
ite d'amyle. 80 après des excès sexuels outrés, il eut un spasme du
bras
gauche qui commença par la main et en quelques
ortes inspirations. Le premier essai échoua, parce que le spasme du
bras
gau- che mit le malade dans un état nerveux qui
lre sont senties à 4 cent. à droite, et à 9 cent. à gauche ; sur le
bras
droit à S cent.; sur le gauche à 1 i. - La sens
son ventre se ballonne, son coeur bat de plus en plus fort, et le
bras
gauche devient lourd. C'est sur cet ensemble de
oh ! là là ! suivis de cris pharyngiens étouffés, de mouvements des
bras
, et d'un léger soulèvement du ventre. La tète s
tion est sus- pendue, succèdent les convulsions cloniques. c) Les
bras
et les jambes se tortillent; la malade se plaint
erveuses qui se réduisent-à quelques mouve- ments de la tête et des
bras
, à des spasmes pharyngiens et à des borborygmes
mbre, - Attaque. Nitrite d'amyle. La face* les oreilles, le cou les
bras
et un peu les avant-bras,, i- ue et un peu le v
vert d'une sueur froide. On essaya, mais en vain, delà saigner aux
bras
et aux pieds et ce ne fut qu'au bout de six heure
L... était paralysée et contracturée du côté droit. Ma jambe et mon
bras
, dit-elle, étaient tout retournés. . La parole
griève- ment blessée. . Soumise à divers traitements (saignée du
bras
, de la jugu- laire, etc.), elle n'en a retiré a
revient, mais incomplètement. L... crie qu'on lui tire la jambe, le
bras
ou la tête, qu'elle a des animaux dans les yeux
douleurs dans le côté droit du ventre et des fourmillements dans le
bras
et la jambe du côté droit. Elle dit être souven
et la jambe du côté droit. Elle dit être souvent réveillée par son
bras
droit qui saute. L'aphonie persiste. 15 févri
squ'à la hauteur de la bouche. Parfois, elle cherche à se mordre le
bras
ou la jambe et,en pareille circonstance, c'est
de secousses cloniques. La coloration de la face est normale. Les
bras
sont fixés le long du thorax, les avant-bras éten
(Forme hémiplégique) . Le membre supérieur est dans l'extension, le
bras
fixé le long du tronc. l'avant-bras allongé et
visage est ensuite remplacée par une congestion très-accu- sée. Le
bras
gauche se contracture dans l'extension et s'élève
es cris, voit des voleurs, essaie de se déchirer la . figure, les
bras
, les jambes, où elle a des « fourmiches, » se pla
la main, fermée, touchant l'épaule. La seconde attaque a .rendu au
bras
gauche la liberté de ses mouvements. Ce soir,
LEPSIE. 127 exécute de temps en temps un mouvement d'abduction du
bras
avec extension et pronation forcées de l'avant-br
t dans les membres ; elle dit ne plus savoir ce qu'est devenu son
bras
gauche, se lamente, prétendant qu'on le lui a enl
supérieur gauche, et l'usage de ce membre reparait... Soir. - Le
bras
et la jambe gauches sont libres. La sensi- bili
a laisse échapper dès que les paupières sont fermées. La main et le
bras
sont le siège d'un tremblement qui augmente dan
- Hier, de 3 à 4 heures, L... a eu cinq attaques dans lesquelles le
bras
gauche s'est encore porté derrière le dos. Le m
ments de la tête et à la face, où elles produisent des grimaces. Le
bras
gauche, qui se détache difficilement du lit, es
7 mars, - Hier, de ü à 9 heures, série d'attaques qui ont laissé le
bras
gauche fléchi et placé dans le dos. 9 mars. Soi
la cuisse droite est placée entre la jambe et la cuisse gauches. Le
bras
gauche est étendu, le droit fléchi; les mains s
que d'habitude. L... pleure et se plaint de douleurs vives dans les
bras
, les jambes et la tète. A 9 heures 1/2, nouvell
très-courte, à la suite de laquelle les jambes se sont étendues. Le
bras
gauche est dans la flexion exagérée, la main re
e, la main reposant sur l'épaule. 1 1 mars. Une attaque a laissé le
bras
gauche appuyé sur la colonne vertébrale. La mal
ntôt sortait démesurément de la bouche. Actuellement (6 heuresl, le
bras
est retourné dans le dos, la jambe gauche est n
tes : . . Membre supérieur droit. L'avant-bras est fléchi, sur le
bras
; les deux derniers doigts sont fléchis; l'index
emi-fléchi se porte en arrière et la main frappe le dos; ou bien le
bras
entoure le jarret de la jambe gauche qui est pe
? 0-lPlLEPSIL. transpercer la langue ou un large pli de la peau du
bras
, du ventre ou des jambes (1). La description
une grosse épingle, un pli fait à la peau des mains ou de l'a- vant
bras
; je ne parvenais à percer ce pli qu'avec un effo
et témoignant une grande rage de ce qu'il avait dit, se mordait au
bras
et se contournait horrible- ment... » A la Sa
emain de son entrée, elle s'aperçut, qu'elle avait une paralysie du
bras
et de la jambe gauches qui étaient « comme unes
t moyennement dilatées. L'insensibilité est générale. Sou- levé, le
bras
droit - qui n'est ni contracturé, ni paralysé,
e côté et, bien que le malade ac- cuse encore quelque faiblesse, le
bras
et la jambe ont récu- péré, au moins en partie,
la jambe ont récu- péré, au moins en partie, leurs fonctions. Le
bras
gauche est absolument inerte et la jambe corres-
ste dans les membres du côté gauche. L'avant-bras est fléchi sur le
bras
, le poignet sur l'avant-bras, et les doigts sur
en varus équin très-accusé. On y observe les mêmes phénomènes qu'au
bras
lorsqu'on veut le fléchir. 13 juillet. Ce matin
é trois jours, on a noté une paralysie ab- solue avec flaccidité du
bras
et de la jambe du côté droit. De temps en temps
STi : RO-EPILN.PSI1;. membre supérieur droit est devenu rigide ; le
bras
est allongé le long du thorax, l'avant-bras lég
le ronflait. Actuellement, elle est capable de mouvoir un peu son
bras
droit; mais, malgré ses efforts, elle est impuiss
ent mouillés. Elle n'a pas vomi aujourd'hui. Elle peut mouvoir le
bras
droit et montre que, à la rigueur, elle toucherai
tobre. La malade urine spontanément. Elle meut tant bien que mal le
bras
droit. M. Charcot lui fait faire l'exercice de
con- tinuent. -Persistance de la trémulation choréiforme dans le
bras
droit, ou mieux dans l'avant-bras, car les mouvem
ége de douleurs qui vont de l'épaule au coude. - La malade remue le
bras
droit ; dans les mouvements, on note encore l'a
se douter du mouvement qui se produit ; mais, dès qu'on soulève le
bras
et que l'articulation de l'épaule entre en jeu,
caractérisée surtout par des convulsions cloniques : la jambe et le
bras
du côté droit exécutent des mouvements violents
sont daus la même situation qu'avant l'attaque (contracture). Le
bras
droit est rigide, accolé au tronc ; Lavant-bras l
s l'ex- tension. 21 mars. Il n'y a pas eu de nouvelle attaque. Le
bras
et la jambe du côté droit sont redevenus libres
he, la ma- lade fait signe qu'elle ne peut avaler. Par instants, le
bras
droit se contracture. Les urines, aujourd'hui,
ment abondantes. L'épaule droite est douloureuse. Les mouvements du
bras
correspon- dant sont tremblants. 18 mai. Le t
voit cesser la contracture de la jambe gauche et diminuer celle du
bras
gauche. Alors, la bouche se laisse entrouvrir,
la main gauche, la malade assure avoir dans l'avant-bras et dans le
bras
une sensation qu'elle com- pare à une gouttelet
"3 cousses. Durant l'attaque, qui a duré trente minutes, l'avant-
bras
droit, fléchi sur le bras, est allé s'appliquer d
aque, qui a duré trente minutes, l'avant- bras droit, fléchi sur le
bras
, est allé s'appliquer dans le dos et il est res
lus parler et les quatremembressontcontracturés. Comme toujours, le
bras
gauche est dans la demi flexion et la jambe gau
du côté droit, ils ont l'attitude suivante : Membre supérieur. Le
bras
est accolé au tronc, l'avant-bras fléchi à angl
bras est accolé au tronc, l'avant-bras fléchi à angle droit sur le
bras
, la main modérément fléchie, les doigts dans la
t sur la moitié droite du tronc ; mais, au cou, à la face et sur le
bras
droit, la sensibilité n'est pas tout-à-fait abo
s semblables sur le trajet du plexus brachial (région claviculaire,
bras
, main). - Ces dou- leurs sont rappelées ou exas
La rigidité est toujours aussi intense aux membres inférieurs et au
bras
gauche. L'insensibilité est aussi absolue, et l
'épaule ne con- serve qu'un peu de roideur. L'élévation complète du
bras
n'est pas encore possible. Les douleurs lancina
bras n'est pas encore possible. Les douleurs lancinantes dans les
bras
et le membre inférieur droits la font toujours so
de cette sensation, elle s'est débattue de la tète, du tronc et du
bras
droit redevenu à peu près libre depuis le ma- t
s gauche, qui était for- tement fléchi, se met à angle droit sur le
bras
, puis qu'il s'al- longe brusquement et à l'inst
ements, d'ailleurs, sont bien plus libres. Tous les mouvements du
bras
gauche s'exécutent aisément, et la malade serre
e faibles; quelquefois, les genoux fléchissent. Elle se sert de ses
bras
. Hier soir, elle dé- clare avoir éprouvé des fo
tous les doigts de la main droite qui montent dans l'avant-bras, le
bras
, puis le côté droit de la face, la lèvre supéri
lle, il s'aperçut avec stupéfaction qu'il ne pouvait plus lever son
bras
droit. Il ressentit en même temps, dans ce même c
ins forte que du côté opposé. Il pouvail, en effet, lever encore le
bras
correspondant. Mais trois heures après le révei
ce même côté. Seules, les épaules étaient paralysées; les muscles des
bras
, des avant-bras et des mains étaient complèteme
celte attitude; il pouvait à peine esquisser un léger écartement du
bras
gauche. C'est vous dire qu'il ne pouvait aucune-
aire, était très. limitée. De même, les mouve- ments qui portent le
bras
en avant ou en arrière étaient à peine ébauchés.
totalité du muscle - produit l'élévation et l'abduction directe du
bras
, qui va s'écartant du tronc jusqu'à atteindre la
nt du tronc jusqu'à atteindre la situation horizontale. Pour que le
bras
puisse continuer de s'élever jusqu'à la verti-
un mot. Il n'en est plus de même, lorsque je le prie d'écarter les
bras
du tronc. L'abduction est certainement très lim
u tronc. L'abduction est certainement très limitée, surtout dans le
bras
droit, mais elle est un peu plus étendue qu'au
est un peu plus étendue qu'au début. Si je lui demande d'élever les
bras
, vous constatez qu'il ne peut y arriver; de même,
s musculaire, et ne peut être décelée que lorsque le sujet élève le
bras
, ou bien lorsqu'on provoque un mouvement d'élév
ha- bituellement sur le côté droit, ou bien la tête reposant sur le
bras
replié comme sur un oreiller. Dans les deux cas
ois à la suite de certaines attitudes (pronation forcée) imprimées au
bras
et maintenues pendant quelque temps, attitudes
il se l'ait que tous les gens qui dorment, comme notre malade, les
bras
repliés derrière la tète, ne se paralysent pas
e le bassin élevé, tandis qu'un assistant lui serrait fortement les
bras
en haut et en arrière. Quand elle sortit du som
e. Quand elle sortit du sommeil'chloroformique, elle avait les deux
bras
paralysés. 11 est à supposer que, dans cettre t
eux bras paralysés. 11 est à supposer que, dans cettre traction des
bras
en haut et en arrière, les deux clavicules sont
la guérison est pour ainsi dire complète. Les divers mouvements des
bras
ont retrouvé une étendue et une énergie à peu prè
ne étendue et une énergie à peu près normales. L'élévation des deux
bras
jusqu'u la verticale est non seulement possible m
it se tenir assis, il fallait qu'il restât couché ou appuyé sur les
bras
, les reins ne le soutenant pas (PI. l'et II). V
t pas (PI. l'et II). Vers )'age de 12 à 14 mois, les mouvements des
bras
s'améliorèrent et devin- rent presque normaux,
rent presque normaux, surtout pour le membre supérieur gauclie, le
bras
droit devenant raide, difficile il plier, lorsq
ler l'enfant.,Cette raideur disparut elle aussi peu il peu, mais le
bras
droit resta toujours plus faible, moins gros qu
u, mais le bras droit resta toujours plus faible, moins gros que le
bras
gauche. 24 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRI
gauche s'il n'est pas soutenu. L'enfant lève très difficilement les
bras
, même si on l'en sollicite en lui offrant un jo
si on l'en sollicite en lui offrant un jouet, un objet brillant; le
bras
gauche en particulier est très impotent; il est
ille n'est pas encore ferme ; elle ne parle pas, les'mouvements des
bras
ne sont pas réguliers et sont toujours raides. L'
un certain degré d'amyotrophie portant, pour l'observation I sur le
bras
droit et la cuisse gauche, pour l'observation I
ur le bras droit et la cuisse gauche, pour l'observation II, sur le
bras
gauche. A vrai dire on ne peut affirmer qu'il s
suite et devint sèche. - ,ter septembre ( ! 0° jour de la maladie).
Bras
, face et jambe gauches très tuméfiés. Taches pu
après la mort. Peau écailleuse sur tout le corps. Pigmentation des
bras
et des jambes. Plèvres, péritoine, péricarde et
5 heures, et constate avec stupéfaction qu'il ne peut plus lever son
bras
droit. Il a éprouvé, en même temps, dans la rég
région deltoïdienne gauche ; il pouvait cependant lever encore son
bras
gauche. Mais trois heures après, les secousses
ès, les secousses fibrillaires s'y sont montrées et la paralysie du
bras
s'est établie. Ces secousses musculaires ont duré
t duré environ 3 heures. Seules les épaules étaient paralysées. Les
bras
, les avant-bras et les mains étaient complèteme
constate ni atrophie apparente ni secousses fibrillaires. Les deux
bras
sont pen- dants sur les côtés du thorax, dont i
Une légère abduction est esquissée du côté gauche. L'élévation des
bras
est tout à fait impossible, même à l'état d'éba
tout à fait impossible, même à l'état d'ébauche. L'acte de porter les
bras
en avant ou en arrière est extrêmement limité.
il les en sortir. Lorsqu'on dit à cet homme d'essayer de lever ses
bras
, on ne sent pas sous la main la contraction des m
ire et coudre. De même les muscles des mains, des avant-bras et des
bras
sont respectés. Leur action n'est gênée, dans u
ALYSIE DU DELTOIDE (Attitude du malade dans l'extension maximum des
bras
). UN CAS DE PARALYSIE BILATÉRALE DU MUSCLE DELT
nt de vue de la motilité, est appréciable. Les divers mouvements du
bras
sont très nettement esquissés. L'abduction maxi
Tous les muscles de la jambe gauche sont d'ailleurs atrophiés. Les
bras
sont potelés ; les attaches du poignet fines, et
pement adipeux, ainsi qu'à la jambe. Le pied est étroit et plat. Le
bras
et l'avant-bras sont arrondis, le poignet mince
ivement envahi la jambe et la cuisse. Plus lard (novembre 1894), le
bras
du même côté s'est paralysé à son tour. 01' sa
s ne peuvent marcher qu'en s'appuyant sur des béquil- les ou sur le
bras
d'un guide. D'autres fois, il leur est possible d
e se limite pas au sein, elle s'étend dans l'aisselle et le long du
bras
. On ne perçoit au- cune tumeur dans l'orgaue, m
le avoit une grosse glande qui s'étendoit jusqne sous l'aisselle du
bras
en arrière et une espèce de grosse corde de la la
ie de tout le côté gauche. « Il lui prit un engourdissement dans le
bras
gauche qui, la nuit, dégé- néra en paralysie qu
puis ce tems,il lui a été impossible de faireaucun mouvement de son
bras
ni de sa main gauche, qui demeurèrent en tout t
glace et ne pouvoit les changer de place qu'en les prenant avec son
bras
droit, en poussant sa jambe gauche avec sa droi
et leur raccourcissement hideux, se raniment tout à coup ; déjà son
bras
a repris la vie, la chaleur et le mou- vement ;
étoit beaucoup plus courte que l'autre; elle se sert aisément de son
bras
'gauche,'elle s'habille et se codl'e avec ses m
sont couver- tes d'une peau nouvelle; la miraculée lève au ciel les
bras
dont l'un avoit été immobile depuis deux ans ».
ons les mouvements de llexion et d'extension de l'avant-bras sur le
bras
. Dans le mouvement de flexion, le système représe
Je suppose trois cas de flexion à angle droit de l'avant-bras sur le
bras
, dans chacun desquels le biceps soit dans un ét
. XVI. MOUVEMENTS DE FLEXION ET D'EXTENSION DE LAVANT-BRAS SUR LE
BRAS
. (Cliché A l.uudr.) L BATTAILLE ET C" ÉDITFUR
alors qu'augmente la vitesse de l'extension de l'avant-bras sur le
bras
. Les quelques considérations quelque peu techni
nons, comme exemple, la flexion et l'extension de l'avant-bras sur le
bras
, celui-ci demeurant vertical. C'est un des mo
ion au"lieu d'être au biceps, se trouve il la partie postérieure du
bras
, au.triceps. Je n'insiste pas sur ces faits qui s
x que nous venons d'observer dans la llexion de l'avant-bras sur le
bras
se montrent naturellement en bien d'autres circ
nouveau un mouvement très simple, la flexion de l'avant-bras sur le
bras
. \ Dans le mouvement lent, la main n'étant ch
- vons son avant-bras jusqu'à ce qu'il forme un angle droit avec le
bras
, nous constatons que le biceps restodans le rel
mêmes mouvements de flexion et d'extension de l'avant-bras sur. le
bras
, exécutés très rapidement et sans s'arrêter un
lent. MOUVEMENTS DE FLEXION ET D'EXTENSION DE L'AVANT-BRAS SUR LE
BRAS
. (Suite). (Cli ? 1. 1.II1l1lr.) L BATTAILLE ET
es parties d'un môme muscle (le deltoïde) lors de l'élévation d'un'
bras
en dehors. Le fait est particulièrement saisiss
sant et mérite que'nous nous' arrêtions un instant. L'élévation des
bras
en dehors et sous la dépendance du muscle deltoid
élévateurs, son tiers postérieur, au contraire,' est aliaisseur du
bras
; ce dernier tiers est donc antagoniste de l'autr
otographies instantanées, qui repré- sentent un homme abaissant un.
bras
pendant que l'autre s'élève et saisi juste au m
uvement. Nous venons de constater, dans le mouvement rapide, sur le
bras
qui monte, un relâchement du deltoïde bien avan
t. Exemples : dans la flexion ou l'extension de l'avant-bras sur le
bras
, celui-ci restant vertical, l'effort musculaire
t toujours aux extenseurs spinaux et fessiers ; dans l'élévation du
bras
en dehors ou dans son abaissement, l'action mus
ère d'une douleur en éclair remontant le long de la face interne du
bras
. A partir de juin 1891, le malade, incapable d'
la main sur une largeur correspondante, et, sur l'avant-bras et le
bras
, à deux bandes d'un centimètre et demi de large
ence, depuis la première phalange du médius jus- qu'à mi-hauleur du
bras
, de bandes hyperesthésiques antérieures et pos-
re placé sur son lit et qui allait tomber, lendit brusque- ment les
bras
en avant : la cicatrice cutanée se rompit, et- su
ité. Tous les nerfs du côté droit sont douloureux à la pression. Le
bras
droit est un peu plus faible que le gauche. Les
is plus d'un an d'une érup- tion récidivante des mains et des avant
bras
. Anesthésie de toutes les variétés do la sensib
nt de la paume des mains. Anesthésie il la douleur des mains, des
bras
, de la poitrine et des jambes. (Fig. 44) , XI.
5 ans est affecte depuis 5 ans d'un eczéma chronique des mains, des
bras
et des pieds. Anesthésie il la douleur du tronc
pouce-; le 17 janvier, après une crise douloureuse intense dans le
bras
et clans la main, apparition de quelques nouvel
che dans ses 2/3 supérieurs environ ; 4° enfin, elle descend sur le
bras
gauche jusqu'au niveau du pouce, en se limitant
Distribution analomique parallèle à certain tronc nerveux, comme au
bras
, par exemple ; . -, 3° Caractère névralgique de
hypoglosse gau- che, qui s'est trouvé paralysé en même temps que le
bras
et la jambe du côté droit. Ce serait donc encor
(Loiret), chasseur d'Afrique. Il reçut en 1858 un coup de sabre au
bras
droit et un coup de pied de cheval au genou gauch
son secours, on le relève et c'est alors qu'il s'aper- çoit que son
bras
et sa jambe du côté droit sont paralysés. La face
he = et la droite = 1 (1). Motilité des membres. Du côté gauche, le
bras
est parfaitement normal, la jambe a un peu perd
contracture en flexion. L'avant-bras est fléchi à angle droit sur le
bras
, la jambe à angle aigu sur la cuisse, le pied v
tracture de la jambe sur la cuisse droite et de l'avant-bras sur le
bras
. Encéphale. - La calotte crânienne est légèremo
ux humides et fatigués, ces lèvres pâles, ces mains blanches et ces
bras
amaigris, cette sensation de brisement du corps
alament sa tète sur un oreiller, et qu'elle abandonne mollement son
bras
au docteur, n'a pas l'air bien dangereusement a
pieds, des chaussures également ornées de pierres précieuses. Le
bras
et la main gauches sont cachés par ce manteau. D'
issée tient les jambes, l'autre, de profil, maintient d'une main le
bras
gauche du convive, et de l'autre soutient son épa
se entr'ouverte au col. On ne voit de lui que ses épaules, ses deux
bras
ligottés au poignet, et à sa tête. Cette tète,
ssion. On s'ex- plique mal cependant la nécessité de faire lier les
bras
et les jambes d'un homme pour le mettre il la p
rticulièrement intéres- sant par ses attitudes et son faciès, a les
bras
et les jambes emprison- nés dans des menottes e
cas. Le patient, assis sur un siège spécial, le haut du corps elles
bras
main- tenus par des cordes ou des liens, présen
le ventre, retenu par des liens ou par les draps bien sanglés, les
bras
libres ou non, suivant qu'il était plus ou moins
auteuil opératoire, un aide les ligotte solidement, maintient leurs
bras
, soutient leur tête, et au besoin leur bande les
a gauche, un personnage âgé renverse la tète en arrière et lève les
bras
en l'air, les mains croisées. Le chirurgien, un
l y est solidement maintenu par une écharpe bariolée fixée aux deux
bras
du siège et passant au devant de la poitrine. I
siège et passant au devant de la poitrine. Impossible de remuer les
bras
qui, eux aussi, sont emprisonnés sous l'écharpe
ts volontaires cessent même avant la perte de connaissance. Ici les
bras
levés, les mains croisées impliquent un geste e
genou droit. De la main droite il tient son bonnet appliqué sur le
bras
du fauteuil. Un aide, à sa gauche, s'efforce de
mmaillottée et bien fixée il son fauteuil de bois. Son corps et ses
bras
sont emprisonnés sous une large bande de fourrure
- Ce peu charitable personnage a le pied gauche sur son chapeau, le
bras
gauche en écharpe, et, un énorme coute- las sou
hapeau, le bras gauche en écharpe, et, un énorme coute- las sous le
bras
droit. Un hibou est perché sur le dossier de son
u. Pour le moment, il ne peut en faire usage, ayant le corps et les
bras
immobilisés par une large courroie de cuir qui
rent les uns contre les autres, c'est la « main d'accoucheur » ; le
bras
restant en extension ou en flexion, la main peu
semblant à des fourmis lui couraient partout dans le corps, dans les
bras
, dans les jambes, dans la tête. ' - 1 ils, ,
rement imaginaires. Tout à coup, à 5 heures du matin, elle sent ses
bras
devenir raides et se con- tracturer (pli. XLIV
s devenir raides et se con- tracturer (pli. XLIV et XLY). ? . Les
bras
s'éloignent du corps. L'avant-bras est en demi-fl
es bras s'éloignent du corps. L'avant-bras est en demi-flexion sur le
bras
, les coudes écartés du tronc. Le poignet reposa
'empêcher les contractures de se produire. Le moindre frôlement des
bras
et des mains produisait de vives douleurs (hype
ième mois apparaissent les crises tétaniformes avec participation des
bras
et des jambes comme précédemment. Le tronc et l
DE LA SALPÊTRIÈRE tion tibio-tarsicnne, sur la partie supérieure du
bras
, et inférieure de l'avant- bras, sur toute la m
sicnne, sur la partie supérieure du bras, et inférieure de l'avant-
bras
, sur toute la moitié antéro-latérale gauche de l'
domen, du thorax, du cou et de la face. Perte du sens musculaire du
bras
gauche. Côté droit. Simple diminution de la sen
x, il porte sur l'épaule gauche une grosse viole, et tient sous son
bras
droit un panier chargé de bouteilles, déboîtes,
tète ». Sur le dos du fauteuil est perché un oiseau fantastique, au
bras
est attaché un vieux soulier qui sert, faute de
lou- LES OPÉRATIONS SUR LA TÈTE 297 tes ses forces, et levant les
bras
au ciel : « Il faut qu'on lui retire la « pierre
mme semble très effrayé de ce spec- tacle et se sauve en levant les
bras
au ciel. -Peut-être Bruegel a-t-il voulu faire
la plupart des figurations de ce genre, la malade est debout ; ses
bras
ne sont pas attachés, sa tète est sim- plement
r l'épaule (3). Le Médecin de village qui est à Munich opère sur le
bras
(4). Un Arracheur de dents existe au musée Kums,
ur la tête, les mains croisées sous son tablier, un panier passé au
bras
gauche. Elle est pleine de compassion pour le m
ce dernier. L'opéré est assis sur un grossier fauteuil de bois, les
bras
attachés par de bonnes cordes et c'est en vain
¡m Le patient était assis sur un siège spécial (1), le corps et les
bras
atta- chés avec des cordes, la tète maintenue p
fluxion de poitrine et quelques accidents culanés syphilitiques au
bras
gauche. Maladie actuelle. Le 26 octobre 1892 la
e absolue de tous les muscles de la moitié inférieure du corps. Les
bras
sont libres. L'intelligence est intacte. Il n'e
de plus en plus vives, en même temps les mouvements surtout ceux du
bras
gauche deviennent difficiles. Au bureau central,
Pitié au bout de quelques jours il ne peut depuis se servir de son
bras
gauche, ses jambes com- mencent a perdre leurs
une saillie nettement accentuée ; le deltoïde est bien conservé, le
bras
s'élève en abduction très faci- lement à angle
stance est très nettement fibreuse et il est impossible d'élever le
bras
en abduction à plus de 30° ; le pectoral dont l
ieurs, et le malade ne peut résister lorsqu'on cherche à écarter le
bras
du thorax. Des deux côtés le biceps se contract
acile- ment à l'un et à l'autre côté de fléchir l'avant-bras sur le
bras
malgré la résistance du malade. Les deux avant-
pination ne peut se faire qu'après avoir fléchi l'avant-bras sur le
bras
et en portant forte- ment le coude en dedans, l
une corde sail- lante, mais lorsque l'avant-bras est étendu sur le
bras
le mouvement de supi- nation est impossible. A
ntent le torse et la tête for- tement rejetés en arrière (2) et les
bras
étendus (3), on peut dire que la description pr
lement, localisés d'abord à la main droite, ont envahi peu à peu le
bras
, la jambe du même côté, puis le côté opposé du co
e ici, acquiert presque l'importance d'un signe pathognomonique. Au
bras
, le biceps malgré la pronation de l'avant-bras es
t préalablement mis en supination. - 1 A la partie postérieure du
bras
, le triceps est aussi rigide que le bicèps, ' e
e : il n'a pas eu la syphilis et n'est pas alcoolique. ' Il a eu le
bras
gauche fracturé à l'âge de huit ans (il y a trent
et les fonctions de ce membre n'ont jamais été égales il celles du
bras
droit, depuis cet accident. Début. L'affection
alcoolisme ni de syphilis. Début. - Souffre depuis longtemps de son
bras
droit. Il y a cinq ans déjà ressentait des doul
l y a cinq mois. N'a jamais rien ressenti de semblable dans l'autre
bras
. Etat actuel, déformation. - La main droite vue
tement connaissance. Il se rappelle bien qu'il ne pouvait remuer ni
bras
ni jambes, que ses membres, soulevés par le méd
e dos appuyé. Les avant-bras se tiennent légèrement fléchis sur les
bras
. L'extension complète, soit spontanée, soit pro
ements provoquent une certaine douleur dans la partie antérieure du
bras
. D... peut à peine tenir son verre et le porter
atigue vite. Il regrette de ne pouvoir, en marchant, s'aider de ses
bras
, trop faibles pour se fixer à un appui. La jamb
quième et sixième vertèbres cervicales (sauf un peu de faiblesse du
bras
gauche). Une guérison complète est relatée parKùs
au niveau du milieu de la plante du pied 11 pouces ? - Les avant-
bras
et les jambes ne montrent aucune augmentation de
en tout cas il semble exister un certain désaccord entre eux et les
bras
dont les dimensions laissent un peu à désirer. L'
e des mains. Depuis quatre ans, disparition des douleurs dans les
bras
et les jambes. Dès le début de la maladie, faib
) et très larges (15 à 25 mm). ' La musculature de l'épaule et du
bras
est en bon état, au contraire les flé- chisseur
s nous apercevons pour la première fois que lorsque l'on écarte les
bras
d'Antonia E... dans Imposition horizontale, elle
lalui faire garder plus de quinze minutes; au bout de ce temps, le
bras
tombe peu il peu, sans secousse, ni tremblement
le phénomène un rôle important, car si on interpelle la malade, les
bras
étant ainsi placés, ceux-ci retombent pendant q
ges fatigants, et ne conserve pas les altitudes qu'on imprime à ses
bras
. croyant se faire mourir, boire dans les seaux
asse les mains. " Le 23, on provoque les attitudes horizontales des
bras
; la malade les modifie rapidement quand on lui
Le 8 octobre, on la trouve à plat ventre par terre, toute raide, les
bras
et les jambes étendus, une main étendue, l'autr
leptique et sur un simulateur on place un tambour à réaction sur le
bras
étendu et un pneumographe sur la poitrine, voic
tambour à réaction placé sur la face dorsale de la main droite, le
bras
étendu Iorizoutalement. - Chaque ligne icpi-ésent
75 procédés d'investigation, voici ce que nous avons constaté'. Les
bras
de la malade sont étendus horizontalement, un t
est figurée à l'état de repos dans la figure27, nous voyons, si les
bras
sont étendus horizontalement, le tracé 1. Les t
spiration et d'expiration. Si l'on fait tenir horizon- talement les
bras
de celte malade pendant, plusieurs minutes, ces
l"le mjor..IJ'¡1C placé sur les cWensems, : 1 ? 1'y,ml-liraulroil, le
bras
'étendu horizontalement pendant 1 : minutés.' - C
écutives.) ... ? 1 ' " z Fie. 28. - Respiration du même sujet les
bras
étendus horizontalement. (Ce tracé reproduit 27 s
. Fig. 31. - Exemple d'un lire isolé chez la malade .\nl. E..., les
bras
étemlus hOlizonlalcll1ont. (fraie réduit de moi
. n. 6 82 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPËTRIËUE. soulever les
bras
du malade afin que la traction qui s'exerce sur l
'est ainsi suspendu, il lui commande de temps en temps de lever les
bras
, doucement et verticalement, de manière à rendr
e malade doit quitter son vête- ment de dessus de façon à avoir les
bras
libres ; le cou doit être nu, ou du moins ne pa
SALI·I : 'l'111E1.>;. ceau claviculaire. Lorsque le sujet a les
bras
étendus horizontale- menton peut constater enco
plus tenir ni diriger l'aiguille, et que par suite de leur poids les
bras
se fatiguaient rapidement; la marche serait dev
ion vigoureuse, musculature molle. On est frappé de la maigreur des
bras
et des jambes que rend d'autant plus saillante
n avant la supérieure du 5 millimètres. L'ACROMÉGALIE. 99 Les
bras
étant pendants, l'extrémité des doigts arrive jus
out le segment supérieur de la moitié ' gauche du corpsy compris le
bras
; le segment supérieur de la moitié droite , est
, elle se plaint de ressentir des douleurs dans l'épaule et dans le
bras
du côté droit et un peu aussi dans l'avant-bras
ures se produisent spontanément dans le membre supérieur droit : le
bras
est en adduction contre le tronc, l'avant-bras fl
adduction contre le tronc, l'avant-bras fléchi à angle droit sur le
bras
, la main fléchie sur l'avant-bras et les doigts f
a jamais été complètement indemne, car jusqu'au mois de juillet, le
bras
gauche a été animé de mouvements involon- taire
e pousse un cri et tombe à lerre. Tous les membres sont raidis, les
bras
en croix, les jambes légèrement écartées, le pouc
rouge, les dents claquent, la langue est mordue quelque- fois, les
bras
sont agités de petits mouvements de peu d'étendue
jusqu'au cou par des draps bien tendus, ou passant au dehors leurs
bras
nus. L'un boit une tasse de tisane, l'autre tie
e patient d'ailleurs paraît peu inquiet; - : . il lui abandonne son
bras
droit pendant que, de la main gauche, il tient
rgie conseillent, en semblable occurence, de placer dans la main du
bras
qui doit être saigné un objet quelconque, le pl
e d'amour, du musée de la Haye, une jeune femme assise présente son
bras
au médecin qui lui tâte le pouls et paraît fort
on visage un linge imprégné de fortes senteurs. L'autre soutient le
bras
sur lequel un tout petit bandage, appliqué au niv
supérieurs, le tremblement est peu accusé lorsqu'on fait tendre le
bras
du malade et qu'on lui fait écarter les doigts, c
ertains points qu'en d'autres. C'est ainsi qu'a la partie externe des
bras
, au niveau des pectoraux, sur la partie antérie
eau est absolument sèche. Les masses musculaires des cuisses et des
bras
paraissent diminuées de volume, même à l'état d
emblotante. Les mains sont prises d'un léger tremblement lorsque le
bras
est étendu. La force musculaire paraît conservé
t écartés du tronc, les avant-bras étant légèrement fléchis sur les
bras
; les mains fléchies sur les avant-bras reposen
t par l'atti- tude des membres. Les avant-bras sont étendus sur les
bras
, les jambes sur les cuisses, de telle sorte que
« d'énervement » dans le poignet gauche. Peu à peu,- lentement, le
bras
devint maladroit, sujet à des raideurs; elle avai
ement produisait une certaine amélioration. Après chaque séance, le
bras
et la jambe malades étaient moins engourdis, pl
jours après sa sortie elle était, dit-elle, aussi impotente de son
bras
et de sa jambe gauches que lors de son entrée à l
onctionnel. Leurs mouvements sont rapides cl'précis, tandis que les
bras
et la jambe du côté gauche raidis et comme soud
servation que ce qui a trait au spasme de la face et du cou. , Le
bras
droit est anesthésique; la jambe droite l'est éga
environ, il s'est aperçu que le côté gauche devenait faible, que le
bras
et la jambe n'avaient pas leur vigueur ordinaire.
rouver une cause quelconque à ce qui lui est arrivé, aujourd'hui le
bras
et la jambe gauche sont complètement paralysés, L
acture est si accentuée chez cette malade qu'elle ne peut tenir son
bras
horizontalement pendant quelques minutes sans q
qu'il se contracte immédiatement. Si je romps celte contracture du
bras
par une friction et une malaxation des mus- cle
itions. En même temps, la langue se contracture et se dévie vers le
bras
contracture; les contractures du bras et de la
ntracture et se dévie vers le bras contracture; les contractures du
bras
et de la langue s'associent donc chez cette mal
A onze ans, contracture des deux membres du côté droit; guérison du
bras
droit au bout de dix-huit mois. Le membre inférie
que son membre inférieur droit était raide. Peu de temps après, le
bras
droit se raidit aussi. Le membre supérieur était
e en flexion, les doigts fléchis dans la main, la main sur l'avant-
bras
, l'avant-bras sur le bras et porté dans la rotati
léchis dans la main, la main sur l'avant- bras, l'avant-bras sur le
bras
et porté dans la rotation en dedans et l'adduc-
: le pied en extension (fig. 59, CO). Au bout de dix-huit mois, le
bras
s'est guéri graduellement (en plusieurs semaine
y en a entre les réactions des deux jambes d'une part et celles des
bras
d'autre' part. Par exemple, l'interruption du c
xemple, l'interruption du courant galvanique donne des secousses au
bras
avec 3° du galvanomètre gradué en milliweber,
sses, partant de la jambe gauche, se généralisent successivement au
bras
gauche, au membre inférieur droit, au bras droi
lisent successivement au bras gauche, au membre inférieur droit, au
bras
droit, à la face. En pressant sur la région tum
e ; on emploie derechef l'émétique, on a recours il des saignées du
bras
et du pied, et à plusieurs autres remèdes qui ado
métique. Il ajoute coup sur coup la saignée de la gorge à celles du
bras
et du pied. Il met tout en oeuvre pour sa guéri
jusqu'à la chaise qui l'attend à la porte ; deux la prenant sous les
bras
lui soutiennent tout le corps, et une troisième
se, la jambe et le pied gauche, et incomplète sur la langue, sur le
bras
et sur le reste de ce côté. Aussi conserva-t-el
e reste de ce côté. Aussi conserva-t-elle quelque mouvement dans le
bras
gauche qui même se fortifia un peu ; mais elle se
ière qui tenoit à sa jambe gauche et qui étoit passée autour de son
bras
droit, par le moyen de laquelle tirant en avant
age lui procura quelque soulagement : un peu plus d'action dans son
bras
paralytique sans cependant aucune sensibilité,
bégayer s'énonce parfaitement avec la liberté la plus entière ; ce
bras
privé de tout sentiment et de presque tout mouv
Dieu, où l'on con- state l'état suivant : Paralysie incomplète du
bras
gauche ; par contre le membre in- férieur est t
lades, il y avait comme différence entre le plus grand périmètre du
bras
malade et celui du bras sain, trois centimètres,
différence entre le plus grand périmètre du bras malade et celui du
bras
sain, trois centimètres, et chez un autre malad
jours Quelque temps après, apparut le tremblement de la jambe et du
bras
droits. Ce tremblement succédait aux attaques et
sorte qu'il ne ressentit aucune douleur. Aussitôt la chute, les deux
bras
se contracturèrent le long du corps, les avant-
contracturèrent le long du corps, les avant-bras en flexion sur les
bras
, les doigts fléchis, les mains déviées vers leu
e fois entré Li l'hôpital, l'état persista tel qu'après la chute; les
bras
restèrent contracturés, les jambes flasques. La
archer. Quelques jours plus tard, la guérison de la contracture des
bras
survint plus brusquement encore. Pendant cette
l t91E ÉTUDE DES TROUBLES TROPHIQUES DAKS L'IIYSTÉ .1 E' Z : le
bras
droit, et cela dès le début, commencèrent à s'atr
commencèrent à s'atrophier, la main droite se mettant en griffe, le
bras
droit s'atrophiant dans sa totalité. L'atrophie
débuta par la main, prenant d'emblée tous les muscles, elle gagna le
bras
; le malade a nettement remarqué qu'elle était p
a le bras; le malade a nettement remarqué qu'elle était précédée au
bras
comme à là main de. secousses fibrillaires...'.
'. il Au bout de sept ou huit mois, tout était fini ; la main et le
bras
avaient re- pris leurs fonctions, l'atrophie av
ns, l'atrophie avait disparu.. ' ' , , C'estalors que la main et le
bras
gauche commencèrent à être à leur, tour envahis
ne du thénar. Ces mouvements fibrillaires se retrouvent sur tout le
bras
gauche. Le malade qui les a parfai- tement cons
60 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. L'atrophie intéresse le
bras
gauche dans sa totalité ; elle ne dépasse pas l
seize ans, C... avait gardé une certaine difficulté à se servir du
bras
droit, surtout pen- dant les froids, lorsque, a
ue, au mois de mars 1889, la malade s'est éveillée un matin avec le
bras
droit contracturé, les cinq doigts fléchis dans l
s la main droite d'une aura débutant par l'extrémité des doigts; le
bras
se soulève horizontalement; puis surviennent de
l (^8 octobre 1889). - C... marche avec une béquille placée sous le
bras
gauche, la jambe gauche paraissant trop courte po
la paume de la main; le tliénartrès atrophié (fig. 76). L'avanl-
bras
et le bras ne participent pas à l'atrophie. Pas d
de la main; le tliénartrès atrophié (fig. 76). L'avanl- bras et le
bras
ne participent pas à l'atrophie. Pas de (rouble
ontracturé des quatre membres et l'atrophie porte uniquement sur le
bras
droit et le côté droit du tronc, y compris la fes
forts du côté droit : l'hémianeslhésie du malade siège à droite; le
bras
droit a été atteint, à un moment donné, de chor
endante de l'atrophie partant des muscles de la main pour gagner le
bras
et l'avant-bras droit. Puis elles ont disparu, la
on plaçait les pôles de la pile à courants interrompus l'un sur le
bras
, l'autre sur la face externe de l'avant-bras, a
ns la nuit du 22 au 23, sommeil agité, énervement, crampes dans les
bras
, épistaxis. 270 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S.1
tent les mêmes. 28jwùi. Dans la nuit, tremblement dû la jambe et du
bras
droits : durée : 30 secondes, suivi de crampes
térisée, il a été pris d'un tremblement très rapide et très fort du
bras
et de la jambe du côté droit. Ce tremblement a
ésie avec dissociation remonte jusqu'au tiers inférieur de l'avant-
bras
. Les 8-9-10-11 août.. Mèmeélal, la main reste b
renverse, et brusquement, après des mouvements de circumduction des
bras
, à grande amplitude, il décrit un arc de cercle
cercle, couché sur le flanc droit, le ventre tourné il droite, les
bras
et la tête rejetés en arrière. Ces grands mouveme
es dé- placements de la tête, quelques mouvements des jambes et des
bras
d'ordre banal, il se met à parler à haute voix,
t ou huit heures. L'anesthésie remonte jusqu'à In partie moyenne du
bras
. Les autres stigmates n'ont suhi aucune modifi-
présenté une série d'accidents de nature hystérique (contracture du
bras
droit, 276 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALl'ETK
lièrement sur le membre inférieur gauche ; il existe également sur le
bras
et se montre d'une façon intermittente sur le t
rche ni par la station debout prolongée; il siégeait quelquefois au
bras
gauche et à la main. Les attaques le ramenaient
la région sternale, le malade ayant gardé l'immobilité absolue, les
bras
croisés, nous a donné le même résultat négatif.
que sa localisation, sur les parties latérales du tronc et- sur les
bras
. Au point de vue objectif, c'était un eczéma vulg
par de nombreuses petites vésicules disséminées sans ordre; sur le
bras
, par des vésicules et de petits placards arrond
roit : abolie il 90° et au- UN CAS DE SYnINGOIYÉLIE. 317 dessous.
Bras
gauche et droit (jusqu'au moignon de l'épaule) :
Le sujet a 1 m. 79 de hauteur et pèse 7o kilos. Grande ouverture des
bras
, 1 m. 79. La face, entièrement glabre, avec que
nnels. Individu de stature médiocre (1 m. 58). Grande ouverture des
bras
, J m. 71. Poids, 50 k. Crâne d'aspect normal. C
l'urine ne présentent rien de pathologique. Réflexes tendineux des
bras
exagérés ; réflexes patellaires abolis. Trembleme
ls marchent sans canne en soute- nantie poids du corps à l'aide des
bras
appuyés sur les cuisses. Dans leur ensemble, l'
uand le malade empoigne un objet. Après l'avoir invité à étendre le
bras
avec force (comme s'il voulait me frapper), nou
(comme s'il voulait me frapper), nous l'observons quand il étend le
bras
inconsciemment, pour prendre un objet placé à q
le mouvement mono-articulaire, par exemple qu'il étende vivement le
bras
dans le coude, qu'il fasse un mouvement d'oppos
de muscles qui se mettent en contraction simultanée : adducteurs du
bras
, fléchisseurs de l'avant-bras ; allongeurs du m
flaccidité musculaire prononcée : en voulant avec forcé étendre les
bras
, c'étaient toujours les fléchisseurs qui s'opposa
ls étaient dans l'impossibilité de faire le même acte avec les deux
bras
. En voulant lever le bras dans la position d'exte
ilité de faire le même acte avec les deux bras. En voulant lever le
bras
dans la position d'extension, le malade essaie
quitter la position qu'il a involontairement acquise (adduction du
bras
, flexion de l'avant-bras), mais jamais il ne fait
oit obtenu ; le malade prend une position quelconque : adduction du
bras
, flexion du coude; extension du membre inférieu
uent par leur irrégularité. Aux mem- bres supérieurs l'adduction du
bras
avec flexion dans le coude peut se combiner d'une
ysies radiales. Le radial est le nerf de l'extension. Il innerve au
bras
le triceps bra- chial (le long triceps, les deu
muscle long supinateur qui est un puissant fléchisseur de l'avant-
bras
sur le bras n'est paralysé que dans les plaies de
supinateur qui est un puissant fléchisseur de l'avant- bras sur le
bras
n'est paralysé que dans les plaies de la partie m
le bras n'est paralysé que dans les plaies de la partie moyenne du
bras
ayant intéressé le nerf radial au-dessus de l'éme
es, à des suppléances musculaires. . , - Il peut ainsi employer son
bras
blessé pour s'habiller, souvent aussi pour teni
orsqu'il s'agit d'une lésion grave du cubital au niveau de l'avant-
bras
ou du poignet, en aval de l'émergence des filets
dier principalement lorsqu'il s'agit de plaies de l'aisselle ou du
bras
. Le type le plus fréquent est réalisé par la pa
dans les cas si nombreux de plaie en séton de la partie interne du
bras
. Lorsque la lésion du nerf médian revêt la form
attitudes de défense, le retrait en flexion de tous les segments du
bras
qu'adopte volontiers le blessé, sont causes d'ank
nt de ce fait une étude détaillée.. Que ces nerfs soient touchés au
bras
ou à l'aisselle, les signes sont identiques. Tr
lètes. Lorsqu'un projectile a sectionné ou écrasé les deux nerfs du
bras
par ' DÉFORMATIONS DE LA MAIN PAR BLESSURES DES
. 2. Conséquences immédiates. - Immédiatement après la blessure, le
bras
se fléchit à angle droit et resta ainsi pendant
pénible dans le milieu du pli du coude et de la face antérieure du
bras
. 84 LA1GNEL-LAVASTINN ET PAUL COURBON < 7.
. Excitabilité mécanique. - L'excitabilité mécanique des muscles du
bras
, de l'avant-bras et de la main ne paraît pas modi
subluxation du coude, qui empêche l'extension complète de l'avant-
bras
et limite sa supination. 4. Motililé volontaire
ius. Il s'aperçut de sa blessure en constatant le dérohement de son
bras
en voulant se relever. On voit la cicatrice d
urent pas atteints. 2. Conséquences immédiates. - Immédiatement son
bras
se mit en exten- sion et la main tomba sur l'av
ant-bras en pronation conserve un certain de- gré de flexion sur le
bras
, la main tombe sur l'avant-bras avec les quatre d
à terre et c'est lorsqu'il voulut se relever qu'il constata que son
bras
ne pouvait pas le porter. On constate l'orifi
as le porter. On constate l'orifice d'entrée sur la face externe du
bras
au niveau de la diaphyse et l'orifice de sortie
areil plâtré, l'avant-bras étant en flexion presque complète sur le
bras
, avecun poids de deux kilogrammes sus- pendu au
ns que le sujet puisse la modifier sensiblement. Seule l'abduction du
bras
s'esquisse un peu ; l'avant-bras et la main son
uter à tout le membre tous les mouvements. Toutefois l'abduction du
bras
ne saurait dépasser l'horizontale; on est arrêt
trophiques de la main. Amaigrissement notable de l'avant-bras et du
bras
par rapport à l'autre côté. il. Excitabilité mé
ce de l'orifice de sortie se voit, sur la face palmaire de l'avant-
bras
, en un point symétrique. L'os n'a pas été atteint
t debout dans la tranchée, par un éclat d'obus, qui lui traversa le
bras
gauche, en dehors, au niveau de la partie moyen
t qu'il n'y avait aucune fracture. 2. Conséquences immédiates. Le
bras
tomba en extension aussitôt, sans que le blessé
sans que le blessé pût le relever. Il conserva pendant longtemps le
bras
en'écharpe, et on lui mit une planchette sous l
Attitude actuelle. Elle date du début chute de la main sur l'avant-
bras
. Les doigts pendent à peine fléchis. - 4. Motil
léchis. - 4. Motilité volontaire actuelle. - Tous les mouvements du
bras
, de l'avant- bras et du poignet sont possibles.
ité volontaire actuelle. - Tous les mouvements du bras, de l'avant-
bras
et du poignet sont possibles. Seule l'extension d
ent une douleur, mais comme une courbature à l'intérieur de tout le
bras
. C'est une sensation qu'il compare à celle que
n par rapport au corps.Au total, lorsqu'on fait étendre au sujet le
bras
en pronation et qu'on regarde le dos du membre,
des doigts après perforation de l'extrémité inférieure de l'avant-
bras
; VIII, paralysie hystérique de la main après frac
ne pûmes découvrir que deux petits sillons sus- pects au milieu du
bras
, comme si le tricot du malade s'était imprimé s
un éclat d'obus est entré au tiers inférieur de la face interne du
bras
droit et est sorti sur sa face antérieure à la
En somme, lésion du médian et du cubital à la partie inférieure du
bras
, accentuée, mais non complète. Ce oui est parti
5 : balle de shrap- nell ayant traversé la région antéro-interne du
bras
gauche au quart supérieur. Il se présente le 25
s dans les trois premiers doigts, douleurs qui s'exagèrent quand le
bras
est pendant et sur lesquelles les influences mo
entre autres (fig. F.), où un coup de couteau à la face interne du
bras
avait sectionné Tarière numérale qui fut liée ; l
auparavant, à la suite d'une blessure par balle du tiers inférieur du
bras
ayant fracturé l'humérus; le nerf radial fut tr
pas hypotonique ; blessure à peu près identi- que ()/4 inférieur du
bras
, fracture de l'humérus) ; tous les autres signes
une balle entrée au tiers supérieur de la partie antéro-externe du
bras
droit , sortie à la même hauteur sur la partie
balle, au Tonkin. Transporté dans un hôpital, cinq heures après, le
bras
présente des proportions énormes à cause de la di
ieur.Après trois semaines, l'enflure ayant suflisamment diminué, le
bras
fut placé dans une gouttière. Il ne paraissait
cuir, deux manchons lacés enveloppant l'un Pavant-bras, l'autre le
bras
et maintenus l'un à l'autre par un lien élastique
ite. Matin et soir, à l'aide de sa'main gauche, il fait faire à son
bras
droit des mouvements en tous sens. Puis, il s'a
re supérieur droit est très atrophié dans son segment supérieur. Le
bras
surtout au tiers inférieur présente une diminut
'affirment en relief très saillant. Tous les mouvements de l'avant-
bras
sur le bras peuvent s'exécuter : mouvements de fl
n relief très saillant. Tous les mouvements de l'avant- bras sur le
bras
peuvent s'exécuter : mouvements de flexion, d'ext
légèrement par un mouvement global, puis l'avant-bras est fixé sur
bras
en flexion à 45 degrés et enfin la main glisse
u-pieds ; d'au- tres dégrafent leur équipement et s'en chargent les
bras
; beaucoup, mal- habiles à renfermer dans la cu
rs, soutenant de sa main valide les chairs pantelantes de son autre
bras
arraché et ne réclamant rien autre chose qu'un pe
mbrassent jamais leur femme en public et ne lui don- nent jamais le
bras
dehors. Naturellement ignorants des raffinement
lité thermique normale. Sens musculaire conservé. L'élévation des
bras
se fait normalemeut. Pollakyurie; urines troubl
ut légèrement serrer avec les doigts ; mais il ne peut soulever les
bras
ni les avant-bras au-dessus du lit. Lagophtalmo
en descendant l'escalier. Guérison complète. , Observation IX.
Bras
... Désiré-Louis-Joseph, X5e régiment d'infanterie
rois ans après l'infection syphilitique, paralysie transitoire d'un
bras
et du releveur de paupière des deux côtés. Deux
ninges. CESTAN (obs. I). Syphilis de 1 mois. Paralysie d'abord d'un
bras
, puis de l'autre. Pas de symptômes du côté des
. Après traitement "iodomercuriel pendant 5 mois, amélioration d'un
bras
, mais aggravation de l'autre. CI D 238 ' PETR
ration. Réflexes rotuliens conservés. Parésie plus développée en un
bras
qu'en l'autre. Pas d'autopsie. Le cas de Brauer
s d'un an, on trouve que les symptômes des membres ont commencé aux
bras
(Wandel) ou ont été les plus développés aux bras
s ont commencé aux bras (Wandel) ou ont été les plus développés aux
bras
(Strauss). Il est évident que ce fait parle en
x membres supérieurs), Crocq (des symptômes d'abord seulement en un
bras
), Cestan (obs. 1) (symptômes exclusivement du c
rvés dans ces cas. Dans le cas de Crocq, les symptômes du côté d'un
bras
ont montré plus de résistance contre le traitem
traite- ment par le mercure n'a pas amélioré les symptômes d'un des
bras
. Cela peut bien être expliqué, s'il s'est agi d
ieurs qui dura peu de temps, mais ensuite est venue une parésie des
bras
, avec des troubles légers de la sensibilité. Ce
ie faciale est guérie, mais il est survenu encore une paralysie des
bras
. lia succombé à une pneumonie au commencement d
e étant prise entre la sacoche que portait le cheval et le pavé, le
bras
fut légèrement tiraillé. Le malade ressentit une
de ressentit une douleur assez vive à la main, remontant le long du
bras
gauche jusqu'à l'épaule ; en même temps, engour
long supinateur paraît aussi fort que du côté sain. L'atrophie du
bras
est minime ; elle parait porter essentiellement s
a famille. A l'âge de 26 ans, il s'est aperçu que son épaule et son
bras
gauches mai- grissaient et simultanément s'affa
s derniers, les douleurs sont devenues plus vives et l'impotence du
bras
a augmenté, sans qu'il puisse dire si cette impot
veau de l'articulation même. D'ailleurs, il porte très aisément les
bras
en avant, en haut, en dedans ou en arrière sans s
t postérieurs. Cette atrophie n'empêche pas le malade de porter ses
bras
latéralement jusqu'au-dessus de l'horizontale e
e est loin d'être limitée au deltoïde ; elle porte également sur le
bras
, au niveau du biceps surtout, au niveau du tric
u niveau du triceps à un moindre degré ; quand le malade fléchit le
bras
, le biceps se contracte avec beaucoup de force, m
aule autres que le deltoïde; aucun décollement de l'omoplate ni les
bras
pendants, ni les bras projetés en avant, aucune
eltoïde; aucun décollement de l'omoplate ni les bras pendants, ni les
bras
projetés en avant, aucune dépression sus ou sou
tait profonde de 4mè- tres ; l'enfant tombe sur l'épaule gauche, le
bras
porté en arrière ; il eut quelques douleurs, ma
lques semaines de. ces douleurs, la malade ne pouvait plus déverses
bras
jusqu'à la ligne horizontale, ni mettre ses mains
te paroi et la face antérieure de l'omoplate (scapulae alatae). Les
bras
de notre malade présentent une forme masculine :
sion, on arrive à empêcher le mouvement. Impossibilité de lever les
bras
antérieurement ou latéralement, même avec le plus
de la paroi thoracique. Si l'on fixe l'omo- plate, l'élévation des
bras
est possible jusqu'à l'horizontale sous l'action
signaler à propos de la fonctionnalité des muscles de la face, des
bras
, des [avant-bras, des sterno-mastoïdiens, des m
que difficulté s'il était obligé, pour son travail, de soulever les
bras
. A 20 ans, il fut réformé du service militaire po
, il a accusé une difficulté toujours plus prononcée à soulever ses
bras
, en avant ou latéralement, à mettre ses mains s
bien conservées. Le malade peut porter en avant et latéralement ses
bras
, mais il n'arrive pas à atteindre la ligne hori
d'un grand penchant à la colère. Les malades disent qu'ils ont les
bras
et les jambes rompus, mais ils ne s'alitent que
résie. Ainsi, en marchant, l'enfant fauche de la jambe gauche ; ses
bras
sont collés au corps, 304 . d'espine P, ses a
t %tomber parfois les objets qu'elle tenait. La malade sentait le
bras
plus lourd, mais elle pouvait encore *se peigner.
portant. On lui conseille l'applica- tion de courants faradiques au
bras
. , Nuit du 14 au 15. Elle se réveilla sur le ma
rtout dans les flexions. En même temps contracture intermittente du
bras
. Pas de céphalée. On lui donne dé la quinine-
pas à parler et ne peut pas dormir. Vomissements. Contracture du
bras
plus prononcée. . 19. - Même état. ° 20. - Po
mais mange encore régulièrement. Doigts de la main gauche flasques.
Bras
et avant-bras en contracture. 23. - Elle se tro
née. Pendant la nuit attaque jacksonienne lui prenant la face et le
bras
gauche. Inégalité pnpillaire et réac- tion pupi
s, état général meilleur. La céphalée moins intense. Contracture du
bras
gauche augmentée. On lui fait une WR. Résultat
e paralysie faciale gauche, flasque, bien accentuée. Paralysie du
bras
gauche en forte contracture. Paralysie spartiqu
s 18 jours. Elle a commencé par des contractures et la paralysie du
bras
, la paralysie de la face et, en dernier lieu, a
es applications de rayons X et elle a déjà commencé des massages au
bras
gela la jambe gauches encore paralysés, mais fl
lasques. Il y a Uabinski, mais moins vif qu'autrefois, el il y a au
bras
gauche, à côté du réflexe tricipital, un réflexe
de tête. Le médecin appelé a pu constater un peu de parésie dans le
bras
gauche. Température : 35"5. Le pouls : 85 pulsa
e, avec de fortes douleurs de tête. Absolument aucune flaccidité du
bras
gauche ne se manifeste. Selles très dures obtenue
des indices d'hémiplégie du côté gauche, avec complète paralysie du
bras
et de la jambe gauches, ainsi que de la partie
uille, elle peut parvenir à faire des mouvements défensifs avec les
bras
et les jambes. Le signe de Babinski se produit
ues minutes, elle a perdu connaissance. Des convulsions dans un des
bras
ont été observées. Du reste, elle est couchée s
nt un peu cyanotiques. Le coeur, à l'examen, sans rien à signaler. Le
bras
droit absolument flasque, tandis que le bras ga
ns rien à signaler. Le bras droit absolument flasque, tandis que le
bras
gauche présenta une certaine rigidité musculair
immédiatement qu'elles ont été chez lui. Parésie de la jambe et du
bras
gauche. 21. Le patient devient raide par tout l
ement après, il a été repris de convulsions soudaines dans les deux
bras
, est retombé dans le lit sans connaissance, la
e. Le pouls : 80. De temps en temps des convulsions isolées dans le
bras
et l'épaule gauches. Tout à fait flasque dans tou
vaso-motrice. III. Adrénaline. Avant l'injection sous-cutanée au
bras
gauche d'un centimètre cube de solu. tion d'adr
ieu de 10). , Il est vrai que l'injection d'adrénaline fut faite au
bras
gauche et que la comparaison oscillométrique de
membre supé- rieur, soit de tiraillements plus ou moins brutaux du
bras
, soit de plaies pénétrantes par projectiles axa
même constatation peut être faite pour les autres troncs nerveux du
bras
, médian, radial, circon- flexe. II n'est d'aill
circon- flexe. II n'est d'ailleurs pas fatal que tous les nerfs du
bras
soient simul- tanément et également douloureux.
des.doigts sur la main, de la main sur l'avant-bras et de l'avant-
bras
sur le bras. Parfois encore la douleur provoquée
sur la main, de la main sur l'avant-bras et de l'avant- bras sur le
bras
. Parfois encore la douleur provoquée parcelle man
etour de manivelle; au lieu de lâcher celle-ci, il l'a serrée et le
bras
entier a été entraîné et fortement tiraillé. Do
ntraîné et fortement tiraillé. Douleurs et gêne consécutive dans le
bras
. Augmentation progressive des symptômes vers le
ires, trapèze, grand pectoral, deltoide, moins intense au niveau du
bras
et encore plus faible à l'avant-bras où elle ne r
es et bra- chiaux, pour le plexus brachial et les troncs nerveux du
bras
. La participation du plexus brachial est démont
laires est telle que les mouvements d'élévation et de rétropulsion du
bras
sont impossibles. L'antëpulsion est moins compl
e substance. L'articulation de l'épaule reste indemne. Au niveau du
bras
, existe aussi de l'atrophie et de plus les musc
l'épaule d'une part, et d'autre part, prenant à peu près à l'avant-
bras
la localisation du médian. Des troubles trophiq
es procédés classiques des réactions normales pour les trois nerfs du
bras
, à l'avant-bras et à la main. Il n'existe aucun
peut, avec une certaine force d'ailleurs, plier l'avant-bras sur le
bras
et ce mouvement, surtout difficile au milieu de
'importantes modifications structurales. A niveau de l'épaule et du
bras
, surtout sur la face externe, existent des trou
aractéristiques. Tout mouvement, par exemple la flexion de l'avant-
bras
sur le bras, détermine des douleurs le long des r
ues. Tout mouvement, par exemple la flexion de l'avant- bras sur le
bras
, détermine des douleurs le long des racines du pl
al. Observation V (PI. LXII). J... Joseph. Traumatisme violent du
bras
. Douleurs consécutives de l'épaule et de la mai
Contusions violentes par éboulement de tranchée le 5 juin 1915. Le
bras
droit est spécialement atteint, garde un oedème n
t sont surtout d'ordre trophique'. En effet, la force musculaire du
bras
droit n'est que légè- rement diminuée; mais la
à la face antérieure du poignet et irradiant vers la face interne du
bras
. Il a souffert alors de spasmes pénibles à la m
Il a souffert alors de spasmes pénibles à la moindre fatigue dans le
bras
gauche qui le contraignaient à rectifier avec l
a viande ii doit saisir sa fourchette à poignée et fixer son avant-
bras
contre son thorax, tandis qu'il emploie tant bien
tention : au repos il se présente l'avant-bras gauche fléchi sur le
bras
et la main pendante, l'ensem- ble restant collé
s, mais est plus évidente à gauche; elle s'étend à l'avant-bras, du
bras
et à l'épaule. Les mensurations comparées prouv
du mouvement. Il est tel à gauche que pratiquement l'utilisation du
bras
est à peu près nulle ; le phénomène est netteme
es os de l'avant-bras. Chez ces individus la grande enver- gure des
bras
dépasse communément la hauteur du corps. En outre
a treille, dès qu'il a soif, son seul habit. Il est, en effet, en
bras
de chemise, presse sur son coeur une bouteille,
n marmot. Et l'on voit tous ces clients s'acheminer, après la cure,
bras
dessus, bras dessous, vers une hostellerie qui
l'on voit tous ces clients s'acheminer, après la cure, bras dessus,
bras
dessous, vers une hostellerie qui porte comme ens
ont la maladie débuta par un accès de fièvre et des crampes dans le
bras
droit. Après une certaine amélioration des symp
rillaires et sans réaction de dégénérescence. Le développe- ment du
bras
droit fut arrêté. Il n'y avait pas de trouble de
re localisée à un côté du corps (Dieulafoy), à une région, face, cou,
bras
, hypochondres (Thomas et Graham) ou généralisée
d'autres enfin caressaient de leurs mains si douces son cou et ses
bras
. Sans aucun doute elles lui auraient offert du
la crise démoniaque. Le possédé est à genoux devant le Christ, les
bras
étendus en avant, les mains ouvertes, la tète lég
t de vue médical.Le membre supérieur gauche repose sur le genou, le
bras
droit est maintenu par une écharpe et la main s
le Sauveur. Par contre l'individu que le Christ relève présente au
bras
droit une déformation qui ressemble trop à une
icale à ces époques lointaines. Quant au mendiant lui-même, il a le
bras
droit en adduction forcée, collé au corps. L'av
'avant-bras est fléchi ; la main semble normale, mais l'ensemble du
bras
donne l'impression d'un membre contracturé. Du mê
en maintenant la main droite. La tête est renversée en arrière, et le
bras
droit est certainement contracture. Le ventre e
hystériques (Charcot). Devant elle, S. Zeno mitré, la saisit par le
bras
gauche et la bénit. Un petit diable s'échappe de
st debout devant le Christ qui le bénit. Il tend vers lui son avant
bras
paralysé lequel nous offre le tableau d'une par
dé, mais rien ne nous permet de l'affirmer ; la face est calme, les
bras
écartés, les mains ouvertes. Il n'y a pas de dé
résenté debout devant le saint, les genoux légè- rementlléchis, les
bras
écartés et les mains ouvertes. L'expression est
alade se re- jette en arrière, et un vieillard la soutient sous les
bras
.' Deux autres miniatures nous montrent la guéri
re M représente un personnage renversé, et s'appuyant sur le sol du
bras
gauche. Les membres inférieurs sont couverts de t
st pas douteux qu'il se trouve en pleine période de convulsions. Le
bras
droit est en extension, légèrement écarté du corp
ment vêtu qui dépose une aumône dans la sébille, tout en faisant du
bras
gauche un geste de répulsion ; et une femme qui
nous montre Vespasien couché dans son lit, le haut du corps et les
bras
nus couverts de taches rouges, rondes, répartie
ngue houp- pelande. Près de là s'avance une femme tenant dans ses
bras
un enfant. Puis, un homme qui pousse une brouet
se une brouette sur laquelle un paralytique à demi nu est assis les
bras
croisés. Tout près de la piscine sont accroupis
t deux attitudes qui sont familières à ce sujet. Les épaules et les
bras
dans leur partie supérieure sont bien conformés;
a colonne vertébrale ne présente pas de déviations anor- males. Les
bras
, proprement dits, ont il peu de chose près leur l
autant plus courts qu'ils restent fléchis à angle assez aigu sur le
bras
et qu'au pli du coude les parties molles du bras
assez aigu sur le bras et qu'au pli du coude les parties molles du
bras
se réflé- chissent sur l'avant-bras, en le reco
ite et 4 centimètres à gauche. La ré- flexion des parties molles du
bras
sur l'avant-bras se fait donc à une distance de
1/2 à gauche. Des deux côtés les mouvements de l'avant-bras sur le
bras
sont très limités, comme nous^ le verrons plus
l'humérus est dans la rotation en dehors, l'avant-bras fléchi sur le
bras
, et placé, ainsi que la main, en pronation, de
e on peut s'en assurer dans les mouve- ments de l'avant-bras sur le
bras
. L'articulation du coude se trouve ainsi profon
érus appliquée sur la plaque, l'avant-bras fléchi au maximum sur le
bras
. (Pour se rendre compte di ce que représente cett
lui présentant verticalement l'avant-bras fléchi au maximum sur le
bras
.) La ligure 2, Pl. XVII, représente la radiogra
dans la rotation en dedans, l'avant-bras moyennement fléchi sur le
bras
, la main dans la pronation. (C'est en somme l'i
nous cons- tatons : Membre supérieur droit. -- Les mouvements du
bras
sur l'épaule se font très bien dans les divers
ande liberté et une grande facilité des mouvements de projection du
bras
en avant, en dehors et en arrière, de ses mouveme
dus que dans l'état normal. Les mouvements de l'avant-bras sur le
bras
sont au contraire modifiés et assez restreints
leur sens. L'avant-bras d'ailleurs reste plus ou moins fermé sur le
bras
avec lequel il forme toujours un angle aigu. La
u ; l'avant-bras peut être en effet amené presqu'au contact avec le
bras
. Ce mouvement se fait avec une force assez grande
on et n'arrive pas jusqu'à placer l'avant-bras à angle droit sur le
bras
; il paraît moins limité par le mode d'articulati
par la présence des parties molles que nous avons vu se réfléchir du
bras
sur l'avant-bras en empiétant largement sur cel
e ; il se contracte surtout à l'occasion de l'extension de l'avant-
bras
sur le bras. Un autre muscle étalé est situé à la
ntracte surtout à l'occasion de l'extension de l'avant- bras sur le
bras
. Un autre muscle étalé est situé à la partie inte
contracte surtout à l'occasion de la flexion de l'avant-bras sur le
bras
; il entre également en contraction à l'oc- cas
ts. L'excitation por- tée sur le trajet habituel du nerf cubital au
bras
n'a pas paru éveiller de sen- sations dans l'ex
siblement de la même façon que de l'au- tre côté. La musculature du
bras
est aussi assez bien développée ; le biceps cep
té des fardeaux aussi lourds. Les mouvements de l'avant-bras sur le
bras
se comportent aussi à peu près comme à droite ;
l'angle formé au pli du coude par la flexion de l'avant-bras sur le
bras
. Enfin il se sert souvent des dents ou encore du
ure de l'os de l'avant- DESCRIPTION D'UN ECTROMÉLIEN HÉMIMÈLE 139
bras
à la partie interne du coude peut-on admettre qu'
prises dans des positions différentes, que le squelette de l'avant-
bras
ne se compose que d'un seul os, le cubitus, plus
t directement attachés au tronc, les parties intermédiaires, avant-
bras
et bras, ou jambe et cuisse, étant- avortées. Che
ement attachés au tronc, les parties intermédiaires, avant- bras et
bras
, ou jambe et cuisse, étant- avortées. Chez les hé
tées. Chez les hémimèles, au contraire, le segment basal du membre,
bras
ou cuisse, est plus ou moins bien développé, ma
lade se plaignant de douleurs aiguës, chaque fois qu'elle levait le
bras
au-dessus de l'épaule, John Abernethy aurait, dit
pondu : « Quel besoin avez-vous alors, Madame, de lever ainsi votre
bras
». Véridique ou non, une pareille réponse ne sa
sous la table. Pendant toute la durée de son travail, la main et le
bras
restent dans une fausse position. C'est cette f
rique. Dans le fond d'un large récipient, rempli d'eau où plonge le
bras
, se trouve le pôle négatif. On évite tout contact
le bras, se trouve le pôle négatif. On évite tout contact entre le
bras
et le conducteur électrique ; le pôle positif est
ale. Autant qu'on peut s'en assurer, il n'y a pas d'atrophie de son
bras
ou de sa main gauche. 11 est plus que certain q
ralement cette douleur débute par l'épaule, et gagne quelquefois le
bras
et le cou. Chez elle la contracture occupe spécia
er simplement, mais très rapidement un bouton (appareil Morse) ; le
bras
reste étendu tout le temps. C'est principalemen
ait pas depuis 6 mois, que les mêmes symptômes apparaissent dans le
bras
]et le poignet gauches. Nullement découragée, el
épo- que, il commença à ressentir un spasme, ou une crampe dans son
bras
droit, dès qu'il écrivait pendant une heure env
re ou deux, l'usage de cette machine amenait la même crampe dans le
bras
droit. Un mois ou deux avant que nous le voyion
t continuer à écrire pendant cinq ou dix minutes, en maintenant son
bras
avec sa main gau- che ; mais au bout de ce temp
de convulsions dans leurs membres. Un d'en- tre eux cependant a le
bras
droit écarté du tronc, l'avant-bras à demi flé-
leurs le calme de sa physionomie en soit en rien troublé. Un de ses
bras
est effacé, l'autre est représenté absolument c
porcs se précipiter dans un lac. L'un des possédés est debout, les
bras
levés au ciel, les mains ouvertes, et un petit
face est calme, il n'y a aucune tendance à l'arc de cercle. Un des
bras
est levé vers le ciel la main ouverte. De l'aut
le. Il a les yeux convulsés vers le haut, la bouche grimaçante, les
bras
ouverts et pendants en arrière. En un mot, il r
ant la moribonde ; là, s'armant d'un couteau, il la saigna aux deux
bras
.Et soudain la princesse reprenant connaissance,
ose et des gestes eu égard à l'opération projetée. Le malade a le
bras
droit tendu, nu, la manche relevée. Pour le main-
e roulée, ou simplement le pouce replié sur la paume de la main. Au
bras
, une ligature sera faite pour empêcher le sang
continuant en haut avec la tache précédente (dimensions : 9 X 7).
Bras
gauche. - Coloration identique occupant tout le b
ions : 9 X 7). Bras gauche. - Coloration identique occupant tout le
bras
, à l'exception d'une région de peau saine situé
usqu'à deux centimètres au-dessus du pli du coude. Tout le reste du
bras
est uniformément violacé sans interposition de pe
droite : 48 cm. 5 et 47 cm. 5. Périmètres des membres supérieurs.
Bras
, à 12 centimètres au-dessus de l'olécrane : droit
pour l'épaisseur des plis cutanés prise au com- pas d'épaisseur :
Bras
gauche, face antéro-externe : 11 millimètres. Bra
as d'épaisseur : Bras gauche, face antéro-externe : 11 millimètres.
Bras
droit, face antéro- externe : 9 millimètres.
festent chez lui : 1° par une paralysie des vaisseaux de la peau du
bras
gauche ; 2° par des décharges épileptiques. De
2° par des décharges épileptiques. De plus les neurones moteurs du
bras
, héréditairement lésés, sont par- ticulièrement
est-à-dire par ordre ascendant de finesse tactile : face externe du
bras
; face externe de la jambe ; dos ; face antéro-ex
o-externe de l'avant-bras ; plante du pied ; face antéro-interne du
bras
; éminence thénar; joues; éminence hypothénar; fr
e la différence considérable qui existe chez R... entre la force du
bras
droit et celle du bras gauche, au désavantage d
rable qui existe chez R... entre la force du bras droit et celle du
bras
gauche, au désavantage de celle-ci, car nous sa
ue les premiers troubles psychiques apparurent L... sentait que des
bras
et des mains venaient l'enserrer énergiquement. E
eux convulsés vers le haut. Ils nous ont montré la bizarrerie de ce
bras
droit élevé verticalement, dans une pose académ
aut, la bouche est légèrement entr'ouverte, le cou gros, gonflé. Le
bras
droit, seul visible, est légèrement écarté du t
aissance, sa fille ne ressemblait pas aux autres enfants et avait des
bras
très courts. Cette difformité s'est peu à peu e
3/4 pour la cuisse et i tête 1/2 pour la jambe (chiffre normal). Le
bras
mesure 13 centimètres, l'avant-bras et la main 22
La tête humérale est trop grosse pour la cavité glénoïde et ainsi les
bras
sont toujours légèrement écartés du thorax. Mai
où une impossibilité de l'extension complète de l'avant-bras sur le
bras
et de la supination de la main (Pl. XXXVI, S et
? . T. XIV, 1'1. XXXVIII RADIOGRAPHIES COMPARÉES DE L'ÉPAULE ET DU
BRAS
chez une fillette normale (A droite) et chez un
genou, de telle sorte qu'à l'inverse del'achondroplasique qui a les
bras
trop courts, le rachitique a des bras trop long
el'achondroplasique qui a les bras trop courts, le rachitique a des
bras
trop longs pour sa taille. Ce sont là autant de s
ette réduction, mais surtout les segments occupés par les os longs,
bras
, avant-bras, cuisses et jambes; au contraire, les
tteints, tout en étant beaucoup plus courts qu'ils ne devraient. Le
bras
(de l'acromion à l'olécrâne), l'avant-bras (de l'
ntimètres. Les doigts et la main sont donc diminués d'un quart ; le
bras
d'un tiers ; l'avant-bras de plus du tiers. Une d
s. Voici quelques chiffres pris sur Sicard. Tour de taille sous les
bras
85 centimètres, à la ceinture 74, au niveau du gr
t pas de défor- mations. Lorsqu'on découvre les avant-bras et les
bras
, on constate entre eux une cer- taine différenc
as de différences dans la longueur des humé- rus. Circonférence des
bras
: 23 cl. 5 à droite, 21 cm. 5 à gauche. Lorsqu'
ètres et se laissa tomber sur une chaise, ne pouvant plus remuer ni
bras
ni jambes, mais trem- blant de tous ses membres
ant la nuit, et se rappelle encore les mouve- ments désordonnés des
bras
et des jambes qui se produisaient spontanément
harrette, qu'un écart du che- val jeta dans un fossé ; il resta les
bras
battants, tout tremblant et incapable de rien f
emblement des jambes a cessé de lui-même le 28, 'le tremblement des
bras
persiste jusqu'au 2 janvier, ce jour-là il s'inte
t une heure, puis il reprend jusqu'au 8 janvier toujours limité aux
bras
. Le 8, il s'arrête pen- dant la visite et repre
rythmée, et juste suffisante, des extenseurs de l'avant-bras ou du
bras
. Ce mouvement très brus- que mais immédiatement
sent pas venir. Même s'il fait un effort persistant pour raidir ses
bras
ce spasme se manifeste « comme si, dit-il, quel
il ce qui vient d'être décrit. W... n'éprouve aucune gêne dans son
bras
droit qui cependant accuse au dynamomètre une i
t dix minutes dans tous les membres et deux heures environ dans les
bras
. Ce matin l'on n'aperçoit ni tremblement ni spasm
tômes qui en de- viennent les signes extérieurs : le soubresaut des
bras
, le sursaut du corps, le dérobement des jambes,
,par accès,des phénomènes nouveaux consistant en engourdissement du
bras
gauche, parfois des deux bras,avec ou sans diffic
eaux consistant en engourdissement du bras gauche, parfois des deux
bras
,avec ou sans difficulté dans l'articulation des
jambes fortes, arquées ; mais surtout on remarque l'exiguïté de ses
bras
. Peut-être fut-il achondroplasique (1). (1) J'a
de Fausto Boccnr, représentent des nains à grosses têtes, jambes et
bras
minuscules, mis en déroute par des poussins et
émianestllésie profonde à droite. Les réflexes tendineux (rotulien,
bras
et avant-bras) sont exagérés, mais il n'y a ni tr
e, et, après qu'elle se fut réveillée tout à fait,elle se sentit le
bras
gauche très lourd et l'avant-bras et la main co
. (3) BEHNHARDT, A Notunagel, Lahmung des N. ulnaris. 410 DEMON
bras
, à huit ou dix centimètres au-dessus de l'épi tro
spontanée et par pression à la partie inférieure du bord interne du
bras
, à la partie interne de l'avant-bras, très in-
ente ans il reçut une balle dans la partie interne et inférieure du
bras
, qui lui pro- duisit une paralysie douloureuse
en portant un lourd fardeau sur les épaules, au quart inférieur du
bras
droit, contre un corps solide. Mécanicien. Obs.
odermie extrêmement accusée, étendue uniformément sur le tronc, les
bras
et les membres inférieurs. La peau était dans c
ent découvertes, face, pieds, mains et partie inférieure des avant-
bras
présentaient une coloration un peu plus pâle, se
est assise, la main gauche appuyée sur sa poitrine, abandonnant son
bras
droit au médecin qui lui tâte le pouls ; sur se
béret. Un vieillard à longue barbe, barrette sur la tôle, saisit le
bras
droit du malade de la main gauche. De la main d
périeurs. Chez sa première malade, l'affection semble même croisée (
bras
droit et jambe gauche). Chez la dernière, les
auvaise et il est survenu tout à coup une enflure considérable d'un
bras
, à tel point que l'on dut s'empresser de couper
eau veineux superficiel nettement dessiné. L'enfant peut remuer son
bras
et saisir des objets de la main droite. Elle co
e la main du côté malade. L'amélioration s'accentue rapidement ; le
bras
continue à dimi- A C B D 1- DYSTROPHI
de l'appétit. 16. Nuit un peu agitée par des démangeaisons dont le
bras
droit est le siège. L'on y remarque une légère
ux jambes. A part cela, tout va bien. 18. Convalescence franche; le
bras
paraît avoir repris son volume nor- mal. Depu
ectives. Corps thyroïde très petit. Pas d'albumine dans l'urine. Le
bras
droit, dont l'enflure nous avait si fort inquiété
ré- tend, en outre, que depuis l'enflure dont il a été le siège, le
bras
droit est de- meuré un peu plus gros que le gau
en conformés. Vaccinée à 13 mois, présente deux cicatrices à chaque
bras
. La peau est partout d'égale coloration ; elle
ile d'une dizaine de jours, compliquée d'une enflure douloureuse du
bras
droit. Tout rentre dans l'ordre, le bras demeur
une enflure douloureuse du bras droit. Tout rentre dans l'ordre, le
bras
demeurant un peu plus volumineux que celui du côt
e ; en un mot, à le rendre contemporain de l'enflure douloureuse du
bras
. En clinique, nous ne manquons pas d'exemples de
ic que ce début fébrile, chez Alice, ait été marqué par l'endure du
bras
. Sans celle particularité, vé- ritable symptôme
e trahissent une infection ; puis, tout à coup détermination sur un
bras
, suivie plus tard d'un phénomène analogue au me
e, elle est souvent asy- métrique. Il en est de même chez Alice, le
bras
droit et la jambe gauche sont seuls intéressés.
ade atteint d'une paralysie infantile ayant déterminé une atrophie du
bras
droit. Ce malade ayant contracté la syphilis a
dans notre cas. L'on pourrait se demander, il est vrai, pourquoi le
bras
où la vaso-motri- SUR UNE FORME D'BYPERTROPQ1E
larité, offerte également par noire malade, que l'hyper- trophie du
bras
existe rarement seule, et quand celle de la jambe
la jambe l'accom- pagne, elle est généralement moins développée au
bras
. Puis, nous ferons encore observer que les deux
pparte- naient à deux formes distinctes. Les troubles trophiques du
bras
ont débuté brusquement, avons-nous dit, par une
ncore aujourd'hui l'existence des réseaux veineux très apparents du
bras
et de la région cervico-peclorale. L'épaississeme
s'est fait d'une manière consécutive. Le mécanisme de l'enflure du
bras
trouverait son explication, semble-t-il, dans u
l'adipose sous-cutanée, telle que nous en avons un exemple dans le
bras
de l'enfant dont nous venons d'exposer l'histoire
qui s'éten- dait à tout le côté gauche du corps, y compris même le
bras
. Mme G.. prétend que son bras gauche est aussi
té gauche du corps, y compris même le bras. Mme G.. prétend que son
bras
gauche est aussi plus volumineux, mais, bien que
rt augmentés de volume. L'hypertro- phie commence vers le milieu du
bras
, mais c'est aux mains qu'elle a acquis le plus
ression digitale cependant détermine la production d'un godet. Le
bras
droit est plus volumineux que le gauche ; il mesu
es des infantiles du type Lorain. Le thorax est élancé, maigre. Les
bras
sont très allongés et débiles. La figure peu in
ndillées. La face est couverte de taches vineuses irrégulières. Les
bras
, le membre hypertrophié sont marbrés de ces mêmes
es, serait scrofuleuse. Elle a été opérée d'un lipome volumineux du
bras
. Elle a souffert d'anthrax. Je me promets de la v
tude de la malade montre bien la tendance à la semi- contracture du
bras
gauche, l'annulaire reste seul cependanl en demi-
tion debout, elle est impossible et en soutenant la malade sous les
bras
, on voit que les mouvements de locomotion des deu
er 1897, elle fut prise d'une crise nerveuse, elle se jeta dans les
bras
de son père, puis elle se raidit, la crise dura
e la terreur ; elle crie papa, papa, puis elle va se jeter dans ses
bras
; alors les yeux roulent dans leur orbite, le co
présente plus volumineux que l'avant-bras droit, et de même pour le
bras
, mais à mesure qu'on remonte vers la racine du
ment diaphragmatique. Les .mouvements spontanés de la racine des
bras
sont très limités, et le ma- lade a la plus gra
e peine à passer ses vêtements; dans les mouvements pro- voqués, le
bras
, latéralement, ne peut pas être porté plus haut q
es coudes sont très limités. L'an- gle maximum que peuvent faire le
bras
et l'avant-bras est de 110°, l'angle mi- nimum
ion. Le patient d'ailleurs parait peu inquiet; il lui abandonne son
bras
droit pendant que de la main gauche il tient lu
Le baston qu'on met à la main du malade (tant pour luy soustenir le
bras
que pour aider le roulement du sang en le contour
moyenne grosseur, et aussi long qu'il sera besoin pour supporter le
bras
, selon les diverses situations que l'on fera teni
images 533 Le patient est assis sur un grand fauteuil, tendant son
bras
droit au barbier qui palpe avec soin la région
rande dame en costume d'apparat et en grand décolleté tend son joli
bras
à un jeune docteur musqué qui la sou- tient de
La majorité des documents iconographiques ont trait à la saignée du
bras
, de beaucoup la plus fréquente. On saignait c
ne comptait pas moins de 45 veines saignables : 15 à la tête, 10 au
bras
, 6 aux mains, 2 au ventre, 2 au siège, 10 aux p
d'un tel exemple. » Après quoi, ils tendirent l'un et l'autre leurs
bras
, le genre de mort usité en pareil cas étant l'o
tenua- tum lentaetfugiasanguini prebebat.Aussi, outre la saignée du
bras
, dut-on lui ouvrir les veines des cuisses et de
se plonger les jambes dans un bassin d'eau chaude. On voit, sur son
bras
gauche, au lieu d'élection, l'ouverture de la vei
'où le sang jaillit. Un des disciples, Statius Annoeus, soutient ce
bras
, et à l'aide d'une ligature empêche le sang de
son disciple attentif ne veut omettre aucun. Quant la saignée du
bras
en elle-même, elle est parfaitement con- forme
il convient sous la pres- sion exercée à l'extrémité inférieure du
bras
. Rubens vivait au temps où la saignée était omn
augmenté par la fatigue et l'émotion. Dès que le malade repose son
bras
sur la table, le tremblement disparait. Au lit,
s musculaire et articulaire est aboli à la main, à l'avant-bras, au
bras
, au pied, au genou; il est obnubilé seulement as
cousses rhylhmécs antéro-postérieurcs. De même, lorsqu'il étend ses
bras
ou ses jambes, le tremblement se montre dans ces
25 on l'interroge, on remarque quelques légères vibrations dans le
bras
droit. Lorsqu'il se met debout, le membre infér
sque guéri. Pourtant sa jambe gauche était toujours plus faible, le
bras
du même côté était aussi parésié. Le malade s'e
il se met à trembler. De même, s'il porte un verre à sa bouche, son
bras
tremble d'autant plus que le mouvement est plus
le lit, ses jambes étant complètement paralysées. Rien du côté des
bras
ni de la têle. En même temps que la paraplégie
vait chuchoter des notes avec une parfaite justesse. La parésie des
bras
, le trem- blement intentionnel, la paralysie av
en ceinture. Miction pénible. Tremble- ment dans les jambes et les
bras
des deux côlés. Céphalalgie et facies hébété. T
Troubles el difficultés du langage. Douleurs et faiblesse dans les
bras
. Aggra- vation des signes antérieurs. Deux ou t
que la nuit le malade avait des crises convulsives. Il agitait les
bras
et les jambes, et renversait forte- ment la têt
ce. Huit jours après la dernière apparut un tremblement dans les deux
bras
. ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS
ations. - Le 19, hémiplégie gauche et aggravation du tremblement du
bras
gauche. Coma durant toute la nuit. - Le 20, tem
a jambe droite tremble. Ce phénomène se dissipe peu à peu. Bientôt le
bras
droit perd de sa force et est animé d'un trembl
ans. Avant cette époque, elle avait perdu instantanément l'usage du
bras
et de la jambe gauches et l'avait re- couvré ap
nhabiles à manier le pinceau et maigrirent d'une façon notable; les
bras
, les épaules s'atrophièrent à leur tour au point
niveau des membres supérieurs, du thorax et du cou, si bien que,les
bras
sont ballants le long du tronc et que la tête i
s avant-bras, toujours en commençant par le côté droit. De l'avanl-
bras
, l'atrophie remonta au bras, puis à l'épaule, et
mmençant par le côté droit. De l'avanl- bras, l'atrophie remonta au
bras
, puis à l'épaule, et enfin, au mois d'octobre '
ur les grands pectoraux, à son maximum au niveau des deltoïdes. Aux
bras
, les biceps ont à peu près disparu; les triceps p
e des biceps qui empêche l'extension complète de Pavant-bras sur le
bras
et dessine une corde fort nette dans ce mouvement
rce relativement. Les mouvements d'extension de l'avant-bras sur le
bras
sont forts et présentent une grande résistance
inon de temps en temps dans les épaules et la partie supérieure des
bras
, et encore n'étaient-elles pas d'une grande int
ches ci-jointes montrent à quel point l'atrophie était prononcée au
bras
, à l'épaule, à la cuisse et à la jambe. Comme o
le qu'auparavant; bientôt il en fut de même de la main droite et du
bras
. Depuis un mois,- le malade ne peut regarder de
ie un aspect particulier sur lequel nous reviendrons plus loin. Les
bras
sont presque collés au corps, les mains reposen
c difficulté;, ces mouvements n'offrent aucune résistance. L'avant-
bras
.(en supination ;ou en demi-pronation) se fléchit
ez complètement sur le'bras et s'étend de même, sans résistance. Le
bras
s'écarte incomplète- ment du tronc, ne peut se
E LECROSNIER & BASÉ DE L'OPUTHALMOPLËGIE EXTERNE. 61 sur le
bras
sont relativement bien conservés. L'extension de
ont relativement bien conservés. L'extension de l'avant-bras sur le
bras
n'oflre aucune résistance. Les mouvements du bras
avant-bras sur le bras n'oflre aucune résistance. Les mouvements du
bras
: adduction, abduc- tion, élévation, abaissemen
olumineux à leur partie inférieure qu'a leur partie supérieure, des
bras
qui ont une forme cylindrique, des épaules qui on
l existe des secousses fibrillaires dans les muscles de la cuisse, du
bras
et de l'épaule; elles sont peu fréquentes, mais
ents suivants pour son séjour à Saint- Autoine. Parésie totale du
bras
droit. OEdème très prononcé de la main droite a
DE L'OEDÈME BLEU HYSTÉRIQUE- 6'J. l'impotence de la main droite; le
bras
droit semble aussi parésié. Les réflexes patell
admiration. Ces deux sentiments sont très nets. La malade élève les
bras
et les écarte, comme lorsqu'on est saisi d'un éto
r et elle nous fait le récit suivant. « Elle était d'abord dans les
bras
de son... » nous dirons : de son amant, sans em
contentement; elle renverse la tête en arrière, écarte et tend les
bras
, semblant y appeler quelqu'un du regard. Éther.
Immédiatement sa face prend l'expression d'une grande frayeur. Ses
bras
se lèvent et ses yeux regardant dans le lointain
mpérature. Une impression de froid la fait frissonner et serrer ses
bras
contre son corps (PI. VIII, fig. 2). Elle se couv
t caractéristique. Il pré- sente relativement peu de force dans les
bras
dont les masses muscu- laires ne sont pas en ef
s avons donné à cette obser- vation consiste en ceci : il étend son
bras
horizontalement (PI. X) la face antérieure un p
rieure. Il ne cesse pendant cet effort de fixer ses regards sur son
bras
, et son attention paraît forlement concentrée sur
ée, et subitement la flexion' du poignet et de; l'avant-bras sur le
bras
se transforme en extension forcée. Le bras est
de; l'avant-bras sur le bras se transforme en extension forcée. Le
bras
est abattu le. long du corps avec lequel il for
Dans cet état on constate que les muscles de la main et de l'avanl-
bras
sont absolument contractures et que la contractur
essous du pli du coude on note en effet, E ! 6 cent. 11-2 à gauche (
bras
contracture) et 25 centimètres à droite. Le b
sont. également légèrement contractures. /La contracture à l'avant
bras
est telle qu'on ne peut, déterminer aucun- réfl
par exemple, qu'il peut se maintenir suspendu à un trapèze par les
bras
fléchis à angle droit pendant un temps beaucoup
ent dès lors sans effort. Le faible développe- ment des muscles des
bras
ne lui permettrait certainement pas cet exercic
e la cage thoracique s'élargit. - , Puis brusquement, comme pour le
bras
, l'abdomen se déprime for- veinent et le thorax
TÉRIQUE. 105 peut déterminer volontairement soit sur les muscles du
bras
, soit sur ceux de l'abdomen. Il n'existe guère
ntracture et si longtemps que le sujet la fit durer, les muscles du
bras
ne se prenaient pas, et la contracture atteigna
élever une de ses jambes en la maintenant étendue, ou de placer ses
bras
dans l'attitude du serment, le tremblement pren
du côté gauche. Le malade accuse de lui-même cet affaiblissement du
bras
et de la jambe gauches. A l'exploration dynamom
e parésie n'est pas telle que le malade ne puisse exécuter avec son
bras
et sa jambe tous les mouvements qui lui sont pres
t qui leur soient propres. Si l'on ordonne au malade d'étendre le
bras
, la face palmaire de la main tournée vers le so
os à l'action il cherche à saisir un objet, ou simplement étend son
bras
dans l'altitude dite du serment; mais elles ne
disparait complètement, pour réapparaître aussitôt qu'il soulève son
bras
, pour porter un verre à ses lèvres par exemple.
a face. Six mois plus tard se développa une atrophie progressive du
bras
droit. Faiblesse de la main, paralysie et atrop
il fit une chute de cheval, se contusionna le coude et se blessa au
bras
; la guérison fut complète. , 1. B. Sachs, Pol
iblesse et de l'atrophie des muscles de l'épaule gauche et ensuite du
bras
. Plus tard, le bras droit et les cuisses furent
ie des muscles de l'épaule gauche et ensuite du bras. Plus tard, le
bras
droit et les cuisses furent semblablement affecté
se et de l'atrophie des deux épaules et de la partie supérieure des
bras
, et une légère atrophie des avant-bras. Les cui
rrent faiblement des deux côtés, surtout adroite. L'éléva- tion des
bras
atteint à peine à 45° ; quand on élève les bras j
. L'éléva- tion des bras atteint à peine à 45° ; quand on élève les
bras
jusqu'à l'horizon- tale, ils retombent aussitôt
es bras jusqu'à l'horizon- tale, ils retombent aussitôt, surtout le
bras
droit. La flexion de la cuisse sur le bassin ne
s suivants : deltoïdes, surtout le droit, triceps, vaste externe au
bras
, vaste externe, long et court exten- seur commu
siastique; le premier en vostre royaume qui soit, après le pape, le
bras
dextre de l'Église. » Nos rois, écrit G. du Pey
issée et trop lâche. Le 18 avril, la petite malade présente sur les
bras
une éruption formée de petits noyaux durs isolé
des espaces de peau saine, très rapprochés cependant au niveau des
bras
, des cuisses et de la partie inférieure du visa
n'exécutent que des mouvements purement passifs. L'avant-bras et le
bras
ne prennent non plus aucune part aux secousses.
i fléchissent il chaque pas. Elle ne peut marcher sans s'appuyer au
bras
d'un aide. Cet affaiblissement musculaire exist
et courls. La peau y est très ridée ainsi qu'à la face interne des
bras
, et à la région olécranienne. A l'avant-bras l'
o- men, au niveau de l'aine, de l'aisselle et des faces internes du
bras
el de la 176 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊT
TUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 191 que sa jambe et son
bras
droits devenaient faibles; il obtint un congé et
tir de cette première attaque, Claw... remarque que sa jambe et son
bras
droits tremblaient plus fort, que ces membres éta
IQUES. 1S7 Au sortir de cette seconde attaque elle remarqua que son
bras
et sa jambe du IL côté droit tremblaient, ce tr
nd il tout le membre supé- rieur droit partir du tiers inférieur du
bras
. Cette zone d'analgésie est limitée par une lig
re offre les caractères suivants : quand la malade tient son avant-
bras
et sa main mollement appliqués et reposant sur so
t d'abord plus ample; puis l'on voit se produire des soubresauts du
bras
, qui écartent brusquement le coude de la poitrine
présente à peu près ces mêmes caractères lorsqu'on fait étendre le
bras
de la malade; l'amplitude des oscillations s'accr
in état de repos. Dans ces moments de calme relatif, l'élévation du
bras
(attitude du serment) fait reparaître presque t
a malade laisse retomber sa main, il ne reparaît pas, elle élève le
bras
de nouveau, il ne reparaît pas encore. Apres quoi
le tremblement disparaît. Et alors, si elle soulève une jambe ou un
bras
, le tremblement apparaît souvent, mais non à tout
, 15 kilogr. Le membre supérieur est atrophié dans son ensemble. Au
bras
et à l'avant-bras l'atrophie est uniformément r
musculaire, le malade se sert sans difficulté de sa main et de son
bras
pour tous les actes de la vie usuelle. L'affaib
le sens verlical (flexion, exlcnsion), lorsque le malade tient son
bras
et sa main tendus hori- zontalement. Elles ne c
eu quand le malade élève la main pour saisir un objet ou placer son
bras
dans l'attitude du serment. Les mouvements sont p
ogr. ; main gauche, 20 kilogr. La malade cependant peut mouvoir son
bras
et sa main dans tous les sens. Mais elle est in
isit un objet pour le porter t sa bouche, ou bien si elle étend son
bras
dans l'attitude du serment, les secousses devienn
ements volontaires. La tôle oscille parfois, quand les secousses du
bras
droit sont très prononcées, mais elle ne tremble
membre inférieur. Les secousses n'apparaissent pas simultanément au
bras
et à lajambe. Tantôt c'est la jambe qui tremble
anément au bras et à lajambe. Tantôt c'est la jambe qui tremble, le
bras
restant au repos, et vice versa. Chaque membre
nt aussitôt et immédiatement le membre supérieur entre en danse; le
bras
, en oscillant, s'écarte et se rapproche légèremen
se antérieure de la moelle. L'atrophie apparaît alors à la main, au
bras
et à l'épaule, à la jambe, d'un seul côté ou de
moplégie commença par les épaules et se propagea symétriquement aux
bras
comme dans le type scapulo- hmnéral décrit par
les éminences thénar et hypothénar s'atro- phient, l'avant-bras, le
bras
, l'épaule se prennent tour à tour suivant un or
é de légers élancements dans les épaules et la partie supérieure du
bras
. Quant à la sensibilité cutanée, elle est intac
debout devinrent impossibles et que les mouvements de la main et du
bras
se rédui- sirent au minimum. La planche V montr
e définitive ? Il est malheureusement à craindre que l'atrophie des
bras
ne disparaisse jamais. La polioencéphalite avec
es et on peut s'en rendre compte en regardant la planche III. Les
bras
sont « ballants », tombent de chaque côté du corp
ons médullaires supérieures sont exactement les mêmes. Là aussi les
bras
sont ballants et le malade est obligé deles lance
moins considérable due à la disparition des masses musculaires. Les
bras
sont inertes, pendant le long du corps, les mai
ent supé- rieur des membres thoraciques, ce sont toujours les mêmes
bras
« ballants », les mêmes épaules amaigries et to
e de connaissance partielle pendant deux jours avec la paralysie du
bras
droit. Troisième attaque, onze mois plus tard,
, le général Bonaparte, comme autrefois saint Louis, prend dans ses
bras
le corps d'un pestiféré que soutient un Arabe eff
ÈRE. vieux troupier devant le général en chef. Le pestiféré lève le
bras
droit, en effet, mais c'est pour découvrir l'ai
es vêtements qu'il retient encore de la main gauche, pendant que le
bras
droit soulevé met l'aisselle à découvert. Ce ta
bault. A cette époque, l'hémiplégie gauche persistait en partie; le
bras
gauche était à peu près complètement inerte. Du
survinrent successivement dans le côté gauche du corps (avant-bras,
bras
, épaule et paroi de l'abdomen) une série « d'ab
'avant-bras, au-des- sous du coude, à la face postéro-inférieure du
bras
, à la face postéro-externe de l'épaule, trois p
es, à gauche et à droite, pour la circonférence de l'avant-bras et du
bras
. Mais on retrouve sur ce membre une série de lé
trouve sur ce membre une série de lésions trophiques cuta- nées. Au
bras
et à l'épaule, d'abord, ce sont les deux plaques
piqûre et du sens thermique. La piqûre est assez bien sentie sur le
bras
et l'avant-bras, elle l'est peu nettement à la
re supérieur droit. Quant à l'électrisation des nerfs, du médian au
bras
, au pli du coude et au poignet, du radial au so
gnet, du radial au sortir de la gouttière de torsion, du cubital au
bras
et au coude, elle fournit des résultats identiq
que le malade dut rester constamment couché; la faiblesse gagna les
bras
; le délire et les hallucinations devinrent plus
uliers : il y a jusqu'à un certain point ataxic. Les mouvements des
bras
sont libres, quoiqu'ils aient perdu de leur force
hapelets rachitiques. Pas de pachydermie. , Membres supérieurs. -
Bras
et avant-bras normaux; pas d'atrophie musculair
debout comme il a été dit pour la tête, regardant à l'horizon, les
bras
pendants le long du corps, l'avant-bras en prona-
té d'un médius à l'autre, le sujet appuyé contre un mur et les deux
bras
bien en croix. Elle est il peu près égale à la
(horizontalement, au niveau des mame- lons, respiration habituelle,
bras
abaissés) ; . D'un acromion à l'autre (en arriè
ET LES IDIOTS. 299 thisme, oreilles en anse, longueur exagérée des
bras
, etc.). Ce sont les caractères dits ataviques.
n antérieure de la poitrine, à l'abdomen, à la partie supérieure du
bras
(l'épaule comprise), à la base du cou. La malade
vec plus de force. Elle peut soulever le corps en s'appuyant sur le
bras
, le déplacer ainsi, se retourner dans son lit, to
nent impossibles. En 188G, elle commence à recouvrer l'usage de ses
bras
, qui depuis n'ont plus été pris. Seule la paraplé
blement menu, rapide, avec quelques mouvements choréiformes dans le
bras
droit. Les membres illfé- rieurs sont complètem
nale et sur le sommet du vertex ; de plus, quelques plaques sur les
bras
et dans le dos. Anesthésie des conjonctives et
Quinze jours après sa sortie, elle est prise de chorée rhythmée du
bras
gauche et d'aphonie qui a duré trois semaines. Ap
cules et il l'avant- 322 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
bras
du côté gauche. Elle dit que ces plaques d'anesth
à 65° en dehors. Troubles moteurs. 1° Chorée rhythmée classique du
bras
gauche. 2° Paraplégie. Examinée au lit, dans
ôt sur pied, il prend une crise de nerfs et we reste raide dans les
bras
, alors j'ai en recours à vous en vous envoyant
t il fait de nou- veau quelques pas péniblement et soutenu sous les
bras
. Dans l'après-midi, il peut se lever seul et ma
l'éveil. Cette crise de nerfs, cette perte de connaissance dans les
bras
de sa mère semblent bien légitimer les doutes.
ns se laissent facilement mouvoir dans les différents sens, mais le
bras
tout entier n'en est pas moins impotent, et la ma
u, tous les muscles fléchisseurs des doigts, du poignet, del'avant-
bras
sur le bras se contracturaient avec une force ext
muscles fléchisseurs des doigts, du poignet, del'avant- bras sur le
bras
se contracturaient avec une force extrême d'une
bres. supérieurs jusque vers le coude et à la partie postérieure du
bras
sous forme de plaques serpigineuses. Dans ces c
blanche du reste de la peau (Pl. XXXVI). La partie postérieure des
bras
et les fesses . portent des plaques un peu plus
xcellent collègue et ami M. Lautier. Sa mère qui le porte sur les
bras
nous donne les renseignements suivants : P... e
tellé dont on voit aujourd'hui la cicatrice indélébile sur l'avant-
bras
gauche, le cou, l'oreille et la joue du même côté
le facial inférieur du même côté est respecté. Lorsqu'on pince\ le
bras
ou la jambe du petit malade, celui-ci témoigne vi
il avance la main gauche pour le saisir ; il remue spontanément le
bras
, ou bien quand on le lui ordonne, sans trace de
une légère amélioration ; la malade soutenue par deux aides sous les
bras
peut se tenir debout. A partir de la vingt-deux
nait de prendre un bain, lorsqu'il a éprouvé des lourdeurs dans les
bras
et des nau- sées suivies de toux quinteuse; il
ce. Cette attaque aurait été caractérisée par des secousses dans le
bras
droit et par des phénomènes vaso-moteurs dans l
altérations aux doigts ; l'avant-bras est plus ou moins touché; au
bras
, la lésion est moins étendue. Il y a toujours au
malades, il y avait une différence entre le plus grand périmètre du
bras
malade et celui du bras sain de 3 centimètres,
différence entre le plus grand périmètre du bras malade et celui du
bras
sain de 3 centimètres, et, chez un autre malade,
e avec contracture du côlé droit : l'avant-bras était fléchi sur le
bras
, qui restait collé au tronc; si on essayait de
a remarqué un jour que sa figure était de nouveau déviée et que son
bras
droit était redevenu raide. Elle ne pouvait s'e
it, elle sent des tiraillements douloureux dans la jambe et dans le
bras
droits puis des battements de coeur, des nausée
ophie musculaire. 1° Membre supérieur droit, (a) L'ayant-bras et le
bras
sont normaux. (b) Main droite. Le thénar et l'hyp
Pas de réaction de dégénérescence. 3° Membre sitpé- rieur droit. Le
bras
et l'avant-bras sonl normaux comme réactions. Mai
légie, il a pu commencer à marcher en boitant et à se servir de son
bras
gauche. Les fonctions de ces deux membres sont
ait aperçu, à la fin de son séjour à l'hôpital, que sa jambe cl son
bras
droits diminuaient de volume. Au bout d'un mois,
1888, l'atrophie a augmenté, toujours marquée surtout à la main, au
bras
droit et à la jambe droite. L'anesthésie générali
ure de l'avant-bras, on ne peut plus les sentir ri la palpation. Au
bras
, le deltoïde n'est pas sensiblement atrophié, l
e du biceps explique pourquoi l'avant-bras tombe brusquement sur le
bras
lorsque le malade le fléchit et que la flexion
a flexion a dépassé l'angle droit. L'avant-bras, alors tombé sur le
bras
, ne peut abso- lument plus être remis en extens
-dessous du pli du coude, donne 20 centimètres de circonférence. Le
bras
droit mesure 22 cent. 1/2. (c) Face. A la face
t : pression, 12 kilogrammes. L'atrophie est ici surtout marquée au
bras
; les mesures données plus haut le montrent bien.
des muscles sont conservés; il n'y a pas d'adipose sous-cutanée. Au
bras
, le relief du deltoïde est parfaitement appré-
s est encore capable du mouvement de flexion de l'avant-bras sur le
bras
; mais en revanche le mouvement antagoniste dù au
te du côté opposé : lorsque, dans la flexion de l'avant-bras sur le
bras
, le premier est en angle droit avec le second,
arition presque com- plète du triceps explique le volume relatif du
bras
si diminué par rapport à l'avant-bras. 3° Exa
x, etc.) ont une diminution notable de l'excitabilité faradique. Au
bras
: le triceps ne réagit plus; le deltoïde et les
tion est plus lente et se maintient plus longtemps que normalement.
Bras
. Le biceps, le brachial antérieur, le deltoïde
t-bras droit se met en pro- nation forcée et en demi-flexion sur le
bras
qui est lui-même fortement attiré en arrière. P
orps en même temps qu'une douleur profonde; il lui semble que « son
bras
et sa jambe ne sont plus à lui ». Le dynamomètre
uement sur les parties latérales du thorax, sur la face interne des
bras
, dans les aines. Elle se compose de tout petits
on chirurgicale en se basant sur les phénomènes observés du côté du
bras
droit, le chirurgien eût éprouve un grand embar
o-tibiale, à diminuer considérablement la taille de la malade ; les
bras
pendants, les extrémités digitales arrivent à 3 c
constate aucune grossière altération osseuse ; les mensurations du
bras
, du coude, de l'avant-bras, du poignet, fournis
s marquée. La malade ne peut marcher que si on la soutient sous les
bras
: elle lance les jambes, celles-ci sont très faib
es tendineux. - Réflexes rotuliens et achilléen abolis. Réflexes du
bras
et de l'avant-bras conservés. Réflexes cutanés.
et du triceps qui sont un peu atrophiés, tous les autres muscles du
bras
, de l'avant-bras et de la main sont absolument
e 2f¡, kg. et 16 à gauche* Au contraire le mouvement d'élévation du
bras
est gèné, la malade difficile- ment peut mainte
tion du bras est gèné, la malade difficile- ment peut maintenir ses
bras
dans la position horizontale et ne peut pas les
9 lever plus haut. De même le mouvement d'adduction horizontale des
bras
ne peut s'exécuter qu'avec difficulté par l'atr
tres des apophyses épineuses et dans les tentatives d'élévation des
bras
apparaissent les scapulée alatz' produits par u
rne de l'omoplate est plus pro- noncé dans l'élévation en croix des
bras
.Toute l'omoplate est considérablement abaissée
u. Si l'on regarde la malade pendant qu'on lui ordonne de lever les
bras
dans la position horizontale, on peut voir se f
et de la nuque contraste d'une façon frappante avec la rondeur des
bras
(V. PI. XII, 6). L'acte du rapprochement des ép
a VIIIe cervicale et la Ire dorsale et gagne ensuite les muscles du
bras
, atteint d'a- bord le biceps, le brachial antér
nts cervicaux, pour s'étendre ensuite aux muscles de l'épaule et du
bras
, tout en respectant les muscles de l'avant-bras e
IIamtnoud), le deltoïde chez un ouvrier qui levait et abaissait les
bras
alternativement dans son travail, les épaules c
chronique, qui avait débuté par les petits muscles de la main et du
bras
et avait envahi ensuite les muscles de l'épaule
égion rétro-sternale, et irradiant dans la région cubitale des deux
bras
, surtout du bras gauche. Les années suivantes,
ale, et irradiant dans la région cubitale des deux bras, surtout du
bras
gauche. Les années suivantes, la douleur rétro-
ion des devoirs. Pour écrire au tableau il était obligé d'élever le
bras
; or, au bout de quelques secondes, il lui sembla
douleur vive avec fourmillements apparaissait dans la main, puis le
bras
droit, et le ma- lade devenait incapable de mai
urmillements apparaissaient au bout des doigts, gagnant la main et le
bras
; une douleur très vive remontait de la main à
s ; une douleur très vive remontait de la main à l'avant-bras et au
bras
; la étude SUR LES crampes professionnelles 77
un régime alimentaire. ¡;, FIG. 1. - Claudication intermittente du
bras
droit. Tracé du pouls radial droit. 78 MACÉ DE
tableau noir lui est encore impossible s'il est obligé d'élever le
bras
. Au bout de quelques minutes d'écriture dans cett
Il est à noter que le malade pourrait garder assez facile- ment le
bras
élevé s'il n'écrivait pas dans cette attitude. C'
e, qui, lors- qu'il voulait scier du bois, avait une crampe dans le
bras
droit. Or on constatait chez lui une amyotrophi
il avait alors des douleurs et des convulsions dans l'épaule et le
bras
. ' Le caractère électif, professionnel, de la c
t n'éprouva jamais aucune peine à serrer sa baguette et à remuer le
bras
droit en tous sens. Il consulta un grand nombre
es pianistes aurait souvent pour origine une névralgie des nerfs du
bras
, amenée et entretenue par les traumatismes répé
au travail. On ne constatait aucun trouble de la sensibilité, ni du
bras
, ni de l'avant-bras ; la pression du cubital au
ses doigts se resser- raient, une douleur remontait tout le long du
bras
jusqu'à l'épaule, et la plume tombait des doigt
nd l'émotion était moins forte, il ressentait une agitation dans le
bras
droit : la main deve- nait incapable de tenir l
mêmes caractères, s'accompagnant d'angoisse, et de douleurs dans le
bras
et l'épaule. Le malade abandonna dès lors la ma-
ensemble suffisamment bien : par exemple la malade peut relever son
bras
gauche, mouvoir l'avant- bras et même les doigt
ar exemple la malade peut relever son bras gauche, mouvoir l'avant-
bras
et même les doigts ; elle peut aussi fléchir sa c
alade de se servir à peu près conve- nablement de sa main et de son
bras
droit. En marchant, il traîne la jambe, qui est
acture prédominante aux membres. L'avant-bras est en flexion sur le
bras
, la main sur l'avant-bras, les doigts sont repl
ade traîne la jambe en marchant ; les doigts de la main et l'avant-
bras
sont en demi-flexion, naturellement, mais le mala
tte ; les sterno-cléido- mastoïdien se raidissent, le thorax et les
bras
s'immobilisent. Dans l'ensemble le malade prend
et pauciers), de la partie supérieure du tronc (pectoraux, trapèze,
bras
et épaules), et des muscles du larynx. En ce qu
ère s'aperçut qu'il avait une très grosse tête et les jambes et les
bras
très courts. Il se développa normalement, marcha
de celui d'un adulte normal, le dos plat, la lordose lombaire, les
bras
et les jambes extrêmement courts, très musclés,
est des plus évidentes ; dans la position du soldat sans armes les
bras
restent nettement écartés du tronc et les somme
aite de la fourchette, la sensation kinesthésique dans la position du
bras
constituent des excitations qui déterminent aut
tournant; vous voyez un poing dirigé vers vous et brusquement votre
bras
s'élève pour parer le coup. Qui est responsable d
l'auriculaire et de l'annulaire droits, puis mouvements de tout le
bras
droit. Nous avons pu observer un phénomène de t
on l'observe pendant qu'il écrit de la main gauche, on voit que le
bras
droit se contracte au niveau du deltoïde, et a
u- coup de peine à combiner les traits et points de l'alphabet : le
bras
devient raide, et il est impossible de continue
is un jour des fourmillements passagers, et sans paralysie, dans le
bras
droit. Deux ans plus tard il fut atteint de cramp
lles peuvent siéger au niveau des doigts et de la main, remonter au
bras
le long des gros troncs nerveux, irradier à l'é
ment dans la main et l'a- vant-bras, mais aussi dans les muscles du
bras
et de l'épaule : Duchenne a ainsi observé deux
ampe des écrivains, tous les muscles des doigts,de l'avant-bras, du
bras
et de l'épaule peuvent se contracter ensemble o
eur : tous ceux de la main, tous ceux de l'avant-bras, tous ceux du
bras
,tous ceux de l'épaule, coopèrent, ainsi que le
t avec nos doigts, mais avec notre poignet, notre avant-bras, notre
bras
, et beaucoup aussi avec notre épaule. Quoi qu
, très solide, bien musclé ; il n'a aucune atrophie mus- culaire du
bras
droit ; tous les muscles et tendons semblent norm
- née de travers, il la maintient de la main gauche ; alors tout le
bras
droit, dans l'extension, raide, formant un angl
ouvent presque illisibles. Si l'on palpe à ce moment les muscles du
bras
et de l'avant-bras, on constate que les muscles
bras et de l'avant-bras, on constate que les muscles extenseurs du
bras
sout fortement contractures, ainsi que les fléchi
té de poursuivre l'écriture était liée à l'empêchement de porter le
bras
en dehors; le malade écrivait ainsi quelques mots
DE LÉPINAY En dehors de l'acte d'écrire, M. Br... n'éprouve dans le
bras
droit aucune gêne fonctionnelle : c'est ainsi q
iner sa barbe chez un coiffeur. Localement il n'existe, sur tout le
bras
droit, aucune lésion périphérique appréciable p
main, est produit par des alternatives d'adduction et abduction du
bras
; c'est un véritable mouvement penduliforme (Wi
t le corps, comme un frisson, pendant dix minutes, puis localisé au
bras
droit, et ne se mani- festant que dans certaine
me fût brisée ; il éprouva en même temps de la raideur dans l'avant
bras
et le bras. Tout le membre s'anima d'un tremble
ée ; il éprouva en même temps de la raideur dans l'avant bras et le
bras
. Tout le membre s'anima d'un tremblement peu ét
le temps de poser sa plume : la maiu se crispa, l'avant-bras et le
bras
s'élevè- rent en tremblant ; la tête se porta v
'une pseudo-crampe des écrivains par chorée hys- térique limitée au
bras
droit. Observation XVIII (personnelle). Le je
ent consulter le Dr Voisin le 2 février 1907 pour un tremblement du
bras
droit, apparu brusquement un mois aupara- vant,
isparaît ; veut-on faire exécuter au commandement des mouvements du
bras
droit, on observe que tout le membre est agité
e du trapèze et du deltoïde, se manifestant dès qu'elle étendait le
bras
pour loucher l'appareil ; cette femme, névropat
ues minutes de jeu, éprouvait une certaine dif- ficulté à remuer le
bras
droit, puis ressentait une douleur de plus en p
rs heures par jour. Au bout de quelque temps elle ressentit dans le
bras
droit une douleur, irra- diant jusqu'à l'épaule
e qui, dès qu'il se levait pour jouer du violon, avait dans tout le
bras
gauche une douleur si vive qu'il devaitposerson i
FESSIONNELLES 217 La crampe des violonistes peut aussi atteindre le
bras
droit, soit isolément, soit en même temps que l
ulait tricoter, dans les extenseurs des doigts et les adducteurs du
bras
. Le spasme ne se manifestait pas en dehors de c
ces deux actes. La crampe peut également siéger dans les muscles du
bras
ou de l'é- paule (deltoïde, trapèze, sous-scapu
ite une couturière qui avait dans ces circonstances une rotation du
bras
en dedans par crampe du sous-scapulaire. Nous avo
ns. Cette névrose se caractérise par une contracture des muscles du
bras
et de l'épaule, avec parfois douleurs très vive
ui, dès qu'il voulait placer une plaque de métal, éprouvait dans le
bras
tenant le marteau une contraction douloureuse d
er, lorsque survint progressivement une gêne dans les mouvements du
bras
et de l'épaule, qui ne se manifestait que pour le
l res- sentait une forte douleur dans les muscles de l'épaule et du
bras
droits, avec sensation de fatigue extrême ; il
edans, et dont l'avant-bras s'étendait vivement et fortement sur le
bras
, sitôt qu'il se mettait en garde. On a décrit enc
rectrice, des efforts musculaires que doivent souvent accomplir les
bras
, et surtout du surmenage cérébral qu'impose la
uscles du thorax et de l'abdomen. C'est surtout pour les muscles du
bras
et de l'épaule que l'atrophie est marquée. L'épau
Mais évolution plus rapide. Membres inférieurs pris d'abord, puis les
bras
, ne peut plus marcher depuis 2 ans. L'état des
éflexe rotulien nul (légère douleur quand on percute le genou). Les
bras
, les moignons de l'épaule tout très pris, et l'ép
ns encore la présence de masses musculaires en boules, au niveau du
bras
, en arrière. (1) Afin de pouvoir comparer entre
était aussi myopathiques. Début ! 'age de 16 ans par l'épaule et le
bras
droit. Puis, jambe gauche et les autres membres.
étant donnée la difficulté qu'il a à s'asseoir et à se relever. Les
bras
sont très atrophiés ; il ne peut les mettre sur s
avant-bras sont pris également, mais de façon moins marquée que les
bras
. Les cuisses sont très atrophiées, surtout la g
phie mus- culaire. Les cuisses sont beaucoup plus atteintes que les
bras
; le malade peut encore mettre les mains sur la
ement apparaît vers 12 ans. A 15' ans, il ne pouvait plus mettre le
bras
sur la tête. Actuellement, l'impotence des memb
cependant le malade peut écrire encore un peu. Quand les muscles du
bras
se contractent, on observe la formation de boul
; le malade ne peut mettre la main sur la tète, ni fléchir l'avant-
bras
sur le bras qu'en prenant de l'élan. Il fléchit e
ne peut mettre la main sur la tète, ni fléchir l'avant- bras sur le
bras
qu'en prenant de l'élan. Il fléchit et étend les
us, comme d'ailleurs l'atrophie musculaire est plus marquée pour le
bras
que pour l'avant-bras. Squelette des mains. - C
malade balance latéralement les hanches et le tronc en rejetant les
bras
en arrière d'un air prétentieux. Station assi
du reste lorsque le malade le désire. La ceinture scapulaire et les
bras
sont atrophiés dans leur ensemble, la tête huméra
ent visibles et les reliefs osseux se dessinent sous la peau. Les
bras
grêles dans leur partie supérieure, sont irréguli
certaine lenteur. Par contre les mouvements de l'avant-bras sur le
bras
sont limités, et à peu près au même degré de ch
ement atténués. C'est à peine si le malade peut écarter légèrement le
bras
du corps. De tout le membre supérieur les seuls
point touché ; (3) au niveau du deltoïde,de la partie supérieure du
bras
, du triceps dans ses deux tiers supérieurs, du br
252 VIRES ET ANGLADA de pseudo-hypertrophie ; ils prédominent aux
bras
et à l'épaule, mais la mobilisation de l'avant-
cé dans le bassin. Le dos est très voûté, la taille est petite, les
bras
paraissent très longs et les mains descendent jus
ce côté est plus grand, de même l'omoplate est plus volumineuse, le
bras
plus long et la jambe plus déformée. A part cet
mme il a été remarqué, le raccourcissement du tronc fait paraître les
bras
beaucoup trop longs ; toutefois ils ne sont pas
rophie osseuse du côté gauche. En effet le thorax, les épaules, les
bras
, les jambes et les mains sont nettement plus alté
n cas de crampe des écrivains, un tube de caoutchouc noué autour du
bras
, au-dessus du biceps et laissé en place durant
n bon résultat ; et Tuppert (252) pratiqua trente ténotomies sur un
bras
sans observer la moindre amé- lioration. On a d
la gymnastique active et passive des fléchisseurs et extenseurs du
bras
et de l'avant-bras ; les séances ont lieu deux
il à quatre ou cinq mouvements d'extension. b) Le sujet tenant le
bras
tendu et la main en pronation, une petite balle
nfin saisie au vol. e) Un autre emploi de la canne est celui-ci. Le
bras
et l'avant-bras ÉlUDE SUR LES CRAMPES PROFESSIO
it doigt passant sur elle. Le sujet reste ainsi quelques moments le
bras
tendu. Puis il fait tourner la canne autour du
gnées de mouvements de l'avant-bras à partir du coude, et même du
bras
à partir de l'articulation de l'épaule. L'avant-b
t quelquefois encore une sensation de raideur dans les doigts et le
bras
, mais très passagère. Il arrive à écrire enviro
u Sénat. Dans le fresque de C. Maccari, il va donc soutenu sous les
bras
gagner la salle où une foule de sénateurs sont
ent d'un ictus apoplectiforme suivi d'une paralysie delà face et du
bras
du côté droit, d'aphasie, d'impossibilité de pa
cinq, en moyenne, sans tremblement proprement dit, se propageant au
bras
et il l'épaule gauches et coexistant avec un mouv
cles seulement. Elle ne peut s'asseoir dans le lit sans s'aider des
bras
; il faut remarquer que les fléchisseurs des cu
). ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË S7 sans s'aider des
bras
, pourvu seulement qu'on la soutienne très légèrem
e. Nous constatons alors qu'il peut se tenir assis sans s'aider des
bras
si le tronc a une position verticale ou plutôt si
yon dans lequel il peut mouvoir librement le tronc sans s'aider des
bras
, mais cette région est encore très restreinte.
l peut se fléchir en avant beaucoup plus, quand il s'appuie sur ses
bras
. En conséquence, il faut conclure que les douleur
cée et le 1er juillet elle peut s'asseoir, presque sans s'aider des
bras
. b) Observations sans symptômes de méningite.
ade a perdu quelques-uns des mouvements de l'épaule droite; avec le
bras
gauche il peut faire tous les mouvements, mais la
les membres supérieurs, il n'y avait qu'une incompétence légère du
bras
droit, qui a disparu en peu de temps. Les réfle
9 août apparaît aussi une parésie du membre inférieur gauche et du
bras
droit. Elat le 22 août. La malade a tout le dos
ée que très lentement,et maintenant (en février 1909) la parésie du
bras
droit et du tronc ont disparu, mais la mo- tili
inférieur gauche s'est montrée le matin et, le soir, une parésie du
bras
droit ; le même jour ont apparu des difficultés
s. Les réflexes abdominaux ont disparu. Il y a une parésie des deux
bras
très prononcée. La respiration est très difficile
d'atrophie d'un certain nombre des muscles de l'épaule droite et du
bras
droit au-dessus du coude. Pas de troubles des m
1907, je vois encore le malade. La parésie de l'épaule droite et du
bras
droit a disparu en grande partie, car maintenant
aintenant on ne peut cons- tater qu'une parésie pour la rotation du
bras
en dehors et une certaine réduc- tion du petit
de quatre jours et a atteint les membres inférieurs, le tronc et le
bras
gauche. Pendant les deux semaines suivantes il
ie très répandue dans les deux membres inférieurs et une parésie du
bras
gauche, surtout de l'épaule. Les muscles du tro
du biceps brachial des deux côtés. Le volume des autres muscles des
bras
est normal. Le cas suivant a été observé pend
s mouvements des doigts sont normaux. Pas de réflexes tendineux des
bras
. Pendant les mois suivants la motilité des memb
omplète des membres inférieurs. De plus elle,a senti une faiblesse du
bras
droit. Elle a été transportée à la clinique le
x jours suivants, nous constatons une augmentation de la parésie du
bras
gauche. Jamais de symptômes pour ce qui est des n
L'ophtalmoscopie est normale. L'examen répété de la sensibilité des
bras
ne nous fait constater aucun trouble. Il est évid
vons pour la première fois une amélioration des troubles moteurs du
bras
gauche. Cela continue les jours suivants et depui
ontinue les jours suivants et depuis elle est notable aussi pour le
bras
droit. Le 16 novembre, commence une fièvre pas
Le 5 décembre au soir, la malade a une attaque de crampe tonique des
bras
, avec diffilcuté de parler, mais non de respire
répété ne nous a jamais révélé aucun trouble de la sensibilité des
bras
, ni à leur face interne ni ailleurs. La motilit
ilité des bras, ni à leur face interne ni ailleurs. La motilité des
bras
s'est peu à peu améliorée et est maintenant à p
paralysie du tronc et dans les deux jours suivants une parésie des
bras
également et, au moins pour les membres inférie
été ne nous a jamais révélé aucun trouble net de la sensibilité des
bras
. Le manque de tout symptôme d'irritation, de to
e temps des troubles moteurs pour les membres inférieurs et pour un
bras
au moins. Examinons nos observations pour voir
plète du membre inférieur droit, parésie du gauche. La motilité des
bras
est normale. Il y a une incompétence musculaire
ue le t8 juin. Le malade peut s'asseoir dans le lit en s'aidant des
bras
, mais ne peut s'y tenir assis sans cela, toutefoi
peut maintenant se tenir assis sans aucun appui et sans s'aider des
bras
, mais couché, il ne peut se mettre sur son séant
se mettre sur son séant sans s'aider des 428 petren ET EHRENBERG
bras
. Quand il l'essaie, on voit l'ombilic se déplacer
iron 1 m. 90, mais mince) de tenir le tronc debout sans s'aider des
bras
, sans que la partie supérieure du tronc tombe e
ible. Les muscles fléchisseurs et extenseurs de l'avant-bras sur le
bras
offrent, quand on ordonne à la malade de s'oppose
phtalmoplégie : c'est ainsi que la malade qui ne pouvait élever les
bras
au début de notre examen les élève facilement a
e, ils mesurent jusqu'à l'extrémité du médius 0 m. 845. Lorsque les
bras
sont pendants le long du corps, l'extrémité du mé
oportion en comparaison à la jambe de ce qu'est la main comparée au
bras
. Le talon antérieur du pied est très épais et p
fermés : Romberg négatif. Debout il se lient. penché en avant, les
bras
pendants, le ventre et les ma- melles flasques
, sans verrucosités ; il augmente d'intensité par la compression du
bras
. La topographie correspond exactement à l'avant
usqu'à 12 centimètres environ du mamelon. Sur la face antérieure du
bras
, il suit en bande le bord interne du membre, at
branche supérieure de ce fer à cheval croise la face postérieure du
bras
au niveau de la région deltoïdienne, descend le
end le long de son bord externe, vient vers la partie inférieure du
bras
apparaître sur sa face antérieure, abandon- nan
s ? ` ? Le mouvement de torsion que présente le naevus au niveau du
bras
ne peut-il s'expliquer par la torsion embryonna
en arrière est limité de moitié. Le ma- lade ne peut pas lever les
bras
jusqu'à la verticale ; il lève les jambes au lit
au est forte ou faible. Tous les réflexes distendus, aussi bien aux
bras
qu'aux jambes, sont exagérés, surtout du côté g
outes sortes de sensibilité dans la partie supérieure du corps, aux
bras
et au cou. Sensibilité musculaire sans modifica
droite : il n'avait pas trop bu la veille et n'avait pas dormi sur le
bras
du 510 ROASENDA côté correspondant. Il accusa
s sont bilatéraux et analogues des deux côtés. Rien d'anormal aux
bras
. Depuis le pli du coude jusqu'au poignet, anesthé
e, on note que l'avant-bras ne peut être complètement étendu sur le
bras
: pendant que la flexion se peut faire entièremen
Je m'arrêterai peu sur les images radiographiques de la jambe et du
bras
droit parce que des résultats vraiment importan
.. présente des altitudes catatoniques et cataleptoïdes. Il garde les
bras
, les jambes dans les positions les plus incommo
et présente des attitudes cataleptoïdes très accusées. Il conserve le
bras
ou la j ambe en l'air pendant des heures entièr
t la nuit du 29 au 30 sep- tembre, est aussi apparue une parésie du
bras
droit. Etat le 30 septembre. Il ne reste que qu
AIGUË 549 ment faibles dans les membres inférieurs. La motilité du
bras
droit est très restreinte. Il y a paralysie du
. Observation XX, jeune homme âgé de 19 ans, d'abord parésie d'un
bras
et (pendant un temps assez court, parésie moins d
au milieu d'elles brillent deux étoiles symboliques, une sur chaque
bras
. Il s'agit de « l'étoile du bonheur » et de « l
est surmonté d'une ins- cription : « Souvenir d'Afrique. » Sur le
bras
droit, une figure grotesque et deux lutteurs, l'u
sus du général Brugère,des fleurs et des dessins fantaisistes. Sur le
bras
gauche, au-dessous de l'étoile signalée plus ha
attester ses habitudes d'intempérance. Il porte en effet sur chaque
bras
une figure d'ivrogne dont le nez est pigmenté d
nid dans les fleurs. V... présente quelques autres tatouages sur le
bras
gauche, sans signification. C'est un pédéraste
ans chaque région inguinale, on note une tête de femme. c) Les deux
bras
sont très abondamment tatoués. Le bras droit est
e tête de femme. c) Les deux bras sont très abondamment tatoués. Le
bras
droit est constellé d'étoiles et de fleurs. L'a
connais- sance pour les affiliés d'une bande. La face antérieure du
bras
, constellée d'é- toiles, porte la figure d'un s
tes féminines qui rappellent à B... des liaisons anciennes. Sur le
bras
gauche, une femme, un poignard, un coeur transp
elle on lit l'inscription suivante : Mort à l'infidèle. Sur l'autre
bras
, une étoile avec l'inscription : Victime du milit
'une guirlande de fleurs. Deux oiseaux volent sur chaque épaule. Le
bras
et l'avant-bras supportent un palmier qui surplom
n suivante : Martyr de l'armée. Déporté à Biribi 1904-1907 . Sur le
bras
gauche, un poignard, un souteneur et plusieurs fi
. Une femme déguisée en marin fait pendant au mousquetaire ; sur le
bras
, une tête de femme commune et sans art. Une gui
de ville, gens avec lesquels, à Paris, il eut maille à partir; sur le
bras
gauche, une bayadère en costume de parade qu'il
ta. Cette figu- rine est surmontée d'un nom : « Marinivah ». Sur le
bras
droit, une femme presque nue et brandissant un
ses mains réunies, le boit chaud et s'en barbouille la face et les
bras
. Il porte l'étoile sur l'épaule droite, une tête
l'étoile sur l'épaule droite, une tête de femme et un tigre sur le
bras
et l'avant-bras du même côté et trois petites éto
if de ton sang... et mon désir se pâme. Il est minuit : je suis aux
bras
de ma maîtresse ; Je savoure sa chair et je boi
ranches de rosiers garnies de fleurs parsèment sa poitrine. Sur les
bras
sont tatouées d'autres figurines de femmes. Sur
ne. Sur les bras sont tatouées d'autres figurines de femmes. Sur le
bras
droit, on voit un bateau dont n'ap- parait que
sans que ton coeur défaille, Sans repos, sans pardon, sans que ton
bras
tressaille On faiblisse, lutter contre un vol d
émiplégie droite avec contracture, l'avant-bras étant fléchi sur le
bras
, la main sur le poignet et les deux derniers doig
présentent pas les lésions observées aux régions inférieures. Les
bras
de la commissure de Wernekink sont grêles; de plu
un foyer de ramollissement ancien vient couper une partie minime du
bras
gauche de ô10 LEJONNE ET LHERMITTE cette comm
re supérieur droit ; l'enfant s'est mis à fléchir l'avant-bras sur le
bras
et à porter la main en avant, sur le ventre. Le
thénar et hypothénar sont très réduites de volume. Les muscles des
bras
et des avant-bras sont égalemenl le siège d'une a
o. Aux membres supérieurs la résistance des mus- cles extenseurs du
bras
est insignifiante ; aux autres segments on consta
r. La mensuration du crâne donne. 638 MARINESCO ET GOLDSTEIN Le
bras
, à 37 centimètres : D. 28 centimètres ; G. 28 cen
caliers en s'appuyant à la rampe et en se sou- levant plus avec ses
bras
qu'avec ses jambes. Ces troubles diminuent dans
ynamométrique on trouve : D : 15 ; G : 20. La mensuration donne :
Bras
: a) 2 centimètres au-dessous de l'artic. acromio
t flasque, pas de réflexes teudiueux. Il y a une certaine ataxie du
bras
gauche. La sensibilité est normale, sauf des trou
actile aux pieds et aux doigts. Il peut être assis sans s'aider des
bras
, mais il y a une faiblesse des muscles abdominaux
éflexes du tendon d'Achille ont disparu. Les réflexes tendineux aux
bras
sont affaiblis. Les muscles abdommaux se contra
tout flasque. Le malade peut s'asseoir de lui-même sans s'aider des
bras
. Pas de troubles de la vessie. Les réflexes p
patellaires ont disparu. Il peut encore s'asseoir sans s'aider des
bras
. Le 11 janvier, on trouve une diminution légère
ssus). Maintenant le malade ne peut plus s'asseoir sans s'aider des
bras
. La paralysie des parties périphériques des mem
Il ne peut faire l'extension des poignets, même si l'on a donné aux
bras
une position telle qu'il n'est pas besoin de su
assez grands dans le directions différentes sans s'appuyer sur les
bras
. Toutefois, il ne peut se flé- chir beaucoup en
iculier. Cequi attire l'attention est une brièveté considérable des
bras
, tandis que les avant-bras et les membres inférie
-bras et les membres inférieurs ont leurs dimen- sions normales. Le
bras
est habituellement beaucoup plus long que l'avant
ormales. Le bras est habituellement beaucoup plus long que l'avant-
bras
. D'après Broca et Topinard l'indice brachial (rap
ren- versées ; les avant-bras sont notablement plus courts que les
bras
. Sur la ra- diographie, les humérus mesurent (2
ppé pour son âge ; il est bien musclé, spécia- lement au niveau des
bras
, dont les muscles se sont hypertrophiés, par né-
partie droite du cou sur le maxillaire et à la partie supérieure du
bras
gauche des cicatrices profondes et irrégulières.
Le malade raconte que dans son enfance il a été opéré au cou et au
bras
d'abcès froids, ainsi que d'un abcès à l'anus.
-épiphysaire dont ces cicatrices seraient la séquelle. Toutefois le
bras
gauche, qui est conformé de même, est absolument
jet raconte que ses parents ont remarqué le raccourcissement de ses
bras
dès sa naissance, bien avant les abcès du bras ;
accourcissement de ses bras dès sa naissance, bien avant les abcès du
bras
; ils l'ont remarqué d'autant plus qu'un frère
plus volumineux, parce qu'ils ont besoin de l'être pour mouvoir des
bras
de levier plus petits, et les saillies d'insertio
ts analogues à ceux qui étaient fournis par la grenouille. ;< Le
bras
droit du supplicié se trouvant étendu obliqueme
ent. Le résultat final fut un mouvement de rapprochement de tout le
bras
vers le tronc avec rotation du bras en dedans e
ent de rapprochement de tout le bras vers le tronc avec rotation du
bras
en dedans et demi-flexion de l'avant-bras sur l
c rotation du bras en dedans et demi-flexion de l'avant-bras sur le
bras
, véritable mouvement de défense qui projette la m
fini dans cette position.A d'autres moments, reste étendu à terre les
bras
en croix. On est obligé de le faire manger. Exa
place, debout au pied d'un ar- bre, immobile, la tête fléchie, les
bras
pendant le long du corps ; lorsqu'on l'ap- proc
arriver à lui relever la tête, il ouvrir la bouche, à détacher les
bras
du corps, à vaincre son immo- bilité ; en le ti
ée, on s'était vu obligé d'appliquer des appareils ap- propriés aux
bras
et aux mains afin d'éviter les ulcérations qu'aur
, pelotonné sur lui- même, les jambes repliées en demi-flexion, les
bras
également demi-uéchis et appuyés sur la poitrin
d'un geste stéréotypé, fendant l'air devant lui alternativement du
bras
droit et du bras gauche. Il ne peut expliquer l
otypé, fendant l'air devant lui alternativement du bras droit et du
bras
gauche. Il ne peut expliquer le pourquoi de ce
e s'est alité. Au lit, il a modifié ses stéréotypies. Il jetait les
bras
dans le vide, de chaque côté de son lit, en dis
he dans un plan horizontal ; tantôt il est exécuté des deux mains les
bras
élevés en l'air. Parfois le mouvement de la mai
élevés en l'air. Parfois le mouvement de la main est exécuté seul, le
bras
et l'avant-bras restant presqu'immobiles : la m
uit sous deux formes différentes. La première est un geste des deux
bras
rappelant celui du faucheur ; avec un léger mou
ent de rotation de la tête à gauche. La seconde est un mouvement du
bras
gauche, comme si le malade jetait violemment un o
ans la même position, pendant des jour- nées entières ; debout, les
bras
légèrement écartés du corps, les mains pen- dan
n atti- tude immuable. Si l'on s'arrête devant lui en élevant les
bras
en l'air, il se recule comme effrayé, exagérant
, il se recule comme effrayé, exagérant son attitude en serrant les
bras
contre son corps et criant « non, non, faut pas
les hanches étaient immobilisées, puisqu'elle ne pouvait lever les
bras
pour se peigner, bien que ses mains eussent con
it peu à peu. Extension lente de l'atrophie à l'avant-bras, puis au
bras
et à l'épaule. La malade fut soignée quelque te
muscles fléchisseurs et extenseurs de l'avant-bras, des muscles du
bras
, du deltoïde, du grand pectoral. Le trapèze, les
la malade se fatigue vite lorsqu'elle les fait agir. Les muscles du
bras
et de l'épaule paraissent intacts. , On note qu
dans le membre supérieur droit, tantôt dans le gauche, au niveau du
bras
ou de la a main. Etat mental. - A cette époqu
e Aran-Du- chenne ; extension lente aux muscles de l'avant-bras, du
bras
et de l'épaule gauches. 7. à 8 ans après le déb
s fibrillaires dans les muscles atrophiés. Intégrité des muscles du
bras
et de l'épaule droits. Arrêt de FiG. 9. - Muscl
comparées à celles prises chez un adulte normal : Circonférence du
bras
droit : 50 centimètres. Chez un adulte normal :
nférieure de l'avant-bras, la région du coude, partie inférieure du
bras
, puis se perdant progressivement vers le milieu
férieure du bras, puis se perdant progressivement vers le milieu du
bras
. Le gonflement est resté stationnaire depuis la
léphantiasique, dans toutes ses parties, sauf la région supérieure du
bras
. La couleur est blanchâtre, sauf sur la région
le, que devant nous, la malade frictionne énergiquement son. avant-
bras
pour le décaper de la desquamation qui le recou
nôtre,' où il apparaît à la main d'abord puis à l'avant-bras et au
bras
, à la suite incontestablement du traumatisme dé
le, très marqué depuis les extrémités des doigts jusqu'au milieu du
bras
. Pas de troubles de la motilité, ni de la sensibi
nte au sur et à mesure que l'on s'éloigne davantage de la racine du
bras
ou de la cuisse pour gagner les extrémités. Mais
lade remarquablement indemnes ne sont point ceux d'une obèse. Le
bras
et l'avant-bras sont surtout infiltrés au niveau
as sont surtout infiltrés au niveau de leur face posté- rieure ; le
bras
mesure à sa partie moyenne 37 centimètres de circ
utre, le droit, est gonflé, volumineux. Or, ce dernier s'attache à un
bras
fortement relevé ; même contracté, le pectoral
rochement de ces mêmes insertions qui occasionne l'a- baissement du
bras
, devrait être au contraire gonflé et volumineux.
e Bouchardon, notamment au sujet du grand pectoral. Par contre, les
bras
et les jambes sont plus corrects. Mais sur une vu
e par les anatomistes dans leurs descriptions : station droite, les
bras
tom- bant le long du corps, la paume des mains
embre supérieur est impossible sauf un léger degré d'ab- duction du
bras
. Le membre inférieur droit est paralysé et en e
timètres au-dessus de l'apophyse styloïde du radius qu'au milieu du
bras
, mesure 3 centimètres de plus que le droit. Pas
mitif pénètre dans la partie externe de la calotte, et sectionne le
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur en totalité
es les plus internes adja- centes à la capsule du noyau rouge et le
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur en grande p
corps genouillé interne. La lésion détruit ici, dans la calotte : le
bras
du tuber- cule quadrijumeau postérieur, le ruba
il envahit la calotte pédonculaire, en détruisant là une partie du
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur, le bras du
isant là une partie du bras du tubercule quadrijumeau antérieur, le
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur en totalité,
l'étage antérieur de celui-ci ; dans la calotte, il dé- truit : les
bras
des tubercules quadrijumeaux antérieur et postéri
o-clinique. LÉGENDE DES FIGURES DES PLANCHES XXXVII A XXXIX BrQa.
Bras
du tubercule quadrijumeau antérieur. BrQp. - po
remit au lit. Le lendemain, il avait de la difficulté à mouvoir le
bras
droit, spé cialement pour porter les aliments à
deux jours plus tard, on observa quelque chose de semblable dans le
bras
gauche. Alors, on consulta un médecin qui fit l
quatre extrémités et du tronc, pouvant se tenir debout ni lever les
bras
, ni même s'asseoir. On consulta alo séparément
jambes lui faisaient défaut, et qu'il lui en coûtait de mouvoir les
bras
, ce qui fut imputé à une simple débilité de conva
observait déjà une grande amélioration ; l'enfant pouvait lever les
bras
presque jusqu'à l'horizontale et les mouvoir da
si, au début, il exista quelque difficulté dans les mouvements des
bras
et si elle pouvait rester assise ; d'après eux, e
oïde est éga- lement très hypertrophié et il est limité du côté des
bras
par une dépression profonde. Les trapèzes sont
tension de l'avant-bras, l'adduction, l'abduction et l'extension du
bras
se font sans aucune force ; les rotations externe
s se font sans aucune force ; les rotations externe et in- terne du
bras
, le haussement des épaules se font bien. Nulle pa
fait de cette anomalie des clavicules, les mouvements volontaires du
bras
ne sont pas modifiés, il n'existe pas de mouvem
mouvements anormaux ; mais l'on peut rapprocher fortement les deux
bras
l'un de l'autre, les mettre presque en contact
éciale du coude. Jl fait saillie en arrière et en dehors du plan du
bras
, et l'on s'aperçoit à la palpation que cet aspe
apopliyse styloïde du radius : 18,5 à 19 centimètres. Longueur du
bras
, de l'épicondyle à la coracoïde : ? 5 à 25 centim
e, car chez trois enfants du même âge nous trouvons : Longueur du
bras
: 26, 5 ; 26, 5 ; 25. Longueur de l'avant-bras
supination ; l'antre, de profil, l'avant-bras à demi fléchi sur le
bras
. Sur la première radiographie on remarque que l
ennes, sont 240 VIGOUROUX ET DELMAS de proportions normales ; les
bras
sont gras et potelés, les mains sont grosses et
il se plaignit de xx 17 2C2 RAYMOND ET LEJONNE crampes dans le
bras
droit ; mais les accidents n'ont réellement frapp
is jamais le malade n'a avalé de travers. Vers la même épo- que son
bras
droit commença à devenir plus faible. Il y a peu
, au point de vue subjectif; à part quelques fourmillements dans le
bras
droit, il n'existe aucun phénomène dou- loureux
ite (hémi-anesthésie , troubles trophiques et bulbaires, parésie du
bras
) ; c'est d'ailleurs un fait fréquemment signalé d
peut fort bien siéger à la région cervicale dorsale. La parésie du
bras
droit avec diminution des réflexes tendineux est
a ré- gion cervicale paraît légèrement atteinte (parésie flasque du
bras
), mais peu profondément puisqu'il n'y a guère d
é anormale et surtout de gros craquements lorsqu'on fait mouvoir le
bras
droit. La radiographie montre peu de déformatio
iu (3)], tantôt tout le membre, tantôt seulement l'avant-bras et le
bras
, toujours c'est la main dont l'hypertrophie est
où A... connut les médecins, les appela par leur nom, etc. Un jour le
bras
droit sembla parésié ; quand on l'y piquait il
lus de 2 à 4 jours. Depuis plusieurs mois les membres et surtout le
bras
et la jambe droits présentent un tremble- ment
es. Janvier 1904, troubles psychiques nets, tremblement accentué du
bras
et de la jambe droite. Exitus en janvier 1905 a
ux. Il n'est peut-être pas sans intérêt clinique de rappeler que le
bras
et la jambe droite du malade furent affectés d'
ultérieurement. Dissection. Nous avons pratiqué une amputation du
bras
droit, au tiers supérieur, afin de pouvoir en p
nserver la pièce dans un bon état. Découverte, à la face interne du
bras
, au niveau de la section osseuse, du nerf média
au niveau de ce qu'on peut appeler les bords interne et externe du
bras
, la graisse sous-cutanée n'a pas moins d'un cen
gros que la normale ; elle reçoit au niveau de la partie moyenne du
bras
, perpendiculairement à son trajet, trois veinules
. L'artère et les veines passent, au niveau de la partie moyenne du
bras
, à la face profonde d'un faisceau apo- névrotiq
sse sur la face antérieure de ce faisceau ; dans toute l'étendue du
bras
, le nerf est franchement en dedans des vaisseaux.
st franchement en dedans des vaisseaux. A la partie infé- rieure du
bras
, au voisinage de l'expansion aponévrotique du bic
e s'unissent au reste du muscle, qu'à la partie toute inférieure du
bras
, alors que le tendon est déjà constitué ; un fais
est composé essentiellement par une veine médiane venue de l'avant-
bras
, recevant de la profondenr une veine communicante
lus mar- quée ; de ce réseau émerge seulement la veine basilique du
bras
. L'artère fin- mérale ne passe pas à la face pr
III. - J. Mouchotte, Observation d'amputation congénitale de l'avant~
bras
gauche. Soc. anat., Paris, 1903, p. 750. Enfa
s courte partie anti-brachiale. La circonférence prise au milieu du
bras
du membre amputé est de 15 centimètres ; celle du
érieur droit bien conformé, et le gauche affecté d'hémimé- lie ; le
bras
de ce côté existait seul ; son volume était norma
raissait être un doigt rudimentaire. IL Enfant de deux ans, dont le
bras
droit était représenté par un moi- gnon compara
un moi- gnon comparable à celui qui résulterait de l'amputation du
bras
au-dessous du coude. Le bras gauche et l'un des
lui qui résulterait de l'amputation du bras au-dessous du coude. Le
bras
gauche et l'un des membres inférieurs étaient aus
et de l'avant-bras gauche. Soc. Biologie, 1852. Femme de 30 ans. Le
bras
droit est normal, mais le bras gauche n'a que l
Biologie, 1852. Femme de 30 ans. Le bras droit est normal, mais le
bras
gauche n'a que l'humérus et ressemble à un moig
en cet endroit. On ne trouve aucune trace, aucun rudiment d'avant-
bras
, ou de main. Les muscles grand pectoral, petit pe
ande impression à la vue d'un mendiant qui lui exhiba un moignon de
bras
ayant l'aspect de celui de son enfant. VIII.
et jouit de tous les mouvements propres à cette articulation. Le
bras
est long de 7 a 8 centimètres, et il ne paraît pa
. - M. BLAIN, Hémimélie thoracique droite ; conformation normale du
bras
, avant-bras rudimentaire . Soc. anat. Paris, juil
semaines après être accouchée de deux jumeaux bien conformés. Le
bras
se terminait au-dessous du coude, par une sorte d
verger immédia- tement l'un vers l'autre.. Le système musculaire du
bras
était complet ; mais les muscles, notamment le
t dont le corps, outre la tête, était réduit au tronc et à 'un seul
bras
, dont il se servait pour progresser, même assez v
4-146. Il s'agit d'un malade de 53 ans, du service de M. Dieulafoy.
Bras
gauche moins volumineux que le droit, à muscles
ue celui de la main droite. Membre supérieur droit : les muscles du
bras
ne présentent rien à signaler. A l'avant-bras,
palmaires et un dorsal. Membre supérieur gauche : Les muscles du
bras
sont normaux. L'avant-bras est normal dans son
léchisseurs communs ; il descend sur la face antérieure de l'avant-
bras
sans fournir au fléchisseur profond, ce qui est u
ate du côté gauche sont beaucoup plus petites que du côté droit. Le
bras
ne présente qu'un tronçon d'humérus, de 6 pouces
avec l'omoplate ne présentent d'autre différence dans ce tronçon de
bras
que leur petitesse. Ceux de la partie interne et
ux de la partie interne et antérieure, et externe et postérieure du
bras
ne paraissent qu'ébauchés. Le biceps qui était
rties molles de la région interne et antérieure de cette ébauche de
bras
. XV. G. Hervé, Bull. Soc. anthropol. Paris, 188
la pièce n'a pas été bien fixée. Tous les muscles de l'épaule et du
bras
ont leur configuration et leurs inser- tions or
eurs arrêts de développement. Du côté du membre supérieur droit, le
bras
est nor- mal ; l'artère numérale, après avoir f
usqu'au-dessous de la partie moyenne de l'avant-bras (le rapport du
bras
de levier est donc modifié). Grand palmaire. So
aire. Vaisseaux et nerfs. Ces organes présentent déjà, au niveau du
bras
et à sa racine un aspect grêle manifeste, et ce
1899, p. 937-942. Hémimélie thoracique gauche ; garçon 15 ans. Le
bras
a une conformation absolument normale. La radio
0, p. GUI (juillet 1900). Le sujet, jeune homme de 18 ans, avait le
bras
gauche normalement cons- titué, un peu moins vo
autant plus courts qu'ils restent fléchis à angle assez aigu sur le
bras
et qu'au pli du coude les parties molles du bras
assez aigu sur le bras et qu'au pli du coude les parties molles du
bras
se réflé- chissent sur l'avant-bras, en le reco
t. Muscles et nerfs. - A droite ; mouvements de l'avant-bras sur le
bras
: la flexion est le mouvement le mieux conservé
difformité congénitale du membre supérieur droit. A l'inspection, le
bras
pa- raît normal, l'avant-bras est atrophié, sa
l'articulation phalango-phalangienne. Membre supérieur gauche. Le
bras
est normal, mais il y a ankylose du coude ; les
nkylose du coude ; les mouvements de flexion de l'avant-bras sur le
bras
sont impossibles tandis que les mouvements de p
hémimélie des 330 KLIPPEL ET BOUCIIET deux membres supérieurs. Le
bras
droit ne présente plus qu'un doigt, muni d'ongl
L'avant-bras extrêmement grêle paraît ne pas présenter de carpe. Le
bras
gauche possède 3 doigts : pouce, index et médiu
les modes. L'humérus gauche a ses muscles légèrement atrophiés ; le
bras
en son mi- lieu n'a que 18 centimètres de circo
le bras en son mi- lieu n'a que 18 centimètres de circonférence. Le
bras
droit à la même hauteur mesure 22 cent. 1/2.
en conformée. Le membre supérieur droit n'est représenté que par le
bras
dont l'os forme à son extrémité inférieure, com
Malade : 62 ans. Pas de difformités congénitales dans sa famille. Au
bras
droit, ankylose de l'articulation du coude. Le
t trapézoïde ; des doigts, seuls le pouce et l'index existent. Au
bras
gauche, il y a également ankylose de l'articulati
teur de l'aisselle; les autres muscles de l'épaule sont normaux. Au
bras
, il n'y a pas de longue portion du biceps ; la co
reuse qui entoure le moignon ter- minal. A la partie postérieure du
bras
, il est impossible de différencier un faisceau
ent répondre plus à des muscles de l'avant-bras qu'à des muscles du
bras
. 334 li KLIPPEL ET BOUCHET .1 Les nerfs ont é
ie obser- vant l'escadre d'un fort du littoral, étendit soudain les
bras
comme pour empêcher le navire de sombrer et s'é
mond et G, Guillain (6), le tableau clinique était le suivant. Au
bras
droit il existait une impotence fonctionnelle des
supérieur droit la thermo- anesthésie était très prononcée, sur le
bras
gauche les erreurs d'interprétation des sensati
néralisées à tous les rameaux nerveux de la main. Dans les nerfs du
bras
(médian, cubital), l'examen histologique montrait
l inguinal. Les poils sont assez abondants au pubis, rares sous les
bras
; la barbe et la moustache sont moyennement fou
é, du fait de l'agent constricteur, déviés en dehors; plus tard, le
bras
augmentant de longueur, ils ne se sont plus trouv
ils ne se sont plus trouvés correspondre à l'extrémité terminale du
bras
. Il remarque une preuve en faveur de la suracti
n ; 3° les muscles qui s'insèrent sur le tiers inférieur de l'avant
bras
ont disparu. Ce fait est surtout im- portant po
us avons tenté d'en établir une classi- fication. B. Au niveau du
bras
où il y a relativement peu de troubles, les ano
es points où le trouble pathologique est à son minime degré. ' Au
bras
, en effet, on constate le volume considérable du
est celui d'une anomalie de l'humérale qui perfore l'aponévrose du
bras
au-dessus du niveau du pli du coude ; ce n'est
ES TISSUS 407 Par contre l'absence totale de la veine céphalique du
bras
est reconnue des auteurs classiques, Au nivea
378. BLAIN. - Hémimélie thoracique droite ; conformation normale du
bras
, avant-bras rudimentaire. Soc. anat. Paris, jui
n (Paul). - La nature, 12 janvier 1901, p. 101 (IJuthan, l'homme sans
bras
, acrobate et nageur). nIAHAIt6T DU BASTY (de
omhre de particularités : la taille est de 1 m. 55, l'envergure des
bras
de 1 mètre 615 mill. (PI. LXXV). Tête : Les dim
orsale et une lordose lombaire. Membres supérieurs : Longueur des
bras
: 26 centimètres (de l'acromion à l'épicondyle).
qui est en quelque sorte globuleuse, et les petites dimensions des
bras
, surtout du bras gauche. A ce sujet il dit qu'il
ue sorte globuleuse, et les petites dimensions des bras, surtout du
bras
gauche. A ce sujet il dit qu'il a toujours eu le
ras, surtout du bras gauche. A ce sujet il dit qu'il a toujours eu le
bras
gauche plus petit et que cela ne l'a jamais ent
s. Frappé par sa petite taille, sa grosse tête et l'exiguïté de ses
bras
, le rapprochement s'imposait à première vue. Bi
e le relâche- ment musculaire complet. Le phénomène de la chute des
bras
se constate facilement : si l'on soutient l'un
a chute des bras se constate facilement : si l'on soutient l'un des
bras
avec la main et qu'on demande de le laisser ret
ente musculaire im- médiate et absolue ne peut pas être obtenue. Le
bras
reste étendu trop longtemps, ou sa chute n'est
on et extension. Mouvements élémentaires des épaules, du torse, des
bras
. Exercices combinés des différents segments du
dans la région du trapèze, surtout lorsqu'il fait des mouvements de
bras
. L'état mental de Taurone s'est aussi modifiée
ques minutes tous les jours. Devant miroir les exercices assis, les
bras
reposant sur la table, étaient relativement facil
vissait surtout dans l'articulation de l'humérus, s'irradiait dans le
bras
, et venait unir en fourmillements à l'extrémité
ique avec quelques incorrections, les mouvements des épaules et des
bras
. ' 2° Je suis loin encore de l'aisance et de la
sont convenables, la flexion aussi. Les mouvements des épaules, des
bras
(surtout dans l'élévation verticale) et ceux du t
tentatives de combinaison des mou- vements de la tète avec ceux des
bras
, des épaules et du buste, mais j'attends pour l
us d'assouplissement, j'exécute tous les mouvements de la tête, des
bras
, des épaules et du buste ; c'est mon pro- grès
que je ressens ; c'est au contraire une sorte d'engourdissement du
bras
, et surtout de la main, avec tremblement à peine
ticolis. b) Qu'il s'accompagne d'une sensation d'engourdissement du
bras
et de la main du côté droit (côté du sterno-mas
mblement, ainsi que d'une sensation douloureuse dans l'épaule et le
bras
droit. c) Qu'il ne se produit pas seulement à l
t, les difficultés dans quelques-uns des mouvements d'élévation des
bras
,de leur circonvolution autour de la tête et de
mouvements simples ; quelques mouvements combinés de la tête et du
bras
droit surtout, comme le port et les frictions de
une petite gène pour certains mouvements combinés de la tête et du
bras
droit, qui d'ailleurs s'atténue peu à peu. Le
ve vite. 11 ne précise' pas nettement le début des déformations des
bras
. Quant à celles du en/ne, elles semblent remonter
corps ramassé sur lui-même penche en avant, l'abdomen saillant, les
bras
dans cette po- sition semblent trop longs pour
me. C'est à peine s'il a remarqué la déformation très accentuée des
bras
, à (1) Cette observation a été recueillie en 1S
ble évasé comme un bassin de femme. Les déformations du thorax, des
bras
et des jambes donnent au malade debout l'attitu
es jambes écartées, en arc de cercle, le corps penché en avant; les
bras
pendants et incurvés semblent trop longs. La ta
droite couvre de larges plis la partie inférieure de son corps. Le
bras
droit, le torse, le centre et le haut des cuiss
d'une sorte de chemisette a plis onduleu; élève vers le dieu ses deux
bras
nus entourés de serpents (2), tandis qu'elle ba
onieux jusqu'au sol, se ren- verse brusquement en arrière entre les
bras
d'un homme qui s'avance pour la retenir. Cet
à l'appui de celte opinion. Enfin les serpents qui entourent ses
bras
indiquent bien qu'il s'agit d'une (1) Voy. Paus
ste, les prêtres avaient coutume d'enrouler des serpents autour des
bras
des prophétesses, afin de frapper l'esprit des co
e simplement l'origine. L'homme qui reçoit une des femmes entre ses
bras
, n'est qu'un comparse sans im- portance. Et la
s des danses bachiques figurées. Mais la femme assise, qui lève les
bras
en l'air, et qui semble absor- bée par une visi
d'elle-même. Elle en est vraiment possédée. La pythonisse élève ses
bras
vers le dieu. C'est un geste qui n'est pas rare
e. L'autre ménade, qui se renverse brusquement en arrière entre les
bras
de l'homme qui la soutient, est encore plus int
rchaisme de la composition : l'artiste a su traiter le torse et les
bras
avec une grande sou- plesse, et il faut admettr
ographie du bas-relief lui-même, en flexion un peu exagérée vers le
bras
. Je n'aurais pas attaché de valeur à ce détail,
sentant des démoniaques on retrouve le comparse qui reçoit dans ses
bras
la possédée, et qui cherche, assisté par- fois
droite, où est figurée une hystérique tombant en attaque entre les
bras
du chef de clinique qui se précipite pour la re
ne ses formes. Le cou et le torse nus sont ornés de colliers, elles
bras
, nus également, de bracelets. De la main droite
brise pendant sa chute. L'hermaphrodite ailé qui la reçoit dans ses
bras
, est une de ces ligures énigmatiques si fréquem
sur la paume, et la main entière est en flexion forcée sur l'avant-
bras
Celui-ci même, plié à angle droit sur le bras,
forcée sur l'avant- bras Celui-ci même, plié à angle droit sur le
bras
, semble indiquer que la raideur a déjà envahi t
rsée d'une façon excessive, et le cou proéminent (Fig. 11) (1). Les
bras
harmonieusement disposés indiquent cependant des
embres contorsionnés, des serpents dans leurs cheveux et autour des
bras
. Elles ont de grandes analogies dans le geste et
d sur l'autre, accélérant ou ralentissant sa marche, et élevant les
bras
qu'elle agite au- dessus de sa tète.. Elle po
par l'intermédiaire de laquelle le poids du tronc avec la tète et les
bras
se transmet aux membres inférieurs. Nous avons
t ligne de gravité passant très peu en avant du centre d'appui, le
bras
de la résistance est fort court et celui de la
fil de la station droite prenait un aspect disgracieux et lorsque les
bras
tombaient naturellement le long du corps, les m
ar exemple, ou bien lorsque des haltères sont maintenus au bout des
bras
horizontalement tendus en avant, le corps prend u
se renverse de côté pour le même motif. De plus il étend souvent le
bras
du côté où il penche pour déplacer davantage le
avant si la jambe est portée en arrière. La plupart du temps, les
bras
s'écartent du torse et, par leurs mouve- ments,
aux parties. Puis elle a eu une éruption de boutons rouges sur les
bras
, non prurigineux. Enfin elle a perdu ses cheveu
eur articulaire du coude et par la douleur que le malade éprouve.
Bras
amaigris dans leur ensemble, sans atrophie muscul
lade ne peut exécuter qu'un mouvement très incomplet d'élévation du
bras
. Les mouvements imprimés à l'articulation de l'ép
yphilitique, qui avait été pris de douleurs dans le cou et dans les
bras
, puis de raideur de la nuque et finalement de p
as, puis de raideur de la nuque et finalement de paralysie des deux
bras
. L'examen nécroscopique montra une pachyméningi
ce, car le Fit. 40. 132 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE
bras
de levier auquel ils s'attachent est fort court.
ion anor- male des omoplates, la lordose lombaire, la faiblesse des
bras
et des cuis- ses, tandis que les avant-bras son
de la moitié supérieure du corps, de la ceinture scapulaire et des
bras
. « La localisation de cette atrophie, dit Erb, es
. XVIII). Membres supérieurs. Les deltoïdes sont très diminués ; le
bras
ne peut ni d'un côté ni de l'autre être amené à
Les fosses sus et sous-épineuses sont aussi excavées. Les muscles du
bras
sont certainement atrophiés, quoique la diminut
résistance soit très difficile ;main- cre. La flexion de l'avant
bras
est possible, mais difficile. L'extension de l'av
l'avant bras est possible, mais difficile. L'extension de l'avant-
bras
est faible. Les muscles de l'avant-bras sont au
surtout marquée dans les mus- cles de la ceinture scapulaire et des
bras
. Aux avant-bras les altérations de l'excitabili
aux JO X cr TA B 1 L r T ÉLECTRIQUE DES NERFS ET DES MUSCLES 161
bras
. Aux mains la diminution de l'excitabilité électr
0'nm ; C. assez fortes à 90 ? ; les C. produisent le déplacement du
bras
u 8m ? à gauche : C. minima a 103 ; C. avec dép
du bras u 8m ? à gauche : C. minima a 103 ; C. avec déplacement du
bras
à 90. (Bien que la contractilité faradique soit
que soit plus forte à gauche qu'à droite, l'élévation volontaire du
bras
est plus faible, ce qui tient à ce que l'in- su
peu limitée. De même l'extension com- plète de l'avant-bras sur le
bras
ne peut être obtenue volontairement, ni passive
leur plus grande extension possible les avant-bras forment avec le
bras
un angle d'environ 1700 ouvert en avant. Les avan
nt avec le bras un angle d'environ 1700 ouvert en avant. Les avant-
bras
sont aussi inclinés sur le bras de dedans en deho
on 1700 ouvert en avant. Les avant- bras sont aussi inclinés sur le
bras
de dedans en dehors et de haut en bas, formant
force notablement diminuée : dans la flexion de l'avant-bras sur le
bras
, la contraction du long supinateur est très manif
rsaux : C. minima à 95mm. NERF radial (au niveau du bord externe du
bras
, il la partie inférieure de la gouttière de tor
C'est un an après, à 17 ans, qu'il a remarqué que ses épaules et ses
bras
devenaient faibles, particulièrement dans les m
viennent surplomber les clavicules, si le malade essaie de lever les
bras
. Leur face postérieure regarde en dehors ; leur
aillantes, sont dirigées horizontalement de dehors en dedans. Les
bras
sont très grêles ; il semble que les muscles ont
ès disparu. Quanl aux avant-bras, ils forment un contraste avec les
bras
il canse de leur volume et de leur forme relati
e épi- neuse de 6 il 7 cm. Lorsque le malade cherche à élever les
bras
, ce qu'il ne peut guère faire que latéralement,
guère faire que latéralement, sans atteindre l'horizontale, car les
bras
ne s'écartent guère du tronc au delà d'un angle
ez considérable qui contraste avec l'atrophie énorme des muscles du
bras
. Portion antérieure : à droite, n'est que peu a
'apparence normale contrastant avec la maigreur extrême de ceux des
bras
. Toutefois le long supinateur et les radiaux so
a- chial antérieur pour produire la flexion de l'avant-bras sur les
bras
, mais ne peut opposer dans ce mouvement qu'une
Usion des cartilages costaux inférieurs, plus accentuée à droite.
Bras
. Les masses musculaires des deltoïdes semblent to
moplates sont projetées en arrière comme des ailes. Les muscles des
bras
et des avant-bras sont notablement affaiblis. (Br
Les muscles des bras et des avant-bras sont notablement affaiblis. (
Bras
: 6 pouces 1/4. -- Avant-bras : 7 pouces). Des
l'extension passive que dans la flexion. La main tombe sur l'avant-
bras
et s'incline vers le bord cubital. (I'l. XXII). L
ri- mitive. (PI. XXII). L'atrophie semble un peu moins accusée au
bras
et à la jambe gauches que du celé droit ; mais
paraît pas retardée. La force de contraction des fléchisseurs des
bras
et des jambes, bien que beaucoup plus grande qu
évrier 1894) la malade est incapable de se nourrir toute seule. Les
bras
et les jambes sont repliés sur eux-mêmes par le
et des muscles ont disparu. La circonférence des membres gauches (
bras
, avant-bras, cuisse, jambe) excède celle des memb
et A.C.C. se rapprochent l'un de l'autre. Dans les fléchisseurs du
bras
et de la jambe l'excitabilité galvanique est lé
, un enfant porté sur les épaules d'un homme lève en l'air ses deux
bras
très amaigris et terminés parties mains difform
qui en sont la conséquence. Sur la même fresque, un homme étend son
bras
à l'extrémité duquel la main tombe comme dans l
s osseuses dans des sortes de pseudartliroses identiques a celles des
bras
et des jambes d'un polichinelle. Mais il est ra
n existe plus trace dans la capsule articulaire. On peut tourner le
bras
dans tous les sens, autour de son axe longitudi
ès. L'oedème avait disparu, mais la malade ne pouvait pas lever son
bras
. On remet le membre dans l'appareil qu'en en- l
es mains et de ses avant-bras. Kilo ne peut pourtant pas élever ses
bras
jusqu'à l'horizontale. Les troubles de la sen
point de départ de l'arthropathie a été un mouvement d'élévation du
bras
. Dans l'observation XII de G. Hoff- mann, l'art
latéralité sont abolis. La supination est impossible pour l'avant-
bras
. Mensurations comparées des deux membres. UN
n des doigts) n'esl. pas très manifeste au niveau de l'épaule et du
bras
. Elle s'accuse surfont au niveau du tiers infér
Du reste, les divers segments de ce membre supérieur droit (épaule,
bras
, avant-bras, carpe et méta- carpe) ont conservé
ntracture. Le torse nu est bombé, le ventre un peu en retrait. Le
bras
droit est tendu en haut, le poing fermé, les musc
scles conlractés. L'avant-bras gauche, replié à angle droit, sur le
bras
encadre la tète ; le poing est fermé, mais natu
e moins mouvementée. On peut lui reprocher surtout la position du
bras
droit et de la jambe gauche, complètement tendu
ment tendus suivant la môme ligne oblique, tandis que le m ... Il
bras
gauche et la jambe droite sont repliés tous les d
, sauf au niveau de l'hypothénar droit qui est aplati. Paralysie du
bras
droit ; elle diminue il mesure que l'on se rappro
volontaires du membre en totalité sont peu étendus ; l'abduction du
bras
atteint il peine un angle de 45°. Les mouvements
es mouvements passifs sont libres dans tous les sons. En élevant le
bras
la hauteur du corps on produit une luxation s,o
l'aisselle ; en l'abais- sant, la réduction se produit. Lorsque le
bras
est en repos, la tête de l'humérus est sentie e
ments du membre supérieur gauche sont libres, sauf l'éléva- tion du
bras
qui est limitée. Les membres inférieurs ne prés
fiúritlaÍ1'(' dans les muscles de la région postérieure de l'avant-
bras
droit. Le réflexe patellaire est un peu augment
région de la face antérieure de l'épaule ; normale sur le reste du
bras
droit'et du corps. Sensibilité ci la chaleur,
nsibilité abolie à 50°, face interne insensible il 40°; le reste du
bras
et l'épaule est sensible à 35°. La sensibilité du
eur sur le dos de la main ; complètement abolie il l'avant-bras. Au
bras
, diminution dans la région antéro-externe; sen-
- connaît bien la position donnée il la main, il l'avant-bras et au
bras
. La sensibilité des muqueuses paraît normale.
lement (mi-juin) elle est en luxation postéro-exlernc ; en élevant le
bras
, on produit facilement la luxation de la tête e
e. On entend des craquements très manifestes il chaque mouvement du
bras
. Il n'y a aucune douleur ni spontanée, ni au mome
elle que l'on constate au niveau des doigts et des articulations du
bras
. Ce cas vient à l'appui de la théorie attri- bu
au cours du tabes (1). Un ataxique, par exemple, garde parfois les
bras
étendus horizontalement pendant vingt-cinq mi-
il n'en est pas avisé. S'il peut maintenir vingt-cinq mi- nutes les
bras
étendus, du moins ne peut-il pas les maintenir ai
le par le corps toxique est le môme, celle différence près, que les
bras
retombent le long du tronc, réellement fatigués
e chez laquelle les deux membres paralysés et, plus spécialement le
bras
gauche étaient le siège d'une vive douleur. Or
rse rct.ro-o)6- crânienne, puis oedème s'étendant jusqu'à moitié du
bras
et de l'avant-bras : Fig. 80.- Arthro- pathie
merai, et une déviation à 40° de l'axe de l'avant-bras sur l'axe du
bras
, dans l'extension du membre. En somme il s'agis
glorieuse Reine des anges lui apparut, son très cher Fils entre ses
bras
, l'éclairant de sa splemlide lumière, le charmant
che demi-close ; la tête tombe mollement sur l'épaule gauche, et le
bras
du même côté pend, flasque. Tout le corps s'aband
me côté pend, flasque. Tout le corps s'abandonne, inerte, entre les
bras
de l'homme qui fait effort pour le soutenir. C'es
autres miracles. « Une honnête femme avait depuis fort longtemps un
bras
desséché au point do ne pouvoir s'en servir. El
nte cette scène montre bien l'attitude caractéristique dela main etdu
bras
. « C'est encore par la vertu du signe de la cro
e est totalement paralysé ; les doigts, la main, l'avant-bras et le
bras
sont tout à l'ait immobiles. Il est flasque, mais
culaire en masse. Le périmètre donne les chiffres suivants, pris au
bras
il 15 centimètres au-dessus de l'olécrane et à
res au-dessus de l'olécrane et à 8 centimètres au-dessous à l'avant
bras
. Bras gaucho = 18 cent. Avant bras gauche = 16
essus de l'olécrane et à 8 centimètres au-dessous à l'avant bras.
Bras
gaucho = 18 cent. Avant bras gauche = 16 cent.
centimètres au-dessous à l'avant bras. Bras gaucho = 18 cent. Avant
bras
gauche = 16 cent. Bras droit = 20 cent. 1/2 Ava
l'avant bras. Bras gaucho = 18 cent. Avant bras gauche = 16 cent.
Bras
droit = 20 cent. 1/2 Avant bras droit t = 18 Il
cent. Avant bras gauche = 16 cent. Bras droit = 20 cent. 1/2 Avant
bras
droit t = 18 Il n'y a pas d'autres troubles tro
A cette époque il remarqua, dit-il, en se couchant le soir que son
bras
trem- ])lait. Cela se serait reproduit 2 ou 3 j
en effet considérable, et, de plus les mouvements de l'épaule et du
bras
gauche restaient restreints., et difficiles. Ce
recouvrant en calotte l'épaule et descendant sur le bord externe du
bras
et de l'avant-bras, jusqu'à la pointe du radius
fonctionnement nor- maux. Sans aucun fourmillement, sans fatigue du
bras
si impuissant jadis, mon opéré qui reste debout
sse dans les jambes. Bientôt elle ne put marcher que soutenue par les
bras
(45 ans). Elle est alors entrée à l'hôpital Saint
épingle par exemple. Jusqu'en 1867, elle se servait assez bien de ses
bras
. Les fonctions respiratoires et circulatoires s'a
; si on la soulève pour la remettre debout, elle oublie de lâcher les
bras
du fauteuil. Membres supérieurs. La malade serr
Au bout de trois jours, le gonfle-ment a disparu à l'avant-bras et au
bras
: l'épaule seule est restée volumineuse. En appuya
main sur cette articulation et en fai-sant exécuter des mouvements au
bras
, on perçoit des craque-ments. Période d'état. 1
ien dans le coude ni dans le poignet gauche, ni dans les jointures du
bras
droit. 2 août. Cette femme a été prise d'une di
14 déc. Hier soir et cette nuit, agitation, mouvements convulsifs des
bras
. Le malade dit souffrir beaucoup de la tête et de
ent de gauche à droite et de bas en haut. Le dos regarde en avant; le
bras
droit appuie sur le pubis; le gauche est caché so
e sous-jacente. Un garçon de 21 ans, forgeron : longues fatigues du
bras
; puis, à la suite des douleurs vives à l'extrémi
ras ; puis, à la suite des douleurs vives à l'extrémité supérieure du
bras
droit, le surlendemain, aspect typhoïde. (Fournie
e surlendemain, aspect typhoïde. (Fournier.)—Un garçon de 12 ans a le
bras
droit fortement tiraillé en amenant à lui un sac
) — C'est une fille de 30 ans qui porte, un temps assez long, sur son
bras
nu, du linge qu'elle vient délaver. (Verneuil.) —
d'un côté sur l'avant-bras et de l'autre jusqu'au tiers inférieur du
bras
. (Charcot, Archives de physiologie, 1868, p. 162.
y avait une tuméfaction, un empâtement de l'avant-bras, et surtout du
bras
et de l'épaule. Ce symptôme,— le gonflement,— a
fois le siège de la maladie, et chaque fois l'af-fection occupait le
bras
droit. Ce singulier privilège s'explique sans nul
e sans nul doute par les mouvements continuels qui se passent dans le
bras
droit, tandis que le bras gauche, qui demeure hab
ouvements continuels qui se passent dans le bras droit, tandis que le
bras
gauche, qui demeure habituellement au repos, se t
ment des membres supérieurs, surtout à droite. Peu de temps après, le
bras
droit fut pris à son tour, de sorte que l'ataxie
cle deltoïde. La tumeur est plus saillante en avant qu'en arrière. Le
bras
etl'avant-bras sont le siège à'mi œdème considéra
égulière, dure, qui se déplace lorsque l'on imprime des mouvements au
bras
: cette saillie n'est autre que la tète de l'humé
teinte d'atrophie musculaire progres-sive qui avait d'abord occupé le
bras
gauche, puis le droit. Alors que, vers la troisiè
Elisabeth W. ., à l'âge de huit mois, perdit graduellement l'usage du
bras
droit ; au bout de 15 mois (avril 1857), le gauch
airement. Le système musculaire était en général affaibli, surtout au
bras
. La peau, toujours chaude, transpirait li-brement
épaule, comparativement à la droite, est moins arrondie ; — 2° que le
bras
est en quelque sorte collé contre la paroi thorac
paroi thoracique ; — 5° que Yavant-bras l'orme un angle droit avec le
bras
; — 4° que la main, et nous insistons sur ce poin
mouvements de l'épaule sont assez étendus : la malade peut élever le
bras
horizontalement, le porter dans l'adduction et da
ur de ta clavicule. .......... 14 — 15 — Lecom... ne se sert de son
bras
gauche que pour appuyer, pour presser. Elle trava
e la nuque et de la région cervicale postérieure, s'irradient dans le
bras
et le coude; — 2° des douleurs vives dans le poig
e développement qui n'in-téresse que l'avant-bras. En effet, les deux
bras
ne paraissent différer ni dans leur volume ni dan
tale inférieure. 2° Description des parties molles. — A. Muscles du
bras
Le biceps s'insère à la tubérosité bicipitale. —
emi. L'avant-bras mesure huit centimètres. A gauche, la longueur du
bras
est de treize centimètres et demi; mais Y avant-b
centimètres et demi. (Voy. planche XI, fig. 1.) La circonférence du
bras
, à la partie moyenne, est de douz.e cen-timètres
sion du cou, déviation énergique de la face vers l'épaule «auche ; le
bras
gauche se soulève, se roidit, les membres inférie
gauche au contraire est très-bombée, normale. La longueur des deux
bras
est à peu de chose près la même : ils mesurent en
différences assez notables : tandis que la mensuration donne pour le
bras
gauche 28 centimètres près de la racine du membre
i à la partie moyenne, 23 centimètres et demi près du coude ; pour le
bras
droit nous ne trouvons que les dimensions suivant
star d'un gland ou d'un clitoris. Dans la flexion du moignon sur le
bras
, le sillon qui circonscrit le mamelon se creuse ;
r. 1 Ces détails se voient bien sur la planche XV qui représente le
bras
placé sur un support; le moignon est fléchi, mais
e sillon au niveau du pli du coude, le moignon ne se distingue pas du
bras
. PATHOLOGIE INTERNE DE LA TEMPÉRATURE DANS L'
soit de la langue. Membre supérieur droit (paralysé). Au repos, le
bras
s'appuie le long du thorax; l'avant-bras, à peine
i donne l'aspect d'un crochet. (Voy. Planche XVI.) La malade élève le
bras
jusqu'à la ligne horizontale, porte la main au fr
douleurs et craquements dans l'épaule, mais aucune douleur le long du
bras
ni dans les autres jointures. Toutefois, au momen
ives des deux membres supé- rieurs 1 : DROIT GAUCHE Longueur du
bras
......... 46,5 cent. 52 cent. Circonférence du b
HE Longueur du bras......... 46,5 cent. 52 cent. Circonférence du
bras
au-dessous de l'aisselle............. 21,5 — 29
u-dessous de l'aisselle............. 21,5 — 29 — Circonférence du
bras
(partie moyenne). 20,5 — 24 — — du coude.......
longs ; lorsqu'ils sont dans l'ex-tension, l'avant-bras forme avec le
bras
un angle obtus ouvert en dedans. L'humérus droit,
erver dans le service de M. Giraldès, le malade ne pouvait mouvoir ni
bras
ni jambes, à cause des vives douleurs que provoqu
n temps on observe des mouvements de flexion des avant-bras sur les
bras
. La contracture varie : tantôt elle est très-accu
s successivement les passer en revue. Membre supérieur gauche. — Le
bras
parait bien conformé; il est cependant moins déve
l'amener jusqu'au niveau de sa bouche. Membre supérieur droit. — Le
bras
est bien conformé; il en est de même de l'avant-b
xiste du membre intérieur droit. C, jambière à rallonges. pemcnt du
bras
gauche et de la main droite (hémimélie), et un ar
t à douze ans environ. — Déformations de la main, de l'avant-bras, du
bras
et du thorax, principalement du côté gauche. — Dé
a faiblesse, et quelques contrac-tions musculaires involontaires; son
bras
conservait son volume habituel. Au bout de quelqu
ablement, et c'est alors qu'il s'aperçut que la faiblesse gagnait son
bras
droit, et qu'il ne pouvait continuer longtemps so
emps son travail. Les mêmes contractions qui le tourmentaient dans le
bras
gauche s'emparèrent du bras droit, qui s'atrophia
contractions qui le tourmentaient dans le bras gauche s'emparèrent du
bras
droit, qui s'atrophia à son tour, et bientôt l'at
oi qu'il en soit, voici l'état actuel du malade, en commençant par le
bras
gauche, celui où les déformations sont le plus ac
pré-sente plutôt des dépressions au niveau de l'espace interosseux.
Bras
gauche. — L'atrophie porte aussi sur tous les mus
seux. Bras gauche. — L'atrophie porte aussi sur tous les muscles du
bras
gauche ; l'humérus n'est plus enveloppé que par u
échisseurs existent encore, et le malade peut les faire contracter.
Bras
gauche. — Le bras a seulement diminué un peu de v
t encore, et le malade peut les faire contracter. Bras gauche. — Le
bras
a seulement diminué un peu de volume, Il E VUE
B avec un entonnoir de verre dans le fla-con. Après avoir bandé le
bras
du malade, comme pour une saignée, on découvre la
. . . — sous-claviculaire. . — axillairc..... Sein..........
Bras
..........• Cuisse.......... HOMMES 56 1 1
la ba-taille de Cbampigny, le 50 novembre. A la face antérieure du
bras
droit, au niveau du Y deltoïdien, est l'orifice d
ANNÉE. 10 à la résection ; sur la face antérieure de l'épaule et du
bras
, de façon à passer par l'ouverture d'entrée de la
est couché horizontalement dans son lit, la tête sur un coussin. Son
bras
mis dans une gouttière est maintenu dans une po-s
n tube à drainage qui occupe toute la plaie. A la partie interne du
bras
, dans la gaine du biceps, il se forme une petite
heures chaque jour, et il finit par se lever le 20 janvier. Alors son
bras
est soutenu par ui e écharpe. 21 janvier. Je tr
n pertuis que j'explore sans trouver le plus petit corps étranger. Le
bras
est tou-jours porté en écharpe. 15 octobre. Gim
t par Paris, vient me voir. La plaie est complètement cicatrisée. Son
bras
est dans l'état où il est représenté planche XXVI
as est dans l'état où il est représenté planche XXVII. Les muscles du
bras
sont solides et assez volumineux. Les plis, dus a
ait disparu. Les tissus se sont appropriés à la nouvelle lon-gueur du
bras
. Le raccourcissement, si apparent dans la planche
os une véritable fausse articulation. La planche XXVIII, montre le
bras
porté en arrière, le coude sail-lant, et l'avant-
ation en dedans de l'humérus. Jusqu'à présent il écarte très-peu le
bras
du tronc, et il ne fait pas du tout le mouvement
ronc, et il ne fait pas du tout le mouvement de rotation en dehors du
bras
. L'avant-bras se fléchit très-bien sur le bras,
otation en dehors du bras. L'avant-bras se fléchit très-bien sur le
bras
, et Gimel a l'usage complet de sa main, sauf lors
orsqu'il faut la porter en dehors, l'avanl-bi us étant, fléchi sur le
bras
. Alors il est obligé de la conduire avec l'autre
en qu'il ne puisse jamais faire le mouvement de rotation en dehors du
bras
, car les muscles principaux de cette rotation en
rs du bras, car les muscles principaux de cette rotation en dehors du
bras
, le sous-épineux et le petit rond, ne peuvent plu
. Chez cette dernière malade, en effet, la main forme avec l'avant -
bras
un angle droit. Nous retrouvons encore cette même
à diminuer au bout de deux mois. A une certaine époque, gonflement du
bras
et de la main ; cet accident reviendrait de temps
ent reviendrait de temps en temps. État actuel (1862). Paralysie du
bras
droit avec roideur et flexion très-légère de l'av
bras droit avec roideur et flexion très-légère de l'avant-bras sur le
bras
et des doigts sur la paume de la main. La malade
petit. — La malade a toujours, par in-tervalles, des douleurs dans le
bras
droit. Il n'y a pas de change-ment appréciable de
e la température. Au-jourd'hui, 24 mars, la main, l'avant-bras, et le
bras
sont plus froids à droite. La différence est beau
ont plus froids à droite. La différence est beaucoup moins grande aux
bras
qu'aux mains. De même pour les membres inférieurs
s de paralysie fa-ciale. Membre supérieur droit. La malade élève le
bras
jusqu'à l'hori-zontale; l'adduction et l'abductio
nce. T... tient d'habitude Y avant-bras fléchi à angle droit sur le
bras
; on parvient aisément à le mettre dans l'extensi
on est arrêté par la douleur. La main est à angle droit sur l'avant
bras
, les doigts sont fléchis. Voici leur disposition
nce du poignet...... 14 — 14 — — du coude....... 19 — 19,2 — — du
bras
(1/3 inf.) . . . 20 — 20 — 1 A partir de cette
e l'apophyse de la septième vertèbre cervicale et s'irradiant dans le
bras
droit. C'est aussi sur ce point que se sont manif
tôt, alarmé par l'irré-gularité toujours croissante des mouvements du
bras
, il consulta un praticien de la ville, qui le tra
côté du membre supérieur droit à l'usage habituel que nous faisons du
bras
et de la main droite : chez notre malade, les con
notre malade, les conditions se trouvent renversées, puisque c'est du
bras
gauche qu'il fait habi-tuellement usage; il ne fa
de ce malade. gauche. droite. 24 nov. 27 nov. Circonférence du
bras
au-dessous de l'aisselle............ 35*,H 31 %
essous de l'aisselle............ 35*,H 31 %5 25 cent. Circonf. du
bras
(partie moyenne). . 51 28 20,5 Circonférence du
hémiplégie droite. Perte absolue de la sensibilité et du mouvement au
bras
droit, sensibilité obtuse et conservation partiel
droite est d'abord paralysée, puis, au bout de quelques instants, le
bras
droit refuse son service. Observée dix minutes ap
- Charcot. Evrard (Marie-Thérèse), 70 ans — Cette femme, amputée du
bras
gauche éprouvait des sensations subjectives clans
n parle d'une attaque antérieure d'apoplexie ; elle était inhabile du
bras
gauche, a peu près démente, mais elle marchait. E
Elle prend bientôt de l'œdème dans les membres inférieurs et clans le
bras
paralysé, et enfin des abcès multiples. — Elle me
st normale. Le malade marche bien, et est un peu moins vigoureux du
bras
et de la jambe du côté droit que des membres du c
connaissance avec mouvements convulsifs du côté droit de la face, du
bras
et de la jambe du même côté. Le lendemain, 12,
les yeux ouverts et sans regard ; on lui parle, il ne répond pas. Le
bras
et la jambe du côté droit sont complètement paral
vement et fléchissent par moment la tête sur l'épaule droite; puis le
bras
droit s'agite par des mouvements alternatifs de f
ec paralysie in complète du côté gauche et mouvements convulsifs du
bras
droit. A l'autopsie, on reconnaît dans toute la
rtie. En effet, à l'aide de certains gestes qu'elle exécutait avec le
bras
et la main gauche, cette malheureuse infirme parv
tervalles très rapprochés. Cependant, les mouvements des mains et des
bras
sont libres et ne présentent encore qu'à un faibl
ndait d'un côté sur l'avant-bras, et de l'autre au tiers inférieur du
bras
. Les parties tuméfiées offraient une consistance
aide de deux personnes, et elle doit s'appuyer fortement sur les deux
bras
qui lui servent de soutien lorsqu'elle veut essay
r et faire quelques pas autour de son lit; elle peut aussi élever son
bras
plus haut qu'elle ne le faisait d'abord;—? physio
s très manifes-ment par une pression exercée sur la partie interne du
bras
, en dedans du bord interne du biceps, — Ali membr
respondant du côté gauche ; le premier est dans toute son étendue, au
bras
comme à F avant-bras, manifestement plus volumine
rence d'injection vasculaire. (PL IV, figure 7, A. B.) Les muscles du
bras
ont paru présenter des deux côtés les caractères
Toute sensibilité n'y est pas éteinte, car lorsqu'on pince la peau du
bras
ou de l'avant-bras la malade donne des signes de
du membre supérieur gauche. — Les muscles de la partie antérieure du
bras
et de l'avant-bras ne diffèrent en rien des muscl
lument défaut. Enfin, il a été expressément constaté que les nerfs du
bras
paralysé, contrairement à ce qui existait dans le
peut cependant porter sa main gauche à sa tête. Les articulations du
bras
et de l'avant-bras gauche ne paraissent pas être
est pas une femme qui simule ; une femme qui se laisse transpercer le
bras
sans sentir est parfaitement anes-thésique; du re
aimanté est approché à un demi-centimètre de la partie anesthésiée du
bras
par exemple, et, afin d'éviter d'une façon certai
minutes, suivant les sujets, la malade vous avertit qu'elle sent son
bras
comme engourdi ; alors, si vous piquez la peau au
que vous n'aviez obtenu la réapparition de la sensibilité que sur le
bras
, vous la voyez s'étendre progressivement sur tout
pensez au chatouillement qui peut se produire sur un point de xrotre
bras
, vous ressentirez vraisemblablement, sur la parti
auche et complètement sensible à droite. Vous appliquerez l'or sur le
bras
gauche et vous constaterez que la sensibilité r
e du métal. Eh bien, si vous explorez la sensibilité dans le point du
bras
droit, qui correspond symétriquement à celui où v
i correspond symétriquement à celui où vous avez appliqué l'or sur le
bras
gauche et où la sensibilité est revenue, vous rec
tait sensible à l'or. Nous lui appliquons quelques pièces d'or sur le
bras
gauche. Le côté gauche du corps était dans le tem
de peu qu'elle ne s'endorme en votre présence. Nous allons piquer son
bras
. Vous voyez que la sensibilité, qui était tout à
avais insisté dans mes leçons. J'avais l'habitude de lui traverser le
bras
sans plus de façon avec une longue et grosse aigu
la situation droite et si l'on insiste, la tourne inversement. Sur un
bras
, l'excitation des fléchisseurs amène la contractu
osons notre malade affectée de contracture permanente artificielle du
bras
droit ; si l'on fait agir l'aimant sur le bras ga
anente artificielle du bras droit ; si l'on fait agir l'aimant sur le
bras
gauche, en plaçant ses pôles actifs à peu de dist
gauche, en plaçant ses pôles actifs à peu de distance de la peau, le
bras
gauche, au bout de peu d'instants se contracture
gauche, au bout de peu d'instants se contracture en môme temps que le
bras
droit retrouve sa souplesse normale. Ce procédé d
ofondes des globes oculaires datant de l'enfance. Nous traversons son
bras
droit avec cette pointe d'acier, elle ne manifest
pointe d'acier, elle ne manifeste aucune douleur. Nous approchons du
bras
anesthésie le point neutre de ce barreau aimanté.
, sans que la malade s'en doute, retournons l'aimant et présentons au
bras
les deux pôles de l'aimant. Au bout de quelques m
nche, elle a disparu à droite, et nous pouvons maintenant perforer le
bras
droit que tout à l'heure la malade retirait au mo
moindre contact. Bien plus le phénomène que vous voyez se produire au
bras
vient de se passer au môme instant dans les point
e puisque physiquement elle lui est identique. Nous introduisons le
bras
gauche de Gl... dans ce solenoide, et nous envoyo
nt cinq minutes, traverse la spirale. Maintenant, vous le voyez, le
bras
droit est redevenu sensible, le bras gauche a per
Maintenant, vous le voyez, le bras droit est redevenu sensible, le
bras
gauche a perdu, par transfert, toute sa sensibili
onte pour ainsi dire, elle gagne peu à peu, elle atteint le coude, le
bras
, l'épaule, le corps tout entier, et même la visio
é gauche, si nous posons le barreau aimanté à quelques centimètres du
bras
gauche, ce membre gauche, qui était insensible, r
tre aimant agit encore sur elle. Nous allons placer un aimant près du
bras
droit, primitivement contracture et qui aujourd'h
embre se contracture!*. Si maintenant nous plaçons l'aimant près du
bras
gauche de la malade, la contracture disparaît pro
du côté gauche. Nous pouvons de môme faire passer la contracture du
bras
gauche à la jambe, gauche ou droite, en y appliqu
sagère, mais une contracture. Je touche plusieurs fois les muscles du
bras
droit, et vous voyez que la malade a une contract
ovarienne), nous la trouvons avec sa contracture ; sa contracture du
bras
peut passer d'un côté à l'autre, et dans les musc
e musculaire existe : je fais une excitation légère des extenseurs du
bras
, et la contracture des fléchisseurs disparaît. Je
it, et aussitôt, la face prend l'expression du rire ; si je donne aux
bras
une attitude tragique, aussitôt, la figure devien
sourire apparaît aux lèvres. 11 est môme possible en donnant aux deux
bras
une attitude d'expression contraire d'amener, par
se montre là où elle n'existe que rarement à l'état normal, comme au
bras
par la percussion des tendons du triceps ou du bi
ion du tendon rotulien, par exemple, on observe un soubresaut dans le
bras
du même côté, ou dans les deux bras à la fois, ou
on observe un soubresaut dans le bras du même côté, ou dans les deux
bras
à la fois, ou dans tout le corps. Un choc sur l
as à la fois, ou dans tout le corps. Un choc sur la face externe du
bras
vers la partie médiane, au niveau de l'insertion
mbe gauche (la malade était hémianestliésique à droite). De plus, les
bras
comme le reste du corps ne participaient en aucun
u tendon rotulien provoquait un soubresaut de tout le corps, les deux
bras
, et principalement le droit, étaient animés d'une
ce tracé, que le réflexe rotulien ne retentit en aucune façon sur le
bras
. Le style supérieur qui correspond au biceps brac
s'obtient à l'aide d'une excitation plus légère, il retentit sur les
bras
et sur tout le corps. On voit, en effet, sur le
ombreuses expériences faites sur elle, aussi bien sur les muscles des
bras
que sur ceux des jambes, ont donné les résultats
e malade, nous constatons qu'il n'y a pas d'irradiation du réflexe au
bras
du même côté. Deux tambours myographiques sont
e, le réflexe rotulien s'accuse encore davantage, et l'irradiation au
bras
du même côté est très marquée. Les trois excitati
tracture se confirmer peu à peu et finalement s'établir aussi bien au
bras
correspondant qu'à la jambe sur laquelle l'excita
as demeurée localisée au seul membre directement intéressé ; les deux
bras
sont contractures dans l'extension et la pronatio
tendons de la face palmaire du poignet amène la "contracture des deux
bras
dans la demi-flexion. Les membres inférieurs dans
ieurs pouvant acquérir un degré d'excitabilité différent de celui des
bras
ou inversement. Nous savons aussi qu'au point de
. Rond pronateur. — Pronateur et fléchisseur de l'avant-bras sur le
bras
. (Le mouvement de flexion est assez énergique lor
e produira les mouvements suivants : Flexion de l'avant-bras sur le
bras
peu accusée, car un seul fléchisseur entre en act
on est tellement intense que la flexion légère de l'avant-bras sur le
bras
ne saurait exister. Le poignet est fléchi. Le
a-fion est continué, pour ainsi dire, par un mouvement de rotation du
bras
de dehors en dedans, de telle façon que la main,
mi-pronateur de l'avant-bras, puis fléchisseur de l'avant-bras sur le
bras
. L'action de ce muscle doit être complètement ann
ée et par l'anconé qui est extenseur énergique de l'avant-bras sur le
bras
et par le court supinateur qui seul préside effic
ation en masse cle tout le moignon de l'épaule ; le deltoïde élève le
bras
en dehors, le biceps fléchit l'avant-bras, etc..
cheval. La malade toujours endormie est assise près d'une table; son
bras
droit contracture pend sur le côté; nous avons so
ions musculaires, même fortuites, ne manqueraient pas de susciter. Le
bras
gauche repose inerte sur la table à proximité de
e membre contracture. On voit, par exemple, la contracture latente du
bras
droit transférée, par l'application de l'aimant,
e latente du bras droit transférée, par l'application de l'aimant, au
bras
gauche. Nous avons répété ces expériences au suje
vers la racine du membre supérieur, et la ligature étant maintenue au
bras
pour empêcher le retour du sang, les paupières .
Caill... est endormie rapidement par la fixité du regard. Sur le
bras
gauche, contracture facile par l'excitation des t
ière fois que cette expérience est tentée chez cette malade. Sur le
bras
droit l'excitation des tendons et des masses musc
traction nettement localisée, aucune ébauche de contracture. Sur le
bras
gauche au contraire la griffe cubitale s'obtient
. Dix minutes et plus se passent sans qu'aucun transfert ait lieu. Le
bras
droit garde sa flaccidité, et l'on note, par cont
est impuissante. 3° L'hyperexcitabilité est plus développée sur le
bras
gauche que sur le bras droit. La différence entre
L'hyperexcitabilité est plus développée sur le bras gauche que sur le
bras
droit. La différence entre les deux côtés est ass
assez prolongées sur l'hyperexcitabilité des muscles et des nerfs du
bras
droit, tout d'un coup, sans cause apparente, tout
s tout le côté droit du corps aussi bien à la face qu'aux membres. Le
bras
droit retombe inerte le long du corps, Witt... qu
lle la malade par des procédés ordinaires, l'hémiplégie persiste; son
bras
droit est inerte; elle peut à peine se tenir debo
plus Witt... est aphasique. Elle est comme hébétée, elle regarde son
bras
paralysé qu'elle cherche à soulever avec l'autre
choire inférieure. Ce tremblement augmente peu à peu, puis gagne le
bras
droit, la jambe droite. Les membres du côté gauch
muscles amène la contracture de la façon que l'on sait, mais cela au
bras
gauche seulement. Tout le reste du corps n'offre
trace d'hyperexcitabilité. Lorsque les paupières sont ouvertes, le
bras
gauche devient cataleptique, ce qui n'a lieu en a
gauche devient cataleptique, ce qui n'a lieu en aucune façon pour le
bras
droit. C. — Variations individuelles de l'hyper
inertes; il n'y a pas de catalepsie. Les réflexes tendineux aux deux
bras
sont manifes tement exagérés. Le même état pers
exes, même résolution. Bientôt la malade est prise de secousses des
bras
, analogues à celles du début de son attaque. La
utre de la secousse de la jambe, provoque un soubresaut dans les deux
bras
. — Mais les manifestations de l'hyperexcitabilité
itation sort de la sphère du médian. Ce sont les muscles rotateurs du
bras
en dedans qui se contracturenl, et il est facil
st facile de voir que ces muscles ne font, en somme, que continuer au
bras
le mouvement commencé à l'avant-bras par les musc
nt encore davantage s'il est possible. — Le moindre attouchement d'un
bras
provoque une vive secousse suivie de contracture
minutes une contracture généralisée se déclare, le corps s'étend, les
bras
se contournent, la tète se renverse, il vient de
nsité, ont provoqué, comme précédemment, des secousses de la face, du
bras
et de la jambe du côté opposé au lieu d'applicati
sculaire, des mouvements localisés sur le côté opposé du corps —face,
bras
et jambes. — Ces mouvements, i. Séance du 21 ja
é (2). On croit généralement que si, chez un sujet cataleptique, un
bras
est étendu horizontalement, cette attitude peut ê
touché aux muscles abaisseurs de la mâchoire inférieure, et les deux
bras
s'élèvent à demi fléchis, la paume des mains tour
r une autre qui lui sera communiquée. Ainsi en lui abaissant les deux
bras
de façon à les placer verticalement le long du
vêt l'expression indiquée et en même temps les poings se ferment, les
bras
s'immobilisent en une attitude d'agression et de
ncore d'une façon plus saisissante, dans l'opération de la saignée du
bras
, lorsque l'ouverture semblait insuffisante pour d
end à admettre les localisations segmentairespour la main, l'avant-
bras
, le pied et la jambe, tandis que pour le bras et
our la main, l'avant- bras, le pied et la jambe, tandis que pour le
bras
et la cuisse, les locali- sations seraient un p
onneller Natur ». Pour Marinesco (Rev. Neurol., 1901), les nerfs du
bras
ont des noyaux dis- tincts occupant une certain
les noyaux du mé- dian et du cubital »; de même, le noyau commun du
bras
se divise en noyaux du musculo-cutané et du rad
membre, car il y a, ainsi que nous l'avons vu, des segments, tel le
bras
par exemple, qui possèdent deux noyaux absolume
ement A destiné aux muscles de l'épaule, un deuxième B au groupe du
bras
, un troisième C au groupe de l'avant-bras. Or d
grand Pectoral, le groupe B aux muscles de la région antérieure du
bras
, le groupe C au nerf circonflexe. Des différenc
e des douleurs aiguës s'irradiant vers les deux épaules et les deux
bras
. Enfin peu à peu elle a vu sur- venir une parés
s. Enfin peu à peu elle a vu sur- venir une parésie progressive des
bras
. En janvier 1902, la malade, robuste et d'excel
des troubles sensitifs et moteurs des membres supérieurs. Les deux
bras
sont ballants le long du corps, mais se présenten
ehors de l'humérus n'est possible ; la flexion de l'avant-bras sur le
bras
très affaiblie à droite est à peine ébauchée à
eine ébauchée à gauche ; enfin le deltoïde peut à peine détacher le
bras
du tronc. L'élévation de l'épaule par le trapèze
raire bien conservés. L'extension volontaire des avant-bras sur les
bras
n'est que peu affaiblie ; la pronation, la flex
e de la face. Le territoire inférieur descend sur la face externe des
bras
sous la forme d'une bande s'étendant jusqu'au p
assant pas la ligne médiane des faces antérieure et postérieure des
bras
(Planche II). Le territoire de l'analgésie au f
cou, la partie supérieure du thorax et les deux bandes externes des
bras
signalées plus haut, mais aussi la main ; toutefo
it avec une assez grande vigueur. La flexion de l'avant-bras sur le
bras
, l'élévation, l'abduction et l'adduction du bras
'avant-bras sur le bras, l'élévation, l'abduction et l'adduction du
bras
ont conservé leur éner- gie. La malade se plain
sitifs occupent la moitié interne de la main, de l'avant-bras et du
bras
(Planche II). La ligne de démarcation passe par l
passe par la partie médiane des faces antérieure et postérieure des
bras
; au niveau de l'épaule elle va rejoindre horiz
ait abolie ainsi que la flexion et l'extension de l'avant-bras sur le
bras
et les divers mouvements d'élévation de l'épaul
s les muscles sus et sous-épineux et grand pectoral. L'épaule et le
bras
étaient décharnés. » De môme dans l'observation X
De môme dans l'observation X on lit : « Tous les muscles moteurs du
bras
sur l'épaule sont atrophiés et pa- ralysés exce
ralysés excepté le grand pectoral; la flexion de l'avant-bras sur le
bras
est abolie, l'extension des mêmes parties se fa
grand pectoral atrophié dins sa partie inférieure. N, Elévation des
bras
horizontalement en croix. TOPOGRAPHIE DES ATROP
te fièvre intense; enfin le mardi soir, la mère s'aper- çoit que le
bras
gauche de son fils est paralysé ; de nouveau cons
de- cin déclare que l'enfant est atteint de paralysie infantile. Le
bras
était inerte, mais sa sensibilité était bien co
ablit ra- pidement et la motilité revient dans certaines parties du
bras
; mais d'autres muscles restent paralysés, s'at
YÉLOPATHIQUES 15 Au contraire les autres muscles, c'est-à-dire : au
bras
, le triceps ; à l'avant-bras, les extenseurs co
ucunes rétractions. L'avant-bras peut être fléchi avec force sur le
bras
, mais cette flexion est accompagnée de supinati
-ci inter- vient, l'avant-bras peut être complètement étendu sur le
bras
. A l'épaule, au contraire, les divers mouvement
ndu sur le bras. A l'épaule, au contraire, les divers mouvements du
bras
s'accomplissent bien en tous sens et avec force
hiée; 16 CESTAN ET HUET néanmoins l'adduction et l'abaissement du
bras
ne s'en trouvent guère altérés, cette action ét
de l'extrémité radiale détermine une flexion de l'avant-bras sur le
bras
; de même persistent les réflexes osseux de la tê
éveloppement du squelette, nul ou à peine sen- sible pour les os du
bras
et de l'avant-bras, très manifeste du côté de la
raste singulièrement avec l'atrophie des autres muscles de l'avant-
bras
et des petits muscles de la main. - Nous rappro
apidement leurs fonctions et bientôt reparurent les mouve- ments du
bras
sur l'épaule ainsi que les mouvements de flexion
que les mouvements de flexion et d'extension de l'avant-bras sur le
bras
; mais la plupart des muscles de l'avant-bras et
ie moyenne, encore un peu affaiblies dans la partie postérieure. Au
bras
les muscles animés par le nerf musculo-cutané, co
es deux topographies, non seulement au niveau de l'avant-bras et du
bras
où la distinction est facile, mais aussi au nivea
'épaule mais aussi le biceps et le long supinateur, c'est-à-dire le
bras
et l'avant- bras. Les topographies segmentaires
i le biceps et le long supinateur, c'est-à-dire le bras et l'avant-
bras
. Les topographies segmentaires et radiculaires ne
porter sa cuillère à la bouche ; puis rapidement tout mouvement du
bras
devenait impossible. Actuellement, son aspect e
les pectoraux très réduits, les deltoïdes à peine des- sinés ; les
bras
tombent inertes en avant du tronc, les omoplates
ar et les interosseux sont conservés. Les mouvements d'élévation du
bras
et de flexion de l'avant-bras sur le bras ne pe
s mouvements d'élévation du bras et de flexion de l'avant-bras sur le
bras
ne peuvent se faire que d'un seul coup; l'enfan
é sur le dos, il ne peut se relever, même en se retournant, car ses
bras
ne lui permettent pas de se soutenir ni de gr
rvés mais considérablement affaiblis. Les mouvements des muscles du
bras
, région antérieure et région postérieure, le sont
e pendant la m.trche. ? s'l'aille de guêpe D. Maximum d'adduction des
bras
et des cuisses. 1 : , Flexion complète des memb
la faiblesse s'exagère chaque année sans douleur, sans fièvre; les
bras
se mettent progressivement en flexion avec une
s supérieurs. Très amaigris, surtout à leur racine ; ils mesurent :
Bras
droit, 14 centimètres; gauche, 15. Haut-bras, d
ir légèrement les doigts. La flexion passive de l'avant-bras sur le
bras
est possible surtout à gauche où l'avant-bras p
ossible surtout à gauche où l'avant-bras peut s'appliquer contre le
bras
. La flexion active se fait avec une certaine én
r et le biceps sont bien mieux conservés. Les mouvements passifs du
bras
sur l'épaule ont conservé toute leur apti- tude
ès limitée la rotation en dehors de telle sorte que normalement les
bras
sont croisés au devant du thorax. L'adduction a
ALE (R. Ccstnrr et Lejorrr2e). Obs. II. - F, Position normale des
bras
tombant. G, Fluxion des bras. - H, Aspect de dos.
e). Obs. II. - F, Position normale des bras tombant. G, Fluxion des
bras
. - H, Aspect de dos. - J, Maximum d'extension des
G, Fluxion des bras. - H, Aspect de dos. - J, Maximum d'extension des
bras
et de flexion de la tête. UNE MYOPATHIE AVEC RÉ
e. Les sphincters fonctionnent bien. Membres supérieurs. Les deux
bras
sont fléchis à 55°, le bras en abduc- tion légè
nent bien. Membres supérieurs. Les deux bras sont fléchis à 55°, le
bras
en abduc- tion légère et les avant-bras ramenés
la poitrine à cause de la flexion permanente des avant-bras sur les
bras
. L'atrophie est prédominante à la racine des me
Elle est ainsi disposée : L'extension active de l'avant-bras sur le
bras
est presque supprimée ; au contraire, la flexio
s muscles fléchisseurs et ne dépasse pas 55°. L'adduction active du
bras
contre le thorax est assez énergique, mais l'ab-
rs un relief saillant sous la peau. L'élévation à l'horizontale des
bras
est très faible par l'atrophie des del- toïdes.
l'extension complète de 48 CESTAN ET LEJONNE l'avant-bras sur le
bras
; Friedreich, Erb, Scbultze, Déjerine, Raymond,
peau par l'atrophie des chefs médians et inférieurs du trapèze. Ses
bras
sont ballants le long du corps; bref le myopath
plan antérieur il celui des extrémités externes des clavicules. Les
bras
sont en demi-flexion, et en légère abduction, cet
supérieurs, aussi le malade est-il obligé de tenir constamment ses
bras
pliés devant la poitrine, car cette position es
apulo humerai. Atrophie pré- dominante sur le haut du thorax et des
bras
. Impossibilité de l'extension com- plète des av
-scapulo-huméral. Certain degré de rétraction des avant-bras sur le
bras
. B. - 0135. dans clinique de Grasset, 1891 (Obs
s encore : le Dr de Léon a examiné tous les muscles de l'épaule, du
bras
, de l'avant-bras et de la main un à un avec le
de 36 ans il se brûla avec de l'eau bouillante l'épaule gauche, le
bras
et le flanc ; les brûlures étaient guéries en 2 m
cles, nécessaire pour ces mouvements. Les mouvements de flexion des
bras
sont affaiblis, plus au bras droit qu'au bras g
vements. Les mouvements de flexion des bras sont affaiblis, plus au
bras
droit qu'au bras gauche. Cette flexion est acco
ements de flexion des bras sont affaiblis, plus au bras droit qu'au
bras
gauche. Cette flexion est accompagnée ordinaireme
flexion de la main seule, accompagnée d'une tension des muscles du
bras
, met le bras en supination : quand la tension e
a main seule, accompagnée d'une tension des muscles du bras, met le
bras
en supination : quand la tension est arrêtée, c
t par l'amaigrissement de la face, sauf les lèvres. Les muscles des
bras
, surtout les régions périphériques et prin- cip
ure, les muscles du front ; aux membres supérieurs, les muscles des
bras
; aux membres inférieurs, les muscles des molle
che, la possédée, en jaune, les cheveux épars, s'affaisse entre les
bras
d'une femme richement vêtue de rouge; à côté se t
lequel elle semble écarter le dé- mon voltigeant. La Possédée, les
bras
et les mains inertes, semble plutôt s'effondrer
une de ces peintures représente te7)oM',symbotisé par une femme les
bras
écartés, raidis, les poings crispés, la tète tomb
marbre d'une des cha- pelles latérales se trouve un Possédé dont le
bras
est fortement contor- sionné et la main manifes
lons étudier. A l'inspection de la partie antérieure du thorax, les
bras
tombant naturelle- ment le long du corps, on es
i est-il un peu plus élevé. Mais si le sujet change l'attitude de ses
bras
et les élève verticalement en l'air, le mamelon
idée mieux que toute description (PI. XVI). Si on fait porter les
bras
en dehors et en haut, un peu au-dessus. 'de l'hor
sistante,qui ne gêne du reste aucunement l'élévation ver- ticale du
bras
. Telles sont les déformations constatées au niv
t celles que présente la main droite. - A noter, en passant, que le
bras
et Pavant-bras droit ont une largeur égale il c
oral ; lorsque le malade con- tracte ses muscles pour rapprocher le
bras
du tronc, ou l'abaisser quand il est soulevé, l
'amène aucun trouble fonctionnel appréciable dans les mouvements du
bras
. C'est li une remar- (1) En, Neurolog. Centrait
les statistiques, sont infini- ment plus rares et les mouvements du
bras
n'en sont pas notablement troublés. Il me res
à la volonté. Nous avons une petite fille de sept ans, atteinte aux
bras
et aux jambes, l'ad- duction des cuisses augmen
es membres inférieurs dans un appareil plâtré améliorait l'état des
bras
et des mains. Comment expliquer cette améliora-
mme.de 63 ans souffrant depuis 2 ans d'une faiblesse croissante des
bras
et des jambes. La parésie se transforma peu à p
des jambes. La parésie se transforma peu à peu en une paralysie des
bras
et des jambes. Les muscles étaient rigides et p
es yeux, de la face, de la mâchoire, de la langue, de la nuque, des
bras
, du tronc et des jambes). Anatomiquement existait
t arrivé (novembre 1899) une impo- tence fonctionnelle absolue. Les
bras
ont repris leur fonctionnement, l'enfant écrit,
des attitudes avoir encore le sentiment très net qu'on bougeait leur
bras
ou leur jambe; ce qui serait absolument inexpli
culaire A correspond l'image VISUELLE d'une certaine position A' du
bras
,puisqu'à B corresponde une autre image B' et ains
pourra évoquer par la conscience l'image d'une certaine position du
bras
, que B en évoquera une autre, etc., tout en ne
culté primordiale des sens, on ne verrait plus un enfant tendre les
bras
pour attraper la lune. » Cette objection est ma
t précisément parce qu'il oriente et localise que l'enfant tend les
bras
vers la lune, et non vers tel autre point. § 5
main l'urinai à demi rempli. Près de lui une vieille, un panier au
bras
, appuyée sur un bâton, semble attendre l'arrêt qu
rouge est vêtu d'une longue robe violette en partie relevée sous le
bras
droit, avec pèlerine de même couleur gar- nie d
LES UROLOGUES 197 rière la table, une vieille femme, un panier au
bras
, les mains sous le ta- blier, un chapeau de pai
plaint beaucoup de la tête, et accuse une sensation de lourdeur du
bras
gauche, qui lui paraît plus pesant, que le droi
: il prétend se rappeler qu'il a tourné la tête à gauche et que son
bras
droit s'est agité ; l'infirmière qui a assisté à
ait inclinée sur l'épaule droite et tournée à gauche,' que les deux
bras
étaient élevés, mais que le droit était plus ag
de perte de connaissance ; le malade tourne la tête à droite ; les
bras
s'agitent convulsivement, puis les jambes. Le m
t. Dans la journée du la août, le malade a senti subitement que son
bras
droit devenait lourd et qu'il pouvait difficile
seulement il fait des efforts pour se lever, il se soulève sur ses
bras
. Ce n'est pas un oubli de la station assise ana
e par un grand nombre d'explorations portant sur la figure, sur les
bras
, les avant-bras, la poitrine et les points symé
aire est bien développé, mais où le segment distal (jambe ou avant-
bras
) est plus ou moins atrophié, le moignon portant u
mais ce qui frappe chez lui c'est l'aug- mentation en longueur des
bras
et des jambes. Membre inférieur . Distance de l
éréotypé. D'ordinaire, P... se tient debout, immobile et raide, les
bras
pendant le long du corps, les poings fermés, la
nt doucement le membre par segments ou en levant progressivement te
bras
dans son ensemble par un effort continu et grad
ment à exécuter. En insistant fortement, par exemple, pour lever le
bras
d'un côté, on peut, pendant qu'il s'oppose à ce
côté, on peut, pendant qu'il s'oppose à ce mouvement, lever l'autre
bras
presque sans effort Quoi qu'il en soit, une foi
sition lui fasse arrêter le mouvement com- mencé et l'immobilise le
bras
en l'air avec son mouchoir. Ces attitudes se pr
s les jambes, encore cette raideur est-elle peu accentuée. Pour les
bras
on obtient très facilement la mobilité du membre
qu'il était parvenu à l'âge de 18 ans, des exostoses sur les os des
bras
et des jambes. Ces exostoses allèrent en se multi
quelette de Louis D... Fig. 2. - Décalque de la radiogra- phie du
bras
droit. Exostoses de l'humérus et du cubitus.
te. Non moins démonstratives sont les épreuves ra- diographiques du
bras
droit et des deux jambes. Elles permettent de voi
'on applique un tube renfermant de l'eau chaude sur la cuisse ou le
bras
gauches, le malade accuse parfois une sensation
ayant les caractères du torticolis mental, associé à des spasmes du
bras
et de la jambe du même côté. En présence du sig
M. Ballet faisait remarquer la forme athétosique des mouvements du
bras
. Nous attirons l'attention sur ces deux phénomè
e assez grande hauteur. En dehors de la marche et de l'écriture, le
bras
et la jambe exécutent, avec force et souplesse,
es cutanés ; Le pied-bot ; La scoliose ; L'ataxie statique du
bras
droit ; Les mouvements involontaires de la face
rtout la nuit. Pour calmer ces douleurs, il est obligé de tenir ses
bras
hors du lit. La guérison se produit sans traiteme
grand effort. Membres supérieurs. - La force est conservée dans les
bras
et dans les mains, le dynamomètre donne 90° à d
les mains, le dynamomètre donne 90° à droite et 85° à gauche. Le
bras
et la main droits accomplissent, avec aisauce, le
ur la maiu gauche, qui n'écrit pas en miroir. Alaxie statique. - Le
bras
gauche présente un phénomène analogue et l'a- t
nts des segments du membre. Mais, si l'on dit au malade de lever le
bras
, et de le tenir immobile, ces contractions s'exag
s effet. , Nous avons fait la remarque suivante : les mouvements du
bras
sont d'au- tant plus marqués qu'il est tenu imm
plus rapides. '-Pour manger, le malade se tient assis, il serre son
bras
gauche contre le i \ Fig. 4. LE SYNDROME DU
s la main gauche qui tient aussi le pain. Dans cette position, le
bras
est immobile, mais l'avant-bras remue encore. L
es s'embarrassent, et l'on remarque quelques faux pas de côté. Le
bras
gauche est en demi-flexion, la main en pronation,
re dans cette anarchie des mouvements. En prenant le malade sous le
bras
, et en lui recommandant de fléchir le corps en
e que la marche au pas et de cet autre fait que les oscillations du
bras
gauche disparaissent dans les mouvements rapides.
emps, de l'hyperexcitabdité galvanique. Alors que, par exemple, aux
bras
, les réflexes tendineux sont abolis, on ob- tie
urbure persiste; pour le pied, la plante reste un peu excavée. Le
bras
droit est agité par des mouvements oscillatoires,
traces de titubation, et de l'incoordination dans les mouvements du
bras
. La seule différence,c'estque, dans ces deux af
alion du tonus (pied-bot, scoliose). Ataxie statique de la tête, du
bras
, du tronc, sous forme d'oscillation ou de spasm
xister pour certains symptômes. Nous trouvons chez Vig. l'ataxie du
bras
, les troubles de la parole, le nystagmus, sembl
En face de lui,une femme dra- pée à la romaine se tient debout, le
bras
et l'index droit levés : son aspect sévère et s
appliquées : un per- sonnage de grand âge, debout près du lit, les
bras
nns jusqu'au coude, s'apprête à appliquer une t
angle externe effilé se recourbe en arrière où il est sons-jacentau
bras
du tubercule quadrijumeaux / postérieur, puis'p
ttribuée cette atrophie. Il avait une aura sensitive tantôt dans le
bras
, tantôt dans la jambe gauche. A l'autopsie « on
Nissl. On ne les voit plus ou on les voit belles et avec tous leurs
bras
; il n'est pas possible d'observer des stades i
n de picotement qui débute par la main droite et remonte le long du
bras
, la malade pousse un cri, tombe à terre n'importe
est-à-dire à l'âge de 15 mois. Elle boite et fauche en marchant. Le
bras
droit est accolé au tronc, l'avant-bras fléchi,
ste aux deux membres inférieur et supérieur droits, mais surtout au
bras
, un tremblement à oscillations peu rapides et à
pas de mou- vements athétosiques. Pas d'atrophie manifeste ni au
bras
ni à la jambe ; seulement le membre supérieur d
p de crises sont réduites à l'aura, sensation de picotement dans le
bras
droit. L'in- telligence a encore baissé : elle
fonctionnement de ce membre infirme, ou peut dire que le volume des
bras
et des jambes est régulier et que, ni aux poi-
e membre supérieur droit, le membre inférieur de ce même côté et le
bras
gauche. Description des mouvements. - Les mouve
Pour le membre supérieur droit, la sériation est la suivante : le
bras
en demi-flexion est lancé avec force sur l'abdome
eu brusquement, et le pied porte fortement contre le sol. Pour le
bras
gauche, les mouvements sont à peu près les mêmes
té droit; ce n'est que lorsque leur évolu- tion est terminée que le
bras
gauche entre en branle, souvent il reste en rep
reste en repos. Dans le second type, les mouvements sont limités au
bras
gauche, qui d'abord est projeté avec force sur
elle est plus rapprochée de sa mise en jeu. Ainsi, la projection du
bras
droit sur l'abdomen, qui inaugure les contracti
les contractions de ce membre, Fig. 2. Inscription du mouvement du
bras
droit projeté sur l'abdomen. (Le chronographe
lement trois, quatre mouvements généralisés, car le plus souvent le
bras
gauche reste au repos. Ils surviennent par accè
est généralisé, la phrase entière est prononcée; s'il est limité au
bras
gauche, les mots : hé ! oh ! seuls sont émis. D
elles terminent l'explosion, elles se font entendre au moment où le
bras
gauche est ramené vers la tête. Le mode d'émi
faire apparaître les contractions musculaires par la projection du
bras
droit sur l'abdomen ou en frappant avec le pied
uelques jours après, les mouvements apparurent. D'abord, limités au
bras
droit, ils ont envahi la face, les autres membres
partiels ou généralisés, partiels ils sont limités à la face et au
bras
droit; géné- DE LA MALADIE DES TICS. 27 ralis
on de la tête sur l'épaule droite, qui s'élève en même temps que le
bras
de ce côté demi-fléchi est appliqué sur la poit
e se met en flexion sur l'épaule gauche, qui s'élève à son tour; le
bras
gauche demi-fléchi est porté sur la poitrine ;
ès atténués, ils persistent pendant le som- meil, notamment pour le
bras
droit qui reste agité de légères se- cousses mu
pières, la flexion de la tête sur les épaules, la projec- tion du
bras
sur la poitrine, le sautillement, les mouvement
t. (Pitres, t. 1. p. 313.) fin. 12. - Inscription des mouvements du
bras
droit de J... V. 36 PATHOLOGIE NERVEUSE. sur
ion. Dans le prin- cipe, les contractions musculaires ont occupé le
bras
droit, la face, puis se sont étendues aux autre
ent les pares- thésies (premier cas), la parésie, le tremblement du
bras
, la céphalalgie, les étourdissements et la dipl
ème, la céphalalgie, la diplopie, la parésie et le tremble- ment du
bras
; dans le troisième, la frayeur avec sensation d
il droite successivement dans la main, dans l'avant-bras et dans le
bras
, puis dans le membre inférieur. Après six semai
à gauche, elles.sont plus dures au toucher; en palpant le biceps du
bras
gauche pour cons- tater son état de nutrition,
e brusquement et vient s'appliquer par la face antérieure contre le
bras
; pendant les mouvements passifs on trouve dans
s avec sa main à se toucher l'épaule, il ne peut pas sans l'aide du
bras
tirer la jambe hors du lit. De plus tous les mo
tombait sur le ventre, en le frappant même légèrement à l'avant-
bras
gauche. B... resta ainsi pris au milieu et comme
la jambe gauche, étaient très faibles. Il s'aperçut encore que son
bras
gauche, et particulièrement la main, n'avaient pl
s accès mais sans être très intense ; au contraire, la faiblesse du
bras
et de la jambe alla continuellement en augmentant
out, B... se présente avec son épaule gauche un peu plus élevée, le
bras
pendant le long du tronc, l'avant-bras en très
est presque complètement abolie dans les deux membres de gauche. Le
bras
aussi bien que la jambe, aussitôt qu'ils sont s
ouvements actifs, Bo... réussit avec beaucoup de peine à porter son
bras
au niveau de l'horizontale, et il ne peut le me
quelconque, ni il ne peut se remettre debout sans s'aider avec son
bras
sain. Sensibilité. La sensibilité thermique est
abolie. Cepen- dant tandis que la moitié gauche de la face, dans le
bras
gauche et dans la partie supérieure du tronc ju
in sur la tête¡; il peut fléchir complè- tement l'avant-bras sur le
bras
, étendre et fléchir complètement le poignet, av
ns le membre supérieur avec exagération des réflexes, l'attitude du
bras
, la déviation de la colonne vertébrale, la déma
hèse d'une lésion orga- nique datant de quatre ans. L'attitude du
bras
était bien telle qu'on l'observe dans les hémip
serve le contraire. L'élévation de l'épaule, la légère adduction du
bras
, la flexion et la supi- nation de l'avant-bras
ons rappeler que, à l'occasion du trau- matisme, la dalle heurta le
bras
gauche de B... en y produi- sant une légère con
ctrine nous explique encore pourquoi la paralysie prédomine dans le
bras
. Pour ce qui est de la paralysie de la jambe, n
épieon ornaient les parois du temple d'hymnes votives et surtout de
bras
, de jambes, de cous, de seins en matière plus o
la porte, mille marchands, comme autrefois à Athènes, vendent des
bras
, des mains, des petits enfants de cire qui ornero
hui toujours les mêmes dans les sanc- tuaires les plus vénérés. Ces
bras
, ces jambes de marbre ou de cire sont des repré
e cire sont des représentations imparfaites de la réalité, car un
bras
peut être atteint de vingt maladies différentes,
le avoit une grosse glande qui s'étendoit jusque sous l'aisselle du
bras
en arrière et une espèce de grosse corde de la
de tout le côté gauche. « Il lui prit un engourdissement dans le
bras
gauche qui, la nuit, dégénéra en paralysie qui
is ce tems, il lui a été impossible de faire aucun mouvement de son
bras
ni de sa main gauche, qui demeurèrent en tout t
lace, et ne pouvoit les changer de place qu'en les prenant avec son
bras
droit, en poussant sa jambe gauche avec sa droi
et leur raccourcissement hideux, se raniment tout à coup; déjà son
bras
a repris la vie, la chaleur et le mouvement; sa
it beaucoup plus courte que l'autre; elle se sert aisément de son
bras
gauche, elle s'habille et se coiffe avec ses main
poitrine : il les maintient dans cette position et se- croisant les
bras
, pour prendre un solide point d'appui, il se co
. L'opérateur se place dos à dos avec le patient et lui prenant les
bras
de manière à entre-croiser les coudes entre eux
econdairement, atrophie du pulvinar, du corps genouillé externe, du
bras
antérieur des tubercules quadrijumeaux, de la s
la paraphasie, une phase d'excitation maniaque, de la paralysie du
bras
; puis tous ces phénomènes disparaissent. Et la
euse. Douleurs intenses dans le cou 132 SOCIÉTÉS SAVANTES. et les
bras
, s'exacerbant pendant les mouvements. Parésie trè
le de douze ans, obligée de beau- coup marcher et de porter sur ses
bras
sa soeur cadette, vient à souffrir de pes plano
survinrent, et rétrocédèrent : la paralysie atrophique primitive du
bras
persis- tant. Il y a eu là combinaison de névri
udo-hypertrophie de certains muscles, les deltoïdes, les triceps du
bras
, et les muscles du mollet. A ces caractères, il
ns que les muscles de l'épaule droite et de la partie supérieure du
bras
ont subi un commencement d'atrophie, qu'ils son
lle était parfaitement vigoureuse, portant son petit frère dansjses
bras
, et exécutait tous les mouve- ments d'une façon
elle devenait maladroite, lais- sait souvent tomber les objets; ses
bras
restaient un peu pendants 1 Pierre Marie et Geo
d lui a été le plus difficile est la flexion de l'avant-bras sur le
bras
, et notam- ment l'action de se moucher. La gène
e s'exercer cependant, et la malade peut tenir quelques minutes son
bras
relevé; pendant ce temps la partie supérieure d
ouve- ments des pectoraux peuvent s'accomplir. La malade croise ses
bras
devant sa poitrine, mais elle ne présente aucun
du tout son aclion et, pour arriver à fléchir l'avant-bras sur le
bras
, la malade projette l'avant-bras en haut, en élev
a malade projette l'avant-bras en haut, en élevant brusque- ment le
bras
, ce qui entraîne le segment inférieur du membre,
egment inférieur du membre, et cela d'autant plus facilement que le
bras
est en abduction. Dans la flexion du bras, on n
nt plus facilement que le bras est en abduction. Dans la flexion du
bras
, on ne sent pas le relief du long supinateur. O
n, mais la résistance est peu forte. La malade porte assez bien son
bras
sur sa tête, quoique pour faire ce mouvement el
ur faire ce mouvement elle soit obligée de projeter brusquement son
bras
. A droite, l'omoplate n'est pas déviée anormale
aordinaire et leur consistance est peut- être un peu accentuée. Les
bras
des deux côtés sont notablement diminués de vol
et l'avant-bras restent indemnes, mais l'atrophie est extrème, aux
bras
et aux épaules, la malade n'arrive plus à se vê
n'arrive plus à se vêtir elle-même; elle ne peut plus soulever les
bras
. Aux membres inférieurs, la marche en steppant
eur consistance. Membres supérieurs. A la dissection des muscles du
bras
, on est frappé de la coloration, de la consista
ne couleur analogue à celle de la graisse. Si tous les muscles du
bras
participent à l'atrophie, il n'en est pas de mê
accès, quatre crises de paralysie hystérique de l'un ou de l'autre
bras
, directement avant ses examens, et plu- sieurs
ement après l'extraction du clou, em- barras dans les mouvements du
bras
droit et quelques symptômes d'aphasie. Ces phén
vait probablement lésé sur un point sous-jacent le centre moteur du
bras
et et de l'épaule. Une question se posait : Qua
amen microscopique. P. K. XXV. ! UN cas DE CONVULSIONS CLONIQUES du
bras
A la SUITE DE trau- MATISME, constituant EN mêm
bassin élevé, tandis qu'un assistant lui tenait fortement les deux
bras
en haut et en arrière. Quand elle se réveilla d
and elle se réveilla du sommeil chloroformique, elle avait les deux
bras
paralysés. Par cette traction en haut et en arriè
deux bras paralysés. Par cette traction en haut et en arrière des
bras
, les deux clavicules sont venues heurter les plex
els, sous l'influence de perceptions senso- rielles déterminées, le
bras
droit était périodiquement atteint de faiblesse
, sans aucun accident, extérieur, se produire une parésie totale du
bras
droit; incapacité d'effectuer sans peine certains
accentué de la jambe droite. L'anesthésie peut même occuper tout le
bras
; dans ce cas, il y a hémianesthésie pas- sagèr
de l'éminence hypothénar et des muscles épicondyliens de l'avant-
bras
droit. L'orateur raconte enfin que chez un homm
ou moins long, vient le tour des muscles du cou, de l'épaule, des
bras
, des avant-bras, des mains. Atrophie dégénérative
n- gourdissement et de rigidité des deux mains et des deux avant-
bras
. Les sensations de brûlure et de piqûre insupport
il y avait quelques contractures des muscles; l'enfant remuait les
bras
, et il n'y avait pas de perte de sensibilité ni
ts de l'épaule seuls était impossibles à cause de la douleur. Son
bras
n'a pas maigri à cette époque, et les douleurs oc
avait rien ressenti de particulier dans la main, l'avant-bras ou le
bras
. C'était le dimanche; le jeudi pré- cédent, il
ment d'un de ses neveux qui avait t eu quelques jours auparavant le
bras
broyé dans une fabrique. Il avait été le voir à
. C'est depuis cet accident qu'il a remarqué que l'avant-bras et le
bras
droit maigrissaient. Il ne saurait dire s'il y
aralysie atteint tous les muscles de la main, de l'avant-bras et du
bras
. A la main et à l'avant-bras, elle est absolue.
ement il est vrai, mais enfin, il y a là une contraction réelle. Le
bras
est élevé à l'horizontale sans que l'omoplate bas
Tout à fait intact. Le malade sait indiquer parfaitement où est son
bras
. Il peut reproduire avec le membre gauche toute
d'une monoplégie brachiale flasque. Il a vu son neveu se broyer le
bras
, subir l'amputation de ce bras et suc- comber e
sque. Il a vu son neveu se broyer le bras, subir l'amputation de ce
bras
et suc- comber enfin aux suites de cet accident
e supérieur. Il devait fatalement en être ainsi : l'amputation du
bras
chez son neveu devait, chez cet homme traumatisé
prononcée. Une lésion organique de "l'écorce du cerveau (centre du
bras
) est encore plus improbable 'parce que cet homm
uis d'un tremblement général qui dura un quart d'heure environ. Son
bras
pris de faiblesse était tombé à plusieurs reprise
é ; jusque là pas de paralysie. Le lendemain, en se réveillant, son
bras
droit pend inerte le long de son corps et il épro
aule et l'anesthésie disparaît peu à peu de la partie supérieure du
bras
jusqu'au-dessous du coude. C'est trois mois apr
à grand'peine. Il n'était cependant paralysé, ni des jambes ni des
bras
. Il ne tremblait pas encore. 11 n'avait pas de
ce dans une pharmacie, il disait à l'agent qui le soutenait par son
bras
droit : mais où est mon bras gauche ? - Donnez-
ait à l'agent qui le soutenait par son bras droit : mais où est mon
bras
gauche ? - Donnez-moi mon bras ! Ce bras était
par son bras droit : mais où est mon bras gauche ? - Donnez-moi mon
bras
! Ce bras était complètement paralysé; il penda
as droit : mais où est mon bras gauche ? - Donnez-moi mon bras ! Ce
bras
était complètement paralysé; il pendait inerte.
RIQUE. 337 î Après l'accident, pendant un mois et demi au moins, le
bras
pa- ralysé a été le siège de douleurs sourdes,
e des muscles pectoraux, sous et sus-épineux et tous les muscles du
bras
et un peu aussi de l'avant-bras, pas d'atrophie d
ophie de muscle de la Ira,in. Voici la mesure des circonférences du
bras
: 338 CLINIQUE NERVEUSE. La sensibilité phary
e point est bien assuré. Mais comment interpréter la paralysie du
bras
qui est sur- venue sous l'influence du choc vio
hée du début, la faiblesse et l'atrophie s'emparèrent également des
bras
; la face ne montra jamais aucun trouble. Durant l
e qui nous frappe alors, c'est la faiblesse, assez grande ,dans les
bras
, mais surtout manifeste dans les membres inféri
s'il veut se relever, il est obligé de se servir beau- coup de ses
bras
, et n'arrive à donner à son corps la position ver
s supérieurs. Les mollets sont un peu hypertrophiés. L'atrophie des
bras
, quoique manifeste, n'offre pas encore un degré
le ma- lade. L'atrophie des jambes, des cuisses, du tronc et des
bras
est très évidente; les fesses possèdent encore
s, de ses mains, et parvient à plier légèrement l'avant-bras sur le
bras
. Néanmoins, tous ces mouvements sont accomplis
ire. Aussi est-il à peu près constamment le jour, dans une chaise à
bras
, où il peut appuyer ses coudes, de manière à mi
une hypertrophie assez légère aux membres inférieurs, tandis qu'aux
bras
, elle s'est montrée immédiatement. Cette observ
contracture qui envahit tous ses membres, ne peut plus bouger. Les
bras
obéissent si vite qu'ils en paraissent légers,
r ainsi : « Je ne sens plus ma main, je ne peux plus la remuer, mon
bras
est lourd 6, etc. » Ces idées ont la plus grand
et malgré sa bonne volonté, affirme qu'il ne pense pas à remuer son
bras
, à serrer sa main, à faire une grimace; bien mi
our les somnambulismes naturels : l'un emporte un oreiller dans ses
bras
comme si c'était un enfant et parcourt toujours
ut incliner la tête de ce côté, se sert très difficile- ment de son
bras
. Au bout de deux mois de souffrances, il semble
se produire une légère amélioration ; néanmoins, les mouvements du
bras
sont toujours très gênés; il existe un peu d'endo
emble de lamain gauche. Dans la suite, z le tremblement a envahi le
bras
, puis lajambe du même côté ; le tronc s'est inf
le malade, c'est son faciès, son attitude et les mouvements dont le
bras
gauche est agité. Les yeux fixes, grands ouvert
ont à peu près nuls à gauche. Dans la position assise (fig. 2), les
bras
légèrement fléchis, les coudes un peu déjetés e
e médecin. On croit généralement que si chez un sujet cataleptique un
bras
est étendu horizontalement, cette attitude peut ê
insi, aux épaules nous constatons un aplatissement des deltoïdes; aux
bras
, ce sont les triceps qui sont surtout amaigris, t
genre, avec recrudescence de l'embarras de la parole et faiblesse du
bras
droit. — Enfin, le 5 mai, il a une cinquième atta
it. — Enfin, le 5 mai, il a une cinquième attaque, avec pa résie du
bras
droit, suivie, le lendemain, d'une parésie du mem
qui ont suivi, il ne pouvait dire autre chose que « à cause que ». Le
bras
droit est resté paralysé pendant un mois. C'est s
a main, mais encore des autres segments du membre. L'avant-bras et le
bras
ont environ un centimètre de moins en circonféren
uvement brusque, en jetant une pierre, par exemple, restaient avec le
bras
en contracture. Nous pouvons reproduire le même p
? On croit généralement que si un sujet cataleptique est placé le
bras
étendu horizontalement, cette attitude se conserv
s observations, cela n'est pas exact. Au bout de 10 à 15 minutes., le
bras
delà cataleptique commence à descendre, et au bou
et sur la cataleptique, on applique : 1° un tambour à réaction sur le
bras
étendu, pour permettre d'enregistrer les moindres
ptique, la plume qui correspond au tambour à réaction appliqué sur le
bras
, trace sur le cylindre enregistreur une ligne dro
onstance exceptionnelle. Quelques jours après l'accident, dit-il, son
bras
était lourd, ses doigts difficiles à remuer, comm
semaines après. C'est le 15 août qu'il sentit des douleurs dans le
bras
, il ne dormit pas ; et, le lendemain, sa main pré
j'insiste tout particulièrement, même pendant la nuit. L'épaule et le
bras
sont libres, l'avant-bras est plutôt dans la pron
nue sans transfert au membre supérieur droit, au tronc, à la tête, au
bras
, mais non à la main et au poignet. Sur ces entref
de la Salpê-trière. L'opération a été faite à la partie supérieure du
bras
: ce nerf médian, soulevé sur une sonde cannelée,
ouvements de ces membres sont revenus aussi bien à l'avant-bras qu'au
bras
et à l'épaule ; les masses musculaires se sont dé
e de la migraine ophtalmique accompagnée de fourmillements dans les
bras
, dans les mains, pas d'aphasie temporaire ; d) ce
urtout de force des membres supérieurs, en particulier des muscles du
bras
. Et c'est là le seul point de ressemblance qui ra
ues semblables à eux. Le début a lieu par les membres supérieurs, les
bras
en particulier et les muscles de la ceinture scap
jourd'hui on constate, outre une certaine impotence fonctionnelle des
bras
, un léger degré d'atrophie de la main qui est apl
hez les strumeux. Les membres ne se prennent que consécutivement, les
bras
d'abord, puis le tronc. Enfin, fait important à s
ent dans celle de la forme juvénile de Erb. L'atrophie des muscles du
bras
est considérable. La résistance est impossible du
extension comme du côté de la flexion. La malade ne pouvant lever son
bras
, dans l'acte de se moucher, par exemple, par une
t celle du pseudo-hyper-trophique typique, y compris l'ensellure, les
bras
sont ballants, inertes et pendants le long du cor
te. Je me rappelle une jeune Polonaise dont les accès malléaloires du
bras
, revenant par crises d'une durée de une à deux he
aupière droite. Les crises provoquées s'obtiennent en tirant sur le
bras
droit, ou en frappant à l'aide d'un marteau sur l
n rotulien, ainsi que je le fais devant vous. Dans le cas où c'est le
bras
qui a été excité, immédiatement ce bras part, ani
vous. Dans le cas où c'est le bras qui a été excité, immédiatement ce
bras
part, animé de mouvements cadencés, rapides, dans
échit ses doigts, en applique la pulpe contre le pouce, et élevant le
bras
, fait le geste de l'orateur qui démontre. De temp
e rhylhmée. Les crises se provoquent facilement soit en tirant sur le
bras
, soit en percutant le tendon rotulien, comme chez
ns une première phase, on voit se produire les secousses rhylhmées du
bras
, les mouvements malléaloires. La malade a les yeu
lte période succède une période de spasmes toniques et de torsion des
bras
et de la tête, rappelant l'épilepsie partielle. C
céphalique. On peut d'ailleurs provoquer les crises en tirant sur le
bras
gauche et en le secouant en même temps de manière
manière à imiter les mouvements malléatoires choréiques. Au début, le
bras
gauche commence à présenter des mouvements malléa
Julie d'écrire, celle-ci saisit un crayon, mais, au même moment, ses
bras
se raidirent et son regard devint fixe. Le père e
e aura très courte et très variable, elle se renverse en arrière, les
bras
écartés du tronc, les mains enpronalion, les doig
lui et sous son lit les bètes noires qui le menacent, il examine ses
bras
pensant y trouver les traces des morsures d'anima
gs se ferment puis se tordent dans la pronation exagérée. Bientôt les
bras
se rapprochent l'un de l'autre au-devant de l'abd
les talons de l'autre. D'autres fois, le cercle se fait en avant, les
bras
croisés sur la poitrine, les jambes en l'air, le
taque commence : les yeux se renversent en haut dans leur orbite, les
bras
se raidissent dans l'extension, et le malade, s'i
cérébrale corticale, principalement localisée dans la zone motrice du
bras
; mais il ne s'agit pas là d'une altération matéri
édecin qui reconnut, paraît-il, une parésie de tous les mouvements du
bras
gauche avec anesthôsie de ce membre. Le 8 juin, c
tement toutefois, fléchir la main sur l'avant-bras et celui-ci sur le
bras
; mais tous les mouvements de l'épaule étaient imp
ion la plus intense, sur toute l'étendue du membre, main, avant-bras,
bras
et épaule. Du côté du tronc, cette anesthésie est
foyer qu'on pouvait supposer limité étroitement à la zone motrice du
bras
, une telle lésion, dis-je, pourrait rendre compte
ux de son lit et, tournant sa fureur contre lui-même, il se mord le
bras
gauche. La phase des attitudes passionnelles se d
oduisent le 19. Le 21 survient une nouvelle crise pendant laquelle le
bras
gauche s agite. Au réveil, le malade pouvait, à s
ière conviction », c'est une erreur: vous ne pouvez plus élever votre
bras
, ni le fléchir, non plus que mouvoir vos doigts;
nts, rhumatisme articulaire. — Chute. — Monoplégie avec anesthésie du
bras
et de l'épaule. — Examen du malade : impuissance
rendre chez un pharmacien et remonter sur son siège ; l'épaule et le
bras
droits étaient un peu douloureux, mais ne prése
Porcz... remarqua dès ce moment même, l'insensibilité de l'épaule, du
bras
et de l'avant-bras que nous constatons encore auj
ule, soit à l'épaule elle-même, qui est tombante, soit aux muscles du
bras
ou de l'avant-bras. Seuls les doigts de la main p
inution de consistance des muscles paralysés. La mensuration donne au
bras
droit 23,5 cent. ; au bras gauche, 24 cent.; à l'
muscles paralysés. La mensuration donne au bras droit 23,5 cent. ; au
bras
gauche, 24 cent.; à l'avant-bras droit, 22,5. ; à
du membre, de préférence la racine, il parcourt avec sa main tout le
bras
pour descendre ainsi jusqu'au point qu'on lui a o
En résumé, impuissance motrice absolue des muscles de l'épaule, du
bras
et de l'avant-bras, avec perte complète de la sen
des, sur la main, les doigts y compris, l'avant-bras et une partie du
bras
; sur ces mêmes parties, la sensibilité profonde e
p moins étendue, puisqu'elle respecte l'épaule et une bonne partie du
bras
. Ainsi, à la par-lie antérieure et interne de ce
peine la région du coude, de telle sorte que la partie postérieure du
bras
est libre presque partout (Fig. 56 et 57). Je t
es, attaques d'hystérie suivies d'une amélioration de la paralysie du
bras
. Paralysies psychiques: leur production par sug
é opposé à la paralysie et, plus précisément, dans la zone motrice du
bras
qu'il faut la placer. De plus, pour rendre compte
s en vue d'étudier, je procède par affirmation à haute voix : « Votre
bras
droit est paralysé », dis-je en m'adressant à la
sorte de révolte1. « Mais non», répond-elle, « vous vous trompez, mon
bras
n'est pas paralysé le moins du monde : voyez je l
r un instant soulevé. La malade ne peut en aucune manière mouvoir son
bras
, elle ne peut ni fléchir ni étendre l'avant-bras
gestion nouvelle de sens contraire. J'affirme donc à Greuz... que son
bras
a cessé d'être paralysé, qu'elle peut de nouveau
éloignée des apophyses épineuses d'environ cinq travers de doigt. Le
bras
presque tout entier est contenu dans la zone d'an
ue par en bas ; elle occupe actuellement non seulement l'épaule et le
bras
, mais encore le coude et l'avant-bras ; sa limite
e, nous affirmons à cette malade, non endormie, je le répète, que son
bras
droit est paralysé, qu'elle ne peut plus le mouvo
onnaître ; après quoi, la simple affirmation qu'elle peut mouvoir son
bras
, tout à l'heure paralysé, suffit pour que les mou
e seulement deux petites plaques sensibles à la partie postérieure du
bras
. Au contraire, des changements favorables se sont
avant et en arrière ; sur la moitié interne de la face antérieure du
bras
, des plaques sensibles sont disséminées çà et là
s, des plaques sensibles sont disséminées çà et là sur les parties du
bras
et de l'épaule encore anesthésiées. La sensibilit
, la limite de l'aneslhésie n'a pas varié d'une ligne. On retrouve au
bras
, surtout en arrière et à l'avant-bras, la tendanc
aire à l'axe du membre i. Sur l'épaule et sur la partie antérieure du
bras
les bords de ces plaques sont, au contraire, inég
aumatisme de l'épaule, s'était développée une paralysie hystérique du
bras
correspondant. Je vous ai fait voir que cette par
était considérable ; le crochet cassa, et le malade fut renversé, son
bras
gauche pris sous le bœuf. Il assure qu'il n'a pas
e, ni les jours qui l'ont suivi. Non-seulement il n'éprouvait dans le
bras
aucune douleur en ce moment-là, mais, de plus, il
comme absent, de l'épaule jusqu'au bout des doigts; » « au lieu d'un
bras
, ajoute-t-il, il me semblait, de ce côté, porter
ure à 1. Observation recueillie par M. Berbèz, interne du service
bras
à laquelle il s'altelail, tandis que le fils de s
ur très chargée, conduite par des gens ivres. La roue de la voiture à
bras
fut accrochée et Le Log... violemment projeté sur
nte ; il n'y a pas eu de sang répandu. Placé dans sa propre voiture à
bras
, Le Log... fut conduit chez un pharmacien d'abord
t demi après l'accident, il existait déjà dans le membre paralysé, au
bras
et à l'avant-bras, une diminution de volume très
inution de volume très notable, et il est à remarquer qu'il s'agit du
bras
droit. Pendant le séjour à l'Hôtel-Dieu, c'est-à-
plus minutieuse permet de constater que, si la plupart des muscles du
bras
et de l'avant-bras ont perdu la motilité, il en e
e la sensibilité, cette abolition comprend: la main, l'avant-bras, la
bras
jusqu'au niveau de l'acromion ; la peau de la poi
s ; cette monoplégie s'accompagne d'une anesthésie absolue limitée au
bras
du même côté que la paralysie, et avec abolition
t fait alors, séance tenante, faradiser les muscles de l'épaule et du
bras
du côté droit; au bout d'une minute, la sensibili
supérieur et la paralysie avait disparu ; la malade se servait de son
bras
aussi bien qu'avant l'accident et serrait vigoure
malades il y avait comme différence entre le plus grand périmètre du
bras
malade et celui du bras sain, 3 centimètres, et c
e différence entre le plus grand périmètre du bras malade et celui du
bras
sain, 3 centimètres, et chez un autre malade, il
très accentuée : on notait 3 centimètres de différence entre les deux
bras
; chez les autres malades, le développement de l'a
arition de la paralysie, qui avait été brusque, la circonférence du
bras
avait déjà augmenté de 1 centimètre. Quelle est
coude gauche (17 janvier 1871). La blessure nécessita l'amputation du
bras
qui fut pratiquée par le Dr Mollière (de Lyon). I
té intacte sauf à la main, où il y a analgésie à la face palmaire. Le
bras
gauche, rappelons-le, a été amputé en 1871. L'o
sie droite; de ce côté, la sensibilité est obtuse à la poilrine et au
bras
pour la piqûre et pour le froid. Il existe un cer
, entre le 14 avril dans le service de Sevestre pour une paralysie du
bras
gauche survenue brusquement la veille. Il a déjà
ndemain, puis brusquement recouvre la parole, mais s'aperçoit que son
bras
gauche est inerte. Le 14, on constate cette paral
gauche, sauf à la face qui, quoique insensible, n'est pas déviée. Le
bras
droit est animé d'un mouvement rhythmique choréif
un mouvement rhythmique choréiforme presque continuel. Pendant que le
bras
exécute ce mouvement, la jambe est au repos compl
nts, rhumatisme articulaire. — Chute. — Monoplégie avec aneslhésie du
bras
et de l'épaule. — Examen du malade : impuissance
nes, plaques d'hystérie suivies d'une amélioration de la paralysie du
bras
. Paralysies psychiques ; leur production par su
spèrent en véritables accès d'angor pectoris avec douleurs dans lei
bras
gauche. Les battements du coew' sont peu énergi
passifs) et assez forts. La force musculaire est conservée dans les
bras
et dans les jambes ; cependant les extrémités d
s mêmes régions à ga'uche. Les libres qui restent sont ondulées. Le
bras
du tubercule quadrijumeau anté- rieur droit est
re, agraphie cérébelleuse). Il y avait parfois des douleurs dans le
bras
gauche. Les battements du coeur étaient irrégul
teinte foncée est d'ailleurs prédominante au niveau de la face et des
bras
, c'est- à-dire au niveau des parties découverte
tites dans la région deltoïdienne et à la partie postéro-externe du
bras
gauche. Dans cette dernière région se trouve un
moins nombreuses, il en existe quelques-unes à la face externe des
bras
, à la cuisse droite. Enfin un noevus vasculaire
ngles de Scarpa,les régions sous-claviculaires, la face interne des
bras
, le cuir chevelu. FI ... de plus en plus cachec
n qui sont les parties supérieures et internes des membres, tant au
bras
qu'à la cuisse, les régions pectorale, épigastriq
dorso-lombaire, les parties latérales de la colonne vertébrale. Aux
bras
, l'hypertrophie la plus énorme est celle du pat
orps de l'omoplate, de l'angle de l'omoplate, de la face interne du
bras
, du côté interne de l'avant-bras, de la région
s symétriques existent au dos, il la face postéro-interne de chaque
bras
, au pli du coude, à la face antérieure de l'ava
meurs daterait de 23 ans. Collier lipoma- .teLL\ : , 'Au niveau des
bras
, du dos, de la face antérieure de la poitrine,
bre, mais ce fut pour tomber brutalement sans connaissance dans les
bras
de la voi- sine accourue. C'est le point de dép
nnonce ne le faisait prévoir. Le malheureux a beau se cramponner au
bras
du fau- teuil, cambrer les reins, agiter ses ja
e une fillette qui ré- clame à grands cris l'intervention, lève les
bras
au ciel et trépigne d'impa- tience à la pensée
ette. Sur celle-ci, un homme est ligotté de solide manière, par les
bras
, par les pieds, par les reins, et même par le c
tète est couverte d'un bonnet orné d'une patte de mouton; sous son
bras
, qu'il porte en écharpe, il tient un long coute
st plus le réflexe purement moteur qui fait brusquement détendre le
bras
du turbulent Arent sur la figure de l'assistant S
aer, le Lambin, paysan à l'esprit peu délié qui sou- tient dans ses
bras
une femme, Truytie (Gertrude) Roelen. Truytie R
e ni rester debout.Dans son lit elle conserve tous les mouvements des
bras
, des jambes et même du tronc, mais la force en
s la force en est diminuée. Elle se sert tou- jours delà main et du
bras
gauche ce qui paraîtrait indiquer une paralysie d
re, céphalalgie, pas de fièvre, respiration lente et régulière. Les
bras
sont fléchis et opposent une certaine résistance.
outre, la malade présente des phénomènes d'acroparesthésie dans les
bras
et les mains : sensations de fourmillement inte
sensation de boue molle sous les pieds. Le long du bord cubital du
bras
gauche, sensa- tion de fourmillements. Dysesthé
aucoup plus à gauche qu'à droite. La flexion de l'avant-bras sur le
bras
est très faible, de même l'élévation des deux bra
'avant-bras sur le bras est très faible, de même l'élévation des deux
bras
. 11 existe une atrophie des petits muscles des
ne atrophie des petits muscles des mains et des muscles de l'avant-
bras
, mais tout particulièrement des muscles innervés
e 1895,pa- ralysie flasque sans douleur des deux jambes et des deux
bras
mais beaucoup plus marquée du bras droit. Le ma
leur des deux jambes et des deux bras mais beaucoup plus marquée du
bras
droit. Le malade présente de la rétention d'urine
- dant deux jours. Le 15 octobre, les mouvements reviennent dans le
bras
gau- che qui était d'ailleurs le moins pris, pu
stème nerveux, l'attention est attirée par l'atrophie musculaire du
bras
et de la jambe droite, atrophie plus marquée à la
de la jambe droite, atrophie plus marquée à la racine des membres,
bras
et cuisse. Le malade marche sans steppage mais se
ès diminuée surtout à droite. Les ré- Ilexes tendineux et osseux du
bras
et de la jambe du côté droit sont abolis. L'exa-
e douleur sourde dans les jambes, au niveau des mollets et dans les
bras
. Parésie progressive ; engour- dissement de la
uche, puis incertitude de la marche ; en octobre faiblesse dans les
bras
. A cette époque diminution de la force segmentair
nts. En février 1883, douleur au talon gauche, au genou et aux deux
bras
; gommes des joues et du cou de pied gauche ; e
s cessèrent de progresser. A la fin de 1891, le malade peut mouvoir
bras
et jambes ; le sens musculaire est intact, sans a
ysie alcoolique, constater que dans la fonde motrice à début par le
bras
le long supinateur n'est pas épargné comme on le
'est pas uniforme, et l'on constate sur les doigts, l'avant-bras,le
bras
et le thorax des tumeurs plus ou moins volumine
. En l'année 1865, à l'hôpi- tal Si-Louis, on voulut lui amputer le
bras
, elle s'y refusa. Velpeau qu'elle consulta plus
rès la parole est revenue. La face n'a cependant pas été déviée. Le
bras
et la jambe étaient complètement inertes, engou
par suite elle ne pouvait pas mar- cher ni faire aucun mouvement du
bras
droit. La paralysie des membres lui donnait l'i
ant quelques jours après, elle a pu imprimer quelques mouvements au
bras
cependant que la jambe restait engourdie. Eta
entait tous les signes d'une hémiplégie droite de forme moyenne. Le
bras
tombait le long du corps et la malade ne pou- (
ques sur la face externe du deltoïde, le long de la face interne du
bras
, au niveau du pli du coude (Allas de Sappey), sur
ière chaque testicule et à la partie interne et supérieure des deux
bras
. Les tuméfactions globuleuses de la région pec-
gnets. Il existe de plus une tuméfaction dill'use des cuisses, des
bras
et de la moitié supérieure des avant-bras. Le
d'abord sur le côté gauche puis sur le côté droit. Le mouvement des
bras
est gêné. Pas de lésions viscérales. Le malade
diennes, sus-acromiale, deltoïdienne, sacrée; à la face interne des
bras
et à la face antérieure des cuisses. Non. Icono
niveau de l'aisselle droite. Les tumeurs empêchent l'adduction des
bras
, mais ne sont nullement douloureuses. Si- gnes
mateux autour du cou ; d'autres tuméfactions à l'épaule droite, aux
bras
, à la partie supérieure des avant-bras. Début i
rté sur le dos d'un bon-; homme dont il entoure la tète de ses deux
bras
; derrière .apparaît un, groupe d'arrivants ; l'
A gauche, un malade assis dans un, fauteuil tient un sabre sous le
bras
; il a le pied déchaussé,et le. front ceint, d'
pendant, le malade peut augmenter la flexion de l'avant-bras sur le
bras
.Le mouvement d'abduction ne va pas jusqu'à l'ho
eps, le deltoïde; les mouvements d'extension de l'avant-bras sur le
bras
et les mouvements de rotation du poi- gnet sont
e. L'abduction est à peu près normale et l'adduction est faible. Le
bras
étant en supination on le met passivement en pron
ve, la main droite la reproduit très bien. Quand l'enfant court, le
bras
gauche se place dans la situation suivante : ex
solution de sublimé. Le lendemain l'aphasie persiste ; en outre, le
bras
droit est paralysé et la sensibilité est diminu
complète,aucun mouvement des doigts de la main, de l'avant-bras, du
bras
et même de l'épaule. Le membre entier est dans
peut exécuter quelques mouvements, principalement de l'épaule et du
bras
, le pouce s'écarte très légèrement des autres doi
instants. Bientôt on s'aperçut qu'il ne pouvait se servir ni de son
bras
ni de sa jambe du côté droit. De plus il était
enfant avance généralement l'épaule gauche en avant, l'épaule et le
bras
droits rejetés en arrière, l'avant-bras dans une
, il traîne la jambe et avance le pied en fauchant. La paralysie du
bras
est plus grande que celle de la jambe et la par
surtout marquée. Pendant les deux derniers jours, il a pu lever le
bras
et bien justement fléchir l'avant-bras sur le b
il a pu lever le bras et bien justement fléchir l'avant-bras sur le
bras
, mais il est incapable de mouvoir en rien le poig
uche comprenant la face (impossibilité de fermer l'oeil gauche), le
bras
et aussi, mais à un degré moindre, la jambe. Il
3 mois avec assez de forces, la jambe était plus' vigoureuse que le
bras
. Un l'a tenu en observation..... aucun changeme
y avait une hémiplégie du côté gauche qui affec- tait légèrement le
bras
, mais il y avait aussi une perte évidente de forc
marcher plusieurs milles en se reposant très souvent. Il tenait le
bras
un peu fléchi sur le coude et les doigts demi-
uand il se releva, il n'accorda plus aucune attention à l'état de son
bras
gauche. Il pria un de ses amis qui était précis
vers l'oreille droite, et s'aperçut qu'il ne pouvait mouvoir ni le
bras
ni la jambe gauches. Il fit tomber des objets a
mais non absolue : car on peut fléchir ou étendre l'avant-bras sur le
bras
, à la condition d'y employer un peu de force.
à gauche seule- ment), au niveau du rebord des crêtes iliaques. Aux
bras
, 2 tumeurs : l'une au-dessus de l'épitrochlée e
uée sur la partie antéro-supérieure gauche s'étendant jusque sur le
bras
. A la percussion, sonorité normale des deux côt
ctoraux et la cage thoracique. Le long de la gaine des vaisseaux du
bras
droit, à quatue travers de doigt au-dessus du p
timètres, également molle et lobulée. Une dernière se trouve sur le
bras
gauche, le long des vaisseaux. Le ventre est vo
es cuisses avec les mains ; de temps en temps elle souffre dans les
bras
, dans le tronc, mais sans éprouver de douleurs
rps mais particulièrement aux membres inférieurs. Les muscles des
bras
ont subi une légère diminution de volume. L'atrop
ve aussi des manifestations d'excitabilité dans la muscula- ture du
bras
et du tronc. De temps en temps, le corps est agit
sence totale de douleur. Ces secousses atteignent de préférence les
bras
et la partie supé- rieure du tronc, quelquefois
s inférieurs : elle s'exécute, la tête et les épaules en avant, les
bras
ballants, le dos de plus en plus voûté. La ma-
ment. L'épaule gauche est relevée, l'épaule°droite est tombante, le
bras
droit écarté du tronc, immobile, en ba- lancier
u'avec sa main gauche il maintient solidement sur la table l'un des
bras
de l'opéré, il regarde en souriant le spectateu
de de défense audacieuse et très vraie; la main droite se crispe au
bras
d'un fauteuil, la gauclie se dresse, grand'ouve
ntemplent l'extraction avec un vif intérêt. L'un d'eux maintient le
bras
droit de la victime dont la main grand' ouverte
deux côtes. Les membres peuvent être étendus, les avant-bras-sur les
bras
et les mains sur les avant-bras, les doigts éca
est devenu absolument im- possible d'avancer sans s'appuyer sur le
bras
d'un aide ; dans les derniers temps, l'occlusio
Pendant la station debout, non seulement les jambes, mais' aussi les
bras
sont écartés du corps. Il réussit à se tenir qu
nférieurs, les jambes ne sont nullement lancées. Les pieds et les
bras
sont écartés de l'axe longitudinal, chaque pied e
bres supé- rieurs, du signe de Romberg, la tonicité des muscles des
bras
et des jam- bes était exagérée ; dans les derni
oordination des membres inférieurs, les mouvements choréiformes des
bras
et des jambes, le tremblement de la tête, les osc
prolongée ; parfois aussi on observe des secousses choréiformes des
bras
, des oscillations latérales des doigts, des contr
incertaine, la parole altérée, la vue troublée, les mouvements des
bras
et des mains étaient tremblants et incertains ;
orps chancelle. Lorsqu'on commande au malade,après avoir écarté les
bras
, de faire toucher les deux index, ce mouvement
e jour suivant et eut des vomisse- ments. Il avait une paralysie du
bras
droit, plus accentuée à la main. La parole étai
supérieure gauche. La langue tirée, était droite, les mouvements du
bras
paralysé étaient satisfaisants sauf ceux de la ma
e des membres. Nous n'avons trouvé qu'un seul cas de paralysie du
bras
gauche avec parésie de la jambe gauche et dimin
lques jours il arriva à ne plus pouvoir marcher ni se servir de son
bras
droit, puis apparut une paralysie faciale du cô
on remarque une déviation de la luette qui est portée à droite. Le
bras
droit soulevé retombe lourdement sur le plan du l
n peu niaise, ayant l'avant-bras gauche fléchi à angle droit sur le
bras
et contracture Les mouvements passifs sont enco
. Mais même à ce moment elle ne fait aucun effort pour se servir du
bras
gauche..... A l'examen du crâne, on trouve : un
UMATIQUE 395 point correspondant au centre moteur de la jambe et du
bras
..... On opéra après éthérisation. Le cuir cheve
96, à cette époque l'enflure avait gagné peu à peu l'avant-bras, le
bras
et l'épaule. Cette enflure était considérable,
e dos de la main était arrondi, plus volumineux qu'actuellement, le
bras
et t'avant- bras étaient « à pleine manche de p
était arrondi, plus volumineux qu'actuellement, le bras et t'avant-
bras
étaient « à pleine manche de paletot », au niveau
été moins accentué encore que maintenant, il semble en effet que le
bras
reprenne un peu de développe- ment depuis quelq
ncé plus tôt. Pendant tout le temps de sa maladie le malade a eu le
bras
en écharpe, 406 GASNE ' ce fait peut avoir un
u tronc, l'avant-bras demi- fléchi à lt5 centimètres environ sur le
bras
, la main repos«à plat sur la cuisse. L'atrophie
que l'opposée, bien que le squelette n'en soit pas saillant ; Le
bras
est absolument amaigri il mesure ci sa partie moy
moyenne cinq cen- timètres et demi de circonférence de moins que le
bras
gauche (18 1/2 au lieu de 24) et l'atrophie com
oïde, grand rond et grand dorsal, grand pectoral, etc.) que ceux du
bras
et de l'avant-bras réduits dans leur masse et d'u
ngée, étriquée; les oreilles écartées du crâne en coup de vent, les
bras
d'une minceur effrayante. Habillé, il fait asse
nant ; 'chutes fréquentes ; rien n'attirait l'attention du côté des
bras
. Depuis cette époque, les phénomènes suivent un
oute son attention sur l'acte qu'il accomplit; pendant ce temps ses
bras
sont étendus, raides, un peu écar- tés du tronc
des plus marquées, surtout aux membres supérieurs : l'abduction des
bras
est impossible ; le malade ne peut lui-même pas
gérée sont même incurvés du côté dorsal, l'avant-bras étendu sur le
bras
, forme un angle obtus ouvert en arrière. Le del
caractères sont notablement plus accentués à droite qu'il gauche. Les
bras
s'é- loignent du corps, les mains sont étalées.
ellure lombaire, dodeline de la tête et déplace alternativement ses
bras
en avant tout en conservant aux mains l'aspect
la main qui porte l'objet saisi a quitté le sol et que l'extension du
bras
opposé est complète, le malade peut encore, san
à son aide. Placé dans le décubitus dorsal, en se soulevant sur un
bras
, puis faisant dé- crire un cône à son thorax, i
; il tire la langue sans effort visible, sans raideur du cou ni des
bras
. Quand la tête est penchée en arrière, elle ne pe
malade place sa main sur sa tête, ou repousse un obstacle avec son
bras
allongé, les omoplates se séparent très nettement
incertains sur le sol, l'équilibre est à chaque instant perdu, les
bras
en halancier cherchent un point d'appui dans le v
a façon de s'en servir. Le patient, assis de côté sur la chaise, le
bras
gauche appuyé sur le dossier, se prête complais
ise boiteuse, une jambe en avant, l'autre repliée sous le siège, le
bras
gauche raidi, les poings cris- pés. Client de p
plan, un homme de condition non moins modeste, se tient debout les
bras
croisés et appuyés sur un bâton. Lui aussi, esq
. Le camionneur charge son dos de fardeaux.pesants et s'aide de son
bras
pour les mainte- nir en équilibre. La piqueuse
bilité de mouvoir ses jambes, il se déplace en se soulevant sur ses
bras
, mais aussi par des mouvements de reptation du
n à l'épaule par suite de la rupture des vési- cules pleines sur le
bras
et l'avant-bras du même côté et un gonflement au
ation détermina à l'application de cinq sangsues réparties entre le
bras
gauche et le côté corres- pondant de la poitrin
s le resserrement du palpébral droit, mais bien celui du gauche. Le
bras
et l'avant-bras, la cuisse et la jambe droite r
iculaire palpébral était sans action et la commissure en spasme. Le
bras
et l'avant-bras était dans l'inertie lors même
oximum est plus éloigné, diplopie... vertiges. Autres symptômes :
bras
et jambe faibles du côté droit, sensibilité plus
est droite (antérieurement elle avait été aussi déviée à gauche) Le
bras
gau- che est encore notablement plus faible que
Elle offre toutes les apparences de la bonne santé. La main et le
bras
droits sont plus petits, plus doux au toucher, pl
ents méthéméplégiques associés lors- qu'elle bâille en étendant.les
bras
, des mouvements du bras droit lorsqu'elle sai-
sociés lors- qu'elle bâille en étendant.les bras, des mouvements du
bras
droit lorsqu'elle sai- sit quelque chose de la
rieure du pariétal. Les membres étaient tous en résolution, mais le
bras
droit était absolument flasque et retombait inert
le membre supérieur gau- che avaient récupéré leur motilité,mais le
bras
droit restait inerte. Seuls quel- ques mouvemen
umatique 543 lade n'a eu de vomissements. Le 30 mai la paralysie du
bras
droit était encore accentuée et M. Blum se déci
marquée au dehors de la clavicule droite dans sa partie externe.
Bras
. - D'une façon générale le bras droit est moins v
cule droite dans sa partie externe. Bras. - D'une façon générale le
bras
droit est moins volumineux que le bras gauche.
s. - D'une façon générale le bras droit est moins volumineux que le
bras
gauche. Une fois à la partie moyenne, il a 22 cen
ois à la partie moyenne, il a 22 centimètres de circonfé- rence, le
bras
gauche ayant 24 au même point Au niveau du coude,
gaux des 2 côtés. - - Sensibilité. - Le malade ressent dans tout le
bras
droit des douleurs qu'il compare à des coups d'
es opération Au moi d'avril il persistait une paralysie complète du
bras
droit et une paré- sie de la jambe droite...,.
l'os ne paraît pas avoir été fracturé. Cependant on constata dans le
bras
droit des mouvements cloniques Il y a une par
faiblement que la droite. Le territoire du facial droit ainsi que le
bras
et la jambe sont complètement paralysés. Il est
ition, il n'y a pas de troubles dans les mouvements de celle-ci. Le
bras
gauche montre à l'épaule et au coude une légère
n initiale. Les doigts de la main gauche sont légèrement fermés. Le
bras
levé en l'air, retombe pa- ralysé, la jambe gau
ssure il avait ressenti instantanément une grande faiblesse dans le
bras
gauche qui s'était établie peu à peu et n'avait p
puis. Ses proches remarquèrent ensuite que, pendant les attaques le
bras
malade se dressait vivement et était jeté de cô
ues. Il prévoyait cependant leur approche par des secousses dans le
bras
gauche et pouvait se prémunir contre une chute.
prémunir contre une chute. Il se serait souvent mordu la langue. Le
bras
gauche était notablement affaibli et le patient a
roit regardant en dedans, par suite d'une contracture ac- cusée. Le
bras
droit est complètement paralysé, dynamomètre main
é dans l'attitude des hémiplégiques, l'avant-bras est fléchi sur le
bras
et la main à demi fermée. Cependant le sens sté
dant une heure et quand il revint à lui, il était paralysé des deux
bras
et des deux jambes. Il se fil électriser pendan
uel (juin 1899). - Il subsiste une certaine difficulté pour porter le
bras
gauche dans l'extension complète, l'épaule gauc
ires et osseux sont exagérés dans toute l'étendue de l'épaule et du
bras
gauche, on produit aussi facilement des secousses
mes à leur position initiale. Con- traction, de l'avant-bras sur le
bras
, avec rotation en dedans, également corrigible
t de l'épaule sont extrêmement limités, le mouvement d'élévation du
bras
et d'ab- duction n'atteint pas l'horizontale; p
r un'escabeau. L'opérateur, coiffé d'un feutre lacéré, saisit à plein
bras
la tête de sa victime, tandis que de la main dr
pina del dorso alla torace del petto. 3. Traduction française. Ce
bras
, depuis le coude a jusqu'à b, il faut le faire da
us que ceux qui ne s'emploient pas dans ce mouvement. Représente le
bras
, depuis l'épaule jusqu'au coude, quand il fait le
en faisant aller la main avec le charbon autour de cette épaule, le
bras
étant étendu, et il fera, par ce mouvement circ
te fille de 8 ans 1 ? devenue impotente par suite d'une fracture du
bras
droit, continua à aller à l'école et se mit à é
sur la dent doulou- reuse, car le patient cherche à lui arrêter le
bras
avec sa main droite. L'artiste a médiocrement r
urément, mais aussi moins périlleuses que les extractions à tour de
bras
. Aussi, les chirurgiens avisés ne tenaient-ils
la dent de son client, tandis qu'il lui maintient la tête avec son
bras
gauche contre sa poitrine. Le patient, un paysa
e saisit avec la main gauche la main droite du malade, posée sur le
bras
du fauteuil. On la voit de profil, bien éclairé
doigt dressé en l'air. La victime geint, se débat, se cramponne au
bras
de son siège, piétine, nerveusement au point d'
la main, s'arrête, comme pétrifié. Une veille femme, un pa- nier au
bras
, croise les mains dans un geste de supplication e
s qui \ont prendre insertion sur les os; c'est ce que Ton observe aux
bras
et à la cuisse, entre les deux faces correspondan
des os des membres par rapport aux grands muscles profonds. (Ex. : au
bras
et à la cuisse des triceps, à l'avant-bras les cu
petit nombre de points , la surface du crâne, la face postérieure du
bras
, les régions dorsales de la main et du pied. Part
s que dans le squelette. Il se divise en quatre parties: l'épaule, le
bras
, l'avant-bras et la main. L'enveloppe générale
as et d'arrière en avant ; elle est très mince sur la face interne du
bras
où elle est aussi plus sensible. Le fascia cellul
une de ses fractions. i° Epaule. Intermédiaire entre le tronc et le
bras
, nous avons déjà vu qu'elle se fondait avec la na
leurs aponévroses entr'elles et avec les muscles de la poitrine et du
bras
. Il résulte de cet aperçu que l'appareil locomote
ur l'articulation scapulo-humérale. 1 Planches 9, io. vol. vl« 20
Bras
. L'aponévrose brachiale constitue dans son ensemb
brachial antérieur, établissant par leurs tendons la continuation du
bras
avec l'avant-bras. La face postérieure contient l
e, elles s'insinuent profondément dans l'épaisseur de la cuisse ou du
bras
; soit que la collection liquide, ayant son origin
t évident que les observations auxquelles ils ont donné lieu, pour le
bras
et la cuisse, s'appliquent également, pour íes di
deux côtés saillans, et surmonté ou recouvert par la face interne du
bras
, suivant que ce membre est élevé ou abaissé, qui
épanouissant sur les parois de la poitrine et sur la face interne du
bras
. 3° Muscles. Le fond du triangle axillaire est ta
umérus et le coraco-brachial de l'autre, et dont la superposition, le
bras
étant élevé, se présente dans cet ordre : la vein
irconflexe. ' Planche 1, n°37; et planchée). MEMBRE ÏHORACIQUE.
bras
. Le bras se divise en quatre régions, deux qui
' Planche 1, n°37; et planchée). MEMBRE ÏHORACIQUE. bras. Le
bras
se divise en quatre régions, deux qui affectent t
e son importance, l'articulation huméro-cubitale que l'on rattache au
bras
en qualité d'annexé, est généralement considérée
crire et à motiver les limites des régions brachiales. En anatomie,le
bras
comprend la totalité de la première fraction du m
se trouvant divisée en régions spéciales, celles qui appartiennent au
bras
, limitées supérieurement par le deltoïde et le gr
onévrose, dans l'épaisseur de laquelle elles s'insinuent au milieu du
bras
; la basilique est côtoyée en avant par le nerf cu
n avant par le nerf cutané interne et le grand courant lymphatique du
bras
. Profondément dans le sillon des gros vaisseaux,
connaître, eu égard aux maladies et aux opérations. Intermédiaire du
bras
à lavant-bras, ses limites, absolument arbitraire
des opérations ou des accidens, ou spéciaux, ou différens de ceux du
bras
et de l'avant-bras. A l'extérieur, le pli du co
sont les branches articulaires des collatérales externe et interne du
bras
, anastomosées avec les branches terminales des ré
s : en dedans le cubitus qui forme la principale articulation avec le
bras
; en dehors le radius qui compose, presque à lui s
endant, quelque soin que l'on apporte à contourner la face interne du
bras
, les deux nerfs cutanés, le médian et le cubital,
une pelote ou d'un cachet. Au contraire, pour les troncs artériels du
bras
et de la cuisse, éloignés des leviers osseux et r
sur les nerfs médian, cubital et les deux cutanés. Déjà, au milieu du
bras
, les trois derniers nerfs, s'écartant par leur di
quand on peut choisir, il convient mieux d'agir au tiers inférieur du
bras
, où le tronc du nerf médian s'isole de l'artère e
ées isolément par la pelote libre à lacs bouclé au tiers inférieur du
bras
, chacune sur l'os dont elle prend le nom. (Pl. 20
rande quantité de vaccin. Préparation du vaccin. Si l'on vaccine de
bras
à bras, piquer un bouton; il apparaît une gouttel
uantité de vaccin. Préparation du vaccin. Si l'on vaccine de bras à
bras
, piquer un bouton; il apparaît une gouttelette qu
On peut vacciner sur toute partie quelconque de la peau. Néanmoins le
bras
, à sa face externe, est le lieu d'élection ordina
es de succès, on fait plusieurs piqûres, ordinairement trois à chaque
bras
, séparées par des intervalles d'un pouce environ;
ldoitopérer;puis, sa main gauche appliquée sur la face postérieureclu
bras
, il circonscrit ce membre en amenant de chaque c
'il n'existe aucune indication particulière pour le choix du lieu, le
bras
gauche, à la partie moyenne de sa face externe, e
dication nécessaire pour le lieu, le cautère se pose préférablemcntau
bras
, le gauche sur-tout, entre l'insertion inférieure
s dont ou emprunte le lambeau sont les faces antérieure et externe du
bras
ou de lavant-bras. L'objet principal que l'on se
es cutanées des doigts et des orteils, celles de la partie interne du
bras
avec le tronc, du bras avec lavant-bras, de la ja
et des orteils, celles de la partie interne du bras avec le tronc, du
bras
avec lavant-bras, de la jambe avec la cuisse à l'
es intéressées sont des fractions du corps différentes, telles que le
bras
et le tronc , la jambe et la cuisse, il y a peu à
sont, en général, ceux des secondes fractions des membres : à l'avant
bras
, les tendons extenseurs ou fléchisseurs; à la jam
s vite, clans la crainte qu'il ne se forme un thrombus. 2° Souvent au
bras
, si ce n'est la ligature , ce sont les vêtements
e la plaie est trop oblique, arrive néanmoins assez souvent au pli du
bras
, lors même que l'incision a été faite dans la mei
a meilleure direction. 11 lient alors à ce que la piqûre a eu lieu le
bras
étant en supination, tandis qu'on le fléchit eu d
est insuffisante, il faut, tout en maintenant la pression, ramener le
bras
clans l'extension et la supination, sauf, pour re
lques jours en amènent la résorption. Lésion d'une artère. C'est au
bras
et eu saignant la veine médiane basilique, dont l
rgicale, cinq veines superficielles se présentent à saigner au pli du
bras
: sur les côtés la radiale postérieure et la cubi
ilets, il est impossible d'assigner, sur la face antérieure du pli du
bras
, un point où l'on ne puisse blesser des rameaux d
pond au nerf médian. Procédé opératoire. Découvrir préalablement le
bras
jusqu'à sa partie moyenne, en relevant les inanch
roidir le malade; ou autrement, mettre le membre entièrement à nu. Le
bras
disposé, reconnaître le tendon du biceps et, à so
stater la situation s'il y en. a. Ces dispositions prises, étendre le
bras
du malade dont l'opérateur applique et contient l
e et contient la main sous l'aisselle du membre qui doit supporter le
bras
opéré; du côté gauche du chirurgien pour le bras
ui doit supporter le bras opéré; du côté gauche du chirurgien pour le
bras
droit du malade et vice versa. Prenant alors le p
rs le plein de la bande, l'appliquer à plat sur la face antérieure du
bras
, le chef qui pend au dedans plus long que l'autre
faire un second tour du membre et les arrêter sur la face externe du
bras
par une rosette, l'anse en haut et les bouts pcii
s avons supposé le chirurgien ambidextre, c'est-à-dire opérant sur le
bras
droit avec la main droite et sur le bras gauche a
c'est-à-dire opérant sur le bras droit avec la main droite et sur le
bras
gauche avec la main gauche. Admettons qu'il agiss
la main gauche. Admettons qu'il agisse à droite. L'opérateur étend le
bras
dm malade en supination ou en denii-pronation, su
noue les extrémités ou on les fixe avec une épingle. On maintient le
bras
en écharpe pendant environ vingt-quatre heures.
u , la saignée des saphènes n'est jamais aussi abondante que celle du
bras
, et en général on doit lui préférer cette dernièr
ujets obèses, que l'on ne puisse trouver les grosses veines du pli du
bras
, tandis que les veines au-dessous sont assez appa
ue par frottement. Tout étant disposé, on place une ligature sur le
bras
de chacun des deux individus pour faire gonfler l
de chacun des deux individus pour faire gonfler les veines du pli du
bras
comme dans la phlébotomie. Par une incision longi
itudinale on meta découvert la plus grosse veine superficielle sur le
bras
du malade, on isole le vaisseau par une dissectio
nécessitent de préférence la ligature des troncs artériels à l'avant
bras
. La ligature partielle des artères de la main n'e
est assez exactement déterminé par une ligne qui, du milieu du pli du
bras
, ou du bord externe du tendon bicipital, tomberai
, ce qui en rend l'écarteinent plus difficile. D'après lui, le pli du
bras
étant reconnu, il faut s'écarter horizontalement
'angle supérieur; au lieu de la désignation vague du milieu du pli du
bras
, dont il faut s'écarter d'un centimètre en dehors
e par une flexion de la main sur le poignet et de l'avant-bras sur le
bras
. Mais chez les hommes très musclés le faisceau du
e par la ligature de l'artère humérale avant sa bifurcation au pli du
bras
. Artère humérale (pl. 4° ct 4 0 Situation. Lo
biceps dont elle contourne la saillie pour gagner en dehors le pli du
bras
, elle est appliquée en dedans et en arrière, sur
aison, et, plus particulièrement, à cause de la phlébotomie au pli du
bras
, aux blessures accidentelles suivies d'anévrisme
d'élection déterminés par la hauteur où existe la lésion : le pli du
bras
au-dessus de sa bifurcation, sa partie moyenne, e
la sortie de l'aisselle. Manuel opératoire. i° Ligature au pli du
bras
(pl. 4o). Le membre placé dans l'extension et l
alablement appliqué, tandis qu'un second aide fixe la main et l'avant
bras
, le chirurgien, en palpant avec les doigts réunis
ceps , et de la courbure quelle décrit en bas et en dehors, au pli du
bras
, pour gagner la tubérosité bicipitalc du radius.
a ligature comme à l'ordinaire. 2" Ligature ¿1 la partie moyenne du
bras
(pl. /\a ). Le membre placé comme il a été dit pl
rs en évitant le nerf médian. 3° Ligature à la partie supérieure du
bras
(pl. 42, fig. 1 ) '. Procédé de M. iÀsfranc. No
a nu le faisceau des vaisseaux et des nerfs. Abaisser alors un peu le
bras
et le rappeler à sa direction naturelle dans l'ad
n vice dans l'expression relative. Le malade couché sur le dos , le
bras
écarté du corps dans l'abduction à angle de quara
ie, ce feuillet sur la sonde cannelée. Rapprocher ensuite du tronc le
bras
dans l'adduction et la demi-flexion pour relâcher
e de celle d'une aponévrose. Déposer alors le bistouri, rapprocher le
bras
du tronc et tourner l'humérus vers l'adduction po
ce muscle au lieu de le couper en travers. La peau étant divisée, le
bras
dans l'abduction, M. Lisfranc écarte les deux mus
te les deux muscles adja-cens avec la sonde cannelée , puis ramène le
bras
dans l'adduction et va à la recherche des vaissea
e l'artère au-dessus de la tumeur. Ce procédé n'a eu aucun succès. Au
bras
, sur trois malades auxquels a été faite la ligatu
o, ouvrit une voie nouvelle. Ayant à traiter un ané-vrisme au pli du
bras
, en présence du célèbre anatomiste Lancisi, il se
es moyens. T. Bartholin rapporte un cas de guérison d'un anévrisme au
bras
par l'application prolongée de la neige. L'observ
ar une série de mouvemens alternatifs de va-et-vient auxquels tout le
bras
participe. A mesure qu'on arrive à la fin de la s
à ce qu'on la fasse agir à grands traits, il convient de maintenir le
bras
immobile ou presque immobile auprès du tronc, et
ire. Lorsque le cal fut assez solide pour permettre les mou-vemens du
bras
on supprima le séton, et après cinq mois et demi
de sa cliaphyse. On a alors deux fragmens : l'un supérieur tenant au
bras
, l'autre inférieur tenant au carpe ; il ne reste
osé et éclairé convenablement, le malade est couché sur le ventre; le
bras
, écarté du tronc, est placé de manière à présente
autour d'eux la scie à chaîne. La section ainsi opérée sur les os du
bras
et de l'avant-bras, il ne reste plus qu'à extrair
érale, tandis qu'autrefois ils auraient réclamé la désarticulation du
bras
. Procédés opératoires. Ils peuvent tous être ra
ix lignes) au-dessous de leur insertion supérieure et rabattre sur le
bras
le lambeau quadrilatère qu'on a obtenu. L'articul
externe, abaisser une incision nu! se dirige parallèlement à l'axe du
bras
vers la partie antérieure du moignon de l'épaule.
écessaires. — Premier temps. Empoigner fortement de la main gauche le
bras
du malade légèrement écarté clu tronc, et avec un
sse charnue du deltoïde. — Second temps. Pendant qu'un aide écarte le
bras
, circonscrire, avec un bistouri ordinaire, le col
esault, qui remplit parfaitement le but qu'on se propose: de fixer le
bras
dans f immobilité, en même temps que les surlaces
qu'il en résulte toujours une grande faiblesse dans les mouvemens du
bras
, malgré la présence d'un tissu ostéo-fibreux qui,
e scie toute la portion malade, en conservant ainsi l'articulation du
bras
. Tous les vaisseaux furent liés, le fond de l'ais
gt-quatre centimètres (neuf pouces) cle haut en bas. Les mouvemens du
bras
sur la cavité glénoïcle furent conservés. La tume
, et l'instrument est mu seulement par l'action de lavant-bras sur le
bras
, et du poignet sur l'avant-bras. Quand il y a deu
e Hilden veut qu'on ampute l'avant-bras très bas, après avoir fixé le
bras
sur le banc; les chairs coupées d'un seul coup, i
scription des procédés et dans l'examen anatomique de l'avant-bras.
Bras
. Ce cpie nous dirons en détail pour la cuisse s'a
irons en détail pour la cuisse s'applique également à l'amputation du
bras
dans la continuité; mêmes principes donnés déjà p
oit tant de perfectionnemens, a le premier tracé pour l'amputation du
bras
des préceptes raisonnes. Dans les amputations d
ongent du côté cle la main, et n'ont aucune connexion avec celles clu
bras
; la propagation cle l'inflammation ou de fusées
drait autant que possible user du procédé de Vermale. AMPUTATION DU
BRAS
. ANATOMIE OPÉRATOIRE. Le Mémoire de Louis con
substance tous les principes anatomiques qui dominent l'amputation du
bras
; si ses idées ne sont pas tout à fait complètes,
éritable source, la plupart des considérations cpii vont suivre. Le
bras
renferme deux systèmes fractionnels de muscles bi
e muscles bien distincts. Les muscles qui meuvent l'avant-bras sur le
bras
forment la première série que nous ayons à examin
entant les idées de Ixmis, a très judicieusement fait remarquer qu'au
bras
il ne faut faire nulle attention à la rétraction
A cause de la distinction bien tranchée des muscles qui meuvent le
bras
, d'avec ceux qui font agir l'avant-bras, la posit
uvent le bras, d'avec ceux qui font agir l'avant-bras, la position du
bras
pendant l'amputation au tiers inférieur n'a qu'un
ation la meilleure est une flexion très légère de l'avant-bras sur le
bras
étendu. Il n'en est pas de même à la région del
du moins dépasseront la surface osseuse dans les divers mouvemens du
bras
, on s'en assure, approximativement, avant la sect
lique, sont coupées dans leur plus grand raccourcissement, puisque le
bras
est tenu horizontalement, et ne sont donc pas sus
upérieur, plus bas il y a de l'avantage à se placer en dedans pour le
bras
gauche. méthode circulaire (pl. ^3, flg. 2, 3,
che. méthode circulaire (pl. ^3, flg. 2, 3, 4). Premier temps. Le
bras
écarté du tronc, la peau tirée en haut, le coutea
ont vulgarisé en Allemagne la méthode à lambeaux pour l'amputation du
bras
, ont attaché leurs noms à deux procédés qui tienn
brachial, enfoncer le couteau du bord interne au bord externe pour le
bras
droit, tailler de haut en bas et en biseau du cen
, le chirurgien, placé en dedans, soutient, de la main gauche pour le
bras
droit et de la main droite pour le bras gauche, l
nt, de la main gauche pour le bras droit et de la main droite pour le
bras
gauche, la partie inférieure du membre. De la mai
chairs profondes à la manière d'Alanson. — Procédé de M. Baudens. Le
bras
dans l'extension, tailler de la face externe à l'
ir ce but, c'est ici, plus spécialement que pour les autres points du
bras
, d'obvier à la rétractilité avec la plus petite p
procédé de la quadruple incision. Comme nous l'avons indiqué pour le
bras
, pendant la réunion le moignon doit être dans une
léer la capsule. Procédé de Louis et de Sabatier(p\. 74, fig. 4)-Le
bras
appliqué contre le corps, pour couper le deltoïde
doigt au-dessous de l'acromion. Pansement. Après les amputations du
bras
à diverses hauteurs, la ligature principale est c
ncement de 1 incision sur la crête du tibia, porter sous le membre le
bras
, dont la main, armée du couteau, est fortement to
aine plutôt que de porter le fer sur la continuité de la cuisse ou du
bras
. Toutefois il donne des préceptes pour l'amputati
ruption gagnait les parties supérieures de la cuisse (fenioris) et du
bras
(brachii), et non pas, comme Manget a 1 air de l'
iner parla désarticulation du cubitus. Procédé de jacquier. L'avant
bras
dans l'extension , tailler de bas en haut, et de
elle ; le chirurgien, obligé de couper très haut pour une gangrène du
bras
, s étant décidé à enlever la tête numérale, qu'i
ut, de manière à arriver au plus près de l'articulation ; incliner le
bras
en bas avec la pointe du couteau, inciser le liga
aide avec le pouce ou une pelote sur la première côte, les chairs du
bras
fortement remontées par un autre aide vers l'aiss
st bien exécuté : la seule observation à faire, c'est, en relevant le
bras
, de faire rapprocher suffisamment en haut, par un
ur ou interne). Procédé de Ledran. Le malade assis sur une chaise, le
bras
maintenu soulevé presque horizontalement par un a
itter le couteau , tomber sur la capsule fibreuse , faire abaisser le
bras
, couper la capsule et les tendons rotateurs, entr
ne modification du procédé de La Faye; voici en quoi il consiste : le
bras
en position, saisir et soulever avec les doigts d
me les professait Dupuytren. Le lambeau relevé par un aide, saisir le
bras
de la main gauche, le rapprocher du tronc, tourne
suivant, décrit d'abord par Grosbois mais avec moins de précision. i°
Bras
gauche. Premier temps. Le bras soulevé perpendicu
sbois mais avec moins de précision. i° Bras gauche. Premier temps. Le
bras
soulevé perpendiculairement : placé derrière le m
beau interne et inférieur de quatre à cincj centimètres de long. a0
Bras
droit. Pour tailler un lambeau externe en agissan
placé d'abord en arrière, piquer et tailler le lambeau comme pour le
bras
gauche, puis se porter rapidement sur le côté pou
e se trouve coupée dans la première incision, M. Larrey a proposé, le
bras
opéré dans une légère adduction, de tailler d'abo
erne et inférieur. Ce procédé permet de piquer de bas en haut pour le
bras
gauche; mais pour le bras droit il exige d'opérer
édé permet de piquer de bas en haut pour le bras gauche; mais pour le
bras
droit il exige d'opérer la main en bas et le coud
autre de M. Chasley. Procédé de M. Larrey (pl. 78, fig. 1 et 2). Le
bras
du malade appliqué contre le corps, descendre une
de l'acromion, il contourne obliquement le membre en avant, élève le
bras
, parcourt l'espace de l'aisselle jusqu'à son bord
u uniquement supérieur ou inférieur. AMPUTATION DE L'ÉPAULE AVEC LE
BRAS
. Ce n'est que pour mémoire que nous mentionnons
. Cuming (1808) a également réussi en enlevant toute l'épaule avec le
bras
; MM. Clot, Brice et Syme n'ont pas été moins heur
érations : une résection des os de l'épaule et une désarticulation du
bras
. En général, la résection doit précéder l'autre:
entouses, 142—144. = Phlérotomie, généralités , 144—147. — Saignée du
bras
, 147. — Saignée du pied, saignée du cou, 148. — S
nt, 233, 234. =r= Amputation de l'avant-bms, 234—236. = Amputation du
bras
, 236—238. amputations dans la continuité du mem
rticulation scapulo-humérale, 260—264. — Amputation de l'épaule et du
bras
, 264. amputations dans la contiguïté du membre
ion scapulo-humérale. 37. Région scapulaire. MEMBRE THORACIQUE.
BRAS
. 38. Région brachiale antérieure. 39. Région
ns, de nombreux vaisseaux lymphatiques et des nerfs. AISSELLE, le
bras
étant élevé en arriere. La figure développe l'a
ire. 1. Nerf médian. 2. Artère axillaire. 3. Veine axillaire.
Bras
. C. Loge du biceps, avec ses vaisseaux et ses n
. 7. Veine basilique. 2° En dehors: 8. Veine céphalique. Pli du
bras
. 9. Nerf cutané externe. 10. Veine médiane cé
2. F. Loge du deltoïde, avec les vaisseaux et nerfs circonflexes.
Bras
. G. Loge du triceps ; le fond de la figure est
Figure 1. Plan de la partie moyenne cervicale. — Figure 2. Section du
bras
, a un pouce au-dessus de l'attache du deltoïde. —
par une cavité de réception (g), dans laquelle est reçue la boule du
bras
de levier horizontal, maintenue par une vis (h).
de roulée en position. D'abord, très lâche sur la face postérieure du
bras
, elle a été tordue en spirale à un ou deux tours,
ici le biceps si le compresseur était appliqué à la partie moyenne du
bras
. Cette même erreur de principe est celle qui a pr
IE SAIGNEES DU BRAS ET DU PIED. ADULTE, DEMI-NATURE. SAIGNÉE DU
BRAS
, FIGURES I, l ET 3. Figure 1. Elle représente l
temporale; au cou, la saignée de la veine jugulaire externe; et, au
bras
, celle de la veine céphalique par deux procédés.
le cas où, sur un sujet gras, on ne peut trouver une veine au pli du
bras
pour pratiquer une saignée jugée indispensable, M
Demeaux. Le malade est entré à l'hôpital pour un anévrisme au pli du
bras
, causé par une saignée faite auparavant par un ch
quatre opérations de ligature : 1° (G) Artère hurnérale, au milieu du
bras
: à cette plaie se joint, pour l'anatomie chirurg
. (G) Fig. 1, et (G2) LIGATURE DE L'ARTÈRE HUMÉRALE, au milieu du
bras
. Le muscle biceps est refoulé en avant et en de
humérus. Figure 11. Carie de l'extrémité numérale des os de l'avant
bras
. Figure 12. Carie commençante de la tête du fém
mputation de la jambe. Figure 4. Couteau droit pour l'amputation du
bras
. Figure 5. Petit couteau inter-osseux pour l'am
c, présente sa face postérieure en haut, en regard de l'opérateur. Le
bras
étant maintenu par la main gauche d'un aide qui c
che du chirurgien, H, qui empoigne en plein l'extrémité inférieure du
bras
. Un aide comprime avec le pouce gauche, I, l'artè
eur, coupé les chairs en arrière et désarticulé Pavant-bras d'avec le
bras
, l'opération est représentée au moment où il ne
ection de la tête de l'olécrâne. FIGURES 2, 3 ET 4. amputation du
bras
dans sa continuité. (Partie moyenne du bras gau
3 ET 4. amputation du bras dans sa continuité. (Partie moyenne du
bras
gauche.) Figure 2. Section des chairs. d, Mai
bas. 1,1, Ligatures des artères humérale et collatérale externe du
bras
et des branches du biceps, du brachial antérieur
plaie. PLANCHE 74. FIGURES A, 2 ET 3. amputation a lambeaux du
bras
droit dans sa continuité. ( Procédé de Klein. )
che du chirurgien qui soulève les chairs de la partie antérieure du
bras
pour faciliter la taille du lambeau. c, Couteau
érale. FIGURE 4. amputation a lambeaux de la partie supérieure du
bras
. ( Membre droit. ) ( Procédé de Sabatier. ) L
1, Main gauche du chirurgien qui maintient le fragment inférieur du
bras
. m, Pelote tenue par la main d'un aide qui opèr
la section. f, Main gauche du chirurgien qui contient et dirige le
bras
opéré g, Main droite armée du couteau, et qui a
couteau. c, Main gauche du chirurgien qui maintient et gouverne le
bras
sur lequel il opère. d , Couteau tenu de sa m
leurs. b. Main gauche du chirurgien qui gouverne les mouvemens du
bras
. c. Main droite armée du couteau qui vient de t
rimer. e. Main gauche du chirurgien qui gouverne les mouvemens du
bras
. f. Main droite armée du couteau , qui opère la
trois premiers doigts. f. Main gauche du chirurgien qui gouverne le
bras
. g. Tête humérale désarticulée. h. Main droit
sortit de l'hôpital pour venir travailler à Paris, il avait déjà le
bras
gauche comme engourdi, et il y ressentait, princi
tait plus faible que la droite. Pendant cette période également, le
bras
, le tronc du côté droit et la moitié droite de la
ris, le malade s'aperçut qu'il n'avait plus au- cune- force dans le
bras
et que sa main ne pouvait rien tenir. Alors, ét
nces thénar et hypothénar, de la parésie, une analgésie complète du
bras
et de l'avant-bras. [Ces renseignements sont pu
que, sauf que la jambe du côté gauche commença s'affaiblir comme le
bras
et lui fit éprouver une grande difficulté à march
clinée sur l'épaule gauche (action de sternomastoïdien gauche), les
bras
tombent et sont animés de temps en temps, surto
bien accentués dans la position et les mouve- ments des jambes. Le
bras
droit n'est pas agité pendant la marche, mais p
=0. Elle est très certainement diminuée aussi dans l'avant-bras, le
bras
et l'épaule gauches, mais non absolument nulle.
s avant-bras donnent des résultats identiques à la mensuration, les
bras
, les cuisses et les jambes également. Le malade
l'anesthésie spéciale occu- pant la main, l'avant-bras, souvent le
bras
tout entier. Mais à cette anesthésie de la mala
palmaire ou dorsale des doigts, ou sur le dos de la main, jamais à
bras
. Ces bulles, sont bvalaires, leur étendue varie d
sie des membres du côté droit. Le malade peut porter sa main et son
bras
droits dans toutes les directions. Mais il est in
' DEUX CAS DE MALADIE DE MORVAN. 13 Les muscles de l'avant-bras, du
bras
, de l'épaule, du tronc, du membre inférieur dro
ble et un degré très prononcé de contracture des avant-bras sur les
bras
, des jambes sur les cuisses et des cuisses sur
omme d'Adam. Aux membres, il diminue d'épaisseur de haut en bas. Au
bras
, il est plus épais en arrière qu'en avant. Au 1
ses genoux ou sur une table. Si l'on ordonne au sujet d'étendre les
bras
dans l'attitude dite du serment, les oscillatio
in droite posée sur une table. Le second a été obtenu la main et le
bras
du sujet étant placés dans l'attitude dite du ser
nt un tambour myographique soit sur la face postérieure de l'avant-
bras
, soit sur la région antérieure de la cuisse. Po
l'observateur posée sur l'avant-bras du sujet (celui-ci tenant son
bras
horizontalement étendu) percevait une sensation
en prodromes psy- chiques entrecoupés de quelques contractions des
bras
, de quelques convulsions des globes oculaires,
, se rapprochent de celles des alcooliques. « Il se jettoit sur mon
bras
, dit-elle, quand je voulois commencer il parler
Un homme vigoureux âgé de vingt-neuf ans, attelé il unccharrettea Ú
bras
, est culbuté par une lourde voiture de blanchisse
des dans la production de l'effet morbide. Le membre para- lysé, le
bras
par exemple, ne retrouve pas subitement sa force
es sens lorsqu'il le veut. Mais lorsqu'il est à l'étal de repos, le
bras
gauche est rapproché du corps, l'avant-bras flé
oïde. ' L'atrophie des membres est peu marquée. La circonférence du
bras
est égale des deux côtés, 20 à l'avant-bras, on
entimètre et demi de moins du côté gauche. Température de surface :
bras
droit, 83 ? bras gauche, e°8; jambe droite, 39o
de moins du côté gauche. Température de surface : bras droit, 83 ?
bras
gauche, e°8; jambe droite, 39o9; jambe gauche,
encore plus de notre dessin. Au premier plan, le patient dont les
bras
passés sous le jarret donnent au corps une atti
s reprises d'arrêter les mouvements choréiques en lui attachant les
bras
, mais ces manoeuvres n'eurent d'autre résultat qu
xiste des stigmates permanents de l'hystérie : anesthésie totale du
bras
droit; anesthésie de la moitié droite du tronc, e
TION A L'ÉTUDE DES BAILLEMENTS HYSTÉRIQUES, 103 naire : raideur des
bras
avec contracture, secousses classiques des quat
ÈTRIÈRE. une violente colère, brisa des carreaux et se fit aussi au
bras
des blessures qui nécessitèrent son admission à
survient une attaque, convulsive caractéris- tique ; elle étend ses
bras
, les tourne en pronation, sa mâchoire infé- rie
nt dans une période de torpeur. Il reste continuellement assis, les
bras
croisés le plus souvent. Au point de vue des at
es mains à demi fermées dans la position du repos (pl. XIX). 2° Les
bras
sont croisés. 3° La ^main droite est placée dev
rd, puis, tout d'un coup il se met à les exécuter. Si on soulève le
bras
on constate qu'au lieu de retomber immédia- tem
normal qui s'y prêterait en faisant, comme on dit vulgairement, le
bras
mort. Il y a même quelque chose de différent en
, nous avons observé comme accidents anormaux : 1° une paralysie du
bras
droit (il y avait MODIFICATIONS DE LA TECHNIQUE
Il est renversé, sa tète tournée sur la droite et il gesticule des
bras
et des jambes. En haut à gauche, le diable s'en
deux ans qui a été atteinte au mois d'août z1883 d'une faiblesse du
bras
droit. Au bout de quatorze jours, le membre infér
le membre inférieur gauche se prit; enfin, quelques mois après, le
bras
gauche puis le pied droit furent atteints. Cett
it avec une certaine difficulté, en.s'aidant de ses mains et de ses
bras
, mettre ses membres inférieurs hors de son lit.
térieure de l'articulation radio-carpienne. Les avant-bras et les
bras
sont en rapport avec la haute stature d'Al- pho
nt son enfance. 16 ! NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Les
bras
et les avant-bras ne présentent rien de particuli
elle exerçait le métier de blanchisseuse, et fatiguait beaucoup du
bras
droit, elle éprouva pour la première fois des d
bras droit, elle éprouva pour la première fois des douleurs dans ce
bras
au niveau du biceps. Ces douleurs disparurent s
sance, car elle se souvient très bien qu'elle vit ses jambes et ses
bras
se paralyser peu à peu et qu'elle eut très bien
t pour le Vésinet dans l'état suivant : elle marche sans boiter, le
bras
droit n'est plus paralysé, mais le bras gauche
elle marche sans boiter, le bras droit n'est plus paralysé, mais le
bras
gauche ne remue presque pas. (L'observation de
vomir, des douleurs épigas- triques et de la diarrhée. Peu à peu le
bras
gauche devient de plus en plus faible, et le br
hée. Peu à peu le bras gauche devient de plus en plus faible, et le
bras
droit lui-même commence à se paralyser. C'est d
isse aller sous elle. Pas d'incontinence d'urine. Pas d'eschares.
Bras
gauche beaucoup plus faible que le droit, paral
marquée que des fléchisseurs. Atrophie considérable des muscles du
bras
et de l'avant- bras. Les jambes jouissent de qu
chisseurs. Atrophie considérable des muscles du bras et de l'avant-
bras
. Les jambes jouissent de quelques mouvements. Ins
s. - M01wements. - Côté droit : presque tous sont conservés dans le
bras
. Mouvements de l'avant-bras sur le bras conserv
tous sont conservés dans le bras. Mouvements de l'avant-bras sur le
bras
conservés, sauf ceux de supination et de pronat
ment paralysé, n'est pas du tout atrophié, ainsi que les muscles du
bras
. Les muscles épitrochléens sont bien plus atrop
éraux : contractilité conservée. 21 février. - Amélioration dans le
bras
gauche, quelques mouve- ments dans le deltoïde.
e immobile. Extenseurs des doigts paralysés. OEdème de lamain et du
bras
gauche. Chaleur plus grande à gauche. Différenc
eux éléments) pendant quatorze heures (courants descendants) sur le
bras
gauche, élévation de la température et aug- men
plus et l'équilibre s'établit. - Les progrès dans les mouvements du
bras
gauche continuent, et les deux bras sont mainte
progrès dans les mouvements du bras gauche continuent, et les deux
bras
sont maintenant dans le même état. L'attitude v
aiffe, trois éléments, tube enfoncé). Les muscles de l'épaule et du
bras
gauche, qui ont repris un volume presque normal
mière fois depuis la maladie. Septembre, -Muscles de l'épaule, du
bras
et de l'avant-bras aussi volumineux qu'avant la
ui en résultent semblent plus marquées à la main gauche. A l'avant-
bras
, les muscles répondent bien à l'excitation faradi
est peu près* égale. Il y a toujours une sensation de froid dans le
bras
droit bien que la température y soit normale. La
janvier. - La malade se plaint d'une douleur très violente dans le
bras
droit. En faisant mouvoir l'articulation scapulo-
nté aux pieds et aux mains. Les muscles du tronc, des jambes et des
bras
sont toujours indemnes. La malade vaque comme a
nce plus ferme qu'à l'état normal. , Bien qu'à l'avant-bras et au
bras
les muscles paraissent un peu atrophiés, ils ne
n a prélevé pour cet examen : le nerf médian à la partie moyenne du
bras
, supérieure, moyenne et infé- rieure de l'avant
ant bien aux mouvements de flexion et d'extension de la jambe et du
bras
qu'on cherche à produire, les mains serrent ave
n mieux perçue; à partir de la moitié supérieure de la cuisse et du
bras
la douleur qu'elle occasionne est vive sans être
débuté. Puis des fourmillements apparurent dans la jambe et dans le
bras
. Les troubles parétiques augmentèrent gra- duel
ar la chaleur, couverts de sueur, ils sont obligés de travailler en
bras
de chemise et même en maillot. Plusieurs fois I
rrière, les yeux sont convulsés en haut, la bouche est ouverte. Les
bras
s'agitent, et n'était les mains trop ouvertes,
ant quelques jours de la faiblesse et de l'apathie, avec parésie du
bras
gauche telle qu'elle ne pouvait plus tricoter.
, il avale plus facilement, quand soudain se déclare une parésie du
bras
droit; les muscles de la respiration se prennen
front du côté droit, sans commotion cérébrale, et des fractures des
bras
. En juillet 1889, M. X... prenait part aux trav
out à la pointe, l'émis- sion fréquente des urines, la faiblesse du
bras
droit principalement dans les mouvements d'exte
ns et des pieds. Lorsqu'il s'agira d'étu- dier un membre entier, le
bras
, la cuisse par exemple, ou une partie plus épai
'on lui en donnait, la malade parvenait à sou- lever légèrement ses
bras
, grâce à l'action des muscles trapèzes. Partout
apparaissaient des douleurs fulgurantes le long du bord cubital du
bras
et de l'avant-bras. De temps en temps la malade
que toujours de sensations douloureuses le long du bord cub,ital du
bras
et de l'avant-bras, de constriction thoracique,
droit an- térieurement. Aujourd'hui, en effet, il-ne peut tenir à
bras
tendus avec le bras droit, une chaise légère qu
ment. Aujourd'hui, en effet, il-ne peut tenir à bras tendus avec le
bras
droit, une chaise légère que 2 minutes au plus,
es muscles et les avant-bras do notre malade et, on constate que le
bras
droit est atteint d'mnyot/'ophie. Le malade n'a j
il a remarqué que ses hras diminuaient, tous les doux ensemble, le
bras
droit un peu plus pointant que le gauche. On re
e thenar droite est moins volumineuse que celle de gauche. L'avant-
bras
droit est aussi diminué. - On remarque un mépla
ne une différence de 1 centimètre il 1 cm. 1/2 en plus on faveur du
bras
gauche. Ses bras sont sensiblement pa- reils. D
de 1 centimètre il 1 cm. 1/2 en plus on faveur du bras gauche. Ses
bras
sont sensiblement pa- reils. Donc il y a évidem
taire (Maladie de TlioLtiseù).- '. Fis. 7. Hémichorée hystérique (
Bras
). Fiq. 8. Paralysie agitante (Pied et' main).
là, immobile, s'appuyant de la main droite sur sa longue lance, le
bras
gauche sur l'épaule du petit Iule, tout en larmes
LLE ]CONOGKAPmE DE LA SALPÊTRIÈRE doute, lance en main, bouclier au
bras
, casque sur la tête, retournent au combat. A
le recon- duire chez lui : il partit « pied; donnant simplement le
bras
à un de ses compagnons; 'tout à coup; dans la r
urs paraissent exclus de la paraplégie ; le ma- lade remue les deux
bras
et peut tendre la main droite. Cependant t on
ulaire est plus accen- tuée dans le hras gauche : il ré- siste du
bras
droit au mouvement 1 d'extension de l'avant-bra
e du bras droit au mouvement 1 d'extension de l'avant-bras sur le
bras
et peut tenir son verre de la même main ; à gau
eurs : Hémiparaplégie double à limite supérieure dé- nivelée : le
bras
gauche est parésié, le droit indemne. GOMME S
orsale contribue, sans doute, à la motricité de certains muscles du
bras
et nous avons vu qu'il existait chez notre mala
qu'il existait chez notre malade des phénomènes parétiques dans le
bras
gauche ; quant à la 2e paire dorsale, son inner
racine dorsale), correspondent les troubles moteurs plus marqués du
bras
gauche et une anesthésie plus élevée du côté oppo
lement la 2e paire dorsale, se rattachent l'absence de paralysie du
bras
droit (intégrité du plexus) et une zone d'a- ne
che du corps au-dessus de la 1 re paire dorsale zone pG (parésie du
bras
gauche, pa- (1) J. SoTTAs, Bévue de médecine, 1
u corps ; les membres et surtout les extrémités, mains et pieds. Le
bras
, la jambe se laissent en- core traverser par le
ique), et une femme à l'abdomen volumineux qui s'affaisse entre les
bras
d'une compagne. L'autre bas-relief nous montre
endant les yeux ouverts semblent convulsés en haut et en dedans. Le
bras
droit passé derrière le cou de l'aide est dans un
cou de l'aide est dans une atti- tude qui n'a rien d'anormal. Le
bras
gauche au contraire est tout à fait significatif.
ge qui nous intéresse est une femme tombant à la renverse entre les
bras
d'un homme, la tête rejetéë en arrière et à droit
NOGRAPIIIE DE LA SALPÊTRIÈRE \ courte robe qui moule son corps ; le
bras
gauche est levé en l'air, la main tombante, le
son corps ; le bras gauche est levé en l'air, la main tombante, le
bras
droit demi-fléchi. L'attitude générale rappelle
un paysage boisé et montagneux. Le possédé est assis par terre, les
bras
et les jambes garrottés à l'aide de solides arm
s oculaires. Le renversement du corps en arrière est manifeste ; le
bras
droit semble violemment ramené derrière les rei
la composition, une femme soutenue par la taille s'af- faisse, les
bras
écartés, dans une attitude qui n'est pas sans grâ
ées de linges; à droite une femme, assise également, tient dans ses
bras
un jeune enfant. La recherche de .l'effet drama
de la poitrine viennent compléter la ressemblance. Le mouvement des
bras
est fort heureusement disposé pour ajouter en-
ien choisi et s'harmonise heureu- sement avec celui du torse et des
bras
. Cette statue qui, de l'avis des critiques, doi
,d'un geste théâtral vient debriser les chaînes qui lui liaient les
bras
; il a la bouche ouverte et les yeux convulsés en
mbranes. La lésion comprimait également les deux côtés car les deux
bras
étaient paralysés ». Nous rapprocherons du cas
- ralysie des membres supérieurs qui avait débuté subitement. « Les
bras
relevés au-dessus de la tète retombaient inerte
e et aphasie. Cette dernière disparut bientôt, mais la paralysie du
bras
, en particulier, persista pendant une année. De
compa- gnant d'une faiblesse des membres inférieurs avec ataxie des
bras
et des jambes. Pas de troubles de sensibilité.
erculeux et qu'on eût pu penser à un mal de Pott cervical. Mais les
bras
ne furent pas paralysés et ce n'est guère là l'
'enfant-est fort intelligent. Au cours de la 2e année, paralysie du
bras
gauche qui dure six semaines et guérit. t. ' -
émité des doigts un engourdisse- ment qui envahit graduellement les
bras
. A la même époque, phénomènes iden- tiques du c
ebout ni assis, sur son lit. Impossibilité abso- lue de mouvoir les
bras
ou les doigts ; légers mouvements des membres inf
les membres inférieurs dont les mouvements sont plus étendus ; les
bras
restent insensibles. Sa mère dit qu'elle a eu I
des doigts et des niains, mais ne peut mouvoir ni les mains ni les
bras
. 12 novembre. Peut détacher les bras du corps ;
mouvoir ni les mains ni les bras. 12 novembre. Peut détacher les
bras
du corps ; meilleurs mouvements des jambes ; pa
jambes ; paralysie des sphincters. 28 novembre. Peut mouvoir les
bras
librement ; le mouvement est revenu graduelleme
; le mouvement est revenu graduellement ; sensibilité parfaite des
bras
et des jambes ; même état des sphincters. 15
lle; peut s'asseoir sur son lit, mouvoir les doigts, les mains, les
bras
et les jambes dans toutes les directions ; sensib
rès, récidive des symptômes paralytiques qui envahissent d'abord le
bras
gauche, puis la jambe gauche, puis le bras droit
i envahissent d'abord le bras gauche, puis la jambe gauche, puis le
bras
droit et enfin la jambe droite. Sensibilité int
son couteau ou sa fourchette ; très légers fourmillements dalls le
bras
gauche. Cet état reste stationnaire jus- qu'au
er 1892, il essaye de reprendre ses fonctions de comptable mais son
bras
droit toujours envahi par des crampes, ne lui per
ieurs. Il existe encore quelques fourmillements très légers dans le
bras
droit et sur- tout des crampes qui nuisent à la
autres frictions, Marius R... ne ressentait plus de crampes dans le
bras
droit ni d'engourdissement dans les membres infé-
s maux de tête toutefois. Il y avait une faiblesse notable des deux
bras
. Elle eut sa crise annuelle de vomissements vers
Lorsqu'elle en sortit, au bout de 2 heures, elle était paralysée du
bras
*gauche et des membres inférieurs. Il avait un pto
tés. Les membres supérieurs exécutent des mouvements coordonnés. Le
bras
droit donne 24 au dynamomètre. Le bras gauche e
es mouvements coordonnés. Le bras droit donne 24 au dynamomètre. Le
bras
gauche est resté plus faible que le droit (Dyn.
urs spontanées à caractère fulgurant ; quelquefois douleurs dans le
bras
gauche avec engourdissement des doigts. Etat gé
iers jours de février 1896, la malade se plaint de douleurs dans le
bras
gauche. Ces douleurs ont leur point initial au
ont leur point initial au niveau de l'épaule, descendent le long du
bras
et de Pavant-bras, la main s'en- gourdit alors'
es qu'il lui était impossible de marcher ; de même la faiblesse des
bras
était telle qu'elle ne pouvait les lever. La pa
n sont du reste tout fait nettes : ce sont, au cou, aux jambes, aux
bras
, des ci- catrices gaufrées et polycycliques, l'
on, haut de 1 m. 062, portait « deux hommes vigoureux, un de chaque
bras
. et dansait autour de la pièce en les tenant ».
haut de 1 m. 137, souleva un jour « quatre hommes, deux sur chaque
bras
))..7o/<M Grimes, vers la môme époque, fit d
lés. , . Les plis de la peau, distendue par la graisse, donnent aux
bras
l'appa- rence de boudins ficelés, et clans la b
r difforme, debout sur les mar- ches d'un escalier, tenant sous son
bras
droit un panier rempli de poussins (4) Nouvelle
e plus que lui. Il peut, sans se baisser, appuyer son menton sur le
bras
d'un fauteuil. Le nain de'lVlolenaer est surtou
bascule que semble avoir subi l'omoplate droite, et la position du
bras
gauche qui forme un arc- boutant destiné à main
hypothèse d'une figuration de myopathie progressive. La position du
bras
gauche s'explique suffisamment par la nécessité
soit conservée. Les membres supérieurs n'offrent rien d'anormal. Le
bras
droit est pres- que horizontal ; l'avant-bras d
u maintien de l'équilibre du torse sur le bassin. , Le modelé des
bras
, comme celui des jambes, est assez vague.On recon
it jusqu'à quatre pintes de sang, malgré les saignées du pied et du
bras
qu'on lui faisait. Ces vomissements duraient
sses et des jambes, sur les parties latérales du voisinage, sur les
bras
et les avant-bras, on en voit encore les cicatr
crampe générale avec des contorsions effroyables, dans le col, les
bras
, et les jambes. Cet accès passé, la malade restai
quée d'une anasarque qui occupait tout son' corps à l'exception des
bras
; elle a duré deux mois et demi et a cessé vers
ressentait depuis quelque temps ayant augmenté, elle fut saignée au
bras
une fois et ensuite au pied deux fois en quinze j
deux fois en quinze jours. A la première saignée, il se jeta sur le
bras
une enflure, qui fit craindre qu'elle ne restât
état. L'enflure avait reparu, et en se jetant principalement sur les
bras
et sur les mains de la malade, elle lui avait ô
et aussi laborieuses que celles qu'elle a subies. Ses mains et ses
bras
me parurent assez maigres, et marqués de cicatric
« crampe générale avec des contorsions effroyables dans le col. les
bras
et les jambes, le corps s'é- 246 NOUVELLE 1CONO
lade rendit jusqu'à « quatre pintes de sang, malgré les saignées du
bras
et du pied qu'on lui faisait ». Les hémorrhagie
a région antérieure des cuisses, des jambes, sur le visage, sur les
bras
et les avant-bras, causant une très vive cuisso
spèce d' « anasarque qui couvrit tout le corps, à l'ex- ception des
bras
, et dura deux mois et demi ». Selon toute vrais
int encore trois mois après, sans cause, et resta localisée sur les
bras
et sur les mains. Enfin, pour terminer, il nous
t les mouvements articulaires, entravent surtout l'extension. Aux
bras
: le biceps semble être le seul muscle qui tient
téraux). Pour une même excitation- la contraction est plus forte au
bras
droit qu'au bras gauche. Pas de lenteur de co
même excitation- la contraction est plus forte au bras droit qu'au
bras
gauche. Pas de lenteur de contraction ni d'inve
tre séparées de celles où l'intervention chirurgicale a lieu sur le
bras
; ces dernières, en effet, ont souvent trait à
epensé unevieille femme,coiffée d'un feutre in- forme, un panier au
bras
, les mains cachées sous son tablier, et qui regar
de était dans l'impossibilité de clore les paupières, de remuer les
bras
et les jambes ; elle avait des crampes dans les
lle ne pouvait plus marcher. Elle se plaignait de douleurs dans les
bras
et dans les membres inférieurs. La pression des
Signé). « Un paysan, tourné à droite, est assis sur un escabeau, le
bras
droit et l'épaule d1'lrite nus. Devant lui, sur
incipal. « Dans le fond, un paysan entre dans la pièce, portant son
bras
droit en écharpe. « A droite, un tonneau et d
85, aggravation considérable des troubles moteurs aux jambes et aux
bras
. Il en arrive à marcher très difficilement, les j
ucoup moins exagéré toutefois que celui des membres inférieurs ; le
bras
mesure 27 cen- timètres de circonférence sa par
tre personne. La même gêne se retrouve pour tous les mouvements des
bras
ou des mains que le malade veut accomplir, aprè
nt assez intense (courant stabile) à travers un membre tout entier (
bras
, cuisse, jambe) on produit facile- ment l'appar
certain an- gle. L'avant-bras étant plié jusqu'au même degré sur le
bras
, on place le coude dans la gouttière et on réun
a une hémi-anesthésie farado- cutanée de tout le côté gauche (face,
bras
, jambe) : quand on lui faradise la peau av ec l
e deux fois par seconde, sa tête était en mouvement constant el ses
bras
étaient agités de mouvements choréiformes. L'
taches congestives, petites et de forme irrégulière apparurent aux
bras
et il la jambe gauche. L'appareil digestif ne p
ar Greidenberg (4), Blocq et Blin ; le malade de Greidenberg eut le
bras
droit atteint à huit ans, le bras gauche à quat
; le malade de Greidenberg eut le bras droit atteint à huit ans, le
bras
gauche à quatorze ans. Dans le cas de Blocq et Bl
maître M. le professeur Charcot, les mouvements limités d'abord au
bras
gauche (quatre ans) passant au bras droit quatre
s mouvements limités d'abord au bras gauche (quatre ans) passant au
bras
droit quatre ans plus tard (sept ans) et n'enva
ignet. De temps en temps quel- ques secousses de l'avant-bras et du
bras
. Les épaules se lèvent et s'abaissent et le tro
t sur ses genoux. ' Marche. Très particulière, il écarte un peu les
bras
du corps, les étend en avant, les genoux légère
tent à l'ordinaire augmentent d'intensité, le corps se tortille, le
bras
fait de grandes oscillations, les mouvements at
me par exemple pour pren- dre un objet et le porter à sa houche, le
bras
est animé de petits mouvements involontaires, i
approchant au but des mouvements de tout le corps. Le mouvement du
bras
lui-même est lent comme s'il était obligé de va
al antérieur et postérieur, les deux radiaux. Les avant-bras et les
bras
et quelquefois môme la racine du membre su- pér
ronation el de supination. Un des malades de Mas- salongo avait les
bras
tantôt rapprochés, tantôt écartés du thorax. Chez
exécuter un mouvement avec d'autres parties du corps (élévation des
bras
par exemple). (1) Iluet, De la chorée chronique
par exemple, le malade penche le tronc en avant, étend fortement les
bras
(1) Warner, l3ritis)z /IIpd.j01ll'/lal, sept. 1
et Huet, de Déjerine. « Ici on a noté un peu de rigidité clans les
bras
et avant-bras, là s'observe un spasme passager
mes. Le type le plus commun c'est la flexion de l'avant-bras sur le
bras
. Réflexes. La rigidité dont nous venons de parl
ont fléchies sur le bassin, les jambes écartées ; en même temps les
bras
sont habituellement accolés spasmodi- quement c
t raide, peul cependant s'asseoir. Une fois dans cette position les
bras
sont accolés au tronc, les avant-bras fléchis,
s en extension ou abduction ou encore adduction. Les mouvements des
bras
et des avant-bras ont très peu d'étendue. Qua
sa chaise, la malade penche le tronc en avant, étend fortement les
bras
dans la même direction, les cuisses rappro- ché
sses sont à peu près normales : les jambes sont plutôt courtes. Les
bras
assez forts. M. P. Richer, chef de laboratoire
té de l'hypertrophie des muscles de la région cervicale et des deux
bras
. Oulmont el Seeligmuller ont prétendu que l'on ne
es supérieurs. Quand le malade est au repos, assis par exemple, les
bras
sont accollés au tronc, les mains se joignent pou
de déformation nulle part. On sent un certain degré de raideur des
bras
quand on veut les écarter ou les étendre. Les m
is pu marcher tout seul, mais il peut marcher si on le tient par le
bras
, alors tout le corps se raidit, les cuisses se
lus bizarres et les plus variées, les extrémités et le tronc. Les
bras
sont habituellement dans l'abduction ; les avant-
st le t) pe ell flexion, dans lequel l'avant-bras est fléchi sur le
bras
; on a aussi constaté à l'état permanent l'exte
ner un coup de poing, tous les muscles qui produisent l'extension du
bras
, de t'avant-bras, etc. se contractent brusqueme
des muscles mis en jeu se soit produite pour pouvoir ra- mener son
bras
dans une position autre que celle provoquée par l
maladie aigué. Début. Il y a 6 ou 7 ans, sans cause appréciable, le
bras
droit s'affaiblit progressivement et deux ans a
des lèvres. Aux membres supérieurs l'enfant relève brus- quement le
bras
, choque le visage, fait un détour, un grand mouve
de se frapper le front, le visage, la poitrine, etc..., élévation des
bras
comme dans un mouvement de défense, etc. Ils so
gions carpiennes et métacarpiennes des deux mains et sur les avant-
bras
. Voici en quoi consiste cette éruption : sur la p
a déviation que nous venons de décrire. Si le malade se sert de son
bras
sain pour porter des objets, pour travailler, il
ignait les membres inférieurs plus que les supérieurs, frappait les
bras
et les cuisses plus que les avant-bras et les j
t qu'il avait à la suite conservé une raideur assez marquée dans le
bras
du même côté. Quoiqu'il en soit, au moment même d
il donne la main gauche à une fillette qui agite continuellement le
bras
en lui imprimant de grandes secousses. Le malad
long du tronc, l'épaule un peu abaissée, l'avant-bras étendu sur le
bras
, et la main sur l'avant- bras. La main est défo
abaissée, l'avant-bras étendu sur le bras, et la main sur l'avant-
bras
. La main est déformée, les articulations métacarp
. Fig. 2G. - Altitude anormale. Renversement du tronc. Extension du
bras
. (Dessin demi-schématique de M. P. Richer, d'ap
ttre cette rigi- dité que pendant la marche, il fait imprimer à son
bras
un mouvement conti- nuel de balancement. Depu
on ne tarde pas à se convaincre qu'en réalité, en 1888, la main et le
bras
gauches étaient le siège d'une roideur et d'une
torsion du cou sont plus marqués encore- que pendant le repos ; le
bras
reste un peu éloigné du tronc, le coude demi-fl
marquait déjà un certain degré de raideur, dans la main et l'avant-
bras
droits ; au bout de 6 à 8 mois, le tremblement ap
l'on fait passer un courant slahilc à travers un membre entier, le
bras
par exemple, ou un segment de membre, la cuisse
f. C'est dans les fléchisseurs, et dans les biceps humoraux pour le
bras
, les vases internes, externes et droits antérieur
u moulin qu'ils imi- tent, en faisant exécuter dans l'espace à leur
bras
une sorte de mouvement gyratoire analogue à cel
e et un sentiment de faiblesse, de raideur qui prédominent dans les
bras
. Donc c'est une maladie qui survient par accès,
odromes. Les mouvements convulsifs se déclarent dans la tétanie aux
bras
et sur- tout aux doigts, s'étend de là à tous l
ntercalaire, en comprimant les gros troncs artériels et nerveux des
bras
(nerfs médians et les artères brachiales par ex
que lui inspire la scène biblique. Pendant que l'ange Raphaèl, les
bras
levés au ciel dans un geste tradi- tionnel, imp
croit en lui, déplus il a si grand désir de revoir les cieux ! Son
bras
droit étendu semble retenir sa femme que la foi
it trop loin. Disons qu'il peut être mis en mouvement directement à
bras
mais qu'il est beaucoup plus facile d'employer
bres supérieurs, à droite et à gauche, l'avant-bras, le poignet, le
bras
sont de volume et de force normale. Les déformati
tement et salement. La position habituelle des membres supérieurs :
Bras
fléchis et contre le tronc. Pas d'hypertrophie.
e que depuis 3 mois l'enfant rejetait sa tête en arrière et que ses
bras
d'abord et surtout le gauche se tournaient. Som
la tête de côté, et de temps en temps les membres infé- rieurs, les
bras
sont écartés du tronc, les avant-bras demi-fléchi
e la paume de la main et tous les doigts réunis. Circonférence du
bras
à sa racine 16 1/2 c. du pli du coude 15 1/2 c.
A la marche, qui ne peut avoir lieu que si on le maintient sous les
bras
des deux côtés, l'enfant lient sa tête penchée en
émaciés ; les mains sont cyanosées ; raideur de tous les muscles du
bras
et de l'avant-bras ; les bras sont appliqués cont
sées ; raideur de tous les muscles du bras et de l'avant-bras ; les
bras
sont appliqués contre le thorax, les avant-bras
Total, dix faces ou trente longueurs de nez. « L'homme étendant les
bras
esl, de l'exlrémilé de la main droite à l'ex- t
ns le carré, c'est-à-dire considéré comme aussi haut que large, les
bras
étendus en croix, la grande envergure égalant la
voici quelques remar- ques intéressantes. Vers 7 ans la longueur du
bras
jusqu'à l'extrémité de la main égale la hauteur
e la bifurcation (périnée) au-dessus du sol. Avant cette époque, le
bras
est comparativement plus grand ; après, il est mo
l perde connaissance, et son père est forcé de le prendre entre ses
bras
pour le ramener à la maison. Là, il reste quatr
l'hémichorée. L'avant-bras droit était fléchi à angle obtus sur le
bras
au devant du tronc ; le pied droit était consid
os qui est le décubitus dorsal ou latéral droit, le malade fixe son
bras
droit derrière le dos, de manière à l'immobilis
e la contracture permanente des membres du côté droit. En effet, le
bras
droit est étroitement accolé au tronc, en passant
n passant derrière Lui ; l'avant-bras se coude à angle obtus sur le
bras
dans une position également ri- gide et le poig
Mais quand on vient à forcer la contracture des divers segments du
bras
droit, en le séparant brusquement du tronc, il
des doigts de la main droite. Le malade ne tarde pas à ramener son
bras
à l'attitude de repos, afin de supprimer les mo
dants les mouvements des deux côtés. Rien de particulier pour le
bras
gauche. 352 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTR
ses membres inférieurs ne se plient qu'avec peine sur le tronc. Le
bras
droit est toujours immobilisé sous la fesse droit
t la même, c'est-à-dire arythmique, désordonnée à la jambe comme au
bras
; ils s'exagèrent également par les émotions et d
s légères différences : leur nombre est géné- ralement plus fort au
bras
qu'à la jambe, 60 à 80 pour la jambe, 100 à 120 p
ort au bras qu'à la jambe, 60 à 80 pour la jambe, 100 à 120 pour le
bras
à la seconde ; leur amplitude est également plus
bras à la seconde ; leur amplitude est également plus considérable au
bras
qu'à la jambe. Enfin, les orteils du pied droit
us à l'obligeance de M. Dutil, se rapportent l'un aux mouvements du
bras
droit, l'autre aux mou- vements de la jambe dro
es. Le nombre moyen des oscillations est à la minute de 180 pour le
bras
droit, de 120 pour la jambe droite. Ce ne sont
mal à l'os quand on serre vigoureusement le mollet, la cuisse ou le
bras
. La peau est insensible ; le tremblement n'a pas
ore impuissant à se tenir debout, à mar- cher et à se servir de son
bras
droit. Il demande pourtant à se lever et se fait
ura été appelée par le tremblement qui agite ses membres, surtout les
bras
, qui pendent inertes de chaque côté du corps. Q
lade commença à éprouver un poids et un sentiment de froid dans les
bras
; un an plus tard apparaît le tremblement dans
nous la trouvons diminuée dans la moitié gauche de la face, dans le
bras
, le tronc et la jambe du même côté. Nous observ
teurs : Nous commençons par observer un tremblement de la tôle, des
bras
et des extrémités inférieures. Ce tremblement n
qui en premier lieu attirent l'attention. Vous voyez cependant des
bras
bien musclés ; le dynamomètre placé dans la mai
téral droit, la jambe ' gauche demi fléchie, la tête appuyée sur le
bras
relevé et tournée la face en arrière ; les yeux
nt de la main droite élevée un tronçon de lance pendant que l'autre
bras
est abaissé. Derrière lui, à sa gauche, est un va
eut en aucune façon le soulever; le réflexe rotulien est absent. Le
bras
gauche peut exécuter quelques mouvements, mais
agité, pendant une heure environ, par des mouvements convulsifs des
bras
et des jambes. Après cette première crise survi
'impotence porte plus particulièrement sur les muscles de l'a'vant-
bras
, et, alors qu'à gauche le dynamomètre monte à 00,
s, dans la moitié droite du segment supérieur du tronc y compris le
bras
droit. Dans chaque flanc il existe deux zones p
l revient à lui, au bout de ce temps, son entourage constate que le
bras
et la jambe droite sont inertes et contractures
plète ; pendant la deuxième, le malade commence à mouvoir un peu son
bras
et sa jambe; au cours des deux mois suivants la
roisà quatre heures, il ne peut que balbutier le mot « manger ». Le
bras
et la jambe droits sont raides, comme dans la p
elle ses parents et perd connaissance. Lorsqu'il revient à lui, son
bras
droit est contracture en demi-flexion et porté en
« j'étouffe » et se débat violemment. Lorsqu'il revient il lui, le
bras
et la jambe droite sont contracturés, mais cette
que temps après, se produit une grande amélioration; la jambe et le
bras
, jusqu'alors légèrement impotents, redeviennent t
Le côté droit est très notablement moins fort que le côté gauche; le
bras
résiste très peu aux mouvements de flexion forc
la ligne médiane; elle est également plus 1 faible à la face qu'au
bras
, au bras qu'à la jambe. Il existe un bracelet d
médiane; elle est également plus 1 faible à la face qu'au bras, au
bras
qu'à la jambe. Il existe un bracelet d'hypercst
NOTE SUR L'ANATOMIE MORPHOLOGIQUE. 27 torsion des articulations du
bras
droit (articulations douloureuses à la pres- si
attaques quotidiennes. Dans le courant de l'année dernière les deux
bras
sont restés contracturés pendant trois mois.
écartés du thorax, les avant-bras étant légèrement fléchis sur les
bras
; les mains fléchies sur les avant-bras, reposan
PHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. mouvement de flexion de l'avant-bras sur le
bras
persiste encore à un certain degré; or nous sav
t devenue beaucoup plus difficile ; les mouvements des mains et des
bras
plus hésitants; la tête elle-même participait au
rtitude dans les mouvements est à peu près aussi prononcée aux deux
bras
. Pour prendre une cuillère, l'hésitation est enco
ion csl toujours plus marquée il gauche. Lorsqu'on fait étendre les
bras
de la malade, on constate qu'elle ne peut conserv
ulté, sans appui toutefois. Sa démarche est lente et titubante, les
bras
sont écartés du tronc cherchant un appui pour m
assise, on remarque une instabilité générale de tout le corps, les
bras
remuent, de même les jambes, mais ces mouvements
s supérieurs, la direction générale du mouvement persiste, mais les
bras
et les mains sont agités d'oscil- lations latér
xiste une anesthésie complète, suivant ses divers modes, de tout le
bras
gauche se terminant en manchon au niveau et un pe
prendre une épingle posée il plat sur une table, on remarque que le
bras
tout entier qui va exécuter le mouvement est anim
et c'est avec d'assez grandes difficultés, surtout marquées pour le
bras
droit, que l'épingle est saisie. Si. l'on rempl
suite d'une chute. Enfin, si l'on ordonne a la malade de tenir son
bras
étendu et immobile, le membre ne tarde pas à êt
vements de ces membres sont revenus aussi bien à l'avant-bras qu'au
bras
et à l'épaule, les masses musculaires se sont d
ol qu'elle croyait rencontrer, elle sent le vide sous elle, étend les
bras
ponr se retenir au chambranle de la porte, se j
e dans la flexion sur le bassin et dans l'adduction. S'il s'agit du
bras
, la main est fléchie sur le poignet, et les doigt
Le coude est en état de flexion. Enfin l'épaule est aplatie, et le
bras
collé contre le tronc, dans les contractures de
servé une grande faiblesse de la jambe gauche qui est atrophiée; le
bras
gauche serait resté indemne. La plus jeune soeu
s attaques, et principalement le matin. Elles pré- dominent dans le
bras
gauche. Dix minutes avant l'accès, elles devien-
che 35. On voit sur la moitié droite du cou et du thorax, et sur le
bras
droit, des taches d'un jaune brun, de dimension
existe une anesthésie complète suivant ses divers modes de tout le
bras
gauche, se terminant en manchon au niveau et un p
fé- rieur gauche est hypoesthésiclue. Le côté droit, y compris le
bras
, cst hypocsthésic]ue au-dessous de la ligne mam
essous de la ligne mammaire indiquée. En arrière, hémianeslhésie,
bras
y compris, intéressant tout le côté droit ci de
rieur à partir du pli fessier, le seg- ment supérieur, y compris le
bras
, possédant sa sensibilité normale. La sensibili
s. Pas la moindre recherche dans l'arrangement de cette figure; les
bras
reposent inertes, ramenés sur le devant du corps,
te sur ses épaules un enfant qui lève au-dessus de sa tête ses deux
bras
atrophiés, terminés par des mains difformes. Le
Enfin, on peut distinguer dans le haut de la fresque, à droite, un
bras
levé qui appartient à un individu dont on ne voit
massage chaque jour. 1" juillet. - La malade sort dans le jardin au
bras
d'une infirmière. Du le'juillet au '1er août, g
1885, la malade éprouve des douleurs extrêmement violentes dans les
bras
, les jambes et la région dorso-lombaire. En même
le ne peut se lenir seule debout ; mais, si on la soutient sous les
bras
, elle peut faire 152 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE L
ourbé en avant; le regard est fixé invariablement sur les pieds. Le
bras
droit est écarté du tronc : il est armé d'une can
. d. = 20) ; 8° extenseurs des doigts ; 9° fléchisseurs de l'avant-
bras
. Les masses musculaires ne sont nulle part atroph
Il est inquiet, paraît agité : il remue conti- nuellement soit ses
bras
, ses jambes, ses pieds. Ces mouvements, qui n'ont
rticulière. On peut dire que, presque partout, aux jambes comme aux
bras
, la sensibilité est émoussée, notamment aux jam
e s'accompagne d'une large ouverture de la bouche. Quelquefois, les
bras
s'élèvent et s'étendent, c'est ce qui cons- tit
comment s'est présenté celui qui a eu lieu devant nous. Il lève le
bras
droit, semble tirer des fils de sa main gauche
a main gauche qu'il regarde fixement, a quelques tremble- ments des
bras
, et tombe en se tournant vers la droite sans pous
onférence du poignet au-dessous des extrémités osseuses de l'avant-
bras
, 20 centimètres. La main gauche présente une hy
aspect ansérin dans certains points (sur- tout face postérieure des
bras
et ceinture), sèche et cependant un peu grasse,1
perdre l'équilibre, et on est obligé de le soutenir un peu sous les
bras
. Outre celte' forme particulière de la courbure
ques, té 'laniformes : elles furent incomplètes, mais cependant les
bras
s'étendirent, se tordirent en dehors, en même tem
nt du père et l'incertitude de l'aveugle. Les jambes courent et les
bras
tendus en avant hésitent. L'aveugle dans sa dem
ourants d'air, elle fut prise de douleurs dans la tète, le dos et les
bras
. Il n'y avait ni rougeur, ni gonflement des art
' Plus grande circonférence de l'avant-bras, 27. Circonférence du
bras
, partie moyenne, 29. Longueur du cubitus, 24. .
en moins pour chaque; il en est de même pour les autres mesures du
bras
et de l'avant-bras. La forme de la main est ass
ceps et celle du triceps ne semblent pas diminuées : cepen- dant le
bras
gauche est notablement moins fort que le droit, e
ort que le droit, et la malade dit s'être aperçue elle-même que son
bras
gauche était devenu plus faible. La résistance
plus faible. La résistance des deltoïdes aux mouvements passifs du
bras
est notable- ment affablic; pendant ces tentati
férence de l'avant-bras, 21.2. Circonférence à la partie moyenne du
bras
, 20.2. Le radius et le cubitus ne sont pas nota
du thorax qui d'un mamelon à l'autre mesure 1,330 millimètres. - Le
bras
et la cuisse ne présentent aucune hypertrophie,
lité sont normaux. Il n'y a pas de paralysie; le malade peut remuer
bras
et jambes, cependant les mouvements sont lents
e formait pas de godet. Peu à peu les douleurs remontèrent dans les
bras
et se montrèrent tantôt plus tantôt moins sur t
ne manière très notable; mais, d'après la conviction du malade, les
bras
et les jambes n'auraient éprouvé aucune mo- dif
et les testicules sont certainement atrophiés. Les jambes et les
bras
sont d'une maigreur qui contraste avec le volume
e est très abaissée. L'atrophie des muscles est surtout marquée aux
bras
, aux mollets, et notamment aux éminences thénar
ins de la Vierge portée sur un nuage, pendant que l'enfant Jésus au
bras
de sa mère tourne la tête et sourit aux femmes
ite n'a que les trois doigts du ani9ü Enfin le front, l'abdomen, le
bras
et la jambe gauche sont courants d'une éruption
tat vraiment rudimentaire. Mais, rl 11" la main qui fait suite à ce
bras
, ne voyons-nous pas des lésions osssm&&5
eu sévères de la maladie. Dans l'éruption qui couvre la jambe et le
bras
droîl ne trouvons-nous pas les signes de la syp
barres parallèles (Fig. 1), à marcher, soit en les tenant sous les
bras
ou à la main, soit au charriot. On essaie de le
nvolontaires de la mâchoire inférieure, des tressaillements dans le
bras
droit et dans le côté gauche du corps. La malad
nt disparu; il ne restait plus qu'un peu de difficulté à mouvoir le
bras
gauche et un peu de bégaiement. La dose fut por
redes- cendre à 60 centigrammes. Au bout de huit jours, l'état du
bras
s'était aussi amélioré : il ne restait plus que l
urs après, sous une forme dangereuse, sous celle de spasmes dans le
bras
et dans le pied gauche, légers d'abord, plus vi
er invo- lontairement de droite à gauche, en avant, en arrière ; le
bras
et le pied du côté gauche ne discontinuaient no
ces mouvements con- vulsifs étaient par moments si violents, que le
bras
était sur- tout violemment soulevé, puis retomb
inissaient par se changer en simples tressaillements des muscles du
bras
et du pied du côté souffrant. Ce tressaillement
es ascendantes ; il parut un exanthème miliaire et des furoncles au
bras
et au dos, et la guérison s'ensuivit. Cette obs
il commençait à être suivi. Cet ami vint à lui, le saisit dans ses
bras
, le conduisit avec beaucoup de peine sur une ch
rmonter assez facilement. Cette contraction, pen- dant laquelle les
bras
sont contournés dans la rotation en dedans et l
signes de la sensibilité générale furent un mouvement convulsif du
bras
droit au moment où l'on pinça la peau de ce mem
il, la malade s'est trouvée toute drôle (c'est son expression), son
bras
gauche ne pouvait rien saisir avec précision, t
ents se sont bornés là ; puis la jambe droite a été prise, enfin le
bras
et tout le côté droit ont été agités à leur tour
t puis se mit à courir en tous sens dans mon cabinet en agitant les
bras
, et en poussant un cri inarticulé tout particul
con- tinence d'urine. Autre variété d'accès. Mêmes mouvements des
bras
et de la tête; il se laisse alors tomber de son
de mètres de son lit, dont il enfonce le carreau inférieur avec le
bras
droit; il se fait une plaie transversale de 4 cen
rapique. 9 novembre. - Anthrax de la face postérieure de l'avant-
bras
. 1884. 3 janvier. - On apprend qu'au début de s
on note chez le malade des accès ainsi constitués : tapotement des
bras
et de la tête, chute du banc sur lequel il se t
perte de connaissance, chute et accès avec mouvements cloniques des
bras
. Le deuxième accès eut lieu un mois plus tard.
rnelle, il se mit à courir, ayant sa soeur, âgée de 2 ans, dans les
bras
; sa grand'mère put l'ar- rêter, le coller cont
e, les yeux ouverts, fixes, les pupilles moyen- nement dilatées, le
bras
gauche un peu raide, le bras droit presque soup
es pupilles moyen- nement dilatées, le bras gauche un peu raide, le
bras
droit presque souple ; il se produit ensuite qu
il se produit ensuite quelques mouvements clo- niques dans les deux
bras
, mais surtout dans le gauche. Il rede- vient im
illon. A 10 h. 19, trépidation légère de la jambe gauche, puis du
bras
gauche et enfin du bras droit ; ces trépidations
pidation légère de la jambe gauche, puis du bras gauche et enfin du
bras
droit ; ces trépidations de la jambe gauche ces
dations de la jambe gauche cessent momentanément, et l'agitation du
bras
gau- che s'arrête quelques secondes après celle
itation du bras gau- che s'arrête quelques secondes après celles du
bras
droit ; la jambe gauche est alors reprise de tr
e j'ai, » et à ce moment l'agitation recommence dans la jambe et le
bras
gauches ; la face devient très rouge. - A 10 h.
face est légère- ment congestionnée. Les secousses débutent par le
bras
droit DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. 55 qui par
mbe sans lâcher sa ci- garette, toujours tenue delà main gauche; le
bras
droit est agité de mouvements assez étendus. -
ser. Le corps étant entièrement étendu à terre sur l'ab- domen, les
bras
s'écartent lentement du tronc jusqu'à angle dro
ume à la bouche. Quelques mouvements convulsifs de la tête et des
bras
, qui manquent parfois; grande pâleur, urination i
des membres. Période clonique. - 1° La face se tourne à droite, le
bras
et la jambe correspondant sont animés de convul
s, le malade marchait, en chancelant un peu, se servait bien de ses
bras
, mangeait pro- prement avec la cuiller et la fo
semaines portant exclusivement sur le côté droit et prédominant au
bras
. - Vertiges (deux ans et demi à six ans). - Pre
e d'un bond; il a peur, semble regarder un point fixe en l'air, les
bras
en avant, il va à reculons, comme pour fuir un
veloppées ; les mains et les pieds sont cyanosés, froids. - Sur les
bras
, cica- trices de vaccin ; trois cicatrices sur
ôtés et ne cède pas. Pour le faire avancer il faut le tirer par les
bras
. Attitude. - Corps incliné en avant, les bras u
faut le tirer par les bras. Attitude. - Corps incliné en avant, les
bras
un peu écartés du tronc, les avant-bras à angle
orté que sur le côté gauche. Le jour même, on a constaté que le
bras
gauche était pa- ralysé et que l'enfant remua
pulmo- naire aiguë qui mirent souvent sa vie en danger (saignée du
bras
ou scarification à la tête); c'est à une attaqu
e peut, seul, se soutenir sur les jambes ; s'il marche ou remue les
bras
, il ne peut prendre une direction fixe. La pron
ns le service. 1882.9 ma1'S,- Reyacciné avec succès (une pustule au
bras
droit). 16 août. - Etat actuel. Poids, zip kilo
pour prendre son pain, et les mouvements d'élévation de l'avant-
bras
et d'abaissement de la tête sont alors moins marq
abaissement de la tête sont alors moins marqués que si ! se sert du
bras
droit. 1883. Janvier -.Poids, 49 kilogr. 80.-Ju
position; parfois, cependant, il a des mouvements des doigts et du
bras
droit. C'est ce bras qui est le plus faible - a
ependant, il a des mouvements des doigts et du bras droit. C'est ce
bras
qui est le plus faible - ainsi que la jambe corre
LITÉ. Le malade étant assis a la tête un peu tendue en arrière, les
bras
allongés, mais tenus par les mains appuyées sur
tes pour étudier la préhension et les caractères des mouvements des
bras
dans cet acte. Quand le malade veut saisir un v
la cuiller étant saisie énergiquement, il la porte à la bouche, le
bras
n'étant plus animé que de petites oscilla- DEUX
n plaques. Quand le malade veut se lever de sa chaise, il garde les
bras
allongés, les mains restent en contact, il penc
n peu en arrière et incliné à droite, la tête dans l'extension ; le
bras
droit est accolé au tronc, l'avant-bras très éc
s droit est accolé au tronc, l'avant-bras très écarté et. élevé; le
bras
gauche est également appliqué le long du thorax
. Les convulsions portaient sur les yeux ; on ne peut rien dire des
bras
ni des jambes. Ces convulsions ont duré huit à
ne noisette, à la face postérieure de l'épaule et à la naissance du
bras
gauche ; ils sont indurés, douloureux et un peu
0 novembre. Le malade est arrivé à pouvoir marcher soutenu sous les
bras
ou en allant de lit en lit. 1884. Janvier. -Poi
chis comme dans la rétraction palmaire. Il tend la main gau- che le
bras
fortement tendu, ainsi que l'avant-bras. Quand on
objets voisins dessinent des mouvements très étendus, les avant-
bras
se fléchissent sur les bras, les mains s'abattent
des mouvements très étendus, les avant- bras se fléchissent sur les
bras
, les mains s'abattent, grandes ou- vertes sur l
de la rendre plus précise à quelques égards. Assis, Lem... a les
bras
allongés sur le devant du tronc et tient sa mai
un verre, les membres supérieurs décrivent de grands mouvements. Le
bras
droit s'élève, et la main se porte à la hauteur
et en arrière, le côté gauche se tournant vers l'objet à saisir. Le
bras
gauche s'allonge et Lem... prend, après avoir e
hension de la cuillère exige les mêmes préparatifs : éléva- tion du
bras
droit, inclinaison du tronc, etc.; puis, il saisi
de sa chaise, Lem... penche le tronc en avant, étend fortement les
bras
dans la même direction ; les cuisses sont rappr
malades debout, puis à les faire marcher en les soutenant sous les
bras
, enfin, on perfec- tionne la marche à l'aide du
ens, allonge la langue malgré lui, fléchit et détend violemment les
bras
ou les jambes et souvent glisse de sa chaise. L
l'on me dit : « Si, fais le. » Ma grand'mère me reprit alors par le
bras
(ordre de ma mère). Morphine, en me disant : «
le faire, et mon oncle se levant de table (morphine) me prit par le
bras
et me mit le couteau à la main, en faisant des
rême, disant : « Je veux ma casquette tout de suite, » et levait le
bras
comme pour atteindre sa mère. L'infirmier s'éta
sorte d'exophtalmie; les yeux sortent de la tête; les épaules, les
bras
sont couverts de sueur ; le front ruisselle. L'
ur le foyer et les camarades tenant le danseur pantelant sous les
bras
exposent sa tête au-dessus du foyer. Je pense que
nvolontaires de la mâchoire inférieure, des tressaillements dans le
bras
droit et dans le côté gauche du corps. La malad
nt disparu; il ne restait plus qu'un peu de difficulté à mouvoir le
bras
gauche et un peu de bégaiement. La dose fut por
redes- cendre à 60 centigrammes. Au bout de huit jours, l'état du
bras
s'était aussi amélioré : il ne restait plus que l
urs après, sous une forme dangereuse, sous celle de spasmes dans le
bras
et dans le pied gauche, légers d'abord, plus vi
er invo- lontairement de droite à gauche, en avant, en arrière ; le
bras
et le pied du côté gauche ne discontinuaient no
ces mouvements con- vulsifs étaient par moments si violents, que le
bras
était sur- tout violemment soulevé, puis retomb
inissaient par se changer en simples tressaillements des muscles du
bras
et du pied du côté souffrant. Ce tressaillement
es ascendantes ; il parut un exanthème miliaire et des furoncles au
bras
et au dos, et la guérison s'ensuivit. Cette obs
il commençait à être suivi. Cet ami vint à lui, le saisit dans ses
bras
, le conduisit avec beaucoup de peine sur une ch
rmonter assez facilement. Cette contraction, pen- dant laquelle les
bras
sont contournés dans la rotation en dedans et l
signes de la sensibilité générale furent un mouvement convulsif du
bras
droit au moment où l'on pinça la peau de ce mem
il, la malade s'est trouvée toute drôle (c'est son expression), son
bras
gauche ne pouvait rien saisir avec précision, t
ents se sont bornés là ; puis la jambe droite a été prise, enfin le
bras
et tout le côté droit ont été agités à leur tour
t puis se mit à courir en tous sens dans mon cabinet en agitant les
bras
, et en poussant un cri inarticulé tout particul
85, apparition soudaine et sans cau<e connue de douleurs dans le
bras
droit; gonflement du dos de la main et des doig
ouleurs surtout la nuit, avec chaleur et sécré- tion sudoralesur le
bras
et dans la paume de la main; ces douleurs duren
u dos de la main droite près de l'articulation du poignet. Usage du
bras
ab- solument conservé. La malade faisait la cui
ainsi qu'on s'aperçut qu'elle présentait une anesthésie complète du
bras
droit. Soignée sans succès. Etat actuel (avril
lligente. Etat psychique normal. - 1 part les troubles observées au
bras
droit, rien d'anormal dans les autces parties d
es et réactions élec- triques ne présentant rien de pathologique.
Bras
droit. Rien de particulier à la palpation. Douleu
es doigts. L'anesthésie occupe la face antérieure et postérieure du
bras
, l'épaule et toute la région de l'omoplate, sau
erme les yeux de la ma- lade, elle perd complètement l'usage de son
bras
et ne sait plus le trouver. Au contraire, elle
plexus brachial, Ross a montré que l'anesthésie n'intéresse pas le
bras
tout entier, mais seulement la main et l'avant-br
es de la motilité. Ainsi, dans le cas d'anesthésie alterne, l'autre
bras
ne serait pas épargné; il y aurait paralysie mo
dans un point où les nerfs sensitifs, sécrétoires et tiophiques du
bras
droit sont réunis, sans qu'ils se mélangent aux
bien fixé sur leurs allures cliniques. Les monoplégies complètes du
bras
et de l'avant- bras sont assez fréquentes : il
lures cliniques. Les monoplégies complètes du bras et de l'avant-
bras
sont assez fréquentes : il semble même que ce 1
elle remarqua qu'elle éprouvait une certaine difficulté à remuer le
bras
droit, lequel était d'autre part, animé de cert
sivement sur la main et sur le poignet. Les muscles de l'épaule, du
bras
et de l'avant-bras ont conservé leur force. La
le vert. Application de courants continus de la nuque à l'avant-
bras
; disparition rapide de la paralysie et de l'anes
DU MEMBRE SUPÉRIEUR. 185 suite l'impotence fonctionnelle de tout le
bras
, avec des mouvements choréiformes, et la paraly
euf ans, gar- çon de cuisine, raconte que, traînant une charrette à
bras
, il a été heurté par une voiture de blanchisseu
(1% 'g. 14.) On applique le jour de l'entrée un aimant auprès du
bras
gauche. Au bout de trois quarts d'heure, la s
Mouvements. - Rien d'anormal dans les mouvements do l'épaule, du
bras
et du coude. Ceux de l'articulation radio- carp
in, on peut enfoncer une épingle assez profondément dans la peau du
bras
sans faire crier la malade qui accuse seulement
sans cause connue, est atteinte d'une impotence fonction- nelle du
bras
droit, sans paralysie motrice véritable, mais a
ans, est prise brusquement en septembre 1885,. de douleurs vives du
bras
droit, qui s'accompagnent de gonflement des tég
euses. Les phénomènes morbides sont exclusivement concentrés sur le
bras
droit. Celui-ci, en apparence, est normal et l'
ume à la bouche. Quelques mouvements convulsifs de la tête et des
bras
, qui manquent parfois; grande pâleur, urination i
ser. Le corps étant entièrement étendu à terre sur l'ab- domen, les
bras
s'écartent lentement du tronc jusqu'à angle dro
a constaté une petite blessure à la tête, ainsi qu'une ecchymose au
bras
droit. Céphalalgies, sur- tout à la région temp
ont fréquemment suivis de violents tremblements, sur- tout dans les
bras
; toujours douleurs dans la jambe droite, quel-
s'efface à nouveau ; raideur, difficulté de mouvoir la jambe et le
bras
droits. Emission mécanique de mots; une demi-he
mouvements qu'on veut leur imposer; la malade s'étire, remue les
bras
, rit, grimace, répète un tas de mots, ne répond p
SABLE. 327 les mains se rapprochent, les doigts s'enchevêtrent, les
bras
s'al- longent et les mains se fixent au-devant
ombre de mouvements de déglutition; puis les mains se séparent, les
bras
s'élèvent au-dessus de la tête, retombent ensui
ronation et en supination ; de nouveau les 328 CLINIQUE NERVEUSE.
bras
s'élèvent au-dessus de la tête, les doigts se pli
ce sont des paraly- sies : si on lui suggère d'être paralysée d'un
bras
, au réveil elle se trouve paralysée de ce bras;
'être paralysée d'un bras, au réveil elle se trouve paralysée de ce
bras
; mais cette paralysie n'est pas simple, elle s'
nt son sommeil, nous lui suggérons d'avoir une paralysie croisée du
bras
droit et de la jambe gauche; la paralysie croisée
mplet, on peut en cessant la com- pression immobiliser le sujet les
bras
en croix; si on rapproche alors l'aimant d'un d
le sujet les bras en croix; si on rapproche alors l'aimant d'un des
bras
, celui-ci se relève contre la tête. HISTOIRE D'
l'ob- tenir ; une seule fois on obtient qu'elle s'endorme avec les
bras
allongés le long du corps, 'au lieu d'être croi
a bien perle de connaissance et contrac- ture généralisée, mais les
bras
sont en croix, le corps est en arc de cercle, d
. Mais dès que celui-ci est pro- duit, elle retombe en attaque, les
bras
en croix. 31. M. Grasset découvre un nouveau po
veil, elle n'exécute pas l'ordre et tombe dans une attaque avec les
bras
en croix. 8. On découvre une nouvelle zone hy
concavité droite, et finalement passe au second type d'attaque, les
bras
en croix. Si alors on comprime le poignet ou to
compression du facial ou du vertex en crise du second type avec les
bras
en croix et l'abolition de la parole. On la ram
ont les mêmes; l'attitude est différente : dans le second type, les
bras
sont en croix et le corps tout entier est en ar
ndant une conversation analogue, vous comprimez une autre partie du
bras
; elle ne s'en- dort pas.Nous concluons donc qu'
ractures : cela a été impossible. Nous avons obtenu qu'elle eût les
bras
le long du corps au lieu de les croiser sur le
e (quel que soit le facial qu'on comprime), et souvent, étend ses
bras
en croix ; en tout cas, on ne peut plus en faire
1882) existait d'abord de la fai- blesse avec contractures dans le
bras
gauche, suivis d'altération de la sensibilité d
ations marquées. Le courant induit dans les muscles et les nerfs du
bras
donne des chiffres égaux pour les deux côtés (u
ne peut, seul, se soutenir sur les jambes; s'il marche ou remue les
bras
, il ne peut prendre une direction fixe. La pron
LLITÉ. 389 1882.3 () m(l1's.- Reracciné avec succès (une pustule au
bras
droit). 16 août. - Etat actuel. Poids, 50 kilog
pour prendre son pain, et les mouvements d'élévation de l'avant-
bras
et d'abaissement de la tête sont alors moins marq
abaissement de la tête sont alors moins marqués que s'il se sert du
bras
droit. 1883. Janvier : : Poids, 49 kilogr. 80.-
position; parfois, cependant, il a des mouvements des doigts et du
bras
droit. C'est ce bras qui est le plus faible - a
ependant, il a des mouvements des doigts et du bras droit. C'est ce
bras
qui est le plus faible - ainsi que la jambe corre
men : Le malade étant assis a la tête un peu tendue en arrière, les
bras
allongés, mais tenus par les mains appuyées sur
tes pour étudier la préhension et les caractères des mouvements des
bras
dans cet acte. Quand le malade veut saisir un v
la cuiller étant saisie énargiquement, il la porte à la bouche, le
bras
n'étant plus animé que de petites oscilla- tion
n plaques. Quand le malade veut se lever de sa chaise, il garde les
bras
allongés, les mains restent en contact, il penc
n peu en arrière et incliné à droite, la tête dans l'extension ; le
bras
droit est accolé au tronc, l'avant-bras très éc
as droit est accolé au tronc, l'avant-bras très écarté et élevé; le
bras
gauche est également appliqué le long du thorax
. Les convulsions portaient sur les yeux ; on ne peut rien dire des
bras
ni des jambes. Ces convulsions ont duré huit à
e ses camarades le maintiennent sous la douche en le tenant par les
bras
. - Il s'est amélioré surtout sous le rapport du
ne noisette, à la face postérieure de l'épaule et à la naissance du
bras
gauche ; ils sont indurés, douloureux et un peu
0 novembre. Le malade est arrivé à pouvoir marcher soutenu sous les
bras
ou en allant de lit en lit. 1884. Janvier. Poid
chis comme dans la rétraction palmaire. Il tend la main gau- che le
bras
fortement tendu, ainsi que l'avant-bras. Quand on
objets voisins dessinent des mouvements très étendus, les avant-
bras
se fléchissent sur les bras, les mains s'abattent
des mouvements très étendus, les avant- bras se fléchissent sur les
bras
, les mains s'abattent, grandes ou- vertes sur l
de la rendre plus précise à quelques égards. Assis, Lem... a les
bras
allongés sur le devant du tronc et tient sa mai
IL DE FAITS. - DEUX CAS D'ATHETOSE DOUBLE. de grands mouvements. Le
bras
droit s'élève, et la main se porte à la hauteur
et en arrière, le côté gauche se tournant vers l'objet à saisir. Le
bras
gauche s'allonge et Lem... prend, après avoir e
hension de la cuillère exige les mêmes préparatifs : éléva- tion du
bras
droit, inclinaison du tronc, etc. ; puis, il sais
de sa chaise, Lem... penche le tronc en avant, étend fortement les
bras
dans la même direction ; les cuisses sont rappr
à la main gauche, qui n'était toutefois pas crochue. Les muscles du
bras
et de l'épaule du côté droit étaient a-issi lég
itifs fuga- ces, puis d'une paralysie des muscles de l'épaule et du
bras
cor- respondants (type Duchenne-Erb.). Les réac
t le tiers moyen de la frontale ascen- dante (paralysie complète du
bras
droit), empiétant un peu sur le tiers supérieur
iplégie passagère, rétablissement presque complet des mouvements du
bras
et de la face), mais ayant pro- duit une paraly
omètre. A droite : 22.38. A gauche : 20.28. On constate que les
bras
et les avant-bras sont peu volumineux : il a rema
r une circonférence de 7 centimètres. Six mois après, la main et le
bras
correspondant sont nota- blement hypertrophiés;
; plaçons, par exem- ple, un de ses avant-bras à angle droit sur le
bras
, et accordons-lui à cet instant la sensibilité
e peut concevoir qu'elle ait la moindre notion de l'attitude de son
bras
. Il se pourra qu'elle ait diverses sensations tac
r de ces sensations le moindre renseignement sur la position de son
bras
. Ce n'est que lorsqu'elle aura parcouru un certai
ns non la forme des centres corticaux intéressés, mais celle de nos
bras
ou de nos jambes, et que, lorsqu'on nous marche s
je dis que différentes positions ou des mouvements des doigts, des
bras
, etc., parviennent des articulations à la consc
ate que l'avant-bras est horizontal ou forme un angle droit avec le
bras
..... Les impressions articulaires comme telles ne
ne contiennent absolument rien pouvant nous renseigner au sujet du
bras
, de l'avant-bras, de leur position étendue ou f
part du ré- sultat de son examen à une cliente qui tient entre ses
bras
un jeune enfant et attend, dans l'ombre, anxieu
ient debout, un petit laquais tout vêtu de brun, qui porte sous son
bras
une boîte d'ins- truments et le manteau de son
nde. L'influence de Rubens n'y est pas douteuse. Par l'attitude des
bras
le possédé de l'Ermitage rappelle de très près la
SYRINGOMYÉLIE DU TYPE TRANSVERSAL 75 tre de douleurs vagues dans le
bras
gauche ; ces douleurs correspondent au trajet d
ion et d'extension des doigts et du poignet, de l'avant-bras sur le
bras
et d'abduction et d'adduction du bras sur le th
ignet, de l'avant-bras sur le bras et d'abduction et d'adduction du
bras
sur le thorax. Des mouvements spasmodiques du p
t développés ses membres, il 112 LANNOIS );T POROT répond que ses
bras
sont restés toujours très grêles, tandis que ses
r- vir de ses membres inférieurs et très limité dans l'usage de ses
bras
. L'aspect général traduit cependant une bonne s
ne trouve plus de deltoïde; plus de grand pectoral. Au niveau du
bras
, l'humérus est suivi dans toute sa hauteur sans q
impossibles ; ceux de flexion et d'extension de l'avant-bras sur le
bras
, nuls ; ceux de pronation et de supination sont é
un peu avec son poignet, mais dans l'impossi- bilité de soulever le
bras
, s'aide des mouvements du tronc et de la nuque po
gions qui sont : pour les membres supérieurs la face antérieure des
bras
; pour les membres inférieurs, les pieds, la face
pé- ronier. Muscles. Disparue pour les muscles de l'épaule et du
bras
. A l'avant-bras on n'a que des contractions peu
. ' " . - 130 HENRY MEIGE tient de la main droite, appuyée sur le
bras
du fauteuil, un instrument professionnel, qui s
ur un lit bas, soulevant le haut de son corps en s'appuyant sur son
bras
gauche; le bras droit qui tient un mouchoir est
soulevant le haut de son corps en s'appuyant sur son bras gauche; le
bras
droit qui tient un mouchoir est croisé sur la p
s et contrastent par leur grosseur avec la maigreur du torse et des
bras
. Au coude gauche le malade porte encore un band
ce musculaire est nulle. La sensibilité est normale. Les muscles du
bras
droit, de l'épaule et du tronc présentent un degr
du tronc présentent un degré très net d'atrophie. A la main et au
bras
gauches, l'atrophie est à peine marquée, mais il
les de la main droite. = (main simienne). Atrophie des muscles du
bras
droit et de l'épaule. . Force musculaire = 0.
oitié droite dans la région correspondante à l'origine des nerfs du
bras
. A ce niveau, non seulement les cornes antérieure
descence de ses douleurs pré- cordiales ; elles s'irradient dans le
bras
gauche et affectent le caractère paroxys- tique
rompu par un nouvel accès. Une saignée de 400 grammes, pratiquée au
bras
, et suivie de l'injection sous cutanée de 500 c
jours connu la main gauche plus volumineuse que la main droite. Les
bras
et les avant-bras sont symétriques absolument; le
vation d'accouchement t gémellaire : d'abord la présentation par le
bras
d'un des enfants, puis le retrait spontané de c
tation par le bras d'un des enfants, puis le retrait spontané de ce
bras
, et l'issue de l'autre jumeau avant le premier
r les genoux d'un homme qui enserre fortement sa taille et ses deux
bras
, tandis que deux aides maintiennent chacune une j
les tiraillements s'éten- dent maintenant à tout le côté gauche, au
bras
et à la jambe. Après beau- coup d'alternatives,
e énormément de tout son corps : la tête rem'ue fortement comme les
bras
et les jambes. Ce tremblement est si considérab
phénomènes subconscients, automatisme, etc. Une hystérique dont le
bras
tremble oublie son bras, ne le sent pas trembler,
s, automatisme, etc. Une hystérique dont le bras tremble oublie son
bras
, ne le sent pas trembler, ne s'en préoccupe pas
squ'à l'âge de 16 ans sans remarquer aucune différence entre ses deux
bras
; il est mécanicien de 16 à 18 ans, et, pour ce
est mécanicien de 16 à 18 ans, et, pour ce travail de force, les deux
bras
lui rendent absolument les mêmes services ; il
ne attitude spéciale caractérisée par la rotation et l'adduction du
bras
en dedans ; l'avant-bras et la main se présentent
de repos, et plus mou, moins globuleux dans sa contraction. Les deux
bras
étant en croix, la gouttière qui sépare le bice
Le deltoïde, .le brachial antérieur ainsi que les autres muscles du
bras
paraissent intacts, sans atrophie, ils se contr
ignalée. La force musculaire est sensiblement la même dans les deux
bras
, 90 kilogs à l'épreuve dynamométrique dans le b
me dans les deux bras, 90 kilogs à l'épreuve dynamométrique dans le
bras
droit, et 92 kilogs dans le gauche. La réaction
l'autre appliquée successive- ment sur les muscles de l'épaule, du
bras
et de l'avant-bras des deux côtés, on obtient :
ons musculaires sont brèves et rapides. Le mouvement horizontal des
bras
sans flexion de l'avant-bras s'accompagne d'une
x sous-claviculaire du même côté; dans le mouvement d'élévation des
bras
sur la tête, le bras droit décrit un arc de cercl
u même côté; dans le mouvement d'élévation des bras sur la tête, le
bras
droit décrit un arc de cercle il rayon plus étend
. Quand le malade, les coudes au corps, fléchit l'avant-bras sur le
bras
et veut exécuter dans cette position un mouveme
tue difficilement à droite. Le malade étant debout, s'il élève le
bras
en arrière le long du rachis, le mouvement est
és du coude sont tous possibles ; la flexion de l'avant-bras sur le
bras
est facile, l'extension est complète ; la rotatio
dépig- mentation, mais, sur les parties découvertes et sur les deux
bras
, un grand nombre d'éphélides disposées sous for
iques d'origine névritique n'atteignent généralement les muscles du
bras
qu'après avoir atteint ceux de l'avant- bras ;
alement les muscles du bras qu'après avoir atteint ceux de l'avant-
bras
; or, ces derniers sont intacts dans notre observ
DU MEMBRE SUPÉRIEUR DROIT 225 entraîne une gêne dans l'élévation du
bras
et dans la flexion de l'avant-bras, celle du se
ubles fonctionnels du muscle sous-épineux (adduction et rotation du
bras
en dedans, gêne de l'écriture et d'une foule de
s fonctionnels des muscles élé- vateurs de l'épaule et rotateurs du
bras
occupent, dans cette observation, le premier pl
uble fonctionnel des muscles élévateurs de l'épaule et rotateurs du
bras
répond mieux à l'observation clinique. Les antécé
e mode de début ; il arrive même que « les mouvements convulsifs du
bras
droit » aient été «précédés d'une sorte de cram
R DROll' 227 fonction de l'écriture se sont par la suite étendus au
bras
et à l'épaule, se répétant dans des circonstanc
la main au-dessus de la ligne écrite, et par un autre mouvement du
bras
qui fait tourner la main en dedans sur le bord
table basse que lorsqu'il trace des caractères au tableau noir, le
bras
étant élevé; l'élévation du bras diminue l'amplit
des caractères au tableau noir, le bras étant élevé; l'élévation du
bras
diminue l'amplitude des mouve- ments convulsifs
ur et sur sa paume reflétant les troubles moteurs de l'épaule et du
bras
indépendamment de toute crampe proprement dite
lsif » (1) à l'oc- casion même de l'écriture. Les mouvements de son
bras
sont trop fréquents pour permettre le maintien
vulsif que nous avons décrit : élévation de l'épaule et rotation du
bras
en dedans. Quelles conclusions tirer de ces rem
la con- traction musculaire qui détermine l'attitude de rotation du
bras
en dedans se rapproche de la forme tonique. U
ensuite l'habitude prise par le malade de ne plus se servir de son
bras
droit pour les usages journaliers. Or, on voit
malade, sous l'influence de la volonté, le mouvement de rotation du
bras
en dedans est assez fort pour que L... n'arrive
hez L... chose difficile; dans la position du soldat sans arme, les
bras
le long du corps, l'immobilité de la main droite
pas moins réel. Les progrès sont plus marqués dans la position des
bras
en croix et dans l'élévation des membres supé-
particulier, L... exécute correctement le mouvement d'élévation des
bras
et celui de rotation autour de l'épaule ; il cons
civile,le malade cherchait à corriger les mouvements intempestifs du
bras
en mettant la main dans la poche ou en se serva
mécanique, et sous l'influence du traite- ment, le balancement des
bras
tend à devenir régulier, rythmé ; les trou- ble
cune atrophie musculaire à droite. A gauche, tous les mouvements du
bras
et de la main se font avec aisance. Dans la m
te un phénomène isolé, coïncidant avec l'état normal du corps et du
bras
. Ce n'est pas tout, d'ailleurs. S'il est déjà p
, et on vit apparaître, en quelques jours, une fistule au milieu du
bras
gauche, après amincissement progressif de la peau
supérieurs la différence, quoique moins sensible, est en faveur du
bras
gauche (1). Comme le montrent les planches LVI
ADIPOSE SOUS-CUTANÉE SYMÉTRIQUE ET SEGMENTAIRE 281 postérieure des
bras
, la partie inférieure de l'abdomen, la région lon
ussure : les pieds ne sont pas augmentés de volume. Au tronc et aux
bras
, la tuméfaction n'a pas de limites supérieures bi
x, la présence de masses graisseuses volumineuses (ventre, cuisses,
bras
), appartiennent au contraire à l'affection décr
seulement il fait des efforts pour se lever, il se soulève sur ses
bras
. Ce n'est pas un oubli de la station assise ana
vait « le cerveau torturé, puis le coeur, puis les jambes, puis les
bras
, et même tout le corps ; enfin, vers la mi-carê
hurlements et des imprécations, ou s'il tombait en catalepsie, les
bras
en croix, comme une statue de pierre ; si encore,
également intéressante avec ses doigts écartés et crispés. Quant au
bras
droit, il est en rotation forcée en dedans, mal-
ns bosselures (Voy. pl. LXII, fig. A, b, d). * Les muscles, tant du
bras
que de l'avant-bras et de la main, oul une coul
En 1899, apparition de nouveaux phénomènes douloureux dans l'avant-
bras
. La pression de l'extrémité supérieure de la cica
FiG. E. Coupe longitudinale du bout central du médian au niveau du
bras
. Plusieurs fibres montrent un cylindraxe très n
e de la Salp., 1901, p.503, 362 - MAURICE DIDE La localisation au
bras
est beaucoup moins fréquente ; la face est ra-
ti par les bande- lettes, depuis les aisselles jusqu'aux pieds. Les
bras
sont libres et l'enfant NOUVELLE Iconographie D
lui-ci, soutenu par deux hommes, se renverse en arrière agitant ses
bras
, les yeux convulsés en haut. (1) Nouv. Iconog
Vienne. Elle se débat, soutenue par deux hommes, et levant ses deux
bras
en l'air, les doigts crispés sur la paume, la bou
ruges, parmi d'autres malades et infirmes, figure une possédée, les
bras
écartés, un nuage de fumée sortant de sa bouche
, vue à mi-corps, soutenue par un homme, se débat furieusement. Son
bras
gauche est violemment contor- sionné et la main
s, d'Abraham Bosse... Puis toutes les Opérations sur le dos, sur le
bras
, sur les yeux, les Pédicures, les Arracheurs de
sie, la rupture vasculaire. Hammond publia un cas avec parésie du
bras
, produite par la pendaison. Morton nota une con
s du patient, en formant une sorte de gouttière où reposaient les
bras
du malade suspendu. Lewis Ilickey releva ses pati
sses et la tête vers les genoux, en embrassant les genoux par les
bras
, et rester ainsi courbé de cinq à dix minutes. Po
ficulté à se lever et lorsqu'il veut s'asseoir, il doit s'aider des
bras
, sinon il tomberait en arrière. Il tourne diffi
int au cours d'une grippe d'accidents comateux, puis de parésie des
bras
et des jambes avec abolition des réflexes tendi
ue la chute, qui a porté sur la face antérieure du corps et sur les
bras
a déter- miné une grave commotion, avec allonge
depuis l'âge de dix ans des mouvements spasmodiques choréiformes du
bras
droit. Récemment, un torticolis mental en rotat
corriger le torticolis et améliorer les mouvements choréiformes du
bras
. Quant à l'état mental de la malade, il est res
le persiste; la colonne ver- tébrale est immobilisée en lordose; le
bras
ne peut être élevé au- dessus de l'horizontale,
te malade est atteinte de tics des muscles du cou, de la nuque, des
bras
et des jambes. Ce spasme est intermittent et ne
' gauche, où la thermoanesthésie s'arrête net en coupure à l'avant-
bras
. Les muscles sont très atteints des deux côtés, m
endant SOCIÉTÉS SAVANTES. 89 segmentaire qu'en partie, puisque au
bras
gauche l'anesthésie s'arrête en coup de couteau
chir ou d'étendre les doigts. Les mouvements de l'avant-bras sur le
bras
et ceux de l'épaule étaient conservés. Pas de d
possibles; ceux du poignet très limités, ceux de l'avant-bras et du
bras
normaux. La main est en demi-flexion, sans contra
trisation, le malade peut te boutonner, écrire, porter une chaise à
bras
tendu. Il s'en retourne chez lui guéri. Obser
fête et se saoule. Le lendemain matin, il sent que sa main et son
bras
droits sont moins vigoureux que la veille : qu'il
rges; il donne l'impression d'un homme remarquablement musclé.' Son
bras
droit, pour lequel il vient à la consultation, es
ts,de flexion de la main sur l'avant-bras et de l'avant-bras sur le
bras
sont presque nuls : les mouvements d'extension co
ssion est normale. Lestr... a la notion nette de la position de son
bras
. Son champ visuel est concenlriquement rétréci.
s. Une chose le gênait surtout, c'était la faiblesse extrême de son
bras
gauche. Il n'aurait pu soulever le plus léger f
igoureux, le visage couperosé, les conjonctives injectées, mais les
bras
et les jambes sont remarquablement musclés et d
dénotent une vigueur dont le malade est d'ailleurs très fier. Le
bras
gauche est d'aspect normal, sans la moindre dimin
olume, la peau est normalement colorée, aussi chaude que la peau du
bras
droit. Pas de contractures. Pas de troubles troph
roubles trophiques ni vaso-moteurs. Le malade lève difficilement le
bras
au niveau de la tête; cependant toute douleur a
ieur gauche sont normaux et n'offrent rien à signaler. CI Seul le
bras
droit inquiète notre malade, tant pour les troubl
Pas de dystrophie des ongles. Du... peut porter difficilement le
bras
au-dessus de sa tête; il peut se peigner, mais
ce antérieure de l'avant-bras et diminuée sur la face antérieure du
bras
et de la main. Sur la face postérieure, le dos
- Il y a huit jours, pendant son travail, L... a ressenti dans son
bras
droit une gêne très marquée, une faiblesse croi
core et la démarche alerte. Il est assez vigoureusement musclé. Son
bras
droit n'offre à la vue rien de particulier. Il
iminué de volume, paraissant même notablement plus vigoureux que le
bras
gauche. La peau en est normale. Pas de troubles
er de se produire. Les mouvements de flexion de l'avant-bras sur le
bras
se produisent, mais il suffit de pousser avec l
re de Mathieu ; il fléchit assez vigoureusement l'avant-bras sur le
bras
pour supporter des tractions correspondant envi
le faradisons; au bout de 8 minutes nous cessons car la main et le
bras
ont reconquis leur vigueur entière. Il donne 55
utés lentement sans énergie. Les mouve- ments de l'avant-bras et du
bras
sont normaux. Anesthésie en gant remontant depu
ois même elle a été abso- lument limitée à ces parties extrêmes, le
bras
et l'avant-bras ayant conservé intégralement le
n et remon- tant d'autres fois jusqu'au coude ou jusqu'au milieu du
bras
. Il n'existait, du reste, aucun rapport constan
bosilé au niveau des troisième et quatrième vertèbres dorsales. Les
bras
sont intacts, les jambes parésiées : il existe
ans et a suivi un traitement mercuriel, il a eu un rhuma- tisme au
bras
droit, et est actuellement affecté d'un coryza.
zone motrice : sa partie moyenne, prolongement du centre moteur du
bras
, est le territoire des mou- vements compliqués
déviation de la langue et de la luette, monoplégie et anesthésie du
bras
. La plaie du cerveau est très large, à l'opérat
l'observation d'un homme qui présentait des mouvements associés des
bras
. lien déduit l'origine corticale de la crampe
n peu raide ? Mouve- ments de rotation en dehors de la cuisse et du
bras
+ La peau pique un peu + Crise de contracture d
e la veille, Louis répond qu'il a vu en rêve un bâton gros comme le
bras
le porte plume ; la montre battait comme un rév
le comme du feu, descend dans la tête, sort de la colonne. suit mon
bras
en dedans et fait mouvoir ma main. Sentez l'o
à Marseille, M. Vial me faisait faire l'exercice des jambes et des
bras
et le côté me faisait mal z- On me crie de loin
GRANDE HYSTÉRIE AVEC CRISES PARAXYSTIQUES, ETC. 211 tient dans le
bras
+ Grand soubresaut avec rétraction du bras + To
, ETC. 211 tient dans le bras + Grand soubresaut avec rétraction du
bras
+ Tout est débloqué. · . Dans la journée du 2
ouleur ; maintenant je me tiens bien droit. Sentez la poitrine, les
bras
: le bras droit est encore un peu imbécile + Le c
aintenant je me tiens bien droit. Sentez la poitrine, les bras : le
bras
droit est encore un peu imbécile + Le coude est
est entré depuis dix minutes) J'en suis sûr, il vient de bouger le
bras
. Tout à l'heure, je l'ai vu, il me semblait que
droits, à la jambe et au pied gauches. Les racines des membres, le
bras
comme la cuisse sont normaux; il n'existe aucun
ogressive, à évolution lente vers la démence. Pas de paralysies des
bras
. Nystagmus légère- ment marqué. Incontinence d'
e un rayon de lumière, cela est entré en moi par le sens : « Si ton
bras
te scandalise, coupe-le, et si ton oeil te scan
ressent successivement de la faiblesse avec fourmillements dans le
bras
droit, - de violentes douleurs frontales à gauc
t-bras et aux jambes, encore moins dans les parties inférieures des
bras
et des cuisses, et bien conservée dans la parti
ras et des cuisses, et bien conservée dans la partie supérieure des
bras
et des cuisses. En outre il existe 9 taches au
t des mouvements cloniques du facial gauche et un spasme tonique du
bras
du même côté. ' Ce cas s'ajoute à ceux que nous
lisée. On constate une paralysie faciale gauche et une paralysie du
bras
du même côté. La température monte jusqu'à 39°,
phénomènes de paralysie, notamment de la paralysie de la face et du
bras
du côté gauche, chose assez rare dans les cas d
squement à la renverse et aurait eu de violentes secousses dans les
bras
, les jambes et les muscles de la face ; la pert
de quelques secondes se déclarèrent de violentes secousses dans les
bras
, les jambes et les muscles de la face, pendant
, elle a une seconde attaque, très faible aussi (secousses dans les
bras
pendant environ une demi- minute). Traitement :
e a remarquée depuis deux ou trois jours à la face externe de son
bras
gauche : il s'agit d'une nodosité indolore située
s'était formé à cette place une petite tumeur semblable à celle du
bras
gauche. Cette nouvelle grosseur, du volume d'un
ui ne présente d'ailleurs aucune altération visible. La nodosité au
bras
gauche a presque disparu; la tache correspondan
xième petite nodosité au mollet gauche, semblable à la première. Au
bras
gauche, la tache bleuâtre, qui pâlit peu à peu,
âchoires serrées, écume à la bouche. Puis convulsions cloniques des
bras
et des jambes, mouvements de rotation de la têt
l reste encore une petite tache légèrement verdâtre. L'ecchymose au
bras
gauche, au-dessus de laquelle il existe encore un
ade ressentit subite- ment deux ou trois légères secousses dans les
bras
; peu après, elle fut prise (comme lors de l'ac
issant et sanglotant, elle tourne plusieurs fois sur elle-même, les
bras
et les jambes étendus ; puis elle reste couchée
résenté que par un moignon conique 19 47). , . , . La longueur du
bras
droit (de l'acromion au coude) est de 34 centim
omion au coude) est de 34 centimètres et se trouve égale à celle du
bras
gauche. Quant au moignon qui lui fait suite, il
e est (loc. cil., t. I, p. 248) « carac- térisée par la présence de
bras
ou de cuisses biendéveloppés, terminés par des
tation des malforma- tions. Simpson cite le cas d'un foetus dans le
bras
fut amputé par un repli membraneux, dans l'utér
ce, on voyait sur le moignon résultant de cette section complète du
bras
, trois tronçons ou mieux trois bourgeons, qui i
ou mieux trois bourgeons, qui indiquaient la tendance des tissus du
bras
à repousser. On trouve à ce sujet une précieuse
e et s'était réveillée avec une sensation d'engourdissement dans le
bras
, mais sans troubles moteurs. Elle avait redouté
De la fonction vicariante des muscles insérés sur les con- dyles du
bras
, dans la paralysie complète des fléchisseurs prop
épitrochlée), l'avant-bras se peut fléchir très passablement sur le
bras
. Les muscles biceps, deltoïde, brachial antérie
r, court supinateur, sus-épineux et sous-épineux sont paralysés. Le
bras
reste tourné en dedans et étendu ; le malade ne p
st en supination, il lui est impossible de le faire fléchir vers le
bras
, la supination de l'avant-bras est d'ailleurs i
n électrique des muscles paralysés. Fléchit- on l'avant-bras sur le
bras
, et prie-t-on le patient de ré- sister à l'exte
t à l'épitrochlée, auxiliaires de la flexion de l'avant-bras sur le
bras
. J'en ai vu la preuve chez des sujets dont le b
paniers remplis de charbon ; pour les y maintenir, il se servait du
bras
droit ramené par-dessus la tête, la main gauche
ce travail depuis deux ans quand, tout à coup, il ressentit dans le
bras
droit de vives douleurs qui le forcèrent à le s
uspendre quatre à cinq jours. Il le reprit, mais il remarqua que le
bras
droit perdait sa force : il diminua de volume g
nts est considérable : elle donne une configuration particulière au
bras
(figure). Et cependant les mou- vements de l'ar
e long supi- nateur compenser les fonctions motrices restreintes du
bras
. Le malade fléchit, quoique faiblement, son bra
ces restreintes du bras. Le malade fléchit, quoique faiblement, son
bras
, et, dans cet état, il le met en supination et
énient qu'une fatigue rapide. Il peut même fléchir en supination le
bras
étendu, bien que péniblement. Quelques troubles
seulement sur les muscles affectés, mais encore sur des muscles des
bras
qui ne sont pas atteints de trouble moteur myot
e dimension, réagissant convenablement à la lumière. Mouvements des
bras
et vigueur des mains parfaits, pouls normal auc
eltoïde et au biceps indique un réflexe périostique. L'adduction du
bras
, associée à une faible rotation en dehors, sera
ales du grand dorsal. Eh bien, lorsqu'on frappe là, le mouvement du
bras
(adduction avec rotation en dehors) est sim- pl
re les faisceaux musculaires en train de se contracter tant vers le
bras
que vers la colonne vertébrale. Si l'on frappe
e des muscles du tronc et des extrémités, sur- tout de l'épaule, du
bras
, de la cuisse et de la jambe. Certains muscles,
ance. Puis, violentes douleurs de tête, vomissements, hémiplégie du
bras
et de la jambe, issue mortelle dans le coma ave
ntagoniste de celle des muscles atrophiés; la faiblesse relative du
bras
droit tient en somme à une atrophie par inactio
on, le patient se servant depuis longtemps presque exclusivement,du
bras
gauche et de la main gauche, Incurabilité. , .
culaire) est un spasme de plusieurs muscles de la face, du cou, des
bras
, et des membres inférieurs. ainsi que du tronc
oniques qui ont atteint d'abord les muscles du côté droit du corps (
bras
et jambe), puis se sont propagés aux muscles co
ours des symptômes relevant d'une lésion des nerfs crâniens, et les
bras
sont atteints aussi bien que les jambes. Il est
t on lui a placé les mains au-dessus de la tête. Au réveil les deux
bras
étaient paralysés : il ne subsistait qu'un très
istait qu'un très léger mouvement des doigts de la main droite. Les
bras
et les avant-bras étaient anesthésiés. La guéri
conclut que dans l'anesthésie chirurgicale, il faut surveiller les
bras
et ne jamais les laisser pendre sur le bord de la
viter toutes les compressions ; enfin il faut éviter de laisser les
bras
pendant plus de quelques minutes dans la même p
, et sur une surface équivalente en arrière : les deux épaules, les
bras
et les mains sont compris dans la zone anesthés
ion réciproque des mono et polynucléaires. Paralysie infantile d'un
bras
avec topographie radiculaire supérieure de la p
atteinte à un an de paralysie infantile avec lésions limitées au
bras
droit et affectant la même topographie que les lé
des membres supérieurs. Le second, également, remue la tète et les
bras
, mais le tronc et les membres supérieurs sont a
xe cérébro-spinal se mêleraient aux fibres du tiers pos- térieur du
bras
postérieur de la capsule interne, pour gagner e
se aggravante. Un autre malade à la suite d'un phleg- mon diffus du
bras
eut une névrite ascendante suivie. de syrin- go
sur 11-1 Dulac et lui en porta deux coups, l'un au sein, l'autre au
bras
droit. La pauvre femme tomba, baignant dans son
De la fonction vicariante des muscles insérés sur les condyles du
bras
dans la - complète des fléchis- seurs propres
Voir Hallucinations de l'ouïe. infantile. Voir Mé- ningile ? d'un
bras
, par Dupré et lluet, p. 420. - guérie par la
viation conjuguée de la tête et des yeux sans aucune convulsion des
bras
. La tête se déviait vers la gauche par petites
qui présen- taient en même temps du nystagmus. Pendant la crise le
bras
gauche ne bougeait pas et la malade gardait son
bras gauche ne bougeait pas et la malade gardait son enfant sur ce
bras
. Elle levait volontairement le bras droit pour
alade gardait son enfant sur ce bras. Elle levait volontairement le
bras
droit pour se frotter le front et les yeux, ce qu
rquant le parcours des sinus cérébraux. Radiographie des membres. -
Bras
gauche : Nous n'avons plus à insister ici sur l
ns la formation réticulée le trajet de la partie la plus extrême du
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur (fin. 21).
, t. IV, 1899. LÉGENDE DES FIGURES Aq, aqueduc de Sylvius. 13 Qa,
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur. - BrQp, br
e Sylvius. 13 Qa, bras du tubercule quadrijumeau antérieur. - BrQp,
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur. Ca, cordon
l'oisiveté, il dépensait toute son activité à se piquer la peau des
bras
et du.visage avec des épingles ou des cailloux ai
roix). En 1910, on le trouve un jour occupé à se piquer la peau des
bras
avec un faisceau d'épingles assemblées comme pour
du Trésor des Etats-Unis. Symptômes Elle ne peut se servitude son
bras
droit, car chaque mouve- ment fait tourner la t
n couteau à table sans tourner la tête. Il s'ensuit une rigidité du
bras
et de la tête par suite de l'effort de corriger l
sychologique, se produit pour n'importe quel usage de la main ou du
bras
. Ce qui cause la douleur c'est l'action des mus
on était légère et elles n'affectaient que le corps, la tête et les
bras
, mais non les mains. Ce tremblement n'empêchait p
r la lecture à haute voix, ou même lorsque je fai- sais étendre les
bras
dans toute la longueur, et regarder ,il distance.
un but déterminé et il commença à faire des mouvements libres avec le
bras
en se servant de craie sur un tableau noir sans
cas t'anesthésie reste limilée pour longtemps aux avant-bras ou aux
bras
, aux jambes ou aux cuisses, aux membranes mu- q
inement un bon exem- plaire d'insuffisance labyrintliique, prend le
bras
d'une autre personne et mieux encore, si les de
e passe aux membres supérieurs : d'abord aux mains, puis aux avant-
bras
, et quelquefois aux bras. Le début par les memb
ieurs : d'abord aux mains, puis aux avant- bras, et quelquefois aux
bras
. Le début par les membres inférieurs, pour fréq
moitié inférieure alors que leur moitié supérieure est indemne. Les
bras
sont intacts. Le second de nos malades, S... (â
léchisseurs. Les avant-bras sont atrophiés dans leur ensemble ; les
bras
eux mêmes sont atteints, au moins dans leurs de
exion et d'extension du poignet se fout mais avec peu d'énergie. Au
bras
, la force est, au contraire, d'apparence normal
lexion et d'extension de Pavant-bras, d'adduction et d'abduction du
bras
. Chez S...', la force musculaire est diminuée au
S...', la force musculaire est diminuée au niveau des mus- clea du
bras
, très diminuée au niveau des muscles de Pavant-br
autres. Au contraire, à la racine des membres (hanches, épaules et
bras
) les réaclions musculaires sont normales. Autreme
sente une dégé- nérescence bien localisée du tiers inférieur de son
bras
postérieur. On note également une légère dégéné
ld, ainsi que le segment sous-lénticulaire et le tiers inférieur du
bras
postérieur de la capsule interne. La dégénérescen
origine du lobe frontal se rendent au noyau rouge en passant par le
bras
antérieur de la capsule interne et par la régio
égion operculo- cenlrale se rendent au noyau rouge en traversant le
bras
posiétieui, de la capsule interne elle champ af
aberrantes. Elle siège de haut eu bas (PL XLII). 1° Au niveau du
bras
, sur le bord postéro interne jusqu'à une distance
vésicules siège sur la face postérieure de la moitié supérieure du
bras
. L'éruption occupe, eu outre, toute la face, post
bras. L'éruption occupe, eu outre, toute la face, posté- rieure du
bras
sur une hauteur de 8 centimètres, comptés à parti
li du coude et de 4 centimètres au-dessous. 3° Au niveau de l'avant
bras
, elle siège avant tout sur la face postérieure,
que péniblement à mettre la main sur la tête, et ne peut élever son
bras
à la verticale. Il existe dans l'articulation de
e d'une résistance difficile à vaincre. Ou n'arrive pas à mettre le
bras
dans la position verticale. Les mouvements de l
nuée à gauche pour les mouvements de flexion de l'avant-bras sur le
bras
, d'abduction du bras mais non d'adduction. Elle
s mouvements de flexion de l'avant-bras sur le bras, d'abduction du
bras
mais non d'adduction. Elle est très diminuée po
ion. Elle est très diminuée pour l'extension de l'avant-bras sur le
bras
, pour la flexion et l'extension du poignet ; tr
table mais une zone d'hypoalgésie occupant : la face postérieure du
bras
et de l'avant-bras, la face antérieure de l'ava
de l'avant-bras, toute la main et les doigts. La face antérieure du
bras
semble sentir la piqûre aussi bien que du côté
de grandes douleurs, simplement de la pesanteur, de la lourdeur du
bras
. Le prurit persiste. Sensibilité objective :
tous les modes. Il semble bien cependant que la face antérieure du
bras
gauche soit moins sen- sible à la piqûre que la
gauche soit moins sen- sible à la piqûre que la face antérieure du
bras
droit sauf sur le bord interne. Réflexes : Même
c'est-à-dire que le sujet, indépendamment de sa volonté, élève son
bras
. J'ai constaté le môme fait, quoique moins marqué
Quand il est assis, le dos est courbé, le corps est soutenu par les
bras
, les coudes reposant sur la table. Même abandon
lément, il les lève toutes . les deux il la fois. simultanément les
bras
sont mis en abduction. ' Si nous prions le mala
ras sont mis en abduction. ' Si nous prions le malade de relever le
bras
en abduction, au lieu de faire ce - mouvement d
ieu de faire ce - mouvement dans la position d'extension, il met le
bras
en flexion. Puis il exécute . un mouvement d'ab
tout de suite est arrêté. En palpant les mu's- - clés adducteurs du
bras
, nous remarquons que chaque nouvel effort se heur
cles. Le même phénomène est constaté quand^le malade veut mettre le
bras
en extension : c'est encore la contraction des an
ion demandée est obtenue, il n'éprouve aucune difficulté à tenir le
bras
pendant quelque temps dans cette position. Voye
e le trouble est moins prononcé, le malade est capable de porter le
bras
au-dessus du plan horizontal ; mais, comme du côt
du côté droit, le relâchement "des adducteurs est défectueux et le
bras
est' mis en flexion, . Quand le malade est prié
exécuter un simple mouvement .d'extension -de ' t'avant-bras sur le
bras
, c'est encore la position suivante qui est involo
épaule, des grimaces, des contractions de la musculature de l'autre
bras
. Les mouvements de flexion et d'extension dans
t en contact avec le bout de son nez, il com- .'mence par serrer le
bras
contre le thorax, ensuite il fait un mouvement br
ée. Le malade est capable de prendre sa nourriture spontanément. Le
bras
droit est en adduction permanente, serré contre
la cuiller à pleine main. Après une attente relativement longue, le
bras
droit est plié brusquement au coude, parfois le
ément; la bouche est ouverte, avant qu'il soit capable de mettre le
bras
en flexion ou la bouche n'est pas ouverte au mome
ade n'est pas capable de se mettre sur son séant sans l'aide de ses
bras
. Quand il est assis, il ne peut pas se tenir droi
mpromettant l'équilibre. La marche est raide, mal coordonnée. Les
bras
sont immobiles, pliés aux coudes. Les pas sont
changement de l'équilibre statique des muscles. Le plus souvent le
bras
prend une posi- tion de flexion très prononcée.
s son exécution restait en défaut. En relevant pas- sivement un des
bras
, le mouvement demandé fut fait tout à coup, mais
il s'aperçoit, en voulant enfoncer un clou, qu'il ne peut lever le
bras
gauche ; il avait quelques jours auparavant fait
uelques jours auparavant fait un effort assez considé-, rable de ce
bras
, et attribue son impotence fonctionnelle à cet in
tioirnelle évoluait progressivement, prenant après l'épaule gauche le
bras
et l'avant-bras gauches, puis la main gauche, a
cois, de la nuque et de l'épaule droite; c'est en dernier lieu que le
bras
droit et la main droite furent pris. Cette évol
effectue, mais sans force. 300 SOUQUES, BAUDOUIN ET LANTUÉJOUL Le
bras
est extrêmement atrophié, il faut encore noter à
-cutanée importante; la flexion, l'extension de l'avant-bras sur le
bras
sont absolument impossibles, de même que tous les
bras sont absolument impossibles, de même que tous les mouvements du
bras
. Au niveau de la région scapulo-humérale, l'atr
cile, la supination possible, mais très diffi- cile. Les muscles du
bras
sont très atropliiés, sauf le triceps. D'ailleurs
vement possible est un mouvement d'extension de l'avant-bras sur le
bras
, mouvement qui s'effectue avec vigueur. Au niveau
gauche est faible alors qu'il peut encore très facilement lever le
bras
gauche. Celui-ci se perd à son tour. Enfin un a
nt impossibles. L'amyotrophie est il peu près complète au niveau du
bras
. L'extension, la flexion de l'avant-bras sont im-
m- possibles. L'abdnction, les mouvements en avant et en arrière du
bras
ne peuvent qu'être esquissés. L'adduction se fa
bras sont exactement comparables à droite et à gauche. Au niveau du
bras
droit, il ne faut signaler qu'une conservation
tion relative du triceps ; aussi l'extension de l'avant-bras sur le
bras
se fait-elle et avec une certaine force. L'addu
sur le bras se fait-elle et avec une certaine force. L'adduction du
bras
est vigoureuse. Par ailleurs, le bras droit est
ertaine force. L'adduction du bras est vigoureuse. Par ailleurs, le
bras
droit est comparable au bras gauche. Les membre
bras est vigoureuse. Par ailleurs, le bras droit est comparable au
bras
gauche. Les membres inférieurs sont atrophiés d
caféine. L'oedème des membres inférieurs gagne le tronc., puis les
bras
et la face, très variable d'un jour à l'autre.
III, du moins en ce qui concerne 4 doigts, le pouce non compris. Le
bras
se termine par un moignon sur lequel trois sill
6 (1) l'histoire d'un hémimèle essentielle- ment caractérisé par un
bras
réduit à un moignon portant une main en miniatu
e de la main et par une réduction très accentuée des os de l'avant-
bras
. ' Il ne s'agit donc pas d'amputation intra-uté
s'est ralentie d'une manière progressivement accentuée en allant du
bras
à l'extrémité de la main, mais même la diffé- r
on a été de moins en moins complète en remontant de la main vers le
bras
. Dans notre précédent travail nous avions admis
e l'on compte ses pulsations, il fait remarquer : « Je n'ai plus de
bras
, tout s'en va. » 29. S'améliore, parle plus vol
Je ne pouvais pas remuer le corps. Je croyais qu'on me coupait les
bras
et qu'on me les recollait. Je croyais que j'ava
collait. Je croyais que j'avais les yeux rentrés. Si on déplaçait mon
bras
, je n'avais pas la force de le ramener à sa pos
er son incapacité motrice. Elle avait débuté par le côté gauche (le
bras
, puis la cuisse) ; il 2v ans, c'est-à-dire trois
isse) ; il 2v ans, c'est-à-dire trois ans plus tard, le côté droit (
bras
en premier lieu) se prend à son tour. Le travail
ensions verticales sont supérieures aux dimensions horizontales. Le
bras
, dont le bord externe dessine une ligne concave e
es de l'avant-bras. Elles sont flasques aux pectoraux, aux muscles du
bras
. A la paume de la main droite leur consistance
13 chemise avec sa main gauche, il lui faut d'abord immobiliser le
bras
gauche avec la main droite. Si l'on place une
l l'électricité est conservée. Cette dernière est un peu moindre au
bras
gauche qu'au bras droit. Pas d'anes- thésie pha
t conservée. Cette dernière est un peu moindre au bras gauche qu'au
bras
droit. Pas d'anes- thésie pharyngée. Conservati
ant son séjour dans le service. Le mois suivant, il a accusé dans les
bras
et les cuisses, quelques sensations douloureuse
ans, bonne santé néanmoins. A ce moment la maladie s'ac- centue. Le
bras
droit s'affaiblit, ce qui détermine le malade, qu
s arrêter. Leur aspect général est toujours à peu près le même : le
bras
, gros à sa racine est mince et complètement atro-
eltoïde gauche, bien qu'encore assez gros, relativement au reste du
bras
, est cependant certainement atrophié et a perdu b
rentes. Il est en effet très affaibli et le malade, pour porter son
bras
jusqu'à l'horizon- tale, transversalement, est
veau des deltoïdes, mais 's encore au niveau des autres muscles des
bras
, ainsi qu'on peut s'en rendre compte en compara
e Noir et Be- zançon. En effet au niveau de la partie supérieure du
bras
, la circonférencequi était autrefois à droite d
ite et de 19 cent. 5 à gauche. Les dimensions des autres parties du
bras
sont restées sensiblement les mêmes. Le volume
ut le côté droit paralysé est envahi peu à peu par la contracture. Le
bras
se plie à angle droit sur le devant de la poitr
'on lui présente, cette main ayant ses doigts repliés en griffe et le
bras
du même côté restant collé au tronc. Pas de c
dans tout le côté droit : -. mais toujours le début se fait par le
bras
droit. Ce n'est que depuis un mois que les conv
n'est que depuis un mois que les convulsions, d'abord localisées au
bras
droit, se sont étendues à tout ce côté. Ces cri
brachiale droite avec amyotrophie surtout marquée à l'épaule et au
bras
. Nous venons d'assister il une de ces crises ép
sions sont le plus ordinairement localisées dans la zone motrice du
bras
. C'est même celle contracture tardive, jointe à l
- siper tous les doutes. Observation X Monoplégie hystérique du
bras
droit avec récidives. (1ul : nsTrn, in JahrL. f
ouvements du membre affecté et supprime le sentiment de lourdeur du
bras
malade qui est presque constante dans cette mal
pendant la séance si le malade est assis pour éviter la fatigue des
bras
étendus. Le courant ne doit jamais être trop fo
rdinairement dans la fa- radisation de la région claviculaire si le
bras
est soulevé par une contrac- tion assez forte d
e cette manière je les tiens d'une main. Le malade étant couché, le
bras
ne doit pas être abaissé. Le grand pectoral est
un tempéra- ment nerveux et une intelligence peu développée. Les
bras
, surtout le gauche, ont perdu de leur force depui
à peu le sensorium. L'hé- miplégie est complète et flasque, jambe,
bras
, face inférieure et supé- rieure (signe de l'or
e, le Christ apparaît au milieu des nues : le fils de Dieu étend le
bras
droit et montre le Livre fatal où sont inscrites
ants indiqués ci- dessous. Sur le tronc, l'abdomen, les fesses, les
bras
, les avant-bras, les Fig. 6. Nouvrcc IcoHOOrs
aleur, température sont conser- vés dans les parties supérieures du
bras
; au-dessous d'une ligne oblique passant, en ar
a résistance opposée par la peau. Au niveau de l'épaule, du dos, du
bras
, la résistance n'offre rien d'anor- mal et tous
ractions des muscles de l'avant-bras absolument normales. Auxavant-
bras
, la résistance augmente considérablement, mais le
he superficielle du nerf musculo-cutané, au tiers moyen de l'avant-
bras
gauche. Le 28 août, à 10 heures du matin, nous
n incomplète des yeux), de l'anal- gésie avec thermo-aneslhésie aux
bras
et aux jambes. Les nerfs cubitaux étaient tuméf
é par une sensation de houle qui monte du nomhril vers la gorge. Le
bras
et la jambe gauches se convulsent les premiers, p
eptembre) ; elle est absolue. La piqûre est parfaitement sentie. Le
bras
gaucho est un peu moins paralysé : il persiste qu
d'octobre, prescrit de l'iodure et des frictions mercurielles. Le
bras
gaucho guérit au bout de quinze jours. En novembr
marche est meilleure. Mme M. peut aller et venir en s'appuyant sur le
bras
de son mari. Mais il existe toujours de la trép
rt (surtout à gauche), et d'autre part dans les épaules et dans les
bras
(surtout du côté droit). Cette rachialgie s'est
tard, raideur de la nuque, avec douleurs vives irra- diées dans les
bras
, les avant-bras et jusque dans les doigts. Atroph
sourdes et profondes que la malade localise dans la continuité des
bras
et des avant-bras. Par instants en outre, se prod
LA SALPÊTRIÈRE. douloureux reparurent dans les épaules et dans les
bras
comme la première fois. Jusque la, la malade
e l'on provoque de vives douleurs. Elles s'irradient aussi vers les
bras
et vers la région sternale. DE LA MÉNINGO-MYÉLI
bres supérieurs. Il existe une atrophie musculaire évidente dans le
bras
, l'avant-bras et la main du côté gauche. Le bra
évidente dans le bras, l'avant-bras et la main du côté gauche. Le
bras
et l'avant-bras de ce côté mesurent 1 centimètre
des doigts s'exécute bien, ainsi que les mouvements du pouce. Au
bras
et à l'avant-bras gauche on ne saurait dire avec
, peu intenses, siégeant dans les épaules, dans la con- tinuité des
bras
et des avant-bras, les autres lancinantes et pass
les partent du cou s'irradient de là dans les omo- plates, dans les
bras
, jusque dans les doigts (deux derniers de la main
e, 19 kilog. il gauche, 20 ki- log. il droite. La circonférence des
bras
et des avant-bras est la même des deux côtés. O
e livreur dans une librairie. Il partait avec une petite voiture il
bras
, vers 9 heures du matin, pour rentrer il 6 heur
rs profondes et continuelles dans les épaules et dans la racine des
bras
. Les réflexes tendineux sont toujours exagérés au
n 1886, il remarqua pour la première fois sur la peau des jambes, des
bras
, de la poitrine, une éruption assez discrète de
ut l'avant-bras et la main. Ce- pendant il a l'usage parfait de ses
bras
. On constate une légère diminution de la force
nerveux constituent tous les symptômes : Contracture spasmodique du
bras
droit de l'avant-bras et de la main qui est défor
ses musculaires ; et ses douleurs qui ne cessent jamais passent du
bras
à la jambe, de la main au pied, pour reparaître
890. Examiné le 4 mars, on constatait les symptômes suivants : Le
bras
gauche tombe verticalement le long du corps, la m
thésie en manche de veste. (Fig. 31, 32). Au toucher, abolie sur le
bras
gauche, - au froid, presque aholie sur le bras
toucher, abolie sur le bras gauche, - au froid, presque aholie sur le
bras
gaucho, diminuée dans tout le côté gauche. Od
bilité permet de constater la dissociation sy- ringomyélique sur le
bras
gauche. Le tact est bien conservé (pinceau), la
le ventre, retenu par des liens ou par les draps bien sanglés, les
bras
libres ou non, suivant certes qu'il était plus
e ; ils se fléchis- sent et s'étendent, puis la main se ferme et le
bras
droit devient rigide tout d'un coup. L'épaule d
oit devient rigide tout d'un coup. L'épaule droite est soulevée, le
bras
est en totalité étendu et tourné en dedans ; la
ture, et la tête est tournée du côté droit. Après la contracture du
bras
survient la rigidité du membre inférieur droit. C
contracture se manifeste toujours de la même façon à la face et au
bras
, on observe à la jambe des différences, qui tienn
lle est couchée, la contracture s'ef- fectue de la même façon qu'au
bras
, que le membre.inférieur n'est pas plié au nive
ieur se contractait, bientôt suivi de la contracture des muscles du
bras
et de la face. Si l'excitation était appliquée
re du développement des contractures était le suivant : la main, le
bras
, la face, et en dernier. lieu l'extrémité inférie
ture suit la propriété fonctionnelle; par exemple : l'excitation du
bras
produit en premier lieu une contracture du bras,
e : l'excitation du bras produit en premier lieu une contracture du
bras
, l'ex- citation du membre inférieur, la contrac
(après une période de petits mouvements) et sont suivis par ceux du
bras
et du membre inférieur gauchos; en définitive, un
La contracture débuté dans le membre inférieur et gagne aussitôt le
bras
et la face, si le diapason est situé au-dessus du
ier pour être bientôt suivi par' la résolution de la contracture du
bras
et de la face. Je constate, que le sujet peut i
coup, mais non pas avec la même intensité, parce que pendant que le
bras
et le pied droit sont dans une catalepsie tétan
que le bras et le pied droit sont dans une catalepsie tétanique, le
bras
et le pied gauche soûl seulement dans un étal d
ne demi-heure. 18 Elle se mord à la partie inférieure de l'avant-
bras
. Il se produit une ecchymose. Interrogée, la mala
son réveil, un nouveau phé- nomène apparut : un tremblement dans le
bras
et la jambe du côté droit, trem- blement qui pe
pénible et mettant le malade dans l'impossibilité de se servir de son
bras
droit pour les travaux délicats. Alors S... q
92 est un tremblement qui in- téresse tout le côté droit du corps :
bras
, jambe et tête. Il a franchement l'allure d'un
ie cutanée est nettement limitée à toute la moitié gauche du corps (
bras
, jambe, face). (Côté hémiplégie). La sensibilit
a région lombo-sacrée. Douleurs vagues dans les membres, surtout le
bras
et la jambe droits ; le poi- gnet de ce côté a
atopsie. Les mouvements se font bien ; quelquefois limités pour les
bras
par une dou- leur dans l'épaule ; mais pas de c
ici. Elle envahit généralement la main, l'avant-bras et une partie du
bras
, mais quelquefois, elle peut s'étendre à tout le
sortit cle l'hôpital pour venir travailler à Paris , il avait déjà le
bras
gauche comme engourdi et il y ressentait, princip
était plus faible que la droite. Pendant cette période, également, le
bras
, le tronc du côté droit et la moitié droite de la
s guéris, le malade s'aperçut qu'il n'avait plus aucune force dans le
bras
et que sa main ne pouvait rien tenir. Alors, étan
nces thénar et hypothénar, de la parésie et une analgésie complète du
bras
et de l'avant-bras. Ces renseignements sont puisé
que, sauf que la jambe du côté gauche commença à s'affaiblir comme le
bras
et lui fit éprouver une grande difficulté à march
nclinée sur l'épaule gauche (action du sterno-mastoïdien gauche), les
bras
tombant et animés de temps en temps, surtout à dr
bles bien accentués dans la position et les mouvements des jambes. Le
bras
droit n'est pas agité pendant la marche, mais pen
Les avant-bras donnent des résultats identiques à la mensuration, les
bras
également, ainsi que les cuisses et les jambes.
bourdonnements d'oreille, puis de ses panaris et de son impotence du
bras
gauche. Autrefois il était toujours en train de c
veux ne sont pas limités à la main. La flexion de l'avant-bras sur le
bras
est peu vigoureuse. « L'anesthésie à la piqûre
coupant environ par le milieu la tête numérale. La région interne du
bras
est insensible malgré les perforants intercostaux
'est aboli que dans la main et l'avant-bras. Il persiste au niveau du
bras
et le malade a conscience des mouvements que l'on
oignet, que l'anesthésie remontait tout le long de l'avant-bras et du
bras
, jusques et y compris le moignon de l'épaule. Il
long. Voilà déjà quatorze mois que le malheureux est impotent de son
bras
. Combien cela durera-t-il encore ? Je ne sais, ma
lade est tenue éveillée toute une nuit par des douleurs vives dans le
bras
, l'avant-bras et les jointures des mains et des p
de la sensibilité, contact, douleur et température, remontant sur le
bras
jusqu'aux environs de l'articulation scapulo-humé
sorte de mouvement con-vulsif de la tête, du cou, des épaules et des
bras
, avec émission brusque d'un son inarticulé, imita
lle-ci était née et habitait à la campagne. Un jour, portant dans ses
bras
une charge de bois, elle glissa sur le sol et tom
ter le dos de la même main. Douleur très vive dans la main et dans le
bras
. Pas de perte de connaissance, elle s'est tout de
ut d'abord l'attention, c'est l'attitude de la malade. Elle porte son
bras
droit habituellement en echarpe, la main et le po
tient par habitude sa main contre sa poitrine, comme si elle avait le
bras
en écharpe. Si on écarte la main, elle reprend au
des plaques anesthésiques, en particulier à la partie postérieure du
bras
. L'anesthésie a disparu à la jambe; à la cuisse
muscles de la main, puis a envahi progressivement tout le membre, les
bras
, les épaules; les muscles de la partie postérieur
u front du côté droit, sans commotion cérébrale, et des fractures des
bras
. En juillet 1889, M. X... prenait part aux trav
inhabiles à manier le pinceau et maigrirent d'une façon notable ; les
bras
, les épaules s'atrophièrent à leur tour au point
u niveau des membres supérieurs, du thorax et du cou, si bien que les
bras
sont ballants le long du tronc et que la tête ins
commençant par le côté droit. De l'avant-bras, l'atrophie remonta au
bras
, puis à l'épaule, et enfin, au mois d'octobre 1
pour les grands pectoraux, à son maximuh au niveau des deltoïdes. Aux
bras
, les biceps ont à peu près disparu; les triceps p
use des biceps qui empêche l'extension complète del'avant-bras sur le
bras
et dessine une corde fort nette dans ce mouvement
ent assez de force. Les mouvements d'extension de l'avant-bras sur le
bras
sont forts et présentent une grande résistance au
Cuisse, tiers inférieur........ Avant-bras, tiers supérieur.....
Bras
, partie moyenne ........ I D = 35 cent. 1/2 )
sinon de temps en temps dans les épaules et la partie supérieure des
bras
, et encore n'étaient-elles pas d'une grande inten
er à la Salpêtrière. L'atrophie était prononcée au plus haut point au
bras
, à l'épaule, à la cuisse et à la jambe. Le ptosis
ble qu'auparavant ; bientôt il en fut de même de la main droite et du
bras
. Depuis un mois, le malade ne peut regarder de
omie un aspect particulier sur lequel nous reviendrons plus loin. Les
bras
sont presque collés au corps, les mains reposent
supination ou en demi-pronation) se fléchit assez complètement sur le
bras
et s'étend même, sans résistance. Le bras s'écart
t assez complètement sur le bras et s'étend même, sans résistance. Le
bras
s'écarte incomplètement du tronc, ne peut se port
De l'avant-bras gauche à 7 cent, de l'olécrâne . . = 23 cent. 1/2 Du
bras
gauche à 12 cent, de l'olécrâne. * . . =24 — L'
'olécrâne. * . . =24 — L'atrophie des muscles de l'avant-bras et du
bras
est manifeste. Membre supérieur droit. — Dynamo
l se redresse incomplètement. Les fléchisseurs de l'avant-bras sur le
bras
sont relativement bien conservés. L'extension de
sont relativement bien conservés. L'extension de l'avant-bras sur le
bras
n'offre aucune résistance. Les mouvements du bras
l'avant-bras sur le bras n'offre aucune résistance. Les mouvements du
bras
: adduction, abduction, élévation, abaissement, s
e l'avant-bras droit à 7 cent, de l'olécràne. . . = 23 cent. 1/2 Du
bras
droit à 12 cent, de l'olécràne.....=25 — 1/2 De
/2 Du bras droit à 12 cent, de l'olécràne.....=25 — 1/2 De chaque
bras
à l'insertion du grand pectoral. . = 27 — 1/2 M
volumineux à leur partie inférieure qu'à leur partie supérieure, des
bras
qui ont une forme cylindrique, des épaules qui on
l existe des secousses fibrillaires dans les muscles de la cuisse, du
bras
et de l'épaule ; elles sont peu fréquentes, mais
e 1890) : Juillet. Novemb. Avant-bras à 7 cent, de l'olécràne
Bras
à 12 cent, de l'olécràne. . . Cuisse. à 9 cen
. Cet aspect se remarquait chez l'un de nos malades (Obs. III). Les
bras
sont « ballants », tombent de chaque côté du corp
tions médullaires supérieures sont exactement les mêmes. Là aussi les
bras
sont ballants et le malade est obligé de les lanc
u moins considérable due à la disparition des masses musculaires. Les
bras
sont inertes, pendant le long du corps, les mains
segment supérieur des membres thoraciques, ce sont toujours les mêmes
bras
« ballants », les mêmes épaules amaigries et tomb
s trois escarres spontanées qui ont évolué sur l'avant-bras et sur le
bras
, et dont il porte encore les marques indélébiles.
t impossible ; l'avant-bras était fléchi presque à angle'droit sur le
bras
et ne pouvait être étendu; la jambe était en exte
singulière. Pourquoi cette forme de languette sur le bord interne du
bras
et de l'avant-bras? Ce n'est pas ainsi, en généra
1. Eh bien! une même lésion peut expliquer tous les phénomènes que le
bras
du malade nous a présentés. Admettez que cette lé
en que par le passé sur le patin gauche, et il était tout emprunté du
bras
gauche dans les mouvements qui servent à garder l
e hémiplégie gauche spasmodique, La contracture est très prononcée au
bras
et à la jambe, mais davantage à la jambe. Pendant
ur le sol. Les réflexes plantaires sont exagérés. Les mouvements du
bras
et de l'épaule gauche sont très limités. Le membr
e du côté gauche, avec faiblesse et tendance à la contracture dans le
bras
gauche. Aujourd'hui cet état spasmodique persis
est suivie. Le côté gauche est, en effet, atteint de contracture, le
bras
est serré contre la poitrine, l'avant-bras est fl
l'index droit, gagnent ensuite les autres doigts, l'avant-bras et le
bras
. Elles s'accompagnent d'une sensation douloureuse
ariétale ascendantes, autrement dit au centre moteur de la main et du
bras
. . Peut-on vraiment demander plus de précision?
utait, puis le globe oculaire, la commissure labiale du même côté, le
bras
gauche se prendre à leur tour, et enfin le malade
lit, il ressentit des secousses dans la face du côté gauche, puis le
bras
du même côté s'agita ; enfin, notre malade perdit
'avant-bras droit. ... 28 cent. — gauche. . . 26, 26 1/2, 27 — Du
bras
droit....... 26 cent. — gauche...... 24, 25, 25
t débuté. Puis des fourmillements apparurent dans la jambe et dans le
bras
. Les troubles parétiques augmentèrent graduelleme
urs reprises d'arrêter les mouvements choréiques en lui attachant les
bras
, mais ces manœuvres n'eurent d'autre résultat que
existe des stigmates permanents de l'hystérie : anesthésie totale du
bras
droit; anesthésie de la moitié droite du tronc, e
ues autres phénomènes appartenant à l'attaque ordinaire : raideur des
bras
avec contracture, secousses cloniques des quatre
ent (survient une attaque convulsive caractéristique ; elle étend ses
bras
, les tourne en pronation, sa mâchoire inférieure
e, il peut, avec difficulté, étendre et fléchir l'avant-bras sur le
bras
. Du côté droit, ces mouvements font défaut. Il
. Persistance des douleurs spontanées qui ont même augmenté dans le
bras
droit ; persistance de l'hyperesthésie au thora
rivent de sommeil. Les cuisses sont devenues douloureuses comme les
bras
. Mouvements de flexion et d'ex- tension de l'in
onatiou et de supination. L'avant-bras se fléchit et s'étend sur le
bras
, mais avec beaucoup de lenteur et saus force. D
, trois litres. 18° jour. Un peu d'extension de l'avant-bras sur le
bras
; le malade leva très bien la jambe gauche et te
Secousses dans les membres inférieurs, avec retentissement dans les
bras
; elles s'accompagnent d'une contraction qui a
s'accompagnent d'une contraction qui a pour effet de rapprocher les
bras
du tronc. 19° jour. - IIyperesthésic des muscle
Les mouvements gagnent sensiblement en étendue : il peut élever le
bras
gauche à la hauteur de la tête, et porte la mai
eaux. Membre supérieur droit : à la région antérieure de l'avant-
bras
les muscles se contractent assez fortement ; abse
tent rien de particulier, sauf un retentissement douloureux dans le
bras
droit quand il essaie de soulever la jambe. La
ans oppression. Le malade ne peut imprimer le moindre mouvement aux
bras
ni aux jambes. Température du soir, 39°,la. 1
contractures et la pression à leur niveau est très douloureuse. Les
bras
sont fixés au tronc et le malade pousse des gém
- tion ; il en est de même lorsqu'on cherche à étendre les avant-
bras
qui sont dans une demi-flexion. Impossibilité pou
ts volontaires aux membres inférieurs ; mouvements très limités aux
bras
et aux avant-bras, surtout à droite. L'examen d
ent des membres supérieurs. Douleurs vives à la face antérieure des
bras
; contracture qui maintient les avant-bras dans
prise de contractions convulsives dans les muscles des mains et des
bras
, qui se manifestaient surtout dans les moments
ce moment (juillet 1880) son professeur remarqua que l'épaule et le
bras
droits étaient de temps en temps soulevés par d
uvent des mouvements très rapides de balancement et d'élévation des
bras
, de même que simultané- ment les jambes, surtou
ics et de contorsions, remuant DE L INCOORDINATION MOTRICE 29 les
bras
, se relevant et s'abaissant à plusieurs reprises,
i : « Ah ! ali ! X ? X... merde, merde », disait S... en levant les
bras
en l'air et les abaissant alternativement et le
ors la force d'imitation était telle chez celui-ci qu'en levant les
bras
et la jambe droite il trébuchait et tombait par
exécutèrent des gri- maces variées; il existait des mouvements des
bras
, d'élévation alternative des épaules. Subitemen
ts alternatifs d'abaissement et d'élévation des deux épaules. Les
bras
remuent, les doigts s'ouvrent et se ferment. Les
, ces mouvements incoordonnés se généralisèrent, ils envahirent les
bras
, les jambes des deux côtés, l'enfant faisait de
ndant que nous l'examinons, il cligne des yeux en même temps que le
bras
droit se porte à plusieurs reprises rapidement
rande frayeur ; est resté quelques minutes sans pouvoir parler, les
bras
agités de tremblement. Il est resté quelques mo
rusques et moins fréquents ; du reste, dès 1878, les mouvements des
bras
et des jambes avaient déjà disparu : le malade
s convulsives repa- rurent, d'abord dans les épaules, puis dans les
bras
, puis dans la figure. A ce moment elles commenc
l'espace de dix jours, la jeune malade reçut sur un vésicatoire du
bras
50 centigr., soit 5 centigr. par jour en une se
RE DANS L'ÉPILEPS1E. 51 femme de vingt-deux ans à qui on injecta au
bras
et à la nuque dix gouttes d'une solution à 1 :
LOGIE NERVEUSE. pouvant se propager aux muscles de l'avant-bras, du
bras
, et même de l'épaule; c'est une atrophie non pa
ation très complète, caractérisée par une paralysie avec raideur du
bras
et de lajambeducôté droit et de la jambe gauche.
t étourdie; on la recouche, elle a un peu de para- lysie motrice du
bras
gauche, avec déviation conjuguée des yeux à dro
on mariage) ; on constate une paralysie motrice très peu marquée du
bras
gauche, et existant à peine à la jambe gauche;
ut en demeurant éveillé. Il suffit, après lui avoir fait étendre le
bras
volontairement, d'en effleurer la surface avec
urent : un affaiblis- sement rapide et progressif des jambes et des
bras
puis des muscles de la nuque. Dès le début, il
. Néanmoins au bout de quelques semaines, la parole est revenue, le
bras
gauche a récupéré ses fonctions après plusieurs
erosseux de la main droite; l'atrophie passa ensuite aux muscles du
bras
entier et de l'omoplate. En examinant l'urine,
à "éprouver de la difficulté à parler et de la faiblesse dans le
bras
gauche. Ces symptômes augmentèrent gra- duellem
ble, il marchait avec une canne et avec beaucoup ,de difficulté; le
bras
et la main gauche étaient atrophiés et paralysé
de ce moment, les muscles des membres supérieurs s'atrophient, les
bras
perdent leur force et demeurent incapables de t
que des muscles était en rapport avec leur volume ; les muscles des
bras
, qui étaient les moins atrophiés, se contractai
aient les moins atrophiés, se contractaient bien, ceux des avant-
bras
et des mains, qui avaient perdu davantage, se con
s tantôt dans unejambe, tantôt dans les deux jambes, tantôt dans un
bras
, tantôt dans un bras et une jambe, tantôt dans
tantôt dans les deux jambes, tantôt dans un bras, tantôt dans un
bras
et une jambe, tantôt dans les quatres membres. Ce
'est fer- mée bruyamment et brusquement aussi. - En même temps le
bras
gauche est agité par des mouvemements de moulin,
ivement sept ou huit fois. Les mêmes mouvements se répètent dans le
bras
, droit. Le malade secoue deux ou trois fois sa
rs de cela il a de temps en temps un mouvement choréique isolé d'un
bras
ou d'une jambe, de sorte que les accès convul-
ontaires ; tout s'est borné à quelques mouvements choréi- formes du
bras
. Il semble en outre que les mouvements isolés a
famille, que le profes- seur ou les parents s'aperçoivent qu'un des
bras
est agité de mouvements convulsifs : les doigts
e de ses contorsions les plus ordi- naires, qui consiste à lever le
bras
et la jambe droite en frappant la terre du pied
s. Il berçait un jour, sur le pont du navire, son enfant dans ses
bras
, lorsque survint un matelot qui se mit, à l'ins-
vint un matelot qui se mit, à l'ins- tar du cook, à bercer dans ses
bras
un billot de bois. 180 CLINIQUE NERVEUSE. Pui
accompagnement de secousses muscu- laires désordonnées, remuant les
bras
, se baissant et se relevant à plusieurs reprise
t vrai, mais qui sont aussi toujours faciles à apprécier : c'est un
bras
qui en est le siège; elles se localisent assez
it moins bien sur la jambe droite et qu'il se servait moins bien du
bras
droit. Depuis le début des accès, il mange moin
u demi-closes, pupilles très dilatées, cou rigide dans l'extension,
bras
droit dans l'extension, main fermée pouce en de
xtension, bras droit dans l'extension, main fermée pouce en dedans,
bras
gauche en denii-ilexion, doigts écartés, le pouce
plète; l'épaule est tombante, il boîte; il peut toutefois mettre le
bras
sur la tête. Le bassin est projeté en arrière;
s. Contracture très pro- noncée de tous les muscles fléchisseurs du
bras
, de l'avant- bras et de la main. L'avant-bras e
pro- noncée de tous les muscles fléchisseurs du bras, de l'avant-
bras
et de la main. L'avant-bras est en demi-ilexion s
'avant- bras et de la main. L'avant-bras est en demi-ilexion sur le
bras
, 1 Cil. Foré. Contribution à l'étude des troubl
lorées. Finalement, paralysie totale des jambes, presqu'absolue des
bras
. Dans le cours de l'affection, on a noté des do
peu près tel quel. En juillet 1880 survient une paralysie rapide du
bras
droit; en même temps apparaissent des phénomènes
s de phénomènes d'excita- tion moteurs, s'observent généralement au
bras
, rarement à la jambe ou à la tête. Les uns éman
ndant elle était infirme; elle présentait une hémiplégie flasque du
bras
droit, une hémipa- rébie très accusée de la- ja
huit ans qui, par l'attitude du cou, de la tête, des épaules et des
bras
, ont l'air de vieillards; mais ce ne sont là que
s et de contractures des muscles pectoraux ainsi que des muscles du
bras
gauche, qui cessèrent après l'élongation du ner
retour de la sensibilité, mais pas d'amélioration de la motilité du
bras
. Elongations des nerfs intercostaux. En 1878,
eurs de reins et com- mença à éprouver de la difficulté à porter le
bras
droit derrière le dos. Il changea de place au m
ineuse était excavée, le grand pectoral très aminci. Les muscles du
bras
et de l'avant- bras avaient perdu au moins le q
le grand pectoral très aminci. Les muscles du bras et de l'avant-
bras
avaient perdu au moins le quart de leur volume; l
e leur volume; le déchet était le même aux éminences de la main. Le
bras
était collé au tronc, et le malade ne pouvait l
hé et s'est Archives, t. IX. 21 322 THÉRAPEUTIQUE. servi de son
bras
« comme s'il n'avait rien eu ». A quatre ans et
était incapable de se tenir sur la jambe gauche et de se servir du
bras
gauche «qui était tombant ». Il a recommencé à
îné la jambe et il la traîne autant aujourd'hui qu'à son entrée. Le
bras
u'arécupéré quelques mouvements qu'au bout de d
mois. Depuis qu'il est à Bicêtre, la main a repris de la force. Le
bras
a été électrisé pen- dant un an, mais cela « n'
; - hier le malade s'est plaint de céphalalgie. . 23 novembre. Au
bras
gauche (côté paralysé), Lef... présente des ind
ultiples, à la suite des injections hypodermiques, mais toujours au
bras
paralysé (côté gauche). Il n'accuse aucun phéno
coup d'embonpoint, elle est grande et d'une forte constitution. Ses
bras
portent des plaies et des ecchymoses, produites
te, mais il fut retenu par le soldat Vincenzi qui lui prit les deux
bras
. Inisdea prononça alors ces paroles « cadra, ce
sibilité cutanée; vertiges fréquents; convul- sions des muscles des
bras
etdesjambes survenant par accès diurnes (2 heur
ines, incertitude des jambes, diplo- pie, impossibilité de lever le
bras
droit, faiblesse de la main droite. L'examen dé
aux deux sortes de courants. Le 26 octobre, convulsions dans les
bras
; des deux côtés, vestiges du phénomène du genou.
és inférieures diminuent, mais on en cons- tate dans l'épaule et le
bras
(sterno-cléido-mastoidien, trapèze, pectoral, d
les deux sens; interrompt-on le courant, la saine équilibration des
bras
de levier détermine toujours un retour exact à
moitié droite du corps; plus tard, elle se limite principalement au
bras
droit et à la moitié droite du tronc. Graduelle
pli- quer. Le fait lui-même n'était pas complètement décrit : si au
bras
nous avons une contraction des fléchisseurs, au
ap- sulaires correspondant aux extenseurs, il y aura contracture du
bras
en flexion, qu'un autre jour elle atteigne plus
un refroidissement, il a souffert de douleurs rhumatismales dans les
bras
et les jambes et surtout au pied gauche. La m
monoplégie crurale. Le malade ne se déplaçait qu'en s'aidant de ses
bras
restés indemnes, en s'appuyant sur des cannes o
à droite). L'extension des doigts ne se fait pas complètement. Le
bras
gauche, un peu plus maigre que le droit (22 cm. c
ux 3e, 4e et 5e doigts et restent localisées à la main, le reste du
bras
est indemne. La douleur du 5e doigt irra- die j
per sur le trajet de l'artère ne révèle rien. Les troncs nerveux au
bras
parais- sent normaux. Main droite. La main dr
nt, mais depuis un mois elle avait quelques vagues douleurs dans le
bras
droit et avait quelque peine à supporter le con
it jours, se sentait un peu fatiguée et souffrait assez violemment du
bras
droit.Au bout de ce temps apparurent sur le bra
ssez violemment du bras droit.Au bout de ce temps apparurent sur le
bras
droit des macules qui occupè- rent uniquement l
urs après sans donner naissance à des croûtes Pendant l'éruption le
bras
était le siège de douleurs très violentes. Cell
main qui fut suivi cinq semaines plus tard d'un oedème de l'avant-
bras
. Ses doigts se sont déformés et ankylosés, la mal
extension de la main, l'extension de l'avant-bras et l'abduction du
bras
.Cette dernière est particulièrement pénible et s'
iculaires de la main, sur les masses mus- culairès de la main et du
bras
et sur les troncs nerveux est très douloureuse
de la phalangette de l'index gauche, et deux fractures de l'avant-
bras
gauche, siégeant à la partie moyenne. Il ne fut p
inuelles. Le sujet d'Etienne accusait de vives souffrances dans son
bras
; la malade de Sicard et Laignel-Lavastine ress
souvenez-vous de ce malade décrit par Kraepelin (3) qui portait son
bras
lié par une cein- ture et des lacets, afin de l
astique décrits également par Weigandt (3), qui portait une bandeau
bras
, le croyant paralysé ? C'est pourquoi je veux c
mme qui semblait enivrée d'un amour de vie incapable de frein ; ses
bras
étaient jetés en l'air; son visage re- gardait
u creux axillaire exercée par une bande qu'on avait passée sous les
bras
. On ne constatait aucun trouble de sensibilité,
re du nerf radial et s'étend à tous ies nerfs de l'avant-bras et du
bras
, sauf le circonflexe. Les muscles innervés par
gère douleur à la compression. Ce qu'il y a de nouveau c'est que le
bras
gauche est frappé lui aussi par une paralysie c
du nerf radial. 18. La paralysie s'est étendue aux autres nerfs du
bras
gauche excepté le nerf circonflexe, et les musc
avec une rapidité extraordi- naire. La malade peut encore porter le
bras
en légère- abduction mais tout le membre oscill
on mais tout le membre oscille en tous sens d'une façon analogue au
bras
droit. Les réflexes tendineux et périostaux son
tendineux et périostaux sont éteints. Mêmes conclusions que pour le
bras
droit au sujet des troubles de la sensibilité.
E XXVI FiG. Il. Nerf radial droit au niveau de la partie moyenne du
bras
; coupe trans- versale. - Méthode de Veigert. -
ration et même grossissement. Fig. 13. Nerf médian gauche dans le
bras
. Coupe longitudinale. Méthode de Marchi. Même g
e, ou des muscles excités, qui se traduit par l'action de porter le
bras
en avant. Le réflexe osseux de l'épitrochlée repr
pectoral. Il en résultera donc que l'avant-bras se fléchira sur le
bras
, et que tous les deux seront portés en avant et
s les cas les plus communs, nous voyons qu'au 'membre supérieur, le
bras
est un peu rapproché du tronc, le coude fléchi,
on de l'avant-bras et par propagation un mou- vement d'adduction du
bras
en avant et en dedans ; le premier mouvement es
xe osseux du 1er segment sacré. Peut-on reproduire ces attitudes du
bras
et de la jambe en contracture, par percussion p
upination et du mouvement de rotation en dehors de la totalité « du
bras
qui=s'allie le plus souvent au mouvement de supin
n- « cées, les mouvements d'extension le sont aussi. L'élévation du
bras
est « presque toujours plus ou moins atteinte (
de pro- nation de l'avant-bras ; ce segment se fléchit alors sur le
bras
à peu près à angle droit, tandis que le bras s'
e fléchit alors sur le bras à peu près à angle droit, tandis que le
bras
s'écarte du tronc pour se porter à la fois en a
aire se passe dans un segment quelconque du côté sain : avant-bras,
bras
, jambe ou cuisse non paralysés, que ce mouvemen
y mettant toutes ses forces pendant que nous lui retenons l'avant-
bras
pour l'en empêcher. Les mouvements volontaires
Voilà un tronc et un branchage qui rappelle un tronc de femme, les
bras
tendus au ciel dans une attitude tourmentée, sup-
t à un homme lorsqu'il tomba soudain à terre, se débattant des deux
bras
et des deux jambes, l'écume à la bouche. La con
changer de place et d'affecter le corps, le visage, les mains, les
bras
et la gorge, que nous sommes très portés à les
SÉANCE DU 4 JUIN 1905 HYPERTROPHIE SEGMENTA IRE CONSIDÉRABLE - DU
BRAS
ET DE L'AVANT-BRAS 1 AVEC DISSOCIATION SYRING
DE la SALPÊTRIÈRE. T. XXI. Pl. XXXIII HYPERTROPHIE SEGMENTAIRE DU
BRAS
ET DE L'AVANT-BRAS avec dissocation syringomyél
à sa grande endurance. Depuis un an seulement, il a remarqué que le
bras
droit s'oedématiait et que la force musculaire
examen objectif révèle un oedème apparent, mais dur et élastique du
bras
et de l'avant-bras, surtout accentué au niveau de
il n'y a pas de rougeur bien nette ; au, toucher, la température du
bras
droit paraît un peu plus élevée que celle du br
la température du bras droit paraît un peu plus élevée que celle du
bras
gauche, mais le thermomètre ne vérifie pas cett
pour la pression de la main, pour la flexion de l'avant-bras sur, le
bras
, pour l'extension de l'avant-bras. L'abduction
bras sur, le bras, pour l'extension de l'avant-bras. L'abduction du
bras
est, au contraire, manifestement plus difficile
us difficile du côté droit que du côté gauche ; le malade lance son
bras
, au lieu de l'élever progressivement. Ce fait s'e
la main, pas d'atrophie apparente des muscles de l'avant-bras et du
bras
; mais à vrai dire l'atrophie pourrait L se dis
out bien perçu ; il paraît cependant un peu moins bien perçu sur le
bras
droit que sur le bras gauche, quand les effleur
raît cependant un peu moins bien perçu sur le bras droit que sur le
bras
gauche, quand les effleurages sont très légers.
graphies qui vous sont présentées que l'aug- mentation de volume du
bras
et de l'avant-bras ne correspond pas seule- men
tés. l'hyperdrophie du pied ou podoméga- lie (4), l'hypertrophie du
bras
n'a pas encore été signalée à ma connais- sance
ion exagérée, la raie méningitique de Trousseau, le tremblement des
bras
, une légère sail- lie des yeux et surtout un éc
-il, faisait de petits pas et des mouvements d'équili- bre avec ses
bras
et inclinait fortement son tronc sur l'articulati
es douleurs disparaissent, mais l'impotence des mains et des avant-
bras
est absolue. De même la paralysie des jambes. Par
écubitus dorsal, la tête inclinée presque constamment à gauche, les
bras
le long du corps, les avant-bras fléchis à angle
rieurs. Les épaules sont tombantes. L'abduction et l'adduc- tion du
bras
sont impossibles ainsi que son élévation. Le mala
x qu'il raidit et qu'il incline pour compensation. La rotation du
bras
tant en dehors qu'en dedans est nulle. Vient-on a
n sont nuls. Dimensions des membres supérieurs : Circonférence du
bras
prise à 20 centimètres du sommet de la cavité adé
nt à la suite, d'alimentation, siégeant surtout sur le front et les
bras
. De même, le frottement ^de la peau détermina plu
ction et l'adduction de ce dernier sont de plus en plus faciles. Le
bras
droit lui-même est légèrement mobilisable. Néanmo
s à sa bouche, en opposant celles-ci paume à paume et en levant les
bras
. Les yeux sont mobiles,mais les mouvements deme
le. 21. La mobilité est presque complètement revenue dans les avant
bras
. L'extension, la flexion en sont encore lentes
rieurs. C'est ainsi que le malade ne peut manger sans aide, car ses
bras
présentent alors des oscillations, par suite d'un
raideur dans le membre inférieur droit, la malade ne se sert pas du
bras
droit. La percussion du tendon rotulien du côté
n double genu valgum ; le tronc est relativement peu développé, les
bras
sont allongés : dans son ensemble, la silhouett
bes restent fixées au sol en exécutant l'épreuve de Babinski. Les
bras
sont longs, arrondis, bien conformés ; les mains
inant le malade dans la position de « fixe », on s'aperçoit que son
bras
droit est un peu plus long que le gauche. Les d
cet article. Dans le sang tiré en quantité suffisante des veines du
bras
par saignée, on détermine l'alcalescence, le ré
sance. Le mari aurait observé des mouvements convulsifs, surtout du
bras
et de la jambe gauches. Morsure de la langue. Dur
aux maux de tête, surtout la nuit ; elle ne peut plus se servir du
bras
gauche. Dès une année plus tard (mai 1905) paré
rof. Hallenhoff). Parésie du facial gauche. Langue déviée à gauche.
Bras
gauche parésie : c'est à la main que les troubl
oude, encore moins à l'épaule. MmeG... ne bouge pas spontanément le
bras
gauche. Elle ne meut également la jambe gauche
et lui dit qu'elle sent venir la crise. Les convulsions débutent au
bras
et à la jambe gau- ches. Déviation de la tête à
mal ; crises d'angoisse. Dès 1906 : réflexes tendineux exagérés au
bras
et à la jambe gauches. Pas de contracture. La s
e. La sensibilité à la douleur et à la chaleur est très diminuée au
bras
gauche et à la moitié gauche du thorax, pas à la
ou sous-cortical. La première altération durable fut la parésie du
bras
gauche. C'est à la main que les troubles moteurs
Dirigée aussi exactement que pos- sille sur la région corticale du
bras
gauche, l'ouverture faite par le tré- pan aurai
d'un sarcome, sis immédiatement en arrière de la région motrice du
bras
. Cela explique l'apparition précoce des troubles
Bel-Air, en août 1906, on nota : hémiparésie droite, plus forte au
bras
qu'à la jambe ; sensibilité conservée. C'est main
t que s'accentuer ; elle se compliqua de contrac- tures, surtout au
bras
,qui resta fixé en flexion maximale sur la poitrin
e. H84 T. LEFÈVRE et un seul phénomène extérieur, une altitude de
bras
, c'est-à-dire un geste et, pour plus de simplic
composantes, en modifiant leur équilibre physico-chimique. Entre le
bras
en position et l'oeil, court une certaine somme
se propage automatiquement il toutes les autres. Quand on place les
bras
d'un sujet hypnotisé dans l'attitude de l'adora
ut, appuyée contre une femme qui se tenant derrière elle, passe les
bras
sous ses aisselles, afin de la mieux soutenir.
oupit. Il fléchit les genoux, s'assied sur les talons et croise les
bras
. Puis il se redresse. On le voit alors tirer de s
ers le bord radial de façon à se trouver à angle droit avec l'avant
bras
. Elle est susceptible de mouvements sur l'avant-
avec l'avant bras. Elle est susceptible de mouvements sur l'avant-
bras
mais seulement dans un angle de 40°. L'éminence
n. La seule différence consiste en ce que l'index est ici absent.
Bras
et avant-bras. - Ils sont très atrophiés de deux
t à remarquer que l'atrophie en longueur porte surtout sur l'avant-
bras
à droite, et surtout sur le bras à gauche. D'un c
ongueur porte surtout sur l'avant- bras à droite, et surtout sur le
bras
à gauche. D'un côté comme de l'autre les relief
limités, surtout à gauche ; de ce côté le mouvement d'élévation du
bras
, en avant ou latéralement, né se fait qu'avec dif
asse pas beaucoup la position horizontale, à droite au contraire le
bras
peut être levé presque verticalement. ' Le re
he. NOUVELLE Iconographie DE la SALPETRIÈRE. 1'. XXI. Pl. LXVII
Bras
gauche. Bras droit. EC1'ROWÉLIE LONGITUDINALE
Iconographie DE la SALPETRIÈRE. 1'. XXI. Pl. LXVII Bras gauche.
Bras
droit. EC1'ROWÉLIE LONGITUDINALE RADIALE BILATE
s. Cubitus. -Il est incurvé en arc de cercle vers le bord radial du
bras
(de- venu bord interne), son extrémité inférieu
ait également entravé dans une certaine mesure le développement des
bras
et des épaules. Pour élucider plus complètement
s membres supérieurs et des membres inférieurs-radius pour l'avant-
bras
, tibia pour la jambe se traduit par un tableau sy
étudiants, je lui explique que sa main est saine, que les nerfs du
bras
ne sont pas malades, que la circulation se fait b
1 pl.), 245. DESPLATS. Hypertrophie segmentaire consi- dérable du
bras
et de l'avant-bras avec dissociation syringomyé
l.), par Crouzon, 245. Hypertrophie segmentaire considérable du
bras
et de l'avant-bras arec dissociation syringomyé
ITZ, 90. Sensibilités (Hypertrophie segmentaire con- sidérable du
bras
elde l'avant-bras avec dissociation syringomyél
49. Sy,'il1yomyélique (Hypertrophie seymen- taire considérable du
bras
el de l'avant- bras avec dissociation des sensi
e (Hypertrophie seymen- taire considérable du bras el de l'avant-
bras
avec dissociation des sensibilités) (1 pl ), pa
psie partielle à début crural, accompagné ou non de généralisation au
bras
et à la face, de perte de connaissance,etc., suiv
noplégie brachiale désignerait une lésion du centre des mouvements du
bras
; de même, enfin, l'épilepsie à début facial voud
u'on peut voir des plaques méningées au niveau des centres moteurs du
bras
et de la face, mais ce que je veux dire, c'est qu
res, sauf un peu de parésie au niveau du membre inférieur gauche ; le
bras
correspondant, en particulier, avait conservé sa
l'admiration. Ces deux sentiments sont très nets. La malade élève les
bras
et les écarte, comme lorsqu'on est saisi d'un éto
r et elle nous fait le récit suivant. « Elle était d'abord dans les
bras
de son... » nous dirons : d 3 son amant, sans emp
e contentement ; elle renverse la tête en arrière, écarte et tend les
bras
, semblant y appeler quelqu'un du regard. Ether.
x. Immédiatement sa face prend l'expression d'une grande frayeur. Ses
bras
se lèvent et ses yeux regardant dans le lointain
température. Une impression de froid la fait frissonner et serrer ses
bras
contre son corps. Elle se couvre la tête et les é
ce à avoir des frissons, claquo des dents. Puis il sourit, croise ses
bras
, fait la planche et exécute des mouvements de nat
Mouvements de vomissement, crachement de glaires.) Pincements des
bras
, des jambes. — (Quand on agit sur le côté anesthé
piqûres successives.) Oh! que j'ai peur des rats! » Piqûres sur le
bras
. — C'est un monsieur qui la coupe profitant de ce
pectateur qui regardait les jambes de la malade. Il la prend dans ses
bras
, la porte dans l'allée d'une maison, envoie avec
saute sur les bancs, alors qu'il lui fallait, à l'état de veille, un
bras
pour la soutenir pendant la marche. Après quelque
part du temps avec des hallucinations visuelles. Il grimpait après le
bras
de son médecin, le pre- (1) Charcot. — Leçons s
eurs aucun mal, mais lui arracha l'écharpe blanche qu'il portait au
bras
(il venait de faire sa première communion) et lui
yeux se fermaient, ses paupières battant légèrement, les mains et les
bras
étaient le siège de quelques courtes contorsions,
ans le cours de la crise survenaient ces contorsions des mains et des
bras
qui en marquaient à peu près régulièrement le déb
torsion des poignets, fermeture des poings, adduction convul-sive des
bras
jusqu'à les porter derrière le dos. Cela dura que
nutes) mais il est exactement le même. Même période de contorsion des
bras
et des mains précédant l'invasion du délire lui-m
touilliez comme cela. Non, non, je suis trop chatouilleuse sous les
bras
(elle rit aux éclats pendant près de 5 minutes).
t trop jeune, et j'ai beaucoup souffert. (Elle balance la tête et les
bras
, puis elle reste immobile et inerte pendant quelq
plus. Maintenant allons-nous-en (elle marche comme si elle donnait le
bras
à quelqu'un). «.....Hé, Madame, on voit vos mol
en battant la mesure, puis elle a des mouvements choréiques dans les
bras
et les jambes.) « ..... Mais c'est une inondati
ange, tiens (elle fait un mouvement, comme si elle se jetait dans les
bras
de quelqu'un). Tiens-moi bien dans tes bras, mon
i elle se jetait dans les bras de quelqu'un). Tiens-moi bien dans tes
bras
, mon Paul chéri. Nous allons mourir ensemble. Oh
malade, sa physionomie revêt une expression de terreur, elle lève les
bras
au ciel : « Oh ! Charles, viens à mon secours !..
endant ce délire. Puis nous faisons quelques pincements de la peau du
bras
, de la jambe : t Voyons, Charles ! taquin '. Je
urs après l'accident de l'ascenseur, il traînait une petite voiture à
bras
, quand tout à coup il perdit connaissance et tomb
l'embêter!... Eh bien! madame, ça va mieux? (Il la soutient dans ses
bras
) Venez chez le pharmacien,.. Allons bon! Vlà qu'ç
la paume de la main en arrière et en dehors, les doigts fléchis. Le
bras
soulevé reste, raidi, dans la position qu'on lui
ance la main vers la clef, la saisit brusquement, puis tombe dans nos
bras
, en proie à une violente emballeur de la précéd
tition, se renverser légèrement en arrière et allonger ou replier ses
bras
convulsivement les abattant, ramassant des levé
llait aux champs, il rencontra une vipère qui s'enroula autour de son
bras
, sans le piquer d'ailleurs, et lui causa une fray
jeune fille m'affirma que le matin au réveil, Marguerite étirait ses
bras
et se renversait en arrière, ainsi qu'elle avait
attaque survient, beaucoup moins violente, les poings se ferment, les
bras
se tordent, la malade se renverse en arrière, éba
se en arrière, ébauchant un arc de cercle, ses poings se ferment, ses
bras
se tordent, elle est agitée d'un petit frissonnem
e, nous affirmons à cette malade, non endormie, je le répète, que son
bras
droit est paralysé, qu'elle ne petit plus le mouv
flasque... Après quoi, la simple affirmation qu'elle peut mouvoir son
bras
, tout à l'heure paralysé, suffit pour que les mou
urd'hui, tout se borne à un cri accompagné de quelques mouvements des
bras
et d'un arc de cercle caractéristique. D'autres
eur d'une petite attaque consistant en un cri, quelques secousses des
bras
et un arc de cercle. Comme chez la précédente m
fia dit-elle, de congestion cérébrale, suivie de parésie passagère du
bras
et de la langue pendant laquelle on s'aperçut du
ssent en outre une sensation de lourdeur. S'il appuie un instant, ses
bras
restent pendant quelques minutes « comme morts ».
ssures sans gravité dont on voit encore les cicatrices à l'épaule, au
bras
et au cou. Deux blennorrhagies, à vingt-cinq et à
incertaine. Incoordination motrice très nette. Perte des réflexes aux
bras
et aux genoux. Anes-thésie de la plante des pieds
fection, incoordination motrice se manifestant dans les jambes et les
bras
, d'abord sous forme d'incertitude, puis avec les
ers la gauche. Il disparaît complètement lorsque le malade, appuyé au
bras
de quelqu'un, se met à courir; il redevient aussi
ffaiblissement de la force musculaire est très net de ce côte pour le
bras
et pour la jambe ; la résistance aux mouvements p
ment son incapacité motrice. Elle avait débuté par le côté gauche (le
bras
, puis la cuisse) ; à vingt-cinq ans, c'est-à-dire
; à vingt-cinq ans, c'est-à-dire trois ans plus tard, le côté droit (
bras
en premier lieu) se prend à son tour. Le travail
ensions verticales sont supérieures aux dimensions horizontales. Le
bras
, dont le bord externe dessine une ligne concave e
es de l'avant-bras. Elles sont flasques aux pectoraux, aux muscles du
bras
. A la paume delà main droite leur consistance est
e biacromial antérieur : 35 centimètres. Côté droit. Côté gauche.
Bras
à 8 cent, au-dessus du bec de l'olécrane........
en ce qui concerne le deltoïde. Certains muscles ne répondent pas: au
bras
, le biceps et le triceps ; à l'avant-bras, les ex
sseurs de l'avant-bras et de l'abducteur du pouce. Mouvements. — Au
bras
l'abduction est faible, mais peut être portée jus
abduction est faible, mais peut être portée jusqu'à l'angle droit; le
bras
retombe alors de lui-même (impotence du deltoïde)
tement : le malade arrive à porter ses aliments à sa bouche avec le
bras
droit ; la fourchette est saisie entre le médius
de sa chemise avec sa main gauche, il lui faut d'abord immobiliser le
bras
gauche avec la main droite. Si l'on place une é
t à l'électricité est conservée. Cette dernière est un peu moindre au
bras
gauche qu'au bras droit. Pas d'anesthésie pharyng
est conservée. Cette dernière est un peu moindre au bras gauche qu'au
bras
droit. Pas d'anesthésie pharyngée. Conservation p
nt son séjour dans le service. Le mois suivant, il a accusé, dans les
bras
et les cuisses, quelques sensations douloureuses
sept ans bonne santé néanmoins. A ce moment la maladie s'accentue. Le
bras
droit s'affaiblit, ce qui détermine le malade, qu
ous arrêter. Leur aspect général est toujours à peu près le même : le
bras
, gros à sa racine, est mince et complètement atro
e deltoïde'gauche, bien qu'encore assez gros relativement au reste du
bras
, est cependant certainement atrophié et a perdu b
pparents. 11 est en effet très affaibli et le malade, pour porter son
bras
jusqu'à l'horizontale, transversalement, est obli
au niveau des deltoïdes, mais encore au niveau des autres muscles du
bras
, ainsi qu'on peut s'en rendre compte en comparant
. Le Noir et Bezançon. En effet, au niveau de la partie supérieure du
bras
, la circonférence qui était autrefois à droite de
droite et de 19 c. 5 à gauche. Les dimensions des autres portions du
bras
sont restées sensiblement les mêmes. Le volume
2 ou 3 minutes. Se répète tous les mois. Aura : Secousse brusque du
bras
droit, avec sensation d'un éclair qui monte du br
cousse brusque du bras droit, avec sensation d'un éclair qui monte du
bras
à la tête. Très courte. L'accès est précédé de
matin. Aura de durée variable, consistant en secousses brusques des
bras
et des jambes et un frissonnement général. Vert
ue des mains, qui lui fait lâcher les objets qu'elle tient ; puis les
bras
exécutent une ou deux secousses. Cela est assez r
ura : boule remontant à la gorge, fourmillements et tortillements des
bras
et mouvements de la tête. Accès de délire post-
nt mêmes phénomènes avec début au niveau de la main et propagation au
bras
. Outre les deux cas d'aura jacksonnienne, si ca
ts de l'aura proprement dite : phénomènes psychiques et secousses des
bras
, dans un cas ; congestion de la face et aura jack
ure au maximum. Puis sensation rapide d'engourdissement remontant des
bras
à la tête, enfin perte de connaissance et accès.
hute. Quelques prodromes, consistant en secousses involontaires des
bras
et précédant l'accès de vingt-quatre heures. Ob
bêtes féroces qui se jettent sur elle); enfin cris et convulsions des
bras
. Le3 accès de petit mal sont précédés seulement
e petits globes de feu; les yeux et la tête se tournent à gauche, les
bras
s'élèvent en l'air ; enfin elle perd connaissance
ni surtout de perte de connaissance ; seulement, dès cette époque, le
bras
et la jambe droits devinrent insensibles, presque
s. Depuis cette dernière campagne, il éprouve des douleurs dans les
bras
et les jambes. Incapable, dit-il, d'exercer son
la plus grande peine à s'échapper de ses mains. Bientôt après, son
bras
forcené se porte sur deux enfants en bas âge, e
contre les trous qu'il a pratiqués d'avance, à l'extrémité des deux
bras
de la croix et y fait pénétrer les clous afin d
peu près sous la même forme (mouvements brusques de projection des
bras
en avant, de haussement des épaules; geste semb
lieu de la couche optique droite et touchant par sa péri- phérie au
bras
postérieur de la capsule blanche interne ; l'exam
té par des attaques épilepti- formes avec convulsions localisées au
bras
et à la jambe gauches ; ,; ces attaques, d'abor
s'humec- tent de larmes. Pendant cette attitude contemplative, les
bras
pendent le long du corps; le malade a l'attitud
de la vie. C'est alors qu'il se fit avec un rasoir des entailles au
bras
gauche et aux deux jambes, vers le cou-de-pied.
elle a eu des attaques de nerfs, elle a une sorte de paralysie du
bras
gauche accompagnée de troubles de la sensibilité
lysie du bras gauche accompagnée de troubles de la sensibilité : ce
bras
'11 Z RECUEIL DE FAITS. est faible et la main
eur pendant sa grossesse, mais il était arrivé à terme, et ses deux
bras
sont restés égaux jusqu'à l'âge de dix-huit mois.
l'enfant, surtout le côté gauche, et dans le côté gauche surtout le
bras
. Pendant la convalescence il y avait de la raid
que l'autre. L'enfant «grognait lorsqu'on voulait lui faire ployer le
bras
pour l'habiller et lorsqu'on serrait un peu le
auche ». Deux mois après (à vingt mois) on s'apercevait déjà que le
bras
gauche était plus court que le droit. Ce membre
e relation entre les phénomènes cérébraux actuels et l'impotence du
bras
gauche ( ? ) Chen... rentre mal remis à Montmél
.. ne se dit pas malade, mais seulement gêné par l'infirmité de son
bras
gauche. L'inégalité de¡; deux bras est manifest
ment gêné par l'infirmité de son bras gauche. L'inégalité de¡; deux
bras
est manifeste (voir les photographies), le défi
normale de leur disposition anatomique. Les circonférences ues deux
bras
sont du reste à peu près égales. Ces différen
us d'epalsseur et de fermeté : sur ce point, l'asymétrie des deux
bras
est plus marquée. Le triceps brachial gauche es
sueur tandis que l'aisselle droite est à peine moite. ij'ct)M)H du
bras
en abduc- tion reste incomplète à gauche, il eu
on reste incomplète à gauche, il eu est de même de l'élé- vation du
bras
au-dessus de la tète, malgré une forte contrac-
rte inclinaison du tronc vers le côté opposé, le cône décrit par le
bras
reste orienté en avant, en dehors et un peu en
vant, en dehors et un peu en bas. La flexion de l'avant-bras sur le
bras
accentue l'asy- métrie des biceps. A gauche le
e petits mouvements involon- taires dans l'épaule gauche et dans le
bras
, jamais ailleurs. 11 s'agit t de contractions f
' P.-S. de Magalheies. Un cas de raccourcissement considérable du
bras
du côté gauche dû il un arrêt de croissance de l'
rations. Chez les sujets normaux, le rapport entre les longueurs du
bras
et de l'avant-bras est de 72,3 à 100 en moyenne
écl.. 1896, p. 115); Du même. Les pro- portions relatives des os du
bras
chez les hémiplégiques infantiles et les dégéné
e la pro- portion est renversée : l'avant-bras est plus long que le
bras
. L'anomalie est donc très marquée. Mais ce qu'i
. A droite, en effet, le rapport entre les longueurs respectives du
bras
et de l'avant-bras est de 100 à 88,7 ; c'est le
existait sur la moitié droite du thorax, et sur la face interne du
bras
droit, une dissociation syringomyélique de la sen
lésion ainsi localisée n'explique pas les troubles de la moitié du
bras
et de la jambe gauche. Faut- supposer une lésio
boisson. Quand il est gris, il prend son plus jeune enfant dans ses
bras
, le dorlote, le berce; on dirait qu'il veut lui
ement, un soir, pendant que Martin tenait son dernier bébé dans ses
bras
, il tomba avec dans la cheminée. Une chaudière
ne, le malade eut en même temps que sa blépharoptose une parésie du
bras
gauche, el, l'autopsie, en même temps, qu'un ra
t produit un ictus avec sensa- tion de gêne et de pesanteur dans le
bras
gauche, puis paralysie de la jambe gauche avec
yosis persiste. La déviation conjuguée de la tête n'existe plus. Le
bras
gauche est complètement paralysé, la jambe rest
ne dizaine de minutes. La résolution devient complète, sauf pour le
bras
et la jambe du côté droit qui demeurent con- tr
40°,0 à droite. Elle meurt à 7 heures, sans convulsions. Autopsie.
Bras
droit contracturé, fléchi dans chacun de ses se
servation V de Broadbent, il se produit un léger engourdissement du
bras
droit puis une paresse de la jambe du même côté
210 PATHOLOGIE NERVEUSE. des vomissements, un engourdissement d'un
bras
puis de la jambe, de la difficulté de la parole
ux heures, ouvrant sa bouche quand on le lui demandait, mouvant son
bras
et sa jambe gauches. A 9 heures, elle entra dan
eloppait cette grosseur, il res- sentait des fourmillements dans le
bras
, et éprouvait une difficulté croissante à mouvo
il joint les mains, puis remue les doigts, et 'enfin se croise les
bras
. Sa physionomie est extrêmement mobile.) D. C
aigrissement diminue. Impotence fonctionnelle à peu près absolue du
bras
gauche. OEdème très accentué. Apparition d'ulcé-
satisfaisant que pos-ible; mais l'impotence fonction- "nelle de son
bras
gauche est presque absolue. Cette situation, qui
lète avec début d'une contracture en flexion de l'avant-bras sur le
bras
et des doigts dans la main. Au membre inférieur
et ; elle raconte qu'une malade de la salle a placé dans son lit un
bras
, qu'elle a mis à l'annulaire de la main un anneau
de mariage ; elle demande avec anxiété ce qu'elle va faire de ce
bras
qu'elle croit sentir au pied du lit et insiste po
oyant son membre supérieur paralysé : « Tiens ! voilà ce malheureux
bras
, enlevez-le ! » Elle cherche à le prendre de la
connaissance, le malade s'est aperçu en voulant se chausser que son
bras
droit était paralysé; ayant voulu marcher, il c
Nous touchons le coude gauche ; le malade dit qu'on lui « prend le
bras
» ; pressé de préciser le point touché, il répo
e semble, je crois, etc. » Supprimant ensuite tout contact avec son
bras
paralysé, il déclare que nous le touchons et inve
vant-bras et de la main droite, elle semble légèrement conservée au
bras
, à la moitié de la face et au membre inférieur; e
entimètres. Les membres sont grêles, les muscles peu développés. Le
bras
, à sa partie moyenne, mesure 21 centimètre à dr
rapidement, début à la face, puis successivement secousses dans les
bras
, enfin le membre infé- rieur, pas de cri initia
ée U'une augmentation de volume des muscles de l'avant-bras et du
bras
qui sont durs et fermes, des éminences thénar et
artiels à forme corticale, consis- tant en secousses convulsives du
bras
droit avec inclinaison forcée de la tète à droi
es éloignés. Depuis peu de temps accès de convulsions partielles au
bras
droit, à la face et à la langue du côté droit a
anté apparente, par une faiblesse et une paralysie brusque des deux
bras
. Il n'y eut ni ver- tige, ni faiblesse des jamb
rme. D'un coup de son terrible bâton, M. Lucadou lui avait brisé le
bras
droit. A demi assommé, grièvement blessé, Drien
81 de la rue de Ménilmontant, quand soudain on le vit se piquer au
bras
droit avec une seringue dite « seringue de Prav
t des hommes autour de lui, des femmes, et même sa femme dans les
bras
d'hommes. Il voyait également des animaux. B...
ns aura, le corps se raidit dans l'extension la plus prononcée, les
bras
se collent contre le tronc, la face se congesti
en même temps que la face reprend la physionomie de l'attaque. Les
bras
restent quelques secondes raides mais la main e
aideur persiste, la face reste convulsée, mais les mou- vements des
bras
se produisent à intervalles très éloignés. On c
se replie sur lui-même, puis brusquement projette les jambes et les
bras
de tous côtés et renverse la tète en arrière ;
aie de mordre tout ce qui est à sa portée, ses pro- pres mains, ses
bras
, la jambe de l'infirmier, une serviette, etc. Il
et qui attaque, les poings sont fermés, l'avant-bras replié sur le
bras
, la physio- nomie exprime tantôt la frayeur, ta
lon. (Journ. de Neurologie, 1899, nu ! 13.) Il s'agit d'un tic du
bras
droit, du sterno-cléido-mastoïdien, du trapèze
que si on empêche artificiellement lavant-bras de se fléchir sur le
bras
, malgré l'e f SENS MUSCULAIRE. 465 fort du bi
te et quelques étourdissements avec engourdissements passagers du
bras
droit. Cet état de rémission se maintient penda
e; par A. Chauffard et V. Griffon. L'augmentation des dimensions du
bras
droit est totale, depuis la racine jusqu'à l'ex
it a 22 cent. 1/2 de circonférence, le gauche n'en a-que 17 1/4; le
bras
droit a 33 centimètres de circonférence et le b
a-que 17 1/4; le bras droit a 33 centimètres de circonférence et le
bras
gauche 28 1/2 seule- ment. D'autre part, la for
n droite. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ' 481 l L'hypertrophie du
bras
droit parait porter surtout sur le sys- tème os
our la cuisse, toutes les régions postérieure et interne ; pour les
bras
, les régions antérieure et interne. Au point
de haut en bas et de dehors, en dedans, que la cuisse ou l'avant-
bras
présente un oedème et une ecchymose considérables
étaient un peu atrophiés. Persistance des réflexes des muscles des
bras
, mais disparition des réflexes patellaires. Kien
tion vive du triceps, pendant une extension soudaine et violente du
bras
, ayant détermine une lésion du radial (Oppen- h
le buveur, et que les convulsions musculaires se succèdent dans le
bras
. Il faut, par exemple, que soudain se produise
est prise de convulsions de la moitié gauche du corps comprenant le
bras
, la jambe, la face; la tête est tournée à gauche
pendant de la réaction à la lumière. A 8 heures convulsions dans le
bras
et la face du côté droit, coeur extrêmement accél
de paralysie traumatique du plexus brachial (paralysie combinée du
bras
et de l'épaule de lE/'b); par Cuir. RASCII. (Ne
RASCII. (Neccrolog. Centralbl., XVII, 1898.) Paralysie soudaine du
bras
gauche par extension brusque en arrière. Bras g
Paralysie soudaine du bras gauche par extension brusque en arrière.
Bras
gauche pendant, flasque, le patient ne pouvant ni
ras gauche pendant, flasque, le patient ne pouvant ni rapprocher le
bras
de l'épaule, ni mouvoir l'avant-bras vers le br
i rapprocher le bras de l'épaule, ni mouvoir l'avant-bras vers le
bras
. Conservation des mouvements de la main et des do
s minutes. Quelques heures plus tard, appa- rait une hémiparésie du
bras
et de la main gauches ; enfin, au bout de quelq
é visuelle. Intégrité des nerfs craniens. Atro- phie des muscles du
bras
et de la jambe gauches ; mouvements spasmodique
es du bras et de la jambe gauches ; mouvements spasmodiques dans le
bras
gauche; peut-être quelque diminution de la forc
xillaire limitée au deltoïde. Et cependant le malade peut élever le
bras
gauche en avant et latéralement, seule- ment l'
de 45°. Or il est classique, que, dans la paralysie du deltoïde le
bras
ne peut être éloigné du corps La galvanisation cu
l'excitation faradique de l'axillaire permet bientôt l'élévation du
bras
gauche jusqu'à la verticale en un mouvement de
fronde et son maintien en cette situation. Onze jours plus tard, le
bras
peut être levé verticalement tranquillement en av
on que celle qui accompagne, pour l'omoplate droite, l'élévation du
bras
droit à la position verticale. En effet, le mou-
it à la position verticale. En effet, le mou- vement d'élévation du
bras
gauche à l'horizontale se fait, dans l'espèce,
he est moins puissante que celle de l'épaule droite; si on donne au
bras
gauche un haltère de six livres à soulever, on
n fait reparaître l'action vicariante du grand dentelé; tant que le
bras
n'a pas atteint l'ho- 504 REVUE DE PATHOLOGIE N
dentelé est une autre curiosité. Normalement, le deltoïde porte le
bras
jusqu'à l'hori- zontale, le grand dentelé compl
e dans le dos, douleur thoracique ; puis, se produit une parésie du
bras
droit et de la jambe du même côté, finalement,
tellaires d'ailleurs égaux absence de réflexes cutanés paralysie du
bras
droit et du bras gauche (celui-ci est moins att
urs égaux absence de réflexes cutanés paralysie du bras droit et du
bras
gauche (celui-ci est moins atteint) absence des
é au tronc, à droite seulement; sensibilité normale à la tête et au
bras
gauche, disparue à la partie inférieure du bras
ale à la tête et au bras gauche, disparue à la partie inférieure du
bras
droit. Vessie très pleine d'une urine alcaline
2 juin, la tête penche un peu à droite; paralysie flasque des deux
bras
; pas de réflexes patellaires ; l'attention est d
asynergie s'observe encore dans d'autres mouvements volontaires des
bras
mais surtout des jambes, Elle doit être attri-
iale, dans un mouvement énergique de flexion de l'avant-bras sur le
bras
, la contraction des muscles de la région antérieu
sur le bras, la contraction des muscles de la région antérieure du
bras
et celle du long supinateur ; faites exécuter c
à un sujet se plaignant de ressentir des douleurs violentes dans un
bras
ou dans une jambe et que vous constatiez que le
tion grave qu'il a subie, il s'affaisse. Son père le prend dans ses
bras
, le remet dans son lit; inquiet, il fait venir im
re ; on le soutient de la main gauche au niveau du pli du coude, le
bras
du sujet formant un angle obtus avec l'avant-br
TRÉMITÉ inférieure du radius. L'avant-bras, en partie fléchi sur le
bras
, est placé en demi-pronation et soutenu par la
up plus considérable, par celle des différentes parties de l'avant-
bras
et même parcelle de la région carpienne. L'étendu
ordinai- rement moins marquée que la flexion de l'avant-bras sur le
bras
, ou, tout au moins, n'est pas prédominante. Nou
e, lorsque, pour explorer la flexion réflexe de l'avant-bras sur le
bras
, on cherche à percuter le tendon du biceps. Il
i ou affaibli, peut être suivi d'une flexion de l'avant-bras sur le
bras
. C'est là le réflexe paradoxal du coude. Voici
Ie semestre, p. 5 [I. RÉFLEXES TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 51 le
bras
. Celle-ci s'accompagne parfois d'une flexion de l
énéralement inférieure à celle de la flexion de l'avant-bras sur le
bras
et ne lui est jamais supérieure. Or, la diminutio
eurs violentes, lancinantes, prédominant à la région postérieure du
bras
, une légère amyotrophiedu triceps brachial avec s
et par l'abolition du réflexe d'exten- sion de l'avant-bras sur le
bras
. POLIOMYÉLITE antérieure. Tandis que dans les n
tendineux. Admettons que le réflexe de flexion de l'avant-bras sur le
bras
soit seul aboli. Il ne faut pas en conclure que
culièrement nette pour le réflexe de flexion de l'avant-bras sur le
bras
. Au membre inférieur, l'inégalité dans le « réf
achilléen, ainsi que le réflexe d'extension de l'avant-bras sur le
bras
fai- saient défaut ; le réflexe de flexion de l
EXES TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 73 flexion de l'avant-bras sur le
bras
, jusqu'au huitième segment cervical, centre du
les réflexes intermédiaires, celui d'extension de l'avant-bras sur le
bras
et celui de pronation ? Ordinairement ils sont
es qu'il venait de charger, il ressentit un engourdissement dans le
bras
gauche et il s'aperçut que ce bras était involont
entit un engourdissement dans le bras gauche et il s'aperçut que ce
bras
était involontairement balancé le long de son c
egments les uns sur les autres ; cependant on ne peut pas soulever le
bras
malade aussi facilement qu'à l'état normal, ce
léchir sponta- nément les doigts sur la main et l'avant-bras sur le
bras
, mais ces mouvements sont très faibles, très li
as à droite. Le mouvement réflexe de flexion de l'avant-bras sur le
bras
est aussi nettement plus fort du côté de la paral
ituelle : lorsque le membre inférieur se porte en avant, on voit le
bras
se porter en arrière et vice versa ; du côté ga
rière et vice versa ; du côté gauche, il en est tout autrement : le
bras
se meut très peu et on observe comme une invers
s du membre inférieur et ceux du membre supérieur ; la cuisse et le
bras
se portent simultanément en avant et le malade,
té gauche, semble aller l'amble ; en réalité le mouvement en avant du
bras
n'est que la conséquence d'une propulsion exerc
e laisser le membre sain comme inerte et lui avoir soulevé les deux
bras
, je les abandonne à eux- mêmes, je constate cec
pos. d) Le malade étant assis ou debout, si, après avoir attiré ses
bras
en avant, je laisse simplement reposer ses main
l'accomplissement de l'acte et qui consistent en un balancement du
bras
se faisant en sens inverse du mouvement de va-et-
u moins modifiés par son intervention. Je soulève, par exemple, mon
bras
, puis je le laisse retomber comme inerte, en lui
s j'ai appelé l'at- tention. Il est naturel que le balancement du
bras
, mouvement accessoire fai- sant habituellement
es mouvements passifs, l'augmentation du nombre des oscillations du
bras
paralysé, comparé au bras du côté sain, dans le
ugmentation du nombre des oscillations du bras paralysé, comparé au
bras
du côté sain, dans les expériences b et c, la r
nt-bras placé en supina- tion un mouvement passif de flexion sur le
bras
et qu'on cherche à appli- quer ainsi ces deux s
on- tal, sur un plancher par exemple, dans le décubitus dorsal, les
bras
croi- sés sur la poitrine, le malade fait un ef
cte précédent, quand le malade, après s'être mis sur son séant, les
bras
toujours croisés sur la poitrine, porte le tronc
bre supérieur paralysé. Faites l'expérience suivante : saisissez le
bras
paralysé, soulevez-le et abandonnez-le ensuite à
e vous faites. Vous constaterez alors que chez le premier malade le
bras
para- lysé retombera immédiatement comme un cor
jamais elle n'y fit même allu- sion. Si on lui disait de mouvoir le
bras
droit, elle exécutait immédiatement l'ordre don
écutait immédiatement l'ordre donné. Lui demandait-on de mouvoir le
bras
gauche, elle restait immobile, gardant le silen
ments qu'on la priait d'accomplir. Quand on l'invitait à mouvoir le
bras
gauche, ou bien elle ne répondait pas, ou bien el
t combinés à de la pronation de l'avant-bras et de l'adduc- tion du
bras
. Ces mouvements peuvent présenter des modalités d
ression transversale du métacarpe, la supination forcée de l'avant-
bras
, etc. Ils apparaissent surtout dans les hémiplégi
it ou d'allongement, souvent combinés à de la pronation de l'avant-
bras
et de l'adduction du bras. Ces mouvements peuvent
nt combinés à de la pronation de l'avant- bras et de l'adduction du
bras
. Ces mouvements peuvent présenter des modalités
la jambe saine ; et si alors on pinçait la jambe du côté malade, le
bras
s'élevait de nouveau et la main se portait sur
çoit de troubles sensitifs à la jambe gauche et de lourdeur dans le
bras
droit. L'affection progresse insidieusement, sa
de la ponction, des douleurs violentes apparurent à l'épaule et au
bras
droit ; ces douleurs existent encore. Le mala
échelonnés sur sa route, il peut s'y cramponner et par la force des
bras
attirer son corps en avant. , Donc, à chaque te
e malade, après s'être couché à plat sur le dos et avoir croisé ses
bras
sur sa poitrine, fait des efforts pour se mettre
ui doivent' se recouvrir à peu près, s'il n'y a pas de déviation du
bras
. S'il existe une déviation, elle se traduira pa
gulaire se manifeste si on fait porter à la main d'un seul côté, le
bras
pendant, un poids de cinq kilogrammes ; elle se
chial gauche. Tampon appliqué à la partie moyenne et postérieure du
bras
. Avec 36 volts et 54 milliampères, N. F. provoque
onienne en nous fondant seu- lement sur ce fait que la paralysie du
bras
, quoi qu'elle ait débuté il y a six mois, et qu
en 1896, un matin, à son réveil, D. sentit des picotements dans le
bras
gauche ; quelque temps après, le malade s'aperçut
et vient faire saillie sous la peau. L'avant-bras est fléchi sur le
bras
. Le malade a pris l'habitude de porter la main ga
aître des secousses dans la plupart des muscles de l'avant-bras, du
bras
, de l'épaule et du cou du côté gauche, mais c'e
plus marqués. L'avant-bras en pronation se fléchit violemment sur le
bras
et vient frapper par saccades la paroi thoraciq
, que le spasme du cou s'associe à des mou- vements spasmodiques du
bras
. Ce qui fait la rareté de ce fait c'est que le
à chaque instant se mettre en contact par leur extrémité ; les deux
bras
fonctionnent d'une manière à peu près égale et ne
ue rarement d'une manière complète, caractérisé par de la rotation du
bras
en dedans et un soulèvement de l'épaule, qui, à
la ligne médiane du corps ; de plus, l'avant-bras se fléchit sur le
bras
et le bras se porte en adduction (voir fig. g).
médiane du corps ; de plus, l'avant-bras se fléchit sur le bras et le
bras
se porte en adduction (voir fig. g). Ces mouvem
ments, de réagir contre le spasme et de placer la tête ainsi que le
bras
dans leur position naturelle, mais il ne peut les
neuses à gauche également. I. Spasmes. Au repos, on constate que le
bras
est en légère abduction l'avant-bras en demi-fl
f du sujet : si celui-ci se sent observé, s'il pense simplement à son
bras
, ils redoublent. Ils diminuent et viennent à cé
t en évidence un état de spasme permanent des muscles adducteurs du
bras
: grand pectoral, grand rond et grand dorsal. L
ix jours après son mariage il fut pris de faiblesse et de douleurs au
bras
droit et en même temps d'une déviation de la bo
le malade, après s'être placé à plat sur le dos et avoir croisé ses
bras
sur la poitrine, fait des efforts pour se mettre
u tremblement intentionnel, mais le malade, après avoir soulevé les
bras
, peut les maintenir quelque temps immobiles, sa
in droite et à la moitié droite de la face. Au membre inférieur, au
bras
, à l'avant-bras droits et sur la moitié droite
x des membres supérieurs sont normaux. Parfois la malade soulève un
bras
et le main- tient pendant dix minutes, plus lon
nt être accomplies, mais non sans difficulté ; le malade soulève le
bras
droit moins bien que le gauche, il écrit lentemen
est pas immobilisée ; elle se déplace aisément en s'appuyant sur le
bras
d'une autre personne. Quant à son membre supéri
e le 3o mars, salle Jenner, et raconte qu'il y a go mois, ayant les
bras
levés pour passer le collier à son cheval, il r
ment, il éprouvait quelque gêne dans les mouvements d'élévation des
bras
et cette gène s'accentua progressivement. Bientôt
bilité lhcr- nuque. 37o PARAPLEGIES AFFECTIONS DE LA MOELLE
bras
(les fléchisseurs surtout), ceux de la main, sont
upérieure du tronc dans la région mammaire et à la face interne des
bras
; leur bord externe est par contre hyperesthésiqu
aux doigts et d'étendre bien qu'imparfaitement l'avant-bras sur le
bras
. Il existe à l'avant-bras et à la main un peu d
s en partie affaiblis. Le réflexe de flexion de l'avant-bras sur le
bras
est très faible, surtout à droite où il semble pa
ssus de la ligne mamelonnaire. En excitant la face interne des deux
bras
et la région thoracique correspondant aux 2'' e
eps (C-) était nettement exagéré, le réflexe de flexion de l'avant-
bras
(C") était considérablement affaibli, en outre on
nouveau ; elle marche lentement mais cor- rectement, appuyée sur le
bras
d un aide ; elle est même en mesure de faire, s
, qui sans être exclusivement localisées à la partie postérieure du
bras
, prédo- minent dans cette région ; légère atrop
rachial, et qu'en présence d'un malade qui se plaint de douleurs au
bras
on se contente du diagnostic vague de rhumatism
ompagnant pas de dou- leurs, dans celle-là les troubles occupent le
bras
, se manifestent par des douleurs et n'atteignen
portion adductrice du trapèze, le grand dentelé, le rhomboïde ; au
bras
: le biceps et le brachial antérieur, mais l'atro
de l'éminence thénar, 2 ; muscles de l'éminence hypo- thénar, 2.
Bras
: Biceps, 3 ; triceps, 3. Épaule : Muscles extr
les muscles de la racine des membres. Le malade ne peut soulever le
bras
au-dessus de l'horizontale et quand il exécute
achent du tronc; il y a de l'atrophie des deltoïdes. Les muscles du
bras
et les longs supinateurs sont diminués de volum
me surtout à gauche. Le mouvement de flexion de l'avant-bras sur le
bras
est faible surtout à gauche, mais même de ce côté
x tractions que l'on exerce en sens inverse. L'extension de l'avant
bras
sur le bras s'effectue avec un peu plus de vigueu
que l'on exerce en sens inverse. L'extension de l'avant bras sur le
bras
s'effectue avec un peu plus de vigueur que la fle
avec une perturbation des réflexes tendineux : dans les muscles du
bras
et de la cuisse qui ont perdu leur excitabilité i
effet, des deux côtés, le réflexe de flexion de l'avant-bras sur le
bras
, le réflexe du genou font défaut ; il en est de
t l'excitabilité électrique : on voit, en effet, que les muscles du
bras
et de la cuisse qui sont inexcitables par la pe
muscles fonctionnent d'une manière normale qu'il est paralysé d'un
bras
, que désormais il ne pourra plus le remuer est
si de dissocier dans le mouvement de flexion de l'avant-bras sur le
bras
l'action du long supinateur de celle du biceps,
que, je me suis efforcé de lui suggérer qu'elle avait été brûlée au
bras
et qu'il se développerait infailliblement, sur
le cas de paralysie brachiale d'origine suggestive : je soulève le
bras
paralysé et je l'abandonne ensuite à lui-même ; j
ou moins DÉMEMBREMENT DE L'HYSTÉRIE TRADITIONNELLE ! ,g5 long, le
bras
privé de soutien, au lieu de tomber comme un corp
es paralysies organiques, se maintient dans l'espace, à l'instar du
bras
d'un homme normal qui ferait un effort pour le
produire, par exemple, suivant mon désir, une paralysie limitée au
bras
ou occu- pant tout un côté du corps, légère ou
dormir profondément. Vous dites, par exemple : « Je soulèverai son
bras
10 fois ; à la dixième fois le bras, qui est flas
r exemple : « Je soulèverai son bras 10 fois ; à la dixième fois le
bras
, qui est flasque, se raidira ». L'expérience ré
malade de M. Raynaud, présentant une blessure à la face interne du
bras
, juste au niveau du paquet vasculo-nerveux, l'exi
rose -consécutive aux contusions du nerf frontal; les paralysies du
bras
observées à la suite de plaies par arme à feu d
stématisée des masses musculaires de la main, de l'avant-bras et du
bras
, sans réaction de dégénérescence. Les réflexes
térotherme . Nous avons cherché à déterminer, chez nos malades, au
bras
, à la cuisse, au poignet et au cou-de-pied, l'a
e encore dans les mouve- ments. Le blessé lève-t-il brusquement les
bras
ou marche-t-il, la main malade pend et oscille
tie supérieure de l'avant-bras, elles sont de 2 à 3 centimètres; au
bras
, elles sont de 3 à 4 centimètres. Malgré la loc
côté malade que du côté sain. Les oscillations mesurées à l'avant-
bras
avec le sphygmomanomètre de Pachon sont deux fois
éentraîner. Il se charge de les faire courir en les trainant par le
bras
. Malgré cet entraînement intensif, son pied n'arr
'étendre bien au-dessus du point lésé et atteindre, par exemple, le
bras
au-dessus du coude et jusqu'à l'épaule dans un ca
l'épaule dans un cas de lésion de la main. Quelquefois même l'autre
bras
présente quelques troubles vaso- moteurs et sud
bre supérieur droit, de l'amyotrophie des muscles de l'épaule et du
bras
et, six mois plus tard, une faiblesse du membre
l'opération, pratiquée par de Martel, il y eut une paralysie des deux
bras
, mais rapidement la motilité du côté gauche red
nsi que cela a lieu du côté opposé, la flexion de l'avant-bras sur le
bras
; la per- cussion des tendons fléchisseurs du p
cussion du radius ne provoque pas de flexion de l'avant-bras sur le
bras
; il n'y a pas de D. R., mais le deltoïde, le bice
ste debout, redresse la tête et se courbe légèrement en arrière : les
bras
, les jambes, le tronc se raidissent alors dans l'
dance à la catalepsie, mais qui ne résiste pas au défi d'abaisser son
bras
. La malade, comme beaucoup de sujets, par cela qu
ix minutes environ, M. Liébeault, sans rien lui dire, lève ses deux
bras
; ils restent en catalepsie : la malade ne sourci
approche, et, sans rien dire, je provoque l'automatisme rotatoire des
bras
, lequel je n'avais pu produire auparavant; je pro
ment ; que je l'avais brusquée, que j'avais voulu lui faire tenir les
bras
en l'air; qu'elle m'avait dit ne pas pouvoir dorm
en faisant allumer des fourneaux ardents et en désignant l'endroit du
bras
où l'on (1) Leçon faites à la Clinique des mala
. Après quelques mouvements alternatifs d'extension et de flexion des
bras
frappant à ton et à travers les objets qui l'envi
cence avait été marquée par la brusque apparition d'une hémiplégie du
bras
gauche avec hémianesthésie sensorielle et sensiti
ection. Au mois de février 1888, elle éprouvait des douleurs dans les
bras
et dans les jambes, précédant une poussée eczémat
ion d'apomor-phine dont j'injectai environ 3 centigrammes, au gras du
bras
. Cinq minutes ne s'étaient pas écoulées que la ma
avoir ses règles le lendemain malin, a six heures; 2° de présenter au
bras
droit, a l'endroit même où une feuille de papier
-à-dire la suggestion, parle mouvement ou la sensibilité. Je mets les
bras
du sujet en l'air ; ils y restent et il ne peut l
evé de sa main, avançait quelques pas, puis abaissait brusquement les
bras
devant eux. en leur ordonnant avec autorité de do
et sans qu'il ait assisté à aucune expérience de ce genre, je lève le
bras
d'un tel sujet, et je lui dis : « Vous ne pouvez
, suivant l'individualité psychique du sujet. Et je lève doucement le
bras
en l'air, j'obtiens souvent alors, même quand le
veillait chez elle une contre-suggestion involontaire. Je mettais ses
bras
en l'air : ils y restaient d'abord. Mais aussitôt
l'air : ils y restaient d'abord. Mais aussitôt que je disais : « Vos
bras
restent », ils retombaient. Les premières séances
ait subi, deux heures avant la visite de M- Potter, un traumatisme du
bras
. Cet enfant était délicat, très impressionnable e
incomplète et fugitive, parole embarrassée, figure déviée légèrement,
bras
gauche inerte, Jambe gauche inerte. Je suis app
a régularité ; la langue n'est pas déviée ; la parole est libre. Le
bras
est absolument inerte, avec œdème de la main qui
de la main qui commence à se contractera. Douleurs spontanées dans ce
bras
. Le membre inférieur a repris des mouvements ;
jours, en effet, on se plaint d'insomnie); 2° de la souplesse dans le
bras
; 3° de la force dans les jambes pour la marche.
a force dans les jambes pour la marche. Le résultat est nul pour le
bras
; il est tris sensible pour la marche. Aidée par u
tris sensible pour la marche. Aidée par une personne qui lui tient le
bras
du côté paralysé, la malade descend du lit et fai
emain, 30 novembre, le progrès obtenu pour la jambe persiste: pour le
bras
le résultat est nul. Les nuits ont été remplies p
ctique, qui lut a causé de l'aphasie temporaire, de la para, lysie du
bras
droit et de la jambe du même côté. Lorsqu'elle vi
ns d'origine circulatoires ne viendraient-elles pas dans les nerfs du
bras
ou de la jambe se surajouter à des troubles de na
labié. Le surlendemain, une deuxième attaque la laissait paralysée du
bras
droit et enfin, peu de jours après, une dernière
t de la main droite désigné d'avance, puis à la main tout entière, an
bras
, etc., et toujours au plus grand étonnement du su
janvier 1884 et le mois suivant elle perdait la faculté de mouvoir le
bras
gauche; puis, son intelligence s'obscurcissant pe
obéit pendant le sommeil à l'ordre que je lui avait donné de lever le
bras
paralysé. Il est inutile d'ajouter qu'elle recouv
neuro-musculaire que cette tétanisation cataleptique qui fait que le
bras
reste tendu aussi longtemps et sans fatigue appar
malade était bien une hystérique hémi anesthésique j'appliquai sur le
bras
anesthétique des plaquettes de cuivre. Déjà depui
ui, en raison de ses occupations, a presque toujours les mains et les
bras
dans le jus de labac. En outre, ayant du tabac à
crises et surtout de la contracture des membres. La contracture des
bras
s'accompagna d'un certain degré d'asphyxie locale
m'apercevant que la contracture s'était déplacée et localisée dans le
bras
, surtout A gauche en s'accompagnant d'une asphyxi
irant arriver très vite à la normale, j'eus l'idée de contracturer le
bras
gauche, dans l'espoir que le travail musculaire r
le membre. Les muscles de l'avant-bras étaient contractures, ceux du
bras
ne l'étaient pas. Le poul radial était sensibleme
s ont été pris à plusieurs reprises et ils sont très significatifs.
Bras
droit non influencé. T 30° Bras gauche asphyxié
s et ils sont très significatifs. Bras droit non influencé. T 30°
Bras
gauche asphyxié. T 19° A droite le tracé est à
racés sphygmographiques ont témoigné de la légalité des deux pouls.
Bras
droit. T. 31° Bras gauche. T31° Les expérienc
es ont témoigné de la légalité des deux pouls. Bras droit. T. 31°
Bras
gauche. T31° Les expériences ont clé répétées p
7 à gauche. Les tracés sphygmographiques sont encore concordants.
Bras
droit asphyxié. T. 20°5 Bras gauche non influen
ographiques sont encore concordants. Bras droit asphyxié. T. 20°5
Bras
gauche non influencé. T.28°7 J'ai également pro
erveux n'a pas varié. La seconde remarque, est d'un autre ordre, le
bras
droit était asphyxié et je venais de prendre des
rel de penser que le lien de compression existait seulement au pli du
bras
et que ce lien avait été enlevé par les diverses
ait à la grande salle d'audience des centaines de gens enchaînés, les
bras
attachés au cou et les pieds liés : quelques-uns
la même fermeté, abandonna Beha u din, qui fut conduit au sultan les
bras
liés au cou. Il fut amené à ses parents qui lui d
c contracture) : c'est le croisement de la contracture. Tandis que le
bras
droit et la jambe gauche étaient contractures. la
droit et la jambe gauche étaient contractures. la jambe droite et le
bras
gauche restaient souples, la tête était inclinée
tre malade en catalepsie dans sa chambre, debout devant sa glace, les
bras
en l'air soutenant ses cheveux, l'attaque l'ayant
rus. Il ressentait une vive douleur au niveau de la région malade. Le
bras
était rouge et tuméfié; les mouvements de l'artic
sertion numérale du deltoïde, la troisième à la partie postérieure du
bras
. Le Dr Toll l'hypnotisa trois fois dans les tro
ne jeune malade hypnotisée. à la face externe du tiers supérieur du
bras
, Jusqu'à l'os, et à l'aide du ciseau on fit une o
fixée et à midi précis, on le vît s asseoir sur son lit et étendre le
bras
sain; il prononça alors les paroles suivantes : «
ll a dit qu'il fallait me donner à manger à midi, » L'amputation du
bras
au-dessus du coude n'aurait certainement pas été
oteur ou idéo-dynamique qui transforme l'idée en acte et arme notre
bras
? Des crimes peuvent-ils être commis par suggestio
est méchant.il va vous mordre. » Le sujet voit le chien, éloigne son
bras
, met la main sur son mollet où il a reçu une mors
son amant à travers les deux mondes, se laisse jeter par lui dans les
bras
de plusieurs personnes de rencontre. Finalement e
l'idée fixe du suicide ; et par une évolution fatale, elle a armé son
bras
et l'a conduit à réaliser brutalement cette chose
Elle ne sentait ni le contact de ses vêtements, ni le pincement des
bras
et des jambes. Le simple contact d'une pointe d'é
n taillé fin. nous tracions sur ses épaules, sur sa poitrine, sur les
bras
, sur les cuisses, le simulacre d'un mot, d'un nom
corps pour limite exacte. Portez le stylet sur l'épaule, le dos, le
bras
gauche : elle ne sentira rien, ni piqûre, ni cont
s à l'autographisme, entre autres : Je lui ai fait appliquer sur le
bras
droit (côté sensible), une bande d'Esmarch enroul
phérique, une compression des nerfs superficiels, et de la cyanose du
bras
. Après quoi, je fis sur la partie antérieure de c
fruste pendant vingt minutes, se montra en reliefs égaux sur les deux
bras
. Quelques jours après, je fis appliquer de la g
s yeux (bien qu'elle ne se prêtat pas volontiers à l'expérience), ses
bras
restèrent en catalepsie, son côté droit devint in
ns. sans intermittence, je lui traçai sur les épaules un nom, sur les
bras
quelques lignes irrégulières, que nous vimes appa
de trente-deux ans, menuisier. Il me dit qu'il ne peut se servir du
bras
droit depuis quatre jours; qu'étant à son établi,
oit depuis quatre jours; qu'étant à son établi, occupé a raboter, son
bras
avait tout à coup perdu sa force, qu'il pouvait t
ernier, au mois de novembre, le même fait s'était produit sur le même
bras
et qu'il avait guéri par des électrisations. In
féminisme dans le caractère de cet homme. Il se présente à nous, le
bras
droit allongé le long du corps, non pas à l'état
lement aux mouvements qu'on lui imprime. 11 peut de lui-même lever le
bras
et le porter horizontalement, avec un effort cons
teur du cou; mais il lui est impossible de le porter sur sa tête ; le
bras
levé n'a ancune résistance, il cède à la plus lég
té gauche, 0 du côté droit. Cette parésie incomplète est limitée au
bras
; la jambe droite n'a rien perdu de son mouvement
omplets; et mon ma lade vit avec stupéfaction s'inscrire sur ses deux
bras
, son nom de Jules. Les reliefs présentèrent le ma
t huit heures, sans différence appréciable sur l'un comme sur l'autre
bras
, malgré l'émianesthésie de la peau. Guidé par l
ant. A votre réveil, vous sentirez dans tout votre côté droit : votre
bras
droit sera aussi fort, aussi libre dans ses mouve
re bras droit sera aussi fort, aussi libre dans ses mouvements que le
bras
gauche : et vous resterez guéri ! ! Réveille, i
il retrouve sa sensibilité complète; l'hémianesthésie a disparu; son
bras
droit meut aussi librement que l'autre ; et il se
bauche de mouvements d'extension et de flexion de l'avant-bras sur le
bras
, et du bras sur le tronc. Au dynamomètre, il ma
uvements d'extension et de flexion de l'avant-bras sur le bras, et du
bras
sur le tronc. Au dynamomètre, il marque 45 degr
tes, de l'angoisse prœcordiale. Des douleurs s'irradiant dans tout le
bras
gauchey déterminent une sensation constante d'eng
je lui fis exécuter à maintes reprises des exercices gymnastiques des
bras
. Toutes les douleurs éprouvées par le malade s
tténuèrent rapidement. L'angoisse prœcordiale et l'engourdissement du
bras
furent plus tenaces. Elles finirent aussi par dis
- REVUE 02 L'ilYl'NOTISMt: fer au poêle et tu te brûleras l'avant
bras
sur la ligne que je viens de tracer. Cela te lera
que je viens de tracer. Cela te lera mal. une rougeur paraîtra à ton
bras
, il y aura du gonflement, des phlyetènes de brûlu
ace indiquée cl une vive douleur au contact. Un nndeau lut nus sur le
bras
ci le malade se coucha, dans un lit, sous nos yeu
vives douleurs. Le chirurgien Dr Praline plaça une bande sur l'avant
bras
, elle remontait jusqu'au liers supérieur du bras.
ne bande sur l'avant bras, elle remontait jusqu'au liers supérieur du
bras
. Le pansement enlevé ù dix heures du matin, on
barres parallèles (Fig. 2) ; à marcher, soit en les tenant sous les
bras
, soit à l'aide du chariot (Fig. 3 et 4); on for
est obligé de suivre les moniteurs dans tous leurs mou- vements de
bras
. Les Fig. 52 et 53 donnent une idée de ce genre
eux par lesquels nous débutons : mouvement de flexion de l'avant-
bras
, en deux temps ; mouvement vertical des bras av
de flexion de l'avant- bras, en deux temps ; mouvement vertical des
bras
avec flexion en quatre temps ; mouvement horizo
ec flexion en quatre temps ; mouvement horizon- tal et vertical des
bras
sans flexion en quatre temps, etc. Dans les déb
ent court, à faire exécuter par l'idiot le mouvement latéral cles
bras
sans flexion, en deux temps, etc. Il va de soi
oloration rouge sombre, la confluence à la face, clans le clos, aux
bras
ct aux il) Voisin. De l'emploi du bruinm'c (le
paule droite une douleur vive qui s'exagérait par les mouvements du
bras
et offrait simultanément des accès, avec élance
poitrine', au niveau de la région mame- lonnaire. Les mouvements du
bras
étaient particulièrement pénibles : les mouveme
érées. Le 5 janvier le malade ressentit quelques douleurs dans le
bras
droit; il se produisit dans le courant de la jour
une ligne horizontale passant par le mamelon. 2 En faisant lever le
bras
du malade (fig. 2), on constate BOURNEVILLE, Bi
s. Dans l'aisselle et sur la partie interne du tiers supérieur du
bras
, il y a une vaste surface rouge sur laquelle sont
ns ordre. Il y a une traînée qui descend sur la partie interne du
bras
et bien visible lorsque, regardant le malade pa
cessivement pénible et les mou- vements qui tendent à rapprocher le
bras
du tronc sont impossibles. Au contraire le mala
. La diminution de la sensibilité à la piqûre existe aussi sur le
bras
, non seulement au niveau de la partie occupée par
'avant-bras ne présente pas ce phénomène. ' Tout le membre droit (
bras
et avant-bras) est plus froid que le gauche. Le
rtie de l'éruption, il a une sensation de froid continuelle dans le
bras
et la main. - L'état général est excellent. 9
aire et vient ensuite se distribuer à la peau de la face interne du
bras
en s'anastomosant avec l'accessoire du brachial
nous avons vu signaler la difficulté des mouvements d'adduction du
bras
. 3° Ce fait doit-il-être ajouté à ceux qu'a men
ns, mais peu de temps après la naissance, la mère s'aperçut, que le
bras
droit était paralysé. Gourme à 9 mois. Première
monter ni des- cendre les escaliers ; il faut la soutenir sous les
bras
. Puberté. - Corps glabre. Quelques poils sous l
nts, sans incoordination, les mouvements passifs sont aisés pour le
bras
, mais plus difficiles pour l'avant-bras où il fau
HÉMIPLÉGIE SPASMODIQUE. 81 après la naissance, on a remarqué que le
bras
droit était paralysé. La dentition a été un peu
aura, le corps se raidit dans l'extension la plus prononcée, les
bras
se collent contre le tronc, la face se congestion
n même temps que la face reprend la physionomie do l'attaque. Les
bras
restent quelques secondes raides mais la main est
raideur persiste, la face reste convulsée, mais les mouvements des
bras
se produisent à intervalles très éloignés. On c
replia sur lui-même, puis brusquement projette les jambes et les
bras
de tous côtés et renverse la tête en arrière ;
ssaie de mordre tout ce qui est à sa portée, ses propres mains, ses
bras
, la jambe de l'infirmier, une serviette, etc. I
t qui attaque, les poings sont fermés, l'avant-bras replié sur le
bras
, la physionomie exprime tanlôt la frayeur, tantôt
uvet de' la nuque à la région lombaire, sur la face postérieure des
bras
et des avant-bras, sur les cuisses et les molle
ant un cri de frayeur prolongé. Le corps tout entier est raide, les
bras
sont collés le long du corps, les avant-bras po
bout d'une minute commence une période de rémission relative. Les
bras
se croisent devant la face, comme si R... ne voul
est cependant plus accentuée et plus persistante dans le cou et les
bras
. La physionomie exprime toujours l'effroi, les
re à marcher. Il ne commença à pouvoir user de ses jambes et de ses
bras
qu'au bout de deux mois. C'est il ce moment que
sa position normale à mesure que disparaissait l'état parétique des
bras
et des jambes, au bout de six mois. A cette dat
lève au bout de 5 minutes avec une exagé- ration du tremblement des
bras
sans exagération du tremble- ment do la tète. S
ent souvent », dit-il. Le tremblement aurait notablement diminué au
bras
gau- che et augmenté un Peu il droite, surtout
qu'elle présentait à la dernière visite. - Il en est de même des
bras
, qui demeurent immobiles le long du tronc. - Assi
ronc. - Assis, le tremblement de la tète est encore plus léger; les
bras
appliqués sur le corps et les mains sur les cui
bouche qu'on observe dans l'a,thétose. Dans la station assise, les
bras
et les jambes sont immobiles ; seule, la tête t
exception, dès le début. Il a toujours été plus prononcé dans le
bras
et la jambe du côté droit. Il ne s'est jamais a
des paupières et des lèvres; globes oculaires déviées en dedans.
Bras
étendus, poings fermés. Membres inférieurs dans l
on ne l'en empêchait. Il donne plusieurs coups du talon sur le sol.
Bras
étendus, puis fléchis sur le bassin, jambes flé
on de la colonne vertébrale et des membres inférieurs. Rigidité des
bras
étendus en croix. Le malade prononce quelques m
8 ou 10 fois en 2'< heuivs. Souvent, quand on la prenait sur les
bras
, elle rejetait la tête en arrière et avait 8 ou
te une attitude vicieuse. L'avant-bras est on dcmi-Ilcxion SI11' te
bras
, la main il. demi-fléchie en pronat on ; par mo
lepti formes dans lesquels les convulsions étaient plus accusées au
bras
gauche. Sept mois plus tard, accidents méningit
ains ; il a continué jusqu'à l'admission. Sa mère lui attachait les
bras
. Préhension et mastication nulles : la langue s
Longueur de la verge, .') cent. ; circonférence 4 cent. */2. Les
bras
sont paralysés, longs et très maigres. Les avant-
. */2. Les bras sont paralysés, longs et très maigres. Les avant-
bras
sont fléchis sur les bras. Paralysie et contractu
alysés, longs et très maigres. Les avant- bras sont fléchis sur les
bras
. Paralysie et contracture prédo- minant à gauch
il saisit entre le pouce et l'index. Pour s'y opposer, on place ses
bras
sur sa couverture et on enveloppe le tronc dans
a paroi abdominale, ni du côté des organes intra- abdominaux. Les
bras
sont arrondis, normalement musclés, leur attitude
Période tonique. - Face pâle, immobile, yeux convulsés en haut, le
bras
droit est en demi-flexion, la main droite est r
emi-flexion, la main droite est restée dans la poche du paletot. Le
bras
gauche est allongé le long du corps. La rigidit
e de barres parallèles (1), à marcher soit en les tenant sous les
bras
, soit a l'aide du chariot; on fortifie leurs me
Elle est revenue aussitôt à elle comme d'un rêve. « Mon enfant a un
bras
et une jambe qui ressemblent à ceuxdumen()iante
? ? ,o. ? Membres supérieurs. - On n'observe pas de déformation des
bras
' Pig. -1. 10 PARÉSO-ANALGÉSIE DES extrémités
nts de rotation de l'avant-bras ne s'opèrent que par la rotation du
bras
et de l'épaule. Aucun traumatisme connu du père
tre ses doigts, sur la face dorsale du carpe, de l'avaut-bras et du
bras
. Il sent bien le contact de l'épingle que l'on
du bras. Il sent bien le contact de l'épingle que l'on passe sur le
bras
et l'avant-bras. Il ne sent pas le frottement d
essus de l'ayticulation du poignet. Au niveau de l'avanl-bras et du
bras
, le malade ne ressent qu'une piqûre lorsque les
Sur l'avant- z4 PARE50-AN11.GES1E L1 : 5 extrémités supérieures.
bras
et le bras, la sensibilité à la piqûre est normal
t- z4 PARE50-AN11.GES1E L1 : 5 extrémités supérieures. bras et le
bras
, la sensibilité à la piqûre est normale et le mal
ver de douleur. Au niveau de la, face interne du tiers supérieur du
bras
droit et de l'aisselle correspondante, analgési
DES extrémités supérieures. douleur. T. H. 38°,7 et 39°,5. Bain de
bras
phonique pendant trois heures; môme pansement.
diant atteint d'hémiplégie et que le père prétend que son fils a un
bras
et une jambe qui ressemblent à ceux du mendiant
cràne, c'est-à-dire à la partie tout à fait supérieure de l'avant-
bras
, et cela des deux côtés, il y a une zone d'enviro
ri de bête. » La mère dit que les convulsions étaient limitées au
bras
droit, l'autre bras n'avait rien, les jambes n'ét
ère dit que les convulsions étaient limitées au bras droit, l'autre
bras
n'avait rien, les jambes n'étaient pas raides.
La fontanelle n'est pas encore fermée. - L'enfant ne se sert ni du
bras
droit, ni du gauche pour tenir les objets. Jama
ence : 30 cen. timètres. Membres supérieurs. - Bien conformés. Le
bras
droit présente une raideur que l'on ne retrouve
més. Le bras droit présente une raideur que l'on ne retrouve pas au
bras
gau- che. De ce côté, on ne peut pas étendre co
au- che. De ce côté, on ne peut pas étendre complètement l'avant-
bras
sur le bras. La motilité spontanée, normale à gau
e ce côté, on ne peut pas étendre complètement l'avant- bras sur le
bras
. La motilité spontanée, normale à gauche, est à
profère quelque gémissement. Elle est dans le décubitus dorsal, les
bras
et les mains fléchis sur les extrémités des mem
ur l'autre. L'enfant réagit à peine aux sensations extérieures. Les
bras
sont accolés au thorax, les avant-bras à angle
s bras sont accolés au thorax, les avant-bras à angle droit sur les
bras
reposent sur la poitrine, les doigts sont légèr
t existent au niveau des join- tures et sont tous profonds. Les
bras
sont rapprochés du tronc, les avant-bras demi-
l'épaule descend un sillon circulaire qui passe sous la racine du
bras
pour le diviser dans le creux de l'ai- selle
it et se réveille en sur- saut à plusieurs reprises. Elle agite les
bras
dans tous les sens. 11 mat. l'as de lobe. Pouls
sistaient en chute bru-que sans cris avec mouvements convulsifs des
bras
et jambes. Il se relevait seul, parait-il, une
ouveau à marcher et il ne put le faire qu'en traînant la jambe ; le
bras
était inerte ; lorsqu'il recommença il parler,
qui n'empêche pas le malade de le soulever. Pendant cet effort, le
bras
cor- respondant se raidit et se soulève par un
e l'avant-bras droit. Quelques érosions, quelques ecchymoses sur le
bras
droit, qui parait recevoir des chocs plus fréquen
voûté; il lève péniblement le pied droit, dont la pointe frotte. Le
bras
droit est pendant le long du thorax, l'avant-br
eu congestionnée, les yeux sont hagards, il agite fré- quemment son
bras
gauche et sa jambe droite, cherche à mordre ceu
plète pour l'inférieur. Le membre supérieur était contracture, le
bras
collé contre le tronc, l'avant-bras presqu'à an
ras collé contre le tronc, l'avant-bras presqu'à angle droit sur le
bras
et la main à angle droit sur le poignet (Pif],
,.I'H.1,LITF CHRONIQUE. naissance, les yeux tournés, la jambe et le
bras
droits raidis. Rien à gauche. Pas de secousses,
ormale ; pas d'hémor- rhoides. Membres supérieurs. - La forme des
bras
est normale ; leurs dimensions égales des deux
de cachexie très pro- noncé : elle est dans le décubitus dorsal, le
bras
droit replié sur la tète. Sa figure exprime l'e
t pousse un cri hydrencephalique. Elle grince souvent des dents. Le
bras
droit est fortement contracture, l'avant-bras f
bras droit est fortement contracture, l'avant-bras fléchi sur le
bras
; les doigts repliés en crochet et difficiles à ou
pli de 4 à 5 millimètres. Membres supérieurs. -Le développement des
bras
est en rapport avec celui des autres parties du
lus de forces dans les reins, se tient mieux et plus droite sur les
bras
. 26 mars, - Gonflement des gencives qui sont do
ien ; mais la jambe gauche est toujours restée plus faible. Qant au
bras
gauche, il serait toujours resté paralysé ; l'e
est absolument impotent, l'enfant est incapable de s'en servir. Le
bras
est accolé au tronc, l'avant-bras -fléchi, la m
u corps. La tête est un peu rejetée en arrière, le tronc arqué, les
bras
pendants, les jambes molles. Légère palmature e
'olécrâne gauche, cicatrice de vésicatoire sur la partie moyenne du
bras
gauche. Derrière l'oreille gauche, cicatrice se
seulement. Quand il marche, il fléchit sur ses jambes, et prend le
bras
de la personne qui l'accompagne. - Très irritab
teau. Sa mère prétend que l'enfant aurait eu des secousses dans les
bras
(1), et que jusqu'à près de 10 ans, il balançai
continue cette dépression. Le (1) Les doigts se fléchissaient, les
bras
s'allongeaient et se portaient brus- quement en
ge au- dessous du pli du coude et ncevi à la partie supérieure du
bras
, vers l'aisselle. Taches brunes sur l'omoplate ga
as, vers l'aisselle. Taches brunes sur l'omoplate gauche, et sur le
bras
droit. Cicatrices blanches au niveau de la région
provoqué est de 0,25 à 0,30. Le malade dit que c'est lajambe et le
bras
gauches qui sont les plus forts. Il élève les p
contre l'autre, l'épaule gauche étant plus basse que la droite. Les
bras
, en fig. 39 238 Imbécillité ET paraplégie spa
l malade de toucher du doigt un objet (en ayant soin que l'image du
bras
n'arrive point' assez tôt dans le champ visuel
interne, le faisceau antérieur chemine à la partie pos- térieure du
bras
antérieur; les fibres postérieures accompagnent l
ents de protection et des mouvements compensateurs de la tête,. des
bras
et surtout des jambes; 1. La sensation vertigin
et les déplacé en piétinant sur place, il étend, latérale- ment les
bras
et les fait osciller ou les projette en avant et,
cles mécaniques, l'agraphie totale s'observe dans tes paralysies du
bras
droit chez les droitiers (pu n'ont pas eu le temp
Cette crampe consiste en une difficulté d'écrire, les mouvements du
bras
et de l'avant-bras, les gestes les plus déliés
mouvements qu'elle nécessite sont les symétriques des mouvements du
bras
droit dans l'acte d'écrire. Cependant, ainsi ép
ments divers ; simples : lever la main, fermer les yeux, étendre le
bras
, donner la main; ? s complexes : ouvrir têt oei
'abord la région excitée, le plus exactement possible (pied, jambe,
bras
, etc.), puis de montrer avec son index le point e
les excitations portant sur les doigts, ou a lavant-bras celles du
bras
, etc En marquant au crayon dermogra- phique ces
ur un schéma En écart de *2-"> centimètres sur les jambes ou les
bras
. de4-*> centimètres sur le dos se constatent
cile à étudier : pour ce faire, on suspend au doigt, il la main, au
bras
du malade, un petit panier de" papier ou d'osie
gale- ment les faces antérieures et postérieures du bord cubital du
bras
, de ! 'avant-bras et même de la main (8'' racine
issent aux membres Fig. 27. - Anesthésie du bord cubital des deux
bras
(Cvl11 et Dol) chez un fabrique. (Cas Geo.... l
métamère, correspond à un segment de l'individu : main, avant-bras,
bras
, etc. Telle est la théorie de la métamérie spin
partant de la face externe de l'épaule et suivant le bord radial du
bras
et de lavant-bras, en empiétant sur ses faces ant
- thésique occupe le bord cubital de la main, de l'avant-bras et du
bras
en s'avançant un peu sur les faces antérieure e
elle-peut remonter plus haut, sur la face externe et postérieure du
bras
, jusqu'à l'épaulé (5e, 6e, 7e, 8e cerv. ; 1''e
'à l'épaulé (5e, 6e, 7e, 8e cerv. ; 1''e dors.). La face interne du
bras
conservé sa sensibilité normale ,(2`' et 5e dor
hypothénar, hypoesthésie moins marquée du bord cubital de l'avant-
bras
(Cas Jabr..., Bicctre, 1905). TROUBLES DE LA SE
nt prendre la même distribution en bandes longitudinales le long du
bras
; on les observe souvent le long du bord cubital
évralgiques qui pourront être très tenaces. Certaines névralgies du
bras
sont profes- sioiiiielles. Lorsque la cause d
] 390 .NÉVRALGIES ET ALGIES.' la pression des différents nerfs du
bras
réveille ces douleurs ; les apo- physes épineus
s violentes, lancinantes, prédominant dans la région postérieure du
bras
, par un affaiblissement du triceps brachial ave
'hypertrophie cardiaque pourrait être consécutive aux névralgies du
bras
. , Oppenheirll a attiré l'attention sur les mal
11 s'agit de personnes qui souffrent de douleurs violentes dans un
bras
; c'est le symptôme unique ou le principal sympt
rrnenl cette douleur suit le trajet d'un nerf; il arrive même qu'au
bras
la douleur suit le trajet d'un nerf et à l'avant-
roxys- tiques. Ces accès sont provoqués souvent par un mouvement du
bras
, une respiration profonde, la toux, l'effort au
tales peuvent irradier dans le dos, la mamelle, la face interne; du
bras
(anastomose des 2° et 5*' nerfs intercostaux av
s. Dans ce but on peut, si le malade est couché, laisser reposer le
bras
et l'avant-bras sur le plan du lit; si le malad
du lit; si le malade est assis, on lui recommandera de laisser ses
bras
pendants, les avant-bras reposant sur les cuisses
es doigts et tremblements fibrillaires dans les muscles de l'avant-
bras
. A un stade plus avancé de la maladie, il y a abo
t qu'ils marchent, beaucoup d'hémiplégiques lèvent plus ou moins le
bras
du côté paralysé en l'arrondissant et en l'écarta
supination, rotation en dehors, extension des doigts, élévation du
bras
pour le membre supérieur; pour le membre inférieu
n sait qu'elle s'obtient au moment où le malade étendu à terre, les
bras
croisés, cherche à se relever ou quand, assis à t
eurs : du côté [CROUZON.] 478 MOUVEMENTS ASSOCIÉS. paralysé, le
bras
se met par. exemple en abduction ou en demi-flexi
zontal, sur une planche par exemple, élans le décubitus dorsal, les
bras
inclinés sur la poitrine, le malade fait un eff
ces formes. Tétraplégies. - Les quatre membres sont atteints : les
bras
sont pris fréquemment les premiers, et les phén
isparaissent et le malade, abandonnant ses béquilles ou lâchant le,
bras
de l'aide, marche comme tout le monde. Un arrêt
e membres et la démarche spasnm- dique. Mais, si la contracture des
bras
et la griffe des mains sonthabi- tuelles dans l
supérieure avec pseudo-névralgie sur les trajets radi- culaires du
bras
. Le syndrome médullaire peut reproduire soit le t
r- tent l'humérus en arrière, mais amènent une élévation moindre du
bras
qui forme un angle de 4J degrés avec l'horizon.
J degrés avec l'horizon. Quant aux faisceaux moyens, ils élèvent le
bras
directement en dehors il une hauteur intermé- d
ux du muscle se contractent, il en résulte une abduction directe du
bras
. Le deltoïde ne peut élever seul le bras au-des
e une abduction directe du bras. Le deltoïde ne peut élever seul le
bras
au-dessus de l'horizontale, car l'humérus ren-
re de la capsule de l'articulation scapulo-humerate. L'élévation du
bras
au-dessus de l'horizontale, dans la position vert
n effet, la contraction du deltoïde, en même temps qu'elle élève le
bras
, a pour résultat de faire pivoter l'omoplate de d
n élève l'angle externe acro- mial. ' Le mouvement d'abduction du
bras
est très important; aussi la para- lysie du del
', branche du plexus brachial. Physiologie. Le sus-épineux élève le
bras
en avant et en dehors et lui imprime une rotati
logie. Le grand rond prenant son point fixe sur l'omoplate porte le
bras
en dedans et en arrière. Prenant au contraire son
de ligament actif de l'articulation scahulo-lucmérolc. à MUSCLES DU
BRAS
Biceps. - Insertions. Le muscle biceps est form
upination ou en pronation. Dans le premier cas, il fléchit l'avant-
bras
sur le bras. Dans le second cas, la contraction d
en pronation. Dans le premier cas, il fléchit l'avant- bras sur le
bras
. Dans le second cas, la contraction du muscle amè
d'abord la main en supination, puis il ffechit l'avant-bras sur le
bras
. La puissance d'action du muscle s'accroît à me
xé. Le biceps agit alors sur l'épaule qu'il porte en haut et sur le
bras
qu'il fléchit sur l'avant-bras. Par son expansi
ion. Nerf niuseulo-cutané. Physiologie. Le coraco-brachial porte le
bras
en avant, en dedans et en haut. Son action addu
ant, utile dans ce mouvement. En effet, les puissants adducteurs du
bras
, le grand dorsal, le grand rond, le grand pectora
le triceps et le coraco-brachial sont paraisses, les adducteurs du
bras
par leur contraction peuvent-ils déter- miner u
ial. Physiologie. Le brachial antérieur fléchit l'avant-bras sur le
bras
, c'est le 'fléchisseur indépendant de Duchenne.
comme dans l'action de grimper, le bra- chial antérieur fléchit le
bras
sur l'avant-bras. La paralysie isolée du brachi
n et du vaste interne, naissent du radial à la partie supérieure du
bras
, le rameau du vaste externe naît plus bas dans
ologie. Le triceps brachial est un extenseur de l'avant-bras sur le
bras
. Ce sont surtout les vastes externe et interne qu
et de l'anconé rend impossible l'ex- tension de l'avant-bras sur le
bras
. Toutefois, dans beaucoup de mouve- ments. la p
eur de la main et secondairement fléchisseur de l'avant-bras sur le
bras
. Il n'est un fléchisseur puissant que lorsque s
Physiologie. Son rôle principal est de fléchir la main sur l'avant-
bras
. Il peut aussi, mais dans une faible mesure, mett
la main en pro- nation, en abduction et fléchir l'avant-bras sur le
bras
et. le bras sur l'avant-bras quand ce dernier e
ro- nation, en abduction et fléchir l'avant-bras sur le bras et. le
bras
sur l'avant-bras quand ce dernier est immobilis
ue les autres muscles épitro- clllécns, fléchir l'avant-bras sur le
bras
. On a dit qu'il était un tenseur de l'aponévros
radial. Physiologie. Le long supinateur lléchit l'avant-bras sur le
bras
, et le met en demi-pronation. Quand la main est
avec les muscles superficiels de la région postérieure de l'avant-
bras
, sur une forte aponévrose située sur sa face post
. est avec le biceps le principal agent de ce mouvement de l'avant-
bras
.* las." .^H| Région postérieure de l'avant-br
EUR, 5 5 Physiologie. L'anconé est extenseur de l'avant-bras sur le
bras
, il détermine aussi au cubitus un mouvement de
t et en haut (attitude de la crainte et de l'humiliation). Quand le
bras
est ver- tical, elle l'abaisse en le portant ve
e jusqu'à ce qu'il soit devenu horizontal (geste détenir); quand le
bras
est étendu transver- salement, elle le rapproch
lle le rapproche de la ligne médiane (geste d'embrasser) ; quand le
bras
est pendant le long du corps, elle amène le coude
le amène le coude en avant, en dedans et un peu en haut, serrant le
bras
contre le thorax. La portion inférieure formée
ostales infé- rieures abaisse le moignon de l'épaule et applique le
bras
contre le thorax. Si le bras est étendu transve
le moignon de l'épaule et applique le bras contre le thorax. Si le
bras
est étendu transversalement, elle porte le coude
ndu transversalement, elle porte le coude en avant et en bas. Si le
bras
est vertical, elle l'abaisse et porte le coude en
te le coude en avant et en bas. Le grand pectoral est rotateur du
bras
en dedans, c'est-à-dire prona- teur. Dans le ge
omme un muscle inspirateur. Quand le grand dentelé est paralysé, le
bras
ne peut s'élever au-dessus de l'horizontale. Du
ever au-dessus de l'horizontale. Durant le mouvement d'élévation du
bras
l'angle externe clll scapulum s'abaisse, l'angl
du côté paralysé et exclusi- vement dans l'élévation volontaire du
bras
. Elle est essentiellement carac- térisée par un
fixité de l'omoplate est aussi une grande gêne pour l'élévation du
bras
. Grand dorsal. Insertions. Le grand dorsal s'in
. Quand il prend son point fixe sur la colonne vertébrale et que le
bras
est élevé et écarté du tronc, le grand dorsal l
ui porte la face palmaire en dedans vers la ligne médiane. Quand le
bras
est placé dans une direction paral- lèle il 1 a
ts [G. GUILLAIN.] ? 72 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE. d'abaissement du
bras
ne se produisent plus que par l'effet de la pesan
a ligne médiane, tandis que le moignon de l'épaule s'abaisse. Si le
bras
est verticalement levé au moment où le rhomboïd
ira- foire du grand dentelé et affaiblit le mouvement par lequel le
bras
se porte en arrière et en dedans. Les omoplates
te d'un fruit; par l'cxei- tation de la sixième paire cervicale, le
bras
s'approche de la bouche; par l'excitation de la
é, une variété de paralysie obstétricale intéressant des muscles du
bras
innervés par des nerfs différents. Erb localise
s une chute ou après un traumatisme, se présente au médecin avec un
bras
immobile et abaissé. Le membre supérieur est cont
fait sur lequel a insisté lluet et qui s'explique facile- ment. Le
bras
qui pend le long du corps tend par son propre poi
xamen du malade, il est facile de constater que tous les muscles du
bras
ne sont pas paralysés, les troubles sont limité
sseur, étant paralysé, le malade ne peut fléchir Lavant-bras sur le
bras
. La paralysie du brachial antérieur, . LES PARA
court supinateur peut aussi être atteint. La supination de l'avant-
bras
est produite, dans les mouvements physiologiques
Le muscle biceps agit surtout quand l'avant-bras est étendu sur le
bras
, le. muscle court supinateur agit principalemen
ulaire supérieure, les mouvements de flexion de l'avant-bras sur le
bras
sont abolis, il est facile, au contraire, de con-
. Le triceps ne présente aucun trouble. Prie-t-on le malade dont le
bras
est étendu de s'opposer à un mouvement de flexion
s, dit Dejerine, on observe une an6stli('sie sur le côté externe du
bras
et de l'avant-bras empiétant en avant et en arriè
e malade est incapable d'agir sur le. dyna- momètre. Les muscles du
bras
ont conservé leur contractilité normale et tous
a moitié interne de la main, de l'avant-hras, il la face interne du
bras
jusqu'à doux ou trois centimètres au-dessus du co
t. totale, la monoplégie brachiale est absolue, tous les muscles du
bras
sont atteints. Le membre supérieur lésé pend in
sie peut remonter plus haut sur la région externe et postérieure du
bras
, mais, il la région interne, la sensibilité est c
s qui accusent encore des four- millements dans les mains, dans les
bras
, mais il faut alors faire la part de certains t
miner les muscles paralysés. La paralysie est-elle totale, alors le
bras
pend inerte et il est possible de lui communiqu
thesic brachiale, est absolue, est conservée à la région interne du
bras
la où l'innervation se fait par les rameaux per
erne de l'os s'écarte de la co- lonne vertébrale. Les mouvements du
bras
sont pénibles il cause du manque de fixation du
partie de. la région postérieure de l'épaule et le bord externe du
bras
jusqu'à trois ou quatre travers de doigt au-dessu
ation de la main alors que l'avant-bras est dans l'extension sur le
bras
; il faut se souvenir que le biceps est un supinat
r de la main en même temps qu'un fléchisseur de l'avant-bras sur le
bras
. La paralysie du long supinateur est facile à c
ur le hord cubital on prie le malade de fléchir l'avant-bras sur le
bras
et l'on s'oppose il ce mouvement., on ne sent p
complète et tous les mouvements d'extension de l'avant-bras sur le
bras
sont impossibles. Lorsque le nerf radial est lésé
nts tranchants assez fréquentes, luxation de l'épaule, fractures du
bras
ou de lavant- bras), à des névrites infectieuse
z fréquentes, luxation de l'épaule, fractures du bras ou de lavant-
bras
), à des névrites infectieuses ou toxiques. Lors
ectieuses ou toxiques. Lorsque le nerf médian est lésé au niveau du
bras
, tous les muscles innervés, par lui sont paraly
l'atrophie d'un grand pectoral, on fera rap- procher avec force le
bras
du tronc ; la contraction sera plus puissante s
traction sera plus puissante si en même temps on tente d'écarter ce
bras
du corps. Dans ces mouvements actifs on verra s
du deltoïde : la contraction totale du muscle (dans l'abduction du
bras
pour le deltoïde) révèle alors facilement l'atr
s rapidement ressentie que l'atrophie des muscles de l'épaule ou du
bras
, et cela surtout chez ceux qui, comme les horlo
être toujours atteints d'atrophie dès le début, tels les muscles du
bras
et le long exten- seur, le grand pectoral et le
le pied bot équin ou varus, la rétraction de l'avant-bras sur le
bras
, la rétraction de la jambe sur la cuisse. La pa
nt d'abord et surtout les muscles de la ceinture scapu- laire et du
bras
; rarement elle frappe en même temps les muscles d
l'extrémité épaisse et bien musclée du membre pendant au bout d'un
bras
décharné est tout à l'ait spéciale. Aux membr
igné sous le nom de « faciès de sphinx ». Dans les mouvements des
bras
les déformations s'accusent. L'omo- plate, qui
n'est plus soutenue, suit presque complètement les mou- vements des
bras
en basculant autour de l'articulation scapulo-hum
) MYOPATHIE rACIO-SCAI'UL0-IIU)II;ItAl.l : . (¡Si raie; quand les
bras
s'écartent du corps, leur angle inl'éro-interne s
angle inl'éro-interne s'écarte de la colonne vertébrale; quand les
bras
se portent en arrière, cet angle inféro-interne
la colonne vertébrale en s'élevant. Dès que les malades élèvent les
bras
, ou même dans certains cas au repos, l'angle su
normale très caracté- ristique. Quand l'atrophie des épaules et des
bras
est très prononcée, le malade ne peut plus util
e avec proéminence du ventre et lordose lombaire, l'atio- phie du
bras
. - . - MYOPATHIE F : lCfO-SI : aI'I,O-Iit11111
minence thénar se prennent presque en même temps que les muscles du
bras
(Landouzy et Dejerine). La phase d'hypertrophie o
avant et en arrière d'une épaisse couche musculaire, le thorax et le
bras
d'autre part, réduits presque à l'état squelett
exceptionnel de constater une atrophie légère de quelque muscle du
bras
ou de l'épaule (triceps, sus- et sous- épineux,
x muscles des membres supérieurs en commen- çant par l'épaule et le
bras
; tardivement elle envahit aussi les jambes et
rophie commence ou semble commencer, beaucoup plus rarement par les
bras
(Etienne) ou le tronc, tout à fait exceptionnelle
st la main de squelette, la main de cadavre. L'atrophie gagne les
bras
et, plus souvent, les épaules, soit un temps pl
plus ou inoins long après les avant-bras, soit parfois avant eux. Aux
bras
, elle frappe le biceps, le brachial antérieur,
, par de violentes douleurs névral- gigues de la nuque, du cou, des
bras
, parfois du tronc, par l'exagé1Yl- lion des réf
gomyélique suivant le type scàpulo-huméral (ceinture scapulaire et
bras
) ou suivant le type dorso-lombaire (ceinture pe
de l'hémorragie, elle se limite à certains muscles de l'épaule, du
bras
et de l'avant-bras, à la musculature de la paroi
: paralysie atrophique des muscles de la main, de l'avant-bras, du
bras
et de l'épaule, anesthésie de la main, de l'ava
l'épaule, anesthésie de la main, de l'avant-bras et généralement du
bras
, à l'exception de la région interne innervée par
tend bientôt aux doigts voisins, puis à la main, à l'avant-bras, au
bras
. Le doigt lésé s'atrophie, s'el'lile, sa peau d
après la main, l'atrophie musculaire gagne souvent l'avant-bras, le
bras
même, mais elle n'est généralement pas proportion
a cuisse sont moins pris; les muscles des mains, des avant-bras des
bras
, du dos et de l'abdomen ne le sont qu'exceptionne
Les troubles moteurs et trophiques peuvent s'étendre aux muscles du
bras
et au deltoïde ou aux : péroniers et aux extens
fois des avant-bras (muscles épitrochléens), exceptionnellement des
bras
. Les contractions fibrillaires sont exceptionne
moyens naturels d'attache au tronc, et. en l'empêchant de suivre le
bras
dans tous ses mouvements, on facilite beau- cou
supérieurs : mains ; évolution : membres supérieurs : mains, avant-
bras
, épaules, bras, thorax, tronc; diaphragme; viscèr
ins ; évolution : membres supérieurs : mains, avant- bras, épaules,
bras
, thorax, tronc; diaphragme; viscères; membres inf
e. On trouve sur les statues d'Hercule les saillies musculaires des
bras
et des jambes, surtout des biceps et des quadri
e grands mouvements de salutation irréguliers et décrire avec leurs
bras
de larges battements d'ailes ou de véritables m
her qu'en soutenant le corps artificielle- ment- et en appuyant ses
bras
sur son chariot. 756 INCOORDINATIONS. Il arri
larité, de maladresse, avec ou sans oscillations et tremblement des
bras
et des mains. L'écriture est souvent irrégulièr
les. Le sujet restant couché, on lui or- donne de croiser ses
bras
, d'étendre et d'écarter légère - ment ses jam
ion combinée des cuisses et du bassin. - Le sujet étant couché, les
bras
croisés, on le prie de s'asseoir. L'individu 'n
: flexion des membres inférieurs; passage à la position assise, les
bras
restant croisés et les jambes étendues; b) malade
tonnant, en décrivant des zigzags à la manière d'un homme ivre, les
bras
, non encore incoordonnés, écartés du tronc et j
ou sans appareils. La rééducation des parties proximales du membre,
bras
et avant- bras, ne comporte pas d'appareils spé
ls. La rééducation des parties proximales du membre, bras et avant-
bras
, ne comporte pas d'appareils spéciaux : elle cons
s, la contraction des commissures buc- cales, des secousses dans le
bras
. Il y a toujours perle de connaissance et celle
our les membres supérieurs il faut demander au malade d'étendre les
bras
et d'écarter les doigts : c'est l'altitude du s
, il en est de même du tremblement : si l'on fait un effort dans nn
bras
, le tremblement s'exagère dans l'autre bras. Mais
fait un effort dans nn bras, le tremblement s'exagère dans l'autre
bras
. Mais, à part ces cas oir TREMBLEMENTS 83. l'
ements alternatifs de flexion et d'extension de l'avant-bras sur le
bras
, de pro- nation et de supination de la main sur
emblement proprement dit : c'est plutôt une agitation au niveau des
bras
, des jambes, de la langue, dans tout le corps,
mbres supérieurs, pour le voir, si on demande au malade de tenir le
bras
étendu on voit alors de petites oscillations rapi
t être constatée plus aisément par le « phéno- mène de la chute des
bras
» (Meige) ('). Les tendances plus ou moins accu
- lois atrophié ou perverti ("). 1. Le. phénomène de la chute des
bras
est le suivant : le malade a les bras étendus e
. Le. phénomène de la chute des bras est le suivant : le malade a les
bras
étendus en croix, supportés dans le relâchement
eur ; celui- ci retire brusquement ses mains : à l'état normal, les
bras
tombent immédiatement,' par un mouvement unifor
très fréquente à des mouvements convulsifs de l'épaule, parfois du
bras
, du tronc, plus rarement de la face et de la lang
douleur articulaire, la recherche d'un craquement, etc. Tics des
bras
et avant-bras ; tics d'écartement. ou de rapproch
à la position couchée ou debout, marche, élévation, abaissement des
bras
, etc.... Pendant ce stade, les séances ne durer
t des inspi- rations longues et profondes, avec élévation lente des
bras
dans l'inspi- ration, leur abaissement lent dan
art aux pi ? nomènes spasmodiques : les muscles de I avant-bras, du
bras
, de l'épaule y participent souvent. « La foncti
apper qu'un ou plusieurs doigts où simultané- ment l'avant-bras, le
bras
, l'épaule ; l'écriture est tremblée et sinueuse.
bientôt, « inerte » (Brissaud). Lorsqu'une secousse est imprimée au
bras
, ce membre peut présenter pendant un certain te
nt des années parfois le, catatonique restera la tète inclinée, les
bras
en croix. En d'autres cas, il répétera un même
re en contact, par sa face anté- rieure, avec la face antérieure du
bras
. L'hypotonie du tronc, et en particulier celle
affection organique : il y a flexion exagérée de lavant-bras sur le
bras
par hypotonie des exten- seurs. Pour apprécier
n exagérée, on peut la comparer à la flexion de 1 avant-bras sur le
bras
du côté sain, en se plaçant devant le malade et
teindre soit les deux membres inférieurs, soil plus souvent un seul
bras
ou une seule jambe. Le trophoedème est le plus fr
5 centimètres de mercure par exemple, le malade est placé l'avant-
bras
étendu reposant sur un plan résistant; on saisit
Les rnoyèns de coercition (camisoles de force, liens pour fixer les
bras
, appareils de protection des organes génitaux)
ents terminaux seuls (avant-bras et main), les segments ba- saux (
bras
) su- hsistant, la.p7ao- - çoraélie (cpwx'r¡ ,
gnet; elle est peu marquée ou nulle au niveau des avant-bras et des
bras
. Quelquefois, surtout dans les cas d'acromégali
r la simple application d'un lien circulaire sur l'avani-lras ou le
bras
; ils présentent la coloration et les troubles vas
une main de dimension normale, par- fois petite, à l'extrémité d'un
bras
et d'un avant-bras à aspect parfois pseudo-élép
moins tenaces. Puis les avant-bras sont atteints il leur tour, les
bras
, la face et plus ou moins toute la surface cutané
erve la même attitude quand l'avant-hras est en demirflexion sur le
bras
, position la plus ordinaire, ou quand il est en
sentir sa corde contractée durant la flexion active de l'avant-
bras
; la paralysie est gé- néralement bilatérale et
âchoire. EE'. D. des épaules. II'. D. du hassin. - E.T. Longueur du
bras
. JK. Lon- gueur de t'avant-bras. KG. Longueur d
querait insuffisamment le nom même du diamètre ou de la hauteur. Le
bras
, par exemple, est mesuré par les uns de l'acrom
s iliaques) ; . de la hanche (au niveau des Irochanlers) ; . du
bras
en son milieu (là où, l'avant-bras étant fléchi n
le le doigt s'enfonce dans la dépression articulaire du poignet. Le
bras
devra pendre naturellement le long du corps, so
le D. hiacromial (glissière anthropométrique) et la lon- gueur des
bras
. On peut encore mesurer au ruban métrique (défect
e la fourchette sternale en son milieu et l'extrémité du médius. Le
bras
doit être horizontal, le pouce redressé au maximu
férente. On pourra établir une moyenne entre les mesures prises les
bras
abaissés et les bras élevés, la main placée sur
ablir une moyenne entre les mesures prises les bras abaissés et les
bras
élevés, la main placée sur la tète. L'indice es
es membres supérieurs, et les avant-bras et les jambes plus que les
bras
et les cuisses. La main elle pied sont relativeme
[F. MOUTIER.-} 108C GIGANTISME. .INFANTILISME. NANISME. des deux
bras
ou d'un seul. Cette hypertrophie est irrégulière;
nnés. L'extrémité des doigts affleure le grand trochanter. L'avant -
bras
se place normalement en pronation, le bras légè
and trochanter. L'avant -bras se place normalement en pronation, le
bras
légèrement écarté du tronc. Les mains sont peti
grande ouverture, et du reste, sans iracture nécessaire, jambes et
bras
pré- sentent des courbu- res à grand rayon.
recommandera au malade de baisser la tète en avant, de croiser ses
bras
, et de poser ses coudes sur ses genoux. 5" Re
tissement du pouls, trismus, opisthotonos, convulsions cloniques du
bras
droit, convulsions oculaires et suivis de cyano
excessif sur- tout du segment rhizomélique des membres (cuisses et
bras
), il la défor- mation des mains en trident, etc
ns d'autres conditions, notam- ment de la nuque au sternum, ou d'un
bras
à l'autre, nous avons géné- ralement constaté c
des gouttières vertébrales, 575. - du bassin, paralysies, 559. - du
bras
, paralysies, 521, 524. du cou, 556. - du pied
e Paris, 1891. 8 ALQUIER apparaissent des abcès par congestion au
bras
droit et à l'avant-bras gauche. Deux mois plus
correction était douloureuse. Un mois après, paralysie, d'abord du
bras
gauche, puis du droit flasque, puis, atrophie r
t maladroites ; cette maladresse, et des douleurs de la nuque et du
bras
droit, survenant dès qu'elle voulait coudre ou
iatement une augmentation de 30° dans les mouvements d'abduction du
bras
. Mais, comme pour les ré- sections péri-articul
drez qu'il a déjà souffert depuis sa jeunesse de douleurs dans les
bras
et les jambes, mais par accès, par intervalles.
te vous n'apercevez pas grand'chose d'ex- traordinaire tant que les
bras
et les jambes sont couverts. Tout au plus serez-
iel une tête normale, un corps d'une petite circonférence, mais les
bras
et les jambes, surtout les mains et les pieds,
ère encore de longueur avec les autres doigts du pied, et comme les
bras
sont maigres et comme le ventre est creux ! Reg
n » qui est caractéris- tique pour certaines formes de névrite. Les
bras
maigres vous rappelleront le malade, atteint de
ntré des jeunes gens très longs et minces, au dos courbé, aux longs
bras
et aux longues jambes maigres, les doigts longs
des verres je vois plus' clairement, l'appareil qui immobilise mon
bras
,l'appareil enregistreur,le métronome, ma montre
uscu- laires sont exagérés (Pl. XXI). L'extrémité des doigts, les
bras
pendants, dépasse un peu la limite qui sé- pare
dépassent les crê- tes iliaques. Absence de main en trident. Les
bras
devraient être plus courts que les avant-bras ; l
développement de tous les segments os- seux du membre, avant-bras,
bras
et même omoplate. Une arthrite tuber- culeuse o
s, l'oppression est grande. Dès que la malade à un peu marché « son
bras
gauche se paralyse un peu », la main gauche « d
uche, néan- moins la malade se souvient avoir eu jusqu'à 18 ans des
bras
de volume rela- tif encore inférieur, actuellem
volume rela- tif encore inférieur, actuellement la circonférence du
bras
au niveau de l'apo- physe styloïde radiale est
au niveau de l'apo- physe styloïde radiale est de 14 centimètres.
Bras
normal. Autres déformations osseuses. - Sternum
des mains et sur la peau des avant-bras plus accentués que sur les
bras
. z Ainsi qu'au premier examen nous ne constaton
allongée, située à l'origine du pli cutané formé en arrière par le
bras
appliqué contre le tronc. Même consis- tance qu
derrière l'oreille gauche. Il en existe au thorax, à l'abdomen, aux
bras
, aux cuisses, plus nombreuses d'une façon génér
s, au bout de quelques jours, certains désordres subjectifs dans le
bras
droit, les- quels, lors de son entrée dans notr
des sensations de fourmillement et d'engourdis» sement par tout le
bras
, mais sans douleurs d'aucune sorte, se compliquèr
ns lequel il fut admis chez nous. Le malade se plaignait surtout du
bras
droit ; celui-ci présentait l'attitude caractér
caractéristique de la paralysie saturnine : avant-bras fléchi sur le
bras
, légè- ment en pronation ; main en flexion forc
nation ; main en flexion forcée, autrement dit, tombée sur l'avant-
bras
; bref l'aspect typique de la paralysie radiale.
spect typique de la paralysie radiale. L'analyse de la paralysie du
bras
montre qu'elle frappe tous les muscles éner- vé
s brachial. C'est ainsi que les muscles de la région antérieure des
bras
(sphères du médian et du cubital), les éminence
; il y avait de l'anesthésie douloureuse et thermique dans tout le
bras
et l'avant-bras, avec conservation de la sensib
aissant plus marquée à la face interne de l'avant-bras et partie du
bras
. Le bras gau- che n'était d'ailleurs pas tout à
plus marquée à la face interne de l'avant-bras et partie du bras. Le
bras
gau- che n'était d'ailleurs pas tout à fait ind
e jour, l'amélioration se déclara franchement ; tous les muscles du
bras
et de l'avant-bras récupérèrent lentement et prog
ccession entre l'usage des béquilles et le début de la paralysie du
bras
, et le fait si sub- SUR UN CAS DE PARALYSIE DES
delette d'anesthésie à la face interne de l'avant-bras et partie du
bras
, distribution qui n'est pas davantage celle d'auc
bas et en avant les paralysies, suite de tractions exagérées sur le
bras
comme il arrive dans les tentatives de réductio
s. Fieux (Archives de Gynécologie), a montré que la traction sur le
bras
distend toutes les racines rachidiennes corresp
eur trajet intra-rachidien, et ont vu que, à chaque traction sur le
bras
, se produisait la distension des 5* et 6" racines
avoir colloqué une béquille dans l'aisselle et fait exercer sur le
bras
des tractions figu- rant dans la mesure du poss
s figu- rant dans la mesure du possible, les mouvements naturels du
bras
chargé de soutenir le corps sur la béquille. Et
quille. Et bien ! j'ai invariablement vu que, à chaque mouvement du
bras
sur la béquille répondait une distension manife
mbre, pendant le déjeuner, douleurs brusques très violentes dans le
bras
droit ; céphalée intense, légère difficulté à par
s, ne réagissant presque pas à la lumière. Ataxie de la langue, des
bras
et des jambes. Marche presque impossible, spastiq
role redevint plus facile vers la fin de la vie. Les mouvements des
bras
et des jambes se firent de plus en plus faibles,
accusée qu'aux jambes. L'extension complète de l'avant-bras sur le
bras
est impossible; à angle obtus le biceps très am
eps très amaigri forme un relief dur et douloureux. La flexion du
bras
est toujours possible. L'état général s'aggrave p
es, enfin l'affection ne se confine pas aux membres inférieurs, les
bras
et surtout les mains sont atteints, fait qui ma
lle est restée localisée aux membres inférieurs, la musculature des
bras
apparait comme relativement saine, muscles roug
rant faradique : A gauche : normale à la jambe ; un peu exagérée au
bras
. A droite : normale au bras ; diminuée un peu d
normale à la jambe ; un peu exagérée au bras. A droite : normale au
bras
; diminuée un peu dans les muscles antérieurs d
IQUE 279 2° Excitabilité au courant galvanique : Normale dans les
bras
et la jambe gauche. Diminuée dans le droit anté
paralytique général. Il y a un léger tremblement de la tête et des
bras
, mais il est variable et non continuel. Les dents
prises des attaques de rhumatisme articulaire aigu, présente sur un
bras
une large tache nccvique. Antécédents personnel
iendrons ; il avait en particulier, au niveau de la face externe du
bras
droit, une grande tache lisse et sans relief, s'é
e rendit compte qu'il ne pouvait plus que difficilement mouvoir son
bras
, il lui était impossible de l'élever pour, par ex
de jours ; puis la tuméfaction semble glisser peu à peu le long du
bras
; la peau se plisse, se gaufre et forme bientôt
se déformait et qui siégeaient l'une sur la face antéro-interne du
bras
elles deux autres sur la face externe. Cette opér
ade put reprendre son métier. Mais la déformation de l'épaule et du
bras
ne tarda pas à s'accroître davantage; la peau s
cendant en passant sur la face externe et sur la face antérieure du
bras
jusqu'au niveau de la taille. Cette énorme tume
e 1905, il fait une chute et tombe sur 284 KLIPPEL ET MAILLARD le
bras
droit ; au niveau du point contusionné se dévelop
un large repli Ilasque,repous- sés au niveau de la face externe du
bras
par une tumeur dure profonde (l'hématome non en
de, ovalaire ou très allongée, réparties surtout sur le dos, sur le
bras
et sur les cuisses, ayant des dimensions très v
jusqu'à l'énorme tache que nous avons déjà décrite sur l'épaule et le
bras
droit. Mais au cours de l'examen de notre mal
côté : le malade nous dit qu'il a toujours été bien plus faible du
bras
droit que du bras gauche et qu'il se servait to
nous dit qu'il a toujours été bien plus faible du bras droit que du
bras
gauche et qu'il se servait toujours de ce derni
glissement des téguments de l'épaule et de la partie supérieure du
bras
vers les régions les plus déclives par laxité d
nt adresse ou force, même avant la luxation qui rendit impotent son
bras
droit. Le côté gauche de son corps a toujours é
Fig. H) ; roulement du dos ; mouvements des hanches ; étirement des
bras
, des jambes, du cou ; frottement du nez ou des ye
torsion des épaules, étirement des membres, mouvements saccadés du
bras
avec épaule correspon- dante raidie, main crisp
une escarcelle de cuir à la ceinture. Sa main gauche crispée sur le
bras
du fauteuil, son poing droit serré convulsivement
une : mais cette jeune est une mère qui tient son en- fant dans ses
bras
. La consultation n'en est que plus émouvante (1).
on remarqua encore des paresthésies, des douleurs, de la parésie du
bras
droit et dimi- nution de la sensibilité de la m
ment voulu, quand on lui donne un objet à por- ter à sa bouche, les
bras
sont agités d'un tremblement à oscillations étend
En juillet 1874 il entre dans le service de M. Ferrand. L'état de son
bras
droit s'améliore et il peut recommencer à trava
aissance avec paralysie complète de la jambe droite et faiblesse du
bras
du même côté. Plus tard,paralysie de la jambe gau
la piqûre, mais d'une façon incoordon- née : il. grimace, remue son
bras
droit (quel que soit le côté piqué), fléchi t-
e soit le côté piqué), fléchi t- ses membres inférieurs et même son
bras
gauche. Le 18 mai, à 9 heures du matin, la temp
moelle est le plus en- dommagée. Elle s'étend comme des espèces de
bras
du côté de la périphérie, et de la périphérie v
e, ni à l'excitation faradique, sauf dans les muscles extenseurs du
bras
droit et seulement avec une intensité de 30 mil
is environ, pouvant s'asseoir sur son lit, se laisser porter sur le
bras
et se tenir debout lors- qu'on la soutenait, ma
uvait cepen- dant encore faire quelques mouvements des pieds,et les
bras
étaient encore relativement intacts, mais ils f
mois les jambes faibles et n'avait pu apprendre à marcher, puis les
bras
avaient été pris également. Son développement int
ie des membres inférieurs. Un an après, la paralysie atteignait les
bras
et la nuque, l'évolution fut progres- sive, l'a
s deux membres supérieurs l'un avec l'autre, nous constatons que le
bras
droit mesuré, de la tête humérale à l'épicondyle
30 centimètres au lieu de 33 du côté gauche. La circonférence de ce
bras
au niveau de sa région la plus saillante est de
n droite est nettement dirigée en dedans ; elle forme avec l'avant-
bras
un angle dièdre ouvert en haut et en dedans ; c'e
as. Les mouvements de flexion et d'extension de l'avant-bras sur le
bras
se font bien. Il en est de même des mouvements du
-bras sur le bras se font bien. Il en est de même des mouvements du
bras
et de l'épaule. L'examen des radiographies fait
rvée, la tête est bien convulsée en arrière, la bouche ouverte, les
bras
étendus. Notons par contre, l'invraisemblance d
Assistés, il serait resté quatre mois sans pouvoir se servir de son
bras
. On l'envoie, trois ans après, à Berck-sur-Mer po
sont intacts des'deux côtés, il en est de même pour les muscles des
bras
et des épaules, qui, bien que peu développés, ^ne
ire n'a que très peu progressé depuis cette époque, et la force des
bras
, des jambes, est encore à l'heure actuelle (mars
descendant du tramway, il trouve quelqu'un pour le soutenir par un
bras
et le diriger jusqu'à l'hospice. S'il ne trouve
radial dans la gouttière de torsion, le médian à la face interne du
bras
, le sciatique poplité externe au niveau de la t
s contractions fibrillaires existent également dans les muscles des
bras
et des épaules. Vue. La malade a été opérée d'u
x mem- bres supérieurs. La malade en effet ne peut se servir de ses
bras
pour s'ha- biller, pour coudre, etc. Lorsqu'on
sque, la malade ayant les yeux préalablement fer- més, on place son
bras
dans une attitude quelconque et qu'on lui dit ens
et qu'on lui dit ensuite de reproduire cette attitude avec l'autre
bras
, elle la reproduit exactement. Il semblerait do
interligne métacarpo-phatangien. Peu à peu, en remontant le long du
bras
, retour de la sensibilité tactile, qui ne redev
e en avant et regardant le sol avec soin. D'habitude ils donnent le
bras
gau- che à quelqu'un pour marcher plus facileme
éprouve dans la nuque des douleurs qui, bientôt, irradient dans le
bras
droit, et sont réveillées par les mouvements de
ans, tortico- lis gauche, avec douleurs irradiées, d'abord dans le
bras
gauche, 2 mois après dans le droit également. 4
cet égard l'on nous prie de nous en rapporter aux cas Courrière et
Bras
; nous nous permettrons donc d'analyser brièvem
ns peut compromettre nos conclusions. La seconde observation (Cas
Bras
, hémisphère droit) a trait à une double lésion
pe de lésion occipitale » la vaste plaque jaune que présente ce cas
Bras
. Un ramollissement est occipital ou il ne l'est p
entes, des fibres rétiniennes directes ; elles concourent à former le
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur et passent
re ; on le soutient de la main gauche au niveau du pli du coude, le
bras
du sujet formant un angle obtus avec l'avant-br
rémité inférieure du radius, l'avant-bras, légèrement fléchi sur le
bras
, est 30 SÉMIOLOGIE placé en demi-pronation et
établir que les réflexes de flexion de l'avant-bras, d'extension du
bras
et de pronation sont constants, points sur lesq
émité inférieure du radius, outre la flexion de l'avant-bras sur le
bras
, phénomène constant, provoque parfois une flexi
cas jamais supérieure à celle de la flexion de l'avant-bras sur le
bras
. Or, la diminution ou l'abolition du réflexe de
rmédiaires, réflexe de pronation et réflexe d'extension de l'avant-
bras
, déterminer la longueur de la lésion. S'ils sont
X 35 affaibli, peut être suivi d'une flexion de l'avant-bras sur le
bras
. C'est là le réflexe paradoxal du coude dont je
l'humérus détermine, comme je l'ai indiqué, une flexion de l'avant-
bras
, sauf quand elle est pratiquée au niveau du tendo
servation doit se coucher sur le dos ; puis, après avoir croisé les
bras
sur la poitrine, exécuter des mouvements alter-
ent SO AFFECTIONS DES NERFS localisées à la partie postérieure du
bras
, prédominent dans cetle région ; légère atrophi
- chial, et qu'en présence d'un malade qui se plaint de douleurs au
bras
on se contente du diagnostic vague de rhumatism
ccompagnant pas de douleurs, dans celle-là les troubles occupent le
bras
, se manifestent par des douleurs et n'atteignen
nt-bras placé en supination un mouve- ment passif de flexion sur le
bras
et qu'on cherche à appliquer ainsi ces deux seg
izontal, sur un plancher par exemple, dans le décubitus dorsal, les
bras
croisés sur la poitrine, le malade fait un effo
'acte précédent quand le sujet, après s'être mis sur son séant, les
bras
toujours croisés sur la poitrine, porte le tron
r en pronation (i3g). Interversion des deux modes de balancement du
bras
. Ce phénomène, commun dans l'hémiplégie, est su
miplégie, est surtout apparent quand, les mouvements volontaires du
bras
étant abolis ou très affai- blis, ceux du membr
atique » (34, 35, 38). Si l'on envisage les troubles de motilité du
bras
dans l'hémiplégie ou la monoplégie organique, o
bre supérieur paralysé. Faites l'expérience suivante : saisissez le
bras
para- lysé, soulevez-le et abandonnez-le ensuit
e vous faites. Vous constaterez alors que chez le premier malade le
bras
para- 126 AFFECTIONS DE L'ENCÉPHALE lysé reto
s et mouvements passifs. Balancement actif et balancement passif du
bras
. (Interversion des deux modes de balancement du
ment passif du bras. (Interversion des deux modes de balancement du
bras
.) La monoplégie brachiale organique se manifest
.) La monoplégie brachiale organique se manifeste, à moins que le
bras
malade ne soit atteint d'une rigidité qui l'immob
ituelle : lorsque le membre inférieur se porte en avant, on voit le
bras
se por- ter en arrière et vice versa ; du côté
ère et vice versa ; du côté paralysé, il en est tout autrement : le
bras
se meut très peu et parfois la cuisse et le bras
out autrement : le bras se meut très peu et parfois la cuisse et le
bras
se portent simul- tanément en avant; le malade,
eint, semble aller l'am- ble ; en réalité, le mouvement en avant du
bras
n'est que la consé- quence d'une propulsion exe
ais du côté atteint le mouvement est bien plus étendu ; de plus, le
bras
paralysé se déplace et oscille encore alors que l
de plus, le bras paralysé se déplace et oscille encore alors que le
bras
sain est déjà revenu au repos. c) Le malade é
om- mandé de laisser inerte le membre sain, je lui soulève les deux
bras
et les abandonne ensuite à eux-mêmes, je consta
29 d) Le malade étant assis ou debout, si, après avoir attiré ses
bras
en avant, je laisse reposer ses mains sur les mie
ient généralement aux précédents et consistent en un balancement du
bras
en sens inverse du mouve- ment de va-et-vient d
ou moins modifiés par son intervention. Par exemple, je soulève le
bras
, puis je le laisse retomber comme inerte, lui f
els j'ai appelé l'attention. Il est naturel que le balancement du
bras
, mouvement accessoire faisant habituellement pa
mouvements passifs, l'augmenta- tion du nombre des oscillations du
bras
paralysé dans les expé- riences b et c, la rétr
ue, dans la monoplégie brachiale organique, le balancement actif du
bras
est dimi- nué ou aboli, et que le balancement p
encore qu'il y a une interversion des deux modes de balancement du
bras
. TUMEURS INTRA-CRANIENNES. OEDÈME CÉRÉBRAL Di
e malade, après s'être couché à plat sur le dos et avoir croisé les
bras
sur la poitrine, fait des efforts pour se mettre
latérales intracérébelleuses ont noté ceci : du côté de la lésion, le
bras
étendu horizontalement peut se maintenir longte
longtemps dans cette position et rester remar- quablement fixe ; le
bras
du côté sain, placé dans la même attitude, ne con
de la pronation I z4 Interversion des deux modes de balancement du
bras
......... Iz4 Parallélisme entre les divers trou
s et mouvements passifs. Balancement actif et balancement passif du
bras
(Interversion des deux modes de balancement du br
ement passif du bras (Interversion des deux modes de balancement du
bras
) 128 Tumeurs intra-cràniennes. OEdème cérébral
bration de tout l'axe cérébro-spinal : mouvements involontaires des
bras
et des jambes; rires et pleurs involontaires. O
meubles. Au dehors, elle ne peut pas marcher sans s'appuyer sur le
bras
d'un domestique. Dans les dernières années, ell
gt-six ans, il prétend qu'on trouble son sommeil, qu'on déplace ses
bras
pendant qu'il dort, qu'on agit sur lui par l'élec
roits, man- quent de précision et très limités. Il peut, remuer les
bras
mais l'élévation de ce segment est très borné e
l'élévation de ce segment est très borné et le plan d'élévation du
bras
est loin d'arriver en ligne directe avec l'épaule
bras est loin d'arriver en ligne directe avec l'épaule. Les avant-
bras
et les mains peuvent ballotter en l'air, mais la
r d'un mouchoir pour essuyer l'écume qui lui vient à la bouche. Les
bras
et les avant-bras sont flasques, amaigris. C'est
décubitus dorsal le plus complet, ne, pouvant remuer ni jambes ni
bras
, ne pouvant même pas se servir d'un mouchoir po
s rappelons seulement que certaines paralysies des mouve- ments des
bras
ou même des mouvements de l'oeil paraissent êtr
e chatouillement. A ce moment vous pouvez cons- tater en pinçant le
bras
, que la sensibilité tactile est revenue tout en
'elle ferme son oreille droite je lui commande tout bas de lever le
bras
au moment où je le toucherai, et vous voyez que
e lever le bras au moment où je le toucherai, et vous voyez que son
bras
exécute très bien la suggestion, quoique Witm p
cinations, paralysie totale des jambes, des muscles du tronc et des
bras
, du diaphragme, mort. Polynévrite toxique const
t indistincte, comme s'il écrivait à l'aide d'un manche à balai. le
bras
devient de plus en plus raide, finale- ment, la
qui est atteint de paralysie psychique. Il ne peut se servir de son
bras
légèrement contusionné dans un accident de chem
être paralysé, l'idée a arrêté les fonctions du centre cortical du
bras
; la sensibilité cutanée, les mus- cles et les a
-il exposé à un nouveau danger, vite, il oublie la paralysie de son
bras
et celui-ci reprend ses fonctions. On peut obte
six fois à la ponction. L'enfant avait six mois et était tombé des
bras
de sa nourrice, en descendant un escalier de pi
tour. On voit les muscles danser dans la profondeur de la plaie du
bras
. Les membres infé- rieurs enfin sont agités de
oir filtrée et alcalinisée. Le cochon d'Inde pèse 615 grammes. Au
bras
droit, la dénudation de la veine est assez facile
e contre le sacrum par un violent mouvement tonique, projection des
bras
en avant,' légère projection de la' tête en arr
ment. Cris. Quatre à cinq secousses dans le train postérieur et les
bras
. Trismus. Exophtalmie. -A 220 c. c., perte des
é- sies ou de paralysies complètes, s'étendant le plus souvent au
bras
seulement. parfois au bras et à la face, quelquef
complètes, s'étendant le plus souvent au bras seulement. parfois au
bras
et à la face, quelquefois enfin à tout le côté
des mains du sujet est prise d'un engourdissement qui monte dans le
bras
, envahit partiellement la face jusqu'à la commi
ale, mais si le trouble débute dans la face pour envahir ensuite le
bras
et la jambe, nous aurons la forme faciale, et s
ommence par le pied et monte dans le membre inférieur, puis dans le
bras
et dans la face, ce sera la forme crurale. Ce
récision qu'il éprouvait dans le côté droit du corps (la face et le
bras
), des fourmillements et comme une sensa- tion d
jambe droite qui se fléchit sur la cuisse, peu d'instants après le
bras
droit s'étend et les doigts se raidissent, rest
ite est comme paralysée, puisqu'il ne peut la remuer, tandis que le
bras
droit recouvre immé- diatement sa motilité norm
le mois de juillet 1878), première attaque d'épilepsie partielle au
bras
, droit, qui fut subitement atteint de petites s
a en outre des accès convulsifs complets, débutant toujours par le
bras
droit et se généralisant ensuite à tout le corps.
ie partielle, c'est-à-dire les simples secousses convuç ;, sives au
bras
droit, le prennent tous les jours. ' ', .. * Ap
e partielle à la seconde époque de ses règles. La malade levait son
bras
tout droit, la tête était tournée à droite, pas
sement de la main gauche ; cette sensation pénible gagna bientôt le
bras
, l'épaule, puis le membre inférieur, du même cô
s de la face, elle gagne les centres de la jambe à travers ceux des
bras
. Si le point de départ s'effectue dans la zone
la jambe, l'exci- tation s'étend à la face à travers les centres du
bras
. Lorsque, ce qui arrive assez fréquemment, les
çant dans le côté gauche de la face, enva- hissant graduellement le
bras
et finalement la jambe, bientôt sui- vies d'une
t sans fièvre. Les accès ne se reproduisaient plus, la paralysie du
bras
gauche disparut bientôt et l'enfant aujourd'hui
psychose aiguë (délire). Actuellement atrophie des muscles des deux
bras
et des épaules; convulsions fibrillaires. Rien
s un bon thermomètre Hicks, certifié par Yale, et le plaçai sous le
bras
de la malade, au bout de trois minutes il éclata.
tico-spasmodique. A ce moment légère cyphose, tremblements dans les
bras
et les jambes, surtout à l'occasion des mouveme
n'est pas toujours victorieuse, hélas ! ... Je vois mes mains, mes
bras
, mes pieds se mouvoir comme ceux d'un autre. To
que l'espace enlevé ressemblait entière- ment à une croix dont les
bras
étaient de longueur et de largeur égale. Dans c
cile et se prolongea à cause du mouvement constant des mains et des
bras
, et le dé- faut d'intelligence était loin d'aid
ifférent à tout ce qui se passait autour de lui. Les mouvements des
bras
et des mains n'étaient pas réguliers lors- qu'i
t de temps en temps, il est visible qu'elle se sert rarement de son
bras
gauche, et que lorsqu'elle veut saisir ou tirer
u'elle veut saisir ou tirer les rideaux du lit, les mouve- ments du
bras
gauche sont bien plus limités que ceux du bras dr
les mouve- ments du bras gauche sont bien plus limités que ceux du
bras
droit. Toutes les heures ou toutes les deux heu
ncé à opérer du côté droit à cause de l'usage apparemment limité du
bras
gauche. Si l'on est arrivé de cette façon à des
lle s'endormait pour de courts instants en appuyant sa tête sur son
bras
gauche. En septembre de la même année, se mani-
lui paraissait s'enfler, elle ne pouvait pas parler; la jambe et le
bras
se raidirent; le bras pendait inerte le long du
r, elle ne pouvait pas parler; la jambe et le bras se raidirent; le
bras
pendait inerte le long du corps, impuissant à n
ait mettre à genoux, elle ne peut pas se relever sans l'aide de ses
bras
. Cependant la force musculaire explorée dans la
dinaire par le bout du doigt elle n'allait au delà du poing ou du
bras
. En outre, elle se montrait avec une égale fréque
igue, elle s'abandonnait sur une chaise en appuyant sa tête sur son
bras
gauche; elle s'endormait comme cela pour de cou
façon dont elle se reposait, Mme G... exposait journellement son
bras
gauche et la moitié gauche de la face à une press
énéralisée. Y a-t jl à s'étonner que dans notre cas elle frappât le
bras
gauche, lequel comme les jambes était sujet à u
l'un dans l'hémisphère droit en correspondance du centre moteur du
bras
, l'autre dans l'hémis- phère gauche en correspo
e la jambe, tandis que dans notre cas les accès commencent par le
bras
'. c. Les accès épileptiformes seraient-ils la
atre ans chez laquelle- pendant six ans des convulsions limitées au
bras
gauche furent l'unique symptôme de la sclérose
rs à l'endroit de la morsure qui s'irradiaient à la face externe du
bras
et à l'épaule. La douleur était plus forte le mat
rte le matin lors- qu'il se réveillait, la main devenait froide, le
bras
lourd et faible, presque complètement paralysé
ois les objets, qu'il tenait, lui échappaient. En outre de cela, le
bras
droit devint le siège d'un tremblement dont les c
mps à autre l'attaque est précédée soit d'un léger trem- blement du
bras
droit, soit d'une légère parésie du même membre,
emier abord presque banale; en effet, la parésie, le tremblement du
bras
, l'aphasie motrice, tous phénomènes qui accompa
tre mois, il a des accès'quoti- diens intermittents de paralysie au
bras
droit qui cessent de se présenter depuis que Ch
rmittent, l'absence absolue d'altération trophique de la main et du
bras
, l'inté- grité des réflexes et surtout les circ
s forme d'accès ; léger trauma- tisme : paralysie et tremblement du
bras
droit ; hémop- tysie grave et accès de céphalée
lée, la diplopie, l'étourdissement, la paré- sie, le tremblement du
bras
droit; en plus, s'y sont ajoutés tous les phéno
consi- dérables en frappant de la tête : à dix ans il tomba sur son
bras
droit en se luxant l'épaule, laquelle fut remis
a jambe se raidit en extension et fut soulevée au-dessus du lit, le
bras
en extension et en forte adduc- tion se leva au
n, une de ses attaques ordinaires le prit. A la fin de l'attaque le
bras
et la jambe gauche étaient complètement paralys
s, le mouvement le plus léger même avec le doigt est impossible, le
bras
pend flasque le long du corps, la jambe git dan
urvint le soir à huit heures, il ressentit dans la jambe et dans le
bras
une sensation de chaleur, en peu de minutes le
aralysie de la sensibilité et de la motilité réapparaissait dans le
bras
pen- dant quelques heures. D'autres fois, le ma
t une contracture succes- sive des deux extrémités supérieures; les
bras
se contractèrent dans une forte adduction, l'av
d'une dernière crise après laquelle il ressentit de la faiblesse au
bras
droit tandis que celle de la jambe devint plus
attaques convulsives avec paralysie consécutive de la jambe et du
bras
: c'est bien là le tableau classique qui a été si
, en effet, l'attitude des membres supérieurs pendant l'attaque; le
bras
en forte adduction, l'avant-bras, les poings et
de ce genre. Ainsi, elle s'arrête au milieu de ses cris et lève le
bras
droit en l'air, c'est qu'elle prend la pos- tur
camarade. Un homme assiste à l'enterrement de son neveu qui a eu le
bras
droit coupé après un accident de machine, il re
un accident de machine, il rentre avec une paralysie hystérique du
bras
. Une femme, nous raconte M. Gilles de la Touret
RIQUES. 451 poing contre son mari et, par une punition céleste, son
bras
reste contracturé dans la position du coup de p
, anesthésie musculaire telle qu'elle est incapable de remuer son
bras
droitsans le voir et qu'elle le laisse dans des p
n'a plus aucun stigmate hystérique : elle crie dès que je pince son
bras
droit, elle le remue sans le voir et ne garde p
t tous les matins, quand vous entrez dans la salle, vous montrer un
bras
ou une jambe contracturés et vous dire : « Défa
it-elle. » Et la voici qui essaye de se lever, se secoue, étend les
bras
, a des mouvements incoordonnés, s'arrête, recom
à lui confier des chevaux ; d'ailleurs, John étant resté faible du
bras
gauche ne peut courir les steeple-chase. Il se
s d'exécuter le moindre mouvement, sont complètement flasques. Le
bras
gauche présente un centimètre de tour en moins qu
ital (7 mars), il y avait une prédominance de un centimètre pour le
bras
droit et de 1/3 de centimètre pour l'avant-bras
, bien qu'elle parle exactement comme sa femme, il frappe à tour de
bras
. Quand sa femme est calmée, elle lui semble rep
phal, de l'atrophie de certains muscles dans les jambes et dans les
bras
. Le long péronier latéral gauche ne réagit plus
eune homme, qui est de nationalité russe, une chorée progressive du
bras
droit et des spasmes choréi- ques des muscles d
tandis que par sa partie supérieure, il contribue à l'élévation du
bras
. M. 13ERiOEARDT communique les résultats des re
c'est là ce que fait le sujet. Lorsque, par exemple, on lui étend le
bras
et qu'on le défie de l'abaisser, il a bien l'air
hisseurs. Bien mieux, des spectateurs cherchent-ils à lui abaisser le
bras
ou à lui fermer la main, ils se heurtent à une ré
, il cherche à arriver à la séparation des mains par l'écartement des
bras
. Alors il met en jeu leurs abducteurs laissés par
et d'énergie à exciter la contraction de ces muscles abducteurs des
bras
, plus.....autre chose fait effort pour accroîtr
'a pas de place pour une supposition pareille. Et de même quand, le
bras
de l'hypnotisé suggestionnelle-ment tendu et quel
al, il aurait passé à côté de l'hypnose, sans s'en douter. Levant les
bras
de l'enfant, dans cet état, je constatai qu'ils r
restaient immobiles, en catalepsie. Je lui dis : Tu ne sens plus tes
bras
; et j'ai pu les piquer avec une épingle sans qu'
les diverses sphères motrices, sensitives, sensorielles. Je mets ses
bras
en l'air, ils y restent ; c'est la catalepsie. Je
s ses bras en l'air, ils y restent ; c'est la catalepsie. Je dis : le
bras
est raide ; je ne peux pas plier le coude. Le mem
e coude. Le membre est rigide, contracture. Je lui dis de tourner les
bras
, et j'affirme qu'il ne peut plus les arrêter. Il
atoire. Voilà des suggestions dans la sphère motrice. Je lui dis : le
bras
est insensible et comme mort. Je le pique avec un
allons les obtenir à l'état de veille parfaite. Tenez ! je prends le
bras
de l'enfant, je le mets en l'air et je lui dis :
as. Tu es bien éveillé, lui dis-je. Il répond : oui. Je lui dis : ton
bras
est raide. Le voilà en effet rigide. Il ne peut l
. Nicole, malgré cette médication et des frictions nombreuses sur les
bras
et sur les jambes, demeura insensible et raide co
et cuisses ; ont esté appliquées ligatures près des jointures des
bras
, jambes et cuisses, deux à chacun membre qui luy
arence de mouvement. Enfin, avons esté d'avis de luy tirer du sang du
bras
dextre. Finalement, avons faict nos efforts de lu
it, la glorieuse Reine des anges lui apparut, son cher Fils entre ses
bras
, l'éclairant de sa splendide lumière, le charmant
utres miracles : « Une honnête femme avait depuis fort longtemps un
bras
desséché au point de ne pouvoir s'en servir. Elle
ne, la tête inclinée adroite et l'épaule du même côté très élevée. Le
bras
et Pavant-bras étaient le siège de vives douleurs
au mois de mars précédent, d'un accident très grave, dans lequel son
bras
avait été fortement tiraillé et contusionné. De c
arié. Ainsi une première fois, en janvier, sous l'action du froid, le
bras
gauche, dont la vitalité était encore incomplètem
rien. Il est certainement suggestible à l'état de veille. Je lève son
bras
; il ne peut plus le baisser. Voici la catalepsie
ci la catalepsie à l'état de veille. Il essaye en vain d'abaisser son
bras
. Je dis : « Ton bras est insensible, tu ne le sen
état de veille. Il essaye en vain d'abaisser son bras. Je dis : « Ton
bras
est insensible, tu ne le sens plus. » Je le pique
ar dessus leurs vêtements, des passes magnétiques, à appliquer sur le
bras
d'un sieur H... un barreau magnétique et à consei
complir. Mais il reste encore, dans ces conditions, des mouvements du
bras
qui peuvent être transmis par le contact et les m
resssenti, me disait l'un d'eux, une légèreté extraordinaire dans les
bras
qui me semblaient avoir perdu toute pesanteur, pu
perdu toute pesanteur, puis j'ai senti, à mon grand étonneinent, mes
bras
s'écarter de mon corps et s'élever en l'air malgr
'air malgré moi.» Un autre me disait avoir senti brusquement ses deux
bras
partir en avant, malgré lui, d'une manière irrési
lui avais imprimé au début de l'expérience, lui ayant fait élever les
bras
en avant pour les croiser sur la poitrine. D'
é le courant interrompu à un homme atteint de paralysie hystérique du
bras
gauche ; la guérison se produisit après dix séanc
tait conduite par son mari à cette fontaine et invitée à y plonger le
bras
; si elle était innocente, elle l'en retirait par
ectueuse, et que, la nuit suivante, sans avoir, comme d'habitude, les
bras
attachés par une sorte de camisole de force, elle
es. Elle commence déjà à se lever. On la promène au jardin appuyée au
bras
de sa mère. Les forces ne reviennent que lentemen
Lorsqu'on l'abandonne, elle s'affaisse aussitôt. Tenue sous les deux
bras
, elle ne marche pas, elle se laisse traîner. Les
pieds nus sur un carreau frotté, malgré le froid de l'hiver, et, les
bras
en croix, je priais le Seigneur de me garder des
comme des contractures psychiques. La fatigue émotionnelle « casse
bras
et jambes », selon l'expression vulgaire. L'influ
des crampes du deltoïde. Ce muscle se contractait, formant boule. Le
bras
ne se mettait pourtant pas en extension, il resta
toutes les parties du corps. Du moins il suffit d'enrouler, autour du
bras
, dupoignet au coude, un fil de fer.et d'adapter s
t, pendant leur sommeil, la position de leurs membres, celle de leurs
bras
, par exemple ; toutes personnes s'éveilleraient,
e matin je trouvais ordinairement mes pieds élevés et reposant sur le
bras
du canapé. Mes articulations coxo-fémorales étant
une nommée Bar, une jeune fille de 18 ans. Je lui avais enveloppé le
bras
avec une bandelette métallique : ce sujet était s
, au moindre mouvement, de vives douleurs. Elle ne pouvait élever son
bras
plus haut que l'œil, ni le rapprocher de la figur
ors de m'occuper encore d'hypnotisme; j'avais d'autre besogne sur les
bras
. Mais je fus assailli de tant de sollicitations v
es profondes. Alors, comme paracquit de conscience, je lui soulève le
bras
an-ky loséje le lui rapproche de la figureje le l
pas 7 heures que le sujet, réveillé, se servait de sa main et de son
bras
et de sa jambe à peu près comme s'ils n'avaient j
ement sur la jambe malade, en s'appuyant sur mon épaule, puis sur mon
bras
, puis sur son bâton. En moins d'un mois, lui qui,
ans la fièvre typhoïde le phénomène que voici : soulevez doucement un
bras
et abandonnez-lc à lui-même, il reste en l'air da
, il reste en l'air dans la position donnée. Soulevez ensuite l'autre
bras
, il y reste comme le premier. C'est de la catalep
Plus souvent elle est rigide ou élastique. L'impulsion communiquée au
bras
le déplace, mais sans le faire tomber : quelque f
contracture. Il suffit chez quelques-uns d'étendre Tavant-bras sur le
bras
pour que tout le membre entre momentanément en ri
pnotisés. Il y a plus. J'ai observé plusieurs fois ceci: lorsque le
bras
du sujet est soulevé en l'air et reste ainsi cata
pontanément par le fait seul de l'attitude cataleptiforme donnée à un
bras
, les autres, dis-je, sont cependant presque tous
agitation, tremblement, carphologie, dans ï'axatie. Dans ces cas, les
bras
soulevés retombent ou s'agitent en mouvements dés
veau à garder l'impression reçue. Le cerveau maintient Vidée que le
bras
doit rester en l'air, comme il maintient l'impres
ée : il suflit que je m'éloigne pour que le sujet laisse retomber son
bras
, le cerveau n'étant plus entretenu par ma présenc
n'étant plus entretenu par ma présence suggestive dans l'idée que le
bras
doit rester comme je, l'ai mis. D'autres fois le
cas où l'hypnose spontanée se complète par l'apparence du sommeil? Le
bras
étant cata-leptisé, le cerveau reste figé pour ai
s qu'il fut hypnotisé,je créai chez lui des paralysies psychiques des
bras
, le mettant dans l'impossibilité matérielle de s'
de appuyé sur un plan résistant rêvera par exemple qu'on lui coupe le
bras
. Les mouvements volontaires et spontanés sont abo
s cet homme avait eu une parésie de tout le côté droit : jambe, côté,
bras
, tout était raidi et douloureux, au point qu'il n
ouloureux, au point qu'il ne savait plus marcher, ni se servir de son
bras
; la langue était atteinte également, la parole di
e plaignait plus de sa jambe ; la langue était encore embarrassée; le
bras
était resté raide, douloureux et sans force ; cet
près une seule séance, le malade mit la main dans la nuque, poussa le
bras
en l'air, souleva une chaise et la tint suspendue
i le malade ne s'endort pas, on le force à tenir les yeux ouverts, le
bras
tendu pendant un quart d'heure environ, jusqu'à c
et, un surveillant amène au cabinet de consultation, le tenant par le
bras
, le nommé F..., courtier en vins, âgé de 53 ans,
bilité de parler pendant quelques heures; paralysie du côté droit. Le
bras
droit était fléchi à angle droit, il était collé
ses. Après deux ans la jambe a à peu près repris toute sa vigueur. Le
bras
resta paralysé pendant plus longtemps et |a motil
ement, et, pour prouver que vous « m'entendez, vous allez tenir votre
bras
en l'air. » Après environ une heure de suggestion
bras en l'air. » Après environ une heure de suggestions répétées, le
bras
droit resta en catalepsie, et, bientôt, le bras g
gestions répétées, le bras droit resta en catalepsie, et, bientôt, le
bras
gauche resta à son tour dans le même état. L'ache
se par le Dr Fanton. En septembre 1845, Mm* Northway fut amputée du
bras
par le D' Jolly. Vers la même époque, amputatio
guérison en huit séances. « Homme de quaranle-sept ans, douleurs au
bras
droit par suite d’une chute, depuis trois semaine
ieurs fois ne se font pas sentir. « Fille de sept ans, affection du
bras
droit par suite d’une chute et d’un coup sur le c
goutte; cependant, à deux reprises , j’ai guéri presque subitement le
bras
d’un de mes amis atteint de cette affreuse maladi
mal. « io° Depuis un mois je magnétise une jeune demoiselle dont le
bras
gauche était resté à peu de chose près paralysé à
t ce qu il pensait du changement survenu si rapidement dans l'état du
bras
, il fit cette réponse digne de Loyola, ou plutôt
d eléphantiasis, affectant seulement un côté du corps. La jambe et le
bras
du côté gauche ont pris un volume considérable, e
ne manière convenable. 22 mars. Il a été affecté partiellement; ses
bras
et ses jambes furent plusieurs fois soulevés en l
ournalières, ils se présentent chez un chirurgien qui leur réunit Tes
bras
avec un bandage sofide, et Ira ■ çant deux triang
ec un bandage sofide, et Ira ■ çant deux triangles semblables sur les
bras
, il en soulève deux lambeaux de peau qu’il échang
e l’autre, tout en laissant un péduncule de chaque lambeau attaché au
bras
cToù il est extrait. Quelque temps après, quand F
tome vin. - M° 88. — 25 février 1849. 4 Profondément endormi, ses
bras
tombent en catalepsie, et l’on peut fortement le
a il dit n’avoir rien senti depuis qu’il s’était endormi. Le 5. Ses
bras
étaient roides, particulièrement le gauche, et il
ble, et on le plaça dans la position en usage pour la lithotomie, les
bras
passés autour des jambes, au-dessous des genoux.
retardé la mesinérisation jusqu’à ce jour. 11 dort profondément, ses
bras
sont flexibles et jetés sur le Ht. On l’a piqué
us les jours une heure et demie. Le 6. Sommeil naturel. Le 7. Les
bras
raides, insensibilité aux piqûres, etc. Le 8. P
cause d’une fièvre périodique à laquelle il a été sujet. Le i3. Ses
bras
étaient flexibles et on les secouait sans le réve
une heure. Le i5. Il paraît dormir du sommeil naturel» Le 16. Ses
bras
sont partiellement en catalepsie; il était en que
ne fois par jour pendant une heure. Le 5. Dormant profondément, ses
bras
étant flexibles, on les fit aller de côté et d’au
mérisé une heure et demie par jour. Dormant profondément, ayant les
bras
en catalepsie, sa tumeur fut exposée et rejetée p
au deuxième degré, ce qui amena des mouvements convulsifs dans ses
bras
. Les personnes qui l’entouraient en furent attein
ent ont été prises par le malade lui-même : Du i5. Mesmérisation du
bras
pendant une heure, suivie d’une douleur légère da
l non interrompu pour la première fois depuis bien des mois. Du 17.
Bras
douloureux et raide; mesmérisé localementune demi
qui a été interrompu par un violent tressaillement. Légère douleur du
bras
dans le jour, et point durant la nuit 5 migraine
roit continue d’être raide, mais non douloureux. Mesmérisé sur chaque
bras
, sans eflet visible ni sensible; mais, par la mag
et de l’annulaire de la main gauche, que suivent des convulsions des
bras
. Elle devient insensible, et écume. Les attaques
e encore aujourd’hui à l’hôpital ; trouvé un petit changement dans le
bras
; dormi de dix heures à quatre heures. « Du 29.
. Du 5 avril, fleeja, âgé de trente ans, demeurant à Calcutta, a un
bras
raide depuis environ six mois, avec enflure et do
ouleur; le patient peut, presque à volonté, étendre et plier l’avant*
bras
. Du iq mai. Le bras paraît parfaitement droit ;
t, presque à volonté, étendre et plier l’avant* bras. Du iq mai. Le
bras
paraît parfaitement droit ; le mouvement en est r
sparu. 11 peut maintenant marcher sans bâton, et lever très-haut le
bras
paralysé, mais il ne peut encore ni ouvrir ni fer
ce de mieux; la jambe reprend de la force, mais il ne peut mouvoir le
bras
, ni fléchir ou étendre l’avant-bras. La main rest
es de Salmulh. dissiper une affection goutteuse et une névralgie du
bras
. Rcysclius et Maxwel (1) se félicitaient beauco
curé de Fontenay-sous-Vincennes, qui a connu une femme paralysée d’un
bras
; elle habitua un jeune chien à coucher sur ce me
; tous les lettrés sont au bout de leur science, ils se croisent les
bras
et laissent accomplir les événements qu’ils n’ont
’en déler-miner la flexion, même au moyen des plus grands efforts. Le
bras
gauche était fléchi, depuis plusieurs jours, sur
erveux, des douleurs de tête terribles, des crampes aux jambes et aux
bras
s’emparent du malade; le refroidissement des extr
pt jours. Elle était, en outre, depuis la même époque, paralysée du
bras
droit, qui était contourné en arrière, la main re
is, depuis cinquante-huit jours, en rendant le verre elle étendit les
bras
, elle serra les mains de M. Gravé en pleurant, et
it le modeste appartement. Par cet acte on vit avec étonnement que le
bras
droit de la malade était déparalysé, puisque elle
nchantée de pouvoir agir librement > elle mouvait incessamment son
bras
en tQUS Sens, à la vue des personnes qui lui fais
seur que, rendue à la maison, elle s’était déshabillée seule avec son
bras
droit, pour 8$ reposer comme il le lui avait ordo
qui sc transportait à son domicile comme à celui de sa cousine. Son
bras
n’a plus ¿té paralysé. De la a6 à la 7e séance,
à peine la pupille de l’œil ; enfin, elle éprouva une contraction du
bras
droit, dont elle porta la main à son front avec u
que l’atteignit et la domina plus fortement que la première fois. Ses
bras
manifestèrent un mouvement spasmodique, et ses ye
uellement d’expression; et l’attitude de son corps, les gestes de ses
bras
venaient compléter la formule de ces enivrants en
sement inclinée à droite, puis à gauche, en ondulant son corps et ses
bras
, la vit-on se relever de son agenouillement, et a
river peu à peu à être debout sur la pointe extrême de ses pieds, les
bras
élevés, et paraissant réaliser un mouvement d’asc
à se quereller ; il est rejeté à cinq ou six pas par un mouvement du
bras
de l’un d’eux, mouvement qui nous a semblé à tous
au Capitole! Mais la croix, divin symbolo, Sur la terre étend les
bras
.. .. Tombez, tombez en poussière, Tombez, dieux d
u’il ne comprend pas...... France, à toi l'intcltigcncc, A loi le
bras
cl le cœur ; Soldat de la Providence, A loi l
e et rapide, ils se jettent sur le parquet, et enlacent de leurs deux
bras
la circonférence du signe. On ne peut douter qu
continuant, M. Moclain fit poser trois vésicatoires : un su chaque
bras
, et le troisième sur le dos; sur l’estomac un emp
eule action de la volonté s’exerçant à la contraction des muscles des
bras
. Celui qui donnait communica- lion do celte déc
dans les deux vases, et, après ça, il contractait fortement l’un des
bras
. Aussitôt le courant se montrait par la déviation
’aiguille, et on pouvait le reconnaître dirigé du doigt à l’épaule du
bras
contracté ; c’est-à-dire que ce doigt se comporta
aordinaire de l’électricité par suite de la contraction énergique des
bras
, j’insiste sur cette idée, que l'existence d’un t
à ses côtés fissent tous leurs efforts pour le retenir chacun par un
bras
, il s’élança cependant avec le plus violent empor
es mouvements que faisait le.professeur : frappant du pied, levant un
bras
, puis un autre, vivement et correctement, à l’ins
agent supérieur. A un certain moment, l’expérimentateur étendit les
bras
horizontalement, puis traça avec ses pas une marc
rigoureusement exacte, tous les mouvements du corps, de la tête, des
bras
, des jambes de ses partners. Les gestes de ces tr
raissait exercer sur la famille une grande influence, le Jia sous les
bras
par une corde, et le descendit dans un puits dans
dirigés sur l’épigastre et les deux côtés du ventre. Le mouvement des
bras
imitait les signes télégraphiques les plus variés
uel on attribuait le pouvoir de les guérir, ils se touchaient par les
bras
, par les genoux, par les pieds. Une longue corde,
pliquant la main sur les épaules, puis la laissant couler le long des
bras
jusqu’à l’extrémité des doigts. Amenées de la sor
t magnétisations d’une heure et demie par jour. 5° Une paralysie du
bras
, chez un enfant de dix ans, traitée dès le lendem
e celte cruelle infirmité. 9° Une douleur rhumatismale affectant le
bras
et la jambe gauches, a cédé à une suite de mes-
si puissante, qu’elle put revenir à pied à son logis, appuyée sur le
bras
d’un de ses enfants. La paralysie n’était pas seu
à reculons dans la mer, par dejix baigneurs qui les tenaient sous les
bras
, puis les renversaient ou les plongeaient trois o
, qui, pour de l’argent, avait fourni une portion de peaujprise à son
bras
, était mort dans cette ville où avait été pratiqu
mnés déjà par les faits, le sont enfin par les juges eux-mêmes. Ses
bras
infatigables distribuent partout le bienfaisant a
gèros à de rares intervalles. Traitement médical. Yésicatoires au
bras
droit, deux fois par an, et alternés, en neuf ann
selle, nul pouvoir de se mouvoir le moindrement sans le secours d'un
bras
solide. Il fallait voir pourtant avec éton-nnemen
gonflé et plus ou moins tuméfié. Les yeux ou les joues, le cou ou les
bras
étaient tour à tour envahis, quelquefois ensemble
élioration. — Nouvelle consultation. Continuer un mois, et saignée du
bras
. — Purger tous les dix jours. Ce traitement fin
Laq, le laqueus (ruban latéral de Reil) avant sa décussation. BQP,
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur. GI, corps
passent au-devant de lui. Mais on voit son prolongement antérieur le
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur (IIQP) se je
tion vertico-transversale du tubercule quadrijumeau antérieur; BQP,
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur ; Pcs, péd
oupe 58, entre la protubérance annulaire ou pont de Varole (PV) et le
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur (BQP). Nous
illé interne (GI) revêtu en arrière de son stratum zonale (ZGI). BQP,
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur. versales.
1 et 62 (ZGI). D'autres, dirigées de dedans en dehors, font partie du
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur (BQP). Th.
rieur; GI, corps genouillé interne; GE, corps genouillé externe; BQP,
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur ; BQA, bras
ouillé externe; BQP, bras du tubercule quadrijumeau postérieur ; BQA,
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur ; BP, bras du
meau postérieur ; BQA, bras du tubercule quadrijumeau antérieur ; BP,
bras
du pulvinar; FCP, faisceau de la commissure; TEG,
eur droit (QP) et le corps genouillé interne (GF), il prend le nom de
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur droit (BQP')
t (QA') et le corps genouillé externe droit (GE'), il prend le nom de
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur droit (BQA').
uperficiel, visible à l'extérieur. Il est séparé de la surface par le
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur gauche (BQP)
) ; puis il suit, de dedans en dehors, un trajet parallèle à celui du
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur (BQA') et fin
ssure (qu'il représente) et le pulvinar, on peut lui donner le nom de
bras
du pulvinar (BP). Il recouvre la partie la plus p
e s'inclinent les premières en dehors, puis en dedans, pour former le
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur du côté oppo
opposé; que les fibres suivantes, un peu plus inférieures, forment le
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur du côté oppos
l'aqueduc de Sylvius pour constituer la commissure postérieure ou les
bras
des tubercules quadrijumeaux. Un certain nombre d
érieures vont aux corps genouillés internes, et ibrment la surface du
bras
de ce corps genouillé; elles sont donc superposée
jacentes vont au corps genouillé externe; elles forment la surface du
bras
du corps genouillé externe, plus rares et plus pr
ntérieur (QA), situé en dehors de lui. Il le traverse et va former le
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur (BQA). BQA.
a former le bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BQA). BQA. Le
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur (fig. 61, 62,
as jusqu'à leur extrémité sur les coupes de la planche XXI. BQP. Le
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur forme une ma
rieur forme une masse de fibres beaucoup plus importante que celle du
bras
du tubercule antérieur. Ces fibres sont dirigées
aisceau de Reil dont les fibres formeront, du côté opposé, non pas le
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur, mais le bra
opposé, non pas le bras du tubercule quadrijumeau postérieur, mais le
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur. — Le bras du
au postérieur, mais le bras du tubercule quadrijumeau antérieur. — Le
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur (BQP) mélang
gne médiane représentent donc, pour la couche optique, l'analogue des
bras
des corps genouillés interne et externe. On pourr
rrait, par conséquent, les désigner dans leur ensemble sous le nom de
bras
du pulvinar (BP). Sur la coupe 66 elles sont situ
où elles semblent se porter en dedans et en arrière à la rencontre du
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur (RQxV, fig. 6
g. 63) : en arrière par le stratum zonale (fig. 61), en dedans par le
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur (BQP, fig. 6
du tubercule quadrijumeau postérieur (BQP, fig. 62), en dehors par le
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur (BQA, fig. 64
rieure de la fente de Bichat. Il est séparé du noyau postérieur parle
bras
du pulvinar (BP, fig. 69), au-dessous duquel s'ét
ur parle bras du pulvinar (BP, fig. 69), au-dessous duquel s'étend le
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur (BQA), GE.
Gl, corps genouillé interne ; GE, corps genouillé externe; BQA,
bras
tlu tubercule quadrijumeau antérieur ; BQP, bra
lé externe; BQA, bras tlu tubercule quadrijumeau antérieur ; BQP,
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur; BP, bras
u antérieur ; BQP, bras du tubercule quadrijumeau postérieur; BP,
bras
du pulvinar; GIT, cuneus thalami optici intergeni
é, on peut reconnaître qu'il est limité à sa partie supérieure par le
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur (BQA), En tou
à la surface de l'isthme de l'encéphale. au-dessous et en dedans du
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur (69, BQP), é
tum (TEG), en dehors par la lamina lateralis de Reil (Lmd). BQA. Le
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur (67, 69, 71,
interne, à travers le pulvinar. Dans ce trajet il est sous-jacent au
bras
du pulvinar. Mais comme toutes les fibres, à ce n
st difficile de les différencier sur les coupes verticales. BQP. Le
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur est presque
la commissure postérieure forment dans l'hémisphère du côté opposé le
bras
du pulvinar (BP). Celui-ci se compose de fibres d
compose de fibres disposées en lames presque verticales, en avant du
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur, au-dessus de
quadrijumeau antérieur, au-dessus des fibres les plus antérieures du
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur (BQP, 69). C
La continuité du faisceau de la commissure postérieure (FCP) et du
bras
du pulvinar (BP) nous semble suffisamment établie
tance grise du thalamus, au-dessus des fibres les plus supérieures du
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur (BQA). Lmd.
ort avec l'extrémité antérieure du corps genouillé interne et avec le
bras
du pulvinar (BP, fig. 68) ; elle le sépare du cen
orps genouillé interne des fibres qui s'entre-croisent avec celles du
bras
du pulvinar. 11 établit donc une connexion immédi
es n'est plus reconnaissable. Elles se mêlent en efiet avec celles du
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur (BQA) qui pas
du bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BQA) qui passe, avec le
bras
du pulvinar et avec la lame latérale, à la partie
lamina lateralis de Reil (Lmd, fig. 77). En bas, il est limité par le
bras
du pulvinar (RP, 77). En avant, c'est-à-dire lors
et en dedans, il (ist séparé du centre médian (NmC, fig. 7(5) par le
bras
du pulvinar (RP) et la lame latérale du ruban de
te au-dessous du (neutre médian (NniC), juste au niveau du passage du
bras
du pulvinar (BP), une niasse grise, limitée en de
grise, placée en avant du corps genouillé interne et traversée par le
bras
du pulvinar (BP) et le bras du tubercule quadriju
rps genouillé interne et traversée par le bras du pulvinar (BP) et le
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur (BQA, 75, 77)
vertical la section oblique du fasciculus retroflex (FRF). BQA. Le
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur est maintenan
5), il se met en contact avec le fasciculus retroflex (FRF). BP. Le
Bras
du pulvinar, qui représente la terminaison du fai
halamus (fig. 74, 76, 77), au-dessus du corps genouillé externe et du
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur (BQA), au-des
était d'abord, devient postéro-antérieur (fig. 78) pour contourner le
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur (BQA), qu'il
HAÏ, pédoncules inférieurs ; IIAP, pédoncules postérieurs ; BQ.A, le
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur s'enfonçant e
irection antéro-postérieure se reconnaît à sa teinte foncée. BP. Le
bras
du pulvinar représente sur la coupe 79 ce qui res
s'cntrecroisantavec sa congénère sur la ligne médiane pour former le
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur du côté droi
rmer le bras du tubercule quadrijumeau postérieur du côté droit; BOP,
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur gauche, form
eus du même côté (Laq*). Laq*, deuxième couche du laqueus destinée au
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur droit. Ce bra
aqueus destinée au bras du tubercule quadrijumeau antérieur droit. Ce
bras
(du côté gauche) reçoit aussi qiielques libres di
la commissure, passant au dessus de la ligne médiane, pour former le
bras
du pulvinar du côté droit, mais fournissant des f
as du pulvinar du côté droit, mais fournissant des fibres directes au
bras
du pulvinar gauche (BP); — TEG, faisceau du tegme
et en dehors de l'aqueduc de Sylvius (AQ). De ce tubercule part le
bras
(BQA) qui disparait en dessous du corps gcnouillé
l est limité en arrière par lestratum zonale (ZGl) et en avant par le
bras
du pulvinar (BP). GE. Le corps genouillé extern
terpédonculaire, en dedans du fasciculus retroflexus (FRF). BOA. Le
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur forme à la
, qui, plus loin, en avant et en dehors (fig. 2 et 3), vont former le
bras
du pulvinar (BP). BP. Le bras du pulvinar, immé
dehors (fig. 2 et 3), vont former le bras du pulvinar (BP). BP. Le
bras
du pulvinar, immédiatement au devant du corps gen
ui, à sa partie inférieure, est séparée du centre médian (NmC) par le
bras
du pulvinar (BP) et, à sa partie supérieure (fig.
nt nous avons déjà parlé (pl. XXIÏI). 11 est limité en arrière par le
bras
du pulvinar (BP), en avant par la lamina tegmenti
ors le ganglion de l'habénule (GII), où il. prend naissance. BP. Le
bras
du pulvinar est le faisceau le plus supérieur et
couronne rayonnante du thalamus (Rth). Il est limité en avant par le
bras
du pulvinar (BP) qui s'épuise dans sa région anté
es réellement commissurales (voy. pl. XXII, fig. 07, CP); 5" enfin le
bras
du pulvinar (BP), qui représente le faisceau le p
rtent en dehors vers le faisceau sensitif, est limité en avant par le
bras
du pulvinar (BP). Les autres noyaux de la couche
de la bandelette optique allant au stratum zonale du pulvinar. BP.
Bras
du pidvinar. BO. Bourrelet du lobe carré. BOA
lvinar. BP. Bras du pidvinar. BO. Bourrelet du lobe carré. BOA.
Bras
du tubercule quadrijumeau antérieur. BQP. Bras
u lobe carré. BOA. Bras du tubercule quadrijumeau antérieur. BQP.
Bras
du tubercule quadrijumeau postérieur. BSO. Band
(voy. Pédoncule cérébelleux supérieur)....................... 431
Bras
du pulvinar, Brachium pulvinaris (BP).......... 2
.... 431 Bras du pulvinar, Brachium pulvinaris (BP).......... 213
Bras
du tubercule quadrijumeau antérieur (BQA)........
.. 213 Bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BQA)........ 215
Bras
du tubercule quadrijumeau postérieur (BQP).......
uses libres de projection du lobe occipital (voy. cas Courrière, et
Bras
, Fig. 83, 84, 85 et 93, p. 112 et 120). Les f
, Fig.326, p. 637.) AU, avant-mur. AI], aqueduc de Sylvius. JJ¡'Qp,
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur. - CA, cor
coupes la capsule se présente sous la forme d'un Y couché dont les
bras
sont formés par les segments postérieur (Cip) et
Alv, alvéus. - AU, avant-mur. bd, bandelette dia- gonale de Broca,
bras
du tubercule Ouadrijumcau antérieur. -BrQp, bras
- gonale de Broca, bras du tubercule Ouadrijumcau antérieur. -BrQp,
bras
du tuber- cule quadrijumeau postérieur. - C"1.
Fig. 32t, p. 651). AU, avant-mur. - Aq, aqueduc de Sylvius. - BrQa,
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur. - BrQp + R
Qa, bras du tubercule quadrijumeau antérieur. - BrQp + Rm, union du
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur avec le ruba
véus. - AU, avant-mur. - bd, bandelette diagonale de Broca. - BrQa,
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur. - BrQp + Rm,
BrQa, bras du tubercule quadrijumeau antérieur. - BrQp + Rm, union du
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur avec le ru
Al, anse lenticulaire. - AU', partie morcelée de l'avant-mur. - BrQa,
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur. - Cge, Cgi
allèles à la bandelette optique, (fin. 12, 31, 32, cas Courrière et
Bras
, Fig, 93, p. 108 a 120) on constate | nettement
uite des lésions des lobules lingual et fusiforme (cas Courrière et
Bras
, p. 108 à 120). Le faisceau de Tiirck, par cont
alvéus. - AU, avant-mur. bd, bandelette dia- gonale de Broca. BrQa,
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur. - BrQp. bras
ale de Broca. BrQa, bras du tubercule quadrijumeau antérieur. - BrQp.
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur. - Cal, co
ndelette diagonale de Broca. - BG, bandelette de Giacomini. - BrQp,
bras
du tubercule quadrijumeau pos- térieur. - CA, c
n masse de la calotte pédonculaire. Aq, aqueduc de Sylvius. - BrQp,
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur. - Cge, co
yau externe du thalamus; celles du lobe occipital (cas Courrière et
Bras
, p. 108, Fig. 80 à 95) sur le pulvinar; celles
delette diagonale de Broca. - BG, bandelette de Giacomini. - IlrQa,
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur. - l3rQp, b
comini. - IlrQa, bras du tubercule quadrijumeau antérieur. - l3rQp,
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur. - Cl, corne
arginalis et du pré- cunéus. (Voy. cas Courrière, Fig. 80 à 86; cas
Bras
, Fig. 87 à 95 ; cas Dautriche, Fig. 92 à 96; ca
ig. 124 a 128, p. 140); cas Courrière (Fig. 80 à 86, p. 108); cas
Bras
(Fig. 87 il 95, p. 114); elles passent par le
et du pied du pédon- cule cérébral (cette coupe appartient au cas
Bras
, cécité corticale, p. 115). Méthode de Wei- ger
ent unies. L'étude des dégénérescences secondaires montre (Voy. cas
Bras
, hémisphère gauche, Fig. 93) qu'elles occupent
l'écorce de la circonvolution postérieure de l'insula (Ip). - BrQa,
bras
du tubercule quadriju- meau antérieur. - C1, co
IE DES CENTRES NERVEUX. Radiations cortico- quadrigéminales. s.
Bras
du tubercule quadrijumeau anté- rieur. Radi
is elles deviennent superficielles, en concourant à la formation du
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur (BrQa), et
utre d'autres radiations, qui n'entrent pas dans la constitution du
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur. Les unes a
fondes du tubercule quadrijumeau antérieur, et dégénèrent, comme le
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur et les radi
tie profonde du corps genouillé interne. - Cette coupe intéresse le
bras
et les radiations du tubercule quadrijumeau antér
e le bras et les radiations du tubercule quadrijumeau antérieur, le
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur, et les radi
ig. 322, p. 61-d.) AU, avant-mur. - Aq, aqueduc de Sylvius. - BrQa.
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur. - BrQp + R
Qa. bras du tubercule quadrijumeau antérieur. - BrQp + Rm, union du
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur avec le ruba
le chiasma des nerfs optiques. 72 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Bras
du tubercule quadrijumeau posté- rieur. Rad
u corps genouillé interne. Elles forment un faisceau assez compact (
bras
du tubercule quadrijumeau pos- térieur BrQp, Fi
ne (Fig. 44). Il est recouvert dans une partie de son trajet par le
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur (BrQa), don
ijumeau anté- rieur; sur le tubercule quadrijumeau postérieur et le
bras
de ce tubercule; sur le ruban de Reil médian et
tées. - Dégénérescences des corps genouillés externe et interne, du
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur et de la co
nicke (W), du pulvinar (l'ul), du corps genouillé externe (Cge), du
bras
du tubercule quadrijumeau azttéz·iezcr(I3rQa), et
ires ou cortico-médullaires (voy. cas Courrière, Fig. 80 à 80, et cas
Bras
, Fig. 87 i à 95, p. 115). Les lésions du lobe
s lingual et fusiforme); 3° Du tapetum (Tap) (Voy. cas Courrière et
Bras
) qui envoie un grand nombre de ses fibres dans
artie supérieure et postérieure du corps genouillé externe (Cge) le
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur (BrQa) (Fig.
la capsule interne, du pulvinar, du corps genouillé externe, du
bras
du tubercule quadrijumeau anté- rieur. Intégr
th) ; du pulvinar (Pul), du corps ge- nouillé externe (Cge), du
bras
(BrQa) et de la couche de fibres superficiell
isphère. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 115 Le cas
Bras
a trait à un vieillard de 64 ans, atteint depuis
lobe occipital; elles peuvent être suivies sur FiG. 87 et 88. - Cas
Bras
. Topographie de la double lésion corticale dans u
confirmée par l'autopsie. (C. R. Soc. Biologie, 1893, p. 983.) Cas
Bras
. Cécité corticale. Topogra- phie de la double
rticaux de la vi- sion. 116 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas
Bras
. Cécité corticale par double lésion des centr
vinar (pur).11 existe en outre une dégénérescence très manifeste du
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur (BrQa), des f
la substance grise centrale de l'aqueduc de Sylvius. FiG. 89. - Cas
Bras
. Cécité corticale. - Hémisphère droit. Topographi
87) il n'existe à la face interne du lobe occipital FiG. 90. - Cas
Bras
. Cécité corticale. - Hémisphère droit. Coupe hori
cke (W), du pulvi- nar (Pul) (fibres radiées et stratum zonale), du
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur (BrQa), des
colorées en jaune.) Méthode de Weigert. 3/2 grandeur nature. Cas
Bras
. Cécité corticale par double lésion du centre
a bandelette optique. , 118 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas
Bras
. Cécité corticale par double lésion du centre
ès intense, bien que limitée, des couches sagittales Fic. 91. - Cas
Bras
. Cécité corticale. - Hémisphère droit. Coupe hori
la deuxième circonvolution temporale et occupent la Fig. 92. - Cas
Bras
. Cécité corticale.7JemMp/t<i)'e gauche. Coupe
grandeur nature. Les zones dégénérées sont colorées en jaune. Cas
Bras
. Cécité corticale par double lésion du contre
la bandelette optique. 120 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas
Bras
. Cécité corticale par double lésion du centre
égénérescence limitée bien que très intense du corps Fig. 93. - Cas
Bras
. Cécité corticale. - Hémisphère gauche. Coupe obl
Wernicke et une dégénérescence plus limitée encore du pulvinar; le
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur paraît peu to
obe pariétal, même lorsqu'elles sont isolées, 1 ic. 9t et 93. - Cas
Bras
. Cécité corticale. - Hémisphère gauche. Coupes ob
, de la zone de "Wernicke (W), du corps genouillé externe (Cge), du
bras
(BrQa) et de la couche de fibres superficielles d
e occipital rapportées plus haut (cas Courrière, Fig 80 à 83 et cas
Bras
, Fig. 87 à 9 : i, p. 109 à 121), il est permis d'
dans et sur les coupes plus inférieures (Fig. 133), elle intéresse le
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur (BrQp.), l
re du noyau externe du thalamus, du corpsgcnouiHë lu- terne, du
bras
du tubercule quaùrl.1u- meau postérieur et
e du no) au externe du thalamus, du corps genouillé interne, du
bras
du tubercule quadriju- meau postérieur et d
de Turck (FT). Dégénérescence du corps genouillé interne (Cgi), du
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur (BrQp) e
ntérieure du bulbe. Dégénérescence du corps genouillé interne, du
bras
du tubercule quadrijumeau pos- térieur, et de
rouge (NR), des corps genouillés interne (Cgi) et externe (Cge), du
bras
(l3rQla) et de la couche de fibres superficiell
e de l'aqueduc de Syl- vius (Sg Aq (d). Dégénérescence partielle du
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur (13r Qlp)
e externe du pied du pédoncule cérébral (Fig. 177). Dégénérescence du
bras
(BrQa) et des couches superficielle et moyenne
te de la lésion du corps genouillé externe, une dégé- nérescence du
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur (BrQa) et une
ubercule quadrijumeau antérieur (Qa); dégénérescence par- tielle du
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur (BrQp); dégé
82 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. gion du ruban de Reil médian et le
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur; elle secti
quadrijumeau antérieur (Fig. 191), une dégénérescence partielle du
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur (Br Qp) et
du corps genouillé externe (Cge), de le bandelette optique (II), du
bras
et de la couche superficielle du tubercule quadri
e Wernicke; une dégénérescence du corps genouillé externe (Cge), du
bras
et de la couche superfi- cielle du tubercule qu
is sa naissance on ne l'a jamais vu faire un seul mouvement, ni des
bras
, ni des jambes. 11 restait, immobile, en état de
ture des qualre membres, remuait un peu les jambes, assez bien les
bras
. Tétait bien au biberon ; s'approchait du biber
es- thésiée que l'avant-bras, ce dernier est plus insensible que le
bras
, etc. Cette distribution de l'anesthésie, sur l
ervé une perte complète isolée et transitoire du sens musculaire du
bras
droit avec conservation de la sensibilité au co
ec autopsie (1893) et auquel se rapportent les ligures 87 à 95 (cas
Bras
). Dans ce cas la cécité fut d'emblée complète. D'
portée en 1880 par l'un de nous, con- cerne un cas de monoplégie du
bras
droit accompagnée d'anesthésie et rele- vant d'
mine un relief oblique en avant et en dehors connu sous le nom de
bras
du tubercule mamillaire (13pacliltini corporis
audé au globus pallidus (Fie) (cas Heudebert, Fig. 126, p. 139; Cas
Bras
, Fig. 90 et 91, p. 117 et 118). Dans les lési
thalamus, du pulvinar, des corps genouillés interne et externe, du
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur. Sur les Fi
inar (l'ul), des corps genouillés interne et externe (Cgi, Cge), du
bras
du tubercule 41tiadi,i,ju- meau antérieur (BrQa
uite de lésions du lobe occipital et du lobe occipito-pariétal (cas
Bras
, Fig. 90 et 91, p. 117 et 118, el cas Heudebert
5/1 grandeur nature. Al, anse lenticulaire. - Alv, alveus. - BrQa,
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur.. - Cge, co
ature. Aol, aire olfactive. - B, fente cérébrale de Bichat. - BrQa,
bras
du tubercule quadriju- meau antérieur. - Ce' (S
médian de Luys (Nm) de la région du ruban de Reil médian (rgRm), du
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur (BrQp) et,
du pul- vinar par le corps genouillé interne (Cgi) compris entre le
bras
du tuber- cule quadrijumeau antérieur (BrQa) et
is entre le bras du tuber- cule quadrijumeau antérieur (BrQa) et le
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur (BrQp) (Fi
T. Ier, Fig. 30ru, p. 612). Alv, alvéus. - 1.11, avant-mur. - BrQa,
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur. - CA, corn
est libre et recouvre les tubercules quadrijumeaux (Qa, Qp) et les
bras
(BrQa, BrQp) qui en partent; son bord externe cor
eau anté- rieur. - Méthode de Weigert, 3/2 grandeur nature. BrQa,
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur. - BrQp, bras
eur nature. BrQa, bras du tubercule quadrijumeau antérieur. - BrQp,
bras
du tubercule quadri- jumeau postérieur. - CA, c
icales ou sous-corticales de la sphère visuelle (Voy. cas Courière,
Bras
, p. 188 et suiv.), ainsi qu'à la suite de lésio
13), et dans les régions inférieures (Fig. 312 et 47, p. 69)avec le
bras
du tuber- cule quadrijumeau antérieur (Br Qa) e
riangulaire de Wernicke (W). La face antérieure est tapissée par le
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur (Br Qa) (Fi
trent dans la constitution du stratum zonale du pulvinar (Strz), du
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur (BrQa) ou des
ieur (Qa) et le corps genouillé externe (Cge), et enclavé entre les
bras
des tubercules quadrijumeaux antérieur et posté
s tubercules quadrijumeaux antérieur et postérieur (BrQa, BrQp). Le
bras
du tuber- GANGLIONS OEFRACORTICAUX : COUCHE OPT
quadrijumcau antérieur (BrQa) le sépare en arrière du pulvinar, le
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur (BrQp) le li
lorsque le corps genouillé interne apparaît libre à l'extérieur, le
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur (BrQp) le
d'une mince couche de fibres zonales qui appartiennent en partie au
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur. Sa face pr
ule quadrijumeau antérieur. Sa face profonde el adhérente reçoit du
bras
du tubercule qua- drijumeau postérieur aux conf
e interne de la bandelette optique qui le côtoient appartiennent au
bras
du tuber- cule quadrijumeau antérieur (Voy. Ner
cor- lico-gellollillées internes,]}. 70). Par l'intermédiaire du
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur, le corps
ouche optique entre en outre en connexion avec le cerveau moyen. Le
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur (BrQp) rel
QUE. : 3ï : ; de Reil latéral et aux centres auditifs primaires. Le
bras
du tubercule qua- drijumeau antérieur unit le c
diverticule sus-pi- néal.- Sge, substance grise centrale. par les
bras
des tubercules quadnju- mraw antérieur et p
voir suivi la dégénérescence de la commissure pos- térieure dans le
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur, puis à trave
ue ou pariéto-temporo-occipitale. Dans les cas de dégénérescence du
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur consécutive
oit sillon qui le sépare du pulvinar; elles contribuent à formcr le
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur et se termi
au antérieur qu suivent, dans une partie de leur trajet, la voie du
bras
du tubercule qua drijumeau antérieur (Voy. p. 7
iques de Gratiolet (Voy. cas Cour- rière, p. 109, Fig. 80 à 86; cas
Bras
, p. 1-15, Fig. 87 à 95) ne dépassent pas, en gé
eau moyen et l'islhme postérieur de Ilis.- D'après Retzius. BrQa,
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur. - BrQp, br
Retzius. BrQa, bras du tubercule quadrijumeau antérieur. - BrQp,
bras
"du tubercule quadrijumeau postérieur. - fui, fibr
ièce que celle des Fig. 340,338 et 334. B, bulbe rachidien. - BrQp,
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur. - esl, écha
e pièce durcie dans la bichromate. 811, bandelette optique. - BrQa,
bras
du tubercule quadrijumeau antérieur. - BrQp, br
optique. - BrQa, bras du tubercule quadrijumeau antérieur. - BrQp,
bras
du tubercule qua- drijumeau postérieur. - Cge,
ue et le taenia pontis. (D'après Retzius.) Grandeur nature. l3rQp,
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur. - cops, c
6, S 7, Fig. 396, 414, 415). Pédoncules cérébelleux moyens (Pcm),
bras
du pont, brachium pontis, processus ou entra ce
7 i) dans le sillon qui sépare ce corps du faisceau do Tiirck et du
bras
du tuber- cule quadrijumeau postérieur. Les une
de Marchi.) Il existe, en outre, dans ce cas, une dégénérescence du
bras
du tubercule quadri- CONFIGURATION INTÉRIEURE D
aire commun. Mé- thode de Weigert-Pal. 3/1 Grandeur nature. BrQp,
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur. - Cge, corp
fond en s'enfonçant sous le tubercule quadrijumeau postérieur et le
bras
de ce tubercule. Le segment externe du ruban se
vec elle; sa face convexe est en rapport d'arrière en avant avec le
bras
du tubercule quadrijumeau poslérieur (BrQp), le
aux fibres cortico- quadrigéminales postérieures qui font suite au
bras
du tubercule quadri- jumeau postérieur et trave
postérieurs sont encore un peu possibles ; le malade peut avancer le
bras
et le porter en arrière un peu, mais ces mouvemen
t l'interligne articulaire, suit, en raison de la position déclive du
bras
, tantôt la gaine bicipitale, tantôt le scapulum,
, il a conservé une très-bonne santé. Mais, comme tout mouvement de
bras
lui est impossible, qu'il ne peut que le porter u
continuelles depuis quatre ans, qui me permette ensuite d'agir de mon
bras
, je suis prêt à la subir. » Quand j'ai laissé e
-coracoïdienne et l'arti¬culation scapulo-humérale. Quand on élève le
bras
, le premier mou¬vement se passe dans l'articulati
n, et c'est à cela qu'est due l'impossibilité actuelle d'élévation du
bras
. Ainsi, la première fusée ne prouverait pas que
lade. En ce moment il n'a pas de mouvement de l'articulation, il a le
bras
collé au corps, il peut à peine le porter en avan
es qui ont été opérés, et vous jugerez de l'étendue des mouvements du
bras
qui en est résultée. Nous débarrasserons donc,
e par le nez, mais à condition qu'on lui maintiendrait la tête et les
bras
. La sonde a été passée facilement, et nous lui av
La mobilité physiologique de ce dernier os permettait l'élévation du
bras
jusqu'à le porter hori¬zontalement, et c'est seul
tari chez ce malade, auquel M. Nélaton avait néanmoins conservé son
bras
. Des ostéites successives, des nécroses, ont néce
l'aisselle, l'autre à la partie supérieure, postérieure et externe du
bras
, furent ouverts par M. Dolbêau, qui explora à plu
gêne des mouvements était complète, et le malade ne pouvait remuer le
bras
gauche qu'en se servant de sa main droite. L'ép
ïde, en se contractant, faisait exécuter au moignon de l'épaule et au
bras
des mouvements relativement assez étendus et très
ve des frissons, un malaise général, des douleurs dans l'épaule et le
bras
gauches, ainsi que dans la moitié gauche des paro
, dit-il, une amélio¬ration notable. La douleur n'existe plus dans le
bras
gauche, non plus que dans l'épaule, mais elle per
marche très-régulière, mis en action et arrêté à volonté par un petit
bras
de levier ; se montant par une petite clef fixe e
s et les traces évidentes d'un suintement ; à la ceinture et sous les
bras
existait un érythème parfaitement sec, se dévelop
mi-flexion sur le bassin, la jambe en demi-flexion sur la cuisse ; le
bras
gauche est supporté par des coussins et le droit
lade fait de lui-même observer que les mouvements qu'il imprime à son
bras
gauche dans l'exer¬cice de sa profession, surtout
Pendant la convalescence de sa fièvre éruptive, est survenue sur les
bras
une nouvelle éruption composée de taches d'un rou
augmenté d'épaisseur et sont plus nombreuses, principalement sur les
bras
, où leur forme en coquillages est aussineltequepo
ers les oreilles, dans le cuir chevelu. Quelques-unes des croûtes des
bras
et du ventre sont tombées, laissant à leur place
orte ces deux pre¬miers systèmes. L'ophthalmoscope est monté sur un
bras
de levier horizontal qui porte à une de ses extré
e ses extrémités le miroir M et à l'autre extrémité la lentille L. Ce
bras
de levier est susceptible de s'allonger ou de se
Otite. — Abcès ganglionnaires. — Scrofulides cutanées de la face, des
bras
. — Scrofidide osseuse des doigts, des orteils, et
t s'est terminé par une cicatrice irré¬gulière. Puis, des lésions des
bras
et des avant-bras, abcès ou scro-fulides, dont l'
de cet appendice digital sont très-bornés. La moitié inférieure du
bras
gauche, la région postérieure du coude, \avant-br
ndre, car : 1° Le point d'appui solide que la membrane prend sur le
bras
ou sur le cœur, empêche sa dilatation par le choc
aux mains et aux pieds, principalement dans les appendices, dans les
bras
et les jambes et à la base du thorax. Ces douleur
én... s'est aperçue, pour la première fois ce matin, qu'elle avait le
bras
enflé depuis l'épaule jusqu'au coude, du côté dro
s entre eux, sont les suivantes : droit. gauche. Circonférence du
bras
au niveau du creux axillaire. 30 centim. 22 centi
au niveau du creux axillaire. 30 centim. 22 centim. Circonférence du
bras
immédiatement au-dessus du pli du coude........
s supérieur de l'avant-bras droit, avec un gonflement plus mar¬qué du
bras
dans toute sa hauteur, mais principalement au niv
es mouvements, n'y réveil¬lent aucune sensation pénible; seulement le
bras
semble lourd à la malade. Le pouls, petit, régu
e d'incoordi¬nation des mouvements dans le membre supérieur droit. Le
bras
gauche, au contraire, était affecté d'une ataxie
au contraire, était affecté d'une ataxie indubitable. Aujourd'hui, le
bras
droit présente, à son tour, une incoordination tr
ntir, pour ainsi dire, à chaque mouvement. 30 nov. Le gonflement du
bras
s'est à peu près tout à fait dissipé ; mais il y
uation se perçoit très-nettement. Lorsqu'on imprime des mouvements au
bras
, on reconnaît que la tête de l'humérus se luxe en
très-bruyants. La Planche XXV représente avec exactitude l'aspect du
bras
et de l'épaule à cette époque de l'arthropathie.
assez proéminent, mais on dirait que le postôro-inférieur est usé. Le
bras
droit mesure 26 centimètres de longueur, le gauch
indolores, s'exécutent avec assez de facilité : la malade soulève son
bras
, porte la main sur la tête, vers le dos, etc. L
as, porte la main sur la tête, vers le dos, etc. La faradisation du
bras
et de l'avant-bras produit des mouve¬ments aussi
part quelques craquements perçus par la malade lorsqu'elle élevait le
bras
, les lésions articulaires n'ont été précédées d'a
ions, et occupait non-seulement la région de l'épaule, mais encore le
bras
, le coude et une partie de l'avant-bras. La planc
dessin de MM. Charcot et Rosapelly donne une idée exacte de l'état du
bras
à cette époque de la mala¬die. Ce gonflement s'ac
elques jours le gonflement diminua; l'avant-bras, puis le coude et le
bras
revinrent à leurs dimensions anciennes. Par contr
pouvait marcher que très-difficilemeut ; son mari la prenait dans ses
bras
au sortir du lit et l'asseyait sur un fauteuil. O
eu, ébrieuse. Elle se mit à marcher comme une femme ivre, titubant,
bras
et jambes écartées. Une certaine ataxie des mem
cause des oscillations du tronc dont il corrige les écarts avec ses
bras
en guise de balancier. Il n'a pu reprendre la mar
que lorsqu'il eut fait une éducation volitionnelle suffisante de ses
bras
, lorsqu'il eut appris à en faire des balanciers
rois user d'une trop vive métaphore en disant qu'il marche avec ses
bras
. L'occlusion des yeux n'aug- mente pas ses trou
entièrement accaparée et occupée par les images de l'équilibre. Ses
bras
lui sont d'un tel secours que si on les attache,
on du tronc, sollicitée par exemple par le soulèvement d'haltères à
bras
tendus en avant (lig. 2). ons maintenant ce qui
lus ou moins considé- rable existe entre les condyles fémoraux, les
bras
sont maintenus un peu éloi- gnés du tronc. Assi
ncurvation et celle du rachis contribuent à diminuer sa taille. Les
bras
conservant leur longueur normale semblent trop lo
r d'un enseigne reçut sept coups d'épée sur la tête, quatre sur les
bras
, un sur l'épaule droite. Son maître fit creuser
rai quelques types : « Monstre marin ayant la tête d'un ours et les
bras
d'un singe » ; « Monstre marin ayant la tête d'
Saint exorcisant un malade, possédé ou « lunatique », qui porte aux
bras
les fers avec lesquels on avait coutume d'immob
ts et graciles, peu musclés ; obésité remarquable. Mou- vements des
bras
libres, les jambes par contre sont ankylosées. Ex
e très enfantine c'est vrai, mais correcte et sensée. Motilité. Les
bras
ne furent jamais paralysés mais les mouvements de
atéralité des globes oculaires, et de l'autre par une hémiplégie du
bras
et de la jambe, atteignant très lé- gèrement ta
istique des tumeurs cérébrales, démarche ébrieuse, hémipa- résie du
bras
et de la jambe droite. Légère asymétrie de la fac
de morphine. 7 janvier. Même état, douleurs insupportables dans le
bras
droit. 23. Altération dans le psychisme du mala
eux. 12. Le malade a eu un accès de mouvements spasmodiques dans le
bras
et la jambe droite sans perte de conscience, po
éritable accès de crampes musculaires dissociées dans le domaine du
bras
et de la jambe droits ; ces spasmes eurent d'ai
nues, persistantes siégeant au niveau de la face, de l'épaule et du
bras
droit. L'explication pathogénique de ces douleu
mbe gauche, son avant-bras gauche reste fléchi à angle droit sur le
bras
, sa main est en flexion sur l'avant-bras, les pre
e de la main, qui ne démangeaient pas. Leur siège était varié : les
bras
, le tronc, les fesses, la tête sous les cheveux.
, chaque hémi-thorax ayant les mêmes dimen- sions. Les muscles du
bras
droit ne paraissent pas atrophiés. Palpation. V
ade devait, en se faisant glisser le long d'un poteau,infléchir son
bras
droit,de façon à amener la para-thoracique droi
ssoufflement dès qu'il monte un escalier. Il souffre pour élever le
bras
droit. UN CAS DÉFORMATION THORACIQUE PRÉCOCE 21
malade se sert de préférence maintenant, bien que droitier, de son
bras
gauche pour les tra- vaux des champs. Il accu
i fut atteinte d'uneparalysie radiculaire supérieure et inférieure du
bras
droit, consécutive à un accident d'automobile.
bras droit, consécutive à un accident d'automobile. La paralysie du
bras
fut complète, avec contracture du biceps. En ce
ntracture du biceps. En ce moment le malade se sert facilement de son
bras
droit, seule la main a conservé encore une form
ns de la disposition suivante : nous prions le malade d'étendre son
bras
atteint de telle sorte que le bras, l'avant-bras
s prions le malade d'étendre son bras atteint de telle sorte que le
bras
, l'avant-bras et la main se trouvent en extensi
sorte de voûte, la voûte des crampes professionnelles. En mettant le
bras
tendu sur une surface plane, sur une table par
de 50 grammes jusqu'à 300-400. Voici comment on opère : on place le
bras
du patient sur le bord du bureau, de telle sort
, et par la flexion de l'index et du petit doigt, la main, l'avant-
bras
et le bras étant en extension complète, comme le
flexion de l'index et du petit doigt, la main, l'avant- bras et le
bras
étant en extension complète, comme le montre la P
re la PI. XXX. Ceci fait, le patient reste quelques moments avec le
bras
tendu. Après quoi, il fait tourner la canne aut
sur une table ouïe dossier d'une chaise. Il supporte alors sur ses
bras
tout le poids du haut' de son corps, en même temp
nécessite absolue où se trouve le malade de faire supporter par ses
bras
tout le poids du haut de son corps lorsqu'il ve
omplètement paralysé est dans une attitude très caractéristique. Le
bras
est collé contre le tronc ; il semble y avoir un
niveau du poignet la main est en flexion à angle droit sur l'avant-
bras
et en même temps il y a un certain degré d'inclin
aphasie remontant à 3 ans. L'avant-bras est fortement fléchi sur le
bras
, le poignet et la main ont une attitude analogu
fficilement s'asseoir dans son lit, il lui est impossible de tenir un
bras
élevé, elle n'arrive pas à soulever les jambes
l'effet utile. Si l'on prescrit par exemple à la malade de tenir le
bras
fléchi et qu'on cherche à l'étendre, on ressent a
depuis le commencement de sa maladie. Jamais de douleurs dans le
bras
et la main. Cet état, qui d'intermittent était
sont les suivants. Il a marché tard, vers 3 ans 1/2. S'est cassé le
bras
à 7 ans, par chute de voiture. Il a commencé à tr
la force des poignets, grimper à la barre fixe. Dans l'abduction du
bras
, la main soulevant un fardeau, la tête de l'hum
al n'est cependant pas complète ; on ne peut croiser en arrière les
bras
relevés. La colonne vertébrale n'est pas déviée
et Sainton qui ne pouvait pas porter long- temps son enfant sur les
bras
. Par contre tous ces sujets présentent une mobi
euse, elle n'a aucune action sur le développement des mouvements du
bras
qui sont normaux ou plus que normaux. » 2° L'as
ment. 40 Il ne nous a pas semblé dans ces différents cas que les
bras
et les épaules tombent en avant et en bas d'une
mble qu'il y ait dans cette position une dispa- rition complète des
bras
, et de leurs racines ne laissant voir que le tho-
esque effacé : crâne aplati. Musculature moyenne, non atrophique.
Bras
en demi-flexion, les poignets ramenés en avant du
nts des jambes possibles, mais lents et tremblants. Tremblement des
bras
dans les mouvements. Expression stupide de la fac
un clignottement rapide des paupières. Tremblement intentionnel aux
bras
. 1874. Impossibilité de tirer la langue hors de
. Mouvements faciaux associés pendant la parole. Les mouvements des
bras
se font lentement, par secousses ; ils sont tre
frère. Raideur du dos, du cou et des jambes, moins intense dans les
bras
. Réflexes très forts; Pas de clonus. Démarche s
olide qu'auparavant ; il lui semblait surtout que la force dans les
bras
et les jambes avait beaucoup diminué. Peu de te
pouvait à peine porter la cuillère à la bouche, le plus souvent son
bras
commençait à trembler et il versait tout le con
ait pas soutenu par quelqu'un ; il ne pouvait plus se servir de ses
bras
pour manger, s'habiller; etc. Pendant son séjou
l'hôpital il ne pouvait manger seul, c'est-à-dire se servir de ses
bras
par suite de leur fai- blesse et parce que chaq
une ligne droite, et celle du bord interne par une ligne concave. Les
bras
ne présentent plus qu'une légère masse musculai
dynamométrique à chaque main est zéro. La circonférence de l'avant-
bras
, à 10 centimètres au-dessus de l'apophye styloïde
timètres à droite et 14 cent. 1/2 à gauche. , La circonférence du
bras
, à 10 centimètres au-dessus de l'épitroclilée (pr
scapulo-humérale il peut exécuter quelques mouvements : relever le
bras
jusqu'au plan horizontal à droite, moins à gauche
s. Quelquefois des douleurs de caractère fulgurant lui traversent les
bras
et le tronc. Les réflexes cutanés, crémastéri
ême temps la réaction longi- tudinale de Doumer, jusqu'à hauteur du
bras
. Nerf médian, 10 m. A., contractions musculaire
sommet de cet angle, marqué par un gros plis cutané, est séparé du
bras
pendant le long du corps, par un espace où loge
le début des accidents. ' L'enfant arrive à l'hôpital portéesur les
bras
, incapable de marcher, mais son aspect est supe
nt debout : elle se tint, avec une grande difficulté, boudeuse, les
bras
écartés, oscillante, se remettant après des esq
e, elle consentit à marcher seule, titu- bante, comme ébrieuse, les
bras
en balancier ; pendant les premiers pas ses jam
romélie porte également sur les quatre membres. Après extension des
bras
, les doigts, au lieu d'atteindre et de dépasser l
le suivant. Il est plus accusé, relativement, pour la cuisse et le
bras
, que pour la jambe et l'avant-bras, et n'intére
nt-bras, et n'intéresse que peu le pied et la main. La cuisse et le
bras
; normalement plus 488 PORAK ET DURANTE longs
timètres, correspondant à un diamètre de 3 1/2 cent., égal pour le
bras
et l'a- vant-bras ; la longueur totale du membr
1/2 pour la jambe. Dans une autre observation (1902) la longueur du
bras
était de 2 centimètres et son diamètre transver
ons et même dans la continuité des segments, transformant ainsi les
bras
, les jam- bes, les cuisses en petits cylindres
t encore plus chez t'achondropiase adulte que chez le foetus. Les
bras
, forts et musclés, tenus un peu écartés du corps
t le type rhizomélique (P. Marie), c'est-à-dire que la cuisse et le
bras
, normalement plus longs que la jambe et l'avant
nous a représenté les membres des éiéphantiasiques. En remuant les
bras
, les avant-bras, les jambes et les cuisses, on
s nous montrent même, chez ces peuplades, un allongement exagéré du
bras
avec des membres inférieurs présentant des dimens
l'olécrâne à l'apophyse sty- loïde du cubitus = 16 centimètres. Le
bras
de l'épitroclilée à l'acromion =16 cent. 1/2. D
PLACIITA cine des membres sont plus courts que les mésoméliques (le
bras
. et la cuisse sont plus courts que l'avant-bras
rsement dans la proportion normale. Dans le cas de Huet-Caruette le
bras
= 12 centimètres, l'avant-bras = 15 centimètres
ux mésoméliques. Pierre Marie chez son malade Anatole trouve que le
bras
= 13 centimètres,l'avant-bras =17 cent. 7, la c
centimètres, la jambe = 24 centimètres. Chez le malade Claudius le
bras
= 11 centimètres, l'avant-bras = 15 centimètres,
mbe = 22 cent. 2. Dide et Leborgne chez leur malade trouvent que le
bras
= 22 centimètres, l'avant-bras = 26 centimètres
oméliques plus longs que les mésoméliques. Dans le cas de Parrot le
bras
= 15 centimètres, l'avant-bras = 14 centimètres ;
= 19 centimètres. Dans l'un des cas d'Apert (le malade Sicard), le
bras
=18centimètres,Pavanl-bras = 14 centimètres. Il
ononcée aux membres supérieurs. Ainsi chez le malade de Ces- tan,le
bras
= 13, l'avant-bras = 22, mais cuisse et la jambe
a micromélie rhizomélique prédomine aux extrémités inférieures : le
bras
= 11 cent. 1, l'avant-bras = Il cent. 1 ; la cu
dernier. - Chez notre malade nous avons les dimensions suivantes le
bras
= 16 cent. 5 ; l'avant-bras = 16 centimètres ;
ine adresse les autres malades et le personnel de FiG. 6. Les os du
bras
et de l'avant-bras de ce^même malade comparésjave
seulement aux membres inférieurs mais aussi aux membres supérieurs (
bras
= 18, avant-bras = 14 cm.). En ce qui concerne
l- let (64) elle correspond à une taille de 1 m. 20. La longueur du
bras
au contraire correspond à une taille de 1 m. 63
s 4 membres des altérations de la même nature a laissé indemnes les
bras
et les avant-bras tandis que les jambes et les
edème il ne peut remuer ses jambes que très difficilement, mais les
bras
ont conservé leurs mouvements. Le tremblement est
ne compression exercée sur le nerf, le malade s'étant endormi avec le
bras
appuyé sur la planche latérale du lit. 29. -
doigts. Peu à peu l'atrophie avait envahi les avant-bras, puis les
bras
: mais mal- gré les atrophies très nettes décri
ent sont plus mous que nor- malement. Il peut d'ailleurs porter les
bras
en haut. Le grand pectoral est petit, surtout d
petit, surtout dans la partie interne de son faisceau claviculaire.
Bras
. - Le triceps a presque totalement disparu : le m
extension. Il ne peut obtenir la rectitude qu'en laissant tomber le
bras
le long du corps. Si on pince la région postéri
mber le bras le long du corps. Si on pince la région postérieure du
bras
, c'est à peine si on a la sensation d'un peu de
ance dans les mouvements de flexion forcée. La région antérieure du
bras
est également très atrophiée, mais à un moin- d
iée, mais à un moin- dre degré que le triceps. Le malade fléchit le
bras
et résiste assez bien aux mouvements d'extensio
qu'à droite, un peu moins marquée et le grand pectoral, lorsque le
bras
est élevé à angle droit ne présente pas la dépr
nservée. Les réflexes rotuliens et achilléens sont douteux, ceux du
bras
et de l'avant- bras sont abolis. Les réflexes c
s rotuliens et achilléens sont douteux, ceux du bras et de l'avant-
bras
sont abolis. Les réflexes cutanés (crémastérien e
as, par leur simplicité extrême à toute critique médicale, tels les
bras
et jambes de bois qui, par centaines, en d'autr
ossible à droite ; à gauche elle se fait mais avec participation du
bras
; les deux mains, en demi- pronation, demeurent
tée. Son père et son grand-père paternel avaient, aux jambes et aux
bras
, depuis leur enfance des tumeurs analo- gues.
ONCTIONNELLE (PI. LiVII). - L'examen du sujet au repos, lorsque les
bras
sont pendants naturellement le long du corps, n
e qu'à gauche. Les photographies représentent le sujet : l'une, les
bras
au corps, avant-bras en flexion, dans la positi
fixe aux membres supé- rieurs dans le pas gymnastique; l'autre, les
bras
en croix. Elles accusent par leur relief et leu
particu- lier, il exécute en se jouant une série de mouvements des
bras
et des épaules à la barre fixe ou à l'aide du b
trapèze (phot. 2), est facilement obtenu ; de même l'élévation des
bras
se fait sans difficulté. Les mouvements auxquel
férieures et moyennes du trapèze ? « A l'état de repos, lorsque les
bras
sont pendants, et l'atrophie des muscles scapu-
sujet. Les mouvements de l'omoplate redeviennent normaux dès que le
bras
a repris une autre position. Tout au moins, cet
nné à l'homme et à la femme que l'on veut réunir, à l'un de doubles
bras
à l'autre une tête à deux visages. A l'angle qu
bles bras à l'autre une tête à deux visages. A l'angle que forme le
bras
de la femme, apparaît un profil d'homme à moust
l'aide des barres parallèles, à marcher soit en lès tenant sous les
bras
ou à la main, soit au charriot ; on essaie de l
nnés, ainsi que le montrent les mensurations ci-après : Longueur du
bras
mesurée de l'acromion à l'épicondyle, 19 cent.
2 octobre 4 879).- Père, architecte, présentait une malformation du
bras
gauche, qui était moins développé que le droit
rmation du bras gauche, qui était moins développé que le droit ; ce
bras
se terminait par un moi- gnon formé par la régi
ement à terme (à Neuilly-sur-Seine), assez long; on aurait cassé un
bras
de l'enfant, le droit, croit-on, et démis un po
le même à la main; le thermomètre, appliqué sur la face externe des
bras
, marque à droite 33°,8, à gauche 34", I . La
39°,8. fer avril. - L'érysipèle a pâli au niveau de l'épaule et du
bras
, il prend un aspect rouge-clair moucheté ; le b
let fait défaut; la peau n'est ni chaude, ni résistante. La peau du
bras
est le siège d'une desquamation furfuracée. Le
9o. J Soir : 39°,8. 2. - Envahissement de la partie inférieure du
bras
et supérieure de l'avant-bras droit par l'érysi
lle atteint seulement le mame- lon ; de plus, elle a envahi tout le
bras
et l'avant-bras, s'arrêtant brusquement par une
du côté droit elle atteint éga- lement le mamelon, a envahi tout le
bras
et l'avant-bras, s'arrê- tant brusquement par u
ptique; le père, intelli- gent, présentait seul une malformation du
bras
gauche, et, sauf une cousine de la mère au troi
dent tout d'un coup aux chevilles ou aux genoux. Les mouvements des
bras
sont libres, mais elle fait tout lentement et a
uellement, il marche en traînant un peu la jambe droite, soulève le
bras
droit, peut mettre la Bourneville, 1886. 5 66
IDIOTIE CRÉTINOïDE. proéminent, mais la poitrine est normale et les
bras
sont bien faits; les mains sont petites, ramass
e est plus longue que le fémur et l'avant-bras est plus long que le
bras
. Les orteils ne présentent rien de particulier,
, bien portante, mais sujette à des douleurs rhumatismales dans les
bras
; pas de migraines. - Grand'mère maternelle : mo
g oui, on ne peut appré- cier sa sensibilité. Les mouvements des
bras
s'exécutent librement, mais ceux des jambes son
des ali- ments dans la bouche ; aujourd'hui, il avale mieux. Les
bras
sont à demi fléchis. Si on essaie de les étendre
déterminer une certaine souf- france. L'enfant agite faiblement les
bras
et n'exécute ja- mais de grands mouvements. La
fléchir, on pro- voque aussitôt une contracture plus marquée qu'aux
bras
. La sensibilité cutanée des jambes est égalemen
égulier, filiforme, incomptable. 19 mai. Contracture et raideur des
bras
très diminuées; strabisme interne, surtout à l'
lade ne s'est guère modifié : même aspect extérieur. Contracture du
bras
droit, réductible avec peine. Membre inférieur
bientôt suivi de maux de tête. Plus tard, faiblesse paralytique du
bras
et de la jambe droite : le malade ne pouvait pl
le malade ne pouvait plus marcher. Depuis un mois, contracture du
bras
droit, mastication dif- ficile, pas de vomissem
- rière dès qu'on asseoit l'enfant. ' Extrémités supérieures . Le
bras
droit est rapproché du corps, fléchi au coude;
e; l'avant-bras est en pronation, le poing est fermé. Mouvements du
bras
droit presque abolis ; pas d'a- trophie muscula
; pas d'a- trophie musculaire ; excitabilité électrique normale. Le
bras
gauche est sain. Extrémités inférieures. - Ja
- Jambe droite étendue, pied-bot équin, raideur moins accusée qu'au
bras
, mouvements con- servés mais mous et peu pronon
lité, maux de tête, somnolence, faiblesse gé- nérale. 30 août. Le
bras
gauche commence à se contracturer; même état gé
it en haut. On trouve du pus dans l'oreille droite. Les muscles des
bras
sont également développés des deux côtés. La vo
s, épaules angu- leuses, saillio des clavicules. Circonférence du
bras
: Droit Gauche A l'aisselle 13 c. 1/2 14 c. A
ts de dents. Un peu de raideur persistante de la jambe droite et du
bras
droit; raideur du tronc. Ins- piration rude et
sie le 30 avril au matin. - Rigidité cadavérique nulle au cou et au
bras
droit; presque nulle à la jambe droite; assez p
affaiblissement paralytique du côté droit, avec amai- grissement du
bras
, rendu très évident par les mensura- tions, don
érieuses, affaiblisse- ment de la jambe droite et amaigrissement du
bras
. INCURABILITÉ. 141 1 correspondant. Or, nous
janvier 1886. A cette époque, il ne marchait plus, ses jambes, ses
bras
étaient mous, incapables de déployer la moindre
: très grêles et très amaigris. Deux cicatrices de vaccin à chaque
bras
; les doigts à leur extré- mité sont rouges. M
ppe ses mains sur ses yeux, secoue fortement la tête ; il élève les
bras
et tourne vive- ment les mains; il roule les ye
: la première (octobre 1882) le représente assis et soutenu par les
bras
d'un fauteuil; la seconde, assis sur une chaise
aisselles, un peu scléreuse sur les épaules, très scléreuse sur les
bras
. On constate une cyanose très prononcée à la ja
30 septembre 1sus ? , p. 460), on note une amputation spontanée du
bras
par suite sans doute d'un circu- laire du cordo
ction faible); il est plus difficile d'étendre horizontale- ment le
bras
. Muscles grêles : deux cicatrices de vaccin sur
- ment le bras. Muscles grêles : deux cicatrices de vaccin sur le
bras
gauche et une sur le droit. - Les membres in- f
assez abondants sur le devant de la poitrine. Poils grêles sur les
bras
et les membres inférieurs. 1880. 7 avril. Acc
sans coloration cadavérique. Rigidité assez pronon- cée, surtout au
bras
gauche. Tissu adipeux assez abon- dant. Muscula
deur do la nuque. Sensibilité générale conservée : Lel.. retire ses
bras
et ses jambes lorsqu'on les pince. Réflexe rotu
e faite le 19 novembre. La rigidité cadavérique, nulle au cou et au
bras
gauche, légère à la jambe gauche et au bras dro
e, nulle au cou et au bras gauche, légère à la jambe gauche et au
bras
droit, est très marquée à la jambe droite. Sugill
é et humanitaire que j'avais en vue. Il s'agissait de lui faire aux
bras
deux brûlures symétriquement placées et aussi éga
7 septembre 1886, vers sept heures du soir, je déterminai sur chaque
bras
, face postérieure, à dix centimètres du poignet,
sur la peau environ une seconde et demie. Je lui 6s poser les deux
bras
sur la table : je me bornai a lui annoncer, sans
ornai a lui annoncer, sans l'hypnotiser, qu'elle ne sentirait rien au
bras
droit, et je pratiquai les deux cautérisation
s sont encore aujourd'hui légèrement visibles. Elle n'a rien senti au
bras
droit ni pendant ni après l'opération. J'entourai
matin, je trouvai les bandes non dérangées. Examen des brûlures. Le
bras
droit présentait une escarre nette de la largeur
re nette de la largeur exacte du fer sans inflammation ni rougeur. Le
bras
gauche, une plaie avec cloches enflammées sur une
oches enflammées sur une étendue de trois centimètres de diamètre. Ce
bras
avait occasionné au sujet une légère douleur pend
sujet une légère douleur pendant la nuit. Pendant que l'escarre au
bras
droit ne bougeait pas, la brûlure du bras gauche
Pendant que l'escarre au bras droit ne bougeait pas, la brûlure du
bras
gauche alla s'étendant et empirant. Le jeudi, ell
it beaucoup souffrir le sujet. J'appliquai alors la suggestion à ce
bras
. A partir de ma parole, la plaie sécha; l'inflamm
position où je les mettrais. Je pus alors piquer avec une épingle le
bras
de la malade sans que celle-ci parût ressentir au
malade sans que celle-ci parût ressentir aucune douleur, et les deux
bras
élevés au-dessus de la tête restèrent ainsi quand
complète et l'état cataleptoïde du système musculaire. Une piqûre au
bras
ne provoqua aucun sentiment de douleur, et les br
re. Une piqûre au bras ne provoqua aucun sentiment de douleur, et les
bras
mis en arc au-dessus de la téte du patient restèr
un jour, elle tombe dans la rue avec l'enfant qu'elle avait dans les
bras
. En 1884, à l'âge de dix-neuf ans. elle entre à
plus léger contact sur les extenseurs, puis sur les fléchisseurs des
bras
, comme des jambes, amène successivement l'extensi
u cubital détermine la griffe. J'ajouterai : que l'entraînement des
bras
ou des mains dans un mouvement de rotation, o
oire, maman, je veux boire, j'ai faim. » Quelques instants après, son
bras
droit se contracture, la jambe droite restant en
cé depuis quelque temps â Luysan (il a sept ans). La contracture du
bras
droit vient de se transférer a gauche. Il est à C
s. Inversement, si on lui ferme le poing avec énergie, si on porte le
bras
en avant dans l'attitude de la provocation, la ph
mple, une fois en catalepsie, si on excite la peau d'un côte, soit du
bras
, soit principalement de la face, par des attouche
derrière cette personne, de manière qu'elle ne puisse masquer que mon
bras
droit. Je touche, dans le dos, cette tierce perso
L... Je supprime de cette façon pour L... des mains, des doigts, des
bras
, des chapeaux, des têtes même, des objets quelcon
rtement relevée, et le regard est fixe, épouvanté. En même temps, les
bras
sont raidis et les mains, croisées l'une sur l'au
able mouvement de colère, suscité par l'instinct de sa protection. Le
bras
droit, alors, comme on peut le voir sur la photog
les yeux, tournés vers l'objet menaçant, sont chargés de colère ; le
bras
gauche reste contracture. Il ne faudrait pas insi
t de sérénité parfait. Le sujet repose mollement sur le fauteuil, ses
bras
sont libres, son regard est vague et langoureux,
vous n'avez pas la précaution de le soutenir et de l'entourer de vos
bras
, vous le voyez alors tomber soudain à terre, foud
aordinaire, du reste, de voir un morceau de fer, de zinc, posé sur le
bras
, bouleverser la sensibilité dans l'organisme, qu'
battre, se sent-il pressé par son adversaire, immédiatement c'est le
bras
gauche qui entre en jeu, parce que, en dépit de l
gauche qui entre en jeu, parce que, en dépit de l'éducation, c'est le
bras
gauche qui est le plus vigoureux. De même, s'il
nt je parle, bien que pouvant lancer un projectile alternativement du
bras
droit et du bras gauche, est plus adroit du bras
que pouvant lancer un projectile alternativement du bras droit et du
bras
gauche, est plus adroit du bras gauche que du dro
e alternativement du bras droit et du bras gauche, est plus adroit du
bras
gauche que du droit. Il en est de même à l'escrim
nds soins. Je m'aperçus alors qu'elle portait son petit enfant sur le
bras
gauche : à la remarque que je lui en fis, elle me
e je lui en fis, elle me répondit qu'elle avait toujours porté sur le
bras
gauche les deux enfants qu'elle avait nourris.
nourris. Je lui recommandai alors de porter le petit enfant sur le
bras
droit. Quelques mois après, cet enfant avait comp
qu'il a déjà 10 ans. Quand la nourrice porte son nourrisson sur le
bras
gauche, c'est aussi le bras gauche de l'enfant qu
d la nourrice porte son nourrisson sur le bras gauche, c'est aussi le
bras
gauche de l'enfant qui est en avant, et c'est do
a gaucher. Mais comme 99 nourrices sur 100 portent les enfants sur le
bras
droit, ces enfants se servent du bras droit qui e
100 portent les enfants sur le bras droit, ces enfants se servent du
bras
droit qui est en avant pour saisir les objets et
ucher comme le deuxième, si sa mère avait continué à le porter sur le
bras
gauche. rajouterai, pour finir, qu'il n'y a pas
rps dormait et mon esprit était très éveillé. Aussi je me sentais les
bras
et les jambes si lourds qu'il m'eût été presque i
ce plus profonde et rapide. Catalepsie suggestive prononcée. Les deux
bras
soulevés restent en l'air, le malade ne peut les
e aliénée. Elle présentait quelques symptômes d'hystérie, mouvait les
bras
l'un autour de l'autre. Venait-on à empêcher ce m
sommeil bien profond. On vil réapparaître le mouvement convulsif des
bras
, mais peu de temps, et, en les maintenant, on ne
elle se léchait l'épaule, puis sont survenus des mouvements dans les
bras
. Vers l'âge de douze ans, on a commencé à entendr
lle a des mouvements incessants dans la tête, dans le cou et dans les
bras
. Elle pousse des cris qui s'entendent à une grand
ire des mots sales, mais ils sont dissimules, les mouvements dans les
bras
ont disparu et le caractère s'est considérablemen
se une sensation de faiblesse vers la tête, absence de force dans les
bras
et de l'oppression caractérisée par une sensation
r. — « Vous vous engourdissez... L'engourdissement se propage à vos
bras
et à vos jambes. — » Vous éprouvez une sensatio
a dormir d'un sommeil déplus en plus profond. Si on lui soulève les
bras
, souvent on les voit rester en l'air, en état de
ffirmer qu'il ne peut plus les abaisser. On peut aussi imprimer aux
bras
un mouvement de rotation l'un autour de l'autre,
le d'aliénés, a fait apparaître, par suggestion, une hémorrhagie à un
bras
; ultérieurement, il a publié, avec M. Ramadier,
professeur à Rochefort, a fait, par suggestion, apparaître, aux deux
bras
, des ecchymoses qui persistaient encore après tro
s, j'eus l'idée de lui donner deux ordres contradictoires : tenir les
bras
écartés et cirer sans rapprocher les mains. Une a
nir, il suggère à Mme Chassin qu'elle est atteinte d'une paralysie du
bras
et il lui ordonne de se rendre deux heures après
et inexplicable puisse avoir lieu dans sa plénitude, il faut que les
bras
de l'enfant soient placés sous la couverture du l
ait normale partout. Elle sentait très bien les piqûres d'épingle aux
bras
, aux mains et aux jambes. Pendant que je la soume
rquer qu'elle était môme tout à fait insensible aux étincelles sur le
bras
et la jambe gauches. Elle se récria au premier ab
s seuls participent au mouvement , tandis que dans le second c'est le
bras
tout entier qui agit. [Il est probable que, dans
it la malade ; il devait passer. « à neuf heures, la portant dans ses
bras
. » La concierge, surprise, lui affirme qu'elle
aître à peu près complètement. Il n'existe plus de gesticulations des
bras
ni de mouvements d'épaule et de tête: très neu de
nsi, quand elle se retenait de dire des mots, les mouvements dans les
bras
étaient plus violents: il se produisait une sorte
terre aura cette spécialité et pas une autre, et celui qui donne son
bras
à mordre à la vipère cornue ne tentera pas de dév
lissement du système nerveux et qui avait été subitement paralysé des
bras
et des jambes, à la suite d'un effroi subit. Il
ouverait un sentiment de soulagement tout à fait particulier dans les
bras
, que la paralysie cesserait pour ainsi dire imméd
ence du père et de la mère de cette dernière ; on lui remit entre les
bras
un poupon formé de quelques morceaux d'étoffe ; i
est ainsi que l'enfant conserve la position fatigante qu'on donne aux
bras
ou aux jambes. Aux questions qu'on lui pose, il n
é et humanitaire que j'avais en vue. Il s'agissait de lui faire aux
bras
deux brûlures symétriquement placées et aussi éga
7 septembre 1886, vers sept heures du soir, je déterminai sur chaque
bras
, face postérieure, à dix centimètres du poignet,
sur la peau environ une seconde et demie. Je lui 6s poser les deux
bras
sur la table : je me bornai a lui annoncer, sans
ornai a lui annoncer, sans l'hypnotiser, qu'elle ne sentirait rien au
bras
droit, et je pratiquai les deux cautérisation
s sont encore aujourd'hui légèrement visibles. Elle n'a rien senti au
bras
droit ni pendant ni après l'opération. J'entourai
matin, je trouvai les bandes non dérangées. Examen des brûlures. Le
bras
droit présentait une escarre nette de la largeur
re nette de la largeur exacte du fer sans inflammation ni rougeur. Le
bras
gauche, une plaie avec cloches enflammées sur une
oches enflammées sur une étendue de trois centimètres de diamètre. Ce
bras
avait occasionné au sujet une légère douleur pend
sujet une légère douleur pendant la nuit. Pendant que l'escarre au
bras
droit ne bougeait pas, la brûlure du bras gauche
Pendant que l'escarre au bras droit ne bougeait pas, la brûlure du
bras
gauche alla s'étendant et empirant. Le jeudi, ell
it beaucoup souffrir le sujet. J'appliquai alors la suggestion à ce
bras
. A partir de ma parole, la plaie sécha; l'inflamm
position où je les mettrais. Je pus alors piquer avec une épingle le
bras
de la malade sans que celle-ci parût ressentir au
malade sans que celle-ci parût ressentir aucune douleur, et les deux
bras
élevés au-dessus de la tête restèrent ainsi quand
complète et l'état cataleptoïde du système musculaire. Une piqûre au
bras
ne provoqua aucun sentiment de douleur, et les br
re. Une piqûre au bras ne provoqua aucun sentiment de douleur, et les
bras
mis en arc au-dessus de la téte du patient restèr
un jour, elle tombe dans la rue avec l'enfant qu'elle avait dans les
bras
. En 1884, à l'âge de dix-neuf ans. elle entre à
plus léger contact sur les extenseurs, puis sur les fléchisseurs des
bras
, comme des jambes, amène successivement l'extensi
u cubital détermine la griffe. J'ajouterai : que l'entraînement des
bras
ou des mains dans un mouvement de rotation, o
oire, maman, je veux boire, j'ai faim. » Quelques instants après, son
bras
droit se contracture, la jambe droite restant en
cé depuis quelque temps â Luysan (il a sept ans). La contracture du
bras
droit vient de se transférer a gauche. Il est à C
s. Inversement, si on lui ferme le poing avec énergie, si on porte le
bras
en avant dans l'attitude de la provocation, la ph
mple, une fois en catalepsie, si on excite la peau d'un côte, soit du
bras
, soit principalement de la face, par des attouche
derrière cette personne, de manière qu'elle ne puisse masquer que mon
bras
droit. Je touche, dans le dos, cette tierce perso
L... Je supprime de cette façon pour L... des mains, des doigts, des
bras
, des chapeaux, des têtes même, des objets quelcon
rtement relevée, et le regard est fixe, épouvanté. En même temps, les
bras
sont raidis et les mains, croisées l'une sur l'au
able mouvement de colère, suscité par l'instinct de sa protection. Le
bras
droit, alors, comme on peut le voir sur la photog
les yeux, tournés vers l'objet menaçant, sont chargés de colère ; le
bras
gauche reste contracture. Il ne faudrait pas insi
t de sérénité parfait. Le sujet repose mollement sur le fauteuil, ses
bras
sont libres, son regard est vague et langoureux,
vous n'avez pas la précaution de le soutenir et de l'entourer de vos
bras
, vous le voyez alors tomber soudain à terre, foud
aordinaire, du reste, de voir un morceau de fer, de zinc, posé sur le
bras
, bouleverser la sensibilité dans l'organisme, qu'
battre, se sent-il pressé par son adversaire, immédiatement c'est le
bras
gauche qui entre en jeu, parce que, en dépit de l
gauche qui entre en jeu, parce que, en dépit de l'éducation, c'est le
bras
gauche qui est le plus vigoureux. De même, s'il
nt je parle, bien que pouvant lancer un projectile alternativement du
bras
droit et du bras gauche, est plus adroit du bras
que pouvant lancer un projectile alternativement du bras droit et du
bras
gauche, est plus adroit du bras gauche que du dro
e alternativement du bras droit et du bras gauche, est plus adroit du
bras
gauche que du droit. Il en est de même à l'escrim
nds soins. Je m'aperçus alors qu'elle portait son petit enfant sur le
bras
gauche : à la remarque que je lui en fis, elle me
e je lui en fis, elle me répondit qu'elle avait toujours porté sur le
bras
gauche les deux enfants qu'elle avait nourris.
nourris. Je lui recommandai alors de porter le petit enfant sur le
bras
droit. Quelques mois après, cet enfant avait comp
qu'il a déjà 10 ans. Quand la nourrice porte son nourrisson sur le
bras
gauche, c'est aussi le bras gauche de l'enfant qu
d la nourrice porte son nourrisson sur le bras gauche, c'est aussi le
bras
gauche de l'enfant qui est en avant, et c'est do
a gaucher. Mais comme 99 nourrices sur 100 portent les enfants sur le
bras
droit, ces enfants se servent du bras droit qui e
100 portent les enfants sur le bras droit, ces enfants se servent du
bras
droit qui est en avant pour saisir les objets et
ucher comme le deuxième, si sa mère avait continué à le porter sur le
bras
gauche. rajouterai, pour finir, qu'il n'y a pas
rps dormait et mon esprit était très éveillé. Aussi je me sentais les
bras
et les jambes si lourds qu'il m'eût été presque i
ce plus profonde et rapide. Catalepsie suggestive prononcée. Les deux
bras
soulevés restent en l'air, le malade ne peut les
e aliénée. Elle présentait quelques symptômes d'hystérie, mouvait les
bras
l'un autour de l'autre. Venait-on à empêcher ce m
sommeil bien profond. On vil réapparaître le mouvement convulsif des
bras
, mais peu de temps, et, en les maintenant, on ne
elle se léchait l'épaule, puis sont survenus des mouvements dans les
bras
. Vers l'âge de douze ans, on a commencé à entendr
lle a des mouvements incessants dans la tête, dans le cou et dans les
bras
. Elle pousse des cris qui s'entendent à une grand
ire des mots sales, mais ils sont dissimules, les mouvements dans les
bras
ont disparu et le caractère s'est considérablemen
se une sensation de faiblesse vers la tête, absence de force dans les
bras
et de l'oppression caractérisée par une sensation
r. — « Vous vous engourdissez... L'engourdissement se propage à vos
bras
et à vos jambes. — » Vous éprouvez une sensatio
a dormir d'un sommeil déplus en plus profond. Si on lui soulève les
bras
, souvent on les voit rester en l'air, en état de
ffirmer qu'il ne peut plus les abaisser. On peut aussi imprimer aux
bras
un mouvement de rotation l'un autour de l'autre,
le d'aliénés, a fait apparaître, par suggestion, une hémorrhagie à un
bras
; ultérieurement, il a publié, avec M. Ramadier,
professeur à Rochefort, a fait, par suggestion, apparaître, aux deux
bras
, des ecchymoses qui persistaient encore après tro
s, j'eus l'idée de lui donner deux ordres contradictoires : tenir les
bras
écartés et cirer sans rapprocher les mains. Une a
nir, il suggère à Mme Chassin qu'elle est atteinte d'une paralysie du
bras
et il lui ordonne de se rendre deux heures après
et inexplicable puisse avoir lieu dans sa plénitude, il faut que les
bras
de l'enfant soient placés sous la couverture du l
ait normale partout. Elle sentait très bien les piqûres d'épingle aux
bras
, aux mains et aux jambes. Pendant que je la soume
rquer qu'elle était môme tout à fait insensible aux étincelles sur le
bras
et la jambe gauches. Elle se récria au premier ab
s seuls participent au mouvement , tandis que dans le second c'est le
bras
tout entier qui agit. [Il est probable que, dans
it la malade ; il devait passer. « à neuf heures, la portant dans ses
bras
. » La concierge, surprise, lui affirme qu'elle
aître à peu près complètement. Il n'existe plus de gesticulations des
bras
ni de mouvements d'épaule et de tête: très neu de
nsi, quand elle se retenait de dire des mots, les mouvements dans les
bras
étaient plus violents: il se produisait une sorte
terre aura cette spécialité et pas une autre, et celui qui donne son
bras
à mordre à la vipère cornue ne tentera pas de dév
lissement du système nerveux et qui avait été subitement paralysé des
bras
et des jambes, à la suite d'un effroi subit. Il
ouverait un sentiment de soulagement tout à fait particulier dans les
bras
, que la paralysie cesserait pour ainsi dire imméd
ence du père et de la mère de cette dernière ; on lui remit entre les
bras
un poupon formé de quelques morceaux d'étoffe ; i
est ainsi que l'enfant conserve la position fatigante qu'on donne aux
bras
ou aux jambes. Aux questions qu'on lui pose, il n
nson-Zuède', on trouve de l'aphasie et une pa- ralysie localisée au
bras
droit. Ces accidents furent transitoires. Il
impossible. Il n'y a pas de contractures bien nettes; toutefois, le
bras
gauche a une tendance à la flexion permanente.
traces de sucre, cette femme fut prise de convulsions toniques des
bras
et des jambes. Ces convulsions survenaient par
trouve un matin marmotant quelques mots inintelligibles, et avec le
bras
gauche paralysé ; le lendemain, elle est prise po
sieurs jours; en trois jours, elle recouvre la parole et l'usage du
bras
; mais l'intelligence est plus obtuse que jamais
ccès les plus violents, lesjambes étaient projetées, tandis que les
bras
subissaient des secousses simultanées constante
uisit une dénutrition sensible. Une paralysie complète se montra au
bras
gauche, mais cessa spontanément après une durée
ssible les yeux fermés. Les yeux ouverts, elle est possible avec un
bras
et une canne. Ce qui la rend difficile, c'est n
s. Dans les membres supérieurs, les douleurs ont apparu (mains et
bras
) vers 1873, mais sont toujours restées moins vive
tre servi de cette main, le ma- lade éprouvait des douleurs dans le
bras
gauche et des palpitations. Quand il fut vu par
it d'engourdissement dans tout le côté gauche du corps, la joue, le
bras
, la jambe et le tronc, plus marqué dans la main
et montant sur ses jambes pour se promener sur le tronc et sur les
bras
; cette hallucination est plus fréquente à certa
à une certaine distance du lit; sugges- lions possibles à l'aide du
bras
droit, impossibles à l'aide.,du gauche. Contrac
ue tout sujet en expérience puisse l'exécuter, c'est l'extension du
bras
dans une position horizontale, ce bras obéissan
écuter, c'est l'extension du bras dans une position horizontale, ce
bras
obéissant à la volonté doit être au repos, mais
qu'apparent. Voici le modus f(iciendi du Dr Rieger : On place le
bras
en expérience entre un kymographe (à une certai
raphe et l'on obtient de cette manière le tracé des mouve- ments du
bras
, au moyen de la méthode des ombres. Le temps qu
aphe pour accomplir une rotation entière est de deux minutes. Si le
bras
obéissait à la volonté, nous aurions obtenu sur
périence peut-il se rendre compte du changement de position que son
bras
a subi dans l'espace pendant l'expé- rience ? J
rience ? Jusqu'à quel point peut-il se rendre compte de combien ce
bras
s'est abaissé ou s'est relevé ? - J'ai été frap
« Si l'on fait l'expérience sur soi-même et que l'on veut tenir le
bras
dans une immobilité absolue (le bras étant dans l
même et que l'on veut tenir le bras dans une immobilité absolue (le
bras
étant dans l'ex- tension et tenant une plume à
respiration même rendait cette immobilité abso- lue, impossible, le
bras
prenant part aux mouvements de projec- tion du
s au moyen de manipulations simples. Etant ainsi hypnoti- sées, les
bras
dans l'extension, je les plaçais devant le kymogr
vements respiratoires, nous observons la courbe que nous fournit un
bras
(l'expérience ayant duré cinq, dix, quinze minu
t quelque temps de l'ordre qu'il a reçu et bien compris de tenir le
bras
immobile; au bout d'un certain temps, il semble
tte étude est consacré à l'étude anato- tomique et physiologique du
bras
, qui sert d'instrument à l'acti- vité musculair
aux mêmes lois physiques. Outre l'influence de la respiration, le
bras
doit lutter contre la force de la pesanteur, au m
santeur, au moyen des muscles qui servent à l'élever. Pour tenir le
bras
dans la position horizontale, le seul muscle qu
dans cette posi- tion ; lorsque la fatigue musculaire survient, le
bras
s'abaisse, et il se place alors dans des condit
pensée par les conditions favorables dans les- quelles se trouve le
bras
par rapport à la pesanteur. Lorsque, chez les p
onclusion qu'il devait dé- ployer moins de force que s'il tenait le
bras
dans une position horizontale. Cette tendance i
st fléchi. Dans nos recherches, ces tendances du sujet à fléchir le
bras
ne peuvent être considérées que comme signe de
s tendances aux contractures s'obser- vent dans les fléchisseurs du
bras
. Un fait connu depuis longtemps c'est qu'à la s
t redresser la colonne vertébrale, se tenait toujours penché; les
bras
étaient dans la demi-flexion, les mains aussi; to
l se plaignait de tiraillements douloureux dans les fléchisseurs du
bras
gauche et le sterno-cléido-mastoïdien gauche. A
s l'on pouvait prévoir l'accès sur la courbe; en effet, le tracé du
bras
gauche remonte à cause de la contracture du bic
par la langue et la moitié droite de la face, puis envahissement du
bras
et de la jambe du même côté, et enfin des membr
erait de son lit; il a des frayeurs et ne veut coucher que dans les
bras
de son père. Parfois il ne peut rester assis. E
: parole difficile, grimaces incessantes, mouvements continuels des
bras
, des jambes. La marche est difficile, titubante
serve. Une fois que le neurasthénique est aguerri, les vaisseaux du
bras
répondent promptement par leur rétraction à des
oie et rate ne paraissant pas augmentés de volume. Le patient tient
bras
et jambes serrés près du corps; les extrémités
onvulsif exclusivement localisé à la moitié gauche de la face et au
bras
gauche ; répétition de cet accident de plus en
, coma complet; c'est à peine si les convulsions de la face et du
bras
du côté gauche présentent des intermittences; la
sque absolue, et en même temps limitées à la région du facial et au
bras
du côté gauche; tout cela élimine le diagnostic
uge. Depuis cette époque, il ne se sent plus aussi vigoureux de son
bras
gauche, qui souvent, en jouant du violon, lui sem
pontanéité ne se traduit que par des mouvements automati- ques d'un
bras
, mouvements presque ininterrompus, et toujours
e d'une hyperesthésie excessivement vive. 25. Uchan éprouve dans le
bras
gauche des douleurs contusives, vagues, sans lo
le début parait remonter au moment où ont apparu les douleurs du
bras
gauche : la lecture est difficile, presque imposs
- En outre le malade accuse un affaiblissement de la niotilité du
bras
gauche ; ce membre est devenu lourd, paresseux et
sont perçues avec un léger retard. Les douleurs signalées dans ce
bras
continuent à se produire avec les mêmes caractère
ntinuent à se produire avec les mêmes caractères. 18. La parésie du
bras
gauche s'accentue. Les membres inférieurs devie
au delà de quelques minutes. La sensibilité est normale. 25. - Le
bras
gauche, presque complètement paralysé, ne peut
des sphincters. 3 septembre. - Paralysie et anesthésie absolues du
bras
gauche qui continue à être le siège de douleurs
olue, intéressant au même degré la motilité et la sensibilité. Le
bras
droit commence à .se prendre et devient lourd,
ur reprend son rythme, sa contractilité habituels. 18 octobre. Le
bras
droit, atteint en dernier lieu, est complètemen
eurs spontanées DE LA NÉVRITE SEGMENTAIRE. 345 persistent dans le
bras
gauche. Aucun trouble de la vessie et du rectum
ncé. 23. Les douleurs ne cessent point de se faire sentir dans le
bras
et la jambe gauches, surtout pendant la nuit. L
bras et la jambe gauches, surtout pendant la nuit. La paralysie du
bras
et de la jambe droits commence à s'a- mender, q
élioration s'est accentuée du côté droit. Le malade peut mouvoir le
bras
et la jambe, mais la force musculaire est- très
ent ici beaucoup moins abondants. 3° Cubital à la partie moyenne du
bras
. Lésions sem- blables à celles des filets du ra
les à celles des filets du radial. 4° Médian à la partie moyenne du
bras
. Mêmes altérations. B. Nerfs du membre supérieu
diffèrent en rien de celles qui ont été signalées dans les nerfs du
bras
gauche. Sur le tronc du médian on constate des
hibitive. D'après Bubnoff et Heiden- hain : « celui qui abaisse son
bras
élevé ordonne du ' Pfiüger's Archiv der Physiol
mple sur les organes spéciaux. Par exemple, si je veux soulever mon
bras
, lorsque quel- qu'un le retient, il n'y aura au
la première fut caractérisée par des crises convulsives limitées au
bras
droit, la deuxième par une paralysie de ce bras
ulsives limitées au bras droit, la deuxième par une paralysie de ce
bras
, la troisième par l'apparition de crises convul
s plus anciens serviraient à expliquer les secousses convulsives du
bras
droit. Quant aux convulsions hémiplégiques, M.
iphérique de la peau d'un sujet sain (extenseurs et fléchisseurs du
bras
) entraîne, elle aussi, une modi- fication du ch
rt de sang : le soldat l'avait tué à coups de pied; très calme, les
bras
croisés, couvert de sang, il répondit dans deux
i apparaissent plutôt allon- gés - en effet la grande ouverture des
bras
atteint 1 m. 94 de longueur. Voici du reste la
bis est complètement dépourvu de poils. Extrémités supérieures. Les
bras
sont longs et fins, ils présentent dans leur en
un peu voûté. Les mains sont très volumineuses en comparaison du
bras
(V. fig. 5), elles ont une véritable conformati
aste jupe blanche, on sent malgré tout qu'il est trop long pour les
bras
et les jambes. Le ventre est porté en avant et
esque la longueur des mains et des pieds respectifs, tandis que les
bras
et les cuisses sont encore plus réduits, les br
s, tandis que les bras et les cuisses sont encore plus réduits, les
bras
surtout ont, d'après leur aspect, presque la moit
insi on ne peut fléchir ni étendre complètement l'avant-bras sur le
bras
, la jambe sur la cuisse et de même on n'obtient
de même on n'obtient que des mouvements limités en voulant lever le
bras
ou porter la cuisse sur l'abdomen. Les mouvemen
sions, en longueur, des membres de notre sujet sont les suivantes :
bras
17 centimètres, avant-bras 16 centimètres, main 1
Les membres supérieurs sont très courts, l'extrémité des doigts, les
bras
pendants, arrive à peine à la région de l'épine
ensions suivantes : sa longueur totale = 35 cent. 5, la longueur du
bras
^= Il cent. 5, la Ion-1 UN CAS D'ACHONDROPLASIE
se et luisante. Les poils sont assez abondants au pubis et sous les
bras
. 1 Les organes intérieurs ne présentent pas de
ervent leurs mouvements. La partie supérieure de l'avant-bras et le
bras
sont modérément oedématiés. Les XI0, XIIe vertèbr
ieurs : le malade ne peut pas marcher sans être aidé. Tenu sous les
bras
,il marche lentement avec effort. La marche est pa
escence (par exemple la région fessière d'un côté, les mus- cles du
bras
, etc.). Il est facile de comprendre que dans ce
ste le phénomène. Le malade étant debout les jambes écartées et les
bras
croisés sur la poitrine, si on lui fait fléchir
e sur sa ban- quette, est toujours à genou sur le plancher avec les
bras
appuyés sur un monceau de bois et la tête sur s
her avec les bras appuyés sur un monceau de bois et la tête sur ses
bras
. Quand l'envie d'uriner ou d'aller à la selle s
ppé par le con- traste qu'il y a entre l'extrémité et la racine des
bras
et des jambes. Le corps de Marguerite est plutô
costal supérieur. r. Le mouvement de pronation et de supination des
bras
se fait d'une façon assez maladroite. La flexio
s présenter l'inversion nette de la 1). R. Les troncs nerveux des
bras
et des avant-bras sont à peu près inexcitables,
sont assez réduits. La flexion et l'extension de l'avant-bras sur le
bras
, la ro- tation de l'avant-bras et tous les autr
as, la ro- tation de l'avant-bras et tous les autres mouvements des
bras
et de l'épaule sont parfaitement conservés. L
festations les plus certaines de la D, R.. Les troncs nerveux des
bras
et de l'avant-bras sont presque inexcitables. Au
contraste étrangement avec la maigreur du poignet et de la main. Le
bras
aussi est absolument indemne de toute trace d'atr
t absolument indemne de toute trace d'atrophie. Les mou- vements du
bras
et de l'avant-bras s'accomplissent d'une façon pa
lité assez marquée, galvanique et faradique. Les troncs nerveux des
bras
et des avant-bras sont encore excitables, mais
urs après l'accident, M. A. fut pris brusquement d'engourdissement du
bras
droit et deux jours après de crises d'épilepsie
du côté droit, puis gagnèrent la moitié inférieure de la face et le
bras
droit ; In perte de connaissance fut com- plète
persista une paralysie flasque de la moitié droite de la face et du
bras
droit ; M. A. resta aphasique. Ces troubles per
cide que la veille ; M. A. tente de s'ouvrir une veine au niveau du
bras
: il se fait même une plaie superficielle. 24.
ortalité. 20. Même douleur localisée à l'épaule droite ; parésie du
bras
droit et de la jamhe droite. Pas de troubles de
; celle du membre inférieur l'est beaucoup moins. Les mouvements du
bras
sur l'épaule et de l'avant-bras sur le bras son
oins. Les mouvements du bras sur l'épaule et de l'avant-bras sur le
bras
sont très limités et douloureux. La main et les
tout le membre et détermi- nent une flexion de l'avant-bras sur le
bras
et de la main sur l'avant-bras ; les secousses
doigts sont cassants et incurvés. - Les muscles de l'avant-bras, du
bras
et de l'épaule ne présentent aucune atrophie. L
es spasmodiques ont disparu. Les mouvements de l'avant- hras sur le
bras
et du bras sur l'épaule sont encore peu étendus.
ques ont disparu. Les mouvements de l'avant- hras sur le bras et du
bras
sur l'épaule sont encore peu étendus. On note enc
au- tres troubles. Douze jours après l'accident, engourdissement du
bras
droit et peu après crises d'épilepsie jacksonie
lepsie jacksonienne localisée à la moitié droite de 1 la face et au
bras
droit ; paralysie flasque de la moitié droite de
Upie Bertliaud TRAUMATISME CRANIEN, ÉPILEPSIE JACKSONIENNE 141 du
bras
droit et aphasie. Pendant toute la durée de ces a
iolentes localisées à l'articulation scapu- lo-humérale, parésie du
bras
droit et de la jambe droite, troubles trophi- q
es d'une paralysie transitoire de la moitié droite de la face et du
bras
droit avec aphasie-Survint ensuite une nouvelle p
bles sensitifs, paralytiques, convulsifs et trophiques au niveau du
bras
droit permet de conclure à une lésion localisée
se traduisit par les troubles moteurs, convulsifs et trophiques du
bras
droit. C'est un l'ait exceptionnel chez l'adult
elle croissait vite. Depuis une semaine, douleurs dans l'épaule et le
bras
gauches et affaiblissement de la force musculai
la gauche) n'adhèrent pas à la cage tho- racique. Le mouvement des
bras
en haut est possible seulement du côté droit et
mbre supérieur gauche, à droite, la malade sent les piqûres sur les
bras
, au-dessous, ne les sent pas. Sur le tronc elle
emiers symptômes nerveux sous forme de douleurs dans l'épaule et le
bras
gauches et un affaiblissement des membres inférie
rs du côté gauche du tronc. L'atrophie musculaire dans l'épaule, le
bras
, l'avant-bras et la main augmentait toujours (s
- trine, partie supérieure du dos, la teinte marbrée de la peau des
bras
, jambes, cuisses elle cyanose des mains et des
bien un hystérique. Il avait poussé, jusqu'à se faire ampu- ter le
bras
, une simulation consistant à faire passer pour de
TT'och., il mars 1899. 212 5 ROUX Lorsque, étendu sur le dos, les
bras
croisés sur la poitrine, on essaye de s'asseoir
es cartilages de la main et du pied sont disparus. Ceux de l'avant-
bras
sont en voie d'ossification. Les anomalies digi
ment, ayant mal pris ses mesures pour sauter, il tomba et se cassa le
bras
. Il fut en Abyssinie à la cour du roi Théodore,
me chez un individu normal (même la tête était bien plus grosse), les
bras
et particulièrement les jambes étaient énorméme
. Ce raccourcissement se montre d'une façon particulière du côté du
bras
; il est par conséquent du type rhizomélique. L
céphalée, puis d'une parésie de la moitié gauche de la' face et du
bras
du même côté. Après une cure de deux mois, il g
roit. L'on ne remarque pas de troubles trophiques. Circonférence du
bras
, à la centimètres de l'acromion : 25 cent. 5 ; de
du bras, à la centimètres de l'acromion : 25 cent. 5 ; de l'avant-
bras
à 8 centimètres de l'épitrochlée : 22 cent. 5. Le
est habituellement tenu dans une position de légère flexion sur le
bras
. Circonférence du bras à 15 centimètres de l'acro
u dans une position de légère flexion sur le bras. Circonférence du
bras
à 15 centimètres de l'acromion : 25 centimè- tr
tient ne réussit pas à étendre complètement l'avant-bras. Il élève le
bras
à un niveau qui n'est pas de beaucoup supérieur
if. La même preuve faite avec le sérum du sang tiré à la veine d'un
bras
donne également un résultat positif. Examen psy
it, point de douleurs dans les jambes. La force musculaire dans les
bras
diminua peu à peu. Trois jours avant son entrée
la pression. Quand on fait asseoir le malade, les douleurs dans les
bras
apparaissent. Les mouvements de la tête sont peu
et crémastériens sont abolis. 13 janvier. Fortes douleurs dans les
bras
, sensation de brûlure comme si l'on mettait du
ieurs et supérieurs dans leur région du coude. 16. Les douleurs des
bras
diminuent. Il ne peut pas marcher. Les réflexes
tout celui à gauche. La sensibilité est normale. L'avant-bras et le
bras
gauche sont très douloureux ; le moindre mouvem
16 mai 1909. jixiii 25 370 31ARINESCO ques la zone corticale du
bras
chez un garçon flui présentait des mouve- ments
tation électrique démontrait qu'il s'agissait du centre cortical du
bras
et obser- vant que la paralysie motrice, du mem
oïde pour se diviser en deux branches, l'une sur la face interne du
bras
venant mourir vers le bord postéro-interne du b
face interne du bras venant mourir vers le bord postéro-interne du
bras
, l'autre croisant légèrement la ligne médiane d
autre croisant légèrement la ligne médiane de la face antérieure du
bras
, descendant parallèlement à cette ligne pour ve
al in- terne, lequel se répand dans la peau de la partie interne du
bras
par deux branches terminales, une franchement i
Ue Bel thaud Paris SUR LES NÉVI SYSTÉMATIQUES 403 l'axe médian du
bras
(Van Gehuchten, Anatomie du système nerveux, 4° é
upe toute la partie antéro-latérale gauche du thorax et une partie du
bras
. Le bras étant placé en abduction forcée et en
a partie antéro-latérale gauche du thorax et une partie du bras. Le
bras
étant placé en abduction forcée et en extension e
ar la ligne axillaire postérieure, prolongée par le bord interne du
bras
; en haut par une ligne partant du ster- num, p
ner le bord antérieur de l'aisselle, puis le bord antéro-externe du
bras
, sur une longueur de 38 centimètres, dont 22 du
et 16 de l'aisselle jusqu'à la fin du naevus sur la face interne du
bras
. Le nævus occupe donc en avant la région antéri
'à la ligne axillaire postérieure, et la partie postéro- interne du
bras
, ainsi que le montre bien la photographie, dans l
n externe forcée, de façon à présenter la partie postéro-interne du
bras
, la région anté- rieure étant reportée en haut
au postérieur donner la sensibilité à la partie postéro- interne du
bras
(Morel), et à la région latérale de la cage thora
terne qui innerve la peau de la partie interne et antéro-interne du
bras
,et dont le territoire est occupé par les dernière
latérale de l'ais- selle, et aussi de la partie postéro-interne du
bras
(PI. XLI). Et autour de la zone du 3e espace, i
sitifs depuis les mame- lons vers le bas et sur la face interne des
bras
gauche. Un an après le début de la maladie, lég
aît quand le malade porte son index gauche au bout du nez. L'avant-
bras
et surtout la main et les doigts gauches sont fro
et aux membres supérieurs (douleurs de la nuque, irradiant dans les
bras
, atrophies musculaires, radiculaires et anes- t
laques du type médullaire) se plaignait de très fortes douleurs des
bras
, qui duraient des semaines entières. La malade
uche.) Le malade grince des dents. Alza il braccio destro. (Lève le
bras
droit.) Il exécute le mouvement. ' Levati il be
onférence de sa tête mesurait 53 centimètres, il pesait 19 kilos; à
bras
étendus, les régions carpiennes arrivaient aux gr
arfaites et le rapport du développement des différents segments des
bras
et des jambes est absolument normal ; il n'y a
d'ceil aux photogra- phies pour constater que la longueur totale du
bras
est presque normale : l'extrémité de la main ar
rs supérieur de la cuisse ; de même le déve- loppement respectif du
bras
et de l'avant-bras est harmonique et correspond
orsale. Les ongles ne présentent aucun signe de dystrophie. · Les
bras
ne sont pas revêtus de gangue graisseuse ; le pro
en relation à ce dernier fait. Extrémités inférieures. Comme aux
bras
, les proportions des différents segments sont p
signe de réveil sexuel. Extrémités supérieures et inférieures. Les
bras
et les jambes sont de proportions normales en r
m- mune. Aucun signe distrophique de la peau et des ongles. Les
bras
et les jambes sont plutôt gras, mais le dessin de
e du lobe frontal (PI.LXXIfI-r1) et sur les coupes inté- ressant le
bras
antérieur de la capsule interne, une fente appara
térieur de la couche optique, sont des plus faciles à constater. Le
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur peut être su
terne est particulièrement facile à suivre. Alors que les fibres du
bras
postérieur des tubercules quadrijumeauxse rendent
auxse rendent directement au corps genouillé interne, les fibres du
bras
antérieur passent en avant de celui-ci pour abo
genouillé externe. Entre les deux corps ge- nouillés, les libres du
bras
antérieur sont croisées obliquement par un autre
e des picotements et des brûlures sur la peau, des crampes dans les
bras
et les jambes. Ces hallucina- tions et ce nouve
maintenir debout et à lui faire faire quelques pas. Elle remue les
bras
, les jambes; mais les mouvements sont faibles.
des coudes et des poignets ; les doigts sont flasques. Les avant-
bras
sont fléchis sur le devant du corps ; les mains s
ains sont placées à angle droit sur les poignets. Oud... remue. les
bras
, mais ne saisit aucun objet avec ses doigts; le
limitées aux yeux, assure-t-on. Les accès ont paru vers 2 ans, les
bras
étaient à peine raides et se tournaient légèrem
veloppées présentent quelques poils longs. Membres supérieurs. Le
bras
gauche est assez libre. - Le droit est paralysé
bre. - Le droit est paralysé; l'avant-bras est à angle droit sur le
bras
, la main est violacée et tournée en dehors. Les
ssi bien au lit que si l'enfant est assise sur un fau- teuil. - Les
bras
sont rapprochés, les mains presque toujours à l
vient un petit accès : Les yeux se portent en haut et à gauche; les
bras
se rapprochent sur la poitrine et sont rigides,
ite se soulève ou s'éloigne de l'axe du corps et devient rigide; le
bras
droit se soulève et se raidit à son tour. La bo
es secondes, il survient quelques convulsions cloniques modérées du
bras
et de la jambe du côté droit. Il n'y a ni ron
souple.-L'épaule droite est raide, le coude très rigide; l'avant-
bras
fléchi ; le poignet rigide. -- Les membres du côt
les muscles du pied et de la jambe du côté droit, envahissement du
bras
droit et de la moitié correspondante de la face
e malade marche, et même court facilement sans traîner la jambe. Le
bras
gauche se meut sans gêne aucune, au dynamomètre
lysie semble céder un peu. - La malade peut soulever la jambe et le
bras
. Elle se plaint toujours de la douleur de tête.
s dans un fau- teuil ; il lui est impossible de se tenir debout. Le
bras
accom- plit des mouvements d'une certaine étend
te. A 3heures de l'après-midi, j'applique un fort aimant entre le
bras
et la poitrine, les pôles tournés vers l'aisselle
environ après cette application la sensibilité est revenue sur le
bras
et, à 3 heures 30, elle est complète sur tout le
sibilité persiste; il y a même quelques douleurs spontanées dans le
bras
et la jambe du côté paralysé. - La malade peut
s comme latentes jusqu'à ce jour. Ainsi, nous voyons les muscles du
bras
et ceux de la face groupés autour du sillon de
guérit rapidement. Chez ces deux animaux, quatre mois plus tard, le
bras
et la cuisse du côté opposé à l'opération avaie
une forte décharge électrique, suffit pour la déter- miner ; car le
bras
de levier osseux sur lequel viennent t s'insére
tire fortement r . jU. ? 7' rn en fléchissant l'avant-bras sur le
bras
. Cette traction doit se faire uniquement avec l
caoutchouc par le poids du corps. Presque immédiatement l'avant-
bras
et la bande de caoutchouc sont agités par'une sér
accès, et pour le faire apparaître, il suffit de faire étendre les
bras
. On voit alors que les oscillations consistent
d'amplitude, elle s'explique par ce seul fait que les muscles du
bras
étant plus volumineux et leur bras de levier be
ce seul fait que les muscles du bras étant plus volumineux et leur
bras
de levier beaucoup plus long, l'amplitude des m
blement avait un 'siège spécial, 1f 1 i i ii ' 4 4 les muscles du
bras
..C'est une,, localisation. peu fré- ? ijjitt ? )
bres supérieurs prises au niveau du poignet, de l'avant-bras et du
bras
donnent des chiffres sensiblement égaux pour les
lle gauche et les répète tout1'haut."Parfois; grands mouvements des
bras
dans lesquels elle semble repousser des .person
ion; raideur générale des jointures; lorsqu'on tente d'allonger les
bras
, on produit une trépida- tion très marquée. La
ition. D'autres fois, il restait agenouillé devant les grilles, les
bras
étendus, marmottant des prières et demandant des
leSj symptômes > principaux, de la faiblesse musculaire, dansée
bras
droit,tune certaine, saillie de l'omoplate^en a
paule, En ! examinant le ,torse 1 par j la partie antérieure ? les,
bras
étnt ,danslla1 position)de >, projection en.
, d'uà embarras très m'araiié de, la,parole et, d'une, impotence du
bras
et de la^ trÈs marqué de, la , parole et, d'une
u bras et de la^ trÈs marqué de, la , parole et, d'une impotence du
bras
et de la. b main, droite. Il } ? OERI) ? ÿg.p.,
e pro- 302 REVUE5DE PATHOLOGIE NERVEUSE ! duit, dans l'enfance.Le
bras
et la main sont plus'petits à 'droite qu'à gauc
ne grande amélioration dans. le langage,' I-r1ais"lâ : main : ët le
bras
droit, presque sans .l'u1;age"àu- paravant, ava
,' i-J4 ? 'i annee de sa syphilis, ayant .plusieurs gommes sur, les
bras
, lut frappé'd'une hémiplégie droite. 1 Un,an ap
' f"- 9 ,, . r'·IlO'n L 1`I E.11 fil W ''1' U' .\ ? H ? tJ Uml l.u
bras
rrrq,'11' ? T t, b"PI10f¡ 1. , . r 1'11 J)I ..\,j
inosités, enfin quelques mou- vements convulsifs limités surtout au
bras
droit, mais atteignant par moments les deux bra
limités surtout au bras droit, mais atteignant par moments les deux
bras
et même la jambe droite. Le ventre était rétrac
es fit supposer une' lésion' cérébrale gauche; l'affaiblissement du
bras
ét de' la jambe' gauches P... , 1-1 .,f ? r ? t
evoir être rapportées à cette tumeur, tandis que les convulsions du
bras
droit-auraient.pour origine-la lésion de la par
che de la mâchoire est plus rigide ; opisthotonos ; les muscles des
bras
et des jambes, aussi bien que ceux de la nuque
rois ans et trois mois présentait une paralysie avec contracture du
bras
et de la jambe droite ; le coude était fléchi,
Le nerf médian avait été coupé à la partie inférieure de l'avant-
bras
par un éclat de bouteille. Cinq semaines après, l
te à la contracture. On trouvait, pour l'articulation du coude, les
bras
fléchis à angle droit ; on trouvait les cuisses
kuncle. 1861, p. 105.) LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 359 corps : le
bras
droit pouvait à peine effectuer quelques mouvem
ôte droite. Du côté droit, l'avant-bras vient s'appliquer contre le
bras
, à angle aigu; et la main est fléchie sur l'ava
e sa face palmaire vienne regarder la face interne de celui-ci : le
bras
droit, par rapport au tronc, se tient dans l'ad
l'adduction. Du côté gauche, l'avant-bras se fléchit de même sur le
bras
, à angle aigu; la main se retrouve dans la même
dans la même attitude qu'à droite : mais, par rapport au tronc, le
bras
gauche est complètement en adduction. Les mem
de contracture des jambes; les réflexes plantaires sont normaux. Le
bras
gauche parait un peu contracture. Un point fort
ont été observés, et à cause de la contracture et des mouvements du
bras
gauche, en pré- sence de la rémission qui a sép
ment sur la commissure labiale gauche des traces de vomissement. Le
bras
gauche, contracturé pen- dant la vie, est moins
sale, en outre le malade se plaint du moindre contact au niveau du
bras
et des cuisses ; et, quand pour le déplacer dans
our à Paris, il a eu quelques convulsions lé- gères des yeux et des
bras
, la dernière fois il y a six mois environ. De p
actifs, l'aimant par exemple. Onvoit alors les zones sen- sibles du
bras
et de la jambe s'étendre graduellement et se re
limètres dans le sens transversal. Suivons la marche de la bande du
bras
, après que son extrémité supérieure a atteint l
la poitrine et le dos étaient envahis par l'extension de la zone du
bras
. MÉTALLOSCOPIE, MÉTALLOTHÉRAPIE, -,ESTHÙSIOGÈNE
'hémiplégie dans lesquels on constate une paralysie plus marquée du
bras
que de la jambe. Certains cas même, dans lesque
Oscillation de la tête de droite à gauche et d'avant en arrière. Le
bras
et la jambe du côté droit sont plus fortement a
e invitation pressante, la patiente réussit à maintenir au repos un
bras
ou une jambe, c'est aux dépens d'autres groupes
angle où elle se fait porter sa petite table de nuit. Croisant les
bras
sur la tablette de celle-ci, elle y couche sa t
perte de connaissance, puis (au bout de quelques mois) limitées au
bras
et à la face; embarras de la parole depuis six
faiblissement progressif, anesthésie du côté droit de la face et du
bras
gauche. Mort deux mois après le début des acci-
des sensations de douleur, de pesanteur et de tiraillement dans le
bras
, contraignant le malade d'abandonner sa plume :
ne des localisations. Il s'agit d'un épileptique devenu paralysé du
bras
gauche quinze jours avant sa mort, et chez lequ
pelle, 1880.) Observation d'un syphilitique frappé de paralysie du
bras
droit avec hémianesthésie environ un an après l
nale' l'apparition dedaches. jaunes ? disséminées1 sur ' lavpeau' du1
bras
,b ressemblant à-i des 1 ecchy- moses entrain"de
ns constaté le fait général que voici : nous appliquons sur l'avant
bras
d'une malade le métal auquel elle est sensible,
ce entre, les deux plaques, lors même qu'elles étaient l'une sur le
bras
droit, l'autre sur le gauche. M. Dumont- pallie
vertiges, distractions, oublis, incertitude dans les mouvements des
bras
et des jambes, parésie des extrémités gauches,
l'en-, semble des symptômes d'une lésion en foyer (contracture du
bras
et paralysie de la jambe du même côté), compliqué
compliqués de thromboses veineuses du membre inférieur atteint ; le
bras
contracture, après une série de couvulsions, se
à la nuque, le malade est atteint de manifestations paralytiques au
bras
droit ; quel- ques semaines plus tard, paralysi
ntelé à droite sans aucune sensa- tion incommode. Il peut élever le
bras
presque verticalement, il peut travailler avec
t élever le bras presque verticalement, il peut travailler avec son
bras
droit qui, à l'exception du peu de développemen
qu'enseignent la plupart des auteurs, son malade pouvait élever le
bras
du côté où siégeait la paralysie du grand dentelé
yenne et supérieure du trapèze et aussi des muscles abduc- teurs du
bras
(deltoïde, sus et sous-épineux). Ces muscles pr
deux mains ou une seule, tantôt iso- lément, tantôt s'étendant aux
bras
, aux jambes, mais rarement à tout le corps. Cet
associé à des douleurs de caractère névralgique, surtout dans les
bras
. A l'engourdissement peut aussi se joindre une so
nt pâle ou rouge. Dans quelques cas, il suffit de laisser pendre le
bras
hors du lit ou de le secouer pen- dant quelques
hanche et s'étend au pied ou réciproquement. Dans quelques cas, les
bras
sont pris, et souvent un bras et une jambe sont
éciproquement. Dans quelques cas, les bras sont pris, et souvent un
bras
et une jambe sont atteints d'une manière prédom
qu'on appelle des fausses positions, à la compression des nerfs du
bras
par la tète, ou par le corps portant à faux sur
n absurde mouvement automatique de pendule de tout le corps ou d'un
bras
. Les nuits sont mauvaises, agitées. Elle prés
tées d'ordinaire à une moitié du corps, ou même à une région, face,
bras
ou jambes ; elle a surtout été bien étudiée dep
cture impose au membre supérieur une attitude ' particulière; 'la
bras
est plus ou moins solidement 'fixé 'contre le' th
choires sont serrées, mais 'la'malade'ne perd pas connaissance, .le
bras
se contracture dans l'extension et la pronation
sion et la pronation, la main se tord et se met à angle droit'surle
bras
et se porte d'abord sur la partie latérale - l
la tête, qui parait s'enfoncer entre les épaules, se ren- verse, le
bras
gauche devient raide et s'allonge, la jambe est
se de 111. Ch. Avezou : Etude sur la contusion de troncs nerveux du
bras
. (Paris, 1879, publication du Progrès médical);
e montre lu où elle n'existe que rarement à l'état normal, comme au
bras
par la percussion des tendons du triceps ou du
n du tendon rotulien, par exemple, on observe un soubresaut dans le
bras
du même côté, ou dans les deux bras à la fois,
observe un soubresaut dans le bras du même côté, ou dans les deux
bras
à la fois, ou dans tout le corps. Un choc sur l
as à la fois, ou dans tout le corps. Un choc sur la face externe du
bras
vers la partie médiane, au niveau de l'insertio
gauche (la malade était hémianes- thésique à droite). De plus, les
bras
comme le reste du corps ne participaient en auc
ndon rotulien pro- voquait un soubresaut de tout le corps, les deux
bras
, et principalement le droit, étaient animés d'u
e tracé, que le réflexe rotulien ne retentit en aucune façon sur le
bras
. Le style supé- 42 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE.
'obtient a l'aide d'une excitation plus légère, il retentit sur les
bras
et sur tout le corps.. On voit, en effet, sur l
breuses expériences faites sur elle, aussi bien sur les muscles des
bras
que sur ceux des jambes, ont' donné les résulta
malade, nous constatons qu'il n'y a pas d'irradiation du réflexe au
bras
du même côté. Deux tambours myographiques sont
e réflexe rotulien s'accuse encore davantage, et l'irradiation au
bras
du même côté est très marquée. Les trois excita
cture se confirmer peu à peu et finalement, s'établir aussi bien au
bras
"correspon- dant qu'à la jambe sur laquelle l'e
es, à droite surtout; aux coudes ils sont moins marqués ; aux avant
bras
ils existent à un faible degré. Il n'y a point
meu- rée localisée au seul membre directement intéressé; les deux
bras
sont contracturés dans l'extension et la pronatio
dons de la face palmaire du poi- gnet amène la contracture des deux
bras
dans la demi-flexion. Les membres inférieurs da
eurs pouvant acquérir un degré d'ex- citabititédinerentde celui des
bras
ou inversement. Nous savons aussi qu'au point d
. Rond pronateur. Pronateur et fléchisseur de l'avant-bras sur le
bras
. (Le mouvement de flexion est assez énergique lor
o- duira les mouvements suivants : Flexion de l'avant-bras sur le
bras
peu accusée, car un seul flé- chisseur entre en
est tellement intense que la flexion légère de l'avant-bras sur le
bras
ne saurait exister. Le poignet est fléchi. Le
tion est continué, pour ainsi dire, par un mouvement de rotation du
bras
de dehors en dedans, de telle façon que la main
ronateur de l'avant-bras, puis flé- chisseur de l'avant-bras sur le
bras
. L'action de ce mus.cle doit être complètement
et par l'anconé qui est extenseur énergique de l'avant-bras sur le
bras
, 74 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. et par le court
est telle que la marche n'est possible que si B... s'appuie sur le
bras
de deux infirmiers, ou bien à l'aide d'un charr
que nous 'constatons actuellement (février 1881). Les muscles du
bras
et de l'avant-bras sont atro- phiés. L'avant-br
uméfiée, qu'elle était le siège de cra- quements et qu'il levait le
bras
avec difficulté mais sans douleur. Nous constat
ieure de l'appareil. Au-devant de cette paroi, un coussin reçoit le
bras
du patient, qui se trouve ainsi séparé des pôle
s d'autres tracés pour les oscillations du tronc, pour celles des
bras
pendant la marche, pour la mobilité de chaque par
de violente colère : un jour il traversait d'un coup de couteau le
bras
de son domestique et une autre fois il cas- sai
n aperçut et chaque fois il fit des mouvements d'épaule ou lança le
bras
en avant; et, bien que je l'eusse averti que j'
tion en masse de tout le moignon de l'épaule ; le deltoïde élève le
bras
en dehors, le biceps fléchit l'a- vant-bras, et
eval. La malade toujours endormie est assise près d'une table ; son
bras
droit contracturé pend sur le côté; nous avons
musculaires, même fortuites, ne manque- raient pas de susciter. Le
bras
gauche repose inerte sur la table à proximité d
ors un aimant près de l'avant- 44 210 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE.
bras
gauche, qui est demeuré jusqu'ici complètement
membre contracturé. On voit, par exemple, la contracture latente du
bras
droit transférée, par l'application de l'aimant
latente du bras droit transférée, par l'application de l'aimant, au
bras
gauche. Nous avons répété ces expériences au su
et la li- 214 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. gature étant maintenue au
bras
pour empêcher le.re- tour du sang, les paupière
ion de l'aimant. 2° La bande d'Esmarch est appliquée sur l'avant-
bras
droit, avec les mêmes précautions que tout à l'he
iculation du poignet. Il n'y avait pas de paralysie des muscles des
bras
ou des épaules ; il n'y avait non plus aucun ph
le malade, se trouva plus affaibli et se servant moins bien de ses
bras
. En outre, pendant quelque temps, il présenta une
e très lentement et avec effort que le malade parvient à "lever ses
bras
en haut ; mais, alors, il arrive presque à' lev
une atrophie peu considérable des'' deux deltoïdes. Les muscles des
bras
ne présentent rien de particu- lier à noter. t
tition n'est possible que par la'flexion en arrière de la tête, les
bras
tremblent; inté- grité de la sensibilité. De pl
de une heure à deux ou trois jours, d'autres fois, l'impotence, des
bras
, ou des jambes.. - Le traitement doit avoir pou
-ilne perte'presqilelcolnplète de la'sensibilité du côté gauche. Le
bras
et la main gauche étaient fléchis et n'étaient
pant la partie^ supérieure de l'épine et gênant t les mouvements du
bras
gauche. Jamais elle n'avait vomi, n'avait eu de
nel ; de huit à quatorze ans accès 6ë-cpi'7eM'e débutant' par le
bras
, droit et n'entraînant la perte- de -connaissance
qeres contractions fibrulaires et convulsions dans les doiqts et le
bras
droits : Tout en ayant un peu conscience de · n
ent, que les infortunés malades dont la raison égarée peut armer le
bras
ont besoin de leurs soinsF,et de lëur'.zèlë, ils,
esoin de leurs soinsF,et de lëur'.zèlë, ils, savent qu'ils, sont le
bras
ont besoin de leurs soin's^et -1 ? le, 'ilsT save
ralgies symétriques, signalés par M. Worms, un fait de paralysie du
bras
droit et quelques obser- 20 306 BIBLIOGRAPHIE
ers,quand STATISTIQUE. xxv le temps le permet, sont descendus à
bras
dans la cour de la petite école ou portés jusqu
er tra- versé par un poids suffisant pour amener sa fermeture. Le
bras
du levier muni de son poids est ma- noeuvré à
- liaire ; l'enfant est grognon, pleure sans motif; il a dans les
bras
, les avant-bras et les mains de petites secousses
it : « Maman, je crois que ça va me prendre, ça me fait mal dans le
bras
»; il demandait qu'on lui frottât les bras ; dan
e, ça me fait mal dans le bras»; il demandait qu'on lui frottât les
bras
; dans la plupart des accès il ne prévenait pas
ar sa mère a été sevré à 10 mois parce qu'il avait un eczéma (face,
bras
) ; il a marché à un an et parlé à 2 ans 1/2; il
ur à l'hôpital, il se serait développé une paralysie du côté droit (
bras
et jambe); il fut ensuite envoyé à Berck dès qu
e, sans avoir poussé de cri; rigidité géné- rale, puis secousses du
bras
et do la jambe du côté droit; écu- me non sangu
érieurs sont bien conformés, bien musclés (1 cicatrice de vaccin au
bras
droit, 2 au bras gauche; quelques cicatrices sa
conformés, bien musclés (1 cicatrice de vaccin au bras droit, 2 au
bras
gauche; quelques cicatrices sans caractères aux
i ont duré environ vingt minutes : déviation des yeux, rigidité des
bras
qui étaient tournés, bouche tirée à 1 00 AILNIN
t comment étaient les jambes et on croit, sans l'affirmer, que le
bras
gauche était plus secoué que le droit. Le lende-
,on aurait remarqué que R... était comparativement moins faible des
bras
que des jambes ; il ne reconnaît personne, pas
teuil. Sa mère essayait de le faire marcher en le tenant sous les
bras
: il saute tout le temps, dit-elle, plutôt qu'il
isite, l'enfant crie, sem- ble souffrir. Petites secousses dans les
bras
et dans les jambes; quelquefois une secousse ag
état convulsif qui se prolonge plus ou moins longtemps. Parfois les
bras
sout agités de secousses : ils sont raides, et
doigts dans un soufflet; d'autres fois, c'est l'un ou l'autre des
bras
qui présentent ce phénomène. Les raies tracées
8. L'enfant est dans l'état suivant : décubitus latéral droit, le
bras
gauche allongé le long du corps, le bras droit ét
écubitus latéral droit, le bras gauche allongé le long du corps, le
bras
droit étendu, les membres inférieurs fléchis, l
de la lèvre infé- rieure ; secousses soulevant la tête et tantôt un
bras
, tantôt l'autre ; par moments, la bouche s'ouvr
largement, spas- modiquement. Tête inclinée sur l'épaule droite.
Bras
droit : pas de rigidité, pas de paralysie. Bras
ur l'épaule droite. Bras droit : pas de rigidité, pas de paralysie.
Bras
gauche, même état, mais les secousses y sont pl
lui faire prendre quelque chose. Pas de hoquet ; pas de raideur des
bras
qui se maintiennent toujours quand on les soulè
veloppement du rachitisme dont il porte des traces très accusées au
bras
droit. A 7 ans, nouvelles convulsions ayant dur
en au cubitus. Membre supérieur gauche. Rien à la clavicule ni au
bras
; à l'avant-bras, une seule exostose sur la parti
uvertes d'écume sanglante et de sang. On le conduit au gymnase, les
bras
toujours roides, tenant entre ses mains les bar
s. 7 janv. - Le malade accuse une douleur contusive dans les deux
bras
avec prédominance à droite ; il éprouve de la d
a 7 à 8 heures sans reprendre connais- sance, les yeux tournés, les
bras
raides, les mâchoires con- tractées. la bouche
es semai- nes il a pu recommencer à marcher, soutenu par les deux
bras
et alors on a noté que, dans la marche, il frap
elle est insensible aux piqûres ; je lui plante dans la peau, sur les
bras
, à la nuque, sur la joue, des épingles qui resten
otéger contre les agents de la force publique, de le prendre dans ses
bras
, de le couvrir de son corps, ou bien de le préven
gement ouverts, les extrémités supérieures étaient contrac-turées (le
bras
gauche en flexion, le bras droit en extension), l
tés supérieures étaient contrac-turées (le bras gauche en flexion, le
bras
droit en extension), la respiration était stertor
pas d'hallucination du tout... « Il s'agit, pour l'œil comme pour le
bras
, d'un phénomène » d'inhibition qui produit une pa
r tout ce qui vient de moi ; si on la pique, elle retire vivement son
bras
; si je la pique, elle ne sent rien ; je lui plan
e sent rien ; je lui plante des épingles qui restent suspendues à ses
bras
, à sa joue, elle n'accuse aucune sensation, elle
donc encore plus fou que tout à l'heure ! » Et comme M. F... lève les
bras
au ciel, en me parlant, Camille s'écrie : « Décid
examiner, parler comme MM. Binet et Féré, « pour l'œil, comme pour le
bras
, d'un phénomène d'inhibition qui produit une para
obtenue une fois a l'un de ces états extrêmes. J'ai pensé: « Leyez le
bras
droit. » il a levé lentement le bras droit; — « E
extrêmes. J'ai pensé: « Leyez le bras droit. » il a levé lentement le
bras
droit; — « Embrassez-moi. » il a arrondi les bras
a levé lentement le bras droit; — « Embrassez-moi. » il a arrondi les
bras
, mais m'a manqué et a embrassé le vide ; — « Dres
brûlures faites au même sujet, a deux endroits symétriques (aux deux
bras
, aux deux épaules), dont l'un était soustrait par
aupières, ou remuer Par le Com« a. de rochas (Suite etjiit) les
bras
et les jambes : ce n'est point un simple engourdi
en rapport avec un enfant qui avait un dépôt dans une articulation du
bras
, rit des efforts inutiles pour soulever son bras
une articulation du bras , rit des efforts inutiles pour soulever son
bras
à elle, en v ressentant le même mal. (?., p. 23a.
chambre... Si, même dans une autre chambre, on me pince fortement le
bras
ou la jambe, elle pousse des cris et s'indigne qu
u la jambe, elle pousse des cris et s'indigne qu'on la pince ainsi au
bras
ou au mollet. Enfin, mon frère, qui assistait à c
urieux. En se tenant dans une autre chambre, il se brûla fortement le
bras
, pendant que Mme B... était dans la phase de somn
s cris terribles et j'eus de la peine a la maintenir. Elle tenait son
bras
droit au-dessus du poignet et se plaignait d'y so
eaucoup, sans savoir pourquoi. Le lendemain, elle soignait encore son
bras
avec des compresses d'eau fraîche, et. le soir, j
it brûlé, maïs il faut remarquer qu'elle s'était .touché et gratte le
bras
pendant la journée- Ce phénomène de la communicat
ajoute-t-il. si elle ne sentait point une aura passant de la main au
bras
et de là dans le dos. puis dans la cuisse. Elle r
un =ujci : c'est, par exemple, un malade affligé d'une contracture du
bras
droit; le médecin lui suggère qu'il a la puissanc
bras droit; le médecin lui suggère qu'il a la puissance de remuer son
bras
, qu'il peut, qu'il doit l'exercer, a son réveil.
et môme de les faire durer pendant l'état de veille. Une paralysie dn
bras
et de la jambe gauches provoquée par suggestion a
des cris perçants hors du lit et, plein d'angoisse, se jette dans les
bras
de son entourage. Tel, les yeux grands ouvert
tte partie de la tête sous laquelle se trouvent les autres moteurs du
bras
, il a réussi, dis-je. à provoquer des crampes du
tres moteurs du bras, il a réussi, dis-je. à provoquer des crampes du
bras
sur le côté Opposé. La catalepsie du bras gauche
à provoquer des crampes du bras sur le côté Opposé. La catalepsie du
bras
gauche fut transférée, à l'aide d'un aimant, au c
; cette raideur porte surtout sur Us muscles du tronc, du cou et des
bras
; moins aux jambes, pas de chute. La pression des
malade, debout, lève la tête et se courbe légèrement en '•Trière; les
bras
et les jambes se raidissent légèrement dans l'ext
er, elle marche comme une aveugle, gardant la position imprimée u ses
bras
. D'autres fois, l'attaque se présente sous la f
; elle se raidit dans l'extension, les muscles du cou. du tronc, des
bras
, des jambes sont absolument contractures et on ne
t les mouvements imprimés sont intacts, quoique un peu douloureux. Le
bras
est pendant er. par son poids, abaisse l'épaule.
cet examen, le diagnostic porté est: Paralysie hystéro-traumatique du
bras
droit, incomplète ai-ec légère contrac-ture. Pr
B... consentit à voir un fauteuil. On lui fit tâter les pieds et les
bras
du fauteuil : il jugea ou'on leur avait mis des j
s renfermaient des ressorts. » 11 y avait aussi des ressorts dans les
bras
. Quant à la tétc du docteur, c'était une sculptur
visibles pour lui. Ainsi, quand M. Mathieu et mot con-' tournions nos
bras
de manière que mes mains avaient l'air de lui app
uiBj invisible. Enfin, compliquant l'expérience et fourrant chacun un
bras
dans les manches d'un même habit, B.... sans se t
lement insensibles. Nous attirons l'attention de cette malade sur son
bras
gauche, nous lui faisons remarquer qu'elle a pein
son fauteuil. Dans la journée, il marche en s'aidant simplement du
bras
d'un voisin de lit. Il continue d'ailleurs à êt
veil, facile. Le malade se lève de son fauteuil, et marche, appuyé au
bras
de quelqu'un ou même seul, en se cramponnant aux
ant et obtenant toujours l'amélioration de la marche, cW la force des
bras
, de la vision et la liberté du ventre. Nous avo
elques zogaies ; elle se peint alors de blanc le contour de l'œil, le
bras
et la jambe gauches, et de noir les mêmes parties
gnes d'hyperesthésic neuro-musculaire étaient très manifestes sur les
bras
en état cataleptique. — la plus légère pression,
exécute, non plus que des pressions ou des frictions exercées sur ses
bras
. Ces divers mouvements, indépendants de toute inf
n de nous. Brusquement, elle s'affaissa, laissa tomber sa tête et ses
bras
; nous dûmes la soutenir pour l'empêcher de choir
ie, presque éteinte ; du côté gauche, lanesthésie persistait, mais le
bras
était pris successivement de parésie incomplète e
l'abandonnant à ses propres ressources. Elle resta immobile, les deux
bras
levés tenant le fil dans le cnas de l'aiguille, l
es jours avant, une preuve plus convaincante encore, en lui voyant au
bras
une brûlure profonde, large de 5 à 6 centimètres,
l ou ces mêmes phénomènes se reproduisirent. J'étais accoudé sur le
bras
droit du fauteuil et la tête posée sur la main dr
a tête posée sur la main droite. Je ne pouvais que très peu remuer le
bras
gauche, qui était pourtant complètement libre, et
ssi bien de me replacer dans la position primordiale que de remuer le
bras
droit, fût-ce d'un millimètre. De telle sorte que
bout des doigts seulement, tantôt dans toute la main, le poignet, le
bras
, etc.), ont en effet signalé une carte, avouant a
e qu il venait de signaler, grâce à une sensation dans tout l'avant-»
bras
jusqu'au coude, sensation qu'il compara à la seco
ence, en prétendant avoir reçu une commotion générale jusque dans les
bras
et les jambes et en1 simulant les gestes que Ton
paraître un objet à ses yeux, il en soit autrement lorsqu'on fixe son
bras
, lorsqu'on lui suggère un acte, une pensée, la di
notisé est complaisant, prudent, lorsqu'il se coupe é,nergiquement le
bras
avec un couteau suggéré tandis qu'ï se raye à pei
es malades atteint de delirium tremens sentit toute la nuit, sous son
bras
, sa têtequ'on avait coupée (hallucination du touc
jour des massages suivis d'efforts pour reproduire les mouvements du
bras
tain. Ausiitôt qu'on peut constater une certaine
e : immédiatement elle entrera en crise. Serrez toute autre partie du
bras
ou de la main, et le sommeil ne se produira pas.
mpossible. Nous avons seulement obtenu une disposition différente des
bras
qu'elle a placés le long du corps au lieu de les
que : rigidité cataleptique, insensibilité aux piqûres traversant le
bras
, illusions du goût qui prête aux pommes de terre
s votre chambre à coucher ? lo" De* passes faites sur la main, le
bras
, la figure, le corps.sont-elles ressenties ? 11
ousses convulsives avec piresthésie et sensation de faiblesse dans le
bras
et la jambe du côté droit, put. après huit jours
.... 41 — D'un acromion à l'autre.......... 37 — Circonférence du
bras
........... 38 — — du haut de l'avant-bras ... 2
marcha rapidement et, six semaines après, l'enfant pouvait élever le
bras
de 20 à 3o degrés, et graduellement tous les mouv
ize ans elh a commencé à éprouver de la faiblesse dans l'élévation du
bras
, mais qu'elle ne s'en est pas préoccupée. Aujourd
des degrés divers, dans un assez grand nombre de muscles du tronc, du
bras
, surtout de son deltoïde et son grand dentelé dro
rt pour être apprenti chaudronnier; mais que depuis quelques mois son
bras
droit s'affaiblit progressivement et qu'il éprouv
mmes alors en i852. Cette même année, d'autres tumeurs apparurent, au
bras
droit d'abord, peu après au bras gauche. En 1858,
née, d'autres tumeurs apparurent, au bras droit d'abord, peu après au
bras
gauche. En 1858, l'épaule fut à son tour envahie,
intime de ces tumeurs, on y constate les mêmes particularités qu'aux
bras
. io° Groupe crural. — Il simule au premier abor
désespoir des modeleurs : il nous suffit de signaler une ichthyose du
bras
qui fera l'objet d'une légitime admiration de la
iège ordinairement au cou et sur la poitrine, sur la face interne des
bras
; il est rare de l'observer dans d'autres régions
E. Guibout. DES HOPITAUX PLANCHE XIV DÉVELOPPEMENT INCOMPLET DU
BRAS
Développement incomplet d'un bras Par le doct
HE XIV DÉVELOPPEMENT INCOMPLET DU BRAS Développement incomplet d'un
bras
Par le docteur de Montméja père. Le cas dont
d'ailleurs, jouit de tous les apanages d'une forte constitution, son
bras
gauche seul est le siège d'un arrêt de développem
gauche seul est le siège d'un arrêt de développement remarquable. Le
bras
proprement dit existe dans son entier et possède
l à celui qu'ils doivent posséder normalement; les muscles propres du
bras
, se rendant à l'avant-bras, sont le siège d'une a
moignons anciens, suites d'amputations dans la continuité des os. Le
bras
se termine par un moignon parfaitement arrondi; c
e recouverte par un tissu cellulo-fibreux assez dense; les muscles du
bras
lui impriment quelques légers mouvements. Sur l
ure de toute la région est inférieure à celle du reste du corps et le
bras
tout entier se montre très fâcheusement impressio
'instrument (croc) dont il se servait et qu'il tenait à la hauteur du
bras
tendu lui échappe des mains. Le manche en bois de
sujet et au point d'insertion du brachial antérieur et du deltoïde au
bras
droit. Personne, on le voit, ne déclare en avoi
osco pique de l'habile docteur Ranvier, un tubercule enlevé sur les
bras
du malade dont on voit ci-contre la photographie.
rononcées que la circulation est plus gênée. En laissant pendre les
bras
le long du corps, comme nous l'avons fait chez no
les s'atrophient progressivement, à commencer par ceux des mains, des
bras
et des jambes, pour gagner ceux du tronc; ce phén
t-bras. Le ier février on lui enlève un tubercule volumineux sur le
bras
droit ; au bout de quelques jours la cicatrisatio
ne et inférieure du cou. Les mouvements d'élévation et d'abduction du
bras
droit sont très limités ; une douleur vive les ar
peau. Le passage du courant est assez douloureux et retentit dans le
bras
. Rougeur et gonflement autour des piqûres. La tum
on notable dans la première séance déjà, et les mouvements du cou, du
bras
reprirent quelque liberté. L'état général s'amé
qui donnent une idée exacte de cette différence : Circonférence du
bras
droit 28 cent. du gauche 29 c. 5 — de l'avant-b
malade, en marchant, traîne la jambe droite. Elle se sert de ses deux
bras
, mais préférablement du gauche. — Depuis qu'elle
en arrière; la torsion du cou, la déviation de la face augmentent; le
bras
droit s'élève, l'avant-bras se fléchit sur le bra
ace augmentent; le bras droit s'élève, l'avant-bras se fléchit sur le
bras
, tout le membre supérieur droit devient roide ; p
ut le membre supérieur droit devient roide ; presque en même temps le
bras
gauche se roidit et on voit apparaître des secous
s de la moitié droite de la face; enfin on remarque que la roideur du
bras
gauche se montre seulement quelques secondes aprè
es membres supérieurs sont fiasques. Teinte violacée de la main et du
bras
droit tranchant avec la pâleur de la main gauche.
fiée par la grossesse.............. 65 Développement incomplet d'un
bras
........................ 67 Hypospadias.........
par du clignotement, des mouvements in- conscients de la tête, des
bras
et des pouces. Constipation, pertes blanches, i
s parties du corps, surtout le creux poplité, la face antérieure du
bras
droit sont le siège d'une hyperesthésie notable e
journée les mêmes phrases, examine con- tinuellement ses mains, ses
bras
et n'y trouve plus de veines; louche, pince sa
sés. Il berçait un jour, sur le pont du navire, son enfant dans ses
bras
, lorsque survint un matelot qui se mit, à l'ins
urvint un matelot qui se mit, à l'instar du cook, à bercer dans ses
bras
un billot de bois. Puis ce matelot jeta son bil
PATHOLOGIE NERVEUSE. 85 assez long, le corps étant vertical, et le
bras
pendant au repos, l'angle inférieur de l'omopla
te droite, produisant un tremblement et nue paralysie permanente du
bras
gauche et un tremblement et une paralysie trans
utions ascendantes), produisant des convulsions et une paralysie du
bras
droit et du côté droit de la face, avec aphasie
frontale ascendante du côté droit, accompagné d'une paralysie du
bras
gauche et d'une parésie de la jambe, de la face e
ties voisines de la face interne de l'hémisphère. B. Les centres du
bras
, de la jambe et de la face sont plus ou moins d
pécialement en rapport avec la fonction du langage. D. Le centre du
bras
est situé sur la partie moyenne des deux cir- c
ent la tête, les épaules et la nuque (coussin d'air bien fixe), les
bras
(serviette passée sous les aisselles), dan. un
dans file d'llissingen. L'ile dont il s'agit est entourée par deux
bras
du Gôtaelf. L'établissement oc- cupe un terrain
u côté opposé, soit sur l'autre membre du même côté (de la jambe au
bras
et vice oei-sd). Il est fort rare d'ailleurs que
tion et la rotation en dehors; le poignet est fléchi sur l'avant-
bras
, et le poing convulsé. Le membre inférieur est en
u même côté. La face se cyanose un peu et se couvre de sueurs. Le
bras
gauche se soulève, et décrit un arc de cercle, en
mduction est pré- cédé par la flexion brusque de l'avant-bras surle
bras
; Pavant- bras se met de nouveau dans l'extensio
- cédé par la flexion brusque de l'avant-bras surle bras; Pavant-
bras
se met de nouveau dans l'extension quand la circu
? ,c7 . ? entre les accès pour ou elle disparaisse. La paralysie du
bras
et'de'lafârriliîf'persiste'^ après la ,césâti
cu- pation domestique chancelle1 et perd la parole ; paralysie du
bras
droit, et plus tard'du membre inférieur du même c
entent la consistante susdite. L'apparence des muscles des avant-
bras
est n irmale ; les muscles intrinsèques des mains
a lieu pour les membres supérieurs. Si le malade étend vivement le
bras
pour saisir un objet, le bras reste raide et ét
ieurs. Si le malade étend vivement le bras pour saisir un objet, le
bras
reste raide et étendu, et la main se serre sur
oigts ne s'ou- vrent que lentement et difficilement, tandis que les
bras
et 376 CLINIQUE NERVEUSE. l'avant-bras sont c
les dos membres gauches, débutent toujours après ces dernières : le
bras
droit se place dans l'abduction légère, la main
nt recouvert par les autres doigts ; l'avant-bras se fléchit sur le
bras
et se porte sur la partie latérale et postérieure
partielle due à une lésion cérébrale. Si Ang... ne peut mouvoir son
bras
qu'avec difficulté, cela parait tenir à un état
connaissance. Cette attaque se serait accompa- gnée de paralysie du
bras
gauche. Les attaques se sont re- produites à pl
au niveau des points douloureux, tantôt en une simple rai- deur du
bras
gauche. - A la suite de cette aura, la malade t
on suivante : le mem- bre se raidit, l'avant-bras se fléchit sur le
bras
, puis se con- tourne derrière le tronc, en s'ap
placé par une sorte de tremblement. D'ordinaire, les convulsions du
bras
ne s'accompagnent pas de perte de connaissance.
cun doute ne saurait s'élever sur la nature hystérique du spasme du
bras
observé chez Fore..., L'absence de tout phénomè
cyanique. Ce spasme to- nique dure de cinq à six secondes ; puis le
bras
gauche se porte en avant et en dehors, l'avant-
ns la pro- nation forcée, la main hermétiquement fermée. A peine le
bras
est-il entré en convulsion, que les muscles du
e gauche, l'aile du nez, tous les traits à gauche. En même temps le
bras
s'élève par saccades, cinq ou six fois, puis re
une crise a lieu, qui parait moins violente que les précédentes. Le
bras
ne se soulève qu'à peine; les yeux ne restent c
deux mois. Grar..., quoique assez fort, eut alors du pcmpltigus aux
bras
et à la nuque, etcela jusqu'd sept mois; il a p
rqué auparavant; on dut. pendant quelque temps le soutenir sous les
bras
pour le faire marcher; durant un an, il marcha
it content de faire ce travail sous prétexte que cela détendait son
bras
. De onze à quatorze ans, Grar... ne se plaignait
du corps d'une manière évidente ; elles étaient plus fortes dans le
bras
et l'oeil gauches que dans les parties correspo
vers le bord radial, puis les doigts se crispent; l'avant-bras, le
bras
se contracturent et il lui semble que les batte
u'il a conscience des battements musculaires, il lui semble que son
bras
, qui paraît rac- courci dans l'aura, exécute pl
peur, une émotion, une farce d'un camarade; le malade sursaute, le
bras
se raidit, et les symptômes décrits ci-dessus se
; la face est tournée à gauche : la rigidité est plus prononcée au
bras
etii la jambe gauches; les secousses tétaniform
arties, ten- dance à laquelle le malade résiste continuellement. Le
bras
gauche est à la palpation plus dur que le droit
parait plus basse du côté paralysé. Cicatrices de vaccin aux deux
bras
; une petite cicatrice au coude gauche. 303 RECU
uillé externe qu'elles tra- versent, pour gagner de là, au moyen du
bras
antérieur, le tuber- cule quadrijumeau antérieu
l3echlerew a réussi, en pé- nétrant par le pharynx à sectionner le
bras
antérieur entre le segment postérieur de la cou
externe sans intéresser le corps genouillé interne ni les fibres du
bras
postérieur. Un seul et même effet a été obtenu, s
la langue. En même temps, la sensibilité de l'occiput et celle du
bras
droit n'existentplus; la sueur, les larmes, la sa
près avoir souffert pendant plusieurs années d'élancements dans les
bras
et les jambes, présenta bientôt de l'affaiblissem
et de l'incertitude de la démarche et finalement une paralysie des
bras
et des jambes. La sensibilité est conservée presq
de la main; une dimi- nution de la sensibilité à la face interne du
bras
et de l'avant-bras, à la main, dans les doigts,
'amplitude et finit par s'accompagner de mouvements d'élévation des
bras
et de l'épaule, (action sur le plexus brachial)
enregistrées par Pitres ; comme lui, M. Friedloender trouve que le
bras
droit est plus fort que le bras gauche, tandis qu
lui, M. Friedloender trouve que le bras droit est plus fort que le
bras
gauche, tandis que la jambe gauche est plus for
18 8 kiL de sa force ; 2° dans l'hémiplé- gie cérébrale droite, le
bras
indemne perd plus de sa force que dans l'hémipl
UE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 3 15 portionnelle à la perte en force du
bras
correspondant, c'est-à- dire à peu près 16 hil.
iale etlin-uale gauche, est en outre remarquable par ce fait que le
bras
et la jambe, et en particulier le pied et la main
eux du tronc, sur le grand oblique de l'abdomen, sur les muscles du
bras
et de la jambe que les ossifications présentent
motilité de la jambe et, sous peu, il reprend également l'usage du
bras
qui demeure simplement parésié comme le facial.
e, donc, ur la taille de 55 millimètres - le géant est un homme aux
bras
longs (3). Dans l'appréciation de cette différenc
et avec le canon de l'européen adulte moyen, nous constatons que le
bras
est propor- tionnellement moins accru que l'ava
ut de développement du bord du pavillon (Meyer). Son torse et ses
bras
sont peu musclés, ses jambes le sont davantage. L
eur totale du membre supérieur, et surtout de son segment proximal (
bras
). Maintenant, si nous prenons pour point de rep
le tronc courbé en avant et les avant-bras en demi-flexion sur les
bras
. Cette malade fut opérée pour son goitre au moi
on de l'apophyse styloïde du radius détermine la flexion del'avant-
bras
sur le bras et une série de trémulations du bicep
hyse styloïde du radius détermine la flexion del'avant- bras sur le
bras
et une série de trémulations du biceps. On observ
déterminé par la forte saillie de la tête cubitale. En examinant le
bras
en des positions variées on ne peut ob- server
nsieur est venu la voir, qu'il était très poli ; il lui a offert le
bras
, et l'a reconduite chez elle ; ce mon- sieur l'
quer par sa force, portant à la fois quatre hommes, deux sur chaque
bras
. Il alla de ville en ville et, trop paresseux p
ravaille dans la verrerie, là il avait pris l'habitude de sortir en
bras
de chemise, en hiver et tout échauffé par la ch
t la respi- ration ; cette dernière est du type diaphragmatique.Les
bras
ne peuvent être éle- vés passivement ou activem
ne fièvre et, pendant cette maladie, il eut des convulsions dans le
bras
gauche et dans la jambe droite. Dix mois avant
ininsky le 4 mai 1906. Il se plaignait de ne pouvoir plus lever les
bras
et de ne pouvoir plus marcher sans canne; il disa
li- mitation de mouvements dans les articulations des épaules (les
bras
s'élèvent jusqu'à 35°), dans les articulations
son segment 1 cervical (la tète se meut de 3 centimètres), les deux
bras
ne peuvent se sou- lever plus haut que la ligne
té de cette deruière dans les régions dorsale et lombaire. Les deux
bras
ne peuvent se lever plus haut que la ligne hori
uvements limités, toutes les antres articulations des jambes et des
bras
sont intactes. Absence d'osléophytes et de déform
capable de se tenir debout, il tombe en arrière. Les mouvements des
bras
sont ataxiques ; il ne sait plus retrouver son
Il loca- lise mal la piqûre, ce qui est en partie dû à l'ataxie du
bras
, mais distingue la pointe de la tête de l'éping
gauche est paralysé et reste 24 heures sans secours. Convulsions du
bras
gauche, flexion forcée de la main et des doigts
éclatent de nouveau et deviennent défi- nitives. La paralysie du
bras
gauche subit également des variations, mais les m
e dessin du Triumphe ne permet pas de voir exactement comment ; son
bras
droit est soutenu par son bâton emblématique plut
on bâton emblématique plutôt qu'il ne le soutient ; son voisin a le
bras
en écharpe, la main tout a fait tombante. Ce so
le. Dans l'image du Triumphe on voit à ce rang un bandage spiral du
bras
et un autre de la jambe. Au cinquième le premie
en spirale qui ne laisse libres que les orteils; et son voisin a le
bras
en écharpe; la main tombante Les poursuyvans
personnages sont béquillards, couverts d'emplâtres sur la face,les
bras
, la poitrine, les jam- bes.Il est regrettablequ
d'une syphilis héréditaire. La mère est couverte d'emplâtres, a un
bras
amaigri et bandé porté en écharpe, le pied pansé
yons pas très bien à quelle lésion spécifique on peut attribuer ces
bras
en écharpe et ces dé- marches pénibles ; le rhu
encore quelques secousses dans le côté droit de la face et dans le
bras
corres- pondant. La main gauche s'élève comme h
minute) qui amènent un léger déplacement des doigts et de l'avant-
bras
. Quelquefois deux ou trois secousses se succèdent
nférieur. Le malade a une espèce de stéréotypie : si on lui lève le
bras
ou la main, il répète ce mouvement trente fois,
l'admission à "infirmerie, elle fit une hémiplégie droite complète,
bras
, jambe, face, avec hypoesthésie de toute la moi
ois de novembre 1907. Il s'aperçut d'une extraordinaire lourdeur du
bras
droit et d'une diminution de la force dans ce mem
es contractions fibrillaires dans les muscles de l'avant-bras et du
bras
. Pas de tremblement intentionnel, pas d'ataxie
se présente d'aspect tout à fait normal. La main, l'avant-bras, le
bras
nesont pas atrophiés ni modifiés de volume. L
volume. Les mouvements des doigts, de la main, de l'avant-bras, du
bras
sont ac- complis sans aucune difficulté et d'un
pas l'année ; pas d'idées délirantes révélables. D. - Mettez votre
bras
sur votre tète. R. Pourquoi faire ? On répète
énérale lie de vin est plus accentuée sur la face antéro-interne du
bras
et de l'avant-bras, ou l'on remarque également
un peu en arrière du creux axillaire, à la face postéro-externe du
bras
et sur le bord cubital de l'avant-bras, enfin à
segments des deux membres thoraciques : Circonférence maximum du
bras
. 1 A PROPOS DE LA SYSTÉMATISATION DES NOEVI 235
réveillée un matin avec = la la figure de travers ». La jambe et le
bras
du même côté étaient parfaitement libres. Comme
érieurs relativement très longs. Nous insistons sur le fait que les
bras
et les avant-bras ont conservé entre eux des ra
voit par la comparaison des chiffres indiquant la circonférence des
bras
et avant-bras prises des deux côtés en des poin
-bras prises des deux côtés en des points symétriques. Côté gauche,
bras
: 10 millimètres et avant-bras 5 millimètres de p
res supérieurs au contraire paraissent plus grêles. 318 MOSSÉ Les
bras
, les avant-bras ne sont pas très développés surto
, boulanger de son métier, fait aècomplir beaucoup d'exercice à ses
bras
. Le cou est épais, solidement implanté sur de l
différence. Membres inférieurs immobiles et fléchis. Poings fermés,
bras
fortement repliés sur les avant-bras. Membres s
res supérieurs.- Parésie complète et flexion des avant-bras sur les
bras
. La contracture est imparfaite, car, sans douleur
é et en pronation, le pouce en dedans et en exten- sion. Flexion du
bras
gauche : 103° ; Flexion du bras droit : 130°. L
edans et en exten- sion. Flexion du bras gauche : 103° ; Flexion du
bras
droit : 130°. Lenteur des mouvements volontaire
'extension dans lesquels la flexion prédomine : l'avant-bras sur le
bras
, la main sur l'avant- bras avec un léger mouvem
flexion prédomine : l'avant-bras sur le bras, la main sur l'avant-
bras
avec un léger mouvement rotatoire en dedans, les
xes cutanés non adap- tés ; par exemple, un pincement de la peau du
bras
ou d'un endroit quelconque du corps provoque le
son équilibre. Si pour marcher nous le soutenons en lui donnant le
bras
, ou en lui donnant une canne pour s'appuyer, le
ontraire s'ils s'appuient sur une canne, ou si nous leur donnons le
bras
, ils ont beaucoup plus de courage et font de gr
soient bien conservées et qu'ils s'appuient sur une canne ou sur le
bras
de quelqu'un. De ces considérations, nous avons
s'il s'agit par exemple de fléchir sim- plement l'avant-bras sur le
bras
mouvement qui ne demande qu'un effort très faib
nd que celui qu'il a fait pour plier simplement l'avant-bras sur le
bras
. De même, en abaissant le membre, nous avons vu
l'extension progressive des atrophies amena leur généralisation aux
bras
avec cette particularité fort originale que l'e
tage. Elle ne sait si on s'aperçut à sa naissance qu'elle avait les
bras
et les jambes anormalement courts ; mais elle rac
qui favorise l'épaississement des muscles ; il a comme membres des
bras
de leviers courts, ce qui favo- rise les mouvem
nez recommençait à bleuir, l'enfant se plaignit de douleurs dans le
bras
gauche. Le lendemain, ces douleurs reparurent d
un indigène qui lui porta un coup de couteau. Il put le parer avec le
bras
droit, qui porte toujours la cicatrice de la bl
de suite frappé par la disproportion de longueur existant entre les
bras
et les avant-bras (PI. LXXI,lig, 2). Alors que le
alors qu'il en est de même pour les avant-bras et pour les mains, les
bras
sont environ de quatre pouces plus courts que c
ales à l'inspection ; mais on note que, lorsque ce garçon porte ses
bras
en élévation, bien qu'il n'existe pas de limita
l en est de même pour les avant-bras et pour les mains. alors que les
bras
sont beaucoup plus courts qu'ils ne devraient.
NGÉNITALE 465 donne environ 33 centimètres. Le raccourcissement des
bras
atteint et dépasse ainsi le tiers de la longueu
t : 163 centimètres. 4° Distance d'une extrémité à l'autre des deux
bras
mis en croix : 150 cen- timètres. L'examen d'
ent conformés. Comme on le voit sur la figure (PI. LXXH,fig.5), les
bras
montrent leurs proportions raccourcies par rapp
e droit (Voy. les mensurations ci-dessous). La musculature des deux
bras
est bonne. Par la palpation, lors des mouve- me
centimètres ; sa grande envergure, d'une ex- trémité à l'autre des
bras
en croix, est de 158 centimètres. Les mensurati
, de même que dans le cas V, les mouvements des articu- lations des
bras
sont normaux et il n'existe pas de crépitation.
r de2m. 50 (janvier). Le poignet droit reçoit le choc principal, le
bras
ayant été porté instinctive- ment en avant. Le
e de l'avant-bras (extrémité inférieure) sans plaie, pour laquelle le
bras
est immobilisé pendant trois semaines. Nous e
st atténuée sous tous ses modes dans toute l'étendue de la main, du
bras
, de l'épaule, jusque dans la région du grand pe
eux divisions pour tous les groupes musculaires de l'avant-bras, du
bras
et de l'épaule. Deuxième radiographie (10 mois
corps. Assis toujours sur son séant, je lui demande de relever les
bras
en l'air : le malade les soulève à peine jusqu'
Au contraire. quand il est couché sur le dos, le malade soulève les
bras
tout aussi bien que e nous. De ces expérience
, qu'il arrange bien ses cannes, puis quand il s'est assuré que ses
bras
appuient bien dessus, il cher- clie alors à se
uelette est très anor- male. Joseph ressemble à un singe : il a des
bras
très longs qui arrivent pres- que aux genoux. L
dos. Quand on lui demande de se soulever du décubitus en tenant les,
bras
croisés sur la poitrine, il est forcé de soulever
d'une camisole et d'une robe rose clair ; elle aussi tient dans son
bras
gauche un panier. Un cinquième personnage égale
tion de Bas- tiano d'un centre cénestésique pour les mouvements des
bras
et des mains nous paraît aussi plausible que l'
se renverse, écarte les cuisses, croise les jambes et cache de ses
bras
son visage et ses seins en poussant, d'une voix d
établissement des règles, qui fut tardif. Membres supérieurs. -- Le
bras
et Iavant-bras ont des proportions respec- tive
pour le plan antérieur du corps, aux mamelons, aux avant-bras, aux
bras
, aux mains qui semblent gantées de blanc ; pour l
KLIPPEL ET FEIL Les mouvements de la tête sont seuls limités ; les
bras
et les jambes sont légèrement atrophiés, mais c
ulever seule un matelas pour faire le lit, tenir ses enfants sur le
bras
, etc. Par contre, elle était capable de soulever
proportions relatives les uns par rapportaux antres. La longueur du
bras
de la tête humérale à l'épitrochlée est de 26 cen
et celles des membres supé- rieurs qui frappent l'observateur. Les
bras
, dans les cas prononcés, sont accolés au tronc
s les cas prononcés, sont accolés au tronc ; mais d'autres fois les
bras
et les avant-bras sont en ex- tension et s'élèv
u presque constamment des contractions musculaires brusques dans le
bras
et l'avant-bras gauche. Des secousses analogues s
venues dans la jambe gauche depuis 6 mois, et plus récemment dans Je
bras
droit. Ces contractions sont plus fortes et plu
musculaire est très marquée à la main gauche, à l'avant-bras et au
bras
. Le deltoïde gauche, lui-même, est moins volumine
trophie se retrouve à un plus faible degré, à la main et à l'avant-
bras
; elle n'est pas appréciable à la vue sur les mus
vant- bras ; elle n'est pas appréciable à la vue sur les muscles du
bras
et de l'épaule. atrophie musculaire PROGRESSI
l'olécràne, 24 cent. tri ; à droite, au même niveau, 25 cent. 5.
Bras
gauche, à 13 centimètres de l'olécrane, 24 centim
mouvements passifs. Le mouvement de flexion de l'avant-bras sur le
bras
est beaucoup plus énergique. L'élévation du bra
'avant-bras sur le bras est beaucoup plus énergique. L'élévation du
bras
se fait encore presque normalement. Membre supé
tenseurs des doigts ont aussi une force inférieure à la normale. Au
bras
, la force musculaire est conservée. Aux membres
: années, l'atrophie musculaire a.subi une aggrava- tion lente : Le
bras
gauche pend le long du corps, absolument inerte ;
u'il a perdu la possibilité d'écrire. Les mouvements des muscles du
bras
et de l'é- paule sont partiellement conservés.
ons fibrillaires, mais douleurs dans les mem- bres supérieurs ; les
bras
paraissent hypertrophiés. La soeur de ce ma- la
muscles des jambes, puis ceux des mains, des avant-bras et ceux du
bras
gauche : l'atrophie progressive est accompa- gn
a sensibilité ; atrophie des membres supérieurs, mains, avant-bras,
bras
, épaules ; atrophie de l'orbiculaire des lèvres.
embres supérieurs, atrophie des muscles de la main, puis de l'avant
bras
, sensibilité intacte ; diminution des réactions é
gauche, type Aran-Duclenne; extension lente aux muscles de l'avant-
bras
, du bras et de l'épaule gauche. Sept à huit ans a
ype Aran-Duclenne; extension lente aux muscles de l'avant- bras, du
bras
et de l'épaule gauche. Sept à huit ans après le d
s fibrillaires dans les muscles atrophiés. Intégrité des muscles du
bras
et de l'épaule droits. Arrêt de la marche de la
PHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE HÉMILATÉRALE 321 moins de force dans le
bras
droit que dans le bras gauche. Les mouvements de
SIVE HÉMILATÉRALE 321 moins de force dans le bras droit que dans le
bras
gauche. Les mouvements de son bras droit étaien
e dans le bras droit que dans le bras gauche. Les mouvements de son
bras
droit étaient si embarrassés qu'il commença à se
étaient si embarrassés qu'il commença à se servir de préférence du
bras
gauche. Lorsqu'il devait écrire vite de la main d
emps que la musculature de son épaule droite, de son thorax et de son
bras
du même côté ne se développait pas comme à gauc
lication de courants électriques à la moitié droite du visage et au
bras
. Après cette cure, l'enfant réussit à fermer pres
et inférieur de gauche. Membre supérieur droit. Au repos, quand le
bras
est abandonné le long du tronc, l'humérus est u
trophie est encore plus évidente dans les muscles de l'épaule et du
bras
, et ceux de l'avant-bras et de la main sont atr
est obligé de hausser l'épaule droite plus que l'épaule gauche. Le
bras
se tourne en dehors et la main a une tendance à
aucoup plus tard, des muscles du cou, de la ceinture scapulaire, du
bras
et de l'avant-bras, enfin, depuis quelque temps,
-là seulement, aux mus- cles de la ceinture scapulaire et à ceux du
bras
, puis à ceux de l'avant- bras, de la main, et d
e la ceinture scapulaire et à ceux du bras, puis à ceux de l'avant-
bras
, de la main, et du membre inférieur ; la manière
e aucun mouvement de défense. On note de la flexibilité cireuse des
bras
. A l'Hôtel-Dieu où il avait été hospitalisé pen
volonté » (Il répète cette dernière phrase plusieurs fois). , Les
bras
croisés sur la poitrine, il pleure abondamment ;
Jérusalem, s'excitant peu à peu et criant d'un ton déclamatoire « Les
bras
et les mains crucifiés pour l'amour de Dieu...
IE DES VERTÈBKES 393 sans tremblements. Extrémités supérieures : le
bras
droit cassé dans l'enfance est plus court que l
es muscles de la face antérieure de l'avant-bras. Les mouvements du
bras
gauche sont bien conservés dans toutes les arti
abinski. Rétention complète d'urine. 25. Douleurs aux jambes et aux
bras
. Augmentation de la paralysie des membres infér
temps. Plusieurs mois après, il s'est aperçu que ses jambes et ses
bras
, surtout du côté droit, commençaient à s'affaibli
le membre supérieur c'est surtout la flexion de l'avant-bras sur le
bras
qui est moins énergique, Les mouvements volontair
on ne se produit pas, mais on voit dans les muscles des épaules, du
bras
et de l'avant-bras du côté droit des contractions
r l'exa- men : l'avant-bras est fléchi presque à angle droit sur le
bras
, la main de l'exa- minateur est prise dans la m
de cet os, il ne se pro- duit aucune flexion de l'avant-bras sur le
bras
, mais une très nette flexion des doigts, que l'
main. c) Si, maintenant, l'avant-bras étant toujours fléchi sur le
bras
, mais la rnain tombante en pronation complète,
té superficielle (tact, douleur, chaleur) dans la moitié externe du
bras
et de l'avant-bras. Le sujet ne se trompe presque
faradique et galvanique des nerfs et de presque tous les muscles du
bras
et de l'avant-bras du côté droit. Aucune diminu
ONTO ciennes, à la nuque, avec irradiations vers les épaules et les
bras
. Ce sont de nouvelles souffrances qui persisten
poussée en avant et demi-ankylosée, ne permet qu'un court écart des
bras
et aucun mouvement d'élévation ; la main ne dépas
lombaires et des interosseux et moins des muscles des fesses et des
bras
. Sen- sibilité parfaite. 9991. - La malade me
à droite.- Elle se plaint de faiblesse et surtout du côté droit, le
bras
et la jambe, mais cette faiblesse est plus pron
par un léger ictus sans perte de connaissance. A la suite, parésie du
bras
et de la jambe droite. En 1905, lors d'un premi
sible d'affirmer une amyotrophie. Les muscles de l'avant-bras et du
bras
sont res- pectés des deux : côtés. La face est
Cette atrophie est limitée aux éminences thénar et hypothénar. Les
bras
sont in- demnes, le réflexe radial conservé, le
contraction se fait normalement. Les muscles de l'avant-bras et du
bras
paraissent égaux des deux côtés.Le sous-épineux p
uée du côté gauche. Les muscles des membres supérieurs, avant-bras,
bras
et épaules sont d'aspect normal. Il n'y a pas de
e malade marche bien. La force est conservée également au niveau du
bras
et de l'avant-bras. Les mains sont moins fortes e
: état sensiblement le même, pour le médian et le radial à l'avant-
bras
. Diminution plus accusée dans le domaine du cub
main gauche n'a jamais rien eu. A l'examen, la force musculaire du
bras
et de l'avant-bras est bonne et égale l'atrophi
rieurs. A gauche, la flexion et l'extension de l'avant-bras sur le
bras
sont normales. La flexion de la main se fait bi
é de s'arrêter au bout de o minutes. La force de l'avant-bras et du
bras
est bien conservée et absolument semblable à ce
n lisse. L'éminence hypothénar, les interosseux, l'avant-bras et le
bras
sont normaux. Les réflexes olécraniens, radial,
xion des doigts avec abolition de la flexion de l'avant-bras sur le
bras
). La localisation exclusivement thénarienne ne
exagéré des membres inférieurs. La face et le cou sont normaux, les
bras
grêles, les seins petits, la poitrine maigre, l
t général s'est amélioré d'une façon constante, mais la face et les
bras
restent maigres, tandis que les membres inférieur
x remontait jusqu'à la région ombi- licale, le haut du corps et les
bras
restant relativement grêles. « On ne peut pas n
la lipomatose qui se continue, insensiblement, avec les parties du
bras
demeurées normales. Dans cette région axillo-br
s paralytiques qui voudraient marcher; ils demandent simplement qu'un
bras
secourable les soutienne et les aide à faire les
as encore souvent sa place et ne peut atteindre avec tes mains ou ses
bras
que les personnes qui sout â sa proximité. Certes
es très nets. Outre la paralysie du mouvement et de la sensibilité du
bras
, de la jambe et de la face, Lombroso aurait produ
une violente émotion. Quinze jours après, il com-mença à trembler do
bras
droit. Le tremblement, d'abord léger, s'accentue
supérieur droit, au milieu de l'avant-bras et à la face antérieure du
bras
; une autre a la partie droite du front. Sur le
e du front. Sur le reste du corps, la sensibilité est normale. Le
bras
droit est agite de tremblements marqués, presque
t que la moindre pression, le moindre contact du bout du doigt sur le
bras
gauche ou tout autre point de ce côté, lui fait f
compte, l'effet de la suggestion, on la saisit vigoureusement par le
bras
gauche. Elle ne témoigne aucune douleur. On s'ass
ne sensibilité exagérée et l'on peut constater par comparaison que le
bras
droit en maintenant plus sensible que le bras gau
par comparaison que le bras droit en maintenant plus sensible que le
bras
gauche, comme il lui a été suggéré. Le lendemai
— Vous avez pris la traverse ? Mathis. — Oui... oui... (Etendant te
bras
.) Voici le grand pont... et là-bas. dans le fond,
démontre : Chez une jeune fille qui avait une paralysie hystérique du
bras
, j'échouai complètement dans mes tentatives de su
es, et de prescrire d'appliquer ces fers rouges à un point désigné du
bras
pour produire une profonde brûlure au premier mom
point scapullaire et l'irridiation de la douleur dans l'épaule et le
bras
. Pendant toute la durée de l'accès, on voyait l
et, malgré ses efforts, sa petite sœur, qu'Angélina élevait dans ses
bras
, ne put, tout en se meurtrissant les mains, escal
uvement de rotation. Puis l'épaule est portée en haut el en avant. Le
bras
, lavant-bras el la maiu sont agités de mouvements
vos paupières se ferment, votre téte devient lourde ; vous sentez vos
bras
cl vos jambes s'engourdir. Tenez, vous donnez. Do
figure ne grimace plus, votre téte ne remue plus, votre épaule, votre
bras
, votre main ne sont plus agiles de mouvements. Vo
réveillerai, vous n'aurez plus de mouvements dans la ligure, dans le
bras
, et vous serez guérie. De plus, vous serez bien o
air un peu étonné de n'avoir plus de spasmes dans la figure, dans les
bras
, et de porter sa tète sans éprouver de mouvements
ents convulsîfs. Tous les muscles du corps.sont pris. Los jambes, les
bras
, sont, perpétuellement agités de mouvements viole
es subin-trnntes pendant lesquelles elle se croyait étouffée dans les
bras
du fantôme ut qui mettaient sa vie en danger. Ces
ères de ses sujets en leur persuadant qu'ils dorment, ou leur lève un
bras
en l*s défiant de l'abaisser, il ne fait par là q
vaient servi à mes premières expériences. Devant lui. je traverse ses
bras
d'une longue aiguille sans qu'elle donne le moind
vous le prouver. Vous avez vu cette jeune fille se laisser percer le
bras
sans sourciller. Vous, vous êtes capable d'autant
ciller. Vous, vous êtes capable d'autant et de plus. Donnez-moi votre
bras
; regardez-moi fixement en me montrant par votre r
rien sentir, et vous ne sentirez rien ». Il le fit; je lui perçai le
bras
: il ne sentit rien ou. ce qui revient au même, n
ce qui revient au même, ne sentit pas de douleur. Il croyait que son
bras
n'était pas transpercé. Il fut stupéfait de voir
es; elle se jetait sur son lit les poings fermés et en se tordant les
bras
, se trouvant horriblement malheureuse et pleurant
est une chute sur les bords d'un seau d'eau qu'elle portait à bout de
bras
, avec lequel elle a trébuché, qui l'a entraînée p
bonne d'enfant chez un cocher, à la Villelle : elle promenait sur ses
bras
de douze ans, un bébé de sept mois : poids bien l
puyai mon assertion en lui faisant, pendant la séance, des piqûres au
bras
avec une aiguille ; piqûres qu'elle s'imagina sen
lieu. Quand j'arrive devant la piscine, je vois, prosternés et les
bras
en croix, une foule de pèlerins. Un prêtre de hau
ristes ou diacres, faisant comme lui face à la foule agenouillée, les
bras
en croix, semblables à des chefs d'or-chestre, en
ibilité thermique est pervertie. Un objet froid placé sur la main, le
bras
ou l'avant-bras gauche lui paraît froid. Le 15 ja
orphiniques : douleur subite irradiant du petit doigt à la main et au
bras
gauches, à la région scapulaire et à la jambe gau
je me suis reveillée en sursaut et ai sauté de mon lit, « me lAianl
bras
et jambes pour trouver la trace; je pensai que pe
l'aiguille devait être enfoncée directement; un peu partout, sur les
bras
et sur les jambes en particulier, nodosités sous-
nous semble-t-il, des centaines d'hommes, de femmes cl d'enfants, les
bras
en croix, suggestionnés, fanatisés et répétant à
compagnée qu'elle était, s'emparait de son chien, le portait dans son
bras
(et il la soutenait, suivant son expression). l'a
malade dans sa chambre, où son père l'avait portée lui-même dans ses
bras
, lorsque j'arrivai près d'elle, et voici ce que j
ù elle paraissait beaucoup souffrir dans la région frontale. C'est du
bras
gauche qu'elle se servait exclusivement, et le so
orps restait dans une immobilité absolue, el lorsque je soulevais les
bras
ils gardaient La position que je leur donnais. Ce
nt qu'il existait une semi-anesthésie du côté droit et une parèsie du
bras
droit. Hier dimanche, le nez a commencé a redev
es traits principaux : mouvements désordonnés, position fréquente les
bras
en croix, le corps reposant sur la nuque et les t
: c'est la sensation d'une corde qui, se tendant à l'intérieur de ses
bras
et de ses jambes, lui raccourcirait les membres;
ue brusque, avec perte de connaissance, cris, mouvements désordonnés,
bras
en croix, le corps se mettant en arc de cercle su
tronc, tendance â l'arc de cercle, flexion et extension excessive des
bras
. A ce moment, les doigts sont fléchis au point qu
toute lésion. L'impotence fonctionnelle commençait à gagner déjà le
bras
gauche, et c'est vers cotte époque que je fus app
..., debout, au milieu de la chambre, et tenue fortement par mes deux
bras
, de me regarder fixement en faisant de fortes ins
nvier, elle marchait tout à fait bien, sans même traîner sa jambe. Le
bras
gauche, dont la tendance à la contracture a vivem
les de la vue, l'aihétose des mains, un besoin constant de tordre ces
bras
comme-si elle était en imminence de crise hystéri
ssolution saturée d'hyposulfite de soude en la plaçant à la portée du
bras
de L... endormie et extériorisée. Le sujet étant
e a déterminé, a son insu, la cristallisation, et au même instant, le
bras
de L... s'est contracture, lui faisant éprouver d
vec d'autres personnes : elle avait ressenti le coup, probablement au
bras
; mais, ne m'occupant pas alors du phénomène de la
squ'à plusieurs par jour. Elle fut ensuite atteinte de paralysie du
bras
droit accompagnée de contracture. Le bras était d
te atteinte de paralysie du bras droit accompagnée de contracture. Le
bras
était dans la rectitude et ne pouvait étre fléchi
six mois, époque à laquelle elle eut une attaque, et, à la suite, le
bras
et la jambe du côté droit restèrent paralysés.
ôté droit restèrent paralysés. Cette paralysie dura quatre mois. Le
bras
était toujours dans l'extension: les doigts élaie
s l'extension: les doigts élaieul fléchis dans la paume delà main. Le
bras
guérit le premier, mais la jambe ne guérit qu'inc
el la malade entre à l'hôpital, mais j'avoue que cette contracture du
bras
, qui dure un mois et demi et qui guérit sous l'in
de leur faire faire le diagnostic de ce sommeil simulé. Saisissant le
bras
de la malade, nous retendons de manière à provoqu
manière à provoquer la rigidité catalepliforme. Elle laisse aller son
bras
et le maintient étendu, croyant qu'il faut le fai
lité neuro-musculaire. Lui ayant de nouveau saisi et ramené à nous le
bras
, nous excitons, par une pression légère et au moy
nce. Au palper, celle-ci est nette dans les muscles de l'épaule, du
bras
, et de l'avant-bras gauche ; dans les muscles d
res. De temps à autre, vous voyez apparaître, dans les mus- cles du
bras
et de l'épaule gauche, des contractions spontanée
DIE DE PARKINSON 9 gue plus vite que la droite ; six mois après, le
bras
gauche perdait de son agilité et de sa soupless
rter sa bouche; il peut l'arrêter momentané- ment en raidissant son
bras
ou en lui imprimant une vigoureuse secousse, co
er. ' Six mois après le tremblement, apparut une légère raideur des
bras
, nui s'affaiblirent neu à neu. Actuellement, el
ux postérieurs gauche et droit. Le nerf cubital droit (au niveau du
bras
) présente une légère sclérose ; au niveau du co
Les omoplates sont écartées du tronc. Le malade tient toujours les
bras
dans la demi-flexion, les coudes rejetés en arr
is traversé par un courant d'air ; il faut se pencher et tendre les
bras
. A été souvent exposé aux intempéries en condui
se voûter et se raidir. Il y eut par périodes des douleurs dans les
bras
, les jambes, et même parfois dans les testicule
des mouvements; pas de raideur objective. Quand il marche, sent ses
bras
lourds. Les autres articulations notamment les
ns plier les genoux. Les épaules étaient redevenues souples, et les
bras
légers. Aucune douleur rachidieune ou autre sau
vres. Pas de tremblement marqué des mains. Maladresse marquée des
bras
; la malade ne refait* qu'avec difficulté le noeu
tat ; elle s'occupe un peu dans la salle. " Réflexe tricipital du
bras
, rapide et brusque. 24 octobre. - La malade pré
plane avant de le saisir. Force musculaire assez bien conservée au
bras
et à l'avant-bras, diminuée à la main, avec laq
out, la figure hideuse et grimaçante, nue jusqu'à la ceinture ; les
bras
semblent contracturés. Ce- pendant les membres
rtement tirée au dehors, et un diablotin s'échappe vers le ciel. Le
bras
gauche est contracturé, raidi sur le genou. Le
ers le ciel. Le bras gauche est contracturé, raidi sur le genou. Le
bras
droit se cramponne au vêtement, et semble essay
tête, la contracture des quatre membres, forment avec l'attitude du
bras
droit un ensemble qui ne peut laisser aucun dou
cher, que l'artiste ait voulu par cette torsion invraisemblable des
bras
, indiquer la violence extrême des convulsions,
r un arc de cercle très accentué, et surtout par une contracture du
bras
gauche caractéristique : « la main est fermée, le
mais c'est celle d'un garçon de 15 ans. (Pl. XX.). Son torse, ses
bras
, sont peu musclés ; ses jambes le sont davantage
stendant le dos de la main et remontant jusqu'au tiers inférieur du
bras
. Il n'existait tout d'abord aucun oedème des me
rable de la main, de l'avant-bras et des deux tiers in- férieurs du
bras
. Comme dans noire cas III, il n'y avait pas d'oed
ver, on a peur de suite qu'un ver ou un serpent vous monte sur les
bras
. Toute la nourriture qu'on mange fait mal, vous
e circonférence maximum et l'exiguïté de sa taille (134 cent.). Ses
bras
sont très courts : si, en effet, on lui fait pren
us, on constate une disproportion singu- lière entre la longueur du
bras
et celle de l'avant-bras, la longueur du bras est
re entre la longueur du bras et celle de l'avant-bras, la longueur du
bras
est de 22 centimètres, celle de l'avant-bras de
ueur du bras est de 22 centimètres, celle de l'avant-bras de 26, le
bras
est donc plus court que l'avant-bras : ce qui n
ngueur de l'humérus, 22. de l'avant-bras, 26. Longueur totale des
bras
depuis l'acromion jusqu'au médius, 35. Diamètre
l'avant-bras. Partie inférieure, 18 centimètres. Partie moyenne du
bras
, 24. Partie inférieure » 26. Partie supérieur
er de cordonnerie. Il présente quel- ques « dartres sèches » sur le
bras
droit et la hanche gauche. Mère, 59 ans, en tra
toute anomalie des téguments. Six enfants. Un fils présente sur le
bras
droit un « grain de raisin » brunâ- tre. La fil
oration jaune, café au lait, inégalement réparties sur la nuque, le
bras
gauche, les fesses ; de formes irrégulières, de
ans les membres inférieurs, plus rarement dans le tronc et dans les
bras
. - Eu 1896 on constate peu de troubles de la ma
un qui exhibait un moignon informe, une griffe tordue au bout d'un
bras
squelettique. Ac- croupi, lesjambes bizarrement
de six à dix. Ce sont d'abord les enfants. Les garçons, nu tête, en
bras
de chemise, sans cravate, sans col,- tenue spor
re. Puis viennent les adultes. Les hommes, eux aussi tête nue et en
bras
de chemise, la veste et le chapeau à la main, c
au à la main, côte à côte, coude à coude, quelquefois se donnant le
bras
. Et les femmes, qui se tiennent sur une même fi
rt des pieds,avec des déhanchements de corps et des balancements de
bras
. De ci, de là, on voit aussi quelques fantaisis
formé. J'ai vu des goitreux en grand nombre. J'ai vu des gestes des
bras
et des jambes, dont l'extrême brusquerie, l'ardeu
turelle (1). Parfois la malade se plaint de fatigue à la racine des
bras
; elle ne peut se peigner et, si elle y persist
cine des bras ; elle ne peut se peigner et, si elle y persiste, les
bras
tombent. Elle éprouve aussi dans les jambes une
n par en bas : parésie des muscles masticateurs . L'élévation des
bras
est absolument impossible; la marche est très dif
)algllm est dù à une incurvation du fémur à concavité externe. Au
bras
gauche, raccourcissement considérable dû à une in
orthopé- dique. A 8 ans, il tombe d'un pommier, et se déforme le
bras
gauche. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S.1L1·I : T
e suivi d'adénite inguinale gauche suppurée. Examen du malade. - I.
Bras
. - Au niveau des bras nous ne constatons au- cu
inale gauche suppurée. Examen du malade. - I. Bras. - Au niveau des
bras
nous ne constatons au- cune altération d'inique
ension sont limi- tés ; dans l'attitude d'extension maxima l'axe du
bras
forme encore avec l'axe de l'avant-bras, un ang
berg. Réflexes rotuliens conservés. Lenteur dans les mouvements des
bras
. Faciès immobile. Parole traînante et larmoyante.
lement, en outre ou voit une plaque \de dégénération située dans le
bras
horizontal de la substance blanche. Les cellule
ingulières : l'un sautant sur les deux pieds, en contorsionnant son
bras
et sa jambe droite ; l'autre dansant sur la point
ied, en levant une jambe en l'air, avec des agitations bizarres des
bras
. Un de ces danseurs fait en outre une affreuse
se. Ceux-ci ont la tête chargée de bran- chages, de guirlandes, les
bras
et le cou ornés de feuilles, ceux-là courent co
; elles osaient s'emparer de serpents qu'elles enroulaient à leurs
bras
ou qu'elles mêlaient à leur chevelure ; les thy
serrés l'un contre l'autre, marquant le pas, l'échiné courbée, les
bras
ballants, les danseurs se redressent et partent d
inférieurs et du tronc. Aux membres supérieurs même, les muscles du
bras
et ceux de l'avant-bras sont notablement plus pâl
de la ceinture pelvienne ou scapulaire qu'au niveau des muscles du
bras
et de la cuisse. Examen histologique. - 1° Ex
antérieur d'autre part, beaucoup plus intéressés que les muscles du
bras
et de la cuisse. 2° Examen du système nerveux.
t particulièrement infiltrés de tissu adipeux. Ainsi au niveau du
bras
, tandis que le biceps était très scléreux et en
. La ma- lade peut encore fléchir l'avant-bras à angle droit sur le
bras
. Elle ne fait au- cun mouvement de l'épaule. Qu
hie musculaire. Aux membres supérieurs, les mouvements spontanés du
bras
et de l'avant- 378 '1110l,%S ET ll.lUlt bras
vements spontanés du bras et de l'avant- 378 '1110l,%S ET ll.lUlt
bras
sont très limités, surtout à droite. Les deux mai
rd : à certains moments il se plaignait de fourmil- lements dans le
bras
droit, puis dans le côté gauche de la face et dan
ation normale. 18. - La jambe droite a repris beaucoup de force, le
bras
droit peut exécuter quelques mouvements d'éléva
des membres supérieurs plus complète à gauche qu'à droite. Remue le
bras
gauche en totalité au commandement, mais ne peut
est demi- fléchie sur l'avant-bras, les doigts dans l'extension. Le
bras
droit est plutôt parésié que paralysé : le mala
moment maximum des déformations. Le malade ne peut se servir de ses
bras
pour prendre un objet qu'avec une peine extrême
Le même contraste existe aux membres supérieurs entre le volume du
bras
et celui de l'avant-bras, mais moins accusé qu'
'avant-bras, mais moins accusé qu'aux membres inférieurs : l'avant-
bras
paraît plus petit qu'il ne devrait être, mais san
ans les mouvements de flexion et d'extension de l'avant-bras sur le
bras
. Ce n'est d'ailleurs pas seulement dans les mai
ont abolis; les réflexes du MYOTONIE AVEC ATROPHIE MUSCULAIRE 453
bras
et de l'avant-bras sont faibles. Pas de réflexe c
ure scapulo-humérale et des membres inférieurs avec prédominance au
bras
. Plus tard apparaît une atrophie musculaire qui
ournés vers le pla- fond : la main est soulevée, prête à arrêter le
bras
de l'opérateur, au NOUVELLE Iconographie de la
lles; ce sont évidemment les pharisiens; le plus apparent, lève les
bras
d'étonnement. Du côté opposé de la tapisserie,
e chaise, le torse nu jusqu'aux cuisses ; un aide maintenait les deux
bras
du patient au-dessus de la tête. Un médecin en
ns il n'a conservé aucun souvenir de gène dans les mouvements des
bras
avant sa quinzième année ; et ce n'est qu'a parti
oies inex- tensibles, et nous avons prié le malade de fléchir son
bras
et de l'étendre régulièrement, à intervalles
endante de ia ligne B C; et quand M. S... a cher- ché à ramener son
bras
dans l'extension, il n'a pu y parvenir entièrem
alade cessant ses efforts d'extension et fléchissant de nouveau son
bras
on obtient la ligne D E ligne ascendante très obl
plusieurs heures sans se fatiguer; de même pour les mouvements des
bras
; quand il tient un objet il ne le lâche pas aus
sus de l'apophyse styloïde du cubitus est de 23, 7 cent. ; celle du
bras
à sa par- tie moyenne de 28 cent. La consistanc
iunopsiquc, revenant, par accès, avec engourdissement et parésie du
bras
, et embarras de la parole; un tiii lilits tard,
même temps que l'amblyopie ; puis la langue s'est prise, ensuite le
bras
et le tronc, et en dernier lieu la jambe. La cr
successivement en flexion, extension, pronation et supination ; le
bras
exécute des mouvements de circumduction. Les ex
rcle, tantôt en avant, tantôt en arrière, tantôt sur les côtés. Les
bras
et les jambes sont animés de convulsions toniqu
te renversée et tournée de côté, la langue sortie de la bouche. Les
bras
, à demi-fléchis, s'élèvent et se croisent en av
anouissement en tramway. En revenant à elle, elle s'aperçut que son
bras
gauche était atteint d'un tremblement continu.
le plus remarquable était un tremblement très accusé, affectant le
bras
gauche, l'avant-hras et la main. 11 était conti
un tremblement convulsif parcourut son corps et ses membres. Les
bras
s'écartèrent légèrement, les mains en partie ferm
accompagnée d'une figure qui représente la malade agenouillée, les
bras
portés en avant. Cette attitude qu'elle prenait
t pleurs stertoreux, accompagnés de tremblements localisés dans les
bras
et les jambes, quand on lui enlève sa nourriture
ur le siège en 1874. Perte de connaissance, paralysie passagère des
bras
, pa- raplégie pendant trois mois. Durant quelqu
esthésie des jambes. Absence du phéno- mène du genou. Faiblesse des
bras
: parésie du bras et de la jambe du côté droit
s. Absence du phéno- mène du genou. Faiblesse des bras : parésie du
bras
et de la jambe du côté droit plus accentuée. Ca
est encore agitée de secousses pendant la nuit, mais la main et le
bras
ne le sont plus ; et le patient n'a eu que deux
ns le mois de mars, le malade est pris subitement de tremblement du
bras
gauche qui a persisté depuis et cesse pen- dant
enouvellent jusqu'à quatre et cinq fois par jour. Le tremblement du
bras
persiste, il existe également un peu dans la lè
actent, un peu d'écume paraît aux lèvres. Les mains se ferment, les
bras
se roidissent. Des inhalations d'étlier, et de
supination et un peu dans l'ab- duction. L'avant-bras forme avec le
bras
un angle très ouvert d'en- viron H0° à 150". Le
oulève lentement, la malade se met sur son séant. En même temps les
bras
se sont élevés progressivement, les mains se jo
de résolution énergique. La scène change une troisième fois, ses
bras
quittent sa poitrine, se décroisent, le gauche s'
contemple avec ravissement ce qu'elle tient entre ses doigts. Les
bras
s'allongent ensuite sur le lit et J... garde, pen
de aux mouvements des yeux et de la tête; le second, l'extension du
bras
qui se dirige vers la proie signalée par l'oeil
ectriques qu'il lance en plaçant les conducteurs, soit sur les deux
bras
, soit à un bras et à la jambe du côté opposé à la
lance en plaçant les conducteurs, soit sur les deux bras, soit à un
bras
et à la jambe du côté opposé à la section. Il d
loc. cilato). P. K. XII. Blessure par arme A FEU DES GROS nerfs DU
bras
, avec atrophie consécutive DE l'extrémité ; par
interne, après avoir perforé l'aponévrose brachiale. L'atrophie du
bras
gauche est générale, quoique de valeur différen
ras, de l'éminence thénar et des interosseux. Mêmes phénomènes au
bras
gauche, mais moins prononcées, car il n'y a que l
ire du tronc, du bassin, des extrémités inférieures, du coeur et du
bras
, l'exis- tence en plein canal vertébral d'un sa
strabisme et ptosis du côté droit. Douleurs et amyosthénie dans les
bras
. Deux jours après, phlyctènes aux gros orteils,
des talons, des fesses et du sacrum. Au quatrième jour, les deux
bras
sont paralysés, la face congestionnée des deux cô
u cerveau se traduisent par une hémiplégie flasque, plus marquée au
bras
, épargnant la face et le tronc, sans aucun troubl
es fibres à l'intérieur de ces organes et leurs connexions avec les
bras
conjonctifs, les corps genouillés, le ruban de Re
tique de soixante-trois ans, à la suite d'un accès. On voit que, le
bras
pendant un repos, l'omoplate du côté malade est
cas témoignant eu même temps d'altérations d'un autre ordre dans le
bras
correspondant. De la dégénérescence endothélial
que d'observer des monoplégies des membres inférieurs. Si celles du
bras
sont relativement communes, celles de la jambe
e attaque identique aux précédentes, mais à la suite de laquelle le
bras
gauche resta paralysé. ' État actuel (9 mars)
bre su- périeur est aussi ? fortement atteint' : lés''mouvements du
bras
sont nuls, toutefois' la ! malade' peut 'fléchi
ont nuls, toutefois' la ! malade' peut 'fléchir légèrement l'avant-
bras
sur le bras, 'et la main sur l'avant-bras ? ? 1
utefois' la ! malade' peut 'fléchir légèrement l'avant- bras sur le
bras
, 'et la main sur l'avant-bras ? ? 1 Sensibilité
s- sible. - Les muscles de ce,, membre supérieur, surtout ceux du
bras
, sont flasques et comme légèrement atrophiés. La
nt été mesure : On ne peut obtenir de la malade, qu'elle tienne ses
bras
dans le relâchement complet, de sorte qu'il est
gauche de l'abdomen et du thorax, etun engourdissement1 de tout le
bras
gauche. Mais malgré un exa- men niiiiutieux, il
de' la ja'mbe. dc ? li ,cvissé",dan les reins. L'engourdissement du
bras
gauche a augmenté ; sans qu'on puisse observer
nets de la sensibilité. La mo- î 'U< » i -'iii'ii. » tilité du
bras
est altérée ; les, doigts et la main se meuvent
gts et la main se meuvent bien, l'avant-bras se fléchit bien sur le
bras
, mais les mouve- 1 o T 1-i Je ai..) 1 ments d
t bien sur le bras, mais les mouve- 1 o T 1-i Je ai..) 1 ments du
bras
sont nuls, la malade ne peut pas porter la main
mbe : La paralysie dulmembro. inférieur gauche., est complète : 'le
bras
est étendu ! flasClllC,le,l;nb,du corps et(il net
e 1 on touche, la malade rapporte 1 excitation a la face interne du
bras
, mais son état intellectuel ne nousparait t pas
uverte de sueur, la bouche sèche, con- gestion pulmonaire, aux deux
bras
, escarre profonde. T. R. 3 9; 5. Elle meurt le
t aspect cachectique. Le surlendemain, la paralysie s'étendait au
bras
gauche ; d'abord simple parésie, mais bientôt par
mpagnée au- début d'une paralysie partielle et rapidement guérie du
bras
droit, à l'autopsie duquel on- trouva un foyer
mplète de la jambe droite, puis, au septième jour, une paralysie du
bras
droit. A la suite de la tré- panation, il se pr
de la tré- panation, il se produisit une amélioration rapide, le
bras
droit recouvra tout d'abord ses fonctions, et le
? i,i ,' t rl.f·I s1t'7 ih ·t ' seconde d une fracture spontanée du
bras
. Les moelles ont été examinées, après durcissem
e detvoir que 'ces .musclés ne fônt;s en somme,' que continuer.au
bras
le inouvemeiit'comménc6-à ? I'-avaiit-brà'S' par
<... D ? nl x...il'. " ,r.-r..., ,,l ..» ? l ! attouchement d un
bras
provoque une' vive 'secousse suivie de contract
utes une contracture généralisée se déclare, le corps s'étend, les,
bras
se contournent, latétcse ren- verse, il vient d
utile qui fournit des travailleurs à un établissement qui manque de
bras
vigoureux. Ce serait au contraire une mauvaise co
quelquefois par les membres supérieurs, souvent par la tête et les
bras
simultanément, très rarement par les membres in
rfs (athétose améliorée par l'élon- gatioii (les), 1 19. Nerfs du
bras
(blessure par arme à feu des avec atrophie cons
I. Début par raideur de la jambe gauche. Six mois après, parésie du
bras
droit. Gène légère de la pa- l'ole. Deux mois p
her, à la douleur et à la température. Le mouvement d'élévation des
bras
est impos- sible. Le facies ne présente aucun
l'état de contracture des muscles ; les mouvements d'élévation du
bras
sont impossibles, et lorsqu'on imprime des mouvem
droite. On éprouve une difficulté assez grande à étendre l'avant-
bras
sur le bras, et à peu près la même résistance pou
éprouve une difficulté assez grande à étendre l'avant- bras sur le
bras
, et à peu près la même résistance pour le fléch
s la même résistance pour le fléchir. Lorsqu'on cherche à mettre le
bras
en abduction par rapport au tronc, la malade ac
endant qu'on l'examine, on constate, dans les masses musculaires du
bras
et de l'avant-bras droits, des mouvements fibri
mblent par extrêmement atrophiés, et si la malade ne peut lever les
bras
, cela tient surtout à la raideur qui existe dan
mais présentent, eux aussi, une coloration jaunâtre. Les muscles du
bras
et de l'avant-bras ont une coloration normale :
t à fait aussi abondantes qu'à l'état normal. Quelques-unes ont des
bras
très longs et bien ramifiés, d'autres n'en ont
uelques phénomènes consécutifs aux contusions des troncs nerveux du
bras
. Thèse de Paris, 1879. 6 Hayem. Sur les altérat
, le gauche; tremblement pendant les mouvements intentionnels des
bras
, tels que la petite malade ne pouvait pas saisir
ion notable du tremblement pendant les mouvements intentionnels des
bras
; les membres inférieurs peuvent faire des mouve
éléments à leur origine. Intégrité également des troncs nerveux du
bras
droit, intégrité des racines antérieures cervic
chant des'époux ». D. B. X. SUR LES paralysies ISOLÉES DES NERFS DU
bras
ET COM- binées DU bras ET DE l'épaule ; par M.
X. SUR LES paralysies ISOLÉES DES NERFS DU bras ET COM- binées DU
bras
ET DE l'épaule ; par M. BERNHARDT. (Cen- tralbl
s les membres ou dans la tête, et souvent il lui arrive d'agiter un
bras
ou l'autre sans pouvoir se retenir. « Est-on bê
ons. 11 y a sept ans, scarlatine bénigne; cette année, le volume du
bras
et de la jambe gauche s'est accru : on ne peut
écrits répondant au mot, à la figure ou au chiffre choisis, et son
bras
droit doit être tout prêt à exécuter le choc lo
tera, dans le premier cas, par la tendance de faire un mouvement de
bras
en avant, tandis que, dans le second cas (c'est
ns lui communiquer mon plan, je me suis mis à tenter la tension des
bras
dans diffé- rentes directions. En tenant de ma
ras dans diffé- rentes directions. En tenant de ma main gauche le
bras
droit de la personne en expérience (au poignet
e (au poignet même), j'essayai à plusieurs reprises de mouvoir le
bras
dans le sens d'abduction et d'adduction, et je m'
s dans le sens d'abduction et d'adduction, et je m'a- perçus que le
bras
exécutait ces mouvements opposés avec la même f
vements opposés avec la même facilité. Alors j'essayai d'avancer le
bras
et de le retirer, et je me convainquis à l'inst
le chiffre 7, c'est-à-dire que je res- sentis une grande raideur du
bras
en essayant de le déplacer à droite ou à gauche
avec un membre en état de contracture. Il était évi- dent quelle
bras
s'était préparé à tracer la ligne supé- rieure
st connu que Bishop a recours au même expédient), les mouvements du
bras
devinrent bien plus précis, certainement sous l
précis, certainement sous l'in- fluence des mouvements associés du
bras
et des yeux, qui a lieu dans ces conditions. Br
ociés du bras et des yeux, qui a lieu dans ces conditions. Bref, le
bras
travaille, dans ce cas,-sous la direction des y
sur le carré, il offre une plus grande résistance au déplacement du
bras
, en cas où le chiffre choisi est celui de 4, et
bras, en cas où le chiffre choisi est celui de 4, et la mobilité du
bras
même devient bien minime, comme s'il craignait
on son goût, l'un ou l'autre de ses nombres et me mis à éprouver le
bras
. Ces exercices achevèrent d'éclaircir le princi
R LA TENSION DES MUSCLES. tale supérieure, je déplace subitement le
bras
du sug- gesteur pour m'assurer de l'existence d
a ligne plus longue du chiffre 7, tandis qu'une forte résistance du
bras
qui paraît craindre de se déplacer indique une
»; il disait aussi qu'il avait les membres engourdis, tan- tôt les
bras
, tantôt les jambes. 11 n'a jamais eu d'accès auss
isselles et au pubis, plusrares sur les jambes, les cuisses, et les
bras
; léger duvet à la lèvre supérieure. Deux cicatr
léger duvet à la lèvre supérieure. Deux cicatrices de vaccin sur le
bras
droit, trois sur le bras gauche; de ce côté, ci
périeure. Deux cicatrices de vaccin sur le bras droit, trois sur le
bras
gauche; de ce côté, cicatrice de vésicatoire à
ce côté, cicatrice de vésicatoire à la partie moyenne et externe du
bras
. La sensibilité générale est normale : lasensiL
deltoïde droit, deux à gauche ; sur la partie médiane et extrême du
bras
de ce côté cicatrice de vésicatoire. Au niveau
es membres supérieurs est une légère flexion de l'avant-bras sur le
bras
; la main est ordinairement à demi fermée. Quoiq
des saillies volumineuses et sont véritablement hypertrophiés. Les
bras
et les avant-bras sont très développés. Le bice
ras sont très développés. Le biceps forme sur la face antérieure du
bras
une saillie considé- rable qui devient une véri
on dit à M. M... de fléchir et d'étendre successivement l'avant-
bras
sur le bras plusieurs fois de rang, les premier
M... de fléchir et d'étendre successivement l'avant- bras sur le
bras
plusieurs fois de rang, les premiers mouvements
u'en revanche le côté gauche s'est contracture. 20. A la visite, le
bras
droit a recouvré ses mouvements et sa sensibili
xtrémités, enfin survint une paralysie d'abord des jambes, puis des
bras
, sans contractures et avec affaiblissement rapi
lavait du linge dans de l'eau chaude lorsqu'elle vint à plonger son
bras
dans l'eau froide. Il survint immédiatement de
uente sur l'abdomen, moins abondante dans le dos, presque nulle aux
bras
, aux jambes et au cou; la face est intacte; pas
au pubis ni sur les membres : trois cicatrices de vaccin sur chaque
bras
; une tache pigmentaire au niveau du bord inféri
syphilitique sur le tibia droit et sur la face antérieure des deux
bras
; il n'y a rien dans la gorge, ni à l'anus; pas d'
rire; il ne pleure que rarement. Il passait ses jour- nées sur les
bras
de sa grand'mère ou dans une chaise, mettant se
trois heures avec contractures invincibles des quatre membres : le
bras
gauche et les deux jambes sont dans l'extension
uche et les deux jambes sont dans l'extension forcée : à droite, le
bras
est dans l'adduction forcée, l'avant-bras fléch
qu'elle ne viendra pas; tremblements du côté droit surtout dans le
bras
. Pas de troubles delà sensibilité, dou- leur pr
a portait à pleurer sans raison, et une parésie, marquée d'abord du
bras
gauche, puis de la jambe du même côté. Chez n
s les mieux réussis dans les extrémités gauches, et surtout dans le
bras
. L'auteur croit que l'attaque d'apoplexie a pas
l'hémianesthésie, de l'hémianopsie, des mouve- ments choréiformes (
bras
) du côté gauche et finalement de pa- résie des
une quarantaine de fois des mou- vements giratoires variés avec les
bras
, à jeter ces membres en avant ou en arrière, à
ctrisation, par quelque genre de courants que ce soit, des nerfs du
bras
, ne produit, chez aucune de ces malades, aucun
u d'extension de la main sur l'avant-bras ou de l'avant-bras sur le
bras
; du pied sur la jambe, ou de la jambe sur la cu
jambe droite; il peut cependant marcher en traînant cette jambe. Le
bras
droit est absolument paralysé, flasque, sans co
rofondément endormi, sur le cadavre de celle-ci, et tenant dans ses
bras
son corps mutilé. Il prétendit n'avoir aucun so
endel, 232; par Meudet, 23,, 270. Paralysies isolées des nerfs du
bras
, et combinées du bras et de l'é- paule, lhlr
, 23,, 270. Paralysies isolées des nerfs du bras, et combinées du
bras
et de l'é- paule, lhlr Bernhardt, 95. Paratys
a, malgré ses efforts, ne la put pas exécuter. Les muscles du haut du
bras
tâtés au moment du phénomène me parurent fortemen
de calme, un soupir profond, le hoquet, la toux hystérique, crampe du
bras
levé dans la direction de l'ombre de la tente, et
n sueur, et elle-même, pâle, gémissait doucement; quand on levait son
bras
, il retombait inertement. Après quelques minutes
e celle qu'elle pourrait atteindre en s'inclinant de côté et ayant le
bras
gauche libre, j'avais placé une caisse contenant
e Un marin s'est fait tatouera l'âge de 16 ans, une panthère sur le
bras
droit ; ce malade âgé de 50 ans est actuellement
idées érotiques. Idées de grandeur Un serrurier de 51 ans porte au
bras
gauche un écusson héraldique surmonté d'une couro
les sujets avaient de 15 à 40 ans ; il tatouait de préférence sur les
bras
, le dos, les cuisses. Une de ses filles actuellem
r ses attouchements. Un marinier porte sur la partie postérieure du
bras
un buste de fille publique (dessin tatoué au régi
rist crucifié. Idées homicides Un chanteur de 34 ans porte sur le
bras
deux cœurs percés d'un couteau de boucher ; de la
a en état de catalepsie s'appuya sur son épaule, il sentit le coup du
bras
de la chaise, qui soudain s'était trouvée sur la
ême pour se mettre dans les positions les plus favorables, tenant son
bras
droit étendu sans qu'un aide fût nécessaire pour
ormir par une douleur violente derrière la tête. Insensiblement, le
bras
droit devint paralysé en entier, dans la demi-fle
entit fut telle qu'elle lui fit plier brusquement l'avant-bras sur le
bras
, et à partir de ce moment, elle retrouva ses mouv
e. A partir de ce jour-là, il se produisit un nouveau gonflement du
bras
et de la main, mais ce gonflement était excessive
septembre et, en même temps que le gonflement, disparut la douleur du
bras
et de la main. Le cas de cette malade était mul
a mano vaporosa, me touchait et jouait des doigts le long de tout mon
bras
? » X. Enfin, le Dr Harusewicz tenta encore une
tation ; tout le corps est en mouvement ; les jambes se lèvent et les
bras
battent l'air; le corps est couvert d'une sueur p
« Sauve qui peut! » Louise G..., affolée de terreur, saisit dans ses
bras
ses deux enfants, et, tout en chemise, elle desce
it la secousse, avait une peur effroyable, prenait sa poupée dans ses
bras
, l'embrassait, et s'écriait : « Sauvez-vous, sauv
s parlent sous l'influence de l'impulsion donnée à leur esprit, leurs
bras
, par exemple, gardent, sans qu'ils y songent, les
parole et sans que je la prévinsse de ce que je faisais, l'un de ses
bras
resta en position cataleptique, dès que je l'eus
légère écume, d « Les hurleurs forment une chaîne en se mettant les
bras
sur les épaules, se lancent ensemble en avant, pu
ion régulière. Les muscles bien nourris, surtout dans les extrémités (
bras
et jambes), sont plus développés qu'ordinairement
sque cadavéreuse, épuisé, souvent couvert de sueur. Les jambes et les
bras
sont, pendant les phénomènes, dans un état de for
s après la séance, lorsqu'Eusapia, à demi-éveillée, se jette dans les
bras
des hommes qui lui sont sympathiques, les embrass
les genoux; pendant et après d'autres phénomènes, dans les coudes et
bras
entiers. Voici ce qu'elle rapporte de ses sensati
a colonne vertébrale, comme un courant qui s'étend rapidement dans le
bras
jusqu'au coude, où il s'arrête doucement : c'est
tater un soulèvement du genou pendant la lévitation ou une tension du
bras
pendant les attouchements, mais doit prouver, qu'
se tenait éloigné et n'approcha que sur le signe des assistants. Les
bras
nus jusqu'aux coudes, il fit quelques lents mouve
oyant partir, s'imagine que je ne songe plus à lui, étend vivement le
bras
, saisit l'orange placée dérrière le coussin de so
des prétentions à l'élégance de se faire graver des tatouages sur les
bras
. Aux bains de mer, de jeunes Anglais se montrent
c'est là ce que fait le sujet. Lorsque, par exemple, on lui étend le
bras
et qu'on le défie de l'abaisser, il a bien l'air
hisseurs. Bien mieux, des spectateurs cherchent-ils à lui abaisser le
bras
ou à lui fermer la main, ils se heurtent à une ré
s mois plus tard, le malade me fut amené avec un eczéma aigu, sur les
bras
, eczéma dont l'apparition avait suivi immédiateme
dynamomètre marque à droite 0 kilos et à gauche 28. Circonférence du
bras
droit à 3 cent, au dessus du pli du coude : 24 ce
nce du bras droit à 3 cent, au dessus du pli du coude : 24 cent. ; au
bras
gauche 26. Circonférence de la jambe gauche au
la même sensation de pression que vous ressentez en ce moment. Votre
bras
vous paraîtra lourd à soulever. Celte fois, la ré
ment. Cette sensation de pression était telle qu'il éprouvait dans le
bras
un réel engourdissement, à tel point qu'il aurait
Vous voyez que vous ne pouvez pas. — Je retiens trop solidement votre
bras
; — vous n'êtes plus libre de porter votre main à
, je suis perdue... Et les pauvres enfants repoussaient de leurs deux
bras
le spectre qui voulait les emporter, s'accrochaie
fermez les yeux, et, sans bouger ni faire agir aucun muscle de votre
bras
droit, pensez un, mouvement de ce bras, vous aure
ire agir aucun muscle de votre bras droit, pensez un, mouvement de ce
bras
, vous aurez alors par la mémoire le souvenir de l
e la sensation de ce qui se passe en votre système nerveux lorsque ce
bras
se meut. De là une nouvelle forme de transmission
remuer, et l'induit non seulement pense mais exécute ce mouvement, le
bras
ou la main de l'induit agissant comme s'il appart
ssant comme s'il appartenait à l'inducteur. Ainsi vous imaginerez vos
bras
en croix, vous faites mentalement comme si vous v
ait acte non d'auditif, non de visuel, mais de moteur. Sans remuer le
bras
, j'effectuais intérieurement l'acte, et sans boug
ais intérieurement l'acte, et sans bouger, je m'imaginais agir sur le
bras
de M. Pickmann, comme s'il m'eût appartenu, le mi
que M. le Dr Duncan, de New-York. Paralysie hystèro-traumatique du
bras
droit datant de deux mois, consécutive à la morsu
n pansement sommaire, et puis par le médecin de la famille qui mit le
bras
en écharpe. Le bras resta ainsi immobilisé pendan
, et puis par le médecin de la famille qui mit le bras en écharpe. Le
bras
resta ainsi immobilisé pendant 18 jours, et. quan
figure avoir été amenée chez moi pour que je lui enlève la tumeur du
bras
. Peu à peu cependant je la rassure, les pleurs ce
flement osseux très-prononcé et notamment à l'extrémité supérieure du
bras
paralysé. Sur les parties latérales du sternum, c
inué et est devenu capricieux depuis la morsure. J'examine alors le
bras
paralysé. L'avant-bras est en privation; les fléc
ncore la douleur n'est-elle pas tres-vive. Dès que je l'abandonne, le
bras
reprend sa position en formation, l'avant-bras et
Faut-il attribuer à cette tumeur osseuse l'impotence fonctionnelle du
bras
ainsi que le croyaient les confrères déjà consult
fant, en lui suggérant seulement que j'allais la guérir, j'ai pris le
bras
malade, j'ai promené sur ce bras à plusieurs repr
que j'allais la guérir, j'ai pris le bras malade, j'ai promené sur ce
bras
à plusieurs reprises un fort aimant pour impressi
ne plume au gardien dans sa chambre et avec une petite écorchure au
bras
, j'écrivais avec mon sang, rela- L'ODYSSÉE D'UN
t de temps en temps des mouvements convulsifs dans les membres, les
bras
comme contractures à la suite et tordus sur eux
e en arrière du faisceau pyramidal, soit dans la dernière moitié du
bras
postérieur. Des observations de Charcot, Magnan
ement en lettres et signes simples tels que coeur, anneaux, sur les
bras
et les mains de préférence. Point de tatouages
sons de mouvements de flexion et d'extension de l'avant-bras sur le
bras
et d'élévation et d'abaisse- ment du membre), t
emonte il trente-cinq ans, coloration violet foncé de la main et du
bras
droit, qui sont froids, désagréables au toucher
n- vulsifs d'une intensité remarquable, pendant lequel toutefois le
bras
et la jambe du côté droit demeurent immobiles.
écu- tive. En mars 1897, perte subite de la parole, avec raideur du
bras
droit et de la face, le tout ne durant qu'un mo
ave, portant sur tout le côté droit. mais surtout sur la face et le
bras
, et avec perte de con- naissance. Les maux de t
du cervelet; d'autre part, la paralysie partielle de la face et du
bras
, la forme Jacksonienne de l'épilepsie, la cépha
idaient en faveur d'une lésion voisine des centres de la face et du
bras
, dans les circon- volutions centrales. L'observ
était corticale, et qu'elle intéressait le centre de la face et du
bras
en même temps que l'extrémité postérieure de la
litudes est par contre totalement perdue jusqu'au coude, à l'avant-
bras
et à la main, et jusqu'au genou au membre inférie
omissements, hoquet incoer- cible, refus des aliments, paralysie du
bras
droit, cécité, photo- phobie, etc. L'hypnotisme
particulièrement atroce. Le patient est couché sur le ventre, les
bras
liés autour du banc sur lequel on l'étend, et il
rimordiale de l'atrophie musculaire bilatérale, non compliquée, des
bras
et surtout des petits muscles des mains. On cro
nes des autres par le tissu conjonctif multiplié (tronc nerveux des
bras
, et minuscules destinés aux muscles) ; en certa
THÉRAPEUTIQUE. de la main sur l'avant-bras, de l'avant-bras sur le
bras
. La malade s'étire, après avoir accusé nettemen
e ne sais pas quel âge j'ai. Elle fait quelques mouvements avec son
bras
droit. Pourquoi ces mouvements ? Mon bras droit
lques mouvements avec son bras droit. Pourquoi ces mouvements ? Mon
bras
droit est crispé. Je lui fais sentir son bras d
ces mouvements ? Mon bras droit est crispé. Je lui fais sentir son
bras
droit. -)- J'ai la tête meurtrie + c'est lourd,
- tête ? ça coule + ça me court dans la tête + Je suis agacée des
bras
+ et elle ébauche quelques mouvements z Je sens m
agacée des bras + et elle ébauche quelques mouvements z Je sens mes
bras
+ La tête me fait mal là (point cérébral de la
es voisins de lit du malade : notre homme pousse un cri unique ; le
bras
droit se contracture en flexion de tous ses seg
attitude de défense; la jambe droite se prend à son tour ; puis le
bras
gauche qui se place comme le bras droit, mais sur
ite se prend à son tour ; puis le bras gauche qui se place comme le
bras
droit, mais sur un plan horizontal inférieur ;
et la résistance aux mouvements passifs est nor- male. Cependant le
bras
droit semble un peu moins fort que le gauche, n
u arrive très lentement après une série de tâtonnements à mettre le
bras
gauche dans la position imposée au bras droit,
tâtonnements à mettre le bras gauche dans la position imposée au
bras
droit, et réciproquement. Le sens stéréognostique
lors une seconde trépanation au niveau du centre moteur cortical du
bras
droit. Il n'existe à ce niveau aucune lésion ni
face moins développé, le côté gauche du thorax plus petit. Les deux
bras
sont de longueur inégale ; à gauche la distance
ir du monde, abattement moral; pour la moelle : douleur au dos, aux
bras
, au ventre : tremblement des mains et des bras;
douleur au dos, aux bras, au ventre : tremblement des mains et des
bras
; pour l'appareil digestif, selles muqueuses et
iminution de la puissance génitale, du tremblement des mains et des
bras
, de l'exagération du réflexe rotulien; - au poi
t intenseslorsque le malade est debout et qu'il cherche à porter le
bras
gauche en avant. Ou voit alors l'avant-bras gau
vant. Ou voit alors l'avant-bras gauche fléchir énergiquement surle
bras
, l'épaule gauche se soulever, la tête se porter
, que le spasme du cou s'associe à des mouvements spasmodiques du
bras
. Ce qui fait la rareté de ce cas c'est que le spa
ré- quent. Le lendemain de l'entrée, l'enfant eut des crampes aux
bras
et aux jambes. A partir de ce jour amélioration p
des reflexes de celui-ci, paralysie de la langue. Légère parésie du
bras
262 SOCIÉTÉS SAVANTES. droit. Prostration. Le
de la main droite. Dissociation de la sensibilité en demi-veste au
bras
droit et à la moitié droite du corps, de même q
re du supplice du Christ ; d'autres, pour se mutiler, se coupent le
bras
qui a été l'ins- trument du péché; nombreux son
par le sang. La langue demeure légère- ment saburrale, la plaie du
bras
s'est infectée. 31. Ces jours derniers elle éta
on trouve un christ en alliage très lourd (antimoine 7) dont un des
bras
est cassé; la main de l'autre bras et les deux
lourd (antimoine 7) dont un des bras est cassé; la main de l'autre
bras
et les deux pieds sont également brisés et ces
tracture des muscles du cou et de la nuque ; quand la paralysie des
bras
est plus accentuée que celle des membres inféri
er plus rapidement, et un mois plus tard, elle n'avalait plus bien.
Bras
et mains commencèrent à perdre leur force; faible
le nez. A l'inspection, les muscles de la gorge semblent flasques.
Bras
faibles et vite fatigués après exercice. Démarc
s muscles (muscles de l'oeil et de la gorge, ceux des jambes et des
bras
), est très caractéris- tique de l'affection et
eil. On entre chez elle pour la violer, des hommes lui tiennent les
bras
, d'autres les jambes et l'on se livre sur elle
est très marquée à la plante des pieds et à la face antérieure des
bras
et des avant-bras. Dans toutes ces régions hypere
u'à la piqûre. Le moindre attou- chement sur la poitrine ou sur les
bras
, par exemple, produit un mouvement de recul ave
s pour quelle raison) de frictionner la poitrine, les jambes et les
bras
. Cependant, il n'y a aucun fondement rationnel
al diseuse, novembre 1899.) Paralysie du plexus brachial des deux
bras
par compression. Biceps paralysé. Extenseurs et
kinson, en particulier, le tremblement tout à fait typique dans le
bras
droit et la main droite. Après avoir été, trois f
appela son domestique et l'assassina sur place. « La tête et les
bras
du cadavre furent coupés, et Scherf, sa femme e
ue le malade était hors d'état de travailler. D'abord cantonnés aux
bras
, les mouvements choréiques se montrèrent aux ja
oréiques, ils apparurent en hiver, et atteignirent la jambe puis le
bras
gauche, et ce n'est qu'après deux années que la f
débuta à vingt-quatre ans, elle évolua rapidement. Les pieds et les
bras
, sont d'abord pris, et, quatre ans après le déb
ssser ensuite, ou bien fléchir le corps en avant. Les jambes et les
bras
sont conti- nuellement en mouvement, les genoux
malade couché, dresse verticalement un membre inférieur gauche. Les
bras
sont ramenés vers le tho- rax et légèrement éle
gèrement élevés ; les avant-bras sont fléchis à angle droit sur les
bras
. Les poignets et les cous-de-pieds ont des mouve-
De même, surtout au niveau des côtes et sur la face antérieure des
bras
et des cuisses, les moindres attouchements provoq
n mois encore après son internement, au point que des coups sur les
bras
, sur les membres provo- quaient des hallucinati
fois en vingt- quatre heures. Souvent, quand on la prenait sur les
bras
, elle rejetait la tête en arrière et avait 8 ou
minaux. Les meiubres supérieurs sont bien développés, gras, mais le
bras
gauche présente une attitude vicieuse. L'avant-
nte une attitude vicieuse. L'avant-bras est en demi- flexion sur le
bras
, la main à demi fléchie en pronation; par mo- m
s doigts et des orteils à droite ; ataxie nette, quoique faible, du
bras
droit ; tremblement intentionnel de la main dro
l'émergence de la troisième paire; la partie la plus antérieure du
bras
postérieur de la capsule interne était égalemen
a capsule interne, au voisinage du genou, à la partie antérieure du
bras
postérieur. Il semblerait que la paralysie lary
ans ; brouillard dans la vue il y a un an ; fourmillement dans les
bras
et les mains l'année dernière ; taille 6 pieds
inuer et les réflexes disparaitre. '. Au bout de quelques mois, les
bras
sont pris, et les premiers symptômes qui appara
et très légère anasthésie. Dans un cas, le mal a débuté. par 'r les
bras
. Les nerfs craniens sont rarement atteints et les
débuté par les muscles de l'épaule pour descendre de là le long du
bras
et de l'avant-bras. 2° Le mode de distribution
cines cervicales. Elle faisait défaut le long de la face interne du
bras
et de l'avant-bras tributaire de la racine post
s muscles il existe de la D R; au contraire les muscles de l'avant-
bras
sont restés indemnes. ' A l'âge de neuf ans le
'aide des ban es parallèles ; à mar-cher, soit en les tenant sous les
bras
, l'infirmière aidant alternaltivement leurs pieds
i, l'enfant marche bien, comprend un peu, aime à être tenu dans les
bras
, mange un morceau de pain seul, et commence à por
'assouplissement. 1° exercices d'ordre, marche. 2° mouvements des
bras
sans flexion et avec flexion. 3° mouvements du
erci-ces précédents et en plus des exercices combinés de jambes et de
bras
; de tronc et de bras. Nota. Ces exercices se font
t en plus des exercices combinés de jambes et de bras; de tronc et de
bras
. Nota. Ces exercices se font en comptant et sont
xtrémités inférieures étant face en arrière. Flexion et extension des
bras
. Appui tendu. Appui fléchi. Balancer le corps e
jambe gauche tendue. Appui incliné, tendu et fléchi. Extension des
bras
dans le prolongement du corps, dos appuyé à la
ment et les maintenant le plus possible en arrière. Extension des
bras
dans le prolongement du corps, hanche appuyée à
ieds en cambrant les reins. Barre à hauteur de suspension. Suspension
bras
raccourcis. Tractions. Ecarter alternativement
Monter à l'aide des pieds et des mains et descendre à la force des
bras
. Monter et descendre à la force des bras. Etant d
t descendre à la force des bras. Monter et descendre à la force des
bras
. Etant derrière l'échellle, suspension. Tractions
pieds et les mains. Flexion, extension des jambes et tractions des
bras
. Monter et descendre avec les pieds et les main
Monter à l'aide des pieds et des mains et descendre à la force des
bras
. Monter par devant l'échelle et descendre par der
le. Monter avec les pieds et avec les mains. Descendre à la force des
bras
, bras allongés. Môme mouvement, bras raccourcis.
nter avec les pieds et avec les mains. Descendre à la force des bras,
bras
allongés. Môme mouvement, bras raccourcis. Élévat
mains. Descendre à la force des bras, bras allongés. Môme mouvement,
bras
raccourcis. Élévation alternative de la cuisse et
es pieds et les mains. Flexion, extension des jambes et tractions des
bras
. Monter et descendre à l'aide des pieds et des ma
Monter à l'aide des pieds et des mains et descendre à la force des
bras
. Monter et descendre à la force des bras. Echelle
t descendre à la force des bras. Monter et descendre à la force des
bras
. Echelle horizontale. — Suspension. Tractions.
tale. — Suspension. Tractions. Progression latérale vers la gauche (
bras
allongés). Progression en avant en déplaçant alte
ins. Progression en avant en déplaçant alternativement les mains (
bras
allongés). Progression vers la gauche (bras racco
ernativement les mains (bras allongés). Progression vers la gauche (
bras
raccourcis). Progression en avant en déplaçant al
rcis). Progression en avant en déplaçant alternativement les mains (
bras
raccourcis). Progression en avant par un montant
ras raccourcis). Progression en avant par un montant et les échelons (
bras
allongés). Même mouvement (bras raccourcis). Po
ant par un montant et les échelons (bras allongés). Même mouvement (
bras
raccourcis). Poutre. — Élévation de la jambe gauc
nt placé comme ci-dessus à l'appui des pieds et des mains fléchir les
bras
, corps cambré, tête levée. Élévation du corps.
Élévation du corps. Élévation du corps, extension et flexion des
bras
au-dessus de la tête. Flexion du corps en arriè
'appui de la jambe gauche, élever le corps, exten-sion et flexion des
bras
. Étant à l'appui de la jambe gauche, flexion la
'appui de la jambe gauche, flexion latérale du corps et flexion des
bras
. Étant à l'appui de la jambe gauche, flexion du c
le, trépidation, phénomène du pied. Signe de Babinski. 8° Réflexes (
bras
, genou, pied). 9° Comparaison des deux côtés du
dre la nourriture et à chaque repas il fallait le tenir couché sur le
bras
, pour lui introduire les aliments dans la bouche
re 1903. Arriération mentale, ñ ho fée, strabisme, affaiblissement du
bras
gauche. L'état nerveux de cet enfant s'est modifi
flaques. A son entrée (1896) ne se tenait debout que soutenu sous les
bras
, ne mangeant pas seul, gâtait nuit et jour et par
le et lui dit: « you maman, brasse? » ce disant, elle tend ses petits
bras
pour qu'on la prenne et sa joue pour être embrass
turbulente au possible, il aurait fallu la tenir constamment dans ses
bras
pour éviter une rage. Quand on refusait de la por
timide et indifférent avec tout le monde. Les mouvements brusques des
bras
et des jambes ne lui permettaient pas de se donne
nfant est par-venue à suivre les exercices des grandes, en donnant le
bras
à une infirmière et quelquefois même à une autre
sur tout son trajet, jusqu'à ses ter- minaisons palmaires : au
bras
, l'humérale qu'il ac- compagne en satellite lui
rajet récurrent. Les exem- ples ne manquent pas. Voyez le médian au
bras
(lïq. 3), les branchioles qui lui viennent de l
anées du nerf voisin. La figure 13 mon- tre ainsi le médian, au
bras
, émettant une série de ramuscules qui se jett
che au Pig. 13. - Réseau de vasa vasorum de l'artère numérale (au
bras
) rece- vant les veines d'un tronc nerveux sat
ne particularité curieuse : il s'est pratiqué sur le corps, sur les
bras
, une foule de tatouages symbolisant ses idées dél
ttait quelque chose dans le vin qui le rendait rouge et lui coupait
bras
et jambes. Pourquoi faisaient-ils tout cela ? C
ent en outre une sensation de lourdeur. S'il appuie un instant, ses
bras
restent pendant quelques minutes « comme morts ».
ures sans gravité dont on voit encore les cicatrices à l'épaule, au
bras
et au cou Deux blcnnorihagies, à vingt-cinq et
rtaine. Incoordination mo- trice très nette. Perte des réflexes aux
bras
et aux genoux. Anes- thésie de la plante des pi
la maintenait. Ces phénomènes, si Lamb. est soutenue sous les deux
bras
, se répètent sans s'arrêter avec une rapidité sin
oudain une violente douleur dans l'épaule gauche, qui se propage au
bras
et au coude; il lui semble qu'elle a une plaie
bras et au coude; il lui semble qu'elle a une plaie dans les os. Le
bras
gauche paralysé-ne peut être levé. Cet état s'a
du sous-épineux. En somme, trois stades : 1° Paralysie complète du
bras
gauche; 2° Paralysie du sus-épineux et du sous-
Tous les organes du côté droit sont affaiblis; les mou- vements du
bras
droit sont plus lents que ceux du bras gauche ; l
faiblis; les mou- vements du bras droit sont plus lents que ceux du
bras
gauche ; le froid, la chaleur, la piqûre, sont
e quelques heures tout disparaissait et la malade se servait de son
bras
pour différents mouvements. Cet état alternatif
car nombre d'entre eux, affolés par la peur, durent être emportés à
bras
le corps et non sans résistance dans les maison
culiers. Il a le dos voûté; il porte la tête basse, et il tient ses
bras
arrondis et éloi- gnés du corps. Il s'avance da
toujours au repos. Il suffit pour le faire apparaitre de placer les
bras
du sujet dans l'attitude du ser- ment, la main
ction, incoordination motrice se manifestant dans les jambes et les
bras
, d'abord sous forme d'incertitude, puis avec le
céphalalgies ; tremblements convulsifs de la face et dans les deux
bras
pendant lesquels les objets lui échappent des m
gauche. Intégrité du champ visuel et des fonc- tions de l'oeil. Le
bras
droit est dénué de vigueur; le malade accuse de
une paralysie complète de la partie inférieure du facial gauche, du
bras
gauche, de la jambe gauche; intégrité de la con
mps SOCIÉTÉS SAVANTES. 2S1 après l'attaque une légère athétose du
bras
et de la jambe affectés, Plus tard encore il se
ètres de largeur, puis il voulut passer la poitrine, la tête et les
bras
. Mais les barreaux trop étroits l'en empêchèren
comme tu 8 0 VARIA. es.grand, tu la prendras facilement d'ans tes
bras
et tu l'en- lèveras. » ' . D. Et qu'avez-vous
Fontaine de Rambouillet, dans sa défense d'Eugène Dourches, tombe à
bras
raccourcis sur les procédés employés par la polic
re contusion dans une chule au moment de la crise; elle se tord les
bras
, en répétant qu'elle souffre cruelle- ment ; el
avait aucune idée de sortir, tout au plus quelques mouve- ments des
bras
, quelques déplacements de la tête, mais elle ne
sse des cris; s'agite et brusquement elle se traîne en s'aidant des
bras
et des jambes et parcourt, sans but, différente
égion frontale et provoque immédiatement un mouvement volontaire du
bras
vers l'objet brillant, l'impression douloureuse
sur un banc, pendant que, d'un coup de ciseaux, il détachait de son
bras
gauche un large frag- ment de peau. Interrogé s
ce de térébenthine sur une plaie encore vive qu'il s'était faite au
bras
, espérant être détourné par cette douleur aiguë
sa photographie, on remarque cinq plaies récentes : (a) deux sur le
bras
gauche, une sur le ventre et deux à la face int
che; huit autres plaies (b) en voie de cicatrisation, quatre sur le
bras
gauche et quatre sur le ventre; on aperçoit, en
s. Elle regardait fixement les rideaux de sa fenêtre et gardait les
bras
en l'air dans la position de la terreur. J'ai a
ant la veille la plus normale, il suffi- rait de lui lever les deux
bras
et de les placer dans la posture de terreur qu'
nu, me direz-vous, vous éveillez par la notion de la position des
bras
l'idée principale de l'attaque et le. reste se dé
uvent pris la précaution de lui fermer les yeux avant de placer les
bras
et la crise n'en commençait 'pas moins, dès que
us ces symptômes, vous voyez que l'aiguille traverse la peau de son
bras
gauche sans qu'elle paraisse s'en apercevoir'.
est hémianesthésique gauche, mais je n'expé- rimenterai que sur le
bras
, car c'est le seul endroit où l'anes- thésie so
imuler l'anes- thésie pour le seul plaisir de se faire traverser le
bras
avec des aiguilles ? Ces jeunes filles passent-
l est devenu un malade, est examiné par le médecin. On lui pince le
bras
gauche, on lui demande s'il sent le pincement,
Leur pupille se dilate quand on vient à pincer fortement même leur
bras
gauche anesthésique 1. Ce sont là des réflexes
le est absolument anesthésique du côté droit, et quand je remue son
bras
droit sans qu'elle le voie, elle ne sait plus m
uand elle ne le regarde pas, elle ne peut absolument plus remuer le
bras
droit; c'est là, à mon avis, une sorte de paral
remarquer qu'ils démontrent l'anesthésie musculaire absolue de son
bras
droit. Eh bien ! je prétends vous montrer qu'en
i mettra. Pendant ce temps, vous le voyez, je pince et je pique son
bras
droit, qui était tout à l'heure sensible, et el
rréguliers des membres supérieurs, puis des membres inférieurs. Les
bras
, sans raideur, balayent le sol; les mains s'ar-
nativement. Pendant ce temps, phase tonique dans les membres. Les
bras
présentent des mouvements de circumduction avec
ort» qui l'étouffe, et c'est M ? qui le lui a donné. 11 se mord les
bras
(on voyait encore la marque de'la morsure quinz
façon, A... s'acharnant sur ses victimes et les frappant à tour de
bras
avec ses canons de fusil. Elles avaient toutes
faites à sa mère qu'on l'a enfermée ici. Elle trouve qu'elle a des
bras
de poitrinaire ; quel- quefois le sang lui vien
somatiques accusés. Simplement quel- ques mouvements convulsifs des
bras
qui différaient et de ceux du REVUE D'ANATOMIE
ures du pulvinar ; on trouve aussi des tractus dégénératifs dans le
bras
inférieur gauche des tubercules quadrijumeaux;
es thénar et hypothénar et des interosseux (mais égale à ' celle du
bras
et de l'avant-bras), qui ne présente du reste poi
tat semi-comateux : bouche légèrement déviée à gauche ; rigidité du
bras
droit ; exten- sion tonique de la jambe gauche;
ailes lui étaient poussées, elle ouvrit sa fenêtre et, étendant les
bras
, en extase, elle se lança dans le vide, s'atten
es aliénés de Tours. Un fou avait prié un gardien de lui dégager un
bras
. Aussitôt libre, l'aliéné se précipita sur son
n demi-quart d’heure, que cet homme s’endormait paisiblement dans mes
bras
, sans convulsions ni douleurs! Je poussai la cris
laquelle on me pratiqua une saignée. A la suite de cette dernière, le
bras
droit et la paupière de l’œil gauche commencent à
nt les trois premières semaines ; plus tard, cependant, la main et le
bras
droit se paralysent avec contraction nerveuse exc
eptembre, les deux paupières se pîiralysent ; Suis, en novembre, le
bras
et la main gauche, à l’exception u pouce et de l’
puis remuer tous les doigts de la main gauche ; «leux jours après, le
bras
gauche; au commencement de juillet, le bras droit
e ; «leux jours après, le bras gauche; au commencement de juillet, le
bras
droit; quelques jours après, l’œil gauche. \ la f
ire se resserre alors pendant dix jours. Quand elle est desserrée, le
bras
droit est paralysé pendant dix jours. Je commence
abord sur tout le corps, en remontant de bas en haut, puis sur chaque
bras
en particulier. Au bout de vingt à vingt-cinq min
l dans lequel on la plonge. 2S mars. — Douleurs de tête, saignée du
bras
d'une livre et demie. Le sang est de bonne nature
lui sont chères : cette crise dure vingt-six heures. Deux saignées du
bras
, une pendant la crise, une seconde après la crise
commencer son allocution, elle se coucha sur le dos, sa figure et ses
bras
pâlirent, et, faisant un signe de la main droite:
ez-moi ; je veux m’en aller, je ne puis rester ici ! » Elle passa ses
bras
autour du cou de son père sans vouloir le lâcher
semblable à celle d’une capsule ; cette dame se jeta de peur dans les
bras
de son mari. Un moment après, la jeune enfant se
nger, où il se plaignit de violentes douleurs qu’il éprouvait dans le
bras
droit, et qui l'empêchaient de se livrer «à son t
magnétique, elle appela ce monsieur auprès d’elle, lui frictionna le
bras
à plusieurs reprises dans la même soirée, et les
ffecté de douleurs rhumatismales et d’un commencement de paralysie du
bras
droit, se sentit revivre après deux frictions mag
nute, se mit à crier à cause de la douleur qu’elle éprouvait dans son
bras
et qui venait de cesser dans celui de M. Wehrschm
e le singe ; celui -ci ne tarde pas à. soupirer, bâiller, étendre les
bras
, avoir des crispations nerveuses, puis enfin dort
alla, sans en avertir personne, trouver son médecin, qui la saigna au
bras
. Cette opération lui procura du soulagement penda
de l'époque que la justice ecclésiastique livrait de toutes parts au
bras
séculier en Savoie, en France, en Angleterre, en
vont et qui viennent autour du moi ; elles me semblent n’avoir pas de
bras
.... » Sur ses instances, je chassai cette visio
en convenir, emprunte une certaine valeur à la fatigue croissante des
bras
, résultant de la contrainte de leur position prol
amis et collaborateurs, j’étais très-attentif sur leurs mains, leurs
bras
, leurs coudes, leurs pieds, et qu’il m'est imposs
l'approche des mânes, Sur les brasiers des dieux vengeurs A pleins
bras
jettent les senteurs!.-. Que l'ignorant te verse
a pour moteur la volonté, et pour conducteurs les rameaux nerveux des
bras
et des mains. Évidemment, cela n’a rien, absolume
le pouvait saisir. Ne s’épargnant pas elle-même, elle s'était fait au
bras
droit une morsure assez profonde. Ce qui me fra
faiblesse ex- trème du pouls, qui disparaît quelquefois, lorsque le
bras
est dans une direction verticale; la fréquence de
végétaux eux-mêmes, avec leurs vrilles rameuses qui leur servent cle
bras
et de mains, s’attachent pour la vie aux rameaux
conserva jusqu’au milieu de la nuit un grand engourdissement dans les
bras
. » Ce que le journaliste appelle ici évanouisse
nd ses sens, mais avec une affection nerveuse bien prononcée dans les
bras
, les mains et les jambes. Quelques instants après
noux ou autre endroit quelconque. « Dans cette position, faites les
bras
morts (comme on dit vulgairement), et, par votre
après une mort apparente, ce regard vitreux,, ces cheveux épars, ces
bras
tendus... Figurez-vous la fille de Zaïre, écartan
la prend et la lui présente, et voici qu’elle l'embrasse de ses deux
bras
et la couvre de caresses; elle ne pouvait parler,
r donner cette illusion cruelle qui fait sourire d’espérance dans les
bras
de la mort. Le lundi 6 septembre au matin, la m
seulement la statue, c’est elle qui me fait du bien, je lui tends les
bras
, ça va tout seul... — Mais... — Ah! quel homm
ployer, comme d’ordinaire, les apparaux, les cordages et la force des
bras
, l’équipage s’est simplement groupé en cercle, a
t avoir plus de vivacité qu’à l’ordinaire; un vésicatoire appliqué au
bras
produisit une irritation très-intense, et la surf
devenu la belle Fatum. Convaincu de sa métamorphose , il a accepte le
bras
d’un galant chapelier, l'homme au mal de mer, et
arquet : vous ne pouvez vous asseoir, vous courber ; il imprime à vos
bras
un mouvement de rotation accélérée que vous ne po
prend les chaises pour des molosses et qui les attaque, puis mord au
bras
un imprudent, M. E.... B...., qui vient aboyer pr
x lui furent prodigués, et le 25 juin tout appareil avait disparu; le
bras
était bien remis, mais il était roide, et la scie
pond avec précision; je lui ordonne de se lever, de s’appuyer sur mon
bras
, elle obéit : la crise continue; et pendant qu’el
-moi donc sortir! » dit-elle avec rage ; « je veux sortir ! >- Les
bras
, semblables à des barres de fer, prennent un poin
à la main une feuille de papier ou quel- que aulro corps léger, le
bras
étant demi-fléchi, on voit ce corps osciller de l
pieds de devant de la chaise. Les coudes reposent sur les genoux; les
bras
sont croisés l’un sur l’autre horizontalement. De
la \oir marcher, il se produit une vibration insensible dans tous les
bras
; et tous ces efforts qui, pris isolément, ne ser
quelques difficultés ù, C3tte explication : « 1° Quand on tient le
bras
tendu horizontalement, après deux ou trois minute
aignants? Non; Mmc Barthélémy a parlé d’un homme portant lunettes, en
bras
de chemise et tablier, travaillant au premier ou
; celui qui blâme chez les autres le refus d’examen devait tendre les
bras
à la vérité proscrite. 11 l’a fait, et dans le nu
dis chez elle; je la trouvai debout, tenant son petit enfant dans ses
bras
. A peine eus-je le temps de m’asseoir et de m’inf
u ta mère et ses longues ivresses; Le blanc petit berceau, d'où ton
bras
étendu Appelait ses baisers et ses chaudes caress
novembre 1855. CLINIQUE. —ô‘PÆiiî'40— PARALYSIE ET ATROPHIE DU
BRAS
. Frappé des prodiges du vénérable Laforgue, que
dû être robuste. Voici l’état dans lequel je trouvai ce malade. Le
bras
droit est complètement paralysé, le pouce seul a
on malade pousse des cris. Lorsque je descends la main le long de son
bras
, il me suit comme si quelqu’un l’attirait par le
que de nouveau la main gauche sur l’épaule et la droite en dessous du
bras
rapproché du corps. Il déclare alors que mes main
homme me dire : — Je suis guéri, voyez ! Et il se met à lever le
bras
en pliant le coude avec assez de facilité. Je fus
it. Revenu de mon étonnement, j’essayai, à sa demande, d’écarter le
bras
du corps en relevant le coude en dehors, c’est-à-
ai souffert pendant la nuit, me dit-il; ces douleurs me parcourent le
bras
de haut en bas. Je n’ai pas vomi comme d’habitude
ai pas vomi comme d’habitude. — Pouvez-vous maintenant remuer votre
bras
? — Oui, je le porte à mon oreille. Je le mag
e de nouveau pendant une heure et demie, après quoi les mouvements du
bras
se reproduisent. Dans la magnétisation générale
produit-il ? « — C’est comme si l’on me passait un couteau dans le
bras
. « — Mais ce n’est pas possible ! reprend le do
amasser des feuilles de noyer, les faire bouillir, puis vous laver le
bras
; cela aiderait beaucoup. « — Arrêtez, docteur,
cependant qu’au lieu de présenter la pointe des doigts à distance du
bras
, je devrai à l’avenir magnétiser par contact et
ins seront placées de telle façon que les doigts soient en dessous du
bras
, le pouce de la main droite sur la plaie et l’aut
irez-vous complètement? Oui; mais il faut quatre mois avant que mon
bras
soit égal à l’autre en volume et en force. — Qu
gnées dans deux à trois litres d’eau, les faire bouil lir, mettre mon
bras
au-dessus de la vapeur jusqu’à ce qu'il sue; puis
is prendre les feuilles, en faire un cataplasme et l’appliquer sur le
bras
, où il restera trois heures, et cela tous les jou
ère sa tête. En prenant une prise de tabac, il dit, en parlant de son
bras
: — (le fainéant commence à me servir ! Dans
qu'elle paraissait circonscrite aux environs du poignet, de couper le
bras
; mais un troisième eut l’heureuse idée de s’oppos
une espèce de pleurésie, et il aflirme que tout s'était porté sur son
bras
. VALI.ETON , horloger ù Bergerac. FAITS ET EX
alles de peau à coloration normale. Elles s'étendent jusque sur les
bras
. Ces réseaux existent aux membres inférieurs où
que, taudis que des réseaux bleuâtres apparaissaient sur les avant-
bras
. C'est seulement en ordonnant à la malade de rire
rze jours. Depuis cette campagne, il se plaint de douleurs dans les
bras
et les jambes. Incapable, dit-il, d'exercer son m
lade nouvellement opéré. Dupuytren s'en aper- çut, et saisissant le
bras
du pauvre élève, il le secoua si rudement que,
uissance de travail du jeune Calmeil; il en fit pour ainsi dire son
bras
droit, lui confiant souvent les visites et la r
Il a peur de se trouver immobilisé devant une voiture. L'appui d'un
bras
compatissant lui donne confiance, et il se tire
vec grossissement des veines. Lorsque je fais de la gymnastique des
bras
, j'ai vite mal dans le dos. Si cette sorte de f
emploi de la suggestion. Plus tard, il présenta une contracture des
bras
qui s'accompagna d'un cer- tain degré d'asphyxi
la suggestion. La contracture s'était déplacée et localisée dans le
bras
surtout à gauche, et s'accompagna d'une asphyxi
électrisé, mais encore de l'autre. Douleurs très violentes dans les
bras
. Rien aux jambes. L'accès dura une heure. Rien
menté. Les muscles du tronc étaient pris à leur tour. La tête et le
bras
gauche étaient libres. La sensibilité partout nor
agitante et la sclérose en plaques tremblent par rotation autour du
bras
du sujet. Elles se distinguent de l'hystérie et
ait enfin perte du pou- voir de localisation des sensations dans le
bras
et la jambe gauches. P. S. REVUE DE PATHOLOGI
uppurée et ayant présenté une chorée paralytique limitée à l'un des
bras
. L'amélioration de la motilité rendit les mouve
rition, leurs rapports, en limitant leur action au centre moteur du
bras
gauche. La chorée ordinaire doit toujours avoir
ne difficulté qui devient insur- montable quand on les réitère. Les
bras
ont toujours une certaine tendance à se porter
st émue. Il n'existe nulle part de paralysie des membres. Jambes et
bras
sont mobiles dans tous les sens, mais ces mouve
convulsions montentdans la jambe, le tronc s'infléchit à droite, le
bras
droit s'écarte du corps, le côté droit de la face
des jambes, des muscles abdominaux et intercostaux inférieurs; les
bras
, les épaules, le cou, et la tête restent épargn
ouleurs s'étendirent pour la première fois dans le cubital des deux
bras
jusqu'au coude avec une violence extrême (territo
- ture, le malade éprouve des sueurs profuses dans la tête et les
bras
et tout le long de la poitrine jusqu'à la deuxièm
utréfaction d'Emile Bérenger, à genoux, la Tace contre terre et les
bras
étendus le long du corps. C'est dans cette positi
jour par un troupeau de tau- reaux, et éprouva brusquement dans le
bras
gauche une contrac- ture que les moyens usuels
r, elle eut le premier accès de convulsions. Mais à cette époque le
bras
droit s'était déjà montré parétique. Le 16, ell
parut d'abord de la jambe ; plus tard, au bout déplus d'un mois, le
bras
droit fut dégagé. Elle garda le lit pendant cin
tie de l'arrivée de l'attaque par une sensation de tremble- ment du
bras
droit. Immédiatement après, le bras droit s'éleva
e sensation de tremble- ment du bras droit. Immédiatement après, le
bras
droit s'élevait au-dessus de la tête, et en mêm
'exécuta un mouvement combiné de flexion du coude et d'élévation du
bras
en avant et en dehors, de sorte que la main fut
mateux de courte durée, elle put quitter mon cabinet appuyée sur le
bras
de son frère. Les attaques incomplètes étaient
mmencement des attaques complètes. La malade sentait des spasmes du
bras
droit, avec ou sans mouvement de ce membre. Par
uentes. Elle se plaignait constamment d'une faiblesse croissante du
bras
droit. Pour les grands mouvements et pour la pr
ues, tou- jours prédédées de contractions musculaires localisées au
bras
droit. Souvent il se produisait des convulsions
nt dans la région psycho-motrice gauche et intéressant le centre du
bras
droit. Quant à la nature de cette lésion, on de
tte lésion, il était hors de doute qu'elle intéressait le centre du
bras
droit. Mais ce centre comprenant une assez gran
sur des singes, Beevor et Horsley ont trouvé un point du centre du
bras
dont l'irritation a pour conséquence : abduction
lume 178 (1887) B. p. 153-167. 296 RECUEIL DE FAITS. mouvement du
bras
en avant, flexion du coude. Ce mouvement, qui r
d'attaques qui ne débutassent pas par les convulsions localisées du
bras
droit. Comme le traitement interne s'était mont
lade commença à se réveiller de la narcose, elle pouvait mouvoir le
bras
gauche, tandis que le droit était encore complè
t paralytique. Entièrement éveillée , elle pouvait mouvoir les deux
bras
et presser assez fortement de la main droite. P
ent de la main droite. Pendant quelques jours après l'opération, le
bras
et la jambe droits restèrent parétiques. Tous l
taient possibles, même le mouvement d'abduction, et d'avancement du
bras
, mais elle les exécutait avec peu de force, et
ue je désirerais faire ressortir, est la para- lysie transitoire du
bras
droit constatée lorsque la malade commençait à
lsive caractérisée par des spasmes cloniques du côté de la face, du
bras
et de la jambe gau- che. En décembre, on consta
les membres; actuellement broncliopneumonie, paralysie flasque des
bras
et des jambes. Jambe gauche un peu mobile ; à d
iales; balancements brusques de la tête; flexions des doigts et des
bras
; élévations continuelles des pieds; nystagmus;
ottement continu, faible expec- toration, paralysie des jambes, des
bras
, des muscles du tronc, disparition des réflexes
emne de syphilis, il y avait aphasie, hémiparesthésie faciale et du
bras
du côté droit, consécutivement à une névralgie
actuellement : . SOCIÉTÉS SAVANTES. 327 7 atrophie des muscles du
bras
droit (type Duchenne-Aran) et moindre de la jam
fatigue et d'une sensation de froid, de douleurs dans le dos et les
bras
; par moments elle enfle surtout quand elle a f
les bras ; par moments elle enfle surtout quand elle a fatigué des
bras
; pleurniche de temps à autre parce qu'elle sou
douleurs sacrées. En 1890 on constate : une parésie spasmodique des
bras
et des jambes avec exagération considérable des r
ÉS : SAVANTES. ` ''329 Signe de 13rachetRomberr -parésie faible des
bras
, mais incoordi- . nation de tous'les mouvements
faible des bras, mais incoordi- . nation de tous'les mouvements des
bras
, incordination associée à des troubles spasmodi
omplètement anesthésiques; d'autres, comme,là région'postérieure du
bras
droit où. siégeaient autrefois des''contracture
é 1 pendant lè somnambulisme' deux z choses : 1° elle doit lever le
bras
malgré elle, quand je lui pince - la main ; 2°
de mon Iront. Au moment où ce papier touche mon front à droite, le
bras
de la malade se lève quoi qu'elle déclare n'avo
lors le corps est abandonné à la pesanteur et aucun mouvement» des
bras
etides,jambes netpeut/venh\agir comme.protecteu
accès se sont espacés et la température est des- cendue à 370,8, le
bras
a retrouvé presque tous ses mouvements et presq
2 rieurs : il y a de la trépidation épileptoïde bien accusée. Les
bras
moins pris toujours que les jambes sont contracté
ues s'affaiblissent de plus en plus. Il y a une légère paralysie du
bras
gauche; pendant le bain statique quelques étinc
gauche; pendant le bain statique quelques étincelles sont tirées du
bras
. 21 décembre. Le traitement a été continué tous
. Encore quelques mouvements choréiques de la face, la paralysie du
bras
gauche a tout à fait disparu. Le traitement est
re après l'accident), paralysie fuciale gauche, paralysie totale du
bras
gauche, parésie de la jambe gauche. Pas trace d
après : l'hémiplégie gauche, quoique diminuée, était mani- feste au
bras
et à la face; quelques trépidations et des mouvem
une lésion de la capsule interne. La paralysie, limitée d'emblée au
bras
et à la face, montre que le traumatisme a porté
urvenue brusquement chez une femme de trente-trois ans. Lorsque les
bras
sont pendants, l'omoplate gauche s'écarte du tr
e la ligne médiane que celui du côté sain, l'élévation verticale du
bras
est im- possible, et la malade ne peut dépasser
dérable sous l'influence des bains statiques avec étincelles sur le
bras
et l'épaule malades. En somme, bien que toutes
encore de barbe. Observation d'uranisme véritable. Tenir dans ses
bras
des individus du même sexe, sans intromission,
défait les papiers entortil- lant son paquet, brandissait à bout de
bras
, une tête d'enfant encore sanguinolente qu'il t
, en effet, de quinze à vingt minutes : il faut veiller à ce que le
bras
soit bien appliqué contre le thorax et que le t
, il présentait au niveau du centre des mouvements de la face et du
bras
dans l'hémisphère gauche un caillot sous-duremé
avril 1891 une parésie passagère des deux membres inférieurs et du
bras
droit qui disparut bientôt. En juin 1892, attaq
du cou, ceux de la ceinture scapulaire, du système locomoteur du
bras
sur le tronc, du bras, de la cuisse. Finalement s
ceinture scapulaire, du système locomoteur du bras sur le tronc, du
bras
, de la cuisse. Finalement sont pris ceux des av
rémastériens et abdo- minaux manquaient : les réflexes profonds des
bras
étaient à peu près normaux. Il n'y avait ni par
sance, il constate qu'il ne peut mouvoir que très imparfaitement le
bras
et les doigts du côté droit, et guère mieux la ja
il avait de fréquents mouvements spasmodiques affectant surtout le
bras
, l'avant-bras, l'épaule, la face, et plus raremen
\ 72 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. et se propageant à l'avant-bras, au
bras
, à l'épaule et à la face. La tête et les yeux s
if. Il est arrivé quelquefois, cependant, que la jambe droite et le
bras
gauche ont été envahis, mais jamais la conscien
reize; enfin, après un quart d'heure, le malade peut remuer tout le
bras
droit, malgré un engourdissement et une rai- dc
it d'un malade atteint d'épilepsie jacksonnienne, de para- lysie du
bras
gauche avec troubles de la sensibilité, de céphal
ne tumeur cérébrale et permettait de les localiser. La paralysie du
bras
gauche et les troubles sensoriels dont il était
ouvait dès lors diagnostiquer une tumeur intéressant les centres du
bras
et de la main. Le malade ayant présenté des con
la parésie de la face, l'état de la jambe ne sont pas modifiés; le
bras
gauche se meut plus librement ; ses mouvements
flexion, d'ad- duction et d'abduction : en somme les mouvements du
bras
sont améliorés. La douleur, l'hyperalgésie du
mouvements du bras sont améliorés. La douleur, l'hyperalgésie du
bras
ont à peu près disparu. La sensibilité au louch
oureuse commençant à l'extrémité des doigts et remontant le long du
bras
. La paralysie a diminué depuis l'opéra- tion. L
paralysie a diminué depuis l'opéra- tion. Le malade peut élever le
bras
au-dessus de sa tête, le fléchir et l'étendre,
t ; le lendemain il présenta des convulsions épileptiformes dans le
bras
gauche ; et consécuti- vement il fut sujet à de
surface polie, ou bien qu'elle serrait un bâton, ou encore que son
bras
était pressé par de lourds paquets : or la sens
paquets : or la sensibilité tactile était diminuée à la main et au
bras
gauche, la sensibilité au froid y était au cont
teurs de la fête et qui peu à peu s'est généralisé à l'épaule et au
bras
: le point de, départ a été un mouvement des- t
devint involontaire à son tour, et au tic du cou s'ajouta le tic du
bras
. Les mouvements spasmodiques se sont compliqués
rise va venir, je ne vais plus être maître de moi, attachez-moi les
bras
et les jambes ! En effet, Poinsignon se mit à écu
rès accusé. Les membres supérieurs sont en général faibles, mais le
bras
droit est visiblement plus faible que le gauche ;
lus affectées comparativement que les muscles de l'avant-bras et du
bras
. Les mouvements actifs de la main droite sont f
primes les nervi dorsalis pedis, peroneus, radialis (à la région du
bras
), ulnaris vagus et phrenicus et nous vîmes que
u corps. La tête est un peu rejetée en arrière, le tronc arqué, les
bras
pendants, les jambes molles. Légèie palmature e
'olécrâne gauche, cicatrice de vésicatoire sur la partie moyenne du
bras
gauche. Derrière l'oreille gauche, cicatrice se t
seulement. Quand il marche, il fléchit sur ses .ïambes, et prend le
bras
de la personne qui l'accompagne. - Très irritab
au 7 mars tous les symptômes s'aggravent et la paralysie s'étend au
bras
gauche où elle devient vite complète. Du 8 au 1
suite d'un effort pour s'asseoir dans son lit, la malade étend les
bras
, jette un cri et tombe fou- droyée. Autopsie.
de l'oeil gauche, puis ceux de l'angle de la bouche, puis ceux du -
bras
et enfin ceux de la jambe du même côté. Cet état
, et d'engourdissements et de fourmillements dans les jambes et les
bras
, qui devinrent douloureux au toucher. Il assure
s extrémités. Le mouvement revint d'abord à la main droite, puis au
bras
gauche. Enfin, graduellement, il guérit, et put
des contractions involon- taires des muscles de la face : puis les
bras
, le corps et finalement les membres inférieurs
uscles de la face, qui se sont aggravées et ensuite propagées aux -
bras
, au tronc et aux jambes. Ces spasmes sont partiel
lement, ainsi qu'une certaine incoordination dans les jambes et les
bras
des deux côtés. On disait que la chorée de Hu
de la démarche surtout vers le côté gauche et l'engourdissement du
bras
gauche. Le diagnostic porté fut celui de syphil
ioduré. Il y avait aussi chez celte malade de l'engourdissement du
bras
droit et du côté droit de la face. On diagnosti
enne gauche, avec troubles passagers de la circulation au niveau du
bras
, de la face et de= centres du langage. Ce cas é
nt et le plus souvent d'une façon symétrique en haut, atteignant le
bras
, et en bas jusqu'aux régions sacrée et lombaire.
rd dans les membres inférieurs, puis à la tête, finalement dans les
bras
(épaississement extrême des mains et des pieds)
ontractions musculaires involontaires finissant par contracturer le
bras
droit. Le repos absolu n'arrive que la nuit. Il
à la main gauche. La musculature est flasque en général, surtout au
bras
et à l'avant-bras gauches. Toute la partie supé
te de l'avant-bras. On observe le même phénomène quand on saisit le
bras
entier dans ses deux mains et qu'on exerce l'ex
t; la dernière à un homme, mort quatre ans .après une amputation du
bras
droit. Les coupes ont été faites surtout dans l
plète des extrémités inférieures; anesthésie de la face interne des
bras
et avant-bras, du tronc à partir de la troi- si
ux (comparai- son à la résistance efficace d'un seul homme placé au
bras
long d'un levier contre une troupe d'hommes app
cé au bras long d'un levier contre une troupe d'hommes appliquée au
bras
court). Cette loi s'applique non seulement aux
Elle est revenue aussitôt à elle comme d'un rêve. « Mon enfant a un
bras
et une jambe qui ressemblent à ceux du mendiant
ès deuxième abcès au niveau du tiers moyen de la face antérieure du
bras
droit; mêmes phénomènes. Cicatrice longitudinal
la saillie. Membres supérieurs. On n'observe pas de déformation des
bras
pirl. 23. 13... en 1888, il (le treize ans et
nts de rotation de l'avant-bras ne s'opèrent que par la rotation du
bras
et de l'épaule. Aucun traumatisme connu du père
tre ses doigts, sur la face dorsale du carpe, de l'avaut-bras et du
bras
. Il sent bien le contact de l'épingle que l'on
du bras. Il sent bien le contact de l'épingle que l'on passe sur le
bras
et l'avant-bras. Il ne sent pas le frottement d
essus de l'articulation du poignet. Au niveau de l'avant-bras et du
bras
, le malade ne ressent qu'une piqûre lorsque les
ar a conservé la sensibilité. Sur l'avant- 1152 RECUEIL DE FAITS.
bras
et le bras, la sensibilité à la piqûre est normal
vé la sensibilité. Sur l'avant- 1152 RECUEIL DE FAITS. bras et le
bras
, la sensibilité à la piqûre est normale et le mal
uver de douleur. Au niveau de la face interne du tiers supérieur du
bras
droit et de l'aisselle correspondante, analgési
la 4154 RECUEIL DE FAITS. douleur. T. R. 38°,7 et 39°,5. Bain de
bras
phéniqué pendant trois heures; même pansement.
diant atteint d'hémiplégie et que Je père prétend que son fils a un
bras
et une jambe qui ressemblent à ceux du mendiant
crâne, c'est-à-dire à la partie tout à fait supérieure de l'avant-
bras
, et cela des deux côtés, il y a une zone d'enviro
ns présente un affaiblissement général, avec paralysie partielle du
bras
droit. C'est la paralysie du plexus brachial de E
pour centre l'articulation de l'épaule, si ce n'est l'adduction du
bras
et porter celui-ci dans le dos. L'avant- bras a
n'est l'adduction du bras et porter celui-ci dans le dos. L'avant-
bras
a conservé ses mouvements d'extension, de supinat
é ce qui suit : le cadavre, couché à plat, a levé aussitôt les deux
bras
, fléchissant les coudes, et fermant les poings,
paraître de pénibles paresthésies et des douleurs siégeant dans les
bras
et les jambes, symptômes qui ren- daient imposs
t enfant avait été opéré d'un neurosarcome congénital siégeant au
bras
droit. La fumeur avait englobé le médian et le cu
lement pendant huit jours à 370,2 2 le soir. Sur la face externe du
bras
le ther- momètre a donné 33°, 8 à droite, 34°,
er, sentent le poi- son. De nombreuses verrues apparaissent sur les
bras
. Comme chez le malade précédent, les perversion
sation d'engourdissement à la face, à l'extrémité de la langue, aux
bras
et aux jambes. La force musculaire était affaib
paupières se ferment également des deux côtés. Les membres gauches,
bras
et jambe, sont aussi paralysés; quand on soulèv
s gauches, bras et jambe, sont aussi paralysés; quand on soulève le
bras
ou la jambe droites, ils ne retombent sur le lit
roites, ils ne retombent sur le lit que lentement; au contraire, le
bras
et la jambe gauclies, quand on les élève en l'a
zinc. Le dé fut mis au pouce, et la plaque de zinc appliquée sur le
bras
; on plaça un peu de charpie sous la plaque de
trémulation notable. Le tremblement avait débuté par une main et le
bras
et avait peu à peu gagné tout le corps. L'affec-
Caill.... est endormie rapidement par la fixité du regard. Sur le
bras
gauche, contracture facile par l'excitation des t
ière fois que cette expérience est tentée chez cette malade. Sur le
bras
droit, l'excitation des tendons et des masses m
action nettement localisée, aucune ébauche de contracture. Sur le
bras
gauche au contraire la griffe cubitale s'obtient
ix minutes et plus s.e passent sans qu'aucun transfert ait lieu. Le
bras
droit garde sa flaccidité, et l'on note, 13 'e
est impuissante. 3° L'hyperexcitabilité est plus développée sur le
bras
gauche que sur le bras droit. La différence ent
hyperexcitabilité est plus développée sur le bras gauche que sur le
bras
droit. La différence entre les deux côtés est ass
z prolongées sur 1'liyperexcitabilité des muscles et des nerfs du
bras
droit, tout d'un coup, sans cause apparente, tout
tout le côté droit du corps aussi bien à la face qu'aux membres. Le
bras
droit retombe inerte le long du corps, Witt ? qui
a malade par les procédés ordinaires, l'hémi- plégie persiste ; son
bras
droit est inerte; elle peut à peine se tenir de
lus Witt... est aphasique. Elle est comme hébétée, elle regarde son
bras
paralysé qu'elle cherche à soulever avec l'au-
re in- férieure. Ce tremblement augmente peu à peu, puis gagne le
bras
droit, puis la jambe droite. Les membres du côt
uscles amène la contracture de la façon que l'on sait, mais cela au
bras
gauche seulement. Tout le reste du corps n'offr
trace d'hyper excitabilité. Lorsque les paupières sont ouvertes, le
bras
gauche devient cataleptique, ce qui n'a lieu en
auche devient cataleptique, ce qui n'a lieu en aucune façon pour le
bras
droit. C. Variations individuelles de l'hyperex
ertes ; il n'y a pas de catalepsie. Les réflexes tendineux aux deux
bras
sont manifeste- ment exagérés. Le même état per
exes, même résolution, Bientôt la malade est prise de secousses des
bras
, analogues à celles du début de son attaque. La
l'1CIIYLliHIInUli. 147 L'adème spécial est encore assez net sur les
bras
et les avant- bras, mais il a presque totalemen
7 L'adème spécial est encore assez net sur les bras et les avant-
bras
, mais il a presque totalement disparu sur les mai
ues, avec porto de connaissance dès le début, commen- çaient par le
bras
gauche qui, allongé le long du corps et la main
nent le plus souvent vers la droite, quelquefois vers la gauche. Le
bras
droit est dans la flexion, le gauche dans l'ext
s la poitrine avec ses deux poings, ensuite elle allonge les deux
bras
sur les côtés du corps et frappe sur le matelas a
frappe sur le matelas aussi trois ou quatre coups. Quelquefois le
bras
droit reste immobile dans la demi-flexion et le
Quelquefois le bras droit reste immobile dans la demi-flexion et le
bras
gauche bat seul le matelas. Cette série de mouv
l'occlus) on complète. Les pupilles se dilatent largement, les deux
bras
le long du corps et se raidissent, les poings s
la main légèrement fléchie et dans la rotation en dedans. Les deux
bras
battent le matelas, la tète revient dans DE 173
. Thorax et abdomen normalement conformés. Membres supérieurs. Le
bras
gauche est raide avec contrac- ture ; l'avant-b
pour guérir ses accès d'épilepsie et à se faire tirer violemment le
bras
paralysé par d'autres malades, afin de guérir sa
1879, bruits anormaux dans les oreilles, douleurs dans la tête, les
bras
et les jambes ; en décembre, irritabilité, triste
hyperexci- tabilité électrique. Mêmes phénomènes dans les nerfs du
bras
. Longue durée, absence de réflexe patellaire, s
eu près trois quarts de minute; la crise passée on lui remettait le
bras
. Une seule fois, les convulsions se montrèrent
re, les Sorciers disparoiffant, où feut le lendemain trouué feul le
bras
defmis & se lamentant bien fort. Satan y io
ttaque de contracture avec perte de connaissance et ronflement, les
bras
sont en croix, les jambes dans l'extension, la
minutes. Deux minutes après, deuxième attaque de con- tracture, le
bras
droit étendu, et le gauche en flexion sur la po
re de la secousse de la jambe, provoque un soubresaut dans les deux
bras
. Mais les manifestations de l'hyperexcitabilité
usculaire ne s'est point accrue, mais les mouvements volontaires du
bras
sont plus étendus. Les mouvements de rotation d
sséc à gauche; la sensibilité au froid est revenue- La paralysie du
bras
droit diminue de jour en jour. 5 octobre. L'ane
l'objet qu'il touche. Les mouvements d'extension et d'élévation du
bras
droit se font très facilement ; la force muscul
c prédominance des convulsions à gauche, on nota une paralysie du
bras
et de la jambe de ce côté. L'enfant eut alors bea
la traîne encore et le pied s'est déformé. Vers le même moment, le
bras
paralysa s'est contracture. Durant les trois ou
membres supérieurs, ni aux inférieurs, qui sont longs et grêles. Le
bras
gauche est contracture dans la demi-flexion, le
hasie un engourdissement avec parésie de la moitié de la face et du
bras
, etc., phénomènes qui peuvent être attribués à
trépidation épileptoïde des membres (phénomène du pied, clonus du
bras
). En 1874, Erb et Westphal rapprochent de ces fai
niquement : au début : Coma, paralysie faciale droite, paralysie du
bras
gauche, contracture des membres inférieurs, con
trée, il présentait de la paralysie du facial inférieur droit et du
bras
gauche, et de la contracture des membres inféri
ins; il a continué jus- qu'à l'admission. Sa mère lui attachait les
bras
. Préhension et mastication nulles : la langue s
eur de la verge, 5 centi- mètres ; circonférence 4 cent. 1/2. Les
bras
sont paralysés, longs et très maigres. Les avant-
ralysés, longs et très maigres. Les avant-bras sont fléchis sur les
bras
. Paralysie et contracture prédominant à gauche.
il saisit entre le pouce et l'index. Pour s'y opposer, on place ses
bras
sur sa couverture et on enveloppe le tronc dans
rce dans les mêmes proportions. Le cocher L... avait été mordu au
bras
par un cheval de telle façon que la paralysie t
98 cet'état de mal fut suivi d'émi- plégie gauche plus accentuée au
bras
et qui dura deux mois en s'atténuant graduellem
fourmillements dans la main gauche, puis l'impression d'avoir deux
bras
du côté gauche, et celle que ces deux bras gauche
'impression d'avoir deux bras du côté gauche, et celle que ces deux
bras
gauches étaient serrés progressivement depuis l
is- sant presque toujours après elles une paralysie ou parésie du
bras
gauche qui se dissipait peu à peu. L'intelligence
es sont impossibles dans les membres du côté gauche, et bien que le
bras
de ce même côté soit anesthésique à la piqûre d
vements convulsifs ÉPILEPSIE ET TRÉPANATION. 99 initiaux (main et
bras
gauches) furent aisément déterminés. Une premiè
1890-91, elles ont exactement la même marche et le même caractère (
bras
, face, jambe gauches, conservation de la consci
de mal au cours duquel pendant une crise Léonie fait signe avec son
bras
droit encore libre que le 100 THÉRAPEUTIQUE.
actère cérébelleux ; les réflexes sont très exagérés (massé- térin,
bras
, rotulien, tendon d'Achille) avec trépidation spi
te pas de trépidation spinale. Les réflexes osseux et tendineux des
bras
sont forts, le réflexe massé- tcrilz est exagèr
muscu- laire segmentaire est assez bien conservée. Les réflexes des
bras
sont exagérés; il n'existe ni tremblement inten
aroi abdominale, ni du côté des organes intra-abdominaux. · . Les
bras
sont arrondis, normalement musclés, leur attitude
ale qui avait détruit le noyau lenticulaire et une grande partie du
bras
postérieur de la capsule interne M. van Gehuchten
EUSE. il ne peut pas parler, mais se fait comprendre par signes. Le
bras
et la jambe droits sonttrès affaiblis. Pendant
ulsives qui finissent par disparaître, mais laissent la jambe et le
bras
droit paralysés. Alité jusqu'en 1896, il reprend
Vision de l'oeil droit légè- rement abaissée; surdité à droite. Le
bras
droit est atrophié et un peu rigide : contractu
sous un hangar un jour d'été, il se réveille avec un tremblement du
bras
gauche qui dure actuellement depuis trois ans. To
la dépression et passagères. Il a aussi des tics coordonnés dans le
bras
droit; d'un mouvement lent il porte l'avant-bra
épart de deux infirmiers qui avaient l'habitude d'entourer de leurs
bras
la tête des aliénés agités pour la maintenir da
de Reil médian. Sur les coupes plus bas nous le voyons derrière le
bras
du tubercule quadrijumeau postérieur. Enfin il fr
Albertine Gil, 190 . FAITS DIVERS. bien que grièvement blessée au
bras
et au coté gauches, a réussi à s'échapper de l'
ne grandé douleur irradiant de la région cervico-inférieure dans le
bras
, et il était 18 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
e jacksonienne débutant par la main droite et s'étendant ensuite au
bras
, à l'épaule et à la moitié droite du visage. A
rojectile, l'homme poussa un sourd gémissement, battit l'air de ses
bras
et culbuta dans le vide. Accourus au bruit des
à fait ivre. Hier, pris d'une crise d'alcoolisme, il prit dans ses
bras
la fillette, la mordit, puis avec ses mains l'étr
archer lorsqu'on la mettait debout et lorsqu'on la soutenait par un
bras
. Mais elle était incapable de s'asseoir et de des
lle-ci est munie de deux côtés de rampes destinées aux exercices du
bras
paralysé pendant l'ascension et la descente du
rééducation des mouvements du membre supérieur. On peut tourner le
bras
paralysé dans tous les sens, du matin au soir,
n'acquerra pas pour cela plus de mouvements qu'il n'en possède : le
bras
reste immobile ou contracture, malgré les mouve
Dans un de nos cas on lit matin et soir des mouvements passifs du
bras
dès le début de l'hémiplégie et la malade pouvait
la malade pouvait à la fin de la deuxième année à peine bouger son
bras
. Néan- moins, ces mouvements ont fait disparaît
in- cipale ; c'est par elle que nous commençons la rééducation du
bras
. Toute une série de mouvements, ayant pour but de
i devrait être en réalité. Par exemple : un hémiplégique écarte son
bras
du corps, en le portant en arrière. Cet écartem
ant en arrière. Cet écartement sera positif; mais l'écartement du
bras
du corps sera réel lorsque l'hémiplégique l'écart
a laté- ralement. Un autre exemple : un hémiplégique n'écarte son
bras
paralysé du corps qu'en fléchissant l'avant-bras
son bras paralysé du corps qu'en fléchissant l'avant-bras sur le
bras
, c'est un mouvement positif; le mouvement sera ré
vement positif; le mouvement sera réel quand le malade écartera son
bras
en extension. L'adduction exagérée du pouce dés
rès le début du traitement. Six mois après, il se coiffait avec son
bras
paralysé, prisait et se servait de son bras le
il se coiffait avec son bras paralysé, prisait et se servait de son
bras
le mieux possible. Dans un troisième cas, nous av
des déchireurs avec les manches de leur maillot cousues, mais les
bras
libres. Population, le 1er janvier 1898 : ICI m
alysie radiale chez un malade camisolé dont on avait immobilisé les
bras
par un lien supplé- mentaire. Les aliénés qui o
de l'in- tensité du courant produit par le mouvement volontaire du
bras
et que l'intensité de la décharge décroît avec
observe une augmentation du courant qui -accompagne le mouvement du
bras
. Cette augmentation suif le développement de la
hyperhydrose unilatérale d'on- gine cérébro-spinale le mouvement du
bras
du côté affecté n'a pas accusé un courant sensi
bien qu'à l'état de repos on pût dériver de la surface cutanée du
bras
du côté malade un courant (glandulaire) bien plus
IE LT D'·L'LECTR,oTHEItAPIE. -403 du côté malade, la contraction du
bras
de ce côté-provoquait un courant dont l'intensi
s en rapport direct avec l'énergie et l'étendue du mouvement que le
bras
peut encore exécuter. Dans la contracture de l'
courant d'action peut subir certaines modifications. Ainsi, dans un
bras
paralysé qui ne peut exécuter presque aucun mouve
iminution notable de la seconde phase du courant d'aclion dans .un.
bras
, paralysé et en train de s'atrophier 404 REVUE
résistance, c'est-à-dire la sensation d'innervation motrice dans un
bras
immobile tendu. Le sujet examiné tient le bras
on motrice dans un bras immobile tendu. Le sujet examiné tient le
bras
immobile horizontalement (et cela tout le temps
le fil, il faut une innervation motrice B nécessaire pour tenir le
bras
immobile, mais le bras seul et sans poids. La s
nervation motrice B nécessaire pour tenir le bras immobile, mais le
bras
seul et sans poids. La sensation perçue au mome
On peut éviter très facilement l'in- convénient de l'abaissement du
bras
mentionné par M. Grasset dans les expériences d
M. le Dr Caoc (de Bruxelles). N'y a-t-il pas un mouvement actif du
bras
dans l'effort que fait le malade pour tenir son b
ement actif du bras dans l'effort que fait le malade pour tenir son
bras
étendu ? M. le professeur Grasset. C'est une
, un garçon de librairie remarquait un amateur qui mettait sous son
bras
un livre, un vulgaire livre de' 3 francs et s'é
nsibilité dans le domaine de la ceinture scapulaire, des reins, des
bras
; réflexes tendineux un peu exagérés dans les ex
hez un amputé. M. Touche rapporte l'histoire d'un malade atteint de
bras
fantôme; on provo- quait dans le bras disparu d
stoire d'un malade atteint de bras fantôme; on provo- quait dans le
bras
disparu des douleurs à type métamérique ou radi
rouvé une vive douleur au creux axil- laire, et depuis ce moment le
bras
droit ne peut plus être élevé au-dessus de l'ho
mplètement nu, debout sur son siège, fouettait son cheval à tour de
bras
en hurlant : « Je suis le successeur de Monjare
ir par les cheveux une femme d'une vingtaine d'années qui, ayant au
bras
un- lourd panier, s'était trouvée immobilisée par
maman ! » Gilles, fou furieux, saisit brutalement sa femme dans ses
bras
, la porta près de la fenêtre et la lança dans le
e de barres parallèles (1), à marcher soit en les tenant sous les
bras
, soit à l'aide du chariot; on fortifie leurs mem-
iné sans succès. Il présen- te trois cicatrices apparentes à chaque
bras
. Décembre. - Lapous.. est devenu propre. Il s'o
fficile. - Cholérine à 13 mois. - Rougeole à 16 mots. - Fracture du
bras
gauche à 2ans. - Pleurésie à 6 ans ? Début des
Début des crises nerveuses a 8 ans. - A 11 ans et demi, luxation du
bras
gauche. Marche croissante des accès. - Déchéanc
3 mois sans ponction. A deux ans, chiite sur le côté et fracture du
bras
gauche. - Dès son enfance, le père aurait remar
mois. - Chaque fois, la crise était suivie d'émission d'urine. Les
bras
se contractaient en dedans, la tête etait en ex
ssez fortement pigmentée en brun. - Pas de cicatrices vaccinales au
bras
gauche, trois petites au bras droit. Pas d'autr
. - Pas de cicatrices vaccinales au bras gauche, trois petites au
bras
droit. Pas d'autres cicatrices ou blessures sur l
sont modifiés. L'enfant tombait, et il prétendait que « c'était son
bras
paralysé qui l'entraînait et le renversait à te
droite, puis à gauche ; de plus, des mouvements lents et étendus du
bras
gauche et de la jambe gauche ; pas de déviation
membres supérieurs ne sont pas également développés. Tandis que le
bras
droit jouit de l'intégrité absolue de ses mouve
ntre, les mouvements d'élévation, d'abais- sement et de rotation du
bras
, sont conservés, ainsi que la flexion et l'exte
gré relativement peu accusé de l'hémiplégie, qui prédomi- nait au
bras
gauche. L'arrêt de développement de ce Assistan
t régulièrement conformés et libres dans tous leurs mouvements ; le
bras
et la jambe du côté gau- che sont toutefois bea
courait s'accrocher à une table et restait les ]/eux fixes et les
bras
raides quelques seconde*, c'était tout. Il est to
e morsure de la langue. Il avait les poings fermés. Secous- ses des
bras
et des jambes. Cela se reproduisait 12 à Il fois
ible. - Thorax normal, peu musclé. - Colonne vertébrale non déviée.
Bras
normaux, mains lon- gues ; doigts-volumineux. -
ère du tronc pen lant quelques secondes, abduction et extension des
bras
en croix, mains fermées, les pouces en dedans,
es en dedans, puis déflexion et extension de la tète, adduction des
bras
. Pas de mouvements cloniques. Léger ster- tor.
PTION de la malade. 103. crivit des frictions mercurielles sous les
bras
et de l'iodure de potassium et lui appliqua tou
res à 2 heures. Ils étaient moins forts le jour. En même temps, les
bras
et les jambes se rapprochaient; il fallait dé-
ce matin une éruption rubeonque. con- fluente dans le dos. sur les
bras
et les m tins, discrète à la. face ; conjonctiv
ôté des organes respiratoires. 2 ? mat. - L'éruption a pâli sur les
bras
et le devant du tronc. Pas de modifications des
a ta partie supérieure du clos. Quatre Cicatrices de vaccin sur le
bras
gauche et trois à droite. Il n'y a pas d'adénit
e salive. Les mouvements provoqués sont normaux; mais tandis que le
bras
droit est sans cesse agité, soit pour porter la
ouche, soit pour se donner des coups sur la face et sur la tète, le
bras
gauche est immo- bile. Les membres inférieurs
ts, lui fait constater le méfait et se garan- tit le visage avec le
bras
pour esquiver le soufflet qu'il prévoit. Plus t
s par une contracture assez accusée dans la position suivante : les
bras
sont appliqués contre le tronc en légère rotati
iaire à la prona- tion et à la supination et à demi-fléchis sur les
bras
; les doigts sont à demi-fléchis. La peau des m
ent. - Nouveau tic singulier : elle lève successivement les deux "
bras
, l'avant-bras replié sur le bras et se frappe le
elle lève successivement les deux "bras, l'avant-bras replié sur le
bras
et se frappe le nez de ses deux coudes; ello ac
rojette brusquement le ven- tre en avant en ramenant en arrière les
bras
et la jambe gauche. Début de la coprolalie. -
et suivi d'aliénation mentale. Grand' oncle paternel paralysé du
bras
.- Mère, faiblesse des jambes durant l'enfance ; r
ouvé ex juvantibus: quelques jours après, la malade soutenue sous les
bras
par deux personnes, fut conduite au milieu de la
paraît imentibte aux pincements que nous lui pratiquons à la peau des
bras
, mais if ne passe pas à l'état cataleptique quand
igner deux jeunes fillettes atteintes en même temps de contracture du
bras
. Chez l'une, le bras gauche; chez l'autre, le bra
lettes atteintes en même temps de contracture du bras. Chez l'une, le
bras
gauche; chez l'autre, le bras droit. Chez toutes
de contracture du bras. Chez l'une, le bras gauche; chez l'autre, le
bras
droit. Chez toutes les deux le tableau symptomati
tableau symptomatique était le même : flexion de l'avant-bras sur le
bras
, le tendon du biceps tendu comme une corde de vio
La douleur ne se réveillait que lorsqu'on touchait même légèrement le
bras
droit. Dans l'extension forcée la petite malade c
, mais la douleur provoquée était supportable, et quand on lâchait le
bras
, instantanément, et comme un ressort, le bras rep
et quand on lâchait le bras, instantanément, et comme un ressort, le
bras
reprenait sa position. J'ai d'abord employé l'é
on; mais toutes les suggestions ne peuvent se réaliser. « Levez votre
bras
! > J'évoque une image motrice que le sujet po
ent traduire en acte. Si je lui suggère, au contraire, l'idée que son
bras
est paralysé, ou bien il n'acceptera pas l'idée s
rs à une simplo réquisition. Si je dis à quelqu'un : • Tiens, votre
bras
est paralysé! », ce quelqu'un, impressionné par m
Il faut que l'idée fasse inhibition sur le centre moteur cortical du
bras
; il faut que celui-ci, frappé d'inertie par un mé
un mécanisme inconnu mis en œuvre par la suggestion, n'envoie plus au
bras
l'influx nerveux destiné à le mouvoir. Or, la ten
ficace, parce qu'elle est plus facile à réaliser, le centre moteur du
bras
. La contre-suggestion résultant du contrôle céréb
neutraliser la suggestion. Cependant, en suggérant une paralysie du
bras
, je n'ai pas suggéré une chose irréalisable, cont
doute celui qui a mis le feu... Ils lui melleul des cordes après les
bras
. Cela va être fini. » — Je dis : « Un pompier qui
n plus ou moins forte provoque une diminution nette dans le volume du
bras
ou du pied, grâce à la contraction de leurs vaiss
ci un homme avec une machine électrique. Faites-vous électriser votre
bras
qui est encore douloureux. Il dit qu'il va vous g
mais c'est trop cher. Je ne suis pas riche. Enfin, soit ». U tend son
bras
. Après quelques instants, le membre est secoué pa
reusement, sa respiration devient haletante. Il cherche à retirer son
bras
. A la fin, il pousse un grand cri de douleur et r
mment vous devez procéder : faites-moi des passes tout le long de mon
bras
, en vous arrêtant près du poignet ». Naturellemen
expérience d'insensibilité. Et, le regardant fixement, je lui fis au
bras
, avec une pince, un pinçon formidable, sans qu'il
ât une grande douleur. Quand je lui permis de regarder la peau de son
bras
, comprimée entre les mâchoires d'acier, son étonn
toute l'heure que je restai encore là. il ne faisait que se tater le
bras
, que palper la marque, pour voir si le mal n'appa
il s'avançait en sappuyant lourdement sur les talons, en étendant les
bras
avec un dandinement spécial. Après un mois d'ab
ps après s'être reconnue enceinte, elle avait vu un mendiant dont les
bras
et les jambes étaient contractures. Ce spectacle
envahissent tout le système nerveux. Une douleur d'abord localisée au
bras
peut se propager à l'épaule, au dos, a la tète; d
amélioration notable ; la malade a pu élever jusqu'à l'horizontale le
bras
droit qu'elle pouvait à peine éloigner du corps.
r trop vite le membre raidi et douloureux. En tirant trop vivement le
bras
. j'ai réveillé la douleur ; et alors la peur de l
ition de la raideur. faisant exécuter à la malade les mouvements du
bras
, tous les jours davantage, en l'encourageant sans
mousse, un crayon taillé fin, nous tracions sur ses épaules, sur ses
bras
une 6gure, nous voyons presque à l'instant une ro
is sur le tégument cutané de la région presternale, sur la face les
bras
, avant-bras, poignets, cuisses, jambes; toutefois
ue instantanément, l'anesthésie était complète, les membres soulevés (
bras
et jambes) gardaient l'attitude qu'on leur donnai
it quelconque amènerait successivement la contracture des muscles des
bras
el des jambes, nous avons vu la contracture se pr
en avant, et elle parut entrer dans un bon sommeil. Je soulevai les
bras
. Us restèrent comme je les plaçais; je fis tourne
le sujet présente un certain automatisme. Ainsi lorsqu'on lui lève un
bras
ou une jambe, ce membre reste dans l'attitude qu'
d'initiative pour changer cette attitude. Si on fait tourner les deux
bras
du sujet l'un autour de l'autre, ce mouvement de
ltat d'une autosuggestion. Le sujet interprète l'acte de soulever son
bras
ou sa jambe comme un ordre de le maintenir levé e
'état cataleptoîde observé précédemment dès le début du sommeil ; les
bras
et les jambes soulevés gardent l'attitude imprimé
s gauche, nous amenons la généralisation des contractures, d'abord au
bras
droit, puis à la jambe droite qui se soulève et e
la contracture se généralise comme chez le sujet précédent, les deux
bras
se soulevant successivement, puis les deux jambes
aucoup de praticiens, d'ailleurs émineuls, oui le lort d'attendre les
bras
croisés). Le poumon gauche récupérait donc chaque
a suggestion, puù effectué dont lt sommeil hypnotique. — Paralysie du
bras
(après phlegmon et phlébite grâce) guérie en une
), complique la situation d'une phlébite grave -de l'avant-bras et du
bras
avec engorgement considérable des ganglions axill
isepsie. Ce nouveau cas chirurgical esl suivi d'une subparalysie du
bras
et de la main, que le hasard me révèle au bout de
temps après elle se serait trouvée incommodée extraordinairemeni des
bras
et des mains, lesquels luy fourmilloycnt comme au
à ce point que de n'avoir peu en aucune façon remuer ses mains et ses
bras
de dessus son ventre, sur lequel ils estoyent com
rue, estant au-devant de la maison de ladite déposante, et levant les
bras
contre leur fenestre, elle auroit dit tout haut e
faites tort, i et se retira. « Dépose en outre que dès ce moment le
bras
du costé où elle avait osié ladite chenille luy f
faisoit des douleurs, et au bout de quinze jours fust impotent dudît
bras
. » C'est bien ainsi que les choses se paeseni d
ndividuelle plus grande du malade. Cependant Jacob Aymé, voyant son
bras
paralysé, allait traduire en justice celle qu'il
à présent. » A qnoy elle respondit, en luy passant sa main dessus le
bras
duquel il était impotent, trois ou quatre fois (d
eu, vous mo faites tort » en lui repassant toujours la main sur ledit
bras
. En suite de quoy et au bout de quinze Jours fie
urs fie même temps qu'il fallut pour rendre la paralysie complète) le
bras
duquel il éiaii impotent fut remis en bon estai,
ncore je donnais mes soins à une dame pour une paralysie psychique du
bras
qui dura pendant plus de six mois, et ne céda qu'
éveillée par une douleur dans l'épaule droite avec engourdissement du
bras
correspondant. Elle s'était découverte pendant so
eurs et l'engourdissement persistèrent pendant les jours suivants. Le
bras
devint peu à peu insensible cl impotent. En cinq
o et monta par la rue Verdavne et sortit par le Four, ayant* ses deux
bras
derrière soy et son manteau. » « Du Jeudy 3 de
également perceptible sur les cuisses, mais non sur la tête et les
bras
. Lorsqu'on lui dit de remuer les membres inféri
peut se tenir debout. On lui dit de se mettre debout avec l'aide du
bras
de deux per- sonnes. On voit alors ses membres
se se soulève, et il va une secousse générale de tout le corps, les
bras
y compris, surtout à gauche. Le clonus du pied n'
plusieurs pouces au-dessus du sol. Quand le malade s'appuie sur les
bras
d'un aide, il ne saute pas, il se redresse, et,
flexion et de rotation, et les avant-bras se fléchis- sent sur les
bras
. La marche est très pénible. 1;... éprouve des
. G... a d'abord quelques 'secousses dans les mollets et dans les
bras
: celles-ci sont de plus en plus rapides et fréqu
on. On ne trouve aucune exagération de la sueur dans l'aisselle, au
bras
, ni à la main. La fonction sudorale du côté gau
urs. D... a remarqué, depuis quelques années, qu'en plongeant les
bras
dans l'eau chaude, il ne sentait pas à la main dr
ité nous revèle. La sensibilité à la température est égale aux deux
bras
et aux avant-bras. Mais déjà au niveau du poign
elles ont gagné DES ÉPHIDROSES .DE LA FACE. 39 l'avant-bras et le
bras
, et actuellement D... ressent dans la sphère du
n trois ou quatre minutes, remontent le long de lapartie interne du
bras
pour se perdre dans l'épaule. On ne détermine d
des membres. Période clonique. - 10 La face se tourne à droite, le
bras
et la jambe correspondant sont animés de convul
ir absorbé. Mis en marche, il s'avance sans trop d'hésita- tion les
bras
écartés du tronc, le dos arrondi et avec une sort
séjour dans la famille n'est un bien pour un aliéné que si tous les
bras
s'ouvrent pour le recevoir, et l'affection ne se
lade est du reste éminem- ment contracturable. Si on soulève un des
bras
on le voit garder la position donnée; il est ra
es. En juin, hypéralgésie, amaigrissement prononcé des jambes et du
bras
droit; un peu de glycosurie. Fin juin et début
lioration ; quelques se- maines plus tard, le malade se sert de son
bras
droit et marche à l'aide de deux cannes. Démarc
, se sentant parfaitement bien; mais depuis le printemps (1884), le
bras
commença à faiblir dans l'articulation de l'épa
ion musculaire et peu à peu se développa la scoliose. Vers l'été le
bras
gauche faiblit également. Le malade ne put plus
suite de brûlures antérieures. En outre, sur la face antérieure du
bras
et de l'avant-bras, la peau est couverte de ray
paraît même hyper- trophié en comparaison du gauche. Les muscles du
bras
présen- tent le degré moyen de l'atrophie. Elle
u'on puisse en juger, ne présentent pas d'atrophie. Mouvements. -Le
bras
droit ne peut être soulevé; des mouve- ments d'
ne peut être soulevé; des mouve- ments d'élévation en tous sens du
bras
gauche ne se produisent qu'à un angle de o ; da
ement est assez énergique, quoique un peu affaibli. Le mouvement du
bras
gauche en arrière se fait avec une certaine for
ctures. Des mouvements fibrillaires s'observent dans les muscles du
bras
et du thorax. Les cordons nerveux et les muscle
ne perçoit même pas la différence de 15°. La partie supérieure du
bras
droit et la partie inférieure du bras gauche ne
5°. La partie supérieure du bras droit et la partie inférieure du
bras
gauche ne per- çoivent pas la différence de tem
. En été 1884, durant deux, trois semaines, il se développa dans le
bras
droit un état semblable à celui qu'il éprouvait
e de la peau : les plis de la robe, la moindre secousse irritent le
bras
sans provoquer de douleur locale, mais en pro-
et cessait bientôt. Dès le début de l'apparition de la douleur, le
bras
commence à faiblir. L'amaigrissement de la main
égion scapulaire, près de la clavicule et à la partie supérieure du
bras
à la moindre secousse. L'articulation de l'épau
ne perçoit pas de différence de 25°, et à la partie supérieure du
bras
de 40°, entre 0 et 40°. Aucune de ces température
ce étaient indemnes, il n'en était pas de même de la sensibilité du
bras
droit. Il y avaitde la thermanes- thésie de la
ntôt rapidement, l'éphidrose envahit le cou, la nuque, l'épaule, le
bras
. Les exemples ne sont pas très rares de ces hém
s, le malade marchait, en chancelant un peu, se servait bien de ses
bras
, mangeait pro- prement avec la cuiller et la fo
semaines portant exclusivement sur le côté droit et prédominant au
bras
. - Vertiges (deux ans et demi à six ans). - Pre
e d'un bond; il a peur, semble regarder un point fixe en l'air, les
bras
en avant, il va à reculons, comme pour fuir un
urés empêchaient la tête de reposer sur l'oreiller; si on levait un
bras
, celui-ci restait en l'air pendant des heures,
sensitivo-sensorielle et de légère contracture principale- ment au
bras
, paralysie hémiaciale incomplète du même côté que
n met l'individu à surveiller dans l'incapacité de se servir de ses
bras
et par conséquent de se mutiler. Cela vaut mieu
étranglée). Au milieu de janvier 1887, paralysie de la jambe et du
bras
droits; mort fin janvier dans le stertor. Autop
nce, fièvre légère. Le 15 mai, brusquement, paralysie incomplète du
bras
droit, aphasie ; le malade ne peut émettre que qu
n jusqu'au 25 mai ; à cette époque, convulsions cloniques dans le
bras
droit et la moitié droite de la face, plusieurs f
développées ; les mains et les pieds sont cyanosés, froids. Sur les
bras
, cica- trices de vaccin ; trois cicatrices sur
ôtés et ne cède pas. Pour le faire avancer il faut le tirer par les
bras
. - Attitude. Corps incliné en avant, les bras u
faut le tirer par les bras. - Attitude. Corps incliné en avant, les
bras
un peu écartés du tronc, les avant-bras à angle
place et se promène continuellement comme une femme ivre, les les
bras
ballants, toujours prêle à tomber. D'autres fois
qu'on lui dit ou qu'elle entend autour d'elle. Secousses dans le
bras
droit imprimant au membre un mouvement à peu près
nt ses idées mélancoliques, travaille un peu. Plus de mouvements du
bras
. 20 octobre. - Redevient hallucinée et anxieuse
, mes pauvres enfants. » Marche ci reculons; mouvements saccadés du
bras
droit. Novembre. - Mu0 C..., se dit criminelle,
les petites circonstances de sa vie. - Mêmes mouvements saccadés du
bras
droit, presque con- tinuels. Cette malade, qu
rcée, on s'était vu obligé d'appliquer des appareils appropriés aux
bras
et aux mains, afin d'éviter les ulcérations qu'
malades debout, puis à les faire marcher en les soutenant sous les
bras
, enfin, on perfec- tionne la marche â l'aide du
ens, allonge la langue malgré lui, fléchit et détend violemment les
bras
ou les jambes et souvent glisse de sa chaise. L
e, la peau présentait des taches brunes ou noires sur la face et le
bras
, et les cheveux étaient gris par places de ce c
paule droite. Affaiblissement graduel de la motilité. Intégrité des
bras
. Dans les extrémités inférieures, troubles cons
ns douleur. Diplopie. Alité le 3 février 1886 : parésie des jambes,
bras
pendants, délire. Le 26, désordre très prononcé
paralysie généralement très étendue. Dans le cas de M. Oppenheim,le
bras
atrophié ne pré- sente pas de trouble de sensib
aralysie, soit uni, soit bi-latérale, portant sur tous les nerfs du
bras
(compres- sion d'une ceinture de voltige et d'u
s. C’étaient d’abord des convulsions des muscles de la face , puis du
bras
; deux ou trois moments après le corps participai
utérus et l’obligeai à rester ainsi jusqu’ù sept heures du matin. Les
bras
et les mains se couvraient de vésicules produites
ux ou trois fois, ayant eu l’attention de la soutenir par dessous les
bras
, pour lui éviter de tomber par terre; car, aussit
me nerveux, mais se faisait « particulièrement sentir à la saignéetiu
bras
gauche. « Le soir, sa robe touchant un chenet, ce
Il fut reconnu que le fluide ou l'agent « qui détermine le trismusdu
bras
gauche a sa source « dans le cervelet. « On tro
, toujours électrisées, approchées » à quelques centimètres du pli du
bras
, lui firent « éprouver une douleur vive qu’elle d
elle reconnut, soit par le contact, soit par l’appro-« cbe au pli du
bras
, les fragments frottés. « Une aiguille aimanté
ue liori-« zontalcmcnt à l'aide d’un fil de soie, par l’approche . du
bras
de celle-ci oscilla rapidement, puis enfin rest
vement rotatoire, convulsif, sorte de trismus choréique dont les doux
bras
étaient atteints, le gauche surtout, qui était en
outre chaud et tuméfié. J’appris que ce trismus s’était communiqué uu
bras
droit depuis un jour seulement. II n'en fut pus d
mont qui m’initia. Je vérifiai à plusieurs reprises que les poils des
bras
fixés sur l’épi— derme au moyen d’un peu de saliv
en d’un peu de salive se dressent rapidement quand on les approche du
bras
gauche de la patiente. Plus je voyais d’effets,
ne grenouille fraîchement écorchée et vouloir la lui appliquer sur le
bras
.’ Elle a peur, se récrie, ne veut point de ce co
ment, sans rien éprouver, sans souffrir. Les émissions électriques du
bras
sont éteintes, et elle est dans la condition de t
is cette force n’était point lumineuse; quelquefois clic sortait du
bras
par ondées qu’on pouvait jusqu’à un certain point
Cos-son, « sur l’indication silencieuse des visiteurs, lui f rend le
bras
semi-cataleptique, et lui fait de même « ouvrir e
e traitement qu’elle devait suivre, se fit pratiquer deux saignées au
bras
gauche, et fut complètement guérie dans l'espace
ns mouvements isochrones. Ainsi la malade soulevait successivement le
bras
gauche et le droit, le pied droit et le gauche, e
« il est question d’une aiguille aimantée qui, sous l’in-« fluence du
bras
de la jeune fille, fit d’abord de ra-« pides osci
dans ses mains, l’a appliqué sur son estomac, tout en se croisant les
bras
. Après quelques minutes de réflexion, à la voix d
r lui, le tint longtemps embrassé, puis se laissa tomber à terre, les
bras
roidis, le «ou gonflé, l’ceil vitreux, le visage
réalité pour la somnambule. Elles’atta- • cha plus fortement à son
bras
, son visage se cou-« tracta péniblement, ses jamb
out à fait perdu ses propriétés. Le 10 avril au soir, le mouvement du
bras
gauche, qui avait seul persisté durant les divers
éternel bonheur. Oh! viens, ma sœur chérie, Vois, je te tends les
bras
; ■ Parlons, de ses liens ton âme est affranchi
: T. u. 15 MAI 1846. 9 MAIN GAUCHE. I.ES QUATRE DOHSTS. LE
BRAS
. « L’Algérien opéra sur son enfant devant moi.
e dans laquelle la substance était suspendue à l’extrémité du petit
bras
d’un levier équilibré, tandis qu’un grand disque
équilibré, tandis qu’un grand disque de papier était attaché au long
bras
placé à l’abri sous un écran de verre. De cette m
n d’une tumeur enkystée, l’amputation d’un sein cancéreux, celle d’un
bras
ou d’une jambe, par cela seul que les personnes é
ière et se porte sur le dossier du fauteuil. Le malade tient ses deux
bras
croisés sur la base de sa poitrine; son fades exp
d’une heure; sans appui aucun (car elle avait mis son bâton sous son
bras
), puis rentre chez elle, danse dans la cour de sa
; éclairez-vous autant qu’eux, secondez-les même en les aidant de vos
bras
et do votre pensée, mais réservez-vous d’être hom
t un ange exilé du ciel ! Adoptez la jeune immortelle Qui vient les
bras
chargés de fleurs el de présents; Rois qui sur
Les choses étant disposées comme il vient d’être dit, vous étendez le
bras
et un doigt vers l’objet mobile et suspendu de ma
arge, et s’arrête dans cette position jusqu’à ce que vous retiriez le
bras
; dès ce moment il reprend sa première position et
eu puissant, danslescns névrur- gique (magnétique), n’étendez ni le
bras
ni le doigt : tenez-vous en repos, et regardez fi
ue dans la première expérience. Troisième expérience « Au lieu du
bras
, dirigez une tringle de bois ou de métal, un roul
; elle ne se soumet donc jamais. L’homme peut laisser enchaîner ses
bras
, sa parole; sa pensée, il ne le peut pas; la libe
rte que pour compenser l’inégalité alternative de pesanteur de chaque
bras
attirant dans son arc de révolution ce centre de
ience. « Dans les dispositions que l’on vient de voir, au lieu de
bras
et du doigt étendus vers l’aiguille, je dirigeai,
xemple, eût provoqué un frémissement semblable. Moïse, étendant les
bras
sur la montagne durant le combat des Hébreux cont
ation visible disparaissait à leurs yeux. Aaron et Hur soutinrent les
bras
du prophète des deux côtés, et Josué enfin demeur
ayant évité le coup de poing qu’elle lui destinait, lui paralysa les
bras
, qui restèrent tendus. Sa fureur augmentant, elle
lle rencontre partout des incrédules. « Le mouvement ondulatoire du
bras
gauche est passé au droit; c’est à peu près le se
périmentale du Mans, une bougie en igni-tion ayant été placée sous un
bras
contracturé (cata-leptisé), dans l’intention de s
ut détruite, môme en plaçant la bougie à 50 centimètres au-dessous du
bras
. L’application directe d’un corps chaud, celle de
e présente : la non contracture des muscles des mains, tandis que les
bras
et les avant-bras sont dans un état d'extrême roi
rmie. Ces contusions ont laissé des ecchymoses sur les cuisses et les
bras
. La lucidité somnambulique est arrivée à tel po
s douleurs sont intolérables... U survient uneroideur tétanique des
bras
puis de la jambe droite. Je dégage cette dernière
ba presque instantanément dans le coma. La contracture musculaire des
bras
et des jambes essayée fut assez intense pour qu’i
on les phénomènes d’attraction, de répulsion, de raideur tétanique du
bras
el de la jambe gauches, d’insensibilité à l’actio
’on lui commande d’aller à la fenêtre, elle va au piano; elle lève le
bras
quand on lui commande de lever la jambe; pas un s
chairs des stylets, des aiguilles à tricoter, transpercent enfin les
bras
et les jambes de ces infortunés avec des pointes
tique. Sur quoi donc agit-il? En vertu de la loi de la pesanteur, mon
bras
, abandonné à lui-même, tombe perpendiculairement
eur qui m’appelait au centre de la terre, et qui faisait tomber mon
bras
perpendiculairement à mon corps. « Eh bien , qu
être dans un état de souffrance, se lève tout à coup, elle étend les
bras
en crispant les mains, les traits de sa figure se
vous le voyez par moments fléchir tout à coup son avant-bras sur son
bras
et, ensuite, par un brusque mouvement d'épaule, é
à droite et inversement dans la moitié supérieure; la main droite, le
bras
étant pendant, descend beaucoup plus bas que laga
quels je vous renvoie. 2e Malade (Entre une mère portant dans ses
bras
sa fille, enfant de 8 ans. Son mari l'accompagne,
n observe cependant encore quelques mouvements involontaires dans les
bras
, les jambes et la tête. La parole est redevenue d
avez sous les yeux, se dresser tout à coup sur son séant, étendre les
bras
en avant, puis retomber sur son lit, pour recomme
'à ce jour. Les premiers mouvements involontaires ont paru dans les
bras
et dans la tête vers le 5 novembre, c'est-à-dire
grimaces, ses gestes sont des plus désordonnés ; soudain il lance ses
bras
de chaque côté du tronc, croise ses jambes avec u
frottement s'étendent maintenant à la face postérieure et interne des
bras
. On n'a pu le laisser hors du lit, sur son fauteu
eues dans le dos, dans les pieds et les jambes d'abord, puis dans les
bras
et les mains, et un peu partout, M. Charcot : V
e du sentiment de faiblesse, de fatigue accusé par la malade dans les
bras
, toutes les fois qu'elle voulait s'en servir en l
ainsi suspendu, on lui commande de temps en 29 temps d'élever les
bras
doucement vers l'horizontale de façon à rendre, s
effectives. Fig. 48. — Lejnalade suspendu : mouvements latéraux des
bras
. Nous pensons que la plus longue séance ne doit
d'être suspendu, quitter son vêtement de dessus, de façon à avoir les
bras
libres ; le cou doit être à nu, ou du moins ne pa
obligé de me faire conduire ici par ma femme qui me soutenait par un
bras
,tandis que de l'autre côté je m'appuyais sur une
non enragé. Malgré des douleurs assez vives qu'il ressentait dans le
bras
droit, notre homme prenait patience ; il espérait
Avez-vous quelquefois de semblables douleurs dans les mains, dans les
bras
? La malade. — Oui monsieur, fort souvent au bo
é, comme d'habitude après mes fugues, et j'avais besoin d'étendre les
bras
et de m'étirer comme on le fait quand on se révei
t dit : « Allons. » Dans la rue elle dit à M. C... qui lui donnait le
bras
: « Où me menez-vous ? — Mais chez moi, à la Chap
it un certain degré de rigidité qui dépend d'un spasme musculaire. Le
bras
est appuyé et immobilisé sur le côté droit du tho
e côté droit du thorax ; l'avant-bras est fléchi à angle obtus sur le
bras
et en même temps fixé dans la pronation forcée. L
s. La peau du membre contracture est dans toute son étendue, épaules,
bras
, avant-bras, main frappée 1. 13« Leçon du mardi
apport au tronc, un mouvement de flexion et de rotation, et les-avant
bras
se fléchissent à leur tour sur les bras. Il paraî
et de rotation, et les-avant bras se fléchissent à leur tour sur les
bras
. Il paraît clair que ce sont ces mouvements de fl
quoi la nuit ? il n'a jamais pu le dire. Je signalerai encore, sur le
bras
droit, le dessin d'un homme « en costume de mousq
eau dont il frappe les murs. Une fois, il s'en est frappé lui-même au
bras
gauche, produisant une large blessure dont il por
doigts, au-dessus et au-dessous du coude et du genou. Périmètre du
bras
droit, 24cc — Bras gauche 24cc — de l'avant-bra
et au-dessous du coude et du genou. Périmètre du bras droit, 24cc —
Bras
gauche 24cc — de l'avant-bras droit, 25cc — ava
éciable soit intervenue, il s'aperçoit que son épaule droite, puis le
bras
du même côté s'affaiblissent; si bien que l'exe
vient des plus évidentes. Un peu plus tard, l'épaule d'abord, puis le
bras
gauche subissent exactement le même sort. Enfin,
tant de se tenir aux objets environnants et de changer de place. Au
bras
droit, les muscles du moignon de l'épaule sont at
faces articulaires. Le malade ne peut pas étendre l'avant-bras sur le
bras
sans s'aider de la pesanteur ; le biceps est très
encore à l'état de corde sous la peau. L'adduction et l'abduction du
bras
sont impossibles, il en est de même de l'élévatio
évation. L'avant-bras est amaigri, mais considérablement moins que le
bras
; la supination est impossible, la pronation très
possible, la pronation très incomplète. Les muscles de l'épaule et du
bras
sont agités de tremblements fibrillaires presque
A. gauche même atrophie, seulement moins prononcée, de l'épaule et du
bras
, mêmes secousses fibrillaires. Le malade peut enc
du bras, mêmes secousses fibrillaires. Le malade peut encore lever ce
bras
en l'air, mais quand il est placé dans l'extensio
ès, la localisation de l'atrophie dans les muscles des épaules et des
bras
, les avant-bras et les mains étant relativement p
ier. Aujourd'hui, l'atrophie porte sur les muscles des épaules et des
bras
, et elle s'y montre à un haut degré : type scapul
'est que l'amyotrophie s'est d'abord localisée sur les épaules et les
bras
, tandis que dans les cas classiques du type Duche
t sur celui de son mari. Elle nia, tout d'abord. — « Montrez donc vos
bras
; vous vous faites des injections de morphine. De
ramasser quelque chose avec ses deux mains, se redresser, élever les
bras
, puis se baisser de nouveau et répéter cette manœ
es lésions produites par l'étincelle ; ainsi, si la lésion atteint le
bras
, c'est le bras qui sera paralysé ; ce sera le pie
uites par l'étincelle ; ainsi, si la lésion atteint le bras, c'est le
bras
qui sera paralysé ; ce sera le pied au contraire
r la foudre près de Montargis ; en tombant elle crut qu'elle avait le
bras
et la jambe cassés. Lorsque le Dr Gastillier arri
étaient insupportables. Le septième jour, elle commença à mouvoir le
bras
droit,la main et les doigts, et la sensibilité se
en même temps à la^main droite et au pied gauche. Le neuvième jour,le
bras
avait acquis assez de force pour se servir de béq
M. Roaldès eut été atteint par la foudre,les membres inférieurs et le
bras
droit étaient entièrement privés de sensibilité e
lysées ; trois heures après l'accident, le malade put, en s'aidant du
bras
d'un de ses amis, monter sur le comble de sa mais
, la poitrine comme dans un acte de contrition, ou encore, élèvent le
bras
comme dans un mouvement de défense. On n'en finir
aient sous lui. Il serait tombé si on ne l'avait pas soutenu sous les
bras
». L'enfant étant replacé sur son lit, dans le dé
résultats. Deux élèves étaient obligés de soutenir l'enfant sous les
bras
et quand on lui disait de marcher, les jambes s'a
et sautant plutôt qu'il ne marche et portant vivement devant lui ses
bras
étendus, comme pour s'entraîner; de plus,à chaque
se voient à droite comme à gauche, aux mains, sur les avant-bras, les
bras
, les épaules et quelques muscles du tronc. Les ré
au même degré ; ils sont pendants le long du corps: les épaules, les
bras
, les avant-bras et la main considérablement amaig
aux mains, aux avant-bras, sur toute l'étendue du tiers inférieur des
bras
. Sur les épaules, la partie supérieure des bras,
u tiers inférieur des bras. Sur les épaules, la partie supérieure des
bras
, le cou, le devant de la poitrine, la moitié supé
on de contact. Il en est de même sur toute l'étendue des épaules, des
bras
, des avant-bras et de lamain. Dans d'autres explo
t au-dessus. Sur les mains, les avant-bras, et le tiers inférieur des
bras
,pour produire la sensation de chaud, il faut que
pt ou huit mois plus tard, dans les avant-bras d'abord, puis dans les
bras
et enfin dans les épaules. Depuis 1882 l'évolut
de même que la céphalée constrictive ; il sentait que sa jambe et son
bras
droit devenaient faibles ; il obtint un congé et
ortir de cette première attaque, Glaw... remarqua que sa jambe et son
bras
droit? tremblaient plus fort, que ces membres éta
un peu moins affaibli que la jambe. Le malade peut exécuter avec son
bras
droit tous les mouvements qu'on lui commande, mai
Le membre inférieur droit tremble aussi, mais beaucoup moins que le
bras
. Par contre, il est relativement plus affaibli. L
t chez lui, il éprouva « des frémissements », des picotements dans le
bras
gauche, « comme si on l'avait électrisé »; puis i
la nuit. Le lendemain, quand il voulut se lever, il était paralysé du
bras
et de la jambe gauche; il était incapable de mouv
imanche depuis quatre ans, résultat d’une frayeur. 3° Paralysie «lu
bras
droit sur une fille de vingt-huit ans, durant dep
s ; détruite en grande partie. La malade fait maintenant usage de son
bras
pour des travaux qu'elle ne pouvait exécuter. 4
convulsions si fortes, si violentes, que son mari, qui lui tenait le
bras
droit, crut qu’elle allait expirer. Il me demanda
on en Angleterre et dans l’Inde. Opérations. « 1° Amputation d'un
bras
, d'un sein, d’un pouce et de deux pénis. « 2° A
7° Réduction de six rétractions musculaires, tant de la jambe que du
bras
. « 8° Cautérisation d’un ulcère avec la potasse
tique, une névralgie crurale, guéris en une semaine; une paralysie du
bras
en un mois, et une hémiplégie en six semaines, pa
t haletantes, et lorsqu’il fléchit pour saisir le symbole du mal, des
bras
se sont levés, des bouches ouvertes, comme si, bl
ble à rendre, arrive au point 0 sur M. du Potet, qu’il étreint de ses
bras
et inoude de ses larmes. Voilà deux épreuves qu
a les traits bouleversés, les cheveux hérissés, les yeux hagards, les
bras
étendus, les doigts écartés ; il s’agite violemme
des gens fort habiles qui, sans diplôme, remettent les jambes et les
bras
, guérissent les entorses beaucoup mieux que les h
position. Je la vis le \ octobre. Elle avait, outre la paralysie du
bras
cl de la jambe, la mâchoire inférieure déviée, po
é gauche, et bientôt après elle me dit sentir des picotements dans le
bras
droit, ce qui me fit espérer d e la guérir. Encou
n, j’appris qu’elle avait ressenti toute la soirée les picotements du
bras
droit, et que son sommeil, de lourd qu’il était h
reproduction des effets de la veille, plus une grande sensibilité du
bras
paralysé. Je déterminai de violentes secousses da
en semble ravi ; une’doucc chaleur partout le pénètre,' et un de scs
bras
, peu flexible par suite d’affection rhumatismale,
on, sans qu’elle en témoignât la moin -dre sensation. Elle porte un
bras
à sa tête ou à ses pieds, soulève la jambe droite
ments, par un ordre mental; ainsi il tourne, avance, recule, lève les
bras
, les jambes, s’assied et se relève au gré du magn
oduit. Mais quelques minutes après l’opération, il éprouvait dans les
bras
et les jambes le sentiment de fatigue d'un homme
s le préférence au chêne? et la vigne, de deux arbres qui tendent les
bras
pour ses pampres, se penchera sur le tronc des or
calmer la chaleur atroce de la langue et des lèvres, elle portait mon
bras
à sa bouche, et promenait sur ma peau scs lè- v
ouvements généreux qui le transportent, il jette ses armes, étend les
bras
, et prie son camarade de se précipiter, pour trou
n refuse; mais, cédant à des prières redoublées, il s’élance dans les
bras
qui lui sont ouverts. Les deux anciens compagnons
8 avril 18/|7. L’année dernière, M. de W. vit s’éteindre entre ses
bras
sa douce et charmante fille, qui avait à peine di
qui me verra marcher les yeux fermés. — Non, non, tu me donneras le
bras
, et nous aurons l’air de nous promener. Allons, d
n’avons rien à craindre. » Aussitôt elle se leva, et, refusant mon
bras
, s'achemina, en faisant mille détours, et disaut
us. » « Bonaparte se leva, fit plusieurs fois le tour du salon, les
bras
derrière le dos; puis, avec gaieté, il dit à José
rents: noussommes dans la sphère du vrai; dans les seconds, comme les
bras
de l’angle, nous nous écartons de plus en plus.
s, disciples d’un môme cercle, leurs segments n’eurent jamais que des
bras
égaux. Mais comme ils eussent marché vite s’ils
ple de penser qu’ils sont la cause transéante et non fondamentale, le
bras
et non la volonté. Maintenant ôlez Dieu, restent
s le respect des peuples, et en Perse la royauté ne passait qu’en des
bras
experts de magie. Neminem apud Persas regno polir
; 2° Section du tendon d’Achille ; 3° Section de deux tendons au
bras
; 4° Introduction d’une sonde dans la matrice;
quand, un jour, une de ses nièces, en jouant sur son lit, passe à son
bras
un collier d’ambre. Immédiatement les spasmes ces
age, elle n’éprouvait rien ; mais si on portait l’index seulement aux
bras
ou aux ge-nonx, aussitôt les jugulaires gonflaien
renvoyant fort souvent un courant frais qui produit l’éripilation des
bras
. Ne serait-ce pas le fluide maladif déplacé par c
re Cuny. 29, 87 Aimant médicinal. 337 Ambre — 334 Amputation du
bras
. 68 — de la jambe. 226 Angine gnngréneuse. 19
n, cclui-ci ne serait pas député aujourd’hui. 2° Un homme, ayant au
bras
une tumeur de 14 kilogrammes, éthérisé dans le mê
maladie qui resfa d’abord cachée, simulant une affection goutteuse du
bras
droit, avec palpitations, douleurs d’estomac, etc
rtistique. Assise sur un siège élevé, le front ceint de lauriers, les
bras
couverts de chaînes d’or, les pieds chaussés de s
près ils seront toujours habillés en blanc; la tète, la poitrine, les
bras
et les pieds encore découverts, excepté l’hiver.
n pantalon court et un espèce de.....ou blouse courte, qui laisse les
bras
libres pour les exercices et les travaux. La tè
les efforts furent sans résultat: le mal allait toujours empirant, le
bras
droit était paralysé, l’enflure du corps en génér
vère m’a déjà mis dans le cas de pouvoir marcher, de me servir de mon
bras
et m’a rendu le libre usage de la parole. J’ose
ence et le fis marcher assez loin sur la route, en lui maintenant les
bras
catalcptisés aussi longtemps queje le voulus; ens
re; je le lis sortir de la salle et tourner comme un tolon, ayant les
bras
étendus et inflexibles; puis je le ramenai à sa p
c.) 08. Catherine, fille Pieulet, d’Arète. (line vieille plaie au
bras
droit.) 09. Marie Cazabak, épouse Labroüï, de P
onsistait dans l’ablation d'un sarcocèlc, dura quatre minutes. Ni ses
bras
ni ses jambes n’étaient maintenus. 11 ne fit. auc
« Murali-Duss (l’opération étant très-grave) remua le corps et les
bras
, respira par saccades et changea d’aspect, sans p
on les cache dans le sein, on les habitue à plier autour du cou et du
bras
sans mordre, on les habitue à faire le morl el
oit à moi, m’embrassa très-fort, me rattacha mon madra9, me remit les
bras
dans mon lit, puis elle lira de son sac une lettr
sition horizontale, et avançait ainsi, comme soutenu et porté par des
bras
qu'on ne voyait point. Le profil de cette figure
rofiter de la première occasion favorable à l’opération. Le 12, ses
bras
, croisés sur sa poitrine, étaient rigidement fixé
ui donner un cordial, je trouvai ses dénis forlement serrées et ses
bras
d’une ligidilé considérable. Il continua de se pl
n furent point altérés et il continua de dormir. En lui prenant les
bras
je vis une cloche à l’un d’eux; j’y fis une incis
it de s’éveiller en sentant le froid. Quand on lui montra la plaie du
bras
, il en fut grandement étonné et dit qu’en donnant
il, l’avait éveillé. Le 30, je couvris d’acide nitrique sa plaie du
bras
; la chair blanchit aussitôt, mais il ne tressaill
éraux : la douleur était «i aiguë que j’ordonnai de lui fomenter le
bras
avec de l’eau chaude. Un poêle fut commandé pou
omme naturellement, se détira, se plaignit d’ayoir les cuisses et les
bras
roides ; et en voyant son frère, Bogo-bun Doss, i
s l’assemblée. Il fit venir à lui le jeune homme, lui fit lever les
bras
et les jambes sans le toucher; il ¡nia quelqu’un
échit et tombe à la plaçe première qu’elle occupait. Elle allonge les
bras
, enfonce ses ongles en terre et rampe en traçant
yeux, m’appelle avec ses cent bouches, el m’auire avec ses deux cenls
bras
. J’arrive, et c’est à qui me racontera les mervei
peu à peu, et enfin complètement ; la malade ressentit alors dans les
bras
une légère fatigue, mais bientôt après tous ces c
nts, les mêmes gestes que le magnétiseur. Par exemple, lève-t-il un
bras
, le sujet en fail autant, parce que la volonté du
e qu’un souvenir vague et confus ; j’avais de fortes convulsions; mes
bras
, mes jambes se raidissaient ; mon corps se tordai
gt; décrites précédemment, à marcher, soit en les tenant sous les
bras
, soit à l'aide du charriot. On fortifie leurs m
xercer les plus invalides aux premiers mouvements des jambes et des
bras
. Les jeux usités en récréation, sous la directi
arallèles; nous les faisons sauter sur place en les tenant sous les
bras
; nous leur faisons pratiquer des frictions stim
tion d'eau chaude en hiver, et séparation de chaque orifice par des
bras
de fauteuil; par un réfectoire, le cabinet de l
'enfant, surtout la main droite qui est en demi-flexion sur l'avant
bras
; les quatre derniers doigts sont demi fléchis
ite taille, assez chétive. Ne se tient debout que soutenue sous les
bras
. Ne parle pas, ne parait rien comprendre, ne fi
rendre, ne fixe son attention sur rien. Se met en colère, agite ses
bras
et ses jambes quand on l'examine. Tête ronde,
les. Trois cicatrices de vaccine au DESCRIPTION DE la malade.. 15
bras
droit. Articulations saines. Mains petites, doigt
il veut la remuer, elle est le siège de mouvements athétosiques. Le
bras
est assez mobile. Du côté des membres inférieur
ue la paralysie s'amendant, Le T... a commencé à se servir de son
bras
paralysé. L'hémiplégie avait les caractè- res h
ment, leur imprime des attitudes particulières et permanentes : les
bras
en légère abduction, les avant-bras fléchis au
bras en légère abduction, les avant-bras fléchis au maximum sur le
bras
, les mains légèrement fléchies, plus à droite,
rieurs décharnés. L'avant-bras droit est en flexion complète sur le
bras
qui lui-même est à peu près cons- tamment appli
appliqué sur le tronc. L'avant-bras peut cependant s'étendre sur le
bras
presque à angle droit. Les mouvements volontair
t lieu surtout au réveil et consistaient en un tres- saillement des
bras
avec rotation de la tête et des yeux. Elles n'é
puis avait des convulsions cloniques qui siégeaient surtout dans le
bras
droit. Les jambes étaient moins agitées, ainsi
dans le bras droit. Les jambes étaient moins agitées, ainsi que le
bras
gauche. Les yeux se déviaient, devenaient blanc
ction, l'avant-bras dans un état qui dépasse la demi-flexion sur le
bras
; les mains sont en flexion légère sur le poigne
que la droite. L'enfant résiste très fort lorsqu'on veut écarter le
bras
de cette l7osition. 1 ! c-t lrusclilïicilc : clan
race d'un abcès ganglion- maire survenu il y a 7 ans. Il y a sur le
bras
droit, au niveau du tiers inférieur, une cicatr
ieur droit est contracture. L'avant-bras est en demi-flexion sur le
bras
. La main en pronation est déviée sur le bord cu
n de l'en- fant, elles paraissent se multiplier. La face externe du
bras
droit est le siège d'une plaque érythémateuse,
s. L'enfant criait constamment. Dès son bas-âge, on constata que le
bras
droit fonctionnait très difficilement. On avait
rès son retour de chez la nourrice, un état de demi-contracture des
bras
et des jambes. Les parents auraient aussi noté
nfant semble mieux comprendre. Debout, il se tient un peu voûté, le
bras
droit allongé sur le membre inférieur du même c
retour chez ses parents, on a constaté une paralysie incomplète clu
bras
droit, des mouve- ments choréiformes des mains
re- miers temps de la vie, l'enfant criait constamment et que son
bras
droit fonctionnait très difficilement. III. L'i
es. T.R. 3 ? 7. -Soir : 39°, 8. 17 juillet. Raideur de la nuque, du
bras
droit, et de la jambe droite. L'enfant est cons
non visible. Muqueuse saine. Membres supérieurs d'inégale longueur.
Bras
et avant-bras de conformation normale. Doigts e
tiques des deux côtés. Trois petites cicatrices de vaccine à chaque
bras
. Motilité normale. L'enfant se sert de ses main
eures et étaient fort intenses. La bouche était tirée à droite, les
bras
contracturés, de mémo que tout le corps. Elles
de nouvelles convul- sions. Leur durée fut de 30 minutes. Les deux
bras
étaient contractures. Mardi... fut nourri au
coriations à la main et aux avant-bras, marques de vaccine aux deux
bras
. Absence de poils sur toute l'étendue du corps.
ute sa crise. Des secousses cloniques se manifestent alors dans les
bras
éga- lement des deux côtés. Elles sont très bru
ès brusques, durent une ou deux secondes, puis le malade écarte les
bras
et les met en croix Il les ramène ensuite en pr
ent pourvus de tissu graisseux sous-cutané. Les mouvements des deux
bras
paraissent possibles. Ongles minces. MÉNINGIT
tête. (Yeux, 218 DESCRIPTION DU malade. face). Il tordait peu ses
bras
et ses jambes. Les convulsions se sont de nouve
membres supérieurs sont en flexion. L'avant-bras est fléchi sur le
bras
, la main sur l'avant-bras. Il est diffx'i'e de
ations.) L'avant-bras droit, en pronation forcée, est fléchi sur le
bras
. La main est fléchie sur l'avant-bras au point
ce et ne boit plus. Il a une malformation congénitale de l'avant-
bras
et de la main du côté droit. L'avant-bras est bea
llèles. Si l'on essaie de la faire marcher en la soutenant sous les
bras
, elle s'affaisse sur elle-même, les cuisses res
en son lait. Il n'y a pas de troubles digestifs. 9 novembre. - Le
bras
gauche est contracturé en adduc- tion, et tous
la fait lâcher qu'avec la plus grande difficulté. Elle marche les
bras
demi-fléchis et en avant, le tronc incliné, les j
s tard, ces hypesthésies ont pu s'étendre soit en haut, partant aux
bras
, soit en bas, et déterminer ainsi des troubles
'au moment de la mort à 10 heures. Pendant toute cette période, les
bras
s'agitent, les yeux sont con- vulsés en haut, l
it pèse 555 grammes. La coupe de Flechsig-Brissaud mon- tre dans le
bras
antérieur de la capsule interne gauche un morcel-
e dans la nuit de deux autres attaques semblables, débutant par les
bras
, avec déviation de la face et vomissements. Le
Paris). ~** Malade de 59 ans. Depuis dix-huit mois douleurs dans le
bras
gauche. Paralysie du membre supérieur gauche de
a trait à un phlegmon pour lequel on avait pensé à l'amputation du
bras
. C'est par l'action exercée sur les vaso-moteur
ressive non précédée de paralysie, ayant débuté dans l'épaule et'le
bras
gauche (type scapulo-huméral), le cou surtout à
ral), le cou surtout à gauche, puis ayant envahi progressivement le
bras
droit et le reste du corps avec prédominance du
le du triceps brachical; l'extension de l'avant-bras avait lieu, le
bras
étant pendant, avec une très grande précision.
plète. Il s'est produit un arrêt de développement du squelette du
bras
paralysé portant presque exclusivement, comme le
des causes très diverses (port de lourds fardeaux sur l'épaule, le
bras
étant en byperétévation abduction, bras relevés
s fardeaux sur l'épaule, le bras étant en byperétévation abduction,
bras
relevés pendant le sommeil, traumatismes sur la
le sommeil, traumatismes sur la région scapulaire, tiraillement de
bras
, etc.). Dans toutes ces observations nous avons
avons retrouvé l'abaissement de l'épaule, soit l'hyperélevation du
bras
; les paralysies radiculaires sont fonctions de
entre les apophyses transverses et la clavicule dans-l'abduction du
bras
. Au contraire l'abaissement de l'épaule ou l'él
n du bras. Au contraire l'abaissement de l'épaule ou l'élévation du
bras
amène la tension des racines du plexus, surtout
remière côle. Le ganglion rachidien dans la traction exercée sur le
bras
tend à faire hernie en deliore de la gaine dura
ou du côté opposé. La jambe est ordinairement plus affectée que le
bras
, et pendant la marche elle est traînée comme un
si dire un nouvel accrois- sement du courant d'action malgré que le
bras
n'ait exécuté aucun mouvement appréciable. La c
Homme, cinquante-huit ans. Sensation de faiblesse subite dans le
bras
droit, parésie légère de tout le côté droit (memb
esoin d'agir, inquié- tude physique). La paralysie débutait par les
bras
ou le plus souvent par-les jambes. Elle durait-
de copiait de la musique, la paralysie envahissait la jambe et le
bras
inactifs, le bras actif ne se prenait que quand l
musique, la paralysie envahissait la jambe et le bras inactifs, le
bras
actif ne se prenait que quand le travail était
ni. Si le malade marchait, la paralysie se localisait longtemps aux
bras
. L'auteur en fait une paralysie par inhi- bitio
. Spontanément, il remuait très peu ses membres, mais moins mal les
bras
que les jambes. Il ne pouvait se retourner dans
phtalmie. Avant les convulpions les mains étaient naturelles et les
bras
souples. C'est peu après le début des convulsio
PHALIQUE.. 277 Î essayé d'étendre et de fléchir alternativement les
bras
, de les étendre en croix. et de les porter au-d
le quand on le caresse. Au lit, les jambes res- tent allongées, les
bras
collés contre le tronc, les avant-bras fléchis,
on notait des secousses des reins et de la tête. En même temps, les
bras
étaient projetés en avant et les poignets se re
aucoup de peine à le coucher; dans le lit il remue furieusement les
bras
et lesjambes. A chaque instant, il esquisse une
tard, il avait eu une première attaque de convul- sions, limitée au
bras
et à la jambe gauches. Les attaques se sont rép
onsisté dans une trépanation, faite au niveau du centre cortical du
bras
(hémisphère gauche), et dans l'incision de la dur
pération. La seconde opération a entrainé à sa suite une parésie du
bras
droit, apparue le second jour, et qui s'est dis
d'attaques depuis quelque temps, mais il lui restait une parésie du
bras
et de la jambe gau- ches. Deux mois plus tard,
et la main se mettaient en extension, l'avant-bras en pronation, le
bras
en flexion; la tête se tournait et s'inclinait
, en légère abduction, exécutait des mou- vements de flexion sur le
bras
; la tête s'inclinait trois ou quatre fois à dro
ent après, la main se fermait et l'avant-bras se fléchissait sur le
bras
. Le 30 mars 1894, on lui trépana le crâne, au n
s'étaient dissipés. Le 12, la malade pouvait de nouveau mouvoir le
bras
droit et l'épaule. Le L'ÉPILEPSIE PARTIELLE. PA
e plus, était porté en supination; la tête se tournait à droite; le
bras
et la jambe gauches se raidissaient. Bientôt la
; en même temps, la commissure labiale droite s'abaissait. Puis le
bras
gauche et la moitié gauche de la face étaient e
alors à obtenir des con- tractions des muscles de l'avant-bras, du
bras
et de la figure, en excitant la portion de cerv
en nettes d'un travail dégénératif. Après l'opération, on trouva le
bras
gauche et la moitié gauche de la figure paralys
ents mouvements de supination de la main et des secousses dans le
bras
. Pendant ces attaques, la malade perdait connaiss
de la main droite, des secousses cloniques (flexion et extension du
bras
droit). Ces secousses duraient encore une minut
bstance blanche sous-jacente a provoqué également des mouvements du
bras
droit, mais ils cessèrent en même temps que l'e
opération, le 14 mai 1895 ; on lui a mis à nu le centre cortical du
bras
droit, dont le siège précis fut déterminé à l'a
re et dans l'excision de la moitié inférieure du centre cortical du
bras
. L'examen histologique du fragment excisé a fai
pasme des muscles du visage, et non d'une paralysie faciale ; 3° Le
bras
reprend ses fonctions plus tôt que la jambe ; 4
ble parla multiplicité des angiomes et leur étendue qui comprend le
bras
et l'hémithorax droits tout entiers. -. Pour en
ite et est exagéré à gauche; qu'il n'y a ni ataxie ni paralysie des
bras
; que les muscles de la face sont normaux et nor
ultérieurement il se développa un état spasmodique des muscles du
bras
et de la jambe, et deux ans après le début de l'h
énérescence. Ainsi chez le malade affecté de névrite traumatique du
bras
droit et dont le bras gauche avait toutes les a
z le malade affecté de névrite traumatique du bras droit et dont le
bras
gauche avait toutes les apparences de santé, on a
e ans, qui se trouvait seule à la maison; puis, la prenant dans ses
bras
, elle s'étendit sur un lit, attendant la mort.
t en tous sens. 11 crie constamment, il remue inconsidéré- ment son
bras
gauche, mais on n'obtient pas qu'il regarde, ce
aralysie faciale n'existe pas. L'avant-bras droit en flexion sur le
bras
, les doigts sur la paume, la main en semi-flexion
qu'elle pouvait dédier aux soms du ménage, que, la rigidité de son
bras
et de sa jambe ayant disparu] il lui était faci
, on se rappellera qu'il souffrit d'une attaque convulsive, dont le
bras
et la . jambe droits restèrent ballants, el ce
e six mois après que sa mère s'aperçut qu'ils étaient rigides, le
bras
adossé au corps, de manière qu'il lui était diffi
ntre à la Salpétrière avec hémiplégie produite deux ans auparavant.
Bras
contracture en flexion. Paralysie. Jambe légaleme
couchée on à demi couchée et l'opérateur fixe la tète soit avec le
bras
gauche, soit en la prenant entre ses genoux : u
aler. L'une et l'autre éprouvaient une sorte de contraction dans le
bras
parfois assez forte pour que, dans la crainte d
ssait-il son temps à se 504 -il SOCIÉTÉS SAVANTES. contracter les
bras
derrière le dos pour résister à ce qu'il appelait
ce qu'il appelait ses mouvements nerveux. Or un jour il sentit son
bras
s'allonger tellement qu'il pouvait atteindre un
t très nette, la parésie et surtout l'incoordination est marquée au
bras
gauche; les deux membres inférieurs sont atroph
faciaux particuliers. AI. P. nhme présente un myopathique dont les
bras
, le thorax et la face sont pris, mais dont le t
uelles nous promenons nos extrémités (car il est essentiel, lorsqu’un
bras
est fatigué, de se servir de l’autre) de cette ém
ons partir de nos nerfs et suivre le trajet du conducteur naturel, le
bras
, et par suite les doigts. Si les effets qui rés
e cherche à faire comprendre ; il vint près de moi et il allongea les
bras
pour s’assurer si c’était bien, en effet, l’objet
vingt-quatre ans, était, depuis huit ans, affecté d’une paralysie du
bras
droit, et depuis trois environ souffrait beaucoup
furent de beaucoup augmentées, une libre transpiration survint, et le
bras
paralysé devint chaud et moite. Je répétai quatre
et la toux, et la sensibilité et la mobilité furent rétablies dans le
bras
paralysé. J’ai obtenu le même résultat dans deux
ce que la fatigue me contraignit à m’arrêter pour reposer un peu mes
bras
; alors je remarquai que la malade était comme ino
de l'expérience. Bientôt les yeux se closent, la tète se penche, les
bras
sont pendants, et tous les signes de l'action mag
de l'action magnétique sc développent. On essaie l’attraction sur le
bras
gauche, mais en vain. Le magnétisé, interrogé dan
t singulier d’assou pissement; il sent aussi un fourmillement dans le
bras
gauche. Après un quart d’heure de magnétisation,
bservé: le somnambule voyait par le boul des doigts, en sorte que, le
bras
étant considéré comme la branche mobile d’un gran
ant, je n’cn étais ni effrayé, ni môme étonné. Je le prenais dans mes
bras
et je l’emportais dans la chambre voisine, en me
u portier du n. i, rue Coquillère; cet enfant, en jouant, avait eu le
bras
blessé assez gravement pour qu’on crût qu’il l’av
s avoir reconnu qu'il n’y avait ni fracture, ni luxation, mais que le
bras
, collé le long du corps, ne pouvait exécuter de m
résolut de le magnétiser. F.n moins de cinq minutes l’enfant remua le
bras
en disant qu’il ne lui faisait plus mal. Le doc
Orsay passe, s’arrête; un jeune homme en descend et se jette dans les
bras
de sa mère : c’était le jeune B.... « On le que
Un aulrc détail avait été donné: c’était qu’il avait reçu un coup au
bras
. Aussi, l’un des parents, émerveillé de la réalis
e même enfant vint chez Mm* L... avec sa mère, qui le portait sur son
bras
. Le croyant encore malade, aussitôt qu’elle l’ape
magnétiseur agissant, la somnambule éprouva une violente secousse des
bras
et des jambes. Sur l’observation que la somnambul
otale de douleurs vives venues à la suite d’une foulure ou entorse du
bras
droit depuis environ un an. On décide que le po
mes leur propre fureur, elles s’arrachent les cheveux, se mordent les
bras
, les doigts, d^chijcnt |eurs vêtements. La force
’ils veulent tuer. — Vous accourez bravement, vous relevez avec votre
bras
les armes qui menacent sa tête, et vous commandez
cemment; elle se trouvait en communication avec elle, lui tendait les
bras
en tombant â genoux, se relevait avec élan, s’exh
ation continuée amène l'état de roideur cataleptique des membres. Les
bras
, insensibles à la douleur, restent horizontalemen
étonnement de ce colosse qui s’indigne de ne pouvoir se servir de ses
bras
. M. le président, faisant remarquer à l’assembl
isme complétait la saturation, le surplus suivait les mains, puis les
bras
, et enfin gagnait tout le système nerveux du somn
étal; il se lova brusquement en poussant un cri plaintif, étendit les
bras
, rejeta sa lûte en arrière, el, en môme temps que
e dévastation qu’il avait causée el reprit une attitude paisible, les
bras
croisés sur sa poitrine nue. L’ordre élant réta
vons des traces dans chacun de nos actes. C’esl lui qui donne à notre
bras
le degré de force nécessaire pour soulever tel ob
é de cet état, enfonce des épingles dans les chairs, sur la face, les
bras
, etc., du patient qui ne manifeste aucune sensibi
la singularité de ce phénomène dont il se déclare bien convaincu. Les
bras
du patient, mis dans un étal cataleptiforme et da
écrites que lui donnent différents assistants. Ensuite on lui met le
bras
droit en catalepsie avec une chaise suspendue a
; cette position dure environ cin« minutes sans la moindre flexion du
bras
. Les procédés propres à la manifestation d"S ph
aint d'une somnolence extrême. L’altraction magnétique essayée sur un
bras
a pour résultat l’extension de ce dernier avec ro
s ponces, passer les mains sur les épaules, les descendre le long des
bras
, appuyer les genoux contre ceux du magnétisé, son
uccès dans l’élal d'insensibilité magnétique : l’une, l’ampulalion du
bras
par le doclour Jolly sur madame Norihway ; l’aulr
ble phénomène d'attraction magnétique el de rigidité cataleptoïde des
bras
et des jambes, qui restent douze minutes étendues
ù un être quelquefois faible soulève les plus lourds fardeaux, où les
bras
de plusieurs personnes ne peuvent contenir ses mo
, et sa joie esl difficile à dépeindre, car 011 l’avait transportée à
bras
. Le lendemain la douleur reparaît moins intense,
areil cas : sangsues, saignées, purgatifs, etc. « Les doux jambes, le
bras
gauche étaient « extrêmement enflés; les genoux s
Après une magnétisation de trois quarts d heure, la maiade remua son
bras
droit et dormit la nuit, au bout de cinq jours el
défia de guérir une pauvre femme de soixante-dix ans, paralytique du
bras
et abandonnée des médecins. M. P.... consent à
au bout de dix minutes dit à la vieille : « Essayez de mouvoir votre
bras
. » Celle-ci obéit, non sans crainte, élève et bai
r votre bras. » Celle-ci obéit, non sans crainte, élève et baisse son
bras
sans douleur, et fond en larmes de joie, car elle
Séance du 5 novembre. — M. Millet met dans un état cataleptiforme un
bras
seulement d’une jeune fille. Un homme robuste,
Amputation de la cuisse. 321, 522 — de la jambe. 248, 492 — du
bras
. 322 Angélisme. 429 Anévrisme. 508 Attracti
s marquée tous les signes d’une incrédulité choquante ; il croise les
bras
, se renverse sur sa chaise, défie du regard le ma
n trois mètres d’espace entre eux deux. 11 fixa cet homme, étendit le
bras
vers lui, et le pointa du doigt ; dès cet instant
llant, ce n’est pas difficile. Nous partîmes alors, nous donnant le
bras
, absolument comme s’il eût été dans l’état de vei
le. Je fis ensuite approcher ce monsieur et l’invitai à lui donner le
bras
. Bien que cet homme soit très-robuste , son bras
itai à lui donner le bras. Bien que cet homme soit très-robuste , son
bras
fut étreint de telle sorte qu’il demanda grâce.
propres organes qui sont soumis à la volonté. « Je veux remuer mon
bras
, et ma volonté agit sur les muscles par l’intermé
ôle fort secondaire. C’est lui qui, par exemple, nous fait tendre les
bras
en avant pour nous préserver d’une chute. Quand i
et moins aqueux que 11e l’est le sang fourni par les veines du pli du
bras
, ce qui rend les femmes enceintes plus ou moins c
ger fœtus de volonté. Quand un fluidiste annonce qu’il va mettre le
bras
droit en catalepsie, il po iriait bien se faiie q
jours il y avait guérison parfaite. Paralysie. — Une femme avait un
bras
paralysé depuis lu main jusqu’au coude, la main ô
tre commandement. « La longueur de l’opération nous avait rompu les
bras
, peut-être aussi l’influence du dégagement magnét
e la table. Si enfin la main ne quitte pas la table, il faudra que le
bras
résiste à ce mouvement de recul, de manière à l’a
ce mouvement de recul, de manière à l’annihiler, c’est-à-dire que le
bras
devra faire tout juste l’effort nécessaire en gra
gues employées par certains mystiques (la station très-prolongée, les
bras
en croix pendant qu’on répète continuellement une
un de ses membres une note écrite : « Faire lever le pied droit ou le
bras
, » lorsque les mains des opérateurs sont appliqué
ateur désigné, mais non suivis de l’effet demandé, le sujet lance ses
bras
autour du cou de l’individu, et l’embrasse viveme
nvulsifs dans les membres inférieurs, et le gonflement des veines des
bras
et des mains. L’action avait été si forte, quoiqu
tre attribuée à l’imagination, que nous avons cité l’expérience ; les
bras
, auxquels on n’avait pas touché, ôtaient tout ecc
ues. Lorsque nous voyons, me disais-je, un sujet magnétisé lever le
bras
parce que nous voulons qu’il lève le bras, saus q
un sujet magnétisé lever le bras parce que nous voulons qu’il lève le
bras
, saus que nous fassions aucun mouvement corporel
Pénétrés d’une foi vive et sincère, ils offraient spontanément leurs
bras
et leur génie pour l’édification d'un temple en l
les changements, succombant à la peine, un jour elle nous ouvrira les
bras
. « En avant ! chers collègues, compagnons de no
« Tu peux, au gré do ton vouloir, Détruire ou créer la sottise; Ton
bras
étend ou paralyse Les facultés et le savoir; Pa
ces sont très-mul-tipliées dans ce pays, et frappent dessus à tour de
bras
, tandis que l’un d’eux s’égosille à chanter des r
ses à terre, on en voit s’élancer une, elle regarde le ciel, lève les
bras
vers les étoiles (les danses ont toujours lieu la
vestes ; d’autres se joignent bientôt aux premiers, ils se donnent le
bras
et forment une longue ligne ; puis, peu à peu, il
eusement son protecteur de lui toucher la main. Un instant après, son
bras
et sa main étaient dans un état de catalepsie com
dé ce qui se passait à la table, et il répondit : « M. Charavet a son
bras
droit roidi. — Restera-t-il longtemps daus cet
sourire. Les deux minutes étant écoulées, M. Charavet, sentant son
bras
dégagé, se leva, abandonna le guéridon du côté op
qu’à la troisième ou à la quatrième réponse, cet enfant se sent le
bras
saisi si violemment, qu’il en est fatigué ; son b
nfant se sent le bras saisi si violemment, qu’il en est fatigué ; son
bras
tremble et sa vue devient trouble. Alors je le dé
onse le nom de son père, qui, lui touchant la main,lui roi-it tout le
bras
. Après il obtint les réponses par écrit. Je pou
cher voluptueusement sur les épaulesdu magnétiseur et l’enlace de ses
bras
, sans se souvenir de Massimo. Mais voilà qu’un lé
’une manière physiologique. Lorsque nous agissons vigoureusement, nos
bras
frémissent par ondées et comme l’aile du tiercele
e, la France et l’Angleterre marcher au progrès en donnant chacune un
bras
à l’Allemagne. Si Mesmer n’eût considéré que les
ures somnambuliques sont très-rares; tandis que partout vous avez des
bras
, des jambes sensibles aux convulsions, des intest
si nous songeons à la valse, que voyons-nous ? Un jeune homme dont le
bras
entoure une taille qui égale en souplesse la vior
nt, cette fois, le spectre, s’approchant de plus près et étendant son
bras
osseux jusque sous le chevet où était placée la m
qu’une étreinte puissante me réveilla tout à o coup. J’étais dans les
bras
d’un dragon autrichien, espèce « de colosse qui m
s endroits sensibles; ils lui ont enfoncé une longue aiguille dans le
bras
, la peau étant soulevée pour qu’elle n’attaquât p
dans lo tissu d.’S paupières, » la région moyenne et antérieure du
bras
gauchi-. Les plaques ne devaient être appliquées
ette nouvelle région déterminerait, pendant la nuit, le gonflement du
bras
, et ferait former un petit abcès. En effet, le le
effet, le lendemain matin, après une nuit de fièvre et d’insomnie, le
bras
était gonflé, et un point «le suppuration apparai
pond pas ; je la pince, elle ne donne aucun signe de sensibilité. Les
bras
élevés retombent sur le lit, si on les laisse liv
érament nerveux ou à son état de nourrice; je pratique une saignée du
bras
de /iOO grammes; la saignée finie, cette femme se
on, car ma malade était immobile ; j’avais beau la pincer, remuer ses
bras
, elle gardait toujours la même position. Elle éta
n’était pas eux qui la faisaient mouvoir, et pourtant ç’eût été leurs
bras
, dont les mouvements étaient automatiques à la pe
te qu’un des membres de la chaîne établie autour d’un guéridon eut le
bras
en catalepsie en tendant la main vers la main de
ivant les réponses aux demandes qu’il trace sur le papier, se sent le
bras
saisi si violemment qu’il en est fatigué. Le môme
de vingt-cinq centimètres de longueur (lesbranches). L’opérateur, les
bras
verticaux et les coudes au corps, sans raideur, d
est en (rance, elle a l'habitude d’écrire ses communications sur ses
bras
avec le bout d’un doigt, d’abord sur le bras gauc
s communications sur ses bras avec le bout d’un doigt, d’abord sur le
bras
gauche avec l’index de la main droite, et ensuite
sur le bras gauche avec l’index de la main droite, et ensuite sur le
bras
droit avec l’index de la main gauche. L’écriture
rive d’écrire des communications qui couvrent toute la surface de ses
bras
, depuis les poignets jusqu’aux épaules ; ça forme
épaules ; ça forme deux ou trois lignes, qui souvent commencent à un
bras
et finissent à 1 autre. Rationalistes, sceptiques
sent échapper une salive filante. Deux personnes la prennent sous les
bras
; elle fait quelques pas, mais bientôt elle pouss
frappe la semelle sur son genou; sa bouche mouille les doigts, et ses
bras
s’étendent pour serrer les (ils cirés. Marie es
lsion, son poing vient frapper par intervalles son genou, et ses deux
bras
s’allongent régulièrement; elle semble craindre q
n Dieu ! mon Dieu ! dit-elle, je suis en retard !... » quand ses deux
bras
ne sont pas arrivés avec autant de promptitude et
pardonnable. Dès son enfance, la dure pauvreté l'avait saisi dans ses
bras
, comme la statue du ty ran de Sparte. 11 n’avait
avités de mon cœur. Je ne sens plus rien ni de mon cerveau, ni de mes
bras
, ni de mes jambes ; mais je vois des choses ineff
ant ces deux métaux dans une seule main, elle sentait monter dans ses
bras
des ondulations galvaniques, qui de là parcouraie
es, le cou, le dos et les côtes, soit du front aux mains par les deux
bras
, ou aux genoux par le corps. —11 ne fallait ni lu
ifieraient au besoin le fait. Un fantôme de femme, portant dans ses
bras
un enfant, se montra à Al'"' II... plusieurs fois
des meilleurs médecins d'Angleterre. Il arriva que les muscles de mes
bras
furent mis en mouvement, sans £>jcunc \ olonté
ne pouvait venir à bout de la retrouver, l’esprit mit en mouvement le
bras
de Mm* S..., dont le doigt se porta dans la direc
ures ont été imposées à leurs corps ; leurs têtes, leurs pieds, leurs
bras
, leurs bouches sont devenus roides et immobiles.
tantôt. Sur le moi qui vous parle a de grands avantages: Il a le
bras
Tort, le cœur haut : J’en al reçu des témoignag
place pour personne entre le mur et vous. » « J allongeai un peu le
bras
; en effet,;je sentis de la « pierre. Cependant l’
riences ; surtout une de ces jeunes fdles, qu’il empêcha de remuer le
bras
pendant plus d’une heure, en le rendant complètem
rdère, agréé au Tribunal de commerce de Rouen, avait une paralysie du
bras
et de la jambe ; il en fut guéri promptement. U
ment. Un malade de l’hôpital de Liverpool, complètement paralysé du
bras
droit, fut guéri en deux magnétisations devant le
é- rieure du tronc dans la région mammaire et à la face interne des
bras
; leur bord externe est par contre hyperesthési
mouvements aux doigts et d'étendre bien qu'imparfaitement l'avant-
bras
sur le bras. Il existe à l'avant-bras et à la mai
aux doigts et d'étendre bien qu'imparfaitement l'avant- bras sur le
bras
. Il existe à l'avant-bras et à la main un peu de
s en partie affaiblis. Le réflexe de flexion de l'avant-bras sur le
bras
est très faible, surtout à droite où il semble
s basse sont nettement exagérés ; le réflexe d'extension de l'avant
bras
est très vif, on le provoque non seulement par
ssus de la ligne mamelonnaire. En excitant la face interne des deux
bras
et la région thoracique correspondant aux 2e et 3
garde une attitude quelconque et remue normalement, à l'inverse du
bras
droit dont les mouvements sont assez limi- tés.
l'extrémité postérieure du globus pallidus, mais respecte toutefois.
bras
pos- DES LOCALISATIONS DE L'APHASIE 25 térieu
nt été observés par Bergeron, ces secousses se sont généralisées au
bras
et à la jambe gauches. Henoch a minutieusement
ecousses musculaires siégeaient sur divers segments : tête, jambes,
bras
, etc. La maladie était extrêmement opiniâtre. I
arriére : les épaules s'élèvent et s'abaissent brusquement, puis les
bras
se rapprochent et s'écartent du tronc. Les seco
ments peuvent être localisés à la tèle (PI. XVII, fig. C et D), aux
bras
et à la jambe droite ou plus généralisés au tronc
te, avec extension du tronc et des membres supérieurs, notamment du
bras
droit. La durée de ces mouvements est plus long
t, c'est le soulèvement des épaules compliqué ou non de flexion des
bras
. Le diaphragme et les muscles de la phonation s
as un siège fixe. Ou elles paraissent aux membres inférieurs, ou au
bras
, spécialement au bras droit, ou sont localisées
lles paraissent aux membres inférieurs, ou au bras, spécialement au
bras
droit, ou sont localisées au tronc et aux épaul
qui déterminent les mouvements d'élévation de l'épaule droite et du
bras
du même côté, qui est levé en extension au-dessus
t en arrière de la tête, la flexion du tronc et le soulè- vement du
bras
gauche, les contractions des muscles de la face,
ras gauche, les contractions des muscles de la face, la flexion des
bras
, etc., sont des formes diverses des contractions
les secousses ne sont ni si fortes ni si fréquentes. Elle place les
bras
en arrière et se cramponne avec les mains au fo
entre la première et la seconde photographie,a fait la flexion des
bras
, le soulèvement des épaules, la projection de l
ns groupes musculaires, par exemple, les muscles des épaules et des
bras
; mais la symétrie n'existe pas dans les muscles
eux, les péroniaux, les extenseurs des doigts et les adducteurs. Du
bras
: le deltoïde, le biceps, le brachial antérieur
abord par l'énorme réduction en longueur de tous les mem- bres. Les
bras
pendant le long des flancs ne parviennent pas à d
qu'avec un développement normal du thorax, la grande ouverture des
bras
est infé- rieure de 6 centimètres à la hauteur,
membre lui-même exprimés en centièmes de stature, on trouve pour le
bras
15.5 au lieu de 19.5, pour l'avant-bras 13.2 au
, de sorte que l'index radio-huméral est supérieur au normal. Les
bras
sont un peu écartés du tronc. Les avant-bras incl
uteur totale du corps), et la micromélie (la grande ouver- ture des
bras
est à la hauteur ce que 95,5 est à 100), les memb
ouve pour le membre supérieur entiér 40. 8 au lieu de .45 ; pour le
bras
14.8 au lieu de 19.5, pour l'avant-bras 4 ? au
rieure à l'extrémité interne de la clavicule : 75 millimètres. Le
bras
de l'acromion à l'épi trochée ; 18 centimètres. L
XXIX ACHONDROPLASIE (C. Parhon el A. Schlmda). Radiographie du
bras
et de la jimbe. (Obs. II) NOUVELLE CONTRIBUTION
auche étant un peu plus court que le droit (excepté les doigts). Le
bras
droit : 19 centimètres. L'avant-bras droit : 22 c
t-bras droit : 22 centimètres. La main droite : 10 centimètres Le
bras
gauche : 17 centimètres. L'avant-bras gauche : 17
, excepté une certaine diminution de l'amplitude de l'adduction des
bras
ainsi que de l'extension et de la supination de
e crête sur la ligne médiane. Micromélie surtout rhizomélique, le
bras
: 20 centimètres, le fémur : 35 cen- timètres.
peine le grand trochanter. L'avant-bras n'est pas plus court que le
bras
. If ne peut être complètement étendu sur ce derni
s il perdit graduellement la motilité des jambes, ensuite celle des
bras
, de sorte qu'il restait complètement paraplé- g
nction lombaire, l'en- fant réussit à faire des mouvements avec les
bras
, plus étendus avec le droit qu'avec le gauche e
beaucoup d'exer- cices de gymnastique. Jamais il n'a observé qu'un
bras
fût plus faible que l'autre. NOUVELLE Iconogr
seulement de la partie antérieure, mais aussi du dos, le contour du
bras
droit apparaît plus bas que celui de gauche. Les
e. Ce phénomène est plus visible, quand le sujet fléchit les avant-
bras
en leur faisant exécuter une rotation interne, et
maintenant réci- proquement. 22H HNATEK Quand le sujet lève les
bras
, nous constatons que la musculature de la proxi-
deux côtés. Les réflexes radiaux de flexion de l'avant-bras sur le
bras
, et d'extension en masse de la main sur l'avant-b
eux côtés, le seuil apparent de l'excitation pour le nerf radial au
bras
, le court extenseur et le long abduc- teur du p
éminences thenar et hypothénar. De même, les muscles du tronc, des
bras
et des membres inférieurs, les nerfs sciatiques p
ta- tation que la main ni le poignet n'ont rien. Avant-bras, coude,
bras
, égale- ment normaux. Mais en recherchant les m
ire légèrement bombé dans sa partie la plus externe. L'élévation du
bras
, possible jusqu'à l'horizontale, est impossible a
s est limitée. Par le palper de l'épaule joint à la mobilisation du
bras
, on sent une crépitation sourde. La tête de l'h
altération plus profonde en- core : la libre et facile abduction du
bras
, donnée par l'épaule, est essen- tielle pour l'
e coude mis en jeu dans toute la durée de l'écriture, a besoin d'un
bras
solidement fixé par les muscles scapulaires. De
t sur le segment distal 1 (avant-bras, jambe). Le segment proximal (
bras
, cuisse) est sensiblement ATOUVELIE ICONOGRAPHI
edow, après quoi ceux de sclérodermie progressent et s'étendent aux
bras
, à la poitrine et au visage. Au moment de la pr
sé. Depuis quelque temps presque simultanément sont apparus, sur le
bras
et l'avant-bras de chaque côté, des boutons gro
entimètres de hauteur. Les deux seins sont petits, atrophiques. Aux
bras
on aperçoit une série de plaques disposées sur la
s. J'avais de l'eau ou du lait, je ne sais pas, là (elle montre son
bras
), et au pied. C'est tout. Mon mari avait voulu
tho- FiG. 1. - Le malade danse, saute sur la pointe des pieds ; les
bras
sont toujours fléchis et agités de haut en bas.
ue gauches. Mais la malade se plaint d'avoir moins de force dans le
bras
et la jambe du côté droit, elle sent sa jambe d
st jamais fait mal. Il n'y a aucun trouble moteur portant sur les
bras
ou les jambes. La parole est bien conservée. Al
pigmentées au niveau des muqueuses. Disséminées sur le thorax, les
bras
et les membres inférieurs, on remarque des lésion
as très atro- phiés, le malade pouvant faire encore l'abduction des
bras
et les maintenir en position presque horizontal
La motilité de l'articulation du coude est intacte. L'élévation des
bras
n'est possible que jusqu'à la posi- tion horizo
vements de l'articulation du poignet et du coude. Il peut relever les
bras
, jusqu'à la position verticale. Aux membres i
'aide des barres parallèles, à marcher, soit en les tenant sous les
bras
, soit à l'aide du chariot. On fortifie leurs me
table scolaire est munie d'un banc de deux places, séparées par des
bras
en fer, et percé de deux trous au-dessous desqu
et à des mouvements spasmodiques de la Antécédents. 5 tète et des
bras
; il fait des grimaces avec le nez qu'il tord, s
le que le gauche et que le malade avait cle la peine a se servir du
bras
droit. Les accès augmentèrent progressivement d
ntent pas de déformations morphologiques. R... se sert également du
bras
droit et du bras gauche ; mais la force dynamom
rmations morphologiques. R... se sert également du bras droit et du
bras
gauche ; mais la force dynamométrique est très
ge d'un certain degré de contracture prédominant du côté droit. Les
bras
sont habituellement rapprochés du tronc les ava
s n'étaitpas comme les autres enfants, qu'il se servaitmal de ses
bras
. La marche survint tardivement, à 4 ans; le mal
ipe aussi par- fois à ces mouvements. De temps à autre il élève les
bras
en renversant les mains en arrière et en imprim
e. 57 ments successifs de supination et de pronation à ses avant-
bras
. Ses membres inférieurs restent par contre immobi
complet à l'entrée; voracité; tics : balancement; mouve- ments des
bras
. Onanisme. Accès de colère. Rougeole. enl881. -
tronc d'avant en arrière; habitude d'allonger et de retourner ses
bras
. Accès de cris, sans cyanose, dit sa mère : c'é
rares papules sur les fesses les cuisses, le sternum, le ventre, le
bras
gauche (face interne) et 2 papules à la racine de
ut môme pas se tenir assis sur son lit. Il se sert très bien de ses
bras
. Le foie déborde un peu les fausses côtes et le
ou, il se débat en poussant un cri, les yeux tournés à gauche ; les
bras
et les jambes se touchent presque ; l'écume sor
cher, fait une vingtaine de fois le tour de la salle en agitant les
bras
et en répétant : oh ! Il n'urine jamais sous lu
devenus hagards, puis au dire de son voisin, il est tombé dans ses
bras
sans connaissance, sans pousser de cri. Cette per
hystérique du côté gauche. Attaque apoplectiforme : Contracture des
bras
gauche. Déformation du pouce gau- che consécuti
ident. A son réveil, il s'aperçut qu'il ne pouvait se servir de son
bras
ni de sa jambe gauches. Le bras, d'après l'atti
t qu'il ne pouvait se servir de son bras ni de sa jambe gauches. Le
bras
, d'après l'attitude que reproduit le malade, ét
omure, les bains sulfureux. Au bout de neuf mois, les mouvements du
bras
revinrent, mais le malade mar- chait encore en
très espacées. Puis il s'aperçut que les forces diminuaient dans le
bras
gauche et que l'insensibilité s'établissait : i
ère l'oreille gauche. Au bout d'une heure il s'est réveillé avec le
bras
gauche contracture dans la demi- flexion. La co
es, il reprend très vite connaissance; mais après ces attaques le
bras
gauche et surtout la main sont contractures dans
on du genou, les jambes étendues ; les mouve- ments d'extension des
bras
, le corps on extension. Février ? Parfois volon
vre supérieure. Duvet noir assez abondant à la face postérieure des
bras
. Organes génitaux. La verge est asez développée
respiration sifflante; il marchait à grandes enjambées, agitait les
bras
, la tèle penchée en avant. Ceqendant il est res
end sur ler, fesses. Il est plus abondant à gauche qu'à droite. Les
bras
et les avant-bras sur leurs faces externes et p
mbres supérieurs. Paralysie du côté droit. Attitude particulière du
bras
qui est écarté du tronc en formant un angle dro
du tronc en formant un angle droit. L'avant-bras est fléchi sur le
bras
et la contrac- ture ne permet pas l'extension d
n sont comme boursoul1és. Aucune modification du système pileux. Le
bras
paralyse parait au toucher plus froid que son c
e. L'abdomen était protubérant ; les jambes arquées et tordues. Les
bras
, mesuraient 35 cent. de l'acromion à l'extré- m
tuelle. C... aide un peu à s'habiller ; clic n'est pas libre de ses
bras
dit-on. Tout ce qu'elle fait, elle l'exécute av
22J) Idiotie polysarcique. 4- . . ' z Membres. Circonférence du
bras
au niveau des ais- , IDZOTtI : POLl SIItGIQUP.
s'en va; elle est malade de partout, elle a mal dans les reins, ses
bras
sont meurtris. Elle a DU DÉDOUBLEMENT DE LA PER
oigts à une ligne circulaire située à la partie moyenne de l'avant-
bras
. La sensibilité à la piqûre et au contact, la sen
ent plus spécialement sur la tête et les membres supérieurs; -, les
bras
se rapprochent du tronc, les avant-bras se fléchi
s mains ne sont plus froides ni cyanosées. Le dos, l'abdomen, les
bras
, les jambes sont toujours insensibles pour fous l
de est devenu sensible à la température (fig. 7). Le membre gauche (
bras
, avant-bras et main) est insensible pour tous l
il, épaule ; perte complète de tous les modes de la sensibilité; 2°
bras
, coude, avant-bras : la sensibilité à la températ
Les épaules étaient également soulevées et projetées en avant, les
bras
se rappro- chaient du tronc. Dans les cuisses,
ême les épaules sont soulevées et projetées en avant tandis que les
bras
se rappro- chent du tronc. Elles se répètent en
ée du 20 août 1882 au 8 mai 1883. Hémia- trophie gauche, surtout du
bras
, qui était complètement paralysé, avec une légè
ntracture. La sensibilité tactile des extrémités du côté gauche, du
bras
surtout, était également diminuée. L'accès débu
presque en même temps survenaient des convulsions cloniques sur le
bras
gauche tout entier. Puis l'accès se propageait
ête de 3 mètres de haut, mais en se préservant le chef à l'aide des
bras
; l'épaule droite porta. C'est à la suite de cet
e sensibilité à la percussion, de l'uniformité de la parésie sur le
bras
, la jambe et le facial inférieur. On trouve à l
haut : hémiparésie droite; ataxie des mouvements de la jambe et du
bras
droits ; démarche SOCIÉTÉS SAVANTES. J3U chan
ingulière. Pourquoi cette forme de languette sur le bord interne du
bras
et de l'avant-bras ? Ce n'est pas ainsi, en gén
bien ! une même lésion peut expliquer tous les phénomènes que le
bras
du malade nous a présentés. Admettez que cette
he et abaissement de la paupière droite. Con- vulsions cloniques du
bras
gauche et de la jambe gauche, avec impossibilit
, etc. Le 10 juillet, éruption de zona le longde la face interne du
bras
, de l'avant-bras et de la main gauche (distribu
ur siège la face, le tronc et les membres, très étendues surtout au
bras
gauche. En dernier lieu, anomalies de la sudati
ladie comprend trois stades dans l'espèce : 1° paralysie de tout le
bras
gauche, brusque, avec douleurs violentes princi
brusque, avec douleurs violentes principalement dans l'épaule et le
bras
. Durée : huit jours; 2°retour graduel de la mot
éger délire, oedème de la face, de la région de l'épaule gauche, du
bras
de ce côté et des deux jambes. Il ne lui est po
'anomalie apparaît des plus nettes quand on ; fait étendre les deux
bras
en avant à hauteur des épaules. On voit alors q
Dollat, essaya de se donner la mort en se coupant les veines des
bras
avec un canif, dans les lieux d'aisance, où il s'
, dit-elle, de congestion cérébrale, suivie de parésie passagère du
bras
et de la langue pendant laquelle on s'aperçut du
ervations du même genre : Où suis-je » et aus- sitôt : c Où est mon
bras
»,cela veut dire que son bras lui paraissait ab
uis-je » et aus- sitôt : c Où est mon bras »,cela veut dire que son
bras
lui paraissait absent, séparé du corps, n'exist
ri ; absence des réflexes ; 2° mou- vement : Tous les mouvemeuts du
bras
, de l'avant-bras et de Fig. 30. Fig. 31. pa
de l'anesthésie : Main, avant-bras totalement insensibles ; sur le
bras
l'anesthésie dessine une languette partant du p
abord aucune diminution de la sensibi- lité de la partie interne du
bras
, mais avec plus d'attention on trouvait dans la
ette de peau non anesthésiée, de l'autre parce que les muscles du
bras
qui prennent part à ces mouvements sont recouvert
se. Il y a anesthésie de. la moitié postérieure droite du tronc, du
bras
droit et du membre inférieur droit. La sensibil
abdomen jusqu'à une ligne horizontale passant par l'ombilic; sur le
bras
et les doigts où il sent cependant lorsqu'il es
ation. Repos. Il se met ensuite à genoux les paupières fermées, les
bras
allongés le long du tronc, qui est penché en av
e- ment de dents; agitation de tout le corps, le malade remue les
bras
et les jambes, le tronc restant immobile. Cette a
médiatement. Elles exis- tent seulement dans les jambes et dans les
bras
et pas dans le tronc. Au début de chaque accès
elle crise. La tête se soulève un peu, le corps devient rigide, les
bras
en extension se rapprochent de la ligne médiane,
. Il pleure et se plaint de souffrir des lombes, des cuisses et des
bras
. 15 septembre. - On lui avait suggéré hier en é
és de la face, mais d'une façon plus marquée à gauche au tronc, aux
bras
et aux membres inférieurs. La sensibilité à la
ie d'une courte résolution. Puis fré- missements des paupières; les
bras
s'étendent en croix, les poings fermés, le pouc
noux tout à coup en fermant les yeux et exécute avec sa tête et ses
bras
le mouvement du morceau joué. La face est pâle,
à l'infirmerie, les yeux toujours fermés, en le soutenant sous les
bras
pour mar- cher. Jusqu'à 3 h. et demie il reste
l'après-midi, étant en classe, il tombe brusquement sur le dos les
bras
croisés sur la poitrine. Ses yeux se ferment, s
r le dos les bras croisés sur la poitrine. Ses yeux se ferment, ses
bras
s'étendent en croix, les poings fermés. Frémissc-
de petits frémissements. Il se retourne et tombe sur le ventre, les
bras
en croix, les jambes écartées.- Secousses dans to
les yeux, la poitrine et les épaules. Il se met debout, s'élire les
bras
et s'habille, mais gauchement, auto- matiquemen
s secondes il s'est retourné sur le ventre, les jambes étendues, le
bras
droit levé. Il se retourne ensuite sur le côté
côté droit, la jambe droite allongée, la gauche un peu écartée ; le
bras
droit élevé, le gauche allongé en bas, la tête da
encore sur le ventre, les jambes allongées l'une contre l'autre; le
bras
gauche allongé le long du tronc, le bras droit
s l'une contre l'autre; le bras gauche allongé le long du tronc, le
bras
droit perpendiculaire. Il se retourne brusqueme
e nouveau sur le dos, les jambes allongées, rigides, écartées ; les
bras
en croix, rigides, les mains fermées, les pouce
es et demie, après son dîner, nouvelle attaque. Il bat l'air de ses
bras
, el reste 20 secondes debout, les yeux fer- més
minute, puis se tourne sur le côté droit les jambes écartées et les
bras
en croix. Il se frappe la poitrine avec violence
rtout de la gauche. De plus il a quelquefois des secousses des deux
bras
et même de tout le tronc, qui ont beaucoup dimi
asmodiques, tels que contractures et convulsions cloniques dans les
bras
et les jambes, surtout à droite, dans la langue
et L. MÉDIUMNITÉ DÉLIRANTE. 21 1 « C'est Cam... et Deus dans les
bras
l'un de l'autre priant Dieu le « Père de bénir
dignes de peupler les « cieux. Deus semble prendre Cam... dans les
bras
sans la toucher « pour ne pas froisser son âme
subitement de convulsions intermit- tentes limitées aux jambes, aux
bras
et à l'abdomen, et qui d'abord bilatérales devi
xus bra- chial droit. Elle s'accompagnait d'atrophie des muscles du
bras
et de l'épaule avec réaction de dégénérescence,
n et de l'avant-bras et d'un petit territoire de la face externe du
bras
; la sensibilité était conservée à l'épaule et d
; la sensibilité était conservée à l'épaule et dans presque tout le
bras
, les troubles sensitifs n'étaient pas superposa
hypothèse, l'innervation sensitive de l'épaule et d'une partie du
bras
, prendrait son origine plus haut dans la moelle q
encore la participation du groupe radi- culaire supérieur aux deux
bras
. Ces paralysies s'accompagnent d'amyotrophie et
s douloureuse, les mouvements sont redevenus normaux à l'épaule, au
bras
et à l'avant-bras, ce n'est qu'à la main que l'
rès complète portant sur la main et les muscles de l'avant-bras; le
bras
et la ceinture scapulaire sont, au con- traire,
ments font absolument défaut. Les mouvements de l'avant-bras sur le
bras
sont possibles, mais la force musculaire est in
ôté gauche et le côté droit,une différence de 3 centimètres 1/2. Au
bras
la différence est moins accusée, elle n'est que
cubital et du médian, que l'on peut sentir dans toute la hauteur du
bras
; vous sentirez aisément aussi plusieurs des fil
iste que dans le domaine antibrachial et fait défaut au niveau du
bras
. Enfin, les réactions électriques des nerfs muscu
maintenant aucune sensation douloureuse, mais, comme au niveau du
bras
, elle révèle l'augmentation de volume et l'aspe
uvelles 110 CLINIQUE NERVEUSE. plaques apparaissent au niveau des
bras
puis sur la joue gauche. Les médecins consultés
e nouvelles plaques violacées, siégeant aux membres inférieurs, aux
bras
et à la joue gauche font leur apparition, mais
rs symptômes intéressants. C'étaient : à la face antéro- interne du
bras
droit, une large macule brunâtre que nous ll .
02.) . Si l'on frappe un endroit précis de l'omoplate tandis que le
bras
pend librement et naturellement le long du tron
produit par la percussion des parties postérieures du deltoide : le
bras
s'éloigne du tronc ou s'élève. , William Picket
rs accidents nerveux : amyo- trophie des mains, de l'avant-bras, du
bras
et du quadriceps fémoral gauche, anesthésie cut
et du quadriceps fémoral gauche, anesthésie cutanée segmentaire du
bras
droit et de la jambe gauche, exagération des ré
e à la saillie de son bord spinal au repos et dans une position des
bras
intermédiaire aux positions horizontale et vert
, mais dans la partie supérieure du tronc des deux côtés et dans le
bras
droit resta la paralysie atrophique ; dans la p
ôtés, plus accentuée du côté droit ; de la paralysie' atrophique du
bras
droit. L'exagération de l'excitation mécanique
eu près égale, puis, en second ordre : Membres : faces internes des
bras
, des cuisses. Dans aucun cas nous n'avons vu le
ysionomie inerte, le regard vague, la tête légèrement inclinée, les
bras
ramenés le long du tronc,' les membres tantôt r
tion segmentaires répondant aux trois segments du membre supérieur,
bras
, avant-bras et main; chacune de ces zones est s
c'est-à-dire que cer- tains malades surestiment les poids avec leur
bras
parétique ou hypoesthérique, tandis que d'autre
que ou hypoesthérique, tandis que d'autres le surestiment avec leur
bras
sain. Même fait s'observe pour la surestimation
quelques malades surestiment et les poids. et les volumes avec le
bras
sain ; d'autres, idem avec le bras malade; d'autr
es poids. et les volumes avec le bras sain ; d'autres, idem avec le
bras
malade; d'autres encore surestiment les cubes e
tres encore surestiment les cubes et sousestiment les poids avec le
bras
ma- lade, etc. Ces expériences, qui demandent
toires, ainsi que de parésie faciale droite et d'engourdissement du
bras
droit. A la fin de la crise, somnolence. A la sui
de la parole, la parésie faciale, la sensation d'engourdissement du
bras
. Mais pour le scotome, l'hémianopsie, les sensa
ait, elle ne fut pas peu surprise de sentir le petit lui passer les
bras
autour de la taille et se pâmer. Il avait eu so
n'a plus aucune notion sur son corps, elle ne sait plus où sont ses
bras
et ses jam- bes, si elle est debout, assise ou
il y a hypotonicité musculaire. Si on dit à la malade de raidir un
bras
ou une jambe, le temps mis à l'exécution de ce
ons différentes de flexions du tronc en tous sens, de moulinets des
bras
et des jambes, de mou- vements continus de la l
de l'innervation des muscles antagonistes. Quand je fléchis l'avant
bras
sur le bras, mon biceps se tend aussi bien que
tion des muscles antagonistes. Quand je fléchis l'avant bras sur le
bras
, mon biceps se tend aussi bien que mon triceps;
du centre de la jambe et les lésions sous- corticales du centre du
bras
se traduisent par des troubles de la motilité,
se plaignait de douleurs dans les jambes avec affaiblissement du
bras
et de la jambe gauches. Il racontait qu'à l'âge d
n, sentiment d'engourdissement de la jambe droite avec paralysie du
bras
etde la jambe gauches ; pendant quatorze jours
mois une attaque apoplectique à la suite de laquelle la jambe et le
bras
demeurèrent paralysés du côté droit pendant des
t être simplement malade et qui en réalité venait d'être amputée du
bras
. La coexistence de désordres mentaux et de malf
des deux pieds, une autre fois une anesthésie à la face interne du
bras
et de l'avant-bras avec diminution du réflexe c
ns le troisième une hypoesthésie limitée à la face interne des deux
bras
et il une moi- tié des doigts et des orteils. G
sivement de force et s'étendent à la nuque, puis aux épaules et aux
bras
qui sont animés de mouvements violents et simul
de vomissements avec raideur de la nuque, convulsions localisées au
bras
et à la jambe droites, etc. On posa le diagnost
nommé Steyre, beau- frère du serrurier Stoffel. Chose horrible, les
bras
et les jambes du cadavre avaient été sectionnés
est quatre à cinq jours après ( ? ) que l'on constata la raideur du
bras
et de la jambe; le pied n'aurait jamais été tou
e le père, de trépidation avec frappe- ment du talon sur le sol; le
bras
ne tremblait pas. A la fin de la crise qui dura
deux ou trois secousses cloniques, à amplitude assez large, dans le
bras
gauche, mais aucune dans la jambe gauche. Aucun
surtout au niveau de l'extrémité. Un léger duvet le recouvre. Le
bras
est collé au tronc; l'avant-bras fléchi sur le br
le recouvre. Le bras est collé au tronc; l'avant-bras fléchi sur le
bras
angle droit, et en pronation ; la main légèreme
- vement de côté, conservant son équilibre en étendant ses avant-
bras
allongés. Il laissait échapper des sons spasmodiq
our écrire, à ce trouble s'ajoute de la gêne dans les mouvements du
bras
, puis une altitude vicieuse du membre qui reste
la main gauche, les doigts, une longue bande sur toute l'étendue du
bras
et de l'avant-bras et le sein sont atteints de
illard met la tête dehors, se lève, et s'appuyant de la main sur le
bras
de ce digne homme, il pose le pied sur le marchep
constitués gardes du corps de Ferrer travaillaient des épaules, des
bras
et de la voix à maintenir la place vide, en prian
s de janvier 1881, la motilité a commencé à se trou- bler. C'est le
bras
droit qui s'est pris le premier, et c'est seu-
ment d'une attaque : il rejette brusquement son cahier et agite les
bras
en tous sens en repoussant les objets qu'il ren
te, l'attitude reste la même et les mouvements de circumduction des
bras
continuent avec prédomi- nance du côté gauche.
s membres infé- rieurs se maintiennent en extension, tandis que les
bras
prennent l'attitude du crucifiement avec les po
du 1 janvier, accompagné de grands mouvements de circumduction des
bras
et des jambes et qui se termine de même. 23 jan
squ'à ce que le corps tombe immobile et se fixe en contraction. Les
bras
se mettent en croix; les jambes sont en extensi
ion, d'une nouvelle crise. Elle débute par de grands mouvements des
bras
et des jambes; l'enfant tombe. Les convulsions
e cercle qui dure à peine une seconde. Le tronc retombe à plat, les
bras
se portent aussitôt dans l'attitude du crucifie
face rougit peu à peu, à mesure que la respiration se suspend. Les
bras
s'étendent roides, un peu soulel és au-dessus d
nt-bras, du biceps, du sterno-cléido-mastoïdien, etc.). On élève le
bras
gauche et en même temps on entraîne la paupière d
profonds soupirs. A une seule reprise, contact de l'eau froide sur
bras
y produit également des spasmes musculaires.
précédentes. Les paupières étant fermées, on étend ou on élève les
bras
, et ceux-ci conservent pendant un temps assez lon
es talons sontgraduellement descendus jusqu'h terre. On a élevé les
bras
en même temps que les jambes, et on les a égaleme
estoit tombée à terre sur son doz toute de son long, ayant les deux
bras
estendus en croix » (p. 25-30). REVUE CRITIQUE
six mois. Rien de semblable à droite ; il ne s'est jamais servi du
bras
droit pendant près d'un an. A partir de là, il
s cri initial, la malade inclinait le tête vers l'épaule gauche; le
bras
du même côté puis la jambe étaient, peu après, pr
rticulation des sons. » Cet état dura tel quel jusqu'à la mort; les
bras
regagnaient quelque peu de leur force. État int
la suite d'un accès de colère, embarras de la pa- role, parésie du
bras
et de la jambe gauche, sans perle de con- naiss
ssance qui dure trois heures, puis paralysie du côté gauche (jambe,
bras
et face). Pendant trois mois, elle ne peut parl
Etat actuel. - Mouvements de la jambe intacts. Affaiblisse ment du
bras
droit et de la jambe gauche. Le bras gauche est-
e intacts. Affaiblisse ment du bras droit et de la jambe gauche. Le
bras
gauche est- rigidedans l'extension comme dans l
ole. Trois semaines plus tard, le ma- lade pouvait se servir de son
bras
droit et s'exprimer sans dif- ficulté. Cependan
qui dure une demi-heure, engourdissement dans la main droite et le
bras
pendant six heures. Au bout de trois jours, le
s muscles étrangers à la prononciation, des muscles de la face, des
bras
et même des jambes, et coïncide fréquemment ave
le malade, qui avait alors dix-sept ans et demi, ressentit dans le
bras
gauche de l'engourdissement et des fourmillemen
, le membre infé- rieur gauche avait recouvré son activité. Mais au
bras
les s troubles de la sensibilité et la parésie
de 1.1 langue. 197 muscles de l'épaule, le mouvement d'élévation du
bras
est im- possible. Les masses musculaires de l'a
s une remarque. Les lé- sions des extrémités articulaires des os du
bras
et de l'avant-bras, et celles des jointures de
nsistaient en douleurs fulgurantes dans les jambes et au niveau des
bras
, surtout dans la sphère du nerf cubital et au p
nférieurs; elle ne peut continuer de mar- cher sans le secours d'un
bras
. Au bout de huit jours, la faiblesse se dissipe
rvés, mais un peu affaiblis. Lorsque la malade est soutenue sous un
bras
, et qu'elle s'ap- puie de l'autre main sur une
tendu se plaindre à haute voix et l'a u n agiter convulsivement les
bras
et les jambes. Les convulsions pas- sées, Fauv.
oubles somatiques (hémiplégie faciale incom- plète et anesthésie du
bras
droit). Le traitement spécifique eut rai- son d
ralysée incomplè- tement. Pupilles sensibles. Paralysie complète du
bras
et de la jambe. L'articulation des mots est trè
muscles atteints. 302 PATHOLOGIE NERVEUSE. Paralysie légère du
bras
gauche, qui peut encore faire quelques mouvemen
augmentée que diminuée. En somme, hémiplégie gauche, intéressant le
bras
, la jambe et le facial inférieur du Inème côté,
ier, on remarque que la paralysie s'accentue davantage à gauche. Le
bras
est devenu complètement paralysé ainsi que la j
ons, ni contractures. La piqûre de l'épingle n'est pas sentie ni au
bras
, ni à la jambe. Peu à peu le coma s'établit, la
ois, cet homme a été frappé d'hémiplégie droite, ayant intéressé le
bras
, la jambe et la moitié inférieure de la face. A
eux conservés ; sensibilité diminuée. Du côté droit, contracture du
bras
en flexion et légère griffe de la main; contrac
érieur, blépharoptose gauche, convulsions cloniques légères dans le
bras
droit, absence de réflexes cutanés et tendineux.
u cerveau. P. K. XXV. Deux cas de la FORME DE paralysie combinée DU
bras
ET DE l'épaule, DE EAB; par Oswald VIERORDT. (N
convulsions épileptiformes et phénomènes parétiques consécutifs du
bras
droit et de la branche buccale du facial du mêm
angle droit de la main sur le REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 3 il
bras
avec déviation vers le bord radial. Le métacarpe
utre courant. Il y avait aussi une diminution de volume en masse du
bras
droit, mais l'auteur n'ayant constaté ni lésion
l'acte de se baisser, ou au contraire l'élévation de la tête et des
bras
, attitude nécessitée par les travaux des tapiss
ociété médico-psychologique ne peut que se féliciter. Elle a reçu à
bras
ouverts des hommes jeunes, laborieux, qui lui a
chez les choréiques (des), par Ollive, 276. Paralysie combinée du
bras
et de l'épaule, par Vierordt, 333. Paralysie
e permet, et seulement durant 6 mois, ces derniers sont descendus à
bras
dans la cour de la petite école ou dans la cour
de jeter les oreillers par terre; il veut aussi avoir toujours les
bras
nus, et il retrousse continuellement ses 48 DU
ans. A sept semaines, on a remarqué des petites secousses dans les
bras
avec des crispations dans les mains et des mouv
te visible. Onanisme fréquent : on était obligé de lui attacher les
bras
. Il a commencé à ruminer à dix mois, après avoi
nt, il pousse un cri, penche le dos en arrière, tend la tête et les
bras
en avant; les pieds et les mains sont dans l'exte
six mois. Rien de semblable à droite ; il ne s'est jamais servi du
bras
droit pendant près d'un an. A partir de là, il
ment d'une attaque : il rejette brusquement son cahier et agite les
bras
en tous sens en repoussant les objets qu'il ren
te, l'attitude reste la même et les mouvements de circumduction des
bras
continuent avec prédomi- nance du côté gauche.
s membres infé- rieurs se maintiennent en extension, tandis que les
bras
prennent l'attitude du crucifiement avec les po
du 1 janvier, accompagné de grands mouvements de circumduction des
bras
et des jambes et qui se termine de même. 23 jan
squ'à ce que le corps tombe immobile et se fixe en contraction. Les
bras
se mettent en croix; les jambes sont en extensi
ion, d'une nouvelle crise. Elle débute par de grands mouvements des
bras
et des jambes; l'enfant tombe. Les convulsions
e cercle qui dure à peine une seconde. Le tronc retombe à plat, les
bras
se portent aussitôt dans l'attitude du crucifie
face rougit peu à peu, à mesure que la respiration se suspend. Les
bras
s'étendent roides, un peu soulevés au-dessus du
nt-bras, du biceps, du sterno-cléido-mastoïdien, etc.). On élève le
bras
gauche et en même temps on écarte les paupières d
ant fermées, on étend ou on élève les de L'IIYST);RO-PILEPSIE. 97
bras
, et ceux-ci conservent pendant un assez long temp
es talons sont graduellement descendusjusqu'à terre. On a élevé les
bras
en même temps que les jambes, et on les a égaleme
estoit tombée à terre sur son doz toute de son long, ayant les deux
bras
es tendus en croix » (p. 25-30). 102 de L'EYSTÉ
ais n'aurait pas eu de convulsions. Dans le cours de la maladie, le
bras
gauche perdit la sensibilité et le mouvement; le
is, au bout d'un mois, il marchait bien et pouvait se servir de son
bras
gauche. La parole était plus' lente qu'avant la
nes pulvérulentes ; lèvres sèches, couvertes de fuliginosités. Le
bras
droit est rapproché du tronc; l'avant-bras est en
dans les mouvements de cir- cumduction de l'épaule, l'abduction du
bras
, et la flexion de la jambe. Ni stertor, ni écum
peu à gauche; il n'y a pas d'exagération des réflexes rotuliens. Le
bras
droit soulevé retombe aussitôt, tandis que le bra
es rotuliens. Le bras droit soulevé retombe aussitôt, tandis que le
bras
gauche se maintient un peu. Même chose aux memb
A la suite, pendant deux mois, l'enfant a cessé de se servir de son
bras
et de sa jambe gau- IDIOTIE ET HYDROCÉPHALIE. 1
s à la condition que la tête soit soutenue. Aucune paralysie ni des
bras
, ni des jambes; le cha- touillement est perçu s
iques.)-Contracture légère des membres, qui se meuvent à peine ; le
bras
droit est un peu plus raide que le gauche ; la
barres parallèles (Fig. 2) ; à marcher, soit en les tenant sous les
bras
, soit à l'aide du chariot (h'ig. 3 et 4) ; on f
ns décrits (1). La fig. 9 repré- sente un de ces fauteuils dont les
bras
et le dos sont revêtus de coussins, avec, sur l
re. La bouche toujours entr'oüverte, la figure sans expression, les
bras
pendant le long du corps, cet enfant a Ventrée
reculer avec terreur. Lorsqu'on s'approchait de lui, il levait les
bras
instinctivement comme s'il cherchait à se garan
ibres. Ces exercices sont les suivants : mou- vements verticaux des
bras
en deux temps; mouve- ments latéraux des bras e
vements verticaux des bras en deux temps; mouve- ments latéraux des
bras
en deux temps. Les enfants au lieu de compter l
les temps d'inspiration sont accompagnés d'écartement latéral des
bras
et de projection alternative des membres infé-
s ; l'expiration se fait en ramenant les jambes et en abaissant les
bras
(1). Les mains sont tantôt libres, tantôt munie
s retirer sa main ainsi fixée. Sa position n'est pus fatigante, les
bras
sont en demi-fle- xion, le poignet n'est pas tr
lui dit : « S ou maman, brasse ? » ce disant, elle tend ses petits
bras
pour qu'on la prenne et sa joue pour être embra
rbulente au possible, il aurait fallu la tenir constamment dans ses
bras
pour éviter une rage. Quand on refusait de la p
de cl; indifférent avec, tout le monde. Les mouvements brusques des
bras
et des jambes ne lui permet- taient pas de se d
merie pour bronchite; 2 pour broncho- pneumonie; 1 pour fracture du
bras
; 9 pour engelu- res; 3 pour slon2atite; 2 pour
E, membres supérieurs. On élève et on abaisse simultané- ment les
bras
, et afin que le maître n'ait pas à quitter sa p
ot, le guide dans l'exécution de ces mouvements. Des mouvements des
bras
, on passera aux mouvements de la tète et on pro
on guide d'abord sa main et on ne tarde pas à s'apercevoir que son
bras
est de plus en plus docile, et qu'un jour même
s accompagnées ou non de haussements des épaules, d'élévation des
bras
au-dessus de la tête, de la projection simultanée
ine, oeil, joue, menton, oreille, bouche, algue, dent, cou, épaule,
bras
, coude, poignet, main, doigt, Education DE la p
es fesses sont glabres. Poils rares sur la face pustéro-externe des
bras
et avant-bras. Poils rares sur la face externe
re ni au menton, niaux joues. Le tronc, en avant et en arrière, les
bras
, sont glabres. Aisselles glabres. Couronne de p
abondants à leur racine. Testicules du volume d'un oeuf de pigeon.
Bras
, avant-bras, cuisses, fin duvet.Jambes, poils c
bres supérieurs réguliers, un peu maigres. Léger duvet sur les deux
bras
. - Membres inférieurs. Rien à signaler concerna
ial, convulsions toniques, puis cloniques. « L'enfant projetait ses
bras
en avant comme s'il voulait repousser quelque c
oils, de 5 1/2 cm. sur 1/2 cm. Le reste de la poitrine, le dos, les
bras
, les reins, les fesses, sont glabres. Poils abo
n à l'autre. Fin duvet sur toute la face postérieure du thorax. Les
bras
sont glabres. Bande de poils fins de l'épigas
, glabres; petites lèvres, clitoris, hymen, normaux; périnée, anus,
bras
et avant-bras, cuisses et jambes, gla- bres.
Son sommeil est iourd, très irrégulier. - Elle agite souvent les
bras
les ramène en avant sur la figure, et se frappe e
ont molles et sans aucune force. Elle aime beaucoup à être dans les
bras
des infimières et à être bercée. La nuit, son s
le suis lasse, » puis elle tombe, fléchit la jambe droite, élève le
bras
droit ; la bouche est tirée à droite, ainsi que l
tiques, mais bien d'accès incomplets, avec mouvement d'élévation du
bras
et de flexion de la jambe. La marche d'un verti
est quatre à cinq jours après ( ? ) que l'on constata la raideur du
bras
et de la jambe; le pied n'aurait jamais été tou
le père, de trépidation avec frappe- ment du talon sur ie sol ; le
bras
ne tremblait pas. A la fin de la crise qui dura
deux ou trois secousses cloniques, à amplitude assez large, dans le
bras
gauche. mais aucune dans la jambe gauche. Aucun
surtout au niveau de l'extrémité. Un léger duvet le recouvre. Le
bras
est collé au tronc ; l'avant-bras fléchi sur le b
e recouvre. Le bras est collé au tronc ; l'avant-bras fléchi sur le
bras
à angle droit, et en pronation ; la main légère
8 lois par jour cle crises convulsives. Il commençait par raidir le
bras
gauche où quelques secous- ses se manifestaient
x. Pas de cicatrices autres que deux cicatrices vacci- nales sur le
bras
gauche. Petits ganglions cervicaux très, percep
périeur est contraclteré mais non d'une façon permanente. L'avant
bras
est fléchi en pronation. Le pouce fléchi clans le
térisé la volupté de cette femme qui, ayant peur, se réfugie dans les
bras
d'un homme qu'elle croit tout-puissant, parce qu'
e connue de tous ceux qui dévorent l'espace, elle posa sa main sur le
bras
du conducteur, et lui dit : Plus vite! » La vit
er que la région contaminée de son vêtement ne prenne contact avec le
bras
du fauteuil sur lequel il est assis. Souvent, c
ix mois, un dimanche après-midi, assis sur un banc, il veut remuer le
bras
droit pour se moucher : sa main et son bras sont
n banc, il veut remuer le bras droit pour se moucher : sa main et son
bras
sont complètement paralysés et insensibles. Cette
sept et huit heures : puis elle revient tous les jours, passe dans le
bras
gauche et enfin dans la langue. Il ne peut plus a
s gauche et enfin dans la langue. Il ne peut plus alors ni remuer les
bras
, ni parler, et cela survient à n'importe quelle h
dans son école. Aussitôt la paralysie reparaît non seulement dans les
bras
mais aussi dans les jambes : elle dure deux, quat
u'il s'agisse de paralysie intermittente, laquelle affecte un ou deux
bras
, une ou deux jambes, la langue, soit simultanémen
issement et, le matin, au réveil, il a une brusque paralysie des deux
bras
, des deux jambes et de la langue ; complètement i
e était lasse sans doute du guerrier qui avait, selon la légende, des
bras
aussi longs que ceux des singes; elle dut aimer l
Un autre encore, après m'avoir exprimé un chaleureux merci, tend les
bras
vers le ciel, puis joint les mains et reste ainsi
ien portante, elle se réveille le lendemain matin avec la jambe et le
bras
droits paralysés; de plus, elle ne peut plus parl
plus parler du tout. Pendant la nuit, elle a eu la sensation que son
bras
et sa jambe étaient un peu engourdis. Il n'y a eu
epeion, ornaient les parvis du temple d'hymnes votives, et surtout de
bras
, de jambes, de cous, de seins, en matière plus ou
ur une grande fatigue à la main droite; la fatigue gagna peu à peu le
bras
entier. La malade ne pouvait saisir aucun objet a
ait pris un objet de mince épaisseur surtout de métal, sa main et son
bras
commençaient à trembler; le tremblement ressembla
toujours sous chloroforme, les membres sont placés en des gouttières;
bras
et jambes sont complètement immobilisés, et la go
e presque aussitôt de retour vers la ligne médiane. Les mouvements du
bras
consistent en un léger écarte-ment du tronc, puis
ïde. Réflexes, pharyngé, cornéen abolis. — Pas de dermographie. /
Bras
droit......20 cent. , , \ » gauche..... 19 »
d'ouate le tout maintenu par des bandes de toile jusqu'au milieu des
bras
; chloro-formisation légère. Mensuration des av
emontait à la vue d'un œdème. La lésion une fois créée, la vue de ses
bras
cedé-matiés éveillait chez le sujet le réflexe de
du thorax est plus petite que la moitié gauche : il en est de môme du
bras
et de la jambe; il y a eu arrêt de développement
d'origine hystérique ; il y a aussi un léger degré de contracture du
bras
et de la jambe gauches ; il existe, en outre, un
de la main droite du petit Brelon, qui s'ouvrit (') à la jointure du
bras
, le doigt de saint Jean s'envola et sauta tout dr
aussi qu'il ne faut pas s'étonner de voir le dit doigt entrer dans un
bras
; certaine déesse est bien sortie de la cuisse de
d'argent, contenant une relique de saint Jean (Tiercelin) (?) ; b) Un
bras
d'argent, renfermant un ossement de saint Mandej
aux descriptions détaillées des poètes. Voici, dit Tiercelin, « un
bras
tortueux qui ressemble à un cerceau (1) E- Bell
remarque que son mari a l'habitude, pendant son sommeil, de porter le
bras
droit au-dessus du front, puis de le laisser reto
père, chez le fils et chez la petite-fille l'habitude portait sur le
bras
droit. Girou de Buzareingues a connu un homme q
s la respiration est régulière et le pouls normal. Si l'on soulève un
bras
, il garde la position dans laquelle on le met, et
out-à-coup de se relever ; elle soulève brusquement la tête, tend les
bras
en l'air et s'arrête figée dans cette position co
bien de faire accompagner l'inspiration de mouvements circulaires des
bras
étendus en croix. III. — Obtenir un exercice et
'adresser au vénérable serviteur de Dieu une neu-vaine de prières. Le
bras
paralysé de l'enfant fut approché du sépulcre, et
, s'était heurtée contre un mur, fut atteinte d'une tumeur blanche au
bras
gauche. Les médecins, désespérant de la guérison,
t des souliers du vénérable Jean-Baptiste Vianney fut appliqué sur le
bras
de la patiente, pendant une neuvalne de prières.
et parfaite de la jeune fille Adélaïde Joly, d'une tumeur blanche au
bras
gauche, » t Et le Souverain Pontife a ordonné q
En effet, le texte dit : Tumeur blanche (c'est-à-dire tuberculose) du
bras
. C'est là un diagnostic des plus vagues ; et, par
fureur. Jugeant toute défense inutile, il jeta ses armes, croisa les
bras
et s'avança sur eux en les fixant fortement; à so
t impossible de s'en servir. Il avait, de plus, des douleurs dans les
bras
et dans le dos, une constipation opiniâtre, un ab
e à la douleur et à la température. Plus tard la maladie s'étendit au
bras
droit et, un an après, il dut renoncer à son trav
e et à la douleur est complète notamment dans la peau de la tête, des
bras
et du thorax jusqu'à la ligne des mamelles. Les e
s au malade que sa maladie s'améliore, qu'il a plus de force dans les
bras
, qu'il n'a plus de douleur ni aux mains, ni au do
se dorsale, même atrophie des muscles du poignet, de l'avant-bras, du
bras
et de l'épaule, insensibilité à ta douleur et à l
à la température siégeant à la peau du cou jusqu'à la ceinture et aux
bras
. On l'a traitée longtemps de la même façon que l'
e malade ne s'effectue pas. Kécemmcnt, au bain, elle s'est brûlé le
bras
qu'elle a posé sur un tuyau chaud : une plaie se
de des barres parallèles ; à marcher, soit en les tenant sous les
bras
, soit à l'aide du chariot ; on fortifie leurs m
res. Ces exercices sont les suivants : mouvements ver- ticaux des
bras
en 2 temps; mouvements latéraux des bras en 2 t
uvements ver- ticaux des bras en 2 temps; mouvements latéraux des
bras
en 2 temps. Les enfants au lieu de compter les
les temps d'inspiration sont accompagnés d'écartement latéral des
bras
et de projection alternative des membres infé-
s ; l'expiration se fait en ramenant les jambes et en abaissant les
bras
(1). Les mains sont tantôt libres, tantôt munie
t d'arriération intellectuelle, de paralysie spinale infantile du
bras
droit et d'épilepsie. - Cet enfant a fait de gran
viot l'exhorta il rentrer, : ,1 parlant doucement et le tenant par le
bras
pour le men r. L'alcoolique répondit sur un ton
us dans les bourses. Périnée, quelques poils roux. Anus normal. Les
bras
, les avant-bras, les cuisses et les jambes sont
ère, 75 ans, a eu un tic qui consistait en un relèvement brusque du
bras
gauche. Caractère calme, sobre. Elle a eu le pè
r, elles ont continué 3 jours. Les yeux se convulsaient en haut. Le
bras
gauche se contracturait dans la 1/2 flexion et
e contracturait dans la 1/2 flexion et se levait avec secousses. Le
bras
droit était immobile. Comme l'enfant était emma
r le réflexe du coude, on place l'avant-bras en demi-flexion sur le
bras
et on le soutient de façon à le laisser clans l
e : il se produit un mouvement d'extension de l'avant-bras sur le
bras
. Les réflexes du poignet se recherchent aussi,
s, le dos, l'avant-bras droit, etc., une cicatrice de vaccin sur le
bras
gauche, des dilatations veineuses sur la convex
, en effet, de quinze à vingt minutes : il faut veiller à ce que le
bras
soit bien appliqué contre le thorax et que le t
Le développement des jambes ne parait pas proportionnel à celui des
bras
. -Pas de vers, d'onanisme, de traumatisme. - La
es. Quelques secondes après, elle remue brusquement l'un ou l'autre
bras
, sans but défini. Si on lui fait tenir un objet
démesurément, d'une manière convjlsive. Souvent aussi les avant-
bras
font tout à coup un mouvement de pronation. , L
e. Au moment même où s'ac- complit ce mouvement de la jambe, un des
bras
ou les deux. sont portés dans une des différent
poils assez nombreux à une certaine distance, pas d'hé- nmrrhoides.
Bras
glabres, avant-bras poils follets; cuisses glab
de. Membres supérieurs, réguliers ; cicatrices de vaccin aux deux
bras
; pas de malformation. Mouvements volontaires e
à peu près bien. Après la rougeole, il se tenait très mal. Les
bras
sont devenus contrac- turés vers la même époque
es vers 3 ans. On ne se rappelle pas vers quelle époqueila eu les
bras
raides. Cou raide, tète toujours penchée.
- gres : avant-bras en flexion permanente avec pronation sur le
bras
.Les mouvements spontanés sont peu étendus et
er, ni se donner les soins usuels de propreté. Il peut tendre les
bras
aux personnes qui s'approchent de lui. Les
902 André. Mêmes caractères. Membres supérieurs grê- les, les
bras
écartés dutronc, l'avant-bras fléchi sur le b
grê- les, les bras écartés dutronc, l'avant-bras fléchi sur le
bras
, les mains en prona- tion. Les mouvements spon-
Les membres inférieurs sont grêles ; le malade étant suspendu aux
bras
de l'infir- mière, les cuisses sont légè- rem
re, on ne peut davantage l'alimenter; il est pâle, a les mains, les
bras
, les pieds violacés et glacés et meurt dans cet
des pieds n'a pas augmenté. La flexion et la pronation des avant-
bras
, la flexion du corps ont augmenté. La contracture
maigreur est extrême, cadavérique. Les os font saillie partout. Les
bras
sont repliés sur la poitrine et les mains posée
repliés sur la poitrine et les mains posées sur les avant-bras. Les
bras
sont collés contre le tronc, les avant-bras rep
fléchies sur le tronc, et le genou est collé sur la face externe du
bras
au-dessous de la tête de l'humérus. Les jambes
un véritable danger ou une gêne de service s'il faut les porter à
bras
(1). 2° Au premier étage, dans le pavillon cent
deux mois. Grar..., quoique assez fort, eut alors du pemphigus aux
bras
et à la nuque, etcelajusqu'à sept mois; il a pa
rqué auparavant; on dut, pendant quelque temps le soutenir sous les
bras
pour le faire marcher; durant un an, il marcha
it content de faire ce travail sous prétexte que cela détendait son
bras
. De onze à quatorze ans, Grar... ne se plaignait
du corps d'une manière évidente ; elles étaient plus fortes dans le
bras
et l'aeil gauches que dans les parties correspo
vers le bord radial, puis les doigts se crispent; l'avant-bras, le
bras
se contracturent et il lui semble que les batte
u'il a conscience des battements musculaires, il lui semble que son
bras
, qui parait rac- courci dans l'aura, exécute pl
peur, une émotion, une farce d'un camarade; le malade sursaute, le
bras
se raidit, et les symptômes décrits ci-dessus se
; la face est tournée à gauche : la rigidité est plus prononcée au
bras
ctà la jambe gauches; les secousses tétaniforme
arties, ten- dance à laquelle le malade résiste continuellement. Le
bras
gauche est la palpation plus dur que le droit :
parait plus basse du côté paralysé. Cicatrices de vaccin aux deux
bras
; une petite cicatrice au coude gauche. 8 EPILEP
l'espace de dix jours, la jeune malade reçut sur un vésicatoire du
bras
50 centigr., soit 5 centigr. par jour en une se
, 1866). 26 DU CURARE femme de vingt-deux ans à qui on injecta au
bras
et à la nuque dix gouttes d'une solution à 1 :
it moins bien sur la jambe droite et qu'il se servait moins bien du
bras
droit. Depuis le début des accès, il mange moin
u demi-closes, pupilles très dilatées, cou rigide dans l'extension,
bras
droit dans l'extension, main fermée pouce en de
xtension, bras droit dans l'extension, main fermée pouce en dedans,
bras
gauche en demi-flexion, doigts écartés, le pouce
plète; l'épaule est tombante, il boite; il peut toutefois mettre le
bras
sur la tête. Le bassin est projeté en arrière ;
out de quatre à cinq jours; il a alors marché et s'est servi de son
bras
« comme s'il n'avait rien eu ». - A quatre ans
était incapable de se tenir sur la jambe gauche et de se servir du
bras
gauche «qui était tombant ». Il a recommencé à
îné la jambe et il la traîne autant aujourd'hui qu'à son entrée. Le
bras
n'a récupéré quelques mouvements qu'au bout de
mois. Depuis qu'il est à Bicêtre, la main a repris de la force. Le
bras
a été électrisé pen- dant un an, mais cela « n'
ier le malade s'est plaint de céphalalgie. 23 H0t)em&)'(;. Au
bras
gauche (côté paralysé), Lef... présente des ind
ultiples, à la suite des injections hypodermiques, mais toujours au
bras
54 DU CURARE paralysé (côté gauche). Il n'acc
mais on en distinguait plusieurs autres sur la poitrine ou sur les
bras
. La teinte de ces dernières était moins animée. J
ui l'impressionna vivement : un homme avait eu, devant ses yeux, le
bras
arraché par une courroie. Son pre- mier accès a
our être ramenés dans l'extension. Au bout de quelques instants, le
bras
droit s'élève automatiquement; on le re- place
s de glandes. Deux cicatrices de vaccine très apparentes sur chaque
bras
. Par suite d'une plaie con- tuse, cicatrice de
l s'est réveillé en sursaut, s'est as- sis sur son lit, agitant les
bras
, disant : « D'quoi qu'tu te t'mèlcs ? » Interpe
ent insensible ; le membre inférieur gauche est très sensible. Le
bras
droit commence a être sensible. A 1 h. 31,.oscil-
a mère. 10 juillet 1877. Trouvé la nuit couché dans une voiture à
bras
, sur la voie publique. Déféré au parquet. Rendu
aide des barres parallèles, il marcher, soit en les tenant sous les
bras
, soit à l'aide du chariot. On fortifie leurs me
use. Il y a anesthésie de la moitié postérieure droite du tronc, du
bras
droit et du membre inférieur droit. La sensibil
abdomen jusqu'à une ligne horizontale passant par l'ombilic; sur le
bras
et les doigts où il sent cependant lorsqu'il es
ation. Repos. Il se met ensuite à genoux les paupières fermées, les
bras
allongés le long du tronc, qui est penché en av
e- ment de dents; agitation de tout le corps, le malade remue les
bras
et les jambes, le tronc restant immobile. Cette a
médiatement. Elles exis- tent seulement dans les jambes et dans les
bras
et pas dans le tronc. Au début de chaque accès
elle crise. La tête se soulève un peu, le corps devient rigide, les
bras
en extension se rapprochent de la ligne médiane,
. Il pleure et se plaint de souffrir des lombes, des cuisses et des
bras
. 15 septembre. On lui avait suggéré hier en éta
és de la face, mais d'une façon plus marquée à gauche au tronc, aux
bras
et aux membres inférieurs. La sensibilité à la
ie d'une courte résolution. Puis fré- missements des paupières; les
bras
s'étendent en croix, les poings fermés, le pouc
noux tout à coup en fermant les yeux et exécute avec sa tête et ses
bras
le mouvement du morceau joué. La face est pâle,
à l'infirmerie, les yeux toujours fermés, en le soutenant sous les
bras
pour mar- cher. Jusqu'à 3 h. et demie il reste
l'après-midi, étant en classe, il tombe brusquement sur le dos les
bras
croisés sur la poitrine. Ses yeux se ferment, s
r le dos les bras croisés sur la poitrine. Ses yeux se ferment, ses
bras
s'étendent en croix, les poings fermés. Frémisse-
de petits frémissements. Il se retourne et tombe sur le ventre, les
bras
en croix, les jambes écartées.- Secousses dans to
les yeux, la poitrine et les épaules. Il se met debout, s'étire les
bras
et s'habille, mais gauchement, auto- matiquemen
s secondes il s'est retourné sur le ventre, les jambes étendues, le
bras
droit levé. Il se retourne ensuite sur le côté
côté droit, la jambe droite allongée, la gauche un peu écartée ; le
bras
droit élevé, le gauche allongé en bas, la tête da
encore sur le ventre, les jambes allongées l'une contre l'autre; le
bras
gauche allongé le long du tronc, le bras droit
s l'une contre l'autre; le bras gauche allongé le long du tronc, le
bras
droit perpendiculaire. Il se retourne brusqueme
e nouveau sur le dos, les jambes allongées, rigides, écartées ; les
bras
en croix, rigides, les mains fermées, les pouce
es et demie, après son diner, nouvelle attaque. Il bat l'air de ses
bras
, et reste vingt secondes debout, les yeux fermé
minute, puis se tourne sur le côté droit les jambes écartées et les
bras
en croix. 11 se frappe la poitrine avec violence
rtout de la gauche. De plus il a quelquefois des secousses des deux
bras
et même de tout le tronc, qui ont beaucoup dimi
ganglionnaire, que l'on aper- çoit à la partie externe, lorsque le
bras
repose le long du tronc ; elle a le volume de l
as de hernie. Membres supérieurs de même grosseur des deux côtés.
Bras
gauche très peu paralysé, mais régulièrement conf
ues. Les accès d'épilepsie, limités, assure-t-on, à la bouche et au
bras
gauche se produi- saient environ tous les 15 jo
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