e partie de fibres transversales. Sur ses côtés, on voit deux tractus
blancs
longitudinaux, tout voisins de l'écorce; ces deux
couteau divise ainsi, à peu près par le milieu, un pont de substance
blanche
à fibres transversales : le pont de Varole, leque
éma 2) s'incruste dans la selle turcique du sphénoïde. Deux éminences
blanches
, sphériqucs, remarquablement régulières, paires e
face des circonvolutions orbitaires est recouverte par une bandelette
blanche
gaufrée (LMV), la substance réticulaire d'Arnold,
circonvolution de l'hippo- En arrière du rostrum (ROS), deux lames
blanches
, venues de la partie latérale du corps calleux (c
ieure, grise, occupée par la pyramide de Sœmmering ; une postérieure,
blanche
, traversée par les vaisseaux lenticulo-striés (sc
'est qu'un très mince ruban, en quelque sorte plaqué sur la substance
blanche
de l'espace perforé. Cette disposition a été bien
if; ces faisceaux radiculaires se perdent eux-mêmes dans la substance
blanche
de l'espace perforé. Ainsi, la pyramide de Sœmmer
Sœmmering, comme la bandelette diagonale, est accolée à la substance
blanche
de l'espace perforé; mais elle s'enfonce, en avan
(GE, schéma 6).En arrière,elles se confon daient avec la substance
blanche
qui tapisse ce ganglion dans la cavité du carrefo
peut constater que le ventricule latéral est creusé dans la substance
blanche
qui forme la majeure partie de l'hémisphère. Cett
blanche qui forme la majeure partie de l'hémisphère. Cette substance
blanche
est désignée communément sous le nom de centre ov
brissaud. b au niveau des circonvolutions, l'écorce et la substance
blanche
sont, dans leur ensemble, appelés manteau de l'hé
rtie supérieure du seuil. Le corps calleux est une voûte de substance
blanche
à fibres transversales, présentant sur les coupes
a surface de l'écorce, une couche irrégulière et gaufrée de substance
blanche
, qui fait suite (nous l'avons déjà dit) au nerf d
ière droit. Cette figure représente le détail de la partie ménagée en
blanc
sur le schéma 8 (A), F, côté frontal; 0, côté o
ges : l'étage supérieur, recouvert d'un mince revêtement de substance
blanche
ou stratum zonale ; il se compose de trois noyaux
ce grise; il n'est pas, comme l'étage supérieur, revêtu par la couche
blanche
du stratum zonale. Vers sa partie moyenne, la sub
ne masse cylindrique de fibres transversales qu'on appelle commissure
blanche
postérieure (CP) et qui se trouve juste au-dessus
ellucidum ou cloison transparente est le double feuillet de substance
blanche
qui réunit, sur la ligne médiane, la face inférie
psp. Le pied du septum pellucidum a la forme d'une petite bandelette
blanche
située en arrière du bec du corps calleux (ROS),
lle est parfois très nettement séparée. En effet, si ces deux parties
blanches
sont difficiles à distinguer l'une de l'autre, en
externe du nerf olfactif se fusionne insensiblement avec la substance
blanche
de l'espace perforé, le pied du septum court sur
à on le perd de vue ; une partie de ses fibres se mêle à la substance
blanche
de l'espace perforé ; l'autre partie se jette dan
c le pied du septum. Elle se compose de deux couches : une antérieure
blanche
, qui forme une véritable commis- 1. Il y a ici
oncule antérieur du corps calleux. Or, il est certain que le faisceau
blanc
étudié par Vicq d'Azyr n'émerge pas du bec du cor
ue (NiC). Au-dessous et en avant du splenium (SPL) s'étend un ruban
blanc
à concavité antérieure, servant de limite à la fo
La substance réticulaire d'Arnold est la couche gaufrée de substance
blanche
qui revêt la circonvolution de l'hippocampe en de
tance grise qui tapisse cette fosse part un prolongement de substance
blanche
qui s'avance au-dessous de la région frontale (F)
E). Le fond de la vallée de Sylvius (S') est entouré par un bordure
blanche
, à concavité antéro-inférieure, large en arrière,
'autres termes, l'envers des plis du manteau ; que, dans la substance
blanche
où ils se cachent, tous ces plis et replis, si l'
ndent, dans la profondeur de l'hémisphère, aux faisceaux de substance
blanche
dont le développement s'achève le plus promptemen
profondeur du crochet de l'hippocampe (Une). Une petite bandelette
blanche
, le tœnia demi-circulaire (Tœ), accompagne le noy
e, appelée Ergot de Morand, représente le refoulement de la substance
blanche
de l'hémisphère par le cul-dc-sac longitudinal de
iquement en bas 1. Quelques auteurs réservent ce nom à la substance
blanche
réticulaire d'Arnold, qui tapisse l'hippocampe en
ps calleux, entre cette commissure et le trigone, on voit une lamelle
blanche
triangulaire, tendue comme une voile sur la conca
ulaire est séparé du noyau caudé et de la couche optique par une lame
blanche
épaisse, coudée, c'est-à-dire formant un angle ou
e s'enfoncer le noyau lenticulaire à la manière d'un coin. Cette lame
blanche
s'appelle capsule interne. Elle représente, dans
égion de l'insula, on voit s'insinuer une lame grise entre deux lames
blanches
. La laine grise est Vavant-mur ou clauslrum; la l
x lames blanches. La laine grise est Vavant-mur ou clauslrum; la lame
blanche
adjacente au noyau lenticulaii^e est la capsule e
nche adjacente au noyau lenticulaii^e est la capsule externe; la lame
blanche
adjacente à l'écorce de l'insula est la moelle de
la circonvolution limbique est revêtue tout entière de la sul)stance
blanche
qu'on appelle substance réticulaire d'Arnold et q
pelle substance réticulaire d'Arnold et qui fait suite à la substance
blanche
du rostrum. Cette substance blanche s'étend même
et qui fait suite à la substance blanche du rostrum. Cette substance
blanche
s'étend même jusque sur la première circonvolutio
atéral. Tœ. Le taenia semi-circularis est la petite bande de fibres
blanches
qui sépare la couche optique (Pul) de la queue du
halamus. Ils sont séparés les uns des autres par une sorte d'étoile
blanche
à trois' rayons; les deux rayons externes représe
ui recouvre la couche optique. "Le stratum zonale est cette lamelle
blanche
qui revêt les trois noyaux du thalamus dans la ca
noyau externe (NeC) est séparé de la couronne rayonnante par une lame
blanche
d'épaisseur uniforme, la lame médullaire externe;
e plus inférieure (fig. 2) sous le nom de pulvinar (Pul). Substance
blanche
. ce. Le corps calleux, dans le lobe frontal et
Figure 2. COUPE HORIZONTALE PASSANT PAR LE MILIEU DE LA COMMISSURE
BLANCHE
ANTÉRIEURE ET LA FACE SUPÉRIEURE DU TUBERCULE QUA
) ; en d'autres termes, elle passe un peu au-dessous de la commissure
blanche
postérieure : en avant elle passe par le milieu d
nche postérieure : en avant elle passe par le milieu de la commissure
blanche
antérieure (CA). Les coupes qu'on pratique sur
antéro-inférieure de la circonvolution limbique (C). La commissure
blanche
antérieure (CA) coupée sur la ligne médiane est s
ce niveau, au contact de la capsule interne. Derrière la commissure
blanche
s'étend d'avant en arrière la paroi du troisième
est plus libre dans la corne frontale. Il est adjacent à la substance
blanche
qui est située au-dessous de la corne frontale, e
t il est séparé par trois couches distinctes : 1" la capsule externe,
blanche
(CE); 2" l'avant-mur (CL), sorte de cloison grise
capsula exirema. Le côté interne, concave, est limité par une lame
blanche
(MLE), cloison verticale externe du noyau lenticu
e du putamen. Ce triangle est divisé en trois segments par deux lames
blanches
, parallèles à la base du triangle, et légèrement
lame médullaire externe. (LML) ; et l'on voit une multitude de fibres
blanches
partir de cette lame médullaire pour s'enfoncer,
n décrit par Meynert sous le nom de fasciculus relroflex. Substance
blanche
. Le corps calleux s'enfonce dans le centre oval
aris (Tse), celle de la queue du noyau caudé (NCC); enfin une surface
blanche
, qui appartient au faisceau sensitif (FS), et qui
. Le noyau amygdalien, en effet, est séparé de l'écorce par des lames
blanches
qui appartiennent à la racine inférieure du thala
st même séparé du crochet, au moins en partie, par une petite cloison
blanche
qu'on peut reconnaître ici sur la coupe, et qui e
urs séparé de l'écorce de BUISSAUD. 6 l'hippocampe par une couche
blanche
, fenôtrée, la substance réticulaire d'Arnold (LMA
est autre que la fimbria ou pilier postérieur du trigone. Substance
blanche
. FS. Le faisceau sensitif qui, sur les deux cou
t perpendiculairement à la ligne horizontale qui réunit la commissure
blanche
antérieure et la commissure blanche postérieure.
izontale qui réunit la commissure blanche antérieure et la commissure
blanche
postérieure. Toutes les figures de la planche X
à-dire suivant que la cavité du ventricule latéral, dans la substance
blanche
, s'étend plus ou moins loin vers le pôle occipita
ubstance grise s'enfoncent à une grande distance dans la sub-^ stance
blanche
. Le sommet de l'aire de section est représenté
dessous du cuneus, la scissure calcarine (K) plonge dans la substance
blanche
. Elle n'a pas ici une grande profondeur. Mais déj
utre, un point de repère précieux dans la détermination des faisceaux
blancs
de la région occipito-temporale. Il limite en bas
de l'hémisphère. A l'extrémité postérieure du cerveau, la substance
blanche
se compose surtout de fibres arquées, mettant en
unes avec les autres les circonvolutions de cette région. Elles sont
blanches
sur le plan de section, c'est-à-dire qu'elles par
eure partie le plan vertico-transversal. Mais au milieu de ces fibres
blanches
on distingue un gros faisceau (FS), représenté pa
Il est nettement séparé de la calcarine par un faisceau vertical très
blanc
(LFE), que nous appellerons lame festonnée, d'une
diffère par l'apparition d'une cavité au beau milieu de la substance
blanche
, entre le fond du sillon pariétal [p) et le fond
d'un carré, elle est reconnaissable encore au milieu de la substance
blanche
, sous la forme d'une petite fente verticale à con
a forme d'une petite fente verticale à concavité interne. Substance
blanche
. L'apparition de la cavité ventriculaire dans l
aute, tout en conservant sa forme régulière de rectangle. Substance
blanche
. FS. Le faisceau sensitif est plus épais ; il s
, applicables à tous les cas. Elles servent simplcnient à Substance
blanche
. FS. Le faisceau sensitif s'isole plus nettemen
du cerveau, de la partie postérieure à la partie moyenne. Substance
blanche
. FS. Le faisceau sensitif, toujours très foncé,
nt séparées par le bord très accentué d'un nouveau faisceau de fibres
blanches
, verticales (FOY), faisceau occipital vertical qu
au (continuation sous-ventriculaire du faisceau sensitif), les fdires
blanches
les plus voisines de la paroi inférieure du ventr
de la paroi inférieure du ventricule sont la continuation des fibres
blanches
les plus voisines de la paroi externe. Ces derniè
particularités nouvelles que présentent les faisceaux de la substance
blanche
. FS. Le faisceau sensitif présente la même disp
e ventriculaire, réduit d'autant le calibre de la cavité. Substance
blanche
. FS. Le faisceau sensitif est nettement isolé d
partie la plus interne du faisceau sensitif (FS) ; une moyenne (FL2),
blanche
, à fibres transversales, émanées de la partie moy
osition va s'accuser encore sur les coupes suivantes. i Substance
blanche
. i FS. Le faisceau sensitif, toujours compact e
s un plan parallèle à la surface de section et deviennent franchement
blanches
(fig. 10, FCF). FOi. Les fibres inférieures du
ent, mais en conservant toujours sa forme quadrangulaire. Substance
blanche
. FS. Le faisceau sensitif (fig. 9, 11,12), très
, 11,12), très compact, séparé, en dedans, du ventricule par une lame
blanche
, est toujours tellement isolé, qu'il appelle le p
bord inférieur au faisceau longitudinal inférieur (FLI). Substance
blanche
. FS. Le faisceau sensitif est moins compact que
e d'entre elles qui changent de direction, devenant ainsi franchement
blanches
sous le plancher ventri-culaire (FL2). FLI. Le
longitudinal inférieur ne présente plus guère que deux couches : une
blanche
, supérieure, dont il vient d'être question (FL2);
tit faisceau compact (FLi), vertical, situé au milieu de la substance
blanche
du faisceau supérieur du forceps (FOs). La couc
ctement en dehors. 11 rentre donc dans le plan de la coupe et devient
blanc
; il se dirige vers la substance grise du lobe car
emble émerger du lobe carré; mais, en réalité, il laisse la substance
blanche
du lobe carré derrière lui ; il vient d'une régio
téral de la corne sphénoïdale dont nous avons déjà parlé. Substance
blanche
. FS. Le faisceau sensitif, peu compact à sa par
l inférieur (FL2), sa surface de section s'avance dans la substance
blanche
de la quatrième circonvolution temporale (T4). Un
ssure a disparu. Il est donc dans le plan de sCction. Ses fibres sont
blanches
et situées au-dessus du faisceau supérieur du for
rne du ventricule. C'est la corne d'Ammon qui, refoulant la substance
blanche
contre la paroi du ventricule, fait rentrer ce fa
tie supéro-interne Actuellement elles se confondent avec la substance
blanche
sous-jacenteà l'écorce de la circonvolution limbi
angle très aigu, des fibres du faisceau moyen du forceps. Substance
blanche
. FS. Le faisceau sensitif garde les mêmes dimen
n du forceps se confond en apparence, non seulement avec la substance
blanche
de la circonvolution lim-bique (C), mais avec les
ent de la saillie de la corne d'Ammon dans le ventricule. Substance
blanche
. FS. Le faisceau sensitif ne diffère ici de ce
aire est notablement augmenté et se présente sous la forme d'un ovale
blanc
sur lequel se dessinent des stries en spirales, p
ies en spirales, plus visibles sur les figures 17 et 18. Cette partie
blanche
n'est cependant autre chose que le faisceau infér
c'est-à-dire qu'il redevient, là encore, indépendant de la substance
blanche
du lobe carré, avec laquelle il avait paru se mél
n effet, son extrémité supérieure ne se confond pas avec la substance
blanche
du centre ovale. Il se replie en dedans et en bas
s deux faisceaux seront nettement isolés l'un de l'autre. Substance
blanche
. FS. Le faisceau sensitif, identique à ce que n
Le faisceau moyen du forceps, momentanément confondu avec les parties
blanches
adjacentes (fig. 15), redevient un faisceau isolé
angles supérieurs du ventricule entaillent profondément la substance
blanche
. La voûte ventriculaire cesse donc, sur cette cou
ection des fibres du faisceau supérieur du forceps (FOs). Substance
blanche
. FS. Le faisceau sensitif observe la même direc
ventriculaire.-Au-dessus de cet angle fortement enfoncé dans la masse
blanche
des fibres du forceps, on ne trouve plus que des
ci — ce « bulbe », cxclusive- BRISSAUD. (J ment composé de fibres
blanches
, forme sur la voûte du ventricule deux saillies.
e couches grises, minces, interposées entre les trousseaux des fibres
blanches
. Ces stries grises ne sont autre chose que les se
omme toute circonvolution, une portion grise corticale et une portion
blanche
profonde. La tache blanche allongée qui occupe, s
une portion grise corticale et une portion blanche profonde. La tache
blanche
allongée qui occupe, sur la figure 18, sa partie
occupe, sur la figure 18, sa partie centrale, correspond à la portion
blanche
du manteau. On verra, sur les coupes suivantes, q
lanche du manteau. On verra, sur les coupes suivantes, que les fibres
blanches
de ce manteau rudimen taire se continuent avec
blanches de ce manteau rudimen taire se continuent avec les fibres
blanches
du corps calleux. Si les fibres blanches n'étaien
e continuent avec les fibres blanches du corps calleux. Si les fibres
blanches
n'étaient pas visibles encore sur la coupe précéd
ndrée (Fci) au contact de l'écorce. Cette faible portion de substance
blanche
est le manteau de la petite circonvolution cendré
tudier comme telle, vu sa situation profonde dans la masse des fibres
blanches
. CAM. Corne d'Ammon. Sur la figure 25, on voit
a circonvolution godronnée sont complètement enveloppées de substance
blanche
. En arrière, en haut, en bas, à droite et à gau
er exactement sur la partie inférieure de cette dernière. Substance
blanche
. FS. Le faisceau sensitif présente la même conf
situé au-dessous de la corne d'Ammon, il s'enfonce dans la substance
blanche
à une grande profondeur, presque jusqu'au contact
Dsu). Substance grise. La masse grise enveloppée par la substance
blanche
qui refoule la paroi interne du ventricule et que
) continuation de la bandelette cendrée ou fasciola cinerea; une lame
blanche
(fig. 26 et suiv. LMA), continuation de la substa
une lame blanche (fig. 26 et suiv. LMA), continuation de la substance
blanche
superficielle du corps calleux. Sur toutes les fi
Un peu plus en avant, au centre de la masse grise, apparaît une bande
blanche
(LMA, fig. 26) qui s'amincit (fig. 27), puis s'él
s de telle sorte, qu'au point de rencontre, une partie àe substance
blanche
reste à la périphérie d'une petite masse de subst
Les rapports de la masse grise de la corne d'Ammon avec la substance
blanche
centrale (LMA) s'expliqueront mieux sur les planc
les planches suivantes. Mais on peut déjà comprendre que la substance
blanche
ou lame médullaire de la corne d?Ammon, ou substa
e pas enfermée dans la substance grise. Elle provient de la substance
blanche
du corps calleux, réfléchie à la partie antérieur
ue les sections intéressent des régions plus antérieures. Substance
blanche
. ce. Le corps calleux augmente d'épaisseur. Mai
les plus directes et les plus compactes de tout l'appareil des fibres
blanches
intra-hémisphériques. Au-dessous du corps calle
ans l'hémisphère, rétrécit encore davantage l'intervalle de substance
blanche
intercalé entre l'écorce et la face supérieure du
rties, une grise, prolongement de la bandelette cendrée (Fci), et une
blanche
, prolongement de la substance blanche du corps ca
andelette cendrée (Fci), et une blanche, prolongement de la substance
blanche
du corps calleux (LMA). Ces deux parties fondamen
re une masse grise homogène au milieu de laquelle se trouve une tache
blanche
, et au milieu de cette tache blanche une nouvelle
de laquelle se trouve une tache blanche, et au milieu de cette tache
blanche
une nouvelle masse grise. Seulement tout cet ense
e. Seulement tout cet ensemble, au lieu d'être perdu parmi les fibres
blanches
du faisceau inférieur du forceps (fîg. 25, 24 et
sont une seule et même chose. Sur les figures 51 et 52 la substance
blanche
de la corne d'Ammon, avons-nous dit, correspond à
laquelle est recouverte par une mince couche de fibres. Cette couche
blanche
commence à revêtir la bandelette cendrée, d'une f
ions, et comme ces ondulations sont toujours revêtues de la substance
blanche
(LMA), celle-ci, sur les coupes verticales, paraî
a dentata. Ce fascia dentata est séparé du tubercule (Tf) par la lame
blanche
(LMA). Au contraire, sur la figure 52, le fascia
on sont en continuité ininterrompue les unes avec les autres. La lame
blanche
qui semble les séparer ne fait que les tapisser u
ndrée (Tf). Il paraît alors plongé au milieu d'une masse de substance
blanche
(LMA). Mais ce n'est qu'une apparence. La masse d
blanche (LMA). Mais ce n'est qu'une apparence. La masse de substance
blanche
est tout simplement la lame médullaire de la corn
ux coups de rasoir, et la section n'intéressera plus que la substance
blanche
qui revêt cette substance grise. Il s'agit main
. du fasciola cinerea (Tf). Cette lente est revêtue de la substance
blanche
de la corne d'Ammon (substance réticulaire d'Arno
s deux coupes on voit, au-dessous du tubercule, un golfe de substance
blanche
, qui s'enfonce entre le tubercule et la circonvol
campe. Cette dépression de la surface corticale, revêtue d'une couche
blanche
, représente la section verticale de la couche bla
ue d'une couche blanche, représente la section verticale de la couche
blanche
elle-même, qui, sur des coupes plus antérieures (
verte. Sur la coupe 35 en particulier, on s'aperçoit que la substance
blanche
qui enveloppe extérieurement l'écorce grise, pass
simplement verticales qui n'intéressent pas un seul plan de substance
blanche
et de substance grise. Réfléchie sur la circonv
en dire, à propos du faisceau inférieur du forceps (FOi). Substance
blanche
. ce. Le corps calleux, sur cette planche, est c
les deviennent progressivement plus claires, puis se mêlent au réseau
blanc
du manteau de la circonvolution limbique (fig. 56
mmon (fig. 52, 55, 56), il est exclusivement représenté par une laine
blanche
, interposée entre la substance grise de l'hippoca
leux se portent directement en dehors, sous la forme d'une bandelette
blanche
, qui va former, à la face interne du ventricule,
sceau moyen du forceps est réduit à une sorte de moignon de substance
blanche
, cassé irrégulièrement en dehors, et flottant dan
nce diffèrent selon l'inclinaison de la substance grise sur la partie
blanche
du manteau. 6. mais beaucoup plus simple, dan
lution frontale (F1). Puis, plus loin (fîg. 42), on voit la substance
blanche
pénétrer dans ce repli cortical ; c'est le lobule
a plus reculée et en même temps la plus externe ou pulvinar. Elle est
blanche
dans presque toute son étendue, attendu que la la
des modifications notables dans les rapports profonds de la substance
blanche
à son pourtour. Cavité ventriculaire. De plus
ivante (fig. 58). A sa place, on voit s'étendre un grand prolongement
blanc
du corps calleux, qui se confond en bas avec la l
le repli ou godron Fd et le go-dron suivant Fd'. LMA. La substance
blanche
de la corne d'Ammon (fig. 57), étalée au devant d
grise. Mais la lame médullaire n'est pas pour cela devenue absolument
blanche
. Sur deux points, en haut et en bas (FI, FI), ell
t en arrière, les inférieures allant d'arrière en avant. Cette partie
blanche
striée, issue de la face inférieure du corps call
1 gone (TRI). toujours séparé de cette paroi (fig. 40) par une lame
blanche
(ALv), l'alveus, qui émerge directement de la fac
elles ne se continuent pas, à la partie inférieure, avec la substance
blanche
qui recouvre la corne d'Ammon. Entre celle-ci et
font voir ainsi que l'alveus, envisagé généralement comme une couche
blanche
tapissant la face externe de la corne d'Ammon dan
fibres qui, dans leur ensemble, forment la mince cloison de substance
blanche
que nous avons appris à connaître sous le nom de
figure 42 se détache, au-dessous du corps calleux, un petit triangle
blanc
(Fci), interposé entre le corps calleux (ce), la
(Th) et la fimbria (FI). C'est la coupe très fine de la mince lamelle
blanche
qui revêt la partie la plus antérieure du fasciol
e du thalamus. La portion externe, claire, est la coupe de revêtement
blanc
de la couche optique. Celui-ci se compose de fibr
42. Nous verrons ultérieurement le trajet de ces fibres. Substance
blanche
. ce. Le corps calleux augmente d'épaisseur sur
, strié transversalement. Les stries foncées qui séparent les couches
blanches
et qui sont visibles seulement sur les cerveaux d
'une lamelle foncée, située verticalement dans l'épaisseur des fibres
blanches
. En dehors du tapetum courent d'avant en arrière
ormais séparées du hile du fascia dentata (Hfd, fig. 41) par une lame
blanche
, transversale, qui continue, de dedans en dehors,
On ne retrouve que sur certaines coupes (fig. 57, 59, 42) le bourgeon
blanc
de ce faisceau, à son insertion sur le corps call
dont on reconnaît une tache aberrante au beau milieu de la substance
blanche
. Cette tache répond au fond même de la scissure;
ports de la fìmbria (FI). En effet, la fìmbria est réduite à une lame
blanche
qu'on voit se rétrécir de plus en plus à sa parti
ie inféro-externe du corps calleux et lui adhérant, on voit une tache
blanche
représentant la couche de substance médullaire
e la corne d'Ammon. Elle y forme en effet (fig. 45, 46) un revêtement
blanc
, étalé horizontalement (LIA) au-dessus de la subs
ales passent par les mailles grises au lieu de passer par le treillis
blanc
. Dans ce cas la substance réticulaire d'Arnold ou
ux feuillets circulent des ramifications de la pie-mère. La substance
blanche
de la portion invaginéc s'appelle straluni lacu
. Dans tout ce long parcours elle est intercalée entre deux tractus
blancs
composés de fibres longitudinales. Le tractus int
qu'on lui donne. Au-dessus et en dehors du corps calleux, le tractus
blanc
externe est le cingulum, avons-nous dit ; on le v
e où la substance grise s'arrête et est remplacée par de la substance
blanche
. En haut, c'est le corps calleux (ce) ; en bas, c
mmédiatement celte disposition. 11 nous reste à examiner les portions
blanches
de la corne d'Ammon. FI. La fimbria (fig. 44, 4
e. 79. Il se compose d'une masse grise (QA) recouverte d'une lame
blanche
superficielle (ZSQ) (stratum zonale des tubercule
dont nous verrons les rapports ultérieurement. Il repose sur une lame
blanche
de fibres dirigées obliquement en haut et en deda
uche optique (Th), composé de substance grise en dedans, de substance
blanche
en dehors (45, 44, 45) se présente ici comme un î
s. 11 reçoit de la partie externe trois ou quatre bandes de substanèe
blanche
, obliques en haut, en dedans et en arrière, et qu
re, et qui appartiennent au stratum zonale (ZS, fig. 46). Substance
blanche
. ce. Le corps calleux (44, 45, 47) consiste sur
latéral du ruban de Reil (fig. 45) est un faisceau oblique de fibres
blanches
dont il sera question plus loin. ZS. Le stratum
loin. ZS. Le stratum zonale (fig. 46, 47) représente le revêtement
blanc
du pulvinar de la couche optique. Son origine et
ontinuité de la lamina convoluta (LC, fig. 49, 50) apparaît une strie
blanche
transversale, qui s'allonge (fig. 51, 52, LMA') e
en avant de la coupe. Il ne faut donc pas voir dans ce petit tractus
blanc
une couche spéciale, surajoutée à la constitution
parties plus antérieures, elle se réduit; un mince pont de substance
blanche
(fig. 51, 52, 55) établit encore line communicati
à sa partie interne, et traversée de dehors en dedans par les bandes
blanches
du stratum zonale (ZS, fig. 52). Substance blan
par les bandes blanches du stratum zonale (ZS, fig. 52). Substance
blanche
ce. Le corps calleux recommence à augmenter d'é
culaire externe, une petite masse grise (NC) perdue dans la substance
blanche
du tapetum : c'est le noyau caudé, c'est la parti
roéminer en dedans du noyau caudé (NC, fig. 54) Une petite bandelette
blanche
à fibres verticales (Tse) qui semble n'être qu'un
aboutissant. Au-dessous du noyau caudé (NC, fig. 52), dans la lame
blanche
du tapetum, on distingue encore une petite lame g
e cette planche, se confond avec elle sur la coupe 60. La même couche
blanche
de stratum zonale qui revêt les faces inférieure
homogène à sa partie interne, est parcouru maintenant par des fibres
blanches
non-seulement à sa surface, mais dans sa profonde
entre le noyau caudé et la couche optique (Tse, fig. 59). Substance
blanche
. ce. Le corps calleux fournit, au niveau de son
nci en dehors, et se continuant en haut et en dehors avec un faisceau
blanc
arqué (Laq). Le faisceau foncé constitué par des
uban de Reil (RR). Le faisceau triangulaire de l'isthme est un cordon
blanc
, plat, situé, comme on le voit sur la coupe 58, e
ceau est déjà un peu plus en dehors, il se rapproche de la bandelette
blanche
qui sépare le corps strié de la couche optique et
mane de la fimbria. On peut suivre (fig. 59) la continuité de la lame
blanche
en question, sous la corne d'Àmmon, jusqu'à la pa
, régulièrement ovoïde, est entouré de tous côtés par de la substance
blanche
, sauf toutefois à sa partie antérieure, ainsi que
qui est représentée sur la planche XXI) est recouverte par des fibres
blanches
, franchement trans- Projection horizontale de l
parcourue de dehors en dedans et un peu de bas en haut par des fibres
blanches
très délicates, toutes issues de la région du fai
moins grande. QA, tubercule quadrijuraeau antérieur; CP, commissure
blanche
postérieure ; GII, ganglion de l'hahénule; 1IAB,
CL. Le claustrum ou avant-mur (fig. 65, voy. pl. XXV). Substance
blanche
. PV. Le pont de Varole (61, 62, 65, 64) présent
n dehors de la glande pinéale, parmi des faisceaux obliques de fibres
blanches
, on voit émerger le tubercule quadrijumeau antéri
illé interne est comme enveloppé dans sa totalité par de la substance
blanche
(GI, fig. 63) : en arrière par le stratum zonale
edans et en avant, mais presque transversales : de là leur coloration
blanche
. Elles représentent ici la partie antérieure (Je
allons parler immédiatement. En dehors il est hmité par la substance
blanche
qui revêt l'écorce de la fosse de Sylvius. Cette
ce blanche qui revêt l'écorce de la fosse de Sylvius. Cette substance
blanche
est la capsule externe (CE, fig. 65). Le faisce
. FSi. Le faisceau sensitif interne (fig. 62) est composé de fibres
blanches
, dirigées en bas et en dehors, entre le faisceau
rieure de ce noyau, et qui aboutissent toutes, en somme, à cette lame
blanche
, oblique en bas et en dehors (LML, fig. 64), qui
compose. CE. La capsule externe (fig. 65) est la lame de substance
blanche
qui double en dedans le claustrum (voy. pl. XXII,
tantôt libre dans cette cavité, tantôt recouverte d'un mince feuillet
blanc
(fig. 67, 71), formé de fibres aberrantes du tsen
sur les coupes suivantes, et dont on ne reconnaît encore que l'écorce
blanche
(RGE, fig. 70, 71, 72). Gl. Le corps genouillé
sera étudié à l'occasion des figures de la planche XXIII. Substance
blanche
. FV. Le pont de Varole (fig. 69, 71) présente,
sant partie de la commissure postérieure toute la couche de substance
blanche
qui revêt les corps quadrijumeaux et qui provient
rigueur si, comme le prétendait Arnold, cette mince lamelle de fibres
blanches
établissait une communication immédiate et direct
particulier sur la figure 67 (CP), un trousseau bien isolé de fibres
blanches
transversales, venues de la commissure, sur la li
moyenne du thalamus (fig. 72), qui toutes vont se jeter dans la lame
blanche
que nous savons être la capsule interne (CI, fig.
end insertion sur la circonvolution du corps calleux. Ses fibres sont
blanches
, transversales ; les coupes de cette planche inté
que. Il est séparé du noyau externe (NeC, 78) par une bande de fibres
blanches
horizontales, venues de la lame médullaire extern
, en bas et en dedans, du centre médian (NmC, 75, 74) par un faisceau
blanc
issu de ce dernier cenlre. NinC. Le centre médi
, habénule; M, KOuttière de Monro. tous côtés par de la substance
blanche
. En dehors et en arrière, il est limité par des f
bas le faisceau rétrograde (FRF); en bas, il s'arrête à la commissure
blanche
postérieure (CP). En dedans, il est recouvert par
rieures de sa couronne rayonnante (RGE, fig. 74, 75, 78). Substance
blanche
. PV. Le pont de Varole (fig. 74, 75) s'élargit
sus pedunculi ne dégénère pas; l'intégrité de ses fiLres, qui restent
blanches
à la surface du pédoncule, peut même empêcher de
e plus en plus antéro-postérieure; elles étaient précédemment presque
blanches
; les voilà devenues foncées; on peut d'ailleurs r
inue, en dehors de la capsula extrema (LFS, fig. 77), avec les fibres
blanches
qui convergent vers la lame médullaire externe du
oin (ARC, pl. XXYI). LFS. La capsula extrema (fîg. 67) ou substance
blanche
innommée de Vinsula, ou moelle de finsula, est un
st entamé par le couteau à son sommet, qui est recouvert de substance
blanche
réticulaire, ainsi qu'on le constate sur les coup
postérieure. Mais déjà apparaît, en haut et en dehors de la substance
blanche
qui le recouvre, une masse grise qui appartient
rée de tous les faisceaux qui l'environnent par une véritable capsule
blanche
(CGE). Mais ce n'est là encore qu'une apparence,
t pas encapsulé. Nous dirons plus loin la raison d'être de cette lame
blanche
. Il faut que nous signalions ici un petit fait
ugineuse, qui semble isolée et comme perdue au milieu de la substance
blanche
de l'isthme. Elle sépare absolument l'étage inf
lleux supérieur abandonne quelques fibres au locus niger. Substance
blanche
. PV. Le pont de Varole (fig. 79, 83) présente u
e sur les sections suivantes, 84, 85. Il est entouré par la substance
blanche
du stratum zonale. Ce faisceau blanc (IIAP) se co
l est entouré par la substance blanche du stratum zonale. Ce faisceau
blanc
(IIAP) se confond d'ailleurs avec le stratum zona
corps genouillé externe (GE); on voit une lame médullaire de couleur
blanche
appartenant âu corps genouillé se présenter à ce
nia semi-circularis est visible sur la coupe 81 où il a la coloration
blanche
qui correspond à la direction transversale de ses
passe par le stratum zonale (GE, fig. 79), la couronne rayonnante est
blanche
; lorsqu'elle passe par la lame grise du corps ge
es avec la lame grise ; lorsque la coupe passe à la fois par une lame
blanche
et par une lame grise du corps gcnonillé (fig. 82
82), la couronne rayonnante paraît s'insérer sur le sommet de la lame
blanche
: celle-ci a été appelée quelquefois capsule du c
à la corne d'Ammon tapissée par l'alveus (ALV, fig. 88). Substance
blanche
. CAM. Corne d'Ammon. Des modifications importan
milieu de laquelle apparaissent des taches (fig. 88), puis des stries
blanches
(fig. 89). Les stries en question sont les derniè
llon de l'hippocampe. De toutes parts il est tapissé par la substance
blanche
de la lame médullaire (LMA) et de la fimbria. F
ipe, de cette façon, à l'enveloppement du crochet par de la substance
blanche
. On peut constater en outre qu'elle tend de plus
concentriques à la lame médullaire externe (LML, fig. 88). Ces bandes
blanches
(stries médullaires — striœ medullares thalami op
) est une lame verticale de substance grise située entre la substance
blanche
de l'insula (LES, 89) et la capsule externe (CE,
uillé externe (fig. 85, 86 et suiv.), d'abord enveloppé de sa capsule
blanche
et constitué en apparence par une masse grise uni
sse grise uniforme, présente sur les coupes 87, 88, 89, 90 des stries
blanches
demi-circulaires, et concentriques à sa capsule.
sa face supérieure et à sa face inférieure, par une lame de substance
blanche
, l'accompagnant dans ses replis. Nous pouvons a
la capsule du corps genouillé, n'est donc pas autre chose que la lame
blanche
supérieure de la couronne rayonnante. Substance
que la lame blanche supérieure de la couronne rayonnante. Substance
blanche
. PY, Le pont de Varole (fig. 87) ne présente pl
ît à ce niveau, il y a à distinguer deux ordres de fibres. Les stries
blanches
appartiennent au faisceau pyramidal et correspond
(Cl). C'est à cette lame latérale qu'aboutissent toutes les stries
blanches
de la couche optique; ou, si l'on préiere, c'est
CE. La capsule externe (fig. 89), exclusivement composée de fibres
blanches
verticales, s'étend dans toute la hauteur du clau
LFS. La capsula extrema (fig. 89) ou moelle de l'insula, ou substance
blanche
innominée, est cette petite bande de substance mé
ue la corne d'Ammon ; c'est la môme superposition des lames grises et
blanches
, dans un sens et suivant une courbure inverses du
NR. Le noyau rouge de la calotte, enveloppé d'une couche de substance
blanche
appartenant aux fibres les plus extérieures du pé
traversé de haut en bas et de dedans en dehors par de petits tractus
blancs
qui appartiennent au nerf moteur oculaire commun.
coupe 95 elle a disparu. On ne voit à sa place qu'une petite surface
blanche
, disposée en croissant avec une convexité supérie
nt arrêtée surtout au niveau de la convexité supérieure. La surface
blanche
(qui est à la limite du corps genouillé externe e
rie. C'est par hasard que le couteau a divisé ici cette première lame
blanche
. PUT. Le putamen (fig. 91, 92, 94, 95) est le s
uivantes. CL. Le claustrum, ou avant-mur (fig. 95, 94). Substance
blanche
. PV. Le pont de Varole esL sectionné ici au mil
P. Le faisceau pyramidal (fig. 91), formé d'une belle masse de fibres
blanches
, passe, d'une seule traite, de la capsule interne
dernier faisceau est ainsi désigné parce qu'il provient d'une couche
blanche
de fibres sous-jacentes aux deux segments interne
les fibres de l'anse. Celles-ci émergent toutes ensemble d'une bande
blanche
sous-jacente à la lamina tegmenti (LTE) et qui n'
CE. La capsule externe (fig. 94) est la lame verticale de substance
blanche
qui est interposée comme une cloison d'épaisseur
n verticale, ou presque verticale, ainsi qu'en témoigne la coloration
blanche
de la capsule externe au contact du putamen. — Où
et le stratum zonale. LFS. La capsula extrema (fîg. 95, 96), encore
blanche
dans toute son étendue verticale, au contact de l
het (Une) se mélangent intimement. La substance grise et la substance
blanche
de la corne d'Ammon se continuent, sans aucune dé
sans aucune démarcation, avec la substance grise et avec la substance
blanche
de Vvncus,{{ig. 97, 102); on se rend compte aisém
on de l'hippocampe (Hip), recouvert par une mince couche de substance
blanche
(LMA). Celle-ci est la substance réti-culaire d'A
masse grise bien isolée, enveloppée de tous côtés par de la substance
blanche
et faisant saillie au-dessus et en dehors du noya
al postérieur (RFP, fig. 102). Nous avons déjà signalé la striation
blanche
du noyau de la calotte par de petits faisceaux de
à cette couche de fibres le nom de zona incerta (Forel). Substance
blanche
. Ici le tronçon protubérantiel n'est pas représ
ce grise de la couche optique. Il en est séparé par une mince lamelle
blanche
venue du faisceau tegmento-thalamique (CAO) et qu
ction du tœnia (Ta?) entre la queue du noyau caudé (NGC), et la laine
blanche
qui recouvre la i'ace extérieure du noyau amygda-
urer exactement de leur provenance; elles vont du tsenia à la lamelle
blanche
qui recouvre la On doit supposer que la queue d
rieure de la corne d'Ammon, qu'on reconnaît encore ici à la substance
blanche
du recessus antérieur de l'hippocampe (RAIL fig.
he du recessus antérieur de l'hippocampe (RAIL fig. 108) et à la lame
blanche
de l'alveus (ALV). A la face interne de l'hémis
e du noyau lenticulaire (ANL, fig. 104). Plus en avant, les faisceaux
blancs
du pédoncule se placent au contact de la substanc
t toujours tapissé, en haut comme en bas, par une couche de substance
blanche
, qui est la continuation de la lame médullaire de
on voit à quel point la fusion est intime. ALV. L'alveus, substance
blanche
(fig. 108), enveloppe de toutes parts la lamina c
phénoïdal, dont il forme la voûte, est longé en dehors par les fibres
blanches
du faisceau sous-optique (BSO). Il n'est pas immé
n voit courir obliquement dans l'aire du noyau amygdalien, des stries
blanches
, dirigées en haut et en dehors Ces fibres, comme
é déjà, mais sur quelques points seulement, par une petite bandelette
blanche
que nous étudierons et qui appartient aux fibres
isole avec une grande netteté; presque toujours recouvert par la lame
blanche
du stratum zonale, il reçoit à sa face inférieure
nce grise, de manière à constituer autour d'elle une sorte de capsule
blanche
. Après un parcours d'une longueur variable à la s
grise centrale) qui ne présente cette stratification de la substance
blanche
, dans toute son étendue, c'est-à-dire partout où
'il laisse entrevoir à l'œil nu la disposition concentrique des lames
blanches
qui le pénètrent, a toujours un développement plu
énètrent. On observe en général deux zones concentriques de substance
blanche
: là, la zone interne reçoit selon toute vraisemb
core toute la région du fond de l'insula (voy. pl. XXIX). Substance
blanche
. BO. Bandelette optique (104, 105, 106, 107).
outefois qu'il est constitué par les lames concentriques de substance
blanche
qui enveloppent le ganglion interpédonculaire (GI
de l'hémisphère (voy. pl. XXXV, fig. 6) nous font voir que la couche
blanche
des fibres qui recouvrent le discus lentiformis n
omme un noyau presque absolument isolé par des faisceaux de substance
blanche
étalés en lames à sa surface; et elle n'est, en e
st un faisceau bien compact, au milieu duquel on distingue des stries
blanches
verticales. Ces stries convergent vers le noyau c
et nous les y voyons s'y enfoncer (fig. 107) sous l'aspect de stries
blanches
, obliques en bas et en dedans, convexes en bas et
du putamen; il en est séparé maintenant (fig. 107, 108) par une lame
blanche
, qui appartient à la capsule externe. CIF. Le s
ans tout son développement vertical sur la coupe 108, est ce faisceau
blanc
, Disposition hélicoïdale du faisceau de Vicq-d'
ce interne de celui-ci. Son extrémité supérieure aboutit à la capsule
blanche
sous-jacente au tubercule antérieur de la couche
tubercule mamillaire de façon à lui constituer une véritable capsule
blanche
, arrivent jusqu'à la partie postérieure de ce gan
es. Nous en aurons une preuve plus évidente en étudiant les faisceaux
blancs
de cette région (voy. BSO, pl. XXIX). Substance
interne de la cavité ventriculairc. Elle est enveloppée d'une couche
blanche
continue, où s'entremêlent les fibres de l'alveus
evant de cette fissure (fig. 114), il est nettement séparé de la lame
blanche
(TAP) qui formait le plancher ventriculaire et qu
stance grise des taches plus claires, évidemment formées de substance
blanche
, et qui, sur toutes les coupes en série, apparais
de la grosseur d'un pois de petit calibre, tranchent par leur couleur
blanche
sur la substance grise de la base du cerveau à la
eu le mérite de signaler les rapports profonds de ces deux tubercules
blancs
; et si l'opinion qu'il a exprimée sur ce point s
eut pas être considéré comme une boucle du pilier attendu qu'il n'est
blanc
qu'à la surface; c'est un noyau gris, adhérent à
ercule antérieur et interne; 8, fibres du pilier formant la capsule
blanche
du tubercule; 9, faisceau de Vicq-d'Azyr, sorti
elà bandelette optique, s'étendre parallèlement à sa courbure la zone
blanche
de Vanse pédonculaire. — En avant du crochet, la
ision de l'anse pédonculaire en deux couches principales de substance
blanche
séparées par une lame de substance grise. Mais
a difficulté ne réside pas seulement dans la complexité des éléments,
blancs
ou gris, dont se compose l'anse pédonculaire. Ell
nse pédonculaire. Elle réside surtout dans ce fait que les deux lames
blanches
ne sont superposées que dans une très faible part
pas partout L'anse pédonculaire de Gra-tiolet, formée de deux lames
blanches
et d'une lame grise; la lame blanche inférieure (
ra-tiolet, formée de deux lames blanches et d'une lame grise; la lame
blanche
inférieure (ThI) superposée à la bandelette optiq
h) ; là seulement elle se divise en deux couches secondaires. La lame
blanche
supérieure (ANL) ou anse du noyau lenticulaire vi
rticales, elle constitue une cloison de séparation entre deux couches
blanches
. Elle s'étend en dehors jusqu'à la base du putame
. Le putamen, à sa partie postérieure, ne repose pas sur les fibres
blanches
de l'anse du noyau lenticulaire. Il se recourbe d
re plane, à convexité antéro-inférieure située entre les deux couches
blanches
de l'anse pédonculaire. Mais on se rend mal com
reum et la lame terminale. CL. Le claustrum (fîg. 114). Substance
blanche
. BO. La bandelette optique (lig. 110, 112, 113)
ratif des coupes 109, 110, 111, qu'il prend naissance dans la capsule
blanche
de ce tubercule (fig. 109) et dans la substance g
d'origine dans le tubercule mamil-laire (TM) font suite à la capsule
blanche
de ce noyau. Sur la fig. 115 un tout petit faisce
réalablement abandonné une notable portion de ses fibres à la capsule
blanche
de ce ganglion, et particulièrement au stratum zo
est à cet épuisement progressif de ses fibres qu'est due la striation
blanche
déjà signalée précédemment, et qu'on reconnaît su
toujours très précises. Il s'arrête brusquement en bas à une lamelle
blanche
qui est l'expansion ultime du faisceau longitudin
4) n'est plus relié au corps calleux que par le pédicule de substance
blanche
(PEL) qui représente la cloison gauche du septum
n (RIL) paraît interrompue dans sa continuité (fig. 109) par une lame
blanche
descendue de la capsule externe (CE). Mais ce n'e
t 112; enfin elle disparaît encore sur les coupes 113 et 114. La lame
blanche
qui apparaît et disparaît ainsi pour diviser le f
'est pas une véritable cloison continue; c'est une série de faisceaux
blancs
, venus de la capsule, mais distants les uns des a
aquelle est accolée la bandelette optique (BO, fig. 120). Substance
blanche
. BO. La bandelette optique se rapproche du tube
l est constitué par une masse homogène de fibres ondulées, spiroïdes,
blanches
, presque verticales, mais légèrement inclinées en
(TM), d'où émerge le faisceau de Vicq d'Azyr (FVA) ; CA, commissure
blanche
antérieure ; ThI. racine inférieure du thalamus
n'est pas, malgré sa direction dans le plan horizontal, uniformément
blanche
. Cela tient à deux choses : d'abord à la directio
rcularis (fig. 118, 119, 120) se présente sous l'aspect d'une lamelle
blanche
étalée à la surface convexe de la couche optiqu
continue, plus loin encore, toujours nettement séparé de la substance
blanche
sus-jacente au diverticule, et qui n'est autre qu
vertico-transversales passant par le chiasma optique et la commissure
blanche
antérieure. Écorce. Les circonvolutions prése
ire. Au-dessous de ce pilier et un peu en avant de lui, la commissure
blanche
antérieure (CA, fig. 124, 125, 126) est divisée s
e grise de la tête du noyau caudé et celle du septum. La petite strie
blanche
qu'on y aperçoit sur la coupe 126 (Tae) n'est qu'
fig. 1, 5, 4) et par les fibres les plus antérieures de la commissure
blanche
(CA, fig. 9, 10). Sur la coupe vertico-transver
. LAT. La lame terminale (fig. 125, 126), voy. FSL, SG, Substance
blanche
. ANL. L'anse du noyau lenticulaire (fig. 121, 1
ore elles sont représentées simplement (fig. 126, ANL) par un tractus
blanc
situé immédiatement au-dessous et en dehors de la
e du noyau lenticulaire (ANL) et de l'anse du noyau caudé de fibres
blanches
étalée au-dessous de la portion antérieure du noy
en arrière et en bas avec le putamen(PUT).—GLP, globus pallidus.
blanches
, étalée horizontalement au-dessous du noyau lenti
alité qu'une seule, les deux anses représentent l'ensemble des fibres
blanches
, disposées au-dessous d'elles comme une lamelle h
es fibres à l'anse du noyau lenticulaire, sous la forme d'une lamelle
blanche
étalée à sa base, c'est que ces fibres pénètrent
rs et d'avant en arrière. Les unes et les autres forment la striation
blanche
régulière de la capsule interne sur le fond franc
u septum lucidum (PEL) ; du moins il contribue à en former la portion
blanche
, car le septum lucidum est constitué par une mass
haut, c'est-à-dire de l'espace perforé à la commissure, deux tractus
blancs
(OLC) qui jsont des faisceaux de fibres issues de
encore observés. Nous savons seulement qu'elles forment la striation
blanche
du segment antérieur de la capsule interne (CIA)
22, 125) représente donc, au-dessous du noyau caudé, l'anse de fibres
blanches
qui fait suite à l'anse du noyau lenticulaire (AN
places, si bien que la capsule paraît se confondre avec la substance
blanche
de l'espace perforé antérieur; cela tient à ce qu
(fig. 121) sous-jacent à la capsule externe est séparé de cette lame
blanche
par le prolongement inféro-interne du claustrum (
vant par le pédoncule du septum. LÂT. La lame terminale (fig. 127),
blanche
sur la ligne médiane, foncée en dehors, reçoit da
nce grise recouvert, en avant, d'un feuillet commissural de substance
blanche
. Substance blanche. OLM. La racine olfactive
en avant, d'un feuillet commissural de substance blanche. Substance
blanche
. OLM. La racine olfactive moyenne (fig. 127,128
(fig. 127, 128) n'apparaît plus que sous l'aspect d'une petite crête
blanche
à la partie inférieure du putamen. Cette crête se
racine antérieure du thalamus se confond en dehors avec la substance
blanche
de la capsule externe ; mais elle conserve sa tei
bstance grise du septum (GSL). On sait qu'il se compose de deux lames
blanches
accolées, laissant entre elles un intervalle libr
substance grise (GSL) ; une supérieure, mince et formée de substance
blanche
(PEL). La substance grise, sur la coupe suivante
vec l'écorce du tubercule de jonction (TJ, fig. 129). Quant à la lame
blanche
du septum proprement dit (PEL, fig. 151), elle s'
GVE, gyrus vestibuli, recouvert à sa partie postérieure par la couche
blanche
de la substance réliculaire; psp, pédoncule du se
e externe et forment ainsi la partie la plus antérieure de cette lame
blanche
(CE). CE. La capsule externe (fig. 128), large
la cavité ventriculaire. Son pôle antérieur se perd dans la substance
blanche
qui l'enveloppe de tous côtés. Mais sa face supér
ment avec les faisceaux de cette couronne qui en émanent. Substance
blanche
. ce. Le corps calleux (fig. 155), étalé au-dess
ut remarquer surtout sur ces dernières coupes, c'est que la substance
blanche
qui forme le manteau du carrefour garde partout s
e surface de section de l'hémisphère intéressant les deux commissures
blanches
est en effet toujours à peu près le même; on s'en
ispensable de faire passer la première coupe par les deux commissures
blanches
. 11 suffit que la première coupe soit parallèle a
re dans la cavité ventriculaire; elle est adjacente à de la substance
blanche
(OLl). Les fibres qui s'interposent ainsi entre l
rise qui fait suite à l'écorce du cap du lobe carré (CQ). Substance
blanche
. PP. Le pied du pédoncule aborde l'hémisphère a
provient, en grande partie, de la capsula extrema (LFS) ou substance
blanche
qui double l'écorce de l'insula (IN, fijx. 2).
nix, au contraire, se reconnaît facifement (fig. 3) dans la substance
blanche
du lobe carré, en avant de la scissure occipitale
oupes 5 et 6 passent au-dessus de ce noyau. 11 est entouré d'une zone
blanche
qui appartient aux fibres du pédoncule cérébelleu
coloration, déjà claire, indique que le couteau a traversé les fibres
blanches
horizontales de son stratum zonale. Sur la figure
eure, en dedans de la commissure antérieure (CA), quelques trousseaux
blancs
qui représenlent les fibres lenticulo-caudées (AN
respond à la section du tubercule du fascia dentata (ïf). Substance
blanche
. CID. Le segment postérieur de la capsule inter
l'extrémité antérieure renflée du globus medialis. Toutes les parties
blanches
situées en arrière et en dedans du segment postér
endant, sur la coupe 8, on le reconnaît encore vaguement; une lamelle
blanche
le sépare du globus pallidus. NCC. La queue du
le du fascia dentata pour se continuer avec la lyre (LY). Substance
blanche
. ce. Le corps calleux, sectionné en avant et en
et d'avant en arrière pour constituer le pied du septuni et la couche
blanche
antérieure de la lame terminale. AR. Le faiscea
es et sont divisées suivant le plan môme de la coupe. I Substance
blanche
. TRp. Le pilier postérieur du trigone (fig. 10)
ig. 10) fait suite à la fimbria. 11 est exclusivement formé de fibres
blanches
, horizontales, dirigées d'arrière en avant. Il ne
arqué vient précisément de l'opercule; transversal dans la substance
blanche
de l'opercule, il devient vertical au voisinage d
mières coupes horizontales passent par le milieu des deux commissures
blanches
(CA. et CP). Toutefois, en raison de la courbure
ire. Figure 1. COUPE HORIZONTALE PASSANT PAR LES DEUX COMMISSURES
BLANCHES
Écorc3. GR. Le gyrus rectus occupe la plus gr
ont une teinte foncée, confondue avec celle de l'écorce; 2" la couche
blanche
de la lame terminale (LAT) dont les fibres, égale
. LMA. La substance réticulaire d'Arnold est la couche de substance
blanche
qui tapisse le fasciola cinerea (Fci), au moment
l'amas de substance grise du ganglion de l'habénule (GH). Substance
blanche
CA. La commissure antérieure, coupée sur la lig
PV). Figure 2. COUPE HORIZONTALE PASSANT PAR LES DEUX COMMISSURES
BLANCHES
Écorce Malgré une notable différence dans les
grise de la lame terminale (LAT), est strié par de nombreux faisceaux
blancs
qui traversent le segment antérieur de la capsule
re du noyau rouge (NR) et le ganglion de l'habénule (GH). Substance
blanche
. Tout ce qui est relatif à la commissure antéri
te des fibres striées qui en occupaient la partie moyenne. Cette lame
blanche
représente les fibres capsulaires qui prennent la
eps ; elles représentent la base de la corne d'Ammon, dont la saillie
blanche
dans la cavité ventriculaire n'est autre chose qu
coupe normale, c'est-à-dire la coupe passant par les deux commissures
blanches
. On peut constater que l'aspect de ces quatre sur
de la substance réticulaire d'Arnold (fig. 3, LMV)' dans la substance
blanche
de l'hémisphère, au niveau du tubercule de joncti
étend de dedans en dehors, 1. On Fa appelée, à ce niveau, substance
blanche
corticale ou réticulée du tubercule olfactif; mai
). Il n'est séparé du noyau de l'anse (GAP) que par une mince traînée
blanche
appartenant à la bandelette sous-optique ; 8° L
au amygdalien (NA) est entouré, sur tout son pourtour, par une couche
blanche
. Cette couche, qui lui forme une sorte de capsule
ndelette optique, fortement adhérente à ce lobule, confond ses fibres
blanches
avec celles de cette capsule. Figure 2. Le ti
ius. A la partie la plus postérieure de l'espace perforé, une traînée
blanche
, venue de la face interne (psp), se porte en deho
). En dedans il est séparé de l'écorce de l'hippocampe par la capsule
blanche
que nous avons signalée sur la coupe de la figure
terne [soi) et que, de toutes parts, elle est enveloppée de substance
blanche
. La traînée claire qui la limite en arrière et qu
assez aisément. Ces coupes donnent le détail des parties grises et
blanches
dont on trouve déjà un aperçu sur la figure 3 de
re du splenium, la substance réticulaire d'Arnold (LMA). Cette couche
blanche
revêt le fasciola cinerea. Le fascia dentata (Fd)
Lame festonnée. LES. Capsula exlrema, moelle de l'insula, substance
blanche
innominée de l'insula. Lm. Lamina medialis, por
de la couche horizontale de Reil, lamina ad, pedunculum. LMA. Lame
blanche
corticale de la corne d'Ammon, substance réticula
xxxix, 30 Gyrus vestibuli (GYE)................ lvu, 415 L Lame
blanche
de la corne d'Ammon (LMA)...... . . . . . 445 L
sses centrales et indiqué quelle est la direction générale des fibres
blanches
, que je groupai artificiellement pour cette étude
r le système nerveux central est con-sacrée à l'étude de la substance
blanche
et à celle des noyaux de substance grise; à la co
formation, le groupement et la direction des divers genres de fibres
blanches
; l'apparition des noyaux de substance grise, leur
tion; leurs rapports entre eux, ainsi qu'avec les faisceaux de fibres
blanches
, la substance grise des circonvolutions et la moe
ologues, sont formés par deux substances diversement réparties, l'une
blanche
, l'autre grise, possédant chacune des attribution
nce grise est une ag-glomération de cellules nerveuses ; la substance
blanche
est constituée par des fibres nerveuses, ou tubes
son de ces faisceaux de fibres nerveuses qui constituent la substance
blanche
. (1) E. Gavoy, Recherches sur l'amplitude des m
ION SPÉCIALE — RÉPARTITION DE LA SUBSTANCE GRISE ET DE LA SUBSTANCE
BLANCHE
CHAPITRE I. — CERVEAU. Le cerveau est formé p
un plan déterminé, reliés intérieurement par des faisceaux de fibres
blanches
, à deux noyaux de substance grise, principaux cen
offre, au milieu de la substance corticale, l'aspect d'une bandelette
blanche
désignée sous le nom de ruban de Vicq-d'Azyr (Pl.
les circonvolutions du lobe occipital, sous la forme d'une bandelette
blanche
. Cette bandelette, signalée par Vicq-d'Azyr, est
type général. Les trois couches à noyaux correspondent à la traînée
blanche
médiane, nommée ruban de Vicq-d'Azyr. Ces divis
tre, d'une couleur foncée, de peu de consistance, striée de filaments
blancs
, formée par une agglomération de cellules nerveus
ommet en dedans. Elle est divisée en trois segments par des faisceaux
blancs
verti-caux {laminœ meclullares) ; des fibres tran
tre une dépendance (Pl. XXII, 13 et XL, 6). ARTICLE II. — SUBSTANCE
BLANCHE
DU CERVEAU. La substance blanche du cerveau est
XL, 6). ARTICLE II. — SUBSTANCE BLANCHE DU CERVEAU. La substance
blanche
du cerveau est formée par des fibres nerveuses ou
s cor-puscules conjonctifs étoiles et fusiformes. Toutes les fibres
blanches
, quel que soit leur ordre, pénètrent suivant un m
la substance grise. Les fibres nerveuses se réunissent en un faisceau
blanc
au centre de la circonvolution, puis elles s'étal
eau homologue du côté opposé. Ce groupe de fibres, nommé commissure
blanche
antérieure, décrit par conséquent un arc de cer
ceau très distinct part du lobe olfactif et se réunit à la commissure
blanche
antérieure. Ce faisceau n'apparaît pas très nette
ne saurait être positivement affirmée, quoiqu'on trouve un fascicule
blanc
dans la tête du corps strié, présentant quelque a
ns les maladies du cerveau. térieure des ventricules en un faisceau
blanc
à direction antéro-postérieure légèrement curvili
rcules mam1llaires. - conarium. Arrivées au-dessus de la commissure
blanche
antérieure, ces deux bandelettes se séparent, se
me (Pl. III). - Vicq-d'Azyr a décrit un faisceau spiroïde de fibres
blanches
, verticalement dirigé de haut en bas, qui s'étend
tes de Fhippocampe envoient des fibres au septum lucidum et un cordon
blanc
très grêle ou conarium. Ce dernier fascicule, con
de pinéale émet de sa base dans chaque hémisphère trois prolongements
blancs
appelés pédoncules antérieurs, moyens et inférieu
an. Les pédoncules postérieurs ou inférieurs croisent la commissure
blanche
posté-rieure, s'inclinent en bas et en dehors et
ngements sont en continuité avec les fibres nerveuses de la substance
blanche
(Pl. VI, 17; XXVI, 25; XXXIII). La dimension de
l préside à la coordination des mouvements. article ii. — substance
blanche
du cervelet. Au premier aspect, la substance mé
ents de l'encéphale, par de la substance grise et par de la substance
blanche
. Ces éléments nerveux présentent dans les diver
Dans la moelle épinière, la substance grise est entourée d'une écorce
blanche
for-mée de fibres nerveuses, groupées en faisceau
et la protubérance jusqu'à la base du ventricule moyen. Les faisceaux
blancs
, qui forment les cordons de la moelle, présentent
res qui s'irradient en avant et en dehors. article iii. - substance
blanche
du névraxe. En traversant le collet du bulbe, l
cus niger. Le pédoncule cérébral semble ainsi partagé en deux moitiés
blanches
: l'une forme Y étage inférieur (pes, crusta) ; l
constitue, par son entre-croisement avec son congénère, la commissure
blanche
postérieure, et se perd dans la couche de substan
du cerveau [circonvolution du lobule occipital interne). a. Liséré
blanc
ou ruban de Vicq-d'Azyr, compris entre la zone su
ux faces sont unies entre elles par un gros faisceau aplati de fibres
blanches
, nommé corps calleux (13), de 6 à 8 millimètres d
termine par un crochet nommé bec du corps calleux. Un petit faisceau
blanc
, désigné sous le nom de pédoncule du corps calleu
mis-surantes ; le bord inférieur se fixe sur une bandelette de fibres
blanches
, le trigone cérébral. Ces deux lames laissent ent
a la forme d'un ovoide dirigé d'avant en arrière. Sa face supérieure,
blanche
et convexe, est recouverte par les bandelettes gé
is, 1882. La face interne est grisâtre et traversée par un filament
blanc
, le pédoncule supérieur de la glande pinéale ou h
ge pituitaire. Il est fermé à la partie postérieure par la commissure
blanche
postérieure, petit faisceau de fibres blanches di
ieure par la commissure blanche postérieure, petit faisceau de fibres
blanches
disposé transversalement, et par la glande pinéal
e choroïdienne (13). La partie antérieure est close par la commissure
blanche
antérieure (6) et les piliers antérieurs du trigo
n avant. Ces pédoncules sont formés par deux gros faisceaux de fibres
blanches
émergeant de la protubérance ; ils interceptent e
évidence la disposition arbo-rescente des prolongements de substance
blanche
dans l'intérieur de la substance grise corticale
n qu'on désigne sous le nom d'arbre de vie. Une lamelle de subs-tance
blanche
gagne le bord inférieur des tubercules quadrijume
ant, au milieu d'un amas de substance grise, les fibres transversales
blanches
appartenant aux pédon-cules cérébelleux moyens et
partenant aux pédon-cules cérébelleux moyens et les fibres verticales
blanches
issues du bulbe rachidien. 17. — Section du bul
aphé médian, la substance grise centrale du bulbe (18) et un faisceau
blanc
à la région pos-térieure, les pyramides postérieu
tudinales qui constituent le gyrus reclus; au-dessus, sont les fibres
blanches
de la circonvolution frontale interne, aboutissan
u trigone. En avant, le pilier antérieur passe derrière la commissure
blanche
(6, Pl. II), gagne le tubercule mamillaire corres
aît le noyau rouge de Stilling, en rapport avec un faisceau de fibres
blanches
, formépar les pédoncules cérébelleux supérieurs a
substance grise du locus niger, qui recouvre une couche de substance
blanche
, formant l'écorce du pédoncule cérébral (pes, cru
sé horizontalement et verticalement par de petits faisceaux de fibres
blanches
; elle est séparée de la cavité du quatrième vent
a cavité du quatrième ventricule par un groupe de faisceaux de fibres
blanches
, qui s'étend du bulbe rachidien au pédoncule céré
orticale des circonvolutions, circonscrivant de toute part les fibres
blanches
médullaires. Aux lobulus cunéiforme, extremus de
et lingualis, cette substance grise est parcourue par un petit liséré
blanc
nommé ruban de Vicq-d'Azyr. Les scissures délimit
ntricules latéraux. Sur ce noyau apparaît la section de la commissure
blanche
antérieure (6) et le mode de péné-tration du fais
es tubercules quadrijumeaux. En avant apparaît un fais-ceau de fibres
blanches
(28) appartenant aux fibres spinales postérieures
t aux fibres spinales postérieures ; plus loin est un petit fascicule
blanc
(29), faisant partie de la commissure blanche pos
in est un petit fascicule blanc (29), faisant partie de la commissure
blanche
postérieure. Gavoy. — Encéphale. 9 V. — Enc
é. La bandelette optique (8, Pl. IV) est réduite à un étroit faisceau
blanc
; la coupe de la commissure blanche antérieure (6
V) est réduite à un étroit faisceau blanc ; la coupe de la commissure
blanche
antérieure (6, Pl. IV) conserve ses mômes dimen-s
rieur de la substance grise du noyau intraventricu-laire en filaments
blancs
dont l'extrémité devient de plus en plus fine. Ce
uysii. La couche optique reçoit également l'épanouissement des fibres
blanches
d'une autre source qui vont s'atténuer dans la su
'effilant en arrière et en haut. Elle est traversée par la commissure
blanche
antérieure (5) et reçoit en avant et en bas les f
e en haut et en arrière ; elle est pénétrée par de nombreux filaments
blancs
qui s'amortis-sent dans samasse. La section de la
s blancs qui s'amortis-sent dans samasse. La section de la commissure
blanche
antérieure (5, Pl. VI) conserve sa forme circulai
les noyaux jaunes du noyau lenticulaire du corps strié que les fibres
blanches
de la capsule interne séparent du noyau intravent
au renversement d'une circonvolution, de telle sorte que la substance
blanche
se trouve envoloppée par la substance grise. En a
eures et moyennes (capsule interne). 12. — Section de la commissure
blanche
antérieure. 13. — Section de la bandelette opti
à peu près tout leur développe-ment; ils sont séparés par une arcade
blanche
qui les a fait diviser en segment interne et en s
e. Au-dessous des noyaux jaunes apparaît la section de la com-missure
blanche
antérieure (12, Pl. VIII) et celle delà bandelett
inale (10) de la bandelette optique. 11. — Section de la commissure
blanche
antérieure au niveau de la substance grise du noy
re du corps strié apparaît divisée en trois segments par deux arcades
blanches
. Ces trois segments sont sillonnés transversale-m
Ces trois segments sont sillonnés transversale-ment par des filaments
blancs
provenant de l'épanouissement des fibres spinales
e rayonnante. Au-dessous du noyau jaune est la coupe de la commissure
blanche
antérieure (11, Pl. X); cette coupe sera suivie j
tte coupe longitudinale, dont la substance grise entoure la substance
blanche
. Le bord supérieur et interne porte un épais cord
substance blanche. Le bord supérieur et interne porte un épais cordon
blanc
désigné sous le nom de bandelette ou tœnia de Y h
formé par le pilier postérieur du trigone; il s'applique sur l'écorce
blanche
de la corne d'Ammon, s'effile et se perd dans le
olfactif et celles du tœnia semi-circularis forment de fines traînées
blanches
dans sa substance. Le lobe sphenoidal est séparé
ubstance grise de l'hippo-campe est revêtue d'une écorce de substance
blanche
et contient dans son intérieur également une couc
nche et contient dans son intérieur également une couche de substance
blanche
. Cette substance grise est pénétrée par les filam
bstance blanche. Cette substance grise est pénétrée par les filaments
blancs
appartenant au pilier postérieur du trigone. 8.
circonvolutions de l'insula de Reil. 12. — Section de la commissure
blanche
antérieure conservant la forme d'une bandelette c
de composée d'un grand nombre de replis. Elle forme avec la substance
blanche
une surface ovalaire, dont les dimensions s'accro
, qui envoie vers la profondeur de la scissure de Sylvius un filament
blanc
nommé pédoncule du corps calleux. L'ex-trémité po
cale des régions postérieures et internes est parcourue par un liséré
blanc
désigné sous le nom de ruban de Vicq-d'Azyr (8).
mi-circulaire ou taenia semi-circularis ; ce petit faisceau de fibres
blanches
prend son origine au ganglion olfactif (9, Pl. XI
oupement des fibres convergentes de ces mêmes régions. 11. — Liséré
blanc
de la substance grise corticale, désigné sous le
pposé, se prolonge dans la cavité sphénoïdale, s'applique sur'Pecoree
blanche
de la corne d'Ammon et prend le nom de corps bord
8. — Substance grise de la couche optique pénétrée par des filaments
blancs
de fibres cortico-thalamiques. 9. — Réseau fin
térieure et externe de la couche optique (6, Pl. XX). Cette substance
blanche
intermédiaire aux noyaux opto-striés porte le nom
a couche op-tique (6, Pl. XVIII). Cette portion du faisceau de fibres
blanches
, intermédiaire aux deux substances grises, est ap
ns sa masse. 15. — Centre moyen de la couche optique; des fibrilles
blanches
traversent la couche optique, atteignent ce noyau
t ce noyau et la paroi latérale du ventricule moyen. Un petit nlament
blanc
situé sur le bord interne représente la section d
aspect de cordons arrondis. 17. — Section des lamelles de substance
blanche
qui forment la cavité du septum lucidum ; leur fa
recouverte d'une couche de substance grise. Ces lamelles de substance
blanche
adhérent au corps calleux et aux piliers du trigo
gentes sont groupées entre les noyaux opto-striés en un gros faisceau
blanc
appelé capsule interne : ces fibres pénètrent sou
le antéro-postérieure passant sur le bord supérieur de la com-missure
blanche
postérieure. 1. — Portion réfléchie ou genou du
noyau jaune. Il est séparé du segment ex-terne par une petite arcade
blanche
(12), formée par les fibres convergentes antérieu
et, en dedans, un petit faisceau qui paraît provenir de la commissure
blanche
. 17. — Centre postérieur de la couche optique.
s); sa base, tournée en avant, donne nais-sance à trois prolongements
blancs
, fins, dirigés, en avant, latéralement, en bas, a
ar une masse de substance grise, recouverte d'une écorce de substance
blanche
. Ils sont en connexion avec les corps genouillés
noyau lenticulaire. Ils sont séparés l'un de l'autre par un filament
blanc
courbe formé par l'épanouissement des fibres conv
r son bord interne un petit fascicule très fin, issu de la commissure
blanche
postérieure. Cette commissure est formée par un
et en avant des tubercules quadrijumeaux. En avant de la commissure
blanche
postérieure apparaît, sur le bord interne des cou
entre eux la substance grise de la valvule de Vieussens. Un faisceau
blanc
relie la commissure blanche postérieure avec la r
ise de la valvule de Vieussens. Un faisceau blanc relie la commissure
blanche
postérieure avec la région postérieure des couche
ution et les rapports qu'ont entre elles ses deux substances. La lame
blanche
de la convexité a été appelée alveus ; la lame bl
ances. La lame blanche de la convexité a été appelée alveus ; la lame
blanche
ou médullaire de la concavité est nommée subiculm
unes (10). Ces trois segments sont séparés entre eux par deux arcades
blanches
, formées par l'épanouissement des fibres converge
illé interne, plus petit que le précédent. 11 est uni par un faisceau
blanc
aux tubercules quadrijumeaux postérieurs ; les fi
ntricule de la cloison ; en arrière un cordon grisâtre, la commissure
blanche
antérieure limite cette substance grise. Les fi
e horizontale anléro-postérieure passant au niveau de la commissure
blanche
antérieure. 1. — Fibres commissurantes des régi
20. — Section transversale de la partie supérieure de la commissure
blanche
antérieure. On aperçoit par transparence, dans le
à découvert une grande étendue de la portion médiane de la commissure
blanche
antérieure (20, Pl. XXVI), formée par les fibres
x en un gros faisceau arrondi, qui pénètre, sous l'aspect d'un cordon
blanc
, dans l'angle postéro-externe du noyau lenticulai
ro-postérieure passant au niveau du bord inférieur de la commissure
blanche
antérieure. 1. — Fibres commissurantes des régi
ière en avant. 10. — Section de la portion médiane de la commissure
blanche
antérieure; ses branches latérales (10') émergent
i constitue les branches latérales (10', Pl. XXVIII) de la commissure
blanche
antérieure. Les fibres arciformes occipito-fronta
s par un amas de substance grise, recouvert d'une écorce de substance
blanche
, formée en partie par les fibres des piliers anté
ctifs, prismatique et triangulaire, formé par les fibres radiculaires
blanches
et grises. Il occupe la cavité de la scissure olf
la corne d'Ammon ou hippocampe, recouverte d'une écorce de substance
blanche
et de la coupe des piliers postérieurs du trigone
ieussens. Cette valvule est formée par une mince lamelle de substance
blanche
et grise, tendue entre les deux pédoncules cérébe
quadrijumeaux postérieurs. A ce niveau, on aperçoit un petit faisceau
blanc
, arrondi, qui décrit une courbe descendante très
a substance nerveuse de ce centre, où elles s'épuisent. La commissure
blanche
postérieure s'étend transversale-ment d'un côté à
XVIII. — Coupe verticale transverse passant en avant de la commissure
blanche
postérieure. 1. — Portion moyenne du corps ca
Monro. 14. — Section sur la paroi du ventricule moyen des filaments
blancs
(habenœ) qui se rendent à la glande pinéale. 15
ètre vertical; cette membrane est recouverte de fibres de substance
blanche
, qui lui donnent extérieurement l'aspect d'une pe
ées supérieurement par un noyau de substance grise. 26. — Substance
blanche
corticale qui entoure les corps olivaires. 27.
(8; Pl. XL); ce cordon constitue la branche latérale de la commissure
blanche
antérieure. Les fibres convergentes des régions
t ses trois segments et les deux arcades, traversés par des filaments
blancs
très déliés, représentant le mode d'épanouissemen
groupe de fibres verticales. Il est entouré d'une écorce de substance
blanche
provenant en grande partie des pédoncules cérébel
corps calleux. La substance grise corticale enveloppe la substance
blanche
, et donne naissance par sa face interne aux fibre
r 9, Pl. XLIV), qui constitue les branches latérales de la commissure
blanche
antérieure. Les fibres convergentes se dirigent
ulaire. En dedans sont les deux noyaux jaunes, séparés par une arcade
blanche
. Le segment interne est subdivisé par une petite
rcade blanche. Le segment interne est subdivisé par une petite arcade
blanche
, de sorte que le noyau lenticulaire paraît compos
lobe sphénoidal, constituant les branches latérales de la commissure
blanche
antérieure. 10. — Fibres olfactives radiculaire
es par un amas de substance grise, entourée d'une écorce de substance
blanche
, formée par l'enroulement des fibres des pédoncul
que les tubercules mamillaires qui présentent une écorce de substance
blanche
entourant un petit amas de substance grise, trave
he entourant un petit amas de substance grise, traversée de fibrilles
blanches
. Les bandelettes optiques (8 PL XLIV) continuent
nerf olfactif. 8. — Section des branches latérales de la commissure
blanche
antérieure, en con-tiguïté avec la substance gris
III. — Coupe verticale transverse passant en arrière de la commissure
blanche
antérieure. 1. — Portion antérieure du corps
dant et récurrent vers les tubercules mamillaires. 14. — Commissure
blanche
antérieure. Ses branches latérales sont sectionné
trales ne sont plus apparentes. La section étendue de la commissure
blanche
montre la direction des fibres qui la constituent
on origine. Il est composé par la réunion de deux ordres de fibrilles
blanches
: les unes émergent de la substance grise central
les unes émergent de la substance grise centrale, ce sont les racines
blanches
internes ou courtes; les autres l'abordent par le
urtes; les autres l'abordent par le côté externe, ce sont les racines
blanches
externes ou longues; elles proviennent de la subs
lte de la réunion de ces trois racines, est donc composé de substance
blanche
et de substance grise (voir Pl. Ll). L. — Coupe
verticale transverse passant par le bord antérieur de la commissure
blanche
antérieure. 1. — Portion réfléchie ou genou du
tricule moyen. 14. — Section de la portion médiane de la commissure
blanche
antérieure, en rapport avec le segment moyen du n
cupe la région centrale et l'angle supérieur, tandis que la substance
blanche
l'entoure comme une écorce ; que l'arachnoïde et
........... 3 Méninges............................... 4 Substance
blanche
, substance grise.................... 5, DEUXIÈM
TION SPÉCIALE. RÉPARTITION DE LA SUBSTANCE GRISE ET DE LA SUBSTANCE
BLANCHE
..................... 7 CHAPITRE PREMIER. — Cerv
b) corps strié.......................... 13 Article 2. — Substance
blanche
du cerveau................. 14 § 1. Fibres arci
grise du noyau central.................. 24 Article 2. — Substance
blanche
..................... 25 § 1. Fibres arciformes.
x rouges de Stilling..................... 39 Article 3. — Substance
blanche
du névraxe................. 40 § 1. Entre-crois
e antéro-postérieure passant sur le bord supérieur de la commissure
blanche
postérieure..............................94 XXI
upe horizontale antéro-postérieure passant au niveau de la commissure
blanche
an- térieure. ............................. ...
éro-postérieure passant au niveau du bord inférieur de la com-missure
blanche
antérieure...........................[07 XXIX.
XXXVIII. Coupe verticale transverse passant en avant de la commissure
blanche
postérieure. . . 127 XXXIX. Encéphale dont on a
XLVIII. Coupe verticale transverse passant en arrière delà commissure
blanche
antérieure. . . 147 XLIX. Encéphale dont on a d
e verticale transverse passant par le bord antérieur de la commissure
blanche
antérieure...................................15
centre ovale, partie que nous désignerons sous le nom de substance
blanche
non différenciée de l'hémisphère cérébral, elle
me ventriculaire. Leur face externe est recouverte par la substance
blanche
non différenciée du centre ovale, beaucoup plus
al- lèlement à leur axe et qui, traversant obliquement la substance
blanche
non différenciée du centre ovale, ne pénètrent
34). Dans ces différents cas, la zone dégénérée occupe la substance
blanche
non diffé- renciée de la région, le faisceau co
sous-lenticulaire (Cisl) de la capsule interne présentent un aspect
blanc
nacré, resplendissant; le segment pos- térieur
bres du faisceau de Turck (FT) que l'on peut suivre de la substance
blanche
non différenciée du lobe temporal , et du segme
ndante du tronc encéphalique, portant sur la totalité des faisceaux
blancs
et de la substance grise. Elle intéresse non se
et de provenance fort variée : A leur origine et dans la substance
blanche
non différenciée de l'hémisphère, elles s'enche
que jaune intéresse l'écorce et la partie adjacente de la substance
blanche
, mais respecte complètement les noyaux gris cen
nférieur s'irradie dans l'écorce du lobe temporal dont la substance
blanche
est très dégénérée (fibres longues 110 ANATOM
orceps et du bourrelet du corps calleux. Dégénérescence de la masse
blanche
de la face inféro-interne de l'hémisphère. FI
nférieur) (Fli), du faisceau occipital vertical (Ov), de la substance
blanche
non différenciée de la face externe du lobe occ
aisceau longitudinal inférieur, a retenti en outre sur la substance
blanche
du lobe temporal; la première et la deuxième ci
es (RTh), du faisceau longitudinal inférieur (Fli), de la substance
blanche
des circonvolutions temporales, du segment rétr
éres- cence légère du tapetum (Tap), dégénérescence de la substance
blanche
non diffé- renciée de la région temporo-pariéta
mporo-pariétale. Dégénérescence du forceps major et de la substance
blanche
non différenciée de la première circonvolution pa
de déficit du pli courbe limitée à l'écorce et à la sub- stance
blanche
sous- jacente. Dégénéres- cence du segment
t, comme à l'emporte-pièce, l'écorce du pli courbe, et la substance
blanche
sous-jacente de la région, de telle sorte que l
de déficit du pli courbe limitée à l'écorce et à la sub- stance
blanche
sous- jacente. Dégénéres- cence du segment
de déficit du pli courbe limitée à l'écorce et à la sub- stance
blanche
sous- jacente. Dégénéres- cence du segment
L'écorce du gyrus supra-marginalis est ratatinée, mais la substance
blanche
sous- jacente ne participe pas à la lésion prim
va pas en diminuant d'intensité de dehors en dedans, de la substance
blanche
non différenciée àla la paroi ventriculaire, co
ons thalamiques, le faisceau longitudinal inférieur et la substance
blanche
non différenciée du lobe occipital; dégénérescenc
(Fig. 104). Méthode de Weigert. 2/1 grandeur nature. La substance
blanche
des circonvolutions première temporale (Ti) et po
e à l'extérieur, il existe toujours une destruction de la substance
blanche
sous-jacente; le lobule paracentral ne représente
ise de l'operculerolan- dique détruisant l'écorce et la substance
blanche
sous-jacente, sans atteindre le fais- ceau comp
par la ligne B Il de la fig. 11 i). Dégénérescence de la substance
blanche
non différenciée des circon- volutions frontale
ral. Légère diminution de volume delà la pyra- mide bulbaire.
blanche
sous-jacente. La face insulaire de l'opercule
onculaire. Dégénérescence du faisceau uncinatus (Fu), de la substance
blanche
de la pointe temporale, de l'insula (Fig. 12a e
eulement l'écorce du lobe occipito- temporal, mais encore la couche
blanche
sous- jacente et qu'elle atteint, dans le lobe
petites zones de dégéné- rescences qui existent dans la substance
blanche
non différenciées de la première circonvolution
bulbe est intacte. La lésion intéressait l'écorce et la substance
blanche
sous-jacente du lobe temporal, mais ne sectionn
elle portant sur la substance grise et l'ensemble des cor- dons
blancs
. Méthode de Weigert,.6/1 grand, nature. FIBRE
de toute la moitié gauche de la moelle (substance grise et cordons
blancs
). Méthode de Itosin. 6/1 grandeur nature. Cas
la sub- stance giise du tuber cinereum où il con- stitue la strie
blanche
du tubercule cendré, puis aborde le tubercule m
aisceau occipito- frontal, de la capsule externe et de la substance
blanche
des circonvolutions tem- porales. Dégénérescenc
la pointe occipitale; une dégénérescence partielle de la substance
blanche
des circonvolutions temporales, une dégénéresce
Les circonvolutions cérébrales ne sont développées que dans les zones
blanches
des schémas; au niveau des régions teintées, l'
te de substance paraît si étendue, cela tient à ce que la substance
blanche
du centre ovale est excessi- cernent réduite et
1° Que le manteau cérébral de cet hydrocéphale possède une substance
blanche
qui, bien que réduite, contient néanmoins les t
en éventail dans la crête des circonvolutions, forment la substance
blanche
non différen- ciée du centre ovale et se dispos
deux cas, les lésions sous-corticales avaient détruit la substance
blanche
sous-jacente au tiers pos- térieur de la circon
qui atteignent l'épendyme ventriculaire et détruisent la substance
blanche
sagittale sous-jacente. Lorsque les lésions son
ipitale, intéressant plus particulièrement l'écorce et la substance
blanche
sous-jacente des scissures calcarine et collatéra
eux, 1897 : Pick, 1898), tantôt unilatérale et siéger dans la masse
blanche
du lobe temporal gauche, comme dans le cas de Lie
aussi intimement mélangées entre elles que le son[, dans la masse
blanche
non différenciée du centre ovale, les libres de
tions olfactives profondes (1-'tolp)(Fig. 231) formenl la substance
blanche
profonde du pédoncule et du tubercule olfactifs.
l'hippocampe et de la corne d'Ammon sans participation de la masse
blanche
sous-jacente. Dans l'un et l'autre cas, l'atrop
occipito-frontal consécutive à une lésion en foyer de la substance
blanche
sous- jacente à la première circonvolution temp
datant de 22 jours et relevant d'un ramollissement de la substance
blanche
sous-corticale placée sous la partie moyenne de
culaire de Gratiolet c'est-à-dire cette bande de substance grise et
blanche
que l'on voit à l'oeil nu sur un cerveau frais,
Ses connexions ré- tiniennes. quées, alternativement grises et
blanches
, qui décrivent une courbe à concavité postéro-i
tendue, si elle occupe le lobe pariétal et sectionne la sub- stance
blanche
des circonvolutions rolandiques (cas Hilaire, Fig
de l'habenula qui le sépare du : pulvinar; en avant, par un tractus
blanc
qui lui fournil un revêtement de fibres à myéli
tre abandonnés, les recherches modernes ayant montré que ce tractus
blanc
est une dépen- dance de l'habenula et qu'il n'e
X : COUCHE OPTIQUE. 381 le recouvrent en lui formant son revêtement
blanc
, puis pénètrent soit dans le faisceau rétroflex
ew, c'est par la commissure de Meynert, c'est-à-dire par ce tractus
blanc
situé dans le tuber cinereum au-dessus de la band
considérer le corps de Luys comme apparte- nant soif à la substance
blanche
, soit à la substance grise. Ce n'est qu'au vois
au niveau du point où, intimement unis, ils pénètrent dans la masse
blanche
des hémisphères. Mais pour peu que la coupe pas
lles ou circonvolutions. Les plus profonds pénètrent jusqu'au noyau
blanc
central du cervelet et séparent les lobes et le
n post-pyramidal. Les sillons profonds, qui atteignent la substance
blanche
centrale, subdivisent le cervelet en un certain
es sillons du vermis, grâce au peu de développement de sa substance
blanche
cen- trale, sont en général plus profonds que c
de 12 à 14, s'implantent par contre radiairement autour de la masse
blanche
centrale des hémi- sphères dont le développemen
age du pédicule d'in- sertion du lobe postérieur sur la substance
blanche
centrale du cervelet, se continuent directeme
parties hémisphériques (II) par une mince lamelle de substance
blanche
, sorte de crête d'union ou de pédoncule de iorm
'une crête d'union (c) plus ou moins étendue et formée de substance
blanche
incomplète- ment revêtue par l'écorce cérébelle
eux du cervelet. Trois sillons profonds qui atteignent la substance
blanche
centrale du cervelet le divisent en quatre lobes
ide antérieure du bulbe. - Rm, ruban de Reil médian. - Sbc, substance
blanche
centrale ou noyau blanc central du vermis. - se
m, ruban de Reil médian. - Sbc, substance blanche centrale ou noyau
blanc
central du vermis. - sef, grand sillon circonfére
LE. 453 dans le sillon marginal antérieur, d'atteindre la substance
blanche
cen- trale du cervelet, et d'être plus profonds
central. Dans la région du vermis, il atteint généralement la masse
blanche
centrale du vermis (Fig. 336) et sépare le lobe
e- présente en réalité un demi-lobe céré- belleux, dont l'axe
blanc
est formé par les fibres de la valvule de Vieussc
lingula se continue avec le lobe central, s'im- plante sur la masse
blanche
centrale du vermis et des hémisphères, et affec
ale (bv) de l'arbre de vie médian et qui atteint seule la substance
blanche
centrale du vermis (Fig. 336). Dans la région d
ires gagnent rapidement en profondeur, atteignent tous la substance
blanche
centrale, et il résulte de cette disposition qu
horizontale de l'arbre de vie médian, au voisinage de la substance
blanche
centrale du vermis (Fig. 336). La pyramide est
arrière et en dedans; elle occupe la partie interne de la substance
blanche
centrale des hémisphères et empiète en avant sur
u versant supérieur du toit du 4' ventricule formé par la substance
blanche
de la lingula. z/e, nid d'hirondelle. - No, nodul
aire du toit du 4' ventricule. MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE. 473
blanche
centrale du vermis. Elle présente trois faces cou
reliée de chaque côté aux amygdales par une large lame de substance
blanche
, irrégulièrement quatrilatère, connue sous le nom
ailes de la pyramide ; leur bord antérieur, adhérant à la substance
blanche
centrale du cervelet, se conti- nue insensiblem
ventricule de l'olive cérébelleuse et de la mince couche de fibres
blanches
qui la recouvre dans celte région. Les amygdale
belleuse dont elle n'est séparée que par une mince couche de fibres
blanches
appartenant en partie aux ailes de la luette. L
avant de la luette à la partie antéro-inférieure de la substance
blanche
cen- trale du vermis (Fig. 336, 31 )). Plus
e angulaire du 4" ventricule et se réfléchissant sur la substance
blanche
et l'écorce de la face supérieure du nodule pou
(Fig. 315) se détachent deux minces voiles membraneux de substance
blanche
, que leur forme semi-lunaire a fait comparer au
se distingue par sa minceur et sa mobilité, et adhère à la substance
blanche
centrale du cervelet. Il forme avec la paroi su
n ; en dedans, elles s'im- plantent sui un épais faisceau de fibres
blanches
, le pédoncule du flocculus, (p Floc) aplati d'a
rébelleuse (voy. cas Vasseur, Chap. IV), ou détruisent la substance
blanche
centrale sous-jacente (voy. cas Drevel, Chap. I
rance et du pédoncule cérébelleux moyen, et s'enfonce dans la masse
blanche
du cervelet entre les pédoncules cérébel- leux
ncules cérébelleux supérieurs et se prolonge avec eux dans la masse
blanche
centrale du cervelet. Sa surface est convexe et t
tre. La valvule de Vieussens est limitée en haut par une bandelette
blanche
transversale qui correspond à l'entre-croisement
es nerfs pathétiques; elle se continue en haut avec un petit faisceau
blanc
longitudinal et saillant, le frein de la valvul
ventri- cule. Sa base est fixée sur la ligne médiane à la substance
blanche
du nodule (SbNo) et latéralement aux valvules d
ui s'y rattachent. A sa périphérie elle est formée par de minces et
blanches
lamelles nerveuses, atrophiées, variables dans le
oroïdienne inférieure. L'obex (ob) ou verrou est une petite lamelle
blanche
, triangulaire, im- paire et médiane, tendue ent
du 4° ventricule : ils longent la valvule de Tarin et la substance
blanche
du nodule et se pro- longent de chaque côte dan
te dans les diverticules latéraux du 4' ventricule. SbNo, substance
blanche
du nodule. - spe, sillon précentral. - 1"lI"" div
à l'extrémité effilée de la pyramide postérieure et recouvre l'aile
blanche
exlerne, c'est-à-dire la sphère auditive du pla
lexion correspond aux bords des valvules de Tarin et à la substance
blanche
du nodule, c'est-à-dire au bord supérieur de la
x. Les plexus médians s'étendent du trou de Magendie à la substance
blanche
du nodule sous forme de deux minces traînées de g
trou de Magendie. En haut, ils sont unis au-devant cle la substance
blanche
du nodule par un petit cordon transversal qui se
angulaire, médian (fV;, Fig. 336), qui s'enfonce dans la substance
blanche
du cervelet, et de chaque côté deux diverticules
ut à la disposition, au nombre, au trajet et à la saillie de stries
blanches
trans- versales, connues sous le nom de stries
effilée très voisine de la ligne médiane, connue sous le nom d'aile
blanche
interne (apl, Fig. 355), s'élargissent dans l
.la, aire acoustique. «Z,aile grise. ap, area tostrema. - apl, aile
blanche
interne; sa partie externe forme l'area plumi
rieure et inférieure sont séparées l'une de l'autre par une saillie
blanche
et arrondie, irrégulièrement triangulaire ou qua-
e est située en dehors de l'aile grise et connue sous le nom d'aile
blanche
externe. L'extrémité supérieure appartient à la
chcr. Région supérieure. HCglOll bulbaire ou inférieure. Aile
blanche
ex- terne. Aile grise. Aile extrême pos-
ine 8 ou 11 millimètres. On y remarque de dehors en dedans : l'aile
blanche
externe, l'aile grise et l'extrémité inférieure
, l'aile grise et l'extrémité inférieure des funiculi teretes (aile
blanche
inlerne ou tri- gone de l'hypoglosse). L'aile
retes (aile blanche inlerne ou tri- gone de l'hypoglosse). L'aile
blanche
exlerne n'est que la partie inférieure de la zone
inférieure de la zone acous- tique ; elle forme un petit triangle,
blanc
, lisse, légèrement convexe, dont le sommet est
re. Le sommet du triangle regarde en haut et s'insinue entre l'aile
blanche
externe et l'aile blanche interne; son extrémit
regarde en haut et s'insinue entre l'aile blanche externe et l'aile
blanche
interne; son extrémité inférieure, mince et eff
yramide postérieure et est séparée de l'aile grise par un fascicule
blanc
, que l'on peut suivre du bec du calamus jusqu'au
c, que l'on peut suivre du bec du calamus jusqu'au sommet de l'aile
blanche
interne où il se perd, et que Retzius décrit sous
, et que Retzius décrit sous le nom de funiculus separans. L'aile
blanche
interne, ou Irigone de l'hypoglosse, comprend, co
e du bulbe, on constate (voy. Fig. 441, .H2, 443, 444) que : l'aile
blanche
interne correspond au noyau de l'hypoglosse, l'
escendante des nerfs glossopharyngien et pneumogastrique, et l'aile
blanche
exlerne au corps juxtarestiforme et au noyau de D
Il s'étend des tubercules quadrijumeaux postérieurs à la substance
blanche
centrale du vermis; sur la partie médiane, il e
illons lon- gitudinaux. La bande médiane (ms) répond à la substance
blanche
de la liu- gula et à la valvule de Vieussens, e
it segment horizontal formé dans sa partie moyenne par la substance
blanche
du nodule, et dans ses parties latérales par la
te postérieure du nid d'hirondelle, de telle sorte que la substance
blanche
centrale du cervelet atteint dans cette région la
ielle de substance grise, l'écorce cérébelleuse, et d'une substance
blanche
centrale relativement peu considérable. L'éco
réfléchit dans le fond des sillons interlobulaires sur la substance
blanche
centrale du vermis et des hémisphères. Elle s'arr
correspond à l'insertion de la toile choroïdienne sur la substance
blanche
du nodule; de chaque côté elle décrit une courbe
misphères. Sur ces points, toujours . fort restreints, la substance
blanche
apparaît librement à la surface du cervelet et
s grande partie de la face anlérieure du flocculus, où la substance
blanche
visible il l'extérieur constitue le pédoncule d
- pourvus d'écorce. 500 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Substance
blanche
centrale. Ses prolongements périphériques.
ifications den- drinques. Les noyaux gris centraux. Substanco
blanche
centrale. Dimensions et as- pect. Prépara
. Dimensions et as- pect. Préparation de Reil. La substance
blanche
, infiniment moins considérable que l'écorce cér
e cérébelleux à l'autre. Cette masse compacte porte le nom de masse
blanche
centrale, de noyau médullaire du cervelet, de n
e masse blanche centrale, de noyau médullaire du cervelet, de noyau
blanc
central des hémisphères et du vermis. De sa pér
vie du cervelet (Fig. 358 et 339). Dans l'épaisseur de la substance
blanche
centrale, au voisinage du ver- sant supérieur d
lo- Intle ou noyau sphérique et l'embole ou bouchon. 1. SUBSTANCE
BLANCHE
CENTRALE DU CERVELET. La Substance blanche cent
bouchon. 1. SUBSTANCE BLANCHE CENTRALE DU CERVELET. La Substance
blanche
centrale du cervelet atteint ses plus grandes dim
zyr (scf) et à disséquer à l'aide du manche du scalpel la substance
blanche
du cervelet sur le prolongement de ce sillon.
ion de Reil passe au-dessus d'elles et n'intéresse que la substance
blanche
cen- trale qui représente ainsi une sorte de ce
égale épaisseur : l'une, supérieure, mince, comprenant la substance
blanche
immédiatement sous-jacente aux lobes du culmen,
coup plus épaisse, comprenant la plus grande partie de la substance
blanche
centrale du cervelet, les noyaux gris centraux
nche centrale du cervelet, les noyaux gris centraux et la substance
blanche
des lobes de la face infé- rieure du cervelet.
es de la face infé- rieure du cervelet. Ainsi préparée la substance
blanche
centrale occupe toute la largeur du cervelet, e
Sur le segment inférieur de. la préparation de Reil, la substance
blanche
centrale est concave dans la région du vermis
e de vie du vermis. Si la préparation de Reil montre la substance
blanche
centrale dans sa plus grande étendue, elle ne n
travers de cet organe. Elles permettent de distinguer la substance
blanche
centrale des hémisphères, de la substance blanc
guer la substance blanche centrale des hémisphères, de la substance
blanche
centrale du vermis. La substance blanche centra
misphères, de la substance blanche centrale du vermis. La substance
blanche
centrale des hémisphères forme sur les 1'ic.3î.
nche centrale des hémisphères forme sur les 1'ic.3î. - La substance
blanche
centrale du cervelet \ue sur une préparation pa
let. 508 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Aspect do la sub- stance
blanche
cen- trale des hëmlsphc- coupes vertico-trans
bes latérazcx du ce1't'elel. Dans la région du vermis, la substance
blanche
centrale (coupe SI, Fig. 336, p. 452) est infin
't' ventricule. - Tub valv, tubercule valvulaire. - sue, substance
blanche
centrale du vermis. - sef, grand sillon circonfér
- bies dans la région de transition. Aspect de la sub- stance
blanche
cen- trale du vermis sur les coupes vertico-
es quantitatives et consistent en un simple épaississement du noyau
blanc
central et de toutes ses branches, et dans l'ap
e de vie médian se rac- courcissent et s'épaississent, la substance
blanche
centrale sè continue en haut et en avant avec l
sissant, en se raccourcissant el en s'étalant à la surface du noyau
blanc
central, consi- dérablement augmenté de volume,
ugmenté de volume, perdent bientôt leur individualité; la substance
blanche
centrale tend à prendre une forme de plus en plus
ble région de transi- tion, dans laquelle la figure de la substance
blanche
centrale rappelle par certains caractères l'arb
ent par la partie anté- rieure du cervelet (Fig. 316), la substance
blanche
centrale du vermis présente un aspect bilobé, g
et étroit, légèrement concave en bas, qui unit les deux substances
blanches
centrales des hémisphères et correspond à la sect
de la ligne mé- diane une partie assez considérable de la substance
blanche
centrale du vermis (coupe S2, Fig. 359). Il est
ou d'hirondelle dont le sépare une lame assez épaisse de substance
blanche
tapissée par l'épendyme ventricu- laire (coupes
rébelleux et occupe la partie interne et inférieure de sa substance
blanche
centrale. Située au voisinage du vermis, le lon
nucleus lalerali.s noyau lisse, dépourvu de dentelures et de noyau
blanc
central), enfin un noyau antéro-externc (em- bo
MBENCÉPHALE.] 51 : i FiG. 361. - L'olive cérébelleuse, la substance
blanche
centrale des hémisphères céré- belleux et les p
DES CENTRES NERVEUX. Hile de l'olive cé- roheticuso. Substance
blanche
intra-ciliaire. Toison ou sub- stance blanc
cuso. Substance blanche intra-ciliaire. Toison ou sub- stance
blanche
extra- ciliaire. protubérantiel. - Méthode de
t séparés par de profondes incisures et pénètrent dans la substance
blanche
centrale des hémisphères; les plus longs atteigne
ui constitue l'olive céré- belleuse, il existe un amas de substance
blanche
dont la périphérie s'in- sinue dans tous les in
face interne des festons, denlelures et denticules. C'est le noyau
blanc
central dit corps dentelé (nucleus medul- laris
corps dentelé (nucleus medul- laris corporis dentalæ), ou substance
blanche
intra-ciliaire (fie), constitué par un dense fe
festonnée et entrent dans la constitution de la toison ou substance
blanche
extra-ciliaire. La périphérie du corps dentelé
iphérie du corps dentelé est recouverte d'une couche de sub- stance
blanche
, d'épaisseur fort inégale, grâce à la situation e
elleuse sont entourées par contre d'une épaisse couche de substance
blanche
, dans laquelle on distingue trois zones nettement
ntelures et les denticules, est la toison de Stilling, ou substance
blanche
exlra-ciliaire (fec), formée par un dense feutr
rmée par un dense feutrage de fibres, l'homologue de la substance -
blanche
intra-ciliaire. A la partie supérieure et externe
iciel (fsme, Fig. 361), occupe la moitié supérieure de la substance
blanche
centrale des hémisphères et s'entre-croise dans l
lobes et lobules, et que nous désignerons sous le nom de substance
blanche
non différenciée du cervelet ou de feutrage sou
doncules cérébelleux. De la partie antéro-interne de la sub- stance
blanche
du cervelet se détachent les pédoncules cérébelle
volumineux qui se détachent de la partie antérieure de la substance
blanche
des hémisphères, apparaissent à l'extérieur dan
trajet descendant et ne se continue que plus bas avec la substance
blanche
des hémisphères cérébelleux (Fo, Fig. 362). L
aque côté du raphé deux volumineux fais- ceaux arrondis, les noyaux
blancs
de Stilling (Fig. 363 et 392, coupe n° 12 x bis
ise ment supérieur. Grand entre-croisé ment Infériour. Noyaux
blancs
d( Stillin ? Connexions avec 1, noyau rouge
- SRIR, substance gélatineuse de Rolando. SRa, formation réticulée
blanche
ou alba. - Sl1a (car), son segment postérieur ou
continuent avec des fibres longitudinales de la formation réticulée
blanche
ou grise du côté opposé. Olive bulbaire et noya
'étalant au-devant de l'olive bulbaire. - Slia, formation réticulée
blanche
(Formatio relicularis alla), - SRrI, formation
ando. - SRce (cio), couche inter-olivaire de la formation réticulée
blanche
. - l'acl, grosse racine sensitive descendante du
ulares de Lenhossek (1855), l'ensemble du réseau gris et des fibres
blanches
celui de formation réticulée de Deiters (1805).
'entre-croi- sement des pédoncules cérébelleux supérieurs. Le noyau
blanc
de Stilling, les entre-croisements dorsal et ve
pédoncule cérébelleux supérieur après son entre-croisement ou noyau
blanc
de Stilling. - Pul, pulvinar. - Qa, tubercule q
au 364 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. 1 ? rniation rétieu- 1('('
blanche
. l'o mation rét.cu- lio ; . .[se. longitudi
es gris. Il est connu sous le nom de formation réticulée inlerne ou
blanche
(formalio reticularis alba) (SRa, coupe H11, Fig.
IGURATION INTÉRIEURE DU RI10\I13);\CI : I'tlALl : . : i6u réticulée
blanche
par les fibres radiculaires de l'hypoglosse (coup
dans la région moyenne de l'olive bulbaire. La formation réticulée
blanche
et la formation réticulée grise, le noyau respi
SgR, substance gélati- neuse de Rolando. - SRa, formation réticulée
blanche
. - SRg, formation réticulée grise. - Vsd, gross
i- culée subit de nouveaux changements. Dans la formation réticulée
blanche
apparaît sur la ligne médiane Y entre-croisemen
SgR, substance géla- tineuse de Rolando. - SRa, formation réticulée
blanche
. - SRa (cio), la couche interoli- -\aire de la
. - SRa (cio), la couche interoli- -\aire de la formation réticulée
blanche
. - SRg, formation réticulée grise. - Vsd, grosse
ès réduite. Les fibres non entre-croisées de la formation réticulée
blanche
longent la corne antérieure et se continuent av
substance gélatineuse de Rolando. SRa (cio), formation réti- culée
blanche
(couche interolivaire). - TM, trou de Magendie. -
cordon antérieur de la moelle faisant suite à la formation réticulée
blanche
. C13 cordon de Burdach. cn, cordon de Goll. - C
e Iteil médian. partie antérieure, inter-olivaire de la formation
blanche
réticulée (SRa, cio, coupe H17, Fig. 400), mais
losse (XII), en arrière aux autres fibres de la formation réticulée
blanche
(coupes Hll à H17, Fig. 441 à 447, p. 669 à 682
Nci), que le ruban de Reil (Rm) se dégage de la formation réticulée
blanche
et constitue un faisceau distinct, compris entr
pédoncules cérébelleux. Coupe horizontale passant par la substance
blanche
centrale du vermis au-dessus des noyaux du toit
ur. moyen et supérieur, - IW ruban de Reil médian. Sbe, qtibstaiice
blanche
centmle du vermis. - Sgn, substance gélatineuse d
'est épuisé et que la commissure de Wernekink fait place aux noyaux
blancs
, puis aux noyaux rouges de Stilling, le ruban d
ans la région bulbaire. sa fusion avec la iorinationrcttculéo
blanche
. Faisceau central de la calottc. son aspect
est complètement fusionné avec les fibres de la formation réticulée
blanche
. Il occupe la partie postérieure de cette forma
ncéphalique en dehors du raphé, au niveau de la formation réliculée
blanche
et du bile de l'olive. Cette coupe montre très
différents lobes du -ermis, etde l'exiguïté remarquable delasubstance
blanche
, qui affecte la figure si caractéristique de l'
ccupé par le diver- ticule angulaire du to ventricule. La substance
blanche
centrale (Sbc), ou moyeu de cette roue, représe
la branche horizontale de l'arbre de vie médian (bh). La substance
blanche
centrale (Sbc) se réduit à une petite masse ovoïd
ure par l'épendyme du toit du quatrième ventricule. De la substance
blanche
centrale du vermis (Sbc) se détachent, à la man
et semblent n'être que des branches de bifurcation de la subslance
blanche
centrale (Sbc) qui porte encore de ce fait le n
aisseur et sa brièveté, se détache de la partie supérieure du noyau
blanc
central et se porte obliquement en haut et en a
ce profond sillon. Elle se détache de la partie postérieure du noyau
blanc
central, se porte horizontalement en arrière ve
.rez, décussation pyramidale. - Rii, ruban de Reit. - Sbc, substance
blanche
centrale du vermis. - se/, grand sillon circonf
reçoit en outre, au voisinage de son implantation sur la substance
blanche
centrale, l'axe long, grêle et mince de la pyrami
s de moindre dimension qui se détachent directement de la substance
blanche
centrale, deux sont supérieures et deux inférieur
plus souvent, elle s'implante sur l'angle supéro-antérieur du noyau
blanc
central du vermis ; plus rarement, elle se déta
'axe de la lingula se détache de la partie antéro-supérieure du noyau
blanc
central, et présente un trajet coudé; il se dir
que l'axe de la pyramide, se détache de la face inférieure du noyau
blanc
central, au voisinage de l'embouchure de la branc
e vie du lobe médian. Il se déta che de la face inférieure du noyau
blanc
central, en un point diamétralement opposé au poi
en avant, et s'irradie dans le nodule. Au voisinage de la substance
blanche
centrale, l'écorce cérébelleuse de la face supé
ionnés en bas, ces deux groupes de fibres de la formation réticulée
blanche
divergent en haut et l'on voit apparaître dans
ives ; elles consistent en un simple épaississement de la substance
blanche
centrale du vermis (Sbc) et de toutes ses branc
du toit (Nt) de Stilling. L'augmentation de volume de la substance
blanche
centrale, dans ses dimen- sions verticales et s
qui se raccour- cissent et s'épaississent à mesure que la substance
blanche
centrale s'agrandit. L'extrémité postérieure de
table branche principale qui se détache directement de la substance
blanche
centrale. L'axe de la luelle s'est raccourci; i
pyramide anté- rieure. - Rm, ruban de Iteil médian. SGc, substance
blanche
centrale. scf, grand sillon circonférentiel de
s marquée que sur la coupe précédente (S 2, Fig. 410). La substance
blanche
cen- trale s'est épaissie dans le sens sagittal
rtie interne. Des parties supérieure et postérieure de la substance
blanche
centrale se détachent les différents axes du ve
x supérieur (Pes) et envoie un grêle et court axe dans la substance
blanche
sous-jacente. Le nodule n'est plus représenté q
t correspond à la partie postéro-externe de ce lobule; la substance
blanche
tapissée par l'épendyme ventriculaire se prolonge
nt dans la valvule de Tarin (VT), de la même façon que la substance
blanche
de la lingula se continuait, sur la coupe S 1 (
intracérébelleux du pédoncule cérébelleux supérieur. La substance
blanche
du vermis s'accroît rapidement dans cette région
tes branches de l'arbre de vie médian el aux dépens de la substance
blanche
centrale, qui reçoit les pédoncules cérébelleux s
upes S 8 et S9, Fig. 416 et 417) en se fusionnant avec la substance
blanche
centrale des hémisphères. Il en résulte que les
à toute la moitié antérieure de la face supérieure de la substance
blanche
centrale des hémisphères (coupes S 8 et S 9, Fig.
ment dans la région des hémisphères en fusionnant avec la subslance
blanche
centrale (Coupes S6 et S 7). Il en résulte que
ante par une base distincte de celle de l'amygdale sur la substance
blanche
centrale des hémisphères (Coupe S 7, Fi-. 415).
, un petit lobule séparé, sans connexion aucune avec la sub- stance
blanche
centrale et qu'un profond sillon sépare de la moi
'axe commun à la pyramide et à la luette, et imprime à la substance
blanche
centrale une apparence accidentée tout à fait s
ure du lobe grêle s'implante sur la face inférieure de la substance
blanche
centrale, dont les dimensions ont considérablem
'insèrent en avant les lobules du flocculus. Quant à la subslance
blanche
centrale, elle s'accroit du centre à la péri- p
rbre de vie médian, qui se raccourcissent à mesure que la substance
blanche
centrale grandit. Dans la région de transition
de transition (Coupes S 4, S 5, S 6, Fig. 412 à 414), la substance
blanche
centrale augmente subitement : 1° par l'apport co
les lobes de la face inférieure du cervelet envoient à la substance
blanche
des hémisphères un important contingent de fibres
en dehors du nid d'hiron- delle(Coupe S 8, Fig. 416), la substance
blanche
centrale des hémisphères présente déjà sa forme
(bh) de l'arbre de vie médian et par l'apparition, dans la substance
blanche
ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBEINCÉPHALE. 603 F
nsidé- rablement, surtout à sa base d'implantation sur la substance
blanche
centrale (coupe S 4, Fig. 412). Sur les coupes
ment sur les coupes S 6 et S 7 (Fig. 414 et 415), avec la substance
blanche
centrale des hémisphères. Les sillons interlobu
e du lobe central ne s'implante plus direc- tement sur la substance
blanche
centrale, mais sur la brandie verticale (bv) de
ssie et raccourcie, et se raccourcit d'autant plus que la substance
blanche
centrale des hémisphères augmente dans le sens an
pyramide, large et épais, peu ramifié, qui s'insère sur la substance
blanche
cen- trale au voisinage du noyau sphérique (Ngl
tre le nid d'hirondelle (nh) et le lobe digastrique. La substance
blanche
considérablement élargie se continue directement
rin. ETUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. Goy Dans la substance
blanche
centrale, on trouve, au-dessus du nid d'hirondell
ue l'on voit se porter en bas et en arrière, pénétrer dans la masse
blanche
du cervelet et former la paroi supérieure du quat
'émergence du pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs) de la substance
blanche
centrale du cervelet, au-dessus du quatrième ve
ricule (rlV4) et le noyau du nerf cochléaire (NVIIIc). La substance
blanche
centrale des hémisphères ne présente pas encore l
-à-dire le lobe quadrilatère antérieur, s'insère sur la sub- stance
blanche
centrale par un large et épais pédicule; les sill
ais pédicule; les sillons interlobu- laires atteignent la substance
blanche
centrale et leur profondeur égale celle du sill
e à leur base d'implantation, au sur et à me- sure que la substance
blanche
centrale augmente d'épaisseur. Les lobes de la
lobe grêle, s'implantent sur la partie postérieure de la substance
blanche
centrale par un pédicule d'insertion commun, d'
ncore sur la coupe S6 (Fig. 414) sans con- nexion avec la substance
blanche
centrale; l'axe mince, long et grêle du lobe di
l'amygdale de plus en plus réduite de volume, et dont la substance
blanche
s'implante en arrière sur la crête de la luette
ment formé par la valvule de Tarin (VT), mais bien par la subslance
blanche
centrale recouverte par un feuillet pie- mérien
u diverticule latéral du 4e ventl'icule (l'IV 4). Dans la substance
blanche
centrale on trouve encore, sur la coupe S 6 (Fi
ncule cérébelleux moyen (Pcm) dont les connexions avec la substance
blanche
centrale deviennent très manifestes sur les cou
S 9 (Fig. 417) par l'émergence du nerf trijumeau (V). La substance
blanche
centrale des hémisphères augmente de volume, surt
ces deux lobes se fait - grâce à l'ac- croissement de la substance
blanche
centrale - par deux bases d'implantation distin
iée des axes des différents lobes et lobules autour d'une substance
blanche
centrale de forme ovalaire et de dimen- sion re
isparu et on trouve à sa place la partie inférieure de la substance
blanche
centrale, consi- dérablement augmentée de volum
pochette festonnée, close de toute part; elle circonscrit une masse
blanche
centrale, riche r c. '>1 \), - L'arbre de vi
s sens ; c'est le corps ou feu- trage inlraciliaire (fie), le noyau
blanc
central de l'olive cérébelleuse. A la surface e
le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm). Tout le reste de la substance
blanche
centrale de l'hémisphère cérébelleux est consti
nom de feutrage sous-lobaire (fsl). Il est l'homologue de la masse
blanche
non différenciée du centre ovale de l'hémisphèr
te de l'étude de cette série de coupes sagittales, que la substance
blanche
centrale du cervelet présente un aspect spécial
ceau épais et volumineux, sans con- nexion encore avec la substance
blanche
du cervelet. Il est traversé par les fibres rad
itif du trijumeau et sectionne la partie supérieure de la subslance
blanche
centrale des hémisphères cérébelleux. L'étage a
s connexions du pédoncule cérébelleux moyen (Pcm) avec la substance
blanche
du cervelet sont très manifestes sur cette coupe,
Fo) (voy. Fig. 349, p. 481) et ne s'infléchissent vers la substance
blanche
du cer- velet que plus bas, aii voisinage du si
trijumeau. La moitié postérieure de la coupe sectionne la substance
blanche
centrale du cervelet au-dessus de l'olive céréb
cérébelleux moyen (Pcm) forme la plus grande partie de la substance
blanche
centrale des hémisphères cérébelleux; sa partie i
égion protubérantielle moyenne et ses .connexions avec la substance
blanche
centrale du cervelet. - La voie pédonculaire et s
e cérébelleux supérieur. - Rm, ruban de Reil médian. Sbc, substance
blanche
centrale du vermis. - SgR, substance gélatineuse
us aurons à revenir dans cette série de coupes. Dans la substance
blanche
centrale du cervelet, on retrouve les trois péd
ur (Pcs). Dans la région du vermis, la coupe passe par la substance
blanche
centrale (Sbc) et intéresse la couche de fibres
s noyaux du toit (xNt). A la partie postéro-externe de la substance
blanche
centrale des hémisphères, on Bibliothèque des I
transition, mais divergent en dehors et se perdent dans la substance
blanche
non différenciée de l'hémisphère cérébelleux.
ons principales que présente cette coupe portent sur la sub- stance
blanche
centrale et les noyaux gris centraux du cervelet.
s connexions du pédoncule cérébelleux moyen (Pcm) avec la substance
blanche
centrale des hémisphères et la disposition des
ion protubérantielle inférieure et ses connexions avec la substance
blanche
centrale du cervelet. - Les trois pédoncules céré
ns la constitution du cervelet, l'exiguïté relative de la subslance
blanche
, les connexions de cette substance avec le tron
ig. 432) passe au-dessus de l'olive cérébelleuse et de la substance
blanche
centrale du vermis; elle sectionne en avant le pé
périeur de Vicq d'A : YI' (ssV), est sans connexion avec la substance
blanche
ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 613 ce
axes du lobe quadrilatère antérieur et du culmen avec la substance
blanche
centrale du cervelet, sont seules manifestes sur
ules manifestes sur cette coupe qui passe au-dessus de la subslance
blanche
centrale du vermis. Dans la branche verticale d
tous les sens et qui constitue la masse principale de la substance
blanche
centrale des hémisphères. Les fibres du groupe
s de la protubérance, tandis qu'elles s'ef- FiG. 33. - La substance
blanche
du cervelet; ses fibres semi-circulaires externes
obliquement, elles n'occupent plus toute la largeur de la substance
blanche
centrale, mais sont rejetés en dehors et en ded
lons hot et pré-centraux, immé- diatement au-dessus de la substance
blanche
centrale du vermis. Sur la moitié droite de la
n, externe (fsme), qui traverse la plus grande partie de la substance
blanche
centrale des hémisphères et se continue directe
orme (Cj). Coupe C 3 (Fig. 434). Cette coupe passe par la substance
blanche
centrale du vermis au-dessus du noyau du loit e
ième ven- tricule. - 177), quatrième segment du facial. substance
blanche
centrale des hémisphères. Les circonvolutions du
C 1 (Fig, 432), des îlots entièrement indépendants de la substance
blanche
centrale des hémisphères et séparés du lobe qua
nt les deux lobes quadrilatères postérieurs entre eux. La substance
blanche
centrale du vermis est très réduite dans le sens
HIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 649' Fig. 435. - Le cervelet; sa substance
blanche
, ses noyaux gris centraux, ses connexions avec
re, beaucoup plus réduite, est convexe et correspond à la substance
blanche
de la lingula. Les faces latérales sont convexes
cédente ; elle n'en diffère que par la disposition de la substance
blanche
centrale du vermis, dont les dimensions antéro-
occupe avec les noyaux du toit la presque-totalité de la substance
blanche
centrale du vermis. Toutefois il existe, en ava
QUE DU RHOMBENCÉPHALE. ti ? 1 FiG. 43G. - Le ceivelet; sa substance
blanche
, ses libres semi-circulaires externes et intern
r; à droile ce dernier s'insère par un de ses axes sur la substance
blanche
centrale. Les lamelles cérébelleuses situées au
deux lobes quadrilatères postérieurs droit et gauche. La substance
blanche
centrale du vermis, intéressée il sa partie pos
- tiennent au noyau sphérique ou globule (Ngl). Dans la substance
blanche
centrale, les fibres semi-circulaires externes (f
che horizontale de l'arbre de vie. L'olive cérébelleuse, la substance
blanche
centiare des hémisphères, les pédoncules du ilo
ieur du cervelet, du pédoncule cérébelleux moyen et de la substance
blanche
centrale du vermis. Elle intéresse la partie supé
re de vie (bh) et le pédoncule du flocculus (PFloc). La substance
blanche
centrale des hémisphères se présente sur cette co
irconférentiel (scf). Autour de l'extrémité externe de la substance
blanche
centrale, s'implantent les nombreux et importan
r; quant à la partie moyenne de la face postérieure de la substance
blanche
centrale des hémisphères, elle est tapissée par
du bourgeon terminal (Bt) limité en avant par un pont de substance
blanche
correspondant à la section de la branche horizon-
e de vie (bh) - pont qui relie, en arrière des olives, la substance
blanche
centrale des deux hémisphères cérébelleux; - la b
vermis (Pyc) dont l'axe se fusionne de chaque côté avec la substance
blanche
centrale, le sillon prépyramidal (sprp), la sec
tapisse le corps intra-ciliaire, par une mince couche de sub stance
blanche
qui recouvre l'extrémité antérieure de l'olive cé
l'olive cérébelleuse, et qui se continue en avant avec la substance
blanche
centrale des hémisphères céré- belleux. A gauch
es par l'hématoxyline distinguent seules du reste de la sub- stance
blanche
centrale. Cette dernière est presque exclusivemen
étroit, s'insinue entre la val- vule de Tarin (VT) et la substance
blanche
centrale et appartient au diverticule angulaire
du bulbe est complète- ment séparée sur cette coupe de la substance
blanche
centrale du cervelet. Il n'en est pas de même à
ricule, et où le corps restiforme (Crst) est séparé de la substance
blanche
centrale des hémisphères par les stries acoustiqu
s extrémités latérales du bulbe sont encore adhérentes a ]a substance
blanche
centrale du cervelet, la coupe passe en eflet a
é dans le tronc encéphalique et complètement séparé de la substance
blanche
du cervelet par le pédoncule du flocculus (PFloc)
r des fibres nerveuses et connue sous le nom de formation réticulée
blanche
(formatio reticularis alba, SRa). La région ext
; elle s'étend dans le sens transversal de la formation réti- culée
blanche
(SRa) au corps juxta-restiforme (Cj) et à la gros
forment le faisceau latéral du bulbe (Fit). La formation réticulée
blanche
(SRa) n'atteint pas sur cette coupe les fibres
arqué des pyramides (Narc). Les rapports que la formation réticulée
blanche
(SRa)^ affecte avec l'olive bul- baire (Oi) per
grise (SRg) et la couche inter- réticulée de la formation réticulée
blanche
(SRa) sont en général fines et minces, s'entre-
stries acoustiques et le tubercule acoustique. La formation réticulée
blanche
et la formation réticulée grise, le corps juxta
. - SgR, substance gélatineuse de Rolando. - SRa, formation reticulée
blanche
. - SRa (cio), couche inter-olivaire de la forma
anche. - SRa (cio), couche inter-olivaire de la formation réticulée
blanche
. SRa (cir) couche interréticulée de cette même
e Reil compris dans la couche inierolivaire de la formation réticulée
blanche
(SRa(cio). La partie antéro-interne du faisceau
eure du bulbe. - Stac, strie acous- tique. SRa, formation réticulée
blanche
. - SRg, formation réticulée grise. - Vsd, grosse
TOMIE DES CENTRES NERVEUX. inter-olivaire de la formation réticulée
blanche
. Le feutrage extra-olivaire est plus épais et p
lles (fad) qui traversent la couche tilde de la formation réticulée
blanche
(SRa) sont plus courtes et plus grêles, elles sem
es fibres arciformes cérébello-olivaires. Les formations réticulées
blanche
et grise. - Coupe transversale Hll du bulbe pas
SOR, sub- stance gélatineuse de Rolando. - SRa, formation réticulée
blanche
. - SRg, formation réti- culée grise. - Vsd, gro
res radiculaires du nerf hypoglosse (XII). La formation réticulée
blanche
forme sur cette coupe une couche homogène; on n
mplètement disparu, la partie postérieure de la formation réticulée
blanche
en contient toutefois quelques vestiges, soit a
(Nxu), situé de chaque côté du sillon longitudinal médian dans l'aile
blanche
interne. De ce noyau se détachent quelques gros
culaires de l'hypo- glosse (XII) qui longent la formation réticulée
blanche
(SRa) et qui peuvent être suivis sur cette coup
(Noe). La couche inierolivaire (SRa, cio) de la formation réticulée
blanche
est traversée dans toute sa hauteur par les fib
. - SgR, substance gélatineuse de Rolando. - SRa, formation réticulée
blanche
. - SRa,cio), sa couche interolivaire. - SRg, fo
on trouve les saillies si caractéris- tiques de la région : l'aile
blanche
interne, déterminée par la saillie du volumineux
le faisceau solitaire (Fs); enfin l'extrémité inférieure de l'aile
blanche
externe, sous-jacente au noyau de Deiters et à
olando. - ·Ra,(cio), couche inierolivaire de la formation réticulée
blanche
. TM, troudeMagcndie. l'srf, grosse racine sensiti
trés la partie postérieure des formations réticulées grise (SRg) et
blanche
(SRa), et s'entre-croisent en gros fascicules à
tl'entre-croisement piniforme du bulbe. Les for- mations réticulées
blanche
et grise et les noyaux latéraux du bulbe; l'olive
Rolando,. - SRa (cio) couche interolivaire de la formation réticulée
blanche
. - SRg, formation réticulée grise. - i'Ar, vent
isparu. La pyramide est adossée en arrière à la formation réticulée
blanche
(SRa) con- sidérablement réduite et dont un gra
bulbe. - SRa (cio), couche interolivaire de la formation réticulée
blanche
. - SR7. formation réticulée grise. - l'sel, gross
Rolando. - SRa (cio), couche inter-olivaire de la formation réticulée
blanche
. - SRg, forma- tion réticulée grise. - 1'scl, g
s encore perpendiculai- rement à leur axe. La formation réticulée
blanche
(SRa) a subi d'importantes modifications; ses d
e la substance grise centrale, traversent les formations réticulées
blanche
et grise et peuvent être suivies jusqu'à l'épais
édian. Les fibres de la partie antérieure de la formation réticulée
blanche
(SRa, cio), adossées à la pyramide, se sont inf
orme. Les fibres de la partie postérieure de la formation réticulée
blanche
(SRa) sont, par contre, sectionnées perpendiculai
SgR, substance gélatineuse de Rolando. -SRa, forma- tion réticulée
blanche
. - SRa (cio), couche interolivaire de la formatio
blanche. - SRa (cio), couche interolivaire de la formation réticulée
blanche
. - Sli ! l, formation réticulée grise. - l-scl,
pyramide (Py), par les derniers vestiges de la formation réticulée
blanche
a laquelle fait suite dans cette région, le cordo
bulbe, dont la sépare une couche plus ou moins épaisse de substance
blanche
essentiellement constituée par des fibres longitu
se (cg), dont les éléments cellulaires em- piètent sur la substance
blanche
adjacente, de telle sorte qu'au niveau des crèt
aître licitement la limite entre la substance grise et la substance
blanche
, tandis qu'on l'établit facilement au voisinage
cellules de Purkinje disposées en une seule rangée. - Sbl, substance
blanche
des lames et lobules cérébelleux. STRUCTURE E
e d'une fibre terminale (fl). - ft, fibres terminales de la substance
blanche
(sali s'arborisant dans la couche granuleuse. -
che granuleuse. - as, cellule araignée ou astrocyte de la substance
blanche
. fi9r ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Son noyau
nuleuse ou interne, puis entre dans la constitution de la substance
blanche
des lames et lamelles cérébelleuses FiG. 4.'iC.
es circonvolutions; elle est en outre mal délimitée de la substance
blanche
sous-jacente, dans laquelle on ren- contre cons
. .4, couche moléculaire. - l3, couche granuleuse. - C,' substanche
blanche
/ Chaque grain émet un cylindre-axe ascendant, q
la couche gra- nuleuse et peul être suivie jusque dans la substance
blanche
. Les ramifi- cations cylindres-axiles entourent
le chai nouveau-né, dans la couche granuleuse et dans la substance
blanche
, de volumineuses cellules étoilées qui envoient
ellules étoilées qui envoient leur cylindre-axe dans la sub- stance
blanche
et leurs dendrites dans la couche moléculaire. Ce
gulaires, fusiformes ou étoilées, situées aux confins de la substance
blanche
(cellules marginales de Cajal), ou dans l'épais
xe, il n'abandonne pas de collatérales, pénètre dans la sub- stance
blanche
, et a pu être suivi dans un cas par Cajal jusqu'a
décrivit la forme étoilée des cellules névrogliques de la substance
blanche
. Depuis, Ramon y Cajal, v. Gehuchten, v. Küllik
893.) A, couche moléculaire. - B, couche granuleuse. - C, substance
blanche
de la lamelle cérébelleuse. - a, cellule de Pur
E DES CENTRES NERVEUX. Les cellules arai- gnées de la substance
blanche
. Les libres à myé- line de l'écorce cé- réb
e la méthode de Weigert aucune fibre névroglique. Dans la substance
blanche
, par contre, il existe un feutrage névroglique
u reste, des caractères communs -IL la névroglie de toute substance
blanche
. Eibres de l'écorce cérébelleuse. Lorsqu'on exa
ense, bien décrit par v. Kôlliker, qui s'étend jusqu'à la substance
blanche
sous-corticale et dont les mailles sont occupées
cellule de Purkinje seule envoie son cylindre-axe dans la substance
blanche
. Les fibres cen- trifuges de l'écorce cérébelle
ade : - de développement des libres terminales qui, de la substance
blanche
, traversent la couche granuleuse pour s'arbo- b
u ces cylindres-axes, un peu flexueux. se diriger vers la substance
blanche
mlraciliaire, s'y couder et se continuer avec u
rajet oblique et l'ex- trême intrication des fibres de la substance
blanche
inlraciliaire, très manifestes sur les coupes s
riches de fibres terminales, dont les unes viennent de la substance
blanche
intraciliaire, et les autres de la toison. Nous
ne qui traversent de pari en part le corps dentelé, de la substance
blanche
intraciliaire a la toison ou vice versa, ou qui s
it. i 08 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Fibres de la sub- stance
blanche
du cervelet. Les fibres cn guir- lande. Ell
thode de Golgi que sur un court trajet. 3° Fibres de la substance
blanche
du cervelet. - Les libres centri- fuges et cent
e ovale du cerveau que nous avons désignée sous le nom de substance
blanche
non différenciée du centre ovale de Vieussens (
feutrage sous-lobaire (1 ? 1) occupe la périphérie de la substance
blanche
centrale du cervelet : il est recouvert par les f
terlobaires et interlobulaires, dont le fond atteint la sub- stance
blanche
centrale, reçoit en avant et en dedans, au niveau
- L'écorce cérébelleuse du lobe supérieur du cervelet et la substance
blanche
centrale avec : son feutrage sous-lobaire, ses
tion des hémisphères cérébraux. S'il n'existe pas dans la substance
blanche
centrale du cervelet de longs faisceaux d'assoc
i la destruction est superficielle et n'im- plique pas la substance
blanche
centrale, - cle suivre, à l'aide de la méthode
foyers primitifs. En dedans du feutrage sous-lobaire, la substance
blanche
centrale du cervelet présente deux systèmes de
deux s\ ...lelllP"; do fibres dlllèrell- ciées do la substance
blanche
centrale du cervelet. 7m t) ANATOMIE DES CENT
mi-circulaires externes s'infléchissent en dedans vers la substance
blanche
centrale du vermis; (Coupes H4, Fig. li27, p. 6
du lobe central (aLc) et de la lingula (aLig); 3° dans la substance
blanche
centrale du vermis (Fig. 465, p. 720). Une petite
rculaires externes n'occupent plus toute la largeur de la substance
blanche
centrale, mais sont rejetées en dehors et en de
it, puis se portent en dedans et s'entre-croisent dans la substance
blanche
centrale du vermis avec celle du côté opposé, en
egment horizontal oblique en bas et en avant, situé dans la subslance
blanche
centrale du vermis au-dessus du noyau du toit e
occupe la bran- che verticale de l'arbre dévie, la sub- stance
blanche
cen- trale du vermis au- dessus du noyau du
coupe horizontale C 4, Fig. 435, p. 649.) 1,'iG. 16. - La substance
blanche
centrale du vermis et le noyau du toit. Les libre
\zir avait reconnu la ligne brisée, formée par la lame de substance
blanche
que nous désignons depuis Reil sous le nom de c
de la moelle épinière, ne présentent pas encore tous la coloration
blanche
qu'ils auront plus tard. Foville avait même très
pyramidaux, l'existence d'un faisceau distinct contenant des fibres
blanches
. Parrot, examinant le cerveau d'enfants nouveau
pas encore recouverts de myéline), tranchaient par leur coloration
blanche
, sur les autres parties déjà développées et col
Vieus- Une fois cette coupe pratiquée, il suffit d'inciser la masse
blanche
de chaque côté et parallèlement au corps calleu
s les masses ganglionnaires, ainsi que les faisceaux de subs- tance
blanche
qui le constituent, il faut pratiquer, sur les hé
l'action de l'imprégnation chromique, les faisceaux de la substance
blanche
apparaissent en effet avec uu ? tHciO autrement
t à sectionner horizontalement et de dedans en dehors, la substance
blanche
de chaque hémisphère par une série de coupes succ
particulier pour tout ce qui concerne les lésions de la sub- stance
blanche
, dégénérescences secondaires, scléroses systémati
te névroglique en rose pâle. Les gaines de myéline doivent res- ter
blanches
ou légèrement jaunes (bichromate). On peut rendre
i), qui donneront naissance à l'écorce grise du cerveau, à la masse
blanche
sous-jacente, au corps calleux, au septum lucid
nne naissance à la commissure grise antérieure (P), à la commissure
blanche
antérieure (ca). à la comze aztéierc°e (CA), aux
- Cal, corne antérieure. - Ca, cor- don antérieur. - ca, commissure
blanche
anté- rieure. - Cal, cordon antéro-latéral. - C
l central. L'évolution de la substance gri- se et de la substance
blanche
de la moelle s'effectue de haut en bas; vers
ecte dans sa partie bulbaire, où elle est connue sous le nom d'aile
blanche
interne, la forme d'un triangle rectangle e.t rép
ce réticulée. Faisceau longitu- dinal postérieur ' et formation
blanche
ré- ticulée. 1 Lame alaire et ses ' modific
orment, après en- . trecroisement au niveau duraphe,un petit cordon
blanc
, longitudinal, le cordon antérieur primitif de
le faisceau longitu- dinal posté1'Íew' en arrière, et la formation
blanche
réticulée en avant (Vor- derstrangstheil der Fo
é au-dessous du tubercule acoustique et adossé par sa base à l'aile
blanche
interne. En Noyaux qui naissent do la lame
ian en deux tubercules latéraux; ceux-ci se recouvrent de substance
blanche
, lors du développement du pilier antérieur du t
outefois en arrière, chez l'adulte, par une mince lame de substance
blanche
. Quant à la bandelette diagonale de Broca, désign
lois chez l'adulte, par une petite lamelle irrégulière de substance
blanche
. Jusqu'au deuxième mois de la vie intra-utérine
seule masse de substance grise que segmentent frienfot1' des fibres
blanches
. Ces fibres relient le corps strié à la couche op
tale donnant naissance à la région sous-optique de Forel. - MB, masse
blanche
sous- ' jacente à l'écorce cérébrale. - NA, noy
le, lame cornée. - 11., lame terminale embryon- naire. - MB, masse
blanche
sous-jacente à l'écorce cérébrale. - A'C, noyau c
rmation très analogue à la couche optique. Une mince lame de fibres
blanches
, la capsule externe, limite le putamen en dehors,
a base regarde en haut et dont le sommet correspond à la commissure
blanche
antérieure. Là zone choroïdienne de His (fig. 4
ssent, en ar- rière des fibres transver- sales de la commissure
blanche
antérieure, les fi- bres verticales des piliers
, soit au système des fibres d'association ; elles forment la masse
blanche
sous-jacente à l'écorce céré- brale, et comblen
n puis tardive, et n'intéressent que l'écorce cérébrale et la masse
blanche
sous-jacente. Vers le milieu du cinquième mois,
ns laquelle apparaissent par différenciation cellulaire, des libres
blanches
longitudinales, médianes. qui forment les nerfs
nglionnaires inégalement disséminées, et une mince couche de fibres
blanches
sous-jacentes au ventricule. Ce n'est que chez
cérébrale et de la cavité crâ- nienne, le développement des fibres
blanches
, etc., etc. On trouvera donc chez les petits an
le, et constitue le tissu de soutènement primordial de la substance
blanche
. Les cellules germinatives, sont toujours situé
arginal i représente le tissu de 1. soutènement de la substance
blanche
. .1 (His), chaque cellule porte en dedans de
ui formera le tissu de soutènement pri- mordial de la substance
blanche
, constitue un véri- table filtre, qui ne laisse
ent la disposition radiaire du tissu de soutènement de la substance
blanche
. Le tissu de soutènement, ou îîiyelosl)oïîqitt2
r regardée tantôt comme provenant d'une transformation des globules
blancs
émigrés par diapédèse (Henle, Meckel, Schwalbe, E
che sous-pie-mérienne. Il se divise en général dans la substance
blanche
, en deux ou trois rameaux qui s'écar- tent à an
s cylindre- axes qui formeront au niveau de la moelle la commissure
blanche
antérieure et au niveau du bulbe les fibres tra
ers le quatrième mois (Vignal), qu'elles émigrent dans la substance
blanche
. Chez l'embryon humain, elles apparaissent HIST
e par les fibres épendymaires, tra- versent les substances grise et
blanche
du névraxe, et atteignent la péri- phérie de la
mordiaux sont recouverts de très fins ramuscules; dans la substance
blanche
ils deviennent lisses, unis, se réunissent aux
évrogliques, qui de la substance grise ont émigré dans la substance
blanche
, et forment les septa névrogliques, considérés à
, les cellules de la névroglie émigrent peu à peu dans la substance
blanche
, et on les dis- tingue alors, en cellules névro
ellules araignées géantes antérieures se rendent dans la commissure
blanche
antérieure et y forment une commissure névrogli
t des aspects très variables suivant les régions. Dans la substance
blanche
de la moelle, un petit nombre se rattache, d'ap
e. (D'après v. Gehuchten.) Cellules de la névroglie de la substance
blanche
(b, d) et de la substance grise (a, c) de la moel
rieure et pos- térieure et pénètrent profondément dans la substance
blanche
(fig. 103). Golgi a eu le grand mérite de montr
brale et cérébelleuse, ainsi que sur les cylindres-axes des cordons
blancs
de la moelle , que ces cylindres-axes appartien
té des cellules qui envoient leurs cylindres-axes dans la substance
blanche
de l'axe cérébro-spinal (fig. 109). La division
ses, entre le volume de la substance grise et celui de la substance
blanche
. Le mode d'origine des dendrites imprime aux ce
nnent naissance a un cynnare- axe qui pénètre dans la substance
blanche
, émet quelques collatérales à di- rection asc
galement dépourvu d'arborisations dendri- tiques. Dans la substance
blanche
du cerveau et de la moelle, on rencontre de nom
s l'avons vu précé- demment, pour étudier le trajet dans les masses
blanches
encéphalo-mé- dullaires de certains faisceaux d
ALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE Substance grise et substance
blanche
du système ncrveux cen- tral. Substance gri
de ces substances présente une couleur grise, l'autre une cou- leur
blanche
. La substance grise représente la substance activ
ve par excel- lence, le véritable foyer d'innervation; la substance
blanche
, au contraire, est passive au point de vue de s
substance gélatineuse de Rolando ; sa couleur varie du gris presque
blanc
de l'écorce cérébrale au brun noirâtre du /or ? m
able de ses cellules en granulations pig- mentaires. La substance
blanche
est constituée presque exclusivement de fibres
présente cependant un degré de fermeté que n'offre pas la substance
blanche
. Cette dernière, de moin- dre consistance, a ét
et les ganglions périphériques, la consistance soit de la substance
blanche
, soit de la substance grise, est augmentée; par
le système nerveux central, le mode de répartition des substances "
blanche
et grise varie selon les segments que l'on consid
segments que l'on considère. Dans la moelle épinière, la substance
blanche
occupe la périphérie et entoure complète- ment
ces de la substance t Il Modcdercparti- tion des substances
blanche
et grise, dansicsystëmoner- veux central. S
n- ne de la structure un système nerveux. Conception moderne.
blanche
, comme la formation réticulée de la région de la
is de l'étage antérieur de la protubérance, etc., etc. La substance
blanche
est essentiellement formée de conducteurs, de f
systèmes des fibres de projection ne constituent pas toute la masse
blanche
de l'axe encéphalo-médullaire. A côté des fibres
llaire. A côté des fibres rayon- nantes on trouve dans la substance
blanche
des hémisphères cérébraux et cérébelleux, ainsi
s hémisphères cérébraux et cérébelleux, ainsi que dans la substance
blanche
de la moelle, d'autres faisceaux de fibres; les
les unes commissurales, celles du corps calleux et de la commissure
blanche
antérieure du cerveau, par exemple, relient entre
llule nerveuse adulte ; 4° La fibre nerveuse adulte de la substance
blanche
; 5° Les éléments non nerveux, tels que les vais
nt dans toutes les parties de la substance grise et de la substance
blanche
du névraxe, représentent, grâce à leurs innombr
he- vêtre avec le chevelu des-cellules névrogliques de la substance
blanche
et de la substance grise. La névroglie existe à
et mesure en général de 8 it 10 u. de diamètre. - Dans la substance
blanche
de la moelle, du cervelet ou du cerveau de l'ho
ne constituent l'immense majorité des tubes nerveux de la substance
blanche
du névraxe, mais elles sillonnent également la
ires émettent de nombreuses branches, qui forment dans la substance
blanche
des réseaux capillaires, dont les mailles allon
ne et c'est à cette gaine de myéline qu'ils doivent leur coloration
blanche
et l'aspect moiré qui les caractérisent. Dans l
erfs périphériques, mais encore sur les fibres nerveuses des masses
blanches
du névraxe : aussi les considèrent-ils comme form
t sur les muscles striés vo- lontaires, mais encore sur les muscles
blancs
des mammifères et sur les muscles striés invo
respond en moyenne un même poids cérébral, qu'il s'agisse des races
blanche
, jaune et noire, ou qu'il s'agisse des deux sexes
isolé et pesé séparément le manteau cérébral (écorce grise et masse
blanche
sous- jacente), le cervelet et le tronc encépha
ki, la densité totale du cerveau est de 1041, celle de la substance
blanche
étant de 1043 et celle de la substance grise de
es seraient d'après le même auteur de 61 p. 100 pour la sub- stance
blanche
et de 39 p. 100 de la substance grise. Bischoff
les deux hémisphères sont reliés entre eux par une large commissure
blanche
horizontale, le corps calleux (Cc), qui se prés
ux (Cc), qui se présente sous l'aspect de gros tractus de faisceaux
blancs
, dirigés transver- salement, et croisés par deu
-l', plis rétro-limbiques. R, scissure de Rolando.- sbll, substance
blanche
de la circonvolution de l'hippocampe. sec, sinus
a scissure calcarine. 300 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Substance
blanche
réticulée d'Arnold, Sillon de l'hippo- camp
Ammon ; elles sont formées d'une mince écorce grise et d'une partie
blanche
centrale, et reçoivent les radiations de la sub
artie blanche centrale, et reçoivent les radiations de la substance
blanche
du subiculum (fig. 181, 182) (sbll). Les circonvo
al. Elle est re- couverte par une couche assez épaisse de substance
blanche
d'aspect réti- culé, la blanche réticulée ? 4to
e couche assez épaisse de substance blanche d'aspect réti- culé, la
blanche
réticulée ? 4toA7, ou/<iw< médullaire super
7utl, pli temporo-limbiquc. - R, scissure de Rolande. H, substance
blanche
de la corne d'Ammon. - sec, [sinus du corps calle
façon démesurée, et donnent naissance de chaque côté à deux tractas
blancs
longitudinaux, les uns médians, les autres laté
nt les nerfs olfactifs. Au bulbe olfactif fait suite une bandelette
blanche
, triangulaire, il direc- tion antéro-postérieur
(Toi), dont les angles latéraux donnent naissance à deux faisceaux
blancs
, connus sous le nom de racine blanche externe (
ent naissance à deux faisceaux blancs, connus sous le nom de racine
blanche
externe (Rôle) et de racine blanche interne du
s, connus sous le nom de racine blanche externe (Rôle) et de racine
blanche
interne du 11er/ ol/actif (Roli). Il ne s'agit
nom de circonvolutions olfactives internes et externes. Les fibres
blanches
de ces circonvolutions avortées constituent les
te / ? c/t.s7 ? ? </M/t). La « racine » olfactive externe (Rôle)
blanche
et quelquefois dédoublée, se dirige obliquement
erne ;('elle est traversée en dia- gonale par une lame de substance
blanche
, la bandelette diagonale de Broca (bd), ou fais
e qui recouvre l'espace perforé antérieur, par une couche de fibres
blanches
toujours très manifeste (fig. 282 et 283). Ces
ord tranchant, libre, au- dessous duquel se dégagent deux faisceaux
blancs
d'aspect rubané, qui se MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE.
, ramassé sur lui-même, donne naissance en z arrière à deux cordons
blancs
volumineux, les circonvolutions olfactives; l'e
dans la voûte du crâne. Elle présente un certain nombre d'éléments
blancs
surajoutés, ce sont : le chiasma des nerfs opti
ou libre de la bandelette, limitée en dehors par le faisceau direct
blanc
et non dégénéré. Lorsque l'atrophie atteint le fa
de Gudden se présente sous l'as- pect d'un faisceau ar- ciforme
blanc
, étendu d'un corps genouillé interne àl'autre
icule. Soulevée au niveau de sa.partie antérieure par la commissure
blanche
antérieure, elle est un peu . plus épaisse sur
s) (Tm), MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 321 sont formés par deux saillies
blanches
, arrondies, de 6 millimètres de dia- mètre, trè
oisième ventricule. Ils sont essentiellement formés d'une substance
blanche
périphérique, provenant en grande partie des pi
e du tubercule mamillaire latéral (PTml, fig. 184 et 193), faisceau
blanc
, légèrement sail- 21 Existence rhoz l'homme
forée posté- rieure, sous la forme d'un petit faisceau de substance
blanche
, le péclota- cule du tubercule mamillaire latér
e cérébelleux supérieur (Pcs) d'autre part, est sillonnée de fibres
blanches
qui forment un relief tantôt considérable, tant
rmée de szcbstance ·éticzclc·e (SR), c'est-à-dire de petites fibres
blanches
entre-coisées en tous sens, et entre les mailles
eures de la calotte du pédoncule et entouré d'une capsule de fibres
blanches
. Dans les régions inférieures de la calotte du
place du noyau rouge, le pé- doncule cérébelleux supérieur ou noyau
blanc
de Stilling (Pcs, fig. 189). De chaque côté du
millaire latéral. - Qa, tubercule quadrijumeau antérieur; 2, couche
blanche
moyenne du tubercule quadrijumeau antérieur, se
quadrijumeau antérieur, se rendant au ruban de Reil. -3, 3, couche
blanche
interne du tubercule quadrijumeau antérieur, se
comprend : en haut, le corps calleux (Ce), vaste voûte de substance
blanche
à libres transversales, qutaIrecte lWorme d'un
ne de la couche optique, sont en rapport avec une lame de substance
blanche
fort importante, la capsule interne de Reil (Ci
avec le pédoncule cérébral (P), et s'irradie en haut dans la masse
blanche
des hémisphères (CO), le long du bord supérieur d
appliquées de dedans en dehors, d'abord une mince lame de substance
blanche
, la capsule externe (Ce), puis une traînée de sub
ne traînée de substance grise, Y avant-mur (AM), enfin la substance
blanche
qui double l'écorce grise des circonvolutions d
corce grise des circonvolutions, par une vaste étendue de substance
blanche
, désignée sous le nom de centre ovale de Vieuss
a face supérieure du corps calleux; elle n'intéresse que la substance
blanche
des hémisphères circonscrite par l'écorce grise
présente sous la forme d'une vaste commissure, d'une large cloison
blanche
quadrilatère, reliant les deux hémisphères, et
atère, reliant les deux hémisphères, et formée uniquement de fibres
blanches
dirigées transversa- lement. La partie du corps
adiations du corps calleux (RCc); celles-ci pénètrent dans la masse
blanche
des hémisphères, s'y irradient et s'entre- croi
uit à une mince lamelle, qui se continue au niveau de la commissure
blanche
antérieure, avec la lame sus-optique (fig. 198).
y p. 12'1). Sur la ligne médiane, cette face présente deux saillies
blanches
, linéaires, les tractus longitudinaux médians o
t avec le fasciola cinerea (Fc) (fig. 1 i.9) soit avec la substance
blanche
réticulée de la circonvo- lution de l'hippocamp
le t<7'nia tecta (tec), et en dehors un petit faisceau de fibres
blanches
, dirigées d'avant en arrière. Ce faisceau, qui n'
r]). Le som- nuit du bec se réduit à une mince lamelle de substance
blanche
, la commis- sure blanche de la base de Henle, l
se réduit à une mince lamelle de substance blanche, la commis- sure
blanche
de la base de Henle, la lame du genou de Burdach,
u genou de Burdach, laquelle se continue au niveau de la commissure
blanche
antérieure (coa), avec la lame sus-optique (lt)
s latéraux du corps calleux pénètrent horizontalement dans la masse
blanche
des hémisphères, con- tournent l'angle externe
s piliers antérieurs divergent, passent en arrière de la commissure
blanche
antérieure (coa), plongent ensuite d'avant en arr
dmis que le pilier antérieur du trigone, après avoir formé l'écorce
blanche
du tubercule mamillaire, subissait un mouvement
it suite à la partie interne du corps du trigone et forme la couche
blanche
intraventriculaire ou l'cclveu.s (ais) de la corn
dans le petit espace triangu- laire situé en avant de la commissure
blanche
antérieure (coa). De l'angle antérieur se détac
ches profondes des cellules plus irrégulières. La couche externe ou
blanche
, l'analogue de la substance blanche, reçoit, en
égulières. La couche externe ou blanche, l'analogue de la substance
blanche
, reçoit, en arrière, les fibres longitudinales
ne d'insertion sépare la partie du noyau caudé entouré par la masse
blanche
du lobe frontal, de sa partie intra- ventricula
d'Ammon se présente sous l'aspect d'un relief conoïde de coloration
blanche
, de 0 millimètres de longueur, étendu du bourre
rente ou externe du pilier recouvre la I corne d'Ammon d'une couche
blanche
connue sous le nom d'alvéus (Alv) (fig. 205 et
ssus optique) (ro); 2° dans la région thalamique, par la commissure
blanche
antérieure (coa) et les piliers antérieurs du tri
amique (fig. 211), la base de la glande pinéale (Gp), la commissure
blanche
postérieure (cop), et l'orifice antérieur ou an
. - Lsp, lobe supérieur et postérieur du cervelet. - ll, commissure
blanche
de la base de Henle. Ly, lyre ou psalterium. - No
néale, de chaque côté par le tænia thalami (tth), petit cordon très
blanc
, situé à la limite de la face interne et de la
eriora et anteriora séparés du noyau lenticulaire par la commissure
blanche
antérieure et qui semblent correspondre à la part
(yeminzem centi-itin semi-cinczclccre),une bandelette de substance
blanche
située entre les corps striés et la couche opti
, lentiformis et tseniaformis, séparés par trois lames de substance
blanche
, les capsules interne, externe et extrême. Reil
tricule latéral; par sa face inférieure, il repose sur la substance
blanche
des lobes frontal ou temporal, et appa- raît à
-ci traverse sa substance sous forme de stries ou de gros faisceaux
blancs
, et le divise en deux parties ou noyaux, l'un sup
-ventriculaire située au-dessous et qui esten rapport avec la masse
blanche
des circonvolutions orbitaires. p, ponts de subst
rt à former le plancher; sa couleur grise contraste avec la couleur
blanche
des parties environnantes, elle est recouverte pa
noyau lenticulaire, dont elle est séparée par une zone de substance
blanche
comprenant la .couronne rayon- nante du lobe te
ne d'insertion sépare la partie du noyau caudé entouré par la masse
blanche
du lobe frontal, de sa partie intra- ventricula
he optique; il commence im- médiatement en arrière de la commissure
blanche
antérieure et du pilier antérieur du trigone où
celle du côté opposé que par le septum lucidum, repose sur la masse
blanche
du lobe frontal et sur les radiations du genou
e latéral, où elle est recouverte par une mince couche de substance
blanche
facile à enlever par un grattage léger ; elle peu
laire (NL3) intimement uni au noyau caudé (NC), repose sur la masse
blanche
de ce lobe, constituée en dedans par les radiat
ts concentriques, nette- ment délimités par deux lames de substance
blanche
, les lames médullaires externe et interne du no
la convexité regarde en bas et en dedans et qui repose sur la masse
blanche
du lobule orbitaire (fig. 243 et 281). Le putam
dans le sens transversal, est revêtue d'une mince couche de fibres
blanches
, le stratum zonale (strz). Sa couleur café au lai
culaire ; elle est limitée en dedans par un tractus médullaire d'un
blanc
éclatant, qui forme la limite enlre la face supér
ief le long du bord supéro-interne de la couche optique. Ce tractus
blanc
porte le nom de tænia thalami, de pédon- cule a
re de Gudden. Ces deux corps genouillés sont réunis par un faisceau
blanc
, l'anse M<<e ? yeMpM ! 7/ee de Rauber, fa
tournée par le pilier antérieur du trigone, croisée par la commissure
blanche
antérieure et se loge en grande partie dans la
ge supérieur du pédoncule et qui est entouré d'une couche de fibres
blanches
, la capsule du noyau rouge. Le -t corps de Luys
st séparé des noyaux antérieur et interne par une lame de substance
blanche
, la lame médullaire interne du thalamus (Lmi),
ration claire tient en partie à la pénétration de nombreuses stries
blanches
transversales, les faisceaux radiés de Meynert,
il, on désigne sous le nom de capsule interne une lame de substance
blanche
comprise entre le noyau lenticulaire d'une part,
corps striés ou cannelés, dont elle constituait la partie moyenne,
blanche
et striée, celle qui se continuait en avant et en
e, celle qui se continuait en avant et en arrière avec la substance
blanche
des hémisphères, en haut avec le centre ovale et
241 à 252), elle se présente sous la forme d'une lame de substance
blanche
dirigée obliquement de haut en bas et de dehors
omate de potasse produit un état de différenciation de la substance
blanche
du système nerveux, bien connu depuis longtemps,
sont sectionnées les fibres de tel ou tel faisceau de la substance
blanche
, mais encore il l'angle d'incidence des rayons
des rapports des noyaux gris soit entre eux, soit avec la substance
blanche
, et nous permet de suivre, dans une partie plus
e circonvolution limbique (L,). Elle n'intéresse que la substance
blanche
de l'hémisphère, entourée par les circonvolutio
e ! tt circonvolution occipitale (0,) et du cunéus (C). , Substance
blanche
. Dans la masse blanche de l'hémisphère, il y a pe
ccipitale (0,) et du cunéus (C). , Substance blanche. Dans la masse
blanche
de l'hémisphère, il y a peu de . , détails à no
c) qui représente le véri- table limbe de l'hémisphère. Substance
blanche
. - Le corps calleux (Ce) est sectionné dans sa pa
VI), mais en avant et en arrière, on le voit pénétrer dans la masse
blanche
des circonvolutions, dont il se distingue par s
vent les cas de malformation du corps calleux, la couche des fibres
blanches
qui constitue le tapetum (Tap) des auteurs anci
calleux pour former le centre ovale (CO) du lobe frontal. L'espace
blanc
, situé en dehors de la couronne rayonnante, est c
central, la partie supérieure du noyau externe entouré d'une capsule
blanche
, formée, en dedans, par le stl'atll1u zonale (s
e le sillon marginal supérieur de l'insula (ms), on trouve une lame
blanche
, formée par les fibres du faisceau arqué ou longi
tement limité en; ùeda ",0 ? '1J.2 peut recon- naître dans la masse
blanche
sous-jacente à l'écorce, aucun faisceau distinct.
st possible, de délimiter un faisceau dans l'intrication des fibres
blanches
sous-jacentes à l'écorce. Coupe n° 48 (fig. 222
xtrémité supérieure du putamen (NL : ,). L'écorce et la substance
blanche
sous-jacente ne différent de celles de la coupe
ent postérieur de la capsule interne (Cipi, par une ligne de libres
blanches
, répondant à la zone réticulée ou grillagée (Zr).
e (Cip) comprend deux ordres de fibres : des fibres horizon- tales (
blanches
par conséquent, sur cette coupe), fibres lcazticu
ent en arrière dans la couche sagittale du lobe occipital. La masse
blanche
du lobe occipito-lemporal est formée par les fibr
ps strié). Elle est séparée du putamen (NL3) par trois couches, une
blanche
externe, formée par la substance blanche de l'ins
L3) par trois couches, une blanche externe, formée par la substance
blanche
de l'insula ou capsule extrême (Cex), une moyen
l'écorce insulaire, dont elle suit les sinuosités, enfin une couche
blanche
interne, la capsule externe (Ce). A la partie p
stérieure est en rapport avec Yopercule rolandique (OpR). Substance
blanche
. La masse blanche sous-jacente à l'écorce de cett
apport avec Yopercule rolandique (OpR). Substance blanche. La masse
blanche
sous-jacente à l'écorce de cette coupe affecte
occipital. Sa face interne est bordée d'une mince couche de fibres
blanches
, le stmtulll zonale (Strz), qui se dédouble en
atéral (Voc), dont elle n'est séparée que par une lame de substance
blanche
qui double en dedans la corne occipitale. L'éco
à l'oeil nu. Elle est divisée en deux parties inégales par une raie
blanche
, connue sous le nom de ruban de Vicq (4 : ? /)'
de du lobe limbique (L, ), est recouverte par une lame de substance
blanche
, la substance réticulée d'Arnold (Lms), formée au
antérieure du lobe limbique est toujours comprise entre deux lames
blanches
, l'une superficielle, d'aspect réticulé, étendu
superficielle d'Arnold (Lms), l'autre profonde, formée par la masse
blanche
des circonvolutions. En avant et en dehors de l
ie adhérente du trigone concourt à formel* l'alvéus ou la substance
blanche
intra-ventriculaire de la corne < ? txtt)t0)).
ments du noyau lenticulaire sont traversés par de nombreuses fibres
blanches
, qui se rendent à la couche optique en traversa
e la région, entourée d'une couche mince mais complexe de substance
blanche
. (Voy. Coupes vel'tico-tl'ansvel'salcs 116 et 1 °
l'tico-tl'ansvel'salcs 116 et 1 ° ? ? , fig, 63 et G 1. ) Substance
blanche
. - Cette substance diffère peu ici de ce qu'elle
Ces trois segments sont séparés les uns des autres par des lamelles
blanches
, les lames médullaires interne et externe du no
Ils sont sillonnés par un très grand nombre de faisceaux de fibres
blanches
, qui traversent les trois segments du noyau len
de segment lenticulo-stl'ié de la capsule. Il présente une coloration
blanche
, nacrée, et est formé de fibres horizontales qu
par son aspect du segment antérieur de la capsule interne. Elle est
blanche
, formée de fibres horizontales qui s'irradient pr
lignes 63 des fig. 217 et 218). Cette coupe passe par la commissure
blanche
antérieure (coa), par la commissure postérieure
de la scissure calcarine (K), on trouve une lame mince de substance
blanche
, que les sels de chrome, et surtout les colorat
lles s'effacent peuà peu en arrière et se confondent avec la couche
blanche
sagittale du lobe occipital. La paroi externe d
mon (CA) surmontée du pilier postérieur du trigone (Tgp), Substance
blanche
. Le cingulum (Cing) est sectionné en avant parall
è- lement à sa longueur, et se présente sous la forme d'un faisceau
blanc
qui double l'extrémité antérieure du lobe limbi
du corps calleux (Ce). Le corps calleux (Ce) est situé dans la masse
blanche
du lobe frontal, il forme la limite antérieure
l'écorce cérébrale. .É20 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Substance
blanche
. - La masse blanche du lobe occipital est considé
.É20 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Substance blanche. - La masse
blanche
du lobe occipital est considéra- blement réduit
ampe (H) et se dilate dans certains cas pathologiques. La substance
blanche
de l'hippocampe le contourne, et forme autour d
elles de la couche sagittale du lobe occipital. La couche profonde,
blanche
et très mince, appartient très probablement au sy
s épaisse est foncée et appartient au cingulum, l'externe enfin est
blanche
et se continue avec la couche des fibres d'associ
bstance grise sous-épendymaire (Sge) qui se dis- tingue des couches
blanches
voisines par sa richesse en vaisseaux. A sa parti
iges du faisceau occipito-frontal (OF) qui se confond avec la masse
blanche
du lobe frontal. A sa partie interne, appa- rai
oa) qui revêt la forme d'un ovale, et se caractérise par son aspect
blanc
et nacré. Les libres des lames médullaires du n
meau antérieur. (Qa) et de son bras connectif (BrQa). Les faisceaux
blancs
de la région sous-optique de Forel sont constitué
un aspect fusiforme, il est mal délimité et morcelé par des fibres
blanches
qui appartiennent en partie au faisceau, uncinalu
du corps cal- lenT : (Ce) sont encore reconnaissables dans la masse
blanche
du lobe frontal. Entre les fibres du corps call
! lulwn(Cing [a]) qui ne se différencient pas du reste de la masse
blanche
du lobe frontal. La couche sagittale du lobe oc
rale de Bichat. À la place du globus pallidus, on trouve une couche
blanche
, intermédiaire entre le globus pallidus et la s
ulaire supérieure, où ses libres entrent, en partie dans la capsule
blanche
qui entoure le noyau rouge (NR), en partie se d
t en arrière, par deux faisceaux larges et volumineux de coloration
blanc
nacré; l'un et l'autre sont en effet sectionnés
L'antérieur est constitué par les parties latérales de la commissure
blanche
nu 1(;- rieure (coa) que nous avons vue section
,); elle est séparée du seuil de l'insula (I) par une mince lamelle
blanche
qui appartient aux fibres tangentielles de la r
a circonvolution godronnée (Cg), dont elle est séparée par une lame
blanche
festonnée, la laminllinvolutll (Li). Cette dern
e externe, exlra- ventriculaire, ou noyau lenticulaire. Substance
blanche
. Dans la masse blanche de cette série de coupes
triculaire, ou noyau lenticulaire. Substance blanche. Dans la masse
blanche
de cette série de coupes FiG. 23'J. Coupe vcrti
plus longues, qu'elles appartiennent à des régions de la substance
blanche
plus rapprochées du centre ovale (CO). Néanmoins,
des écorces fi°ozto-tenzporales adossées, nous trouvons des fibres
blanches
, formées d'abord par des fibres du système d'as
nettement délimitée, et séparée de l'avant-mur (AM) par une lamelle
blanche
, la capsule externe (Ce). Le point de jonction
(Sge) qui le sépare du faisceau occipito-frontal (OF). ' . La masse
blanche
de cette coupe (n° 55) (fig. 243) diffère peu de
en (NL3) quelques ponts de substance grise et de nombreux faisceaux
blancs
, constituant les fibres lenticulo-caudées, qui tr
par le segment antérieur de la capsule interne (Cia). La commissure
blanche
anté- rieure (coa) le traverse obliquement en b
et en dehors, et le sépare en deux parties inégales. La commissure
blanche
antérieure est intéressée en effet dans sa part
èlement à ses fibres, et se présente sous l'aspect d'une bandelette
blanche
et nacrée. Par son extrémité interne, elle plon
une mince couche de COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 451 fibres
blanches
, qui font partie des fibres lés plus antérieures
convolution du crochet (U), en haut, il est dissocié par des fibres
blanches
qui s'irradient dans son intérieur et qui appar
incisure du sillon collatéral (ot'), par une mince couche de fibres
blanches
qui entourent l'extrémité antérieure du diverticu
ce libre ou intra-ventriculaire est revêtue d'une lame de substance
blanche
, l'alvéus (Alv) qui envoie de petits prolongeme
ubstance blanche, l'alvéus (Alv) qui envoie de petits prolongements
blancs
dans la substance grise de la corne d' : trzmmon.
corne sphénoïdale (Vsph), il en est en efiet séparé par les fibres
blanches
de la lame cornée (le) (1,Tiiia En dedans, le p
rente que par sa face supérieure, où une mince lamelle de substance
blanche
la sépare du globus pallidus. La couche optique
vec le tubercule mamillaire (Tm), dans lequel on trouve un faisceau
blanc
, le pilier antérieur du trigone (Tga). Sur la c
nt en bas et en dedans. Le corps calleux (Ce) pénètre dans la masse
blanche
des hémisphères, et se confond au niveau du cen
face superficielle est recou- verte d'une mince couche de substance
blanche
, qui correspond à la substance, réticulée d'A l
lée d'A l'IlIIld ou lame médullaire .suyercin,lle (Lms). La substance
blanche
qui tapisse la face ventriculaire, de la circon
lèvres du sillon de l'hippocampe (h) sont tapissées par la substance
blanche
réticulée d'Arnold, désignée encore sous les no
tte coupe un mince noyau aplati, situé entre deux couches de fibres
blanches
, et qui répond il bipartie postérieure du noyau
ouve le noyau rouge (\R) arrondi et entouré d'une capsule de fibres
blanches
, qui se déjettent en dehors pour former les rad
se trouve sectionné sur la coupe n° 86 (fig. 253). ' , Substance
blanche
. - Le corps calleux (Ce) et les longs faisceaux d
cordiforme (fig. 252 et 253) : les lamelles concentriques grises et
blanches
qui le constituent le font faci- lement reconna
lante de l'arc décrit par la queue du noyau caudé (\1G'). Substance
blanche
. La situation du corps ««//eux (Ce) par rapport a
de direction; elles se présentent en effet sous la forme de libres
blanches
, nacrées, sectionnées parallèlement à leur longue
479 cUv l'écorce de la région. On voit en effet apparaître un ruban
blanc
(V), carac- téristique de l'écorce qui borde la
postérieure en est éloignée peu près trois centimètres. Substance
blanche
. - Les fibres calleuses sont sectionnées sur la c
ses fibres. En dehors elles se confondent avec une bande de fibres
blanches
, nacrées, resplendissantes, qui tapissent la pa
° 116 (fig. 263). En dehors du fbrcn ? 8nrjo on trouve les fibres
blanches
et nacrées du tapetum (Tap). Nous avons déjà
uè' antérieur (apla) et posté- rieur (7up1p) en haut. Sa' masse
blanche
est cons- tituée en grande partie par le cing
l'isthme du lobe limbique (i); celle-ci est recouverte par une lame
blanche
qui appartient aux fibres tangentielles de l'écor
de l'hémisphère avec la lame médullaire superficielle ou substance
blanche
réticulée d'Arnold, qui recouvre la circonvolutio
es tubercules quadrijumeaux (Qa, Qp) par un faisceau de fibres d'un
blanc
éclatant, qui se dirige obliquement en haut et en
sur la région sous-optique. Il est entouré de sa capsule de fibres
blanches
, formée en haut par les radiations de la calotte
eau postérieur (Qp), nous trouvons enfin une mince couche de fibres
blanches
, qui répond au ruban de 1 ? (il latéral (RI) ou
place de la première circonvolution limbique, il existe un faisceau
blanc
arciforme, qui entoure complètement le corps call
, lig. 268). Par sa face supérieure il est en contact avec la masse
blanche
du lobe limbique, en particulier avec le cingulum
nce grise de l'espace perforé antérieur (Spa) par une mince lamelle
blanche
. Dans la concavité du C1J/]JS Stl'¡ ? on trouve l
de la commissure antérieure (coa), on trouve un faisceau de fibres
blanches
, qui apparaissent nacrées et resplendissantes sur
pes est très légèrement oblique en bas et en dehors.) Dans la masse
blanche
du cervelet, nous trouvons l'olive cérébelleuse (
e par deux îlots de substance grise situés en a et en , et la masse
blanche
du lobe frontal ne forme, avec celle des circon
V) se présente avec beaucoup de netteté dans cette région. La masse
blanche
du cunéus et du lobule lingual (Lg) se sont fus
nnée. Le corps calleux (Ce) a pénétré dans la profondeur des masses
blanches
des circonvolutions, mais sa limite supérieure
.,) et le noyau caudé (NC) sont séparés par des faisceaux de fibres
blanches
, qui donnent il ces noyaux l'aspect strié auque
s sur celte coupe ; elles se présentent sous la forme d'un faisceau
blanc
, nacré, res- plendissant, il direction presque
rne du corps rhomboïdal ou de l'olive cérébelleuse (Oc) et la masse
blanche
, au niveau du point où elle donne naissance au
te scissure ou scissure perpendiculaire externe, mais dans la masse
blanche
de l'hémisphère, on trouve en deux endroits la se
recou- verte du côté du venlricule par une mince lame de substance
blanche
, Valve us (Alv) et du côté du sillon de l'hippo
lve us (Alv) et du côté du sillon de l'hippocampe (h), par une lame
blanche
, festonnée, qui se continue avec la substance b
par une lame blanche, festonnée, qui se continue avec la substance
blanche
réticulée d'Arnold ou lame médullaire superfici
une seconde fois en arrière de la corne 6.iM ? Mf (CA). Substance
blanche
. - Le ventricule latéral est recouvert par une mi
onvolutions sous-calleuses. COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 501
blanche
des circonvolutions ne présente rien de particuli
PThm). La couche optique (Th) est en outre par une couche de fibres
blanches
, la zone réticulée ou grillagée (zr). En arrièr
cérébral, entre celui-ci et le pulvinar (Pul), on trouve des libres
blanches
il direction verticale, qui appartiennent il la z
nt à son grand axe. La corne d'Ammon (CA) repose sur la sub- stance
blanche
de la circonvolution de l'hippocampe (H); elle fa
. Ses faces ventriculaires sont tapissées par une lame de substance
blanche
, l'alvéu.s (Alv) qui se continue au niveau des
rieure, l'autre supé- rieure, par une couche festonnée de substance
blanche
, connue sous le nom de lame médullaire moyenne
ntrique- qui appartient au centre ovale (CO). L'aspect des fibres
blanches
est différent au niveau de la corne occipitale
irection. Le tapetum se présente en effet sous l'aspect d'une lamelle
blanche
qui coiffe le fond de la corne occipitale (Voc)
- volution frontale par le sillon marginal antérieur (ma). La masse
blanche
du lobule fusiforme (Fus) s'est fusionnée avec
gris, mince et étroit, interrompu par quelques faisceaux de fibres
blanches
et qui appartient ¡lia la queue du noyau caudé
aire sur la coupe actuelle, n° 33 (fig. 275,) par une mince lamelle
blanche
, qui borde le noyau lenticulaire en avant et en
qui entoure Y avant-mur lorsque le putamen a disparu. Cette couche
blanche
appartient il la capsule externe (Ce), dont l'étu
e telle sorte qu'elle se présente toujours sous l'aspect d'une couche
blanche
mal délimitée (Voy. pour son étude les Coupes v
circonvo- lutions de l'insula (la, Ip). L'écorce et la substance
blanche
occupent ici une surface beaucoup moins considé
ectionnée parallèlement à son axe, se confond en haut avec la masse
blanche
de l'opercule rolandique (OpR). La circonvolution
celle des circonvolutions antérieures de l'insula (la). La masse
blanche
du lobe frontal et des circonvolutions rolandique
resse les trois circonvolu- tions de ce lobe (T,,T2,T3). La masse
blanche
ne présente rien de particulier il noter. Elle n'
sociation qui tapissent les fonds des sillons. Le reste de la masse
blanche
est formé par l'intime intrication des fibres d
le lobe frontal, le deuxième sillon frontal (f.,) subdivise la masse
blanche
de ce lobe, et dans le lobe temporo-pariétal, l
rès nettement : 1° Les rapports de l'écorce cérébrale avec la masse
blanche
sous-jaccnte; la façon dont les fibres radiées
llèlement il leur axe : c'est le cingulum (Cing) qui forme la masse
blanche
de la première circonvolution limbique (L,) et
ésente une très belle irradiation de fibres. Venues de la substance
blanche
, elles s'épanouissent dans la couche profonde d
res de projection, se groupent en fascicules et traversent la masse
blanche
du lobe frontal pour se rendre, soit dans le sy
yonnante, soit dans la couronne rayonnante elle-même. Dans la masse
blanche
du lobe frontal, soit de la troisième, soit de la
, le pied de la couronne rayonnante (pCl3.), ainsi que la substance
blanche
de la première circonvolution frontale (F,) et
Le corps calleux (Ce), le faisceau occipito-frontal (OF), la masse
blanche
des circonvolutions l'olondiques (Fa, Pa), et l
s depuis l'anse du noyau lenticulaire (Al) jusque dans la substance
blanche
du lobe temporal. Le reste du lobe tem- fJ01'al
s les couches plus inférieures de la région de la calotte la couche
blanche
profonde du tubercule qiiudrijumeau antérieur.
resse donc aucun noyau gris de la base, mais exclusivement la masse
blanche
des circonvolutions temporales et parié- tales,
hes sagittales de la corne occipitale, pour se rendre dans la masse
blanche
des cir- convolutions avoisinantes. Fi&.
calcarine (K) ne soit revêtue que d'une très mince couche de libres
blanches
, cette couche de fibres en U existe cependant à c
ttales du lobe temporo-occipital comprennent, en allant de la masse
blanche
vers la cavité ventriculaire : le faisceau long
re pos- térieure. ,;sa ANATOM1E DES CENTRES NERVEUX. La masse
blanche
du lobe temporo-occipilccl a considérablement dim
superficielle, sont parli- culièrement développées. La substance
blanche
de cette circonvolution présente deux couches ass
et l'extrémité posté- rieure du sillon, olfactif (l ? ). La masse
blanche
du lobe frontal est considérablement réduite, les
ourir il former la racine olfactive externe (Rôle). De la substance
blanche
du fond du tubercule olfactif (Toi) se détachent
téral. COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. j77 sagittales, la masse
blanche
du lobe temporal comprend l'intime enchevêtrement
n grand nombre délires radiées qui pénè- trent toutes dans la masse
blanche
; celles qui proviennent du fond des sillons et
des crêtes des circonvolutions pénètrent profondément dans la masse
blanche
, et peuvent être suivies sur une assez grande é
crêtes des circonvolutions, qui se perdent dans la masse des fibres
blanches
, dès qu'elles ont dépassé le fond des sillons.
é le fond des sillons. La partie externe et postérieure de la masse
blanche
est formée sur cette coupe par des fibres il traj
'avant en arrière, et dont les extrémités se perdent dans la niasse
blanche
du lobe limbique. Ce faisceau, fortement coloré
par le ci7guluia.(Cing) et par les fibres enchevêtrées de la musse
blanche
, dont elles se distinguent par leur direction et
e perdent sans limites précises dans l'enche- vêtrement de la masse
blanche
sous-corticale. Ces fascicules sont séparés les u
à ce niveau il se confond avec les fibres enchevêtrées de la masse
blanche
sous-corticale. Les radiations calleuses (RCc)
l'on se porte en dehors, et se perdent insensiblement dans la masse
blanche
sous-corticale non différenciée. Coupe n° 3 (fi
constitue tout le tiers externe de la coupe, appartient à la masse
blanche
de l'opercule sylviGn. Cette coupe passe en eff
lutions de l'insula. Le faisceau arqué (Arc), qui limite la masse
blanche
de l'opercule en dedans, est facilement reconna
internes entrent dans la consti- tution de la mince lame de libres
blanches
, qui recouvre la face supérieure de la couche o
res termes, entre la queue du noyau caudé et la couche de substance
blanche
appar- tenant au pilier postérieur du trigone (
ution de la corne d'Ammon (CA), et constitue la couche de substance
blanche
qui recouvre la face ventriculaire de cette cir
amelles alternativement imbriquées de substance grise et de substance
blanche
, et sillonné par de nombreuses fibres radiaires
vant-mur (AM) s'est étalé et élargi. De nombreux ponts de substance
blanche
le relient à la circonvolution postérieure de l'i
postérieure (cop) et formeront sur les coupes inférieures la couche
blanche
profonde du tubercule quadrijumeau antérieur (Qa)
a partie centrale, et autour duquel se réfléchissent t la substance
blanche
et la substance grise de la circonvolution de l'h
aire de la corne d'Ammon (CA) est recouverte d'une couche de libres
blanches
, l'alvéus (Alv), qui proviennent An pilier postér
(H) est recouverte par une, couche plus ou moins épaisse de fibres
blanches
, la substance réticulée d'1r>rold, ou lame mÚl
à cette région. En avant, le corps strié est en contact avec la masse
blanche
du lobe orbitaire, au sein duquel se trouve le
très près de la ligne médiane, entouré d'une mince couche de fibres
blanches
, et logé dans la substance grise du tuber cinereu
au rouge des régions supérieures Au pédoncule fait place a un noyau
blanc
dans les régions pédonculaires inférieures. En
haque circonvolution cérébrale est formée de deux substances, l'une
blanche
en continuité directe avec le centre ovale, c'e
nche en continuité directe avec le centre ovale, c'est la substance
blanche
ou médullaire dont la forme déter- mine celle d
cendrée ou corticale, qui se moule très exactement sur la substance
blanche
, l'entoure de toutes parts et forme l'écorce céré
une série de zones concentriques, au nombre de six, alternativement
blanches
et grises, connues sous le nom de stries de Bai
'externe et l'interne de coloration grise, la moyenne de coloration
blanche
. Cette dernière, très facile à déli- Substance
e coloration blanche. Cette dernière, très facile à déli- Substance
blanche
et substance grise des circonvolutions. Eco
ait en z ? l'écorce cérébrale en trois couches : une couche externe
blanche
, transparente, extrêmement mince, située à la sur
ent mince, située à la surface des circonvolutions, c'est la couche
blanche
corticale de Remak; une couche moyenne, grise,
grises, assez épaisses, sont séparées l'une de l'autre par une zone
blanche
, mince et mal délimitée en général, la strie exte
mal délimitée en général, la strie externe de Baillarger, ou couche
blanche
intermédiaire externe de Remak, qui constitue d
grise interne et constitue la strie interne de Baillarger ou couche
blanche
intermédiaire interne de Remak (lig. 330). Me
cules, forment les fibres radiées, puis pénètrent dans la substance
blanche
. D'une manière générale, la direction des fib
à la surface des circonvolutions, et donnent naissance aux stries
blanches
de Baillarger et en par- ticulier au ruban de V
d'Azyr, les stries interne et externe de Baillarger et la substance
blanche
sont colorés en rouge : 1\[, couche moléculaire
lules pyramidales. cérébrale, pour se continuer dans la substance
blanche
, avec un tube ner- veux, appartenant soit au sy
es pyra- mides. D, couche des corpuscules polymorphes. E, substance
blanche
. a, panaches épi- neux des cellules pyramidales
blables mais plus petites. - h, ^cellule siégeant dans la substance
blanche
. i, cellule arrondie dont le cylindre-axe se diri
ellule arrondie dont le cylindre-axe se dirige vers [la sub- stance
blanche
cellule du type II de Golgi. ' 676 6 ANATOMIE D
ales descend à travers les couches sous-jacentes, dans la substance
blanche
où il se continue avec une fibre à myéline, en
nés, Cajal est arrivé à suivre ces cylindres-axes dans la substance
blanche
jusqu'au corps strié, et il admet avec v. Monakow
tuer les faisceaux de libres radiées, puis arrive dans la substance
blanche
où il se continue en général avec une fibre de
épaisses et descendantes, qui s'arborisent jusque dans la substance
blanche
. Le cylindre-axe des cellules polymorphes est min
isent en T et se continuent avec une fibre nerveuse de la substance
blanche
(Cajal). i Couche des cellules polygonales
llules poly- morphes se continue avec une fibre de la substance
blanche
. Fil;. a : r0. -Cellule à cylindre-axe court (t
s névrogliques. On trouve dans l'épaisseur de la substance grise et
blanche
de l'écorce cérébrale un grand nombre de cellules
représentent des cellules épendymaires émigrées dans les substances
blanche
et grise. Les autres, développées aux dépens de l
ction, ; ainsi que les libres ! terminales venant de la substance
blanche
. ! 11 Ces faisceaux de libres radiées augment
augmentent de volume à mesure que l'on se rapproche de la substance
blanche
, et constituent des faisceaux - compacts et ser
sous l'aspect de fibres parallèles entre elles qui, de la substance
blanche
, - montent dans la substance grise, où elles s'
). . /7-f, fibres des quatrième et cinquième couches. Sb, substance
blanche
. 682 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Fibres tan
nferment en outre des fibres terminales provenant de la substance "
blanche
, qui viennent s'arboriser dans ce territoire cort
15 jours. On y a représenté les fibres grosses venant de la substance
blanche
et s'arborisant dans la substance grise. Méthod
grandes cellules pyramidales. f, éléments globu- leux. A, substance
blanche
. B, couche moléculaire. STRUCTURE DE L'ÉCORCE C
notti; 4° Les collatérales des libres d'association de la substance
blanche
; 5° Les arborisations terminales des fibres d'a
par Martinotti (voy. p. 668) ; y, les collatérales de la substance
blanche
. Cette couche est nettement délimitée en dedans
endants; y, les arborisations terminales des libres de la substance
blanche
(Cajal). Celte couche, qui a été l'objet de la
e Baillarger jusqu'aux courtes fibres d'association de la substance
blanche
ou fibres en U de Meynert,. Elles se confondent
des circonvolutions, et quelquefois avec les fibres de la substance
blanche
(fig. 317). Connexions des cellules pyramidales
nales venues d'autres centres. F, collatérales de la sub- stance
blanche
. G, cylindre-axe bifurqué dans la substance bla
a sub- stance blanche. G, cylindre-axe bifurqué dans la substance
blanche
. G88 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Connexions
intra-utérine, apparaissent dans la substance médullaire des stries
blanches
, indices de la myélinisation des fibres nerveuses
z long une légère teinte violacée. Les fibres nerveuses de la masse
blanche
des hémisphères ne se recouvrent en effet que t
de leur gaine de myéline se présentent sous la forme d'une traînée
blanche
, étendue de la capsule interne au sillon de liola
e. possible de constater de visu son perfectionnement dans la masse
blanche
des hémisphères. Il est probable qu'elle se per
l'intel- ligence. Si les progrès de la myélinisation de la masse
blanche
des hémisphères ne sont guère appréciables aprè
dimensions, on trouve, en particulier au voisinage de la substance
blanche
, un certain nombre de cellules fusi- formes, pa
ne sorte de barrière, qui sépare l'écorce cérébrale de la substance
blanche
sous-jacente (Mondino). Cette disposi- tion est
tiers inférieur de l'écorce, sans atteindre cependant la substance
blanche
. Entre ces cellules fusiformes verticales, on ren
aire, et le cylindre-axe peut être suivi jusque dans la subs- tance
blanche
(fig. 346, r). Ici encore, comme dans le reste de
éculaire, une moyenne ou cellulaire et une profonde ou de substance
blanche
(fig. 318). La couche moyenne est composée de c
e fibre à myéline, soit de la couche profonde, soit de la substance
blanche
. Parfois même, le cylindre-axe se divise en Y et
sceaux de fibres radiées, qui des- cendent jusque dans la substance
blanche
de la circonvolution (fig. 350). Cette couche m
e la couche semblable des autres régions de l'écorce. La. substance
blanche
du subiculum est épaisse et contient deux couches
ent, dans la cavité ventricu- laire, l'écorce grise et la substance
blanche
qui tapissent le fond du sillon de l'hippocampe
es polymorphes (Pm) ou stratum oriens.-Alv, al- véus ou substance
blanche
. FiG. 353. Schéma de la struc- ture de l'écor
Méthode double de , Golgi. (D'après Ramon y Cajal.) A, substance
blanche
. - B, couche des cellules polymorphes ou stratum
d'un mois. Méthode de Cox. (D'après Ramon y Cajal.) B, substance
blanche
. O, stratum oriens. P, couche des cellules pyrami
ellules pyramidales. - ? line collatérale se rendant à la substance
blanche
. - g, collatérale venant des fibres de l'alvéus
collatérales nerveuses ascendantes /, collatérales de la substance
blanche
. - J, fibres terminales venant du subiculum. L, c
'alvéus et dont les plus profondes sont situées en pleine substance
blanche
(fig. 354, a, b); leurs dendrites se perdent entr
plus grêles, sont dirigés, parallèlement aux fibres de la substance
blanche
, et simulent des cylindres-axes ou des collatéral
Ammon.-Lcs fibres de la corne d'Ammon comprennent : 1° la substance
blanche
ou ah/Jus; 2° les nombreuses fibres Feutrage 1)
t les différentes couches de la corne d'Ammon. 1° Alvéus (Substance
blanche
de la corne d'Ammon. Couche des fibres blanches
1° Alvéus (Substance blanche de la corne d'Ammon. Couche des fibres
blanches
du pilier postérieur du trigone). Golgi, Sala, Sc
t la corne sphénoïdale, et entrent dans la constitution de la masse
blanche
du subiculum (fig. 359). Les fibres de l'alvéus
risations terminales des fibres et des collatérales de la substance
blanche
du subiculum (fig. 359) ; 2° des ramifications
r les cylindres-axes ascendants, les collaté- rales de la substance
blanche
et les arborisations terminales des cellules du
égion godronnée de la corne d'Ammon (Voy. fig. 351). La substance
blanche
de la circonvolution godronnée est représentée pa
ymorphes (Pm) ou stratum oriens.-Alv, al- ' . 1 vous ou substance
blanche
. Fig. 362. Schéma de la struc- ture de l'écor
collatérales nerveuses ascendantes. /, collatérales de la substance
blanche
. - J, libres terminales venant de la circonvoluti
oïdes du stratum granulosum ne vont donc pas jusqu'à la sub- stance
blanche
, et partant ne concourent pas à la formation de f
D, tractus ou pédicule olfactif. E, grains.- G, région de la racine
blanche
externe du nerf olfactif.- F, cellules pyramida
des ccllules poly- : norplies (3= couche). Couche de sub- stance
blanche
(4' ' : ouche). Septum lucidum. Il est l'ho
cellules polymorphes et se continue avec une fibre de la substance
blanche
. Les grandes cellules sont fusiformes, triangulai
polymorphes et se continue avec une fibre à myéline de la substance
blanche
. Les cellules des îlots olfactifs sont enlacées
ire, leur cylindre-axe se con- tinue avec une fibre de la substance
blanche
. A côté de ces fibres, on trouve des cellules f
ce typique et des cellules du type II de 1 Golgi. 4° La substance
blanche
, simple condensation des faisceaux de la couche
rchiv. f. Psych. u. Nervenk. 4887. - . CHAPITRE V 0 SUBSTANCE
BLANCHE
DES HÉMISPHÈRES CÉRÉBRAUX Les ^fibres de la s
NCE BLANCHE DES HÉMISPHÈRES CÉRÉBRAUX Les ^fibres de la substance
blanche
comprennent des fi- bres d'association, des
tions. FIBRES D'ASSOCIATION ET FIBRES COMMISSURALES La substance
blanche
des hémisphères, qui atteint sa plus grande éte
tre-croisant fré- quemment les unes avec les autres. La substance
blanche
sous-jacente à n'importe quelle partie de l'écorc
éviation dans leur trajet, la base de la circonvolution et la masse
blanche
sous-jacente. Le fond des sillons n'est toutefo
pas de même des longues fibres d'association, situées dans la masse
blanche
commune des hémisphères, où elles sont souvent
projection. Origine et termi- naison des libres de la substance
blanche
Fibres d'associa tion. Leur origine. luti
s en différents sens. On constate alors facilement que la substance
blanche
des hémisphères, malgré les entre-croisements m
des circonvolutions. S'il est vrai qu'il n'existe dans la substance
blanche
, pour ainsi dire, pas de faisceaux qui ne soien
ciation occupent les couches les plus périphériques dé la substance
blanche
; qu'elles sont d'autant plus courtes .qu'elles
ntricule latéral. Origine et terminaison des fibres de la substance
blanche
. Chez l'homme et chez les grands mammifères, l'
aison dans l'écorce de tel ou tel système de fibres de la substance
blanche
est impos- sible à établir par l'histologie seu
Ces fibres de pro- jection traversent toute l'épaisseur de la masse
blanche
des hémisphères; arrivées au niveau du corps ca
s de celles qui sillonnent l'écorce. Elles arrivent de la substance
blanche
, se coudent pour pénétrer dans l'écorce, et apr
13 jours. On y a représenté les fibres grosses venant de la substance
blanche
cl, s'arborisant dans la substance grise. Métho
es cellules pyramidales. J', cellules poly- morphes. - A, substance
blanche
. B, couche moléculaire. 748 ANATOMIE DES CENTRE
. 743); elles forment quelquefois, presque à elles seules, la masse
blanche
de certaines circonvolutions, telles que les circ
profonde de la couche des fibres en U est en rapport avec la masse
blanche
propre de la région, formée par l'enchevêtremen
e l'hémisphère et qui concourt à former, en grande partie, la masse
blanche
des première et deuxième circonvolu- tions limb
recourbent à leurs deux extré- mités pour se porter dans les masses
blanches
des circonvolutions environ- nantes, et qui dan
calleux (Ce), au niveau du point où celui-ci pénètre dans la masse
blanche
du centre ovale (CO) ; son sommet correspond à la
en dehors et en bas, où il se confond insensiblement avec la masse
blanche
des circonvolutions de l'opercule sylvien, le f
t par l'hématoxyline et se dif- férencie difficilement, de la masse
blanche
de la base des circonvolutions de l'opercule sy
rne frontale, c'est-à-dire du genou du corps calleux et de la masse
blanche
du lobe frontal; se réuniraient en un faisceau
cilement des radiations thalamiques (RTh) et des fibres de la masse
blanche
du lobe temporo-occipital, grâce au gros calibre
longues, dont la dégénérescence peut être suivie dans la substance
blanche
du lobe temporal. Les libres du faisceau longit
les libres de projection et les fibres commissurales, la substance
blanche
de ce z19 Rapports de son bord supérieur.
nné le peu de développe- ment que présentent chez le singe la masse
blanche
des hémisphères et en particulier les fibres d'
s portant non plus sur la corticalité occipitale, mais sur la masse
blanche
sous-jacente et en particulier dans les cas de
e du faisceau longitudinal inférieur et forme à elle seule la masse
blanche
des plis cunéo-limbiques. Ses fibres relient la
ividualité, de telle sorte que la || plus grande partie de la masse
blanche
du lobe frontal est formée par l'intime intrica
on frontale (oF,, mli,, [Gr]), puis concourt à former la commissure
blanche
de la base de Henle et s'entre-croise avec celu
ées à l'écorce cérébrale et épargnent presque complètement la masse
blanche
, qui n'est le siège que de dégé- nérescences se
es dégénérescences intéressent le stratum calcarinum (strK), la masse
blanche
du cunéus (C), les radiations thalamiques(RTh),
r cette coupe. La dégénérescence du stratum calcarinum, de la masse
blanche
du cunéus et la zone de dégénérescence qui occu
ouvent très pro- fondes, détruisent une grande étendue de substance
blanche
, fusent sous la cavité ventriculaire, sectionne
celui du manteau cérébral. La commissure antérieure est un faisceau
blanc
très apparent, assez régulièrement cylindrique,
rieure de la commissure antérieure est recouverte par la commissure
blanche
de la base de Henle, fait un léger relief en avan
été préparées en vue de l'étude des fibres dégénérées dans la masse
blanche
de l'hémisphère sain. De l'ensemble de ces re
observation est celle-ci : la tige médullaire est formée de substance
blanche
à la périphérie, et de substance grise à son cent
de tout temps les anatomistes ont pu la faire. Ainsi les faisceaux
blancs
, qui sont à la périphérie des deux moitiés de la
ifférences non moins marquées dans la structure. Les fasciculations
blanches
qui, dans chaque demi-moelle constituent la gaine
qui ont lieu à chaque instant entre la matière grise et les faisceaux
blancs
qui l'enveloppent. Outre ces faisceaux envelopp
e spongieuse et la gélatineuse, un certain nombre de petits funicules
blancs
dont l'existence est constante, mais dont le nomb
ont compris plusieurs appareils importants. La lamelle antérieure est
blanche
, elle unit entre eux les cordons antérieurs. La l
-différentes les unes des autres. Les unes appartiennent à son écorce
blanche
, les autres à ses axes gris. Les premières sont
les autres à ses axes gris. Les premières sont des fibres nerveuses
blanches
. Elles ont le caractère de toutes les fibres nerv
gieuse. Elles sont surtout abondantes dans le voisinage des faisceaux
blancs
qui servent d'écorce à l'axe gris. C'est aussi là
n étudiant attentivement ces fibres, on démontre aisément que la lame
blanche
de cette commissure résulte d'un entrecroisement
faut de beaucoup que la substance grise soit, eu égard à la substance
blanche
, dans les mêmes proportions dans toutes les régio
ent cervical ; d'une manière générale dans les animaux, les faisceaux
blancs
s'atténuent d'autant plus à la région dorsale que
la moelle prennent plus d'importance, elles retiennent plus de fibres
blanches
, et en laissent passer jusqu'à l'encéphale un nom
lombaire, et l'enveloppe que constituent autour de lui les faisceaux
blancs
est relativement très-mince; mais chez l'adulte c
blancs est relativement très-mince; mais chez l'adulte ces faisceaux
blancs
se multiplient, s'épaississent, et les axes gris
ris se réduisent proportionnellement. Cette multiplication des fibres
blanches
parait suivre l'accroissement des membres postéri
OUVEAU-NÉ homme adulte ENFANT homme Aire totale des faisceaux
blancs
Aire des faisceaux postérieurs Aire totale de
x blancs Aire des faisceaux postérieurs Aire totale des faisceaux
blancs
Aire des faisceaux postérieurs Aire des axes
2000 492 6978 2404 721 1314 Celte réduction des faisceaux
blancs
et des axes gris à la région dorsale de l'adulte
t de vue de la sensibilité intelligente? La réduction des faisceaux
blancs
à la région dorsale est beaucoup moindre dans l'h
me beaucoup plus que dans les animaux, mais en revanche les faisceaux
blancs
dans la région sous-bulbaire subissent une réduct
l les deux moitiés de l'axe, après avoir traversé un anneau de fibres
blanches
appelé protubérance annulaire, se séparent et div
. L'intervalle qui l'en sépare est rempli par une expansion de fibres
blanches
émanées du funicule accessoire du cordon latéral;
lles sont immédiatement enveloppées par une couche mince de substance
blanche
formée de fibres transversales juxtaposées, qui,
ntail pédonculaire. Cette gouttière, dont le fond est formé de fibres
blanches
mêlées à beaucoup de substance grise, loge la ban
l'éventail et se mêlent aux fascicules qui le composent. Un faisceau
blanc
, plus épais, se mêle au plan de ces fibres et se
la paroi postérieure du cornet 5 ce faisceau , composé de fibres d'un
blanc
nacré, émane d'un cordon fibreux logé dans la pro
ntérieure. Outre ces fibres superficielles, une multitude de fibres
blanches
, nées surtout de l'anse pédonculaire, traversent
cales de l'hémisphère la limite en avant et l'embrasse ; les fibres
blanches
qui soutiennent ce bord ont reçu le nom de racine
tuber cinereum. C'est en ce lieu qu'on remarque ces petites eminences
blanches
, arrondies, qu'on connaît sous le nom ^eminences
elle est molle, convexe, composée de vésicules remplies d'une liqueur
blanche
et elle est située à la partie postérieure de la
ue celles de la cendrée, et qui contiennent une liqueur beaucoup plus
blanche
et rlus tenue. » Celle description est en grand
ougeâtre forme une couche épaisse de 2mm50 environ, et une intérieure
blanche
semblable à la substance médullaire du cerveau. C
ant a la substance du petit lobe elle est d'une seule couleur, tantôt
blanche
, tantôt grisâtre ou brunâtre. L'on n'y remarque q
ieussens. Chez l'homme, un petit pont, formé par un tractus de libres
blanches
, passe transversalement au-dessus d'elle entre le
nt les premiers fait connaître, et qui portent leur nom; 3°des stries
blanches
obliques qui s'implantent d'avant en arrière sur
La tige de la plume est le sillon médian. Ses barbes sont les stries
blanches
obliques, l'angle médian compris dans l'écartemen
rieurs du cervelet est complètement recouvert par une voûte de fibres
blanches
, qui porte la masse des tubercules quadrijumeaux.
culée du pédoncule, naissent, dans le voisinage de l'anse, des fibres
blanches
, qui s'étalent et s'enroulent autour des deux ama
d postérieur du pavillon pédonculaire. — Au-dessous de cette écorce
blanche
, entre elle et le noyau, une bande épaisse, formé
blanche, entre elle et le noyau, une bande épaisse, formée de fibres
blanches
entremêlées de beaucoup de substance ganglionnair
u, elle s'en distingue bientôt sous forme d'un cordon où la substance
blanche
l'emporte de plus en plus sur la grise. Ce cordon
ou interne des couches optiques ; ses limites sont celles de l'écorce
blanche
de ces couches. La lèvre circonscrite est libre
nt de lui les cordons longitudinaux de cette commissure, puis sa lame
blanche
transverse, en arrière est sa lame grise. Or, i
le ventricule et s'enrouleront au-dessus de lui. Enfin la commissure
blanche
sera entraînée dans le même mouvement. Chose re
Les cordons longitudinaux sont les piliers de la voûte, la commissure
blanche
est le corps calleux. Enfin la commissure grise c
rsiste, suivant M. Ret-zius, jusque dans l'âge adulte, chez les races
blanches
do-licho-céphales, et notamment dans la race Scan
hèse, les adultes de ces races sont comparés à des enfants de la race
blanche
. On n'eût pas émis, à coup sûr, une pareille prop
Quand on pèse un cerveau d'Américain, de Chinois, de, nègre, d'homme
blanc
, on peut trouver des poids pareils; mais est-il c
alités virtuelles du type. On considère tel noir, on le compare à tel
blanc
, et l'on ne voit pas qu'ici des faits isolés ne s
des mesures de capacité du crâne est plus grande dans l'homme de race
blanche
et de race mongolique, que dans tous les autres.
qui fut célèbre sous le nom de Vénus hottentote, et dans celui d'une
blanche
idiote, que nous avons eu occasion d'examiner che
nous avons eu occasion d'examiner chez M. Baillarger. Enfin, un homme
blanc
, dont l'un des hémisphères était atrophié dans se
de ce côté, une disposition analogue. Dans l'état normal de la race
blanche
, ce pli est tantôt chargé d'incisures multiples t
al, le développement excessif auquel le cerveau atteint, dans l'homme
blanc
, dissimule cette régularité primitive, et entre l
nto-pariétal inférieur interne. Elle est flanquée de deux bandelettes
blanches
, l'une plus longue tient au crochet du pli uncifo
st parcourue, dans toute sa longueur, par Je prolongement des traclus
blancs
, que les auteurs désignent sous le nom de racines
elui que nous constatons entre les fibres qui composent la commissure
blanche
de la moelle. Maintenant que sont ces pyramides
ngtemps réfléchi, j'ai cru pouvoir la résoudre ainsi. La commissure
blanche
est formée par une série d'entrecroisements conti
ue. 2° Fibres transversales. Celles-ci représentent la commissure
blanche
de la moelle. Elles sont étendues d'un côté à l'a
u« bérance comme un véritable centre. stance des pyramides est d'un
blanc
nacré et tranche sur la substance grise à cette é
foré postérieur ne diffèrent point de ceux que présente la commissure
blanche
de la moelle. Elle offre un raphé médian que pa
ule, à la surface des couches optiques, et se portent dans l'écorce
blanche
de ces couches, au niveau de leur genou antérieur
hérie des couches optiques. 11 faut bien remarquer que cette écorce
blanche
n'a rien de commun avec les racines du nerf optiq
ouches optiques, proprement dites, sont intermédiaires à cette écorce
blanche
et au noyau. Elles s'enroulent autour de lui d'av
nce grise que parcourent, d'avant en arrière, une multitude de fibres
blanches
. Deux renflements de cette substance grise consti
nde pinéale peuvent être considérées comme une dépendance de l'écorce
blanche
de la couche optique, seulement, au lieu de conti
l, on constate immédiatement qu'il est formé à son centre d'une masse
blanche
, d'où partent des lames, des lamelles et des feui
éral, sont beaucoup moins élégantes et donnent l'idée d'un gros noyau
blanc
à la périphérie duquel sont implantés une multitu
Ainsi, d'une manière générale, le cervelet comprend un grand noyau
blanc
tout couvert de feuillets, et une écorce qui le
our le plus petit nombre des prismes. Peut-être les fibres des noyaux
blancs
du cervelet se continuent-elles dans le centre de
1° l'olive du cervelet qui est au centre, et 2° les masses de fibres
blanches
qui l'enveloppent. 1° De l'olive du cervelet.
d. Tab. analom., fasc. 1, Tab. VIII, fig. 4.» 2° Structure du noyau
blanc
. Les fibres du pédoncule cérébelleux supérieur
du développement de ces régions. Ceci posé, la description du noyau
blanc
sera facile. Nous remarquerons, en premier lieu,
és de substance grise, les postérieurs ont une écorce mince de fibres
blanches
. Les cellules de la substance grise sont incolore
s. L'intérieur de ces bourses est rempli par un amas énorme de fibres
blanches
qui émanent surtout des couronnes radiantes de l'
. (1) Kôlliker. Éléments d'histologie, p. 335. Cet amas de fibres
blanches
, occupant le centre de chaque hémisphère, a été n
t la face supérieure du corps calleux, la section de ces deux centres
blancs
des hémisphères unis par les fibres intermédiaire
les fibres intermédiaires du corps calleux, présente un grand espace
blanc
entouré de chaque côté par un limbe gris. Cet esp
nom de centre ovale conviendrait mieux à la masse entière des noyaux
blancs
des hémisphères. Quoi qu'il en soit, il y a, da
hères. Quoi qu'il en soit, il y a, dans chaque hémisphère, un noyau
blanc
et une écorce. Nous traiterons successivement de
rofondément leur substance : il sort de leur partie interne une fibre
blanche
nerveuse, qui en est comme le vaisseau propre, qu
assez clairement au travers de ces petits corps transparents et tous
blancs
, de manière que la substance médullaire blanche d
s transparents et tous blancs, de manière que la substance médullaire
blanche
du cerveau est apparemment un tissu et un assembl
émité postérieure du cerveau dans l'épaisseur desquelles la substance
blanche
est distribuée en stries flexueuses à la manière
de l'écorce du cerveau, plusieurs couches distinctes, alternativement
blanches
et grises, à partir de la périphérie. Les observa
'écorce comprend six couches, savoir : 1° A l'extérieur, une couche
blanche
, fort mince, dont les fibres sont étendues à la s
e branche; 4° Une deuxième couche grise ; 5° Une troisième couche
blanche
; 6° Une troisième couche grise. Dans la couc
lument frais (1) Cf. Lclut. Note sur la disposition de la substance
blanche
à la surface du lobule de l'hippocampe dans le ce
très-grêles, qui forment des arcades irrégulières. La troisième est
blanche
et parcourue par un grand nombre de fibres parall
erminer pour la plupart. Cette couche touche immédiatement à la masse
blanche
qui occupe le centre de l'hémisphère (1). Il n'
ouches sont traversées par des fibres très-déliées. Quant aux couches
blanches
, elles semblent formées par des stratifications t
lgré l'imperfection des résultats qu'a donnés l'analyse des faisceaux
blancs
des hémisphères, du moins seront-ils en partie pl
ence pourront nous conduire un peu plus loin. B. Structure du noyau
blanc
des hémisphères, ou du centre ovale de Vieussens.
s par énumérer les différents ordres de fibres qui composent ces amas
blancs
intermédiaires aux noyaux terminaux de l'axe et a
proviennent de l'anneau du pédoncule, et comprend en outre des fibres
blanches
qui de la voûte se portent en avant au corps call
les de M. Foville (2). C'est ici le lieu de revenir sur les tractus
blancs
qui parcourent d'avant en arrière la face supérie
ente, passe au-dessous d'elle, puis au dedans, s'engage sous l'écorce
blanche
de la couche optique et s'enroule d'arrière en av
uillé interne, naît une division remarquable. C'est un petit faisceau
blanc
qui se porte immédiatement dans l'angle inférieur
blent. Parmi ces tractus, nous distinguons au premier abord une bande
blanche
qui, de la face inférieure du lobe olfactif, se p
ons inférieurs de la couronne de Reil, un certain nombre de faisceaux
blancs
dont la distribution est fort simple. Toutes ces
de deux ordres, les unes se continuent dans l'épaisseur des faisceaux
blancs
antérieurs et latécaux, les autres se portent dan
un centre d'action réflexe, en même temps que par ses fascicula-tions
blanches
et par les anastomoses longitudinales de ses ce
me dans le noyau cérébelleux ; 2° La seconde rayonne en un éventail
blanc
dont les fibres cheminent dans la substance grise
nitives 5 la matière fibreuse du centre ovale n'a point cette couleur
blanche
qui la distingue dans l'adulte ; quant aux couche
ne taille égale, que ceux des individus normaux appartenant à la race
blanche
. À coup sûr les Hottentots bojesmans sont-ils de
mment, dans les plus illustres académies, l'on admiré tant de cheveux
blancs
. J'ai beaucoup insisté sur ces choses parce qu'
345. en général, dans tous les lieux où elle recouvre des faisceaux
blancs
, l'élément conjonctif l'emporte sur l'élément vas
tubérance, et en général toutes celles qui pénètrent dans des parties
blanches
qui recouvrent des noyaux de substance grise, son
ne? Les Mongols ne diffèrent-ils pas essentiellement d'avec les races
blanches
? Enfin ne voit-on pas en Amérique deux races auto
ables de civilisation, tels que ceux qui appartiennent soit à la race
blanche
, soit à la mongolique. En conséquence, pour trouv
ace mongolique offrc-t-elle un type plus facile à définir que la race
blanche
, et dans celle-ci les familles barbares, telles q
u grand développement de la vertèbre frontale dans les hommes de race
blanche
correspond une plus grande rectitude du profil de
ortions élégantes qui caractérisent le type grec ancien. Chez l'homme
blanc
le peu de saillie de la face exprimant un plus gr
ambiques, et les Alfouroux, et dans les individus dégradés de la race
blanche
, la suture fronto-pariélale se soude d'abord, pui
le se soude d'abord, puis la pariéto-occipitale; mais dans les hommes
blancs
normaux, le plus souvent l'inverse a lieu et l'os
s les sutures sont constamment beaucoup plus simples que dans la race
blanche
ou dans la Mongolique; sous ce point de vue je si
ichocéphales à front étroit. La persistance si fréquente dans la race
blanche
(1) de la suture médio-frontale semble n'avoir ja
ures en général, et des sutures frontales en particulier dans l'homme
blanc
, tient à cette tendance indéfinie au développemen
e profil du crâne est parallèle à la ligne faciale, mais dans la race
blanche
elle s'incline davantage vers les parties postéri
orbitaire externe, parallèlement à l'arcade zygomatique. Dans la race
blanche
au contraire elle dépasse plus ou moins cette lig
ficatif et qu'aucune autre race ne présente (1). (1) Dans une femme
blanche
, imbécile depuis sa naissance, mais non microcéph
e par l'examen des réalisations les plus dépourvues de beauté du type
blanc
. J'ai entre les mains plusieurs crânes pris au ha
donnée par la distance qui sépare ces deux crêtes. Mais, dans la race
blanche
, cette largeur maximum correspond au bord postéri
s races mongoliques. C'est pour cette raison que je désigne les races
blanches
sous le nom de races frontales, le nom de races p
elques personnes expliquent ce fait, en disant que la tête de l'homme
blanc
est sphéroïdale ou globuleuse. C'est là toutefois
être difficiles en fait de civilisation. Les petits enfants de race
blanche
sont également dolichocéphales; cependant, malgré
e bas en haut et d'avant en arrière. Ce n'est pas tout; chez l'enfant
blanc
la région cérébrale de l'occiput l'emporte beauco
de la philogéniture, et de la voir diminuer dans les adultes de race
blanche
, qui aiment apparemment leurs enfants beaucoup mo
plus particulièrement le cerveau humain, et la supériorité de la race
blanche
se prouve aisément par la prédominance de tous ce
minutieux qu'il ne faut point négliger. Le plus souvent, dans l'homme
blanc
, les plis cérébraux ne laissent sur la table inte
in que possible, eu égard à la masse du noyau cérébral et des centres
blancs
des hémisphères. Le fait est que daus l'homme bla
l et des centres blancs des hémisphères. Le fait est que daus l'homme
blanc
normal ces empreintes sont à peu près nulles, tan
e. Des crânes de Nègres, d'flozouahnas, d'Alfouroux, de Mongols ou de
blancs
, eussent-ils la même capacité cérébrale, il ne fa
ale grandeur et d'égale proportion, pût être assimilé au cerveau d'un
blanc
? Quant à moi, je ne puis le croire. Les blancs à
ssimilé au cerveau d'un blanc? Quant à moi, je ne puis le croire. Les
blancs
à petite tête ont les instincts des blancs; ils c
je ne puis le croire. Les blancs à petite tête ont les instincts des
blancs
; ils comprennent la civilisation, elle va à leur
perfection de nègre qui ne les fait en aucune manière semblables aux
blanc
s. Qu'un blanc à grosse tête soit plus intelligen
nègre qui ne les fait en aucune manière semblables aux blanc s. Qu'un
blanc
à grosse tête soit plus intelligent qu'un blanc à
es aux blanc s. Qu'un blanc à grosse tête soit plus intelligent qu'un
blanc
à tête petite, cela peut être et cela se conçoit;
me matière spécifiquement parlant; mais s'ensuit-il qu'un nègre et un
blanc
étant donnés, le nègre soit plus intelligent et d
cherches dans les limites rigoureuses d'un type naturel. Comparez les
blancs
aux blancs, les nègres aux nègres, les Mongols au
ns les limites rigoureuses d'un type naturel. Comparez les blancs aux
blancs
, les nègres aux nègres, les Mongols aux Mongols,
e manière générale ces dimensions soient un peu plus grandes dans les
blancs
que dans les autres races, bien qu'elles implique
longueur est ce qui varie le moins. Je la trouve sur un crâne d'homme
blanc
de grandeur moyenne égale à 176mm, prise extérieu
ble du poids de la substance osseuse. Aussi, en général, le crâne des
blancs
cst-il fort léger, si on le compare aux races sau
ne épais, et le plus souvent dépourvu de sinus. Les idiots de la race
blanche
, lorsqu'ils présentent un commencement de microce
rt exactes, sauf pour le frontal dont la largeur moyenne dans la race
blanche
est au moins de 110mm. Je l'ai trouvée égale à
rait du diamètre extérieur de 10mm seulement ; de même chez une femme
blanche
à tête fort petite, le diamètre longitudinal de l
était de 9mm seulement, tandis que, dans une idiote également de race
blanche
, ce dernier diamètre étant de 162mm, le diamètre
acultés, et des formes cérébrales qui trahiraient l'intelligence d'un
blanc
suffisent à ces faibles natures. Cette suffisance
nies, mais des harmonies d'un ordre moins élevé que celles des hommes
blancs
. Chez ceux-ci un degré d'organisation qui se conc
étendu sur ce sujet dans un autre ouvrage en comparant au cerveau des
blancs
, celui de la Vénus hottentote (1). Combien souven
elle forme peut être parfaite dans un sauvage qui serait dans l'homme
blanc
une difformité, et qu'il faut en conséquence fair
s qui forment les plexus celluleux sont enveloppées de longues bandes
blanches
qui leur servent en quelque sorte d'écorce. On pe
réactions, et ce rôle paraît appartenir surtout à ses fasciculations
blanches
. § 8. De la moelle comme conducteur. La décou
de Bellingeri. Mais il n'établit pas clairement le rôle des faisceaux
blancs
. 11 pense toutefois qu'ils servent les uns et les
antérieur pour la transmission des ordres de la volonté. Les cordons
blancs
, séparés de la substance grise, perdent toutes le
lement de la destruction des anneaux fibreux qui composent son écorce
blanche
; car, nous ne pensons pas qu'en elle-même la des
rps, les effets en étaient peu sensibles; mais à peine les radiations
blanches
de la couronne de Reil (1) M. Serres admet que
rendre en même temps plus aisée, en considérant une feuille de papier
blanc
fortement éclairée au travers d'un petit trou pra
s l'ordre suivant : l'image est-elle brillante, le passage se fait du
blanc
au noir par le blanc, le jaune orangé, le rouge,
'image est-elle brillante, le passage se fait du blanc au noir par le
blanc
, le jaune orangé, le rouge, le violet et le bleu.
le violet et le bleu. Est-elle au contraire obscure, elle revient au
blanc
par le bleu, le vert et le jaune. Les images co
ndé d'une lumière rouge, ouvrons-nous alors les yeux, tous les objets
blancs
semblent teintés de vert. C'est à ce phénomène qu
es, l'une des plus curieuses est celle-ci : Sur un disque de carton
blanc
, de vingt-cinq centimètres de diamètre, on décrit
contournée en spirale sur l'ensemble du disque. Cette bande doit être
blanche
et peut être ménagée à l'avance. « Maintenant,
ais la bande spirale donnera lieu à l'apparence d'une suite d'anneaux
blancs
nettement dessinés, qui, naissant l'un après l'au
ère d'opérer, le fond du disque doit être complètement noir. La bande
blanche
spirale n'aura que deux millimètres de largeur, e
ée à partir de son centre en huit triangles alternativement rouges et
blancs
. Eh bien ! suivant que l'attention se portait plu
ien ! suivant que l'attention se portait plus particulièrement sur le
blanc
ou sur le rouge, on voyait, par une métamorphose
on voyait, par une métamorphose immédiate, tantôt une croix de Malte
blanche
sur un fond rouge, tantôt une croix rouge sur un
e Malte blanche sur un fond rouge, tantôt une croix rouge sur un fond
blanc
. On a fait aussi la remarque que, dans des dessin
ue je rapporte ici, il y avait une saveur perçue, c'était de la bière
blanche
que pensait le rêveur, et il en sentait le goût.
l est couleur de feu, comme les phosphènes; d'autres fois il est d'un
blanc
pâle ressortant sur le fond noir des ténèbres, et
nt le mouvement et ne cessaient point d'être aperçues. Les fantômes
blancs
sont assez rares dans les ténèbres absolues, mais
rit M. Michéa, une figure distincte et connue, mais une forme pâle et
blanche
, semblable à un cône (1) Voy., dans Valère-Maxi
e regardai de nouveau; ces deux prétendus cygnes étaient deux chevaux
blancs
qu'on faisait baigner. L'illusion était facilemen
au n'ayant pas atteint les intervalles de ses doigts, l'enfant naquit
blanc
, sauf les intervalles des doigts qui étaient noir
ie. Ainsi, par exemple, une chose est rouge, elle est bleue, elle est
blanche
. L'homme n'a en lui aucun moyen direct de peindre
'homme n'a en lui aucun moyen direct de peindre le rouge, le bleu, le
blanc
ou les autres couleurs. 11 ne le peut ni par les
de guerre seulement, se régaler de chair humaine, et, la plupart des
blancs
vivre de vols et de calomnies, donner la préféren
avec l'anal) se psychologique la plus subtile. La masse des fibres
blanches
qui composent le centre ovale de Vieussens, n'est
a lacération d'une couche superficielle, que constituait une membrane
blanche
, rugueuse, mollasse, sans cotylédons, mais ayant
cules est traversée par un nombre prodigieux de lamelles et de fibres
blanches
, resplendissantes, qui la divisent en cellules, e
anche II. J. G. Martin del. et lith. Lith. de Langlumé. cordons
blancs
renflés en manière de fuseau, souvent interrompus
près un trajet plus ou moins long, plus ou moins oblique, à la croûte
blanche
placentaire dont j'ai parlé, croûte blanche vascu
oins oblique, à la croûte blanche placentaire dont j'ai parlé, croûte
blanche
vasculaire qui allait elle-même être envahie; car
tylédons étaient imperméables du coté de la face utérine; ils étaient
blancs
et compactes dans les trois quarts de leur épaiss
les principaux moyens thérapeutiques contre le dévoiement. (Décoction
blanche
sans cannelle; potion avec 1 grain ext. gomm. thé
arée du rein par une cloison membraneuse. La surface arrondie, lisse,
blanc
-rougeâtre, du rein est parcourue par des vaissea
était entièrement obstruée par un caillot fibrineux très-solide, d'un
blanc
jaunâtre. Du reste, ce malade avait, outre la lés
et offrait dans la plus grande partie de son étendue une couleur d'un
blanc
jaunâtre, au milieu de laquelle je trouvai quelqu
rd adhérent au bord libre. Plusieurs étaient distendus par la matière
blanche
concrète dont j'ai déjà parlé : ceux qui ne l'éta
ir d'argument en faveur de la théorie de l'inflammation des vaisseaux
blancs
dans les affections tuberculeuses. 3° Une autre p
s ganglions inguinaux et se rendaient, distendus par une matière d'un
blanc
mat, jusqu'à un groupe de ganglions lombaires qui
ésente la surface de la rate. L'extrémité supérieure était marbrée de
blanc
et de rouge; ailleurs, c'étaient des plaques PPP
sa surface seule avait l'aspect nacré : à l'intérieur elle était d'un
blanc
jaunâtre beaucoup moins brillant; elle recouvrait
la Faculté. « Cette matière a une consistance molle. Elle est d'un
blanc
opalin légèrement translucide, et présente, lorsq
par un courant d'air chaud. Elle a laissé un léger résidu de couleur
blanche
ayant l'aspect et la consistance d'une graisse, l
lusieurs points une matière concrétionnée en eboux-fleurs, de couleur
blanche
. « La matière cristalline nacrée m'a présenté t
accompagnée d'aucune note autre que celle-ci (*). « Production « d'un
blanc
argenté à sa superficie, et d'un blanc grisâtre à
le-ci (*). « Production « d'un blanc argenté à sa superficie, et d'un
blanc
grisâtre à l'intérieur; trouvée dans le cervelet,
oupe de la protubérance, reconnaissable à ses couches alrernativement
blanches
et grises; BR doit être le bulbe ; mais je ne con
ulaire; on n'y observe aucune trace de vaisseaux; sa couleur est d'un
blanc
opaque, et son « aspect ressemble à une matière a
intérieur de certaines coquilles, dont l'intérieur a une couleur d'un
blanc
opaque semblable à une matière adipoeircuse, on n
par le tissu morbide. J'ai également rencontré, dans un cas de tumeur
blanche
du genou, une grande quantité de graisse entre la
x. Ces concrétions étaient rougeâtres dans les dernières divisions et
blanches
dans les divisions plus considérables ; canalicul
rable. Il expectorait sans difficulté, en grosse masse, du mucus d'un
blanc
jaunâtre, d'apparence purulente, mais immiscible
moindre. Le dévoiement persiste avec beaucoup d'intensité. (Décoction
blanche
sans cannelle;lavem. d'amidon avec quelques goutt
ouge livide, se déchirant avec facilité, parsemée de plusieurs foyers
blancs
formés par du pus concret comme combiné; à sa sur
anière irrégulière ; j'ai vu plusieurs cas dans lesquels une escharre
blanche
, ou plutôt une fausse membrane très-dense, établi
on ne veuille prendre pour des débris de tubercules quelques grumeaux
blancs
mêlés au liquide sanieux et horriblement fétide q
caverne ouverte dans la plèvre, et au milieu de cette caverne du pus
blanc
sans odeur. Un fdet d'eau emporte avec le pus un
e, et, d'une autre part, les crachats de la gangrène sont quelquefois
blancs
. L'expectoration fétide et l'hémoptysie réunies m
ôt en forme de géode, car il présente une cavité hérissée de mamelons
blancs
et remplie par du sang et qui donne à ce foyer l'
lamelles extrêmement ténues, parsemées d'une série linéaire de points
blancs
. Au microscope, on voit une forme aréolaire, une
3 représente une de ces acéphalocystes intacte ; on y voit des points
blancs
semblables à de petits grains de sable plus résis
anché dans un point s'infiltre dans toute la longueur. La substance
blanche
qui constitue commel'écorcede la moelle, étant be
u dehors. Cependant il peut se faire que la déchirure de la substance
blanche
ait lieu; c'est lorsque 1 épanchement sanguin se
par la lame jaune-serin qui tapissait le canal formé par la substance
blanche
de la moelle. Enfin c'était les derniers jours, l
rassemblent suivant d'autres lois qu'à la moelle; deux gros faisceaux
blancs
et gris très-denses, au devant desquels proéminen
le principe du sentiment et du mouvement, et non point les faisceaux
blancs
, qui semblent n'être placés à la surface de la mo
conséquence paraîtrait naturelle; car, chez notre sujet, la substance
blanche
était intacte, sinon dans la moitié gauche, au mo
uvement ne vient pas de la compression pure et simple de la substance
blanche
, ou bien encore du changement qui s'opère dans la
ngement qui s'opère dans la circulation vasculaire de cette substance
blanche
, dont les vaisseaux ne lui arrivent, au moins en
er tout le long du canal médullaire, en laissant intacte la substance
blanche
; c'est ce qui a eu lieu chez le sujet de notre ob
fig. 3'). Si l'épanchement est rapide, il doit détruire la substance
blanche
à son niveau, saillir sous la pie-merc, qu'il peu
lement que non-seulement la substance grise, mais encore la substance
blanche
a été réduite en bouillie et s'est comme combinée
ns la région lombaire, une multitude de lamelles cartilagineuses d'un
blanc
bleuâtre , frangées à leur circonférence 5 quelqu
vait détruit, en cet endroit, presque toute la substance médullaire «
blanche
et grise. Le caillot avait le volume d'une forte
ane musculeuse, laquelle trame aréolaire est pénétrée par une matière
blanche
galactiforme ou encéphaloïde qu'on exprime, pour
g des extrémités inférieures. Thériaque, demi-gros le soir; décoction
blanche
sans cannelle pour toute boisson.) — Le 3, vers d
sur laquelle se voyaient ces ouvertures était dilatée, très-amincie,
blanche
, non-seulement sans injection vasculaire, mais co
ne (fig. 2) présente absolument le même aspect que l'externe. Couleur
blanche
; demi-transparence, sans injection vasculaire. L'
re plâtreuse que dans l'épaisseur de leur extrémité libre. Des points
blancs
presque micruseopiques étaient déposés çà et là à
nses et comme cartilagineuses, elles étaient parsemées de concrétions
blanches
, dont les unes paraissaient déposées à leur surfa
t dans l'articulation astragalo-calcanéenne ; à peine quelques points
blancs
sont-ils déposés sur les cartilages de l'articula
tarso-métatarsiennes et métatarsiennes étaient ankylosées. Des lignes
blanches
indiquaient le lieu de la soudure : la matière pl
antes. La tumeur du coude droit consistait dans une matière crémeuse,
blanche
, formée par une très-grande quantité de petits gr
partie du pied; Sur les surfaces articulaires se trouve une matière
blanche
en très-petite quantité, fortement adhérente à l'
nte que celle qui tapisse les surfaces articulaires. • La pellicule
blanche
des surfaces articulaires a été enlevée avec soin
approché du mortier, a répandu des vapeurs plus considérables et plus
blanches
que dans l'air atmosphérique , ce qui a indiqué l
tée par Y acide hydrochlorique en excès , il s'est formé un précipité
blanc
floconneux, qui, au bout de quelques heures de re
urpurique. A cet effet, j'ai filtré la liqueur contenant le précipité
blanc
cristallin et fait sécher le filtre. J'ai détaché
le sel en carbonate. Par cette opération , j'ai obtenu une matière
blanche
alcaline, ramenant au bleu le papier de tournesol
e, et qui n'a pas précipité la dissolution de platine. La pellicule
blanche
qui se trouvait sur les surfaces articulaires a é
s chroniques et dégénérations de tissu connues sous le nom de tumeurs
blanches
. Dans le rhumatisme, il y a souvent usure des car
prement dite, jamais elle n'est suivie de suppuration (*), de tumeurs
blanches
; c'est une fluxion à la fois sanguine et sécrétoi
n œuf de poule, formée par une poche fibreuse remplie par une matière
blanche
, grumeleuse, caséiforme. Les deux nerfs grands sy
résiste et crie sous le scalpel; il est constitué par des libres d'un
blanc
grisâtre contournées sur elles-mêmes, entrecroisé
omme à la surface, d'autres présentent à leur centre de petits points
blancs
caséiformes, d'autres une sorte de foyer tuberc
voile du palais moins considérable. On peut distinguer trois plaques
blanches
sur les piliers postérieurs.—Le quatrième jour au
eure et le bord supérieur de l'épiglotte, présentent une couleur d'un
blanc
jaunâtre et sont comme infiltrés de pus. Les deux
liquide ; dans la seconde, elle est le plus souvent filante comme du
blanc
d'oeuf, ou tremblotante comme de la gelée, et ne
à une teinte jaunâtre, verdâtre, et dans quelques points, une couleur
blanche
semblable à du blanc d'œuf moitié cuit. Cette mat
verdâtre, et dans quelques points, une couleur blanche semblable à du
blanc
d'œuf moitié cuit. Cette matière MG, MG, MG, s'éc
a transparence de cette matière gélatiniforme, on voyait des filamens
blancs
, rameux, semblables à des vaisseaux et paraissant
érieur de la poche. Quant à la texture de ces parois, elles sont d'un
blanc
opale, demi-transparentes sur les cellules, d'un
lles sont d'un blanc opale, demi-transparentes sur les cellules, d'un
blanc
de cartilage sur les cloisons. Elles résistent à
milieu de ce réseau celluleux se voyaient un grand nombre de filamens
blancs
extrêmement ténus, mais très-denses, que j'ai fac
veux, ronds, denses, qui semblent naître de ce qui reste de substance
blanche
dans les circonvolutions inférieures, également i
CS et la couche optique CO sont atrophiés; ils étaient très-denses et
blancs
, comme granuleux à leur surface, et vraiment méco
lébile d'un épanchement de sang antérieur. Y a-t-il eu ramollissement
blanc
, pulpeux? Cela pourrait être; car dans ce ramolli
ée que par ces filets nerveux très-denses qui, partant delà substance
blanche
des circonvolutions, se rendaient à d'autres poin
ace convexe du cerveau présente ( Planche 1, fig. 1 ) une couche d'un
blanc
jaunâtre, demi-concrète, dont le siège est évidem
amifications veineuses, le long desquelles il formait des lignes d'un
blanc
jaunâtre. La pie-mère intérieure est infiltrée de
sous-arachnoïdien de la base (fig. 2) est infiltré d'une couenne d'un
blanc
jaunâtre qui se propage comme en s'irradiant le l
désorganisés, d'autres fois ils sont pleins de pus rougeâtre, ou d'un
blanc
crémeux; enfin ils contiennent un pus concret, se
s intestin est enduite d'une matière caséiforme, très-adhérente, d'un
blanc
jaunâtre, plus moins morcelée, qui forme à chaque
ous-péritonéaux sont fortement injectés; plusieurs offrent des points
blancs
à leur surface ; plusieurs paraissaient transform
e, du diploé et de la méninge, et rentrent dans la classe des tumeurs
blanches
. « Il est, dit-il, aussi inexact d'appeler ces tu
re (ramollissement rouge) tout autour de la tumeur, un ramollissement
blanc
pultacé, un ramollissement gélatiniforme, et on e
asse parmi les fluxions séreuses du cerveau, à côté du ramollissement
blanc
, pultacé, si fréquent dans l'hydrocéphale ventric
r et adhérent j et on trouva dans l'épaisseur des substances grise et
blanche
une foule de petits caillots , dont les plus gros
s l'état suivant : pupilles dilatées ; plaintes, gémissemens ; langue
blanche
; matité du thorax en haut, en arrière et à gauch
l supérieur sont pleines de pus concret qui formait de petits cordons
blancs
jaunâtres séparés par des caillots. Quelques-unes
de l'hémisphère gauche amincies, aplaties, plus consistantes et plus
blanches
que dans l'état naturel, laissent entre elles des
lques tubercules gris, épais; l'épididyme était parsemé de tubercules
blancs
, innombrables. Le canal déférent était sain au so
'à celui des synoviales et des ligamens articulaires dans les tumeurs
blanches
. Du reste, le canal déférent est parfaitement sai
t sous le point de vue du mode, en aiguë et en chronique. Les tumeurs
blanches
me paraissent consister essentiellement dans une
une violente torsion en dedans de chacun des « avant-bras; une tumeur
blanche
de l'articulation pourrait aussi en être la cause
est habituellement confondue avec la goutte, le rhumatisme, la tumeur
blanche
, et combattue par des moyens extrêmement actifs,
d le siège du ramollissement et de la destruction ; de là, ces bandes
blanches
longitudinales ou obliques qui sillonnent la face
prenait. En palpant l'abdomen, on reconnaissait à droite de la ligne
blanche
, un peu au-dessus de l'ombilic, une tumeur dure q
ulans, tels que le gibier, réussissent beaucoup mieux que les viandes
blanches
et les légumes herbacés. Je ne connais rien de pl
lupart des amputations pour des maladies chroniques, pour des tumeurs
blanches
, par exemple, ont dû souvent rencontrer des tuber
veine porte hépatique et toutes ses divisions étaient gorgées de pus
blanc
, visqueux, qui s'échappait par les orifices des c
e ce muscle ont été parfaitement rendus sur cette ligure : les points
blancs
représentent les orifices des veinules remplies d
ieu, dans l'espace d'un pouce et demi environ, à l'aide d'une matière
blanche
encéphaloïde adhérente par des espèces de pédicul
ons sanguines adhérentes qui présentaient divers degrés d'ancienneté.
Blanches
dans les troncs principaux, ces concrétions conte
étaient les divisions de l'artère pulmonaire droite. Les concrétions
blanches
et pleines de pus à leur centre allaient se divis
gré de l'inflammation: ici, indurations rouges; là, foyers marbrés de
blanc
et de ronge: plus loin, pus infiltré et combiné;
des masses irrégulières, plus ou moins profondes, marbrées de points
blancs
dont chacun était évidemment formé par un grain g
presque tous, une couche épaisse d'induration rouge entoure une masse
blanche
et dure formée par du pus infiltré dans le parenc
ées; car si on écrase quelques-unes de ces granulations sur du papier
blanc
, ce papier sera teint en jaune. Au reste, la qua
arcourue que par un petit nombre de vaisseaux ; elle est uniformément
blanche
. Une seconde sous-variété est éminemment vasculai
pendamment de la pression ; vomissemens rares ; constipation ; langue
blanche
; dégoût pour toute espèce d'alimens ; mouvement
issons froides et de bierre, que je lui permets. (Eau de Vichy, oxyde
blanc
de bismuth, à la dose de 6 grains.) Enfin, le 1
ble. Ouverture du cadavre. Foie bosselé. Les bosselures., larges et
blanches
appartiennent à des tumeurs encéphaloïdes, dont p
s multipliées. Tous les autres organes étaient sains. Tous les tissus
blancs
étaient fortement teints en jaune. XVIII. L'inf
ée , la face inférieure du foie présente çà et là de grosses ampoules
blanches
, ovoïdes, qu'on prendrait pour des kystes. L'alté
isé la peau dans une certaine étendue, qu'on vit se former des points
blancs
sur l'une et l'autre lèvres de l'incision. Surpri
c'est la présence à peu près constante dans le petit bassin, d'un pus
blanc
, louable, ayant tous les caractères du pus phlegm
uverture du cadavre. Le péritoine contient une grande quantité de pus
blanc
, aussi bien lié que celui qui sort de l'ouverture
40°, mais toujours dépressible; face rouge; langue rouge à son limbe,
blanche
à sa face supérieure : deux selles en diarrhée; l
; 3° pour boisson, eau de riz gommée en petite quantité, ou décoction
blanche
sans cannelle. J'ai observé qu'à moins d'idiosync
fois sur l'abdomen , diète absolue, traitement par la soif, décoction
blanche
sans cannelle pour toute boisson et pour tout ali
cuillerées d'amidon et six gouttes de laudanum de Rousseau. Décoction
blanche
sans cannelle à orendre par cuillerées , pour boi
ption : Deux vésicatoires ci La partie interne des cuisses. Décoction
blanche
. Un quart de lavement avec diascordium 1/2 gros.
n de nouveaux vésicatoires à La partie interne des cuisses. Décoction
blanche
. Synapismes promenés le long des extrémités supér
; vomissements de bile verte, précédés de beaucoup d'efforts ; langue
blanche
, visqueuse ; crampes rares, bornées aux muscles
vec beaucoup d'efforts quelques mucosités, semblables, dit-elle, à du
blanc
d'oeuf à moitié cuit. Lavement avec décoction de
er. La langue présente un fond extrêmement rouge, voilé par un enduit
blanc
, peu épais et adhérent. Grande difficulté à artic
la peau. L'estomac et les intestins offrent à l'extérieur un aspect
blanc
opaque que je ne puis mieux comparer qu'à celui q
up, plein quatre vases de nuit, d'un liquide d'abord safrané, ensuite
blanc
comme du petit-lait. Néanmoins il se lève à six
iliaire est remplacée par un kyste osseux, contenant une matière d'un
blanc
jaunâtre, brillante, de consistance crémeuse, au
e de l'intestin grêle est tapissée d'une couche uniforme de mucosités
blanches
dans sa moitié supérieure. Sa moitié inférieure c
ltre, une matière tout-à-fait semblable à la dysenterie qu'on appelle
blanche
, en raison de la couleur des mucosités et de l'ab
rveau était converti en une vaste poche très mince à parois grises et
blanches
. C'était dans les ventricules énormément dilatés
étaient extrêmement rétrécis ; l'estomac contenait un mucus épais et
blanc
, analogue à du blanc d'oeuf épaissi : au premier
rétrécis ; l'estomac contenait un mucus épais et blanc, analogue à du
blanc
d'oeuf épaissi : au premier abord on eût dit du l
gastrique chez le fœtus. La couleur blanchâtre du mucus, analogue au
blanc
d'œuf épaissi, annonce-t-elle une inflammation? C
s poumons sont indurés dans toute leur étendue. L'induration est d'un
blanc
grisâtre. Les lobules peuvent être facilement sép
t rares. L'exsudation pseudo-membraneuse, le plus habituellement d'un
blanc
de lait (fig. 1), est jaunâtre, verdâtre (fig. 2,
iré; vers ces pédoncules, je trouvai deux petites masses de substance
blanche
, w isolées et comme détachées, ayant le volume d'
t comme élastique; l'autre profonde, comme tuberculeuse ou granuleuse,
blanche
, très cohérente, facile à séparer de la couche su
ment à la grande majorité des cas ; par exemple, à ceux où une tumeur
blanche
ayant nécessité l'amputation du membre, le malade
aît être dans les grains glanduleux eux-mêmes; i° infiltration de pus
blanc
concret qui donne au foie l'aspect du granit; col
très bien le mécanisme de la formation de ces foyers; ici des points
blancs
étaient interposés à des points bruns ardoisés, l
vois, à mon grand étonneraient, s'échapper une grande quantité de pus
blanc
dontla couleur contraste avec celle du foie. Des
accidents. Fjg. 1. Lobe gauche du foie présentant de larges plaques
blanches
, irrégulières, de diverses"di-mensions AF,AF,AF,e
re superficielle : la surface de la tumeur était sèche, d'une couleur
blanc
rosé, recouverte d'un épiderme uniformément épais
symphyse ; de là se portait verticalement en haut, derrière la ligne
blanche
; arrivée à l'ombilic , elle gagnait le bord posté
xuosités; là elle sortait de l'abdomen par un éraillement de la ligne
blanche
formait sous la peau une anse de trois à quatre p
étaient du volume et de la forme des testicules. Leur substance était
blanche
et granuleuse. Ils étaient mobiles et couvraient
. Dans l'épaisseur de l'enveloppe transparente se voyaient des lignes
blanches
N, n n9 n3 qu'une dissection attentive m'a démont
assez rare de voir des tubercules occuper primitivement la substance
blanche
du cerveau. Les cas d'adhérence des tubercules
e l'hémisphère, au niveau de la région temporale; masse tuberculeuse,
blanc
jaunâtre, à surface granulée naissant de la face
xemple ; ce qui réfute l'opinion de Bauhin , qui ayant noté des poils
blancs
fixés à la tunique interne d'un kyste de l'ovaire
sous l'arachnoïde à la base du cerveau. Le pigmentum de la peau du
Blanc
devient noir, soit partiellement, soit dans toute
ueuses dont elles remplissaient toute la capacité. Leur couleur était
blanche
, leur tissu très résistant, mais pénétré d'une gr
examinés. Le foie présentait un petit nombre de masses cancéreuses
blanches
offrant absolument le même aspect que les cancers
sseur des circonvolutions malades se voit, à la place de la substance
blanche
, une cellulosité très dense, d'un jaune brun dive
ain nombre de cas, l'altération est exactement limitée à la substance
blanche
. La substance grise est intacte. D'autres fois la
dans sa consistance; enfin elle peut être détruite comme la substance
blanche
. Ce ne sont pas là les seules lésions dont les
pellicule jaunâtre, vasculaire et celluleuse. Sous elle, la substance
blanche
peut être intacte, ou bien convertie en cellulosi
substance grise des circonvolutions, et respectant souvent la couche
blanche
subjacente, me parait rendre un compte satisfaisa
tissu celluleux de même couleur. Il n'y avait donc plus ni substance
blanche
, ni substance grise, mais une substance jaune.
ent de la circonvolution, était recouverte par des lames de substance
blanche
. Dans quelques circonvolutions, c'était seuleme
toile celluleuse très dense, d'un jaune brunâtre foncé. La substance
blanche
des circonvolutions détruites était à nu, et n'ét
s, traversée par du tissu cellulaire rempli de sérosité; la substance
blanche
environnante est intacte. Deux petites cavités no
s laquelle existe une couche mince de bouillie jaunâtre. La substance
blanche
est intacte. Une circonvolution qui avoisine l'ex
— La substance grise, soit au dessus, soit au dessous des radiations
blanches
, est convertie en une espèce de bouillie jaunâtre
ion de la substance grise d'un grand nombre de lamelles; la substance
blanche
de quelques-unes paraît avoir subi la même altéra
nvolutions, et qui s'étendait même à la couche adjacente de substance
blanche
. Dans l'hémisphère droit, il y avait un ramolliss
hement sous l'arachnoïde avec ramollissement de la substance grise ou
blanche
des circonvolutions, des apoplexies capillaires,
ir et adhérent; et on trouva dans l'épaisseur des substances grise et
blanche
, une foule de petits caillots, dont les plus gros
ures; ramollissement lie-de-vin de la substance grise; ramollissement
blanc
de la substance blanche; ancienne cicatrice dans
ie-de-vin de la substance grise; ramollissement blanc de la substance
blanche
; ancienne cicatrice dans une circonvolution, (i)
es membranes, et reste attachée à la surface du cerveau. La substance
blanche
subjacente a été respectée dans quelques points;
ée dans quelques points; dans d'autres, elle a subi un ramollissement
blanc
qui s'étendait dans plusieurs points jusqu'au cen
l. m, fig. 2. Cette perte de substance avait laissé à nu la substance
blanche
de cette circonvolution que recouvrait une toile
e l'hémisphère droit, avait éprouvé la même altération : la substance
blanche
qui est subjacente à la substance grise ramollie,
t rouge lie-de-vin, et du ramollissement rouge-noir au ramollissement
blanc
pultacé. Il y a deux choses à considérer dans l
ce sont les couleurs lie-de-vin, amaranthe, hortensia, blanc-lilas et
blanc
. Ces diverses nuances de coloration sont tantôt
tance cérébrale avait été broyée avec du sang noir. Le ramollissement
blanc
se présente sous l'aspect d'une bouillie. Les ram
rer dans la substance grise des corps striés; sous elle, la substance
blanche
se présente avec tous ses caractères de consistan
s. Dans certains cas, le ramollissement occupe à-la-fois la substance
blanche
et la substance grise et, alors, à côté du ramoll
e diversement nuancé de la substance grise, se voit le ramollissement
blanc
lilas ou blanc de la substance blanche. Dans qu
uancé de la substance grise, se voit le ramollissement blanc lilas ou
blanc
de la substance blanche. Dans quelques circonst
grise, se voit le ramollissement blanc lilas ou blanc de la substance
blanche
. Dans quelques circonstances, la substance gris
les circonvolutions antérieures d'un hémisphère et toute la substance
blanche
du lobe antérieur jusqu'à la membrane du ventricu
issement qui, d'une part, s'étendait dans l'épaisseur de la substance
blanche
jusqu'à la voiite du ventricule latéral, et, qui
e ce ramollissement ; 3° que le mode de cicatrisation de la substance
blanche
ramollie consiste quelquefois dans de la cellulos
tion manifeste que l'on rencontre si souvent au milieu delà substance
blanche
, sont la suite du ramollissement du cerveau. Nous
llissement pultacé sans changement de couleur des substances grise et
blanche
du lobe antérieur de l'hémisphère gauche. Cicatri
a substance grise des corps striés, et dans d'autres cas la substance
blanche
: il est cependant une paralysie qui peut être dét
cicatrice du ventricule qui évidemment avait porté sur les radiations
blanches
les plus superficielles de la paroi de ce ventric
dépens de la substance grise et n'avaient intéressé aucune radiation
blanche
. Le ramollissement pultacé sans changement de c
ures. Ramollissement pultacé de la substance grise et de la substance
blanche
des circonvolutions antérieures. Cicatrices ancie
ions les plus postérieures sont beaucoup plus ramollies. La substance
blanche
et la substance grise ont également subi un ramol
oisins. La 'peau de la face est d'une blancheur cireuse. Elle est
blanche
et assez fine. Au niveau du dos, il y a une desqu
n systole, pointe formée surtout par le ventricule gauche. Caillots
blancs
dans l'oreillette droite. Imbibition do l'endoc
cellules névrogliques sont relativement abondantes. La substance
blanche
paraît parsemée de corps granuleux, mais cet aspe
s faisceaux descendants do la substance grise, et dans la substance
blanche
, n'ont pu être étudiées à cause du long séjour
présentent, en un mot, l'aspect pachydeT- mique. La peau, glabre,
blanche
, sèche, rugueuse, ichthyo- sique par place, est
c'est la zone de transition entre la substance grise la substance
blanche
, assez difficile à débrouiller à cause de l'épa
ause de l'épanouissement des faisceaux de fibres et de la substance
blanche
, qui s'écartent les uns des autres à ce niveau
en îlots, ou nids séparés les uns des autres par les fais- ceaux
blancs
. Mais dans le sens de la hauteur, ces îlots ne
ns le sens longitudinal indiquera soit une diminution des faisceaux
blancs
, soit un morcel- lement des couches, par un dév
a seule chose qui le puisse troubler c'est la présence de faisceaux
blancs
coupés obliquement, mais leurs surfaces de sect
tre un certain nombre de corps granuleux répandus dans la substance
blanche
et qni se colorent en noir sur une coupe exposé
substance grise ne présentent pas des lésions nettes; la substance
blanche
offre des lésions de désintégration. Sur le mil
on. Sur le milieu de cette première frontale gauche, la substance
blanche
a le même aspect; les corps granuleux y sont nomb
ans la substance grise, mais le sont évi- demment dans la substance
blanche
. La coupe d'une circonvolution du lobe occipita
ompant la disposition des fibres nerveuses qui gagnent la subslance
blanche
, comprennent en général les trois premières cou
zzozero et Golgi sous le nom de porose cérébrale. Dans la substance
blanche
, il n'y a que peu ou pas de corps granuleux, ma
substance grise, des amas considérables de corps granuleux dans la
blanche
. Les cellules géantes de la région sont éparses a
des myélocytes, et un certain degré de fibrillation de la substance
blanche
, parsemée de corps gra- nuleux. il est assez di
s en assez grand nombre dans les cornes postérieures. Les cordons
blancs
de la moelle lombaire et les cornes anté- rieur
s, bout à bout, limitées par les fibres d'origine de la substance
blanche
, présente ces mêmes séries morcelées par disparit
ans la couche suivante de la substance grise et dans la subs- tance
blanche
, ce qui domine c'est l'accumulation des noyaux de
étude des couches en sens inverse, nous voyons d'abord la substance
blanche
très vascularisée et présentant les figures con
ée à l'extrême des éléments pyramidaux. A la limite de la substance
blanche
, l'accumulation des noyaux petits et sphériques
uant parallèle- ment. c). Moelle cC1'Vico-dol'sale. - Les cordons
blancs
sont symétri- ques ; dans la substance grise, t
E LA SUBSTANCE GRISE. Il -) -i parer le cône restreint de substance
blanche
qu'on voit sur les coupes de la circonvolution
par quatre ou six, nom- breuses petites cellules dans la substance
blanche
; vascularisation relativement peu développée.
ve quelques nids, mais elles sont petites et effilées. La substance
blanche
est toute parsemée de corps granuleux; les espa
e à l'oeil nu sur les coupes. Ils s'étendent jus- qu'à la substance
blanche
. Le centre est occupé par un réseau 128 ENCÉPHA
ction nette de la circonvolution. Ils sont au contraire réservés en
blanc
sur les pièces colorées. Autour d'eux, la séria
eurs l'épaisseur du revêtement gris est très faible. La substance
blanche
offre l'aspect d'une véritable émulsion de myél
uche suivante. 11 existe quelques corps granuleux dans la substance
blanche
. La moelle cervicale ne présente pas d'asymétri
ervicale ne présente pas d'asymétrie ni de sclérose de la substance
blanche
, les cornes prises sont régulières, leurs colon
a pas d'accumulations de leucocytes dans les gaines. La substance
blanche
présente un très grand nombre de corps polycycliq
gèrement sclérosée, il n'y a rien de plus à noter dans la substance
blanche
que des espaces étoilés dépourvus de tubes nerv
stiques que l'on retrouve dans la hauteur des couches. La substance
blanche
présente une grande quantité de corps amyloïdes
nes infiltrées de corpus- cules de Glùge, surtout dans la substance
blanche
. Les cellules pyramidales ne sont serrées que p
place, elles sont peu nom- breuses et de petit volume. La substance
blanche
est toute infiltrée de petites cellules rondes,
ume présente des lésions diffuses très mar- quées dans la substance
blanche
. Il existe de véritables plaques à contour irré
ux dilatés et pauvres en cellules, jusqu'au contact de la substance
blanche
, où les noyaux sont abondants. Il existe des co
d'une façon inégale, puisque ses prolonge- ments vers la substance
blanche
sont irréguliers. De là l'aspect chagriné du ce
lon et dans son fond. Les vaisseaux dans leur gaine et la substance
blanche
présentent l'infiltration de corps granuleux qu
les coupes. La limite des deux substances et surtout la. substance
blanche
sont parsemées de corps amyloïdes. L'infiltrati
rmal. Les couches suivantes de la substance grise et la substance
blanche
sont chargées de petites cellules rondes. On y vo
par le vaisseau vasculaire. A ce point, ainsi que dans la substance
blanche
, nombreux corps granuleux et blocs graisseux se
s les points examinés. Nombreux corps granuleux dans la substance
blanche
. Dans le lobe occipital, on retrouve, à côté de
encore. Elle est parsemée de curps granuleux ainsi que la substance
blanche
. Vaisseaux moyennement abondants, un peu rameux
orme des élémenls araignée et la paralysie générale. La substance
blanche
est infiltrée d'un grand nombre de noyaux. Dans c
s sont allongées, gra- nuleuses et fortement colorées. La subslance
blanche
offre une quantité considérable de petits noyau
ance grise, une perle de substance qui s'étend jusqu'à la subslance
blanche
et est recouverte par une paroi flottante, tran
tre eux; ils morcellent la substance grise. Lésions de la substance
blanche
. - Dans la substance blanche, il existe une lar
bstance grise. Lésions de la substance blanche. - Dans la substance
blanche
, il existe une large traînée descendante, corre
tielles, petits, sphériques et fortement colorés. Dans la substance
blanche
, on voit les mêmes lésions que dans les prépara
olument semblables, mais la traînée des- cendante dans la substance
blanche
au-dessous du foyer, est très large et remplie
ellules névrogliques n'offre rien de particulier. Dans la substance
blanche
, corps granuleux nombreux, aspect fibrillaire,
ains points les cils des cellules. La trame conjonctive des cordons
blancs
est notable- ment épaissie, le nombre des tubes
profondes de la subslance grise, et même au milieu de la substance
blanche
, qu'on voyait la névroglie former des filaments
des réactifs pour qu'on puisse s'y arrêter. Du côté de la substance
blanche
, il est facile de voir son atrophie; la multipl
46 ENCÉPHALITES CHRONIQUES. les fibres descendantes de la substance
blanche
de- vaient nous échapper. C'est là une grosse l
que tout le temps, il voyait quatre pattes de chien et un grand mur
blanc
. Place Notre-Damc, il aurait eu comme un étour-
dissoment et, à partir de là, il aurait eu cette vision d'un mur
blanc
. Dans sa course, il se rappelle avoir Lu souvent
it, et suivies d'un moment d'hébétude. Parfois, il avait une mousse
blanche
à la bouche. Il s'était marié avec une femme pl
, des o, des Il et des chiffres. Il distingue le rouge, le bleu, le
blanc
et le noir. Si on lui donne un objet qui lui fa
h...) au niveau de l'union de la substance grise et de la substance
blanche
, pour montrer la rareté des cellules pyramidale
au périoste, aux tendons, à la capsule fibreuse, en un mot aux tissus
blancs
qui entourent l'articulation- La face postérieu
emier sens, le débris de moelle était gris, sans vestige de substance
blanche
; dans le second sens, le débris de moelle contena
second sens, le débris de moelle contenait encore un peu de substance
blanche
. Les cordons postérieurs médians du bulbe rachi
nce de leur part. Les fragmens d'un cartilage ainsi mutilé sont aussi
blancs
, sont aussi intacts que les fragmens du cartilage
reuse mince, formée par la portion cartilagineuse desséchée. Les îles
blanches
, disséminées sur la coupe, sont des concrétions c
ie à la parotide elle-même, dont le tissu était marbré de rouge et de
blanc
: le blanc, c'était du pus visqueux. Tous les cana
rotide elle-même, dont le tissu était marbré de rouge et de blanc: le
blanc
, c'était du pus visqueux. Tous les canaux excréte
caractères du cancer mélanique, l'aspect de truffe noire, les stries
blanches
et fibreuses qui traversent cette masse. Il ne m'
bien remarquable. Cet organe a son volume ordinaire. La muqueuse est
blanche
presque partout, légèrement rosée dans quelques p
ière est grisâtre et demi transparente dans les follicules de couleur
blanche
, noirâtre et souillée par une matière analogue à
t pas de pouce carré qui n'en contienne douze ou quinze: les uns sont
blancs
, les autres sont colorés. Dans la seconde moitié,
ogue au tissu jaune des artères. « Le péritoine conserve sa couleur
blanche
; le mésentère n'est point injecté ; les glandes
iploon raccorni était parsemé de tubercules miliaires ou granulations
blanches
, qui contrastaient par leur couleur avec les gran
ans tous les cas d'hypertrophie, des lignes alternativement rouges et
blanches
; les stries blanches sont le résultat de la trans
pertrophie, des lignes alternativement rouges et blanches; les stries
blanches
sont le résultat de la transformation fibreuse du
ns miliaires^des deux épi-ploons, dans les granulations et les taches
blanches
du péritoine un argument décisif en faveur de ce
sparente, qui tapissait le péritoine , présentait çà et là des points
blancs
comme tuberculeux , disséminés dans son épaisseur
tout le reste de la tête est libre d'adhérences. Sa couleur est d'un
blanc
sale; elle présente çà et là des taches bleuâtres
ir enlevées avec le plus grand soin, je n'ai pu découvrir qu'un raphé
blanc
, se dessinant sur le fond bleuâtre du périnée, en
été remise était d'une consistance butireuse; d'un aspect grenu, d'un
blanc
jaunâtre, offrait les caractères physiques de la
'a paru renfermeren outre une petite quantité de cette matière grasse
blanche
que Vauque-lin a le premier signalée dans le cerv
ès bien la chaîne des ganglions du grand sympathique qui étaient d'un
blanc
parfait. 5°Dans la cavité abdominale, on trouve
ure gauche est convertie en une masse graisseuse ferme, lobulée, d'un
blanc
mat. Les vaisseaux qui s'y rendent ne sont nullem
couleur brun-ardoisé, et d'une fragilité remarquable. Le pus était
blanc
, visqueux, et ne s'écoulait pas des foyers ouvert
i étaient en quelque sorte à l'état naissant, présentaient des points
blancs
séparés les uns des autres par un tissu brun-ardo
lent, autour duquel était une couche épaisse brun-ardoisé ponctuée de
blanc
, ce qui donnait au tissu du foie l'aspect d'un gr
ntant l'aspect du caseum. Le péritoine est tapissé par une exsudation
blanche
crémeuse, au-dessous de laquelle on découvre une
re les deux surfaces séreuses se voyaient une cuillerée à café de pus
blanc
, crémeux, inodore. L'appendice vermiculaire adhér
c sous la forme d'un point dur ou plus ferme que le reste de la ligne
blanche
. 3° Le pourtour de l'anneau ombilical est toujour
cies. On sait quelles énormes dimensions en largeur acquiert la ligne
blanche
distendiie par des grossesses répétées; cette dil
on porte principalement sur la région ombilicale, où j'ai vu la ligne
blanche
acquérir jusqu'à trois pouces de largeur; mais el
'une de ces régions ou sur les deux régions à-la-fois. Alors la ligne
blanche
se trouve convertie en une sorte de besace étendu
vant qu'elle occupe l'une ou l'autre de ces trois régions de la ligne
blanche
: elle peut également occuper l'une ou l'autre ré
t également occuper l'une ou l'autre région iliaque, lorsque la ligne
blanche
et les muscles droits ayant résisté, la portion d
éventrations for- (1) « Le relâchement et les éeartemens delà ligne
blanche
sont quelquefois si grands, surtout chez les femm
étendue que je viens « de marquer : ce n'est quelquefois que la ligne
blanche
qui se dilate depuis le nombril jusqu'au cartilag
les intestins sont vides. D'autres fois, la dilatation « de la ligne
blanche
est dans la partie inférieure, c'est-à-dire depui
squ'elle est pleine d'urine. Si, dans la dilatation de toute la ligne
blanche
, l'ombilic se maintient et résiste, « alors il pa
gnent cette maladie. » (T. n, pag. 235 et 2'36. ) mées par la ligne
blanche
distendue et amincie, et sur ce qu'il considère c
des incisions avaient été pratiquées dans ce point. Quant aux lignes
blanches
qui se voient sur divers points de la tumeur, ell
largement en dedans et en dehors. 11 sort une grande quantité de pus
blanc
, bien lié, mais d'une horrible fétidité, fétidité
t fétide, comme dans les abcès gangreneux ; le pus du péritoine était
blanc
. M. Thomson, qui a été chargé de faire sur cette
guliers, et qui est incomplètement recouverte par une pseudo-membrane
blanche
, morcelée, très adhérente; il y a rougeur vive de
Prescription: trente sangsues à l'hypogastre ; cataplasmes; décoction
blanche
; deux potions opiacées , avec vingt-quatre goutte
qui furent répétées le 5 et le 7. On mit encore en usage la décoction
blanche
, les potions opiacées, les demi-lavemens amylacés
testin présente un aspect lardacé, ou plutôt l'aspect de l'induration
blanche
. L'épaississement porte principalement sur la mem
de la rate (fig. 4 et 4) étaient extrêmement multipliés : ils étaient
blancs
et plus avancés que ceux du foie, à sujjposer que
e, teint pâle et un peu jaune, soif, mauvais goût à la bouche, langue
blanche
, rénitence et matité dans toute la zone supérieur
aloïdes, est relative à leur vascularité: ainsi les unes sont couleur
blanc
de lait et ne paraissent contenir aucuns vaisseau
les autres en contenaient un très grand nombre. Toutefois, les masses
blanc
de lait sans apparence vasculaire, présentent des
les côtes, j'ai trouvé la face inférieure du diaphragme inégale, d'un
blanc
cartilagineux, adhérente au foie dans une étendue
t parsemée de petites plaques circulaires d'inégales dimensions, d'un
blanc
demi transparent, semblables à des gouttelettes d
tude de tumeurs légèrement proéminentes, creusées en godets, les unes
blanches
, les autres demi transparentes. Une coupe du fo
s conduits biliaires. Sous le rapport de la couleur, il y en avait de
blanches
, il y en avait de rouges lie-de-vin; ces dernière
t de la consistance, plusieurs tumeurs étaient converties en bouillie
blanche
ou rougeâtre; d'autres offraient l'aspect d'une s
rieure. A cette empreinte s'ajoute presque toujours une ligne ou zone
blanche
très prononcée, qui résulte de la transformation
yer: il s'écoule à-la-fois une sérosité lie-de-vin et du pus louable,
blanc
, visqueux, grumeleux. Ce pus et cette sérosité sa
en haut, à l'aide d'un bistouri boutonné. Il s'écoule d'abord du pus
blanc
, grumeleux, louable, puis du sang bien pur, que j
u foie, je remarque deux petites éminences mamelonnées, d'une couleur
blanc
jaunâtre, qui n'étaient autre chose que la sailli
s de la pneumonie œdémateuse, Rate saine. Cerveau. Ramollissement
blanc
occupant les circonvolutions du lobule du corps s
es et comme fragiles. La coupe de ces dernières présentait des stries
blanches
formées par des lamelles de tissu fibreux qui en
vis qu'au fond de l'œil il y avait deux tumeurs mélaniques striées de
blanc
et de noir. L'une de ces tumeurs occupait le poin
ous de la tumeur, rétrécie au niveau de la tumeur. Une petite eschare
blanche
avec ramollissement indiquait qu'un travail d'éli
plaques, établit qu'elles sont tout-à-fait superficielles. Les lignes
blanches
qu'on voit à sa surface ne me paraissent autre ch
sa présence, à la suite d'une violente quinte de toux, une pellicule
blanche
, ayant l'aspect d'une membrane acéphalocyste : on
cription que ce médecin donne de fragmens membraneux, semblables à du
blanc
d'oeuf cuit, élastique, tremblotant, que le malad
nes, si toutefois la saignée n'est pas contre-indiquée, soit un looek
blanc
kermétisé (kermès minéral de quatre à douze grain
ur présentait une disposition granitique fort remarquable, des points
blancs
entremêlés de points rouges. Le sommet du poumo
lles se séparent du tronc d'origine étaient remplies d'une concrétion
blanche
creusée d'une cavité pleine de pus, et que cette
concrétion allait se divisant et se subdivisant comme les vaisseaux ;
blanche
ou décolorée dans les vaisseaux d'un certain cali
combiné; dans d'autres,le tissu du poumon était marbré de rouge et de
blanc
. Un des foyers les plus considérables était rempl
uent les différens degrés de la phlébite. Ainsi, ces concrétions sont
blanches
dans, les troncs principaux et présentent du pus
les dépressions ombiliquées, constituées par une induration fibreuse
blanche
ou noire, de laquelle partent comme des radiation
aime mieux, la guérison la moins complète consistait dans des masses
blanches
, sphéroïdales,marbrées de lignes et de points noi
nts noirs, séparées par des lamelles fibreuses, noirâtres. Ces masses
blanches
étaient formées par une matière, semblable à du m
pierreux; là d'une dureté cartilagineuse, noirs et marbrés au centre,
blancs
à la circonférence. Ces ganglions devaient être i
Oppression, toux, expectoration muqueuse transparente mêlée de points
blancs
, matité, surtout à gauche respiration obscure.
, en outre, à sa partie supérieure, au centre du caillot, une matière
blanche
, semblable à du pus concret. Enfin, dans la veine
e iliaque externe et la veine fémorale étaient remplies par un cordon
blanc
, fibreux , extrêmement dense, tellement adhérent
dont les unes étaient jaunâtres, fragiles et compactes, et les autres
blanches
, pénétrées d'une espèce de mastic blanc. Les ve
t compactes, et les autres blanches, pénétrées d'une espèce de mastic
blanc
. Les veines tibiales et péronières étaient d'un
iels ne sont plus perceptibles. La jambe et le pied sont décolorés,
blancs
, sans aucune trace de putréfaction. La peau de la
circonférence de la cuisse, mais on voit ça et là des espèces d'iles
blanches
ou décolorées, sans aucune trace de décomposition
ct que présente souvent l'aorte dilatée et malade, savoir des plaques
blanches
et jaunâtres formées les unes par des concrétions
rable. Sa surface et sa coupe présentent des milliers de granulations
blanches
, miliaires, qui contrastent avec la rougeur du ti
services dans des cas analogues, et dont voici la formule : if. miel
blanc
a onces; séné en poudre, racine de jalap en poudr
tait pleine, mais la grosse racine contenait à son centre une matière
blanche
semblable à du pus concret. Sa circonférence étai
ivisée perpendiculairement à son plus grand diamètre: la coupe MGCest
blanc
grisâtre, striée de sang dans quelques points. La
ramollissemens de moelle, dans lesquelles il est dit que la substance
blanche
était saine et que la substance grise était rédui
rise de la moelle est plus sujette au ramollissement que la substance
blanche
. Quant aux ramollissemens produits par des coups
position en biseau des deux bouts de moelle que séparait une bouillie
blanche
. XXXIIe LIVRAISON. I classe si importante de
llulosité dont les mailles étaient remplies par une sorte de bouillie
blanche
, semblable à de la substance médullaire écrasée e
e type des cicatrices du tissu médullaire par suite de ramollissement
blanc
. Réflexions. Les traits les plus saillans de ce
moelle ramollie, il nous a offert une cellulosité infiltrée de pulpe
blanche
, semblable à de la matière cérébrale écrasée et d
que nous avons observé dans un grand nombre de cas de ramollissement
blanc
du cerveau. Dans l'observation précédente, la p
ophie a porté sur la substance grise encore plus que sur la substance
blanche
. Cette substance grise a presque complètement dis
grise a presque complètement disparu, et ce qui reste est un peu plus
blanc
que de coutume. Les racines des nerfs me paraisse
tion entre les foyers purulens et les calices. Le tissu du rein était
blanc
, décoloré, et, au milieu de cette décoloration, q
et de l'arachnoïde viscérale avait lieu à l'aide d'une pseudomembrane
blanche
, épaisse, semblable à du blanc d'œuf coagulé et r
t lieu à l'aide d'une pseudomembrane blanche, épaisse, semblable à du
blanc
d'œuf coagulé et représentant les pseudo-membrane
iveau de ces îles gris rougeâtre , il y a destruction de la substance
blanche
, dont les fibres sont coupées net. La couleur gri
t dans l'épaisseur des corps res-tiformes, dont on sait que la couche
blanche
est formée par les faisceaux latéraux de la moell
uant de bas en haut. Dans ce dernier sens, il y avait quelques filets
blancs
. L'altération de couleur et de consistance cessai
e transformation grise, gris jaunâtre, gris rougeâtre de la substance
blanche
? Est-ce une atrophie? Est-ce la conséquence d'un
s médians postérieurs. Cette colonne était traversée par des filamens
blancs
, faisant suite aux filets des racines postérieure
hnoïde viscérale à l'arachnoïde pariétale ; en arrière,pseudomembrane
blanche
sous-arachnoïdienne, engainant la moelle; dégénér
pté dans un point de sa surface où elle présente une île de substance
blanche
. Les corps restiformes présentent également une t
parties grises étaient très denses et fasciculées. On voit deux îles
blanches
au niveau de l'entrecroisement des pyramides anté
antérieures: à deux pouces au dessous du bulbe, reparaît la substance
blanche
et plus bas la transformation grise. La portion d
origine de la deuxième paire lombaire est molle, diffluente, mêlée de
blanc
et de gris; elle est comme gélatineuse, demi tran
transformation grise, sauf quelques portions qui présentent des îles
blanches
. La face postérieure de la moelle est saine, ex
te une très grande densité, une destruction partielle de la substance
blanche
, de telle manière qu'on voit alterner des îles bl
e la substance blanche, de telle manière qu'on voit alterner des îles
blanches
et des îles gris jaunâtre. La substance grise est
s îles gris jaunâtre. La substance grise est très dense et les fibres
blanches
semblent avoir été détruites au niveau de cette s
sauf dans quelques points où elle présente des vestiges de substance
blanche
disposées à la manière d'îles. Ces îles de substa
ubstance blanche disposées à la manière d'îles. Ces îles de substance
blanche
sont en léger relief. Leur circonférence est comm
. Il est donc probable que la couche superficielle de cette substance
blanche
a été détruite au niveau de la transformation gri
olume; ses lamelles de divers ordres, les proportions de sa substance
blanche
et de sa substance grise étaient les mêmes: cette
tention, il m'a paru qu'il y avait seulement destruction de la couche
blanche
qui revêt la substance grise. Le corps calleux
illeurs, la ligne de démarcation est bien tranchée entre la substance
blanche
normale et la dégénération grise. J'ai trouvé c
ciculées et représentaient parfaitement, sauf la couleur, les parties
blanches
qu'elles remplaçaient. De nouveaux faits viendron
occupe une certaine profondeur, et au niveau de laquelle la substance
blanche
a complètement disparu. Ce tissu est dense, bien
es avaient échappé à la dégénération, et tranchaient par leur couleur
blanche
sur la couleur grise de la dégénération. Réflex
perdu ses règles à l'âge de 5i ans : depuis cette époque, écoulement
blanc
permanent sans douleur, et de temps en temps quel
ubstance grise était remplacée par du tissu filamenteux. La substance
blanche
paraissait avoir moins d'épaisseur que de coutume
cerveau comme sillonnées par des cicatrices jaunâtres ; la substance
blanche
est, sous quelques cicatrices, ramollie et comme
tion du sang, il y a augmentation notable de volume et ramollissement
blanc
, sans changement de couleur des parties malades.
exie capillaire ou ramollissement rouge des auteurs et ramollissement
blanc
. La coïncidence de ces deux lésions n'établit-ell
e de l'autre. On pourrait à la rigueur objecter que le ramollissement
blanc
et l'apoplexie capillaire ne sont autre chose que
émontré que le ramollissement rouge devienne plus tard ramollissement
blanc
; que, dans tous les points où a existé une extra
cette protubérance et de ce bulbe. On ne voit autre chose qu'un tissu
blanc
homogène. J'ai eu quelque idée que cette altérati
eur et le cerveau, et ici la tumeur plongeait au sein de la substance
blanche
. Il me paraît donc raisonnable d'admettre que la
la séparait des membranes a été atrophiée ou détruite. La substance
blanche
qui entourait la tumeur, et cela à une grande dis
ont cette tumeur est hérissée s'enfonçaient au milieu de la substance
blanche
ramollie dont il était très difficile de les sépa
substance cérébrale s'étendait à une assez grande distance; il était
blanc
, sauf dans quelques points où il présentait des t
g. 3 représente une tumeur que j'ai retirée du milieu de la substance
blanche
ramollie d'un cerveau : la section de cette tumeu
une apoplexie avec foyer, une apoplexie capillaire, un ramollissement
blanc
pultacé ou gélatiniforme, une phlegmasie. Or, il
t au bout de quelques jours. Je trouvai au centre d'un ramollissement
blanc
pultacé un gros tubercule cancéreux. Dune autre
ence d'une tumeur cérébrale; telle est l'observation suivante : (i)
Blanc
(Jean-Baptiste), 27 ans, capitaine au 1 ie d'infa
r une espèce de coque dure contenant une matière molle semblable à du
blanc
d'œuf épaissi. Les détails manquent sur le caract
niveau de cette adhérence m'a présenté huit tubercules arrondis, d'un
blanc
grisâtre, du volume dun gros grain de raisin, log
t de l'apoplexie capillaire ou ramollissement rouge au ramollissement
blanc
; 5° que le ramollissement rouge et le ramollissem
llissement blanc; 5° que le ramollissement rouge et le ramollissement
blanc
ne sont pas deux périodes de la même lésion, corr
la pneumonie, mais deux états bien distincts ; que le ramollissement
blanc
est blanc depuis le premier moment de son apparit
nie, mais deux états bien distincts ; que le ramollissement blanc est
blanc
depuis le premier moment de son apparition jusqu'
tance cérébrale ; 6° que le ramollissement rouge et le ramollissement
blanc
appartiennent au même ordre de lésions, et que, s
sous le rapport du siège,le ramollissement rouge et le ramollissement
blanc
ou sans couleur affectent le plus souvent la subs
e substance grise qu'on enlève à la manière d'une pulpe, la substance
blanche
subjacente étant parfaitement saine ; mais que, d
de cas, le ramollissement (et plus particulièrement le ramollissement
blanc
) s'étend à la substance blanche , qu'il envahit p
plus particulièrement le ramollissement blanc) s'étend à la substance
blanche
, qu'il envahit plus ou moins profondément, quelq
e rapport du diagnostic, le ramollissement rouge et le ramollissement
blanc
ne peuvent pas, dans l'état actuel de la science,
sement; car ces symptômes manquent souvent; ii° que le ramollissement
blanc
et le ramollissement rouge ne sont pas marqués au
atrices des foyers sanguins; ii° que les cicatrices du ramollissement
blanc
sont, lorsqu'il est circonscrit, des espèces de p
irconvolutions est remplacée par une pellicule jaunâtre. La substance
blanche
, qui forme le centre ou noyau du lobe occipital,
ux; 2° un ramollissement hortensia clair dans la portion de substance
blanche
qui avait, pour ainsi dire, échappé à cette cicat
upant le centre d'une grande circonvolution, et étendu à la substance
blanche
subjacente. Des points rouges d'apoplexie capilla
ts rouges d'apoplexie capillaire se voient çà et là dans la substance
blanche
, qui entoure le foyer. En même temps que le foy
és au milieu de la substance grise, et même au milieu de îa substance
blanche
: ces points rouges sont quelquefois linéairement
t de la substance grise, ce qui est plus commun, soit de la substance
blanche
, j'ai déjà dit que j'avais rencontré plusieurs fo
sanguin, le premier degré d'une inflammation ; que le ramollissement
blanc
n'était pas la période avancée d'une lésion, dout
issement rouge serait la première période, mais que le ramollissement
blanc
était blanc dès sa première période; que la matiè
ge serait la première période, mais que le ramollissement blanc était
blanc
dès sa première période; que la matière colorante
pe surtout la substance grise, mais non à l'exclusion de la substance
blanche
, est entourée d'un tissu cérébral jaune serin, ay
bstance grise. Aucun ne la dépasse et ne s'étend jusqu'à la substance
blanche
. Dans les points où l'extravasation ou infiltra
as limitée à la substance grise; qu'elle occupait encore la substance
blanche
: elle montre les variétés de l'apoplexie capilla
est nullement la première période d'une lésion dont le ramollissement
blanc
serait la dernière; que l'apoplexie capillaire es
l'ouverture du kyste et la déchirure de la poche caudale. Les points
blancs
, figurés tout autour de la figure 3"' étaient con
plexus choroïdes des vieillards. Ces flocons pseudo-membraneux, d'un
blanc
laiteux, simulent tellement le corps des cysticer
cysticerques qui fussent situés profondément au sein de la substance
blanche
. Les cysticerques sont d'ailleurs tantôt enkyst
sparente, excepté dans un point de sa surface, qui est opaque et d'un
blanc
laiteux : ce point opaque n'est pas une simple ta
re foyer moins considérable, et en arrière avec le ventricule. Du pus
blanc
verdâtre existait aussi sous l'arachnoïde qui rev
r et sur le lobe postérieur de l'hémisphère gauche, dont la substance
blanche
, ramollie à la manière du blanc-manger, était d'u
tissu caverneux: à la place du sang, c'était une bouillie épaisse et
blanche
qui n'était autre chose que du suc cancéreux conc
à proprement parler, que la substance grise, tapissée par une couche
blanche
analogue au blanc-manger et par une cellulosité l
mplète de suc cancéreux. Au centre des lobules se voyaient des points
blancs
phosphatiques, qui, examinés à la loupe, m'ont pa
'y avait plus de distinction entre la substance grise et la substance
blanche
: la substance grise était moins grise, la substa
ubstance blanche : la substance grise était moins grise, la substance
blanche
moins blanche, et les lobules atrophiés et induré
he : la substance grise était moins grise, la substance blanche moins
blanche
, et les lobules atrophiés et indurés présentaient
elet. Dans son lobe droit, kyste apoplectique qui occupe la substance
blanche
au niveau de la grande circonférence de ce lobe :
occupent presque indifféremment et la substance grise et la substance
blanche
. Fig. 4. La fig. 4 a pour sujet un cervelet q
ise, il y a 21 ans, de démangeaisons qui avaient pour siège une tache
blanche
, tuberculeuse, légèrement proéminente, située à l
le mamelon des excroissances beaucoup plus dures, plus minces et plus
blanches
que les autres. Il en poussait une à chaque oreil
nt été cautérisées, on vit s'élever de la cicatrice du gland un corps
blanc
, dur, insensible, qui, dans l'espace de dix mois,
ostérieure. La fig. 2'' montre la tumeur divisée: elle était molle,
blanche
, sans développement vasculaire notable, et sa nat
organe, à l'exception du péritoine, qui avait été respecté; un calcul
blanc
proémmait dans le canal de l'urètre immédiatement
e vulgaire, qui consiste dans du crottin de chèvre infusé dans du vin
blanc
. Ses parens n'avaient eu ni goutte ni gravelle.
ne du lobule du corps strié avait elle-même été entamée. La substance
blanche
subjacente aux circonvolutions lacérées ou détrui
irconvolutions lacérées ou détruites était mise à nu. Cette substance
blanche
, parfaitement saine, n'offrait pas la lacération
ait mention ,dans le cours de l'observation, d'une hernie de la ligne
blanche
ou éventration située au dessus de l'ombilic. Cet
u dessus du pubis. Dans le sens transversal, elle atteignait la ligne
blanche
. Les urines étaient rares, peu abondantes, rend
elle trouva dans son lit une quantité assez considérable de graviers
blancs
, brillans,cristallisés, sucrés , « ayant toute l'
ur les calices et sur le rein lui-même. Plusieurs de ces calculs sont
blancs
, durs et demi transparens. Des lésions de canal
ifficultés à uriner, et rendait avec les plus vives douleurs du sable
blanc
mêlé de mucus, avec lequel il formait un magma as
ide trouble, en partie rougeâtre, en partie jaunâtre, mêlé de flocons
blancs
, jaunes et verts, semblables à du mucus un peu ép
e et qu'il n'y a pas de différences réelles entre eux et les globules
blancs
du sang. Que le pus vienne du sang, que les glo
'épaisseur de l'os. Le tissu cancéreux était d'ailleurs très dense,
blanc
, résistant à la manière d'un corps fibreux : il é
x gélatiniforme. La coupe de la tumeur (fig. 2) représente un tissu
blanc
, demi transparent, s'écrasant en grumeaux sous le
obuleuses, de petites taches de sang disséminées au milieu d'un tissu
blanc
; 20 là, petits foyers de sang sans parois; 3° vai
A leur surface, comme à leur centre, elles étaient d'une couleur très
blanche
: leur surface bosselée attestait leur dispositio
aillée, j'ai trouvé la plèvre costale du coté droit plaquée de taches
blanches
, circulaires, semblables à celles qui résulterai
manifeste sous la forme de plaques cireuses, c'est-à-dire de plaques
blanches
, généralement circulaires, semblables pour l'aspe
, l'hérédité, le tempérament, les scrofules, la syphilis, les flueurs
blanches
, les polypes utérins, les tumeurs fibreuses, aucu
brale ambiante avait subi, dans une grande étendue, un ramollissement
blanc
, homogène pour la couleur et pour la consistance,
gane, était facile à séparer par énucléation : la densité, la couleur
blanche
, la disposition lobulaire de cette production con
es kystes muqueux : au milieu du mucus nageaient de petits corps d'un
blanc
jaunâtre. De l'orifice utérin partaient les colon
isent sous toutes sortes de directions : bientôt se voient des points
blancs
au milieu du sang coagulé; c'est la matière puita
aux habituels. En janvier i834, perte de sang suivie d'une perte en
blanc
qui n'a pas discontinué depuis. Trois semaines
l'âge de 39 ans ; menstruation peu régulière. Depuis 18 mois, perte
blanche
considérable ; point de perte de sang. Ses souffr
tuosités qui limitent en arrière la scissure de Sylvius. La substance
blanche
du voisinage était jaunâtre et comme infiltrée ou
s; elle soutint n'avoir jamais eu d'autres symptômes qu'un écoulement
blanc
, n'avoir jamais fait de traitement mercuriel : el
s ans, ouvrière, a été toujours bien réglée, mais sujette aux flueurs
blanches
. Elle a eu onze enfans, dont le dernier a 21 ans.
coulement de sang remplacé au bout de quelque temps par un écoulement
blanc
. Toute la paroi antérieure du vagin et le museau
rface du rein ainsi dépouillé de sa membrane, présente des bosselures
blanc
jaunâtre : ce ne sont pas des foyers de pus, comm
étruits, si bien qu'au fond de plusieurs calices se voit la substance
blanc
jaunâtre jaspée dont j'ai parlé. En même temps
partie inférieure et postérieure du col m'a paru plus dense et plus
blanche
que les parties voisines, et je ne répondrais pas
de l'utérus : teint jaune paille, hémorrhagies considérables, pertes
blanches
plus ou moins odorantes, mais le toucher ne m'aya
remplies d'un liquide albumineux, ayant la consistance et l'odeur du
blanc
d'ceuf, transparent dans l'immense majorité des c
le trois-quart serait tombé sur une des tumeurs : on choisit la ligne
blanche
. Cette femme fut ponctionnée huit fois, à des i
mée par l'ovaire étaient remplis par une masse spongieuse, aréolaire,
blanc
jaunâtre, qui m'a présenté tous les caractères du
nsparente. Au milieu de cette gelée, j'ai trouvé quelques concrétions
blanches
amorphes, s'écrasant ou résistant sous le doigt,
re souvent distinguée qu'à l'aide de la loupe, tranche par sa couleur
blanche
sur la transparence de la matière gélatiniforme.
précédente : elle avait eu lieu à travers un éraillement de la ligne
blanche
: elle était également formée par l'épiploon. Il
atiquée dans divers sens, a montré que le tissu de cette tumeur était
blanc
et mou à la manière dune crème, ou mieux à la man
exie capillaire de la substance grise et d'une partie de la substance
blanche
du cerveau. 20e liv., pl. m,iv, p.4.— A quelle nu
n, usure des cartilages articulaires,, hydarthrosc, arthrite, tumeurs
blanches
, goutte articulaire, corps étrangers articulaires
exie capillaire de la substance grise et d'une partie de la substance
blanche
. 20e liv., pl. ni, iv, p. 4. — Ramollissement lie
ures. Ramollissement lie-de-vin de la substance grise; ramollissement
blanc
delà substance blanche; ancienne cicatrice dans u
lie-de-vin de la substance grise; ramollissement blanc delà substance
blanche
; ancienne cicatrice dans une circonvolution. = Ra
llissement pultacé sans changement de couleur des substances grise et
blanche
du ANAT. PATHOL.--TABLE DES MATIERES. lobe anté
ieures. Ramollissement puliacé de la substance griseelde la substance
blanche
des circonvolutions antérieures. Cicatrices ancie
ois. 32e liv., pl. v, p. 6. — Cicatrices des ramol-lissemens rouge et
blanc
du cerveau. 33e liv., pl. 11, p. 2. — Plusieurs c
liv., pl. 1, 11, m, iv, p. 6. —Mode de cicatrisation de la substance
blanche
ramollie. 20e liv., pl. m, iv, p. /0. — Mode de c
llissement pultacé sans changement de couleur des substances grise et
blanche
du lobe antérieur de l'hémisphère gauche. Cicatri
eures. Ramollissement pultacé de la substance grise elde la substance
blanche
des circonvolutions antérieures. Cicatrices ancie
idérations générales sur le ramollissement rouge et le ramollissement
blanc
du cerveau. 33e liv., pl. 11, p. i ; 36e liv., pl
pl. 11, p. 1. — Caractères des cicatrices des ramollissemens rouge et
blanc
. 33e liv., pl. 11, p. 2.— Plusieurs cicatrices pe
forme. 8e liv., pl. 1, 11, m, p. 12. — En quoi consistent les tumeurs
blanches
. 9e liv., pl. 11, ni, iv, v, vi, p. /. — Expulsio
aut et en dedans; la paupière supérieure s'abaissait à peine, et le
blanc
de la sclérotique restait visible sur une assez
iner elle-même un peu. Son caraco de satin gris bordé de four- rure
blanche
et les reliefs d'or de sa robe flattent l'oeil ag
doute, ses joues n'ont pas de vermeilles couleurs, ses lèvres sont
blanches
et ses paupières rougies. Mais son oeil est trè
e à bout de forces, pouvant à peine soutenir sa tête capuchonnée de
blanc
, les yeux mi-clos, un soupir aux lèvres. Son co
ique où se cache l'urinal. Enfin, on aperçoit encore le petit chien
blanc
et brun qui, cette fois, fait le guet près d'une
ition brusque entre la partie de son corps qui était t parfaitement
blanche
et celle qui était d'un noir aussi prononcé que l
pressions superficiel- les, semblables à des cicatrices de variole,
blanc
brillant (1) ». Dès le dé- but cette pigmentati
tre; le pigment noir qui le recouvre, le fait ressortir sur le fond
blanc
de la peau, comme s'il eût été, seul parmi tous l
térieure de l'individu étant noire, toute la moitié postérieure est
blanche
; la ligne de démarcation des deux couleurs est
de coloration décèlent dans la substance grise et dans les cordons
blancs
. * Ces restrictions étant faites, voici les alt
ne mince couche de tubes nerveux conservés. Tous les autres cordons
blancs
, et particulièrement les cordons inté- rieurs,
portion périphérique du faisceau de Gorets. Les autres faisceaux
blancs
sont normaux. 2) Par les colorants nucléaires,
nombreux dans les cordons postérieurs que dans les autres faisceaux
blancs
, mais ne répon- dent à rien de visible par les
un peu en avant, dans les faisceaux de Gowers. Les autres faisceaux
blancs
, en particulier les cordons postérieurs, ne pré
ssent sains. Nous n'avons trouvé de lésions ni dans leurs faisceaux
blancs
, ni dans leurs noyaux gris. il) Le cerveau, enf
la mort. Enfin l'absence de toute dégénérescence dans les faisceaux
blancs
du mésen- céphale est à elle seule une raison s
ayons pu le constater directement les dégénérescences des faisceaux
blancs
sont assez caractéristiques pour nous permettre d
t régénérés. Nous savons en effet que la régénération des faisceaux
blancs
est possible dans certaines li- mites chez l'ad
une épingle, il se produit une saillie démographique, saillie d'un
blanc
rosé, beaucoup plus marquée à gauche qu'à droit
es diverses parties de l'écorce, sur l'homologa- tion des faisceaux
blancs
, qui les unissent, avec les commissures corres-
ents un énorme scalpel. Un chirurgien vé- nérable, avec des cheveux
blancs
, vêtu d'une longue robe rouge, une es- carcetie
pansements. Un gros homme rouge et barbu, à gilet vert et chausses
blanches
, est ligoité corps et bras sur un fauteuil, les
e aide, infirmière de cette étrange clinique, grosse femme à coiffe
blanche
qui noue à tour de bras un bandage sur le front
parchemin. Elle présente dans sa moitié inférieure une colora- tion
blanc
nacré et dans sa moitié supérieure une teinte jau
s été malade s'aperçoit un jour qu'elle porte sur le front une raie
blanche
. Cette raie ne fait que grandir pour arriver à
plus pigmentée qu'à gauche. Sur ce fond pigmenté on voit une tache
blanche
, du diamètre d'une pièce de 5 francs, à bords irr
sse pas plisser. Sur la face dorsale du pied droit existe une bande
blanc
nacré, partant du '1er et du 2° orteil, large d
du pied droit une petite tache au niveau de laquelle la peau était
blanche
, fine, d'aspect cicatriciel. Cetle tache grandi
vive, éveillée, un peu nerveuse. Sur le dos du pied droit une tache
blanche
d'aspect cica- triciel comprenant les 2" et 3°
ui n'est pas débordé latéralement par la pulpe; . Les ongles sont
blancs
, étroits et un peu recourbés. La face dorsale des
s depuis deux ans. Vers la même époque on remarque quelques cheveux
blancs
que l'on arrache au sur et à mesure qu'ils se pro
u'ils se produisent. Il y a un an, on aperçoit les premières taches
blanches
sur les hanches et une plaque blanche sur la nu
perçoit les premières taches blanches sur les hanches et une plaque
blanche
sur la nuque, des dimensions d'une pièce de 20 ce
lée, portant un petit goitre. Pommettes injectées. Quelques cheveux
blancs
épars. D'une façon générale, le cuir chevelu pa
épars. D'une façon générale, le cuir chevelu paraît plus pâle, plus
blanc
que normalement. Pigmentation marquée du cou et
ion marquée du cou et de la nuque. Au niveau de la nuque, une tache
blanche
de 3 centimètres de hauteur environ, de forme irr
un point brunâtre. Une autre à gauche. Sur le tronc, larges taches
blanches
entourées d'une auréole pigmentée, quelques- un
de la ceinture, la pigmentation est plus marquée autour des taches
blanches
. Quelques taches blanches sur les fesses. A la ra
tation est plus marquée autour des taches blanches. Quelques taches
blanches
sur les fesses. A la racine de la cuisse gauche
rs. Dermographisme très accentué, aussi marqué au niveau des taches
blanches
qu'au niveau des parties normales. Appareils re
es environ par 24 heures. L'enfant est revue le 27 mai. Les cheveux
blancs
n'ont pas augmenté de nombre pas plus que les t
cheveux blancs n'ont pas augmenté de nombre pas plus que les taches
blanches
. La pigmentation autour des taches est plus mar
be, nous avons découvert à la racine cle la cuisse droite une tache
blanche
ovalaire, un peu déchiquetée, longue de 5 centimè
s de la grosseur d'un grain de millet qui siègent dans la substance
blanche
, au niveau de la circonvolution frontale ascend
rfois la mélancolie, lé désir de la solitude, et est appelée fièvre
blanche
à cause de la couleur, fièvre amoureuse ou des
port sexuel. On la qualifie d'ordinaire de pâles couleurs, d'ictère
blanc
, de fièvre d'amour, de maladie virginale ; nous l
L D'AMOUR 233 A vrai dire, dans les peintures de Jan Steen, sous le
blanc
des chairs transperce toujours une nuance rosée
doigts du trépas. Voyez comme elle est pâle, comme ses lèvres sont
blanches
, comme son bras retombe inerte sur ses genoux, qu
ses jolis yeux et quelques frissons dans son petit pied. Tablier
blanc
, robe rouge et corsage vert bordé de cygne, mouch
it-il, assise de 'profil à droite-et vue jusqu'aux genoux, mouchoir
blanc
noué autour de la tête, caraco bleu sombre, jup
anc noué autour de la tête, caraco bleu sombre, jupe rouge, tablier
blanc
, boit dans un verre à pied. L'homme, un peu en
reconnaissons bien. Je crois même que l'on distingue, sous le fichu
blanc
qui encapuchonne la tête, une tache noire au ni
s doute. Quant à l'homme, son costume d'un noir sévère et le rabbat
blanc
qui orne son cou autorisent à penser qu'il n'es
moigne d'un goût bien vif pour les scènes amoureuses (1). (1) Ch.
Blanc
donne l'indication de plusieurs oeuvres de Jan St
appuyé sur une table couverte d'un tapis rouge à ornements noirs et
blancs
; dessus, une serviette blanche, une fiole et le
'un tapis rouge à ornements noirs et blancs ; dessus, une serviette
blanche
, une fiole et le panier de l'urinai. La jeune p
leu clair et d'un caraco de piqué jaune bordé d'hermine; une étoffe
blanche
légère cache toute la moitié gauche de sa jupe.
te la moitié gauche de sa jupe. Sa tête est prise dans une cornette
blanche
avec un grand voile. A ses pieds, un chat est acc
straten est néanmoins très digne est très cons- ciencieux. Sa barbe
blanche
el sa gravité ne prêtent pas à rire. Il n'eût p
atin, de velours et de fourrure, la tète prise clans un grand fichu
blanc
. Elle est assise auprès de la table, muette, in
empe, une large mouche, bien en vue, tranche par sa noirceur sur le
blanc
mal de la figure, stigmate certain de la maladie.
s le réseau de fibrilles est atrophié. 2° Lésions de la substance
blanche
. I. - Dans le cas de Marinesco, la substance bl
e la substance blanche. I. - Dans le cas de Marinesco, la substance
blanche
antéro-latérale était intacte. Dans notre cas il
. Au fond, un beau lit à colonnes torses dorées entouré d'un rideau
blanc
. Au mur, un grand tableau représentant le sacri
e velours rouge bordée de cygne; sur la tête,une coiffe et un fichu
blanc
; comme parure, de riches pendants d'oreilles en
t de vitraux. Près d'un lit, une jeune femme est assise, une coiffe
blanche
sur la tête, vêtue d'un casaquin de velours bor
u coude sur une table,tenant dans sa main droite une sorte de fichu
blanc
, abandonnant sa main gauche au médecin. Elle es
e robe jaune, une jaquette bleu clair garnie de cygne; une pèlerine
blanche
sur les épaules; sur la tête, une cornette de m
our médicalement décrit par Varandal et Sauvages. C'est la « fièvre
blanche
, amoureuse, des jeunes filles » qui ressortit à
ut, les muscles de l'éminence thénar sont réduits à quelques fibres
blanches
, nacrées, de consistance et d'as- pect gélatine
par l'anatomie pathologique montre que les lésions de la substance
blanche
des cordons postérieurs se tradui- sent surtout
on d'une lésion intra- spinale qui intéresse à la fois la substance
blanche
des cordons postérieurs et la substance grise c
ticine. ' Près de lui se tient une jeune femme, coiffée d'un bonnet
blanc
, le cor- sage entr'ouvert, les bras croisés sur
emme évanouie (2). C'est une gracieuse hollandaise en robe de satin
blanc
, qui, le corsage ouvert, est étendue par terre,
le mal d'amour. On voit, au musée de Rennes, un dessin aux crayons
blanc
et noir, re- présentant une Femme malade, et qu
prochable modelé, la défaillante est magnifique. Une robe du satin
blanc
le plus soyeux épouse ses formes opulentes, le
verrez, au niveau du coude, comme une ligature faite avec un linge
blanc
. C'est de là que le sang provient. Tout s'exp
importante consiste presque uniquement en une section des faisceaux
blancs
, lésion dont la topographie devra être déterminée
droit. /jfemo)' ? '/Mtp ancienne à ,gauche au niveau delà substance
blanche
du pli courbe, du lobule du pli courbe et de l'
aux, des femmes, elle répond : « Des hommes ». - Demande : sont-ils
blancs
ou noirs ? Réponse : « Noirs ». Elle feuillette l
ie moyenne de l'insula jusqu'au pli courbe et limité à la substance
blanche
sauf dans le point cité plus haut. Les deux h
arrière qu'une faible portion de la corne ventriculaire. Le manteau
blanc
de la face externe du ventricule n'est pas lésé
s lésé ; on en distingue les différentes couches. Dans la substance
blanche
de la partie supérieure du pli courbe, on voit un
du bord ventriculaire, la partie horizontale a détruit la subslance
blanche
du pli courbe; l'angle supérieur affleure l'ext
st déplus en plus large. L'hémorrhagie a détruit toute la substance
blanche
des circonvolu- tions pariétales dans lesquelle
i- cule, el étend des prolongements plus marqués clans la substance
blanche
de la circonvolution pariétale supérieure; son
le niveau de la 2° temporale. Donc, destruction de tous les fibres
blanches
du pli courbe et d'une partie de celles de la par
ma 5). C'est le centre du foyer hémorrha- gique. Toute la substance
blanche
sous-jacente au lobule du pli courbe est détrui
r l'hémorrhagie. En bas le foyer s'arrête au niveau de la substance
blanche
de la 2e temporale. La coupe passe ici au niveau
t séparée du foyer hémorrhagique par une mince couche cle substance
blanche
. La lésion a complètement détruit ou coupé les
ètement détruit ou coupé les faisceaux qui constituent la substance
blanche
de la 1" temporale, du lobule du pli courbe, de
de la pariétale ascendante, en bas, elle pénètre dans la substance
blanche
de la -1 r8 temporale. Un cons- tate un prolong
erne, elle laisse indemne à sa partie moyenne une zone de substance
blanche
qui tapisse l'insula (capsule extrême), mais, e
upé toutes les fibres profondes de l'insula et atteint la substance
blanche
de la première temporale. La coupe 1 montre l
jerine, on y note la limitation précise de la lésion à la substance
blanche
. Le pointillé passe seulement en un point de la
si la limitation de la lésion presque exclusivement à la substance
blanche
confirme la nature sous-corticale de l'aphasie am
hasie am- nésique, l'étendue même de cette lésion dans la substance
blanche
ne per- met nullement de déterminer une localis
uvé spontanément le mot riz, et, sur demande, a répondu que c'était
blanc
. Elle ne peut dire les mots viande, gâteau, suc
men, on lui montre des papiers de couleurs variées : Jaune ? Dou.
Blanc
? - Du blanc ! 2 Lilas ? - Blanc. Vert ? - Bl
ontre des papiers de couleurs variées : Jaune ? Dou. Blanc ? - Du
blanc
! 2 Lilas ? - Blanc. Vert ? - Blanc, blanc, j
ouleurs variées : Jaune ? Dou. Blanc ? - Du blanc ! 2 Lilas ? -
Blanc
. Vert ? - Blanc, blanc, je ne sais pas ; comme
Jaune ? Dou. Blanc ? - Du blanc ! 2 Lilas ? - Blanc. Vert ? -
Blanc
, blanc, je ne sais pas ; comme ça (elle montre le
? Dou. Blanc ? - Du blanc ! 2 Lilas ? - Blanc. Vert ? - Blanc,
blanc
, je ne sais pas ; comme ça (elle montre les arbre
ées sur le papier et comme on insiste : Nou, ) : ou. Jaune ? - Du
blanc
je ne sais pas, nou ? Tout cet interrogatoire e
es. La jambe et le pied sont restés gros, durs au toucher, toujours
blancs
, jamais rouges, et jamais ils n'ont été doulour
une trace d'excoriation.'aucune fissure, aucune marbrure ; elle est
blanche
et elle est lisse ; mais on ne peut la pincer e
née, ni provoquée par les mouvements ou les attouchements. OEdème
blanc
, dur, boursouflé, exactement limité au seul membr
asculaires ou nerveux. Tout le mal se réduit- à cette vaste enflure
blanche
, dure et indolore, occupant tout le membre infé
és, boursouflés, d'aspect éléphantiasique. Ici encore, l'oedème est
blanc
, dur, absolument indolore. La pression du doigt
les deux membres inférieurs sont envahis par un oedème volumineux,
blanc
, dur, et indolore, en tout semblable à celui qu
; la marche et le travail redevenaient possibles, bien que ]'oedème
blanc
, dur, indolore persistât comme devant. A l'occa
s com- parable à celle que présentent ses deux filles. Même oedème,
blanc
, dur et indolore, ayant débuté de la même façon
éfiés. Et c'est encore le même oedème dur et indolore, un peu moins
blanc
ici que chez la mère et les deux soeurs. La jam
me sa fille, et l'un de ses fils. Et toujours, c'est le même oedème
blanc
, dur, indolore, qui laisse possible la marche e
at- teintes de la même affection singulière : un oedème chronique,
blanc
, dur et indolore (sauf le cas de Ar...) apparai
one. Les deux membres inférieurs ont été envahis par un oedème dur,
blanc
, mais douloureux, qui d'ailleurs est bientôt en
solément. On y retrouvait la variété décrite par Sydenham, l'oedème
blanc
, qui peut attaquer isolément toutes les parties
te de la moitié droite du corps. A la vérité, les exemples d'oedème
blanc
hystérique semblent plus rares que ne le laisse
e beaucoup les plus fréquemment relatées. L'existence de l'oedème
blanc
hystérique n'en est pas moins admise sans conte
rsister fort longtemps. Cependant, il est rare que l'oedème demeure
blanc
et dur; de nou- veaux troubles trophiques s'y s
is des jambes et des pieds à Page de 15 ans. D'abord l'oedème était
blanc
et dur. Plus tard sont survenus des troubles tr
ite où elle atteignit des pro- portions considérables-. OEdème dur,
blanc
, commençant au niveau de la cheville, formant e
non de l'é- paule, de l'autre, à l'avant-bras et à la main. D'abord
blanche
, lisse et dure, la peau devint ensuite cyanosée
ligier donne la description de l'oedème névro- pathique, lequel est
blanc
, brillant, indolore, sauf la sensation de disten-
e. Les faits cliniques démontrent qu'il existe un oedème chronique,
blanc
, du}' et indolore, qui envahit un ou plusieurs
lcérations. Dans les cas que nous proposons d'isoler, la coloration
blanche
de l'en- flure, sa consistance, son indolence,
sous le même nom les exemples déjà connus de cet oedème chronique,
blanc
, dur, indolore, et répartition segmentaire, et de
is la racine de la cuisse jusqu'aux orteils est envahie d'un oedème
blanc
, dure et indolore. Le membre semble noyé dans u
Circonférence au niveau de la cuisse .. 0,5, c. 0,66 c. La peau est
blanche
, sans excoriations, luisante, elle porte imprimée
collection Lormier, à la Havez Gravé par Le Bas ; reproduit par Ch.
Blanc
, llist. des peintres, p. 7. - La photographie r
be de chambre jaune, les oreilles emprisonnées dans une serre- tête
blanc
que recouvre encore un chaud bonnet rouge. Il ne
rrière ce duo mal assorti, une servante vêtue de brun et coiffée de
blanc
, présente aussi deux os sur une assiette. Un autr
lations pigmentaires. Ces granulations, incorporées dans les globules
blancs
ou dans les cellules épithéliales vascu-laires, c
ires (Klebs). — On conçoit que le pigment charrié par les corpuscules
blancs
du sang, dans le système porte, en cas de mélaném
s, ayant subi des altérations pathologiques, est une substance nacrée
blanche
, sans goût, insoluble dans l'eau, soluble dans l'
soluble dans l'alcool, fusible et, en masse, brûlant avec une flamme
blanche
. Elle s'offre à l'œil nu sous forme de paillettes
le dans l'éther, est constituée par de la Choles-terine. La substance
blanche
en posséderait plus que la grise. Pour mieux pr
tération singulière de la bile. Les malades rendraient des excréments
blancs
, décolorés comme dans l'ictère, mais sans avoir d
canal cholédoque, l'existence, dans les voies biliaires, d'un liquide
blanc
, transparent, insipide, légèrement visqueux. Les
te, en pareille circonstance, sous l'apparence de petites concrétions
blanches
, particularité qu'on utilise fré-quemment pour le
Bernard. Elle se présente dans le laboratoire sous forme d'une poudre
blanche
, légère, amor-phe, qui, sous l'influence de la te
s variable. Ceux qui sont com-posés de cholestérine presque pure sont
blancs
dans toute leur étendue et quelquefois transparen
pendiculai-rement à leur grand axe. La couche moyenne est tout à fait
blanche
, transparente, ou, au contraire, plus ou moins co
lleurs. Si la cholestérine est pure, les pyramides cristalli-nes sont
blanches
, transparentes et miroitantes. Elles ont quelquef
les cellules purulentes infiltrent le tissu interstitiel. Des stries
blanches
se voient aussi dans les pyramides au niveau des
isinantes du duodénum. Le canal est rempli en ce point par un bouchon
blanc
, formé sur-tout d'un amas de cellules épithéliale
de formation nouvelle. Dans le cas de M. Gee, bien que les traclus
blancs
parus-sent très accusés à la périphérie des lobul
e. La couleur des granulations tranche d'ailleurs avec la teinte gris
blanc
, légèrement brillante, du tissu conjonctif interm
é des formes. — Caractères généraux des différentes formes: Gros rein
blanc
; — Rein contracté; — Rein amyloïde. I. Messie
ant de l'oblitération des canalicules urinifères par l'urate de soude
blanc
et cristallin, et qui s'observent fré-quemment ch
isibles à l'œil nu, se dessinent sous la forme de petites stries d'un
blanc
crayeux dans la substance tubuleuse, et siègent p
-raît volumineuse, décolorée, privée de vaisseaux. C'est le gros rein
blanc
, le gros rein lisse des auteurs anglais, le rein
sous le nom de rein amyloïde qui, avec l'aspect général du gros rein
blanc
, présente des caractères chimiques spéciaux. L'al
t aux altérations que nous avons désignées sous les noms de gros rein
blanc
, gros rein lisse, etc. (néphrite parenchymateuse)
alades à l'autopsie desquels, dit Johnson (1), on trouve le gros rein
blanc
de Bright, ont eu, à peu près tous sans exception
e une sta-tistique dans laquelle on voit que, sur 26 cas de gros rein
blanc
, rhydropisie est signalée 24 fois, tandis que sur
rein contracté aurait passé par une phase correspon-dant au gros rein
blanc
; car on ne comprenait pas, si cette hypothèse ét
our ainsi dire, la rè-gle dans la forme caractérisée par le gros rein
blanc
. Cet ar-gument est puissant déjà ; mais ce n'est
ons du rein contracté avec les taches que Ton trouve sur le gros rein
blanc
à la surface ou sur des coupes, dans la substance
s de la néphrite interstitielle : on ne les voit pas sur le gros rein
blanc
. — Les CftuaiM droits, dans la substance médul-la
e assez rare, tandis qu'elle est habituelle dans les cas de gros rein
blanc
. Vous vous rappelez que Johnson a observé 24 fois
ue Johnson a observé 24 fois des hypdropisies sur 26 cas de gros rein
blanc
, et seulement 14 fois sur 33 cas de rein con-trac
areil cas, l'hydropisie peut se produire tout comme dans le gros rein
blanc
. 2° Un second caractère des urines, dans la nép
24 heures est beaucoup moins grande. Ainsi, dans un cas de gros rein
blanc
, Bartels a trouvé une perte de 14 à 20 grammes pa
terstitielle qu'il a été donné de voir la peau recouverte d'un enduit
blanc
, d'apparence cristalline et que l'analyse a dé-mo
e des pyramides, d'infarctus tubulaires cris-tallins d'urate de soude
blanc
. Suivant mes observations, la présence de ces dép
es sous le nom de rétinite albuminurique, c'est-à-dire de ces plaques
blanches
, parsemées de petites stries hémorrhagiques, qui
i-son physiologique de son développement. SIXIÈME LEÇON Gros rein
blanc
(Néphrite parenchymateusë). Sommaire. — Synonym
altéré : en Angleterre, on désigne souvent sous les noms de gros rein
blanc
(Godd-fellow, Wilks, etc.), de gros rein lisse, d
ype parfait de l'altération que l'on désigne sous le nom de gros rein
blanc
(1) ; il s'agissait, dans ce cas, d'un nommé Izod
a suite d'ac-cidents pulmonaires. A l'autopsie, on trouva les reins
blancs
, volumineux et lis-Ci) R. Bright. — Reports of me
ent un poids et un volume doubles de l'état normal. Sa coloration est
blanche
; tantôt elle est d'un blanc mat, rap-pelant plus
es de l'état normal. Sa coloration est blanche ; tantôt elle est d'un
blanc
mat, rap-pelant plus ou moins celle de l'ivoire,
uniformément répandue, et à l'œil nu, l'aspect ordinaire du gros rein
blanc
ne s'en trouve que légèrement modifié. Il présent
lement une teinte jaune, peau de buffle, qui remplace la teinte pâle,
blanc
d'ivoire ; mais il reste volumineux et lisse à sa
nt à démontrer que dans certains cas, rares à la vérité, le gros rein
blanc
peut, à la longue, subir une atrophie plus ou moi
aussi souvent dans la profondeur de l'organe. — Au contraire, le rein
blanc
atrophié n'est jamais aussi petit que le rein rou
in rouge granuleux (néphrite interstitielle), nous avons le gros rein
blanc
, le gros rein graisseux lisse, le rein graisseux
uteurs. Ainsi, vous entendrez souvent dire que la lésion du gros rein
blanc
avec toutes ses conséquences cliniques, a souvent
mineux et présen-tant déjà à cette époque les caractères du gros rein
blanc
. — Toutes les observations de maladie de Bright p
qui paraît n'avoir rien de -commun avec le développement du gros rein
blanc
, on ne trouve à signaler, dans Vétiologie de cett
miquement l'une par le petit rein granuleux, l'autre par le gros rein
blanc
se séparent autant par le côté clinique que sous
de départ de lésions permanentes pouvant être rapportées au gros rein
blanc
, ne repose sur aucune observa-tion décisive. Sans
sie une altéra-tion qui se rapproche de celle qui caractérise le rein
blanc
de la néphrite parenchymateuse. Le rein malade, e
sa sub-stance corticale, épaissie, peut présenter une teinte jaune ou
blanche
mêlée de stries rouges. Mais nous avons fait rema
in-terstitielle, le rein offre une analogie assez grande avec le rein
blanc
de la néphrite parenchymateuse; et, en réalité, l
à l'œil nu, de la façon la plus marquée, les apparences du gros rein
blanc
, la substance corticale étant très pâle et très é
pithélmm fut notablement altéré; elles avaient le volume des globules
blancs
du sang et étaient distendues. L'apparence qui vi
ement, les apparences macroscopiques sont surtout celles du gros rein
blanc
, avec une nuance jaunâtre dans certains cas; mais
aire. — Recherches de Leube et Edletsen. Influence de l'in-gestion du
blanc
d'œuf non cuit. Identité des albumines du sang
— Différences physiques et chimiques de la serine et de l'albumine du
blanc
d'œuf. — Caractères principaux de la globuline, —
constitution du sang et qui y ont pénétré accidentellement, celle du
blanc
d'œuf par exemple. Enfin, c'est par là aussi que,
st lorsque, dans un but de recherche, on ingère un grande quantité de
blanc
d'œuf non cuit, ou bien encore lorsque, chez un a
n les faisant contraster avec ceux qui la distiguent de l'albumine du
blanc
d'œuf, laquelle, comme vous le savez, n'appartien
s le fait que la serine n'est pas coagulée par l'éther, tandis que le
blanc
d'œuf l'est particulièrement.Nous verrons que tou
e, contrairement à ce qui a lieu pour l'albumine du sérum, celle du
blanc
d'oeuf cru, totalement étrangère d'ailleurs à la
te dans la grande circulation une certaine quantité d'une solution de
blanc
d'œuf, cette solution passe dans les urines, ains
d'un autre pro-blème. Cette fois, il ne s'agit plus de l'albumine du
blanc
d'œuf, mais bien de l'albumine même du sang passa
minurie artificiellement produite chez les animaux par l'injection du
blanc
d'œuf cru. Là encore, on reconnaît que cette sort
. 27 travers les membranes, tout aussi facilement que l'albumine du
blanc
d'œuf. On ne doit pas être étonné, par conséquent
nt coagulables par la chaleur et l'acide nitrique comme l'albumine du
blanc
d'œuf, mais le précipité se redissout par un excè
milable, consiste à rendre un chien albuminurique en lui injectant du
blanc
d'oeuf clans les veines. L'urine de ce chien est
res chimiques, l'albumine du sang diffère absolument de l'albumine du
blanc
d'œuf. On comprend maintenant que si l'albumine
tion d'urine pro-venant d'un autre chien auquel on avait transfusé du
blanc
d'oeuf. Or, chez ce chien, l'albumine rendue par
physiologïquemenl ni chimiquement comme l'al-bumine inassimilable du
blanc
d'œuf. Eile ne se distingue au contraire de la se
res complètes. Leçons sur le foie. PL. V. PLANCHE VI. Gros rein
blanc
. — Eein contracté. Fig. 1. — Aspect extérieur d
es Reports of médical Cases, etc. de R. Bright. Le rein était presque
blanc
. Fig. 2. — Aspect extérieur du rein contracté.
res Complètes_Leçons sur le fåur PL. VI. PLANCHE VII. Gros rein
blanc
. Coupe longitudinale du rein représenté dans la
du rein représenté dans la planche vi. Elle montre que la coloration
blanche
prévaut dans toute la partie corticale qui cepen-
é des formes. — Caractères généraux des différentes formes: Gros rein
blanc
; — Rein contracté ; — Rein amyloïde..............
....................................... 313 SIXIÈME LEÇON gros rein
blanc
[Néphrite parenchymateuse). Sommaire. — Synonym
aire. — Recherches de Leube et Edletsen. Influence do l'in-gestion du
blanc
d'œuf non cuit. Identité dos albumines du sang
— Différences physiques et chimiques de la serine et de l'albumine du
blanc
d'œuf. — Caractères principaux de la globuline, —
9. — Saturnique, 116, 350 Granulations du foie, 247. — Du gros rein
blanc
, 333, 361. — Du rein contracté, 33)1. G n welle
cylindres urinai-resdansla—, 314,316. —Parenchy-mateusc (V. Gros rein
blanc
,) — Les cylindres urinaires dans la —. 313, 319.
Ap-parences macroscopiques, 379. —? Caractères cliniques, 382. Rein
blanc
.Gros Gros rein lisse, rein de Briç/iil , 321, 35
nce grise centrale; mais par places elle empiétait sur la substance
blanche
. Voire que dans les cordons posté- rieurs, elle
en totalité. En étendant ses ravages, elle peut détruire les cordons
blancs
, en arrière, sur les côtés et en avant. Eh bien
rès vraisemblable, comme je viens de vous le dire, que la substance
blanche
des cordons pos- térieurs el même des cordons l
le de reconnaître sur la surface de section, les cornes des cordons
blancs
: tout est infiltré par la sérosité qui est logée
rations avec odeur aigre particulière, le malade était très anémié,
blanc
comme un linge, nous dit-il. L'état général était
vant-bras passe derrière le corps. A droite, un vieillard à cheveux
blancs
et aux membres étrangement poilus joue de la lyre
ur, sur- tout à la face postérieure, de nombreuses petites écailles
blanches
, dures, sèches (arachnitis fibro-calcaire). Les
s rapports analogues avec les éléments voisins, méninges, faisceaux
blancs
, colonne grise, racines. Nous ne décrirons donc e
nt : dure-mère, arachnoïde, pie-mère, vaisseaux, tumeurs, faisceaux
blancs
, substance grise, racines. I. Dure-mère. Généra
naires et par le refoulement qu'elles déterminent sur les faisceaux
blancs
voisins, sa limite est moins nette dans la régi
le tissu médullaire, quel qu'il soit, substance grise ou substance
blanche
, s'infiltrer peu à peu de petites cellules dont
zones de dégénérescence caséeuse, même refoulement des faisceaux
blancs
voisins, mêmes végétations extra-médullaires réun
ntimètres au-dessous de la tumeur (Pl. X, D, E, F). VI. Faisceaux
blancs
. En général, les lésions de dégénérescence sont
sions de dégénérescence sont peu marquées dans les divers faisceaux
blancs
; la raison en est sans doute dans l'extrême ra
escence secondaire. Dans notre cas, la dégénérescence des faisceaux
blancs
est limitée au voisinage immédiat de la localis
une véritable section de la moitié antérieure de la moelle, cordons
blancs
antéro-latéraux et cornes antérieures. Chacun
tenu et siégeant dans les cordons postérieurs et dans les commissures
blanche
et grise. La substance blanche est atrophiée. Q
postérieurs et dans les commissures blanche et grise. La substance
blanche
est atrophiée. Quelques groupes de fibres sont
ssantlatéralemen t, s'insinue dans toute l'épaisseur de la commissure
blanche
du côté droit jusqu'à envahir, par un court tra
beaucoup plus petit ne dépassant pas la substance de la commissure
blanche
. Les cordons de Burdach et de Goll sont dégénér
re à tra- vers une fissure du canal vertébral, contenant un liquide
blanc
citrin très lim- pide (méningocèle). La parti
e canal central dilaté sous forme d'une fissure qui, de la commissure
blanche
antérieure, s'étend jusqu'au tiers postérieur d
oliféré et est entouré d'une substance scléreuse. Dans la substance
blanche
, on trouve de très rares fibres nerveuses, et de
rée à ce saint. Son sarcophage, orné de beaux bas-reliefs en marbre
blanc
, exécutés vers 12G7 par Nicola Pisano et son él
quelques érosions et un sillon transversal.' Canine droite, sillons
blancs
, atrophie de la couronne. Première petite molai
Incisives. Bord libre abrasé ; érosions pointillées brunes, sillons
blancs
. Canines. Gauche, mêmes caractères que les inci
toute leur étendue. Les vaisseaux de la pie-mère et de la substance
blanche
, artères et veines, étaient altérés ; il y avai
aisseaux, et in- téressant, de ce fait, secondairement la substance
blanche
, les cordons pos- térieurs en particulier. Le
-myélite très accentuée avec participation de la substance grise et
blanche
de la moelle. Les observations qui vont suivr
es de cautères anciens. A la région sacrée, il existe une cicatrice
blanche
de la largeur d'une pièce d'un franc, arrondie,
1894, à l'hôpital Tenon où elle prit par jour deux petites pilules
blanches
(granules d'arséniate de soude ? ) et une potion
destructif ne s'est localisé que dans l'écorce cérébrale et l'amas
blanc
sous-jacent des parties malformées de la surface
és intacts. 4° Tous les ventricules sont dilatés. 5° La substance
blanche
de la surface cérébrale saine en apparence, ain
re part la cause doit être cherchée dans l'atrophie de la substance
blanche
et grise de l'écorce cérébrale. z On peut encor
on peut constater les faits suivants : A. L'écorce et la substance
blanche
sous-jacente de l'hémisphère droit sont plus ou
tique et aux circonvolutions centrales par des radiations de fibres
blanches
(Flech- sig et 7e/) (1). Sur la couche optiqu
é proximale de la protubérance. Quantà la terminaison de ces fibres
blanches
dans les réseaux des cellules de l'écorce céréb
lobe temporal comme endroit d'origine. Sioli (3) dit que ces libres
blanches
trouvent leur ter- minaison dans le lobe tempor
ci nous trouvons une destruction complète de l'écorce et des libres
blanches
sous- jacentes du lobe temporal, sans aucune an
loin on y trouve cité que-la lésion s'est étendue dans la substance
blanche
de l'hémisphère jusqu'à la paroi externe du ven
sont restées intactes que les circonvolutions centrales et la masse
blanche
sous-jacente, sans qu'il survienne de dégénérat
onné une dégénération secondaire. IV. Sioli. Destruction des fibres
blanches
du lobe pariétal avec dégé- nération partielle
d'eux lui conseilla une préparation composée d'huile d'olive, de vin
blanc
et d'oignons blancs, qui, prise tous les mois,
une préparation composée d'huile d'olive, de vin blanc et d'oignons
blancs
, qui, prise tous les mois, à jeun, amena une évac
une, un verre d'huile d'olives, et une heure après, un verre de vin
blanc
, imprégné d'oignons blancs, mis en infusion penda
ives, et une heure après, un verre de vin blanc, imprégné d'oignons
blancs
, mis en infusion pendant 12 heures. Cet espèc
fusion pendant douze heures dans un vase bien bou- ché deux oignons
blancs
coupés par rouelles minces dans la quantité de tr
par rouelles minces dans la quantité de trois grands verres de vin
blanc
pour trois doses, elle en prend une pendant trois
rles et Diez. « Il ne s'y trouva aucun gravier » . '* Une matière
blanche
, floconneuse, s'y voyait en suspension. Les gens
en plus, sur le fond pigmenté.général, se détachent quelques aires
blanches
achromiques, qui ne rappellent que de loin les
re. La moelle montre le cordon droit antérieur épais, vitreux, gris
blanc
; dans la partie inférieure- c'est le cordon pos
oint, elles se rencontrent aussi dans les vaisseaux de la substance
blanche
, les vaisseaux de la substance grise sont intac
la végétation (figures), mais celle-ci ne dépasse pas la substance
blanche
. Il faut remarquer que les cordons postérieurs
ostérieurs et dans les commissures blan- che et grise. La substance
blanche
est atrophiée. Quelques groupes de fibres sont
tudinal antérieur dans la région dorsale au niveau de la commissure
blanche
, forme un diverticule toujours revêtu de la pie-m
sant latéralement, s'insinue dans toute l'épaisseur de la commissure
blanche
du côté droit jusqu'à envahir par un court trac
beaucoup plus petit ne dépassant pas la substance de la commissure
blanche
. Les cordons de Burdach et de Goll sont dégénér
canal central dilaté sous forme d'une fissure qui, de la-commissure
blanche
antérieure, s'étend jusqu'au tiers postérieur d
iféré et est entouré d'une substance scléreuse '. Dans la substance
blanche
, on trouve de rares fibres nerveuses et de nom-
et dans cbaque segment il est impossible de distinguer la substance
blanche
de la grise et réciproque- ment. On voit de trè
é- vralgie. Les interstices entre les tubes nerveux de la substance
blanche
sont considérablement agrandis, surtout dans le
onséquence de la disparition de la substance ner- veuse, des fibres
blanches
. Quant aux vaisseaux de la moelle, ils sont un
systémati- que. On trouve seulement éparses dans toute la substance
blanche
quelques fibres nerveuses plus ou moins malades
détails concernant le tissu conjonctif, le sang, etc. ` Les cordons
blancs
ont été étudiés par la méthode de Pal, qui donne
r que l'axe gris y prend plus d'impor- tance par rapport au manteau
blanc
; les colonnes cellulaires sont très nettes, les
nerveux abondant et bien mis en évi- dence par le Pal. Les cordons
blancs
sont remarquables en ce sens que dans les moell
moelle dorsale. Elle consiste dans l'envahissement de la substance
blanche
d'une des moitiés de la moelle par un néoplasme m
neux que nous avons déjà décrit plus haut. En effet, la subs- tance
blanche
qui, sur tout le reste de la coupe, présente son
ent partie intégrante. Dans tout l'espace qui correspond au manteau
blanc
de ce côté on ne distingue plus de tubes nerveu
si que ses enveloppes. Au microscope : Région cervicale : cordons
blancs
, cellules de l'axe gris, canal épendymaire norm
par la distension de tous les vaisseaux gorgés de sang. Les cordons
blancs
, les cellules de cornes grises, l'épendyme sont n
ait cependant d'hémorrhagie. La moelle aussi bien dans sa substance
blanche
que dans sa substance grise est parcourue par d
mmédiatement inférieur à celui qui la contient. Sa couleur est d'un
blanc
mat, différant peu de celle de la moelle, sa co
rachidien. ' Au microscope on note difficilement l'état des cordons
blancs
puisqu'on ne peut les colorer à part, à l'éosin
é elle déborde la corne et est directement bordée par les faisceaux
blancs
. La moelle dorsale et la moelle lombaire ne pré
au contraire le septum médian antérieur est accolé aux deux cordons
blancs
voisins qu'il unit. L'arachnoïde mince s'appliq
térieure, la colonne de Clarke, la corne postérieure ; la substance
blanche
est réduite à quelques lambeaux bordant Taxe, g
upant le col de la corne postérieure vient mourir dans la substance
blanche
de ce côté. Il n'y a plus trace du canal de J'é
le de reconnaître quoi que ce soit des cornes grises ou des cordons
blancs
, seulesles cellules de l'épendyme limitant un c
, mais leur contenu en est aussi presque uniquement formé, tbrombus
blanc
. Région lombaire supérieure. On reconnaît assez
gion lombaire supérieure. On reconnaît assez nettement la substance
blanche
et la substance grise avec les cellules motrices,
a coupe : la substance grise se distingue nettement de la substance
blanche
, mais on ne saurait y reconnaître les cellules ne
ique ; du côté droit les deux cornes sont bien formées. Substance
blanche
. A droite à peu près normale, on remarque seuleme
e de cheval. Ici il redevient impossible de distinguer la substance
blanche
de la grise, la moelle est le siège de vacuoles é
emi-circulaire inscrivant le contour postérieur de l'axe ner- veux,
blanche
, un peu plus terne que le tissu médullaire et sép
. On distingue assez nettement la substance grise de la subs- tance
blanche
, les cellules des cornes antérieures sont assez v
stinct au lieu d'être clair est coloré en violet sale. La substance
blanche
présente son aspect normal 1 mais à la périphér
térieur épaissi emplit complètement le sillon et adhère aux cordons
blancs
qui le bordent. La dure-mère très épaisse est c
invisible. Ici il n'y a plus de néoplasme envahissant la substance
blanche
, celle-ci est bien isolée dans ses contours et
sséminées sans ordre et un peu partout aussi bien dans la substance
blanche
que dans là substance grise. Queue de cheval. L
substance grise où les cellules sont normales que dans les cordons
blancs
. Les lésions des autres parties du névraxe sont
la substance grise présente des cellules bien colorée, la substance
blanche
est seulement parcourue par des vaisseaux diste
s cornes antérieures, mais elle est craquelée, quant à la substance
blanche
elle est complètement dissociée, de vastes pertes
es ont été notées souvent altérées, la dégénérescence des faisceaux
blancs
, rarement étendue, paraît plutôt sous la dépendan
UVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Une vieille femme, coiffée de
blanc
, tenant un broc dans la main gauche, regarde l'
Cyr en légions départementales, toutes revêtues d'un uniforme de drap
blanc
. Leuret fut incorporé dans la légion de la Meurth
ves delà Salpétrière, de ce temps, ont vu et remarqué le petit soldat
blanc
, toujours si crotté, qui ne manquait pas une seul
t beaucoup. Le plus ordinairement les ganglions sont opaques, les uns
blancs
, les autres grisâtres, tandis que les nerfs sont
d'autre , leur réunion autour de la bouche, leur couleur constamment
blanche
et leur texture intime peuvent les faire considér
ez les vertébrés. La substance de ces nerfs et de ces ganglions est
blanche
et opaque, tandis que nous l'avons vue transparen
anglions : on sait que Gall s'est efforcé de prouver que la substance
blanche
naît toujours de la substance grise, et que les n
de leurs ennemis. L'épéire à cicatrice se construit un nid de soie
blanche
dans lequel elle se tient à portée de sa toile. L
e qui exploite les fourmis ouvrières, comme dans beaucoup de pays les
blancs
exploitent les nègres, comme chez les blancs, les
ans beaucoup de pays les blancs exploitent les nègres, comme chez les
blancs
, les classes supérieures, quand on les laisse fai
upart sont d'un gris rosé, les autres sont blanchâtres ou entièrement
blancs
. Toutefois, je dois prévenir que cette coloration
ec les progrès de l'âge, ils finissent par devenir tous presque aussi
blancs
les uns que les autres. En procédant d'avant en
ctifs est d'un gris rosé, cependant j'ai vu ces ganglions entièrement
blancs
chez une vieille carpe. Lorsqu'ils sont séparés c
ux, la scissure qui sépare ces lobes est traversée par un petit filet
blanc
très ténu, qui va se rendre dans le centre de cha
lions optiques sont les plus considérables, ils ont toujours l'aspect
blanc
qui est propre à la substance médullaire. Chez le
ilagineux. Dans le premier cas, on découvre, en avant, une commissure
blanche
qui réunit l'une à l'autre, la partie antérieure
, à très peu d'exceptions près, de renflemens marqués. Son aspect est
blanc
, on y découvre plusieurs sillons qui en parcouren
s parallèles, qu'il a vu formées les fibres nerveuses de la substance
blanche
et de la substance grise du cerveau, et celles de
par M. Ehrenberg , j'ai dit que cet anatomiste admet que la substance
blanche
de l'encéphale et des nerfs est entièrement compo
ise de la moelle, est la matrice, l'organe générateur de la substance
blanche
(1), et l'un des argumens que l'on a opposé à cet
st que la matière grise doit toujours être proportionnée à la matière
blanche
; or, dans la moelle épinière, ce rapport, loin d'
fères, des singes aux rongeurs, et de ceux-ci aux oiseaux, la matière
blanche
va en augmentant et la grise en diminuant. Chez t
e en diminuant. Chez tous les poissons, la prédominance de la matière
blanche
est plus prononcée encore, et sur plusieurs, à pe
faut à l'hypothèse de Gall et Spurzheim, ce n'est pas que les fibres
blanches
soient enveloppées de substance grise, mais qu'un
eilhier, raison, que la substance grise ne nourrit pas la substance
blanche
, car dit-il, une substance solide ne peut pas nou
mise en opposition avec la forme constamment fibreuse de la substance
blanche
. Mais pour apercevoir les granules qui la compose
j'ai commencé la compression, quelques points des fibres sont devenus
blancs
et se sont élargis; en comprimant davantage, les
partie leurs racines sur les tubercules quadrijumeaux. La substance
blanche
des ganglions, comme celle de la moelle rachidien
veux cérébro-spinal des poissons. Les fibres composant la substance
blanche
du système nerveux des poissons présentent des di
granulées, elles paraissent de couleur jaune paille ; les autres sont
blanches
. Serrées par le compresseur, ces dernières laisse
Serrées par le compresseur, ces dernières laissent écouler la matière
blanche
qu'elles contiennent, et se vident, soit complète
complètement, soit en partie. Tous les points qu'a laissés la matière
blanche
sont d'un jaune paille et ont un aspect granulé ;
ibres presque les plus grosses que j'aie vues chez les poissons, sont
blanches
dans certains endroits et obscures dans d'autres.
ins endroits et obscures dans d'autres. Je soupçonne que les endroits
blancs
sont pleins, tandis les autres sont vides. Je fai
des. Je fais agir la vis du compresseur et je vois avancer les taches
blanches
qui sortent du tube en forme (i) Op. cît,y p. 6
nchial. En comprimant les fibres du nerf trifacial, je vois des corps
blancs
s'avancer vers l'ouverture de leurs tubes nerveux
urs tubes nerveux, et s'amasser au dehors. Tous les tubes pleins sont
blancs
; les autres un peu sombres, mais conservant leur
ue. 10e expérience.— Moelle épinière. Anguille de mer. La substance
blanche
de cette moelle aplatie par le compresseur, prése
pour la plupart, de nombreux renflemens; il y a, en outre, des taches
blanches
, irrégulières. Celte substance délayée dans un pe
s les fibres ont disparu, il ne reste plus autre chose que des taches
blanches
, irrégulières. Ces taches sont réellement des dé
lactescent, à la substance grasse qu'elles contiennent. La substance
blanche
contenue dans les fibres dites variqueuses et dan
rouvent des globules ; chez les autres, c'est une substance homogène,
blanche
et qui, chez les poissons, a la consistance d'une
tions composent la substance grise, des fibres composent la substance
blanche
. 3. Toutes les fibres nerveuses, celles des ner
s encéphaliques. 14. Les fibres canaliculées contiennent un liquide
blanc
, huileux, que l'on en peut faire sortir par expre
r et le dépecer. Lorsqu'il trouve dans un même lieu des nègres et des
blancs
, il se précipite de préférence sur les premiers q
t cela est malheureusement vrai, que des hommes appartenant à la race
blanche
, quand il se baignaient, avaient soin d'amener to
en arrière des pré* cédens, sont arrondis, pyriformes et parfaitement
blancs
. Leur volume, contrairement à ce qui a lieu dans
e de M. Carus. Bo-janus admet que la très petite saillie de substance
blanche
que l'on voit en dehors de Yinfundibulum, chez la
r. C'est qu'elle s'étale en partie sur la petite saillie de substance
blanche
que Bojanus et M. Carus désignent sous le nom de
lle épinière est, comme chez tous les vertébrés, composé de substance
blanche
; l'intérieur est composé de substance grise qui
canaliculées comme celles des poissons, elles contiennent une matière
blanche
, homogène, grasse, que la pression peut en expuls
intérieur, la substance en est d'un gris rosé; on y voit des stries
blanches
qui viennent pour la plupart de la moelle épinièr
moelle épinière. A la face inférieure du cerveau, on voit ces stries
blanches
ou fibres médullaires pénétrer dans l'organe, et
lobe, dans le bord supérieur duquel il se termine. Un autre faisceau
blanc
se remarque à la base du cerveau et sur les côtés
élimitées; il n'y a pas de substance grise extérieure et de substance
blanche
intérieure comme chez les mammifères. La substanc
substance blanche intérieure comme chez les mammifères. La substance
blanche
est distribuée en faisceaux qui sont entourés de
se, et que l'on trouve, en l'incisant, son intérieur pourvu de stries
blanches
, il n'en résulte pas que ces deux organes soient,
s cuisses du cerveau, traversé par une petite bandelette de substance
blanche
, analogue à celle que l'on voit chez les mammifèr
(i) Op. cit., \. r, p. 2y. stance grise ; ils reçoivent des fibres
blanches
venant de la moelle épinière; ils fournissent au
optiques sont creux, la cavité en est tapissée par une lame nerveuse
blanche
; cette cavité communique avec l'aqueduc de Sylvi
au j'avais compté 13 lamelles grises, et il n'y avait que 10 lamelles
blanches
. Chez vingt oiseaux appartenant à toutes les fami
it qu'il est comme formé d'une double lame plissée, l'une intérieure,
blanche
, l'autre extérieure, d'un gris rosé. Au centre de
on. U. Le lobe cérébral n'a pas de cavité, les substances grises et
blanches
n'y sont pas disposées par couches distinctes.
e matièregrise dont la quantité est, proportionnellement à la matière
blanche
, très considérable à l'endroit des deux renflemen
illes nerveuses transversales, d'un très petit diamètre. La substance
blanche
, recouvrant la substance grise, forme à la moelle
tion plus haut; il n'entre dans sa composition que des grosses fibres
blanches
, longitudinales. Les fibres nerveuses formant l
e le cerveau des oiseaux est presque entièrement composé de substance
blanche
; la substance grise s'y trouve au contraire en t
pénètrent, à des profondeurs différentes, des expansions de substance
blanche
ou médullaire. Au microscope, la substance grise
s, et un nombre très considérable de vaisseaux sanguins. La substance
blanche
, au contraire, est formée de fibrilles très petit
velet, la substance dont il est question, est séparée de la substance
blanche
d'une manière aussi tranchée que chez l'homme. Ce
poissons et les reptiles, d'exprimer des fibres nerveuses la matière
blanche
qu'elles contiennent. Chez les oiseaux, celte mat
e, dans laquelle pénètrent et se ramifient des faisceaux de substance
blanche
venant de la moelle allongée. 3. Les fibres de
les poissons et les reptiles. k. La substance grise et la substance
blanche
, sont tout aussi distinctes l'une de l'autre dans
lui, parce qu'il n'avait pas de fusil, mais seulement un petit livre
blanc
sur lequel il notait les mots qu'il entendait.
rales de Médecine, 3e vol. 182?, p. 2 3o. (3) Note sur la substance
blanche
du lobule d'hippocampe, etc. Journal des progrès,
nde que celles des circonvolutions; elles sont composées de substance
blanche
, tandis que les circonvolutions ne présentent que
le corps calleux ét le centre ovale de Vieussens ou amas de substance
blanche
que l'on met à découvert quand, par une coupe hor
strié, ainsi appelé parce que dans son intérieur existent des stries
blanches
qui, du pédoncule cérébral, vont s'épanouir dans
et en dedans de ce ventricule dont elle est séparée par la bandelette
blanche
du lobe d'hippocampe, et par une autre bandelette
strié ou bandelette striée par Vicq d'Azyr, est une réunion de fibres
blanches
qui communiquent par une de leurs extrémités , av
ème ventricule, on trouve, en procédant d'avant en arrière, une corde
blanche
transversale que l'on appelle commissure antérieu
rieure (c. p. pl. ix, cheval, fig. lrc), et les filamens de substance
blanche
qui, de la glande pinéale, se portent en avant su
sur sa partie interne et supérieure, l'on voit un faisceau de fibres
blanches
, qui se portent de la glande pinéale jusqu'au lim
quadrijumeaux. C'est un tubercule grisâtre, duquel émanent des fibres
blanches
qui vont dans des directions différentes; les plu
oûte à trois piliers. Ses bords latéraux se réunissent à la substance
blanche
du centre ovale ; son extrémité antérieure (genou
quatre éminences solides, les antérieures grisâtres, les postérieures
blanches
; elles sont continues^ par leur base et constitue
te, située en arrière des premiers, est formée seulement de substance
blanche
, au moins à l'extérieur. Chez le chien, la paire
rassée par la paire postérieure el recouverte comme elle de substance
blanche
. Les herbivores se rapprochent généralement du mo
es l'une à l'autre qui régnent le long du sillon spinal, et sont plus
blanches
que les faisceaux de fibres environnantes. Emin
petite saillie vermiforme, grisâtre, de laquelle naissent des fibres
blanches
, qui constituent la portion molle de la septième
et les singes n'ont de l'éminence mamillaire que la traînée de fibres
blanches
que l'on voit à sa face inférieure chez les autre
rc femelle de huit mois . 78 65 1,2 Mouton....... 73 61 1,19 Ours
blanc
mâle .... 110 93 1,19 Porc mâle d'un jour ... 4
20 16 22 2,85 3,8 2,59 Mouton.....00 38 17 14 1,88 3,93 4,71 Ours
blanc
. . '. . Chameau..... Lapin de quinze jours.
. La loutre. Le kanguroo. Le cavia-paca. Le loup. Le mouton. I/ours
blanc
. Le chameau. Le mouton. Et le chat. Les autres
précède dans l'ordre que voici : Marsouin. Loutre. Kanguroo. Ours
blanc
. Phoque. Lion. Loup. Chat. Mandrill. Maki.
24 48 0,5 Cavia-paca. . . 16 31 0,51 Lapin .... 15 29 0,62 Ours
blanc
. . . 36 68 0,53 Singe Malbrouck. 19 36 0,53 C
leur aspect est grisâtre, tandis que celui des testes est constamment
blanc
. l\. Moelle épinière des mammifères. La grand
ubstance grise du corps strié . . 0,002 Id ........ de la substance
blanche
des circonvolutions .............. 0,002 ld....
s quadrijumeaux postérieurs...... 0,003 ld ........ de la substance
blanche
du corps strié. 0,003 ld........ de la substanc
stance grise du cervelet. . . . 0,00333 ld......... de la substance
blanche
du même organe ............... 0,00333 ld......
liforme.......... 0,0075 ld......... des circonvolutions (substance
blanche
) 0,0075 ld . .'...... rectiligne du nerf auditi
'Amérique, l'ours malais, l'ours du Thibet, l'ours jongleur et l'ours
blanc
de la mer Glaciale. Ce dernier est réputé le plus
ation, et les partisans de la métempsycose croyaient que les éléphans
blancs
recevaient l'âme des empereurs indiens. Les Malai
a poitrine ; il finit par succomber. C'était un maki femelle, à gorge
blanche
. Les sapajous sont pleins de gentilesse et de m
ance grise. La partie centrale est formée par une masse de subs-tance
blanche
dans laquelle sont creusées les cavités ventri-cu
inférieure et médiane de la coupe, vous découvrez deux grand tractus
blancs
(P, P.) qui se diri-gent en divergeant vers la pa
t supérieure (0), l'autre inférieure et externe (L). Ces deux tractus
blancs
sont les prolongements des pédoncules à travers l
es-sivement la capsule externe (K), l'avant-mur (M), une petite bande
blanche
innommée, et, enfin, l'écorce grise de l'in-sula
isée très nettement en deuxbandes secondaires, séparées par une bande
blanche
que nous appelons aujourd'hui le ruban de Vicq d'
nce grise est faite, à cet égard, sur le même modèle que la substance
blanche
. En d'autres ter-mes, la névroglie se rapporterai
^'//. 5,1). A l'œil nu, cette couche offre l'aspect d'une petite zone
blanche
. Ce défaut de coloration paraît être en rapport e
sence des fibres médullaires dût donner à cette couche une coloration
blanche
, il n'en est rien ; la réalité est que, en raison
aux gris paraît confondue avec celle de l'é-corce grise et des noyaux
blancs
sous-jacents: mais c'est là une illusion, ainsi q
n des trous de cet espace perforé lequel est formé par delà substance
blanche
. Ce sont là les artères des noyaux gris centraux
sition à mailles plus larges. — cl, Réseau capillaire de la substance
blanche
. Des renseignements qui précèdent, il résulte q
oint de vue de la distribution artérielle, l'écorce grise et l'écorce
blanche
sous-jacente sont solidaires puisque les vaisseau
sont-ils oblitérés sur un point ? La substance grise et la substance
blanche
souffriront simul- tanémenl dans les parties co
x autres vers les parties centrales comme autant de rayons. La région
blanche
et la région grise de l'écorce peuvent donc, en t
s éléments ont subie et de l'effondrement concomitant de la substance
blanche
sous-jacente. La partie superficielle du foyer
ion jaune appartient exclusivement à la substance grise, la substance
blanche
sous-jacente, ra-mollie, étant seulement blanchât
pour effet d'amener la nécrose de toute l'écorce grise et de l'écorce
blanche
sous-jacente. Les parties centrales seraient to
. — B, portion basilaire du noyau caudé — I n, insula. — K, substance
blanche
intermédiaire à lïnsula et à Técorce grise de l'i
à donner naissance à un lacis inextricable qu'on appelle la substance
blanche
centrale. Nous nous rendrons prochainement un com
te à détruire successivement l'écorce grise de l'insula, la substance
blanche
sous-jacente, l'avant-mur et enfin la capsule ext
le interne, alors même qu'elles sont absolument limitées à ce tractus
blanc
, et qu'elles n'intéressent enrien la substance de
que des deux tiers anté- rieurs de la capsule, région où ce tractus
blanc
sépare l'extré-mité antérieure du noyau lenticula
rrait aisément en suivre le parcours dans l'épaisseur de la substance
blanche
du lobe occipital, immédiatement en dehors de la
atéraux. (Meynert 1 composent pour une bonne part la masse centrale
blanche
appelée centre ovale, que l'écorce grise des hémi
) que postérieurs [testes), avaient à peu près conservé la coloration
blanche
de l'état normal, mais ils avaient subi, les uns.
ns ce cas remarquablement atrophiés ; ils avaient une coloration d'un
blanc
mat, un Peu teintée de jaune. Fig. 33. — Cette
brane épendymaire, M, qui a résisté. tiers antérieurs de ce tractus
blanc
qu'on appelle la capsule interne; 2° en dedans de
andis que les lésions relativement légères qui intéressent le tractus
blanc
(capsule interne), donnent lieu à une hémiplégie
systématique, à l'aire des fais-ceaux latéraux. Les autres faisceaux
blancs
, et les cornes grises, restent parfaitement indem
nce à en-vahir dans les régions spinales voisines, soit les faisceaux
blancs
, soit surtout les cornes antérieures de substance
MM. Carville et Duret (1), une lésion qui avait détruit la substance
blanche
de toutes les parties frontalesd'un lobe, sans af
ndues en largeur, intéressant plus ou moins profondément la substance
blanche
subjacente, et occupant les régions les plus dive
mie descriptive dans son analyse de? fonctions des divers faisceaux
blancs
et des diverses parties de la substance grise. El
e coloration grise, uni-forme, où les deux substances, la grise et la
blanche
, sontcon-fondues. Lorsqu'on prend entre les mains
ubordonne à l'athrepsie, stéatose en foyer ou diffuse, ramollissement
blanc
ou rouge du cerveau, hémor-rhagie intra-encéphali
éparées de la masse ex-terne (noyau lenticulaire) par un gros tractus
blanc
coudé qui n'est autre que la capsule interne, c'e
rées comme les parties fœtales, embryonnaires, tandis que les parties
blanches
sont développées, adultes. La coloration blanche,
dis que les parties blanches sont développées, adultes. La coloration
blanche
, en un mot, correspond à la structure achevée des
faisceaux du centre ovale se présentent sous la forme de deux tractus
blancs
qui semblent marcher à la ren- Fig. 56.-- Coupe
hémisphère. On y reconnaît des parties diversement colorées, les unes
blanches
, les autres grises. — AR représente l'anse roland
landique), et se porte au-devant du faisceau précédent. Ces tractus
blancs
, vous le voyez bien, répondent tout à fait par le
ues. — B, dégénération du faisceau direct. -- C, espace de subs-tance
blanche
correspondant au faisceau cérébelleux. — D, régio
e côté ce qu'on appelle quelquefois le manteau, à savoir la substance
blanche
semi-ovalaire et l'écorce de substance grise qui
fait reconnaître (sur une coupe transversale par exemple) le tractus
blanc
à direction antéro-postérieurequ'on appelle la ca
ître, dépend uniquement du siège que la lésion occupe dans le tractus
blanc
. Le problème consiste donc à délimiter les régi
tres cubes), intéressant à la fois la substance grise et la substance
blanche
adjacente, telles que les plaques jaunes ou les f
on était, comme toujours, séparé de la substance grise par un tractus
blanc
; en d'autres termes, on ne trouvait nulle part d
es n'ont lieu que quand la lésion destructive porte sur les faisceaux
blancs
. — Cas de l'hémiparaplégie spinale avec anesthés
orte indistinctement sur la substance grise et sur tous les faisceaux
blancs
tant antérieurs que postérieurs : c'est ce qu'on
s, n'ont lieu que quand la lésion destructive porte sur les faisceaux
blancs
. Ainsi, les altérations même profondes de la moel
tions descendantes, à moins de propagation accidentelle aux faisceaux
blancs
. 2° Dans les faisceaux blancs, au contraire, la
ropagation accidentelle aux faisceaux blancs. 2° Dans les faisceaux
blancs
, au contraire, la lésion consé-cutive est en quel
ce, il existe dans le manteau une languette triangulaire de substance
blanche
qui relie la substance grise de l'écorce à la cap
ésulter des expériences de MM. Albertoni et Michieli, que le faisceau
blanc
perd son excitabi-lité quatre jours après l'ablat
janvier 1880. DIXIEME LEÇON Détermination du trajet des faiscaux
blancs
de la moelle épinière par l'étude des degeneratio
fonctions des faisceaux pyramidaux. Sommarre. — Tous les faisceaux
blancs
de la moelle sont capables de dégé-nération systé
. De tout ce qui précède, vous avez pu conclure que les faisceaux
blancs
qui composent le manteau Ae la moelle épi-nière s
iquer la relation de l'axe gris avec les divers faisceaux de fibres
blanches
, qui com-posent le manteau. 11 y a lieu de consid
mo-trices volontaires se fait exclusivement par la voie des faisceaux
blancs
antéro-latéraux. C'est du moins ce que les expéri
par la capsule interne, en dehors, il est limité par un autre tractus
blanc
, la capsule externe, qui le sépare de l'avant-mur
ivement l'écorce grise des cir-convolutions de l'insula, la substance
blanche
sous-jacente, l'avant-mur, enfin la capsule exter
éléments cellulaires sont dé-truits sans participation des faisceaux
blancs
. Je n'insiste pas plus longuement ; il me suffit
ait que la transmission des incitations volontaires par les faisceaux
blancs
était exclusivement directe. On sait aujourd'hui
oup ces paralysies de celles qui résultent d'une lésion des faisceaux
blancs
et spécialement des faisceaux latéraux, cas dans
mation d'escharres, etc., et si le malade survit et que les faisceaux
blancs
participent au pro-cessus anafomique morbide, on
rophique n'auraient rien de spécifique : l'altération de la substance
blanche
de la moelle porterait aussi bien sur les faiscea
es n'ont lieu que quand la lésion destructive porte sur les faisceaux
blancs
. —Cas de l'hémiparaplégie spinale avec anesthésie
........ 270 DIXIÈME LEÇON. Détermination du trajet des faisceaux
blancs
de la moelle épinière par l'étude dés dégénératio
s fonctions des faisceaux pyramidaux. Sommaire. —Tous les faisceaux
blancs
de la moelle sont capables de dégé-nération systé
liquide des pustules de l'eczéma (Golding Bird) et dans la poussière
blanche
qui se forme quelquefois sur la peau des goutteux
istribution. La peau qui les recouvre est luisante, quel-quefois d'un
blanc
mat ; par transparence on peut voir les dépôts so
eur garnissent les mains, et qui laissent sur le tapis vert une trace
blanche
, comme de la craie. D'autres fois, une inflammati
ée anglaise, lorsqu'ils sont placés dans les mêmes conditions que les
blancs
, sont exposés comme eux à contrac-ter la goutte ;
anvier. — Des altérations histologiques du cartilage dans les tumeurs
blanches
. Paris, 1866. fération des éléments cellulaires
cartilage diarthrodial du fémur, chez un enfant atteint d'une tumeur
blanche
(d'après M. Ranvier). Les capsules de la surfac
nt atteints, il en résulte des ramollissements, tantôt rouges, tantôt
blancs
, qui sont l'une des causes les plus fréquentes de
e peut simuler une luxation, une fracture, et mieux encore une tumeur
blanche
. Ce sont là des questions qui ont surtout attir
x cas peuvent se présenter : tan-tôt le rhumatisme dégénère en tumeur
blanche
; tantôt il prend les caractères de l'arthrite dé
s de femmes qui,, pendant leur jeunesse, ont été affectées de tumeurs
blanches
, et chez qui, plus tard, le rhumatisme noueux s'e
Elle a été réglée à vingt ans; à cette époque, elle avait des flueurs
blanches
, mais elle n'a pas eu les pâles couleurs; une foi
is, dans quelques articula-tions, on rencontre une sorte de substance
blanche
, albumi-neuse, un peu concrète, complètement libr
Ces fragments de cartilage paraissaient infiltrés d'une ma-tière d'un
blanc
mat, d'aspect crayeux, formant des îlots d'iné-ga
au voisinage des articulations métaCarpo-phalangiennes. La substance
blanche
compacte ou friable, qui formait ces dépôts, exam
e, ou laisser voir, an contraire, par transparence, la substance d'un
blanc
mat qui les compose. Dans la seconde forme, ce so
ielle, plate, arrondie, ayant 2 millimètres de diamètre environ, d'un
blanc
mat parais-sant faire corps avec la peau, et reco
age des jointures, étaient parsemés, en outre, de petites concrétions
blanches
, d'aspect crayeux, ne dépassant pas en général, l
aient partout incrustés d'urate de soude, et présentaient une surface
blanche
, d'aspect crayeux. En outre, sur la face dorsale
laire lâche et qui laissait voir, par transparence, leur couleur d'un
blanc
mat. Ces dépôts limités latéralement par les tend
existence ne pouvait pas être reconnue. On trouvait aussi des points
blancs
et de petites masses crayeuses, dures, enchâssées
e pré-sentaient de semblables dépôts, sous forme d'une fine poussière
blanche
. Aux genoux, les condyles du fémur, les surface
u tibia et de la rotule paraissent également recouverts par un vernis
blanc
opaque, brillant, dur, d'aspect crayeux, lequel o
s cartilages diarthrodiaux. Sur une coupe de ces cartilages, le dépôt
blanc
paraît limité du côté de la face pro-fonde par un
s ligaments de l'articulation offrent une multitude de pe-tits points
blancs
adhérents et donnant l'idée d'une line pous-sière
s adhérents et donnant l'idée d'une line pous-sière. Ces mêmes points
blancs
se retrouvent dans l'épaisseur du ligament rotuli
diverses jointures, rare, trans-parente, peu visqueuse. La matière
blanche
qui incrustait les cartilages articulaires, trait
ble grossisse-ment, formaient une zone opaque à la lumière transmise,
blanche
à la lumière réfléchie, régulière, du côté de la
ur des car-tilages diarthrodiaux du genou, on voyait de petits points
blancs
situés sur les franges synoviales. En examinant c
opaque généralement arrondie (Pl. III. fig. 5, N), simple ou double,
blanche
à la lumière réfléchie, noire à la lumière direct
en un mot, dans tous les tissus fibreux péri-articulaires, les points
blancs
, sablés qui s'y trouvaient en grand nombre, avaie
it, sur un certain nombre des cônes, de petites lignes ou stries d'un
blanc
de craie, parallèles à la direction des tubuli, e
é de quelques-uns cle ces infarctus est visible, sous forme de points
blancs
, au sommet libre des papilles. Ciiarcoï. Œuv. c
e la substance tubuleuse, dans les points où elle renferme des dépôts
blancs
, linéaires, paral-lèles à la direction des tubes,
t conclure de là qu'une partie de la matière qui constitue les dépôts
blancs
est contenue dans l'intérieur même des tubes urin
n a présenté un bel exemple, le dépôt d'urates,, sous forme de lignes
blanches
(PL. 111, ficj. 1 A) est aussi caractéristique de
les bas-sinets très dilatés contenaient du pus ; leur muqueuse était
blanche
et épaisse. Le rein droit plus volumineux que le
Tous les cônes tubuleux qui restent renferment des dépôts de matière
blanche
, comme de l'émail, en tout semblable à celle des
forme de granulations amorphes infiniment petites et toujours du même
blanc
éclatant. » La substance corticale n'en renfermai
ndis que dans l'observation de M. Cas-telnau, ce sont des lignes d'un
blanc
éclatant chimiquement constituées par de l'urate
des pyramides ; la papille de chaque cône présentait de petits points
blancs
dus à cette matière. La substance corticale montr
ux de ces observations 4,5,6 et8. L'examen microscopique des dépôts
blancs
linéaires, ajoute le docteur Garrod, y montre une
natomique fait par le docteur Garrod le porta à penser que les lignes
blanches
étaient dues au rem-plissage des tubes urinifères
t organe révéla, dans les cônes, de la substance tubuleuse des dépôts
blancs
d'urate de soude. L'examen microscopique du par
e ranger cet état du rein, dans le gouty kydney de Todd. Les dépôts
blancs
, (PL. III. fig. !, À) linéaires, se déta-chaient
e pratique (2). « Les cartilages étaient infiltrés d'une matière d'un
blanc
mat, d'aspect crayeux, formant des îlots d'inégal
s, se trouvait une couche assez épaisse, opaque à la lumière directe,
blanche
à la lumière refléchie. Examinée à un faible gros
ntercellulaire. Sur les séreuses articulaires, on voyait des points
blancs
plus ou moins fins, toujours très adhérents, dont
aux. En deux points de ces pyramides, on voit de petites con-crétions
blanches
, crayeuses, très fines, comme deux grains de pous
vu sur le cartilage et à la sur-face de la séreuse, de petits points
blancs
, crayeux. Dans les articulations du genou, qui co
t moins malades. La synoviale était partout parsemée de petits points
blancs
adhérents.Les articulations malades au plus haut
ur, la peau amincie laisse voir par transparence une colora-tion d'un
blanc
crayeux ; en ce point, une incision est pratiquée
pratiquée, et il s'en écoule d'abord une substance demi-liquide d'un
blanc
mat, puis une substance de même couleur, mais de
où l'on a extrait par une légère piqûre une matière demi-liquide d'un
blanc
mat qui a été examinée au mi-croscope. En renvers
a éliminée spon-tanément. Sur l'oreille droite, plusieurs concrétions
blanches
et dures, siégeant sur la partie inférieure de Va
is, dans quel-ques articulations, on rencontre une sorte de substance
blanche
albumineuse, un peu concrète, complètement libre
s, les surfaces articulaires paraissent recouvertes d'une couche d'un
blanc
mat, semblable à du plâtre ; cette matière est dé
ales étaient toutes deux à l'état normal ; — au coude droit, le dépôt
blanc
occupe les surfaces articulaires du radius, du cu
res sont, au poignet droit comme au poignet gauche, revêtues du dépôt
blanc
dans toute leurétendue. Ce même dépôt se retrouve
carpo-phalangiennes du pouce et du médius pré-sentent seules le dépôt
blanc
; l'articulation phalangienne du pouce est intact
est recouverte dans la plus grande partie de son étendue par le dépôt
blanc
; les deux cavités arti-culaires et la surface rot
-culaires et la surface rotulienne sont revêtues de cette même couche
blanche
qui se retrouve aussi par plaques aux faces su-pé
de la face externe du condyle droit, il existe une petite concrétion
blanche
, arrondie, du volume d'une tête d'é-pingle. — Des
côtés, les articulations tibio-tarsiennes présentent une couche d'un
blanc
laiteux, uniformément répandue sur toute l'étendu
culaires. Chacune des articulations du tarse offre le même revêtement
blanc
. Les articulations mé-talarso-phalangiennes et ce
r lieu, dans notre observation, qu'à part une très petite concrétion,
blanche
, située au genou droit, dans le tissu cellulaire
taient recouvertes dans toute leur étendue d'une couche d'une matière
blanche
qui, examinée chimiquement par M. Faure, fut reco
e phosphate de chaux (?). Sur d'autres articulations, la même matière
blanche
se présentait par plaques ; sur d'autres enfin, e
oite et à gauche.—Aux articulations des coudes, des poignets, plaques
blanches
disséminées sur les cartillages cliarthrodiaux ;
che sont intacts. — Arti-culations coxo-fémorales : plusieurs plaques
blanches
à droite et à gauche. — Articulations fémorales
lie astragalienne est incrustée dans toute son étendue par la matière
blanche
. — Les articulations du gros orteil n'étaient pas
sinage des jointures étaient parsemés en outre de petites concrétions
blanches
, d'aspect crayeux, ne dépassant pas en général le
taient partout incrustés d'urate de soude et présentaient une surface
blanche
, d'aspect crayeux. En outre, sur la face dorsale
ulaire lâche et qui laissait voir par transparence, leur couleur d'un
blanc
mat. Ces dépôts, limités latéralement par les ten
existence ne pouvait pas être reconnue. On trouvait aussi des points
blancs
et des petites masses crayeuses dures, enchâssées
me présentaient de semblables dépôts sous forme d'une fine pous-sière
blanche
. L'examen microscopique et chimique de la ma-tièr
pous-sière blanche. L'examen microscopique et chimique de la ma-tière
blanche
qui inérustait les cartilages ou siégeait dans le
corps avec elles et paraît alors tachetée de plaques arrondies, d'un
blanc
mat, qui révèlent suffisamment la présence de l'u
ent mamelonnée, sessile, offre en quelques points une coloration d'un
blanc
mat. Elle n'est le siège d'aucune douleur et gêne
146). Dépôts d'urée sur la peau dans l'urémie. — La fine pous-sière
blanche
, d'aspect brillant, qu'on trouve répandue sur les
arse et des doigts anté-rieurs, des tumeurs composées d'une substance
blanche
, plâ-treuse, qui, examinée au microscope et trait
ci-palement et sur l'estomac, le péricarde) sont parsemées de plaques
blanches
qui, examinées au microscope, paraissent composée
Dans deux cas d'ophtalmie goutteuse, M. Garrod a rencontré des dépôts
blancs
d'urate de soude à la surface de la sclérotique (
ouvert, par suite de la per-foration de la peau, des masses tophacées
blanches
, de consis-tance crayeuse, composées en grande pa
ez-vous pas l'œil larmoyant, la main sèche, le visage jaune, la barbe
blanche
, une jambe amaigrie, un ventre qui grossit? N'a
. — Segment de coupe du rein grossi deux fois à la loupe : les lignes
blanches
d'aspect crayeux A, sont des dépôts d'urate de so
les ont dû se produire é l'époque où l'on ne se battait qu'à l'arme
blanche
! » DES TRAUMATISMES DU CRANE. - )Il cérébrau
rocessus se limite à l'écorce céré- , brale (5 cas), à la substance
blanche
(2 cas), ou inté- resse à la fois l'écorce et l
t rouge de la substance grise. Pas de ramollisement de la substance
blanche
. Le reste de la moelle est ferme; pas d'injecti
pour cette région que pour la zone psychomotrice. Pour la substance
blanche
des lobes occipi- taux, les résultats diffèrent
que l'on enfonce plus profondément les électrodes dans la substance
blanche
. Quand on produit une excitation bi-latérale et
production des phénomènes résultant de l'excitation de la substance
blanche
des lobes occipitaux : Dans ce but, l'expérimen
nce grise de la région psychomotrice et excite ensuite la substance
blanche
des lobes occipitaux : la déviation des yeux appa
tères habituels. Elle apparaît encore lorsqu'on excite la substance
blanche
des lobes occipitaux après avoir fait une secti
scissure interhémisphérique. Enfin , quand on met à nu la substance
blanche
de la région psychomo- trice et quand on l'exci
entité parfaite, sous l'in- lluence de l'excilation de la substance
blanche
. Les résultais obtenus après les sections trans
durcissement, quel ramollissement pénétrant jusque dans la cou- che
blanche
du manteau des circonvolutions et que toutes fibr
endantes. Toutes les fibres convergent sur un triangle de substance
blanche
, en dedans du noyau lenticulaire, pour de ce re
c'est la zone de transition entre la substance grise la substance
blanche
, assez difficile à débrouiller à cause de l'épa
ause de l'épanouissement des faisceaux de fibres et de la substance
blanche
, qui s'écartent les uns des autres à ce niveau
en îlots, ou nids séparés les uns des autres par les fais- ceaux
blancs
. Mais dans le sens de la hauteur, ces îlots ne
ns le sens longitudinal indiquera soit une diminution des faisceaux
blancs
, soit un morcel- lement des couches, par un dév
a seule chose qui le puisse troubler c'est la présence de faisceaux
blancs
coupés obliquement, mais leurs surfaces de sect
tre un certain nombre de corps granuleux répandus dans la substance
blanche
et qni se colorent en noir sur une coupe exposé
substance grise ne présentent pas des lésions nettes; la substance
blanche
offre des lésions de désintégration. Sur le mil
on. Sur le milieu de cette première frontale gauche, la substance
blanche
a le même aspect; les corps granuleux y sont nomb
ans la substance grise, mais le sont évi- demment dans la substance
blanche
. 186 PATHOLOGIE MENTALE. La coupe d'une circo
ompant la disposition des fibres nerveuses qui gagnent la substance
blanche
, comprennent en général les trois premières cou
zzozero et Golgi sous le nom de porose cérébrale. Dans la substance
blanche
, il n'y a que peu ou pas de corps granuleux, ma
substance grise, des amas considérables de corps granuleux dans la
blanche
. Les cellules géantes de la région sont éparses a
des myélocytes, et un certain degré de fibrillation de la substance
blanche
, parsemée de corps gra- nuleux. Il est assez di
rouges dans le sang; Ilorsley trouva que la quantité de corpuscules
blanches
dans la veine qui quitte la glande thyroïde est
hydre dans un tube scellé, il se transforme peu à peu en une poudre
blanche
que l'on isole en traitant par l'eau dans laque
traitant par l'eau dans laquelle elle est insoluble ; cette poudre
blanche
est le métachloral. On l'obtient plus facilemen
issement et constitue Y hydrate de chloral saccha- roïde, en masses
blanches
composées d'aiguilles fines entre- lacées de ma
: masses saccharoïdes ou petits cristaux prismatiques, rhomboïdaux,
blancs
; odeur chloroformée piquante, saveur amère, un
e doit pas précipiter par l'azo- tate d'argent ni dégager de fumées
blanches
à l'approche d'une DU CHLORAL ET DE SES DÉRIVÉS
ssin, puis étudié par Personne, cristallise facilement en aiguilles
blanches
assez volumineuses, s'enchevêtrant pour former
roide, plus soluble dans l'eau chaude et l'alcool. C'est une poudre
blanche
formée par de petites paillettes dont l'odeur e
toire. D'autre part, on constate chez les deux malades une atrophie
blanche
de la pupille. On peut se demander jusqu'à quel
ttement au bord du trou dont le fond est constitué par la substance
blanche
. Quoique cette dernière soit souvent beaucoup p
s en assez grand nombre dans les cornes postérieures. Les cordons
blancs
de la moelle lombaire et les cornes anté- rieur
s, bout à bout, limitées par les libres d'origine de la substance
blanche
, présente ces mêmes séries morcelées par disparit
ans la couche suivante de la substance grise et dans la subs- tance
blanche
, ce qui domine c'est l'accumulation des noyaux de
étude des couches en sens inverse, nous voyons d'abord la substance
blanche
très vascularisée et présentant les figures con
ée à l'extrême des éléments pyramidaux. A la limite de la substance
blanche
, l'accumulation des noyaux petits et sphériques
évoluantparallèle- ment. c). Moelle cervico-dorsale. Les cordons
blancs
sont, symétri- ques ; dans la substance grise,
t réelle; et il suffit de com- parer le cône restreint de substance
blanche
qu'on voit sur les coupes de la circonvolution
par quatre oa six, nom- breuses petites cellules dans la substance
blanche
; vascularisation relativement peu développée.
ve quelques nids, mais elles sont petites et effilées. La substance
blanche
est toute parsemée de corps granuleux; les espa
e à l'oeil nu sur les coupes. Ils s'étendent jus- qu'à la substance
blanche
. Le centre est occupé par un réseau à mailles t
ction nette de la circonvolution. Ils sont au contraire réservés en
blanc
sur les pièces colorées. Autour d'eux, la séria
eurs l'épaisseur dn revêtement gris est très faible. La substance
blanche
offre l'aspect d'une véritable émuision de myél
uche suivante. Il existe quelques corps granuleux dans la substance
blanche
. La moelle cervicale ne présente pas d'asymétri
ervicale ne présente pas d'asymétrie ni de sclérose de la substance
blanche
, les cornes prises sont régulières, leurs colon
a pas d'accumulations de leucocytes dans les gaines. La substance
blanche
présente un très grand nombre de corps polycycliq
gèrement sclérosée, il n'y a rien de plus à noter dans la substance
blanche
que des espaces étoilés dépourvus de tubes nerv
stiques que l'on retrouve dans la hauteur des couches. La substance
blanche
présente une grande quantité de corps amyloïdes
nes infiltrées de corpui- cules de Gtuge, surtout dans la substance
blanche
. Les cellules pyramidales ne sont serrées que p
place, elles sont peu nom- breuses et de petit volume. La substance
blanche
est toute infiltrée de petites cellules rondes,
ume présente des lésions diffuses très mar- quées dans la substance
blanche
. Il existe de véritables plaques à contour irré
ux dilatés et pauvres en cellules, jusqu'au contact de la substance
blanche
, où les noyaux sont abondants. Il existe des co
d'une façon inégale, puisque ses prolonge- ments vers la substance
blanche
sont irréguliers. De ' là l'aspect chagriné du
lon et dans son fond. Les vaisseaux dans leur gaine et la substance
blanche
présentent l'infiltration de corps granuleux qu
r les coupes. La limite des deux substances et surtout la substance
blanche
sont parsemées de corps amyloïdes. L'infiltrati
rmal. Les couches suivantes de la substance grise et la substance
blanche
sont chargées de petites cellules rondes. On y vo
par le vaisseau vasculaire. A ce point, ainsi que dans la substance
blanche
, nombreux corps granuleux et blocs graisseux se
s les points examinés. Nombreux corps granuleux dans la substance
blanche
. Dans le lobe occipital, on retrouve, à côté de
encore. Elle est parsemée de corps granuleux ainsi que la substance
blanche
. Vaisseaux moyennement abondants, un peu rameux
orme des éléments araignée et la paralysie générale. La substance
blanche
est infiltrée d'un grand nombre de noyaux. Dans c
s sont allongées, gra- nuleuses et fortement colorées. La substance
blanche
offre une quantité considérable de petits noyau
ance grise, une perte de substance qui s'étend jusqu'à la substance
blanche
et est recouverte par une paroi flottante, tran
tre eux; ils morcellent la substance grise. Lésions de la substance
blanche
. Dans la substance blanche, il existe une large
substance grise. Lésions de la substance blanche. Dans la substance
blanche
, il existe une large traînée descendante, corre
tielles, petits, sphériques et fortement colorés. Dans la substance
blanche
, on voit les mêmes lésions que dans les prépara
olument semblables, mais la traînée des- cendante dans la substance
blanche
au-dessous du foyer, est très large et remplie
ellules névrogliques n'offre rien de particulier. Dans la substance
blanche
, corps granuleux nombreux, aspect fibrillaire,
ains points les cils des cellules. La trame conjonctive des cordons
blancs
est notable- ment épaissie, le nombre des tubes
profondes de la substance grise, et même au milieu de la substance
blanche
, qu'on voyait la névroglie former des filaments
des réactifs pour qu'on puisse s'y arrêter. Du côté de la substance
blanche
, il est facile de voir son atrophie; la multipl
e la substance grise, enfin les fibres descendantes de la substance
blanche
de- LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE. 337 1 vaie
h...) au niveau de l'union de la substance grise et de la substance
blanche
, pour montrer la rareté des cellules pyramidale
celle des centres psychomoteurs corticaux; 2° celle des faisceaux
blancs
qui, sans aucun doute (indubitu- mente), relien
quées, à titre de simple conduction, il est vrai, par les faisceaux
blancs
du tiers postérieur de la capsule interne, il n
Des faisceaux de fibres isolées pénètrent bien de la subs- tance
blanche
du centre ovale dans le noyau leiitieu- 1 Pour
produisent avec une parfaite identité lorsqu'on excite la substance
blanche
de ce lobe. Les lobes occipitaux dans leurs rap
s ou totales de la zone motrice sur l'excitabilité de la substance*
blanche
du centre ovale, rappellent les noms d'Albertoni
ertoni et Michieli (1876). La perte de l'excitabilité des faisceaux
blancs
du centre ovale a lieu au bout d'un certain tem
ions. « Les physiologistes italiens avaient montré que la substance
blanche
du centre ovale cesse d'être excitable dans la
que tout le temps, il voyait quatre pattes de chien et un grand mur
blanc
. Place Notre-Dame, il aurait eu comme un étour-
dissement et, à pallir de là, il aurait eu celte vision d'un mur
blanc
. Dans sa course, il se rappelle avoir bu souvent
re considérable; les vaisseaux sont exsan-gues ou bourrés de globules
blancs
. On constate en outre de la périartérite et de la
ons. Anorexie complète depuis huit jours. Langue couverte d'un enduit
blanc
très épais. Etat local : le cœur est à l'état nor
l'iléon et de tout le côlon. La muqueuse est tapissée par une matière
blanche
, visqueuse et tenace; d'ailleurs pas de pso-renté
-sente une couleur violacée ou rouge pâle; elle est marquée de lignes
blanches
circonscrivant des surfaces anguleuses qui des-si
fibreuses. Les deux lobes du poumon sont unis par une fausse membrane
blanche
, nacrée, très épaisse. La partie inférieure du so
véolaires sont encom-brées de masses muqueuses englobant des globules
blancs
, des corps granuleux, des cellules épithéliales e
ois de ces ventricules sont ramollies et comme tapissées d'une couche
blanche
, pultacée. La substance cérébrale blanche est par
omme tapissées d'une couche blanche, pultacée. La substance cérébrale
blanche
est partout ail-leurs d'une consistance normale;
ent des parties correspondantes du cerveau. C'était un ramollissement
blanc
, occupant les parties des lobes antérieur et moye
u sang, caractérisée par l'augmentation de la proportion des globules
blancs
, et, habituellement, liée à l'hypertrophie de la
rouge violet foncé, était celui qui renfermait le moins de globu-les
blancs
du sang. Là, ces globules blancs étaient moins no
qui renfermait le moins de globu-les blancs du sang. Là, ces globules
blancs
étaient moins nombreux que les globules rouges ;
e ventricule droit avait une colora-tion d'un rouge brique, tirant au
blanc
plus qu'au violet ; il ren-fermait une quantité d
au blanc plus qu'au violet ; il ren-fermait une quantité de globules
blancs
plus considérable que ne l'était celle des globul
le des globules rouges, ou au moins à peu près égale. De ces globules
blancs
, les uns étaient libres, les autres étaient englo
ables. Voici, maintenant, quels étaient les caractères des globules
blancs
; les globules rouges n'ayant présenté rien d'ano
us décrirons d'abord: A, les globules du sang, puis, B, les glo-bules
blancs
proprement dits. A. Globulins. —Ils sont peu no
très finement granuleux et toujours dépourvus de noyau. B. Globules
blancs
. — Nous en distinguerons deux variétés : 1° Globu
Globules blancs. — Nous en distinguerons deux variétés : 1° Globules
blancs
ayant conservé tous leurs caractères normaux, c'e
ur diamètre varie entre 0,0003 et 0,0009 de millimètre. 2° Globules
blancs
différant de ceux que l'on rencontre à l'état nor
tions moléculaires, anafogues à celles qu'on trouve dans les globules
blancs
normaux, soit des granulations un peu plus foncée
ne teinte rougeâtre; le même acide, mis en contact avec les glo-bules
blancs
sans noyaux, déterminait une coagulation de leur
rs, pour l'étude de cette action de l'acide acétique sur les globules
blancs
du sang,, comparativement aux globules de pus : C
utre, comme caractère-de l'état morbide, le grand volume des globules
blancs
et du noyau qu'ils renferment. 4. V. Fuller. —
On rencontrait, dans le sang du ventricule droit, mêlés aux glo-bules
blancs
, une grande quantité de cristaux lozangiques, for
0,008 de millim. Ces cellules se distinguaient aisément des globu-les
blancs
très nombreux qui les accompagnaient par leur for
es autres rappe-laient par leur forme et par leur aspect les globules
blancs
du sang. Cette observation de Virchow a été confi
servé dans certains cas, une augmentation de proportion des globu-les
blancs
du sang. Mais cela est loin d'être constant, et,
res, ou bien encore un pointillé très fin et très serré. La substance
blanche
, à parties cas d'une intensité exceptionnelle, es
t là on rencontre dans les veines spléniques des caillots tout à fait
blancs
et décolorés. — Les reins, assez volumi-neux, ne
veine splénique), le sang contenait une grande proportion de globules
blancs
, pro-portion difficile à apprécier, mais qu'on pe
roxima-tivement à la moitié de la somme totale des globules rouges ou
blancs
. Il nous a semblé que cette proportion était plus
ns à considérer dans le sang: 1° les globules rouges; 2° les globules
blancs
; 3° les autres éléments visibles au micros-cope.
és avec leurs caractères pendant trois ou quatre jours. 2° Globules
blancs
ou incolores (leucocytes). — Ces éléments sont de
eloppées, sont beaucoup plus nom-breux que les seconds. a) Globules
blancs
à noyau. — Ces globules ont des dimensions peu va
ns des noyaux paraissent devenir aussi plus accentuées. b) Globules
blancs
sans noyau immédiatement visible. — Les glo-bulin
n groupe, et offrant toutes les dispositions notées dans les globules
blancs
normaux soumis à cette réaction. D'autres globule
ais presque aussi effacé que le globule lui-même. Quelques globules
blancs
, montrant les principales variétés qu'on remarque
avant toute réaction, sont présentés dans la fig. 41, a. Les globules
blancs
étaient encore visibles dans le sang conservé, au
ents visibles dans le sang. — Outres les glo-bules, soit rouges, soit
blancs
, on aperçoit dans le sang une très grande quantit
formant quelquefois, par leur réunion autour des groupes des globules
blancs
, des amas comme cendrés et plus ou moins larges.
s trouvés dans le sang d'un sujet leucémique, a, Cristaux et globules
blancs
représentés à l'aide do la chambre claire, avec u
cette figure, le rapport de leurs dimensions avec celles des globules
blancs
. Ces cristaux, quoique assez résistants, parais
re; on n'y reconnaît plus, comme éléments distincts, que des globules
blancs
, une quantité considérable de concrétions de pe-t
tifs lorsqu'ils ont été dans l'alcool bouillant. Parmi les globules
blancs
, les uns sont demeurés transparents, incolores, o
rouvait la môme matière granuleuse que dans le foie. Nom-breux grains
blancs
, visibles à l'œil nu, et ayant même un certain vo
u tissu. Très nombreux éléments microscopiques analogues aux globules
blancs
du sang. Reins. —Tissu très mou, tubuli bien co
exacte, car l'état du sang dans la leucémie, l'abondance des globules
blancs
, la dimi-nution du nombre et de la dimension des
du volume des globules rouges, alors que les dimensions des glo-bules
blancs
sont généralement accrues, s'accorde peu avec l'h
n rencontrait dans le sang du ventri-» cule droit, mêlés aux globules
blancs
, une grande quantité » de cristaux losangiques fo
dimanches à des excès alcoliques et il fait com-munément usage de vin
blanc
; il habite un logement sec et se nourrit d'aille
, ou même de globules dits pyoïdes, mais bien de véri-tables globules
blancs
du sang. Foie.— Volume à peu près normal; légèr
ts consti-tuaient des espèces de kystes dont la surface interne était
blanche
et lisse. (Legroux, loc. cii., obs. 6.) Obs. IV
es. Dans la plupart de ces vésicules, on rencontrait une matière d'un
blanc
jaunâtre, puriforme et d'une consistance de bouil
ouillie. Leurs parois opaques, jaunâtres, avaient la consistance d'un
blanc
d'ceuf cuit, d'une épaisseur à peu près double de
enu dans deux poches placées à côté l'une de l'autre, dont les parois
blanches
, assez fermes, lisses en dedans, nulle-ment vascu
é de détritus fibrineux, de granulations moléculaires et de globu-les
blancs
du sang. Ce ne serait d'ailleurs pas la premièr
ang. Ce ne serait d'ailleurs pas la première fois que les globu-les
blancs
du sang auraient, en se rassemblant dans divers p
ontenaient cependant que des filaments fibrineux mêlés à des globules
blancs
du sang. Et en dehors du système circula-toire un
rétions ren-fermeraient non pas du pus, mais bien un amas de globules
blancs
du sang mêlé à de la fibrine désagrégée. Je fais
mposé de granulations protéiques, de glo-bules graisseux, de globules
blancs
du sang plus ou moins al-térés, et enfin, d'un dé
s graisseuses et semblables pour l'aspect et le volume à des globules
blancs
du sang altérés; 5° cristaux aciculaires dont la
de. Sa pointe paraît arrondie, obtuse et présente une coloration d'un
blanc
mat. On ne remarque aucune particularité dans sa
granulations graisseuses et ayant l'aspect et le volume des globules
blancs
du sang (ce sont, tout porte à le croire, des glo
lobules blancs du sang (ce sont, tout porte à le croire, des globules
blancs
du sang altérés); 5° des cristaux en aiguille don
de épaissi, rugueux, opaque, en dehors par une sorte de tissu fibreux
blanc
, légèrement nacré, très résistant : en tout deux
e section : 1° en dedans, au voisinage du kyste, l'endocarde épaissi,
blanc
, opaque, pouvant se détacher facilement des parti
des lamelles celluleuses de formation nouvelle ; là, il est épaissi,
blanc
, opaque, légèrement rugueux à sa surface in-terne
on. La peau devient un peu chaude; la langue est couverte d'un enduit
blanc
. La teinte ictérique se prononce davantage, cepen
cule gauche, au voisinage de la pointe, on voit de nombreuses plaques
blanches
, d'une grande étendue et d'une date évidemment tr
; 3° globules graisseux de volumes divers, très nombreux; 4° globules
blancs
du sang ayant subi la dégéné-rescence graisseuse.
s du sang ayant subi la dégéné-rescence graisseuse. L'endocarde est
blanc
, opaque, épais, au niveau des adhérences avec le
t complètement saines. Les valvules auriculo-ventriculaires sont d'un
blanc
laiteux, mais d'ailleurs bien conformées. Les p
, jaunâtre, puriforme. La coloration des caillots est en général d'un
blanc
jau-nâtre, avec des stries et des taches de coule
noire; mais dans certains points, au contraire, il est décoloré, d'un
blanc
jaunâtre, consistant, friable, ramolli par places
lume à peu près égal à celui d'un œuf de pigeon. La coque fibrineuse,
blanche
et résistante, qui en formait l'enveloppe, était
leur lie de vin, marbrée de grandes taches, dont les unes sont d'un
blanc
jaunâtre, les autres d'un jaune verdâtre, d'autre
e un développement de quelques follicules isolés, dont le contenu est
blanc
; et çà et là, on voit, à travers la muqueuse, que
caillots, elles ne sont pas ossifiées; leurs parois sont sim-plement
blanches
, opaques, épaissies. L!artère crurale gauche elle
ais qui, suivant toute probabilité, n'étaient autres que des globules
blancs
du sang. Il paraît que ces globules résistent bea
ire. 629. Gibbosité par compression d'un anévrisme, 489. Globules
blancs
, à noyaux dans 'la leucocylhémie, 351; — sans no-
—) 317, 349; — foie, rate, sang dans la —, 322; — globulins, globules
blancs
, 323, 352; — globules blancs à noyau, 324, 351 ;
ng dans la —, 322; — globulins, globules blancs, 323, 352; — globules
blancs
à noyau, 324, 351 ; — cris-taux du sang, 349. L
tions de —, 301. R Rales sous-crépi tan ts, 147. Ramollissement
blanc
, 312; — cé-rébral clans l'endocar.lite ulcé-reuse
PATHOLOGIQUE DE L'HÉMIANOPSIE D'ORIGINE INTRA-CÉRÉBRALE 3 substance
blanche
sous-jacente du lobe lingual est aussi partiellem
du lobe lingual est détruite, la plus grande partie de la substance
blanche
dece lobule est conservée. Le lobe fusiforme es
ans le coin antéro-supérieur, où la lésion s'étend sur la substance
blanche
, qui se trouve près du bord supérieur de la cor
- lg, linguale. - K, calcarine. - Vc, ven- tricule. - (La partie
blanche
indique le siège de la sclérose.) 4 JOUKOWSKY
. - K, calcarine, - T, temporale. Th, couche optique. (La partie en
blanc
indique le siège de la sclérose.) ANATOMIE PATH
t le lobe fusiforme et que cette lésion pénélrait dans la substance
blanche
sous-jacente jusqu'à la paroi interne de la corne
sépare Pj de P2 jusqu'au sillon, qui sépare Ti de T2, la substance
blanche
est com- plètement détruite, présentant l'aspec
me. La dimension du foyer est celle d'une grosse noix. La substance
blanche
du gyrus marginalis est complètement détruite.
centimètres du pôle occi- nital. on Deut remarquer : La substance
blanche
du coin, du lobe lingual et du lobe fusiforme (
- sement sur la surface interne de l'hémi- sphère. La substance
blanche
qui se trouve près de la lésion est parfaitemen
du pôle occi- pital, on trouve : Toute la partie de la substance
blanche
du coin, qui aboutit à la lèvre supérieure de
uite par le ramollissement ; la partie supérieure de la substance
blanche
du coin est con- servée. Le foyer du ramollisse
onstitue la lèvre inférieure de la scissure calcarine. La substance
blanche
du lobe lingual est tout à fait détruite par le
e est aussi détruite. On peut voir sur les coupes dans la substance
blanche
, qui se trouve plus haut que la paroi supérieur
n limbique, le lobe lingual et le lobe fusiforme, dont la substance
blanche
est détruite presque complètement. Fig. 6. Cas
fissure calcarine. lg, lobe lingual. - (La lésion est indiquée en
blanc
.) 8 JOUKOWSKY L'écorce cérébrale de la circon
du lobe lingual est con- servée avec une mince couche de substance
blanche
. Dans le lobe fusiforme reste seulement une cou
es, qui passent par la région du pli courbe, on voit : La substance
blanche
de la deuxième circonvolution temporale,de la deu
ion de la deuxième pariétale, envahissant en ou- tre la substance
blanche
de la pre- mière pariétale et de la troisième t
marque que la partie postérieure de la capsule in- terne est plus
blanche
que ses autres parues, sous le microscope on di
tait localisé dans l'hémisphère gauche et qui occupait la substance
blanche
du pli courbe et des parties voisines du lobe t
ement en foyer dans l'hémisphère gauche, qui a détruit la substance
blanche
sous- jacente du pli courbe, où, d'après les op
s destructions permanentes sur- tout dans le voisinage des éléments
blancs
autour des noyaux du bulbe. ()) Kcep/tah'<t
dans cha- cun desquels on aperçoit par transparence un petit corps
blanc
mobile, un peu allongé, inséré par une de ses e
ent, elles prennent l'apparence d'une masse caséeuse, de coloration
blanc
jaunâtre, se distinguant nettement des tissus env
ercevons de nombreux kystes hydatiques reconnaissables à leur paroi
blanche
ou demi-transparente, formée de feuillets superpo
lon et à la partie supérieure de F3, dont il intéresse la substance
blanche
et la substance grise, un kyste à contenu solid
ce externe. Hémisphère droit. 44 SÉRIEUX ET MIGNOT sant substance
blanche
et substance grise, un kyste, également solidifié
pe pédiculo-frontale, développé surtout au dépens de la subs- tance
blanche
de F2, un kyste du volume d'une noisette. 4° Su
de F2' développé à la fois dans la substance grise et la substance
blanche
de FA, un kyste dégénéré du vo- lume d'un pois,
ros pois, visible seulement sur une coupe, et intéressant substance
blanche
et substance grise. 12° A la partie antérieure
u plus grandes et sachant déjà la flatterie, peignaient ses cheveux
blancs
, d'autres rétablissaient l'ordonnance de sa bar
sédé, vêtu d'un long manteau, le front ceint d'une bande d'é- toffe
blanche
, se tient, un genou en terre devant le Saint Evêq
Par les portes on aperçoit deux personnages tenant chacun un agneau
blanc
qu'ils s'apprêtent à immerger pour le purifier av
pyramidaux croisés seuls sont dégénérés, mais les autres faisceaux
blancs
sont encore traversés par des septa conjonc- ti
é d'eux des vaisseaux normaux, et ceci aussi bien dans la substance
blanche
que dans la substance grise. Il en est de même
segment dorsal. 114 LONG ET WIKI petits vaisseaux de la substance
blanche
des corps globuleux, remplis de pig- ment ocreu
des conduits sanguins. 4. Substance nerveuse (axe gris et faisceaux
blancs
). - Le relevé topographi- que des lésions que n
e épinière 115 Cette diffusion des lésions en foyer de la substance
blanche
se retrouve quand on passe à l'examen de la sub
yers de lésions destructives dans la substance nerveuse - faisceaux
blancs
et substance grise - coïncide toujours avec une
constituent pas un foyer unique. Ces lésions limitées des faisceaux
blancs
et de la substance grise sont- elles le reliqua
tout droit en avant jusqu'à la commissure antérieure. Cette lamelle
blanche
sépare la moelle allongée en deux moitiés. Au bor
des fibres ner- veuses qui traversent horizontalement la substance
blanche
du cordon latéral de la moelle épinière sous fo
s dans une moitié, ne passent pas dans l'autre et, séparées par une
blanche
et étroite lamelle, sont réunies seulement dans l
t dans le faisceau cérébelleux. Les pyramides, en vue de deux lames
blanches
, sont placées devant le fais- ceau fondamental
taux des cordons antérieurs, qui ont formé la substance réticulaire
blanche
. Sur les côtés de la substance réticulaire blan
ance réticulaire blanche. Sur les côtés de la substance réticulaire
blanche
, à la place de la corne antérieure, apparaît l'ol
malade, amaigri, voûté, assis dans le fauteuil décrépit, un bonnet
blanc
sur le crâne, s'installe de son mieux pour suppor
he.. Pas de lésions apparentes dans les masses centrales, grises et
blanches
, des hémisphères. Histologie. Réservant l'étude
puis longtemps déjÙ,Cohnbeim a montré la di<1pédèse des globules
blancs
sous l'influence de l'irritation; etMetchnikof1
ellules nerveuses pour les détruire. Ce sont donc bien les globules
blancs
qui en- trent en jeu, et il défend à nouveau ce
e, puis rose et de plus en plus pâle, pour aboutir à un soulèvement
blanc
, oedémateux,à contour net et précis. A mesure que
er par le Dr Paul Bernard. Le rétrécissement avait augmenté pourrie
blanc
et le rouge surtout dans le diamètre vertical,
et est morte de mort subite. (1) Le champ visuel étant le champ du
blanc
, il n'y a pas lieu de le séparer des autres cha
essibles à la discussion, il n'existe pas une race naine de la race
blanche
; tous les nains de race blanche qu'on a observé
xiste pas une race naine de la race blanche; tous les nains de race
blanche
qu'on a observés en Europe ont été ou sont en r
ismeet la stérilité. Nous pouvons donc conclure que le nain de race
blanche
est un être pathologique qui ne peut transmettr
e palmaire, ou trouve deux tout petits vaisseaux du volume d'un fil
blanc
, à peine visibles, et, au devant du squelette du
longtemps de sortir le soir; jusqu'à 13 ans il craignait « l'homme
blanc
» dont il avait entendu parler dans les histoires
ogliques. Dans le lumen de l'aqueduc on trouve beaucoup de cellules
blanches
accolées à ses parois. Cervelet plus petit qu'u
anuleuse et moléculaire. Les méninges sont épaissies ; la substance
blanche
est plus mince. 11ÉRÉDO-ATAXIE CÉRÉBELLEUSE 381
leuse et la couche moléculaire. Réduction de volume de la substance
blanche
. Atrophie du nerf optique droit. Dans les ner
noyau dentelé étaient en partie ratatinées. La couche de substance
blanche
entourant le corps dentelé était pauvre en fibres
grammes au lieu de ho environ. Sur la coupe tandis que la substance
blanche
ne semble pas réduite, la substance grise au co
andis que Menzel et nous, nous trouvons des lésions de la substance
blanche
et grise. Dans les deux cas les lésions ont bea
de ressemblance, quoique dans le nôtre les lésions de la substance
blanche
occupent plus les parties anté- rieures de la m
tif. Cette dernière étude se confond avec la description du manteau
blanc
du névraxe. Nous le suivrons depuis la partie s
ment insolite en compa- raison de la seconde ou plutôt la substance
blanche
semble réduite en certains endroits à des dimen
- séminés soit réunis sous forme d'amas un grand nombre de globules
blancs
. Mais c'est surtout les interstices laissés ent
nterstices laissés entre les vaisseaux qui sont bourrés de globules
blancs
. Les méninges sont épaissies, l'espace sous-ménin
on est de la sorte sillonnée par de nombreuses traînées de globules
blancs
vivement colorés, qui tantôt forment un manchon a
st une dissémination dans toute la préparation de nombreux globules
blancs
, qui infiltrent d'une façon générale tout le ti
cet état au phénomène de l'oedème hystérique que l'on peut trouver
blanc
, rouge ou violet et c'est à cette manière devoir
êmes lésions. Le foie pèse 1110 grammes et présente quelques taches
blanches
sous-cap- sulaires. La rate pèse 2M grammes.
entourés d'une zone étoilée de sclérose, surtout dans la substance
blanche
. Nous n'avons pas trouvé de corps amyloïdes, ni
e corps amyloïdes, ni dans la substance grise, ni dans la substance
blanche
. Les artères sont épaissies considérablement so
les coupes au Pal ne montrent pas de zones pâles dans la substance
blanche
. Au carmin, on note çà et là quelques gaines étou
s des membres, jusqu'aux arcades plan- taires et palmaires, restées
blanches
sur les clichés, non traversées, flexueuses, an
musée de Vienne[(Pl. LV111), une gracieuse jeune femme, coiffée de
blanc
, vêtue d'un casaquin de velours rouge bordé de
a quatre ans, de grouper un certain nombre d'observations d'oedème
blanc
, dur, indolore, à répar- tition segmentaire sur
ques qu'on y rattache, il existe bien réellement une variété d'arme
blanc
, indolore, à répartition segmentaire, dont la chr
péciale : le troltlacedèrrte chronique, caracté- risé par un oedème
blanc
, du ? indolore, occupant un ou plusieurs seg- m
queoudyscrasique ne pouvait L 'expliquer l'existence de cet oedème,
blanc
, dur, indolore, localisé au seul membre inférie
itale, et depuis sa naissance, celle femme est atteinte d'un oedème
blanc
, dur et indolore des deux membres supérieurs, a
nce digne de remarque les membres inférieurs : oedème claro- nique,
blanc
, dur, indolore, à répartition segmentaire, unilat
P);ItTR01'llIL DES MEMBRES 493 3't : i la jambe droite. La peau est
blanche
, saine, sans varices, ni vaisseaux apparents. N
aux mains qu'elle a acquis le plus grand développement. La peau est
blanche
, douce au toucher et partout paraît normale. L'
vaise grâce à mes questions. En somme, il s'agit bien d'un oedème
blanc
, dur, indolore, localisé au membre inférieur dr
répartition de l'enflure. Il s'agit en somme d'un oedème chronique
blanc
, dur, indolore, à ré- partition segmentaire.
uante qui s'étirait entre le doigt et le cartilage était colorée en
blanc
par une sorte de mélange avec le tissu cartilagin
ts le cartilage avait par petites taches disséminées une coloration
blanc
laiteux opaque tranchant sur le blanc bleuâtre tr
es disséminées une coloration blanc laiteux opaque tranchant sur le
blanc
bleuâtre transparent du reste du cartilage. Enf
t pesante, qu'il ait les doigts longs et grêles et que la peau soit
blanche
et fine, parce que le tact en est plus délicat
ial des téguments de cet homme. Sa peau est lisse, luisante et très
blanche
; au toucher on sent qu'elle est très fine. Il
c et des membres, le faciès imberbe, la voix haute, la peau fine et
blanche
, le bassin infantile, l'hypo- trophie génitale,
en dissimuler la partie inférieure sous le couvert d'une vaste jupe
blanche
, on sent malgré tout qu'il est trop long pour l
fibrillaire dans la substance grise est partout normal. La substance
blanche
est également tout à fait normale. Dans la part
premier coup d'oeil on n'arrrive même pas à distinguer la substance
blanche
de la grise. Ce n'est qu'après un examen bien a
téraux se voient par place des faisceaux irréguliers de subs- tance
blanche
; dans le cordon latéral la moitié antérieure ne c
fications suivantes : Dans le premier segment cervical la substance
blanche
et la grise conservent leur configuration habit
droite. La moitié gauche est plus large que la droite. La substance
blanche
et grise vient de pair avec cette épaisseur iné
substance grise est normal. Les cordons postérieurs de la substance
blanche
sont sclérosés, surtout le faisceau de Goll et
int, le troisième par exemple ; ils sont disposés dans la substance
blanche
aussi bien que dans la grise, les plus nombreux c
internes modifiés, c'est-à-dire que les limites entre la substance
blanche
et la suhstance grise disparaissent et les deux s
copique démontre ordi- nairement l'aspect aréolaire de la substance
blanche
. Le gonflement des gaines de myéline, leur dégé
erchât pas à l'embellir encore. On attribua à cet oiseau un plumage
blanc
symbole de sa pureté, alors que le pluvier est
pose annonce le malaise et l'affaiblissement. Près d'elle un oiseau
blanc
à long cou avance la tête comme s'il voulait la
(1). Feuillet 199 verso. Conformément au texte, l'oiseau est « tos
blanc
et si a deux cornes droites com de chièvre ». A
: -. Ms. 2200. Date : 1276-1277. Bestiaire en prose anonyme. Oiseau
blanc
semblable à une mouette. - (1) Mélanges arché
ite comme à gauche, la papille appa- rait décolorée avec une teinte
blanche
bleuâtre très caractéristique. Les bords ÉTUDE
et très pâles. La couleur de la papille est typique avec une teinte
blanche
resplendis- sante légèrement azurée. La lame cr
omme chez ses soeurs. Elle démontre son état infantile; sa peau est
blanche
et fine, ses traits sont presque jolis, ses yeux
nombreux sont dans les cordons antérieurs et dans la subs- tance
blanche
autour des cornes anté- rieures). Ces foyers ne
yloïdes attirent notre attention. Ils occupent surtout la substance
blanche
. Dans la substance grise ils sont moins nombreux
moelle, des lésions vas- culo-scléreuses diffuses dans la substance
blanche
et grise, plus évidentes dans la moelle qui cor
nérescence secon- daire. Dans les cloisons élargies de la substance
blanche
on voit des vaisseaux di- latés et souvent ento
etit nombre. Les vaisseaux ont augmenté de nombre dans la substance
blanche
aussi bien que dans la grise. Les vaisseaux de
A côté de cette localisation ils sont dispersés dans la subs- tance
blanche
entre les fibres et dans les espaces périvasculai
tes ci-dessus. A côté de l'aspect clairsemé général de la substance
blanche
il y a deux foyers minuscules asymétriques dans
jà. Le réseau dans la substance grise est normal. Dans la substance
blanche
, les cordons antéro-latéraux droits montrent un
ntient un réseau myélinique normal et les cordons dans la substance
blanche
sont tout à fait bien constitués. TUMEURS DE LA
oglie. - Nulle part de traces d'inflammation : ni dans la substance
blanche
ni dans la substance grise. Les coupes coloré
aspectplus clairsemé que normalementde toute la coupe (subs- tance
blanche
et grise). Cet aspect était surtout marqué dans l
t mécani- que, et qui consiste dans l'apparition de raies rouges ou
blanches
sur les en- droits irrités. L'étude de ce phéno
du dermogra- phisme rouge et seulement deux avec le dermographisme
blanc
, ce qui paraît indiquer la rareté relative de c
phénomène. Nicolshy (2), au contraire, considère le dermographisme
blanc
comme très commun chez les personnes atteintes
s le nom de der- mo-stéréographisme et qui consiste en un bourrelet
blanc
bordé de deux lignes rouges. Séglas et Darcanne
n, Etude sur le dermographisme, 1893. (2) INICOLSKI, Dermographisme
blanc
, 1902. (3) SCOLAS et Dahcanne, Le dermographism
ait un cas en apparence insolite des deux sortes de dermographisme,
blanc
et rou- ge, selon le degré de l'intensité de l'
t mousse est suivie immédiatement de l'ap- parition d'une raie d'un
blanc
de craie, dermographisme .blanc; une ligne trac
tensité provoque l'apparition de raies rouges accompagnées de raies
blanches
. De cequi précède on voit qu'un même malade peu
est admissible chaque fois que l'on observe un seul genre. Avec le
blanc
on admettrait l'irritation des centres de la cons
e fait place à l'autre où nous observons tantôt le rouge, tantôt le
blanc
et où le dernier finit par prédominer. Dans le ca
observé par le Professeur Nicolshy, par exemple,,le dermographisme
blanc
a fait place au dermographisme rouge et sous l'
aphisme rouge et sous l'influence de bains sulfureux est rede- venu
blanc
. C'est dans le but d'éclaircir tout ce qu'il y
uels on peut provoquer alternativement l'apparition de raies tantôt
blanches
tantôt rouges selon l'intensité de l'irritation
n déterminatrice. 2° L'irritation faible provoque le dermographisme
blanc
,et si par mégar- ( de l'on appuie plus forlemen
ion forte a pour effet le phénomène contraire. 3* Le dermographisme
blanc
est plus rare que le rouge. 4° Le dermographism
dermographisme rouge est quelquefois accompagné de dermogrn- phisme
blanc
. 7° Plus les raies rouges sont intenses, plus l
hisme blanc. 7° Plus les raies rouges sont intenses, plus les raies
blanches
sont ac- cusées. 8° Le dermographisme rouge s
8° Le dermographisme rouge se change quelquefois en dermographisme
blanc
. . 9° Les malades chez lesquels on peut provoqu
us ou moins grand de ce désordre notamment : a) Le dermographisme
blanc
, quand il survient seul, indique l'irritation d
ge seul, indique la fatigue de ce même centre (parésie) ; - c) Le
blanc
et le rouge, quand ils apparaissent simultanément
oquer chez le même sujet. (t) RouDNew, Le dermographisme rouge et
blanc
chez les aliénés, 1902. Rapport medi- cal. Odes
exemple, dans son mémoire, affirme qu'il n'existe pas de race naine
blanche
: « Tous les nains de race blanche observés en Eu
qu'il n'existe pas de race naine blanche : « Tous les nains de race
blanche
observés en Europe sont des cas pathologiques.
illon transversal marqué par l'os, ni dégénérations des fais- ceaux
blancs
, comme en témoignent nos microphotographies. L'
est modifiée à tel point qu'on ne peut pas' distinguer la substance
blanche
de la grise ni les diffé- rents cordons. Il s'e
les diffé- rents cordons. Il s'est formé un mélange de la substance
blanche
avec des îlots disséminés de la substance grise
interne modifiée. On peut déjà distinguer la substance grise de la
blanche
, mais les cornes antérieures et postérieures sont
quelques endroits on pouvait constater 1'liéLéroLopie. La substance
blanche
est modifiée. Les fibres nerveuses, au lieu de
ée et tor- tueuse. Par place on voit de faux névromes (la substance
blanche
sort à tra- vers la pie-mère déchirée et forme
s hémorragies dans la substance grise principale- ment,mais dans la
blanche
aussi. Dans certains endroits, par exemple dans l
nt. Dans les segments dorsaux supérieurs, le rapport delà substance
blanche
à la grise est normal. Par contre on constate ici
étaient telles qu'il était impossible de distinguer la sub- stance
blanche
de la grise. On voyait un mélange de ces substanc
et de s'orienter convenablement dans la topographie de la substance
blanche
. La moelle n'est plus qu'un étroit ruban adhéra
on interne de la moelle présente peu de modifications, la substance
blanche
et grise se laissent facilement reconnaître (fi
onnaître (fig. 16). On y constate une raréfaction de la subs- tance
blanche
dans les cordons postérieurs. Les foyers clairs a
vait la forme d'un ruban ; la configuration interne de la substance
blanche
et grise était devenue méconnaissable. Les cellul
au niveau du pôle inférieur et supérieur de la tumeur, la substance
blanche
et la grise commençaient à reprendre leur configu
moi- tié droite de la moelle on peut encore distinguer la substance
blanche
de la grise; dans la moitié gauche cela est dev
On ne voit pas de cellules nerveuses. Les faisceaux de la substance
blanche
présentent des mo- difications considérables (d
la substance grise est devenue méconnaissable ; quanta la substance
blanche
, on y voit des masses plus ou moins grandes de
ètres 334 FLATAU seulement. La mieux conservée est la substance
blanche
autour de la corne postérieure. Dans le cordon
z large des cordons latéraux et antérieurs, tandis que la substance
blanche
qui entoure la grise est tout à fait bien conse
ique ressemblant à la coupe d'un oignon. Elle comprime la substance
blanche
et grise dans toutes les directions et déforme
nombre des vaisseaux dans la substance grise aussi bien que dans la
blanche
, dans le voisinage de l'endroit de compression
que normale, le réseau de fibres myéliniques abondant. La substance
blanche
est dégéné- rée dans tous ses cordons, mais la
ieux conservée. A côté de la dégénérescence on voit lans la substance
blanche
des raies claires. Ce sont des cloisons élargie
e. Dans la moitié gauche il ne reste que des traces de la substance
blanche
dispersées çà et là en petits îlots. Le mieux c
e est normale. La figure de la substance grise et des cordons de la
blanche
est bien conservée. Les coupes colorées par la mé
r,la moelle conservait sa forme et la configuration de la substance
blanche
et grise était normale. Mé- ninges et racines i
postérieurs. En outre une raréfaction des fibres dans la substances
blanche
(surtout dans les zones périphériques) et dans
nte peu de lésions. Faible raréfaction des fibres dans la substance
blanche
. La substance blanche est légèrement dégénérée
Faible raréfaction des fibres dans la substance blanche. La substance
blanche
est légèrement dégénérée : à la périphérie de l
autour de la moelle et au sein du tissu nerveux (dans la snbsiance
blanche
et grise) en dehors des gommes, il est vrai pou
ite tranchée entre la partie inférieure de l'écorce et la substance
blanche
, car les cellules fusiformes de la sixième couche
ue sont primitives ou secondaires. Après la section de la substance
blanche
sous corticale, il se produit une atrophie rapi
as où un foyer cortical pro- fond détruisait également la substance
blanche
sous-jacente, tous les au- tres étaient capsula
de Betz après les lésions de la capsule interne ou de la substance
blanche
sous-jacente à la zone rolandique, nous permet
urs foyers plus petits dans les différentes parties de la substance
blanche
du cerveau, dans les noyaux striés, dans le cerve
de la moelle cervicale sans participation manifeste de la substance
blanche
. Aucune lésion dans les cellules géantes de la
atopsie. Champ visuel de l'oeil gauche légèrement restreint pour le
blanc
, le rouge, .le vert. Examen ophtalmoscopiqae :
ment prononcées qu'il est fort difficile de distinguer la substance
blanche
de la grise (et cela de deux côtés ou - du côté
ait au niveau de la tumeur une masse difforme, mélange de substance
blanche
et grise, avec des hémorragies multiples au lieu
couvert les ventricules latéraux montre toute la substance grise et
blanche
des circonvolutions de l'insula, à l'exception
upérieur de l'hémisphère, on voit en partie détruite la subs- tance
blanche
c ! ugy l'1lsparietalis ascendens. Celte destruct
faut. La commissure antérieure peut également manquer. La substance
blanche
du cerveau est réduite et la substance grise pr
e la substance grise est relativement augmentée et que la substance
blanche
est réduite au moins de moitié. La substance gr
iques minuscules au niveau de l'écorce et au niveau de la substance
blanche
profonde, ainsi qu'une prolifération névrogliqu
ervelet est le siège d'une hypoplasie très accentuée ; sa substance
blanche
est notablement réduite et ses circonvolutions
petits prolongements angulaires qui s'insinuent dans la subs- tance
blanche
avoisinante. Sur les coupes on rencontre parfois
sclérose arrondies qui paraissent être situées eu pleine substance
blanche
et indépendantes du ventricule. En sériant les co
obe frontal. Ces petites pla- ques siègent toutes dans la substance
blanche
. Cervelet. Protubérance. - On ne trouve aucune
lules mûriformes. Parmi Ips plaques à distance, en pleine substance
blanche
, il en est quel- ques-unes qui, au lieu d'être
rs irréguliers, don- nant l'impression d'une cicatrice. Leur teinte
blanc
rosé tranche sur les tissus voisins. Ces plaque
ues disparues ne sont pas remplacées,- à leur place on a des taches
blanches
, non colorées, composées par du tissu cicatriciel
en sorte que la tête du noyau caudé se trouve accolée à la substance
blanche
profonde des circonvolutions frontales. Sur les
e l'hémisphère normal. Il entre dans la constitution de cette masse
blanche
, des fibres appartenant sans doute à plu- sieur
nt dirigée vers la toile choroïdienne, se confond avec la substance
blanche
profonde des cir- convolutions médianes. A l'ap
nt développé, descend plus bas qu'à l'or- dinaire dans la substance
blanche
de la première circonvolution temporale. Les co
ement considérable et se confond encore en dehors avec la substance
blanche
profonde de la circonvolution limbique ; en dedan
ire de Werniclie est relativement bien développé, mais la substance
blanche
sous-corticale voisine ne prend qu'une colorati
ntriculaires. Il pourrait s'agir d'un refoulement de la subs- tance
blanche
profonde déterminé par une profondeur exagérée de
e toute une suite de nodosités et se trouve détaché de la substance
blanche
sous-jacente par des épanchements plus ou moins o
51 pie-mère. Il se confond en avant et en arrière avec la substance
blanche
pro- fonde de cette circonvolution où il est tr
rbe; il en résulte une décoloration notable de toute la subs- tance
blanche
profonde.de la convexité pariétale. Le nodule ant
, parlais- SALLE-ARCIIAÙ1RAULT, 505, 630. Dermographisme rouge et
blanc
(1 pl.), par l3oonrEw 197. Ependymaires (Lési
sclérose en plaques (1 pl.), 613. ROUDNEW - Dermographisme rouge et
blanc
(1 pl.), 197. Roux. Hystérie traumatique. 202
nésie (L.4SALLB-AIiC11An1- BAULT), LXXII il LXXVI. Dermographisme
blanc
et rouge (ROUD- NBW), XVII. Gigantisme acromé
ement, de reconnaître d'une façon exacte, dans l'aire des faisceaux
blancs
, ou dans les di-vers départements de la substance
pelle la moelle épinière, il existe, pour ne parler que des faisceaux
blancs
, plusieurs ré-gions répondant à autant d'organes
rises postérieures, en dehors, par des bandes minces, où la substance
blanche
a conservé les caractères de l'état normal. Or, M
ues se rapprochent, quant à la texture, beaucoup plus de la substance
blanche
des centres nerveux que tous les autres nerfs. C'
teinte rosée normale, et qu'elle offre, au con-traire, une coloration
blanche
, crayeuse, comme nacrée. Tel est, Messieurs, le
g. 1). Au-dessus et au-dessous de ce rétrécissement, les faisceaux
blancs
, dans le sens des dégénérations secondaires, étai
usculaire. Ce phénomène, en rapport avec l'interruption des cordons
blancs
, et plus spécialement des cordons latéraux, est c
ension, pour ainsi dire fatale à un instant donné, soit aux faisceaux
blancs
, soit aux régions postérieures de la substance gr
constitue aussi un des symptômes des maladies scléreuses des cordons
blancs
antéro-latéraux parvenues à un certain degré de d
atrophie des cornes antérieures de la substance grise et des cordons
blancs
antéro-latéraux, dans la région de la moelle d'où
térieure du côté droit, émaciation consé-cutive de tous les faisceaux
blancs
dans la moitié correspondante de la moelle. Iul
{fig. 8). Il est de règle, en pareille occurrence, que les fais-ceaux
blancs
, les antérieurs et les latéraux surtout, présente
les diamètres; mais cette lésion évidemment secondaire des faisceaux
blancs
n'est pas nécessaire. Elle peut faire défaut (fig
rs, en outre, çà et là, d'une façon inégale, sur les divers faisceaux
blancs
. Le débat s'opère souvent brusquement, et il pe
inflammatoires qui, intéressant à la fois l'axe gris et les faisceaux
blancs
, n'occupent cependant 1 Observations de Levier.
égion dorsale ; la propagation en question se fait dans les faisceaux
blancs
, suivant une loi bien connue, le long des faiscea
ndemnes tous les autres départements de la moelle épinière, substance
blanche
et substance grise, tel est le sub-stratum anatom
a ligne médiane, de manière à intéresser à la fois les deux faisceaux
blancs
postérieurs, l'autre en partie dans la corne post
éveloppée dans le centre gris envahisse consécutivement les faisceaux
blancs
; mais je ne crois pas, quant à présent, que cett
es, en raison de la combinaison habituelle d'une lésion des faisceaux
blancs
avec la lésion de la substance grise, il est de r
ement circonscrite dans les cornes grises antérieures : les faisceaux
blancs
sont absolu-ment respectés. La lésion de la név
dans les cas de M. L. Glarke et de M. Duménil, l'état de la substance
blanche
spinale n'est pas indiqué d'une façon explicite.
ration granuleuse dans l'aire des cornes antérieures. — Les faisceaux
blancs
, et en particulier les faisceaux latéraux, ne pré
érieu-res, soit la substance grise postérieure, soit divers faisceaux
blancs
. Nous sommes convenus, vous ne l'avez pas oubli
se antérieure avec une sclérose symétrique et primitive des faisceaux
blancs
latéraux. 1. Envisageons, tout d'abord, le cô
r lieu, dans la description de cette singu-lière lésion des faisceaux
blancs
. Rien n'est plus original assu-rément et plus ina
crite en quelque sorte géomé-triquement dans une région des faisceaux
blancs
qui à l'état normal, du moins chez l'adulte, ne s
venue s'adjoindre, vers la tin du premier mois, une zone de substance
blanche
, laquelle est en connexion avec les racines nerve
ce, chez le nouveau né on reconnaît encore, dans l'aire des faisceaux
blancs
, à certains caractères histologiques qui accusent
postérieure du faisceau anléro-laléral. Dans cet espace, la substance
blanche
se distingue par une teinte grisâtre, appré-ciabl
ment de la couche corticéile de la moelle par un tractus de substance
blanche
restée intacte. {Fig. 16, A, A. —Voiraussi Pl. IV
, 2,3; Pl. Y, Fig. 1 et 2). Toutes les autres parties des faisceaux
blancs
sont respec-tées, à l'exception des petits faisce
dont elle n'est séparée que par une languette très mince de substance
blanche
in-tacte. c) Enfin, à la région lombaire, la lé
clérosées. Voilà pour ce qui concerne les altérations des faisceaux
blancs
. Il importe de relever actuellement, Messieurs, c
s musculaires consécutives. nière, de même que celles des faisceaux
blancs
, ont leur pen-dant dans le bulbe. Vous n'ignorez
e la substance grise vient-elle se combiner à la lésion des faisceaux
blancs
? S'agit-il d'une simple propagation par extensi
consécutif. La propagation de la lésion inflam-matoire des faisceaux
blancs
à la substance grise s'opère très vraisemblableme
attaquer indifféremment la substance grise centrale ou les faisceaux
blancs
. c) Les nerfs périphériques sont atteints en co
ve-ment à la myélite transverse, s'empare tôt ou tard des fais-iceaux
blancs
latéraux, et, comme dans les cas de sclérose des-
at a été absolument négatif; partout, nous avons,trouvé les faisceaux
blancs
antéro-latéraux et postérieurs dans un état d'int
explorées par le pathologiste. Les terres inconnues sont laissées en
blanc
; leur champ, vous le voyez, est encore grand ; m
3° les zones radiculaires antérieures, F ; elles ont été laissées en
blanc
. Quelques observations établissent cependant qu'e
les occupant principalement la substance grise centrale, la substance
blanche
étant, au contraire, à peine affec-tée \ Je rap
ient, çà et là, les cylindres axiles des tubes nerveux delà substance
blanche
, non seulement au niveau de la partie de la moell
altération appréciable des éléments ner-veux, soit dans la substance
blanche
, soit dans la substance grise; pas de corps granu
n épaisseur, à l'exception d'une partie très peu étendue des colonnes
blanches
postérieures, est ramollie, transformée en une vé
rondis, tantôt ovalaires; ces foyers siègent surtout dans les cordons
blancs
lalé-raux ou postérieurs ; mais on les rencontre
et de constater en outre ce qui suit : sur des points de la substance
blanche
très éloignés des parois du foyer sanguin, dans l
cines des nerfs bul-baires sont de volume normal et ont la coloration
blanche
habi-tuelle. Moelle épinière. Les racines antér
stement atrophiés. Leur couleur tranche sur la coloration franchement
blanche
des racines postérieures qui pa-raissent saines.
ent, elles sont manifes-tement épaissies. Des portions de substance
blanche
prise au centre des cordons latéraux à la région
, pro-lifération des cellules de la névroglie, sclérose des faisceaux
blancs
dans les points où ils sont envahis ; tous ces ph
eures, lesquel-les ont conservé leur volume normal et leur coloration
blanche
. C'est surtout à la région cervicale que ces lési
immédiatement en dehors des cornes grises postérieures. Les faisceaux
blancs
postérieurs ne présentaient aucune altération.
rme ; il n'y a pas d'atrophie évidente portant sur les divers cordons
blancs
de l'organe. — Les filets d'origine des nerfs bul
hauteurs de l'organe, permit de constater des lésions de la substance
blanche
et de la substance grise. 1° Substance grise. L
Les olives se montrent normales sur toutes les coupes. 2° Substance
blanche
. La lésion de la substance blanche occupe ici tou
toutes les coupes. 2° Substance blanche. La lésion de la substance
blanche
occupe ici toute l'étendue des pyramides antérieu
sales de la moelle, tous les caractères de la sclérose des fais-ceaux
blancs
. Les grands tractus conjonctifs, qui de la périph
térieurs, une sorte de triangle dont la base s'appuie à la commissure
blanche
; un des côtés du triangle longe le sillon antéri
int d'entrée des racines postérieures. Tout le reste de la sub-stance
blanche
, et en particulier des cordons postérieurs, est e
sur divers points du renflement tom-ba ire. L'examen des faisceaux
blancs
ne fait reconnaître ni diminution dans le diamètr
imples et alors qu'il n'existe aucun signe d'une lésion des faisceaux
blancs
de la moelle épinière. 3 Voir, entre autres: A.
at a été absolument négatif: partout, nous avons trouvé les faisceaux
blancs
antéro-latéraux et postérieurs clans un état d'in
es, t. ii. PLANCHE II mal de pott; paraplégie Pig. 1. — Substance
blanche
de la moelle au point comprimé chez un sujet mort
lindre d'axe refoulé sur les parties latérales. Fig. 2. — Substance
blanche
de la moelle chez un sujet guéri de la para-plégi
ès avoir été paralysé avait recouvré les mouvements. —a, a, Substance
blanche
du côté gauche, atrophiée et scie-rosée. — b, Cor
'Azyr. Il remarque qu'à la partie postérieure du cerveau la substance
blanche
est distribuée en stries flexueuses à la manière
e de six couches distinctes. Ces couches, alternativement grises et
blanches
, se succèdent dans l'ordre suivant : La premièr
c'est-à-dire la plus profonde, est de couleur grise; la deuxième est
blanche
, la troisième noire, la quatrième blanche, la cin
leur grise; la deuxième est blanche, la troisième noire, la quatrième
blanche
, la cinquième grise ; la sixième, enfin, est blan
ées il faut en ajouter une septième. Cette couche, formée de fibres
blanches
, double dans toute son étendue le système des cou
s pl. XII, les teintes sont ainsi réparties : Le lobule orbitaire est
blanc
. Le lobule frontal est rose, et son étage supér
est jaune. Le lobe occipital est violet. Les plis de passage sont
blancs
. Ces indications caractérisant immédiatement le
. Dans la plupart des cas, chez les individus appartenant à la race
blanche
, le pli surcilier (étage frontal inférieur) est b
mple et à peine flexueux dans la Vénus hottentote, est, dans l'Homme,
blanc
, large, flexueux, chargé d'incisures secondaires,
sont ici choses corrélatives. Je possède un cerveau curieux d'Homme
blanc
, dans lequel l'insula du côté gauche est resté co
s cette symétrie n'existe jamais dans les cerveaux normaux de la race
blanche
. Le pli supérieur, contourné de mille manières et
oulés et chiffonnés. (Yoy. pl. H, tig. i et 2.) Aussi, dans la race
blanche
, la régularité primitive disparaît, et, pour retr
ente le cerveau de la femme bojesmane, il faut arriver au cerveau des
blancs
idiots par arrêt de développement cérébral. Pli
qui nous occupe. J'ai figuré, dans mes planches, un cerveau d'Homme
blanc
d'une intelligence probablement fort ordinaire, c
les espèces inférieures. Il y a, sous ce rapport, entre un cerveau de
blanc
et ce cerveau de Femme bojesmane, une différence
e ne pouvoir lui comparer des cerveaux à'idiots appartenant à la race
blanche
. Je supposais que les particularités que je viens
Vénus hottentote et dans des individus adultes appartenant à la race
blanche
, on peut constater que le volume du cerveau de la
ote n'atteint point à la grandeur moyenne qu'il présente dans la race
blanche
(1 ). La courbe antéro-supérieure est moins conve
1 ). La courbe antéro-supérieure est moins convexe que dans l'HonwTie
blanc
; enfin les fosses orbitaires sont plus concaves,
t des étages supérieurs. Les cerveaux des fœtus appartenant à la race
blanche
la présentent au maximum , alors que l'opercule d
de la Vénus hottentote est donc, à tous égards, inférieur à celui des
blancs
arrivés au terme normal de leur développement. Il
éveloppement. Il ne peut être mis en parallèle qu'avec le cerveau des
blancs
idiots par arrêt de développement cérébral. Or
ce suffisante, bien qu'assez faible. Un cerveau pareil, dans un Homme
blanc
, ne pourrait se concilier qu'avec l'idiotie, ou t
uel qu'il fût, était le terme d'un développement achevé. Dans l'Homme
blanc
, au contraire, un cerveau pareil est un avortemen
u'un signe d'infériorité; c'est un signe de dégradation dans un Homme
blanc
. Ces faits soulèvent immédiatement les question
édiatement les questions les plus élevées. On observe, dans la race
blanche
, qu'un arrêt de développement du cerveau avant la
te lui suffisait; loin d'être idiote, elle n'était point imbécile. Un
blanc
, avec un pareil cerveau, serait nécessairement af
olume de leur tête n'excède pas celui d'un enfant naissant de la race
blanche
. Ils sont, d'ailleurs, parfaitemenf proportionnés
perfectibilité indéfinie, qu'on célèbre, n'est, à l'égard de la race
blanche
elle-même, qu'un sophisme dangereux. La forme soc
faites. Les Nègres, les Bojesmans, les Bo-tocudes, comparés aux races
blanches
, ne sont point des enfants arrêtés dans leur déve
du Saï capuciii, j'ai eu occasion d'étudier le cerveau du Saï à qorge
blanche
(Cebus hypoleucus). La disposition des plis est l
e dans les Primates les plus élevés de chaque groupe, et dans l'Homme
blanc
il se décompose en trois plis larges et flexueux.
ion fondée sur la mesure de l'angle facial d'un seul nègre, d'un seul
blanc
, d'un seul Orang-Outang, sur la mesure des canine
de l'original au point de vue photogénique étaient plus grandes. Les
blancs
du modèle sont traduits par des noirs; les noirs,
modèle sont traduits par des noirs; les noirs, au contraire, par des
blancs
et les différentes nuances par des teintes plus o
nnellement à leur degré de transparence. Les noirs correspondront aux
blancs
du cliché, et les blancs de l'épreuve aux noirs q
e transparence. Les noirs correspondront aux blancs du cliché, et les
blancs
de l'épreuve aux noirs qui n'ont pu être traversé
Vitrage. — Notre laboratoire de la Salpêtrière était garni de verres
blancs
ordinaires. Nous avons dû les faire dépolir jusqu
us opérons sur le nu, les chairs se détachent mieux que sur des draps
blancs
. On peut employer également avec succès, au lieu
t même préférable à notre avis ; mais il faut proscrire absolument le
blanc
. Devant le lit, nous pouvons placer d'autres fo
vitré de l'atelier et le toit doivent être garnis de rideaux bleus ou
blancs
, coulissant à volonté. Quoique, au point de vue d
est pas suffisant, en emploiera des écrans réflecteurs, soit en toile
blanche
, soit en carton de même couleur. On peut égalemen
érations devant être faites obligatoirement à l'abri de toute lumière
blanche
, la pièce sera donc hermétiquement close et éclai
rouvera des différences sensibles. C'est ainsi que le beau verre bien
blanc
laisse passer environ 90 pour 100 de lumière util
les parties les moins éclairées du modèle, c'est-à-dire lorsque les
blancs
du négatif auront tous leurs détails. On sait, en
ter le développement lorsque tous les détails seront apparus dans les
blancs
du négatif. En général, dans un cliché à pose n
ement bien venues. En prenant un exemple simple, supposons une maison
blanche
dont une moitié se trouve dans l'ombre. Il s'agit
ire, dans tous les cas, d'obtenir tout d'abord les détails dans les
blancs
du négatif; c'est là une condition indispensable
oulisser un des rideau* de l'atelier ou bien en se servant d'un écran
blanc
destiné à envoyei un peu de lumière réfléchie du
sujets très actiniques : c'est ainsi que les modèles sont revêtus de
blanc
, les oiseaux ou autres animaux choisis de la même
tion en magnésie qui se produit pendant la réaction et donne ce nuage
blanc
très fin que l'on constate après l'inflammation.
parties de l'ombre trop peu éclairées, on pourra se servir d'un écran
blanc
qui renverra sur elles une quantité de lumière ap
cuvette de verre, et l'on placera par-dessous, à 45°, un carton soit
blanc
soit de couleur appropriée pour donner un fond de
mer autant; l'épreuve montre parfaitement les détails de la substance
blanche
et les divers replis de la substance grise qui fo
cause du grain de celui-ci, on met au point sur une feuille de papier
blanc
collée sur une glace. Celle-ci se place donc dans
rales de notre appareil et mettons au point sur une feuille de papier
blanc
collée sur une plaque de verre qui prend exacteme
ond sera foncé, quelquefois même presque noir, et les microbes seront
blancs
ou plus ou moins gris. L'effet sera donc totaleme
soit en violet, en bleu, en rose ou en rouge, se détachent sur fond
blanc
; les préparations de moelles colorées en picro-ca
r chaque cliché de son voisin au moyen d'une feuille de papier filtre
blanc
. On portera sur la boîte les deux numéros extrême
cependant on est pressé, on éponge les épreuves dans du papier filtré
blanc
et ceci à plusieurs reprises : le séchage est bie
n qui doit la recevoir, on la recouvre d'une feuille de papier filtre
blanc
et, avec la main, on chasse les bulles d'air et o
hargement des châssis à la lumière jaune ou à une très faible lumière
blanche
. Il est bon d'ailleurs de laisser le papier prend
in de la planche que la gélatine sera plus perméable. Dans les grands
blancs
du négatif, le grain sera le plus attaqué et il d
ons résultats, elles doivent être d'une transparence absolue dans les
blancs
; à cet effet, on se sert de plaques préparées sp
des plaques au chlorure d'argent : elles ont l'avantage de donner des
blancs
très purs et des tons très agréables. On se ser
nd parfaitement compte en mettant la plaque sur une feuille de papier
blanc
. Or, pour qu'une projection soit parfaite, il fau
r qu'une projection soit parfaite, il faut qu'on voie le papier aussi
blanc
dans les blancs des plaques que dans les parties
tion soit parfaite, il faut qu'on voie le papier aussi blanc dans les
blancs
des plaques que dans les parties voisines. Nous
es. Pl. XVIII. 1. Coups et contusions. 2. Blessure par arme
blanche
. Blessure par arme à feu (balle de revolver).
............ 214 XVIII. — Coups et contusions. — Blessures par arme
blanche
.............. 2i5 XIX. — Blessures par arme à f
e atrophie des faisceaux de fibres et des lacunes dans la substance
blanche
au voisinage des vaisseaux, mais pas de lé- sio
- fluents : ils peuvent s'étaler en deux bandes le long de la ligne
blanche
ou saillir comme deux grosses bosses. Quelquefo
es, allribuable à la cyanose concomi- tante. Le nombre des globules
blancs
est tantôt normal, tantôt légèrement exagéré ;
lé du sang, nous avons été frappés de la rareté des petits globules
blancs
mono- nucléaires ; chez un quatrième malade, le
ucémie ; il n'y a qu'une légère augmentation du nombre des globules
blancs
; mais le sang est remarquablementpeu riche en l
du côté interne de l'avant-bras, de la région lombaire, de la ligne
blanche
et de la cuisse. La tumeur du cou causant au ma
vant-bras, à la face dorsale de la main, de chaque côté de la ligne
blanche
, dans la région inguino-scrotale et dans l'aine.
é réglée bien que tous les mois elle constate un écoulement vaginal
blanc
jaunâtre durant quelques jours. Elle ne souff
visuel ne présente ni rétrécissement, ni asymétrie, pour la lumière
blanche
et les couleurs. Intelligence. - L'instruction
e. La caractéristique en était 74 P. PIOLLET une série de cordons
blancs
, durs, très irréguliers qu'une coupe section- n
ent et les bistouris : elle aussi, porte au front,, sous un bandeau
blanc
, une volumineuse tumeur ; son sou- rire béat mo
portions de plus en plus gran- des : on y constate encore un oedème
blanc
, indolore et régulier, ayant envahi seulement l
ment devient de l'atrophie dans les membres inférieurs. La peau est
blanche
, sèche, écailleuse,sans oedème, sans adipose sous
4 jours, sa jambe est restée, de la hanche au cou-de-pied, enflée,
blanche
, in- dolore. Après quelques jours, elle se lève
rate, une leucocytose légère et une diminution notable des globules
blancs
de la première variété de M. Ilayem (petits monon
atiques, mérite d'être opposée à l'augmentation des petits globules
blancs
mononucléaires, que l'on ren- contre dans la le
s-maxillaires, rétro-mastoï- dienne, pectorale, le long de la ligne
blanche
, au-dessus du pubis, aux aines, dans le scrotum
maire, à la paroi interne du creux axillaire, au niveau de la ligne
blanche
abdominale, de chaque côté de la colonne lombai
trouva un fort rétrécissement concentrique des deux champs pour le
blanc
(schéma Il).Au mois de février 1896 les champs vi
blanc (schéma Il).Au mois de février 1896 les champs visuels pour le
blanc
se sont beaucoup agrandis, ils sont normaux pou
II). Enfin un dernier examen fait en avril de la même année pour le
blanc
dé- note un état stationnaire. Nous avons che
men du champ visuel révèle quelques dimi- nutions générales pour le
blanc
(et proportionnellement pour- le rouge, le vert,
é d'anormal. Examen du sang : Globules rouges, 6,262,000 ; globules
blancs
, 10,800. On ne trouve pas d'embryon de filaire
pendant les gencives paraissaient normales; les dents étaient saines,
blanches
, solidement implantées ; leurs racines ne faisa
ce segment de mâchoire ainsi arraché avec ses onze dents saines et
blanches
très adhérentes à leurs cavités alvéo- laires.
culièrement convexe; la muqueuse qui la recouvre est lisse, tendue,
blanc
grisâtre avecçà et là une teinte rosée.Dans la mo
Les bords de cet orifice sont arrondis et revêtus par une muqueuse
blanc
rosée et nacrée aux angles sans ulcération. Ce
uches : la couche molé- culaire, la couche des grains, la substance
blanche
. Sur les coupes d'ensemble colorées par la méth
un fort grossissement quelques fibres à myéline dans les substances
blanches
des lames et des lamelles. L'atrophie n'atteint
néanmoins constater l'existence de cellules nerveuses. C. Substance
blanche
du cervelet (PI. XLVII et XLVIII). 1° Ecorce. D
res d'association ; il en est très peu qui pénètrent dans la masses
blanche
des hémisphères ; on peut en suivre quelques-un
é dejà dit plus haut que la toison du corps dentelé et sa substance
blanche
centrale (bile) qui se continue avec le pédoncu
buent à former les fibres semi-circulaires internes. 3° Substance
blanche
centrale du vermis. -- Arbre de vie. - lllalâré c
rmis. -- Arbre de vie. - lllalâré cela, il existe dans la substance
blanche
centrale du vermis un confluent de fibres à myé
338 ' J. DEJERINE ET A. THOMAS arrière, puis pénètre dans la masse
blanche
des hémisphères ; c'est le corps restiforme (Pl
s faciles à suivre à cause de la disparition des fibres de la masse
blanche
des hémisphères ; on peut ainsi en distinguer q
it dans ses dimensions transversales et longitudinales. Substance
blanche
centrale des hémisphères (PI. XLVII et XLVIII). -
t à former en dehors de l'olive la couche externe de la subs- tance
blanche
périolivaire. Le faisceau central se dégage ensui
quelles pro- portions, car les fibres qui ont disparu dans la masse
blanche
du cervelet n'appartiennent pas seulement aux p
rojection du cervelet, toutes réunies, l'atrophie de la sub- stance
blanche
et de l'écorce cérébelleuse. Cette atrophie systé
s et celles qui per- sistent sont nettement altérées : la substance
blanche
présente liile légère N (1) Brissaud et Londe
op épaisse ; un examen plus détaillé de l'écorce et de la substance
blanche
, du bulbe et de la protubérance, des divers systè
re qui le recouvre est très épaissie et très injectée, la substance
blanche
est ferme. Le pont, la moelle allongée et princ
parées il celles d'un cervelet nor- mal, les fibres de la substance
blanche
et de ses ramifications dans les lames et lamel
et lamelles laissent entre elles plus d'espace libre; la substance
blanche
et la substance grise sont également moins déve
hémianopsie. D'ailleurs il suffit que les faisceaux de la substance
blanche
qui se rendent à la sphère visuelle soient atte
e par le fait de la lésion plus fortement déchirés que la substance
blanche
en raison de sa plus riche vascularisation et de
fibres des bandelettes optiques sortent en faisceau de la substance
blanche
, traversent^ ventricule latéral, les fibres com
stait nette pendant un quart d'heure peut-être. La coloration était
blanche
, la main malade étant plus pâle que l'oppo- sée
ut s'ajou- ter l'altération des cornes antérieures et des faisceaux
blancs
qui y pren- nent naissance. La.marche des ost
porter son martyre. Derrière lui. une vieille femme, capuchonnée de
blanc
, les mains croi- sées sous son tablier, regarde
leur coin, avec leurs ventres rebon- dis et leurs casques de papier
blanc
, semblent trois silencieux factionnai- res surv
est serré à la taille par une écharpe bariolée. Au cou, sous un col
blanc
plissé, il est paré d'un collier d'or auquel pend
nt (Pl. LXVII). C'est un vieillard d'aspect vénérable, longue barbe
blanche
, tout en- veloppé de fourrures. Sur la tête,
nnet brodé, largement bordé de fourrure, et orné d'une longue plume
blanche
. Sur le corps, une houppelande chaudement t fou
gliques imprégnées et de vais- seaux. Par places, dans la substance
blanche
surtout, les cellules de la névro- glie se renc
érable de cellules névrogliques, principa- lement dans la substance
blanche
sous-corticale; par places il y eu avait tant q
e dégénérescence très marquée des fibres myéliniques de la su tance
blanche
. Dans la substance grise il saute aux yeux que la
que diffère peu de celui que nous avons observé dans la subs- tance
blanche
du lobe frontal gauche, mais par places on voit d
on rencontre dans l'écorce cérébrale elle-même et dans la substance
blanche
aussi de petits foyers de ramollissement, dans le
vés plus souvent, de préférence ils se trouvaient dans la substance
blanche
et étaient de plus grande dimension. Par places,
ion. Par places, auprès des parois vas- .culaires dans la substance
blanche
on pouvait observer des cellules à forme ir- ré
ons obtenues de tous ces morceaux on pouvait voir dans la substance
blanche
une dégénérescence assez marquée dans les fibre
en désagrégation. En outre, tout le champ de vue dans la substance
blanche
est parsemé d'une masse de points noirs de diff
le. Concer- nant le tableau microscopique observé dans la substance
blanche
, il faut dire qu'elle a une grande ressemblance
méthode de Busch et prises de l'écorce cérébrale et de la substance
blanche
sous-jacente de diffé- rentes régions des deux
e diffèrent le plus des autres préparations. Ici, dans la substance
blanche
sous-corticale nous observons une dégénérescence
s haut. Ces points noirs, principalement observés dans la substance
blanche
de même que dans la substance grise, peuvent êt
exemple, dans leur enveloppe interne. III. Substance sous-corticale
blanche
et capsule interne du côté gauche. Dans la subs
ticale blanche et capsule interne du côté gauche. Dans la substance
blanche
sous-corticale auprès de la ligne médiane on ren-
contre de petits foyers de ramollissement. L'examen de la substance
blanche
sous-corticale de la capsule interne et du tron
os et menus sont parsemés çà et là par tout le long de la substance
blanche
et grise. Le long de certains vaisseaux, qui pass
grise. Le long de certains vaisseaux, qui passent dans la substance
blanche
, par places s'étendent des blocs noirs à forme ir
emées çà et là, restent aussi dans d'autres régions de la substance
blanche
. V. Au niveau de la queue du cheval on voit un
STOPATHOLOGIE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE 489 seaux. Dans la substance
blanche
, on observe une masse de points et de glo- bule
tions de la région motrice de l'écorce cérébrale et de la substance
blanche
sous-corticale du côté gauche, on observait une
ussi à un degré moins grand dans les autres régions de la substance
blanche
et çà et là dans la substance grise. Les cellules
ns les cordons de Türck et dans les autres régions de' la substance
blanche
porte approximativement le même caractère que la
gré bien plus faible, existe dans d'autres régions de la substance
blanche
. La dégénérescence des cellules de la corne ant
d'on- guent. , Vêtu d'un justaucorps jaune largement tailladé de
blanc
, un bonnet' rouge sur la tête, il porte de long
on se présen- tant sous l'orme de foyer aréolaire dans la substance
blanche
. J'ai eu l'occasion d'examiner 6 cas de myélite
itables abcès et des foyers de myélite disséminée dans la substance
blanche
, plus rarement dans la substance grise, avec un
térieur est moins touchée. Les cellules névrogliques de la substance
blanche
anté- rieure sont multipliées. 566 MARINESCO
erveuse (nodules péricellulaires de la rage, Babès). La subs- tance
blanche
ou la substance grise sont parsemées de petits va
obes dans le canal arachnoïdien. J'ai rencontré dans la substance
blanche
de la moelle une lésion assez caractéristique q
rinesco, Babès et Varnaly, Thiroloix etRosenthal ; le staphylocoque
blanc
par Barié ; le staphylocoque doré par Eisenlolr ;
nce d'un coli-bacille et d'un streptocoque vi- rulent. La substance
blanche
antérieure latérale et postérieure est le siège d
li- ques multipliées ; ces nodules siègent tantôt dans la substance
blanche
, tantôt dans la substance grise. Dans deux de c
e nom de blassiger Zustand. Ces lésions irritatives de la substance
blanche
ont été considé- rées par Lamy comme des lésion
ives, soit celles de la substance grise, soit celle de la substance
blanche
, sans aucune réaction inflammatoire. Ceci ne dimi
qu'une légère in- filtration de la pie-mère, et dans la substance
blanche
atteinte de dégé- nérescence, quelques ilots pr
-myélite expérimentale avec foyers disséminés dans la subs- tance
blanche
et la substance grise. Les foyers suivent le tr
u 9 jours. Poliomyélite avec participation à droite de la substance
blanche
antérieure. i'io. 18 B. Le même cas que la figu
te ; l'inflammation est limitée ici à la substance grise, substance
blanche
étant intacte. 586 MARINESCO une myélite cent
s disséminées, des foyers ayant leur siège tantôt dans la substance
blanche
, tantôt dans la substance grise. Enfin, toujours
upières tombantes est à peu près normale ; leur surface cutanée est
blanche
, lisse, sans plis, avec un développement exagéré
dans la région externe (cas de Gast). La couleur de la papille est
blanche
dans le 2° cas de Gourfein. Elle est atrophiée
ations, dont cinq actuellement vivantes, on retrouve un oedème dur,
blanc
, indolore, chro- nique, s'étant montré à l'âge
é quelques faisceaux de varices superficielles, la peau a un aspect
blanc
et luisant. Pas d'affection cardiaque, ni rénal
amais com- plètement ; il est plus marqué à gauche. C'est un oedème
blanc
, beaucoup moins dur que chez la mère et la soeu
ans la littérature beaucoup d'autres cas isolés d'oedème chronique,
blanc
, dur, indolore, non hystérique, par- fois segme
ure surmontée de quelques poils. Sur le flanc droit, deux papules
blanches
, plates, lenticulaires à peine appa- rentes, de
de même aspect. Au-dessous de la crête iliaque droite, une élevure
blanche
, grosse comme un haricot, et recouverte de quel
oils durs; au-dessus de la crête iliaque droite, une petite élevure
blanche
avec une touffe de poils ; toutes les élevures
ntiste coiffé d'un feutre déformé, orné de plumes ébarbées, rabbat ,
blanc
au cou, un large collier de molaires tombant sur
uvre (1) ? (PI. LXXXV). Un vieillard, portant moustache et barbiche
blanches
, on veut recon- naître en lui le portrait du pè
maroquin, Le sabre pendant sur la hanche, Et sur tout l'escharpe
blanche
; Tenant en main bec de corbin, Monté sur un
r le nez, examine les dents d'une jeune femme en robe rose et châle
blanc
. A droite, un médecin, assis devant une table,
encéphale, aussi bien dans la substance grise que dans la substance
blanche
. Il s'y présente aussi sous l'aspect d'agglomér
ins sont ouvertes et les doigts étendus ; la peau à leur niveau est
blanche
et lisse ; il existe un léger degré d'oedème au
ion très accentuée des méninges molles, l'arachnoïde épaissie, d'un
blanc
laiteux a perdu sa transparence sur toute sa haut
r un visage bronzé, la tète toujours découvel tp, nimbée de cheveux
blancs
en auréole de patriarche, vif et alerte, il rempl
pés, absence de poils. En outre : céphalée, vomissements, atrophie
blanche
des deux papilles. Réaction hémiopique de Werni
osseuses non soudées. Céphalée, vomissements. Cécité avec atrophie
blanche
bilatérale des papilles. Grand élargissement de
, un couvercle rond en carton, de la ficelle, un cordon, un chiffon
blanc
, un foulard déchiré et usé, un morceau de couve
sée aux sommets, atrophie sénile. Le tissu du cerveau est dur, sec,
blanc
, sans aucun ilot hémorragique ou ramolli. 128 H
coupe que figure 5. Fio. 40. Section longitudinale de la substance
blanche
de la moelle épinière (Immersion). 132 HASKOV
deux réseaux (fig. 11). Si l'on compare les coupes de la substance
blanche
de la moelle épinière avec celles des nerfs pér
ique de Ileidenhain. Quant aux éléments cellulaires de la substance
blanche
de la moelle épinière, les coupes longitudinale
ann ; par contre une telle régularité fait défaut dans la substance
blanche
de la moelle épinière. Les cellules de la névro
ANTE 133 ture anatomique des nerfs périphériques et de la substance
blanche
de la moelle épinière. Chaque fibre nerveuse du
dullaire des fibres nerveuses. Les fibres nerveuses de la substance
blanche
de la moelle épinière qui ne possèdent pas de g
rt toutes les directions. Les coupes longitudinales de la substance
blanche
du cerveau et du cer- velet offrent un aspect s
aspect semblable à celui des coupes longitudinales de la substance
blanche
de la moelle épinière. Les cylindraxes des fibres
seaux névro- gliques le long des fibres nerveuses dans la substance
blanche
du système nerveux central. Plusieurs auteurs
de paralysie agitante avec le réseau névroglique dans la substance
blanche
du système nerveux central a attiré (1) Betrach
ès Alzheimer (3). Les coupes longitudinales de la moelle (substance
blanche
) colorées selon Ziveri offrent un aspect sembla
ssu névroglique dans le voisinage des cylindraxes dans la substance
blanche
, un aspect tout semblable à celui que nous trou
pa- lement dans les coupes longitudinales provenant de la substance
blanche
du cervelet, des parties de tissu névroglique q
voit assez,souvent dans les cellules névrogliques de la subs- tance
blanche
du cervelet (fig. 9 i) des signes d'involution bi
e d'après Eisath-Alzheim er, réseau nêvroglique. A droite substance
blanche
de la moelle épinière. Gieson. Réseau névrogliq
us les trouvons également le long des cylindraxes dans la substance
blanche
de la moelle épinière. Ces fibres se croisent e
ntre le réseau névrotique le long des cylindraxes dans la substance
blanche
du système nerveux central et les réseaux intra
r- tantes. La coloration des gaines médullaires dans la substance
blanche
de la moelle épinière selon Weigert n'a montré
laire que du réseau extracellulaire. La raréfaction de la substance
blanche
dans la moelle épinière constatée par plusieurs
e particulière des cellules névrogliques trouvées dans la substance
blanche
du système nerveux central dans six cas de para
é du réseau néaro- glique le long des cylindraxes dans la substance
blanche
du système nerveux central et le réseau intramé
inlramédullaires dans les nerfs périphériques el dans la substance
blanche
du système nerveux central dans la paralysie ag
nité de son couronnement. Il se fait montrer sa bière capitonnée de
blanc
et recommande de placer d'abord le corps dans u
meur. A tout prendre notre sujet paraît bien constitué, sa peau est
blanche
sur toute la surface du corps, élastique, rosée
e phénomènes douloureux. Dans l'intervalle se produisent des pertes
blanches
. La malade est vierge. La vue est bonne, mais l
cellules, ni dans les méninges, ni dans les racines. Les substances
blanche
et grise sont hyperémiées. Le faisceau pyra- mi
dilata- tion assez marquée des vaisseaux et surtout de la substance
blanche
. La plupart des vaisseaux sont thromboses. Exce
trois autres cas, rien d'anormal dans les cellules. La substance
blanche
de la moelle n'a présenté, dans aucun des cas,
frais, l'examen montre quelques corpuscules amyloïdes, des globules
blancs
et des cellules épithéliales, d'ailleurs en pet
. Aucun signe d'insuffisance surrénale ou hypophysaire. Pas de raie
blanche
. La tension ra- diale est de 13,5 au Potain. Il
peu, sans cause déterminée, les deux avant-bras prirent une teinte
blanche
diffuse, notamment sur le côté cubital, depuis
r le côté cubital, depuis les doigts jusqu'au coude. Cette teinte
blanche
dura quelques mois, puis elle céda la place à une
- cial de la peau qui est lisse, luisante, rétractée, d'une couleur
blanc
vio- lacé par places ; fréquemment à côté de ce
nférieure gauche de la nuque. On observe également une petite tache
blanche
, de forme irrégulière, au ni- SUR UN CAS DE VIT
e de la région temporale. Celle région est couverte par des cheveux
blancs
. On trouve en oulre une tache marbrée ayant les
i albumine dans l'urine, qu'il n'y a ni cylindres ni caillots de sang
blancs
ou rouges et que la quantité d'urine, mesurée p
). - A l'extrémité du nerf sciatique s'observent différents nodules
blanc
nacré, fibreux, très résistants à la coupe. Le pl
res; dans les coupes les plus supérieures, l'écorce et la substance
blanche
de la région operculaire sont en grande partie dé
NS L'APHASIE DE BROCA 339 dairement atrophiée Quant il la substance
blanche
, elle est très endommagée ; il persiste malgré
PI. LI, a, b, c). Les lésions sous-corticales occupent la substance
blanche
de l'hémisphère et les noyaux gris centraux.
blanche de l'hémisphère et les noyaux gris centraux. La substance
blanche
de l'hémisphère a complètement disparu dans la ré
et l'avant-mur comme n'exis- tant plus. ' Plus haut la substance
blanche
a été interrompue au-dessous des circonvo- luti
-dessus de la couronne rayonnante, la destruc- tion de la substance
blanche
s'étend depuis la 2e circonvolution frontale jus-
oins participé à la destruction de l'écorce, cependant la substance
blanche
non différenciée du lobe temporal a été relativem
ment endommagés par les lésions ; il en est de même de la substance
blanche
sous-jacente. Ganglions centraux. - La destruct
oluysiennes qui tranchent par leur belle coloration bleue sur le fond
blanc
de la dégéuération et dont la conservation est
l'intermédiaire duquel ses libres se prolon- gent dans la substance
blanche
du lobe frontal. Plus bas la dégénérescence du
ôle de l'insula. On ne suit pas sa dégénérescence dans la substance
blanche
du lobe orbitaire. Corps calleux. - On ne trouv
porales, mais elle envoie un petit prolongement dans leur substance
blanche
, prolongement qui est limité en avant par l'avant
e la première circonvolution anté- rieure ; par contre la substance
blanche
de cette'circonvolution a été grave- ment endom
ont nettement tranchées ; cependaut, de même qu'en avant la substance
blanche
de la première circonvolution de l'insula a été
ande partie détruite,de même en est-il en arrière pour la substance
blanche
de la première et de la deuxième temporales, de
r- convolutions qui borde la cavité. Mais la lésion de la substance
blanche
ne se prolonge guère ni en avant ni en arrière.
tre les circonvolutions, mais sur une certaine hauteur la substance
blanche
(aussi bien la substance blanche ra- diée que l
une certaine hauteur la substance blanche (aussi bien la substance
blanche
ra- diée que la substance blanche non différenc
blanche (aussi bien la substance blanche ra- diée que la substance
blanche
non différenciée) est détruite ou complètement
ration de ses fibres qu'il faut attribuer la pâleur de la substance
blanche
dans le lobe frontal, dans le lobe pariétal, au
elle de. ce faisceau qu'il faut expliquer la pâleur de la substance
blanche
dans le lobe occipital, au niyeau de la scissur
alées sur le trajet des radiations thalamiques et dans la substance
blanche
du lobe pariéto-temporal. Les fibres du noyau ext
ts foyers de raréfaction presque microscopiques dans la sub- stance
blanche
, deux au-dessous de la deuxième circonvolution fr
chées, et les lésions s'arrêtent assez exactement dans la substance
blanche
au même niveau que sur l'écorce ; on ne trouve da
ecroque- villés, qui semblent indiquer qu'à ce niveau, la substance
blanche
a été plus éprouvée que l'écorce elle-même. C
e cavité s'est creusée très profondément aux dépens de la substance
blanche
et de l'insula, et s'est arrêtée très brusquement
la capsule externe, se prolongeant en anière jusque dans la substance
blanche
de la 2' circonvolution temporale. Dégénération
ontale et pariétale ascendantes réapparaissent, mais leur substance
blanche
, sauf une partie des fibres en U. est complètemen
scendantes. Dégénération de la couionne rayonnante et de la substance
blanche
non différenciée, se poursuivant en arrière jus
rande partie de l'insula. -Lésions des- tructives dans la substance
blanche
de la 2* circonvolution temporale. - Dégénéra-
sus de la précédente. Destruc- tion et dégénération de la substance
blanche
non difl'érenciée, de la substance blan- che ra
des circonvolutions, s'étendant depuis F3 jusqu'à Pl. La substance
blanche
est complètement dégénérée jusqu'au bord ventricu
CE 391 ans, il boit en moyenne quatre à cinq litres de vin rouge ou
blanc
par jour : aux repas, à jeun, avant les repas e
-on un léger ponctué hémorragique disséminé dans toute la substance
blanche
. Dans le cervelet on sent une induration au cer
géantes. Il y en a une dans la moelle elle-même, en pleine substance
blanche
, au voisinage de la corne antérieure. Le symp
ver le corps calleux, on voit qu'il subsiste une bande de substance
blanche
s'étendant le long de la paroi interne du ventr
ation occupe tout l'espace allant de la périphérie à la subs- tance
blanche
; dans d'aulres ce n'est que la périphérie qui est
moins pures, plus floues, plus uniformes, les oppositions entre les
blancs
et les noirs sont moins marquées chez les pagétiq
temps l'exsudation plasmatiquepro- duite par la diapédèse rouge et
blanche
du plasma sanguin. » Tedeschi (1902) a aussi pu
éoformations ; on reconnaît encore quelques petits îlots de matière
blanche
qui font un réel contraste avec la substance en
les, nombreuses, d'étendue fort variable, correspondant aux parties
blanches
du schéma, existent aux membres et au tronc. Au
upes colorées par le picro-carmin, on dis- tingue dans la substance
blanche
, un certain nombre d'ilots irré- guliers qui tr
arait pas non plus nota- blement distendue par le sang. Substance
blanche
. - Autour de ces vaisseaux, dont un ou plu- sie
selon Wei- gert ne diffère en rien de la coloration de la substance
blanche
normale. Elle présente de vastes mailles qui co
En somme, au niveau de la moelle que nous examinons, la subs- tance
blanche
est atteinte à peu près dans toute son étendue ;
aisseaux y présentent les mêmes modifications que dans la substance
blanche
: ils sont modérément remplis de sang. Il exist
te, et des cellules analogues à celles décrites dans la subs- tance
blanche
. On y trouve un certain nombre^de masses à cont
oeil nu, on voit que les différents foyers situés dans la substance
blanche
, persistent encore en des points correspondant
s haut degré d'intensité. A l'oeil nu, on remarque que la substance
blanche
, surtout celle des cordons latéraux et plus d'u
e hypérémie intense dans la substance grise comme dans la substance
blanche
; les parois vasculaires sont épaissies et en di
roduit des extravasations sanguines. On reconnaît dans la substance
blanche
, l'existence de foyers morbides, offrant une di
latéraux, affectant, par conséquent, à peu près toute la substance
blanche
. Au niveau de ces foyers, il existe un réseau pré
fiés dont quelques-uns ont un aspect granuleux. Dans la substance
blanche
aussi bien que dans la substance grise, il exis
rencontrent dans les deux subs- tances. Les lésions de la substance
blanche
sont peu prononcées : -. en certains points app
aire cervicale; dégénérescence pigmentaire; les parties laissées en
blanc
correspondent au protoplasme normal. - d, amas de
brûle avec une flamme brillante, en produisant d'abondantes fumées
blanches
d'acide phosphorique anhydre. Cette température
ropriétés physiques et physiologiques bien différentes du phosphore
blanc
. Dans l'industrie, on transforme facilement et
s l'industrie, on transforme facilement et en totalité le phosphore
blanc
en phosphore rouge en l'expo- sant pendant huit
et distille à cette température en repassant à l'état de phosphore
blanc
. Le phosphore est un poison violent ; son manie
s on voit des cellules nerveuses assez bien marquées, et des fibres
blanches
pourvues de myéline. Tels sont : le veau, le ch
s sont embryonnaires et que, dans certaines parties de la substance
blanche
, la myéline manque. Citons : le chien, le lapin,
la myéline manque. Citons : le chien, le lapin, le chat, la souris
blanche
. D'où la LOI : L 'excitabilité électrique de
myéline et cylindre-axe se gonflent irrégulièrement, la substance
blanche
change de couleur, s'émiette, les contours parais
e encore une fois infléchies à. angle droit, à travers la substance
blanche
de la moelle, et arriver à la périphérie. Ces t
supérieur Le sys- tème dorsal représente les libres de la substance
blanche
profonde du tubercule quadrijumeau supérieur qu
s était absolument privé de myéline, en même temps que la substance
blanche
de la couche intermédiaire des olives cessait à
libres nerveuses fines qui, parties de la lisière de la substance
blanche
, vont en se ramifiant à travers la couche des gra
ur la pie -mère, l'écorce tout entière se détache de la substance
blanche
. L'écorce est extrêmement ramollie; elle est rest
larger et Rey, ainsi que les altérations de la lisière de substance
blanche
décrites par Tuczek. Discussion. - M. SCHULTZ
complète des nerfs, pas trace de névrite, mais dans la substance
blanche
de l'hémisphère droit, au niveau du lobe occipi
sortes de déplacements de substance grise au milieu de la substance
blanche
, on trouva une sorte de seconde moelle annexée
atrophie du cervelet dans lequel on trouve des lacunes de substance
blanche
et un trou cons- titué aux dépens du verrais. P
yéliniques indépendantes des faisceaux ascen- dants de la substance
blanche
dans les couches interne et moyenne; on en trou
st la suivante : dans son tiers externe, le quadrilatère est plutôt
blanc
. DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION.
c. DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 347 Cette partie
blanche
a la forme d'un triangle dont un des côtés, l'e
terai celle dans laquelle la surface qua- drilatère est entièrement
blanche
. Elle est assez fré- quente. Entre ces trois di
manation de la formation go- dronnée. 348 ' ANATOMIE. Substance
blanche
de l'espace perforé.- En arra- chant la pie-mèr
ux tiers de l'espace sont occupés en arrière par une bande de tissu
blanc
qui a la forme d'un triangle dont le sommet tro
ngle de jonction des deux ra- cines olfactives, partent des tractus
blancs
qui se pla- cent au-dessous de ces racines, et,
. - En dehors, dans le tiers externe de l'arc olfactif, des tractus
blancs
parallèles, ou souvent une lamelle pleine, vont
ion peclinée et s'interpose entre ces filets. 352 ANATOMIE. tance
blanche
incluse dans la pyramide grise de Soem- mering.
appareil olfactif, car elle disparait, en même temps que les fibres
blanches
de la racine moyenne, chez les anosmatiques; el
r sous le nom de pédoncule du corps calleux. C'est un petit tractus
blanc
qui, né du bec du corps calleux, sur la ligne m
circonvolutions constitueraient un centre olfactif, et les tractus
blancs
qui partent de la racine grise viendraient s'y
tinguer quelquefois une petite circonvolution qui suit la racine
blanche
interne jusqu'à l'extrémité frontale de la circon
cette manière l'acuité visuelle pour des caractères noirs sur fond
blanc
on réciproquement. Ajoutons que toutes les fois
il faudra entendre l'examen des caractères noirs habituels sur fond
blanc
. Si c'est la perceptibilité différentielle que
toutes les recherches précédentes ont été faites avec la lumière
blanche
. Nous avons aussi étudié la perceptibilité diff
ici naturellement la perceptibilité différentielle pour la lumière
blanche
et par conséquent pour le noir, le gris et le b
ur la lumière blanche et par conséquent pour le noir, le gris et le
blanc
.) Voici ce que nous pouvons dire à ce sujet : W
té visuelle décroît plus rapi- dement pour les couleurs que pour le
blanc
sur fond noir, - et plus rapidement pour le bla
leurs que pour le blanc sur fond noir, - et plus rapidement pour le
blanc
surfondnoir que pour le noir sur fond blanc. Co
plus rapidement pour le blanc surfondnoir que pour le noir sur fond
blanc
. Comme d'autre part nous avons trouvé que l'acu
art nous avons trouvé que l'acuité visuelle pour le noir sur fond
blanc
décroît souvent elle-même plus rapide- ment que
lus rapidement que la perceptibilité différentielle pour la lumière
blanche
. Dans la deuxième partie de ce travail où nous
urs décroissait bien plus rapidement que celle pour le noir et le
blanc
. Aubert paraît être arrivé au même résul- tat p
d'hypnotisme, tandis que la per- ceptibilité différentielle pour le
blanc
et noir se corrige alors de manière à devenir p
ez les daltoniens, la perceptibilité différentielle pour la lumière
blanche
peut être absolument normale, comme nous l'ont
eurs, car lorsqu'on'jette dans l'eau un pain à cacheter rouge et un
blanc
, invariablement le poisson choisit le rouge.
XLII. QUELQUES MOTS SUR LES processus dégénératifs DE la substance
BLANCHE
DES HÉMISPHÈRES CÉRÉBRAUX; par M. FrIEDMANN. ENCO
du système des fibres propres de la zone limitante de la substance
blanche
(trousseau d'association directe de Meynert) et
ation dans la para- lysie générale. Il divise l'atrophie des fibres
blanches
en quatre formes : 1° dégénérescence systématiq
ence limitée en foyer; 3° atrophie générale diffuse de la substance
blanche
; 4° atrophie diffuse simple de la substance bla
la substance blanche; 4° atrophie diffuse simple de la substance
blanche
. La première forme émane des lésions en foyers co
. Les atrophies diffuses au'contraire se confinent à la subslance
blanche
des hémisphères cérébraux. Mais la première (géné
uelconques du cerveau y compris la base. Les altérations des fibres
blanches
quelles qu'elles soient de l'écorce ou la subst
fibres blanches quelles qu'elles soient de l'écorce ou la substance
blanche
constituent le noeud de a symptomatologie dans
ies latérales du pédoncule fusionnent dans un triangle de substance
blanche
situé en dedans du noyau lenticu- laire. Le noy
se produire à la cour d'assises de Lau- sanne. On jugeait un nommé
Blanc
, qui, dans un accès d'halluci- nation, avait tu
extirpation des régions motrices, par Ztcheu, 87; de la substance
blanche
, par Friedmann, 428 ; du pédon- cule cérébral
ts; sur toute l'étendue de la face, la peau est mate, d'une couleur
blanc
jaunâtre et bouffie; cette bouffissure, surtout m
ment atrophié. Sur toute l'étendue du tronc, la peau est fine, d'un
blanc
mat, assez résistante sous le doigt, comme infi
erdant vers l'avant-bras, la pression digitale laisse une empreinte
blanche
très fugace. Le malade semble gai, mais il n'a
ues violacées, froides, tendues et bombées contrastent avec le fond
blanc
jaunâlre du teint qui a une couleur de miel ; l
plus grasse que d'ordinaire et on la comparait à un « grand gâteau
blanc
» parce qu'elle était grasse, flasque et couleu
âteau blanc » parce qu'elle était grasse, flasque et couleurde pâte
blanche
. Pendant qu'elle était enceinte d'elle, sa mère
et au microscope, le D' Murray dit que la proportion des globules
blancs
ou globules rouges estde i à : i0; que les globul
vait aucune altération morbide dans l'aspect des globules rouges ou
blancs
. Respiration. - Tout à fait normale à tous les
e sont pas modifiés depuis le dernier examen. Appétit nul, langue
blanche
, constipation opiniâtre. Ab- domen ni ballonné,
te, l'amaigrissement augmente. Bouche cons- tamment ouverte, langue
blanche
et sèche, pas de muguet. Ni vomissements, ni fi
une masse d'aspect encéphaloïde, composée d'amas de matières d'un
blanc
jaunâtre, friables, résistants et durs sur certai
actescent assez clair, sauf au niveau des points ramollis où il est
blanc
et épais. Outre les amas néoplasiques répondant
côté gauche étant plus petit que le côté droit. Dans la substance
blanche
, on remarque une lésion descendante des divers
a 4e paire sont sains. La partie sensitive de la 5° paire est moins
blanche
à droite qu'à gauche. La 6e paire est saine, ma
- Rachitisme. - Intelligence normale jusqu'à 3 ans. Alcoolisme (vin
blanc
) à partir de 4 ans. Premières convulsions à 4 a
ait être mort. Ces convulsions ont été attribuées à l'abus du vin
blanc
. Les grands parents, en effet, tenaient une auber
t les consommateurs faisaient boire, en cachette, l'enfant du vin
blanc
pour lequel il avait beaucoup de goût ; il descen
olives ; prépuce assez long; pas de phimosis ; méat normal. Peau
blanche
et fine, pas de cicatrices; cheveux châtains, a
a été entraînée avec la pie-mère; nulle part cependant la substance
blanche
n'est mise à nu. - Les portions les moins malad
ères, bout à bout, limitées parles fibres d'origine de la substance
blanche
, pré- sentent les mêmes séries morcelées par di
Dans la couche suivante de la substance grise et dans la substance
blanche
, ce qui domine c'est l'accumulation des noyaux
étude des couches en sens inverse, nous voyons d'abord la substance
blanche
très vascularisée et présentant les figures con
à l'extrême des élé- ments pyramidaux. A la limite de la substance
blanche
, l'accu- mulation des noyaux petits et sphériqu
les, évoluant parallèlement. c) Moelle cervico-dorsale. Les cordons
blancs
sont symé- triques ; dans la substance grise, t
en temps il est atteint de diarrhée avec selles décolorées presque
blanches
. Gâtisme conti- nuel. Organes génitaux : Phim
s; celle- ci est réduite en bas à un squelette mince de substance
blanche
et au-dessus présente,sur une hauteur d'un demi-
un cer- tain nombre de corps granuleux répandus dans la substance
blanche
et qui se colorent en noir sur une coupe exposée
a substance grise ne présentent pas de lésions nettes; la substance
blanche
offre des lésiuns de désintégration. Sur le m
on. Sur le milieu de cette première frontale gauche, la substance
blanche
a le même aspect; les corps granuleux y sont nom-
ompant la disposition des fibres nerveuses qui gagnent la substance
blanche
, comprennent en général les trois premières cou
zero et Golgi, sous le nom de porose cérébrale. Dans la substance
blanche
, il n'y a que peu ou pas de corps granuleux, mais
petites cellules interstitielles. Il y en a moins dans la substance
blanche
elle-même. 176 SCLÉROSE diffuse DE la MOELLE.
substance grise, des amas considérables de corps granuleux dans la
blanche
. Les cellules géantes de la région sont éparses
che des myélocytes, et un certain degré de sclérose de la substance
blanche
, parsemée de corps granuleux. La moelle cervica
ses en assez grand nombre dans les cornes postérieures. Les cordons
blancs
ne présentent qu'une lésion diffuse, un épais-
aspect de sclérose diffuse est bien plus accentué Y,ur les cordons
blancs
de la moelle lombaire; de plus, les cornes anté
se sur les circonvolutions ; lé- sions consécutives de la substance
blanche
; lésions diffuses d'encéphalite chronique ; lé
lite chronique ; lésions de la subs- tance grise et de la substance
blanche
de la moelle épi- nière. Portel...., Jacques
ont allongées, granuleuses et très fortement colorées. La substance
blanche
offre une quantité 'considérable de petits noya
ance grise, une perte de substance qui s'étend jusqu'à la substance
blanche
et est recouverte par une paroi flottante, tran
tre eux; ils morcellent la substance grise. Lésions de la substance
blanche
. - Dans la substance blan- che, il existe une l
tielles, petits, sphériques et fortement colorés. Dans la substance
blanche
, on voit les mêmes lésions que dans les prépara
bsolument semblables, mais la traînée descendante dans la substanco
blanche
au-dessous du foyer, est très large et remplie
ellules névrogliques n'offre rien de particulier. Dans la substance
blanche
, corps granu- leux nombreux, aspect fibrillaire
ains points les cils des cellules. La trame conjonctive des cordons
blancs
est notablement épaissie, le nombre des tubes d
existe une traînée de dégénérations descendantes dans la substance
blanche
; enfin, dans quelques foyers, on trouve encore
, les débris de la cellule s'éliminent. Los lésions de la substance
blanche
, tant dans le cerveau que dans la moelle, sont
mbril : « j'ai mal au ventre, dit-il. » Lo regard est brillant ; le
blanc
des yeux et la peau du visage deviennent « jaun
a valvule de Vieussens. p. v. Section du pont de Varóle. Les points
blancs
indiquent la section des faisceaux de fibres tran
B. Bulbe. P. V. Protubérance ou pont de Varole(l). Fig. 2. Enfant
blanc
. Recourir, pour l'explication des lettres, à ce
VINGTIÈME. CHARRUAS ADULTE. — FACE SUPÉRIEURE DU CERVEAU. — ENFANT
BLANC
. MÊME FACE Fig. \. Charruas adulte. — La forme
re de Sylvius. P. P. Circonvolutions postérieures. Fig. 2. Enfant
blanc
L'explication de la figure \ convient à celle-c
HARRÚAS ADULTE. — FACE LATERALE DROITE EXTERNE DU CERVEAU. - ENFANT
BLANC
. MÊME FACE. Fig. \. Charruas. fr. Extrémité f
ec précision les proportions relatives des axes gris et des faisceaux
blancs
qui les enveloppent. 'ig. \. Moelle épinière de
es gris de la moelle, parcourues d'arrière en avant par des faisceaux
blancs
émanés des cordons postérieurs, et des racines po
dorsale. On peut y remarquer une réduction simultanée des faisceaux
blancs
et des axes gris. Fig. 8. Coupe de la même moel
des axes gris, mais dont la signification m'est inconnue. g. Stries
blanches
des cornes postérieures des axes gris. Cette co
ble, eu égard à Fénorme proportion des axes gris, comparés à i'écorce
blanche
qui les enveloppe. Fig. 9. Coupe de la moelle d
on pourra constater une proportion relative plus grande des faisceaux
blancs
chez l'adulte, et des axes gris chez l'enfant nou
es fais-ceaux antérieurs et compris dans l'épaisseur de îa commissure
blanche
, lis sont quelquefois condensés, dans les Ruminan
tituent les fibres précédentes. I. Commissure grise. A. Faisceaux
blancs
antérieurs. A'. Faisceaux moyens confondus avec
Structure d'une feuille du cervelet. a. Faisceau central de fibres
blanches
provenant du novau blanc du cervelet. t/ b.
rvelet. a. Faisceau central de fibres blanches provenant du novau
blanc
du cervelet. t/ b. Couche de cellules grises,
ès M. Baillarger). a. Premier système, formé de deux couches, l'une
blanche
superficielle, l'autre grise. a. Deuxième systè
grise. a. Deuxième système, également formé de deux couches, l'une
blanche
, l'autre grise. c. Troisième système pareilleme
nde de l'anse, d'où la bandelette optique a été détachée. s. Êcorce
blanche
de la couche optique. t. Corps strié interne. u.
vers les tubercules qua-drijumeaux antérieurs. f. Bord de l'écorce
blanche
de la couche optique formant par une fasciculat
. c.c.c. Corps calleux. d. Pilier droit de la voûte. ë . Fibres
blanches
antéro-postérieures du septum lucidum. /'. Corp
é-donculairese portent dans le lobe sphénoïdal, et forment une écorce
blanche
au corps strié externe. i. Commissure molle.
bres qui revêt extérieurement le corps strié. h. Portion du noyau
blanc
de l'hémisphère, mise à découvert par la coupe
s, mais complètement lisses. Ils sont bordés en dedans par une lame
blanche
sur laquelle apparaîtra plus tard le vermis latér
upé d'avant en arrière de manière à montrer au centre de sa substance
blanche
l'en-ceinte festonnée du corps rhomboïdal ; le pl
nouveau-né ce petit faisceau se distingue, par sa couleur franchement
blanche
, des parties voisines, qui sont d'un gris tendre
ion de l'ourlet, qu'on a enlevée. Ijj, olfactif avec ses deux racines
blanches
. A, quadrilatère perforé. K, chiasma des optiques
rbre de vie de l'éminence vermiforme supérieure. B, membrane nerveuse
blanche
allant de la couche corticale du cervelet à la su
acines grises des nerfs optiques de droite etde gauche, a, diago-nale
blanche
du quadrilatère perforé allant de l'angle postéri
a'", surface grise du quadrilatère perforé antérieure à la diagonale
blanche
. Les trous de cette région grise ont leur grand d
ieure du quadrilatère perforé. Sur cette marge on voit en D la racine
blanche
interne, en C la racine blanche externe de l'olfa
ur cette marge on voit en D la racine blanche interne, en C la racine
blanche
externe de l'olfactif. B, origine de la grande ré
, chiama. A, quadrilatère perforé. I, base de l'olfactif. A', tractus
blanc
ex-terne de l'olfactif, combiné sur la marge anté
èrement circulaire, entièrement circonscrit par une couche de matière
blanche
. J' Y indi-quent la portion de cette couche de ma
atière blanche. J' Y indi-quent la portion de cette couche de matière
blanche
qui appartient au corps calleux; H H, une portion
nche qui appartient au corps calleux; H H, une portion de l'enveloppe
blanche
correspondant au cotylédon extra-ventriculaire du
-ventriculaire du corps strié ; h h, une autre portion de l'enveloppe
blanche
qui se porte à la cloison transparente. Cette p
oyen. X X', deux régions distinctes du faisceau postérieur. Y, couche
blanche
qui sépare ces deux régions du faisceau postérieu
6 6 6, émanations fibreuses du ruban de l'ourlet formant la doublure
blanche
des circonvolutions de la face interne du cerveau
du tronçon pédonculaire. S , coupe de la glande pinéale. X', tractus
blanc
allant de cette glande au pilier antérieur de la
Uv U"' D', co-tylédon ventriculaire du corps strié. Z Z Z , parties
blanches
des parois ventriculaires excentriques ou co-tylé
artie adhérente et de l'espace perforé ; en N', les parties fibreuses
blanches
de la région verti-cale delà circonvolution de l'
de la région verti-cale delà circonvolution de l'ourlet. Ces parties
blanches
émanent du ruban fibreux de l'ourlet. Leurs prolo
ceau postérieur pro-longé en P' dans l'espace perforé, r r, radicules
blanches
de l'olfactif rat-tachées à la branche P' du fais
n formant la paroi interne (par rapport au plan médian), la saillie
blanche
de la corne d'Ammon (en H) ; pour plus de clart
pitale) et suivre cette subs- tance grise corticale, avec la couche
blanche
sous-ja- cente, vers la formation ammonique, c'
née, le manteau de l'hémisphère est réduit à sa couche de substance
blanche
, formant ici un gros cor- don dont la coupe est
la superficie à la profondeur : 1° D'abord une couche de substance
blanche
(0, /%'. ,8,) formée de fines fibres nerveuses
nche (0, /%'. ,8,) formée de fines fibres nerveuses : ce revêtement
blanc
, auquel les anatomistes allemands ont donné le
s ou fusiformes. 5° Enfin vient la couche médullaire de substance
blanche
. B. -Au niveau du sillon qui sépare la circonvo
est modifiée de la manière suivante : 1 Le subiculum ou revêtement
blanc
super- ficiel disparaît (a, lîq. 2). 2° La couc
es (d, fig. 2), non plus que pour la couche de substance médullaire
blanche
(f, fig. 2) qui forme ici l'alvezcs (voy. ci-de
nerveuses étoilées, et enfin, 5° la couche médullaire de substance
blanche
, laquelle se continue avec le corps bordant, pu
nte une région où le manteau de l'hémisphère est réduit à sa partie
blanche
médullaire sans revêtement de substance grise c
ne couche de cellules nerveuses étoilées, et enfin la subs- tance
blanche
; seulement dans la circonvolution godronnée une
ventriculaire, soit une trop grande importance attachée à la couche
blanche
superficielle dite szcbiczc- lîim, et d'autre p
evenir profonde... elle se recouvre d'une mince couche de substance
blanche
à laquelle est due la cou- leur particulière de
(toenia; corpus fii2îb21aitinz ; fimbria) est une bandelette très
blanche
... La face supérieure ou ventriculaire est libr
entre la couche des grandes pyra- mides et la substance médullaire
blanche
. Cette réserve faite, nous devons, pour complét
la circon- volution de l'hippocampe, on est frappé de la couleur
blanche
qu'elle revêt et qui se prononce d'arrière en a
, un aspect tout particulier. Ici, en effet, des îlots de substance
blanche
sont entourés de subs- tance grise, d'où le nom
t entourés de subs- tance grise, d'où le nom de substance réticulée
blanche
que lui a donné Arnold (substantiel reticularis
circonvolution de l'hippocampe; c'est à elle qu'est due la couleur
blanche
de cette der- nière. La prenzière couche, appar
e chez l'homme et les singes (fiq 4, li), une simple ban- delette
blanche
faisant suite au corps bordant, mais bien une b
te blanche faisant suite au corps bordant, mais bien une bandelette
blanche
accompagnée de subs- tance grise et on reconnaî
onnu la formation ammonique dans l'ensemble des parties grises et
blanches
situées au-dessous du corps calleux du mouton.
IE. et, en effet, tous les auteurs admettent qu'une des raci- nes
blanches
du bulbe olfactif vient se terminer dans la cir
miner dans la circonvolution de l'hippocampe en formant la couche
blanche
superficielle de cette circonvolution, le subi-
lus voisine de la fente de Monro ne donne lieu qu'à de la substance
blanche
, et nous aurons dès lors la formation ammonique
- vité du diverticule spliénoidal du ventricule latéral; H, saillie
blanche
intra-ventriculaire de la corne d'Ammon; CH, ci
d, couches des cellules nerveuses étoilées ; couette de substance
blanche
médullaire. PLANCHE Il. l'ig. 3. Coupe transv
du nez couverts de rides; nez camard; peau de la face mate, d'un
blanc
jaunâtre, bouffie et absolument glabre ; la bouf-
rps thy- roïde à peine marqué. La peau du tronc paraît fine, d'un
blanc
mat, résistante sous le doigt, comme infil- tré
substance grise oedé- matiée, brunâtre; congestion de la substance
blanche
ferme et dure; réduction de la couronne rayonna
n purulente se tarit; les fissures se cicatrisèrent, la peau devint
blanche
et ferme ; au bout de qua- tre mois l'affection
a troisième paire"droite et du droit supérieur ' droit ;. 'atrophié
blanche
simple, des rnerfs opti- ïlues, 't' . .l`tud 1
au processus' pathologique. Dans" l'a"'méme,réal9'n'; la substance
blanche
.de^la moelle était vascularisée, son tissu con
nt au Sabbat de différentes manières. Les vnes se mettent vn baston
blanc
entre les iambes, & puis piononcent certain
urs est complètement abolie à gauche, (,il C... ne voit que gris et
blanc
sale. A droite, elle voit toutes les couleurs e
nuances, sauf le violet qui est w grs et le jaune clair qui est vu
blanc
sale. L'état de la sensibilité oculaire est e
oi ventriculaire, il n'existe plus qu'une mince couche de substance
blanche
. Les circonvolutions du voisi- nage sont atroph
la vie psychique; les couches grises ont été sacrifiées à l'élément
blanc
, la vie psychique à la vie végétative. Et noton
niveau d'un 216 REVUE DR P1TH()IO.IIs MENTALE. ruban de substance
blanche
qui précède la couche optique surle plancher ve
cerveau des points de sclérose miliairé, surtout dans la substance
blanche
. Dans un cas, il y avait de la pachyméningite,
rnhardt, caractérisés par des taches bleues, roses, rouges, ou d'un
blanc
de neige, avec réfrigération glaciale des régions
ie bilatérale des N. 0 ; elle est tout à fait au début. (Coloration
blanc
verdâtre du nerf) : l'oeil droit lit encore les
presque complète de ce dernier organe par un entonnoir de substance
blanche
, tandis que le cervelet réduit à un bourrelet t
s cloniques, accompagnés de ferme- , ture des poings, quelque écume
blanche
à la bouche, et terminés 240 SOCIÉTÉS SAVANTES.
t pas de corps granuleux. Les commissures, les cordons de substance
blanche
, les cornes postérieures ne paraissent pas alté
uter au bismuth 2 gr. de diascordium, et donner un lavement avec un
blanc
d'oeuf et douze gouttes de laudanum de S3 deiil
ui suit la pie-mère, laissant ainsi ci nu le squelette de substance
blanche
des circonvolutions. Ceci se produit sur toute
sur la moitié antérieure du lobe temporo-occi- pital. La substance
blanche
, ainsi mise à nu, est indurée, ferme, et est hé
la substance grise, mettant ainsi à nu le squelette de la substance
blanche
atrophiée et indurée. (Dans la Pal. VII, M. Leu
ctérisée par la séparation de la substance grise et de la substance
blanche
1. Mais, dans ces trois cas, cette séparation é
térisée par la séparation de- la substance grise et de la substance
blanche
des circonvolutions. Voir aussi : Cabuoit, Trai
a capsule externe ; 2° d'autres vont former en partie les tractus
blancs
antéro-postérieurs qui séparent les segments du n
rallèles à la direction du pédoncule et pas- sant par la commissure
blanche
antérieure et par le locus niger, 'et nous nous
e les éblouir. Pareil à un globe de feu, à une zone dentée rouge ou
blanche
, phosphorescente, vibrante et tournante qui s'é
attérésetamenent ainsi une véritable décortication de la substance
blanche
'. M. Dally fait ensuite une communication sur
et pupille dans la), 356 ; - Décoiti- cation de la btil)-3taiitle
blanche
dans la), 36n; - (lr.emlo-)rvr.tly- sie, d'oi
ca- N lié du rliverUcule sphénoidal du vennicule latéral H, saillie
blanche
mtra-ventriculaue de la corne I'-lmmon; - CH, c
z couches des cellules nerveuses étoilées; ? couche de substance
blanche
médullaire. 390 EXPLICATION' DES rLNC11r ? PL
sé et que le reste de la substance grise; une partie delà substance
blanche
avoisinante a, en avant, participé visiblement à
des pédoncules cérébraux montre un vaste foyer de ramollissement
blanc
qui intéresse, dans presque toute son épaisseur,
sure calloso-marginale. Dirigé en dehors, il intéresse la substance
blanche
au niveau du centre ovale de Vieussens, sur une
sse de 1 centimètre en arrière. Le contenu du foyer, parfaitement
blanc
, apparaît comme une pulpe lactée semi-fluide, dan
roi- sième circonvolutions frontales. Ici le ramollissement, d'un
blanc
sale dans laplus grande partie de son étendue,
st-il surtout des fibres commissurales : corps calleux, commissures
blanches
(antérieure et postérieure), commissure grise,
ructive d'une portion du noyau caudé ainsi que celle delà substance
blanche
sous-rolan- dique, d'une moitié du corps calleu
moteurs et nullement sensitifs. Bien mieux connus dans la substance
blanche
des hémi- sphères sont le trajet et le rôle phy
des localisations cérébrales. Paris, 1878. M PATHOLOGIE NERVEUSE.
blanche
sub-jacente aux centres corticaux, donnent lieu a
la portion de l'espace sous-rolandique consti- tuée par les tractus
blancs
qui circonscrivent la dépression du sillon de R
rieure du noyau caudé \' C n, et une grande portion de la substance
blanche
sous-roiandique. Sy, scissure de Sylvius et lob
e rouge, formée par les globules sanguins, l'aulre supérieure, d'un
blanc
laiteux, composé d'une véritable émulsion de gl
ordinaire, à quelques symptômes d'embarras gastrique; la langue est
blanche
, chargée, comme poisseuse; il y a du dégoût pou
ment concentrique aussi fort; de même, le champ de perception du-
blanc
et des couleurs est rétréci dans une égale mesure
rait un rétrécissement concentrique typique du champ visuel pour le
blanc
et toutes les couleurs, accompagné de troubles
otdur, blanchâtre et homogène. On trouva en outre un ramollissement
blanc
crémeux de toute la protubérance et un petit fo
'/tttcAM, syringomyélie, structure anormale du manteau de substance
blanche
de la moelle épinière. Cas dans lequel un gros
S. milieu du tissu aréolaire de la commissure grise. La substance
blanche
présente des anomalies uniques constituées gi-oss
oint de sections transverses de fibres nerveuses, mais la substance
blanche
paraît constellée de fins rayons qui donnent l'
r exacte de 26 centimètres au-dessus du cône spinal, la substance
blanche
des cordons latéraux et postérieurs est parsemée
int. Une fois j'ai rencontré une sclérose diffuse de la substance
blanche
. (.4%. Zeilschr. f. Psych. XLI, 4-5.) P. KÉRAVAL.
ant avec la par- cimonie des cellules nerveuses et des irradiations
blanches
qui en partent, chez le singe et les animaux si
, la peau est chaude; le pouls est fréquent, à 108; la langue est
blanche
; constipation. Pendant quinze jours, l'excitation
4. Les cas où l'hémianopsie était due à une lésion de la substance
blanche
du lobe occipital, au nombre de onze. 5. Les ca
rale, seule ou avec la substance DE L'HÉMIANOPSIE CORTICALE. 1 SI
blanche
sous jacente. Dans ce groupe, se trouve mon obser
ions normales. Le quart externe temporal de chaque papille est plus
blanc
que nor- malemeiit,le gauche un peu plus que le
antérieure était à 6 centimètres de la pointe du lobe. La substance
blanche
n'était que peu lésée. Il n'y avait pas de comm
d seulement à quelques millimètres dans l'intérieur de la substance
blanche
. L'état de la capsule interne, des couches opti
quefois de l'hémianesthésie seule. 3. Qu'une lésion de la substance
blanche
du lobe occipital, au niveau des fibres les plu
u gyrus angularis, du lobule pariétal inférieur avec la substance
blanche
sous-jacente peut causer l'hémianopsie, avec ou s
be occipital, écorce et substance DE L'HÉMIANOPSIE CORTICALE. 207
blanche
sous-jacente, produisent la cécité quand elles so
sujet de la localisation du centre visuel cortical et des faisceaux
blancs
en connexion avec lui ? Les idées de Munk et de
tasse, montre le faisceau optique visible sous l'aspect d'une bande
blanche
homogène. Il est évident que les lésions du gyr
l'homme : « Les fibres optiques réunies forment dans la substance
blanche
de la portion occipitale du cerveau un faisceau h
obule pariétal inférieur et du gyrus angu- laris, avec la substance
blanche
sous-jacente, pénétrant assez profondément pour
. de souffles ni de frottements. Dysphagie modérée; petite plaque
blanche
entre les amygdales. M. Charcot hypnotise la ma
leur rapidité, comparables aux mouvements amiboïdes des globules
blancs
; cette vitesse varie; mais elle ne dépasse pas le
e s'arrêter dans son attaque, dès qu'il est pré- venu par l'aura.
M. BLANCHE
trouve le mot de guérison un peu vite prononcé, i
ce qui le concerne, il a plusieurs fois rencontré dans la substance
blanche
de cerveaux d'enfants, des foyers symétriques,
de la fente palpébrale; l'oplitlialmoscope révèle une papille plus
blanche
, plus nette que du côté droit, quoique la papil
ffrent une constitution normale ainsi que l'ensemble delà substance
blanche
et les cornes posté- rieures, mais les cornes a
rs communs sont en connexion avec des fibres issues de la substance
blanche
profonde des tubercules quadrijumeaux du même c
s ces cellules arrivent de nombreux tractus issus de la substance
blanche
profonde des tubercules quadrijumeaux; la situati
eur, quatre petites plaques du volume d'une lentille, consistantes,
blanc
grisâtre, d'aspect cartilagineux, distantes les
et la névroglie n'est le siège d'aucune modification. La substance
blanche
est partout absolument saine. Nerfs périphéri
'arc de réflexe du premier ordre; ou bien, passant par la substance
blanche
, elle peut monter à l'écorce grise du cerveau,
rétrécissement du champ visuel au maximum à droite, par la lumière
blanche
. Le cercle du rouge est en dehors du cercle du
ieuse ; hallucinations. Au- topsie : ramollissement de la substance
blanche
nerveuse entourant les deux, cornes occipitales
du cerveau, on constate sur les deux hémisphères un ramollissement
blanc
, diffluent, crémeux, puriforme de la substance
ramollissement blanc, diffluent, crémeux, puriforme de la substance
blanche
entourant dans une étendue de 3 centim. les deu
remarque pas de différence dans la répartition des deux substances
blanche
et grise. La protubérance et le bulbe n'offre
e à gauche. Otorrhée purulente fétide de l'oreille gauche. - Aspect
blanc
, grisâtre du tympan et perfora- tion de cette m
trouve un ramollissement crémeux puriforme limité à la substance
blanche
périépendymaire du prolongement postérieur du ven
rne occipitale du ventricule latéral gauche (à droite, la substance
blanche
qui entoure la corne occipitale paraît saine à
observe un ra- mollissement crémeux avec diffluence de la substance
blanche
limitant l'extrémité occipitale de ventricule l
de crises subintrantes. Autopsie : ramollisse- ment de la substance
blanche
nerveuse entourant le prolonge- ment postérieur
où il existe en ramollissement puriforme, ditfluent delà substance
blanche
ner- veuse entourant la corne occipitale. Le fo
même volume des deux côtés. La consistance de la substance grise et
blanche
est normale. - Le bulbe et la protubérance pa
lus vulnérables sont naturellement les régions formées de substance
blanche
ner- veuse qui entourent les prolongements post
yènes, ou bien s'il y a seulement dans cette partie de la substance
blanche
un REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 419 de ces f
ure, mais qu'elle laisse supposer dans cette partie de la substance
blanche
l'existence d'une zone épileptogene qu'il appar
e expérience. On montre à une hystérique en somnambulisme un papier
blanc
en lui disant : Voici votre portrait. Elle voit
est-il donc arrivé ? On a ajouté à la sensation que donne ce carton
blanc
, toujours reconnaissable pour le sujet grâce à
image imaginaire qui s'est soudée à ce repère extérieur, le carton
blanc
, et qui se comporte comme lui; car on peut avec
upérieure du noyau caudé NCa, et une grande portion de la substance
blanche
sous-rolandiquc Si/, scissure de Sylvius et lob
t rien du trajet et des rapports des colonnes grises ou des faisceaux
blancs
bulbo-protubérantiels, que par la com-paraison de
r ocreuse, jaune claire ou briquetée, tranche nettement sur la teinte
blanche
du milieu ambiant, et permet de délimiter le sièg
la capsule interne les trois ou quatre petits fragments de substance
blanche
, où l'on s'attend à trouver les corps granuleux r
tie en couches de stratification comme le corindon nacré., La matière
blanche
du cerveau, traitée par les chromâtes, subit une
d inconvénient consiste dans la similitude de couleur de la substance
blanche
ou médullaire et de la substance grise ou ganglio
oniaque paraît colorer uniformément les parties grises et les parties
blanches
, il suffit d'un peu d'attention pour faire la dif
renseignements qu'elles nous fournissent, sur le trajet des faisceaux
blancs
ou des colonnes grises. L'avantage bbissaud.
seulement on se rend compte du trajet des faisceaux dans la substance
blanche
et de leurs terminaisons dans la substance grise;
de repère, sur la face interne de l'hémisphère, les deux commissures
blanches
qui ont une situation relativement fixe, on a plu
ruban de Reil, couche de Reil (Sclileife des Allemands). LMA. Lame
blanche
corticale de la corne d'Ammon, substance réticu
Scissure limbique, 68, 75. LFE. Lame festonnée, 72, 78. LMA. Lame
blanche
corticale de la corne d'Ammon, 82. LML. Lame médu
155. L. Scissure limbique, 151. LFE. Lame festonnée, 140. LMA. Lame
blanche
corticale de la corne d'Ammon, substance réti-cul
du lobule pariétal inférieur. L. Scissure limbique, 141. LMA. Lame
blanche
corticale de la corne d'Ammon, substance réti-cul
du lobule pariétal inférieur. L. Scissure limbique, 156. LMÀ. Lame
blanche
corticale de la corne d'Ammon, substance réticu
ure du lobule pariétal inférieur. L. Scissure limbique. LMA. Lame
blanche
corticale de la corne d'Ammon, substance réti-cul
ne), 177. LC Segment moyen de la lamina convoluta, 178. LMA. Lame
blanche
corticale de la corne d'Ammon, substance réti-
9. LFS. Capsula extrema, 255. Lm. Lamina medialis, 251. LMA. Lame
blanche
corticale de la corne d'Ammon, substance réti-
erne et inférieure de la couche horizontale de Reil, 516. LMA. Lame
blanche
corticale de la corne d'Ammon, substance réticu
Lame festonnée. LES. Capsula extrema, moelle de l'insula, substance
blanche
innommée de l'insula. LMI. Lame médullaire inte
na terminalis. LFE. Lame festonnée. LFS. Capsula exlrema. LMA. Lame
blanche
corticale de la corne d'Ammon, substance réticu
convoluta. LC". Segment externe de la lamina convoluta LMA. Lame
blanche
corticale de la corne d'Ammon, substance réti-
ina convoluta, 465. Lem. Lemniscus. LFS. Capsula extrema. LMA. Lame
blanche
corlicale de la corne d'Ammon, substance réti-
L. Scissure limbique. LCf. Fibres lenticulo-caudées. LMA. Lame
blanche
corticale de la corne d'Ammon, substance réticula
!1 : 1° que celui des glandes axillaires est un peu moins dense, d'un
blanc
moins foncé ; 2° que les globules laiteux parais¬
l existe un ancien foyer qui occupe sa partie externe et la substance
blanche
environnante ; son aspect est celluleux ; sa colo
nde que lors de la première opération. La surface des lam¬beaux était
blanche
, peu saignante. Cautérisation au fer rouge. Jus
essous, le tissu présente les caractères du tissu fibreux. Coloration
blanche
, consistance ferme. Ces caractères sont les mêm
bondance la salive et un pus clair, inodore, d'un jaune tirant sur le
blanc
, lequel s'échappe de l'intérieur de la bouche, qu
Par ces deux procédés, on obtient une image noire sur fond gris ou
blanc
. C. Procédé par l'aiguille à pointe. On dispose
celles ont été projetées sur le corps vitré et ont produit ces taches
blanches
dont trois forment, pour ainsi dire, échine au ch
at aigu fut apaisé, que les croûtes furent tombées et que les squames
blanches
vinrent les remplacer, nous ajoutâmes au traiteme
t et d'un prurit assez fort ; sur le scrotum, apparaissent des taches
blanches
, sous forme de larges papules, qui sont le siège
depuis quatre ans il ren¬dait avec les matières fécales des morceaux
blancs
qui, examinés, furent reconnus pour des anneaux d
re. Les orteils sont méconnaissables. Sur le pied la peau est fine et
blanche
, mais mas¬quée en grande partie par des croules g
ne pression continue sur la tu¬meur, il s'écoule un liquide visqueux,
blanc
jaunâtre, contenant des grumeaux fibrineux. Après
simulée par les croûtes ; quelques-unes d'entre elles ont une couleur
blanche
, brillante, rappelant l'aspect des plaques de pso
ue qui égale à peu près le tiers du champ ophthalmoscopique. La place
blanche
qui correspond à la membrane absente est régulièr
rine blanchâtre qui, traitée par la chaleur, s'est prise en une masse
blanche
, opaque {albuminé). Enfin le tissu cellulo-graiss
bcès ou scro-fulides, dont l'existence est dénotée par des cicatrices
blanches
, lisses, parsemées de kéloïdes, les unes en îlots
ons oculaires, indiquées plus haut, la face pré¬sente des cicatrices,
blanches
et lisses en quelques endroits, d'un rouge un peu
P. 72 ; T. V. 37 \2. — Soir : P. 80 ; T.V. 37°,6. Sécrétion laiteuse
blanche
à droite, un peu aqueuse à gauche. Allaitement. P
,5. — Soir : seins moyennement durs ; sécrétion assez abondante, d'un
blanc
jaunâtre. Les lochies ont bien coulé hier, mainte
: P. 72 ; T. V. 37°,5. 28. P. 70 ; T. [V, 57°,3. — Soir : sécrétion
blanche
, abondante; l'enfant tettebien. Appétit; selles q
Seins mous ; mamelon assez petit. En pressant, il sort un peu de lait
blanc
. Lochies rousses. Appétit ; cinq selles diarrhé
P. 72; T. V. 57%5. — Soir: P. 80; T.V. 37%4, Quelques gouttes de lait
blanc
. Ne perd plus. 51. P. 76; T. V. 37%5. — Soir: P
T. V. 58°. Les lochies coulent médiocrement. Seins tendus ; sécrétion
blanche
. Coliques légères. P. 116 ; T. V. 38»,6. 23. P.
V. 57°,7. — Soir: sécrétion assez considérable à peu près tout à fait
blanche
. Lochies presque nulles. P. 80. T. V. 58°,4. 26
78 ; T. V. 57u,8. 27. P. 68 ; T. Y. 37°,6. — Soir : perd à peine en
blanc
. P. 80 ; T. V. 57°,7. — Exeat le 28 décembre. —
100; T. Y. 38u,6. — Soir : Seins assez gonflés, peu durs ; lait assez
blanc
. P. 104 ; T. Y. 59°,6. 27. P. 84; T. Y. 38°,5.
r: P. 88 ; T. V. 38°,3. 28. Seins assez gros. Sécrétion tout à fait
blanche
à droite, un peu jaunâtre à gauche. Les lochies o
rature 7 heures après l'accouchemenC dant; léger écoulement vaginal
blanc
. —Ezeat le 51 décembre. — Ici, la fièvre de lai
bord interne du rein droit, montre que cet organe est rempli d'un pus
blanc
, crémeux, épais ; la tunique fibreuse est doubl
eure après l'accouchement. tendus ; sécrétion moins foncée. Perd en
blanc
. Deux portions. P. 64 ; T.V. 37o,9. 26. P. 66 ;
sont indolores, moins tendus. P. 64 ; T. Ax. 36°,7. — Soir : perd en
blanc
. P. 80 ; T. Ax. 57°. Le 28, pouls à 72. Exeat.
8 ; T. V. 37°,8. 28. P. 68 ; T. V. 37°,5. Seins flasques; sécrétion
blanche
. Écou¬ lenient vaginal médiocre. Selles réguliè
39^,3. — Soir : P. 96; T.V. 39°,6. Seins un peu sensibles ; sécrétion
blanche
, assez considérable ; Venfant telte bien. 26. P
V. 39o,6. 27. P. 72; T. V. 38°,4. Seins moins sensibles. Écoulement
blanc
. — Soir : P. 84 ; T. V. 58°. 28. P. 88; T. V. 3
ammaires sont moins vo¬lumineuses et moins dures ; sécrétion lactée ,
blanche
, moyenne¬ment abondante. Appétit ; venlre souple,
e action secondaire. Tout en admettant les conclusions de la thèse de
M. Blanc
, il dit. que le soufre ne fait que remonter la co
n liquide gélatineux, brunâtre, sans odeur, parsemé de petits flocons
blancs
analogues à des grains de riz; la quantité de ce
ons noter que l'injection des méninges et le piqueté de la sub¬stance
blanche
. Après l'observation du malade de M. Lefoi t, l
spect cachectique très-prononcé; pâleur jaunâtre des téguments; œdème
blanc
des pieds, des jambes et surtout des cuisses ; in
uit. Autopsie le 9 nov. — Congestion légère des poumons. — Caillots
blancs
, jaunâtres, remplissant en partie les cavités du
. Le prêtre n'a pas le droit de consacrer; les soeurs communient en
blanc
; toutes les cérémonies dont elle est témoin dan
de M. Bourneville). Antécédents. Père, boulanger, alcoolique (vin
blanc
), mort d'un asthme symptomatique de bronchite c
n ne sait de quoi. L'autre a suc- combé à des excès de boisson (vin
blanc
). Aucun renseignement sur les grands parents pa
dit que, pour son commerce, il étaiLoLliré de Loi·c Genucozrp (vin
blanc
), mais qu'il ne se grisait pas. 11 n'a jamais é
les modifications de couleur que la solution communique aux fibres
blanches
, suivant le sens dans lequel on les sectionne.
e, la substance du centre ovale qui, à la coupe, est uniformément
blanche
sur un cerveau frais, présente des alternatives d
hez les femmes la cessation des règles et l'apparition des pertes
blanches
, et chez l'homme l'absence des spermatozoïdes et
surtout le matin, cessation presque complète des règles et flueurs
blanches
abondantes, affaiblissement de la mémoire, apat
cet ouvrage 300 exemplaires numérotés à la presse : l 1 .i00 papier
blanc
vélu. Pin : broché, 3 fr. (pour nos abonnés, 9
rare. car bien des cas jadis désignés sous le nom de ramollissement
blanc
doivent être, en l'absence d'examen microscopiq
-mère ; disparition absolue en cette circonvolution de la substance
blanche
. 11 s'agit par conséquent d'une lésion ayant at
e sur la genèse des psychoses ! M. V. D. Steinen ne croitpasque les
blancs
aient apporté aux nègres ou aux hommes de couleur
be occipital gauche. Cet abcès avait pénétré jusqu'à la subs- tance
blanche
du lobe pariétal et de la pariétale ascendante du
s cas connus jusqu'à ce jour, on avait toujours trouvé la substance
blanche
concurremment lésée. Aux questions que lui adre
trecroisement des fibres nerveuses; malheureusement la substance
blanche
du cerveau ivait été trop maltraitée par le coute
ucinations de la vue ; il voit des personnages, des femmes vêtus de
blanc
, des- cendre du plafond de sa chambre ; d'autre
as, puisque l'instinct sexuel prend pour objectif tantôt le tablier
blanc
, devenu ainsi pour le patient une amante adorée
à quinze ans obsession impulsive le poussant ci voler des tabliers
blancs
pour se masturber ; rêves de tabliers blancs ;
ci voler des tabliers blancs pour se masturber ; rêves de tabliers
blancs
; quelquefois couche avec le tablier blanc ; tr
ber ; rêves de tabliers blancs ; quelquefois couche avec le tablier
blanc
; trois condamnations pour vol de tabliers blan
avec le tablier blanc ; trois condamnations pour vol de tabliers
blancs
; ordonnance de non-lieu pour le dernier vol. Dé-
ns un coin. Quand il aperçoit un homme ou une femme avec un tablier
blanc
, il les suit, ne tenant aucun compte du sexe, l
x et éprouve une très vive satisfaction à se représenter le tablier
blanc
, flottant, tel qu'il lui était apparu la première
'il lui était apparu la première fois. La nuit il rêve aux tabliers
blancs
. Il est poussé à prendre les tabliers et non au
de quinze jours, il est arrêté par la police pour vol d'un tablier
blanc
. Devant le tribunal, il ra- conte ses obsession
e d'un pâtissier, il aperçoit dans une armoire une pile de tabliers
blancs
, très propres et bien pliés. La boutique étant
peu re- prend ses anciennes habitudes, dérobant tantôt un tablier
blanc
, d'autres fois en achetant et reprenant avec eux
tiques d'onanisme ; il couchait même quelquefois avec un tablier
blanc
. En avril 1880, il quitte sa place, passe sa jour
n faite chez lui amène la découverte d'une collection de tabliers
blancs
maculés de sperme. Cette fois une enquête médico-
elations avec une femme, il avait eu recours au souvenir du tablier
blanc
et qu'il l'avait évoqué aussi en se livrant à l
à la place desclousde sou- liers, de bonnets de nuit, ou de tablier
blanc
on considère que l'obsession ait l'homme pour o
tiquée au milieu de la tumeur/ on voyait une substance néoplasique,
blanche
, durcj'circulaire;1 qui se distinguait par un c
LE ÉPINIÈRE. 327 ' ' ' OJ- lier de teindre en violet la.substance
blanche
et en bleu la subs- tance grise, (les fibres ra
ancs' ainsi que le tissu de la tumeur colorés en bleu, la substance
blanche
seule avait la couleur violette. Lii'figilre 4
tif, de la subs-' tance grise et des stries radiées de la substance
blanche
par le violet' j- ' ,. '" '' 'I ' U l inllil i
e de la tumeur et 'un peu en delibrs de son '-dfltre;'Il paraissait
blanc
a la lumière incidente et noir la lSjtto'èté réfl
Les modifications que. la tumeur avait 'fait subir à la" substance
blanche
, et, grise de la,moelle érïmrôi nanié ecuent`tivs
e que la tumeur, par son envahisse- ment, avait laissé de substance
blanche
et grise, était contenu dans cette faux. La néo
avaient en même temps souffert de cette réduction. De la substance
blanche
c'est le cordon latéral qui avait le plus souff
tive de ces cordons des deux côtés de la moelle épinière. Substance
blanche
. (PL. V, i,g. 5.) * 1° Cordons antérieurs des p
grise étaient encore bien plus curieuses que celles de la substance
blanche
. J ) Dans les conditions normales les fibres de
blié récemment, j'ai fait constater que les travées de la substance
blanche
accompagnent les plus grandes ramifications des
aurait échappé. Fond d'oeil .pâle et gris. Apoplexies et plaques
blanches
de la rétine, affectant le voisinage de la macu
es àcellcs de la rétinite albuminurique. D'après Lober, les plaques
blanches
auraient moins de tendance à se confondre dans
es réseaux capillaires dans la substance grise et dans la substance
blanche
. Tels sont sommairement les résultats principau
éral de l'appareil vasculaire est le suivant : 1° dans la substance
blanche
, les rameaux artériels ou veineux, sur des coup
beau réseau capillaire allongé d'avant en arrière. La commissure
blanche
présente un réseau transversal, etc.. » Nous auro
ères externes passent entre les 3C I· REVUE d'anatomie. faisceaux
blancs
pour se ramifier un peu plus haut jusque dans.
ordons postérieurs. c Parmi les artères périphériques des faisceaux
blancs
, nous distinguions comme l'auteur allemand des
aussi indiqué la disposition du réseau vasculaire dans la substance
blanche
: « Les capillaires des cordons blancs forment
asculaire dans la substance blanche : « Les capillaires des cordons
blancs
forment des réseaux beaucoup plus larges que ce
ance grise, et se disposent suivant leur direction. La commis- sure
blanche
présente un réseau transversal. Les racines ont d
e, prolifération nucléaire de l'épendyme, intégrité de la substance
blanche
. Les deux autres néoplasmes, du volume d'un har
ion I (Pl. 1 et II) (Asylo S. Francisco de Assis). J. R., 81 ans,
blanc
, portugais, célibataire, résidant au Brésil depui
ion postérieure. Les yeux sont petits et éteints ; la chevelure est
blanche
comme neige. Les sourcils sont très rares, surtou
II (PL I et II) (Asylo S. Francisco de Assis). J. L., portugais,
blanc
, 78 ans, célibataire, autrefois cultivateur. Pa
ervation III (Policlinica gérai do Rio de Janeiro). A. M. Syrien,
blanc
, célibataire, négociant, résidant au Brésil depui
s sont conservés. Cheveux noirs, secs et durs, avec quelques fils s
blancs
; on observe diverses plaques d'alopécie. Des d
IV) , (Policlinica geral do Rio de Janeiro). S. M. C ? espagnol,
blanc
, 42 ans, célibataire. La constitution physique
PI. III et IV) (Hospital da Bonericencia Portuguesa). A. P. S...,
blanc
, portugais, céilbataire, 46 ans, porteur de pain.
) . (Policlinica gérai do Rio de Janeiro). J. G. A..., portugais,
blanc
, 45 ans, charpentier, marié. Il n'y a rien d'inté
t VI) (Policlinica geral do Rio de Janeiro). J. F. L., portugais,
blanc
, 31 ans, célibataire, employé de commerce. Pare
rvation IX (PI. VI) (Hospital da Misericordia). I. A. L., 22 ans,
blanc
, célibataire, laboureur, a été observé par nous e
ure. Les cheveux noirs, secs et abondants, quelques-uns tout à fait
blancs
. Poils rares aux aisselles. Un certain développem
X (PI. VI) (Policlinica geral do Rio de Janeiro). I. H., 23 ans,
blanc
, brésilien (district fédéral), célibataire, barbi
. VII) (Policlinica geral do Rio de Janeiro). J. L. G..., 15 ans,
blanc
, brésilien, garçon boucher. Parents vivants, en
e Wassermann positive. Observation XIV (PI. VIII). J. F., 14 ans,
blanc
, brésilien. Fils unique ; père morl de tubercul
il droit, mydriase considérable, vision = 1 ; oeil gauche, atrophie
blanche
du nerf optique très avancée, vision z1/10. En av
pourrait fort hien que la pupille fût atrophiée, car elle est très
blanche
et petite. Les vais- seaux sont plutôt gonflés.
ent o FLOURNOY Y sclérosés. Les couches profondes de la substance
blanche
, voisines du pourtour ventriculaire, présentent
rs parois et de l'existence de fines vacuoles criblant la substance
blanche
sur le pourtour ventriculaire. Ce dernier indice
a nutrition. Les déchets des couches superficielles de la substance
blanche
retournent à la périphérie ; ceux des profondes
incis, fuselés, les ongles bombés et roses. La peau, très fine, est
blanche
sur le dos de la main, rose plus ou moins foncé
ans, examiné le 27 avril 1915, présente il la main droite un oedème
blanc
très prononcé, surtout sur la face dorsale, ? n
présente le 25 juin 1915 avec la main droite fortement rndématiée,
blanche
, empâtée, gardant facilement l'impres- sion du
s doigts, ainsi que de la partie inférieure de l'avant-bras. OEdème
blanc
, mou, dans lequel on détermine facilement un go
es. Beaucoup de ces obscurs visages n'avaient pas encore vu un seul
blanc
, il y a deux ans. L'action d'un milieu aussi pa
u si leur intérêt matériel est en jeu. Par exemple, ils ont sur les
blancs
une supériorité évidente pour se reconnaître en u
x appendices de chair noire pendant devant eux ou aux pans de linge
blanc
flottant par derrière. Néanmoins, et malgré leu
e c'est service ». Mais ils les méprisent, les traitant de « petits
blancs
n, les comparant à leurs escla- ves. « C'est la
es comp.ren- , dre. Ils acceptent de vivre en plein merveilleux. Le
blanc
leur apparaît comme un sorcier dont ils reçoive
r tua le médecin auxiliaire et blessa le major à coups de fusil. Un
blanc
eût réclamé une contre-visite. En tous cas ils
s d'une vertu magique. Le plus courant est l'égorgement d'une poule
blanche
sur le seuil de la prison pour empêcher le capt
s qui sifflent au-dessus d'eux, ils semblent vouloir de leurs dents
blanches
souriantes happer les balles au passage. « Moi
formule par laquelle ils répondent aux interrogations ironiques des
blancs
aux heures de pire misère, comme lors d'une ascen
. Ils dépensent tout leur argent en démonstrations fastueuses où le
blanc
joue le rôle de serviteur : ils se font cirer l
rapporta autant à la maison. Dans ce concert donné par l'amour, la
blanche
eut donc une valeur infiniment plus grande que
eds ; tête en boule de bilboquet. Peau bien humide, fraîche. Langue
blanche
, épaisse. Malade gei- gnant ou sommeillant. Dou
ment serrer avec la main. Peut tourner la tête. T. vers 37°, Langue
blanche
. 6. Urine : 1.250 ; pas d'albumine. 7. Très l
gauche. 'Aucun trouble sphinctérien. Pas d'astéréognosie. Langue
blanche
. Haleine fétide. Inappétence. Rien du côté des au
Diarrhée pendant quelques jours. A l'entrée. - Langue sèche, un peu
blanche
. Pas de vomissement. Selles normales. Foie norm
le abondante. Pas de nausées. Pas de vomissements. - Langue épaisse
blanche
. Le foie ne déborde pas les fausses' côtes. Rat
et le coude droit, sans gonflement. Apyrexie. 1" septembre. Langue
blanche
, humide. Bruits cardiaques normaux. Douleur dan
elle est très fré- quemment étendue à' quelque portion des cordons
blancs
, cordons latéraux ou cordons postérieurs ; elle
ecine de Rio-de-Janeiro. Observation (PL LU). Eliza B..., 48 ans,
blanche
, domestique. Antécédents héréditaires. Son père
ammes et malgré un accouche- ment normal est née en état d'asphyxie
blanche
; elle ne put être ranimée qu'au bout de quinze
re. -La superficie de la portion principale est lisse, régulière et
blanche
. La consis- tance et l'élasticité sont grandes,
tance à la hau- teur du bile. La surface de section est également
blanche
, sans interstices on cavités 310 MONIZ appréc
ant morphologiquement intacts, ainsi qu'un petit nombre de globules
blancs
. Aucun calcul n'a été entrepris, mais, jugeant ap
, jugeant approxima- tivement, il semble que le nombre des globules
blancs
vis-à-vis des rouges était normal. Centrifugati
altérés, épineux. Globules rouges par centi- mètre cube : 45 000 ;
blancs
: 400. Le liquide centrifugé clair, pas coloré. L
ouvelle ponclion lombaire ; pression : 120, globules rouges : 56.000,
blancs
: 300 par millimétré cube. Nonne-Apelt négative
e légèrement brun. Aucun caillot de sang dans la sérosité. Globules
blancs
dans le sang : 8.700 par centimètre cube. Facul
paroi de l'artère «asilaire on trouve une plaque artériosclérotique
blanche
et brillante de la grandeur d'un grain de chènevi
ules rouges, la plupart morphologiquement inaltérés, et 40 globules
blancs
par millimètre cube. 30. Le patient se plaint d
ntient 530 globules rouges, pour la plupart épineux, et 30 globules
blancs
par millimètre cube. il heures du soir. Le pati
ntrique de 1 centimètre de largeur. En avant le kyste, la substance
blanche
est tra- versée par un caillot de la grosseur d
il est caractéristique de, trouver un nombre auginenté de globules
blancs
dans le liquide cérébro-spinal. Dans les hémorr
c'est la règle (Froin, Ehrenberg) de trouver un nombre de globules
blancs
dépassant proportionnellement de beaucoup les r
vical 'inférieur du sympathique cer- vical par les ramicommunicants
blancs
. De là, elles montent dans le nerf sympathique
l'arthropathie du genou droit se distingue net- tement de la tumeur
blanche
de par le seul examen clinique : à l'hydar- thr
on XVI (Policlinique générale de Rio-de-Janeiro). A. F. L., 44 ans,
blanc
, portugais, marié. Il n'y a pas de type de consti
cause du refus du sujet. . Observation XVII (PI. LXIV). F... F.,
blanc
, brésilien, 20 ans. Parents sains, cousins; il n'
ital de la « Misericordia ») (PI. LXIV). F..., 18 ans, brésilienne,
blanche
, examinée par l'un de nous, avec la per- missio
tonalité blonde. Parfois, au début de la vieillesse, de rares fils
blancs
apparaissent au menton, donnant l'air d'une vie
de voir le malade,'bien que suffisamment âgé, n'avoir pas un cheveu
blanc
. L'alopécie en plaques s'observe communément (o
, mal de Pott. b) Lésions fascicu-lées même très étendues des cordons
blancs
postérieurs ou antéro-latéraux, etc. — 2e groupe
ieures de la substance grise avec ou sans participation des faisceaux
blancs
: paralysie infantile spinale, para-lysie spinale
tère com-mun : toutes tendent à se limiter aux faisceaux de substance
blanche
, et si, parfois, l'axe gris est envahi, elles res
plus haut degré de développement, envahir, parexemple, les fais-ceaux
blancs
dans toute leur épaisseur et dans toute leur éten
t assignées, le processus irritatif ve-nait à s'étendre des faisceaux
blancs
aux cornes antérieures de la substance grise; alo
d'ailleurs assez rare, où la lésion bien que circonscrite aux cordons
blancs
, occuperait la partie de ces cordons que traverse
réressent, dans une grande étendue en hauteur, à la fois la substance
blanche
et la sub-stance grise, mais prédominant cependan
ectée que secondairement, con-sécutivement à une lésion des faisceaux
blancs
, par exemple, et pour ainsi dire d'une manière ac
comme dans la moelle épi-nière, les lésions irritatives des faisceaux
blancs
n'ont pas d'in-fluence directe sur la nutrition d
essé. D'un autre côté, l'absence de toute participation des faisceaux
blancs
et des cornes posté-rieures de la substance grise
les altérations irri-tatives, même les plus profondes, des faisceaux
blancs
, n'ont aucune influence directe sur la nutrition
e la nutrition des muscles ne soit pas affectée lorsque les faisceaux
blancs
de la moelle sont occupés par l'inflammation. Pou
ndant de rap-peler que, malgré l'analogie de composition, les cordons
blancs
ne sont nullement assimilables aux nerfs : l'expé
inuation directe de ceux qui, par leur réunion, forment les faisceaux
blancs
. Ces faisceaux paraissent presque entièrementcomp
était à prévoir, d'aprèscela, que, à beaucoup d'égards, les faisceaux
blancs
de la moelle, sous l'influence des lésions irrita
rôle prédominant, et ce rôle est partagé sans doute par les faisceaux
blancs
postérieurs, car nous savons que les irritations
les et postérieures de la subs-tance grise, soit encore les faisceaux
blancs
postérieurs. A ce point de vue particulier, il y
côté non paralysé ne présentaient rien de semblable. Quelques stries
blanches
, que l'examen microscopique et micro-chimique a d
s surtout sur les parois des ventricules (Pl. Vil), dans la substance
blanche
du centre ovale, le sept uni lucidum, le corps ca
ons et porlent aussi bien sur la substance grise que sur la substance
blanche
. (Pl. V et VI). Les nerfs eux-mêmes n'échappent
ement qu'ils affectent pour constituer ce que l'on nomme la substance
blanche
et la substance grise. Nous nous proposons de con
ns comme sur la planche, les parties qui appartiennent à la substance
blanche
de la moelle vousparai-sent sans doute, au premie
-jonctif persiste seul. Plus encore peut-être que dans la substance
blanche
, la né-vroglie joue, dans la substance grise, un
f. Dans la substance grise, d'ailleurs, de même que dans la substance
blanche
, la névroglie présente la structure réticulée ; s
entre elles. Il s'agira d'abord de ce que l'on voit dans la substance
blanche
. Les points du réticulum où plusieurs trabécule
éléments nerveux manquent, y sont plus serrées que dans la substance
blanche
et de là résulte l'aspect spongieux que nous avon
ellules nombreuses se retrouvent aussi dans les parties des faisceaux
blancs
où n'existent pas de tubes nerveux, dans la couch
moins vrai que, même à l'état frais, les coupes fines de la substance
blanche
de la moelle, placées dans le sérum iodé et dilac
à l'état nor-mal, et ils se dessinent sous forme de petites traînées
blanches
, visibles à l'œil nu, sur le fond gris de la plaq
n scléreuse en plaques disséminées est surtout relative àla substance
blanche
, mais ellepeuts'appliquer également, d'une manièr
s oùla cécité est complète (1 ), une atrophie totale (coloration d'un
blanc
nacré, extrême ténuité des vaisseaux, etc.) avec
capsule interne, formée princi-palement par des tractus de substance
blanche
qui ne sont autres que le prolongement de l'étage
en. — Plus en dehors encore, se trouve une mince lamelle de substance
blanche
, la capsule externe, et, mfin une bandelette de s
e, la région correspondante de la couronne rayonnante et la substance
blanche
avoisinante du lobe postérieur. Il s'agit là, p
e foyer avait détruit une longueur assez considérable de la substance
blanche
et les deux tiers externes du pied de la couronne
t de huit lignes à un pouce de longueur, atteignant dans la substance
blanche
jusqu'à deux pouces. Les régions lésées étaient :
e et le noyau lenticulaire: la portion correspon-dante de la subtance
blanche
du lobe supérieur qui lui est opposée. Toujours p
étaient atï'ectées en même temps. Les fibres qui vont de la substance
blanche
de l'hémisphère dans la partie externe de la couc
s récem-ment par M. Landolt à la Salpêtrière, le champ visuel pour le
blanc
et pour les couleurs est rétréci concentriquement
entée par la vision de lions qui se détachent en rouge vif sur le mur
blanc
de la salle où elle est couchée. Ces animaux appa
i sont sur le point d'éclater, tantôt un chat noir, tantôt un fantôme
blanc
, se dessiner à gauche ; la ma- Gharcot. Œuvres
t de la coupe. a, Plaques de sclérose disséminées dans la substance
blanche
. 6, Plaque scléreuse ayant envahi le corps rhombo
. e, Vaisseaux devenant de plus en plus apparents dans la substance
blanche
, à mesure que la coupe est laissée à l'air. Sorte
issant voir des îlots de sclérose dans différentes régions (substance
blanche
et substance grise). a, Plaques et îlots de scl
es). d, Ilots scléreux irrégulièrement disséminés dans la substance
blanche
des régions cérébrales postérieures ; quelques-un
. f, X7aisseaux devenus de plus en plus apparents dans la substance
blanche
, qui paraît saine à mesure que la coupe est laiss
mettant devoir des îlots de sclérose dans d'autres régions (substance
blanche
et substance grise). a, Plaques et îlots de scl
aux. d, Ilots scléreux irrégulièrement disséminés dans la substance
blanche
des régions cérébrales postérieures. Quelques-uns
s. e, Vaisseaux devenus de plus en plus apparents dans la substance
blanche
sur des points sains en apparence, à mesure que l
partition inégale, irrégulière, soit dans les cordons de la substance
blanche
où elles dominent, soit dans la substance grise.
avec leur teinte natui-elle qui tranche si nettement sur la substance
blanche
et même sur la substance grise centrale. I, Par
-partition inégale, irrégulière soit dans les cordons de la substance
blanche
où elles dominent, soit dans la substance grise.
tes avec leur teinte naturelle qui tranche nettement sur la substance
blanche
et même sur la substance grise centrale). 1, pa
, mal de Pott. b) Lésions fascicu-lées même très étendues des cordons
blancs
postérieurs ou antéro-latéraux, etc. — 2e groupe
ieures de la substance grise avec ou sans participation des faisceaux
blancs
: paralysie infantile spinale, para-lysie spinale
. Le périosten'est pas seulement « la membrane pauvre en vaisseaux,
blanche
, mince, d'un brillant pareil à celui des tendons,
z curieuse. Les ligaments périarticulaires sont tous hypertrophiés,
blancs
, mollasses. Les ligaments croisés ont les mêmes c
ours, sans douleurs, et n'é-taient pas précédées ou suivies de perles
blanches
. Mariée à 21 ans, elle a eu trois enfants. Un s
iés et des couches optiques, s'observant aussi bien dans la substance
blanche
que dans la substance grise. Plèvres : adhérenc
EVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX ANUS CONTRE NATURE de la ligne
blanche
. La direction du trajet est légèrement oblique de
rieure, à sommet dirigé un peu obliquement en bas du côté de la ligne
blanche
. C'est dans l'angle interne de ce triangle, à 2 c
érente. L'hydarthrose, en général, est le premier signe d'une tu-meur
blanche
; or les fongosités, les abcès qui apparaissent fr
ur partie cen-trale, et ne possédaient pas encore cette légère squame
blanche
, qui, vers la fin de l'éruption, forme une sorte
ilôts d'apoplexie.—Caillots noirs dans Y oreillette gauche; cail-lots
blancs
da s Y oreillette droite, se prolongeant dans les
maires, sensibles, sont à peine gonflées et fournissent une sécrétion
blanche
. P. 106; R. 24; T. V. 580,7. Soir : P. 112 ; R. 3
frappe au premier abord est une tumeur du volume d'un gros pois, d'un
blanc
mat siégeant sur la partie de la conjonctive comp
la partie externe de la grande circonférence de l'iris un petit point
blanc
qui bientôt prit une coloration rosée. Le premi
rut bientôt. — Au bout de plusieurs mois, on aperçut une petite tache
blanche
derrière la cor-née. Cette tache augmentant peu à
qu'un rein normal et contenant environ 5 onces (121 gr.) d'un liquide
blanc
, opaque, ayant l'aspect du lait, renfermant des m
a surface du calcul était incrustée d'un revêtement d'urate de soude,
blanc
, inégal. 11 était solidement fixé, à l'instar d'u
utrefois, sont régulières et suivies pendant quelques jours de pertes
blanches
. La tête est droite ; il n'y a pas de roideur d
isines et envahit partiellement le grand pectoral. La colora-tion est
blanc
grisâtre. A la coupe, on obtient un suc laiteux,
méfiées. — Les seins sont très-gonflés, sensibles ; la sécré-tion est
blanche
. Les lochies sont assez abondantes et colorées. —
labiaux. Des deux commissures labiales s'écoule une salive mousseuse,
blanche
, abondante. Le cou est roide. Les membres supér
. Les quatre cavités dacœur sont distendues par des caillots noirs et
blancs
. Le tissu cardiaque est résistant; il n'y a pas d
droit, a dû faire naître l'idée d'une hernie au voisinage de la ligne
blanche
. La sensation de réduction d'une portion d'intest
ques, par quelque peu de sérosité desséchée; elles n'ont pas l'aspect
blanc
, nacré ou argenté, des squames du psoriasis herpé
t peu considérable. Depuis lors jusqu'à ce jour, elle a eu des pertes
blanches
, des palpitations, etc.; en somme, tous les sympt
reuse et plus rouge. Les seins sont mous et fournissent une sécrétion
blanche
, peu abondante. Les lochies, rougeàtres, ont dimi
par une très-petite quantité de mucus, don-nant à l'urine une couleur
blanc
de neige ; cette substance tomba au fond du vase,
e pierre, bien que les yeux de la sonde fussent remplis d'un sédiment
blanc
tout pareil. Dans les vieux ca-tarrhes de cette e
. Dans le premier cas, le calcul pesait 54 milligrammes, était d'un
blanc
pur et consistait en phosphate avec quelques trac
ignant par une pression excessive. Une fois lavé, il était aussi d'un
blanc
de lait et présentait absolument la même composit
deux de large, péné-trant de la substance corticale dans la substance
blanche
. Les prin-cipales altérations siègent sur le lobe
a plupart des artères allant aux lobes temporaux des embolies, d'un
blanc
jaunâtre, assez fermes, n'adhérant pas aux parois
vule mitrale une saillie ronde, com-posée de caillots fibrineux durs,
blancs
jaunâtres. Après les avoir enlevés en partie, on
s présentent un vieil infarctus étendu, se distinguant par sa couleur
blanc
jaunâtre du parenchyme rénal brun rouge. Le can
nte une coloration des plus diverses : la plus grande partie est d'un
blanc
bleuâtre; dans certains endroits, elle est jaunât
tobre. — Apparition au fond de la solution de continuité d'une couche
blanc
grisâtre, qu'on cautérise avec une solution de pe
deux tumeurs marginales sont au contraire dures ; leur tissu est d'un
blanc
bleuâtre. On remarque par points de petites tache
de son étendue. La bouillie épaisse qu'on obtient à la coupe est d'un
blanc
jaunâtre. Le foie est hypérémié. Cerveau. — Pas
tion, gonflement, injec-tion avec épanchement sanguin, ramollissement
blanc
ou suppu-ratif, abcès et quelquefois ramollisseme
cela est vrai dans un grand nombre de cas, mais dans d'autres, le pus
blanc
et verdâtre ressemble à tous les autres pus (Monn
s impressions, il a pour s'exprimer les mots : image colorée et image
blanche
. Nous recueillons ainsi des renseignements préc
disséquée de manière à dénuder la tumeur. La sur-face de celle-ci est
blanche
, lisse, et si bien limitée des tissus envi-ronnan
cielle à sa face profonde, sont chacun de 4 centimètres. Sa surface
blanche
, lisse et d'aspect fibreux, est divisée en 12 ou
de la décortication. Ces petits lobules, assez peu consistants, d'un
blanc
grisâtre, ont l'aspect des grains d'une glande ac
sac glandulaires. A la coupe, le tissu de la tumeur est ferme, d'un
blanc
grisâtre ou jaunâtre, sillonné uniformément par d
articulier au cœur. — Le foie présente quelques noyaux cancéreux d'un
blanc
jaunâtre, durs, superficiels, ayant la grosseur d
globes limités à droite. Examen du fond de l'oeil. 0. D. : papille
blanche
nacrée, allongée trans- versalement, bords flou
Atrophie papillaire très accusée post- névritique. 0. G. Papille
blanche
nacrée plus régulière qu'à droite bords flous, va
its : Observation (PI. IX). J. C. A..., homme, 33 ans, brésilien,
blanc
, charpentier. Un ne peut con- naître grand'chos
ellules de Purkinje fit nn certain degré d'atrophie de la substance
blanche
. Anatomiquement donc, comme cliniquement, l'aff
taires ; à la coupe, la corti- cale présente des zones infimes d'un
blanc
brillant tranchant sur la coloration foncée du
abit du patient est de couleur grise de même que son feutre à plume
blanche
placé sur le montant de la chaise. La culotte c
roéminente.' Sa tête est recouverte d'une sorte de calotte de toile
blanche
bien posée carrément. 1 Son costume consiste
uge el du vert est à peu près proportionnelle à celle de la lumière
blanche
. Selon la théorie de Ilenschen sur les voies de
seules couleurs qu'il put désigner d'emblée correctement furent le
blanc
, le noir et le bleu. Prié de désigner la couleur
a couleur de roses roses, il commença par répondre qu'elles étaient
blanches
, puis il prétendit qu'elles étaient bleues, et
être femme. La nuit il voit des anges et de belles jeunes filles en
blanc
. Il regrette amèrement de ne pas posséder une con
1909. MYPERCHROMtE GÉNÉRALISÉE AVEC ACIIROMIE ASSOCIÉE . LÈPRE
BLANCHE
ET MÉLANIQUE A TYPE « PIE » PAR Jean ANGLADA
re clinique est publiée (dans la race noire) sous le titre de lèpre
blanche
. Son aspect général est celui Nouvelle Iconogra
iques, décolorées de façon assez variable. La peau est généralement
blanc
pâle, mais en certaines régions et plus spécial
tque. La dépigmenta- tion est massive ; il n'y a pas sur les taches
blanches
de modifications autres de la peau. Les deux co
ans qu'il y ait une transition appréciable. On passe directement du
blanc
au brun sale sans que les pourtours des taches so
l n'y a pas d'éléments papuleux. En certains en- droits les plaques
blanches
s'étendent davantage et irrégulièrement, mais, to
melons, aux avant-bras, aux bras, aux mains qui semblent gantées de
blanc
; pour le plan postérieur il faut signaler la r
de Hansen. Notre malade rappelle très étroitement ces cas de lèpre
blanche
décrite dans les races noires et dont Wurtz et Th
hiroux ont donnéun bel exemple (1). Ici il y a association de lèpre
blanche
et de lèpre noire, Zambaco-Pachaar apporté il y
-Pachaar apporté il y a déjà longtemps ces cas où « la peau la plus
blanche
, la plus caucasique, devient abyssinienne et même
côté de cette hyper- pigmentation qui peut faire,dit Rayer, que les
blancs
deviennent ternes, bronzés ou acquièrent une te
ement, que par celle que j'ay dit causer le sentiment de la couleur
blanche
, ou bien celuy de la douleur; et que les esprits
anulations denses, nous constatons que le cytoplasma a une tonalité
blanc
jaunâtre ou même jaune d'or, tandis que s'il s'
inaux. Il y a cependant deux sortes de cellules : des cellules gris
blanc
, à granulations fines plus ou moins denses, d'a
c, à granulations fines plus ou moins denses, d'autres plus près du
blanc
d'argent et enfin on trouve parfois des cellule
l'aspect est des plus caractéristiques. Presque toutes, de tonalité
blanc
d'argent, blanc neigeux ou jaunâtre, contiennent
plus caractéristiques. Presque toutes, de tonalité blanc d'argent,
blanc
neigeux ou jaunâtre, contiennent des blocs gran
osition concentrique de ces corpuscules dont quelques-uns sont d'un
blanc
bril- lant ou à reflet jaunâtre. Ceux-ci, dont
0). Au point de vue de la tonalité, on peut distinguer des cellules
blanc
jaunâtre, blanc d'argent et gris acier dont quelq
vue de la tonalité, on peut distinguer des cellules blanc jaunâtre,
blanc
d'argent et gris acier dont quelques-unes contien
inosité de la plupart des cellules a aug- menté, qu'elles sont d'un
blanc
brillant et quelques-unes ont un reflet jau- nâ
Les cellules sont évi- demment rétractées, leur périphérie est d'un
blanc
bri liant, les tonalités du cytoplasma variées
que la luminosité des cellules, particulièrement des cellules gris
blanc
, augmente, que les granulations colloïdales se so
uminosité de la cellule diminue et la tonalité change. Les cellules
blanc
d'argent, les cellules gris blanc prennent une te
la tonalité change. Les cellules blanc d'argent, les cellules gris
blanc
prennent une teinte grisâ- tre ou plombée. Lo
s cellules en cytolyse périnu- claire et périphérique, des cellules
blanc
jaune qui sont devenues beau- coup plus résista
noyaux de la substance glise, ni dans les faisceaux de la substance
blanche
du bulbe. L'examen de la moelle a porté sur les
ux, tissu con- jonctif), ni lésions parenchymateuses ; la substance
blanche
est indemne de tonte dégénérescence, les cordon
uels non seulement l'axe gris de la moelle, mais aussi la substance
blanche
participaient à la dégénérescence. De même la s
pé- riphériques et avec moins de gravité l'axe gris et la substance
blanche
de la moelle (2). Ainsi se fait, par l'anatomie
prononcées ; il existe un bouleversement des fibres des fais- ceaux
blancs
qui se trouvent sectionnées obliquement et dans d
ig. 13) et même un peu de la corne postérieure gauche. La substance
blanche
est moins touchée, les cordons postérieurs semble
oire, ni de très importante prolifération névroglique. La substance
blanche
avoisinante est très sen- siblement normale, le
de la corne postérieure ellïnlégl ilé presque absolue des faisceaux
blancs
. Les lésions ménino-vasculair sont celles habit
e réseau pie-mérien, et qui, de là, s'enfon- cent dans la substance
blanche
pour venir au niveau de la substance grise s'an
tive des cornes postérieures, intégrité presque absolue des cordons
blancs
. Au premier abord, la corne poslérieure paraît
s très épaissies et sont presque vides de sang. Quant aux cordons
blancs
, leur intégrité parait absolue. Dans l'ensem- b
ependant, leur volume est quelque peu inférieur à celui des cordons
blancs
du côté sain, mais en même temps ils paraissent p
servation relative de la corne postérieure. Inté- grité des cordons
blancs
. Lésions artérielles associées, d'origine syphi-
'atteinte élective de la subs- tance grise, l'intégrité des cordons
blancs
avoisinant montre qu'il ne s'a- gU pas d'un ram
qui fournissent l'irrigation de la corne postérieure et des cordons
blancs
. Parmi ces branches perforantes, quelques-unes,
aire détermine un ramollissement limité de l'axe gris, la substance
blanche
demeurant saine). Il resterait à expliquer le
ramifie, provoque des lésions plus ou moin étendues de la substance
blanche
, occa- sionne une solution de continuité des vo
Dans l'ensemble l'hemi-moelle droite est très atrophiée. La substance
blanche
est sensiblement indemne sauf en un point limit
rs du côlé droit le sillon de la face antérieure. Dans la substance
blanche
, il reste dans le cordon antérieur quelque trace
is cependant perméables ; 5° en Z aspect réticulé de la subs- tance
blanche
centré par un petit vaisseau ; 6° On note en outr
moins abondants et moins volumineux que du côté droit, la substance
blanche
paraît intacte. La destruction de la corne anté
moins abondants et moins volumineux que du côté droit. La substance
blanche
parait intacte sauf l'existence d'une dégénérat
bstance grise est peut-être un peu diminuée de volume. La substance
blanche
présente une sclérose modérée, mais nette du cord
cornes postérieures sont grêles et mal vascularisées. La substance
blanche
est indemne. Pas de lésions des cordons postérieu
CROMÉGALIE ET UREMfK 457 sont très pâles ; leur surface est presque
blanche
, non granuleuse, mais lisse et onctueuse. Rei
ttante et lisse, comme la subs- tance cérébrale. Elle a une couleur
blanche
, et de fins petits vaisseaux cou- rent sur elle
ais il est difficile de la pincer. On est en présence d'un tégument
blanc
, dur, élastique, indolore, recouvrant les mem-
périeurs son évolution est normale ; aux membres inférieurs la raie
blanche
persiste très longtemps. Les réflexes tendineux
stein, 47. Hyperchromie généralisée avec achromie associée. Lèpre
blanche
et mélanique à type pie (2 pl.), par ANGLADA, 1
le turcique. - féminisme mental) 14 pl.), par GALLAIS, 124. Lepre
blanche
(Hyperchromie généralisée avec achromie associé
LADA (Jean). Hyperchromie généralisée avec achromie associée. Lèpre
blanche
et mélanique à type pie (2 pl.), 146. BENON (
enant droit, la tête haute.- Physionomie intelligente. Grande barbe
blanche
qui lui donne un air beaucoup plus âgé que ses
ion sur l'origine isché- mique probable de certains ramollissements
blancs
que l'on rapporte à la myélite chronique. Le pr
entiellement le tableau d'une dégénérescence disséminée des cordons
blancs
de la région dorsale de la moelle ou d'une leuc
des cornes antérieures et postérieures, au niveau de la commissure
blanche
parait un foyer circonscrit constitué par un ti
tiers supérieur de la région dorsale avaient subi le ramollissement
blanc
à un haut degré, puisqu'à peine la pie-mère, fo
ales de la moelle surtout à la région dorsale, on voit la substance
blanche
faire saillie dans DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI D
dans quelques autres places pénétraient plus loin dans la substance
blanche
, de façon à altérer tous les cordons postérieur
a sectionné, excité, cautérisé la substance grise et la substance
blanche
du cerveau sans être jamais par- venu, jusqu'à
is par Seppilli, que les lésions de l'écorce et de la subs- tance
blanche
sous-jacente, tout comme les lésions superficie
IRES POSTÉRIEURES DANS LA MOELLE ET DE LA STRUCTURE DE LA SUBSTANCE
BLANCHE
DANS LE SEGMENT POS- TÉRIEUR DE LA MOELLE, AVEC
l'autre qui gagne auparavant, en dedans et en dehors, la substance
blanche
, autour des cornes grises postérieures. Celles
arke où elles semblent se terminer. Celles qui longent la substance
blanche
autour des cornes grises postérieures (faisceau c
nt toute l'épaisseur de l'écorce ou jusqu'à la lisière de substance
blanche
, voire dans la couronne rayonnante ; - go la céci
des cellules dont le prolongement cylindraxile aboutit à une fibre
blanche
après avoir fourni une plus ou moins grande quan-
stomosent avec les branches de fibres nerveuses qui de la substance
blanche
entrent dans la substance grise ; la contiguïté
les cas de change- ment permanent et soudain du noir au gris ou au
blanc
, - mal- gré l'opinion d'Hébra et de Kaposi, - c
la suite d'une névralgie sé- vère, les cheveux ont passé du noir au
blanc
en cinq heures. Lan- dois décrit un de ces cas
de toutes pièces par l'imagination s'impose brutalement, de but en
blanc
comme s'il élait une réminiscence. 2° hall, ass
iation manifestement autonomes en dedans de la lisière de substance
blanche
. Discussion. M. Flersiweh. Ces lésions nous rap
e cavité; dans le cas de M. Zacher, c'eatla lisière de la substance
blanche
qui s'est trouvée être le terrain générateur; l
s- culaire occupait surtout les cordons postérieurs; la substance
blanche
et grise ne présentait pas le mode de répartition
t servies par une femme. Putz invita la femme à le regarder dans le
blanc
des yeux. La femme obéit, et elle ne tarda pas
éparé de toutes parts de la substance grise par de la subs- tance
blanche
saine et colorée en noir. Au niveau de l'extrém
ogie », est celle de. la détermination quantitative de la substance
blanche
et de la substance grise du cerveau humain. Con
es régions, les différences quantitatives de volume de la substance
blanche
et de la substance grise sont d'autant plus for
glionnaire, après avoir dépassé la valeur ab- solue de la substance
blanche
chez les jeunes sujets, la substance grise décr
bsolument LES FONCTIONS DU CERVEAU. 205 inférieure à la substance
blanche
chez les adultes et chez les vieillards. Dans l
égion postganglionnaire, elle augmente, relativement à la substance
blanche
, de la PA jusqu'à la scissure pariéto-occipital
é une sorte d'équi- libre stable entre les deux substances grise et
blanche
. L'année même où paraissait ce travail de Conti
phale humain et sur la détermination quanti- tative de la substance
blanche
et de la substance grisei. Exécutées à l'Instit
antitatifs des deux substances, le poids spécifique de la substance
blanche
des hémisphères dépasse tou- jours celui de la
oppement ulté- rieur de l'organe a lieu au profit de la substance
blanche
. Chez le foetus à terme, l'épaisseur de la subs
en., 1884, X, p. 193. 206 6 PHYSIOLOGIE. Le poids de la substance
blanche
des hémisphères atteint son maximum de cinquant
stance grise est en plus grande quantité chez l'homme, la substance
blanche
chez la femme. La diminution, avec l'âge, de la
anifeste. La quantité notablement plus considérable de la substance
blanche
en regard de la grise, le chiffre élevé de son
es régions inférieures de l'écorce qui confinent à la subs- tance
blanche
. En somme, cette disposition dès-élé- ments ner
cède à peine à celle du cerveau « humain » (Broca). L'asymétrie des
blancs
est plus accusée que celle des nègres; en se si
it, et suivies d'un moment d'hébétude. Parfois, il avait une mousse
blanche
à la bouche. Il s'était marié avec une femme pl
siles ; l'inflores- cence est en corymbes, les fleurs petites, d'un
blanc
rosé. On emploie la racine qui est petite, droi
: C°II'0',AzITO. - Ce sel se présente sous forme de petits cristaux
blancs
très hygrosco- piques que l'on obtient en satur
soixante-huit ans, affecté d'hémianopsie avec alexie. La substance
blanche
ressortissant au pli courbe, à la première occi
du segment supérieur des fibres de Gra- tiolet jusqu'à la substance
blanche
latérale du pulvinar ; diminution considérable
i un recoquillement considérable qui porte surtout sur la substance
blanche
. Dilatation extrême du ventricule latéral. Atro
et Schwei¡rger, sous le titre : Développement et trajet des fibres
blanches
dans le chiasma des nerfs optiques de l'homme.
a présence de M. Leroux, directeur des affaires départementales. de
M. Blanc
, chef de cabinet de M. le préfet de la Seine ;
bonnes résolutions. L'c ingénue » était charmante dans une toilette
blanche
garnie de cygne, et la façon simple et naïve do
es des auteurs sur la différenciation topographique des faisceaux
blancs
de cet organe. L'unité anatomique apparente du
ceaux blancs de cet organe. L'unité anatomique apparente du manteau
blanc
de l'axe spinal a été, comme on sait, successiv
cularités aiuilomo-patholo- giques. Chaque moitié de la substance
blanche
de la moelle est d'abord divisée par les racine
érieures. Dans les cordons prismatiques il y a, à part la substance
blanche
en forme de bandelette bordant la corne postéri
l. Après ceux-c vient le cordon de Burdach. Bord mince de substance
blanche
conservé le long des cornes postérieures. La
à un moment donné du mouvement de l'écran, un morceau de pa- pier
blanc
sur lequel est écrit un mot de 3 ou 4 let- tres
NCONTRENT COMMUNÉMENT AU VOISI- NAGE DE LA JONCTION DE LA SUBSTANCE
BLANCHE
ET DE LA SUBSTANCE GRISE DES CIRCONVOLUTIONS DA
LLE épinière Er du cerveau. Moelle lombaire (fig. 1). Les faisceaux
blancs
, colorés par la méthode de Weigert-Pal, sont en
une hémorrhagie du volume d'un haricot qui siège dans la substance
blanche
au-dessous de l'écorce du pli courbe; tout aulo
tococciques, on constate des altérations disséminées de lasubstance
blanche
du système nerveux central, et des lésions systém
èlent pas de lésions bien nettes. Les altérations de la subs- tance
blanche
de la moelle ont été constatées presque exclusive
nd, nombre des cas, l'altéra- tion porte à la fois sur la substance
blanche
, sur la substance grise, sur le tissu de soutèn
ant la topographie et la nature de leur altération. a) La substance
blanche
. Nous l'avons vue altérée dans tous les cas, et
e, elles sont diffuses et ne respectent que la portion de substance
blanche
voisine de la commissure grise et quelques libr
te au segment postérieur. L'adhérence de la pie-mère à la substance
blanche
est très intime. Il se passe là quelque chose d
nne pas et nous la voyons pénétrer dans l'intérieur de la substance
blanche
en suivant les travées que l'on considérait à t
rès nombreuses, extrêmement divisées dans l'intérieur des faisceaux
blancs
qu'elles semblent enserrer. Elles sont plus épa
s ne s'observent pas seulement à la périphérie et dans la substance
blanche
du segment posté- rieur. Elles sont très accusé
'anatomie de la moelle. Cette anatomie nous enseigne que les fibres
blanches
se divisent en deux grandes catégories : celles
disons-nous, sous forme de travées, pénétrant dans les fais- ceaux
blancs
, serait capable de produire une sclérose intra-
e ailleurs des pro- cessus analogues. Les lésions de la substance
blanche
se retrouvent dans les scléroses combinées, dan
us les éléments constitutifs de l'axe médullaire. Dans la substance
blanche
, les fibres endogènes, c'est-à-dire celles qui,
e à la lumière comme à la convergence ; si l'écorce ou la substance
blanche
voisine était atteinte, la pupille resterait no
subs- tance grise, bien pauvre en cellules nerveuses; la substance
blanche
n'est que comprimée, la myéline des cordons lat
s, ni dans le tissu nerveux. Sur les coupes au Weigert la substance
blanche
a mal pris l'hématoxyline; le nombre des tubes
oelle de ce malade. A côté d'une lésion insignifiante des faisceaux
blancs
et une légère prolifération névroglique, on tro
r sa coloration gri- sâtre et sa consistance ferme sur la substance
blanche
. La lésion s'étend depuis le lobe frontal jusqu
cun symptôme. Hémiplégie progressive par artérite et ramollissement
blanc
. MM. BRISSAUD et de 111.ss.ar. Le syndrome hémi
A l'autopsie nous trouvâmes une lésion énorme de ramollisse- ment
blanc
, occupant les deux tiers inférieurs des circonvol
e, il n'y a pas, comme dans notre observation anatomique, un oedème
blanc
hypertrophique aussi caractérisé, cela tient à
veurs de mauvais alcools, d'apéritifs, etc. Jamais le buveur de vin
blanc
de pays, même à des doses quotidiennes exagérée
elle, on n'ob- serve aucune dégénérescence secondaire des faisceaux
blancs
. L'examen de la tumeur montre qu'elle est formé
t spécifiés à l'aide de figures. En voici le résumé. La substance
blanche
de la moelle est excitable à l'électricité, en
cérébral droit. Il y a peu d'hypérémie généralisée de la substance
blanche
du cerveau. Il Post mortes. Outre nos observati
a couche corticale qui est ramollie. La consistance de la substance
blanche
est normale. Cerveau très volumineux pour 1 âge
substance corticale (obs. 6, 8 et J2); injection de la substance
blanche
et de la substance grise du cerveau (obs. 4, 5, 6
ses loisirs, fréquentait le cabaret. On estime à deux litres de vin
blanc
et à cinq ou six petits verres d'eau-de-vie sa
ns celles où elles sont faibles. SUICIDE par armes FEU ou par mimes
blanches
(Instruments tranchants ou piquants.) J'étudi
rai maintenant les chiffres de suicide par armes à feu et par armes
blanches
, pensant avoir réussi à démontrer que non seule
e surprenante. Les statistiques de suicide par armes à feu et armes
blanches
peuvent être examinées ensemble. Nous avons dit
suicide mais le nombre total des décès par armes à feu ou par armes
blanches
qu'ils soient attribués ou non au suicide.. N
bserver ici qu'à l'égard des morts accidentelles par armes à feu ou
blanches
et aussi par rap- port aux morts accidentelles
es proportions de sui- cide et d'accidents par armes à feu et armes
blanches
pour les deux périodes de quinze années allant
quinze années allant de 1865 à 1894. Morts par armes à feu ou armes
blanches
pendant 30 années (1865 à 1894). t RECHERCH
ltats généraux avec les chiffres des morts par armes à feu ou armes
blanches
. La proportion des suicides s'élève à la fois e
leurs névralgiques. Deux mois après, apparition d'une nouvelle raie
blanche
, parallèle à la première. En octobre 1897, prem
nt décrits siègent dans la corticalité cérébrale. Mais la substance
blanche
n'est pas indemne d'altérations. Ces dernières
lammatoires de la substance grise siègent plus près de la substance
blanche
. Voici ce que l'on observe dans cette dernière
s s'observent à l'état isolé dans une large étendue de la substance
blanche
. L'endothéliulll des capillaires a proliféré. Q
rence dans la coloration des cellules névrogliques des substances
blanche
et grise ? Il nous est impossible de nous prononc
ncée qui n'est plus nettement visible quand on examine la substance
blanche
des circonvolutions faiblement atrophiées. 11
ses. On y constate l'accumulation d'une grande quantité de globules
blancs
; les cellules névrogliques et les cellules de l
3) ou plus souvent nombreux. Ils siègent toujours dans la substance
blanche
. Le cas n° 3 siège bien dans la cor- ticalité,
plus ou moins rondes, disséminées un peu partout dans la substance
blanche
du cerveau. Et cette lésion, qui d'après Friedm
e. Seulement les foyers de cette dernière siègent dans la substance
blanche
de n'importe quelle région de l'encéphale. Depu
ires circonscrits hématogènes : hyperémie, accumulation de globules
blancs
dans la gaine des vaisseaux et dans les tissus.
vé non plus de microbes patho- gènes. Macroscopiquementla substance
blanche
était humide. Mais la véritable caractéristique
lules nerveuses. poussées d'encéphalite aiguë. 453 La substance
blanche
répond très vivement au processus inflammatoire
rition comme la conséquence d'une faible irritation de la substance
blanche
. Comme preuve de ce que nous avançons vient se
ant aux foyers inflammatoires ont disparu. Le reste de la substance
blanche
paraît normal. Donc dans notre cas, au point de
es foyers inflammatoires, les cellules névrogliques de la substance
blanche
prolifèrent avec une grande intensité. Ce que n
vaisseaux. Dans ces foyers, avant toute extravasation des, globules
blancs
du sang, les cellules névrogliques sont déjà en
squ'a l'arête du manteau, mais c'est tout superficiel, la substance
blanche
est restée intacte. Il existe en même temps un
racté- ristiques ; 2° la toxine diphtérique ne modifie la substance
blanche
de la moelle que dans des cas exceptionnels, al
ération aberrante et qui peut occuper tout le champ de la substance
blanche
. Elle se distingue de la première en ce qu'elle
'eierolog. Cenl1'alúl., XVI, 1897.) La partie des cordons latéraux
blancs
contigué à la substance grise, ou couche limita
arie pendant une à deux heures. Presque tout de suite, la substance
blanche
de la moelle tranche sur la substance grise plu
de la moelle tranche sur la substance grise plus claire ; la couche
blanche
du cerveau devient noire, la couche grise, plus
n décolorera ainsi à son gré jusqu'à ce qu'à l'oeil nu la substance
blanche
soit bleu-noir et la substance grise plus ou mo
rescence forme un dessin ver- tical à angle droit dans la subslanee
blanche
de la circonvolution en question ; tout à fait
le et que le territoire du plexus sacré est indemne. La subs- tance
blanche
est bien plus probablement atteinte que les racin
urer sur un tableau en colonnes et pavillons noirs et gris sur fond
blanc
, les divers volumes des cerveaux de paralyti- q
auer 128. Hémiplégie progressive par artérite et ramollissement
blanc
, par Bris- saud et de Massary, 243. Etat du f
me chien, vue d'en haut. X et les nombres, comme avant. La place en
blanc
désignée X provient de ce que le coagu- lum éta
icielles. et ne s'étendent pas au delà du cortex et de la substance
blanche
immédiatement sous-jacente. Cette disposition per
interne n'ont même pas pénétré assez profondément dans la substance
blanche
pour couper les fibres de projection qui descende
orrespondante soit limitée à l'écorce cé- rébrale et à la substance
blanche
immédiatement sous-jacente ; et ce pos- tulat e
exact des fibres mêmes au milieu des éléments sains de la substance
blanche
ou grise. Plus tard, lorsque la myéline est compl
s disparaissent, en même temps qu'une grande partie de la substance
blanche
du centre ovale. Sur les coupes passant par le
la cavité kystique, les coupes horizontales montrent une substance
blanche
compacte, comprenant les fibres d'association e
d de la couronne rayonnante, il est réduit à une bande de substance
blanche
dont les fibres sont verticales ou obliques, sa
e temps que cette diminution considérable de volume de la substance
blanche
, on constate (fig. 7) : ' 1° Qu'il n'y a pas da
du doigt et qu'on la cesse brus- quement, on constata que la tache
blanche
produite disparaît pour ainsi dire instantanéme
sale ; il est beaucoup moins accusé que' celui de la jambe ; il est
blanc
, sans godet, indolore, dur, non capitonné; la p
bandes minces, horizontales, parallèles, alternativement noires et
blanches
; ces bandes paraissent bien correspondre à une
que, nous relevons les particularités suivantes : La peau n'est pas
blanche
dans toute son étendue ; elle est rosée ou roug
bleuâtre ; le gonflement delà malade de Sicard et Laignel-Lavastine,
blanc
dans la position horizontale, devenait rouge vi
vait le matin cinq petits verres de liqueur ou bien un litre de vin
blanc
; aux repas, il ne prenait que de l'eau rougie.
ut, disparition du noyau, mais sans pigmentation. Dans la substance
blanche
, on constate les lésions de « l'eedéme » du tis
e et lombaire. B et C. - V° et VI" segments dorsaux. E. Substance
blanche
du cordon latéral de la moelle au point comprimé.
ète du faisceau postérieur droit, sauf une mince bande de substance
blanche
immédiatement en contact avec le bord postérieu
e dans son parcours extramédullaire et la structure de la substance
blanche
résulte encore d'une façon très évidente de la Fi
oire d'une forme plus ou moins arrondie. Au niveau de la commissure
blanche
beaucoup de tubes nerveux sont également colorés
ulte d'une façon très démonstrative de la figure 7. La com- missure
blanche
contient très peu de fibres nerveuses teintes en
on positive dans les racines médullaires et aussi dans la substance
blanche
des différents cordons de la moelle, semblerait
laire intracellulaire. Les cylindraxes des fibres de la substance
blanche
, ainsi que nous l'avons fait entendre implicite
e Weigert. En appliquant cette méthode on constate que la substance
blanche
se colore d'une façon uniforme et avec la même in
s réactifs. La colora- tion des fibres myéliniques de la commissure
blanche
et de la substance grise est d'un violacé encor
oter que certains noyaux de névroglie, aussi bien dans la substance
blanche
que dans la substance grise, sont plus larges q
ées et diffuses aussi bien à la subs- tance grise qu'à la substance
blanche
: mais ce qu'il y a de vraiment re- marquable c
ation noire que la presque totalité des tubes ner- veux;des cordons
blancs
ont prise en appliquant la méthode de Marchi. Or,
e tuberculose des granulations noires assez fines dans la substance
blanche
de la moelle et dans les racines. Nonne (1899
boules noires disséminées irrégulière- ment dans toute la substance
blanche
médullaire, boules qui étaient très nombreuses
put relever dans son observation aucune altération de la substance
blanche
, ni avec la méthode de Marchi ni avec celle de
déjà vu plus haut, où les gaines myéliniques des différents cordons
blancs
ne nous offrent que des modifi- cations morphol
affinité que pour les fibres des nerfs périphériques et les cordons
blancs
de la moelle épinière. En d'autres termes, une mê
FiG. 5. Coupe transversale de la moelle cervicale. - c, commissure
blanche
. - Méthode de Marchi. - Grossissement : Oc. 4 C
discerner qui représente la mère du Sauveur, Reine des Martyrs. La
blanche
marguerite, placée dans un coin quelconque- du de
du côté droit. L'épaisseur de la substance grise et de la substance
blanche
est'diminuée à gauche. FiG. C. Coupe transver
chnoïdien. Les travées conjonctives supportent de nombreux globules
blancs
. i. leuc. infiltration leucocy- taire (pus) den
culiste (Dr Pereyra) la vit à cette époque et constata une atrophie
blanche
papillaire bilatérale très avancée avec de clairs
aita de la Clinique oculistique de Florence constatait une atrophie
blanche
bilatérale avec vision totalement abolie à droite
e enfance ; la jambe gauche au-dessous du genou une large cicatrice
blanche
provoquée par une brûlure. Aucune cicatrice de
men du fond de l'oeil pratiqué le 23 janvier 1907 disait « atrophie
blanche
bilatérale de la papille. » L'examen fait cette
M. le professeur Casagli, a donné le résultat suivant : « Papilles
blanches
, nacrées. Vaisseaux de calibre quasi- normal. L
trois ou quatre poils longs et rudes, en partie noirs, en partie
blancs
. Les sourcils et les cils sont bien fournis ;
e. Les artères sont très grêles. La papille est atteinte d'atrophie
blanche
. Examen du champ visuel. - Pour l'oeil droit, l
tat de l'épreuve avec un point lumineux. Si l'on se sert d'un point
blanc
opaque, le champ pré- sente un scotome central
d des sillons, le sarcome s'est engagé bien avant dans la substance
blanche
. C'est là aussi le maximum de surface de l'hémi
ortex a conservé une structure bien mieux dessinée que la substance
blanche
. Résumé. -IL s'agit d'un sarcome, sis immédiate
des troubles moteurs. Plus tard la tumeur pénètre dans la substance
blanche
et y gêne la circulation lymphatique encore plu
. Co ? I)es. - Hémisphère gauche. Dès le pôle frontal, la substance
blanche
est altérée ; elle prend mieux le carmin qu'à d
sa moitié antérieure. A la hauteur de la fig. 2, toute la substance
blanche
est occupée par des va- cuoles et des cellules
s ; par places on peut même différencier l'écorce de la subs- tance
blanche
. Mais à la coupe tout se désagrège et l'on n'obti
tout néoplasme qui se développe dans la profondeur de la substance
blanche
(Voir Iconogr., ne3, 1906). Il n'y a pas d'in
ine- éosine, ne sont nullement comparables à celles de la substance
blanche
. Les cellules satellites sont sans doute en nom
ellule et de son noyau sont bien conservées, alors que la substance
blanche
est grossière- ment lésée. On a pris l'habitu
s, encore plus diffuses quoique moins bien étudiées de la substance
blanche
? : ' Travail intellectuel estsynonyme d'associ
degré. S'il est vrai que les associations se font par la substance
blanche
, c'est dans la destruction de celle-ci qu'il fa
n'est ainsi que le reflet. Aux pôles, les animaux sont généralement
blancs
comme la neige qui les entoure ; dans les déser
e gothique, dont le fond est occupé par un grand lit aux draps bien
blancs
, aux couvertures et aux tentures rouges, rehaussé
é ses bas noirs, a retroussé sa robe d'un bleu céleste et son jupon
blanc
, et dé- couvre ainsi ses cuisses. Elle est debo
tenir. La sage-femme, en jaune, les reins ceints d'un court tablier
blanc
, est agenouillée à ses pieds et tient le nouveau-
la plaie en voie de guérison il s'était formé de petites pila- ques
blanches
, qui plus tard avaient tourné en jaune, et plus t
nous voyous l'ulcération) une plaque jaune, avec de petites tâches
blanches
, entourées par une auréole très sensible. Les jou
en voiture, j'enlève moi- même les bottines très hautes, et les bas
blancs
, et je vois sur la plante du pied une tache bla
utes, et les bas blancs, et je vois sur la plante du pied une tache
blanche
, très blanche, complètement anesthésique. L'exame
as blancs, et je vois sur la plante du pied une tache blanche, très
blanche
, complètement anesthésique. L'examen, avec du p
(PI. LXV) j'observe une plaque plus étendue que les pré- cédentes,
blanche
, froide, anesthésique, avec une auréole très sens
sensible mais d'une coloration normale. Dans le milieu de la plaque
blanche
on remarquait de petites taches sombres, rondes
argent, pas la moindre coloration, pas la moindre altération du bas
blanc
qui depuis le matin recouvrait l'endroit où il
des plaques observées par M. Valobra à l'hôpital étaient, au début,
blanches
, froides, anesthésiques. Ce sont précisément les
bre 1904, nous comptons 4,357,000 globules rouges et 9,300 globules
blancs
; en 1905, 3,926,400 globules et 17,360 globules
,300 globules blancs ; en 1905, 3,926,400 globules et 17,360 globules
blancs
. La bouffissure du visage, les maux de tète fré
tteinte de l'affection qui nous occupe ; elle n'a jamais eu de pertes
blanches
, pas de grossesse. C'est au moment de l'appar
pas trace de chromatolyse. Rien à signaler du côté de la substance
blanche
. Les vaisseaux sont normaux. Enfin, pas plus au
me pour le reste de la subs tance grise. Les fibres de la substance
blanche
, la pie-mère, le tissu conjonc- tif et les vais
altérations des autres couches de l'écorce. En effet, la substance
blanche
qui se trouve à l'intérieur des lames et des la
ne se distingue pas, par sa coloration plus foncée, de la substance
blanche
centrale du cervelet, comme dans les coupes 'du c
re de ces noyaux, l'entrecroisement des noyaux du toit. Substance
blanche
centrale des hémisphères ; elle n'est pas décolor
nes sont abondantes, se détachent bien sur le fond de la substance
blanche
centrale et on peut très bien les suivre sur le
nucléaire ni de sclérose, tant dans la substance grise que dans la
blanche
du bulbe et de la protubérance. Moelle.' Dans l
re du réseau myéliniquede la cou- che des grains et de la substance
blanche
placée au milieu des lamelles. La substance bla
de la substance blanche placée au milieu des lamelles. La substance
blanche
centrale du cervelet, les noyaux gris centraux ne
let. Dans ces cas il n'existait pas de dégénération de la substance
blanche
malgré les lésions prononcées des cellules de P
ême contraste particulier se retrouve dans notre cas : la substance
blanche
à l'intérieur des lamelles et des lames présent
upart de l'enfance ou de la jeunesse, l'intégrité de la subs- tance
blanche
n'est qu'apparente. Par la disparition des fibres
et saillant à cause de l'obésité, présente dans la région de la ligne
blanche
un développement modéré « du système pileux ».
e, nul- lement systématisées, pouvant intéresser aussi la substance
blanche
. Contre la conception de Strümpell de la polien
grise, mais qu'elles intéressaient aussi plus ou moins la substance
blanche
. Même, l'hémiplégie cérébrale infantile pouvait
brale infantile pouvait être due à un foyer situé dans la substance
blanche
sous-corticale et même plus bas, au niveau des
de Clarhe, la substance grise autour du canal central, la substance
blanche
des cor- dons antéro-latéraux pouvaient être au
ue le foyer inflammatoire peut aussi se localiser dans la substance
blanche
et dans d'autres régions du cerveau. Il maintient
lle peut aussi porter sur les cornes postérieures, sur la substance
blanche
de la moelle. (1) RoGER et Damaschino, Gaz. méd
ivement limitée à la substance grise, que bien souvent la substance
blanche
participe au processus, parfois même d'une faço
ut décrit par Henry Meige se caractérise par un « oedème chronique,
blanc
, dur, indolore», occupant un ou plusieurs segme
s notre cas, le gonflement est bien d'une façon générale, un oedème
blanc
; mais à condition de ne pas se laisser impressio
ée de 24 ans environ, qui présentait un oedème énorme, cylindrique,
blanc
, dur, totalement indolore, de toute la jambe ga
-dessus se rapportent incontesta- blement aux « oedèmes chroniques,
blancs
, durs, indolores, occupant un ou plusieurs segm
terne gauche, sans modification décoloration de la peau, gonflement
blanc
, lisse, qui s'étendit peu à peu au cou-de-pied, p
x quand la malade était debout. Par contre il était dur, lardacé,
blanc
et froid quand la malade était dans le décubitu
- HENRY MEIGE. UNE RÉVOLUTION ANATOMIQUE 175 ché, un écorché tout
blanc
, qui semblait de plâtre comme tant de ses con-
uisition. En l'examinant de plus près, je m'aperçus que la peinture
blanche
en s'effritant laissait à découvert des parties
é, un vrai, avec des muscles rouges, des os jaunes et des ligaments
blancs
, d'une exactitude d'ailleurs contestable, mais
phie très nette de la portion interolivaire de la formation réticulée
blanche
à gauche. Ici en effet, ainsi que le montre la
forte dégénération rétrograde. La partie antérieure de la formation
blanche
interréticulée à gauche est également un peu di
gR. Substance gélatineuse de Rolando. SRa (Rm). Formation réticulée
blanche
(Reil médian). W. Champ de Wernicke. xpin. En
multiples, des espaces vides disséminés dans la substance grise et
blanche
, dus à la résorption des éléments al- térés, de
x qui nais- sent du réseau périphérique pénètrent dans la substance
blanche
, y aban- donnent des branches collatérales et v
ence des réflexes tendineux. Les vaisseaux de la substance grise et
blanche
sont dilatés, congestion- nés,'thromboses, infi
er. Ajoutons aussi que dans ""les parties nécrosées de la substance
blanche
on voitça et là de petits amas de globules du s
ents névrogliques et des leucocytes en abondance. Dans la substance
blanche
on constate une destruction générale du tissu.
tate une destruction générale du tissu. Une bandelette de substance
blanche
des cordons fondamentaux antéro- latéraux autou
ste en outre un rétrécissement concentrique du champ visuel pour le
blanc
, avec conservation du champ des couleurs. La visi
me. C'est ainsi que le 30 septembre il avait pris 1 lit. 1/2 de vin
blanc
avec deux amis. Il se souvint encore d'être tombé
mbreuses, fron- tales et occipitales, se sont fermées, la substance
blanche
s'est tassée en augmentant la surface des coupe
ssent de fines vacuoles et de petites hémorragies dans la substance
blanche
semée « d'araignées gonflées ». La répartition de
one d'araignées gonflées, semées très régulièrement dans la substance
blanche
. l'ig. 4. - Coupe 315. Fig. 5. Coupe 694. 2
fut donc en effet à distance. Ces lésions diffuses de la substance
blanche
méritent d'autant plus d'être relevées, que l'é
lement bien conservées à droite et à gauche. Celles de la substance
blanche
sont gonflées et souvent variqueuses. La colora
dimensions relativement petites, mais péné- trant dans la substance
blanche
a produit des lésions dans tout l'encé- phale.
ment du côté du néoplasme; elles concernent avant tout la substance
blanche
, beaucoup moins l'écorce et les masses grises.
surtout se souvenir que tout néoplasme pénétrant dans la substance
blanche
produit des dérangements graves dans la circulati
sont relativement grands, soit parce que la résistance de la masse
blanche
à surmonter y est moindre. Cette dilatation ven
érieure et la corne postérieure du côté de l'hémimélie. Les cordons
blancs
sont symétriques des deux côtés de la moelle. A
nier par Weigert leur pré- sence dans cette zone. Dans la substance
blanche
il y a de gros aslrocytes, tout le monde est d'
distinctifs. Le travail de sclérose peut s'opérer dans la substance
blanche
, dans la couche des grains, dans la couche molé
sseur et s'étend de la zone des cellules de Purkinje à la substance
blanche
. Il est particulièrement intéressant de saisir ce
vroglie que Weigert l'en a considérée comme dépourvue. La substance
blanche
présente à considérer des lésions banales de sclé
iendrait logiquement à un îlot de sclérose sénile dans la substance
blanche
, c'est qu'il nous a paru doublement instructif. E
a paru doublement instructif. En effet la sclérose de la substance
blanche
qui s'y observe est parfaitement comparable à c
enne de sclérose tubéreuse dans la- quelle l'aspect de la substance
blanche
sclérosée est seul à ressembler à ce qui est le
e qui se forme au niveau de la couche des grains et de la substance
blanche
n'est que le résultat de NOUVELLE Iconographie
tuées, fré- quemment au fond des sillons, souvent dans la substance
blanche
autour du noyau dentelé. Ce sont les zones de p
es (voir pl. LXII, fig. 2) ; la couche des grains et la subs- tance
blanche
sonl indivises et méconnaissables, à leur place o
que est particulièrement dense ; la zone des grains et la substance
blanche
se recon- ' (1) W c.noE, Société de Biologie, L
sur le compte de l'âge assez avancé du malade (61 ans). Substance
blanche
. - D'une manière générale, on peut dire qu'il n'e
aucune altération, aucune modification dans sa texture ; elle était
blanche
, douce au toucher, souple, mobile sur les parti
tumeur, a constaté .les particularités suivantes. Le tissu est d'un
blanc
rosé, assez mou et cependant doué d'une grande
- vre, autrefois distendue, rouge et épaisse, est devenue souple et
blanche
, elle est même un peu ridée. ` L'état mental
mplète avec désintégration lacunaire très prononcée de la substance
blanche
et disparition à peu près complète de la substa
rd, tout à fait intéressante. Trois ans après le début d'une tumeur
blanche
du genou, un enfant de 8 ans présentait une att
édation des douleurs et la correction de l'attitude. Mais la tumeur
blanche
du genou ayant suppuré, l'enfant se cachectisa et
spéciale. La raideur, signe de début le plus banal de toute tumeur
blanche
, se traduit par la maladresse, la gêne, le défa
bres lom- baires (PI. VIII, fig. 1, et pl. IX, fig. 2) ; la couleur
blanc
jaunâtre, ivoire, de certaines portions osseuse
voyez une ligne étroite, rouge bientôt remplacée par une élévation
blanche
linéaire de la peau, entourée d'une zone rouge
hématies, 2.820.000 ; leucocy- tes, 4.500 ; les globules rouges et
blancs
sont diminués. Urines. L'examen des urines prat
microscopique du sang donne : globules rouges, 3.870.000, globules
blancs
, 2.000. Hémophilie marquée : la moindre piqûre
ger grattage de la peau avec l'ongle ou un crayon produit une ligne
blanche
, ortiée qui se surélève rapidement et est entou
raînent une dégé- nérescence qui peut être snivie dans la substance
blanche
du lobe temporal, mais souvent, à cause du gran
il existe ? 550.000 globules rouges au millimètre cube; les globules
blancs
sont au nombre de 4.250. La valeur globulaire e
mes montre l'absence de tout élément anor- mal aussi bien rouge que
blanc
. , Il n'existe pas de toril) au niveau des vais
avait subi aucune modification notable ; la proportion des globules
blancs
et des hématies était 1/900. L'urine avait une
a profondeur du cuneus et du lobule lingual deux bandes extrêmement
blanches
et régu- lièrement 'conformées ; elles représen
). La couche sagittale externe renferme par- tout de petites lignes
blanches
qui lui donnent un aspect strié. Cet état de ch
, entre la paroi ventriculaire inférieure et l'écorce, la substance
blanche
est d'une extrême minceur (fig. 3) et nous dision
nées de la portion ex- tra-capsulaire de l'axone, dans la substance
blanche
du ganglion. Elles sont manifestement attirées
che XXXVI ; la fibre se di- rige obliquement à travers la substance
blanche
, puis elle se recourbe pour se placer parallèle
sont muriformes et se F1G, 1. - Massues terminales de la substance
blanche
d'un ganglion, avec leurs capsules nucléées, da
es (obs. IV) ; de plus,l'absence de ces massues dans la subs- tance
blanche
de la moelle et leur accumulation en certains poi
II (tabes incipiens). Trois massues de croissance dans la substance
blanche
d'un ganglion sacré. L'une d'elles termine une fi
la grosseur d'une noix, bien circonscrit, situé dans la subs- tance
blanche
du lobe frontal gauche, empiétant sur la substanc
S ALTÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL 249 venu aux dépens de la substance
blanche
et plus particulièrement des faisceaux d'associ
it peut-être son origine. Au cervelet on rencontre dans les parties
blanches
avoisinant la tumeur des fibres variqueuses et
iques et purement corticales ; 8 sont entièrement dans la substance
blanche
; 3 intéressent les deux substances. Ces 11 der
plus qu'elles ne l'ont « mangée ». i Les métastases de la substance
blanche
sont seules régulièrement entourées d'une zone
les mêmes pinceaux de fibres que dans l'observation VI. Substance
blanche
. Rien de particulier à relever dans l'hémisphère
ng. Bientôt il ne subsiste plus qu'une fine bandelette de substance
blanche
et le néoplasme émerge même complètement au pôl
gulièrement, les mêmes « araignées » gonflées que dans la substance
blanche
. Enfin, où le néoplasme est contigu à l'écorce le
les petites, à condition qu'elles soient situées dans la substance
blanche
, ne tardent pas à s'entourer d'une zone va- cuo
observation VII. Ici, au contraire, les altérations de la substance
blanche
sont notablement plus étendues que là. // paraî
ue d'admettre que les néoplasmes se développant en pleine substance
blanche
, la disséquant en quelque sorte, sont particulièr
générales. 1. L'écorce résiste mieux à la pression que la substance
blanche
. Sans doute que la nutrition y est plus facile
se fâche si on insiste, mais il présente sur le frein une cicatrice
blanche
. Il a été marié et a eu une enfant qui a succombé
inégalement colorées sans limites bien nettes, plaques de che- veux
blancs
disséminées au milieu d'une chevelure presque noi
u cervelet dans cette même région et un peu dans toute la substance
blanche
extraciliaire, présentent presque tous une infilt
à 85 sont faites par,balles ; 8 à 12 par obus. Le reste par armes
blanches
, explosifs divers. La proportion des tués ou bl
s phénomènes de régéné- rescence du côté des fibres de la substance
blanche
. Beaucoup de fibres de nouvelle formation provi
e, l'une partie des racines postérieures et l'autre de la substance
blanche
de la moelle. L'un de nous (2) a décri sommaire
ans l'épaisseur de laquelle se terminent les fibres de la substance
blanche
et grise. Les bouts traumatisés des cordons de
restes d'axones dégénérés. Les fibres persistantes de la substance
blanche
changent de direction au niveau de la cicatrice p
vant Cajal, que les axones des racines postérieures et la substance
blanche
médullaire sont susceptibles de régénérescence, m
arfois une espèce de plexus irrégulier (Fig. 3). ,Dans la substance
blanche
latérale, on constate un grand nombre de boules t
ors les cavités kystiques. On rencontre également dans la substance
blanche
latérale un certain nombre de fibres nouvelles
ue celle-ci leur oppose. Néanmoins, à la périphérie de la substance
blanche
, on voit quelques fibres descendant verticalement
es sont dégénérées et disséminées par ci, par là, dans la substance
blanche
. La partie moyenne de la cicatrice est excavée
lations noires. De dif- férents points de la région de la substance
blanche
partent des faisceaux et des FiG. 6. Coupe dest
osées qui avoisinent les ré- gions mieux conservées de la substance
blanche
(Fig.6). Par conséquent, le tis- su de nouvelle
seaux qui sont situés près de la substance grise et de la substance
blanche
fortement altérée ne présentent pas de fibres n
si volumineux que ceux de la cicatrice. Dans la substance grise et
blanche
située immédiatement au-dessus de la région com
portent sur la substance grise, tandis que l'intégrité des cordons
blancs
est absolue, toutes les gaines se colorent in-
ment t cervical, montre également une intégrité absolue des cordons
blancs
, il n'y existe aucun grain noir. Les altérati
suivantes : Globules rouges : 4.600.000. Aspect normal. Globules
blancs
: 1 pour 5.500 globules rouges. Formule leucocy
mme l'oedème précoce, qui est l'un des premiers signes d'une tumeur
blanche
, ou d'une coxalgie (Ménard). Depuis deux ans, j
méfaction des cylindres-axes dans toute l'étendue de la subs- tance
blanche
, avec, par places, épaississement léger des travé
semis de granulations milliaires grises d'aspect récent. Gros reins
blancs
non congestionnés. Rachis.- Carie tuberculeuse
tuées, ascendantes et descendantes des fibres longues des faisceaux
blancs
(cordons de Goll, cérébelleux direct, py- ramid
souvent méconnais- sable. Les lésions dégénératives des faisceaux
blancs
pyramidaux (cordons de Golf) semblent en rappor
LANDOUZY. HÉHASYNERG1E DROITE PAR HÉ111ORRHAGIC DANS LA SUBSTANCE
BLANCHE
DE L'HÉMISPHÈRE CÉRÉBELLEUX DU MÊME COTÉ AVEC D
rles olives, montrait que la partie postéro-externe de la substance
blanche
de l'hémisphère céré- belleux droit était détru
yer cérébelleux occupe la moitié postéro-inférieure de la substance
blanche
de l'hémisphère droit. Sur une coupe horizontal
nt un prolongement occupe la partie postéro-externe de la substance
blanche
, on voit l'olive cérébelleuse centrant la substan
bstance blanche, on voit l'olive cérébelleuse centrant la substance
blanche
limitée en dehors par le lobe semi-lunaire supé
live et une bande linéeuse antéro-postérieure séparant la substance
blanche
du lobe semi-lunaire supérieur et occupée par le
tiers postérieur du feutrage intra-ciliaire (FIC) ; 2° La substance
blanche
médiane immédiatement en avant de l'olive cor-
un coupe (fig. 7) passant au-dessous de la précédente, la substance
blanche
diminue proportionnellement au reste de la coupe.
re dans le feutrage extra-ciliaire, et le dernier dans la substance
blanche
postérieure. Sur une coupe (fig. 8) plus inféri
t par des détritus, dans lesquels on peut trouver quelques globules
blancs
et rouges, et d'avoir les bords ir- réguliers d
zone triangulaire de Wer- nicke ; et d'autre part dans la substance
blanche
du lobe temporal. A cet égard l'on nous prie de
érieur s'ir- radie dans l'écorce du lobe temporal dont la substance
blanche
est très dégé- nérée (fibres longues d'associat
utions tem- porales. La lésion intéressait l'écorce et la substance
blanche
sous-jacente, mais ne sectionnait pas les couch
(Nouvelle Iconog., 1906, ne 2, PI. XXVIII, 1-2 ; Pl. XXX, 7-8 ; raie
blanche
en dehors du segment latéral de la couche exter
péro-interne de la corne occipitale, c'est-à-dire dans la substance
blanche
du cunéus. Il se fait donc un entrecroisement q
OEL-LAV.\STINE. Hémiasynergie droite par hémorragie de la substance
blanche
de l'hémisphère cérébelleux du même côté avec
dont trois ou quatre pénétrèrent dans la peau du front; un mouchoir
blanc
serré autour des flancs et des cuisses couvre l
te et touchant par sa péri- phérie au bras postérieur de la capsule
blanche
interne ; l'examen histologique a démontré que
eut-être faut-il aussi lui attribuer la destruction de la substance
blanche
depuis le point comprimé de la substance blanch
de la substance blanche depuis le point comprimé de la substance
blanche
jusqu'aux régions postérieures de l'écorce cérébr
e en fer (le masque de fer), une couronne en or et un petit drapeau
blanc
, avec ces mots écrits en anglais : F01'ked expres
tions de fibres ner- veuses de fort calibre montant de la substance
blanche
; 3° des ramifications d'axones ascendants de c
des fibres ascendantes de fort calibre qui montent de la substance
blanche
pour se rami- fier horizontalement dans la quat
contribuent surtout à donner au ruban de VicC D'Azvn sa coloration
blanche
. Les fibrilles de ces axones ne laissent pas de
ins épais que la plupart des fibres con- sidérées. « 2° Lesfibres
blanches
afférentes découvertes par nous en d'autres ter
basilaires frappe l'observateur ; l'axone descend dans la substance
blanche
après avoir envoyé deux ou trois collatérales d
t envoie quelquefois un fin prolongement axile jusqu'à la substance
blanche
. Des colla- térales sortent aussi de cet axone
es, radialement orientées, dont l'axone pénètre dans la substance
blanche
; ces derniers axones sont fort rares et gisent s
rniers axones sont fort rares et gisent souvent en pleine substance
blanche
(8° couche). Dans le travail in caeM qu'il prép
axones de ces derniers neurones descendent jusque dans la substance
blanche
. Il semble bien résulter de cette première étud
mieux supporté, il donne différentes préparations comme le fromage
blanc
, koumys,. kéfir. Si pour quelques raisons le ré
(Schoeffer) n'est pas nécessaire, car l'excitation de la substance
blanche
du lobe occipital produit les mêmes mou- vement
ue des yeux' se rencontre aussi bien dans la lésion de la substance
blanche
que de l'écorce. L'anatomie nous a en effet pré
si d'une façon incons- tante de l'hémianopsie par lésion des fibres
blanches
sous- jacentes (Déjerine et Viallet). Or nous s
jerine et Viallet). Or nous savons déjà que la lésion de ces fibres
blanches
sous-jacentes détermine en même temps que de l'
cendante. Dans la profondeur la lésion atteint à peine la substance
blanche
». Ces deux observations sont extrêmement intér
e légère saillie à l'extérieur puis s'enfun- çant dans la substance
blanche
sous forme d'une bande étroite qui n'atteint pa
rontale ascendante. Foyer hémorragique volumineux dans la substance
blanche
en avant de l'insula. Un deuxième foyer siège a
rragie est séparée du noyau lenticulaire par une bande de substance
blanche
et se porte en avant à travers le pied de la co
ste séparé de la surface même du noyau par une bande de substance
blanche
et va en s'effilant sans dépasser son tiers posté
terne du corps lenticulaire. Mais elle peut intéresser la substance
blanche
du pied de la couronne rayonnante en s'incurvan
sule interne et venant former un foyer volumineux dans la substance
blanche
antérieure. Dans le cas III, l'hémorragie s'est
le foyer principal siège en avant du corps strié dans la substance
blanche
, et il envoie deux prolongements, l'un en avant
s lenticulaire, se fait en dehors, dans l'avant-mur et la substance
blanche
qui l'a- voisine ; elle n'atteint la substance
oyau lenticulaire de l'insula et une grande quantité de subs- tance
blanche
en avant et en arrière, sont entièrement détrui
laire, et le foyer le plus volumineux se trouve dans la subs- tance
blanche
, à la partie, antérieure ou postérieure. Dans l
ps strié, soit au niveau des houppes terminales en pleine substance
blanche
et au voisinage d'une des cornes ventriculaires
elet, d'un hémisphère (deux cas), du lobe médian et de la substanoe
blanche
d'un hémisphère (avec destruction du corps dent
ion des leucocytes dans les espaces périvasculaires de la substance
blanche
et grise médullaire. Les cellules des cornes an
gtemps que vous êtes ici ? " il.... Plafond... Je vous la laisse...
Blanc
, noir... non... mais c'est oui... Ri... fixe...
lamente sur sa paialysie. '31. Apparition dans la nuit d'un oedème
blanc
et mou qui s'étend depuis la main jusqu'à l'ait
alade n'a jamais eu de forte hémorragie; elle avait quelques pertes
blanches
qui ont disparu depuis l'aménorrhée. Jamais d'é
es rappelle de tous points celle du tronc; comme celle-ci, elle est
blanche
, fine, et dépourvue de poils, si ce n'est quelq
Neisseret de sa toxine sur le système nerveux des animaux : souris
blanches
, cobayes et lapins . La toxine gono- coccique,
en général, disséminées sans ordre dans les régions de la substance
blanche
, les plus voisines de l'axe gris ; quelques bou
s lésions sont précisément diffuses dans bien des cas aux cardons
blancs
voisins et dites « pseudo-systématiques » (Mari
omme siège, comme intensité, comme extension. Souvent les faisceaux
blancs
de la moelle sont atteints en même temps que le
ce médullo-bulbaire, sans atteinte des vaisseaux ni de la substance
blanche
ni des nerfs. (Myélite ascendante anté- rieure
ues on ne trouve pas, dans la substance grise et dans les faisceaux
blancs
des cen- tres nerveux, de voie indispensable à
de cellules profondes qui fournissent des fibres de la substance
blanche
profonde ; ces fibres forment quelques rameaux se
hinotectal. Les fibres originelles de ce faisceau dans la substance
blanche
profonde du lobe optique ne reçoivent pas seu-
hant sur le fond bistré de la peau, les unes en bleu, les autres en
blanc
. Il veut voir dans ce tatouage, une pratique mé
t que les petits foyers circons- crits, localisés dans la substance
blanche
du centre ovale, lorsqu'ils se montrent isolés,
uent, qui se laisse entraîner sous un filet d'eau avec la substance
blanche
sous-jacente. - Les deux lobes frontaux compas
avant et s'éten- dant à toute la partie supérieure de la substance
blanche
. La partie postérieure de cette cavité vient ju
, le tiers inférieur de la frontale ascendante, cortex cl substance
blanche
sons-jaccnle. Observation Vs - Femme de cinquan
nt de la grosseur d'une noix et intéressant les substances grise et
blanche
de la partie la plus antérieure des deux premiè
bien dans ceux où le ramollissement n'intéressait que la substance
blanche
que dans ceux où la substance grise était intér
e au centre. Dieu descend du soleil avec une immense bande de toile
blanche
qu'il doit vendre ; il se croit camelot, déchir
ur et sur son lit. On lui envoie à la figure des poignées de poudre
blanche
, on l'injurie. L'aspect du malade est celui d'u
ollis. A la coupe, ces nodosités sphéroïdales sont d'une coloration
blanc
jaunâtre tranchant sur le fond rouge-brun du pa
res, compte les doigts à 50 centimètres de dis- tance, distingue le
blanc
des couleurs vives ; la tuméfaction du centre d
aines après le début de l'affection, la vision périphérique pour le
blanc
et les couleurs est seule tout à fait normale, ma
arrière la circonvolution en question. s'enfonce dans sa substance
blanche
en se rapprochant de la base, ' pénètre oblique
de haut en bas la seconde temporale, en pénètre aussi la substance
blanche
, et se termine à la limite de la substance blan
ssi la substance blanche, et se termine à la limite de la substance
blanche
et de l'écorce de la troisième temporale (figure)
inte antérieure du lobe temporale. L'hémorrhagie, dans la substance
blanche
des première et deuxième temporales, ressemblai
e milieu de l'écorce du lobe frontal paraît intéresser la substance
blanche
, du lobule orbitaire, la partie orbitaire de la
la capsule interne. Intégrité des ascendantes, et de leur substance
blanche
, excepté tout près des parties intérieures de c
la per- cussion sont en faveur d'une localisation dans la substance
blanche
du lobule pariétal supérieur. Les troubles du
la pie-mère et la plus grande paitie de l'écorce et de la substance
blanche
correspondante, a déplacé les parties voisines
\'. Intégrité des poumons : quelque cyanose de la face avec macules
blanches
. On REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 503 note bi
frontales extra-nucléaires; 2" Loin de ce trajet, sur la substance
blanche
sous- corticale, sur l'écorce elle-même, sur pl
faisceaux capsulaires que nous étudions, elle empiète sur la partie
blanche
adjacente, mais elle 1 Cours théorique et clini
la thèse de M. Pitres (résumé). Aphasie. Lésion de la substance '
blanche
avoisinant la troisième circonvolution du lobe an
ion frontale gauche. Ramollissement central, diffus de la substance
blanche
du lobe pariétal. Les bords mal limités se cont
granuleux que l'on constate au microscope, jusque dans la substance
blanche
du pied de la troisième circonvolution frontale
conscients de la tête, des bras et des pouces. Constipation, pertes
blanches
, irrégularité des menstrues. Elle se maria le 2
e gauche a une bandelette longue de 8 millimètres. Les deux racines
blanches
existent de chaque côté et le sillon olfactif m
épaisses qui commencent à se conglomérer en trousseaux de substance
blanche
. Ceci s'applique communément aux circonvolution
ait disparaître l'excitabilité de l'écorce, tandis que la substance
blanche
ne subit point de changement T. KAHN. III. Obse
cipaux bâtimentsdel'admmislration, très simples, revêtusd'uu enduit
blanc
jaunâtre, et couverts en tuiles rouges, ont pour
erculeuse sont de nature inflammatoire aussi bien dans la substance
blanche
que dans la substance grise, mais ce n'est pas
e celui relevé dans le casde Rosa. 138 CLINIQUE NERVEUSE. pour le
blanc
et les couleurs. Les autres sens ne présentaient
couleurs, du bleu'et du rouge : Elle croit ! aperce- voir, vêtue de
blanc
, une ancienne malade du service. Lorsqu'on ferm
étale; en bas, il est séparé du corps strié par un lit de substance
blanche
de 1 centimètre d'épaisseur; en avant, Une s'ét
? 8; elle meurt le,16 septembre. -) il Autopsie. Dans la substance
blanche
de l'hémisphère gauche, au-dessus du ventricule
che de l'hémisphère gauche, au-dessus du ventricule, ramollissement
blanc
, large comme une'pièce de' trente sous ? 81'"U0
de tout le côté gauche du corps;) aphasie. <.' «Ramollissement
blanc
de la troisième circonvolution frontale droite,
: pêrte du lan-' gage; l'altération de l'écorce et de la substance
blanche
sous-corticale n'a été qu'une simple coïncidenc
n dedans, il est séparé du foyer par une légère couche de substance
blanche
; hémiplégie gauche; membre supérieur complèteme
es couches les plus profondes de la substance grise et la substance
blanche
immédiatement située au-dessous. Ils étaient no
circoîi- - vôlutiôns seulement dtl : tiers postérieur. La'substance
blanche
était Uiypérémiéé e t pbi ntillée ? 3 elî t'éta
qnes,l.3ïsteûde la grosseur d'unipois, contenant ' unej, substance,
blanche
, cireuse, colloïde. : Les" artères et' les. ple
s donne pas la clef de la grande différence qui sépare la substance
blanche
de la substance grise (aspect, réaction ; 'déve
entent dans l'écorce une étendue plus large que dans la subs- tance
blanche
; dégénérescence graisseuse des cellules nerveuses
tte d'en mettre en fer. Ceux des gâteux sont recouverts d'un enduit
blanc
sur fond rouge, on les visite soigneusement une
et 100 hommes. Les récents bâtiments sont à deux étages. Enduits de
blanc
et couverts en ardoises, ils se composent de pl
z est effilé, les narines sont pulvérulentes; les lèvres légèrement
blanches
. La langue est couverte d'un enduit gluant, sec e
les bandelettes optiques, les tubercules mamillaires sont égaux et
blancs
. Le pédoncule cérébral droit n'est pas aussi bo
grise forme une sorte de voile mobile sur la crête de la substance
blanche
sous-jacente. Hémisphère droit. Face convexe. D
tance soulevée avec la pince glissait sur le squelette de substance
blanche
comme une sorte de membrane : c'est la substance
grise que, dans son ablation, on met à nu le squelette de substance
blanche
tandis que la substance grise, adhérente à la p
ance grise des parties lésées s'est plissée, ridée sur la substance
blanche
et a pris une coloration légèrement jaunâtre.
le de la substance grise et des plus fortes travées de la substance
blanche
; elle est molle, mais ferme, absolument anhyst
tres, directement sous la pie-mère. C'est surtout dans la substance
blanche
de la moelle qu'on en constate le mieux les rap
en terminant, que, parmi les vaisseaux sanguins, les uns (substance
blanche
de la moelle, du bulbe, du cerveau), possèdent
ocessus scléreux nettement caractérisé ; de plus entre la substance
blanche
et la couche corticale, on rencontre des rayure
développement. M. Friedmann, admet, en ce qui concerne la substance
blanche
, les théories de Jastrowitz, Kuhne, Boll (Arch.
départements les plus internes des cordons latéraux et la substance
blanche
con- ligué des cornes antérieures, ainsi que to
z ajoute que les variétés d'aspect de la névroglie dans les cordons
blancs
de la moelle ré- sultent des diversités dans la
extirpation des zones motrices de l'écorce du cerveau, la substance
blanche
fut trouvée lésée sur une étendue variable (exp
convolutions cérébrales, c'est d'abord à la lisière de la substance
blanche
qu'apparaissent les fibres nerveuses à myéline,
désemparer, du centre de la périphérie ; 2° La lisière de substance
blanche
de l'écorce du lobule paracen- tral et des deux
lution frontale ne contiennent encore, dans la lisière de substance
blanche
, aucune fibre nerveuse à myé- line. P. K. XL.
s du côté gauche sont plus petites qu'à l'état normal. La substance
blanche
des lobes antérieur et moyen est réduite à gauc
pe, la subs- tance grise normale est convertie en substance presque
blanche
; bien qu'avancée, la sclérose n'a pas pénétré
rdinairement à la couche granuleuse sous la forme d'un petit centre
blanc
distinct à l'inté- rieur de chaque feuillet, so
e l'instinct sexuel. P. M. XLV. SCLÉROSE DE la LISIÈRE DE substance
blanche
DU cerveau dans la démence paralytique; par 'UC
at de démence paralytique avancée, entre l'écorce et la subs- tance
blanche
, au moment où il pratiquait des coupes après du
qu'ici une lésion profonde jusqu'à l'irradiation de la substance
blanche
peut demeurer sans résultats, même dans les premi
es zones qui à l'état normal tranchent sur le reste de la substance
blanche
par leur pâleur, se trouvent être ici beau- cou
(1) Lnc. cit. (2) Guizé. Les parties constitutives de la substance
blanche
de la moelle épinière de ÉTUDE ANATOMIQUE DES C
ité de ces fibres endogènes, ni de préciser le lieu de la substance
blanche
où elles s'accumulent; la seule chose que les pré
térieure. Du bord interne de la corne s'échappent vers la substance
blanche
les fibres fines que j'ai décrites plus haut so
tumeur dure du volume d'une petite noix (Fig. 1). Son aspect est
blanc
crayeux et elle ne tranche pas par la coloration
lle ne tranche pas par la coloration de ses bords avec la substance
blanche
. Pas d'hémorragie autour. Elle présente une zon
orps, de consistance moindre. Encastrée et isolée dans la substance
blanche
, cette tumeur occupe la pointe du noyau caudé et
énuclée assez facilement, entraînant quelques lambeaux de substance
blanche
par sa face externe et de la substance grise pa
e très infiltrée. Infiltration leucocytaire intense de la substance
blanche
. Fig. 5. - Lobe cérébelleux gauche. Fig. 6. -
ste à propos d'un cas de petit gliome développé en pleine substance
blanche
sur le ramollissement disproportionné qui l'accom
à l'accommodation. A l'examen ophthalmos- copique : pupille un peu
blanche
non étranglée. Acuité auditive diminuée : le ma
diverses montrent partout la même lésion, c'est-à-dire une atrophie
blanche
très visible des cordons de Goll ; le sillon pos-
cheveux sont suffi- samment abondants, châtains avec quelques poils
blancs
, les sourcils sont au contraire clairsemés, les
t sur son revers inférieur couvert de poils noirs parsemés de poils
blancs
; il n'y a aucun poil à l'hypogastre ; le systè
est apparu du côté gauche au niveau de la main et du pied un oedème
blanc
, non douloureux, mou, se lais- sant facilement
ons constaté l'apparition à la main droite d'un oedème très marqué,
blanc
, mou, gonflant et distendant le dos de la main et
hiques d'un ou de plusieurs membres se tra- duisant par « un oedème
blanc
, dur, indolore, occupant un ou plusieurs segmen
ules sanguins : hématies : 3.600.000 par millimètre cube ; globules
blancs
: 5 : 000. Le nombre des hématies est un peu dimi
DÉMENCE PHÉC0CE CATATONIQUE 197 3° La cicatrice, qui est de couleur
blanc
éclatant chez le vieillard et que nous trouvons
toucher et à la vue. A droite et à gauche de ces lignes surélevées
blanches
, apparaît une zone de congestion rouge vif. Une d
ons vu apparaître assez nettement quelques-unes des lettres (lignes
blanches
entourées d'un nuage congestif), principalement
rayon sur la peau (expérience de Vulpian) ne détermine aucune ligne
blanche
, mais, quelle que soit sa légèreté, est toujour
ge (6 millimètres), très persistante, et non limitée par des bandes
blanches
parallèles. La même épreuve, faite au niveau de
niveau de la région abdominale un peu ballon- née, produit la raie
blanche
classique de Vulpian suivie de rougeur, comme c
u près complètement détruite par l'hémorrhagie et dans la substance
blanche
deux foyers d'hématomyélie en forme de coins touc
tion sagittale dans les deux cornes postérieures. Dans la substance
blanche
n'existe qu'une infiltration hémorrhagique légère
, l'artère spinale antérieure remplie de sang ; dans la subs- tance
blanche
, une' couronne de fissures sanglantes parallèles
deaux de cheveux plaqués, et coiffées, souvent par-dessus un bonnet
blanc
; d'affreux petits chapeaux noirs, hérissés d'ai
vêtus de longues simarres rouges, précédant les prêtres en surplis
blancs
, sur deux files. Au milieu, une grande bannière
ées, plus respectueuses de la cadence, coiffées de petits canotiers
blancs
, qui tressautent drôlement, en mesure. Puis vie
vingt enfers ! où s'engouffrent des flots de pèle- rins, exténués,
blancs
de poussière, affolés, confondant toutes les clas
ommes vivement frappé par la faible adhérence du périoste, l'aspect
blanc
mat et l'éburnation de l'os qui ne saigne pas,
de Clarke, loin de former une saillie pénétrante dans la substance
blanche
des cordons postérieurs, est aplati, de sorte q
est surtout les fibres fines qui paraissent faire défaut. Substance
blanche
de la moelle. - Ce qui frappe au premier coup d'o
la moelle. - Ce qui frappe au premier coup d'oeil dans la substance
blanche
, c'est que même dans les régions qui paraissent t
ons, qui séparent les circonvolutions cérébelleuses. La subs- tance
blanche
est plus mince que normalement, en outre ou voit
que \de dégénération située dans le bras horizontal de la substance
blanche
. Les cellules de Purkinje, de même que les noya
ez Louis Hand... et une raréfaction dans une partie de la substance
blanche
du cervelet ; ni cliez son frère ni chez sa soe
expliqué cette disproportion. Les nerfs, deviennent moins nettement
blancs
qu'à l'état nOl'l1,'1/jl sont souvent un peu gr
ndants de ce qui représente le reste du tissu nerveux, et une ligne
blanche
marque souvent la limite entre les deux tissus ;
nt; pourtant le malade distinguait à peine une personne habillée en
blanc
et n'avait aucune vision distincte : il est pro
voyait seulement un peu de l'oeil gauche une per- sonne habillée en
blanc
, mais n'en distinguait pas les traits » ; or, son
mière du jour, parfois les lumières artificielles, parfois les objets
blancs
ou vivement éclairés ; à ce moment les douleurs
copique pratiqué à la deuxième période montre une papille nettement
blanche
ou grise, à bords tranchés, en pain à cacheter,
une partie de la substance grise antérieure, une partie des cordons
blancs
ont disparu et le tassement des éléments sains
urs en relation avec l'émergence d'une artériole, Dans la substance
blanche
des cordons postérieurs, elle suit manifestement
ns surtout sur ce que, dans la substance grise ou dans la substance
blanche
, il est à son début très souvent systématisé au
e lésion grave, lupus ou lèpre; et ses gants, au lieu d'être de fil
blanc
, comme ceux que l'on voit aux mains des évêques
LA PAROLE ET DE L'ÉCRITURE 41 n'est pas ménagé, il y a de nombreux
blancs
entre les lignes et au bout des lignes : les gr
cunaire presque comblé par des amas nucléaires. Dans la substance
blanche
, dégénérescence de la zone radiculaire antérieure
'une gaîne dilatée et parfois d'un large espace clair. La substance
blanche
dans les parties postérieure et latérale a un vol
orées. lor-2° dorsale. Même aspect des régions antérieures grise et
blanche
, même dépression très marquée et même sclérose
bientôt apparaître, à la jambe gauche, une nouvelle plaque livide,
blanc
mat : ce nouvel accident la fait revenir à l'hô
lement en clinique. On constate en différents points des cicatrices
blanches
, à aspect de chéloïdes, légèrement déprimées et
tant des placards livides, violacés à côté de surfaces exsangues d'un
blanc
mat. Le membre dans son ensemble est refroidi à
oty- pés. Onanisme, gâtisme, impulsions passagères. Pseudo-oedème
blanc
, élastique du dos du pied. Alopécie du crâne, exf
le malade dément catatonique depuis cinq années, avec pseudo-oedème
blanc
élastique du dos du pied, offre une profonde es
er, tel autre s'arrête brusque- ment et constamment devant un objet
blanc
, un troisième présente de la claustrophobie, et
le à son poignet ; le chien est de toute petite taille,' tacheté de
blanc
et de noir, la langue pendante et montrant les de
'un pantalon à ge- 494 MARIE nouillères, à moins que le bourrelet
blanc
visible en avant du genou ne soit le vêtement d
gauche restant encore demi- fermé et ne laissant voir que la partie
blanche
de l'oeil comme il est fré- quent de voir l'oei
ayant dissi- mulé à demi son costume multicolore sous un pourpoint
blanc
, et coiffé d'un bonnet de malade. Naturellement
rouge aux repas, assez sou- vent un litre à un litre et demi de vin
blanc
, quelquefois davantage. Jamais de maladie vénér
nant dans les régions sus-malléolaires. La peau de la jambe gauche,
blanche
, lisse, douce au toucher était sans troubles de
vite. De chaud, mou, rouge et douloureux, il devient dur, lardacé,
blanc
, froid et à peu près indolore. Le mécanisme pat
que par l'exercice on n'arrivera à trouver semblables le noir et le
blanc
, le sucré et l'amer. Il est des malades qui,
x femmes et un homme. L'une des femmes, encapuchonnée dans un fichu
blanc
, n'est peut-être qu'une compagne. La seconde es
la'main les honoraires du savant docteur ès-urines : un gros canard
blanc
. Faute de mieux, l'élégant Uro- logue ne dédaig
- mes ont varié. Ce n'est plus la Hollandaise dodue, capuchonnée de
blanc
, douillettement vêtue d'un caraco de velours bo
u est venu se con- fondre avec les fibres de la formation réticulée
blanche
. On reconnaît ce- pendant encore au microscope
tes, la couche granuleuse contient parfois ainsi que la suGs- tance
blanche
de la lamelle des amas nodulaires, d'apparence go
vaisseaux sont nombreux, parfois sinueux et dilatés. La substance
blanche
subit aussi des déformations considérables ; c'es
ni cellules jeunes. Le long des septa pénètrent dans la substance
blanche
de très courtes colon- nettes cellulaires, très
1896. 96 BICHON des faits cités à l'envahissement de la substance
blanche
par des cônes de cellules jeunes, mais aux comp
ux annexes n'étaient pas lésés. Les modifications de la substance
blanche
, décrites par les observateurs, sont assez unif
ses nucléaires, qui constituent la lésion dominante de la substance
blanche
, soit qu'elles apparaissent au milieu des fibres,
avons vu toutes les masses néo-formées pénétrant dans la substance
blanche
, en relation directe avec les méninges infiltrées
ulement, elles détruisaient un territoire assez étendu de substance
blanche
. Toutes étaient colorées avec-intensité; aucune
les amas, et rattachées par Boettiaer à la destruc- tion des fibres
blanches
. Dans le cordon postérieur existent, nous l'avo
re période probablement, à la base de l'encéphale et à la substance
blanche
du cervelet. ' Nous croyons la nature spécifiqu
malgré sa minceur, contient de nom- breux foyers de ramollissement
blanc
et on n'y trouve plus de substance grise et de
ment blanc et on n'y trouve plus de substance grise et de substance
blanche
saines. Sur la coupe, on relève une certaine épai
saines. Sur la coupe, on relève une certaine épaisseur de substance
blanche
au niveau des circonvolutions de la face externe
sacré, clos en arrière normalement. De ce canal sacré émerge un axe
blanc
, qui s'arrête brusquement, c'est le cône terminal
du renflement cervical. La tumeur a une coloration blanchâtre, plus
blanche
que celle de la substance médullaire normale; e
à ce niveau ; on n'y reconnaît , plus la distribution en substances
blanche
et grise disposées symétriquement de chaque côt
ige apparent sur la coupe, le tissu néoplasique a gagné les cordons
blancs
environnants,' les envahissant et les remplaçan
ordons postérieurs et postéro-latéraux. On distin- gue la substance
blanche
persistante, sous forme de zones périphériques pl
e autre masse plus homogène qui fait saillie, refoulant les cordons
blancs
périphériques. Au niveau de cette masse néoplas
on distingue assez bien la substance grise et sa gaine de substance
blanche
. La pie-mère se voit nettement dessinée sur tou
marquée par une cavité très petite située au milieu de la substance
blanche
du cordon postérieur gauche, au centre géométriqu
tes de la tumeur, plus longue que l'autre, s'enfonce dans le cordon
blanc
postérieur gauche où elle se termine vers D. IV
uéfiés, constituant une masse presque homogène parsemée de globules
blancs
. Dans certaines régions de la tumeur on constat
ures perdues au milieu du tissu de nouvelle formation. La substance
blanche
est également envahie, les tubes nerveux sont é
es et les cellules gliomateuses ; il eu est de même de la substance
blanche
. Il n'existe presque plus de tubes nerveux ayan
s par le processus atrophique. Les fibres nerveuses de la substance
blanche
sont pour la plupart complètement dégénérées ;
de 2 cm. S. Elle tranche par sa coloration grisàtre sur les parties
blanches
envi- ronnantes et la consistance assez ferme d
des préparations relatives à cette région on voit dans la substance
blanche
, en dehors de la corne postérieure, quelques gr
tés, remplis de globules rouges ; ils renferment de nombreux globules
blancs
, mono et poly-nucléaires, ainsi que des cellule
ntal) ont montré l'intégrité des circonvolutions et de la substance
blanche
. Considérations générales. Les résultats de l
it développée dans le ventricule latéral droit, en pleine substance
blanche
, remarquablement tolérante. Notons, encore, que
es les traditionnels pots à sirops et onguents, décor bleu sur fond
blanc
, qui portent des inscriptions latines en lettre
acé la scène suivante. Un apothicaire coiffé du traditionnel bonnet
blanc
, vêtu d'une longue blouse, bésicles sur nez, es
habitués du lieu. Le médecin tout vêtu de noir, une longue perruque
blanche
encadrant son visage pensif et de frais rasé, e
paux personnages : « Un apothicaire coiffé du traditionnel bonnet
blanc
, vêtu d'une longue blouse, besicles sur le nez,
ut au niveau des cornes postérieures (PI. LV, D). Dans la substance
blanche
on constate une sclérose des cordons posté- rie
, Henry Meige a proposé de réunir une série d'observations d'oedème
blanc
, dur, indolore, à répartition segmentaire, uni
ué cinq heures après le repas globules rouges : 4.900.000; globules
blancs
: 8.300. Sur 1000 et quelques globules rouges,
. Sur 1000 et quelques globules rouges, on trouve quelques globules
blancs
ainsi ré- partis : lymphocytes : 2; grands mono
tastique des druides et des druidesses, vêtues de longs vête- ments
blancs
et dansant sous les rayons blafards de la lune, e
à la Maternité, notre attention avait été attirée par une cicatrice
blanche
linéaire s'éten- dant du poignet à la moitié de
l'in- dex, jaune, translucide, fileté de stries longitudinales d'un
blanc
nacré (Voy. pi. L111, fig. A, a). Ce cylindre
ce du trophoedème est notable et c'est véritablement un oedème dur,
blanc
le plus souvent, parfois cependant légèrement cya
n de fer et l'automobile. Gade s'arrête brusquement devant un objet
blanc
; Ciseau présente de la claus- trophobie. Notus
de route consécutives sans prendre le pas. Peurs visuelles (objets
blancs
). ' Réflexes normaux ; seul le réflexe lombaire
de l'oeil gauche et déviation du nez à gau- che). Bouquet de poils
blancs
à la nuque ; cicatrices de la barbe ; hypertrophi
- vent de Saint-Marc ; le prêtre est un beau vieillard, grand, tout
blanc
; il baisse affectueusement les yeux vers le ba
nre, une petite épidémie d'astacie-abasie D ; trois jeunes filles
blanches
, une mulâtresse et une négresse auraient été pris
CI H9 Az ; elle se présente sous forme de paillettes cristallines
blanches
, d'un aspect nacré, criant sous la dent, sans ode
derniers; en dehors des fibres commissurales, on trouve des fibres
blanches
de la couche nndul- laire profonde. Ces dernièr
es du nerf optique; le plan infé- rieur, les fibres de la substance
blanche
profonde; les libres des nerfs optiques viennen
les travaux de Bellonci. Tous les vertébrés possèdent une substance
blanche
profonde du cerveau moyen ; chez tous, c'est le
nerf optique. D'une manière générale, on peut dire que la substance
blanche
profonde émane de la substance grise du toit; e
x et chez les sélaciens, les fibres entre- croisées de la substance
blanche
profonde sont côtoyées par des fibres dont on i
ent aussi une commissure de fibres fines appartenant a la substance
blanche
profonde. On l'a souvent confondue avec la comm
emandé ce que deviennent les fibres entre- croisées de la substance
blanche
profonde du toit du cerveau moyen chez l'homme
de la destruction du lobe temporal ou de l'interruption des fibres
blanches
émanées des deux premières temporales. Comme da
cérébrales, avec leur superposition de six couches alternativement
blanches
et grises, rappelant la disposition d'une pile
t de cet organe dont la substance grise, loin de se former après la
blanche
, centrale, aurait, dès le qua- trième ou cinqui
1858, d'une induration speciale, non encore connue, de la substance
blanche
des circonvolutions comme l'une des lésions pri
érisée par la séparation de la suhs- tance grise et de la substance
blanche
dans la paralysie générale. BIBLIOGRAPHIE. 147
qui mesure 3 ou 4 milli- mètres de largeur, grâce à sa couleur plus
blanche
et au relief qu'il présente. Sur la coupe, il y
ement sensible qui indique la superposition des deux plans de tissu
blanc
; 5e Qu'en dedans et en bas, l'écorce commence a
ne circonvolution complète, avec sa substance grise et sa substance
blanche
. En raison de la forme particulière de la premi
supérieure du lobule. (Voir la ng. 16.) La forme de la substance
blanche
qui provient de la substance grise s'explique d
bstance grise du lobule, car celui-ci ne saurait avoir deux écorces
blanches
, une à sa face supéro-interne et une autre à sa
ortion interne de la substance médullaire. Subi- culllm j Substance
blanche
réticulée; Laine bordante hippocampique, La par
ier. Mais avant de dispa- raître, elle fournit de nombreuses fibres
blanches
à direction transversale, qui vont se placer da
face juxta-pé- donculaire de ce dernier, par-dessus la substance
blanche
réticulée, et venir se terminer sur la partie e
rrondie; et de cette extrémité part une véri- table gerbe de filets
blancs
, les bords de la gerbe dé- crivant une courbe à
prolongement du corps go- dronné, avec substance grise et substance
blanche
, cette dernière prolongement de la lame bordant
ssant voir, lorsque cette dernière est relevée, la lame réticulée
blanche
dans le fond même du sillon, et sa substance gr
circonvo- lution arrondie qui se termine en avant par les tractus
blancs
. En avant, sur la portion réfléchie du corps ca
histolo- gique ; c'est ensuite parce que ses émanations, grise et
blanche
, qui me paraissent indéniables, ont les relations
probabilités que Broca édifie ce centre qui a à recevoir les fibres
blanches
émanées de la racine grise et qui vont « après
ieur des circonvolutions orbitaires ». Cette insertion des fibres
blanches
de la racine serait très apparente chez les osm
t serait constitué, comme on l'a vu, par la continuation de la lame
blanche
reticulée jusque sur l'uncus, pour la substance
de la lame blanche reticulée jusque sur l'uncus, pour la substance
blanche
; et pour la substance grise, par une languette
Prolongements postérieurs de la circonvolution godron- née. La lame
blanche
réticulée. (FOVILLE)- «... Nulle part ailleurs,
anche réticulée. (FOVILLE)- «... Nulle part ailleurs, elle (la lame
blanche
) n'est plus sensible que sur le concavité de la
oville. « L'ourlet, suivant Foville, était une bandelette de fibres
blanches
qui longeait toute la base de la circonvolution
circonvolution de l'ourlet, et double l'écorce grise d'une traînée
blanche
de substance mé- dullaire. » IiIACOMINI. « Le
éveloppé. Ces cellules, un peu plus volumineuses que les glo- bules
blancs
, et ressemblant plutôt aux cellules du cerveau d'
n mêla et enleva, de concert avec une myélite aiguë de la substance
blanche
, le malade en quinze jours. - - P. Ti. Xi. Du
nostic de : lésions du lobule pariétal inférieur ou de la substance
blanche
correspon- dante. L'autopsie révèle : une lésio
ariétal infé- rieur (Classification d'Ecker) ou de ses irradiations
blanches
. Tout foyer du lobule pariétal inférieur s'acco
a- tion qui joignent plusieurs centres sensoriels, dans la couche
blanche
sous-corticale. P. K. XVI. Remarques A ajouter
et l'atrophie inflammatoire interstitielle. L'atrophie grisâtre et
blanche
de la papille a une grande valeur diagnostique,
d'un ostéome au milieu du lobe frontal gauche, en pleine substance
blanche
, ostéome constitué par la névroglie modifiée et
ions. Encore moins abondante est celle des cellules de la substance
blanche
du cerveau, qui sont évidem- ment de nature con
lisse présentent les mêmes considérations. La quantité de substance
blanche
joue, elle aussi, un rôle dans la genèse des ci
lutions est d'autant plus compliqué- que la quantité de subs- tance
blanche
est plus faible. Normalement, il est fort probabl
ble. Normalement, il est fort probable que la quantité de substance
blanche
est égale à celle de substance grise ; en anato
par un ballon assujetti à un tuyau de verre in- troduit parla ligne
blanche
à travers le duodénum; - 3° de la partie moyenn
intactes; on constate encore des fibres tangentielles, la substance
blanche
est atrophiée; vais- seaux en nombre modéré, no
ses paraît très régulière; de même, rien d'anormal dans les cordons
blancs
et on ne constate aucun signe de sclérose desce
l'anatomie patho- logique, la sclérose de la lésion de la substance
blanche
, on peut direqu'il a été le précurseur anatomiq
de quelques hémorrhagies méningées (1837). Sclérose de la substance
blanche
superficielle des circonvolutions du cerveau da
ctérisée par la séparation de la substance grise et de la substance
blanche
des circonvolutions de la paralysie générale. De
- rs, région subtha- lamique. - s, septum lucidum. - sa, substance
blanche
. - sp, pédoncules cérébel- leux supérieurs. - s
. Dans deux cas la lésion s'étendait profondément dans la substance
blanche
. Dans un cas, la lésion corticale était compliq
le a vu des yeux de morts ; ils lui ont fait voir un drap mortuaire
blanc
et noir, parce qu'elle regardait des images de
es deltoïdes provoquent l'appari- tion d'une « élevure de la peau D
blanche
. Tronc. Motilité. Pas de paralysie des muscles
mp visuel très rétréci, irrégulier, avec inver- sion du rouge et du
blanc
. OG. Léger rétrécissement du champ visuel, inve
OG. Léger rétrécissement du champ visuel, inversion du rouge et du
blanc
. Le violet est confondu avec le bleu (fig. 4).
oupe, à l'endroit t de la moitié gauche de la moelle - la substance
blanche
ainsi que les deux cornes grises du côté gauche
nt de la ci- catrice, contenant une assez grande quantité de fibres
blanches
et de cellules qui ressemblent beaucoup aux cel
optique; d'autres fois, j'ai rencontré comme un voile de substance
blanche
passant aussi par-dessus la bandelette et allan
la bandelette optique, on le voyait constituer une couche de tissu
blanc
, se dirigeant en dehors ; il venait rejoindre p
combien il est facile de se tromper en croyant suivre des faisceaux
blancs
au milieu d'autres. Je laisse à d'autres plus h
és, il était représenté par deux tractus tranchant par leur couleur
blanche
sur la substance grise du corps cendré. Il m'a
moelle se prolongeait entre les pé- doncules en deux petits cordons
blancs
qui se terminaient dans les gouttières ethmoïda
de ce renflement; et enfin se termine en formant une large calotte
blanche
qui vient coiffer le tubercule antérieur du cor
a jusqu'à 6 et 7 minime-. très de largeur, et qui est souvent d'un
blanc
absolu- ment pur, ne soit pas signalé par les a
ue : elle est constante. Et, si dans quel- ques cas, elle est moins
blanche
et moins accusée, il est des plus faciles d'en
e cerveau intermédiaire, ne me serais-je pas trompé ? Ces faisceaux
blancs
que je décris comme une production à part ne so
ce'. Il est possible, il est probable même, que parmi les faisceaux
blancs
du straturn zonale, tous n'appartiennent pas au
s et sur le côté l'étui de l'liyppocampc,onaperçoit alors des lames
blanches
irrégulières faisant partie du plancher supérie
la partie externe des couches optiques. Dans ces lames, des filets
blancs
sont très rapprochés les uns des autres. Ces fi
roi épaisse, se distin- guant du restant du tapetum par une couleur
blanche
beaucoup plus tranchée, à tractus s'enchevêtran
de ces filaments et de ceux du taenia. Le restant de cette couche
blanche
est formée par des fibres émanant d'une des div
piliers antérieurs avec celles de la bande diagonale dans la couche
blanche
du septum et, comme on le verra plus loin, la c
suivant la face inférieure du tapetum, se termine dans la substance
blanche
de la corne d'Ammon et du crochet. Je ferai r
es relations qui existent chez certains animaux entre la commissure
blanche
et les nerfs olfactifs, il ne s'agirait que d'u
elques endroits de subs- tance grise, et dans d'autres de substance
blanche
. Différen- tes plaques ou stries, composées de
elles peuvent aussi intéresser à la fois l'écorce et les faisceaux
blancs
sous-jacents, mais qu'il est très rare qu'elles
Pitres et de Franck ; il rapporte à l'excitation de la subs- tance
blanche
les convulsions toniques que Ziehen fait ré- su
rovoquées par l'excitation de la substance grise ou de la substance
blanche
. Cette observation est une brillante confir- ma
circonvolutions pariétales. Les lésions s'étendaienl à la substance
blanche
et atteignaient la paroi supé- rieure et extern
s à l'aide de petits tampons. Un jour ou deux après, le cerveau est
blanc
, la pie-mère, ridée; on détache celle-ci. Trois
ier, diminuer de volume et d'épaisseur ; ses cellules et ses fibres
blanches
(coloration de Weigert) se reco- quiller, se ta
qu'à la 1 ? racine cervicale, dans la substance grise comme dans la
blanche
. La maladie qui a duré quatre mois chez une jeu
ne section triangulaire de la cicatrice qui donne dans la substance
blanche
et grise de la moitié saine des bandes de tissu
st la continuité de la base de la bande diagonale avec la substance
blanche
réticulée' qui revêt la face juxta-pédonculaire
et, subs- DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 205 tance
blanche
dont nous connaissons l'origine et la nature (l
longement de la bande dont l'épaisseur fait relief sur la substance
blanche
réticulée. Quant à la racine externe du nerf ol
Lancisi), à un faisceau qui tantôt passe au-devant de la commissure
blanche
, tantôt derrière (ce cas m'a paru le plus fréqu
e de la bande diagonale et la racine olfactive externe avec la lame
blanche
réticulée du lo- bule de l'hippocampe; 2° par l
tre démontré qu'une partie des fibres se continue avec la substance
blanche
réticulée et que l'autre partie se rend à l'éco
lée et que l'autre partie se rend à l'écorce elle-même. « La racine
blanche
moyenne ne peut être suivie que dans une courte
brale se termine par un bord tranchant. La plus interne des racines
blanches
se perd à l'extrémité frontale de la cir- convo
lement de leur substance grise et par l'irradiation de leurs fibres
blanches
émanant de l'arc olfactif, une sorte de zone ra
seaux qui vont à l'olive supérieure du même côté, dans la substance
blanche
de laquelle ils forment deux faisceaux séparés.
psychiatrie. Mémoire publié. M. Sachs (de Breslau). De la substance
blanche
du lobe occipital dans le cerveau humain. Mémoi
a la peau aussi DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE. 363
blanche
que la neige. » Caractère violent, mais ne bat pa
é très forte, face rouge, yeux en haut. Durée de 10 secondes. Ecume
blanche
, léger stertor. Il se retourne alors brusquemen
ulfonal se dépose. , Le sulfonal se présente sous forme de cristaux
blancs
, assez volumineux, friables, croquant sous la d
ue du : côté opposé une affection eu foyer qui détruit la substance
blanche
du même lobe (Obs. 111) détermine la dégénéresc
large) a provoqué une sorte de zona suivi d'es- chare et de taches
blanches
cicatricielles le long de la branche cervicale
: Il 0 ) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. A. Des faisceaux de fibres
blanches
fines allant au ruban de Reil latéral. - il. De
le) de la même substance grise donne de fortes et nombreuses fibres
blanches
qui s'infléchissent à angle aigu, vont au raphé
phie, les grosses fibres myéliniques de l'écorce et de la substance
blanche
ont subi une dégénérescence parallèle, mais par
tion et l'intégrité des fibres fines, se poursuit dans la substance
blanche
du lobe gauche du cervelet. Le corps godroné du
amidaux sont, des deux côtés, dans le bulbe, étriqués. La substance
blanche
des hémisphères est dissociée en un grand nombr
Eulenburg, 272. TUBERCULES quadrijumeaux, origine de la substance
blanche
des -, par Held. 401. Tumeurs cérébrales, par
quel la sclérose envahit tantôt la substance grise ou les faisceaux
blancs
, tantôt se dissémine des deux côtés ou se localis
u lobule du pli courbe (2" pariétale) . - Destruction des faisceaux
blancs
sous-jacents (faisceau longitudinal supérieur,
ouchée. Dans la profondeur le ramollissement intéresse la substance
blanche
située au-dessous de la lr8 temporale et de la 2°
de la 2° pariétale,mais sans sec- tionner complètement la substance
blanche
sous-jacente à la 2" pariétale. Au-des- sous du
la 2" pariétale. Au-des- sous du foyer proprement dit la substance
blanche
est légèrement teintée en jaune,mais sans désag
respecte dans une étendue de 2 millimètres 1/2 environ les parties
blanches
bordant le ventricule (Tapeum et Radiations opt
nsi que le lobule lingual et fu- siforme. Profondément la substance
blanche
sous-jacente à la 2e occipitale est détruite ai
d'unepartiedu faisceau occipital vertical deWernieke). La substance
blanche
du cuneus, du lobule lingual et du lobule fusifor
endant vers les points du globe occipital (intéressant la substance
blanche
faisceau vertical occipital de Wernicke). 2) Un
la première temporale et s'enfonçant profondément dans la substance
blanche
jusqu'à la corne postérieure du ventricule laté
autopsie : hémorragie ancienne à gau- che au niveau de la substance
blanche
du pli courbe et de l'insula avec par- ticipati
Louis Haud... et « une raréfaction dans une partie de la substance
blanche
du cervelet ; ni chez son « frère, ni chez sa s
bé et remplaeé les parties mentionnées du cortex et de la substance
blanche
, il est compréhensible que les phénomènes macrosc
sion cérébrale aient presque complètement fait défaut. La substance
blanche
de la partie inféro-externe des coupes a perdu la
st difficile d'y reconnaître les éléments cellulaires. La substance
blanche
appa- raît criblée de petites lacunes, sans mem
nifestent par la formation de vacuoles au détriment de la substance
blanche
. Densité FIG. 1. Calc, calcarine. Cun, cunéus.
dément (Calc. Po. Ip.). Il ne reste pas de larges champs de substance
blanche
, contenant entr'autres les fibres courtes d'ass
TIONS DU TISSU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS 143 substance
blanche
qui a perdu en épaisseur ; Les masses grises des
sang. A proximité de la tumeur ou dans les endroits où la substance
blanche
a beaucoup perdu en épaisseur, ils apparaissent
les-ci paraissent par endroits entourées d'un espace péricellulaire
blanc
, dilaté. Le maximum de la tumeur dépassé, l'éco
Là où l'écorce est le plus altérée, il en est de même de la substance
blanche
. On y voit, et cela de nouveau jusqu'aux enviro
bservées ailleurs que dans des cas de tumeurs. Donc, la subs- tance
blanche
est criblée de petites vacuoles analogues à celle
rne elles sont allongées et placées de préférence entre les faisceaux
blancs
et les trabécules de substance grise qui relien
tique se faisait mieux. . Mais en avant de cette coupe la substance
blanche
, malgré tous nos essais, n'a jamais pris au Wei
est plus diffuse ; elle se compose de traits rouges séparés par des
blancs
, qui ne sont pas autre chose que des fibres con
, elles font défaut à proximité immédiate de la tumeur. Substance
blanche
(Carmm et Weigert-fai). - vous y constatons (les
V, vaisseau. Fic. 5 et 5 a. V, vaisseau. Va, vacuoles. F, fibres
blanches
. .V, noyaux névrogliques. Esp, espace péri-vasc
ai- gnées » en grand nombre. En arrière du néoplasme la substance
blanche
a un aspect tout à fait nor- mal. ' Ecorce. -
substance grise des vacuoles autour des cellules nerveuses; dans la
blanche
, partout des vacuoles de formes el de dimensions
ntre dilatation ventriculaire générale, raréfaction de la substance
blanche
par formation de vacuoles dans le tronc encéphali
quable de l'épendyme, pénétrant même profondément dans la substance
blanche
. (fig. 11). Partout nous trouvons des espaces
aspect cri- blé : les cellules sont perdues dans de larges espaces
blancs
. La substance blanche présente un aspect partic
s cellules sont perdues dans de larges espaces blancs. La substance
blanche
présente un aspect particulièrement dense : cela
avons trouvé des altérations beaucoup plus fortes dans la substance
blanche
que dans l'écorce. Nous tenons cela pour établi,
ui est lésée. Le siège de l'atrophie dans le cortex ou la substance
blanche
ne fournirait-il pas l'explication de ces varié
pas l'explication de ces variétés de démence. 60 Dans la substance
blanche
les faisceaux d'association paraissent souf- fr
M. Clunet, externe du service : Globules rouges 7,790,000. Globules
blancs
8,000. Diamètre moyen des hématies augmenté. Qu
est 10/10 pour les deux yeux ; son champ visuel est normal pour le
blanc
et les couleurs. L'appareil lacrymal est sain,
. La papille présente une excavation physiologi- que qui tranche en
blanc
sur les bords rosés, légèrement surélevés, mais n
ours après elle présente un oedème du dos de la main gauche, oedème
blanc
, bien circonscrit au poi- gnet, qui ne démangea
plutôt une altération développée primitive- ment dans les faisceaux
blancs
delà moelle épinière. Hislologiquement 1 les tu
res inférieurs. En outre sa vue s'est affaiblie. M... buvait du vin
blanc
avec excès. Il y a deux mois, le malade cesse d
Weigert, per- mettent de se rendre compte de l'état de la substance
blanche
. Les cordons antéro-latéraux sont absolument sa
an- térieure et postérieure, de périvascularite dans les substances
blanche
et grise, sans systématisation, et d'inflammati
rtérite ; les ra- cines sont infiltrées, de même que les substances
blanche
et grise où l'on voit des traînées de cellules
rieur sont enflammés (péri-artérite et endartérite). Les substances
blanche
et grise de la moelle sont également infiltrées d
ke (Cassirer), et particulièrement le trophoedème chronique (oedème
blanc
de Sydenham, oedème bleu de Charcot). A ce propos
RITS AIGUS ET CRIIONIQUES 269 tion de plasma avec exode de globules
blancs
en dehors des vaisseaux. Cette deuxième variété
1) Nous n'avons éliminé de notre statistique qu'un seul cas, celui de
Blanc
(1895). Il s'agit d'un jeune berger de 47 ans.
8. Meunier, Id. Chauffard, RENDU, Société médicale, 15 juin 1894.
Blanc
, Société médico-chirurgicale de Saint-Etienne, fé
en devaient découler ; au fond, c'est encore la destinée des cordons
blancs
qui a principalement attiré leur attention. Il
vaincre qu'il était illu- soire de s'attarder à l'étude des cordons
blancs
de la moelle. La pseudencépha- lie, en effet, n
tion insolite, soit dans la substance grise, soit dans la substance
blanche
: ce segment de la moelle est, en somme relativ
ns s'inquiéter des parois épaissies, ni de l'existence des globules
blancs
; d'autres, comme Bulloch, restent muets sur ce p
é, tout à l'heure, la pénétration des vaisseaux dans la subs- tance
blanche
ou, tout au moins, la dilatation et la proliférat
que les au- teurs qui ont relevé l'existence des globules rouges et
blancs
dans l'épaisseur de la moelle ne se sont pas pr
in Mathew (1), se sont cantonnés dans la recherche 'des fais- ceaux
blancs
au point de négliger complètement les méninges ;
. Ces auteurs, néanmoins, préoc- cupés de la destinée des faisceaux
blancs
ou des variations de forme de la subs- tance gr
es phénomènes aussi accusés ; bien que la disparition des faisceaux
blancs
y soit infiniment plus lente, divers indices mo
rches tendant uniquement à établir l'état d'intégrité des faisceaux
blancs
, nous paraissaient des recherches vaines. En effe
ien avant que la dégénérescence ait envahi et supprimé la substance
blanche
, les hémorragies intra-médullaires, la proliférat
es. Quant à la démarcation entre la substance grise et la substance
blanche
, elle ne peut être indiquée en aucune façon ; on
t comblées de globules rouges ; il n'y a que peu ou pas de globules
blancs
. -' Sur l'origine même de ces tumeurs nous ne p
lors une coloration gris de fer, la substance grise et la substance
blanche
se distinguant nettement l'une de l'autre. La moe
! MÉTHODE D'EXAMEN DU SYSTÈME NERVEUX 403 Cerveau. Dans substance
blanche
on distingue, les noyaux et les cy- lindraxes c
te contracture brusque et variable, exceptionnelle dans les tumeurs
blanches
, ayant au contraire les caractères habituels de l
trouvons pas les signes physiques d'ordinaire évidents de la tumeur
blanche
à la période d'atti- tude vicieuse. C'est alors
un membre dont le genou, soigné pendant plusieurs mois pour tumeur
blanche
, était fléchi à angle droit. L'enfant couché, on
et re- connaissables à la radiographie sous forme de petites taches
blanches
centrales ou marginées.' Cliniquement, ces ma
e.) Les déformations des épiphyses sont aussi très réduites. Le trait
blanc
qu'on voit à la partie supérieure des os est dû
plètement normaux, sauf une petite zone très pâle dans la substance
blanche
des hémisphères cérébelleux. Le corps restiforme
age sous-purkinjien sont assez denses et uniformes. De la substance
blanche
du cervelet nous en avons déjà parlé ; je ferai
furent faites à quelques jours d'intervalle, la première ayant été
blanche
pour une raison inconnue. A la seconde on retir
nce de quelques symptômes impliquant la participation des faisceaux
blancs
médullaires (exagération ou abolition des réflexe
ment dissocier la paroi du vaisseau. On voit au milieu des cellules
blanches
des éléments de la paroi, sous forme de filamen
sente des saillies dont certaines sont coiffées d'un bloc de cellules
blanches
.C'est ici que nous avons rencontré le pus de pa
par exemple il ya quelques points infil- trés (fig. 4). Substance
blanche
. Dans tout le pourtour des ventricules les fibres
rès volume- z neuses, dans lesquelles on trouve souvent une cellule
blanche
d'infiltration, grand mononucléaire ou lymphocy
e d'infiltration, grand mononucléaire ou lymphocyte. La substance
blanche
elle aussi est semée de vacuoles et en certains p
s par un amas de globules rouges à peine déformés ; pas de cellules
blanches
. Au centre de certaines de ces hémorragies on tro
à supprimer le cerveau, origine de toute une partie de la substance
blanche
de la moelle. Sous l'in- fluence de cette dystr
nt conjonctif et vasculaire) s'ajoute la dégénérescence des cordons
blancs
consé- cutive à la disparition du cerveau. VI
oser au médecin. L'un voudrait se poudrer la figure avec une poudre
blanche
imperceptible, comme les femmes. Un autre deman
elle répète le crucifiement sur elle-même, et la Vierge apparaît en
blanc
avec l'Enfant Jésus, puis le Christ en croix, e
On trouve à l'autopsie un foyer de ramollissement dans la substance
blanche
du lobe frontal droit, par thrombose probable d
l'au- topsie, tumeur grosse comme une noisette dans la substance
blanche
à la face externe du noyau lenticulaire. F. B.
nt qui, peut-être indivis (Koschewnikow), pénètre dans la substance
blanche
. La direction des fibres des systèmes de projec
longement basilaire moyen qui descend directement dans la substance
blanche
(méthode à l'or), prolongement déjà assimilé pa
qui ne se projettent pas, sous forme de radiations, de la substance
blanche
dans l'écorce, mais suivent d'autres directions
nexés à ses prolongements nerveux moteurs : « La substance grise et
blanche
du cerveau ne peut être comparée qu'il un group
'assooiation occipito-temporal, qui est le faisceau de la substance
blanche
du cerveau le plus tôt revêtu de myéline, est n
lution du corps calleux ; ces trousseaux arrivent dans la substance
blanche
du lobe frontal, jusqu'à 2 il 3 centimètres du
ion A la QUESTION DES dégénérescences secondaires dans la substance
blanche
DE la MOELLE, par SUITE de lésions DE la QUEUE
'hosties. Tout ce qui avait une forme circulaire, tout ce qui était
blanc
, sans même avoir cette forme, était une hostie
faisant, on rencontre des morceaux de papier, du plâtre, des objets
blancs
qui sont des hosties ; jamais de prières à l'ég
re la frontale ascendante et les trois frontales. Dans la substance
blanche
contiguë à la tumeur se trouvaient trois kystes
(12 heures post mortem). Cerveau ; hémisphère droit : la substance
blanche
présente au niveau du gyrus angularis un foyer
au Weigert- Pal, est constitué par les collatérales de la substance
blanche
; ce sont aussi des collatérales qui forment la
mon, des fibres du cordon du grand sympathique. Dans la subs- tance
blanche
aussi existent des collatérales et des arborisati
constituent ainsi, dans la substance grise comme dans la substance
blanche
, une grande partie des commissures des centres ne
ons donnent naissance d'ordinaire aux voies courtes de la substance
blanche
. D'après la situation topographique des cordons
a branche centrale de leur prolongement nerveux dans la substance
blanche
de la moelle épinière, où son cône d'accroissemen
roloplasmique basilaire, et se terminant, en bas, dans la substance
blanche
, où il devient une fibre nerveuse à myéline du
termine libre- ment, se bifurque souvent en arrivant à la substance
blanche
, four- nissant une grosse collatérale qui sembl
ne division en T, avec une ou deux fibres nerveuses de la substance
blanche
. On distingue dans cette couche des cellules à
une arborisation finale d'une très grande ampleur ». La substance
blanche
du cerveau antérieur est composée de quatre esp
sphénoidale, où les fibres commissurales constituent la commissure
blanche
antérieure (chiasma des bande- lettes olfactive
tion forment par leur abondance la masse principale de la substance
blanche
du cerveau. La quantité et la longueur extraord
. D'autres collatérales, paraissant se ter- miner dans la substance
blanche
, semblent destinées à établir des connexions av
protoplasmiques des- cendantes qui se terminent en pleine substance
blanche
. Les fibres centripètes, dont les arborisations
e ces innombrables neu- rones : 1° les collatérales de la substance
blanche
du cerveau; 2° les collatérales des fibres du c
é, au moyen : a des fibres calleuses ; b de celles de la commissure
blanche
antérieure ; 4° des cellules de la moelle ou du
des fibres nerveuses, dans la substance grise ou dans la substance
blanche
(Cajal), il y a des ramifications protoplasmiqu
Deiters.Selon Cajal on doit distinguer la névroglie de la substance
blanche
de la névroglie de la substance grise. Quant au
la névroglie sont accumulées en très grand nombre dans la substance
blanche
des centres nerveux, qui a moins besoin que la
n- guées par R. y Cajal. 1° Cellules de névroglie de la substance
blanche
. - Elles sont fixes, volumineuses, pouvues de p
t ces anciennes cellules épithéliales, arrêtées en pleine substance
blanche
ou grise, se transforment en cellules en araignée
névroglie, et même aucune sur de vastes étendues. Dans la substance
blanche
du cerveau, au contraire, un abondant feutrage
c'est une règle que toute fibre nerveuse à myéline de la substance
blanche
est isolée des fibres voisines par des fibres d
rtant très abondante, beaucuup plus abondante que dans la substance
blanche
. Le rôle physiologique de substance isolatrice
ux éléments de la névroglie, convient d'autant moins à la substance
blanche
des centres nerveux que les cylindraxes sont dé
raison en est-il de même pour les fibres à myéline de la substance
blanche
. D'ailleurs, les fibres de névroglie ne présent
immédiatement à l'entrée se trouvent quelque part dans la substance
blanche
des colonnes latérales et en dehors des tractus
ristique que de voir les stades de ramollissement rouge, jaune et
blanc
décrits comme caractérisant la myélite aiguë, êtr
et aussi dans la base des cornes postérieures et dans la substance
blanche
limitant les cornes antérieures ; 1° les artère
rtères périphériques, plus petites, qui pénètrent dans la substance
blanche
et irriguent les parties non desservies par le pr
e pour les femmes. Les fenêtres ont, au lieu de vitres, du papier
blanc
, qui laisse très bien passer la lumière; en dehor
uadrijumeaux antérieurs la couche grise superficielle et les fibres
blanches
de la périphérie se trouvent en rapport avec le
e-mère, au niveau du trou ovale gauche et ayant envahi la substance
blanche
du lobe temporal. 11 s'agissait d'un sarcome à
molle (glio-sarcome) de la grosseur d'une pomme, dans la substance
blanche
du lobe occipital. III. La troisième observatio
sile, mais moins coûteux, comme par exemple l'em- ploi de la brique
blanche
>. c Saisie de la question au cours de sa vi
de veilleuse. La construction de ce pavillon serait toute en brique
blanche
de Chartres avec filet et motifs en brique roug
bien que nous ne soyons pas l'auteur de la proposition des briques
blanches
et rouges, nous n'y voyions rien d'extraordinai
° Commission un véritable vole exprimé contre l'emploi de la brique
blanche
, et je désirerais ensuite faire sentir à la Com-
NFANTILE. 453 dius de la main droite et la peau de ses doigts est
blanche
et rugueuse. Quand il ne suce pas ses doigts, i
ntérieures, et que par contre la plus grande partie de la substance
blanche
peut être dégénérée sans que la sensibilité soit
malléole interne. La coupe a un aspect marbré formé par des taches
blanches
jau- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 469 nâtres
t sujet aux vertiges, se fatiguant à propos de rien, avec la peau
blanche
, les jambes enflées, et présenta tous les signes
t amincie jusqu'à 5 millimètres; la substance grise et la substance
blanche
peuvent être distinguées; épaississe- ments dis
arente. Dans la partie inférieure de la région dorsale la substance
blanche
est réduite, tandis que la substance grise est
-, par Boody, 359. Dégénérescences secondaires de la substance
blanche
de la moelle par Darkschewitschsch, 132. - des
terons ici une fois encore la garde républicaine, dont les ceinturons
blancs
, derniers vestiges d'un passé à jamais disparu, b
ntensivement à l'aspect martial de ceux qui les portent. La couleur
blanche
est toutefois une couleur d'équilibre, à tendance
à celle-ci une verte. Cela fixe la vue et rompt avec la monotomie du
blanc
sur du noir. De temps en temps, on reviendra à la
omie du blanc sur du noir. De temps en temps, on reviendra à la craie
blanche
, car tout fatigue. Varier souvent, voilà un pri
n'offrent que des caractères intermédiaires. L'argent joue le rôle du
blanc
avec des effets métalliques plus actifs. Le vert
couleurs d'équilibre, c'est-à-dire sans action propre, le noir et le
blanc
, ainsi que toutes les couleurs neutres. Ces derni
ives rouges et brûlantes de leur pays de sable, celles de leurs cités
blanches
. Ils surent rendre le costume impressionnant par
on bleu à bande noire ; tunique et col noirs, trèfles et aiguillettes
blanches
avec accompagnement de boutons d'argent. Une seul
rons fait un costume de caractère. Aujourd'hui, par exemple, le col
blanc
des dragons, le col bleu des hussards, ce dernier
s cas éviter les effets de la note noire absolue, et, surtout, du
blanc
et du noir : effets de destruction et de mort. Qu
effets de destruction et de mort. Qu'y a-t-il de plus sinistre que le
blanc
et noir des hussards de la mort ou des chasseurs
ck, disparue depuis quelques années). Voit-on ces hussards noirs et
blancs
, vrais squelettes animés et fantômes tout à la fo
t répare nos forces à mesure qu'elles s'épuisent, mais un chauffage à
blanc
de la machine humaine ». Ainsi s'exprime au déb
s rondes de corne de buffle, mais d'un buffle exceptionnel, au pelage
blanc
, aux yeux bleus, et aux cornes dirigées en bas. C
l éprouve une secousse, ce qui, parfois lui fait passer des nuits
blanches
. Il rougit souvent. Au sujet de ce dernier troubl
artie chevelue de la téte qui reposait sur la main était complètement
blanche
. Le même matin il fut reconnu que son arrestation
blanchit très tôt. Monolakis cite le cas d'un prêtre dont les cheveux
blancs
sont tous tombés six mois après une grave maladie
nue et bien inoffensive, qui se manifeste sur le corps par des taches
blanches
ou plaques de peau non pigmentées. Ces taches aug
entée de l'Européen, mais l'affection est moins apparente sur ce fond
blanc
. Il peut amener une bigarrure marbrée du corps en
ture du bras. Ses cheveux blanchirent et sa peau se couvrit de taches
blanches
, qui grandirent, devinrent con- (1) Nous laisso
myrnoff, connaissait personnellement un étudiant qui avait des taches
blanches
sur la face dorsale des mains. Elles étaient appa
es cinq enfants vivants de cet homme, trois ont des mèches de cheveux
blancs
à la même place que chez le père. Des neuf enfant
n. Le premier, le second, le quatrième et le cinquième ont des mèches
blanches
à la même place que le grand-père et des taches b
t des mèches blanches à la même place que le grand-père et des taches
blanches
sur le corps, ils sont en plus sourds-muets ; le
ts ; le troisième enfant n'est que légèrement sourd, n'a pas de mèche
blanche
, mais présente des taches blanches sur les jambes
légèrement sourd, n'a pas de mèche blanche, mais présente des taches
blanches
sur les jambes ('). L'exemple le plus typique q
es mains attirèrent son attention ; elles étaient couvertes de taches
blanches
et, en les voyant, M. V. éprouva de suite une rép
le môme mal. Il passa une nuit très agitée et ne rêva que des taches
blanches
sur les mains du voyageur inconnu. Le matin, à so
rand effroi, M. V. remarqua que ses mains étaient couvertes de taches
blanches
absolument identiques à celles qu'il avait vues l
jet pour réaliser cette expérience, parce que, chez les hommes à peau
blanche
, cette maladie est peu apparente, est considérée
ss » est un mot d'injure dans le langage courant ; un cheval à taches
blanches
porte le nom « pièss-at » et sa chair est considé
t ; elle porte le nom de ala-pièss et se traduit par les mêmes taches
blanches
sur la peau brune de Kirguises. M. Boukéïkhanov m
n sur sa poitrine sous le vêtement, cette main devint immédiatement «
blanche
comme neige de lèpre » : de même dans d'autres en
th, sapachath (synonyme de mispachath) et bhaërelh signifient « tache
blanche
» d'une intensité de blancheur différente, blanch
nous avons le diagnostic différentiel du vitiligo et de la cicatrice
blanche
ou delà tache blanche d'une autre provenance. I
tic différentiel du vitiligo et de la cicatrice blanche ou delà tache
blanche
d'une autre provenance. Il est remarquable qu'a
ment pigmentée des Orientaux paraissent comme superposées sur la peau
blanche
, dénuée de pigment, et les places blanches parais
mme superposées sur la peau blanche, dénuée de pigment, et les places
blanches
paraissent comme enfarinées (3-8). Le zaraath i
présente une phase plus avancée de la maladie lorsque, sur les taches
blanches
, apparaît ce que la Bible nomme bassar chaj ou mi
out une plaie ; du reste, comment comprendre l'apparition d'un cheveu
blanc
dans une plaie ! (3-10). Dans le cours de la ma
une plaie ! (3-10). Dans le cours de la maladie, lorsque les taches
blanches
, en se réunissant, ont envahi toute la surface du
de peau saine qui forment des taches brunes sur un fond complètement
blanc
, ce sont les bassar-cfiaj 19-11). Dans sa période
rrure de la peau, puisque l'individu de coloration uniforme, brune ou
blanche
, est (1) Le baras blanc des arabes (vitiligo) p
individu de coloration uniforme, brune ou blanche, est (1) Le baras
blanc
des arabes (vitiligo) peut aus*i être assimilé au
au chapitre îv de l'Exode (v. o-7), la main de Moïse pouvait devenir
blanche
de lèpre comme la neige « puis redevenir comme so
mothérapie, d'électrothérapie, de mécano thérapie ; bains de lumière,
blanche
ou colorée ; cabinets d'inhalations balsamiques,
urs ENGOUE QUELQUES POSSÉDÉS DANS L'ART 79 là Ce dernier, vêtu de
blanc
, est soutenu par un vieillard à barbe blanche c
là Ce dernier, vêtu de blanc, est soutenu par un vieillard à barbe
blanche
coiffé d'un turban. De sa bouche sort un diable
de toutes parts, en avant, en dehors et en arrière par la substance
blanche
qui double les circonvolutions. De plus, ils so
cen- traux des hémisphères, on peut en rencontrer dans la substance
blanche
envi- ronnante : c'est là un fait presque excep
l. Enfin trois fois nous avons vu cette même lésion dans les fibres
blanches
qui constituent le corps calleux. Par conséquen
n a 87 dans les noyaux cen- traux et 13 seulement dans la substance
blanche
cérébrale. Il existe encore un centre nerveux q
s noyaux gris du cerveau, dans la protubérance et dans la substance
blanche
du centre ovale. Jamais,dans aucun cas,nous n'e
sou- vent la teinte en est grisâtre, tranchant un peu sur l'aspect
blanc
laiteux du reste du cerveau. Cette teinte foncé
lésion occupe les noyaux gris ou qu'elle siège en pleine substance
blanche
ou dans la protubérance : ce se- ront toujours
ont toujours les mêmes lésions dissociant plus ou moins des faisceaux
blancs
de fibres et des cellules nerveuses. Dans les
finité pour l'éosine. Ils se disposent en amas mélangés de globules
blancs
et forment une sorte d'enduit le long de cette
s constants. Tandis que les hématies manquent parfois, les globules
blancs
sont toujours présents, on les voit très nettem
ujours de la même variété de leucocytes. Ce sont de petits globules
blancs
ne contenant qu'un seul noyau très fortement co
si atteindre la capsule interne. Au niveau de ce faisceau de fibres
blanches
, nous ne voyons naturellement pas de grosses ce
es nerveuses puisqu'il n'y en a pas même normalement. Les faisceaux
blancs
sont plutôt séparés et écartés que sectionnés. On
beaucoup d'éléments globulaires dans la cavité lacunaire, le tissu
blanc
étant moins riche en vaisseaux que la substance
n peu louche, aucune lésion atrophique sur les coupes, la substance
blanche
et la substance grise sont bien délimitées. L
première nous introduit dans l'officine d'un vieux médecin à barbe
blanche
, velu d'une grande houppelande à larges manches,
sant par son milieu ; elle est absolument incluse dans la substance
blanche
, il n'y a pas trace de substance corticale, la
ir nor- malement à droite, tandis qu'à gauche il dit ne voir que du
blanc
. Les deux pupilles sont égales, mais la réactio
. Sur des coupes, on constate que ces masses sont formées de noyaux
blancs
grisâtres d'un tissu assez résistant, rappelant
er la substance grise avec ses cellules pyramidales et la substance
blanche
avec ses fibres nerveuses, mais dans lesquelles
es pénètrent en travées péri-vas- culaires jusque dans la substance
blanche
. De plus, dans la substance grise, elles offren
rticale, et s'étendant même en certains points jusqu'à la substance
blanche
. D'après l'examen des différents points des cou
e antéro-postérieur. - A. Encéphalocèle. (Les parties laissées en
blanc
sont les portions membraneuses). 1. Occipital g
es, on aperçoit à quelques millimètres de profondeur un petit bulbe
blanc
, grisâ- tre, sclérotique légèrement vascularisé
s. Si ces cordons pouvaient rappeler de très loin les commis- sures
blanches
antérieure et postérieure, on pourrait songera ho
3), Boettscher (4), Boehn (5), Pencoast (6), Marcel Baudoin (7), L.
Blanc
(8), Chapot-Prévost (9). expérimentales sur la
obre 1900 ; Semaine médi- cale, 26 novembre 1892, no 59. , (8) L.
Blanc
, Les anomalies chez l'homme et les mammifères, Pa
t un homme de 57 ans, de moyenne corpulence, à tête chauve, à barbe
blanche
. Il porte plus que son âge. Les parents qui l'amè
ettres dont se compo- sait son nom. Il ne voyait que du noir sur du
blanc
, c'est-à-dire que pas une seule lettre vue n'av
ntales passant par l'axe de la scissure calcarine. Quant aux fibres
blanches
qui limitent en dehors la corne occipitale du v
le ne s'étend pas au fascia dentata ; qu'elle respecte la substance
blanche
immédiatement sous-jacente à l'écorce de la calca
inale supérieure,la lésion gagne en profondeur jusqu'à la substance
blanche
. Il y a, à ce niveau une large plaque de méningo-
ale. A ce niveau la lésion gagne en profondeur jusqu'à la substance
blanche
; l'enlèvement de la pie-mère détermine la sépa
ère détermine la séparation complète de l'écorce et de la substance
blanche
(altération décrite par Baillarger, Rey, Tuczek).
conscrits avec séparation complète de l'é- corce et de la substance
blanche
(lésion de Baillarger). Le connaissance de cett
lgré cela il existe encore des fibres saines. Observation VIII. 1
Blancs
..., 43 ans. Tabes classique. Début de la maladie
'incendie de leur bibliothèque. On peut dire que, si dans les races
blanches
, le suicide est le plus souvent le fait d'un alié
dité et influence du milieu. Hérédité psychopathique dans les races
blanches
, hérédité nor- male dans les races jaunes. Les
est possible que cette crainte disparaisse dans certaines familles
blanches
ne partageant pas les (1) Revon, Hoksaï, p. 2ri
icamenteuse. Derrière le médecin un homme âgé, à cheveux et à barbe
blancs
, la figure contractée par la douleur, semble ré
t sur les côtés de la portion postérieure de la formation réticulée
blanche
, comme ceux que nous venons de décrire au-desso
s en fascicules plus denses qui siègent dans la formation réticulée
blanche
, formant un trait d'union entre le faisceau lon
voit dissé- minée partout, dans la zone des cellules et dans l'axe
blanc
des circonvolutions une infiltration de noyaux,
cette sclérose porter surtout sur la substance grise, la substance
blanche
étant relativement intacte : la substance grise f
des deux pariétales et de la pariétale ascen- dante. La substance
blanche
est très réduite de volume et les noyaux centraux
épaisse, offre surtout des cellules comme raréfiées ; enfin, l'axe
blanc
lui- même est diminué de volume. D'autres fai
nt : nulle part on n'en trouve de dégénérées... Là où les faisceaux
blancs
sont le mieux conservés, il y a un grand nom- b
es n'en présentent pas de si nombreux. Par places dans la substance
blanche
, auprès de la substance grise, on voit des cellul
ajet des dendrites, passant de la substance grise dans la substance
blanche
, nous avons pu facilement nous assurer que les
t à les perdre graduellement, quand ils pénètrent dans la substance
blanche
. Les contours des dendrites des cellules de la
être observées là où elles doivent passer au milieu de la substance
blanche
. Nous avons pu voir plus d'une fois que le prolon
s derniers, lorsqu'il passe de la substance grise dans la substance
blanche
. Nous avons observé ces phénomènes dans nos rec
uée juste au milieu d'une masse de fibres nerveuses de la substance
blanche
. On a l'impression que les prolonge- ments prot
pression que les prolonge- ments protoplasmiques, dans la substance
blanche
, ne peuvent avoir d'ap- pendices collatéraux. E
3. Chez le lutteur Marseille, il faisait la parade ou « lut- tait à
blanc
» : compère dissimulé dans la foule, il demandait
, au bord supérieur de la sym- physe (Quain). D'après les canons du
Blanc
(Duval, Anatomie artistique) établis par les an
trouvé normal comme nombre, forme et couleur des globules rouges et
blancs
. Cavité bucco-pharyngée très augmentée. Il manq
en bas. Elle ne pénètre pas dans les ventricules ; la com- missure
blanche
est intacte. La structure histologique de l'hyp
u gigantisme des eunuques, orientaux se retrouve cheztesSkoptzisou «
blanches
colombes», secte mystique de castrés volontaire
eux certifi- cats d'incurabilité imprimés, dont il avait rempli les
blancs
en portant le diagnostic d'hystérie et en imita
es de ramollissement jaune, qui ne se voient plus dans la substance
blanche
sous-corticale, les cellules nerveuses ne prése
tance de soutène- ment, les altérations primitives, de la substance
blanche
de la moelle. Il passe en revue le tremblement
lycérine de Unna (Griibler), jusqu'à ce qu'à l'oeil nu la substance
blanche
se dis- tingue de la substance grise (8, 15, 25
s cellules. Jamais néanmoins la coloration du fin réseau des fibres
blanches
de la substance grise n'est aussi belle que par
x. - + Je vois jaune, mauve, bleu pâle, rose + rouge, mauve, jaune,
blanc
+ c'est clair + c'est bleu, plus clair à gauche +
le + c'est clair des deux yeux également + c'est bleu, rouge, c'est
blanc
, blanc, toujours blanc. Je réveille ma malade q
est clair des deux yeux également + c'est bleu, rouge, c'est blanc,
blanc
, toujours blanc. Je réveille ma malade qui s'éc
ux yeux également + c'est bleu, rouge, c'est blanc, blanc, toujours
blanc
. Je réveille ma malade qui s'écrie : Oh ! que j
existe une hémiopie temporale très nette pour toutes les couleurs,
blanc
, fouge et vert. Le malade ne perçoit que les ob
amp visuel hémiopique est rétréci ; la vision rouge atteint 2;i, le
blanc
30, le vert 40. L'ophthalmoscope montre d'autre
uteau ou de la hache par les délirants religieux chroniques, l'arme
blanche
étant celle à laquelle les livres sacrés font l
tion et de désespoir. Ce matin sa face est vultueuse, sa langue est
blanche
, épaisse ; elle a conscience de l'agitation de la
t mois. Elle se leva, et après avoir couronné son enfant de roses
blanches
, elle prit un couteau et lui ouvrit le cou. » Ici
'un nerf lésé. J. SÉGL4S. XL. Le poids spécifique de la substance
blanche
et de la subs- tance grise dans les différentes
fique des diverses par- ties de l'écorce cérébrale, de la substance
blanche
, du cervelet ne s'éloigne pas d'une façon appré
e élevé, tandis qu'il sera diminué dans d'autres. Pour la substance
blanche
, les variations de son poids spécifique sont so
queuse d'acétate de plomb ; il précipite des aiguilles cristallines
blanches
et fines. On filtre et on redissout dans l'eau
corce du cerveau de l'homme, les cornes antérieures et la substance
blanche
de la moelle du lapin, les fines cellules-araig
de la moelle du lapin, les fines cellules-araignées de la substance
blanche
cérébrale et cérébelleuse, enfin la moelle d'un
postérieure, dont elle est séparée par une large raie de substance
blanche
normale, occupe le faisceau cunéiforme REVUE D'
nt précoce qui montre à quatre jours et demi un trousseau de fibres
blanches
allant de la couche optique à la capsule intern
i va au noyau lenticulaire. Elles constituent une lame de substance
blanche
, en dehors du premier segment du globus pallidu
u se rend directement à la capsule interne par la lame de substance
blanche
et par le premier segment du globus pallidus. L
eu près à la même époque reçoit des fibres issues de la subs- tance
blanche
moyenne des tubercules quadrijumeaux. Ces fibres
lesquelles des fibres myéliniques nombreuses en anses. La substance
blanche
moyenne du tubercule quadrijumeau supérieur et
ent de la pie-mère détermine la séparation complète de la substance
blanche
et de la substance grise, celle-ci restant adhé
illarger en 18 ? et attribuée par lui à la sclérose de la substance
blanche
et au ramollissement de l'écorce). Ce cas peut
éningo-encéplialite (avec séparation de l'écorce et de la substance
blanche
) qui déterminent des symp- tômes relevant habit
s premiers jours de vie commune, des habitudes d'alcoolisme. Du vin
blanc
tous les matins, comme apéritif du vermouth ou
tins, comme apéritif du vermouth ou de l'absinthe, aux repas du vin
blanc
, du café et le petit verre, tel était le régime
quatorze années : un petit verre de marc le matin en se levant, vin
blanc
comme apéritif avant déjeuner, à table, environ
simples épaississe- ments diffus, dans l'écorce, dans les faisceaux
blancs
, au voisinage des ventricules, à la surface de
s volumineuses de 60 à 100 fi, surtout fréquentes dans les masses
blanches
, cellules arrondies à noyaux souvent multiples, à
e travail il y ait extension du processus destructif à la substance
blanche
. Enfin de quelques cas il ressort que l'agnoscie
lasme cellulaire coloré en bleu ; les dimen- sions de cette auréole
blanche
périnucléaire sont plus ou moins considérables,
points refouler légèrement le corps cellulaire. Dans la subs- tance
blanche
le développement de ces petites cellules est égal
rposés entre les fibres de l'écorce et entre celles de la substance
blanche
ne sont pas également pour ces conducteurs une
i le sien, était le suivant : petit verre de marc le matin ; du vin
blanc
ou de l'absinthe, quelquefois les deux avant dé
déjeuner, et, avant diner, amer Picon ou grenadine au kirsch ; vin
blanc
ou vin rouge à volonté aux repas. Depuis cinq a
à boire. Depuis, le régime qu'il a suivi est toujours le même : vin
blanc
, ou la goutte le matin, à midi et le soir amer
petits rats, des souris sous une chaise, des insectes sur le papier
blanc
qui se trouve sur la table, et avec ses 'doigts i
n. Par l'excitation des globes oculaires, il voit « du feu... c'est
blanc
. Ce sont des flammes blanches » ; il voit aussi
bes oculaires, il voit « du feu... c'est blanc. Ce sont des flammes
blanches
» ; il voit aussi de la fumée, et « une grande
nerie. Son régime était à ce moment le suivant : deux litres de vin
blanc
de huit heures du matin à midi, vin rouge en ma
git encore sous l'excitation périphé- rique, et il voit « un cheval
blanc
». - La membrane olfactive est également sensib
emporal, insula les circonvolutions contiguës sont très atrophiées,
blanches
, dures ; c'est la partie supérieure de P2, tout
arine. La circonvolution du nerf olfactif est réduite à deux arêtes
blanches
dans toute sa longueur. Le pied de FA et F' son
longueur. Le pied de FA et F' sont atrophiés et indurés (coloration
blanche
, induration très nette, tranchant sur la colora
l41que du gyrus reclus qui se présente sous l'aspect de deux crêtes
blanches
et dures laissant entre elles une fossette asse
anes à demi accolées. La partie de T' qui correspond au foyer est
blanche
, atrophiée, dure. - Le lobule de l'insula ne prés
rtout de la lame médullaire médiane et latérale ainsi que la couche
blanche
inter- médiaire au putamen et à l'écorce de l'i
isement des pyramides. P. licsavAL. LXXVI. De la teneur en fibres
blanches
des ascendantes d'un individu normal du sexe ma
oit, champ visuel très rétréci pour le vert, normal pour la couleur
blanche
. Pour l'oeil gauche, hémianopsie tem- REVUE DE
de scotome central, la conservation du champ visuel normal pour le
blanc
tandis que rétréci pour les autres couleurs, ne
es (roubles oculo-pupillaires relevant de lésions de la substance
blanche
de la moelle. L'auteur développe un parallèle e
ntéressante autopsie de l'auteur (destruction étendue des faisceaux
blancs
, avec intégrité presque complète du cortex) vient
is- sent démontrer l'existence d'un oedème héréditaire chronique,
blanc
, dur et indolore, qui doit être considérée comme
l'hémisphère gauche et par la partie postérieure dans la substance
blanche
du lobe occipital. La tumeur n'est pas bien dél
te. Son front était large, sa chevelure épaisse, sa barbe longue et
blanche
. Son visage respirait la bien- veillance et la
'encéphale, par Iiowalewaki, 1r7. Ascendantes. Tumeur en libres
blanches
des d'un individu normal, par Passon, 510. As
érique présentant de nombreuses illé- gales. Sa coloration est d'un
blanc
rosé avec points hémorrhagi- ques comme celle d
it caractérisée par des nuits assez bonnes alternant avec des nuits
blanches
ou de 2 a 3 heures de sommeil : ainsi en 14 nui
en 14 nuits nous comptâmes 5 h. de sommeil en moyenne mais 3 nuits
blanches
. Sous l'influence du véronal, à la dose de 0,50
la moyenne de 8 h. en 157 nuits ; pendant tout ce temps aucune nuit
blanche
. L'action médicamenteuse se fait sentir environ
il plusieurs heures. Malgré le médicament nous comptâmes des nuits
blanches
. Le sommeil ne se produisait en général que 3 h
, de tremblements. Quand elle va avoir un accès, elle devient toute
blanche
. - Sommeil normal. Mémoire assez bonne. Elle sa
tissu scléreux récupérer dans le tissu ll1 ? liniqul' leur manchon
blanc
; de plus, même dans les levers anciens, les rela
phiques des fibres et des cellules (substance grise et. subs- tance
blanche
) semblent être exactement les mêmes que dans le
'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 47 'eusc de la substance
blanche
des hémisphères de l'l'I11])I') on, On voit aus
ue dans la vraie sclérose en plaques, il y a lésion de la substance
blanche
cL de l'axochromatenine qui lui est liée, par s
rcule quadrijumeau antérieur : la plupart vont jusqu'à la substance
blanche
profonde de cet organe ; quelques-unes peu- ven
zone de Wcrnicke, et arrivent à la partie antérieure de la capsule
blanche
du segment antérieur du corps genouillé externe
iguë au corps calleux. Moelle plus dure que normalement : substance
blanche
des cordons postérieurs de la moelle dorsale in
, du cerveau normal. . Le noyau dentelé du cervelet, la substance
blanche
cérébel- leuse, contiennent énormément de gros'
nerf optique, la tache jaune est tranb- formée en une grande tache
blanche
assez limitée, plus ou moins ronde, ayant au ce
ion ; les libres dégénérées se di- rigent d'abord dans la substance
blanche
; leurs prolongements arrivent ensuite dans la
tes régions des circonvolutions pariétales. La lisière de substance
blanche
présentait dans les deu\ hémisphères une largeu
peut constater une élévation du point de A, la présence de flocons
blancs
avec augmentation de la quantité d'albumine, la
u. lmmmu··). Le lmulmnain les gendarmes le conduisent en voilure au
Blanc
; là, on écrit au Directeur de l'Hospice de Tou
aujourd'hui, deux employés vont le chercher à la maison d'arrêt du
Blanc
et l'ont ramené à l'Asile. Tels sont les fait
ctement sous-corticales ; il pénètre profondément dans la substance
blanche
((if]. 4.) portant atteinte aux faisceaux sagit-
, la dégénérescence secondaire se localise, tandis que la substance
blanche
reprend du reste son aspect normal. 11 n'y a pa
qu'une étroite bandelette autour du Tap., puis vient un U qui reste
blanc
sur les préparations au Pal et qui occupe la plac
emière circonvolution temporale. L'enche- vêtrement de la subslance
blanche
empêche de s'en rendre compte. Sur ces coupes
le corps genouillé externe par sa partie supérieure ; la substance
blanche
latérale inférieure de Fig. 10. 184 ANATOMIE
es sur nos coupes. On y peut constater égale- ment que la substance
blanche
latérale et inférieure de ' c. g. c. est intact
; par U. lOIINSTAl,1. (Netwol. Centmlblatt, 190'0.) De la substance
blanche
profonde du tubercule quadrijumeau antérieur pa
ait (le leur présence sur les parties environnantes de la substance
blanche
respectées par la dégénérescence secondaire. On
A mon retour chez moi, j'ai jeté mon houblon, et j'ai acheté du vin
blanc
; je ne me rendais pas compte de ce que je buvai
par l'aimant. La mensuration du champ visuel à droite donne pour le
blanc
: HYSTÉRIE. AVEC HÉVI.1\ESIHliSII : St ? SI11\,
l'impression lumi- neuse. L'ophtalmoscope reveieà droite : atrophie
blanche
du nerf optique ; grande quanti lé de pigment p
minution du nombre des globules rouges et augmentation des globules
blancs
. Enfin se présenta le singulier étal morbide qu
..oeil droit. Par exemple, un poinL` noirse détachant sur un carton
blanc
et delà grandeur de la lig. 15 al'l'i\'e iln'èl
ins Ions clairs jaune-serin, verl-d'eau, bleu-ciel, gris-argent, en
blanc
; le jaune même clta- mois, est vu également bla
, gris-argent, en blanc; le jaune même clta- mois, est vu également
blanc
mais « blanc-crème n ; certains tons intermédia
eux côtés. A gauche, ce rélrécissenientest sensiblpmentégal pour le
blanc
et toutes les couleurs, bleu, jaune, vert, violet
sain, elle localise après hésitation un petit point gauche qui est
blanc
, au lieu d'être jaune, et de la grandeur de la
me ses réponses ; et si l'oeil sain est fermé, le point vert est vu
blanc
dans les mêmes dimensions que le point de la fi
nt identiques, avec la différence que les lettres jaunes sont ^vues
blanches
et à peine distinctes par l'oeil amblyope seul ou
'image mobile).- Expérience 13. Je trace une croix avec de la craie
blanche
au milieu d'un tableau noir placé à30centimèlre
nt de gaucho il droite, entre l'oeil et la croix, un bâton de craie
blanche
jusqu'à ce qu'il ne soit plus perçu..Il' lais a
dans les expériences 1 et 3, je place ensuite un carton quelconque,
blanc
de préférence, devant l'oeil gauchi ! h 1 ou 2
avec les cornets de teinte très foncée. Seul, le cornet de papier
blanc
, appliqué sur la région orbi- (aire gaucho, n'e
l hystérique est due il un défaut (le l'autre oeil par la lumière
blanche
. Expérience 4(. Nous avons même recherché si la
e blanche. Expérience 4(. Nous avons même recherché si la lumière
blanche
du jour devait être seule mise en cause. A cet ef
identiques. FIG.2 ? 3J . CLI\IQUl \LI2VCl'Sli. Donc la lumière
blanche
, de quelle que source qu'elle soit. peut empêch
intercepteur des rayons lumineux et em- pêche de passer la lumière
blanche
; car c'est la lumière blanche seule, comme le
et em- pêche de passer la lumière blanche ; car c'est la lumière
blanche
seule, comme le prouve l'expérience avec les co
sain est masqué avec des cornets en papier de couleur ou en papier
blanc
, ont éga- lement une valeur démonstrative. AM
dernier de la lumière du jour. Quant il savoir pourquoi la lumière
blanche
, en im- pressionnant l'oeil sain, lait disparaî
ais parce que cette occlu- sion intercepte les rayons de la lumière
blanche
qui n'arrivent plus jusqu'à lui (action physiqu
s, qu'il les touche ou se figure qu'il va se Cacher sous ces linges
blancs
. Ce fétichisme sexuel se rattache à des souveni
sle des lésions inflammatoires à tous les niveaux de la subs- tance
blanche
médullaire sans dégénérescence. Pour les auteurs,
cularité qui mérite d'être mention- née. La fermeté de la substance
blanche
, l'atrésie des ventricules latéraux, l'absence
ontour orangé, chez d'autres il y a du vert, du rouge, du jaune, du
blanc
etc. Chez d'autres encore il est également ferm
Sous l'influence de l'atrophie cérébrale les noyaux de la substance
blanche
paraissent plus abondants. Dans celle observati
troubles vaso-moteurs, qui vont de la congestion simple à l'oedème
blanc
, rouge ou violet (1). L'aspect du tégument peut
edème du tissu conjonctif de la glande qui peut revêtir les aspects
blanc
, rosé, ou violet de l'oedème hys- térique. A
en voie d'organisation. A droite sa surface interne est tout à fait
blanche
et lisse. Dans le sinus longi- tudinal, on trou
finement granuleux, plus prononcé au 4e ventricule. La substance
blanche
est pâle et légèrement oedématiée. Dans le noyau
, relative- ment pâle, trouble, traversée par des nombreuses stries
blanches
, jaunâtres. La substance médullaire est hyperém
persistant, il la double bientôt d'une se- conde cuirasse en papier
blanc
verre, le papier blanc verre servant à la fois
e bientôt d'une se- conde cuirasse en papier blanc verre, le papier
blanc
verre servant à la fois à renforcer les couches
yé sur une table,' couverte d'un .lapis'rouge .à ornements noirs et
blancs
, ;avec une serviette 'blanche, fine fiole et une
cle pique jaune bordé d'hermine ; un tablier a bavette d'une étoffe
blanche
légère cache toute la moitié gauche de sa jupe. S
e la moitié gauche de sa jupe. Sa tête est prise clans une cornette
blanche
. A ses pieds, un chat est accroupi. Derrière la
Mal d'amour », « fièvre d'amour », « maladie virginale », « ictère
blanc
», « fièvre blanche », « pâles couleurs », « mal
fièvre d'amour », « maladie virginale », « ictère blanc », « fièvre
blanche
», « pâles couleurs », « mal de langueur», « ca
eillie », ces yeux humides et fatigués, ces lèvres pâles, ces mains
blanches
et ces bras amaigris, cette sensation de brisem
on est attirée dès l'abord. Figure noble, à traits réguliers, barbe
blanche
entière et. longs cheveux retombant en boucles
ux retombant en boucles sur le cou. Il est coiffé d'un épais turban
blanc
, vert et or, surmonté d'une petite couronne d'or,
lan- che rejetée en arrière. Son costume est somptueux : une robe
blanche
brodée d'or tombant jus- Nouv ICUN041t UE LA SA
ns l'ombre, les empalements, et les frottis de brun qui donnent aux
blancs
, aux bleus et aux verts une si curieuse valeur. O
che hardiment à côté d'une figure de vieillard à barbe et à cheveux
blancs
qui occupe avec plusieurs autres personnages, d
verte et les yeux renversés vers le haut laissent voir largement le
blanc
de la sclérotique. Tout ceci n'est pas en contr
ne façon très nette sur le fond plus foncé du reste de la substance
blanche
. Celle altération existe surtout dans tout le tra
tate que la zone radiculaire moyenne et toute la bande de substance
blanche
qui avoisine la corne postérieure et qui se dir
substance grise antérieure et posté- rieure etaussi de la substance
blanche
dans le domaine des vaisseaux du sillon postéri
à droite du tourbillon des cheveux. Ces plaques étaient absolument
blanches
et régulièrement arrondies, il n'y restait aucu
té et laissant voir sa jambe droite prise dans une sorte de maillot
blanc
. Ses pieds sont ju- chés sur des sandales bizar
econd médecin est assis à droite, de profil, vêtu d'une longue robe
blanche
à ceinture verte, d'un manteau rose, et 'd'un cap
able déposée sur un parchemin. Au dernier plan, une femme à capuche
blanche
se lamente et essuie ses larmes avec sa main dr
e scène peinte avec un coloris d'une rare fraîcheur. Les roses, les
blancs
et les verts y sont d'une parfaite conservation
x fois par mois et, dans l'intervalle des règles, elle a des pertes
blanches
. Au bout de 6 mois, sans interruption des règle
Toute la partie externe de la cuisse gauche est le siège d'un oedème
blanc
et dur, il limites mal tracées, se fondant grad
une vieille femme, horriblement bossue, la tête entourée d'un linge
blanc
, et qui bavarde, lout en maintenant les épaules d
nd, une jeune femme assise sur un banc, la gorge demi-nue, un fichu
blanc
sur les épaules et un tablier sur les genoux, reg
nglé d'une ceinture de cuir, ses petites jambes prises dans des bas
blancs
mal tirés et les pieds dans de gros souliers plei
grâce. Derrière eux, une vieille femme regarde, debout, une coiffe
blanche
sur la tête, les mains croisées sous son tablie
t pratiquée l'opération. En arrière une vieille femme, coiffée de
blanc
, s'apitoie sur les souffran- ces de l'opéré. 1
chevauche un binocle à verres ronds ; vêtu d'un habit brun à crevés
blancs
, une collerette plissée autour du cou, il a, dans
âne ! C'est un homme du commun, les vêtements en désordre, un linge
blanc
noué autour du cou, le pied droit sur un grossi
ance de la gravité professionnelle. La tête prise dans une cornette
blanche
et recouverte d'un voile noir, 20 NOUVELLE ICON
n voile noir, 20 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE un fichu
blanc
sur les épaules, cette aide expérimentée porte à
clefs. En garde-malade soigneuse, elle a de courtes manches revers
blancs
, et un tablier devant elle. Or, les pierres t
et s'enfoncent au-dessous de la surface de section ; la subs- tance
blanche
a pris une teinte grisàtre. ' Les racines antér
ant les cornes postérieures et en empiétant un peu sur la substance
blanche
avoisinante. Au niveau de la 1" dorsale la lési
très bien la forme; elle empiète un peu en arrière sur la substance
blanche
; par contre elle laisse sortir en avant la tèt
rps. A l'abdomen où il existe une éventration au niveau de la ligne
blanche
, - accident fréquent chez la femme qui a eu de
forment la syllabe finale muette ainsi Lemait ? qui dit : très bien
blanc
, bleu, tableau, dira : «tau pour table «por» po
noir), à ap- prendre les lettres (grandes lettres noires sur fond
blanc
), pour l'éducation de la parole (syllabes simples
ceau cérébelleux et dans une zone formant bordure de la subs- tance
blanche
à la périphérie de la moelle. Légère diminution
à droite, et encore plus mince à gauche. 1 Les nerfs optiques sont
blancs
et assez gros, par rapport au cerveau : leur co
diotie 11CROCPHILItUE. Les pédoncules cérébraux sont très rétrécis,
blancs
et symétriques. Les pédoncules cérébelleux et l
coller (comme si l'inflammation s'arrêtait là), on trouve une masse
blanche
, aplatie, présentant 12 94 Idiotie MICROCÉPHALI
le moyen, communiquant avec la corne frontale; l'examen de la masse
blanche
sous- épendymaire et du pédoncule cérébelleux,
sur le côté gauche. Dans le ventricule moyen, dilaté, la commissure
blanche
est conservée. Examen histologique ; par le D
ie est sans expression, le regard peu mobile et vague. La -peau est
blanche
, sauf au niveau des extrémités où elle est roug
demi-centimètre envi- ron. L'hémisphère est réduit il la substance
blanche
; la forme générale est conservée et on peut dis
III). Face externe. Les circonvolutions réduites à la subs- tance
blanche
ont une disposition normale et apparaissent plus
ngite légère. Les circonvolutions, très aplaties, ont une substance
blanche
et une substance grise considérablement diminué
seur. Examen histologique. - Les libres nerveuses de la substance
blanche
sont naturellement refoulées et tassées par l'ect
qui leur donne des directions variables. Au milieu de la substance
blanche
, on voit un certain nombre de taches scléreuses
s à myéline sont très nom- breuses, non seulemeut dans la substance
blanche
, mais en- core dans la substance grise. La stri
ulaire qui forme la limite de la substance grise et de la substance
blanche
de l'écorce. Au début du processus cavitaire, o
mesure, (front loi). paracentral, cire, temporales). La substance
blanche
est très diminuée de volume, les fibres nerveuses
u de cellules rondes ; seulement en certains points de la substance
blanche
, on découvre dans leur gaine adventice quelques
rve dans beaucoup de cas. - Du côté des vaisseaux de la substance
blanche
et de la portion inférieure de la substance grise
quelles nous avons relevé cette étiologie. Les discussions dont le
blanc
de céruse a été l'objet dansées derniers tem ps
des professions insalubres. (II Voir l3ouruevillc. Substitution du.
blanc
de zinc au blanc de ce) use (Proptvs méclicat,
nsalubres. (II Voir l3ouruevillc. Substitution du. blanc de zinc au
blanc
de ce) use (Proptvs méclicat, n 10 Vc 11)01, y.
1899; Pleurésie purulente; mort. Autopsie. Crâne très mince et d'un
blanc
légè7·e7nent jau- nâtre ; persistance de la fon
e d'appétit et de faiblesse. Elle a eu pendant longtemps des pertes
blanches
. Famille de la mère. - Père, mort à fi5 ans d'u
s. Le sommeil a toujours été calme. Elle a toujours eu la peau très
blanche
. Pas de maladies infectieuses, L'enfant n'a p
111U.\ : (I'- 158 Idiotie myxoedémateuse. rlémateuse. La peau est
blanche
, sèche. Le crâne est élargi en arrière, l'occip
cissure parallèle. Les circonvolutions sont réduites à la substance
blanche
, atrophiée. Un grand nombre de circonvolutions
tre si le sang qu'il renferme est liquide ; grisâtre, si les globules
blancs
qui s'y arrêtent toujours en certain nombre sont
l'épaisseur de la substance grise, soit à la réunion de la substance
blanche
a\Tec la couche corticale. Cette position plus su
uttelettes et des granulations dégraisse. L'accumulation des globules
blancs
et de la matière amorphe grenue qui les entoure,
morrhagie cérébrale. Foyer récent dans la partie postérieure du noyau
blanc
de l'hémisphère cérébral gauche. Ancien foyer rec
07 d'hémorrhagie cérébrale. Foyer d'hémorrhagie récente dans le noyau
blanc
de l'hémisphère cérébral droit, à la partie posté
ière de la couche optique gauche, et un autre enfin dans la substance
blanche
du lobe occipital gauche. On trouve de plus un fo
n cle son tiers postérieur avec les deux tiers antérieurs. La capsule
blanche
interne de Burdach a été détruite au niveau de la
ue du côté droit. Autre ancien foyer à la partie postérieure du noyau
blanc
du lobe occipital du même côté. — Anévrysmes des
.., 76 ans. Morte, le 11 mai 1867, d'un ramollissement rouge du noyau
blanc
de l'hémisphère gauche, en dehors du corps strié.
. L'autopsie montre dans le corps strié gauche et dans la substance
blanche
de l'hémisphère droit, empiétant sur une circonvo
point ramolfie. L'artère basilaire était çà et là couverte de plaques
blanches
. Les deux faits suivants se rapportent de toute
Nombreux anévrysmes des petites artères (couches corticales et noyaux
blancs
des hémisphères, corps striés, protubérance). — A
liques ou sous-méningées ; dans la pachyménin-gite, le ramollissement
blanc
ou rouge; enfin, lorsqu'une tumeur comprime forte
lysé. A. — Ramollissement. Obs. I. Iung, 76 ans. — Ramollissement
blanc
peu étendu du centre ovale de l'hémisphère droit
zième jour. T. R. 40°, 3. Obs. II. Moreau, 70 ans. — Ramollissement
blanc
du lobe gauche de la protubérance. — Pneumonie lo
. Mort le sixième jour. Obs. III. Emeux, 59 ans. — Ramollissement
blanc
très étendu du lobe moyen gauche ; sans oblitérat
. Mort le neuvième jour. Obs. IV. Henry, 89 ans. — Ramollissement
blanc
. Début d'une deuxième attaque avec hémiplégie g
schare. — Mort le 20e jour. Obs. V. Morlet, 81 ans. —Ramollissement
blanc
du corps strié et du centre ovale, coté gauche. T
e troisième jour. TR. 40°. Obs. VI. Pessé, 47 ans. — Ramollissement
blanc
, deuxième circonvolution frontale et deuxième cir
zième. T. R. 37°, 3/5. Obs. VII. Ilayaert, 74 ans. — Ramollissement
blanc
. Corps strié et centre ovate. — Thrombose sylvien
me jour. T. R. 39°, 2/5. Obs. VIII. Dubois 70 ans. — Ramollissement
blanc
, centre ovale droit. Début le 22 mars 1867, san
me jour. T R. 40°, 2/5. Obs. XVIII. Combe, 72 ans. — Ramollissement
blanc
du centre ovale gauche et des circonvolutions du
ectées au même degré. Obs. XXI. — Foureau, 72 ans. — Ramollissement
blanc
très limité du centre ovale. Thrombose sylvienne
A. — Ramollissement. Obs. XXII. Danjou, 70 ans. — Ramollissement
blanc
rosé du lobe occipital droit. — Oblitération fibr
ème jour. TR. 41°, 8. Obs. XXIV. Fraisier, 03 ans. — Ramollissement
blanc
, noyau extra-ventriculaire du corps strié. — Débu
grande quantité de liquide clans la cavité articulaire. La peau était
blanche
, luisante ; la seule rougeur qui y parut était ce
ur calibre. Sur Y hémisphère droitexiste une plaque de ramollissement
blanc
, récent, irrégulièrement arrondie, plus large qu'
ution marginale postérieure. Le ramollissement s'étend à la substance
blanche
sous-jacente dans la profondeur de deux centimètr
la présence d'une tumeur qui plonge dans l'épaisseur de la substance
blanche
, et est recouverte par une couche ex.trôme-ment m
es. Au voisinage de la tumeur, la substance grise, comme la substance
blanche
du cerveau, n'ont offert aucune altération appréc
lutions ; il occupe , dans Fétendue d'une petite noix, ta substance
blanche
sous-jacente. La partie la plus antérieure du c
olumineux de l'extrémité inférieure dn fémur gauche. — Ramollissement
blanc
, violacé, occupant la substance blanche du centre
fémur gauche. — Ramollissement blanc, violacé, occupant la substance
blanche
du centre ovale et ayant envahi, la presque total
ue à la catalepsie de l'homme, en lui plaçant le bec devant une ligne
blanche
tracée sur le sol. L'expérience est reproduite en
istinguait pas les couleurs avec son œil gauche ; elle voyait tout en
blanc
ou en gris. De l'œil droit, elle reconnaissait ex
Newton que nous projetons sur cet écran. Le reste lui paraît gris ou
blanc
. Plaçons sur sa tempe droite un bandeau métalliqu
ù, à droite, elle perd, la notion des couleurs et ne voit plus que du
blanc
. Achromatopsie artificielle. — 11 est d'ailleur
et que vous ne puissiez distinguer rien autre chose que du gris ou du
blanc
. Vous avez tous l'achromatop-sie des hystériques,
la tête d'un coq près d'un tableau noir sur lequel on a fait une raie
blanche
, juste au niveau de la tête du coq, celui-ci devi
l est revenu ensuite. Nous remplaçons le tableau noir avec une raie
blanche
par une lumière vive, devant laquelle nous tenons
lade en état de somnambulisme de regarder fixement un carré de papier
blanc
, et on lui suggère que ce carré de papier est col
e qu'il avait froid. - 1er mai. T. R. 38°. Soir : 38°. 4. Décoction
blanche
de Sydenham. 5 Avril. La température était re
out àlaface supérieure, est couverte d'adhérences péritonéales d'un
blanc
grisâtre, qui font adhérer le foie au diaphragm
aspect graisseux, jaunâtre; on voit ça et là de petits tubercu- les
blancs
, de la grosseur d'une tête d'épingle, surtout au
'autre, une fille de 16 ans, est intelligente; elle a eu une tumeur
blanche
du genou. De son deuxième mari, le père de notr
sobre, petit, très nerveux, sujet à des faiblesses; il devient tout
blanc
, mais ne perd pas complètement connaissance ; c
ott, offre des lésions portant sur les enveloppes, sur la substance
blanche
et sur la substance grise. La pie-mère et les
elle. D'autre part, la pie-mère empiète notablement sur les cordons
blancs
, au point d'émergence des racines posté- rieure
t par MM. Raymond et Arthaud [Revue de Médecine 1S80) - Les cordons
blancs
présentent dos traces d'inflammation interstiti
e qui comprend toute l'épaisseur des commissures. Dans la substance
blanche
, le cordon latéral est en partie dégénéré sans
les. Le sillon antérieur de la moelle est élargi. Dans la substance
blanche
on constate du premier coup d'oeil la dégénéres
les jambes se touchent presque ; l'écume sort de ses lèvres d'abord
blanche
, puis rouge (morsure de la langue). Cela dure .
le visage grimace, durée 1/2 minute. Ronflement très fort, écume
blanche
abondante ; tout le corps est encore secoué par d
lumineux, en raison de la maigreur des membres. La peau est assez
blanche
et ne présente pas de lésions sauf aux fesses,
uette est coiffée dans sa moitié inférieure par une fausse membrane
blanche
. Les deux amygdales et le voile du palais, dans
palais et la luette sont complètement tapissésde fausses membranes
blanches
. Pas d'écoulement par les narines.Les battement
ntition. Mâchoire supérieure : 11 dents saines, assez bien rangées,
blanches
, continues. Canine droite incomplète- tementsor
r des grosses bronches. La trachée ouverte donne issue à un liquide
blanc
, mat, légèrement spu- meux qui doit être du lai
upée de rides transversales, et, dans sa partie recourbée, est plus
blanche
et comme mamelonnée. Quant à la perforation ell
s avons parlé, elle laisse voir dans son fond une masse elliptique,
blanche
, arron- POTIEXCÉPHALIE vraie. 177 î die, qui
r est nettement limité par un bord, d'où semble partir une membrane
blanche
, formant ourlet sur les circonvolutions, qui fa
hémisphère. Toute l'étendue de l'excavation présente nne coloration
blanche
et se compose d'une série de parties, alternati
t rentrantes. A la partie inférieure se voit une masse de substance
blanche
, volumi- neuse, arrondie, qui paraît correspond
vité largement ouverte au centre du ventricule latéral. Les parties
blanches
qui existent à ce niveau sont les parois de ce
l'interrompt et à partir duquel on rencontre une surface mamelonnée
blanche
, qui se dirige vers le fond de l'entonnoir et p
ut de développement de certaines circonvolutions et de la substance
blanche
sous-jacente. Le fond du kyste est formé par un
cente. Le fond du kyste est formé par une mince couche de substance
blanche
recouverte d'une mem- brane cclluleuse, très ré
neux, qui s'est creusé une loge aux dépens de la substance grise et
blanche
de l'hémisphère et qui a détruit la partie post
cette membrane lisse, et doublée d'une mince couche de la substance
blanche
qui la sépare du ventricule latéral et des noya
formées par les circonvolutions, sont constituées par la substance
blanche
recouverte par la membrane du pseudo-kyste qui
ne donne pas de gros plis sacci formes à la pression. La peau est
blanche
, n'offrant nulle part l'aspect cireux, jaunâtre
ait petite, ne marchait pas, ne prononçait aucun mot, avait la peau
blanche
et non cireuse. Elle aurait été bien soignée ch
, deux en haut (ce qui fait une étendue de sept notes). La peau est
blanche
, sans aucun caractère myxoedémateux, les paupiè
s répondre. « Le matin nous dit-il, j'avais bu une bouteille de vin
blanc
, j'étais en train de faire le lit quand tout à
et IIenriquez 1 dans la paralysie diphtérique. Dans la substance
blanche
, MM. Charcot, Joffroy, Ilayem, Gombault, etc.,
syphilis. P. K. 11 ? Observation DE myélite aiguë dans la substance
blanche
; par K. KilsTERMANN. (AI'chiv f. Psychiat., XXV
hésie ther- miqne. L'autopsie révèle une altération de la substance
blanche
(déchéance du parenchyme et prolifération de la
l ne se bornait pas à l'écorce, mais portait aussi sur la substance
blanche
. Le ramollissement avait envahi aussi le bourre
eures dans toute la hauteur de la moelle; intégrité de la substance
blanche
; dégénérescence très avancée des racines antéri
ns concernent des lésions corticales et des lésions de la substance
blanche
sous-corticale, avec constante loca- lisation a
penchants. Le ma- tin, à jeun, il prenait cinq ou six verres de vin
blanc
, et dans la journée plusieurs bouteilles de vin
et elles atteignaient également la substance grise et la substance
blanche
. C'était Vierordt', qui le premier avait décrit
érieures et des cordons de Clarke et une altération de la substance
blanche
, surtout dans les cordons postérieurs, en forme
ceaux de Goll ont nue autre coloration que le reste de la substance
blanche
. Outre cela, nous voyons dans la région altérée
avais soif, je pre- nais au comptoir de ma mère un bon verre de vin
blanc
, et comme il me fallait entamer une bouteille,
e résistante ayant détruit et remplaçant presque toute la substance
blanche
des deux tiers antérieurs et inférieurs de ce l
t que le premier, également en- kysté, fut trouvé dans la substance
blanche
, immédiatement au- dessous de la portion inféri
t de nuance foncée, et sa strialion manque de netteté. La substance
blanche
participe à l'atrophie superficielle; elle est
es étoilées plus petites se rencontrent souvent dans la subs- tance
blanche
. Tous les degrés de dégénérescence de la cellule
la méthode de Marchi, on remarque, dissé- minées dans la substance
blanche
, des fibres nerveuses en état de dégénérescence
également des particularités intéressantes. Dans toute la substance
blanche
, mais surtout dans les régions qui sont le sièg
ragies dans la subs- tance grise, dégénérescences dans la substance
blanche
, névrite de plusieurs nerfs rachidiens et de pr
es. qui, presque exclusivement, sont occupées par de la substance
blanche
. Les parties qui sont sur la ligne médiane sont a
n à sa partie postéro-interne. A la coupe les subs- tances grise et
blanche
sont ramollies dans toute leur étendue avec max
rne. L'hémisphère droit tout entier n'est qu'une véritable bouillie
blanche
, légèrement ocreuse par endroits. Il ne reste p
8 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. droite. L'intégrité de la substance
blanche
correspondant à ces régions dans la capsule int
ces intermédiaires. Par pression avec le doigt on obtient une tache
blanche
et un godet qui s'ell'acent bientôt, mais la co
ui de leu- cocytes de 2,400, de sorte que les rapports des globules
blancs
aux rouges était de 1 : 2 200. Le sang du membr
bine, 4,587,000 globules rouges par millimètre cube, 6,885 globules
blancs
, de sorte que les rapports de ces derniers anx
es étaient de 1 : 660. Parmi les dilfé- rentes variétés de globules
blancs
on observe une augmentation du nombre de leucoc
de l'Alabama, que sur 179 décès survenus chez des malades de race
blanche
, 51, c'est-à-dire 28 p. 100 étaient dus à la tube
la même maladie. Sur ces 295 cas, 163 autopsies ont été faites (91
blancs
, 72 nègres). Des 'signes de tuberculose guérie,
guérie, stationnaire ou progressive ont été rencontrés 91 fois (50
blancs
, 41 nègres). Le résultat des recherches de M. B
érison de la tuberculose ; 2° la susceptibilité comparée de la race
blanche
et des races de couleur à l'égard de la tubercu
eut que les nègres soient plus accessibles à la tuberculose que les
blancs
. La proportion des décès tuberculeux chez les b
culose que les blancs. La proportion des décès tuberculeux chez les
blancs
est de 25 à 30 p. 100; chez les nègres elle att
aire est au contraire très commune. C'est le contraire dans la race
blanche
. On peut, en somme, sur ce deuxième point, dédu
berculose est plus considérable dans la race nègre que dans la race
blanche
. - La marche de la maladie est plus rapide chez
frique du Sud est peut-être l'un des pays où l'influence de la race
blanche
est la plus accusée et où les effets nuisibles de
la folie était cinq fois moins fréquente chez le nègre que chez le
blanc
, elle ne l'était plus que trois fois en 1870 et
lancolie et la fréquence, relativement bien plus grande que chez le
blanc
, de la manie. Depuis quelques années on a renco
maladies men- tales qu'on n'avait jusque-là rencontrées que chez le
blanc
: la paralysie générale, la dipsomanie, l'intox
que 60 p. 100 de la hauteur totaledu corps. Or, suivant le canon de
Blanc
(Anatomie a1'tistique de Duval), qui était, paraî
subs- 38 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. tance
blanche
du gynts subcallosus ; là s'y joint un faisceau q
ien est un prolongement de la raie médiane de Lancisi. La substance
blanche
du gyius subcallosus envoie alors une racine ol
our la moelle tabétique; on voit nettement à l'oeil nu, les parties
blanches
, et les cordons postérieurs sont d'un transpare
ale se développait à l'idée de manger un morceau de la peau fine et
blanche
d'une jeune fille et de boire le sang qui coule
blanchisseuse, sobre, morte à quarante-six ans en 1883 d'une tumeur
blanche
du genou ; à quatorze ans, elle avait eu une fi
e nous fournissent aucun renseignement utile. On parle d'une tumeur
blanche
, d'un redressement du genou qui sera prochaiuem
estruction parfaite du tubercule quadrijumeau postérieurchez le rat
blanc
, le cochon d'Inde, ou le lapin, en les rendant so
e- ment au milieu et en avant, pour se terminer dans la substance
blanche
réticulaire qui, sur une coupe transverse, est si
ssion, mais à la pénétration directe de la tumeur dans la substance
blanche
. M. Nicol présente un malade qui, en juillet 18
acture de la main, des doigts s'accompagne parfois d'oedème bleu ou
blanc
par stase mécanique. Plus rares sont les contra
dans la folie, par Legre, 131. Myélite aigué dans la substance
blanche
, par Kustermann, 51. 1115oscEnes. Des fibres -,
durant vingt minutes. Sans perdre connaissance, l'enfant devenait «
blanc
« en même temps qu'il était agité de secousses
mitées exactement à l'union de la substance grise avec la substance
blanche
. Hémisphère gauche. a) Face convexe : Ilots scl
éreuse, remar- quables par leur aspect lisse et uni, et leur teinte
blanche
, leur forme généralement arrondie. Le toucher p
corticale et secondairement une partiede ceux de la [sub- stance
blanche
. A côté de la netteté macroscopique et de la si
ait toute la couche de substance grise et mettait à nu la substance
blanche
, atrophiée, indurée, des circonvolu- tions céré
er au bismuth 2 gr. de diascordium, et donner un lavement avec un
blanc
d'oeuf et 12 gouttes de laudanum de Sydenham.-
qui suit la pie-mère, laissant ainsi à nu le squelette de substance
blanche
des circonvolutions. Ceci se produit sur toute
sur la moitié antérieure du lobe temporo-occi- pital. La substance
blanche
, ainsi mise à nu, est indurée, ferme, et est hé
la substance GRISE, mettant ainsi à nu le squelette de la substance
blanche
atrophiée et indurée. (Dans la Planche I, M. Le
actérisée par la sé- paration de la substance grise de la substance
blanche
. Voir aussi : Calmeil, Traité des maladies infl
M. Bourneville). Antécédents. - Père : .-boulanger, alcoolique (vin
blanc
), mort d'un asthme symptomatique de bronchite c
on ne sait de quoi. L'autre a succombé à des excès de boissons (vin
blanc
). Aucun renseignement sur les grands parents pa
it que,pour son com- merce, il était obligé clé boire beaucoup (vin
blanc
), mais qu'il ne se grisait pas. Il n'a jamais é
limiter. Les tissus avoisinants sont fortement indurés. La peau est
blanche
, immobile sur les parties sous-jacentes. Le mal
la ca- vité sus-arachnoïdienne est parsemée de plaques calcaires
blanches
, aplaties, ovalaires et de volume variable. La
oi ventriculaire, il n'existe plus qu'une mince couche de substance
blanche
. Les circonvo- lutions du voisinage sont atroph
, dépôt floconneux occupant le quart du vase. Par la chaleur, dépôt
blanc
qui disparaît par l'addition de 4 ou 5 cinq gou
. De ce côté, comme de l'autre, les circonvolutions et la substance
blanche
forment encore une couche épaisse entre le vent
urrale. Erection des papilles qui se détachent en rouge sur le fond
blanc
de l'enduit. Diarrhée glaireuse, jaune-verdàtre
ct que la paroi, très fétide. Le poumon, reve- nu sur lui-même, est
blanc
grisâtre. A la partie antérieure du lobe inféri
peu saillantes, lactescentes. Rien aux valvules sigmoïdes. Caillot
blanc
passant de l'oreillette droite dans le ventricu'e
nique généralisée. Séparation de la substance grise de la substance
blanche
sur toute la face convexe de l'hémisphère droit
500 exemplaires numérotés à la presse; 300 exem- plaires sur papier
blanc
, vélin. N" 1 300. - Prix : 3 fer. - Pour nos ab
océdé employé pour produire l'intoxication a consisté à mélanger du
blanc
de céruse au son qui sert à l'alimentation. A l
est réduite à une sorte de membrane dure dans ses 2/4 moyens, d'un
blanc
opaque comme celle du côté opposé. Toute la par
ième circonvolution frontale est consi- dérablement atrophiée, d'un
blanc
opaque; de là, jusqu'à la crête de la première
eurs de l'insula de Reil sont indurés, très atrophiés, grêles, d'un
blanc
opaque. Les circonvolutions postérieures à la p
strié est parsemé d'îlots sclérosés, tranchant par leur coloration
blanche
sur le fond gris du corps strié. Une section
e préférence les parties centrales, que les plaques, au lieu d'être
blanches
, ont une coloration grise. La comparaison entre
oir; - vermillon - moins noir; - orange - gris clair; - jaune -
blanc
sale; - vert clair - vert foncé; - Vert - noi
oir; Le bleu clair paraît gris; - bleu - noir; - lilas noir ;
blanc
parait transparent et indéfinissable. Nous no
ois d'avril dernier. Ces expériences Dent été faites sur des sujets
blancs
, du sexe masculin, doués l'une intelligence ass
stologique des couches qui les constituent, il décrit des faisceaux
blancs
qui s'étendent jusqu'à la moelle, y forment la
substance grise, qui est assurément plus délicate que la substance
blanche
, et dont les éléments s'altèrent avec une grand
Nous 'reviendrons' sur ce' fait' à l'occasion de la' subs- tance
blanche
. '' '" '' t' ^ ' r ! ' ' nn rail^ii, h Somme'to
ent question. lorsque, nous décrirons les «^lésions de la substance
blanche
. ,, , . ? Les.yaisseaux sanguins sont évidemment
ve presque . tous intacts, alors que les méninges et la substance
blanche
sont si profondément altérées. L'état trouble d
1,,[fl `1 > ? 1 ? 1 - <S'M ? ? cc e ? C est dans la substance
blanche
- 9'j Ut, ', Il i -i . il | ' ' ri)f. , () <
? t))' ' 1 1 -1' l , d »- 1 .i , z toute l'étendue de la substance
blanche
d une circon- GJ'\JI¡oLJ J .. 'if "tJ1 i. 1 ? l
st particulièrement intéres- sante. Il n'y a pas, dans la substance
blanche
, de colo- ? < ! i ,, 'H ! 1 t, 1. t 1 i s , .
rand' nombre et beau- coup plus faciles à étudier, car la substance
blanche
est plus transparente et moins condensée que la
1lD,.rf' ? o, 1=. "q'bl,t Ici JI1() ..II,J ? J1G Dans la substance
blanche
saine, les capillaires '5.. ? t1n nn·r ? f nrr,
"'> f.;)l. Ir q(U' III ? 1 ? If '. fi(T : 1}1l J-G ( ? 1t) tance
blanche
sont tous de très petit calibre, capillaires ,d
ce, grise , et), intéresserait ? la^couche, contiguë^de ;substance,
blanche
, qui , ;à t.'oeil. nu, ,offre) une, colora- iti
aits, expri- ment l'opinion que, dans la chorée grave, la substance
blanche
de la moelle subit des altérations qui portent
, 50 grammes; sang fluide dans les ventricules, caillots noirs et
blancs
dans les oreillettes. Foie (345 gr. rate (15 gr
idérable; ils sont durs, résistants à la coupe; ils ont une couleur
blanche
qui tranche nettement sur les circonvolutions q
lement. Ils offrent à leur surface plu- sieurs petites tumeurs d'un
blanc
jaunâtre présentant à la coupe une forme coniqu
sur les circonvolutions, respectant le centre ovale (subs- tance
blanche
), le cervelet, la protubérance et le bulbe); eu
rveux qu'il englobe. ÉTUDE SUR L'IDIOTIE. 411 i Dans la substance
blanche
, la lésion scléreuse, à part la différence de d
a circonvolution malade qui devaient être occupées par la substance
blanche
; peut-être est-il permis de supposer, en raiso
raison de ce fait, que la sclérose névro- glique dans la substance
blanche
n'est que secondaire. Quant à la vascularisatio
teinte grisâtre qui, suivant l'intensité lumineuse, varie entre le
blanc
sale et le bis presque noir. Ces détails étai
citant la moelle. La substance grise perd son excitabilité avant la
blanche
. Deux à trois heures après la mort, l'excitabil
'épaississe- ment. Moelle cervicale assez ferme, anémiée; substance
blanche
un peu grise; moelle dorsale très molle. Le ren
phérique; foyer formé par une masse jaunâtre demi-solide, substance
blanche
sous-ja- cente d'apparence granuleuse. Ces alté
Varole ramollie; la surface d'une coupe en ce point est absolument
blanche
, et les tissus pré sentent une consistance très
nsula, la, qui, d'arrière .enn avant )fritrav,erse0 la ,i'substanée
blanche
,3 médullaire ? des circonvolutions çentralês, : e
`paraît assez r, égullz re (PLXIV, fg : 5). Les fibrë5·de substance
blanche
, qui parteiit du 1 be ari tal, o r t)'diectom -
jsuiyantsj : j Kl oh 19 jçj te 9 un3,ças, deof9rmatiQnLde,s;)btapcp/
blanche
,- suzlvlb bae,dlu,.pe ! rYe,au ? ReQigasquûpuMa
rejréellement scientifique. J'ai en vue la constitution des parties
blanches
du cerveau et surtout celle de la capsule inter
e interne est ')" "' fur91 ! y-'t'ij'iB <>** K,l\ la partie
blanche
qui divise, la masse ganglionnaire de > . ,
substance ? t 1 1. ai -r -ol -il «U. : 2 9 ffof").-)2 j xiirîtill,
blanche
du pédicule de la troisième frontale gauche S .
lité - qq ! 'tj ? ') ? )tni7f ? ont Bt 9)09aaiq 90p ou aux libres
blanches
, capsulaires. ,. ,, * , - "' ;Iffovf ;ji)- .111
i annoTi'i.vu'siii ! Vi ^wJ'u' -> L r cedente, forment la bande,
blanche
ou. centre ovale 8V'911<b 'h; . ! ;.')'<
faisceau 9381,id,21-j ); /laifasb 91 ai0 : iiC'> : : u] ? fr. ,
blanc
sus-jacent au noyau de Luys.tres oblique en J&l
0^)90^-'^» ih '1 a.iBî0J0.' 90ÏH.],rRl ? 9 ? Ba<-. , de, couleur
blanche
et grise, espèce de grillage . qui la aw;(iu,&g
nt le travail irritatif, qui porte sur les racines et les faisceaux
blancs
postérieurs delà moelle, amène- t-il, en même t
a membrane externe de quelques vaisseaux. Les colonnes de substance
blanche
étaient parfaitement saines. , C. T. XII. REC
t en ce qui a trait au mode de répartition de la substance grise ou
blanche
: telle cette sclérose latérale amyotrophique a
au milieu de la substance grise une masse considérable de substance
blanche
normale (renflement lombaire); telle encore cet
des aliénés présentant une pénétra- tion identique de la substance
blanche
dans les couches grises (moelle dorso-lombaire)
o-parlétauxsupérieurs, occipitaux et n'intéressant que la substance
blanche
. Une seconde tumeur identique siégeait dans le
ique se résume en la dégénérescence grise ou atrophique des cordons
blancs
postérieurs constituée dans le premier cas par
e de l'insula, déprimée, et pénétrant dans la masse de la substance
blanche
de la circonvolu- tion frontale. C, Coupe tra
gauche, tout contre le chiasma des nerfs optiques. l', substance
blanche
du lobe pariétal, arrivant à la capsule interne.
HES. ' C n, capsule interne, - C x, capsule externe. P, substance
blanche
du lobe pariétal, qui arrive sur la substance b
P, substance blanche du lobe pariétal, qui arrive sur la substance
blanche
de la région cérébrale sous-jacente. 0, avant-m
génération du cordon postérieur du côté opposé' ni d'autres cordons
blancs
de la moelle épinière (p. 34). Relativement aux
e la capsule interne gauche un morcel- lement anormal des faisceaux
blancs
parla substance grise. Observation II. Maurice
dilacère très facilement et pèse 390 grammes. Le foie a une teinte
blanc
jaunâtre à la coupe; il pèse 1450 grammes. Le r
ue et de la rétine. La moitié temporale de la papille est nettement
blanche
, et les REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 63 vaiss
ogue à celle du tissu hépatique. Ce disque est le centre d'une zone
blanc
grisâtre, qui présente en tous sens, à partir d
entre. Celle-ci est nébuleuse plutôt que nuageuse. Elle est presque
blanche
à la circonférence du disque brun; et delà s'at
histologiques les lésions de la substance grise et de la substance
blanche
, en parti- culier les ulcérations des cellules
; les atrophies cellulaires amènent l'atrophie simple des faisceaux
blancs
, mais non leur sclérose. Présentation de masque
l vient d'écrire de sa propre main. « Il ne voit que du noir sur du
blanc
. » En outre, il est hémiopique. Il n'est pas hémi
hère, sans en atteindre ni les radiations optiques, ni la substance
blanche
sous-jacente à l'écorce de la scissure cal- car
; la sub- stance grise est moins résistante encore que la substance
blanche
. Il s'ensuit que les réactions inflammatoires a
moins marquées encore dans la substance grise que dans la substance
blanche
. Il en résulte, d'autre part, que les intoxicat
ganes et plus marqués dans la substance grise que dans la substance
blanche
. 3° D'après l'état actuel de nos connaissances,
une petite-fille qui étaient attein- tes d'un même oedème chronique
blanc
, dur, indolore, à distri- bution segmentaire. D
Er DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 145 - En outre, dans la substance
blanche
des lobes temporaux, pariétaux, occipitaux, fro
a cellule nerveuse et de ses prolongements en soumettant des souris
blanches
à l'action des vapeurs d'éther. Toutes les part
mètre environ. L'hémi- sphère sous-jacent est réduit à la substance
blanche
; la forme générale des circonvolutions est cons
ôté droit. A la partie moyenne du tibia gauche existe une cicatrice
blanche
et lisse résultant d'une chute faite à l'âge de
s yeux pratiqué par le D' Aubineau. - « Champ visuel normal pour le
blanc
et les couleurs. Pas de scotome central. Le suj
1.50 V, = I. O.G.=Hm=2 ? V=1. , « Champs visuels normaux pour le
blanc
et les couleurs. Pas de scotome central ». Il
ster en un ou plusieurs petits foyers répartis dans les faisceaux
blancs
médullaires sans aucune systématisation. En tout
un dérivé de l'uréthane, qui se présente sous la forme d'une poudre
blanche
facilement soluble dans l'alcool. L'au- teur l'
gres figurent dans ce chiffre pour une proportion égale à celle des
blancs
: dans les deux races, les hommes ont été beauc
re à droite, et encore plus mince à gauche. Les nerfs optiques sont
blancs
et assez gros, par rapport au cerveau : leur co
ANATOMIE PATHOLOGIQUE. Les pédoncules cérébraux sont très rétrécis,
blancs
et symétriques. Les. pédoncules cérébelleux et
coller (comme si l'inflammation s'arrêtait là), on trouve une masse
blanche
, aplatie, présentant 42 '286 . ANATOMIE PATHOLO
le moyen, communiquant avec la corne frontale; l'examen de la masse
blanche
sous- épendymaire et du pédoncule cérébelleux,
sur le côté gauche. Dans le ventricule moyen, dilaté, la commissure
blanche
est conservée. Examen histologique ; par le D
poumons et le coeur sont sains, le pouls bat 70 à la minute. Langue
blanche
, présentant au niveau du V lingual et un peu en-
observe le même phénomène sur la surface de section de la substance
blanche
. Les noyaux opto-slriés. un peu ramollis, sont
paralysie bulbaire. On ne les rencontre guère hors de la substance
blanche
. L'auteur pense que les corps qu'il a trouvés d
s circonvolutions de l'hippocampe. Pour chaque région, la substance
blanche
et la substance grise ont été étudiées pour cha
spécifique moyen, pour la substance grise 1037 et pour la substance
blanche
1041. l.e poids spécifique de la substance blan
our la substance blanche 1041. l.e poids spécifique de la substance
blanche
est le même dans les deux sexes, mais celui de
en outre que les différences les plus accusées entre la substance
blanche
et la substance grise se rencontrent dans la régi
bes frontaux et occipitaux. Dans les deux hémisphères, la substance
blanche
et la substance grise de la corne d'Ammon ont e
solument identique dans les deux hémisphères tant pour la substance
blanche
que pour la substance grise de chaque région. L
olutions occipitales, tandis que dans la corne d'Ammon la substance
blanche
de chaque hémisphère a un poids spécifique légè
la substance grise. Chez la femme la seule région où la substance
blanche
et la substance grise aient le même poids spéci
le poids spécifique de la substance grise et celui de la substance
blanche
: 1° Paralysie générale : S. G. 1 )40 S. B. 104
1° classe corticale, lésions limitées à l'écorce ou à la substance
blanche
sous-jacente ; 2° basale, lésions atteignant le
ogés dans la cicatrice dure-mérienne. L'excitation de -la substance
blanche
sous-jacente a provoqué également des mouvement
émie des méninges troubles, par pla- ces, hyperémie de la snbstance
blanche
et grise, adhérence, en certains points, de l'é
eaux gorgés de sang, diapédèse et en même temps 7,exis des globules
blancs
et rouges constituant des épanchements de sang
onstituant des épanchements de sang dans l'écorce et la sub- stance
blanche
. Espaces périvasculaires et péricellulaires dilat
l'écorce que dans ses par- ties profondes et que dans la substance
blanche
. Des altérations des vaisseaux procède le dével
rieures, ou du moins les cellules ganglionnaires, mais la substance
blanche
et les nerfs moteurs efférents sont aussi attei
n'intéressaient légèrement que la couche limitrophe de la substance
blanche
. Ces observations justifient l'hypothèse émise
n de grains fortement colorés en bleu dans l'écorce et la substance
blanche
centrale des circonvolutions. Us forment des am
nt ainsi qu'il n'y a pas de dégénérescence en activité des fibres
blanches
. Il n'y a pas non plus de lésions vasculaires. La
oute parce que le rayonnement qui s'opère par la surface de la couche
blanche
cause des perturbations atmosphériques. 11 est vr
longue théorie de prêtres en drap d'or et de jeunes filles vêtues de
blanc
portant des rameaux bénis et chantant : Hosaunah!
lle-ci voit comme elle. Voici les enfants de chœur rouges aux aubes
blanches
; ils balancent devant la vierge dorée, que porten
balancent devant la vierge dorée, que portent quatre jeunes filles en
blanc
, leurs encensoirs fumants; voici maintenant les p
, leurs encensoirs fumants; voici maintenant les prêtres en chasubles
blanches
ou de drap d'or; puis, mitré et crosse en main, u
et les enfants de chœur et la vierge portée par les jeunes filles en
blanc
, el les prêtres et l'évèque, et la foule. Tout
e a bien vu la procession : la vierge portée par des jeunes filles en
blanc
, les prêtres, la foule; mais elle ne peut précise
ouleurs fondamentales, étalées à l'aquarelle sur un tableau de papier
blanc
convenablement placé dans ma chambre à coucher, s
illuminés en vert; le drap gris clair du compartiment et les housses
blanches
qui le recouvraient me donnèrent, en effet, l'imp
î-je intérieurement, la démonstration cherchée, la voilà ! Les objets
blancs
ou gris clair m'ont paru verts, au premier moment
ur les deux yeux à la fois, la lumière du ciel éclaire par des nuages
blancs
, les objets de couleur claire existant dans la ch
es surfaces ou les objets placés dans le champ visuel sont à peu près
blancs
, occupe toujours tout ce champ visuel. S'agit-i
de se tenir longtemps exposé, les yeux fermés, à la lumière d'un ciel
blanc
entrant largement de côté par une fenêtre, pour p
'illumination en vert, au premier moment de l'irruption de la lumière
blanche
au fond de l'œil. La seconde condition est non
cas dans lesquels se révèle l'aptitude de l'œil à analyser la lumière
blanche
, à y voir seulement l'une de ses couleurs fondame
erveux. On remarquera d'abord que l'isolement du vert de la lumière
blanche
, dans mon expérience, donne une sorte de réalité
ndépendante des trois couleurs fondamentales qui composent la lumière
blanche
. Les vibrations lumineuses répondant a ces trois
gèrement l'activité de deux de ces organes percepteurs, la lumière
blanche
qui frappera la rétine ne pourra être vue qu'arec
et qui sont paralysées, l'œil ne percevra que le vert dans la lumière
blanche
. On peut de même supposer que les trois centres
etardent, le vert, cette fois encore, sera perçu seul dans la lumière
blanche
, jusqu'au moment où la reviviscence sera complète
erte quand le regard, au moment même du réveil, tombe sur une surface
blanche
. Voilà mon explication. Et-elle complète Le méc
oculaires sont exposés, pendant le sommeil, à l'action de la lumière
blanche
. L'illumination en rouge pourpre qui en résulte p
quand les paupières se relèvent au moment même du réveil, les objets
blancs
ou gris illuminés fugitivement en vert très vif e
pur; 5° L'œil normal possède donc l'aptitude à analyser la lumière
blanche
et à la décomposer en ses couleurs fondamentales,
Médecine légale. Vêtu d'un paletot gris et d'un pantalon de coutil
blanc
jaunâtre, chaussé de bottines à élastiques, coiff
uent un grand rôle : le père a un paletot gris, un pantalon de coutil
blanc
jaunâtre, un chapeau marron; les roues de la toit
de plus de la dyschromatopsie gauche : le 9 janvier, par exemple, le
blanc
est va rouge ; le bleu est rouge ; le jaune est b
par exemple, le blanc est va rouge ; le bleu est rouge ; le jaune est
blanc
; le ronge est gris. Mais ces indications relat
atives aux couleurs varient suivant les jours. Le 12, par exemple, le
blanc
est vu noir, le bleu est vu jaune, le jaune est v
ières lignes; il distingue nettement les lettres noires sur un fond
blanc
. Mais plus près, il ne peut plus lire ; il voit d
nd blanc. Mais plus près, il ne peut plus lire ; il voit des jambages
blancs
sur un fond noir J'essaie la vision des couleur
r J'essaie la vision des couleurs avec l'œil gauche. Le noir est vu
blanc
jusqu'à la distance de cinq pas ; plus loin il es
peut suggérer du froid A la place dn chaud, de même qu'elle change le
blanc
en noir et le noir en blanc, substituant ainsi la
place dn chaud, de même qu'elle change le blanc en noir et le noir en
blanc
, substituant ainsi la sensation opposée à la sens
des éléments cellulaires connus sous le nom de leucocytes ou globules
blancs
, qui ont la propriété d'absorber, de dévorer, d'a
r le courant et, chemin faisant, on nous accable d'offres de bouquets
blancs
, de cierges, de chapelets, etc. a Cela vous porte
'elle l'entendit froisser ; une autre, qui ne craignait que les corps
blancs
inanimés, et un cheval qui avait une haine systém
tiraillements et, par instant, comme des piqûres l'aiguilles rougis à
blanc
. Je recommence à trembler. Dimanche. — J'ai enc
est écrit sur une feuille de papier que j'ai eu soin de choisir bien
blanc
, ne présentant aucun signe visible et légèrement
tout à l'heure, le seul fait de reconnaitre que la feuille de papier
blanc
avait été retournée eut étè impossible en dehors
NT MICROSCOPIQUES DES circonvolutions MOTRICES; par R. Lépine et L.
BLANC
. Voici le résumé de cette observation : diabète
aisseaux du cerveau, avec des signes de dénutrition de la substance
blanche
. (New-York médical Journal, 2 avril 1887.) SoRE
quelques pièces de dégénérescence secondaire à travers la substance
blanche
de l'écorce, dégénérescence ayant été produite
une dégénérescence descendante très marquée allant de la substance
blanche
de l'écorce au centre ovale ; pour des motifs a
e un pois, occupant la partie limite entre l'écorce et la substance
blanche
; dégénérescence secondaire peu étendue. Troisiè
érescence diffuse de fibres nerveuses à myé- line dans la substance
blanche
corticale, mais ayant plus ou moins respecté le
égénérescence secondaire de haut en bas; elle traverse la substance
blanche
de l'écorce et coupe la portion corticale où l'
ces dégé- nérescences diffuses de fibres nerveuses de la substance
blanche
, tandis que l'écorce offrait une atrophie de fi
7, p. 73 : remarquable dégénérescence à l'intérieur de la substance
blanche
. Préparations de moelle témoignant d'une dégéné
alisation irrégulière du processus patho- logique dans la substance
blanche
, ils constituent plutôt une complication accide
ar une série de symptômes de lésion diffuse ou en foyer des cordons
blancs
de la moelle épinière, on peut observer la pert
s plus variées, si le processus pathologique s'étend à la substance
blanche
de la moelle épinière, ce qui, à notre point de
rmal. Les couches suivantes de la substance grise et la substance
blanche
sont chargées de petites cellules rondes. On y vo
ée parle réseau vasculaire. A ce point, ainsi que dans la substance
blanche
, nombreux corps granuleux et blocs graisseux se
ans les points examinés. Nombreux corps granuleux dans la substance
blanche
. Dans le lobe occipital, on retrouve, à côté de
sui- vie dans les autopsies, est plus apte à mettre les faisceaux
blancs
en rapport avec les circonvolutions que la méthod
ascendante ; la pariétale, par la pariétale ascendante'. Les fibres
blanches
, qui, sur chacune de ces quatre coupes constitu
sur les schéma, nous commençons la lecture du trajet des faisceaux
blancs
dans le cerveau et dans les cordons de la moell
base des cornes antérieures de la moelle et sous-jacentes aux ailes
blanches
internes du plancher du quatrième ventricule2,
ale, si commode pour démêler par imagination l'é- cheveau de fibres
blanches
rayonnantes de cette région du cerveau et conce
mo-pathologiquement par la dégénération des- cendante des faisceaux
blancs
. Le lieu de passage du faisceau pyramidal dans
x antérieurs et postérieurs 10; renflement brachial, 17; commissure
blanche
formée par rentre-croisement des cordons ant3ri
ainsi que dans le domaine des cornes postérieures et des cor- dons
blancs
latéraux, on observe des foyers hémorrhagiques
ryonnaire emprisonnées dans les cordons postérieurs de la substance
blanche
, peuvent, par leur prolifération, donner lieu à
longée (l'olive, le noyau de l'hypoglosse, etc.). La sub- stance
blanche
n'est pas atteinte dans tous les cas et toujour
un degré moindre. Ordinairement, ce sont les parties des faisceaux
blancs
adjacents à la com- missure postérieure qui son
acents à la substance grise. Toutes ces altérations de la substance
blanche
ne sont point du tout égales en lieu et degré d
s la moelle épinière et de leur marche ultérieure dans la substance
blanche
et grise. Au contraire, les cas de gliomatose n
in dans les cornes postérieures, mais tournent dans les cor- dons
blancs
; si avec cela existait toujours parallèle- ment
dré l'élément clonique. Les excitations électriques de la substance
blanche
con- firment cet exposé, car une région cortica
le envisagée une fois enlevée, on produit, en excitant la substance
blanche
sous-jacente, des contractions toniques dues à
ment microscopiques de divers volumes dans l'écorce et la substance
blanche
de l'hémisphère cérébral gauche. P. li. XXV.
ngite tuberculeuse cérébro-spinale avec destruction de la substance
blanche
de la moelle (phéno- mènes paralytiques). Obser
té des cornes postérieures, des colonnes de Clarhe, de la substance
blanche
, des noyaux et des racines des nerfs, dégéné- r
he le cervelet. Les espaces périvasculaires sont gorgés de globules
blancs
. Les cellules rondes et les noyaux prédominent
t dans l'écorce, soit dans la lisière de l'écorce vers la substance
blanche
. L'auteur a pris des moyennes. Il a trouvé que
ent dans le délire aigu. Cela est tout simplement dû à des globules
blancs
du sang extravasés. Quant aux cellules ner- veu
Amadei, 280.. v- Dégénérescence secondaire à travers la substance
blanche
cérébrale, par Zacher, 9. Délire aigu (écoroe
psychoses, par Peretti, 449. Hémiplégie diabétique, par Lapine et
Blanc
, 70. Hypnotique (nouvel agent), par Me- îing,
ale), par Nasse, 75, 449; (spinale de l'adulte), par le- clerc et
Blanc
, 70. TABLE DES AUTEURS ET DES COLLABORATEURS.
! cchterey,4U. 1V·ruli,rdt, ! rÉ3, fi4. 13111\1'1117âG'r, Sli.
Blanc
, 71. 1310cq, 129, LJ3, 131. lJa, IJU ? 81, 181.
ntérieurs et postérieurs. - 16; renflement brachial, 17; commissure
blanche
formée par l'entre-croisement des cordons antér
est complète pour les deux yeux. Toutes les couleurs deviennent du «
blanc
», seul le bleu paraît « blanc fané ». — Elle dit
x. Toutes les couleurs deviennent du « blanc », seul le bleu paraît «
blanc
fané ». — Elle dit voir par instants les « objets
re, avec le train de derrière jaune et la queue marquée de noir et de
blanc
. Elle voit des centaines de hannetons dans les
costume espagnol. On s'attable, on mange des huîtres, on boit du vin
blanc
, on chante, on rit beaucoup. Puis on se divise pa
dans un grand jardin, sous de grands arbres. Il y a beaucoup de roses
blanches
. Dans l'ordre triste la scène d'Alphonse a son
d'un incendie. Elle assiste à un enterrement. Les corbillards sont
blancs
avec des croix noires et couverts de couronnes bl
orbillards sont blancs avec des croix noires et couverts de couronnes
blanches
. Il y a beau-coup de personnes en larmes qu'elle
-Dieu!... Ah! non, je ne veux pas les raconter... J'étais habillée en
blanc
ce jour-là... On m'a de-mandé qui m'avait frappée
uches de toutes les couleurs...» La scène change : « Elle est tout en
blanc
... La belle couronne qu'elle a sur la tête.... Ah
pression ova-rienne, la malade dit qu'elle voit une série de fantômes
blancs
passer devant elle. Ils sont couverts de linceuls
rès prononcé. Depuis l'âge de onze ans, elle a toujours eu des pertes
blanches
. En 1871 elle contracta les fièvres palu-déennes
imentaires; vomissements de sang supplémen-taires; aménorrhée; pertes
blanches
; rien de particulier du côté des organes génitaux
nt fixes ou roulent dans l'orbite, ne montrant le plus souvent que le
blanc
de la sclérotique ; les lèvres s'écartent, sont t
ulsent; les paupières, médiocrement ouvertes, ne laissent voir que le
blanc
de la sclérotique, et les pupilles se cachent en
afl'reusement grimaçante, les yeux con-vulsés ne laissent voir que le
blanc
de la sclérotique; la bouche est ouverte et la la
de ses mains, s'assit d'abord, puis sans déranger un pli de son jupon
blanc
, elle se dressa dans l'espèce de niclie ou d'enca
ndant ce qu'elle avait vu... Elle avait vu le bon Dieu qui était tout
blanc
, disait- elle; les anges, etc., et le ciel étai
ue à la catalepsie de l'homme, en lui plaçant le bec devant une ligne
blanche
tracée sur le sol. L'ex-périence est reproduite e
questions sur la couleur de leur plumage elle répond qu'ils sont tous
blancs
ou gris. Si nous insistons en lui affirmant qu''d
s ou jaunes, etc.. elle nous soutient qu'elle ne voit que des oiseaux
blancs
ou gris. Mais les choses changent, si à ce moment
ns Arlequin, et elle le dépeint tout couvert de petits carreaux gris,
blancs
ou noirs, Polichinelle est également vêtu de blan
ts carreaux gris, blancs ou noirs, Polichinelle est également vêtu de
blanc
et de gris : « C'est original, ajoute-t-elle, mai
rveuses. La malade était forte, bien faite, tempérament sanguin; très
blanche
, et des couleurs fraîches et ver-meilles. On soup
la cloche des morts était sonnée; ses amies venaient de l'habiller en
blanc
et de la coiff"er de couronnes de fleurs, tout se
aque de la môme série, elle voyait le ciel! les anges, bleus, rouges,
blancs
! des boules brillantes! des étoiles!..-Une autre
n de chatouillement. Il mai. — Même état ; la peau est froide, d'un
blanc
mat, complètement exsangue; la malade est plongée
e sueur, les yeux brillants, les pupilles dilatées, égales; la langue
blanche
, profondément déchirée des deux côtés sur les bor
t des pincements à l'estomac ; pour guérir il augmente la dose de vin
blanc
et d'absinthe. Depuis trois ans, il éprouve des m
noire, et ter-minée par trois lanternes, une rouge, une verte et une
blanche
. Cette appa-rition se présenta plusieurs fois à m
t, mon bien-aimé fils dans un ciel bleu et argent. 11 avait des ailes
blanches
bordées de rose; il me souriait et me montrait de
ches bordées de rose; il me souriait et me montrait deux jolies dents
blanches
dont je guettais la naissance avec tant de sollic
vacilla de nouveau, et je vis danser ma lumière, qui devint verte, de
blanche
qu'elle était. Mes yeux étaient toujours fermés
lète-ment la notion des couleurs, elle voit les objets colorés, en (c
blanc
)) ou en «gris, » mais il n'y ajamáis chez elle p
rs-qu'une malade examine avec attention un papier coloré qu'elle voit
blanc
ou gris, grâce à son achromatopsie, au moment où
s couleurs qui lui sont présentées ne lui apparaissent que comme du «
blanc
» ou du « gris ». — En faisant passer successivem
otre excellent ami, le D' Regnard, sur la recomposition de la lumière
blanche
et sur le contraste des couleurs, prouvent que l'
t bien la couleur rouge. Elle déclare donc que le disque est rouge et
blanc
. On fait tourner rapidement ce disque. Pour un œi
ondent en vertu du mouvement de rotation et recon-stituent la lumière
blanche
; le disque apparaît blanc. Mais l'achromatopsique
de rotation et recon-stituent la lumière blanche; le disque apparaît
blanc
. Mais l'achromatopsique, qui déclare tout d'abord
anc. Mais l'achromatopsique, qui déclare tout d'abord que le vert est
blanc
,devrait avoir la sensation, lors-que le disque to
la sensation, lors-que le disque tourne, de la couleur rouge mêlée de
blanc
, c'est-à-dire du rouge clair. Et cependant il n'e
eurs, notre hystérique déclare que le disque mis en mouvement devient
blanc
. Les rayons verts qu'elle ne voit pas s'a-joutent
t donc aux rayons rouges qu'elle perçoit pour reconstituer la lumière
blanche
, aussi bien pour elle que pour nous. — Nous faiso
en faisant tourner à côté du disque rouge et vert un disque rouge et
blanc
. La malade affirme que ce dernier est rose, tandi
La malade affirme que ce dernier est rose, tandis que le premier est
blanc
, et cependant, au repos, les deux disques, en ver
ie le 6 janvier 1878. Deuxième expérience. — Nous prenons un disque
blanc
sur lequel sont collés des secteurs verts très ét
ltané. Quand on présente ce dis-que à la malade, elle le déclare tout
blanc
; mais, à peine est-il en mouve-ment, que la malad
drait pas que l'addition de rayons rouges amenât la reconstitution du
blanc
. Il nous semble que le siège de l'erreur doit êtr
outée à la vibration rouge complémentaire elle reconstitue la lumière
blanche
. CHAPITRE II QUELQUES FAITS RELATIFS AUX TROU
ui accompagnent sou-vent les lésions articulaires (arthrites, tumeurs
blanches
),et de-viennent une des causes de la déformation
perception. La malade, au heu et place des couleurs, ne doit voir que
blanc
, gris ou noir, suivant la valeur des tons. 2" E
u d'un grand manteau et soutane, tenant un livre couvert de parchemin
blanc
en la main et lui tenant ouvert lui montra deux i
avait les joues fort enflées, il ne paraissait des yeux quasi que le
blanc
; a été assistée durant cela d'aucuns prêtres, re
ent desséchées, qu'elles se pelaient, et que la peau paraissait toute
blanche
» et soulevée i On voit en somme que « la conto
nte et noire tirant sur le rouge. On m'essuya les mains avec un linge
blanc
qu'on jeta tout aussitôt dans le feu... » )) Un
t les prunelles ren-versées au point qu'il n'y paraissait plus que le
blanc
, tout le reste demeurant caché sous les paupières
t retirée absolument sous la paupière supérieure, on ne voyait que le
blanc
des yeux, perdant apparemment l'usage de la vue e
iversel : ses yeux se sont tournés en sorte que l'on en voyait que le
blanc
, les muscles oblique et releveur des yeux étant e
escend en fdets le long des tempes et des joues, des mains petites et
blanches
, marquées à leur centre d'une plaie mystérieuse,
Intérieur ; Le Gall, chef du Cabinet du Président de la République;
Blanc
, Préfet de Police ; XX Visites DU service. gé
sortir de cet enfer dans lequel est enfermé l'individu qui tira il
blanc
, un 14 juillet, sur M. Félix Faure allant à la
e du pénis, il y a un bouquet de quelques poils courts et presque
blancs
. Le pénil, les bourses, le périnée et l'anus sont
testicules ne sont pas descendus. La verge est bien conformée. Peau
blanche
, 26 Diarrhée ET salicylate de chaux. comme bo
nt visibles et palpables à travers la peau; cette dernière est d'un
blanc
mat avec plaques violacées au niveau des fosses
ombreux points, de l'écorce grise et d'une partie de la subs- tance
blanche
, perte de substance qui est due à la méningo- e
i- toire plus ou moins étendu de l'écorce et même de la substance
blanche
sous-jacente. A un premier degré, nous aurons s
du ventricule par une épaisseur plus ou moins grande de substance
blanche
. Si le processus destructif a été plus intense,
tractus conjonctivo-vasculaires (septa et septula des fais- ceaux
blancs
) semble être la lésion principale ; en effet les
de la destruction des circonvolutions rolancliques ou des faisceaux
blancs
de la capsule interne, par exemple. D'ailleurs,
fais- ceau pypamidal croisé. Dans les autres parties des cordons
blancs
, postérieurs et antéro-iatéraux, on rencontre cà
lésion paraît être de date ancienne. Par contre, si les faisceaux
blancs
et les méninges paraissent altérés il des degré
éninges molles. Elles sont diffusément répandues dans les faisceaux
blancs
, tout en présentant une apparence de systématis
plus reconnaissables; la destruction a presque mis à nu le manteau
blanc
sous-jacent. Il nous est, d'ailleurs, impossibl
s. - Ailleurs, l'examen a dû être borné à l'écorce et aux faisceaux
blancs
sous-jacents. - Les coupes, faites après inclus
ctive, atrophi- que au dernier chef, puisqu'elle atteint les fibres
blanches
sous-jacentes. Nous étudierons successivement c
oute la substance grise est à peu près détruite ; alors, les fibres
blanches
arrivent presque directement sous la pie-mère.
de la moelle, si nous ajoutons que, çà et là, dans les faisceaux
blancs
, se rencontrent quelques vaisseaux épaissis. De
lu- tions, sauf le pied de la première frontale en petites crêtes
blanches
ou d'un blanc jaunâtre, indurées, et cela sur les
le pied de la première frontale en petites crêtes blanches ou d'un
blanc
jaunâtre, indurées, et cela sur les trois faces
e coloré. Air de bonne santé. Physionomie sans expression. - Peau
blanche
, assez fine. Cheveux châtains clairs, bien im-
illons labio-nasaux égaux. Lèvres normales. - Bouche moyenne. Dents
blanches
régulières, les supérieures chevau- chent légèr
membres étaient affectés également des deux côtés. « La face était
blanche
ne se défaisait pas beaucoup; les yeux remuaien
scléreux, mais on retrouve la traînée habituelle de petites tumeurs
blanches
et dures, sur le sillon qui sépare la couche op
trouve à sa surface et sur des coupes de nombreuses petites tumeurs
blanches
, ressemblant à des îlots de sclérose ( ? ). Le
e et plus intense, elle s'est étendue en nappe de substance éburnée
blanche
et dure formant Fig. 5. - Face interne du crâne
e, d'un caractère violent, fait de fréquents excès alcooliques (vin
blanc
et absinthe). Sa mère est morte d'une maladie d
e est mobile, éclairée par deux yeux vifs et brillants. La peau est
blanche
, pas de cicatrices, pas de ganglions. Les che-
nt cortical des deux premières frontales. s'étendant dans la couche
blanche
à une profondeur de 3,2 cent. il 3. cent. Au-de
grise superficielle, la plupart cependant se rendent dans la couche
blanche
profonde du tubercule quadrijumeau antérieur. L'o
genouillé externe en passant par la partie antérieure'de sa capsule
blanche
. Plus bas dans la région où les portions ven- t
pour se perdre dans la couche grise superficielle et dans la couche
blanche
superficielle (oberflaechliches Mark de Forel) du
ndes et géantes. La moelle est indemne aussi bien dans sa substance
blanche
que dans sa subs- tance grise, et en particulie
des racines antérieures, des racines postérieures et des faisceaux
blancs
dont se compose la moelle, les travaux de ces d
initivement comme un assem- blage de centres gris et de conducteurs
blancs
, juxtaposés ou im- briqués les uns dans les aut
est causée par une augmentation de la névroglie et de la substance
blanche
, mais encore la nutrition semble être modifiée.'
ne coupe, on voit le cerveau anémié, de sorte que sa couleur parait
blanche
. Quand la calotte crânienne est enlevée, le cer
i sont obli- térés. La partie principalement lésée est la substance
blanche
des deux hémisphères. I.e poids du cerveau est
ascendante, pariétale et occipitale. En apparence, c'est comme du
blanc
d'oeuf, dur et dense, vu l'augmentation de la név
groupe isolé, se trouvent les cerveaux dans lesquels la substance
blanche
des hémisphères cérébraux est très peu développée
enait les deux tiers de la paroi des hémi- sphères, et la substance
blanche
un tiers seulement et parfois même moins. Ces
ont de beaux exemples de l'exiguïté que peut atteindre la substance
blanche
des hémisphères, ils sont toujours accom- pagné
e microcéphalie et de microgyrie. Dans les autres cas, la substance
blanche
des hémisphères est amoindrie dans des dimen- s
ement minces dans le cas de llatell. L'insuffisance de la substance
blanche
des hémisphères se supplée par la substance gri
rrangement des éléments ganglionnaires. Une strie de la subs- tance
blanche
sépare, dans le cas de Meine, la quatrième couche
orme d'îlots de cellules ganglionnaires incrustés dans la substance
blanche
. Chez les microcéphales avec microgyrie, la cou
la substance grise et le développement insuffisant de la substance
blanche
et qui s'ac- compagne de microgyrie. Ce type se
res, les proportions correspondantes entre la substance grise et la
blanche
sont conservées. - Après ce type particulier pr
hales, type représentant l'arrêt de développe- ment de la substance
blanche
des hémisphères cérébraux au degré le plus avan
- phales ; chez lesquels l'arrêt de développement de la substance
blanche
atteint un degré moins grand et s'accompagne de l
s, isolées et jamais agglomérées en forme d'ilots dans la substance
blanche
. En outre, dans la couche zonale de l'écorce pa
ce de l'liétérotopie de cellules ganglionnaires dans la subs- tance
blanche
sous-corticale et l'hétérotopie des grandes cellu
et de leurs combinaisons récipro- ques. De manière que la substance
blanche
n'est que la continua- tion des prolongements d
de ces cellules favorise le développement abondant de la substance
blanche
, et la pauvreté de ces ramifications rend son d
développement insuffisant. Ainsi dans les cerveaux où la substance
blanche
est peu déve- loppée, les cellules nerveuses do
as, comme on l'a enseigné, le siège de la lésion dans les faisceaux
blancs
sous-jacents à l'écorce du pied de la troisième c
origine des neurones ou dans les voies conductrices de la substance
blanche
. En tenant compte des réalités cliniques connue
des altérations anatomiques intenses dans l'écorce et la substance
blanche
sous-jacente. Il s'en- suit donc que, si légère
INTERNATIONAL DE MÉDECINE. séparations de l'écorce de la substance
blanche
sous-jacente. Tous les chiens ont été observés
nage, si enfin on pratique une coupe entre ce point et la substance
blanche
, dans la règle aucun trouble visuel ne se produ
n ; 50 gr. de beurre; 2° Le matin : café, thé ou cacao, sucre, pain
blanc
; 3° A midi : soupe, viande bouillie ou étuvée a
gr. de pain et 35 gr. de beurre 2° Le matin : café au lait et pain
blanc
; 3° A midi : légumes, avec ou sans pommes de te
soupe au riz et au lait, saucisse. Le soir : soupe aux pois et pain
blanc
. Le 11, à midi : soupe aux pois frais, pommes d
: soupe au riz, beurre. Le 15, à midi : viande de mouton, haricots
blancs
, pommes de terre. Le soir : hareng et pommes de
sans os). Légumes variés suivant la saison (carottes, navets, choux
blancs
ou rouges, pommes de terre, petits pois, choucr
st placée sur l'oeil. Le courant ascendant exagère la perception du
blanc
et diminue celle du noir, il produit une sensat
distingue que la substance grise décolorée à côté de la substance
blanche
qui est très foncée; la différenciation entre la
blanche qui est très foncée; la différenciation entre la substance
blanche
et la substance grise était bien le but de la mét
blé du cerveau de Durand-Fardel, siégeant surtout dans la substance
blanche
du pôle temporal ; 3° Grosses dilatations isolé
ées traumatiques comme conséquence du contre-coup dans la substance
blanche
. M... pense que leur origine doit être cherchée
: 1" pour les enfants idiots profonds à fixer l'attention (images
blanches
ou colorées sur fond noir, images blanches sur
er l'attention (images blanches ou colorées sur fond noir, images
blanches
sur fond noir'), il apprendre les lettres (grande
d noir'), il apprendre les lettres (grandes lettres noires sur fond
blanc
, puis lettres beaucoup plus petites); pour l'éd
ntes ou non, durée, etc.) sont notées; on nous signale les pertes
blanches
qui les précèdent ou les suivent ainsi que les
u abondants surtout au niveau du tourbillon. Pas d'épi. l'eau fine,
blanche
, glabre, sans cicatrice sauf aux liras des cica
ent de ces travées sclérosées, contiennent fréquemment des cellules
blanches
, gl. mononucléaires de toutes dimen- sions ou g
10 ans 1/2, sans accident : écoulement peu abondant ; pas de pertes
blanches
. Propre vers 9 ans, (son frère vers 14 mois). S
it, et suivies d'un moment d'hébétude. Parfois, il avait une mousse
blanche
il la bouche. Il s'était marié avec une femme p
n, des o, des u et des chiffres. Il distingue le rouge, le bleu, le
blanc
et le noir. Si on lui donne un objet qui lui fa
une petite quantité d'acide acétique, ce qui produisit un précipité
blanc
immédiat peu abon- dant, qui, reçu sur filtre,
ux, qui au bout de quelque temps se condense en un dépôt floconneux
blanc
, surnagé par un liquide clair. Ce dépôt, après
est seul ; quand on est près de lui, il se tait brusque- ment. Peau
blanche
, glabre; aucune cicatrice de vaccin; absence co
chevelu répondant au front, elle présente une touffe de cheveux £
blancs
, cle 3 il'4 centimètres de diamètre. Les poils qu
le 3 il'4 centimètres de diamètre. Les poils qui composent la mèche
blanche
sont aussi longs, mais plus fins, plus soyeux,
ètres sur 2 et demi qui offre le même aspect. Plusieurs des cheveux
blancs
, .exa- minés au microscope par M. Cnouzox, anci
il n'y a ni touffe, ni plaque 170 Canitie partielle héréditaire.
blanches
. Sa peau, en général assez fine, est plutôt bru
e. blanches. Sa peau, en général assez fine, est plutôt brune que
blanche
. Sur le buste, en arrière, à partir de la base
ure. De plus, au-dessous des seins, on observe une large pla- que
blanche
de vitiligo, ayant la forme du devant d'un cors
corset de femme enceinte. Immédiatement au-dessous clc cette tache
blanche
, vililigincuse, non rosée comme la tache répond
. La pigmentation exa- gérée, qui a son maximum le long de la tache
blanche
, diminue graduellement jusqu'à se confondre ave
s de la famille, ont tous, comme elle et au même endroit, une mèche
blanche
. Son frère et sa soeur ont aussi les mêmes lâch
une mèche blanche. Son frère et sa soeur ont aussi les mêmes lâches
blanches
sur le tronc; ses autres parents, non. Tous l
effroyables à voir : car il estoit fort couperosé et semé de taches
blanches
par endroits, dont on dit que le nom de Sylla l
es du système nerveux ; Par BOURNEVILLIÏ. Les discussions dont le
blanc
de réruse a été et est encore l'objet au Comité
de vue des « Professions » ces 101 cas se répartissent ainsi : .
Blanc
de céruse. ' XVIII. Note statistique sur le r
ceau cérébelleux et dans une zone formant bordure de la subs- tance
blanche
à la périphérie de la moelle. Légère diminution
n poids spécifique est de 1058, et le rapport entre les corpuscules
blancs
et rouges est de 1 : 700. Cel- lules blanches n
t entre les corpuscules blancs et rouges est de 1 : 700. Cel- lules
blanches
neutophyles 56,2 p. 100; lymphocytes 33,9 p. 100;
te en arrière une coloration verdâtre qui tranche sur la coloration
blanche
de la face antérieure. L'incision, faite pend
ion thoracique à gauche, où la corne postérieure et les fais- ceaux
blancs
environnants subissent une lésion à peu près 12
sition qu'ils ont dans les nerfs périphériques que dans les cordons
blancs
de la moelle. Jusqu'à quel point ces nerfs régé
ssement, gros comme une noisette, occupe l'écorce et la. substance ,
blanche
dans le dôlüaiuë du pli courbe. Endartérite trè
es d'épilepsie . corticale. A1'autopsie; altération de la substance
blanche
et de 'l'écorce \ des deux lobes temporaux (ram
a peau . quii recouvre 1 le' deltoïde .paralysé, celle-ch devient 1
blanche
1 et tout'autour. se iproduittune coloration pu
ides esquisses dont il couvrait d'une main distraite les feuilles
blanches
placées devant lui aux examens et aux concours.
it déterminant la mort immédiate d'une grenouille et d'une souris
blanche
au bout de cinq jours, le produit n'a pu être dét
de l'écorce du cerveau; dégéné- nescence des fibres de la substance
blanche
du lobe frontal gauche et du faisceau d'associa
exacerbations pendant les- quelles la malade gémit. La langue est
blanche
, saburrale ; l'appétit est complètement aboli e
irconvolution crètée, sa cavité. 278 CLINIQUE NERVEUSE. substance
blanche
: c'est un prolongement postérieur de la tumeur
e Flecbsig, la tumeur pénètre en arrière et en dehors dans le noyau
blanc
du lobe frontal, sans atteindre le corps strié
côté, et en détruisant la faux du cerveau à ce niveau. Les centres
blancs
des lobes frontaux sont très fortement aplatis; l
c. 3.) '288 CLINIQUE NERVEUSE. l'aplatissement subi par le centre
blanc
des deux lobes frontaux, la destruction par le
par des coupes portant sur des circonvolutions isolées. Le centre
blanc
du lobe frontal droit, quoique comprimé, ne pré-
de dégénérescence appréciable. A gauche, au contraire, la substance
blanche
présente des marques évidentes de dégénérescenc
tales et la circonvolution rolandique antérieure ont leur substance
blanche
intacte. En bas, dans la portion qui est com- p
e la tumeur envoyait en arrière un prolon- gement dans la substance
blanche
de la circonvolution de l'ourlet. Ce prolongeme
ombreuses à gauche qu'à droite. Ainsi donc, en résumé, la substance
blanche
du lobe frontal gauche a subi, autour de la tum
s fibres s'entre-croisent avec les fibres irradiées de la substance
blanche
. Il nous faut étudier les lésions de ces différ
ngentielle. D'autre part, la subs- t 294 CLINIQUE NERVEUSE. tance
blanche
du lobe frontal droit est 'complètement intacte,
INIQUE NERVEUSE. petites tumeurs renferment quelquefois une traînée
blanche
, à leur centre,- présentant ainsi. une grande
le meilleur parti possible, que le vin rouge était substitué au vin
blanc
et la ration portée de 15 à 25 centilitres; que l
ralement usitée, celle qui est préférée par les buveurs, est un vin
blanc
récolté dans le pays même, où jusqu'ici le phyl
signalé sur de nombreux points. asiles d'aliénés. 317 ' Le vin
blanc
récolté en quantité assez considérable en Vendée
e, laisse voir les deux yeux retournés et'dont on n'aperçoit que le
blanc
; quant à la ! mâcllOire, elle est contractée et
ux sont normales, en arrière, il y a dégénérescence de la substance
blanche
(blocs et boules de myéline en dissociation) su
ur pénétrer, en dehors du tubercule acoustique, dans la substance
blanche
du cervelet dans le voisinage du lobule du pneumo
e, jusque contre le raphé et tranchent d'ordinaire par leur couleur
blanche
. Il n'esl pas rare de voir ces trousseaux aband
t et gagnant directement la région la plus proche de la substance
blanche
du cervelet. Les stries médullaires prennent nais
iques dans les couches spéciales de son écorce ni dans la substance
blanche
. On n'en trouve que dans la substance blanche d
ni dans la substance blanche. On n'en trouve que dans la substance
blanche
de la frontale ascendante. 2° Il existe réellem
rt du point lésé du lobe occipital et se propage par la substance
blanche
antéro-postérieure aux segments correspondants de
superficielles des tubercules quadrijumeaux antérieurs. Les fibres
blanches
de jonction occu- pent surtout le segment infér
ar le sapetum. Ces irradiations optiques arrivent dans la substance
blanche
latérale du pulvinar et du corps genouillé exte
corps genouillé externe, prenant part à la formation de ses lames
blanches
et s'épuisant complètement dans son noyau même.
s des première et deuxième occipitales, en un trous- seau de fibres
blanches
qui constitue un trousseau d'irradiations optiq
cent à celui du coin et du lobule lingual. Entre ces deux faisceaux
blancs
il existe une zone de transition qui constitue
en capillaires sanguins. Entre celte seconde couche etla substance
blanche
, en existe une troisième aux dépens de laquelle
es, dont cha- cun avait largement creusé sa place dans la substance
blanche
du lobe frontal correspondant. On put assez fac
aillarger sous-jacente's représeutent2 millimètres 25; la substance
blanche
marginale sous-jacente est.de 3 millimètres 3 ? ,
olfactives [latérales (trousseaux- tangentiels) et par un..tractus
blanc
spécial,qui,s'enfonçantidansla substance blanch
et par un..tractus blanc spécial,qui,s'enfonçantidansla substance
blanche
du lobe olfactif et delà1 région- olfactive, .gag
missure de l'écorce de la corne d'Ammon. ? , v ' * ,. La. substance
blanche
de la région (Olfactive, celle notamment du cha
hie, des mêmes orâanésl,chezl'homme.`sUne portion, de la substance,
blanche
olfaeth e se poursuit en arrière et peut être sui
canal nasal, ce chirurgien porte par sa cavité soit un stylet rougi à
blanc
, soit une mèche ou un fil métallique enduit de ni
lente. —3° Couleur. La cataracte affecte cinq espèces de coloration ,
blanche
, jau-nâtre, verdâtre, noirâtre ou brune, dont cha
ier, Purmann, Richter et Acrel cautérisent avec un fil de fer rougi à
blanc
, introduit par une canule conductrice, garnie ell
est préféré. A. Paré cautérisait avec une espèce de trocart chauffé à
blanc
, qu'il introduisait au travers d'une plaque prote
le filet par ligature , et Lanfranc le coupe avec un bistouri rougi à
blanc
. A la renaissance , les chirurgiens sont moins ti
craindre que l'hémorrhagie des artérioles musculaires , le cautère à
blanc
permettrait de s'en rendre maître. Nous ne donnon
les petites artères, est d'appliquer immédiatement le cautère rougi à
blanc
, en ayant recours à tous les moyens mécaniques et
chaque coup de bistouri (Léonidas); la section avec une lame rougie à
blanc
ou trempée dans un liquide caustique (J. Fabrice)
crainte de la lésion de l'artère épigastrique fait préférer la ligne
blanche
par la plupart des chirurgiens anglais; cependant
u'il existe quelquefois anormalement, suivant la direction delà ligne
blanche
, une grosse veine sous-péritonéale , qui peut êtr
atiquer l'opération sur le lieu d'élection, c'est-à-dire sur la ligne
blanche
où l'on ne trouve sur le trajet de l'instrument q
he, d'un angle à l'autre de la division, dans l'épaisseur de la ligne
blanche
jusqu'au voisinage du péritoine. Dès qu'on est ar
, Garengeot, Arnaud, Hoin décrivirent ensuite des hernies de la ligne
blanche
, du pé-rinée , du trou ovalaire, etc., et presqu
inale, la périnéale, la cliaphragmatique, et enfin celles de la ligne
blanche
, con-nues sous le nom d'exomphales. Toutes ces dé
c a plus de tendance à s'échapper à travers une ouverture de la ligne
blanche
; la vessie, les ovaires et les organes logés dans
et crural et des ouvertures natu-relles ou accidentelles de la ligne
blanche
, étaient bien propres à donner gain de cause à ce
ituée à quelque distance de cet anneau, sur un des points de la ligne
blanche
, ce qui a fait donner le nom de hernie de la lign
e la ligne blanche, ce qui a fait donner le nom de hernie de la ligne
blanche
à cette dernière variété. Nous avons donc à consi
ique fibreuse, est plus mince et plus souple que le reste de la ligne
blanche
. Supposant que, dans de telles conditions, une po
rent fortement tant au péritoine qu'à la face postérieure de la ligne
blanche
, en sorte que le péri-toine ne peut plus se dépla
ale accidentelle se fait toujours à travers une éraillure de la ligne
blanche
. Mais à cet égard il est besoin de s'entendre, d'
iste moins à la sortie des viscères que les autres points de la ligne
blanche
. Ainsi que l'ont judi- t. vii. cieusement fai
r les ti-raillemens exercés sur les fibres aponévrotiques de la ligne
blanche
, ou par la pression des viscères intérieurs, et,
e d'exposer longuement l'anatomie opératoire de la hernie de la ligne
blanche
. Ses rapports sont à-peu-près les mêmes que ceux
, tandis qu'ils tombent de suite, si l'on emploie la peau d'un renard
blanc
. Le bandage de la hernie crurale ne diffère de
. Dans la hernie qui s'échappe par la partie supérieure de la ligne
blanche
, et que l'on appelle hernie de Vestomac, le brav
l'hé-morrhagie, il se sert, pour la section, d'un bistouri chauffé à
blanc
. A partir de ce grand chirurgien, l'incision comm
ent les points d'où vient le sang avec le cautère en roseau chauffé à
blanc
. A notre avis, si toutes les plaies ne venaient
dre l'anus saillant ; puis saisissant un cautère cul-tellaire rougi à
blanc
, on applique son bord tranchant sur le pourtour d
fléchie, et la gauche, étendue, et porte un cautère en roseau rougi à
blanc
, dans l'ouverture cen-trale de la tumeur non rédu
on. Lorsqu'il est éteint, il prend un cautère à plaque encore rougi à
blanc
, et le, promène rapidement sur la tumeur; enfin
du bis-touri avec une petite boule de cire trempée dans l'huile ou du
blanc
d'œuf, pour favoriser son glissement sous le prép
ppareil et on commence à faire toutes les heures des injections d'eau
blanche
entre le gland et le prépuce nouveau, pour préven
ns l'emplâtre de Nuremberg fondu dont on avait rempli un moule de fer
blanc
, ensuite on l'égalisait et on la rou-lait entre l
ait spasmodique-ment plus étroit; on plonge la sonde dans l'huile, le
blanc
d'oeuf, le cérat, ou un corps gras quelconque, on
arde les parois de l'abdomen, il la présente parallèlement à la ligne
blanche
, en introduit le bec dans le méat urinaire, dans
ui le composent ont disparu , et lui-même se transforme dans un tissu
blanc
qui peut se confondre avec les tissus voisins et
eure du muscle droit; mais la seconde fois il ponctionna sur la ligne
blanche
, entre les deux muscles pyramidaux, immédiatement
immédiatement derrière la symphyse. C'est effectivement sur la ligne
blanche
à a ou 3 centimètres au-des-sus de la symphyse de
ubis, et l'enfonce perpendiculairement à l'axe du corps, sur la ligne
blanche
, à 3 centimètres de la sym-physe, jusque dans la
éalable faite à la paroi hypogastrique dans la di-rection de la ligne
blanche
, comme la fit P. Franck sur le cadavre d'un indiv
pourrait commencer par faire une incision lon-gitudinale sur la ligne
blanche
, diviser toute la couche graisseuse, et ponctionn
tes, régime doux, purgatifs légers, bains, etc. Lorsque la langue est
blanche
et la bouche pâteuse et amère , un vomitif est tr
chirurgien plaçait le cathéter, et renversant sa plaque vers la ligne
blanche
, de manière à ce que sa convexité fît saillie au
t intervalle est rempli par du tissu cellulaire qui l'unit à la ligne
blanche
et à ses parties latérales. C'est par là qu'on do
iane, la peau, le fascia superficialis et les aponévroses de la ligne
blanche
, dans l'étendue de 8 à i i centimètres; puis il f
t la peau de l'hypo-gastre et le tissu cellulaire le long de la ligne
blanche
jusqu'au pubis, dans l'étendue de 8 à 10 centimèt
ascule (fig. 39), et incisait ainsi la partie in-férieure de la ligne
blanche
. Pour agrandir cette, incision, il sub-stituait a
'il faisait glisser entre le péritoine et les aponévroses de la ligne
blanche
. Il lui était facile alors de couper celle-ci san
par une tige tranchante; après avoir incisé les tégumens et la ligne
blanche
avec un bistouri convexe, il reconnaît la vessie
Incision ik i.a l'Aitoi abd jiminai.e. Incision médiane sur la ligne
blanche
. Le chirurgien placé à la droite du malade , et n
incision de 27 millim. (un pouce) à la partie inférieure de la ligne
blanche
, soit avec le bistouri droit ordi-naire , soit av
ire par l'ouverture qu'on a faite. Mais après la sec-tion de la ligne
blanche
se trouve plus profondément le feuillet fibro-cel
i-cpie, on fait glisser son bec derrière la symphyse jusqu'à la ligne
blanche
, en abaissant comme nous l'avons vu , son pavil-l
comme nous l'avons vu , son pavil-lon d'un arc de i3o° avec la ligne
blanche
(Pl. 68, fig. 5) et on prescrit à un aide de la m
n prolongera l'incision vers le pubis. Incision latérale a la ligne
blanche
. Elle comprend seule-ment le procédé de M. Bauden
. Baudens. Au lieu de pratiquer son incision directement sur la ligne
blanche
, M. Baudens trouve préférable de la faire un peu
u et le tissu adipeux sous-cutané, puis, après avoir reconnu la ligne
blanche
, il incise à 6 ou 8 millim. au dehors, dans la mê
elques vaisseaux sous-cutanés, ou placés dans l'épaisseur de la ligne
blanche
, et à l'exhalation sanguine de la vessie; mais on
dit le professeur de la Charité :« Por-tant un petit cautère rougi à
blanc
, un crayon de nitrate d'ar-gent, ou un petit pinc
our mieux en reconnaître la cou-leur, on essuie ce doigt sur un linge
blanc
. Deuxième procédé. La femme étant placée comme
un petit cautère ayant la forme d'une fève de haricots, et chauffé à
blanc
, doit être porté sur la fistule et retiré immédia
molliens, le régime et le repos. Mais s'il n'y avait qu'un écoulement
blanc
, et quelques excoria-tions sur l'organe, comme il
ice vaginal et sa réunion immédiate par la suture; mais un écoulement
blanc
a détruit tout l'effet des sutures qui avaient ét
que le pessaire donne lieu à une phlogose légère, et à un écoulement
blanc
, plus ou moins abondant, ce dont on doit prévenir
taux externes ; on les excise sans crainte lorsqu'elles sont dures et
blanches
, et on les lie lorsqu'elles sont disposées à saig
ce, chez une femme jeune ou vieille, qui se plaint d'avoir desflueurs
blanches
, en même temps qu'elle accuse des tiraillcmens d'
, qui servait à le glisser dans le vagin; puis qu'on fît sur la ligne
blanche
, et au-dessus de la vessie, une incision assez ét
indiqué par Gutberlat. Une incision ayant été pratiquée sur la ligne
blanche
, depuis la symphyse pubienne jusqu'à deux pouces
plus déclive de la tumeur. Cette incision devait porter sur la ligne
blanche
, ou bien en dehors des muscles droits, suivant qu
r objet l'ablation de l'ovaire, il pratiqua son incision sur la ligne
blanche
; mais, ayant trouvé en ce point des adhérences t
lacé entre les jambes de la malade ou à sa droite, fait, sur la ligne
blanche
, une incision qui s'étend depuis l'ombilic jusqu'
convenable. Avant d'adopter définitivement l'incision sur la ligne
blanche
, M. Mac Dowel avait eu recours, dans un cas, à l'
muscle droit, et, dans un autre, il joignit à l'inci-sion delà ligne
blanche
une incision oblique, partant de l'ombilic et all
onnald [Siebold's J., tom. v) ; de M. Chrissmann, qui fendit la ligne
blanche
de l'appen-dice xyphoïde au pubis, et extirpa un
chirur-gien qui avait d'abord beaucoup vanté l'incision sur la ligne
blanche
, préconisa plus tard dans un ouvrage intitulé : N
mençant à l'extrémité de la dernière fausse côte, traversait la ligne
blanche
et venait se terminer à la branche horizontale du
zontale du pubis de l'autre côté. Zang, partant du milieu de la ligne
blanche
d'un côté, ve-nait terminer son incision à 4 cent
put réussir, et fut obligé d'avoir recours à l'incision sur la ligne
blanche
pour terminer l'accouchement. Jusqu'ici cette ma-
s venons de parler, celui dans lequel on fait l'incision sur la ligne
blanche
est généralement pré-féré. Voici la manière dont
anière dont il doit être exécuté. Opération césarienne sur la ligne
blanche
. j° Préparatifs. Lorsqu'on a donné des soins à un
se place à la droite delà femme, divise la peau en regard de la ligne
blanche
, dans l'étendue de i3 centimètres (5 pouces) envi
MM. A.Baudelocque, Physick, Marchai, 347, 343. Opération sur la ligne
blanche
, 348- 3 5o. — Hysterotomie vaginale, 3o5, 351. —R
e se trouve alors à découvert, bien re-cormaissable à sa couleur d'un
blanc
mat qui contraste avec la teinte des parties envi
es procédés où l'on a divisé verticalement la conjonctive, la surface
blanche
de la sclérotique doit apparaître à nu dans toute
utives. Tantôt c'est une ma-ladie de l'articulation elle-même, tumeur
blanche
, phlegmasie chronique, induration de cause arthri
contre l'ordinaire, en dedans, où elles s'entrecroisent sur la ligne
blanche
. Au pourtour de l'anneau inguinal (c) (fig. 1, 2,
indiquée au premier aspect par leur éloignement respectif de la ligne
blanche
. A. Hernie inguinale externe. Ici le cordon des
TRIQUE (Demi-nature). Figure 1. L'incision sus-pubienne de la ligne
blanche
étant pratiquée , puis la vessie incisée , le chi
é de M. Mac-dowell ). Une incision (a) a été pratiquée sur la ligne
blanche
pour pénétrer dans la cavité abdominale ; une lig
e M. Langenbeck). Une incision (a) ayant été pratiquée sur la ligne
blanche
, un aide, de ses deux mains (b, c) écarte la plai
CÉSARIENNE MÉDIANE. L'incision, pour cette figure, occupe la ligne
blanche
, du dessous de l'ombilic au-dessus du pubis. La p
principalement de reconnaître d'une façon exacte, dans les faisceaux
blancs
ou dans les divers départements de la substance
e la moelle épinière, il n'existe, pour ne parler que des faisceaux
blancs
, plusieurs régions répondant en quelque sorte à
culaires antérieures; aujourd'hui, pour ne parler que de la substance
blanche
, nous aurions à énumérer en plus bien d'autres
dica- tions par M. Paul Richer. Il résume la division des faisceaux
blancs
et des parties différenciées de la substance gr
s antérieures. K. Racines postérieures. L. Commissure antérieure (
blanche
). M. Commissure postérieure (grise). N. Sillo
térieure. G. Coupe transversale des tubes nerveux de la substance
blanche
coiiiiguë. PLANCHE V Figure 9. MOELLE NORMA
e postérieure droite. B'. Corne postérieure gauche. C. Commissure
blanche
. D. Commissure grise. E. Cordon de Goll. F.
grise. C-C. Tubes nerveux coupés transversalement de la substance
blanche
avoisinante. D. Cellule ganglionnaire restée sa
eau fibrillaire et ses cellules ganglionnaires normales. Le manteau
blanc
de la moelle est sain : zut. Corne antérieure s
ar la méthode de Pâli. On y voit le peu de développement du manteau
blanc
de la moelle, et notamment des faisceaux postér
ndue de la lésion, il n'y a pas de dégénération nette des faisceaux
blancs
. A. Corne antérieure. B. Corne postérieure.
ais plus grands queux. Les couleurs mises a contnuution sont : le
blanc
, le noir, le violet, le bleu, le vert, le jaune e
ant dans le jeu ordinaire aux six, cinq, quatre, trois, deux, un et
blanc
. Fig. 3. PETITE ÉCOLE. xi C'est à dessein q
ns ainsi, pour ne citer qu'une série : le double rouge, le rouge et
blanc
, le rouge et noir, le rouge et violet, le rouge
vier 1883). - Père, imprimeur, mort en 1880, à 34 ans, d'une tumeur
blanche
du genou; abcès froids au cou. Excès de boisson
l'en retira de suite, non asphyxié ; il grelottait et il était tout
blanc
de peur. Cet accident n'aurait pas modifié les co
ux ouverts; il suit des yeux ceux qui l'entourent. - Lèvres sèches,
blanches
par places ; bouche non fuligineuse. - Aux joue
de la voix. 4J mars. L'amaigrissement augmente toujours. Langue
blanche
, appétit très capricieux. L'enfant boit iL peu pr
ules, la pig- mentation est plus foncée, avec, çà et là, des points
blancs
(cicatrices d'acné). Rien aux poumons et au coe
tication de la pie-mère avait mis à nu le squelette de la substance
blanche
. VI. Pseudo-porencéphalie : Hémiplégie gauche
aigre, et le pli de pincement entre deux doigts est peu épais. Peau
blanche
, très écailleuse, cheveux châtain foncé bien im
élocytiques du cervelet, et enfin par un centre réduit de substance
blanche
dans laquelle se trouvent des corps granuleux p
- longements. - Les faisceaux descendants qui vont à la substance
blanche
ne présentent pas de paquets de fibres dégénéré
n- gues ; doigts-volumineux. - Membres inférieurs, normaux ; Peau
blanche
. Cicatrice de la trachéotomie. Viscères nor- ma
s font une légère saillie et tranchent net- tement par leur couleur
blanche
sur la couleur grise des circonvolutions voisin
cépha- lite. Voilà pour la substance grise. - Dans la subs- tance
blanche
, la lésion scléreuse, à part la différen- ce de
nne, aspect de bonne santé; l'expression est hébétée. - La peau est
blanche
; nulle part ni au cou ni aux aines, ni aux ais
en plus rares ; aucune n'est complètement développée. Les faisceaux
blancs
descendants de l'écorce sont grêles et encore l
midales sont indis- tinctes dans beaucoup de points ; les faisceaux
blancs
sont très atrophiés. 4° Circollvolltlion de l
traî- nait toute la substance grise, laissant à nu la subs- tance
blanche
, formant des crêtes plus ou moins atro- phiées
était petite, ne marchait pas ne prononçait aucunmot, avait la peau
blanche
et non cireuse. Elle aurait été bien soignée ch
semble moins sensible au froid, elle devient joueuse. La peau est
blanche
, sans aucun caractère myxoedémateux, les paupiè
on vasculaire diffuse, qui se continue d'ailleurs dans la substance
blanche
sous- jacente, mais à un moindre degré. Cette l
avernes rameuses, surtout à gauche. En quelques points le tissu est
blanc
grisâtre, ferme, lar- dacé/et parsemé de petite
blanc grisâtre, ferme, lar- dacé/et parsemé de petites tachés d'un
blanc
plus.éclatant, grosses comme. des têtes d'éping
apillaires fins et moyens. La lésion se propage dans, la, substance
blanche
. lu. n aim "1 nu -·.dn un pro Toutes les circon
t de la plus grande partie des deux ascen- dants et de la substance
blanche
sous-jacente ; interruption des communications
t demeurés intacts, il faut croire que le ramollissement des fibres
blanches
voisines de la partie; postérieure du corps calle
leux au point où elles s'épanouissent dans le reste de la substance
blanche
de l'hémisphère gauche. Il y avait probablement
aussi pourquoi, en maints cas, certaines parties de la subs- tance
blanche
sont lésées alors que généralement elles sont épa
gauche; foyer de ramollissement ayant interrompu toute la substance
blanche
du lobe occipital gauche au niveau du bourrelet
siblement atrophiés. Pas d'hypertrophie des seins. La peau est très
blanche
, et il parait, à un coup d'oeil d'ensemble, que
la, moitié des dimen- sions de la première. A la coupe, elles sont
blanches
, .^nacrées. Ce ne, sont certainement pasn des -
leloccupe toute l'épaisseur, de,`la substance' grise, la substance-
blanche
. sous-jacente. est plus vaslcularisée que dans
visuel ' remarquablement, étendu,' plus que normalement,' pour; le
blanc
, le bleu, le roupè et même le vert1qui> sontlp
1qui> sontlperçus dans l'étendue qui d'ordinaire est spéciale au
blanc
. Puis, à cette expan- sion des limites du champ
sion de la partie correspondante de l'écoi,ce'et, de. la*'su6stince
blanche
sous- jacente qui avoisine.l'appareil moteur et
erne' d'un 'des'' lobes occipitaux et en même temps `la substance 1
blanche
.sous-jacente, ! le corps calleux et le trigone
xiste une perte de substance qui comprend' l'écorce et la substance
blanche
delà pariétale jusqu'au lobule1 pàracentral,' la
partie avoisinante'du''iobutepari état'supérieur et' tasuDstanee
blanche
de la partie supérieure dé la frontale ascendante
'en vont, après entre-croisement, gagner un territoire de substance
blanche
situé entre le pédoncule cérébelleux postérieur
c laquelle elle est en communication par des faisceaux de substance
blanche
. Cette substance grise incluse dans' la substan
substance blanche. Cette substance grise incluse dans' la substance
blanche
ordinaire a la même structure que 'la couche pr
a-utérin. Par suite d'un trouble dans le déve- loppement des fibres
blanches
, les cellules embryonnaires indiffé- rentes se^
stance'. grise pour remplir la place que laissait vide la substance
blanche
manquante, ou, si l'on préfère, il y a eu dansl
togénétiquedes cellules embryonnaires destinées à former des fibres
blanches
qui sont, par -suite, anormalement devenues de
myélie avec des lésions diffuses ou systématisées de la substance
blanche
: 1° processus gliomateux limité à la' substance
;'action 'de la'syphilis" : Eiseulohr, ' Nonne, Jejorow. Les coudes
blancs
sont lésés de sorte que; pendant longtemps, on
pïëmière°temporale, les circünvolutioiîs dé l'insnlaet'lâ sùbstanéé
blanche
sous-jacente sJ. ·- )";n ? c ? <)'t) Mrt ? «
régions, 1 avantmur, le putamen, la tête du noyau caudé, les fibres
blanches
provenant des deux ascendantes*. Dis- ..pari io
mitation exacte de certaines parties de l'écorce et de la substance
blanche
impose les coupes de Pitres et de Nothnagel. Ce
rtielle des fibres du ruban de Reil du même côté et de la substance
blanche
profonde des tubercules quadrijumeaux antérieur
sau- ya-es A ses yeux se montre alors un vieillard à grande barbe
blanche
, qui lui fait signe de le suivre, et il le suit j
allant en diminuant dans la profondeur. Le centre de Vieussens est
blanc
,' décoloré] Les ventricules sont remplis du même
1' --la- n7 "f/7 uI( · '')L<f-'j ? r,n ÇRANIECTODIIE ; par le De
Blanc
. (La,1 Loire Médicale, ' lIdécéirîbre'1893 : ·1
Ut, LIUL.I : iJfB mUc a)jmmJ ? Jit,Xt)t' entre autres de M" le' D.
Blanc
... ? - ? « ? i ? - ? entre autres autres i. ...
isseaux de la substance grise, niais aussi sur- ceux delà substance
blanche
, dont la gaîne-adve itice contient un grand nom
J ^DO·. o , a .trt t·mr· IRtlri n Irs'14t 4.ff : y de, la substance
blanche
, envahissement des.cellules pyrami- i t.... ? &
ler consoler r Claudine en prison, de lui fournir jusqu'à cinq écus
blancs
. et en ajoutant en marge de ne pas s'étonner du
agit à, la façon d'un organe indépendant^D'autre part la substance
blanche
est ]e, grand centre de réception, qui1 fournit
stion, comme une bougie alimente sa* mèche .'^mais^ celte substance
blanche
fonctionne^en même* temps comme l'appareil réce
isphère gauche ne pèse que 197 grammes ; aux dépens de sa substance
blanche
s'est formé un pseudo-kyste; la perle de substa
légie droite. Elle succombe à un glio-sarcôme occupant la substance
blanche
du lobe occipital droit allant jusqu'au pulvina
IE, sur le traitement de l'idiotie microcéphalique par la - , par
Blanc
, 274 ; un cas pour microcéphalie, par Dakermann
ur le traitement de ' ' l'idiotie par la craniectomie, ,r,. . par
Blanc
, 274 ; un cas de cra-m niectoinie pour ? ,, par
, r Beriiliardt, 189. Bikeles, 138, 142, 200. 1 Biscons, 216.
Blanc
, 274. v f.' r,4,>. Bleulcr, li6,*l97* y Bo
nté'plîN,si4ue ? Ellel est pâle,' anémique;' 'sujette taux 1 pertes
blanches
. A'I'àsile elle recouvre vite le calme/1 ip " ' f
anulations graisseuses et ùel cel- lules granuleuses ; la substance
blanche
est sillonnée detractus de tissu conjonctif for
'«y i.o. ,...J d'une poliomyélite antérieure ^ aiguë, la substance
blanche
- ayant,, participé aux lésions, notamment, les
ment préparée, on place un ruban métrique sur une feuille de papier
blanc
et qu'on lui suggère l'idée que l'on marque un
L.p^iiPr[ , ,1 -r-mhnJi Ji-yn po '. ? P ' Sur une feuille-de papier
blanc
, nous plaçons une carte, égale- inentblàncliê.;
xiques à la dose moyenne de z.' Enfin l'hyoscyamine cristal- lisée,
blanche
, très pure'à la dose sous-cutanée de 0,005 à 0,02
où il était et qu'il a un peu peur tout de même. Sa langue est très
blanche
. Je lui prescris un purgatif. Le 12 mai, Noua
ne de la première articulation métatarso-phalangienne une cicatrice
blanche
, froncée, peu épaisse qui occupe la place du ma
ques et s'arrète toujours à douze ou quinze centimètres de la ligne
blanche
. Cette douleur, qui diffère beaucoup des douleu
ure de la région dorsale, au contraire, est molle, diffluente, d'un
blanc
éclatant. Sur les coupes fraîches, on remarque,
ent lombaire, 4es cornes grises sont peu distinctes de la substance
blanche
, et il est évident, à l'oeil nu, qu'à ce niveau
ie de trois millimètres environ au-dessus du niveau de la substance
blanche
sous- jacente. Au contraire, sur l'hémisphère g
sphère gauche, la surface de la coupe des deux substances (grise et
blanche
) ne présente pas de différence sur ce point.
utefois, le piqueté rouge de la coupe des deux substances (grise et
blanche
) est plus pro- noncé à droite qu'à gauche. En s
vons décrite, avec un petit foyer de ramollissement de la substance
blanche
sous-jacente de deux millimètres environ d'épai
'acide acétique avec insolubilité dans l'alcool). Dans la substance
blanche
, petit foyer de ramollissement offrant les élém
les éléments connus (granulations graisseuses, globules rouges et
blancs
, grains de pigment hématique, vaisseaux de calibr
ont présenté que des altérations analogues à celles de la substance
blanche
du foyer de ramol- lissement, sans épaississeme
territoire de l'altération (les deux substances comprises, grise et
blanche
). En examinant ces coupes à un faible grossisse
t très marquée dans toute l'étendue du lobe frontal. La substance
blanche
des circonvolutions, ainsi que celle des partie
le par la partie tuméfiée à la base du sillon, près de la substance
blanche
. Double coloration à l'hémotoxyline et au carmi
rs, de la substance grise. - Induration et atrophie de la substance
blanche
sous-jacente. Différence de 120 grammes entre l
oute la substance grise et on met il nu le sque- lette de substance
blanche
, laquelle est indurée et atrophiée. Ce foyer se
longtemps de la manière suivante : au déjeuner, elle mange du pain
blanc
et des pommes de terre ; le soir, du thé et que
onsidérée comme une cause DE divorce ? (Discussion entre MM. les D"
BLANCHE
et Luys, Bulletin de l'Académie de médecine, sé
opiques qui pro- viennent de l'écorce du cerveau et de la substance
blanche
contiguë du malade' dont il a'parlé 'dans la sé
t la sixième paire cervicale; foyers récents dans là,s'ul)s'- tance
blanche
principalement des cordons antéro-Ialéraux; pas
eurs, qu'elle soit formée en réalité : lan, par exemple, au lieu de
blanc
; asson, au lieu de garçon. Dans les exemples de
nt une teinte grisâtre qui les distinguait du reste de la substance
blanche
. La substance grise, dans la par- tie thoraciqu
de sclérose latérale amyo- trophique. Tout le reste de la substance
blanche
do la moelle (il sera question plus tard de la
é. Les corps granuleux qui ne se trou- vaient que dans la substance
blanche
, y occupaient une région voisine de la partie p
un procès largement distribué et très prononcé dans la substance
blanche
des centres nerveux et de fort légères altération
pression des légumes, soupes, bouillies, liquides. Usage de viandes
blanches
relies, de pain et de vin coupé avec de l'eau d
ules araignées ou connexions avec les vaisseaux remplis de globules
blancs
; globules blancs dans les parois et les espaces
connexions avec les vaisseaux remplis de globules blancs; globules
blancs
dans les parois et les espaces adventices; intégr
érée et un petit foyer de ramollissement dans la substance grise et
blanche
correspondant à la partie nourrie par cette branc
nce grise; elle n'occupe qu'une profondeur de 2 mil. dans la couche
blanche
sous-jacente. Pour M. Richter, les destructions
circonvolu- tions), 97. Cerveau (sur un faisceau de subs- tauce
blanche
jusqu'alors rare- ment observé à la base du), 9
le par la partie tuméfiée à la base du sillon, près de la substance
blanche
. Double coloration à l'hémotoxyline et au carmi
s difficile-ment; leur apparition a été précédée et suivie de flueurs
blanches
abondantes; mais enfin, elles sont devenues régul
t pendant la marche. En même temps, un abondant écoulement de flueurs
blanches
apparaît. Les palpita-tions ne sont pas habituell
qui n'en présentent pas de traces. La couleur des pustules est d'un
blanc
jaunâtre, mat, opaque, qui tranche vivement sur l
e et supérieure de la jambe, et plus bas, deux ou trois petits points
blancs
non ombiliqués. Le membre supérieur droit ne prés
quelles sont implan-tées ces papilles présentent aussi une coloration
blanche
et une légère saillie au dessus du niveau du derm
légère saillie au dessus du niveau du derme. En dehors de la lâche
blanche
formée par ces papilles, qui ne sont évidemment q
ient presque toutes ombiliquées, bien dessinées et d'une couleur d'un
blanc
mat. En détachant l'épiderme, on enlevait avec lu
palais du même côté, la luette, sont recouverts d'une fausse membrane
blanche
, épaisse, tenace, qu'on peut détacher à l'aide d'
agitation ; la bouche estamère, la soif est vive ; la langue, d'abord
blanche
et humide, se dessèche rapidement et devient noir
ncore moins gravement atteints de la fiè-vre jaune que ne le sont les
blancs
. 0. Les émotions morales, la fatigue musculaire
oinette. Paris, 1858) disent bien que la reine avait les cheveux tout
blancs
le jour où elle monta sur l'èchafaud (p. 419); ma
ux et blonds qu'ils estoyent, comme en Heur d'aage, sont devenus tout
blancs
comme vieillards. » (Histoires admirables et mémo
stoit deuenu comme vn corps déterré, et auoit les cheueux et la barbe
blanche
, ainsi qu'vn septuagénaire, et semblait plustost
e se rompoit, conceut telle peur, que soudain le poil luy devint tout
blanc
. » {Ibid., p. 540). 5° Les journaux politiques
évanouit. Lorsqu'elle revint à elle, ses cheveux étaient devenus tout
blancs
. 6° Au mois de mai 1888, les journaux ont donné
e, les enfants Visco..., qui était une belle brune, est devenue toute
blanche
du soir au lendemain matin, en apprenant que son
é chassées par la compression, et en outre, une très grande mem-brane
blanche
, généralement opaque, couverte de végétations irr
e toute grosseur. On ouvrit l'ouverture, et alors une membrane d'un
blanc
perlé vint se présenter sur les bords de la plaie
s par des cloisons in-complètes. Sa surface interne est lisse et d'un
blanc
nacré; elle renferme plus de cent hydatides, pour
laques d'apparence ver-ruqueuse, ovales ou arrondies, opaques et d'un
blanc
laiteux, dont les plus grandes atteignaient à la
le bas-ventre ; elle a eu plusieurs hémorragies utérines, des pertes
blanches
, fétides, souvent san-guinolentes. Le toucher per
e ; il en est de même des parois buccales, qui se couvrent de plaques
blanches
de muguet. Bien que les vomissements aient cessé,
cesser à l'endroit du rétrécissement. La tunique péritonéale est d'un
blanc
opaque et comme froncée. La deuxième et la troisi
ur faisais donner de la mauve sucrée chaude ; tous les jours un looch
blanc
de 120 gram-mes, additionné de 8 grammes de sirop
mieux en mieux l'ombre des personnes qui l'entourent et distingue le
blanc
du noir. Chez la malade dont nous venons de rap
thie alchimique, Etmûller prétend que la lune, bien qu'elle soit d'un
blanc
éclatant à sa surface, est d'un bleu foncé à l'in
u. Il existait des granula-tions noires, qui prenaient une coloration
blanche
parle cya-nure de potassium, dans les canalicules
souvent, lorsque le traitement a duré huit ou dix jours, un précipité
blanc
, floconneux, léger, qui nous a paru composé presq
; les infirmières (7 ? eet'M ? eM) ont une robe à carreaux noirs et
blancs
, de grands tabliers blancs, avec rubans sur les
M ? eM) ont une robe à carreaux noirs et blancs, de grands tabliers
blancs
, avec rubans sur les épaules, un bonnet. Leur t
est seul ; quand on est près de lui. il se tait brusque- ment. Peau
blanche
, glabre; aucune cicatrice de vaccin; absence co
amkiewicz ; 3° à l'état, du fait de cette pression, de la substance
blanche
, de la substance grise, de la névroglie, des va
moelle et l'hydrocéphalie interne, car dans celle-ci la subs- tance
blanche
(corps calleux) est affectée ; or, dans la compre
lorés en bleu par la méthode de Nissl dans l'écorce et la substance
blanche
de la circonvolution, la couche moléculaire du
ortent des modifi- cations de la substance grise et de la substance
blanche
. 4° les lésions de la substance blanche paraiss
ce grise et de la substance blanche. 4° les lésions de la substance
blanche
paraissent consister en une atro- phie totale d
une petite quantité d'acide acétique, ce qui produisit un précipité
blanc
immédiat peu abon- dant, qui, reçu sur filtre,
ux, qui au bout de quelque temps se condense en un dépôt floconneux
blanc
, surnagé par un liquide clair. Ce dépôt, après
11 donne les résultats suivants : (EU gauche : atrophie papdluire
blanche
. (Mit d,oit : décollement de l@t7-éti,ies'éleii
ntérieure des lobes temporaux. Pas d'autre lésion de la subs- tance
blanche
qu'un léger piqueté hémorrhagique. Les ventricule
fut pratiqué on cons- ' tata l'existence d'une atrophie papillaire
blanche
du côté gauche, d'un vaste décollement de la ré
erne Debilly, l'adjudant Thoron, du 161°, en grande tenue, ganté de
blanc
, s'est tiré un coup de revolver dans la tempe d
phérie immédiatement au-dessous de la pie-mère. Dans la substance
blanche
se trouvent des espaces lacunaires au centre de
u fixe ou ne représentent-ils qu'une fonction spéciale des globules
blancs
. Valenza, Crocq, France et Athias attribuent ce
aromothérapie la thérapeutique par les couleurs. La lumière totale,
blanche
, se mon- trait égalementanesthésique et calmant
Les AHCmn.s, 2° série, t. aVI. 17 258 SOCIÉTÉS SAVANTES. rayons
blancs
activent la circulation superficielle, les rayons
bleus et violets ralentis- sent la circulation. De même, la lumière
blanche
active la nutrition les rayons rouges agissent
ire la nutrition. En ce qui concerne le système nerveux, les rayons
blancs
et rouges favorisent la guérison des troubles tro
engourdies. La pression du pouce sur la peau détermine une tache
blanche
qui s'efface'tentement; le sang accède donc diffi
jour que sa lèvre inférieure était couverte de petites pelli- cules
blanches
. Il prit plaisir à les arracher; le lendemain, il
méninges, l'écorce grise (névroglie, cellules) et même la substance
blanche
par Philippe et Joués. Il faut aussi faire in
e manifesta au niveau du dos des deux mains. C'était un oedème mou,
blanc
, indolore gardant l'em- preinte du doigt. Il fu
n affaissement complet de la corne et un plissement de la substance
blanche
enveloppante. Dans les parties détruites, il n'
ées dans la substance grise, diminuent rapidement dans la substance
blanche
au point que, arrivées dans l'épaisseur de la p
s portions périphériques, immédiatement sous-méningées, des cordons
blancs
sont en partie altérées aussi et les cordons de
par de jeunes infirmières au torse dessiné par de grands ta- bliers
blancs
qui, épingles sur la poitrine, descendent en avan
ents d'aliénés DE la Seine I. Asiles publics. 384 FAITS DIVERS.
blanc
, s'est tiré un coup de revolver dans la tempe dro
prit des préparâtes de brome le soir et pendant les repas du vin
blanc
mêlé de Levico. Le 23 novembre eut lieu l'explo
lèlement sa papille droite blanchâtre il y a un an est mainte- nant
blanche
et étalée, sa papille gauche alors normale est ac
sui- vant : nous avons trouvé : Une fois 1' 'atrophie papillaire
blanche
bilatérale; Dix fois de la blancheur des deux p
out dans le segment nasal ; Quatre malades présentaient une papille
blanc
grisâtre ; Les papilles de cinq autres avaient
le décolorée, mieux encore de la papille présen- tant de l'atrophie
blanche
. Nous avons pu dans cinq cas pratiquer l'examen
calotte de Meynert. Telle est l'origine thalamique de la substance
blanche
profonde qui va au cordon antérieur, ou voie thal
de Sylvius. où l'artère est bouchée en grande partie par un caillot
blanc
qui adhère un peu à la paroi. Une coupe traverse
ite droite. Ces foyers pénètrent de 3 centimètres dans la substance
blanche
du lobule pariétal inférieur : de 2 centimètres
grise tranche nettement par sa colora- tion rouge sur la substance
blanche
jaune. Xylol, baume du Canada, couvre-objet.Les
énérescence myélinique irrégulièrement distri- buée de la substance
blanche
du nerveux central. Les cellules de la moelle e
rdon anléro-latéral. Toutefois, la presque totalité de la substance
blanche
continue à être démyélinisée comme précédemment
; Ordre impérial et du maréchal des logis. « Appor- tez un bulletin
blanc
au bureau et fournir un médecin pour les colonn
ne la connais pas, je suis de la campagne. « Inc. Saint Thomas est
blanc
comme un mort. ' « Cons. Un saint qui m'est app
chef de nuit est très simple : sur une page, ordinairement presque
blanche
, il note ses observations spéciales; sur l'autre
CAS DE SARCOME VOLUMINEUX DU CERVEAU AYANT DÉBUTÉ DANS LA SUBSTANCE
BLANCHE
DE LA RÉGION FRONTALE GAUCHE; OBSERVATION ET
mineux sarcome du cerveau développé primitivement dans la substance
blanche
de la corne antérieure de l'hémisphère gauche.
laire, blanchâtre, et occupant la portion centrale de la substance
blanche
. Tout autour du tissu néoplasique, on observe une
tance grise périphérique, sans l'intéresser cependant. Cette tumeur
blanc
gri- sâtre, est limitée du côté interne par une
plus développée. Elle occupe près des deux tiers de la substance
blanche
, et à la partie inférieure et externe arrive jusq
étant pos- térieure. Cette tumeur ne siégeait que dans la substance
blanche
de la partie antérieure du cerveau gauche; dans
n une zone de ramollissement la séparait du restant de la substance
blanche
. Pour donner une meilleure idée de la dispositi
s localisations exclusives des tumeurs cérébrales dans la substance
blanche
sont rares, puisqu'elles ont été observées 35 f
corps calleux. Cette localisation de la tumeur dans la subs- tance
blanche
de la corne frontale, nous rend compte de l'ap-
uble nettement au-bout de trois jours; on y voit de fins grumeaux
blanc
sale, déposant au fond du tube. Les préparations
empérature, 39°), se trouble le troisième jour, puis donne un dépôt
blanc
sale au fond du tube. Au micros- cope, on voit
t poussé le sixième jour; ces cultures contiennent de petits points
blancs
et d'autres plus foncés, bru- nâtres. 'Elles ne
le pli courbe, qui plonge d'un centimètre et demi dans la substance
blanche
. Enfin dans le lobe occipital gauche une tumeur
circonvolutions occipito- temporales et en avant, dans la substance
blanche
des pariétales, vient détruire le pulvinar gauc
hronique du cerveau par artério-sclérose ayant détruit la substance
blanche
avec dégénérescence des faisceaux postérieurs,
vasculaire, moins prononcée dans les autres parties de la substance
blanche
, affectant la forme d'ilôts petits. La lésion,
tion I. Gliôme du volume d'un oeuf de poule implanté dans la couche
blanche
sous-corticale correspondant au rameau antérieu
on de la papille qui, d'abord couleur cuir, devient de plus en plus
blanche
en même temps que les vaisseaux sont beaucoup m
ons suivantes : Dans la démence sénile, l'augmentation des globules
blancs
est presque de règle, alors que leur diminution
ractus. L'arachnoïde est légèrement épaissie. Dans les substances
blanche
et grise on trouve les noyaux de névroglie mult
a méthode de Pal, on remarque que la dégénérescence de la substance
blanche
est en rapport direct avec les infiltrations is
ns l'intérieur de la moelle où elles peu- vent envahir la substance
blanche
et la substance grise. On a pu trouver les cell
s la partie supérieure de la moelle cervicale affectent une couleur
blanche
, tandis que l'autre partie de la substance blan
tent une couleur blanche, tandis que l'autre partie de la substance
blanche
a la couleur blanc grisâtre. La substance grise
che, tandis que l'autre partie de la substance blanche a la couleur
blanc
grisâtre. La substance grise est pâle. A l'endr
ie à la périphérie quelques fibres nerveuses intactes. La substance
blanche
, du reste est conservée. On trouve pourtant, ap
ant dans les voies lymphatiques l'action toxicophage des glo- bules
blancs
, ce qui empêche la cachexie strumiprive. Mais, au
ns en foyer (l'auteur a observé un cas d'atro- phie de la substance
blanche
du lobe occipilal avec atrophie de la corne ven
'autopsie on trouve un gros foyer de ramollissement de la substance
blanche
de la région de Broca (écorce indemne) et un ra
élie secondaire, dont les cavités sont creusées en pleine substance
blanche
, indiquée par M. Marinesco, dans les tumeurs d'
i dit l'auteur (page 144), les lésions constatées dans la substance
blanche
de nos cas de polyomyélite antérieure chronique
ribution importante à l'étude des lésions dégénératives des cordons
blancs
de la moelle épinière, nées sous l'influence de
e vingt- huit ans, profitant de l'absence de son mari, a habillé de
blanc
ses trois filles, âgées de sept, cinq et trois
encéphale par deux foyers hémorragiques; l'un sis dans la substance
blanche
profonde de l'insula du côté gauche; l'autre, d
lindraxes dans les fibres à myéline, -jaune intense de la substance
blanche
, - -violette tirant sur le rouge de la névrogli
uniformément à une distance assez grande du vaisseau, la substance
blanche
est plus grenue, les cylindraxes forment une sé
logique de la moelle épinière. Les diverses lésions de substance
blanche
, de la substance grise et de la névroglie sont in
lis et frileux. Jadis il était d'usage de munir les lits de rideaux
blancs
, coquets et gracieux, qui permettaient en outre
de l'hémisphère gauche et celle d'un second foyer dans la substance
blanche
de l'hémisphère droit. On peut expliquer le dés
. Sarcome volumineux du cerveau, ayant débuté dans la substance
blanche
de la région frontale gau- che par Galavielle e
blanchisseuse, sobre, morte à quarante-six ans en 1883 d'une tumeur
blanche
du genou ; à quatorze ans, elle avait eu une fi
e nous fournissent aucun renseignement utile. On parle d'une tumeur
blanche
, d'un redressement du genou qui sera prochainem
ue toute l'étendue des trois faces des lobes frontaux, la substance
blanche
de la première circonvolution frontale des deux
e de crêtes indurées et atrophiées. La dénudation de la substance
blanche
existe sur un plus grand nombre de circonvolution
raîné l'ablation d'une partie plus ou moins épaisse de la substance
blanche
des circonvolutions, l'encé- phale ne pesait pl
au bout de 8 jours, et serait restée jaune pendant 2 mois. Mais le
blanc
des yeux n'était pas jaune. Ensuite la colorati
, et un pli IDIOTIE avec cachexie pachydermique. 65 Oreilles d'un
blanc
de cire, 1 assez bien ourlées, peu écar- tées
rconvolutions sylviennes et insulaires. - Mise à nu de la substance
blanche
dans ces régions en décollant la pie-mère. - An
lieux et de troubles de la vue : « Je vois, dit-elle, des papillons
blancs
, rouges, des pointes de feu des deux cotés et m
nt plantées, ne présentent pas de stries ni d'incisures; elles sont
blanches
, non cariées. - Le menton est rond, de dimensio
FA. et sur la moitié inférieure de l'A, on met il nu la substance
blanche
. Il en est de même sur le pli pariétal inférieur
Face cot2uexe. Même répartition des lésions, mais le sque- lette
blanc
est mis à nu d'une façon plus complète sur les
levait en même temps que la la pie-mère, laissant Ù nu la substance
blanche
des circonvolutions. On avait là des lésions to
ermique, pour employer les expressions de Charcot. La peau, glabre,
blanche
, sèche, rugueuse, ichthyosi- que par places, es
ion. Les conjonctives palpébrales sont décolorées, les sclérotiques
blanches
, les iris bleus, les pupilles égales, contracti
léés dans le sang de nos malades. Quant aux variations des globules
blancs
, nous n'en dirons que quelques mots. La leucocy
Caractères généraux. Votante : 325 cm. Aspect : louche avec dépôt
blanc
. Couleur : jaune pale. Odeur : fétide. Réac
(Avant le traitement). Volume : zizi. Aspect : louche avec dépôt
blanc
. Couleur : jaune pâle. - Odeur : ruineuse for
out traite- ment.) Volume : 530 cm3. Aspect : louche avec dépôt
blanc
, léger, floconneux. Couleur : jaune pâle. Ode
, la substance grise présente son épaisseur normale et la substance
blanche
est également bien développée. Cet hémisphère o
'avais soif, je prenais au comptoir cle ma mère un bon verre de vin
blanc
, et quand il me fallait entamer une bou- teille
ches brunes sur l'omoplate gauche, et sur le bras droit. Cicatrices
blanches
au niveau de la région lombaire, consécutives p
vinar. La capsule interne n'est constituée que par la subs- tance
blanche
comprise entre le bord postérieur du noyau lent
lenticulaire et la queue réfléchie du noyau caudé. Cette substance
blanche
est formée principalement par les fibres qui vi
s soient courbes, leur section hori- zontale donne lieu à une bande
blanche
à peu près homogène. En réalité, le segment ant
nt privés de faisceaux et ne sont parcourus que par des filaments
blancs
très déliés auxquels leur circonférence reste é
veau de l'animal. Meynert qui a étudié la structure de la substance
blanche
hémisphérique avec non moins de soin que les au
grand nombre de plis. Sur les centres lobulaires de la substance
blanche
il semble que les fibres de Gratiolet les plus
nombre de circonvolutions. La structure fasciculée de cette bande
blanche
n'est pas contestable. En avant comme en arrièr
a partie réfléchie ducorps calleux (Pl. XV), ensuiteavec la lamelle
blanche
du septum lucidum (Pl. XVI, t. I), qui lui est
u lobule paracentral étaient accompagnées en dehors par une traînée
blanche
de 1 à 2 millimètres de largeur, qui aboutissai
tion manifeste ; la région de l'épaule est tuméfiée, la peau en est
blanche
, lisse, et laisse voir de nombreux cordons bleu
et filant, coagulable par l'acide acétique, contenant des globules
blancs
et de grandes cellules analogues à celles qu'on
orme étendu de la racine du membre aux malléoles. Ce gonflement est
blanc
non douloureux, assez dur; il est surtout prono
t fermé. Cette manière d'interrompre le circuit et de fonctionner à
blanc
a été utilisée de mille façons, d'abord pour ét
omplémentaires. Si l'on fait tourner rapidement un disque de carton
blanc
portant quel- ques traits d'une couleur princip
ouleur, une teinte pâlede la couleur complémentaire, sur la portion
blanche
du disque. Or, l'expérience réussit également L
la conséquence de ces muti- lations. La destruction de la substance
blanche
et son excita- tion dans les zones motrices pro
s, on découvre sur la paroi inférieure de cette corne une saillie
blanche
, antéro-postérieure, dite corne d'Ammon 1 G. Hu
er);lebord interne de cette saillie est parcouru par une bandelette
blanche
, dite corps bordant (mbria), qui présente un bo
bor- dant, est situé dans l'intérieur du ventricule ; la saillie
blanche
, dite corne d'Ammon, est donc la seule partie,
dulte), se traduit dans l'intérieur du ventricule par une saillie
blanche
(corne d'Ammon des auteurs). 5° De ces deux cir
de térébenthine, qui produit avec le collodion des taches et magmas
blancs
, et substituer à cette essence l'huile de giro
ine), on ne voit se produire dans la préparation ni magma, ni nuage
blanc
, ni tache quel- conque, ce qui arriverait fatal
lations ' établies entre'la corne'etle lobe occipital, la substance
blanche
^ du lobe sphénoïdal; l'écorcé grise dû cerveau,
la thrombose des petits vaisseaux du pénis par des amas de globules
blancs
, et cette hypothèse est, acceptée par Mathias e
. les domestiques qui ouvraient leurs magasins à aller boire le vin
blanc
et -la' ! goutte avec eux..2zunaaoa ah o C'es
on de l'hémichorée répond à cette partie centrale de la subs- tance
blanche
qui avoisine les corps opto-striés et le tiers po
ja- mais observé. Lorsque j'ai trouvé le nerf avec celte couleur
blanc
mat, évidemment malade au niveau de la face ant
e sphacèle, avec éruptions huileuses; parfois bouffissure et oedème
blanc
ou bleu des extrémités des doigts. Il en résulte
tions qui plus haut vont prendre de l'importance. Dans la substance
blanche
, les travées pie-mériennes qui conduisent les p
és dans les filets radiculaires qui en partent. Dans la substance
blanche
les lésions nerveuses sont réparties d'une façon
au pourtour, celles-ci font irruption au milieu même des faisceaux
blancs
, abandonnant les travées con- jonctives qu'elle
t les éléments nerveux eux-mêmes. Mais nulle part, dans les cordons
blancs
, elle ne forme sur les .coupes transversales de
du champ visuel à peu près égal de chaque côté, de 60°-70° pour le
blanc
, de 35-40 pour le violet, le rouge et le bleu.
, aucune irrégularité. Les dents sont au complet et remarquablement
blanches
, sans le moindre vice d'im- plantation. Les deu
verle d'une desquamation furfuracée. Tous les ongles sont secs, d'un
blanc
jaunâtre, striés transversalement. L'extrémité
de l'infiltration méningée; elles sont évidentes dans la substance
blanche
au niveau des cordons postérieurs, à la hauteur
rale sur une hauteur de 5 à G racines, et d'autre part la substance
blanche
des cordons latéraux sur une étendue un peu moi
la moelle. Cet exsudat se serait arrêté aux limites de la substance
blanche
, qui lui aurait opposé une barrière plus résist
n'y constate pas la moindre prolifération active. Dans la substance
blanche
, les lésions que nous avons décrites présen- te
x des méninges, les lésions vasculaires observées dans la substance
blanche
de la moelle semblent de peu d'importance. Elles
es et artères, et des altérations dé- génératives dans la substance
blanche
de la moelle. La pie-mère offrait une multiplic
ieure gauche est rétractée, atrophiée. Il existe, dans la substance
blanche
de larges territoires de sclérose, Fig. 15. Cou
largie, contiguë à la pie-mère. Dans tout le reste delà subs- tance
blanche
, il existe une sclérose diffuse, mais moins inten
nce grise : ceux-ci apparaissent seulement au voisinage des cordons
blancs
. La névroglie de la substance grise présente un
contrent également dans les 2 cornes. Nulle part, dans la substance
blanche
, on ne rencontre d'éléments semblables. Les cor
nt; les cellules nerveuses sont atrophiées. Les lésions des cordons
blancs
ne le cèdent pas en intensité à celles de la subs
ns au carmin. Dans les régions antéro-latérales de la subs- tance
blanche
, les petits vaisseaux sont altérés suivant le m
le dorsale supérieure, présente une sclérose diffuse delà substance
blanche
, dont l'origine méuingo-vascuiaire ne saurait f
taient en ce point beau- coup moins accentués que dans la substance
blanche
. Tout porte donc à croire que, chez notre secon
rme DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQUE 259 que ce placard, à fond
blanc
gaufré, et dont la limite est marquée par un fin
re. Dans une poche, il serrait précieusement une bouteille de verre
blanc
il moi- tié pleine d'un liquide trouble d'odeur
une augmentation du pigment, au milieu duquel ap- paraît la couleur
blanche
de la sclérose. La réaction pupillaire est norm
érale. Si par ex- emple l'oeil gauche fixe une lumière ou le bouton
blanc
du campimôtre, c'est-à-dire si la macule jaune
cercle étant dans le plan horizontal. En conduisant la petite carte
blanche
, comme ob- jet lumineux excitateur de dehors en
du campimètre dans le méridien vertical et procédons avec la carte
blanche
en excitant de bas en haut. Nous voyons, que qu
nten- sité égale. Les membres des deux côtés, au moment où la carte
blanche
du campimètre arrive à 78 degrés, se raidissent
une autopsie minutieusement conduite, constata dans la substance
blanche
du cerveau l'existence de nombreux corps granul
ceau pyramidal croisé et direct, il existe encore dans la substance
blanche
, au niveau de l'angle externe des cornes antéri
ue jusqu'à la périphérie de la moelle ; dans la région de substance
blanche
qui s'étend au-devant de la partie antérieure d
Clarke sont bien conservées. Région Lombaire.- Dans la substance
blanche
, la sclérose est presque localisée étroitement
mère étendue sur le dos, la bouche un peu tirée à gauche, les yeux
blancs
; la malade était alors sans CAS DE SCLÉROSE LA
s fibres nerveuses dans les cornes antérieures. Dans la substance
blanche
: sclérose des faisceaux de Türclc, sclérose de
ntérieure de la corne antérieure. Quant à la portion de subs- tance
blanche
située en avant de celle-ci, elle présente aussi
a notamment un ilôt d'une dizaine de ces corps dans la subs- tance
blanche
près de la périphérie de la moelle, au niveau d
orps granuleux, quoique en bien moins grand nombre que la substance
blanche
; ils siègent, pour la plupart, dans les espaces
re retrouvés dans la substance grise de l'écorce; dans la substance
blanche
, ils étaient, comme nous l'avons dit, très nomb
n'était d'ailleurs pas la même dans toute l'étendue de la substance
blanche
et, sur certaines coupes (suivant la direction
atique, une atrophie générale de la moitié opérée, tant des parties
blanches
que de la substance grise. La portion la plus a
la substance grise. La portion la plus atrophiée des fais- ceaux
blancs
est celle qui, du côté sain, répond au tra- jet
du champ visuel et, à l'aide de l'ophthalmoscopie, la décoloration
blanche
presque spéciale de la papille ; mais enfin, ma
, fait par le périmètre de Landolt, n'a rien montré, pas d'atrophie
blanche
de la pupille, pas de sténose vasculaire spasmo
noyau caudé parce que, à l'époque où ils reçoivent de la substance
blanche
, la région subthalamique contient déjà d'autres
cipital, la surdité complète à celui du lobe temporal droit (couche
blanche
); l'intégrité de la parole résultait, pour lui,
t son excitabilité à l'égard des courants électriques; la substance
blanche
ne subit aucune modification fonctionnelle. P.
TES. sans altération de structure. Peu de chose dans la substance
blanche
du cerveau ou de la moelle; elle est raréfiée et
l. Tout a disparu assez rapide- ment. Il buvait à ce moment du viri
blanc
le matin' et parfois des liqueurs. En 1882; il
ion du processus inflammatoire de la substance grise à la substance
blanche
avoisinante. ,On pourrait, il, est,vrai, en con
paru : .C'est donc bien là une preuve que dans la zone de substance
blanche
qui contient les faisceaux pyramidaux,' il exis
du lobule paracentral. Abondants corps granuleux dans li substance
blanche
. La partie située tout à fait à gauche ne conti
de tête frontales vives, accompagnées de mouches violettes, rouges,
blanches
, qui volent devant les yeux, sans que ceux-ci s
ijF;e en exagère les troubles ? Doit-on dans l' ! 1spècel de but en
blanc
, fprcer les ma- lades à beaucpup manger ? En ce
de Sylvius. Le corps calleux représente une mince lame de substance
blanche
. La troisième frontale ne présente ni à droite,
a moelle épinière, fait par nous mêmes, nous donne : a) Substance
blanche
. Dans la région de l'origine apparente de la pr
ents, spécialement dans la partie de la moelle où dans la substance
blanche
le processus pathologique atteint aussi le plus
est depuis deux ans à l'hôpital de Forges-les-Bains pour une tumeur
blanche
du genou droit. 350 CLINIQUE MENTALE. transfé
uvet assez marqué surles épaules, les flancs et les cuisses. -.Peau
blanche
avec de nombreuses taches (vésicatoires, petits a
cellules de l'écorce englobant par places (ma- cules) la substance
blanche
. Observation de mélancolie grave : dégénérescen
faisceaux de fibres qui s'épanouissent en forme d'aigreltes, d'un
blanc
nacré au delà de la papille. Ces anomalies n'entr
tie intitulée Dégé- nérescence scléreuse de la lisière de substance
blanche
de certaines zones déterminées de l'écorce dans
res intracorticales; la dégénérescence des libres de la substance
blanche
pourrait bien n'être que secondaire, qu'il s'agis
du lobule paracentral. Abondants corps granuleux dans la substance
blanche
. La partie située tout à fait à gauche ne conti
gea mon système nerveux ; j'avais mal au dos, à la tête ; des Heurs
blanches
et des vers intestinaux se montraient; cela me
ne fraction insigni- fiante de son segment antérieur ; la substance
blanche
configure est atteinte. Intégrité de la couche
limitée du noyau lenticulaire et de la partie contiguë de substance
blanche
qu'il faut rapporter les sensations fausses. P.
llongées*. Dans les produits artificiels-il semble que la substance
blanche
soit crevassée M. SPIEr.ncFVra dit que ce que l
représentent les éléments, transportés à distance, de la substance
blanche
en voie de destruction. Dans les processus toxi
-diphtéritiques, les poussières que l'on trouve dans la subs- tance
blanche
du cerveau, permettent de penser que le poison
gard d'éléments cons- tituants déterminés préformés de la substance
blanche
nerveuse; c'est ce qui parait avoir lieu dans l
ce qu'à l'oeil nu on distingue la substance grise de la substance
blanche
. Celles qui ont été fixées au liquide do Muller s
sans troubles ner- \eux, présente une énorme profusion de globules
blancs
, même en tenant compte du mélange du sang au li
o-analgésie totale croisée, produite par une lésion de la substance
blanche
ou du cordon latéral y compris le faisceau de 1
Les diverses espèces d'animaux, (chien, chat, lapin, cobaye, souris
blanche
, poule, supportent de très for- tes doses de ce
ice, l'huis vola en éclats et un grand gaillard, drapé d'un linceul
blanc
, brandissant un couteau d'où ruisselait le sang,
illamment illuminée d'une cinquantaine do cierges, gisait un agneau
blanc
, Centré sur un piano. L'auteur de ces folios, f
globules dans les vaisseaux, diapédèse et accumulation de globules
blancs
dans les gaines, émigrations lointai- nes des g
bules blancs dans les gaines, émigrations lointai- nes des globules
blancs
qui se rencontrent disséminés dans tous les esp
séminés dans tous les espaces où ils ont accès. Dans la substance
blanche
comme dans la substance grise, on les observe a
n réseau scléreux lihrillaire, très ténu, qui a envahi la substance
blanche
des différents, cordons. Les altérations pare
tical in- téressant le pli courbe gauche, destruction des faisceaux
blancs
nus-jacnl : (faisceau longitudinal supérieur, f
uses se fait en foyers dans les par- tics centrales de la substance
blanche
. 422 PATHOLOGIE NERVEUSE. La nouvelle théorie
s analo- gues àcelles de Kahler pour ce qui concerne la substance
blanche
; ils y ajoutent la description de fissures et de
grise et qu'ils interprètent, ainsi que les lésions de la substance
blanche
, comme la conséquence de l'effusion de la lymph
e grise dans ,la dégénération ischémique est mieux conservée que la
blanche
s'expli- que, selon Fichier, parce que la subst
bstance grise a un ré- ticule capillaire beaucoup plus riche que la
blanche
et parce quelcs artères spinales antérieures ne
ales postérieures qui, elles principalement, irriguent la substance
blanche
. Une autre cause d'ischémie médullaire, cette f
de reconnaître une différenciation de la substance grise d'avec la
blanche
, car de la partie centrale de la moelle il ne r
tle grossissement on a l'impression d'espaces vides. La substance
blanche
est encore discrètement conservée à la périphérie
u tissu épidu- ral. La' substance grise se détache assez bien de la
blanche
; celle-ci présente des lésions destructives di
corps amyloïdes sont présents et disséminés dans toute la substance
blanche
. Les vaisseaux se comportent comme dans la coup
central : à la périphérie destruction moins forte de la substance
blanche
avec phénomènes de tuméfaction des éléments ner
bien que moins nettement que normalement, la substance grise de la
blanche
. Au Pal il apparaît déjà il l'a-il nu que la su
e la blanche. Au Pal il apparaît déjà il l'a-il nu que la substance
blanche
iL souder ! ; on la voit, en et)'et, décolorée
segments L1,L ? . Au niveau des segments Ll, L2,L : î, la substance
blanche
présente des lésions diffuses pas systématisées,
nt de la moelle (segm. Ll, L2) des lésions diffuses de la substance
blanche
constituées par une sim- ple diminution en fibr
aplatissement, le fait que les lésions destructives de la substance
blanche
sont diffuses, non localisées au point de compr
directe sur le tissu nerveux. Les lésions diffuses de la substance
blanche
dans les segments supérieurs et infé- rieurs au
faible- ment épaissies : leurliunière contient beaucoup de idobules
blancs
, mais aucun vaisseau n'est thrombose. .\ la r
AUHOGLNIL DES ALTÉRATIONS MÉDULLAIRES. zigs Dans toute la substance
blanche
. dans les aerm.L3, L'i, Lu), déco- loration dil
e. Au niveau du 2e segm. lombaire la décoloration de la substance
blanche
est, dans le cordon anl¡"ro-Iatéral. limitée la p
u niveau du [CI segm. lomhail et au-dl'su,la lésion de la substance
blanche
1 t'I"'{'l'nle presque exclusivement le tableau
ureté. La tumeur tranchait sur le tissu nerveux par sa couleur d'un
blanc
jaunâtre et par sa consistance : elle était très
profondeur de la substance corticale, au voisinage de la substance
blanche
. Il a refoulé légèrement la partie superficiell
s ; vers sa partie profonde, il a égale- ment comprimé la substance
blanche
, dont les faisceaux étaient aplatis, mais non d
remarque,sur- tout vers la partie profonde attenante à la substance
blanche
, une pullu- latitin des noyaux de la névroglie.
n des fibres de projection, elles se con- fondent dans la substance
blanche
inséparable, seule l'étude des dégéné- rescence
gauche, le signe d'A. Robertson est présent des deux côtés. Atrophie
blanche
de la papille. En plus, scotome scintillant dev
présente un arc sénile de la cornée très prononcé. Ses cheveux sont
blancs
. D'autre part il offre très nettement des nodos
anguinolente. L'examen histologique y révèle les globules rouges et
blancs
en grande abondance. La langue est très sale, u
la 2e lombaire, on aperçoit les colonnes de Clarke dont les fibres
blanches
ont diminué légèrement de quantité. Les racines p
; elle poursuit le bord de sa partie inférieure en forme de taches
blanches
, luisantes et atrophiées avec des marges rouge-
en général la forme de ces derniers. « Les tumeurs osseuses sont
blanches
, moins dures et moins denses qu'un os ordinaire
1354, Addison et Bazin décrivirent la chéloïde vraie et la chéloïde
blanche
. En 18G7,ni)ton Fagge sépara nettement la morphée
uge, due à un fin lacis vasculaire, avec un semis de petites taches
blanches
atrophiques et une sensibilité normale. Au point
ue ni absinthique. En mai 1897, il s'aperçut qu'il portait une raie
blanche
au milieu du front. A celte époque, il se plaigna
coriations. Elle est dépourvuede cheveux ainsi que les deux plaques
blanches
. Au niveau de ces plaques, la peau est décoloré
iolacée (lilac ring). En dedans de ce liseré, on trouve une surface
blanche
, brillante, rappelant l'éclat et le reflet de l
ce entre les deux yeux est beaucoup plus grande, et « qu'on voit du
blanc
tout à travers », c'est-à-dire d'une commissure à
interne de la voûte crânienne était recouverte d'une membrane d'un
blanc
bleuâtre ; en plusieurs endroits, elle était couv
droite du groupe principal, une vieille femme, coiffée d'un bonnet
blanc
, son tablier relevé, se tient debout et regarde l
fait. C'est une large entaille qui a beaucoup saigné, rougissant le
blanc
du col et le jaune du justaucorps, sans parler
; un autre, sur un banc, devant la fenêtre, est marqué d'un signet
blanc
. Il possède aussi une mappemonde et plusieurs c
vieille vêtue d'une robe rouge, avec un tablier bleu et une coiffe
blanche
sur sa tête. Elle est assise de pro- fil à gauc
adroite, se tient une vieille femme, la tète couverte d'un mouchoir
blanc
, figure manifestement imitée de Teniers ou de B
rement, ren- seignera sur la nature-du néoplasme et sur les masses,
blanches
ou grises, détruites au cours de son évolution.
Par ci par là on note sur quelques tubes à myéline de la substance
blanche
et grise, d'une façon diffuse et sans prédominanc
e ont donné les résultats suivants, en ce qui concerne la substance
blanche
de la moelle. 1 Nous avons noté en général une
noté en général une légère différence de volume entre les cor- dons
blancs
pris en masse d'un côté à l'autre. En aucune régi
faire quelques réserves et de songer à la possibilité d'une tumeur
blanche
guérie par ankylose. Il y a lieu d'insister s
avec atrophie des cellules, et en outre diminution de la substance
blanche
. Comment interpréter cette atrophie médullaire
il y a à la fois atrophie de la substance grise et de la substance
blanche
. On se souvient d'ailleurs que, dans lecasdel.e
rapport avec une ankylose du genou intéressait aussi les faisceaux
blancs
. (1) Vaslaib, Altérations nerveuses complètes c
sseuses irréguhères, semblables aux rameaux et aux noeuds du corail
blanc
; toute la colonne ver- tébrale formait un os co
n ancienne. Examen d'une portion ossifiée du biceps crural. Portion
blanche
, moins dure et moins dense qu'un os ordinaire,
ge ; champ visuel normal. Un an après, même état des yeux. La tache
blanche
de l'oeil gauche provient, d'après l'auteur, d'
ut abdominale. Dans la paroi abdominale, il 7 centimètres de la ligne
blanche
, sous la peau, se voient des bandelettes osseus
rit. Cette portion externe des gencives est recouverte de placards
blancs
, leuco- plasiques. L'épaississement et la saill
cas, il n'existe pas d'anomalie dans la topographie des substances
blanche
et grise des parties lombaire et dorsale de la mo
ntrecroisent et se terminent dans la substance réticulaire grise et
blanche
(PI. XLVI, d). On voit aussi les nerfs hypoglos
sabeth de Hongrie. Cette dernière, royalement vêtue, capuchonnée de
blanc
, une couronne sur la tête, tient de la main gau
ur le prolongement de la dixième côte, un peu en dehors de la ligne
blanche
(bouton diaphragmatique.) : entre les deux chefs
il y a un fort tirage sus-claviculaire. La bouche se couvre d'écume
blanche
et les membres deviennent rigides. Aussitôt com-
postérieure de la base de ce dernier, part un volumineux faisceau
blanc
(fig. 4 et 5), concave en bas et dont le bord su-
t de la protubérance. Ce 6S A1';ATm[lJ PATHOLOGIQUE. faisceau
blanc
, qui remplace les trois pédoncules cérébelleux
at normal ; sa paroi su- périeure est formée, en dedans du faisceau
blanc
qui aboutit au ilocculus gauche, par le vermis,
nce et du cervelet, intéressant, sur toute sa longueur, le faisceau
blanc
étencîu en arrière du (locculus gauche. des b
e présenter que des connexions de contiguïté avec le large faisceau
blanc
qui est visible sur la face gau- che du cervele
tubérance à 5 mm. environ au- dessous de la précedente. Le faisceiu
blanc
est interrompu ; on voit en dedans de lui le pl
ptum lucidum, dans la courbe formée en avant du trigone par la lame
blanche
représentant le corps calleux, est une masse ép
de voir la face interne de la tête du noyau caudé. La commissure
blanche
antérieure (c.o.a, fig. 10, 12 et 13) est normale
dissection jusque dans la capsulé sous-lenticulaire. La commissure
blanche
postérieure est normale. Les malformations de
le (lig. 13), mais saface supérieure, recouverte d'une forte couche
blanche
, est plus large et plus plate que normalement.
nde analogie entre ce cas et celui de Des. ; mais le large faisceau
blanc
qui borde en haut et il droite la cavité du qua
'existence de lamelles ou lobules sur toute la longueur du faisceau
blanc
en question rendent la persistance du flocculus
le flocculus, en connexion immédiate avec le volumineux faisceau
blanc
remplaçant les pédoncules cérébelleux du côté g
ès lraiTL-Ebin ? (1), le rétrécisse- ment est très mai 'que pour le
blanc
. Quelquefois même la vision est seulement centr
et du sucre, car albuminurie et diabète s'accompagnent de taches
blanches
et d'hémorrhagies multiples et dissé- minées de
ment pour les couleurs est concentrique au rétrécissement pour le
blanc
. Ce sont les couleurs rouge et verte dont le ch
TES ET NEUROLOGISTES. cycliques des globules rouges et des globules
blancs
dans l'épilepsie sont la traduction de l'auto-i
ariations de sens contraire des rapports réciproques des glo- bules
blancs
, un retard ouune accélération delà coagulation,
eux-mêmes dans la défense contre les toxi-infections. Les globules
blancs
du sang n'y interviennent que dans cer- taines
ux parti- cipent à l'atrophie. D'une façon générale, la substance
blanche
de chaque circonvolution paraît beaucoup plus d
de nombre. Les fibres radiées sont très diminuées dans la substance
blanche
et dans là substance grise des circonvolutions
s fibres myéliniques explique pour- quoi l'atrophie de la substance
blanche
paraît beaucoup plus considérable que celle de
le de la substance grise : la par- tie périphérique de la substance
blanche
devient grise par suite delà disparition des ga
NISTES ET NEUROLOGISTES. che grise augmente aux dépens de la couche
blanche
sous- jacente. 2° 1 issu névroglique. a) Les
crâne. Si l'ablation corticale est profonde et atteint la substance
blanche
, on a une atrophie de l'hémisphère cérébral cor
correspondante de l'écorce, et tâchant de res- pecter la substance
blanche
sous-jacente ; il obtint ainsi une hé- miatroph
'il s'agit d'une hétérotopie complète, comprenant de la suh- stance
blanche
et de la substance grise. Ceci pourrait avoir une
gelmann à Leip- zig. zif ? ? >AQI1ET.- Traitement des' tumeurs
blanches
par le massage léger et la mobilisation prudent
Vierge, elle, avait le costume de Notre-Dame de la Sa- lette; robe
blanche
et ceinture bleue avec des fleurs dans les chev
à droite qu'à gauche, est rétréci concentriquement. surtout pour le
blanc
, le jaune et le vert pour lesquels il ne dépass
dus à la noyade, 17 aux armes à feu, S à la pondaison, 7 aux armes
blanches
, 6 au poison, 6 à l'asphyxie, 4 à l'écrasement,
croscopiquement, l'aspect normal mais il se présente comme un tissu
blanc
, nacré, lardacé, plus résistant qu'à l'état sai
te, de bas en haut et un peu d'arrière en avant ; partant de l'aile
blanche
Archives, 2' série 1906, t. XXI 30 4GG REVU
LOGIE NERVEUSE interne gauche, il traverse la ligne médiane, l'aile
blanche
inter- ne droite et l'aile grise, sans atteindr
d'années. La langue est quadrillée en gaufre, avec quelques plaques
blanches
, sans contractions fibril- laires, sans atrophi
te un foyer dans le lobe temporal gauche ; l'écorce et la substance
blanche
des deux tiers postérieurs de la 1 re et de la
e la 2° temporale sont détruits; la partie profonde de la substance
blanche
du lobule pariétal inférieur est sclérosée jusq
issement du champ visuel est plus marqué à gauche; la perception du
blanc
provoque dans les extrémités supé- rieures une
u (entre la commissure postérieure et la périphérie de la substance
blanche
). Ces derniers trousseaux pénètrent dans la sub
pparition sur 106 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. l'ongle de points
blancs
laiteux qui se réunissent en raies. Au microsco
e (encéphalite interstitielle de Juergens, myélites de la substance
blanche
) ; les dégénérescences descendantes et ascendan
entre eux ne présentaient aucune anomalie du champ visuel pour le
blanc
ou les couleurs, bien qu'ils fussent atteints (po
yer par un ouvrier ; un oculiste avait noté une cécité à 5o pour le
blanc
, puis une complète achromatopsie ; on découvrit
ut ; cas point facile de'simuler un rétrécissement typique pour le.
blanc
et. les couleurs. On con- naît ce malade de Ber
os de laquelle, dix-sept ans auparavant, il était apparu des taches
blanches
qui, plus tard s'étaient pigmentées. Dans la ré
olition de l'esclavage; la proportion s'en rap- proche de celle des
blancs
qui d'après le recensement de 1880 est de 1 : 5
bres, les nègres aient surtout au début, eu plus à souffrir que les
blancs
ou, tout au moins, autant qu'eux, des éléments
pathiques sont à peu près les mêmes chez les gens de couleur et les
blancs
. Les tenta- tives de suicide sont rares chez eu
0() CLINIQUE MENTALE. par sa perversion sexuelle, volé des chemises
blanches
et chez la mère duquel se retrouvait la singuli
lusieurs heures il était à la poursuite d'une jeune fille à la peau
blanche
et fine, avec l'ardent désir de lui tailler au
fille, de coha- biter avec elle; c'est l'appétit de la peau fine et
blanche
qui pousse L... Dès qu'il tient le lambeau de p
rique. 323 session bizarre de mordre et de manger la peau fine et
blanche
. La résistance s'accompagne d'angoisse et l'imp
quement par l'oeil gauche et il voit à sa gauche un pain à cacheter
blanc
qui est vu uniquement par l'oeil droit. Supposo
voit pas le point qui lui apparaît à gauche, il supprimera le point
blanc
et ne parlera que du point rouge qui lui appara
s les sept couleurs du prisme, le sujet voyait se former une teinte
blanc
grisâtre, comme si toutes les couleurs eussent
, on trouve la papille droite avec des contours irréguliers et d'un
blanc
nacré, que l'examen comparatif avee la pupille
e permet de très bien distinguer la substance grise de la substance
blanche
. Au bout de quarante-huit heures on en retire g
ion chez leslièvres et les lapins, elles augmentent chez les souris
blanches
dont les membres antérieurs servent à de fines
long de l'adossement des cloisons longitu- dinales. Chez les souris
blanches
et les cochons d'Inde, l'entre-croi· sement des
obe occipital (coin première occipale) ou l'interruption des fibres
blanches
antéro-postérieures qui correspondent à ces organ
forme de la surface externe du cerveau par la texture de la couche
blanche
immédiatement sous-jacente à l'écorce c'est-à-d
che immédiatement sous-jacente à l'écorce c'est-à-dire de la couche
blanche
, intermédiaire à l'écorce et aux ganglions, qui
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 403 Les fibres
blanches
qui participent à l'édification des circonvolutio
de l'écorce proviennent de ce que, en quelques points, la substance
blanche
cesse de progresser (en ces points se forment des
e; l'écorce était amincie. Au-dessous de cette plaque, la substance
blanche
présentait une cavité de la grosseur d'une prun
le engendre la dégénérescence en plaques et en cordons de la couche
blanche
des hémisphères, décrite par Friedmann, et les
constitue aussi un des symptômes des maladies scléreuses des cordons
blancs
antéro-laté-raux parvenues à un certain degré de
ucocythémie a désigné jusqu'ici l'augmentation numérique des globules
blancs
.— Voici l'observation qui a donné lieu à la descr
t 19 août 1870 ; en voici les résultats microsco-piques. Les globules
blancs
sont un peu moins nombreux que dans le sang ord
les microcytes sont des globules atrophiques ; pour eux, les globules
blancs
représenteraient l'enfance, les glo-bules rouges
surprenantes : 1° elle est plus réfrangible pour l'œil que la lumière
blanche
et bien plus que la lumière rouge; 2° la lumière
umière rouge; 2° la lumière bleue est plus perceptible que la lumière
blanche
et que les autres lumières colorées; 3° elle l'em
ées en dehors. Les autres cicatrices, moins longues, sont verticales,
blanches
et légèrement frangées. Les unes répondent à la p
atrophie des cor-dons antérieurs de la substance grise et des cordons
blancs
antéro-latéraux, dans la région de la moelle d'où
, légèrement sinueuse, représen-tée sur la Planche IX par une traînée
blanche
. Elle a son siège pré-cis entre le pli supérieur
y a quinze ans, il faisait exclusivement usage ou plutôt abus de vin
blanc
, et ce liquide n'avait paru porter aucune atteint
rt courbe, on ponctionne la paroi abdo-minale antérieure sur la ligne
blanche
, à 6 ou 7 centimètres au-dessous d'une ligne hori
extrêmement dure à scier ; sa coupe est marbrée de jaune foncé et de
blanc
jaunâtre ; les points jaunes ont une dureté extrê
anc jaunâtre ; les points jaunes ont une dureté extrême; les endroits
blancs
sont moins consistants, quel-ques-uns même sont f
rive sur la surface externe. Celle-ci est irrégulière, bosselée, d'un
blanc
mat, dure en certains points, molle et fluctuante
prend alors un aspect gris sale qui tranche nettement sur les parties
blanches
non altérées. Si maintenant nous retournons la
l'os s'était rompu. Le tissu est ferme à la coupe, compacte. — Aspect
blanc
laiteux. Les coupes fines traitées par le carmin
, l'apparence est un peu modifiée. D'abord on retrouve le même aspect
blanc
opaque, mais interrompu par places par des nodule
vahie par une substance jaunâtre. Cependant on dis-tingue des traclus
blancs
, convergents vers le corps d'IIighmore et dus à l
ng augmente de volume, et que si, au con-traire, on saigne le chien à
blanc
, son volume diminue. Chez le cheval l'observation
Considérations générales sur les plaies de guerre. — Plaies par armes
blanches
. A Artenay seulement, on a eu à panser des plai
rares. La peau n'offrit jamais ni sueurs, ni ces dépôts de poussière
blanche
, con-stituée par de l'urate de soude, que l'on re
sse tête d'épingle à celui d'une lentille, représentés par des points
blancs
sur la pho-tographie : C'est la moitié inférieure
leur intérieur ; leurs prolonge-ments arrêtent les quelques globules
blancs
qui nagent dans le liquide. Telles sont les for
es au bas-ventre, peu prononcées au contraire dans les lombes. Pertes
blanches
peu abondantes par l'orifice utérin. — Aucune dou
orps pour passer au côté droit; l'image rouge était à droite, l'image
blanche
à gauche, à 30 centimètres environ de la première
et pendant ce temps, le chirurgien éteint quatre cautères chauffés à
blanc
dans le lac vasculaire, qui donne lieu à l'hémorr
tante jusqu'à l'âge de 16 ans. Depuis cette époque, elle a des pertes
blanches
abondantes et sa santé s'est graduelle-ment altér
on considérable du volume delà moelle, état tourmenté de la substance
blanche
entraînée dans tous les sens par de véritables to
remplie à moitié d'un liquide lactescent et d'une masse pulpeuse d'un
blanc
grisâtre et jaunâtre à la fois, ressemblant à de
n avanee,ct était très-abondante. Il existe aussi un peu d'écoulement
blanc
par le vagin ; cet écoulement était quelquefois t
e est caractérisée par un œdème de la zone postérieure de l'apophyse,
blanc
, dur et douloureux, qui aboutit quelquefois à l'u
ction. Le premier copeau de corticale enlevé, issue d'un pus épais et
blanc
. Après agrandissement de l'ouverture, on tombe da
laire externe, remarquable par son aspect lisse et sa coloration d'un
blanc
mat. La paroi externe, continuation du mur de la
signification séméiologique. La coloration de la membrane est d'un
blanc
nacré, gris-perle selon Troltsch: la transparence
it considérer séparément la substance grise corticale et la substance
blanche
. Substance grise : écorce cérébrale. — D'après
images directement détruites par la lésion. » (Mirallié.) Substance
blanche
. — La substance blanche est formée par l'ensemble
ites par la lésion. » (Mirallié.) Substance blanche. — La substance
blanche
est formée par l'ensemble des fibres de projectio
à la caisse, au labyrinthe et à l'antre, existe une zone de substance
blanche
encéphalique, allongée dans le sens antéro-postér
centigrammes de chacune de ces différentes solutions dans des flacons
blancs
, bouchés à l'émeri, à large embouchure (17 millim
a substance grise corticale, les noyaux gris centraux et la substance
blanche
. Si l'on pratique une coupe vertico-transversal
lle du cerveau, et, au centres des hémisphères, une zone de substance
blanche
, de forme plus ou moins triangulaire, et dont les
forme l'Arbre de vie des anciens anatomistes. Au sein de la substance
blanche
, et près de la ligne médiane, on aperçoit l'olive
ve cérébelleuse ou corps dentelé. Au niveau du vermis, la substance
blanche
forme la commissure, réduite à l'état de simple t
s deux on rencontre les noyaux sphénques et les bouchons. Substance
blanche
. — Elle est formée de fibres de projection et d'a
t, la luette, le vermis supérieur et l'amygdale; 3" dans la substance
blanche
: le tapetum, le forceps du corps calleux, les fi
rieur-postérieur et inférieur-moyen du cervelet; 3° dans la substance
blanche
: entre le ventricule latéral et l'écorce du lobu
l'ceil. b) Image renversée : Névrite optique. Papille volumineuse,
blanche
, à contours très vagues, affectant la forme en
rès mince, fibrillaire ; le sang présente d'assez nombreux globules
blancs
qui sont colorés par la méthode de Pall. Sur le
es cornes antérieures de la moelle sans participation des faisceaux
blancs
latéraux ou des fais- ceaux pyramidaux, M. le p
de noyaux bulbaires sans la moindre trace de sclérose des faisceaux
blancs
. Les négations de Vulpian, REVUE DE PATHOLOGIE
en foyer de la zone psycho- motrice de l'écorce ou de la substance
blanche
sous-jacente; c'est une dégénérescence ascendan
é- rale ; 5° les nerfs oculomoteurs commun et externe « pas aussi
blancs
qu'à l'état normal » ; G° des anévrismes miliaire
tes au moyen de tractus d'aspect gélatino-fibreux à de la substance
blanche
. La première et la deuxième temporale, le pli c
et enlèvement. Il s'enfonce en effet profondément dans la substance
blanche
sous la troisième et a deuxième frontale et les
nt plus en avant qu'en arrière où il a encore Om,04. La subs- tance
blanche
du cerveau qui limite ce foyer est légèrement ind
de 2 pouces sur 1 1/4 parallèle à la F2 et inclus dans la substance
blanche
; à droite, môme région, deux petits sarcomes s
le coma au bout de deux mois. Autopsie : abcès dans la subs- tance
blanche
du lobe préfrontal n'atteignant ni l'écorce ni le
- gence conservée mais lente, parole traînante. La vue d'un objet
blanc
ou très éclairé provoque de vives douleurs fronta
de Mlle M... Presque au même instant celle-ci apparaissait vêtue de
blanc
, les cheveux épars, puis lançait sur le pavé dive
édullaire, accomplissent un trajet plus ou moins long dans la masse
blanche
du cordon postérieur. Ces fibres s'appellent :
condaire. Ce trajet est facilement reconnaissable; il se détache en
blanc
sur les autres régions noires, qui sont saines
anciens auteurs désignaient sous ce nom un faisceau de substance
blanche
, individualisé à partir de la huitième racine cer
-Pal, le cordon de Goll cervical est alors représenté par une tache
blanche
, dans toute l'étendue de la moelle DES LOCALISA
postérieures) ou au niveau de leur trajet intra-médullaire (cordons
blancs
). Ce problème avait déjà été abordé par Pierret
s terminaisons principales fournissent à l'écorce et à la substance
blanche
du lobe occipital, de la pointe de celui- ci, d
. SOCIÉTÉS 'SAVANTES.. des mêmes éléments histologiquçs : substance
blanche
, substance grise, tubes nerveux, cellules nerve
s, c'est-àdire propres à un ordre déterminé de substance ner- veuse
blanche
ou grise (sclérose amyotropbiqne ou des cordons
; 2° des péricéré- brites débutant par l'altération de la substance
blanche
ou des SOCIÉTÉS SAVANTES. ! 249 tubes nerveux
son appétit est ordi- naire. La langue n'est pas sèche, mais un peu
blanche
; l'estomac est dilaté, le ventre est bidonné,
utanées une dégénérescence accu- sée (désagrégation de la substance
blanche
complètement disparue en certains points); B) v
principalement chez ces derniers une dégénération de la substance
blanche
(faisceau de Burdach) avec raréfaction de la myél
amidales. Ces cellules se ren- contrent également dans la substance
blanche
sous-jacente. Elles sont pour la plupart dispos
ut il cause de phénomènes bulbaires très aigus. Dans la substance
blanche
de l'hémisphère droit on constata un long îlot
t le malade mourut. Autopsie. Les parties centrales de la substance
blanche
, le corps calleux et la partie médiane de la ré
s altérations de l'encéphale de la moelle allongée, de la substance
blanche
de la moelle épinière et des ganglions intervét
lte des rap- ports existant entre celle-ci et la masse de substance
blanche
sous-jacente (Jelgersma). Or la quantité de. su
ce blanche sous-jacente (Jelgersma). Or la quantité de. substance
blanche
est déterminée par le nombre, l'épaisseur et la l
logiques, influent nécessaire- ment sur la quantité de la substance
blanche
et, partant, sur le nombre des fibres nerveuses
tres, seraient résultés de l'énorme augmen-' talion de la substance
blanche
: il() l'extension de la cavité ventriculaire,
rise a tendu toujours davantage à s'adapter à celle de la substance
blanche
. La croissance du crâne a suivi secondairement
rconvolutionné que le cerveau. L'indigence relative de la substance
blanche
du cervelet est due, nous l'avons dit, à l'abse
eures et dans le système vasculaire; mais aussi dans la subs- tance
blanche
de la moelle, des troubles dégénératifs se sont é
e en chlo- rure d'argent. Bokai enrobe les pilules dans de l'argile
blanche
et fait ingurgiter immédiatement après un peu d
lus à la grande culture. Le sol est prin- cipalement formé de marne
blanche
légèrement caillouteuse et recouverte d'une cou
s soubassements, jusqu'à hauteur d'homme, et pour le surplus en ton
blanc
teinté. Les menuiseries, en sapin pour la plupa
en est de même pour la phalangine et la phalangette. La peau est
blanche
, fine, pigmentée de taches de rousseur au visag
ent avec lésions du pied de la frontale ascendante ou des faisceaux
blancs
sous-jacents. Le tiers inférieur de cette circo
vale est décomposable en un certain nombre de faisceaux de fibres
blanches
, destinées à relier à la périphérie les centres
ducteurs équivaut à la destruction du centre. Parmi les faisceaux
blancs
du centre ovale, deux nous intéressent tout par
on la grosseur d'une noisette, et empiète un peu sur la substance
blanche
; mais la couche optique est intacte. Indépendam
un autre, qui paraît à peu près de la même date, dans la substance
blanche
du lobe occipital, et dui afllue à la face prof
fin, il existe un autre petit foyer, plus ancien, dans la substance
blanche
de la partie antérieure du lobe frontal gauche,
cales; un second, dans lequel les lésions intéressent les faisceaux
blancs
sous-jacents. Au premier groupe appartiennent l
e Féré existent en même temps des lésions de l'écorce des faisceaux
blancs
, sous-jacents : à gauche, ramollissement du seg
Magnus ; au lieu d'être cortical,, le foyer intéresse la substance
blanche
et occupe le segment externe du noyau lenticula
eil nu dans les pédon- cules. Ramollissement marqué de la substance
blanche
de la moelle, dans la région dorso-lombaire. A
briques, dépourvus d'ornementation extérieure, revêtus d'un enduit
blanc
jaunâtre, couverts de tuiles rouges, représentent
sse : 300 pieds cubes par lit. La vaisselle est toute de porcelaine
blanche
; ce n'est que par exception, et dans les cellules
itre qu'il existe une aphasie par lésion de l'écorce, des faisceaux
blancs
sous-jacents ou de la capsule interne. Les fait
n. La rumination se présentait immédiatement après l'ingestion de
blanc
d'oeuf, de crème de lait, de graisse, de salade v
e. Pour observer mieux la rumination, on fit prendre au malade le
blanc
de deux oeufs durs, coupés en petits cubes. Au bo
e l'organe central, assez uniformément répartis dans les substances
blanche
et grise : infiltration et tuméfaction de la ch
rconvolutions ascen- dantes, mais l'atteinte simultanée des couches
blanches
nuit à la détermination fonctionnelle exacte de
e pigeon a détruit l'ecorce, les couches supé- rieures de substance
blanche
dans le domaine de la première frontale et les
niques, dans la démence paralytique, sur la lisière de la substance
blanche
. Les mêmes régions sont le terrain de ces altér
altérations. L'écorce est alors nettement séparée de la subs- tance
blanche
par une zone de dégénérescence qui coiffe cette
e contient une grande quantité de cellules-araignées ; la substance
blanche
présente les mêmes caractères ; en un mot le ce
outes les circonvolutions se détache avec la pie-mère, la substance
blanche
crénelée demeurant sur l'organe. La réponse de
tive simple, est un complexus d'associations (rôle de la substance
blanche
du cerveau); mais sa différenciation d'avec les a
un pain à café. 8 Grande tasse de cacao (au lait). 10 Petit pain
blanc
beurré avec jambon cru; viande crue, ou rôti fr
SAVANTES. 373 A 3 h. du soir. Une tasse de lait avec un petit pain
blanc
beurré. 5 Café au lart. 7 Diner : soupe aux l
soupe aux légumes, rôti ou fromage, ou préparation d'oeufs, un pain
blanc
beurré, demi- ' litre de bière de Bavière. Te
iaire. On y voit des faisceaux clairs s'infléchir dans la substance
blanche
de la capsule externe et pénétrer dans l'articl
de l'observation. Chez 12 p. 100 des paralysées générales, atrophie
blanche
; chez deux d'entre elles il n'y avait qu'une l
é. L'objet employé, appelé « échelle typographique », est un carton
blanc
sur lequel sont imprimées en noir des lettres d
ment pour les couleurs (lumière monochromatique), mais même pour le
blanc
. Dans ce cas, le .. scotome central est absolu.
st absolu. Il y a cécité de la région maculaire pour toute lumière (
blanche
ou monochromatique). , La recherche de l'achrom
, on fait passer des papiers ou autres objets de diverses couleurs (
blanc
, bleu, vert, etc.). Si le vert seul n'est pas r
e le centre. En ce point, on fait d'ahord apparaître un petit index
blanc
qu'on remplace ensuite par - des index colorés.
la fusion stéréoscopique des deux schémas du carton. Avec des index
blancs
ou colorés on explore chacun des schémas du car
couleurs. , On emploie comme index des tons gris allant du noir au
blanc
. Là encore on peut prendre comme index un ton g
entant la projection des champs visuels de l'OD et de l'OG. La zone
blanche
marque le champ visuel pour le blanc. Le trait
de l'OD et de l'OG. La zone blanche marque le champ visuel pour le
blanc
. Le trait plein marrlne la limite de perception
t d'abord horizontal..Le curseur muni à son centre d'un petit index
blanc
Fig. 8. Le périmètre. EXPLORATION DU NERF OPT
e la péri- phérie vers le centre. Invisible au départ, le point
blanc
du curseur est bientôt perçu par le sujet. On
erminer l'étendue du champ visuel. Seulement, n'arrêtez pas l'index
blanc
sur l'arc périmétrique au moment où il commence
inconvénient, on s'est servi, comme index, de points noirs sur fond
blanc
, plus ou moins gros et plus ou moins distants l
on de l'étendue du champ visuel; mais, au lieu d'employer des index
blancs
volumineux, on se sert d'index de plus en plus
ir un index de 2 millimètres. , On peut ainsi, avec de petits index
blancs
, constater l'existence de lacunes ou scotomes d
p plus aux couleurs. - Fréquemment un champ visuel normal pour le
blanc
est rétréci pour les couleurs, car le rétréciss
ne suit pas forcément le rétrécissement du champ visuel pour le~
blanc
. , A l'état physiologique, les champs visuels d
de de la même .façon. Il suffit de remplacer sur le curseur l'index
blanc
par un index coloré. On peut, ici, comme pour l
seur l'index blanc par un index coloré. On peut, ici, comme pour le
blanc
, modifier la grandeur des index. Sensibilité ré
e, se pratique comme pour le champ visuel; mais, au lieu d'un index
blanc
, on emploie un index gris sur lequel on projett
es flocons du vitré ou à des taches disséminées de cou- leur rouge,
blanche
ou noire. Souvent le fond de l'oeil prend un aspe
, blanche ou noire. Souvent le fond de l'oeil prend un aspect tigré
blanc
et noir très, caractéristique. ' Ces rétinites,
ême. L'observateur promène le long de l'arc périmé- trique un index
blanc
sur lequel sont gravées quelques lettres d'impri-
in un verre rouge. Le malade voit deux images, l'une rouge, l'autre
blanche
. Souvent la diplopie ne se manifeste qu'à la pé
e; un verre rouge couvre un oeil. L'observé voit deux images, l'une
blanche
l'autre rouge, plus ou moins écartées l'une de
amp visuel du rouge et des autres couleurs plus étendu que celui du
blanc
; , - Dyschromatopsie caractérisée par l'invers
couleurs verte et rouge (scotome relatif) et s'étendant ensuite au
blanc
(scotome absolu) est caractéristique de l'ambly
tres. Quand le scotome existe pour toutes les couleurs y compris le
blanc
, il est dit absolu; quand il existe seulement pou
mp visuel. Le rétrécissement concen- trique du champ visuel pour le
blanc
est fréquent dans l'hystérie, dont il constitue
as, on peut trouver le champ du rouge bien plus étendu que celui du
blanc
. Le rétrécissement concentrique est le plus hab
nt la ligne médiane. Même expérience peut être faite avec un papier
blanc
que l'on agite dans le champ visuel. Mais ce so
embres. Le trajet des libres motrices est indiqué par les cordons
blancs
m,1 ? )Il, ils III. Nerf M. 0. C. déjà entre-cr
e pour le rouge-vert : '10 le rouge est confondu avec le gris ou le
blanc
; 2° le vert avec le gris ou le blanc; 5° le rouge
st confondu avec le gris ou le blanc; 2° le vert avec le gris ou le
blanc
; 5° le rouge avec le vert. Les aveugles pour le
nt du champ visuel considérable pour toutes les couleurs et même le
blanc
. [YOULARD.] 120 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREI
mp des couleurs, qui précède en général le rétrécis- sement pour le
blanc
. Les affections du nerf optique (atrophie, névr
'un scotome central pour le vert, puis pour le rouge, enfin pour le
blanc
lui-même (p. 50). Dans certaines lésions des lo
psie, certaines portions du champ visuel manquant , revenir pour le
blanc
et continuer à faire défaut pour les couleurs.
s d'hemiachromatopsie avec intégrité apparente de la vision pour le
blanc
. Mais en employant de plus petits index blancs,
de la vision pour le blanc. Mais en employant de plus petits index
blancs
, ceux-ci n'étaient plus perçus. Celte hemiachroma
nt com- plètement la vision des couleurs et incomplètement celle du
blanc
. Dans ces conditions, l'hémiadrrolllatopsie ne
ue (an- goisse, ralentissement du pouls, etc.), celle des faisceaux
blancs
pri- mordiaux (hémiparésie, 1)émianesthésie),.
ies sous-corticales, c'est-à-dire par des- truction de la substance
blanche
, la substance grise demeurant intacte. Nous ne
pure des classi- ques étant liée il la destruction de la substance
blanche
du pied de la .5e frontale gauche. L'associat
e épinière les impres- sions tactiles suivent le trajet des cordons
blancs
postérieurs, alors que les impressions douloure
le type radiculairc. suivant que la substance grise et les cordons
blancs
sont pris séparément ou simultanément, ou bien
ramollissement) intéressent plus ou moins profondément la substance
blanche
sous-jacenle; d'autre part, les lésions puremen
t s'insèrent sur la face, antérieure de l'os hyoïde et sur la ligne
blanche
sus-hyoïdienne qui s étend de l'os hyoïde à la
'épine, lise termine en haut par une extrémité effilée sur la ligne
blanche
en un point également distant de la symphyse pu
n utile. Certains auteurs lui attribuent le rôle de tendre la ligne
blanche
, mais, comme le fait remarquer très justement T
tement Testut, on ne voit pas dans quelles circon- stances la ligne
blanche
aurait besoin d'être tendue. Grand oblique de l
de crurale), sur le pubis (piliers du canal inguinal), sur la ligne
blanche
. Innervation. Nerfs intercostaux inférieurs, gr
s'étend de la région lombo-iliaque aux dernières côtes, à la ligne
blanche
, au pubis. Il s'insère sur le tiers externe ou
évrose, l'aponévrose antérieure du petit oblique qui gagne la ligne
blanche
. Innervation. Nerfs intercostaux. Grand abdomin
n avant l'aponévrose anté- rieure du transverse se fixe il la ligne
blanche
; la partie tout inférieure de cette aponévrose
s pareilles aux précédentes, mais subdivisées par de lar- ges raies
blanches
transversales en tronçons de ü;) centimètres ¡lon
lissement intéressant soit le cortex, soit d'ordinaire la substance
blanche
et les noyaux centraux, et cela dans les deux hém
ma du corset chez la femme. Les taches décolorées peuvent être d'un
blanc
éclatant, porcelanique ; elles sont généralement
s à l'infection syphilitique ? Dans la lèpre, le centre des macules
blanches
est anesthésique. Des éruptions s'observent par
éléphan- tiasis (Meige). Les orteils sont peu atteints. La peau est
blanche
, ferme. épaisse. Il n'existe jamais de douleurs
du doigt présente une sclérodermie étoilée de petites cicatrices
blanches
. Au contraire, ainsi que nous l'avons déjà di
Le liquide observé après une érection, clair, filant, analogue à du
blanc
d'oeuf est du liquide des glandes de Cowper. Le
aux et peut-être aussi dans quelques gros faisceaux de la substance
blanche
du cerveau (corps calleux, etc.) suffit a détermi
ration réciproque des têtes articulaires, mais apparition de taches
blanches
résultant de la formation d'ostéophytesuratiques,
istique. . tJ ? . On admet généralement aujourd'hui que les oedèmes
blancs
ou bleus des hystériques ne sont nullement un s
, elles guérissent après un certain temps en laissant une cicatrice
blanche
indé- lébile. Les doigts se fléchissent alors,
daclylie : les doigts, surtout à leur extrémité, ont une coloration
blanc
bleuâtre 1. Nalbakdoff. Soc. de ncvrol. de Olos
elles ; dans les deux cas, il se forme des cicatrices irrégulières,
blanches
, saillantes ou déprimées. Des poussées successive
millimètres ; il se constitue alors assez rapidement une cicatrice
blanche
, irrégulière, dure, ou bien des croûtes se formen
tégrité des inter- lignes articulaires et l'existence de taches
blanches
au niveau des os. Dans le rachitis- me, la
rtent plus volontiers sur les pieds que sur les mains : les oedèmes
blancs
, mous, indolores, surtout vespéraux et malléolair
; les oedèmes pâles, mous, indolores des cachectiques ; les oedèmes
blancs
, durs, douloureux des phlébitiques, etc.. 1.1
r les mem- bres inférieurs; ils sont souvent héréditaires; ils sont
blancs
, durs, accompagnés souvent d'autres troubles tr
saillie du tarse et du métatarse. DIFFORMITÉS ACQUISES. 1047 mou,
blanc
, bleu ou rouge, les symptômes associés ou les sig
osition féminine, et ne gagnent pas l'ombilic en remontant la ligne
blanche
. Les testicules et la verge sont rudimentaires.
o- plasie est caractérisée par des îlots d'inégales dimensions d'un
blanc
laiteux occupant la muqueuse de. la langue, la
s points de contact dentaire, quelquefois formant de simples stries
blanches
, linéaires en toile d'araignée accompagnée de f
obules rouges seront teintés en vert clair, les noyaux des globules
blancs
apparaîtront en bleu foncé. B. La deuxième lame
ette coloration, les globules rouges et le protoplasma des globules
blancs
sont colorés en rouge par l'éosine, les noyaux
blancs sont colorés en rouge par l'éosine, les noyaux des globules
blancs
sont colorés en bleu par l'hématoxyline. Après
re et Merle), qui détruisent l'épithéliuni et ahcèdeut la substance
blanche
sont susceptibles de donner naissance il un com
linique de l'hydarthrose, un début brusque, et présentant un oedème
blanc
et dur spécial des tissus periar- ticutaires av
on observe souvent de la vaso-constrielion, la peau est anémiée et
blanche
; cet effet est très fugitif et fait rapidement
nt que sur les cornes postérieures et sur les faisceaux des cordons
blancs
, telles le tabès (*), l'ataxie cérébelleuse, la
ndemain de l'autopsie. - Pour les nerfs, la moelle et les faisceaux
blancs
du cerveau, la fixation peut être effectuée dan
lérose cérébrale, la substance grise semble mobile sur la substance
blanche
. - Légère . dilatation du ventricule cérébral g
probables ('1). - 1lllaj7 ? z7.cs.; strabisnÚ3.divel'uent atrophie
blanche
des flcu : vi1o111ïlles. Pa7'arzlcsrjiespas7lzo
ho- pneumonie. Persistance du trou de Botal. Néphrite (gros reins
blancs
). Leve... (Émile), né à Paris le 30 octobre 187
chevelu, épais, anémié. Os du crâne peu épais et peu unis. Calotte
blanche
, mince (2 à 4 millim.), symétrique; nombreuses
bulation. A la coupe, il crie légèrement. Cette coupe a une couleur
blanche
; les pyramides sont effacées et sont seulement
onservé sa forme et son aspect, ne crie pas àla coupe. Il est moins
blanc
que le précédent, envoie des traînées rougeâtre
rougeâtres marquant la base dont la forme se dessine par des stries
blanches
; ni calculs ni kystes. Vessie nor- male, pas d
action bonne à la lumière et à l'accommodation. L'enfant connaît le
blanc
, le noir, le rouge, confond le vert et le bleu.
es, dures. (Sclérose atrophique) Cette atrophie et cette coloration
blanche
se retrouvent dans les sillons. Face interne.
us. État actuel ( ! juillet 4591 j. Teinte générale du corps d'un
blanc
rosé; visage un peu coloré; légère adipose de tou
tance grise était en communication par des fais- ceaux de substance
blanche
. Cette substance grise incluse dans la substanc
substance blanche. Cette substance grise incluse dans la substance
blanche
ordinaire a la même structure que la couche pro
tra-utérin. Par suite d'un trouble dans le développement des fibres
blanches
, les cellules embryonnaires indifférentes se so
ubstance grise pour remplir la place que laissait vide la substance
blanche
manquante, ou, si l'on préfère, il y a eu dans
nétique des cellules embryonnaires destinées à former des fibres
blanches
qui sont, par suite, normalement devenues de la
yeux forte- ment portés en haut, de sorte que l'on n'en voit que le
blanc
. Ce strabisme fut attribué à ce qu'une pendule
es de la respiration, de la circulation et de la (liges- tion. Peau
blanche
, 1UCVU ? pigmcntairc peu volumineux au bras gau
ssure a la jambe, faisait d'assez fré- quents excès de boisson (vin
blanc
). - Mère, morte à 74 ans. d'une bronchite catar
302. I-IFDRO-SC : PHOCIsPIIALII's. des organes génitaux. Peau assez
blanche
. Cheveux et sourcils blonds. Duvet assez abonda
ulsives probables( ? ). -Nystagmus; strabisme diver- gent; atrophie
blanche
des deux papilles. Paraplégie spasmodique. - Tr
pulmonaire; une autre soeur mourut à 20 ans des suites d'une tumeur
blanche
du genou. - Rien de par- ticulier au point de v
ans, a été amputé de la jambe, dans son enfance, pour une tumeur
blanche
à l'hôpital Sainte-Eugénie. Il est atteint actuel
nir ferme. Aujourd’hui nous nous rappelons en souriant ces deux têtes
blanches
s’encensant ainsi l’une l’autre ; mais alors nous
pour ami, m’a dit avoir vu souvent et tenu entre ses mains un pigeon
blanc
, d’une variété entièrement inconnue dans le pays,
me conduisit au Mus« des antiques, et il posa des feuilles de papier
blanc
sur le socle des statues ti ntres monuments. Ï1 m
ença des opérations fictives sur les valeurs publiques ; elle joua en
blanc
, suivant l’expression tehnique. Toutes ces tentat
vu se promener sur le théâtre de l’événement un long fantôme vêtu de
blanc
; enfin, le plus grand nombre assuraient qu’an im
contact dans l’obscurité, on obtient on noir une reproduction des
blancs
de la partie de la gravure qui dans l’acte de l’i
vec les conquêtes de la science, et elle ne suppose ni magie noire ou
blanche
, ni intervention d’anges ou de démons. A. S. Mo
serait immense, s’il existait réellement. (i 11 mit donc un papier
blanc
à lettres et un crayon taillé dans une petite boi
nt toujours, au bout d’une demi-heure, une nouvelle feuille de papier
blanc
dans la même boite. L'expérience fut couronnée ch
n, a cessé de le mettre sur le papier ; il place simplement un papier
blanc
sur une table chez lui, ou sur le piédestal des s
aires. 11 y a donc après, ou plutôt au-dessus du magnétisme, la magie
blanche
et la magie noire, ou, comme le dit Gorres, la my
t venus!...» On dépliait ces billets, et on ne trouvait que du papier
blanc
. Comme l’exaltation de cet individu allait croi
encore tremblante d’émotion , qu’elle vient de voir une grande ombre
blanche
traverser le derrière du maître-autel. Le vicaire
des pieds et monte dans ma tête ; il y a des filets rouges, roses et
blancs
, tendus, gonflés, et des petits détendus, flasque
; mais pas de saignée, pas de purgatif; un régime fortifiant, viandes
blanches
, beaucoup boire d’eau gazeuse, avec peu de vin, p
veux blonds étaient encore épars sur le crâne dépouillé, et des dents
blanches
étaient rangées dans l’affreux rictus de la bouch
t des musiciens vous présentent les tableaux ; les auteurs de la Dame
blanche
, pfus scrupuleux que ceuX’d'OüèroTJ, ont môme soi
plus émouvantes. Baden a aussi sa Fontaine de l'enfer; elle a sa Dame
blanche
, son Freyschütz et ses fées du lac Mumelsée ; ell
âle et souffrante, son teint d’une blancheur livide; un long vêtement
blanc
ressemblant à un linceul l’enveloppait, excepté à
sition de l’herbe dite areolus vetu/us, avec la rhubarbe, avec du vin
blanc
, du saux suspendu au seuil de la porte de la mais
ntesques s’accroupir sur leurs poitrines. C’est un château de la Dame
blanche
: les domestiques déclarent que, comme le fermier
plus livide et plus terrible ; un sourire amer errait sur ses lèvres
blanches
; il parla d’une voix rude : « Il parait que
poussé la précaution jusqu’à placer tout à cûté une feuille de papier
blanc
, destinée à recevoir la réponse. Le saint ne juge
s comparons à un appareil galvanique composé de la substance grise et
blanche
, le fluide destiné à produire le mouvement dans t
lées, — raconta plus tard miss Harris, lorsque je vis connue un nuage
blanc
se détacher du fond de l’appartement. Peu ;ï peu
cette nuit et le samedi, la malade rendit une quantité de petits vers
blancs
. La convalescence futrapide. Au bout de trois j
e avait le haut de la tête entièrement chauve, des boucles de cheveux
blancs
comme la neige étaient ramenées des tempes jusque
étaient ramenées des tempes jusque derrière la tête, une longue barbe
blanche
descendait sur la poitrine. Sa figure avait une t
ur, aller au chemin de cette forêt, au « bout duquel est une campagne
blanche
;... que le magné-« liseur devrait parcourir ce tr
bre de gens prétendaient l’avoir vu la nuit chevauchant sur un cheval
blanc
et portant le manteau blanc des chasseurs françai
voir vu la nuit chevauchant sur un cheval blanc et portant le manteau
blanc
des chasseurs français. Il y a quelques jours
faction sur le Petersberg voit venir à lui, vers minuit, un cavalier
blanc
monté sur un cheval blanc. 11 crie : «Qui vive! »
voit venir à lui, vers minuit, un cavalier blanc monté sur un cheval
blanc
. 11 crie : «Qui vive! » Pas de réponse. 11 tire e
croyiez. Quand vous vous regardez dans une glace, vous mettez tant de
blanc
que vous êtes pâle comme une morte. Prenez ga
n monsieur viendra pour lui et me dira de donner au malade une poudre
blanche
. — Qu’est-ce que cette poudre? — Je ne sais pas.
ait d’avoir été assez extravagant pour faire le sacrifice d'un cheval
blanc
à la lune. Cette version est bien plus probable,
tour de la taille, les Barbiers-Pédicures ceignent un court tablier
blanc
qui sert à essuyer bistouris et rasoirs : c'est,
; il est vêtu d'une casaque bleue et de chausses brunes, un tablier
blanc
autour de la taille. En opérant, il s'interromp
L'apprenti, aux cheveux frisés, porte un costume gris avec un rabat
blanc
et un noeud de rubans rouges sur l'é- paule. Il
plus cossu : casaque à-créneaux, béret sur l'oreille, court tablier
blanc
autour de la ceinture; jeune encore, de longs che
t les raies de lumière et les touches d'ombre, l'or des cuivres, le
blanc
des linges, le bleu des faïences, le brun des g
je la reproduis inté- gralement : « Un chirurgien, vêtu de satin
blanc
, portant un haut-de-chausses cra- moisi, des ba
êtu de satin blanc, portant un haut-de-chausses cra- moisi, des bas
blancs
et des souliers jaunes, et coiffé d'un chapeau mo
dans le cerveau lui-même, entre la substance grise et la substance
blanche
, cela est totalement impossible. A l'oeil nu, le
e peut déterminer du côté de la main des variétés d'oedème : oedème
blanc
, oedème bleu des hystériques. Mais l'attitude et
concerne la moelle elle-même on note que les lésions des faisceaux
blancs
laissent intacts les cordons antérieurs et une pa
couteau effilé entre ses doigts noueux. La tête couverte d'un linge
blanc
, elle se détourne à demi pour lancer un regard
ur le sol, table grossière sur laquelle une vieille femme il coiffe
blanche
étale des on- guents, et les deux dames-jeanne
u, portant le petit bonnet bordé de four- rure, et le court tablier
blanc
qu'on retrouve sur ses confrères dans les table
Son pourpoint est long, avec des crevés aux manche; une collerette
blanche
fait le tour de son cou. Mais la face est vulga
qui vivait au ler siècle de (1) N 1067 du Catal. (2) Cité par CH.
Blanc
, Hist. des peintres. - Le croquis que j'ai fait (
le costume des chirurgiens de village : toque brune, petit tablier
blanc
, trousse d'instruments pendue ai la ceinture.
crâne fendu, soutenu par deux aides, l'un vêtu de rouge, l'autre de
blanc
. A droite opère le barbier, coiffé d'une belle
spinale cubitale est envahie, la lésion retentira sur les faisceaux
blancs
les plus proches, c'est- à-dire sur les cordons
si, au contraire, la région spinale radiale est prise, la substance
blanche
voisine des cordons posté- rieurs sera sclérosé
uppes filamenteuses, mousseuses, d'aspect un peu soyeux, de couleur
blanche
, et formant sur la tache fon- damentale un reli
fois qu'elle a pénétré à une certaine profondeur de la substance
blanche
de la moelle, suivant une direction légèrement
ation sur la coloration noire de la peau d'un homme naturelle- ment
blanc
. Bull. de la faculté de médecine, 1814, t. IV, p.
is, dans le creux des claviculaires la coloration brune et les Dots
blancs
étaient bien distincts. Le 15 la coloration avait
se trouventaltérés dans la polynévrite, mais encore les substances
blanche
et grise du système nerveux central. Pour la re
mbaire. - Dans les cordons antérieurs et latéraux de la subs- tance
blanche
on voit seulement des fibres dégénérées isolées.
(Pl. XLV). Si l'aspect du médius est celui d'un doigt normal à peau
blanche
, sou- ple, sans développement exagéré du systèm
d'une croûte brunâtre ; puis, à leur place, on voit des cicatrices
blanches
, irrégulières, qui sont de nouvelles causes de
arfois, ce sont des plaques blan- ches d'un contour brunâtre (Lèpre
blanche
, Lette d'IIippocrate). D'autres fois, c'est la
fois, c'est la Lèpre noire ou mélanique. Dans ces cas « la peau plus
blanche
, la plus caucasique, devient abyssinienne, et m
rofilent sur un ciel clair, Saint Martin passe, monté sur un cheval
blanc
, accompagné d'un personnage vêtu de noir, il chev
brun rouge lé- gèrement creusées ; sur la tête un lambeau d'éloffe
blanche
ou un emplâ- tre. Enfin une jeune personne d'as
les bras croisés sur la poitrine, et la tête entourée d'un bandeau
blanc
. Nous ferons remarquer à ce propos que les Lépr
sique; elle est chlorotiqtic et sujette à de très abondantes pertes
blanches
. Observation VI. Pas d'hérédité au dire de la m
tales, et à la scissure de Sylvius ; elles pénétraient la substance
blanche
dans le pied de la troisième frontale et à l'op
rles races sauvages, cet organe, servirait principalement, chez les
blancs
, à déguster les arômes. M. Althaus a réuni les pr
cette conclusion que : les foyers de l'écorce et de la substance
blanche
qui n'atteignent pas le pied de la couronne rayon
rieur de la frontale ascendante : ramollissement de la substance
blanche
sous-jacente. Seconde tumeur de même nature occu-
cen- dantes dans leur tiers supérieur sans empiéter. La substance
blanche
du territoire de la capsule interne et du lobe pa
-jacent, kystique, séparé du premier par un centimètre de substance
blanche
, normale et parfaitement isolé également par du
fi- culté d'assigner exactement en pareils cas un rôle aux fibres
blanches
tandis qu'en revanche l'aphasie constatée dans le
rnières observations témoigne de l'action conductrice des faisceaux
blancs
émanés de la région de Broca, celle-ci étant de
e-ci étant demeurée saine dans son écorce, alors que la substance
blanche
en est lésée. Non moins concluante serait, à ses
t à la consistance des parties voisines, notamment de la commissure
blanche
. Les diverti- cules s'étendent presque toujours
ire par l'élude des lésions des hémisphères, tant dans la substance
blanche
produisant l'hé- miplégie, 1'liémiaiiestliésie,
espace intercostal droit. Elle est représentée .par des cicatrices
blanches
, légère- ment déprimées au centre, un peu pigme
comme des sabres. L'un deux marche en avant, portant une ban- nière
blanche
, sur laquelle sont inscrils ces mots en lettres d
re représentant précisément les trois hommes armés de leur bannière
blanche
. A leurs pieds est une jeune fille dans l'attitud
ommes noirs reparaissent avec leurs ailes de feu et leur ban- nière
blanche
. Ils font leur apparition toujours dans le coin à
est saturée d'une couleur, taudis que l'autre reçoit de la lumière
blanche
, il se produit à travers le cerveau un « courant
tine colorée en vert, par exemple, en laissant passer la lumière
blanche
par le second, et que l'on fixe une feuille de pa
mière blanche par le second, et que l'on fixe une feuille de papier
blanc
, on aperçoit une tache verte par le tube large,
xactement limitées à la substance grise du lobule et à la substance
blanche
la séparant de l'avant-mur, les auteurs conclue
se pénètre profondément la subs- tance grise et un peu la substance
blanche
, au niveau du lobule paracentral qui est pour a
, ? ' ;v . ? (;,1,,1'7 ? ,, ,\ Inappétence complète, la langue, est
blanche
. Les gencives sont rouges, un peu tuméfiées, no
ente du rapport numérique entre les globules rouges et les globules
blancs
; ces derniers 'apparaissent bien plus ,I nômhie
'un1 L,i fl*~ di"^u» j-^- -La moelle des"os'longs'(tibia) est d'un
blanc
léjèrementyri-'j satre, presque exsangue-*et pl
-woon'i liwb ExAMEN histologique. jl Ii2UtS.,«, l.eS saillies d'un
blanc
ou d'un jaune mat qui parsèment la surface desj
e. Quand cet espace est plus grand que les dimensions du corpuscule
blanc
, celui-ci y est complètement libre; quand l'esp
lules, en plein tissu nerveux, et cela aussi bien dans la substance
blanche
que dans la substance grise. 4° Enfin, en prése
35S REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. rées par le carmin, ils restent
blancs
; donc ce ne sont ni des particules protoplasmi
l'auteur pense qu'ils sont formés par la myéline. Les corpuscules
blancs
(c'est le nom que leur donne M. Bar- r.iquer) n
stéatose cardiaque, des altérations dans l'écorce des reins (dépôts
blancs
et granulations). L'étude clinique avait permis
éninges, ramollissement de substance grise, induration de substance
blanche
et des lésions athéromateuses (athérome, anévry
ules rouges dans les capillaires, sans prolifération des glo- bules
blancs
; une disposition particulière de cette hypérémie
e (70 kilog.). Elle est blonde et d'un teint lymphatique. La peau est
blanche
et offre à la fois, de nombreuses éphélides (Plan
s membres. — c) Phase de stertor : respiration un peu bruyante, écume
blanche
. Période clonique. — Après un repos momentané,
e latéralement ; la commissure labiale gauche laisse sortir une écume
blanche
. B. — Période clonique. — Sans qu'il y ait de r
nts onduleux ; la face se décompose : « j'ai le bas de la bouche tout
blanc
et le pourtour des yeux tout jaune, » dit la mala
, elle a des rêves gais : elle est avec ses amies, habillées de robes
blanches
, elle entend les cloches qui sonnent à toute volé
teraient à le croire. 1879.19 Janvier. — P... est grande, a la peau
blanche
, les cheveux châtains, les traits réguliers, une
ées par des douleurs dans le bas-ventre et dans les reins. — Pertes
blanches
fréquentes. Aura. — 5 à 10 minutes seulement av
9 les lettres, etc. ; elle voit le rouge, le bleu, le noir et le
blanc
. A 11 h. 45, elle distingue toutes les couleurs.
Sécrétion vaginale assez abondante; d'habitude D... perd très peu en
blanc
. — Elle n'a pas uriné sous elle depuis le commenc
ats, sentait une bête qui dansait dans son ventre, avait une couronne
blanche
sur la tête, etc. Cette excitation a continué jus
u-dessus de sa tête... Il y a une belle lueur derrière elle... rouge,
blanche
... Je croyais qu'il n'y avait qu'un Jésus... il y
hémateuse sur laquelle se dessinent les lettres en relief. Elles sont
blanches
, peu accusées. 5 septembre. — A 3 heures de l'a
État actuel. — Suzanne est petite, maigre (42 kilogr.) ; la peau est
blanche
; les muqueuses sont peu colorées. Les cheveux so
ts : des deux côtés, S... distingue le vert, le rouge, le jaune et le
blanc
; le bleu lui paraît gris, le violet rouge. Elle v
ait la tète, et sur son clavecin Laissait, tout en rêvant, flotter sa
blanche
main. Ce n'était qu'un murmure ; on eût dit des c
dent au Sabbat de différentes manières. Les vnes se mettent vn baston
blanc
entre les iambes, puis prononcent certains mots,
tmosphérique aux extrémités de 1 appareil cérébro-spinal, substance
blanche
dans l'appareil de ce nom, etc.) ; et à leur tour
ences précédentes, de magie magnétique. A l’extrémité B de la ligne
blanche
se trouve dessiné de la même manière un niveau N;
j’y ai imprimé-, par intention, tout ce qui peut le caractériser; la
blanche
est contraire : j’y ai imprimé aussi, par ma volo
ns le plan, mais quelque chose semble le retenir; il regarde la ligne
blanche
, et son corps se penche latéralement vers elle,
de côté, forme presque un demi-cercle, la tête inclinée sur la ligne
blanche
. C’est dans cette position, ainsi courbé, qu’il a
s. — La somnambule les reconnut, et indiqua que ces dragées étaient
blanches
,et que, parmi elles, s’en trouvaient quelques-une
rs, prétendit celle qui cherchait à la tromper. —Je n’en vois que des
blanches
et des roses, » affirma la somnambule; et, en eff
elles. Suivons quelques-unes de ces filiations, en partant de l’homme
blanc
, qui tient le sommet de la chaîne. Les races bl
rtant de l’homme blanc, qui tient le sommet de la chaîne. Les races
blanche
, jaune, noire, passent de l’une à l’autre par des
écompense (institué à Paris le 23 mai 1847) à M..........Un espace en
blanc
sera réservé pour y graver au burin le nom de la
onça avec l’accent de la conviction : a O mon Dieu, comme mon mal est
blanc
! » Il était, à ma grande surprise, tombé seul en
peau, sans manches et sans bas. Après ils seront toujours habillés en
blanc
; la tète, la poitrine, les bras et les pieds enco
ouleurs, Ion- gue, croisée et k manches étroites, avec une ceinture
blanche
. Un manteau à la romaine jusqu’aux genoux; le cha
fermée jusqu’aux genoux, manteau plus long et plus complet, ceinture
blanche
, souliers carrés, cravate à rabat, chapeau rond a
lanche, souliers carrés, cravate à rabat, chapeau rond avec une plume
blanche
couchée autour. A soixante-dix ans et jusqu’à l
utes les occasions k la vieillesse. Le costume du vieillard sera en
blanc
; une espèce de toge ou soutane fermée jusqu’au-d
ong. Il sera toujours couvert d’un chapeau rond, gris, avec une plume
blanche
couchée, et une canne pour s’appuyer. 11 y aura
Art. 17. — Les votes de la Société ont lien au scrutin, par boules
blanches
et boules noires, ou par bulletin individuel; mai
tite, de Pau. (Fièvre lente, migraine permanente, insomnie et perte
blanche
depuis trois ans, palpitation de cœur.) (!) Cet
migraine permanente, palpitation decœur, affection nerveuse, llueurs
blanches
, insomnie; sans appétit.) 07. Anne, fille Paule
mnie.) 70. Louise Dur,os, ¿peuse Duthil, de Vic-Bigorre. (Flueurs
blanches
cl rouges permanentes, faiblesse générale, insomn
Marie, fille LaCrouts, première née, de Pau. (Pâles couleurs, perte
blanche
, suppression des règles, fièvre lente, migraine,
pétit.) 151. Marie Prat, veuve Hoürcade (57 ans), de Loos. (Perle
blanche
continue, maladie de langueur, malaise général.)
.) 177. Marie Goua, fille, troisième née, de Gan, h Pau. (Flueurs
blanches
continues, suppression dos périodes depuis six mo
sée.) 183. Marie Prat, veuve Hourcade (57 ans), de Loos. (Fluéurs
blanches
qui avaient mis la malade dans un accablement gén
même, j’avais vu en rêve une femme, bien jeune encore, en longue robe
blanche
, qui s’enlevait au ciel, toute seule, une palme v
hambre en ce moment. Je vis bien la fenêtre à gauche avec ses rideaux
blancs
rayés de bleu ; la porte en face ; la cheminée av
ntervalle en intervalle, sa lumière se réfléchissait sur un grand mur
blanc
, à ma droite. Tout à coup, j'aperçois sur ce mur
’avril 1827, je venais d’être nommé capitaine; mais je ne faisais pas
blanc
de mon épée. Une vague tristesse m’obsédait ; j’é
on attention c’était éveillée, et je vis un homme assez âgé, poudré à
blanc
, qui portait des épau-lettes de colonel très-minc
ouvenirs de l’état de veille. De 40 à 4 heures son existence était en
blanc
. Je pense qu il ne s’est point éveillé, mais seul
appareil galvanique composé de la substance grise et de la substance
blanche
, à l’extrémité de ses doigts, pour les faire mouv
us forte fut le résultat de ce collyre, et huit jours après un boulon
blanc
me vint sur la cornée ; un suintement avait lieu
uille de vigne rouge, une cuillerée de son, deux feuilles de bouillon
blanc
, le tout bouilli quatre à cinq minutes. Il me r
lail principalement porté sur la rate qui se couvrait de gros boutons
blancs
. Le 10 janvier, Mme Froidcour me prescrivit de
3 centimètres, sa profondeur est de 1 à 1,5, l'écorce et la couche
blanche
sont intéressées.. P. K. > X. UN CAS REMARQU
volume de tout l'ensemble des circonvolutions et de la subs- tance
blanche
; absence d'hydropisie ventriculaire. La région mo
e diffuse des circonvolutions cérébrales por- tant sur la substance
blanche
comme sur la substance grise. Observa- tion II.
plupart à plusieurs noyaux, cellules contenant graisse et substance
blanche
nerveuse dans lesquelles, par un traitement app
ense (cautérisation ou inflamma- tion septique) détermine de but en
blanc
, et dans le tissu conjonc- tif, et dans le pare
le porte seulement sur la né- vroglie. Cependant, dans la substance
blanche
de la moelle, le premier résultat peut être, mê
bées dans le réseau conjonctif, remplies de graisse et de substance
blanche
nerveuse, émanent, au moins pour un certain nom
que le cylindraxe ne prend pas la même coloration que la substance
blanche
ni que la névroglie. Présentation de préparatio
août. Guérison complète, mais cécité de l'oeil gauche par atrophie
blanche
de la papille. Diagnostic : éruption de furoncl
du bras et de l'avant-bras, la peau est couverte de rayures toutes
blanches
; ce sont les traces d'égratignures (ayant été f
icatrice sur le genou gauche et sur le ventre on observe des taches
blanches
de forme irrégulière, en- tourées d'une bordure
tation normales. Membres supérieurs et inférieurs réguliers- Peau
blanche
et fine; les cheveux, rouges, descendent bas sur
édèse; pas d'autre altération, sauf une légère sclérose des cordons
blancs
de la moelle. Il trouve une grande analogie de
uses. La malade était forte, bien faite, tempérament sanguin ; très
blanche
, et des couleurs fraîches et vermeilles. On soupç
cloche des morts était sonnée, ses amies viennent de l'habiller en
blanc
et de la coiffer de couronnes de fleurs, tout s
me epaisseur, comme coloration et comme consistance; la substance
blanche
et les noyaux centraux dans un parfait état ; enO
l; la substance nerveuse apparaît écrasée, - jaune, et, par places,
blanche
; la convexité est également ra- mollie, presque
moi des soeurs de charité. Les soeurs de charité arrivent, colombes
blanches
... (Nouveaux rires à gauche.) Muon Dieu ! vous
cette allusion aux livres bibliques que vous ne lisez pas colombes
blanches
portant le rameau d'espérance et de salut. Cela
tincelante à peine ces pauvres soldats avaient-ils vu les cornettes
blanches
, qu'ils étaient guéris. (Exclamations et rires
e teinte grisâtre au niveau des cordons postérieurs. Les substances
blanche
et grise sont bien distinctes ; elles paraissent
de taches scléreuses. Les cornes dé substance grise et les cordons
blancs
ont les apparences de l'état normal : cellules
la plus antérieure, est nummulaire, à centre un peu déprimé, lisse,
blanche
, à bords légèrement plissés en- tourés d'un cer
centimètres; il est manifestement atrophié. Ses lamelles sont plus
blanches
; leur consistance n'est pas notablement plus g
née d'aphasie. Six mois après ce dernier acci- dent, la peau devint
blanche
par places, et en certains endroits les cheveux
nte seule de la substance grise, sans participation de la substance
blanche
, est-elle capable de déterminer des troubles mo
dans le lobe occipital gauche, traversant l'écorce et la substance
blanche
de cette région pour joindre la corne postérieu
de l'hémisphère gauche, soit dans l'écorce, soit dans la substance
blanche
, des foyers de cellules granuleuses. M. OPPEN
distincts dans le pied de la couronne rayonnante de Reil, faisceaux
blancs
correspondants à la zone motrice et seuls excit
la sur- face des circonvolutions, soit sur la coupe des faisceaux
blancs
, on constate : 1° lorsque l'excitation est brusqu
sions expérimentales produites chez divers animaux sur la substance
blanche
et sur la substance corticale sont étu- diés su
res sanguins, et de plus, comme les membranes séreuses, des vaisseaux
blancs
, d'une si excessive ténuité qu'ils ne se distingu
elles apparaissent alors fo r-m'esd'un lacis innombrable de vaisseaux
blancs
rectiligncscten-trecroisés danstousles sens. Ces
ns (vasa vasorum) et le microscope y démontre également des vaisseaux
blancs
. On sait aussi qu'il s'y rend des nerfs. La textu
aires, se rejoignent en avant par la suture entre-croisée de la ligne
blanche
, tendue entre l'appendicesternal et le pubis, et,
e quatre feuillets, elle s'écarte des deux côtés, le long de la ligne
blanche
, pour former la gaine verticale de réception des
il produit ces engorgemens chroniques désignés sous le nom de tumeurs
blanches
. (c) Solutions de contiguité des articulations.
nt suivant la densité de chacune d'elles. Pour les gaz et les fluides
blancs
, la communication est en quelque sorte physiologi
e l'abdomen, séparée de sa congénère par le sillon médian de la ligne
blanche
, elle s'étend de la fossette xiphoïdienne à la pr
ssent d'un côté à l'autre, constitue la ligne 1 Planche 1, n° 23.
blanche
. L eraillement de cette aponévrose au-dessous de
e rien qui puisse le représenter que l'appendice xiphoïde et la ligne
blanche
. La région épigastrique est le lieu le plus hab
sa quadruple enveloppe fibreuse; la suture aponévrotique de la ligne
blanche
, plus large en ce lieu par l'écar-tement des musc
sujets maigres, la double saillie, entre le sillon médian de la ligne
blanche
et les sillons latéraux indiquant les bords exter
ure du sterno-pubien lui-même, et le pyramidal ou tenseur de la ligne
blanche
; (c) en arrière, le double feuillet postérieur ap
le plan moyen se continue la suture des aponévroses formant la ligne
blanche
; sa largeur diminue de l'anneau ombilical aux pub
'est pas rare, après les fortes distensions abdominales, que la ligne
blanche
, malgré son étroitessc normale, ne vienne à s'éla
andelettes concaves, qui s'étendent des fibres musculaires à la ligne
blanche
et aux pubis. Au-dessus du pli de l'aîné, cette a
s à double poche, palmaire et anti-brachiale, remplis de petits corps
blancs
, supposés hyelatiques par MM. Bosc et Duméril, et
mêmes effets sont le résultat des inflammations lentes ou des tumeurs
blanches
, des caries, des nécroses, du spina - ventosa, e
aune par l'acide nitrique. Celle produite par le nitrate d'argent est
blanche
pour les chairs vives et d'un violet noir pour l'
t jaune avec l'acide nitrique, noire avec l'acide sulfurique, et d'un
blanc
verdâtre avec l'acide hydro-chlorique. Le deuto-c
de, facile à limiter en étendue et en profondeur; sa couleur passe du
blanc
au jaune, puis au brun noirâtre. L'avantage de ce
ulière promptitude. Enfin, dès que la cicatrice est achevée, elle est
blanche
, lisse, unie, élastique, et bien moins difforme q
ortent. 2° Potasse caustique. Cet alcali pur préparé à l'alcool est
blanc
, sec, dur et cassant ; il doit être préservé soig
puis le rouge obscur, le rouge cerise, le rouge jaune, enfin le rouge
blanc
, indiquent la plus grande accumulation du caloriq
r au rouge obscur le cautère que l'on avait d'abord appliqué au rouge
blanc
. Aussi, pour peu que les parties que l'on veut ca
parties affectées d'inflammations chroniques, telles que les tumeurs
blanches
articulaires produites par une cause de nature sc
it être présentée dans son plus grand diamètre en travers de la ligne
blanche
, à deux pouces au-dessus de l'ombilic, un peu inc
t enlevée, reste la racine centrale, unique ou multiple, uniformément
blanche
ou parsemée de points noirs, que l'on essaie d'ar
cause première. Procédé de Desault. Muni d'une petite plaque de fer
blanc
de dix-huit lignes de longueur, de quatre lignes
air, et dans tous les cas ne pas s'astreindre à découvrir une surface
blanche
uniforme, les dents sales étant presque toujours
s étant presque toujours jaunâtres d'elles-mêmes et les canines moins
blanches
que les incisives. Procédés opératoires. Les so
ctuel. On se sert à cet effet d'un petit cautère approprié, chauffé à
blanc
( Pl. 17. fig. 31), ou au besoin d'un (il métalli
l'autre les deux surfaces enduites, luter le contour avec de la cire
blanche
, et envelopper le tout d'une feuille de plomb ou
moyen est réservé pour ranimer les fonctions vitales dans les tumeurs
blanches
, les engorgemens lymphatiques et les ulcères aton
affectée de carie. 4° Sur les grandes articulations, siège de tumeurs
blanches
. 5° Enfin, sur tous les lieux et dans toutes les
onvertit enfin en un tissu dense, à surface inégale, insensible, d'un
blanc
mat, parsemé de stries violacées, fixe et forteme
out. L'incision sans émission de sang est nommée vulgairement saignée
blanche
. Cet accident tient uniquement à ce que la veine
due de la plaie, plutôt que de le diviser, pour ménager les vaisseaux
blancs
. Un second plan aponévrotique se présente, épais,
, ce grand chirurgien fit à la région ombilicale, le long de la ligne
blanche
, une incision de huit centimètres inclinée à gauc
Procédé de Petit de Lyon. Faire la ponction avec une lame chauffée à
blanc
. Dès que l'ouverture est pratiquée, en retirer la
érable pour vicier, par la pression, le double kyste des petits corps
blancs
et du liquide dans lequel il baigne. Cette poncti
et à entourer l'articulation avec un bandage circulaire imbibé d'eau
blanche
. La plupart des chirurgiens recommandent de maint
échaud avec plusieurs cautères de diverses formes (pl. 17) chauffés à
blanc
: des cautères nummulaires pour agir à plat sur u
e et imbibée de sang qu'on divise le diploé, et plus tard à la sciure
blanche
et sèche qu'on est parvenu à la table interne de
'envisageant que des faits relatifs à des malades atteints de tumeurs
blanches
anciennes, surtout dans les articulations du geno
les, telles que la carie, la nécrose, 1 le spina-ventosa, les tumeurs
blanches
, etc. Chacune de ces lé-: sions présente, suivant
Syine, Crampton, Jceger, Barris, Roux, etc., à l'occasion de tumeurs
blanches
ou de fractures compliquées d'ouverture de l'arti
E. Les caries, les luxations compliquées, les entorses, les tumeurs
blanches
sont les indications communes des résections de l
s. 11, 11. Filamens antérieurs des nerfs lombaires. 12, 12. Ligne
blanche
. 13. Anneau ombilical. 14. Ligament triangula
ent triangulaire inférieur , formant l'attache pubienne de la ligne
blanche
. 15, 16. Coupe des feuillets aponévrotiques du
ir du pied complet, avec ses tégumens, mis en perspective. Des traits
blancs
, qui passent sur la figure, tracent les courbes q
lin beau matin, dit-elle, je vis entrer un petit vieillard à manteau
blanc
, à barbe grise, à bonnet pointu de feutre gris en
se faite, et cette dame étant revenue vers moi, je préparai un papier
blanc
devant servir d'enveloppe, et je tirai de ma poch
econde pièce du côté du millésime 1815. Ceci fait, je pris mon papier
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et enveloppai le tout, la pièce-médaillon se trou
vérité se démontre et n’est pas affaire de vote, de boules noires ou
blanches
. Quoi ! si trente boules noires, par exemple , av
ne est un moyen de prévenir la variole, pendant que vingt-neuf boules
blanches
l’affirmaient, le principe serait-il le moins du
ous enlevons le sucre, et nous mettons dans l’eau une quantité de sel
blanc
assez considérable. Elle prit à peine une gorgée
rs mangeait et buvait comme les autres. Une des femmes était vêtue de
blanc
, et portait des gants noirs ; l'autre, vêtue en n
t portait des gants noirs ; l'autre, vêtue en noir, portait des gants
blancs
. « Inutile do peindre la surprise et l'effroi d
eul-étre, il n’articulai« po nt librement la parole. Se* yeux étaient
blancs
et njetalopes, et sa vue se conserva tellement qu
t... ou au nombre de plusieurs ensemble... Ils sont, la plupart, d’un
blanc
opaque et comme argenté, etc. » — «L’on trouvera
comique, entre autres , sans doute avec malignité, celui-ci : la Dame
blanche
vous regarde... Ensuite il cause, il rit, il anno
fiant peintre aperçut la cuvette accusatrice encore remplie d’une eau
blanche
et bourbeuse qui nous prouva clairement que, si c
actement comme fut autrefois le défunt. Il était lumineux, habillé en
blanc
, sa figure rayonnait de bonté, et il venait de lu
e système cérébro-spinal, dont la matière est une substance moelleuse
blanche
, et le système ganglionnaire facile à distinguer
tion est ainsi empêchée disparaissent immédiatement. — Donc les nerfs
blancs
sont les agents de la sensibilité et du mouvement
lanchnique, (occupant les trois cavités.) Si l’on considère un nerf
blanc
et qu'on le suive dans son parcours, on voit qu’i
gris, on peut remarquer, soudé à lui dans tout son parcoure, un filet
blanc
qui appartient au système cérébro-spinal. — Cette
*p-(lalc et déterminée. Dans les nerfs de la vie de relation (nerfs
blancs
), les deux fonctions de sensibilité et d’activité
s parties du corps, il est probable que chacun d’eux, comme les nerfs
blancs
, est composé de deux parties distinctes dont l’un
ris dans tout le système céphalo-spinal, et réciproquement des filets
blancs
, appartenant au système céphalo-rachidien, se ren
urs ramifications les nerfs du système ganglionnaire. Or, les nerfs
blancs
, — nous le savons par l’expérience, — sont les
e singularité assez curieuse. M. M"‘, d’un teint habituellement pâle,
blanc
aux lumières, jaunissait d'une façon marquée à la
, comme les autres rougissent. C'était un ictère bien caractérisé. Le
blanc
de l’œil (cornée opaque) devenait franchement jau
s doute que la portion des cheveux poussée à partir de Incident était
blanche
; car nous ne croyons pasquon ptfw¿“¡S ’" des chev
ait blanche; car nous ne croyons pasquon ptfw¿“¡S ’" des cheveux déjà
blancs
puissent se décolorer presque instantanément. M
té; seulement, dans tous actes qui sont du ressort du système nerveux
blanc
, nous voyons l’innervation produire la contractio
fibreux que desservent les nerls gris, et comment agissent les filets
blancs
qui les accompagnent? 11 suffit de concevoir que
ent l’activité. Si donc nous admettons que l’innervation du système
blanc
peut exercer une compression sur l’extrémité de c
spéciaux, nous concevons que la pensée qui a la direction du système
blanc
puisse faire varier l’activité des nerfs de la vi
vie végétative sont, les uns comme les autres, accompagnés de filets
blancs
de l’autre système, nous ne pouvons nous empêcher
onne qui avait présenté l’écrit. Une autre fois, on apporta un papier
blanc
, et le psyc/tomé-treur décrivit le caractère de c
de lumière. Le papier avait d’abord passé par mes mains, et il était
blanc
: plusieurs autres personnes s’en sont également
apparut enveloppé tout entier d’une sorte de linceul plutôt gris que
blanc
; il sentit passer près de lui comme un souille,
mon lit dans ma chambre; elle avait même indiq lé l’avance la couleur
blanche
de ma couverture el de mon tour de lit, qui était
ondantes ou non, durée, etc.) sont notées; on nous signale les pertes
blanches
qui les précèdent ou les suivent ainsi que les su
: 1° pour les enfants idiotes profon-des à fixer l'attention (images
blanches
ou colorées sur fond noir, images blanches sur
ixer l'attention (images blanches ou colorées sur fond noir, images
blanches
sur fond noir) à apprendre les lettres, grandes l
r fond noir) à apprendre les lettres, grandes lettres noires sur fond
blanc
, puis lettres plus petites (attention et début de
nq sont en très bonne voie pour la lecture : Garaud, Lalonde, Monnet,
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, Languillaume. Inutile d'ajouter que l'écriture a
depuis 1879, nous notons les professions exercées par les parents.
Blanc
de céruse Peintres en bâtiments.... 54 — déco
émail....... 1 — surporcelaine... 1 Tonnelier dans une fa-brique de
blanc
de cé-ruse................... 1 Imprimeurs sur
ispose, ni émaciation; air de santé. L'expression est souriante. Peau
blanche
, cheveux châtins implantés assez haut sur le fron
tation ; seconde incisive surnuméraire caniforme, dans le rang; dents
blanches
, écartées, de bonne qualité. — La température, pr
pression; air boudeur et grognon, pleu-reur. — Pas d'émaciation. Peau
blanche
, glabre sans cica- triées ni traces de vaccin.
do nitrate d'argent au 1t50 ; les jours suivants, instillation d'eau
blanche
. — 29 avril, guérison à peu près complète, l'enfa
passe dans la lésion ortiée ou dans le dermographisme. Le milieu est
blanc
, le pourtour rose, puis il existe une zone nettem
le sang et elles se distendent ; il y a alors diapédèse des globules
blancs
dans les parties du derme inextensible; là l'exsu
eue. La diapédèse porte quelquefois, non seulement sur les globules
blancs
, mais encore sur les globules rouges; alors quand
e des ravages inquiétants surtout parmi la population noire, mais les
blancs
n'y échappent pas. La cocaïnomanïc a pris de te
aient au bout de fils de fer de petites lampes brillantes, aux verres
blancs
, verts, jaunes et rouges. Les hommes étaient couc
II 1-28), on diagnostique lèpre toute tumeur ulcérée, toute cicatrice
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rougeâtre, toute plaie tendant à l'envahissement,
i dont la lèpre couvre toute la peau de façon à rendre le malade tout
blanc
et sans chair vive (probablement le psoriasis). (
ou lèpre vraie, il y a le Baras qui n'est autre chose que les taches
blanches
, vitiligo, fréquent chez les gens à peau bronzée,
mit sa main dans son sein; puis il la'retira, et voici, sa main était
blanche
de lèpre comme la nefge. Puis Dieu dit : remets t
a de dessus le tabernacle. Et voici, Marie était frappée de lèpre, et
blanche
comme la neige; Aaron se tourna vers Marie, et vo
hera à toi et à ta postérité à jamais! Et il sortit de devant Elisée,
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de lèpre comme la neige. II semble que ce sont
s s'abstenaient de se frotter d'huile ; ils étaient toujours vêtus de
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; ils s'interdisaient toute volupté ; ils donnaien
un diminué sexuel. Le seul contact des bondissantes poitrines de ses
blanches
nonnains était peut- Les séances de la Sociét
de l'eau qu'il boit avidement, croyant prendre du champagne et du vin
blanc
. Je lui suggère alors de dormir six heures, et j'
hypno-s u gg es live. PSYCHOLOGIE ANIMALE L'intelligence des ours
blancs
. M. le docteur Oscar Orlitzky, de Moscou, nous
lines pierreuses, parait être oubliée du reste du monde. « Les ours
blancs
, les phoques, les morses, les otaries sont presqu
ge les Samoyèdes livrent tout leur butin, composé de poissons, d'ours
blancs
, de morses, de phoques et d'otaries, capturés pen
d prudent, circonspect et habile. Très souvent inquiétés par les ours
blancs
qui rôdent autour de leurs habitations et qui mon
, que tous les naturalistes, les habitudes et les ruses. Comme l'ours
blanc
aime à s'en aller par les glaçons dans la mer, le
moyédes, qui connaissent son manège, suivent ses traces ; mais l'ours
blanc
, devinant à une grande distance la poursuite des
t que l'ours les a joués. « Pendant la chasse aux phoques, les ours
blancs
ont recours à une autre ruse. « Les phoques rem
t recours à une autre ruse. « Les phoques remarquent de loin l'ours
blanc
rien qu'à son museau, dont le bout est foncé, mai
st foncé, mais ils ne peuvent pas apercevoir son corps, lequel, étant
blanc
, se confond avec la neige. L'ours blanc, ayant po
voir son corps, lequel, étant blanc, se confond avec la neige. L'ours
blanc
, ayant pour ainsi dire conscience de cette partic
socialisme ces arrivistes, ces charlatans politiciens qui chauffent à
blanc
les colères populaires, qui essaient de galvanise
stitut de psychologie zoologique (L'), p. 63. Intelligence des ours
blancs
, par Orlitzky, p. 363. Pédagogique dans le so
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