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1 (1878) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1878
es régions du corps, par exemple à l'une des moitiés de la face, à un bras ou à une jambe. Historique. — Nous nous bornero
ticularités qui nous intéressent : « A 16 ans, très-grande douleur au bras droit, qui le fit évanouir. On le saigna du même
ande douleur au bras droit, qui le fit évanouir. On le saigna du même bras , le sang ne vint qu'en bavant ; on fit la saignée
ntir très-souvent, quelquefois avec évanouissement et convulsions des bras . L'accès était précédé d'une violente palpitation
ce moment, il prévenait Vaccès en se faisant tirer à grande force le bras droit (1). » Ces indications nous font voir que
Celle dont l'accès débute par la tête ; 2° celle qui commence par le bras ; 3° celle qui irradie par le pied ; 4° celle don
re et se sert de la main gauche. Droite. Gauche. Circonférence du bras au niveau de l'aisselle....... 17c,5 22e,5 Circ
épaule, comparativement à la droite, est moins arrondie ; — 2° que le bras est, en quelque sorte, collé contre la paroi thor
i thoraci-que; — 3° que l'avant-bras forme un angle droit avec le bras ;— 4° que la main, et nous insistons sur ce point,
mouvements de l'épaule sont assez étendus ; la malade peut élever le bras horizontalement, le porter dans l'adduction et da
suivantes le démontrent : a gauche. a droite . Circonférence du bras au niveau de l'aisselle.. 51e 26'' Circonfére
e du bras au niveau de l'aisselle.. 51e 26'' Circonférence du bras à 10 cent. au-dessus de l'olécrâne.... 20°, 3
.. . 15e 18e Longueur de la 16e, 5 18e Lec... ne se sert de son bras gauche que pour appuyer, pour presser. Elle trava
e la nuque et de la région cervicale postérieure, s'irradient dans le bras et dans le coude ; — 2° des douleurs vives dans l
rnum, s'arrête à la base du cou et l'étouffé ; b) une douleur dans le bras paralysé qui, partant du coude,s'élève jusqu'à l'
assez bien à celui du nerf médian (?). « On dirait qu'on me coupe le bras ou bien que j'ai un mal qui va aboutir. » Cette d
blissement qui se traduit par de l'incertitude dans les mouvements du bras le renversement du pied dans la marche, etc. Puis
te que trois dents. Membre supérieur droit (paralysé). Au repos, le bras s'appuie le long du thorax ; l'avant-bras, à pein
i lui donne Yaspect d'un crochet. (Planche III.) — La malade élève le bras jusqu'à la ligne horizontale, porte la main au fr
douleurs et craquements dans l'épaule, mais aucune douleur le long du bras ni dans les autres jointures. Toutefois, au momen
es des deux membres supérieurs. Droit. Gauche. Circonférence du bras au niveau de l'aisselle. . . . 18e 25e", 5 Ci
ras au niveau de l'aisselle. . . . 18e 25e", 5 Circonférence du bras , à 10 cent. au-dessus del'o- 18 22 Circonfé
'ailleurs légers : D... se plaint de douleurs assez profondes dans le bras paralysé, à trajet mal défini; — le pouce n'est p
le jetterait quelquefois un cri et tomberait ensuite par terre ; — le bras paralysé se retournerait plus que l'autre, la bou
jours, quelquefois davantage, les parents s'aperçoivent que l'un des bras reste inerte, qu'il retombe quand on le soulève,
tate qu'elle ne se tient que difficilement sur la jambe qui répond au bras paralysé. Dans la marche, l'enfant traîne cette j
duré neuf heures n'ont frappé que la moitié droite du corps : jambe, bras , bouche. Au réveil, elle était paralysée et ne po
che. Au réveil, elle était paralysée et ne pouvait du tout mouvoir le bras et la jambe du côté droit. Trois mois se passent,
en traînant la jambe et quelques mouvements redeviennent possibles au bras . Bras et jambe étaient alors « comme du chiffon,
înant la jambe et quelques mouvements redeviennent possibles au bras. Bras et jambe étaient alors « comme du chiffon, sans v
anches I-VI et aux descriptions consignées dans les observations : le bras est d'habitude plus ou moins fortement fixé contr
moins fortement fixé contre le thorax, l'avant-bras est fléchi sur le bras , en pronation ainsi que la main qui, souvent, est
ient auparavant. Marguerite serre mieux aujourd'hui qu'autrefois. Son bras gauche aurait plus de force.— Inintelligence n'au
gts. Elle peut cependant balayer. Gauche. Droit. Circonférence du bras au niveau de l'aisselle......... 30 c. 29 Cire,
a) Gr... ne sent rien dans la main, l'a-vant-bras, le coude ou le bras ; mais elle éprouve, dans l'épaule gauche, des dou
ers la malade qui, à ce moment, tournait sur elle-même en élevant les bras . L'infirmière l'a soutenue dans sa chute et l'a a
e est devenue sourde, qu'elle « ne s'entendait plus parler, » que son bras gauche était engourdi et qu'elle sentait qu'elle
t eu une maladie dans le genre de celle de notre malade ; il avait un bras paralysé, la parole difficile : c'était un enfant
re admission à la Salpêtrière (1839), Emma se servait encore de son bras ; elle boitait, mais beaucoup moins qu'aujourd'hui
it augmenté et enfin qu'Emma serait devenue incapable de se servir du bras droit. A sa sortie (2 mai 1868), elle parlait un
vulsions, affirme-t-on, étaient plus fortes dans la jambe que dans le bras . Emma les sentait venir : elle se plaignait de ba
oyons aujourd'hui. Son père lui avait fait faire de la gymnastique du bras ; le bras s'assouplissait momentanément, et, peu
urd'hui. Son père lui avait fait faire de la gymnastique du bras ; le bras s'assouplissait momentanément, et, peu après, rep
ntures, facile toutefois à vaincre; pas de craquements. D'habitude le bras reste ap-pliquécontre le thorax,l'avant-bras fléc
REBRALE : EPILEPSIE PARTIELLE Hü VHP CJK DROITK; IMBECITJJTE le bras , le poignet sur l'avant-bras. Les doigts sont inf
e de la main (Pl. V.). S... peut exécuter certains mouvements avec le bras droit, porter, par exemple, la main sur la tête,
n général, elle ne s'en sert pas. Droit. Gauche. Circonférence du bras au niveau de l'aisselle......... 23c,5 2ic,5 Ci
rence du bras au niveau de l'aisselle......... 23c,5 2ic,5 Cire, du bras à 10 cent, au-dessus de l'olécrâne........ 22,7 2
rière., les convulsions étaient plus fortes dans la jambe que dans le bras du côté paralysé. Abordons maintenant la descri
n s'aperçut bientôt que l'enfant se servait toujours de préférence du bras gauche, que le bras droit restait pendant, était
que l'enfant se servait toujours de préférence du bras gauche, que le bras droit restait pendant, était flasque, que la main
vements convulsifs que l'on qualifie d'agitation, dans la jambe et le bras du côté droit. Rougeole à 3 ans ; aucune manife
art douloureuse. Membre supérieur droit. — Attitude habituelle : le bras est accolé au thorax, l'avant-bras est à angle dr
: le bras est accolé au thorax, l'avant-bras est à angle droit sur le bras , appliqué sur la poitrine, au-dessous du sein. La
me un crochet dont l'ouverture est très-étroite. — Elle est, comme le bras , dans la pronation. Vépaule est très-rigide ; o
ans la pronation. Vépaule est très-rigide ; on parvient à placer le bras à angle droit avec le tronc en provoquant des cra
end, mais imparfaitement, l'avant-bras. — Les mouvements spontanés du bras sont encore plus limités. Droit. Gauche. Circ
du bras sont encore plus limités. Droit. Gauche. Circonférence du bras au-dessous de l'aisselle. . . 18e 21c,5 Circo
eu des accès « qui revenaient souvent, » et une série d'abcès sur le bras et la jambe paralysés. Les accès ont continué,
se pendant les accès. Ceux-ci sont nocturnes et surtout diurnes. Le bras droit est appliqué le long du tronc ; l'épaule es
uche; ses mouvements sont assez limités; la malade ne peut écarter le bras à plus de 10 ou 12 centimètres du tronc; elle est
n droite sur l'épaule gauche. L'avant-bras est à angle droit sur le bras et un peu dans la pronation. Le muscle biceps est
eps est contracture. On parvient à fléchir un peu l'avant-bras sur le bras , sans pouvoir dépasser l'angle droit. La main,
halange avec la phalangette du pouce sont souples. On trouve sur le bras droit une série de cicatrices froncées, déprimées
de lésions osseuses. Ces cicatrices siègent: 1° à la face externe du bras (Pl. VI bis), à 5 centimètres au-dessus du pli du
à 5 centimètres au-dessus du pli du coude ; — 2e à la face interne du bras (3 centimètres au-dessus du pli du coude) ; — 3°
marque à la face ; voyons ce qui se passe du côté des membres. Le bras droit se contracture clans l'extension et la pr
pronation (Fig. 2) ; la main se tord et se met à angle droit sur le bras qui se porte d'abord sur la partie latérale e
e, dans l'extension, mais la contracture est bien moins intense qu'au bras ; dans certains accès même, elle fait défaut. Ce
'exécute cette rotation, l'avant-bras se fléchit à angle droit sur le bras et vient s'appliquer en travers de la région dors
cessent, les yeux s'ouvrent, l'avant-bras s'étend brusquement sur le bras qui tressaute, se balance plusieurs fois et retom
la contracture ; toutefois, depuis 1876, on aurait vu quelquefois le bras gauche pris de « retournement, » en même temps d'
s et Vagitation, c'est-à-dire les mouvements convulsifs, s'étendit au bras correspondant. Enfin, les convulsions ont envahi
, ce qui dénote déjà une paresse ou un affaiblissement paralytique du bras droit. Cependant, on a essayé de la faire écrire
P... assure ressentir d'ordinaire , des douleurs lancinantes dans le bras gauche, sans trajet bien délimité et prédominant
que une trépidation du membre inférieur gauche, suivie de rigidité du bras , de torsion de la tète, bref d'un accès incomplet
r gauche est saisi de secousses rapides qui agitent tout le corps; le bras gauche se roidit. — La malade parait avoir une co
R. 38°. — Dans certains accès, il y a aussi un peu de trépidation du bras gauche. 8 septembre. — Bien qu'elle n'ait pas
ésente l'état suivant : Les membres du côté droit sont libres. — Le bras gauche est allongé; l'épaule est souple, mais le
main demeure fléchie sur l'avant-bras. Une demi-heure plus tard, le bras et la jambe du côté gauche étaient de nouveau con
paupières sont à demi-ouvertes; le front est énergiquement plissé. Le bras droit, rigide dans la demi-flexion, repose sur le
ent plissé. Le bras droit, rigide dans la demi-flexion, repose sur le bras du fauteuil. L'avant-bras gauche, demi-fléchi, éc
souple, même la main. Dès qu'on fait exécuter quelques mouvements au bras ou qu'on touche la main, celle-ci et les doigts s
e. — Elle ne prend que du bouillon et des potages.— La contracture du bras varie fréquemment ; quelquefois elle disparait en
u'elle répète plusieurs fois. Elle gesticule, fait aller très-bien le bras et la jambe gauches. Elle était maintenue par un
la bouche est tirée à gauche (Pl. IX). Le cou est très-tendu. Les bras et les jambes sont dans l'extension et rigides, l
léchit sur l'avant-bras (Pl. X). Puis, petits cris : Aïe ! aïe ! le bras gauche s'élève, se met à angle droit avec le tron
rtés, les autres doigts étant fléchis à demi ou entièrement. deux bras , et les entrecroisent, ou qui lancent la tête d'u
ses que dans le côté gauche. En pareil cas, la malade est assise, les bras sont allongés presque horizontalement, les jambes
oculaires convulsés en bas ; nystagmus ; mâchonnement; cou tendu. Les bras et Planche XI. HYSTÉRO-EPILEPSIE ÉTAT NOR
nt; la rigidité des membres augmente ; puis, le tronc s'incurve , les bras , après s'être fléchis, se placent de nouveau dan
ête à gauche et à droite, ouvre les paupières, fléchit et allonge les bras , soulève le ventre. Simultanément la face se cong
ppressée; V... secoue un peu la tête, essaie de lever l'un ou l'autre bras , s'asseoit à demi, autant que le lui permet la ca
la contracture générale ne diminue pas, V... soulève brusquement le bras droit, ouvre les yeux, regarde à droite. Les plai
Soir.— V... a été tranquille ; il y a des contractures passagères des bras , avec contorsions de la face. Surdité absolue. T.
que. — Elle se compose de deux phases : a) Tout le corps seroiditjles bras sont fléchis, les jambes allongées. La face est p
ne largement. On remarque des mouvements du ventre, des jambes et des bras qui s'allongent et se fléchissent. Durée : 15 à
ns un état de contracture modérée des quatre membres, prédominant aux bras et surtout au bras gauche. Le cou n'est pas roide
acture modérée des quatre membres, prédominant aux bras et surtout au bras gauche. Le cou n'est pas roide. Attaque. 1° Pér
ue. 1° Période tonique. La face et les yeux se portent à gauche ; les bras , déjà allongés, se roidissent davantage et se met
uvement de rotation et se porte sur le côté gauche du lit. Alors, les bras se fléchissent à demi et se placent au-dessus de
te à gauche. V... ne peut marcher que si on la soutient sous les deux bras . Elle traîne considérablement la jambe gauche, su
otulien, qui consiste en ce que, lorsque la jambe étant placée sur le bras de l'opérateur, si l'on frappe un coup sec sur le
sauf-, paralysie, contracture de la jambe droite ; — contracture dit bras droit ; — disparition de ces accidents. — Perte d
a comp, ession ovarienne sur la contracture récente. — Contracture du bras droit. — Modifications des attaques : crucifiemen
alysie du côté gauche du corps : L... ne pouvait pas se servir de son bras qui retombait, ni marcher parce que la jambe fléc
é réglée. Elle a été admise pour une paralysie de la sensibilité du bras droit et des attaques d'hystérie grave, précédées
0 à gauche et 30 à droite. Aussi L... fait-elle plus souvent usage du bras gauche que de l'autre : « Je m'apprends à être ga
yant les yeux fermés, on imprime différentes positions aux doigts, au bras ou à la jambe, elle ne sait plus indiquer, sans e
— Puis, mouvements de latéralité de la tète, mouvements brusques des bras et des jambes, ce qui constitue une seconde phase
rêtés. De 5 à 9 heures, attaques incomplètes. Dans la troisième, le bras droit s'est contracture dans la demi-flexion, P
deux accidents: torsion exagérée du cou et delà tête, contracture du bras ,reparaissent et disparaissent à plusieurs reprise
i la malade reprend connaissance, elle se plaint de son cou ou de son bras droit qu'elle frotte avec la main gauche : « Otez
de son bras droit qu'elle frotte avec la main gauche : « Otez-moi mon bras , dit-elle. » Et elle pleure. Elle a aussi des
Nitrite d'ample : arrêt définitif. — L... a eu des secousses dans le bras droit et des douleurs dans l'épaule. Les soubresa
ses du tronc qui se fléchissait en avant; — de la jambe et surtout du bras droit. Ces secousses étaient accompagnées de rire
nton. De 6 à 9 heures, 21 attaques. Dans les premières attaques, le bras droit s'est placé en travers du dos et la langue
uccédé sans interruption, la contracture de la langue a disparu et le bras droit s'est contracture dans l'extension : toutes
De 8 à onze heures, 30 attaques. Disparition de la contracture du bras après la quatrième attaque et de la jambe après l
ode de délire (1). Dans quelques attaques, mais non dans toutes, le bras droit exécute des moure (l) Nous avons observé
à sa portée. (l) Au début d'autres attaques nous avons vu les deux bras se retourner plusieurs fois en devenant rigides.
es grands mouvements, elle est restée, pendant quelques instants, les bras en croix (crucifiement). Puis délire : « Qu'est-c
trois attaques épïlepti formes, on note, en outre, une contracture du bras droit. Membre inférieur droit : la hanche et le
paule et le coude sont roides, mais la flexion de l'avant-bras sur le bras est possible ; le poignet est extrêmement rigide
e épileptoïdé). a) Phase tonique : Tout le corps devient rigide ; les bras se roidissent, exécutant ou non un mouvement de c
les pieds; les cheveux sont en désordre, 4. le cou est tendu, les bras sont allongés et contractures. Après avoir gardé
on lit et cela à 5, 6.... 10 reprises différentes. En même temps, les bras et les jambes sont animés de grands mouvements cl
le est, en effet, contracturée dans l'extension; il en est de même du bras droit. — Les membres du côté gauche sont souples.
compression : L... pleure, dit que « ça tire davantage. » Bientôt, le bras se détend, se fléchit, devient libre ; puis la ja
rrière !... ils me mordent !... Maman! » Elle rejette brusquement les bras , découvrant ainsi les fesses. « Chameau ! Pignouf
ues " » Nouvelle attaque ; puis le délire réparait. L .. croise les bras , semble réfléchir; puis elle les décroise, sa phy
st-il permis?... » Elle te cache la figure avec les mains, croise les bras , menace de la tête : « Il m'en fait faire du mauv
ts m'en ont dit... Tu qualifies les vices d'un voyou. • Repos ; les bras sont croisés. « Toi qui aimes tant ta fille ! (
ières palpitent, la malade devient immobile, le regard est fixe ; les bras se croisent et sans avoir eu ni période épileptoï
uri. Plus tard, elle s'est levée et promenée avec un édredon dans les bras . Vers une heure, elle a sauté par la fenêtre, sou
che s'ouvre parfois largement, la pointe de la langue se relève ; les bras sont allongés, contournés, rapprochés ; les épaul
e voir la langue recourbée en arriérera pointe esttremblot-tante. Les bras sont rigides, contournés, secoués. La jambe droit
arrière et vont toucher le lit et l'oreiller ; en même temps : 1° le bras se colle contre le tronc ; Lavant-bras, qui était
vient un second temps. centimètres des genoux. Si- multanément le bras et la jambe, du côté droit, s'allongent; le bras
- multanément le bras et la jambe, du côté droit, s'allongent; le bras et la jambe du côte gauche demeurent tranquilles.
oite fait cesser la contracture des mâchoires et de la jambe, mais le bras droit se contracture et la langue reste con-tract
uette. — La compression étant abandonnée, la contracture disparaît au bras et revient à la jambe. Les mâchoires conservent l
, d'un spasme du diaphragme, accompagné de hoquet et de secousses des bras et des épaules : chloroforme, disparition de ces
ent en haut et à droite. (Pl. XVII et XVIII). Presque toujours, les bras sont dans l'extension et la pronation, les poigne
e les yeux, la physionomie dénote la possession,le désir assouvi; les bras sont croisés, comme si elle pressait sur son sein
la compression ovarienne. Bientôt, X... incline la tête, croise les bras , cache sa figure avec ses cheveux et ses mains, p
econdes environ. Elle se couche à demi sur le côté gauche du lit, les bras entre-croisés, la physionomie souriante (Pl. XXI)
né une contracture du iras droit demi fléchi en travers du dos ; — du bras gauche demi fléchi en avant ; — des jambes dans l
n n'a eu soin de leur mettre la camisole, de fixer leurs pieds, leurs bras et leur tronc. Cette exagération des mouvements,
les talons et les faisant porter sur la » face et sur la bouche, les bras roidement étendus, » tellement que les reins s'ar
qui tenoit le Saint-Sacrement » en main, et qtiaiant le corps et les bras en forme de (l) Voir aussi l'observation de Ros
et témoigna une grande rage de ce qu'il » avoit dit, se mordant au bras , et contournant horri- » blement tous les membr
voir eu une contracture de la jambe droite, puis et successivement du bras correspondant, des muscles du pharynx, enfin, des
ité morbide n'est pas bornée au sein, mais s'étend à l'aisselle et au bras . On ne trouve pas de tumeur distincte dans la mam
rachialgie en 1876, également après une grande colère. longe les bras et les roidit en tendant le tronc, elle rend plus
lant arresté sur la petite grille fort noir, qui se » jettoit sur mon bras quand je voulois commencer à (l) Histoire de Ma
es démonolâtres « ont trouvé le moyen de ravir les femmes d'entre les bras de leurs époux, et faisant force et violence à ce
ans aide lui-même, contraint de souffrir sa honte à yeux ouverts et à bras croisés. » Jeanne Herviliers, dont la mère, pou
sant contre les balustres de la chapelle qui y est, et lui tenaut les bras étendus, se mit en état, tout debout, d'avoir sa
le restait au chœur jusqu'à onze « heures prosternée sur le pavé, les bras en croix, le visage contre terre. » (Loc. cit., p
onnant d'amour. Comme elle le contemplait ravie, il détacha un de ses bras , attira la sainte contre sa poitrine adorable, et
2 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
s du tronc et des épaules sont normaux. De même, les mouvements des bras sont revenus à l'état physiologique, à l'exceptio
ute brusquement les muscles du malade à la cuisse, ;1 la jambe ou aux bras , on provoque une contraction tonique qui persis
nt que ses forces ont beaucoup diminué et il éprouve du côté de ses bras une sensation de lassitude et de fai- blesse se
impotence limitée encore aux membres inférieurs atteigne aussi ses bras , car il commence à éprouver dans les membres su
ellectuelle peu élevée. De quoi les Démarche vacil- Faiblesse des bras Faiblesse des malades se plat- tante et faible
nt-bras avait de la tendance à rester con- tracté en flexion sur le bras , le pouce étant replié dans le creux de la main
e plus intense à droite qu'à gauche, l'avant-bras est fléchi sur le bras , la 36 TOMMASI DE AMICIS main sur l'avant-bra
muscles étaient intacts. Il fut réformé pour atrophié musculaire du bras droit. Il était droitier,mais il travaillait di
bras droit. Il était droitier,mais il travaillait difficilement du bras droit; il s'essaya de la main gauche, d'abord s
pierre tendre, et finalement il devint gaucher. Deux ans après, le bras gauche a commencé à être inté- ressé et l'atrop
de Lyon, l'a examiné très longuement : seuls les mus- cles des deux bras s'étaient en partie atrophiés sans que jamais ils
Membres supérieurs. - Lorsqu'on découvre le malade, on voit que les bras sont considérablement émaciés, surtout clans leur
E PRIMITIVE ET PROGRESSIVE AVEC AUTOPSIE 51 La moitié supérieure du bras contraste avec la moitié inférieure. Le deltoïd
es mensurations donnent les résultats suivants : Circonférence du bras dans la partie inférieure la plus grêle : Il cent
s. L'avant-bras estamaigri, mais relativement beaucoup moins que le bras ; le long supinateur est le seul muscle complèt
Mouvements Vof.OTT.1112GS.- Le malade ne fléchit l'avant-bras sur le bras qu'au prix d'un grand effort du tronc et de l'é
vement de bilboquet et cela sans l'intervention active des muscles du bras et de l'avant-bras. Quand le bras est ainsi flé
ntervention active des muscles du bras et de l'avant-bras. Quand le bras est ainsi fléchi, son extension volontaire est
n extension volontaire est impossible. Les mouvements d'ensemble du bras pour saisir le nez, pour porter la main 1 la bo
mouvements. Pour porter la cuiller ou la fourchette il la bouche le bras cherche un point d'appui ; la main est mise en
ires, antérieures et postérieures, le nerf médian au tiers moyen du bras , le nerf tibial postérieur; on rencontre toutefoi
n'est pas une moribonde ; elle est encore fort bien en chair et son bras nu, ferme et potelé, relevé sur sa tête, encadre
capulaire dans le territoire de la 2e racine dorsale. - D, bande du bras en arrière, passant, après interruption, sur l'av
ion supérieure du buste, les membres supérieurs depuis le milieu du bras jusqu'à l'extré- mité des doigts. Particularité
n exemple qui vous convaincra (Fig. 17). Cette figure représente le bras gauche d'une femme âgée de 40 ans, très bien po
e le malade, en faisant un saut périlleux, tomba sur l'épaule et le bras droits ; quand il se releva, toute cette région é
sa- tion pendant quarante jours, dans un appareil à attelles, de ce bras qui était t très endolori, au point qu'on ne po
très vives dans l'épaule. Le malade peut cependant se servir de son bras ; il a du reste travaillé jusqu'à t'âge de 23 a
esauts. La conso- lidation opérée, les douleurs ont disparu dans le bras , mais persistent légères dans l'épaule; l'amaig
ts sur la main. La lésion se répare, mais à partir de ce moment, le bras est frappé d'impotence presque absolue et ne pe
horax droit ne participent nullement à l'atrophie. Les muscles du bras droit sont très atrophiés. Le biceps, réduit il
uit il l'état de corde,a perdu de sa longueur et maintient l'avant- bras en légère flexion sur le bras. Le coraco-brachial
de sa longueur et maintient l'avant- bras en légère flexion sur le bras . Le coraco-brachial est également très réduit.
eine main on voit qu'il est encore notablement charnu. En somme, le bras est très rapetissé et contraste avec l'avant-br
résister à l'extension lorsqu'on met l'avant-bras en flexion sur le bras . Les muscles de la région antérieure de l'avant
ux et les lombricaux. Les mensurations donnent : Circonférence du bras au niveau du creux axil- droite à gauche laire
xil- droite à gauche laire 17 cent. 1/4 28 cent. Circonférence du bras au-dessus du deltoïde. 17 » 27 » Circonférence
onférence du bras au-dessus du deltoïde. 17 » 27 » Circonférence du bras au pli du coude.. 17 » 1/4 24 » 1/2 Longueur de
n dynamométrique de la main est de 47 kilogrammes. Les téguments du bras droit sont parsemés de petites zones cicatriciell
oite qu'à gauche sur l'avant-bras, et quatre fois plus épais sur le bras . Cet épaississe- ment n'est pas dû à de l'oedèm
la main en avant dans Pacte d'uriner. Les mouvements d'abduction du bras sont impossibles. Ceux qu'on peut ob- tenir son
us il un mouvement de latéralité du tronc qui vient buter contre le bras et le coude et imprimer une oscillation transvers
st obligé de projeter le membre par un mouvement de bilboquet. Le bras est constamment en pronation ; la supination est
on du muscle 'cubital antérieur. L'extension de l'avant-bras sur le bras n'est qu'ébauchée et ne peut s'obtenir complète m
roid est exagérée dans la région postéro- externe de l'épaule et du bras (zone du circonflexe) ainsi que dans la région
sensitive du circonflexe (face postérieure de l'épaule et externe du bras ). Dans la zone sensitive du musculo-cutané (fac
s vive encore dans la zone sensitive du radial (face postérieure du bras et de l'avant-bras). A peine accusée sur la moi
pour devenir postérieure. La préhension du nerf médian au milieu du bras est douloureuse, ainsi que la pression exercée
exagérée à droite, sur la totalité du mem- bre, mais surtout sur le bras . Elle est normale gauche. Une secousse élec- tr
he. Une secousse élec- trique bien supportée même par le malade, au bras gauche, l'a un jour, dans une foire, jeté à la
au-dessous du creux axillaire, au niveau du pli du coude. Le long du bras pas de cordon induré appréciable au niveau du p
orsqu'on lui serre brusquement les tendons fléchisseurs de l'avant- bras droit, au-dessus du poignet, on détermine une sér
les doigts de la main correspondante ainsi que dans l'épaule et le bras gauches. 122 . J. SABRAZÈS ET L. MARTY On se
éception qu'elle abandonne, se porte en avant, impri- mant ainsi au bras un mouvement de rotation en dehors et le col anat
M. P. Duval et Guillain ont soutenu qu'au moment de l'ac- cident le bras étant brusquement porté en abduction, les troncs
ndantes redressées au ni- veau des trous de conjugaison tant que le bras n'aurait pas repris sa direc- tion normale. C
ère du nerf médian. Rien à noter dans la sphère des autres nerfs du bras . Cet homme présente de plus quelques symptômes-
xamen permet de constater une paralysie très marquée des muscles du bras et de l'avant-bras gauche. Le hras droit même s
oude pour le médian, fait naître une douleur bien plus vive dans le bras malade que dans le bras sain. Faut-il mettre to
t naître une douleur bien plus vive dans le bras malade que dans le bras sain. Faut-il mettre tous ces troubles sur le c
olio- myélite expliquant l'extension des troubles moteurs à tout le bras ? la diminution rapide des forces dans le bras
es moteurs à tout le bras ? la diminution rapide des forces dans le bras droit qui n'a nullement été tra1l- matisé sembl
n somme, parmi les traumatismes que nous venons d'examiner, ceux du bras et de l'épaule en blessant les troncs nerveux exp
s dû s'établir avec évidence lors du premier trau- matisme ; car le bras , encore court, se serait arrêté dans son développ
leurs expérimentations cadavériques ont remarqué que l'abduction du bras avec rotation de la tête du côté opposé tend tr
nches radicu- laires ne peut-elle pas se poursuivre encore quand le bras est pendant le long du corps ? L'écartement de
de la fracture humérale et aussi peut-être pour les autres nerfs du bras individualisés au-dessus de l'épaule, en regard
es. De la main gauche, il cherche à prendre un point d'appui sur le bras de son siège, tandis que de la droite il s'effo
e et barbu, à gilet vert et chausses blanches, est ligoité corps et bras sur un fauteuil, les jambes allongées en avant.
étrange clinique, grosse femme à coiffe blanche qui noue à tour de bras un bandage sur le front du patient. L'indiffé
tre fauteuil, un petit homme vêtu de brun, le front bandé, les deux bras passés dans une écharpe blan- che, un grand sab
dans une écharpe blan- che, un grand sabre à poignée rouge sous le bras , un pied chaussé et l'au- tre nu, son soulier g
ont plus du même avis, au sujet de l'attitude du scapulum, quand le bras au repos tombe naturellement sur le côté du tro
t au sujet de la hauteur à laquelle peut s'élever volontairement le bras . L'omoplate est-elle déplacée, dans la station de
t le bras. L'omoplate est-elle déplacée, dans la station debout, le bras pendant naturellement le long du tronc ? L'élév
pendant naturellement le long du tronc ? L'élévation volontaire du bras peut-elle dépasser la ligne horizontale ? Ce so
ISOLÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 179 que gène dans les mouvements du bras droit. Pendant toute l'évolution de sa dothiéne
vant, le malade n'avait eu la moindre gêne dans les mouvements de ses bras . Palefrenier, il pansait les chevaux et les con
t aux relais. Il était obligé pour soigner ses chevaux de lever les bras jusqu'à la verticale et, dans* les mouvements n
il l'étrillage notamment, il ne s'était jamais aperçu qu'un de ses bras fut plus faible que l'autre. Les phénomènes de pa
tat actuel. I. Si l'on examine le malade dans la station debout les bras tombant le long du corps, on s'aperçoit que la
oïde dont le bord inférieur se dessine nettement. II. Lorsque les bras sont élevés directement en avant jusqu'à l'horizo
exe contrastant avec l'aspect normal du côté sain. III. Lorsque les bras sont levés en dehors jusqu'à l'horizontale (PI. X
e aussi saillant et aussi dur que dans l'attitude précédente. IV. Bras élevés dans la direction verticale. Quand on fait
evés dans la direction verticale. Quand on fait élever au malade le bras droit isolément, il arrive à le porter au-dessus
ai, d'in- cliner un peu le tronc du côté opposé, ce qui fait que le bras paraît plus élevé qu'il ne l'est en réalité.
il ne l'est en réalité. En effet, quand on lui fait élever les deux bras simultanément (PI.XXV, G), il s'incline beaucou
nt (PI.XXV, G), il s'incline beaucoup moins du côté sain ; aussi le bras droit, tout en dépassant t l'horizontale, paraî
paraît s'approcher moins de la verticale que dans le cas où le seul bras droit était élevé. Ajoutons que, d'ailleurs, da
as droit était élevé. Ajoutons que, d'ailleurs, dans l'élévation du bras vers la verticale, la région scapulaire présent
même morphologie que dans les cas où le malade élève directement le bras en dehors. 1° Mouvements de l'épaule. L'éléva
t (PI. XXV, H). ' 2° Déformations thoraciques. 1° Station debout, bras tombant naturellement le long du corps (Pl. XXIII
face ou de profil le thorax n'offre aucune déformation visible. 2° Bras élevés en avant jusqu'à l'horizontale (PI. XXV111
dessous du prolongement de la ligne bimamelonnaire. 3° Lorsque les bras sont élevés en dehors jusqu'à l'horizontale (PI.
la précédente, tant en avant qu'en arrière et de profil. fil, Les bras aM'7eoe' jusqu'à la verticale, la déformation per
s dans la nuque. Rapidement s'installa une paralysie des muscles du bras droit, puis du bras gauche, enfin du grand dent
idement s'installa une paralysie des muscles du bras droit, puis du bras gauche, enfin du grand dentelé droit, qui resta l
, Editeurs. PARALYSIE ISOLÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 183 nelle du bras droit. Il lui était difficile d'élever ce bras au
DENTELÉ 183 nelle du bras droit. Il lui était difficile d'élever ce bras au-dessus de l'ho- rizontale. Il continua cepen
de la faiblesse dans l'épaule droite, avec difficulté d'éle- ver le bras correspondant. Il continua cependant son métier,
ras correspondant. Il continua cependant son métier, en s'aidant du bras gauche, et, six mois plus tard, il était incapabl
ras gauche, et, six mois plus tard, il était incapable d'élever son bras droit et présentait les signes ordinaires de la p
ulaire droite. Presque immédiatement après, il ne peut soulever son bras droit au-des- sus de l'horizontale. Enfin le
e la fosse sus-épineuse droite. Aussitôt après il ne peut élever le bras correspondant au-dessus de ligne horizontale. Il
ent des douleurs très vives dans l'épaule droite, irradiant dans le bras et la nuque. Six à huit semaines après, elle co
huit semaines après, elle constate des troubles dans la motilité du bras droit. L'observation, déjà ancienne de Marcbess
même époque, il constata un affaiblissement dans les mouvements du bras et la déformation de l'omoplate. Il n'avait jam
rise trois semaines après un accouchement de douleurs vives dans le bras droit et consécutivement de paralysie isolée du m
iti'é- rence) en même temps qu'elle est plus élevée. L'élévation du bras au-dessus de l'hori- zontale est impossible au
es, l'ayant empêché de dormir pendant quatre nuits, dans la région du bras droit. Quelque temps après, on lui fit remarque
ux du premier cas. Toutefois, le malade aurait toujours pu lever le bras au-dessus de l'horizontale. PARALYSIE ISOLÉE DU
ont seuls contractés. Le grand dentelé reste fiasque, pourvu que le bras soit appliqué contre le thorax. Donc le grand d
Mais nous savons qu'il intervient fortement dans l'acte d'élever le bras soit jusqu'à l'horizontale, soit jus- qu'à la v
eur. Il joue donc un rôle primordial, dans les divers mouvements du bras . La gène considérable de ces mouvements, dans la
muscle grand dentelé est donc soumis, dans les divers mouvements du bras et de l'épaule, à un exercice répété et puissan
ortent sur trois points : 1° Sur l'attitude du scapulum, lorsque le bras pend inerte le long du tronc ; 2° Sur l'éléva
ras pend inerte le long du tronc ; 2° Sur l'élévation possible du bras au delà de la ligne horizontale ; : 3° Sur la déf
3° Sur la déformation du thorax. L'attitude du scapulum, lorsque le bras tombe naturellement le long du corps, a été viv
enne (2), ne se manifestent que pendant l'élé- vation volontaire du bras . J'ai démontré, en effet, que l'atrophie du grand
l'attitude de l'épaule, pendant le repos musculaire et lorsque les bras tombent sur les côtés du tronc, à moins toutefo
s dans les figures'189 et 190, lorsqu'ils laissaient pen- dre leurs bras sur le côté du tronc. » « Je démontrerai plus loi
grand dentelé, alors que le malade nepeut élever volontairement son bras . » Cosigne pathognomoni- que, important à conna
e reconnaître la paralysie du grand dentelé, lorsque l'élévation du bras est impossible. Pour percevoir ce signe, il fau
ressants à connaître, dans un cas donné d'élé- vation impossible du bras , par exemple dans un cas 'de paralysie du del-
lé n'entraîne aucune difformité appréciable de l'épaule, lorsque le bras pend naturellement sur le côté du tronc. Lewins
, accom- pagnés de déformation de la région scapulaire, au repos du bras , sont des faits complexes. D'autres muscles, di
étaient paralysés. Dans ce cas, le scapulum présentait, au repos du bras , les déformations que les Allemands considè- re
les s'insérant sur cet os, lequel n'obéit plus alors qu'au poids du bras . Il s'ensuit que le scapulum s'abaisse et s'élo
apèze en effet, à l'état normal, contrebalance l'action du poids du bras , puisqu'il élève le moignon de l'épaule, rappro
LXXIV, s. 4î3. 190 A. SOUQUES ET J. CASTAIGNE logique, lorsque le bras est au repos. Le seul déplacement qui puisse se
es fois, ajoute-t-il, que dans une paralysie du grand den- telé, le bras étant au repos, le bord spinal de l'omoplate est
eut-être légère, mais certaine de la région scapulaire, au repos du bras : l'angle inférieur du scapulaire est rapproché d
1 déplacement de la façon suivante : Chez un homme sain, lorsque le bras est au repos, l'omoplate est fixé dans sa posit
générale que, dans la paralysie isolée du grand dentelé, lorsque le bras est au repos le long du tronc, il y a un déplac
es de la paralysie du grand dentelé, dans l'élévation volontaire du bras . Il est tout d'abord un signe que nous ne discu
canisme. Il n'en est pas de même du degré qu'atteint l'élévation du bras . Dans la grande majorité des faits, l'élévation
lévation du bras. Dans la grande majorité des faits, l'élévation du bras n'atteint pas ou atteint exactement la ligne ho
runs. Dans l'observation de Bammler il est dit que l'élé- vation du bras au-dessus de l'horizontale est possible et que ce
é- vation du bras au-dessus de l'horizontale est possible et que ce bras peut être élevé, presque sans effort, jusqu'aux
du grand den- telé, Dans un de ces cas, semble-t-il, l'élévation du bras au-dessus de (1) Il faut admettre, avec Ilitzig
tion électro-physiologique isolée du deltoïde suffit pour porter le bras jusqu'à l'horizontale et que « le maxi- mum d'é
oïde. Or, à l'état physiologique, lors de l'élévation volontaire du bras , on ne voit pas ces deux mouvements qui engendr
olément le deltoïde. En effet, à l'état normal, dans l'élévation du bras , le grand dentelé agit tou- jours en même temps
titude vicieuse de l'omoplate de se produire pendant l'élévation du bras (2). » Que va-t-il se passer dans le cas de par
s le cas de paralysie du grand dentelé. L'éléva- tion volontaire du bras jusqu'à l'horizontale est possible ; elle est dét
fectivement ce qui a lieu. Voilà le premier temps de l'élévation du bras accompli. Reste le second temps, c'est-à-dire l
AND DENTELÉ 105 Dans Jes conditions physiologiques « l'élévation du bras au-dessus de la direction horizontale, déclare
otation nécessaire à la dernière moitié de l'élévation verticale du bras . » Duchenne en a fourni la preuve expérimentale
deltoïde.et le grand dentelé à la fois. Dans cette expérience « le bras s'élevait verticalement avec une telle énergie
onc logique que, dans la paralysie du grand dentelé, l'élévation du bras s'arrête à la ligne horizontale et ne la dépasse
ent de formuler pour expliquer les cas exceptionnels d'élévation du bras au-dessus de l'horizontale, dans la paralysie du
le qui jouisse du privilègede déter- miner l'élévation verticale du bras , par l'intermédiaire de l'omoplate; le tiers mo
ne pour produire, avec l'aide du deltoïde, l'élévation verticale du bras , avec beaucoup moins de puissance toutefois que
léer mutuellement dans la production de ce mouvement d'élévation du bras ..... Ce fait électro-physiologique est confirmé
CASTAIGNE l'omoplate sur son angle interne, mouvement qui élève le bras au-dessus de la ligne horizontale, il faut qu'e
nséquent, dans la paralysie isolée du grand dentelé, l'élévation du bras jusqu'à la verticale sera possible, par l'action
peu développée et jouit de peu de force, l'élévation volontaire du bras jusqu'à la verticale restera impossible. Comme
runs, le sujet était très bien musclé et cepen- dant l'élévation du bras ne dépassait pas l'horizontale. Dans le cas de
le. Notre malade enfin est médiocrement musclé. Il est vrai que son bras dépasse à peine la ligne horizontale, Il nous r
du côté paralysé et exclu- sivement dans l'élévation volontaire du bras . Elle est essentiellement caractérisée par une
issement de la paroi i antérieure, plus marquée dans l'élévation du bras en avant que dans son élévation en dehors; modi
le de peau pâle, lisse. A la face interne du tiers su- périeur du bras droit, tache comme 5 francs, lisse, fine, pigme
sparu. Les lâches sont légèrement déprimées. Atrophie en masse du bras , de la cuisse et de la jambe du côté droit, l'a
, dur. légèrement exfolié. Etat rugueux de la partie postérieure du bras . L'enfant est revue le 9 juin 1898. 11 semble q
cepen- 208 PAUL SAINTON dant fléchir la main sur l'avant-bras. Le bras est amaigri, les muscles font une saillie très
conservée. La résistance à la flexion de l'avant-bras droit sur le bras est diminuée, la résistance à l'extension est c
n est conservée. Les mouvements d'écartement et de rapprochement du bras du tronc sont assez bien consenés. L'examen de
si que les muscles du pied ont complètement disparu. Les muscles du bras sont d'aspect normal ; le deltoïde, le grand pect
tronc. Et à part deux masses lipomateuses appendues à la racine des bras , c'est surtout aux dépens de la partie sous-diaph
oyez comme elle est pâle, comme ses lèvres sont blanches, comme son bras retombe inerte sur ses genoux, quel ma- ladif a
la gorge a nu une gorge fort enviable, même en cette occurrence. Le bras droit arrondi au-dessus de la tête,de la main g
enveloppée d'un fichu hlanc, elle abandonne avec non- chalance son bras droit au médecin qui lui tâte le pouls. Cette a
es, bourrelets hémorroïdaires. D'autres fois, ce sont les veines du bras , du dos de la main, monstrueusement dilatées, mai
membres simultanément. Fréquente est la douleur des épaules et des bras ; il y a impossibilité de se coiffer. D'au- tre
onstipation. Iliii71go vulvaire. - Douleurs frontales, des épaules, bras , genoux. - Douleurs plantaires. - Op- pression
re de douleurs de tête frontales, de douleurs dans Ips épaules, les bras , et dans la plante des pieds. Cette douleur pla
membres supérieurs sont douloureux et raides ; elle ne peut lever les bras pour se coiffer. Les membres inférieurs sont le
tronc, puissant, bien développé, entre l'aspect des cuisses et des bras aux saillies musculaires accusées et la gra- ci
ras, surtout les muscles de la région antérieure ; les mus- cles du bras et de la racine du membre sont habituellement int
R. - A. Face antérieure. Hypoalgésie dans tout le bord in- terne du bras gauche et au-dessus du genou gauche. Hyperalgésie
ns le même territoire que l'anesthésie. Hyperalgésie à la tête, aux bras et au tronc. Il[. Température. - A. Face antéri
ostérieure. - Thermo-hyperesthésie il tout le tronc, à la tête, aux bras . Hyperesthésie à la chaleur aux membres inférieur
A. Face antérieure. - Hyperesthésie dans la région ombili- cale aux bras , à la face, au cou et il la partie supérieure du
\fy550 Lt C ? Éditeurs. LE MAL D'AMOUR 341 angoisse elle serre le bras amaigri de sa fillette. Et chez cette dernière,
eyer Vienne. - Masson et Cic, Editeurs. LE MAL D'AMOUR 343 le bras d'un agréable dessin, le poignet et la main d'une
ictime qui, mollement, s'a- bandonne, accoudée sur un oreiller, les bras nus, le corsage entrouvert, attendant le verdic
ygne : la main gauche ap- puyée sur sa poitrine, elle abandonne son bras droit au médecin qui lui tâte le pouls. Sur ses
prise dans une cornette, une double pèlerine sur les épau- les, le bras droit allongé sur les couvertures, la main gauche
rt de tâter le pouls et de soupeser l'urinai avec certain geste des bras et certaine posture des jambes qui font de sa con
er l'horizontale de l'avant-bras. La flexion de l'avant-bras sur le bras est également limitée, et se fait par 360 G. RE
- partie supérieure de t'avant-bras .... ` ? ') 23 - - moyenne du bras ........ 23 231/2 - - supérieure du bras.......
` ? ') 23 - - moyenne du bras........ 23 231/2 - - supérieure du bras ....... su 2S1/2 Les muscles du bras et de l'ava
.. 23 231/2 - - supérieure du bras....... su 2S1/2 Les muscles du bras et de l'avant-bras droits sont flasques, surtout
s du bras et de l'avant-bras droits sont flasques, surtout l'avant- bras ; la force est presque nulle. Le malade s'assied
e. Le malade s'assied et se recouche facilement. Les mouvements des bras et des jambes se font bien. Le malade marche bi
es par contractions fibrillaires. En deuxoutrois mois, l'épaule, le bras et les mains se sont successivement atrophiées. C
lets ont tou- jours persisté. Etat actuel. - Malade amaigri. Le bras et la main gauche présentent exactement les mêmes
La flexion des poignets se fait bien, celle de l'avant-bras sur le bras Pst presque complète. Les mouvements de prona
t-bras 17 19 partie supérieure........... 20 18 partie moyenne du bras ........ 19 20 Les muscles du cou, des bras et d
0 18 partie moyenne du bras........ 19 20 Les muscles du cou, des bras et des avant-bras sont très flasques. Les omopl
à la pression. La pression profonde est surtout douloureuse dans le bras gauche et au cou. Le malade marche assez bien
che 16 avant-bras circonférence médiane 16.5 partie inférieure du bras droit 19.5 gauche 20 partie moyenne du bras d
partie inférieure du bras droit 19.5 gauche 20 partie moyenne du bras droit.......... 21 gauche 21 Au palper, état
1 gauche 21 Au palper, état absolument mollasse des muscles. Au bras on ne sent que la peau et le tissu cellulaire sou
région prétendineuse, d'où la forme d'avant-bras en fuseaux. Les bras ne paraissent pas atrophiés. Pas d'atrophie mus
ant-bras se serait amai- grie avant la face postérieure et avant le bras . Depuis deux ans il aurait remarqué la rétracti
embres supérieurs. L'atrophie du thorax aurait accompagné celle des bras dont la partie supé- rieure aurait été prise la
étraction du biceps droit ; les muscles de la région postérieure du bras sont très diminués surtout à droite. , A la f
e. Mouvements des membres supérieurs. - Le malade ne peut élever le bras en abduction et horizontalement. L'adduction de
lever le bras en abduction et horizontalement. L'adduction des deux bras se fait encore bien, en avant commme en arrière
mmme en arrière. Il fléchit difficilement l'avant-bras droit sur le bras droit. Pendant les flexions le biceps reste mou
e de l'avant-bras droit.... 18 ' ` gauche... 19 partie moyenne du bras droit 18 - gauche. ..... 20 partie moyenne de
blent surtout atrophiés quand le sujet est vu de dos ; on croirait le bras constitué exclusivement par l'humérus directeme
directement attaché à l'omoplate. Atrophie générale des muscles du bras et de l'avant-bras ; à la partie moyenne du bra
ale des muscles du bras et de l'avant-bras ; à la partie moyenne du bras gauche; diamètre 20 1/2, à droite 19. A l'avant-b
des membres inférieurs semble intacte. Impossibilité d'élever le bras à l'horizontale, abduction très limitée à un an-
de 40° tout au plus des deux côtés. Flexion de l'avant-bras sur le bras complète à gauche, moins à droite. Les avant-br
e chez un ouvrier rubanier élevant ou abaissant continuellement les bras (Raymond) ; chez un xii 25 370 G. ÉTIENNE o
. Circonférence du tiers supérieur de l'avant-bras, 22 centimètres. Bras cylin- drique. Atrophie considérable du deltoïd
cylin- drique. Atrophie considérable du deltoïde et des muscles du bras . Le biceps semble assez bien conservé, mais le
onservé, mais le malade ne peut résister quand on veut éten- dre le bras fléchi, le muscle contracté reste mou : il ne peu
le bras fléchi, le muscle contracté reste mou : il ne peut élever le bras droit à l'horizontale, mais y arrive avec le br
ne peut élever le bras droit à l'horizontale, mais y arrive avec le bras gauche ; il peut mettre la main gau- che sur la
che sur la tête, mais non la main droite. Circonférence moyenne du bras droit et du bras gauche, 20 centimètres. Les cr
mais non la main droite. Circonférence moyenne du bras droit et du bras gauche, 20 centimètres. Les creux sous-clavicul
une atrophie légère des pectoraux, le malade croise facilement les bras et porte sans peine la main sur l'épaule opposé
xagérant et,se serait communiquée aux muscles de l'avant-bras et du bras droit. Depuis environ 8 mois le malade dit avoi
8 mois le malade dit avoir remarqué une diminution de force dans le bras gauche qu'il ne pouvait plus soulever que diffici
ceux de la région antéro-externe. Il en est de même des muscles du bras ; il est im- possible au malade de mettre le br
me des muscles du bras ; il est im- possible au malade de mettre le bras sur la tête et même d'arriver à le mettre horiz
t par les mouvements d'abduction. La flexion de l'avant-bras sur le bras se fait bien. La résistance aux mouvements pass
rès nulle ; atrophie considérable des muscles de l'avant-bras et du bras . Le malade ne peut soulever le bras même au niv
s muscles de l'avant-bras et du bras. Le malade ne peut soulever le bras même au niveau de l'horizontale, il l'écarte du
ements d'abduction est assez bien conservée. Dimensions : Droite, bras il 6 centimètres au-dessus du pli du coude. 20 ce
s. Le malade peut se soulever sur son séant, sans le secours de ses bras , mais avec difficulté, et il retombe lourdement
'atrophie des muscles de la face n'a pas progressé. Les muscles des bras et des jambes, ont sensiblement gardé le même vo-
ans l'articulation de l'épaule droite une douleur irradiant dans le bras . Ce bras lui paraissait lourd ; parésie assez acc
iculation de l'épaule droite une douleur irradiant dans le bras. Ce bras lui paraissait lourd ; parésie assez accentuée.
re musculaire. Atro- phie notable des muscles de l'avant-bras et du bras , surtout accentuée aux groupes dorsaux et plus
nférieur Circonf. avant-bras droit 16 15 22 - - gauche 18 15 22 bras droit » 23 20 gauche 0) 25 20,5 Subluxation c
est luxée et mobile. 378 G. BTIENNE ' Le malade ne peut élever le bras droit jusqu'à la verticale ; pour arriver à ame
ON ÉLECTRIQUE. 1° Electricité galvanique. A. Muscles. Biceps du bras : NFC < PFC. A droite, NFC = 11 m. a., PFC =
. Parmi les multiples individus qui tombent, se contusionnent ou un bras ou une jambe, qui reçoivent un traumatisme viol
venait con- sulter parce qu'il lui était difficile de soulever les bras , il avait perdu ses forces, il avait vu ses bra
le de soulever les bras, il avait perdu ses forces, il avait vu ses bras maigrir, bref il lui était impossible de continue
r un hasard malheureux une voiture survient, une roue passe sur son bras droit vers le haut du bras, le marchepied attei
voiture survient, une roue passe sur son bras droit vers le haut du bras , le marchepied atteint sa joue, il saigne. Il est
ue, et il rentre chez lui seul. Il ne souffrait que fort peu de son bras , le re- muait avec facilité. Le lendemain il va
reposer quinze jours, il reste donc chez lui sans souffrance de ses bras , s'habillant et se déshabillant seul, conservan
endre ses travaux, mais il a de la difficulté légère à soulever son bras droit, et celte difficulté persiste, bien plus el
l n'y avait pas d'arthrite, au contraire le malade constate que son bras , que son épaule ont maigri. Cette impotence fonct
malade, qui jusqu'alors avait conservé tous les mouvements dans le bras gauche, fit la constatation que son bras gauche
ous les mouvements dans le bras gauche, fit la constatation que son bras gauche devenait lourd, qu'il se fatiguait facilem
cette impotence, pour cet amaigrissement de ses épau- les et de ses bras que cet homme venait à la Salpêtrière, n'ayant pa
aule et du brasdroi ts et de l'amaigrissement moindre d'ailleurs du bras et de l'épaule gauches (PI. LXIV, A). Il a, en
atrophie mus- culaire bilatérale scapulo-lmmérale. La maigreur des bras el de l'épaule fait un contraste frappant avec
ectoral a son relief normal. Quand on regarde le malade de dos, les bras tombant le long du corps, l'épine de l'omoplate
tion de l'avant-bras. Il peut arriver fléchir l'a- vant-bras sur le bras , mais oppose-t-on à ce mouvement une légère résis
ne résistance légère. Il est impossible au malade de soulever les bras jusqu'à l'horizontale (PI. LXIV, B et C). Les f
ments maximum qu'il peut donner, il lui est impossible de lever les bras plus haut, partant il est incapable de porter les
est incapable de porter les mains à sa tête, il ne peut porter les bras en avant ni en arrière, ce qui témoigne de l'im
oculaire. Tous ses orga- nes sont sains. La pression artérielle aux bras droit et gauche nous a donné 17 centimètres de
ite. II n'a aucun accident immédiat, il continue à se servir de son bras . Un mois après l'accident les mouvements devien
ssent. Sept mois après l'atrophie se montre à l'épaule gauche et au bras gauche. Le malade se présente à la Salpêtrière
fait le sujet de notre observation avait tous les mouvements de son bras normaux après son accident. Donc la théorie de
n est normale. Il y a de l'hypoesthésie dans la zone du cubital, au bras gauche, aux deux mains. B. Face postérieure.
se produisaient principalement la nuit. Elle en eût aussi dans les bras . - 412 r) ANDRÉ RICHE ET DE GOTHARD Vers cett
axillaire s'étendant jusqu'au tiers supérieur de la face interne du bras . Hypoalgésie au crâne disposée de la même manière
maladie. - Il y a trois ans, elle a ressenti des douleurs dans les bras ; très violentes elles parcouraient les membres d
ILITÉS DANS LE TABES 415 La force musculaire est un peu diminuée au bras droit; le dynamomètre amène à gauche 18 kilogr.
r. La malade souffre actuellement de démangeaisons douloureuses aux bras , dans la zone d'innervation du cubital, depuis
ant par le creux axillaire. Hypoesthésie le long du bord interne du bras jusqu'à l'extrémité des deux derniers doigts de l
ie qui complète le corset et descend le long de la face interne des bras jusqu'aux deux derniers doigts. Hypoalgésie en
ésie en corset, au chaud, descendant le long de la face interne des bras . Hypoesthésie au froid, remontant au thorax, pl
plus haut que l'hypoesthésie au chaud, descendant aussi le long des bras . Aux autres parties du corps, les sensations th
se traduit par une étroite zone d'anesthésie de la face interne des bras et des avant-bras, l'anesthé- sie respectant la
une femme, coiffée d'un bonnet blanc, le cor- sage entr'ouvert, les bras croisés sur la taille. Il faut croire que la bout
e gauche. Les yeux clos, elle semble avoir perdu connaissance ; son bras pend, inerte, le long du corps. Dort-elle ? Est
autre allongée en avant, le talon raclant le sol. La flaccidité des bras , la chute abandonnée de la tête, la pâleur du tei
isser par lerre, auprès d'une chaise sur laquelle repose encore son bras gauche. Ses yeux rougis, aux paupiè- res- mi-cl
t son ha- billement. Visage noble et majestueux, gorge de déesse, bras et mains d'un irré- prochable modelé, la défail
upée si blonds cheveux frisés, vêtue de salin et de brocatelle, les bras et les épaules nues, soutient à deux mains le b
brocatelle, les bras et les épaules nues, soutient à deux mains le bras droit de la malade. Une autre, plus âgée, à dro
à demi rempli d'un liquide rutilant. C'est du sang. Et regardez le bras droit de la malade. Vous y verrez, au niveau du
ieur gauche présente une contracture incomplète, en demi-flexion ; le bras ne OU ? ICOOOKAPHIE DE L SAlPÊIRIÈRF. T. XII.
exagérés ; en dehors de ce dernier symptôme iLn'y a rien à noter au bras droit. La malade n'est pas gauchère. Il n'y a
res- pectés. Au-dessus, sur le ventre, la poitrine, le dos, sur les bras , sur le cou, sur la face, la peau est mince et
ès notablement diminuée sur toute la moitié droite du corps : tête, bras , tronc et jambe. C'était une hémi-hypoesthésie ne
d'un oedème localisé à certaines parties du visage, des mains, des bras , des parties génitales ; oedème dur, d'apparition
lure avait débuté par le coude pour s'étendre ensuite d'une part au bras , s'arrêtant au moignon de l'é- paule, de l'autr
des Hôpitaux (9 dé- tembrc 1898). Mais il s'agit ici d'un oedème du bras , à poussées successives, se pro- pageant de hau
e fatigue elle marche sans boiter. La jambe droite, le tronc, les bras , la face, sont entièrement respectés; d'autre p
ut par l'état des membres supérieurs. Dans la sta- lion debout, les bras tombent inertes le long du corps (photostéréogra-
e les épicondyliens sont rela- tivement épargnés. Les muscles des bras , quoique grêles, sont moins atrophiés ; les bicep
dos, mais difficulté extrême à les placer au niveau de la tête ; le bras peut être écarté du tronc d'un angle de 70° ; l
arté du tronc d'un angle de 70° ; la flexion de l'avant-bras sur le bras arrive à l'angle droit; l'avant-bras étant en e
un peu de rougeur violacée des poignets. Sur la face postérieure du bras gauche, à 4 travers de doigt au-dessus de l'olé
lée on rencontre une seconde tumeur du volume d'un gros haricot. Le bras droit porte, an même niveau, une tu- meur sembl
de l'excitabilité faradique pour tous les muscles de l'é- paule, du bras et de l'avant-bras ; inexcitabilité des muscles d
n de l'excitabilité faradique pour le nerf médian au tiers moyen du bras et pour le radial. Inexcitabilité à peu près comp
e à la piqûre sur toute l'étendue de la main ; à l'avant-bras et au bras sensibilité d'autant plus émoussée qu'on se rap
. Température : thermanes- thésie au chaud depuis le tiers moyen du bras jusqu'au bout des doigts. La sensibilité au fro
3 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
ied sur l'autre, accélérant ou ralentissant sa marche, et élevant les bras qu'elle agite au-dessus de sa tête (fig. 1). El
mobile, on la dirait sans vie; puis elle gesticule avec violence, ses bras frappent le sol, ses genoux s ecorchent aux gravi
, est comme le sceau de la grande névrose. Fig. 3. — Contracture du bras gauche. Un brasse trouve tout à coup contractur
fenêtre. Elle court en chemise jus- FiG. 4. — Contracture des deux bras . qu'à la porte de sortie de l'hôpital, disant à
se mettre au lit. Toujours son regard est fixé sur le même point. Ses bras et ses jambes commencent à se contracturer. Une
int imaginaire. Les jambes sont contracturées dans l'extension et ses bras diversement fléchis (fig. 5). Au bout de peu d'in
nt à gauche qu'à droite ; quelquefois elle était croisée, occupant le bras 1. 5 février 1878. — Deux heures après midi, Ge
re qui est très pâle. Les parties rouges sont chaudes au toucher. Les bras sont plus raides que le matin, surtout le gauche.
aiblesse musculaire augmente; sou-vent la malade ne peut se servir du bras anesthésié. Elle ne peut se peigner le matin et l
in et laisse facilement échapper les objets. Ler... dit qu'elle a son bras droit aussi lourd à lever qu'un poids de 110 livr
lever qu'un poids de 110 livres: «On dirait que j'ai du plomb dans le bras . » Au dyna-momètre elle marque six divisions avec
plu-sieurs reprises par une agitation spasmociique du diaphragme. Les bras s'é-tendent et se rapprochent du tronc, l'avant-b
ouve des tressaillements dans les yeux et le long du bord interne des bras . Le tout dure 4 à 5 secondes. Ces secousses ou
oups sur les jambes. Elle a des secousses clans les deux jambes et le bras gauche. Sa main gauche est prise d'un petit tremb
dentique. Chez Gen..., la contracture commence ha-bituellement par le bras gauche, envahit ensuite la jambe droite, puis l
auche, envahit ensuite la jambe droite, puis les autres membres. Le bras gauche et les deux jambes sont contracturées dans
ras gauche et les deux jambes sont contracturées dans l'extension, le bras droit dans une demi-flexion, la main reposant sur
osant sur l'abdomen, comme il est représenté figure 6. Marc... a le bras droit fléchi, le poignet fléchi, la main au nivea
ambes. Il faut que je marche. » Elle éprouve des secousses dans les bras , dans le ventre et clans les jambes, surtout dans
s dans la contraction musculaire pendant les mouvements convulsifs du bras . Et comme les convulsions lorsqu'elles sont génér
sont bien là les véritables convulsions toniques. Le plus souvent les bras exécutent de grands mouvements de circumduc-tion
t recouvert plus ou moins par les doigts forte-ment fléchis; puis les bras s'élèvent, le coude se fléchit ensuite, ramenant
nteur. La convulsion se montre quelquefois d'un seul côté, et un seul bras exécute le grand mouvement dont il vient d'être q
s mouvements to-niques. La face grimace affreusement (fig. 13). Les bras s'élèvent alter-nativement et exécutent une espèc
(fig. 17). Le moulinet s'exécute parfois en plusieurs temps, et le bras demeure un moment élevé au-dessus de la tête avan
ig. 20. Phase tonique. Immobilité tonique dans le décubitus latéral bras sont étendus dans l'adduction et la rotation en d
ue sur les pieds et la tête, peut simuler Y arc de cercle, et que les bras , étendus perpendiculairement au tronc, peuvent fa
u'ieure dj l'avaul-brus. beijut brusque. T. Convulsions ioniques; les bras s'élèvent et s'abaissent en se fléchissant. C,
rément ouverte et laisse échapper quelques « Ah! Ah! » gutturaux. Les bras —Je poignet fléchi, le pouce dans la paume de la m
. II, p. 41). — Puis les membres demeurent étendus et tétanisés : les bras dans l'adduction, l'avant-bras en pronation, le p
he est ouverte, et la langue, sortie, se tord de diverses façons. Les bras contractures, passent alternativement devant la f
ns le front. 1° Phase tonique.—a) Grands mouvements toniques. — Les bras , con-tractures, exécutent de grands mouvements de
d que par instants pour faire entendre une inspiration sifflante. Les bras s'élèvent un peu et se contour-nent en reproduisa
de est écourtée. Les yeux se convulsent, la tête tourne à gauche, les bras exécutent le moulinet habi-tuel. Clignotement des
frapper le genou gauche (fig. 49); ou bien la malade réunit les deux bras en avant pour les lancer de côté avec violence.
animée d'un mouvement de rotation rapide. Elle se redresse, jette les bras de tous côtés, fléchit les jambes pour les étendr
ncde côté et d'autre, en faisant une sorte de salut et en agitant les bras (fig- 56). Ces mouvements sont entre-mêlés de cri
jambes frappent le lit, se fléchissent et s'étendent brusquement; les bras donnent du poing dans le vide. Enfin l'agitation
arche, et l'accompagne de mouvements ryth-mes de tout le corps et des bras particulièrement. 5 juillet 1879. Math... est e
n s'ar-rête, la face se congestionne, les traits sont contractés, les bras s'élèvent et s'abaissent lentement en formant une
e temps qu'il augmente de rapidité, s'étend et gagne les membres. Les bras , par des mouvements alternatifs de flexion et d'e
imitation du chemin de fer déjà décrite. Au milieu de l'agitation des bras , on remarque un mouvement qu'elle répète assez so
ut le corps est agité de secousses qui suivent la même mesure, et les bras exécutent un mouvement circulaire qui semble imit
ir la lutte. Tout d'un coup elle supplie; ses mains sont jointes, ses bras tendus en i.Il paraît qu'une fois entré dans la
es yeux grands ouverts; son visage exprime la colère et l'effroi; les bras sont roides, maintenus perpendiculairement au cor
s l'avoir placée en travers sur le lit, lui attacha la tête, les deux bras enjeroix, et une-seule jambe, la jambe droite.
r. Vous me faites mal... Oh! maman!... sale c... tu m'atta-cheras les bras et le cou... Oh! je le dirai à tout le monde... à
répond-elle. Fig. 63, — Attitude passionnelle. Puis elle tend les bras dans une attitude extatique. « Oh viens! viens! »
ments sont répétés avec instance. Enfin elle se renverse, ferme les bras , comme pour étreindre le fantôme, et le couvre de
eu d'un grand jardin planté de marronniers roses. Elle s'y promène au bras du préféré. Les soldats sont vêtus de rouge et po
pectacle suivant. Elle voit une négresse entourée d'hommes noirs, aux bras robustes, tatoués à la façon de certains ouvriers
ablit une sorte de colloque entre « elle » el ce lui ». A genoux, les bras ouverts tout prêts à l'étreindre, elle semble dem
assins (fig. 71). Parfois elle pousse de grands cris, en levant les bras (fig. 72). Sa physionomie est celle d'une furie v
ées de danses et de chants. Elle demande du punch..... Elle agite les bras en cadence en Fig. 74, — Attitude passionnelle.
aincu et roule sur son lit avec son oreiller qu'elle étreint dans ses bras . Pendant cette lutte la connaissance revient pe
saccadée, les jambes se contracturent, s'élèvent et se croisent, les bras sont également contractures, la face est congesti
e du tronc comme de grandes salutations, accompagnées d'agitation des bras et de mouvements de rotation de la tète. (9 heure
t riant tantôt pleurant. Elle a des mouvements lascifs, et croise ses bras sur sa poitrine comme pour embrasser la vision qu
la me gêne. » Elle désigne la courroie de la camisole qui retient son bras gauche, on la dénoue. Elle s'assied sur son lit
t.) Ah! du punch! Ah! donne-m'en encore!... » La tête appuyée sur son bras fléchi, elle demeure longtemps pensive, puis rian
leptoïde interrompt ce beau discours. — Ensuite elle se redresse, son bras gauche demeure contracture. Elle cherche dans son
trième période, n'est habituellement pas douloureuse. Elle atteint un bras , une jambe, ou bien une partie de la face, la lan
mitif d'Adam. Sur les six heures, à la suite d'un aura, elle sent son bras droit qui tourne, elle croit que c'est le début d
aque, mais elle ne perd pas connaissance. La convulsion s'arrête, son bras droit demeure contracture, le poing fermé et fixé
quet qui ne s'accompagne que de légers mouvements convulsifs dans les bras . « 20 octobre 1872. —Observation Ler... —Attaqu
ès accusée : phase tonique avec les grands mouvements de moulinet des bras , phase clonique avec la respiration sac-cadée....
nts; — la tête frappe l'oreiller; — puis arc de cercle parfait; les bras sont dans l'extension; les yeux ne sont pas convu
II; arc de cercle incomplet : elle est couchée sur le côté droit, les bras fléchis, les coudes portés en avant et les main
s son lit, se contourne, et finit par se placer en arc de cercle, les bras derrière le dos, reposant sur le ventre, dans l'a
ccent de la plus profonde admiration ; elle exécute de la tête et des bras un mouvement de balancement cadencé : « Ah ! sont
e par la lumière électrique. Ah! ça balance!... » Elle imite avec les bras et la tête le mouvement du bateau. Mais tout d'un
son lit et se tourne de côté et d'autre. Elle s'assied, balance les bras et la tète. L'expression est souriante. Le regard
ut le retirer... Ces bonnes sœurs qui les ramassent... Il a mal à son bras , celui-là. Il faut lui bander le bras...» — La
les ramassent... Il a mal à son bras, celui-là. Il faut lui bander le bras ...» — La scène change. « Oh! qu'il est joli! »
h! » Elle rit, et demeure quel-ques instants couchée, la tête sur son bras gauche replié. Elle se soulève, un nouveau tabl
e, la tète droite, les yeux convulsés en haut, les dents serrées, les bras dans l'extension et la pronation forcée, rapproch
ontre l'autre. Par instants, de légers tressaillements parcourent les bras et tout le corps, quelques mouvements de déglutit
ominance des contractions toniques, dure quelques minutes. Puis les bras se fléchissent brusquement, et commence alors le
la main au creux de l'estomac, comme quelqu'un qui souffre, puis les bras se fléchissent et s'étendent lentement, ébauchant
dans une attitude bizarre : elle ne repose que sur le siège; les deux bras , croisés derrière les cuisses, élèvent les deux j
tableau plus riant succède à cette agitation. Assise sur son lit, les bras croisés sur ses jambes, elle contemple...; sa phy
n lit, le tronc s'incurve en arrière, les jambes à demi fléchies, les bras élevés au-dessus de la tête. La tête est tournée
resse, appelle madame X..., fait des grimaces, tire la lan-gue... Ses bras se fixent derrière son dos. « Mes bras ! » crie-t
imaces, tire la lan-gue... Ses bras se fixent derrière son dos. « Mes bras ! » crie-t-elle d'un ton de souffrance. Elle a au
ton de souffrance. Elle a aussitôt recouvré sa connaissance, et fses bras sont contractures. 11. h. 22. Nouvelle attaque.
rc de cercle à concavité postérieure dans le décubitus latéral et les bras fixés derrière le dos. c.) Assise sur son lit,
10 h. 48. Mouvement de défense, regard de défi, — elle se croise les bras , semble questionner quelqu'un;—vision plus gaie e
ête tourne à droite et tout le corps se tétanise-dans l'extension; le bras gauche est fléchi, le poing dans le dos. — Les mo
b). Grands sauts, cris, arc de cercle en avant (emprostotonos), les bras et les jambes étendus (fig. 45); d'un bond la mal
st congestionné. —¦ Expression décolère, mouvement de défense avec le bras gauche : « Ah bien! non, méchant... » — Elle se s
unique. Bientôt de petites secousses qui soulèvent les épaules et les bras indiquent l'immi-nence de nouvelles attaques. En
de fer; bientôt un mouvement rythmé sur le bruit des lèvres gagne les bras et tout le corps. L'agitation augmente au point q
urbé en avant, les jambes étendues et soulevées au-dessus du lit, les bras étendus également et formant angle droit avec le
eux fermés convul-sivement, et tout le visage rouge et contracté. Les bras s'élèvent et font le moulinet en passant alternat
ou-riant, la tète est tournée à gauche, le regard dirigé en haut, les bras sont étendus dans une sorte d'attitude extatique
xe en haut, le tronc renversé en arrière, le visage radieux, les deux bras levés. 10 h. 27 m. 30 s. Nouvelle attaque qui d
ues larmes seulement viennent aux yeux. De petites secousses dans les bras et les épaules indiquent le retour d'une nouvelle
ra pas comme ça... » H h. 4 m. Attitude de béatitude. Elle tend les bras , le regard est dirigé en haut, le visage est sour
tombe, le corps courbé en ar-rière, reposant sur le côté droit et les bras fixés derrière le dos. Une con-tracture générale
cédente par l'ondula-tion du ventre et la respiration précipitée. Les bras sont raidis dans l'exten-sion et la pronation. Su
dans l'attitude de l'arc de cercle avec décubitus latéral droit, les bras derrière le dos, la tête renversée et tournée à d
le dos, la tête renversée et tournée à droite. 10 h. 4 m. 40 s. Les bras reviennent se placer le long du corps et restent
e vision effrayante: «Oh! j'ai peur. » Elle se cache la tête dans ses bras : « Oh! j'ai peur... ce rat... » 10 h. 13 m. On
-minute. 10 h. 26 m. Sauts, cris, stertor; au milieu du stertor les bras sont animés de violentes secousses. 10 h. 28 m.
ine est dans le décubitus dorsal, tout le corps dans l'extension, les bras dans l'adduction se croisent sur la ligne médiane
be brusquement. Elle se tourne alors de côté et d'autre, et agite les bras , les poings fermés. Elle se contor-sionne ainsi p
s le phénomène de l'effort. Aussitôt commence une sorte de lutte, les bras se fléchissent et s'étendent avec force ; le tron
bêtes de toutes sortes et particulièrement par des poulpes aux grands bras rouges qui s'attachent à ses pieds, et par des se
ins intenses. A la fin du deuxième mois, elle marche appuyée sur le bras de sa garde, mais le genou gauche est toujours do
it déclaré pendant la nuit en chemin de fer. Elle fut à la messe au bras de son frère, jeune séminariste à Saint-Sul-pice.
, il y avait quelques secondes de calme, puis quelques mouvements des bras commençaient la grande attaque; ces mouvements ét
ileptoïde ne semble représentée ici que par les grands mouvements des bras qui commençaient la grande attaque; suivaient les
passionnelle. La malade était alors assise sur son lit, avançant les bras , appelant son frère; elle s'agenouillait, joignai
ère, pendant lesquelles la malade lève les yeux au ciel et croise les bras , jusqu'à ce qu'un mouvement convulsif du bassin l
nts, la malade rejette la tête en arrière, les mains se crispent. Les bras et les jambes s'agitent en Pair et sont animés de
a grande attaque est complète : position en cerceau, visions, extase, bras en croix, contractures d'un côté, le plus souvent
it depuis une quin-zaine de jours par une contracture qui a envahi le bras et la jambe gauches. La main repose sur l'épigast
ement aux membres contractures. On ne peut toucher même légèrement au bras contracture sans que la malade pousse des cris. E
e s'assoupir, elle est prise d'étouffements et l'attaque éclate. Le bras droit quitte l'aimant, se contracture dans l'exte
igées en haut et à droite; tout le tronc s'incurve vers la droite. Le bras droit exécute lentement et à plusieurs reprises u
ve-nir une seconde attaque : la physionomie perd toute expression, le bras droit se raidit, la tête se penche à droite, les
se convulsent en haut et à droite ; le tronc s'incurve à droite ; le bras droit exécute des mouvements de moulinet. Puis to
dresse sur son séant et se renverse brusquement en étendant les deux bras ; pour la première fois, le bras gauche contractur
erse brusquement en étendant les deux bras; pour la première fois, le bras gauche contracture change de position. Mais au bo
e contracture change de position. Mais au bout de peu d'in-stants, le bras gauche reprend sa position habituelle, la malade
le se tire les oreilles et se pince très fortement les téguments. Les bras prennent des directions variées. Tantôt ils sont
n point d'orgue. — Deux fois et à des dates différentes, étendant les bras comme dans l'attitude du crucifiement, j'ai vu la
ministrer après plusieurs essais. Le 28 avril, j'ai appliqué sur le bras droit un aimant en fer à cheval, ma malade s'est
ension, tantôt dans la flexion; les avant-bras se fléchissent sur les bras , soit en supination, soit en pronation ; les bras
fléchissent sur les bras, soit en supination, soit en pronation ; les bras exécutent des mouvements de rotation en dedans et
ments. 2° Les membres supérieurs sont pris de mouvements lents : le bras est porté tantôt en avant et en dehors, tantôt en
ors, tantôt en arrière; puis c'est l'avant-bras qui est fléchi sur le bras ou au contraire étendu; c'est la main qui est flé
ayant lieu des deux côtés, faisant tour à tour fléchir et étendre les bras et les jambes. Après les convulsions toniques a
la prière; tantôt assise, les jambes étendues, la tête penchée et les bras croisés, elle semble révéler une tristesse réfléc
ue l'expiration régulière mais bruyante chasse en grosses bulles. Les bras sont rapprochés du corps et se laissent soulever
r les extrémités qui se tournent, se retournent, se contournent ; les bras et les avant-bras formant des arcs de cercle, les
de zinc, métal auquel elle est sensible, ou si on place à distance du bras un aimant, elle est reprise de mouvements rappela
ranges : les extrémités inférieures se croisent et se décroisent, les bras sont contournés et comme tordus, les poignets son
syncopes fréquentes, et de plus d'une heure de durée. — Paralysie du bras et de la jambe gauches qui dura six semaines. — A
x questions adressées, et ne donnait aucun signe de connaissance; ses bras se raidissaient avec contorsion ; les mâchoires s
, en criant comme de coutume : « Maman, ah! maman, réponds-moi. » Les bras sont projetés au loin, la figure est rouge, mais
a d'abord une attaque hystérique : spasmes, convulsions étendues, les bras s'agitent en tous sens comme chez une personne qu
aintifs, mais ne peut parler. La face rougit, le corps se raidit, les bras sont contractures et très fortement fléchis, les
ivergent. Bientôt, après qu'elle a tiré plusieurs fois la langue, ses bras se raidissent et se portent énergique-ment le lon
rieur droit (c'était le côté contracture depuis l'enfance) et dans le bras du même côté. Ce bras, fortement porté en arrière
e côté contracture depuis l'enfance) et dans le bras du même côté. Ce bras , fortement porté en arrière et fléchi, se tordait
alors de légères convulsions clo-niques du côté gauche de la face, du bras et de la jambe gauches, tandis que le côté droit
Pendant le sommeil, et plus rarement à la suite d'une attaque, les bras s'étendaient en croix, le corps devenait rigide e
fois indéterminé. Les malades se frappent la poitrine, se tordent les bras ou se mordent les mains. Dans leur rage innocente
olents, et la crise s'éteint insensiblement. Les malades étendent les bras et les jambes, bâillent et éternuent quelquefois
te dirigée en haut, sort de la bouche. Les membres se raidissent, les bras sont étendus ou fléchis diversement, l'avant-bras
devient graduellement raide, les jambes sont légèrement écartées, les bras i-ressés fortement contre les faces latérales de
uent sur l'attitude est d'incliner le tronc en avant, de sou-lever le bras et de fléchir les jambes ; cependant le tronc peu
ns de décrire comme générale peut être par-tielle, se borner aux deux bras , à un seul, à une main, à un doigt, à la tète seu
apparaissent dans la face et les membres du côté droit seulement. Le bras s'étend et se met en pronation, le poignet fléchi
r des injures aux paroles qu'on lui adresse. Elle est contracturéc du bras gauche dans une demi-flexion et de la jambe droit
gauche contracture; mais la contracture est instable, elle quitte le bras pour reparaître à la jambe, et vice versa; elle e
ons au lit et contraclurée ainsi qu'il suit : Les deux jambes et le bras gauche sont dans l'extension, le bras droit FiG
suit : Les deux jambes et le bras gauche sont dans l'extension, le bras droit FiG. S7. — Contractures généralisées. f
nant la lèvre supérieure. FiG. 81). — Léger accès épileptoïdc. Le bras droit se soulève un peu et est animé de courtes o
tée plus violemment. Légère cyanose. Des secousses soulèvent les deux bras et aussi les deux jambes. Mouvements de déglutiti
eur pupille, qui ne paraît pas dilatée. L'écume vient aux lèvres. Les bras sont soulevés et animés de mouvements cloniques,
urveillante du service. faire rentrer la langue dans la bouche. Les bras sont contractures, le gauche dans l'extension, le
, en même temps que l'inspiration devient bruyante et saccadée. Les, bras s'élèvent et sont animés, ainsi que la tèle, de c
u'il suit. Les grands mouvements toniques du début sont exagérés, les bras , les jambes et tout le corps se contournent étran
on forcée; les jambes, parfois fléchies, se croisent diversement; les bras se contournent et se placent derrière le dos; les
-vembre 17i)4-, à La suite d'une longue syncope, après une sa'gaée au bras , im accès de vapeur si cofisiiicrable, qu'il fut
e des douleurs aux jambes, à la nuque, enfin à l'épigastre; agite son bras droit sur sa lète, comme u:i p3til!on fai-sant ch
encore. Quebpiclbis elle se jette à terre, frappe alternativement des bras et des jambes; son corps s'arque tantôt devant, t
ce travail et l'extrême chaleur de l'étable; elle soupire, étend les bras , de-mande à boire, à se coucher. Son sommeil est
s mouvements de déglutition. Bientôt, la tétese porte en arrière, les bras s'étendent, le tronc se raitlit, les jambes de-vi
aux; sa tête était légèrement inclinée à gauche et en avant; les deux bras pendants s'écartaient du corps ci leur partie inf
elle disait. Je soulevai plusieurs fois, et successivement les deux bras , jusqu'à l'angle droit; ils redescendaient doucem
oici ce que nous observons durant cette période : )) 1 b. 10 m. Les bras sont saisis d'un trendjlement marqué, analogue à
ernière station et se trouve dans la même position qu'au début. Los bras tombent deux fois de suite et reprennent leur pos
coup, la malade se rejette en arrière, se couche sur le dos, étend le bras de chaque côté et demeure immobile. C'est le mome
n temps la malade fait un effort pour se lever ; alors elle remue les bras et entr'ouvre les yeux. Le regard est terne, voil
uisable. Elle accompagne de balancements de tete et de mouvements des bras son chant, à peine interrompu de temps en temps p
errière!... Ils me mordent!... Maman! » Elle rejette brusque-ment les bras , découvrant ainsi les fesses, a Chameau! Pignouf!
nues? » Nouvelle attaque; puis le délire reparaît, L..., croise les bras , semble ré-fléchir; puis elle les décroise, sa ph
st-il permis?... » Elle se cache la figure avec les mains, croise les bras , menace de la tête : « il m'en fait faire du mauv
nts m'en ont dit... Tu qualifies les vices d'un voyou. » Repos; les bras sont croisés. 1. Gl... est ici désignée parla p
pières palpitent, la malade devient immobile, le regard est fixe; les bras se croisent et sans avoir eu ni période épileptoï
ui séparaient les crises. Le malade qui nous voyait lui traverser les bras avec des épingles, était fort surpris, car il ne
fréquentes at-taques : par instants le malade s'agitait, lançait les bras et les jambes au hasard, ou bien se levait sur so
au hasard, ou bien se levait sur son lit et s'élançait en avant, les bras ouverts, vers un but imaginaire. Il fallut l'atta
l s'arrêtait, tendait la tête, écoutait et l^altait la mesure avec le bras . Il entendait certainement sa chanteuse. Nous n
ir d'entrer en religion. Il y a deux ans, mademoiselle X.... reçut au bras droit une blessure fort grave qui donna lieu à un
ce, elle roulait ses yeux, faisait des grimaces et exécutait avec ses bras toutes sortes de mouvements bizarres. Le 21 janvi
a situation droite et, si l'on insiste, la tourne inversement. Sur un bras l'excitation des fléchisseurs amène la contractur
lques-unes des expériences qui ont été le plus souvent répétées. Au BRAS . — Excitation des muscles. — L'avant-bras est trè
osons notre malade affectée de contracture permanente artificielle du bras droit; si Ton fait agir l'aimant sur le bras gauc
rmanente artificielle du bras droit; si Ton fait agir l'aimant sur le bras gauche, en plaçant ses pôles actifs à peu de dist
gauche, en plaçant ses pôles actifs à peu de distance de la peau, le bras gauche, au bout de peu d'instants, se contracture
auche, au bout de peu d'instants, se contracture en même temps que le bras droit retrouve sa sou-plesse normale. Ce procédé
nant un point d'appui sur le mur près duquel elle se trouve; ses deux bras , te-nant encore les deux parties de l'instrument,
bout de Fig. 97. quelques instants, on lui ferme l'œil droit, le bras droit retombe et la main laisse échapper le percu
main laisse échapper le percuteur; on ferme ensuite l'œil gauche, le bras gauche retombe, et la main laisse échapper le gon
iser, elle s'assombrit au contraire, si RICHER. 25 l'on étend les bras , les poings fermés, dans un geste plus ou moins d
membres droits de la malade. Par exemple si l'expérimentateur lève le bras droit, la malade lèvera le bras gauche, de même p
exemple si l'expérimentateur lève le bras droit, la malade lèvera le bras gauche, de même pour la jambe et si l'expérimenta
er ainsi à la malade les mouvements les plus variés non seulement des bras et des jambes, mais de la face et de tout le tron
e la malade dans l'attitude du dé-but de l'attaque, c'est-à-dire, les bras rapprochés du tronc, les poignets fléchis, le poi
on vient à fermer un de ses yeux, la main correspondante s'arrête, le bras re-tombe inerte, les muscles sont en état d'hyper
gt une de ses paupières supérieures et en main-tenant l'œil fermé, le bras correspondant s'arrête (il est dans la résolution
. Elle la saisit de la main gauche et exécute autour de la main et du bras droit un bandage assez correct. Elle a eu soin de
éfaire son ouvrage, elle déroule la bande et dégage successivement le bras , puis la main. Puis elle saisit la bande par l'ex
Si pendant que, de la main gauche, elle tourne la bande autour de son bras droit, on vient à fermer son œil gauche, le bras
bande autour de son bras droit, on vient à fermer son œil gauche, le bras gauche est immobilisé et garde la bande dans la m
le bras gauche est immobilisé et garde la bande dans la main, mais le bras droit persiste à se mouvoir et par des mouvements
bande autour de lui. Si c'est l'œil droit qui est maintenu fermé, le bras droit, rendu complètement immobile, reste collé a
immobile, reste collé au tronc et entrave par son inertie l'action du bras gauche qui continue son œuvre. On place entre l
l'état cataleptique a cessé, car si l'on cherche à soulever un de ses bras qui soutiennent le livre, elle résiste, ou si l'o
se mêle en quelque sorte à leurs jeux, les prend tour à tour dans ses bras et les embrasse ; elle les décrit avec des cheveu
u'elle a le vertige, pour qu'aussitôt elle se couvre les yeux avec le bras et se laisse tomber à la renverse. Nous la recevo
le bras et se laisse tomber à la renverse. Nous la recevons dans nos bras ; elle est redevenue cataleptique. Nous essayon
s déjà vu que, pendant cet état cataleptique, il suffit de placer les bras de la malade dans l'attitude du début de l'attaqu
endant l'état léthargique, n'est plus possible. Lorsqu'on soulève les bras , ils re-tombent inertes et les paupières à peine
rêter immobiles comme une statue, raides et privées de sentiment, les bras levés ou étendus, dans des poses expressives. I
tion oîi ils étaient avant qu'ils fussent frappés de la foudre; leurs bras restaient dans la même situation qu'on leur donna
er le degré de sa contraction à l'effort qu'il doit vaincre. Ainsi le bras étendu perpendiculairement au corps gar-dera la m
tisme. « Si, dit-il, pendant la période de catalepsie, je place les bras de mademoiselle X..., dans la position de la priè
e croit dans une cérémonie religieuse ; la tête penchée en avant, les bras fléchis, elle sent son esprit envahi par toute un
ces actions vient innnédiatement et avec force; bien mieux, les deux bras étant placés dans la position de porter deux seau
xpressément signalée, a été entrevue dans le sommeil hypnotique : les bras étant dans la résolution, on prie la malade de se
îmes de violents efforts de contraction des muscles de l'épaule et du bras , tout en lui pressant très légère-ment les mains,
nt la dévorer, de grosses écrevisses qui courent sur son lit, sur ses bras , sur sa poitrine; elle se réveille en sursaut, co
verse en arrière, se conges-tionne; les traits sont contractures. Les bras s'élèvent et se fléchissent, les jambes sont raid
qu'elle a dans la bouche. Elle sent les piqûres qu'on lui a faites au bras droit et à la tempe droite, mais nullement celles
, solliciter son attention en lui prenant la main, en lui secouant le bras , en la pinçant, en la piquant même fortement, rie
in. Perte de connaissance. —Anesthésie. On peut lui transpercer les bras sans provoquer un mouvement. La contracture des m
pouvait la contenir; elle levait les jambes, étendait brusquement les bras , cherchait à s'arracher les cheveux et frappait d
rd, je croyais à un état cataleptique; mais si l'on prend un des deux bras étendus le long du corps et si, par un effort sou
is se coucher tout doucement sur son oreiller, s'étendre, ramener les bras le long du corps et se raidir : elle était dans s
it lui être douloureuse; j'insistai, elle fit quelques mouvements des bras qu'elle ramena au-dessus de sa tête et s'éveilla
symptômes suivants : Insomnie, éblouissements, fourmillements dans bras et jambes. Sentiment d'étouffement et de strangul
les muscles ne cédaient qu'en résistant à une force su-périeure. Lps bras seuls sont susceptibles de ces mouvements catalep
e d'un clignotement con-tinuel. Elle avait les mâchoires collées; ses bras et ses jambes restaient dans 1. Bourdin. Traité
'épaule gauche, en même temps que celle-ci se relève fortement, et le bras du même côté se rapproche du corps ; un peu plus
plaçant dans une position très pénible, les muscles de l'épaule et du bras , par une suite de contractions tétaniques telleme
violentes qu'on les voyait se dessiner sous la peau, maintenaient le bras dans la position que je lui avais donnée. Cette s
ouloureuse, que je dus au bout de quelques secondes faire retomber le bras sur le lit, » La malade n'eut que ce seul accès
ne affirmatif. « Où souffrez-vous? » — Elle abaisse péniblement son bras droit en le dirigeant vers le ventre. « Remuez le
z les membres? » — Elle fait faire quelques mouvements pénibles à son bras et à sa jambe droite. Ces deux membres gardent ce
en l'état cataleptique. Nous la laissons quelques instants les deux bras et les deux jambes levés perpendiculairement au l
qui rappelle le pleurer à chaudes larmes; congestion de la face; les bras s'élèvent et se contournent en s'abaissant; les j
ème période. — Puis Math... demeure immobile, le visage souriant, les bras diversement placés, assise sur son lit ou couchée
é musculaire existe. — On contracture par la pression les muscles des bras . A la face on contracture les masséters. Les autr
n. Les doigts, les phalanges des doigts, le poignet, l'avant-bras, le bras , les yeux, la tête, tout restait immobile dans la
les yeux tournés de tous les côtés qu'on avisait de les tour-ner, les bras fléchis et suspendus, sourire également avant de
roide et presque sans pouls. D'une minute à l'autre elle étendait ses bras en forme de croix, et s'écriait en langue vulgair
-rant deux minutes , après quoi elle recommençait le même manège. Ses bras étaient raides lorsqu'elle les étendait; mais les
respiration régulière, le visage sans expression, les yeux fermés; le bras droit, qu'on avait pris pour tâter le pouls, rest
n la pinçait, on lui fourrait des épin-gles et des aiguilles dans les bras et les jambes, sans qu'elle donnât aucun signe de
es les parties de son corps lorsqu'on la soulevait; en lui élevant un bras , il paraissait léger comme une plume, et il demeu
s eu haut et brillants, les paupières ouvertes et sans mouvement, les bras élevés et les mains jointes, comme si elle eût ét
menton, sa bouche s'ent'rouvrait et restait ouverte; on lui levait un bras , ensuite l'autre, ils ne retombaient point; on le
e sur ses jambes les mêmes épreuves, et pour donner aux jambes et aux bras en même temps des attitudes différentes à souteni
Le 12, à la visite du matin, la raideur des membres a disparu, et les bras gardent à peine une minute les positions où on le
la main et l'avant-bras, ceux-ci retom-baient inertes, tandis que le bras restait dans l'attitude où nous l'avions placé. M
e indépendance du pied vis-à-vis de la jambe, de la main vis-à-vis du bras . Nous avons pu voir aussi que sans frictions, le
beaucoup mieux que pendant la veille, puisqu'il lui fallait alors un bras pour la soutenir. La démarche était assurée ; le
elle était assise sur soe lit, les yeux fixes, largement ouverts, les bras étendus, paraissant suivre toutes les péripéties
on état cataleptique en la mettant en équilibre sur les ischions, les bras levés en l'air, et les membres inférieurs soulevé
vue : son visage exprimait le plaisir, le bonheur; elle éten-dit les bras , se souleva lentement, s'assit sur son lit, avanç
as, se souleva lentement, s'assit sur son lit, avança le corps et les bras dans la direction de son regard, et resta quelque
nsi dans une véritable extase ; tout à coup elle ferma violemment les bras sur sa poi-trine, on eût dit qu'elle y pressait q
elque chose de terrifiant. D'un mouvement rapide, elle se dressa, les bras portés en arrière, la poitrine haletante, et elle
chez elle au suprême degré. Je m'approchai d'elle et la pris par les bras , et soudain, ses yeux se fermèrent, sa figure red
calme et reprit l'immobilité qu'elle avait dans le somnambulisme. Ses bras retombèrent le long de sa poitrine, et je la rame
'action d'un électro-aimant. Si, d'une seule main, on tient un de ses bras , la contraction est moitié moindre que si on le t
45 minutes. Pouls à 84. 9 h. 45 minutes. — La malade se croise les bras derrière le dos. Pouls à 96. 9 h. 55 minutes. —
croise les bras derrière le dos. Pouls à 96. 9 h. 55 minutes. — Les bras et les jambes sont secoués violemment, comme par
15 minutes. — Mousse aux lèvres. 12 h. 18 minutes. — Croisement des bras derrière le dos, la tête est for-tement appuyée p
inférieurs, en cadence avec la respiration. 12 h. 25 minutes. — Les bras sont retournés et placés derrière le dos, plainte
des mains à la gorge, râles étranglés, 13 h. 26 minutes 1/2. — Les bras se tordent et se détordent, violentes secousses d
: «Ma-man ! » maman ! y convulsions très fortes et très étendues des bras , du tronc et de la tête; spasme pharyngien ; pouc
dévie à droite, la face ne grimace pas. Il y a des secousses dans les bras à la fin de chaque expiration, qui est bruyante e
fois, elles sont précédées de crises épileptoïdes avec tétanisme des bras , gon-flement du cou, perte de conscience, après q
sivement en haut, puis en haut et en dedans; les yeux se ferment, les bras retombent inertes, et le sommeil s'établit habitu
stituer un doigt dans les quatre doigts que la tante ap-plique sur le bras de l'enfant; immédiatement la convulsion commence
chambre, mademoiselle X... veut se lever : la mère la reçoit dans ses bras . Immédiatement accès convulsif terrible de grande
utter quel-que peu; mais au bout de quinze secondes tout au plus, ses bras se sont raidis de chaque côté du tronc, le visage
érique en particulier, par Fernand Espanet, 1875, p. 33. » Les deux bras , pris par le poignet, sont relevés sans grands ef
conservent la position donnée. L'avant-bras gauche est fléchi sur le bras et le membre conserve la position coudée. En exéc
d'un enterrement; il tombe tout à coup, perd connaissance, agite les bras et les jambes ; la face devient grimaçante ; de l
simple contact et au pincement; il a un tremblement considérable des bras et des jambes, des lèvres et de la langue, surtou
éprouve des maux de tête, des étourdisse-ments, des douleurs dans les bras et les jambes, une faiblesse dans les membres inf
ts ; à cette époque, il avait parfois des secousses brusques dans les bras et dans les jambes. Le 29 juin, il se montre inqu
ndant je n'en étais ni effrayé ni même étonné. Je le prenais dans mes bras , et je l'euaportais dans la chambre voisine, en m
ut jamais une plus pure ivresse; il me souriait et tendait ses petits bras comme pour m'appeler à lui. Cependant cette douce
tre animé d'un mouvement analogue au membre inférieur gauche, mais le bras droit lui-même, avec un retard ap-préciable, est
é, la contracture du membre supérieur estbeaucoupplus fréquente, t Le bras est dans l'adduction, appliqué contre le thorax,
ué contre le thorax, l'avant-bras en supination et demi-fléchi sur le bras , la main fléchie sur le poignet, les doits fléchi
t. Ainsi des tractions un peu vives opérées sur un membre parésie, le bras par exemple, peuvent, dans certains cas, l'immobi
sa position; il en est de même, bien qu'à un degré moindre pour le bras du môme côté. L'achromatopsie partielle existe po
tracture provoquée par l'aimant s'étendait à tout le côté gauche ; le bras gauche, le cou du même côté pouvaient être contra
, de voir, par exemple, une jeune femme, dont a été piqué ou pincé le bras , se plaindre, peu après le petit accident, d'une
sera probablement compliquée d'une action convulsive des muscles du bras ou encore d'une contraction continue des muscles
ction continue des muscles fléchisseurs ou de la partie antérieure du bras , de telle sorte que l'avant-bras sera tenu courbé
onstate un peu de roideur musculaire. En même temps la contracture du bras droit paraît moins intense. Peu à peu les mêmes p
ue du côté opposé. Si maintenant l'on vient à appliquer l'aimant au bras droit, le même phénomène que l'on a désigné, par
se reproduit exactement de la même façon et la contracture revient au bras droit en même temps qu'elle quitte le bras gauche
la contracture revient au bras droit en même temps qu'elle quitte le bras gauche. Et ainsi de suite, l'expérience peut être
n arrière et vont toucher le lit et l'oreiller; en même temps : 1° le bras se colle au tronc ; l'avant-bras,qui était allong
le front arrive à quelques centimètres des ge-noux. Simultanément le bras et la jambe, du côté droit, s'allon-gent; le bras
x. Simultanément le bras et la jambe, du côté droit, s'allon-gent; le bras et la jambe du côté gauche demeurent tranquilles,
bilation de l'intelligence et quelques mouvements convulsifs dans les bras . Depuis la plus haute antiquité et chez tous le
et la guérison de la sœur P.. atteinte de contrac-ture hystérique du bras gauche, par des applications répétées d'aimant, f
e de l'aimant (voy. p. 566) et les applications étaient faites sur le bras sain \ M. Debove, par \es applications prolongé
ux et d'autres plantes aquatiques, oîi ils plongeaient la tête et les bras avec une grande volupté. » {Ibid. loc. cit.) Là
nt quand elle voulait goûter du poisson ou du vin, lui renversant les bras et les jambes et l'haussant en haut. » Les susd
de la table et lui baillait horrible-ment la question, renversant les bras et les jambes, faisant cliquer les os, et rendant
uper lui donnèrent la même torture durant une heure, lui tournant les bras et les jambes et puis tout le corps, faisant cliq
lón des Trônes au milieu du front; le deuxième Nephthah des Trônes au bras droit; le troisième est un diable nommé sans fin,
ence il dit contremisce toto corpore et puis après, la concussion des bras etdes mains succédant, il dit co?ifrc»iîsce capit
esse a eu ladite supérieure plu-sieurs grandes convulsions, avait les bras tournés et les mains aussi, et les doigts demi-fe
uplex. Avons vu que ladite sœur laye ayant été piquée fortuitement au bras durant ses grandes convulsions, elle aurad dit :
r quelcjues-uns qui étaient les plus près de sa personne, a élevé son bras vers la poutre ou soUve et ne touchait, ainsi qu'
sorties de sa bouche, comme si un autre les eût proférées : » que son bras ayant été touché par un médecin et lui chirurgien
e, qui tenait le saint sacrement en main, et qu'ayant le corps et les bras en forme de croix, il tourna premièrement la paum
, et témoigna une grande l'âge, de ce qu'il avait dit, se mordant aux bras , et contournant horriblement tous 1. Histoire d
les attaques d'Isaacarum, qui le renversa deux fois et lui remua les bras et les jambes avec des frémissements et des tremb
qu'ede était presque insensible, puisque le père lui prit la peau du bras et la perça d^outre en outre avec une épingle, sa
à vous pour vous délivrer de votre affliction, etc.. »11 détacha ses bras de la croix et s'approcha d'elle pour l'em-brasse
r le livre qu'elle tenait assez loin d'elle, cans lui voir remuer les bras , ce qui arrivait sou-vent quatre ou cinq fois pen
avec mépris, et témoigna y avoir une grande aversion, car passant les bras au travers de la grille pour la déchirer, ce démo
sédée du démon Dagon, avec des gestes superbes, une teste éventé, les bras ouverts, et une démarche présomptueuse, me disant
arcade sur le derrière de la tête et sur l'extrémité des talons, les bras tendus en l'air et les extrémités des doigts, des
e les talons, et les faisant porter sur la face et sur la bouche, les bras raidement étendus, tellement que les reins s'arro
de quatre pouces, et tout le reste du corps était en l'air, les deux bras étendus et courbés en arrière de bas en haut... l
ux doigts proche de terre, sans que la tête y touchât aucunement, les bras raidement étendus de toute leur force, les épaule
fois de suite devant et derrière, la fille demeurant à genoux et les bras croisés sur l'estomac, quelquefois, et dans le mê
en cet état, que toutes ou presque toutes demeu-rant à genoux et les bras croisés sur l'estomac, se sont courbées en arrièr
vait deux diables en son corps tomba toute roide sur le plancher, les bras et les pieds étendus, les extrémités des uns et d
le corps sans aucun mouvement et comme sans vie : on lui remuait les bras comme si c'etît été de la laine, et demeura ainsi
ange; ayant les yeux fermés sans aucun mouvement, on lui re-muait les bras et les jambes comme si c'eût été de la laine, et
e père de Marie, tournaient les yeux vers le ciel, puis tendaient les bras en haut ; avaient l'air de recevoir quelque chose
ements, de petits mouve-ments saccadés et d'aspect choréique dans les bras ; peu â peu et dans un très court espace de temps
es crises « ne pouvait se tenir sur ses jambes, ni à peine remuer les bras ; j'ai essayé (c'est le père qui parle) plusieurs
était vivement sentie aux jambes, tandis qu'elle ne l'était point aux bras , dans le dos. « La muqueuse nasale, les lèvres,
che... « dès lors il ne reste plus ni mouvement, ni sentiment dans le bras de ce côté (gauche) : dès lors, une insensibilité
long toute violette, elle parut souffrir les plus vives douleurs, ses bras se raidirent, et elle fit de violents efforts qui
es se raidirent d'une force épouvantable ; tout son corps et même son bras et sa jambe paralytiques s'agitèrent avec tant de
le. » « Lorsqu'elle fut ce jour là sur le tombeau, dit la mère, son bras et sa jambe gauches s'agitèrent avec plus de fo
t ne pouvaient arrêter la force des secousses qu'elle donnait avec ce bras et cette jambe. » Nous apprenons plus loin cet
vulsions qui lui causaient un tremblement et un raidissement dans les bras et dans les jambes.) Je fus retirée de dessus le
sez fortes. Pendant quelques intervalles la jambe gauctie et les deux bras ont frappé violemment et avec précipitation sur l
ois, la tète me branlait et tournait assez longtemps; quelquefois mes bras se raidissaient avec une extrême force. D'autres
it, je ne pus me relever; on fut obligé de me prendre à deux sous les bras , pour m'as-seoir sur une chaise où je perdis la c
'on m'ouvrait la tête, il me semblait quelquefois qu'on me tirait les bras à quatre clievaux...^ ». Dans les faits que nou
rtement, elle se met à faire inalgré elle des violents mouvements des bras , des jambes, de toutes les parties qui sont susce
teur du plancher. Apres quoi, elle fit des convulsions de tête et des bras ; et ses mamelles, sortant de son corps tournaient
prenait la main de la Charpentier pour lui faire voir la force de son bras , dont l'agitation était si extraordinaire que cet
-môme le portrait vivant de la passion de Jésus-fdirisî. Il tient ses bras en croix d'une manière immobile, pendant tout le
i les secouent, qui les balancent; tantôt en se faisant tirailler les bras , les jambes, le sein, en se renversant la tête en
urs amis, d'oeillades ou de paroles obligeantes. Mais d'ailleurs, les bras des Berneurs agitant trop rudement le corps de la
visage. On lui passe plu-sieurs livres et une petite planche sous le bras pour le lui soutenir à différents en-droits et au
le poids de son corps ne portât pas sur les clous qui attachaient ses bras . On lui soutient la tête et le dos avec des livre
u'elle ne l'avait encore été et presque debout. J'ai déjà dit que les bras étaient détachés, les pieds poi'taient à plat sur
res, — les yeux fixes et hagards, les muscles du cou, du tronc et des bras innnobiles, — la respi-ration coupée de sanglots,
ou huit fois à la minute. » Les secousses étaient souvent limitées au bras , mais c parfois la tète violemment agitée se penc
fait voir. — S'il en est ainsi, venez, continua-t-il en étendant les bras vers les assistants, venez à nous, et nous vous m
ps des caresses mystiques. 11 faut le dire, plus d'une fois je vis le bras du prêtre passé autour du cou d'une jeune fille.
ures, qui ne devait pas avoir plus de quatorze ans, soutenue dans les bras de ses compagnes plus âgées; son visage était cou
sitoire, qui intéressait dans un cas les deux mains, dans un autre le bras droit, et dans un troisième tout un côté. Une jeu
énéral, un commencement d'incapacité à mouvoir à volonté la tête, les bras et les jambes, une humeur capricieuse, etc. Le vi
à peine son lit de la pointe des pieds, éclatante comme une rose, les bras étendus en croix ; et tous les assis-tants remarq
édite. Ainsi on la voit, à Noël, bercer avec une grande joie dans ses bras l'Enfant nouveau-né; le jour de l'Epiphanie, elle
nt nouveau-né que l'on baptisa dans sa chambre. Elle le prit dans ses bras et manifesta le plus vif intérêt à toute la cérém
étendue sur le sol, couchée sur la poitrine, la tête reposant sur le bras gauche; les yeux sont fermés; la bouche est entr'
diverses de l'âme. L'extase se termine par une scène effrayante : les bras tombent le long du corps, la tète s'incline sur l
u'd faut noter ici, c'est que pendant le prosternemeut, alors que les bras sont étendus transversalement et que les pieds so
'autre par un troisième ressort (D), ressort à coulisse dont les deux bras glissent réciproquement l'un sur l'autre, de faço
4 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
- tés pendant la vie n'ont été que ceux d'une hémiplégie banale, le bras et la jambe étant paralysés du côté opposé a la
la malade qui avait déjà ressenti quelques engourdissements dans le bras gauche est prise dans la journée de contracture
st prise dans la journée de contracture du côté gauche (la face, le bras et la jambe). Elle était raide « comme un morce
ions il celui du membre opposé. Les seuls mou- vements possibles du bras sont des mouvements de rotation en dedans et en
rotation en dedans et en dehors, et du côté de l'avant-bras sur le bras de très faibles mouvements de flexion et d'exte
emière cataracte : l'individu qui se trouve sur le même cliché, les bras croisés, a persisté, peu respectueux des lois d
, à se placer devant l'objectif; nous ne le regrettons pas, car ses bras musculeux ne font que mieux ressortir l'amyotro
é l'exactitude. Et ces crispations des poings, ces contractions des bras , ces mouvements brusques des jambes, que le maî
poussant une brouette chargée. La charge est ici supportée par les bras et elle ne se déplace qu'à la con- dition d'êtr
ca- ractères fort intéressants. Le corps se penche en avant, les bras s'a- gitent de diverses manières et la tête r
é en avant. Les QUELQUES variétés DE la marche ET DE la COURSE 81 bras accentuent violemment leur balancement ; et ce ba
s peine de perdre en vitesse. En même temps que la jambe gauche, le bras gauche est poussé en avant et s'allonge comme p
vant et s'allonge comme pour donner un coup de poing, et de même le bras droit doit être projeté en avant avec le pied dro
pour être ramené ensuite en flexion au pas suivant. « Le rôle des bras est très important, à leur avis, et doit être étu
'ils ont trouvé utile de rempla- cer le balancement asymétrique des bras par un balancement symétrique, et c'est d'autan
100 A. LINDETREM tent le long du bord interne de l'avant-bras et du bras gauche jusqu'à la région pectorale et s'enchaîn
minence hypothénar; sur la surface intérieure de l'avant-bras et du bras gauche, d'où l'éruption s'étend sur la région p
sans tumeur proprement dite. Raideur de l'articulation du coude Le bras droit s'éloigne fort peu du tronc. De Iosetig-Jlo
pas et c'est du cartilage qui se montre (fourche cartilagineuse du bras gauche de notre malade, cartilage de l'aponévro
gauche de notre malade, cartilage de l'aponévrose superficielle du bras , obs. Florschuetz-Gerber- Mays) : « Ceci n'a ri
ct, là où les os longs affleu- rent la peau, à la partie interne du bras , à la face antérieure du tibia, à la partie sup
mble avoir une prédilection marquée pour les aponévroses du cou, du bras et de l'avant-bras. C'est encore au cou que Mays
l'aponévrose, sous le splénius droit; la fourche cartilagineuse du bras gauche de notre malade siégeait réellement dans
une lame arciforme dans l'aponévrose superfi- cielle, épaissie, du bras gauche. Les lésions des ligaments sont de même
la colonne vertébrale. Plus tard, arrive l'atteinte des muscles du bras et de l'avant-bras con- duisant le plus souvent
en avant par suite de l'ankylose des cuisses en flexion légère, les bras sont croisés sur la poitrine, de telle sorte que
(Swensson), à l'articulation droite de la mâchoire, à l'épaule et au bras droits (notre cas). Plusieurs observateurs on
lle a commencé à éprouver des éblouissements, des secousses dans le bras droit,des battements dans les paupières du même c
est de 35 à gauche. Tous les mouvements des doigts de la main et du bras sont libres. Les réflexes tendineux ne sont pas e
, on voit au bout de quelques minutes se produire un tremblement du bras . C'est ainsi que lorsqu'elle porte un objet un
ant la secousse qui consiste en un mouvement de flexion de l'avant- bras sur le bras qui se porte en abduction. Quelquefoi
sse qui consiste en un mouvement de flexion de l'avant- bras sur le bras qui se porte en abduction. Quelquefois même au re
ire, surtout le premier (Krause, Nicoladini, Munchmeyer, etc.). Les bras sont attirés vers le tronc et fixés dans cette po
ormations sont déterminées par les muscles envahis les premiers. Au bras , lorsque les masses osseuses sont aussi volumin
e processus ossifiant a débuté par le biceps (obs. llelferich où le bras gauche est dans la flexion et le droit dans l'e
grand dorsal gauche et obtient ainsi une certaine mobilité pour le bras , mais l'ampleur des mouvements ne tarde pas à se
1884, subitement l'articulation temporo-maxillaire, l'épaule et le bras droits, furent pris de gon- flement avec rougeu
e lever et varluer à ses occupations, mais il est resté impotent du bras droit et ankylose de la mâchoire. Le malade et so
dorsal, petit et grand ronds, en 1888; enfin en 1889, l'épaule, le bras , la région poplitée, le mollet, le cou-de- pied
er le lit pendant huit mois. Tant qu'il a joui de la liberté de son bras gauche, Albert Schwartz, en explorant souvent les
m- me costale supérieure et surtout diaphragmatique. (PI. XX.) Au bras droit le biceps et le brachial antérieur sont res
le continuer. ; . L'extension et la flexion complètes de l'avant- bras sur le bras sont impossibles. La pronation est
. ; . L'extension et la flexion complètes de l'avant- bras sur le bras sont impossibles. La pronation est parfaite, la
e à angle droit seulement. A l'union des trois quarts supérieurs du bras avec l'inférieur, se voit une fourche cartilagi
la peau, à cheval sur le biceps et le brachial antérieur. Les deux bras restent écartés du tronc, comme dans la luxation
s sortir, en raison de l'incertitude de sa marche, qu'en donnant le bras à une autre per- sonne, quand, en août 1895, il
i on lui dit de prendre un verre, il le saisit facilement, mais son bras présente une série de mouvements successifs, qu
s (Frankfort-sur-Main), sur l'Epaule (Louvre, Coll. Lacaze), sur le Bras (Munich). Il n'a d'ailleurs pas oublié les Arra
à l'aide d'un emplâtre étalé sur un carré d'étoffe. Un paysan, le bras droit et l'épaule droite mis à nu, est assis sur
le fond, un malade tenant un bâton de la main gauche et portant son bras droit en écharpe. Sur le mur, une étagère avec
r un fauteuil auquel elle se cramponne d'une main, levant son autre bras en l'air, le poing fermé. Le chirurgien, homme
taucorps il crevés rouges et coiffé d'un béret noir. Il a passé son bras gauche derrière le cou de la femme afin de refrén
de est tourné il droite ; il joint les mains au lieu de croiser les bras , il grimace horrible- ment au lieu de se mordre
du 1 /3 moyen de la cuisse, de la jambe, de l'épaule et de l'avant- bras la sensibilité douloureuse est plus basse. Le d
roite notablement plus développée que la gauche, surtout au niveau du bras et de la jambe. Autre observation très curieu
e ; celui-ci fixe complètement la tête. Exostoses multiples sur les bras indépendantes de l'ossification des ligaments t
l'ossification des ligaments tendineux de l'aisselle qui fixent les bras en adduction ; une autre exostose sur le bassin
ne grande distance du corps. Diminution graduelle des mouvements du bras droit jusqu'à sa complète fixation au corps. Peu
rand pectoral ossifié il sa partie supérieure, de la cla- vicule au bras . Les dépôts osseux forment une masse surélevée et
seuls les avant-bras continuèrent à se mouvoir librement. Enfin les bras et les cuisses devinrent absolument immobiles,
uvements sont très limi- tés ; l'épine dorsale est très raide et le bras droit ne peut être ni levé, ni remué ; le gauch
mètres environ, sont entraînées en dehors par l'o- moplate quand le bras est levé. A la base de l'omoplate on sent des cra
ticulation droite et très peu dans la gauche. L'extensiondes avant- bras est impossible, ils sont en demi-flexion, croisan
que longue, irrégulière, derrière le muscle. Les muscles de l'avant bras ne semblent pas affectés. Du côté gauche même é
ers supérieur et postérieur et à la partie inférieure et interne du bras . Ossification du bord antérieur des tra- pèzes.
he, il se tient penché en avant au niveau de la co- lonne lombaire. Bras un peu en abduction et légèrement fléchis aux cou
es pectoraux sont tendus comme une corde, atrophiés. Mouvements des bras très diminués, mais pas complètement abolis. L'hu
ion des ten- dons des grands pectoraux et grands dorsaux fixant les bras au tronc. Deltoïde droit contient des noyaux, g
sur le front, légère dépression du frontal à son niveau. OEdème du bras gauche à partir du milieu. Idem à la jambe et à l
auches, mais moins. Absence de mouvements de la mâchoire, tête fixée. Bras droit lléchi, ankylose de l'épaule, peu de mobi
ule, peu de mobilité au coude, assez de liberté au poignet. Idem au bras gauche, sauf une raideur plus grande dans l'artic
culatious avec ankylose graduelle. A 10 ans, les articulations des bras et des hanches étaient complètement ankylosées,
t tête et tronc penchés en avant et : c droite, immobiles. Les deux bras sont très rapprochés et fixés au tronc; main droi
dans le stade moyen de l'ossification. Peu d'ossifications dans les bras . Le biceps se réunit avec le grand pectoral oss
rand pectoral ossifié et l'ossification du deltoïde. Immobilité des bras et des avant-bras, le gauche fléchit jusqu'à 45
ilité de la colonne vertébrale et du cou, très grande adduction des bras , avant-bras gauche fixé à angle droit, l'avant-br
; en bas, elle envoie une bandelette qui court la partie interne du bras pour se terminer librement près de l'insertion du
Sur le chef externe du triceps un noyau osseux. v1Sur l'aponévrose du bras une lame osseuse au-dessus de l'olécrane ;.elle
poule, des indurations se sont montrées sur les épaules et sur les bras . De temps en temps apparition de taches framboi-
ration. 300 A. WEILL ET J. NISSIM Huth trouve à 2 ans et demi les bras presque appuyés contre le tronc, les avant-bras
; à gauche quelques noyaux durs, isolés. Ankylose des épaules, les bras sont presque serrés con- tre le tronc. Avant-br
à marcher ; la démarche avait quelque chose de maladroit, mais les bras et les jambes étaient entièrement libres. Ultérie
mbres supérieurs et inférieurs. La disparition des mouvements des bras coïncidait avec le développement de nombreux pe
ons des pectoraux sont peu réunies aux côtes, elles s'attachent aux bras . Les insertions des grands pectoraux et grands do
e gauches des aisselles sont constituées par des travées osseuses. Le bras gauche est fixé, une légère adduction et une lé
lferich). 304 1. WEILL ET 1. NISSIM congénitale, sont normaux. Le bras droit reste parallèle a l'axe du corps, il peut
es de la paroi antérieure de l'abdomen ont disparu complètement. Le bras droit qui, en 1879, était presque entièrement n
éveloppé une raideur et une impotence des muscles de l'épaule et du bras ; depuis, l'articulation de l'épaule n'a pas reco
culation de l'épaule n'a pas recouvré tous ses usages. Plus tard le bras gauche se prit également. Trois ans auparavant, à
inférieur du grand pectoral est très fibreux et dur. L'abduction du bras gauche peut se faire jusqu'à 35°, la rotation e
l'é- tendue du muscle grand dorsal ; cette lame se recourbe sur le bras droit et se termine sur une bandelette qui suit
. L'ankylose de l'articulation sca- pulo-humérale est complète ; le bras se remue en masse avec l'omoplate. Avant-bras e
brale et du dos ainsi qu'une dimi- nution dans la motilité des deux bras , de sorte que leur abduction était très diminué
et un peu à droite ; la partie supérieure du corps est voûtée ; les bras s'éloignent très peu du thorax. Cicatrice sur le
des bandelettes osseuses, qui, parties de la deuxième côte, vont au bras ; elles croisent la direction des fibres musculair
; elle semble s'être réunie avec celle qui va du grand pectoral au bras . A la hauteur de la petite tubérosité se voit une
té absolue des omoplates. Ossification des sus et sous-épineux. Les bras , fléchis à 130°, 140°, sont fixés dans une légè
s bras, fléchis à 130°, 140°, sont fixés dans une légère abduction. Bras gauche attiré un peu en arrière et dans une add
droit. Différence d'un centimètre dans la cir- conférence des deux bras . Des stalactites osseuses, parties de l'humérus,
Les espaces intercostaux, surtout les 5e, 6° et 7e, sont durs. Les bras sont serrés contre le tronc, atrophiés. Atrophie
ant-bras. Ankylose des coudes il angle aigu. Sur le troue, là où le bras appuie, on voit une exos- tose de 2 centimètres
rré crural. En 1882, le malade se plaint de douleurs à la nuque, au bras et à l'avant- bras ; en examinant ces régions,
, le malade se plaint de douleurs à la nuque, au bras et à l'avant- bras ; en examinant ces régions, on y trouve des gonfl
Petit à petit des tumeurs semblables se sont montrées au dos et au bras droit sans retentissement sur l'état général ; à
droit sans retentissement sur l'état général ; à 7 ans, atteinte du bras gauche. A 12, le malade eut des attaques épilepti
s saillies comme des noisettes dans les muscles sacro-lombaires. Le bras droit est fléchi à angle droit ; le coude est élo
t trois ossifi - cations comme des pois. Dans le tiers supérieur du bras existe une masse de consistance cartilagineuse
onne la sen- sation en avant d'une corde fibreuse. Circonférence du bras à l'origine du deltoide 18 cm. 5, au milieu 17
ilieu 17 centimètres ; l'avant-bras, au milieu, 18 cen- timètres. Bras gauche. - Coude éloigné du tronc de 10 centimètre
ouvements de la main et des doigts normaux. Atrophie des muscles du bras et de la main.Dans le brachial antérieur une mass
survinrent des douleurs dans les hanches. Les mouvements du cou, du bras droit, do la cuisse gauche surtout étaient péni
le cou et la cuisse gauche se sou- daient, les mouvements des deux bras et de la cuisse droite devenaient un peu limité
rticulations des épaules sont assez étendus, Duf... peut porter ses bras dans toutes les directions, mettre les mains su
s directions, mettre les mains sur sa tête, etc. Mais tandis que le bras gauche peut être élevé UN CAS DE SPONDYLOSE RII
UN CAS DE SPONDYLOSE RIIIZO\IÉLIQUE 321 presque verticalement, le bras droit ne peut s'élever au-dessus d'un angle de
au-dessus d'un angle de 40° avec l'horizontale (PI. XXXVIII, 4). Le bras droit peut être porté directement en avant, mai
i ce mouvement est très accentué « ça tire un peu dit le malade. Le bras droit est amené plus facilement en arrière. Les
bras droit est amené plus facilement en arrière. Les mouvements du bras gauche ne sont que très peu limités. Les mouve-
bras gauche ne sont que très peu limités. Les mouve- ments des deux bras s'accompagnent de craquements dans les épaules. L
çoit en posant la main entre les deux omoplates. Les mouvements des bras ne causent que peu ou pas de douleur dans les art
, sont plus mobiles que norma- lement, et suivent les mouvements du bras . Les sus-épineux et sous-épineux sont normaux.
dans les membres supérieurs. A gauche le malade porte facilement à bras tendu une chaise tenue horizontalement par le b
us mo- 328 E. FEINDEL ET P. FROUSSARD bile dans les mouvements du bras ; en outre le deltoïde droit est plus petit que
e droite). Les mouvements d'élévation forcée, d'abduction forcée du bras droit, sont peu douloureux ; il y a plutôt une
eu douloureux ; il y a plutôt une sensation de tiraillement ; pour le bras gauche, à peu près rien. Les mouvements de ce
et de la tête, de la cuisse gauche, la limitation des mouvements du bras droit et à un degré plus faible du bras gauche,
imitation des mouvements du bras droit et à un degré plus faible du bras gauche, et par la limitation des mouvements du ma
'articulation n'est plus douloureuse. - De plus les mouvements du bras droit sont moins limités et bien moins dou- lou
les mouvements des'articulations des genoux et des pieds. Pour les bras les mouvements d'élévation semblent s'être un peu
che, semblent bien en relation avec la limitation des mouvements du bras et de la jambe. Mais en ce qui con- cerne le gr
e est croisée. Tout le côté gauche est atteint, face et membres. Le bras gauche est plus long que le droit de 2 cent. 1/
EI,1, Hypertrophie congénitale de la moitié droite de la face et du bras correspondant. Société de méd. de Berlin, 18 déce
'oreille droite avait un centimètre de plus que l'autre. De même le bras droit était plus long que le gauche. Il exis- t
sé (Finlayson). Dans le cas de Lewin l'hypertrophie est croisée, le bras correspondant au côté gauche hypertrophié est p
e)'h'op/t ! eco ? ! e'ttt<c/e de la moitié droite de la face et du bras C01'1'es- pondant. Soc. de Aléd. de Berlin, 18
e 4 pouces, dans la paroi postérieure de l'aisselle. L'abduction du bras peut atteindre 60° ; l'adduction est complète. La
s peut atteindre 60° ; l'adduction est complète. La projec- tion du bras en avant est très limitée ; celle en arrière l'es
exité droite. Le 20 mai éruption de la peau avec T. 38° à 38e. Le bras gauche ne peut être éloigné du tronc au delà de 4
6 pl. Garçon. Les muscles du dos et de l'épaule sont atteints ; le bras est atteint très violemment, les muscles de la
? 4 ans, amené par sa mère pour le faire opérer afin de libérer les bras qui étaient presque fixés aux côtés. A l'examen
de syphilis chez le père. 2 février 1891. - Tentative de libérer le bras en réséquant le grand rond depuis l'humérus jus
liose de la colonne vertébrale. A 17 ans, il devient tisserand ; le bras droit devient raide, puis le bras gauche et tout
17 ans, il devient tisserand ; le bras droit devient raide, puis le bras gauche et tout le tronc de même que les membres
rés au dos, dans les régions scapulaires, et que les mouvements des bras étaient un peu * limités. Les tumeurs du dos on
n normaux. Mouvements limités au maxillaire infé- rieur et aux deux bras ; l'écartement des dents arrive à 5 millimètres (
deux bras ; l'écartement des dents arrive à 5 millimètres (1). Les bras n'atteignent pas l'horizontale. Ankylose du coude
ant ne peut porter la cuiller à la bouche ni lever suffisamment les bras . A la suite d'une chute qui porte on ne sait su
à l'angle inférieur de l'omoplate gauche limitant les mouvements du bras . La tête est inclinée alors du côté gauche. A
neuse qui va de ce point à l'humérus est égale- ment ossifiée. Le bras droit n'atteint pas l'horizontale, les doigts arr
gauche, mais moins accusées ; mêmes lésions sur le grand dorsal. Le bras droit s'éloigne du tronc de 4raz, les doigts atte
e 4raz, les doigts atteignent la bouche, mais non la tête. Les deux bras sont petits et minces. Sur la 8° côte droite, a
roite ; à un an plusieurs nodules sur les côtes. 2P année : fixité du bras et augmentation de la masse de l'omoplate, rigi
de la crête iliaque gauche. 5° année : difficulté des mouvements du bras gauche et de plier le dos. 6e année : nuque trè
les muscles latéraux de la nuque sont exempts d'ossifications. Le bras droit s'éloigne du tronc jusqu'à 45°, mais à cett
ement masse ovale d'un pouce de long sur 1/2 de large, mobile. Le bras gauche peut être levé jusqu'à 45°, l'adduction co
r du grand dorsal ; elle ne s'insérait sur aucun os. La mobilité du bras augmente un peu, mais ce bénéfice se perd bient
ssu osseux normal. 24 décembre. Reproduction des tumeurs opérées. Bras droit. Abduction et flexion de 15°, extension jus
flexion de 15°, extension jusqu'à la ligne axil- laire médiane. ' Bras gauche. Abduction mis, flexion 15° et extension 4
ints sont : le grand dorsal, les scalènes, la masse sacro-lombaire. Bras droit fixé par le tendon ossifié du grand dorsal
le Lépreux figuré par Cornelisz, rampe à genoux, s'appuyant de son bras droit sur le sol, et tenant une sébille dans la m
sous-épineuse du côté droit. Cette douleur n'irradiait point dans le bras correspondant. En même temps notre homme s'est
même temps notre homme s'est aperçu, qu'il ne pouvait éle- ver son bras droit au delà de la ligne horizontale. Il a pourt
RAND DENTELÉ 421 1 A) Station ASSISE.- 1° Le tronc étant droit, les bras en avant, les mains sur les genoux. Il y a une
peu près identique, mais moins accusée. * B) Station debout. 1° Les bras tombant naturellement le long du tronc. Déforma
appréciable du bord inférieur du rhomboïde (PI. XLIII, C). 2° Les bras élevés directement en avant jusqu'à la ligne hori
atrophie des faisceaux acromiaux du trapèze. - (Dans l'élévation du bras en deliors, cette gouttière disparaît, comblée
fs du deltoide mais encore des sus et sous-épineux, éléva- teurs du bras dans ce cas. 3° Elévation en dehors du bras, ju
neux, éléva- teurs du bras dans ce cas. 3° Elévation en dehors du bras , jusqu' l'horizontale. , La déformation scapulo
ssant que, à force de faire répéter les mouve- ments d'élévation du bras soit en dehors soit en avant, la situation de l'o
ant quelques instants plus élevé et plus oblique. 4° Elévation du bras au delà de la ligne horizontale. - L'élévation vo
bras au delà de la ligne horizontale. - L'élévation volon- taire du bras , soit en avant, soit en dehors, atteint la ligne
n reportant en avant et en dehors son angle inférieur, l'élévation du bras jusqu'à la verticale est par contre très facile
sous-épineuses, se produisant surtout dans l'élévation maintenue du bras ; la fatigue, dans cette attitude, survient très
t pénibles et l'épuisement si grand que le malade laisse tomber son bras . Il nous faut examiner maintenant les déformati
Malade vu de dos (Pl. XLVIII, D. E. F. G.) a) Station debout les bras tombant naturellement. Il n'y a rien à noter, e
thorax proprement dit ne présente pas d'a- symétrie manifeste. b) Bras élevés en avant jusqu'à l'horizontale. Sans parle
nsi que le sterno-mastoïdien qui saille for- tement en dehors. c) Bras levés en dehors jusqu'à l'horizontale. Le rétréci
2° Malade vu de face (PI. XVLIII, I. K. L). - «.; station debout, les bras tombant. Pas de déformation cervicale ou thorac
tombant. Pas de déformation cervicale ou thoracique' visible. - ) Bras levés en avant jusqu'à l'horizontale. - Déformati
ant plus marquée que le malade fait plus d'efforts pour étendre son bras . Au niveau du cou, saillie très considérable du
scapulum pointer derrière la ligne qui va du cou à l'épaule. - y) Bras en élévation en dehors jusqu'à l'horizontale. L'é
l'attitude précédente. 3° Malade vu de côté (PI. XLIX, M.R.). - u) Bras pendant ; rien d'appré- ciable sauf une saillie
ciable sauf une saillie légère du bord spinal de l'omoplate. (3) Bras élevés en avant : scapulum alatll1n simulant une
écrite. Au cou, mêmes re- liefs musculaires que précédemment. -/) Bras en élévation en dehors. - La pseudo-gibbosité sca
laite (les « autres muscles qui meuvent l'épaule sur le tronc et le bras sur l'épaule. « Dans ce cas,les signes pathogno
e du grand dentelé « étaient aussi prononcés pendant l'élévation du bras que lorsque le trapèze « est en même temps lésé
faits où on a noté un trouble de l'attitude de l'épaule, lorsque le bras pend normalement le long du corps. Il est vrai de
déformations de l'épaule et du thorax ; ils varient suivant que le bras tombe le long du corps, ou suivant qu'il est en
l est en élévation. On peul les résumer ainsi : A. - Au repos, le bras tombant le long du corps. 10 Abaissement du moi
431, A. SOUQUES ET P. DUVAL B. - Pendant l'élévation volontaire du bras . 1° Impossibilité d'élever le bras au-dessus de
endant l'élévation volontaire du bras. 1° Impossibilité d'élever le bras au-dessus de la ligne horizontale. 2° Déformati
présente, en effet, sous les traits suivants : A. - Au repos, le bras tombant le long du corps. ,1- Elévation en mass
bord par rapport au rachis. B. - Pendant l'élévation volontaire du bras . 1° Possibilité (dans quelques cas) d'élever le
volontaire du bras. 1° Possibilité (dans quelques cas) d'élever le bras au-dessus de la ligne horizontale. 2° Déforma
ves conclusions. 1. - Déformation de l'épaule. A. - Au repos du bras . L'abaissement du moignon de l'épaule dépend de
at de la fosse sus-épineuse. - B. Pendant l'élévation volontaire du bras . Un premier fait qui frappe, pendant l'exécutio
dant l'exécution de ce mouvement, c'est l'impossibilité d'élever le bras au-dessus de la ligne horizontale. L'élévation
de la ligne horizontale. L'élévation volontaire ou physiologique du bras est déterminée, à l'état normal, par l'action c
qu'à 1'liori- zontale. En effet, dans la paralysie de ce muscle, le bras peut être élevé jusqu'à la ligne horizontale pa
onc aidé par le sus-épineux qui est du reste un muscle élévateur du bras , et même semble-t-il par le sous-épineux dont l
st moins bien établi. Mais l'action élévatrice s'arrête là, et le bras ne dépasse point la ligne horizontale, quelque
iquer, si on veut bien se rappe- ler le mécanisme de l'élévation du bras au-dessus de la ligne horizontale. Pour que le
l'élévation du bras au-dessus de la ligne horizontale. Pour que le bras dépasse l'horizontale, la condition nécessaire es
t : la rotation précédente se produit et l'élé- vation verticale du bras se fait dans des conditions a peu près normales.
, p. 939. PARALYSIE ASSOCIÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 430 ments du bras , si l'on en excepte toutefois l'élévation vertica
ralysé, la portion moyenne du trapèze va-t-elle suffire à élever le bras jus- qu'à la verticale ? C'est là une question
yenne de son trapèze. Il a donc double raison pour ne pas élever le bras au-dessus de la ligne ho- rizontale, le mouveme
ice, au scapulum, son mouvement de rotation : aussitôt il élève son bras jusqu'à la verticale avec une grande énergie. -
cond fait, qui frappe l'observateur, dans l'élévation volontaire du bras , est l'ensemble des déformations de l'omoplate qu
l'omoplate est élevée en masse, beaucoup plus élevée que lorsque le bras pend le long du corps. Cette élévation en masse e
os. Lorsque le grand dentelé est paralysé et que le sujet élève le bras jusqu'à la ligne horizontale, c'est le muscle del
n masse de l'omoplate. D'autre part, dans l'élévation volontaire du bras jusqu'à l'horizontale, on voit l'omoplate subir
du trapèze, puisque le trapèze n'intervient pas dans l'élévation du bras jusqu'à la ligne horizontale. La paralysie du gra
que, dans l'élévation 4M A. SOUQUES ET P. DU VAL physiologique du bras , le grand dentelé est, à l'état normal, synergiqu
termes, le grand dentelé, dans l'élévation volontaire et normale du bras , fixe le bord spinal du scapulum contre le thor
pine du scapulum tend normalement, clans l'élévation horizontale du bras , à écarter du tho- rax le bord spinal de l'omop
tude vicieuse de l'omoplate de se produire pen- dant l'élévation du bras (1) ». Cette attitude du scapulum alatum, dans la
liie du grand dentelé, l'omoplale éprouve, pendant l'éléva- tion du bras , un mouvement pathologique semblable à celui qui
rand dentelé permet au deltoïde, lors de l'élévation horizontale du bras , d'écarter du thorax le bord spinal du scapulum
re cas, l'obliquité du bord spinal du scapulum, dans l'élévation du bras . Dans ce mouvement d'élévation, la difformité e
rd spinal du scapulumpeu accusée. Au contraire, dans l'élévation du bras en dehors, cette gouttière est peu profonde et
lus profonde dans le premier cas. D'autre part, dans l'élévation du bras en dehors, le faisceau acromial du deltoïde agi
dos, de face ou de profil. Elle n'apparaît que dans l'élévation du bras . Elle est essentiellement caractérisée par une
stérieure du creux de l'aisselle n'existe plus, dans l'élévation du bras en dehors, par exemple, mouvement qui, comme nous
tré, rapproche plus l'omoplate de la ligne médiane que l'élévation du bras en avant. Dans l'élévation en avant, cette paro
re du thorax, élargissement plus marqué dans l'élévation directe du bras en avant que dans l'élévation en dehors ; 2°
grand dentelé. Ce muscle, en effet, dans l'élévation volontaire du bras , à l'état normal, se contracte synergiquement a
ou moins accusée. D'un autre côté, dans l'élévation horizontale du bras , du fait de l'omoplate ailée, l'insertion scapu
aractères de cette paralysie associée varient suivant l'altitude du bras . Si le bras est au repos, on constate des défor
ette paralysie associée varient suivant l'altitude du bras. Si le bras est au repos, on constate des déformations seipul
ane, e) l'écartement de ce même bord par rapport au thorax. Si le bras s'élève volontairement, les principaux troubles d
ASSOCIÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ 445 a) l'impossibilité d'élever le bras au delà de la ligne horizontale, b) l'élévation
- tions de la paroi thoracique, qui surviennent dans l'élévation du bras et consistent essentiellement en une asymétrie
mensuration circonféren- tielle donne : ' A la partie moyenne du bras gauche 10 centimètres.* ' A la partie moyenne d
ie moyenne du bras gauche 10 centimètres.* ' A la partie moyenne du bras droit 20 centimètres. Il n'y a pas de raideur a
considérable de tous les réflexes tendineux du côté gauche, soit au bras , soit à la jambe. A la jambe on produit avec une
ait toule la moitié du corps, tel aussi lecasd'Audry (1) où tout un bras avait pris un aspect éléphantiasique, il est tout
ambes , 1 fléchissaient alternativement et se jetaient de côté, les bras , les épaules, la face, la langue étaient agités
rtout dans la gauche. Le moignon de l'épaule ne se sou- lève pas.Le bras s'élève tantôt en avant, tantôt en arrière,tantôt
ls sont agités de mouvements spasmodiques. Pen- dant l'élévation du bras , l'omoplate bascule, l'acromion est déprimé, tand
el toïde(-1 ) et celle qu'on observe dans l'élévation volontaire du bras dans le cas de paralysie du grand dentelé. La
e d'un léger tremblement particulièrement sensible à la jambe et au bras droits. Bientôt survenaient des mouvements très é
e en ce qui concerne l'appareil respiratoire. Un individu reçoit au bras un choc insignifiant, et le bras de rester paraly
espiratoire. Un individu reçoit au bras un choc insignifiant, et le bras de rester paralysé en plus ou moins de temps. I
es. Depuis 5 à 10 mois difficulté dans les mouvements du cou et des bras par suite de la formation de noyaux à leur nive
terne des omoplates, des plaques osseuses dans le grand dorsal. Les bras , le plus souvent fléchis, ne peuvent pas s'écar
vent pas s'écarter. Travées dans les tendons des grands pectoraux. Le bras droit est très peu mobile. Le biceps et ses ten
me à gau- che, mais moins prononcé. La consistance des miisclesodes bras est variable, plus on se rapproche du tendon, p
4 léger état fébrile, doule.urs aux deux épaules et aux muscles des bras . Gonflement dans les parties molles de l'épaule g
nt arsenié et KI. Malade amaigri, musculature peu développée. Les bras ne peuvent s'élever au-dessus de l'horizontale,
l'horizontale, omoplate gauche peu mobile, projection en arrière du bras gauche très limitée. Tumeur bosselée, grosse comm
la 6° vertèbre cervicale, sur le bord du trapèze. Les mus- cles des bras et des avant-bras sont particulièrement peu dével
eur sur laquelle les fibres musculaires se contractent en levant le bras , légèrement mobile sur l'os. Sur la moitié inféri
uscles. La flexion de la tête est possible, l'extension impossible. Bras fixés aux côtés ; on ne peut les éloigner, même a
t développées dans le fas- cia et les muscles, spécialement dans le bras et l'avant-bras droits et l'avant bras gauche a
uscles, spécialement dans le bras et l'avant-bras droits et l'avant bras gauche ainsi que le long des bords des aisselles
s'accompagnant, de formation de noyaux qui envahirent également le bras gauche. En même temps ou un peu plus tard, xi 3
atteinte de l'épaule droite avec les mêmes phénomènes et plus tard du bras droit. Dès lors il tombait très souvent et plus
as s'asseoir sur une chaise et montait l'escalier difficilement. Le bras et la jambe gauches n'étaient presque pas mobil
ment. Le bras et la jambe gauches n'étaient presque pas mobiles, le bras et la jambe droits n'arrivaient pas a 90° au geno
n partie atrophiés, on trouve des pointes osseuses dans le droit. Bras dans l'adduction. On voit des masses osseuses tou
a rotation dans l'articulation scapulo-humérale. La pro- jection du bras en avant et en arrière est minime. La tension du
oude. Flexion possible jusqu'à 130°. Doigts et pouces normaux. Le bras droit s'éloigne du thorax de 45° ; motilité dimin
Ossifications dans quelques fléchisseurs et extenseurs de l'avant- bras gauche. L'ossification du grand dorsal empêche
as gauche. L'ossification du grand dorsal empêche les mouvements du bras droit, les autres muscles du bras sont normaux.
dorsal empêche les mouvements du bras droit, les autres muscles du bras sont normaux. L'épiphyse de l'humérus est hypertr
hée vers la gauche, et deux noyaux se montrèrent : à la nuque et au bras droit, ils disparurent sans laisser de traces,
t formation consécutive de deux tumeurs il l'occiput à droite et au bras droit. Cette dernière disparut spontanément, l'au
e ; elles disparurent spontanément. Au printemps 1894, chute sur le bras droit, gonflement de ce dernier et consécutivem
r et consécutivement raideur plus grande. En novembre, chute sur le bras gauche, gonflement de ce dernier, fièvre, doule
douleurs, application d'un bandage plâtré et raideur consécutive du bras , plus grande qu'à droite. Pas de fracture. Depu
use est dure ; fosse sous-épineuse également dure. Mouvements des bras à l'épaule droite diminués : le bras s'éloigne du
également dure. Mouvements des bras à l'épaule droite diminués : le bras s'éloigne du tronc de 39° ; il ne peut pas être
rne libre, l'externe réunie à l'humérus ; adduction et abduction du bras très diminuées. Ossification de la paroi antéri
e l'aisselle gauche, s'étendant jusqu'au thorax et envoyant dans le bras une bande osseuse jusqu'au pli cubital, immo- b
peut être portée à 3-4 centimètres au-dessus du mamelon droit ; le bras ne peut être porté en arrière. Une petite tumeur
que toute la musculature de la nuque, de la poitrine, du dos et des bras est ossifiée on dégénérée. Les muscles des jamb
5 (1877) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1877
apparaissent et sont suivis de mouvements cloniques très-étendus des bras , des jambes et du tronc : c'est cette période qui
résentée toute nue. avec M. Charcot, la période des contorsions. Le bras droit s'élève dans l'extension et se place au-des
antôt enfin ce sont les trois premiers doigts qui sont allongés. — Le bras gauche est étendu le long du tronc ; les doigts s
let : La Sorcière, p. 80.) rieur gauche, après avoir | fléchit ; le bras se porte en exécuté quelques grands mouvements
qui est fermée, s'applique sur la colonne vertébrale. Quelquefois, le bras ainsi contracture un cri aigu et prolongé ; la bo
mouvements de déglutition. Bientôt, la tète se porte en arrière, les bras s'étendent, le tronc se raidit, les jambes devien
et, témoignant une grande rage de ce qu'il avait dit, se mordait aux bras et contournait horriblement tous les membres (lj.
ettes sont colorées, moyennement chaudes. Les jambes s'allongent, les bras s'écartent lentement du tronc et se mettent en cr
s XI et XII.) b) Période clonique. — Au bout de deux minutes, les bras et les jambes se détendent, la malade secoue la t
us de l'oreiller et la laisse retomber brusquement; elle projette les bras de tous côtés, soulève tantôt la poitrine, tantôt
tion que dans l'attaque précédente. Tout le corps devient rigide. Les bras se mettent doucement en croix, le gauche d'abord.
ères sont animées de battements rapides. Par un mouvement brusque, le bras gauche, puis le droit se placent perpendiculairem
e est entre-ouverte ; le cou est rigide, la tète un peu soulevée; les bras sont étendus le long du corps, rigides, les doigt
lle, s'effectue ainsi qu'il suit: Elle fait un mouvement brusque, les bras se mettent en croix et deviennent rigides ; les m
d'un coup (il heures 34), Léontine pousse un cri prolongé, étend les bras et tombe lentement en arrière. On arrive, en géné
niques et thérapeutiques sur fépilepsie et l'hystérie, p. 24. « Les bras sont rigides, étendus perpendiculairement au tron
érieurs, allongés et rapprochés, sont rigides. » A 11 heures 37, le bras droit se décontracture et retombe ; les paupières
Période cloni que.-Cris perçants, répétés, mouvements désordonnés des bras , des jambes; rotation rapide de la j tète; projec
mencement du moi de mai, Geneviève, dans son délire, s'est saignée au bras droit : le sang a coulé en jet. 18 octobre. — D
l'exciter davantage et de lui faire exécuter de grands mouvements des bras et des jambes, comme si elle voulait se défendre,
camisole. 14 novembre. — G. s'est pratiqué une nouvelle saignée au bras droit avec des ciseaux. Pour atteindre son but, e
générale, assise sur un hanc, toute nue, et tenant sa chemise sur son bras . Elle 's'est laissée ramener dans' son lit sans d
membre supérieur droit a été pris d'une contracture très-intense : le bras était collé contre le thorax, l'avant-bras demi-f
le bras était collé contre le thorax, l'avant-bras demi-fléchi sur le bras , le poignet fléchi sur l'a van t-bras, le pouce c
à gauche; le cou est violemment tendu; tout le corps est rigide; les bras et les jambes sont dans l'extension, les mains co
insensible. besqui, actuellement (11 h. 30), sont débarrassées. Le bras droit est dans l'extension, rigide dans toutes se
est appliqué sur la paume de la main et re-couvertpar les doigts. Le bras gauche a la même attitude et présente la même rig
rédominent à gauche. 11 heures 35. — Lebras droit devient libre. Le bras gauche demeure rigide, dans l'extension et la pro
e demeure rigide, dans l'extension et la pronation. Parfois, les deux bras sont secoués brusquement. Puis, la scène change :
ndes. Alors, G... soupire, la face rougit, les secousses cessent ; le bras droit qui avait été de nouveau contracture, se re
es. De 11 h. 20 à 11 h. 30, les secousses se montraient et dans les bras et dans les jambes qui étaient rigides et à demi-
roprement dites. Elle est énervée, a envie de crier, éprouve dans les bras et les jambes des sensations qu'elle compare à de
que les infirmières la conduisaient à son lit, en la tenant sous les bras , elle s'écrie : « Mais chassez-les !. Ils viennen
elle me faisait garder... Avec elle, je ne me suis jamais blessée aux bras ... Quand je lui ai jeté un bol à la tète, elle ne
tre est toujours extrêmement ballonné. Tout le corps est rigide ; les bras sont placés le long du corps, retournés (en prona
avec grands mouvements du tronc, projection du bassin, agitation des bras et des jambes. Compression ovarienne : Détente
veille, elle a de temps en temps des secousses : tout d'un coup, les bras se soulèvent, sont secoués brusquement et devienn
he un peu fléchie; toutes les deux sont contrac-turées, immobiles. Le bras droit est soulevé, rigide; la main et les doigts
a main et les doigts sont souples. A gauche, la contracture occupe le bras , la main et les doigts qui sont fléchis, le pouce
ôt, la physionomie devient immobile ; la contracture diminue dans les bras ; G... soupire, s'assied, regarde, dit: «Embrasse
rus équin.La jambe droite est allongée, la gauche un peu fléchie. Les bras , la jambe gauche, sont pris parfois de secousses
la physionomie est un peu souriante ; G... soupire profondément; les bras sont souples; les jambes sont toujours rigides. L
genre particulier, que nous connaissons peu. On dit qu'elle tient les bras et les jambes en l'air, croisés, tortillés et qu'
t, elle aussi, plus tard, des convulsions. A un moment, elle mord son bras droit avec une violence extrême. On ne parvient à
illes modérément dilatées. — Les membres supérieurs sont rigides : le bras gauche est étendu le long de la poitrine, l'avant
le long de la poitrine, l'avant-bras est fléchi à angle droit sur le bras et correspond à la ceinture, la main et les doigt
s et correspond à la ceinture, la main et les doigts sont fléchis. Le bras et l'avant-bras droits sont allongés et croisent
veux dénoués, couvrent en partie son visage; la tète est inclinée, le bras droit est étendu, horizontal; le gauche est contr
mble s'endormir. De temps en temps, on observe des secousses dans les bras . Elle demeure tranquille pendant une vingtaine de
le se lève, rit et va se mettre debout dans un coin de sa cellule,les bras croisés sur sa poitrine, les yeux fixes, dirigés
à laquelle succède une extase : les yeux sont largement ouverts, les bras sont en croix, les jambes allongées, rapprochées
itation est remplacée par une extase : G... est debout, immobile, les bras d'abord élevés, puis croisés sur la poitrine... E
durant une quinzaine de minutes. Ensuite, elle s'est agenouillée, les bras en l'air, et a gardé cette attitude près d'une de
nuit glaciale ; elle passera des heures toute nue, sa chemise sur le bras , assise sur un banc, etc., rappelant pour ainsi d
zée, capucin, exorciste habituel de cette fille, « prenait la peau du bras et la perçait d'outre en outre avec une épingle,
ès. Elles sont quelquefois générales, tout le corps est soulevé ; les bras sont secoués; d'autres fois, elles sont circonscr
, elles sont circonscrites à l'une des moitiés de la face, à l'un des bras (les doigts s'écartent), ou bien les secousses so
met debout sur son lit, n'appuyant qu'un seul pied, étendant l'un des bras comme si elle prêchait ou comme si elle menaçait
périeure des Ursulines de Loudun « s'était élevée jusque à porter son bras proche de la poutre du planch -r, sans qu'elle to
générale ¦ —Modifications des attaqua ; leur cause- — Contracture du bras droit. — Troubles de la vision. — Irrégularités d
x), de tendance à la syncope, de vertige et d'engourdissement dans le bras et la jambe gauches. 23 février. — Outre Y hype
cesser sur le champ. On constate que Yanesthesie a envahi, en plus du bras droit déjà analgésie, la moitié droite du tronc;
en haut et à gauche, pupilles dilatées ; rigidité générale. b) Les bras sont dans l'extension, les mains tordues et tléch
embres supérieurs se contournent simultanément ou successivement : le bras gauche, par exemple, (l) Voir page 53. remont
mouvement spontané ou provoqué est impossible. Membre supérieur: Le bras est accolé au tronc ; l'avant-bras est fortement
e bras est accolé au tronc ; l'avant-bras est fortement fléchi sur le bras et fixé contre le sein ; la main est fléchie à an
au niveau du poignet surtout, de la partie moyenne et postérieure du bras , de l'extrémité externe de la clavicule, enfin de
igts (fléchisseurs) ; d'autres fois, il lui semble que la jambe ou le bras du côté droit se retirent, se rapetissent, se rét
sa tète légèrement élevée. Dans un autre intervalle, M... ramasse les bras sous son menton et parait manifester une vive rép
acture des membres du côté gauche (forme hémiplégique). L'attitude du bras est celle que nous avons décrite plus haut (Pl. X
es (plus d'une cuillerée à café) : La face, les oreilles, le cou, les bras , la poitrine, le ventre et les cuisses deviennent
la peau. M... revient à elle, vomit, a ses idées mélancoliques. Son bras est libre, la jambe allongée; elle marche en boit
ilatent; les muscles de la moitié gauche de la face se convulsent; le bras et la jambe droite, qui étaient libres deviennent
une ligne horizontale, passant par l'appendice xi phoïde et sur le bras droit. 24 nov. — Contracture du membre inférieu
instants, de taches rouges, irrégulières, sur la face, le cou et les bras . Ces 12 taches disparaissent par la pression
é a reparu, mais d'une manière incomplète, à la face, au thorax et au bras du côté droit: toute cette moitié, du corps reste
nations commence : c'est sur elle que portent les modifications. Le bras gauche est fléchi, la main appliquée sur l'épaule
s. Le bras gauche est fléchi, la main appliquée sur l'épaule ; le bras droit est demi fléchi, la main en avant de la poi
erçoit quelqu'un; de la tête, elle lui fait signe de venir, ouvre les bras , les rapproche comme si elle étreignait l'être im
sont fixes; la bouche est légèrement en-tr'ouverte (Pl. XXXVII. — Le bras droit est un peu écarté du tronc; l'avant-bras, f
hi, vient toucher le menton; le coude est enfoncé dans l'oreiller. Le bras gauche a la même attitude. En raison de la positi
e du lit, le corps qui est en quelque sorte ramassé sur lui-même. Les bras et les jambes sont entre-croisés ; la physionomie
le voit une de ces compagnes, S..., paralysée, qui la touche de son bras pour lui transmettre sa paralysie , ou des cadavr
ans une espèce d'état cataleptique. La figure est immobile; M... a le bras gauche accolé au tronc, l'avant-bras fléchi, l'un
grimaces, sourit, fait signe, se couche tout de son long, écarte les bras , agite les doigts, remue les jambes, se couche su
es pieds sous mon lit... des pieds d'Ernest!... Il me tenait dans ses bras ... On éteignit le gaz... on faisait brûler le pun
t pour cela qu'elle s'isole autant que possible. Si l'on soulève le bras gauche, qui est libre, l'autre tenant la compress
is tremblement de la jambe droite; parfois, le tremblement envahit le bras droit et. plus rarement, le bras et la jambe gauc
; parfois, le tremblement envahit le bras droit et. plus rarement, le bras et la jambe gauches. Le tremblement prédomine, en
août au 5 septembre. (l) Le 13 juin, M... s'est fait une saignée au bras gauche. Octobre : Les règles font défaut. Nov
légique), qui a duré une dizaine de jours (1) ; 6° une contracture du bras droit (forme monoplégique), qui a duré cinq jours
dans le cas actuel, à un état cataleptique : Met-on, par exemple, les bras dans l'extension, ils gardent cette position dura
6 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ait plus, du tout le passage du courant électrique. Il avait sur le bras plusieurs plaques rouges que le médecin a quali
i a appliqué sur la tempe gauche et sur la région antéro-externe du bras gau- che des plaques de zinc, et sur la partie
as gau- che des plaques de zinc, et sur la partie antéro-interne du bras une plaque d'argent. Au bout de vingt-trois heu
du coude, du poignet et des'doigts sont absolument impossibles. Le bras pend inerte et flasque le long du corps ; les d
ne non imputable à l'affection présente. La diminution de volume du bras est considérable; la plus grande circonférence
de volume du bras est considérable; la plus grande circonférence du bras gauche est de 22 centi- mètres et celle du bras
de circonférence du bras gauche est de 22 centi- mètres et celle du bras droit de 25 centimètres ; l'atrophie semble por
à peu près également sur les muscles anté- rieurs et postérieurs du bras ; en pressant entre les doigts les muscles bice
é opposé on constate une notable atrophie. L'atrophie de l'avant- bras est moins marquée que celle du bras ; la plus gra
trophie. L'atrophie de l'avant- bras est moins marquée que celle du bras ; la plus grande circonférence est de '-)le cen
de la sensibilité sont abolis. Il semble au malade qu'il n'a pas de bras ni d'épaule. Le sens musculaire fait aussi comp
tombe brusquement en avant et à droite; il place sa tête sur son bras droit qui est dans l'extension et levé en l'air ;
dans l'extension et levé en l'air ; le poignet est fermé et tout le bras est raide; généralement le malade leur de l'éta
VEUSE. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. t0 CLINIQUE NERVEUSE. mord son bras ; la jambe droite est fléchie sur la cuisse et le
ce dorsale des doigts, gagne la main, puis l'avant-bras et enfin le bras et l'épaule ; on dit à ce moment au malade de m
ements spontanés revien- nent avant que la sensibilité ait gagné le bras ; on lait exécuter ce jour à l'épaule des mouve
s de deux heures. Le malade s'endort le soir pouvant mou-, voir son bras . 7. 11 se réveille absolument impotent de son m
7. 11 se réveille absolument impotent de son membre su- périeur. Le bras et l'avant-bras sont flasques. La main est fléc
la jambe gauche est pareille à celle de la jambe droite ; entre le bras gauche et le bras droit, au lieu de trois centi
st pareille à celle de la jambe droite ; entre le bras gauche et le bras droit, au lieu de trois centimètres de différen
ion, cette fois non plus sur la tète mais sur la partie sensible du bras malade ; quinze minutes après le début de l'opé
té gauche, il n'y a plus de bien grande différence ; entre les deux bras il n'y a plus, dans la circonférence, qu'un cen
, dans la circonférence, qu'un centimètre de différence; l'avant- bras qui n'était, il est vrai, que peu atrophié, ne s'
re- produites parfois jusqu'à huit fois par jour. La paralysie du bras disparut la première, puis la motilité revint aus
; les muscles sus et sous- épineux sont atrophiés. Le périmètre du bras gauche à la par- tie moyenne est de 19 centimèt
ras gauche à la par- tie moyenne est de 19 centimètres, et celui du bras droit au même niveau de 22 centimètres. L'atrop
ors même que les deux jambes seraient prises, bien souvent alors un bras se comportera différemment et présentera, par e
om ; cinq minutes après votre réveil, il faut que ça saigne à votre bras . » A son réveil, légères démangeaisons au bras
ue ça saigne à votre bras. » A son réveil, légères démangeaisons au bras gauche. V... cherche à se frotter le bras qu'on
légères démangeaisons au bras gauche. V... cherche à se frotter le bras qu'on est obligé de maintenir; puis il tombe da
cas d'hémianesthésie DE cause cérébrale avec MOUVEMENTS anormaux du bras ET DE la jambe; par le Dr RAYMOND, médecin de l
artielle, avec aphasie : cette hémiplégie portait sur la face et le bras ; la jambe en était indemne; la guérison fut len
as; la jambe en était indemne; la guérison fut lente, et lorsque le bras droit eut recouvré une cer- taine force, il dev
xe du triceps, aboli à gauche, était très exceptionnellement vif au bras droit, et le biceps du même côté donnait la réa
convul- sions quasicontinues dans la moitié gauche de la face et le bras gauche; rigidité intervallaire, privation de se
re partie de ce livre; ce patient avait une ten- dance à fléchir le bras , ce qui fait remonter la courbe en a. Cette élé
es maladies, il était d'humeur variable; même dans les courbes du bras gauche qui était normal, l'influence de l'humeur
itrite produisait un affaiblissement de l'activité volon- taire. Le bras qui normalement pouvait rester immobile un temps
aires ont L disparu; la motilité a reparu, quoique faible, dans les bras ; Ifs jambes tendent à récupérer leurs fonctions
temporo-occipitaux inférieurs gagne, suivant toute probabilité, le bras du tubercule bijumeau inférieur, avec les zones
ès tétaniques portant surtout sur le côté droit et empiétant sur le bras et la jambe correspondants. Guérison com- plète
uverte de ce type cli- nique ; il ne manque ici que la rigidité des bras . Aux questions de MM. AtENDEL et REMAK, M. WEST
ure du sternum, en deux places symétriques de la face antérieure du bras , en un point sis à gauche de l'espace compris e
des deux sexes, que six ou huit hommes promenaient étendus sur les bras , tout autour de la cha- pelle de Saint-Maur.
nnés, ainsi que le montrent les mensurations ci-après : Longueur du bras mesurée del'acromion à l'épicondyle, 19 cent. L
aut noter seulement qu'après une application de l'aimant du côté du bras gauche pendant douze heures ; on a obtenu un tr
lysé : les mouvements des doigts, de la main, de l'avant-bras et du bras étaient tout à fait abolis. Il resta dans cet é
issent sur la main, la main sur l'avant-bras et l'avant-bras sur le bras , , DE l'atrophie musculaire. 167 10. - La rai
up plus grêle que le droit. Entre la plus grande cir- conférence du bras droit et celle du bras gauche il y a 3 cen- tim
oit. Entre la plus grande cir- conférence du bras droit et celle du bras gauche il y a 3 cen- timètres de différence; à
3 cen- timètres de différence; à la partie supérieure de l'avant- bras , il y a entre les deux côtés une différence de 3
a entre les deux côtés une différence de 3 centi- mètres, comme au bras . La contractilité faradique persiste, mais elle
auche. Le malade se plaint de fortes douleurs dans la nuque et le bras gauche. tel mars. Les douleurs ont disparu. 1
aux mouvements de la main sur l'avant-bras, de l'avant-bras sur le bras et du bras sur l'épaule, ils sont toujours abso
ents de la main sur l'avant-bras, de l'avant-bras sur le bras et du bras sur l'épaule, ils sont toujours absolument impo
le même état. 9. Le malade commence à mouvoir l'avant-bras sur le bras . 0. Le malade commence à mouvoir un peu le bras
avant-bras sur le bras. 0. Le malade commence à mouvoir un peu le bras sur l'épaule. 5 mai. Le malade demande à sort
ie est moins accentuée qu'autrefois; entre les circonférences des bras et des avant-bras droits et gauches il n'y a plus
camarade, lorsque le crochet cassa, et le malade fut renversé, son bras gauche pris sous le boeuf. Il dit avoir entendu
une potion cordiale, et 172 Z CLINIQUE NERVEUSE. lui enveloppa le bras de compresses phéniquées. Le malade n'a jamais
esses phéniquées. Le malade n'a jamais éprouvé de douleurs dans son bras , ni au moment où il était pris sous le boeuf, n
ait pris sous le boeuf, ni les jours suivants. Mais, voyant que son bras enflait toujours, il se décida à entrer à l'hôpit
dent. Non seulement le malade n'éprouvait pas de douleurs dans le bras même, mais il ne le sentait pas, le bras était co
it pas de douleurs dans le bras même, mais il ne le sentait pas, le bras était comme mort, à partir de l'épaule. Il lui
rt, à partir de l'épaule. Il lui semblait avoir, dit-il, au lieu de bras un poids de quarante livres à supporter. Aucun mo
sont aujourd'hui. Huit jours après, il est retourné à la mairie; le bras était dans le même état. Puis il est entré à
poche un papier sur lequel elle est inscrite. Le malade porte son bras gauche en écharpe. L'avant-bras est légèrement
n bras gauche en écharpe. L'avant-bras est légèrement fléchi sur le bras , en faisant avec lui angle obtus; il est dans l
coude est presque complètement immobilisé dans cette position. Le bras est dans la position normale, le long du corps, l
re des doigts et dans un triangle qui descend de l'aisselle vers le bras . Il en est de même de la sensibilité pro- fonde
massage. Voici ce que l'on fait : on pratique sur les téguments du bras gauche des frictions avec les mains enduites de
atisme sur l'épaule droite, est atteint d'une paralysie complète du bras droit. Dans les premiers jours, il y avait en m
IE MUSCULAIRE. 179 région sous-claviculaire jusqu'au mamelon, et le bras droit auraient été aussi comprimés. Les ouvrier
l s'est aperçu qu'il lui était impossible de mou- voir l'épaule, le bras , l'avant-bras et la main; les mouve- ments des
des doigts persista encore deux jours, puis disparut à son tour. Le bras fut mis en écharpe. Le lendemain, le gon- fleme
centimètres au-dessus de l'apophyse coracoïde la circonfé- rence du bras est de 31 cent. à gauche et de 30 cent, à droite;
les mêmes chiffres qu'à l'Hôtel-Dieu et la diminution de volume du bras et de l'avant-bras parait due à \' atrophie des
he paralysé depuis l'épaule jusqu'à la main paraissent atteints; le bras est plus atrophié que l'avant-bras; mais si on
avait trois centimètres de différence entre les périmètres des deux bras . Dans l'Observation II comme dans la précédente
n mois et demi après le début de la paralysie, il y avait entre les bras et les avant-bras gauches et droits une différe
rition de la para- lysie qui avait été brusque, la circonférence du bras avait déjà augmenté d'un centimètre, et un mois
es sont pâles, la peau est pâle, sèche, Sur- tout aux jambes et aux bras ; le tissu cellulaire sous-cutané est atrophié;
urine est difficile. Le malade ne peut remuer la jambe gauche et le bras droit, tandis qu'il peut légèrement ramener ver
and on m'amena une femme des environs, paralysée depuis six mois du bras droit. On m'apprit qu'elle était âgée de quaran
ques survenue il y avait six mois qu'elle était restée paralysée du bras droit; quelques jours après une nouvelle attaqu
à fait comme aspect les paralysies cérébrales de date ancienne. Le bras absolument inerte était in- capable du moindre
d'anormal; ni paralysie, ni anesthésie. Sauf l'impotence absolue du bras droit la malade était valide et paraissait bien p
n prolongée qu'elle a subie et de la macéra- lion épidermique. Le bras et l'avant-bras étaient toujours immobiles ; j'or
lle y réussit d'abord avec peine, puis plus aisément, et bientôt le bras droit se meut aussi librement que le gauche. Av
de la main DES LOCALISATIONS FONCTIONNELLES DU CERVEAU. 207 et du bras , examen consistant en mouvements et en exercices
rmal à observer. Du côlé gauche, les doigts ainsi que la main et le bras fonctionnent normalement. La force dynamométriq
t anormal, pas bien localisé, uni à un sentiment de fatigue dans le bras droit, qui a pu durer quelques heures pour disp
ntanément. A l'examen des différentes qualités de la sensibilité du bras , de la main et des doigts, rien d'anormal à con
s avant que les secousses surviennent, le sentiment anormal dans le bras droit est devenu aussi très rare. Le trouble de
aractère, ont presque disparu; de même le sentiment anormal dans le bras droit. Quant à l'é- criture, G... peut souvent
uit ans. légère fatigue rachidienne; se sert moins utilement de ses bras , se redresse et soulève des poids diffci- lemen
: corps exagérément fléchi en arrière, ventre proéminent en avant, bras et épaules pendantes. il lance pour marcher les
le patient à entrelacer les doigts des deux mains et,en tendant les bras horizontalement, à tirer aussi fort que possibl
légère anesthésie; intégrité du sens musculaire ; douleurs dans les bras et les jambes; gros troncs nerveux sensibles à
du côté gauche accompagnées de sensations de tremble- ment dans le bras et la jambe, du même côté. Aux diverses phases
mps à autre chez une femme grosse et affectant particulièrement les bras . Ni perte de connaissance, ni troubles de la se
; dégénérescence grise évidente des deux nerfs radiaux à l'avant- bras ; décoloration légèrement grisâtre des racines le
e en forme de groin, va et vient en reniflant bruyam- ment, port du bras gauche fléchi à angle droit; souvent, pendant d
t manifesté dans les oreilles, il lui a élé impossible de lever les bras , une légère timbale lui paraissait lourde comme
, il a été atteint de paraly- sie : paralysie des deux jambes et du bras droit, la première fois, paralysie des jambes,
désirs. Le 5 mai, Ch... commence à se plaindre de douleurs dans le bras gauche, la sensibilité tactile et douloureuse e
a salle ; tout le corps tressaille; il a des tiraillements dans les bras , il vomit de la bile; la température monte; tous
tièrement poussées). Dans la partie supérieure du tronc et dans les bras , la sensibilité est aussi émoussée; il ne retir
se met sur les jambes d'une manière particulière : il appuie ses bras sur le bord du lit, et, après quelques instants d
les genoux; le dos est immobile et un peu renversé en arrière; les bras séparés du corps; il les balance en marchant. T
des palpitations, des douleurs dans la ré- gion du coeur et dans le bras gauche. A la fin de juillet 1884, revenu de l'e
urs après son entrée, à l'hôpital, la paralysie s'em- para aussi du bras droit. L'examen du malade donna les résul- tats
ns. La sensibilité des jambes a disparu. La faculté de mou- voir le bras droit, de le soulever, de le fléchir au coude, ne
re est relâ- chée. Du 19 au 20 juillet, on observe une faiblesse du bras gauche; le sujet sent des fourmillements et des
l'épigastre, il a des vomissements.Le 18 juillet, la sensibilité du bras gauche dispa- rait aussi, de même que dans laré
douleurs dans le dos et de fortes convulsions dans les jambes et le bras gauche. Les mêmes crises se répètent du 2 au 9
du côté droit il ne perçoit ni attouchement, ni douleurs. Les deux bras présentent les mêmes phénomènes; le droit est in-
sation de la température n'existe plus ni dans l'un ni dans l'autre bras ; la sensibilité musculaire persiste dans le côté
s muscles est con- servée ; même la faradique parait plus forte. Le bras gauche garde sa faculté de mouvement; le dynamo
te d'accès qui portent le même caractère, savoir : tremblement du bras gauche; spasme tonique à la jambe gauche; flexion
ambes, quand il bouge, reparaissent comme aupara- vant ; il lève le bras droit en haut. A la mi-mars, le patient commenç
ne; en marchant, il ccurbe le dos en arrière, agite fortement les bras , glisse les pieds. Il ne peut s'asseoir lentement
e vasistas était ouvert, le matin il a senti une faiblesse dans les bras et dans la jambe gauches, et, le 30 décembre, c
alysés. Le 2 janvier, on a constaté une faiblesse de la jambe et du bras droits. A son entrée à l'hô- pital, on observe
pie, ainsi qu'une impossibilité de mouvoir à volonté la jambe et le bras gauches. Ce qui fait une différence bien tranch
e de la pointe du pied ; un trem- blement dans la jambe gauche ; le bras droit levé le plus haut tremble aussi. La force
archer sans béquilles. Le 10 mars,, la démarche est plus libre ; le bras paralysé peut être un peu levé à l'épaule et fl
, de reins et de l'insomnie. Le 23 mars, il marche facile. ment; le bras au coude et la main fléchissent, ce n'est qu'à
bras au coude et la main fléchissent, ce n'est qu'à l'épaule que le bras ne peut se relever. Sa démarche est carac- téri
troubles de la sensibilité ont disparu; la difficulté de mouvoir le bras à l'articulation de l'épaule a duré jusqu'au 9
On soupçonna S... d'avoir volontairement pro- longé l'immobilité du bras droit, mais je ne puis pas supposer que ce fût
nt ainsi qu'à la douleur; la sensibilité du côté droit du tronc, du bras droit et du côté droit de la face est normale;
vulsions dura une couple de minutes, après quoi la jambe gauche, le bras du même côté restèrent contracturés à toutes le
283 que, les yeux fermés, il ne trouve plus son nez, ni son autre bras , etc. 11 en est de même pour les membres inférieu
ne respira- tion accélérée. Ensuite, le malade étend subitement les bras et les jambes, courbe le dos en arrière en arc
de la position suivante : les jambes sont à l'état d'extension, les bras aussi, éloignés du corps; les poings sont fermé
s 6); le 5e malade avait une paralysie des membres inférieurs et du bras droit; cinq malades étaient atteints de paraplé
devient raide, ils traînent les pieds sur le sol et balancent les bras en les écartant du torse. 8. Les convulsions so
embres paralysés, je les faisais promener en les soutenant sous les bras , je les forçais de recourir aux béquilles le pl
22 octobre 't879). Père, architecte, présentait une malformation du bras gauche, qui était moins développé que le droit;
ormation du bras gauche, qui était moins développé que le droit; ce bras se terminait par un moi- gnon formé par la régi
ent à terme (à Neuilly-sur- Seine), assez long ; on aurait cassé un bras de l'enfant, le droit, croit-on, et démis un po
le même à la main; le thermomètre, appliqué sur la face externe des bras , marque à droite 33°,8, à gauche 34o,l. La ma
39°,8. 1er avril. - L'érysipèle a pâli au niveau de l'épaule et du bras , il prend un aspect rouge-clair moucheté; le bo
let fait défaut; la peau n'est ni chaude, ni résistante. La peau du bras est le siège d'une desquamation furfuracée. Le
9°. - Soir : 39°,8. 2. - Envahissement de la partie inférieure du bras et supérieure de l'avant-bras droit par l'érysi
, elle atteint seulement le mamelon; de plus, elle a envahi tout le bras et l'avant-bras, s'ar- rêtant brusquement par u
du côté droit elle atteint éga- lement le mamelon, a envahi tout le bras et l'avant-bras, s'arrê- tant brusquement par u
ptique; le père, intelli- gent, présentait seul une malformation du bras gauche, et, sauf une cousine de la mère au troi
dent tout d'un coup aux chevilles ou aux genoux. Les mouvements des bras sont libres, mais elle fait tout lentement et a
uellement, il marche en traînant un peu la jambe droite, soulève le bras droit, peut mettre la IDIOTIE AVEC CACHEXIE PAC
PACHYDERMIQUE. 313 proéminent, mais la poitrine est normale et les bras sont bien faits; les mains sont petites, ramass
e est plus longue que le fémur et l'avant-bras est plus long que le bras . Les orteils ne présentent rien de particulier,
100; la malade devient de plus en plus sombre; elle porte aussi au bras droit une petite plaie qu'elle s'est faite avec
e glisse- ment, elle s'etait portée du côté gauche, de sorte que le bras gauche s'était tourné en arrière et en bas, et
é parait très diminuée, au point que la malade ne retire point le bras quand on la pince très fortement. . Vendredi ma
Samedi 4 septembre. B... se plaint de douleurs assez vives dans le bras et l'épaule. L'ecchymose provoquée par la corde a
ue ce jour arrivera jamais. Les douleurs dans l'épaule droite et le bras sont devenues plus grandes; cette douleur que l
xus brachial, dans le creux sus-claviculaire, dans l'aisselle et au bras , sur tout le parcours des principaux nerfs : mé
médian, cubital et radial. On ne trouve pas de douleur à l'avant- bras et à la main, mais seulement un léger engourdisse
emière attaque grave eut lieu en mars 1884. Le spasme s'étendait au bras et le malade tombait. Il eut la seconde attaque
que. La tête et souvent les yeux étaient tournés vers la droite; le bras droit élait étendu par secousses, et le malade
sont quelquefois fléchis. Après l'attaque, le malade disait que son bras droit était faible pour quelque temps. Diagno
du cou est au- dessous de ce sillon et que celui de l'extension du bras était à peu près à son extrémité postérieure. C
position du sens de la tem- pérature en deux éléments différents Un bras profondément engourdi a perdu non seulement le
ommunication porte sur deux observations de mono- plégie typique du bras ou de la jambe avec épilepsie corticale. Dans l
BIBLIOGRAPHIE. 411 i la paralysie était surtout accentuée sur le bras , arrêté dans sou développement (il en était de
7 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
A la suite de cette chute, il n'a plus été à même de se servir de son bras . C'est seulement une année plus tard qu'on a es
alade prétend qu'à ce moment-là, il a été question de lui couper le bras . Finalement, les choses ont été laissées en leur
ont été laissées en leur état ; le gonflement s'est dissipé, et le bras droit est devenu ce qu'il est encore. Nous cons
u coude ; l'avant-bras est immobilisé en très légère flexion sur le bras , c'est- à-dire en extension presque complète.
sibilité n'était pas indemne partout ; à la face postéro-eaterhe du bras , on notait de l'liypoestliésie dans une zone él
ain ou pied, et se trouve réduit à son segment sus-jacent : soit le bras avec l'avant-bras, soit la cuisse avec la jambe
it le bras avec l'avant-bras, soit la cuisse avec la jambe, soit le bras seul ou la cuisse seule. L'hémimélie peut être
pe com- prendra les Amèles imparfaits, monstres privés en vérité de bras et de jambes, mais présentant dans une ou plusi
pas d'autopsie. 2. IsEnHLanInI, 1800. - Garçon mort-né, privé de bras et de jambes ; à la place des membres inférieur
is, montrée à Paris, au Palais-Royal, dans un bocal d'alcool ; sans bras ni jambes ; le bas du tronc présentant une ress
nt ayant vécu trois jours; privé des ex- trémités inférieures et du bras gauche ; à la place du bras droit, moignon cour
rivé des ex- trémités inférieures et du bras gauche ; à la place du bras droit, moignon court renfermant le quart supéri
citéparCholmogoroff). - Enfant nouveau-né, n'ayant aucun vestige de bras ; extrémités inférieures remplacées par deux moi-
s charnues pour- vues de mamelon (poitrine de femme) ; rudiments de bras , contenant un segment d'humérus. (Fig. 8). '"
Forster, il s'agit d'un homme d'un certain âge, privé totalement de bras mais pourvu inférieurement de deux appendices é
Tronc normal ; amélie parfaite du côté droit ; à gauche, moignon de bras renfermant un os et petit membre inférieur, compo
singulièrement avec son étrange monstruosité : elle était privée de bras et de jambes ! Les trois phototypies de la Plan
marchand ambulant qui vendait des grandes poupées de carton n sans bras ni jambes, et que cette rencontre l'avait beaucou
orde légèrement les fausses côtes, la rate est également grosse. Le bras du côté droit est normal, semblable au bras gauch
st également grosse. Le bras du côté droit est normal, semblable au bras gauche, le coude est également bien conformé, m
rte une came de forme spéciale destinée a soulever à chaque tour un bras de levier qui porte une lige mé- talliqueplonge
a démontré comme étant le plus convenable, se trouve réalisé. Le bras de levier, fixe à une de ses extrémités, est muni
du cou, leurs mains cachées sous leurs tabliers et leurs paniers au bras . Et toutes ont la même figure apitoyée, la même
une femme debout, les mains cachées sous son tablier, un panier au bras , se penche pour regarder l'opération. Adroite,
,une femmedu peuple,les mainscachées sous son tablier, un panier au bras , se penche de côté et regarde timidement, curieus
ude classi- ques, coiffée d'un chapeau à larges bords, un panier au bras , les mains (1) P. Poacsr, Ilisl. ! léta. des dr
, parait-il, plus fortes du côté gauche et particulièrement dans le bras gauche (le fait est affirmé par plusieurs perso
e, parfois en effet, il sentait comme de petits élancements dans le bras gauche, mais très légers et très fugitifs. Le bra
ncements dans le bras gauche, mais très légers et très fugitifs. Le bras ne fut d'ailleurs DIAGNOSTIC D'UNE TUMEUR CÉRÉB
l avait remarqué en 1848, alors qu'il travaillait la terre, que son bras droit s'était tu- méfié brusquement, tuméfactio
nsi qu'il résulte de. l'aveu du malade, d'un oedème assez étendu du bras et qui a duré environ trois semaines. Je rappel
8 à 10 jours. Après, cet accident, il ne pouvait plus travailler, les bras et les mains ayant perdu leur souplesse. Mais l
urs, l'avant-bras gauche étant plus pris que l'avant-bras droit et le bras droit un peu plus atrophié que le bras gauche.
que l'avant-bras droit et le bras droit un peu plus atrophié que le bras gauche. Voici du reste le résultat des mensurat
le résultat des mensurations de ses serments : 94 G. MARINESCO bras , mais le triceps se contracte avec force quand on
conservation relative des muscles extenseurs de l'avant-bras et du bras a son importance au point de vue de la localisati
neux sont atrophiés des deux côtés. Les mouvements d'élévation du bras dépassent l'horizontale, mais le malade ne peut
ux ou trois ans après. En 1878, il ne pouvait plus se servir de ses bras pour s'habiller, se boutonner, etc. Presqu'à la m
gré plus marqué à gau- che. La musculature de la face antérieure.du bras est non seulement très atro- phiée, mais elle e
galement complètement paralysée. Aussi tout mouvement de flexion du bras est impossible ; par contre le triceps atrophié o
re le triceps atrophié oppose une grande résistance à la flexion du bras . A l'avant-bras, l'atrophie occupe les muscles
rte ses lèvres à la rencontre de celle-ci. Il ne peut soulever ses-» bras : leur flexion est impossible. Quand on veut lu
-»bras : leur flexion est impossible. Quand on veut lui écarter les bras du tronc, il n'oppose qu'une faible résistance.
se. Grâce à cette laxité spéciale des articulations de l'épaule et du bras , on retrouve ici le type du bras de polichinell
es articulations de l'épaule et du bras, on retrouve ici le type du bras de polichinelle. Les mouvements qui persistent à
de la thermo-anesthésie ; en effet au niveau de la face interne du bras , il n'y a pas de troubles de sensibilité, la to
u du coude que porte la déformation, L'avant-bras est fléchi sur le bras et ne peut s'étendre au delà de l'angle droit.
e souffrance ici-bas. A Munich, il nous montre une Opération sur le bras , au Louvre, une Opération sur l'épaule, à Anver
et opérateur ratatiné. Au- dessus d'une chaufferette perchée sur le bras d'un fauteuil, elle fait ramol- lir un emplâtre
éjà si- hâlé ces deux eaux-fortes (1). Le chirurgien opère sur le bras , mais la ventouseuse sur le pied. C'est elle qu
nous montre une Ventouseuse (/focr en hollandais) appliquant sur le bras d'une jeune femme une ventouse, évidemment scar
d'appliquer un large emplâtre sur le genou d'un patient, assis, le bras droit en écharpe. On ne chôme pas dans cette of
le de la précédente. Les deux branches supérieures passent sous les bras . Au niveau de la région dorsale on les entre-cr
i- ques. La tête sera libre, moyennement fléchie sur le thorax, les bras seront pendants ou repliés le long du tronc.
Effectivement la sensibilité est redevenue normale; les muscles du bras et de la cuisse ont récupéré leur intégrité fonct
înant le pied droit. Il avait de la dif- ficulté à se servir de son bras droit, et il ne pouvait faire mouvoir les doigts
j'ai remarqué une par- ticularité semblable pour les extenseurs du bras . Tandis que les fléchis- seurs sont très atroph
sont pris en même temps ou plus lard que ceux de l'avant-bras et du bras , mais suivant un ordre que je n'ai pas encore p
u de l'épaule et envahit progressivement les segments sous-jacents, bras , avant-bras et main. Dans cette forme scapulo-h
l'intégrité de certains muscles ex- tenseurs de l'avant-bras et du bras et nous rend particulièrement compte d'une atti
igrisse- ment général des muscles de la main, de l'avant-bras et du bras . Le bras pend le long du corps, fixé dans cette
ment général des muscles de la main, de l'avant-bras et du bras. Le bras pend le long du corps, fixé dans cette situatio
st très atrophié. Membre supé- rieur gauche : même situation que le bras droit. Il y a ankylose de l'arti- culation scap
che, se rapproche de cette épaule qui se soulève ; en môme temps le bras gauche s'applique fortement contre le tronc (PI
uche s'applique fortement contre le tronc (PI. XXVI, 13) ; enfin le bras droit est fortement rejeté en arrière (PI. XXVI
tout à fait complexe à ce point de vue, puisque, à son maximum, le bras gauche se colle en même temps contre le tronc,
ximum, le bras gauche se colle en même temps contre le tronc, et le bras droit est projeté en arrière. Donc, on ne peut
liéniste renommé, le Dr Soubyranne. « A midi et demi, Victorien, le bras en écharpe, entrait dans le salon de Soubyranne
e de médecine, 1896, p. 115). - Les proportions relatives des os du bras chez les hémiplégiques infantiles et les dégé-
urtout deltoïdienne avec adipose mar- quée in situ. Circonférence : bras droit, 27 centimètres ; bras gauche, 29. Se ser
ose mar- quée in situ. Circonférence : bras droit, 27 centimètres ; bras gauche, 29. Se sert assez bien de l'avant-bras
iculaires masque en partie l'atrophie deltoïdienne. Circonférence : bras droit, au niveau de l'aisselle, 2o cent. 1/2 ;
Circonférence : bras droit, au niveau de l'aisselle, 2o cent. 1/2 ; bras gauche, 27 centimètres. Flaccidité des muscles
oite spasmodique avec aphasie depuis 1893. Avant-bras fléchi sur le bras collé au tronc. Ankylose absolue de l'articulatio
de la région deltoïdienne, s'étendant un peu sur la face externe du bras , masquant l'atrophie sous-jacente. Circonférence
ce externe du bras, masquant l'atrophie sous-jacente. Circonférence : bras droit, 27 centimètres; bras gauche, 27 centimèt
'atrophie sous-jacente. Circonférence : bras droit, 27 centimètres; bras gauche, 27 centimètres. Quelques craquements da
laire, deltoïde sur- tout. Circonférence, au niveau de l'aisselle : bras gauche, 26 centimètres ; bras droit, 28 centimè
irconférence, au niveau de l'aisselle : bras gauche, 26 centimètres ; bras droit, 28 centimètres. Les autres articulations
e des muscles de l'é- paule ; adipose très marquée, Circonférence : bras droit, 32 centimètres ; bras gauche, 3. Rien à
; adipose très marquée, Circonférence : bras droit, 32 centimètres ; bras gauche, 3. Rien à l'avant-bras ni au membre inf
iculation scapulo-humérale. Circonférence au niveau de l'aisselle : bras droit, 29 centi- mètres ; bras gauche, 30 centi
conférence au niveau de l'aisselle : bras droit, 29 centi- mètres ; bras gauche, 30 centimètres. Les autres articulations
gie gauche 'spasmodique depuis 1893. Flexion de l'avant-bras sur le bras ; flexion des doigts. Ankylose douloureuse de l'a
e du biceps est masquée par de l'adipose localisée. Circonférence : bras gauche, 26 ; bras droit, 26 au niveau de l'aissel
squée par de l'adipose localisée. Circonférence : bras gauche, 26 ; bras droit, 26 au niveau de l'aisselle. Arthrite légèr
s de la ceinture scapulaire. et surtout du deltoide. Circonférence; bras gauche, 19; bras droit, 21. Ar- thrite de l'art
scapulaire. et surtout du deltoide. Circonférence; bras gauche, 19; bras droit, 21. Ar- thrite de l'articulation-métacar
oral, qui n'est pas touché. Circonférence au niveau de l'aisselle : bras gauche, 21 centimètres ; bras droit, 23 centimètr
rconférence au niveau de l'aisselle : bras gauche, 21 centimètres ; bras droit, 23 centimètres. Pas d'adi- pose. Doule
miplégie droite spasmodique et aphasie. Contracture intense, avant- bras fléchi sur le bras; poignet en flexion permanente
smodique et aphasie. Contracture intense, avant- bras fléchi sur le bras ; poignet en flexion permanente sur le bras, main
vant- bras fléchi sur le bras; poignet en flexion permanente sur le bras , main en griffe. Ankylose douloureuse de l'ép
dans les trois segments du membre supérieur droit. Circonférence du bras au niveau de la ligne axillaire : 27 cent. 1/2
es articulations du coude et du poignet sont libres, les muscles du bras et de l'avant-bras ne sont pas atrophiés. Mais
e ankylose de l'épaule ; coude libre, pas d'atrophie des muscles du bras ; demi-ankylose du poignet, atrophie des muscles
çon des soldats allemands du XVI0 siècle, meurtrissent il tour de bras la chair nue du condamné, l'un avec un faisceau
nt, il n'avaitplus la force d'exécuter quelques mouvements avec les bras : on lui donnait à manger comme à un petit en-
périeurs fut complète, puis il pu recom- mencer à, se servir de ses bras , mais il ne pouvait marcher : on était con- tra
auche. Transversalement, en des régions symétriques, on note : Au bras , 15 centimètres à droite, 24 centimètres à gauche
dduction des doigts. - Le malade peut fléchir son avant-bras sur le bras , mais il ne résiste à aucune pression, si légèr
le membre supérieur droit. Sous l'influence du froid, en hiver, son bras devient engourdi, bleuâtre. D'ailleurs il existe
les cuisses sur- x 24 338 CH. FÉRÉ tout à la face interne, les bras , avaient pris une coloration bronze foncé non p
scles de la ceinture scapulaire, masquée par adipose se limitant au bras . Circonférence du bras : à droite, 7 centimètre
apulaire, masquée par adipose se limitant au bras. Circonférence du bras : à droite, 7 centimètres ; à gauche, 27 centim
usqu'à l'extrémité des doigts, masquant l'atrophie. Circonférence : bras droit, au niveau de l'aisselle, 32 centimètres
rconférence : bras droit, au niveau de l'aisselle, 32 centimètres ; bras gauche, 30 ; avant-bras droit, 27 ; gauche, 25.
uel il existe de l'adipose. Circonférence au niveau de l'aisselle : bras gauche, 25 cent. 1/2 ; bras droit, 27. Avant-br
Circonférence au niveau de l'aisselle : bras gauche, 25 cent. 1/2 ; bras droit, 27. Avant-bras contracture sur l'avant-b
ture scapulaire très marquée au niveau du deltoïde. Circonférence : bras droit au niveau de l'aisselle, 25 centi- mètres
conférence : bras droit au niveau de l'aisselle, 25 centi- mètres ; bras gauche 27 cent. 1/2 ; adipose très marquée au niv
ulations métacarpo-phalangien- nes ; flexion de l'avant-bras sur le bras . Circonférence de l'avant-bras, 4 tra- vers de
gie droite spasmodique datant de 1894. Flexion de l'avant-bras sur le bras . Demi-ankylose de l'articulation scapulo-huméra
trophie des muscles de la main. Adipose très marquée généralisée au bras et à l'avant-bras. Circonférence ; bras droit,
très marquée généralisée au bras et à l'avant-bras. Circonférence ; bras droit, 31 centimètres ; gauche, 31 centimètres
iculaire, deltoïdien. Adipose très marquée in situ. Circonférence : bras droit, 27 centimètres; bras gauche, 29. Avant-b
e très marquée in situ. Circonférence : bras droit, 27 centimètres; bras gauche, 29. Avant-bras en' flexion sur le bras
oit, 27 centimètres; bras gauche, 29. Avant-bras en' flexion sur le bras avec arthrite de l'articulation du coude ; amyo
rence, 17; gauche, 19. Poignet droit immobilisé en extension sur le bras , doigts fléchis ; polyarthri- tes, atrophie gén
ans atrophie localisée. 1 centimètre de diffé- rence entre les deux bras , à gauche, 27 ; à droite, 28, au niveau de l'aiss
de l'hémiplégie, le malade a pris soin de mobi- liser lui-même son bras gauche avec la main droite; peut le porter sur la
plégie droite, aphasie en 1895, spasmodique. Avant-bras fléchi sur le bras , main fléchie sur l'avant-bras. Dès l'apparitio
de son hémiplégie, ce malade a pris l'habitude de faire exécuter au bras droit, l'aide de la main gauche, quo- tidiennem
sé est apparu sans atrophie. Mais ce malade peut encore mouvoir son bras dans tous les sens ; il ne s'est pas produit d'
supérieur, l'évolution des phénomènes est encore plus constante. Le bras se contracture en adduction, se colle le long du
ssi plus petit que le sein droit. Les différentes circonférences du bras gauche à différentes hauteurs présentent toujou
urs présentent toujours une différence de 1 à 1 cent. 1/2. Les deux bras ne sont pas non plus de même longueur (Fig. 5) et
e à l'extrémité des doigls 3G à gauche pour 37 à droite. En tout le bras gauche a 64 centimètres, le bras droit 66. Les mê
auche pour 37 à droite. En tout le bras gauche a 64 centimètres, le bras droit 66. Les mêmes différences en grosseur et
petit pour sa longueur. Légère atro- phie deltoïdienne ; muscles du bras peu développés. Le coude est gros et plus volum
s, développé surtout dans sa partie inférieure est plus gros que le bras , à droite et à gauche. Les mains sont très gran
stamment « affalé », assis par terre, la tête penchée en avant, les bras reposant sur les cuisses (Pl. XLIII). Lourdeu
st intéressant de signaler les atrophies partielles des muscles des bras et des mains, alors que les membres inférieurs n'
culaire généralisée qui se rattachait au froisse- ment des nerfs du bras par une luxation de l'humérus. N'est-ce pas là l'
droite. Tout l'intérêt réside dans l'examen de la main gauche, car le bras et l'avant-bras de ce membre ne sont pas hypert
e.D'ailleurs l'hy- pertrophie peut dépasser la main, atteindre le bras , parfois même une moitié du corps, le cas rentr
cles sont égale- ment spasmodiques, trapèze, pectoraux, muscles des bras , avec cette bizar- rerie que ce ne sont pas tou
apèze du côté opposé), de la projection d'une épaule en avant, d'un bras appliqué contre le corps, etc. Le tic, pour se pr
t cette attitude, porter les yeux dans différentes directions.. Les bras restaient ballants et les mains immobiles, la m
in ; plus tard le malade, toujours assis, est seulement adossé, les bras ballants ; encore plus tard, il est debout, pui
ans différentes attitudes du corps, les épaules étant haussées, les bras étant levés, ou croisés. On modifie sans cesse,
ptions pendant ans. A 30 ans, par suite de faiblesse croissante des bras et des jambes il fut obligé de cesser tout travai
dès le début de l'affection, au dire du malade. L'avant-bras et le bras paraissent diminués de volume. Un jeu très accu
accusé de contractions fibrillaires des muscles des avant-bras, des bras et des pectoraux. Il ne peut plus écrire mais i
déformation en griffe d'aspect saisissant. Les muscles de l'avant- bras sont atteints à leur tour, plus rarement ceux du
s de l'avant- bras sont atteints à leur tour, plus rarement ceux du bras . Aux membres inférieurs, une atrophie du même g
ille, la jambe oedématiée, et enveloppée d'une bande, un enfant aux bras atrophiés qu'un homme porte sur ses épaules : f
image de la léthargie hystérique, - un homme qui lève en l'air son bras au bout duquel la main retombe inerte, -- probabl
d'une bande, s'appuie de la main droite sur un bâton, tandis que le bras gauche pend, inerte, sans main, terminé par un
re nerveuse et mutilante. A gauche, un autre s'avance, montrant son bras droit très atrophié, avec une main dont les doi
guérissant un malade. Ce dernier, assis par terre, de dos, lève son bras droit vers les Apôtres ; il a le front entouré d'
second, assis ou plutôt à genoux, le haut du corps presque nu, les bras croisés sur la poitrine, imberbe et complètemen
e nos recherches dans les musées d'Italie (Fig. 4). Le torse, les bras et les jambes nus, un linge autour de la ceinture
tations cutanées du début. Les lésions sont éparses sur le dos, les bras et les jam- bes, trop régulièrement peut-être e
haut de son corps est affreusement con- trefait : le dos bossu, des bras trop courts, des mains trop longues, un visage
ste de salut : cependant les mouvements en semblent limités, car le bras reste collé au corps. Hémiplégie droite, paraly
prée. Et l'on en voit partout, sur la poitrine, sur le dos, sur les bras et sur les jambes Ce pitoyable Lépreux ne peut
ent du sexe fémi- nin, portant une écuelle : le visage n'a rien, le bras gauche est couvert de taches d'un brun rouge, l
poignet est inerte, le mouvement de flexion de l'avant-bras sur le bras persiste encore à un certain degré ; or, nous sav
le dos au spectateur, et montrant ses deux jambes mutilées. Sur le bras gauche levé pour tendre la sébille, on voit ain
n'a que les trois doigts du milieu. Enfin le front, l'ab- domen, le bras et la jambe du côté gauche sont couverts d'une ér
eut-être quelque exagération dans la matière dont est représenté le bras gauche, qui est réduit à un état vraiment rudimen
état vraiment rudimentaire. Mais, dans la main qui fait suite à ce bras , ne voyons-nous pas des lésions osseuses absolu
456 HENRY MEIGE maladie. Dans l'éruption qui couvre la jambe et le bras du côté droit, ne trouvons-nous pas les signes
lque exagération, disait-il, dans la manière dont est représenté le bras gauche, qui est réduit à un état vraiment rudim
orse presque nu. Une écharpe passée autour du cou soutient ses deux bras croisés sur la poi- trine. La jambe gauche, por
d enveloppé d'un linge. L'épaule gauche semble disloquée et l'avant bras estsillonné de réseaux vasculaires dilatés. S
e à des malheureux : une femme décharnée tenant un enfant entre ses bras ; un homme demi-nu, la face et le crâne couvert
xtension forcée, les orteils recour- bés en forme de crochets. Le bras droit se soulève avec peine jusqu'à l'horizontale
rée en flexion et les doigts en griffe soutenant une sonnette. Le bras gauche est raidi exagérément. La main qui le term
e malade sont deux petits enfants et une vieille femme qui tend son bras vers l'évêque. Ce bras ne présente pas de traces
ts enfants et une vieille femme qui tend son bras vers l'évêque. Ce bras ne présente pas de traces d'atrophie musculaire
oupe de miséreux, en quête d'aumône : une femme qui tient entre ses bras un enfant presque nu, et deux hommes dont l'un,
répugnant ne peut, appartenir qu'à un Lépreux. On ne voit pas les bras , cachés sous de misérables loques ; mais au bout
e « ailée », l'atrophie des muscles de la ceinture scapulaire et du bras , les lèvres aux bords retroussés et son oeil do
nez et de ses lèvres, l'affection oculaire et jusqu'à l'atrophie du bras et de l'épaule dont il est atteint, tous ces ac
emi-nu, se tient debout sur une seule jambe, deux béquilles sous le bras , un pilon sous la jambe droite qui est envelopp
représente le Christ guérissant un Lépreux (n° 475). Celui-ci a les bras croisés sur la poitrine, et la tête entourée d'un
emarquer à ce propos que les Lépreux sont souvent re- présentés les bras croisés sur la poitrine et la tête entourée d'un
lles, une cliquette à la main. Des chiens lèchent ses jambes et ses bras couverts de plaies qui n'ont d'ailleurs aucun c
8 (1880) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1880
. Hémianesthésie et hyperesthésie ovarienne droites. — Analgésie du bras gauche. — Caractère, allures, etc. Description
mai. — Hémianesthésie du côté droit ; diminution de la sensibilité au bras gauche. — Hyperesthésie ovarienne droite, s'exagé
amment un peu d'écume. De temps en temps, secousses qui soulèvent les bras et les épaules. C'est sur cette rigidité générale
ieurs auraient été envahis les premiers, et, une heure plus tard, les bras . A ce moment (8 heures), W... avait encore sa con
de contracture. Parfois, il se produit des secousses des épaules, des bras ou des jambes. P. à 84; R. à 18. — La malade est
araissait, M. Vigouroux a fait appliquer des plaques de cuivre sur le bras et la jambe du côté droit. — W... distingue toute
uriné. Ce matin, W... est couchée, immobile. Parfois, secousses des bras , des épaules. La physionomie est très mobile ; le
agités de petites secousses convulsives, qui bientôt envahissent les bras et les jambes. Au bout de quelques secondes, elle
lle sorte que l'oreiller se rabat sur le visage qu'il dissimule ; les bras sont un peu écartés du tronc, les doigts sont for
a physionomie exprime la volupté : « Oh ! Alphonse! » Elle croise les bras , soupire. Si, à ce moment, on la réveille par la
la compression ovarienne, elle avoue qu'elle s'imagine être dans les bras de son amant. (Pl. V.) ive attaque (11 h. 25).
a sirène, corps tendu, jambes fléchies à angle droit sur les cuisses, bras gauche tourné. Durée quarante secondes. ve atta
tique. — M. Charcot ouvre les paupières droites seulement : alors, le bras droit, élevé, conserve l'attitude qu'on lui a. im
Rien n'est changé à gauche. — Les paupières droites sont fermées, le bras correspondant retombe lourdement. — Si on ouvre l
: « Mais non, faut pas. » Rit aux éclats, tourne la tête; croise les bras sur sa poitrine, comme si elle pressait quelqu'un
: « Palapalapola... » en exécutant le mouvement du moulinet avec les bras . Elle s'endort définitivement avec lenteur. Mais
, s'imagina de s'envelopper dans un drap, de monter sur une table les bras étendus et menaçants. W... entra la première et f
aupières sont écartées, et on observelesphénomènes cataleptiques; les bras , soulevés (Pl. IX),conservent cette attitude auss
cette attitude aussi longtemps qu'on le veut. Quand on les ferme, les bras retombent : lentement, jusqu'à ce qu'ils aient at
plication. Pendant le sommeil, on observe parfois des secousses des bras et des mouvements de déglutition. Au réveil, —
terreur, les paupières sont largement ouvertes, les yeux hagards, le bras droit est demi-fléchi, placé parfois au-devant du
e côté droit; la figure est souriante, les paupières sont closes; les bras sont croisés étroitement sur la poitrine; la mala
t entièrement rigide : les jambes sont allongées et rapprochées ; les bras sont rigides et entre-croisés sur la poitrine, la
a conservent très longtemps. — On abaisse les paupières, aussitôt les bras qui étaient élevés tombent le long du tronc, P...
s (hyperexcilabilité musculaire). Nous déterminons une contracture du bras droit dans la demi-flexion. —• On écarte les paup
mi-somniation et hémi-catalepsie.— On ouvre les paupières droites: le bras correspondant, soulevé, conserve l'attitude qu'on
être menacée d'une attaque. Pour la calmer, il suffit de prendre ses bras (passes des magnétiseurs) : la respiration se ral
? — Elle a un voile..., un chapelet en argent. — Qu'a-t-elle dans les bras ? — Rien. — Qu'y a-t-il à ses pieds ? — Des roses
laisse voir la langue immobile. — La respiration est suspendue. — Les bras , rigides, s'allongent, sans décrire de mouvement
s, au nombre de 100, 150 en 24 heures; * Dans quelques attaques, le bras gauche est seul le siège de ces convulsions cloni
rvent l'attitude qu'on leur impose, les jambes pendant 5 minutes, les bras durant 8 minutes. On voit que, chez M..., il y
-dessous du coude droit. — Application de plaques de zinc sur-l'avant bras gauche durant 15 minutes, pas de modification.
é droite du corps. — A gauche, la sensibilité est revenue sur tout le bras et sur le tronc, en avant et en arrière, jusqu'à
est conservée sur le thorax, de la clavicule à la ceinture, et sur le bras gauche jusqu'au poignet. La main est insensible (
ps en temps, on remarque des secousses qui soulèvent les épaules, les bras , ou la tête. Attaque. — a) Phase tonique. — La
s. de Ler... et d'Etch..., p. 122, 146, 166. vement de moulinet des bras . La phalange du pouce se met dans l'extension for
r le bal du 1 Jamais nous n'avons vu le mouvement de moulinet : les bras , placés le long du corps, se rapprochent simpleme
oins prononcés qu'il y a deux jours. La pression, supportable sur les bras , reste très douloureuse sur le tronc et aux jambe
t des écailles, des jambes terminées par des griffes; il étendait les bras comme pour me saisir; il avait les yeux rouges; s
s instincts. — On assure que, dans ces derniers mois, la paralysie du bras gauche aurait diminué. Dès les premiers temps d
, la raideur augmente, il survient quelques petites secousses dans le bras droit. Quelquefois la malade se retourne, sans
la tête dans l'oreiller, a des mouvements de déglutition, se tord les bras . « Oui, elles me pincent, pour sûr, c'est vrai...
atin, à 6 heures : T. R. 37°,8. A la visite, D... est endormie. Les bras , soulevés, s'abaissent sur-le-champ. Lorsqu'on éc
se réveiller. Au moment de la visite, elle dort encore et parfois les bras sont raides.— A 4 heures, elle ouvre les yeux, re
gauche, et rendent les attaques plus violentes. Les mouvements des bras sont libres ; H... serre moins bien de la main ga
ouvent des secousses à peu près également dans les jambes et dans les bras , secousses qui la font sauter et la réveillent qu
l'hiver dernier une bronchite légère. H... a des douleurs dans les bras , surtout à droite et au niveau des trois première
déglutition, et vagues abdominales accompagnées d'un léger bruit. Les bras , rigides, se laissent mettre dans l'abduction, et
; R. 16; T. V. 37°, 6. 8 mai. — P. 80; R. 20 ; T. V. 37°, 6. — Les bras , élevés, conservent cette attitude pendant 15 min
37°, 6. — La contracture générale persiste; elle est plus marquée aux bras qu'aux jambes et à la jambe gauche qu'à la droite
ge de mouvements onduleux. Les autres symptômes n'ont pas changé. Les bras conservent la position qu'on leur donne durant qu
ux derniers jours, elle a eu des secousses dans les jambes et dans le bras gauche qui est engourdi ; — dans la tête, qui est
e, on voit que les pupilles sont normales ; la bouche est fermée. Les bras sont rigides; la rigidité peut être vaincue ; les
st fermée. Les bras sont rigides; la rigidité peut être vaincue ; les bras placés perpendiculairement au tronc, les doigts é
ues ébauchées : soulèvement léger de la tête, rigidité plus forte des bras ; face rouge, battements des paupières, inspirati
Chez H... (Obs. XI), il existait un certain degré de catalepsie : les bras , placés dans une attitude, la conservaient pendan
les y laisserez environ une minute, et vous les ramènerez le long des bras jusqu'à l'extrémité des doigts, en touchant légèr
de poser les mains sur la tête, et faire les passes suivantes sur les bras en commençant par les épaules, et sur le corps en
'abord quelques longues passes, de haut en bas, dans la direction des bras , au-devant du visage et suivant l'axe du corps; a
appuyée contre un mur, le corps penché et portant tout entier sur le bras , on voit que le sujet reste comme soudé au mur et
vous verrez qu'il vous sera impossible de vous en tirer sans plier le bras et sans vous lancer ensuite en quelque sorte loin
ne le fait-elle pas? Simplement parce que, au bout d'un instant, son bras est contracture et hors d'état de semou-voir. Vou
avez facilement la preuve en la retirant vous-même ; vous trouvez son bras contracture et il vous faut peser vivement dessus
ille, il est facile à reproduire et qu'il suffit de tirer vivement le bras de presque toutes les hystériques pour le mettre
ait encore pis, je le sentais couché avec moi, m'entrelaçant dans ses bras , me serrant sur son cœur en me disant de m'endorm
urais voulu pouvoir me soulever, mais je ne pouvais pas bouger ni mes bras ni ma tête. Cela durait à peu près 4 à o minutes.
'approcher de moi, il se couche à mon côté, il m'entrelaçait dans ses bras , m'embrassait, me chatouillait et me touchait. ,
l'extension. Par ce procédé, on fait disparaître la contracture du bras gauche, et on réveille la malade : elle est toute
a malade : elle est toute surprise de se voir avec une contracture du bras droit. Cette expérience a été renouvelée bien des
it. Cette expérience a été renouvelée bien des fois et on a laissé le bras contracture et dans la flexion et dans l'extensio
e personne saine est obligée de faire un effort amenant la flexion du bras . Or, l'hystérique ayant cette contracture dans l'
léthargie; l'hyperexcitabilité musculaire y est présente et on met le bras droit en contracture. — A gauche, les paupières s
en contracture. — A gauche, les paupières sont demeurées ouvertes; le bras correspondant est élevé et garde cette position :
quantités. » g) L'expérimentateur abaisse ses paupières , remet ses bras dans l'extension , puis ouvre les yeux, prend le
he (côté sensible à l'état de veille). 29 août.— Quand on touche le bras droit de B..., éveillée, avec le diapason vibrant
B... par le regard ; puis, il frictionne les muscles extenseurs ; les bras ne Planche XIX. LÉTHARGIE SOMNIATION : HYPE
r la compression ovarienne droite. — Dans une autre expérience, les bras étant contractures, par la même manœuvre, nous ré
(Pl. XXII) : elle est prise de catalepsie. Le corps est immobile; les bras demi fléchis et elle garderait longtemps cette po
u léthargie) ; on écarte les paupières, elle est en catalepsie et les bras élevés, gardent cette position. (Pl. XXIV). Nou
tudions ensuite les phénomènes de suggestion. On place le corps et le bras dans l'attitude d'une personne qui montre un obje
étincelles, ni boule rouge). S... sent que son cou se raidit, que ses bras tournent et assure qu'elle se voit tomber. C'est
u. 2° Période des contorsions. — Au bout d'un temps très court, les bras se mettent en croix, les membres inférieurs sont
ils disparaissent... Ces poissons... (Soubresauts, frémissements des bras , battements des paupières.) Tiens, allons-nous en
n'ai pas à juger mes parents... » Suzanne soupire, se plaint, met son bras sur son front et demeure immobile. — Au bout de q
éférés.) S... a de temps en temps des secousses dans les épaules, les bras , la tête, aussi parle-t-elle d'une façon entrecou
ile de produire des contractures variées. Dans la Planche XXXI, les bras sont contractures, l'un en anse, l'autre en flexi
il n'y a pas d'hyperex-citabilité neuro-musculaire. En revanche, les- bras , le corps, prennent et conservent l'attitude qu'o
9 (1876) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie et l'hystérie : Compte rendu des observations recueillies à la Salpêtrière de 1872 à 1875
ts de 5 millimètres que ceux de la main droite. Les avant-bras, les bras , les deux moitiés du tronc, les seins, ont les
ns la résolution la plus complète. Le chatouillement, le pincement ( bras , tronc, jambes), ne pro- duisent aucun mouvemen
xaminer les yeux à l'ophthalmoscope, L... agite la tête et remue le bras gauche. La face est pâle, terreuse, non sudoral
a eu deux gar- de-robes. Tout à l'heure, la malade a maintenu le bras gauche élevé au-dessus du lit; ce membre, en gé
avant l'accès, elle éprouve une sensation d'engourdissement dans le bras gauche, prédominant dans le poignet; cette sens
auche, prédominant dans le poignet; cette sensation fait monter son bras « en l'air. » Puis, la tête se tourne à droite.
tout le matin, au moment du réveil. Avant l'accès, Br... a dans les bras , les jambes, le tronc, des secousses subites, r
tre : on eût dit qu'elle était morte. B... ne souffrait que dans le bras gauche. Elle n'avait point de battements de coe
é, jusqu'à 3 heures, la sensation d'eau glacée qui passait dans son bras gauche, depuis la main jusqu'à l'épaule. Elle a
des- sous du genou et ne se montre que très-légère sur les avant- bras . La rougeur des bras jusqu'aux coudes, du tronc,
et ne se montre que très-légère sur les avant- bras. La rougeur des bras jusqu'aux coudes, du tronc, des hanches, a été
er accès suivi d'un léger vertige. - Aura : spasme de l'index et du bras gau- che. - Nitrite d'amyle, diminution du nomb
ite d'amyle. 80 après des excès sexuels outrés, il eut un spasme du bras gauche qui commença par la main et en quelques
ortes inspirations. Le premier essai échoua, parce que le spasme du bras gau- che mit le malade dans un état nerveux qui
lre sont senties à 4 cent. à droite, et à 9 cent. à gauche ; sur le bras droit à S cent.; sur le gauche à 1 i. - La sens
son ventre se ballonne, son coeur bat de plus en plus fort, et le bras gauche devient lourd. C'est sur cet ensemble de
oh ! là là ! suivis de cris pharyngiens étouffés, de mouvements des bras , et d'un léger soulèvement du ventre. La tète s
tion est sus- pendue, succèdent les convulsions cloniques. c) Les bras et les jambes se tortillent; la malade se plaint
erveuses qui se réduisent-à quelques mouve- ments de la tête et des bras , à des spasmes pharyngiens et à des borborygmes
mbre, - Attaque. Nitrite d'amyle. La face* les oreilles, le cou les bras et un peu les avant-bras,, i- ue et un peu le v
vert d'une sueur froide. On essaya, mais en vain, delà saigner aux bras et aux pieds et ce ne fut qu'au bout de six heure
L... était paralysée et contracturée du côté droit. Ma jambe et mon bras , dit-elle, étaient tout retournés. . La parole
griève- ment blessée. . Soumise à divers traitements (saignée du bras , de la jugu- laire, etc.), elle n'en a retiré a
revient, mais incomplètement. L... crie qu'on lui tire la jambe, le bras ou la tête, qu'elle a des animaux dans les yeux
douleurs dans le côté droit du ventre et des fourmillements dans le bras et la jambe du côté droit. Elle dit être souven
et la jambe du côté droit. Elle dit être souvent réveillée par son bras droit qui saute. L'aphonie persiste. 15 févri
squ'à la hauteur de la bouche. Parfois, elle cherche à se mordre le bras ou la jambe et,en pareille circonstance, c'est
de secousses cloniques. La coloration de la face est normale. Les bras sont fixés le long du thorax, les avant-bras éten
(Forme hémiplégique) . Le membre supérieur est dans l'extension, le bras fixé le long du tronc. l'avant-bras allongé et
visage est ensuite remplacée par une congestion très-accu- sée. Le bras gauche se contracture dans l'extension et s'élève
es cris, voit des voleurs, essaie de se déchirer la . figure, les bras , les jambes, où elle a des « fourmiches, » se pla
la main, fermée, touchant l'épaule. La seconde attaque a .rendu au bras gauche la liberté de ses mouvements. Ce soir,
LEPSIE. 127 exécute de temps en temps un mouvement d'abduction du bras avec extension et pronation forcées de l'avant-br
t dans les membres ; elle dit ne plus savoir ce qu'est devenu son bras gauche, se lamente, prétendant qu'on le lui a enl
supérieur gauche, et l'usage de ce membre reparait... Soir. - Le bras et la jambe gauches sont libres. La sensi- bili
a laisse échapper dès que les paupières sont fermées. La main et le bras sont le siège d'un tremblement qui augmente dan
- Hier, de 3 à 4 heures, L... a eu cinq attaques dans lesquelles le bras gauche s'est encore porté derrière le dos. Le m
ments de la tête et à la face, où elles produisent des grimaces. Le bras gauche, qui se détache difficilement du lit, es
7 mars, - Hier, de ü à 9 heures, série d'attaques qui ont laissé le bras gauche fléchi et placé dans le dos. 9 mars. Soi
la cuisse droite est placée entre la jambe et la cuisse gauches. Le bras gauche est étendu, le droit fléchi; les mains s
que d'habitude. L... pleure et se plaint de douleurs vives dans les bras , les jambes et la tète. A 9 heures 1/2, nouvell
très-courte, à la suite de laquelle les jambes se sont étendues. Le bras gauche est dans la flexion exagérée, la main re
e, la main reposant sur l'épaule. 1 1 mars. Une attaque a laissé le bras gauche appuyé sur la colonne vertébrale. La mal
ntôt sortait démesurément de la bouche. Actuellement (6 heuresl, le bras est retourné dans le dos, la jambe gauche est n
tes : . . Membre supérieur droit. L'avant-bras est fléchi, sur le bras ; les deux derniers doigts sont fléchis; l'index
emi-fléchi se porte en arrière et la main frappe le dos; ou bien le bras entoure le jarret de la jambe gauche qui est pe
? 0-lPlLEPSIL. transpercer la langue ou un large pli de la peau du bras , du ventre ou des jambes (1). La description
une grosse épingle, un pli fait à la peau des mains ou de l'a- vant bras ; je ne parvenais à percer ce pli qu'avec un effo
et témoignant une grande rage de ce qu'il avait dit, se mordait au bras et se contournait horrible- ment... » A la Sa
emain de son entrée, elle s'aperçut, qu'elle avait une paralysie du bras et de la jambe gauches qui étaient « comme unes
t moyennement dilatées. L'insensibilité est générale. Sou- levé, le bras droit - qui n'est ni contracturé, ni paralysé,
e côté et, bien que le malade ac- cuse encore quelque faiblesse, le bras et la jambe ont récu- péré, au moins en partie,
la jambe ont récu- péré, au moins en partie, leurs fonctions. Le bras gauche est absolument inerte et la jambe corres-
ste dans les membres du côté gauche. L'avant-bras est fléchi sur le bras , le poignet sur l'avant-bras, et les doigts sur
en varus équin très-accusé. On y observe les mêmes phénomènes qu'au bras lorsqu'on veut le fléchir. 13 juillet. Ce matin
é trois jours, on a noté une paralysie ab- solue avec flaccidité du bras et de la jambe du côté droit. De temps en temps
STi : RO-EPILN.PSI1;. membre supérieur droit est devenu rigide ; le bras est allongé le long du thorax, l'avant-bras lég
le ronflait. Actuellement, elle est capable de mouvoir un peu son bras droit; mais, malgré ses efforts, elle est impuiss
ent mouillés. Elle n'a pas vomi aujourd'hui. Elle peut mouvoir le bras droit et montre que, à la rigueur, elle toucherai
tobre. La malade urine spontanément. Elle meut tant bien que mal le bras droit. M. Charcot lui fait faire l'exercice de
con- tinuent. -Persistance de la trémulation choréiforme dans le bras droit, ou mieux dans l'avant-bras, car les mouvem
ége de douleurs qui vont de l'épaule au coude. - La malade remue le bras droit ; dans les mouvements, on note encore l'a
se douter du mouvement qui se produit ; mais, dès qu'on soulève le bras et que l'articulation de l'épaule entre en jeu,
caractérisée surtout par des convulsions cloniques : la jambe et le bras du côté droit exécutent des mouvements violents
sont daus la même situation qu'avant l'attaque (contracture). Le bras droit est rigide, accolé au tronc ; Lavant-bras l
s l'ex- tension. 21 mars. Il n'y a pas eu de nouvelle attaque. Le bras et la jambe du côté droit sont redevenus libres
he, la ma- lade fait signe qu'elle ne peut avaler. Par instants, le bras droit se contracture. Les urines, aujourd'hui,
ment abondantes. L'épaule droite est douloureuse. Les mouvements du bras correspon- dant sont tremblants. 18 mai. Le t
voit cesser la contracture de la jambe gauche et diminuer celle du bras gauche. Alors, la bouche se laisse entrouvrir,
la main gauche, la malade assure avoir dans l'avant-bras et dans le bras une sensation qu'elle com- pare à une gouttelet
"3 cousses. Durant l'attaque, qui a duré trente minutes, l'avant- bras droit, fléchi sur le bras, est allé s'appliquer d
aque, qui a duré trente minutes, l'avant- bras droit, fléchi sur le bras , est allé s'appliquer dans le dos et il est res
lus parler et les quatremembressontcontracturés. Comme toujours, le bras gauche est dans la demi flexion et la jambe gau
du côté droit, ils ont l'attitude suivante : Membre supérieur. Le bras est accolé au tronc, l'avant-bras fléchi à angl
bras est accolé au tronc, l'avant-bras fléchi à angle droit sur le bras , la main modérément fléchie, les doigts dans la
t sur la moitié droite du tronc ; mais, au cou, à la face et sur le bras droit, la sensibilité n'est pas tout-à-fait abo
s semblables sur le trajet du plexus brachial (région claviculaire, bras , main). - Ces dou- leurs sont rappelées ou exas
La rigidité est toujours aussi intense aux membres inférieurs et au bras gauche. L'insensibilité est aussi absolue, et l
'épaule ne con- serve qu'un peu de roideur. L'élévation complète du bras n'est pas encore possible. Les douleurs lancina
bras n'est pas encore possible. Les douleurs lancinantes dans les bras et le membre inférieur droits la font toujours so
de cette sensation, elle s'est débattue de la tète, du tronc et du bras droit redevenu à peu près libre depuis le ma- t
s gauche, qui était for- tement fléchi, se met à angle droit sur le bras , puis qu'il s'al- longe brusquement et à l'inst
ements, d'ailleurs, sont bien plus libres. Tous les mouvements du bras gauche s'exécutent aisément, et la malade serre
e faibles; quelquefois, les genoux fléchissent. Elle se sert de ses bras . Hier soir, elle dé- clare avoir éprouvé des fo
10 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
tous les doigts de la main droite qui montent dans l'avant-bras, le bras , puis le côté droit de la face, la lèvre supéri
lle, il s'aperçut avec stupéfaction qu'il ne pouvait plus lever son bras droit. Il ressentit en même temps, dans ce même c
ins forte que du côté opposé. Il pouvail, en effet, lever encore le bras correspondant. Mais trois heures après le révei
ce même côté. Seules, les épaules étaient paralysées; les muscles des bras , des avant-bras et des mains étaient complèteme
celte attitude; il pouvait à peine esquisser un léger écartement du bras gauche. C'est vous dire qu'il ne pouvait aucune-
aire, était très. limitée. De même, les mouve- ments qui portent le bras en avant ou en arrière étaient à peine ébauchés.
totalité du muscle - produit l'élévation et l'abduction directe du bras , qui va s'écartant du tronc jusqu'à atteindre la
nt du tronc jusqu'à atteindre la situation horizontale. Pour que le bras puisse continuer de s'élever jusqu'à la verti-
un mot. Il n'en est plus de même, lorsque je le prie d'écarter les bras du tronc. L'abduction est certainement très lim
u tronc. L'abduction est certainement très limitée, surtout dans le bras droit, mais elle est un peu plus étendue qu'au
est un peu plus étendue qu'au début. Si je lui demande d'élever les bras , vous constatez qu'il ne peut y arriver; de même,
s musculaire, et ne peut être décelée que lorsque le sujet élève le bras , ou bien lorsqu'on provoque un mouvement d'élév
ha- bituellement sur le côté droit, ou bien la tête reposant sur le bras replié comme sur un oreiller. Dans les deux cas
ois à la suite de certaines attitudes (pronation forcée) imprimées au bras et maintenues pendant quelque temps, attitudes
il se l'ait que tous les gens qui dorment, comme notre malade, les bras repliés derrière la tète, ne se paralysent pas
e le bassin élevé, tandis qu'un assistant lui serrait fortement les bras en haut et en arrière. Quand elle sortit du som
e. Quand elle sortit du sommeil'chloroformique, elle avait les deux bras paralysés. 11 est à supposer que, dans cettre t
eux bras paralysés. 11 est à supposer que, dans cettre traction des bras en haut et en arrière, les deux clavicules sont
la guérison est pour ainsi dire complète. Les divers mouvements des bras ont retrouvé une étendue et une énergie à peu prè
ne étendue et une énergie à peu près normales. L'élévation des deux bras jusqu'u la verticale est non seulement possible m
it se tenir assis, il fallait qu'il restât couché ou appuyé sur les bras , les reins ne le soutenant pas (PI. l'et II). V
t pas (PI. l'et II). Vers )'age de 12 à 14 mois, les mouvements des bras s'améliorèrent et devin- rent presque normaux,
rent presque normaux, surtout pour le membre supérieur gauclie, le bras droit devenant raide, difficile il plier, lorsq
ler l'enfant.,Cette raideur disparut elle aussi peu il peu, mais le bras droit resta toujours plus faible, moins gros qu
u, mais le bras droit resta toujours plus faible, moins gros que le bras gauche. 24 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRI
gauche s'il n'est pas soutenu. L'enfant lève très difficilement les bras , même si on l'en sollicite en lui offrant un jo
si on l'en sollicite en lui offrant un jouet, un objet brillant; le bras gauche en particulier est très impotent; il est
ille n'est pas encore ferme ; elle ne parle pas, les'mouvements des bras ne sont pas réguliers et sont toujours raides. L'
un certain degré d'amyotrophie portant, pour l'observation I sur le bras droit et la cuisse gauche, pour l'observation I
ur le bras droit et la cuisse gauche, pour l'observation II, sur le bras gauche. A vrai dire on ne peut affirmer qu'il s
suite et devint sèche. - ,ter septembre ( ! 0° jour de la maladie). Bras , face et jambe gauches très tuméfiés. Taches pu
après la mort. Peau écailleuse sur tout le corps. Pigmentation des bras et des jambes. Plèvres, péritoine, péricarde et
5 heures, et constate avec stupéfaction qu'il ne peut plus lever son bras droit. Il a éprouvé, en même temps, dans la rég
région deltoïdienne gauche ; il pouvait cependant lever encore son bras gauche. Mais trois heures après, les secousses
ès, les secousses fibrillaires s'y sont montrées et la paralysie du bras s'est établie. Ces secousses musculaires ont duré
t duré environ 3 heures. Seules les épaules étaient paralysées. Les bras , les avant-bras et les mains étaient complèteme
constate ni atrophie apparente ni secousses fibrillaires. Les deux bras sont pen- dants sur les côtés du thorax, dont i
Une légère abduction est esquissée du côté gauche. L'élévation des bras est tout à fait impossible, même à l'état d'éba
tout à fait impossible, même à l'état d'ébauche. L'acte de porter les bras en avant ou en arrière est extrêmement limité.
il les en sortir. Lorsqu'on dit à cet homme d'essayer de lever ses bras , on ne sent pas sous la main la contraction des m
ire et coudre. De même les muscles des mains, des avant-bras et des bras sont respectés. Leur action n'est gênée, dans u
ALYSIE DU DELTOIDE (Attitude du malade dans l'extension maximum des bras ). UN CAS DE PARALYSIE BILATÉRALE DU MUSCLE DELT
nt de vue de la motilité, est appréciable. Les divers mouvements du bras sont très nettement esquissés. L'abduction maxi
Tous les muscles de la jambe gauche sont d'ailleurs atrophiés. Les bras sont potelés ; les attaches du poignet fines, et
pement adipeux, ainsi qu'à la jambe. Le pied est étroit et plat. Le bras et l'avant-bras sont arrondis, le poignet mince
ivement envahi la jambe et la cuisse. Plus lard (novembre 1894), le bras du même côté s'est paralysé à son tour. 01' sa
s ne peuvent marcher qu'en s'appuyant sur des béquil- les ou sur le bras d'un guide. D'autres fois, il leur est possible d
e se limite pas au sein, elle s'étend dans l'aisselle et le long du bras . On ne perçoit au- cune tumeur dans l'orgaue, m
le avoit une grosse glande qui s'étendoit jusqne sous l'aisselle du bras en arrière et une espèce de grosse corde de la la
ie de tout le côté gauche. « Il lui prit un engourdissement dans le bras gauche qui, la nuit, dégé- néra en paralysie qu
puis ce tems,il lui a été impossible de faireaucun mouvement de son bras ni de sa main gauche, qui demeurèrent en tout t
glace et ne pouvoit les changer de place qu'en les prenant avec son bras droit, en poussant sa jambe gauche avec sa droi
et leur raccourcissement hideux, se raniment tout à coup ; déjà son bras a repris la vie, la chaleur et le mou- vement ;
étoit beaucoup plus courte que l'autre; elle se sert aisément de son bras 'gauche,'elle s'habille et se codl'e avec ses m
sont couver- tes d'une peau nouvelle; la miraculée lève au ciel les bras dont l'un avoit été immobile depuis deux ans ».
ons les mouvements de llexion et d'extension de l'avant-bras sur le bras . Dans le mouvement de flexion, le système représe
Je suppose trois cas de flexion à angle droit de l'avant-bras sur le bras , dans chacun desquels le biceps soit dans un ét
. XVI. MOUVEMENTS DE FLEXION ET D'EXTENSION DE LAVANT-BRAS SUR LE BRAS . (Cliché A l.uudr.) L BATTAILLE ET C" ÉDITFUR
alors qu'augmente la vitesse de l'extension de l'avant-bras sur le bras . Les quelques considérations quelque peu techni
nons, comme exemple, la flexion et l'extension de l'avant-bras sur le bras , celui-ci demeurant vertical. C'est un des mo
ion au"lieu d'être au biceps, se trouve il la partie postérieure du bras , au.triceps. Je n'insiste pas sur ces faits qui s
x que nous venons d'observer dans la llexion de l'avant-bras sur le bras se montrent naturellement en bien d'autres circ
nouveau un mouvement très simple, la flexion de l'avant-bras sur le bras . \ Dans le mouvement lent, la main n'étant ch
- vons son avant-bras jusqu'à ce qu'il forme un angle droit avec le bras , nous constatons que le biceps restodans le rel
mêmes mouvements de flexion et d'extension de l'avant-bras sur. le bras , exécutés très rapidement et sans s'arrêter un
lent. MOUVEMENTS DE FLEXION ET D'EXTENSION DE L'AVANT-BRAS SUR LE BRAS . (Suite). (Cli ? 1. 1.II1l1lr.) L BATTAILLE ET
es parties d'un môme muscle (le deltoïde) lors de l'élévation d'un' bras en dehors. Le fait est particulièrement saisiss
sant et mérite que'nous nous' arrêtions un instant. L'élévation des bras en dehors et sous la dépendance du muscle deltoid
élévateurs, son tiers postérieur, au contraire,' est aliaisseur du bras ; ce dernier tiers est donc antagoniste de l'autr
otographies instantanées, qui repré- sentent un homme abaissant un. bras pendant que l'autre s'élève et saisi juste au m
uvement. Nous venons de constater, dans le mouvement rapide, sur le bras qui monte, un relâchement du deltoïde bien avan
t. Exemples : dans la flexion ou l'extension de l'avant-bras sur le bras , celui-ci restant vertical, l'effort musculaire
t toujours aux extenseurs spinaux et fessiers ; dans l'élévation du bras en dehors ou dans son abaissement, l'action mus
ère d'une douleur en éclair remontant le long de la face interne du bras . A partir de juin 1891, le malade, incapable d'
la main sur une largeur correspondante, et, sur l'avant-bras et le bras , à deux bandes d'un centimètre et demi de large
ence, depuis la première phalange du médius jus- qu'à mi-hauleur du bras , de bandes hyperesthésiques antérieures et pos-
re placé sur son lit et qui allait tomber, lendit brusque- ment les bras en avant : la cicatrice cutanée se rompit, et- su
ité. Tous les nerfs du côté droit sont douloureux à la pression. Le bras droit est un peu plus faible que le gauche. Les
is plus d'un an d'une érup- tion récidivante des mains et des avant bras . Anesthésie de toutes les variétés do la sensib
nt de la paume des mains. Anesthésie il la douleur des mains, des bras , de la poitrine et des jambes. (Fig. 44) , XI.
5 ans est affecte depuis 5 ans d'un eczéma chronique des mains, des bras et des pieds. Anesthésie il la douleur du tronc
pouce-; le 17 janvier, après une crise douloureuse intense dans le bras et clans la main, apparition de quelques nouvel
che dans ses 2/3 supérieurs environ ; 4° enfin, elle descend sur le bras gauche jusqu'au niveau du pouce, en se limitant
Distribution analomique parallèle à certain tronc nerveux, comme au bras , par exemple ; . -, 3° Caractère névralgique de
hypoglosse gau- che, qui s'est trouvé paralysé en même temps que le bras et la jambe du côté droit. Ce serait donc encor
(Loiret), chasseur d'Afrique. Il reçut en 1858 un coup de sabre au bras droit et un coup de pied de cheval au genou gauch
son secours, on le relève et c'est alors qu'il s'aper- çoit que son bras et sa jambe du côté droit sont paralysés. La face
he = et la droite = 1 (1). Motilité des membres. Du côté gauche, le bras est parfaitement normal, la jambe a un peu perd
contracture en flexion. L'avant-bras est fléchi à angle droit sur le bras , la jambe à angle aigu sur la cuisse, le pied v
tracture de la jambe sur la cuisse droite et de l'avant-bras sur le bras . Encéphale. - La calotte crânienne est légèremo
ux humides et fatigués, ces lèvres pâles, ces mains blanches et ces bras amaigris, cette sensation de brisement du corps
alament sa tète sur un oreiller, et qu'elle abandonne mollement son bras au docteur, n'a pas l'air bien dangereusement a
pieds, des chaussures également ornées de pierres précieuses. Le bras et la main gauches sont cachés par ce manteau. D'
issée tient les jambes, l'autre, de profil, maintient d'une main le bras gauche du convive, et de l'autre soutient son épa
se entr'ouverte au col. On ne voit de lui que ses épaules, ses deux bras ligottés au poignet, et à sa tête. Cette tète,
ssion. On s'ex- plique mal cependant la nécessité de faire lier les bras et les jambes d'un homme pour le mettre il la p
rticulièrement intéres- sant par ses attitudes et son faciès, a les bras et les jambes emprison- nés dans des menottes e
cas. Le patient, assis sur un siège spécial, le haut du corps elles bras main- tenus par des cordes ou des liens, présen
le ventre, retenu par des liens ou par les draps bien sanglés, les bras libres ou non, suivant qu'il était plus ou moins
auteuil opératoire, un aide les ligotte solidement, maintient leurs bras , soutient leur tête, et au besoin leur bande les
a gauche, un personnage âgé renverse la tète en arrière et lève les bras en l'air, les mains croisées. Le chirurgien, un
l y est solidement maintenu par une écharpe bariolée fixée aux deux bras du siège et passant au devant de la poitrine. I
siège et passant au devant de la poitrine. Impossible de remuer les bras qui, eux aussi, sont emprisonnés sous l'écharpe
ts volontaires cessent même avant la perte de connaissance. Ici les bras levés, les mains croisées impliquent un geste e
genou droit. De la main droite il tient son bonnet appliqué sur le bras du fauteuil. Un aide, à sa gauche, s'efforce de
mmaillottée et bien fixée il son fauteuil de bois. Son corps et ses bras sont emprisonnés sous une large bande de fourrure
- Ce peu charitable personnage a le pied gauche sur son chapeau, le bras gauche en écharpe, et, un énorme coute- las sou
hapeau, le bras gauche en écharpe, et, un énorme coute- las sous le bras droit. Un hibou est perché sur le dossier de son
u. Pour le moment, il ne peut en faire usage, ayant le corps et les bras immobilisés par une large courroie de cuir qui
rent les uns contre les autres, c'est la « main d'accoucheur » ; le bras restant en extension ou en flexion, la main peu
semblant à des fourmis lui couraient partout dans le corps, dans les bras , dans les jambes, dans la tête. ' - 1 ils, ,
rement imaginaires. Tout à coup, à 5 heures du matin, elle sent ses bras devenir raides et se con- tracturer (pli. XLIV
s devenir raides et se con- tracturer (pli. XLIV et XLY). ? . Les bras s'éloignent du corps. L'avant-bras est en demi-fl
es bras s'éloignent du corps. L'avant-bras est en demi-flexion sur le bras , les coudes écartés du tronc. Le poignet reposa
'empêcher les contractures de se produire. Le moindre frôlement des bras et des mains produisait de vives douleurs (hype
ième mois apparaissent les crises tétaniformes avec participation des bras et des jambes comme précédemment. Le tronc et l
DE LA SALPÊTRIÈRE tion tibio-tarsicnne, sur la partie supérieure du bras , et inférieure de l'avant- bras, sur toute la m
sicnne, sur la partie supérieure du bras, et inférieure de l'avant- bras , sur toute la moitié antéro-latérale gauche de l'
domen, du thorax, du cou et de la face. Perte du sens musculaire du bras gauche. Côté droit. Simple diminution de la sen
x, il porte sur l'épaule gauche une grosse viole, et tient sous son bras droit un panier chargé de bouteilles, déboîtes,
tète ». Sur le dos du fauteuil est perché un oiseau fantastique, au bras est attaché un vieux soulier qui sert, faute de
lou- LES OPÉRATIONS SUR LA TÈTE 297 tes ses forces, et levant les bras au ciel : « Il faut qu'on lui retire la « pierre
mme semble très effrayé de ce spec- tacle et se sauve en levant les bras au ciel. -Peut-être Bruegel a-t-il voulu faire
la plupart des figurations de ce genre, la malade est debout ; ses bras ne sont pas attachés, sa tète est sim- plement
r l'épaule (3). Le Médecin de village qui est à Munich opère sur le bras (4). Un Arracheur de dents existe au musée Kums,
ur la tête, les mains croisées sous son tablier, un panier passé au bras gauche. Elle est pleine de compassion pour le m
ce dernier. L'opéré est assis sur un grossier fauteuil de bois, les bras attachés par de bonnes cordes et c'est en vain
¡m Le patient était assis sur un siège spécial (1), le corps et les bras atta- chés avec des cordes, la tète maintenue p
fluxion de poitrine et quelques accidents culanés syphilitiques au bras gauche. Maladie actuelle. Le 26 octobre 1892 la
e absolue de tous les muscles de la moitié inférieure du corps. Les bras sont libres. L'intelligence est intacte. Il n'e
de plus en plus vives, en même temps les mouvements surtout ceux du bras gauche deviennent difficiles. Au bureau central,
Pitié au bout de quelques jours il ne peut depuis se servir de son bras gauche, ses jambes com- mencent a perdre leurs
une saillie nettement accentuée ; le deltoïde est bien conservé, le bras s'élève en abduction très faci- lement à angle
stance est très nettement fibreuse et il est impossible d'élever le bras en abduction à plus de 30° ; le pectoral dont l
ieurs, et le malade ne peut résister lorsqu'on cherche à écarter le bras du thorax. Des deux côtés le biceps se contract
acile- ment à l'un et à l'autre côté de fléchir l'avant-bras sur le bras malgré la résistance du malade. Les deux avant-
pination ne peut se faire qu'après avoir fléchi l'avant-bras sur le bras et en portant forte- ment le coude en dedans, l
une corde sail- lante, mais lorsque l'avant-bras est étendu sur le bras le mouvement de supi- nation est impossible. A
ntent le torse et la tête for- tement rejetés en arrière (2) et les bras étendus (3), on peut dire que la description pr
lement, localisés d'abord à la main droite, ont envahi peu à peu le bras , la jambe du même côté, puis le côté opposé du co
e ici, acquiert presque l'importance d'un signe pathognomonique. Au bras , le biceps malgré la pronation de l'avant-bras es
t préalablement mis en supination. - 1 A la partie postérieure du bras , le triceps est aussi rigide que le bicèps, ' e
11 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
e : il n'a pas eu la syphilis et n'est pas alcoolique. ' Il a eu le bras gauche fracturé à l'âge de huit ans (il y a trent
et les fonctions de ce membre n'ont jamais été égales il celles du bras droit, depuis cet accident. Début. L'affection
alcoolisme ni de syphilis. Début. - Souffre depuis longtemps de son bras droit. Il y a cinq ans déjà ressentait des doul
l y a cinq mois. N'a jamais rien ressenti de semblable dans l'autre bras . Etat actuel, déformation. - La main droite vue
tement connaissance. Il se rappelle bien qu'il ne pouvait remuer ni bras ni jambes, que ses membres, soulevés par le méd
e dos appuyé. Les avant-bras se tiennent légèrement fléchis sur les bras . L'extension complète, soit spontanée, soit pro
ements provoquent une certaine douleur dans la partie antérieure du bras . D... peut à peine tenir son verre et le porter
atigue vite. Il regrette de ne pouvoir, en marchant, s'aider de ses bras , trop faibles pour se fixer à un appui. La jamb
quième et sixième vertèbres cervicales (sauf un peu de faiblesse du bras gauche). Une guérison complète est relatée parKùs
au niveau du milieu de la plante du pied 11 pouces ? - Les avant- bras et les jambes ne montrent aucune augmentation de
en tout cas il semble exister un certain désaccord entre eux et les bras dont les dimensions laissent un peu à désirer. L'
e des mains. Depuis quatre ans, disparition des douleurs dans les bras et les jambes. Dès le début de la maladie, faib
) et très larges (15 à 25 mm). ' La musculature de l'épaule et du bras est en bon état, au contraire les flé- chisseur
s nous apercevons pour la première fois que lorsque l'on écarte les bras d'Antonia E... dans Imposition horizontale, elle
lalui faire garder plus de quinze minutes; au bout de ce temps, le bras tombe peu il peu, sans secousse, ni tremblement
le phénomène un rôle important, car si on interpelle la malade, les bras étant ainsi placés, ceux-ci retombent pendant q
ges fatigants, et ne conserve pas les altitudes qu'on imprime à ses bras . croyant se faire mourir, boire dans les seaux
asse les mains. " Le 23, on provoque les attitudes horizontales des bras ; la malade les modifie rapidement quand on lui
Le 8 octobre, on la trouve à plat ventre par terre, toute raide, les bras et les jambes étendus, une main étendue, l'autr
leptique et sur un simulateur on place un tambour à réaction sur le bras étendu et un pneumographe sur la poitrine, voic
tambour à réaction placé sur la face dorsale de la main droite, le bras étendu Iorizoutalement. - Chaque ligne icpi-ésent
75 procédés d'investigation, voici ce que nous avons constaté'. Les bras de la malade sont étendus horizontalement, un t
est figurée à l'état de repos dans la figure27, nous voyons, si les bras sont étendus horizontalement, le tracé 1. Les t
spiration et d'expiration. Si l'on fait tenir horizon- talement les bras de celte malade pendant, plusieurs minutes, ces
l"le mjor..IJ'¡1C placé sur les cWensems, : 1 ? 1'y,ml-liraulroil, le bras 'étendu horizontalement pendant 1 : minutés.' - C
écutives.) ... ? 1 ' " z Fie. 28. - Respiration du même sujet les bras étendus horizontalement. (Ce tracé reproduit 27 s
. Fig. 31. - Exemple d'un lire isolé chez la malade .\nl. E..., les bras étemlus hOlizonlalcll1ont. (fraie réduit de moi
. n. 6 82 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPËTRIËUE. soulever les bras du malade afin que la traction qui s'exerce sur l
'est ainsi suspendu, il lui commande de temps en temps de lever les bras , doucement et verticalement, de manière à rendr
e malade doit quitter son vête- ment de dessus de façon à avoir les bras libres ; le cou doit être nu, ou du moins ne pa
SALI·I : 'l'111E1.>;. ceau claviculaire. Lorsque le sujet a les bras étendus horizontale- menton peut constater enco
plus tenir ni diriger l'aiguille, et que par suite de leur poids les bras se fatiguaient rapidement; la marche serait dev
ion vigoureuse, musculature molle. On est frappé de la maigreur des bras et des jambes que rend d'autant plus saillante
n avant la supérieure du 5 millimètres. L'ACROMÉGALIE. 99 Les bras étant pendants, l'extrémité des doigts arrive jus
out le segment supérieur de la moitié ' gauche du corpsy compris le bras ; le segment supérieur de la moitié droite , est
, elle se plaint de ressentir des douleurs dans l'épaule et dans le bras du côté droit et un peu aussi dans l'avant-bras
ures se produisent spontanément dans le membre supérieur droit : le bras est en adduction contre le tronc, l'avant-bras fl
adduction contre le tronc, l'avant-bras fléchi à angle droit sur le bras , la main fléchie sur l'avant-bras et les doigts f
a jamais été complètement indemne, car jusqu'au mois de juillet, le bras gauche a été animé de mouvements involon- taire
e pousse un cri et tombe à lerre. Tous les membres sont raidis, les bras en croix, les jambes légèrement écartées, le pouc
rouge, les dents claquent, la langue est mordue quelque- fois, les bras sont agités de petits mouvements de peu d'étendue
jusqu'au cou par des draps bien tendus, ou passant au dehors leurs bras nus. L'un boit une tasse de tisane, l'autre tie
e patient d'ailleurs paraît peu inquiet; - : . il lui abandonne son bras droit pendant que, de la main gauche, il tient
rgie conseillent, en semblable occurence, de placer dans la main du bras qui doit être saigné un objet quelconque, le pl
e d'amour, du musée de la Haye, une jeune femme assise présente son bras au médecin qui lui tâte le pouls et paraît fort
on visage un linge imprégné de fortes senteurs. L'autre soutient le bras sur lequel un tout petit bandage, appliqué au niv
supérieurs, le tremblement est peu accusé lorsqu'on fait tendre le bras du malade et qu'on lui fait écarter les doigts, c
ertains points qu'en d'autres. C'est ainsi qu'a la partie externe des bras , au niveau des pectoraux, sur la partie antérie
eau est absolument sèche. Les masses musculaires des cuisses et des bras paraissent diminuées de volume, même à l'état d
emblotante. Les mains sont prises d'un léger tremblement lorsque le bras est étendu. La force musculaire paraît conservé
t écartés du tronc, les avant-bras étant légèrement fléchis sur les bras ; les mains fléchies sur les avant-bras reposen
t par l'atti- tude des membres. Les avant-bras sont étendus sur les bras , les jambes sur les cuisses, de telle sorte que
« d'énervement » dans le poignet gauche. Peu à peu,- lentement, le bras devint maladroit, sujet à des raideurs; elle avai
ement produisait une certaine amélioration. Après chaque séance, le bras et la jambe malades étaient moins engourdis, pl
jours après sa sortie elle était, dit-elle, aussi impotente de son bras et de sa jambe gauches que lors de son entrée à l
onctionnel. Leurs mouvements sont rapides cl'précis, tandis que les bras et la jambe du côté gauche raidis et comme soud
servation que ce qui a trait au spasme de la face et du cou. , Le bras droit est anesthésique; la jambe droite l'est éga
environ, il s'est aperçu que le côté gauche devenait faible, que le bras et la jambe n'avaient pas leur vigueur ordinaire.
rouver une cause quelconque à ce qui lui est arrivé, aujourd'hui le bras et la jambe gauche sont complètement paralysés, L
acture est si accentuée chez cette malade qu'elle ne peut tenir son bras horizontalement pendant quelques minutes sans q
qu'il se contracte immédiatement. Si je romps celte contracture du bras par une friction et une malaxation des mus- cle
itions. En même temps, la langue se contracture et se dévie vers le bras contracture; les contractures du bras et de la
ntracture et se dévie vers le bras contracture; les contractures du bras et de la langue s'associent donc chez cette mal
A onze ans, contracture des deux membres du côté droit; guérison du bras droit au bout de dix-huit mois. Le membre inférie
que son membre inférieur droit était raide. Peu de temps après, le bras droit se raidit aussi. Le membre supérieur était
e en flexion, les doigts fléchis dans la main, la main sur l'avant- bras , l'avant-bras sur le bras et porté dans la rotati
léchis dans la main, la main sur l'avant- bras, l'avant-bras sur le bras et porté dans la rotation en dedans et l'adduc-
: le pied en extension (fig. 59, CO). Au bout de dix-huit mois, le bras s'est guéri graduellement (en plusieurs semaine
y en a entre les réactions des deux jambes d'une part et celles des bras d'autre' part. Par exemple, l'interruption du c
xemple, l'interruption du courant galvanique donne des secousses au bras avec 3° du galvanomètre gradué en milliweber,
sses, partant de la jambe gauche, se généralisent successivement au bras gauche, au membre inférieur droit, au bras droi
lisent successivement au bras gauche, au membre inférieur droit, au bras droit, à la face. En pressant sur la région tum
e ; on emploie derechef l'émétique, on a recours il des saignées du bras et du pied, et à plusieurs autres remèdes qui ado
métique. Il ajoute coup sur coup la saignée de la gorge à celles du bras et du pied. Il met tout en oeuvre pour sa guéri
jusqu'à la chaise qui l'attend à la porte ; deux la prenant sous les bras lui soutiennent tout le corps, et une troisième
se, la jambe et le pied gauche, et incomplète sur la langue, sur le bras et sur le reste de ce côté. Aussi conserva-t-el
e reste de ce côté. Aussi conserva-t-elle quelque mouvement dans le bras gauche qui même se fortifia un peu ; mais elle se
ière qui tenoit à sa jambe gauche et qui étoit passée autour de son bras droit, par le moyen de laquelle tirant en avant
age lui procura quelque soulagement : un peu plus d'action dans son bras paralytique sans cependant aucune sensibilité,
bégayer s'énonce parfaitement avec la liberté la plus entière ; ce bras privé de tout sentiment et de presque tout mouv
Dieu, où l'on con- state l'état suivant : Paralysie incomplète du bras gauche ; par contre le membre in- férieur est t
lades, il y avait comme différence entre le plus grand périmètre du bras malade et celui du bras sain, trois centimètres,
différence entre le plus grand périmètre du bras malade et celui du bras sain, trois centimètres, et chez un autre malad
jours Quelque temps après, apparut le tremblement de la jambe et du bras droits. Ce tremblement succédait aux attaques et
sorte qu'il ne ressentit aucune douleur. Aussitôt la chute, les deux bras se contracturèrent le long du corps, les avant-
contracturèrent le long du corps, les avant-bras en flexion sur les bras , les doigts fléchis, les mains déviées vers leu
e fois entré Li l'hôpital, l'état persista tel qu'après la chute; les bras restèrent contracturés, les jambes flasques. La
archer. Quelques jours plus tard, la guérison de la contracture des bras survint plus brusquement encore. Pendant cette
l t91E ÉTUDE DES TROUBLES TROPHIQUES DAKS L'IIYSTÉ .1 E' Z : le bras droit, et cela dès le début, commencèrent à s'atr
commencèrent à s'atrophier, la main droite se mettant en griffe, le bras droit s'atrophiant dans sa totalité. L'atrophie
débuta par la main, prenant d'emblée tous les muscles, elle gagna le bras ; le malade a nettement remarqué qu'elle était p
a le bras; le malade a nettement remarqué qu'elle était précédée au bras comme à là main de. secousses fibrillaires...'.
'. il Au bout de sept ou huit mois, tout était fini ; la main et le bras avaient re- pris leurs fonctions, l'atrophie av
ns, l'atrophie avait disparu.. ' ' , , C'estalors que la main et le bras gauche commencèrent à être à leur, tour envahis
ne du thénar. Ces mouvements fibrillaires se retrouvent sur tout le bras gauche. Le malade qui les a parfai- tement cons
60 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. L'atrophie intéresse le bras gauche dans sa totalité ; elle ne dépasse pas l
seize ans, C... avait gardé une certaine difficulté à se servir du bras droit, surtout pen- dant les froids, lorsque, a
ue, au mois de mars 1889, la malade s'est éveillée un matin avec le bras droit contracturé, les cinq doigts fléchis dans l
s la main droite d'une aura débutant par l'extrémité des doigts; le bras se soulève horizontalement; puis surviennent de
l (^8 octobre 1889). - C... marche avec une béquille placée sous le bras gauche, la jambe gauche paraissant trop courte po
la paume de la main; le tliénartrès atrophié (fig. 76). L'avanl- bras et le bras ne participent pas à l'atrophie. Pas d
de la main; le tliénartrès atrophié (fig. 76). L'avanl- bras et le bras ne participent pas à l'atrophie. Pas de (rouble
ontracturé des quatre membres et l'atrophie porte uniquement sur le bras droit et le côté droit du tronc, y compris la fes
forts du côté droit : l'hémianeslhésie du malade siège à droite; le bras droit a été atteint, à un moment donné, de chor
endante de l'atrophie partant des muscles de la main pour gagner le bras et l'avant-bras droit. Puis elles ont disparu, la
on plaçait les pôles de la pile à courants interrompus l'un sur le bras , l'autre sur la face externe de l'avant-bras, a
ns la nuit du 22 au 23, sommeil agité, énervement, crampes dans les bras , épistaxis. 270 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S.1
tent les mêmes. 28jwùi. Dans la nuit, tremblement dû la jambe et du bras droits : durée : 30 secondes, suivi de crampes
térisée, il a été pris d'un tremblement très rapide et très fort du bras et de la jambe du côté droit. Ce tremblement a
ésie avec dissociation remonte jusqu'au tiers inférieur de l'avant- bras . Les 8-9-10-11 août.. Mèmeélal, la main reste b
renverse, et brusquement, après des mouvements de circumduction des bras , à grande amplitude, il décrit un arc de cercle
cercle, couché sur le flanc droit, le ventre tourné il droite, les bras et la tête rejetés en arrière. Ces grands mouveme
es dé- placements de la tête, quelques mouvements des jambes et des bras d'ordre banal, il se met à parler à haute voix,
t ou huit heures. L'anesthésie remonte jusqu'à In partie moyenne du bras . Les autres stigmates n'ont suhi aucune modifi-
présenté une série d'accidents de nature hystérique (contracture du bras droit, 276 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALl'ETK
lièrement sur le membre inférieur gauche ; il existe également sur le bras et se montre d'une façon intermittente sur le t
rche ni par la station debout prolongée; il siégeait quelquefois au bras gauche et à la main. Les attaques le ramenaient
la région sternale, le malade ayant gardé l'immobilité absolue, les bras croisés, nous a donné le même résultat négatif.
que sa localisation, sur les parties latérales du tronc et- sur les bras . Au point de vue objectif, c'était un eczéma vulg
par de nombreuses petites vésicules disséminées sans ordre; sur le bras , par des vésicules et de petits placards arrond
roit : abolie il 90° et au- UN CAS DE SYnINGOIYÉLIE. 317 dessous. Bras gauche et droit (jusqu'au moignon de l'épaule) :
12 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
Le sujet a 1 m. 79 de hauteur et pèse 7o kilos. Grande ouverture des bras , 1 m. 79. La face, entièrement glabre, avec que
nnels. Individu de stature médiocre (1 m. 58). Grande ouverture des bras , J m. 71. Poids, 50 k. Crâne d'aspect normal. C
l'urine ne présentent rien de pathologique. Réflexes tendineux des bras exagérés ; réflexes patellaires abolis. Trembleme
ls marchent sans canne en soute- nantie poids du corps à l'aide des bras appuyés sur les cuisses. Dans leur ensemble, l'
uand le malade empoigne un objet. Après l'avoir invité à étendre le bras avec force (comme s'il voulait me frapper), nou
(comme s'il voulait me frapper), nous l'observons quand il étend le bras inconsciemment, pour prendre un objet placé à q
le mouvement mono-articulaire, par exemple qu'il étende vivement le bras dans le coude, qu'il fasse un mouvement d'oppos
de muscles qui se mettent en contraction simultanée : adducteurs du bras , fléchisseurs de l'avant-bras ; allongeurs du m
flaccidité musculaire prononcée : en voulant avec forcé étendre les bras , c'étaient toujours les fléchisseurs qui s'opposa
ls étaient dans l'impossibilité de faire le même acte avec les deux bras . En voulant lever le bras dans la position d'exte
ilité de faire le même acte avec les deux bras. En voulant lever le bras dans la position d'extension, le malade essaie
quitter la position qu'il a involontairement acquise (adduction du bras , flexion de l'avant-bras), mais jamais il ne fait
oit obtenu ; le malade prend une position quelconque : adduction du bras , flexion du coude; extension du membre inférieu
uent par leur irrégularité. Aux mem- bres supérieurs l'adduction du bras avec flexion dans le coude peut se combiner d'une
ysies radiales. Le radial est le nerf de l'extension. Il innerve au bras le triceps bra- chial (le long triceps, les deu
muscle long supinateur qui est un puissant fléchisseur de l'avant- bras sur le bras n'est paralysé que dans les plaies de
supinateur qui est un puissant fléchisseur de l'avant- bras sur le bras n'est paralysé que dans les plaies de la partie m
le bras n'est paralysé que dans les plaies de la partie moyenne du bras ayant intéressé le nerf radial au-dessus de l'éme
es, à des suppléances musculaires. . , - Il peut ainsi employer son bras blessé pour s'habiller, souvent aussi pour teni
orsqu'il s'agit d'une lésion grave du cubital au niveau de l'avant- bras ou du poignet, en aval de l'émergence des filets
dier principalement lorsqu'il s'agit de plaies de l'aisselle ou du bras . Le type le plus fréquent est réalisé par la pa
dans les cas si nombreux de plaie en séton de la partie interne du bras . Lorsque la lésion du nerf médian revêt la form
attitudes de défense, le retrait en flexion de tous les segments du bras qu'adopte volontiers le blessé, sont causes d'ank
nt de ce fait une étude détaillée.. Que ces nerfs soient touchés au bras ou à l'aisselle, les signes sont identiques. Tr
lètes. Lorsqu'un projectile a sectionné ou écrasé les deux nerfs du bras par ' DÉFORMATIONS DE LA MAIN PAR BLESSURES DES
. 2. Conséquences immédiates. - Immédiatement après la blessure, le bras se fléchit à angle droit et resta ainsi pendant
pénible dans le milieu du pli du coude et de la face antérieure du bras . 84 LA1GNEL-LAVASTINN ET PAUL COURBON < 7.
. Excitabilité mécanique. - L'excitabilité mécanique des muscles du bras , de l'avant-bras et de la main ne paraît pas modi
subluxation du coude, qui empêche l'extension complète de l'avant- bras et limite sa supination. 4. Motililé volontaire
ius. Il s'aperçut de sa blessure en constatant le dérohement de son bras en voulant se relever. On voit la cicatrice d
urent pas atteints. 2. Conséquences immédiates. - Immédiatement son bras se mit en exten- sion et la main tomba sur l'av
ant-bras en pronation conserve un certain de- gré de flexion sur le bras , la main tombe sur l'avant-bras avec les quatre d
à terre et c'est lorsqu'il voulut se relever qu'il constata que son bras ne pouvait pas le porter. On constate l'orifi
as le porter. On constate l'orifice d'entrée sur la face externe du bras au niveau de la diaphyse et l'orifice de sortie
areil plâtré, l'avant-bras étant en flexion presque complète sur le bras , avecun poids de deux kilogrammes sus- pendu au
ns que le sujet puisse la modifier sensiblement. Seule l'abduction du bras s'esquisse un peu ; l'avant-bras et la main son
uter à tout le membre tous les mouvements. Toutefois l'abduction du bras ne saurait dépasser l'horizontale; on est arrêt
trophiques de la main. Amaigrissement notable de l'avant-bras et du bras par rapport à l'autre côté. il. Excitabilité mé
ce de l'orifice de sortie se voit, sur la face palmaire de l'avant- bras , en un point symétrique. L'os n'a pas été atteint
t debout dans la tranchée, par un éclat d'obus, qui lui traversa le bras gauche, en dehors, au niveau de la partie moyen
t qu'il n'y avait aucune fracture. 2. Conséquences immédiates. Le bras tomba en extension aussitôt, sans que le blessé
sans que le blessé pût le relever. Il conserva pendant longtemps le bras en'écharpe, et on lui mit une planchette sous l
Attitude actuelle. Elle date du début chute de la main sur l'avant- bras . Les doigts pendent à peine fléchis. - 4. Motil
léchis. - 4. Motilité volontaire actuelle. - Tous les mouvements du bras , de l'avant- bras et du poignet sont possibles.
ité volontaire actuelle. - Tous les mouvements du bras, de l'avant- bras et du poignet sont possibles. Seule l'extension d
ent une douleur, mais comme une courbature à l'intérieur de tout le bras . C'est une sensation qu'il compare à celle que
n par rapport au corps.Au total, lorsqu'on fait étendre au sujet le bras en pronation et qu'on regarde le dos du membre,
des doigts après perforation de l'extrémité inférieure de l'avant- bras ; VIII, paralysie hystérique de la main après frac
ne pûmes découvrir que deux petits sillons sus- pects au milieu du bras , comme si le tricot du malade s'était imprimé s
un éclat d'obus est entré au tiers inférieur de la face interne du bras droit et est sorti sur sa face antérieure à la
En somme, lésion du médian et du cubital à la partie inférieure du bras , accentuée, mais non complète. Ce oui est parti
5 : balle de shrap- nell ayant traversé la région antéro-interne du bras gauche au quart supérieur. Il se présente le 25
s dans les trois premiers doigts, douleurs qui s'exagèrent quand le bras est pendant et sur lesquelles les influences mo
entre autres (fig. F.), où un coup de couteau à la face interne du bras avait sectionné Tarière numérale qui fut liée ; l
auparavant, à la suite d'une blessure par balle du tiers inférieur du bras ayant fracturé l'humérus; le nerf radial fut tr
pas hypotonique ; blessure à peu près identi- que ()/4 inférieur du bras , fracture de l'humérus) ; tous les autres signes
une balle entrée au tiers supérieur de la partie antéro-externe du bras droit , sortie à la même hauteur sur la partie
balle, au Tonkin. Transporté dans un hôpital, cinq heures après, le bras présente des proportions énormes à cause de la di
ieur.Après trois semaines, l'enflure ayant suflisamment diminué, le bras fut placé dans une gouttière. Il ne paraissait
cuir, deux manchons lacés enveloppant l'un Pavant-bras, l'autre le bras et maintenus l'un à l'autre par un lien élastique
ite. Matin et soir, à l'aide de sa'main gauche, il fait faire à son bras droit des mouvements en tous sens. Puis, il s'a
re supérieur droit est très atrophié dans son segment supérieur. Le bras surtout au tiers inférieur présente une diminut
'affirment en relief très saillant. Tous les mouvements de l'avant- bras sur le bras peuvent s'exécuter : mouvements de fl
n relief très saillant. Tous les mouvements de l'avant- bras sur le bras peuvent s'exécuter : mouvements de flexion, d'ext
légèrement par un mouvement global, puis l'avant-bras est fixé sur bras en flexion à 45 degrés et enfin la main glisse
u-pieds ; d'au- tres dégrafent leur équipement et s'en chargent les bras ; beaucoup, mal- habiles à renfermer dans la cu
rs, soutenant de sa main valide les chairs pantelantes de son autre bras arraché et ne réclamant rien autre chose qu'un pe
mbrassent jamais leur femme en public et ne lui don- nent jamais le bras dehors. Naturellement ignorants des raffinement
lité thermique normale. Sens musculaire conservé. L'élévation des bras se fait normalemeut. Pollakyurie; urines troubl
ut légèrement serrer avec les doigts ; mais il ne peut soulever les bras ni les avant-bras au-dessus du lit. Lagophtalmo
en descendant l'escalier. Guérison complète. , Observation IX. Bras ... Désiré-Louis-Joseph, X5e régiment d'infanterie
rois ans après l'infection syphilitique, paralysie transitoire d'un bras et du releveur de paupière des deux côtés. Deux
ninges. CESTAN (obs. I). Syphilis de 1 mois. Paralysie d'abord d'un bras , puis de l'autre. Pas de symptômes du côté des
. Après traitement "iodomercuriel pendant 5 mois, amélioration d'un bras , mais aggravation de l'autre. CI D 238 ' PETR
ration. Réflexes rotuliens conservés. Parésie plus développée en un bras qu'en l'autre. Pas d'autopsie. Le cas de Brauer
s d'un an, on trouve que les symptômes des membres ont commencé aux bras (Wandel) ou ont été les plus développés aux bras
s ont commencé aux bras (Wandel) ou ont été les plus développés aux bras (Strauss). Il est évident que ce fait parle en
x membres supérieurs), Crocq (des symptômes d'abord seulement en un bras ), Cestan (obs. 1) (symptômes exclusivement du c
rvés dans ces cas. Dans le cas de Crocq, les symptômes du côté d'un bras ont montré plus de résistance contre le traitem
traite- ment par le mercure n'a pas amélioré les symptômes d'un des bras . Cela peut bien être expliqué, s'il s'est agi d
ieurs qui dura peu de temps, mais ensuite est venue une parésie des bras , avec des troubles légers de la sensibilité. Ce
ie faciale est guérie, mais il est survenu encore une paralysie des bras . lia succombé à une pneumonie au commencement d
e étant prise entre la sacoche que portait le cheval et le pavé, le bras fut légèrement tiraillé. Le malade ressentit une
de ressentit une douleur assez vive à la main, remontant le long du bras gauche jusqu'à l'épaule ; en même temps, engour
long supinateur paraît aussi fort que du côté sain. L'atrophie du bras est minime ; elle parait porter essentiellement s
a famille. A l'âge de 26 ans, il s'est aperçu que son épaule et son bras gauches mai- grissaient et simultanément s'affa
s derniers, les douleurs sont devenues plus vives et l'impotence du bras a augmenté, sans qu'il puisse dire si cette impot
veau de l'articulation même. D'ailleurs, il porte très aisément les bras en avant, en haut, en dedans ou en arrière sans s
t postérieurs. Cette atrophie n'empêche pas le malade de porter ses bras latéralement jusqu'au-dessus de l'horizontale e
e est loin d'être limitée au deltoïde ; elle porte également sur le bras , au niveau du biceps surtout, au niveau du tric
u niveau du triceps à un moindre degré ; quand le malade fléchit le bras , le biceps se contracte avec beaucoup de force, m
aule autres que le deltoïde; aucun décollement de l'omoplate ni les bras pendants, ni les bras projetés en avant, aucune
eltoïde; aucun décollement de l'omoplate ni les bras pendants, ni les bras projetés en avant, aucune dépression sus ou sou
tait profonde de 4mè- tres ; l'enfant tombe sur l'épaule gauche, le bras porté en arrière ; il eut quelques douleurs, ma
lques semaines de. ces douleurs, la malade ne pouvait plus déverses bras jusqu'à la ligne horizontale, ni mettre ses mains
te paroi et la face antérieure de l'omoplate (scapulae alatae). Les bras de notre malade présentent une forme masculine :
sion, on arrive à empêcher le mouvement. Impossibilité de lever les bras antérieurement ou latéralement, même avec le plus
de la paroi thoracique. Si l'on fixe l'omo- plate, l'élévation des bras est possible jusqu'à l'horizontale sous l'action
signaler à propos de la fonctionnalité des muscles de la face, des bras , des [avant-bras, des sterno-mastoïdiens, des m
que difficulté s'il était obligé, pour son travail, de soulever les bras . A 20 ans, il fut réformé du service militaire po
, il a accusé une difficulté toujours plus prononcée à soulever ses bras , en avant ou latéralement, à mettre ses mains s
bien conservées. Le malade peut porter en avant et latéralement ses bras , mais il n'arrive pas à atteindre la ligne hori
d'un grand penchant à la colère. Les malades disent qu'ils ont les bras et les jambes rompus, mais ils ne s'alitent que
résie. Ainsi, en marchant, l'enfant fauche de la jambe gauche ; ses bras sont collés au corps, 304 . d'espine P, ses a
t %tomber parfois les objets qu'elle tenait. La malade sentait le bras plus lourd, mais elle pouvait encore *se peigner.
portant. On lui conseille l'applica- tion de courants faradiques au bras . , Nuit du 14 au 15. Elle se réveilla sur le ma
rtout dans les flexions. En même temps contracture intermittente du bras . Pas de céphalée. On lui donne dé la quinine-
pas à parler et ne peut pas dormir. Vomissements. Contracture du bras plus prononcée. . 19. - Même état. ° 20. - Po
mais mange encore régulièrement. Doigts de la main gauche flasques. Bras et avant-bras en contracture. 23. - Elle se tro
née. Pendant la nuit attaque jacksonienne lui prenant la face et le bras gauche. Inégalité pnpillaire et réac- tion pupi
s, état général meilleur. La céphalée moins intense. Contracture du bras gauche augmentée. On lui fait une WR. Résultat
e paralysie faciale gauche, flasque, bien accentuée. Paralysie du bras gauche en forte contracture. Paralysie spartiqu
s 18 jours. Elle a commencé par des contractures et la paralysie du bras , la paralysie de la face et, en dernier lieu, a
es applications de rayons X et elle a déjà commencé des massages au bras gela la jambe gauches encore paralysés, mais fl
lasques. Il y a Uabinski, mais moins vif qu'autrefois, el il y a au bras gauche, à côté du réflexe tricipital, un réflexe
de tête. Le médecin appelé a pu constater un peu de parésie dans le bras gauche. Température : 35"5. Le pouls : 85 pulsa
e, avec de fortes douleurs de tête. Absolument aucune flaccidité du bras gauche ne se manifeste. Selles très dures obtenue
des indices d'hémiplégie du côté gauche, avec complète paralysie du bras et de la jambe gauches, ainsi que de la partie
uille, elle peut parvenir à faire des mouvements défensifs avec les bras et les jambes. Le signe de Babinski se produit
ues minutes, elle a perdu connaissance. Des convulsions dans un des bras ont été observées. Du reste, elle est couchée s
nt un peu cyanotiques. Le coeur, à l'examen, sans rien à signaler. Le bras droit absolument flasque, tandis que le bras ga
ns rien à signaler. Le bras droit absolument flasque, tandis que le bras gauche présenta une certaine rigidité musculair
immédiatement qu'elles ont été chez lui. Parésie de la jambe et du bras gauche. 21. Le patient devient raide par tout l
ement après, il a été repris de convulsions soudaines dans les deux bras , est retombé dans le lit sans connaissance, la
e. Le pouls : 80. De temps en temps des convulsions isolées dans le bras et l'épaule gauches. Tout à fait flasque dans tou
vaso-motrice. III. Adrénaline. Avant l'injection sous-cutanée au bras gauche d'un centimètre cube de solu. tion d'adr
ieu de 10). , Il est vrai que l'injection d'adrénaline fut faite au bras gauche et que la comparaison oscillométrique de
membre supé- rieur, soit de tiraillements plus ou moins brutaux du bras , soit de plaies pénétrantes par projectiles axa
même constatation peut être faite pour les autres troncs nerveux du bras , médian, radial, circon- flexe. II n'est d'aill
circon- flexe. II n'est d'ailleurs pas fatal que tous les nerfs du bras soient simul- tanément et également douloureux.
des.doigts sur la main, de la main sur l'avant-bras et de l'avant- bras sur le bras. Parfois encore la douleur provoquée
sur la main, de la main sur l'avant-bras et de l'avant- bras sur le bras . Parfois encore la douleur provoquée parcelle man
etour de manivelle; au lieu de lâcher celle-ci, il l'a serrée et le bras entier a été entraîné et fortement tiraillé. Do
ntraîné et fortement tiraillé. Douleurs et gêne consécutive dans le bras . Augmentation progressive des symptômes vers le
ires, trapèze, grand pectoral, deltoide, moins intense au niveau du bras et encore plus faible à l'avant-bras où elle ne r
es et bra- chiaux, pour le plexus brachial et les troncs nerveux du bras . La participation du plexus brachial est démont
laires est telle que les mouvements d'élévation et de rétropulsion du bras sont impossibles. L'antëpulsion est moins compl
e substance. L'articulation de l'épaule reste indemne. Au niveau du bras , existe aussi de l'atrophie et de plus les musc
l'épaule d'une part, et d'autre part, prenant à peu près à l'avant- bras la localisation du médian. Des troubles trophiq
es procédés classiques des réactions normales pour les trois nerfs du bras , à l'avant-bras et à la main. Il n'existe aucun
peut, avec une certaine force d'ailleurs, plier l'avant-bras sur le bras et ce mouvement, surtout difficile au milieu de
'importantes modifications structurales. A niveau de l'épaule et du bras , surtout sur la face externe, existent des trou
aractéristiques. Tout mouvement, par exemple la flexion de l'avant- bras sur le bras, détermine des douleurs le long des r
ues. Tout mouvement, par exemple la flexion de l'avant- bras sur le bras , détermine des douleurs le long des racines du pl
al. Observation V (PI. LXII). J... Joseph. Traumatisme violent du bras . Douleurs consécutives de l'épaule et de la mai
Contusions violentes par éboulement de tranchée le 5 juin 1915. Le bras droit est spécialement atteint, garde un oedème n
t sont surtout d'ordre trophique'. En effet, la force musculaire du bras droit n'est que légè- rement diminuée; mais la
à la face antérieure du poignet et irradiant vers la face interne du bras . Il a souffert alors de spasmes pénibles à la m
Il a souffert alors de spasmes pénibles à la moindre fatigue dans le bras gauche qui le contraignaient à rectifier avec l
a viande ii doit saisir sa fourchette à poignée et fixer son avant- bras contre son thorax, tandis qu'il emploie tant bien
tention : au repos il se présente l'avant-bras gauche fléchi sur le bras et la main pendante, l'ensem- ble restant collé
s, mais est plus évidente à gauche; elle s'étend à l'avant-bras, du bras et à l'épaule. Les mensurations comparées prouv
du mouvement. Il est tel à gauche que pratiquement l'utilisation du bras est à peu près nulle ; le phénomène est netteme
es os de l'avant-bras. Chez ces individus la grande enver- gure des bras dépasse communément la hauteur du corps. En outre
a treille, dès qu'il a soif, son seul habit. Il est, en effet, en bras de chemise, presse sur son coeur une bouteille,
n marmot. Et l'on voit tous ces clients s'acheminer, après la cure, bras dessus, bras dessous, vers une hostellerie qui
l'on voit tous ces clients s'acheminer, après la cure, bras dessus, bras dessous, vers une hostellerie qui porte comme ens
13 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
ont la maladie débuta par un accès de fièvre et des crampes dans le bras droit. Après une certaine amélioration des symp
rillaires et sans réaction de dégénérescence. Le développe- ment du bras droit fut arrêté. Il n'y avait pas de trouble de
re localisée à un côté du corps (Dieulafoy), à une région, face, cou, bras , hypochondres (Thomas et Graham) ou généralisée
d'autres enfin caressaient de leurs mains si douces son cou et ses bras . Sans aucun doute elles lui auraient offert du
la crise démoniaque. Le possédé est à genoux devant le Christ, les bras étendus en avant, les mains ouvertes, la tète lég
t de vue médical.Le membre supérieur gauche repose sur le genou, le bras droit est maintenu par une écharpe et la main s
le Sauveur. Par contre l'individu que le Christ relève présente au bras droit une déformation qui ressemble trop à une
icale à ces époques lointaines. Quant au mendiant lui-même, il a le bras droit en adduction forcée, collé au corps. L'av
'avant-bras est fléchi ; la main semble normale, mais l'ensemble du bras donne l'impression d'un membre contracturé. Du mê
en maintenant la main droite. La tête est renversée en arrière, et le bras droit est certainement contracture. Le ventre e
hystériques (Charcot). Devant elle, S. Zeno mitré, la saisit par le bras gauche et la bénit. Un petit diable s'échappe de
st debout devant le Christ qui le bénit. Il tend vers lui son avant bras paralysé lequel nous offre le tableau d'une par
dé, mais rien ne nous permet de l'affirmer ; la face est calme, les bras écartés, les mains ouvertes. Il n'y a pas de dé
résenté debout devant le saint, les genoux légè- rementlléchis, les bras écartés et les mains ouvertes. L'expression est
alade se re- jette en arrière, et un vieillard la soutient sous les bras .' Deux autres miniatures nous montrent la guéri
re M représente un personnage renversé, et s'appuyant sur le sol du bras gauche. Les membres inférieurs sont couverts de t
st pas douteux qu'il se trouve en pleine période de convulsions. Le bras droit est en extension, légèrement écarté du corp
ment vêtu qui dépose une aumône dans la sébille, tout en faisant du bras gauche un geste de répulsion ; et une femme qui
nous montre Vespasien couché dans son lit, le haut du corps et les bras nus couverts de taches rouges, rondes, répartie
ngue houp- pelande. Près de là s'avance une femme tenant dans ses bras un enfant. Puis, un homme qui pousse une brouet
se une brouette sur laquelle un paralytique à demi nu est assis les bras croisés. Tout près de la piscine sont accroupis
t deux attitudes qui sont familières à ce sujet. Les épaules et les bras dans leur partie supérieure sont bien conformés;
a colonne vertébrale ne présente pas de déviations anor- males. Les bras , proprement dits, ont il peu de chose près leur l
autant plus courts qu'ils restent fléchis à angle assez aigu sur le bras et qu'au pli du coude les parties molles du bras
assez aigu sur le bras et qu'au pli du coude les parties molles du bras se réflé- chissent sur l'avant-bras, en le reco
ite et 4 centimètres à gauche. La ré- flexion des parties molles du bras sur l'avant-bras se fait donc à une distance de
1/2 à gauche. Des deux côtés les mouvements de l'avant-bras sur le bras sont très limités, comme nous^ le verrons plus
l'humérus est dans la rotation en dehors, l'avant-bras fléchi sur le bras , et placé, ainsi que la main, en pronation, de
e on peut s'en assurer dans les mouve- ments de l'avant-bras sur le bras . L'articulation du coude se trouve ainsi profon
érus appliquée sur la plaque, l'avant-bras fléchi au maximum sur le bras . (Pour se rendre compte di ce que représente cett
lui présentant verticalement l'avant-bras fléchi au maximum sur le bras .) La ligure 2, Pl. XVII, représente la radiogra
dans la rotation en dedans, l'avant-bras moyennement fléchi sur le bras , la main dans la pronation. (C'est en somme l'i
nous cons- tatons : Membre supérieur droit. -- Les mouvements du bras sur l'épaule se font très bien dans les divers
ande liberté et une grande facilité des mouvements de projection du bras en avant, en dehors et en arrière, de ses mouveme
dus que dans l'état normal. Les mouvements de l'avant-bras sur le bras sont au contraire modifiés et assez restreints
leur sens. L'avant-bras d'ailleurs reste plus ou moins fermé sur le bras avec lequel il forme toujours un angle aigu. La
u ; l'avant-bras peut être en effet amené presqu'au contact avec le bras . Ce mouvement se fait avec une force assez grande
on et n'arrive pas jusqu'à placer l'avant-bras à angle droit sur le bras ; il paraît moins limité par le mode d'articulati
par la présence des parties molles que nous avons vu se réfléchir du bras sur l'avant-bras en empiétant largement sur cel
e ; il se contracte surtout à l'occasion de l'extension de l'avant- bras sur le bras. Un autre muscle étalé est situé à la
ntracte surtout à l'occasion de l'extension de l'avant- bras sur le bras . Un autre muscle étalé est situé à la partie inte
contracte surtout à l'occasion de la flexion de l'avant-bras sur le bras ; il entre également en contraction à l'oc- cas
ts. L'excitation por- tée sur le trajet habituel du nerf cubital au bras n'a pas paru éveiller de sen- sations dans l'ex
siblement de la même façon que de l'au- tre côté. La musculature du bras est aussi assez bien développée ; le biceps cep
té des fardeaux aussi lourds. Les mouvements de l'avant-bras sur le bras se comportent aussi à peu près comme à droite ;
l'angle formé au pli du coude par la flexion de l'avant-bras sur le bras . Enfin il se sert souvent des dents ou encore du
ure de l'os de l'avant- DESCRIPTION D'UN ECTROMÉLIEN HÉMIMÈLE 139 bras à la partie interne du coude peut-on admettre qu'
prises dans des positions différentes, que le squelette de l'avant- bras ne se compose que d'un seul os, le cubitus, plus
t directement attachés au tronc, les parties intermédiaires, avant- bras et bras, ou jambe et cuisse, étant- avortées. Che
ement attachés au tronc, les parties intermédiaires, avant- bras et bras , ou jambe et cuisse, étant- avortées. Chez les hé
tées. Chez les hémimèles, au contraire, le segment basal du membre, bras ou cuisse, est plus ou moins bien développé, ma
lade se plaignant de douleurs aiguës, chaque fois qu'elle levait le bras au-dessus de l'épaule, John Abernethy aurait, dit
pondu : « Quel besoin avez-vous alors, Madame, de lever ainsi votre bras ». Véridique ou non, une pareille réponse ne sa
sous la table. Pendant toute la durée de son travail, la main et le bras restent dans une fausse position. C'est cette f
rique. Dans le fond d'un large récipient, rempli d'eau où plonge le bras , se trouve le pôle négatif. On évite tout contact
le bras, se trouve le pôle négatif. On évite tout contact entre le bras et le conducteur électrique ; le pôle positif est
ale. Autant qu'on peut s'en assurer, il n'y a pas d'atrophie de son bras ou de sa main gauche. 11 est plus que certain q
ralement cette douleur débute par l'épaule, et gagne quelquefois le bras et le cou. Chez elle la contracture occupe spécia
er simplement, mais très rapidement un bouton (appareil Morse) ; le bras reste étendu tout le temps. C'est principalemen
ait pas depuis 6 mois, que les mêmes symptômes apparaissent dans le bras ]et le poignet gauches. Nullement découragée, el
épo- que, il commença à ressentir un spasme, ou une crampe dans son bras droit, dès qu'il écrivait pendant une heure env
re ou deux, l'usage de cette machine amenait la même crampe dans le bras droit. Un mois ou deux avant que nous le voyion
t continuer à écrire pendant cinq ou dix minutes, en maintenant son bras avec sa main gau- che ; mais au bout de ce temp
de convulsions dans leurs membres. Un d'en- tre eux cependant a le bras droit écarté du tronc, l'avant-bras à demi flé-
leurs le calme de sa physionomie en soit en rien troublé. Un de ses bras est effacé, l'autre est représenté absolument c
porcs se précipiter dans un lac. L'un des possédés est debout, les bras levés au ciel, les mains ouvertes, et un petit
face est calme, il n'y a aucune tendance à l'arc de cercle. Un des bras est levé vers le ciel la main ouverte. De l'aut
le. Il a les yeux convulsés vers le haut, la bouche grimaçante, les bras ouverts et pendants en arrière. En un mot, il r
ant la moribonde ; là, s'armant d'un couteau, il la saigna aux deux bras .Et soudain la princesse reprenant connaissance,
ose et des gestes eu égard à l'opération projetée. Le malade a le bras droit tendu, nu, la manche relevée. Pour le main-
e roulée, ou simplement le pouce replié sur la paume de la main. Au bras , une ligature sera faite pour empêcher le sang
continuant en haut avec la tache précédente (dimensions : 9 X 7). Bras gauche. - Coloration identique occupant tout le b
ions : 9 X 7). Bras gauche. - Coloration identique occupant tout le bras , à l'exception d'une région de peau saine situé
usqu'à deux centimètres au-dessus du pli du coude. Tout le reste du bras est uniformément violacé sans interposition de pe
droite : 48 cm. 5 et 47 cm. 5. Périmètres des membres supérieurs. Bras , à 12 centimètres au-dessus de l'olécrane : droit
pour l'épaisseur des plis cutanés prise au com- pas d'épaisseur : Bras gauche, face antéro-externe : 11 millimètres. Bra
as d'épaisseur : Bras gauche, face antéro-externe : 11 millimètres. Bras droit, face antéro- externe : 9 millimètres.
festent chez lui : 1° par une paralysie des vaisseaux de la peau du bras gauche ; 2° par des décharges épileptiques. De
2° par des décharges épileptiques. De plus les neurones moteurs du bras , héréditairement lésés, sont par- ticulièrement
est-à-dire par ordre ascendant de finesse tactile : face externe du bras ; face externe de la jambe ; dos ; face antéro-ex
o-externe de l'avant-bras ; plante du pied ; face antéro-interne du bras ; éminence thénar; joues; éminence hypothénar; fr
e la différence considérable qui existe chez R... entre la force du bras droit et celle du bras gauche, au désavantage d
rable qui existe chez R... entre la force du bras droit et celle du bras gauche, au désavantage de celle-ci, car nous sa
ue les premiers troubles psychiques apparurent L... sentait que des bras et des mains venaient l'enserrer énergiquement. E
eux convulsés vers le haut. Ils nous ont montré la bizarrerie de ce bras droit élevé verticalement, dans une pose académ
aut, la bouche est légèrement entr'ouverte, le cou gros, gonflé. Le bras droit, seul visible, est légèrement écarté du t
aissance, sa fille ne ressemblait pas aux autres enfants et avait des bras très courts. Cette difformité s'est peu à peu e
3/4 pour la cuisse et i tête 1/2 pour la jambe (chiffre normal). Le bras mesure 13 centimètres, l'avant-bras et la main 22
La tête humérale est trop grosse pour la cavité glénoïde et ainsi les bras sont toujours légèrement écartés du thorax. Mai
où une impossibilité de l'extension complète de l'avant-bras sur le bras et de la supination de la main (Pl. XXXVI, S et
? . T. XIV, 1'1. XXXVIII RADIOGRAPHIES COMPARÉES DE L'ÉPAULE ET DU BRAS chez une fillette normale (A droite) et chez un
genou, de telle sorte qu'à l'inverse del'achondroplasique qui a les bras trop courts, le rachitique a des bras trop long
el'achondroplasique qui a les bras trop courts, le rachitique a des bras trop longs pour sa taille. Ce sont là autant de s
ette réduction, mais surtout les segments occupés par les os longs, bras , avant-bras, cuisses et jambes; au contraire, les
tteints, tout en étant beaucoup plus courts qu'ils ne devraient. Le bras (de l'acromion à l'olécrâne), l'avant-bras (de l'
ntimètres. Les doigts et la main sont donc diminués d'un quart ; le bras d'un tiers ; l'avant-bras de plus du tiers. Une d
s. Voici quelques chiffres pris sur Sicard. Tour de taille sous les bras 85 centimètres, à la ceinture 74, au niveau du gr
t pas de défor- mations. Lorsqu'on découvre les avant-bras et les bras , on constate entre eux une cer- taine différenc
as de différences dans la longueur des humé- rus. Circonférence des bras : 23 cl. 5 à droite, 21 cm. 5 à gauche. Lorsqu'
ètres et se laissa tomber sur une chaise, ne pouvant plus remuer ni bras ni jambes, mais trem- blant de tous ses membres
ant la nuit, et se rappelle encore les mouve- ments désordonnés des bras et des jambes qui se produisaient spontanément
harrette, qu'un écart du che- val jeta dans un fossé ; il resta les bras battants, tout tremblant et incapable de rien f
emblement des jambes a cessé de lui-même le 28, 'le tremblement des bras persiste jusqu'au 2 janvier, ce jour-là il s'inte
t une heure, puis il reprend jusqu'au 8 janvier toujours limité aux bras . Le 8, il s'arrête pen- dant la visite et repre
rythmée, et juste suffisante, des extenseurs de l'avant-bras ou du bras . Ce mouvement très brus- que mais immédiatement
sent pas venir. Même s'il fait un effort persistant pour raidir ses bras ce spasme se manifeste « comme si, dit-il, quel
il ce qui vient d'être décrit. W... n'éprouve aucune gêne dans son bras droit qui cependant accuse au dynamomètre une i
t dix minutes dans tous les membres et deux heures environ dans les bras . Ce matin l'on n'aperçoit ni tremblement ni spasm
tômes qui en de- viennent les signes extérieurs : le soubresaut des bras , le sursaut du corps, le dérobement des jambes,
,par accès,des phénomènes nouveaux consistant en engourdissement du bras gauche, parfois des deux bras,avec ou sans diffic
eaux consistant en engourdissement du bras gauche, parfois des deux bras ,avec ou sans difficulté dans l'articulation des
jambes fortes, arquées ; mais surtout on remarque l'exiguïté de ses bras . Peut-être fut-il achondroplasique (1). (1) J'a
de Fausto Boccnr, représentent des nains à grosses têtes, jambes et bras minuscules, mis en déroute par des poussins et
émianestllésie profonde à droite. Les réflexes tendineux (rotulien, bras et avant-bras) sont exagérés, mais il n'y a ni tr
e, et, après qu'elle se fut réveillée tout à fait,elle se sentit le bras gauche très lourd et l'avant-bras et la main co
. (3) BEHNHARDT, A Notunagel, Lahmung des N. ulnaris. 410 DEMON bras , à huit ou dix centimètres au-dessus de l'épi tro
spontanée et par pression à la partie inférieure du bord interne du bras , à la partie interne de l'avant-bras, très in-
ente ans il reçut une balle dans la partie interne et inférieure du bras , qui lui pro- duisit une paralysie douloureuse
en portant un lourd fardeau sur les épaules, au quart inférieur du bras droit, contre un corps solide. Mécanicien. Obs.
odermie extrêmement accusée, étendue uniformément sur le tronc, les bras et les membres inférieurs. La peau était dans c
ent découvertes, face, pieds, mains et partie inférieure des avant- bras présentaient une coloration un peu plus pâle, se
est assise, la main gauche appuyée sur sa poitrine, abandonnant son bras droit au médecin qui lui tâte le pouls ; sur se
béret. Un vieillard à longue barbe, barrette sur la tôle, saisit le bras droit du malade de la main gauche. De la main d
périeurs. Chez sa première malade, l'affection semble même croisée ( bras droit et jambe gauche). Chez la dernière, les
auvaise et il est survenu tout à coup une enflure considérable d'un bras , à tel point que l'on dut s'empresser de couper
eau veineux superficiel nettement dessiné. L'enfant peut remuer son bras et saisir des objets de la main droite. Elle co
e la main du côté malade. L'amélioration s'accentue rapidement ; le bras continue à dimi- A C B D 1- DYSTROPHI
de l'appétit. 16. Nuit un peu agitée par des démangeaisons dont le bras droit est le siège. L'on y remarque une légère
ux jambes. A part cela, tout va bien. 18. Convalescence franche; le bras paraît avoir repris son volume nor- mal. Depu
ectives. Corps thyroïde très petit. Pas d'albumine dans l'urine. Le bras droit, dont l'enflure nous avait si fort inquiété
ré- tend, en outre, que depuis l'enflure dont il a été le siège, le bras droit est de- meuré un peu plus gros que le gau
en conformés. Vaccinée à 13 mois, présente deux cicatrices à chaque bras . La peau est partout d'égale coloration ; elle
ile d'une dizaine de jours, compliquée d'une enflure douloureuse du bras droit. Tout rentre dans l'ordre, le bras demeur
une enflure douloureuse du bras droit. Tout rentre dans l'ordre, le bras demeurant un peu plus volumineux que celui du côt
e ; en un mot, à le rendre contemporain de l'enflure douloureuse du bras . En clinique, nous ne manquons pas d'exemples de
ic que ce début fébrile, chez Alice, ait été marqué par l'endure du bras . Sans celle particularité, vé- ritable symptôme
e trahissent une infection ; puis, tout à coup détermination sur un bras , suivie plus tard d'un phénomène analogue au me
e, elle est souvent asy- métrique. Il en est de même chez Alice, le bras droit et la jambe gauche sont seuls intéressés.
ade atteint d'une paralysie infantile ayant déterminé une atrophie du bras droit. Ce malade ayant contracté la syphilis a
dans notre cas. L'on pourrait se demander, il est vrai, pourquoi le bras où la vaso-motri- SUR UNE FORME D'BYPERTROPQ1E
larité, offerte également par noire malade, que l'hyper- trophie du bras existe rarement seule, et quand celle de la jambe
la jambe l'accom- pagne, elle est généralement moins développée au bras . Puis, nous ferons encore observer que les deux
pparte- naient à deux formes distinctes. Les troubles trophiques du bras ont débuté brusquement, avons-nous dit, par une
ncore aujourd'hui l'existence des réseaux veineux très apparents du bras et de la région cervico-peclorale. L'épaississeme
s'est fait d'une manière consécutive. Le mécanisme de l'enflure du bras trouverait son explication, semble-t-il, dans u
l'adipose sous-cutanée, telle que nous en avons un exemple dans le bras de l'enfant dont nous venons d'exposer l'histoire
qui s'éten- dait à tout le côté gauche du corps, y compris même le bras . Mme G.. prétend que son bras gauche est aussi
té gauche du corps, y compris même le bras. Mme G.. prétend que son bras gauche est aussi plus volumineux, mais, bien que
rt augmentés de volume. L'hypertro- phie commence vers le milieu du bras , mais c'est aux mains qu'elle a acquis le plus
ression digitale cependant détermine la production d'un godet. Le bras droit est plus volumineux que le gauche ; il mesu
es des infantiles du type Lorain. Le thorax est élancé, maigre. Les bras sont très allongés et débiles. La figure peu in
ndillées. La face est couverte de taches vineuses irrégulières. Les bras , le membre hypertrophié sont marbrés de ces mêmes
es, serait scrofuleuse. Elle a été opérée d'un lipome volumineux du bras . Elle a souffert d'anthrax. Je me promets de la v
tude de la malade montre bien la tendance à la semi- contracture du bras gauche, l'annulaire reste seul cependanl en demi-
tion debout, elle est impossible et en soutenant la malade sous les bras , on voit que les mouvements de locomotion des deu
er 1897, elle fut prise d'une crise nerveuse, elle se jeta dans les bras de son père, puis elle se raidit, la crise dura
e la terreur ; elle crie papa, papa, puis elle va se jeter dans ses bras ; alors les yeux roulent dans leur orbite, le co
présente plus volumineux que l'avant-bras droit, et de même pour le bras , mais à mesure qu'on remonte vers la racine du
ment diaphragmatique. Les .mouvements spontanés de la racine des bras sont très limités, et le ma- lade a la plus gra
e peine à passer ses vêtements; dans les mouvements pro- voqués, le bras , latéralement, ne peut pas être porté plus haut q
es coudes sont très limités. L'an- gle maximum que peuvent faire le bras et l'avant-bras est de 110°, l'angle mi- nimum
ion. Le patient d'ailleurs parait peu inquiet; il lui abandonne son bras droit pendant que de la main gauche il tient lu
Le baston qu'on met à la main du malade (tant pour luy soustenir le bras que pour aider le roulement du sang en le contour
moyenne grosseur, et aussi long qu'il sera besoin pour supporter le bras , selon les diverses situations que l'on fera teni
images 533 Le patient est assis sur un grand fauteuil, tendant son bras droit au barbier qui palpe avec soin la région
rande dame en costume d'apparat et en grand décolleté tend son joli bras à un jeune docteur musqué qui la sou- tient de
La majorité des documents iconographiques ont trait à la saignée du bras , de beaucoup la plus fréquente. On saignait c
ne comptait pas moins de 45 veines saignables : 15 à la tête, 10 au bras , 6 aux mains, 2 au ventre, 2 au siège, 10 aux p
d'un tel exemple. » Après quoi, ils tendirent l'un et l'autre leurs bras , le genre de mort usité en pareil cas étant l'o
tenua- tum lentaetfugiasanguini prebebat.Aussi, outre la saignée du bras , dut-on lui ouvrir les veines des cuisses et de
se plonger les jambes dans un bassin d'eau chaude. On voit, sur son bras gauche, au lieu d'élection, l'ouverture de la vei
'où le sang jaillit. Un des disciples, Statius Annoeus, soutient ce bras , et à l'aide d'une ligature empêche le sang de
son disciple attentif ne veut omettre aucun. Quant la saignée du bras en elle-même, elle est parfaitement con- forme
il convient sous la pres- sion exercée à l'extrémité inférieure du bras . Rubens vivait au temps où la saignée était omn
14 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
augmenté par la fatigue et l'émotion. Dès que le malade repose son bras sur la table, le tremblement disparait. Au lit,
s musculaire et articulaire est aboli à la main, à l'avant-bras, au bras , au pied, au genou; il est obnubilé seulement as
cousses rhylhmécs antéro-postérieurcs. De même, lorsqu'il étend ses bras ou ses jambes, le tremblement se montre dans ces
25 on l'interroge, on remarque quelques légères vibrations dans le bras droit. Lorsqu'il se met debout, le membre infér
sque guéri. Pourtant sa jambe gauche était toujours plus faible, le bras du même côté était aussi parésié. Le malade s'e
il se met à trembler. De même, s'il porte un verre à sa bouche, son bras tremble d'autant plus que le mouvement est plus
le lit, ses jambes étant complètement paralysées. Rien du côté des bras ni de la têle. En même temps que la paraplégie
vait chuchoter des notes avec une parfaite justesse. La parésie des bras , le trem- blement intentionnel, la paralysie av
en ceinture. Miction pénible. Tremble- ment dans les jambes et les bras des deux côlés. Céphalalgie et facies hébété. T
Troubles el difficultés du langage. Douleurs et faiblesse dans les bras . Aggra- vation des signes antérieurs. Deux ou t
que la nuit le malade avait des crises convulsives. Il agitait les bras et les jambes, et renversait forte- ment la têt
ce. Huit jours après la dernière apparut un tremblement dans les deux bras . ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS
ations. - Le 19, hémiplégie gauche et aggravation du tremblement du bras gauche. Coma durant toute la nuit. - Le 20, tem
a jambe droite tremble. Ce phénomène se dissipe peu à peu. Bientôt le bras droit perd de sa force et est animé d'un trembl
ans. Avant cette époque, elle avait perdu instantanément l'usage du bras et de la jambe gauches et l'avait re- couvré ap
nhabiles à manier le pinceau et maigrirent d'une façon notable; les bras , les épaules s'atrophièrent à leur tour au point
niveau des membres supérieurs, du thorax et du cou, si bien que,les bras sont ballants le long du tronc et que la tête i
s avant-bras, toujours en commençant par le côté droit. De l'avanl- bras , l'atrophie remonta au bras, puis à l'épaule, et
mmençant par le côté droit. De l'avanl- bras, l'atrophie remonta au bras , puis à l'épaule, et enfin, au mois d'octobre '
ur les grands pectoraux, à son maximum au niveau des deltoïdes. Aux bras , les biceps ont à peu près disparu; les triceps p
e des biceps qui empêche l'extension complète de Pavant-bras sur le bras et dessine une corde fort nette dans ce mouvement
rce relativement. Les mouvements d'extension de l'avant-bras sur le bras sont forts et présentent une grande résistance
inon de temps en temps dans les épaules et la partie supérieure des bras , et encore n'étaient-elles pas d'une grande int
ches ci-jointes montrent à quel point l'atrophie était prononcée au bras , à l'épaule, à la cuisse et à la jambe. Comme o
le qu'auparavant; bientôt il en fut de même de la main droite et du bras . Depuis un mois,- le malade ne peut regarder de
ie un aspect particulier sur lequel nous reviendrons plus loin. Les bras sont presque collés au corps, les mains reposen
c difficulté;, ces mouvements n'offrent aucune résistance. L'avant- bras .(en supination ;ou en demi-pronation) se fléchit
ez complètement sur le'bras et s'étend de même, sans résistance. Le bras s'écarte incomplète- ment du tronc, ne peut se
E LECROSNIER & BASÉ DE L'OPUTHALMOPLËGIE EXTERNE. 61 sur le bras sont relativement bien conservés. L'extension de
ont relativement bien conservés. L'extension de l'avant-bras sur le bras n'oflre aucune résistance. Les mouvements du bras
avant-bras sur le bras n'oflre aucune résistance. Les mouvements du bras : adduction, abduc- tion, élévation, abaissemen
olumineux à leur partie inférieure qu'a leur partie supérieure, des bras qui ont une forme cylindrique, des épaules qui on
l existe des secousses fibrillaires dans les muscles de la cuisse, du bras et de l'épaule; elles sont peu fréquentes, mais
ents suivants pour son séjour à Saint- Autoine. Parésie totale du bras droit. OEdème très prononcé de la main droite a
DE L'OEDÈME BLEU HYSTÉRIQUE- 6'J. l'impotence de la main droite; le bras droit semble aussi parésié. Les réflexes patell
admiration. Ces deux sentiments sont très nets. La malade élève les bras et les écarte, comme lorsqu'on est saisi d'un éto
r et elle nous fait le récit suivant. « Elle était d'abord dans les bras de son... » nous dirons : de son amant, sans em
contentement; elle renverse la tête en arrière, écarte et tend les bras , semblant y appeler quelqu'un du regard. Éther.
Immédiatement sa face prend l'expression d'une grande frayeur. Ses bras se lèvent et ses yeux regardant dans le lointain
mpérature. Une impression de froid la fait frissonner et serrer ses bras contre son corps (PI. VIII, fig. 2). Elle se couv
t caractéristique. Il pré- sente relativement peu de force dans les bras dont les masses muscu- laires ne sont pas en ef
s avons donné à cette obser- vation consiste en ceci : il étend son bras horizontalement (PI. X) la face antérieure un p
rieure. Il ne cesse pendant cet effort de fixer ses regards sur son bras , et son attention paraît forlement concentrée sur
ée, et subitement la flexion' du poignet et de; l'avant-bras sur le bras se transforme en extension forcée. Le bras est
de; l'avant-bras sur le bras se transforme en extension forcée. Le bras est abattu le. long du corps avec lequel il for
Dans cet état on constate que les muscles de la main et de l'avanl- bras sont absolument contractures et que la contractur
essous du pli du coude on note en effet, E ! 6 cent. 11-2 à gauche ( bras contracture) et 25 centimètres à droite. Le b
sont. également légèrement contractures. /La contracture à l'avant bras est telle qu'on ne peut, déterminer aucun- réfl
par exemple, qu'il peut se maintenir suspendu à un trapèze par les bras fléchis à angle droit pendant un temps beaucoup
ent dès lors sans effort. Le faible développe- ment des muscles des bras ne lui permettrait certainement pas cet exercic
e la cage thoracique s'élargit. - , Puis brusquement, comme pour le bras , l'abdomen se déprime for- veinent et le thorax
TÉRIQUE. 105 peut déterminer volontairement soit sur les muscles du bras , soit sur ceux de l'abdomen. Il n'existe guère
ntracture et si longtemps que le sujet la fit durer, les muscles du bras ne se prenaient pas, et la contracture atteigna
élever une de ses jambes en la maintenant étendue, ou de placer ses bras dans l'attitude du serment, le tremblement pren
du côté gauche. Le malade accuse de lui-même cet affaiblissement du bras et de la jambe gauches. A l'exploration dynamom
e parésie n'est pas telle que le malade ne puisse exécuter avec son bras et sa jambe tous les mouvements qui lui sont pres
t qui leur soient propres. Si l'on ordonne au malade d'étendre le bras , la face palmaire de la main tournée vers le so
os à l'action il cherche à saisir un objet, ou simplement étend son bras dans l'altitude dite du serment; mais elles ne
disparait complètement, pour réapparaître aussitôt qu'il soulève son bras , pour porter un verre à ses lèvres par exemple.
a face. Six mois plus tard se développa une atrophie progressive du bras droit. Faiblesse de la main, paralysie et atrop
il fit une chute de cheval, se contusionna le coude et se blessa au bras ; la guérison fut complète. , 1. B. Sachs, Pol
iblesse et de l'atrophie des muscles de l'épaule gauche et ensuite du bras . Plus tard, le bras droit et les cuisses furent
ie des muscles de l'épaule gauche et ensuite du bras. Plus tard, le bras droit et les cuisses furent semblablement affecté
se et de l'atrophie des deux épaules et de la partie supérieure des bras , et une légère atrophie des avant-bras. Les cui
rrent faiblement des deux côtés, surtout adroite. L'éléva- tion des bras atteint à peine à 45° ; quand on élève les bras j
. L'éléva- tion des bras atteint à peine à 45° ; quand on élève les bras jusqu'à l'horizon- tale, ils retombent aussitôt
es bras jusqu'à l'horizon- tale, ils retombent aussitôt, surtout le bras droit. La flexion de la cuisse sur le bassin ne
s suivants : deltoïdes, surtout le droit, triceps, vaste externe au bras , vaste externe, long et court exten- seur commu
siastique; le premier en vostre royaume qui soit, après le pape, le bras dextre de l'Église. » Nos rois, écrit G. du Pey
issée et trop lâche. Le 18 avril, la petite malade présente sur les bras une éruption formée de petits noyaux durs isolé
des espaces de peau saine, très rapprochés cependant au niveau des bras , des cuisses et de la partie inférieure du visa
n'exécutent que des mouvements purement passifs. L'avant-bras et le bras ne prennent non plus aucune part aux secousses.
i fléchissent il chaque pas. Elle ne peut marcher sans s'appuyer au bras d'un aide. Cet affaiblissement musculaire exist
et courls. La peau y est très ridée ainsi qu'à la face interne des bras , et à la région olécranienne. A l'avant-bras l'
o- men, au niveau de l'aine, de l'aisselle et des faces internes du bras el de la 176 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊT
TUDE CLINIQUE DES TREMBLEMENTS HYSTÉRIQUES. 191 que sa jambe et son bras droits devenaient faibles; il obtint un congé et
tir de cette première attaque, Claw... remarque que sa jambe et son bras droits tremblaient plus fort, que ces membres éta
IQUES. 1S7 Au sortir de cette seconde attaque elle remarqua que son bras et sa jambe du IL côté droit tremblaient, ce tr
nd il tout le membre supé- rieur droit partir du tiers inférieur du bras . Cette zone d'analgésie est limitée par une lig
re offre les caractères suivants : quand la malade tient son avant- bras et sa main mollement appliqués et reposant sur so
t d'abord plus ample; puis l'on voit se produire des soubresauts du bras , qui écartent brusquement le coude de la poitrine
présente à peu près ces mêmes caractères lorsqu'on fait étendre le bras de la malade; l'amplitude des oscillations s'accr
in état de repos. Dans ces moments de calme relatif, l'élévation du bras (attitude du serment) fait reparaître presque t
a malade laisse retomber sa main, il ne reparaît pas, elle élève le bras de nouveau, il ne reparaît pas encore. Apres quoi
le tremblement disparaît. Et alors, si elle soulève une jambe ou un bras , le tremblement apparaît souvent, mais non à tout
, 15 kilogr. Le membre supérieur est atrophié dans son ensemble. Au bras et à l'avant-bras l'atrophie est uniformément r
musculaire, le malade se sert sans difficulté de sa main et de son bras pour tous les actes de la vie usuelle. L'affaib
le sens verlical (flexion, exlcnsion), lorsque le malade tient son bras et sa main tendus hori- zontalement. Elles ne c
eu quand le malade élève la main pour saisir un objet ou placer son bras dans l'attitude du serment. Les mouvements sont p
ogr. ; main gauche, 20 kilogr. La malade cependant peut mouvoir son bras et sa main dans tous les sens. Mais elle est in
isit un objet pour le porter t sa bouche, ou bien si elle étend son bras dans l'attitude du serment, les secousses devienn
ements volontaires. La tôle oscille parfois, quand les secousses du bras droit sont très prononcées, mais elle ne tremble
membre inférieur. Les secousses n'apparaissent pas simultanément au bras et à lajambe. Tantôt c'est la jambe qui tremble
anément au bras et à lajambe. Tantôt c'est la jambe qui tremble, le bras restant au repos, et vice versa. Chaque membre
nt aussitôt et immédiatement le membre supérieur entre en danse; le bras , en oscillant, s'écarte et se rapproche légèremen
se antérieure de la moelle. L'atrophie apparaît alors à la main, au bras et à l'épaule, à la jambe, d'un seul côté ou de
moplégie commença par les épaules et se propagea symétriquement aux bras comme dans le type scapulo- hmnéral décrit par
les éminences thénar et hypothénar s'atro- phient, l'avant-bras, le bras , l'épaule se prennent tour à tour suivant un or
é de légers élancements dans les épaules et la partie supérieure du bras . Quant à la sensibilité cutanée, elle est intac
debout devinrent impossibles et que les mouvements de la main et du bras se rédui- sirent au minimum. La planche V montr
e définitive ? Il est malheureusement à craindre que l'atrophie des bras ne disparaisse jamais. La polioencéphalite avec
es et on peut s'en rendre compte en regardant la planche III. Les bras sont « ballants », tombent de chaque côté du corp
ons médullaires supérieures sont exactement les mêmes. Là aussi les bras sont ballants et le malade est obligé deles lance
moins considérable due à la disparition des masses musculaires. Les bras sont inertes, pendant le long du corps, les mai
ent supé- rieur des membres thoraciques, ce sont toujours les mêmes bras « ballants », les mêmes épaules amaigries et to
e de connaissance partielle pendant deux jours avec la paralysie du bras droit. Troisième attaque, onze mois plus tard,
, le général Bonaparte, comme autrefois saint Louis, prend dans ses bras le corps d'un pestiféré que soutient un Arabe eff
ÈRE. vieux troupier devant le général en chef. Le pestiféré lève le bras droit, en effet, mais c'est pour découvrir l'ai
es vêtements qu'il retient encore de la main gauche, pendant que le bras droit soulevé met l'aisselle à découvert. Ce ta
bault. A cette époque, l'hémiplégie gauche persistait en partie; le bras gauche était à peu près complètement inerte. Du
survinrent successivement dans le côté gauche du corps (avant-bras, bras , épaule et paroi de l'abdomen) une série « d'ab
'avant-bras, au-des- sous du coude, à la face postéro-inférieure du bras , à la face postéro-externe de l'épaule, trois p
es, à gauche et à droite, pour la circonférence de l'avant-bras et du bras . Mais on retrouve sur ce membre une série de lé
trouve sur ce membre une série de lésions trophiques cuta- nées. Au bras et à l'épaule, d'abord, ce sont les deux plaques
piqûre et du sens thermique. La piqûre est assez bien sentie sur le bras et l'avant-bras, elle l'est peu nettement à la
re supérieur droit. Quant à l'électrisation des nerfs, du médian au bras , au pli du coude et au poignet, du radial au so
gnet, du radial au sortir de la gouttière de torsion, du cubital au bras et au coude, elle fournit des résultats identiq
que le malade dut rester constamment couché; la faiblesse gagna les bras ; le délire et les hallucinations devinrent plus
uliers : il y a jusqu'à un certain point ataxic. Les mouvements des bras sont libres, quoiqu'ils aient perdu de leur force
hapelets rachitiques. Pas de pachydermie. , Membres supérieurs. - Bras et avant-bras normaux; pas d'atrophie musculair
debout comme il a été dit pour la tête, regardant à l'horizon, les bras pendants le long du corps, l'avant-bras en prona-
té d'un médius à l'autre, le sujet appuyé contre un mur et les deux bras bien en croix. Elle est il peu près égale à la
(horizontalement, au niveau des mame- lons, respiration habituelle, bras abaissés) ; . D'un acromion à l'autre (en arriè
ET LES IDIOTS. 299 thisme, oreilles en anse, longueur exagérée des bras , etc.). Ce sont les caractères dits ataviques.
n antérieure de la poitrine, à l'abdomen, à la partie supérieure du bras (l'épaule comprise), à la base du cou. La malade
vec plus de force. Elle peut soulever le corps en s'appuyant sur le bras , le déplacer ainsi, se retourner dans son lit, to
nent impossibles. En 188G, elle commence à recouvrer l'usage de ses bras , qui depuis n'ont plus été pris. Seule la paraplé
blement menu, rapide, avec quelques mouvements choréiformes dans le bras droit. Les membres illfé- rieurs sont complètem
nale et sur le sommet du vertex ; de plus, quelques plaques sur les bras et dans le dos. Anesthésie des conjonctives et
Quinze jours après sa sortie, elle est prise de chorée rhythmée du bras gauche et d'aphonie qui a duré trois semaines. Ap
cules et il l'avant- 322 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. bras du côté gauche. Elle dit que ces plaques d'anesth
à 65° en dehors. Troubles moteurs. 1° Chorée rhythmée classique du bras gauche. 2° Paraplégie. Examinée au lit, dans
ôt sur pied, il prend une crise de nerfs et we reste raide dans les bras , alors j'ai en recours à vous en vous envoyant
t il fait de nou- veau quelques pas péniblement et soutenu sous les bras . Dans l'après-midi, il peut se lever seul et ma
l'éveil. Cette crise de nerfs, cette perte de connaissance dans les bras de sa mère semblent bien légitimer les doutes.
ns se laissent facilement mouvoir dans les différents sens, mais le bras tout entier n'en est pas moins impotent, et la ma
u, tous les muscles fléchisseurs des doigts, du poignet, del'avant- bras sur le bras se contracturaient avec une force ext
muscles fléchisseurs des doigts, du poignet, del'avant- bras sur le bras se contracturaient avec une force extrême d'une
bres. supérieurs jusque vers le coude et à la partie postérieure du bras sous forme de plaques serpigineuses. Dans ces c
blanche du reste de la peau (Pl. XXXVI). La partie postérieure des bras et les fesses . portent des plaques un peu plus
xcellent collègue et ami M. Lautier. Sa mère qui le porte sur les bras nous donne les renseignements suivants : P... e
tellé dont on voit aujourd'hui la cicatrice indélébile sur l'avant- bras gauche, le cou, l'oreille et la joue du même côté
le facial inférieur du même côté est respecté. Lorsqu'on pince\ le bras ou la jambe du petit malade, celui-ci témoigne vi
il avance la main gauche pour le saisir ; il remue spontanément le bras , ou bien quand on le lui ordonne, sans trace de
une légère amélioration ; la malade soutenue par deux aides sous les bras peut se tenir debout. A partir de la vingt-deux
nait de prendre un bain, lorsqu'il a éprouvé des lourdeurs dans les bras et des nau- sées suivies de toux quinteuse; il
ce. Cette attaque aurait été caractérisée par des secousses dans le bras droit et par des phénomènes vaso-moteurs dans l
altérations aux doigts ; l'avant-bras est plus ou moins touché; au bras , la lésion est moins étendue. Il y a toujours au
malades, il y avait une différence entre le plus grand périmètre du bras malade et celui du bras sain de 3 centimètres,
différence entre le plus grand périmètre du bras malade et celui du bras sain de 3 centimètres, et, chez un autre malade,
e avec contracture du côlé droit : l'avant-bras était fléchi sur le bras , qui restait collé au tronc; si on essayait de
a remarqué un jour que sa figure était de nouveau déviée et que son bras droit était redevenu raide. Elle ne pouvait s'e
it, elle sent des tiraillements douloureux dans la jambe et dans le bras droits puis des battements de coeur, des nausée
ophie musculaire. 1° Membre supérieur droit, (a) L'ayant-bras et le bras sont normaux. (b) Main droite. Le thénar et l'hyp
Pas de réaction de dégénérescence. 3° Membre sitpé- rieur droit. Le bras et l'avant-bras sonl normaux comme réactions. Mai
légie, il a pu commencer à marcher en boitant et à se servir de son bras gauche. Les fonctions de ces deux membres sont
ait aperçu, à la fin de son séjour à l'hôpital, que sa jambe cl son bras droits diminuaient de volume. Au bout d'un mois,
1888, l'atrophie a augmenté, toujours marquée surtout à la main, au bras droit et à la jambe droite. L'anesthésie générali
ure de l'avant-bras, on ne peut plus les sentir ri la palpation. Au bras , le deltoïde n'est pas sensiblement atrophié, l
e du biceps explique pourquoi l'avant-bras tombe brusquement sur le bras lorsque le malade le fléchit et que la flexion
a flexion a dépassé l'angle droit. L'avant-bras, alors tombé sur le bras , ne peut abso- lument plus être remis en extens
-dessous du pli du coude, donne 20 centimètres de circonférence. Le bras droit mesure 22 cent. 1/2. (c) Face. A la face
t : pression, 12 kilogrammes. L'atrophie est ici surtout marquée au bras ; les mesures données plus haut le montrent bien.
des muscles sont conservés; il n'y a pas d'adipose sous-cutanée. Au bras , le relief du deltoïde est parfaitement appré-
s est encore capable du mouvement de flexion de l'avant-bras sur le bras ; mais en revanche le mouvement antagoniste dù au
te du côté opposé : lorsque, dans la flexion de l'avant-bras sur le bras , le premier est en angle droit avec le second,
arition presque com- plète du triceps explique le volume relatif du bras si diminué par rapport à l'avant-bras. 3° Exa
x, etc.) ont une diminution notable de l'excitabilité faradique. Au bras : le triceps ne réagit plus; le deltoïde et les
tion est plus lente et se maintient plus longtemps que normalement. Bras . Le biceps, le brachial antérieur, le deltoïde
t-bras droit se met en pro- nation forcée et en demi-flexion sur le bras qui est lui-même fortement attiré en arrière. P
orps en même temps qu'une douleur profonde; il lui semble que « son bras et sa jambe ne sont plus à lui ». Le dynamomètre
uement sur les parties latérales du thorax, sur la face interne des bras , dans les aines. Elle se compose de tout petits
on chirurgicale en se basant sur les phénomènes observés du côté du bras droit, le chirurgien eût éprouve un grand embar
15 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
o-tibiale, à diminuer considérablement la taille de la malade ; les bras pendants, les extrémités digitales arrivent à 3 c
constate aucune grossière altération osseuse ; les mensurations du bras , du coude, de l'avant-bras, du poignet, fournis
s marquée. La malade ne peut marcher que si on la soutient sous les bras : elle lance les jambes, celles-ci sont très faib
es tendineux. - Réflexes rotuliens et achilléen abolis. Réflexes du bras et de l'avant-bras conservés. Réflexes cutanés.
et du triceps qui sont un peu atrophiés, tous les autres muscles du bras , de l'avant-bras et de la main sont absolument
e 2f¡, kg. et 16 à gauche* Au contraire le mouvement d'élévation du bras est gèné, la malade difficile- ment peut mainte
tion du bras est gèné, la malade difficile- ment peut maintenir ses bras dans la position horizontale et ne peut pas les
9 lever plus haut. De même le mouvement d'adduction horizontale des bras ne peut s'exécuter qu'avec difficulté par l'atr
tres des apophyses épineuses et dans les tentatives d'élévation des bras apparaissent les scapulée alatz' produits par u
rne de l'omoplate est plus pro- noncé dans l'élévation en croix des bras .Toute l'omoplate est considérablement abaissée
u. Si l'on regarde la malade pendant qu'on lui ordonne de lever les bras dans la position horizontale, on peut voir se f
et de la nuque contraste d'une façon frappante avec la rondeur des bras (V. PI. XII, 6). L'acte du rapprochement des ép
a VIIIe cervicale et la Ire dorsale et gagne ensuite les muscles du bras , atteint d'a- bord le biceps, le brachial antér
nts cervicaux, pour s'étendre ensuite aux muscles de l'épaule et du bras , tout en respectant les muscles de l'avant-bras e
IIamtnoud), le deltoïde chez un ouvrier qui levait et abaissait les bras alternativement dans son travail, les épaules c
chronique, qui avait débuté par les petits muscles de la main et du bras et avait envahi ensuite les muscles de l'épaule
égion rétro-sternale, et irradiant dans la région cubitale des deux bras , surtout du bras gauche. Les années suivantes,
ale, et irradiant dans la région cubitale des deux bras, surtout du bras gauche. Les années suivantes, la douleur rétro-
ion des devoirs. Pour écrire au tableau il était obligé d'élever le bras ; or, au bout de quelques secondes, il lui sembla
douleur vive avec fourmillements apparaissait dans la main, puis le bras droit, et le ma- lade devenait incapable de mai
urmillements apparaissaient au bout des doigts, gagnant la main et le bras ; une douleur très vive remontait de la main à
s ; une douleur très vive remontait de la main à l'avant-bras et au bras ; la étude SUR LES crampes professionnelles 77
un régime alimentaire. ¡;, FIG. 1. - Claudication intermittente du bras droit. Tracé du pouls radial droit. 78 MACÉ DE
tableau noir lui est encore impossible s'il est obligé d'élever le bras . Au bout de quelques minutes d'écriture dans cett
Il est à noter que le malade pourrait garder assez facile- ment le bras élevé s'il n'écrivait pas dans cette attitude. C'
e, qui, lors- qu'il voulait scier du bois, avait une crampe dans le bras droit. Or on constatait chez lui une amyotrophi
il avait alors des douleurs et des convulsions dans l'épaule et le bras . ' Le caractère électif, professionnel, de la c
t n'éprouva jamais aucune peine à serrer sa baguette et à remuer le bras droit en tous sens. Il consulta un grand nombre
es pianistes aurait souvent pour origine une névralgie des nerfs du bras , amenée et entretenue par les traumatismes répé
au travail. On ne constatait aucun trouble de la sensibilité, ni du bras , ni de l'avant-bras ; la pression du cubital au
ses doigts se resser- raient, une douleur remontait tout le long du bras jusqu'à l'épaule, et la plume tombait des doigt
nd l'émotion était moins forte, il ressentait une agitation dans le bras droit : la main deve- nait incapable de tenir l
mêmes caractères, s'accompagnant d'angoisse, et de douleurs dans le bras et l'épaule. Le malade abandonna dès lors la ma-
ensemble suffisamment bien : par exemple la malade peut relever son bras gauche, mouvoir l'avant- bras et même les doigt
ar exemple la malade peut relever son bras gauche, mouvoir l'avant- bras et même les doigts ; elle peut aussi fléchir sa c
alade de se servir à peu près conve- nablement de sa main et de son bras droit. En marchant, il traîne la jambe, qui est
acture prédominante aux membres. L'avant-bras est en flexion sur le bras , la main sur l'avant-bras, les doigts sont repl
ade traîne la jambe en marchant ; les doigts de la main et l'avant- bras sont en demi-flexion, naturellement, mais le mala
tte ; les sterno-cléido- mastoïdien se raidissent, le thorax et les bras s'immobilisent. Dans l'ensemble le malade prend
et pauciers), de la partie supérieure du tronc (pectoraux, trapèze, bras et épaules), et des muscles du larynx. En ce qu
ère s'aperçut qu'il avait une très grosse tête et les jambes et les bras très courts. Il se développa normalement, marcha
de celui d'un adulte normal, le dos plat, la lordose lombaire, les bras et les jambes extrêmement courts, très musclés,
est des plus évidentes ; dans la position du soldat sans armes les bras restent nettement écartés du tronc et les somme
aite de la fourchette, la sensation kinesthésique dans la position du bras constituent des excitations qui déterminent aut
tournant; vous voyez un poing dirigé vers vous et brusquement votre bras s'élève pour parer le coup. Qui est responsable d
l'auriculaire et de l'annulaire droits, puis mouvements de tout le bras droit. Nous avons pu observer un phénomène de t
on l'observe pendant qu'il écrit de la main gauche, on voit que le bras droit se contracte au niveau du deltoïde, et a
u- coup de peine à combiner les traits et points de l'alphabet : le bras devient raide, et il est impossible de continue
is un jour des fourmillements passagers, et sans paralysie, dans le bras droit. Deux ans plus tard il fut atteint de cramp
lles peuvent siéger au niveau des doigts et de la main, remonter au bras le long des gros troncs nerveux, irradier à l'é
ment dans la main et l'a- vant-bras, mais aussi dans les muscles du bras et de l'épaule : Duchenne a ainsi observé deux
ampe des écrivains, tous les muscles des doigts,de l'avant-bras, du bras et de l'épaule peuvent se contracter ensemble o
eur : tous ceux de la main, tous ceux de l'avant-bras, tous ceux du bras ,tous ceux de l'épaule, coopèrent, ainsi que le
t avec nos doigts, mais avec notre poignet, notre avant-bras, notre bras , et beaucoup aussi avec notre épaule. Quoi qu
, très solide, bien musclé ; il n'a aucune atrophie mus- culaire du bras droit ; tous les muscles et tendons semblent norm
- née de travers, il la maintient de la main gauche ; alors tout le bras droit, dans l'extension, raide, formant un angl
ouvent presque illisibles. Si l'on palpe à ce moment les muscles du bras et de l'avant-bras, on constate que les muscles
bras et de l'avant-bras, on constate que les muscles extenseurs du bras sout fortement contractures, ainsi que les fléchi
té de poursuivre l'écriture était liée à l'empêchement de porter le bras en dehors; le malade écrivait ainsi quelques mots
DE LÉPINAY En dehors de l'acte d'écrire, M. Br... n'éprouve dans le bras droit aucune gêne fonctionnelle : c'est ainsi q
iner sa barbe chez un coiffeur. Localement il n'existe, sur tout le bras droit, aucune lésion périphérique appréciable p
main, est produit par des alternatives d'adduction et abduction du bras ; c'est un véritable mouvement penduliforme (Wi
t le corps, comme un frisson, pendant dix minutes, puis localisé au bras droit, et ne se mani- festant que dans certaine
me fût brisée ; il éprouva en même temps de la raideur dans l'avant bras et le bras. Tout le membre s'anima d'un tremble
ée ; il éprouva en même temps de la raideur dans l'avant bras et le bras . Tout le membre s'anima d'un tremblement peu ét
le temps de poser sa plume : la maiu se crispa, l'avant-bras et le bras s'élevè- rent en tremblant ; la tête se porta v
'une pseudo-crampe des écrivains par chorée hys- térique limitée au bras droit. Observation XVIII (personnelle). Le je
ent consulter le Dr Voisin le 2 février 1907 pour un tremblement du bras droit, apparu brusquement un mois aupara- vant,
isparaît ; veut-on faire exécuter au commandement des mouvements du bras droit, on observe que tout le membre est agité
e du trapèze et du deltoïde, se manifestant dès qu'elle étendait le bras pour loucher l'appareil ; cette femme, névropat
ues minutes de jeu, éprouvait une certaine dif- ficulté à remuer le bras droit, puis ressentait une douleur de plus en p
rs heures par jour. Au bout de quelque temps elle ressentit dans le bras droit une douleur, irra- diant jusqu'à l'épaule
e qui, dès qu'il se levait pour jouer du violon, avait dans tout le bras gauche une douleur si vive qu'il devaitposerson i
FESSIONNELLES 217 La crampe des violonistes peut aussi atteindre le bras droit, soit isolément, soit en même temps que l
ulait tricoter, dans les extenseurs des doigts et les adducteurs du bras . Le spasme ne se manifestait pas en dehors de c
ces deux actes. La crampe peut également siéger dans les muscles du bras ou de l'é- paule (deltoïde, trapèze, sous-scapu
ite une couturière qui avait dans ces circonstances une rotation du bras en dedans par crampe du sous-scapulaire. Nous avo
ns. Cette névrose se caractérise par une contracture des muscles du bras et de l'épaule, avec parfois douleurs très vive
ui, dès qu'il voulait placer une plaque de métal, éprouvait dans le bras tenant le marteau une contraction douloureuse d
er, lorsque survint progressivement une gêne dans les mouvements du bras et de l'épaule, qui ne se manifestait que pour le
l res- sentait une forte douleur dans les muscles de l'épaule et du bras droits, avec sensation de fatigue extrême ; il
edans, et dont l'avant-bras s'étendait vivement et fortement sur le bras , sitôt qu'il se mettait en garde. On a décrit enc
rectrice, des efforts musculaires que doivent souvent accomplir les bras , et surtout du surmenage cérébral qu'impose la
uscles du thorax et de l'abdomen. C'est surtout pour les muscles du bras et de l'épaule que l'atrophie est marquée. L'épau
Mais évolution plus rapide. Membres inférieurs pris d'abord, puis les bras , ne peut plus marcher depuis 2 ans. L'état des
éflexe rotulien nul (légère douleur quand on percute le genou). Les bras , les moignons de l'épaule tout très pris, et l'ép
ns encore la présence de masses musculaires en boules, au niveau du bras , en arrière. (1) Afin de pouvoir comparer entre
était aussi myopathiques. Début ! 'age de 16 ans par l'épaule et le bras droit. Puis, jambe gauche et les autres membres.
étant donnée la difficulté qu'il a à s'asseoir et à se relever. Les bras sont très atrophiés ; il ne peut les mettre sur s
avant-bras sont pris également, mais de façon moins marquée que les bras . Les cuisses sont très atrophiées, surtout la g
phie mus- culaire. Les cuisses sont beaucoup plus atteintes que les bras ; le malade peut encore mettre les mains sur la
ement apparaît vers 12 ans. A 15' ans, il ne pouvait plus mettre le bras sur la tête. Actuellement, l'impotence des memb
cependant le malade peut écrire encore un peu. Quand les muscles du bras se contractent, on observe la formation de boul
; le malade ne peut mettre la main sur la tète, ni fléchir l'avant- bras sur le bras qu'en prenant de l'élan. Il fléchit e
ne peut mettre la main sur la tète, ni fléchir l'avant- bras sur le bras qu'en prenant de l'élan. Il fléchit et étend les
us, comme d'ailleurs l'atrophie musculaire est plus marquée pour le bras que pour l'avant-bras. Squelette des mains. - C
malade balance latéralement les hanches et le tronc en rejetant les bras en arrière d'un air prétentieux. Station assi
du reste lorsque le malade le désire. La ceinture scapulaire et les bras sont atrophiés dans leur ensemble, la tête huméra
ent visibles et les reliefs osseux se dessinent sous la peau. Les bras grêles dans leur partie supérieure, sont irréguli
certaine lenteur. Par contre les mouvements de l'avant-bras sur le bras sont limités, et à peu près au même degré de ch
ement atténués. C'est à peine si le malade peut écarter légèrement le bras du corps. De tout le membre supérieur les seuls
point touché ; (3) au niveau du deltoïde,de la partie supérieure du bras , du triceps dans ses deux tiers supérieurs, du br
252 VIRES ET ANGLADA de pseudo-hypertrophie ; ils prédominent aux bras et à l'épaule, mais la mobilisation de l'avant-
cé dans le bassin. Le dos est très voûté, la taille est petite, les bras paraissent très longs et les mains descendent jus
ce côté est plus grand, de même l'omoplate est plus volumineuse, le bras plus long et la jambe plus déformée. A part cet
mme il a été remarqué, le raccourcissement du tronc fait paraître les bras beaucoup trop longs ; toutefois ils ne sont pas
rophie osseuse du côté gauche. En effet le thorax, les épaules, les bras , les jambes et les mains sont nettement plus alté
n cas de crampe des écrivains, un tube de caoutchouc noué autour du bras , au-dessus du biceps et laissé en place durant
n bon résultat ; et Tuppert (252) pratiqua trente ténotomies sur un bras sans observer la moindre amé- lioration. On a d
la gymnastique active et passive des fléchisseurs et extenseurs du bras et de l'avant-bras ; les séances ont lieu deux
il à quatre ou cinq mouvements d'extension. b) Le sujet tenant le bras tendu et la main en pronation, une petite balle
nfin saisie au vol. e) Un autre emploi de la canne est celui-ci. Le bras et l'avant-bras ÉlUDE SUR LES CRAMPES PROFESSIO
it doigt passant sur elle. Le sujet reste ainsi quelques moments le bras tendu. Puis il fait tourner la canne autour du
gnées de mouvements de l'avant-bras à partir du coude, et même du bras à partir de l'articulation de l'épaule. L'avant-b
t quelquefois encore une sensation de raideur dans les doigts et le bras , mais très passagère. Il arrive à écrire enviro
u Sénat. Dans le fresque de C. Maccari, il va donc soutenu sous les bras gagner la salle où une foule de sénateurs sont
ent d'un ictus apoplectiforme suivi d'une paralysie delà face et du bras du côté droit, d'aphasie, d'impossibilité de pa
cinq, en moyenne, sans tremblement proprement dit, se propageant au bras et il l'épaule gauches et coexistant avec un mouv
cles seulement. Elle ne peut s'asseoir dans le lit sans s'aider des bras ; il faut remarquer que les fléchisseurs des cu
). ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË S7 sans s'aider des bras , pourvu seulement qu'on la soutienne très légèrem
e. Nous constatons alors qu'il peut se tenir assis sans s'aider des bras si le tronc a une position verticale ou plutôt si
yon dans lequel il peut mouvoir librement le tronc sans s'aider des bras , mais cette région est encore très restreinte.
l peut se fléchir en avant beaucoup plus, quand il s'appuie sur ses bras . En conséquence, il faut conclure que les douleur
cée et le 1er juillet elle peut s'asseoir, presque sans s'aider des bras . b) Observations sans symptômes de méningite.
ade a perdu quelques-uns des mouvements de l'épaule droite; avec le bras gauche il peut faire tous les mouvements, mais la
les membres supérieurs, il n'y avait qu'une incompétence légère du bras droit, qui a disparu en peu de temps. Les réfle
9 août apparaît aussi une parésie du membre inférieur gauche et du bras droit. Elat le 22 août. La malade a tout le dos
ée que très lentement,et maintenant (en février 1909) la parésie du bras droit et du tronc ont disparu, mais la mo- tili
inférieur gauche s'est montrée le matin et, le soir, une parésie du bras droit ; le même jour ont apparu des difficultés
s. Les réflexes abdominaux ont disparu. Il y a une parésie des deux bras très prononcée. La respiration est très difficile
d'atrophie d'un certain nombre des muscles de l'épaule droite et du bras droit au-dessus du coude. Pas de troubles des m
1907, je vois encore le malade. La parésie de l'épaule droite et du bras droit a disparu en grande partie, car maintenant
aintenant on ne peut cons- tater qu'une parésie pour la rotation du bras en dehors et une certaine réduc- tion du petit
de quatre jours et a atteint les membres inférieurs, le tronc et le bras gauche. Pendant les deux semaines suivantes il
ie très répandue dans les deux membres inférieurs et une parésie du bras gauche, surtout de l'épaule. Les muscles du tro
du biceps brachial des deux côtés. Le volume des autres muscles des bras est normal. Le cas suivant a été observé pend
s mouvements des doigts sont normaux. Pas de réflexes tendineux des bras . Pendant les mois suivants la motilité des memb
omplète des membres inférieurs. De plus elle,a senti une faiblesse du bras droit. Elle a été transportée à la clinique le
x jours suivants, nous constatons une augmentation de la parésie du bras gauche. Jamais de symptômes pour ce qui est des n
L'ophtalmoscopie est normale. L'examen répété de la sensibilité des bras ne nous fait constater aucun trouble. Il est évid
vons pour la première fois une amélioration des troubles moteurs du bras gauche. Cela continue les jours suivants et depui
ontinue les jours suivants et depuis elle est notable aussi pour le bras droit. Le 16 novembre, commence une fièvre pas
Le 5 décembre au soir, la malade a une attaque de crampe tonique des bras , avec diffilcuté de parler, mais non de respire
répété ne nous a jamais révélé aucun trouble de la sensibilité des bras , ni à leur face interne ni ailleurs. La motilit
ilité des bras, ni à leur face interne ni ailleurs. La motilité des bras s'est peu à peu améliorée et est maintenant à p
paralysie du tronc et dans les deux jours suivants une parésie des bras également et, au moins pour les membres inférie
été ne nous a jamais révélé aucun trouble net de la sensibilité des bras . Le manque de tout symptôme d'irritation, de to
e temps des troubles moteurs pour les membres inférieurs et pour un bras au moins. Examinons nos observations pour voir
plète du membre inférieur droit, parésie du gauche. La motilité des bras est normale. Il y a une incompétence musculaire
ue le t8 juin. Le malade peut s'asseoir dans le lit en s'aidant des bras , mais ne peut s'y tenir assis sans cela, toutefoi
peut maintenant se tenir assis sans aucun appui et sans s'aider des bras , mais couché, il ne peut se mettre sur son séant
se mettre sur son séant sans s'aider des 428 petren ET EHRENBERG bras . Quand il l'essaie, on voit l'ombilic se déplacer
iron 1 m. 90, mais mince) de tenir le tronc debout sans s'aider des bras , sans que la partie supérieure du tronc tombe e
ible. Les muscles fléchisseurs et extenseurs de l'avant-bras sur le bras offrent, quand on ordonne à la malade de s'oppose
phtalmoplégie : c'est ainsi que la malade qui ne pouvait élever les bras au début de notre examen les élève facilement a
e, ils mesurent jusqu'à l'extrémité du médius 0 m. 845. Lorsque les bras sont pendants le long du corps, l'extrémité du mé
oportion en comparaison à la jambe de ce qu'est la main comparée au bras . Le talon antérieur du pied est très épais et p
fermés : Romberg négatif. Debout il se lient. penché en avant, les bras pendants, le ventre et les ma- melles flasques
, sans verrucosités ; il augmente d'intensité par la compression du bras . La topographie correspond exactement à l'avant
usqu'à 12 centimètres environ du mamelon. Sur la face antérieure du bras , il suit en bande le bord interne du membre, at
branche supérieure de ce fer à cheval croise la face postérieure du bras au niveau de la région deltoïdienne, descend le
end le long de son bord externe, vient vers la partie inférieure du bras apparaître sur sa face antérieure, abandon- nan
s ? ` ? Le mouvement de torsion que présente le naevus au niveau du bras ne peut-il s'expliquer par la torsion embryonna
en arrière est limité de moitié. Le ma- lade ne peut pas lever les bras jusqu'à la verticale ; il lève les jambes au lit
au est forte ou faible. Tous les réflexes distendus, aussi bien aux bras qu'aux jambes, sont exagérés, surtout du côté g
outes sortes de sensibilité dans la partie supérieure du corps, aux bras et au cou. Sensibilité musculaire sans modifica
droite : il n'avait pas trop bu la veille et n'avait pas dormi sur le bras du 510 ROASENDA côté correspondant. Il accusa
s sont bilatéraux et analogues des deux côtés. Rien d'anormal aux bras . Depuis le pli du coude jusqu'au poignet, anesthé
e, on note que l'avant-bras ne peut être complètement étendu sur le bras : pendant que la flexion se peut faire entièremen
Je m'arrêterai peu sur les images radiographiques de la jambe et du bras droit parce que des résultats vraiment importan
.. présente des altitudes catatoniques et cataleptoïdes. Il garde les bras , les jambes dans les positions les plus incommo
et présente des attitudes cataleptoïdes très accusées. Il conserve le bras ou la j ambe en l'air pendant des heures entièr
t la nuit du 29 au 30 sep- tembre, est aussi apparue une parésie du bras droit. Etat le 30 septembre. Il ne reste que qu
AIGUË 549 ment faibles dans les membres inférieurs. La motilité du bras droit est très restreinte. Il y a paralysie du
. Observation XX, jeune homme âgé de 19 ans, d'abord parésie d'un bras et (pendant un temps assez court, parésie moins d
au milieu d'elles brillent deux étoiles symboliques, une sur chaque bras . Il s'agit de « l'étoile du bonheur » et de « l
est surmonté d'une ins- cription : « Souvenir d'Afrique. » Sur le bras droit, une figure grotesque et deux lutteurs, l'u
sus du général Brugère,des fleurs et des dessins fantaisistes. Sur le bras gauche, au-dessous de l'étoile signalée plus ha
attester ses habitudes d'intempérance. Il porte en effet sur chaque bras une figure d'ivrogne dont le nez est pigmenté d
nid dans les fleurs. V... présente quelques autres tatouages sur le bras gauche, sans signification. C'est un pédéraste
ans chaque région inguinale, on note une tête de femme. c) Les deux bras sont très abondamment tatoués. Le bras droit est
e tête de femme. c) Les deux bras sont très abondamment tatoués. Le bras droit est constellé d'étoiles et de fleurs. L'a
connais- sance pour les affiliés d'une bande. La face antérieure du bras , constellée d'é- toiles, porte la figure d'un s
tes féminines qui rappellent à B... des liaisons anciennes. Sur le bras gauche, une femme, un poignard, un coeur transp
elle on lit l'inscription suivante : Mort à l'infidèle. Sur l'autre bras , une étoile avec l'inscription : Victime du milit
'une guirlande de fleurs. Deux oiseaux volent sur chaque épaule. Le bras et l'avant-bras supportent un palmier qui surplom
n suivante : Martyr de l'armée. Déporté à Biribi 1904-1907 . Sur le bras gauche, un poignard, un souteneur et plusieurs fi
. Une femme déguisée en marin fait pendant au mousquetaire ; sur le bras , une tête de femme commune et sans art. Une gui
de ville, gens avec lesquels, à Paris, il eut maille à partir; sur le bras gauche, une bayadère en costume de parade qu'il
ta. Cette figu- rine est surmontée d'un nom : « Marinivah ». Sur le bras droit, une femme presque nue et brandissant un
ses mains réunies, le boit chaud et s'en barbouille la face et les bras . Il porte l'étoile sur l'épaule droite, une tête
l'étoile sur l'épaule droite, une tête de femme et un tigre sur le bras et l'avant-bras du même côté et trois petites éto
if de ton sang... et mon désir se pâme. Il est minuit : je suis aux bras de ma maîtresse ; Je savoure sa chair et je boi
ranches de rosiers garnies de fleurs parsèment sa poitrine. Sur les bras sont tatouées d'autres figurines de femmes. Sur
ne. Sur les bras sont tatouées d'autres figurines de femmes. Sur le bras droit, on voit un bateau dont n'ap- parait que
sans que ton coeur défaille, Sans repos, sans pardon, sans que ton bras tressaille On faiblisse, lutter contre un vol d
émiplégie droite avec contracture, l'avant-bras étant fléchi sur le bras , la main sur le poignet et les deux derniers doig
présentent pas les lésions observées aux régions inférieures. Les bras de la commissure de Wernekink sont grêles; de plu
un foyer de ramollissement ancien vient couper une partie minime du bras gauche de ô10 LEJONNE ET LHERMITTE cette comm
re supérieur droit ; l'enfant s'est mis à fléchir l'avant-bras sur le bras et à porter la main en avant, sur le ventre. Le
thénar et hypothénar sont très réduites de volume. Les muscles des bras et des avant-bras sont égalemenl le siège d'une a
o. Aux membres supérieurs la résistance des mus- cles extenseurs du bras est insignifiante ; aux autres segments on consta
r. La mensuration du crâne donne. 638 MARINESCO ET GOLDSTEIN Le bras , à 37 centimètres : D. 28 centimètres ; G. 28 cen
caliers en s'appuyant à la rampe et en se sou- levant plus avec ses bras qu'avec ses jambes. Ces troubles diminuent dans
ynamométrique on trouve : D : 15 ; G : 20. La mensuration donne : Bras : a) 2 centimètres au-dessous de l'artic. acromio
t flasque, pas de réflexes teudiueux. Il y a une certaine ataxie du bras gauche. La sensibilité est normale, sauf des trou
actile aux pieds et aux doigts. Il peut être assis sans s'aider des bras , mais il y a une faiblesse des muscles abdominaux
éflexes du tendon d'Achille ont disparu. Les réflexes tendineux aux bras sont affaiblis. Les muscles abdommaux se contra
tout flasque. Le malade peut s'asseoir de lui-même sans s'aider des bras . Pas de troubles de la vessie. Les réflexes p
patellaires ont disparu. Il peut encore s'asseoir sans s'aider des bras . Le 11 janvier, on trouve une diminution légère
ssus). Maintenant le malade ne peut plus s'asseoir sans s'aider des bras . La paralysie des parties périphériques des mem
Il ne peut faire l'extension des poignets, même si l'on a donné aux bras une position telle qu'il n'est pas besoin de su
assez grands dans le directions différentes sans s'appuyer sur les bras . Toutefois, il ne peut se flé- chir beaucoup en
iculier. Cequi attire l'attention est une brièveté considérable des bras , tandis que les avant-bras et les membres inférie
-bras et les membres inférieurs ont leurs dimen- sions normales. Le bras est habituellement beaucoup plus long que l'avant
ormales. Le bras est habituellement beaucoup plus long que l'avant- bras . D'après Broca et Topinard l'indice brachial (rap
ren- versées ; les avant-bras sont notablement plus courts que les bras . Sur la ra- diographie, les humérus mesurent (2
ppé pour son âge ; il est bien musclé, spécia- lement au niveau des bras , dont les muscles se sont hypertrophiés, par né-
partie droite du cou sur le maxillaire et à la partie supérieure du bras gauche des cicatrices profondes et irrégulières.
Le malade raconte que dans son enfance il a été opéré au cou et au bras d'abcès froids, ainsi que d'un abcès à l'anus.
-épiphysaire dont ces cicatrices seraient la séquelle. Toutefois le bras gauche, qui est conformé de même, est absolument
jet raconte que ses parents ont remarqué le raccourcissement de ses bras dès sa naissance, bien avant les abcès du bras ;
accourcissement de ses bras dès sa naissance, bien avant les abcès du bras ; ils l'ont remarqué d'autant plus qu'un frère
plus volumineux, parce qu'ils ont besoin de l'être pour mouvoir des bras de levier plus petits, et les saillies d'insertio
ts analogues à ceux qui étaient fournis par la grenouille. ;< Le bras droit du supplicié se trouvant étendu obliqueme
ent. Le résultat final fut un mouvement de rapprochement de tout le bras vers le tronc avec rotation du bras en dedans e
ent de rapprochement de tout le bras vers le tronc avec rotation du bras en dedans et demi-flexion de l'avant-bras sur l
c rotation du bras en dedans et demi-flexion de l'avant-bras sur le bras , véritable mouvement de défense qui projette la m
16 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
fini dans cette position.A d'autres moments, reste étendu à terre les bras en croix. On est obligé de le faire manger. Exa
place, debout au pied d'un ar- bre, immobile, la tête fléchie, les bras pendant le long du corps ; lorsqu'on l'ap- proc
arriver à lui relever la tête, il ouvrir la bouche, à détacher les bras du corps, à vaincre son immo- bilité ; en le ti
ée, on s'était vu obligé d'appliquer des appareils ap- propriés aux bras et aux mains afin d'éviter les ulcérations qu'aur
, pelotonné sur lui- même, les jambes repliées en demi-flexion, les bras également demi-uéchis et appuyés sur la poitrin
d'un geste stéréotypé, fendant l'air devant lui alternativement du bras droit et du bras gauche. Il ne peut expliquer l
otypé, fendant l'air devant lui alternativement du bras droit et du bras gauche. Il ne peut expliquer le pourquoi de ce
e s'est alité. Au lit, il a modifié ses stéréotypies. Il jetait les bras dans le vide, de chaque côté de son lit, en dis
he dans un plan horizontal ; tantôt il est exécuté des deux mains les bras élevés en l'air. Parfois le mouvement de la mai
élevés en l'air. Parfois le mouvement de la main est exécuté seul, le bras et l'avant-bras restant presqu'immobiles : la m
uit sous deux formes différentes. La première est un geste des deux bras rappelant celui du faucheur ; avec un léger mou
ent de rotation de la tête à gauche. La seconde est un mouvement du bras gauche, comme si le malade jetait violemment un o
ans la même position, pendant des jour- nées entières ; debout, les bras légèrement écartés du corps, les mains pen- dan
n atti- tude immuable. Si l'on s'arrête devant lui en élevant les bras en l'air, il se recule comme effrayé, exagérant
, il se recule comme effrayé, exagérant son attitude en serrant les bras contre son corps et criant « non, non, faut pas
les hanches étaient immobilisées, puisqu'elle ne pouvait lever les bras pour se peigner, bien que ses mains eussent con
it peu à peu. Extension lente de l'atrophie à l'avant-bras, puis au bras et à l'épaule. La malade fut soignée quelque te
muscles fléchisseurs et extenseurs de l'avant-bras, des muscles du bras , du deltoïde, du grand pectoral. Le trapèze, les
la malade se fatigue vite lorsqu'elle les fait agir. Les muscles du bras et de l'épaule paraissent intacts. , On note qu
dans le membre supérieur droit, tantôt dans le gauche, au niveau du bras ou de la a main. Etat mental. - A cette époqu
e Aran-Du- chenne ; extension lente aux muscles de l'avant-bras, du bras et de l'épaule gauches. 7. à 8 ans après le déb
s fibrillaires dans les muscles atrophiés. Intégrité des muscles du bras et de l'épaule droits. Arrêt de FiG. 9. - Muscl
comparées à celles prises chez un adulte normal : Circonférence du bras droit : 50 centimètres. Chez un adulte normal :
nférieure de l'avant-bras, la région du coude, partie inférieure du bras , puis se perdant progressivement vers le milieu
férieure du bras, puis se perdant progressivement vers le milieu du bras . Le gonflement est resté stationnaire depuis la
léphantiasique, dans toutes ses parties, sauf la région supérieure du bras . La couleur est blanchâtre, sauf sur la région
le, que devant nous, la malade frictionne énergiquement son. avant- bras pour le décaper de la desquamation qui le recou
nôtre,' où il apparaît à la main d'abord puis à l'avant-bras et au bras , à la suite incontestablement du traumatisme dé
le, très marqué depuis les extrémités des doigts jusqu'au milieu du bras . Pas de troubles de la motilité, ni de la sensibi
nte au sur et à mesure que l'on s'éloigne davantage de la racine du bras ou de la cuisse pour gagner les extrémités. Mais
lade remarquablement indemnes ne sont point ceux d'une obèse. Le bras et l'avant-bras sont surtout infiltrés au niveau
as sont surtout infiltrés au niveau de leur face posté- rieure ; le bras mesure à sa partie moyenne 37 centimètres de circ
utre, le droit, est gonflé, volumineux. Or, ce dernier s'attache à un bras fortement relevé ; même contracté, le pectoral
rochement de ces mêmes insertions qui occasionne l'a- baissement du bras , devrait être au contraire gonflé et volumineux.
e Bouchardon, notamment au sujet du grand pectoral. Par contre, les bras et les jambes sont plus corrects. Mais sur une vu
e par les anatomistes dans leurs descriptions : station droite, les bras tom- bant le long du corps, la paume des mains
embre supérieur est impossible sauf un léger degré d'ab- duction du bras . Le membre inférieur droit est paralysé et en e
timètres au-dessus de l'apophyse styloïde du radius qu'au milieu du bras , mesure 3 centimètres de plus que le droit. Pas
mitif pénètre dans la partie externe de la calotte, et sectionne le bras du tubercule quadrijumeau postérieur en totalité
es les plus internes adja- centes à la capsule du noyau rouge et le bras du tubercule quadrijumeau antérieur en grande p
corps genouillé interne. La lésion détruit ici, dans la calotte : le bras du tuber- cule quadrijumeau postérieur, le ruba
il envahit la calotte pédonculaire, en détruisant là une partie du bras du tubercule quadrijumeau antérieur, le bras du
isant là une partie du bras du tubercule quadrijumeau antérieur, le bras du tubercule quadrijumeau postérieur en totalité,
l'étage antérieur de celui-ci ; dans la calotte, il dé- truit : les bras des tubercules quadrijumeaux antérieur et postéri
o-clinique. LÉGENDE DES FIGURES DES PLANCHES XXXVII A XXXIX BrQa. Bras du tubercule quadrijumeau antérieur. BrQp. - po
remit au lit. Le lendemain, il avait de la difficulté à mouvoir le bras droit, spé cialement pour porter les aliments à
deux jours plus tard, on observa quelque chose de semblable dans le bras gauche. Alors, on consulta un médecin qui fit l
quatre extrémités et du tronc, pouvant se tenir debout ni lever les bras , ni même s'asseoir. On consulta alo séparément
jambes lui faisaient défaut, et qu'il lui en coûtait de mouvoir les bras , ce qui fut imputé à une simple débilité de conva
observait déjà une grande amélioration ; l'enfant pouvait lever les bras presque jusqu'à l'horizontale et les mouvoir da
si, au début, il exista quelque difficulté dans les mouvements des bras et si elle pouvait rester assise ; d'après eux, e
oïde est éga- lement très hypertrophié et il est limité du côté des bras par une dépression profonde. Les trapèzes sont
tension de l'avant-bras, l'adduction, l'abduction et l'extension du bras se font sans aucune force ; les rotations externe
s se font sans aucune force ; les rotations externe et in- terne du bras , le haussement des épaules se font bien. Nulle pa
fait de cette anomalie des clavicules, les mouvements volontaires du bras ne sont pas modifiés, il n'existe pas de mouvem
mouvements anormaux ; mais l'on peut rapprocher fortement les deux bras l'un de l'autre, les mettre presque en contact
éciale du coude. Jl fait saillie en arrière et en dehors du plan du bras , et l'on s'aperçoit à la palpation que cet aspe
apopliyse styloïde du radius : 18,5 à 19 centimètres. Longueur du bras , de l'épicondyle à la coracoïde : ? 5 à 25 centim
e, car chez trois enfants du même âge nous trouvons : Longueur du bras : 26, 5 ; 26, 5 ; 25. Longueur de l'avant-bras
supination ; l'antre, de profil, l'avant-bras à demi fléchi sur le bras . Sur la première radiographie on remarque que l
ennes, sont 240 VIGOUROUX ET DELMAS de proportions normales ; les bras sont gras et potelés, les mains sont grosses et
il se plaignit de xx 17 2C2 RAYMOND ET LEJONNE crampes dans le bras droit ; mais les accidents n'ont réellement frapp
is jamais le malade n'a avalé de travers. Vers la même épo- que son bras droit commença à devenir plus faible. Il y a peu
, au point de vue subjectif; à part quelques fourmillements dans le bras droit, il n'existe aucun phénomène dou- loureux
ite (hémi-anesthésie , troubles trophiques et bulbaires, parésie du bras ) ; c'est d'ailleurs un fait fréquemment signalé d
peut fort bien siéger à la région cervicale dorsale. La parésie du bras droit avec diminution des réflexes tendineux est
a ré- gion cervicale paraît légèrement atteinte (parésie flasque du bras ), mais peu profondément puisqu'il n'y a guère d
é anormale et surtout de gros craquements lorsqu'on fait mouvoir le bras droit. La radiographie montre peu de déformatio
iu (3)], tantôt tout le membre, tantôt seulement l'avant-bras et le bras , toujours c'est la main dont l'hypertrophie est
où A... connut les médecins, les appela par leur nom, etc. Un jour le bras droit sembla parésié ; quand on l'y piquait il
lus de 2 à 4 jours. Depuis plusieurs mois les membres et surtout le bras et la jambe droits présentent un tremble- ment
es. Janvier 1904, troubles psychiques nets, tremblement accentué du bras et de la jambe droite. Exitus en janvier 1905 a
ux. Il n'est peut-être pas sans intérêt clinique de rappeler que le bras et la jambe droite du malade furent affectés d'
ultérieurement. Dissection. Nous avons pratiqué une amputation du bras droit, au tiers supérieur, afin de pouvoir en p
nserver la pièce dans un bon état. Découverte, à la face interne du bras , au niveau de la section osseuse, du nerf média
au niveau de ce qu'on peut appeler les bords interne et externe du bras , la graisse sous-cutanée n'a pas moins d'un cen
gros que la normale ; elle reçoit au niveau de la partie moyenne du bras , perpendiculairement à son trajet, trois veinules
. L'artère et les veines passent, au niveau de la partie moyenne du bras , à la face profonde d'un faisceau apo- névrotiq
sse sur la face antérieure de ce faisceau ; dans toute l'étendue du bras , le nerf est franchement en dedans des vaisseaux.
st franchement en dedans des vaisseaux. A la partie infé- rieure du bras , au voisinage de l'expansion aponévrotique du bic
e s'unissent au reste du muscle, qu'à la partie toute inférieure du bras , alors que le tendon est déjà constitué ; un fais
est composé essentiellement par une veine médiane venue de l'avant- bras , recevant de la profondenr une veine communicante
lus mar- quée ; de ce réseau émerge seulement la veine basilique du bras . L'artère fin- mérale ne passe pas à la face pr
III. - J. Mouchotte, Observation d'amputation congénitale de l'avant~ bras gauche. Soc. anat., Paris, 1903, p. 750. Enfa
s courte partie anti-brachiale. La circonférence prise au milieu du bras du membre amputé est de 15 centimètres ; celle du
érieur droit bien conformé, et le gauche affecté d'hémimé- lie ; le bras de ce côté existait seul ; son volume était norma
raissait être un doigt rudimentaire. IL Enfant de deux ans, dont le bras droit était représenté par un moi- gnon compara
un moi- gnon comparable à celui qui résulterait de l'amputation du bras au-dessous du coude. Le bras gauche et l'un des
lui qui résulterait de l'amputation du bras au-dessous du coude. Le bras gauche et l'un des membres inférieurs étaient aus
et de l'avant-bras gauche. Soc. Biologie, 1852. Femme de 30 ans. Le bras droit est normal, mais le bras gauche n'a que l
Biologie, 1852. Femme de 30 ans. Le bras droit est normal, mais le bras gauche n'a que l'humérus et ressemble à un moig
en cet endroit. On ne trouve aucune trace, aucun rudiment d'avant- bras , ou de main. Les muscles grand pectoral, petit pe
ande impression à la vue d'un mendiant qui lui exhiba un moignon de bras ayant l'aspect de celui de son enfant. VIII.
et jouit de tous les mouvements propres à cette articulation. Le bras est long de 7 a 8 centimètres, et il ne paraît pa
. - M. BLAIN, Hémimélie thoracique droite ; conformation normale du bras , avant-bras rudimentaire . Soc. anat. Paris, juil
semaines après être accouchée de deux jumeaux bien conformés. Le bras se terminait au-dessous du coude, par une sorte d
verger immédia- tement l'un vers l'autre.. Le système musculaire du bras était complet ; mais les muscles, notamment le
t dont le corps, outre la tête, était réduit au tronc et à 'un seul bras , dont il se servait pour progresser, même assez v
4-146. Il s'agit d'un malade de 53 ans, du service de M. Dieulafoy. Bras gauche moins volumineux que le droit, à muscles
ue celui de la main droite. Membre supérieur droit : les muscles du bras ne présentent rien à signaler. A l'avant-bras,
palmaires et un dorsal. Membre supérieur gauche : Les muscles du bras sont normaux. L'avant-bras est normal dans son
léchisseurs communs ; il descend sur la face antérieure de l'avant- bras sans fournir au fléchisseur profond, ce qui est u
ate du côté gauche sont beaucoup plus petites que du côté droit. Le bras ne présente qu'un tronçon d'humérus, de 6 pouces
avec l'omoplate ne présentent d'autre différence dans ce tronçon de bras que leur petitesse. Ceux de la partie interne et
ux de la partie interne et antérieure, et externe et postérieure du bras ne paraissent qu'ébauchés. Le biceps qui était
rties molles de la région interne et antérieure de cette ébauche de bras . XV. G. Hervé, Bull. Soc. anthropol. Paris, 188
la pièce n'a pas été bien fixée. Tous les muscles de l'épaule et du bras ont leur configuration et leurs inser- tions or
eurs arrêts de développement. Du côté du membre supérieur droit, le bras est nor- mal ; l'artère numérale, après avoir f
usqu'au-dessous de la partie moyenne de l'avant-bras (le rapport du bras de levier est donc modifié). Grand palmaire. So
aire. Vaisseaux et nerfs. Ces organes présentent déjà, au niveau du bras et à sa racine un aspect grêle manifeste, et ce
1899, p. 937-942. Hémimélie thoracique gauche ; garçon 15 ans. Le bras a une conformation absolument normale. La radio
0, p. GUI (juillet 1900). Le sujet, jeune homme de 18 ans, avait le bras gauche normalement cons- titué, un peu moins vo
autant plus courts qu'ils restent fléchis à angle assez aigu sur le bras et qu'au pli du coude les parties molles du bras
assez aigu sur le bras et qu'au pli du coude les parties molles du bras se réflé- chissent sur l'avant-bras, en le reco
t. Muscles et nerfs. - A droite ; mouvements de l'avant-bras sur le bras : la flexion est le mouvement le mieux conservé
difformité congénitale du membre supérieur droit. A l'inspection, le bras pa- raît normal, l'avant-bras est atrophié, sa
l'articulation phalango-phalangienne. Membre supérieur gauche. Le bras est normal, mais il y a ankylose du coude ; les
nkylose du coude ; les mouvements de flexion de l'avant-bras sur le bras sont impossibles tandis que les mouvements de p
hémimélie des 330 KLIPPEL ET BOUCIIET deux membres supérieurs. Le bras droit ne présente plus qu'un doigt, muni d'ongl
L'avant-bras extrêmement grêle paraît ne pas présenter de carpe. Le bras gauche possède 3 doigts : pouce, index et médiu
les modes. L'humérus gauche a ses muscles légèrement atrophiés ; le bras en son mi- lieu n'a que 18 centimètres de circo
le bras en son mi- lieu n'a que 18 centimètres de circonférence. Le bras droit à la même hauteur mesure 22 cent. 1/2.
en conformée. Le membre supérieur droit n'est représenté que par le bras dont l'os forme à son extrémité inférieure, com
Malade : 62 ans. Pas de difformités congénitales dans sa famille. Au bras droit, ankylose de l'articulation du coude. Le
t trapézoïde ; des doigts, seuls le pouce et l'index existent. Au bras gauche, il y a également ankylose de l'articulati
teur de l'aisselle; les autres muscles de l'épaule sont normaux. Au bras , il n'y a pas de longue portion du biceps ; la co
reuse qui entoure le moignon ter- minal. A la partie postérieure du bras , il est impossible de différencier un faisceau
ent répondre plus à des muscles de l'avant-bras qu'à des muscles du bras . 334 li KLIPPEL ET BOUCHET .1 Les nerfs ont é
ie obser- vant l'escadre d'un fort du littoral, étendit soudain les bras comme pour empêcher le navire de sombrer et s'é
mond et G, Guillain (6), le tableau clinique était le suivant. Au bras droit il existait une impotence fonctionnelle des
supérieur droit la thermo- anesthésie était très prononcée, sur le bras gauche les erreurs d'interprétation des sensati
néralisées à tous les rameaux nerveux de la main. Dans les nerfs du bras (médian, cubital), l'examen histologique montrait
l inguinal. Les poils sont assez abondants au pubis, rares sous les bras ; la barbe et la moustache sont moyennement fou
é, du fait de l'agent constricteur, déviés en dehors; plus tard, le bras augmentant de longueur, ils ne se sont plus trouv
ils ne se sont plus trouvés correspondre à l'extrémité terminale du bras . Il remarque une preuve en faveur de la suracti
n ; 3° les muscles qui s'insèrent sur le tiers inférieur de l'avant bras ont disparu. Ce fait est surtout im- portant po
us avons tenté d'en établir une classi- fication. B. Au niveau du bras où il y a relativement peu de troubles, les ano
es points où le trouble pathologique est à son minime degré. ' Au bras , en effet, on constate le volume considérable du
est celui d'une anomalie de l'humérale qui perfore l'aponévrose du bras au-dessus du niveau du pli du coude ; ce n'est
ES TISSUS 407 Par contre l'absence totale de la veine céphalique du bras est reconnue des auteurs classiques, Au nivea
378. BLAIN. - Hémimélie thoracique droite ; conformation normale du bras , avant-bras rudimentaire. Soc. anat. Paris, jui
n (Paul). - La nature, 12 janvier 1901, p. 101 (IJuthan, l'homme sans bras , acrobate et nageur). nIAHAIt6T DU BASTY (de
omhre de particularités : la taille est de 1 m. 55, l'envergure des bras de 1 mètre 615 mill. (PI. LXXV). Tête : Les dim
orsale et une lordose lombaire. Membres supérieurs : Longueur des bras : 26 centimètres (de l'acromion à l'épicondyle).
qui est en quelque sorte globuleuse, et les petites dimensions des bras , surtout du bras gauche. A ce sujet il dit qu'il
ue sorte globuleuse, et les petites dimensions des bras, surtout du bras gauche. A ce sujet il dit qu'il a toujours eu le
ras, surtout du bras gauche. A ce sujet il dit qu'il a toujours eu le bras gauche plus petit et que cela ne l'a jamais ent
s. Frappé par sa petite taille, sa grosse tête et l'exiguïté de ses bras , le rapprochement s'imposait à première vue. Bi
e le relâche- ment musculaire complet. Le phénomène de la chute des bras se constate facilement : si l'on soutient l'un
a chute des bras se constate facilement : si l'on soutient l'un des bras avec la main et qu'on demande de le laisser ret
ente musculaire im- médiate et absolue ne peut pas être obtenue. Le bras reste étendu trop longtemps, ou sa chute n'est
on et extension. Mouvements élémentaires des épaules, du torse, des bras . Exercices combinés des différents segments du
dans la région du trapèze, surtout lorsqu'il fait des mouvements de bras . L'état mental de Taurone s'est aussi modifiée
ques minutes tous les jours. Devant miroir les exercices assis, les bras reposant sur la table, étaient relativement facil
vissait surtout dans l'articulation de l'humérus, s'irradiait dans le bras , et venait unir en fourmillements à l'extrémité
ique avec quelques incorrections, les mouvements des épaules et des bras . ' 2° Je suis loin encore de l'aisance et de la
sont convenables, la flexion aussi. Les mouvements des épaules, des bras (surtout dans l'élévation verticale) et ceux du t
tentatives de combinaison des mou- vements de la tète avec ceux des bras , des épaules et du buste, mais j'attends pour l
us d'assouplissement, j'exécute tous les mouvements de la tête, des bras , des épaules et du buste ; c'est mon pro- grès
que je ressens ; c'est au contraire une sorte d'engourdissement du bras , et surtout de la main, avec tremblement à peine
ticolis. b) Qu'il s'accompagne d'une sensation d'engourdissement du bras et de la main du côté droit (côté du sterno-mas
mblement, ainsi que d'une sensation douloureuse dans l'épaule et le bras droit. c) Qu'il ne se produit pas seulement à l
t, les difficultés dans quelques-uns des mouvements d'élévation des bras ,de leur circonvolution autour de la tête et de
mouvements simples ; quelques mouvements combinés de la tête et du bras droit surtout, comme le port et les frictions de
une petite gène pour certains mouvements combinés de la tête et du bras droit, qui d'ailleurs s'atténue peu à peu. Le
17 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
ve vite. 11 ne précise' pas nettement le début des déformations des bras . Quant à celles du en/ne, elles semblent remonter
corps ramassé sur lui-même penche en avant, l'abdomen saillant, les bras dans cette po- sition semblent trop longs pour
me. C'est à peine s'il a remarqué la déformation très accentuée des bras , à (1) Cette observation a été recueillie en 1S
ble évasé comme un bassin de femme. Les déformations du thorax, des bras et des jambes donnent au malade debout l'attitu
es jambes écartées, en arc de cercle, le corps penché en avant; les bras pendants et incurvés semblent trop longs. La ta
droite couvre de larges plis la partie inférieure de son corps. Le bras droit, le torse, le centre et le haut des cuiss
d'une sorte de chemisette a plis onduleu; élève vers le dieu ses deux bras nus entourés de serpents (2), tandis qu'elle ba
onieux jusqu'au sol, se ren- verse brusquement en arrière entre les bras d'un homme qui s'avance pour la retenir. Cet
à l'appui de celte opinion. Enfin les serpents qui entourent ses bras indiquent bien qu'il s'agit d'une (1) Voy. Paus
ste, les prêtres avaient coutume d'enrouler des serpents autour des bras des prophétesses, afin de frapper l'esprit des co
e simplement l'origine. L'homme qui reçoit une des femmes entre ses bras , n'est qu'un comparse sans im- portance. Et la
s des danses bachiques figurées. Mais la femme assise, qui lève les bras en l'air, et qui semble absor- bée par une visi
d'elle-même. Elle en est vraiment possédée. La pythonisse élève ses bras vers le dieu. C'est un geste qui n'est pas rare
e. L'autre ménade, qui se renverse brusquement en arrière entre les bras de l'homme qui la soutient, est encore plus int
rchaisme de la composition : l'artiste a su traiter le torse et les bras avec une grande sou- plesse, et il faut admettr
ographie du bas-relief lui-même, en flexion un peu exagérée vers le bras . Je n'aurais pas attaché de valeur à ce détail,
sentant des démoniaques on retrouve le comparse qui reçoit dans ses bras la possédée, et qui cherche, assisté par- fois
droite, où est figurée une hystérique tombant en attaque entre les bras du chef de clinique qui se précipite pour la re
ne ses formes. Le cou et le torse nus sont ornés de colliers, elles bras , nus également, de bracelets. De la main droite
brise pendant sa chute. L'hermaphrodite ailé qui la reçoit dans ses bras , est une de ces ligures énigmatiques si fréquem
sur la paume, et la main entière est en flexion forcée sur l'avant- bras Celui-ci même, plié à angle droit sur le bras,
forcée sur l'avant- bras Celui-ci même, plié à angle droit sur le bras , semble indiquer que la raideur a déjà envahi t
rsée d'une façon excessive, et le cou proéminent (Fig. 11) (1). Les bras harmonieusement disposés indiquent cependant des
embres contorsionnés, des serpents dans leurs cheveux et autour des bras . Elles ont de grandes analogies dans le geste et
d sur l'autre, accélérant ou ralentissant sa marche, et élevant les bras qu'elle agite au- dessus de sa tète.. Elle po
par l'intermédiaire de laquelle le poids du tronc avec la tète et les bras se transmet aux membres inférieurs. Nous avons
t ligne de gravité passant très peu en avant du centre d'appui, le bras de la résistance est fort court et celui de la
fil de la station droite prenait un aspect disgracieux et lorsque les bras tombaient naturellement le long du corps, les m
ar exemple, ou bien lorsque des haltères sont maintenus au bout des bras horizontalement tendus en avant, le corps prend u
se renverse de côté pour le même motif. De plus il étend souvent le bras du côté où il penche pour déplacer davantage le
avant si la jambe est portée en arrière. La plupart du temps, les bras s'écartent du torse et, par leurs mouve- ments,
aux parties. Puis elle a eu une éruption de boutons rouges sur les bras , non prurigineux. Enfin elle a perdu ses cheveu
eur articulaire du coude et par la douleur que le malade éprouve. Bras amaigris dans leur ensemble, sans atrophie muscul
lade ne peut exécuter qu'un mouvement très incomplet d'élévation du bras . Les mouvements imprimés à l'articulation de l'ép
yphilitique, qui avait été pris de douleurs dans le cou et dans les bras , puis de raideur de la nuque et finalement de p
as, puis de raideur de la nuque et finalement de paralysie des deux bras . L'examen nécroscopique montra une pachyméningi
ce, car le Fit. 40. 132 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE bras de levier auquel ils s'attachent est fort court.
ion anor- male des omoplates, la lordose lombaire, la faiblesse des bras et des cuis- ses, tandis que les avant-bras son
de la moitié supérieure du corps, de la ceinture scapulaire et des bras . « La localisation de cette atrophie, dit Erb, es
. XVIII). Membres supérieurs. Les deltoïdes sont très diminués ; le bras ne peut ni d'un côté ni de l'autre être amené à
Les fosses sus et sous-épineuses sont aussi excavées. Les muscles du bras sont certainement atrophiés, quoique la diminut
résistance soit très difficile ;main- cre. La flexion de l'avant bras est possible, mais difficile. L'extension de l'av
l'avant bras est possible, mais difficile. L'extension de l'avant- bras est faible. Les muscles de l'avant-bras sont au
surtout marquée dans les mus- cles de la ceinture scapulaire et des bras . Aux avant-bras les altérations de l'excitabili
aux JO X cr TA B 1 L r T ÉLECTRIQUE DES NERFS ET DES MUSCLES 161 bras . Aux mains la diminution de l'excitabilité électr
0'nm ; C. assez fortes à 90 ? ; les C. produisent le déplacement du bras u 8m ? à gauche : C. minima a 103 ; C. avec dép
du bras u 8m ? à gauche : C. minima a 103 ; C. avec déplacement du bras à 90. (Bien que la contractilité faradique soit
que soit plus forte à gauche qu'à droite, l'élévation volontaire du bras est plus faible, ce qui tient à ce que l'in- su
peu limitée. De même l'extension com- plète de l'avant-bras sur le bras ne peut être obtenue volontairement, ni passive
leur plus grande extension possible les avant-bras forment avec le bras un angle d'environ 1700 ouvert en avant. Les avan
nt avec le bras un angle d'environ 1700 ouvert en avant. Les avant- bras sont aussi inclinés sur le bras de dedans en deho
on 1700 ouvert en avant. Les avant- bras sont aussi inclinés sur le bras de dedans en dehors et de haut en bas, formant
force notablement diminuée : dans la flexion de l'avant-bras sur le bras , la contraction du long supinateur est très manif
rsaux : C. minima à 95mm. NERF radial (au niveau du bord externe du bras , il la partie inférieure de la gouttière de tor
C'est un an après, à 17 ans, qu'il a remarqué que ses épaules et ses bras devenaient faibles, particulièrement dans les m
viennent surplomber les clavicules, si le malade essaie de lever les bras . Leur face postérieure regarde en dehors ; leur
aillantes, sont dirigées horizontalement de dehors en dedans. Les bras sont très grêles ; il semble que les muscles ont
ès disparu. Quanl aux avant-bras, ils forment un contraste avec les bras il canse de leur volume et de leur forme relati
e épi- neuse de 6 il 7 cm. Lorsque le malade cherche à élever les bras , ce qu'il ne peut guère faire que latéralement,
guère faire que latéralement, sans atteindre l'horizontale, car les bras ne s'écartent guère du tronc au delà d'un angle
ez considérable qui contraste avec l'atrophie énorme des muscles du bras . Portion antérieure : à droite, n'est que peu a
'apparence normale contrastant avec la maigreur extrême de ceux des bras . Toutefois le long supinateur et les radiaux so
a- chial antérieur pour produire la flexion de l'avant-bras sur les bras , mais ne peut opposer dans ce mouvement qu'une
Usion des cartilages costaux inférieurs, plus accentuée à droite. Bras . Les masses musculaires des deltoïdes semblent to
moplates sont projetées en arrière comme des ailes. Les muscles des bras et des avant-bras sont notablement affaiblis. (Br
Les muscles des bras et des avant-bras sont notablement affaiblis. ( Bras : 6 pouces 1/4. -- Avant-bras : 7 pouces). Des
l'extension passive que dans la flexion. La main tombe sur l'avant- bras et s'incline vers le bord cubital. (I'l. XXII). L
ri- mitive. (PI. XXII). L'atrophie semble un peu moins accusée au bras et à la jambe gauches que du celé droit ; mais
paraît pas retardée. La force de contraction des fléchisseurs des bras et des jambes, bien que beaucoup plus grande qu
évrier 1894) la malade est incapable de se nourrir toute seule. Les bras et les jambes sont repliés sur eux-mêmes par le
et des muscles ont disparu. La circonférence des membres gauches ( bras , avant-bras, cuisse, jambe) excède celle des memb
et A.C.C. se rapprochent l'un de l'autre. Dans les fléchisseurs du bras et de la jambe l'excitabilité galvanique est lé
, un enfant porté sur les épaules d'un homme lève en l'air ses deux bras très amaigris et terminés parties mains difform
qui en sont la conséquence. Sur la même fresque, un homme étend son bras à l'extrémité duquel la main tombe comme dans l
s osseuses dans des sortes de pseudartliroses identiques a celles des bras et des jambes d'un polichinelle. Mais il est ra
n existe plus trace dans la capsule articulaire. On peut tourner le bras dans tous les sens, autour de son axe longitudi
ès. L'oedème avait disparu, mais la malade ne pouvait pas lever son bras . On remet le membre dans l'appareil qu'en en- l
es mains et de ses avant-bras. Kilo ne peut pourtant pas élever ses bras jusqu'à l'horizontale. Les troubles de la sen
point de départ de l'arthropathie a été un mouvement d'élévation du bras . Dans l'observation XII de G. Hoff- mann, l'art
latéralité sont abolis. La supination est impossible pour l'avant- bras . Mensurations comparées des deux membres. UN
n des doigts) n'esl. pas très manifeste au niveau de l'épaule et du bras . Elle s'accuse surfont au niveau du tiers infér
Du reste, les divers segments de ce membre supérieur droit (épaule, bras , avant-bras, carpe et méta- carpe) ont conservé
ntracture. Le torse nu est bombé, le ventre un peu en retrait. Le bras droit est tendu en haut, le poing fermé, les musc
scles conlractés. L'avant-bras gauche, replié à angle droit, sur le bras encadre la tète ; le poing est fermé, mais natu
e moins mouvementée. On peut lui reprocher surtout la position du bras droit et de la jambe gauche, complètement tendu
ment tendus suivant la môme ligne oblique, tandis que le m ... Il bras gauche et la jambe droite sont repliés tous les d
, sauf au niveau de l'hypothénar droit qui est aplati. Paralysie du bras droit ; elle diminue il mesure que l'on se rappro
volontaires du membre en totalité sont peu étendus ; l'abduction du bras atteint il peine un angle de 45°. Les mouvements
es mouvements passifs sont libres dans tous les sons. En élevant le bras la hauteur du corps on produit une luxation s,o
l'aisselle ; en l'abais- sant, la réduction se produit. Lorsque le bras est en repos, la tête de l'humérus est sentie e
ments du membre supérieur gauche sont libres, sauf l'éléva- tion du bras qui est limitée. Les membres inférieurs ne prés
fiúritlaÍ1'(' dans les muscles de la région postérieure de l'avant- bras droit. Le réflexe patellaire est un peu augment
région de la face antérieure de l'épaule ; normale sur le reste du bras droit'et du corps. Sensibilité ci la chaleur,
nsibilité abolie à 50°, face interne insensible il 40°; le reste du bras et l'épaule est sensible à 35°. La sensibilité du
eur sur le dos de la main ; complètement abolie il l'avant-bras. Au bras , diminution dans la région antéro-externe; sen-
- connaît bien la position donnée il la main, il l'avant-bras et au bras . La sensibilité des muqueuses paraît normale.
lement (mi-juin) elle est en luxation postéro-exlernc ; en élevant le bras , on produit facilement la luxation de la tête e
e. On entend des craquements très manifestes il chaque mouvement du bras . Il n'y a aucune douleur ni spontanée, ni au mome
elle que l'on constate au niveau des doigts et des articulations du bras . Ce cas vient à l'appui de la théorie attri- bu
au cours du tabes (1). Un ataxique, par exemple, garde parfois les bras étendus horizontalement pendant vingt-cinq mi-
il n'en est pas avisé. S'il peut maintenir vingt-cinq mi- nutes les bras étendus, du moins ne peut-il pas les maintenir ai
le par le corps toxique est le môme, celle différence près, que les bras retombent le long du tronc, réellement fatigués
e chez laquelle les deux membres paralysés et, plus spécialement le bras gauche étaient le siège d'une vive douleur. Or
rse rct.ro-o)6- crânienne, puis oedème s'étendant jusqu'à moitié du bras et de l'avant-bras : Fig. 80.- Arthro- pathie
merai, et une déviation à 40° de l'axe de l'avant-bras sur l'axe du bras , dans l'extension du membre. En somme il s'agis
glorieuse Reine des anges lui apparut, son très cher Fils entre ses bras , l'éclairant de sa splemlide lumière, le charmant
che demi-close ; la tête tombe mollement sur l'épaule gauche, et le bras du même côté pend, flasque. Tout le corps s'aband
me côté pend, flasque. Tout le corps s'abandonne, inerte, entre les bras de l'homme qui fait effort pour le soutenir. C'es
autres miracles. « Une honnête femme avait depuis fort longtemps un bras desséché au point do ne pouvoir s'en servir. El
nte cette scène montre bien l'attitude caractéristique dela main etdu bras . « C'est encore par la vertu du signe de la cro
e est totalement paralysé ; les doigts, la main, l'avant-bras et le bras sont tout à l'ait immobiles. Il est flasque, mais
culaire en masse. Le périmètre donne les chiffres suivants, pris au bras il 15 centimètres au-dessus de l'olécrane et à
res au-dessus de l'olécrane et à 8 centimètres au-dessous à l'avant bras . Bras gaucho = 18 cent. Avant bras gauche = 16
essus de l'olécrane et à 8 centimètres au-dessous à l'avant bras. Bras gaucho = 18 cent. Avant bras gauche = 16 cent.
centimètres au-dessous à l'avant bras. Bras gaucho = 18 cent. Avant bras gauche = 16 cent. Bras droit = 20 cent. 1/2 Ava
l'avant bras. Bras gaucho = 18 cent. Avant bras gauche = 16 cent. Bras droit = 20 cent. 1/2 Avant bras droit t = 18 Il
cent. Avant bras gauche = 16 cent. Bras droit = 20 cent. 1/2 Avant bras droit t = 18 Il n'y a pas d'autres troubles tro
A cette époque il remarqua, dit-il, en se couchant le soir que son bras trem- ])lait. Cela se serait reproduit 2 ou 3 j
en effet considérable, et, de plus les mouvements de l'épaule et du bras gauche restaient restreints., et difficiles. Ce
recouvrant en calotte l'épaule et descendant sur le bord externe du bras et de l'avant-bras, jusqu'à la pointe du radius
fonctionnement nor- maux. Sans aucun fourmillement, sans fatigue du bras si impuissant jadis, mon opéré qui reste debout
18 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
sse dans les jambes. Bientôt elle ne put marcher que soutenue par les bras (45 ans). Elle est alors entrée à l'hôpital Saint
épingle par exemple. Jusqu'en 1867, elle se servait assez bien de ses bras . Les fonctions respiratoires et circulatoires s'a
; si on la soulève pour la remettre debout, elle oublie de lâcher les bras du fauteuil. Membres supérieurs. La malade serr
Au bout de trois jours, le gonfle-ment a disparu à l'avant-bras et au bras : l'épaule seule est restée volumineuse. En appuya
main sur cette articulation et en fai-sant exécuter des mouvements au bras , on perçoit des craque-ments. Période d'état. 1
ien dans le coude ni dans le poignet gauche, ni dans les jointures du bras droit. 2 août. Cette femme a été prise d'une di
14 déc. Hier soir et cette nuit, agitation, mouvements convulsifs des bras . Le malade dit souffrir beaucoup de la tête et de
ent de gauche à droite et de bas en haut. Le dos regarde en avant; le bras droit appuie sur le pubis; le gauche est caché so
e sous-jacente. Un garçon de 21 ans, forgeron : longues fatigues du bras ; puis, à la suite des douleurs vives à l'extrémi
ras ; puis, à la suite des douleurs vives à l'extrémité supérieure du bras droit, le surlendemain, aspect typhoïde. (Fournie
e surlendemain, aspect typhoïde. (Fournier.)—Un garçon de 12 ans a le bras droit fortement tiraillé en amenant à lui un sac
) — C'est une fille de 30 ans qui porte, un temps assez long, sur son bras nu, du linge qu'elle vient délaver. (Verneuil.) —
d'un côté sur l'avant-bras et de l'autre jusqu'au tiers inférieur du bras . (Charcot, Archives de physiologie, 1868, p. 162.
y avait une tuméfaction, un empâtement de l'avant-bras, et surtout du bras et de l'épaule. Ce symptôme,— le gonflement,— a
fois le siège de la maladie, et chaque fois l'af-fection occupait le bras droit. Ce singulier privilège s'explique sans nul
e sans nul doute par les mouvements continuels qui se passent dans le bras droit, tandis que le bras gauche, qui demeure hab
ouvements continuels qui se passent dans le bras droit, tandis que le bras gauche, qui demeure habituellement au repos, se t
ment des membres supérieurs, surtout à droite. Peu de temps après, le bras droit fut pris à son tour, de sorte que l'ataxie
cle deltoïde. La tumeur est plus saillante en avant qu'en arrière. Le bras etl'avant-bras sont le siège à'mi œdème considéra
égulière, dure, qui se déplace lorsque l'on imprime des mouvements au bras : cette saillie n'est autre que la tète de l'humé
teinte d'atrophie musculaire progres-sive qui avait d'abord occupé le bras gauche, puis le droit. Alors que, vers la troisiè
Elisabeth W. ., à l'âge de huit mois, perdit graduellement l'usage du bras droit ; au bout de 15 mois (avril 1857), le gauch
airement. Le système musculaire était en général affaibli, surtout au bras . La peau, toujours chaude, transpirait li-brement
épaule, comparativement à la droite, est moins arrondie ; — 2° que le bras est en quelque sorte collé contre la paroi thorac
paroi thoracique ; — 5° que Yavant-bras l'orme un angle droit avec le bras ; — 4° que la main, et nous insistons sur ce poin
mouvements de l'épaule sont assez étendus : la malade peut élever le bras horizontalement, le porter dans l'adduction et da
ur de ta clavicule. .......... 14 — 15 — Lecom... ne se sert de son bras gauche que pour appuyer, pour presser. Elle trava
e la nuque et de la région cervicale postérieure, s'irradient dans le bras et le coude; — 2° des douleurs vives dans le poig
e développement qui n'in-téresse que l'avant-bras. En effet, les deux bras ne paraissent différer ni dans leur volume ni dan
tale inférieure. 2° Description des parties molles. — A. Muscles du bras Le biceps s'insère à la tubérosité bicipitale. —
emi. L'avant-bras mesure huit centimètres. A gauche, la longueur du bras est de treize centimètres et demi; mais Y avant-b
centimètres et demi. (Voy. planche XI, fig. 1.) La circonférence du bras , à la partie moyenne, est de douz.e cen-timètres
sion du cou, déviation énergique de la face vers l'épaule «auche ; le bras gauche se soulève, se roidit, les membres inférie
gauche au contraire est très-bombée, normale. La longueur des deux bras est à peu de chose près la même : ils mesurent en
différences assez notables : tandis que la mensuration donne pour le bras gauche 28 centimètres près de la racine du membre
i à la partie moyenne, 23 centimètres et demi près du coude ; pour le bras droit nous ne trouvons que les dimensions suivant
star d'un gland ou d'un clitoris. Dans la flexion du moignon sur le bras , le sillon qui circonscrit le mamelon se creuse ;
r. 1 Ces détails se voient bien sur la planche XV qui représente le bras placé sur un support; le moignon est fléchi, mais
e sillon au niveau du pli du coude, le moignon ne se distingue pas du bras . PATHOLOGIE INTERNE DE LA TEMPÉRATURE DANS L'
soit de la langue. Membre supérieur droit (paralysé). Au repos, le bras s'appuie le long du thorax; l'avant-bras, à peine
i donne l'aspect d'un crochet. (Voy. Planche XVI.) La malade élève le bras jusqu'à la ligne horizontale, porte la main au fr
douleurs et craquements dans l'épaule, mais aucune douleur le long du bras ni dans les autres jointures. Toutefois, au momen
ives des deux membres supé- rieurs 1 : DROIT GAUCHE Longueur du bras ......... 46,5 cent. 52 cent. Circonférence du b
HE Longueur du bras......... 46,5 cent. 52 cent. Circonférence du bras au-dessous de l'aisselle............. 21,5 — 29
u-dessous de l'aisselle............. 21,5 — 29 — Circonférence du bras (partie moyenne). 20,5 — 24 — — du coude.......
longs ; lorsqu'ils sont dans l'ex-tension, l'avant-bras forme avec le bras un angle obtus ouvert en dedans. L'humérus droit,
erver dans le service de M. Giraldès, le malade ne pouvait mouvoir ni bras ni jambes, à cause des vives douleurs que provoqu
n temps on observe des mouvements de flexion des avant-bras sur les bras . La contracture varie : tantôt elle est très-accu
s successivement les passer en revue. Membre supérieur gauche. — Le bras parait bien conformé; il est cependant moins déve
l'amener jusqu'au niveau de sa bouche. Membre supérieur droit. — Le bras est bien conformé; il en est de même de l'avant-b
xiste du membre intérieur droit. C, jambière à rallonges. pemcnt du bras gauche et de la main droite (hémimélie), et un ar
t à douze ans environ. — Déformations de la main, de l'avant-bras, du bras et du thorax, principalement du côté gauche. — Dé
a faiblesse, et quelques contrac-tions musculaires involontaires; son bras conservait son volume habituel. Au bout de quelqu
ablement, et c'est alors qu'il s'aperçut que la faiblesse gagnait son bras droit, et qu'il ne pouvait continuer longtemps so
emps son travail. Les mêmes contractions qui le tourmentaient dans le bras gauche s'emparèrent du bras droit, qui s'atrophia
contractions qui le tourmentaient dans le bras gauche s'emparèrent du bras droit, qui s'atrophia à son tour, et bientôt l'at
oi qu'il en soit, voici l'état actuel du malade, en commençant par le bras gauche, celui où les déformations sont le plus ac
pré-sente plutôt des dépressions au niveau de l'espace interosseux. Bras gauche. — L'atrophie porte aussi sur tous les mus
seux. Bras gauche. — L'atrophie porte aussi sur tous les muscles du bras gauche ; l'humérus n'est plus enveloppé que par u
échisseurs existent encore, et le malade peut les faire contracter. Bras gauche. — Le bras a seulement diminué un peu de v
t encore, et le malade peut les faire contracter. Bras gauche. — Le bras a seulement diminué un peu de volume, Il E VUE
B avec un entonnoir de verre dans le fla-con. Après avoir bandé le bras du malade, comme pour une saignée, on découvre la
. . . — sous-claviculaire. . — axillairc..... Sein.......... Bras ..........• Cuisse.......... HOMMES 56 1 1
la ba-taille de Cbampigny, le 50 novembre. A la face antérieure du bras droit, au niveau du Y deltoïdien, est l'orifice d
ANNÉE. 10 à la résection ; sur la face antérieure de l'épaule et du bras , de façon à passer par l'ouverture d'entrée de la
est couché horizontalement dans son lit, la tête sur un coussin. Son bras mis dans une gouttière est maintenu dans une po-s
n tube à drainage qui occupe toute la plaie. A la partie interne du bras , dans la gaine du biceps, il se forme une petite
heures chaque jour, et il finit par se lever le 20 janvier. Alors son bras est soutenu par ui e écharpe. 21 janvier. Je tr
n pertuis que j'explore sans trouver le plus petit corps étranger. Le bras est tou-jours porté en écharpe. 15 octobre. Gim
t par Paris, vient me voir. La plaie est complètement cicatrisée. Son bras est dans l'état où il est représenté planche XXVI
as est dans l'état où il est représenté planche XXVII. Les muscles du bras sont solides et assez volumineux. Les plis, dus a
ait disparu. Les tissus se sont appropriés à la nouvelle lon-gueur du bras . Le raccourcissement, si apparent dans la planche
os une véritable fausse articulation. La planche XXVIII, montre le bras porté en arrière, le coude sail-lant, et l'avant-
ation en dedans de l'humérus. Jusqu'à présent il écarte très-peu le bras du tronc, et il ne fait pas du tout le mouvement
ronc, et il ne fait pas du tout le mouvement de rotation en dehors du bras . L'avant-bras se fléchit très-bien sur le bras,
otation en dehors du bras. L'avant-bras se fléchit très-bien sur le bras , et Gimel a l'usage complet de sa main, sauf lors
orsqu'il faut la porter en dehors, l'avanl-bi us étant, fléchi sur le bras . Alors il est obligé de la conduire avec l'autre
en qu'il ne puisse jamais faire le mouvement de rotation en dehors du bras , car les muscles principaux de cette rotation en
rs du bras, car les muscles principaux de cette rotation en dehors du bras , le sous-épineux et le petit rond, ne peuvent plu
. Chez cette dernière malade, en effet, la main forme avec l'avant - bras un angle droit. Nous retrouvons encore cette même
à diminuer au bout de deux mois. A une certaine époque, gonflement du bras et de la main ; cet accident reviendrait de temps
ent reviendrait de temps en temps. État actuel (1862). Paralysie du bras droit avec roideur et flexion très-légère de l'av
bras droit avec roideur et flexion très-légère de l'avant-bras sur le bras et des doigts sur la paume de la main. La malade
petit. — La malade a toujours, par in-tervalles, des douleurs dans le bras droit. Il n'y a pas de change-ment appréciable de
e la température. Au-jourd'hui, 24 mars, la main, l'avant-bras, et le bras sont plus froids à droite. La différence est beau
ont plus froids à droite. La différence est beaucoup moins grande aux bras qu'aux mains. De même pour les membres inférieurs
s de paralysie fa-ciale. Membre supérieur droit. La malade élève le bras jusqu'à l'hori-zontale; l'adduction et l'abductio
nce. T... tient d'habitude Y avant-bras fléchi à angle droit sur le bras ; on parvient aisément à le mettre dans l'extensi
on est arrêté par la douleur. La main est à angle droit sur l'avant bras , les doigts sont fléchis. Voici leur disposition
nce du poignet...... 14 — 14 — — du coude....... 19 — 19,2 — — du bras (1/3 inf.) . . . 20 — 20 — 1 A partir de cette
e l'apophyse de la septième vertèbre cervicale et s'irradiant dans le bras droit. C'est aussi sur ce point que se sont manif
tôt, alarmé par l'irré-gularité toujours croissante des mouvements du bras , il consulta un praticien de la ville, qui le tra
côté du membre supérieur droit à l'usage habituel que nous faisons du bras et de la main droite : chez notre malade, les con
notre malade, les conditions se trouvent renversées, puisque c'est du bras gauche qu'il fait habi-tuellement usage; il ne fa
de ce malade. gauche. droite. 24 nov. 27 nov. Circonférence du bras au-dessous de l'aisselle............ 35*,H 31 %
essous de l'aisselle............ 35*,H 31 %5 25 cent. Circonf. du bras (partie moyenne). . 51 28 20,5 Circonférence du
19 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
hémiplégie droite. Perte absolue de la sensibilité et du mouvement au bras droit, sensibilité obtuse et conservation partiel
droite est d'abord paralysée, puis, au bout de quelques instants, le bras droit refuse son service. Observée dix minutes ap
- Charcot. Evrard (Marie-Thérèse), 70 ans — Cette femme, amputée du bras gauche éprouvait des sensations subjectives clans
n parle d'une attaque antérieure d'apoplexie ; elle était inhabile du bras gauche, a peu près démente, mais elle marchait. E
Elle prend bientôt de l'œdème dans les membres inférieurs et clans le bras paralysé, et enfin des abcès multiples. — Elle me
st normale. Le malade marche bien, et est un peu moins vigoureux du bras et de la jambe du côté droit que des membres du c
connaissance avec mouvements convulsifs du côté droit de la face, du bras et de la jambe du même côté. Le lendemain, 12,
les yeux ouverts et sans regard ; on lui parle, il ne répond pas. Le bras et la jambe du côté droit sont complètement paral
vement et fléchissent par moment la tête sur l'épaule droite; puis le bras droit s'agite par des mouvements alternatifs de f
ec paralysie in complète du côté gauche et mouvements convulsifs du bras droit. A l'autopsie, on reconnaît dans toute la
rtie. En effet, à l'aide de certains gestes qu'elle exécutait avec le bras et la main gauche, cette malheureuse infirme parv
tervalles très rapprochés. Cependant, les mouvements des mains et des bras sont libres et ne présentent encore qu'à un faibl
ndait d'un côté sur l'avant-bras, et de l'autre au tiers inférieur du bras . Les parties tuméfiées offraient une consistance
aide de deux personnes, et elle doit s'appuyer fortement sur les deux bras qui lui servent de soutien lorsqu'elle veut essay
r et faire quelques pas autour de son lit; elle peut aussi élever son bras plus haut qu'elle ne le faisait d'abord;—? physio
s très manifes-ment par une pression exercée sur la partie interne du bras , en dedans du bord interne du biceps, — Ali membr
respondant du côté gauche ; le premier est dans toute son étendue, au bras comme à F avant-bras, manifestement plus volumine
rence d'injection vasculaire. (PL IV, figure 7, A. B.) Les muscles du bras ont paru présenter des deux côtés les caractères
Toute sensibilité n'y est pas éteinte, car lorsqu'on pince la peau du bras ou de l'avant-bras la malade donne des signes de
du membre supérieur gauche. — Les muscles de la partie antérieure du bras et de l'avant-bras ne diffèrent en rien des muscl
lument défaut. Enfin, il a été expressément constaté que les nerfs du bras paralysé, contrairement à ce qui existait dans le
peut cependant porter sa main gauche à sa tête. Les articulations du bras et de l'avant-bras gauche ne paraissent pas être
est pas une femme qui simule ; une femme qui se laisse transpercer le bras sans sentir est parfaitement anes-thésique; du re
aimanté est approché à un demi-centimètre de la partie anesthésiée du bras par exemple, et, afin d'éviter d'une façon certai
minutes, suivant les sujets, la malade vous avertit qu'elle sent son bras comme engourdi ; alors, si vous piquez la peau au
que vous n'aviez obtenu la réapparition de la sensibilité que sur le bras , vous la voyez s'étendre progressivement sur tout
pensez au chatouillement qui peut se produire sur un point de xrotre bras , vous ressentirez vraisemblablement, sur la parti
auche et complètement sensible à droite. Vous appliquerez l'or sur le bras gauche et vous constaterez que la sensibilité r
e du métal. Eh bien, si vous explorez la sensibilité dans le point du bras droit, qui correspond symétriquement à celui où v
i correspond symétriquement à celui où vous avez appliqué l'or sur le bras gauche et où la sensibilité est revenue, vous rec
tait sensible à l'or. Nous lui appliquons quelques pièces d'or sur le bras gauche. Le côté gauche du corps était dans le tem
de peu qu'elle ne s'endorme en votre présence. Nous allons piquer son bras . Vous voyez que la sensibilité, qui était tout à
avais insisté dans mes leçons. J'avais l'habitude de lui traverser le bras sans plus de façon avec une longue et grosse aigu
la situation droite et si l'on insiste, la tourne inversement. Sur un bras , l'excitation des fléchisseurs amène la contractu
osons notre malade affectée de contracture permanente artificielle du bras droit ; si l'on fait agir l'aimant sur le bras ga
anente artificielle du bras droit ; si l'on fait agir l'aimant sur le bras gauche, en plaçant ses pôles actifs à peu de dist
gauche, en plaçant ses pôles actifs à peu de distance de la peau, le bras gauche, au bout de peu d'instants se contracture
gauche, au bout de peu d'instants se contracture en môme temps que le bras droit retrouve sa souplesse normale. Ce procédé d
ofondes des globes oculaires datant de l'enfance. Nous traversons son bras droit avec cette pointe d'acier, elle ne manifest
pointe d'acier, elle ne manifeste aucune douleur. Nous approchons du bras anesthésie le point neutre de ce barreau aimanté.
, sans que la malade s'en doute, retournons l'aimant et présentons au bras les deux pôles de l'aimant. Au bout de quelques m
nche, elle a disparu à droite, et nous pouvons maintenant perforer le bras droit que tout à l'heure la malade retirait au mo
moindre contact. Bien plus le phénomène que vous voyez se produire au bras vient de se passer au môme instant dans les point
e puisque physiquement elle lui est identique. Nous introduisons le bras gauche de Gl... dans ce solenoide, et nous envoyo
nt cinq minutes, traverse la spirale. Maintenant, vous le voyez, le bras droit est redevenu sensible, le bras gauche a per
Maintenant, vous le voyez, le bras droit est redevenu sensible, le bras gauche a perdu, par transfert, toute sa sensibili
onte pour ainsi dire, elle gagne peu à peu, elle atteint le coude, le bras , l'épaule, le corps tout entier, et même la visio
é gauche, si nous posons le barreau aimanté à quelques centimètres du bras gauche, ce membre gauche, qui était insensible, r
tre aimant agit encore sur elle. Nous allons placer un aimant près du bras droit, primitivement contracture et qui aujourd'h
embre se contracture!*. Si maintenant nous plaçons l'aimant près du bras gauche de la malade, la contracture disparaît pro
du côté gauche. Nous pouvons de môme faire passer la contracture du bras gauche à la jambe, gauche ou droite, en y appliqu
sagère, mais une contracture. Je touche plusieurs fois les muscles du bras droit, et vous voyez que la malade a une contract
ovarienne), nous la trouvons avec sa contracture ; sa contracture du bras peut passer d'un côté à l'autre, et dans les musc
e musculaire existe : je fais une excitation légère des extenseurs du bras , et la contracture des fléchisseurs disparaît. Je
it, et aussitôt, la face prend l'expression du rire ; si je donne aux bras une attitude tragique, aussitôt, la figure devien
sourire apparaît aux lèvres. 11 est môme possible en donnant aux deux bras une attitude d'expression contraire d'amener, par
se montre là où elle n'existe que rarement à l'état normal, comme au bras par la percussion des tendons du triceps ou du bi
ion du tendon rotulien, par exemple, on observe un soubresaut dans le bras du même côté, ou dans les deux bras à la fois, ou
on observe un soubresaut dans le bras du même côté, ou dans les deux bras à la fois, ou dans tout le corps. Un choc sur l
as à la fois, ou dans tout le corps. Un choc sur la face externe du bras vers la partie médiane, au niveau de l'insertion
mbe gauche (la malade était hémianestliésique à droite). De plus, les bras comme le reste du corps ne participaient en aucun
u tendon rotulien provoquait un soubresaut de tout le corps, les deux bras , et principalement le droit, étaient animés d'une
ce tracé, que le réflexe rotulien ne retentit en aucune façon sur le bras . Le style supérieur qui correspond au biceps brac
s'obtient à l'aide d'une excitation plus légère, il retentit sur les bras et sur tout le corps. On voit, en effet, sur le
ombreuses expériences faites sur elle, aussi bien sur les muscles des bras que sur ceux des jambes, ont donné les résultats
e malade, nous constatons qu'il n'y a pas d'irradiation du réflexe au bras du même côté. Deux tambours myographiques sont
e, le réflexe rotulien s'accuse encore davantage, et l'irradiation au bras du même côté est très marquée. Les trois excitati
tracture se confirmer peu à peu et finalement s'établir aussi bien au bras correspondant qu'à la jambe sur laquelle l'excita
as demeurée localisée au seul membre directement intéressé ; les deux bras sont contractures dans l'extension et la pronatio
tendons de la face palmaire du poignet amène la "contracture des deux bras dans la demi-flexion. Les membres inférieurs dans
ieurs pouvant acquérir un degré d'excitabilité différent de celui des bras ou inversement. Nous savons aussi qu'au point de
. Rond pronateur. — Pronateur et fléchisseur de l'avant-bras sur le bras . (Le mouvement de flexion est assez énergique lor
e produira les mouvements suivants : Flexion de l'avant-bras sur le bras peu accusée, car un seul fléchisseur entre en act
on est tellement intense que la flexion légère de l'avant-bras sur le bras ne saurait exister. Le poignet est fléchi. Le
a-fion est continué, pour ainsi dire, par un mouvement de rotation du bras de dehors en dedans, de telle façon que la main,
mi-pronateur de l'avant-bras, puis fléchisseur de l'avant-bras sur le bras . L'action de ce muscle doit être complètement ann
ée et par l'anconé qui est extenseur énergique de l'avant-bras sur le bras et par le court supinateur qui seul préside effic
ation en masse cle tout le moignon de l'épaule ; le deltoïde élève le bras en dehors, le biceps fléchit l'avant-bras, etc..
cheval. La malade toujours endormie est assise près d'une table; son bras droit contracture pend sur le côté; nous avons so
ions musculaires, même fortuites, ne manqueraient pas de susciter. Le bras gauche repose inerte sur la table à proximité de
e membre contracture. On voit, par exemple, la contracture latente du bras droit transférée, par l'application de l'aimant,
e latente du bras droit transférée, par l'application de l'aimant, au bras gauche. Nous avons répété ces expériences au suje
vers la racine du membre supérieur, et la ligature étant maintenue au bras pour empêcher le retour du sang, les paupières .
Caill... est endormie rapidement par la fixité du regard. Sur le bras gauche, contracture facile par l'excitation des t
ière fois que cette expérience est tentée chez cette malade. Sur le bras droit l'excitation des tendons et des masses musc
traction nettement localisée, aucune ébauche de contracture. Sur le bras gauche au contraire la griffe cubitale s'obtient
. Dix minutes et plus se passent sans qu'aucun transfert ait lieu. Le bras droit garde sa flaccidité, et l'on note, par cont
est impuissante. 3° L'hyperexcitabilité est plus développée sur le bras gauche que sur le bras droit. La différence entre
L'hyperexcitabilité est plus développée sur le bras gauche que sur le bras droit. La différence entre les deux côtés est ass
assez prolongées sur l'hyperexcitabilité des muscles et des nerfs du bras droit, tout d'un coup, sans cause apparente, tout
s tout le côté droit du corps aussi bien à la face qu'aux membres. Le bras droit retombe inerte le long du corps, Witt... qu
lle la malade par des procédés ordinaires, l'hémiplégie persiste; son bras droit est inerte; elle peut à peine se tenir debo
plus Witt... est aphasique. Elle est comme hébétée, elle regarde son bras paralysé qu'elle cherche à soulever avec l'autre
choire inférieure. Ce tremblement augmente peu à peu, puis gagne le bras droit, la jambe droite. Les membres du côté gauch
muscles amène la contracture de la façon que l'on sait, mais cela au bras gauche seulement. Tout le reste du corps n'offre
trace d'hyperexcitabilité. Lorsque les paupières sont ouvertes, le bras gauche devient cataleptique, ce qui n'a lieu en a
gauche devient cataleptique, ce qui n'a lieu en aucune façon pour le bras droit. C. — Variations individuelles de l'hyper
inertes; il n'y a pas de catalepsie. Les réflexes tendineux aux deux bras sont manifes tement exagérés. Le même état pers
exes, même résolution. Bientôt la malade est prise de secousses des bras , analogues à celles du début de son attaque. La
utre de la secousse de la jambe, provoque un soubresaut dans les deux bras . — Mais les manifestations de l'hyperexcitabilité
itation sort de la sphère du médian. Ce sont les muscles rotateurs du bras en dedans qui se contracturenl, et il est facil
st facile de voir que ces muscles ne font, en somme, que continuer au bras le mouvement commencé à l'avant-bras par les musc
nt encore davantage s'il est possible. — Le moindre attouchement d'un bras provoque une vive secousse suivie de contracture
minutes une contracture généralisée se déclare, le corps s'étend, les bras se contournent, la tète se renverse, il vient de
nsité, ont provoqué, comme précédemment, des secousses de la face, du bras et de la jambe du côté opposé au lieu d'applicati
sculaire, des mouvements localisés sur le côté opposé du corps —face, bras et jambes. — Ces mouvements, i. Séance du 21 ja
é (2). On croit généralement que si, chez un sujet cataleptique, un bras est étendu horizontalement, cette attitude peut ê
touché aux muscles abaisseurs de la mâchoire inférieure, et les deux bras s'élèvent à demi fléchis, la paume des mains tour
r une autre qui lui sera communiquée. Ainsi en lui abaissant les deux bras de façon à les placer verticalement le long du
vêt l'expression indiquée et en même temps les poings se ferment, les bras s'immobilisent en une attitude d'agression et de
ncore d'une façon plus saisissante, dans l'opération de la saignée du bras , lorsque l'ouverture semblait insuffisante pour d
20 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
end à admettre les localisations segmentairespour la main, l'avant- bras , le pied et la jambe, tandis que pour le bras et
our la main, l'avant- bras, le pied et la jambe, tandis que pour le bras et la cuisse, les locali- sations seraient un p
onneller Natur ». Pour Marinesco (Rev. Neurol., 1901), les nerfs du bras ont des noyaux dis- tincts occupant une certain
les noyaux du mé- dian et du cubital »; de même, le noyau commun du bras se divise en noyaux du musculo-cutané et du rad
membre, car il y a, ainsi que nous l'avons vu, des segments, tel le bras par exemple, qui possèdent deux noyaux absolume
ement A destiné aux muscles de l'épaule, un deuxième B au groupe du bras , un troisième C au groupe de l'avant-bras. Or d
grand Pectoral, le groupe B aux muscles de la région antérieure du bras , le groupe C au nerf circonflexe. Des différenc
e des douleurs aiguës s'irradiant vers les deux épaules et les deux bras . Enfin peu à peu elle a vu sur- venir une parés
s. Enfin peu à peu elle a vu sur- venir une parésie progressive des bras . En janvier 1902, la malade, robuste et d'excel
des troubles sensitifs et moteurs des membres supérieurs. Les deux bras sont ballants le long du corps, mais se présenten
ehors de l'humérus n'est possible ; la flexion de l'avant-bras sur le bras très affaiblie à droite est à peine ébauchée à
eine ébauchée à gauche ; enfin le deltoïde peut à peine détacher le bras du tronc. L'élévation de l'épaule par le trapèze
raire bien conservés. L'extension volontaire des avant-bras sur les bras n'est que peu affaiblie ; la pronation, la flex
e de la face. Le territoire inférieur descend sur la face externe des bras sous la forme d'une bande s'étendant jusqu'au p
assant pas la ligne médiane des faces antérieure et postérieure des bras (Planche II). Le territoire de l'analgésie au f
cou, la partie supérieure du thorax et les deux bandes externes des bras signalées plus haut, mais aussi la main ; toutefo
it avec une assez grande vigueur. La flexion de l'avant-bras sur le bras , l'élévation, l'abduction et l'adduction du bras
'avant-bras sur le bras, l'élévation, l'abduction et l'adduction du bras ont conservé leur éner- gie. La malade se plain
sitifs occupent la moitié interne de la main, de l'avant-bras et du bras (Planche II). La ligne de démarcation passe par l
passe par la partie médiane des faces antérieure et postérieure des bras ; au niveau de l'épaule elle va rejoindre horiz
ait abolie ainsi que la flexion et l'extension de l'avant-bras sur le bras et les divers mouvements d'élévation de l'épaul
s les muscles sus et sous-épineux et grand pectoral. L'épaule et le bras étaient décharnés. » De môme dans l'observation X
De môme dans l'observation X on lit : « Tous les muscles moteurs du bras sur l'épaule sont atrophiés et pa- ralysés exce
ralysés excepté le grand pectoral; la flexion de l'avant-bras sur le bras est abolie, l'extension des mêmes parties se fa
grand pectoral atrophié dins sa partie inférieure. N, Elévation des bras horizontalement en croix. TOPOGRAPHIE DES ATROP
te fièvre intense; enfin le mardi soir, la mère s'aper- çoit que le bras gauche de son fils est paralysé ; de nouveau cons
de- cin déclare que l'enfant est atteint de paralysie infantile. Le bras était inerte, mais sa sensibilité était bien co
ablit ra- pidement et la motilité revient dans certaines parties du bras ; mais d'autres muscles restent paralysés, s'at
YÉLOPATHIQUES 15 Au contraire les autres muscles, c'est-à-dire : au bras , le triceps ; à l'avant-bras, les extenseurs co
ucunes rétractions. L'avant-bras peut être fléchi avec force sur le bras , mais cette flexion est accompagnée de supinati
-ci inter- vient, l'avant-bras peut être complètement étendu sur le bras . A l'épaule, au contraire, les divers mouvement
ndu sur le bras. A l'épaule, au contraire, les divers mouvements du bras s'accomplissent bien en tous sens et avec force
hiée; 16 CESTAN ET HUET néanmoins l'adduction et l'abaissement du bras ne s'en trouvent guère altérés, cette action ét
de l'extrémité radiale détermine une flexion de l'avant-bras sur le bras ; de même persistent les réflexes osseux de la tê
éveloppement du squelette, nul ou à peine sen- sible pour les os du bras et de l'avant-bras, très manifeste du côté de la
raste singulièrement avec l'atrophie des autres muscles de l'avant- bras et des petits muscles de la main. - Nous rappro
apidement leurs fonctions et bientôt reparurent les mouve- ments du bras sur l'épaule ainsi que les mouvements de flexion
que les mouvements de flexion et d'extension de l'avant-bras sur le bras ; mais la plupart des muscles de l'avant-bras et
ie moyenne, encore un peu affaiblies dans la partie postérieure. Au bras les muscles animés par le nerf musculo-cutané, co
es deux topographies, non seulement au niveau de l'avant-bras et du bras où la distinction est facile, mais aussi au nivea
'épaule mais aussi le biceps et le long supinateur, c'est-à-dire le bras et l'avant- bras. Les topographies segmentaires
i le biceps et le long supinateur, c'est-à-dire le bras et l'avant- bras . Les topographies segmentaires et radiculaires ne
porter sa cuillère à la bouche ; puis rapidement tout mouvement du bras devenait impossible. Actuellement, son aspect e
les pectoraux très réduits, les deltoïdes à peine des- sinés ; les bras tombent inertes en avant du tronc, les omoplates
ar et les interosseux sont conservés. Les mouvements d'élévation du bras et de flexion de l'avant-bras sur le bras ne pe
s mouvements d'élévation du bras et de flexion de l'avant-bras sur le bras ne peuvent se faire que d'un seul coup; l'enfan
é sur le dos, il ne peut se relever, même en se retournant, car ses bras ne lui permettent pas de se soutenir ni de gr
rvés mais considérablement affaiblis. Les mouvements des muscles du bras , région antérieure et région postérieure, le sont
e pendant la m.trche. ? s'l'aille de guêpe D. Maximum d'adduction des bras et des cuisses. 1 : , Flexion complète des memb
la faiblesse s'exagère chaque année sans douleur, sans fièvre; les bras se mettent progressivement en flexion avec une
s supérieurs. Très amaigris, surtout à leur racine ; ils mesurent : Bras droit, 14 centimètres; gauche, 15. Haut-bras, d
ir légèrement les doigts. La flexion passive de l'avant-bras sur le bras est possible surtout à gauche où l'avant-bras p
ossible surtout à gauche où l'avant-bras peut s'appliquer contre le bras . La flexion active se fait avec une certaine én
r et le biceps sont bien mieux conservés. Les mouvements passifs du bras sur l'épaule ont conservé toute leur apti- tude
ès limitée la rotation en dehors de telle sorte que normalement les bras sont croisés au devant du thorax. L'adduction a
ALE (R. Ccstnrr et Lejorrr2e). Obs. II. - F, Position normale des bras tombant. G, Fluxion des bras. - H, Aspect de dos.
e). Obs. II. - F, Position normale des bras tombant. G, Fluxion des bras . - H, Aspect de dos. - J, Maximum d'extension des
G, Fluxion des bras. - H, Aspect de dos. - J, Maximum d'extension des bras et de flexion de la tête. UNE MYOPATHIE AVEC RÉ
e. Les sphincters fonctionnent bien. Membres supérieurs. Les deux bras sont fléchis à 55°, le bras en abduc- tion légè
nent bien. Membres supérieurs. Les deux bras sont fléchis à 55°, le bras en abduc- tion légère et les avant-bras ramenés
la poitrine à cause de la flexion permanente des avant-bras sur les bras . L'atrophie est prédominante à la racine des me
Elle est ainsi disposée : L'extension active de l'avant-bras sur le bras est presque supprimée ; au contraire, la flexio
s muscles fléchisseurs et ne dépasse pas 55°. L'adduction active du bras contre le thorax est assez énergique, mais l'ab-
rs un relief saillant sous la peau. L'élévation à l'horizontale des bras est très faible par l'atrophie des del- toïdes.
l'extension complète de 48 CESTAN ET LEJONNE l'avant-bras sur le bras ; Friedreich, Erb, Scbultze, Déjerine, Raymond,
peau par l'atrophie des chefs médians et inférieurs du trapèze. Ses bras sont ballants le long du corps; bref le myopath
plan antérieur il celui des extrémités externes des clavicules. Les bras sont en demi-flexion, et en légère abduction, cet
supérieurs, aussi le malade est-il obligé de tenir constamment ses bras pliés devant la poitrine, car cette position es
apulo humerai. Atrophie pré- dominante sur le haut du thorax et des bras . Impossibilité de l'extension com- plète des av
-scapulo-huméral. Certain degré de rétraction des avant-bras sur le bras . B. - 0135. dans clinique de Grasset, 1891 (Obs
s encore : le Dr de Léon a examiné tous les muscles de l'épaule, du bras , de l'avant-bras et de la main un à un avec le
de 36 ans il se brûla avec de l'eau bouillante l'épaule gauche, le bras et le flanc ; les brûlures étaient guéries en 2 m
cles, nécessaire pour ces mouvements. Les mouvements de flexion des bras sont affaiblis, plus au bras droit qu'au bras g
vements. Les mouvements de flexion des bras sont affaiblis, plus au bras droit qu'au bras gauche. Cette flexion est acco
ements de flexion des bras sont affaiblis, plus au bras droit qu'au bras gauche. Cette flexion est accompagnée ordinaireme
flexion de la main seule, accompagnée d'une tension des muscles du bras , met le bras en supination : quand la tension e
a main seule, accompagnée d'une tension des muscles du bras, met le bras en supination : quand la tension est arrêtée, c
t par l'amaigrissement de la face, sauf les lèvres. Les muscles des bras , surtout les régions périphériques et prin- cip
ure, les muscles du front ; aux membres supérieurs, les muscles des bras ; aux membres inférieurs, les muscles des molle
che, la possédée, en jaune, les cheveux épars, s'affaisse entre les bras d'une femme richement vêtue de rouge; à côté se t
lequel elle semble écarter le dé- mon voltigeant. La Possédée, les bras et les mains inertes, semble plutôt s'effondrer
une de ces peintures représente te7)oM',symbotisé par une femme les bras écartés, raidis, les poings crispés, la tète tomb
marbre d'une des cha- pelles latérales se trouve un Possédé dont le bras est fortement contor- sionné et la main manifes
lons étudier. A l'inspection de la partie antérieure du thorax, les bras tombant naturelle- ment le long du corps, on es
i est-il un peu plus élevé. Mais si le sujet change l'attitude de ses bras et les élève verticalement en l'air, le mamelon
idée mieux que toute description (PI. XVI). Si on fait porter les bras en dehors et en haut, un peu au-dessus. 'de l'hor
sistante,qui ne gêne du reste aucunement l'élévation ver- ticale du bras . Telles sont les déformations constatées au niv
t celles que présente la main droite. - A noter, en passant, que le bras et Pavant-bras droit ont une largeur égale il c
oral ; lorsque le malade con- tracte ses muscles pour rapprocher le bras du tronc, ou l'abaisser quand il est soulevé, l
'amène aucun trouble fonctionnel appréciable dans les mouvements du bras . C'est li une remar- (1) En, Neurolog. Centrait
les statistiques, sont infini- ment plus rares et les mouvements du bras n'en sont pas notablement troublés. Il me res
à la volonté. Nous avons une petite fille de sept ans, atteinte aux bras et aux jambes, l'ad- duction des cuisses augmen
es membres inférieurs dans un appareil plâtré améliorait l'état des bras et des mains. Comment expliquer cette améliora-
mme.de 63 ans souffrant depuis 2 ans d'une faiblesse croissante des bras et des jambes. La parésie se transforma peu à p
des jambes. La parésie se transforma peu à peu en une paralysie des bras et des jambes. Les muscles étaient rigides et p
es yeux, de la face, de la mâchoire, de la langue, de la nuque, des bras , du tronc et des jambes). Anatomiquement existait
t arrivé (novembre 1899) une impo- tence fonctionnelle absolue. Les bras ont repris leur fonctionnement, l'enfant écrit,
des attitudes avoir encore le sentiment très net qu'on bougeait leur bras ou leur jambe; ce qui serait absolument inexpli
culaire A correspond l'image VISUELLE d'une certaine position A' du bras ,puisqu'à B corresponde une autre image B' et ains
pourra évoquer par la conscience l'image d'une certaine position du bras , que B en évoquera une autre, etc., tout en ne
culté primordiale des sens, on ne verrait plus un enfant tendre les bras pour attraper la lune. » Cette objection est ma
t précisément parce qu'il oriente et localise que l'enfant tend les bras vers la lune, et non vers tel autre point. § 5
main l'urinai à demi rempli. Près de lui une vieille, un panier au bras , appuyée sur un bâton, semble attendre l'arrêt qu
rouge est vêtu d'une longue robe violette en partie relevée sous le bras droit, avec pèlerine de même couleur gar- nie d
LES UROLOGUES 197 rière la table, une vieille femme, un panier au bras , les mains sous le ta- blier, un chapeau de pai
plaint beaucoup de la tête, et accuse une sensation de lourdeur du bras gauche, qui lui paraît plus pesant, que le droi
: il prétend se rappeler qu'il a tourné la tête à gauche et que son bras droit s'est agité ; l'infirmière qui a assisté à
ait inclinée sur l'épaule droite et tournée à gauche,' que les deux bras étaient élevés, mais que le droit était plus ag
de perte de connaissance ; le malade tourne la tête à droite ; les bras s'agitent convulsivement, puis les jambes. Le m
t. Dans la journée du la août, le malade a senti subitement que son bras droit devenait lourd et qu'il pouvait difficile
seulement il fait des efforts pour se lever, il se soulève sur ses bras . Ce n'est pas un oubli de la station assise ana
e par un grand nombre d'explorations portant sur la figure, sur les bras , les avant-bras, la poitrine et les points symé
aire est bien développé, mais où le segment distal (jambe ou avant- bras ) est plus ou moins atrophié, le moignon portant u
mais ce qui frappe chez lui c'est l'aug- mentation en longueur des bras et des jambes. Membre inférieur . Distance de l
éréotypé. D'ordinaire, P... se tient debout, immobile et raide, les bras pendant le long du corps, les poings fermés, la
nt doucement le membre par segments ou en levant progressivement te bras dans son ensemble par un effort continu et grad
ment à exécuter. En insistant fortement, par exemple, pour lever le bras d'un côté, on peut, pendant qu'il s'oppose à ce
côté, on peut, pendant qu'il s'oppose à ce mouvement, lever l'autre bras presque sans effort Quoi qu'il en soit, une foi
sition lui fasse arrêter le mouvement com- mencé et l'immobilise le bras en l'air avec son mouchoir. Ces attitudes se pr
s les jambes, encore cette raideur est-elle peu accentuée. Pour les bras on obtient très facilement la mobilité du membre
qu'il était parvenu à l'âge de 18 ans, des exostoses sur les os des bras et des jambes. Ces exostoses allèrent en se multi
quelette de Louis D... Fig. 2. - Décalque de la radiogra- phie du bras droit. Exostoses de l'humérus et du cubitus.
te. Non moins démonstratives sont les épreuves ra- diographiques du bras droit et des deux jambes. Elles permettent de voi
'on applique un tube renfermant de l'eau chaude sur la cuisse ou le bras gauches, le malade accuse parfois une sensation
ayant les caractères du torticolis mental, associé à des spasmes du bras et de la jambe du même côté. En présence du sig
M. Ballet faisait remarquer la forme athétosique des mouvements du bras . Nous attirons l'attention sur ces deux phénomè
e assez grande hauteur. En dehors de la marche et de l'écriture, le bras et la jambe exécutent, avec force et souplesse,
es cutanés ; Le pied-bot ; La scoliose ; L'ataxie statique du bras droit ; Les mouvements involontaires de la face
rtout la nuit. Pour calmer ces douleurs, il est obligé de tenir ses bras hors du lit. La guérison se produit sans traiteme
grand effort. Membres supérieurs. - La force est conservée dans les bras et dans les mains, le dynamomètre donne 90° à d
les mains, le dynamomètre donne 90° à droite et 85° à gauche. Le bras et la main droits accomplissent, avec aisauce, le
ur la maiu gauche, qui n'écrit pas en miroir. Alaxie statique. - Le bras gauche présente un phénomène analogue et l'a- t
nts des segments du membre. Mais, si l'on dit au malade de lever le bras , et de le tenir immobile, ces contractions s'exag
s effet. , Nous avons fait la remarque suivante : les mouvements du bras sont d'au- tant plus marqués qu'il est tenu imm
plus rapides. '-Pour manger, le malade se tient assis, il serre son bras gauche contre le i \ Fig. 4. LE SYNDROME DU
s la main gauche qui tient aussi le pain. Dans cette position, le bras est immobile, mais l'avant-bras remue encore. L
es s'embarrassent, et l'on remarque quelques faux pas de côté. Le bras gauche est en demi-flexion, la main en pronation,
re dans cette anarchie des mouvements. En prenant le malade sous le bras , et en lui recommandant de fléchir le corps en
e que la marche au pas et de cet autre fait que les oscillations du bras gauche disparaissent dans les mouvements rapides.
emps, de l'hyperexcitabdité galvanique. Alors que, par exemple, aux bras , les réflexes tendineux sont abolis, on ob- tie
urbure persiste; pour le pied, la plante reste un peu excavée. Le bras droit est agité par des mouvements oscillatoires,
traces de titubation, et de l'incoordination dans les mouvements du bras . La seule différence,c'estque, dans ces deux af
alion du tonus (pied-bot, scoliose). Ataxie statique de la tête, du bras , du tronc, sous forme d'oscillation ou de spasm
xister pour certains symptômes. Nous trouvons chez Vig. l'ataxie du bras , les troubles de la parole, le nystagmus, sembl
En face de lui,une femme dra- pée à la romaine se tient debout, le bras et l'index droit levés : son aspect sévère et s
appliquées : un per- sonnage de grand âge, debout près du lit, les bras nns jusqu'au coude, s'apprête à appliquer une t
angle externe effilé se recourbe en arrière où il est sons-jacentau bras du tubercule quadrijumeaux / postérieur, puis'p
ttribuée cette atrophie. Il avait une aura sensitive tantôt dans le bras , tantôt dans la jambe gauche. A l'autopsie « on
Nissl. On ne les voit plus ou on les voit belles et avec tous leurs bras ; il n'est pas possible d'observer des stades i
n de picotement qui débute par la main droite et remonte le long du bras , la malade pousse un cri, tombe à terre n'importe
est-à-dire à l'âge de 15 mois. Elle boite et fauche en marchant. Le bras droit est accolé au tronc, l'avant-bras fléchi,
ste aux deux membres inférieur et supérieur droits, mais surtout au bras , un tremblement à oscillations peu rapides et à
pas de mou- vements athétosiques. Pas d'atrophie manifeste ni au bras ni à la jambe ; seulement le membre supérieur d
p de crises sont réduites à l'aura, sensation de picotement dans le bras droit. L'in- telligence a encore baissé : elle
fonctionnement de ce membre infirme, ou peut dire que le volume des bras et des jambes est régulier et que, ni aux poi-
21 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e membre supérieur droit, le membre inférieur de ce même côté et le bras gauche. Description des mouvements. - Les mouve
Pour le membre supérieur droit, la sériation est la suivante : le bras en demi-flexion est lancé avec force sur l'abdome
eu brusquement, et le pied porte fortement contre le sol. Pour le bras gauche, les mouvements sont à peu près les mêmes
té droit; ce n'est que lorsque leur évolu- tion est terminée que le bras gauche entre en branle, souvent il reste en rep
reste en repos. Dans le second type, les mouvements sont limités au bras gauche, qui d'abord est projeté avec force sur
elle est plus rapprochée de sa mise en jeu. Ainsi, la projection du bras droit sur l'abdomen, qui inaugure les contracti
les contractions de ce membre, Fig. 2. Inscription du mouvement du bras droit projeté sur l'abdomen. (Le chronographe
lement trois, quatre mouvements généralisés, car le plus souvent le bras gauche reste au repos. Ils surviennent par accè
est généralisé, la phrase entière est prononcée; s'il est limité au bras gauche, les mots : hé ! oh ! seuls sont émis. D
elles terminent l'explosion, elles se font entendre au moment où le bras gauche est ramené vers la tête. Le mode d'émi
faire apparaître les contractions musculaires par la projection du bras droit sur l'abdomen ou en frappant avec le pied
uelques jours après, les mouvements apparurent. D'abord, limités au bras droit, ils ont envahi la face, les autres membres
partiels ou généralisés, partiels ils sont limités à la face et au bras droit; géné- DE LA MALADIE DES TICS. 27 ralis
on de la tête sur l'épaule droite, qui s'élève en même temps que le bras de ce côté demi-fléchi est appliqué sur la poit
e se met en flexion sur l'épaule gauche, qui s'élève à son tour; le bras gauche demi-fléchi est porté sur la poitrine ;
ès atténués, ils persistent pendant le som- meil, notamment pour le bras droit qui reste agité de légères se- cousses mu
pières, la flexion de la tête sur les épaules, la projec- tion du bras sur la poitrine, le sautillement, les mouvement
t. (Pitres, t. 1. p. 313.) fin. 12. - Inscription des mouvements du bras droit de J... V. 36 PATHOLOGIE NERVEUSE. sur
ion. Dans le prin- cipe, les contractions musculaires ont occupé le bras droit, la face, puis se sont étendues aux autre
ent les pares- thésies (premier cas), la parésie, le tremblement du bras , la céphalalgie, les étourdissements et la dipl
ème, la céphalalgie, la diplopie, la parésie et le tremble- ment du bras ; dans le troisième, la frayeur avec sensation d
il droite successivement dans la main, dans l'avant-bras et dans le bras , puis dans le membre inférieur. Après six semai
à gauche, elles.sont plus dures au toucher; en palpant le biceps du bras gauche pour cons- tater son état de nutrition,
e brusquement et vient s'appliquer par la face antérieure contre le bras ; pendant les mouvements passifs on trouve dans
s avec sa main à se toucher l'épaule, il ne peut pas sans l'aide du bras tirer la jambe hors du lit. De plus tous les mo
tombait sur le ventre, en le frappant même légèrement à l'avant- bras gauche. B... resta ainsi pris au milieu et comme
la jambe gauche, étaient très faibles. Il s'aperçut encore que son bras gauche, et particulièrement la main, n'avaient pl
s accès mais sans être très intense ; au contraire, la faiblesse du bras et de la jambe alla continuellement en augmentant
out, B... se présente avec son épaule gauche un peu plus élevée, le bras pendant le long du tronc, l'avant-bras en très
est presque complètement abolie dans les deux membres de gauche. Le bras aussi bien que la jambe, aussitôt qu'ils sont s
ouvements actifs, Bo... réussit avec beaucoup de peine à porter son bras au niveau de l'horizontale, et il ne peut le me
quelconque, ni il ne peut se remettre debout sans s'aider avec son bras sain. Sensibilité. La sensibilité thermique est
abolie. Cepen- dant tandis que la moitié gauche de la face, dans le bras gauche et dans la partie supérieure du tronc ju
in sur la tête¡; il peut fléchir complè- tement l'avant-bras sur le bras , étendre et fléchir complètement le poignet, av
ns le membre supérieur avec exagération des réflexes, l'attitude du bras , la déviation de la colonne vertébrale, la déma
hèse d'une lésion orga- nique datant de quatre ans. L'attitude du bras était bien telle qu'on l'observe dans les hémip
serve le contraire. L'élévation de l'épaule, la légère adduction du bras , la flexion et la supi- nation de l'avant-bras
ons rappeler que, à l'occasion du trau- matisme, la dalle heurta le bras gauche de B... en y produi- sant une légère con
ctrine nous explique encore pourquoi la paralysie prédomine dans le bras . Pour ce qui est de la paralysie de la jambe, n
épieon ornaient les parois du temple d'hymnes votives et surtout de bras , de jambes, de cous, de seins en matière plus o
la porte, mille marchands, comme autrefois à Athènes, vendent des bras , des mains, des petits enfants de cire qui ornero
hui toujours les mêmes dans les sanc- tuaires les plus vénérés. Ces bras , ces jambes de marbre ou de cire sont des repré
e cire sont des représentations imparfaites de la réalité, car un bras peut être atteint de vingt maladies différentes,
le avoit une grosse glande qui s'étendoit jusque sous l'aisselle du bras en arrière et une espèce de grosse corde de la
de tout le côté gauche. « Il lui prit un engourdissement dans le bras gauche qui, la nuit, dégénéra en paralysie qui
is ce tems, il lui a été impossible de faire aucun mouvement de son bras ni de sa main gauche, qui demeurèrent en tout t
lace, et ne pouvoit les changer de place qu'en les prenant avec son bras droit, en poussant sa jambe gauche avec sa droi
et leur raccourcissement hideux, se raniment tout à coup; déjà son bras a repris la vie, la chaleur et le mouvement; sa
it beaucoup plus courte que l'autre; elle se sert aisément de son bras gauche, elle s'habille et se coiffe avec ses main
poitrine : il les maintient dans cette position et se- croisant les bras , pour prendre un solide point d'appui, il se co
. L'opérateur se place dos à dos avec le patient et lui prenant les bras de manière à entre-croiser les coudes entre eux
econdairement, atrophie du pulvinar, du corps genouillé externe, du bras antérieur des tubercules quadrijumeaux, de la s
la paraphasie, une phase d'excitation maniaque, de la paralysie du bras ; puis tous ces phénomènes disparaissent. Et la
euse. Douleurs intenses dans le cou 132 SOCIÉTÉS SAVANTES. et les bras , s'exacerbant pendant les mouvements. Parésie trè
le de douze ans, obligée de beau- coup marcher et de porter sur ses bras sa soeur cadette, vient à souffrir de pes plano
survinrent, et rétrocédèrent : la paralysie atrophique primitive du bras persis- tant. Il y a eu là combinaison de névri
udo-hypertrophie de certains muscles, les deltoïdes, les triceps du bras , et les muscles du mollet. A ces caractères, il
ns que les muscles de l'épaule droite et de la partie supérieure du bras ont subi un commencement d'atrophie, qu'ils son
lle était parfaitement vigoureuse, portant son petit frère dansjses bras , et exécutait tous les mouve- ments d'une façon
elle devenait maladroite, lais- sait souvent tomber les objets; ses bras restaient un peu pendants 1 Pierre Marie et Geo
d lui a été le plus difficile est la flexion de l'avant-bras sur le bras , et notam- ment l'action de se moucher. La gène
e s'exercer cependant, et la malade peut tenir quelques minutes son bras relevé; pendant ce temps la partie supérieure d
ouve- ments des pectoraux peuvent s'accomplir. La malade croise ses bras devant sa poitrine, mais elle ne présente aucun
du tout son aclion et, pour arriver à fléchir l'avant-bras sur le bras , la malade projette l'avant-bras en haut, en élev
a malade projette l'avant-bras en haut, en élevant brusque- ment le bras , ce qui entraîne le segment inférieur du membre,
egment inférieur du membre, et cela d'autant plus facilement que le bras est en abduction. Dans la flexion du bras, on n
nt plus facilement que le bras est en abduction. Dans la flexion du bras , on ne sent pas le relief du long supinateur. O
n, mais la résistance est peu forte. La malade porte assez bien son bras sur sa tête, quoique pour faire ce mouvement el
ur faire ce mouvement elle soit obligée de projeter brusquement son bras . A droite, l'omoplate n'est pas déviée anormale
aordinaire et leur consistance est peut- être un peu accentuée. Les bras des deux côtés sont notablement diminués de vol
et l'avant-bras restent indemnes, mais l'atrophie est extrème, aux bras et aux épaules, la malade n'arrive plus à se vê
n'arrive plus à se vêtir elle-même; elle ne peut plus soulever les bras . Aux membres inférieurs, la marche en steppant
eur consistance. Membres supérieurs. A la dissection des muscles du bras , on est frappé de la coloration, de la consista
ne couleur analogue à celle de la graisse. Si tous les muscles du bras participent à l'atrophie, il n'en est pas de mê
accès, quatre crises de paralysie hystérique de l'un ou de l'autre bras , directement avant ses examens, et plu- sieurs
ement après l'extraction du clou, em- barras dans les mouvements du bras droit et quelques symptômes d'aphasie. Ces phén
vait probablement lésé sur un point sous-jacent le centre moteur du bras et et de l'épaule. Une question se posait : Qua
amen microscopique. P. K. XXV. ! UN cas DE CONVULSIONS CLONIQUES du bras A la SUITE DE trau- MATISME, constituant EN mêm
bassin élevé, tandis qu'un assistant lui tenait fortement les deux bras en haut et en arrière. Quand elle se réveilla d
and elle se réveilla du sommeil chloroformique, elle avait les deux bras paralysés. Par cette traction en haut et en arriè
deux bras paralysés. Par cette traction en haut et en arrière des bras , les deux clavicules sont venues heurter les plex
els, sous l'influence de perceptions senso- rielles déterminées, le bras droit était périodiquement atteint de faiblesse
, sans aucun accident, extérieur, se produire une parésie totale du bras droit; incapacité d'effectuer sans peine certains
accentué de la jambe droite. L'anesthésie peut même occuper tout le bras ; dans ce cas, il y a hémianesthésie pas- sagèr
de l'éminence hypothénar et des muscles épicondyliens de l'avant- bras droit. L'orateur raconte enfin que chez un homm
ou moins long, vient le tour des muscles du cou, de l'épaule, des bras , des avant-bras, des mains. Atrophie dégénérative
n- gourdissement et de rigidité des deux mains et des deux avant- bras . Les sensations de brûlure et de piqûre insupport
il y avait quelques contractures des muscles; l'enfant remuait les bras , et il n'y avait pas de perte de sensibilité ni
ts de l'épaule seuls était impossibles à cause de la douleur. Son bras n'a pas maigri à cette époque, et les douleurs oc
avait rien ressenti de particulier dans la main, l'avant-bras ou le bras . C'était le dimanche; le jeudi pré- cédent, il
ment d'un de ses neveux qui avait t eu quelques jours auparavant le bras broyé dans une fabrique. Il avait été le voir à
. C'est depuis cet accident qu'il a remarqué que l'avant-bras et le bras droit maigrissaient. Il ne saurait dire s'il y
aralysie atteint tous les muscles de la main, de l'avant-bras et du bras . A la main et à l'avant-bras, elle est absolue.
ement il est vrai, mais enfin, il y a là une contraction réelle. Le bras est élevé à l'horizontale sans que l'omoplate bas
Tout à fait intact. Le malade sait indiquer parfaitement où est son bras . Il peut reproduire avec le membre gauche toute
d'une monoplégie brachiale flasque. Il a vu son neveu se broyer le bras , subir l'amputation de ce bras et suc- comber e
sque. Il a vu son neveu se broyer le bras, subir l'amputation de ce bras et suc- comber enfin aux suites de cet accident
e supérieur. Il devait fatalement en être ainsi : l'amputation du bras chez son neveu devait, chez cet homme traumatisé
prononcée. Une lésion organique de "l'écorce du cerveau (centre du bras ) est encore plus improbable 'parce que cet homm
uis d'un tremblement général qui dura un quart d'heure environ. Son bras pris de faiblesse était tombé à plusieurs reprise
é ; jusque là pas de paralysie. Le lendemain, en se réveillant, son bras droit pend inerte le long de son corps et il épro
aule et l'anesthésie disparaît peu à peu de la partie supérieure du bras jusqu'au-dessous du coude. C'est trois mois apr
à grand'peine. Il n'était cependant paralysé, ni des jambes ni des bras . Il ne tremblait pas encore. 11 n'avait pas de
ce dans une pharmacie, il disait à l'agent qui le soutenait par son bras droit : mais où est mon bras gauche ? - Donnez-
ait à l'agent qui le soutenait par son bras droit : mais où est mon bras gauche ? - Donnez-moi mon bras ! Ce bras était
par son bras droit : mais où est mon bras gauche ? - Donnez-moi mon bras ! Ce bras était complètement paralysé; il penda
as droit : mais où est mon bras gauche ? - Donnez-moi mon bras ! Ce bras était complètement paralysé; il pendait inerte.
RIQUE. 337 î Après l'accident, pendant un mois et demi au moins, le bras pa- ralysé a été le siège de douleurs sourdes,
e des muscles pectoraux, sous et sus-épineux et tous les muscles du bras et un peu aussi de l'avant-bras, pas d'atrophie d
ophie de muscle de la Ira,in. Voici la mesure des circonférences du bras : 338 CLINIQUE NERVEUSE. La sensibilité phary
e point est bien assuré. Mais comment interpréter la paralysie du bras qui est sur- venue sous l'influence du choc vio
hée du début, la faiblesse et l'atrophie s'emparèrent également des bras ; la face ne montra jamais aucun trouble. Durant l
e qui nous frappe alors, c'est la faiblesse, assez grande ,dans les bras , mais surtout manifeste dans les membres inféri
s'il veut se relever, il est obligé de se servir beau- coup de ses bras , et n'arrive à donner à son corps la position ver
s supérieurs. Les mollets sont un peu hypertrophiés. L'atrophie des bras , quoique manifeste, n'offre pas encore un degré
le ma- lade. L'atrophie des jambes, des cuisses, du tronc et des bras est très évidente; les fesses possèdent encore
s, de ses mains, et parvient à plier légèrement l'avant-bras sur le bras . Néanmoins, tous ces mouvements sont accomplis
ire. Aussi est-il à peu près constamment le jour, dans une chaise à bras , où il peut appuyer ses coudes, de manière à mi
une hypertrophie assez légère aux membres inférieurs, tandis qu'aux bras , elle s'est montrée immédiatement. Cette observ
contracture qui envahit tous ses membres, ne peut plus bouger. Les bras obéissent si vite qu'ils en paraissent légers,
r ainsi : « Je ne sens plus ma main, je ne peux plus la remuer, mon bras est lourd 6, etc. » Ces idées ont la plus grand
et malgré sa bonne volonté, affirme qu'il ne pense pas à remuer son bras , à serrer sa main, à faire une grimace; bien mi
our les somnambulismes naturels : l'un emporte un oreiller dans ses bras comme si c'était un enfant et parcourt toujours
ut incliner la tête de ce côté, se sert très difficile- ment de son bras . Au bout de deux mois de souffrances, il semble
se produire une légère amélioration ; néanmoins, les mouvements du bras sont toujours très gênés; il existe un peu d'endo
emble de lamain gauche. Dans la suite, z le tremblement a envahi le bras , puis lajambe du même côté ; le tronc s'est inf
le malade, c'est son faciès, son attitude et les mouvements dont le bras gauche est agité. Les yeux fixes, grands ouvert
ont à peu près nuls à gauche. Dans la position assise (fig. 2), les bras légèrement fléchis, les coudes un peu déjetés e
22 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
e médecin. On croit généralement que si chez un sujet cataleptique un bras est étendu horizontalement, cette attitude peut ê
insi, aux épaules nous constatons un aplatissement des deltoïdes; aux bras , ce sont les triceps qui sont surtout amaigris, t
genre, avec recrudescence de l'embarras de la parole et faiblesse du bras droit. — Enfin, le 5 mai, il a une cinquième atta
it. — Enfin, le 5 mai, il a une cinquième attaque, avec pa résie du bras droit, suivie, le lendemain, d'une parésie du mem
qui ont suivi, il ne pouvait dire autre chose que « à cause que ». Le bras droit est resté paralysé pendant un mois. C'est s
a main, mais encore des autres segments du membre. L'avant-bras et le bras ont environ un centimètre de moins en circonféren
uvement brusque, en jetant une pierre, par exemple, restaient avec le bras en contracture. Nous pouvons reproduire le même p
? On croit généralement que si un sujet cataleptique est placé le bras étendu horizontalement, cette attitude se conserv
s observations, cela n'est pas exact. Au bout de 10 à 15 minutes., le bras delà cataleptique commence à descendre, et au bou
et sur la cataleptique, on applique : 1° un tambour à réaction sur le bras étendu, pour permettre d'enregistrer les moindres
ptique, la plume qui correspond au tambour à réaction appliqué sur le bras , trace sur le cylindre enregistreur une ligne dro
onstance exceptionnelle. Quelques jours après l'accident, dit-il, son bras était lourd, ses doigts difficiles à remuer, comm
semaines après. C'est le 15 août qu'il sentit des douleurs dans le bras , il ne dormit pas ; et, le lendemain, sa main pré
j'insiste tout particulièrement, même pendant la nuit. L'épaule et le bras sont libres, l'avant-bras est plutôt dans la pron
nue sans transfert au membre supérieur droit, au tronc, à la tête, au bras , mais non à la main et au poignet. Sur ces entref
de la Salpê-trière. L'opération a été faite à la partie supérieure du bras : ce nerf médian, soulevé sur une sonde cannelée,
ouvements de ces membres sont revenus aussi bien à l'avant-bras qu'au bras et à l'épaule ; les masses musculaires se sont dé
e de la migraine ophtalmique accompagnée de fourmillements dans les bras , dans les mains, pas d'aphasie temporaire ; d) ce
urtout de force des membres supérieurs, en particulier des muscles du bras . Et c'est là le seul point de ressemblance qui ra
ues semblables à eux. Le début a lieu par les membres supérieurs, les bras en particulier et les muscles de la ceinture scap
jourd'hui on constate, outre une certaine impotence fonctionnelle des bras , un léger degré d'atrophie de la main qui est apl
hez les strumeux. Les membres ne se prennent que consécutivement, les bras d'abord, puis le tronc. Enfin, fait important à s
ent dans celle de la forme juvénile de Erb. L'atrophie des muscles du bras est considérable. La résistance est impossible du
extension comme du côté de la flexion. La malade ne pouvant lever son bras , dans l'acte de se moucher, par exemple, par une
t celle du pseudo-hyper-trophique typique, y compris l'ensellure, les bras sont ballants, inertes et pendants le long du cor
te. Je me rappelle une jeune Polonaise dont les accès malléaloires du bras , revenant par crises d'une durée de une à deux he
aupière droite. Les crises provoquées s'obtiennent en tirant sur le bras droit, ou en frappant à l'aide d'un marteau sur l
n rotulien, ainsi que je le fais devant vous. Dans le cas où c'est le bras qui a été excité, immédiatement ce bras part, ani
vous. Dans le cas où c'est le bras qui a été excité, immédiatement ce bras part, animé de mouvements cadencés, rapides, dans
échit ses doigts, en applique la pulpe contre le pouce, et élevant le bras , fait le geste de l'orateur qui démontre. De temp
e rhylhmée. Les crises se provoquent facilement soit en tirant sur le bras , soit en percutant le tendon rotulien, comme chez
ns une première phase, on voit se produire les secousses rhylhmées du bras , les mouvements malléaloires. La malade a les yeu
lte période succède une période de spasmes toniques et de torsion des bras et de la tête, rappelant l'épilepsie partielle. C
céphalique. On peut d'ailleurs provoquer les crises en tirant sur le bras gauche et en le secouant en même temps de manière
manière à imiter les mouvements malléatoires choréiques. Au début, le bras gauche commence à présenter des mouvements malléa
Julie d'écrire, celle-ci saisit un crayon, mais, au même moment, ses bras se raidirent et son regard devint fixe. Le père e
e aura très courte et très variable, elle se renverse en arrière, les bras écartés du tronc, les mains enpronalion, les doig
lui et sous son lit les bètes noires qui le menacent, il examine ses bras pensant y trouver les traces des morsures d'anima
gs se ferment puis se tordent dans la pronation exagérée. Bientôt les bras se rapprochent l'un de l'autre au-devant de l'abd
les talons de l'autre. D'autres fois, le cercle se fait en avant, les bras croisés sur la poitrine, les jambes en l'air, le
taque commence : les yeux se renversent en haut dans leur orbite, les bras se raidissent dans l'extension, et le malade, s'i
cérébrale corticale, principalement localisée dans la zone motrice du bras ; mais il ne s'agit pas là d'une altération matéri
édecin qui reconnut, paraît-il, une parésie de tous les mouvements du bras gauche avec anesthôsie de ce membre. Le 8 juin, c
tement toutefois, fléchir la main sur l'avant-bras et celui-ci sur le bras ; mais tous les mouvements de l'épaule étaient imp
ion la plus intense, sur toute l'étendue du membre, main, avant-bras, bras et épaule. Du côté du tronc, cette anesthésie est
foyer qu'on pouvait supposer limité étroitement à la zone motrice du bras , une telle lésion, dis-je, pourrait rendre compte
ux de son lit et, tournant sa fureur contre lui-même, il se mord le bras gauche. La phase des attitudes passionnelles se d
oduisent le 19. Le 21 survient une nouvelle crise pendant laquelle le bras gauche s agite. Au réveil, le malade pouvait, à s
ière conviction », c'est une erreur: vous ne pouvez plus élever votre bras , ni le fléchir, non plus que mouvoir vos doigts;
nts, rhumatisme articulaire. — Chute. — Monoplégie avec anesthésie du bras et de l'épaule. — Examen du malade : impuissance
rendre chez un pharmacien et remonter sur son siège ; l'épaule et le bras droits étaient un peu douloureux, mais ne prése
Porcz... remarqua dès ce moment même, l'insensibilité de l'épaule, du bras et de l'avant-bras que nous constatons encore auj
ule, soit à l'épaule elle-même, qui est tombante, soit aux muscles du bras ou de l'avant-bras. Seuls les doigts de la main p
inution de consistance des muscles paralysés. La mensuration donne au bras droit 23,5 cent. ; au bras gauche, 24 cent.; à l'
muscles paralysés. La mensuration donne au bras droit 23,5 cent. ; au bras gauche, 24 cent.; à l'avant-bras droit, 22,5. ; à
du membre, de préférence la racine, il parcourt avec sa main tout le bras pour descendre ainsi jusqu'au point qu'on lui a o
En résumé, impuissance motrice absolue des muscles de l'épaule, du bras et de l'avant-bras, avec perte complète de la sen
des, sur la main, les doigts y compris, l'avant-bras et une partie du bras ; sur ces mêmes parties, la sensibilité profonde e
p moins étendue, puisqu'elle respecte l'épaule et une bonne partie du bras . Ainsi, à la par-lie antérieure et interne de ce
peine la région du coude, de telle sorte que la partie postérieure du bras est libre presque partout (Fig. 56 et 57). Je t
es, attaques d'hystérie suivies d'une amélioration de la paralysie du bras . Paralysies psychiques: leur production par sug
é opposé à la paralysie et, plus précisément, dans la zone motrice du bras qu'il faut la placer. De plus, pour rendre compte
s en vue d'étudier, je procède par affirmation à haute voix : « Votre bras droit est paralysé », dis-je en m'adressant à la
sorte de révolte1. « Mais non», répond-elle, « vous vous trompez, mon bras n'est pas paralysé le moins du monde : voyez je l
r un instant soulevé. La malade ne peut en aucune manière mouvoir son bras , elle ne peut ni fléchir ni étendre l'avant-bras
gestion nouvelle de sens contraire. J'affirme donc à Greuz... que son bras a cessé d'être paralysé, qu'elle peut de nouveau
éloignée des apophyses épineuses d'environ cinq travers de doigt. Le bras presque tout entier est contenu dans la zone d'an
ue par en bas ; elle occupe actuellement non seulement l'épaule et le bras , mais encore le coude et l'avant-bras ; sa limite
e, nous affirmons à cette malade, non endormie, je le répète, que son bras droit est paralysé, qu'elle ne peut plus le mouvo
onnaître ; après quoi, la simple affirmation qu'elle peut mouvoir son bras , tout à l'heure paralysé, suffit pour que les mou
e seulement deux petites plaques sensibles à la partie postérieure du bras . Au contraire, des changements favorables se sont
avant et en arrière ; sur la moitié interne de la face antérieure du bras , des plaques sensibles sont disséminées çà et là
s, des plaques sensibles sont disséminées çà et là sur les parties du bras et de l'épaule encore anesthésiées. La sensibilit
, la limite de l'aneslhésie n'a pas varié d'une ligne. On retrouve au bras , surtout en arrière et à l'avant-bras, la tendanc
aire à l'axe du membre i. Sur l'épaule et sur la partie antérieure du bras les bords de ces plaques sont, au contraire, inég
aumatisme de l'épaule, s'était développée une paralysie hystérique du bras correspondant. Je vous ai fait voir que cette par
était considérable ; le crochet cassa, et le malade fut renversé, son bras gauche pris sous le bœuf. Il assure qu'il n'a pas
e, ni les jours qui l'ont suivi. Non-seulement il n'éprouvait dans le bras aucune douleur en ce moment-là, mais, de plus, il
comme absent, de l'épaule jusqu'au bout des doigts; » « au lieu d'un bras , ajoute-t-il, il me semblait, de ce côté, porter
ure à 1. Observation recueillie par M. Berbèz, interne du service bras à laquelle il s'altelail, tandis que le fils de s
ur très chargée, conduite par des gens ivres. La roue de la voiture à bras fut accrochée et Le Log... violemment projeté sur
nte ; il n'y a pas eu de sang répandu. Placé dans sa propre voiture à bras , Le Log... fut conduit chez un pharmacien d'abord
t demi après l'accident, il existait déjà dans le membre paralysé, au bras et à l'avant-bras, une diminution de volume très
inution de volume très notable, et il est à remarquer qu'il s'agit du bras droit. Pendant le séjour à l'Hôtel-Dieu, c'est-à-
plus minutieuse permet de constater que, si la plupart des muscles du bras et de l'avant-bras ont perdu la motilité, il en e
e la sensibilité, cette abolition comprend: la main, l'avant-bras, la bras jusqu'au niveau de l'acromion ; la peau de la poi
s ; cette monoplégie s'accompagne d'une anesthésie absolue limitée au bras du même côté que la paralysie, et avec abolition
t fait alors, séance tenante, faradiser les muscles de l'épaule et du bras du côté droit; au bout d'une minute, la sensibili
supérieur et la paralysie avait disparu ; la malade se servait de son bras aussi bien qu'avant l'accident et serrait vigoure
malades il y avait comme différence entre le plus grand périmètre du bras malade et celui du bras sain, 3 centimètres, et c
e différence entre le plus grand périmètre du bras malade et celui du bras sain, 3 centimètres, et chez un autre malade, il
très accentuée : on notait 3 centimètres de différence entre les deux bras ; chez les autres malades, le développement de l'a
arition de la paralysie, qui avait été brusque, la circonférence du bras avait déjà augmenté de 1 centimètre. Quelle est
coude gauche (17 janvier 1871). La blessure nécessita l'amputation du bras qui fut pratiquée par le Dr Mollière (de Lyon). I
té intacte sauf à la main, où il y a analgésie à la face palmaire. Le bras gauche, rappelons-le, a été amputé en 1871. L'o
sie droite; de ce côté, la sensibilité est obtuse à la poilrine et au bras pour la piqûre et pour le froid. Il existe un cer
, entre le 14 avril dans le service de Sevestre pour une paralysie du bras gauche survenue brusquement la veille. Il a déjà
ndemain, puis brusquement recouvre la parole, mais s'aperçoit que son bras gauche est inerte. Le 14, on constate cette paral
gauche, sauf à la face qui, quoique insensible, n'est pas déviée. Le bras droit est animé d'un mouvement rhythmique choréif
un mouvement rhythmique choréiforme presque continuel. Pendant que le bras exécute ce mouvement, la jambe est au repos compl
nts, rhumatisme articulaire. — Chute. — Monoplégie avec aneslhésie du bras et de l'épaule. — Examen du malade : impuissance
nes, plaques d'hystérie suivies d'une amélioration de la paralysie du bras . Paralysies psychiques ; leur production par su
23 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
spèrent en véritables accès d'angor pectoris avec douleurs dans lei bras gauche. Les battements du coew' sont peu énergi
passifs) et assez forts. La force musculaire est conservée dans les bras et dans les jambes ; cependant les extrémités d
s mêmes régions à ga'uche. Les libres qui restent sont ondulées. Le bras du tubercule quadrijumeau anté- rieur droit est
re, agraphie cérébelleuse). Il y avait parfois des douleurs dans le bras gauche. Les battements du coeur étaient irrégul
teinte foncée est d'ailleurs prédominante au niveau de la face et des bras , c'est- à-dire au niveau des parties découverte
tites dans la région deltoïdienne et à la partie postéro-externe du bras gauche. Dans cette dernière région se trouve un
moins nombreuses, il en existe quelques-unes à la face externe des bras , à la cuisse droite. Enfin un noevus vasculaire
ngles de Scarpa,les régions sous-claviculaires, la face interne des bras , le cuir chevelu. FI ... de plus en plus cachec
n qui sont les parties supérieures et internes des membres, tant au bras qu'à la cuisse, les régions pectorale, épigastriq
dorso-lombaire, les parties latérales de la colonne vertébrale. Aux bras , l'hypertrophie la plus énorme est celle du pat
orps de l'omoplate, de l'angle de l'omoplate, de la face interne du bras , du côté interne de l'avant-bras, de la région
s symétriques existent au dos, il la face postéro-interne de chaque bras , au pli du coude, à la face antérieure de l'ava
meurs daterait de 23 ans. Collier lipoma- .teLL\ : , 'Au niveau des bras , du dos, de la face antérieure de la poitrine,
bre, mais ce fut pour tomber brutalement sans connaissance dans les bras de la voi- sine accourue. C'est le point de dép
nnonce ne le faisait prévoir. Le malheureux a beau se cramponner au bras du fau- teuil, cambrer les reins, agiter ses ja
e une fillette qui ré- clame à grands cris l'intervention, lève les bras au ciel et trépigne d'impa- tience à la pensée
ette. Sur celle-ci, un homme est ligotté de solide manière, par les bras , par les pieds, par les reins, et même par le c
tète est couverte d'un bonnet orné d'une patte de mouton; sous son bras , qu'il porte en écharpe, il tient un long coute
st plus le réflexe purement moteur qui fait brusquement détendre le bras du turbulent Arent sur la figure de l'assistant S
aer, le Lambin, paysan à l'esprit peu délié qui sou- tient dans ses bras une femme, Truytie (Gertrude) Roelen. Truytie R
e ni rester debout.Dans son lit elle conserve tous les mouvements des bras , des jambes et même du tronc, mais la force en
s la force en est diminuée. Elle se sert tou- jours delà main et du bras gauche ce qui paraîtrait indiquer une paralysie d
re, céphalalgie, pas de fièvre, respiration lente et régulière. Les bras sont fléchis et opposent une certaine résistance.
outre, la malade présente des phénomènes d'acroparesthésie dans les bras et les mains : sensations de fourmillement inte
sensation de boue molle sous les pieds. Le long du bord cubital du bras gauche, sensa- tion de fourmillements. Dysesthé
aucoup plus à gauche qu'à droite. La flexion de l'avant-bras sur le bras est très faible, de même l'élévation des deux bra
'avant-bras sur le bras est très faible, de même l'élévation des deux bras . 11 existe une atrophie des petits muscles des
ne atrophie des petits muscles des mains et des muscles de l'avant- bras , mais tout particulièrement des muscles innervés
e 1895,pa- ralysie flasque sans douleur des deux jambes et des deux bras mais beaucoup plus marquée du bras droit. Le ma
leur des deux jambes et des deux bras mais beaucoup plus marquée du bras droit. Le malade présente de la rétention d'urine
- dant deux jours. Le 15 octobre, les mouvements reviennent dans le bras gau- che qui était d'ailleurs le moins pris, pu
stème nerveux, l'attention est attirée par l'atrophie musculaire du bras et de la jambe droite, atrophie plus marquée à la
de la jambe droite, atrophie plus marquée à la racine des membres, bras et cuisse. Le malade marche sans steppage mais se
ès diminuée surtout à droite. Les ré- Ilexes tendineux et osseux du bras et de la jambe du côté droit sont abolis. L'exa-
e douleur sourde dans les jambes, au niveau des mollets et dans les bras . Parésie progressive ; engour- dissement de la
uche, puis incertitude de la marche ; en octobre faiblesse dans les bras . A cette époque diminution de la force segmentair
nts. En février 1883, douleur au talon gauche, au genou et aux deux bras ; gommes des joues et du cou de pied gauche ; e
s cessèrent de progresser. A la fin de 1891, le malade peut mouvoir bras et jambes ; le sens musculaire est intact, sans a
ysie alcoolique, constater que dans la fonde motrice à début par le bras le long supinateur n'est pas épargné comme on le
'est pas uniforme, et l'on constate sur les doigts, l'avant-bras,le bras et le thorax des tumeurs plus ou moins volumine
. En l'année 1865, à l'hôpi- tal Si-Louis, on voulut lui amputer le bras , elle s'y refusa. Velpeau qu'elle consulta plus
rès la parole est revenue. La face n'a cependant pas été déviée. Le bras et la jambe étaient complètement inertes, engou
par suite elle ne pouvait pas mar- cher ni faire aucun mouvement du bras droit. La paralysie des membres lui donnait l'i
ant quelques jours après, elle a pu imprimer quelques mouvements au bras cependant que la jambe restait engourdie. Eta
entait tous les signes d'une hémiplégie droite de forme moyenne. Le bras tombait le long du corps et la malade ne pou- (
ques sur la face externe du deltoïde, le long de la face interne du bras , au niveau du pli du coude (Allas de Sappey), sur
ière chaque testicule et à la partie interne et supérieure des deux bras . Les tuméfactions globuleuses de la région pec-
gnets. Il existe de plus une tuméfaction dill'use des cuisses, des bras et de la moitié supérieure des avant-bras. Le
d'abord sur le côté gauche puis sur le côté droit. Le mouvement des bras est gêné. Pas de lésions viscérales. Le malade
diennes, sus-acromiale, deltoïdienne, sacrée; à la face interne des bras et à la face antérieure des cuisses. Non. Icono
niveau de l'aisselle droite. Les tumeurs empêchent l'adduction des bras , mais ne sont nullement douloureuses. Si- gnes
mateux autour du cou ; d'autres tuméfactions à l'épaule droite, aux bras , à la partie supérieure des avant-bras. Début i
rté sur le dos d'un bon-; homme dont il entoure la tète de ses deux bras ; derrière .apparaît un, groupe d'arrivants ; l'
A gauche, un malade assis dans un, fauteuil tient un sabre sous le bras ; il a le pied déchaussé,et le. front ceint, d'
pendant, le malade peut augmenter la flexion de l'avant-bras sur le bras .Le mouvement d'abduction ne va pas jusqu'à l'ho
eps, le deltoïde; les mouvements d'extension de l'avant-bras sur le bras et les mouvements de rotation du poi- gnet sont
e. L'abduction est à peu près normale et l'adduction est faible. Le bras étant en supination on le met passivement en pron
ve, la main droite la reproduit très bien. Quand l'enfant court, le bras gauche se place dans la situation suivante : ex
solution de sublimé. Le lendemain l'aphasie persiste ; en outre, le bras droit est paralysé et la sensibilité est diminu
complète,aucun mouvement des doigts de la main, de l'avant-bras, du bras et même de l'épaule. Le membre entier est dans
peut exécuter quelques mouvements, principalement de l'épaule et du bras , le pouce s'écarte très légèrement des autres doi
instants. Bientôt on s'aperçut qu'il ne pouvait se servir ni de son bras ni de sa jambe du côté droit. De plus il était
enfant avance généralement l'épaule gauche en avant, l'épaule et le bras droits rejetés en arrière, l'avant-bras dans une
, il traîne la jambe et avance le pied en fauchant. La paralysie du bras est plus grande que celle de la jambe et la par
surtout marquée. Pendant les deux derniers jours, il a pu lever le bras et bien justement fléchir l'avant-bras sur le b
il a pu lever le bras et bien justement fléchir l'avant-bras sur le bras , mais il est incapable de mouvoir en rien le poig
uche comprenant la face (impossibilité de fermer l'oeil gauche), le bras et aussi, mais à un degré moindre, la jambe. Il
3 mois avec assez de forces, la jambe était plus' vigoureuse que le bras . Un l'a tenu en observation..... aucun changeme
y avait une hémiplégie du côté gauche qui affec- tait légèrement le bras , mais il y avait aussi une perte évidente de forc
marcher plusieurs milles en se reposant très souvent. Il tenait le bras un peu fléchi sur le coude et les doigts demi-
uand il se releva, il n'accorda plus aucune attention à l'état de son bras gauche. Il pria un de ses amis qui était précis
vers l'oreille droite, et s'aperçut qu'il ne pouvait mouvoir ni le bras ni la jambe gauches. Il fit tomber des objets a
mais non absolue : car on peut fléchir ou étendre l'avant-bras sur le bras , à la condition d'y employer un peu de force.
à gauche seule- ment), au niveau du rebord des crêtes iliaques. Aux bras , 2 tumeurs : l'une au-dessus de l'épitrochlée e
uée sur la partie antéro-supérieure gauche s'étendant jusque sur le bras . A la percussion, sonorité normale des deux côt
ctoraux et la cage thoracique. Le long de la gaine des vaisseaux du bras droit, à quatue travers de doigt au-dessus du p
timètres, également molle et lobulée. Une dernière se trouve sur le bras gauche, le long des vaisseaux. Le ventre est vo
es cuisses avec les mains ; de temps en temps elle souffre dans les bras , dans le tronc, mais sans éprouver de douleurs
rps mais particulièrement aux membres inférieurs. Les muscles des bras ont subi une légère diminution de volume. L'atrop
ve aussi des manifestations d'excitabilité dans la muscula- ture du bras et du tronc. De temps en temps, le corps est agit
sence totale de douleur. Ces secousses atteignent de préférence les bras et la partie supé- rieure du tronc, quelquefois
s inférieurs : elle s'exécute, la tête et les épaules en avant, les bras ballants, le dos de plus en plus voûté. La ma-
ment. L'épaule gauche est relevée, l'épaule°droite est tombante, le bras droit écarté du tronc, immobile, en ba- lancier
u'avec sa main gauche il maintient solidement sur la table l'un des bras de l'opéré, il regarde en souriant le spectateu
de de défense audacieuse et très vraie; la main droite se crispe au bras d'un fauteuil, la gauclie se dresse, grand'ouve
ntemplent l'extraction avec un vif intérêt. L'un d'eux maintient le bras droit de la victime dont la main grand' ouverte
deux côtes. Les membres peuvent être étendus, les avant-bras-sur les bras et les mains sur les avant-bras, les doigts éca
est devenu absolument im- possible d'avancer sans s'appuyer sur le bras d'un aide ; dans les derniers temps, l'occlusio
Pendant la station debout, non seulement les jambes, mais' aussi les bras sont écartés du corps. Il réussit à se tenir qu
nférieurs, les jambes ne sont nullement lancées. Les pieds et les bras sont écartés de l'axe longitudinal, chaque pied e
bres supé- rieurs, du signe de Romberg, la tonicité des muscles des bras et des jam- bes était exagérée ; dans les derni
oordination des membres inférieurs, les mouvements choréiformes des bras et des jambes, le tremblement de la tête, les osc
prolongée ; parfois aussi on observe des secousses choréiformes des bras , des oscillations latérales des doigts, des contr
incertaine, la parole altérée, la vue troublée, les mouvements des bras et des mains étaient tremblants et incertains ;
orps chancelle. Lorsqu'on commande au malade,après avoir écarté les bras , de faire toucher les deux index, ce mouvement
e jour suivant et eut des vomisse- ments. Il avait une paralysie du bras droit, plus accentuée à la main. La parole étai
supérieure gauche. La langue tirée, était droite, les mouvements du bras paralysé étaient satisfaisants sauf ceux de la ma
e des membres. Nous n'avons trouvé qu'un seul cas de paralysie du bras gauche avec parésie de la jambe gauche et dimin
lques jours il arriva à ne plus pouvoir marcher ni se servir de son bras droit, puis apparut une paralysie faciale du cô
on remarque une déviation de la luette qui est portée à droite. Le bras droit soulevé retombe lourdement sur le plan du l
n peu niaise, ayant l'avant-bras gauche fléchi à angle droit sur le bras et contracture Les mouvements passifs sont enco
. Mais même à ce moment elle ne fait aucun effort pour se servir du bras gauche..... A l'examen du crâne, on trouve : un
UMATIQUE 395 point correspondant au centre moteur de la jambe et du bras ..... On opéra après éthérisation. Le cuir cheve
96, à cette époque l'enflure avait gagné peu à peu l'avant-bras, le bras et l'épaule. Cette enflure était considérable,
e dos de la main était arrondi, plus volumineux qu'actuellement, le bras et t'avant- bras étaient « à pleine manche de p
était arrondi, plus volumineux qu'actuellement, le bras et t'avant- bras étaient « à pleine manche de paletot », au niveau
été moins accentué encore que maintenant, il semble en effet que le bras reprenne un peu de développe- ment depuis quelq
ncé plus tôt. Pendant tout le temps de sa maladie le malade a eu le bras en écharpe, 406 GASNE ' ce fait peut avoir un
u tronc, l'avant-bras demi- fléchi à lt5 centimètres environ sur le bras , la main repos«à plat sur la cuisse. L'atrophie
que l'opposée, bien que le squelette n'en soit pas saillant ; Le bras est absolument amaigri il mesure ci sa partie moy
moyenne cinq cen- timètres et demi de circonférence de moins que le bras gauche (18 1/2 au lieu de 24) et l'atrophie com
oïde, grand rond et grand dorsal, grand pectoral, etc.) que ceux du bras et de l'avant-bras réduits dans leur masse et d'u
ngée, étriquée; les oreilles écartées du crâne en coup de vent, les bras d'une minceur effrayante. Habillé, il fait asse
nant ; 'chutes fréquentes ; rien n'attirait l'attention du côté des bras . Depuis cette époque, les phénomènes suivent un
oute son attention sur l'acte qu'il accomplit; pendant ce temps ses bras sont étendus, raides, un peu écar- tés du tronc
des plus marquées, surtout aux membres supérieurs : l'abduction des bras est impossible ; le malade ne peut lui-même pas
gérée sont même incurvés du côté dorsal, l'avant-bras étendu sur le bras , forme un angle obtus ouvert en arrière. Le del
caractères sont notablement plus accentués à droite qu'il gauche. Les bras s'é- loignent du corps, les mains sont étalées.
ellure lombaire, dodeline de la tête et déplace alternativement ses bras en avant tout en conservant aux mains l'aspect
la main qui porte l'objet saisi a quitté le sol et que l'extension du bras opposé est complète, le malade peut encore, san
à son aide. Placé dans le décubitus dorsal, en se soulevant sur un bras , puis faisant dé- crire un cône à son thorax, i
; il tire la langue sans effort visible, sans raideur du cou ni des bras . Quand la tête est penchée en arrière, elle ne pe
malade place sa main sur sa tête, ou repousse un obstacle avec son bras allongé, les omoplates se séparent très nettement
incertains sur le sol, l'équilibre est à chaque instant perdu, les bras en halancier cherchent un point d'appui dans le v
a façon de s'en servir. Le patient, assis de côté sur la chaise, le bras gauche appuyé sur le dossier, se prête complais
ise boiteuse, une jambe en avant, l'autre repliée sous le siège, le bras gauche raidi, les poings cris- pés. Client de p
plan, un homme de condition non moins modeste, se tient debout les bras croisés et appuyés sur un bâton. Lui aussi, esq
. Le camionneur charge son dos de fardeaux.pesants et s'aide de son bras pour les mainte- nir en équilibre. La piqueuse
bilité de mouvoir ses jambes, il se déplace en se soulevant sur ses bras , mais aussi par des mouvements de reptation du
n à l'épaule par suite de la rupture des vési- cules pleines sur le bras et l'avant-bras du même côté et un gonflement au
ation détermina à l'application de cinq sangsues réparties entre le bras gauche et le côté corres- pondant de la poitrin
s le resserrement du palpébral droit, mais bien celui du gauche. Le bras et l'avant-bras, la cuisse et la jambe droite r
iculaire palpébral était sans action et la commissure en spasme. Le bras et l'avant-bras était dans l'inertie lors même
oximum est plus éloigné, diplopie... vertiges. Autres symptômes : bras et jambe faibles du côté droit, sensibilité plus
est droite (antérieurement elle avait été aussi déviée à gauche) Le bras gau- che est encore notablement plus faible que
Elle offre toutes les apparences de la bonne santé. La main et le bras droits sont plus petits, plus doux au toucher, pl
ents méthéméplégiques associés lors- qu'elle bâille en étendant.les bras , des mouvements du bras droit lorsqu'elle sai-
sociés lors- qu'elle bâille en étendant.les bras, des mouvements du bras droit lorsqu'elle sai- sit quelque chose de la
rieure du pariétal. Les membres étaient tous en résolution, mais le bras droit était absolument flasque et retombait inert
le membre supérieur gau- che avaient récupéré leur motilité,mais le bras droit restait inerte. Seuls quel- ques mouvemen
umatique 543 lade n'a eu de vomissements. Le 30 mai la paralysie du bras droit était encore accentuée et M. Blum se déci
marquée au dehors de la clavicule droite dans sa partie externe. Bras . - D'une façon générale le bras droit est moins v
cule droite dans sa partie externe. Bras. - D'une façon générale le bras droit est moins volumineux que le bras gauche.
s. - D'une façon générale le bras droit est moins volumineux que le bras gauche. Une fois à la partie moyenne, il a 22 cen
ois à la partie moyenne, il a 22 centimètres de circonfé- rence, le bras gauche ayant 24 au même point Au niveau du coude,
gaux des 2 côtés. - - Sensibilité. - Le malade ressent dans tout le bras droit des douleurs qu'il compare à des coups d'
es opération Au moi d'avril il persistait une paralysie complète du bras droit et une paré- sie de la jambe droite...,.
l'os ne paraît pas avoir été fracturé. Cependant on constata dans le bras droit des mouvements cloniques Il y a une par
faiblement que la droite. Le territoire du facial droit ainsi que le bras et la jambe sont complètement paralysés. Il est
ition, il n'y a pas de troubles dans les mouvements de celle-ci. Le bras gauche montre à l'épaule et au coude une légère
n initiale. Les doigts de la main gauche sont légèrement fermés. Le bras levé en l'air, retombe pa- ralysé, la jambe gau
ssure il avait ressenti instantanément une grande faiblesse dans le bras gauche qui s'était établie peu à peu et n'avait p
puis. Ses proches remarquèrent ensuite que, pendant les attaques le bras malade se dressait vivement et était jeté de cô
ues. Il prévoyait cependant leur approche par des secousses dans le bras gauche et pouvait se prémunir contre une chute.
prémunir contre une chute. Il se serait souvent mordu la langue. Le bras gauche était notablement affaibli et le patient a
roit regardant en dedans, par suite d'une contracture ac- cusée. Le bras droit est complètement paralysé, dynamomètre main
é dans l'attitude des hémiplégiques, l'avant-bras est fléchi sur le bras et la main à demi fermée. Cependant le sens sté
dant une heure et quand il revint à lui, il était paralysé des deux bras et des deux jambes. Il se fil électriser pendan
uel (juin 1899). - Il subsiste une certaine difficulté pour porter le bras gauche dans l'extension complète, l'épaule gauc
ires et osseux sont exagérés dans toute l'étendue de l'épaule et du bras gauche, on produit aussi facilement des secousses
mes à leur position initiale. Con- traction, de l'avant-bras sur le bras , avec rotation en dedans, également corrigible
t de l'épaule sont extrêmement limités, le mouvement d'élévation du bras et d'ab- duction n'atteint pas l'horizontale; p
r un'escabeau. L'opérateur, coiffé d'un feutre lacéré, saisit à plein bras la tête de sa victime, tandis que de la main dr
pina del dorso alla torace del petto. 3. Traduction française. Ce bras , depuis le coude a jusqu'à b, il faut le faire da
us que ceux qui ne s'emploient pas dans ce mouvement. Représente le bras , depuis l'épaule jusqu'au coude, quand il fait le
en faisant aller la main avec le charbon autour de cette épaule, le bras étant étendu, et il fera, par ce mouvement circ
te fille de 8 ans 1 ? devenue impotente par suite d'une fracture du bras droit, continua à aller à l'école et se mit à é
sur la dent doulou- reuse, car le patient cherche à lui arrêter le bras avec sa main droite. L'artiste a médiocrement r
urément, mais aussi moins périlleuses que les extractions à tour de bras . Aussi, les chirurgiens avisés ne tenaient-ils
la dent de son client, tandis qu'il lui maintient la tête avec son bras gauche contre sa poitrine. Le patient, un paysa
e saisit avec la main gauche la main droite du malade, posée sur le bras du fauteuil. On la voit de profil, bien éclairé
doigt dressé en l'air. La victime geint, se débat, se cramponne au bras de son siège, piétine, nerveusement au point d'
la main, s'arrête, comme pétrifié. Une veille femme, un pa- nier au bras , croise les mains dans un geste de supplication e
24 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome sixième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Première partie
s qui \ont prendre insertion sur les os; c'est ce que Ton observe aux bras et à la cuisse, entre les deux faces correspondan
des os des membres par rapport aux grands muscles profonds. (Ex. : au bras et à la cuisse des triceps, à l'avant-bras les cu
petit nombre de points , la surface du crâne, la face postérieure du bras , les régions dorsales de la main et du pied. Part
s que dans le squelette. Il se divise en quatre parties: l'épaule, le bras , l'avant-bras et la main. L'enveloppe générale
as et d'arrière en avant ; elle est très mince sur la face interne du bras où elle est aussi plus sensible. Le fascia cellul
une de ses fractions. i° Epaule. Intermédiaire entre le tronc et le bras , nous avons déjà vu qu'elle se fondait avec la na
leurs aponévroses entr'elles et avec les muscles de la poitrine et du bras . Il résulte de cet aperçu que l'appareil locomote
ur l'articulation scapulo-humérale. 1 Planches 9, io. vol. vl« 20 Bras . L'aponévrose brachiale constitue dans son ensemb
brachial antérieur, établissant par leurs tendons la continuation du bras avec l'avant-bras. La face postérieure contient l
e, elles s'insinuent profondément dans l'épaisseur de la cuisse ou du bras ; soit que la collection liquide, ayant son origin
t évident que les observations auxquelles ils ont donné lieu, pour le bras et la cuisse, s'appliquent également, pour íes di
deux côtés saillans, et surmonté ou recouvert par la face interne du bras , suivant que ce membre est élevé ou abaissé, qui
épanouissant sur les parois de la poitrine et sur la face interne du bras . 3° Muscles. Le fond du triangle axillaire est ta
umérus et le coraco-brachial de l'autre, et dont la superposition, le bras étant élevé, se présente dans cet ordre : la vein
irconflexe. ' Planche 1, n°37; et planchée). MEMBRE ÏHORACIQUE. bras . Le bras se divise en quatre régions, deux qui
' Planche 1, n°37; et planchée). MEMBRE ÏHORACIQUE. bras. Le bras se divise en quatre régions, deux qui affectent t
e son importance, l'articulation huméro-cubitale que l'on rattache au bras en qualité d'annexé, est généralement considérée
crire et à motiver les limites des régions brachiales. En anatomie,le bras comprend la totalité de la première fraction du m
se trouvant divisée en régions spéciales, celles qui appartiennent au bras , limitées supérieurement par le deltoïde et le gr
onévrose, dans l'épaisseur de laquelle elles s'insinuent au milieu du bras ; la basilique est côtoyée en avant par le nerf cu
n avant par le nerf cutané interne et le grand courant lymphatique du bras . Profondément dans le sillon des gros vaisseaux,
connaître, eu égard aux maladies et aux opérations. Intermédiaire du bras à lavant-bras, ses limites, absolument arbitraire
des opérations ou des accidens, ou spéciaux, ou différens de ceux du bras et de l'avant-bras. A l'extérieur, le pli du co
sont les branches articulaires des collatérales externe et interne du bras , anastomosées avec les branches terminales des ré
s : en dedans le cubitus qui forme la principale articulation avec le bras ; en dehors le radius qui compose, presque à lui s
endant, quelque soin que l'on apporte à contourner la face interne du bras , les deux nerfs cutanés, le médian et le cubital,
une pelote ou d'un cachet. Au contraire, pour les troncs artériels du bras et de la cuisse, éloignés des leviers osseux et r
sur les nerfs médian, cubital et les deux cutanés. Déjà, au milieu du bras , les trois derniers nerfs, s'écartant par leur di
quand on peut choisir, il convient mieux d'agir au tiers inférieur du bras , où le tronc du nerf médian s'isole de l'artère e
ées isolément par la pelote libre à lacs bouclé au tiers inférieur du bras , chacune sur l'os dont elle prend le nom. (Pl. 20
rande quantité de vaccin. Préparation du vaccin. Si l'on vaccine de bras à bras, piquer un bouton; il apparaît une gouttel
uantité de vaccin. Préparation du vaccin. Si l'on vaccine de bras à bras , piquer un bouton; il apparaît une gouttelette qu
On peut vacciner sur toute partie quelconque de la peau. Néanmoins le bras , à sa face externe, est le lieu d'élection ordina
es de succès, on fait plusieurs piqûres, ordinairement trois à chaque bras , séparées par des intervalles d'un pouce environ;
ldoitopérer;puis, sa main gauche appliquée sur la face postérieureclu bras , il circonscrit ce membre en amenant de chaque c
'il n'existe aucune indication particulière pour le choix du lieu, le bras gauche, à la partie moyenne de sa face externe, e
dication nécessaire pour le lieu, le cautère se pose préférablemcntau bras , le gauche sur-tout, entre l'insertion inférieure
s dont ou emprunte le lambeau sont les faces antérieure et externe du bras ou de lavant-bras. L'objet principal que l'on se
es cutanées des doigts et des orteils, celles de la partie interne du bras avec le tronc, du bras avec lavant-bras, de la ja
et des orteils, celles de la partie interne du bras avec le tronc, du bras avec lavant-bras, de la jambe avec la cuisse à l'
es intéressées sont des fractions du corps différentes, telles que le bras et le tronc , la jambe et la cuisse, il y a peu à
sont, en général, ceux des secondes fractions des membres : à l'avant bras , les tendons extenseurs ou fléchisseurs; à la jam
s vite, clans la crainte qu'il ne se forme un thrombus. 2° Souvent au bras , si ce n'est la ligature , ce sont les vêtements
e la plaie est trop oblique, arrive néanmoins assez souvent au pli du bras , lors même que l'incision a été faite dans la mei
a meilleure direction. 11 lient alors à ce que la piqûre a eu lieu le bras étant en supination, tandis qu'on le fléchit eu d
est insuffisante, il faut, tout en maintenant la pression, ramener le bras clans l'extension et la supination, sauf, pour re
lques jours en amènent la résorption. Lésion d'une artère. C'est au bras et eu saignant la veine médiane basilique, dont l
rgicale, cinq veines superficielles se présentent à saigner au pli du bras : sur les côtés la radiale postérieure et la cubi
ilets, il est impossible d'assigner, sur la face antérieure du pli du bras , un point où l'on ne puisse blesser des rameaux d
pond au nerf médian. Procédé opératoire. Découvrir préalablement le bras jusqu'à sa partie moyenne, en relevant les inanch
roidir le malade; ou autrement, mettre le membre entièrement à nu. Le bras disposé, reconnaître le tendon du biceps et, à so
stater la situation s'il y en. a. Ces dispositions prises, étendre le bras du malade dont l'opérateur applique et contient l
e et contient la main sous l'aisselle du membre qui doit supporter le bras opéré; du côté gauche du chirurgien pour le bras
ui doit supporter le bras opéré; du côté gauche du chirurgien pour le bras droit du malade et vice versa. Prenant alors le p
rs le plein de la bande, l'appliquer à plat sur la face antérieure du bras , le chef qui pend au dedans plus long que l'autre
faire un second tour du membre et les arrêter sur la face externe du bras par une rosette, l'anse en haut et les bouts pcii
s avons supposé le chirurgien ambidextre, c'est-à-dire opérant sur le bras droit avec la main droite et sur le bras gauche a
c'est-à-dire opérant sur le bras droit avec la main droite et sur le bras gauche avec la main gauche. Admettons qu'il agiss
la main gauche. Admettons qu'il agisse à droite. L'opérateur étend le bras dm malade en supination ou en denii-pronation, su
noue les extrémités ou on les fixe avec une épingle. On maintient le bras en écharpe pendant environ vingt-quatre heures.
u , la saignée des saphènes n'est jamais aussi abondante que celle du bras , et en général on doit lui préférer cette dernièr
ujets obèses, que l'on ne puisse trouver les grosses veines du pli du bras , tandis que les veines au-dessous sont assez appa
ue par frottement. Tout étant disposé, on place une ligature sur le bras de chacun des deux individus pour faire gonfler l
de chacun des deux individus pour faire gonfler les veines du pli du bras comme dans la phlébotomie. Par une incision longi
itudinale on meta découvert la plus grosse veine superficielle sur le bras du malade, on isole le vaisseau par une dissectio
nécessitent de préférence la ligature des troncs artériels à l'avant bras . La ligature partielle des artères de la main n'e
est assez exactement déterminé par une ligne qui, du milieu du pli du bras , ou du bord externe du tendon bicipital, tomberai
, ce qui en rend l'écarteinent plus difficile. D'après lui, le pli du bras étant reconnu, il faut s'écarter horizontalement
'angle supérieur; au lieu de la désignation vague du milieu du pli du bras , dont il faut s'écarter d'un centimètre en dehors
e par une flexion de la main sur le poignet et de l'avant-bras sur le bras . Mais chez les hommes très musclés le faisceau du
e par la ligature de l'artère humérale avant sa bifurcation au pli du bras . Artère humérale (pl. 4° ct 4 0 Situation. Lo
biceps dont elle contourne la saillie pour gagner en dehors le pli du bras , elle est appliquée en dedans et en arrière, sur
aison, et, plus particulièrement, à cause de la phlébotomie au pli du bras , aux blessures accidentelles suivies d'anévrisme
d'élection déterminés par la hauteur où existe la lésion : le pli du bras au-dessus de sa bifurcation, sa partie moyenne, e
la sortie de l'aisselle. Manuel opératoire. i° Ligature au pli du bras (pl. 4o). Le membre placé dans l'extension et l
alablement appliqué, tandis qu'un second aide fixe la main et l'avant bras , le chirurgien, en palpant avec les doigts réunis
ceps , et de la courbure quelle décrit en bas et en dehors, au pli du bras , pour gagner la tubérosité bicipitalc du radius.
a ligature comme à l'ordinaire. 2" Ligature ¿1 la partie moyenne du bras (pl. /\a ). Le membre placé comme il a été dit pl
rs en évitant le nerf médian. 3° Ligature à la partie supérieure du bras (pl. 42, fig. 1 ) '. Procédé de M. iÀsfranc. No
a nu le faisceau des vaisseaux et des nerfs. Abaisser alors un peu le bras et le rappeler à sa direction naturelle dans l'ad
n vice dans l'expression relative. Le malade couché sur le dos , le bras écarté du corps dans l'abduction à angle de quara
ie, ce feuillet sur la sonde cannelée. Rapprocher ensuite du tronc le bras dans l'adduction et la demi-flexion pour relâcher
e de celle d'une aponévrose. Déposer alors le bistouri, rapprocher le bras du tronc et tourner l'humérus vers l'adduction po
ce muscle au lieu de le couper en travers. La peau étant divisée, le bras dans l'abduction, M. Lisfranc écarte les deux mus
te les deux muscles adja-cens avec la sonde cannelée , puis ramène le bras dans l'adduction et va à la recherche des vaissea
e l'artère au-dessus de la tumeur. Ce procédé n'a eu aucun succès. Au bras , sur trois malades auxquels a été faite la ligatu
o, ouvrit une voie nouvelle. Ayant à traiter un ané-vrisme au pli du bras , en présence du célèbre anatomiste Lancisi, il se
es moyens. T. Bartholin rapporte un cas de guérison d'un anévrisme au bras par l'application prolongée de la neige. L'observ
ar une série de mouvemens alternatifs de va-et-vient auxquels tout le bras participe. A mesure qu'on arrive à la fin de la s
à ce qu'on la fasse agir à grands traits, il convient de maintenir le bras immobile ou presque immobile auprès du tronc, et
ire. Lorsque le cal fut assez solide pour permettre les mou-vemens du bras on supprima le séton, et après cinq mois et demi
de sa cliaphyse. On a alors deux fragmens : l'un supérieur tenant au bras , l'autre inférieur tenant au carpe ; il ne reste
osé et éclairé convenablement, le malade est couché sur le ventre; le bras , écarté du tronc, est placé de manière à présente
autour d'eux la scie à chaîne. La section ainsi opérée sur les os du bras et de l'avant-bras, il ne reste plus qu'à extrair
érale, tandis qu'autrefois ils auraient réclamé la désarticulation du bras . Procédés opératoires. Ils peuvent tous être ra
ix lignes) au-dessous de leur insertion supérieure et rabattre sur le bras le lambeau quadrilatère qu'on a obtenu. L'articul
externe, abaisser une incision nu! se dirige parallèlement à l'axe du bras vers la partie antérieure du moignon de l'épaule.
écessaires. — Premier temps. Empoigner fortement de la main gauche le bras du malade légèrement écarté clu tronc, et avec un
sse charnue du deltoïde. — Second temps. Pendant qu'un aide écarte le bras , circonscrire, avec un bistouri ordinaire, le col
esault, qui remplit parfaitement le but qu'on se propose: de fixer le bras dans f immobilité, en même temps que les surlaces
qu'il en résulte toujours une grande faiblesse dans les mouvemens du bras , malgré la présence d'un tissu ostéo-fibreux qui,
e scie toute la portion malade, en conservant ainsi l'articulation du bras . Tous les vaisseaux furent liés, le fond de l'ais
gt-quatre centimètres (neuf pouces) cle haut en bas. Les mouvemens du bras sur la cavité glénoïcle furent conservés. La tume
, et l'instrument est mu seulement par l'action de lavant-bras sur le bras , et du poignet sur l'avant-bras. Quand il y a deu
e Hilden veut qu'on ampute l'avant-bras très bas, après avoir fixé le bras sur le banc; les chairs coupées d'un seul coup, i
scription des procédés et dans l'examen anatomique de l'avant-bras. Bras . Ce cpie nous dirons en détail pour la cuisse s'a
irons en détail pour la cuisse s'applique également à l'amputation du bras dans la continuité; mêmes principes donnés déjà p
oit tant de perfectionnemens, a le premier tracé pour l'amputation du bras des préceptes raisonnes. Dans les amputations d
ongent du côté cle la main, et n'ont aucune connexion avec celles clu bras ; la propagation cle l'inflammation ou de fusées
drait autant que possible user du procédé de Vermale. AMPUTATION DU BRAS . ANATOMIE OPÉRATOIRE. Le Mémoire de Louis con
substance tous les principes anatomiques qui dominent l'amputation du bras ; si ses idées ne sont pas tout à fait complètes,
éritable source, la plupart des considérations cpii vont suivre. Le bras renferme deux systèmes fractionnels de muscles bi
e muscles bien distincts. Les muscles qui meuvent l'avant-bras sur le bras forment la première série que nous ayons à examin
entant les idées de Ixmis, a très judicieusement fait remarquer qu'au bras il ne faut faire nulle attention à la rétraction
A cause de la distinction bien tranchée des muscles qui meuvent le bras , d'avec ceux qui font agir l'avant-bras, la posit
uvent le bras, d'avec ceux qui font agir l'avant-bras, la position du bras pendant l'amputation au tiers inférieur n'a qu'un
ation la meilleure est une flexion très légère de l'avant-bras sur le bras étendu. Il n'en est pas de même à la région del
du moins dépasseront la surface osseuse dans les divers mouvemens du bras , on s'en assure, approximativement, avant la sect
lique, sont coupées dans leur plus grand raccourcissement, puisque le bras est tenu horizontalement, et ne sont donc pas sus
upérieur, plus bas il y a de l'avantage à se placer en dedans pour le bras gauche. méthode circulaire (pl. ^3, flg. 2, 3,
che. méthode circulaire (pl. ^3, flg. 2, 3, 4). Premier temps. Le bras écarté du tronc, la peau tirée en haut, le coutea
ont vulgarisé en Allemagne la méthode à lambeaux pour l'amputation du bras , ont attaché leurs noms à deux procédés qui tienn
brachial, enfoncer le couteau du bord interne au bord externe pour le bras droit, tailler de haut en bas et en biseau du cen
, le chirurgien, placé en dedans, soutient, de la main gauche pour le bras droit et de la main droite pour le bras gauche, l
nt, de la main gauche pour le bras droit et de la main droite pour le bras gauche, la partie inférieure du membre. De la mai
chairs profondes à la manière d'Alanson. — Procédé de M. Baudens. Le bras dans l'extension, tailler de la face externe à l'
ir ce but, c'est ici, plus spécialement que pour les autres points du bras , d'obvier à la rétractilité avec la plus petite p
procédé de la quadruple incision. Comme nous l'avons indiqué pour le bras , pendant la réunion le moignon doit être dans une
léer la capsule. Procédé de Louis et de Sabatier(p\. 74, fig. 4)-Le bras appliqué contre le corps, pour couper le deltoïde
doigt au-dessous de l'acromion. Pansement. Après les amputations du bras à diverses hauteurs, la ligature principale est c
ncement de 1 incision sur la crête du tibia, porter sous le membre le bras , dont la main, armée du couteau, est fortement to
aine plutôt que de porter le fer sur la continuité de la cuisse ou du bras . Toutefois il donne des préceptes pour l'amputati
ruption gagnait les parties supérieures de la cuisse (fenioris) et du bras (brachii), et non pas, comme Manget a 1 air de l'
iner parla désarticulation du cubitus. Procédé de jacquier. L'avant bras dans l'extension , tailler de bas en haut, et de
elle ; le chirurgien, obligé de couper très haut pour une gangrène du bras , s étant décidé à enlever la tête numérale, qu'i
ut, de manière à arriver au plus près de l'articulation ; incliner le bras en bas avec la pointe du couteau, inciser le liga
aide avec le pouce ou une pelote sur la première côte, les chairs du bras fortement remontées par un autre aide vers l'aiss
st bien exécuté : la seule observation à faire, c'est, en relevant le bras , de faire rapprocher suffisamment en haut, par un
ur ou interne). Procédé de Ledran. Le malade assis sur une chaise, le bras maintenu soulevé presque horizontalement par un a
itter le couteau , tomber sur la capsule fibreuse , faire abaisser le bras , couper la capsule et les tendons rotateurs, entr
ne modification du procédé de La Faye; voici en quoi il consiste : le bras en position, saisir et soulever avec les doigts d
me les professait Dupuytren. Le lambeau relevé par un aide, saisir le bras de la main gauche, le rapprocher du tronc, tourne
suivant, décrit d'abord par Grosbois mais avec moins de précision. i° Bras gauche. Premier temps. Le bras soulevé perpendicu
sbois mais avec moins de précision. i° Bras gauche. Premier temps. Le bras soulevé perpendiculairement : placé derrière le m
beau interne et inférieur de quatre à cincj centimètres de long. a0 Bras droit. Pour tailler un lambeau externe en agissan
placé d'abord en arrière, piquer et tailler le lambeau comme pour le bras gauche, puis se porter rapidement sur le côté pou
e se trouve coupée dans la première incision, M. Larrey a proposé, le bras opéré dans une légère adduction, de tailler d'abo
erne et inférieur. Ce procédé permet de piquer de bas en haut pour le bras gauche; mais pour le bras droit il exige d'opérer
édé permet de piquer de bas en haut pour le bras gauche; mais pour le bras droit il exige d'opérer la main en bas et le coud
autre de M. Chasley. Procédé de M. Larrey (pl. 78, fig. 1 et 2). Le bras du malade appliqué contre le corps, descendre une
de l'acromion, il contourne obliquement le membre en avant, élève le bras , parcourt l'espace de l'aisselle jusqu'à son bord
u uniquement supérieur ou inférieur. AMPUTATION DE L'ÉPAULE AVEC LE BRAS . Ce n'est que pour mémoire que nous mentionnons
. Cuming (1808) a également réussi en enlevant toute l'épaule avec le bras ; MM. Clot, Brice et Syme n'ont pas été moins heur
érations : une résection des os de l'épaule et une désarticulation du bras . En général, la résection doit précéder l'autre:
entouses, 142—144. = Phlérotomie, généralités , 144—147. — Saignée du bras , 147. — Saignée du pied, saignée du cou, 148. — S
nt, 233, 234. =r= Amputation de l'avant-bms, 234—236. = Amputation du bras , 236—238. amputations dans la continuité du mem
rticulation scapulo-humérale, 260—264. — Amputation de l'épaule et du bras , 264. amputations dans la contiguïté du membre
ion scapulo-humérale. 37. Région scapulaire. MEMBRE THORACIQUE. BRAS . 38. Région brachiale antérieure. 39. Région
ns, de nombreux vaisseaux lymphatiques et des nerfs. AISSELLE, le bras étant élevé en arriere. La figure développe l'a
ire. 1. Nerf médian. 2. Artère axillaire. 3. Veine axillaire. Bras . C. Loge du biceps, avec ses vaisseaux et ses n
. 7. Veine basilique. 2° En dehors: 8. Veine céphalique. Pli du bras . 9. Nerf cutané externe. 10. Veine médiane cé
2. F. Loge du deltoïde, avec les vaisseaux et nerfs circonflexes. Bras . G. Loge du triceps ; le fond de la figure est
Figure 1. Plan de la partie moyenne cervicale. — Figure 2. Section du bras , a un pouce au-dessus de l'attache du deltoïde. —
par une cavité de réception (g), dans laquelle est reçue la boule du bras de levier horizontal, maintenue par une vis (h).
de roulée en position. D'abord, très lâche sur la face postérieure du bras , elle a été tordue en spirale à un ou deux tours,
ici le biceps si le compresseur était appliqué à la partie moyenne du bras . Cette même erreur de principe est celle qui a pr
IE SAIGNEES DU BRAS ET DU PIED. ADULTE, DEMI-NATURE. SAIGNÉE DU BRAS , FIGURES I, l ET 3. Figure 1. Elle représente l
temporale; au cou, la saignée de la veine jugulaire externe; et, au bras , celle de la veine céphalique par deux procédés.
le cas où, sur un sujet gras, on ne peut trouver une veine au pli du bras pour pratiquer une saignée jugée indispensable, M
Demeaux. Le malade est entré à l'hôpital pour un anévrisme au pli du bras , causé par une saignée faite auparavant par un ch
quatre opérations de ligature : 1° (G) Artère hurnérale, au milieu du bras : à cette plaie se joint, pour l'anatomie chirurg
. (G) Fig. 1, et (G2) LIGATURE DE L'ARTÈRE HUMÉRALE, au milieu du bras . Le muscle biceps est refoulé en avant et en de
humérus. Figure 11. Carie de l'extrémité numérale des os de l'avant bras . Figure 12. Carie commençante de la tête du fém
mputation de la jambe. Figure 4. Couteau droit pour l'amputation du bras . Figure 5. Petit couteau inter-osseux pour l'am
c, présente sa face postérieure en haut, en regard de l'opérateur. Le bras étant maintenu par la main gauche d'un aide qui c
che du chirurgien, H, qui empoigne en plein l'extrémité inférieure du bras . Un aide comprime avec le pouce gauche, I, l'artè
eur, coupé les chairs en arrière et désarticulé Pavant-bras d'avec le bras , l'opération est représentée au moment où il ne
ection de la tête de l'olécrâne. FIGURES 2, 3 ET 4. amputation du bras dans sa continuité. (Partie moyenne du bras gau
3 ET 4. amputation du bras dans sa continuité. (Partie moyenne du bras gauche.) Figure 2. Section des chairs. d, Mai
bas. 1,1, Ligatures des artères humérale et collatérale externe du bras et des branches du biceps, du brachial antérieur
plaie. PLANCHE 74. FIGURES A, 2 ET 3. amputation a lambeaux du bras droit dans sa continuité. ( Procédé de Klein. )
che du chirurgien qui soulève les chairs de la partie antérieure du bras pour faciliter la taille du lambeau. c, Couteau
érale. FIGURE 4. amputation a lambeaux de la partie supérieure du bras . ( Membre droit. ) ( Procédé de Sabatier. ) L
1, Main gauche du chirurgien qui maintient le fragment inférieur du bras . m, Pelote tenue par la main d'un aide qui opèr
la section. f, Main gauche du chirurgien qui contient et dirige le bras opéré g, Main droite armée du couteau, et qui a
couteau. c, Main gauche du chirurgien qui maintient et gouverne le bras sur lequel il opère. d , Couteau tenu de sa m
leurs. b. Main gauche du chirurgien qui gouverne les mouvemens du bras . c. Main droite armée du couteau qui vient de t
rimer. e. Main gauche du chirurgien qui gouverne les mouvemens du bras . f. Main droite armée du couteau , qui opère la
trois premiers doigts. f. Main gauche du chirurgien qui gouverne le bras . g. Tête humérale désarticulée. h. Main droit
25 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
sortit de l'hôpital pour venir travailler à Paris, il avait déjà le bras gauche comme engourdi, et il y ressentait, princi
tait plus faible que la droite. Pendant cette période également, le bras , le tronc du côté droit et la moitié droite de la
ris, le malade s'aperçut qu'il n'avait plus au- cune- force dans le bras et que sa main ne pouvait rien tenir. Alors, ét
nces thénar et hypothénar, de la parésie, une analgésie complète du bras et de l'avant-bras. [Ces renseignements sont pu
que, sauf que la jambe du côté gauche commença s'affaiblir comme le bras et lui fit éprouver une grande difficulté à march
clinée sur l'épaule gauche (action de sternomastoïdien gauche), les bras tombent et sont animés de temps en temps, surto
bien accentués dans la position et les mouve- ments des jambes. Le bras droit n'est pas agité pendant la marche, mais p
=0. Elle est très certainement diminuée aussi dans l'avant-bras, le bras et l'épaule gauches, mais non absolument nulle.
s avant-bras donnent des résultats identiques à la mensuration, les bras , les cuisses et les jambes également. Le malade
l'anesthésie spéciale occu- pant la main, l'avant-bras, souvent le bras tout entier. Mais à cette anesthésie de la mala
palmaire ou dorsale des doigts, ou sur le dos de la main, jamais à bras . Ces bulles, sont bvalaires, leur étendue varie d
sie des membres du côté droit. Le malade peut porter sa main et son bras droits dans toutes les directions. Mais il est in
' DEUX CAS DE MALADIE DE MORVAN. 13 Les muscles de l'avant-bras, du bras , de l'épaule, du tronc, du membre inférieur dro
ble et un degré très prononcé de contracture des avant-bras sur les bras , des jambes sur les cuisses et des cuisses sur
omme d'Adam. Aux membres, il diminue d'épaisseur de haut en bas. Au bras , il est plus épais en arrière qu'en avant. Au 1
ses genoux ou sur une table. Si l'on ordonne au sujet d'étendre les bras dans l'attitude dite du serment, les oscillatio
in droite posée sur une table. Le second a été obtenu la main et le bras du sujet étant placés dans l'attitude dite du ser
nt un tambour myographique soit sur la face postérieure de l'avant- bras , soit sur la région antérieure de la cuisse. Po
l'observateur posée sur l'avant-bras du sujet (celui-ci tenant son bras horizontalement étendu) percevait une sensation
en prodromes psy- chiques entrecoupés de quelques contractions des bras , de quelques convulsions des globes oculaires,
, se rapprochent de celles des alcooliques. « Il se jettoit sur mon bras , dit-elle, quand je voulois commencer il parler
Un homme vigoureux âgé de vingt-neuf ans, attelé il unccharrettea Ú bras , est culbuté par une lourde voiture de blanchisse
des dans la production de l'effet morbide. Le membre para- lysé, le bras par exemple, ne retrouve pas subitement sa force
es sens lorsqu'il le veut. Mais lorsqu'il est à l'étal de repos, le bras gauche est rapproché du corps, l'avant-bras flé
oïde. ' L'atrophie des membres est peu marquée. La circonférence du bras est égale des deux côtés, 20 à l'avant-bras, on
entimètre et demi de moins du côté gauche. Température de surface : bras droit, 83 ? bras gauche, e°8; jambe droite, 39o
de moins du côté gauche. Température de surface : bras droit, 83 ? bras gauche, e°8; jambe droite, 39o9; jambe gauche,
encore plus de notre dessin. Au premier plan, le patient dont les bras passés sous le jarret donnent au corps une atti
s reprises d'arrêter les mouvements choréiques en lui attachant les bras , mais ces manoeuvres n'eurent d'autre résultat qu
xiste des stigmates permanents de l'hystérie : anesthésie totale du bras droit; anesthésie de la moitié droite du tronc, e
TION A L'ÉTUDE DES BAILLEMENTS HYSTÉRIQUES, 103 naire : raideur des bras avec contracture, secousses classiques des quat
ÈTRIÈRE. une violente colère, brisa des carreaux et se fit aussi au bras des blessures qui nécessitèrent son admission à
survient une attaque, convulsive caractéris- tique ; elle étend ses bras , les tourne en pronation, sa mâchoire infé- rie
nt dans une période de torpeur. Il reste continuellement assis, les bras croisés le plus souvent. Au point de vue des at
es mains à demi fermées dans la position du repos (pl. XIX). 2° Les bras sont croisés. 3° La ^main droite est placée dev
rd, puis, tout d'un coup il se met à les exécuter. Si on soulève le bras on constate qu'au lieu de retomber immédia- tem
normal qui s'y prêterait en faisant, comme on dit vulgairement, le bras mort. Il y a même quelque chose de différent en
, nous avons observé comme accidents anormaux : 1° une paralysie du bras droit (il y avait MODIFICATIONS DE LA TECHNIQUE
Il est renversé, sa tète tournée sur la droite et il gesticule des bras et des jambes. En haut à gauche, le diable s'en
deux ans qui a été atteinte au mois d'août z1883 d'une faiblesse du bras droit. Au bout de quatorze jours, le membre infér
le membre inférieur gauche se prit; enfin, quelques mois après, le bras gauche puis le pied droit furent atteints. Cett
it avec une certaine difficulté, en.s'aidant de ses mains et de ses bras , mettre ses membres inférieurs hors de son lit.
térieure de l'articulation radio-carpienne. Les avant-bras et les bras sont en rapport avec la haute stature d'Al- pho
nt son enfance. 16 ! NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Les bras et les avant-bras ne présentent rien de particuli
elle exerçait le métier de blanchisseuse, et fatiguait beaucoup du bras droit, elle éprouva pour la première fois des d
bras droit, elle éprouva pour la première fois des douleurs dans ce bras au niveau du biceps. Ces douleurs disparurent s
sance, car elle se souvient très bien qu'elle vit ses jambes et ses bras se paralyser peu à peu et qu'elle eut très bien
t pour le Vésinet dans l'état suivant : elle marche sans boiter, le bras droit n'est plus paralysé, mais le bras gauche
elle marche sans boiter, le bras droit n'est plus paralysé, mais le bras gauche ne remue presque pas. (L'observation de
vomir, des douleurs épigas- triques et de la diarrhée. Peu à peu le bras gauche devient de plus en plus faible, et le br
hée. Peu à peu le bras gauche devient de plus en plus faible, et le bras droit lui-même commence à se paralyser. C'est d
isse aller sous elle. Pas d'incontinence d'urine. Pas d'eschares. Bras gauche beaucoup plus faible que le droit, paral
marquée que des fléchisseurs. Atrophie considérable des muscles du bras et de l'avant- bras. Les jambes jouissent de qu
chisseurs. Atrophie considérable des muscles du bras et de l'avant- bras . Les jambes jouissent de quelques mouvements. Ins
s. - M01wements. - Côté droit : presque tous sont conservés dans le bras . Mouvements de l'avant-bras sur le bras conserv
tous sont conservés dans le bras. Mouvements de l'avant-bras sur le bras conservés, sauf ceux de supination et de pronat
ment paralysé, n'est pas du tout atrophié, ainsi que les muscles du bras . Les muscles épitrochléens sont bien plus atrop
éraux : contractilité conservée. 21 février. - Amélioration dans le bras gauche, quelques mouve- ments dans le deltoïde.
e immobile. Extenseurs des doigts paralysés. OEdème de lamain et du bras gauche. Chaleur plus grande à gauche. Différenc
eux éléments) pendant quatorze heures (courants descendants) sur le bras gauche, élévation de la température et aug- men
plus et l'équilibre s'établit. - Les progrès dans les mouvements du bras gauche continuent, et les deux bras sont mainte
progrès dans les mouvements du bras gauche continuent, et les deux bras sont maintenant dans le même état. L'attitude v
aiffe, trois éléments, tube enfoncé). Les muscles de l'épaule et du bras gauche, qui ont repris un volume presque normal
mière fois depuis la maladie. Septembre, -Muscles de l'épaule, du bras et de l'avant-bras aussi volumineux qu'avant la
ui en résultent semblent plus marquées à la main gauche. A l'avant- bras , les muscles répondent bien à l'excitation faradi
est peu près* égale. Il y a toujours une sensation de froid dans le bras droit bien que la température y soit normale. La
janvier. - La malade se plaint d'une douleur très violente dans le bras droit. En faisant mouvoir l'articulation scapulo-
nté aux pieds et aux mains. Les muscles du tronc, des jambes et des bras sont toujours indemnes. La malade vaque comme a
nce plus ferme qu'à l'état normal. , Bien qu'à l'avant-bras et au bras les muscles paraissent un peu atrophiés, ils ne
n a prélevé pour cet examen : le nerf médian à la partie moyenne du bras , supérieure, moyenne et infé- rieure de l'avant
ant bien aux mouvements de flexion et d'extension de la jambe et du bras qu'on cherche à produire, les mains serrent ave
n mieux perçue; à partir de la moitié supérieure de la cuisse et du bras la douleur qu'elle occasionne est vive sans être
débuté. Puis des fourmillements apparurent dans la jambe et dans le bras . Les troubles parétiques augmentèrent gra- duel
ar la chaleur, couverts de sueur, ils sont obligés de travailler en bras de chemise et même en maillot. Plusieurs fois I
rrière, les yeux sont convulsés en haut, la bouche est ouverte. Les bras s'agitent, et n'était les mains trop ouvertes,
ant quelques jours de la faiblesse et de l'apathie, avec parésie du bras gauche telle qu'elle ne pouvait plus tricoter.
, il avale plus facilement, quand soudain se déclare une parésie du bras droit; les muscles de la respiration se prennen
front du côté droit, sans commotion cérébrale, et des fractures des bras . En juillet 1889, M. X... prenait part aux trav
out à la pointe, l'émis- sion fréquente des urines, la faiblesse du bras droit principalement dans les mouvements d'exte
26 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
ns et des pieds. Lorsqu'il s'agira d'étu- dier un membre entier, le bras , la cuisse par exemple, ou une partie plus épai
'on lui en donnait, la malade parvenait à sou- lever légèrement ses bras , grâce à l'action des muscles trapèzes. Partout
apparaissaient des douleurs fulgurantes le long du bord cubital du bras et de l'avant-bras. De temps en temps la malade
que toujours de sensations douloureuses le long du bord cub,ital du bras et de l'avant-bras, de constriction thoracique,
droit an- térieurement. Aujourd'hui, en effet, il-ne peut tenir à bras tendus avec le bras droit, une chaise légère qu
ment. Aujourd'hui, en effet, il-ne peut tenir à bras tendus avec le bras droit, une chaise légère que 2 minutes au plus,
es muscles et les avant-bras do notre malade et, on constate que le bras droit est atteint d'mnyot/'ophie. Le malade n'a j
il a remarqué que ses hras diminuaient, tous les doux ensemble, le bras droit un peu plus pointant que le gauche. On re
e thenar droite est moins volumineuse que celle de gauche. L'avant- bras droit est aussi diminué. - On remarque un mépla
ne une différence de 1 centimètre il 1 cm. 1/2 en plus on faveur du bras gauche. Ses bras sont sensiblement pa- reils. D
de 1 centimètre il 1 cm. 1/2 en plus on faveur du bras gauche. Ses bras sont sensiblement pa- reils. Donc il y a évidem
taire (Maladie de TlioLtiseù).- '. Fis. 7. Hémichorée hystérique ( Bras ). Fiq. 8. Paralysie agitante (Pied et' main).
là, immobile, s'appuyant de la main droite sur sa longue lance, le bras gauche sur l'épaule du petit Iule, tout en larmes
LLE ]CONOGKAPmE DE LA SALPÊTRIÈRE doute, lance en main, bouclier au bras , casque sur la tête, retournent au combat. A
le recon- duire chez lui : il partit « pied; donnant simplement le bras à un de ses compagnons; 'tout à coup; dans la r
urs paraissent exclus de la paraplégie ; le ma- lade remue les deux bras et peut tendre la main droite. Cependant t on
ulaire est plus accen- tuée dans le hras gauche : il ré- siste du bras droit au mouvement 1 d'extension de l'avant-bra
e du bras droit au mouvement 1 d'extension de l'avant-bras sur le bras et peut tenir son verre de la même main ; à gau
eurs : Hémiparaplégie double à limite supérieure dé- nivelée : le bras gauche est parésié, le droit indemne. GOMME S
orsale contribue, sans doute, à la motricité de certains muscles du bras et nous avons vu qu'il existait chez notre mala
qu'il existait chez notre malade des phénomènes parétiques dans le bras gauche ; quant à la 2e paire dorsale, son inner
racine dorsale), correspondent les troubles moteurs plus marqués du bras gauche et une anesthésie plus élevée du côté oppo
lement la 2e paire dorsale, se rattachent l'absence de paralysie du bras droit (intégrité du plexus) et une zone d'a- ne
che du corps au-dessus de la 1 re paire dorsale zone pG (parésie du bras gauche, pa- (1) J. SoTTAs, Bévue de médecine, 1
u corps ; les membres et surtout les extrémités, mains et pieds. Le bras , la jambe se laissent en- core traverser par le
ique), et une femme à l'abdomen volumineux qui s'affaisse entre les bras d'une compagne. L'autre bas-relief nous montre
endant les yeux ouverts semblent convulsés en haut et en dedans. Le bras droit passé derrière le cou de l'aide est dans un
cou de l'aide est dans une atti- tude qui n'a rien d'anormal. Le bras gauche au contraire est tout à fait significatif.
ge qui nous intéresse est une femme tombant à la renverse entre les bras d'un homme, la tête rejetéë en arrière et à droit
NOGRAPIIIE DE LA SALPÊTRIÈRE \ courte robe qui moule son corps ; le bras gauche est levé en l'air, la main tombante, le
son corps ; le bras gauche est levé en l'air, la main tombante, le bras droit demi-fléchi. L'attitude générale rappelle
un paysage boisé et montagneux. Le possédé est assis par terre, les bras et les jambes garrottés à l'aide de solides arm
s oculaires. Le renversement du corps en arrière est manifeste ; le bras droit semble violemment ramené derrière les rei
la composition, une femme soutenue par la taille s'af- faisse, les bras écartés, dans une attitude qui n'est pas sans grâ
ées de linges; à droite une femme, assise également, tient dans ses bras un jeune enfant. La recherche de .l'effet drama
de la poitrine viennent compléter la ressemblance. Le mouvement des bras est fort heureusement disposé pour ajouter en-
ien choisi et s'harmonise heureu- sement avec celui du torse et des bras . Cette statue qui, de l'avis des critiques, doi
,d'un geste théâtral vient debriser les chaînes qui lui liaient les bras ; il a la bouche ouverte et les yeux convulsés en
mbranes. La lésion comprimait également les deux côtés car les deux bras étaient paralysés ». Nous rapprocherons du cas
- ralysie des membres supérieurs qui avait débuté subitement. « Les bras relevés au-dessus de la tète retombaient inerte
e et aphasie. Cette dernière disparut bientôt, mais la paralysie du bras , en particulier, persista pendant une année. De
compa- gnant d'une faiblesse des membres inférieurs avec ataxie des bras et des jambes. Pas de troubles de sensibilité.
erculeux et qu'on eût pu penser à un mal de Pott cervical. Mais les bras ne furent pas paralysés et ce n'est guère là l'
'enfant-est fort intelligent. Au cours de la 2e année, paralysie du bras gauche qui dure six semaines et guérit. t. ' -
émité des doigts un engourdisse- ment qui envahit graduellement les bras . A la même époque, phénomènes iden- tiques du c
ebout ni assis, sur son lit. Impossibilité abso- lue de mouvoir les bras ou les doigts ; légers mouvements des membres inf
les membres inférieurs dont les mouvements sont plus étendus ; les bras restent insensibles. Sa mère dit qu'elle a eu I
des doigts et des niains, mais ne peut mouvoir ni les mains ni les bras . 12 novembre. Peut détacher les bras du corps ;
mouvoir ni les mains ni les bras. 12 novembre. Peut détacher les bras du corps ; meilleurs mouvements des jambes ; pa
jambes ; paralysie des sphincters. 28 novembre. Peut mouvoir les bras librement ; le mouvement est revenu graduelleme
; le mouvement est revenu graduellement ; sensibilité parfaite des bras et des jambes ; même état des sphincters. 15
lle; peut s'asseoir sur son lit, mouvoir les doigts, les mains, les bras et les jambes dans toutes les directions ; sensib
rès, récidive des symptômes paralytiques qui envahissent d'abord le bras gauche, puis la jambe gauche, puis le bras droit
i envahissent d'abord le bras gauche, puis la jambe gauche, puis le bras droit et enfin la jambe droite. Sensibilité int
son couteau ou sa fourchette ; très légers fourmillements dalls le bras gauche. Cet état reste stationnaire jus- qu'au
er 1892, il essaye de reprendre ses fonctions de comptable mais son bras droit toujours envahi par des crampes, ne lui per
ieurs. Il existe encore quelques fourmillements très légers dans le bras droit et sur- tout des crampes qui nuisent à la
autres frictions, Marius R... ne ressentait plus de crampes dans le bras droit ni d'engourdissement dans les membres infé-
s maux de tête toutefois. Il y avait une faiblesse notable des deux bras . Elle eut sa crise annuelle de vomissements vers
Lorsqu'elle en sortit, au bout de 2 heures, elle était paralysée du bras *gauche et des membres inférieurs. Il avait un pto
tés. Les membres supérieurs exécutent des mouvements coordonnés. Le bras droit donne 24 au dynamomètre. Le bras gauche e
es mouvements coordonnés. Le bras droit donne 24 au dynamomètre. Le bras gauche est resté plus faible que le droit (Dyn.
urs spontanées à caractère fulgurant ; quelquefois douleurs dans le bras gauche avec engourdissement des doigts. Etat gé
iers jours de février 1896, la malade se plaint de douleurs dans le bras gauche. Ces douleurs ont leur point initial au
ont leur point initial au niveau de l'épaule, descendent le long du bras et de Pavant-bras, la main s'en- gourdit alors'
es qu'il lui était impossible de marcher ; de même la faiblesse des bras était telle qu'elle ne pouvait les lever. La pa
n sont du reste tout fait nettes : ce sont, au cou, aux jambes, aux bras , des ci- catrices gaufrées et polycycliques, l'
on, haut de 1 m. 062, portait « deux hommes vigoureux, un de chaque bras . et dansait autour de la pièce en les tenant ».
haut de 1 m. 137, souleva un jour « quatre hommes, deux sur chaque bras ))..7o/<M Grimes, vers la môme époque, fit d
lés. , . Les plis de la peau, distendue par la graisse, donnent aux bras l'appa- rence de boudins ficelés, et clans la b
r difforme, debout sur les mar- ches d'un escalier, tenant sous son bras droit un panier rempli de poussins (4) Nouvelle
e plus que lui. Il peut, sans se baisser, appuyer son menton sur le bras d'un fauteuil. Le nain de'lVlolenaer est surtou
bascule que semble avoir subi l'omoplate droite, et la position du bras gauche qui forme un arc- boutant destiné à main
hypothèse d'une figuration de myopathie progressive. La position du bras gauche s'explique suffisamment par la nécessité
soit conservée. Les membres supérieurs n'offrent rien d'anormal. Le bras droit est pres- que horizontal ; l'avant-bras d
u maintien de l'équilibre du torse sur le bassin. , Le modelé des bras , comme celui des jambes, est assez vague.On recon
it jusqu'à quatre pintes de sang, malgré les saignées du pied et du bras qu'on lui faisait. Ces vomissements duraient
sses et des jambes, sur les parties latérales du voisinage, sur les bras et les avant-bras, on en voit encore les cicatr
crampe générale avec des contorsions effroyables, dans le col, les bras , et les jambes. Cet accès passé, la malade restai
quée d'une anasarque qui occupait tout son' corps à l'exception des bras ; elle a duré deux mois et demi et a cessé vers
ressentait depuis quelque temps ayant augmenté, elle fut saignée au bras une fois et ensuite au pied deux fois en quinze j
deux fois en quinze jours. A la première saignée, il se jeta sur le bras une enflure, qui fit craindre qu'elle ne restât
état. L'enflure avait reparu, et en se jetant principalement sur les bras et sur les mains de la malade, elle lui avait ô
et aussi laborieuses que celles qu'elle a subies. Ses mains et ses bras me parurent assez maigres, et marqués de cicatric
« crampe générale avec des contorsions effroyables dans le col. les bras et les jambes, le corps s'é- 246 NOUVELLE 1CONO
lade rendit jusqu'à « quatre pintes de sang, malgré les saignées du bras et du pied qu'on lui faisait ». Les hémorrhagie
a région antérieure des cuisses, des jambes, sur le visage, sur les bras et les avant-bras, causant une très vive cuisso
spèce d' « anasarque qui couvrit tout le corps, à l'ex- ception des bras , et dura deux mois et demi ». Selon toute vrais
int encore trois mois après, sans cause, et resta localisée sur les bras et sur les mains. Enfin, pour terminer, il nous
t les mouvements articulaires, entravent surtout l'extension. Aux bras : le biceps semble être le seul muscle qui tient
téraux). Pour une même excitation- la contraction est plus forte au bras droit qu'au bras gauche. Pas de lenteur de co
même excitation- la contraction est plus forte au bras droit qu'au bras gauche. Pas de lenteur de contraction ni d'inve
tre séparées de celles où l'intervention chirurgicale a lieu sur le bras ; ces dernières, en effet, ont souvent trait à
epensé unevieille femme,coiffée d'un feutre in- forme, un panier au bras , les mains cachées sous son tablier, et qui regar
de était dans l'impossibilité de clore les paupières, de remuer les bras et les jambes ; elle avait des crampes dans les
lle ne pouvait plus marcher. Elle se plaignait de douleurs dans les bras et dans les membres inférieurs. La pression des
Signé). « Un paysan, tourné à droite, est assis sur un escabeau, le bras droit et l'épaule d1'lrite nus. Devant lui, sur
incipal. « Dans le fond, un paysan entre dans la pièce, portant son bras droit en écharpe. « A droite, un tonneau et d
27 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
85, aggravation considérable des troubles moteurs aux jambes et aux bras . Il en arrive à marcher très difficilement, les j
ucoup moins exagéré toutefois que celui des membres inférieurs ; le bras mesure 27 cen- timètres de circonférence sa par
tre personne. La même gêne se retrouve pour tous les mouvements des bras ou des mains que le malade veut accomplir, aprè
nt assez intense (courant stabile) à travers un membre tout entier ( bras , cuisse, jambe) on produit facile- ment l'appar
certain an- gle. L'avant-bras étant plié jusqu'au même degré sur le bras , on place le coude dans la gouttière et on réun
a une hémi-anesthésie farado- cutanée de tout le côté gauche (face, bras , jambe) : quand on lui faradise la peau av ec l
e deux fois par seconde, sa tête était en mouvement constant el ses bras étaient agités de mouvements choréiformes. L'
taches congestives, petites et de forme irrégulière apparurent aux bras et il la jambe gauche. L'appareil digestif ne p
ar Greidenberg (4), Blocq et Blin ; le malade de Greidenberg eut le bras droit atteint à huit ans, le bras gauche à quat
; le malade de Greidenberg eut le bras droit atteint à huit ans, le bras gauche à quatorze ans. Dans le cas de Blocq et Bl
maître M. le professeur Charcot, les mouvements limités d'abord au bras gauche (quatre ans) passant au bras droit quatre
s mouvements limités d'abord au bras gauche (quatre ans) passant au bras droit quatre ans plus tard (sept ans) et n'enva
ignet. De temps en temps quel- ques secousses de l'avant-bras et du bras . Les épaules se lèvent et s'abaissent et le tro
t sur ses genoux. ' Marche. Très particulière, il écarte un peu les bras du corps, les étend en avant, les genoux légère
tent à l'ordinaire augmentent d'intensité, le corps se tortille, le bras fait de grandes oscillations, les mouvements at
me par exemple pour pren- dre un objet et le porter à sa houche, le bras est animé de petits mouvements involontaires, i
approchant au but des mouvements de tout le corps. Le mouvement du bras lui-même est lent comme s'il était obligé de va
al antérieur et postérieur, les deux radiaux. Les avant-bras et les bras et quelquefois môme la racine du membre su- pér
ronation el de supination. Un des malades de Mas- salongo avait les bras tantôt rapprochés, tantôt écartés du thorax. Chez
exécuter un mouvement avec d'autres parties du corps (élévation des bras par exemple). (1) Iluet, De la chorée chronique
par exemple, le malade penche le tronc en avant, étend fortement les bras (1) Warner, l3ritis)z /IIpd.j01ll'/lal, sept. 1
et Huet, de Déjerine. « Ici on a noté un peu de rigidité clans les bras et avant-bras, là s'observe un spasme passager
mes. Le type le plus commun c'est la flexion de l'avant-bras sur le bras . Réflexes. La rigidité dont nous venons de parl
ont fléchies sur le bassin, les jambes écartées ; en même temps les bras sont habituellement accolés spasmodi- quement c
t raide, peul cependant s'asseoir. Une fois dans cette position les bras sont accolés au tronc, les avant-bras fléchis,
s en extension ou abduction ou encore adduction. Les mouvements des bras et des avant-bras ont très peu d'étendue. Qua
sa chaise, la malade penche le tronc en avant, étend fortement les bras dans la même direction, les cuisses rappro- ché
sses sont à peu près normales : les jambes sont plutôt courtes. Les bras assez forts. M. P. Richer, chef de laboratoire
té de l'hypertrophie des muscles de la région cervicale et des deux bras . Oulmont el Seeligmuller ont prétendu que l'on ne
es supérieurs. Quand le malade est au repos, assis par exemple, les bras sont accollés au tronc, les mains se joignent pou
de déformation nulle part. On sent un certain degré de raideur des bras quand on veut les écarter ou les étendre. Les m
is pu marcher tout seul, mais il peut marcher si on le tient par le bras , alors tout le corps se raidit, les cuisses se
lus bizarres et les plus variées, les extrémités et le tronc. Les bras sont habituellement dans l'abduction ; les avant-
st le t) pe ell flexion, dans lequel l'avant-bras est fléchi sur le bras ; on a aussi constaté à l'état permanent l'exte
ner un coup de poing, tous les muscles qui produisent l'extension du bras , de t'avant-bras, etc. se contractent brusqueme
des muscles mis en jeu se soit produite pour pouvoir ra- mener son bras dans une position autre que celle provoquée par l
maladie aigué. Début. Il y a 6 ou 7 ans, sans cause appréciable, le bras droit s'affaiblit progressivement et deux ans a
des lèvres. Aux membres supérieurs l'enfant relève brus- quement le bras , choque le visage, fait un détour, un grand mouve
de se frapper le front, le visage, la poitrine, etc..., élévation des bras comme dans un mouvement de défense, etc. Ils so
gions carpiennes et métacarpiennes des deux mains et sur les avant- bras . Voici en quoi consiste cette éruption : sur la p
a déviation que nous venons de décrire. Si le malade se sert de son bras sain pour porter des objets, pour travailler, il
ignait les membres inférieurs plus que les supérieurs, frappait les bras et les cuisses plus que les avant-bras et les j
t qu'il avait à la suite conservé une raideur assez marquée dans le bras du même côté. Quoiqu'il en soit, au moment même d
il donne la main gauche à une fillette qui agite continuellement le bras en lui imprimant de grandes secousses. Le malad
long du tronc, l'épaule un peu abaissée, l'avant-bras étendu sur le bras , et la main sur l'avant- bras. La main est défo
abaissée, l'avant-bras étendu sur le bras, et la main sur l'avant- bras . La main est déformée, les articulations métacarp
. Fig. 2G. - Altitude anormale. Renversement du tronc. Extension du bras . (Dessin demi-schématique de M. P. Richer, d'ap
ttre cette rigi- dité que pendant la marche, il fait imprimer à son bras un mouvement conti- nuel de balancement. Depu
on ne tarde pas à se convaincre qu'en réalité, en 1888, la main et le bras gauches étaient le siège d'une roideur et d'une
torsion du cou sont plus marqués encore- que pendant le repos ; le bras reste un peu éloigné du tronc, le coude demi-fl
marquait déjà un certain degré de raideur, dans la main et l'avant- bras droits ; au bout de 6 à 8 mois, le tremblement ap
l'on fait passer un courant slahilc à travers un membre entier, le bras par exemple, ou un segment de membre, la cuisse
f. C'est dans les fléchisseurs, et dans les biceps humoraux pour le bras , les vases internes, externes et droits antérieur
u moulin qu'ils imi- tent, en faisant exécuter dans l'espace à leur bras une sorte de mouvement gyratoire analogue à cel
e et un sentiment de faiblesse, de raideur qui prédominent dans les bras . Donc c'est une maladie qui survient par accès,
odromes. Les mouvements convulsifs se déclarent dans la tétanie aux bras et sur- tout aux doigts, s'étend de là à tous l
ntercalaire, en comprimant les gros troncs artériels et nerveux des bras (nerfs médians et les artères brachiales par ex
que lui inspire la scène biblique. Pendant que l'ange Raphaèl, les bras levés au ciel dans un geste tradi- tionnel, imp
croit en lui, déplus il a si grand désir de revoir les cieux ! Son bras droit étendu semble retenir sa femme que la foi
it trop loin. Disons qu'il peut être mis en mouvement directement à bras mais qu'il est beaucoup plus facile d'employer
bres supérieurs, à droite et à gauche, l'avant-bras, le poignet, le bras sont de volume et de force normale. Les déformati
tement et salement. La position habituelle des membres supérieurs : Bras fléchis et contre le tronc. Pas d'hypertrophie.
e que depuis 3 mois l'enfant rejetait sa tête en arrière et que ses bras d'abord et surtout le gauche se tournaient. Som
la tête de côté, et de temps en temps les membres infé- rieurs, les bras sont écartés du tronc, les avant-bras demi-fléchi
e la paume de la main et tous les doigts réunis. Circonférence du bras à sa racine 16 1/2 c. du pli du coude 15 1/2 c.
A la marche, qui ne peut avoir lieu que si on le maintient sous les bras des deux côtés, l'enfant lient sa tête penchée en
émaciés ; les mains sont cyanosées ; raideur de tous les muscles du bras et de l'avant-bras ; les bras sont appliqués cont
sées ; raideur de tous les muscles du bras et de l'avant-bras ; les bras sont appliqués contre le thorax, les avant-bras
Total, dix faces ou trente longueurs de nez. « L'homme étendant les bras esl, de l'exlrémilé de la main droite à l'ex- t
ns le carré, c'est-à-dire considéré comme aussi haut que large, les bras étendus en croix, la grande envergure égalant la
voici quelques remar- ques intéressantes. Vers 7 ans la longueur du bras jusqu'à l'extrémité de la main égale la hauteur
e la bifurcation (périnée) au-dessus du sol. Avant cette époque, le bras est comparativement plus grand ; après, il est mo
l perde connaissance, et son père est forcé de le prendre entre ses bras pour le ramener à la maison. Là, il reste quatr
l'hémichorée. L'avant-bras droit était fléchi à angle obtus sur le bras au devant du tronc ; le pied droit était consid
os qui est le décubitus dorsal ou latéral droit, le malade fixe son bras droit derrière le dos, de manière à l'immobilis
e la contracture permanente des membres du côté droit. En effet, le bras droit est étroitement accolé au tronc, en passant
n passant derrière Lui ; l'avant-bras se coude à angle obtus sur le bras dans une position également ri- gide et le poig
Mais quand on vient à forcer la contracture des divers segments du bras droit, en le séparant brusquement du tronc, il
des doigts de la main droite. Le malade ne tarde pas à ramener son bras à l'attitude de repos, afin de supprimer les mo
dants les mouvements des deux côtés. Rien de particulier pour le bras gauche. 352 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTR
ses membres inférieurs ne se plient qu'avec peine sur le tronc. Le bras droit est toujours immobilisé sous la fesse droit
t la même, c'est-à-dire arythmique, désordonnée à la jambe comme au bras ; ils s'exagèrent également par les émotions et d
s légères différences : leur nombre est géné- ralement plus fort au bras qu'à la jambe, 60 à 80 pour la jambe, 100 à 120 p
ort au bras qu'à la jambe, 60 à 80 pour la jambe, 100 à 120 pour le bras à la seconde ; leur amplitude est également plus
bras à la seconde ; leur amplitude est également plus considérable au bras qu'à la jambe. Enfin, les orteils du pied droit
us à l'obligeance de M. Dutil, se rapportent l'un aux mouvements du bras droit, l'autre aux mou- vements de la jambe dro
es. Le nombre moyen des oscillations est à la minute de 180 pour le bras droit, de 120 pour la jambe droite. Ce ne sont
mal à l'os quand on serre vigoureusement le mollet, la cuisse ou le bras . La peau est insensible ; le tremblement n'a pas
ore impuissant à se tenir debout, à mar- cher et à se servir de son bras droit. Il demande pourtant à se lever et se fait
ura été appelée par le tremblement qui agite ses membres, surtout les bras , qui pendent inertes de chaque côté du corps. Q
lade commença à éprouver un poids et un sentiment de froid dans les bras ; un an plus tard apparaît le tremblement dans
nous la trouvons diminuée dans la moitié gauche de la face, dans le bras , le tronc et la jambe du même côté. Nous observ
teurs : Nous commençons par observer un tremblement de la tôle, des bras et des extrémités inférieures. Ce tremblement n
qui en premier lieu attirent l'attention. Vous voyez cependant des bras bien musclés ; le dynamomètre placé dans la mai
téral droit, la jambe ' gauche demi fléchie, la tête appuyée sur le bras relevé et tournée la face en arrière ; les yeux
nt de la main droite élevée un tronçon de lance pendant que l'autre bras est abaissé. Derrière lui, à sa gauche, est un va
28 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
eut en aucune façon le soulever; le réflexe rotulien est absent. Le bras gauche peut exécuter quelques mouvements, mais
agité, pendant une heure environ, par des mouvements convulsifs des bras et des jambes. Après cette première crise survi
'impotence porte plus particulièrement sur les muscles de l'a'vant- bras , et, alors qu'à gauche le dynamomètre monte à 00,
s, dans la moitié droite du segment supérieur du tronc y compris le bras droit. Dans chaque flanc il existe deux zones p
l revient à lui, au bout de ce temps, son entourage constate que le bras et la jambe droite sont inertes et contractures
plète ; pendant la deuxième, le malade commence à mouvoir un peu son bras et sa jambe; au cours des deux mois suivants la
roisà quatre heures, il ne peut que balbutier le mot « manger ». Le bras et la jambe droits sont raides, comme dans la p
elle ses parents et perd connaissance. Lorsqu'il revient à lui, son bras droit est contracture en demi-flexion et porté en
« j'étouffe » et se débat violemment. Lorsqu'il revient il lui, le bras et la jambe droite sont contracturés, mais cette
que temps après, se produit une grande amélioration; la jambe et le bras , jusqu'alors légèrement impotents, redeviennent t
Le côté droit est très notablement moins fort que le côté gauche; le bras résiste très peu aux mouvements de flexion forc
la ligne médiane; elle est également plus 1 faible à la face qu'au bras , au bras qu'à la jambe. Il existe un bracelet d
médiane; elle est également plus 1 faible à la face qu'au bras, au bras qu'à la jambe. Il existe un bracelet d'hypercst
NOTE SUR L'ANATOMIE MORPHOLOGIQUE. 27 torsion des articulations du bras droit (articulations douloureuses à la pres- si
attaques quotidiennes. Dans le courant de l'année dernière les deux bras sont restés contracturés pendant trois mois.
écartés du thorax, les avant-bras étant légèrement fléchis sur les bras ; les mains fléchies sur les avant-bras, reposan
PHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. mouvement de flexion de l'avant-bras sur le bras persiste encore à un certain degré; or nous sav
t devenue beaucoup plus difficile ; les mouvements des mains et des bras plus hésitants; la tête elle-même participait au
rtitude dans les mouvements est à peu près aussi prononcée aux deux bras . Pour prendre une cuillère, l'hésitation est enco
ion csl toujours plus marquée il gauche. Lorsqu'on fait étendre les bras de la malade, on constate qu'elle ne peut conserv
ulté, sans appui toutefois. Sa démarche est lente et titubante, les bras sont écartés du tronc cherchant un appui pour m
assise, on remarque une instabilité générale de tout le corps, les bras remuent, de même les jambes, mais ces mouvements
s supérieurs, la direction générale du mouvement persiste, mais les bras et les mains sont agités d'oscil- lations latér
xiste une anesthésie complète, suivant ses divers modes, de tout le bras gauche se terminant en manchon au niveau et un pe
prendre une épingle posée il plat sur une table, on remarque que le bras tout entier qui va exécuter le mouvement est anim
et c'est avec d'assez grandes difficultés, surtout marquées pour le bras droit, que l'épingle est saisie. Si. l'on rempl
suite d'une chute. Enfin, si l'on ordonne a la malade de tenir son bras étendu et immobile, le membre ne tarde pas à êt
vements de ces membres sont revenus aussi bien à l'avant-bras qu'au bras et à l'épaule, les masses musculaires se sont d
ol qu'elle croyait rencontrer, elle sent le vide sous elle, étend les bras ponr se retenir au chambranle de la porte, se j
e dans la flexion sur le bassin et dans l'adduction. S'il s'agit du bras , la main est fléchie sur le poignet, et les doigt
Le coude est en état de flexion. Enfin l'épaule est aplatie, et le bras collé contre le tronc, dans les contractures de
servé une grande faiblesse de la jambe gauche qui est atrophiée; le bras gauche serait resté indemne. La plus jeune soeu
s attaques, et principalement le matin. Elles pré- dominent dans le bras gauche. Dix minutes avant l'accès, elles devien-
che 35. On voit sur la moitié droite du cou et du thorax, et sur le bras droit, des taches d'un jaune brun, de dimension
existe une anesthésie complète suivant ses divers modes de tout le bras gauche, se terminant en manchon au niveau et un p
fé- rieur gauche est hypoesthésiclue. Le côté droit, y compris le bras , cst hypocsthésic]ue au-dessous de la ligne mam
essous de la ligne mammaire indiquée. En arrière, hémianeslhésie, bras y compris, intéressant tout le côté droit ci de
rieur à partir du pli fessier, le seg- ment supérieur, y compris le bras , possédant sa sensibilité normale. La sensibili
s. Pas la moindre recherche dans l'arrangement de cette figure; les bras reposent inertes, ramenés sur le devant du corps,
te sur ses épaules un enfant qui lève au-dessus de sa tête ses deux bras atrophiés, terminés par des mains difformes. Le
Enfin, on peut distinguer dans le haut de la fresque, à droite, un bras levé qui appartient à un individu dont on ne voit
massage chaque jour. 1" juillet. - La malade sort dans le jardin au bras d'une infirmière. Du le'juillet au '1er août, g
1885, la malade éprouve des douleurs extrêmement violentes dans les bras , les jambes et la région dorso-lombaire. En même
le ne peut se lenir seule debout ; mais, si on la soutient sous les bras , elle peut faire 152 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE L
ourbé en avant; le regard est fixé invariablement sur les pieds. Le bras droit est écarté du tronc : il est armé d'une can
. d. = 20) ; 8° extenseurs des doigts ; 9° fléchisseurs de l'avant- bras . Les masses musculaires ne sont nulle part atroph
Il est inquiet, paraît agité : il remue conti- nuellement soit ses bras , ses jambes, ses pieds. Ces mouvements, qui n'ont
rticulière. On peut dire que, presque partout, aux jambes comme aux bras , la sensibilité est émoussée, notamment aux jam
e s'accompagne d'une large ouverture de la bouche. Quelquefois, les bras s'élèvent et s'étendent, c'est ce qui cons- tit
comment s'est présenté celui qui a eu lieu devant nous. Il lève le bras droit, semble tirer des fils de sa main gauche
a main gauche qu'il regarde fixement, a quelques tremble- ments des bras , et tombe en se tournant vers la droite sans pous
onférence du poignet au-dessous des extrémités osseuses de l'avant- bras , 20 centimètres. La main gauche présente une hy
aspect ansérin dans certains points (sur- tout face postérieure des bras et ceinture), sèche et cependant un peu grasse,1
perdre l'équilibre, et on est obligé de le soutenir un peu sous les bras . Outre celte' forme particulière de la courbure
ques, té 'laniformes : elles furent incomplètes, mais cependant les bras s'étendirent, se tordirent en dehors, en même tem
nt du père et l'incertitude de l'aveugle. Les jambes courent et les bras tendus en avant hésitent. L'aveugle dans sa dem
ourants d'air, elle fut prise de douleurs dans la tète, le dos et les bras . Il n'y avait ni rougeur, ni gonflement des art
' Plus grande circonférence de l'avant-bras, 27. Circonférence du bras , partie moyenne, 29. Longueur du cubitus, 24. .
en moins pour chaque; il en est de même pour les autres mesures du bras et de l'avant-bras. La forme de la main est ass
ceps et celle du triceps ne semblent pas diminuées : cepen- dant le bras gauche est notablement moins fort que le droit, e
ort que le droit, et la malade dit s'être aperçue elle-même que son bras gauche était devenu plus faible. La résistance
plus faible. La résistance des deltoïdes aux mouvements passifs du bras est notable- ment affablic; pendant ces tentati
férence de l'avant-bras, 21.2. Circonférence à la partie moyenne du bras , 20.2. Le radius et le cubitus ne sont pas nota
du thorax qui d'un mamelon à l'autre mesure 1,330 millimètres. - Le bras et la cuisse ne présentent aucune hypertrophie,
lité sont normaux. Il n'y a pas de paralysie; le malade peut remuer bras et jambes, cependant les mouvements sont lents
e formait pas de godet. Peu à peu les douleurs remontèrent dans les bras et se montrèrent tantôt plus tantôt moins sur t
ne manière très notable; mais, d'après la conviction du malade, les bras et les jambes n'auraient éprouvé aucune mo- dif
et les testicules sont certainement atrophiés. Les jambes et les bras sont d'une maigreur qui contraste avec le volume
e est très abaissée. L'atrophie des muscles est surtout marquée aux bras , aux mollets, et notamment aux éminences thénar
ins de la Vierge portée sur un nuage, pendant que l'enfant Jésus au bras de sa mère tourne la tête et sourit aux femmes
ite n'a que les trois doigts du ani9ü Enfin le front, l'abdomen, le bras et la jambe gauche sont courants d'une éruption
tat vraiment rudimentaire. Mais, rl 11" la main qui fait suite à ce bras , ne voyons-nous pas des lésions osssm&&5
eu sévères de la maladie. Dans l'éruption qui couvre la jambe et le bras droîl ne trouvons-nous pas les signes de la syp
29 (1888) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1887
barres parallèles (Fig. 1), à marcher, soit en les tenant sous les bras ou à la main, soit au charriot. On essaie de le
nvolontaires de la mâchoire inférieure, des tressaillements dans le bras droit et dans le côté gauche du corps. La malad
nt disparu; il ne restait plus qu'un peu de difficulté à mouvoir le bras gauche et un peu de bégaiement. La dose fut por
redes- cendre à 60 centigrammes. Au bout de huit jours, l'état du bras s'était aussi amélioré : il ne restait plus que l
urs après, sous une forme dangereuse, sous celle de spasmes dans le bras et dans le pied gauche, légers d'abord, plus vi
er invo- lontairement de droite à gauche, en avant, en arrière ; le bras et le pied du côté gauche ne discontinuaient no
ces mouvements con- vulsifs étaient par moments si violents, que le bras était sur- tout violemment soulevé, puis retomb
inissaient par se changer en simples tressaillements des muscles du bras et du pied du côté souffrant. Ce tressaillement
es ascendantes ; il parut un exanthème miliaire et des furoncles au bras et au dos, et la guérison s'ensuivit. Cette obs
il commençait à être suivi. Cet ami vint à lui, le saisit dans ses bras , le conduisit avec beaucoup de peine sur une ch
rmonter assez facilement. Cette contraction, pen- dant laquelle les bras sont contournés dans la rotation en dedans et l
signes de la sensibilité générale furent un mouvement convulsif du bras droit au moment où l'on pinça la peau de ce mem
il, la malade s'est trouvée toute drôle (c'est son expression), son bras gauche ne pouvait rien saisir avec précision, t
ents se sont bornés là ; puis la jambe droite a été prise, enfin le bras et tout le côté droit ont été agités à leur tour
t puis se mit à courir en tous sens dans mon cabinet en agitant les bras , et en poussant un cri inarticulé tout particul
con- tinence d'urine. Autre variété d'accès. Mêmes mouvements des bras et de la tête; il se laisse alors tomber de son
de mètres de son lit, dont il enfonce le carreau inférieur avec le bras droit; il se fait une plaie transversale de 4 cen
rapique. 9 novembre. - Anthrax de la face postérieure de l'avant- bras . 1884. 3 janvier. - On apprend qu'au début de s
on note chez le malade des accès ainsi constitués : tapotement des bras et de la tête, chute du banc sur lequel il se t
perte de connaissance, chute et accès avec mouvements cloniques des bras . Le deuxième accès eut lieu un mois plus tard.
rnelle, il se mit à courir, ayant sa soeur, âgée de 2 ans, dans les bras ; sa grand'mère put l'ar- rêter, le coller cont
e, les yeux ouverts, fixes, les pupilles moyen- nement dilatées, le bras gauche un peu raide, le bras droit presque soup
es pupilles moyen- nement dilatées, le bras gauche un peu raide, le bras droit presque souple ; il se produit ensuite qu
il se produit ensuite quelques mouvements clo- niques dans les deux bras , mais surtout dans le gauche. Il rede- vient im
illon. A 10 h. 19, trépidation légère de la jambe gauche, puis du bras gauche et enfin du bras droit ; ces trépidations
pidation légère de la jambe gauche, puis du bras gauche et enfin du bras droit ; ces trépidations de la jambe gauche ces
dations de la jambe gauche cessent momentanément, et l'agitation du bras gau- che s'arrête quelques secondes après celle
itation du bras gau- che s'arrête quelques secondes après celles du bras droit ; la jambe gauche est alors reprise de tr
e j'ai, » et à ce moment l'agitation recommence dans la jambe et le bras gauches ; la face devient très rouge. - A 10 h.
face est légère- ment congestionnée. Les secousses débutent par le bras droit DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. 55 qui par
mbe sans lâcher sa ci- garette, toujours tenue delà main gauche; le bras droit est agité de mouvements assez étendus. -
ser. Le corps étant entièrement étendu à terre sur l'ab- domen, les bras s'écartent lentement du tronc jusqu'à angle dro
ume à la bouche. Quelques mouvements convulsifs de la tête et des bras , qui manquent parfois; grande pâleur, urination i
des membres. Période clonique. - 1° La face se tourne à droite, le bras et la jambe correspondant sont animés de convul
s, le malade marchait, en chancelant un peu, se servait bien de ses bras , mangeait pro- prement avec la cuiller et la fo
semaines portant exclusivement sur le côté droit et prédominant au bras . - Vertiges (deux ans et demi à six ans). - Pre
e d'un bond; il a peur, semble regarder un point fixe en l'air, les bras en avant, il va à reculons, comme pour fuir un
veloppées ; les mains et les pieds sont cyanosés, froids. - Sur les bras , cica- trices de vaccin ; trois cicatrices sur
ôtés et ne cède pas. Pour le faire avancer il faut le tirer par les bras . Attitude. - Corps incliné en avant, les bras u
faut le tirer par les bras. Attitude. - Corps incliné en avant, les bras un peu écartés du tronc, les avant-bras à angle
orté que sur le côté gauche. Le jour même, on a constaté que le bras gauche était pa- ralysé et que l'enfant remua
pulmo- naire aiguë qui mirent souvent sa vie en danger (saignée du bras ou scarification à la tête); c'est à une attaqu
e peut, seul, se soutenir sur les jambes ; s'il marche ou remue les bras , il ne peut prendre une direction fixe. La pron
ns le service. 1882.9 ma1'S,- Reyacciné avec succès (une pustule au bras droit). 16 août. - Etat actuel. Poids, zip kilo
pour prendre son pain, et les mouvements d'élévation de l'avant- bras et d'abaissement de la tête sont alors moins marq
abaissement de la tête sont alors moins marqués que si ! se sert du bras droit. 1883. Janvier -.Poids, 49 kilogr. 80.-Ju
position; parfois, cependant, il a des mouvements des doigts et du bras droit. C'est ce bras qui est le plus faible - a
ependant, il a des mouvements des doigts et du bras droit. C'est ce bras qui est le plus faible - ainsi que la jambe corre
LITÉ. Le malade étant assis a la tête un peu tendue en arrière, les bras allongés, mais tenus par les mains appuyées sur
tes pour étudier la préhension et les caractères des mouvements des bras dans cet acte. Quand le malade veut saisir un v
la cuiller étant saisie énergiquement, il la porte à la bouche, le bras n'étant plus animé que de petites oscilla- DEUX
n plaques. Quand le malade veut se lever de sa chaise, il garde les bras allongés, les mains restent en contact, il penc
n peu en arrière et incliné à droite, la tête dans l'extension ; le bras droit est accolé au tronc, l'avant-bras très éc
s droit est accolé au tronc, l'avant-bras très écarté et. élevé; le bras gauche est également appliqué le long du thorax
. Les convulsions portaient sur les yeux ; on ne peut rien dire des bras ni des jambes. Ces convulsions ont duré huit à
ne noisette, à la face postérieure de l'épaule et à la naissance du bras gauche ; ils sont indurés, douloureux et un peu
0 novembre. Le malade est arrivé à pouvoir marcher soutenu sous les bras ou en allant de lit en lit. 1884. Janvier. -Poi
chis comme dans la rétraction palmaire. Il tend la main gau- che le bras fortement tendu, ainsi que l'avant-bras. Quand on
objets voisins dessinent des mouvements très étendus, les avant- bras se fléchissent sur les bras, les mains s'abattent
des mouvements très étendus, les avant- bras se fléchissent sur les bras , les mains s'abattent, grandes ou- vertes sur l
de la rendre plus précise à quelques égards. Assis, Lem... a les bras allongés sur le devant du tronc et tient sa mai
un verre, les membres supérieurs décrivent de grands mouvements. Le bras droit s'élève, et la main se porte à la hauteur
et en arrière, le côté gauche se tournant vers l'objet à saisir. Le bras gauche s'allonge et Lem... prend, après avoir e
hension de la cuillère exige les mêmes préparatifs : éléva- tion du bras droit, inclinaison du tronc, etc.; puis, il saisi
de sa chaise, Lem... penche le tronc en avant, étend fortement les bras dans la même direction ; les cuisses sont rappr
malades debout, puis à les faire marcher en les soutenant sous les bras , enfin, on perfec- tionne la marche à l'aide du
ens, allonge la langue malgré lui, fléchit et détend violemment les bras ou les jambes et souvent glisse de sa chaise. L
l'on me dit : « Si, fais le. » Ma grand'mère me reprit alors par le bras (ordre de ma mère). Morphine, en me disant : «
le faire, et mon oncle se levant de table (morphine) me prit par le bras et me mit le couteau à la main, en faisant des
rême, disant : « Je veux ma casquette tout de suite, » et levait le bras comme pour atteindre sa mère. L'infirmier s'éta
30 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sorte d'exophtalmie; les yeux sortent de la tête; les épaules, les bras sont couverts de sueur ; le front ruisselle. L'
ur le foyer et les camarades tenant le danseur pantelant sous les bras exposent sa tête au-dessus du foyer. Je pense que
nvolontaires de la mâchoire inférieure, des tressaillements dans le bras droit et dans le côté gauche du corps. La malad
nt disparu; il ne restait plus qu'un peu de difficulté à mouvoir le bras gauche et un peu de bégaiement. La dose fut por
redes- cendre à 60 centigrammes. Au bout de huit jours, l'état du bras s'était aussi amélioré : il ne restait plus que l
urs après, sous une forme dangereuse, sous celle de spasmes dans le bras et dans le pied gauche, légers d'abord, plus vi
er invo- lontairement de droite à gauche, en avant, en arrière ; le bras et le pied du côté gauche ne discontinuaient no
ces mouvements con- vulsifs étaient par moments si violents, que le bras était sur- tout violemment soulevé, puis retomb
inissaient par se changer en simples tressaillements des muscles du bras et du pied du côté souffrant. Ce tressaillement
es ascendantes ; il parut un exanthème miliaire et des furoncles au bras et au dos, et la guérison s'ensuivit. Cette obs
il commençait à être suivi. Cet ami vint à lui, le saisit dans ses bras , le conduisit avec beaucoup de peine sur une ch
rmonter assez facilement. Cette contraction, pen- dant laquelle les bras sont contournés dans la rotation en dedans et l
signes de la sensibilité générale furent un mouvement convulsif du bras droit au moment où l'on pinça la peau de ce mem
il, la malade s'est trouvée toute drôle (c'est son expression), son bras gauche ne pouvait rien saisir avec précision, t
ents se sont bornés là ; puis la jambe droite a été prise, enfin le bras et tout le côté droit ont été agités à leur tour
t puis se mit à courir en tous sens dans mon cabinet en agitant les bras , et en poussant un cri inarticulé tout particul
85, apparition soudaine et sans cau<e connue de douleurs dans le bras droit; gonflement du dos de la main et des doig
ouleurs surtout la nuit, avec chaleur et sécré- tion sudoralesur le bras et dans la paume de la main; ces douleurs duren
u dos de la main droite près de l'articulation du poignet. Usage du bras ab- solument conservé. La malade faisait la cui
ainsi qu'on s'aperçut qu'elle présentait une anesthésie complète du bras droit. Soignée sans succès. Etat actuel (avril
lligente. Etat psychique normal. - 1 part les troubles observées au bras droit, rien d'anormal dans les autces parties d
es et réactions élec- triques ne présentant rien de pathologique. Bras droit. Rien de particulier à la palpation. Douleu
es doigts. L'anesthésie occupe la face antérieure et postérieure du bras , l'épaule et toute la région de l'omoplate, sau
erme les yeux de la ma- lade, elle perd complètement l'usage de son bras et ne sait plus le trouver. Au contraire, elle
plexus brachial, Ross a montré que l'anesthésie n'intéresse pas le bras tout entier, mais seulement la main et l'avant-br
es de la motilité. Ainsi, dans le cas d'anesthésie alterne, l'autre bras ne serait pas épargné; il y aurait paralysie mo
dans un point où les nerfs sensitifs, sécrétoires et tiophiques du bras droit sont réunis, sans qu'ils se mélangent aux
bien fixé sur leurs allures cliniques. Les monoplégies complètes du bras et de l'avant- bras sont assez fréquentes : il
lures cliniques. Les monoplégies complètes du bras et de l'avant- bras sont assez fréquentes : il semble même que ce 1
elle remarqua qu'elle éprouvait une certaine difficulté à remuer le bras droit, lequel était d'autre part, animé de cert
sivement sur la main et sur le poignet. Les muscles de l'épaule, du bras et de l'avant-bras ont conservé leur force. La
le vert. Application de courants continus de la nuque à l'avant- bras ; disparition rapide de la paralysie et de l'anes
DU MEMBRE SUPÉRIEUR. 185 suite l'impotence fonctionnelle de tout le bras , avec des mouvements choréiformes, et la paraly
euf ans, gar- çon de cuisine, raconte que, traînant une charrette à bras , il a été heurté par une voiture de blanchisseu
(1% 'g. 14.) On applique le jour de l'entrée un aimant auprès du bras gauche. Au bout de trois quarts d'heure, la s
Mouvements. - Rien d'anormal dans les mouvements do l'épaule, du bras et du coude. Ceux de l'articulation radio- carp
in, on peut enfoncer une épingle assez profondément dans la peau du bras sans faire crier la malade qui accuse seulement
sans cause connue, est atteinte d'une impotence fonction- nelle du bras droit, sans paralysie motrice véritable, mais a
ans, est prise brusquement en septembre 1885,. de douleurs vives du bras droit, qui s'accompagnent de gonflement des tég
euses. Les phénomènes morbides sont exclusivement concentrés sur le bras droit. Celui-ci, en apparence, est normal et l'
ume à la bouche. Quelques mouvements convulsifs de la tête et des bras , qui manquent parfois; grande pâleur, urination i
ser. Le corps étant entièrement étendu à terre sur l'ab- domen, les bras s'écartent lentement du tronc jusqu'à angle dro
a constaté une petite blessure à la tête, ainsi qu'une ecchymose au bras droit. Céphalalgies, sur- tout à la région temp
ont fréquemment suivis de violents tremblements, sur- tout dans les bras ; toujours douleurs dans la jambe droite, quel-
s'efface à nouveau ; raideur, difficulté de mouvoir la jambe et le bras droits. Emission mécanique de mots; une demi-he
mouvements qu'on veut leur imposer; la malade s'étire, remue les bras , rit, grimace, répète un tas de mots, ne répond p
SABLE. 327 les mains se rapprochent, les doigts s'enchevêtrent, les bras s'al- longent et les mains se fixent au-devant
ombre de mouvements de déglutition; puis les mains se séparent, les bras s'élèvent au-dessus de la tête, retombent ensui
ronation et en supination ; de nouveau les 328 CLINIQUE NERVEUSE. bras s'élèvent au-dessus de la tête, les doigts se pli
ce sont des paraly- sies : si on lui suggère d'être paralysée d'un bras , au réveil elle se trouve paralysée de ce bras;
'être paralysée d'un bras, au réveil elle se trouve paralysée de ce bras ; mais cette paralysie n'est pas simple, elle s'
nt son sommeil, nous lui suggérons d'avoir une paralysie croisée du bras droit et de la jambe gauche; la paralysie croisée
mplet, on peut en cessant la com- pression immobiliser le sujet les bras en croix; si on rapproche alors l'aimant d'un d
le sujet les bras en croix; si on rapproche alors l'aimant d'un des bras , celui-ci se relève contre la tête. HISTOIRE D'
l'ob- tenir ; une seule fois on obtient qu'elle s'endorme avec les bras allongés le long du corps, 'au lieu d'être croi
a bien perle de connaissance et contrac- ture généralisée, mais les bras sont en croix, le corps est en arc de cercle, d
. Mais dès que celui-ci est pro- duit, elle retombe en attaque, les bras en croix. 31. M. Grasset découvre un nouveau po
veil, elle n'exécute pas l'ordre et tombe dans une attaque avec les bras en croix. 8. On découvre une nouvelle zone hy
concavité droite, et finalement passe au second type d'attaque, les bras en croix. Si alors on comprime le poignet ou to
compression du facial ou du vertex en crise du second type avec les bras en croix et l'abolition de la parole. On la ram
ont les mêmes; l'attitude est différente : dans le second type, les bras sont en croix et le corps tout entier est en ar
ndant une conversation analogue, vous comprimez une autre partie du bras ; elle ne s'en- dort pas.Nous concluons donc qu'
ractures : cela a été impossible. Nous avons obtenu qu'elle eût les bras le long du corps au lieu de les croiser sur le
e (quel que soit le facial qu'on comprime), et souvent, étend ses bras en croix ; en tout cas, on ne peut plus en faire
1882) existait d'abord de la fai- blesse avec contractures dans le bras gauche, suivis d'altération de la sensibilité d
ations marquées. Le courant induit dans les muscles et les nerfs du bras donne des chiffres égaux pour les deux côtés (u
ne peut, seul, se soutenir sur les jambes; s'il marche ou remue les bras , il ne peut prendre une direction fixe. La pron
LLITÉ. 389 1882.3 () m(l1's.- Reracciné avec succès (une pustule au bras droit). 16 août. - Etat actuel. Poids, 50 kilog
pour prendre son pain, et les mouvements d'élévation de l'avant- bras et d'abaissement de la tête sont alors moins marq
abaissement de la tête sont alors moins marqués que s'il se sert du bras droit. 1883. Janvier : : Poids, 49 kilogr. 80.-
position; parfois, cependant, il a des mouvements des doigts et du bras droit. C'est ce bras qui est le plus faible - a
ependant, il a des mouvements des doigts et du bras droit. C'est ce bras qui est le plus faible - ainsi que la jambe corre
men : Le malade étant assis a la tête un peu tendue en arrière, les bras allongés, mais tenus par les mains appuyées sur
tes pour étudier la préhension et les caractères des mouvements des bras dans cet acte. Quand le malade veut saisir un v
la cuiller étant saisie énargiquement, il la porte à la bouche, le bras n'étant plus animé que de petites oscilla- tion
n plaques. Quand le malade veut se lever de sa chaise, il garde les bras allongés, les mains restent en contact, il penc
n peu en arrière et incliné à droite, la tête dans l'extension ; le bras droit est accolé au tronc, l'avant-bras très éc
as droit est accolé au tronc, l'avant-bras très écarté et élevé; le bras gauche est également appliqué le long du thorax
. Les convulsions portaient sur les yeux ; on ne peut rien dire des bras ni des jambes. Ces convulsions ont duré huit à
e ses camarades le maintiennent sous la douche en le tenant par les bras . - Il s'est amélioré surtout sous le rapport du
ne noisette, à la face postérieure de l'épaule et à la naissance du bras gauche ; ils sont indurés, douloureux et un peu
0 novembre. Le malade est arrivé à pouvoir marcher soutenu sous les bras ou en allant de lit en lit. 1884. Janvier. Poid
chis comme dans la rétraction palmaire. Il tend la main gau- che le bras fortement tendu, ainsi que l'avant-bras. Quand on
objets voisins dessinent des mouvements très étendus, les avant- bras se fléchissent sur les bras, les mains s'abattent
des mouvements très étendus, les avant- bras se fléchissent sur les bras , les mains s'abattent, grandes ou- vertes sur l
de la rendre plus précise à quelques égards. Assis, Lem... a les bras allongés sur le devant du tronc et tient sa mai
IL DE FAITS. - DEUX CAS D'ATHETOSE DOUBLE. de grands mouvements. Le bras droit s'élève, et la main se porte à la hauteur
et en arrière, le côté gauche se tournant vers l'objet à saisir. Le bras gauche s'allonge et Lem... prend, après avoir e
hension de la cuillère exige les mêmes préparatifs : éléva- tion du bras droit, inclinaison du tronc, etc. ; puis, il sais
de sa chaise, Lem... penche le tronc en avant, étend fortement les bras dans la même direction ; les cuisses sont rappr
à la main gauche, qui n'était toutefois pas crochue. Les muscles du bras et de l'épaule du côté droit étaient a-issi lég
itifs fuga- ces, puis d'une paralysie des muscles de l'épaule et du bras cor- respondants (type Duchenne-Erb.). Les réac
t le tiers moyen de la frontale ascen- dante (paralysie complète du bras droit), empiétant un peu sur le tiers supérieur
iplégie passagère, rétablissement presque complet des mouvements du bras et de la face), mais ayant pro- duit une paraly
31 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
omètre. A droite : 22.38. A gauche : 20.28. On constate que les bras et les avant-bras sont peu volumineux : il a rema
r une circonférence de 7 centimètres. Six mois après, la main et le bras correspondant sont nota- blement hypertrophiés;
; plaçons, par exem- ple, un de ses avant-bras à angle droit sur le bras , et accordons-lui à cet instant la sensibilité
e peut concevoir qu'elle ait la moindre notion de l'attitude de son bras . Il se pourra qu'elle ait diverses sensations tac
r de ces sensations le moindre renseignement sur la position de son bras . Ce n'est que lorsqu'elle aura parcouru un certai
ns non la forme des centres corticaux intéressés, mais celle de nos bras ou de nos jambes, et que, lorsqu'on nous marche s
je dis que différentes positions ou des mouvements des doigts, des bras , etc., parviennent des articulations à la consc
ate que l'avant-bras est horizontal ou forme un angle droit avec le bras ..... Les impressions articulaires comme telles ne
ne contiennent absolument rien pouvant nous renseigner au sujet du bras , de l'avant-bras, de leur position étendue ou f
part du ré- sultat de son examen à une cliente qui tient entre ses bras un jeune enfant et attend, dans l'ombre, anxieu
ient debout, un petit laquais tout vêtu de brun, qui porte sous son bras une boîte d'ins- truments et le manteau de son
nde. L'influence de Rubens n'y est pas douteuse. Par l'attitude des bras le possédé de l'Ermitage rappelle de très près la
SYRINGOMYÉLIE DU TYPE TRANSVERSAL 75 tre de douleurs vagues dans le bras gauche ; ces douleurs correspondent au trajet d
ion et d'extension des doigts et du poignet, de l'avant-bras sur le bras et d'abduction et d'adduction du bras sur le th
ignet, de l'avant-bras sur le bras et d'abduction et d'adduction du bras sur le thorax. Des mouvements spasmodiques du p
t développés ses membres, il 112 LANNOIS );T POROT répond que ses bras sont restés toujours très grêles, tandis que ses
r- vir de ses membres inférieurs et très limité dans l'usage de ses bras . L'aspect général traduit cependant une bonne s
ne trouve plus de deltoïde; plus de grand pectoral. Au niveau du bras , l'humérus est suivi dans toute sa hauteur sans q
impossibles ; ceux de flexion et d'extension de l'avant-bras sur le bras , nuls ; ceux de pronation et de supination sont é
un peu avec son poignet, mais dans l'impossi- bilité de soulever le bras , s'aide des mouvements du tronc et de la nuque po
gions qui sont : pour les membres supérieurs la face antérieure des bras ; pour les membres inférieurs, les pieds, la face
pé- ronier. Muscles. Disparue pour les muscles de l'épaule et du bras . A l'avant-bras on n'a que des contractions peu
. ' " . - 130 HENRY MEIGE tient de la main droite, appuyée sur le bras du fauteuil, un instrument professionnel, qui s
ur un lit bas, soulevant le haut de son corps en s'appuyant sur son bras gauche; le bras droit qui tient un mouchoir est
soulevant le haut de son corps en s'appuyant sur son bras gauche; le bras droit qui tient un mouchoir est croisé sur la p
s et contrastent par leur grosseur avec la maigreur du torse et des bras . Au coude gauche le malade porte encore un band
ce musculaire est nulle. La sensibilité est normale. Les muscles du bras droit, de l'épaule et du tronc présentent un degr
du tronc présentent un degré très net d'atrophie. A la main et au bras gauches, l'atrophie est à peine marquée, mais il
les de la main droite. = (main simienne). Atrophie des muscles du bras droit et de l'épaule. . Force musculaire = 0.
oitié droite dans la région correspondante à l'origine des nerfs du bras . A ce niveau, non seulement les cornes antérieure
descence de ses douleurs pré- cordiales ; elles s'irradient dans le bras gauche et affectent le caractère paroxys- tique
rompu par un nouvel accès. Une saignée de 400 grammes, pratiquée au bras , et suivie de l'injection sous cutanée de 500 c
jours connu la main gauche plus volumineuse que la main droite. Les bras et les avant-bras sont symétriques absolument; le
vation d'accouchement t gémellaire : d'abord la présentation par le bras d'un des enfants, puis le retrait spontané de c
tation par le bras d'un des enfants, puis le retrait spontané de ce bras , et l'issue de l'autre jumeau avant le premier
r les genoux d'un homme qui enserre fortement sa taille et ses deux bras , tandis que deux aides maintiennent chacune une j
les tiraillements s'éten- dent maintenant à tout le côté gauche, au bras et à la jambe. Après beau- coup d'alternatives,
e énormément de tout son corps : la tête rem'ue fortement comme les bras et les jambes. Ce tremblement est si considérab
phénomènes subconscients, automatisme, etc. Une hystérique dont le bras tremble oublie son bras, ne le sent pas trembler,
s, automatisme, etc. Une hystérique dont le bras tremble oublie son bras , ne le sent pas trembler, ne s'en préoccupe pas
squ'à l'âge de 16 ans sans remarquer aucune différence entre ses deux bras ; il est mécanicien de 16 à 18 ans, et, pour ce
est mécanicien de 16 à 18 ans, et, pour ce travail de force, les deux bras lui rendent absolument les mêmes services ; il
ne attitude spéciale caractérisée par la rotation et l'adduction du bras en dedans ; l'avant-bras et la main se présentent
de repos, et plus mou, moins globuleux dans sa contraction. Les deux bras étant en croix, la gouttière qui sépare le bice
Le deltoïde, .le brachial antérieur ainsi que les autres muscles du bras paraissent intacts, sans atrophie, ils se contr
ignalée. La force musculaire est sensiblement la même dans les deux bras , 90 kilogs à l'épreuve dynamométrique dans le b
me dans les deux bras, 90 kilogs à l'épreuve dynamométrique dans le bras droit, et 92 kilogs dans le gauche. La réaction
l'autre appliquée successive- ment sur les muscles de l'épaule, du bras et de l'avant-bras des deux côtés, on obtient :
ons musculaires sont brèves et rapides. Le mouvement horizontal des bras sans flexion de l'avant-bras s'accompagne d'une
x sous-claviculaire du même côté; dans le mouvement d'élévation des bras sur la tête, le bras droit décrit un arc de cercl
u même côté; dans le mouvement d'élévation des bras sur la tête, le bras droit décrit un arc de cercle il rayon plus étend
. Quand le malade, les coudes au corps, fléchit l'avant-bras sur le bras et veut exécuter dans cette position un mouveme
tue difficilement à droite. Le malade étant debout, s'il élève le bras en arrière le long du rachis, le mouvement est
és du coude sont tous possibles ; la flexion de l'avant-bras sur le bras est facile, l'extension est complète ; la rotatio
dépig- mentation, mais, sur les parties découvertes et sur les deux bras , un grand nombre d'éphélides disposées sous for
iques d'origine névritique n'atteignent généralement les muscles du bras qu'après avoir atteint ceux de l'avant- bras ;
alement les muscles du bras qu'après avoir atteint ceux de l'avant- bras ; or, ces derniers sont intacts dans notre observ
DU MEMBRE SUPÉRIEUR DROIT 225 entraîne une gêne dans l'élévation du bras et dans la flexion de l'avant-bras, celle du se
ubles fonctionnels du muscle sous-épineux (adduction et rotation du bras en dedans, gêne de l'écriture et d'une foule de
s fonctionnels des muscles élé- vateurs de l'épaule et rotateurs du bras occupent, dans cette observation, le premier pl
uble fonctionnel des muscles élévateurs de l'épaule et rotateurs du bras répond mieux à l'observation clinique. Les antécé
e mode de début ; il arrive même que « les mouvements convulsifs du bras droit » aient été «précédés d'une sorte de cram
R DROll' 227 fonction de l'écriture se sont par la suite étendus au bras et à l'épaule, se répétant dans des circonstanc
la main au-dessus de la ligne écrite, et par un autre mouvement du bras qui fait tourner la main en dedans sur le bord
table basse que lorsqu'il trace des caractères au tableau noir, le bras étant élevé; l'élévation du bras diminue l'amplit
des caractères au tableau noir, le bras étant élevé; l'élévation du bras diminue l'amplitude des mouve- ments convulsifs
ur et sur sa paume reflétant les troubles moteurs de l'épaule et du bras indépendamment de toute crampe proprement dite
lsif » (1) à l'oc- casion même de l'écriture. Les mouvements de son bras sont trop fréquents pour permettre le maintien
vulsif que nous avons décrit : élévation de l'épaule et rotation du bras en dedans. Quelles conclusions tirer de ces rem
la con- traction musculaire qui détermine l'attitude de rotation du bras en dedans se rapproche de la forme tonique. U
ensuite l'habitude prise par le malade de ne plus se servir de son bras droit pour les usages journaliers. Or, on voit
malade, sous l'influence de la volonté, le mouvement de rotation du bras en dedans est assez fort pour que L... n'arrive
hez L... chose difficile; dans la position du soldat sans arme, les bras le long du corps, l'immobilité de la main droite
pas moins réel. Les progrès sont plus marqués dans la position des bras en croix et dans l'élévation des membres supé-
particulier, L... exécute correctement le mouvement d'élévation des bras et celui de rotation autour de l'épaule ; il cons
civile,le malade cherchait à corriger les mouvements intempestifs du bras en mettant la main dans la poche ou en se serva
mécanique, et sous l'influence du traite- ment, le balancement des bras tend à devenir régulier, rythmé ; les trou- ble
cune atrophie musculaire à droite. A gauche, tous les mouvements du bras et de la main se font avec aisance. Dans la m
te un phénomène isolé, coïncidant avec l'état normal du corps et du bras . Ce n'est pas tout, d'ailleurs. S'il est déjà p
, et on vit apparaître, en quelques jours, une fistule au milieu du bras gauche, après amincissement progressif de la peau
supérieurs la différence, quoique moins sensible, est en faveur du bras gauche (1). Comme le montrent les planches LVI
ADIPOSE SOUS-CUTANÉE SYMÉTRIQUE ET SEGMENTAIRE 281 postérieure des bras , la partie inférieure de l'abdomen, la région lon
ussure : les pieds ne sont pas augmentés de volume. Au tronc et aux bras , la tuméfaction n'a pas de limites supérieures bi
x, la présence de masses graisseuses volumineuses (ventre, cuisses, bras ), appartiennent au contraire à l'affection décr
seulement il fait des efforts pour se lever, il se soulève sur ses bras . Ce n'est pas un oubli de la station assise ana
vait « le cerveau torturé, puis le coeur, puis les jambes, puis les bras , et même tout le corps ; enfin, vers la mi-carê
hurlements et des imprécations, ou s'il tombait en catalepsie, les bras en croix, comme une statue de pierre ; si encore,
également intéressante avec ses doigts écartés et crispés. Quant au bras droit, il est en rotation forcée en dedans, mal-
ns bosselures (Voy. pl. LXII, fig. A, b, d). * Les muscles, tant du bras que de l'avant-bras et de la main, oul une coul
En 1899, apparition de nouveaux phénomènes douloureux dans l'avant- bras . La pression de l'extrémité supérieure de la cica
FiG. E. Coupe longitudinale du bout central du médian au niveau du bras . Plusieurs fibres montrent un cylindraxe très n
e de la Salp., 1901, p.503, 362 - MAURICE DIDE La localisation au bras est beaucoup moins fréquente ; la face est ra-
ti par les bande- lettes, depuis les aisselles jusqu'aux pieds. Les bras sont libres et l'enfant NOUVELLE Iconographie D
lui-ci, soutenu par deux hommes, se renverse en arrière agitant ses bras , les yeux convulsés en haut. (1) Nouv. Iconog
Vienne. Elle se débat, soutenue par deux hommes, et levant ses deux bras en l'air, les doigts crispés sur la paume, la bou
ruges, parmi d'autres malades et infirmes, figure une possédée, les bras écartés, un nuage de fumée sortant de sa bouche
, vue à mi-corps, soutenue par un homme, se débat furieusement. Son bras gauche est violemment contor- sionné et la main
s, d'Abraham Bosse... Puis toutes les Opérations sur le dos, sur le bras , sur les yeux, les Pédicures, les Arracheurs de
32 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sie, la rupture vasculaire. Hammond publia un cas avec parésie du bras , produite par la pendaison. Morton nota une con
s du patient, en formant une sorte de gouttière où reposaient les bras du malade suspendu. Lewis Ilickey releva ses pati
sses et la tête vers les genoux, en embrassant les genoux par les bras , et rester ainsi courbé de cinq à dix minutes. Po
ficulté à se lever et lorsqu'il veut s'asseoir, il doit s'aider des bras , sinon il tomberait en arrière. Il tourne diffi
int au cours d'une grippe d'accidents comateux, puis de parésie des bras et des jambes avec abolition des réflexes tendi
ue la chute, qui a porté sur la face antérieure du corps et sur les bras a déter- miné une grave commotion, avec allonge
depuis l'âge de dix ans des mouvements spasmodiques choréiformes du bras droit. Récemment, un torticolis mental en rotat
corriger le torticolis et améliorer les mouvements choréiformes du bras . Quant à l'état mental de la malade, il est res
le persiste; la colonne ver- tébrale est immobilisée en lordose; le bras ne peut être élevé au- dessus de l'horizontale,
te malade est atteinte de tics des muscles du cou, de la nuque, des bras et des jambes. Ce spasme est intermittent et ne
' gauche, où la thermoanesthésie s'arrête net en coupure à l'avant- bras . Les muscles sont très atteints des deux côtés, m
endant SOCIÉTÉS SAVANTES. 89 segmentaire qu'en partie, puisque au bras gauche l'anesthésie s'arrête en coup de couteau
chir ou d'étendre les doigts. Les mouvements de l'avant-bras sur le bras et ceux de l'épaule étaient conservés. Pas de d
possibles; ceux du poignet très limités, ceux de l'avant-bras et du bras normaux. La main est en demi-flexion, sans contra
trisation, le malade peut te boutonner, écrire, porter une chaise à bras tendu. Il s'en retourne chez lui guéri. Obser
fête et se saoule. Le lendemain matin, il sent que sa main et son bras droits sont moins vigoureux que la veille : qu'il
rges; il donne l'impression d'un homme remarquablement musclé.' Son bras droit, pour lequel il vient à la consultation, es
ts,de flexion de la main sur l'avant-bras et de l'avant-bras sur le bras sont presque nuls : les mouvements d'extension co
ssion est normale. Lestr... a la notion nette de la position de son bras . Son champ visuel est concenlriquement rétréci.
s. Une chose le gênait surtout, c'était la faiblesse extrême de son bras gauche. Il n'aurait pu soulever le plus léger f
igoureux, le visage couperosé, les conjonctives injectées, mais les bras et les jambes sont remarquablement musclés et d
dénotent une vigueur dont le malade est d'ailleurs très fier. Le bras gauche est d'aspect normal, sans la moindre dimin
olume, la peau est normalement colorée, aussi chaude que la peau du bras droit. Pas de contractures. Pas de troubles troph
roubles trophiques ni vaso-moteurs. Le malade lève difficilement le bras au niveau de la tête; cependant toute douleur a
ieur gauche sont normaux et n'offrent rien à signaler. CI Seul le bras droit inquiète notre malade, tant pour les troubl
Pas de dystrophie des ongles. Du... peut porter difficilement le bras au-dessus de sa tête; il peut se peigner, mais
ce antérieure de l'avant-bras et diminuée sur la face antérieure du bras et de la main. Sur la face postérieure, le dos
- Il y a huit jours, pendant son travail, L... a ressenti dans son bras droit une gêne très marquée, une faiblesse croi
core et la démarche alerte. Il est assez vigoureusement musclé. Son bras droit n'offre à la vue rien de particulier. Il
iminué de volume, paraissant même notablement plus vigoureux que le bras gauche. La peau en est normale. Pas de troubles
er de se produire. Les mouvements de flexion de l'avant-bras sur le bras se produisent, mais il suffit de pousser avec l
re de Mathieu ; il fléchit assez vigoureusement l'avant-bras sur le bras pour supporter des tractions correspondant envi
le faradisons; au bout de 8 minutes nous cessons car la main et le bras ont reconquis leur vigueur entière. Il donne 55
utés lentement sans énergie. Les mouve- ments de l'avant-bras et du bras sont normaux. Anesthésie en gant remontant depu
ois même elle a été abso- lument limitée à ces parties extrêmes, le bras et l'avant-bras ayant conservé intégralement le
n et remon- tant d'autres fois jusqu'au coude ou jusqu'au milieu du bras . Il n'existait, du reste, aucun rapport constan
bosilé au niveau des troisième et quatrième vertèbres dorsales. Les bras sont intacts, les jambes parésiées : il existe
ans et a suivi un traitement mercuriel, il a eu un rhuma- tisme au bras droit, et est actuellement affecté d'un coryza.
zone motrice : sa partie moyenne, prolongement du centre moteur du bras , est le territoire des mou- vements compliqués
déviation de la langue et de la luette, monoplégie et anesthésie du bras . La plaie du cerveau est très large, à l'opérat
l'observation d'un homme qui présentait des mouvements associés des bras . lien déduit l'origine corticale de la crampe
n peu raide ? Mouve- ments de rotation en dehors de la cuisse et du bras + La peau pique un peu + Crise de contracture d
e la veille, Louis répond qu'il a vu en rêve un bâton gros comme le bras le porte plume ; la montre battait comme un rév
le comme du feu, descend dans la tête, sort de la colonne. suit mon bras en dedans et fait mouvoir ma main. Sentez l'o
à Marseille, M. Vial me faisait faire l'exercice des jambes et des bras et le côté me faisait mal z- On me crie de loin
GRANDE HYSTÉRIE AVEC CRISES PARAXYSTIQUES, ETC. 211 tient dans le bras + Grand soubresaut avec rétraction du bras + To
, ETC. 211 tient dans le bras + Grand soubresaut avec rétraction du bras + Tout est débloqué. · . Dans la journée du 2
ouleur ; maintenant je me tiens bien droit. Sentez la poitrine, les bras : le bras droit est encore un peu imbécile + Le c
aintenant je me tiens bien droit. Sentez la poitrine, les bras : le bras droit est encore un peu imbécile + Le coude est
est entré depuis dix minutes) J'en suis sûr, il vient de bouger le bras . Tout à l'heure, je l'ai vu, il me semblait que
droits, à la jambe et au pied gauches. Les racines des membres, le bras comme la cuisse sont normaux; il n'existe aucun
ogressive, à évolution lente vers la démence. Pas de paralysies des bras . Nystagmus légère- ment marqué. Incontinence d'
e un rayon de lumière, cela est entré en moi par le sens : « Si ton bras te scandalise, coupe-le, et si ton oeil te scan
ressent successivement de la faiblesse avec fourmillements dans le bras droit, - de violentes douleurs frontales à gauc
t-bras et aux jambes, encore moins dans les parties inférieures des bras et des cuisses, et bien conservée dans la parti
ras et des cuisses, et bien conservée dans la partie supérieure des bras et des cuisses. En outre il existe 9 taches au
t des mouvements cloniques du facial gauche et un spasme tonique du bras du même côté. ' Ce cas s'ajoute à ceux que nous
lisée. On constate une paralysie faciale gauche et une paralysie du bras du même côté. La température monte jusqu'à 39°,
phénomènes de paralysie, notamment de la paralysie de la face et du bras du côté gauche, chose assez rare dans les cas d
squement à la renverse et aurait eu de violentes secousses dans les bras , les jambes et les muscles de la face ; la pert
de quelques secondes se déclarèrent de violentes secousses dans les bras , les jambes et les muscles de la face, pendant
, elle a une seconde attaque, très faible aussi (secousses dans les bras pendant environ une demi- minute). Traitement :
e a remarquée depuis deux ou trois jours à la face externe de son bras gauche : il s'agit d'une nodosité indolore située
s'était formé à cette place une petite tumeur semblable à celle du bras gauche. Cette nouvelle grosseur, du volume d'un
ui ne présente d'ailleurs aucune altération visible. La nodosité au bras gauche a presque disparu; la tache correspondan
xième petite nodosité au mollet gauche, semblable à la première. Au bras gauche, la tache bleuâtre, qui pâlit peu à peu,
âchoires serrées, écume à la bouche. Puis convulsions cloniques des bras et des jambes, mouvements de rotation de la têt
l reste encore une petite tache légèrement verdâtre. L'ecchymose au bras gauche, au-dessus de laquelle il existe encore un
ade ressentit subite- ment deux ou trois légères secousses dans les bras ; peu après, elle fut prise (comme lors de l'ac
issant et sanglotant, elle tourne plusieurs fois sur elle-même, les bras et les jambes étendus ; puis elle reste couchée
résenté que par un moignon conique 19 47). , . , . La longueur du bras droit (de l'acromion au coude) est de 34 centim
omion au coude) est de 34 centimètres et se trouve égale à celle du bras gauche. Quant au moignon qui lui fait suite, il
e est (loc. cil., t. I, p. 248) « carac- térisée par la présence de bras ou de cuisses biendéveloppés, terminés par des
tation des malforma- tions. Simpson cite le cas d'un foetus dans le bras fut amputé par un repli membraneux, dans l'utér
ce, on voyait sur le moignon résultant de cette section complète du bras , trois tronçons ou mieux trois bourgeons, qui i
ou mieux trois bourgeons, qui indiquaient la tendance des tissus du bras à repousser. On trouve à ce sujet une précieuse
e et s'était réveillée avec une sensation d'engourdissement dans le bras , mais sans troubles moteurs. Elle avait redouté
De la fonction vicariante des muscles insérés sur les con- dyles du bras , dans la paralysie complète des fléchisseurs prop
épitrochlée), l'avant-bras se peut fléchir très passablement sur le bras . Les muscles biceps, deltoïde, brachial antérie
r, court supinateur, sus-épineux et sous-épineux sont paralysés. Le bras reste tourné en dedans et étendu ; le malade ne p
st en supination, il lui est impossible de le faire fléchir vers le bras , la supination de l'avant-bras est d'ailleurs i
n électrique des muscles paralysés. Fléchit- on l'avant-bras sur le bras , et prie-t-on le patient de ré- sister à l'exte
t à l'épitrochlée, auxiliaires de la flexion de l'avant-bras sur le bras . J'en ai vu la preuve chez des sujets dont le b
paniers remplis de charbon ; pour les y maintenir, il se servait du bras droit ramené par-dessus la tête, la main gauche
ce travail depuis deux ans quand, tout à coup, il ressentit dans le bras droit de vives douleurs qui le forcèrent à le s
uspendre quatre à cinq jours. Il le reprit, mais il remarqua que le bras droit perdait sa force : il diminua de volume g
nts est considérable : elle donne une configuration particulière au bras (figure). Et cependant les mou- vements de l'ar
e long supi- nateur compenser les fonctions motrices restreintes du bras . Le malade fléchit, quoique faiblement, son bra
ces restreintes du bras. Le malade fléchit, quoique faiblement, son bras , et, dans cet état, il le met en supination et
énient qu'une fatigue rapide. Il peut même fléchir en supination le bras étendu, bien que péniblement. Quelques troubles
seulement sur les muscles affectés, mais encore sur des muscles des bras qui ne sont pas atteints de trouble moteur myot
e dimension, réagissant convenablement à la lumière. Mouvements des bras et vigueur des mains parfaits, pouls normal auc
eltoïde et au biceps indique un réflexe périostique. L'adduction du bras , associée à une faible rotation en dehors, sera
ales du grand dorsal. Eh bien, lorsqu'on frappe là, le mouvement du bras (adduction avec rotation en dehors) est sim- pl
re les faisceaux musculaires en train de se contracter tant vers le bras que vers la colonne vertébrale. Si l'on frappe
e des muscles du tronc et des extrémités, sur- tout de l'épaule, du bras , de la cuisse et de la jambe. Certains muscles,
ance. Puis, violentes douleurs de tête, vomissements, hémiplégie du bras et de la jambe, issue mortelle dans le coma ave
ntagoniste de celle des muscles atrophiés; la faiblesse relative du bras droit tient en somme à une atrophie par inactio
on, le patient se servant depuis longtemps presque exclusivement,du bras gauche et de la main gauche, Incurabilité. , .
culaire) est un spasme de plusieurs muscles de la face, du cou, des bras , et des membres inférieurs. ainsi que du tronc
oniques qui ont atteint d'abord les muscles du côté droit du corps ( bras et jambe), puis se sont propagés aux muscles co
ours des symptômes relevant d'une lésion des nerfs crâniens, et les bras sont atteints aussi bien que les jambes. Il est
t on lui a placé les mains au-dessus de la tête. Au réveil les deux bras étaient paralysés : il ne subsistait qu'un très
istait qu'un très léger mouvement des doigts de la main droite. Les bras et les avant-bras étaient anesthésiés. La guéri
conclut que dans l'anesthésie chirurgicale, il faut surveiller les bras et ne jamais les laisser pendre sur le bord de la
viter toutes les compressions ; enfin il faut éviter de laisser les bras pendant plus de quelques minutes dans la même p
, et sur une surface équivalente en arrière : les deux épaules, les bras et les mains sont compris dans la zone anesthés
ion réciproque des mono et polynucléaires. Paralysie infantile d'un bras avec topographie radiculaire supérieure de la p
atteinte à un an de paralysie infantile avec lésions limitées au bras droit et affectant la même topographie que les lé
des membres supérieurs. Le second, également, remue la tète et les bras , mais le tronc et les membres supérieurs sont a
xe cérébro-spinal se mêleraient aux fibres du tiers pos- térieur du bras postérieur de la capsule interne, pour gagner e
se aggravante. Un autre malade à la suite d'un phleg- mon diffus du bras eut une névrite ascendante suivie. de syrin- go
sur 11-1 Dulac et lui en porta deux coups, l'un au sein, l'autre au bras droit. La pauvre femme tomba, baignant dans son
De la fonction vicariante des muscles insérés sur les condyles du bras dans la - complète des fléchis- seurs propres
Voir Hallucinations de l'ouïe. infantile. Voir Mé- ningile ? d'un bras , par Dupré et lluet, p. 420. - guérie par la
33 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
viation conjuguée de la tête et des yeux sans aucune convulsion des bras . La tête se déviait vers la gauche par petites
qui présen- taient en même temps du nystagmus. Pendant la crise le bras gauche ne bougeait pas et la malade gardait son
bras gauche ne bougeait pas et la malade gardait son enfant sur ce bras . Elle levait volontairement le bras droit pour
alade gardait son enfant sur ce bras. Elle levait volontairement le bras droit pour se frotter le front et les yeux, ce qu
rquant le parcours des sinus cérébraux. Radiographie des membres. - Bras gauche : Nous n'avons plus à insister ici sur l
ns la formation réticulée le trajet de la partie la plus extrême du bras du tubercule quadrijumeau postérieur (fin. 21).
, t. IV, 1899. LÉGENDE DES FIGURES Aq, aqueduc de Sylvius. 13 Qa, bras du tubercule quadrijumeau antérieur. - BrQp, br
e Sylvius. 13 Qa, bras du tubercule quadrijumeau antérieur. - BrQp, bras du tubercule quadrijumeau postérieur. Ca, cordon
l'oisiveté, il dépensait toute son activité à se piquer la peau des bras et du.visage avec des épingles ou des cailloux ai
roix). En 1910, on le trouve un jour occupé à se piquer la peau des bras avec un faisceau d'épingles assemblées comme pour
du Trésor des Etats-Unis. Symptômes Elle ne peut se servitude son bras droit, car chaque mouve- ment fait tourner la t
n couteau à table sans tourner la tête. Il s'ensuit une rigidité du bras et de la tête par suite de l'effort de corriger l
sychologique, se produit pour n'importe quel usage de la main ou du bras . Ce qui cause la douleur c'est l'action des mus
on était légère et elles n'affectaient que le corps, la tête et les bras , mais non les mains. Ce tremblement n'empêchait p
r la lecture à haute voix, ou même lorsque je fai- sais étendre les bras dans toute la longueur, et regarder ,il distance.
un but déterminé et il commença à faire des mouvements libres avec le bras en se servant de craie sur un tableau noir sans
cas t'anesthésie reste limilée pour longtemps aux avant-bras ou aux bras , aux jambes ou aux cuisses, aux membranes mu- q
inement un bon exem- plaire d'insuffisance labyrintliique, prend le bras d'une autre personne et mieux encore, si les de
e passe aux membres supérieurs : d'abord aux mains, puis aux avant- bras , et quelquefois aux bras. Le début par les memb
ieurs : d'abord aux mains, puis aux avant- bras, et quelquefois aux bras . Le début par les membres inférieurs, pour fréq
moitié inférieure alors que leur moitié supérieure est indemne. Les bras sont intacts. Le second de nos malades, S... (â
léchisseurs. Les avant-bras sont atrophiés dans leur ensemble ; les bras eux mêmes sont atteints, au moins dans leurs de
exion et d'extension du poignet se fout mais avec peu d'énergie. Au bras , la force est, au contraire, d'apparence normal
lexion et d'extension de Pavant-bras, d'adduction et d'abduction du bras . Chez S...', la force musculaire est diminuée au
S...', la force musculaire est diminuée au niveau des mus- clea du bras , très diminuée au niveau des muscles de Pavant-br
autres. Au contraire, à la racine des membres (hanches, épaules et bras ) les réaclions musculaires sont normales. Autreme
sente une dégé- nérescence bien localisée du tiers inférieur de son bras postérieur. On note également une légère dégéné
ld, ainsi que le segment sous-lénticulaire et le tiers inférieur du bras postérieur de la capsule interne. La dégénérescen
origine du lobe frontal se rendent au noyau rouge en passant par le bras antérieur de la capsule interne et par la régio
égion operculo- cenlrale se rendent au noyau rouge en traversant le bras posiétieui, de la capsule interne elle champ af
aberrantes. Elle siège de haut eu bas (PL XLII). 1° Au niveau du bras , sur le bord postéro interne jusqu'à une distance
vésicules siège sur la face postérieure de la moitié supérieure du bras . L'éruption occupe, eu outre, toute la face, post
bras. L'éruption occupe, eu outre, toute la face, posté- rieure du bras sur une hauteur de 8 centimètres, comptés à parti
li du coude et de 4 centimètres au-dessous. 3° Au niveau de l'avant bras , elle siège avant tout sur la face postérieure,
que péniblement à mettre la main sur la tête, et ne peut élever son bras à la verticale. Il existe dans l'articulation de
e d'une résistance difficile à vaincre. Ou n'arrive pas à mettre le bras dans la position verticale. Les mouvements de l
nuée à gauche pour les mouvements de flexion de l'avant-bras sur le bras , d'abduction du bras mais non d'adduction. Elle
s mouvements de flexion de l'avant-bras sur le bras, d'abduction du bras mais non d'adduction. Elle est très diminuée po
ion. Elle est très diminuée pour l'extension de l'avant-bras sur le bras , pour la flexion et l'extension du poignet ; tr
table mais une zone d'hypoalgésie occupant : la face postérieure du bras et de l'avant-bras, la face antérieure de l'ava
de l'avant-bras, toute la main et les doigts. La face antérieure du bras semble sentir la piqûre aussi bien que du côté
de grandes douleurs, simplement de la pesanteur, de la lourdeur du bras . Le prurit persiste. Sensibilité objective :
tous les modes. Il semble bien cependant que la face antérieure du bras gauche soit moins sen- sible à la piqûre que la
gauche soit moins sen- sible à la piqûre que la face antérieure du bras droit sauf sur le bord interne. Réflexes : Même
c'est-à-dire que le sujet, indépendamment de sa volonté, élève son bras . J'ai constaté le môme fait, quoique moins marqué
Quand il est assis, le dos est courbé, le corps est soutenu par les bras , les coudes reposant sur la table. Même abandon
lément, il les lève toutes . les deux il la fois. simultanément les bras sont mis en abduction. ' Si nous prions le mala
ras sont mis en abduction. ' Si nous prions le malade de relever le bras en abduction, au lieu de faire ce - mouvement d
ieu de faire ce - mouvement dans la position d'extension, il met le bras en flexion. Puis il exécute . un mouvement d'ab
tout de suite est arrêté. En palpant les mu's- - clés adducteurs du bras , nous remarquons que chaque nouvel effort se heur
cles. Le même phénomène est constaté quand^le malade veut mettre le bras en extension : c'est encore la contraction des an
ion demandée est obtenue, il n'éprouve aucune difficulté à tenir le bras pendant quelque temps dans cette position. Voye
e le trouble est moins prononcé, le malade est capable de porter le bras au-dessus du plan horizontal ; mais, comme du côt
du côté droit, le relâchement "des adducteurs est défectueux et le bras est' mis en flexion, . Quand le malade est prié
exécuter un simple mouvement .d'extension -de ' t'avant-bras sur le bras , c'est encore la position suivante qui est involo
épaule, des grimaces, des contractions de la musculature de l'autre bras . Les mouvements de flexion et d'extension dans
t en contact avec le bout de son nez, il com- .'mence par serrer le bras contre le thorax, ensuite il fait un mouvement br
ée. Le malade est capable de prendre sa nourriture spontanément. Le bras droit est en adduction permanente, serré contre
la cuiller à pleine main. Après une attente relativement longue, le bras droit est plié brusquement au coude, parfois le
ément; la bouche est ouverte, avant qu'il soit capable de mettre le bras en flexion ou la bouche n'est pas ouverte au mome
ade n'est pas capable de se mettre sur son séant sans l'aide de ses bras . Quand il est assis, il ne peut pas se tenir droi
mpromettant l'équilibre. La marche est raide, mal coordonnée. Les bras sont immobiles, pliés aux coudes. Les pas sont
changement de l'équilibre statique des muscles. Le plus souvent le bras prend une posi- tion de flexion très prononcée.
s son exécution restait en défaut. En relevant pas- sivement un des bras , le mouvement demandé fut fait tout à coup, mais
il s'aperçoit, en voulant enfoncer un clou, qu'il ne peut lever le bras gauche ; il avait quelques jours auparavant fait
uelques jours auparavant fait un effort assez considé-, rable de ce bras , et attribue son impotence fonctionnelle à cet in
tioirnelle évoluait progressivement, prenant après l'épaule gauche le bras et l'avant-bras gauches, puis la main gauche, a
cois, de la nuque et de l'épaule droite; c'est en dernier lieu que le bras droit et la main droite furent pris. Cette évol
effectue, mais sans force. 300 SOUQUES, BAUDOUIN ET LANTUÉJOUL Le bras est extrêmement atrophié, il faut encore noter à
-cutanée importante; la flexion, l'extension de l'avant-bras sur le bras sont absolument impossibles, de même que tous les
bras sont absolument impossibles, de même que tous les mouvements du bras . Au niveau de la région scapulo-humérale, l'atr
cile, la supination possible, mais très diffi- cile. Les muscles du bras sont très atropliiés, sauf le triceps. D'ailleurs
vement possible est un mouvement d'extension de l'avant-bras sur le bras , mouvement qui s'effectue avec vigueur. Au niveau
gauche est faible alors qu'il peut encore très facilement lever le bras gauche. Celui-ci se perd à son tour. Enfin un a
nt impossibles. L'amyotrophie est il peu près complète au niveau du bras . L'extension, la flexion de l'avant-bras sont im-
m- possibles. L'abdnction, les mouvements en avant et en arrière du bras ne peuvent qu'être esquissés. L'adduction se fa
bras sont exactement comparables à droite et à gauche. Au niveau du bras droit, il ne faut signaler qu'une conservation
tion relative du triceps ; aussi l'extension de l'avant-bras sur le bras se fait-elle et avec une certaine force. L'addu
sur le bras se fait-elle et avec une certaine force. L'adduction du bras est vigoureuse. Par ailleurs, le bras droit est
ertaine force. L'adduction du bras est vigoureuse. Par ailleurs, le bras droit est comparable au bras gauche. Les membre
bras est vigoureuse. Par ailleurs, le bras droit est comparable au bras gauche. Les membres inférieurs sont atrophiés d
caféine. L'oedème des membres inférieurs gagne le tronc., puis les bras et la face, très variable d'un jour à l'autre.
III, du moins en ce qui concerne 4 doigts, le pouce non compris. Le bras se termine par un moignon sur lequel trois sill
6 (1) l'histoire d'un hémimèle essentielle- ment caractérisé par un bras réduit à un moignon portant une main en miniatu
e de la main et par une réduction très accentuée des os de l'avant- bras . ' Il ne s'agit donc pas d'amputation intra-uté
s'est ralentie d'une manière progressivement accentuée en allant du bras à l'extrémité de la main, mais même la diffé- r
on a été de moins en moins complète en remontant de la main vers le bras . Dans notre précédent travail nous avions admis
e l'on compte ses pulsations, il fait remarquer : « Je n'ai plus de bras , tout s'en va. » 29. S'améliore, parle plus vol
Je ne pouvais pas remuer le corps. Je croyais qu'on me coupait les bras et qu'on me les recollait. Je croyais que j'ava
collait. Je croyais que j'avais les yeux rentrés. Si on déplaçait mon bras , je n'avais pas la force de le ramener à sa pos
34 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
er son incapacité motrice. Elle avait débuté par le côté gauche (le bras , puis la cuisse) ; il 2v ans, c'est-à-dire trois
isse) ; il 2v ans, c'est-à-dire trois ans plus tard, le côté droit ( bras en premier lieu) se prend à son tour. Le travail
ensions verticales sont supérieures aux dimensions horizontales. Le bras , dont le bord externe dessine une ligne concave e
es de l'avant-bras. Elles sont flasques aux pectoraux, aux muscles du bras . A la paume de la main droite leur consistance
13 chemise avec sa main gauche, il lui faut d'abord immobiliser le bras gauche avec la main droite. Si l'on place une
l l'électricité est conservée. Cette dernière est un peu moindre au bras gauche qu'au bras droit. Pas d'anes- thésie pha
t conservée. Cette dernière est un peu moindre au bras gauche qu'au bras droit. Pas d'anes- thésie pharyngée. Conservati
ant son séjour dans le service. Le mois suivant, il a accusé dans les bras et les cuisses, quelques sensations douloureuse
ans, bonne santé néanmoins. A ce moment la maladie s'ac- centue. Le bras droit s'affaiblit, ce qui détermine le malade, qu
s arrêter. Leur aspect général est toujours à peu près le même : le bras , gros à sa racine est mince et complètement atro-
eltoïde gauche, bien qu'encore assez gros, relativement au reste du bras , est cependant certainement atrophié et a perdu b
rentes. Il est en effet très affaibli et le malade, pour porter son bras jusqu'à l'horizon- tale, transversalement, est
veau des deltoïdes, mais 's encore au niveau des autres muscles des bras , ainsi qu'on peut s'en rendre compte en compara
e Noir et Be- zançon. En effet au niveau de la partie supérieure du bras , la circonférencequi était autrefois à droite d
ite et de 19 cent. 5 à gauche. Les dimensions des autres parties du bras sont restées sensiblement les mêmes. Le volume
ut le côté droit paralysé est envahi peu à peu par la contracture. Le bras se plie à angle droit sur le devant de la poitr
'on lui présente, cette main ayant ses doigts repliés en griffe et le bras du même côté restant collé au tronc. Pas de c
dans tout le côté droit : -. mais toujours le début se fait par le bras droit. Ce n'est que depuis un mois que les conv
n'est que depuis un mois que les convulsions, d'abord localisées au bras droit, se sont étendues à tout ce côté. Ces cri
brachiale droite avec amyotrophie surtout marquée à l'épaule et au bras . Nous venons d'assister il une de ces crises ép
sions sont le plus ordinairement localisées dans la zone motrice du bras . C'est même celle contracture tardive, jointe à l
- siper tous les doutes. Observation X Monoplégie hystérique du bras droit avec récidives. (1ul : nsTrn, in JahrL. f
ouvements du membre affecté et supprime le sentiment de lourdeur du bras malade qui est presque constante dans cette mal
pendant la séance si le malade est assis pour éviter la fatigue des bras étendus. Le courant ne doit jamais être trop fo
rdinairement dans la fa- radisation de la région claviculaire si le bras est soulevé par une contrac- tion assez forte d
e cette manière je les tiens d'une main. Le malade étant couché, le bras ne doit pas être abaissé. Le grand pectoral est
un tempéra- ment nerveux et une intelligence peu développée. Les bras , surtout le gauche, ont perdu de leur force depui
à peu le sensorium. L'hé- miplégie est complète et flasque, jambe, bras , face inférieure et supé- rieure (signe de l'or
e, le Christ apparaît au milieu des nues : le fils de Dieu étend le bras droit et montre le Livre fatal où sont inscrites
ants indiqués ci- dessous. Sur le tronc, l'abdomen, les fesses, les bras , les avant-bras, les Fig. 6. Nouvrcc IcoHOOrs
aleur, température sont conser- vés dans les parties supérieures du bras ; au-dessous d'une ligne oblique passant, en ar
a résistance opposée par la peau. Au niveau de l'épaule, du dos, du bras , la résistance n'offre rien d'anor- mal et tous
ractions des muscles de l'avant-bras absolument normales. Auxavant- bras , la résistance augmente considérablement, mais le
he superficielle du nerf musculo-cutané, au tiers moyen de l'avant- bras gauche. Le 28 août, à 10 heures du matin, nous
n incomplète des yeux), de l'anal- gésie avec thermo-aneslhésie aux bras et aux jambes. Les nerfs cubitaux étaient tuméf
é par une sensation de houle qui monte du nomhril vers la gorge. Le bras et la jambe gauches se convulsent les premiers, p
eptembre) ; elle est absolue. La piqûre est parfaitement sentie. Le bras gaucho est un peu moins paralysé : il persiste qu
d'octobre, prescrit de l'iodure et des frictions mercurielles. Le bras gaucho guérit au bout de quinze jours. En novembr
marche est meilleure. Mme M. peut aller et venir en s'appuyant sur le bras de son mari. Mais il existe toujours de la trép
rt (surtout à gauche), et d'autre part dans les épaules et dans les bras (surtout du côté droit). Cette rachialgie s'est
tard, raideur de la nuque, avec douleurs vives irra- diées dans les bras , les avant-bras et jusque dans les doigts. Atroph
sourdes et profondes que la malade localise dans la continuité des bras et des avant-bras. Par instants en outre, se prod
LA SALPÊTRIÈRE. douloureux reparurent dans les épaules et dans les bras comme la première fois. Jusque la, la malade
e l'on provoque de vives douleurs. Elles s'irradient aussi vers les bras et vers la région sternale. DE LA MÉNINGO-MYÉLI
bres supérieurs. Il existe une atrophie musculaire évidente dans le bras , l'avant-bras et la main du côté gauche. Le bra
évidente dans le bras, l'avant-bras et la main du côté gauche. Le bras et l'avant-bras de ce côté mesurent 1 centimètre
des doigts s'exécute bien, ainsi que les mouvements du pouce. Au bras et à l'avant-bras gauche on ne saurait dire avec
, peu intenses, siégeant dans les épaules, dans la con- tinuité des bras et des avant-bras, les autres lancinantes et pass
les partent du cou s'irradient de là dans les omo- plates, dans les bras , jusque dans les doigts (deux derniers de la main
e, 19 kilog. il gauche, 20 ki- log. il droite. La circonférence des bras et des avant-bras est la même des deux côtés. O
e livreur dans une librairie. Il partait avec une petite voiture il bras , vers 9 heures du matin, pour rentrer il 6 heur
rs profondes et continuelles dans les épaules et dans la racine des bras . Les réflexes tendineux sont toujours exagérés au
n 1886, il remarqua pour la première fois sur la peau des jambes, des bras , de la poitrine, une éruption assez discrète de
ut l'avant-bras et la main. Ce- pendant il a l'usage parfait de ses bras . On constate une légère diminution de la force
nerveux constituent tous les symptômes : Contracture spasmodique du bras droit de l'avant-bras et de la main qui est défor
ses musculaires ; et ses douleurs qui ne cessent jamais passent du bras à la jambe, de la main au pied, pour reparaître
890. Examiné le 4 mars, on constatait les symptômes suivants : Le bras gauche tombe verticalement le long du corps, la m
thésie en manche de veste. (Fig. 31, 32). Au toucher, abolie sur le bras gauche, - au froid, presque aholie sur le bras
toucher, abolie sur le bras gauche, - au froid, presque aholie sur le bras gaucho, diminuée dans tout le côté gauche. Od
bilité permet de constater la dissociation sy- ringomyélique sur le bras gauche. Le tact est bien conservé (pinceau), la
le ventre, retenu par des liens ou par les draps bien sanglés, les bras libres ou non, suivant certes qu'il était plus
e ; ils se fléchis- sent et s'étendent, puis la main se ferme et le bras droit devient rigide tout d'un coup. L'épaule d
oit devient rigide tout d'un coup. L'épaule droite est soulevée, le bras est en totalité étendu et tourné en dedans ; la
ture, et la tête est tournée du côté droit. Après la contracture du bras survient la rigidité du membre inférieur droit. C
contracture se manifeste toujours de la même façon à la face et au bras , on observe à la jambe des différences, qui tienn
lle est couchée, la contracture s'ef- fectue de la même façon qu'au bras , que le membre.inférieur n'est pas plié au nive
ieur se contractait, bientôt suivi de la contracture des muscles du bras et de la face. Si l'excitation était appliquée
re du développement des contractures était le suivant : la main, le bras , la face, et en dernier. lieu l'extrémité inférie
ture suit la propriété fonctionnelle; par exemple : l'excitation du bras produit en premier lieu une contracture du bras,
e : l'excitation du bras produit en premier lieu une contracture du bras , l'ex- citation du membre inférieur, la contrac
(après une période de petits mouvements) et sont suivis par ceux du bras et du membre inférieur gauchos; en définitive, un
La contracture débuté dans le membre inférieur et gagne aussitôt le bras et la face, si le diapason est situé au-dessus du
ier pour être bientôt suivi par' la résolution de la contracture du bras et de la face. Je constate, que le sujet peut i
coup, mais non pas avec la même intensité, parce que pendant que le bras et le pied droit sont dans une catalepsie tétan
que le bras et le pied droit sont dans une catalepsie tétanique, le bras et le pied gauche soûl seulement dans un étal d
ne demi-heure. 18 Elle se mord à la partie inférieure de l'avant- bras . Il se produit une ecchymose. Interrogée, la mala
son réveil, un nouveau phé- nomène apparut : un tremblement dans le bras et la jambe du côté droit, trem- blement qui pe
pénible et mettant le malade dans l'impossibilité de se servir de son bras droit pour les travaux délicats. Alors S... q
92 est un tremblement qui in- téresse tout le côté droit du corps : bras , jambe et tête. Il a franchement l'allure d'un
ie cutanée est nettement limitée à toute la moitié gauche du corps ( bras , jambe, face). (Côté hémiplégie). La sensibilit
a région lombo-sacrée. Douleurs vagues dans les membres, surtout le bras et la jambe droits ; le poi- gnet de ce côté a
atopsie. Les mouvements se font bien ; quelquefois limités pour les bras par une dou- leur dans l'épaule ; mais pas de c
35 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
ici. Elle envahit généralement la main, l'avant-bras et une partie du bras , mais quelquefois, elle peut s'étendre à tout le
sortit cle l'hôpital pour venir travailler à Paris , il avait déjà le bras gauche comme engourdi et il y ressentait, princip
était plus faible que la droite. Pendant cette période, également, le bras , le tronc du côté droit et la moitié droite de la
s guéris, le malade s'aperçut qu'il n'avait plus aucune force dans le bras et que sa main ne pouvait rien tenir. Alors, étan
nces thénar et hypothénar, de la parésie et une analgésie complète du bras et de l'avant-bras. Ces renseignements sont puisé
que, sauf que la jambe du côté gauche commença à s'affaiblir comme le bras et lui fit éprouver une grande difficulté à march
nclinée sur l'épaule gauche (action du sterno-mastoïdien gauche), les bras tombant et animés de temps en temps, surtout à dr
bles bien accentués dans la position et les mouvements des jambes. Le bras droit n'est pas agité pendant la marche, mais pen
Les avant-bras donnent des résultats identiques à la mensuration, les bras également, ainsi que les cuisses et les jambes.
bourdonnements d'oreille, puis de ses panaris et de son impotence du bras gauche. Autrefois il était toujours en train de c
veux ne sont pas limités à la main. La flexion de l'avant-bras sur le bras est peu vigoureuse. « L'anesthésie à la piqûre
coupant environ par le milieu la tête numérale. La région interne du bras est insensible malgré les perforants intercostaux
'est aboli que dans la main et l'avant-bras. Il persiste au niveau du bras et le malade a conscience des mouvements que l'on
oignet, que l'anesthésie remontait tout le long de l'avant-bras et du bras , jusques et y compris le moignon de l'épaule. Il
long. Voilà déjà quatorze mois que le malheureux est impotent de son bras . Combien cela durera-t-il encore ? Je ne sais, ma
lade est tenue éveillée toute une nuit par des douleurs vives dans le bras , l'avant-bras et les jointures des mains et des p
de la sensibilité, contact, douleur et température, remontant sur le bras jusqu'aux environs de l'articulation scapulo-humé
sorte de mouvement con-vulsif de la tête, du cou, des épaules et des bras , avec émission brusque d'un son inarticulé, imita
lle-ci était née et habitait à la campagne. Un jour, portant dans ses bras une charge de bois, elle glissa sur le sol et tom
ter le dos de la même main. Douleur très vive dans la main et dans le bras . Pas de perte de connaissance, elle s'est tout de
ut d'abord l'attention, c'est l'attitude de la malade. Elle porte son bras droit habituellement en echarpe, la main et le po
tient par habitude sa main contre sa poitrine, comme si elle avait le bras en écharpe. Si on écarte la main, elle reprend au
des plaques anesthésiques, en particulier à la partie postérieure du bras . L'anesthésie a disparu à la jambe; à la cuisse
muscles de la main, puis a envahi progressivement tout le membre, les bras , les épaules; les muscles de la partie postérieur
u front du côté droit, sans commotion cérébrale, et des fractures des bras . En juillet 1889, M. X... prenait part aux trav
inhabiles à manier le pinceau et maigrirent d'une façon notable ; les bras , les épaules s'atrophièrent à leur tour au point
u niveau des membres supérieurs, du thorax et du cou, si bien que les bras sont ballants le long du tronc et que la tête ins
commençant par le côté droit. De l'avant-bras, l'atrophie remonta au bras , puis à l'épaule, et enfin, au mois d'octobre 1
pour les grands pectoraux, à son maximuh au niveau des deltoïdes. Aux bras , les biceps ont à peu près disparu; les triceps p
use des biceps qui empêche l'extension complète del'avant-bras sur le bras et dessine une corde fort nette dans ce mouvement
ent assez de force. Les mouvements d'extension de l'avant-bras sur le bras sont forts et présentent une grande résistance au
Cuisse, tiers inférieur........ Avant-bras, tiers supérieur..... Bras , partie moyenne ........ I D = 35 cent. 1/2 )
sinon de temps en temps dans les épaules et la partie supérieure des bras , et encore n'étaient-elles pas d'une grande inten
er à la Salpêtrière. L'atrophie était prononcée au plus haut point au bras , à l'épaule, à la cuisse et à la jambe. Le ptosis
ble qu'auparavant ; bientôt il en fut de même de la main droite et du bras . Depuis un mois, le malade ne peut regarder de
omie un aspect particulier sur lequel nous reviendrons plus loin. Les bras sont presque collés au corps, les mains reposent
supination ou en demi-pronation) se fléchit assez complètement sur le bras et s'étend même, sans résistance. Le bras s'écart
t assez complètement sur le bras et s'étend même, sans résistance. Le bras s'écarte incomplètement du tronc, ne peut se port
De l'avant-bras gauche à 7 cent, de l'olécrâne . . = 23 cent. 1/2 Du bras gauche à 12 cent, de l'olécrâne. * . . =24 — L'
'olécrâne. * . . =24 — L'atrophie des muscles de l'avant-bras et du bras est manifeste. Membre supérieur droit. — Dynamo
l se redresse incomplètement. Les fléchisseurs de l'avant-bras sur le bras sont relativement bien conservés. L'extension de
sont relativement bien conservés. L'extension de l'avant-bras sur le bras n'offre aucune résistance. Les mouvements du bras
l'avant-bras sur le bras n'offre aucune résistance. Les mouvements du bras : adduction, abduction, élévation, abaissement, s
e l'avant-bras droit à 7 cent, de l'olécràne. . . = 23 cent. 1/2 Du bras droit à 12 cent, de l'olécràne.....=25 — 1/2 De
/2 Du bras droit à 12 cent, de l'olécràne.....=25 — 1/2 De chaque bras à l'insertion du grand pectoral. . = 27 — 1/2 M
volumineux à leur partie inférieure qu'à leur partie supérieure, des bras qui ont une forme cylindrique, des épaules qui on
l existe des secousses fibrillaires dans les muscles de la cuisse, du bras et de l'épaule ; elles sont peu fréquentes, mais
e 1890) : Juillet. Novemb. Avant-bras à 7 cent, de l'olécràne Bras à 12 cent, de l'olécràne. . . Cuisse. à 9 cen
. Cet aspect se remarquait chez l'un de nos malades (Obs. III). Les bras sont « ballants », tombent de chaque côté du corp
tions médullaires supérieures sont exactement les mêmes. Là aussi les bras sont ballants et le malade est obligé de les lanc
u moins considérable due à la disparition des masses musculaires. Les bras sont inertes, pendant le long du corps, les mains
segment supérieur des membres thoraciques, ce sont toujours les mêmes bras « ballants », les mêmes épaules amaigries et tomb
s trois escarres spontanées qui ont évolué sur l'avant-bras et sur le bras , et dont il porte encore les marques indélébiles.
t impossible ; l'avant-bras était fléchi presque à angle'droit sur le bras et ne pouvait être étendu; la jambe était en exte
singulière. Pourquoi cette forme de languette sur le bord interne du bras et de l'avant-bras? Ce n'est pas ainsi, en généra
1. Eh bien! une même lésion peut expliquer tous les phénomènes que le bras du malade nous a présentés. Admettez que cette lé
en que par le passé sur le patin gauche, et il était tout emprunté du bras gauche dans les mouvements qui servent à garder l
e hémiplégie gauche spasmodique, La contracture est très prononcée au bras et à la jambe, mais davantage à la jambe. Pendant
ur le sol. Les réflexes plantaires sont exagérés. Les mouvements du bras et de l'épaule gauche sont très limités. Le membr
e du côté gauche, avec faiblesse et tendance à la contracture dans le bras gauche. Aujourd'hui cet état spasmodique persis
est suivie. Le côté gauche est, en effet, atteint de contracture, le bras est serré contre la poitrine, l'avant-bras est fl
l'index droit, gagnent ensuite les autres doigts, l'avant-bras et le bras . Elles s'accompagnent d'une sensation douloureuse
ariétale ascendantes, autrement dit au centre moteur de la main et du bras . . Peut-on vraiment demander plus de précision?
utait, puis le globe oculaire, la commissure labiale du même côté, le bras gauche se prendre à leur tour, et enfin le malade
lit, il ressentit des secousses dans la face du côté gauche, puis le bras du même côté s'agita ; enfin, notre malade perdit
'avant-bras droit. ... 28 cent. — gauche. . . 26, 26 1/2, 27 — Du bras droit....... 26 cent. — gauche...... 24, 25, 25
t débuté. Puis des fourmillements apparurent dans la jambe et dans le bras . Les troubles parétiques augmentèrent graduelleme
urs reprises d'arrêter les mouvements choréiques en lui attachant les bras , mais ces manœuvres n'eurent d'autre résultat que
existe des stigmates permanents de l'hystérie : anesthésie totale du bras droit; anesthésie de la moitié droite du tronc, e
ues autres phénomènes appartenant à l'attaque ordinaire : raideur des bras avec contracture, secousses cloniques des quatre
ent (survient une attaque convulsive caractéristique ; elle étend ses bras , les tourne en pronation, sa mâchoire inférieure
36 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e, il peut, avec difficulté, étendre et fléchir l'avant-bras sur le bras . Du côté droit, ces mouvements font défaut. Il
. Persistance des douleurs spontanées qui ont même augmenté dans le bras droit ; persistance de l'hyperesthésie au thora
rivent de sommeil. Les cuisses sont devenues douloureuses comme les bras . Mouvements de flexion et d'ex- tension de l'in
onatiou et de supination. L'avant-bras se fléchit et s'étend sur le bras , mais avec beaucoup de lenteur et saus force. D
, trois litres. 18° jour. Un peu d'extension de l'avant-bras sur le bras ; le malade leva très bien la jambe gauche et te
Secousses dans les membres inférieurs, avec retentissement dans les bras ; elles s'accompagnent d'une contraction qui a
s'accompagnent d'une contraction qui a pour effet de rapprocher les bras du tronc. 19° jour. - IIyperesthésic des muscle
Les mouvements gagnent sensiblement en étendue : il peut élever le bras gauche à la hauteur de la tête, et porte la mai
eaux. Membre supérieur droit : à la région antérieure de l'avant- bras les muscles se contractent assez fortement ; abse
tent rien de particulier, sauf un retentissement douloureux dans le bras droit quand il essaie de soulever la jambe. La
ans oppression. Le malade ne peut imprimer le moindre mouvement aux bras ni aux jambes. Température du soir, 39°,la. 1
contractures et la pression à leur niveau est très douloureuse. Les bras sont fixés au tronc et le malade pousse des gém
- tion ; il en est de même lorsqu'on cherche à étendre les avant- bras qui sont dans une demi-flexion. Impossibilité pou
ts volontaires aux membres inférieurs ; mouvements très limités aux bras et aux avant-bras, surtout à droite. L'examen d
ent des membres supérieurs. Douleurs vives à la face antérieure des bras ; contracture qui maintient les avant-bras dans
prise de contractions convulsives dans les muscles des mains et des bras , qui se manifestaient surtout dans les moments
ce moment (juillet 1880) son professeur remarqua que l'épaule et le bras droits étaient de temps en temps soulevés par d
uvent des mouvements très rapides de balancement et d'élévation des bras , de même que simultané- ment les jambes, surtou
ics et de contorsions, remuant DE L INCOORDINATION MOTRICE 29 les bras , se relevant et s'abaissant à plusieurs reprises,
i : « Ah ! ali ! X ? X... merde, merde », disait S... en levant les bras en l'air et les abaissant alternativement et le
ors la force d'imitation était telle chez celui-ci qu'en levant les bras et la jambe droite il trébuchait et tombait par
exécutèrent des gri- maces variées; il existait des mouvements des bras , d'élévation alternative des épaules. Subitemen
ts alternatifs d'abaissement et d'élévation des deux épaules. Les bras remuent, les doigts s'ouvrent et se ferment. Les
, ces mouvements incoordonnés se généralisèrent, ils envahirent les bras , les jambes des deux côtés, l'enfant faisait de
ndant que nous l'examinons, il cligne des yeux en même temps que le bras droit se porte à plusieurs reprises rapidement
rande frayeur ; est resté quelques minutes sans pouvoir parler, les bras agités de tremblement. Il est resté quelques mo
rusques et moins fréquents ; du reste, dès 1878, les mouvements des bras et des jambes avaient déjà disparu : le malade
s convulsives repa- rurent, d'abord dans les épaules, puis dans les bras , puis dans la figure. A ce moment elles commenc
l'espace de dix jours, la jeune malade reçut sur un vésicatoire du bras 50 centigr., soit 5 centigr. par jour en une se
RE DANS L'ÉPILEPS1E. 51 femme de vingt-deux ans à qui on injecta au bras et à la nuque dix gouttes d'une solution à 1 :
LOGIE NERVEUSE. pouvant se propager aux muscles de l'avant-bras, du bras , et même de l'épaule; c'est une atrophie non pa
ation très complète, caractérisée par une paralysie avec raideur du bras et de lajambeducôté droit et de la jambe gauche.
t étourdie; on la recouche, elle a un peu de para- lysie motrice du bras gauche, avec déviation conjuguée des yeux à dro
on mariage) ; on constate une paralysie motrice très peu marquée du bras gauche, et existant à peine à la jambe gauche;
ut en demeurant éveillé. Il suffit, après lui avoir fait étendre le bras volontairement, d'en effleurer la surface avec
urent : un affaiblis- sement rapide et progressif des jambes et des bras puis des muscles de la nuque. Dès le début, il
. Néanmoins au bout de quelques semaines, la parole est revenue, le bras gauche a récupéré ses fonctions après plusieurs
erosseux de la main droite; l'atrophie passa ensuite aux muscles du bras entier et de l'omoplate. En examinant l'urine,
à "éprouver de la difficulté à parler et de la faiblesse dans le bras gauche. Ces symptômes augmentèrent gra- duellem
ble, il marchait avec une canne et avec beaucoup ,de difficulté; le bras et la main gauche étaient atrophiés et paralysé
de ce moment, les muscles des membres supérieurs s'atrophient, les bras perdent leur force et demeurent incapables de t
que des muscles était en rapport avec leur volume ; les muscles des bras , qui étaient les moins atrophiés, se contractai
aient les moins atrophiés, se contractaient bien, ceux des avant- bras et des mains, qui avaient perdu davantage, se con
s tantôt dans unejambe, tantôt dans les deux jambes, tantôt dans un bras , tantôt dans un bras et une jambe, tantôt dans
tantôt dans les deux jambes, tantôt dans un bras, tantôt dans un bras et une jambe, tantôt dans les quatres membres. Ce
'est fer- mée bruyamment et brusquement aussi. - En même temps le bras gauche est agité par des mouvemements de moulin,
ivement sept ou huit fois. Les mêmes mouvements se répètent dans le bras , droit. Le malade secoue deux ou trois fois sa
rs de cela il a de temps en temps un mouvement choréique isolé d'un bras ou d'une jambe, de sorte que les accès convul-
ontaires ; tout s'est borné à quelques mouvements choréi- formes du bras . Il semble en outre que les mouvements isolés a
famille, que le profes- seur ou les parents s'aperçoivent qu'un des bras est agité de mouvements convulsifs : les doigts
e de ses contorsions les plus ordi- naires, qui consiste à lever le bras et la jambe droite en frappant la terre du pied
s. Il berçait un jour, sur le pont du navire, son enfant dans ses bras , lorsque survint un matelot qui se mit, à l'ins-
vint un matelot qui se mit, à l'ins- tar du cook, à bercer dans ses bras un billot de bois. 180 CLINIQUE NERVEUSE. Pui
accompagnement de secousses muscu- laires désordonnées, remuant les bras , se baissant et se relevant à plusieurs reprise
t vrai, mais qui sont aussi toujours faciles à apprécier : c'est un bras qui en est le siège; elles se localisent assez
it moins bien sur la jambe droite et qu'il se servait moins bien du bras droit. Depuis le début des accès, il mange moin
u demi-closes, pupilles très dilatées, cou rigide dans l'extension, bras droit dans l'extension, main fermée pouce en de
xtension, bras droit dans l'extension, main fermée pouce en dedans, bras gauche en denii-ilexion, doigts écartés, le pouce
plète; l'épaule est tombante, il boîte; il peut toutefois mettre le bras sur la tête. Le bassin est projeté en arrière;
s. Contracture très pro- noncée de tous les muscles fléchisseurs du bras , de l'avant- bras et de la main. L'avant-bras e
pro- noncée de tous les muscles fléchisseurs du bras, de l'avant- bras et de la main. L'avant-bras est en demi-ilexion s
'avant- bras et de la main. L'avant-bras est en demi-ilexion sur le bras , 1 Cil. Foré. Contribution à l'étude des troubl
lorées. Finalement, paralysie totale des jambes, presqu'absolue des bras . Dans le cours de l'affection, on a noté des do
peu près tel quel. En juillet 1880 survient une paralysie rapide du bras droit; en même temps apparaissent des phénomènes
s de phénomènes d'excita- tion moteurs, s'observent généralement au bras , rarement à la jambe ou à la tête. Les uns éman
ndant elle était infirme; elle présentait une hémiplégie flasque du bras droit, une hémipa- rébie très accusée de la- ja
huit ans qui, par l'attitude du cou, de la tête, des épaules et des bras , ont l'air de vieillards; mais ce ne sont là que
s et de contractures des muscles pectoraux ainsi que des muscles du bras gauche, qui cessèrent après l'élongation du ner
retour de la sensibilité, mais pas d'amélioration de la motilité du bras . Elongations des nerfs intercostaux. En 1878,
eurs de reins et com- mença à éprouver de la difficulté à porter le bras droit derrière le dos. Il changea de place au m
ineuse était excavée, le grand pectoral très aminci. Les muscles du bras et de l'avant- bras avaient perdu au moins le q
le grand pectoral très aminci. Les muscles du bras et de l'avant- bras avaient perdu au moins le quart de leur volume; l
e leur volume; le déchet était le même aux éminences de la main. Le bras était collé au tronc, et le malade ne pouvait l
hé et s'est Archives, t. IX. 21 322 THÉRAPEUTIQUE. servi de son bras « comme s'il n'avait rien eu ». A quatre ans et
était incapable de se tenir sur la jambe gauche et de se servir du bras gauche «qui était tombant ». Il a recommencé à
îné la jambe et il la traîne autant aujourd'hui qu'à son entrée. Le bras u'arécupéré quelques mouvements qu'au bout de d
mois. Depuis qu'il est à Bicêtre, la main a repris de la force. Le bras a été électrisé pen- dant un an, mais cela « n'
; - hier le malade s'est plaint de céphalalgie. . 23 novembre. Au bras gauche (côté paralysé), Lef... présente des ind
ultiples, à la suite des injections hypodermiques, mais toujours au bras paralysé (côté gauche). Il n'accuse aucun phéno
coup d'embonpoint, elle est grande et d'une forte constitution. Ses bras portent des plaies et des ecchymoses, produites
te, mais il fut retenu par le soldat Vincenzi qui lui prit les deux bras . Inisdea prononça alors ces paroles « cadra, ce
sibilité cutanée; vertiges fréquents; convul- sions des muscles des bras etdesjambes survenant par accès diurnes (2 heur
ines, incertitude des jambes, diplo- pie, impossibilité de lever le bras droit, faiblesse de la main droite. L'examen dé
aux deux sortes de courants. Le 26 octobre, convulsions dans les bras ; des deux côtés, vestiges du phénomène du genou.
és inférieures diminuent, mais on en cons- tate dans l'épaule et le bras (sterno-cléido-mastoidien, trapèze, pectoral, d
les deux sens; interrompt-on le courant, la saine équilibration des bras de levier détermine toujours un retour exact à
moitié droite du corps; plus tard, elle se limite principalement au bras droit et à la moitié droite du tronc. Graduelle
37 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
pli- quer. Le fait lui-même n'était pas complètement décrit : si au bras nous avons une contraction des fléchisseurs, au
ap- sulaires correspondant aux extenseurs, il y aura contracture du bras en flexion, qu'un autre jour elle atteigne plus
un refroidissement, il a souffert de douleurs rhumatismales dans les bras et les jambes et surtout au pied gauche. La m
monoplégie crurale. Le malade ne se déplaçait qu'en s'aidant de ses bras restés indemnes, en s'appuyant sur des cannes o
à droite). L'extension des doigts ne se fait pas complètement. Le bras gauche, un peu plus maigre que le droit (22 cm. c
ux 3e, 4e et 5e doigts et restent localisées à la main, le reste du bras est indemne. La douleur du 5e doigt irra- die j
per sur le trajet de l'artère ne révèle rien. Les troncs nerveux au bras parais- sent normaux. Main droite. La main dr
nt, mais depuis un mois elle avait quelques vagues douleurs dans le bras droit et avait quelque peine à supporter le con
it jours, se sentait un peu fatiguée et souffrait assez violemment du bras droit.Au bout de ce temps apparurent sur le bra
ssez violemment du bras droit.Au bout de ce temps apparurent sur le bras droit des macules qui occupè- rent uniquement l
urs après sans donner naissance à des croûtes Pendant l'éruption le bras était le siège de douleurs très violentes. Cell
main qui fut suivi cinq semaines plus tard d'un oedème de l'avant- bras . Ses doigts se sont déformés et ankylosés, la mal
extension de la main, l'extension de l'avant-bras et l'abduction du bras .Cette dernière est particulièrement pénible et s'
iculaires de la main, sur les masses mus- culairès de la main et du bras et sur les troncs nerveux est très douloureuse
de la phalangette de l'index gauche, et deux fractures de l'avant- bras gauche, siégeant à la partie moyenne. Il ne fut p
inuelles. Le sujet d'Etienne accusait de vives souffrances dans son bras ; la malade de Sicard et Laignel-Lavastine ress
souvenez-vous de ce malade décrit par Kraepelin (3) qui portait son bras lié par une cein- ture et des lacets, afin de l
astique décrits également par Weigandt (3), qui portait une bandeau bras , le croyant paralysé ? C'est pourquoi je veux c
mme qui semblait enivrée d'un amour de vie incapable de frein ; ses bras étaient jetés en l'air; son visage re- gardait
u creux axillaire exercée par une bande qu'on avait passée sous les bras . On ne constatait aucun trouble de sensibilité,
re du nerf radial et s'étend à tous ies nerfs de l'avant-bras et du bras , sauf le circonflexe. Les muscles innervés par
gère douleur à la compression. Ce qu'il y a de nouveau c'est que le bras gauche est frappé lui aussi par une paralysie c
du nerf radial. 18. La paralysie s'est étendue aux autres nerfs du bras gauche excepté le nerf circonflexe, et les musc
avec une rapidité extraordi- naire. La malade peut encore porter le bras en légère- abduction mais tout le membre oscill
on mais tout le membre oscille en tous sens d'une façon analogue au bras droit. Les réflexes tendineux et périostaux son
tendineux et périostaux sont éteints. Mêmes conclusions que pour le bras droit au sujet des troubles de la sensibilité.
E XXVI FiG. Il. Nerf radial droit au niveau de la partie moyenne du bras ; coupe trans- versale. - Méthode de Veigert. -
ration et même grossissement. Fig. 13. Nerf médian gauche dans le bras . Coupe longitudinale. Méthode de Marchi. Même g
e, ou des muscles excités, qui se traduit par l'action de porter le bras en avant. Le réflexe osseux de l'épitrochlée repr
pectoral. Il en résultera donc que l'avant-bras se fléchira sur le bras , et que tous les deux seront portés en avant et
s les cas les plus communs, nous voyons qu'au 'membre supérieur, le bras est un peu rapproché du tronc, le coude fléchi,
on de l'avant-bras et par propagation un mou- vement d'adduction du bras en avant et en dedans ; le premier mouvement es
xe osseux du 1er segment sacré. Peut-on reproduire ces attitudes du bras et de la jambe en contracture, par percussion p
upination et du mouvement de rotation en dehors de la totalité « du bras qui=s'allie le plus souvent au mouvement de supin
n- « cées, les mouvements d'extension le sont aussi. L'élévation du bras est « presque toujours plus ou moins atteinte (
de pro- nation de l'avant-bras ; ce segment se fléchit alors sur le bras à peu près à angle droit, tandis que le bras s'
e fléchit alors sur le bras à peu près à angle droit, tandis que le bras s'écarte du tronc pour se porter à la fois en a
aire se passe dans un segment quelconque du côté sain : avant-bras, bras , jambe ou cuisse non paralysés, que ce mouvemen
y mettant toutes ses forces pendant que nous lui retenons l'avant- bras pour l'en empêcher. Les mouvements volontaires
Voilà un tronc et un branchage qui rappelle un tronc de femme, les bras tendus au ciel dans une attitude tourmentée, sup-
t à un homme lorsqu'il tomba soudain à terre, se débattant des deux bras et des deux jambes, l'écume à la bouche. La con
changer de place et d'affecter le corps, le visage, les mains, les bras et la gorge, que nous sommes très portés à les
SÉANCE DU 4 JUIN 1905 HYPERTROPHIE SEGMENTA IRE CONSIDÉRABLE - DU BRAS ET DE L'AVANT-BRAS 1 AVEC DISSOCIATION SYRING
DE la SALPÊTRIÈRE. T. XXI. Pl. XXXIII HYPERTROPHIE SEGMENTAIRE DU BRAS ET DE L'AVANT-BRAS avec dissocation syringomyél
à sa grande endurance. Depuis un an seulement, il a remarqué que le bras droit s'oedématiait et que la force musculaire
examen objectif révèle un oedème apparent, mais dur et élastique du bras et de l'avant-bras, surtout accentué au niveau de
il n'y a pas de rougeur bien nette ; au, toucher, la température du bras droit paraît un peu plus élevée que celle du br
la température du bras droit paraît un peu plus élevée que celle du bras gauche, mais le thermomètre ne vérifie pas cett
pour la pression de la main, pour la flexion de l'avant-bras sur, le bras , pour l'extension de l'avant-bras. L'abduction
bras sur, le bras, pour l'extension de l'avant-bras. L'abduction du bras est, au contraire, manifestement plus difficile
us difficile du côté droit que du côté gauche ; le malade lance son bras , au lieu de l'élever progressivement. Ce fait s'e
la main, pas d'atrophie apparente des muscles de l'avant-bras et du bras ; mais à vrai dire l'atrophie pourrait L se dis
out bien perçu ; il paraît cependant un peu moins bien perçu sur le bras droit que sur le bras gauche, quand les effleur
raît cependant un peu moins bien perçu sur le bras droit que sur le bras gauche, quand les effleurages sont très légers.
graphies qui vous sont présentées que l'aug- mentation de volume du bras et de l'avant-bras ne correspond pas seule- men
tés. l'hyperdrophie du pied ou podoméga- lie (4), l'hypertrophie du bras n'a pas encore été signalée à ma connais- sance
ion exagérée, la raie méningitique de Trousseau, le tremblement des bras , une légère sail- lie des yeux et surtout un éc
-il, faisait de petits pas et des mouvements d'équili- bre avec ses bras et inclinait fortement son tronc sur l'articulati
es douleurs disparaissent, mais l'impotence des mains et des avant- bras est absolue. De même la paralysie des jambes. Par
écubitus dorsal, la tête inclinée presque constamment à gauche, les bras le long du corps, les avant-bras fléchis à angle
rieurs. Les épaules sont tombantes. L'abduction et l'adduc- tion du bras sont impossibles ainsi que son élévation. Le mala
x qu'il raidit et qu'il incline pour compensation. La rotation du bras tant en dehors qu'en dedans est nulle. Vient-on a
n sont nuls. Dimensions des membres supérieurs : Circonférence du bras prise à 20 centimètres du sommet de la cavité adé
nt à la suite, d'alimentation, siégeant surtout sur le front et les bras . De même, le frottement ^de la peau détermina plu
ction et l'adduction de ce dernier sont de plus en plus faciles. Le bras droit lui-même est légèrement mobilisable. Néanmo
s à sa bouche, en opposant celles-ci paume à paume et en levant les bras . Les yeux sont mobiles,mais les mouvements deme
le. 21. La mobilité est presque complètement revenue dans les avant bras . L'extension, la flexion en sont encore lentes
rieurs. C'est ainsi que le malade ne peut manger sans aide, car ses bras présentent alors des oscillations, par suite d'un
raideur dans le membre inférieur droit, la malade ne se sert pas du bras droit. La percussion du tendon rotulien du côté
n double genu valgum ; le tronc est relativement peu développé, les bras sont allongés : dans son ensemble, la silhouett
bes restent fixées au sol en exécutant l'épreuve de Babinski. Les bras sont longs, arrondis, bien conformés ; les mains
inant le malade dans la position de « fixe », on s'aperçoit que son bras droit est un peu plus long que le gauche. Les d
cet article. Dans le sang tiré en quantité suffisante des veines du bras par saignée, on détermine l'alcalescence, le ré
sance. Le mari aurait observé des mouvements convulsifs, surtout du bras et de la jambe gauches. Morsure de la langue. Dur
aux maux de tête, surtout la nuit ; elle ne peut plus se servir du bras gauche. Dès une année plus tard (mai 1905) paré
rof. Hallenhoff). Parésie du facial gauche. Langue déviée à gauche. Bras gauche parésie : c'est à la main que les troubl
oude, encore moins à l'épaule. MmeG... ne bouge pas spontanément le bras gauche. Elle ne meut également la jambe gauche
et lui dit qu'elle sent venir la crise. Les convulsions débutent au bras et à la jambe gau- ches. Déviation de la tête à
mal ; crises d'angoisse. Dès 1906 : réflexes tendineux exagérés au bras et à la jambe gauches. Pas de contracture. La s
e. La sensibilité à la douleur et à la chaleur est très diminuée au bras gauche et à la moitié gauche du thorax, pas à la
ou sous-cortical. La première altération durable fut la parésie du bras gauche. C'est à la main que les troubles moteurs
Dirigée aussi exactement que pos- sille sur la région corticale du bras gauche, l'ouverture faite par le tré- pan aurai
d'un sarcome, sis immédiatement en arrière de la région motrice du bras . Cela explique l'apparition précoce des troubles
Bel-Air, en août 1906, on nota : hémiparésie droite, plus forte au bras qu'à la jambe ; sensibilité conservée. C'est main
t que s'accentuer ; elle se compliqua de contrac- tures, surtout au bras ,qui resta fixé en flexion maximale sur la poitrin
e. H84 T. LEFÈVRE et un seul phénomène extérieur, une altitude de bras , c'est-à-dire un geste et, pour plus de simplic
composantes, en modifiant leur équilibre physico-chimique. Entre le bras en position et l'oeil, court une certaine somme
se propage automatiquement il toutes les autres. Quand on place les bras d'un sujet hypnotisé dans l'attitude de l'adora
ut, appuyée contre une femme qui se tenant derrière elle, passe les bras sous ses aisselles, afin de la mieux soutenir.
oupit. Il fléchit les genoux, s'assied sur les talons et croise les bras . Puis il se redresse. On le voit alors tirer de s
ers le bord radial de façon à se trouver à angle droit avec l'avant bras . Elle est susceptible de mouvements sur l'avant-
avec l'avant bras. Elle est susceptible de mouvements sur l'avant- bras mais seulement dans un angle de 40°. L'éminence
n. La seule différence consiste en ce que l'index est ici absent. Bras et avant-bras. - Ils sont très atrophiés de deux
t à remarquer que l'atrophie en longueur porte surtout sur l'avant- bras à droite, et surtout sur le bras à gauche. D'un c
ongueur porte surtout sur l'avant- bras à droite, et surtout sur le bras à gauche. D'un côté comme de l'autre les relief
limités, surtout à gauche ; de ce côté le mouvement d'élévation du bras , en avant ou latéralement, né se fait qu'avec dif
asse pas beaucoup la position horizontale, à droite au contraire le bras peut être levé presque verticalement. ' Le re
he. NOUVELLE Iconographie DE la SALPETRIÈRE. 1'. XXI. Pl. LXVII Bras gauche. Bras droit. EC1'ROWÉLIE LONGITUDINALE
Iconographie DE la SALPETRIÈRE. 1'. XXI. Pl. LXVII Bras gauche. Bras droit. EC1'ROWÉLIE LONGITUDINALE RADIALE BILATE
s. Cubitus. -Il est incurvé en arc de cercle vers le bord radial du bras (de- venu bord interne), son extrémité inférieu
ait également entravé dans une certaine mesure le développement des bras et des épaules. Pour élucider plus complètement
s membres supérieurs et des membres inférieurs-radius pour l'avant- bras , tibia pour la jambe se traduit par un tableau sy
étudiants, je lui explique que sa main est saine, que les nerfs du bras ne sont pas malades, que la circulation se fait b
1 pl.), 245. DESPLATS. Hypertrophie segmentaire consi- dérable du bras et de l'avant-bras avec dissociation syringomyé
l.), par Crouzon, 245. Hypertrophie segmentaire considérable du bras et de l'avant-bras arec dissociation syringomyé
ITZ, 90. Sensibilités (Hypertrophie segmentaire con- sidérable du bras elde l'avant-bras avec dissociation syringomyél
49. Sy,'il1yomyélique (Hypertrophie seymen- taire considérable du bras el de l'avant- bras avec dissociation des sensi
e (Hypertrophie seymen- taire considérable du bras el de l'avant- bras avec dissociation des sensibilités) (1 pl ), pa
38 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
psie partielle à début crural, accompagné ou non de généralisation au bras et à la face, de perte de connaissance,etc., suiv
noplégie brachiale désignerait une lésion du centre des mouvements du bras ; de même, enfin, l'épilepsie à début facial voud
u'on peut voir des plaques méningées au niveau des centres moteurs du bras et de la face, mais ce que je veux dire, c'est qu
res, sauf un peu de parésie au niveau du membre inférieur gauche ; le bras correspondant, en particulier, avait conservé sa
l'admiration. Ces deux sentiments sont très nets. La malade élève les bras et les écarte, comme lorsqu'on est saisi d'un éto
r et elle nous fait le récit suivant. « Elle était d'abord dans les bras de son... » nous dirons : d 3 son amant, sans emp
e contentement ; elle renverse la tête en arrière, écarte et tend les bras , semblant y appeler quelqu'un du regard. Ether.
x. Immédiatement sa face prend l'expression d'une grande frayeur. Ses bras se lèvent et ses yeux regardant dans le lointain
température. Une impression de froid la fait frissonner et serrer ses bras contre son corps. Elle se couvre la tête et les é
ce à avoir des frissons, claquo des dents. Puis il sourit, croise ses bras , fait la planche et exécute des mouvements de nat
Mouvements de vomissement, crachement de glaires.) Pincements des bras , des jambes. — (Quand on agit sur le côté anesthé
piqûres successives.) Oh! que j'ai peur des rats! » Piqûres sur le bras . — C'est un monsieur qui la coupe profitant de ce
pectateur qui regardait les jambes de la malade. Il la prend dans ses bras , la porte dans l'allée d'une maison, envoie avec
saute sur les bancs, alors qu'il lui fallait, à l'état de veille, un bras pour la soutenir pendant la marche. Après quelque
part du temps avec des hallucinations visuelles. Il grimpait après le bras de son médecin, le pre- (1) Charcot. — Leçons s
eurs aucun mal, mais lui arracha l'écharpe blanche qu'il portait au bras (il venait de faire sa première communion) et lui
yeux se fermaient, ses paupières battant légèrement, les mains et les bras étaient le siège de quelques courtes contorsions,
ans le cours de la crise survenaient ces contorsions des mains et des bras qui en marquaient à peu près régulièrement le déb
torsion des poignets, fermeture des poings, adduction convul-sive des bras jusqu'à les porter derrière le dos. Cela dura que
nutes) mais il est exactement le même. Même période de contorsion des bras et des mains précédant l'invasion du délire lui-m
touilliez comme cela. Non, non, je suis trop chatouilleuse sous les bras (elle rit aux éclats pendant près de 5 minutes).
t trop jeune, et j'ai beaucoup souffert. (Elle balance la tête et les bras , puis elle reste immobile et inerte pendant quelq
plus. Maintenant allons-nous-en (elle marche comme si elle donnait le bras à quelqu'un). «.....Hé, Madame, on voit vos mol
en battant la mesure, puis elle a des mouvements choréiques dans les bras et les jambes.) « ..... Mais c'est une inondati
ange, tiens (elle fait un mouvement, comme si elle se jetait dans les bras de quelqu'un). Tiens-moi bien dans tes bras, mon
i elle se jetait dans les bras de quelqu'un). Tiens-moi bien dans tes bras , mon Paul chéri. Nous allons mourir ensemble. Oh
malade, sa physionomie revêt une expression de terreur, elle lève les bras au ciel : « Oh ! Charles, viens à mon secours !..
endant ce délire. Puis nous faisons quelques pincements de la peau du bras , de la jambe : t Voyons, Charles ! taquin '. Je
urs après l'accident de l'ascenseur, il traînait une petite voiture à bras , quand tout à coup il perdit connaissance et tomb
l'embêter!... Eh bien! madame, ça va mieux? (Il la soutient dans ses bras ) Venez chez le pharmacien,.. Allons bon! Vlà qu'ç
la paume de la main en arrière et en dehors, les doigts fléchis. Le bras soulevé reste, raidi, dans la position qu'on lui
ance la main vers la clef, la saisit brusquement, puis tombe dans nos bras , en proie à une violente emballeur de la précéd
tition, se renverser légèrement en arrière et allonger ou replier ses bras convulsivement les abattant, ramassant des levé
llait aux champs, il rencontra une vipère qui s'enroula autour de son bras , sans le piquer d'ailleurs, et lui causa une fray
jeune fille m'affirma que le matin au réveil, Marguerite étirait ses bras et se renversait en arrière, ainsi qu'elle avait
attaque survient, beaucoup moins violente, les poings se ferment, les bras se tordent, la malade se renverse en arrière, éba
se en arrière, ébauchant un arc de cercle, ses poings se ferment, ses bras se tordent, elle est agitée d'un petit frissonnem
e, nous affirmons à cette malade, non endormie, je le répète, que son bras droit est paralysé, qu'elle ne petit plus le mouv
flasque... Après quoi, la simple affirmation qu'elle peut mouvoir son bras , tout à l'heure paralysé, suffit pour que les mou
urd'hui, tout se borne à un cri accompagné de quelques mouvements des bras et d'un arc de cercle caractéristique. D'autres
eur d'une petite attaque consistant en un cri, quelques secousses des bras et un arc de cercle. Comme chez la précédente m
fia dit-elle, de congestion cérébrale, suivie de parésie passagère du bras et de la langue pendant laquelle on s'aperçut du
ssent en outre une sensation de lourdeur. S'il appuie un instant, ses bras restent pendant quelques minutes « comme morts ».
ssures sans gravité dont on voit encore les cicatrices à l'épaule, au bras et au cou. Deux blennorrhagies, à vingt-cinq et à
incertaine. Incoordination motrice très nette. Perte des réflexes aux bras et aux genoux. Anes-thésie de la plante des pieds
fection, incoordination motrice se manifestant dans les jambes et les bras , d'abord sous forme d'incertitude, puis avec les
ers la gauche. Il disparaît complètement lorsque le malade, appuyé au bras de quelqu'un, se met à courir; il redevient aussi
ffaiblissement de la force musculaire est très net de ce côte pour le bras et pour la jambe ; la résistance aux mouvements p
ment son incapacité motrice. Elle avait débuté par le côté gauche (le bras , puis la cuisse) ; à vingt-cinq ans, c'est-à-dire
; à vingt-cinq ans, c'est-à-dire trois ans plus tard, le côté droit ( bras en premier lieu) se prend à son tour. Le travail
ensions verticales sont supérieures aux dimensions horizontales. Le bras , dont le bord externe dessine une ligne concave e
es de l'avant-bras. Elles sont flasques aux pectoraux, aux muscles du bras . A la paume delà main droite leur consistance est
e biacromial antérieur : 35 centimètres. Côté droit. Côté gauche. Bras à 8 cent, au-dessus du bec de l'olécrane........
en ce qui concerne le deltoïde. Certains muscles ne répondent pas: au bras , le biceps et le triceps ; à l'avant-bras, les ex
sseurs de l'avant-bras et de l'abducteur du pouce. Mouvements. — Au bras l'abduction est faible, mais peut être portée jus
abduction est faible, mais peut être portée jusqu'à l'angle droit; le bras retombe alors de lui-même (impotence du deltoïde)
tement : le malade arrive à porter ses aliments à sa bouche avec le bras droit ; la fourchette est saisie entre le médius
de sa chemise avec sa main gauche, il lui faut d'abord immobiliser le bras gauche avec la main droite. Si l'on place une é
t à l'électricité est conservée. Cette dernière est un peu moindre au bras gauche qu'au bras droit. Pas d'anesthésie pharyng
est conservée. Cette dernière est un peu moindre au bras gauche qu'au bras droit. Pas d'anesthésie pharyngée. Conservation p
nt son séjour dans le service. Le mois suivant, il a accusé, dans les bras et les cuisses, quelques sensations douloureuses
sept ans bonne santé néanmoins. A ce moment la maladie s'accentue. Le bras droit s'affaiblit, ce qui détermine le malade, qu
ous arrêter. Leur aspect général est toujours à peu près le même : le bras , gros à sa racine, est mince et complètement atro
e deltoïde'gauche, bien qu'encore assez gros relativement au reste du bras , est cependant certainement atrophié et a perdu b
pparents. 11 est en effet très affaibli et le malade, pour porter son bras jusqu'à l'horizontale, transversalement, est obli
au niveau des deltoïdes, mais encore au niveau des autres muscles du bras , ainsi qu'on peut s'en rendre compte en comparant
. Le Noir et Bezançon. En effet, au niveau de la partie supérieure du bras , la circonférence qui était autrefois à droite de
droite et de 19 c. 5 à gauche. Les dimensions des autres portions du bras sont restées sensiblement les mêmes. Le volume
2 ou 3 minutes. Se répète tous les mois. Aura : Secousse brusque du bras droit, avec sensation d'un éclair qui monte du br
cousse brusque du bras droit, avec sensation d'un éclair qui monte du bras à la tête. Très courte. L'accès est précédé de
matin. Aura de durée variable, consistant en secousses brusques des bras et des jambes et un frissonnement général. Vert
ue des mains, qui lui fait lâcher les objets qu'elle tient ; puis les bras exécutent une ou deux secousses. Cela est assez r
ura : boule remontant à la gorge, fourmillements et tortillements des bras et mouvements de la tête. Accès de délire post-
nt mêmes phénomènes avec début au niveau de la main et propagation au bras . Outre les deux cas d'aura jacksonnienne, si ca
ts de l'aura proprement dite : phénomènes psychiques et secousses des bras , dans un cas ; congestion de la face et aura jack
ure au maximum. Puis sensation rapide d'engourdissement remontant des bras à la tête, enfin perte de connaissance et accès.
hute. Quelques prodromes, consistant en secousses involontaires des bras et précédant l'accès de vingt-quatre heures. Ob
bêtes féroces qui se jettent sur elle); enfin cris et convulsions des bras . Le3 accès de petit mal sont précédés seulement
e petits globes de feu; les yeux et la tête se tournent à gauche, les bras s'élèvent en l'air ; enfin elle perd connaissance
ni surtout de perte de connaissance ; seulement, dès cette époque, le bras et la jambe droits devinrent insensibles, presque
39 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s. Depuis cette dernière campagne, il éprouve des douleurs dans les bras et les jambes. Incapable, dit-il, d'exercer son
la plus grande peine à s'échapper de ses mains. Bientôt après, son bras forcené se porte sur deux enfants en bas âge, e
contre les trous qu'il a pratiqués d'avance, à l'extrémité des deux bras de la croix et y fait pénétrer les clous afin d
peu près sous la même forme (mouvements brusques de projection des bras en avant, de haussement des épaules; geste semb
lieu de la couche optique droite et touchant par sa péri- phérie au bras postérieur de la capsule blanche interne ; l'exam
té par des attaques épilepti- formes avec convulsions localisées au bras et à la jambe gauches ; ,; ces attaques, d'abor
s'humec- tent de larmes. Pendant cette attitude contemplative, les bras pendent le long du corps; le malade a l'attitud
de la vie. C'est alors qu'il se fit avec un rasoir des entailles au bras gauche et aux deux jambes, vers le cou-de-pied.
elle a eu des attaques de nerfs, elle a une sorte de paralysie du bras gauche accompagnée de troubles de la sensibilité
lysie du bras gauche accompagnée de troubles de la sensibilité : ce bras '11 Z RECUEIL DE FAITS. est faible et la main
eur pendant sa grossesse, mais il était arrivé à terme, et ses deux bras sont restés égaux jusqu'à l'âge de dix-huit mois.
l'enfant, surtout le côté gauche, et dans le côté gauche surtout le bras . Pendant la convalescence il y avait de la raid
que l'autre. L'enfant «grognait lorsqu'on voulait lui faire ployer le bras pour l'habiller et lorsqu'on serrait un peu le
auche ». Deux mois après (à vingt mois) on s'apercevait déjà que le bras gauche était plus court que le droit. Ce membre
e relation entre les phénomènes cérébraux actuels et l'impotence du bras gauche ( ? ) Chen... rentre mal remis à Montmél
.. ne se dit pas malade, mais seulement gêné par l'infirmité de son bras gauche. L'inégalité de¡; deux bras est manifest
ment gêné par l'infirmité de son bras gauche. L'inégalité de¡; deux bras est manifeste (voir les photographies), le défi
normale de leur disposition anatomique. Les circonférences ues deux bras sont du reste à peu près égales. Ces différen
us d'epalsseur et de fermeté : sur ce point, l'asymétrie des deux bras est plus marquée. Le triceps brachial gauche es
sueur tandis que l'aisselle droite est à peine moite. ij'ct)M)H du bras en abduc- tion reste incomplète à gauche, il eu
on reste incomplète à gauche, il eu est de même de l'élé- vation du bras au-dessus de la tète, malgré une forte contrac-
rte inclinaison du tronc vers le côté opposé, le cône décrit par le bras reste orienté en avant, en dehors et un peu en
vant, en dehors et un peu en bas. La flexion de l'avant-bras sur le bras accentue l'asy- métrie des biceps. A gauche le
e petits mouvements involon- taires dans l'épaule gauche et dans le bras , jamais ailleurs. 11 s'agit t de contractions f
' P.-S. de Magalheies. Un cas de raccourcissement considérable du bras du côté gauche dû il un arrêt de croissance de l'
rations. Chez les sujets normaux, le rapport entre les longueurs du bras et de l'avant-bras est de 72,3 à 100 en moyenne
écl.. 1896, p. 115); Du même. Les pro- portions relatives des os du bras chez les hémiplégiques infantiles et les dégéné
e la pro- portion est renversée : l'avant-bras est plus long que le bras . L'anomalie est donc très marquée. Mais ce qu'i
. A droite, en effet, le rapport entre les longueurs respectives du bras et de l'avant-bras est de 100 à 88,7 ; c'est le
existait sur la moitié droite du thorax, et sur la face interne du bras droit, une dissociation syringomyélique de la sen
lésion ainsi localisée n'explique pas les troubles de la moitié du bras et de la jambe gauche. Faut- supposer une lésio
boisson. Quand il est gris, il prend son plus jeune enfant dans ses bras , le dorlote, le berce; on dirait qu'il veut lui
ement, un soir, pendant que Martin tenait son dernier bébé dans ses bras , il tomba avec dans la cheminée. Une chaudière
ne, le malade eut en même temps que sa blépharoptose une parésie du bras gauche, el, l'autopsie, en même temps, qu'un ra
t produit un ictus avec sensa- tion de gêne et de pesanteur dans le bras gauche, puis paralysie de la jambe gauche avec
yosis persiste. La déviation conjuguée de la tête n'existe plus. Le bras gauche est complètement paralysé, la jambe rest
ne dizaine de minutes. La résolution devient complète, sauf pour le bras et la jambe du côté droit qui demeurent con- tr
40°,0 à droite. Elle meurt à 7 heures, sans convulsions. Autopsie. Bras droit contracturé, fléchi dans chacun de ses se
servation V de Broadbent, il se produit un léger engourdissement du bras droit puis une paresse de la jambe du même côté
210 PATHOLOGIE NERVEUSE. des vomissements, un engourdissement d'un bras puis de la jambe, de la difficulté de la parole
ux heures, ouvrant sa bouche quand on le lui demandait, mouvant son bras et sa jambe gauches. A 9 heures, elle entra dan
eloppait cette grosseur, il res- sentait des fourmillements dans le bras , et éprouvait une difficulté croissante à mouvo
il joint les mains, puis remue les doigts, et 'enfin se croise les bras . Sa physionomie est extrêmement mobile.) D. C
aigrissement diminue. Impotence fonctionnelle à peu près absolue du bras gauche. OEdème très accentué. Apparition d'ulcé-
satisfaisant que pos-ible; mais l'impotence fonction- "nelle de son bras gauche est presque absolue. Cette situation, qui
lète avec début d'une contracture en flexion de l'avant-bras sur le bras et des doigts dans la main. Au membre inférieur
et ; elle raconte qu'une malade de la salle a placé dans son lit un bras , qu'elle a mis à l'annulaire de la main un anneau
de mariage ; elle demande avec anxiété ce qu'elle va faire de ce bras qu'elle croit sentir au pied du lit et insiste po
oyant son membre supérieur paralysé : « Tiens ! voilà ce malheureux bras , enlevez-le ! » Elle cherche à le prendre de la
connaissance, le malade s'est aperçu en voulant se chausser que son bras droit était paralysé; ayant voulu marcher, il c
Nous touchons le coude gauche ; le malade dit qu'on lui « prend le bras » ; pressé de préciser le point touché, il répo
e semble, je crois, etc. » Supprimant ensuite tout contact avec son bras paralysé, il déclare que nous le touchons et inve
vant-bras et de la main droite, elle semble légèrement conservée au bras , à la moitié de la face et au membre inférieur; e
entimètres. Les membres sont grêles, les muscles peu développés. Le bras , à sa partie moyenne, mesure 21 centimètre à dr
rapidement, début à la face, puis successivement secousses dans les bras , enfin le membre infé- rieur, pas de cri initia
ée U'une augmentation de volume des muscles de l'avant-bras et du bras qui sont durs et fermes, des éminences thénar et
artiels à forme corticale, consis- tant en secousses convulsives du bras droit avec inclinaison forcée de la tète à droi
es éloignés. Depuis peu de temps accès de convulsions partielles au bras droit, à la face et à la langue du côté droit a
anté apparente, par une faiblesse et une paralysie brusque des deux bras . Il n'y eut ni ver- tige, ni faiblesse des jamb
rme. D'un coup de son terrible bâton, M. Lucadou lui avait brisé le bras droit. A demi assommé, grièvement blessé, Drien
81 de la rue de Ménilmontant, quand soudain on le vit se piquer au bras droit avec une seringue dite « seringue de Prav
t des hommes autour de lui, des femmes, et même sa femme dans les bras d'hommes. Il voyait également des animaux. B...
ns aura, le corps se raidit dans l'extension la plus prononcée, les bras se collent contre le tronc, la face se congesti
en même temps que la face reprend la physionomie de l'attaque. Les bras restent quelques secondes raides mais la main e
aideur persiste, la face reste convulsée, mais les mou- vements des bras se produisent à intervalles très éloignés. On c
se replie sur lui-même, puis brusquement projette les jambes et les bras de tous côtés et renverse la tète en arrière ;
aie de mordre tout ce qui est à sa portée, ses pro- pres mains, ses bras , la jambe de l'infirmier, une serviette, etc. Il
et qui attaque, les poings sont fermés, l'avant-bras replié sur le bras , la physio- nomie exprime tantôt la frayeur, ta
lon. (Journ. de Neurologie, 1899, nu ! 13.) Il s'agit d'un tic du bras droit, du sterno-cléido-mastoïdien, du trapèze
que si on empêche artificiellement lavant-bras de se fléchir sur le bras , malgré l'e f SENS MUSCULAIRE. 465 fort du bi
te et quelques étourdissements avec engourdissements passagers du bras droit. Cet état de rémission se maintient penda
e; par A. Chauffard et V. Griffon. L'augmentation des dimensions du bras droit est totale, depuis la racine jusqu'à l'ex
it a 22 cent. 1/2 de circonférence, le gauche n'en a-que 17 1/4; le bras droit a 33 centimètres de circonférence et le b
a-que 17 1/4; le bras droit a 33 centimètres de circonférence et le bras gauche 28 1/2 seule- ment. D'autre part, la for
n droite. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ' 481 l L'hypertrophie du bras droit parait porter surtout sur le sys- tème os
our la cuisse, toutes les régions postérieure et interne ; pour les bras , les régions antérieure et interne. Au point
de haut en bas et de dehors, en dedans, que la cuisse ou l'avant- bras présente un oedème et une ecchymose considérables
étaient un peu atrophiés. Persistance des réflexes des muscles des bras , mais disparition des réflexes patellaires. Kien
tion vive du triceps, pendant une extension soudaine et violente du bras , ayant détermine une lésion du radial (Oppen- h
le buveur, et que les convulsions musculaires se succèdent dans le bras . Il faut, par exemple, que soudain se produise
est prise de convulsions de la moitié gauche du corps comprenant le bras , la jambe, la face; la tête est tournée à gauche
pendant de la réaction à la lumière. A 8 heures convulsions dans le bras et la face du côté droit, coeur extrêmement accél
de paralysie traumatique du plexus brachial (paralysie combinée du bras et de l'épaule de lE/'b); par Cuir. RASCII. (Ne
RASCII. (Neccrolog. Centralbl., XVII, 1898.) Paralysie soudaine du bras gauche par extension brusque en arrière. Bras g
Paralysie soudaine du bras gauche par extension brusque en arrière. Bras gauche pendant, flasque, le patient ne pouvant ni
ras gauche pendant, flasque, le patient ne pouvant ni rapprocher le bras de l'épaule, ni mouvoir l'avant-bras vers le br
i rapprocher le bras de l'épaule, ni mouvoir l'avant-bras vers le bras . Conservation des mouvements de la main et des do
s minutes. Quelques heures plus tard, appa- rait une hémiparésie du bras et de la main gauches ; enfin, au bout de quelq
é visuelle. Intégrité des nerfs craniens. Atro- phie des muscles du bras et de la jambe gauches ; mouvements spasmodique
es du bras et de la jambe gauches ; mouvements spasmodiques dans le bras gauche; peut-être quelque diminution de la forc
xillaire limitée au deltoïde. Et cependant le malade peut élever le bras gauche en avant et latéralement, seule- ment l'
de 45°. Or il est classique, que, dans la paralysie du deltoïde le bras ne peut être éloigné du corps La galvanisation cu
l'excitation faradique de l'axillaire permet bientôt l'élévation du bras gauche jusqu'à la verticale en un mouvement de
fronde et son maintien en cette situation. Onze jours plus tard, le bras peut être levé verticalement tranquillement en av
on que celle qui accompagne, pour l'omoplate droite, l'élévation du bras droit à la position verticale. En effet, le mou-
it à la position verticale. En effet, le mou- vement d'élévation du bras gauche à l'horizontale se fait, dans l'espèce,
he est moins puissante que celle de l'épaule droite; si on donne au bras gauche un haltère de six livres à soulever, on
n fait reparaître l'action vicariante du grand dentelé; tant que le bras n'a pas atteint l'ho- 504 REVUE DE PATHOLOGIE N
dentelé est une autre curiosité. Normalement, le deltoïde porte le bras jusqu'à l'hori- zontale, le grand dentelé compl
e dans le dos, douleur thoracique ; puis, se produit une parésie du bras droit et de la jambe du même côté, finalement,
tellaires d'ailleurs égaux absence de réflexes cutanés paralysie du bras droit et du bras gauche (celui-ci est moins att
urs égaux absence de réflexes cutanés paralysie du bras droit et du bras gauche (celui-ci est moins atteint) absence des
é au tronc, à droite seulement; sensibilité normale à la tête et au bras gauche, disparue à la partie inférieure du bras
ale à la tête et au bras gauche, disparue à la partie inférieure du bras droit. Vessie très pleine d'une urine alcaline
2 juin, la tête penche un peu à droite; paralysie flasque des deux bras ; pas de réflexes patellaires ; l'attention est d
asynergie s'observe encore dans d'autres mouvements volontaires des bras mais surtout des jambes, Elle doit être attri-
40 (1934) Oeuvre scientifique
iale, dans un mouvement énergique de flexion de l'avant-bras sur le bras , la contraction des muscles de la région antérieu
sur le bras, la contraction des muscles de la région antérieure du bras et celle du long supinateur ; faites exécuter c
à un sujet se plaignant de ressentir des douleurs violentes dans un bras ou dans une jambe et que vous constatiez que le
tion grave qu'il a subie, il s'affaisse. Son père le prend dans ses bras , le remet dans son lit; inquiet, il fait venir im
re ; on le soutient de la main gauche au niveau du pli du coude, le bras du sujet formant un angle obtus avec l'avant-br
TRÉMITÉ inférieure du radius. L'avant-bras, en partie fléchi sur le bras , est placé en demi-pronation et soutenu par la
up plus considérable, par celle des différentes parties de l'avant- bras et même parcelle de la région carpienne. L'étendu
ordinai- rement moins marquée que la flexion de l'avant-bras sur le bras , ou, tout au moins, n'est pas prédominante. Nou
e, lorsque, pour explorer la flexion réflexe de l'avant-bras sur le bras , on cherche à percuter le tendon du biceps. Il
i ou affaibli, peut être suivi d'une flexion de l'avant-bras sur le bras . C'est là le réflexe paradoxal du coude. Voici
Ie semestre, p. 5 [I. RÉFLEXES TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 51 le bras . Celle-ci s'accompagne parfois d'une flexion de l
énéralement inférieure à celle de la flexion de l'avant-bras sur le bras et ne lui est jamais supérieure. Or, la diminutio
eurs violentes, lancinantes, prédominant à la région postérieure du bras , une légère amyotrophiedu triceps brachial avec s
et par l'abolition du réflexe d'exten- sion de l'avant-bras sur le bras . POLIOMYÉLITE antérieure. Tandis que dans les n
tendineux. Admettons que le réflexe de flexion de l'avant-bras sur le bras soit seul aboli. Il ne faut pas en conclure que
culièrement nette pour le réflexe de flexion de l'avant-bras sur le bras . Au membre inférieur, l'inégalité dans le « réf
achilléen, ainsi que le réflexe d'extension de l'avant-bras sur le bras fai- saient défaut ; le réflexe de flexion de l
EXES TENDINEUX ET RÉFLEXES OSSEUX 73 flexion de l'avant-bras sur le bras , jusqu'au huitième segment cervical, centre du
les réflexes intermédiaires, celui d'extension de l'avant-bras sur le bras et celui de pronation ? Ordinairement ils sont
es qu'il venait de charger, il ressentit un engourdissement dans le bras gauche et il s'aperçut que ce bras était involont
entit un engourdissement dans le bras gauche et il s'aperçut que ce bras était involontairement balancé le long de son c
egments les uns sur les autres ; cependant on ne peut pas soulever le bras malade aussi facilement qu'à l'état normal, ce
léchir sponta- nément les doigts sur la main et l'avant-bras sur le bras , mais ces mouvements sont très faibles, très li
as à droite. Le mouvement réflexe de flexion de l'avant-bras sur le bras est aussi nettement plus fort du côté de la paral
ituelle : lorsque le membre inférieur se porte en avant, on voit le bras se porter en arrière et vice versa ; du côté ga
rière et vice versa ; du côté gauche, il en est tout autrement : le bras se meut très peu et on observe comme une invers
s du membre inférieur et ceux du membre supérieur ; la cuisse et le bras se portent simultanément en avant et le malade,
té gauche, semble aller l'amble ; en réalité le mouvement en avant du bras n'est que la conséquence d'une propulsion exerc
e laisser le membre sain comme inerte et lui avoir soulevé les deux bras , je les abandonne à eux- mêmes, je constate cec
pos. d) Le malade étant assis ou debout, si, après avoir attiré ses bras en avant, je laisse simplement reposer ses main
l'accomplissement de l'acte et qui consistent en un balancement du bras se faisant en sens inverse du mouvement de va-et-
u moins modifiés par son intervention. Je soulève, par exemple, mon bras , puis je le laisse retomber comme inerte, en lui
s j'ai appelé l'at- tention. Il est naturel que le balancement du bras , mouvement accessoire fai- sant habituellement
es mouvements passifs, l'augmentation du nombre des oscillations du bras paralysé, comparé au bras du côté sain, dans le
ugmentation du nombre des oscillations du bras paralysé, comparé au bras du côté sain, dans les expériences b et c, la r
nt-bras placé en supina- tion un mouvement passif de flexion sur le bras et qu'on cherche à appli- quer ainsi ces deux s
on- tal, sur un plancher par exemple, dans le décubitus dorsal, les bras croi- sés sur la poitrine, le malade fait un ef
cte précédent, quand le malade, après s'être mis sur son séant, les bras toujours croisés sur la poitrine, porte le tronc
bre supérieur paralysé. Faites l'expérience suivante : saisissez le bras paralysé, soulevez-le et abandonnez-le ensuite à
e vous faites. Vous constaterez alors que chez le premier malade le bras para- lysé retombera immédiatement comme un cor
jamais elle n'y fit même allu- sion. Si on lui disait de mouvoir le bras droit, elle exécutait immédiatement l'ordre don
écutait immédiatement l'ordre donné. Lui demandait-on de mouvoir le bras gauche, elle restait immobile, gardant le silen
ments qu'on la priait d'accomplir. Quand on l'invitait à mouvoir le bras gauche, ou bien elle ne répondait pas, ou bien el
t combinés à de la pronation de l'avant-bras et de l'adduc- tion du bras . Ces mouvements peuvent présenter des modalités d
ression transversale du métacarpe, la supination forcée de l'avant- bras , etc. Ils apparaissent surtout dans les hémiplégi
it ou d'allongement, souvent combinés à de la pronation de l'avant- bras et de l'adduction du bras. Ces mouvements peuvent
nt combinés à de la pronation de l'avant- bras et de l'adduction du bras . Ces mouvements peuvent présenter des modalités
la jambe saine ; et si alors on pinçait la jambe du côté malade, le bras s'élevait de nouveau et la main se portait sur
çoit de troubles sensitifs à la jambe gauche et de lourdeur dans le bras droit. L'affection progresse insidieusement, sa
de la ponction, des douleurs violentes apparurent à l'épaule et au bras droit ; ces douleurs existent encore. Le mala
échelonnés sur sa route, il peut s'y cramponner et par la force des bras attirer son corps en avant. , Donc, à chaque te
e malade, après s'être couché à plat sur le dos et avoir croisé ses bras sur sa poitrine, fait des efforts pour se mettre
ui doivent' se recouvrir à peu près, s'il n'y a pas de déviation du bras . S'il existe une déviation, elle se traduira pa
gulaire se manifeste si on fait porter à la main d'un seul côté, le bras pendant, un poids de cinq kilogrammes ; elle se
chial gauche. Tampon appliqué à la partie moyenne et postérieure du bras . Avec 36 volts et 54 milliampères, N. F. provoque
onienne en nous fondant seu- lement sur ce fait que la paralysie du bras , quoi qu'elle ait débuté il y a six mois, et qu
en 1896, un matin, à son réveil, D. sentit des picotements dans le bras gauche ; quelque temps après, le malade s'aperçut
et vient faire saillie sous la peau. L'avant-bras est fléchi sur le bras . Le malade a pris l'habitude de porter la main ga
aître des secousses dans la plupart des muscles de l'avant-bras, du bras , de l'épaule et du cou du côté gauche, mais c'e
plus marqués. L'avant-bras en pronation se fléchit violemment sur le bras et vient frapper par saccades la paroi thoraciq
, que le spasme du cou s'associe à des mou- vements spasmodiques du bras . Ce qui fait la rareté de ce fait c'est que le
à chaque instant se mettre en contact par leur extrémité ; les deux bras fonctionnent d'une manière à peu près égale et ne
ue rarement d'une manière complète, caractérisé par de la rotation du bras en dedans et un soulèvement de l'épaule, qui, à
la ligne médiane du corps ; de plus, l'avant-bras se fléchit sur le bras et le bras se porte en adduction (voir fig. g).
médiane du corps ; de plus, l'avant-bras se fléchit sur le bras et le bras se porte en adduction (voir fig. g). Ces mouvem
ments, de réagir contre le spasme et de placer la tête ainsi que le bras dans leur position naturelle, mais il ne peut les
neuses à gauche également. I. Spasmes. Au repos, on constate que le bras est en légère abduction l'avant-bras en demi-fl
f du sujet : si celui-ci se sent observé, s'il pense simplement à son bras , ils redoublent. Ils diminuent et viennent à cé
t en évidence un état de spasme permanent des muscles adducteurs du bras : grand pectoral, grand rond et grand dorsal. L
ix jours après son mariage il fut pris de faiblesse et de douleurs au bras droit et en même temps d'une déviation de la bo
le malade, après s'être placé à plat sur le dos et avoir croisé ses bras sur la poitrine, fait des efforts pour se mettre
u tremblement intentionnel, mais le malade, après avoir soulevé les bras , peut les maintenir quelque temps immobiles, sa
in droite et à la moitié droite de la face. Au membre inférieur, au bras , à l'avant-bras droits et sur la moitié droite
x des membres supérieurs sont normaux. Parfois la malade soulève un bras et le main- tient pendant dix minutes, plus lon
nt être accomplies, mais non sans difficulté ; le malade soulève le bras droit moins bien que le gauche, il écrit lentemen
est pas immobilisée ; elle se déplace aisément en s'appuyant sur le bras d'une autre personne. Quant à son membre supéri
e le 3o mars, salle Jenner, et raconte qu'il y a go mois, ayant les bras levés pour passer le collier à son cheval, il r
ment, il éprouvait quelque gêne dans les mouvements d'élévation des bras et cette gène s'accentua progressivement. Bientôt
bilité lhcr- nuque. 37o PARAPLEGIES AFFECTIONS DE LA MOELLE bras (les fléchisseurs surtout), ceux de la main, sont
upérieure du tronc dans la région mammaire et à la face interne des bras ; leur bord externe est par contre hyperesthésiqu
aux doigts et d'étendre bien qu'imparfaitement l'avant-bras sur le bras . Il existe à l'avant-bras et à la main un peu d
s en partie affaiblis. Le réflexe de flexion de l'avant-bras sur le bras est très faible, surtout à droite où il semble pa
ssus de la ligne mamelonnaire. En excitant la face interne des deux bras et la région thoracique correspondant aux 2'' e
eps (C-) était nettement exagéré, le réflexe de flexion de l'avant- bras (C") était considérablement affaibli, en outre on
nouveau ; elle marche lentement mais cor- rectement, appuyée sur le bras d un aide ; elle est même en mesure de faire, s
, qui sans être exclusivement localisées à la partie postérieure du bras , prédo- minent dans cette région ; légère atrop
rachial, et qu'en présence d'un malade qui se plaint de douleurs au bras on se contente du diagnostic vague de rhumatism
ompagnant pas de dou- leurs, dans celle-là les troubles occupent le bras , se manifestent par des douleurs et n'atteignen
portion adductrice du trapèze, le grand dentelé, le rhomboïde ; au bras : le biceps et le brachial antérieur, mais l'atro
de l'éminence thénar, 2 ; muscles de l'éminence hypo- thénar, 2. Bras : Biceps, 3 ; triceps, 3. Épaule : Muscles extr
les muscles de la racine des membres. Le malade ne peut soulever le bras au-dessus de l'horizontale et quand il exécute
achent du tronc; il y a de l'atrophie des deltoïdes. Les muscles du bras et les longs supinateurs sont diminués de volum
me surtout à gauche. Le mouvement de flexion de l'avant-bras sur le bras est faible surtout à gauche, mais même de ce côté
x tractions que l'on exerce en sens inverse. L'extension de l'avant bras sur le bras s'effectue avec un peu plus de vigueu
que l'on exerce en sens inverse. L'extension de l'avant bras sur le bras s'effectue avec un peu plus de vigueur que la fle
avec une perturbation des réflexes tendineux : dans les muscles du bras et de la cuisse qui ont perdu leur excitabilité i
effet, des deux côtés, le réflexe de flexion de l'avant-bras sur le bras , le réflexe du genou font défaut ; il en est de
t l'excitabilité électrique : on voit, en effet, que les muscles du bras et de la cuisse qui sont inexcitables par la pe
muscles fonctionnent d'une manière normale qu'il est paralysé d'un bras , que désormais il ne pourra plus le remuer est
si de dissocier dans le mouvement de flexion de l'avant-bras sur le bras l'action du long supinateur de celle du biceps,
que, je me suis efforcé de lui suggérer qu'elle avait été brûlée au bras et qu'il se développerait infailliblement, sur
le cas de paralysie brachiale d'origine suggestive : je soulève le bras paralysé et je l'abandonne ensuite à lui-même ; j
ou moins DÉMEMBREMENT DE L'HYSTÉRIE TRADITIONNELLE ! ,g5 long, le bras privé de soutien, au lieu de tomber comme un corp
es paralysies organiques, se maintient dans l'espace, à l'instar du bras d'un homme normal qui ferait un effort pour le
produire, par exemple, suivant mon désir, une paralysie limitée au bras ou occu- pant tout un côté du corps, légère ou
dormir profondément. Vous dites, par exemple : « Je soulèverai son bras 10 fois ; à la dixième fois le bras, qui est flas
r exemple : « Je soulèverai son bras 10 fois ; à la dixième fois le bras , qui est flasque, se raidira ». L'expérience ré
malade de M. Raynaud, présentant une blessure à la face interne du bras , juste au niveau du paquet vasculo-nerveux, l'exi
rose -consécutive aux contusions du nerf frontal; les paralysies du bras observées à la suite de plaies par arme à feu d
stématisée des masses musculaires de la main, de l'avant-bras et du bras , sans réaction de dégénérescence. Les réflexes
térotherme . Nous avons cherché à déterminer, chez nos malades, au bras , à la cuisse, au poignet et au cou-de-pied, l'a
e encore dans les mouve- ments. Le blessé lève-t-il brusquement les bras ou marche-t-il, la main malade pend et oscille
tie supérieure de l'avant-bras, elles sont de 2 à 3 centimètres; au bras , elles sont de 3 à 4 centimètres. Malgré la loc
côté malade que du côté sain. Les oscillations mesurées à l'avant- bras avec le sphygmomanomètre de Pachon sont deux fois
éentraîner. Il se charge de les faire courir en les trainant par le bras . Malgré cet entraînement intensif, son pied n'arr
'étendre bien au-dessus du point lésé et atteindre, par exemple, le bras au-dessus du coude et jusqu'à l'épaule dans un ca
l'épaule dans un cas de lésion de la main. Quelquefois même l'autre bras présente quelques troubles vaso- moteurs et sud
bre supérieur droit, de l'amyotrophie des muscles de l'épaule et du bras et, six mois plus tard, une faiblesse du membre
l'opération, pratiquée par de Martel, il y eut une paralysie des deux bras , mais rapidement la motilité du côté gauche red
nsi que cela a lieu du côté opposé, la flexion de l'avant-bras sur le bras ; la per- cussion des tendons fléchisseurs du p
cussion du radius ne provoque pas de flexion de l'avant-bras sur le bras ; il n'y a pas de D. R., mais le deltoïde, le bice
41 (1889) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 4
ste debout, redresse la tête et se courbe légèrement en arrière : les bras , les jambes, le tronc se raidissent alors dans l'
dance à la catalepsie, mais qui ne résiste pas au défi d'abaisser son bras . La malade, comme beaucoup de sujets, par cela qu
ix minutes environ, M. Liébeault, sans rien lui dire, lève ses deux bras ; ils restent en catalepsie : la malade ne sourci
approche, et, sans rien dire, je provoque l'automatisme rotatoire des bras , lequel je n'avais pu produire auparavant; je pro
ment ; que je l'avais brusquée, que j'avais voulu lui faire tenir les bras en l'air; qu'elle m'avait dit ne pas pouvoir dorm
en faisant allumer des fourneaux ardents et en désignant l'endroit du bras où l'on (1) Leçon faites à la Clinique des mala
. Après quelques mouvements alternatifs d'extension et de flexion des bras frappant à ton et à travers les objets qui l'envi
cence avait été marquée par la brusque apparition d'une hémiplégie du bras gauche avec hémianesthésie sensorielle et sensiti
ection. Au mois de février 1888, elle éprouvait des douleurs dans les bras et dans les jambes, précédant une poussée eczémat
ion d'apomor-phine dont j'injectai environ 3 centigrammes, au gras du bras . Cinq minutes ne s'étaient pas écoulées que la ma
avoir ses règles le lendemain malin, a six heures; 2° de présenter au bras droit, a l'endroit même où une feuille de papier
-à-dire la suggestion, parle mouvement ou la sensibilité. Je mets les bras du sujet en l'air ; ils y restent et il ne peut l
evé de sa main, avançait quelques pas, puis abaissait brusquement les bras devant eux. en leur ordonnant avec autorité de do
et sans qu'il ait assisté à aucune expérience de ce genre, je lève le bras d'un tel sujet, et je lui dis : « Vous ne pouvez
, suivant l'individualité psychique du sujet. Et je lève doucement le bras en l'air, j'obtiens souvent alors, même quand le
veillait chez elle une contre-suggestion involontaire. Je mettais ses bras en l'air : ils y restaient d'abord. Mais aussitôt
l'air : ils y restaient d'abord. Mais aussitôt que je disais : « Vos bras restent », ils retombaient. Les premières séances
ait subi, deux heures avant la visite de M- Potter, un traumatisme du bras . Cet enfant était délicat, très impressionnable e
incomplète et fugitive, parole embarrassée, figure déviée légèrement, bras gauche inerte, Jambe gauche inerte. Je suis app
a régularité ; la langue n'est pas déviée ; la parole est libre. Le bras est absolument inerte, avec œdème de la main qui
de la main qui commence à se contractera. Douleurs spontanées dans ce bras . Le membre inférieur a repris des mouvements ;
jours, en effet, on se plaint d'insomnie); 2° de la souplesse dans le bras ; 3° de la force dans les jambes pour la marche.
a force dans les jambes pour la marche. Le résultat est nul pour le bras ; il est tris sensible pour la marche. Aidée par u
tris sensible pour la marche. Aidée par une personne qui lui tient le bras du côté paralysé, la malade descend du lit et fai
emain, 30 novembre, le progrès obtenu pour la jambe persiste: pour le bras le résultat est nul. Les nuits ont été remplies p
ctique, qui lut a causé de l'aphasie temporaire, de la para, lysie du bras droit et de la jambe du même côté. Lorsqu'elle vi
ns d'origine circulatoires ne viendraient-elles pas dans les nerfs du bras ou de la jambe se surajouter à des troubles de na
labié. Le surlendemain, une deuxième attaque la laissait paralysée du bras droit et enfin, peu de jours après, une dernière
t de la main droite désigné d'avance, puis à la main tout entière, an bras , etc., et toujours au plus grand étonnement du su
janvier 1884 et le mois suivant elle perdait la faculté de mouvoir le bras gauche; puis, son intelligence s'obscurcissant pe
obéit pendant le sommeil à l'ordre que je lui avait donné de lever le bras paralysé. Il est inutile d'ajouter qu'elle recouv
neuro-musculaire que cette tétanisation cataleptique qui fait que le bras reste tendu aussi longtemps et sans fatigue appar
malade était bien une hystérique hémi anesthésique j'appliquai sur le bras anesthétique des plaquettes de cuivre. Déjà depui
ui, en raison de ses occupations, a presque toujours les mains et les bras dans le jus de labac. En outre, ayant du tabac à
crises et surtout de la contracture des membres. La contracture des bras s'accompagna d'un certain degré d'asphyxie locale
m'apercevant que la contracture s'était déplacée et localisée dans le bras , surtout A gauche en s'accompagnant d'une asphyxi
irant arriver très vite à la normale, j'eus l'idée de contracturer le bras gauche, dans l'espoir que le travail musculaire r
le membre. Les muscles de l'avant-bras étaient contractures, ceux du bras ne l'étaient pas. Le poul radial était sensibleme
s ont été pris à plusieurs reprises et ils sont très significatifs. Bras droit non influencé. T 30° Bras gauche asphyxié
s et ils sont très significatifs. Bras droit non influencé. T 30° Bras gauche asphyxié. T 19° A droite le tracé est à
racés sphygmographiques ont témoigné de la légalité des deux pouls. Bras droit. T. 31° Bras gauche. T31° Les expérienc
es ont témoigné de la légalité des deux pouls. Bras droit. T. 31° Bras gauche. T31° Les expériences ont clé répétées p
7 à gauche. Les tracés sphygmographiques sont encore concordants. Bras droit asphyxié. T. 20°5 Bras gauche non influen
ographiques sont encore concordants. Bras droit asphyxié. T. 20°5 Bras gauche non influencé. T.28°7 J'ai également pro
erveux n'a pas varié. La seconde remarque, est d'un autre ordre, le bras droit était asphyxié et je venais de prendre des
rel de penser que le lien de compression existait seulement au pli du bras et que ce lien avait été enlevé par les diverses
ait à la grande salle d'audience des centaines de gens enchaînés, les bras attachés au cou et les pieds liés : quelques-uns
la même fermeté, abandonna Beha u din, qui fut conduit au sultan les bras liés au cou. Il fut amené à ses parents qui lui d
c contracture) : c'est le croisement de la contracture. Tandis que le bras droit et la jambe gauche étaient contractures. la
droit et la jambe gauche étaient contractures. la jambe droite et le bras gauche restaient souples, la tête était inclinée
tre malade en catalepsie dans sa chambre, debout devant sa glace, les bras en l'air soutenant ses cheveux, l'attaque l'ayant
rus. Il ressentait une vive douleur au niveau de la région malade. Le bras était rouge et tuméfié; les mouvements de l'artic
sertion numérale du deltoïde, la troisième à la partie postérieure du bras . Le Dr Toll l'hypnotisa trois fois dans les tro
ne jeune malade hypnotisée. à la face externe du tiers supérieur du bras , Jusqu'à l'os, et à l'aide du ciseau on fit une o
fixée et à midi précis, on le vît s asseoir sur son lit et étendre le bras sain; il prononça alors les paroles suivantes : «
ll a dit qu'il fallait me donner à manger à midi, » L'amputation du bras au-dessus du coude n'aurait certainement pas été
oteur ou idéo-dynamique qui transforme l'idée en acte et arme notre bras ? Des crimes peuvent-ils être commis par suggestio
est méchant.il va vous mordre. » Le sujet voit le chien, éloigne son bras , met la main sur son mollet où il a reçu une mors
son amant à travers les deux mondes, se laisse jeter par lui dans les bras de plusieurs personnes de rencontre. Finalement e
l'idée fixe du suicide ; et par une évolution fatale, elle a armé son bras et l'a conduit à réaliser brutalement cette chose
Elle ne sentait ni le contact de ses vêtements, ni le pincement des bras et des jambes. Le simple contact d'une pointe d'é
n taillé fin. nous tracions sur ses épaules, sur sa poitrine, sur les bras , sur les cuisses, le simulacre d'un mot, d'un nom
corps pour limite exacte. Portez le stylet sur l'épaule, le dos, le bras gauche : elle ne sentira rien, ni piqûre, ni cont
s à l'autographisme, entre autres : Je lui ai fait appliquer sur le bras droit (côté sensible), une bande d'Esmarch enroul
phérique, une compression des nerfs superficiels, et de la cyanose du bras . Après quoi, je fis sur la partie antérieure de c
fruste pendant vingt minutes, se montra en reliefs égaux sur les deux bras . Quelques jours après, je fis appliquer de la g
s yeux (bien qu'elle ne se prêtat pas volontiers à l'expérience), ses bras restèrent en catalepsie, son côté droit devint in
ns. sans intermittence, je lui traçai sur les épaules un nom, sur les bras quelques lignes irrégulières, que nous vimes appa
de trente-deux ans, menuisier. Il me dit qu'il ne peut se servir du bras droit depuis quatre jours; qu'étant à son établi,
oit depuis quatre jours; qu'étant à son établi, occupé a raboter, son bras avait tout à coup perdu sa force, qu'il pouvait t
ernier, au mois de novembre, le même fait s'était produit sur le même bras et qu'il avait guéri par des électrisations. In
féminisme dans le caractère de cet homme. Il se présente à nous, le bras droit allongé le long du corps, non pas à l'état
lement aux mouvements qu'on lui imprime. 11 peut de lui-même lever le bras et le porter horizontalement, avec un effort cons
teur du cou; mais il lui est impossible de le porter sur sa tête ; le bras levé n'a ancune résistance, il cède à la plus lég
té gauche, 0 du côté droit. Cette parésie incomplète est limitée au bras ; la jambe droite n'a rien perdu de son mouvement
omplets; et mon ma lade vit avec stupéfaction s'inscrire sur ses deux bras , son nom de Jules. Les reliefs présentèrent le ma
t huit heures, sans différence appréciable sur l'un comme sur l'autre bras , malgré l'émianesthésie de la peau. Guidé par l
ant. A votre réveil, vous sentirez dans tout votre côté droit : votre bras droit sera aussi fort, aussi libre dans ses mouve
re bras droit sera aussi fort, aussi libre dans ses mouvements que le bras gauche : et vous resterez guéri ! ! Réveille, i
il retrouve sa sensibilité complète; l'hémianesthésie a disparu; son bras droit meut aussi librement que l'autre ; et il se
bauche de mouvements d'extension et de flexion de l'avant-bras sur le bras , et du bras sur le tronc. Au dynamomètre, il ma
uvements d'extension et de flexion de l'avant-bras sur le bras, et du bras sur le tronc. Au dynamomètre, il marque 45 degr
tes, de l'angoisse prœcordiale. Des douleurs s'irradiant dans tout le bras gauchey déterminent une sensation constante d'eng
je lui fis exécuter à maintes reprises des exercices gymnastiques des bras . Toutes les douleurs éprouvées par le malade s
tténuèrent rapidement. L'angoisse prœcordiale et l'engourdissement du bras furent plus tenaces. Elles finirent aussi par dis
- REVUE 02 L'ilYl'NOTISMt: fer au poêle et tu te brûleras l'avant bras sur la ligne que je viens de tracer. Cela te lera
que je viens de tracer. Cela te lera mal. une rougeur paraîtra à ton bras , il y aura du gonflement, des phlyetènes de brûlu
ace indiquée cl une vive douleur au contact. Un nndeau lut nus sur le bras ci le malade se coucha, dans un lit, sous nos yeu
vives douleurs. Le chirurgien Dr Praline plaça une bande sur l'avant bras , elle remontait jusqu'au liers supérieur du bras.
ne bande sur l'avant bras, elle remontait jusqu'au liers supérieur du bras . Le pansement enlevé ù dix heures du matin, on
42 (1900) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1899
barres parallèles (Fig. 2) ; à marcher, soit en les tenant sous les bras , soit à l'aide du chariot (Fig. 3 et 4); on for
est obligé de suivre les moniteurs dans tous leurs mou- vements de bras . Les Fig. 52 et 53 donnent une idée de ce genre
eux par lesquels nous débutons : mouvement de flexion de l'avant- bras , en deux temps ; mouvement vertical des bras av
de flexion de l'avant- bras, en deux temps ; mouvement vertical des bras avec flexion en quatre temps ; mouvement horizo
ec flexion en quatre temps ; mouvement horizon- tal et vertical des bras sans flexion en quatre temps, etc. Dans les déb
ent court, à faire exécuter par l'idiot le mouvement latéral cles bras sans flexion, en deux temps, etc. Il va de soi
oloration rouge sombre, la confluence à la face, clans le clos, aux bras ct aux il) Voisin. De l'emploi du bruinm'c (le
paule droite une douleur vive qui s'exagérait par les mouvements du bras et offrait simultanément des accès, avec élance
poitrine', au niveau de la région mame- lonnaire. Les mouvements du bras étaient particulièrement pénibles : les mouveme
érées. Le 5 janvier le malade ressentit quelques douleurs dans le bras droit; il se produisit dans le courant de la jour
une ligne horizontale passant par le mamelon. 2 En faisant lever le bras du malade (fig. 2), on constate BOURNEVILLE, Bi
s. Dans l'aisselle et sur la partie interne du tiers supérieur du bras , il y a une vaste surface rouge sur laquelle sont
ns ordre. Il y a une traînée qui descend sur la partie interne du bras et bien visible lorsque, regardant le malade pa
cessivement pénible et les mou- vements qui tendent à rapprocher le bras du tronc sont impossibles. Au contraire le mala
. La diminution de la sensibilité à la piqûre existe aussi sur le bras , non seulement au niveau de la partie occupée par
'avant-bras ne présente pas ce phénomène. ' Tout le membre droit ( bras et avant-bras) est plus froid que le gauche. Le
rtie de l'éruption, il a une sensation de froid continuelle dans le bras et la main. - L'état général est excellent. 9
aire et vient ensuite se distribuer à la peau de la face interne du bras en s'anastomosant avec l'accessoire du brachial
nous avons vu signaler la difficulté des mouvements d'adduction du bras . 3° Ce fait doit-il-être ajouté à ceux qu'a men
ns, mais peu de temps après la naissance, la mère s'aperçut, que le bras droit était paralysé. Gourme à 9 mois. Première
monter ni des- cendre les escaliers ; il faut la soutenir sous les bras . Puberté. - Corps glabre. Quelques poils sous l
nts, sans incoordination, les mouvements passifs sont aisés pour le bras , mais plus difficiles pour l'avant-bras où il fau
HÉMIPLÉGIE SPASMODIQUE. 81 après la naissance, on a remarqué que le bras droit était paralysé. La dentition a été un peu
aura, le corps se raidit dans l'extension la plus prononcée, les bras se collent contre le tronc, la face se congestion
n même temps que la face reprend la physionomie do l'attaque. Les bras restent quelques secondes raides mais la main est
raideur persiste, la face reste convulsée, mais les mouvements des bras se produisent à intervalles très éloignés. On c
replia sur lui-même, puis brusquement projette les jambes et les bras de tous côtés et renverse la tête en arrière ;
ssaie de mordre tout ce qui est à sa portée, ses propres mains, ses bras , la jambe de l'infirmier, une serviette, etc. I
t qui attaque, les poings sont fermés, l'avant-bras replié sur le bras , la physionomie exprime tanlôt la frayeur, tantôt
uvet de' la nuque à la région lombaire, sur la face postérieure des bras et des avant-bras, sur les cuisses et les molle
ant un cri de frayeur prolongé. Le corps tout entier est raide, les bras sont collés le long du corps, les avant-bras po
bout d'une minute commence une période de rémission relative. Les bras se croisent devant la face, comme si R... ne voul
est cependant plus accentuée et plus persistante dans le cou et les bras . La physionomie exprime toujours l'effroi, les
re à marcher. Il ne commença à pouvoir user de ses jambes et de ses bras qu'au bout de deux mois. C'est il ce moment que
sa position normale à mesure que disparaissait l'état parétique des bras et des jambes, au bout de six mois. A cette dat
lève au bout de 5 minutes avec une exagé- ration du tremblement des bras sans exagération du tremble- ment do la tète. S
ent souvent », dit-il. Le tremblement aurait notablement diminué au bras gau- che et augmenté un Peu il droite, surtout
qu'elle présentait à la dernière visite. - Il en est de même des bras , qui demeurent immobiles le long du tronc. - Assi
ronc. - Assis, le tremblement de la tète est encore plus léger; les bras appliqués sur le corps et les mains sur les cui
bouche qu'on observe dans l'a,thétose. Dans la station assise, les bras et les jambes sont immobiles ; seule, la tête t
exception, dès le début. Il a toujours été plus prononcé dans le bras et la jambe du côté droit. Il ne s'est jamais a
des paupières et des lèvres; globes oculaires déviées en dedans. Bras étendus, poings fermés. Membres inférieurs dans l
on ne l'en empêchait. Il donne plusieurs coups du talon sur le sol. Bras étendus, puis fléchis sur le bassin, jambes flé
on de la colonne vertébrale et des membres inférieurs. Rigidité des bras étendus en croix. Le malade prononce quelques m
8 ou 10 fois en 2'< heuivs. Souvent, quand on la prenait sur les bras , elle rejetait la tête en arrière et avait 8 ou
te une attitude vicieuse. L'avant-bras est on dcmi-Ilcxion SI11' te bras , la main il. demi-fléchie en pronat on ; par mo
lepti formes dans lesquels les convulsions étaient plus accusées au bras gauche. Sept mois plus tard, accidents méningit
ains ; il a continué jusqu'à l'admission. Sa mère lui attachait les bras . Préhension et mastication nulles : la langue s
Longueur de la verge, .') cent. ; circonférence 4 cent. */2. Les bras sont paralysés, longs et très maigres. Les avant-
. */2. Les bras sont paralysés, longs et très maigres. Les avant- bras sont fléchis sur les bras. Paralysie et contractu
alysés, longs et très maigres. Les avant- bras sont fléchis sur les bras . Paralysie et contracture prédo- minant à gauch
il saisit entre le pouce et l'index. Pour s'y opposer, on place ses bras sur sa couverture et on enveloppe le tronc dans
a paroi abdominale, ni du côté des organes intra- abdominaux. Les bras sont arrondis, normalement musclés, leur attitude
Période tonique. - Face pâle, immobile, yeux convulsés en haut, le bras droit est en demi-flexion, la main droite est r
emi-flexion, la main droite est restée dans la poche du paletot. Le bras gauche est allongé le long du corps. La rigidit
43 (1897) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1896
e de barres parallèles (1), à marcher soit en les tenant sous les bras , soit a l'aide du chariot; on fortifie leurs me
Elle est revenue aussitôt à elle comme d'un rêve. « Mon enfant a un bras et une jambe qui ressemblent à ceuxdumen()iante
? ? ,o. ? Membres supérieurs. - On n'observe pas de déformation des bras ' Pig. -1. 10 PARÉSO-ANALGÉSIE DES extrémités
nts de rotation de l'avant-bras ne s'opèrent que par la rotation du bras et de l'épaule. Aucun traumatisme connu du père
tre ses doigts, sur la face dorsale du carpe, de l'avaut-bras et du bras . Il sent bien le contact de l'épingle que l'on
du bras. Il sent bien le contact de l'épingle que l'on passe sur le bras et l'avant-bras. Il ne sent pas le frottement d
essus de l'ayticulation du poignet. Au niveau de l'avanl-bras et du bras , le malade ne ressent qu'une piqûre lorsque les
Sur l'avant- z4 PARE50-AN11.GES1E L1 : 5 extrémités supérieures. bras et le bras, la sensibilité à la piqûre est normal
t- z4 PARE50-AN11.GES1E L1 : 5 extrémités supérieures. bras et le bras , la sensibilité à la piqûre est normale et le mal
ver de douleur. Au niveau de la, face interne du tiers supérieur du bras droit et de l'aisselle correspondante, analgési
DES extrémités supérieures. douleur. T. H. 38°,7 et 39°,5. Bain de bras phonique pendant trois heures; môme pansement.
diant atteint d'hémiplégie et que le père prétend que son fils a un bras et une jambe qui ressemblent à ceux du mendiant
cràne, c'est-à-dire à la partie tout à fait supérieure de l'avant- bras , et cela des deux côtés, il y a une zone d'enviro
ri de bête. » La mère dit que les convulsions étaient limitées au bras droit, l'autre bras n'avait rien, les jambes n'ét
ère dit que les convulsions étaient limitées au bras droit, l'autre bras n'avait rien, les jambes n'étaient pas raides.
La fontanelle n'est pas encore fermée. - L'enfant ne se sert ni du bras droit, ni du gauche pour tenir les objets. Jama
ence : 30 cen. timètres. Membres supérieurs. - Bien conformés. Le bras droit présente une raideur que l'on ne retrouve
més. Le bras droit présente une raideur que l'on ne retrouve pas au bras gau- che. De ce côté, on ne peut pas étendre co
au- che. De ce côté, on ne peut pas étendre complètement l'avant- bras sur le bras. La motilité spontanée, normale à gau
e ce côté, on ne peut pas étendre complètement l'avant- bras sur le bras . La motilité spontanée, normale à gauche, est à
profère quelque gémissement. Elle est dans le décubitus dorsal, les bras et les mains fléchis sur les extrémités des mem
ur l'autre. L'enfant réagit à peine aux sensations extérieures. Les bras sont accolés au thorax, les avant-bras à angle
s bras sont accolés au thorax, les avant-bras à angle droit sur les bras reposent sur la poitrine, les doigts sont légèr
t existent au niveau des join- tures et sont tous profonds. Les bras sont rapprochés du tronc, les avant-bras demi-
l'épaule descend un sillon circulaire qui passe sous la racine du bras pour le diviser dans le creux de l'ai- selle
it et se réveille en sur- saut à plusieurs reprises. Elle agite les bras dans tous les sens. 11 mat. l'as de lobe. Pouls
sistaient en chute bru-que sans cris avec mouvements convulsifs des bras et jambes. Il se relevait seul, parait-il, une
ouveau à marcher et il ne put le faire qu'en traînant la jambe ; le bras était inerte ; lorsqu'il recommença il parler,
qui n'empêche pas le malade de le soulever. Pendant cet effort, le bras cor- respondant se raidit et se soulève par un
e l'avant-bras droit. Quelques érosions, quelques ecchymoses sur le bras droit, qui parait recevoir des chocs plus fréquen
voûté; il lève péniblement le pied droit, dont la pointe frotte. Le bras droit est pendant le long du thorax, l'avant-br
eu congestionnée, les yeux sont hagards, il agite fré- quemment son bras gauche et sa jambe droite, cherche à mordre ceu
plète pour l'inférieur. Le membre supérieur était contracture, le bras collé contre le tronc, l'avant-bras presqu'à an
ras collé contre le tronc, l'avant-bras presqu'à angle droit sur le bras et la main à angle droit sur le poignet (Pif],
,.I'H.1,LITF CHRONIQUE. naissance, les yeux tournés, la jambe et le bras droits raidis. Rien à gauche. Pas de secousses,
ormale ; pas d'hémor- rhoides. Membres supérieurs. - La forme des bras est normale ; leurs dimensions égales des deux
de cachexie très pro- noncé : elle est dans le décubitus dorsal, le bras droit replié sur la tète. Sa figure exprime l'e
t pousse un cri hydrencephalique. Elle grince souvent des dents. Le bras droit est fortement contracture, l'avant-bras f
bras droit est fortement contracture, l'avant-bras fléchi sur le bras ; les doigts repliés en crochet et difficiles à ou
pli de 4 à 5 millimètres. Membres supérieurs. -Le développement des bras est en rapport avec celui des autres parties du
lus de forces dans les reins, se tient mieux et plus droite sur les bras . 26 mars, - Gonflement des gencives qui sont do
ien ; mais la jambe gauche est toujours restée plus faible. Qant au bras gauche, il serait toujours resté paralysé ; l'e
est absolument impotent, l'enfant est incapable de s'en servir. Le bras est accolé au tronc, l'avant-bras -fléchi, la m
u corps. La tête est un peu rejetée en arrière, le tronc arqué, les bras pendants, les jambes molles. Légère palmature e
'olécrâne gauche, cicatrice de vésicatoire sur la partie moyenne du bras gauche. Derrière l'oreille gauche, cicatrice se
seulement. Quand il marche, il fléchit sur ses jambes, et prend le bras de la personne qui l'accompagne. - Très irritab
teau. Sa mère prétend que l'enfant aurait eu des secousses dans les bras (1), et que jusqu'à près de 10 ans, il balançai
continue cette dépression. Le (1) Les doigts se fléchissaient, les bras s'allongeaient et se portaient brus- quement en
ge au- dessous du pli du coude et ncevi à la partie supérieure du bras , vers l'aisselle. Taches brunes sur l'omoplate ga
as, vers l'aisselle. Taches brunes sur l'omoplate gauche, et sur le bras droit. Cicatrices blanches au niveau de la région
provoqué est de 0,25 à 0,30. Le malade dit que c'est lajambe et le bras gauches qui sont les plus forts. Il élève les p
contre l'autre, l'épaule gauche étant plus basse que la droite. Les bras , en fig. 39 238 Imbécillité ET paraplégie spa
44 (1911) La pratique neurologique
l malade de toucher du doigt un objet (en ayant soin que l'image du bras n'arrive point' assez tôt dans le champ visuel
interne, le faisceau antérieur chemine à la partie pos- térieure du bras antérieur; les fibres postérieures accompagnent l
ents de protection et des mouvements compensateurs de la tête,. des bras et surtout des jambes; 1. La sensation vertigin
et les déplacé en piétinant sur place, il étend, latérale- ment les bras et les fait osciller ou les projette en avant et,
cles mécaniques, l'agraphie totale s'observe dans tes paralysies du bras droit chez les droitiers (pu n'ont pas eu le temp
Cette crampe consiste en une difficulté d'écrire, les mouvements du bras et de l'avant-bras, les gestes les plus déliés
mouvements qu'elle nécessite sont les symétriques des mouvements du bras droit dans l'acte d'écrire. Cependant, ainsi ép
ments divers ; simples : lever la main, fermer les yeux, étendre le bras , donner la main; ? s complexes : ouvrir têt oei
'abord la région excitée, le plus exactement possible (pied, jambe, bras , etc.), puis de montrer avec son index le point e
les excitations portant sur les doigts, ou a lavant-bras celles du bras , etc En marquant au crayon dermogra- phique ces
ur un schéma En écart de *2-"> centimètres sur les jambes ou les bras . de4-*> centimètres sur le dos se constatent
cile à étudier : pour ce faire, on suspend au doigt, il la main, au bras du malade, un petit panier de" papier ou d'osie
gale- ment les faces antérieures et postérieures du bord cubital du bras , de ! 'avant-bras et même de la main (8'' racine
issent aux membres Fig. 27. - Anesthésie du bord cubital des deux bras (Cvl11 et Dol) chez un fabrique. (Cas Geo.... l
métamère, correspond à un segment de l'individu : main, avant-bras, bras , etc. Telle est la théorie de la métamérie spin
partant de la face externe de l'épaule et suivant le bord radial du bras et de lavant-bras, en empiétant sur ses faces ant
- thésique occupe le bord cubital de la main, de l'avant-bras et du bras en s'avançant un peu sur les faces antérieure e
elle-peut remonter plus haut, sur la face externe et postérieure du bras , jusqu'à l'épaulé (5e, 6e, 7e, 8e cerv. ; 1''e
'à l'épaulé (5e, 6e, 7e, 8e cerv. ; 1''e dors.). La face interne du bras conservé sa sensibilité normale ,(2`' et 5e dor
hypothénar, hypoesthésie moins marquée du bord cubital de l'avant- bras (Cas Jabr..., Bicctre, 1905). TROUBLES DE LA SE
nt prendre la même distribution en bandes longitudinales le long du bras ; on les observe souvent le long du bord cubital
évralgiques qui pourront être très tenaces. Certaines névralgies du bras sont profes- sioiiiielles. Lorsque la cause d
] 390 .NÉVRALGIES ET ALGIES.' la pression des différents nerfs du bras réveille ces douleurs ; les apo- physes épineus
s violentes, lancinantes, prédominant dans la région postérieure du bras , par un affaiblissement du triceps brachial ave
'hypertrophie cardiaque pourrait être consécutive aux névralgies du bras . , Oppenheirll a attiré l'attention sur les mal
11 s'agit de personnes qui souffrent de douleurs violentes dans un bras ; c'est le symptôme unique ou le principal sympt
rrnenl cette douleur suit le trajet d'un nerf; il arrive même qu'au bras la douleur suit le trajet d'un nerf et à l'avant-
roxys- tiques. Ces accès sont provoqués souvent par un mouvement du bras , une respiration profonde, la toux, l'effort au
tales peuvent irradier dans le dos, la mamelle, la face interne; du bras (anastomose des 2° et 5*' nerfs intercostaux av
s. Dans ce but on peut, si le malade est couché, laisser reposer le bras et l'avant-bras sur le plan du lit; si le malad
du lit; si le malade est assis, on lui recommandera de laisser ses bras pendants, les avant-bras reposant sur les cuisses
es doigts et tremblements fibrillaires dans les muscles de l'avant- bras . A un stade plus avancé de la maladie, il y a abo
t qu'ils marchent, beaucoup d'hémiplégiques lèvent plus ou moins le bras du côté paralysé en l'arrondissant et en l'écarta
supination, rotation en dehors, extension des doigts, élévation du bras pour le membre supérieur; pour le membre inférieu
n sait qu'elle s'obtient au moment où le malade étendu à terre, les bras croisés, cherche à se relever ou quand, assis à t
eurs : du côté [CROUZON.] 478 MOUVEMENTS ASSOCIÉS. paralysé, le bras se met par. exemple en abduction ou en demi-flexi
zontal, sur une planche par exemple, élans le décubitus dorsal, les bras inclinés sur la poitrine, le malade fait un eff
ces formes. Tétraplégies. - Les quatre membres sont atteints : les bras sont pris fréquemment les premiers, et les phén
isparaissent et le malade, abandonnant ses béquilles ou lâchant le, bras de l'aide, marche comme tout le monde. Un arrêt
e membres et la démarche spasnm- dique. Mais, si la contracture des bras et la griffe des mains sonthabi- tuelles dans l
supérieure avec pseudo-névralgie sur les trajets radi- culaires du bras . Le syndrome médullaire peut reproduire soit le t
r- tent l'humérus en arrière, mais amènent une élévation moindre du bras qui forme un angle de 4J degrés avec l'horizon.
J degrés avec l'horizon. Quant aux faisceaux moyens, ils élèvent le bras directement en dehors il une hauteur intermé- d
ux du muscle se contractent, il en résulte une abduction directe du bras . Le deltoïde ne peut élever seul le bras au-des
e une abduction directe du bras. Le deltoïde ne peut élever seul le bras au-dessus de l'horizontale, car l'humérus ren-
re de la capsule de l'articulation scapulo-humerate. L'élévation du bras au-dessus de l'horizontale, dans la position vert
n effet, la contraction du deltoïde, en même temps qu'elle élève le bras , a pour résultat de faire pivoter l'omoplate de d
n élève l'angle externe acro- mial. ' Le mouvement d'abduction du bras est très important; aussi la para- lysie du del
', branche du plexus brachial. Physiologie. Le sus-épineux élève le bras en avant et en dehors et lui imprime une rotati
logie. Le grand rond prenant son point fixe sur l'omoplate porte le bras en dedans et en arrière. Prenant au contraire son
de ligament actif de l'articulation scahulo-lucmérolc. à MUSCLES DU BRAS Biceps. - Insertions. Le muscle biceps est form
upination ou en pronation. Dans le premier cas, il fléchit l'avant- bras sur le bras. Dans le second cas, la contraction d
en pronation. Dans le premier cas, il fléchit l'avant- bras sur le bras . Dans le second cas, la contraction du muscle amè
d'abord la main en supination, puis il ffechit l'avant-bras sur le bras . La puissance d'action du muscle s'accroît à me
xé. Le biceps agit alors sur l'épaule qu'il porte en haut et sur le bras qu'il fléchit sur l'avant-bras. Par son expansi
ion. Nerf niuseulo-cutané. Physiologie. Le coraco-brachial porte le bras en avant, en dedans et en haut. Son action addu
ant, utile dans ce mouvement. En effet, les puissants adducteurs du bras , le grand dorsal, le grand rond, le grand pectora
le triceps et le coraco-brachial sont paraisses, les adducteurs du bras par leur contraction peuvent-ils déter- miner u
ial. Physiologie. Le brachial antérieur fléchit l'avant-bras sur le bras , c'est le 'fléchisseur indépendant de Duchenne.
comme dans l'action de grimper, le bra- chial antérieur fléchit le bras sur l'avant-bras. La paralysie isolée du brachi
n et du vaste interne, naissent du radial à la partie supérieure du bras , le rameau du vaste externe naît plus bas dans
ologie. Le triceps brachial est un extenseur de l'avant-bras sur le bras . Ce sont surtout les vastes externe et interne qu
et de l'anconé rend impossible l'ex- tension de l'avant-bras sur le bras . Toutefois, dans beaucoup de mouve- ments. la p
eur de la main et secondairement fléchisseur de l'avant-bras sur le bras . Il n'est un fléchisseur puissant que lorsque s
Physiologie. Son rôle principal est de fléchir la main sur l'avant- bras . Il peut aussi, mais dans une faible mesure, mett
la main en pro- nation, en abduction et fléchir l'avant-bras sur le bras et. le bras sur l'avant-bras quand ce dernier e
ro- nation, en abduction et fléchir l'avant-bras sur le bras et. le bras sur l'avant-bras quand ce dernier est immobilis
ue les autres muscles épitro- clllécns, fléchir l'avant-bras sur le bras . On a dit qu'il était un tenseur de l'aponévros
radial. Physiologie. Le long supinateur lléchit l'avant-bras sur le bras , et le met en demi-pronation. Quand la main est
avec les muscles superficiels de la région postérieure de l'avant- bras , sur une forte aponévrose située sur sa face post
. est avec le biceps le principal agent de ce mouvement de l'avant- bras .* las." .^H| Région postérieure de l'avant-br
EUR, 5 5 Physiologie. L'anconé est extenseur de l'avant-bras sur le bras , il détermine aussi au cubitus un mouvement de
t et en haut (attitude de la crainte et de l'humiliation). Quand le bras est ver- tical, elle l'abaisse en le portant ve
e jusqu'à ce qu'il soit devenu horizontal (geste détenir); quand le bras est étendu transver- salement, elle le rapproch
lle le rapproche de la ligne médiane (geste d'embrasser) ; quand le bras est pendant le long du corps, elle amène le coude
le amène le coude en avant, en dedans et un peu en haut, serrant le bras contre le thorax. La portion inférieure formée
ostales infé- rieures abaisse le moignon de l'épaule et applique le bras contre le thorax. Si le bras est étendu transve
le moignon de l'épaule et applique le bras contre le thorax. Si le bras est étendu transversalement, elle porte le coude
ndu transversalement, elle porte le coude en avant et en bas. Si le bras est vertical, elle l'abaisse et porte le coude en
te le coude en avant et en bas. Le grand pectoral est rotateur du bras en dedans, c'est-à-dire prona- teur. Dans le ge
omme un muscle inspirateur. Quand le grand dentelé est paralysé, le bras ne peut s'élever au-dessus de l'horizontale. Du
ever au-dessus de l'horizontale. Durant le mouvement d'élévation du bras l'angle externe clll scapulum s'abaisse, l'angl
du côté paralysé et exclusi- vement dans l'élévation volontaire du bras . Elle est essentiellement carac- térisée par un
fixité de l'omoplate est aussi une grande gêne pour l'élévation du bras . Grand dorsal. Insertions. Le grand dorsal s'in
. Quand il prend son point fixe sur la colonne vertébrale et que le bras est élevé et écarté du tronc, le grand dorsal l
ui porte la face palmaire en dedans vers la ligne médiane. Quand le bras est placé dans une direction paral- lèle il 1 a
ts [G. GUILLAIN.] ? 72 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE. d'abaissement du bras ne se produisent plus que par l'effet de la pesan
a ligne médiane, tandis que le moignon de l'épaule s'abaisse. Si le bras est verticalement levé au moment où le rhomboïd
ira- foire du grand dentelé et affaiblit le mouvement par lequel le bras se porte en arrière et en dedans. Les omoplates
te d'un fruit; par l'cxei- tation de la sixième paire cervicale, le bras s'approche de la bouche; par l'excitation de la
é, une variété de paralysie obstétricale intéressant des muscles du bras innervés par des nerfs différents. Erb localise
s une chute ou après un traumatisme, se présente au médecin avec un bras immobile et abaissé. Le membre supérieur est cont
fait sur lequel a insisté lluet et qui s'explique facile- ment. Le bras qui pend le long du corps tend par son propre poi
xamen du malade, il est facile de constater que tous les muscles du bras ne sont pas paralysés, les troubles sont limité
sseur, étant paralysé, le malade ne peut fléchir Lavant-bras sur le bras . La paralysie du brachial antérieur, . LES PARA
court supinateur peut aussi être atteint. La supination de l'avant- bras est produite, dans les mouvements physiologiques
Le muscle biceps agit surtout quand l'avant-bras est étendu sur le bras , le. muscle court supinateur agit principalemen
ulaire supérieure, les mouvements de flexion de l'avant-bras sur le bras sont abolis, il est facile, au contraire, de con-
. Le triceps ne présente aucun trouble. Prie-t-on le malade dont le bras est étendu de s'opposer à un mouvement de flexion
s, dit Dejerine, on observe une an6stli('sie sur le côté externe du bras et de l'avant-bras empiétant en avant et en arriè
e malade est incapable d'agir sur le. dyna- momètre. Les muscles du bras ont conservé leur contractilité normale et tous
a moitié interne de la main, de l'avant-hras, il la face interne du bras jusqu'à doux ou trois centimètres au-dessus du co
t. totale, la monoplégie brachiale est absolue, tous les muscles du bras sont atteints. Le membre supérieur lésé pend in
sie peut remonter plus haut sur la région externe et postérieure du bras , mais, il la région interne, la sensibilité est c
s qui accusent encore des four- millements dans les mains, dans les bras , mais il faut alors faire la part de certains t
miner les muscles paralysés. La paralysie est-elle totale, alors le bras pend inerte et il est possible de lui communiqu
thesic brachiale, est absolue, est conservée à la région interne du bras la où l'innervation se fait par les rameaux per
erne de l'os s'écarte de la co- lonne vertébrale. Les mouvements du bras sont pénibles il cause du manque de fixation du
partie de. la région postérieure de l'épaule et le bord externe du bras jusqu'à trois ou quatre travers de doigt au-dessu
ation de la main alors que l'avant-bras est dans l'extension sur le bras ; il faut se souvenir que le biceps est un supinat
r de la main en même temps qu'un fléchisseur de l'avant-bras sur le bras . La paralysie du long supinateur est facile à c
ur le hord cubital on prie le malade de fléchir l'avant-bras sur le bras et l'on s'oppose il ce mouvement., on ne sent p
complète et tous les mouvements d'extension de l'avant-bras sur le bras sont impossibles. Lorsque le nerf radial est lésé
nts tranchants assez fréquentes, luxation de l'épaule, fractures du bras ou de lavant- bras), à des névrites infectieuse
z fréquentes, luxation de l'épaule, fractures du bras ou de lavant- bras ), à des névrites infectieuses ou toxiques. Lors
ectieuses ou toxiques. Lorsque le nerf médian est lésé au niveau du bras , tous les muscles innervés, par lui sont paraly
l'atrophie d'un grand pectoral, on fera rap- procher avec force le bras du tronc ; la contraction sera plus puissante s
traction sera plus puissante si en même temps on tente d'écarter ce bras du corps. Dans ces mouvements actifs on verra s
du deltoïde : la contraction totale du muscle (dans l'abduction du bras pour le deltoïde) révèle alors facilement l'atr
s rapidement ressentie que l'atrophie des muscles de l'épaule ou du bras , et cela surtout chez ceux qui, comme les horlo
être toujours atteints d'atrophie dès le début, tels les muscles du bras et le long exten- seur, le grand pectoral et le
le pied bot équin ou varus, la rétraction de l'avant-bras sur le bras , la rétraction de la jambe sur la cuisse. La pa
nt d'abord et surtout les muscles de la ceinture scapu- laire et du bras ; rarement elle frappe en même temps les muscles d
l'extrémité épaisse et bien musclée du membre pendant au bout d'un bras décharné est tout à l'ait spéciale. Aux membr
igné sous le nom de « faciès de sphinx ». Dans les mouvements des bras les déformations s'accusent. L'omo- plate, qui
n'est plus soutenue, suit presque complètement les mou- vements des bras en basculant autour de l'articulation scapulo-hum
) MYOPATHIE rACIO-SCAI'UL0-IIU)II;ItAl.l : . (¡Si raie; quand les bras s'écartent du corps, leur angle inl'éro-interne s
angle inl'éro-interne s'écarte de la colonne vertébrale; quand les bras se portent en arrière, cet angle inféro-interne
la colonne vertébrale en s'élevant. Dès que les malades élèvent les bras , ou même dans certains cas au repos, l'angle su
normale très caracté- ristique. Quand l'atrophie des épaules et des bras est très prononcée, le malade ne peut plus util
e avec proéminence du ventre et lordose lombaire, l'atio- phie du bras . - . - MYOPATHIE F : lCfO-SI : aI'I,O-Iit11111
minence thénar se prennent presque en même temps que les muscles du bras (Landouzy et Dejerine). La phase d'hypertrophie o
avant et en arrière d'une épaisse couche musculaire, le thorax et le bras d'autre part, réduits presque à l'état squelett
exceptionnel de constater une atrophie légère de quelque muscle du bras ou de l'épaule (triceps, sus- et sous- épineux,
x muscles des membres supérieurs en commen- çant par l'épaule et le bras ; tardivement elle envahit aussi les jambes et
rophie commence ou semble commencer, beaucoup plus rarement par les bras (Etienne) ou le tronc, tout à fait exceptionnelle
st la main de squelette, la main de cadavre. L'atrophie gagne les bras et, plus souvent, les épaules, soit un temps pl
plus ou inoins long après les avant-bras, soit parfois avant eux. Aux bras , elle frappe le biceps, le brachial antérieur,
, par de violentes douleurs névral- gigues de la nuque, du cou, des bras , parfois du tronc, par l'exagé1Yl- lion des réf
gomyélique suivant le type scàpulo-huméral (ceinture scapulaire et bras ) ou suivant le type dorso-lombaire (ceinture pe
de l'hémorragie, elle se limite à certains muscles de l'épaule, du bras et de l'avant-bras, à la musculature de la paroi
: paralysie atrophique des muscles de la main, de l'avant-bras, du bras et de l'épaule, anesthésie de la main, de l'ava
l'épaule, anesthésie de la main, de l'avant-bras et généralement du bras , à l'exception de la région interne innervée par
tend bientôt aux doigts voisins, puis à la main, à l'avant-bras, au bras . Le doigt lésé s'atrophie, s'el'lile, sa peau d
après la main, l'atrophie musculaire gagne souvent l'avant-bras, le bras même, mais elle n'est généralement pas proportion
a cuisse sont moins pris; les muscles des mains, des avant-bras des bras , du dos et de l'abdomen ne le sont qu'exceptionne
Les troubles moteurs et trophiques peuvent s'étendre aux muscles du bras et au deltoïde ou aux : péroniers et aux extens
fois des avant-bras (muscles épitrochléens), exceptionnellement des bras . Les contractions fibrillaires sont exceptionne
moyens naturels d'attache au tronc, et. en l'empêchant de suivre le bras dans tous ses mouvements, on facilite beau- cou
supérieurs : mains ; évolution : membres supérieurs : mains, avant- bras , épaules, bras, thorax, tronc; diaphragme; viscèr
ins ; évolution : membres supérieurs : mains, avant- bras, épaules, bras , thorax, tronc; diaphragme; viscères; membres inf
e. On trouve sur les statues d'Hercule les saillies musculaires des bras et des jambes, surtout des biceps et des quadri
e grands mouvements de salutation irréguliers et décrire avec leurs bras de larges battements d'ailes ou de véritables m
her qu'en soutenant le corps artificielle- ment- et en appuyant ses bras sur son chariot. 756 INCOORDINATIONS. Il arri
larité, de maladresse, avec ou sans oscillations et tremblement des bras et des mains. L'écriture est souvent irrégulièr
les. Le sujet restant couché, on lui or- donne de croiser ses bras , d'étendre et d'écarter légère - ment ses jam
ion combinée des cuisses et du bassin. - Le sujet étant couché, les bras croisés, on le prie de s'asseoir. L'individu 'n
: flexion des membres inférieurs; passage à la position assise, les bras restant croisés et les jambes étendues; b) malade
tonnant, en décrivant des zigzags à la manière d'un homme ivre, les bras , non encore incoordonnés, écartés du tronc et j
ou sans appareils. La rééducation des parties proximales du membre, bras et avant- bras, ne comporte pas d'appareils spé
ls. La rééducation des parties proximales du membre, bras et avant- bras , ne comporte pas d'appareils spéciaux : elle cons
s, la contraction des commissures buc- cales, des secousses dans le bras . Il y a toujours perle de connaissance et celle
our les membres supérieurs il faut demander au malade d'étendre les bras et d'écarter les doigts : c'est l'altitude du s
, il en est de même du tremblement : si l'on fait un effort dans nn bras , le tremblement s'exagère dans l'autre bras. Mais
fait un effort dans nn bras, le tremblement s'exagère dans l'autre bras . Mais, à part ces cas oir TREMBLEMENTS 83. l'
ements alternatifs de flexion et d'extension de l'avant-bras sur le bras , de pro- nation et de supination de la main sur
emblement proprement dit : c'est plutôt une agitation au niveau des bras , des jambes, de la langue, dans tout le corps,
mbres supérieurs, pour le voir, si on demande au malade de tenir le bras étendu on voit alors de petites oscillations rapi
t être constatée plus aisément par le « phéno- mène de la chute des bras » (Meige) ('). Les tendances plus ou moins accu
- lois atrophié ou perverti ("). 1. Le. phénomène de la chute des bras est le suivant : le malade a les bras étendus e
. Le. phénomène de la chute des bras est le suivant : le malade a les bras étendus en croix, supportés dans le relâchement
eur ; celui- ci retire brusquement ses mains : à l'état normal, les bras tombent immédiatement,' par un mouvement unifor
très fréquente à des mouvements convulsifs de l'épaule, parfois du bras , du tronc, plus rarement de la face et de la lang
douleur articulaire, la recherche d'un craquement, etc. Tics des bras et avant-bras ; tics d'écartement. ou de rapproch
à la position couchée ou debout, marche, élévation, abaissement des bras , etc.... Pendant ce stade, les séances ne durer
t des inspi- rations longues et profondes, avec élévation lente des bras dans l'inspi- ration, leur abaissement lent dan
art aux pi ? nomènes spasmodiques : les muscles de I avant-bras, du bras , de l'épaule y participent souvent. « La foncti
apper qu'un ou plusieurs doigts où simultané- ment l'avant-bras, le bras , l'épaule ; l'écriture est tremblée et sinueuse.
bientôt, « inerte » (Brissaud). Lorsqu'une secousse est imprimée au bras , ce membre peut présenter pendant un certain te
nt des années parfois le, catatonique restera la tète inclinée, les bras en croix. En d'autres cas, il répétera un même
re en contact, par sa face anté- rieure, avec la face antérieure du bras . L'hypotonie du tronc, et en particulier celle
affection organique : il y a flexion exagérée de lavant-bras sur le bras par hypotonie des exten- seurs. Pour apprécier
n exagérée, on peut la comparer à la flexion de 1 avant-bras sur le bras du côté sain, en se plaçant devant le malade et
teindre soit les deux membres inférieurs, soil plus souvent un seul bras ou une seule jambe. Le trophoedème est le plus fr
5 centimètres de mercure par exemple, le malade est placé l'avant- bras étendu reposant sur un plan résistant; on saisit
Les rnoyèns de coercition (camisoles de force, liens pour fixer les bras , appareils de protection des organes génitaux)
ents terminaux seuls (avant-bras et main), les segments ba- saux ( bras ) su- hsistant, la.p7ao- - çoraélie (cpwx'r¡ ,
gnet; elle est peu marquée ou nulle au niveau des avant-bras et des bras . Quelquefois, surtout dans les cas d'acromégali
r la simple application d'un lien circulaire sur l'avani-lras ou le bras ; ils présentent la coloration et les troubles vas
une main de dimension normale, par- fois petite, à l'extrémité d'un bras et d'un avant-bras à aspect parfois pseudo-élép
moins tenaces. Puis les avant-bras sont atteints il leur tour, les bras , la face et plus ou moins toute la surface cutané
erve la même attitude quand l'avant-hras est en demirflexion sur le bras , position la plus ordinaire, ou quand il est en
sentir sa corde contractée durant la flexion active de l'avant- bras ; la paralysie est gé- néralement bilatérale et
âchoire. EE'. D. des épaules. II'. D. du hassin. - E.T. Longueur du bras . JK. Lon- gueur de t'avant-bras. KG. Longueur d
querait insuffisamment le nom même du diamètre ou de la hauteur. Le bras , par exemple, est mesuré par les uns de l'acrom
s iliaques) ; . de la hanche (au niveau des Irochanlers) ; . du bras en son milieu (là où, l'avant-bras étant fléchi n
le le doigt s'enfonce dans la dépression articulaire du poignet. Le bras devra pendre naturellement le long du corps, so
le D. hiacromial (glissière anthropométrique) et la lon- gueur des bras . On peut encore mesurer au ruban métrique (défect
e la fourchette sternale en son milieu et l'extrémité du médius. Le bras doit être horizontal, le pouce redressé au maximu
férente. On pourra établir une moyenne entre les mesures prises les bras abaissés et les bras élevés, la main placée sur
ablir une moyenne entre les mesures prises les bras abaissés et les bras élevés, la main placée sur la tète. L'indice es
es membres supérieurs, et les avant-bras et les jambes plus que les bras et les cuisses. La main elle pied sont relativeme
[F. MOUTIER.-} 108C GIGANTISME. .INFANTILISME. NANISME. des deux bras ou d'un seul. Cette hypertrophie est irrégulière;
nnés. L'extrémité des doigts affleure le grand trochanter. L'avant - bras se place normalement en pronation, le bras légè
and trochanter. L'avant -bras se place normalement en pronation, le bras légèrement écarté du tronc. Les mains sont peti
grande ouverture, et du reste, sans iracture nécessaire, jambes et bras pré- sentent des courbu- res à grand rayon.
recommandera au malade de baisser la tète en avant, de croiser ses bras , et de poser ses coudes sur ses genoux. 5" Re
tissement du pouls, trismus, opisthotonos, convulsions cloniques du bras droit, convulsions oculaires et suivis de cyano
excessif sur- tout du segment rhizomélique des membres (cuisses et bras ), il la défor- mation des mains en trident, etc
ns d'autres conditions, notam- ment de la nuque au sternum, ou d'un bras à l'autre, nous avons géné- ralement constaté c
des gouttières vertébrales, 575. - du bassin, paralysies, 559. - du bras , paralysies, 521, 524. du cou, 556. - du pied
45 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
e Paris, 1891. 8 ALQUIER apparaissent des abcès par congestion au bras droit et à l'avant-bras gauche. Deux mois plus
correction était douloureuse. Un mois après, paralysie, d'abord du bras gauche, puis du droit flasque, puis, atrophie r
t maladroites ; cette maladresse, et des douleurs de la nuque et du bras droit, survenant dès qu'elle voulait coudre ou
iatement une augmentation de 30° dans les mouvements d'abduction du bras . Mais, comme pour les ré- sections péri-articul
drez qu'il a déjà souffert depuis sa jeunesse de douleurs dans les bras et les jambes, mais par accès, par intervalles.
te vous n'apercevez pas grand'chose d'ex- traordinaire tant que les bras et les jambes sont couverts. Tout au plus serez-
iel une tête normale, un corps d'une petite circonférence, mais les bras et les jambes, surtout les mains et les pieds,
ère encore de longueur avec les autres doigts du pied, et comme les bras sont maigres et comme le ventre est creux ! Reg
n » qui est caractéris- tique pour certaines formes de névrite. Les bras maigres vous rappelleront le malade, atteint de
ntré des jeunes gens très longs et minces, au dos courbé, aux longs bras et aux longues jambes maigres, les doigts longs
des verres je vois plus' clairement, l'appareil qui immobilise mon bras ,l'appareil enregistreur,le métronome, ma montre
uscu- laires sont exagérés (Pl. XXI). L'extrémité des doigts, les bras pendants, dépasse un peu la limite qui sé- pare
dépassent les crê- tes iliaques. Absence de main en trident. Les bras devraient être plus courts que les avant-bras ; l
développement de tous les segments os- seux du membre, avant-bras, bras et même omoplate. Une arthrite tuber- culeuse o
s, l'oppression est grande. Dès que la malade à un peu marché « son bras gauche se paralyse un peu », la main gauche « d
uche, néan- moins la malade se souvient avoir eu jusqu'à 18 ans des bras de volume rela- tif encore inférieur, actuellem
volume rela- tif encore inférieur, actuellement la circonférence du bras au niveau de l'apo- physe styloïde radiale est
au niveau de l'apo- physe styloïde radiale est de 14 centimètres. Bras normal. Autres déformations osseuses. - Sternum
des mains et sur la peau des avant-bras plus accentués que sur les bras . z Ainsi qu'au premier examen nous ne constaton
allongée, située à l'origine du pli cutané formé en arrière par le bras appliqué contre le tronc. Même consis- tance qu
derrière l'oreille gauche. Il en existe au thorax, à l'abdomen, aux bras , aux cuisses, plus nombreuses d'une façon génér
s, au bout de quelques jours, certains désordres subjectifs dans le bras droit, les- quels, lors de son entrée dans notr
des sensations de fourmillement et d'engourdis» sement par tout le bras , mais sans douleurs d'aucune sorte, se compliquèr
ns lequel il fut admis chez nous. Le malade se plaignait surtout du bras droit ; celui-ci présentait l'attitude caractér
caractéristique de la paralysie saturnine : avant-bras fléchi sur le bras , légè- ment en pronation ; main en flexion forc
nation ; main en flexion forcée, autrement dit, tombée sur l'avant- bras ; bref l'aspect typique de la paralysie radiale.
spect typique de la paralysie radiale. L'analyse de la paralysie du bras montre qu'elle frappe tous les muscles éner- vé
s brachial. C'est ainsi que les muscles de la région antérieure des bras (sphères du médian et du cubital), les éminence
; il y avait de l'anesthésie douloureuse et thermique dans tout le bras et l'avant-bras, avec conservation de la sensib
aissant plus marquée à la face interne de l'avant-bras et partie du bras . Le bras gau- che n'était d'ailleurs pas tout à
plus marquée à la face interne de l'avant-bras et partie du bras. Le bras gau- che n'était d'ailleurs pas tout à fait ind
e jour, l'amélioration se déclara franchement ; tous les muscles du bras et de l'avant-bras récupérèrent lentement et prog
ccession entre l'usage des béquilles et le début de la paralysie du bras , et le fait si sub- SUR UN CAS DE PARALYSIE DES
delette d'anesthésie à la face interne de l'avant-bras et partie du bras , distribution qui n'est pas davantage celle d'auc
bas et en avant les paralysies, suite de tractions exagérées sur le bras comme il arrive dans les tentatives de réductio
s. Fieux (Archives de Gynécologie), a montré que la traction sur le bras distend toutes les racines rachidiennes corresp
eur trajet intra-rachidien, et ont vu que, à chaque traction sur le bras , se produisait la distension des 5* et 6" racines
avoir colloqué une béquille dans l'aisselle et fait exercer sur le bras des tractions figu- rant dans la mesure du poss
s figu- rant dans la mesure du possible, les mouvements naturels du bras chargé de soutenir le corps sur la béquille. Et
quille. Et bien ! j'ai invariablement vu que, à chaque mouvement du bras sur la béquille répondait une distension manife
mbre, pendant le déjeuner, douleurs brusques très violentes dans le bras droit ; céphalée intense, légère difficulté à par
s, ne réagissant presque pas à la lumière. Ataxie de la langue, des bras et des jambes. Marche presque impossible, spastiq
role redevint plus facile vers la fin de la vie. Les mouvements des bras et des jambes se firent de plus en plus faibles,
accusée qu'aux jambes. L'extension complète de l'avant-bras sur le bras est impossible; à angle obtus le biceps très am
eps très amaigri forme un relief dur et douloureux. La flexion du bras est toujours possible. L'état général s'aggrave p
es, enfin l'affection ne se confine pas aux membres inférieurs, les bras et surtout les mains sont atteints, fait qui ma
lle est restée localisée aux membres inférieurs, la musculature des bras apparait comme relativement saine, muscles roug
rant faradique : A gauche : normale à la jambe ; un peu exagérée au bras . A droite : normale au bras ; diminuée un peu d
normale à la jambe ; un peu exagérée au bras. A droite : normale au bras ; diminuée un peu dans les muscles antérieurs d
IQUE 279 2° Excitabilité au courant galvanique : Normale dans les bras et la jambe gauche. Diminuée dans le droit anté
paralytique général. Il y a un léger tremblement de la tête et des bras , mais il est variable et non continuel. Les dents
prises des attaques de rhumatisme articulaire aigu, présente sur un bras une large tache nccvique. Antécédents personnel
iendrons ; il avait en particulier, au niveau de la face externe du bras droit, une grande tache lisse et sans relief, s'é
e rendit compte qu'il ne pouvait plus que difficilement mouvoir son bras , il lui était impossible de l'élever pour, par ex
de jours ; puis la tuméfaction semble glisser peu à peu le long du bras ; la peau se plisse, se gaufre et forme bientôt
se déformait et qui siégeaient l'une sur la face antéro-interne du bras elles deux autres sur la face externe. Cette opér
ade put reprendre son métier. Mais la déformation de l'épaule et du bras ne tarda pas à s'accroître davantage; la peau s
cendant en passant sur la face externe et sur la face antérieure du bras jusqu'au niveau de la taille. Cette énorme tume
e 1905, il fait une chute et tombe sur 284 KLIPPEL ET MAILLARD le bras droit ; au niveau du point contusionné se dévelop
un large repli Ilasque,repous- sés au niveau de la face externe du bras par une tumeur dure profonde (l'hématome non en
de, ovalaire ou très allongée, réparties surtout sur le dos, sur le bras et sur les cuisses, ayant des dimensions très v
jusqu'à l'énorme tache que nous avons déjà décrite sur l'épaule et le bras droit. Mais au cours de l'examen de notre mal
côté : le malade nous dit qu'il a toujours été bien plus faible du bras droit que du bras gauche et qu'il se servait to
nous dit qu'il a toujours été bien plus faible du bras droit que du bras gauche et qu'il se servait toujours de ce derni
glissement des téguments de l'épaule et de la partie supérieure du bras vers les régions les plus déclives par laxité d
nt adresse ou force, même avant la luxation qui rendit impotent son bras droit. Le côté gauche de son corps a toujours é
Fig. H) ; roulement du dos ; mouvements des hanches ; étirement des bras , des jambes, du cou ; frottement du nez ou des ye
torsion des épaules, étirement des membres, mouvements saccadés du bras avec épaule correspon- dante raidie, main crisp
une escarcelle de cuir à la ceinture. Sa main gauche crispée sur le bras du fauteuil, son poing droit serré convulsivement
une : mais cette jeune est une mère qui tient son en- fant dans ses bras . La consultation n'en est que plus émouvante (1).
on remarqua encore des paresthésies, des douleurs, de la parésie du bras droit et dimi- nution de la sensibilité de la m
ment voulu, quand on lui donne un objet à por- ter à sa bouche, les bras sont agités d'un tremblement à oscillations étend
En juillet 1874 il entre dans le service de M. Ferrand. L'état de son bras droit s'améliore et il peut recommencer à trava
aissance avec paralysie complète de la jambe droite et faiblesse du bras du même côté. Plus tard,paralysie de la jambe gau
la piqûre, mais d'une façon incoordon- née : il. grimace, remue son bras droit (quel que soit le côté piqué), fléchi t-
e soit le côté piqué), fléchi t- ses membres inférieurs et même son bras gauche. Le 18 mai, à 9 heures du matin, la temp
moelle est le plus en- dommagée. Elle s'étend comme des espèces de bras du côté de la périphérie, et de la périphérie v
e, ni à l'excitation faradique, sauf dans les muscles extenseurs du bras droit et seulement avec une intensité de 30 mil
is environ, pouvant s'asseoir sur son lit, se laisser porter sur le bras et se tenir debout lors- qu'on la soutenait, ma
uvait cepen- dant encore faire quelques mouvements des pieds,et les bras étaient encore relativement intacts, mais ils f
mois les jambes faibles et n'avait pu apprendre à marcher, puis les bras avaient été pris également. Son développement int
ie des membres inférieurs. Un an après, la paralysie atteignait les bras et la nuque, l'évolution fut progres- sive, l'a
s deux membres supérieurs l'un avec l'autre, nous constatons que le bras droit mesuré, de la tête humérale à l'épicondyle
30 centimètres au lieu de 33 du côté gauche. La circonférence de ce bras au niveau de sa région la plus saillante est de
n droite est nettement dirigée en dedans ; elle forme avec l'avant- bras un angle dièdre ouvert en haut et en dedans ; c'e
as. Les mouvements de flexion et d'extension de l'avant-bras sur le bras se font bien. Il en est de même des mouvements du
-bras sur le bras se font bien. Il en est de même des mouvements du bras et de l'épaule. L'examen des radiographies fait
rvée, la tête est bien convulsée en arrière, la bouche ouverte, les bras étendus. Notons par contre, l'invraisemblance d
Assistés, il serait resté quatre mois sans pouvoir se servir de son bras . On l'envoie, trois ans après, à Berck-sur-Mer po
sont intacts des'deux côtés, il en est de même pour les muscles des bras et des épaules, qui, bien que peu développés, ^ne
ire n'a que très peu progressé depuis cette époque, et la force des bras , des jambes, est encore à l'heure actuelle (mars
descendant du tramway, il trouve quelqu'un pour le soutenir par un bras et le diriger jusqu'à l'hospice. S'il ne trouve
radial dans la gouttière de torsion, le médian à la face interne du bras , le sciatique poplité externe au niveau de la t
s contractions fibrillaires existent également dans les muscles des bras et des épaules. Vue. La malade a été opérée d'u
x mem- bres supérieurs. La malade en effet ne peut se servir de ses bras pour s'ha- biller, pour coudre, etc. Lorsqu'on
sque, la malade ayant les yeux préalablement fer- més, on place son bras dans une attitude quelconque et qu'on lui dit ens
et qu'on lui dit ensuite de reproduire cette attitude avec l'autre bras , elle la reproduit exactement. Il semblerait do
interligne métacarpo-phatangien. Peu à peu, en remontant le long du bras , retour de la sensibilité tactile, qui ne redev
e en avant et regardant le sol avec soin. D'habitude ils donnent le bras gau- che à quelqu'un pour marcher plus facileme
éprouve dans la nuque des douleurs qui, bientôt, irradient dans le bras droit, et sont réveillées par les mouvements de
ans, tortico- lis gauche, avec douleurs irradiées, d'abord dans le bras gauche, 2 mois après dans le droit également. 4
cet égard l'on nous prie de nous en rapporter aux cas Courrière et Bras ; nous nous permettrons donc d'analyser brièvem
ns peut compromettre nos conclusions. La seconde observation (Cas Bras , hémisphère droit) a trait à une double lésion
pe de lésion occipitale » la vaste plaque jaune que présente ce cas Bras . Un ramollissement est occipital ou il ne l'est p
entes, des fibres rétiniennes directes ; elles concourent à former le bras du tubercule quadrijumeau antérieur et passent
46 (1913) Exposé des travaux scientifiques
re ; on le soutient de la main gauche au niveau du pli du coude, le bras du sujet formant un angle obtus avec l'avant-br
rémité inférieure du radius, l'avant-bras, légèrement fléchi sur le bras , est 30 SÉMIOLOGIE placé en demi-pronation et
établir que les réflexes de flexion de l'avant-bras, d'extension du bras et de pronation sont constants, points sur lesq
émité inférieure du radius, outre la flexion de l'avant-bras sur le bras , phénomène constant, provoque parfois une flexi
cas jamais supérieure à celle de la flexion de l'avant-bras sur le bras . Or, la diminution ou l'abolition du réflexe de
rmédiaires, réflexe de pronation et réflexe d'extension de l'avant- bras , déterminer la longueur de la lésion. S'ils sont
X 35 affaibli, peut être suivi d'une flexion de l'avant-bras sur le bras . C'est là le réflexe paradoxal du coude dont je
l'humérus détermine, comme je l'ai indiqué, une flexion de l'avant- bras , sauf quand elle est pratiquée au niveau du tendo
servation doit se coucher sur le dos ; puis, après avoir croisé les bras sur la poitrine, exécuter des mouvements alter-
ent SO AFFECTIONS DES NERFS localisées à la partie postérieure du bras , prédominent dans cetle région ; légère atrophi
- chial, et qu'en présence d'un malade qui se plaint de douleurs au bras on se contente du diagnostic vague de rhumatism
ccompagnant pas de douleurs, dans celle-là les troubles occupent le bras , se manifestent par des douleurs et n'atteignen
nt-bras placé en supination un mouve- ment passif de flexion sur le bras et qu'on cherche à appliquer ainsi ces deux seg
izontal, sur un plancher par exemple, dans le décubitus dorsal, les bras croisés sur la poitrine, le malade fait un effo
'acte précédent quand le sujet, après s'être mis sur son séant, les bras toujours croisés sur la poitrine, porte le tron
r en pronation (i3g). Interversion des deux modes de balancement du bras . Ce phénomène, commun dans l'hémiplégie, est su
miplégie, est surtout apparent quand, les mouvements volontaires du bras étant abolis ou très affai- blis, ceux du membr
atique » (34, 35, 38). Si l'on envisage les troubles de motilité du bras dans l'hémiplégie ou la monoplégie organique, o
bre supérieur paralysé. Faites l'expérience suivante : saisissez le bras para- lysé, soulevez-le et abandonnez-le ensuit
e vous faites. Vous constaterez alors que chez le premier malade le bras para- 126 AFFECTIONS DE L'ENCÉPHALE lysé reto
s et mouvements passifs. Balancement actif et balancement passif du bras . (Interversion des deux modes de balancement du
ment passif du bras. (Interversion des deux modes de balancement du bras .) La monoplégie brachiale organique se manifest
.) La monoplégie brachiale organique se manifeste, à moins que le bras malade ne soit atteint d'une rigidité qui l'immob
ituelle : lorsque le membre inférieur se porte en avant, on voit le bras se por- ter en arrière et vice versa ; du côté
ère et vice versa ; du côté paralysé, il en est tout autrement : le bras se meut très peu et parfois la cuisse et le bras
out autrement : le bras se meut très peu et parfois la cuisse et le bras se portent simul- tanément en avant; le malade,
eint, semble aller l'am- ble ; en réalité, le mouvement en avant du bras n'est que la consé- quence d'une propulsion exe
ais du côté atteint le mouvement est bien plus étendu ; de plus, le bras paralysé se déplace et oscille encore alors que l
de plus, le bras paralysé se déplace et oscille encore alors que le bras sain est déjà revenu au repos. c) Le malade é
om- mandé de laisser inerte le membre sain, je lui soulève les deux bras et les abandonne ensuite à eux-mêmes, je consta
29 d) Le malade étant assis ou debout, si, après avoir attiré ses bras en avant, je laisse reposer ses mains sur les mie
ient généralement aux précédents et consistent en un balancement du bras en sens inverse du mouve- ment de va-et-vient d
ou moins modifiés par son intervention. Par exemple, je soulève le bras , puis je le laisse retomber comme inerte, lui f
els j'ai appelé l'attention. Il est naturel que le balancement du bras , mouvement accessoire faisant habituellement pa
mouvements passifs, l'augmenta- tion du nombre des oscillations du bras paralysé dans les expé- riences b et c, la rétr
ue, dans la monoplégie brachiale organique, le balancement actif du bras est dimi- nué ou aboli, et que le balancement p
encore qu'il y a une interversion des deux modes de balancement du bras . TUMEURS INTRA-CRANIENNES. OEDÈME CÉRÉBRAL Di
e malade, après s'être couché à plat sur le dos et avoir croisé les bras sur la poitrine, fait des efforts pour se mettre
latérales intracérébelleuses ont noté ceci : du côté de la lésion, le bras étendu horizontalement peut se maintenir longte
longtemps dans cette position et rester remar- quablement fixe ; le bras du côté sain, placé dans la même attitude, ne con
de la pronation I z4 Interversion des deux modes de balancement du bras ......... Iz4 Parallélisme entre les divers trou
s et mouvements passifs. Balancement actif et balancement passif du bras (Interversion des deux modes de balancement du br
ement passif du bras (Interversion des deux modes de balancement du bras ) 128 Tumeurs intra-cràniennes. OEdème cérébral
47 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
bration de tout l'axe cérébro-spinal : mouvements involontaires des bras et des jambes; rires et pleurs involontaires. O
meubles. Au dehors, elle ne peut pas marcher sans s'appuyer sur le bras d'un domestique. Dans les dernières années, ell
gt-six ans, il prétend qu'on trouble son sommeil, qu'on déplace ses bras pendant qu'il dort, qu'on agit sur lui par l'élec
roits, man- quent de précision et très limités. Il peut, remuer les bras mais l'élévation de ce segment est très borné e
l'élévation de ce segment est très borné et le plan d'élévation du bras est loin d'arriver en ligne directe avec l'épaule
bras est loin d'arriver en ligne directe avec l'épaule. Les avant- bras et les mains peuvent ballotter en l'air, mais la
r d'un mouchoir pour essuyer l'écume qui lui vient à la bouche. Les bras et les avant-bras sont flasques, amaigris. C'est
décubitus dorsal le plus complet, ne, pouvant remuer ni jambes ni bras , ne pouvant même pas se servir d'un mouchoir po
s rappelons seulement que certaines paralysies des mouve- ments des bras ou même des mouvements de l'oeil paraissent êtr
e chatouillement. A ce moment vous pouvez cons- tater en pinçant le bras , que la sensibilité tactile est revenue tout en
'elle ferme son oreille droite je lui commande tout bas de lever le bras au moment où je le toucherai, et vous voyez que
e lever le bras au moment où je le toucherai, et vous voyez que son bras exécute très bien la suggestion, quoique Witm p
cinations, paralysie totale des jambes, des muscles du tronc et des bras , du diaphragme, mort. Polynévrite toxique const
t indistincte, comme s'il écrivait à l'aide d'un manche à balai. le bras devient de plus en plus raide, finale- ment, la
qui est atteint de paralysie psychique. Il ne peut se servir de son bras légèrement contusionné dans un accident de chem
être paralysé, l'idée a arrêté les fonctions du centre cortical du bras ; la sensibilité cutanée, les mus- cles et les a
-il exposé à un nouveau danger, vite, il oublie la paralysie de son bras et celui-ci reprend ses fonctions. On peut obte
six fois à la ponction. L'enfant avait six mois et était tombé des bras de sa nourrice, en descendant un escalier de pi
tour. On voit les muscles danser dans la profondeur de la plaie du bras . Les membres infé- rieurs enfin sont agités de
oir filtrée et alcalinisée. Le cochon d'Inde pèse 615 grammes. Au bras droit, la dénudation de la veine est assez facile
e contre le sacrum par un violent mouvement tonique, projection des bras en avant,' légère projection de la' tête en arr
ment. Cris. Quatre à cinq secousses dans le train postérieur et les bras . Trismus. Exophtalmie. -A 220 c. c., perte des
é- sies ou de paralysies complètes, s'étendant le plus souvent au bras seulement. parfois au bras et à la face, quelquef
complètes, s'étendant le plus souvent au bras seulement. parfois au bras et à la face, quelquefois enfin à tout le côté
des mains du sujet est prise d'un engourdissement qui monte dans le bras , envahit partiellement la face jusqu'à la commi
ale, mais si le trouble débute dans la face pour envahir ensuite le bras et la jambe, nous aurons la forme faciale, et s
ommence par le pied et monte dans le membre inférieur, puis dans le bras et dans la face, ce sera la forme crurale. Ce
récision qu'il éprouvait dans le côté droit du corps (la face et le bras ), des fourmillements et comme une sensa- tion d
jambe droite qui se fléchit sur la cuisse, peu d'instants après le bras droit s'étend et les doigts se raidissent, rest
ite est comme paralysée, puisqu'il ne peut la remuer, tandis que le bras droit recouvre immé- diatement sa motilité norm
le mois de juillet 1878), première attaque d'épilepsie partielle au bras , droit, qui fut subitement atteint de petites s
a en outre des accès convulsifs complets, débutant toujours par le bras droit et se généralisant ensuite à tout le corps.
ie partielle, c'est-à-dire les simples secousses convuç ;, sives au bras droit, le prennent tous les jours. ' ', .. * Ap
e partielle à la seconde époque de ses règles. La malade levait son bras tout droit, la tête était tournée à droite, pas
sement de la main gauche ; cette sensation pénible gagna bientôt le bras , l'épaule, puis le membre inférieur, du même cô
s de la face, elle gagne les centres de la jambe à travers ceux des bras . Si le point de départ s'effectue dans la zone
la jambe, l'exci- tation s'étend à la face à travers les centres du bras . Lorsque, ce qui arrive assez fréquemment, les
çant dans le côté gauche de la face, enva- hissant graduellement le bras et finalement la jambe, bientôt sui- vies d'une
t sans fièvre. Les accès ne se reproduisaient plus, la paralysie du bras gauche disparut bientôt et l'enfant aujourd'hui
psychose aiguë (délire). Actuellement atrophie des muscles des deux bras et des épaules; convulsions fibrillaires. Rien
s un bon thermomètre Hicks, certifié par Yale, et le plaçai sous le bras de la malade, au bout de trois minutes il éclata.
tico-spasmodique. A ce moment légère cyphose, tremblements dans les bras et les jambes, surtout à l'occasion des mouveme
n'est pas toujours victorieuse, hélas ! ... Je vois mes mains, mes bras , mes pieds se mouvoir comme ceux d'un autre. To
que l'espace enlevé ressemblait entière- ment à une croix dont les bras étaient de longueur et de largeur égale. Dans c
cile et se prolongea à cause du mouvement constant des mains et des bras , et le dé- faut d'intelligence était loin d'aid
ifférent à tout ce qui se passait autour de lui. Les mouvements des bras et des mains n'étaient pas réguliers lors- qu'i
t de temps en temps, il est visible qu'elle se sert rarement de son bras gauche, et que lorsqu'elle veut saisir ou tirer
u'elle veut saisir ou tirer les rideaux du lit, les mouve- ments du bras gauche sont bien plus limités que ceux du bras dr
les mouve- ments du bras gauche sont bien plus limités que ceux du bras droit. Toutes les heures ou toutes les deux heu
ncé à opérer du côté droit à cause de l'usage apparemment limité du bras gauche. Si l'on est arrivé de cette façon à des
lle s'endormait pour de courts instants en appuyant sa tête sur son bras gauche. En septembre de la même année, se mani-
lui paraissait s'enfler, elle ne pouvait pas parler; la jambe et le bras se raidirent; le bras pendait inerte le long du
r, elle ne pouvait pas parler; la jambe et le bras se raidirent; le bras pendait inerte le long du corps, impuissant à n
ait mettre à genoux, elle ne peut pas se relever sans l'aide de ses bras . Cependant la force musculaire explorée dans la
dinaire par le bout du doigt elle n'allait au delà du poing ou du bras . En outre, elle se montrait avec une égale fréque
igue, elle s'abandonnait sur une chaise en appuyant sa tête sur son bras gauche; elle s'endormait comme cela pour de cou
façon dont elle se reposait, Mme G... exposait journellement son bras gauche et la moitié gauche de la face à une press
énéralisée. Y a-t jl à s'étonner que dans notre cas elle frappât le bras gauche, lequel comme les jambes était sujet à u
l'un dans l'hémisphère droit en correspondance du centre moteur du bras , l'autre dans l'hémis- phère gauche en correspo
e la jambe, tandis que dans notre cas les accès commencent par le bras '. c. Les accès épileptiformes seraient-ils la
atre ans chez laquelle- pendant six ans des convulsions limitées au bras gauche furent l'unique symptôme de la sclérose
rs à l'endroit de la morsure qui s'irradiaient à la face externe du bras et à l'épaule. La douleur était plus forte le mat
rte le matin lors- qu'il se réveillait, la main devenait froide, le bras lourd et faible, presque complètement paralysé
ois les objets, qu'il tenait, lui échappaient. En outre de cela, le bras droit devint le siège d'un tremblement dont les c
mps à autre l'attaque est précédée soit d'un léger trem- blement du bras droit, soit d'une légère parésie du même membre,
emier abord presque banale; en effet, la parésie, le tremblement du bras , l'aphasie motrice, tous phénomènes qui accompa
tre mois, il a des accès'quoti- diens intermittents de paralysie au bras droit qui cessent de se présenter depuis que Ch
rmittent, l'absence absolue d'altération trophique de la main et du bras , l'inté- grité des réflexes et surtout les circ
s forme d'accès ; léger trauma- tisme : paralysie et tremblement du bras droit ; hémop- tysie grave et accès de céphalée
lée, la diplopie, l'étourdissement, la paré- sie, le tremblement du bras droit; en plus, s'y sont ajoutés tous les phéno
consi- dérables en frappant de la tête : à dix ans il tomba sur son bras droit en se luxant l'épaule, laquelle fut remis
a jambe se raidit en extension et fut soulevée au-dessus du lit, le bras en extension et en forte adduc- tion se leva au
n, une de ses attaques ordinaires le prit. A la fin de l'attaque le bras et la jambe gauche étaient complètement paralys
s, le mouvement le plus léger même avec le doigt est impossible, le bras pend flasque le long du corps, la jambe git dan
urvint le soir à huit heures, il ressentit dans la jambe et dans le bras une sensation de chaleur, en peu de minutes le
aralysie de la sensibilité et de la motilité réapparaissait dans le bras pen- dant quelques heures. D'autres fois, le ma
t une contracture succes- sive des deux extrémités supérieures; les bras se contractèrent dans une forte adduction, l'av
d'une dernière crise après laquelle il ressentit de la faiblesse au bras droit tandis que celle de la jambe devint plus
attaques convulsives avec paralysie consécutive de la jambe et du bras : c'est bien là le tableau classique qui a été si
, en effet, l'attitude des membres supérieurs pendant l'attaque; le bras en forte adduction, l'avant-bras, les poings et
de ce genre. Ainsi, elle s'arrête au milieu de ses cris et lève le bras droit en l'air, c'est qu'elle prend la pos- tur
camarade. Un homme assiste à l'enterrement de son neveu qui a eu le bras droit coupé après un accident de machine, il re
un accident de machine, il rentre avec une paralysie hystérique du bras . Une femme, nous raconte M. Gilles de la Touret
RIQUES. 451 poing contre son mari et, par une punition céleste, son bras reste contracturé dans la position du coup de p
, anesthésie musculaire telle qu'elle est incapable de remuer son bras droitsans le voir et qu'elle le laisse dans des p
n'a plus aucun stigmate hystérique : elle crie dès que je pince son bras droit, elle le remue sans le voir et ne garde p
t tous les matins, quand vous entrez dans la salle, vous montrer un bras ou une jambe contracturés et vous dire : « Défa
it-elle. » Et la voici qui essaye de se lever, se secoue, étend les bras , a des mouvements incoordonnés, s'arrête, recom
à lui confier des chevaux ; d'ailleurs, John étant resté faible du bras gauche ne peut courir les steeple-chase. Il se
s d'exécuter le moindre mouvement, sont complètement flasques. Le bras gauche présente un centimètre de tour en moins qu
ital (7 mars), il y avait une prédominance de un centimètre pour le bras droit et de 1/3 de centimètre pour l'avant-bras
, bien qu'elle parle exactement comme sa femme, il frappe à tour de bras . Quand sa femme est calmée, elle lui semble rep
phal, de l'atrophie de certains muscles dans les jambes et dans les bras . Le long péronier latéral gauche ne réagit plus
eune homme, qui est de nationalité russe, une chorée progressive du bras droit et des spasmes choréi- ques des muscles d
tandis que par sa partie supérieure, il contribue à l'élévation du bras . M. 13ERiOEARDT communique les résultats des re
48 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
c'est là ce que fait le sujet. Lorsque, par exemple, on lui étend le bras et qu'on le défie de l'abaisser, il a bien l'air
hisseurs. Bien mieux, des spectateurs cherchent-ils à lui abaisser le bras ou à lui fermer la main, ils se heurtent à une ré
, il cherche à arriver à la séparation des mains par l'écartement des bras . Alors il met en jeu leurs abducteurs laissés par
et d'énergie à exciter la contraction de ces muscles abducteurs des bras , plus.....autre chose fait effort pour accroîtr
'a pas de place pour une supposition pareille. Et de même quand, le bras de l'hypnotisé suggestionnelle-ment tendu et quel
al, il aurait passé à côté de l'hypnose, sans s'en douter. Levant les bras de l'enfant, dans cet état, je constatai qu'ils r
restaient immobiles, en catalepsie. Je lui dis : Tu ne sens plus tes bras ; et j'ai pu les piquer avec une épingle sans qu'
les diverses sphères motrices, sensitives, sensorielles. Je mets ses bras en l'air, ils y restent ; c'est la catalepsie. Je
s ses bras en l'air, ils y restent ; c'est la catalepsie. Je dis : le bras est raide ; je ne peux pas plier le coude. Le mem
e coude. Le membre est rigide, contracture. Je lui dis de tourner les bras , et j'affirme qu'il ne peut plus les arrêter. Il
atoire. Voilà des suggestions dans la sphère motrice. Je lui dis : le bras est insensible et comme mort. Je le pique avec un
allons les obtenir à l'état de veille parfaite. Tenez ! je prends le bras de l'enfant, je le mets en l'air et je lui dis :
as. Tu es bien éveillé, lui dis-je. Il répond : oui. Je lui dis : ton bras est raide. Le voilà en effet rigide. Il ne peut l
. Nicole, malgré cette médication et des frictions nombreuses sur les bras et sur les jambes, demeura insensible et raide co
et cuisses ; ont esté appliquées ligatures près des jointures des bras , jambes et cuisses, deux à chacun membre qui luy
arence de mouvement. Enfin, avons esté d'avis de luy tirer du sang du bras dextre. Finalement, avons faict nos efforts de lu
it, la glorieuse Reine des anges lui apparut, son cher Fils entre ses bras , l'éclairant de sa splendide lumière, le charmant
utres miracles : « Une honnête femme avait depuis fort longtemps un bras desséché au point de ne pouvoir s'en servir. Elle
ne, la tête inclinée adroite et l'épaule du même côté très élevée. Le bras et Pavant-bras étaient le siège de vives douleurs
au mois de mars précédent, d'un accident très grave, dans lequel son bras avait été fortement tiraillé et contusionné. De c
arié. Ainsi une première fois, en janvier, sous l'action du froid, le bras gauche, dont la vitalité était encore incomplètem
rien. Il est certainement suggestible à l'état de veille. Je lève son bras ; il ne peut plus le baisser. Voici la catalepsie
ci la catalepsie à l'état de veille. Il essaye en vain d'abaisser son bras . Je dis : « Ton bras est insensible, tu ne le sen
état de veille. Il essaye en vain d'abaisser son bras. Je dis : « Ton bras est insensible, tu ne le sens plus. » Je le pique
ar dessus leurs vêtements, des passes magnétiques, à appliquer sur le bras d'un sieur H... un barreau magnétique et à consei
complir. Mais il reste encore, dans ces conditions, des mouvements du bras qui peuvent être transmis par le contact et les m
resssenti, me disait l'un d'eux, une légèreté extraordinaire dans les bras qui me semblaient avoir perdu toute pesanteur, pu
perdu toute pesanteur, puis j'ai senti, à mon grand étonneinent, mes bras s'écarter de mon corps et s'élever en l'air malgr
'air malgré moi.» Un autre me disait avoir senti brusquement ses deux bras partir en avant, malgré lui, d'une manière irrési
lui avais imprimé au début de l'expérience, lui ayant fait élever les bras en avant pour les croiser sur la poitrine. D'
é le courant interrompu à un homme atteint de paralysie hystérique du bras gauche ; la guérison se produisit après dix séanc
tait conduite par son mari à cette fontaine et invitée à y plonger le bras ; si elle était innocente, elle l'en retirait par
ectueuse, et que, la nuit suivante, sans avoir, comme d'habitude, les bras attachés par une sorte de camisole de force, elle
es. Elle commence déjà à se lever. On la promène au jardin appuyée au bras de sa mère. Les forces ne reviennent que lentemen
Lorsqu'on l'abandonne, elle s'affaisse aussitôt. Tenue sous les deux bras , elle ne marche pas, elle se laisse traîner. Les
pieds nus sur un carreau frotté, malgré le froid de l'hiver, et, les bras en croix, je priais le Seigneur de me garder des
comme des contractures psychiques. La fatigue émotionnelle « casse bras et jambes », selon l'expression vulgaire. L'influ
des crampes du deltoïde. Ce muscle se contractait, formant boule. Le bras ne se mettait pourtant pas en extension, il resta
toutes les parties du corps. Du moins il suffit d'enrouler, autour du bras , dupoignet au coude, un fil de fer.et d'adapter s
t, pendant leur sommeil, la position de leurs membres, celle de leurs bras , par exemple ; toutes personnes s'éveilleraient,
e matin je trouvais ordinairement mes pieds élevés et reposant sur le bras du canapé. Mes articulations coxo-fémorales étant
une nommée Bar, une jeune fille de 18 ans. Je lui avais enveloppé le bras avec une bandelette métallique : ce sujet était s
, au moindre mouvement, de vives douleurs. Elle ne pouvait élever son bras plus haut que l'œil, ni le rapprocher de la figur
ors de m'occuper encore d'hypnotisme; j'avais d'autre besogne sur les bras . Mais je fus assailli de tant de sollicitations v
es profondes. Alors, comme paracquit de conscience, je lui soulève le bras an-ky loséje le lui rapproche de la figureje le l
pas 7 heures que le sujet, réveillé, se servait de sa main et de son bras et de sa jambe à peu près comme s'ils n'avaient j
ement sur la jambe malade, en s'appuyant sur mon épaule, puis sur mon bras , puis sur son bâton. En moins d'un mois, lui qui,
ans la fièvre typhoïde le phénomène que voici : soulevez doucement un bras et abandonnez-lc à lui-même, il reste en l'air da
, il reste en l'air dans la position donnée. Soulevez ensuite l'autre bras , il y reste comme le premier. C'est de la catalep
Plus souvent elle est rigide ou élastique. L'impulsion communiquée au bras le déplace, mais sans le faire tomber : quelque f
contracture. Il suffit chez quelques-uns d'étendre Tavant-bras sur le bras pour que tout le membre entre momentanément en ri
pnotisés. Il y a plus. J'ai observé plusieurs fois ceci: lorsque le bras du sujet est soulevé en l'air et reste ainsi cata
pontanément par le fait seul de l'attitude cataleptiforme donnée à un bras , les autres, dis-je, sont cependant presque tous
agitation, tremblement, carphologie, dans ï'axatie. Dans ces cas, les bras soulevés retombent ou s'agitent en mouvements dés
veau à garder l'impression reçue. Le cerveau maintient Vidée que le bras doit rester en l'air, comme il maintient l'impres
ée : il suflit que je m'éloigne pour que le sujet laisse retomber son bras , le cerveau n'étant plus entretenu par ma présenc
n'étant plus entretenu par ma présence suggestive dans l'idée que le bras doit rester comme je, l'ai mis. D'autres fois le
cas où l'hypnose spontanée se complète par l'apparence du sommeil? Le bras étant cata-leptisé, le cerveau reste figé pour ai
s qu'il fut hypnotisé,je créai chez lui des paralysies psychiques des bras , le mettant dans l'impossibilité matérielle de s'
de appuyé sur un plan résistant rêvera par exemple qu'on lui coupe le bras . Les mouvements volontaires et spontanés sont abo
s cet homme avait eu une parésie de tout le côté droit : jambe, côté, bras , tout était raidi et douloureux, au point qu'il n
ouloureux, au point qu'il ne savait plus marcher, ni se servir de son bras ; la langue était atteinte également, la parole di
e plaignait plus de sa jambe ; la langue était encore embarrassée; le bras était resté raide, douloureux et sans force ; cet
près une seule séance, le malade mit la main dans la nuque, poussa le bras en l'air, souleva une chaise et la tint suspendue
i le malade ne s'endort pas, on le force à tenir les yeux ouverts, le bras tendu pendant un quart d'heure environ, jusqu'à c
et, un surveillant amène au cabinet de consultation, le tenant par le bras , le nommé F..., courtier en vins, âgé de 53 ans,
bilité de parler pendant quelques heures; paralysie du côté droit. Le bras droit était fléchi à angle droit, il était collé
ses. Après deux ans la jambe a à peu près repris toute sa vigueur. Le bras resta paralysé pendant plus longtemps et |a motil
ement, et, pour prouver que vous « m'entendez, vous allez tenir votre bras en l'air. » Après environ une heure de suggestion
bras en l'air. » Après environ une heure de suggestions répétées, le bras droit resta en catalepsie, et, bientôt, le bras g
gestions répétées, le bras droit resta en catalepsie, et, bientôt, le bras gauche resta à son tour dans le même état. L'ache
49 (1849) Journal du magnétisme [Tome VIII]
se par le Dr Fanton. En septembre 1845, Mm* Northway fut amputée du bras par le D' Jolly. Vers la même époque, amputatio
guérison en huit séances. « Homme de quaranle-sept ans, douleurs au bras droit par suite d’une chute, depuis trois semaine
ieurs fois ne se font pas sentir. « Fille de sept ans, affection du bras droit par suite d’une chute et d’un coup sur le c
goutte; cependant, à deux reprises , j’ai guéri presque subitement le bras d’un de mes amis atteint de cette affreuse maladi
mal. « io° Depuis un mois je magnétise une jeune demoiselle dont le bras gauche était resté à peu de chose près paralysé à
t ce qu il pensait du changement survenu si rapidement dans l'état du bras , il fit cette réponse digne de Loyola, ou plutôt
d eléphantiasis, affectant seulement un côté du corps. La jambe et le bras du côté gauche ont pris un volume considérable, e
ne manière convenable. 22 mars. Il a été affecté partiellement; ses bras et ses jambes furent plusieurs fois soulevés en l
ournalières, ils se présentent chez un chirurgien qui leur réunit Tes bras avec un bandage sofide, et Ira ■ çant deux triang
ec un bandage sofide, et Ira ■ çant deux triangles semblables sur les bras , il en soulève deux lambeaux de peau qu’il échang
e l’autre, tout en laissant un péduncule de chaque lambeau attaché au bras cToù il est extrait. Quelque temps après, quand F
tome vin. - M° 88. — 25 février 1849. 4 Profondément endormi, ses bras tombent en catalepsie, et l’on peut fortement le
a il dit n’avoir rien senti depuis qu’il s’était endormi. Le 5. Ses bras étaient roides, particulièrement le gauche, et il
ble, et on le plaça dans la position en usage pour la lithotomie, les bras passés autour des jambes, au-dessous des genoux.
retardé la mesinérisation jusqu’à ce jour. 11 dort profondément, ses bras sont flexibles et jetés sur le Ht. On l’a piqué
us les jours une heure et demie. Le 6. Sommeil naturel. Le 7. Les bras raides, insensibilité aux piqûres, etc. Le 8. P
cause d’une fièvre périodique à laquelle il a été sujet. Le i3. Ses bras étaient flexibles et on les secouait sans le réve
une heure. Le i5. Il paraît dormir du sommeil naturel» Le 16. Ses bras sont partiellement en catalepsie; il était en que
ne fois par jour pendant une heure. Le 5. Dormant profondément, ses bras étant flexibles, on les fit aller de côté et d’au
mérisé une heure et demie par jour. Dormant profondément, ayant les bras en catalepsie, sa tumeur fut exposée et rejetée p
au deuxième degré, ce qui amena des mouvements convulsifs dans ses bras . Les personnes qui l’entouraient en furent attein
ent ont été prises par le malade lui-même : Du i5. Mesmérisation du bras pendant une heure, suivie d’une douleur légère da
l non interrompu pour la première fois depuis bien des mois. Du 17. Bras douloureux et raide; mesmérisé localementune demi
qui a été interrompu par un violent tressaillement. Légère douleur du bras dans le jour, et point durant la nuit 5 migraine
roit continue d’être raide, mais non douloureux. Mesmérisé sur chaque bras , sans eflet visible ni sensible; mais, par la mag
et de l’annulaire de la main gauche, que suivent des convulsions des bras . Elle devient insensible, et écume. Les attaques
e encore aujourd’hui à l’hôpital ; trouvé un petit changement dans le bras ; dormi de dix heures à quatre heures. « Du 29.
. Du 5 avril, fleeja, âgé de trente ans, demeurant à Calcutta, a un bras raide depuis environ six mois, avec enflure et do
ouleur; le patient peut, presque à volonté, étendre et plier l’avant* bras . Du iq mai. Le bras paraît parfaitement droit ;
t, presque à volonté, étendre et plier l’avant* bras. Du iq mai. Le bras paraît parfaitement droit ; le mouvement en est r
sparu. 11 peut maintenant marcher sans bâton, et lever très-haut le bras paralysé, mais il ne peut encore ni ouvrir ni fer
ce de mieux; la jambe reprend de la force, mais il ne peut mouvoir le bras , ni fléchir ou étendre l’avant-bras. La main rest
es de Salmulh. dissiper une affection goutteuse et une névralgie du bras . Rcysclius et Maxwel (1) se félicitaient beauco
curé de Fontenay-sous-Vincennes, qui a connu une femme paralysée d’un bras ; elle habitua un jeune chien à coucher sur ce me
; tous les lettrés sont au bout de leur science, ils se croisent les bras et laissent accomplir les événements qu’ils n’ont
’en déler-miner la flexion, même au moyen des plus grands efforts. Le bras gauche était fléchi, depuis plusieurs jours, sur
erveux, des douleurs de tête terribles, des crampes aux jambes et aux bras s’emparent du malade; le refroidissement des extr
pt jours. Elle était, en outre, depuis la même époque, paralysée du bras droit, qui était contourné en arrière, la main re
is, depuis cinquante-huit jours, en rendant le verre elle étendit les bras , elle serra les mains de M. Gravé en pleurant, et
it le modeste appartement. Par cet acte on vit avec étonnement que le bras droit de la malade était déparalysé, puisque elle
nchantée de pouvoir agir librement > elle mouvait incessamment son bras en tQUS Sens, à la vue des personnes qui lui fais
seur que, rendue à la maison, elle s’était déshabillée seule avec son bras droit, pour 8$ reposer comme il le lui avait ordo
qui sc transportait à son domicile comme à celui de sa cousine. Son bras n’a plus ¿té paralysé. De la a6 à la 7e séance,
à peine la pupille de l’œil ; enfin, elle éprouva une contraction du bras droit, dont elle porta la main à son front avec u
que l’atteignit et la domina plus fortement que la première fois. Ses bras manifestèrent un mouvement spasmodique, et ses ye
uellement d’expression; et l’attitude de son corps, les gestes de ses bras venaient compléter la formule de ces enivrants en
sement inclinée à droite, puis à gauche, en ondulant son corps et ses bras , la vit-on se relever de son agenouillement, et a
river peu à peu à être debout sur la pointe extrême de ses pieds, les bras élevés, et paraissant réaliser un mouvement d’asc
à se quereller ; il est rejeté à cinq ou six pas par un mouvement du bras de l’un d’eux, mouvement qui nous a semblé à tous
au Capitole! Mais la croix, divin symbolo, Sur la terre étend les bras .. .. Tombez, tombez en poussière, Tombez, dieux d
u’il ne comprend pas...... France, à toi l'intcltigcncc, A loi le bras cl le cœur ; Soldat de la Providence, A loi l
e et rapide, ils se jettent sur le parquet, et enlacent de leurs deux bras la circonférence du signe. On ne peut douter qu
continuant, M. Moclain fit poser trois vésicatoires : un su chaque bras , et le troisième sur le dos; sur l’estomac un emp
eule action de la volonté s’exerçant à la contraction des muscles des bras . Celui qui donnait communica- lion do celte déc
dans les deux vases, et, après ça, il contractait fortement l’un des bras . Aussitôt le courant se montrait par la déviation
’aiguille, et on pouvait le reconnaître dirigé du doigt à l’épaule du bras contracté ; c’est-à-dire que ce doigt se comporta
aordinaire de l’électricité par suite de la contraction énergique des bras , j’insiste sur cette idée, que l'existence d’un t
à ses côtés fissent tous leurs efforts pour le retenir chacun par un bras , il s’élança cependant avec le plus violent empor
es mouvements que faisait le.professeur : frappant du pied, levant un bras , puis un autre, vivement et correctement, à l’ins
agent supérieur. A un certain moment, l’expérimentateur étendit les bras horizontalement, puis traça avec ses pas une marc
rigoureusement exacte, tous les mouvements du corps, de la tête, des bras , des jambes de ses partners. Les gestes de ces tr
raissait exercer sur la famille une grande influence, le Jia sous les bras par une corde, et le descendit dans un puits dans
dirigés sur l’épigastre et les deux côtés du ventre. Le mouvement des bras imitait les signes télégraphiques les plus variés
uel on attribuait le pouvoir de les guérir, ils se touchaient par les bras , par les genoux, par les pieds. Une longue corde,
pliquant la main sur les épaules, puis la laissant couler le long des bras jusqu’à l’extrémité des doigts. Amenées de la sor
t magnétisations d’une heure et demie par jour. 5° Une paralysie du bras , chez un enfant de dix ans, traitée dès le lendem
e celte cruelle infirmité. 9° Une douleur rhumatismale affectant le bras et la jambe gauches, a cédé à une suite de mes-
si puissante, qu’elle put revenir à pied à son logis, appuyée sur le bras d’un de ses enfants. La paralysie n’était pas seu
à reculons dans la mer, par dejix baigneurs qui les tenaient sous les bras , puis les renversaient ou les plongeaient trois o
, qui, pour de l’argent, avait fourni une portion de peaujprise à son bras , était mort dans cette ville où avait été pratiqu
mnés déjà par les faits, le sont enfin par les juges eux-mêmes. Ses bras infatigables distribuent partout le bienfaisant a
gèros à de rares intervalles. Traitement médical. Yésicatoires au bras droit, deux fois par an, et alternés, en neuf ann
selle, nul pouvoir de se mouvoir le moindrement sans le secours d'un bras solide. Il fallait voir pourtant avec éton-nnemen
gonflé et plus ou moins tuméfié. Les yeux ou les joues, le cou ou les bras étaient tour à tour envahis, quelquefois ensemble
élioration. — Nouvelle consultation. Continuer un mois, et saignée du bras . — Purger tous les dix jours. Ce traitement fin
50 (1893) Anatomie du cerveau de l'homme : morphologie des hémisphères cérébraux, ou cerveau proprement dit. Texte accompagné de 204 figures schématiques
Laq, le laqueus (ruban latéral de Reil) avant sa décussation. BQP, bras du tubercule quadrijumeau postérieur. GI, corps
passent au-devant de lui. Mais on voit son prolongement antérieur le bras du tubercule quadrijumeau postérieur (IIQP) se je
tion vertico-transversale du tubercule quadrijumeau antérieur; BQP, bras du tubercule quadrijumeau postérieur ; Pcs, péd
oupe 58, entre la protubérance annulaire ou pont de Varole (PV) et le bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BQP). Nous
illé interne (GI) revêtu en arrière de son stratum zonale (ZGI). BQP, bras du tubercule quadrijumeau postérieur. versales.
1 et 62 (ZGI). D'autres, dirigées de dedans en dehors, font partie du bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BQP). Th.
rieur; GI, corps genouillé interne; GE, corps genouillé externe; BQP, bras du tubercule quadrijumeau postérieur ; BQA, bras
ouillé externe; BQP, bras du tubercule quadrijumeau postérieur ; BQA, bras du tubercule quadrijumeau antérieur ; BP, bras du
meau postérieur ; BQA, bras du tubercule quadrijumeau antérieur ; BP, bras du pulvinar; FCP, faisceau de la commissure; TEG,
eur droit (QP) et le corps genouillé interne (GF), il prend le nom de bras du tubercule quadrijumeau postérieur droit (BQP')
t (QA') et le corps genouillé externe droit (GE'), il prend le nom de bras du tubercule quadrijumeau antérieur droit (BQA').
uperficiel, visible à l'extérieur. Il est séparé de la surface par le bras du tubercule quadrijumeau postérieur gauche (BQP)
) ; puis il suit, de dedans en dehors, un trajet parallèle à celui du bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BQA') et fin
ssure (qu'il représente) et le pulvinar, on peut lui donner le nom de bras du pulvinar (BP). Il recouvre la partie la plus p
e s'inclinent les premières en dehors, puis en dedans, pour former le bras du tubercule quadrijumeau postérieur du côté oppo
opposé; que les fibres suivantes, un peu plus inférieures, forment le bras du tubercule quadrijumeau antérieur du côté oppos
l'aqueduc de Sylvius pour constituer la commissure postérieure ou les bras des tubercules quadrijumeaux. Un certain nombre d
érieures vont aux corps genouillés internes, et ibrment la surface du bras de ce corps genouillé; elles sont donc superposée
jacentes vont au corps genouillé externe; elles forment la surface du bras du corps genouillé externe, plus rares et plus pr
ntérieur (QA), situé en dehors de lui. Il le traverse et va former le bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BQA). BQA.
a former le bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BQA). BQA. Le bras du tubercule quadrijumeau antérieur (fig. 61, 62,
as jusqu'à leur extrémité sur les coupes de la planche XXI. BQP. Le bras du tubercule quadrijumeau postérieur forme une ma
rieur forme une masse de fibres beaucoup plus importante que celle du bras du tubercule antérieur. Ces fibres sont dirigées
aisceau de Reil dont les fibres formeront, du côté opposé, non pas le bras du tubercule quadrijumeau postérieur, mais le bra
opposé, non pas le bras du tubercule quadrijumeau postérieur, mais le bras du tubercule quadrijumeau antérieur. — Le bras du
au postérieur, mais le bras du tubercule quadrijumeau antérieur. — Le bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BQP) mélang
gne médiane représentent donc, pour la couche optique, l'analogue des bras des corps genouillés interne et externe. On pourr
rrait, par conséquent, les désigner dans leur ensemble sous le nom de bras du pulvinar (BP). Sur la coupe 66 elles sont situ
où elles semblent se porter en dedans et en arrière à la rencontre du bras du tubercule quadrijumeau antérieur (RQxV, fig. 6
g. 63) : en arrière par le stratum zonale (fig. 61), en dedans par le bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BQP, fig. 6
du tubercule quadrijumeau postérieur (BQP, fig. 62), en dehors par le bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BQA, fig. 64
rieure de la fente de Bichat. Il est séparé du noyau postérieur parle bras du pulvinar (BP, fig. 69), au-dessous duquel s'ét
ur parle bras du pulvinar (BP, fig. 69), au-dessous duquel s'étend le bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BQA), GE.
Gl, corps genouillé interne ; GE, corps genouillé externe; BQA, bras tlu tubercule quadrijumeau antérieur ; BQP, bra
lé externe; BQA, bras tlu tubercule quadrijumeau antérieur ; BQP, bras du tubercule quadrijumeau postérieur; BP, bras
u antérieur ; BQP, bras du tubercule quadrijumeau postérieur; BP, bras du pulvinar; GIT, cuneus thalami optici intergeni
é, on peut reconnaître qu'il est limité à sa partie supérieure par le bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BQA), En tou
à la surface de l'isthme de l'encéphale. au-dessous et en dedans du bras du tubercule quadrijumeau postérieur (69, BQP), é
tum (TEG), en dehors par la lamina lateralis de Reil (Lmd). BQA. Le bras du tubercule quadrijumeau antérieur (67, 69, 71,
interne, à travers le pulvinar. Dans ce trajet il est sous-jacent au bras du pulvinar. Mais comme toutes les fibres, à ce n
st difficile de les différencier sur les coupes verticales. BQP. Le bras du tubercule quadrijumeau postérieur est presque
la commissure postérieure forment dans l'hémisphère du côté opposé le bras du pulvinar (BP). Celui-ci se compose de fibres d
compose de fibres disposées en lames presque verticales, en avant du bras du tubercule quadrijumeau antérieur, au-dessus de
quadrijumeau antérieur, au-dessus des fibres les plus antérieures du bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BQP, 69). C
La continuité du faisceau de la commissure postérieure (FCP) et du bras du pulvinar (BP) nous semble suffisamment établie
tance grise du thalamus, au-dessus des fibres les plus supérieures du bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BQA). Lmd.
ort avec l'extrémité antérieure du corps genouillé interne et avec le bras du pulvinar (BP, fig. 68) ; elle le sépare du cen
orps genouillé interne des fibres qui s'entre-croisent avec celles du bras du pulvinar. 11 établit donc une connexion immédi
es n'est plus reconnaissable. Elles se mêlent en efiet avec celles du bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BQA) qui pas
du bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BQA) qui passe, avec le bras du pulvinar et avec la lame latérale, à la partie
lamina lateralis de Reil (Lmd, fig. 77). En bas, il est limité par le bras du pulvinar (RP, 77). En avant, c'est-à-dire lors
et en dedans, il (ist séparé du centre médian (NmC, fig. 7(5) par le bras du pulvinar (RP) et la lame latérale du ruban de
te au-dessous du (neutre médian (NniC), juste au niveau du passage du bras du pulvinar (BP), une niasse grise, limitée en de
grise, placée en avant du corps genouillé interne et traversée par le bras du pulvinar (BP) et le bras du tubercule quadriju
rps genouillé interne et traversée par le bras du pulvinar (BP) et le bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BQA, 75, 77)
vertical la section oblique du fasciculus retroflex (FRF). BQA. Le bras du tubercule quadrijumeau antérieur est maintenan
5), il se met en contact avec le fasciculus retroflex (FRF). BP. Le Bras du pulvinar, qui représente la terminaison du fai
halamus (fig. 74, 76, 77), au-dessus du corps genouillé externe et du bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BQA), au-des
était d'abord, devient postéro-antérieur (fig. 78) pour contourner le bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BQA), qu'il
HAÏ, pédoncules inférieurs ; IIAP, pédoncules postérieurs ; BQ.A, le bras du tubercule quadrijumeau antérieur s'enfonçant e
irection antéro-postérieure se reconnaît à sa teinte foncée. BP. Le bras du pulvinar représente sur la coupe 79 ce qui res
s'cntrecroisantavec sa congénère sur la ligne médiane pour former le bras du tubercule quadrijumeau postérieur du côté droi
rmer le bras du tubercule quadrijumeau postérieur du côté droit; BOP, bras du tubercule quadrijumeau postérieur gauche, form
eus du même côté (Laq*). Laq*, deuxième couche du laqueus destinée au bras du tubercule quadrijumeau antérieur droit. Ce bra
aqueus destinée au bras du tubercule quadrijumeau antérieur droit. Ce bras (du côté gauche) reçoit aussi qiielques libres di
la commissure, passant au dessus de la ligne médiane, pour former le bras du pulvinar du côté droit, mais fournissant des f
as du pulvinar du côté droit, mais fournissant des fibres directes au bras du pulvinar gauche (BP); — TEG, faisceau du tegme
et en dehors de l'aqueduc de Sylvius (AQ). De ce tubercule part le bras (BQA) qui disparait en dessous du corps gcnouillé
l est limité en arrière par lestratum zonale (ZGl) et en avant par le bras du pulvinar (BP). GE. Le corps genouillé extern
terpédonculaire, en dedans du fasciculus retroflexus (FRF). BOA. Le bras du tubercule quadrijumeau antérieur forme à la
, qui, plus loin, en avant et en dehors (fig. 2 et 3), vont former le bras du pulvinar (BP). BP. Le bras du pulvinar, immé
dehors (fig. 2 et 3), vont former le bras du pulvinar (BP). BP. Le bras du pulvinar, immédiatement au devant du corps gen
ui, à sa partie inférieure, est séparée du centre médian (NmC) par le bras du pulvinar (BP) et, à sa partie supérieure (fig.
nt nous avons déjà parlé (pl. XXIÏI). 11 est limité en arrière par le bras du pulvinar (BP), en avant par la lamina tegmenti
ors le ganglion de l'habénule (GII), où il. prend naissance. BP. Le bras du pulvinar est le faisceau le plus supérieur et
couronne rayonnante du thalamus (Rth). Il est limité en avant par le bras du pulvinar (BP) qui s'épuise dans sa région anté
es réellement commissurales (voy. pl. XXII, fig. 07, CP); 5" enfin le bras du pulvinar (BP), qui représente le faisceau le p
rtent en dehors vers le faisceau sensitif, est limité en avant par le bras du pulvinar (BP). Les autres noyaux de la couche
de la bandelette optique allant au stratum zonale du pulvinar. BP. Bras du pidvinar. BO. Bourrelet du lobe carré. BOA
lvinar. BP. Bras du pidvinar. BO. Bourrelet du lobe carré. BOA. Bras du tubercule quadrijumeau antérieur. BQP. Bras
u lobe carré. BOA. Bras du tubercule quadrijumeau antérieur. BQP. Bras du tubercule quadrijumeau postérieur. BSO. Band
(voy. Pédoncule cérébelleux supérieur)....................... 431 Bras du pulvinar, Brachium pulvinaris (BP).......... 2
.... 431 Bras du pulvinar, Brachium pulvinaris (BP).......... 213 Bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BQA)........
.. 213 Bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BQA)........ 215 Bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BQP).......
51 (1901) Anatomie des centres nerveux. Tome 2, Fascicule 1 : Anatomie du cerveau (suite), anatomie du rhombencéphale
uses libres de projection du lobe occipital (voy. cas Courrière, et Bras , Fig. 83, 84, 85 et 93, p. 112 et 120). Les f
, Fig.326, p. 637.) AU, avant-mur. AI], aqueduc de Sylvius. JJ¡'Qp, bras du tubercule quadrijumeau postérieur. - CA, cor
coupes la capsule se présente sous la forme d'un Y couché dont les bras sont formés par les segments postérieur (Cip) et
Alv, alvéus. - AU, avant-mur. bd, bandelette dia- gonale de Broca, bras du tubercule Ouadrijumcau antérieur. -BrQp, bras
- gonale de Broca, bras du tubercule Ouadrijumcau antérieur. -BrQp, bras du tuber- cule quadrijumeau postérieur. - C"1.
Fig. 32t, p. 651). AU, avant-mur. - Aq, aqueduc de Sylvius. - BrQa, bras du tubercule quadrijumeau antérieur. - BrQp + R
Qa, bras du tubercule quadrijumeau antérieur. - BrQp + Rm, union du bras du tubercule quadrijumeau postérieur avec le ruba
véus. - AU, avant-mur. - bd, bandelette diagonale de Broca. - BrQa, bras du tubercule quadrijumeau antérieur. - BrQp + Rm,
BrQa, bras du tubercule quadrijumeau antérieur. - BrQp + Rm, union du bras du tubercule quadrijumeau postérieur avec le ru
Al, anse lenticulaire. - AU', partie morcelée de l'avant-mur. - BrQa, bras du tubercule quadrijumeau antérieur. - Cge, Cgi
allèles à la bandelette optique, (fin. 12, 31, 32, cas Courrière et Bras , Fig, 93, p. 108 a 120) on constate | nettement
uite des lésions des lobules lingual et fusiforme (cas Courrière et Bras , p. 108 à 120). Le faisceau de Tiirck, par cont
alvéus. - AU, avant-mur. bd, bandelette dia- gonale de Broca. BrQa, bras du tubercule quadrijumeau antérieur. - BrQp. bras
ale de Broca. BrQa, bras du tubercule quadrijumeau antérieur. - BrQp. bras du tubercule quadrijumeau postérieur. - Cal, co
ndelette diagonale de Broca. - BG, bandelette de Giacomini. - BrQp, bras du tubercule quadrijumeau pos- térieur. - CA, c
n masse de la calotte pédonculaire. Aq, aqueduc de Sylvius. - BrQp, bras du tubercule quadrijumeau postérieur. - Cge, co
yau externe du thalamus; celles du lobe occipital (cas Courrière et Bras , p. 108, Fig. 80 à 95) sur le pulvinar; celles
delette diagonale de Broca. - BG, bandelette de Giacomini. - IlrQa, bras du tubercule quadrijumeau antérieur. - l3rQp, b
comini. - IlrQa, bras du tubercule quadrijumeau antérieur. - l3rQp, bras du tubercule quadrijumeau postérieur. - Cl, corne
arginalis et du pré- cunéus. (Voy. cas Courrière, Fig. 80 à 86; cas Bras , Fig. 87 à 95 ; cas Dautriche, Fig. 92 à 96; ca
ig. 124 a 128, p. 140); cas Courrière (Fig. 80 à 86, p. 108); cas Bras (Fig. 87 il 95, p. 114); elles passent par le
et du pied du pédon- cule cérébral (cette coupe appartient au cas Bras , cécité corticale, p. 115). Méthode de Wei- ger
ent unies. L'étude des dégénérescences secondaires montre (Voy. cas Bras , hémisphère gauche, Fig. 93) qu'elles occupent
l'écorce de la circonvolution postérieure de l'insula (Ip). - BrQa, bras du tubercule quadriju- meau antérieur. - C1, co
IE DES CENTRES NERVEUX. Radiations cortico- quadrigéminales. s. Bras du tubercule quadrijumeau anté- rieur. Radi
is elles deviennent superficielles, en concourant à la formation du bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BrQa), et
utre d'autres radiations, qui n'entrent pas dans la constitution du bras du tubercule quadrijumeau antérieur. Les unes a
fondes du tubercule quadrijumeau antérieur, et dégénèrent, comme le bras du tubercule quadrijumeau antérieur et les radi
tie profonde du corps genouillé interne. - Cette coupe intéresse le bras et les radiations du tubercule quadrijumeau antér
e le bras et les radiations du tubercule quadrijumeau antérieur, le bras du tubercule quadrijumeau postérieur, et les radi
ig. 322, p. 61-d.) AU, avant-mur. - Aq, aqueduc de Sylvius. - BrQa. bras du tubercule quadrijumeau antérieur. - BrQp + R
Qa. bras du tubercule quadrijumeau antérieur. - BrQp + Rm, union du bras du tubercule quadrijumeau postérieur avec le ruba
le chiasma des nerfs optiques. 72 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Bras du tubercule quadrijumeau posté- rieur. Rad
u corps genouillé interne. Elles forment un faisceau assez compact ( bras du tubercule quadrijumeau pos- térieur BrQp, Fi
ne (Fig. 44). Il est recouvert dans une partie de son trajet par le bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BrQa), don
ijumeau anté- rieur; sur le tubercule quadrijumeau postérieur et le bras de ce tubercule; sur le ruban de Reil médian et
tées. - Dégénérescences des corps genouillés externe et interne, du bras du tubercule quadrijumeau antérieur et de la co
nicke (W), du pulvinar (l'ul), du corps genouillé externe (Cge), du bras du tubercule quadrijumeau azttéz·iezcr(I3rQa), et
ires ou cortico-médullaires (voy. cas Courrière, Fig. 80 à 80, et cas Bras , Fig. 87 i à 95, p. 115). Les lésions du lobe
s lingual et fusiforme); 3° Du tapetum (Tap) (Voy. cas Courrière et Bras ) qui envoie un grand nombre de ses fibres dans
artie supérieure et postérieure du corps genouillé externe (Cge) le bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BrQa) (Fig.
la capsule interne, du pulvinar, du corps genouillé externe, du bras du tubercule quadrijumeau anté- rieur. Intégr
th) ; du pulvinar (Pul), du corps ge- nouillé externe (Cge), du bras (BrQa) et de la couche de fibres superficiell
isphère. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 115 Le cas Bras a trait à un vieillard de 64 ans, atteint depuis
lobe occipital; elles peuvent être suivies sur FiG. 87 et 88. - Cas Bras . Topographie de la double lésion corticale dans u
confirmée par l'autopsie. (C. R. Soc. Biologie, 1893, p. 983.) Cas Bras . Cécité corticale. Topogra- phie de la double
rticaux de la vi- sion. 116 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Bras . Cécité corticale par double lésion des centr
vinar (pur).11 existe en outre une dégénérescence très manifeste du bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BrQa), des f
la substance grise centrale de l'aqueduc de Sylvius. FiG. 89. - Cas Bras . Cécité corticale. - Hémisphère droit. Topographi
87) il n'existe à la face interne du lobe occipital FiG. 90. - Cas Bras . Cécité corticale. - Hémisphère droit. Coupe hori
cke (W), du pulvi- nar (Pul) (fibres radiées et stratum zonale), du bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BrQa), des
colorées en jaune.) Méthode de Weigert. 3/2 grandeur nature. Cas Bras . Cécité corticale par double lésion du centre
a bandelette optique. , 118 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Bras . Cécité corticale par double lésion du centre
ès intense, bien que limitée, des couches sagittales Fic. 91. - Cas Bras . Cécité corticale. - Hémisphère droit. Coupe hori
la deuxième circonvolution temporale et occupent la Fig. 92. - Cas Bras . Cécité corticale.7JemMp/t<i)'e gauche. Coupe
grandeur nature. Les zones dégénérées sont colorées en jaune. Cas Bras . Cécité corticale par double lésion du contre
la bandelette optique. 120 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Bras . Cécité corticale par double lésion du centre
égénérescence limitée bien que très intense du corps Fig. 93. - Cas Bras . Cécité corticale. - Hémisphère gauche. Coupe obl
Wernicke et une dégénérescence plus limitée encore du pulvinar; le bras du tubercule quadrijumeau antérieur paraît peu to
obe pariétal, même lorsqu'elles sont isolées, 1 ic. 9t et 93. - Cas Bras . Cécité corticale. - Hémisphère gauche. Coupes ob
, de la zone de "Wernicke (W), du corps genouillé externe (Cge), du bras (BrQa) et de la couche de fibres superficielles d
e occipital rapportées plus haut (cas Courrière, Fig 80 à 83 et cas Bras , Fig. 87 à 9 : i, p. 109 à 121), il est permis d'
dans et sur les coupes plus inférieures (Fig. 133), elle intéresse le bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BrQp.), l
re du noyau externe du thalamus, du corpsgcnouiHë lu- terne, du bras du tubercule quaùrl.1u- meau postérieur et
e du no) au externe du thalamus, du corps genouillé interne, du bras du tubercule quadriju- meau postérieur et d
de Turck (FT). Dégénérescence du corps genouillé interne (Cgi), du bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BrQp) e
ntérieure du bulbe. Dégénérescence du corps genouillé interne, du bras du tubercule quadrijumeau pos- térieur, et de
rouge (NR), des corps genouillés interne (Cgi) et externe (Cge), du bras (l3rQla) et de la couche de fibres superficiell
e de l'aqueduc de Syl- vius (Sg Aq (d). Dégénérescence partielle du bras du tubercule quadrijumeau postérieur (13r Qlp)
e externe du pied du pédoncule cérébral (Fig. 177). Dégénérescence du bras (BrQa) et des couches superficielle et moyenne
te de la lésion du corps genouillé externe, une dégé- nérescence du bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BrQa) et une
ubercule quadrijumeau antérieur (Qa); dégénérescence par- tielle du bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BrQp); dégé
82 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. gion du ruban de Reil médian et le bras du tubercule quadrijumeau antérieur; elle secti
quadrijumeau antérieur (Fig. 191), une dégénérescence partielle du bras du tubercule quadrijumeau postérieur (Br Qp) et
du corps genouillé externe (Cge), de le bandelette optique (II), du bras et de la couche superficielle du tubercule quadri
e Wernicke; une dégénérescence du corps genouillé externe (Cge), du bras et de la couche superfi- cielle du tubercule qu
is sa naissance on ne l'a jamais vu faire un seul mouvement, ni des bras , ni des jambes. 11 restait, immobile, en état de
ture des qualre membres, remuait un peu les jambes, assez bien les bras . Tétait bien au biberon ; s'approchait du biber
es- thésiée que l'avant-bras, ce dernier est plus insensible que le bras , etc. Cette distribution de l'anesthésie, sur l
ervé une perte complète isolée et transitoire du sens musculaire du bras droit avec conservation de la sensibilité au co
ec autopsie (1893) et auquel se rapportent les ligures 87 à 95 (cas Bras ). Dans ce cas la cécité fut d'emblée complète. D'
portée en 1880 par l'un de nous, con- cerne un cas de monoplégie du bras droit accompagnée d'anesthésie et rele- vant d'
mine un relief oblique en avant et en dehors connu sous le nom de bras du tubercule mamillaire (13pacliltini corporis
audé au globus pallidus (Fie) (cas Heudebert, Fig. 126, p. 139; Cas Bras , Fig. 90 et 91, p. 117 et 118). Dans les lési
thalamus, du pulvinar, des corps genouillés interne et externe, du bras du tubercule quadrijumeau antérieur. Sur les Fi
inar (l'ul), des corps genouillés interne et externe (Cgi, Cge), du bras du tubercule 41tiadi,i,ju- meau antérieur (BrQa
uite de lésions du lobe occipital et du lobe occipito-pariétal (cas Bras , Fig. 90 et 91, p. 117 et 118, el cas Heudebert
5/1 grandeur nature. Al, anse lenticulaire. - Alv, alveus. - BrQa, bras du tubercule quadrijumeau antérieur.. - Cge, co
ature. Aol, aire olfactive. - B, fente cérébrale de Bichat. - BrQa, bras du tubercule quadriju- meau antérieur. - Ce' (S
médian de Luys (Nm) de la région du ruban de Reil médian (rgRm), du bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BrQp) et,
du pul- vinar par le corps genouillé interne (Cgi) compris entre le bras du tuber- cule quadrijumeau antérieur (BrQa) et
is entre le bras du tuber- cule quadrijumeau antérieur (BrQa) et le bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BrQp) (Fi
T. Ier, Fig. 30ru, p. 612). Alv, alvéus. - 1.11, avant-mur. - BrQa, bras du tubercule quadrijumeau antérieur. - CA, corn
est libre et recouvre les tubercules quadrijumeaux (Qa, Qp) et les bras (BrQa, BrQp) qui en partent; son bord externe cor
eau anté- rieur. - Méthode de Weigert, 3/2 grandeur nature. BrQa, bras du tubercule quadrijumeau antérieur. - BrQp, bras
eur nature. BrQa, bras du tubercule quadrijumeau antérieur. - BrQp, bras du tubercule quadri- jumeau postérieur. - CA, c
icales ou sous-corticales de la sphère visuelle (Voy. cas Courière, Bras , p. 188 et suiv.), ainsi qu'à la suite de lésio
13), et dans les régions inférieures (Fig. 312 et 47, p. 69)avec le bras du tuber- cule quadrijumeau antérieur (Br Qa) e
riangulaire de Wernicke (W). La face antérieure est tapissée par le bras du tubercule quadrijumeau antérieur (Br Qa) (Fi
trent dans la constitution du stratum zonale du pulvinar (Strz), du bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BrQa) ou des
ieur (Qa) et le corps genouillé externe (Cge), et enclavé entre les bras des tubercules quadrijumeaux antérieur et posté
s tubercules quadrijumeaux antérieur et postérieur (BrQa, BrQp). Le bras du tuber- GANGLIONS OEFRACORTICAUX : COUCHE OPT
quadrijumcau antérieur (BrQa) le sépare en arrière du pulvinar, le bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BrQp) le li
lorsque le corps genouillé interne apparaît libre à l'extérieur, le bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BrQp) le
d'une mince couche de fibres zonales qui appartiennent en partie au bras du tubercule quadrijumeau antérieur. Sa face pr
ule quadrijumeau antérieur. Sa face profonde el adhérente reçoit du bras du tubercule qua- drijumeau postérieur aux conf
e interne de la bandelette optique qui le côtoient appartiennent au bras du tuber- cule quadrijumeau antérieur (Voy. Ner
cor- lico-gellollillées internes,]}. 70). Par l'intermédiaire du bras du tubercule quadrijumeau postérieur, le corps
ouche optique entre en outre en connexion avec le cerveau moyen. Le bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BrQp) rel
QUE. : 3ï : ; de Reil latéral et aux centres auditifs primaires. Le bras du tubercule qua- drijumeau antérieur unit le c
diverticule sus-pi- néal.- Sge, substance grise centrale. par les bras des tubercules quadnju- mraw antérieur et p
voir suivi la dégénérescence de la commissure pos- térieure dans le bras du tubercule quadrijumeau antérieur, puis à trave
ue ou pariéto-temporo-occipitale. Dans les cas de dégénérescence du bras du tubercule quadrijumeau antérieur consécutive
oit sillon qui le sépare du pulvinar; elles contribuent à formcr le bras du tubercule quadrijumeau antérieur et se termi
au antérieur qu suivent, dans une partie de leur trajet, la voie du bras du tubercule qua drijumeau antérieur (Voy. p. 7
iques de Gratiolet (Voy. cas Cour- rière, p. 109, Fig. 80 à 86; cas Bras , p. 1-15, Fig. 87 à 95) ne dépassent pas, en gé
eau moyen et l'islhme postérieur de Ilis.- D'après Retzius. BrQa, bras du tubercule quadrijumeau antérieur. - BrQp, br
Retzius. BrQa, bras du tubercule quadrijumeau antérieur. - BrQp, bras "du tubercule quadrijumeau postérieur. - fui, fibr
ièce que celle des Fig. 340,338 et 334. B, bulbe rachidien. - BrQp, bras du tubercule quadrijumeau postérieur. - esl, écha
e pièce durcie dans la bichromate. 811, bandelette optique. - BrQa, bras du tubercule quadrijumeau antérieur. - BrQp, br
optique. - BrQa, bras du tubercule quadrijumeau antérieur. - BrQp, bras du tubercule qua- drijumeau postérieur. - Cge,
ue et le taenia pontis. (D'après Retzius.) Grandeur nature. l3rQp, bras du tubercule quadrijumeau postérieur. - cops, c
6, S 7, Fig. 396, 414, 415). Pédoncules cérébelleux moyens (Pcm), bras du pont, brachium pontis, processus ou entra ce
7 i) dans le sillon qui sépare ce corps du faisceau do Tiirck et du bras du tuber- cule quadrijumeau postérieur. Les une
de Marchi.) Il existe, en outre, dans ce cas, une dégénérescence du bras du tubercule quadri- CONFIGURATION INTÉRIEURE D
aire commun. Mé- thode de Weigert-Pal. 3/1 Grandeur nature. BrQp, bras du tubercule quadrijumeau postérieur. - Cge, corp
fond en s'enfonçant sous le tubercule quadrijumeau postérieur et le bras de ce tubercule. Le segment externe du ruban se
vec elle; sa face convexe est en rapport d'arrière en avant avec le bras du tubercule quadrijumeau poslérieur (BrQp), le
aux fibres cortico- quadrigéminales postérieures qui font suite au bras du tubercule quadri- jumeau postérieur et trave
52 (1870) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 2è année
postérieurs sont encore un peu possibles ; le malade peut avancer le bras et le porter en arrière un peu, mais ces mouvemen
t l'interligne articulaire, suit, en raison de la position déclive du bras , tantôt la gaine bicipitale, tantôt le scapulum,
, il a conservé une très-bonne santé. Mais, comme tout mouvement de bras lui est impossible, qu'il ne peut que le porter u
continuelles depuis quatre ans, qui me permette ensuite d'agir de mon bras , je suis prêt à la subir. » Quand j'ai laissé e
-coracoïdienne et l'arti¬culation scapulo-humérale. Quand on élève le bras , le premier mou¬vement se passe dans l'articulati
n, et c'est à cela qu'est due l'impossibilité actuelle d'élévation du bras . Ainsi, la première fusée ne prouverait pas que
lade. En ce moment il n'a pas de mouvement de l'articulation, il a le bras collé au corps, il peut à peine le porter en avan
es qui ont été opérés, et vous jugerez de l'étendue des mouvements du bras qui en est résultée. Nous débarrasserons donc,
e par le nez, mais à condition qu'on lui maintiendrait la tête et les bras . La sonde a été passée facilement, et nous lui av
La mobilité physiologique de ce dernier os permettait l'élévation du bras jusqu'à le porter hori¬zontalement, et c'est seul
tari chez ce malade, auquel M. Nélaton avait néanmoins conservé son bras . Des ostéites successives, des nécroses, ont néce
l'aisselle, l'autre à la partie supérieure, postérieure et externe du bras , furent ouverts par M. Dolbêau, qui explora à plu
gêne des mouvements était complète, et le malade ne pouvait remuer le bras gauche qu'en se servant de sa main droite. L'ép
ïde, en se contractant, faisait exécuter au moignon de l'épaule et au bras des mouvements relativement assez étendus et très
ve des frissons, un malaise général, des douleurs dans l'épaule et le bras gauches, ainsi que dans la moitié gauche des paro
, dit-il, une amélio¬ration notable. La douleur n'existe plus dans le bras gauche, non plus que dans l'épaule, mais elle per
marche très-régulière, mis en action et arrêté à volonté par un petit bras de levier ; se montant par une petite clef fixe e
s et les traces évidentes d'un suintement ; à la ceinture et sous les bras existait un érythème parfaitement sec, se dévelop
mi-flexion sur le bassin, la jambe en demi-flexion sur la cuisse ; le bras gauche est supporté par des coussins et le droit
lade fait de lui-même observer que les mouvements qu'il imprime à son bras gauche dans l'exer¬cice de sa profession, surtout
Pendant la convalescence de sa fièvre éruptive, est survenue sur les bras une nouvelle éruption composée de taches d'un rou
augmenté d'épaisseur et sont plus nombreuses, principalement sur les bras , où leur forme en coquillages est aussineltequepo
ers les oreilles, dans le cuir chevelu. Quelques-unes des croûtes des bras et du ventre sont tombées, laissant à leur place
orte ces deux pre¬miers systèmes. L'ophthalmoscope est monté sur un bras de levier horizontal qui porte à une de ses extré
e ses extrémités le miroir M et à l'autre extrémité la lentille L. Ce bras de levier est susceptible de s'allonger ou de se
Otite. — Abcès ganglionnaires. — Scrofulides cutanées de la face, des bras . — Scrofidide osseuse des doigts, des orteils, et
t s'est terminé par une cicatrice irré¬gulière. Puis, des lésions des bras et des avant-bras, abcès ou scro-fulides, dont l'
de cet appendice digital sont très-bornés. La moitié inférieure du bras gauche, la région postérieure du coude, \avant-br
ndre, car : 1° Le point d'appui solide que la membrane prend sur le bras ou sur le cœur, empêche sa dilatation par le choc
aux mains et aux pieds, principalement dans les appendices, dans les bras et les jambes et à la base du thorax. Ces douleur
én... s'est aperçue, pour la première fois ce matin, qu'elle avait le bras enflé depuis l'épaule jusqu'au coude, du côté dro
s entre eux, sont les suivantes : droit. gauche. Circonférence du bras au niveau du creux axillaire. 30 centim. 22 centi
au niveau du creux axillaire. 30 centim. 22 centim. Circonférence du bras immédiatement au-dessus du pli du coude........
s supérieur de l'avant-bras droit, avec un gonflement plus mar¬qué du bras dans toute sa hauteur, mais principalement au niv
es mouvements, n'y réveil¬lent aucune sensation pénible; seulement le bras semble lourd à la malade. Le pouls, petit, régu
e d'incoordi¬nation des mouvements dans le membre supérieur droit. Le bras gauche, au contraire, était affecté d'une ataxie
au contraire, était affecté d'une ataxie indubitable. Aujourd'hui, le bras droit présente, à son tour, une incoordination tr
ntir, pour ainsi dire, à chaque mouvement. 30 nov. Le gonflement du bras s'est à peu près tout à fait dissipé ; mais il y
uation se perçoit très-nettement. Lorsqu'on imprime des mouvements au bras , on reconnaît que la tête de l'humérus se luxe en
très-bruyants. La Planche XXV représente avec exactitude l'aspect du bras et de l'épaule à cette époque de l'arthropathie.
assez proéminent, mais on dirait que le postôro-inférieur est usé. Le bras droit mesure 26 centimètres de longueur, le gauch
indolores, s'exécutent avec assez de facilité : la malade soulève son bras , porte la main sur la tête, vers le dos, etc. L
as, porte la main sur la tête, vers le dos, etc. La faradisation du bras et de l'avant-bras produit des mouve¬ments aussi
part quelques craquements perçus par la malade lorsqu'elle élevait le bras , les lésions articulaires n'ont été précédées d'a
ions, et occupait non-seulement la région de l'épaule, mais encore le bras , le coude et une partie de l'avant-bras. La planc
dessin de MM. Charcot et Rosapelly donne une idée exacte de l'état du bras à cette époque de la mala¬die. Ce gonflement s'ac
elques jours le gonflement diminua; l'avant-bras, puis le coude et le bras revinrent à leurs dimensions anciennes. Par contr
pouvait marcher que très-difficilemeut ; son mari la prenait dans ses bras au sortir du lit et l'asseyait sur un fauteuil. O
53 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
eu, ébrieuse. Elle se mit à marcher comme une femme ivre, titubant, bras et jambes écartées. Une certaine ataxie des mem
cause des oscillations du tronc dont il corrige les écarts avec ses bras en guise de balancier. Il n'a pu reprendre la mar
que lorsqu'il eut fait une éducation volitionnelle suffisante de ses bras , lorsqu'il eut appris à en faire des balanciers
rois user d'une trop vive métaphore en disant qu'il marche avec ses bras . L'occlusion des yeux n'aug- mente pas ses trou
entièrement accaparée et occupée par les images de l'équilibre. Ses bras lui sont d'un tel secours que si on les attache,
on du tronc, sollicitée par exemple par le soulèvement d'haltères à bras tendus en avant (lig. 2). ons maintenant ce qui
lus ou moins considé- rable existe entre les condyles fémoraux, les bras sont maintenus un peu éloi- gnés du tronc. Assi
ncurvation et celle du rachis contribuent à diminuer sa taille. Les bras conservant leur longueur normale semblent trop lo
r d'un enseigne reçut sept coups d'épée sur la tête, quatre sur les bras , un sur l'épaule droite. Son maître fit creuser
rai quelques types : « Monstre marin ayant la tête d'un ours et les bras d'un singe » ; « Monstre marin ayant la tête d'
Saint exorcisant un malade, possédé ou « lunatique », qui porte aux bras les fers avec lesquels on avait coutume d'immob
ts et graciles, peu musclés ; obésité remarquable. Mou- vements des bras libres, les jambes par contre sont ankylosées. Ex
e très enfantine c'est vrai, mais correcte et sensée. Motilité. Les bras ne furent jamais paralysés mais les mouvements de
atéralité des globes oculaires, et de l'autre par une hémiplégie du bras et de la jambe, atteignant très lé- gèrement ta
istique des tumeurs cérébrales, démarche ébrieuse, hémipa- résie du bras et de la jambe droite. Légère asymétrie de la fac
de morphine. 7 janvier. Même état, douleurs insupportables dans le bras droit. 23. Altération dans le psychisme du mala
eux. 12. Le malade a eu un accès de mouvements spasmodiques dans le bras et la jambe droite sans perte de conscience, po
éritable accès de crampes musculaires dissociées dans le domaine du bras et de la jambe droits ; ces spasmes eurent d'ai
nues, persistantes siégeant au niveau de la face, de l'épaule et du bras droit. L'explication pathogénique de ces douleu
mbe gauche, son avant-bras gauche reste fléchi à angle droit sur le bras , sa main est en flexion sur l'avant-bras, les pre
e de la main, qui ne démangeaient pas. Leur siège était varié : les bras , le tronc, les fesses, la tête sous les cheveux.
, chaque hémi-thorax ayant les mêmes dimen- sions. Les muscles du bras droit ne paraissent pas atrophiés. Palpation. V
ade devait, en se faisant glisser le long d'un poteau,infléchir son bras droit,de façon à amener la para-thoracique droi
ssoufflement dès qu'il monte un escalier. Il souffre pour élever le bras droit. UN CAS DÉFORMATION THORACIQUE PRÉCOCE 21
malade se sert de préférence maintenant, bien que droitier, de son bras gauche pour les tra- vaux des champs. Il accu
i fut atteinte d'uneparalysie radiculaire supérieure et inférieure du bras droit, consécutive à un accident d'automobile.
bras droit, consécutive à un accident d'automobile. La paralysie du bras fut complète, avec contracture du biceps. En ce
ntracture du biceps. En ce moment le malade se sert facilement de son bras droit, seule la main a conservé encore une form
ns de la disposition suivante : nous prions le malade d'étendre son bras atteint de telle sorte que le bras, l'avant-bras
s prions le malade d'étendre son bras atteint de telle sorte que le bras , l'avant-bras et la main se trouvent en extensi
sorte de voûte, la voûte des crampes professionnelles. En mettant le bras tendu sur une surface plane, sur une table par
de 50 grammes jusqu'à 300-400. Voici comment on opère : on place le bras du patient sur le bord du bureau, de telle sort
, et par la flexion de l'index et du petit doigt, la main, l'avant- bras et le bras étant en extension complète, comme le
flexion de l'index et du petit doigt, la main, l'avant- bras et le bras étant en extension complète, comme le montre la P
re la PI. XXX. Ceci fait, le patient reste quelques moments avec le bras tendu. Après quoi, il fait tourner la canne aut
sur une table ouïe dossier d'une chaise. Il supporte alors sur ses bras tout le poids du haut' de son corps, en même temp
nécessite absolue où se trouve le malade de faire supporter par ses bras tout le poids du haut de son corps lorsqu'il ve
omplètement paralysé est dans une attitude très caractéristique. Le bras est collé contre le tronc ; il semble y avoir un
niveau du poignet la main est en flexion à angle droit sur l'avant- bras et en même temps il y a un certain degré d'inclin
aphasie remontant à 3 ans. L'avant-bras est fortement fléchi sur le bras , le poignet et la main ont une attitude analogu
fficilement s'asseoir dans son lit, il lui est impossible de tenir un bras élevé, elle n'arrive pas à soulever les jambes
l'effet utile. Si l'on prescrit par exemple à la malade de tenir le bras fléchi et qu'on cherche à l'étendre, on ressent a
depuis le commencement de sa maladie. Jamais de douleurs dans le bras et la main. Cet état, qui d'intermittent était
sont les suivants. Il a marché tard, vers 3 ans 1/2. S'est cassé le bras à 7 ans, par chute de voiture. Il a commencé à tr
la force des poignets, grimper à la barre fixe. Dans l'abduction du bras , la main soulevant un fardeau, la tête de l'hum
al n'est cependant pas complète ; on ne peut croiser en arrière les bras relevés. La colonne vertébrale n'est pas déviée
et Sainton qui ne pouvait pas porter long- temps son enfant sur les bras . Par contre tous ces sujets présentent une mobi
euse, elle n'a aucune action sur le développement des mouvements du bras qui sont normaux ou plus que normaux. » 2° L'as
ment. 40 Il ne nous a pas semblé dans ces différents cas que les bras et les épaules tombent en avant et en bas d'une
mble qu'il y ait dans cette position une dispa- rition complète des bras , et de leurs racines ne laissant voir que le tho-
esque effacé : crâne aplati. Musculature moyenne, non atrophique. Bras en demi-flexion, les poignets ramenés en avant du
nts des jambes possibles, mais lents et tremblants. Tremblement des bras dans les mouvements. Expression stupide de la fac
un clignottement rapide des paupières. Tremblement intentionnel aux bras . 1874. Impossibilité de tirer la langue hors de
. Mouvements faciaux associés pendant la parole. Les mouvements des bras se font lentement, par secousses ; ils sont tre
frère. Raideur du dos, du cou et des jambes, moins intense dans les bras . Réflexes très forts; Pas de clonus. Démarche s
olide qu'auparavant ; il lui semblait surtout que la force dans les bras et les jambes avait beaucoup diminué. Peu de te
pouvait à peine porter la cuillère à la bouche, le plus souvent son bras commençait à trembler et il versait tout le con
ait pas soutenu par quelqu'un ; il ne pouvait plus se servir de ses bras pour manger, s'habiller; etc. Pendant son séjou
l'hôpital il ne pouvait manger seul, c'est-à-dire se servir de ses bras par suite de leur fai- blesse et parce que chaq
une ligne droite, et celle du bord interne par une ligne concave. Les bras ne présentent plus qu'une légère masse musculai
dynamométrique à chaque main est zéro. La circonférence de l'avant- bras , à 10 centimètres au-dessus de l'apophye styloïde
timètres à droite et 14 cent. 1/2 à gauche. , La circonférence du bras , à 10 centimètres au-dessus de l'épitroclilée (pr
scapulo-humérale il peut exécuter quelques mouvements : relever le bras jusqu'au plan horizontal à droite, moins à gauche
s. Quelquefois des douleurs de caractère fulgurant lui traversent les bras et le tronc. Les réflexes cutanés, crémastéri
ême temps la réaction longi- tudinale de Doumer, jusqu'à hauteur du bras . Nerf médian, 10 m. A., contractions musculaire
sommet de cet angle, marqué par un gros plis cutané, est séparé du bras pendant le long du corps, par un espace où loge
le début des accidents. ' L'enfant arrive à l'hôpital portéesur les bras , incapable de marcher, mais son aspect est supe
nt debout : elle se tint, avec une grande difficulté, boudeuse, les bras écartés, oscillante, se remettant après des esq
e, elle consentit à marcher seule, titu- bante, comme ébrieuse, les bras en balancier ; pendant les premiers pas ses jam
romélie porte également sur les quatre membres. Après extension des bras , les doigts, au lieu d'atteindre et de dépasser l
le suivant. Il est plus accusé, relativement, pour la cuisse et le bras , que pour la jambe et l'avant-bras, et n'intére
nt-bras, et n'intéresse que peu le pied et la main. La cuisse et le bras ; normalement plus 488 PORAK ET DURANTE longs
timètres, correspondant à un diamètre de 3 1/2 cent., égal pour le bras et l'a- vant-bras ; la longueur totale du membr
1/2 pour la jambe. Dans une autre observation (1902) la longueur du bras était de 2 centimètres et son diamètre transver
ons et même dans la continuité des segments, transformant ainsi les bras , les jam- bes, les cuisses en petits cylindres
t encore plus chez t'achondropiase adulte que chez le foetus. Les bras , forts et musclés, tenus un peu écartés du corps
t le type rhizomélique (P. Marie), c'est-à-dire que la cuisse et le bras , normalement plus longs que la jambe et l'avant
nous a représenté les membres des éiéphantiasiques. En remuant les bras , les avant-bras, les jambes et les cuisses, on
s nous montrent même, chez ces peuplades, un allongement exagéré du bras avec des membres inférieurs présentant des dimens
l'olécrâne à l'apophyse sty- loïde du cubitus = 16 centimètres. Le bras de l'épitroclilée à l'acromion =16 cent. 1/2. D
PLACIITA cine des membres sont plus courts que les mésoméliques (le bras . et la cuisse sont plus courts que l'avant-bras
rsement dans la proportion normale. Dans le cas de Huet-Caruette le bras = 12 centimètres, l'avant-bras = 15 centimètres
ux mésoméliques. Pierre Marie chez son malade Anatole trouve que le bras = 13 centimètres,l'avant-bras =17 cent. 7, la c
centimètres, la jambe = 24 centimètres. Chez le malade Claudius le bras = 11 centimètres, l'avant-bras = 15 centimètres,
mbe = 22 cent. 2. Dide et Leborgne chez leur malade trouvent que le bras = 22 centimètres, l'avant-bras = 26 centimètres
oméliques plus longs que les mésoméliques. Dans le cas de Parrot le bras = 15 centimètres, l'avant-bras = 14 centimètres ;
= 19 centimètres. Dans l'un des cas d'Apert (le malade Sicard), le bras =18centimètres,Pavanl-bras = 14 centimètres. Il
ononcée aux membres supérieurs. Ainsi chez le malade de Ces- tan,le bras = 13, l'avant-bras = 22, mais cuisse et la jambe
a micromélie rhizomélique prédomine aux extrémités inférieures : le bras = 11 cent. 1, l'avant-bras = Il cent. 1 ; la cu
dernier. - Chez notre malade nous avons les dimensions suivantes le bras = 16 cent. 5 ; l'avant-bras = 16 centimètres ;
ine adresse les autres malades et le personnel de FiG. 6. Les os du bras et de l'avant-bras de ce^même malade comparésjave
seulement aux membres inférieurs mais aussi aux membres supérieurs ( bras = 18, avant-bras = 14 cm.). En ce qui concerne
l- let (64) elle correspond à une taille de 1 m. 20. La longueur du bras au contraire correspond à une taille de 1 m. 63
s 4 membres des altérations de la même nature a laissé indemnes les bras et les avant-bras tandis que les jambes et les
edème il ne peut remuer ses jambes que très difficilement, mais les bras ont conservé leurs mouvements. Le tremblement est
ne compression exercée sur le nerf, le malade s'étant endormi avec le bras appuyé sur la planche latérale du lit. 29. -
doigts. Peu à peu l'atrophie avait envahi les avant-bras, puis les bras : mais mal- gré les atrophies très nettes décri
ent sont plus mous que nor- malement. Il peut d'ailleurs porter les bras en haut. Le grand pectoral est petit, surtout d
petit, surtout dans la partie interne de son faisceau claviculaire. Bras . - Le triceps a presque totalement disparu : le m
extension. Il ne peut obtenir la rectitude qu'en laissant tomber le bras le long du corps. Si on pince la région postéri
mber le bras le long du corps. Si on pince la région postérieure du bras , c'est à peine si on a la sensation d'un peu de
ance dans les mouvements de flexion forcée. La région antérieure du bras est également très atrophiée, mais à un moin- d
iée, mais à un moin- dre degré que le triceps. Le malade fléchit le bras et résiste assez bien aux mouvements d'extensio
qu'à droite, un peu moins marquée et le grand pectoral, lorsque le bras est élevé à angle droit ne présente pas la dépr
nservée. Les réflexes rotuliens et achilléens sont douteux, ceux du bras et de l'avant- bras sont abolis. Les réflexes c
s rotuliens et achilléens sont douteux, ceux du bras et de l'avant- bras sont abolis. Les réflexes cutanés (crémastérien e
as, par leur simplicité extrême à toute critique médicale, tels les bras et jambes de bois qui, par centaines, en d'autr
ossible à droite ; à gauche elle se fait mais avec participation du bras ; les deux mains, en demi- pronation, demeurent
tée. Son père et son grand-père paternel avaient, aux jambes et aux bras , depuis leur enfance des tumeurs analo- gues.
ONCTIONNELLE (PI. LiVII). - L'examen du sujet au repos, lorsque les bras sont pendants naturellement le long du corps, n
e qu'à gauche. Les photographies représentent le sujet : l'une, les bras au corps, avant-bras en flexion, dans la positi
fixe aux membres supé- rieurs dans le pas gymnastique; l'autre, les bras en croix. Elles accusent par leur relief et leu
particu- lier, il exécute en se jouant une série de mouvements des bras et des épaules à la barre fixe ou à l'aide du b
trapèze (phot. 2), est facilement obtenu ; de même l'élévation des bras se fait sans difficulté. Les mouvements auxquel
férieures et moyennes du trapèze ? « A l'état de repos, lorsque les bras sont pendants, et l'atrophie des muscles scapu-
sujet. Les mouvements de l'omoplate redeviennent normaux dès que le bras a repris une autre position. Tout au moins, cet
nné à l'homme et à la femme que l'on veut réunir, à l'un de doubles bras à l'autre une tête à deux visages. A l'angle qu
bles bras à l'autre une tête à deux visages. A l'angle que forme le bras de la femme, apparaît un profil d'homme à moust
54 (1887) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1886
l'aide des barres parallèles, à marcher soit en lès tenant sous les bras ou à la main, soit au charriot ; on essaie de l
nnés, ainsi que le montrent les mensurations ci-après : Longueur du bras mesurée de l'acromion à l'épicondyle, 19 cent.
2 octobre 4 879).- Père, architecte, présentait une malformation du bras gauche, qui était moins développé que le droit
rmation du bras gauche, qui était moins développé que le droit ; ce bras se terminait par un moi- gnon formé par la régi
ement à terme (à Neuilly-sur-Seine), assez long; on aurait cassé un bras de l'enfant, le droit, croit-on, et démis un po
le même à la main; le thermomètre, appliqué sur la face externe des bras , marque à droite 33°,8, à gauche 34", I . La
39°,8. fer avril. - L'érysipèle a pâli au niveau de l'épaule et du bras , il prend un aspect rouge-clair moucheté ; le b
let fait défaut; la peau n'est ni chaude, ni résistante. La peau du bras est le siège d'une desquamation furfuracée. Le
9o. J Soir : 39°,8. 2. - Envahissement de la partie inférieure du bras et supérieure de l'avant-bras droit par l'érysi
lle atteint seulement le mame- lon ; de plus, elle a envahi tout le bras et l'avant-bras, s'arrêtant brusquement par une
du côté droit elle atteint éga- lement le mamelon, a envahi tout le bras et l'avant-bras, s'arrê- tant brusquement par u
ptique; le père, intelli- gent, présentait seul une malformation du bras gauche, et, sauf une cousine de la mère au troi
dent tout d'un coup aux chevilles ou aux genoux. Les mouvements des bras sont libres, mais elle fait tout lentement et a
uellement, il marche en traînant un peu la jambe droite, soulève le bras droit, peut mettre la Bourneville, 1886. 5 66
IDIOTIE CRÉTINOïDE. proéminent, mais la poitrine est normale et les bras sont bien faits; les mains sont petites, ramass
e est plus longue que le fémur et l'avant-bras est plus long que le bras . Les orteils ne présentent rien de particulier,
, bien portante, mais sujette à des douleurs rhumatismales dans les bras ; pas de migraines. - Grand'mère maternelle : mo
g oui, on ne peut appré- cier sa sensibilité. Les mouvements des bras s'exécutent librement, mais ceux des jambes son
des ali- ments dans la bouche ; aujourd'hui, il avale mieux. Les bras sont à demi fléchis. Si on essaie de les étendre
déterminer une certaine souf- france. L'enfant agite faiblement les bras et n'exécute ja- mais de grands mouvements. La
fléchir, on pro- voque aussitôt une contracture plus marquée qu'aux bras . La sensibilité cutanée des jambes est égalemen
égulier, filiforme, incomptable. 19 mai. Contracture et raideur des bras très diminuées; strabisme interne, surtout à l'
lade ne s'est guère modifié : même aspect extérieur. Contracture du bras droit, réductible avec peine. Membre inférieur
bientôt suivi de maux de tête. Plus tard, faiblesse paralytique du bras et de la jambe droite : le malade ne pouvait pl
le malade ne pouvait plus marcher. Depuis un mois, contracture du bras droit, mastication dif- ficile, pas de vomissem
- rière dès qu'on asseoit l'enfant. ' Extrémités supérieures . Le bras droit est rapproché du corps, fléchi au coude;
e; l'avant-bras est en pronation, le poing est fermé. Mouvements du bras droit presque abolis ; pas d'a- trophie muscula
; pas d'a- trophie musculaire ; excitabilité électrique normale. Le bras gauche est sain. Extrémités inférieures. - Ja
- Jambe droite étendue, pied-bot équin, raideur moins accusée qu'au bras , mouvements con- servés mais mous et peu pronon
lité, maux de tête, somnolence, faiblesse gé- nérale. 30 août. Le bras gauche commence à se contracturer; même état gé
it en haut. On trouve du pus dans l'oreille droite. Les muscles des bras sont également développés des deux côtés. La vo
s, épaules angu- leuses, saillio des clavicules. Circonférence du bras : Droit Gauche A l'aisselle 13 c. 1/2 14 c. A
ts de dents. Un peu de raideur persistante de la jambe droite et du bras droit; raideur du tronc. Ins- piration rude et
sie le 30 avril au matin. - Rigidité cadavérique nulle au cou et au bras droit; presque nulle à la jambe droite; assez p
affaiblissement paralytique du côté droit, avec amai- grissement du bras , rendu très évident par les mensura- tions, don
érieuses, affaiblisse- ment de la jambe droite et amaigrissement du bras . INCURABILITÉ. 141 1 correspondant. Or, nous
janvier 1886. A cette époque, il ne marchait plus, ses jambes, ses bras étaient mous, incapables de déployer la moindre
: très grêles et très amaigris. Deux cicatrices de vaccin à chaque bras ; les doigts à leur extré- mité sont rouges. M
ppe ses mains sur ses yeux, secoue fortement la tête ; il élève les bras et tourne vive- ment les mains; il roule les ye
: la première (octobre 1882) le représente assis et soutenu par les bras d'un fauteuil; la seconde, assis sur une chaise
aisselles, un peu scléreuse sur les épaules, très scléreuse sur les bras . On constate une cyanose très prononcée à la ja
30 septembre 1sus ? , p. 460), on note une amputation spontanée du bras par suite sans doute d'un circu- laire du cordo
ction faible); il est plus difficile d'étendre horizontale- ment le bras . Muscles grêles : deux cicatrices de vaccin sur
- ment le bras. Muscles grêles : deux cicatrices de vaccin sur le bras gauche et une sur le droit. - Les membres in- f
assez abondants sur le devant de la poitrine. Poils grêles sur les bras et les membres inférieurs. 1880. 7 avril. Acc
sans coloration cadavérique. Rigidité assez pronon- cée, surtout au bras gauche. Tissu adipeux assez abon- dant. Muscula
deur do la nuque. Sensibilité générale conservée : Lel.. retire ses bras et ses jambes lorsqu'on les pince. Réflexe rotu
e faite le 19 novembre. La rigidité cadavérique, nulle au cou et au bras gauche, légère à la jambe gauche et au bras dro
e, nulle au cou et au bras gauche, légère à la jambe gauche et au bras droit, est très marquée à la jambe droite. Sugill
55 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
é et humanitaire que j'avais en vue. Il s'agissait de lui faire aux bras deux brûlures symétriquement placées et aussi éga
7 septembre 1886, vers sept heures du soir, je déterminai sur chaque bras , face postérieure, à dix centimètres du poignet,
sur la peau environ une seconde et demie. Je lui 6s poser les deux bras sur la table : je me bornai a lui annoncer, sans
ornai a lui annoncer, sans l'hypnotiser, qu'elle ne sentirait rien au bras droit, et je pratiquai les deux cautérisation
s sont encore aujourd'hui légèrement visibles. Elle n'a rien senti au bras droit ni pendant ni après l'opération. J'entourai
matin, je trouvai les bandes non dérangées. Examen des brûlures. Le bras droit présentait une escarre nette de la largeur
re nette de la largeur exacte du fer sans inflammation ni rougeur. Le bras gauche, une plaie avec cloches enflammées sur une
oches enflammées sur une étendue de trois centimètres de diamètre. Ce bras avait occasionné au sujet une légère douleur pend
sujet une légère douleur pendant la nuit. Pendant que l'escarre au bras droit ne bougeait pas, la brûlure du bras gauche
Pendant que l'escarre au bras droit ne bougeait pas, la brûlure du bras gauche alla s'étendant et empirant. Le jeudi, ell
it beaucoup souffrir le sujet. J'appliquai alors la suggestion à ce bras . A partir de ma parole, la plaie sécha; l'inflamm
position où je les mettrais. Je pus alors piquer avec une épingle le bras de la malade sans que celle-ci parût ressentir au
malade sans que celle-ci parût ressentir aucune douleur, et les deux bras élevés au-dessus de la tête restèrent ainsi quand
complète et l'état cataleptoïde du système musculaire. Une piqûre au bras ne provoqua aucun sentiment de douleur, et les br
re. Une piqûre au bras ne provoqua aucun sentiment de douleur, et les bras mis en arc au-dessus de la téte du patient restèr
un jour, elle tombe dans la rue avec l'enfant qu'elle avait dans les bras . En 1884, à l'âge de dix-neuf ans. elle entre à
plus léger contact sur les extenseurs, puis sur les fléchisseurs des bras , comme des jambes, amène successivement l'extensi
u cubital détermine la griffe. J'ajouterai : que l'entraînement des bras ou des mains dans un mouvement de rotation, o
oire, maman, je veux boire, j'ai faim. » Quelques instants après, son bras droit se contracture, la jambe droite restant en
cé depuis quelque temps â Luysan (il a sept ans). La contracture du bras droit vient de se transférer a gauche. Il est à C
s. Inversement, si on lui ferme le poing avec énergie, si on porte le bras en avant dans l'attitude de la provocation, la ph
mple, une fois en catalepsie, si on excite la peau d'un côte, soit du bras , soit principalement de la face, par des attouche
derrière cette personne, de manière qu'elle ne puisse masquer que mon bras droit. Je touche, dans le dos, cette tierce perso
L... Je supprime de cette façon pour L... des mains, des doigts, des bras , des chapeaux, des têtes même, des objets quelcon
rtement relevée, et le regard est fixe, épouvanté. En même temps, les bras sont raidis et les mains, croisées l'une sur l'au
able mouvement de colère, suscité par l'instinct de sa protection. Le bras droit, alors, comme on peut le voir sur la photog
les yeux, tournés vers l'objet menaçant, sont chargés de colère ; le bras gauche reste contracture. Il ne faudrait pas insi
t de sérénité parfait. Le sujet repose mollement sur le fauteuil, ses bras sont libres, son regard est vague et langoureux,
vous n'avez pas la précaution de le soutenir et de l'entourer de vos bras , vous le voyez alors tomber soudain à terre, foud
aordinaire, du reste, de voir un morceau de fer, de zinc, posé sur le bras , bouleverser la sensibilité dans l'organisme, qu'
battre, se sent-il pressé par son adversaire, immédiatement c'est le bras gauche qui entre en jeu, parce que, en dépit de l
gauche qui entre en jeu, parce que, en dépit de l'éducation, c'est le bras gauche qui est le plus vigoureux. De même, s'il
nt je parle, bien que pouvant lancer un projectile alternativement du bras droit et du bras gauche, est plus adroit du bras
que pouvant lancer un projectile alternativement du bras droit et du bras gauche, est plus adroit du bras gauche que du dro
e alternativement du bras droit et du bras gauche, est plus adroit du bras gauche que du droit. Il en est de même à l'escrim
nds soins. Je m'aperçus alors qu'elle portait son petit enfant sur le bras gauche : à la remarque que je lui en fis, elle me
e je lui en fis, elle me répondit qu'elle avait toujours porté sur le bras gauche les deux enfants qu'elle avait nourris.
nourris. Je lui recommandai alors de porter le petit enfant sur le bras droit. Quelques mois après, cet enfant avait comp
qu'il a déjà 10 ans. Quand la nourrice porte son nourrisson sur le bras gauche, c'est aussi le bras gauche de l'enfant qu
d la nourrice porte son nourrisson sur le bras gauche, c'est aussi le bras gauche de l'enfant qui est en avant, et c'est do
a gaucher. Mais comme 99 nourrices sur 100 portent les enfants sur le bras droit, ces enfants se servent du bras droit qui e
100 portent les enfants sur le bras droit, ces enfants se servent du bras droit qui est en avant pour saisir les objets et
ucher comme le deuxième, si sa mère avait continué à le porter sur le bras gauche. rajouterai, pour finir, qu'il n'y a pas
rps dormait et mon esprit était très éveillé. Aussi je me sentais les bras et les jambes si lourds qu'il m'eût été presque i
ce plus profonde et rapide. Catalepsie suggestive prononcée. Les deux bras soulevés restent en l'air, le malade ne peut les
e aliénée. Elle présentait quelques symptômes d'hystérie, mouvait les bras l'un autour de l'autre. Venait-on à empêcher ce m
sommeil bien profond. On vil réapparaître le mouvement convulsif des bras , mais peu de temps, et, en les maintenant, on ne
elle se léchait l'épaule, puis sont survenus des mouvements dans les bras . Vers l'âge de douze ans, on a commencé à entendr
lle a des mouvements incessants dans la tête, dans le cou et dans les bras . Elle pousse des cris qui s'entendent à une grand
ire des mots sales, mais ils sont dissimules, les mouvements dans les bras ont disparu et le caractère s'est considérablemen
se une sensation de faiblesse vers la tête, absence de force dans les bras et de l'oppression caractérisée par une sensation
r. — « Vous vous engourdissez... L'engourdissement se propage à vos bras et à vos jambes. — » Vous éprouvez une sensatio
a dormir d'un sommeil déplus en plus profond. Si on lui soulève les bras , souvent on les voit rester en l'air, en état de
ffirmer qu'il ne peut plus les abaisser. On peut aussi imprimer aux bras un mouvement de rotation l'un autour de l'autre,
le d'aliénés, a fait apparaître, par suggestion, une hémorrhagie à un bras ; ultérieurement, il a publié, avec M. Ramadier,
professeur à Rochefort, a fait, par suggestion, apparaître, aux deux bras , des ecchymoses qui persistaient encore après tro
s, j'eus l'idée de lui donner deux ordres contradictoires : tenir les bras écartés et cirer sans rapprocher les mains. Une a
nir, il suggère à Mme Chassin qu'elle est atteinte d'une paralysie du bras et il lui ordonne de se rendre deux heures après
et inexplicable puisse avoir lieu dans sa plénitude, il faut que les bras de l'enfant soient placés sous la couverture du l
ait normale partout. Elle sentait très bien les piqûres d'épingle aux bras , aux mains et aux jambes. Pendant que je la soume
rquer qu'elle était môme tout à fait insensible aux étincelles sur le bras et la jambe gauches. Elle se récria au premier ab
s seuls participent au mouvement , tandis que dans le second c'est le bras tout entier qui agit. [Il est probable que, dans
it la malade ; il devait passer. « à neuf heures, la portant dans ses bras . » La concierge, surprise, lui affirme qu'elle
aître à peu près complètement. Il n'existe plus de gesticulations des bras ni de mouvements d'épaule et de tête: très neu de
nsi, quand elle se retenait de dire des mots, les mouvements dans les bras étaient plus violents: il se produisait une sorte
terre aura cette spécialité et pas une autre, et celui qui donne son bras à mordre à la vipère cornue ne tentera pas de dév
lissement du système nerveux et qui avait été subitement paralysé des bras et des jambes, à la suite d'un effroi subit. Il
ouverait un sentiment de soulagement tout à fait particulier dans les bras , que la paralysie cesserait pour ainsi dire imméd
ence du père et de la mère de cette dernière ; on lui remit entre les bras un poupon formé de quelques morceaux d'étoffe ; i
est ainsi que l'enfant conserve la position fatigante qu'on donne aux bras ou aux jambes. Aux questions qu'on lui pose, il n
56 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
é et humanitaire que j'avais en vue. Il s'agissait de lui faire aux bras deux brûlures symétriquement placées et aussi éga
7 septembre 1886, vers sept heures du soir, je déterminai sur chaque bras , face postérieure, à dix centimètres du poignet,
sur la peau environ une seconde et demie. Je lui 6s poser les deux bras sur la table : je me bornai a lui annoncer, sans
ornai a lui annoncer, sans l'hypnotiser, qu'elle ne sentirait rien au bras droit, et je pratiquai les deux cautérisation
s sont encore aujourd'hui légèrement visibles. Elle n'a rien senti au bras droit ni pendant ni après l'opération. J'entourai
matin, je trouvai les bandes non dérangées. Examen des brûlures. Le bras droit présentait une escarre nette de la largeur
re nette de la largeur exacte du fer sans inflammation ni rougeur. Le bras gauche, une plaie avec cloches enflammées sur une
oches enflammées sur une étendue de trois centimètres de diamètre. Ce bras avait occasionné au sujet une légère douleur pend
sujet une légère douleur pendant la nuit. Pendant que l'escarre au bras droit ne bougeait pas, la brûlure du bras gauche
Pendant que l'escarre au bras droit ne bougeait pas, la brûlure du bras gauche alla s'étendant et empirant. Le jeudi, ell
it beaucoup souffrir le sujet. J'appliquai alors la suggestion à ce bras . A partir de ma parole, la plaie sécha; l'inflamm
position où je les mettrais. Je pus alors piquer avec une épingle le bras de la malade sans que celle-ci parût ressentir au
malade sans que celle-ci parût ressentir aucune douleur, et les deux bras élevés au-dessus de la tête restèrent ainsi quand
complète et l'état cataleptoïde du système musculaire. Une piqûre au bras ne provoqua aucun sentiment de douleur, et les br
re. Une piqûre au bras ne provoqua aucun sentiment de douleur, et les bras mis en arc au-dessus de la téte du patient restèr
un jour, elle tombe dans la rue avec l'enfant qu'elle avait dans les bras . En 1884, à l'âge de dix-neuf ans. elle entre à
plus léger contact sur les extenseurs, puis sur les fléchisseurs des bras , comme des jambes, amène successivement l'extensi
u cubital détermine la griffe. J'ajouterai : que l'entraînement des bras ou des mains dans un mouvement de rotation, o
oire, maman, je veux boire, j'ai faim. » Quelques instants après, son bras droit se contracture, la jambe droite restant en
cé depuis quelque temps â Luysan (il a sept ans). La contracture du bras droit vient de se transférer a gauche. Il est à C
s. Inversement, si on lui ferme le poing avec énergie, si on porte le bras en avant dans l'attitude de la provocation, la ph
mple, une fois en catalepsie, si on excite la peau d'un côte, soit du bras , soit principalement de la face, par des attouche
derrière cette personne, de manière qu'elle ne puisse masquer que mon bras droit. Je touche, dans le dos, cette tierce perso
L... Je supprime de cette façon pour L... des mains, des doigts, des bras , des chapeaux, des têtes même, des objets quelcon
rtement relevée, et le regard est fixe, épouvanté. En même temps, les bras sont raidis et les mains, croisées l'une sur l'au
able mouvement de colère, suscité par l'instinct de sa protection. Le bras droit, alors, comme on peut le voir sur la photog
les yeux, tournés vers l'objet menaçant, sont chargés de colère ; le bras gauche reste contracture. Il ne faudrait pas insi
t de sérénité parfait. Le sujet repose mollement sur le fauteuil, ses bras sont libres, son regard est vague et langoureux,
vous n'avez pas la précaution de le soutenir et de l'entourer de vos bras , vous le voyez alors tomber soudain à terre, foud
aordinaire, du reste, de voir un morceau de fer, de zinc, posé sur le bras , bouleverser la sensibilité dans l'organisme, qu'
battre, se sent-il pressé par son adversaire, immédiatement c'est le bras gauche qui entre en jeu, parce que, en dépit de l
gauche qui entre en jeu, parce que, en dépit de l'éducation, c'est le bras gauche qui est le plus vigoureux. De même, s'il
nt je parle, bien que pouvant lancer un projectile alternativement du bras droit et du bras gauche, est plus adroit du bras
que pouvant lancer un projectile alternativement du bras droit et du bras gauche, est plus adroit du bras gauche que du dro
e alternativement du bras droit et du bras gauche, est plus adroit du bras gauche que du droit. Il en est de même à l'escrim
nds soins. Je m'aperçus alors qu'elle portait son petit enfant sur le bras gauche : à la remarque que je lui en fis, elle me
e je lui en fis, elle me répondit qu'elle avait toujours porté sur le bras gauche les deux enfants qu'elle avait nourris.
nourris. Je lui recommandai alors de porter le petit enfant sur le bras droit. Quelques mois après, cet enfant avait comp
qu'il a déjà 10 ans. Quand la nourrice porte son nourrisson sur le bras gauche, c'est aussi le bras gauche de l'enfant qu
d la nourrice porte son nourrisson sur le bras gauche, c'est aussi le bras gauche de l'enfant qui est en avant, et c'est do
a gaucher. Mais comme 99 nourrices sur 100 portent les enfants sur le bras droit, ces enfants se servent du bras droit qui e
100 portent les enfants sur le bras droit, ces enfants se servent du bras droit qui est en avant pour saisir les objets et
ucher comme le deuxième, si sa mère avait continué à le porter sur le bras gauche. rajouterai, pour finir, qu'il n'y a pas
rps dormait et mon esprit était très éveillé. Aussi je me sentais les bras et les jambes si lourds qu'il m'eût été presque i
ce plus profonde et rapide. Catalepsie suggestive prononcée. Les deux bras soulevés restent en l'air, le malade ne peut les
e aliénée. Elle présentait quelques symptômes d'hystérie, mouvait les bras l'un autour de l'autre. Venait-on à empêcher ce m
sommeil bien profond. On vil réapparaître le mouvement convulsif des bras , mais peu de temps, et, en les maintenant, on ne
elle se léchait l'épaule, puis sont survenus des mouvements dans les bras . Vers l'âge de douze ans, on a commencé à entendr
lle a des mouvements incessants dans la tête, dans le cou et dans les bras . Elle pousse des cris qui s'entendent à une grand
ire des mots sales, mais ils sont dissimules, les mouvements dans les bras ont disparu et le caractère s'est considérablemen
se une sensation de faiblesse vers la tête, absence de force dans les bras et de l'oppression caractérisée par une sensation
r. — « Vous vous engourdissez... L'engourdissement se propage à vos bras et à vos jambes. — » Vous éprouvez une sensatio
a dormir d'un sommeil déplus en plus profond. Si on lui soulève les bras , souvent on les voit rester en l'air, en état de
ffirmer qu'il ne peut plus les abaisser. On peut aussi imprimer aux bras un mouvement de rotation l'un autour de l'autre,
le d'aliénés, a fait apparaître, par suggestion, une hémorrhagie à un bras ; ultérieurement, il a publié, avec M. Ramadier,
professeur à Rochefort, a fait, par suggestion, apparaître, aux deux bras , des ecchymoses qui persistaient encore après tro
s, j'eus l'idée de lui donner deux ordres contradictoires : tenir les bras écartés et cirer sans rapprocher les mains. Une a
nir, il suggère à Mme Chassin qu'elle est atteinte d'une paralysie du bras et il lui ordonne de se rendre deux heures après
et inexplicable puisse avoir lieu dans sa plénitude, il faut que les bras de l'enfant soient placés sous la couverture du l
ait normale partout. Elle sentait très bien les piqûres d'épingle aux bras , aux mains et aux jambes. Pendant que je la soume
rquer qu'elle était môme tout à fait insensible aux étincelles sur le bras et la jambe gauches. Elle se récria au premier ab
s seuls participent au mouvement , tandis que dans le second c'est le bras tout entier qui agit. [Il est probable que, dans
it la malade ; il devait passer. « à neuf heures, la portant dans ses bras . » La concierge, surprise, lui affirme qu'elle
aître à peu près complètement. Il n'existe plus de gesticulations des bras ni de mouvements d'épaule et de tête: très neu de
nsi, quand elle se retenait de dire des mots, les mouvements dans les bras étaient plus violents: il se produisait une sorte
terre aura cette spécialité et pas une autre, et celui qui donne son bras à mordre à la vipère cornue ne tentera pas de dév
lissement du système nerveux et qui avait été subitement paralysé des bras et des jambes, à la suite d'un effroi subit. Il
ouverait un sentiment de soulagement tout à fait particulier dans les bras , que la paralysie cesserait pour ainsi dire imméd
ence du père et de la mère de cette dernière ; on lui remit entre les bras un poupon formé de quelques morceaux d'étoffe ; i
est ainsi que l'enfant conserve la position fatigante qu'on donne aux bras ou aux jambes. Aux questions qu'on lui pose, il n
57 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nson-Zuède', on trouve de l'aphasie et une pa- ralysie localisée au bras droit. Ces accidents furent transitoires. Il
impossible. Il n'y a pas de contractures bien nettes; toutefois, le bras gauche a une tendance à la flexion permanente.
traces de sucre, cette femme fut prise de convulsions toniques des bras et des jambes. Ces convulsions survenaient par
trouve un matin marmotant quelques mots inintelligibles, et avec le bras gauche paralysé ; le lendemain, elle est prise po
sieurs jours; en trois jours, elle recouvre la parole et l'usage du bras ; mais l'intelligence est plus obtuse que jamais
ccès les plus violents, lesjambes étaient projetées, tandis que les bras subissaient des secousses simultanées constante
uisit une dénutrition sensible. Une paralysie complète se montra au bras gauche, mais cessa spontanément après une durée
ssible les yeux fermés. Les yeux ouverts, elle est possible avec un bras et une canne. Ce qui la rend difficile, c'est n
s. Dans les membres supérieurs, les douleurs ont apparu (mains et bras ) vers 1873, mais sont toujours restées moins vive
tre servi de cette main, le ma- lade éprouvait des douleurs dans le bras gauche et des palpitations. Quand il fut vu par
it d'engourdissement dans tout le côté gauche du corps, la joue, le bras , la jambe et le tronc, plus marqué dans la main
et montant sur ses jambes pour se promener sur le tronc et sur les bras ; cette hallucination est plus fréquente à certa
à une certaine distance du lit; sugges- lions possibles à l'aide du bras droit, impossibles à l'aide.,du gauche. Contrac
ue tout sujet en expérience puisse l'exécuter, c'est l'extension du bras dans une position horizontale, ce bras obéissan
écuter, c'est l'extension du bras dans une position horizontale, ce bras obéissant à la volonté doit être au repos, mais
qu'apparent. Voici le modus f(iciendi du Dr Rieger : On place le bras en expérience entre un kymographe (à une certai
raphe et l'on obtient de cette manière le tracé des mouve- ments du bras , au moyen de la méthode des ombres. Le temps qu
aphe pour accomplir une rotation entière est de deux minutes. Si le bras obéissait à la volonté, nous aurions obtenu sur
périence peut-il se rendre compte du changement de position que son bras a subi dans l'espace pendant l'expé- rience ? J
rience ? Jusqu'à quel point peut-il se rendre compte de combien ce bras s'est abaissé ou s'est relevé ? - J'ai été frap
« Si l'on fait l'expérience sur soi-même et que l'on veut tenir le bras dans une immobilité absolue (le bras étant dans l
même et que l'on veut tenir le bras dans une immobilité absolue (le bras étant dans l'ex- tension et tenant une plume à
respiration même rendait cette immobilité abso- lue, impossible, le bras prenant part aux mouvements de projec- tion du
s au moyen de manipulations simples. Etant ainsi hypnoti- sées, les bras dans l'extension, je les plaçais devant le kymogr
vements respiratoires, nous observons la courbe que nous fournit un bras (l'expérience ayant duré cinq, dix, quinze minu
t quelque temps de l'ordre qu'il a reçu et bien compris de tenir le bras immobile; au bout d'un certain temps, il semble
tte étude est consacré à l'étude anato- tomique et physiologique du bras , qui sert d'instrument à l'acti- vité musculair
aux mêmes lois physiques. Outre l'influence de la respiration, le bras doit lutter contre la force de la pesanteur, au m
santeur, au moyen des muscles qui servent à l'élever. Pour tenir le bras dans la position horizontale, le seul muscle qu
dans cette posi- tion ; lorsque la fatigue musculaire survient, le bras s'abaisse, et il se place alors dans des condit
pensée par les conditions favorables dans les- quelles se trouve le bras par rapport à la pesanteur. Lorsque, chez les p
onclusion qu'il devait dé- ployer moins de force que s'il tenait le bras dans une position horizontale. Cette tendance i
st fléchi. Dans nos recherches, ces tendances du sujet à fléchir le bras ne peuvent être considérées que comme signe de
s tendances aux contractures s'obser- vent dans les fléchisseurs du bras . Un fait connu depuis longtemps c'est qu'à la s
t redresser la colonne vertébrale, se tenait toujours penché; les bras étaient dans la demi-flexion, les mains aussi; to
l se plaignait de tiraillements douloureux dans les fléchisseurs du bras gauche et le sterno-cléido-mastoïdien gauche. A
s l'on pouvait prévoir l'accès sur la courbe; en effet, le tracé du bras gauche remonte à cause de la contracture du bic
par la langue et la moitié droite de la face, puis envahissement du bras et de la jambe du même côté, et enfin des membr
erait de son lit; il a des frayeurs et ne veut coucher que dans les bras de son père. Parfois il ne peut rester assis. E
: parole difficile, grimaces incessantes, mouvements continuels des bras , des jambes. La marche est difficile, titubante
serve. Une fois que le neurasthénique est aguerri, les vaisseaux du bras répondent promptement par leur rétraction à des
oie et rate ne paraissant pas augmentés de volume. Le patient tient bras et jambes serrés près du corps; les extrémités
onvulsif exclusivement localisé à la moitié gauche de la face et au bras gauche ; répétition de cet accident de plus en
, coma complet; c'est à peine si les convulsions de la face et du bras du côté gauche présentent des intermittences; la
sque absolue, et en même temps limitées à la région du facial et au bras du côté gauche; tout cela élimine le diagnostic
uge. Depuis cette époque, il ne se sent plus aussi vigoureux de son bras gauche, qui souvent, en jouant du violon, lui sem
pontanéité ne se traduit que par des mouvements automati- ques d'un bras , mouvements presque ininterrompus, et toujours
e d'une hyperesthésie excessivement vive. 25. Uchan éprouve dans le bras gauche des douleurs contusives, vagues, sans lo
le début parait remonter au moment où ont apparu les douleurs du bras gauche : la lecture est difficile, presque imposs
- En outre le malade accuse un affaiblissement de la niotilité du bras gauche ; ce membre est devenu lourd, paresseux et
sont perçues avec un léger retard. Les douleurs signalées dans ce bras continuent à se produire avec les mêmes caractère
ntinuent à se produire avec les mêmes caractères. 18. La parésie du bras gauche s'accentue. Les membres inférieurs devie
au delà de quelques minutes. La sensibilité est normale. 25. - Le bras gauche, presque complètement paralysé, ne peut
des sphincters. 3 septembre. - Paralysie et anesthésie absolues du bras gauche qui continue à être le siège de douleurs
olue, intéressant au même degré la motilité et la sensibilité. Le bras droit commence à .se prendre et devient lourd,
ur reprend son rythme, sa contractilité habituels. 18 octobre. Le bras droit, atteint en dernier lieu, est complètemen
eurs spontanées DE LA NÉVRITE SEGMENTAIRE. 345 persistent dans le bras gauche. Aucun trouble de la vessie et du rectum
ncé. 23. Les douleurs ne cessent point de se faire sentir dans le bras et la jambe gauches, surtout pendant la nuit. L
bras et la jambe gauches, surtout pendant la nuit. La paralysie du bras et de la jambe droits commence à s'a- mender, q
élioration s'est accentuée du côté droit. Le malade peut mouvoir le bras et la jambe, mais la force musculaire est- très
ent ici beaucoup moins abondants. 3° Cubital à la partie moyenne du bras . Lésions sem- blables à celles des filets du ra
les à celles des filets du radial. 4° Médian à la partie moyenne du bras . Mêmes altérations. B. Nerfs du membre supérieu
diffèrent en rien de celles qui ont été signalées dans les nerfs du bras gauche. Sur le tronc du médian on constate des
hibitive. D'après Bubnoff et Heiden- hain : « celui qui abaisse son bras élevé ordonne du ' Pfiüger's Archiv der Physiol
mple sur les organes spéciaux. Par exemple, si je veux soulever mon bras , lorsque quel- qu'un le retient, il n'y aura au
la première fut caractérisée par des crises convulsives limitées au bras droit, la deuxième par une paralysie de ce bras
ulsives limitées au bras droit, la deuxième par une paralysie de ce bras , la troisième par l'apparition de crises convul
s plus anciens serviraient à expliquer les secousses convulsives du bras droit. Quant aux convulsions hémiplégiques, M.
iphérique de la peau d'un sujet sain (extenseurs et fléchisseurs du bras ) entraîne, elle aussi, une modi- fication du ch
rt de sang : le soldat l'avait tué à coups de pied; très calme, les bras croisés, couvert de sang, il répondit dans deux
58 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
i apparaissent plutôt allon- gés - en effet la grande ouverture des bras atteint 1 m. 94 de longueur. Voici du reste la
bis est complètement dépourvu de poils. Extrémités supérieures. Les bras sont longs et fins, ils présentent dans leur en
un peu voûté. Les mains sont très volumineuses en comparaison du bras (V. fig. 5), elles ont une véritable conformati
aste jupe blanche, on sent malgré tout qu'il est trop long pour les bras et les jambes. Le ventre est porté en avant et
esque la longueur des mains et des pieds respectifs, tandis que les bras et les cuisses sont encore plus réduits, les br
s, tandis que les bras et les cuisses sont encore plus réduits, les bras surtout ont, d'après leur aspect, presque la moit
insi on ne peut fléchir ni étendre complètement l'avant-bras sur le bras , la jambe sur la cuisse et de même on n'obtient
de même on n'obtient que des mouvements limités en voulant lever le bras ou porter la cuisse sur l'abdomen. Les mouvemen
sions, en longueur, des membres de notre sujet sont les suivantes : bras 17 centimètres, avant-bras 16 centimètres, main 1
Les membres supérieurs sont très courts, l'extrémité des doigts, les bras pendants, arrive à peine à la région de l'épine
ensions suivantes : sa longueur totale = 35 cent. 5, la longueur du bras ^= Il cent. 5, la Ion-1 UN CAS D'ACHONDROPLASIE
se et luisante. Les poils sont assez abondants au pubis et sous les bras . 1 Les organes intérieurs ne présentent pas de
ervent leurs mouvements. La partie supérieure de l'avant-bras et le bras sont modérément oedématiés. Les XI0, XIIe vertèbr
ieurs : le malade ne peut pas marcher sans être aidé. Tenu sous les bras ,il marche lentement avec effort. La marche est pa
escence (par exemple la région fessière d'un côté, les mus- cles du bras , etc.). Il est facile de comprendre que dans ce
ste le phénomène. Le malade étant debout les jambes écartées et les bras croisés sur la poitrine, si on lui fait fléchir
e sur sa ban- quette, est toujours à genou sur le plancher avec les bras appuyés sur un monceau de bois et la tête sur s
her avec les bras appuyés sur un monceau de bois et la tête sur ses bras . Quand l'envie d'uriner ou d'aller à la selle s
ppé par le con- traste qu'il y a entre l'extrémité et la racine des bras et des jambes. Le corps de Marguerite est plutô
costal supérieur. r. Le mouvement de pronation et de supination des bras se fait d'une façon assez maladroite. La flexio
s présenter l'inversion nette de la 1). R. Les troncs nerveux des bras et des avant-bras sont à peu près inexcitables,
sont assez réduits. La flexion et l'extension de l'avant-bras sur le bras , la ro- tation de l'avant-bras et tous les autr
as, la ro- tation de l'avant-bras et tous les autres mouvements des bras et de l'épaule sont parfaitement conservés. L
festations les plus certaines de la D, R.. Les troncs nerveux des bras et de l'avant-bras sont presque inexcitables. Au
contraste étrangement avec la maigreur du poignet et de la main. Le bras aussi est absolument indemne de toute trace d'atr
t absolument indemne de toute trace d'atrophie. Les mou- vements du bras et de l'avant-bras s'accomplissent d'une façon pa
lité assez marquée, galvanique et faradique. Les troncs nerveux des bras et des avant-bras sont encore excitables, mais
urs après l'accident, M. A. fut pris brusquement d'engourdissement du bras droit et deux jours après de crises d'épilepsie
du côté droit, puis gagnèrent la moitié inférieure de la face et le bras droit ; In perte de connaissance fut com- plète
persista une paralysie flasque de la moitié droite de la face et du bras droit ; M. A. resta aphasique. Ces troubles per
cide que la veille ; M. A. tente de s'ouvrir une veine au niveau du bras : il se fait même une plaie superficielle. 24.
ortalité. 20. Même douleur localisée à l'épaule droite ; parésie du bras droit et de la jamhe droite. Pas de troubles de
; celle du membre inférieur l'est beaucoup moins. Les mouvements du bras sur l'épaule et de l'avant-bras sur le bras son
oins. Les mouvements du bras sur l'épaule et de l'avant-bras sur le bras sont très limités et douloureux. La main et les
tout le membre et détermi- nent une flexion de l'avant-bras sur le bras et de la main sur l'avant-bras ; les secousses
doigts sont cassants et incurvés. - Les muscles de l'avant-bras, du bras et de l'épaule ne présentent aucune atrophie. L
es spasmodiques ont disparu. Les mouvements de l'avant- hras sur le bras et du bras sur l'épaule sont encore peu étendus.
ques ont disparu. Les mouvements de l'avant- hras sur le bras et du bras sur l'épaule sont encore peu étendus. On note enc
au- tres troubles. Douze jours après l'accident, engourdissement du bras droit et peu après crises d'épilepsie jacksonie
lepsie jacksonienne localisée à la moitié droite de 1 la face et au bras droit ; paralysie flasque de la moitié droite de
Upie Bertliaud TRAUMATISME CRANIEN, ÉPILEPSIE JACKSONIENNE 141 du bras droit et aphasie. Pendant toute la durée de ces a
iolentes localisées à l'articulation scapu- lo-humérale, parésie du bras droit et de la jambe droite, troubles trophi- q
es d'une paralysie transitoire de la moitié droite de la face et du bras droit avec aphasie-Survint ensuite une nouvelle p
bles sensitifs, paralytiques, convulsifs et trophiques au niveau du bras droit permet de conclure à une lésion localisée
se traduisit par les troubles moteurs, convulsifs et trophiques du bras droit. C'est un l'ait exceptionnel chez l'adult
elle croissait vite. Depuis une semaine, douleurs dans l'épaule et le bras gauches et affaiblissement de la force musculai
la gauche) n'adhèrent pas à la cage tho- racique. Le mouvement des bras en haut est possible seulement du côté droit et
mbre supérieur gauche, à droite, la malade sent les piqûres sur les bras , au-dessous, ne les sent pas. Sur le tronc elle
emiers symptômes nerveux sous forme de douleurs dans l'épaule et le bras gauches et un affaiblissement des membres inférie
rs du côté gauche du tronc. L'atrophie musculaire dans l'épaule, le bras , l'avant-bras et la main augmentait toujours (s
- trine, partie supérieure du dos, la teinte marbrée de la peau des bras , jambes, cuisses elle cyanose des mains et des
bien un hystérique. Il avait poussé, jusqu'à se faire ampu- ter le bras , une simulation consistant à faire passer pour de
TT'och., il mars 1899. 212 5 ROUX Lorsque, étendu sur le dos, les bras croisés sur la poitrine, on essaye de s'asseoir
es cartilages de la main et du pied sont disparus. Ceux de l'avant- bras sont en voie d'ossification. Les anomalies digi
ment, ayant mal pris ses mesures pour sauter, il tomba et se cassa le bras . Il fut en Abyssinie à la cour du roi Théodore,
me chez un individu normal (même la tête était bien plus grosse), les bras et particulièrement les jambes étaient énorméme
. Ce raccourcissement se montre d'une façon particulière du côté du bras ; il est par conséquent du type rhizomélique. L
céphalée, puis d'une parésie de la moitié gauche de la' face et du bras du même côté. Après une cure de deux mois, il g
roit. L'on ne remarque pas de troubles trophiques. Circonférence du bras , à la centimètres de l'acromion : 25 cent. 5 ; de
du bras, à la centimètres de l'acromion : 25 cent. 5 ; de l'avant- bras à 8 centimètres de l'épitrochlée : 22 cent. 5. Le
est habituellement tenu dans une position de légère flexion sur le bras . Circonférence du bras à 15 centimètres de l'acro
u dans une position de légère flexion sur le bras. Circonférence du bras à 15 centimètres de l'acromion : 25 centimè- tr
tient ne réussit pas à étendre complètement l'avant-bras. Il élève le bras à un niveau qui n'est pas de beaucoup supérieur
if. La même preuve faite avec le sérum du sang tiré à la veine d'un bras donne également un résultat positif. Examen psy
it, point de douleurs dans les jambes. La force musculaire dans les bras diminua peu à peu. Trois jours avant son entrée
la pression. Quand on fait asseoir le malade, les douleurs dans les bras apparaissent. Les mouvements de la tête sont peu
et crémastériens sont abolis. 13 janvier. Fortes douleurs dans les bras , sensation de brûlure comme si l'on mettait du
ieurs et supérieurs dans leur région du coude. 16. Les douleurs des bras diminuent. Il ne peut pas marcher. Les réflexes
tout celui à gauche. La sensibilité est normale. L'avant-bras et le bras gauche sont très douloureux ; le moindre mouvem
16 mai 1909. jixiii 25 370 31ARINESCO ques la zone corticale du bras chez un garçon flui présentait des mouve- ments
tation électrique démontrait qu'il s'agissait du centre cortical du bras et obser- vant que la paralysie motrice, du mem
oïde pour se diviser en deux branches, l'une sur la face interne du bras venant mourir vers le bord postéro-interne du b
face interne du bras venant mourir vers le bord postéro-interne du bras , l'autre croisant légèrement la ligne médiane d
autre croisant légèrement la ligne médiane de la face antérieure du bras , descendant parallèlement à cette ligne pour ve
al in- terne, lequel se répand dans la peau de la partie interne du bras par deux branches terminales, une franchement i
Ue Bel thaud Paris SUR LES NÉVI SYSTÉMATIQUES 403 l'axe médian du bras (Van Gehuchten, Anatomie du système nerveux, 4° é
upe toute la partie antéro-latérale gauche du thorax et une partie du bras . Le bras étant placé en abduction forcée et en
a partie antéro-latérale gauche du thorax et une partie du bras. Le bras étant placé en abduction forcée et en extension e
ar la ligne axillaire postérieure, prolongée par le bord interne du bras ; en haut par une ligne partant du ster- num, p
ner le bord antérieur de l'aisselle, puis le bord antéro-externe du bras , sur une longueur de 38 centimètres, dont 22 du
et 16 de l'aisselle jusqu'à la fin du naevus sur la face interne du bras . Le nævus occupe donc en avant la région antéri
'à la ligne axillaire postérieure, et la partie postéro- interne du bras , ainsi que le montre bien la photographie, dans l
n externe forcée, de façon à présenter la partie postéro-interne du bras , la région anté- rieure étant reportée en haut
au postérieur donner la sensibilité à la partie postéro- interne du bras (Morel), et à la région latérale de la cage thora
terne qui innerve la peau de la partie interne et antéro-interne du bras ,et dont le territoire est occupé par les dernière
latérale de l'ais- selle, et aussi de la partie postéro-interne du bras (PI. XLI). Et autour de la zone du 3e espace, i
sitifs depuis les mame- lons vers le bas et sur la face interne des bras gauche. Un an après le début de la maladie, lég
aît quand le malade porte son index gauche au bout du nez. L'avant- bras et surtout la main et les doigts gauches sont fro
et aux membres supérieurs (douleurs de la nuque, irradiant dans les bras , atrophies musculaires, radiculaires et anes- t
laques du type médullaire) se plaignait de très fortes douleurs des bras , qui duraient des semaines entières. La malade
uche.) Le malade grince des dents. Alza il braccio destro. (Lève le bras droit.) Il exécute le mouvement. ' Levati il be
onférence de sa tête mesurait 53 centimètres, il pesait 19 kilos; à bras étendus, les régions carpiennes arrivaient aux gr
arfaites et le rapport du développement des différents segments des bras et des jambes est absolument normal ; il n'y a
d'ceil aux photogra- phies pour constater que la longueur totale du bras est presque normale : l'extrémité de la main ar
rs supérieur de la cuisse ; de même le déve- loppement respectif du bras et de l'avant-bras est harmonique et correspond
orsale. Les ongles ne présentent aucun signe de dystrophie. · Les bras ne sont pas revêtus de gangue graisseuse ; le pro
en relation à ce dernier fait. Extrémités inférieures. Comme aux bras , les proportions des différents segments sont p
signe de réveil sexuel. Extrémités supérieures et inférieures. Les bras et les jambes sont de proportions normales en r
m- mune. Aucun signe distrophique de la peau et des ongles. Les bras et les jambes sont plutôt gras, mais le dessin de
e du lobe frontal (PI.LXXIfI-r1) et sur les coupes inté- ressant le bras antérieur de la capsule interne, une fente appara
térieur de la couche optique, sont des plus faciles à constater. Le bras du tubercule quadrijumeau postérieur peut être su
terne est particulièrement facile à suivre. Alors que les fibres du bras postérieur des tubercules quadrijumeauxse rendent
auxse rendent directement au corps genouillé interne, les fibres du bras antérieur passent en avant de celui-ci pour abo
genouillé externe. Entre les deux corps ge- nouillés, les libres du bras antérieur sont croisées obliquement par un autre
59 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
e des picotements et des brûlures sur la peau, des crampes dans les bras et les jambes. Ces hallucina- tions et ce nouve
maintenir debout et à lui faire faire quelques pas. Elle remue les bras , les jambes; mais les mouvements sont faibles.
des coudes et des poignets ; les doigts sont flasques. Les avant- bras sont fléchis sur le devant du corps ; les mains s
ains sont placées à angle droit sur les poignets. Oud... remue. les bras , mais ne saisit aucun objet avec ses doigts; le
limitées aux yeux, assure-t-on. Les accès ont paru vers 2 ans, les bras étaient à peine raides et se tournaient légèrem
veloppées présentent quelques poils longs. Membres supérieurs. Le bras gauche est assez libre. - Le droit est paralysé
bre. - Le droit est paralysé; l'avant-bras est à angle droit sur le bras , la main est violacée et tournée en dehors. Les
ssi bien au lit que si l'enfant est assise sur un fau- teuil. - Les bras sont rapprochés, les mains presque toujours à l
vient un petit accès : Les yeux se portent en haut et à gauche; les bras se rapprochent sur la poitrine et sont rigides,
ite se soulève ou s'éloigne de l'axe du corps et devient rigide; le bras droit se soulève et se raidit à son tour. La bo
es secondes, il survient quelques convulsions cloniques modérées du bras et de la jambe du côté droit. Il n'y a ni ron
souple.-L'épaule droite est raide, le coude très rigide; l'avant- bras fléchi ; le poignet rigide. -- Les membres du côt
les muscles du pied et de la jambe du côté droit, envahissement du bras droit et de la moitié correspondante de la face
e malade marche, et même court facilement sans traîner la jambe. Le bras gauche se meut sans gêne aucune, au dynamomètre
lysie semble céder un peu. - La malade peut soulever la jambe et le bras . Elle se plaint toujours de la douleur de tête.
s dans un fau- teuil ; il lui est impossible de se tenir debout. Le bras accom- plit des mouvements d'une certaine étend
te. A 3heures de l'après-midi, j'applique un fort aimant entre le bras et la poitrine, les pôles tournés vers l'aisselle
environ après cette application la sensibilité est revenue sur le bras et, à 3 heures 30, elle est complète sur tout le
sibilité persiste; il y a même quelques douleurs spontanées dans le bras et la jambe du côté paralysé. - La malade peut
s comme latentes jusqu'à ce jour. Ainsi, nous voyons les muscles du bras et ceux de la face groupés autour du sillon de
guérit rapidement. Chez ces deux animaux, quatre mois plus tard, le bras et la cuisse du côté opposé à l'opération avaie
une forte décharge électrique, suffit pour la déter- miner ; car le bras de levier osseux sur lequel viennent t s'insére
tire fortement r . jU. ? 7' rn en fléchissant l'avant-bras sur le bras . Cette traction doit se faire uniquement avec l
caoutchouc par le poids du corps. Presque immédiatement l'avant- bras et la bande de caoutchouc sont agités par'une sér
accès, et pour le faire apparaître, il suffit de faire étendre les bras . On voit alors que les oscillations consistent
d'amplitude, elle s'explique par ce seul fait que les muscles du bras étant plus volumineux et leur bras de levier be
ce seul fait que les muscles du bras étant plus volumineux et leur bras de levier beaucoup plus long, l'amplitude des m
blement avait un 'siège spécial, 1f 1 i i ii ' 4 4 les muscles du bras ..C'est une,, localisation. peu fré- ? ijjitt ? )
bres supérieurs prises au niveau du poignet, de l'avant-bras et du bras donnent des chiffres sensiblement égaux pour les
lle gauche et les répète tout1'haut."Parfois; grands mouvements des bras dans lesquels elle semble repousser des .person
ion; raideur générale des jointures; lorsqu'on tente d'allonger les bras , on produit une trépida- tion très marquée. La
ition. D'autres fois, il restait agenouillé devant les grilles, les bras étendus, marmottant des prières et demandant des
leSj symptômes > principaux, de la faiblesse musculaire, dansée bras droit,tune certaine, saillie de l'omoplate^en a
paule, En ! examinant le ,torse 1 par j la partie antérieure ? les, bras étnt ,danslla1 position)de >, projection en.
, d'uà embarras très m'araiié de, la,parole et, d'une, impotence du bras et de la^ trÈs marqué de, la , parole et, d'une
u bras et de la^ trÈs marqué de, la , parole et, d'une impotence du bras et de la. b main, droite. Il } ? OERI) ? ÿg.p.,
e pro- 302 REVUE5DE PATHOLOGIE NERVEUSE ! duit, dans l'enfance.Le bras et la main sont plus'petits à 'droite qu'à gauc
ne grande amélioration dans. le langage,' I-r1ais"lâ : main : ët le bras droit, presque sans .l'u1;age"àu- paravant, ava
,' i-J4 ? 'i annee de sa syphilis, ayant .plusieurs gommes sur, les bras , lut frappé'd'une hémiplégie droite. 1 Un,an ap
' f"- 9 ,, . r'·IlO'n L 1`I E.11 fil W ''1' U' .\ ? H ? tJ Uml l.u bras rrrq,'11' ? T t, b"PI10f¡ 1. , . r 1'11 J)I ..\,j
inosités, enfin quelques mou- vements convulsifs limités surtout au bras droit, mais atteignant par moments les deux bra
limités surtout au bras droit, mais atteignant par moments les deux bras et même la jambe droite. Le ventre était rétrac
es fit supposer une' lésion' cérébrale gauche; l'affaiblissement du bras ét de' la jambe' gauches P... , 1-1 .,f ? r ? t
evoir être rapportées à cette tumeur, tandis que les convulsions du bras droit-auraient.pour origine-la lésion de la par
che de la mâchoire est plus rigide ; opisthotonos ; les muscles des bras et des jambes, aussi bien que ceux de la nuque
rois ans et trois mois présentait une paralysie avec contracture du bras et de la jambe droite ; le coude était fléchi,
Le nerf médian avait été coupé à la partie inférieure de l'avant- bras par un éclat de bouteille. Cinq semaines après, l
te à la contracture. On trouvait, pour l'articulation du coude, les bras fléchis à angle droit ; on trouvait les cuisses
kuncle. 1861, p. 105.) LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 359 corps : le bras droit pouvait à peine effectuer quelques mouvem
ôte droite. Du côté droit, l'avant-bras vient s'appliquer contre le bras , à angle aigu; et la main est fléchie sur l'ava
e sa face palmaire vienne regarder la face interne de celui-ci : le bras droit, par rapport au tronc, se tient dans l'ad
l'adduction. Du côté gauche, l'avant-bras se fléchit de même sur le bras , à angle aigu; la main se retrouve dans la même
dans la même attitude qu'à droite : mais, par rapport au tronc, le bras gauche est complètement en adduction. Les mem
de contracture des jambes; les réflexes plantaires sont normaux. Le bras gauche parait un peu contracture. Un point fort
ont été observés, et à cause de la contracture et des mouvements du bras gauche, en pré- sence de la rémission qui a sép
ment sur la commissure labiale gauche des traces de vomissement. Le bras gauche, contracturé pen- dant la vie, est moins
sale, en outre le malade se plaint du moindre contact au niveau du bras et des cuisses ; et, quand pour le déplacer dans
our à Paris, il a eu quelques convulsions lé- gères des yeux et des bras , la dernière fois il y a six mois environ. De p
actifs, l'aimant par exemple. Onvoit alors les zones sen- sibles du bras et de la jambe s'étendre graduellement et se re
limètres dans le sens transversal. Suivons la marche de la bande du bras , après que son extrémité supérieure a atteint l
la poitrine et le dos étaient envahis par l'extension de la zone du bras . MÉTALLOSCOPIE, MÉTALLOTHÉRAPIE, -,ESTHÙSIOGÈNE
'hémiplégie dans lesquels on constate une paralysie plus marquée du bras que de la jambe. Certains cas même, dans lesque
Oscillation de la tête de droite à gauche et d'avant en arrière. Le bras et la jambe du côté droit sont plus fortement a
e invitation pressante, la patiente réussit à maintenir au repos un bras ou une jambe, c'est aux dépens d'autres groupes
angle où elle se fait porter sa petite table de nuit. Croisant les bras sur la tablette de celle-ci, elle y couche sa t
perte de connaissance, puis (au bout de quelques mois) limitées au bras et à la face; embarras de la parole depuis six
faiblissement progressif, anesthésie du côté droit de la face et du bras gauche. Mort deux mois après le début des acci-
des sensations de douleur, de pesanteur et de tiraillement dans le bras , contraignant le malade d'abandonner sa plume :
ne des localisations. Il s'agit d'un épileptique devenu paralysé du bras gauche quinze jours avant sa mort, et chez lequ
pelle, 1880.) Observation d'un syphilitique frappé de paralysie du bras droit avec hémianesthésie environ un an après l
nale' l'apparition dedaches. jaunes ? disséminées1 sur ' lavpeau' du1 bras ,b ressemblant à-i des 1 ecchy- moses entrain"de
ns constaté le fait général que voici : nous appliquons sur l'avant bras d'une malade le métal auquel elle est sensible,
ce entre, les deux plaques, lors même qu'elles étaient l'une sur le bras droit, l'autre sur le gauche. M. Dumont- pallie
vertiges, distractions, oublis, incertitude dans les mouvements des bras et des jambes, parésie des extrémités gauches,
l'en-, semble des symptômes d'une lésion en foyer (contracture du bras et paralysie de la jambe du même côté), compliqué
compliqués de thromboses veineuses du membre inférieur atteint ; le bras contracture, après une série de couvulsions, se
à la nuque, le malade est atteint de manifestations paralytiques au bras droit ; quel- ques semaines plus tard, paralysi
ntelé à droite sans aucune sensa- tion incommode. Il peut élever le bras presque verticalement, il peut travailler avec
t élever le bras presque verticalement, il peut travailler avec son bras droit qui, à l'exception du peu de développemen
qu'enseignent la plupart des auteurs, son malade pouvait élever le bras du côté où siégeait la paralysie du grand dentelé
yenne et supérieure du trapèze et aussi des muscles abduc- teurs du bras (deltoïde, sus et sous-épineux). Ces muscles pr
deux mains ou une seule, tantôt iso- lément, tantôt s'étendant aux bras , aux jambes, mais rarement à tout le corps. Cet
associé à des douleurs de caractère névralgique, surtout dans les bras . A l'engourdissement peut aussi se joindre une so
nt pâle ou rouge. Dans quelques cas, il suffit de laisser pendre le bras hors du lit ou de le secouer pen- dant quelques
hanche et s'étend au pied ou réciproquement. Dans quelques cas, les bras sont pris, et souvent un bras et une jambe sont
éciproquement. Dans quelques cas, les bras sont pris, et souvent un bras et une jambe sont atteints d'une manière prédom
qu'on appelle des fausses positions, à la compression des nerfs du bras par la tète, ou par le corps portant à faux sur
n absurde mouvement automatique de pendule de tout le corps ou d'un bras . Les nuits sont mauvaises, agitées. Elle prés
tées d'ordinaire à une moitié du corps, ou même à une région, face, bras ou jambes ; elle a surtout été bien étudiée dep
cture impose au membre supérieur une attitude ' particulière; 'la bras est plus ou moins solidement 'fixé 'contre le' th
choires sont serrées, mais 'la'malade'ne perd pas connaissance, .le bras se contracture dans l'extension et la pronation
sion et la pronation, la main se tord et se met à angle droit'surle bras et se porte d'abord sur la partie latérale - l
la tête, qui parait s'enfoncer entre les épaules, se ren- verse, le bras gauche devient raide et s'allonge, la jambe est
se de 111. Ch. Avezou : Etude sur la contusion de troncs nerveux du bras . (Paris, 1879, publication du Progrès médical);
60 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
e montre lu où elle n'existe que rarement à l'état normal, comme au bras par la percussion des tendons du triceps ou du
n du tendon rotulien, par exemple, on observe un soubresaut dans le bras du même côté, ou dans les deux bras à la fois,
observe un soubresaut dans le bras du même côté, ou dans les deux bras à la fois, ou dans tout le corps. Un choc sur l
as à la fois, ou dans tout le corps. Un choc sur la face externe du bras vers la partie médiane, au niveau de l'insertio
gauche (la malade était hémianes- thésique à droite). De plus, les bras comme le reste du corps ne participaient en auc
ndon rotulien pro- voquait un soubresaut de tout le corps, les deux bras , et principalement le droit, étaient animés d'u
e tracé, que le réflexe rotulien ne retentit en aucune façon sur le bras . Le style supé- 42 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE.
'obtient a l'aide d'une excitation plus légère, il retentit sur les bras et sur tout le corps.. On voit, en effet, sur l
breuses expériences faites sur elle, aussi bien sur les muscles des bras que sur ceux des jambes, ont' donné les résulta
malade, nous constatons qu'il n'y a pas d'irradiation du réflexe au bras du même côté. Deux tambours myographiques sont
e réflexe rotulien s'accuse encore davantage, et l'irradiation au bras du même côté est très marquée. Les trois excita
cture se confirmer peu à peu et finalement, s'établir aussi bien au bras "correspon- dant qu'à la jambe sur laquelle l'e
es, à droite surtout; aux coudes ils sont moins marqués ; aux avant bras ils existent à un faible degré. Il n'y a point
meu- rée localisée au seul membre directement intéressé; les deux bras sont contracturés dans l'extension et la pronatio
dons de la face palmaire du poi- gnet amène la contracture des deux bras dans la demi-flexion. Les membres inférieurs da
eurs pouvant acquérir un degré d'ex- citabititédinerentde celui des bras ou inversement. Nous savons aussi qu'au point d
. Rond pronateur. Pronateur et fléchisseur de l'avant-bras sur le bras . (Le mouvement de flexion est assez énergique lor
o- duira les mouvements suivants : Flexion de l'avant-bras sur le bras peu accusée, car un seul flé- chisseur entre en
est tellement intense que la flexion légère de l'avant-bras sur le bras ne saurait exister. Le poignet est fléchi. Le
tion est continué, pour ainsi dire, par un mouvement de rotation du bras de dehors en dedans, de telle façon que la main
ronateur de l'avant-bras, puis flé- chisseur de l'avant-bras sur le bras . L'action de ce mus.cle doit être complètement
et par l'anconé qui est extenseur énergique de l'avant-bras sur le bras , 74 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. et par le court
est telle que la marche n'est possible que si B... s'appuie sur le bras de deux infirmiers, ou bien à l'aide d'un charr
que nous 'constatons actuellement (février 1881). Les muscles du bras et de l'avant-bras sont atro- phiés. L'avant-br
uméfiée, qu'elle était le siège de cra- quements et qu'il levait le bras avec difficulté mais sans douleur. Nous constat
ieure de l'appareil. Au-devant de cette paroi, un coussin reçoit le bras du patient, qui se trouve ainsi séparé des pôle
s d'autres tracés pour les oscillations du tronc, pour celles des bras pendant la marche, pour la mobilité de chaque par
de violente colère : un jour il traversait d'un coup de couteau le bras de son domestique et une autre fois il cas- sai
n aperçut et chaque fois il fit des mouvements d'épaule ou lança le bras en avant; et, bien que je l'eusse averti que j'
tion en masse de tout le moignon de l'épaule ; le deltoïde élève le bras en dehors, le biceps fléchit l'a- vant-bras, et
eval. La malade toujours endormie est assise près d'une table ; son bras droit contracturé pend sur le côté; nous avons
musculaires, même fortuites, ne manque- raient pas de susciter. Le bras gauche repose inerte sur la table à proximité d
ors un aimant près de l'avant- 44 210 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. bras gauche, qui est demeuré jusqu'ici complètement
membre contracturé. On voit, par exemple, la contracture latente du bras droit transférée, par l'application de l'aimant
latente du bras droit transférée, par l'application de l'aimant, au bras gauche. Nous avons répété ces expériences au su
et la li- 214 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. gature étant maintenue au bras pour empêcher le.re- tour du sang, les paupière
ion de l'aimant. 2° La bande d'Esmarch est appliquée sur l'avant- bras droit, avec les mêmes précautions que tout à l'he
iculation du poignet. Il n'y avait pas de paralysie des muscles des bras ou des épaules ; il n'y avait non plus aucun ph
le malade, se trouva plus affaibli et se servant moins bien de ses bras . En outre, pendant quelque temps, il présenta une
e très lentement et avec effort que le malade parvient à "lever ses bras en haut ; mais, alors, il arrive presque à' lev
une atrophie peu considérable des'' deux deltoïdes. Les muscles des bras ne présentent rien de particu- lier à noter. t
tition n'est possible que par la'flexion en arrière de la tête, les bras tremblent; inté- grité de la sensibilité. De pl
de une heure à deux ou trois jours, d'autres fois, l'impotence, des bras , ou des jambes.. - Le traitement doit avoir pou
-ilne perte'presqilelcolnplète de la'sensibilité du côté gauche. Le bras et la main gauche étaient fléchis et n'étaient
pant la partie^ supérieure de l'épine et gênant t les mouvements du bras gauche. Jamais elle n'avait vomi, n'avait eu de
nel ; de huit à quatorze ans accès 6ë-cpi'7eM'e débutant' par le bras , droit et n'entraînant la perte- de -connaissance
qeres contractions fibrulaires et convulsions dans les doiqts et le bras droits : Tout en ayant un peu conscience de · n
ent, que les infortunés malades dont la raison égarée peut armer le bras ont besoin de leurs soinsF,et de lëur'.zèlë, ils,
esoin de leurs soinsF,et de lëur'.zèlë, ils, savent qu'ils, sont le bras ont besoin de leurs soin's^et -1 ? le, 'ilsT save
ralgies symétriques, signalés par M. Worms, un fait de paralysie du bras droit et quelques obser- 20 306 BIBLIOGRAPHIE
61 (1883) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1882
ers,quand STATISTIQUE. xxv le temps le permet, sont descendus à bras dans la cour de la petite école ou portés jusqu
er tra- versé par un poids suffisant pour amener sa fermeture. Le bras du levier muni de son poids est ma- noeuvré à
- liaire ; l'enfant est grognon, pleure sans motif; il a dans les bras , les avant-bras et les mains de petites secousses
it : « Maman, je crois que ça va me prendre, ça me fait mal dans le bras »; il demandait qu'on lui frottât les bras ; dan
e, ça me fait mal dans le bras»; il demandait qu'on lui frottât les bras ; dans la plupart des accès il ne prévenait pas
ar sa mère a été sevré à 10 mois parce qu'il avait un eczéma (face, bras ) ; il a marché à un an et parlé à 2 ans 1/2; il
ur à l'hôpital, il se serait développé une paralysie du côté droit ( bras et jambe); il fut ensuite envoyé à Berck dès qu
e, sans avoir poussé de cri; rigidité géné- rale, puis secousses du bras et do la jambe du côté droit; écu- me non sangu
érieurs sont bien conformés, bien musclés (1 cicatrice de vaccin au bras droit, 2 au bras gauche; quelques cicatrices sa
conformés, bien musclés (1 cicatrice de vaccin au bras droit, 2 au bras gauche; quelques cicatrices sans caractères aux
i ont duré environ vingt minutes : déviation des yeux, rigidité des bras qui étaient tournés, bouche tirée à 1 00 AILNIN
t comment étaient les jambes et on croit, sans l'affirmer, que le bras gauche était plus secoué que le droit. Le lende-
,on aurait remarqué que R... était comparativement moins faible des bras que des jambes ; il ne reconnaît personne, pas
teuil. Sa mère essayait de le faire marcher en le tenant sous les bras : il saute tout le temps, dit-elle, plutôt qu'il
isite, l'enfant crie, sem- ble souffrir. Petites secousses dans les bras et dans les jambes; quelquefois une secousse ag
état convulsif qui se prolonge plus ou moins longtemps. Parfois les bras sout agités de secousses : ils sont raides, et
doigts dans un soufflet; d'autres fois, c'est l'un ou l'autre des bras qui présentent ce phénomène. Les raies tracées
8. L'enfant est dans l'état suivant : décubitus latéral droit, le bras gauche allongé le long du corps, le bras droit ét
écubitus latéral droit, le bras gauche allongé le long du corps, le bras droit étendu, les membres inférieurs fléchis, l
de la lèvre infé- rieure ; secousses soulevant la tête et tantôt un bras , tantôt l'autre ; par moments, la bouche s'ouvr
largement, spas- modiquement. Tête inclinée sur l'épaule droite. Bras droit : pas de rigidité, pas de paralysie. Bras
ur l'épaule droite. Bras droit : pas de rigidité, pas de paralysie. Bras gauche, même état, mais les secousses y sont pl
lui faire prendre quelque chose. Pas de hoquet ; pas de raideur des bras qui se maintiennent toujours quand on les soulè
veloppement du rachitisme dont il porte des traces très accusées au bras droit. A 7 ans, nouvelles convulsions ayant dur
en au cubitus. Membre supérieur gauche. Rien à la clavicule ni au bras ; à l'avant-bras, une seule exostose sur la parti
uvertes d'écume sanglante et de sang. On le conduit au gymnase, les bras toujours roides, tenant entre ses mains les bar
s. 7 janv. - Le malade accuse une douleur contusive dans les deux bras avec prédominance à droite ; il éprouve de la d
a 7 à 8 heures sans reprendre connais- sance, les yeux tournés, les bras raides, les mâchoires con- tractées. la bouche
es semai- nes il a pu recommencer à marcher, soutenu par les deux bras et alors on a noté que, dans la marche, il frap
62 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
elle est insensible aux piqûres ; je lui plante dans la peau, sur les bras , à la nuque, sur la joue, des épingles qui resten
otéger contre les agents de la force publique, de le prendre dans ses bras , de le couvrir de son corps, ou bien de le préven
gement ouverts, les extrémités supérieures étaient contrac-turées (le bras gauche en flexion, le bras droit en extension), l
tés supérieures étaient contrac-turées (le bras gauche en flexion, le bras droit en extension), la respiration était stertor
pas d'hallucination du tout... « Il s'agit, pour l'œil comme pour le bras , d'un phénomène » d'inhibition qui produit une pa
r tout ce qui vient de moi ; si on la pique, elle retire vivement son bras ; si je la pique, elle ne sent rien ; je lui plan
e sent rien ; je lui plante des épingles qui restent suspendues à ses bras , à sa joue, elle n'accuse aucune sensation, elle
donc encore plus fou que tout à l'heure ! » Et comme M. F... lève les bras au ciel, en me parlant, Camille s'écrie : « Décid
examiner, parler comme MM. Binet et Féré, « pour l'œil, comme pour le bras , d'un phénomène d'inhibition qui produit une para
obtenue une fois a l'un de ces états extrêmes. J'ai pensé: « Leyez le bras droit. » il a levé lentement le bras droit; — « E
extrêmes. J'ai pensé: « Leyez le bras droit. » il a levé lentement le bras droit; — « Embrassez-moi. » il a arrondi les bras
a levé lentement le bras droit; — « Embrassez-moi. » il a arrondi les bras , mais m'a manqué et a embrassé le vide ; — « Dres
brûlures faites au même sujet, a deux endroits symétriques (aux deux bras , aux deux épaules), dont l'un était soustrait par
aupières, ou remuer Par le Com« a. de rochas (Suite etjiit) les bras et les jambes : ce n'est point un simple engourdi
en rapport avec un enfant qui avait un dépôt dans une articulation du bras , rit des efforts inutiles pour soulever son bras
une articulation du bras , rit des efforts inutiles pour soulever son bras à elle, en v ressentant le même mal. (?., p. 23a.
chambre... Si, même dans une autre chambre, on me pince fortement le bras ou la jambe, elle pousse des cris et s'indigne qu
u la jambe, elle pousse des cris et s'indigne qu'on la pince ainsi au bras ou au mollet. Enfin, mon frère, qui assistait à c
urieux. En se tenant dans une autre chambre, il se brûla fortement le bras , pendant que Mme B... était dans la phase de somn
s cris terribles et j'eus de la peine a la maintenir. Elle tenait son bras droit au-dessus du poignet et se plaignait d'y so
eaucoup, sans savoir pourquoi. Le lendemain, elle soignait encore son bras avec des compresses d'eau fraîche, et. le soir, j
it brûlé, maïs il faut remarquer qu'elle s'était .touché et gratte le bras pendant la journée- Ce phénomène de la communicat
ajoute-t-il. si elle ne sentait point une aura passant de la main au bras et de là dans le dos. puis dans la cuisse. Elle r
un =ujci : c'est, par exemple, un malade affligé d'une contracture du bras droit; le médecin lui suggère qu'il a la puissanc
bras droit; le médecin lui suggère qu'il a la puissance de remuer son bras , qu'il peut, qu'il doit l'exercer, a son réveil.
et môme de les faire durer pendant l'état de veille. Une paralysie dn bras et de la jambe gauches provoquée par suggestion a
des cris perçants hors du lit et, plein d'angoisse, se jette dans les bras de son entourage. Tel, les yeux grands ouvert
tte partie de la tête sous laquelle se trouvent les autres moteurs du bras , il a réussi, dis-je. à provoquer des crampes du
tres moteurs du bras, il a réussi, dis-je. à provoquer des crampes du bras sur le côté Opposé. La catalepsie du bras gauche
à provoquer des crampes du bras sur le côté Opposé. La catalepsie du bras gauche fut transférée, à l'aide d'un aimant, au c
; cette raideur porte surtout sur Us muscles du tronc, du cou et des bras ; moins aux jambes, pas de chute. La pression des
malade, debout, lève la tête et se courbe légèrement en '•Trière; les bras et les jambes se raidissent légèrement dans l'ext
er, elle marche comme une aveugle, gardant la position imprimée u ses bras . D'autres fois, l'attaque se présente sous la f
; elle se raidit dans l'extension, les muscles du cou. du tronc, des bras , des jambes sont absolument contractures et on ne
t les mouvements imprimés sont intacts, quoique un peu douloureux. Le bras est pendant er. par son poids, abaisse l'épaule.
cet examen, le diagnostic porté est: Paralysie hystéro-traumatique du bras droit, incomplète ai-ec légère contrac-ture. Pr
B... consentit à voir un fauteuil. On lui fit tâter les pieds et les bras du fauteuil : il jugea ou'on leur avait mis des j
s renfermaient des ressorts. » 11 y avait aussi des ressorts dans les bras . Quant à la tétc du docteur, c'était une sculptur
visibles pour lui. Ainsi, quand M. Mathieu et mot con-' tournions nos bras de manière que mes mains avaient l'air de lui app
uiBj invisible. Enfin, compliquant l'expérience et fourrant chacun un bras dans les manches d'un même habit, B.... sans se t
lement insensibles. Nous attirons l'attention de cette malade sur son bras gauche, nous lui faisons remarquer qu'elle a pein
son fauteuil. Dans la journée, il marche en s'aidant simplement du bras d'un voisin de lit. Il continue d'ailleurs à êt
veil, facile. Le malade se lève de son fauteuil, et marche, appuyé au bras de quelqu'un ou même seul, en se cramponnant aux
ant et obtenant toujours l'amélioration de la marche, cW la force des bras , de la vision et la liberté du ventre. Nous avo
elques zogaies ; elle se peint alors de blanc le contour de l'œil, le bras et la jambe gauches, et de noir les mêmes parties
gnes d'hyperesthésic neuro-musculaire étaient très manifestes sur les bras en état cataleptique. — la plus légère pression,
exécute, non plus que des pressions ou des frictions exercées sur ses bras . Ces divers mouvements, indépendants de toute inf
n de nous. Brusquement, elle s'affaissa, laissa tomber sa tête et ses bras ; nous dûmes la soutenir pour l'empêcher de choir
ie, presque éteinte ; du côté gauche, lanesthésie persistait, mais le bras était pris successivement de parésie incomplète e
l'abandonnant à ses propres ressources. Elle resta immobile, les deux bras levés tenant le fil dans le cnas de l'aiguille, l
es jours avant, une preuve plus convaincante encore, en lui voyant au bras une brûlure profonde, large de 5 à 6 centimètres,
l ou ces mêmes phénomènes se reproduisirent. J'étais accoudé sur le bras droit du fauteuil et la tête posée sur la main dr
a tête posée sur la main droite. Je ne pouvais que très peu remuer le bras gauche, qui était pourtant complètement libre, et
ssi bien de me replacer dans la position primordiale que de remuer le bras droit, fût-ce d'un millimètre. De telle sorte que
bout des doigts seulement, tantôt dans toute la main, le poignet, le bras , etc.), ont en effet signalé une carte, avouant a
e qu il venait de signaler, grâce à une sensation dans tout l'avant-» bras jusqu'au coude, sensation qu'il compara à la seco
ence, en prétendant avoir reçu une commotion générale jusque dans les bras et les jambes et en1 simulant les gestes que Ton
paraître un objet à ses yeux, il en soit autrement lorsqu'on fixe son bras , lorsqu'on lui suggère un acte, une pensée, la di
notisé est complaisant, prudent, lorsqu'il se coupe é,nergiquement le bras avec un couteau suggéré tandis qu'ï se raye à pei
es malades atteint de delirium tremens sentit toute la nuit, sous son bras , sa têtequ'on avait coupée (hallucination du touc
jour des massages suivis d'efforts pour reproduire les mouvements du bras tain. Ausiitôt qu'on peut constater une certaine
e : immédiatement elle entrera en crise. Serrez toute autre partie du bras ou de la main, et le sommeil ne se produira pas.
mpossible. Nous avons seulement obtenu une disposition différente des bras qu'elle a placés le long du corps au lieu de les
que : rigidité cataleptique, insensibilité aux piqûres traversant le bras , illusions du goût qui prête aux pommes de terre
s votre chambre à coucher ? lo" De* passes faites sur la main, le bras , la figure, le corps.sont-elles ressenties ? 11
ousses convulsives avec piresthésie et sensation de faiblesse dans le bras et la jambe du côté droit, put. après huit jours
63 (1869) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 1ère année
.... 41 — D'un acromion à l'autre.......... 37 — Circonférence du bras ........... 38 — — du haut de l'avant-bras ... 2
marcha rapidement et, six semaines après, l'enfant pouvait élever le bras de 20 à 3o degrés, et graduellement tous les mouv
ize ans elh a commencé à éprouver de la faiblesse dans l'élévation du bras , mais qu'elle ne s'en est pas préoccupée. Aujourd
des degrés divers, dans un assez grand nombre de muscles du tronc, du bras , surtout de son deltoïde et son grand dentelé dro
rt pour être apprenti chaudronnier; mais que depuis quelques mois son bras droit s'affaiblit progressivement et qu'il éprouv
mmes alors en i852. Cette même année, d'autres tumeurs apparurent, au bras droit d'abord, peu après au bras gauche. En 1858,
née, d'autres tumeurs apparurent, au bras droit d'abord, peu après au bras gauche. En 1858, l'épaule fut à son tour envahie,
intime de ces tumeurs, on y constate les mêmes particularités qu'aux bras . io° Groupe crural. — Il simule au premier abor
désespoir des modeleurs : il nous suffit de signaler une ichthyose du bras qui fera l'objet d'une légitime admiration de la
iège ordinairement au cou et sur la poitrine, sur la face interne des bras ; il est rare de l'observer dans d'autres régions
E. Guibout. DES HOPITAUX PLANCHE XIV DÉVELOPPEMENT INCOMPLET DU BRAS Développement incomplet d'un bras Par le doct
HE XIV DÉVELOPPEMENT INCOMPLET DU BRAS Développement incomplet d'un bras Par le docteur de Montméja père. Le cas dont
d'ailleurs, jouit de tous les apanages d'une forte constitution, son bras gauche seul est le siège d'un arrêt de développem
gauche seul est le siège d'un arrêt de développement remarquable. Le bras proprement dit existe dans son entier et possède
l à celui qu'ils doivent posséder normalement; les muscles propres du bras , se rendant à l'avant-bras, sont le siège d'une a
moignons anciens, suites d'amputations dans la continuité des os. Le bras se termine par un moignon parfaitement arrondi; c
e recouverte par un tissu cellulo-fibreux assez dense; les muscles du bras lui impriment quelques légers mouvements. Sur l
ure de toute la région est inférieure à celle du reste du corps et le bras tout entier se montre très fâcheusement impressio
'instrument (croc) dont il se servait et qu'il tenait à la hauteur du bras tendu lui échappe des mains. Le manche en bois de
sujet et au point d'insertion du brachial antérieur et du deltoïde au bras droit. Personne, on le voit, ne déclare en avoi
osco pique de l'habile docteur Ranvier, un tubercule enlevé sur les bras du malade dont on voit ci-contre la photographie.
rononcées que la circulation est plus gênée. En laissant pendre les bras le long du corps, comme nous l'avons fait chez no
les s'atrophient progressivement, à commencer par ceux des mains, des bras et des jambes, pour gagner ceux du tronc; ce phén
t-bras. Le ier février on lui enlève un tubercule volumineux sur le bras droit ; au bout de quelques jours la cicatrisatio
ne et inférieure du cou. Les mouvements d'élévation et d'abduction du bras droit sont très limités ; une douleur vive les ar
peau. Le passage du courant est assez douloureux et retentit dans le bras . Rougeur et gonflement autour des piqûres. La tum
on notable dans la première séance déjà, et les mouvements du cou, du bras reprirent quelque liberté. L'état général s'amé
qui donnent une idée exacte de cette différence : Circonférence du bras droit 28 cent. du gauche 29 c. 5 — de l'avant-b
malade, en marchant, traîne la jambe droite. Elle se sert de ses deux bras , mais préférablement du gauche. — Depuis qu'elle
en arrière; la torsion du cou, la déviation de la face augmentent; le bras droit s'élève, l'avant-bras se fléchit sur le bra
ace augmentent; le bras droit s'élève, l'avant-bras se fléchit sur le bras , tout le membre supérieur droit devient roide ; p
ut le membre supérieur droit devient roide ; presque en même temps le bras gauche se roidit et on voit apparaître des secous
s de la moitié droite de la face; enfin on remarque que la roideur du bras gauche se montre seulement quelques secondes aprè
es membres supérieurs sont fiasques. Teinte violacée de la main et du bras droit tranchant avec la pâleur de la main gauche.
fiée par la grossesse.............. 65 Développement incomplet d'un bras ........................ 67 Hypospadias.........
64 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
par du clignotement, des mouvements in- conscients de la tête, des bras et des pouces. Constipation, pertes blanches, i
s parties du corps, surtout le creux poplité, la face antérieure du bras droit sont le siège d'une hyperesthésie notable e
journée les mêmes phrases, examine con- tinuellement ses mains, ses bras et n'y trouve plus de veines; louche, pince sa
sés. Il berçait un jour, sur le pont du navire, son enfant dans ses bras , lorsque survint un matelot qui se mit, à l'ins
urvint un matelot qui se mit, à l'instar du cook, à bercer dans ses bras un billot de bois. Puis ce matelot jeta son bil
PATHOLOGIE NERVEUSE. 85 assez long, le corps étant vertical, et le bras pendant au repos, l'angle inférieur de l'omopla
te droite, produisant un tremblement et nue paralysie permanente du bras gauche et un tremblement et une paralysie trans
utions ascendantes), produisant des convulsions et une paralysie du bras droit et du côté droit de la face, avec aphasie
frontale ascendante du côté droit, accompagné d'une paralysie du bras gauche et d'une parésie de la jambe, de la face e
ties voisines de la face interne de l'hémisphère. B. Les centres du bras , de la jambe et de la face sont plus ou moins d
pécialement en rapport avec la fonction du langage. D. Le centre du bras est situé sur la partie moyenne des deux cir- c
ent la tête, les épaules et la nuque (coussin d'air bien fixe), les bras (serviette passée sous les aisselles), dan. un
dans file d'llissingen. L'ile dont il s'agit est entourée par deux bras du Gôtaelf. L'établissement oc- cupe un terrain
u côté opposé, soit sur l'autre membre du même côté (de la jambe au bras et vice oei-sd). Il est fort rare d'ailleurs que
tion et la rotation en dehors; le poignet est fléchi sur l'avant- bras , et le poing convulsé. Le membre inférieur est en
u même côté. La face se cyanose un peu et se couvre de sueurs. Le bras gauche se soulève, et décrit un arc de cercle, en
mduction est pré- cédé par la flexion brusque de l'avant-bras surle bras ; Pavant- bras se met de nouveau dans l'extensio
- cédé par la flexion brusque de l'avant-bras surle bras; Pavant- bras se met de nouveau dans l'extension quand la circu
? ,c7 . ? entre les accès pour ou elle disparaisse. La paralysie du bras et'de'lafârriliîf'persiste'^ après la ,césâti
cu- pation domestique chancelle1 et perd la parole ; paralysie du bras droit, et plus tard'du membre inférieur du même c
entent la consistante susdite. L'apparence des muscles des avant- bras est n irmale ; les muscles intrinsèques des mains
a lieu pour les membres supérieurs. Si le malade étend vivement le bras pour saisir un objet, le bras reste raide et ét
ieurs. Si le malade étend vivement le bras pour saisir un objet, le bras reste raide et étendu, et la main se serre sur
oigts ne s'ou- vrent que lentement et difficilement, tandis que les bras et 376 CLINIQUE NERVEUSE. l'avant-bras sont c
les dos membres gauches, débutent toujours après ces dernières : le bras droit se place dans l'abduction légère, la main
nt recouvert par les autres doigts ; l'avant-bras se fléchit sur le bras et se porte sur la partie latérale et postérieure
partielle due à une lésion cérébrale. Si Ang... ne peut mouvoir son bras qu'avec difficulté, cela parait tenir à un état
connaissance. Cette attaque se serait accompa- gnée de paralysie du bras gauche. Les attaques se sont re- produites à pl
au niveau des points douloureux, tantôt en une simple rai- deur du bras gauche. - A la suite de cette aura, la malade t
on suivante : le mem- bre se raidit, l'avant-bras se fléchit sur le bras , puis se con- tourne derrière le tronc, en s'ap
placé par une sorte de tremblement. D'ordinaire, les convulsions du bras ne s'accompagnent pas de perte de connaissance.
cun doute ne saurait s'élever sur la nature hystérique du spasme du bras observé chez Fore..., L'absence de tout phénomè
cyanique. Ce spasme to- nique dure de cinq à six secondes ; puis le bras gauche se porte en avant et en dehors, l'avant-
ns la pro- nation forcée, la main hermétiquement fermée. A peine le bras est-il entré en convulsion, que les muscles du
e gauche, l'aile du nez, tous les traits à gauche. En même temps le bras s'élève par saccades, cinq ou six fois, puis re
une crise a lieu, qui parait moins violente que les précédentes. Le bras ne se soulève qu'à peine; les yeux ne restent c
deux mois. Grar..., quoique assez fort, eut alors du pcmpltigus aux bras et à la nuque, etcela jusqu'd sept mois; il a p
rqué auparavant; on dut. pendant quelque temps le soutenir sous les bras pour le faire marcher; durant un an, il marcha
it content de faire ce travail sous prétexte que cela détendait son bras . De onze à quatorze ans, Grar... ne se plaignait
du corps d'une manière évidente ; elles étaient plus fortes dans le bras et l'oeil gauches que dans les parties correspo
vers le bord radial, puis les doigts se crispent; l'avant-bras, le bras se contracturent et il lui semble que les batte
u'il a conscience des battements musculaires, il lui semble que son bras , qui paraît rac- courci dans l'aura, exécute pl
peur, une émotion, une farce d'un camarade; le malade sursaute, le bras se raidit, et les symptômes décrits ci-dessus se
; la face est tournée à gauche : la rigidité est plus prononcée au bras etii la jambe gauches; les secousses tétaniform
arties, ten- dance à laquelle le malade résiste continuellement. Le bras gauche est à la palpation plus dur que le droit
parait plus basse du côté paralysé. Cicatrices de vaccin aux deux bras ; une petite cicatrice au coude gauche. 303 RECU
uillé externe qu'elles tra- versent, pour gagner de là, au moyen du bras antérieur, le tuber- cule quadrijumeau antérieu
l3echlerew a réussi, en pé- nétrant par le pharynx à sectionner le bras antérieur entre le segment postérieur de la cou
externe sans intéresser le corps genouillé interne ni les fibres du bras postérieur. Un seul et même effet a été obtenu, s
la langue. En même temps, la sensibilité de l'occiput et celle du bras droit n'existentplus; la sueur, les larmes, la sa
près avoir souffert pendant plusieurs années d'élancements dans les bras et les jambes, présenta bientôt de l'affaiblissem
et de l'incertitude de la démarche et finalement une paralysie des bras et des jambes. La sensibilité est conservée presq
de la main; une dimi- nution de la sensibilité à la face interne du bras et de l'avant-bras, à la main, dans les doigts,
'amplitude et finit par s'accompagner de mouvements d'élévation des bras et de l'épaule, (action sur le plexus brachial)
enregistrées par Pitres ; comme lui, M. Friedloender trouve que le bras droit est plus fort que le bras gauche, tandis qu
lui, M. Friedloender trouve que le bras droit est plus fort que le bras gauche, tandis que la jambe gauche est plus for
18 8 kiL de sa force ; 2° dans l'hémiplé- gie cérébrale droite, le bras indemne perd plus de sa force que dans l'hémipl
UE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 3 15 portionnelle à la perte en force du bras correspondant, c'est-à- dire à peu près 16 hil.
iale etlin-uale gauche, est en outre remarquable par ce fait que le bras et la jambe, et en particulier le pied et la main
eux du tronc, sur le grand oblique de l'abdomen, sur les muscles du bras et de la jambe que les ossifications présentent
motilité de la jambe et, sous peu, il reprend également l'usage du bras qui demeure simplement parésié comme le facial.
65 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
e, donc, ur la taille de 55 millimètres - le géant est un homme aux bras longs (3). Dans l'appréciation de cette différenc
et avec le canon de l'européen adulte moyen, nous constatons que le bras est propor- tionnellement moins accru que l'ava
ut de développement du bord du pavillon (Meyer). Son torse et ses bras sont peu musclés, ses jambes le sont davantage. L
eur totale du membre supérieur, et surtout de son segment proximal ( bras ). Maintenant, si nous prenons pour point de rep
le tronc courbé en avant et les avant-bras en demi-flexion sur les bras . Cette malade fut opérée pour son goitre au moi
on de l'apophyse styloïde du radius détermine la flexion del'avant- bras sur le bras et une série de trémulations du bicep
hyse styloïde du radius détermine la flexion del'avant- bras sur le bras et une série de trémulations du biceps. On observ
déterminé par la forte saillie de la tête cubitale. En examinant le bras en des positions variées on ne peut ob- server
nsieur est venu la voir, qu'il était très poli ; il lui a offert le bras , et l'a reconduite chez elle ; ce mon- sieur l'
quer par sa force, portant à la fois quatre hommes, deux sur chaque bras . Il alla de ville en ville et, trop paresseux p
ravaille dans la verrerie, là il avait pris l'habitude de sortir en bras de chemise, en hiver et tout échauffé par la ch
t la respi- ration ; cette dernière est du type diaphragmatique.Les bras ne peuvent être éle- vés passivement ou activem
ne fièvre et, pendant cette maladie, il eut des convulsions dans le bras gauche et dans la jambe droite. Dix mois avant
ininsky le 4 mai 1906. Il se plaignait de ne pouvoir plus lever les bras et de ne pouvoir plus marcher sans canne; il disa
li- mitation de mouvements dans les articulations des épaules (les bras s'élèvent jusqu'à 35°), dans les articulations
son segment 1 cervical (la tète se meut de 3 centimètres), les deux bras ne peuvent se sou- lever plus haut que la ligne
té de cette deruière dans les régions dorsale et lombaire. Les deux bras ne peuvent se lever plus haut que la ligne hori
uvements limités, toutes les antres articulations des jambes et des bras sont intactes. Absence d'osléophytes et de déform
capable de se tenir debout, il tombe en arrière. Les mouvements des bras sont ataxiques ; il ne sait plus retrouver son
Il loca- lise mal la piqûre, ce qui est en partie dû à l'ataxie du bras , mais distingue la pointe de la tête de l'éping
gauche est paralysé et reste 24 heures sans secours. Convulsions du bras gauche, flexion forcée de la main et des doigts
éclatent de nouveau et deviennent défi- nitives. La paralysie du bras gauche subit également des variations, mais les m
e dessin du Triumphe ne permet pas de voir exactement comment ; son bras droit est soutenu par son bâton emblématique plut
on bâton emblématique plutôt qu'il ne le soutient ; son voisin a le bras en écharpe, la main tout a fait tombante. Ce so
le. Dans l'image du Triumphe on voit à ce rang un bandage spiral du bras et un autre de la jambe. Au cinquième le premie
en spirale qui ne laisse libres que les orteils; et son voisin a le bras en écharpe; la main tombante Les poursuyvans
personnages sont béquillards, couverts d'emplâtres sur la face,les bras , la poitrine, les jam- bes.Il est regrettablequ
d'une syphilis héréditaire. La mère est couverte d'emplâtres, a un bras amaigri et bandé porté en écharpe, le pied pansé
yons pas très bien à quelle lésion spécifique on peut attribuer ces bras en écharpe et ces dé- marches pénibles ; le rhu
encore quelques secousses dans le côté droit de la face et dans le bras corres- pondant. La main gauche s'élève comme h
minute) qui amènent un léger déplacement des doigts et de l'avant- bras . Quelquefois deux ou trois secousses se succèdent
nférieur. Le malade a une espèce de stéréotypie : si on lui lève le bras ou la main, il répète ce mouvement trente fois,
l'admission à "infirmerie, elle fit une hémiplégie droite complète, bras , jambe, face, avec hypoesthésie de toute la moi
ois de novembre 1907. Il s'aperçut d'une extraordinaire lourdeur du bras droit et d'une diminution de la force dans ce mem
es contractions fibrillaires dans les muscles de l'avant-bras et du bras . Pas de tremblement intentionnel, pas d'ataxie
se présente d'aspect tout à fait normal. La main, l'avant-bras, le bras nesont pas atrophiés ni modifiés de volume. L
volume. Les mouvements des doigts, de la main, de l'avant-bras, du bras sont ac- complis sans aucune difficulté et d'un
pas l'année ; pas d'idées délirantes révélables. D. - Mettez votre bras sur votre tète. R. Pourquoi faire ? On répète
énérale lie de vin est plus accentuée sur la face antéro-interne du bras et de l'avant-bras, ou l'on remarque également
un peu en arrière du creux axillaire, à la face postéro-externe du bras et sur le bord cubital de l'avant-bras, enfin à
segments des deux membres thoraciques : Circonférence maximum du bras . 1 A PROPOS DE LA SYSTÉMATISATION DES NOEVI 235
réveillée un matin avec = la la figure de travers ». La jambe et le bras du même côté étaient parfaitement libres. Comme
érieurs relativement très longs. Nous insistons sur le fait que les bras et les avant-bras ont conservé entre eux des ra
voit par la comparaison des chiffres indiquant la circonférence des bras et avant-bras prises des deux côtés en des poin
-bras prises des deux côtés en des points symétriques. Côté gauche, bras : 10 millimètres et avant-bras 5 millimètres de p
res supérieurs au contraire paraissent plus grêles. 318 MOSSÉ Les bras , les avant-bras ne sont pas très développés surto
, boulanger de son métier, fait aècomplir beaucoup d'exercice à ses bras . Le cou est épais, solidement implanté sur de l
différence. Membres inférieurs immobiles et fléchis. Poings fermés, bras fortement repliés sur les avant-bras. Membres s
res supérieurs.- Parésie complète et flexion des avant-bras sur les bras . La contracture est imparfaite, car, sans douleur
é et en pronation, le pouce en dedans et en exten- sion. Flexion du bras gauche : 103° ; Flexion du bras droit : 130°. L
edans et en exten- sion. Flexion du bras gauche : 103° ; Flexion du bras droit : 130°. Lenteur des mouvements volontaire
'extension dans lesquels la flexion prédomine : l'avant-bras sur le bras , la main sur l'avant- bras avec un léger mouvem
flexion prédomine : l'avant-bras sur le bras, la main sur l'avant- bras avec un léger mouvement rotatoire en dedans, les
xes cutanés non adap- tés ; par exemple, un pincement de la peau du bras ou d'un endroit quelconque du corps provoque le
son équilibre. Si pour marcher nous le soutenons en lui donnant le bras , ou en lui donnant une canne pour s'appuyer, le
ontraire s'ils s'appuient sur une canne, ou si nous leur donnons le bras , ils ont beaucoup plus de courage et font de gr
soient bien conservées et qu'ils s'appuient sur une canne ou sur le bras de quelqu'un. De ces considérations, nous avons
s'il s'agit par exemple de fléchir sim- plement l'avant-bras sur le bras mouvement qui ne demande qu'un effort très faib
nd que celui qu'il a fait pour plier simplement l'avant-bras sur le bras . De même, en abaissant le membre, nous avons vu
l'extension progressive des atrophies amena leur généralisation aux bras avec cette particularité fort originale que l'e
tage. Elle ne sait si on s'aperçut à sa naissance qu'elle avait les bras et les jambes anormalement courts ; mais elle rac
qui favorise l'épaississement des muscles ; il a comme membres des bras de leviers courts, ce qui favo- rise les mouvem
nez recommençait à bleuir, l'enfant se plaignit de douleurs dans le bras gauche. Le lendemain, ces douleurs reparurent d
un indigène qui lui porta un coup de couteau. Il put le parer avec le bras droit, qui porte toujours la cicatrice de la bl
de suite frappé par la disproportion de longueur existant entre les bras et les avant-bras (PI. LXXI,lig, 2). Alors que le
alors qu'il en est de même pour les avant-bras et pour les mains, les bras sont environ de quatre pouces plus courts que c
ales à l'inspection ; mais on note que, lorsque ce garçon porte ses bras en élévation, bien qu'il n'existe pas de limita
l en est de même pour les avant-bras et pour les mains. alors que les bras sont beaucoup plus courts qu'ils ne devraient.
NGÉNITALE 465 donne environ 33 centimètres. Le raccourcissement des bras atteint et dépasse ainsi le tiers de la longueu
t : 163 centimètres. 4° Distance d'une extrémité à l'autre des deux bras mis en croix : 150 cen- timètres. L'examen d'
ent conformés. Comme on le voit sur la figure (PI. LXXH,fig.5), les bras montrent leurs proportions raccourcies par rapp
e droit (Voy. les mensurations ci-dessous). La musculature des deux bras est bonne. Par la palpation, lors des mouve- me
centimètres ; sa grande envergure, d'une ex- trémité à l'autre des bras en croix, est de 158 centimètres. Les mensurati
, de même que dans le cas V, les mouvements des articu- lations des bras sont normaux et il n'existe pas de crépitation.
r de2m. 50 (janvier). Le poignet droit reçoit le choc principal, le bras ayant été porté instinctive- ment en avant. Le
e de l'avant-bras (extrémité inférieure) sans plaie, pour laquelle le bras est immobilisé pendant trois semaines. Nous e
st atténuée sous tous ses modes dans toute l'étendue de la main, du bras , de l'épaule, jusque dans la région du grand pe
eux divisions pour tous les groupes musculaires de l'avant-bras, du bras et de l'épaule. Deuxième radiographie (10 mois
corps. Assis toujours sur son séant, je lui demande de relever les bras en l'air : le malade les soulève à peine jusqu'
Au contraire. quand il est couché sur le dos, le malade soulève les bras tout aussi bien que e nous. De ces expérience
, qu'il arrange bien ses cannes, puis quand il s'est assuré que ses bras appuient bien dessus, il cher- clie alors à se
66 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
uelette est très anor- male. Joseph ressemble à un singe : il a des bras très longs qui arrivent pres- que aux genoux. L
dos. Quand on lui demande de se soulever du décubitus en tenant les, bras croisés sur la poitrine, il est forcé de soulever
d'une camisole et d'une robe rose clair ; elle aussi tient dans son bras gauche un panier. Un cinquième personnage égale
tion de Bas- tiano d'un centre cénestésique pour les mouvements des bras et des mains nous paraît aussi plausible que l'
se renverse, écarte les cuisses, croise les jambes et cache de ses bras son visage et ses seins en poussant, d'une voix d
établissement des règles, qui fut tardif. Membres supérieurs. -- Le bras et Iavant-bras ont des proportions respec- tive
pour le plan antérieur du corps, aux mamelons, aux avant-bras, aux bras , aux mains qui semblent gantées de blanc ; pour l
KLIPPEL ET FEIL Les mouvements de la tête sont seuls limités ; les bras et les jambes sont légèrement atrophiés, mais c
ulever seule un matelas pour faire le lit, tenir ses enfants sur le bras , etc. Par contre, elle était capable de soulever
proportions relatives les uns par rapportaux antres. La longueur du bras de la tête humérale à l'épitrochlée est de 26 cen
et celles des membres supé- rieurs qui frappent l'observateur. Les bras , dans les cas prononcés, sont accolés au tronc
s les cas prononcés, sont accolés au tronc ; mais d'autres fois les bras et les avant-bras sont en ex- tension et s'élèv
u presque constamment des contractions musculaires brusques dans le bras et l'avant-bras gauche. Des secousses analogues s
venues dans la jambe gauche depuis 6 mois, et plus récemment dans Je bras droit. Ces contractions sont plus fortes et plu
musculaire est très marquée à la main gauche, à l'avant-bras et au bras . Le deltoïde gauche, lui-même, est moins volumine
trophie se retrouve à un plus faible degré, à la main et à l'avant- bras ; elle n'est pas appréciable à la vue sur les mus
vant- bras ; elle n'est pas appréciable à la vue sur les muscles du bras et de l'épaule. atrophie musculaire PROGRESSI
l'olécràne, 24 cent. tri ; à droite, au même niveau, 25 cent. 5. Bras gauche, à 13 centimètres de l'olécrane, 24 centim
mouvements passifs. Le mouvement de flexion de l'avant-bras sur le bras est beaucoup plus énergique. L'élévation du bra
'avant-bras sur le bras est beaucoup plus énergique. L'élévation du bras se fait encore presque normalement. Membre supé
tenseurs des doigts ont aussi une force inférieure à la normale. Au bras , la force musculaire est conservée. Aux membres
: années, l'atrophie musculaire a.subi une aggrava- tion lente : Le bras gauche pend le long du corps, absolument inerte ;
u'il a perdu la possibilité d'écrire. Les mouvements des muscles du bras et de l'é- paule sont partiellement conservés.
ons fibrillaires, mais douleurs dans les mem- bres supérieurs ; les bras paraissent hypertrophiés. La soeur de ce ma- la
muscles des jambes, puis ceux des mains, des avant-bras et ceux du bras gauche : l'atrophie progressive est accompa- gn
a sensibilité ; atrophie des membres supérieurs, mains, avant-bras, bras , épaules ; atrophie de l'orbiculaire des lèvres.
embres supérieurs, atrophie des muscles de la main, puis de l'avant bras , sensibilité intacte ; diminution des réactions é
gauche, type Aran-Duclenne; extension lente aux muscles de l'avant- bras , du bras et de l'épaule gauche. Sept à huit ans a
ype Aran-Duclenne; extension lente aux muscles de l'avant- bras, du bras et de l'épaule gauche. Sept à huit ans après le d
s fibrillaires dans les muscles atrophiés. Intégrité des muscles du bras et de l'épaule droits. Arrêt de la marche de la
PHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE HÉMILATÉRALE 321 moins de force dans le bras droit que dans le bras gauche. Les mouvements de
SIVE HÉMILATÉRALE 321 moins de force dans le bras droit que dans le bras gauche. Les mouvements de son bras droit étaien
e dans le bras droit que dans le bras gauche. Les mouvements de son bras droit étaient si embarrassés qu'il commença à se
étaient si embarrassés qu'il commença à se servir de préférence du bras gauche. Lorsqu'il devait écrire vite de la main d
emps que la musculature de son épaule droite, de son thorax et de son bras du même côté ne se développait pas comme à gauc
lication de courants électriques à la moitié droite du visage et au bras . Après cette cure, l'enfant réussit à fermer pres
et inférieur de gauche. Membre supérieur droit. Au repos, quand le bras est abandonné le long du tronc, l'humérus est u
trophie est encore plus évidente dans les muscles de l'épaule et du bras , et ceux de l'avant-bras et de la main sont atr
est obligé de hausser l'épaule droite plus que l'épaule gauche. Le bras se tourne en dehors et la main a une tendance à
aucoup plus tard, des muscles du cou, de la ceinture scapulaire, du bras et de l'avant-bras, enfin, depuis quelque temps,
-là seulement, aux mus- cles de la ceinture scapulaire et à ceux du bras , puis à ceux de l'avant- bras, de la main, et d
e la ceinture scapulaire et à ceux du bras, puis à ceux de l'avant- bras , de la main, et du membre inférieur ; la manière
e aucun mouvement de défense. On note de la flexibilité cireuse des bras . A l'Hôtel-Dieu où il avait été hospitalisé pen
volonté » (Il répète cette dernière phrase plusieurs fois). , Les bras croisés sur la poitrine, il pleure abondamment ;
Jérusalem, s'excitant peu à peu et criant d'un ton déclamatoire « Les bras et les mains crucifiés pour l'amour de Dieu...
IE DES VERTÈBKES 393 sans tremblements. Extrémités supérieures : le bras droit cassé dans l'enfance est plus court que l
es muscles de la face antérieure de l'avant-bras. Les mouvements du bras gauche sont bien conservés dans toutes les arti
abinski. Rétention complète d'urine. 25. Douleurs aux jambes et aux bras . Augmentation de la paralysie des membres infér
temps. Plusieurs mois après, il s'est aperçu que ses jambes et ses bras , surtout du côté droit, commençaient à s'affaibli
le membre supérieur c'est surtout la flexion de l'avant-bras sur le bras qui est moins énergique, Les mouvements volontair
on ne se produit pas, mais on voit dans les muscles des épaules, du bras et de l'avant-bras du côté droit des contractions
r l'exa- men : l'avant-bras est fléchi presque à angle droit sur le bras , la main de l'exa- minateur est prise dans la m
de cet os, il ne se pro- duit aucune flexion de l'avant-bras sur le bras , mais une très nette flexion des doigts, que l'
main. c) Si, maintenant, l'avant-bras étant toujours fléchi sur le bras , mais la rnain tombante en pronation complète,
té superficielle (tact, douleur, chaleur) dans la moitié externe du bras et de l'avant-bras. Le sujet ne se trompe presque
faradique et galvanique des nerfs et de presque tous les muscles du bras et de l'avant-bras du côté droit. Aucune diminu
ONTO ciennes, à la nuque, avec irradiations vers les épaules et les bras . Ce sont de nouvelles souffrances qui persisten
poussée en avant et demi-ankylosée, ne permet qu'un court écart des bras et aucun mouvement d'élévation ; la main ne dépas
lombaires et des interosseux et moins des muscles des fesses et des bras . Sen- sibilité parfaite. 9991. - La malade me
à droite.- Elle se plaint de faiblesse et surtout du côté droit, le bras et la jambe, mais cette faiblesse est plus pron
par un léger ictus sans perte de connaissance. A la suite, parésie du bras et de la jambe droite. En 1905, lors d'un premi
sible d'affirmer une amyotrophie. Les muscles de l'avant-bras et du bras sont res- pectés des deux : côtés. La face est
Cette atrophie est limitée aux éminences thénar et hypothénar. Les bras sont in- demnes, le réflexe radial conservé, le
contraction se fait normalement. Les muscles de l'avant-bras et du bras paraissent égaux des deux côtés.Le sous-épineux p
uée du côté gauche. Les muscles des membres supérieurs, avant-bras, bras et épaules sont d'aspect normal. Il n'y a pas de
e malade marche bien. La force est conservée également au niveau du bras et de l'avant-bras. Les mains sont moins fortes e
: état sensiblement le même, pour le médian et le radial à l'avant- bras . Diminution plus accusée dans le domaine du cub
main gauche n'a jamais rien eu. A l'examen, la force musculaire du bras et de l'avant-bras est bonne et égale l'atrophi
rieurs. A gauche, la flexion et l'extension de l'avant-bras sur le bras sont normales. La flexion de la main se fait bi
é de s'arrêter au bout de o minutes. La force de l'avant-bras et du bras est bien conservée et absolument semblable à ce
n lisse. L'éminence hypothénar, les interosseux, l'avant-bras et le bras sont normaux. Les réflexes olécraniens, radial,
xion des doigts avec abolition de la flexion de l'avant-bras sur le bras ). La localisation exclusivement thénarienne ne
exagéré des membres inférieurs. La face et le cou sont normaux, les bras grêles, les seins petits, la poitrine maigre, l
t général s'est amélioré d'une façon constante, mais la face et les bras restent maigres, tandis que les membres inférieur
x remontait jusqu'à la région ombi- licale, le haut du corps et les bras restant relativement grêles. « On ne peut pas n
la lipomatose qui se continue, insensiblement, avec les parties du bras demeurées normales. Dans cette région axillo-br
67 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
s paralytiques qui voudraient marcher; ils demandent simplement qu'un bras secourable les soutienne et les aide à faire les
as encore souvent sa place et ne peut atteindre avec tes mains ou ses bras que les personnes qui sout â sa proximité. Certes
es très nets. Outre la paralysie du mouvement et de la sensibilité du bras , de la jambe et de la face, Lombroso aurait produ
une violente émotion. Quinze jours après, il com-mença à trembler do bras droit. Le tremblement, d'abord léger, s'accentue
supérieur droit, au milieu de l'avant-bras et à la face antérieure du bras ; une autre a la partie droite du front. Sur le
e du front. Sur le reste du corps, la sensibilité est normale. Le bras droit est agite de tremblements marqués, presque
t que la moindre pression, le moindre contact du bout du doigt sur le bras gauche ou tout autre point de ce côté, lui fait f
compte, l'effet de la suggestion, on la saisit vigoureusement par le bras gauche. Elle ne témoigne aucune douleur. On s'ass
ne sensibilité exagérée et l'on peut constater par comparaison que le bras droit en maintenant plus sensible que le bras gau
par comparaison que le bras droit en maintenant plus sensible que le bras gauche, comme il lui a été suggéré. Le lendemai
— Vous avez pris la traverse ? Mathis. — Oui... oui... (Etendant te bras .) Voici le grand pont... et là-bas. dans le fond,
démontre : Chez une jeune fille qui avait une paralysie hystérique du bras , j'échouai complètement dans mes tentatives de su
es, et de prescrire d'appliquer ces fers rouges à un point désigné du bras pour produire une profonde brûlure au premier mom
point scapullaire et l'irridiation de la douleur dans l'épaule et le bras . Pendant toute la durée de l'accès, on voyait l
et, malgré ses efforts, sa petite sœur, qu'Angélina élevait dans ses bras , ne put, tout en se meurtrissant les mains, escal
uvement de rotation. Puis l'épaule est portée en haut el en avant. Le bras , lavant-bras el la maiu sont agités de mouvements
vos paupières se ferment, votre téte devient lourde ; vous sentez vos bras cl vos jambes s'engourdir. Tenez, vous donnez. Do
figure ne grimace plus, votre téte ne remue plus, votre épaule, votre bras , votre main ne sont plus agiles de mouvements. Vo
réveillerai, vous n'aurez plus de mouvements dans la ligure, dans le bras , et vous serez guérie. De plus, vous serez bien o
air un peu étonné de n'avoir plus de spasmes dans la figure, dans les bras , et de porter sa tète sans éprouver de mouvements
ents convulsîfs. Tous les muscles du corps.sont pris. Los jambes, les bras , sont, perpétuellement agités de mouvements viole
es subin-trnntes pendant lesquelles elle se croyait étouffée dans les bras du fantôme ut qui mettaient sa vie en danger. Ces
ères de ses sujets en leur persuadant qu'ils dorment, ou leur lève un bras en l*s défiant de l'abaisser, il ne fait par là q
vaient servi à mes premières expériences. Devant lui. je traverse ses bras d'une longue aiguille sans qu'elle donne le moind
vous le prouver. Vous avez vu cette jeune fille se laisser percer le bras sans sourciller. Vous, vous êtes capable d'autant
ciller. Vous, vous êtes capable d'autant et de plus. Donnez-moi votre bras ; regardez-moi fixement en me montrant par votre r
rien sentir, et vous ne sentirez rien ». Il le fit; je lui perçai le bras : il ne sentit rien ou. ce qui revient au même, n
ce qui revient au même, ne sentit pas de douleur. Il croyait que son bras n'était pas transpercé. Il fut stupéfait de voir
es; elle se jetait sur son lit les poings fermés et en se tordant les bras , se trouvant horriblement malheureuse et pleurant
est une chute sur les bords d'un seau d'eau qu'elle portait à bout de bras , avec lequel elle a trébuché, qui l'a entraînée p
bonne d'enfant chez un cocher, à la Villelle : elle promenait sur ses bras de douze ans, un bébé de sept mois : poids bien l
puyai mon assertion en lui faisant, pendant la séance, des piqûres au bras avec une aiguille ; piqûres qu'elle s'imagina sen
lieu. Quand j'arrive devant la piscine, je vois, prosternés et les bras en croix, une foule de pèlerins. Un prêtre de hau
ristes ou diacres, faisant comme lui face à la foule agenouillée, les bras en croix, semblables à des chefs d'or-chestre, en
ibilité thermique est pervertie. Un objet froid placé sur la main, le bras ou l'avant-bras gauche lui paraît froid. Le 15 ja
orphiniques : douleur subite irradiant du petit doigt à la main et au bras gauches, à la région scapulaire et à la jambe gau
je me suis reveillée en sursaut et ai sauté de mon lit, « me lAianl bras et jambes pour trouver la trace; je pensai que pe
l'aiguille devait être enfoncée directement; un peu partout, sur les bras et sur les jambes en particulier, nodosités sous-
nous semble-t-il, des centaines d'hommes, de femmes cl d'enfants, les bras en croix, suggestionnés, fanatisés et répétant à
compagnée qu'elle était, s'emparait de son chien, le portait dans son bras (et il la soutenait, suivant son expression). l'a
malade dans sa chambre, où son père l'avait portée lui-même dans ses bras , lorsque j'arrivai près d'elle, et voici ce que j
ù elle paraissait beaucoup souffrir dans la région frontale. C'est du bras gauche qu'elle se servait exclusivement, et le so
orps restait dans une immobilité absolue, el lorsque je soulevais les bras ils gardaient La position que je leur donnais. Ce
nt qu'il existait une semi-anesthésie du côté droit et une parèsie du bras droit. Hier dimanche, le nez a commencé a redev
es traits principaux : mouvements désordonnés, position fréquente les bras en croix, le corps reposant sur la nuque et les t
: c'est la sensation d'une corde qui, se tendant à l'intérieur de ses bras et de ses jambes, lui raccourcirait les membres;
ue brusque, avec perte de connaissance, cris, mouvements désordonnés, bras en croix, le corps se mettant en arc de cercle su
tronc, tendance â l'arc de cercle, flexion et extension excessive des bras . A ce moment, les doigts sont fléchis au point qu
toute lésion. L'impotence fonctionnelle commençait à gagner déjà le bras gauche, et c'est vers cotte époque que je fus app
..., debout, au milieu de la chambre, et tenue fortement par mes deux bras , de me regarder fixement en faisant de fortes ins
nvier, elle marchait tout à fait bien, sans même traîner sa jambe. Le bras gauche, dont la tendance à la contracture a vivem
les de la vue, l'aihétose des mains, un besoin constant de tordre ces bras comme-si elle était en imminence de crise hystéri
ssolution saturée d'hyposulfite de soude en la plaçant à la portée du bras de L... endormie et extériorisée. Le sujet étant
e a déterminé, a son insu, la cristallisation, et au même instant, le bras de L... s'est contracture, lui faisant éprouver d
vec d'autres personnes : elle avait ressenti le coup, probablement au bras ; mais, ne m'occupant pas alors du phénomène de la
squ'à plusieurs par jour. Elle fut ensuite atteinte de paralysie du bras droit accompagnée de contracture. Le bras était d
te atteinte de paralysie du bras droit accompagnée de contracture. Le bras était dans la rectitude et ne pouvait étre fléchi
six mois, époque à laquelle elle eut une attaque, et, à la suite, le bras et la jambe du côté droit restèrent paralysés.
ôté droit restèrent paralysés. Cette paralysie dura quatre mois. Le bras était toujours dans l'extension: les doigts élaie
s l'extension: les doigts élaieul fléchis dans la paume delà main. Le bras guérit le premier, mais la jambe ne guérit qu'inc
el la malade entre à l'hôpital, mais j'avoue que cette contracture du bras , qui dure un mois et demi et qui guérit sous l'in
de leur faire faire le diagnostic de ce sommeil simulé. Saisissant le bras de la malade, nous retendons de manière à provoqu
manière à provoquer la rigidité catalepliforme. Elle laisse aller son bras et le maintient étendu, croyant qu'il faut le fai
lité neuro-musculaire. Lui ayant de nouveau saisi et ramené à nous le bras , nous excitons, par une pression légère et au moy
68 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
nce. Au palper, celle-ci est nette dans les muscles de l'épaule, du bras , et de l'avant-bras gauche ; dans les muscles d
res. De temps à autre, vous voyez apparaître, dans les mus- cles du bras et de l'épaule gauche, des contractions spontanée
DIE DE PARKINSON 9 gue plus vite que la droite ; six mois après, le bras gauche perdait de son agilité et de sa soupless
rter sa bouche; il peut l'arrêter momentané- ment en raidissant son bras ou en lui imprimant une vigoureuse secousse, co
er. ' Six mois après le tremblement, apparut une légère raideur des bras , nui s'affaiblirent neu à neu. Actuellement, el
ux postérieurs gauche et droit. Le nerf cubital droit (au niveau du bras ) présente une légère sclérose ; au niveau du co
Les omoplates sont écartées du tronc. Le malade tient toujours les bras dans la demi-flexion, les coudes rejetés en arr
is traversé par un courant d'air ; il faut se pencher et tendre les bras . A été souvent exposé aux intempéries en condui
se voûter et se raidir. Il y eut par périodes des douleurs dans les bras , les jambes, et même parfois dans les testicule
des mouvements; pas de raideur objective. Quand il marche, sent ses bras lourds. Les autres articulations notamment les
ns plier les genoux. Les épaules étaient redevenues souples, et les bras légers. Aucune douleur rachidieune ou autre sau
vres. Pas de tremblement marqué des mains. Maladresse marquée des bras ; la malade ne refait* qu'avec difficulté le noeu
tat ; elle s'occupe un peu dans la salle. " Réflexe tricipital du bras , rapide et brusque. 24 octobre. - La malade pré
plane avant de le saisir. Force musculaire assez bien conservée au bras et à l'avant-bras, diminuée à la main, avec laq
out, la figure hideuse et grimaçante, nue jusqu'à la ceinture ; les bras semblent contracturés. Ce- pendant les membres
rtement tirée au dehors, et un diablotin s'échappe vers le ciel. Le bras gauche est contracturé, raidi sur le genou. Le
ers le ciel. Le bras gauche est contracturé, raidi sur le genou. Le bras droit se cramponne au vêtement, et semble essay
tête, la contracture des quatre membres, forment avec l'attitude du bras droit un ensemble qui ne peut laisser aucun dou
cher, que l'artiste ait voulu par cette torsion invraisemblable des bras , indiquer la violence extrême des convulsions,
r un arc de cercle très accentué, et surtout par une contracture du bras gauche caractéristique : « la main est fermée, le
mais c'est celle d'un garçon de 15 ans. (Pl. XX.). Son torse, ses bras , sont peu musclés ; ses jambes le sont davantage
stendant le dos de la main et remontant jusqu'au tiers inférieur du bras . Il n'existait tout d'abord aucun oedème des me
rable de la main, de l'avant-bras et des deux tiers in- férieurs du bras . Comme dans noire cas III, il n'y avait pas d'oed
ver, on a peur de suite qu'un ver ou un serpent vous monte sur les bras . Toute la nourriture qu'on mange fait mal, vous
e circonférence maximum et l'exiguïté de sa taille (134 cent.). Ses bras sont très courts : si, en effet, on lui fait pren
us, on constate une disproportion singu- lière entre la longueur du bras et celle de l'avant-bras, la longueur du bras est
re entre la longueur du bras et celle de l'avant-bras, la longueur du bras est de 22 centimètres, celle de l'avant-bras de
ueur du bras est de 22 centimètres, celle de l'avant-bras de 26, le bras est donc plus court que l'avant-bras : ce qui n
ngueur de l'humérus, 22. de l'avant-bras, 26. Longueur totale des bras depuis l'acromion jusqu'au médius, 35. Diamètre
l'avant-bras. Partie inférieure, 18 centimètres. Partie moyenne du bras , 24. Partie inférieure » 26. Partie supérieur
er de cordonnerie. Il présente quel- ques « dartres sèches » sur le bras droit et la hanche gauche. Mère, 59 ans, en tra
toute anomalie des téguments. Six enfants. Un fils présente sur le bras droit un « grain de raisin » brunâ- tre. La fil
oration jaune, café au lait, inégalement réparties sur la nuque, le bras gauche, les fesses ; de formes irrégulières, de
ans les membres inférieurs, plus rarement dans le tronc et dans les bras . - Eu 1896 on constate peu de troubles de la ma
un qui exhibait un moignon informe, une griffe tordue au bout d'un bras squelettique. Ac- croupi, lesjambes bizarrement
de six à dix. Ce sont d'abord les enfants. Les garçons, nu tête, en bras de chemise, sans cravate, sans col,- tenue spor
re. Puis viennent les adultes. Les hommes, eux aussi tête nue et en bras de chemise, la veste et le chapeau à la main, c
au à la main, côte à côte, coude à coude, quelquefois se donnant le bras . Et les femmes, qui se tiennent sur une même fi
rt des pieds,avec des déhanchements de corps et des balancements de bras . De ci, de là, on voit aussi quelques fantaisis
formé. J'ai vu des goitreux en grand nombre. J'ai vu des gestes des bras et des jambes, dont l'extrême brusquerie, l'ardeu
turelle (1). Parfois la malade se plaint de fatigue à la racine des bras ; elle ne peut se peigner et, si elle y persist
cine des bras ; elle ne peut se peigner et, si elle y persiste, les bras tombent. Elle éprouve aussi dans les jambes une
n par en bas : parésie des muscles masticateurs . L'élévation des bras est absolument impossible; la marche est très dif
)algllm est dù à une incurvation du fémur à concavité externe. Au bras gauche, raccourcissement considérable dû à une in
orthopé- dique. A 8 ans, il tombe d'un pommier, et se déforme le bras gauche. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S.1L1·I : T
e suivi d'adénite inguinale gauche suppurée. Examen du malade. - I. Bras . - Au niveau des bras nous ne constatons au- cu
inale gauche suppurée. Examen du malade. - I. Bras. - Au niveau des bras nous ne constatons au- cune altération d'inique
ension sont limi- tés ; dans l'attitude d'extension maxima l'axe du bras forme encore avec l'axe de l'avant-bras, un ang
berg. Réflexes rotuliens conservés. Lenteur dans les mouvements des bras . Faciès immobile. Parole traînante et larmoyante.
lement, en outre ou voit une plaque \de dégénération située dans le bras horizontal de la substance blanche. Les cellule
ingulières : l'un sautant sur les deux pieds, en contorsionnant son bras et sa jambe droite ; l'autre dansant sur la point
ied, en levant une jambe en l'air, avec des agitations bizarres des bras . Un de ces danseurs fait en outre une affreuse
se. Ceux-ci ont la tête chargée de bran- chages, de guirlandes, les bras et le cou ornés de feuilles, ceux-là courent co
; elles osaient s'emparer de serpents qu'elles enroulaient à leurs bras ou qu'elles mêlaient à leur chevelure ; les thy
serrés l'un contre l'autre, marquant le pas, l'échiné courbée, les bras ballants, les danseurs se redressent et partent d
inférieurs et du tronc. Aux membres supérieurs même, les muscles du bras et ceux de l'avant-bras sont notablement plus pâl
de la ceinture pelvienne ou scapulaire qu'au niveau des muscles du bras et de la cuisse. Examen histologique. - 1° Ex
antérieur d'autre part, beaucoup plus intéressés que les muscles du bras et de la cuisse. 2° Examen du système nerveux.
t particulièrement infiltrés de tissu adipeux. Ainsi au niveau du bras , tandis que le biceps était très scléreux et en
. La ma- lade peut encore fléchir l'avant-bras à angle droit sur le bras . Elle ne fait au- cun mouvement de l'épaule. Qu
hie musculaire. Aux membres supérieurs, les mouvements spontanés du bras et de l'avant- 378 '1110l,%S ET ll.lUlt bras
vements spontanés du bras et de l'avant- 378 '1110l,%S ET ll.lUlt bras sont très limités, surtout à droite. Les deux mai
rd : à certains moments il se plaignait de fourmil- lements dans le bras droit, puis dans le côté gauche de la face et dan
ation normale. 18. - La jambe droite a repris beaucoup de force, le bras droit peut exécuter quelques mouvements d'éléva
des membres supérieurs plus complète à gauche qu'à droite. Remue le bras gauche en totalité au commandement, mais ne peut
est demi- fléchie sur l'avant-bras, les doigts dans l'extension. Le bras droit est plutôt parésié que paralysé : le mala
moment maximum des déformations. Le malade ne peut se servir de ses bras pour prendre un objet qu'avec une peine extrême
Le même contraste existe aux membres supérieurs entre le volume du bras et celui de l'avant-bras, mais moins accusé qu'
'avant-bras, mais moins accusé qu'aux membres inférieurs : l'avant- bras paraît plus petit qu'il ne devrait être, mais san
ans les mouvements de flexion et d'extension de l'avant-bras sur le bras . Ce n'est d'ailleurs pas seulement dans les mai
ont abolis; les réflexes du MYOTONIE AVEC ATROPHIE MUSCULAIRE 453 bras et de l'avant-bras sont faibles. Pas de réflexe c
ure scapulo-humérale et des membres inférieurs avec prédominance au bras . Plus tard apparaît une atrophie musculaire qui
ournés vers le pla- fond : la main est soulevée, prête à arrêter le bras de l'opérateur, au NOUVELLE Iconographie de la
lles; ce sont évidemment les pharisiens; le plus apparent, lève les bras d'étonnement. Du côté opposé de la tapisserie,
e chaise, le torse nu jusqu'aux cuisses ; un aide maintenait les deux bras du patient au-dessus de la tête. Un médecin en
69 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ns il n'a conservé aucun souvenir de gène dans les mouvements des bras avant sa quinzième année ; et ce n'est qu'a parti
oies inex- tensibles, et nous avons prié le malade de fléchir son bras et de l'étendre régulièrement, à intervalles
endante de ia ligne B C; et quand M. S... a cher- ché à ramener son bras dans l'extension, il n'a pu y parvenir entièrem
alade cessant ses efforts d'extension et fléchissant de nouveau son bras on obtient la ligne D E ligne ascendante très obl
plusieurs heures sans se fatiguer; de même pour les mouvements des bras ; quand il tient un objet il ne le lâche pas aus
sus de l'apophyse styloïde du cubitus est de 23, 7 cent. ; celle du bras à sa par- tie moyenne de 28 cent. La consistanc
iunopsiquc, revenant, par accès, avec engourdissement et parésie du bras , et embarras de la parole; un tiii lilits tard,
même temps que l'amblyopie ; puis la langue s'est prise, ensuite le bras et le tronc, et en dernier lieu la jambe. La cr
successivement en flexion, extension, pronation et supination ; le bras exécute des mouvements de circumduction. Les ex
rcle, tantôt en avant, tantôt en arrière, tantôt sur les côtés. Les bras et les jambes sont animés de convulsions toniqu
te renversée et tournée de côté, la langue sortie de la bouche. Les bras , à demi-fléchis, s'élèvent et se croisent en av
anouissement en tramway. En revenant à elle, elle s'aperçut que son bras gauche était atteint d'un tremblement continu.
le plus remarquable était un tremblement très accusé, affectant le bras gauche, l'avant-hras et la main. 11 était conti
un tremblement convulsif parcourut son corps et ses membres. Les bras s'écartèrent légèrement, les mains en partie ferm
accompagnée d'une figure qui représente la malade agenouillée, les bras portés en avant. Cette attitude qu'elle prenait
t pleurs stertoreux, accompagnés de tremblements localisés dans les bras et les jambes, quand on lui enlève sa nourriture
ur le siège en 1874. Perte de connaissance, paralysie passagère des bras , pa- raplégie pendant trois mois. Durant quelqu
esthésie des jambes. Absence du phéno- mène du genou. Faiblesse des bras : parésie du bras et de la jambe du côté droit
s. Absence du phéno- mène du genou. Faiblesse des bras : parésie du bras et de la jambe du côté droit plus accentuée. Ca
est encore agitée de secousses pendant la nuit, mais la main et le bras ne le sont plus ; et le patient n'a eu que deux
ns le mois de mars, le malade est pris subitement de tremblement du bras gauche qui a persisté depuis et cesse pen- dant
enouvellent jusqu'à quatre et cinq fois par jour. Le tremblement du bras persiste, il existe également un peu dans la lè
actent, un peu d'écume paraît aux lèvres. Les mains se ferment, les bras se roidissent. Des inhalations d'étlier, et de
supination et un peu dans l'ab- duction. L'avant-bras forme avec le bras un angle très ouvert d'en- viron H0° à 150". Le
oulève lentement, la malade se met sur son séant. En même temps les bras se sont élevés progressivement, les mains se jo
de résolution énergique. La scène change une troisième fois, ses bras quittent sa poitrine, se décroisent, le gauche s'
contemple avec ravissement ce qu'elle tient entre ses doigts. Les bras s'allongent ensuite sur le lit et J... garde, pen
de aux mouvements des yeux et de la tête; le second, l'extension du bras qui se dirige vers la proie signalée par l'oeil
ectriques qu'il lance en plaçant les conducteurs, soit sur les deux bras , soit à un bras et à la jambe du côté opposé à la
lance en plaçant les conducteurs, soit sur les deux bras, soit à un bras et à la jambe du côté opposé à la section. Il d
loc. cilato). P. K. XII. Blessure par arme A FEU DES GROS nerfs DU bras , avec atrophie consécutive DE l'extrémité ; par
interne, après avoir perforé l'aponévrose brachiale. L'atrophie du bras gauche est générale, quoique de valeur différen
ras, de l'éminence thénar et des interosseux. Mêmes phénomènes au bras gauche, mais moins prononcées, car il n'y a que l
ire du tronc, du bassin, des extrémités inférieures, du coeur et du bras , l'exis- tence en plein canal vertébral d'un sa
strabisme et ptosis du côté droit. Douleurs et amyosthénie dans les bras . Deux jours après, phlyctènes aux gros orteils,
des talons, des fesses et du sacrum. Au quatrième jour, les deux bras sont paralysés, la face congestionnée des deux cô
u cerveau se traduisent par une hémiplégie flasque, plus marquée au bras , épargnant la face et le tronc, sans aucun troubl
es fibres à l'intérieur de ces organes et leurs connexions avec les bras conjonctifs, les corps genouillés, le ruban de Re
tique de soixante-trois ans, à la suite d'un accès. On voit que, le bras pendant un repos, l'omoplate du côté malade est
cas témoignant eu même temps d'altérations d'un autre ordre dans le bras correspondant. De la dégénérescence endothélial
que d'observer des monoplégies des membres inférieurs. Si celles du bras sont relativement communes, celles de la jambe
e attaque identique aux précédentes, mais à la suite de laquelle le bras gauche resta paralysé. ' État actuel (9 mars)
bre su- périeur est aussi ? fortement atteint' : lés''mouvements du bras sont nuls, toutefois' la ! malade' peut 'fléchi
ont nuls, toutefois' la ! malade' peut 'fléchir légèrement l'avant- bras sur le bras, 'et la main sur l'avant-bras ? ? 1
utefois' la ! malade' peut 'fléchir légèrement l'avant- bras sur le bras , 'et la main sur l'avant-bras ? ? 1 Sensibilité
s- sible. - Les muscles de ce,, membre supérieur, surtout ceux du bras , sont flasques et comme légèrement atrophiés. La
nt été mesure : On ne peut obtenir de la malade, qu'elle tienne ses bras dans le relâchement complet, de sorte qu'il est
gauche de l'abdomen et du thorax, etun engourdissement1 de tout le bras gauche. Mais malgré un exa- men niiiiutieux, il
de' la ja'mbe. dc ? li ,cvissé",dan les reins. L'engourdissement du bras gauche a augmenté ; sans qu'on puisse observer
nets de la sensibilité. La mo- î 'U< » i -'iii'ii. » tilité du bras est altérée ; les, doigts et la main se meuvent
gts et la main se meuvent bien, l'avant-bras se fléchit bien sur le bras , mais les mouve- 1 o T 1-i Je ai..) 1 ments d
t bien sur le bras, mais les mouve- 1 o T 1-i Je ai..) 1 ments du bras sont nuls, la malade ne peut pas porter la main
mbe : La paralysie dulmembro. inférieur gauche., est complète : 'le bras est étendu ! flasClllC,le,l;nb,du corps et(il net
e 1 on touche, la malade rapporte 1 excitation a la face interne du bras , mais son état intellectuel ne nousparait t pas
uverte de sueur, la bouche sèche, con- gestion pulmonaire, aux deux bras , escarre profonde. T. R. 3 9; 5. Elle meurt le
t aspect cachectique. Le surlendemain, la paralysie s'étendait au bras gauche ; d'abord simple parésie, mais bientôt par
mpagnée au- début d'une paralysie partielle et rapidement guérie du bras droit, à l'autopsie duquel on- trouva un foyer
mplète de la jambe droite, puis, au septième jour, une paralysie du bras droit. A la suite de la tré- panation, il se pr
de la tré- panation, il se produisit une amélioration rapide, le bras droit recouvra tout d'abord ses fonctions, et le
? i,i ,' t rl.f·I s1t'7 ih ·t ' seconde d une fracture spontanée du bras . Les moelles ont été examinées, après durcissem
e detvoir que 'ces .musclés ne fônt;s en somme,' que continuer.au bras le inouvemeiit'comménc6-à ? I'-avaiit-brà'S' par
<... D ? nl x...il'. " ,r.-r..., ,,l ..» ? l ! attouchement d un bras provoque une' vive 'secousse suivie de contract
utes une contracture généralisée se déclare, le corps s'étend, les, bras se contournent, latétcse ren- verse, il vient d
utile qui fournit des travailleurs à un établissement qui manque de bras vigoureux. Ce serait au contraire une mauvaise co
quelquefois par les membres supérieurs, souvent par la tête et les bras simultanément, très rarement par les membres in
rfs (athétose améliorée par l'élon- gatioii (les), 1 19. Nerfs du bras (blessure par arme à feu des avec atrophie cons
70 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
I. Début par raideur de la jambe gauche. Six mois après, parésie du bras droit. Gène légère de la pa- l'ole. Deux mois p
her, à la douleur et à la température. Le mouvement d'élévation des bras est impos- sible. Le facies ne présente aucun
l'état de contracture des muscles ; les mouvements d'élévation du bras sont impossibles, et lorsqu'on imprime des mouvem
droite. On éprouve une difficulté assez grande à étendre l'avant- bras sur le bras, et à peu près la même résistance pou
éprouve une difficulté assez grande à étendre l'avant- bras sur le bras , et à peu près la même résistance pour le fléch
s la même résistance pour le fléchir. Lorsqu'on cherche à mettre le bras en abduction par rapport au tronc, la malade ac
endant qu'on l'examine, on constate, dans les masses musculaires du bras et de l'avant-bras droits, des mouvements fibri
mblent par extrêmement atrophiés, et si la malade ne peut lever les bras , cela tient surtout à la raideur qui existe dan
mais présentent, eux aussi, une coloration jaunâtre. Les muscles du bras et de l'avant-bras ont une coloration normale :
t à fait aussi abondantes qu'à l'état normal. Quelques-unes ont des bras très longs et bien ramifiés, d'autres n'en ont
uelques phénomènes consécutifs aux contusions des troncs nerveux du bras . Thèse de Paris, 1879. 6 Hayem. Sur les altérat
, le gauche; tremblement pendant les mouvements intentionnels des bras , tels que la petite malade ne pouvait pas saisir
ion notable du tremblement pendant les mouvements intentionnels des bras ; les membres inférieurs peuvent faire des mouve
éléments à leur origine. Intégrité également des troncs nerveux du bras droit, intégrité des racines antérieures cervic
chant des'époux ». D. B. X. SUR LES paralysies ISOLÉES DES NERFS DU bras ET COM- binées DU bras ET DE l'épaule ; par M.
X. SUR LES paralysies ISOLÉES DES NERFS DU bras ET COM- binées DU bras ET DE l'épaule ; par M. BERNHARDT. (Cen- tralbl
s les membres ou dans la tête, et souvent il lui arrive d'agiter un bras ou l'autre sans pouvoir se retenir. « Est-on bê
ons. 11 y a sept ans, scarlatine bénigne; cette année, le volume du bras et de la jambe gauche s'est accru : on ne peut
écrits répondant au mot, à la figure ou au chiffre choisis, et son bras droit doit être tout prêt à exécuter le choc lo
tera, dans le premier cas, par la tendance de faire un mouvement de bras en avant, tandis que, dans le second cas (c'est
ns lui communiquer mon plan, je me suis mis à tenter la tension des bras dans diffé- rentes directions. En tenant de ma
ras dans diffé- rentes directions. En tenant de ma main gauche le bras droit de la personne en expérience (au poignet
e (au poignet même), j'essayai à plusieurs reprises de mouvoir le bras dans le sens d'abduction et d'adduction, et je m'
s dans le sens d'abduction et d'adduction, et je m'a- perçus que le bras exécutait ces mouvements opposés avec la même f
vements opposés avec la même facilité. Alors j'essayai d'avancer le bras et de le retirer, et je me convainquis à l'inst
le chiffre 7, c'est-à-dire que je res- sentis une grande raideur du bras en essayant de le déplacer à droite ou à gauche
avec un membre en état de contracture. Il était évi- dent quelle bras s'était préparé à tracer la ligne supé- rieure
st connu que Bishop a recours au même expédient), les mouvements du bras devinrent bien plus précis, certainement sous l
précis, certainement sous l'in- fluence des mouvements associés du bras et des yeux, qui a lieu dans ces conditions. Br
ociés du bras et des yeux, qui a lieu dans ces conditions. Bref, le bras travaille, dans ce cas,-sous la direction des y
sur le carré, il offre une plus grande résistance au déplacement du bras , en cas où le chiffre choisi est celui de 4, et
bras, en cas où le chiffre choisi est celui de 4, et la mobilité du bras même devient bien minime, comme s'il craignait
on son goût, l'un ou l'autre de ses nombres et me mis à éprouver le bras . Ces exercices achevèrent d'éclaircir le princi
R LA TENSION DES MUSCLES. tale supérieure, je déplace subitement le bras du sug- gesteur pour m'assurer de l'existence d
a ligne plus longue du chiffre 7, tandis qu'une forte résistance du bras qui paraît craindre de se déplacer indique une
»; il disait aussi qu'il avait les membres engourdis, tan- tôt les bras , tantôt les jambes. 11 n'a jamais eu d'accès auss
isselles et au pubis, plusrares sur les jambes, les cuisses, et les bras ; léger duvet à la lèvre supérieure. Deux cicatr
léger duvet à la lèvre supérieure. Deux cicatrices de vaccin sur le bras droit, trois sur le bras gauche; de ce côté, ci
périeure. Deux cicatrices de vaccin sur le bras droit, trois sur le bras gauche; de ce côté, cicatrice de vésicatoire à
ce côté, cicatrice de vésicatoire à la partie moyenne et externe du bras . La sensibilité générale est normale : lasensiL
deltoïde droit, deux à gauche ; sur la partie médiane et extrême du bras de ce côté cicatrice de vésicatoire. Au niveau
es membres supérieurs est une légère flexion de l'avant-bras sur le bras ; la main est ordinairement à demi fermée. Quoiq
des saillies volumineuses et sont véritablement hypertrophiés. Les bras et les avant-bras sont très développés. Le bice
ras sont très développés. Le biceps forme sur la face antérieure du bras une saillie considé- rable qui devient une véri
on dit à M. M... de fléchir et d'étendre successivement l'avant- bras sur le bras plusieurs fois de rang, les premier
M... de fléchir et d'étendre successivement l'avant- bras sur le bras plusieurs fois de rang, les premiers mouvements
u'en revanche le côté gauche s'est contracture. 20. A la visite, le bras droit a recouvré ses mouvements et sa sensibili
xtrémités, enfin survint une paralysie d'abord des jambes, puis des bras , sans contractures et avec affaiblissement rapi
lavait du linge dans de l'eau chaude lorsqu'elle vint à plonger son bras dans l'eau froide. Il survint immédiatement de
uente sur l'abdomen, moins abondante dans le dos, presque nulle aux bras , aux jambes et au cou; la face est intacte; pas
au pubis ni sur les membres : trois cicatrices de vaccin sur chaque bras ; une tache pigmentaire au niveau du bord inféri
syphilitique sur le tibia droit et sur la face antérieure des deux bras ; il n'y a rien dans la gorge, ni à l'anus; pas d'
rire; il ne pleure que rarement. Il passait ses jour- nées sur les bras de sa grand'mère ou dans une chaise, mettant se
trois heures avec contractures invincibles des quatre membres : le bras gauche et les deux jambes sont dans l'extension
uche et les deux jambes sont dans l'extension forcée : à droite, le bras est dans l'adduction forcée, l'avant-bras fléch
qu'elle ne viendra pas; tremblements du côté droit surtout dans le bras . Pas de troubles delà sensibilité, dou- leur pr
a portait à pleurer sans raison, et une parésie, marquée d'abord du bras gauche, puis de la jambe du même côté. Chez n
s les mieux réussis dans les extrémités gauches, et surtout dans le bras . L'auteur croit que l'attaque d'apoplexie a pas
l'hémianesthésie, de l'hémianopsie, des mouve- ments choréiformes ( bras ) du côté gauche et finalement de pa- résie des
une quarantaine de fois des mou- vements giratoires variés avec les bras , à jeter ces membres en avant ou en arrière, à
ctrisation, par quelque genre de courants que ce soit, des nerfs du bras , ne produit, chez aucune de ces malades, aucun
u d'extension de la main sur l'avant-bras ou de l'avant-bras sur le bras ; du pied sur la jambe, ou de la jambe sur la cu
jambe droite; il peut cependant marcher en traînant cette jambe. Le bras droit est absolument paralysé, flasque, sans co
rofondément endormi, sur le cadavre de celle-ci, et tenant dans ses bras son corps mutilé. Il prétendit n'avoir aucun so
endel, 232; par Meudet, 23,, 270. Paralysies isolées des nerfs du bras , et combinées du bras et de l'é- paule, lhlr
, 23,, 270. Paralysies isolées des nerfs du bras, et combinées du bras et de l'é- paule, lhlr Bernhardt, 95. Paratys
71 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
a, malgré ses efforts, ne la put pas exécuter. Les muscles du haut du bras tâtés au moment du phénomène me parurent fortemen
de calme, un soupir profond, le hoquet, la toux hystérique, crampe du bras levé dans la direction de l'ombre de la tente, et
n sueur, et elle-même, pâle, gémissait doucement; quand on levait son bras , il retombait inertement. Après quelques minutes
e celle qu'elle pourrait atteindre en s'inclinant de côté et ayant le bras gauche libre, j'avais placé une caisse contenant
e Un marin s'est fait tatouera l'âge de 16 ans, une panthère sur le bras droit ; ce malade âgé de 50 ans est actuellement
idées érotiques. Idées de grandeur Un serrurier de 51 ans porte au bras gauche un écusson héraldique surmonté d'une couro
les sujets avaient de 15 à 40 ans ; il tatouait de préférence sur les bras , le dos, les cuisses. Une de ses filles actuellem
r ses attouchements. Un marinier porte sur la partie postérieure du bras un buste de fille publique (dessin tatoué au régi
rist crucifié. Idées homicides Un chanteur de 34 ans porte sur le bras deux cœurs percés d'un couteau de boucher ; de la
a en état de catalepsie s'appuya sur son épaule, il sentit le coup du bras de la chaise, qui soudain s'était trouvée sur la
ême pour se mettre dans les positions les plus favorables, tenant son bras droit étendu sans qu'un aide fût nécessaire pour
ormir par une douleur violente derrière la tête. Insensiblement, le bras droit devint paralysé en entier, dans la demi-fle
entit fut telle qu'elle lui fit plier brusquement l'avant-bras sur le bras , et à partir de ce moment, elle retrouva ses mouv
e. A partir de ce jour-là, il se produisit un nouveau gonflement du bras et de la main, mais ce gonflement était excessive
septembre et, en même temps que le gonflement, disparut la douleur du bras et de la main. Le cas de cette malade était mul
a mano vaporosa, me touchait et jouait des doigts le long de tout mon bras ? » X. Enfin, le Dr Harusewicz tenta encore une
tation ; tout le corps est en mouvement ; les jambes se lèvent et les bras battent l'air; le corps est couvert d'une sueur p
« Sauve qui peut! » Louise G..., affolée de terreur, saisit dans ses bras ses deux enfants, et, tout en chemise, elle desce
it la secousse, avait une peur effroyable, prenait sa poupée dans ses bras , l'embrassait, et s'écriait : « Sauvez-vous, sauv
s parlent sous l'influence de l'impulsion donnée à leur esprit, leurs bras , par exemple, gardent, sans qu'ils y songent, les
parole et sans que je la prévinsse de ce que je faisais, l'un de ses bras resta en position cataleptique, dès que je l'eus
légère écume, d « Les hurleurs forment une chaîne en se mettant les bras sur les épaules, se lancent ensemble en avant, pu
ion régulière. Les muscles bien nourris, surtout dans les extrémités ( bras et jambes), sont plus développés qu'ordinairement
sque cadavéreuse, épuisé, souvent couvert de sueur. Les jambes et les bras sont, pendant les phénomènes, dans un état de for
s après la séance, lorsqu'Eusapia, à demi-éveillée, se jette dans les bras des hommes qui lui sont sympathiques, les embrass
les genoux; pendant et après d'autres phénomènes, dans les coudes et bras entiers. Voici ce qu'elle rapporte de ses sensati
a colonne vertébrale, comme un courant qui s'étend rapidement dans le bras jusqu'au coude, où il s'arrête doucement : c'est
tater un soulèvement du genou pendant la lévitation ou une tension du bras pendant les attouchements, mais doit prouver, qu'
se tenait éloigné et n'approcha que sur le signe des assistants. Les bras nus jusqu'aux coudes, il fit quelques lents mouve
oyant partir, s'imagine que je ne songe plus à lui, étend vivement le bras , saisit l'orange placée dérrière le coussin de so
des prétentions à l'élégance de se faire graver des tatouages sur les bras . Aux bains de mer, de jeunes Anglais se montrent
c'est là ce que fait le sujet. Lorsque, par exemple, on lui étend le bras et qu'on le défie de l'abaisser, il a bien l'air
hisseurs. Bien mieux, des spectateurs cherchent-ils à lui abaisser le bras ou à lui fermer la main, ils se heurtent à une ré
s mois plus tard, le malade me fut amené avec un eczéma aigu, sur les bras , eczéma dont l'apparition avait suivi immédiateme
dynamomètre marque à droite 0 kilos et à gauche 28. Circonférence du bras droit à 3 cent, au dessus du pli du coude : 24 ce
nce du bras droit à 3 cent, au dessus du pli du coude : 24 cent. ; au bras gauche 26. Circonférence de la jambe gauche au
la même sensation de pression que vous ressentez en ce moment. Votre bras vous paraîtra lourd à soulever. Celte fois, la ré
ment. Cette sensation de pression était telle qu'il éprouvait dans le bras un réel engourdissement, à tel point qu'il aurait
Vous voyez que vous ne pouvez pas. — Je retiens trop solidement votre bras ; — vous n'êtes plus libre de porter votre main à
, je suis perdue... Et les pauvres enfants repoussaient de leurs deux bras le spectre qui voulait les emporter, s'accrochaie
fermez les yeux, et, sans bouger ni faire agir aucun muscle de votre bras droit, pensez un, mouvement de ce bras, vous aure
ire agir aucun muscle de votre bras droit, pensez un, mouvement de ce bras , vous aurez alors par la mémoire le souvenir de l
e la sensation de ce qui se passe en votre système nerveux lorsque ce bras se meut. De là une nouvelle forme de transmission
remuer, et l'induit non seulement pense mais exécute ce mouvement, le bras ou la main de l'induit agissant comme s'il appart
ssant comme s'il appartenait à l'inducteur. Ainsi vous imaginerez vos bras en croix, vous faites mentalement comme si vous v
ait acte non d'auditif, non de visuel, mais de moteur. Sans remuer le bras , j'effectuais intérieurement l'acte, et sans boug
ais intérieurement l'acte, et sans bouger, je m'imaginais agir sur le bras de M. Pickmann, comme s'il m'eût appartenu, le mi
que M. le Dr Duncan, de New-York. Paralysie hystèro-traumatique du bras droit datant de deux mois, consécutive à la morsu
n pansement sommaire, et puis par le médecin de la famille qui mit le bras en écharpe. Le bras resta ainsi immobilisé pendan
, et puis par le médecin de la famille qui mit le bras en écharpe. Le bras resta ainsi immobilisé pendant 18 jours, et. quan
figure avoir été amenée chez moi pour que je lui enlève la tumeur du bras . Peu à peu cependant je la rassure, les pleurs ce
flement osseux très-prononcé et notamment à l'extrémité supérieure du bras paralysé. Sur les parties latérales du sternum, c
inué et est devenu capricieux depuis la morsure. J'examine alors le bras paralysé. L'avant-bras est en privation; les fléc
ncore la douleur n'est-elle pas tres-vive. Dès que je l'abandonne, le bras reprend sa position en formation, l'avant-bras et
Faut-il attribuer à cette tumeur osseuse l'impotence fonctionnelle du bras ainsi que le croyaient les confrères déjà consult
fant, en lui suggérant seulement que j'allais la guérir, j'ai pris le bras malade, j'ai promené sur ce bras à plusieurs repr
que j'allais la guérir, j'ai pris le bras malade, j'ai promené sur ce bras à plusieurs reprises un fort aimant pour impressi
72 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ne plume au gardien dans sa chambre et avec une petite écorchure au bras , j'écrivais avec mon sang, rela- L'ODYSSÉE D'UN
t de temps en temps des mouvements convulsifs dans les membres, les bras comme contractures à la suite et tordus sur eux
e en arrière du faisceau pyramidal, soit dans la dernière moitié du bras postérieur. Des observations de Charcot, Magnan
ement en lettres et signes simples tels que coeur, anneaux, sur les bras et les mains de préférence. Point de tatouages
sons de mouvements de flexion et d'extension de l'avant-bras sur le bras et d'élévation et d'abaisse- ment du membre), t
emonte il trente-cinq ans, coloration violet foncé de la main et du bras droit, qui sont froids, désagréables au toucher
n- vulsifs d'une intensité remarquable, pendant lequel toutefois le bras et la jambe du côté droit demeurent immobiles.
écu- tive. En mars 1897, perte subite de la parole, avec raideur du bras droit et de la face, le tout ne durant qu'un mo
ave, portant sur tout le côté droit. mais surtout sur la face et le bras , et avec perte de con- naissance. Les maux de t
du cervelet; d'autre part, la paralysie partielle de la face et du bras , la forme Jacksonienne de l'épilepsie, la cépha
idaient en faveur d'une lésion voisine des centres de la face et du bras , dans les circon- volutions centrales. L'observ
était corticale, et qu'elle intéressait le centre de la face et du bras en même temps que l'extrémité postérieure de la
litudes est par contre totalement perdue jusqu'au coude, à l'avant- bras et à la main, et jusqu'au genou au membre inférie
omissements, hoquet incoer- cible, refus des aliments, paralysie du bras droit, cécité, photo- phobie, etc. L'hypnotisme
particulièrement atroce. Le patient est couché sur le ventre, les bras liés autour du banc sur lequel on l'étend, et il
rimordiale de l'atrophie musculaire bilatérale, non compliquée, des bras et surtout des petits muscles des mains. On cro
nes des autres par le tissu conjonctif multiplié (tronc nerveux des bras , et minuscules destinés aux muscles) ; en certa
THÉRAPEUTIQUE. de la main sur l'avant-bras, de l'avant-bras sur le bras . La malade s'étire, après avoir accusé nettemen
e ne sais pas quel âge j'ai. Elle fait quelques mouvements avec son bras droit. Pourquoi ces mouvements ? Mon bras droit
lques mouvements avec son bras droit. Pourquoi ces mouvements ? Mon bras droit est crispé. Je lui fais sentir son bras d
ces mouvements ? Mon bras droit est crispé. Je lui fais sentir son bras droit. -)- J'ai la tête meurtrie + c'est lourd,
- tête ? ça coule + ça me court dans la tête + Je suis agacée des bras + et elle ébauche quelques mouvements z Je sens m
agacée des bras + et elle ébauche quelques mouvements z Je sens mes bras + La tête me fait mal là (point cérébral de la
es voisins de lit du malade : notre homme pousse un cri unique ; le bras droit se contracture en flexion de tous ses seg
attitude de défense; la jambe droite se prend à son tour ; puis le bras gauche qui se place comme le bras droit, mais sur
ite se prend à son tour ; puis le bras gauche qui se place comme le bras droit, mais sur un plan horizontal inférieur ;
et la résistance aux mouvements passifs est nor- male. Cependant le bras droit semble un peu moins fort que le gauche, n
u arrive très lentement après une série de tâtonnements à mettre le bras gauche dans la position imposée au bras droit,
tâtonnements à mettre le bras gauche dans la position imposée au bras droit, et réciproquement. Le sens stéréognostique
lors une seconde trépanation au niveau du centre moteur cortical du bras droit. Il n'existe à ce niveau aucune lésion ni
face moins développé, le côté gauche du thorax plus petit. Les deux bras sont de longueur inégale ; à gauche la distance
ir du monde, abattement moral; pour la moelle : douleur au dos, aux bras , au ventre : tremblement des mains et des bras;
douleur au dos, aux bras, au ventre : tremblement des mains et des bras ; pour l'appareil digestif, selles muqueuses et
iminution de la puissance génitale, du tremblement des mains et des bras , de l'exagération du réflexe rotulien; - au poi
t intenseslorsque le malade est debout et qu'il cherche à porter le bras gauche en avant. Ou voit alors l'avant-bras gau
vant. Ou voit alors l'avant-bras gauche fléchir énergiquement surle bras , l'épaule gauche se soulever, la tête se porter
, que le spasme du cou s'associe à des mouvements spasmodiques du bras . Ce qui fait la rareté de ce cas c'est que le spa
ré- quent. Le lendemain de l'entrée, l'enfant eut des crampes aux bras et aux jambes. A partir de ce jour amélioration p
des reflexes de celui-ci, paralysie de la langue. Légère parésie du bras 262 SOCIÉTÉS SAVANTES. droit. Prostration. Le
de la main droite. Dissociation de la sensibilité en demi-veste au bras droit et à la moitié droite du corps, de même q
re du supplice du Christ ; d'autres, pour se mutiler, se coupent le bras qui a été l'ins- trument du péché; nombreux son
par le sang. La langue demeure légère- ment saburrale, la plaie du bras s'est infectée. 31. Ces jours derniers elle éta
on trouve un christ en alliage très lourd (antimoine 7) dont un des bras est cassé; la main de l'autre bras et les deux
lourd (antimoine 7) dont un des bras est cassé; la main de l'autre bras et les deux pieds sont également brisés et ces
tracture des muscles du cou et de la nuque ; quand la paralysie des bras est plus accentuée que celle des membres inféri
er plus rapidement, et un mois plus tard, elle n'avalait plus bien. Bras et mains commencèrent à perdre leur force; faible
le nez. A l'inspection, les muscles de la gorge semblent flasques. Bras faibles et vite fatigués après exercice. Démarc
s muscles (muscles de l'oeil et de la gorge, ceux des jambes et des bras ), est très caractéris- tique de l'affection et
eil. On entre chez elle pour la violer, des hommes lui tiennent les bras , d'autres les jambes et l'on se livre sur elle
est très marquée à la plante des pieds et à la face antérieure des bras et des avant-bras. Dans toutes ces régions hypere
u'à la piqûre. Le moindre attou- chement sur la poitrine ou sur les bras , par exemple, produit un mouvement de recul ave
s pour quelle raison) de frictionner la poitrine, les jambes et les bras . Cependant, il n'y a aucun fondement rationnel
al diseuse, novembre 1899.) Paralysie du plexus brachial des deux bras par compression. Biceps paralysé. Extenseurs et
kinson, en particulier, le tremblement tout à fait typique dans le bras droit et la main droite. Après avoir été, trois f
appela son domestique et l'assassina sur place. « La tête et les bras du cadavre furent coupés, et Scherf, sa femme e
ue le malade était hors d'état de travailler. D'abord cantonnés aux bras , les mouvements choréiques se montrèrent aux ja
oréiques, ils apparurent en hiver, et atteignirent la jambe puis le bras gauche, et ce n'est qu'après deux années que la f
débuta à vingt-quatre ans, elle évolua rapidement. Les pieds et les bras , sont d'abord pris, et, quatre ans après le déb
ssser ensuite, ou bien fléchir le corps en avant. Les jambes et les bras sont conti- nuellement en mouvement, les genoux
malade couché, dresse verticalement un membre inférieur gauche. Les bras sont ramenés vers le tho- rax et légèrement éle
gèrement élevés ; les avant-bras sont fléchis à angle droit sur les bras . Les poignets et les cous-de-pieds ont des mouve-
De même, surtout au niveau des côtes et sur la face antérieure des bras et des cuisses, les moindres attouchements provoq
n mois encore après son internement, au point que des coups sur les bras , sur les membres provo- quaient des hallucinati
fois en vingt- quatre heures. Souvent, quand on la prenait sur les bras , elle rejetait la tête en arrière et avait 8 ou
minaux. Les meiubres supérieurs sont bien développés, gras, mais le bras gauche présente une attitude vicieuse. L'avant-
nte une attitude vicieuse. L'avant-bras est en demi- flexion sur le bras , la main à demi fléchie en pronation; par mo- m
s doigts et des orteils à droite ; ataxie nette, quoique faible, du bras droit ; tremblement intentionnel de la main dro
l'émergence de la troisième paire; la partie la plus antérieure du bras postérieur de la capsule interne était égalemen
a capsule interne, au voisinage du genou, à la partie antérieure du bras postérieur. Il semblerait que la paralysie lary
ans ; brouillard dans la vue il y a un an ; fourmillement dans les bras et les mains l'année dernière ; taille 6 pieds
inuer et les réflexes disparaitre. '. Au bout de quelques mois, les bras sont pris, et les premiers symptômes qui appara
et très légère anasthésie. Dans un cas, le mal a débuté. par 'r les bras . Les nerfs craniens sont rarement atteints et les
débuté par les muscles de l'épaule pour descendre de là le long du bras et de l'avant-bras. 2° Le mode de distribution
cines cervicales. Elle faisait défaut le long de la face interne du bras et de l'avant-bras tributaire de la racine post
s muscles il existe de la D R; au contraire les muscles de l'avant- bras sont restés indemnes. ' A l'âge de neuf ans le
73 (1906) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1905
'aide des ban es parallèles ; à mar-cher, soit en les tenant sous les bras , l'infirmière aidant alternaltivement leurs pieds
i, l'enfant marche bien, comprend un peu, aime à être tenu dans les bras , mange un morceau de pain seul, et commence à por
'assouplissement. 1° exercices d'ordre, marche. 2° mouvements des bras sans flexion et avec flexion. 3° mouvements du
erci-ces précédents et en plus des exercices combinés de jambes et de bras ; de tronc et de bras. Nota. Ces exercices se font
t en plus des exercices combinés de jambes et de bras; de tronc et de bras . Nota. Ces exercices se font en comptant et sont
xtrémités inférieures étant face en arrière. Flexion et extension des bras . Appui tendu. Appui fléchi. Balancer le corps e
jambe gauche tendue. Appui incliné, tendu et fléchi. Extension des bras dans le prolongement du corps, dos appuyé à la
ment et les maintenant le plus possible en arrière. Extension des bras dans le prolongement du corps, hanche appuyée à
ieds en cambrant les reins. Barre à hauteur de suspension. Suspension bras raccourcis. Tractions. Ecarter alternativement
Monter à l'aide des pieds et des mains et descendre à la force des bras . Monter et descendre à la force des bras. Etant d
t descendre à la force des bras. Monter et descendre à la force des bras . Etant derrière l'échellle, suspension. Tractions
pieds et les mains. Flexion, extension des jambes et tractions des bras . Monter et descendre avec les pieds et les main
Monter à l'aide des pieds et des mains et descendre à la force des bras . Monter par devant l'échelle et descendre par der
le. Monter avec les pieds et avec les mains. Descendre à la force des bras , bras allongés. Môme mouvement, bras raccourcis.
nter avec les pieds et avec les mains. Descendre à la force des bras, bras allongés. Môme mouvement, bras raccourcis. Élévat
mains. Descendre à la force des bras, bras allongés. Môme mouvement, bras raccourcis. Élévation alternative de la cuisse et
es pieds et les mains. Flexion, extension des jambes et tractions des bras . Monter et descendre à l'aide des pieds et des ma
Monter à l'aide des pieds et des mains et descendre à la force des bras . Monter et descendre à la force des bras. Echelle
t descendre à la force des bras. Monter et descendre à la force des bras . Echelle horizontale. — Suspension. Tractions.
tale. — Suspension. Tractions. Progression latérale vers la gauche ( bras allongés). Progression en avant en déplaçant alte
ins. Progression en avant en déplaçant alternativement les mains ( bras allongés). Progression vers la gauche (bras racco
ernativement les mains (bras allongés). Progression vers la gauche ( bras raccourcis). Progression en avant en déplaçant al
rcis). Progression en avant en déplaçant alternativement les mains ( bras raccourcis). Progression en avant par un montant
ras raccourcis). Progression en avant par un montant et les échelons ( bras allongés). Même mouvement (bras raccourcis). Po
ant par un montant et les échelons (bras allongés). Même mouvement ( bras raccourcis). Poutre. — Élévation de la jambe gauc
nt placé comme ci-dessus à l'appui des pieds et des mains fléchir les bras , corps cambré, tête levée. Élévation du corps.
Élévation du corps. Élévation du corps, extension et flexion des bras au-dessus de la tête. Flexion du corps en arriè
'appui de la jambe gauche, élever le corps, exten-sion et flexion des bras . Étant à l'appui de la jambe gauche, flexion la
'appui de la jambe gauche, flexion latérale du corps et flexion des bras . Étant à l'appui de la jambe gauche, flexion du c
le, trépidation, phénomène du pied. Signe de Babinski. 8° Réflexes ( bras , genou, pied). 9° Comparaison des deux côtés du
dre la nourriture et à chaque repas il fallait le tenir couché sur le bras , pour lui introduire les aliments dans la bouche
re 1903. Arriération mentale, ñ ho fée, strabisme, affaiblissement du bras gauche. L'état nerveux de cet enfant s'est modifi
flaques. A son entrée (1896) ne se tenait debout que soutenu sous les bras , ne mangeant pas seul, gâtait nuit et jour et par
le et lui dit: « you maman, brasse? » ce disant, elle tend ses petits bras pour qu'on la prenne et sa joue pour être embrass
turbulente au possible, il aurait fallu la tenir constamment dans ses bras pour éviter une rage. Quand on refusait de la por
timide et indifférent avec tout le monde. Les mouvements brusques des bras et des jambes ne lui permettaient pas de se donne
nfant est par-venue à suivre les exercices des grandes, en donnant le bras à une infirmière et quelquefois même à une autre
74 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sur tout son trajet, jusqu'à ses ter- minaisons palmaires : au bras , l'humérale qu'il ac- compagne en satellite lui
rajet récurrent. Les exem- ples ne manquent pas. Voyez le médian au bras (lïq. 3), les branchioles qui lui viennent de l
anées du nerf voisin. La figure 13 mon- tre ainsi le médian, au bras , émettant une série de ramuscules qui se jett
che au Pig. 13. - Réseau de vasa vasorum de l'artère numérale (au bras ) rece- vant les veines d'un tronc nerveux sat
ne particularité curieuse : il s'est pratiqué sur le corps, sur les bras , une foule de tatouages symbolisant ses idées dél
ttait quelque chose dans le vin qui le rendait rouge et lui coupait bras et jambes. Pourquoi faisaient-ils tout cela ? C
ent en outre une sensation de lourdeur. S'il appuie un instant, ses bras restent pendant quelques minutes « comme morts ».
ures sans gravité dont on voit encore les cicatrices à l'épaule, au bras et au cou Deux blcnnorihagies, à vingt-cinq et
rtaine. Incoordination mo- trice très nette. Perte des réflexes aux bras et aux genoux. Anes- thésie de la plante des pi
la maintenait. Ces phénomènes, si Lamb. est soutenue sous les deux bras , se répètent sans s'arrêter avec une rapidité sin
oudain une violente douleur dans l'épaule gauche, qui se propage au bras et au coude; il lui semble qu'elle a une plaie
bras et au coude; il lui semble qu'elle a une plaie dans les os. Le bras gauche paralysé-ne peut être levé. Cet état s'a
du sous-épineux. En somme, trois stades : 1° Paralysie complète du bras gauche; 2° Paralysie du sus-épineux et du sous-
Tous les organes du côté droit sont affaiblis; les mou- vements du bras droit sont plus lents que ceux du bras gauche ; l
faiblis; les mou- vements du bras droit sont plus lents que ceux du bras gauche ; le froid, la chaleur, la piqûre, sont
e quelques heures tout disparaissait et la malade se servait de son bras pour différents mouvements. Cet état alternatif
car nombre d'entre eux, affolés par la peur, durent être emportés à bras le corps et non sans résistance dans les maison
culiers. Il a le dos voûté; il porte la tête basse, et il tient ses bras arrondis et éloi- gnés du corps. Il s'avance da
toujours au repos. Il suffit pour le faire apparaitre de placer les bras du sujet dans l'attitude du ser- ment, la main
ction, incoordination motrice se manifestant dans les jambes et les bras , d'abord sous forme d'incertitude, puis avec le
céphalalgies ; tremblements convulsifs de la face et dans les deux bras pendant lesquels les objets lui échappent des m
gauche. Intégrité du champ visuel et des fonc- tions de l'oeil. Le bras droit est dénué de vigueur; le malade accuse de
une paralysie complète de la partie inférieure du facial gauche, du bras gauche, de la jambe gauche; intégrité de la con
mps SOCIÉTÉS SAVANTES. 2S1 après l'attaque une légère athétose du bras et de la jambe affectés, Plus tard encore il se
ètres de largeur, puis il voulut passer la poitrine, la tête et les bras . Mais les barreaux trop étroits l'en empêchèren
comme tu 8 0 VARIA. es.grand, tu la prendras facilement d'ans tes bras et tu l'en- lèveras. » ' . D. Et qu'avez-vous
Fontaine de Rambouillet, dans sa défense d'Eugène Dourches, tombe à bras raccourcis sur les procédés employés par la polic
re contusion dans une chule au moment de la crise; elle se tord les bras , en répétant qu'elle souffre cruelle- ment ; el
avait aucune idée de sortir, tout au plus quelques mouve- ments des bras , quelques déplacements de la tête, mais elle ne
sse des cris; s'agite et brusquement elle se traîne en s'aidant des bras et des jambes et parcourt, sans but, différente
égion frontale et provoque immédiatement un mouvement volontaire du bras vers l'objet brillant, l'impression douloureuse
sur un banc, pendant que, d'un coup de ciseaux, il détachait de son bras gauche un large frag- ment de peau. Interrogé s
ce de térébenthine sur une plaie encore vive qu'il s'était faite au bras , espérant être détourné par cette douleur aiguë
sa photographie, on remarque cinq plaies récentes : (a) deux sur le bras gauche, une sur le ventre et deux à la face int
che; huit autres plaies (b) en voie de cicatrisation, quatre sur le bras gauche et quatre sur le ventre; on aperçoit, en
s. Elle regardait fixement les rideaux de sa fenêtre et gardait les bras en l'air dans la position de la terreur. J'ai a
ant la veille la plus normale, il suffi- rait de lui lever les deux bras et de les placer dans la posture de terreur qu'
nu, me direz-vous, vous éveillez par la notion de la position des bras l'idée principale de l'attaque et le. reste se dé
uvent pris la précaution de lui fermer les yeux avant de placer les bras et la crise n'en commençait 'pas moins, dès que
us ces symptômes, vous voyez que l'aiguille traverse la peau de son bras gauche sans qu'elle paraisse s'en apercevoir'.
est hémianesthésique gauche, mais je n'expé- rimenterai que sur le bras , car c'est le seul endroit où l'anes- thésie so
imuler l'anes- thésie pour le seul plaisir de se faire traverser le bras avec des aiguilles ? Ces jeunes filles passent-
l est devenu un malade, est examiné par le médecin. On lui pince le bras gauche, on lui demande s'il sent le pincement,
Leur pupille se dilate quand on vient à pincer fortement même leur bras gauche anesthésique 1. Ce sont là des réflexes
le est absolument anesthésique du côté droit, et quand je remue son bras droit sans qu'elle le voie, elle ne sait plus m
uand elle ne le regarde pas, elle ne peut absolument plus remuer le bras droit; c'est là, à mon avis, une sorte de paral
remarquer qu'ils démontrent l'anesthésie musculaire absolue de son bras droit. Eh bien ! je prétends vous montrer qu'en
i mettra. Pendant ce temps, vous le voyez, je pince et je pique son bras droit, qui était tout à l'heure sensible, et el
rréguliers des membres supérieurs, puis des membres inférieurs. Les bras , sans raideur, balayent le sol; les mains s'ar-
nativement. Pendant ce temps, phase tonique dans les membres. Les bras présentent des mouvements de circumduction avec
ort» qui l'étouffe, et c'est M ? qui le lui a donné. 11 se mord les bras (on voyait encore la marque de'la morsure quinz
façon, A... s'acharnant sur ses victimes et les frappant à tour de bras avec ses canons de fusil. Elles avaient toutes
faites à sa mère qu'on l'a enfermée ici. Elle trouve qu'elle a des bras de poitrinaire ; quel- quefois le sang lui vien
somatiques accusés. Simplement quel- ques mouvements convulsifs des bras qui différaient et de ceux du REVUE D'ANATOMIE
ures du pulvinar ; on trouve aussi des tractus dégénératifs dans le bras inférieur gauche des tubercules quadrijumeaux;
es thénar et hypothénar et des interosseux (mais égale à ' celle du bras et de l'avant-bras), qui ne présente du reste poi
tat semi-comateux : bouche légèrement déviée à gauche ; rigidité du bras droit ; exten- sion tonique de la jambe gauche;
ailes lui étaient poussées, elle ouvrit sa fenêtre et, étendant les bras , en extase, elle se lança dans le vide, s'atten
es aliénés de Tours. Un fou avait prié un gardien de lui dégager un bras . Aussitôt libre, l'aliéné se précipita sur son
75 (1853) Journal du magnétisme [Tome XII]
n demi-quart d’heure, que cet homme s’endormait paisiblement dans mes bras , sans convulsions ni douleurs! Je poussai la cris
laquelle on me pratiqua une saignée. A la suite de cette dernière, le bras droit et la paupière de l’œil gauche commencent à
nt les trois premières semaines ; plus tard, cependant, la main et le bras droit se paralysent avec contraction nerveuse exc
eptembre, les deux paupières se pîiralysent ; Suis, en novembre, le bras et la main gauche, à l’exception u pouce et de l’
puis remuer tous les doigts de la main gauche ; «leux jours après, le bras gauche; au commencement de juillet, le bras droit
e ; «leux jours après, le bras gauche; au commencement de juillet, le bras droit; quelques jours après, l’œil gauche. \ la f
ire se resserre alors pendant dix jours. Quand elle est desserrée, le bras droit est paralysé pendant dix jours. Je commence
abord sur tout le corps, en remontant de bas en haut, puis sur chaque bras en particulier. Au bout de vingt à vingt-cinq min
l dans lequel on la plonge. 2S mars. — Douleurs de tête, saignée du bras d'une livre et demie. Le sang est de bonne nature
lui sont chères : cette crise dure vingt-six heures. Deux saignées du bras , une pendant la crise, une seconde après la crise
commencer son allocution, elle se coucha sur le dos, sa figure et ses bras pâlirent, et, faisant un signe de la main droite:
ez-moi ; je veux m’en aller, je ne puis rester ici ! » Elle passa ses bras autour du cou de son père sans vouloir le lâcher
semblable à celle d’une capsule ; cette dame se jeta de peur dans les bras de son mari. Un moment après, la jeune enfant se
nger, où il se plaignit de violentes douleurs qu’il éprouvait dans le bras droit, et qui l'empêchaient de se livrer «à son t
magnétique, elle appela ce monsieur auprès d’elle, lui frictionna le bras à plusieurs reprises dans la même soirée, et les
ffecté de douleurs rhumatismales et d’un commencement de paralysie du bras droit, se sentit revivre après deux frictions mag
nute, se mit à crier à cause de la douleur qu’elle éprouvait dans son bras et qui venait de cesser dans celui de M. Wehrschm
e le singe ; celui -ci ne tarde pas à. soupirer, bâiller, étendre les bras , avoir des crispations nerveuses, puis enfin dort
alla, sans en avertir personne, trouver son médecin, qui la saigna au bras . Cette opération lui procura du soulagement penda
de l'époque que la justice ecclésiastique livrait de toutes parts au bras séculier en Savoie, en France, en Angleterre, en
vont et qui viennent autour du moi ; elles me semblent n’avoir pas de bras .... » Sur ses instances, je chassai cette visio
en convenir, emprunte une certaine valeur à la fatigue croissante des bras , résultant de la contrainte de leur position prol
amis et collaborateurs, j’étais très-attentif sur leurs mains, leurs bras , leurs coudes, leurs pieds, et qu’il m'est imposs
l'approche des mânes, Sur les brasiers des dieux vengeurs A pleins bras jettent les senteurs!.-. Que l'ignorant te verse
a pour moteur la volonté, et pour conducteurs les rameaux nerveux des bras et des mains. Évidemment, cela n’a rien, absolume
le pouvait saisir. Ne s’épargnant pas elle-même, elle s'était fait au bras droit une morsure assez profonde. Ce qui me fra
faiblesse ex- trème du pouls, qui disparaît quelquefois, lorsque le bras est dans une direction verticale; la fréquence de
végétaux eux-mêmes, avec leurs vrilles rameuses qui leur servent cle bras et de mains, s’attachent pour la vie aux rameaux
conserva jusqu’au milieu de la nuit un grand engourdissement dans les bras . » Ce que le journaliste appelle ici évanouisse
nd ses sens, mais avec une affection nerveuse bien prononcée dans les bras , les mains et les jambes. Quelques instants après
noux ou autre endroit quelconque. « Dans cette position, faites les bras morts (comme on dit vulgairement), et, par votre
après une mort apparente, ce regard vitreux,, ces cheveux épars, ces bras tendus... Figurez-vous la fille de Zaïre, écartan
la prend et la lui présente, et voici qu’elle l'embrasse de ses deux bras et la couvre de caresses; elle ne pouvait parler,
r donner cette illusion cruelle qui fait sourire d’espérance dans les bras de la mort. Le lundi 6 septembre au matin, la m
seulement la statue, c’est elle qui me fait du bien, je lui tends les bras , ça va tout seul... — Mais... — Ah! quel homm
ployer, comme d’ordinaire, les apparaux, les cordages et la force des bras , l’équipage s’est simplement groupé en cercle, a
t avoir plus de vivacité qu’à l’ordinaire; un vésicatoire appliqué au bras produisit une irritation très-intense, et la surf
devenu la belle Fatum. Convaincu de sa métamorphose , il a accepte le bras d’un galant chapelier, l'homme au mal de mer, et
arquet : vous ne pouvez vous asseoir, vous courber ; il imprime à vos bras un mouvement de rotation accélérée que vous ne po
prend les chaises pour des molosses et qui les attaque, puis mord au bras un imprudent, M. E.... B...., qui vient aboyer pr
x lui furent prodigués, et le 25 juin tout appareil avait disparu; le bras était bien remis, mais il était roide, et la scie
pond avec précision; je lui ordonne de se lever, de s’appuyer sur mon bras , elle obéit : la crise continue; et pendant qu’el
-moi donc sortir! » dit-elle avec rage ; « je veux sortir ! >- Les bras , semblables à des barres de fer, prennent un poin
à la main une feuille de papier ou quel- que aulro corps léger, le bras étant demi-fléchi, on voit ce corps osciller de l
pieds de devant de la chaise. Les coudes reposent sur les genoux; les bras sont croisés l’un sur l’autre horizontalement. De
la \oir marcher, il se produit une vibration insensible dans tous les bras ; et tous ces efforts qui, pris isolément, ne ser
quelques difficultés ù, C3tte explication : « 1° Quand on tient le bras tendu horizontalement, après deux ou trois minute
aignants? Non; Mmc Barthélémy a parlé d’un homme portant lunettes, en bras de chemise et tablier, travaillant au premier ou
; celui qui blâme chez les autres le refus d’examen devait tendre les bras à la vérité proscrite. 11 l’a fait, et dans le nu
dis chez elle; je la trouvai debout, tenant son petit enfant dans ses bras . A peine eus-je le temps de m’asseoir et de m’inf
u ta mère et ses longues ivresses; Le blanc petit berceau, d'où ton bras étendu Appelait ses baisers et ses chaudes caress
novembre 1855. CLINIQUE. —ô‘PÆiiî'40— PARALYSIE ET ATROPHIE DU BRAS . Frappé des prodiges du vénérable Laforgue, que
dû être robuste. Voici l’état dans lequel je trouvai ce malade. Le bras droit est complètement paralysé, le pouce seul a
on malade pousse des cris. Lorsque je descends la main le long de son bras , il me suit comme si quelqu’un l’attirait par le
que de nouveau la main gauche sur l’épaule et la droite en dessous du bras rapproché du corps. Il déclare alors que mes main
homme me dire : — Je suis guéri, voyez ! Et il se met à lever le bras en pliant le coude avec assez de facilité. Je fus
it. Revenu de mon étonnement, j’essayai, à sa demande, d’écarter le bras du corps en relevant le coude en dehors, c’est-à-
ai souffert pendant la nuit, me dit-il; ces douleurs me parcourent le bras de haut en bas. Je n’ai pas vomi comme d’habitude
ai pas vomi comme d’habitude. — Pouvez-vous maintenant remuer votre bras ? — Oui, je le porte à mon oreille. Je le mag
e de nouveau pendant une heure et demie, après quoi les mouvements du bras se reproduisent. Dans la magnétisation générale
produit-il ? « — C’est comme si l’on me passait un couteau dans le bras . « — Mais ce n’est pas possible ! reprend le do
amasser des feuilles de noyer, les faire bouillir, puis vous laver le bras ; cela aiderait beaucoup. « — Arrêtez, docteur,
cependant qu’au lieu de présenter la pointe des doigts à distance du bras , je devrai à l’avenir magnétiser par contact et
ins seront placées de telle façon que les doigts soient en dessous du bras , le pouce de la main droite sur la plaie et l’aut
irez-vous complètement? Oui; mais il faut quatre mois avant que mon bras soit égal à l’autre en volume et en force. — Qu
gnées dans deux à trois litres d’eau, les faire bouil lir, mettre mon bras au-dessus de la vapeur jusqu’à ce qu'il sue; puis
is prendre les feuilles, en faire un cataplasme et l’appliquer sur le bras , où il restera trois heures, et cela tous les jou
ère sa tête. En prenant une prise de tabac, il dit, en parlant de son bras : — (le fainéant commence à me servir ! Dans
qu'elle paraissait circonscrite aux environs du poignet, de couper le bras ; mais un troisième eut l’heureuse idée de s’oppos
une espèce de pleurésie, et il aflirme que tout s'était porté sur son bras . VALI.ETON , horloger ù Bergerac. FAITS ET EX
76 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
alles de peau à coloration normale. Elles s'étendent jusque sur les bras . Ces réseaux existent aux membres inférieurs où
que, taudis que des réseaux bleuâtres apparaissaient sur les avant- bras . C'est seulement en ordonnant à la malade de rire
rze jours. Depuis cette campagne, il se plaint de douleurs dans les bras et les jambes. Incapable, dit-il, d'exercer son m
lade nouvellement opéré. Dupuytren s'en aper- çut, et saisissant le bras du pauvre élève, il le secoua si rudement que,
uissance de travail du jeune Calmeil; il en fit pour ainsi dire son bras droit, lui confiant souvent les visites et la r
Il a peur de se trouver immobilisé devant une voiture. L'appui d'un bras compatissant lui donne confiance, et il se tire
vec grossissement des veines. Lorsque je fais de la gymnastique des bras , j'ai vite mal dans le dos. Si cette sorte de f
emploi de la suggestion. Plus tard, il présenta une contracture des bras qui s'accompagna d'un cer- tain degré d'asphyxi
la suggestion. La contracture s'était déplacée et localisée dans le bras surtout à gauche, et s'accompagna d'une asphyxi
électrisé, mais encore de l'autre. Douleurs très violentes dans les bras . Rien aux jambes. L'accès dura une heure. Rien
menté. Les muscles du tronc étaient pris à leur tour. La tête et le bras gauche étaient libres. La sensibilité partout nor
agitante et la sclérose en plaques tremblent par rotation autour du bras du sujet. Elles se distinguent de l'hystérie et
ait enfin perte du pou- voir de localisation des sensations dans le bras et la jambe gauches. P. S. REVUE DE PATHOLOGI
uppurée et ayant présenté une chorée paralytique limitée à l'un des bras . L'amélioration de la motilité rendit les mouve
rition, leurs rapports, en limitant leur action au centre moteur du bras gauche. La chorée ordinaire doit toujours avoir
ne difficulté qui devient insur- montable quand on les réitère. Les bras ont toujours une certaine tendance à se porter
st émue. Il n'existe nulle part de paralysie des membres. Jambes et bras sont mobiles dans tous les sens, mais ces mouve
convulsions montentdans la jambe, le tronc s'infléchit à droite, le bras droit s'écarte du corps, le côté droit de la face
des jambes, des muscles abdominaux et intercostaux inférieurs; les bras , les épaules, le cou, et la tête restent épargn
ouleurs s'étendirent pour la première fois dans le cubital des deux bras jusqu'au coude avec une violence extrême (territo
- ture, le malade éprouve des sueurs profuses dans la tête et les bras et tout le long de la poitrine jusqu'à la deuxièm
utréfaction d'Emile Bérenger, à genoux, la Tace contre terre et les bras étendus le long du corps. C'est dans cette positi
jour par un troupeau de tau- reaux, et éprouva brusquement dans le bras gauche une contrac- ture que les moyens usuels
r, elle eut le premier accès de convulsions. Mais à cette époque le bras droit s'était déjà montré parétique. Le 16, ell
parut d'abord de la jambe ; plus tard, au bout déplus d'un mois, le bras droit fut dégagé. Elle garda le lit pendant cin
tie de l'arrivée de l'attaque par une sensation de tremble- ment du bras droit. Immédiatement après, le bras droit s'éleva
e sensation de tremble- ment du bras droit. Immédiatement après, le bras droit s'élevait au-dessus de la tête, et en mêm
'exécuta un mouvement combiné de flexion du coude et d'élévation du bras en avant et en dehors, de sorte que la main fut
mateux de courte durée, elle put quitter mon cabinet appuyée sur le bras de son frère. Les attaques incomplètes étaient
mmencement des attaques complètes. La malade sentait des spasmes du bras droit, avec ou sans mouvement de ce membre. Par
uentes. Elle se plaignait constamment d'une faiblesse croissante du bras droit. Pour les grands mouvements et pour la pr
ues, tou- jours prédédées de contractions musculaires localisées au bras droit. Souvent il se produisait des convulsions
nt dans la région psycho-motrice gauche et intéressant le centre du bras droit. Quant à la nature de cette lésion, on de
tte lésion, il était hors de doute qu'elle intéressait le centre du bras droit. Mais ce centre comprenant une assez gran
sur des singes, Beevor et Horsley ont trouvé un point du centre du bras dont l'irritation a pour conséquence : abduction
lume 178 (1887) B. p. 153-167. 296 RECUEIL DE FAITS. mouvement du bras en avant, flexion du coude. Ce mouvement, qui r
d'attaques qui ne débutassent pas par les convulsions localisées du bras droit. Comme le traitement interne s'était mont
lade commença à se réveiller de la narcose, elle pouvait mouvoir le bras gauche, tandis que le droit était encore complè
t paralytique. Entièrement éveillée , elle pouvait mouvoir les deux bras et presser assez fortement de la main droite. P
ent de la main droite. Pendant quelques jours après l'opération, le bras et la jambe droits restèrent parétiques. Tous l
taient possibles, même le mouvement d'abduction, et d'avancement du bras , mais elle les exécutait avec peu de force, et
ue je désirerais faire ressortir, est la para- lysie transitoire du bras droit constatée lorsque la malade commençait à
lsive caractérisée par des spasmes cloniques du côté de la face, du bras et de la jambe gau- che. En décembre, on consta
les membres; actuellement broncliopneumonie, paralysie flasque des bras et des jambes. Jambe gauche un peu mobile ; à d
iales; balancements brusques de la tête; flexions des doigts et des bras ; élévations continuelles des pieds; nystagmus;
ottement continu, faible expec- toration, paralysie des jambes, des bras , des muscles du tronc, disparition des réflexes
emne de syphilis, il y avait aphasie, hémiparesthésie faciale et du bras du côté droit, consécutivement à une névralgie
actuellement : . SOCIÉTÉS SAVANTES. 327 7 atrophie des muscles du bras droit (type Duchenne-Aran) et moindre de la jam
fatigue et d'une sensation de froid, de douleurs dans le dos et les bras ; par moments elle enfle surtout quand elle a f
les bras ; par moments elle enfle surtout quand elle a fatigué des bras ; pleurniche de temps à autre parce qu'elle sou
douleurs sacrées. En 1890 on constate : une parésie spasmodique des bras et des jambes avec exagération considérable des r
ÉS : SAVANTES. ` ''329 Signe de 13rachetRomberr -parésie faible des bras , mais incoordi- . nation de tous'les mouvements
faible des bras, mais incoordi- . nation de tous'les mouvements des bras , incordination associée à des troubles spasmodi
omplètement anesthésiques; d'autres, comme,là région'postérieure du bras droit où. siégeaient autrefois des''contracture
é 1 pendant lè somnambulisme' deux z choses : 1° elle doit lever le bras malgré elle, quand je lui pince - la main ; 2°
de mon Iront. Au moment où ce papier touche mon front à droite, le bras de la malade se lève quoi qu'elle déclare n'avo
lors le corps est abandonné à la pesanteur et aucun mouvement» des bras etides,jambes netpeut/venh\agir comme.protecteu
accès se sont espacés et la température est des- cendue à 370,8, le bras a retrouvé presque tous ses mouvements et presq
2 rieurs : il y a de la trépidation épileptoïde bien accusée. Les bras moins pris toujours que les jambes sont contracté
ues s'affaiblissent de plus en plus. Il y a une légère paralysie du bras gauche; pendant le bain statique quelques étinc
gauche; pendant le bain statique quelques étincelles sont tirées du bras . 21 décembre. Le traitement a été continué tous
. Encore quelques mouvements choréiques de la face, la paralysie du bras gauche a tout à fait disparu. Le traitement est
re après l'accident), paralysie fuciale gauche, paralysie totale du bras gauche, parésie de la jambe gauche. Pas trace d
après : l'hémiplégie gauche, quoique diminuée, était mani- feste au bras et à la face; quelques trépidations et des mouvem
une lésion de la capsule interne. La paralysie, limitée d'emblée au bras et à la face, montre que le traumatisme a porté
urvenue brusquement chez une femme de trente-trois ans. Lorsque les bras sont pendants, l'omoplate gauche s'écarte du tr
e la ligne médiane que celui du côté sain, l'élévation verticale du bras est im- possible, et la malade ne peut dépasser
dérable sous l'influence des bains statiques avec étincelles sur le bras et l'épaule malades. En somme, bien que toutes
encore de barbe. Observation d'uranisme véritable. Tenir dans ses bras des individus du même sexe, sans intromission,
défait les papiers entortil- lant son paquet, brandissait à bout de bras , une tête d'enfant encore sanguinolente qu'il t
77 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
, en effet, de quinze à vingt minutes : il faut veiller à ce que le bras soit bien appliqué contre le thorax et que le t
, il présentait au niveau du centre des mouvements de la face et du bras dans l'hémisphère gauche un caillot sous-duremé
avril 1891 une parésie passagère des deux membres inférieurs et du bras droit qui disparut bientôt. En juin 1892, attaq
du cou, ceux de la ceinture scapulaire, du système locomoteur du bras sur le tronc, du bras, de la cuisse. Finalement s
ceinture scapulaire, du système locomoteur du bras sur le tronc, du bras , de la cuisse. Finalement sont pris ceux des av
rémastériens et abdo- minaux manquaient : les réflexes profonds des bras étaient à peu près normaux. Il n'y avait ni par
sance, il constate qu'il ne peut mouvoir que très imparfaitement le bras et les doigts du côté droit, et guère mieux la ja
il avait de fréquents mouvements spasmodiques affectant surtout le bras , l'avant-bras, l'épaule, la face, et plus raremen
\ 72 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. et se propageant à l'avant-bras, au bras , à l'épaule et à la face. La tête et les yeux s
if. Il est arrivé quelquefois, cependant, que la jambe droite et le bras gauche ont été envahis, mais jamais la conscien
reize; enfin, après un quart d'heure, le malade peut remuer tout le bras droit, malgré un engourdissement et une rai- dc
it d'un malade atteint d'épilepsie jacksonnienne, de para- lysie du bras gauche avec troubles de la sensibilité, de céphal
ne tumeur cérébrale et permettait de les localiser. La paralysie du bras gauche et les troubles sensoriels dont il était
ouvait dès lors diagnostiquer une tumeur intéressant les centres du bras et de la main. Le malade ayant présenté des con
la parésie de la face, l'état de la jambe ne sont pas modifiés; le bras gauche se meut plus librement ; ses mouvements
flexion, d'ad- duction et d'abduction : en somme les mouvements du bras sont améliorés. La douleur, l'hyperalgésie du
mouvements du bras sont améliorés. La douleur, l'hyperalgésie du bras ont à peu près disparu. La sensibilité au louch
oureuse commençant à l'extrémité des doigts et remontant le long du bras . La paralysie a diminué depuis l'opéra- tion. L
paralysie a diminué depuis l'opéra- tion. Le malade peut élever le bras au-dessus de sa tête, le fléchir et l'étendre,
t ; le lendemain il présenta des convulsions épileptiformes dans le bras gauche ; et consécuti- vement il fut sujet à de
surface polie, ou bien qu'elle serrait un bâton, ou encore que son bras était pressé par de lourds paquets : or la sens
paquets : or la sensibilité tactile était diminuée à la main et au bras gauche, la sensibilité au froid y était au cont
teurs de la fête et qui peu à peu s'est généralisé à l'épaule et au bras : le point de, départ a été un mouvement des- t
devint involontaire à son tour, et au tic du cou s'ajouta le tic du bras . Les mouvements spasmodiques se sont compliqués
rise va venir, je ne vais plus être maître de moi, attachez-moi les bras et les jambes ! En effet, Poinsignon se mit à écu
rès accusé. Les membres supérieurs sont en général faibles, mais le bras droit est visiblement plus faible que le gauche ;
lus affectées comparativement que les muscles de l'avant-bras et du bras . Les mouvements actifs de la main droite sont f
primes les nervi dorsalis pedis, peroneus, radialis (à la région du bras ), ulnaris vagus et phrenicus et nous vîmes que
u corps. La tête est un peu rejetée en arrière, le tronc arqué, les bras pendants, les jambes molles. Légèie palmature e
'olécrâne gauche, cicatrice de vésicatoire sur la partie moyenne du bras gauche. Derrière l'oreille gauche, cicatrice se t
seulement. Quand il marche, il fléchit sur ses .ïambes, et prend le bras de la personne qui l'accompagne. - Très irritab
au 7 mars tous les symptômes s'aggravent et la paralysie s'étend au bras gauche où elle devient vite complète. Du 8 au 1
suite d'un effort pour s'asseoir dans son lit, la malade étend les bras , jette un cri et tombe fou- droyée. Autopsie.
de l'oeil gauche, puis ceux de l'angle de la bouche, puis ceux du - bras et enfin ceux de la jambe du même côté. Cet état
, et d'engourdissements et de fourmillements dans les jambes et les bras , qui devinrent douloureux au toucher. Il assure
s extrémités. Le mouvement revint d'abord à la main droite, puis au bras gauche. Enfin, graduellement, il guérit, et put
des contractions involon- taires des muscles de la face : puis les bras , le corps et finalement les membres inférieurs
uscles de la face, qui se sont aggravées et ensuite propagées aux - bras , au tronc et aux jambes. Ces spasmes sont partiel
lement, ainsi qu'une certaine incoordination dans les jambes et les bras des deux côtés. On disait que la chorée de Hu
de la démarche surtout vers le côté gauche et l'engourdissement du bras gauche. Le diagnostic porté fut celui de syphil
ioduré. Il y avait aussi chez celte malade de l'engourdissement du bras droit et du côté droit de la face. On diagnosti
enne gauche, avec troubles passagers de la circulation au niveau du bras , de la face et de= centres du langage. Ce cas é
nt et le plus souvent d'une façon symétrique en haut, atteignant le bras , et en bas jusqu'aux régions sacrée et lombaire.
rd dans les membres inférieurs, puis à la tête, finalement dans les bras (épaississement extrême des mains et des pieds)
ontractions musculaires involontaires finissant par contracturer le bras droit. Le repos absolu n'arrive que la nuit. Il
à la main gauche. La musculature est flasque en général, surtout au bras et à l'avant-bras gauches. Toute la partie supé
te de l'avant-bras. On observe le même phénomène quand on saisit le bras entier dans ses deux mains et qu'on exerce l'ex
t; la dernière à un homme, mort quatre ans .après une amputation du bras droit. Les coupes ont été faites surtout dans l
plète des extrémités inférieures; anesthésie de la face interne des bras et avant-bras, du tronc à partir de la troi- si
ux (comparai- son à la résistance efficace d'un seul homme placé au bras long d'un levier contre une troupe d'hommes app
cé au bras long d'un levier contre une troupe d'hommes appliquée au bras court). Cette loi s'applique non seulement aux
Elle est revenue aussitôt à elle comme d'un rêve. « Mon enfant a un bras et une jambe qui ressemblent à ceux du mendiant
ès deuxième abcès au niveau du tiers moyen de la face antérieure du bras droit; mêmes phénomènes. Cicatrice longitudinal
la saillie. Membres supérieurs. On n'observe pas de déformation des bras pirl. 23. 13... en 1888, il (le treize ans et
nts de rotation de l'avant-bras ne s'opèrent que par la rotation du bras et de l'épaule. Aucun traumatisme connu du père
tre ses doigts, sur la face dorsale du carpe, de l'avaut-bras et du bras . Il sent bien le contact de l'épingle que l'on
du bras. Il sent bien le contact de l'épingle que l'on passe sur le bras et l'avant-bras. Il ne sent pas le frottement d
essus de l'articulation du poignet. Au niveau de l'avant-bras et du bras , le malade ne ressent qu'une piqûre lorsque les
ar a conservé la sensibilité. Sur l'avant- 1152 RECUEIL DE FAITS. bras et le bras, la sensibilité à la piqûre est normal
vé la sensibilité. Sur l'avant- 1152 RECUEIL DE FAITS. bras et le bras , la sensibilité à la piqûre est normale et le mal
uver de douleur. Au niveau de la face interne du tiers supérieur du bras droit et de l'aisselle correspondante, analgési
la 4154 RECUEIL DE FAITS. douleur. T. R. 38°,7 et 39°,5. Bain de bras phéniqué pendant trois heures; même pansement.
diant atteint d'hémiplégie et que Je père prétend que son fils a un bras et une jambe qui ressemblent à ceux du mendiant
crâne, c'est-à-dire à la partie tout à fait supérieure de l'avant- bras , et cela des deux côtés, il y a une zone d'enviro
ns présente un affaiblissement général, avec paralysie partielle du bras droit. C'est la paralysie du plexus brachial de E
pour centre l'articulation de l'épaule, si ce n'est l'adduction du bras et porter celui-ci dans le dos. L'avant- bras a
n'est l'adduction du bras et porter celui-ci dans le dos. L'avant- bras a conservé ses mouvements d'extension, de supinat
é ce qui suit : le cadavre, couché à plat, a levé aussitôt les deux bras , fléchissant les coudes, et fermant les poings,
paraître de pénibles paresthésies et des douleurs siégeant dans les bras et les jambes, symptômes qui ren- daient imposs
t enfant avait été opéré d'un neurosarcome congénital siégeant au bras droit. La fumeur avait englobé le médian et le cu
78 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lement pendant huit jours à 370,2 2 le soir. Sur la face externe du bras le ther- momètre a donné 33°, 8 à droite, 34°,
er, sentent le poi- son. De nombreuses verrues apparaissent sur les bras . Comme chez le malade précédent, les perversion
sation d'engourdissement à la face, à l'extrémité de la langue, aux bras et aux jambes. La force musculaire était affaib
paupières se ferment également des deux côtés. Les membres gauches, bras et jambe, sont aussi paralysés; quand on soulèv
s gauches, bras et jambe, sont aussi paralysés; quand on soulève le bras ou la jambe droites, ils ne retombent sur le lit
roites, ils ne retombent sur le lit que lentement; au contraire, le bras et la jambe gauclies, quand on les élève en l'a
zinc. Le dé fut mis au pouce, et la plaque de zinc appliquée sur le bras ; on plaça un peu de charpie sous la plaque de
trémulation notable. Le tremblement avait débuté par une main et le bras et avait peu à peu gagné tout le corps. L'affec-
Caill.... est endormie rapidement par la fixité du regard. Sur le bras gauche, contracture facile par l'excitation des t
ière fois que cette expérience est tentée chez cette malade. Sur le bras droit, l'excitation des tendons et des masses m
action nettement localisée, aucune ébauche de contracture. Sur le bras gauche au contraire la griffe cubitale s'obtient
ix minutes et plus s.e passent sans qu'aucun transfert ait lieu. Le bras droit garde sa flaccidité, et l'on note, 13 'e
est impuissante. 3° L'hyperexcitabilité est plus développée sur le bras gauche que sur le bras droit. La différence ent
hyperexcitabilité est plus développée sur le bras gauche que sur le bras droit. La différence entre les deux côtés est ass
z prolongées sur 1'liyperexcitabilité des muscles et des nerfs du bras droit, tout d'un coup, sans cause apparente, tout
tout le côté droit du corps aussi bien à la face qu'aux membres. Le bras droit retombe inerte le long du corps, Witt ? qui
a malade par les procédés ordinaires, l'hémi- plégie persiste ; son bras droit est inerte; elle peut à peine se tenir de
lus Witt... est aphasique. Elle est comme hébétée, elle regarde son bras paralysé qu'elle cherche à soulever avec l'au-
re in- férieure. Ce tremblement augmente peu à peu, puis gagne le bras droit, puis la jambe droite. Les membres du côt
uscles amène la contracture de la façon que l'on sait, mais cela au bras gauche seulement. Tout le reste du corps n'offr
trace d'hyper excitabilité. Lorsque les paupières sont ouvertes, le bras gauche devient cataleptique, ce qui n'a lieu en
auche devient cataleptique, ce qui n'a lieu en aucune façon pour le bras droit. C. Variations individuelles de l'hyperex
ertes ; il n'y a pas de catalepsie. Les réflexes tendineux aux deux bras sont manifeste- ment exagérés. Le même état per
exes, même résolution, Bientôt la malade est prise de secousses des bras , analogues à celles du début de son attaque. La
l'1CIIYLliHIInUli. 147 L'adème spécial est encore assez net sur les bras et les avant- bras, mais il a presque totalemen
7 L'adème spécial est encore assez net sur les bras et les avant- bras , mais il a presque totalement disparu sur les mai
ues, avec porto de connaissance dès le début, commen- çaient par le bras gauche qui, allongé le long du corps et la main
nent le plus souvent vers la droite, quelquefois vers la gauche. Le bras droit est dans la flexion, le gauche dans l'ext
s la poitrine avec ses deux poings, ensuite elle allonge les deux bras sur les côtés du corps et frappe sur le matelas a
frappe sur le matelas aussi trois ou quatre coups. Quelquefois le bras droit reste immobile dans la demi-flexion et le
Quelquefois le bras droit reste immobile dans la demi-flexion et le bras gauche bat seul le matelas. Cette série de mouv
l'occlus) on complète. Les pupilles se dilatent largement, les deux bras le long du corps et se raidissent, les poings s
la main légèrement fléchie et dans la rotation en dedans. Les deux bras battent le matelas, la tète revient dans DE 173
. Thorax et abdomen normalement conformés. Membres supérieurs. Le bras gauche est raide avec contrac- ture ; l'avant-b
pour guérir ses accès d'épilepsie et à se faire tirer violemment le bras paralysé par d'autres malades, afin de guérir sa
1879, bruits anormaux dans les oreilles, douleurs dans la tête, les bras et les jambes ; en décembre, irritabilité, triste
hyperexci- tabilité électrique. Mêmes phénomènes dans les nerfs du bras . Longue durée, absence de réflexe patellaire, s
eu près trois quarts de minute; la crise passée on lui remettait le bras . Une seule fois, les convulsions se montrèrent
re, les Sorciers disparoiffant, où feut le lendemain trouué feul le bras defmis & se lamentant bien fort. Satan y io
ttaque de contracture avec perte de connaissance et ronflement, les bras sont en croix, les jambes dans l'extension, la
minutes. Deux minutes après, deuxième attaque de con- tracture, le bras droit étendu, et le gauche en flexion sur la po
re de la secousse de la jambe, provoque un soubresaut dans les deux bras . Mais les manifestations de l'hyperexcitabilité
usculaire ne s'est point accrue, mais les mouvements volontaires du bras sont plus étendus. Les mouvements de rotation d
sséc à gauche; la sensibilité au froid est revenue- La paralysie du bras droit diminue de jour en jour. 5 octobre. L'ane
l'objet qu'il touche. Les mouvements d'extension et d'élévation du bras droit se font très facilement ; la force muscul
c prédominance des convulsions à gauche, on nota une paralysie du bras et de la jambe de ce côté. L'enfant eut alors bea
la traîne encore et le pied s'est déformé. Vers le même moment, le bras paralysa s'est contracture. Durant les trois ou
membres supérieurs, ni aux inférieurs, qui sont longs et grêles. Le bras gauche est contracture dans la demi-flexion, le
hasie un engourdissement avec parésie de la moitié de la face et du bras , etc., phénomènes qui peuvent être attribués à
trépidation épileptoïde des membres (phénomène du pied, clonus du bras ). En 1874, Erb et Westphal rapprochent de ces fai
79 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
niquement : au début : Coma, paralysie faciale droite, paralysie du bras gauche, contracture des membres inférieurs, con
trée, il présentait de la paralysie du facial inférieur droit et du bras gauche, et de la contracture des membres inféri
ins; il a continué jus- qu'à l'admission. Sa mère lui attachait les bras . Préhension et mastication nulles : la langue s
eur de la verge, 5 centi- mètres ; circonférence 4 cent. 1/2. Les bras sont paralysés, longs et très maigres. Les avant-
ralysés, longs et très maigres. Les avant-bras sont fléchis sur les bras . Paralysie et contracture prédominant à gauche.
il saisit entre le pouce et l'index. Pour s'y opposer, on place ses bras sur sa couverture et on enveloppe le tronc dans
rce dans les mêmes proportions. Le cocher L... avait été mordu au bras par un cheval de telle façon que la paralysie t
98 cet'état de mal fut suivi d'émi- plégie gauche plus accentuée au bras et qui dura deux mois en s'atténuant graduellem
fourmillements dans la main gauche, puis l'impression d'avoir deux bras du côté gauche, et celle que ces deux bras gauche
'impression d'avoir deux bras du côté gauche, et celle que ces deux bras gauches étaient serrés progressivement depuis l
is- sant presque toujours après elles une paralysie ou parésie du bras gauche qui se dissipait peu à peu. L'intelligence
es sont impossibles dans les membres du côté gauche, et bien que le bras de ce même côté soit anesthésique à la piqûre d
vements convulsifs ÉPILEPSIE ET TRÉPANATION. 99 initiaux (main et bras gauches) furent aisément déterminés. Une premiè
1890-91, elles ont exactement la même marche et le même caractère ( bras , face, jambe gauches, conservation de la consci
de mal au cours duquel pendant une crise Léonie fait signe avec son bras droit encore libre que le 100 THÉRAPEUTIQUE.
actère cérébelleux ; les réflexes sont très exagérés (massé- térin, bras , rotulien, tendon d'Achille) avec trépidation spi
te pas de trépidation spinale. Les réflexes osseux et tendineux des bras sont forts, le réflexe massé- tcrilz est exagèr
muscu- laire segmentaire est assez bien conservée. Les réflexes des bras sont exagérés; il n'existe ni tremblement inten
aroi abdominale, ni du côté des organes intra-abdominaux. · . Les bras sont arrondis, normalement musclés, leur attitude
ale qui avait détruit le noyau lenticulaire et une grande partie du bras postérieur de la capsule interne M. van Gehuchten
EUSE. il ne peut pas parler, mais se fait comprendre par signes. Le bras et la jambe droits sonttrès affaiblis. Pendant
ulsives qui finissent par disparaître, mais laissent la jambe et le bras droit paralysés. Alité jusqu'en 1896, il reprend
Vision de l'oeil droit légè- rement abaissée; surdité à droite. Le bras droit est atrophié et un peu rigide : contractu
sous un hangar un jour d'été, il se réveille avec un tremblement du bras gauche qui dure actuellement depuis trois ans. To
la dépression et passagères. Il a aussi des tics coordonnés dans le bras droit; d'un mouvement lent il porte l'avant-bra
épart de deux infirmiers qui avaient l'habitude d'entourer de leurs bras la tête des aliénés agités pour la maintenir da
de Reil médian. Sur les coupes plus bas nous le voyons derrière le bras du tubercule quadrijumeau postérieur. Enfin il fr
Albertine Gil, 190 . FAITS DIVERS. bien que grièvement blessée au bras et au coté gauches, a réussi à s'échapper de l'
ne grandé douleur irradiant de la région cervico-inférieure dans le bras , et il était 18 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
e jacksonienne débutant par la main droite et s'étendant ensuite au bras , à l'épaule et à la moitié droite du visage. A
rojectile, l'homme poussa un sourd gémissement, battit l'air de ses bras et culbuta dans le vide. Accourus au bruit des
à fait ivre. Hier, pris d'une crise d'alcoolisme, il prit dans ses bras la fillette, la mordit, puis avec ses mains l'étr
archer lorsqu'on la mettait debout et lorsqu'on la soutenait par un bras . Mais elle était incapable de s'asseoir et de des
lle-ci est munie de deux côtés de rampes destinées aux exercices du bras paralysé pendant l'ascension et la descente du
rééducation des mouvements du membre supérieur. On peut tourner le bras paralysé dans tous les sens, du matin au soir,
n'acquerra pas pour cela plus de mouvements qu'il n'en possède : le bras reste immobile ou contracture, malgré les mouve
Dans un de nos cas on lit matin et soir des mouvements passifs du bras dès le début de l'hémiplégie et la malade pouvait
la malade pouvait à la fin de la deuxième année à peine bouger son bras . Néan- moins, ces mouvements ont fait disparaît
in- cipale ; c'est par elle que nous commençons la rééducation du bras . Toute une série de mouvements, ayant pour but de
i devrait être en réalité. Par exemple : un hémiplégique écarte son bras du corps, en le portant en arrière. Cet écartem
ant en arrière. Cet écartement sera positif; mais l'écartement du bras du corps sera réel lorsque l'hémiplégique l'écart
a laté- ralement. Un autre exemple : un hémiplégique n'écarte son bras paralysé du corps qu'en fléchissant l'avant-bras
son bras paralysé du corps qu'en fléchissant l'avant-bras sur le bras , c'est un mouvement positif; le mouvement sera ré
vement positif; le mouvement sera réel quand le malade écartera son bras en extension. L'adduction exagérée du pouce dés
rès le début du traitement. Six mois après, il se coiffait avec son bras paralysé, prisait et se servait de son bras le
il se coiffait avec son bras paralysé, prisait et se servait de son bras le mieux possible. Dans un troisième cas, nous av
des déchireurs avec les manches de leur maillot cousues, mais les bras libres. Population, le 1er janvier 1898 : ICI m
alysie radiale chez un malade camisolé dont on avait immobilisé les bras par un lien supplé- mentaire. Les aliénés qui o
de l'in- tensité du courant produit par le mouvement volontaire du bras et que l'intensité de la décharge décroît avec
observe une augmentation du courant qui -accompagne le mouvement du bras . Cette augmentation suif le développement de la
hyperhydrose unilatérale d'on- gine cérébro-spinale le mouvement du bras du côté affecté n'a pas accusé un courant sensi
bien qu'à l'état de repos on pût dériver de la surface cutanée du bras du côté malade un courant (glandulaire) bien plus
IE LT D'·L'LECTR,oTHEItAPIE. -403 du côté malade, la contraction du bras de ce côté-provoquait un courant dont l'intensi
s en rapport direct avec l'énergie et l'étendue du mouvement que le bras peut encore exécuter. Dans la contracture de l'
courant d'action peut subir certaines modifications. Ainsi, dans un bras paralysé qui ne peut exécuter presque aucun mouve
iminution notable de la seconde phase du courant d'aclion dans .un. bras , paralysé et en train de s'atrophier 404 REVUE
résistance, c'est-à-dire la sensation d'innervation motrice dans un bras immobile tendu. Le sujet examiné tient le bras
on motrice dans un bras immobile tendu. Le sujet examiné tient le bras immobile horizontalement (et cela tout le temps
le fil, il faut une innervation motrice B nécessaire pour tenir le bras immobile, mais le bras seul et sans poids. La s
nervation motrice B nécessaire pour tenir le bras immobile, mais le bras seul et sans poids. La sensation perçue au mome
On peut éviter très facilement l'in- convénient de l'abaissement du bras mentionné par M. Grasset dans les expériences d
M. le Dr Caoc (de Bruxelles). N'y a-t-il pas un mouvement actif du bras dans l'effort que fait le malade pour tenir son b
ement actif du bras dans l'effort que fait le malade pour tenir son bras étendu ? M. le professeur Grasset. C'est une
, un garçon de librairie remarquait un amateur qui mettait sous son bras un livre, un vulgaire livre de' 3 francs et s'é
nsibilité dans le domaine de la ceinture scapulaire, des reins, des bras ; réflexes tendineux un peu exagérés dans les ex
hez un amputé. M. Touche rapporte l'histoire d'un malade atteint de bras fantôme; on provo- quait dans le bras disparu d
stoire d'un malade atteint de bras fantôme; on provo- quait dans le bras disparu des douleurs à type métamérique ou radi
rouvé une vive douleur au creux axil- laire, et depuis ce moment le bras droit ne peut plus être élevé au-dessus de l'ho
mplètement nu, debout sur son siège, fouettait son cheval à tour de bras en hurlant : « Je suis le successeur de Monjare
ir par les cheveux une femme d'une vingtaine d'années qui, ayant au bras un- lourd panier, s'était trouvée immobilisée par
maman ! » Gilles, fou furieux, saisit brutalement sa femme dans ses bras , la porta près de la fenêtre et la lança dans le
80 (1896) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1895
e de barres parallèles (1), à marcher soit en les tenant sous les bras , soit à l'aide du chariot; on fortifie leurs mem-
iné sans succès. Il présen- te trois cicatrices apparentes à chaque bras . Décembre. - Lapous.. est devenu propre. Il s'o
fficile. - Cholérine à 13 mois. - Rougeole à 16 mots. - Fracture du bras gauche à 2ans. - Pleurésie à 6 ans ? Début des
Début des crises nerveuses a 8 ans. - A 11 ans et demi, luxation du bras gauche. Marche croissante des accès. - Déchéanc
3 mois sans ponction. A deux ans, chiite sur le côté et fracture du bras gauche. - Dès son enfance, le père aurait remar
mois. - Chaque fois, la crise était suivie d'émission d'urine. Les bras se contractaient en dedans, la tête etait en ex
ssez fortement pigmentée en brun. - Pas de cicatrices vaccinales au bras gauche, trois petites au bras droit. Pas d'autr
. - Pas de cicatrices vaccinales au bras gauche, trois petites au bras droit. Pas d'autres cicatrices ou blessures sur l
sont modifiés. L'enfant tombait, et il prétendait que « c'était son bras paralysé qui l'entraînait et le renversait à te
droite, puis à gauche ; de plus, des mouvements lents et étendus du bras gauche et de la jambe gauche ; pas de déviation
membres supérieurs ne sont pas également développés. Tandis que le bras droit jouit de l'intégrité absolue de ses mouve
ntre, les mouvements d'élévation, d'abais- sement et de rotation du bras , sont conservés, ainsi que la flexion et l'exte
gré relativement peu accusé de l'hémiplégie, qui prédomi- nait au bras gauche. L'arrêt de développement de ce Assistan
t régulièrement conformés et libres dans tous leurs mouvements ; le bras et la jambe du côté gau- che sont toutefois bea
courait s'accrocher à une table et restait les ]/eux fixes et les bras raides quelques seconde*, c'était tout. Il est to
e morsure de la langue. Il avait les poings fermés. Secous- ses des bras et des jambes. Cela se reproduisait 12 à Il fois
ible. - Thorax normal, peu musclé. - Colonne vertébrale non déviée. Bras normaux, mains lon- gues ; doigts-volumineux. -
ère du tronc pen lant quelques secondes, abduction et extension des bras en croix, mains fermées, les pouces en dedans,
es en dedans, puis déflexion et extension de la tète, adduction des bras . Pas de mouvements cloniques. Léger ster- tor.
PTION de la malade. 103. crivit des frictions mercurielles sous les bras et de l'iodure de potassium et lui appliqua tou
res à 2 heures. Ils étaient moins forts le jour. En même temps, les bras et les jambes se rapprochaient; il fallait dé-
ce matin une éruption rubeonque. con- fluente dans le dos. sur les bras et les m tins, discrète à la. face ; conjonctiv
ôté des organes respiratoires. 2 ? mat. - L'éruption a pâli sur les bras et le devant du tronc. Pas de modifications des
a ta partie supérieure du clos. Quatre Cicatrices de vaccin sur le bras gauche et trois à droite. Il n'y a pas d'adénit
e salive. Les mouvements provoqués sont normaux; mais tandis que le bras droit est sans cesse agité, soit pour porter la
ouche, soit pour se donner des coups sur la face et sur la tète, le bras gauche est immo- bile. Les membres inférieurs
ts, lui fait constater le méfait et se garan- tit le visage avec le bras pour esquiver le soufflet qu'il prévoit. Plus t
s par une contracture assez accusée dans la position suivante : les bras sont appliqués contre le tronc en légère rotati
iaire à la prona- tion et à la supination et à demi-fléchis sur les bras ; les doigts sont à demi-fléchis. La peau des m
ent. - Nouveau tic singulier : elle lève successivement les deux " bras , l'avant-bras replié sur le bras et se frappe le
elle lève successivement les deux "bras, l'avant-bras replié sur le bras et se frappe le nez de ses deux coudes; ello ac
rojette brusquement le ven- tre en avant en ramenant en arrière les bras et la jambe gauche. Début de la coprolalie. -
et suivi d'aliénation mentale. Grand' oncle paternel paralysé du bras .- Mère, faiblesse des jambes durant l'enfance ; r
81 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
ouvé ex juvantibus: quelques jours après, la malade soutenue sous les bras par deux personnes, fut conduite au milieu de la
paraît imentibte aux pincements que nous lui pratiquons à la peau des bras , mais if ne passe pas à l'état cataleptique quand
igner deux jeunes fillettes atteintes en même temps de contracture du bras . Chez l'une, le bras gauche; chez l'autre, le bra
lettes atteintes en même temps de contracture du bras. Chez l'une, le bras gauche; chez l'autre, le bras droit. Chez toutes
de contracture du bras. Chez l'une, le bras gauche; chez l'autre, le bras droit. Chez toutes les deux le tableau symptomati
tableau symptomatique était le même : flexion de l'avant-bras sur le bras , le tendon du biceps tendu comme une corde de vio
La douleur ne se réveillait que lorsqu'on touchait même légèrement le bras droit. Dans l'extension forcée la petite malade c
, mais la douleur provoquée était supportable, et quand on lâchait le bras , instantanément, et comme un ressort, le bras rep
et quand on lâchait le bras, instantanément, et comme un ressort, le bras reprenait sa position. J'ai d'abord employé l'é
on; mais toutes les suggestions ne peuvent se réaliser. « Levez votre bras ! > J'évoque une image motrice que le sujet po
ent traduire en acte. Si je lui suggère, au contraire, l'idée que son bras est paralysé, ou bien il n'acceptera pas l'idée s
rs à une simplo réquisition. Si je dis à quelqu'un : • Tiens, votre bras est paralysé! », ce quelqu'un, impressionné par m
Il faut que l'idée fasse inhibition sur le centre moteur cortical du bras ; il faut que celui-ci, frappé d'inertie par un mé
un mécanisme inconnu mis en œuvre par la suggestion, n'envoie plus au bras l'influx nerveux destiné à le mouvoir. Or, la ten
ficace, parce qu'elle est plus facile à réaliser, le centre moteur du bras . La contre-suggestion résultant du contrôle céréb
neutraliser la suggestion. Cependant, en suggérant une paralysie du bras , je n'ai pas suggéré une chose irréalisable, cont
doute celui qui a mis le feu... Ils lui melleul des cordes après les bras . Cela va être fini. » — Je dis : « Un pompier qui
n plus ou moins forte provoque une diminution nette dans le volume du bras ou du pied, grâce à la contraction de leurs vaiss
ci un homme avec une machine électrique. Faites-vous électriser votre bras qui est encore douloureux. Il dit qu'il va vous g
mais c'est trop cher. Je ne suis pas riche. Enfin, soit ». U tend son bras . Après quelques instants, le membre est secoué pa
reusement, sa respiration devient haletante. Il cherche à retirer son bras . A la fin, il pousse un grand cri de douleur et r
mment vous devez procéder : faites-moi des passes tout le long de mon bras , en vous arrêtant près du poignet ». Naturellemen
expérience d'insensibilité. Et, le regardant fixement, je lui fis au bras , avec une pince, un pinçon formidable, sans qu'il
ât une grande douleur. Quand je lui permis de regarder la peau de son bras , comprimée entre les mâchoires d'acier, son étonn
toute l'heure que je restai encore là. il ne faisait que se tater le bras , que palper la marque, pour voir si le mal n'appa
il s'avançait en sappuyant lourdement sur les talons, en étendant les bras avec un dandinement spécial. Après un mois d'ab
ps après s'être reconnue enceinte, elle avait vu un mendiant dont les bras et les jambes étaient contractures. Ce spectacle
envahissent tout le système nerveux. Une douleur d'abord localisée au bras peut se propager à l'épaule, au dos, a la tète; d
amélioration notable ; la malade a pu élever jusqu'à l'horizontale le bras droit qu'elle pouvait à peine éloigner du corps.
r trop vite le membre raidi et douloureux. En tirant trop vivement le bras . j'ai réveillé la douleur ; et alors la peur de l
ition de la raideur. faisant exécuter à la malade les mouvements du bras , tous les jours davantage, en l'encourageant sans
mousse, un crayon taillé fin, nous tracions sur ses épaules, sur ses bras une 6gure, nous voyons presque à l'instant une ro
is sur le tégument cutané de la région presternale, sur la face les bras , avant-bras, poignets, cuisses, jambes; toutefois
ue instantanément, l'anesthésie était complète, les membres soulevés ( bras et jambes) gardaient l'attitude qu'on leur donnai
it quelconque amènerait successivement la contracture des muscles des bras el des jambes, nous avons vu la contracture se pr
en avant, et elle parut entrer dans un bon sommeil. Je soulevai les bras . Us restèrent comme je les plaçais; je fis tourne
le sujet présente un certain automatisme. Ainsi lorsqu'on lui lève un bras ou une jambe, ce membre reste dans l'attitude qu'
d'initiative pour changer cette attitude. Si on fait tourner les deux bras du sujet l'un autour de l'autre, ce mouvement de
ltat d'une autosuggestion. Le sujet interprète l'acte de soulever son bras ou sa jambe comme un ordre de le maintenir levé e
'état cataleptoîde observé précédemment dès le début du sommeil ; les bras et les jambes soulevés gardent l'attitude imprimé
s gauche, nous amenons la généralisation des contractures, d'abord au bras droit, puis à la jambe droite qui se soulève et e
la contracture se généralise comme chez le sujet précédent, les deux bras se soulevant successivement, puis les deux jambes
aucoup de praticiens, d'ailleurs émineuls, oui le lort d'attendre les bras croisés). Le poumon gauche récupérait donc chaque
a suggestion, puù effectué dont lt sommeil hypnotique. — Paralysie du bras (après phlegmon et phlébite grâce) guérie en une
), complique la situation d'une phlébite grave -de l'avant-bras et du bras avec engorgement considérable des ganglions axill
isepsie. Ce nouveau cas chirurgical esl suivi d'une subparalysie du bras et de la main, que le hasard me révèle au bout de
temps après elle se serait trouvée incommodée extraordinairemeni des bras et des mains, lesquels luy fourmilloycnt comme au
à ce point que de n'avoir peu en aucune façon remuer ses mains et ses bras de dessus son ventre, sur lequel ils estoyent com
rue, estant au-devant de la maison de ladite déposante, et levant les bras contre leur fenestre, elle auroit dit tout haut e
faites tort, i et se retira. « Dépose en outre que dès ce moment le bras du costé où elle avait osié ladite chenille luy f
faisoit des douleurs, et au bout de quinze jours fust impotent dudît bras . » C'est bien ainsi que les choses se paeseni d
ndividuelle plus grande du malade. Cependant Jacob Aymé, voyant son bras paralysé, allait traduire en justice celle qu'il
à présent. » A qnoy elle respondit, en luy passant sa main dessus le bras duquel il était impotent, trois ou quatre fois (d
eu, vous mo faites tort » en lui repassant toujours la main sur ledit bras . En suite de quoy et au bout de quinze Jours fie
urs fie même temps qu'il fallut pour rendre la paralysie complète) le bras duquel il éiaii impotent fut remis en bon estai,
ncore je donnais mes soins à une dame pour une paralysie psychique du bras qui dura pendant plus de six mois, et ne céda qu'
éveillée par une douleur dans l'épaule droite avec engourdissement du bras correspondant. Elle s'était découverte pendant so
eurs et l'engourdissement persistèrent pendant les jours suivants. Le bras devint peu à peu insensible cl impotent. En cinq
o et monta par la rue Verdavne et sortit par le Four, ayant* ses deux bras derrière soy et son manteau. » « Du Jeudy 3 de
82 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
également perceptible sur les cuisses, mais non sur la tête et les bras . Lorsqu'on lui dit de remuer les membres inféri
peut se tenir debout. On lui dit de se mettre debout avec l'aide du bras de deux per- sonnes. On voit alors ses membres
se se soulève, et il va une secousse générale de tout le corps, les bras y compris, surtout à gauche. Le clonus du pied n'
plusieurs pouces au-dessus du sol. Quand le malade s'appuie sur les bras d'un aide, il ne saute pas, il se redresse, et,
flexion et de rotation, et les avant-bras se fléchis- sent sur les bras . La marche est très pénible. 1;... éprouve des
. G... a d'abord quelques 'secousses dans les mollets et dans les bras : celles-ci sont de plus en plus rapides et fréqu
on. On ne trouve aucune exagération de la sueur dans l'aisselle, au bras , ni à la main. La fonction sudorale du côté gau
urs. D... a remarqué, depuis quelques années, qu'en plongeant les bras dans l'eau chaude, il ne sentait pas à la main dr
ité nous revèle. La sensibilité à la température est égale aux deux bras et aux avant-bras. Mais déjà au niveau du poign
elles ont gagné DES ÉPHIDROSES .DE LA FACE. 39 l'avant-bras et le bras , et actuellement D... ressent dans la sphère du
n trois ou quatre minutes, remontent le long de lapartie interne du bras pour se perdre dans l'épaule. On ne détermine d
des membres. Période clonique. - 10 La face se tourne à droite, le bras et la jambe correspondant sont animés de convul
ir absorbé. Mis en marche, il s'avance sans trop d'hésita- tion les bras écartés du tronc, le dos arrondi et avec une sort
séjour dans la famille n'est un bien pour un aliéné que si tous les bras s'ouvrent pour le recevoir, et l'affection ne se
lade est du reste éminem- ment contracturable. Si on soulève un des bras on le voit garder la position donnée; il est ra
es. En juin, hypéralgésie, amaigrissement prononcé des jambes et du bras droit; un peu de glycosurie. Fin juin et début
lioration ; quelques se- maines plus tard, le malade se sert de son bras droit et marche à l'aide de deux cannes. Démarc
, se sentant parfaitement bien; mais depuis le printemps (1884), le bras commença à faiblir dans l'articulation de l'épa
ion musculaire et peu à peu se développa la scoliose. Vers l'été le bras gauche faiblit également. Le malade ne put plus
suite de brûlures antérieures. En outre, sur la face antérieure du bras et de l'avant-bras, la peau est couverte de ray
paraît même hyper- trophié en comparaison du gauche. Les muscles du bras présen- tent le degré moyen de l'atrophie. Elle
u'on puisse en juger, ne présentent pas d'atrophie. Mouvements. -Le bras droit ne peut être soulevé; des mouve- ments d'
ne peut être soulevé; des mouve- ments d'élévation en tous sens du bras gauche ne se produisent qu'à un angle de o ; da
ement est assez énergique, quoique un peu affaibli. Le mouvement du bras gauche en arrière se fait avec une certaine for
ctures. Des mouvements fibrillaires s'observent dans les muscles du bras et du thorax. Les cordons nerveux et les muscle
ne perçoit même pas la différence de 15°. La partie supérieure du bras droit et la partie inférieure du bras gauche ne
5°. La partie supérieure du bras droit et la partie inférieure du bras gauche ne per- çoivent pas la différence de tem
. En été 1884, durant deux, trois semaines, il se développa dans le bras droit un état semblable à celui qu'il éprouvait
e de la peau : les plis de la robe, la moindre secousse irritent le bras sans provoquer de douleur locale, mais en pro-
et cessait bientôt. Dès le début de l'apparition de la douleur, le bras commence à faiblir. L'amaigrissement de la main
égion scapulaire, près de la clavicule et à la partie supérieure du bras à la moindre secousse. L'articulation de l'épau
ne perçoit pas de différence de 25°, et à la partie supérieure du bras de 40°, entre 0 et 40°. Aucune de ces température
ce étaient indemnes, il n'en était pas de même de la sensibilité du bras droit. Il y avaitde la thermanes- thésie de la
ntôt rapidement, l'éphidrose envahit le cou, la nuque, l'épaule, le bras . Les exemples ne sont pas très rares de ces hém
s, le malade marchait, en chancelant un peu, se servait bien de ses bras , mangeait pro- prement avec la cuiller et la fo
semaines portant exclusivement sur le côté droit et prédominant au bras . - Vertiges (deux ans et demi à six ans). - Pre
e d'un bond; il a peur, semble regarder un point fixe en l'air, les bras en avant, il va à reculons, comme pour fuir un
urés empêchaient la tête de reposer sur l'oreiller; si on levait un bras , celui-ci restait en l'air pendant des heures,
sensitivo-sensorielle et de légère contracture principale- ment au bras , paralysie hémiaciale incomplète du même côté que
n met l'individu à surveiller dans l'incapacité de se servir de ses bras et par conséquent de se mutiler. Cela vaut mieu
étranglée). Au milieu de janvier 1887, paralysie de la jambe et du bras droits; mort fin janvier dans le stertor. Autop
nce, fièvre légère. Le 15 mai, brusquement, paralysie incomplète du bras droit, aphasie ; le malade ne peut émettre que qu
n jusqu'au 25 mai ; à cette époque, convulsions cloniques dans le bras droit et la moitié droite de la face, plusieurs f
développées ; les mains et les pieds sont cyanosés, froids. Sur les bras , cica- trices de vaccin ; trois cicatrices sur
ôtés et ne cède pas. Pour le faire avancer il faut le tirer par les bras . - Attitude. Corps incliné en avant, les bras u
faut le tirer par les bras. - Attitude. Corps incliné en avant, les bras un peu écartés du tronc, les avant-bras à angle
place et se promène continuellement comme une femme ivre, les les bras ballants, toujours prêle à tomber. D'autres fois
qu'on lui dit ou qu'elle entend autour d'elle. Secousses dans le bras droit imprimant au membre un mouvement à peu près
nt ses idées mélancoliques, travaille un peu. Plus de mouvements du bras . 20 octobre. - Redevient hallucinée et anxieuse
, mes pauvres enfants. » Marche ci reculons; mouvements saccadés du bras droit. Novembre. - Mu0 C..., se dit criminelle,
les petites circonstances de sa vie. - Mêmes mouvements saccadés du bras droit, presque con- tinuels. Cette malade, qu
rcée, on s'était vu obligé d'appliquer des appareils appropriés aux bras et aux mains, afin d'éviter les ulcérations qu'
malades debout, puis à les faire marcher en les soutenant sous les bras , enfin, on perfec- tionne la marche â l'aide du
ens, allonge la langue malgré lui, fléchit et détend violemment les bras ou les jambes et souvent glisse de sa chaise. L
e, la peau présentait des taches brunes ou noires sur la face et le bras , et les cheveux étaient gris par places de ce c
paule droite. Affaiblissement graduel de la motilité. Intégrité des bras . Dans les extrémités inférieures, troubles cons
ns douleur. Diplopie. Alité le 3 février 1886 : parésie des jambes, bras pendants, délire. Le 26, désordre très prononcé
paralysie généralement très étendue. Dans le cas de M. Oppenheim,le bras atrophié ne pré- sente pas de trouble de sensib
aralysie, soit uni, soit bi-latérale, portant sur tous les nerfs du bras (compres- sion d'une ceinture de voltige et d'u
83 (1846) Journal du magnétisme [Tomes II et III]
s. C’étaient d’abord des convulsions des muscles de la face , puis du bras ; deux ou trois moments après le corps participai
utérus et l’obligeai à rester ainsi jusqu’ù sept heures du matin. Les bras et les mains se couvraient de vésicules produites
ux ou trois fois, ayant eu l’attention de la soutenir par dessous les bras , pour lui éviter de tomber par terre; car, aussit
me nerveux, mais se faisait « particulièrement sentir à la saignéetiu bras gauche. « Le soir, sa robe touchant un chenet, ce
Il fut reconnu que le fluide ou l'agent « qui détermine le trismusdu bras gauche a sa source « dans le cervelet. « On tro
, toujours électrisées, approchées » à quelques centimètres du pli du bras , lui firent « éprouver une douleur vive qu’elle d
elle reconnut, soit par le contact, soit par l’appro-« cbe au pli du bras , les fragments frottés. « Une aiguille aimanté
ue liori-« zontalcmcnt à l'aide d’un fil de soie, par l’approche . du bras de celle-ci oscilla rapidement, puis enfin rest
vement rotatoire, convulsif, sorte de trismus choréique dont les doux bras étaient atteints, le gauche surtout, qui était en
outre chaud et tuméfié. J’appris que ce trismus s’était communiqué uu bras droit depuis un jour seulement. II n'en fut pus d
mont qui m’initia. Je vérifiai à plusieurs reprises que les poils des bras fixés sur l’épi— derme au moyen d’un peu de saliv
en d’un peu de salive se dressent rapidement quand on les approche du bras gauche de la patiente. Plus je voyais d’effets,
ne grenouille fraîchement écorchée et vouloir la lui appliquer sur le bras .’ Elle a peur, se récrie, ne veut point de ce co
ment, sans rien éprouver, sans souffrir. Les émissions électriques du bras sont éteintes, et elle est dans la condition de t
is cette force n’était point lumineuse; quelquefois clic sortait du bras par ondées qu’on pouvait jusqu’à un certain point
Cos-son, « sur l’indication silencieuse des visiteurs, lui f rend le bras semi-cataleptique, et lui fait de même « ouvrir e
e traitement qu’elle devait suivre, se fit pratiquer deux saignées au bras gauche, et fut complètement guérie dans l'espace
ns mouvements isochrones. Ainsi la malade soulevait successivement le bras gauche et le droit, le pied droit et le gauche, e
« il est question d’une aiguille aimantée qui, sous l’in-« fluence du bras de la jeune fille, fit d’abord de ra-« pides osci
dans ses mains, l’a appliqué sur son estomac, tout en se croisant les bras . Après quelques minutes de réflexion, à la voix d
r lui, le tint longtemps embrassé, puis se laissa tomber à terre, les bras roidis, le «ou gonflé, l’ceil vitreux, le visage
réalité pour la somnambule. Elles’atta- • cha plus fortement à son bras , son visage se cou-« tracta péniblement, ses jamb
out à fait perdu ses propriétés. Le 10 avril au soir, le mouvement du bras gauche, qui avait seul persisté durant les divers
éternel bonheur. Oh! viens, ma sœur chérie, Vois, je te tends les bras ; ■ Parlons, de ses liens ton âme est affranchi
: T. u. 15 MAI 1846. 9 MAIN GAUCHE. I.ES QUATRE DOHSTS. LE BRAS . « L’Algérien opéra sur son enfant devant moi.
e dans laquelle la substance était suspendue à l’extrémité du petit bras d’un levier équilibré, tandis qu’un grand disque
équilibré, tandis qu’un grand disque de papier était attaché au long bras placé à l’abri sous un écran de verre. De cette m
n d’une tumeur enkystée, l’amputation d’un sein cancéreux, celle d’un bras ou d’une jambe, par cela seul que les personnes é
ière et se porte sur le dossier du fauteuil. Le malade tient ses deux bras croisés sur la base de sa poitrine; son fades exp
d’une heure; sans appui aucun (car elle avait mis son bâton sous son bras ), puis rentre chez elle, danse dans la cour de sa
; éclairez-vous autant qu’eux, secondez-les même en les aidant de vos bras et do votre pensée, mais réservez-vous d’être hom
t un ange exilé du ciel ! Adoptez la jeune immortelle Qui vient les bras chargés de fleurs el de présents; Rois qui sur
Les choses étant disposées comme il vient d’être dit, vous étendez le bras et un doigt vers l’objet mobile et suspendu de ma
arge, et s’arrête dans cette position jusqu’à ce que vous retiriez le bras ; dès ce moment il reprend sa première position et
eu puissant, danslescns névrur- gique (magnétique), n’étendez ni le bras ni le doigt : tenez-vous en repos, et regardez fi
ue dans la première expérience. Troisième expérience « Au lieu du bras , dirigez une tringle de bois ou de métal, un roul
; elle ne se soumet donc jamais. L’homme peut laisser enchaîner ses bras , sa parole; sa pensée, il ne le peut pas; la libe
rte que pour compenser l’inégalité alternative de pesanteur de chaque bras attirant dans son arc de révolution ce centre de
ience. « Dans les dispositions que l’on vient de voir, au lieu de bras et du doigt étendus vers l’aiguille, je dirigeai,
xemple, eût provoqué un frémissement semblable. Moïse, étendant les bras sur la montagne durant le combat des Hébreux cont
ation visible disparaissait à leurs yeux. Aaron et Hur soutinrent les bras du prophète des deux côtés, et Josué enfin demeur
ayant évité le coup de poing qu’elle lui destinait, lui paralysa les bras , qui restèrent tendus. Sa fureur augmentant, elle
lle rencontre partout des incrédules. « Le mouvement ondulatoire du bras gauche est passé au droit; c’est à peu près le se
périmentale du Mans, une bougie en igni-tion ayant été placée sous un bras contracturé (cata-leptisé), dans l’intention de s
ut détruite, môme en plaçant la bougie à 50 centimètres au-dessous du bras . L’application directe d’un corps chaud, celle de
e présente : la non contracture des muscles des mains, tandis que les bras et les avant-bras sont dans un état d'extrême roi
rmie. Ces contusions ont laissé des ecchymoses sur les cuisses et les bras . La lucidité somnambulique est arrivée à tel po
s douleurs sont intolérables... U survient uneroideur tétanique des bras puis de la jambe droite. Je dégage cette dernière
ba presque instantanément dans le coma. La contracture musculaire des bras et des jambes essayée fut assez intense pour qu’i
on les phénomènes d’attraction, de répulsion, de raideur tétanique du bras el de la jambe gauches, d’insensibilité à l’actio
’on lui commande d’aller à la fenêtre, elle va au piano; elle lève le bras quand on lui commande de lever la jambe; pas un s
chairs des stylets, des aiguilles à tricoter, transpercent enfin les bras et les jambes de ces infortunés avec des pointes
tique. Sur quoi donc agit-il? En vertu de la loi de la pesanteur, mon bras , abandonné à lui-même, tombe perpendiculairement
eur qui m’appelait au centre de la terre, et qui faisait tomber mon bras perpendiculairement à mon corps. « Eh bien , qu
être dans un état de souffrance, se lève tout à coup, elle étend les bras en crispant les mains, les traits de sa figure se
84 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
vous le voyez par moments fléchir tout à coup son avant-bras sur son bras et, ensuite, par un brusque mouvement d'épaule, é
à droite et inversement dans la moitié supérieure; la main droite, le bras étant pendant, descend beaucoup plus bas que laga
quels je vous renvoie. 2e Malade (Entre une mère portant dans ses bras sa fille, enfant de 8 ans. Son mari l'accompagne,
n observe cependant encore quelques mouvements involontaires dans les bras , les jambes et la tête. La parole est redevenue d
avez sous les yeux, se dresser tout à coup sur son séant, étendre les bras en avant, puis retomber sur son lit, pour recomme
'à ce jour. Les premiers mouvements involontaires ont paru dans les bras et dans la tête vers le 5 novembre, c'est-à-dire
grimaces, ses gestes sont des plus désordonnés ; soudain il lance ses bras de chaque côté du tronc, croise ses jambes avec u
frottement s'étendent maintenant à la face postérieure et interne des bras . On n'a pu le laisser hors du lit, sur son fauteu
eues dans le dos, dans les pieds et les jambes d'abord, puis dans les bras et les mains, et un peu partout, M. Charcot : V
e du sentiment de faiblesse, de fatigue accusé par la malade dans les bras , toutes les fois qu'elle voulait s'en servir en l
ainsi suspendu, on lui commande de temps en 29 temps d'élever les bras doucement vers l'horizontale de façon à rendre, s
effectives. Fig. 48. — Lejnalade suspendu : mouvements latéraux des bras . Nous pensons que la plus longue séance ne doit
d'être suspendu, quitter son vêtement de dessus, de façon à avoir les bras libres ; le cou doit être à nu, ou du moins ne pa
obligé de me faire conduire ici par ma femme qui me soutenait par un bras ,tandis que de l'autre côté je m'appuyais sur une
non enragé. Malgré des douleurs assez vives qu'il ressentait dans le bras droit, notre homme prenait patience ; il espérait
Avez-vous quelquefois de semblables douleurs dans les mains, dans les bras ? La malade. — Oui monsieur, fort souvent au bo
é, comme d'habitude après mes fugues, et j'avais besoin d'étendre les bras et de m'étirer comme on le fait quand on se révei
t dit : « Allons. » Dans la rue elle dit à M. C... qui lui donnait le bras : « Où me menez-vous ? — Mais chez moi, à la Chap
it un certain degré de rigidité qui dépend d'un spasme musculaire. Le bras est appuyé et immobilisé sur le côté droit du tho
e côté droit du thorax ; l'avant-bras est fléchi à angle obtus sur le bras et en même temps fixé dans la pronation forcée. L
s. La peau du membre contracture est dans toute son étendue, épaules, bras , avant-bras, main frappée 1. 13« Leçon du mardi
apport au tronc, un mouvement de flexion et de rotation, et les-avant bras se fléchissent à leur tour sur les bras. Il paraî
et de rotation, et les-avant bras se fléchissent à leur tour sur les bras . Il paraît clair que ce sont ces mouvements de fl
quoi la nuit ? il n'a jamais pu le dire. Je signalerai encore, sur le bras droit, le dessin d'un homme « en costume de mousq
eau dont il frappe les murs. Une fois, il s'en est frappé lui-même au bras gauche, produisant une large blessure dont il por
doigts, au-dessus et au-dessous du coude et du genou. Périmètre du bras droit, 24cc — Bras gauche 24cc — de l'avant-bra
et au-dessous du coude et du genou. Périmètre du bras droit, 24cc — Bras gauche 24cc — de l'avant-bras droit, 25cc — ava
éciable soit intervenue, il s'aperçoit que son épaule droite, puis le bras du même côté s'affaiblissent; si bien que l'exe
vient des plus évidentes. Un peu plus tard, l'épaule d'abord, puis le bras gauche subissent exactement le même sort. Enfin,
tant de se tenir aux objets environnants et de changer de place. Au bras droit, les muscles du moignon de l'épaule sont at
faces articulaires. Le malade ne peut pas étendre l'avant-bras sur le bras sans s'aider de la pesanteur ; le biceps est très
encore à l'état de corde sous la peau. L'adduction et l'abduction du bras sont impossibles, il en est de même de l'élévatio
évation. L'avant-bras est amaigri, mais considérablement moins que le bras ; la supination est impossible, la pronation très
possible, la pronation très incomplète. Les muscles de l'épaule et du bras sont agités de tremblements fibrillaires presque
A. gauche même atrophie, seulement moins prononcée, de l'épaule et du bras , mêmes secousses fibrillaires. Le malade peut enc
du bras, mêmes secousses fibrillaires. Le malade peut encore lever ce bras en l'air, mais quand il est placé dans l'extensio
ès, la localisation de l'atrophie dans les muscles des épaules et des bras , les avant-bras et les mains étant relativement p
ier. Aujourd'hui, l'atrophie porte sur les muscles des épaules et des bras , et elle s'y montre à un haut degré : type scapul
'est que l'amyotrophie s'est d'abord localisée sur les épaules et les bras , tandis que dans les cas classiques du type Duche
t sur celui de son mari. Elle nia, tout d'abord. — « Montrez donc vos bras ; vous vous faites des injections de morphine. De
ramasser quelque chose avec ses deux mains, se redresser, élever les bras , puis se baisser de nouveau et répéter cette manœ
es lésions produites par l'étincelle ; ainsi, si la lésion atteint le bras , c'est le bras qui sera paralysé ; ce sera le pie
uites par l'étincelle ; ainsi, si la lésion atteint le bras, c'est le bras qui sera paralysé ; ce sera le pied au contraire
r la foudre près de Montargis ; en tombant elle crut qu'elle avait le bras et la jambe cassés. Lorsque le Dr Gastillier arri
étaient insupportables. Le septième jour, elle commença à mouvoir le bras droit,la main et les doigts, et la sensibilité se
en même temps à la^main droite et au pied gauche. Le neuvième jour,le bras avait acquis assez de force pour se servir de béq
M. Roaldès eut été atteint par la foudre,les membres inférieurs et le bras droit étaient entièrement privés de sensibilité e
lysées ; trois heures après l'accident, le malade put, en s'aidant du bras d'un de ses amis, monter sur le comble de sa mais
, la poitrine comme dans un acte de contrition, ou encore, élèvent le bras comme dans un mouvement de défense. On n'en finir
aient sous lui. Il serait tombé si on ne l'avait pas soutenu sous les bras ». L'enfant étant replacé sur son lit, dans le dé
résultats. Deux élèves étaient obligés de soutenir l'enfant sous les bras et quand on lui disait de marcher, les jambes s'a
et sautant plutôt qu'il ne marche et portant vivement devant lui ses bras étendus, comme pour s'entraîner; de plus,à chaque
se voient à droite comme à gauche, aux mains, sur les avant-bras, les bras , les épaules et quelques muscles du tronc. Les ré
au même degré ; ils sont pendants le long du corps: les épaules, les bras , les avant-bras et la main considérablement amaig
aux mains, aux avant-bras, sur toute l'étendue du tiers inférieur des bras . Sur les épaules, la partie supérieure des bras,
u tiers inférieur des bras. Sur les épaules, la partie supérieure des bras , le cou, le devant de la poitrine, la moitié supé
on de contact. Il en est de même sur toute l'étendue des épaules, des bras , des avant-bras et de lamain. Dans d'autres explo
t au-dessus. Sur les mains, les avant-bras, et le tiers inférieur des bras ,pour produire la sensation de chaud, il faut que
pt ou huit mois plus tard, dans les avant-bras d'abord, puis dans les bras et enfin dans les épaules. Depuis 1882 l'évolut
de même que la céphalée constrictive ; il sentait que sa jambe et son bras droit devenaient faibles ; il obtint un congé et
ortir de cette première attaque, Glaw... remarqua que sa jambe et son bras droit? tremblaient plus fort, que ces membres éta
un peu moins affaibli que la jambe. Le malade peut exécuter avec son bras droit tous les mouvements qu'on lui commande, mai
Le membre inférieur droit tremble aussi, mais beaucoup moins que le bras . Par contre, il est relativement plus affaibli. L
t chez lui, il éprouva « des frémissements », des picotements dans le bras gauche, « comme si on l'avait électrisé »; puis i
la nuit. Le lendemain, quand il voulut se lever, il était paralysé du bras et de la jambe gauche; il était incapable de mouv
85 (1847) Journal du magnétisme [Tomes IV et V]
imanche depuis quatre ans, résultat d’une frayeur. 3° Paralysie «lu bras droit sur une fille de vingt-huit ans, durant dep
s ; détruite en grande partie. La malade fait maintenant usage de son bras pour des travaux qu'elle ne pouvait exécuter. 4
convulsions si fortes, si violentes, que son mari, qui lui tenait le bras droit, crut qu’elle allait expirer. Il me demanda
on en Angleterre et dans l’Inde. Opérations. « 1° Amputation d'un bras , d'un sein, d’un pouce et de deux pénis. « 2° A
7° Réduction de six rétractions musculaires, tant de la jambe que du bras . « 8° Cautérisation d’un ulcère avec la potasse
tique, une névralgie crurale, guéris en une semaine; une paralysie du bras en un mois, et une hémiplégie en six semaines, pa
t haletantes, et lorsqu’il fléchit pour saisir le symbole du mal, des bras se sont levés, des bouches ouvertes, comme si, bl
ble à rendre, arrive au point 0 sur M. du Potet, qu’il étreint de ses bras et inoude de ses larmes. Voilà deux épreuves qu
a les traits bouleversés, les cheveux hérissés, les yeux hagards, les bras étendus, les doigts écartés ; il s’agite violemme
des gens fort habiles qui, sans diplôme, remettent les jambes et les bras , guérissent les entorses beaucoup mieux que les h
position. Je la vis le \ octobre. Elle avait, outre la paralysie du bras cl de la jambe, la mâchoire inférieure déviée, po
é gauche, et bientôt après elle me dit sentir des picotements dans le bras droit, ce qui me fit espérer d e la guérir. Encou
n, j’appris qu’elle avait ressenti toute la soirée les picotements du bras droit, et que son sommeil, de lourd qu’il était h
reproduction des effets de la veille, plus une grande sensibilité du bras paralysé. Je déterminai de violentes secousses da
en semble ravi ; une’doucc chaleur partout le pénètre,' et un de scs bras , peu flexible par suite d’affection rhumatismale,
on, sans qu’elle en témoignât la moin -dre sensation. Elle porte un bras à sa tête ou à ses pieds, soulève la jambe droite
ments, par un ordre mental; ainsi il tourne, avance, recule, lève les bras , les jambes, s’assied et se relève au gré du magn
oduit. Mais quelques minutes après l’opération, il éprouvait dans les bras et les jambes le sentiment de fatigue d'un homme
s le préférence au chêne? et la vigne, de deux arbres qui tendent les bras pour ses pampres, se penchera sur le tronc des or
calmer la chaleur atroce de la langue et des lèvres, elle portait mon bras à sa bouche, et promenait sur ma peau scs lè- v
ouvements généreux qui le transportent, il jette ses armes, étend les bras , et prie son camarade de se précipiter, pour trou
n refuse; mais, cédant à des prières redoublées, il s’élance dans les bras qui lui sont ouverts. Les deux anciens compagnons
8 avril 18/|7. L’année dernière, M. de W. vit s’éteindre entre ses bras sa douce et charmante fille, qui avait à peine di
qui me verra marcher les yeux fermés. — Non, non, tu me donneras le bras , et nous aurons l’air de nous promener. Allons, d
n’avons rien à craindre. » Aussitôt elle se leva, et, refusant mon bras , s'achemina, en faisant mille détours, et disaut
us. » « Bonaparte se leva, fit plusieurs fois le tour du salon, les bras derrière le dos; puis, avec gaieté, il dit à José
rents: noussommes dans la sphère du vrai; dans les seconds, comme les bras de l’angle, nous nous écartons de plus en plus.
s, disciples d’un môme cercle, leurs segments n’eurent jamais que des bras égaux. Mais comme ils eussent marché vite s’ils
ple de penser qu’ils sont la cause transéante et non fondamentale, le bras et non la volonté. Maintenant ôlez Dieu, restent
s le respect des peuples, et en Perse la royauté ne passait qu’en des bras experts de magie. Neminem apud Persas regno polir
; 2° Section du tendon d’Achille ; 3° Section de deux tendons au bras ; 4° Introduction d’une sonde dans la matrice;
quand, un jour, une de ses nièces, en jouant sur son lit, passe à son bras un collier d’ambre. Immédiatement les spasmes ces
age, elle n’éprouvait rien ; mais si on portait l’index seulement aux bras ou aux ge-nonx, aussitôt les jugulaires gonflaien
renvoyant fort souvent un courant frais qui produit l’éripilation des bras . Ne serait-ce pas le fluide maladif déplacé par c
re Cuny. 29, 87 Aimant médicinal. 337 Ambre — 334 Amputation du bras . 68 — de la jambe. 226 Angine gnngréneuse. 19
n, cclui-ci ne serait pas député aujourd’hui. 2° Un homme, ayant au bras une tumeur de 14 kilogrammes, éthérisé dans le mê
maladie qui resfa d’abord cachée, simulant une affection goutteuse du bras droit, avec palpitations, douleurs d’estomac, etc
rtistique. Assise sur un siège élevé, le front ceint de lauriers, les bras couverts de chaînes d’or, les pieds chaussés de s
près ils seront toujours habillés en blanc; la tète, la poitrine, les bras et les pieds encore découverts, excepté l’hiver.
n pantalon court et un espèce de.....ou blouse courte, qui laisse les bras libres pour les exercices et les travaux. La tè
les efforts furent sans résultat: le mal allait toujours empirant, le bras droit était paralysé, l’enflure du corps en génér
vère m’a déjà mis dans le cas de pouvoir marcher, de me servir de mon bras et m’a rendu le libre usage de la parole. J’ose
ence et le fis marcher assez loin sur la route, en lui maintenant les bras catalcptisés aussi longtemps queje le voulus; ens
re; je le lis sortir de la salle et tourner comme un tolon, ayant les bras étendus et inflexibles; puis je le ramenai à sa p
c.) 08. Catherine, fille Pieulet, d’Arète. (line vieille plaie au bras droit.) 09. Marie Cazabak, épouse Labroüï, de P
onsistait dans l’ablation d'un sarcocèlc, dura quatre minutes. Ni ses bras ni ses jambes n’étaient maintenus. 11 ne fit. auc
« Murali-Duss (l’opération étant très-grave) remua le corps et les bras , respira par saccades et changea d’aspect, sans p
on les cache dans le sein, on les habitue à plier autour du cou et du bras sans mordre, on les habitue à faire le morl el
oit à moi, m’embrassa très-fort, me rattacha mon madra9, me remit les bras dans mon lit, puis elle lira de son sac une lettr
sition horizontale, et avançait ainsi, comme soutenu et porté par des bras qu'on ne voyait point. Le profil de cette figure
rofiter de la première occasion favorable à l’opération. Le 12, ses bras , croisés sur sa poitrine, étaient rigidement fixé
ui donner un cordial, je trouvai ses dénis forlement serrées et ses bras d’une ligidilé considérable. Il continua de se pl
n furent point altérés et il continua de dormir. En lui prenant les bras je vis une cloche à l’un d’eux; j’y fis une incis
it de s’éveiller en sentant le froid. Quand on lui montra la plaie du bras , il en fut grandement étonné et dit qu’en donnant
il, l’avait éveillé. Le 30, je couvris d’acide nitrique sa plaie du bras ; la chair blanchit aussitôt, mais il ne tressaill
éraux : la douleur était «i aiguë que j’ordonnai de lui fomenter le bras avec de l’eau chaude. Un poêle fut commandé pou
omme naturellement, se détira, se plaignit d’ayoir les cuisses et les bras roides ; et en voyant son frère, Bogo-bun Doss, i
s l’assemblée. Il fit venir à lui le jeune homme, lui fit lever les bras et les jambes sans le toucher; il ¡nia quelqu’un
échit et tombe à la plaçe première qu’elle occupait. Elle allonge les bras , enfonce ses ongles en terre et rampe en traçant
yeux, m’appelle avec ses cent bouches, el m’auire avec ses deux cenls bras . J’arrive, et c’est à qui me racontera les mervei
peu à peu, et enfin complètement ; la malade ressentit alors dans les bras une légère fatigue, mais bientôt après tous ces c
nts, les mêmes gestes que le magnétiseur. Par exemple, lève-t-il un bras , le sujet en fail autant, parce que la volonté du
e qu’un souvenir vague et confus ; j’avais de fortes convulsions; mes bras , mes jambes se raidissaient ; mon corps se tordai
86 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
gt; décrites précédemment, à marcher, soit en les tenant sous les bras , soit à l'aide du charriot. On fortifie leurs m
xercer les plus invalides aux premiers mouvements des jambes et des bras . Les jeux usités en récréation, sous la directi
arallèles; nous les faisons sauter sur place en les tenant sous les bras ; nous leur faisons pratiquer des frictions stim
tion d'eau chaude en hiver, et séparation de chaque orifice par des bras de fauteuil; par un réfectoire, le cabinet de l
'enfant, surtout la main droite qui est en demi-flexion sur l'avant bras ; les quatre derniers doigts sont demi fléchis
ite taille, assez chétive. Ne se tient debout que soutenue sous les bras . Ne parle pas, ne parait rien comprendre, ne fi
rendre, ne fixe son attention sur rien. Se met en colère, agite ses bras et ses jambes quand on l'examine. Tête ronde,
les. Trois cicatrices de vaccine au DESCRIPTION DE la malade.. 15 bras droit. Articulations saines. Mains petites, doigt
il veut la remuer, elle est le siège de mouvements athétosiques. Le bras est assez mobile. Du côté des membres inférieur
ue la paralysie s'amendant, Le T... a commencé à se servir de son bras paralysé. L'hémiplégie avait les caractè- res h
ment, leur imprime des attitudes particulières et permanentes : les bras en légère abduction, les avant-bras fléchis au
bras en légère abduction, les avant-bras fléchis au maximum sur le bras , les mains légèrement fléchies, plus à droite,
rieurs décharnés. L'avant-bras droit est en flexion complète sur le bras qui lui-même est à peu près cons- tamment appli
appliqué sur le tronc. L'avant-bras peut cependant s'étendre sur le bras presque à angle droit. Les mouvements volontair
t lieu surtout au réveil et consistaient en un tres- saillement des bras avec rotation de la tête et des yeux. Elles n'é
puis avait des convulsions cloniques qui siégeaient surtout dans le bras droit. Les jambes étaient moins agitées, ainsi
dans le bras droit. Les jambes étaient moins agitées, ainsi que le bras gauche. Les yeux se déviaient, devenaient blanc
ction, l'avant-bras dans un état qui dépasse la demi-flexion sur le bras ; les mains sont en flexion légère sur le poigne
que la droite. L'enfant résiste très fort lorsqu'on veut écarter le bras de cette l7osition. 1 ! c-t lrusclilïicilc : clan
race d'un abcès ganglion- maire survenu il y a 7 ans. Il y a sur le bras droit, au niveau du tiers inférieur, une cicatr
ieur droit est contracture. L'avant-bras est en demi-flexion sur le bras . La main en pronation est déviée sur le bord cu
n de l'en- fant, elles paraissent se multiplier. La face externe du bras droit est le siège d'une plaque érythémateuse,
s. L'enfant criait constamment. Dès son bas-âge, on constata que le bras droit fonctionnait très difficilement. On avait
rès son retour de chez la nourrice, un état de demi-contracture des bras et des jambes. Les parents auraient aussi noté
nfant semble mieux comprendre. Debout, il se tient un peu voûté, le bras droit allongé sur le membre inférieur du même c
retour chez ses parents, on a constaté une paralysie incomplète clu bras droit, des mouve- ments choréiformes des mains
re- miers temps de la vie, l'enfant criait constamment et que son bras droit fonctionnait très difficilement. III. L'i
es. T.R. 3 ? 7. -Soir : 39°, 8. 17 juillet. Raideur de la nuque, du bras droit, et de la jambe droite. L'enfant est cons
non visible. Muqueuse saine. Membres supérieurs d'inégale longueur. Bras et avant-bras de conformation normale. Doigts e
tiques des deux côtés. Trois petites cicatrices de vaccine à chaque bras . Motilité normale. L'enfant se sert de ses main
eures et étaient fort intenses. La bouche était tirée à droite, les bras contracturés, de mémo que tout le corps. Elles
de nouvelles convul- sions. Leur durée fut de 30 minutes. Les deux bras étaient contractures. Mardi... fut nourri au
coriations à la main et aux avant-bras, marques de vaccine aux deux bras . Absence de poils sur toute l'étendue du corps.
ute sa crise. Des secousses cloniques se manifestent alors dans les bras éga- lement des deux côtés. Elles sont très bru
ès brusques, durent une ou deux secondes, puis le malade écarte les bras et les met en croix Il les ramène ensuite en pr
ent pourvus de tissu graisseux sous-cutané. Les mouvements des deux bras paraissent possibles. Ongles minces. MÉNINGIT
tête. (Yeux, 218 DESCRIPTION DU malade. face). Il tordait peu ses bras et ses jambes. Les convulsions se sont de nouve
membres supérieurs sont en flexion. L'avant-bras est fléchi sur le bras , la main sur l'avant-bras. Il est diffx'i'e de
ations.) L'avant-bras droit, en pronation forcée, est fléchi sur le bras . La main est fléchie sur l'avant-bras au point
ce et ne boit plus. Il a une malformation congénitale de l'avant- bras et de la main du côté droit. L'avant-bras est bea
llèles. Si l'on essaie de la faire marcher en la soutenant sous les bras , elle s'affaisse sur elle-même, les cuisses res
en son lait. Il n'y a pas de troubles digestifs. 9 novembre. - Le bras gauche est contracturé en adduc- tion, et tous
la fait lâcher qu'avec la plus grande difficulté. Elle marche les bras demi-fléchis et en avant, le tronc incliné, les j
87 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s tard, ces hypesthésies ont pu s'étendre soit en haut, partant aux bras , soit en bas, et déterminer ainsi des troubles
'au moment de la mort à 10 heures. Pendant toute cette période, les bras s'agitent, les yeux sont con- vulsés en haut, l
it pèse 555 grammes. La coupe de Flechsig-Brissaud mon- tre dans le bras antérieur de la capsule interne gauche un morcel-
e dans la nuit de deux autres attaques semblables, débutant par les bras , avec déviation de la face et vomissements. Le
Paris). ~** Malade de 59 ans. Depuis dix-huit mois douleurs dans le bras gauche. Paralysie du membre supérieur gauche de
a trait à un phlegmon pour lequel on avait pensé à l'amputation du bras . C'est par l'action exercée sur les vaso-moteur
ressive non précédée de paralysie, ayant débuté dans l'épaule et'le bras gauche (type scapulo-huméral), le cou surtout à
ral), le cou surtout à gauche, puis ayant envahi progressivement le bras droit et le reste du corps avec prédominance du
le du triceps brachical; l'extension de l'avant-bras avait lieu, le bras étant pendant, avec une très grande précision.
plète. Il s'est produit un arrêt de développement du squelette du bras paralysé portant presque exclusivement, comme le
des causes très diverses (port de lourds fardeaux sur l'épaule, le bras étant en byperétévation abduction, bras relevés
s fardeaux sur l'épaule, le bras étant en byperétévation abduction, bras relevés pendant le sommeil, traumatismes sur la
le sommeil, traumatismes sur la région scapulaire, tiraillement de bras , etc.). Dans toutes ces observations nous avons
avons retrouvé l'abaissement de l'épaule, soit l'hyperélevation du bras ; les paralysies radiculaires sont fonctions de
entre les apophyses transverses et la clavicule dans-l'abduction du bras . Au contraire l'abaissement de l'épaule ou l'él
n du bras. Au contraire l'abaissement de l'épaule ou l'élévation du bras amène la tension des racines du plexus, surtout
remière côle. Le ganglion rachidien dans la traction exercée sur le bras tend à faire hernie en deliore de la gaine dura
ou du côté opposé. La jambe est ordinairement plus affectée que le bras , et pendant la marche elle est traînée comme un
si dire un nouvel accrois- sement du courant d'action malgré que le bras n'ait exécuté aucun mouvement appréciable. La c
Homme, cinquante-huit ans. Sensation de faiblesse subite dans le bras droit, parésie légère de tout le côté droit (memb
esoin d'agir, inquié- tude physique). La paralysie débutait par les bras ou le plus souvent par-les jambes. Elle durait-
de copiait de la musique, la paralysie envahissait la jambe et le bras inactifs, le bras actif ne se prenait que quand l
musique, la paralysie envahissait la jambe et le bras inactifs, le bras actif ne se prenait que quand le travail était
ni. Si le malade marchait, la paralysie se localisait longtemps aux bras . L'auteur en fait une paralysie par inhi- bitio
. Spontanément, il remuait très peu ses membres, mais moins mal les bras que les jambes. Il ne pouvait se retourner dans
phtalmie. Avant les convulpions les mains étaient naturelles et les bras souples. C'est peu après le début des convulsio
PHALIQUE.. 277 Î essayé d'étendre et de fléchir alternativement les bras , de les étendre en croix. et de les porter au-d
le quand on le caresse. Au lit, les jambes res- tent allongées, les bras collés contre le tronc, les avant-bras fléchis,
on notait des secousses des reins et de la tête. En même temps, les bras étaient projetés en avant et les poignets se re
aucoup de peine à le coucher; dans le lit il remue furieusement les bras et lesjambes. A chaque instant, il esquisse une
tard, il avait eu une première attaque de convul- sions, limitée au bras et à la jambe gauches. Les attaques se sont rép
onsisté dans une trépanation, faite au niveau du centre cortical du bras (hémisphère gauche), et dans l'incision de la dur
pération. La seconde opération a entrainé à sa suite une parésie du bras droit, apparue le second jour, et qui s'est dis
d'attaques depuis quelque temps, mais il lui restait une parésie du bras et de la jambe gau- ches. Deux mois plus tard,
et la main se mettaient en extension, l'avant-bras en pronation, le bras en flexion; la tête se tournait et s'inclinait
, en légère abduction, exécutait des mou- vements de flexion sur le bras ; la tête s'inclinait trois ou quatre fois à dro
ent après, la main se fermait et l'avant-bras se fléchissait sur le bras . Le 30 mars 1894, on lui trépana le crâne, au n
s'étaient dissipés. Le 12, la malade pouvait de nouveau mouvoir le bras droit et l'épaule. Le L'ÉPILEPSIE PARTIELLE. PA
e plus, était porté en supination; la tête se tournait à droite; le bras et la jambe gauches se raidissaient. Bientôt la
; en même temps, la commissure labiale droite s'abaissait. Puis le bras gauche et la moitié gauche de la face étaient e
alors à obtenir des con- tractions des muscles de l'avant-bras, du bras et de la figure, en excitant la portion de cerv
en nettes d'un travail dégénératif. Après l'opération, on trouva le bras gauche et la moitié gauche de la figure paralys
ents mouvements de supination de la main et des secousses dans le bras . Pendant ces attaques, la malade perdait connaiss
de la main droite, des secousses cloniques (flexion et extension du bras droit). Ces secousses duraient encore une minut
bstance blanche sous-jacente a provoqué également des mouvements du bras droit, mais ils cessèrent en même temps que l'e
opération, le 14 mai 1895 ; on lui a mis à nu le centre cortical du bras droit, dont le siège précis fut déterminé à l'a
re et dans l'excision de la moitié inférieure du centre cortical du bras . L'examen histologique du fragment excisé a fai
pasme des muscles du visage, et non d'une paralysie faciale ; 3° Le bras reprend ses fonctions plus tôt que la jambe ; 4
ble parla multiplicité des angiomes et leur étendue qui comprend le bras et l'hémithorax droits tout entiers. -. Pour en
ite et est exagéré à gauche; qu'il n'y a ni ataxie ni paralysie des bras ; que les muscles de la face sont normaux et nor
ultérieurement il se développa un état spasmodique des muscles du bras et de la jambe, et deux ans après le début de l'h
énérescence. Ainsi chez le malade affecté de névrite traumatique du bras droit et dont le bras gauche avait toutes les a
z le malade affecté de névrite traumatique du bras droit et dont le bras gauche avait toutes les apparences de santé, on a
e ans, qui se trouvait seule à la maison; puis, la prenant dans ses bras , elle s'étendit sur un lit, attendant la mort.
t en tous sens. 11 crie constamment, il remue inconsidéré- ment son bras gauche, mais on n'obtient pas qu'il regarde, ce
aralysie faciale n'existe pas. L'avant-bras droit en flexion sur le bras , les doigts sur la paume, la main en semi-flexion
qu'elle pouvait dédier aux soms du ménage, que, la rigidité de son bras et de sa jambe ayant disparu] il lui était faci
, on se rappellera qu'il souffrit d'une attaque convulsive, dont le bras et la . jambe droits restèrent ballants, el ce
e six mois après que sa mère s'aperçut qu'ils étaient rigides, le bras adossé au corps, de manière qu'il lui était diffi
ntre à la Salpétrière avec hémiplégie produite deux ans auparavant. Bras contracture en flexion. Paralysie. Jambe légaleme
couchée on à demi couchée et l'opérateur fixe la tète soit avec le bras gauche, soit en la prenant entre ses genoux : u
aler. L'une et l'autre éprouvaient une sorte de contraction dans le bras parfois assez forte pour que, dans la crainte d
ssait-il son temps à se 504 -il SOCIÉTÉS SAVANTES. contracter les bras derrière le dos pour résister à ce qu'il appelait
ce qu'il appelait ses mouvements nerveux. Or un jour il sentit son bras s'allonger tellement qu'il pouvait atteindre un
t très nette, la parésie et surtout l'incoordination est marquée au bras gauche; les deux membres inférieurs sont atroph
faciaux particuliers. AI. P. nhme présente un myopathique dont les bras , le thorax et la face sont pris, mais dont le t
88 (1845) Journal du magnétisme [Tome I]
uelles nous promenons nos extrémités (car il est essentiel, lorsqu’un bras est fatigué, de se servir de l’autre) de cette ém
ons partir de nos nerfs et suivre le trajet du conducteur naturel, le bras , et par suite les doigts. Si les effets qui rés
e cherche à faire comprendre ; il vint près de moi et il allongea les bras pour s’assurer si c’était bien, en effet, l’objet
vingt-quatre ans, était, depuis huit ans, affecté d’une paralysie du bras droit, et depuis trois environ souffrait beaucoup
furent de beaucoup augmentées, une libre transpiration survint, et le bras paralysé devint chaud et moite. Je répétai quatre
et la toux, et la sensibilité et la mobilité furent rétablies dans le bras paralysé. J’ai obtenu le même résultat dans deux
ce que la fatigue me contraignit à m’arrêter pour reposer un peu mes bras ; alors je remarquai que la malade était comme ino
de l'expérience. Bientôt les yeux se closent, la tète se penche, les bras sont pendants, et tous les signes de l'action mag
de l'action magnétique sc développent. On essaie l’attraction sur le bras gauche, mais en vain. Le magnétisé, interrogé dan
t singulier d’assou pissement; il sent aussi un fourmillement dans le bras gauche. Après un quart d’heure de magnétisation,
bservé: le somnambule voyait par le boul des doigts, en sorte que, le bras étant considéré comme la branche mobile d’un gran
ant, je n’cn étais ni effrayé, ni môme étonné. Je le prenais dans mes bras et je l’emportais dans la chambre voisine, en me
u portier du n. i, rue Coquillère; cet enfant, en jouant, avait eu le bras blessé assez gravement pour qu’on crût qu’il l’av
s avoir reconnu qu'il n’y avait ni fracture, ni luxation, mais que le bras , collé le long du corps, ne pouvait exécuter de m
résolut de le magnétiser. F.n moins de cinq minutes l’enfant remua le bras en disant qu’il ne lui faisait plus mal. Le doc
Orsay passe, s’arrête; un jeune homme en descend et se jette dans les bras de sa mère : c’était le jeune B.... « On le que
Un aulrc détail avait été donné: c’était qu’il avait reçu un coup au bras . Aussi, l’un des parents, émerveillé de la réalis
e même enfant vint chez Mm* L... avec sa mère, qui le portait sur son bras . Le croyant encore malade, aussitôt qu’elle l’ape
magnétiseur agissant, la somnambule éprouva une violente secousse des bras et des jambes. Sur l’observation que la somnambul
otale de douleurs vives venues à la suite d’une foulure ou entorse du bras droit depuis environ un an. On décide que le po
mes leur propre fureur, elles s’arrachent les cheveux, se mordent les bras , les doigts, d^chijcnt |eurs vêtements. La force
’ils veulent tuer. — Vous accourez bravement, vous relevez avec votre bras les armes qui menacent sa tête, et vous commandez
cemment; elle se trouvait en communication avec elle, lui tendait les bras en tombant â genoux, se relevait avec élan, s’exh
ation continuée amène l'état de roideur cataleptique des membres. Les bras , insensibles à la douleur, restent horizontalemen
étonnement de ce colosse qui s’indigne de ne pouvoir se servir de ses bras . M. le président, faisant remarquer à l’assembl
isme complétait la saturation, le surplus suivait les mains, puis les bras , et enfin gagnait tout le système nerveux du somn
étal; il se lova brusquement en poussant un cri plaintif, étendit les bras , rejeta sa lûte en arrière, el, en môme temps que
e dévastation qu’il avait causée el reprit une attitude paisible, les bras croisés sur sa poitrine nue. L’ordre élant réta
vons des traces dans chacun de nos actes. C’esl lui qui donne à notre bras le degré de force nécessaire pour soulever tel ob
é de cet état, enfonce des épingles dans les chairs, sur la face, les bras , etc., du patient qui ne manifeste aucune sensibi
la singularité de ce phénomène dont il se déclare bien convaincu. Les bras du patient, mis dans un étal cataleptiforme et da
écrites que lui donnent différents assistants. Ensuite on lui met le bras droit en catalepsie avec une chaise suspendue a
; cette position dure environ cin« minutes sans la moindre flexion du bras . Les procédés propres à la manifestation d"S ph
aint d'une somnolence extrême. L’altraction magnétique essayée sur un bras a pour résultat l’extension de ce dernier avec ro
s ponces, passer les mains sur les épaules, les descendre le long des bras , appuyer les genoux contre ceux du magnétisé, son
uccès dans l’élal d'insensibilité magnétique : l’une, l’ampulalion du bras par le doclour Jolly sur madame Norihway ; l’aulr
ble phénomène d'attraction magnétique el de rigidité cataleptoïde des bras et des jambes, qui restent douze minutes étendues
ù un être quelquefois faible soulève les plus lourds fardeaux, où les bras de plusieurs personnes ne peuvent contenir ses mo
, et sa joie esl difficile à dépeindre, car 011 l’avait transportée à bras . Le lendemain la douleur reparaît moins intense,
areil cas : sangsues, saignées, purgatifs, etc. « Les doux jambes, le bras gauche étaient « extrêmement enflés; les genoux s
Après une magnétisation de trois quarts d heure, la maiade remua son bras droit et dormit la nuit, au bout de cinq jours el
défia de guérir une pauvre femme de soixante-dix ans, paralytique du bras et abandonnée des médecins. M. P.... consent à
au bout de dix minutes dit à la vieille : « Essayez de mouvoir votre bras . » Celle-ci obéit, non sans crainte, élève et bai
r votre bras. » Celle-ci obéit, non sans crainte, élève et baisse son bras sans douleur, et fond en larmes de joie, car elle
Séance du 5 novembre. — M. Millet met dans un état cataleptiforme un bras seulement d’une jeune fille. Un homme robuste,
Amputation de la cuisse. 321, 522 — de la jambe. 248, 492 — du bras . 322 Angélisme. 429 Anévrisme. 508 Attracti
89 (1854) Journal du magnétisme [Tome XIII]
s marquée tous les signes d’une incrédulité choquante ; il croise les bras , se renverse sur sa chaise, défie du regard le ma
n trois mètres d’espace entre eux deux. 11 fixa cet homme, étendit le bras vers lui, et le pointa du doigt ; dès cet instant
llant, ce n’est pas difficile. Nous partîmes alors, nous donnant le bras , absolument comme s’il eût été dans l’état de vei
le. Je fis ensuite approcher ce monsieur et l’invitai à lui donner le bras . Bien que cet homme soit très-robuste , son bras
itai à lui donner le bras. Bien que cet homme soit très-robuste , son bras fut étreint de telle sorte qu’il demanda grâce.
propres organes qui sont soumis à la volonté. « Je veux remuer mon bras , et ma volonté agit sur les muscles par l’intermé
ôle fort secondaire. C’est lui qui, par exemple, nous fait tendre les bras en avant pour nous préserver d’une chute. Quand i
et moins aqueux que 11e l’est le sang fourni par les veines du pli du bras , ce qui rend les femmes enceintes plus ou moins c
ger fœtus de volonté. Quand un fluidiste annonce qu’il va mettre le bras droit en catalepsie, il po iriait bien se faiie q
jours il y avait guérison parfaite. Paralysie. — Une femme avait un bras paralysé depuis lu main jusqu’au coude, la main ô
tre commandement. « La longueur de l’opération nous avait rompu les bras , peut-être aussi l’influence du dégagement magnét
e la table. Si enfin la main ne quitte pas la table, il faudra que le bras résiste à ce mouvement de recul, de manière à l’a
ce mouvement de recul, de manière à l’annihiler, c’est-à-dire que le bras devra faire tout juste l’effort nécessaire en gra
gues employées par certains mystiques (la station très-prolongée, les bras en croix pendant qu’on répète continuellement une
un de ses membres une note écrite : « Faire lever le pied droit ou le bras , » lorsque les mains des opérateurs sont appliqué
ateur désigné, mais non suivis de l’effet demandé, le sujet lance ses bras autour du cou de l’individu, et l’embrasse viveme
nvulsifs dans les membres inférieurs, et le gonflement des veines des bras et des mains. L’action avait été si forte, quoiqu
tre attribuée à l’imagination, que nous avons cité l’expérience ; les bras , auxquels on n’avait pas touché, ôtaient tout ecc
ues. Lorsque nous voyons, me disais-je, un sujet magnétisé lever le bras parce que nous voulons qu’il lève le bras, saus q
un sujet magnétisé lever le bras parce que nous voulons qu’il lève le bras , saus que nous fassions aucun mouvement corporel
Pénétrés d’une foi vive et sincère, ils offraient spontanément leurs bras et leur génie pour l’édification d'un temple en l
les changements, succombant à la peine, un jour elle nous ouvrira les bras . « En avant ! chers collègues, compagnons de no
« Tu peux, au gré do ton vouloir, Détruire ou créer la sottise; Ton bras étend ou paralyse Les facultés et le savoir; Pa
ces sont très-mul-tipliées dans ce pays, et frappent dessus à tour de bras , tandis que l’un d’eux s’égosille à chanter des r
ses à terre, on en voit s’élancer une, elle regarde le ciel, lève les bras vers les étoiles (les danses ont toujours lieu la
vestes ; d’autres se joignent bientôt aux premiers, ils se donnent le bras et forment une longue ligne ; puis, peu à peu, il
eusement son protecteur de lui toucher la main. Un instant après, son bras et sa main étaient dans un état de catalepsie com
dé ce qui se passait à la table, et il répondit : « M. Charavet a son bras droit roidi. — Restera-t-il longtemps daus cet
sourire. Les deux minutes étant écoulées, M. Charavet, sentant son bras dégagé, se leva, abandonna le guéridon du côté op
qu’à la troisième ou à la quatrième réponse, cet enfant se sent le bras saisi si violemment, qu’il en est fatigué ; son b
nfant se sent le bras saisi si violemment, qu’il en est fatigué ; son bras tremble et sa vue devient trouble. Alors je le dé
onse le nom de son père, qui, lui touchant la main,lui roi-it tout le bras . Après il obtint les réponses par écrit. Je pou
cher voluptueusement sur les épaulesdu magnétiseur et l’enlace de ses bras , sans se souvenir de Massimo. Mais voilà qu’un lé
’une manière physiologique. Lorsque nous agissons vigoureusement, nos bras frémissent par ondées et comme l’aile du tiercele
e, la France et l’Angleterre marcher au progrès en donnant chacune un bras à l’Allemagne. Si Mesmer n’eût considéré que les
ures somnambuliques sont très-rares; tandis que partout vous avez des bras , des jambes sensibles aux convulsions, des intest
si nous songeons à la valse, que voyons-nous ? Un jeune homme dont le bras entoure une taille qui égale en souplesse la vior
nt, cette fois, le spectre, s’approchant de plus près et étendant son bras osseux jusque sous le chevet où était placée la m
qu’une étreinte puissante me réveilla tout à o coup. J’étais dans les bras d’un dragon autrichien, espèce « de colosse qui m
s endroits sensibles; ils lui ont enfoncé une longue aiguille dans le bras , la peau étant soulevée pour qu’elle n’attaquât p
dans lo tissu d.’S paupières, » la région moyenne et antérieure du bras gauchi-. Les plaques ne devaient être appliquées
ette nouvelle région déterminerait, pendant la nuit, le gonflement du bras , et ferait former un petit abcès. En effet, le le
effet, le lendemain matin, après une nuit de fièvre et d’insomnie, le bras était gonflé, et un point «le suppuration apparai
pond pas ; je la pince, elle ne donne aucun signe de sensibilité. Les bras élevés retombent sur le lit, si on les laisse liv
érament nerveux ou à son état de nourrice; je pratique une saignée du bras de /iOO grammes; la saignée finie, cette femme se
on, car ma malade était immobile ; j’avais beau la pincer, remuer ses bras , elle gardait toujours la même position. Elle éta
n’était pas eux qui la faisaient mouvoir, et pourtant ç’eût été leurs bras , dont les mouvements étaient automatiques à la pe
te qu’un des membres de la chaîne établie autour d’un guéridon eut le bras en catalepsie en tendant la main vers la main de
ivant les réponses aux demandes qu’il trace sur le papier, se sent le bras saisi si violemment qu’il en est fatigué. Le môme
de vingt-cinq centimètres de longueur (lesbranches). L’opérateur, les bras verticaux et les coudes au corps, sans raideur, d
est en (rance, elle a l'habitude d’écrire ses communications sur ses bras avec le bout d’un doigt, d’abord sur le bras gauc
s communications sur ses bras avec le bout d’un doigt, d’abord sur le bras gauche avec l’index de la main droite, et ensuite
sur le bras gauche avec l’index de la main droite, et ensuite sur le bras droit avec l’index de la main gauche. L’écriture
rive d’écrire des communications qui couvrent toute la surface de ses bras , depuis les poignets jusqu’aux épaules ; ça forme
épaules ; ça forme deux ou trois lignes, qui souvent commencent à un bras et finissent à 1 autre. Rationalistes, sceptiques
sent échapper une salive filante. Deux personnes la prennent sous les bras ; elle fait quelques pas, mais bientôt elle pouss
frappe la semelle sur son genou; sa bouche mouille les doigts, et ses bras s’étendent pour serrer les (ils cirés. Marie es
lsion, son poing vient frapper par intervalles son genou, et ses deux bras s’allongent régulièrement; elle semble craindre q
n Dieu ! mon Dieu ! dit-elle, je suis en retard !... » quand ses deux bras ne sont pas arrivés avec autant de promptitude et
pardonnable. Dès son enfance, la dure pauvreté l'avait saisi dans ses bras , comme la statue du ty ran de Sparte. 11 n’avait
avités de mon cœur. Je ne sens plus rien ni de mon cerveau, ni de mes bras , ni de mes jambes ; mais je vois des choses ineff
ant ces deux métaux dans une seule main, elle sentait monter dans ses bras des ondulations galvaniques, qui de là parcouraie
es, le cou, le dos et les côtes, soit du front aux mains par les deux bras , ou aux genoux par le corps. —11 ne fallait ni lu
ifieraient au besoin le fait. Un fantôme de femme, portant dans ses bras un enfant, se montra à Al'"' II... plusieurs fois
des meilleurs médecins d'Angleterre. Il arriva que les muscles de mes bras furent mis en mouvement, sans £>jcunc \ olonté
ne pouvait venir à bout de la retrouver, l’esprit mit en mouvement le bras de Mm* S..., dont le doigt se porta dans la direc
ures ont été imposées à leurs corps ; leurs têtes, leurs pieds, leurs bras , leurs bouches sont devenus roides et immobiles.
tantôt. Sur le moi qui vous parle a de grands avantages: Il a le bras Tort, le cœur haut : J’en al reçu des témoignag
place pour personne entre le mur et vous. » « J allongeai un peu le bras ; en effet,;je sentis de la « pierre. Cependant l’
riences ; surtout une de ces jeunes fdles, qu’il empêcha de remuer le bras pendant plus d’une heure, en le rendant complètem
rdère, agréé au Tribunal de commerce de Rouen, avait une paralysie du bras et de la jambe ; il en fut guéri promptement. U
ment. Un malade de l’hôpital de Liverpool, complètement paralysé du bras droit, fut guéri en deux magnétisations devant le
90 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
é- rieure du tronc dans la région mammaire et à la face interne des bras ; leur bord externe est par contre hyperesthési
mouvements aux doigts et d'étendre bien qu'imparfaitement l'avant- bras sur le bras. Il existe à l'avant-bras et à la mai
aux doigts et d'étendre bien qu'imparfaitement l'avant- bras sur le bras . Il existe à l'avant-bras et à la main un peu de
s en partie affaiblis. Le réflexe de flexion de l'avant-bras sur le bras est très faible, surtout à droite où il semble
s basse sont nettement exagérés ; le réflexe d'extension de l'avant bras est très vif, on le provoque non seulement par
ssus de la ligne mamelonnaire. En excitant la face interne des deux bras et la région thoracique correspondant aux 2e et 3
garde une attitude quelconque et remue normalement, à l'inverse du bras droit dont les mouvements sont assez limi- tés.
l'extrémité postérieure du globus pallidus, mais respecte toutefois. bras pos- DES LOCALISATIONS DE L'APHASIE 25 térieu
nt été observés par Bergeron, ces secousses se sont généralisées au bras et à la jambe gauches. Henoch a minutieusement
ecousses musculaires siégeaient sur divers segments : tête, jambes, bras , etc. La maladie était extrêmement opiniâtre. I
arriére : les épaules s'élèvent et s'abaissent brusquement, puis les bras se rapprochent et s'écartent du tronc. Les seco
ments peuvent être localisés à la tèle (PI. XVII, fig. C et D), aux bras et à la jambe droite ou plus généralisés au tronc
te, avec extension du tronc et des membres supérieurs, notamment du bras droit. La durée de ces mouvements est plus long
t, c'est le soulèvement des épaules compliqué ou non de flexion des bras . Le diaphragme et les muscles de la phonation s
as un siège fixe. Ou elles paraissent aux membres inférieurs, ou au bras , spécialement au bras droit, ou sont localisées
lles paraissent aux membres inférieurs, ou au bras, spécialement au bras droit, ou sont localisées au tronc et aux épaul
qui déterminent les mouvements d'élévation de l'épaule droite et du bras du même côté, qui est levé en extension au-dessus
t en arrière de la tête, la flexion du tronc et le soulè- vement du bras gauche, les contractions des muscles de la face,
ras gauche, les contractions des muscles de la face, la flexion des bras , etc., sont des formes diverses des contractions
les secousses ne sont ni si fortes ni si fréquentes. Elle place les bras en arrière et se cramponne avec les mains au fo
entre la première et la seconde photographie,a fait la flexion des bras , le soulèvement des épaules, la projection de l
ns groupes musculaires, par exemple, les muscles des épaules et des bras ; mais la symétrie n'existe pas dans les muscles
eux, les péroniaux, les extenseurs des doigts et les adducteurs. Du bras : le deltoïde, le biceps, le brachial antérieur
abord par l'énorme réduction en longueur de tous les mem- bres. Les bras pendant le long des flancs ne parviennent pas à d
qu'avec un développement normal du thorax, la grande ouverture des bras est infé- rieure de 6 centimètres à la hauteur,
membre lui-même exprimés en centièmes de stature, on trouve pour le bras 15.5 au lieu de 19.5, pour l'avant-bras 13.2 au
, de sorte que l'index radio-huméral est supérieur au normal. Les bras sont un peu écartés du tronc. Les avant-bras incl
uteur totale du corps), et la micromélie (la grande ouver- ture des bras est à la hauteur ce que 95,5 est à 100), les memb
ouve pour le membre supérieur entiér 40. 8 au lieu de .45 ; pour le bras 14.8 au lieu de 19.5, pour l'avant-bras 4 ? au
rieure à l'extrémité interne de la clavicule : 75 millimètres. Le bras de l'acromion à l'épi trochée ; 18 centimètres. L
XXIX ACHONDROPLASIE (C. Parhon el A. Schlmda). Radiographie du bras et de la jimbe. (Obs. II) NOUVELLE CONTRIBUTION
auche étant un peu plus court que le droit (excepté les doigts). Le bras droit : 19 centimètres. L'avant-bras droit : 22 c
t-bras droit : 22 centimètres. La main droite : 10 centimètres Le bras gauche : 17 centimètres. L'avant-bras gauche : 17
, excepté une certaine diminution de l'amplitude de l'adduction des bras ainsi que de l'extension et de la supination de
e crête sur la ligne médiane. Micromélie surtout rhizomélique, le bras : 20 centimètres, le fémur : 35 cen- timètres.
peine le grand trochanter. L'avant-bras n'est pas plus court que le bras . If ne peut être complètement étendu sur ce derni
s il perdit graduellement la motilité des jambes, ensuite celle des bras , de sorte qu'il restait complètement paraplé- g
nction lombaire, l'en- fant réussit à faire des mouvements avec les bras , plus étendus avec le droit qu'avec le gauche e
beaucoup d'exer- cices de gymnastique. Jamais il n'a observé qu'un bras fût plus faible que l'autre. NOUVELLE Iconogr
seulement de la partie antérieure, mais aussi du dos, le contour du bras droit apparaît plus bas que celui de gauche. Les
e. Ce phénomène est plus visible, quand le sujet fléchit les avant- bras en leur faisant exécuter une rotation interne, et
maintenant réci- proquement. 22H HNATEK Quand le sujet lève les bras , nous constatons que la musculature de la proxi-
deux côtés. Les réflexes radiaux de flexion de l'avant-bras sur le bras , et d'extension en masse de la main sur l'avant-b
eux côtés, le seuil apparent de l'excitation pour le nerf radial au bras , le court extenseur et le long abduc- teur du p
éminences thenar et hypothénar. De même, les muscles du tronc, des bras et des membres inférieurs, les nerfs sciatiques p
ta- tation que la main ni le poignet n'ont rien. Avant-bras, coude, bras , égale- ment normaux. Mais en recherchant les m
ire légèrement bombé dans sa partie la plus externe. L'élévation du bras , possible jusqu'à l'horizontale, est impossible a
s est limitée. Par le palper de l'épaule joint à la mobilisation du bras , on sent une crépitation sourde. La tête de l'h
altération plus profonde en- core : la libre et facile abduction du bras , donnée par l'épaule, est essen- tielle pour l'
e coude mis en jeu dans toute la durée de l'écriture, a besoin d'un bras solidement fixé par les muscles scapulaires. De
t sur le segment distal 1 (avant-bras, jambe). Le segment proximal ( bras , cuisse) est sensiblement ATOUVELIE ICONOGRAPHI
edow, après quoi ceux de sclérodermie progressent et s'étendent aux bras , à la poitrine et au visage. Au moment de la pr
sé. Depuis quelque temps presque simultanément sont apparus, sur le bras et l'avant-bras de chaque côté, des boutons gro
entimètres de hauteur. Les deux seins sont petits, atrophiques. Aux bras on aperçoit une série de plaques disposées sur la
s. J'avais de l'eau ou du lait, je ne sais pas, là (elle montre son bras ), et au pied. C'est tout. Mon mari avait voulu
tho- FiG. 1. - Le malade danse, saute sur la pointe des pieds ; les bras sont toujours fléchis et agités de haut en bas.
ue gauches. Mais la malade se plaint d'avoir moins de force dans le bras et la jambe du côté droit, elle sent sa jambe d
st jamais fait mal. Il n'y a aucun trouble moteur portant sur les bras ou les jambes. La parole est bien conservée. Al
pigmentées au niveau des muqueuses. Disséminées sur le thorax, les bras et les membres inférieurs, on remarque des lésion
as très atro- phiés, le malade pouvant faire encore l'abduction des bras et les maintenir en position presque horizontal
La motilité de l'articulation du coude est intacte. L'élévation des bras n'est possible que jusqu'à la posi- tion horizo
vements de l'articulation du poignet et du coude. Il peut relever les bras , jusqu'à la position verticale. Aux membres i
91 (1891) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1890
'aide des barres parallèles, à marcher, soit en les tenant sous les bras , soit à l'aide du chariot. On fortifie leurs me
table scolaire est munie d'un banc de deux places, séparées par des bras en fer, et percé de deux trous au-dessous desqu
et à des mouvements spasmodiques de la Antécédents. 5 tète et des bras ; il fait des grimaces avec le nez qu'il tord, s
le que le gauche et que le malade avait cle la peine a se servir du bras droit. Les accès augmentèrent progressivement d
ntent pas de déformations morphologiques. R... se sert également du bras droit et du bras gauche ; mais la force dynamom
rmations morphologiques. R... se sert également du bras droit et du bras gauche ; mais la force dynamométrique est très
ge d'un certain degré de contracture prédominant du côté droit. Les bras sont habituellement rapprochés du tronc les ava
s n'étaitpas comme les autres enfants, qu'il se servaitmal de ses bras . La marche survint tardivement, à 4 ans; le mal
ipe aussi par- fois à ces mouvements. De temps à autre il élève les bras en renversant les mains en arrière et en imprim
e. 57 ments successifs de supination et de pronation à ses avant- bras . Ses membres inférieurs restent par contre immobi
complet à l'entrée; voracité; tics : balancement; mouve- ments des bras . Onanisme. Accès de colère. Rougeole. enl881. -
tronc d'avant en arrière; habitude d'allonger et de retourner ses bras . Accès de cris, sans cyanose, dit sa mère : c'é
rares papules sur les fesses les cuisses, le sternum, le ventre, le bras gauche (face interne) et 2 papules à la racine de
ut môme pas se tenir assis sur son lit. Il se sert très bien de ses bras . Le foie déborde un peu les fausses côtes et le
ou, il se débat en poussant un cri, les yeux tournés à gauche ; les bras et les jambes se touchent presque ; l'écume sor
cher, fait une vingtaine de fois le tour de la salle en agitant les bras et en répétant : oh ! Il n'urine jamais sous lu
devenus hagards, puis au dire de son voisin, il est tombé dans ses bras sans connaissance, sans pousser de cri. Cette per
hystérique du côté gauche. Attaque apoplectiforme : Contracture des bras gauche. Déformation du pouce gau- che consécuti
ident. A son réveil, il s'aperçut qu'il ne pouvait se servir de son bras ni de sa jambe gauches. Le bras, d'après l'atti
t qu'il ne pouvait se servir de son bras ni de sa jambe gauches. Le bras , d'après l'attitude que reproduit le malade, ét
omure, les bains sulfureux. Au bout de neuf mois, les mouvements du bras revinrent, mais le malade mar- chait encore en
très espacées. Puis il s'aperçut que les forces diminuaient dans le bras gauche et que l'insensibilité s'établissait : i
ère l'oreille gauche. Au bout d'une heure il s'est réveillé avec le bras gauche contracture dans la demi- flexion. La co
es, il reprend très vite connaissance; mais après ces attaques le bras gauche et surtout la main sont contractures dans
on du genou, les jambes étendues ; les mouve- ments d'extension des bras , le corps on extension. Février ? Parfois volon
vre supérieure. Duvet noir assez abondant à la face postérieure des bras . Organes génitaux. La verge est asez développée
respiration sifflante; il marchait à grandes enjambées, agitait les bras , la tèle penchée en avant. Ceqendant il est res
end sur ler, fesses. Il est plus abondant à gauche qu'à droite. Les bras et les avant-bras sur leurs faces externes et p
mbres supérieurs. Paralysie du côté droit. Attitude particulière du bras qui est écarté du tronc en formant un angle dro
du tronc en formant un angle droit. L'avant-bras est fléchi sur le bras et la contrac- ture ne permet pas l'extension d
n sont comme boursoul1és. Aucune modification du système pileux. Le bras paralyse parait au toucher plus froid que son c
e. L'abdomen était protubérant ; les jambes arquées et tordues. Les bras , mesuraient 35 cent. de l'acromion à l'extré- m
tuelle. C... aide un peu à s'habiller ; clic n'est pas libre de ses bras dit-on. Tout ce qu'elle fait, elle l'exécute av
22J) Idiotie polysarcique. 4- . . ' z Membres. Circonférence du bras au niveau des ais- , IDZOTtI : POLl SIItGIQUP.
92 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s'en va; elle est malade de partout, elle a mal dans les reins, ses bras sont meurtris. Elle a DU DÉDOUBLEMENT DE LA PER
oigts à une ligne circulaire située à la partie moyenne de l'avant- bras . La sensibilité à la piqûre et au contact, la sen
ent plus spécialement sur la tête et les membres supérieurs; -, les bras se rapprochent du tronc, les avant-bras se fléchi
s mains ne sont plus froides ni cyanosées. Le dos, l'abdomen, les bras , les jambes sont toujours insensibles pour fous l
de est devenu sensible à la température (fig. 7). Le membre gauche ( bras , avant-bras et main) est insensible pour tous l
il, épaule ; perte complète de tous les modes de la sensibilité; 2° bras , coude, avant-bras : la sensibilité à la températ
Les épaules étaient également soulevées et projetées en avant, les bras se rappro- chaient du tronc. Dans les cuisses,
ême les épaules sont soulevées et projetées en avant tandis que les bras se rappro- chent du tronc. Elles se répètent en
ée du 20 août 1882 au 8 mai 1883. Hémia- trophie gauche, surtout du bras , qui était complètement paralysé, avec une légè
ntracture. La sensibilité tactile des extrémités du côté gauche, du bras surtout, était également diminuée. L'accès débu
presque en même temps survenaient des convulsions cloniques sur le bras gauche tout entier. Puis l'accès se propageait
ête de 3 mètres de haut, mais en se préservant le chef à l'aide des bras ; l'épaule droite porta. C'est à la suite de cet
e sensibilité à la percussion, de l'uniformité de la parésie sur le bras , la jambe et le facial inférieur. On trouve à l
haut : hémiparésie droite; ataxie des mouvements de la jambe et du bras droits ; démarche SOCIÉTÉS SAVANTES. J3U chan
ingulière. Pourquoi cette forme de languette sur le bord interne du bras et de l'avant-bras ? Ce n'est pas ainsi, en gén
bien ! une même lésion peut expliquer tous les phénomènes que le bras du malade nous a présentés. Admettez que cette
he et abaissement de la paupière droite. Con- vulsions cloniques du bras gauche et de la jambe gauche, avec impossibilit
, etc. Le 10 juillet, éruption de zona le longde la face interne du bras , de l'avant-bras et de la main gauche (distribu
ur siège la face, le tronc et les membres, très étendues surtout au bras gauche. En dernier lieu, anomalies de la sudati
ladie comprend trois stades dans l'espèce : 1° paralysie de tout le bras gauche, brusque, avec douleurs violentes princi
brusque, avec douleurs violentes principalement dans l'épaule et le bras . Durée : huit jours; 2°retour graduel de la mot
éger délire, oedème de la face, de la région de l'épaule gauche, du bras de ce côté et des deux jambes. Il ne lui est po
'anomalie apparaît des plus nettes quand on ; fait étendre les deux bras en avant à hauteur des épaules. On voit alors q
Dollat, essaya de se donner la mort en se coupant les veines des bras avec un canif, dans les lieux d'aisance, où il s'
, dit-elle, de congestion cérébrale, suivie de parésie passagère du bras et de la langue pendant laquelle on s'aperçut du
ervations du même genre : Où suis-je » et aus- sitôt : c Où est mon bras »,cela veut dire que son bras lui paraissait ab
uis-je » et aus- sitôt : c Où est mon bras »,cela veut dire que son bras lui paraissait absent, séparé du corps, n'exist
ri ; absence des réflexes ; 2° mou- vement : Tous les mouvemeuts du bras , de l'avant-bras et de Fig. 30. Fig. 31. pa
de l'anesthésie : Main, avant-bras totalement insensibles ; sur le bras l'anesthésie dessine une languette partant du p
abord aucune diminution de la sensibi- lité de la partie interne du bras , mais avec plus d'attention on trouvait dans la
ette de peau non anesthésiée, de l'autre parce que les muscles du bras qui prennent part à ces mouvements sont recouvert
se. Il y a anesthésie de. la moitié postérieure droite du tronc, du bras droit et du membre inférieur droit. La sensibil
abdomen jusqu'à une ligne horizontale passant par l'ombilic; sur le bras et les doigts où il sent cependant lorsqu'il es
ation. Repos. Il se met ensuite à genoux les paupières fermées, les bras allongés le long du tronc, qui est penché en av
e- ment de dents; agitation de tout le corps, le malade remue les bras et les jambes, le tronc restant immobile. Cette a
médiatement. Elles exis- tent seulement dans les jambes et dans les bras et pas dans le tronc. Au début de chaque accès
elle crise. La tête se soulève un peu, le corps devient rigide, les bras en extension se rapprochent de la ligne médiane,
. Il pleure et se plaint de souffrir des lombes, des cuisses et des bras . 15 septembre. - On lui avait suggéré hier en é
és de la face, mais d'une façon plus marquée à gauche au tronc, aux bras et aux membres inférieurs. La sensibilité à la
ie d'une courte résolution. Puis fré- missements des paupières; les bras s'étendent en croix, les poings fermés, le pouc
noux tout à coup en fermant les yeux et exécute avec sa tête et ses bras le mouvement du morceau joué. La face est pâle,
à l'infirmerie, les yeux toujours fermés, en le soutenant sous les bras pour mar- cher. Jusqu'à 3 h. et demie il reste
l'après-midi, étant en classe, il tombe brusquement sur le dos les bras croisés sur la poitrine. Ses yeux se ferment, s
r le dos les bras croisés sur la poitrine. Ses yeux se ferment, ses bras s'étendent en croix, les poings fermés. Frémissc-
de petits frémissements. Il se retourne et tombe sur le ventre, les bras en croix, les jambes écartées.- Secousses dans to
les yeux, la poitrine et les épaules. Il se met debout, s'élire les bras et s'habille, mais gauchement, auto- matiquemen
s secondes il s'est retourné sur le ventre, les jambes étendues, le bras droit levé. Il se retourne ensuite sur le côté
côté droit, la jambe droite allongée, la gauche un peu écartée ; le bras droit élevé, le gauche allongé en bas, la tête da
encore sur le ventre, les jambes allongées l'une contre l'autre; le bras gauche allongé le long du tronc, le bras droit
s l'une contre l'autre; le bras gauche allongé le long du tronc, le bras droit perpendiculaire. Il se retourne brusqueme
e nouveau sur le dos, les jambes allongées, rigides, écartées ; les bras en croix, rigides, les mains fermées, les pouce
es et demie, après son dîner, nouvelle attaque. Il bat l'air de ses bras , el reste 20 secondes debout, les yeux fer- més
minute, puis se tourne sur le côté droit les jambes écartées et les bras en croix. Il se frappe la poitrine avec violence
rtout de la gauche. De plus il a quelquefois des secousses des deux bras et même de tout le tronc, qui ont beaucoup dimi
asmodiques, tels que contractures et convulsions cloniques dans les bras et les jambes, surtout à droite, dans la langue
93 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
et L. MÉDIUMNITÉ DÉLIRANTE. 21 1 « C'est Cam... et Deus dans les bras l'un de l'autre priant Dieu le « Père de bénir
dignes de peupler les « cieux. Deus semble prendre Cam... dans les bras sans la toucher « pour ne pas froisser son âme
subitement de convulsions intermit- tentes limitées aux jambes, aux bras et à l'abdomen, et qui d'abord bilatérales devi
xus bra- chial droit. Elle s'accompagnait d'atrophie des muscles du bras et de l'épaule avec réaction de dégénérescence,
n et de l'avant-bras et d'un petit territoire de la face externe du bras ; la sensibilité était conservée à l'épaule et d
; la sensibilité était conservée à l'épaule et dans presque tout le bras , les troubles sensitifs n'étaient pas superposa
hypothèse, l'innervation sensitive de l'épaule et d'une partie du bras , prendrait son origine plus haut dans la moelle q
encore la participation du groupe radi- culaire supérieur aux deux bras . Ces paralysies s'accompagnent d'amyotrophie et
s douloureuse, les mouvements sont redevenus normaux à l'épaule, au bras et à l'avant-bras, ce n'est qu'à la main que l'
rès complète portant sur la main et les muscles de l'avant-bras; le bras et la ceinture scapulaire sont, au con- traire,
ments font absolument défaut. Les mouvements de l'avant-bras sur le bras sont possibles, mais la force musculaire est in
ôté gauche et le côté droit,une différence de 3 centimètres 1/2. Au bras la différence est moins accusée, elle n'est que
cubital et du médian, que l'on peut sentir dans toute la hauteur du bras ; vous sentirez aisément aussi plusieurs des fil
iste que dans le domaine antibrachial et fait défaut au niveau du bras . Enfin, les réactions électriques des nerfs muscu
maintenant aucune sensation douloureuse, mais, comme au niveau du bras , elle révèle l'augmentation de volume et l'aspe
uvelles 110 CLINIQUE NERVEUSE. plaques apparaissent au niveau des bras puis sur la joue gauche. Les médecins consultés
e nouvelles plaques violacées, siégeant aux membres inférieurs, aux bras et à la joue gauche font leur apparition, mais
rs symptômes intéressants. C'étaient : à la face antéro- interne du bras droit, une large macule brunâtre que nous ll .
02.) . Si l'on frappe un endroit précis de l'omoplate tandis que le bras pend librement et naturellement le long du tron
produit par la percussion des parties postérieures du deltoide : le bras s'éloigne du tronc ou s'élève. , William Picket
rs accidents nerveux : amyo- trophie des mains, de l'avant-bras, du bras et du quadriceps fémoral gauche, anesthésie cut
et du quadriceps fémoral gauche, anesthésie cutanée segmentaire du bras droit et de la jambe gauche, exagération des ré
e à la saillie de son bord spinal au repos et dans une position des bras intermédiaire aux positions horizontale et vert
, mais dans la partie supérieure du tronc des deux côtés et dans le bras droit resta la paralysie atrophique ; dans la p
ôtés, plus accentuée du côté droit ; de la paralysie' atrophique du bras droit. L'exagération de l'excitation mécanique
eu près égale, puis, en second ordre : Membres : faces internes des bras , des cuisses. Dans aucun cas nous n'avons vu le
ysionomie inerte, le regard vague, la tête légèrement inclinée, les bras ramenés le long du tronc,' les membres tantôt r
tion segmentaires répondant aux trois segments du membre supérieur, bras , avant-bras et main; chacune de ces zones est s
c'est-à-dire que cer- tains malades surestiment les poids avec leur bras parétique ou hypoesthérique, tandis que d'autre
que ou hypoesthérique, tandis que d'autres le surestiment avec leur bras sain. Même fait s'observe pour la surestimation
quelques malades surestiment et les poids. et les volumes avec le bras sain ; d'autres, idem avec le bras malade; d'autr
es poids. et les volumes avec le bras sain ; d'autres, idem avec le bras malade; d'autres encore surestiment les cubes e
tres encore surestiment les cubes et sousestiment les poids avec le bras ma- lade, etc. Ces expériences, qui demandent
toires, ainsi que de parésie faciale droite et d'engourdissement du bras droit. A la fin de la crise, somnolence. A la sui
de la parole, la parésie faciale, la sensation d'engourdissement du bras . Mais pour le scotome, l'hémianopsie, les sensa
ait, elle ne fut pas peu surprise de sentir le petit lui passer les bras autour de la taille et se pâmer. Il avait eu so
n'a plus aucune notion sur son corps, elle ne sait plus où sont ses bras et ses jam- bes, si elle est debout, assise ou
il y a hypotonicité musculaire. Si on dit à la malade de raidir un bras ou une jambe, le temps mis à l'exécution de ce
ons différentes de flexions du tronc en tous sens, de moulinets des bras et des jambes, de mou- vements continus de la l
de l'innervation des muscles antagonistes. Quand je fléchis l'avant bras sur le bras, mon biceps se tend aussi bien que
tion des muscles antagonistes. Quand je fléchis l'avant bras sur le bras , mon biceps se tend aussi bien que mon triceps;
du centre de la jambe et les lésions sous- corticales du centre du bras se traduisent par des troubles de la motilité,
se plaignait de douleurs dans les jambes avec affaiblissement du bras et de la jambe gauches. Il racontait qu'à l'âge d
n, sentiment d'engourdissement de la jambe droite avec paralysie du bras etde la jambe gauches ; pendant quatorze jours
mois une attaque apoplectique à la suite de laquelle la jambe et le bras demeurèrent paralysés du côté droit pendant des
t être simplement malade et qui en réalité venait d'être amputée du bras . La coexistence de désordres mentaux et de malf
des deux pieds, une autre fois une anesthésie à la face interne du bras et de l'avant-bras avec diminution du réflexe c
ns le troisième une hypoesthésie limitée à la face interne des deux bras et il une moi- tié des doigts et des orteils. G
sivement de force et s'étendent à la nuque, puis aux épaules et aux bras qui sont animés de mouvements violents et simul
de vomissements avec raideur de la nuque, convulsions localisées au bras et à la jambe droites, etc. On posa le diagnost
nommé Steyre, beau- frère du serrurier Stoffel. Chose horrible, les bras et les jambes du cadavre avaient été sectionnés
est quatre à cinq jours après ( ? ) que l'on constata la raideur du bras et de la jambe; le pied n'aurait jamais été tou
e le père, de trépidation avec frappe- ment du talon sur le sol; le bras ne tremblait pas. A la fin de la crise qui dura
deux ou trois secousses cloniques, à amplitude assez large, dans le bras gauche, mais aucune dans la jambe gauche. Aucun
surtout au niveau de l'extrémité. Un léger duvet le recouvre. Le bras est collé au tronc; l'avant-bras fléchi sur le br
le recouvre. Le bras est collé au tronc; l'avant-bras fléchi sur le bras angle droit, et en pronation ; la main légèreme
- vement de côté, conservant son équilibre en étendant ses avant- bras allongés. Il laissait échapper des sons spasmodiq
our écrire, à ce trouble s'ajoute de la gêne dans les mouvements du bras , puis une altitude vicieuse du membre qui reste
la main gauche, les doigts, une longue bande sur toute l'étendue du bras et de l'avant-bras et le sein sont atteints de
illard met la tête dehors, se lève, et s'appuyant de la main sur le bras de ce digne homme, il pose le pied sur le marchep
constitués gardes du corps de Ferrer travaillaient des épaules, des bras et de la voix à maintenir la place vide, en prian
94 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s de janvier 1881, la motilité a commencé à se trou- bler. C'est le bras droit qui s'est pris le premier, et c'est seu-
ment d'une attaque : il rejette brusquement son cahier et agite les bras en tous sens en repoussant les objets qu'il ren
te, l'attitude reste la même et les mouvements de circumduction des bras continuent avec prédomi- nance du côté gauche.
s membres infé- rieurs se maintiennent en extension, tandis que les bras prennent l'attitude du crucifiement avec les po
du 1 janvier, accompagné de grands mouvements de circumduction des bras et des jambes et qui se termine de même. 23 jan
squ'à ce que le corps tombe immobile et se fixe en contraction. Les bras se mettent en croix; les jambes sont en extensi
ion, d'une nouvelle crise. Elle débute par de grands mouvements des bras et des jambes; l'enfant tombe. Les convulsions
e cercle qui dure à peine une seconde. Le tronc retombe à plat, les bras se portent aussitôt dans l'attitude du crucifie
face rougit peu à peu, à mesure que la respiration se suspend. Les bras s'étendent roides, un peu soulel és au-dessus d
nt-bras, du biceps, du sterno-cléido-mastoïdien, etc.). On élève le bras gauche et en même temps on entraîne la paupière d
profonds soupirs. A une seule reprise, contact de l'eau froide sur bras y produit également des spasmes musculaires.
précédentes. Les paupières étant fermées, on étend ou on élève les bras , et ceux-ci conservent pendant un temps assez lon
es talons sontgraduellement descendus jusqu'h terre. On a élevé les bras en même temps que les jambes, et on les a égaleme
estoit tombée à terre sur son doz toute de son long, ayant les deux bras estendus en croix » (p. 25-30). REVUE CRITIQUE
six mois. Rien de semblable à droite ; il ne s'est jamais servi du bras droit pendant près d'un an. A partir de là, il
s cri initial, la malade inclinait le tête vers l'épaule gauche; le bras du même côté puis la jambe étaient, peu après, pr
rticulation des sons. » Cet état dura tel quel jusqu'à la mort; les bras regagnaient quelque peu de leur force. État int
la suite d'un accès de colère, embarras de la pa- role, parésie du bras et de la jambe gauche, sans perle de con- naiss
ssance qui dure trois heures, puis paralysie du côté gauche (jambe, bras et face). Pendant trois mois, elle ne peut parl
Etat actuel. - Mouvements de la jambe intacts. Affaiblisse ment du bras droit et de la jambe gauche. Le bras gauche est-
e intacts. Affaiblisse ment du bras droit et de la jambe gauche. Le bras gauche est- rigidedans l'extension comme dans l
ole. Trois semaines plus tard, le ma- lade pouvait se servir de son bras droit et s'exprimer sans dif- ficulté. Cependan
qui dure une demi-heure, engourdissement dans la main droite et le bras pendant six heures. Au bout de trois jours, le
s muscles étrangers à la prononciation, des muscles de la face, des bras et même des jambes, et coïncide fréquemment ave
le malade, qui avait alors dix-sept ans et demi, ressentit dans le bras gauche de l'engourdissement et des fourmillemen
, le membre infé- rieur gauche avait recouvré son activité. Mais au bras les s troubles de la sensibilité et la parésie
de 1.1 langue. 197 muscles de l'épaule, le mouvement d'élévation du bras est im- possible. Les masses musculaires de l'a
s une remarque. Les lé- sions des extrémités articulaires des os du bras et de l'avant-bras, et celles des jointures de
nsistaient en douleurs fulgurantes dans les jambes et au niveau des bras , surtout dans la sphère du nerf cubital et au p
nférieurs; elle ne peut continuer de mar- cher sans le secours d'un bras . Au bout de huit jours, la faiblesse se dissipe
rvés, mais un peu affaiblis. Lorsque la malade est soutenue sous un bras , et qu'elle s'ap- puie de l'autre main sur une
tendu se plaindre à haute voix et l'a u n agiter convulsivement les bras et les jambes. Les convulsions pas- sées, Fauv.
oubles somatiques (hémiplégie faciale incom- plète et anesthésie du bras droit). Le traitement spécifique eut rai- son d
ralysée incomplè- tement. Pupilles sensibles. Paralysie complète du bras et de la jambe. L'articulation des mots est trè
muscles atteints. 302 PATHOLOGIE NERVEUSE. Paralysie légère du bras gauche, qui peut encore faire quelques mouvemen
augmentée que diminuée. En somme, hémiplégie gauche, intéressant le bras , la jambe et le facial inférieur du Inème côté,
ier, on remarque que la paralysie s'accentue davantage à gauche. Le bras est devenu complètement paralysé ainsi que la j
ons, ni contractures. La piqûre de l'épingle n'est pas sentie ni au bras , ni à la jambe. Peu à peu le coma s'établit, la
ois, cet homme a été frappé d'hémiplégie droite, ayant intéressé le bras , la jambe et la moitié inférieure de la face. A
eux conservés ; sensibilité diminuée. Du côté droit, contracture du bras en flexion et légère griffe de la main; contrac
érieur, blépharoptose gauche, convulsions cloniques légères dans le bras droit, absence de réflexes cutanés et tendineux.
u cerveau. P. K. XXV. Deux cas de la FORME DE paralysie combinée DU bras ET DE l'épaule, DE EAB; par Oswald VIERORDT. (N
convulsions épileptiformes et phénomènes parétiques consécutifs du bras droit et de la branche buccale du facial du mêm
angle droit de la main sur le REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 3 il bras avec déviation vers le bord radial. Le métacarpe
utre courant. Il y avait aussi une diminution de volume en masse du bras droit, mais l'auteur n'ayant constaté ni lésion
l'acte de se baisser, ou au contraire l'élévation de la tête et des bras , attitude nécessitée par les travaux des tapiss
ociété médico-psychologique ne peut que se féliciter. Elle a reçu à bras ouverts des hommes jeunes, laborieux, qui lui a
chez les choréiques (des), par Ollive, 276. Paralysie combinée du bras et de l'épaule, par Vierordt, 333. Paralysie
95 (1884) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1883
e permet, et seulement durant 6 mois, ces derniers sont descendus à bras dans la cour de la petite école ou dans la cour
de jeter les oreillers par terre; il veut aussi avoir toujours les bras nus, et il retrousse continuellement ses 48 DU
ans. A sept semaines, on a remarqué des petites secousses dans les bras avec des crispations dans les mains et des mouv
te visible. Onanisme fréquent : on était obligé de lui attacher les bras . Il a commencé à ruminer à dix mois, après avoi
nt, il pousse un cri, penche le dos en arrière, tend la tête et les bras en avant; les pieds et les mains sont dans l'exte
six mois. Rien de semblable à droite ; il ne s'est jamais servi du bras droit pendant près d'un an. A partir de là, il
ment d'une attaque : il rejette brusquement son cahier et agite les bras en tous sens en repoussant les objets qu'il ren
te, l'attitude reste la même et les mouvements de circumduction des bras continuent avec prédomi- nance du côté gauche.
s membres infé- rieurs se maintiennent en extension, tandis que les bras prennent l'attitude du crucifiement avec les po
du 1 janvier, accompagné de grands mouvements de circumduction des bras et des jambes et qui se termine de même. 23 jan
squ'à ce que le corps tombe immobile et se fixe en contraction. Les bras se mettent en croix; les jambes sont en extensi
ion, d'une nouvelle crise. Elle débute par de grands mouvements des bras et des jambes; l'enfant tombe. Les convulsions
e cercle qui dure à peine une seconde. Le tronc retombe à plat, les bras se portent aussitôt dans l'attitude du crucifie
face rougit peu à peu, à mesure que la respiration se suspend. Les bras s'étendent roides, un peu soulevés au-dessus du
nt-bras, du biceps, du sterno-cléido-mastoïdien, etc.). On élève le bras gauche et en même temps on écarte les paupières d
ant fermées, on étend ou on élève les de L'IIYST);RO-PILEPSIE. 97 bras , et ceux-ci conservent pendant un assez long temp
es talons sont graduellement descendusjusqu'à terre. On a élevé les bras en même temps que les jambes, et on les a égaleme
estoit tombée à terre sur son doz toute de son long, ayant les deux bras es tendus en croix » (p. 25-30). 102 de L'EYSTÉ
ais n'aurait pas eu de convulsions. Dans le cours de la maladie, le bras gauche perdit la sensibilité et le mouvement; le
is, au bout d'un mois, il marchait bien et pouvait se servir de son bras gauche. La parole était plus' lente qu'avant la
nes pulvérulentes ; lèvres sèches, couvertes de fuliginosités. Le bras droit est rapproché du tronc; l'avant-bras est en
dans les mouvements de cir- cumduction de l'épaule, l'abduction du bras , et la flexion de la jambe. Ni stertor, ni écum
peu à gauche; il n'y a pas d'exagération des réflexes rotuliens. Le bras droit soulevé retombe aussitôt, tandis que le bra
es rotuliens. Le bras droit soulevé retombe aussitôt, tandis que le bras gauche se maintient un peu. Même chose aux memb
A la suite, pendant deux mois, l'enfant a cessé de se servir de son bras et de sa jambe gau- IDIOTIE ET HYDROCÉPHALIE. 1
s à la condition que la tête soit soutenue. Aucune paralysie ni des bras , ni des jambes; le cha- touillement est perçu s
iques.)-Contracture légère des membres, qui se meuvent à peine ; le bras droit est un peu plus raide que le gauche ; la
96 (1904) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1903
barres parallèles (Fig. 2) ; à marcher, soit en les tenant sous les bras , soit à l'aide du chariot (h'ig. 3 et 4) ; on f
ns décrits (1). La fig. 9 repré- sente un de ces fauteuils dont les bras et le dos sont revêtus de coussins, avec, sur l
re. La bouche toujours entr'oüverte, la figure sans expression, les bras pendant le long du corps, cet enfant a Ventrée
reculer avec terreur. Lorsqu'on s'approchait de lui, il levait les bras instinctivement comme s'il cherchait à se garan
ibres. Ces exercices sont les suivants : mou- vements verticaux des bras en deux temps; mouve- ments latéraux des bras e
vements verticaux des bras en deux temps; mouve- ments latéraux des bras en deux temps. Les enfants au lieu de compter l
les temps d'inspiration sont accompagnés d'écartement latéral des bras et de projection alternative des membres infé-
s ; l'expiration se fait en ramenant les jambes et en abaissant les bras (1). Les mains sont tantôt libres, tantôt munie
s retirer sa main ainsi fixée. Sa position n'est pus fatigante, les bras sont en demi-fle- xion, le poignet n'est pas tr
lui dit : « S ou maman, brasse ? » ce disant, elle tend ses petits bras pour qu'on la prenne et sa joue pour être embra
rbulente au possible, il aurait fallu la tenir constamment dans ses bras pour éviter une rage. Quand on refusait de la p
de cl; indifférent avec, tout le monde. Les mouvements brusques des bras et des jambes ne lui permet- taient pas de se d
merie pour bronchite; 2 pour broncho- pneumonie; 1 pour fracture du bras ; 9 pour engelu- res; 3 pour slon2atite; 2 pour
E, membres supérieurs. On élève et on abaisse simultané- ment les bras , et afin que le maître n'ait pas à quitter sa p
ot, le guide dans l'exécution de ces mouvements. Des mouvements des bras , on passera aux mouvements de la tète et on pro
on guide d'abord sa main et on ne tarde pas à s'apercevoir que son bras est de plus en plus docile, et qu'un jour même
s accompagnées ou non de haussements des épaules, d'élévation des bras au-dessus de la tête, de la projection simultanée
ine, oeil, joue, menton, oreille, bouche, algue, dent, cou, épaule, bras , coude, poignet, main, doigt, Education DE la p
es fesses sont glabres. Poils rares sur la face pustéro-externe des bras et avant-bras. Poils rares sur la face externe
re ni au menton, niaux joues. Le tronc, en avant et en arrière, les bras , sont glabres. Aisselles glabres. Couronne de p
abondants à leur racine. Testicules du volume d'un oeuf de pigeon. Bras , avant-bras, cuisses, fin duvet.Jambes, poils c
bres supérieurs réguliers, un peu maigres. Léger duvet sur les deux bras . - Membres inférieurs. Rien à signaler concerna
ial, convulsions toniques, puis cloniques. « L'enfant projetait ses bras en avant comme s'il voulait repousser quelque c
oils, de 5 1/2 cm. sur 1/2 cm. Le reste de la poitrine, le dos, les bras , les reins, les fesses, sont glabres. Poils abo
n à l'autre. Fin duvet sur toute la face postérieure du thorax. Les bras sont glabres. Bande de poils fins de l'épigas
, glabres; petites lèvres, clitoris, hymen, normaux; périnée, anus, bras et avant-bras, cuisses et jambes, gla- bres.
Son sommeil est iourd, très irrégulier. - Elle agite souvent les bras les ramène en avant sur la figure, et se frappe e
ont molles et sans aucune force. Elle aime beaucoup à être dans les bras des infimières et à être bercée. La nuit, son s
le suis lasse, » puis elle tombe, fléchit la jambe droite, élève le bras droit ; la bouche est tirée à droite, ainsi que l
tiques, mais bien d'accès incomplets, avec mouvement d'élévation du bras et de flexion de la jambe. La marche d'un verti
est quatre à cinq jours après ( ? ) que l'on constata la raideur du bras et de la jambe; le pied n'aurait jamais été tou
le père, de trépidation avec frappe- ment du talon sur ie sol ; le bras ne tremblait pas. A la fin de la crise qui dura
deux ou trois secousses cloniques, à amplitude assez large, dans le bras gauche. mais aucune dans la jambe gauche. Aucun
surtout au niveau de l'extrémité. Un léger duvet le recouvre. Le bras est collé au tronc ; l'avant-bras fléchi sur le b
e recouvre. Le bras est collé au tronc ; l'avant-bras fléchi sur le bras à angle droit, et en pronation ; la main légère
8 lois par jour cle crises convulsives. Il commençait par raidir le bras gauche où quelques secous- ses se manifestaient
x. Pas de cicatrices autres que deux cicatrices vacci- nales sur le bras gauche. Petits ganglions cervicaux très, percep
périeur est contraclteré mais non d'une façon permanente. L'avant bras est fléchi en pronation. Le pouce fléchi clans le
97 (1903) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 18
térisé la volupté de cette femme qui, ayant peur, se réfugie dans les bras d'un homme qu'elle croit tout-puissant, parce qu'
e connue de tous ceux qui dévorent l'espace, elle posa sa main sur le bras du conducteur, et lui dit : Plus vite! » La vit
er que la région contaminée de son vêtement ne prenne contact avec le bras du fauteuil sur lequel il est assis. Souvent, c
ix mois, un dimanche après-midi, assis sur un banc, il veut remuer le bras droit pour se moucher : sa main et son bras sont
n banc, il veut remuer le bras droit pour se moucher : sa main et son bras sont complètement paralysés et insensibles. Cette
sept et huit heures : puis elle revient tous les jours, passe dans le bras gauche et enfin dans la langue. Il ne peut plus a
s gauche et enfin dans la langue. Il ne peut plus alors ni remuer les bras , ni parler, et cela survient à n'importe quelle h
dans son école. Aussitôt la paralysie reparaît non seulement dans les bras mais aussi dans les jambes : elle dure deux, quat
u'il s'agisse de paralysie intermittente, laquelle affecte un ou deux bras , une ou deux jambes, la langue, soit simultanémen
issement et, le matin, au réveil, il a une brusque paralysie des deux bras , des deux jambes et de la langue ; complètement i
e était lasse sans doute du guerrier qui avait, selon la légende, des bras aussi longs que ceux des singes; elle dut aimer l
Un autre encore, après m'avoir exprimé un chaleureux merci, tend les bras vers le ciel, puis joint les mains et reste ainsi
ien portante, elle se réveille le lendemain matin avec la jambe et le bras droits paralysés; de plus, elle ne peut plus parl
plus parler du tout. Pendant la nuit, elle a eu la sensation que son bras et sa jambe étaient un peu engourdis. Il n'y a eu
epeion, ornaient les parvis du temple d'hymnes votives, et surtout de bras , de jambes, de cous, de seins, en matière plus ou
ur une grande fatigue à la main droite; la fatigue gagna peu à peu le bras entier. La malade ne pouvait saisir aucun objet a
ait pris un objet de mince épaisseur surtout de métal, sa main et son bras commençaient à trembler; le tremblement ressembla
toujours sous chloroforme, les membres sont placés en des gouttières; bras et jambes sont complètement immobilisés, et la go
e presque aussitôt de retour vers la ligne médiane. Les mouvements du bras consistent en un léger écarte-ment du tronc, puis
ïde. Réflexes, pharyngé, cornéen abolis. — Pas de dermographie. / Bras droit......20 cent. , , \ » gauche..... 19 »
d'ouate le tout maintenu par des bandes de toile jusqu'au milieu des bras ; chloro-formisation légère. Mensuration des av
emontait à la vue d'un œdème. La lésion une fois créée, la vue de ses bras cedé-matiés éveillait chez le sujet le réflexe de
du thorax est plus petite que la moitié gauche : il en est de môme du bras et de la jambe; il y a eu arrêt de développement
d'origine hystérique ; il y a aussi un léger degré de contracture du bras et de la jambe gauches ; il existe, en outre, un
de la main droite du petit Brelon, qui s'ouvrit (') à la jointure du bras , le doigt de saint Jean s'envola et sauta tout dr
aussi qu'il ne faut pas s'étonner de voir le dit doigt entrer dans un bras ; certaine déesse est bien sortie de la cuisse de
d'argent, contenant une relique de saint Jean (Tiercelin) (?) ; b) Un bras d'argent, renfermant un ossement de saint Mandej
aux descriptions détaillées des poètes. Voici, dit Tiercelin, « un bras tortueux qui ressemble à un cerceau (1) E- Bell
remarque que son mari a l'habitude, pendant son sommeil, de porter le bras droit au-dessus du front, puis de le laisser reto
père, chez le fils et chez la petite-fille l'habitude portait sur le bras droit. Girou de Buzareingues a connu un homme q
s la respiration est régulière et le pouls normal. Si l'on soulève un bras , il garde la position dans laquelle on le met, et
out-à-coup de se relever ; elle soulève brusquement la tête, tend les bras en l'air et s'arrête figée dans cette position co
bien de faire accompagner l'inspiration de mouvements circulaires des bras étendus en croix. III. — Obtenir un exercice et
'adresser au vénérable serviteur de Dieu une neu-vaine de prières. Le bras paralysé de l'enfant fut approché du sépulcre, et
, s'était heurtée contre un mur, fut atteinte d'une tumeur blanche au bras gauche. Les médecins, désespérant de la guérison,
t des souliers du vénérable Jean-Baptiste Vianney fut appliqué sur le bras de la patiente, pendant une neuvalne de prières.
et parfaite de la jeune fille Adélaïde Joly, d'une tumeur blanche au bras gauche, » t Et le Souverain Pontife a ordonné q
En effet, le texte dit : Tumeur blanche (c'est-à-dire tuberculose) du bras . C'est là un diagnostic des plus vagues ; et, par
fureur. Jugeant toute défense inutile, il jeta ses armes, croisa les bras et s'avança sur eux en les fixant fortement; à so
t impossible de s'en servir. Il avait, de plus, des douleurs dans les bras et dans le dos, une constipation opiniâtre, un ab
e à la douleur et à la température. Plus tard la maladie s'étendit au bras droit et, un an après, il dut renoncer à son trav
e et à la douleur est complète notamment dans la peau de la tête, des bras et du thorax jusqu'à la ligne des mamelles. Les e
s au malade que sa maladie s'améliore, qu'il a plus de force dans les bras , qu'il n'a plus de douleur ni aux mains, ni au do
se dorsale, même atrophie des muscles du poignet, de l'avant-bras, du bras et de l'épaule, insensibilité à ta douleur et à l
à la température siégeant à la peau du cou jusqu'à la ceinture et aux bras . On l'a traitée longtemps de la même façon que l'
e malade ne s'effectue pas. Kécemmcnt, au bain, elle s'est brûlé le bras qu'elle a posé sur un tuyau chaud : une plaie se
98 (1903) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1902
de des barres parallèles ; à marcher, soit en les tenant sous les bras , soit à l'aide du chariot ; on fortifie leurs m
res. Ces exercices sont les suivants : mouvements ver- ticaux des bras en 2 temps; mouvements latéraux des bras en 2 t
uvements ver- ticaux des bras en 2 temps; mouvements latéraux des bras en 2 temps. Les enfants au lieu de compter les
les temps d'inspiration sont accompagnés d'écartement latéral des bras et de projection alternative des membres infé-
s ; l'expiration se fait en ramenant les jambes et en abaissant les bras (1). Les mains sont tantôt libres, tantôt munie
t d'arriération intellectuelle, de paralysie spinale infantile du bras droit et d'épilepsie. - Cet enfant a fait de gran
viot l'exhorta il rentrer, : ,1 parlant doucement et le tenant par le bras pour le men r. L'alcoolique répondit sur un ton
us dans les bourses. Périnée, quelques poils roux. Anus normal. Les bras , les avant-bras, les cuisses et les jambes sont
ère, 75 ans, a eu un tic qui consistait en un relèvement brusque du bras gauche. Caractère calme, sobre. Elle a eu le pè
r, elles ont continué 3 jours. Les yeux se convulsaient en haut. Le bras gauche se contracturait dans la 1/2 flexion et
e contracturait dans la 1/2 flexion et se levait avec secousses. Le bras droit était immobile. Comme l'enfant était emma
r le réflexe du coude, on place l'avant-bras en demi-flexion sur le bras et on le soutient de façon à le laisser clans l
e : il se produit un mouvement d'extension de l'avant-bras sur le bras . Les réflexes du poignet se recherchent aussi,
s, le dos, l'avant-bras droit, etc., une cicatrice de vaccin sur le bras gauche, des dilatations veineuses sur la convex
, en effet, de quinze à vingt minutes : il faut veiller à ce que le bras soit bien appliqué contre le thorax et que le t
Le développement des jambes ne parait pas proportionnel à celui des bras . -Pas de vers, d'onanisme, de traumatisme. - La
es. Quelques secondes après, elle remue brusquement l'un ou l'autre bras , sans but défini. Si on lui fait tenir un objet
démesurément, d'une manière convjlsive. Souvent aussi les avant- bras font tout à coup un mouvement de pronation. , L
e. Au moment même où s'ac- complit ce mouvement de la jambe, un des bras ou les deux. sont portés dans une des différent
poils assez nombreux à une certaine distance, pas d'hé- nmrrhoides. Bras glabres, avant-bras poils follets; cuisses glab
de. Membres supérieurs, réguliers ; cicatrices de vaccin aux deux bras ; pas de malformation. Mouvements volontaires e
à peu près bien. Après la rougeole, il se tenait très mal. Les bras sont devenus contrac- turés vers la même époque
es vers 3 ans. On ne se rappelle pas vers quelle époqueila eu les bras raides. Cou raide, tète toujours penchée.
- gres : avant-bras en flexion permanente avec pronation sur le bras .Les mouvements spontanés sont peu étendus et
er, ni se donner les soins usuels de propreté. Il peut tendre les bras aux personnes qui s'approchent de lui. Les
902 André. Mêmes caractères. Membres supérieurs grê- les, les bras écartés dutronc, l'avant-bras fléchi sur le b
grê- les, les bras écartés dutronc, l'avant-bras fléchi sur le bras , les mains en prona- tion. Les mouvements spon-
Les membres inférieurs sont grêles ; le malade étant suspendu aux bras de l'infir- mière, les cuisses sont légè- rem
re, on ne peut davantage l'alimenter; il est pâle, a les mains, les bras , les pieds violacés et glacés et meurt dans cet
des pieds n'a pas augmenté. La flexion et la pronation des avant- bras , la flexion du corps ont augmenté. La contracture
maigreur est extrême, cadavérique. Les os font saillie partout. Les bras sont repliés sur la poitrine et les mains posée
repliés sur la poitrine et les mains posées sur les avant-bras. Les bras sont collés contre le tronc, les avant-bras rep
fléchies sur le tronc, et le genou est collé sur la face externe du bras au-dessous de la tête de l'humérus. Les jambes
99 (1885) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 188
un véritable danger ou une gêne de service s'il faut les porter à bras (1). 2° Au premier étage, dans le pavillon cent
deux mois. Grar..., quoique assez fort, eut alors du pemphigus aux bras et à la nuque, etcelajusqu'à sept mois; il a pa
rqué auparavant; on dut, pendant quelque temps le soutenir sous les bras pour le faire marcher; durant un an, il marcha
it content de faire ce travail sous prétexte que cela détendait son bras . De onze à quatorze ans, Grar... ne se plaignait
du corps d'une manière évidente ; elles étaient plus fortes dans le bras et l'aeil gauches que dans les parties correspo
vers le bord radial, puis les doigts se crispent; l'avant-bras, le bras se contracturent et il lui semble que les batte
u'il a conscience des battements musculaires, il lui semble que son bras , qui parait rac- courci dans l'aura, exécute pl
peur, une émotion, une farce d'un camarade; le malade sursaute, le bras se raidit, et les symptômes décrits ci-dessus se
; la face est tournée à gauche : la rigidité est plus prononcée au bras ctà la jambe gauches; les secousses tétaniforme
arties, ten- dance à laquelle le malade résiste continuellement. Le bras gauche est la palpation plus dur que le droit :
parait plus basse du côté paralysé. Cicatrices de vaccin aux deux bras ; une petite cicatrice au coude gauche. 8 EPILEP
l'espace de dix jours, la jeune malade reçut sur un vésicatoire du bras 50 centigr., soit 5 centigr. par jour en une se
, 1866). 26 DU CURARE femme de vingt-deux ans à qui on injecta au bras et à la nuque dix gouttes d'une solution à 1 :
it moins bien sur la jambe droite et qu'il se servait moins bien du bras droit. Depuis le début des accès, il mange moin
u demi-closes, pupilles très dilatées, cou rigide dans l'extension, bras droit dans l'extension, main fermée pouce en de
xtension, bras droit dans l'extension, main fermée pouce en dedans, bras gauche en demi-flexion, doigts écartés, le pouce
plète; l'épaule est tombante, il boite; il peut toutefois mettre le bras sur la tête. Le bassin est projeté en arrière ;
out de quatre à cinq jours; il a alors marché et s'est servi de son bras « comme s'il n'avait rien eu ». - A quatre ans
était incapable de se tenir sur la jambe gauche et de se servir du bras gauche «qui était tombant ». Il a recommencé à
îné la jambe et il la traîne autant aujourd'hui qu'à son entrée. Le bras n'a récupéré quelques mouvements qu'au bout de
mois. Depuis qu'il est à Bicêtre, la main a repris de la force. Le bras a été électrisé pen- dant un an, mais cela « n'
ier le malade s'est plaint de céphalalgie. 23 H0t)em&)'(;. Au bras gauche (côté paralysé), Lef... présente des ind
ultiples, à la suite des injections hypodermiques, mais toujours au bras 54 DU CURARE paralysé (côté gauche). Il n'acc
mais on en distinguait plusieurs autres sur la poitrine ou sur les bras . La teinte de ces dernières était moins animée. J
ui l'impressionna vivement : un homme avait eu, devant ses yeux, le bras arraché par une courroie. Son pre- mier accès a
our être ramenés dans l'extension. Au bout de quelques instants, le bras droit s'élève automatiquement; on le re- place
s de glandes. Deux cicatrices de vaccine très apparentes sur chaque bras . Par suite d'une plaie con- tuse, cicatrice de
l s'est réveillé en sursaut, s'est as- sis sur son lit, agitant les bras , disant : « D'quoi qu'tu te t'mèlcs ? » Interpe
ent insensible ; le membre inférieur gauche est très sensible. Le bras droit commence a être sensible. A 1 h. 31,.oscil-
a mère. 10 juillet 1877. Trouvé la nuit couché dans une voiture à bras , sur la voie publique. Déféré au parquet. Rendu
100 (1892) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1891
aide des barres parallèles, il marcher, soit en les tenant sous les bras , soit à l'aide du chariot. On fortifie leurs me
use. Il y a anesthésie de la moitié postérieure droite du tronc, du bras droit et du membre inférieur droit. La sensibil
abdomen jusqu'à une ligne horizontale passant par l'ombilic; sur le bras et les doigts où il sent cependant lorsqu'il es
ation. Repos. Il se met ensuite à genoux les paupières fermées, les bras allongés le long du tronc, qui est penché en av
e- ment de dents; agitation de tout le corps, le malade remue les bras et les jambes, le tronc restant immobile. Cette a
médiatement. Elles exis- tent seulement dans les jambes et dans les bras et pas dans le tronc. Au début de chaque accès
elle crise. La tête se soulève un peu, le corps devient rigide, les bras en extension se rapprochent de la ligne médiane,
. Il pleure et se plaint de souffrir des lombes, des cuisses et des bras . 15 septembre. On lui avait suggéré hier en éta
és de la face, mais d'une façon plus marquée à gauche au tronc, aux bras et aux membres inférieurs. La sensibilité à la
ie d'une courte résolution. Puis fré- missements des paupières; les bras s'étendent en croix, les poings fermés, le pouc
noux tout à coup en fermant les yeux et exécute avec sa tête et ses bras le mouvement du morceau joué. La face est pâle,
à l'infirmerie, les yeux toujours fermés, en le soutenant sous les bras pour mar- cher. Jusqu'à 3 h. et demie il reste
l'après-midi, étant en classe, il tombe brusquement sur le dos les bras croisés sur la poitrine. Ses yeux se ferment, s
r le dos les bras croisés sur la poitrine. Ses yeux se ferment, ses bras s'étendent en croix, les poings fermés. Frémisse-
de petits frémissements. Il se retourne et tombe sur le ventre, les bras en croix, les jambes écartées.- Secousses dans to
les yeux, la poitrine et les épaules. Il se met debout, s'étire les bras et s'habille, mais gauchement, auto- matiquemen
s secondes il s'est retourné sur le ventre, les jambes étendues, le bras droit levé. Il se retourne ensuite sur le côté
côté droit, la jambe droite allongée, la gauche un peu écartée ; le bras droit élevé, le gauche allongé en bas, la tête da
encore sur le ventre, les jambes allongées l'une contre l'autre; le bras gauche allongé le long du tronc, le bras droit
s l'une contre l'autre; le bras gauche allongé le long du tronc, le bras droit perpendiculaire. Il se retourne brusqueme
e nouveau sur le dos, les jambes allongées, rigides, écartées ; les bras en croix, rigides, les mains fermées, les pouce
es et demie, après son diner, nouvelle attaque. Il bat l'air de ses bras , et reste vingt secondes debout, les yeux fermé
minute, puis se tourne sur le côté droit les jambes écartées et les bras en croix. 11 se frappe la poitrine avec violence
rtout de la gauche. De plus il a quelquefois des secousses des deux bras et même de tout le tronc, qui ont beaucoup dimi
ganglionnaire, que l'on aper- çoit à la partie externe, lorsque le bras repose le long du tronc ; elle a le volume de l
as de hernie. Membres supérieurs de même grosseur des deux côtés. Bras gauche très peu paralysé, mais régulièrement conf
ues. Les accès d'épilepsie, limités, assure-t-on, à la bouche et au bras gauche se produi- saient environ tous les 15 jo
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