ment stratifiées, dont le sommet est tourné vers la périphérie, et la base vers la substance médullaire. Ces cellules sont d

iné, le sommet tourné vers la périphérie, et sont en rapport par leur base avec les fibrilles d'une certaine catégorie de fi

ules voisines, et constituent ainsi une sorte de réseau nerveux; leur base donne naissance à un prolongement non ramifié, qu

'une cellule à une autre et forment ainsi un plexus transversal. Leur base envoie un pro-longement non ramifié, cylindrique,

s lentiformis). Sa masse représente une pyramide triangulaire dont la base est dirigée en dehors et le sommet en dedans. Ell

versales pénètrent par le sommet et se dirigent en éventail vers la base . Ces fibres transversales donnent à la substance

criblée de pertuis vasculaires en séries linéaires et constitue à la base du cerveau la substance perforée antérieure de Vi

nt en éventail, se séparent, se dissémi-nent isolément et abordent la base de la substance grise corticale. Chaque fibre à c

nt des anses curvilignes à concavité dirigée en dehors, embrassant la base des régions qu'elles relient. Ces anses sont gé

sceau désigné sous le nom de ftbrœ propriœ de Gra-tiolet} qui unit la base de deux circonvolutions voisines ; il existe plus

1,2; XXXIV, 1 ; L1V, 1,6). Les fibres commissurantes émergent de la base des circonvolutions ; elles sont intimement mêlée

erticalement dirigé de haut en bas, qui s'étend, en s'effilant, de la base du tubercule antérieur de la couche optique, ou c

ale, s'applique sur la face interne de la couche optique, aborde la base du conarium et s'épanouit dans sa substance grise

ume égal à celui d'un gros pois. Sa forme est celle d'un cône dont la base est tournée en avant et en bas. Willis l'a compar

tes concrétions calcaires (PL XXXVII). La glande pinéale émet de sa base dans chaque hémisphère trois prolongements blancs

par des fibres médullaires curvilignes, tendues en forme d'arcs à la base de chaque lamelle. Ce sont les analogues des fibr

axe, est formé par l'en-semble des éléments nerveux groupés depuis la base du ventricule moyen, jusqu'à la région lombaire.

ois ou quatre prolongements seulement. Sur les côtés externes de la base des cornes postérieures, on distingue un amas de

et qu'il se continue à travers le bulbe et la protubérance jusqu'à la base du ventricule moyen. Les faisceaux blancs, qui fo

postérieure décapitées. Une grosse colonne grise, cons-tituée par la base des cornes antérieures et celle des cornes postér

e canal central s'étale largement sur le plancher de cette cavité; la base des cornes an-térieures se place de chaque côté d

s cornes an-térieures se place de chaque côté de la ligne médiane, la base des cornes postérieures vient se ranger sur le cô

oupes successives, on retrouve ces mêmes amas «de substance grise. La base de la corne antérieure se prolonge sur la ligne m

. La base de la corne antérieure se prolonge sur la ligne médiane; la base de la corne postérieure envoie un prolongement no

réduite en fragments, pénètre dans le bulbe et la protu-bérance. La base de la corne antérieure se prolonge de chaque côté

u facial, dont il est séparé par le passage de fibres nerveuses. La base de la corne postérieure s'étale en colonne allong

cule ; elle forme, de chaque côté des masses grises appar-tenant à la base delà corne antérieure, de petites saillies qui co

r en dehors à travers la substance grise de la couche optique. A la base du ventricule moyen, la substance grise centrale

ernes des nerfs olfactifs. § 3. Aux formations ganglionnaires de la base de l'encéphale, il faut ajouter un noyau de subst

racentral). a. Corps fibrillaire de la cellule de 40 tu à 80 p.; sa base donne naissance à des prolongements ramifiés.

, de diamètre. d. Prolongements très fins partant du pourtour de la base du corps de la cellule, adhérents à un amas de

acine du nerf grand hypoglosse. e. Corne postérieure, séparée de sa base et déjetée latéralement. f. Faisceau latéral du

. f. Faisceau latéral du bulbe. g. Corne antérieure séparée de sa base . h. Portion motrice des pyramides offrant un as

Le sommet de la faux s'insère en avant à l'apophyse crista galli ; la base , oblique-ment dirigée d'avant en arrière et de ha

et en rapport avec la face interne de chaque hémisphère cérébral; la base est en continuité en arrière et en bas avec une l

même cerveau frais, de la face supérieure du corps calleux vers la base du cerveau.) 1. — La couche de substance grise

Ensemble des fibres convergentes et commissurantes se dirigeant de la base des circonvolutions vers le bord externe du corps

e de un millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau. La substance grise corticale décrit

ont été atteintes parla coupe. Les fibres médullaires partent de la base des circonvolutions. Les fibres commis-surantes d

de fibres convergentes, fibres cortico-thalamiques, se rendant de la base des circonvolutions au pourtour de la couche opti

e de un millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau. La multiplicité de replis que décri

e de un millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau. Substance grise corticale circonscr

. Elle repose sur les tubercules quadrijumeaux supérieurs (nates); sa base , tournée en avant, donne nais-sance à trois prolo

e de un millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau. La substance grise corticale des ci

e de un millimètre d'épaisseur\ faite des régions supérieures vers la base du cerveau. Substance grise corticale circonscr

re d'un millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau. Substance grise corticale circonscr

re d'un millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau. Substance grise corticale circonscr

ance médullaire du cervelet. Les fibres convergentes se portent de la base de la substance grise corticale à la périphérie d

e de un millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau. La substance grise corticale circon

de Sylvius. Les fibres convergentes et commissurantes naissent à la base des circonvolutions et se dirigent dans les lobes

sa réunion à celui qui est fourni par le tronc basilaire, forme, à la base du cerveau, un cercle artériel appelé hexagone ar

ensemble des fibres commissu-rantes et convergentes qui partent de la base des circonvolutions des régions supé-rieures, moy

n de ces centres est formé de fibres convergentes qui partent de la base de la substance grise corticale et vont aboutir à

ésigne sous le nom d'arbre de vie. Les fibres médullaires, nées de la base de la substance grise, se portent sur la face ext

Les fibres nerveuses de la substance médullaire se détachent de la base des circon-volutions, et prennent chacune la dire

x (voir la planche précédente). Les fibres nerveuses convergent de la base de la substance grise corticale vers le centre, p

obes latéraux du cervelet. Les ramuscules et les rameaux, issus de la base de la substance grise corticale, se réunissent en

commissurantes des régions supérieures et moyennes se détachent de la base des circonvolutions, passent dans les régions hom

e ou orbitaire. Ces divers ordres de fibres prennent naissance à la base de la substance grise corti-cale, se dirigent ver

supérieures et inférieures. 3. — Fibres arciformes se rendant de la base d'une circonvolution à celle de la circonvolution

e de un millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau....................................85

e de un millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau................................... 8

de un millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau. . . 93 XXII. Coupe horizontale anté

e de un millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau,..................................97

e de un millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau..................................101

e de un millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau......¦............................105

e de un millimètre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau..................................109

e de un millimèlre d'épaisseur, faite des régions supérieures vers la base du cerveau................................... 1

alpel et en exerçant le moins de traction possible, les nerfs de la base du crâne, et la tige pituitaire. On incise ensuit

x de la main gauche. On sectionne également le reste desnerfs de la base , les deux artères vertébrales etenlin, aussi ba

, une longue incision allant de l'écaille de l'occipital jusqu'à la base du coccyx. On rabat la peau de chaque côté, et

ment antérieur et postérieur, ses rapports avec les ganglions de la base , y sont très fidèlement reproduits. C'est à Flech

er au point de vue des dégénérescences, de même, qu'au niveau de la base , la coupe ne doit pas passer par l'espace intcrpé

porales, le pied des circonvolutions frontales, les ganglions de la base , le pédoncule et la partie correspondante de la p

a paroi dorsale ou voûte, et presque pas sur la paroi ventrale ou base . Les renflements répon- dent à la première éb

nsertion excentrique du nerf optique sur la rétine. Au niveau de sa base d'implantation sur la vésicule encéphalique antér

du deuxième mois, mais, elle n'atteint plus en général en dedans sa base d'implantation cérébrale ; de sorte que l'on pe

e la vésicule cérébrale antérieure primitive, de telle sorte que la base ou portion axiale du cerveau antérieur, se cont

ion axiale du cerveau antérieur, se continue insensiblement avec la base du cerveau intermédiaire; ces deux cerveaux cir

re des vésicules oculaires primi- tives (fig. 23, 24). Etroite à sa base d'implantation, qui 'est située immédiate- ment

ois parties : 1° une petite partie impaire et médiane, le tronc, la base ou la portion axiale du cerveau antérieur (\Ynrze

rieur (fig. 21, 40, 44, 46, 66). Au niveau de leur insertion sur la base du cerveau antérieur, les vési- cules hémisphér

ers la quatrième et la cinquième semaine de la vie embryonnaire, la base du cerveau intermédiaire devient parallèle à ce

Sattelspalte de lIis; fst, fig. 18, 19, 23, 24) et dans laquelle la base du crâne membraneux, envoie un repli connu sous

s divisé en deux parties inégales, triangulaires, opposées par leur base . La partie inférieure ou bulbaire,, appartient à

déprimé, situé au-dessous du tubercule acoustique et adossé par sa base à l'aile blanche interne. En Noyaux qui naiss

. brane, la membrane basilaire d'Aeby ou la commissure grise de la base de Henle. Grâce à la direction oblique de l'axe

le seg- ment, antérieur, presque horizontal, est en rapport avec la base du crâne (fig. 41, 42). Chez les jeunes embryon

te cavité, elle n'a pas besoin, comme on le croyait, de perforer la base du crâne, son développement précède en effet ce

éveloppement précède en effet celui de la partie préchordiale de la base du crâne. Une fois arrivée à ' la base du cerve

la partie préchordiale de la base du crâne. Une fois arrivée à ' la base du cerveau intermédiaire, la poche hypophysaire d

é- ' rieur trois parties : une petite partie impaire et médiane, la base ou portion DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX. 10

cule des hémi- sphères, et entoure d'un canal presque circulaire la base du cerveau; il pré- sente une partie moyenne ou

'autre interne. La. paroi externe est convexe, elle est séparée de la base du cerveau antérieur par un sillon presque circ

la forme d'une petite pyramide aplatie d'avant en arrière, dont la base allongée et étroite s'étend de la fosse sylvien

nfle pour donner naissance au bulbe olfactif, puis se détache de sa base d'in- sertion, grâce à la formation d'un pédicu

lesquels elle s'ouvre dans le ven- tricule latéral, en avant de la base de la tête du noyau caudé. L'étroite base d 'in

ule latéral, en avant de la base de la tête du noyau caudé. L'étroite base d 'insertion dulobe olfactif antérieur donne na

(fig. 49). La substance perforée antérieure s'unit intimement à la base du corps strié, -dont elle est séparée toutefoi

. 1 1 l .-< ! a ;é Développement du corps strié. Base du corps strié I et ses trois seg-- le ments.

peu à peu comblée grâce au développement considérable que prend la base du corps strié. Le lobe olfactif représente don

e, qui n'est, par le fait, qu'une partie modifiée de l'écorce de la base du cerveau anté- rieur, représente le premier r

trécit en bas le grand trou de Monro primitif (fig. 41). Sa large base d'implantation (fig. 50) s'étend de l'embouchure

nsversal, et ses extrémités antérieure et postérieure atteignent la base du cerveau antérieur (fig. 48 et 51). L'extré

gment externe, le plus petit, correspond au segment antérieur de la base primitive du corps strié; il suit les change- m

plus recourbé en arrière que le segment externe, il atteint la base du cerveau et comble en partie soit le recessus

if postérieur, et répond aux segments moycn et pos- térieur de la base primitive du corps strié. Une petite par- tie

substance grise. L'union de ces parties est encore plus intime à la base du cerveau, où la tète et la queue du noyau cau

es enfin côtoient la surface suturale opto-striée, et atteignent la base du cerveau intermédiaire, . en dedans de la ban

tement en avant de la lame terminale embryonnaire, triangle dont la base regarde en haut et dont le sommet correspond à

t le développement est intime- ment lié à celui des ganglions de la base du ccrveau antérieur, et dont les premiers rudi

tube encéphalique, et qui représente à la fois les ganglions de la base (corps strié) et l'écorce céré- brale (le palli

ue les poissons cartilagineux, un ganglion volumineux qui occupe la base du cerveau, et envoie dans les régions encéphal

ales de l'écorce cérébrale sont coniques ou pyramidales : de leur base se détache un cylindre-axe plus ou moins volu-

cielle (fig. 110). Les dendrites basilaires se détachent près de la base du corps cellulaire, et se terminent dans son voi

nnexions de continuité de substance. Ce principe du contact sert de base à toutes nos connaissances actuelles. Le cont

les qui s'en détache et qui constitue le nerf présente lui-même une base d'insertion conique (fig. 114). De très bonne h

lle contient un noyau sphérique et volumineux, plus rapproché de la base de la cellule que de son sommet, se colorant in

colorant intensivement par le carmin et renfermant un nucléole. La base de la cel- lule épendymaire est recouverte d'un

nt biconi- que, « paraît constitué par deux cônes réunis par leur base et dans l'axe des- quels passerait le cylindre

ubles, tantôt emboîtés les uns dans les autres ou adossés par leurs bases , les segments cylindro-coniques d'un même segment

, dont le sommet tron- qué entoure le cylindre-axe et dont la large base correspond à la face interne de la membrane de

corps calleux, la scis- sure inter-hémisphérique descend jusqu'à la base du cerveau (fig. 148, 4 ? 9). Son extrémité ant

son sommet à l'apophyse crista galli de l'ethmoïde; en arrière, sa base , étendue du bourrelet du corps cal- leux au pre

EUX. Faces des hémi- sphères. cervelet qu'elle sous-tend. Cette base sépare donc complètement les extré- - mités occ

moyenne et inférieure avec l'os temporal. Ces rapports ont servi de base , dans la division des différentes parties de la f

missure grise. . La face inférieure des hémisphères appartient à la base du cerveau (fig. 149); elle se moule sur les ét

u (fig. 149); elle se moule sur les étages antérieur et moyen de la base du crâne, et repose en arrière sur la face supé

rconvolutions, très sinueuse et très irré- gulière, correspond à la base du cerveau; elle limite en particulier l'es- pa

étudiées avec cette dernière. Les circonvolutions cérébrales et la base du cerceau appar- tiennent par contre à la conf

passer successivement en revue, et nous adjoindrons à l'étude de la base du cer- ui veau celle de la configuration extér

son sommet fait saillie dans la scissure de Sylvius, tandis que sa base est en général divisée par une incisure profond

ise par le second sillon frontal. L'une ou l'autre branche de cette base envoie souvent à la deuxième circonvolution fro

nt sur la circonvolution parié- tale ascendante (Pa), par une large base d'implantation, souvent dédoublée. En arrière,

té postérieure de l'hémisphère, au pôle occipital de Broca, dont la base , mal délimitée, est antérieure et dont les troi

fig. 176). 4° Lobe temporal (T). Situé dans l'étage moyen de la base du crâne, le lobe temporal occupe la partie inf

te sous la forme d'une pyramide triangulaire très allongée, dont la base se confond avec le lobe occipital et le lobe pa

pôle de l'insula (Broca), se dirige en bas et en avant, et dont la base affecte la forme d'un triangle rectangle à bords

ngle à bords supérieur, antérieur et inférieur. Les angles de celte base peuvent être plus ou moins arrondis, ses bords

e que l'aspect trian-, gulaire peut lui-même faire défaut et que la base peut revêtir la forme d'une conque. Mais quelle

ut revêtir la forme d'une conque. Mais quelle que soit sa forme, la base est toujours nettement délimitée des lobes vois

Il est longé par la racine olfac- tive externe, qui le sépare de la base du cerveau, et en particulier de l'es- pace per

qui divise la convexité de l'insula en deux parties inégales. La base de l'insula n'est pas parallèle à la face interne

ou du corps calleux, et forme un angle ouvert en arrière. Sur cette base triangulaire repose le lobule de l'insula (I), co

antérieur. Seuil de l'insula ou hord talci l'orme tle Broca. Base de l'insula. - : Lolntlc vlc l'insula. 282 AN

ventail sur la convexité de l'insula, et se terminent par une large base au niveau du sillon marginal supérieur. La base

inent par une large base au niveau du sillon marginal supérieur. La base de la circonvolution antérieure de l'insula peut

ntale (Op F,,), la postérieure vers l'opercule rolandique (OpR). La base de la circonvolution antérieure de l'insula com

s- sure calloso-marginale, de telle sorte que ce sillon, situé à la base de l'avant- coin, se présente sous l'aspect d'u

182), affecte, en général, une direction antéro-postérieure. Par sa base , le cuneus concourt à limiter le bord hémisphér

du |' ' corps calleux, puis se porte en bas et en avant jusqu'à la base du cerveau, et embrasse le pédoncule cérébral (

e du cerveau, et embrasse le pédoncule cérébral (P). Arrivée à la base du cerveau, et en particulier au niveau de l'espa

ire de transition, entre celle de l'écorce cérébrale et celle de la base du cerveau. Lobe olfactif antérieur (Lola). L

s et en arrière et se perd sur le carrefour olfactif de Broca. La base du tubercule olfactif de Broca (Toi) est séparée

perfo- ré antérieur. La tête du noyau caudé fait saillie a la base du cerveau. Trajet des bande- lettes diagonal

is, tandis que la tète du noyau caudé fait directement saillie à la base du cerveau où il n'est recouvert par aucune lam

ant de la tête du noyau caudé. Plus tard, la cavité s'oblitère ; la base du lobe devient le tubercule olfactif, son extr

et d'une notation fixes et uniformes. Ecker puis Broca ont jeté les bases de nota- tions qui sont devenues aujourd hui au

ber das Riechcentrum. Stuttgart, 1887. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 313 BASE DU CERVEAU . Pour étudier la base du cerveau, o

7. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 313 BASE DU CERVEAU . Pour étudier la base du cerveau, on pratique en général une section

pédoncules cérébraux, peut donc se faire à propos de l'étude de la base du cerveau. La base du cerveau s'étend d'avant

peut donc se faire à propos de l'étude de la base du cerveau. La base du cerveau s'étend d'avant en arrière, du bec du

f postérieur que nous venons d'étu- dier appartient donc aussi à la base du cerveau, dont les bords corres- pondent asse

irconvolutions cérébrales de la face inférieure des hémisphères. La base du cerveau est formée : 1° Sur ses par le lobe

gne médiane par une mince membrane grise, la commissure grise de la base de Ilenle, formée par une partie du plancher du c

une partie du plancher du cerveau moyen. La commissure grise de la base répond au conlluent inférieur du liquide céphal

par conséquent à la partie la plus déclive et la plus concave de la base , lorsqu'on considère le cerveau entouré de ses

a et les bandelettes optiques subdivisent la commissure grise de la base en deux régions : 1° Une petite région antérieu

oré postérieur au cerveau moyen. Nous étudierons successivement : Base 41n cerveau. Commissure prise de la hase de I

ttes optiques sont aplatis et adhérents à la commissure grise de la base . Le chiasma des nerfs optiques est aplati de haut

ique; sa face supérieure, jja adhérente à la commissure grise de la base , fait partie de la paroi inférieure .. du trois

et adhérentes par leur face supérieure à la commissure grise de la base , dans toute la partie avoisinant le chiasma des

ord postérieur du chiasma et forme la commis- sure inférieure de la base du cerveau ou commissure de Gudden (fig. 184).

considérable (fig. 184, r185, 18G). Dans la commissure grise de la base , on trouve au-dessus de la bande- lette optique

tubercules mamillaires. Il fait partie de la commissure grise de la base et se continue en avant, par l'intermé- diaire

du corps pituitaire, aussi le tubercule cendré est-il encore appelé base de l'infundibulum. p) La tige pituitaire ou l'i

à son centre d'un orifice pour le passage de la tige pituitaire. Sa base est entourée d'un cercle vei- neux, formé latér

ité crânienne, à l'union de la partie chordale et préchordale de la base du crâne. La moitié postérieure du losange opto

es carnassiers. Ces tubercules reposent sur la commissure grise de la base qui forme la paroi inférieure du troisième vent

-^§%^îe8'|flfevîle cérébral on trouve, dans la commissure grise de la base , un petit ganglion réniforme, qui ne fait qu ex

iforme, qui ne fait qu exceptionnellement saillie chez l'homme à la base du cerveau, c'est le tubercule mamillaire latéral

rou borgne connu sous le nom de fossette inter-pédonculaire. Par sa base , il répond aux tubercules mamillaires, par ses

x tubercules mamillaires parcourt l'espace inter-pédonculaire de sa base au trou borgne et le divise en deux moitiés sym

, et leur configuration extérieure peut être faite avec celle de la base du cerveau. La région des pédoncules cérébraux, c

a forme d'un triangle à sommet tronqué et à bords arrondis, dont la base est antérieure, le sommet postérieur et les fac

es saillies qui correspon- dent aux tubercules quadri jumeaux. La base est fortement échancréc et présente, sur la ligne

ceaux de fibres, étendues du bord supérieur de la protubérance àla base du cerveau dans laquelle ces fibres pénètrent,

uve en- globée dans la substance grise de la commissure grise de la base . Mais sur les coupes microscopiques, soit horiz

ils occupent toute la partie latérale du cerveau moyen, atteignent la base du cerveau, et sont connus sous le nom de lobes

hémisphère. Ces organes, étendus du sinus du corps calleux (sec) à la base du cerveau, ne peuvent être étudiés dans leur e

r former la couronne rayonnante ou le grand soleil de Reil, dont la base , légèrement étranglée au niveau du noyau caudé, e

u putamen (Voy. Embryogénie, p. 110 à '119). Sur la face externe ou base du noyau lenticulaire (NL3), on trouve, appliqu

lu le nom de lobule du corps , strié. Les trois gros noyaux de la base du cerveau, sont encore décrits sous . le nom d

interne. 1° Corps calleux. Lorsque sur un cerveau reposant sur sa base , on écarte les deux hémis- phères (fig. 197), l

e mince lamelle de substance blanche, la commis- sure blanche de la base de Henle, la lame du genou de Burdach, laquelle s

géminée de Reil, se présente sous la forme d'un triangle isocèle à base postérieure (fig. 200), situé au-dessous du corps

postérieur du bounrelet du corps calleux, un espace triangulaire, à base postérieure, à sommet antérieur, connu sous le

icule moyen (V.i) et des trous de Monro (TM). Plus rapprochés de la base du cerveau et de la ligne médiane en avant, ils

olfactif. L'orifice postérieur de ce canal est situé très près de la base de la corne frontale, en avant de la partie rec

l'étage supérieur du ventricule latéral, et avec la pie-mère de la base du cerveau, au niveau de l'étage inférieur. Ces

ct d'une fente antéro-postérieure ou d'un entonnoir aplati, dont la base dirigée en haut est coupée obliquement en bas et

ige du corps pituitaire (fig. 211). On peut donc lui considérer une base , un sommet, deux parois latérales et deux bords

Th), est formée en avant et en dedans par la commissure grise de la base (losange opto-pédonculaire, tuber cinereum, sub

ceptent avec la commissure antérieure une fossette triangu- laire à base inférieure, la vulve des anciens anatomistes. L

ent et de haut en bas : 1° dans la région thalamique (fig. 211), la base de la glande pinéale (Gp), la commissure blanch

supérieur et postérieur du cervelet. - ll, commissure blanche de la base de Henle. Ly, lyre ou psalterium. - No, nodule

lette optique. 366 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Son sommet. Sa base . Ticnia thalami et ganglion de l'habé- nnla

trémité effilée dans la moitié supérieure de la tige pituitaire. Sa base (fig. 213), allongée dans le sens antéro-postérie

u cerveau intermédiaire. De forme triangulaire, à sommet antérieur, à base postérieure, elle s'étend horizontalement au-de

donnent insertion aux plexus choroïdes des ventricules latéraux. Sa base se dédouble en deux feuillets, le supérieur se

substance blanche des lobes frontal ou temporal, et appa- raît à la base du cerveau au niveau de la partie antérieure de l

eure du corps strié (fig. 240 et 241). Elle apparaît librement à la base du cerveau, ainsi qu'il est facile de s'en conv

situé en dedans et en bas regarde le pédoncule cérébral et, dont la base convexe répond au lobule de l'insula. Sa surfac

considérer trois faces et trois bords. La face externe répond à la base du coin; elle est convexe dans le sens vertical

ucléer ; elle ne donne La tête du noyau caudé fait saillie à la base du cerveau. La queue n'est visi- ble qu'en pa

rtie du plancher du ventricule laté- ral ; elle est triangulaire, à base antérieure, et recouverte par l'épendyme ventri

inar, la face supérieure présente une petite surface triangulaire à base postérieure, le triangle de l'lcabézztcla, ainsi

anière d'un coin entre les deux précé- dents et fait saillie par sa base dans le ventricule latéral, où il forme le tube

cule cérébral. A cause de ses connexions avec les noyaux gris de la base , la capsule interne ne peut être convenablement

it des rapports que ces derniers affectent avec les ganglions de la base , ces coupes sont totalement insuffi- santes. En

i forme à la face inférieure du cer- veau la commissure grise de la base de Renie. Elle intéresse la première circonvo-

trouve une région triangulaire, la zone de 11%ernicl,w (W), dont la base coiffe le corps genouillé externe et dont le somm

xtrémité antérieure du sillon cal- loso-marginal. Elle intéresse la base du cerveau au niveau de la substance perforée a

dent il la partie externe de la substance perforée antérieure de la base . La couche grise située en dedans des orifices

du cerveau, en parti- culier à la fossette interpédonculaire (Voy. Base du cerveau, p. 3c ? 1). Le pied du pédoncule cé

) et le corps genouillé externe (Cge), commence à se détacher de la base du cerveau à laquelle il n'est relié que par sa

s dessins que dans leurs rapports avec la région sous-optique et la base du cerveau anté- rieur. Nous renvoyons aux coup

dans toute sa longueur; le pédoncule cérébral (P) est séparé de la base du cer- veau et il est facile de reconnaître da

el.culema11tillail.e(Tm)etlepiliel.antél.ieu1.dut1.igone(Tga). A la base du cerveau antérieur, immédiatement en avant et e

est caractéristique; elle présente un aspect triangulaire, dont la base correspond au fond du diver- ticule du subiculu

noyau caudé a dis- paru, on ne trouve, comme noyau appartenant à la base du cerveau antérieur, que le noyau muyydalien (

La face inférieure ou orbitaire repose sur l'étage supérieur de la base du cràne; la face externe est en rapport avec l

terne du lobe frontal. Ventricule latéral et noyaux gris de la base . La coupe n° 30 (fit. 237) passe par la parti

e telles décrivent un arc autour de l'insula et des ganglions de la base . (Voy. tig. 177, 179, 182.) La surface de secti

cingulum (Cing) présente un aspect triangu- laire ou pyriforme, la base du triangle repose sur le corps calleux (Ce), le

noïdal ; la partie moyenne est occupée par les gros ganglions de la base qui forment avec la face interne du lobe sphéno

e l'espace perforé antérieur (Epa), ainsi qu'avec les ganglions de la base (coupe n° 66, fig. 246), et, à la place des éco

e commissural, commissure antérieure (coa). " . Noyaux gris de la base et ventricule latéral. Coupe n° 55 (fig. 243).

ve labandelette optique (II) enclavée dans la substance grise de la base du cerveau. Le troisième ventricule (Va) se prése

utamen (NI.,) en dehors, et le globus pallidus (NL2, 1) en dedans. La base du pu/amen (nul.,) s'unit a l'acllu/-11/.UI' (A

ors, a mesure que le pédoncule cérébral (P) se détache librement à la base du cerveau. La bandelette (II) n'est adhérente

ou la zone de l1'cl'lliclw (W) pré- sente un sommet supérieur, une base inférieure; ses côtés latéraux correspon- dent,

ventriculaire réappa- raît. Elle est triangulaire et présente une base inféro-interne et un sommet interne. La coupe n

la cavité ventriculaire, et la masse commune concourt il former il la base de l'hémisphère la substance perforée antérieur

quatre noyaux précédemment indiqués, un espace triangulaire, dont la base est formée par le pulvinar (Pul), la commissure

on sommet se dirige du côté de la fente céré- In'ale de liiehat, sa base est adhérente à la substance grise de l'espace pe

Le sommet de l'éventail, répond à la bandelette optique (II) et sa base à la limite supérieure du noyau caudé (NC). Lor

') représente sur cette coupe le der- nier vestige des ganglions de base . Cependant, au-dessous du sillon marginal supér

de la circonvolution pariétale inférieure (P= Gsm) correspond il la base du gyrus supra-marginalis (OpP2,Gsm). La partie p

triangle, dont le sommet correspond à la vallée de Sylvius, dont la base répond -Il l'opercule rolandique (OpR), dont le c

térieure de la scissure de Sylvius (S [a]). Le sillon qui délimite la base de l'insula, sillon marginal supérieur (ms), es

eau, puis se porte transversalement en dedans jusqu'au niveau de la base du gyrus reclus (oFl). La direction des fibres

riangulaire ou pyriforme, dont le sommet regarde en dedans, dont la base repose sur les fibres calleuses; il est formé d

t séparé par quelques fibres propres il la région, et repose par sa base sur les fibres calleuses. L'écorce de la région

artie du troisième ventricule; sa moitié inférieure appartient à la base du crâne, où elle occupe l'espace compris entre

nchevêtrent les unes avec les autres et apparaissent librement à la base du cerveau, où elles constituent, ainsi que le

coude que présente le faisceau longitu- dual inférieur (Fli), il la base de la circonvolution du lobule fusiforme. Les r

AU. 333 ventriculaire. Elle n'intéresse donc aucun noyau gris de la base , mais exclusivement la masse blanche des circon

mité en dehors par des fibres à direction verticale, qui relient la base du lobe occipital la convexité et consti- tuent

le faisceau longitudinal inférieur présente un coude au niveau de la base de chacune des circonvolutions qui le limitent.

, ces fibres se continuent avec ce dernier faisceau au niveau de la base du lobule lingual; en avant on les voit s'irrad

en avant et en dedans. , La capsule interne, les noyaux gris de la base ne présentent ici rien de par- ticulier à noter

sant par la ligne D de la fig. 294. Cette coupe, très voisine de la base du cerveau, sectionne la face orbitaire des circo

mp de Wernicke (W) affecte une forme irrégulièrement triangulaire à base inférieure; sur les coupes horizontales, il pré

rrespond à l'origine du faisceau de Vicq d'Azyr (VA), aborde par sa base le noyau antérieur (Na) et est croisé parles fibr

nte sur cette coupe, sous l'aspect d'un champ triangulaire, dont la base embrasse le faisceau de Vicq d'Azyr (VA), dont

ubstance grise diffuse, non réunie en noyau, qui se confond avec la base du deuxième segment du noyau lenticulaire (NL2)

lette optique (II) deviendra libre et sé- parera le pédoncule de la base du cerveau. Le segment postérieur de la capsule

dit (P), que la bandelette optique (II) sépare de plus en plus de la base du cerveau. Par sa moitié antérieure, le pédonc

au. Par sa moitié antérieure, le pédoncule est encore adhérent à la base , il répond par sa face interne à la partie sous-t

e toute l'étendue de sa partie latérale. On la suit en effet, de la base du noyau caudé (NC) jusqu'à la partie antérieure

, c'est-à-dire jusqu'au niveau du coude, que ce faisceau forme à la base de la première circonvolution temporale (T,) : La

nl (\L,) n'est représenté que par la couche de fibres qui double sa base , et qui forme l'anse du noyau lenticulaire (Al).

commissure de Meynert (CM). Le pédoncule céréG°al (P) ne tient à la base du cerveau, comme nous l'avons dit plus haut, que

Sylvius (Aq). Le pied du pédoncule cérébral (P) n'est adhérent à la base du cerveau qu'au niveau de son tiers interne.

érieur (Fli). Ce dernier faisceau présente un coude au niveau de la base de chacune des circonvolutions qui le limitent, e

'écorce insulaire; au sur et il mesure que l'on se rapproche, de la base du cerveau, il s'élargit et s'étale. Sur les coup

intime existant entre ces différents organes, qui appartiennent à la base du cer- veau, et qui présentent un développemen

antérieur (Epa). Le pied du pédoncule cérébral(P)ne lient plus Ü la base du cerveau que par le luter (Te) et la partie s

postérieure de cette dernière, et forment un faisceau triangulaire il base interne, constitué presque exclusivement par de

dans. Ces libres forment le faisceau lenticulaire de Forel (FI). La base de ce faisceau est traversée par le pédoncule inf

s'est accru, le corps genouillé interne (Cgi) s'est rapproché de la base du cerveau, dont il est séparé encore par le br

on trouve les tubercules mamillaires (Tm), qui ne sont reliés à la base du cerveau que par un mince pont de substance g

la troisième paire. Le groupe dorsal, de ce même noyau siège il la base du faisceau longitudinal posté- rieur (Flp), da

(II). Son cinquième postérieur ou externe est encore adhérent il la base du cerveau, et reçoit au niveau du iroi- sième

. Cette coupe passe par le pédoncule cérébral (P), et du côté de la base du cerveau, par la paroi supérieure du prolonge

(Vsph). Le pédoncule cérébral (P) n'est plus relié maintenant à la base du cerveau que par les corps genouillés interne

fibres Au pied du pédoncule, peu de temps après leur émergence à la base du cerveau. Les fibres sectionnées obliquement

prolongement sphénoïdal du ventricule latéral (Vsph). Du côté de la base du cerveau, le putamen (NL3), formé de petits îlo

nettement délimité en arrière; il ne reçoit plus aucune fibre de la base du cerveau. Le pied du pédoncule cérébral, de mêm

ébral est complètement libre et n'adhère plus il aucun organe de la base du cerveau. Le noyau rouge (NR) a diminué de volu

dont le sommet est dirigé vers la superficie du cerveau et dont la base est inférieure, et donne naissance au cylindre-

re est granuleux, d'ap- parence striée, et contient au niveau de la base un amas de granulations pigmentaires d'un jaune

la cellule pyramidale naît par un petit cône d'origine, soit de la base même de la cellule, soit d'une dendrite basi- l

le corps de l'animal, et les dendrites du tronc principal et de la base sont plus courtes et moins nombreuses (Cajal).

a zone superficielle sont pyramidales ou étoilées, enclavées par leur base dans la couche des cellules polymorphes (fig. 3

niveau de la partie inférieure du septum lucidum qu'au niveau de sa base . Quant à la face du septum bordant le ventricul

assemblent au niveau de son angle antéro-inférieur, et forment à la base du cerveau le pédoncule du septum lucidum. Elles

inceaux serrés; elles atteignent, sans déviation dans leur trajet, la base de la circonvolution et la masse blanche sous-j

rges, les libres plus longues, celles-ci passent quelquefois sur la base de la circonvolution la plus voisine, pour relier

ibres, ne forme pas un feu- trage inextricable, sauf toutefois à la base des circonvolutions. S'il est vrai qu'il n'exis

oitié inférieure de la première circonvolution limbique (LJ. Par sa base il re- pose sur le corps calleux (Ce), au nivea

l'hémisphère ce que le cingulum est il la face interne; situé à la base des circonvolutions de l'opercule sylvien, en deh

du bourrelet du corps calleux et longent, pendant quelque temps, la base des circonvolutions pariéto-occipito-tempurales.

e dernière et l'avant-mur, son angle inféro-cxterne correspond à la base des circon- volutions de l'opercule sylvien; so

xyline et se dif- férencie difficilement, de la masse blanche de la base des circonvolutions de l'opercule sylvien. ,

pyriforme, et mesure environ un demi-centimètre d'épaisseur; par sa base il repose sur la couronne rayonnante, par son som

et s'irradient dans l'extrémité anté- rieure du lobe frontal. De la base du faisceau occipito-frontal, on voit en outre

pond au bord inféro-externe de l'hémisphère, et en particulier à la base des circonvolutions troisième temporale (T.,) e

férieure limite le diverticule du subiculum (ds) en bas, tapisse la base du lobule fusiforme (Fus) et du lobule lingual (L

niveau de l'ergot de Morand le stratum calcarinum (fig. 384). A la base du ÉKË cunéus, les deux bords de la gouttière s

iation propres au lobe occipital (voy. p. 780); elle présente il la base de chacune des circonvolutions qui la limitent

e. Faisceau basai in- terne de Burdach. l'entre-croisement à la base des circonvolutions, des fibres commissurales,

(oF,, mli,, [Gr]), puis concourt à former la commissure blanche de la base de Henle et s'entre-croise avec celui du côté o

alamiques (RTh) et le faisceau longitudinal inférieur (Fli). Par sa base , le cône creux du forceps s'adosse à la partie su

comme suit : les fibres dégénérées de la pointe occipitale et de la base du cunéus revêtent la partie postérieure de la

téresse le pli courbe (Pc), la scissure pariéto-occipitale (po), la base du cunéus (C) et la partie moyenne du lobule li

erbale pure. Plaque jaune ancienne- indiquée par des hachures-de la base du cunéus, de la pointe occi- pitale, de la par

au niveau de la paroi inférieure de la corne occipitale (Voc), à la base du lobule fusiforme (Fus), la partie antérieure

ommissure antérieure est recouverte par la commissure blanche de la base de Henle, fait un léger relief en avant du bec

de la cap- sule externe. Capsule extrême (Ce, fig. 375) dont la base , croisée par les fibres du faisceau arqué ou lon-

lle épinière, et représente dans son ensemble un vaste cùnc dont la base correspond à la corticalité cérébrale et le som-

onnante. Elle correspond, en effet, à la fusion .du putamen avec la base du cerveau antérieur, en particulier avec le no

scicules onduleux. Elle présente un angle légèrement saillant, à la base de chacune des trois circonvolutions frontales qu

court, tapisse le fond du sillon olfactif (fi) et se ter- mine à la base du gyrus reclus (oF, [Gr]), qui lui envoie de nom

e de Forel et l'anse lenticulaire. Coupe horizontale intéressant la base du noyau lenticulaire et la partie supérieure d

p. 309) : son sommet atteint en avant le noyau amygdalien (NA); sa base est ados- sée à la partie inférieure du segment

ORCE CÉRÉBRALE. 61 Fig. 42. - Coupe sagittale des ganglions de la base et de la partie adjacente du tronc encéphalique

et 3e ordres) et par deux relais ganglionnaires : les ganglions de la base du cer- veau (corps opto-striés, tubercules qua

erfs crâniens). L'écorce cérébrale était reliée aux ganglions de la base par le système de projection de premier ordre don

emier ordre dont les fibres abordaient cha- cun des ganglions de la base par une de leur face ou pôle (pôle central de Mey

onc encéphalique (pâle périphérique de Meynert) les ganglions de la base émettaient le système de projection de deuxième

de la pointe et de la face interne du lobe occipital intéressant la base du cunéus, l'écorce des lèvres des scissures ca

lésions. Plaque jaune ancienne - indiquée par des hachures - de la base du cunéus, de la pointe occi- pitale, de la par

ure. Cas Courrière. Cé- cité verbale pure. Plaque jaune de la base du cunéus et de l'écorce des lèvres des sciss

EUX. Cas Courrière. Cé- cité verbale pure. Plaque jaune de la base du cunéus et de l'écorce des lèvres des sciss

I. 8 Cas Courrière. Cé- cité verbale puro. Plaque jaune de la base du cuneus et de l'écorco des lèvres des sciss

e au niveau de la paroi inférieure de la corne occipitale (Voc), la base du lobule fusiforme (Fus), la partie antérieure

du fond de la scissure calcarine est sclérosée et qu'il existe à la base des circonvolutions du cunéus un foyer sous-corti

nd de la scis- sure calcarine et le foyer anfractueux qui occupe la base des circonvolutions du cunéus. Dégénérescence d

hors et à peu près parallèle au plan de section des ganglions de la base du cas Schweigoffer (Fig. 116) passe par la voûte

ecouvre les couches sagit- tales et se prolonge en avant jusqu'à la base du gyrus supra-marginalis; 2« du long faisceau

omplètement séparé la convexité des hémisphères des ganglions de la base , lesquels ne sont reliés au manteau qu'à leurs

tendre à ne pas trouver de capsule interne dans les ganglions de la base . Or il n'en est rien. La capsule interne est faci

des différentes bran- ches de l'artère sylvienne (Fig. 199). A la base du cerveau (Fig. 199) on distingue un losange opt

atéral. Remarquer la situation du trigone entre les ganglions de la base , l'éperon saillant formé par le fond de la scis

n, à surface finement réticulée et qui correspond aux ganglions de la base du cerveau (corps opto-striés). Plus en dehors

r la scissure interhémisphérique (sih), entoure les ganglions de la base et les sépare du fond de la scissure de Sylvius (

e com- missure, et sans connexion aucune avec les ganglions de la base . L'écorce du rhinencéphale (circonvolution de l

les piliers antérieurs. L'indépendance complète des ganglions de la base d'avec le manteau cérébral nous indique que cet

ine ou se terminent dans les corps opto-striés. Les ganglions de la base et la partie adjacente de l'écorce cérébrale ont

également moins riche en fibres à myéline. 2° Les ganglions de la base du cerveau (Fig. 202 à 207) séparés l'un de l'aut

ligne a a indique la direction suivant laquelle les ganglions de la base ont été débitées les coupes hori- zontales obli

iée de la face externe de l'hémisphère droit. - GB, ganglions de la base (corps ol)10-sti,iés). - Hg, les circonvolution

uer la situation du trigone cérébral (Tg) entre les ganglions de la base (GB) et ses connexions en avant avec la partie in

mme dans le cas Longery, deux saillies ovoïdes, les ganglions de la base ou corps opto-striés séparés l'un de l'autre à

que, à un certain stade de leur développement, les ganglions de la base , en particulier le putamen, sont intra- ventric

irement, après la soudure du manteau céré- bral aux ganglions de la base dans la région où la capsule interne se continue

iteiliémisphérique; elle est limitée en bas par les ganglions de la base (corps opto-strié), le trigone cérébral et la fac

bité en coupes vertico-transver- sales sériées, les ganglions de la base avec la région oibitaire du lobe frontal et la

entricule, mais commence à se déjeter en dedans et à se réunir à la base des circonvolutions de la face interne de l'hémis

CSgt) poursuit son trajet antéro-postérieur jusqu'aux ganglions de la base où il se divise en deux parties : l'une longe l

supérieur de la cou- ronne rayonnante abordent les ganglions de la base en concourant à former les seg- ments antérieur

de la porencéphalie et de l'absence de soudure des ganglions de la base au centre ovale - elles changent de direction dan

sagittales et les quelques fibres qui arrivent aux ganglions de la base empruntent la voie des segments antérieur, postér

de section ovalaire, à trajet sagittal, qui longe de chaque côté la base de la circonvolution du corps calleux dans la rég

céphalie. Coupe horizontale oblique passant par les ganglions de la base et l'écorce du lobe orbitaire. Cette coupe se

dans la membrane épendymaire (Ep) qui recouvre les ganglions de la base ; un certain nombre de fibres entrent dans la c

la couronne rayonnante se divisent en abordant les ganglions de la base en deux parties inégales : l'une se poi te en ded

ES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉ13 U A LE. 213 Les ganglions de la base (Fig. 220 à 230) comprennent un noyau caudé, un n

s l'épaisse membrane épendymaire qui recouvre les ganglions de la base (comparer les Fig. 22G et 227 avec les Fig. 202

tes est intime, précoce, et l'union de ces deux images constitue la base première, tou- jours présente du langage intéri

ment l'hypothèse d'un centre graphique n'a jamais été étayée sur des bases clini- ques et anatomo-pathologiques précises,

atteint le genou et le segment postérieur de la capsule interne, sa base est tapissée par l'épendyme ventriculaire. Il env

petit faisceau sectionné perpendiculairement à son axe occupant la base de la crête épendymaire qui donne insertion aux

- parente qui se continue avec la lame terminale embryonnaire de la base du cerveau. Celte lamelle n'est nulle part adhé

levée, qui sépare à leur partie antérieure les deux ganglions de la base . Cette cloison n'est autre que la partie inféri

ercule mamillaire et la bande- lette optique, et qui détermine à la base du cerveau un relief constant, mais plus ou m

Tap) sont dégénérées à la suite d'une lésion en foyer siégeant à la base de la première circonvolution temporale et sect

elques cas rela- tivement rares, le noyau externe fait saillie à la base du cerveau dans le losange opto-pédonculaire, e

lenticulaire, mince en haut, un peu plus épaisse au voisinage de la base de ce noyau, elle est lovii : u. 21 Les deux

rallèle à ceux de la lame médullaire interne qu'ils renforcent à la base du noyau lenticulaire. Quelle que soit la direc

n dans l'anse lenticulaire, lorsque la lésion destructive occupe la base du noyau lenticulaire, en particulier du globus

érées ne traversent pas la capsule interne, mais se détachent de la base du noyau lenticulaire et prennent la voie de la c

érieur de la capsule interne (Cip), longer sa face externe, puis la base du noyau lenticulaire et entrer dans la constitut

DES CENTRES NERVEUX. FiG. 310.- Coupe sagittale-des ganglions de la base et de la partie adjacente du tronc encéphalique

upes vertico-transversalcs une forme irrégulièrement triangulaire à base infé- rieure, que Wernicke a comparée à une cor

es coupes, il affecte la forme d'un coeur de carte à jouer, dont la base regarde en haut, en arrière et en dedans, dont le

phériques et plus voisines du sommet du corps genouillé externe. La base de ce ganglion est en rapport avec la substance

nt en avant de son embouchure dans le 3e ventricule et imprime à la base du triangle sous-pinéal une striation trans-

du côlé opposé, par un faisceau de fibres transversales, situé à la base de la glande pinéale, et qui forme la commissur

alami se présente sous la forme d'un faisceau triangulaire, dont la base se continue avec le stratum zonale (Strz) des f

de forme ovoïde ou conique, dont le sommet regarde en arrière et la base en avant. Du volume d'un petit noyau de cerise ou

t, ainsi qu'à la petite circonférence de la tente du cervelet. La base de la glande pinéale est très rétrécie et se dédo

s-optique constitue une pyramide horizontale à quatre pans, dont la base située en arrière est sectionnée obliquement en

et antérieur (Fig. 310). Il résulte en outre de l'inclinaison de sa base que les coupes horizontales, qui passent par la

considérer à la région sous-optique quatre faces, un sommet et une base . Les faces sont supérieure, inférieure, interne e

ace externo. 394 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Son sommet et sa base . La couche dorsale de la région sous- optiq

a région sous-optique correspond au pilier antérieur du trigone; la base , en continuité directe avec la calotte pédonculai

sparu lorsque le pied du pédoncule cérébral apparaît librement à la base du cerveau, au-dessous de la bandelette optique

US-OPTIQUE. 403 de la lame inter-pédonculaire, elle s'épaissit à la base de la tige pituitaire et de chaque côté du tube

édiane les éminences latérales du tuber cinereum, il détermine à la base du cerveau une saillie très marquée chez le foe

onculaire; au-dessus et en arrière des tubercules mamillaires, à la base de la lame interpédonculaire, la commissure de Fo

est située au-dessus et en arrière des tubercules mamillaires, à la base de la lame perforée postérieure, et ne doit pas

s du chiasma, mais de chaque côté elle apparaît à l'extérieur de la base du cerveau, en arrière de la bandelette optique

les cérébraux, adhèrent comme le chiasma à la substance grise de la base de l'encéphale, puis se divisent chacune en deu

ts de l'appareil visucl se réunissent donc dans les ganglions de la base du cerveau (corps genouillé externe, pulvinar, tu

inférieure du nerf optique et se présente sous l'aspect d'un coin à base périphérique et àsommetcentral. Le faisceau nas

entre du nerf optique, s'épaissit à ce niveau de telle sorte que sa base devient centrale et son som- met périphérique (

dans, longent la périphérie antérieure du chiasma, se coudent il la base di nerf optique conlrolatéral, pénètrent même à

xiste pas : les fibres du faisceai nasal, après s'être coudées à la base du nerf optique controlatéral, se por tent en e

s deux bandelettes, c'est donc dans la substance grise centrale de la base du cerveau qu'il faut chercher chez l'homme l'h

laque hématoxylinique, plongés au sein de la substance grise de la base du cerveau et que Schlagenhaufer a pu suivre ju

coeur de cartes à jouer, dont le sommet tronque est en avant et la base échancrée en arrière. L'échancrure postérieure,

;)0 la lame trans- Les sillons pro- fonds no pew cnt servir de base à une classification des lo- lcs dn cervclet.

ntre les deux pédoncules cérébelleux supérieurs qu'il recouvre à sa base . Pour l'apercevoir il faut ou bien renverser le

t corps avec la valvule de Vieussens etadhère intimement à la base , des pédoncu- les cérébelleux su- périeurs et

u dédoublée, appliquée sur la valvulc de Vieussens (Fig. 336). La base du lobe de la lingula se continue avec le lobe ce

vermis et des hémisphères, et affecte des rapports intimes avec la base du pédoncule cérébelleux supérieur et la partie

les ou parties hémisphériques du lobe central (Fig. 334, 339). La base d'implantation de ce lobe est étroite; elle est s

rmer; dans la région des hémisphères, elle se place entre l'étroite base d'implantation des freins de la lingula et la l

l'étroite base d'implantation des freins de la lingula et la large base du lobe quadrilatère antérieur (Fig. 358). Les

al, présente les plus grandes variétés individuelles. Tantôt ces Sa base d'imld,m tation. Lobe central. Ailes du lob

tation. Lobe central. Ailes du lobe cen- tral. Rapports. Base d'implanta- tion. Ses lames et la- mellco.

un dédoublement du lobule suivant. Le lobe du culmen présente une base d'implantation, étroite au niveau du vermis, pl

bstance blanche centrale, et il résulte de cette disposition que la base d'implantation du lobe quadrilatère antérieur s

ffilent pro- gressivement et forment une sorte cle triangle dont la base s'adosse au vermis et dont le sommet tronqué at

ermis, el le lobe quadrilatère dans la région hémi- sphérique. Sa base d'implan- tation et la branche \ erticale de

nds dans la moitié exté- rieuro do leur partie hémisphérique. Base d'implanta- tion et branche hori- zontale de

la branche horizontale (bh) de l'arbre de vie médian (Fig. 336). La base d'inser- tion de ce lobe est large dans la régi

ntérieur. Elle se comporte en d'autres termes en sens inverse de la base d'insertion du lobe du culmen, laquelle, étroit

spect très analogue à celui de la lingula. La pyramide présente une base d'implantation mince et étroite, située à la fa

ar une mince crête d'union aux ailes de la pyramide (Fig. 34.5); sa base est en rapport, de dedans en dehors, avec : 1°

s de la pyramide (Fig. 345). Le lobe digastrique présente une mince base d'implantation dirigée obliquement en arrière e

r le nid d'hirondelle, la face antérieure du lobe digastrique et la base d'implantation du lobe de l'amygdale. Le cervelet

rès la photographie d'une pièce durcie dans l'alcool.) M.' ? ( : ), base d'implantation de l'amygdale. Floc, flocculus. -

Nid d'hirondelle. Amygdalos. 474 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Base tl'lml'lulItu- Base d'implanta- tion latérale

mygdalos. 474 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Base tl'lml'lulItu- Base d'implanta- tion latérale Faces quablcs par

ittale de leurs lamelles (Fig. 314) et la situation de leur étroite base d'implantation qui est latérale (Fig. 316) et n

des amygdales. - (Méthode de Weigert-Pal.) Amg, amygdales. pAmg, base d'implantation latérale de l'amygdale. fec, feutr

rotubérantiel ou protubérantiel inférieur marque la limite entre la base du bulbe et le pont de Varole et s'étend en dehor

erfs mixtes. On voit sur sa ligne médiane la fossette médiane de la base du bulbe, trou borgne de Vicq d'Az.'Jr, for ame

bturatrice du quatrième ventricule (loV'), de forme triangulaire, à base supérieure, et dont les angles latéraux se prol

u- ralrice du quatrième ventricule est une membrane triangulaire, à base supérieure, qui forme le versant inférieur du t

ui forme le versant inférieur du toit du quatrième ventri- cule. Sa base est fixée sur la ligne médiane à la substance bla

. Ces der- niers se dirigent transversalement en dehors, longent la base de la toile choroïdienne, s'insèrent au bord de

e côté deux diverticules latéraux (rlV;, Fig. 348) qui entourent la base du bulbe. En bas, elle se rétrécit de nouveau e

arrondie, irrégulièrement triangulaire ou qua- drangulaire, dont la base , légèrement convexe, s'adosse aux funiculi terete

lée, plonge dans le bec du calamus et la partie fermée du bulbe; sa base n'atteint pas la ligne d'insertion de la voûte

ertion des freins de la lingula et des ailes du lobe central sur la base du pédoncule cérébelleux supérieur et du pédonc

, aux minces lamelles implantées sur les ailes de la luette et à la base d'insertion de l'amygdale. Puis la ligne d'arrê

trale du vermis (coupe S2, Fig. 359). Il est situé en arrière de la base de la lin- gula et du lobe central, au-dessous

à 15 millimètres de longet s'étend dans le sens sagittal depuis la base d'insertion de la pyramide du vermis jusqu'à 3 ou

e la pyramide du vermis jusqu'à 3 ou 4 millimètres en arrière de la base de la lingula. Les coupes horizontales qui inté

s horizontales inférieures (coupe C5, Fig. 361), qui intéressent la base d'insertion du nodule, permettent seules de recon

trale des hémisphères; les plus longs atteignent le voisinage de la base d'implantation des axes des principaux lobes hémi

onstituent dans leur ensemble une couche mal délimitée, située à la base des lobes et lobules, et que nous désignerons s

ve cérébelleuse et le pédoncule cérébelleux moyen, et dont la large base s'adosse à l'angle postéro-externe de la calotte

se nattent en se croisant, écartent violemment l'une de l'autre la base des deux cornes antérieures (coupes H,19, H20,Fig

lles descendent dans la substance grise centrale de la moelle, à la base de la corne postérieure, puis réintègrent le fa

rmation réticulée, de chaque côté du raphé, un champ triangulaire à base antérieure, étendu de la substance grise centra

oissance volumineuse reliée il la formation réticulée par une large base d'implantation; elle est. entourée en cupule pa

égion un aspect piriforme ou triangulaire, à sommet postérieur et à base antérieure, reliée au ruban de, Reil médian par

posté- ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 595 rieure et il la base de sa branche de bifurcation antérieure; celle-ci

arciformes internes ou interréticulées (fai) qui se détachent de la base d'insertion du noyau de Burdach (\CB). Les fascic

dans le sens vertical; elle se développe en arrière aux dépens des bases d'implantation de la branche horizontale de l'arb

ongés dans le sens sagittal et dont le postérieur s'insinue dans la base d'implantation de la branche horizontale de l'a

a se réduit à son frein, mince lamelle cérébelleuse qui recouvre la base du pédoncule cérébelleux supérieur (Pes) et envoi

g.408), s'étalent dans la région des hémisphères sur une très large base d'implantation, qui correspond à toute la moiti

it rapidement dans la région des hémisphères, et s'implante par une base distincte de celle de l'amygdale sur la substance

bre de vie s'épaissit et s'élargit considé- rablement, surtout à sa base d'implantation sur la substance blanche centrale

sente sous l'aspect d'une masse arrondie et bos- selée, située à la base d'implantation de l'axe de la pyramide et qui env

MIE DES CENTRES NERVEUX. lunaire inférieur s'étalent de même à leur base d'implantation, au sur et à me- sure que la sub

âce à l'ac- croissement de la substance blanche centrale - par deux bases d'implantation distinctes. Ainsi se trouve do

fibres différenciées (fibres semi-circulaires externes, toison) de la base des lobes et lobules et qui est particulièremen

bé- rance sont séparés l'un de l'autre par un espace triangulaire à base antérieure, renfermant de nombreux et denses fa

bres semi-circulaires externes (fsme) sec- tionnées obliquement; sa base est volumineuse et s'adosse à la grosse racine de

upe une sorte de bulbe nettement limité en arrière et dont la large base contient de nombreuses fibres longitudinales sill

ôté, l'embole ou noyau du bouchon (Nem), noyau triangulaire dont la base regarde la région de transition entre le vermis

, cavité qui s'élargit graduellement à mesure que l'on approche de la base de la lingula et des noyaux du toit. La paroi a

ule de Tarin (VT); à droite, sur un éperon épen- dymaire situé à la base du pédoncule du flocculus (PFloc). La cavité vent

le; elles présentent toutes une surface de section trian- gulaire à base postérieure et d'autant plus accentuée que la cou

nt qui concourt à former le plancher du quatrième ventri- cule ; la base est plane et appartient au quatrième ventricule l

euvent être suivies jusqu'à l'épais faisceau de fibres qui longe la base des noyaux des cordons postérieurs (NB, NG). Ces

épinière. Un autre conglomérat de fibres se rencontre toujours à la base et en avant de la substance gélatineuse de Rola

oll et de Burdach ne sont plus unis entre eux, qu'au niveau de leur base d'implanta- tion sur la substance grise central

nombreuses et fines fibres qui se portent en avant, et forment à la base du noyau un faisceau volumineux et horizontal e

(NB) représente une sorte de monticule qui s'implante par une large base sur la substance grise centrale, et du sommet d

orme en massue ; son bord postérieur con- vexe est encore large, sa base devient de plus en plus étroite à mesure que l'on

nsidérable quel' entre-croisement piniforme, refoulent en dehors la base des cornes antérieures et la mince couche de fi

rsent la partie postérieure de la corne latérale (Col) en avant de la base de la corne postérieure. Coupe H21,H22,H23 (F

supérieure ; on y distingue une corne antérieure reliée par une large base à la substance grise centrale et une corne post

es rares fibres horizontales qui traversent en fascicules onduleux la base d'insertion delà corne antérieure et la partie

s antérieures, un aspect triangulaire, à sommet antérieur; sa large base s'adosse aux cordons postérieurs (Cop). Elle cont

isposition à la fois réticulée et fibrillaire de la chromaline à la base de la cellule, la chromaline présente une disposi

, et un prolongement central ou cylindre-axile qui se détache de la base ou des parties latérales du corps cellulaire, t

l par Golgi. Il naîtpar un cône d'origine du pôle inférieur ou base de la cellule de Purkinje, s'entoure presque

s, et des fibres terminales de l'écorce cérébelleuse. Arrivées à la base d'implantation des lobes et des lobules, les fibr

oisent avec les fibres homologues des lobes voisins en formant à la base des lobes un feutrage sous-lobaire inextricable (

la hauteur de la branche verticale de l'arbre de vie (bu) ; 2° à la base des axes du lobe central (aLc) et de la lingula (

le du vermis au-dessus du noyau du toit et qui longe en s'effilant la base du lobe central et de la lingula. Du coude form

ce blanche cen- trale du vermis au- dessus du noyau du toit, la base des axes du lobe central et de la lingula.

petit faisceau curviligne, situé au- dessus du bouchon (Nem'), à la base de la branche verticale (bv) considérable- ment

ue sur tous les autres, l'enseignement de notre maître repose sur des bases solides, sur des faits soumis à un contrôle d'aut

peut, en tous cas, se montrer très accusée sans que les artères de la base ou des méninges présentent aucune plaque d'infilt

s vaisseaux de la pie-mère ou même sur les artères volumineuses de la base et des méninges. Plusieurs exemples de cette coïn

e, et celle des ruptures des sinus ou des gros troncs artériels de la base . Enfin, nous n'aurons pas à étudier les anévrysme

s souvent sur les branches de divers calibres qui s'anastomosent à la base de l'encéphale, ou rampent dans l'épaisseur des m

rable, indépendamment de toute lésion athéromateuse des artères de la base ou des branches qui se distribuent dans les ménin

elquefois d'une sorte d'atrophie des parois des grosses artères de la base et de celles des méninges, ce qui leur donne en q

ons pas suivi les altérations histologïques sur les gros troncs de la base ou des méninges ; mais, ainsi que nous l'avons di

ez étendues, résultat de ramollissements anciens. Les artères de la base sont par places un peu athéroma-teuses. L'artère

s la protubérance et dans la couche optique droite. Les artères de la base de l'encéphale sont fortement athéromateuses. Le

ment plusieurs dans l'épaisseur de la protubérance. Les artères de la base sont légèrement athéromateuses. Le cœur est nor

its anévrysmes miliaires sur les circonvolutions. — Les artères de la base de l'encéphale n'étaient nullement athéromateuses

s autres dans les parties saines du tissu cérébral. Les artères de la base sont athéromateuses. Le cœur un peu surchargé de

volutions, le centre ovale et fes couches optiques. Les artères de la base sont très athéromateuses. Le cœur est extrêmeme

oiupté plus de vingt, dont queiques-uns ruptures. — Les artères de la base étaient athéromateuses. Obs. XII. Maison impéri

ot se poursuit jusque dans le quatrième ventricule. Les artères de la base présentent quelques plaques molles, blanchâtres.

miliaires sont constatés dans les circonvolutions. Les artères de la base sont très athéromateuses. Le cœur est petit, sa

s dans la protubérance et dans les circonvolutions. Les artères de la base sont notablement athéromateuses. Le cœur volumine

l'encéphale ; anévrysmes miliaires clans le foyer. Les artères de la base sont assez athéromateuses. Le cœur estnormal, i

ure. On ne trouve pas d'anévrysmes dans le cerveau. Les artères de la base et les sylviennes sont légèrement athéromateuses

te sur les parois vasculaires proprement dites. — Les artères de la base de l'encéphale ne sont nullement athéromateuses.

reux anévrysmes miliaires dans les circonvolutions. Les artères de la base et des méninges sont minces, transparentes, nulle

ncontrent un grand nombre d'anévrysmes miliaires. — Les artères de la base ne sont nullement athéromateuses. — Le cœur est n

les corps striés. Pas d'ancienne lésion encéphalique. — Artères de la base très peu altérées. Obs. XXI. Maison impériale d

es parois du foyer cinq à six anévrysmes miliaires. Les artères de la base étaient modérément athéromateuses. Obs. XXII. S

lus grande netteté dans les parois même du foyer. — Les artères de la base étaient athéromateuses. Le cœur volumineux prés

ans les corps striés et dans les circonvolutions. — Les artères de la base sont assez athéromateuses. — Le cœur pèse 283 gra

et l'on en trouve cinq dans les parois du foyer. — Les artères de la base ne sont nullement athéromateuses. Le cœur, qui pè

lusieurs ouvertures clans les parois du foyer récent. — Artères de la base athéromateuses par points. Le cœur est normal,

rysmes miliaires dans les parois du foyer récent. — Les artères de la base de l'encéphale présentent à peine quelques traces

que, de coloration feuilîe morte. Valvutes aortiques, incrustées à ta base , mais sans rétrécissement ni insuffisance. Aorte

e trouve en continuité avec le caillot principal. Les artères de la base de l'encéphale sont athéromateuses par plaques, s

ns les corps striés au voisinage des deux foyers. — Les artères de la base sont minces et transparentes, nullement athéromat

ps strié, plusieurs anévrysmes des petites artères. Les artères de la base offrent de nombreuses plaques scléreuses. Obs.

st parsemée d'anévrysmes miliaires très abondants ; les artères de la base sont athéromateuses. Le cœur a son volume norma

foyer récent et dans l'épaisseur de la protubérance. Les artèresde la base sont extrêmement athéromateuses, Le cœur est sain

s dans la protubérance et dans les circonvolutions. Les artères de la base sont athéromateuses. Le cœur est énorme, sans l

hémisphère. Anévrysmes miliaires des petites artères. Vaisseaux de la base peu altérés. Obs. XXXIV. Salpêtrière. — Charcot

enne. Anévrysmes miliaires clans les corps striés. Les artères cle la base ne sont nullement athéromateuses. Le cœur est v

dans les deux corps striés et dans la protubérance. Les artères de la base de l'encéphale, sont peu athéromateuses, le cœur

i même du foyer récent du cervelet. Pas d'athérome des artères cle la base cle l'encéphale mais épaississement athéromateux

, dans la protubérance et dans les circonvolutions. Les artères de la base sont peu athéromateuses. Les reins sont normaux

hémisphères, et notamment au voisinage des foyers. Les artères de la base sont très peu athéromateuses. Le cœur, volumine

ste de l'encéphale et notamment dans le cervelet. — Les artères de la base sont athéromateuses. Le cœur est volumineux, il

lutions, dans la protubérance et dans le cervelet. — Les artères delà base ne sont-pas athéromateuses. Le cœur, à peu près

ur de nombreux anévrysmes miliaires. Pas d'athérome des artères de la base ni de celles de la pie-mère. Le cœur est petit,

obe antérieur gauche un petit anévrysme miliaire. Les artères de la base sont fortement athéromateuses. L'artère cérébrale

ans les circonvolutions et dans les corps striés. — Les artères de la base de l'encéphale sont peu athéromateuses. — Cœur et

a aussi dans la protubérance et dans le cervelet. Les artères de la base sont peu athéromateuses : la sylvienne droite est

les deux couches optiques et dans la protubérance. Les artères de la base sont minces et ne présentent que quelques plaques

contre un certain nombre au voisinage des foyers. Les artères de la base sont dilatées, flexueuses, à peine marquées cle q

considérable disséminés clans tout l'encéphale. Les artères cle la base sont très notablement athéromateuses. Le cœur pès

e cervelet et clans les circonvolutions cérébrales. Les artères de la base sont très notablement athéromateuses. Le cœur e

s miliaires se rencontrent sur les circonvolutions. Les artères de la base sont peu athéromateuses. Le cœur est peu volumi

lus gros sont situés dans la protubérance annulaire. — Artères cle la base fortement scléreuses et athéromateuses. Obs.LUI

a que quelques épaisis-sements scléreux des parois des artères de la base de l'encéphale. Obs. LIV. Salpêtrière. — Vulpia

he. Dans le foyer, on trouve trois petits anévrysmes. — Artères de la base , basi-laire, carotides et leurs branches fortemen

urface des circonvolutions et dans leur épaisseur. —Les artères de la base étaient athéromateuses, le cœur normal, les reins

uvelles le 8 octobre 1867. A Vautopsie, on trouve les artères de la base de l'encéphale médiocrement athéromateuses ; la s

érébral gauche et de la pyramide antérieure gauche. Les artères de la base ne sont pas athéromateuses. On trouve dans les ci

re droite et du cordon latéral gauche de la moelle. Les artères de la base du cerveau ne sont pas athéromateuses. On ne trou

lable dans le plexus choroïde du ventricule gauche. Les artères de la base ne sont presque pas athéromateuses. Les autres or

uelques anévrysmes miliaires des circonvolutions. Les artères de la base sont peu athéromateuses; le cœur est volumineux ;

ntes et offrent les mêmes dilatations anévrysmales. Les artères de la base présentent quelques plaques d'athérome. L'examen

veau et du cervelet plusieurs anévrysmes miliaires. Les artères de la base sont athéromateuses, le ventricule gauche du cœur

inage du foyer hémorrhagique un anévrysme miliaire. Les artères de la base étaient très athéromateuses. Le cœur petit, gra

rotubérance et dans les circonvolutions cérébrales. Les artères de la base sont très peu athéromateuses. Le cœur pèse 310

lement trouvés dans l'épaisseur de la protubérance. Les artères de la base sont fortement athéromateuses. Il y a une légèr

on en trouve un autre dans une des circonvolutions. Les artères de la base présentaient à peine quelques taches athéromateus

t, et plus de soixante dix sur l'hémisphère gauche. Les artères de la base sont très athéromateuses, le cœur est sain, mais

n découvre deux autres anévrysmes dans le cervelet. Les artères de la base sont légèrement athéromateuses. Le cœur est nor

uelques anévrysmes miliaires des circonvolutions. Les vaisseaux de la base sont peu athéromateux. Le cœur normal pèse 325

, interne du service. Encéphale : poids, 1290 gr. Les artères de la base sont athéromateuses. Le côté droit delà protubéra

misphères; dans le foyer, plusieurs étaient rompus. Les artères de la base sont très légèrement athéromateuses. Le cœur pr

psie, on a trouvé de nombreux anévrysmes miliaires. Les artères de la base n'étaient nullement athéromateuses. A ces 77 ob

émorrhagies dues à la rupture d'anévrysmes des troncs artériels de la base du cerveau, et il paraît l'avoir mis sur la voie

ration scléreuse et athéromateuse très considérable des artères de la base et de leurs branches. Qu'elles résultent de l'h

us le premier rang dans notre statistique. L'état des artères de la base a été noté 69 fois. Sur ce nombre,les artères n'é

i 32 observations d'hémorrhagie cérébrale où l'état des artères de la base était indiqué, a trouvé qu'elles étaient intactes

en dehors, il se prolonge en s'amincissant, jusqu'au voisinage de la base du cerveau, qu'il n'atteint pas cependant. Après

té est généralement injectée, un peu moins que du côté gauche. À la base de l'encéphale, on ne rencontre pas de traces de

olume normal. Les valvules aortiques et mitrales sont indurées à leur base , les orifices correspondants ne présentent d'aill

ois hypertrophie et anémie de l'hémisphère droit. — Les artères de la base sont remarquablement saines et exemptes d'athérom

se prolongent dans les gros vaisseaux. Encéphale. Les artères de la base présentent à un haut degré les altérations de l'e

étal. Hémisphère du côté opposé tout à fait normal. Les artères de la base de l'encéphale et leurs principales divisions son

ux travaux de la commission, M. Gharcot s'est préoccupé de donner une base scientifique au genre de recherches inauguré par

clé entraîné à croire que laméfallolhéra-pic ne reposait pas sur des bases bien solides, j'étais incrédule. Un jour, cependa

epsie provoqués, qui a permis à M. Charcot d'étudier sur de nouvelles bases tout un ordre de phénomènes pathologiques ou phys

on d'un point quelconque de la face interne de la cuisse, depuis la base jusqu'au ge- nou ; ce réflexe est tellement exa

me supposer une extension du pro- cessus aux nerfs crâniens et à la base du cerveau (diplopie, diminution de l'ouïe et d

on. , Légende des Planches. PLANCHE VI. Fie. 1. Méningite de la base englobant le bulbe B., la protubérance Po., les p

oncs vasculaires, tant au niveau de la convexité qu'au niveau de la base , étaient le siège d'une artério-sclérose extrêm

volution frontale et présente l'aspect d'un triangle aplati dont la base est pourvue de deux prolongements linéaires. Su

de la langue à la piqûre, au tact, est moindre à la pointe qu'à la base , à gauche qu'à droite. La sensibilité profonde à

res, Soc. méd. hôp., 19- décembre 1908), myxo- chondrosarcome de la base du crâne (Wenhardt, Neurol. Central 1.,45 juin

intramédullaires est entrée dans une période prospère. PSYCHOSE A BASE D'INTERPRÉTATION PASSIONNÉE UN IDÉALISTE PASSIO

e seront moins riches, moins - truculentes et auront surtout à leur base des idées de préjudice, et, comme l'un de nous

t se développer chez un homme d'intelligence moyenne une psychose à base d'interprétation passionnée, portant surtout su

LE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRI1' : RE. T. XXVI. PI. XI PSYCHOSE A BASE D'INTERPRETATION PASSIONNÉE UN IDÉALISTE PASSIO

vue de la taille et des organes génitaux. Autopsie : Tumeur de la base de l'encéphale (adénome kystique) ayant amené l

ie similaire, au moins dans leurs lignes générales, en prenant pour base les secousses musculaires produites dans les co

avec des caractéristiques spéciales de formation qui a toujours une base psychique. Primitivement ce sont des contractio

que pour le moment des éléments indispensables pour établir sur des bases sûres cette orientation. Diagnostic. Le tab

les sépa- rent de tous les autres mouvements. Je sais bien que la base psychique est quelquefois difficile à surprendre

officielle comme authentique. L'élude de Jeanne la Folle a servi de base à noire travail. Mais si nous avons mis en avant

ce de la synostose tribasilaire est la cause de l'enfoncement de la base du nez) de tous les cartilages épiphv- saires,

s on a trouvé que le 4e doigt de la main, et parfois du pied, a une base d'implantation postérieure, due à la petitesse

s formes incomplètes chez lesquelles, soit par exclusion, ou sur la base de symptômes positifs, on doit admettre des forme

et à cause de l'abondant dépôt de tissu adipeux elles forment à la base du sternum une sorte de fossette entre elles. L

d que le développement de la voûte surpasse de beaucoup celui de la base . L'épais- seur des os n'est pas constante, plus

veloppement total du crâne, mais pas trop si l'on ne considère que la base . Quant aux membres supérieurs, la tête de l'hum

FER RU CC 10 HAVENNA à du pied gauche est ;sous la dépendance d'une base d'implantation postérieure pour la remaquable h

us ne pouvons pas connaître, d'après cette radiographie, l'état de la base du crâne. Dans l'autre observation la radiograp

indifférente; il manquait cependant les données principales sur les bases desquelles on pouvait affirmer l'existence d'une

action d'autres troubles, ne se pouvait certainement invoquer comme base d'une rigoureuse conception diagnostique chez m

nnent rien.» Comme étiologie, ils admettent la fièvre typhoïde à la base de cette névrite. Mais pourquoi l'intoxication

sme acromégalique et un gigantisme infantile et reconnaissait, à la base de ce dernier, une dysorchidie fréquente, sans

exophtalmie et le signe de Stellwag positif. Wick consi- dère comme base étiologique de la sclérodermie dans son cas le pr

ment le chapitre sur l'anatomie descriptive et radiographique de la base du crâne introduit dans la traduction italienne

autre a été rééduquée au moyen de procédés pédagogiques, ayant pour base la physiologie pathologique des troubles du lan

ituent les termes d'une même série pathologique dont on retrouve la base physiologique dans les mou- vements synergiques

èrement diffluent ; on ne trouve pas trace d'exsudats méningés à la base . Mais, une palpation mé- thodique de la masse e

27 414 LEREBOULLET, FAURE-BEAULIEU ET VAUCHER ments pleuraux à la base droite. Ces lésions pulmonaires se sont accentuée

té des clichés rendant perceptibles les lésions concomitantes de la base crânienne. Virchow (1), avons-nous vu, expliqua

fait saine. L'examen du Dr Degouy, ne révèle aucune anomalie de la base du crâne, ni de la constitution de ses parois.

glandulaires et la radiographie donne une conformation normale delà base de son crâne. Nous ne pouvons donc pas admettre

st porteur ayant en plus de son oxycéphalie une défor- mation de la base crânienne que n'a pas l'autre sujet. BIBLIOGRAP

YCÉPHALIE ET SYNDROME 0$YCÉPIiALIQIE 429 Elude radiographique de la base du crâne des aveugles, Soc. neurol. Paris, fé-

ne- ment de la circulation lymphatique (voir plus loin), formera la base de notre raisonnement ultérieur sur la pathogén

somme, en nous fondant sur les deux signes que nous avons mis comme base de différen- ciation entre le tissu névroglique

faite de profil, montre à notre avis : 1° une obliquité normale de la base du crâne, sans enfoncement ou saillie anormale

étales saillantes, son nez court et enfoncé, implanté sur une large base , avec un épaississement marqué des os, les os de

einte presque exclusive de la voûte crânienne, avec intégrité de la base du crâne et de tout le reste du squelette, sauf l

nne ; 4° l'absence complète de troubles fonctionnels. ÉTUDE DE LA BASE DU CRANE DANS LA MALADIE DE PAGET par André

au processus. Nous avons pu nous assurer qu'il en est de même de la base du crâne, et que l'altéra- lion de cette base n

en est de même de la base du crâne, et que l'altéra- lion de cette base n'est pas sans jouer un grand rôle dans les troub

, comme Gilles de la Tourelle, avaient observé une altération de la base qu'ils considéraient comme un fait exceptionnel

(2) PIERRE 111aae, Andhé U;I\I et CHArEI.IN, Dé I or mal Uni de la base du crâne dans la maladie de Paget. Société médi

storiques typiques de la maladie de Paget. Ainsi, les lésions de la base du crâne que nous allons décrire peu- vent exis

isins ou même les parties voisines du même os. La déformation de la base du crâne dans l'un de nos cas (cas 1) était tout

ble et très frappante : elle consistait en une énorme saillie de la base émergeant au niveau du sphénoïde etde la portion

, il y avait une sorte de nivel- lement des différents étages de la base . Dans notre seconde observation (cas 2), les lé

la base. Dans notre seconde observation (cas 2), les lésions de la base étaient nettement moins prononcées que dans le

altérations que la maladie osseuse de Paget produit au niveau de la base . Les altérations de la base sont de deux ordres

sseuse de Paget produit au niveau de la base. Les altérations de la base sont de deux ordres, tout à fait comparables en

défor- mation par ramollissement. I. Hypertrophie. - Les os de la base sont hypertrophiés. L'épaississe- ment osseux s

avec la plus grande facilité au niveau de toutes les parties de la base que l'on peut pincer entre les doigts : il en est

ur celle coupe l'épais- sissement considérable de lous les.os de la base , en particulier de ceux qui bordent le sinus sp

ïdes, etc.. (Voir schéma, PI. LXIX, n° 3 et fig. 3). Les os de la base n'augmentent pas seulement en épaisseur, mais aus

s se manifesle surtout parle rétrécissement de tous les trous de la base . Le trou occipital est rélréci; moins dans son di

LA HASE DU CRANE DANS LA MALADIE DE PAGET 455 Tous les trous de la base du crâne participent au rétrécissement : il en

vation de- notre malade, le fait n'est pas rapporté. Les os de la base du crâne ne sont pas seulement gros, épaissis et

bilité et cette fragilité sont d'ailleurs variables au niveau de la base du crâne comme au niveau de tous les os chez les

nt juger approximativement des différences, si nous disons que deux bases de crânes normaux pesaient 353 et 341 grammes,

et claires, ouateux, à rebord mal (t) Nous avons laissé de côté les bases des crânes 3 et 4, parce que à )'une'(poids : 5

t au contraire enlevé une portion de la région fronto-temporale de la base . Re- marquons que malgré cette large Ablation,

base. Re- marquons que malgré cette large Ablation, cette dernière base (4) pesait encore plus qu'une base normale, et

e large Ablation, cette dernière base (4) pesait encore plus qu'une base normale, et que le morceau de voûte resté adhéren

ant pour expliquer seul l'énorme augmentation de poids. ÉTUDE DE LA BASE DU CRANE DANS LA MALADIE DE PAGET 4a7 délimité,

actement le même aspect que l'on trouve sur les radiographies de la base du (crâne PI. LXX). Les os y apparaissent gros

manquent de limites précises. Dans l'ensemble, les radiographies de bases du crâne apparaissent à première vue moins nett

sur les os des membres, sans doute simple- ment parce que, sur une base du crâne vue de profil, l'épaisseur osseuse esl

a- iiiollissemenl des os. Ces déformations existent au niveau de la base du crâne comme au niveau des membres, ainsi que

r de haut en bas, on devrait dire qu'il y a abaissement total de la base du crâne sous le poids du cerveau, il l'excepti

a face (comparer la direction des os propres du nez). ÉTUDE DE LA BASE DU CRANE DANS LA MALADIE DE PAGET 459 d'avant e

osse cérébrale antérieure résulte, pour ainsi dire, une cyphose de la base qui transforme la platybasie en une véritable «

une sorte de nivellement relatif de la surface endocrànienne de la base , nivellement que Gilles de la Tourelle avait déjà

noté. Mais l'abaissement de toutes les parties périphériques de la base , fosses cérébrales antérieures et fosses cérébr

âne. Outre l'abaissement « compensateur » de tout le pourtour de la base , on peut constater nettement, autre signe de co

ar exemple par la partie postérieure de la selle turcique ou par la base de l'apophyse crista galli. Les chiffres que nous

de pyramides dont la hauteur est antéro-postérieure, dont la petite base est au niveau du plan vertical passant par la bas

, dont la petite base est au niveau du plan vertical passant par la base de l'apophyse crisla galli, dont la grande base

ical passant par la base de l'apophyse crisla galli, dont la grande base est au niveau du plan vertical passant par le p

pouvoir conclure par le simple examen des différentes parties de la base du crâne, à savoir que la cavité crânienne subi

r la voûte crânienne, la face postérieure serait représentée par la base ; le centre de courbure serait au niveau de la

d'un angle aigu d'environ 70° (PI. LXX, fig. 2). Plus en avant, la base fait une large saillie convexe en haut, une cyp

as » des rochers et des cellules mas- toïdiennes. Plus en avant, la base apparaît non pas convexe, mais plus plate, plus

e 5 crânes secs, nous pouvons dire : 1° Il existe au niveau de la base du crâne chez les pagétiques des allé- rations

des os longs. L'hypertrophie épaissit et élargit tous les os de la base el en rétrécit tous les trous : trou occipital

r ce mécanisme de « dilatation compensatrice » la déformation de la base contribue puur une grande part à la déformation b

se manifestent parl'épaississement t et l'aspect flou des os de la base : au lieu de lignes noires, nettes, franches et

es cérébelleuses ; par une large saillie dans le crâne des os de la base (convexobasie) ou plus souvent par un nivellemen

(comme nous en avons observé un exemple), puisque^les lésions de la base peuvent s'observer en l'absence de lésions de l

s de la voûte ou de lésions des membres. 3° Les altérations de la base du crâne des pagétiques sont intéressantes à co

rême- ment prononcé du trou occipital et des différents trous de la base , y com- pris les orifices vasculaires et nerveu

ulaires et nerveux. Or il est assez logique de supposer ÉTUDE DE LA BASE DU CttANE DANS LA MALADIE DE PAGET 467 que bien

ement fréquents au cours de cetle affection. Ces déformations de la base sont en tout cas l'origine la plus impor- tante

ou dia- bétiques. On voit que l'élude, jusqu'ici négligée, de la base du crâne des pagéti- ques n'est pas sans présen

plicatnre de l'écaillé de l'occipital et le nivellement général de la base . La largeur de la cavité iranienne est augmenté

de profondes dépressions vasculaires. PL. LXVII. Face externe de la base des mêmes crânes, rangés de la même façon que s

e-rétrécissement du trou occi-· pital et de tous les orifices de la base et surtout l'élargissement considérable du corp

XVIII Fig. 1. - Cas no 1. Fig. 2. Cas ilo 1, face interne de la base du crâne. Fig. 3 et 4. - Le crâne no 7, vu de f

est, sur l'un et l'autre orteil, considérablement hypertrophiée, la base et la demi-couronne qui en forme l'extrémité so

ue primordiale fut celle d'une hémorragie méningée, et c'est sur la base de celle idée que Froin s'est mis à étudier de

appuie sur les meubles du salon, écarte les jambes pour agrandir la base de l'équilibre. La démarche se fait avec les geno

242. Atrophie musculaire chez un nègre, par AUSTEIEGESILO, 430. Base du crâne dans la maladie de l'agel, pal' LÉ"I.

ielle du -), par Roubinovitch et Daubé. e07. Crttae (htlule de la base du - dans la ma- ladie de l'age/), par 1 Éiii,

TE- BE %ui.iru et VAUCIIER, 410. Idéaliste passionné (Psychose il base d'inter- prétation passionnée . Un - de la just

Baumel et M \I;caROT, 202. Interprétation passionnée (Psychose a base d ? Un idéaliste passionné de la justice et d

ome 0 rycéphalique, par Ciuron et Courbon, 42. Paget (Elude de la base du crâne dans la maladie de -), par LI : RI, 45

ermie. Analogies avec le -), ), par Bertolotti, 291. ' Psychose a base d'interprétation passionnée. Un idéaliste passi

22. Dloc (Maurice) et LKVËQOE (Mlle) (de Tou- lousr), Psychose ,1 base d'interprétation passionnée Un idéaliste passio

sme. Rôle probable de l'hypophyse, 410. LÉRI (André). Etude de la base du crâne dans 1,( maladie de Paget, 452. Lévê

aget, 452. Lévêque (Mlle Juliette) et DITE (6Maurice). Psychose à base d'interprétation passion- née. Un idéaliste pas

ogies avec la sclérodermie (Bertolotti), XLIII il XLV. Psychose à base d'interprétation passion- née (DIDE et L ? l;QU

nv. Le malade est très affaibli; la respiration est soufflante à la base du poumon droit, accélérée. Le facies est pâle,

rémité postérieure de la cir- convolution du corps calleux; 3° à la base du lobe carré, Le ventricule latéral n'est pas

ires et dissé- minés, moins nombreux que du côté gauche. Tête. La base du crâne est régulière et symétrique : la calot

le vivant. Encéphale : 1,230 gr. Les différentes régions de la base , ainsi que les artères, sont normales. Cervelet e

sure 38 c.; d'une oreille à l'autre, 30 c. La circonférence de la base du crâne donne 52 c. La face est régulière, sy-

re-mère est épais- sie ; adhérente ça et là à la boîte osseuse : la base du crrîaze est régulière et symétrique. L'encép

et symétrique. L'encéphale pèse 1210 gram- mes ; les artères de la base , les nerfs. le chiasma, les pé- doncules parais

normaux. Respiration : quelques râles sous-crépitants fins aux deux bases des poumons en arrière, sonorité normale. - Cir

isse, frontal, pariétaux, minces.-Pas d'asymétrie appréciable de la base du crâne. Dure-mère très épaisse. Poids total d

phale : 770 grammes.- Pas d'injection delà joie-mère. Artères de la base , chiasma, tubercules mamillaires, pédoncules, r

t rétrécie, et sa paroi mesure trois centimètres d'épais- seur à sa base ; légère opacité de la valvulve mitrale dont le

cultation du coeur décèle un léger souffle au pre- mier temps, à la base ; l'impulsion cardiaque est forte; il y a parfo

lies dans la disposition des organes qui sont en connexion avec la base du cerveau; les nerfs optiques, en particulier,

11GO gr. La surface est un peu lavée ; les artères, les nerfs de la base sont sains. Le tubercule ma- millaire droit est

diamètre est représenté par la distance de la pointe du coccyx à la base du sacrum (ia3 ? ). Cette courbure est encore p

os, qui sont disposés en une sorte de crochet. Sur cette face, la base du sacrum, qui est à peu près sur le même plan qu

n voit alors que le fond de la cavité cotyloïde n'est distant de la base du sa- crum que d'un centimètre environ. La fos

un peu d'enchifrènement ; respiration légèrement sifflante aux deux bases . L'enfant a mangé un peu de viande. T. R. 39°.

ffecte la forme boutonneuse sur le visage ; elle est cohérente à la base du thorax, à l'épigas- tre ; peu abondante sur

é, abondante épistaxis, ce matin ; la respiration est rude aux deux bases pulmonaires, surtout à gauche, avec des râles r

1 janvier. L'enfant mange un peu de viande rôtie et du potage. A la base de la poitrine, on entend un grand nom- bre de

ille a presque disparu ; la respiration est encore un peu rude à la base des poumons et mélangée de gros râles ronflants

s-crépitants disséminés dans toute la poitrine ; léger souffle à la base du poumon gauche. La température oscille autour

R. 3do,8. 5 Février. - Légère épistaxis, ce matin. Submatité à la base du poumon droit. Du même côté de la poitrine, râl

ous-crépitants ; à droite, la respiration est très soufflante, à la base , sans râles. T. R. 38";4. (Sinapisme sur le tho

aux jambes). Soir : T. R. 39°,2. 25 janvier. Souffle tubaire à la base du poumon gauche : râles fins ; expiration souf

fle a disparu; il existe encore des râles sous-crépitants fins à la base du poumon gauche : à droite, gros râles sous-cr

s râles sous- crépitants à droite de la poitrine ; à gauche et à la base , souffle tubaire très accentué. T. R. 38°,li. S

itrine est sonore des deux côtés, sauf un peu de submatité aux deux bases . A ce niveau, l'expiration est encore légèremen

. A gauche de la poitrine, depuis l'épine de l'omoplate, jusqu'à la base , souffle bronchique aux deux temps, avec râles

us que quelques râles avec expi- ration légèrement soufflante, à la base du poumon droit. Rien à gauche. La température

le. Eczéma impétigineux sous forme de plaques sur le lobule et à la base du nez, la commissure labiale gauche, le menton

mal; pas d'ascite, submatité au sommet droit de la poitrine et à la base du côté gauche. A l'auscultation, on entend que

ême pour les ganglions mésentériques, et de la vessie. ' Tête. La base du crâne est symétrique. La dure-mère se montre

Fia. 45). ' 29 janvier. - La respiration est encore bruyante à la base des deux poumons. T. R. 37°,8. Soir : T. 1't. 38°

UGEOLE COMPLIQUÉE. 1-27 Î 4 février. Il existe de la submatité à la base du thorax en arrière, surtout à gauche; des deu

la normale. La grosse extrémité de l'ovale répond au fron- tal. La base du crâne est symétrique; la lame quadrilatère d

nce, et la décortication du cerveau impossible. Les orga- nes de la base do l'encéphale sont symétriques et normaux. Enc

r. Submatité au sommet du poumon droit; gros râles humides aux deux bases , en arrière. La toux diminue. 20 janvier. La

les ronflants dans les deux tiers supérieurs et des râles fins à la base . Toux sèche, quinteuse. T. R. 39°. (Bouil- lon,

4 cent.de périmètre à 6 centimètres au- dessus de l'ombilic. A la base du tho- rax, on observe des arborisations vei

gr. Ces divers organes n'offrent aucune lésion. Tête. Tandis que la base du crâne est normale, la ca- lotte osseuse prés

mmes de plus que celui du côté opposé. Les différents organes de la base de l'encéphale sont régu- liers, sauf les pédon

l en longueur. La dure-mère, peu adhé- rente, est très épaissie. La base du crâne, symétrique, est profondément excavée

otable quantité de liquide céphalo-rachidien, 120 gr. environ. La base du crâne est asymétrique; les fosses occipitale e

vaisseaux. Les différents organes qui constituent ou avoisinent la base de l'encéphale sont normaux (artères, nerfs, et

deux côtés de la poitrine. 25 janvier. Râles sous-crépitants à la base du poumon droit. 27 janvier. L'enfant pousse

gion occipitale. Il n'existe pas d'anomalies dans les organes de la base de l'encéphale, non plus que du côté de l'envel

r. Toux grasse. Sonorité parfaite, gros râles sous-crépitants il la base du poumon gauche ; respiration ronflante à droi

160 ÉPIDÉMIE DE ROUGEOLE. A gauche, mêmes symptômes limités à la base . T. R. 39°,2. (Julep kermès, 0 gr. 10.). Soir :

onflante dans le côté droit de la poitrine. Souffle amphorique à la base à la partie inférieure, surtout en avant. Ace n

Planche VI. Microcéphalie. Idiotie. Cette planche représente la base du cerveau du malade Edern (Obs. II, p. 36).

, spécialement l'élixir poly- bromuré d'Yvon ont continué à être la base du traite- ment pendant l'année 1893. Les bains

rieure (Fia. 2) a l'aspect irrégulicr d'un triangle isocèle dont la base a un cent. 1/2, la hauteur 0,037 mm. et les côt

ncées et plusieurs plaques transpa- rentes. Les différents os de la base du crâne chevauchent les uns sur les autres ce

eur, est beaucoup plus développé et plus saillant que le gauche. La base du crâne est également asymé- trique ; elle est

égèrement sinueuse mais non dentelée. Les différentes cavités de la base du crâne sont symétri- ques. Le trou occipital

impressions digitales qui les rendent translucides (Fig. 35). La base est sensiblement symétrique. Le plancher des orbi

euses plaques transparentes, prin- cipalement sur les pariétaux. La base du crâne n'offre aucune altération. Sur la dure

sang fluide dans les sinus latéraux. Les différentes cavités de la base sont symétriques, trou occipital normal. Glande

10'vu' sur 7) saine et 96 Imbécillité. - Autopsie. pâle. Toute la base de l'encéphale est symétrique et normale. Lapte

de l'encéphale est symétrique et normale. Lapte-mére, exsangue à la base et à la convexité, s'enlève facilement et est u

blanc que le précédent, envoie des traînées rougeâtres marquant la base dont la forme se dessine par des stries blanche

intelli- gente. Crâne ovoïde, plus étroit en avantqu'en arrière, à base plus proéminente à droite qu'à gauche. Le front

nt il peu près uiiiforiné- ment violacés. Les diverses fosses de la base sont symétriques. Letrou occipital n'est pas ré

sinus sont gorgés (le sang rouge. - Pie-mère congestionnée. Sur la base et la face convexe, larges plaques ecchymotique

uantité de liquide céphalo-rachidien. Les différentes parties de la base du crâne paraissent symé- triques. Le corps pit

si sur les lobes temporaux à la pointe des lobes occipitaux. Sur la base de l'encéphale, la pie-mère est moins vasculari

cularisée que sur la face convexe.- Les nerfs, artères, etc., de la base sont symétriques. La glande piiitile a son aspe

ce, et empêche l'enlèvement du cerveau par la méthode ordinaire. La base du crâne est symétrique. La dure-mère a son épa

on ne trouve nulle part de sclérose.- Les vaisseaux et nerfs de la base sont normaux et symétriques. Les no- yaux gris

te par la pie-mère. Le cerveau étant enlevé et se présentant par la base , on contaste que cette tumeur est située dans u

it que le gauche. La pie-mère ne la recouvre pas et s'ar- rête à sa base . Celle-ci est très large et se continue directe-

ie : épilepsie partielle. sourd; le second s'entend assez bien à la base . Pouls faible. Peau brune, assez épaisse. Vue

ement distinctes sur les deux faces de la calotte crâ- nienne. A la base , la dure-mère est injectée, les sinus sont plei

ymétriques. - La pie-mère offre une vascula- risation générale à la base et à la convexité. L'espace inter- pédonculaire

sentant les symptômes d'une broncho-pneumonie gauche (matité à la base , râles nombreux, aux deux temps de la respiration

és, est très sinueuse, il n'y a plus de trace des fontanelles. La base du crâne, d'aspect normal, est légèrement asy-

t plus développée que la gauche. Les nerfs et les vaisseaux de la base du crâne sont normaux. Les ventricules latéraux,

gr.). Thorax. - Poumon gauche (270 gl'.), hépatisation rouge à la base ; bronches remplies de pus. Poumon droit (170 gr.

de pus. Poumon droit (170 gr.); quelques adhérences pleurales à In base . - Rudiment de thy- mus. Coeur (120 gr.), rien

sté- rieure a la forme irrégulière d'un triangle isocèle dont. la base a 15 millimètres, la hauteur 37 millimètres, les

au, que l'on enlève en coupant la calotte circulai-, re'iÚcl1t à sa base , paraît nager dans le crâne comme dans un : lac

s sclérosés du lobe occipital forment' en arrière un petit îlot. La base du cerveau est assez dévelop- pée dans sa parti

et irrégulièrement tant à droite qu'à gauche. Quant au reste de la base , il offre un aspect membraneux, recouvert de mi

de minces couches de substance cérébrale. On peut constater sur la base des dépressions qui paraissent l'origine de la

ades zygomatiques déprimées. - Oreilles grandes, écar- tées de leur base d'implantation, bien ourlées, à lobule peu volu

. gr.), un peu congestionné Hydrocéphalie : observation. 219 à sa base . Poumon droit (70 gr.). Noyau hémoptoïque au bo

Poumon droit (70 gr.). Noyau hémoptoïque au bord postérieur et à la base . Coeur (50 gr.). Quelques adhé- rences péricard

. Dilatation ventri- culaire surtout à gauche. - Petite tumeur à la base de la faux du cerveau. - Adhérences pie-mérierm

ées au sommet à droite. De nombreuses brides* existent encore il la base du poumon droit. Les poumons sont- tous deux tr

dure-mère sont gorgés de sang. Les vais- : seaux et lés nerfs de la base ont leur aspect normal. M4 Hydrocéphalie : cerv

n ne pour- rait reconnaître de ce côté la tète du noyau caudé. La base de l'encéphale, le cervelet et l'isthme n'ont pas

oit (70 gr.), gauche (60 gr.), fortement congestionnés, surtout aux bases . Ganglions péribronchiques engorgés à gauche. -

on- tanelle antérieure et qui a environ 5 cm. de hauteur sur 3 dé base , cette dernière étant postérieure. De l'angle pos

e idée très exacte des déformations de la tête, de la face et de la base du crâne. II. Cas d'hydrocéphalie avec malforma

tion du cerveau dans l'alcool. 260 Hydrocéphalie : crâne. dont la base est tournée en haut et dont le sommet tronqué a

nt le sommet tronqué aboutit à l'angle supérieur de l'occipital. La base , longue de 9 centimètres, est formée par l'os s

halie; antécédents. 269 Thorax. Poumon (110 gr.), congestionné à sa base . - Poumon droit (116 gr.) plèvres, rien. Coeur

Mort dans un accès. AUTOPSIE. - Déformations multiples des os de la base du crâne. Aplatissement et distension des circo

aucoup plus fortement que de coutume à la suture bi-pariétale. La base du crâne est absolument déformée, la moitié droit

la dure-mère cérébelleuse et surtout la déformation des os de la base du crâne, constituent les points les plus intéres

très fortement vascularisée sur tout le cerveau. La pie-mère de la base , sur- tout au niveau du chiasma, de l'espace in

l). (Fig. 56). La cltL1'e-m.ère adhère assez fortement au crâne. La base de ce dernier parait symétrique; les fosses son

e-mère offre au niveau des sillons et des vaisseaux surtout vers la base , de nombreuses granulations blanchâtres, elle e

al est peu satisfaisant. 20 mat. - Escharre sacrée. Submatité aux bases des pou- mons. Râles muqueux. Fièvre. 3 juin.

des plèvres. Les deux poumons sont hypérémiés et oedématiés à leur base , surtout le gauche. Poumon droit (205 gr.) Poum

ongoïde assez abondant. L'os est lourd et n'est pas transparent. La base du crâne n'offre pas de particularités, ni d'as

difficilement la séparer de l'encéphale où elle n'adhère pas. La base du cerveau est baignée de liquide, dont il s'écou

face convexe et de la face interne des hémisphères. Au niveau de la base , dans l'espace situé au-devant des pédoncules c

rcules mamillaires sont tout-à-fait aplatis. Les autres nerfs de la base paraissent à peu près normaux. Les artères sont

it, petit; narines assez mobi- les. Quelques taches de rougeur à sa base . Pas de parésie faciale. Lèvre supérieure débor

ninges intra-ventriculaires ou la com- pression des vaisseaux de la base de l'encéphale par Bourneville, Bicêtre, 1893.

ale de la tète est ronde. Le nez droit, assez fin, est déprimé à sa base ; les narines regardent en bas. Les joues sont p

es, de forme, de volume, de consistance, de couleur, qui ont servi de base à la nomenclature; tels sont les noms de squirrhe

airer sur le siège, les causes, la nature des maladies, et donner des bases solides à la thérapeutique, qui n'est pas, nous o

n tronc commun avec la dia-phragmatique inférieure, et se porter à la base du poumon dans lequel elle pénètre en se ramifian

s, ainsi que le démontre le microscope dans les injections. Nés de la base des éminences que forment les villosités intestin

inences que forment les villosités intestinales, ils se portent de la base au sommet, se réfléchissent ensuite du sommet à l

portent de la base au sommet, se réfléchissent ensuite du sommet à la base pour aller former les vaisseaux lactés. Mascagni

r longueur par un canal qui ne devrait tout au plus commencer qu'à la base de la villosité? L'analogie, dans cette hypothèse

t rudimentaire , avaient été renversés complètement en arrière sur la base du sacrum et la dernière vertèbre lombaire, de te

a malléole interne est courte, comme sciée horizontalement près de sa base , mais beaucoup plus volumineuse que de coutume; s

point de sentiment d'oppression. Je trouve un peu de crépitation à la base du poumon droit. La malade se trouve mieux ; elle

que chose d'insolite : elle est oblongue , représente un cône dont la base est en haut et le sommet en bas, et imite assez b

et imite assez bien la rate du cheval. Sa consistance est ferme : sa base B est comme creusée pour recevoir la grosse extré

vre costale à la plèvre pulmonaire, de la plèvre diaphragmatique à la base du poumon; elle se manifeste encore par les concr

irer, cherchons donc à établir les indications thérapeutiques sur des bases plus larges que l'organe affecté et le mode d'aff

us matériellement positif sur le siège, et c'est cette grande vérité, base de la thérapeutique pratique , que proclamaient l

rveau fut divisé en place par tranches minces de la convexité vers la base . A peine a-t-on enlevé le corps calleux, qu'on vo

: il me fut facile de voir que cette tumeur se prolongeait jusqu'à la base du crâne. J'enlevai avec précaution ce qui restai

cette pièce pathologique m'a offertes : Fig. i. Elle représente la base du cerveau. La protubérance annulaire et les pédo

ment. Elle remplissait entièrement la grande excavation médiane de la base du cerveau, et s'avançait jusqu'au-devant du corp

lement en si grande abondance dans la grande excavation médiane de la base du cerveau, et qui est essentiellement distinct d

t-elle été déposée dans le quatrième ventricule? proéminait-elle à la base ? Je ne conçois guère comment elle aurait pris son

e sang noirâtre dont une partie était contenue dans L'épaisseur de la base du poumon lacéré à la manière du cerveau dans l'a

térieure ne fut pas difficile à découvrir, car il existait près de la base du poumon, intimement unie au diaphragme, une déc

urut avec tous les symptômes d'une lésion grave de la respiration. La base du poumon droit présentait une sorte d'hépatisati

dée sur la présence du ligament falcifbrme, qui ne peut pas servir de base à une distinction légitime. Il y avait deux kys

ère. Comme j'ouvrais les enveloppes à mesure que je montais « vers la base du crâne, j'arrivai à la septième vertèbre cervic

érieur, mais allait en diminuant à mesure que l'on mon-« tait vers la base du crâne et le trou occipital. Dans une assez gra

: celles de l'estomac sous la forme d'excroissances, de végétations à base large VE, VF, formant de petites masses séparées

pliés, parallèles, traversent perpendiculairement ces tumeurs de leur base vers leur extrémité, et se prolongent dans l'épai

. Il suit de là que l'urate de soude et le phosphate de chaux sont la base des tophus goutteux; or l'acide urique ne se trou

refoulée à gauche et en arrière dans sa presque totalité, et forme la base inclinée de l'espèce de pyramide que constitue la

ndie de ces lésions, les moins connues peut-être de la chirurgie, les bases de leur diagnostic et de leur thérapeutique. Ca

térales de cette région postérieure, la partie voisine du pharynx, la base de la langue, la face antérieure et le bord supér

'intervalle des piliers jusqu'aux amygdales et à gauche jusque sur la base de la langue. Le larynx ouvert permet de voir l'é

sion et les caroncules dans toute l'étendue de sa surface interne; la base du cartilage aryténoïde droit CA était dénudée, é

qui contiennent un foetus ou ses débris. y°. Kystes supportés par une base cancéreuse. ve livraison. i Kyste multilocula

Le cerveau n'offre rien de particulier à sa surface convexe ; mais sa base , représentée figure i, nous montre i° une perfora

rvation III. — Méningite sous-arachnoïdienne de la convexité et de la base du cerveau, du cervelet et de la protubérance ann

t d'intégrité. Observation IV. —Méningite sous-arachnoïdienne de la base et de la voûte {forme comateuse). Une femme, qu

us consistant sous-arachnoïdien sur toute la surface du cerveau, à la base comme à la voûte. J'en trouvai jusque sous le rep

souvent complètement étrangers. Méningite sous-arachnoïdienne de la base du cerveau. Planche 1, fig. 1. Il existe à la b

hnoïdienne de la base du cerveau. Planche 1, fig. 1. Il existe à la base du cerveau une excavation pentagonale, circonscri

le long des gros vaisseaux qui constituent le trapèze artériel de la base du cerveau et le long des divisions qui en parten

il en soit, il est de fait que la méningite sous-arachnoïdienne de la base coexiste presque toujours avec l'hydropisie aiguë

ire aiguë sans altération du tissu cellulaire sous-arachnoïdien de la base . Et n'est-il pas extrêmement probable que le tiss

extrêmement probable que le tissu cellulaire sous-arachnoïdien de la base puisse s'enflammer indépendamment de l'augmentati

impunément, tandis que le moindre épanchement pseudo-membraneux à la base entraîne les symptômes les plus graves. Je suis d

au devraient être rapportées à la méningite sous-arachnoïdienne de la base . Trois observations, dont deux de méningite sous-

gure i. Observation Fe. — Méningite sous-arachnoïdienne aiguë de la base du cerveau avec accumulation légère de sérosité

lente et précipitée. Diagnostic : méningite sous-arachnoïdienne de la base avec accumulation de sérosité dans les ventricule

séreuse ventriculaire et du tissu cellulaire sous-arachnoïdien de la base . (Vingt sangsues aux jugulaires. Elle les arrache

reconnaître. Ouverture. Le tissu cellulaire sous-arachnoïdien de la base (fig. 2) est infiltré d'une couenne d'un blanc ja

aire et de l'inflammation du tissu cellulaire sous-arachnoïdien de la base , qu'on serait tenté de chercher dans l'estomac la

voûte était infiltré de sérosité. Le cerveau renversé présentait à sa base , dans la grande excavation médiane, une couche tr

ostiquai une inflammation du tissu cellulaire sous-arachnoïdien de la base du cerveau avec exsudation pseudo-membraneuse, d'

était intime; à ce niveau était un tubercule sous-arachnoïdien. A la base (fig. 3), même injection de la pie-mère qu'à la v

s ventricules, méningite sous-arachnoïdienne pseudo-membraneuse de la base en même temps que tubercules disséminés. On peut

rière les oreilles. Diagnostic. Méningite sous-arachnoïdienne de la base . (Saignée au bras; deux vésicatoires à la partie

idérable de sérosité dans le tissu cellulaire sous-arachnoïdien de la base , épaissi et demi-opaque. Ne trouvant pas dans ces

'entérite folliculeuse aiguë ne me parait point encore assise sur des bases inébranlables : consultez les divers praticiens.

rté à essayer ce médicament dans l'entérite folliculeuse aiguë, comme base du traitement : j'ai choisi des malades avec dévo

ntre de la crépitation et la percussion me démontre de la matité à la base du poumon gauche. Application de douze sangsues.

L'estomac sain présentait quelques points d'injection stelliforme. La base du poumon gauche était noirâtre, infiltrée de san

ilules camphrées nitrées; deux applications de sangsues, l'une sur la base du poumon gauche qui parut s'indurer, l'autre sur

s; les poumons étaient engoués de sang noir et maculés de sang à leur base ; la rate volumineuse et la substance pulpeuse trè

substance proéminaient des caroncules qui auraient servi plus tard de base à la cicatrice. Les ganglions mésentériques étaie

gestation, les intestins ne sont pas contenus dans l'épaisseur de la base du cordon ombilical, d'où ils rentreraient peu-à-

tites excroissances cornées. A son entrée , la malade présentait à la base de chaque petite corne , des ulcérations qui avai

es et accidentelles, savoir des lignes circulaires qui répondent à la base de chaque cornet et des lignes qui tiennent à la

puisse devenir le siège de leur développement. On les rencontre à la base aussi-bien qu'à la voûte. La faux du cerveau, la

ans l'angle de réunion de la faux avec le reste de la dure-mère. A la base , je crois devoir signaler trois points principaux

urtout lorsque la tumeur cancéreuse occupe quelqu'un des points de la base du cerveau ; les phénomènes de compression ont li

spongieuse , mamelonnée , appliquée sur les os du crâne par une large base , offrant en arrière une perforation P, autour de

Il était impossible de soupçonner son siège précis. Occupait-elle la base , occupait-elle la voûte du cerveau ? Et quel poin

ase, occupait-elle la voûte du cerveau ? Et quel point, soit de cette base , soit de cette voûte? Il était probable qu'elle o

ce dernier cas, la tumeur agissait verticalement de la voûte vers la base du crâne; dans le cas actuel au contraire (planch

e pseudo-membraneuse abondait surtout dans l'excavation médiane de la base du cerveau et le long des prolongemens celluleux

parfaitement saine. Sous-arachnitis aiguë de la convexité et de la base du cerveau.—Arachnitis ventriculaire.— Perte de m

l'autre, est aussi parfaitement indiquée : la figure 2 représente la base de la masse encéphalique : l'atrophie de l'hémisp

obe antérieur LA de l'hémisphère gauche HG. La fig. 2 représente la base du cerveau. Le bulbe rachidien BR, la protubéranc

fibreux. Les tètes du fémur étaient également usées, déformées; leur base comme hérissée de végétations osseuses. La moitié

roncules ou bourgeons celluleux et vasculaires. Les végétations de la base du col étaient elles-mêmes revêtues d'un cartilag

epas par l'effet d'une violence extérieure; voilà en quelque sorte la base fondamentale de ce travail, qui, comme l'a très-b

ancéreux avec lequel cependant il a presque toujours été confondu. La base qui le supporte n'offre aucun des attributs ni du

plus important pour le pronostic que pour la thérapeutique ; car les bases du traitement sont, à peu de chose près, les même

ecchymose d'un noir foncé d abord [Archiv., t. xix, p. 168), sert de base à un engorgement dur, arrondi et noirâtre, lequel

s compactes, adhérens, évidemment d'une date récente. Poumons. A la base du poumon gauche (11e livr., pl. 2, fig. 1 ) se v

se soit mêlé au sang, pour expliquer les foyers inflammatoires de la base du poumon, et l'inflammation de l'artère pulmonai

res i et 3, planche m, %f livraison, représentent le poumon droit. La base B et le bord postérieur BP du lobe inférieur sont

reneux circonscrits, dont plusieurs étaient en voie de guérison. A la base du poumon se voit un foyer superficiel ouvert dan

é ni couleur ni fétidité. A l'ouverture, foyer gangreneux diffus à la base du poumon ; point de cercle inflammatoire tout au

gnomonique, c'est l'augmentation de volume du foie, lequel déborde la base du thorax et présente des bosselures; car la fréq

pouce trois lignes de hauteur, un pouce deux lignes de diamètre à sa base , légèrement renflé à sa partie moyenne, était eng

midale triangulaire, ayant six lignes de hauteur, était engagé par sa base dans cette ouverture, dont la circonférence était

és qui en seront la conséquence immédiate. Les faits qui ont servi de base à ce travail ont été recueillis, pour la plupart,

prolonge le long de l'œsophage, tantôt s'étend en cercle autour de la base du thorax; vomissements que provoquent le moindre

la drogue amère, ont été regardés par beaucoup de praticiens comme la base du traitement. La drogue amère sur-tout, qui est

e la respiration. Quelques essais peu suivis ne peuvent pas servir de base à un jugement définitif. L'angoisse épigastrique

nisé que la saignée générale; la plupart même la considèrent comme la base du traitement. M. Annesley assure que, bien loin

ôtés les deux pariétaux. Une couche mince de sang était épanchée à la base du cerveau. Sixième fait. Enfant ci terme mort

pleurésie caractérisée par un liquide lactescent pseudo-membraneux ; base des poumons indurée, ou plutôt dans l'étatoù se t

oumons étaient indurés dans leur totalité, sauf quelques lobules delà base . Anévrysme des cavités droites du cœur, chez un

tte imperméabilité s'observe sur-tout à la partie postérieure et à la base : elle consiste dans une induration rouge-noire,

ûte des ventricules et sur toutes les circonvolutions supérieures, la base de cet organe étant intacte; tantôt elle porte à

ane étant intacte; tantôt elle porte à la fois sur la voûte et sur la base ; le plus souvent le cerveau reste intact; d'autr

Une membrane très dense et brunâtre recouvrait toute la portion de la base du cerveau qui restait encore ; cette base était

ait toute la portion de la base du cerveau qui restait encore ; cette base était réduite Io à des corps striés, indurés, col

on des couches optiques atrophiées: 3° quelques circonvolutions de la base du cerveau étaient indurées, cartilagineuses, et

voûte osseuse, et que nous avons montrée soulevée sur la faux. A la base du crâne, se voient les corps striés, CS, C S , q

s piliers, V. La fig. 2 représente la masse encéphalique vue par sa base ; le cervelet, CC, très développé, ainsi que la b

res est à peine marquée. Fig. 2. Le cerveau est également vu par sa base . Le bulbe raehidien a été renversé d'arrière en a

ure du bulbe raehidien, BR; les débris du cervelet, DC, DC. Fig. 5. Base du crâne. Les fosses occipitales inférieures ont

es nerfs avaient leur volume normal, et sortaient par les trous de la base du crâne. Les détails suivants ont été donnés p

ment le bord gauche du cœur, sa face postérieure et le voisinage delà base . La disposition de ces mamelons, qui avaient de

end le plus ordinairement au tissu cellulaire sous-arachnoïdien de la base du cerveau et à la membrane qui revêt les ventric

faite, comme celle de Rousset, à l'aide de la ligature portée sur la base de la tumeur : elle eut un plein succès. La malad

enable que la méthode aveugle de la ligature, laquelle, portée sur la base de la tumeur, comprendra presque nécessairement l

cerveau, sur-tout au niveau des fosses antérieures et moyennes de la base du crâne, et de la convexité des lobes antérieurs

tumeurs peuvent se continuer avec le tissu prostatique par une large base . Ce développement de la partie moyenne de la pr

n accident arrivé à plus d'un praticien ? savoir la perforation de la base de cette végétation. C'est le fait qu'on va lire

ble cul-de-sac. L'hémorrhagie est évidemment due à la déchirure de la base de la tumeur par le bec de la sonde. Cette déchir

les caractères des foyers apoplectiques ; en sorte qu'en prenant pour base de la nomenclature la lésion organique, on peut a

ide, parsemé de lambeaux de tissu cellulaire gangrené. Thorax. A la base du poumon droit, pneumonie circonscrite, du volum

par rapport au ventricule gauche. Mais il faut se rappeler que de la base du ventricule droit part,en avant, un prolongemen

ue judicieuse de Béclard, rapporté aux éventrations ; car la tumeur à base large et terminée en cône mousse qui contenait l'

yant l'aspect d'un dé à coudre, semblait formé dans l'épaisseur de la base d'un des appendices graisseux du médiastin : il n

(Avril 1825.) XVIIIe LIVRAISON. 1 latéral n° 5 ; les fosses de la base du crâue , les cornets et les méats des fosses .n

'auricule gauche. Une tumeur sanguine T S, qui occupe le niveau de la base du ventricule droit, est remplie de caillots sang

aginale de l'hydrocèle, dans la plèvre et même sous l'arachnoïde à la base du cerveau. Le pigmentum de la peau du Blanc de

ait sous l'aspect d'une fente transversale circonscrite en bas par la base de la Langue L, en haut par le bord adhérent du v

en existe pas de traces. L'ouverture ou perforation que présente la base du crâne et qu'on prendrait au premier abord pour

és à gauche. Pl. VI. La fig. ire (grande naturelle) représente la base du crâne vue à l'extérieur et le thorax ouvert. O

on cervicale qui est devenue en quelque sorte partie intégrante de la base du crâne : on conçoit que le cerveau comprimé ne

avité crânienne, fait effort à la région cervicale antérieure devenue base du crâne, comme il fait effort à la région occipi

circonvolutions antérieures et les circonvolutions inférieures de la base du cerveau. Elles méritent une description partic

ent une description particulière. Circonvolutions antérieures de la base .—La plupart de ces circonvolutions étaient divisé

altération dans sa consistance. Circonvolutions postérieures de la base .—Plus profondément altérées que les précédentes.

poumons me fait reconnaître une respiration et une voix tubaires à la base du poumon gauche. Le pouls est presque naturel po

cielles s'enlèvent avec les membranes. 3° Les circonvolutions de la base du même lobe postérieur gauche sont converties en

entée par la lame celluleuse qui remplaçait les circonvolutions de la base du cerveau. La corne d'Ammon et la partie gauche

du mur extérieur. Ces puits ont été remplis de béton, et, à leur base dans la carrière, on a fait des enrochements pour

nt, au niveau des hypo- chondres, une saillie marquée en dehors, la base de la poitrine est ainsi latéralement élargie;

même manière que les clavicules. La colonne dorsale au niveau de la base du thorax, forme une dépression très marquée ;

mes diffus ( ? ). L'une d'elles est située à la partie droite de la base du cou, au niveau même de la clavi- CACHEXIE PA

z adhérente au crâne : elle est gorgée de sang. - La pie-mère de la base est légèrement vascu- larisée; celle de la conv

n'y a pas de différence entre les deux côtés. Lorsqu'on examine la base du cerveau, on constate une difiérenca très sen

front peu élevé; viciiez, déprimé à son origine est très large à sa base . Les lèvres sont très épaisses et l'ouverture b

fe, organes génitaux bien développés avec poils fins et foncés à la base du pénis ; quelques poils rares et plus forts, au

formée par le ventricule gauche surtout, mesurant de la pointe à la base 13 cent. ; largeur à la hauteur des orifices au

r la table interne, asymétrie légère des diamètres. Vaisseaux de la base sans grands changements à gauche. La configurat

-mère, après ouverture des ventricules : 4,43 gr. -.Ganglions de la base , corps quadrijumeaux, normaux. Testicules peu

sselle 53 centimètres; au niveau des mamelons 55 centimètres ; à la base 57 centimètres. Dos, lombes et rachis normaux.

peu de liquide. Les artères, les nerfs et les autres parties de la base de l'encéphale sont symétriques et sans lésions.

endemain, même état, sueurs, mort. ' A l'autopsie : méningite de la base . Sur le plancher du 4e ven- tricule, on trouve

plancher du 4e ven- tricule, on trouve un tubercule enclavé par sa base dans l'é- paisseur de la protubérance, hydropis

ans le pont de Varole. .Les origines nerveuses et les artères de la base de l'encéphale n'offrent rien d'anormal. La moe

178 mm. transverse maximum .... 150 - Circonférence du crâne à la base .... 51 cent. D'une oreille à l'autre ........ 2

sselles est de 49 cent. ; T au niveau des mamelons, 51 cent. ; à la base , 49 cent. ? 2. 132 MÉNINGITE TUBERCULEUSE : IMB

du frontal, à la partie supérieure et antérieure des pariétaux. La base est symétrique. - La dure-mère apparaît assez f

l'état normal. Quelques petites adhérences avec la dure-mère de la base . Poids de l'encéphale, 1,280 gr. - La pie mère

a base. Poids de l'encéphale, 1,280 gr. - La pie mère présente à la base une vascularisation fine très prononcée; de plu

tuberculeuses ; à droite, il n'y a pas de points semblables. Sur la base des deux lobes frontaux, la pie-mère est très i

r par suite de l'épaississement de la pie-mère, les artères de la base et les nerfs seraient symétriques. La pie-mère de

ts; un peu de congestion, TUBERCULOSE GÉNÉRALISÉE. 137 aux deux bases pulmonaires. Deux ganglions bronchi- ques sont

légère hydrocéphalie des ventricules, étaient plus prononcées à la base qu'à la con- vexité, ce qui explique la présenc

3 centimètres et de 55 centimètres au niveau des mamelons, et, à la base , de 54 centimètres. L'abdomen et le rachis n'of

dissement des extrémités, cyanose légère des lèvres et du nez. A la base du poumon gauche, râles sous-crépitants dissémi

udinal supérieur renferme du sang et des caillots. La calotte et la base du crâne parais- sent symétriques, cependant la

.-Cerveau. La pie-mère est injectée; les dif- férents organes de la base de l'encéphale sont symétriques (nerfs, pédoncu

t demi. Chapelets ganglionnaires. Le thorax est conique, évasé à la base ; sa circonférence, au niveau du mamelon, est de

etc.). Le poumon droit (30 gr.) présente un peu de congestion à la base ; les bron- ches contiennent du muco-pus; les lé

est en retrait de près d'un centimè- tre sur l'hémisphère droit. La base du lobe frontal est moins large à gauche qu'à d

ique. - Il y a une hypérémie assez prononcée de la face interne. La base du crâne est symétrique et nor- male. La quanti

nte des taches laiteuses des deux côtés de la grande scissure, à la base , elle offre une vascularisation très fine qui e

vexité. La décortication s'opère facilement. -- Les artères de la base sont symétriques, sauf que la communiquante posté

1° en arrière entre les extrémités inférieures des omoplates, à la base du sacrum ; 2° sur l'épaule droite et le thorax

ête. Le cuir chevelu offre une épaisseur normale, pas d'ecchymoses. Base du crâne symétrique. Les ro- chers sont inégale

as exagérée. Encéphale (1.190 gr.). Les différentes parties de la base de l'encéphale (artères, nerfs, etc.) sont symé

sure de Sylvius, du sillon de Rolando et des lobes fron- taux. A la base , vascularisation générale très fine. L'hémisphè

L'hémisphère gauche pèse 30 gr. de moins que le droit. Vu par la base , il parait un peu plus court, surtout en ar- ri

met d'une flexuosité de la troisième frontale et au des- sous de la base d'une des flexuosités de la deuxième frontale,

ème circonvolution frontale. - La frontale ascen- dante, large à sa base , maigre dans son milieu et large en haut, est t

ieure du lobe frontal. La pariétale ascendante est assez grêle à sa base ,chagri- née et très flexueuse à sa portion supé

pas apoplectiques ; à la coupe, ils ont la forme comme d'un coin à base périphérique, et les parois no sont pas dilacér

qui mesure 7 centim. de longueur, 11 centim. de circonférence à la base et 8 centim. de circonfé- rence à l'extrémité i

es dans sa plus grande dimension, alors que le thorax mesure à sa base 27 cent. 1/2. La peau est épaissie, principalemen

parait légèrement oblique en bas et en dehors.- Le nez, large à sa base , présente quel- ques cicatrices à sa partie sup

sont aussi moins abon- dantes. A la percussion, submatité des deux bases ; en ce point, murmure vésiculaire peu distinct

tense, qu'on a dû la re- mettre. Soir : T. R. 40°. Vésicatoire à la base droite; lavement purgatif. 19 mars. Respirati

ences entre les deux plèvres, en arrière, s'étendant du sommet à la base du poumon gauche et sur un espace plus large en

ngestion et oedème du poumon gauche (780 grammes), prédominant à la base . Aspect gris sale de la plaie trachéale; celle-

. la corne d'Ammoo n'offrent rien de particulier. Les artères de la base sont symétri- ques, mais l'artère vertébrale dr

s sinueuse, s'insère directement sur la frontale ascendante ; de la base de son point d'insertion part une scissure para

blement les mains appliquées avec vio- lence et symétriquement à la base de la cage thoracique aurait dépassé la limite

Mort. Autopsie : Congestion du poumon droit) splénisation de la base . - Noyaux de broncho-pheumonie à la base du pou-

droit) splénisation de la base. - Noyaux de broncho-pheumonie à la base du pou- mon gauche. Plaques ecchymotiques de la

nisé. Les lésions de broncho-pneumonie sont surtout marquées à la base . Le poumon gauche (375 gr.) présente des noyaux

oses. Os minces; sutures en partie ossifiées. Pas d'asymétrie de la base du crâne. Dure- 246 AUTOPSIE. mère modérément

be occipital droit et le cervelet. - Les artères et les nerfs de la base ainsi que les tubercules mamillaires, les pédon

primitive, parenchymateuse et intersli- tielle, développée sur une base héréditaire. » Les constatations de Rutimeyer f

04 le droit est 111 11 millimètres, le gauche à 7 millimètres de sa base . Le 19 mars 1904 le droit est à 15 millimètres,

904 le droit est à 15 millimètres, le gauche à 12 millimètres de sa base . Le 3 mai 1904 le droit est à 17 millimètres, l

904 le droit est à 17 millimètres, le gauche à 16 millimètres de sa base . C'est donc le droit qui s'est développé le pre

tion, de la défécation, de diminuer la charge un peu lourde pour la base de sustentation, de reprendre de temps en temps

e pas postérieur, un peu moins dans le pas antérieur.. » P. Richer se base , à cet égard, non sur l'emploi d'appareils insc

ie le nom de pseudo-Paget choisi par M. Pierre Marie et sur quelles bases s'établit la distinction. Mais certaines de ces d

illards chez lesquels une raréfaction osseuse nous semble être à la base de tous les phénomènes. Le poids du corps suffi

f l'absence de sclérose, et Londe ajoute : « Peut-être est-ce là la base anatomique de la distinction qu'il faudra établir

he qui a perdu en épaisseur ; Les masses grises des ganglions de la base , la capsule interne, la couronne rayonnante ont p

dant où elles sont parallèles aux fibres ; dans les ganglions de la base elles sont rondes. Elles ne manquent même pas à

gion frontale. La pl. XXIV montre les rapports du néoplasme avec la base du cerveau ; une exostose en occupait l'enfonce

en histologi- que nous en donne la raison. La tumeur partie de la base , en avant des ventricules, a poussé devant soi

érations décrites sont plus pro- noncées dans les circonvolutions à base étroite, elles font défaut à proximité immédiat

au bord antérieur du cervelet de 3 centimètres (cont. 1 3/4). A la base le nerf IIIe droit complètement dégénéré, émerge

de coupes que nous reproduisons montre que la tumeur, partie de la base du cerveau, suivant sans doute le foramen coecum,

UES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS 157 par contre les masses grises de la base et de la protubérance ont un aspect cri- blé :

. En effet, on aurait pu à la rigueur, songer à une tumeur née à la base du crâne, dans le sillon interpédoncu- laire, q

se à convexité gauche avec saillie exagérée des angles costaux à la base gauche du thorax. Membre supérieur. Main hype

région précordiale. Les sous-clavières sont un peu surélevées à la base du cou. Les artères accessi- bles à la palpatio

iques souvent décrites (fig.6).Elles diffè- rent à la voûte et à la base . Les os de la voûte sont irrégulièrement et consi

rontales ; leur épaisseur n'est que de 16 millimètres. Les os de la base du crâne, loin d'être épaissis, sont au con- tr

es ont 15 millimètres de haut et le diamètre bi-apophysaire de leur base mesure aussi 15 millimètres. La hau- teur maxim

mité est de 44 millimètres. Névraxe. L'athérome des vaisseaux de la base de l'encéphale rend compte des lésions du systè

xamen des deux ponmons est négatif, sauf une zone de submatité à la base droite où l'oreille entend quelques frotte- men

rmure vésiculaire très atténué jusqu'à trois travers de doigt de la base . En avant et dans la région axillaire, silence re

ère que sur une hauteur de quatre tra- vers de doigt à partir de la base . Il s'entend très bien en avant et sur le côté,

3 travers de doigt de la clavicule et augmentant peu à peu vers la base . En arrière, submatité, jusqu'à 4 travers de do

ement hépatisé (hépatisation grise). Le coeur pèse 300 grammes ; la base de l'aorte présente de l'aortite chroni- que ;

ammes, adhérences péricardiques, quelques plaques d'athé- rome à la base de l'aorte. Foie. 1,520 grammes, gras. Reins.

La rate pèse 150 grammes. Le poumon gauche est congestionné à la base . Le coeur est mou, pèse 410 grammes, n'a pas de

s membres inférieurs. L'auscultation des poumons est négative. A la base du coeur on entend un souffle diastolique. Cons

sains. Le coeur pèse 260 grammes; à l'ouverture, on re- marque à la base de l'aorte une bande rougeâtre de 2 centimètres d

phalo-rachidien et l'atrophie des nerfs optiques. Les artères de la base sont athéromateuses. La sclérose des cordons post

s de la moelle est visible à t'oei) nu. Le coeur pèse 300 gr., la base de l'aorte est athéromateuse. Le foie pèse 1420

plaques de substance grise ramollie. Pas d'athérome des artères de la base . Le foie, les reins, les poumons ne présentent

la rate pèse 350 grammes. Le coeur est mou, il pèse 310 grammes, la base de l'aorte est très injectée, les reins pèsent

est peu épaissie, mais très adhérente au cortex. Les artères de la base sont saines en apparence. Pas de pachy-méningit

rtex. Pas de lésions vasculaires apparentes sur les vaisseaux de la base . Le cervelet présente une atrophie du lobe gauc

,Les poumons étaient sains avec un peu de congestion oedémateuse des bases . Le foie, un peu volumineux, pesait 2 kilogs, l

admise presque sans discussion que l'éle- vure de l'urticaire a sa base anatomique dans une dilatation des petites artè

ées de Bartholin et Mascagni auxquelles Ludwig (92) avait donné une base expérimentale : c'est-à-dire que la formation de

partie augmente la production de la lymphe (Ces données forment la base phi- siologique peu connue de la théorie de Wid

que, laquelle associée ou non à la vasodilatation artérielle forme la base anatomique et physio-pathologique de l'élevure

uvons de l'emphysème, de la bronchite chronique, des râles aux deux bases . Il est extrêmement sourd, comme son frère. L

e qui s'accompagne d'un peu d'antéversion du bassin. Le sacrum a sa base légèrement basculée en avant. Les deux épines i

e la suture frontale. On a signalé encore le raccourcissement de la base du crâne par suite d'une-pliure en arc à convex

chitisme survenant au te mois de la vie intrafoetate. Ce dernier se base sur la tardive soudure des fonta- nelles ; nous

yologique des parties malades. Le squelette cranio-facial à part la base du crâne, ne se développe pas comme les autres os

Pseudencéphalie avec hémicrânie ; Pseudencéphalie sans hémicrânie ; Base du crâne et face ; Colonne vertébrale. III. Anoma

, et il en résulte, non seulement que les os se voient privés de la base nécessaire pour leur croissance future, mais (1

ur- quoi les os de la voûte du crâne sont absorbés, mais ceux de la base du crâne restent. » Ayant ainsi compris les cho

moins marquée que la tête étant fortement renversée en arrière, la base du crâne et la gouttière rachidienne se trouvent

ous le nom d'Anencéphaliens, à la place d'une tumeur adhérente à la base du crâne existe une production sacciforme qui pen

u crâne existe une production sacciforme qui pend du pourtour de la base et vient reposer sur le dos de l'individu. J'ai p

cule plein, en tout comparable à la tumeur ordinaire, adhérent à la base du crâne, épais de 22 millimètres. Ce pédicule

position de la tumeur, soit qu'elle constitue un bloc reposant sur la base du crâne ou qu'elle affecte les dispositions d'

ntal que l'apophyse basilaire et, d'une façon plus générale, que la base du crâne. Ainsi constitué par des parties symétri

uvert en haut. Grâce à cet éta- lement, la partie postérieure de la base du crâne se trouve notablement élargie. Mais en

on remarque un petit pariétal de forme triangulaire reposant sur la base , sans connexions bien précise, ne paraissant pa

par une lame plane représentant un triangle isocèle dont la petite base s'articule avec le bord postérieur du coro- nal

gauche. Fortement déjetés en dehors, ils ne recouvrent nullement la base du crâne ; celle-ci est à nu dans leur interval

oint que ces divers os, dépourvus de courbures, sont aplatis sur la base du crâne, ne laissant aucun espace entre elle e

ment rejetés en dehors, ils restent néanmoins superposés aux os de la base . Seul l'occipital est partiellement étalé.Suiva

r jusqu'à ce point que les os de la voûte forment avec les os de la base une sorte de plancher. Les affirmations des auteu

pour cette raison qu'elle est complètement aplatie et repose sur la base , ne laissant aucun espace libre où puisse habiter

onvexe, qui se rabat d'arrière en avant et de dehors en dedans sur la base du crâne. La moitié droite est nettement séparé

arée de la moitié gauche. Chaque moi- tié forme un triangle dont la base repose sur la masse latérale correspondante, do

les cas de Geoffroy-Saint-Hilaire. Entre la voûte occipitale et la base du crâne, est ménagée une petite cavité logeant

une déforma- tion secondaire. Frontaux et pariétaux reposent sur la base , à laquelle ils sont unis par l'intermédiaire d

considérés comme très étroits par les maîtres de la Tératologie. Base du crâne et face. - La voûte crânienne constitue

somme la partie la plus importante du crâne des Pseudencéphales. La base ne présente aucune modification fréquente ou co

néral : l'atrophie -ou plus exactement un arrêt de croissance de la base du cràne et de la face. Le phénomène est une co

sain. Ce fait est à rapprocher de l'arrêt de croissance subi par la base du crâne ; il reconnaît certainement la même caus

assant, que la masse pseudencéphalique adhère assez intimement à la base du crâne, quelle que soit d'ailleurs l'épaisseur

sinus veineux et d'une compression exercée sur les vaisseaux de la base du crâne renfermés dans des conduits cartilagin

e crâ- nienne existe, mais est aplatie et exactement accolée sur la base . Dans ces conditions, l'encéphale est exclu de

sion, le bulbe, la protubérance, la face inférieure du cervelet, la base du cerveau, les parois ventriculaires, les nerf

ontinue en ligne oblique avec l'abdomen, for- mant un cône, dont la base serait la circonférence supérieure de la cage tho

porté à croire, lui aussi, en la possession, et le fait qui sert de base à sa croyance est d'une puérilité qui fait pein

s cellules cartilagineuses et par la synostose précoce des os de la base du crâne. Winckler (1871) propose le terme de R

culièrement les épiphyses des os longs des membres, le bassin et la base du crâne. Ilistologiquement constituée par une

bassin, et par une synostose prématurée des os cartilagineux de la base du crâne, avec enfonce- ment de la racine du ne

e un peu avancé, ce qui concorde avec la synostose prématurée de la base du crâne (Kassowitz). , L'adiposité, excessive

presque égale, donnant à la main un aspect carré; juxtaposés à leur base , ils s'écar- tent les uns des autres par leur e

e syphilitique ; Thorax rétréci à sa partie supérieure et élargi à sa base . Epaissis- sement considérable des épiphyses. D

supérieurs sont rapprochés de la colonne vertébrale. Les os de la base du crâne présentent un arrêt de développement et

aufmann) au lieu de 185". C'est ce qui caractérise la cyphose de la base que Virchow croyait, à tort,liée au crétinisme.

emarquer Regnault, n'est pas due à la simple synostose des os de la base , car elle existe même lorsque la suture est libre

existait également une soudure des os de la région antérieure de la base . Ces soudures prématurées sont presque la règle

. Le thorax est normal et régulier, parfois, cependant, élargi à sa base (Voy. fig. 4). Dans certains cas plus généralis

profondes gouttières. Ces saillies, ces protubérances sont à large base d'implantation. Ces os courts, mais aux reliefs a

même ordre à l'examen histo- logique de la clavicule, des os de la base da crâne, ainsi que des petits os du carpe, du

agineuses normales (Voy. b. PI. LIV, fig.'l3). Ces nodules, dont la base arrive à la ligne d'ossification et dont sommet

rânienne mal développée. Il n'y a pas de synostose prématurée de la base du crâne, mais la micromélie avec membres trapu

chez l'achondroplase, fait ici défaut. B. Squelette. Les os de la base du crâne ne présentent pas de synos- tose préma

nous avons étudiées plus haut. Le second, au contraire, possède une base du crâne normale, des os palatins normaux, et n

sement énorme des épiphyses, la synos- tose prématurée des os de la base sont des signes de plus de valeur. Il en est de

artilage de conjugaison et pas de synostose prématurée des os dé la base . Chez le crétin, en effet, contrairement à ce q

tin, en effet, contrairement à ce que croyait Virchow, les os de la base se forment plus tard que normalement; les os cond

laire persiste ; de plus, il y a platylasieau lieu de cyphose de la base du crâne (Regnault). Le myxoedémateux, enfin, r

des saillies et des dépressions qui, lorsqu'elles existent, ont une base peu étendue (Regnault). Cette micromélie rachit

es qui sont courbés et non pas coudés, non-sy- nostose des os de la base du crâne, apparition tardive des noyaux des épiph

étinisme. Nous savons aujourd'hui que la synostose prématurée de la base du crâne n'existe pas dans le myxoedème avec lequ

moindre résistance qui nous échappent, entraîneraient sa sclérose, base anatomique de l'achondroplasie. La syphilis éta

ement de la racine du nez, par la synostose prématurée des os de la base du crâne, par l'intégrité habituelle des os de

la ra- cine du nez, par l'absence de synostose précoce des os de la base , par l'ossifi- cation imparfaite de la voûte cr

ez à l'insertion des cheveux = 9 cent. 75. De la pointe du nez à la base du front = 4 cent. 1/2. De la pointe du nez à l

sa racine,ce qui est dû peut-être à un arrêt de développement de la base crânienne qui restant plus courte, produit l'en

rie ; il admet la pré- sence d'un centre hypothétique placé dans la base du crâne dont l'al- tération pendant la vie emb

idées, la polydactylie serait un retour à ce caractère ancestral. La base scien- tifique de ces idées on doit la chercher

e tibia fait défaut, suffit à démontrer que cette théorie manque de base . Elle a été, en effet, complètement abandonnée.

est destinée à recueillir le plus grand nombre des cas. M. A. Léri se base sur six observations personnelles dont deux ave

vèle que la voûte du crâne fait effectivement défaut, tandis que la base est, au contraire, en bon état. L'intégrité de

andis que la base est, au contraire, en bon état. L'intégrité de la base , phénomène très général, ne saurait surprendre :

e là, elle tend à se propager en de- hors vers les cartilages de la base ; mais l'absence totale de vaisseaux chez ceux-

utefois,que l'inflammation qui sévit n'ait aucun contre-coup sur la base du crâne. Bien au contraire, sa croissance est ne

spondant. L'arrêt de croissance est constant ; en même temps que la base du crâne, il intéresse les os de la face et c'e

ur elles et s'étalent, pour venir se placer sur le même plan que la base du crâne. C'est dans cette situa- tion que nous

ce temps, sans doute, la méningite s'est propagée du sommet sur la base ; mais lorsque les lésions en arrivent à être s

ours, remarquons-le, au bord qui s'articule avec le cartilage de la base ; on n'a jamais signalé de fragments osseux isolé

toute la voûte crânienne est ossifiée et fortement aplatie contre la base . Ces cas, nous l'avons vu, se présentent sous d

céphale une fois exclu, la voûte s'aplatit, arrive au contact de la base , sur laquelle elle se montre au sur et à mesure

la radiographie montre la présence d'une exostose très curieuse à la base de la face antérieure du calcanéum, une plus pe

à saillie médiocre ; au-dessus de la surface de l'os affecté, leur base est élargie, leur vo- lume, celui d'une grosse

ulier, avec de petites bosses répandues sur sa superficie, avec une base large comme le muscle deltoïde et avec un éperon

rne lisse. Le sinus long, contient du sang liquide. Les sinus de la base ne sont pas thromboses. Pie-mère mince et peu i

nt pas thromboses. Pie-mère mince et peu injectée.Les artères de la base non sclérosées, paraissent vides de sang, alors

mais l'action immédiate de la méningite qui évolue au contact de la base du crâne et trouble profondément la circulation

e inférieur non compris. L'effet porte d'une façon immédiate sur la base du crâne ; il se propage de proche en proche avec

s, qui donnent au cer- veau une situation anormale par rapport à la base du crâne, tout en laissant ce cerveau intact. T

re les deux moitiés de l'occipital. La voûte s'aplatit alors sur la base et s'ossifie : la pseudencéphalie existe, mais

s avec l'os coxal. On voit que la fracture occupe comme de coutume la base du col du fémur: que, comme de coutume aussi, l'a

e l'os, cette éminence se brise presque toujours en même temps que la base du col, et le lieu de la brisure est généralement

cette pointe est quelquefois constituée par le tissu spongieux de la base du col; plus souvent elle est formée par le tissu

rmé par le corps du fémur, (i) La fracture a lieu généralement à la base du col du fémur, en dedans des trochanters, qui a

cien , étendu du pourtour de cette cavité cotyloïdienne ébauchée à la base du col du fémur, un ligament capsulaire nouveau,

e col du fémur, où elle forme une sorte de collier qui imprime sur la base de ce col une rainure profonde. Ce collier est co

apsulaire ALC, étendu du pourtour de l'ancienne cavité cotyloïde à la base du col du fémur. La fig. 2 nous représente l'an

es fosses nasales, la surface orbitaire et la fosse sphénoïdale de la base du crâne, la faux du cerveau sont à découvert : l

mère a été détachée au niveau des fosses antérieure et latérale de la base du crâne : dans certains points, elle a été envah

nse. Ces lobules, de forme conoïde ou plutôt pyramidale, avaient leur base dirigée du côté de la surface de la tumeur, et le

e. Ces tumeurs étaient insensibles au toucher, molles, excepté à leur base , où elles avaient la dureté de l'exostose, suscep

aiguë, si bien que les deux membres inférieurs représentent un cône à base dirigée en haut: ce cône est di visé en deux se

gineux, lequel aboutissait à deux canaux divergens, qui occupaient la base du crâne et qui paraissaient être un vestige des

de cette membrane. Dans le cas actuel, cette bride naissait par une base large, celluleuse, sur laquelle on distinguait tr

é de toute sa surface , développement considérable des papilles de la base de la langue, gonflement et légère teinte rosée d

vie: elle est pâle. Les environs de l'ulcération sont noirâtres. A la base delà langue on trouve des follicules muqueux hype

s dune manière remarquable : il en est qui sont gros comme un pois, à base pédiculée, avec une ouverture centrale et des par

hose. Toujours est-il qu'aucun vaisseau chilifère ne partait de leurs bases , et cela a été bien examiné, attendu que, voyant

usses côtes : là on reconnaît une tumeur considérable] qui déborde la base du thorax et semble s'enfoncer dans l'hypochondre

mitivement situés hors de la cavité abdominale dans l'épaisseur de la base du cordon ombilical, et qui entrent successivemen

Salpêtrière, qui portait dans cette région une besace conoïde dont la base était étendue de l'ombilic an pubis et dont le so

bilicale présente une forme conique, c'est à l'anneau que répondra la base de la tumeur, s'il y a éventration, et le sommet,

laire pouvait admettre les trois doigts. L'extrémité libre formait la base arrondie du cône représenté par la tumeur; elle p

constitués par une éventration ombilicale considérable qui formait la base de la hernie. Mais que penser du projet d'opéra

ditions que doit offrir un groupe naturel, et, quelles que soient les bases de la méthode que l'on adopte pour la distributio

vement tout le paquet intestinal a été contenu dans l'épaisseur de la base du cordon; en un mot, s'il y a eu déplacement ou

éventration, les parties déplacées sont logées dans l'épaisseur de la base du cordon ombilical, et c'est là ce qui établit u

tre tumeur du volume du poing, à surface rouge, comme lobuleuse, à la base de laquelle était l'ouverture par laquelle sortai

hors et renversée sur elle-même, constituait la tumeur lobuleuse à la base de laquelle s'écoulait les matières fécales. On n

s. — Le cancer anal était très superficiel; il était supporté par une base dure, ayant deux lignes d'épaisseur; le rectum ét

t le lit. L'examen de l'anus montrait une cavité infundibuliforme à base très large, toujours béante et incapable de contr

ce convexe du foie. La douzième côte et le rebord cartilagineux de la base du thorax ont imprimé sur cet organe un sillon tr

vant en arrière, et déborde souvent de plusieurs travers de doigts la base du thorax. Une empreinte circulaire, plus ou moin

la pression pratiquée en avant, le long du rebord cartilagineux de la base du thorax. Dans quelques cas aussi, c'est en prom

jeune fille était tombée de plusieurs pieds avec une échelle, dont la base , mal affermie, avait glissé sous elle: je dus rap

à cet égard, et d'ailleurs le foie ne débordant en aucune manière la base du thorax, j'eus recours à Xexploration par commo

là place qu'il occupe par la constriction circulaire qui porte sur la base du thorax. Or, comment distinguer ces foies pro-é

rtions de pseudo-membrane dans la bronche gauche et ses divisions. La base du cartilage aryténoïde droit est mise à nu. Une

nce, suite probable de l'ouverture d'un abcès, conduisan autour de la base de ce cartilage. Réflexions. J'ai fait représen

articulations crico-aryténoïdiennes s'ouvraient dans le foyer, et la base des cartilages aryténoïdes était érodée. En dét

té de l'organe de la voix. Il existait un foyer purulent autour de la base du cartilage aryténoïde. Ce foyer s'ouvrait, d'un

ention. Cette tumeur avait le volume du poing; elle était bosselée, à base très large; le malade me dit qu'elle était surven

e à sa face interne une concavité profonde, qui reçoit le cœur ; à sa base , une concavité également profonde, qui répond au

se, une concavité également profonde, qui répond au diaphragme ; à sa base ou voit même une disposition rare chez l'homme, f

bules, et les dernières ramilications sur les lobules eux-mêmes. La base du poumon est recouverte d'une pseudo-membrane PS

ait séparé des parois thoraciques par un épanchement considérable. La base était profondément excavée. Aucune partie de ce p

cond fait, d'une plus grande importance encore, puisqu'il a donné des bases à la thérapeutique jusque-là si incertaine de la

hio-céphalique précédée par une sorte de prolongement conoïde dont la base répondait à l'origine du vaisseau et dont le somm

connexions avec l'aorte, avec la colonne vertébrale et les côtes. La base du poumon droit P adhérait fortement à la tumeur

que la poche anévrysmale était déjà perforée en P et remplacée par la base des poumons : la surface interne de la poche droi

s le muscle sterno-mastoïdien qu'elle soulevait, et qui recouvrait sa base . En dedans de cette tumeur, on en voyait une autr

anxiété, agitation, un peu de délire. Souffle tubaire et matité à la base du poumon gauche; battemens peu étendus, obscurs,

circonférence une espèce d'appendice conoïde ou hémisphérique dont la base répond à la cavité artérielle, et qui est remplie

ules sygmoïdes de l'aorte, tandis qu'à raison de la bifurcation de la base du ventricule droit, les valvules sygmoïdes de l'

s sourds: on entend un bruit de claquement très lointain. Matité à la base du thorax des deux côtés: je rapporte cette matit

ré dans l'épaisseur de l'organe. Diverses sections pratiquées de la base vers la pointe du ventricule gauche ont démontré

ur petit, nous avons trouvé une poche sanguine située au niveau de la base du ventricule gauche, un peu en arrière du bord g

entricule. On cite cependant un exemple de perforation du cœur à la base du ventricule gauche : c'est Bohn qui parle delà

e 45 xxxe livraison, ne voit-on pas l'une des perforations occuper la base du ventricule gauche, et cependant la perforation

t au dedans qu'il faut rapporter un cas de poche sanguine occupant la base du ventricule gauche, en arrière du bord gauche d

moment de la santé la plus florissante. Cette perforation occupait la base de la cloison ventriculaire. Quant à la question

dans la cavité des ventricules des saillies mamelonnées ou en cône à base libre. Les premières ne contenaient pas de cavité

volonté un état de torpeur, prélude d'une méningite granuleuse de la base du cerveau avec épanchement ventriculaire à laque

embraneuses, dirigées suivant la longueur du cœur, c'est-à-dire de la base vers la pointe de cet organe. La surface interne

lui seul à la presque totalité de la région antérieure du thorax. La base du poumon gauche et la plèvre diaphragmatique cor

s par une fausse membrane réticulée toute récente (FI P, fig. 1 ). La base du même poumon présentait à sa circonférence une

précordiale; mais il est limité à la région sternale au niveau de la base du cœur. — Traitement: ventouses scarifiées sur l

les différences. Le traitement antiphlogistiqueest certainement la base de la thérapeutique dans le rhumatisme articulair

ve de tous les sens. — Érosions profondes de la surface interne de la base du crâne. — Pénétration de la substance cérébrale

brale dans les érosions ou petites excavations accidentelles de cette base . Ml,e Amable a été confié à mes soins pendant l

isseur du cerveau lui-même; probabilité du siège de cette tumeur à la base du crâne. Voici d'ailleurs les commémoratifs :

eloppée dans le crâne, exerçant sur le cerveau et probablement sur la base de cet organe une compression qui avait déterminé

rise de •cet organe semblait sortir des fossettes ou alvéoles dont la base du crâne était creusée, que la dure-mère manquait

e ces empreintes profondes, à surface rugueuse et comme lacérée de la base du crâne, étaient le résultat de la compression e

la compression exercée par le cerveau sur les divers points de cette base , comme pour confirmer cette loi, que les éminence

riblée. Ces érosions avaient singulièrement aminci les parois de la base du crâne, tellement que la pression du doigt aura

ient passage. Dans toutes les érosions ou petites excavations de la base du crâne, sans exception, s'enfonçait la substanc

nes, se voyaient à droite de la suture bi-pariétale. La voûte et la base de ce crâne ont été déposées au musée Dupuytren.

e cette compression se sont manifestés beaucoup plus fortement sur la base du crâne que sur la voûte, peut-être à raison de

crâne que sur la voûte, peut-être à raison de la disposition de cette base qui est divisée en fosses dans lesquelles les lob

rat, comme le résultat pur et simple delà compression indirecte de la base du cerveau. Les nerfs olfactifs et les nerfs opti

rale du cerveau. J'appellerai surtout l'attention sur l'usure de la base du crâne opérée par un corps aussi mou que le cer

ée aux dépens de la dure-mère avec laquelle elle s'est détachée de la base du crâne. Les faces postérieure et supérieure du

ine distance. Alors je vis que non-seulement le cerveau adhérait à la base du crâne, mais encore qu'il s'enfonçait dans la g

la crise mortelle. Tout malade porteur d'une tumeur crânienne de la base du crâne, ou pour parler un langage plus pratique

face supérieure du rocher et se creusant une cavité aux dépens de la base du cerveau qu'elle déprimait fortement et qui éta

corset serré. lia pression circulaire de ce vêtement au niveau de la base du thorax a souvent pour effet le déplacement du

, c'était celle d'un corset qui entourait tout l'abdomen, et toute la base du thorax, et cette sensation mérite d'être disti

ons des genoux, des pieds , des hanches, soit autour du bassin, de la base du thorax, de l'ombilic. Lorsque le sentiment de

l'ombilic. Lorsque le sentiment de constriction ou de barre occupe la base du thorax, il s'accompagne presque toujours d'une

et nommément les articulations des genoux, était surtout pénible à la base du thorax où il déterminait parfois un sentiment

couche optique ; une très grande quantité de sang était épanchée à la base du cerveau, dans le tissu cellulaire sous-arachno

supérieure du cerveau qui puisse motiver un épanchement sanguin à sa base comme à sa convexité : le cerveau, le cervelet et

— Une grande quantité de sérosité remplit l'excavation médiane de la base du cerveau et le canal vertébral. Le cerveau en

ue dans la cavité droite du thorax : elle était circonscrite entre la base du poumon et le diaphragme,et s'étendait en arriè

inus et la veine. Celle-ci était parfaitement saine. Les veines de la base du cerveau, qui aboutissaient au sinus latéral dr

enflammées. Le sinus latéral gauche, de même que tous les sinus de la base du crâne, étaient dans l'état le plus parfait d'i

long des veines cérébrales enflammées, à la convexité et surtout à la base du cerveau. Abdomen. Les intestins présentaient

e interne. Les circonvolutions frontales et les circonvolutions de la base du cerveau ont été respectées. Ces foyers ou cent

faut et est remplacée par de la sérosité. La figure 2 représente la base du crâne ; cette base est aussi bien conformée qu

par de la sérosité. La figure 2 représente la base du crâne ; cette base est aussi bien conformée que si elle avait été de

ez un autre enfant microcéphale par atrophie du cerveau, les os de la base avaient leur développement ordinaire; mais les os

u bord libre de la portion écailleuse du temporal ; on eût dit que la base du crâne et la portion écailleuse des os temporau

les pariétaux s'étaient rapetisses et étaient rentrés en dedans de la base du crâne. Le cerveau était très petit. L'atrophie

quadri jumeaux. La moelle épinière est saine. La face interne de la base du crâne est remarquable par la saillie de la fac

ortait à la partie inférieure de la région lombaire , au niveau de la base du sacrum, une poche cutanée, flasque , ridée , v

r l'ablation du corps des deux dernières vertèbres lombaires et de la base du sacrum ; la queue de cheval était parfaitement

par un canal étroit, formé entre la dernière vertèbre lombaire et la base du sacrum. C'était aux dépens des ligamens jaunes

ide venait de l'intérieur des ventricules. Le cerveau étudié par sa base m'a présenté (fîg. 1) une couche de pus concret o

à la manière du blanc-manger. La portion de dure-mère qui revêt la base du rocher était décollée, mais sans perforation m

du cerveau correspondante à la tumeur, depuis la convexité jusqu'à la base . A la base, la substance grise des circonvolution

correspondante à la tumeur, depuis la convexité jusqu'à la base. A la base , la substance grise des circonvolutions avait seu

ttestent sa formation par cornets emboîtés à la manière d'oubliés. La base de ces cornes est creusée d'une cavité peu réguli

« La corne analysée avait 5 pouces de longueur sur 1 de diamètre à sa base . Elle pesait 34 grammes, o5. « Elle offrait i° de

nde; le soluté reste clair en y ajoutant de l'eau. En neutralisant la base par un acide, il ne s'o-cc père pas non plus de s

qui semblait naître de la peau comme le poil sort de son bulbe. « La base de cette production nouvelle, dit M. Faget, se mo

ve, M. Faget cerna largement par deux incisions semi - elliptiques la base de la végétation morbide (voy. fig. 4)- K Par une

comme toutes les productions cornées, affecté la forme d'une corne à base adhérente et aurait été plus ou moins contournée

it en diminuant de la circonférence au centre, et en augmentant de la base ou extrémité adhérente à l'extrémité libre. L'a

ille, et qu'on ne pouvait mieux comparer qu'à une corne de bélier. Sa base , dit M. Faget, était circonscrite par des tumeurs

a plus excentrique de la tumeur, crut qu'il pouvait l'attaquer par sa base ; l'enfant ne survécut que quelques heures à cette

médecine, ne fût adhérente au périoste et à l'os par une partie de sa base . On ne saurait révoquer en doute l'identité qui

bservation, M. Gastelier, a soin de noter que le noyau qui servait de base à cette végétation était implanté dans la peau sa

nté à la Société royale de médecine. La peau était très sensible à la base . Ce malheureux ouvrier éprouvait de très vives do

spirituel historien de PAeadémie, Vicq-d'Azir, ait pu craindre que la base de la corne ne fût adhérente au périoste et à l'o

lus résistantes, d'une couleur plus brune à l'extrémité libre qu'à la base ; quelquefois, à la base, les fibres sont séparées

ouleur plus brune à l'extrémité libre qu'à la base; quelquefois, à la base , les fibres sont séparées par une matière d'appar

mes superposées, de grandeur inégale, dont la plus grande serait à la base et la plus petite au sommet, de manière à donner

; elles prenaient leur origine entre l'ongle et la chair, car vers la base de ces concrétions on voyait un corps dur qui res

« La figure de cette corne, dit Cabrol, « était inégale, grosse à sa base , se terminant en pointe à son extrémité avec ento

itement consiste à enlever la corne à l'aide d'un bistouri porté à la base de cette production, et à cautériser la portion d

au d'un enfant de dix à douze ans, chez lequel tous les nerfs de la base du crâne présentaient à leur origine apparente un

complète, et je me fonde sur ce que la tumeur, naissant par une large base , ne pouvait par conséquent faire soupape, et dans

au, allait en augmentant d'épaisseur, à mesure qu'on approchait de la base de la scissure de Sylvius. Tout le sang infiltré

us-arachnoïdienne occupait non-seulement la convexité, mais encore la base de l'hémisphère droit. Elle occupait encore la gr

e pas à la surface du rein, dans les points épaissis qui séparent les bases des cônes et les cellules, quelques traces de la

fungus cancéreux : le grand pectoral, qui adhérait à une partie delà base de la tumeur, fut emporté bien au-delà des limite

m de blanc-manger. L'étude attentive de ce tissu m'a montré que d'une base généralement molle, dense seulement dans quelques

ié partait une éminence conoide proéminant dans le vagin, et que la base de ce cône regardait le fond de l'utérus. Je crus

i postérieure de cette portion de vessie herniée, qui appartient à la base de l'organe, se voient les orifices des uretères

e bassin. Les ganglions mésentériques, surtout ceux qui occupent la base du mésentère, étaient très volumineux: à ces gang

elle était longue de quatre à cinq travers de doigt et pyriforme. Sa base , qui descendait jusqu'à la grande lèvre, était ex

ite; la troisième, interne, dépassait la vulve de quelques pouces. La base était en haut, le sommet en bas, et la tumeur éta

sommet en bas, et la tumeur était plus large dans son milieu qu'à sa base . Sa direction était oblique de droite à gauche et

e n'ai trouvé là aucun signe de dégénération cancéreuse; du reste, la base qui supportait la partie ramollie était dense et

e pus. Du reste, toute la partie dégénérée avait été extirpée; car la base de la végétation offrait tous les caractères du t

té thoracique du fœtus gauche. Son bord supérieur concave répond à la base du thorax au niveau des appendices xyphoides. Son

use). 6° liv., pl. 1, 11, p. 2. — Méningite sous-arachnoïdienne de la base du cerveau, m Méningite sous-arachnoïdienne de la

oïdienne de la base du cerveau, m Méningite sous-arachnoïdienne de la base et de la voûte (forme comateuse). = Méningite sou

comateuse). = Méningite sous-arachnoïdienne de la convexité et de la base du cerveau, du cervelet et de la protubérance ann

6e liv., pl. 1, n, p. 3. — Méningite sous-arachnoïdienne aiguë de la base du cerveau avec accumulation légère de sérosité d

, pl. 1, 11, p. 4, 5. — Méningite sous-arachnoïdienne chronique de la base . 6e liv., pl. 1, 11, p. 6. — Méningites sous-arac

iv., pl. iv, p. / bis. Sous-arachnitis aiguë de la convexité et de la base du cerveau. Arachnitis ven-triculaire. Perte de m

e liv., pl. iv, p. ¦ — Erosions profondes de la surface interne de la base du crâne. 20e liv., pl. n, p. . — Tumeurs érecl

sive de tous les sens. Erosions profondes de la surface interne de la base du crâne. Pénétration de la substance cérébrale d

brale dans les érosions ou petites excavations accidentelles de cette base . 26e liv., pl. 11, p. /.— Tumeur fibreuse du poid

euse ). 6e liv., pl. 1, n , p. 2.—Méningite sous-arachnoïdienne de la base du cerveau. = Méningite sous-arachnoïdienne de la

oïdienne de la base du cerveau. = Méningite sous-arachnoïdienne de la base el de la voûte (forme comateuse). Méningiie sous-

me comateuse). Méningiie sous-arachnoïdienne de la convexité el de la base du cerveau, du cervelet et de la protubérance ann

5e liv., pl. 1, n , p. 3. — Méningite sous-arachnoïdienne aiguë de la base du cerveau avec accumulation légère de sérosité d

iv., pl. 1,11, p. 4, 5.—Méningite sous-arachnoïdienne chronique de la base . 6e liv., pl. 1, 11, p. 6. — Méningites sous-arac

sive de tous les sens. Érosions profondes de la surface interne de la base du crâne. Pénétration de la substance cérébrale d

brale dans les érosions ou petites excavations accidentelles de celte base . = Tumeur fibreuse du poids de deux onces, cinq g

, pl. iv, p. bis. — Sous- arachnitis aiguë de la convexité et de la base du cerveau. 8e liv., pl. iv, p. 2 bis. SPHINCTE

le symptôme dominant de la méningite_,sous-arachnoïdienne aiguë de la base du cerveau avec hydropisie des ventricules. 6e li

eillance m'a permis de réunir le matériel anatomique qui constitue la base de ce travail et d'acquérir les connaissances neu

aque supérieure forme plus spécialement le sommet, et l'inférieure la base . Du même point partent autant de paires de lames

ivision de la période fœtale. Ces données embryologiques servent de base à l'étude anatomique du temporal. D'ordinaire, en

es deux saillies, on trouve la cavité glénoïdienne. Au niveau de la base de l'apophyse zygomatique, on remarque parfois de

l'écaillé présente presque constamment chez l'adulte, au-dessus de la base de l'apophyse zygomatique, une série de pertuis m

ligne a) tangente au bord postérieur du méat, et perpendiculaire à la base du cerveau, l'autre (ligne b) tangente au pôle su

autre (ligne b) tangente au pôle supérieur du méat, et parallèle à la base du cerveau. Ainsi, sur un crâne donné, il mesur

entre eux, on aperçoit, sur l'extrémité postérieure et latérale de la base du crâne, une longue et solide apophyse i'i':rk

ngulaire du tympanal, on divise l'apophyse en un segment supérieur ou base , et un segment inférieur ou sommet. L'apophyse pe

tuée par une couche de tissu spongieux qui, en avant, appartient à la base de la pyramide pétreuse (bloc de Jansen), et, en

éral, mais le danger diminue au fur et à mesure qu'on s'éloigne de la base pour se-rapprocher du sommet de l'apophyse. La mo

les. Presque toujours les cellules plus volumineuses se trouvent à la base de la pyramide entre la fosse jugulaire et le lim

hie du labyrinthe. — L'oreille interne ou labyrinthe est creusée à la base de la pyramide pétreuse, au milieu d'une masse de

un cône donl I axe a une direction oblique en avant et en dehors : la base répond à la lame criblée spiroïde du conduit audi

— Le liquide arachnoïdien paraît trouble le long des vaisseaux. A la base du cerveau, dans la région du chiasma et au nivea

ouvent normalement au niveau de la paroi interne du vestibule et à la base du limaçon. On peut donc prévoir que les suppurat

tympanale, présente en son milieu l'apophyse vaginale, qui engaine la base de l'apophyse styloïde. Une surface rugueuse, p

scription de la bulle chez les différents animaux. Si on examine la base du crâne de presque tous les mammifères, on aperç

e la pyramide. Ainsi, sur 15 malades dont les observations servent de base k la thèse de Marcé, il y a 8 phtisies, une syphi

nous, sa forme rap-pelerait plutôt une pyramide triangulaire dont la base coïnciderait avec la paroi postérieure et le somm

un pont au milieu de la cavité sous-pyrainidale et atteint ensuite la base de la pyramide. Rozier a constaté que, sur 60 t

ngulaire, à sommet coïncidant avec l'apophyse externe du manche, et à base répondant à l'incisure de Rivinus. Elle offre en

u tympan chez l'adulte; le développement progressif se faisant par la base , toutes ces parties : fenêtres ronde et ovale et

dre appui sur le seuil de l'aditus. L'étrier offre à considérer une base , deux branches et une tête. La base ou platine, p

L'étrier offre à considérer une base, deux branches et une tête. La base ou platine, placée dans le plan sagittal, présent

ieure ; quelquefois même elle est rectiligne. Les deux branches et la base limitent un espace, nommé spalium intercrurale, c

en arrière le massif du facial. Un segment osseux cunéiforme, dont la base mesure 3-/| millimètres sépare la fosse jugulaire

-dessus du ventre postérieur du muscle digastrique et en dehors de la base de l'apophyse styloïde, contre laquelle il s'appl

sinue le doigt dans le creux inter-parotido-mastoïdien pour sentir la base de l'apophyse styloïde, contre laquelle s'appliqu

isséqué. Le nerf facial traverse l'aire triangulaire délimitée par la base du crâne, la glande parotide et le ventre postéri

et la fosse jugulaire se trouvent situés dans ce segment osseux de la base du crâne inclus entre deux plans verticaux et tra

mporal, reçu dans la concavité de la grande aile du sphénoïde, et une base répondant au lobe occipital. Cette limite postéri

occipital ; trois faces : interne, externe et inférieure : enfin, une base qui répond au lobe temporal. Trois sillons plus

au rétro-réflexe de Meynert, et, finalement, avec les ganglions de la base et l'écorce cérébrale parles fibres rubro-thalami

al pendant qu'il mange, « debout, les membres écartés pour élargir la base de soutien. Tandis que son attention est tout ent

Figure 3. — Temporal d'adulte, scié suivant le plan sagittal, à la base de la pyramide. La coupe bâille sur la figure [\.

mporo-thalamiques. Des deux côtés, la scie a ouvert le limaçon à sa base ainsi que la cavité tympanique, en laissant le ma

ins Face inférieure du cerveau. Le cerveau reposant encore sur la base du crâne, si l'on veut l'en détacher, on rabat le

e pont de Varóle (PV), la face inférieure du cerveau est fixée à la base du crâne par un prolongement de la substance gris

protubérance annulaire (PV), en arrière, est ce qu'on peut appeler la base du cerveau. Base du cerveau. La base du cerve

ire (PV), en arrière, est ce qu'on peut appeler la base du cerveau. Base du cerveau. La base du cerveau comprend toutes

est ce qu'on peut appeler la base du cerveau. Base du cerveau. La base du cerveau comprend toutes les parties de la face

s commissurales qui constituent le raphé. Le schéma 5 représente la base du cerveau, limitée en avant par le bord antérieu

e substance grise (GS) désignée sous le nom de pyramide Schéma 5. — Base du cerveau. CO, chiasma optique; EPA, espace perf

ire; elle se loge dans la selle turcique et elle fixe le cerveau à la base du crâne. A la partie postérieure du tuber cinere

convolutions temporales; c'est elle qui forme la limite externe de la base du cerveau; c'est elle dont le bord décrit la con

tubercules quadrijumeaux Schéma 4. — Espace perforé antérieur à la base de l'hémisphère (voy. page x). CH. chiasma opti

des tubercules quadrijumeaux antérieurs. Pour en avoir fini avec la base du cerveau, il ne nous reste plus qu'à signaler d

isphérique, puis à la masse pédon-culaire et aux divers organes de la base du cerveau que nous avons déjà énumérés. Entre le

du cerveau que nous avons déjà énumérés. Entre le corps calleux et la base du cerveau se trouve toute une série d'appareils

de ces ventricules, le ventricule moyen, situé juste au-dessus de la base du cerveau, et dont le cul-de-sac inférieur est r

'ouvre dans une loge impaire, médiane, immédiatement sus-jacente à la base du cerveau. Cette loge est le ventricule moyen (F

réséquer le pont de Varole et tous les organes qui appartiennent à la base du cerveau : on divise le pédoncule cérébral d'av

idualité. Seules les parties centrales, celles qui correspondent à la base ou au seuil, s'accroissent et se disposent d'une

eprésentés par deux des branches delà scissure sous-pariétale, a pour base la scissure occipitale (Oe). Le grand sillon mé

ent dit : il consiste en trois plis dont l'ensemble est un triangle à base supérieure. La base répond à l'opercule de la rég

e en trois plis dont l'ensemble est un triangle à base supérieure. La base répond à l'opercule de la région frontale (OF) et

it sont séparés par deux sillons égalements convergents, partis de la base du lobule, mais qui n'atteignent jamais le sommet

(OF, OR, OP), s'étend d'avant en arrière sur toute la longueur de la base du lobule. brissaud. d La partie la plus post

l'hippocampe à son extrémité antérieure, c'est-à-dire en dehors de la base du cerveau. Le cerveau de certains singes montr

n fait primordial, que chacun peut aisément constater et qui est à la base de toutes les théories présentes ou à venir : c'e

on, vue de la cavité ventriculaire, a la forme d'une pyramide à large base , occupant toute la moitié antérieure de la paroi

ongée, fusiforme (CAL), intercalée entre le forceps major (FOm) et la base de la circonvolution de l'hippocampe. Cette saill

n dehors et dans la profondeur, un troisième noyau, triangulaire et à base externe, se compose de trois segments : un extern

s supérieures. En dehors du noyau lenticulaire (schéma 49), dont la base répond exactement à la région de l'insula, on voi

pentagone sous-ovalaire (PSO) et le pentagone du lobe carré (PEN). La base du triangle est le bord supérieur de l'hémisphè

Cette masse triangulaire est incomplètement divisée, du milieu de sa base vers son sommet, par le sillon pariétal transvers

urrelet du lobe carré a également la forme d'un riangle, à très large base postérieure, représentée par la scissure ccipital

pour chacune d'elles. Figure 1. COUPE HORIZONTALE PASSANT PAR LA BASE DU TUBERCULE ANTÉRIEUR DE LA COUCHE OPTIQUE [co

t représenté par la partie, amincie en dedans, du giobus medialis, la base est représentée par le côté externe du putamen. C

est divisé en trois segments par deux lames blanches, parallèles à la base du triangle, et légèrement convexes en dehors. Le

pariéto-frontal prend, sur cette coupe, une insertion importante à la base du lobule pariétal supérieur. Une autre, venue de

é que par ce faisceau de fibres flottantes qui, juste au-dessus de la base de la corne d'Ammon, portent le nom de bulbe de l

be de la corne postérieure est, disons-nous, toujours au-dessus de la base de la corne d'Ammon; il occupe donc la région int

orales. Ce pli de communication, situé immédiatement au-dessous de la base de la corne d'Ammon, réunit la partie antérieure

coupe, trois saillies d'une circonvolution dont la masse (Fci) est la base commune. Un peu plus en avant, au centre de la ma

ies d'une circonvolution dont une masse nouvelle (Fd, fig. 50) est la base commune. D'autre part, on peut voir (fig. 28) q

verticales, paraît les séparer là où elle s'enfonce entre elles. Leur base grise ne subit aucune interruption. On peut se co

ulaire, une voûte formée par la face inférieure du corps calleux; une base formée parla fimbria, la couche optique, la bande

P, fig. 60), le côté interne par l'alveus (ALY); le côté inférieur ou base est toujours superposé au fond du grand sillon oc

a hauteur de la cavité ventriculaire latérale, c'est-à-dire depuis la base de la corne sphénoïdale jusqu'à la voûte de la co

edans (fig. 67, 68, 71, 72) par la toile choroïdienne, qui englobe la base de la glande pinéale (G. 68) et la partie la plus

e petite masse grise située au-dessous et en dedans du thalamus, à la base de la glande pinéale. On n'en aperçoit encore ici

re assez régulier, tantôt sous l'aspect d'un tronc de cône émoussé, à base antérieure. Cette désignation répond à une portio

ie la plus reculée du ganglion de l'habénule (GH), conl'ondne avec la base de la glande pinéale, et recouverte par une couch

aigu, quelquefois tronqué (fig. 73), est dirigé en dehors, et dont la base décrit une concavité qui regarde en dedans, à la

oupe vertico-transversale a une forme triangulaire si spéciale. Si la base du triangle est toujours curviligne, les deux côt

e toujours à distinguer, comme sur la coupe 77, un dédoublement de la base du faisceau arqué, sur la signification duquel no

marginalis aquœducti peut, ici encore, être distingué (fîg. 80) à la base du ganglion de l'habénule, mais ce n'est plus que

sse prismatique de fibres compactes, logées entre le clau-strum et la base du putamen, s'enfonce d'arrière en avant dans la

ibre, tranchent par leur couleur blanche sur la substance grise de la base du cerveau à la surface de laquelle elles proémin

r. TM. le tubercule mamillaire, adjacent à la substance grise de la base du cerveau (SG), recevrait le pilierdes-cendant d

mamillaires se touchent par leur convexité interne. Elles forment la base de l'espace perforé postérieur, dont le sommet s'

ration entre deux couches blanches. Elle s'étend en dehors jusqu'à la base du putamen, et même paraît se continuer avec lui

tance grise du tuber cinereum (TC). C'est cette lamelle, émanée de la base du putamen, qui a été appelée substance grise inn

étrique de ce mot. Le noyau de l'anse, comme toutes les couches de la base du cerveau, décrit une courbe à convexité supérie

ut le constater à l'extérieur sur tous les cerveaux dont on étudie la base , elle est presque tangente à la circonférence du

e soit plus diffuse; il entre franchement d'arrière en avant, dans la base du putamen, à laquelle il donne (sur les coupes 1

gentes, auxquelles on a pu donner le nom de couronne rayonnante de la base du putamen (RIL, fig. 113). RIL. La couronne ra

base du putamen (RIL, fig. 113). RIL. La couronne rayonnante de la base du putamen (fig. 113) est le faisceau le plus com

nt les coupes horizontales 1 et 2 de la planche XXXIV, voisines de la base de l'encéphale, avec les coupes 7, 8 et 9 de la p

e de substance grise n'est que le prolongement du noyau caudé vers la base de l'encéphale. Substance grise NC. Le noyau

u noyau lenticulaire, sous la forme d'une lamelle blanche étalée à sa base , c'est que ces fibres pénètrent directement dans

entre la face externe du noyau caudé (NC) dont on a représenté ici la base , et l'a-vant-mur (CL). Elle est donc immédiatemen

est comme perdu dans la substance grise du troisième ventricule, à la base de la lame terminale (LAT) ; il fait même partie

tecta (fig. 128, tec). Plus en avant, celle-ci, toujours située à la base du scptum, se confond avec l'écorce du tubercule

laissant parcourir son chemin sous le putamen, et il se termine à la base du lobe frontal, en dehors du fasciculus uncinatu

st toujours préférable de procéder de bas en haut, c'est-à-dire de la base à la convexité ; en d'autres termes, la première

nfoncer, en avant en dehors et en haut, dans la substance grise de la base du cerveau. NC. Le noyau caudé, sur la figure 1

septum lucidum (fig. 2 et 3) se confond avec la substance grise de la base , au devant du faisceau de Yicq d'Azyr (FVA). NC

u tubercule mainillaire (TM), s'enfonce dans la substance grise de la base (fig. 2), puis, de là, dans la couche optique. Ma

sous le noyau amygdalien et \a se jeter dans la substance grise de la base , en dedans du lobule de l'hippocampe. — L'uniform

en dehors avec le noyau caudé (NC) et avec la substance grise de la base du cerveau, qui s'arrête au niveau du passage du

ppartiennent au faisceau inférieur du forceps ; elles représentent la base de la corne d'Ammon, dont la saillie blanche dans

anche dans la cavité ventriculaire n'est autre chose que l'alveus. La base de la corne d'ximmon (BAM) correspond toujours à

sser cette limite. PLANCHE XL COUPES HORIZONTALES PAS.SANT PAR LA BASE DU CERVEAU Les cinq figures de cette planche so

ARC. Fibres du faisceau arqué destinées à la capsule interne. BAM. Base de la corne d'Ammon. BCP. Bidbus cornu posterio

......vu, 195 Bandelette sous-optique (BSO)............. 195, 301 Base de la corne d'Ammon (BAM).............. . 45(5

.... 195, 301 Base de la corne d'Ammon (BAM).............. . 45(5 Base du cerveau...................... v Bec du corps

promenades avec interrogations, etc., constituent comme toujours la base de l'ensei- gnement (1). III. Enfants propres

camphre et les médicaments antiscrofulcux ont continué il être la base du traitement pendant l'année 1892. Voici la st

épileptiques, nous lui avons répondu que l'on pointait prendre pour base d'une telle organisa- tion, la section des enfa

oins tacite de l'Administration et nous prenons généralement pour base le développement physique des malades. Voici un

t au niveau de l'angle antérieur des parié- taux. Les artères de la base sont symétriques. La pie-mère cérébrale est trè

des traces d'adhérences nombreuses et profondes. b) Face interne et base . - Rien de particulier à noter. Traces d'adhére

adavre est très émacié. . Tête. Cuir chevelu extrêmement amaigri. - Base dit crâ ? te tout à fait symétrique. Quant à la

mmes de liquide céphalo-rachidien mêlé de sang. Les artères de la base , les nerfs olfactifs, optiques, les ban- delett

ale. Sur la branche gauche, on trouve également un os wormien. - La base du crâne est asymétrique. Le trou occipital est

d costal saillant, don- nant lieu à un élargissement du thorax à la base . Pas de malformation du sternum. - Glandes mamm

domen aplati, rétracté, dur. Sonorité tympanique au niveau des deux bases des poumons en avant. Matité hépati- que peu ne

wormiens. Dure-mère assez épaisse. Les différentes parties de la base du crâne et de l'encéphale sont symétriques, les

gouttière creusée dans les pariétaux et parallèle à la suture. - La base du crâne semble à peu près symétrique. - La dur

eur de 5 eentimétl"s dans la suture. - Rien de P"I'liclllif' ! à la base du crâne. La dure-mère est d'épaisseur normale.

dure-mère est d'épaisseur normale. Les vaisseaux et les nerfs de la base sont symétriques, - Liquide céphalo-rachidien e

s du pharynx avec une solution de cocaïne à 5 0/0. Congestion de la base gauche, au-dessous de la zone du gargouillement

de sur une partie de son étendue, mais principalement à droite. -La base du crâne est asymétrique. Le trou occipital est

Autopsie : crâne ET cerveau. Pas de congestion de la pie-mère de la base . Les lobes frontaux sont un peu accolés à leur

âtre, et cela sur chaque hémisphère. - Les artères, les nerfs de la base paraissent tout,il,fait symétriques. Les tuberc

mellaires des bords de la brèche en sont une preuve. (Fig. 2). La base dit crâne est légèrement asymétrique, la fosse oc

clic. Liquide céphalo-rachidien assez abondant. Les artères de la base ne présentent pas d'anomalies de disposi- ? 7.

de tartines beurrées. - Poumon droit (360 gr.) : il pré- sente à sa base et à son sommet des points d'emphysème. Les lob

sent à la pic-mère et cèdent faci- lement. Toutes les artères de la base qui correspondent à l'hé- misphère gauche sont

ou la rétraction de l'hé- misphère gauche atrophié. Les nerfs de la base sont sensible- ment égaux. La bandelette optiqu

tes. Petit foyer caséeux circonscrit à la partie anté- rieure de la base ; dépression cicatricielle assez étendue du som

circonférence, pas de goitre. Thorax peu développé, peu large à sa base . Pas de lésions du coeur ni des poumons. Memb

en arrière, un peu de submatilé. - A l'auscultation, il y a vers la base une zone de crépitation très circonscrite. - Tr

La respiration est plus difficile. La matité du côté droit, vers la base , est plus étendue. La zone de crépitation s'est a

dyspnée. Râles humides, fins, dans les deux poumons, surtout aux bases . Submatilé des deux côtés. Traitement : 50 cen-

ale. Un peu de submatité à gauche. Quelques gros râles muqueux alla base gaucho. A droite, zone de crépitation dans la f

e de crépitation dans la fosse sous -épineuse. Souffle intense à la base . Même traitement. - Soir : T. R. 40°, 2. 6 ao

e céplralo-rachirlien est en petite quantité. Les ctt·lères de ta base sont symétriques et égales. Il on est de même d

rcules mamillaires et des pédon- cules cérébraux. La pie-mère de la base n'est pas vascu- larisée : iiiais on note une v

vascularisation prédomine à droite. Les différentes fosses de la base du crâne sont normales et à peu près symétrique

région postérieure des pariétaux surtout au niveau du lambda. La base du crâne est symétrique ; elle offre comme partic

lobe temporal droit. Des amas purulents existent au niveau de la base des scissures de Sylvius et au niveau des pédoncu

t au niveau des pédoncules en arrière du chiasma. Les artères de la base n'offrent aucune anomalie apparente. 170 RÉFL

dhé- rences pleurales nombreuses des deux côtés. Induration de la base du lobe supérieur gauche, tiont les bronches lais

et interne, principalement sur leurs deux tiers postérieurs. A la base , la vascularisation est légère. Les nerfs olfac

e rétrécissement du champ visuel. Nez droit, assez long, étalé à la base ; les narines ne sont pas déformées, regardent e

cervelet. Les sinus sont gorgés de sang coagulé. Les cavités de la base paraissent symétriques, le trou occipital est n

st normal. Corps pituiatire, rien de particulier. La pie-mère de la base est très-injectée. - Les nerfs olfuctifs, optiq

roite et à gauche. Les veines de la co ivexité et les artères de la base sont distendues par du sang fluide. Il y a une

ningite purulente. - Méningite chronique de la con- vexité et de la base . - Circonvolutions cérébrales et scis- sures as

ond dont le fond est représenté par une mince lamelle osseuse. La base du crâne est symétrique. Le trou ocdp;t;Û ne MÉ

. A la percussion un peu de matité en arrière des deux côtés et aux bases . Quel- ques fines crépitations disséminées çà e

disséminées çà et la dans les deux pou- mons, mais surtout vers la base . - Traitement : Oxygène, sirop d'ipéca, 30 cent

un peu adhérente aux os. Un peu de sang l1uirlc dans les sinu,. La base du crâne parait sym"ll'ique. Il en est de même

ts, dont le bromure de potassium et le sirop de Gibert formaient la base . Etal actuel (8 janvier 1892). - Peau pâle. Mai

artie transparente, symétrique, n'a guère plus de 5 millimètres. La base du crâne, symétrique, ne présente rien de parti

ne présente rien de particulier. Les vaisseaux et lesnerfs de la base ontleur disposition ordi- naire. La pie-mère es

ation, l'enfant tousse un peu, elle a des râles sous-crépitants aux bases . Il n'y a pas de dyspnée apparente. Le pouls es

s deux tiers supérieurs des poumons, des râles sous- crépitants aux bases , de la submatité seulement à la base droite en

es râles sous- crépitants aux bases, de la submatité seulement à la base droite en arrière. La toux est légère, la dyspn

s impressions digitales qui les rendent translucides (Fig. 7). La base est sensiblement symétrique. Le plancher des orbi

cules mamillaires sont tout-à-fait aplatis. Les autres nerfs de la base paraissent à peu près normaux. - Les artères sont

oyennement dilatées, à réactions normales. - Nez, moyen, épaté à la base . - Bouche moyenne. Lèvres assez volumineuses. O

dhère pas avec le crâne même au niveau de la perte de substance. La base du crâne n'offre aucune altération. Sur la dure

ndues de ménigite purulente. - Méningite de la conve- xité et de la base . Circonvolutions cérébrales et scissures assez

se. Jusqu'à ces derniers temps la plupart des auteurs ont pris pour base de leurs classifications les maladies. Cet ordre,

é, par une cloison fibreuse, l'aponévrose cervico-thoracique, et à sa base , par une cloison musculaire, le diaphragme, et do

En haut les deux orbites, en forme de pyramides quadran-gulaires , à base extérieure et à sommet interne convergeant, encas

ose cervicale postérieure; en haut le limite du cou est formée par la base du crâne et la partie inférieure de la face; en b

planche io, %. i. les muscles abaisseurs de la mâchoire, ceux de la base de la langue et les élévateurs de l'os hyoïde, is

ait inverses pour les produits organisables, dont la fibrine forme la base , prouvée dans quelques uns, et présumée dans les

que traversent de nombreux canaux lymphatiques, est fortifiée vers sa base par l'application de nombreux ganglions. Vers la

usfavorablesque nuisiblesà l'intégrité des fonctions du cerveau. A sa base , en particulier, il offre, pour le passage des ne

e l'os maxillaire inférieur, derrière laquelle sont les muscles de la base de la langue. RÉGION ORBITAIRE. Situation, co

côté à la partie médiane et supérieure du cou, limitée en haut par la base de la mâchoire, en bas par l'os hyoïde et le prol

ponévrose antérieure commune, circonscrite dans cette région entre la base de l'os maxillaire, l'os hyoïde, et les enveloppe

rminée. Dans l'aire chirurgicale inscrite entre le fer à cheval de la base de la mâchoire, l'os hyoïde et les muscles stylie

sterno-mastoïdien, et forme un triangle isocèle très alongé, qui a sa base à l'os hyoïde et son sommet au sternum. Proéminan

rairement. Sa forme générale est celle d'un triangle isocèle, dont la base estj à la clavicule, et qui a pour côtés, en avan

ui-même se compose d'un petit appendice demi-ovoïde, qui surmonte une base ou aréole aplatie et circulaire, d'un pouce de di

ace piano-concave. Assez vaguement circonscrite dans son contour à sa base , elle se prolonge ordinairement un peu plus du cô

ue côté de la précédente, sa forme est celle d'un triangle qui a pour base la ligne sous-ombilicale, et dont les lignes conc

zontalement cle l'une à l'autre épine iliaque postérieure, formant la base du triangle dont les côtés en relief et convergen

et en arrière, indique le relief du grand dorsal et du grand rond. La base se confond vaguement avec les parois de la poitri

incipales en travers et divergeant en dehors : l'une qui contourne la base de l'émi-nence hypothénar ; la seconde indiquant

ses limites chirurgicales la cuisse, en forme de cône alongé, dont la base correspond au bassin, et le sommet au genou, a po

'Achille, qui sépare deux dépressions latérales triangulaires dont la base est au calcanéum. L'interne est limitée en avant

résignation, et l'assurance d'une guérison certaine qui leur sert de base . Il stimule, rassure ou console, suivant que le m

veines, lorsqu'on opère à peu de distance du cœur, au pourtour de la base du cou et du sommet de la poitrine. On sait à que

sur le même bord le long du manche et le fixent légèrement contre la base et la face palmaire du petit doigt. Le bistouri t

pointe de l'instrument, une section qui divise le pli du sommet à sa base . On peut, si l'on redoute encore d'intéresser les

centes, présenter la pointe de l'instrument en deuxième position à la base du pli, le traverser par une ponction, et faire r

t avec elle un angle d'autant plus aigu que l'écartement qui forme la base du lambeau est plus considérable. Les usages de c

mmet commun, six ou huit lambeaux en V, adhérons au pourtour par leur base . Cette incision est réservée pour les cas où il c

es membranes muqueuses. En appuyant la convexité de l'instrument à la base de ces tumeurs, de manière à les faire saillir en

es amputations dans la continuité et l'ablation des exostoses à large base . Les ostéotomes et les scies à chaîne sont les in

cas des polypes fibreux des fosses nasales et zygomatiques, ou de la base du crâne, extraits par de larges solutions de con

striction s'opère par ligature, à l'aide d'un lien dont on entoure la base des parties à détacher. Le lien est porté directe

un bec, une pince ou un petit anneau perpendiculaire, qui étrangle la base ou le pédicule de la tumeur en serrant l'anse du

La ligature devient composée lorsqu'une tumeur ayant un volume ou une base trop considérable, il est nécessaire, pour en opé

iguilles, que l'on insinue lentement l'une après l'autre à travers la base de la tumeur que l'on traverse de part en part :

portion de tumeur dont on suppose que vient le sang. Enfin , si à la base de la tumeur se trouvait tel organe important que

le trajet de l'aiguille vers la tumeur elle-même en s'écartant de sa base . soins et précautions pendant l'application.

chlorure d'antimoine, les divers trochisques ou pâtes sèches dont les bases sont le deuto-chlorure de mercure, les deutoxides

a cautérisation de tumeurs d'une mauvaise nature, dont on a excisé la base , on lui préfère généralement le nitrate acide de

ixés à l'extrémité d'un long porte-crayon, et qu'il appliquait par la base sur les parties saillantes ou unies, et par le so

es. C'est le nom que l'on donne à des caustiques solides qui ont pour base divers oxides métalliques de plomb, de cuivre, de

s raies de feu ou la cautérisation transcurrente, et pour attaquer la base de certaines tumeurs fongueuses facilement saigna

ble. Cette lymphe, dont on sait aujourd'hui que la fibrine forme la base , est, pour les artères, comme pour les autres tis

dans les opérations pratiquées près de la veine cave supérieure, à la base du cou ou de la poitrine ; dans ce cas, pour réta

ur les mains, au visage, etc. Cor. Excroissance en forme de clou, à base superficielle, large et aplatie, avec une pointe

quel, avec de l'habitude, on arrive précisément sans l'intéresser. La base étant enlevée, reste la racine centrale, unique o

en face, celui-ci commence par détacher lentement en circonférence la base du clou avec un poinçon carré, dit quadrille. Dès

gnes au-delà de sa racine, en inclinant un peu en bas pour tailler la base du lambeau. Le prolongement de l'incision en ar

ion doit être totale ou partielle. Puis, l'orteil étant maintenu à sa base par un aide, le chirurgien saisit avec une pince

e employée pour déterminer la vésication lente; cette poudre forme la base des emplâtres épispastiques, et sa teinture sert

ts sur lesquels on veut les appliquer; on les y fait adhérer par leur base , et, en allumant leur sommet, la combustion se co

entre le pouce et les doigts pour en former un pli vertical, à large base , dont il fait tenir la partie supérieure par un a

int d'autre partie pincée clanslanse; puis, le chirurgien traverse la base du pli avec le bistouri, qu'il enfonce jusqu'au t

is par Celse. Mais tandis que l'art romain formait un lambeau à large base , l'art indien , plus hardi, taillait un lambeau a

au, il faut, autant qu'on le peut, réserver pour la partie adhérente, base ou pédicule, le point probable par où s'insinuent

irrégulièrement trapézoïdal , isolé par trois côtés, adhérent par sa base . Si la peau est très mobile d'un côté, il peut su

i lui permet de détacher deux lambeaux triangulaires mobiles, à large base , du même côté. Ce procédé, par les ressources qu'

ul coup, l'adhérence ou la cicatrice anormale, de son bord libre à sa base , ou de l'extrémité la plus superficielle à la plu

, on doit toujours redouter la formation de nouvelles adhérences à la base : on s'y oppose par un écartement très prononcé,

spécial est précisément de s'opposer à la récidive par adhérence à la base des plis d'isolement ou de flexion, tels que les

n, tels que les doigts. Il passe avec un trocar! un fil de plomb à la base même du pli, attend que la fistule se soit organi

, la négligence seule pouvant occasionner une nouvelle adhérence à la base , que le chirurgien doit prévoir et peut empêcher.

en fit à la peau un pli parallèle au bord du muscle, et, piquant à la base du pli, glissa, sous la face profonde du sterno-m

'os à nu en formant un lambeau relevé vers l'arcade zygomatique comme base , et qui renferme la glande parotide non lésée. Da

ans sa direction oblique en haut et en dedans, et parvient jusqu'à la base des apophyses styloïde et mastoïde, à l'orifice d

e à former une plaie triangulaire dont la section de la peau forme la base élargie, et la veine le sommet tronqué. Le sang j

t. Soulever la veine dans un pli de la peau , traverser ce pli à sa base avec une aiguille de manière à comprimer la veine

e. Second procédé de M. Davat ( pl. 3 1, Kg. i,u° i ). Traverser la base du pli cutané, qui renferme la veine, avec une se

t le plus superficielle , un pli longitudinal qu'on incise jusqu'à sa base ; glisser ensuite au-dessous de la veine un stylet

repli cutané et inciser d'un seul coup avec un bistouri droit, de la base au sommet du repli. La section des pelotons variq

ion suivie à travers les Arabes et le moyen âge, continue de faire la base du traitement de l'anévrisme. L'époque de la rena

vec de nombreuses flexuosités en haut et en dedans, pour atteindre la base de la langue. Le lieu d'élection pour l'atteindre

indrique d'un petit volume, dont Scarpa s'est emparé pour en faire la base du procédé qui porte son nom. L'avantage de ce mo

Ligature. Elle ne convient qu'autant que la tumeur est étroite à sa base ; on la pratique avec un cordonnet de soie que l'

re intention. Excision ( Procédé de Chopart pour les kystes à large base ). Quand le kyste, volumineux et plat, laisserait,

s vaisseaux. 2° Extirpation, (a) Si la tumeur est plate et ci large base , la découvrir par une incision en V, en T, ou cru

evant ou l'inclinant en divers sens, la détacher circu-lairement à sa base jusque sur le pédicule formé par le principal fai

l'a employé avec succès au doigt indicateur droit, dont il cerna la base par une incision chez un malade auquel M. Hodgson

nt le sommet tronqué était bien garni cle peau cle daim tandis que sa base était clouée sur la table qui servait à l'opérati

éjjan exfoliatif. Dans le même temps Duverney attaque les exostoses à base large avec le trépan ordinaire, en ayant soin d'e

omplètement abandonné. Le procédé de Nicolas, qui consiste à scier la base cle l'exostose quand elle est étroite, a trouvé b

t plus ou moins bien pédiculées. Si la tumeur adhérait à l'os par une base élargie, l'application de plusieurs couronnes de

qui allant à l'autre commissure circonscrive ainsi un lambeau en V à base inférieure. Ce lambeau disséqué et renversé, écar

ticulation du poignet. Il en résulte un large lambeau quadrilatère, à base inférieure, qu'on dissèque de haut en bas et qu'o

les incisions. MM. Bégin etSanson proposent avec raison de donner une base plus large au lambeau et de le relever pour le ré

rigée en arrière et un peu en haut, cle manière à former un lambeau à base supérieure et postérieure (pl. 58, fig. i et 2).

veau de l'articulation sterno-claviculairc, un lambeau quadrilatère à base supérieure. C'est dans la même intention que M. V

méthode par trois incisions circonscrivant un lambeau quadrilatère, à base supérieure, qui serait disséqué et relevé en haut

l'exemple de M. Blandin pratiquer en dedans un lambeau quadrilatère à base postérieure : le lambeau disséqué et les lèvres d

irconscrivit, au moyen de trois incisions, un lambeau quadrilatère, à base interne, qui fut relevé sur le dos du pied. Le te

nt, M. Velpeau pratiqua la résection de la moitié du cuboïde et de la base des cinquième et quatrième métatarsiens. Un jeune

e supérieure et presque toute sa face externe, et enleva également la base du cinquième métatarsien et une partie de celle d

mber sur la première section verticale à peu près à la hauteur cle la base du nez. Le lambeau étant disséqué de bas en haut

peu obliquement de haut en bas, ayant la forme d'un triangle dont la base était représentée par la ligne d'adhérence allant

nférence un lambeau long de six centimètres, reporter le couteau à la base du lambeau antérieur, le faire traverser par ses

six centimètres, le disséquer, le relever, couper circulairement à sa base le reste des parties molles et scier l'os. On p

ument tourné vers soi. — Deuxième temps. Relever le lambeau, et de sa base faire partir une incision qui parcoure obliquemen

le de la dernière incision, le faire sortir intérieurement 0 à la base du lambeau, et sans intéresser de nouveau les tég

en arrière, dans l'espace inter-osseux jusqu'à dix millimètres de la base du premier lambeau, et réunit sur la face dorsale

bistouri en arrière, l'enfoncer à travers l'espace interosseux, à la base du lambeau, couper à plein tranchant jusqu'à la c

atarse par la face plantaire, l'indicateur et le pouce déterminant la base du lambeau : le couteau tenu en troisième positio

ce inter-osseux, jusqu'à la commissure; contourner sans désemparer la base de l'articulation niétatarso-phalangienne corresp

intermédiaires. Pour emporter un métatarsien on doit circonscrire la base de l'orteil par une incision ovalaire faite suiva

a-blementàSollingen qui la réduisit eu précepte, et l'établit sur des bases scientifiques. Pratiquée par Ravaton et Bromfield

névrose; disséquer et relever les lambeaux, couper les muscles à leur base , remonter les chairs, scier les os, et réunir d'a

isséquer à la hauteur de quelques lignes les tégumens antérieurs à la base du lambeau, couper selon la méthode d'Alanson les

inter-osseux, les muscles à nu, quatorze millimètres plus haut que la base du lambeau : réunir les deux angles par une incis

uit centimètres, et coupent circulairement les chairs au niveau de sa base . Cette méthode, que M. Velpeau propose de modifie

épens des couches musculaires superficielles, les relever, et, à leur base , inciser circulairement et en cône rentrant les m

lui paraissaient les plus avantageuses, et son travail est encore la base de tous ceux qui ont été entrepris après lui sur

r par un aide. 20 Appliquant le tranchant en arrière, en regard de la base du lambeau, diviser horizontalement les parties m

postérieure, de manière à circonscrire un lambeau trapézoïdal dont la base est en haut. Le lambeau disséqué et relevé, la tê

la main gauche la masse du deltoïde, glisser horizontalement, sous la base de ce muscle, un petit couteau, le tranchant tour

lus favorable, puisque, indépendamment de ce qu'il prolonge un peu la base de sustentation, il substitue à une surface carti

pied que le calcanéum; mais, outre que cet os ne présenterait qu'une base de sustentation très inégale, avec cela qu'il est

auteur. La section des malléoles offre l'avantage de donner une large base de sustentation; et la cicatrice (fig. 2), quoiqu

n et le passage du couteau de l'une à l'autre face; mais, arrivé à sa base , le couteau est arrêté en arrière par la saillie

au semi-lunaire; faire écarter ce lambeau et reporter le couteau à sa base pour en prolonger les angles en avant et en arriè

es aponévroses profondes sur le plan postérieur du pharynx, depuis la base du crâne jusqu'à la zone cervicale du thorax. A

e mobile (L), étroite et longue [fig. 3), est large de 10 lignes à sa base , et seulement de 6 à son sommet. Get instruaien

rte la pelotte mobile, Ce levier se compose d'un montant (E), dont la base évasée (e) tourne par une vis sur la plaque (C),

ument. La scie en crête de coq (c), agissant perpendiculairement à la base de la tumeur, est employée à en opérer la section

çu le pêne du ressort. ( f ) est le sommet de la pyramide vissée à la base de la couronne. Figures 2 et 3 bis. Plan de la

n regard de la dent canine, du bord libre de la lèvre inférieure à la base de la mâchoire. Une autre incision (b), partant e

(a), descendant sur cette branche , parcourant tout le contour de la base de l'os (b, c), et remontant sur le bord postérie

if (V. PI. II). - Si l'on passe à présent à l'étude du profil de la base du crâne de Michel donné par la radiographie en

ns antéro-postérieur. En poussant plus loin l'étude détaillée de la base du cràne, nous devons faire remarquer un fait a

oints de calcification de l'hypophyse. L'étude radiographique de la base du crâne dans l'acromégalie, depuis Oppenheim e

Ve segment dorsal le foyer de lésion avait une forme triangulaire à base orientée vers la périphérie, siégeait dans le cor

mptomatiques. (A suivre). ASILE CLINIQUE DE BEL-AIR (GENÈVE) LA BASE ANATOMIQUE DES PSYCHOSES (1), - D' Ch, LADAME,

sumer dans les deux ques- tions suivantes : 1° Existe-t-il, comme base anatomique des maladies mentales, des lé- sions

a Société suisse de Neu- rologie le 1 novembre 1909, à Zurich. LA BASE ANATOMIQUE DES PSYCHOSES 183 les appelait déd

bien évident toutefois que le jour où l'on pourra démontrer que LA BASE ANATOMIQUE DES PSYCHOSES 187 l'activité psychiq

n sachant bien toutefois, que les psychoses fonctionnelles ont leur base anatomique tout comme les psychoses dites organ

-être encore lointain, la classification anatomique désirée sur des bases réelles et indiscutables. ' Les trois rapports

is Nouvelle Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXIII. Pl. XV LA BASE ANATOMIQUE DES PSYCHOSES (Cb Ladame). 1. Déme

. Nouvelle Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXIII. Pl. XVI LA BASE ANATOMIQUE DES PSYCHOSES (Ch. Ladame). III. D

aussi cellulaires, cesderniércs sont atrophiées ou dégénérées. LA BASE ANATOMIQUE DES PSYCHOSES 1 89 de l'allure spéci

ns de l'un ou de l'autre de ses tissus ; comment alors concevoir la base anatomique des maladies mentales ? Je répète

ous fait encore défaut actuellement et, c'est à n'en pas douter, la base indispensable à posséder pour être autorisé à par

pensons qu'il en sera ainsi aussi longtemps que l'on n'aura pas une base pour déterminer les caractères fondamentaux de ch

choses sont constants, il faut bien supposer qu'il se trouve à leur base une lésion anatomique, constante elle aussi. C'

lus diverses, ce qui nous donne l'espoir de démontrer un our que la base anatomique n'est pas une vaine hypothèse, mais

urs,analysant les lésions qu'ils ont observées, disent par exem- LA BASE ANATOMIQUE DES PSYCHOSES 191 ple que les altéra

l'on rapproche cette hypothèse de l'opinion émise par Pilez que la base anatomique de la folie maniaque-dépressive pourra

différentes, les chercheurs préoccupés de trouver les preuves de la base organique des psychoses. Bien que ces recherche

à la première question dans les thèses suivantes : * 9 ° < La base anatomique » est un terme général qui comprend au

u en zones à caractères nets et distincts, nous fournira dans un LA BASE ANATOMIQUE DES PSYCHOSES 193 avenir plus ou moi

PSYCHOSES 193 avenir plus ou moins prochain les moyens de fixer la base anatomique des psychoses, en ordonnant les nomb

grand nombre de cas de maladies mentales, parce que, disent-ils, la base anatomique est encore bonne, ce n'est que le fo

ord, car admettre la toxine, c'est ad- mettre la'base organique, la base anatomique, c'est reconnaître que cet X agit su

il est,comme dans une main normale, le plus grêle de la série. La base ne semble présenter aucune anomalie morphologique

et irrégulière que sur un os normal ; la tête métacar- pienne et la base de la phalange adjacente sont peu foncées. Tous

linique, un développement énorme de la voûte en com- paraison de la base . Les parois;en général sont d'une épaisseur supér

s os du nez sont fort réduits. Les dents très développées. A la base du crâne la selle turcique est normale. Extrémi

visuelle. Ne : , très enfoncé à la racine et au milieu, élargi à la base . Odorat normal. Bouche. Dentura complète et sai

t très développés ; on ne voit pas les cellules mastoïdiennes. A la base du crâne la selle turcique est très petite quan

allongée et développée, grossie à la pointe presque autant qu'à la base ; celle du radius au contraire n'est pas bien dél

le aussi Vacuité visuelle. ' Le nez est plutôt petit, aplati à la base et à son milieu. Odorat normal. Bouche. Muque

l'extrémité inférieure du tibia présente deux saillies osseuses, à base large, constituées par une substance osseuse très

to, elles ont montré un fort développement des sinus frontaux. A la base du crâne, la selle turcique a été trouvée nor-

upérieur, déterminant un tel élargissement des os de' face et de la base du crâne qu'elle donne à la figure l'apparence

topsie fit consta- ter un ramollissement ancien des ganglions de la base de droite, des hémor- ragies récentes des gangl

e la base de droite, des hémor- ragies récentes des ganglions de la base de gauche et une endoartérite de plusieurs artè

de périartérite et d'endoartérite ; un processus de méningite de la base du cerveau, dans la région des circonvolutions

t de la moelle épinière; périnévrite et endonévrite des nerfs de la base et des racines des nerfs spinaux; des foyers de

rands foyers dans les faisceaux pyramidaux latéraux. Par leur large base , ils sont orientés en dehors et de là s'enfoncent

deux cordons latéraux, étaient des foyers alvéolaires qui par leurs bases correspondaient à la périphérie et de là s'enfo

ation ; le tissu cérébral ambiant est ramolli. Les vaisseaux sur la base 'du cerveau sont sclérosés. On ne trouve plus de

nt trouvé une destruction de la capsule interne et des noyaux de la base qui datait de 18 mois, les lésions corticales c

Psychol. und Neurol. Vol. XVI, no (-2, 1910. 384 MARINESCO de la base détruisant la couche optique, les deux tiers du n

e embolie, due à une en- docardite végétante, dans les noyaux de la base . Examen microscopique. Les cellules de Betz de

xamen macroscopique. - Tumeur cérébrale détruisant les noyaux de la base du côté droit. Examen microscopique. Dans la fr

lissement ayant détruit la capsule interne et tous les noyaux de la base du côté droit. Examen microscopique. Des coupes

Examen macroscopique. Foyer de ramollissement dans les noyaux de la base du côté droit. Examen microscopique. Dans la fr

Examen macroscopique. Foyer dû à une embolie dans les noyaux de la base ayant détruit une portion de la capsule interne.

foyers hémorragiques multiples des deux côtés dans les noyaux delà base , un peu plus nombreux et plus grands dans la co

en doute le rôle moteur des cellules de Betz sont loin, d'avoir une base iné- branlable, M. Horsley en excisant une port

midal et partant avec les mouve- ments volontaires reposent sur une base inébranlable, comme les recher- ches d'histolog

in et rythmique. La percussion du thorax indique une submatité à la base du thorax postérieur droit ; à l'auscultation s

roïdite. Ouïe. Weber latérisé à droite, normal des deux côtés. Voix base et tic- tac de la montre mieux perçus à droite.

l'extrémité distale. La tête métatarsienne est un peu élargie à sa base ; la surface articulaire est moins régulière, div

poumon droit présente des lésions typiques de bronchopneumonie; à la base gauche la condensation est moins nette et les f

ce côté avec le foyer de carie dentaire que nous avons déjà noté. Base du crâne* La selle turcique est creuse et large.

sens antéro-postérieur. Le corps de l'axis est configuré en coin à base gauche; l'apophyse odontoïde inclinée en arrièr

deuxième et 436 CHEVALLIER troisième dorsales sont trapézoïdes à base du côté droit, déterminant ainsi une scoliose i

,C 6 corps affaissés et soudés, sommet de l'angle cyphotique. Les bases des apophyses épineuses correspondantes sont soud

: la diaphyse est réduite au minimum et à peine plus étroite que la base ; la tête est élargie et forme avec le corps un

r le quatrième ; les tètes sont très claires, à fines cellules; les bases paraissent creusées de larges alvéoles mal rempli

- Rien du côté de la dure-mère et de la pie-mère La convexité et la base de l'hémisphère cérébral gauche sont normales. L'

e rencontre rien du côté des circonvolutions et des ganglions de la base . Une section horizontale, passant à 7a millimèt

es qui font partie des fibres d'association en U et s'étendent à la base des circon- volutions de l'insula, et des fibre

eure de l'insula, les fibres de l'axe médullaire et de celles de la base sont presque totalement disparues. Dans le tier

. Dans le gyrus temporalis transversus quelques fibres courant à la base de l'axe médullaire sont seules demeurées intac

alis, les au- tres, plus nombreuses, d'arrière en avant, jusqu'à la base des circon- volutions paracentrales, au gyrus f

il n'est resté intact que quelques fibres nerveuses s'étendant à la base de l'axe médullaire ; le reste de la même circonv

ngerle) ; 3° une partie inférieure qui recouvre les ganglions de la base . L'auteur admet d'ailleurs que son faisceau s'ide

pyriforme et mesure environ un demi-centimètre d'épaisseur ; par sa base il repose sur la couronne rayonnante, par son s

les fibres calleuses et les fibres de la couronne rayonnante. De la base du faisceau occipito-frontal, on voit se détacher

à la partie antérieure du cerveau et qui ne dépasse pas en avant la base du lobe frontal. Le trigone n'est normalement c

gauche est extrêmement saillante, d'autre part les ganglions de la base semblent parfaitement normaux. L'hémisphère gau

irrégulièrement rhombique, au fond de laquelle les ganglions de la base font saillie. La corne occipitale est limitéeen b

evi). Père et fils M... - Obs. I et II. Déformation identique de la base du nez. Masson & Clc, Editeurs. PhototHue

ns sa portion os- seuse ; le bout du nez est nettement relevé et sa base est dilatée par des ou- vertures très amples; l

gne de mention : les trois orteils centraux ont des deux côtés une. base d'implantation commune. Le trophisme de la peau

trois orteils centraux sont, comme chez le père, implantés sur une base com- mune. Aucun signe distrophique de la pea

son nez qui est tout à fait aplati à sa racine, et très dilaté à la base ; son as- pect est identique à celui que nons a

ails les travaux antérieurs - d'autant plus que la plupart ont pour base l'anatomie et la physiologie expérimentales - et

générale. La diaphyse est brève, souvent légère- ment incurvée. La base et la partie adjacente du corps semblent norma-

ns sont plus déformés ; leurs diaphyses sont de règle trapues ; les bases sont (1) A. PorrcaT et R. Leriche, Nanisme ance

.es, peut-être spécifiques ou tl'HU- matiques), « qu'il existe à la base du crâne une région dont le déran- gement foeta

ont consi- dérables ; sa pathologie est mal connue. Le rachis et la base du crâne sont trop voisins des centres nerveux

hémiatrophie. Désireux de placer la discussion pathogénique sur une base solide Steinberg a défendu la théorie de l'orig

façon dont agit l'élément toxique ou infectieux qui se trouve à la base de cette affection.. Le cas suivant que nous av

étude est devenue classique depuis que Kaufmann l'a utilisée comme base de la description qu'il donne de l'aortile moye

nt est cependant indiqué par une membrane délicate qui débute il la base près des tubercules quadrijumeaux et qui, pours

es relations exactes, se dirige en arrière vers les ganglions de la base , occupant il peu près le même siège à travers t

'écorce de la face médiane au tuber cinereum et aux ganglions de la base . La partie supérieure de cette paroi est occupée

rise qui constitue la paroi interne du ventricule n'atteint plus la base du cerveau, mais se termine brusquement immédia

décrire chaque lobe isolément. Sur les coupes qui passent par la base de l'hémisphère (PI. LXXV) et qui inté- ressent

'écorce. Correspondant au développement maximum des ganglions de la base et à l'arrivée sur la ligne médiane de la commi

sont normales ; son métatarsien est plus trapu que les voisins ; la base de cet os, petite, est soudée avec la base volu

apu que les voisins ; la base de cet os, petite, est soudée avec la base volumineuse du quatrième métatarsien ; en de- h

l possède trois phalanges mobiles, et il est facile de mobiliser la base de la première sur la tête métacarpienne. On ne

Le métatarsien est normal. La première puaiange présente une large base qui se divise en deux parties semblables entre el

Le gros orteil du pied gauche était très long et renflé près de la base ; le petit orteil était presque normal ; d'au-

aire; l'index n'était pas assez développé et était joint près de sa base au majeur. 1 La môme disposition existait aux d

ifférence : quant au gros orteil, celle position commence depuis la base de la phalangette, tandis que pour les seconds or

e réparation) (3 pl.), par ALQUIEN et Kt..\nFELD, 310. Psychoses ( Base anatomique des -) (12 pi.) par LADAME. 184. R

Contribution à l'étude du pithiastisme (2 pl.), 363. LAOAIIE. La base anatomique des psycho- ses (2 pl.), 184. (Ch.

lésions osseuses(ALQUIER et 11LARFELD), XXXIII à XXXV. Psychoses, base anatomiques (LADAME), XV et XVI Raymond (Le P

caments antiscrofuleux, ont continué, comme par le passé, à être la base du traitement en 1897. Nous avons également ess

qua- lité pour cet objet. Sous cette réserve, et en prenant comme base de nos appréciations le programme remis aux con

ylique, qui agit alors en toute liberté, et d'autre part, la chaux, base qui, lorsqu'elle n'est pas offensive, peut être

ères assez pro- noncées. La circonférence de la tète passant par la base du crâne est de 45 centimètres et demi ; le dia

R. 39°. ' 2 décembre. -Matité plus prononcée aux sommets qu'à la base ; râles sous-crépitants très nombreux aux deux ba

sommets qu'à la base ; râles sous-crépitants très nombreux aux deux bases . T. R. 38°. 4. - Soir : T. R. 38°, 4. 23 déce

re. Râles sous-crépitants surtout à droite ; un peu de matité il la base du même côté. (Vésicatoire). - Ulcé- rations su

délicate vu sa ténuité. L'encéphale pèse 1000 gr. Les organes de la base sont normaux : les deux hémisphères sont égaux

respiration ronflante; gros râles iL gauche, en arrière et iL la base . - Salicylate de chaux, 3 grammes. Deux lavements

psie ; démence. 33 Tête. Os de crâne normaux; pas d'asymétrie de la base du crâne; adhérences de la dure-mère à la voûte

les vaisseaux sont gorgés de sang. Les différentes parties de la base (artères, nerfs, chiasma, etc.) n'offrent pas d'a

ni diarrhée. Respira- tion un peu gênée, légère submatité aux deux bases des poumons surtout il gauche ; râles sibilants

ut il gauche ; râles sibilants ; quelques râles sous-crépitants aux bases , plus abondants à gauche. Eschare au niveau du

, à eu 195 accès. Autopsie (25 décembre). Thorax. - Pneumonie de la base du poumon gauche; congestion à droite; pas de t

du crâne sont assez minces ; pas d'adhéren- ces de la dure-mère. La base du crâne est asymétrique ; la bosse orbitaire d

arisée ; pas de taches ccchymotiques. Les différentes parties de la base de l'encéphale (artères, nerfs, chiasma, etc.)

adhérences de la pointe des lobes temporaux avec la dure-mère de la base . Entre la dure-mère et le (1) Ce qui explique l

ORENCËPHALIE ET MÊNINGO-ENCÉPHALITE. 53 coupe, on constate, dans la base seulement, une partie plus dure que le reste, a

mensions d'un petit haricot aplati. - Les différentes parties de la base du crans paraissent symétri- ques. - Le liquide

u lobe occipital gauche et du lobe frontal droit. Les artères de la base sont symétriques.- L'espace perforé, antérieur

rou de Bocal est obli- téré. - Poumon gauche : très pâle, sauf à la base qui est le siège d'une congestion intense et qu

e, T. R. 40°. - La percussion ne dénote qu'un peu de submatité à la base gau- clic; à l'auscultation on ne trouve pas le

s. Il y a deux os wormiens sur la suture pariéto-occipitale droite; base symétrique, trou occipital un peu rétréci. On

pyramide dont le sommet, supérieur, correspond a leur racine et la base au bord inférieur ale l'hémisphère; elles sont

1" La cavité aura la forme d'un entonnoir plus ou moins régulier, à base externe et dont le sommet regarde le ventricule

é, non adhérent. Ouïe bonne. Cou, circonférence 29 centimètres à la base . - Corps thy- roïde appréciable. Membres supé

est le siège d'adhé- rences dans toute la partie postérieure, à la base et à la partie inférieure de la face antérieure

soulevant les lobes frontaux, profondément altérés, pour dégager la base , on constate une grande quantité de séro- sité,

i remplit les lacs sous-arachnoïdiens et le canal rachidien. - La base est sensiblement symétrique, les fosses ont leur

le antérieure persiste. Elle a la forme d'un triangle irrégulier, à base antérieure de 6 centimètres sur 2 centimètres D

re vive excite chez elle une gaité exubérante. - Nez déprimé à la base , lobule épais, narines dilatées, regardant en bas

ipitales le sont davantage ; celle de droite offre deuxoswormiens. - Base du crâne très asymétrique ; les fosses temporal

n'a pas repris connaissance ; la con- gestion pulmonaire a gagné la base du poumon gauche; le poumon droit ne se dégage

pituitaire a son aspect et son volume habituels. - Les fosses de la base sont normales et symétriques. Le trou occipital

-mère est finement vascula- risée sur toute la face convexe et à la base . Quelques taches ecchymotiqucs sur les lobes te

calleux où elle est très adhérente. - Les artères, les nerfs de la base , les tubercules mamillaires, etc., sont symétri

a distance se fait nor- malement. Le ne : est aplati et élargi à la base , mais sans déviation de la cloison ; lobule arr

dinal, dans toute sa longueur, est rempli par un caillot noir. - La base paraît symétrique; toutefois la fosse temporale

phalo- rachidien en petite quantité. Les artères, les nerfs de la base n'offrent rien de particulier. Un peu de congesti

Les mêmes productions ostéophytiques se développent en bordure de la base de l'os. On remarque, en outre, remontant du bo

ophie est plus raréfiante qu'hyperostosante. Les déformations de la base des phalangettes rappellent ce que l'on voit dans

a très malade, puis il guérit peu à peu. Nous'avons radiographié la base du crâne, mais les images que nous avons obtenues

rienté nos recherches vers un trouble tro- phique par lésions de la base du crâne. Déjà Babès (5) a invoqué pareilles (1

et d'autres auteurs, on peut faire interve- venir une lésion de la base du crâne sans admettre l'existence d'un centre

que cliniquement on relève des signes en faveur d'une tumeur de la base du crâne, d'autre part la radiographie intervient

i au point de vue du diagnostic roentgen- logique des tumeurs de la base du crâne, tellement avancés de façon à pouvoir

ista crilica di clinica medica, 1911 ; - Etude radiographique de la base du crdne. Revue neurologique, 1910 ; - L'an",lo

supposé l'existence d'un centre trophique hypothéti- que placé à la base du crâne dans une région où les altérations surve

analogues (Wheaton), on a rencontré un arrêt de développement de la base du crâne et la fusion du basio-occipital avec le

bés qu'il doit y exister en réalité une relation trophique entre la base du cerveau et le développement des extrémités d

puisse déterminer la cause primaire qui doit agir sur les os de la base du crâne et particulièrement sur le sphénoïde e

se primordiale qui conduit à la synostose pathologique des os de la base du crâne dans la période foetale, nous échappe en

s le nom de « progressive lenticular degeneration » et qui ont leur base anatomique en l'atrophie et les foyers de désin

e-mère est facilement enlevée, pas d'adhérences. Les vaisseaux à la base sont épaissis. Des hémorragies ne sont pas consta

e. Les bords de la division circonscrivent un espace triangulaire à base inférieure, au milieu duquel brillent les incis

le et Horsley, Bumke, Blume- nau,Goldslein qui ont suivi jusqu'à la base de la couche optique,des con- nexions spino-tha

permettant d'éta- blir une discipline d'éducation nouvelle sur une base rationnelle. L'agent étiologique principal, dan

douleurs et 1'liypei-alcésie ; mais l'anesthésie forme toujours la base sur laquelle reposent lous les symptômes sensitif

ouches sagit- tales très en avant, et tout près des ganglions de la base , ce foyer profond se trouve à interrompre la ma

iétale,ascendante. Le lobe temporo-occipital et les ganglions de la base sont absolument intacts. Bien qu'il s'agisse d'

respectant le noyau lenticulaire, et, so dirigeant en haut vers la base de la couronne rayonnante, elle, envoie des prolo

ce secondaire se porte en bas et en dedans vers les ganglions de la base en passant par la couronne rayonnante fronto- p

arahypophysaire. Ils admettent dès lors que certaines régions de la base du cerveau avoisinant l'hypophyse pourraient, com

iabète dit hypophysaire. De plus, sur ces 6 cas, 4 fois au moins la base du cerveau avait été lésée. C'est ce qui fait d

ée après les opérations sur ['hypophyse est due à des lésions de la base du cerveau; mais serait-elle due à l'atteinte d

é par un os déforme vaguement conique orienté de telle sorte que sa base regarde en haut et en dehors (la main supposée

ne se joint pas à l'ensemble des sensations internes qui forment la base de notre personnalité. Il est donc très logique

des lobes frontaux sont un peu amincies. Les grands vaisseaux de la base sont épaissis. Du reste on ne constate rien de

nt médial du globus pallidus, les fascicules sont très serrés. A sa base nous remarquons un faisceau volumineux en forme

eson montre une prolifération de la névroglie bien appréciable à la base de la couche optique, aux confins de la région so

au se conti- nuant dans un faisceau volumineux, qui aboutit dans la base du noyau externe de la couche optique. Comme da

i une prolifération considérable de la névroglie. Ce n'est- qu'à la base qu'une prolifération évidente de la névroglie est

; partout le réseau de fibres à myéline a une densité normale. A la base la névroglie est en prolifération plus forte. C

e d'après Van Gieson montrant l'augmen- tation de la névroglie à la base de la couche optique. Du reste rien d'anormal n

trophie. Les corps de Luys ont perdu la moitié de leur volume. A la base des couches optiques (les places pointillées) ,

ule région où le processus a pris un caractère très aigu : c'est la base de la partie antérieure du noyau lenticulaire.

lumineux. Ce foyer d'inllammation occupe la partie antérieure de la base du noyau lenticulaire, il s'étend dans la substan

re, il s'étend dans la substance innominée de Î3eiclrert et dans la base de l'avant-mur. Dans les coupes plus caudales, le

reprend la théorie de Erdheim admettant un centre Irophillue il la base du Jo "'JI 21 322 ECIA, URCCIIIA, POPEA cer

lepsie et la polyurie par lésion d'un des centres polyuriques de la base . Schaffer et Magnus et Schaffer, Etienne et Par

cipant au processus. L'index et le médius sont élargis surtout à la base et s'effilent à l'extrémité comme une rave. L

, quoique très court, se détache beaucoup mieux. Il est limité à la base par un léger sillon dorsal et porte un ongle. L

t les os du carpe disposés en un tronc de pyra- mide dont la grande base s'articule avec les os de l'avant-bras. Elle me-

sure; au pied gauche, le ° ? 8 et le 3" orteils sont soudés à leurs bases , mais leurs extrémités sont libres ; ils présen

llement. Assurément l'autour si- gnale l'existence d'un sillon à la base de la partie libre du troisième orteil ; mais l

me sque- lettique et J. Salmon (1) a pu montrer qu'ils étaient à la base d'un très grand nombre d'anomalies des membres.

résultant de la décomposition des albuminoïdes, en premier lieu les bases puriques, puis les albumoses, les acides aminés

essentielle n'est certainement pas une intoxication causée par des bases puriques, car, quand on met pour longtemps les ma

lait, les oeufs et les albuminoïdes végétaux ne contiennent pas de bases puriques), on n'ob- tient aucun résultai : chez

ent une notable quantité d'adénine (une des plus toxiques parmi les bases puriques), une intoxi- cation par des éléments

enait des 364- BOLTEN carbamates, il pensait que cela donnait une base suffisante à sa théorie. Pourtant les carbamate

en urée et non en acide urique, tandis que ce dernier est formé des bases puriques. En outre, l'augmentation constante de

constante, de sorte que, en somme, il ne reste littéralement aucune base sérieuse sur laquelle puisse reposer la concept

reux cas, il est encore très difficile maintenant de fixer, sur une base clinique, quel est l'organe malade. Nous rencontr

qu'actuellement il n'est pas encore possible, lout au moins sur une base purement clinique, de séparer ces deux groupes. V

rtico-cérébrale organique, mais il manque, toutefois, pour cela une base suffisante. Marchand, lui aussi, cherche la cau

se produit ici des phénomènes très différents et cette cause est la base anatomique de la paralysie cérébrale infantile,

aux tumeurs cérébrales. Et contre ces 40 cas pour lesquels, sur une base purement clinique, on ne pouvait porter d'autre d

en ses composants, parmi lesquels nous citerons, entre autres, les bases puriques et l'acide phosphorique. Suivant V. 1;

on, peut-être par des produits du métabolisme albumineux, comme les bases aminées, etc.). Cette aggravation est causée, par

rger et Date ont constaté que dans le seigle ergoté se trouvent des bases aminées comme la binidazolylélhylamine, qui sont

comme la binidazolylélhylamine, qui sont tout à fait identiques aux bases aminées du métabolisme albumineux, déjà montrée

suppose la possibilité de l'identité des « toxines tétaniques » aux bases aminées de l'ergotine. , PATHOGÉNIE DE QUELQUES

ts nuisibles de cette décomposition, comme les acides aminés et les bases aminées, sont transformés insuffisamment en sub

prit philosophique de l'observateur. Voilà pourquoi, prenant pour base cette concession que la médecine nous propose,

et si bien que plusieurs auteurs voient cette émo- tivité comme la base de la neurasthénie. Les phobies constituent la pr

éaires sur les car-tilages tarses, et qui versent leurs produits à la base des cils sur les bords palpébraux ; 3° la caroncu

se la paupière inférieure en enlevant un lambeau triangulaire dont la base , de cinq à sept ou huit millimètres, correspond a

ice de l'angle interne vers l'externe, c'est-à-dire du sommet vers la base du lambeau, puis, le lambeau cutané enlevé, écart

une excision transversale intéressant la peau et le cartilage vers la base du lambeau. L'opération étant terminée, le bord p

i, procédant de la gouttière oculo-palpébrale de la conjonctive comme base , envahissent, comme sommet, sur le centre de la c

circonférence de la cornée et faisait quelques scarifications sur la base restante pour en faciliter l'atrophie. M. Riberi

sur la base restante pour en faciliter l'atrophie. M. Riberi pince la base du triangle, qu'il fait craquer par déchirure com

issèque exac-tement le lambeau sur le sommet de cette membrane. Si la base du ptérygion est très saillante; au lieu de l'aba

consi-dérables de la capsule opaque, on prescrit de les percer à leur base avec l'aiguille, de les enrouler autour, les déch

. Bowen, pour les cas de cataracte purement capsulaire, elle forme la base de son procédé et de celui nouvellement publié pa

s adhérences du contour de l'iris avec le cercle ciliaire, en fait la base d'une troisième méthode par décollement. Enfin un

et qu'il introduit dans la chambre antérieure, Wenzel résèque vers sa base le lambeau de l'iris, dont il maintient fixé le s

ement abandonnée : la propriété contractile de l'iris qui lui sert de base est improuvée par les faits. Que l'incision soit

'incision soit simple ou complexe; au lieu de se rétrac-ter vers leur base , les lambeaux tendent au contraire à se rap-proch

l d'une seconde canule qu'on peut ainsi faire avancer plus près de la base du polype en tirant sur la première. Alors enleve

Procédé de M. Gairal. Faire parvenir le bec de la sonde jus-qu'à la base du voile du palais, comme dans le procédé ordinai

eau étant dissé-qué de haut en bas, c'est-à-dire de sa pointe vers la base qui doit rester adhérente, on l'abandonne à la ci

d'un bandage approprié. Lorsque la réunion s'est opérée, on sépare la base du lambeau; on la régularise pour simuler l'ouver

entimètres (quatre pouces) de largeur. Le lambeau disséqué jusqu'à sa base , et les contours du nez rafraîchis, on réunit leu

oit être opérée. On enlève le bandage et on sépare le lambeau vers sa base , en l'abaissant vers la sous-cloison nasale ; alo

ations qui caractérisent ce procédé sont les suivantes. i° Tailler la base du lambeau frontal à trois pointes; afin d'obteni

tique X arrachement du polype en passant une anse de fil autour de sa base : plus tard ce même chirurgien propose de scier l

édé de M. Wathely. Ayant à opérer un polype très volu-mineux, dont la base offrait cinq centimètres et demi dans un sens, su

ille d'y join-dre une autre incision verticale étendue jusque vers la base de l'orbite en longeant l'apophyse montante de l'

immédiate: après avoir saisi le bourrelet muqueux, il en traverse la base avec trois ou quatre fils, pratique l'excision et

blir une conformation dési-rable; enfin, de couper horizontalement la base du lambeau avec le bistouri ou les ciseaux. Dans

mier cas on peut l'exciser en entier, ou du moins ne conserver que sa base ; dans le second il suffit d'en rafraîchir les bor

rties avant l'opération. Si le tubercule médian était très large à sa base , et les scissures très latérales, les deux lignes

e quatrième incision horizontale, au-dessus de la maladie, formera la base d'un autre lambeau vertical supérieur en regard.

irigne de Museux, de l'isoler un peu sur les côtés et de glisser à sa base une ligature unique dont la striction est égaleme

use buccale. Au toucher, en le pinçant entre les doigts, on sent à sa base , où il s'élargit, les vaisseaux compris dans son

angue fortement attirée en avant serait traversée, au plus près de sa base , par un ruban composé de plusieurs fils cirés, de

e plusieurs fils cirés, de ma-nière à pouvoir toujours rappeler cette base en avant, et la section devrait être faite soit t

. L'instrument, dirigé convenablement, vint ressortir au milieu de la base de la langue; deux fds furent passés dans le chas

ie une grande aiguille courbe, garnie d'un fil qui vient traverser la base de la langue sur la ligne médiane, faire sortir l

si la tumeur étaitpédiculée; mais, dans le cas oùelle avait une large base , il la traversait préalablement au milieu avec un

t les deux moitiés. Cette idée, dont la reproduction récente forme la base de la méthode générale de M. Mayor de Lausanne, a

a tumeur, fortement attirée vers la bouche, vient offrir elle-même sa base à l'action de l'anneau sécateur mobile, qui gliss

immobile, et par son mouvement d'arrière en avant, coupe nettement la base de l'amygdale à la rencontre des deux anses tranc

sée, depuis, par M. Mayor de Lausanne, la tumeur étant traversée à la base , avec un double lien qui permit d'en étrangler ch

comme elles sont séparées par étranglement des tissus voisins à leur base . En résumé, l'opération de la ligature a suffi

de manière à n'avoir plus qu'un étroit pédicule, au lieu d'une large base à étrangler, et enfin d'exciser promptement le go

n, introduit par la bouche, applique le bec de l'instrument contre la base de la langue, pour le faire entrer dans l'ouvertu

e fixer à l'ouverture de la glotte. La bouche largement ouverte et la base de la langue étant déprimée avec l'indicateur gau

pénétrer dans le larynx à travers la membrane hyo-thyroïdienne et la base de l'épiglotte. Les parties qu'il importe d'évite

ux suites, nous avons peine à croire qu'une section un peu large à la base de l'épiglotte ne dût pas avoir pour conséquence

'à l'épiglotte, le chirurgien déprime modérément la langue jusqu'à sa base ; puis, se servant de ce doigt comme d'un conduct

éveloppe-ment considérable de la tumeur, sa fixité , la largeur de sa base , l'ulcération même ne paraissent pas suffire enco

était établi le diagnostic, il serait à désirer, avant d'en faire la base d'une méthode opératoire, qu'ils fussent soumis à

ction graduée de l'ascite au moyen d'une canule à demeure, a servi de base à une méthode générale qu'em-ploie aujourd'hui M.

es et variées les espèces de la hernie de l'abdo-men. En prenant pour base de classification le siège du dépla-cement, on ad

partie plus étroite cpii se confond avec la paroi abdominale, et une base plus ou moins évasée. A sa sur-face sont quelquef

onsidération du lieu par lequel elles s'échappent a été la principale base de leur classification. Nous avons remarqué que l

ernie est d'une telle impor-tance qu'on peut affirmer qu'elle sert de base à l'histoire entière de la maladie. Avec elle, le

l'ouverture cutanée un espace tout entier tapissé par le sac, dont la base répond à l'intestin, et dont le sommet aboutit à

commence à s'établir, mais il s'agrandit gra-duellement surtout à sa base , et remplit en quelque sorte le rôle d'un réservo

ent par rapport à lui. Anneau crural. — Situé entre l'abdomen et la base du mem-bre inférieur, il est circonscrit par le l

imité , l'anneau crural a la forme d'un triangle à bords arrondis. Sa base qui regarde en avant répond au bord posté-rieur d

ne de la crête du pubis ; son sommet répond à l'épine du pubis, et sa base , qui est dirigée en dehors, s'avance dans l'aire

ous le verrons, peuvent se dilater et donner passage à une hernie. Sa base , qui est toujours concave, s'avance plus ou moins

igament de Fallope, puis elle devient plus saillante , se renfle à sa base et se tord sur son pédicule de manière à se renve

de-sac devient plus pro-fond et prend la forme d'un entonnoir dont la base répond à Fin- térieur du ventre, tandis que son

ant apportera , en venant au monde, une hernie qui sera logée dans la base du cordon : c'est là la véritable omplialocèle co

, déplaceront la cicatrice en niasse, et la laisseront de côté sur sa base , en sortant au-debors. On peut ajouter même que l

n om-bilical, on avait pensé que les viscères, pour s'engager dans la base du cordon, chez l'enfant, passaient par une ouver

uve donc toujours la séreuse au-devant de lui pour s'engager clans la base du cordon, ou pour franchir l'ombilic après la fo

sseaux, réduits à de simples tractus fi-breux, n'existent que vers la base delà tumeur; leurs extrémités se confondent avec

ans certains cas la cicatrice ombilicale se trouve très voisine de sa base . Notons seulement que l'ouverture aponévrotique q

eur, et se conduit de la manière suivante : d'une main il embrasse la base de la tumeur, et lui imprime quelques légers mouv

ie, afin d'aider et de régler la pres-sion qui va être exercée sur la base , puis rappelant à son esprit le trajet qu'a suivi

l'axe de l'ouver-ture herniaire, et la presse ensuite doucement de la base vers le pédicule. Dans ce dernier temps, la main

horizontalement sous le ligament de Fallope, il abaissera d'abord la base de la tumeur en la poussant en dedans, et ne pres

opose d'employer alors un simple corset de forte toile, embrassant la base du thorax et le haut de l'abdomen, et fixé par de

struire une sorte de suspensoir qui, prenant son point d'appui sur la base du thorax, recevait dans un sac le fond de la tum

artère épigastri- M que, et c'est surtout ce précepte qui sert de base aux modifications spéciales qui caractérisent, ic

membraneux. C'est tout ce qu'il importe d'en spécifier pour servir de base aux diverses méthodes opératoires. Les moyens e

croissant membraneux, ou de l'éperon, il proposait d'en traverser la base avec une aiguille courbe armée d'un fil et de lie

rbe armée d'un fil et de lier la portion renfermée dans l'anse, de la base au bord libre, de manière à partager l'éperon au

culairement, avec une pince appropriée, la section isolée de toute la base de l'éperon. Procédé de Dupuytren. Il consiste

fistule, une plaie triangulaire dont le sommet est à l'intestin et la base à la peau. Deux vices peuvent, se présenter clans

t l'intestin en regard avec la pointe du bistouri; ou bien c'est à la base la peau qui n'est pas divisée assez loin et ferai

le progrès de la dilata-tion le permet. Procédé de M. Costaltat. La base de son instrument est en-core une chemise ou un s

internes. Par elles-mêmes ces tumeurs et la membrane muqueuse à leur base sont la source d'hémorrhagies quotidiennes, parfo

ogique qu'il importe de rechercher. Cette raison nous paraît avoir sa base dans laconstitution et le climat des deux peuples

nfermés dans l'anse, on resserre avec une nouvelle ligature. Quand la base delà tumeur est large, on la traverse à l'aide d'

ndre. En prin-cipe, général, pour les tumeurs liémorrhoïdales à large base comme pour les bourrelets circulaires, on doit pr

ciseaux, au ras de la surface muqueuse. Si les tu-meurs ont de larges bases ou si elles se confondent en bourrelets hémorrhoï

sur le plat. Quand les tumeurs offraient un grand volume et une large base il n'en excisait que la portion saillante au de

fs à garder à un aide. Quand les tumeurs sont multiples sur une large base commune, on en traverse par intervalle les som-mi

ne chacune des tumeurs à enlever, puis il en traverse profondément la base avec un nombre d'anses de fd proportionné à leur

procède à la réduction. Saisissant avec-la main gauche la tumeur à sa base et l'environnant dans toute sa hauteur , le chiru

dé de M. Ricord. (PL 45, fig-3). Apresavoirtraverse.de chaque côté la base de la tumeur avec une anse de fil qu'il fait tire

se présenter sous diverses formes : tantôt, c'est une tumeur à large base , couverte de vé-gétations dures et lardacées, ou

de sa longueur; à son extrémité inférieure, on place un dard dont la base , de même largeur cpie cette extrémité inférieure

che à ramener le prépuce sur le gland, en comprimant celui-ci vers sa base avec le bout des doigts indicateur et annulaire d

ie adhérente entre deux incisions se réunissant en forme de V dont la base correspond au bord libre du prépuce et le sommet

ace triangulaire, dont le sommet regarde en arrière et en haut, et la base en avant et en bas. C'est dans cet espace qu'on d

ples, polies, se laisser plier sans se gercer ; les secondes ont pour base des bandelettes de toile emplastique, comme du di

t davan-tage la partie du rétrécissement qui est en contact avec leur base que celle qui est en arrière, d'où il résulte qu'

bouts de l'anse de fil, et l'on retire le mandrin dans sa canule; la base de la tu-meur, se trouvant entourée par l'anse, i

ans, pour percer la partie du bas-fond de la vessie comprise entre la base de la prostate et l'insertion de l'urètre. La sor

rs et la tisanne do Mascagni, dont le carbonate de potasse faisait la base . Cependant telle était, naguère encore, l'incerti

prouvé l'existence du carbonate de chaux uni au phosphate de la même base dans un petit calcul ; mais d'après cette composi

t presque équilatéral, ses côtés ayant 8 à 9 cent, de longueur, et sa base 8 cent. Le raphé le divise en deux parties symétr

s racines du pénis et l'extrémité anale du rectum. Elle représente la base d'une pyramide triangulaire, dont (1) Voyez pre

au point de contact de la prostate et de la vessie avec le rectum, la base au raphé, le côté postérieur au rectum, et le côt

aneuse et bulbeuse de l'urètre. La distance qui existe du sommet à la base de ce triangle, distance qui représente l'épaisse

e col de la vessie et la portion dite prostatique de l'urètre; sur sa base et un peu par sa face inférieure qui est convexe,

met du cône, dont elle a la forme, regarde en avant et en haut, et sa base en arrière et en bas; les canaux éja-culateurs la

la longueur de la demi-circonférence de l'urètre font 57 millim. : la base en a i\o, ce qui fait en tout 97 millim. ou près

plus élevéde l'incision extérieure tombe un peu plus en avant sur la base du triangle urétro-anal, entre le bulbe et le rec

rte en bas et en avant, immédiate-ment derrière la vessie, jusqu'à la base de la prostate, dont il s'é-loigne ensuite pour m

gros calculs. La partie inférieure du rectum, qui s'étend depuis la base de la prostate jusqu'à l'anus est concave en arri

ésente la forme d'un triangle dont le sommet re-garde en avant, et la base en arrière. Historique. Rousset est le premier

le mettre en évidence, on est obligé de tirer sur le vestibule et la base du cli-toris, par en haut, avec le doigt indicate

uvrait au degré qu'on voulait, au moyen de deux branches placées à la base , et d'une crémaillère. Celui de M. Jo-bert n'a qu

mmencé la première. H dissèque en-suite le lambeau de son sommet à sa base , et de dehors en de-dans, en se rapprochant plutô