ons vu nous-même cette lésion, on la rencontre décrite par d'autres
auteurs
, dans des maladies à vrai dire, très différente
ère phase des scléroses communes. Dans un remarquable mémoire 2 cet
auteur
a donné de ces lésions des figures très nettes,
Minnich 2 au cours de l'anémie progressive; elle a été vue par cet
auteur
et par nous-même dans des processus scléreux dé
trouvaient disséminés au milieu de tubes sains. Et de plus le même
auteur
, poursuivant l'étude de cette lésion, dans les
processus chroniques de celles qui ont été décrites par d'autres
auteurs
dans un grand nombre d'empoisonnements réalisés
; par James KERR Love. (British médical journal, 24 nov. 1874.) L'
auteur
demande que des médecins auristes soient attachés
périphérique de Déjerine sont rappelés et l'ataxie semble, pour les
auteurs
précités, devoir se ramener à un symptôme y com
s après traitement par les toniques, la faradisation, le massage. L'
auteur
conclut à une névrite périphérique par auto- in
rénales : par A. G. AULD. (British médical journal, oct. 1894.) L'
auteur
s'appuyait sur l'anatomie comparée, l'expérimenta
gée dans LES affections NERVEUSES CHRONIQUES; par W. PER11ENAN. L'
auteur
conclut à la fréquence des altérations fonctionne
HIES; par G. Murray. (British médical journal, 9 février 1894.) L'
auteur
cite trois cas, dont un avec diabèle, un autre av
ses; par Risien Russel. (British médical journal, 18 mai 1895.) L'
auteur
, s'aidant des recherches expérimentales sur l'ani
cal journal, 15 juin 1895.) A la suite d'une chute de tricycle, les
auteurs
durent opérer le malade du trépan ; une poche s
r Jonathan Hutchinson. (British médical journal, 28 juin 1895.) L'
auteur
, groupant un grand nombre d'observations, décrit
indemne; les malades ont parfaitement la conscience de leur mal. L'
auteur
n'a jamais trouvé chez ces malades des traces d
ammond l'a observée en Sibérie, où elle est appelée 11lYl'iachit. L'
auteur
n'a trouvé dans la population féminine de l'asile
ère enfance; par G. `VEftDNIG. (A1'chiv f. Psychiat., XXVI, 3.) L'
auteur
essaie de constituer un. nouveau type indépendant
des ascendantes) ou accompagnée d'autres troubles. Le rire, dit l'
auteur
, surtout le rire franc, procède de l'action des
e de ce genre, sans autre acci- dent de pseudo-tabes; par contre, l'
auteur
a vu cinq malades, atteints de névrite diabétiq
i-chiv f. Psychiat., XXVI, 3.) Neurasthénie ne signifie rien, dit l'
auteur
. C'est encéphalasthénie qu'il faut dire. Influe
RANSO.\1 et VAN DYCK. (British médical journal, 4 mai 1895.) Les
auteur
: , après quelques réflexions relativement à une
emblent bons, si l'on en croit les sept premières observations de l'
auteur
. P. K. - in. Goitre exophtalmique ET son trai
S : par David OwEN. (British médical journal, 16 février 1895.) L'
auteur
rectifie une observation de décembre 1893 où il a
ades, en Ecosse, sont sous la surveillance des autorités locales. L'
auteur
estime que, dans l'application de ce système en A
LAL : GIIIIY. (The Jourltal of Mental science, octobre 1894.) , L'
auteur
se propose d'attirer l'attention sur un mode de t
The Journal of mental science, avril 1895.) Les cas étudiés par l'
auteur
sont au nombre de quatre (trois filles et un ga
tement n'ont pas été égaux, mais les effets ont été similaires. L'
auteur
rapporte avec détail les quatre observations, dan
malades deviennent joueurs et même malicieux. Dans ces quatre cas l'
auteur
a eu plusieurs fois à suspendre ^l'administrati
te régression était plus lente que n'avait été l'amélioration, et l'
auteur
serait tenté de préciser en disant deux fois pl
croissance des cheveux et des ongles dans le myxoedème a poussé l'
auteur
à l'essayer dans une maladie des ongles dont la c
ois encore les résultats espérés. Le troisième cas rapporté par l'
auteur
est un cas de sclérodermie circonscrite, siégea
voir débuté par un historique bien fait du traitement thyroïdien, l'
auteur
fait remarquer que le principe thérapeutique de
, la médication thyroïdienne donne d'excellents résultats ;' mais l'
auteur
s'occupe surtout ici du myxoedème acquis des ad
tement ; mais cela n'est certainement pas vrai pour tous les cas; l'
auteur
attacherait vo- lontiers plus d'importance à la
extrême ; cet état de faiblesse peut durer plusieurs jours. Mais l'
auteur
est d'avis que l'on peut sûrement éviter ces ef
de très faibles doses, de fort incommodes poussées d'urticaire. L'
auteur
a remarqué que l'accoutumance au traitement thyro
s rendra à l'agent thérapeutique toute son énergie primi- tive. L'
auteur
rapporte ensuite l'observation d'un cas de crétin
contre laquelle le traitement thyroïdien constituerait, suivant l'
auteur
, le remède non infaillible, mais du moins le plus
du traitement thy- roïdien sont la dyspnée et les palpitations ; l'
auteur
en conclut avec vraisemblance que l'action du m
ué fut l'extrait thyroïdien à forte dose, la guérison s'ensuivit. L'
auteur
propose d'étendre la méthode aux letanies autre
le ; par LLOYD JONCS. (British médical journal, . 24 août 189.) L'
auteur
rapporte l'histoire d'une femme dont l'affection
apeutique des glandes surrénales (B. m. j., 14 sep- tembre 1893), l'
auteur
confirme l'action thérapeutique effective et a
surer la détention dans les asiles publics des aliénés criminels. L'
auteur
y répondit par les propositions suivantes : 1
r daus un auire établissement. 3° C'est à tort que la plupart des
auteurs
qui ont étudié la ques- tion, ont à peine menti
r. , Le Conseil provincial, à la suite d'une campagne menée par l'
auteur
, a adopté le projet de création d'un pavillon spé
rique du trépan comme usage à la fois thérapeutique et religieux, l'
auteur
s'appuyant sur les principes généraux de la physi
peutiques possibles du trépan en aliénation mentale. Tout d'abord l'
auteur
passe en revue les tentatives faites pour la cure
rk et Agnew, ainsi que ceux de Keen et Miriar sont rappelés; mais l'
auteur
, en dépit des pourcentages parfois encou- ragea
n chirurgicale sont plus encourageants surtout si l'on admet avec l'
auteur
que 2 p. 100 des cas d'alié- nation sont d'orig
\Vallace, ce dernier ayant opéré dans le service de Stirling dont l'
auteur
est superintendant. Trois cas sur douze furent
ément aux vues hardies émises par Burckardt au congrès de Berlin, l'
auteur
rappelle les tentatives d'exploration chirurgical
ent deux améliorations et une guérison pour un décès. Néanmoins l'
auteur
conclut à l'opportunité discutable de telles 1
nté ordinaire, et depuis l'âge de dix-neuf ans jusqu'au moment où l'
auteur
l'examina, il n'eut que trois crises convulsive
epuis. Les suites de l'opération, ont été normales et bénignes. L'
auteur
fait remarquer en terminant combien les cas de ce
ont chaque couche, ainsi que le pensent Horsley et plusieurs autres
auteurs
, possède probablement une fonction qui lui est
ension vaso-motrice : elle peut revêtir des formes très diverses. L'
auteur
a observé, et il rapporte, deux cas de folie trau
cience, juillet 1894.) Dans ce travail, accompagné de deux plans, l'
auteur
entre dans des détails étendus sur la dispositi
ndre, et paraissent à l'heure actuelle .devoir être définitifs. L'
auteur
termine ce mémoire par les considérations suivant
eux, aussi bien que la marche assez rapide de la tumeur amenèrent l'
auteur
à penser qu'il s'agissait d'un gliome ou d'un g
pontanément. 18 ' REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. Les cas rapportés par l'
auteur
sont au nombre de quatre on est obligé de recon
ans le même état qu'avant l'opération. Et quant au quatrième cas, l'
auteur
ne mentionne que le manuel opératoire, et la na
nt publié. Malgré ce que ces données peuvent avoir d'insuffisant, l'
auteur
estime que le drainage du canal rachidien est u
t F. S4om,. (Tlce Neiu- York médical journal, 31 mars 189 1.) ' L'
auteur
s'est proposé de démontrer qu'il existe un certai
s doses massives, et ils sont moins graves que ceux qu'a observés l'
auteur
; toutefois, il règne à cet égard, parmi les médec
tes savent combien la tuberculose est fréquente dans les asiles : l'
auteur
se demande si l'on fait bien réellement tout ce
ttre signée d'un nom de femme dans laquelle il se désignait comme l'
auteur
de la tentative d'homicide. Arrêté, X... a fait
eçon à la petite Juliette qui, au mois de février dernier, accusa l'
auteur
de ses jours d'avoir abusé d'elle. « Le parquet
éuni tous les cas observés jusqu'alors. Les conclusions de ces deux
auteurs
sont un peu différentes. De l'étude des cas con
la valeur d'une expérience, est celui rapporté par M. Mabille'. Cet
auteur
, - ayant à soigner une femme qui présentait un
ie la plus superficielle était remplacée par du tissu sclérosé. Les
auteurs
supposèrent que cette lésion avait, en se dével
ière rouge brillante et suivies d'une amblyopie de l'oeil gauche. L'
auteur
attribue les sensations lumineuses et la cécité
des circonvolutions ascendantes (siège du centre masticateur). Cet
auteur
s'appliqua à rattacher l'existence des hallucin
'à ce jour, en tenant compte bien entendu de ce que l'attention des
auteurs
n'ayant pas été attirée spécialement sur cette
st relative à un ivrogne d'habitude, et dans le second fait du même
auteur
il s'agit d'un épileptique qui, « à la suite d'ex
aits soit avec des sources diffé- rentes d'électricité soit par des
auteurs
différents. L'intensité du courant est en effet
ec la scoliose et quelques autres difformités orthopédiques. Pour l'
auteur
la presque totalité des enfants atteints de sco
et au-dessus de sa tête un disque à pointes d'argent qui, suivant l'
auteur
, dégage des effluves sédatives. On peut aussi e
York Médical Journal, 19 octobre 1895.) La grande notoriété de l'
auteur
, la remarquable largeur de vues 118 MÉDECINE SO
du de ce travail, dans certaines parties duquel nous sui- - vrons l'
auteur
presque pas à pas. Lombroso, dans son travail s
pas dans l'étude scientifique du crime et de la peine. D'après des
auteurs
compétents, le crime coûterait, dans la Grande-
la loi comme ceux qui l'appliquent, ont échoué dans cette tâche; l'
auteur
pense que c'est maintenant aux médecins qu'il c
établies entre la criminalité et la folie dite « folie morale ». L'
auteur
estime toutefois qu'il n'est pas ordinai- remen
ne devrait pas fixer ce qu'on est convenu d'appeler le châtiment. L'
auteur
est heureux de dire que la législation de l'Eta
cet amen- dement, c'est le caractère indéterminé de la sentence. L'
auteur
rapporte ici des textes qui montrent que les lo
es criminels, mais bien si l'on peut les corriger, et à cet égard l'
auteur
a pu recueillir des données intéressantes à la
contribuerait à restreindre ou à détruire le bénéfice du crime. L'
auteur
regrette de ne pouvoir, faute de temps et de plac
- tale, qui se présente immédiatement à l'esprit. En terminant, l'
auteur
s'excuse des lacunes que présente son travail,'
re pourvu d'un sens moral notablement insuffisant. C'est pourquoi l'
auteur
propose les conclusions suivantes : 4° la dépra-
tion d'un état psychologique habituel, la culpabilité subsiste. L'
auteur
termine par quelques considérations sur l'applica
voir rendre compte un peu longuement du travail de M. Ireland. L'
auteur
déclare tout d'abord qu'il n'est guère enclin à a
ssement de la tendance musicale du langage aboutit à la poé- sie. L'
auteur
a connu un assez grand nombre de personnes, abso-
t compromise, bien qu'elle puisse ne l'être qu'à un faible degré. L'
auteur
cite à cet égard divers exemples intéressants,
piano avait le même son, et un professeur de musique a déclaré à l'
auteur
qu'il con- naissait une personne incapable de d
chez deux malades. , D'autre part, Finkelburg, Charcot et d'autres
auteurs
ont rap- porté des cas où, en dehors de toute a
visuelle) sans aucun mélange d'alexie ou cécité des mots. Le même
auteur
a bien étudié les associations des airs musicaux
ns étaient absolument dépourvus de toute capacité musicale. Le même
auteur
ajoute une observation intéressante : les gens
La folie avec hallucinations permet, suivant les observations de l'
auteur
, la conservation du sens musical; mais il en est
a propre manière de voir, bien qu'elle soit partagée par d'autres
auteurs
. Eu' terminant, M. Ireland formule les conclusion
es côtés les plus intéressants de la question ; malheureuse- ment l'
auteur
n'a pu observer qu'un nombre de cas assez restrei
la neurasthénie très accusée, et au traitement de la mélancolie. L'
auteur
rap- porte trois cas où d'heureux résultats ont
lyser ici et nous devons nous borner à résumer les conclusions de l'
auteur
. Il constate que les recherches actuelles, join
eur. Il constate que les recherches actuelles, jointes à celles des
auteurs
qui l'ont pré- cédé dans cette voie, ont fourni
côté du système nerveux périphérique. Poursuivant la comparaison, l'
auteur
estime que les altérations qui se rencontrent d
évrite alcoolique), vient évidem- ment à l'appui de la théorie de l'
auteur
en indiquant la présence d'une substance toxiqu
aît les connexions intimes avec lè sang. Il est donc impossible à l'
auteur
d'adopter l'hypothèse suivant laquelle les lési
entaux n'avaient pas eu le temps d'atteindre une période avancée, l'
auteur
a rencontré des lésions très accusées des nerfs
èrement sous la dépendance des modifications du tissu cérébral. L'
auteur
ne se propose pas de discuter les autres théories
et sont exposées à une influence plus active de l'agent toxique : l'
auteur
tient cette explication pour également applicab
ons nouvelles et souvent fâcheuses de la civilisation mo- derne ? L'
auteur
penche pour la première hypothèse. R. M. C. III
ar John TunNEl\, (The Journal of mental Science, janvier 1895.) L'
auteur
a résumé le résultat de ses recherches dans les c
ser, mais il en diffère aussi sur plusieurs points importants, et l'
auteur
hésite à en faire un cas de catatonie. R. M. C.
Ces effets ont été signalés maintes et maintes fois par différents
auteurs
, mais sans qu'on ait jusqu'ici cherché le lien de
modifie la maladie mentale. L'idée fondamentale du travail des deux
auteurs
est qu'il ne fau- drait pas se borner à constat
onstituait véritablement un état mental de mélancolie, ou bien et l'
auteur
inclinerait vers cette hypothèse si elle n'étai
istes et non des moins connus (Meynert, Westphal, Kraeplin, etc.) l'
auteur
déclare : « Il me semble impossible de donner u
n travail d'analyse très intéressant; mais la synthèse manque, et l'
auteur
.ne nous donne pas de tableau d'ensemble de la m
adre de la confusion mentale ; ce cadre est très mal limité, et tel
auteur
allemand y fait entrer des symptômes qui en son
t des obsessions et des impulsions, des scrupules, le doute, etc. L'
auteur
pense qu'il vaudrait mieux se servir du terme «
argée ; mais n'auraient pas présenté de signes de dégénérescence. L'
auteur
ne croit pas qu'on puisse considérer les obsess
rbide; par JAMES `VIIITNELL. (Potain, Part. LXIX, 1895, p. 66.) L'
auteur
émet cette théorie que les cas de stupeur ou au m
démence survient. Pour appuyer cette théorie qu'il a déjà émise, l'
auteur
rapporte deux cas nouveaux, où l'on constate le
ques dans la mélancolie, la paralysie générale, l'épilepsie, etc. L'
auteur
passe en revue, en procédant par divisions du n
ues D\NS LEURS rapports avec la folie; par le Dl' Clara BARRUS. L'
auteur
insiste sur la nécessité d'un examen physique com
OGIE morbide comparée : l'immobilité DU cheval; par le Dr FÉRÉ. L'
auteur
rapporte une intéressante observation de troubles
rfs ou des centres. Les intéressantes observations relatées par les
auteurs
sont des plus démonstratives et montrent combie
sai infructueux pour abaisser le second testicule dans le scrotum l'
auteur
, sur la demande expresse du malade, fit faire u
asiles d'aliénés; par le Dr BABCOCK. Des études statistiques de l'
auteur
il résulte que la tuberculose est deux ou trois
sion génitrice reparaît et elle reprend ses habitudes d'onanisme. L'
auteur
trouve dans cette observation une confirmation de
s fébriles. Marandon de montre) accepte la même classi- fication. L'
auteur
se propose d'étudier spécialement la question e
liés qui ne sont pas plus d'une quinzaine. ` Symptomatologie. - L'
auteur
distingue deux formes : 1° la forme délirante ;
portion des morts est, d'après Kraepelin de 61,5 p. 100 ; d'après l'
auteur
de 50 p. 100. Au point de vue de la gravité des
e 50 p. 100. Au point de vue de la gravité des cas recueillis par l'
auteur
, il n'y avait que trois ou quatre formes relati
go-encéphalile, la suppression de l'alcool, l'urémie, etc. Nombre d'
auteurs
français ont admis l'existence de lésions anato
la moite des cas une coloration rouge. Des recherches faites par l'
auteur
sur les résultats de l'autopsie dans les cas qu
ique a été bien rarement pratiqué dans les cas qui nous occupent. L'
auteur
a pu faire examiner par Nissl les centres nerve
pendant, dans certains cas, quelque influence au poison typhique. L'
auteur
critique le rôle important attribué par les obs
'il agirait sur l'écorce cérébrale comme un alcaloïde narcotique. L'
auteur
rap- porte l'opinion émise par Brieger et Wasse
t surtout avec les psychoses d'épuisement, offre des difficultés. L'
auteur
insiste sur le diagnostic avec l'amen- tia, ave
ait provisoirement les fonctions d'interne. « J'ai appris, ajoute l'
auteur
, qu'il se proposait d'entrer dans la carrière a
r- manent des épileptiques et des paroxysmes du mal comitial. Les
auteurs
étudient tour à tour l'hérédité, les stigmates ph
t provocateur a besoin d'être puissant. C'est là ce qui conduit les
auteurs
à admettre que la cause principale du mal épi-
ans certains cas de la polynévrite. D'après l'opinion de ce dernier
auteur
, ces changements con- sistent dans l'atrophie e
ions centrales dans la poly- névrite alcoolique. C'est Campbell-, l'
auteur
de cet ouvrage qui employa dans ces investigati
vent l'oblitéra- tion du canal central. En raison de ces faits, l'
auteur
en question a fait la conclu- sion suivante : «
se servant outre la méthode de Weigert de celle de Marchi. Ce même
auteur
a fait une examen du bulbe et de la protubéranc
n administre jusqu'à 8 par jour, ce qui correspondrait, d'après les
auteurs
, à environ un lobe de corps thyroïde. Cette PHA
une quantité de 10 centigrammes de tissu thyroïde frais. D'après l'
auteur
, cette préparation n'ayant '198 THÉRAPEUTIQUE.
a donné le nom de thyroprotéide ; cette substance serait, d'après l'
auteur
, la cause déterminante du myxoedème, en s'accum
t là une question qui n'est pas encore résolue, et sur laquelle les
auteurs
les plus compétents ne sont pas d'accord. On re
peut aller de 18 à 40 grammes. « Ces conclusions inattendues, dit l'
auteur
, si d'autres recherches viennent les confirmer,
rument de la folie. » Nous résumons ici l'observation publiée par l'
auteur
: 1\J ! lc X..., vingt-trois an ? entre à l'asi
et - beaucoup plus légèrement ceux du larynx, n'était atteint. L'
auteur
pensa que le diagnostic ne pouvait hésiter qu'ent
t loin de lui être habituelle. - Rectifiant alors son diagnostic, l'
auteur
, mieux informé, est d'avis qu'une embolie infec
t demie de pus. La plaie fut fermée selon la méthode ordinaire. L'
auteur
entre ensuite dans le détail des symptômes consta
ient pas : autour d'eux le tissu cérébral était un peu ramolli. L'
auteur
termine par quelques considérations sur l'origine
spécial de l'aliénation mentale : c'est le point particulier que l'
auteur
se pro- pose d'étudier. Altérations macroscop
ns la paralysie générale. Tous les cerveaux séniles d'aliénés que l'
auteur
a examinés pré- sentaient une atrophie plus ou
-cel lu 1 aires, et en ou ! re - c'est là un fait intéressant que l'
auteur
a maintes fois constaté - de fibres nerveuses t
nt plus altérés qu'ils sont plus voisins de la périphérie Plusieurs
auteurs
ont remarqué la prédisposition des nerfs vagues
ct en ce qui concerne la névrite sénile, car, dans plusieurs cas, l'
auteur
a rencontré des altérations étendues du nerf va
elations fonctionnelles avec le reste du système nerveux central. L'
auteur
rappelle et résume au début de ce travail les d
ar Edwin GOOD.1LL. (The Journal of mental Science, octobre 1894.) L'
auteur
, après des expériences qui lui ont donné des résu
atisme, lorsque la réalité de celui-ci peut être établie. Enfin l'
auteur
estime qu'il serait intéressant d'examiner au poi
pour effet fâcheux de ratatiner le cylindraxe. Entie les mains de l'
auteur
, la formaline a donné d'excellents résultats en
ce, sans quoi la décoloration sera trop rapide et peu uniforme. L'
auteur
pense que ces résultats autorisent à ajouter util
ssifié et une hypertrophie osseuse due à la syphilis héréditaire. L'
auteur
expose les raisons qui lui font adopter ce dern
e de la moelle du même côté. Après avoir énoncé ces propositions, l'
auteur
insiste sur ce point que le réflexe du genou n'
roduction des effets physiolo- giques. Ce fait serait dû, suivant l'
auteur
à la sédation exercée par le bromure sur l'écor
contre dans les vieilles hémiplégies d'origine cérébrale pour que l'
auteur
a cru devoir rapporter cette observation intére
Cecil-F. Belles. (The Journal of mental science, janvier 1895.) L'
auteur
se propose d'attirer l'attention sur les signes d
tiner l'organe. Bien que cette remarque s'écarte un peu du sujet, l'
auteur
tient à signaler en passant un état pigmenté de
secon- daires ? faut-il voir en eux un des facteurs de la folie ? L'
auteur
est d'avis que, dans un certain cas et dans une
générale, mais n'ont pas la valeur d'un signe caractéristique. L'
auteur
pense que ces petits nodules participent de la na
ions réflexes et des agents toxiques sur la folie et l'épilepsie. L'
auteur
étudie d'abord les rapports étroits qui existen
gées dans ce sens ont été fréquentes, et sont déjà nombreuses, et l'
auteur
résume celles qui ont porté sur la sécrétion et
flexes pathologiques ont une origine toxémique, bien que beaucoup d'
auteurs
estiment qu'il n'en est ainsi que chez les suje
qu'il n'en est ainsi que chez les sujets mentalement prédisposés. L'
auteur
énumère ensuite les divers points d'où peuvent
ou par des lésions des os du crâne. Des expériences établies par l'
auteur
et rapprochées d'études cliniques ont indiqué à
Etudes analogues à celles de Duret et Ileubiier pour le cerveau. L'
auteur
étudie successivement les grosses artères des rég
rede- venait normal et ainsi de suite.. Il faut remarquer avec l'
auteur
que ces défaillances n'avaient rien de commun a
s psychiques, conscience intacte. Pour expliquer les défaillance, l'
auteur
admet l'hypothèse d'un trouble périodique des f
t, des vais- seaux lymphatiques, a été étudié par un grand nombre d'
auteurs
: les nerfs, au contraire, n'ont point encore a
n ait plusieurs fois attribué à l'affection une origine nerveuse. L'
auteur
, en examinant une glande thyroïde exophtalmique p
ychiatrie, t. LU, f. 1, 1895, p. 1-74.) , Dans ce long mémoire, l'
auteur
étudie la question, si contro- versée depuis un
ime contre la société et un déshonneur pour le corps mé- dical ». L'
auteur
a recueilli dans la littérature plus de trois cen
as. Sans insister sur ces résultats fournis par la statis- tique, l'
auteur
fait remarquer qu'il faut tenir compte de la grav
chez ces femmes la cause de troubles du système nerveux. Certains
auteurs
ont attribué les cas de castration suivis d'échec
dérables (tumeurs, etc.), sont restées silencieuses. - ~ Certains
auteurs
ont soutenu que les troubles de l'appareil géni
n. A quel moment doit-on pratiquer la castration ? La plupart des
auteurs
recommandent de n'y avoir recours qu'après avoir
ns nerveuses deviennent avec le temps de plus en plus rebelles. L'
auteur
rapporte cinq observations personnelles. Dans deu
la cinquième observation le resultat a été également favorable. L'
auteur
termine par des considérations sur les résultats
n que l'ap- parition des accès ne soit pas de date trop ancienne. L'
auteur
communique deux cas de guérison (résection d'un
(plusieurs années). Pour ce qui est du traitement médicamenteux, l'
auteur
n'a pas obtenu de résultat par l'emploi de la n
ille de leur asso- cier la belladone, la fève de Calabar. D'après l'
auteur
, ce dernier médicament serait sans action, et l
a recommandé d'al- terner le bromure de potassium et l'atropine; l'
auteur
n'a pas d'expérience personnelle sur ce traitem
. La cure d'opium et de bromure conseillée par Flechsig a donné à l'
auteur
d'excellents résultats. Sur 19 malades longtemp
raitement exige une surveillance constante de la part du médecin. L'
auteur
conseille en outre un régime diététique spécial (
e doc- teur en médecine. Les considérations dans lesquelles entre l'
auteur
sont tout à fait applicables à l'internat des a
ourds-muets ; de L. Pilez-der L'idiotie et les asiles d'idiots. L'
auteur
a visité 14 établissements dont 9 consacrés aux,
péciaux d'idiots doivent donc être dirigés par un médecin. Certains
auteurs
ne considèrent pas comme indispensable la créat
de couture, de jardinage de cuisine, font partie de l'éducation. L'
auteur
repro- duit l'emploi du temps d'après le règlem
a le même régime alimen- taire, mais reçoit en plus de la bière. L'
auteur
reproduit le règle- ment très détaillé de l'asi
ons ressemblées dans les monographies d'Ollivier et de Le Piez, ces
auteurs
ne citent que h cas de rupture des oreillettes,
ue l'ont décrite Trousseau, Dance, Corvisart, Steinheim et d'autres
auteurs
. L'observation que rapporte M. Pres- ton est co
apporte M. Pres- ton est conforme au type anciennement établi, et l'
auteur
souhai- terait que le nom de tétanie fût réserv
ur qu'on la sépare des autres formes de spasmes muscu- laires (et l'
auteur
penche pour l'affirmative) et aussi quelles sont
siège de la lésion est dans la moelle plutôt que dans le cerveau. L'
auteur
termine son travail par quel- ques considératio
ohn MACPHERSOK. (The Journal of Mental Science, oelo]¡re 1894.) L'
auteur
formule en ces termes les conclusions générales d
cerveau ne sont pas aussi rares qu'on le pense communément, et l'
auteur
a pu en observer un assez grand nombre de cas.
fragments osseux dans le cerveau; pendant l'exploration faite par l'
auteur
quelques mois après l'accident, une poche fluc-
abcès cérébral consécutif aune suppuration de l'oreille moyenne : l'
auteur
donne des détails cir- constanciés sur ce cas,
1L STEPHENsoN. (The u'etu-7'orh; Médical Journal, 8 juin 1895.) L'
auteur
se propose d'étudier surtout la névrite accidente
r, aucun signe de névrite. A l'occasion de chacun de ces faits, l'
auteur
entre dans quelques considérations sur la sympt
(The New-York Médical Journal, 27 juillet 1895.) Le malade dont l'
auteur
rapporte l'observation n'a été vu par lui qu'ap
ilités sont normales. Pas de liseré gingival. Il paraît évident à l'
auteur
qu'il s'agissait là d'une paralysie toxique lié
temps avant la mort, à une paralysie bila- térale incomplète. - L'
auteur
indique ensuite les hypothèses qu'il a faites, -
d'autant plus difficile que les REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 267
auteurs
sont loin d'être d'accord sur la physiologie des
oin d'être d'accord sur la physiologie des noyaux dont il s'agit. L'
auteur
après une intéressante discussion des faits, de
l Journal, 9 mars l8cJ.) Il s'agit d'une affection peu commune et l'
auteur
en a observé deux cas dont l'observation peut s
e par la face et se propage de haut en bas, en s'aggra- vant. Les
auteurs
ditièrent d'opinion sur la nature des contraction
ré des altérations subies par les cellules motrices corticales. L'
auteur
rappelle ensuite quelques données de physiologie
tement tranchés. S'il s'agit d'un cas de sclérose en plaques, dit l'
auteur
, ce cas est anormal en ce qui touche le tremble
eur, ce cas est anormal en ce qui touche le tremblement puisque les
auteurs
sont d'accord pour admettre que le tremblement
os : aussi est-ce sur les autres symptômes énumérés plus haut que l'
auteur
s'est appuyé pour éta- blir son diagnostic. S
s lentement à la vérité, mais dans une mesure bien appréciable. L'
auteur
rappelle en terminant que deux cas analogues ont
am C. KR : 1USS. (The New-York Médical Journal, lé" juin 1895.) L'
auteur
débute par un historique, très succinct, mais suf
ulaires, soit de coordination, soit de compensation : l'opinion des
auteurs
paraît pencher en faveur de ce dernier groupe de
a station. Passant de la physiologie expérimentale à la clinique, l'
auteur
recherche dans quelle mesure les faits clinique
ivant leur ordre de fréquence dans le groupe des cas étu- dié par l'
auteur
, sont : la céphalalgie, les vomissements, la névr
ce et des sensations, et la variabilité des réflexes tendineux. L'
auteur
termine son travail par le résumé de quatre obser
Léo STIEGLITZ. (The New-York Médical Journal, 13 juillet 1895.) L'
auteur
s'est proposé de rapporter quelques cas intéressa
survécu à la disparition des autres phéno- mènes pathologiques. L'
auteur
conclut que, en raison des allures protéiformes q
mérés à s'améliorer spontané- ment pour récidiver ensuite. Enfin, l'
auteur
fait remarquer que ces symptômes seront d'autan
es associations plus irrégulières. Au point de vue du traitement, l'
auteur
conclut des faits qu'il à observés : 1° que sau
rnal, 31 mars 1894.) Après quelques considérations préliminaires, l'
auteur
fait remar- quer que si l'on divisait l'épileps
psie procursive décrite par Mairet, Bourneville, Ladame et d'autres
auteurs
est probablement rare. M. Diller rapporte l'o
D.-B. MAC C.OETlE. (The New-York Médical Journal, 9 mars 1895.) L'
auteur
rappelle que l'ataxie figure dans la symptomatolo
t aussi constituer un pur trouble fonctionnel du système nerveux. L'
auteur
s'est attaché à discuter les diverses interprét
novembre 1894.) Nous résumons ici cette curieuse observation que l'
auteur
publie sans commentaires : Au moment où M. Culv
erreur, lui incisa le méat et pratiqua des cathétérismes répétés. L'
auteur
examina le rectum, qui était d'une exploration
au delà de quelques semaines. Après divers essais thérapeutiques l'
auteur
s'aperçut que chaque fois qu'il conseillait au
ature à son état actuel. Une opération fut en effet pratiquée par l'
auteur
, non pas la colotomie réclamée, mais l'incision
tal fut remplacé par un trouble d'ordre absolument différent, que l'
auteur
décrit, mais ne se charge pas de définir : dans
une lotion conte- nant du chloroforme et de l'acide cyanhydrique. L'
auteur
s'est demandé, vu le genre d'occupation du mala
pilepsie avec paresie droite passagère consécutive aux accès. 1 L'
auteur
a observé chez cette malade une hémianopsie homo-
hiu. sur Psychiatrie und Nel'Venli1'ankheiten, t. XXVII, 1. 3.) L'
auteur
fait remarquer qu'on désigne souvent sous les nom
res. Le seul nom qui convient aux nombreux cas de ce genre, dit l'
auteur
, est celui de « ramollissements multiples ». Lwof
on. Adamkievicz et Wieting ont publié des cas analogues. z Pour l'
auteur
, l'épaississement de la dure-mère n'est pas la
t pao là la règle. ' Dans les cas d'Adamkievicz, de Wieting et de l'
auteur
, le pro- cessus pathologique est analogue à cel
runs. (Al'chiv f. Pschiat., XXVI, 2.) Etude de deux observations. L'
auteur
établit que l'association de l'ophlalmoplégie e
L1. (l3acll. de la Soe. de blés. ment, de Belgique, Mars 1895.) L'
auteur
dit avoir vu deux malades qui, sous l'influence d
tervalles. Ces pollutions involontaires représenteraient, d'après l'
auteur
, autant de petites décharges épileptiques, qui
noyau de la douzième paire. Après une discussion intéressante, les
auteurs
rattachent ce cas complexe à une forme anormale
un mal perforant au pied droit : de plus, il est rachitique et les
auteurs
se demandent, sans trancher la question, si le
on des papilles, troubles de la parole, troubles vésicaux, etc. L'
auteur
estime qu'il y a lieu de rapporter les deux syndr
t des questions dont la solution est le plus souvent difficile. L'
auteur
rapporte un intéressant procès qui s'est déroulé
nt rapport fait au cinquième congrès pénitentiaire international, l'
auteur
tire les conclusions suivantes : - 1° La législ
es; par le Dr ICIR : vAN. - Par la citation de nombreux exemples, l'
auteur
montre que ni la préméditation, ni l'adresse da
.Ny. , VIII. Uranisme ET pédérastie ; par le Dl' STEFA1\OWSJ(I. L'
auteur
établit la distinction qu'on rencontre entre la p
essante au point de vue élio- , logique; car. on ne trouve,dans les
auteurs
qu'un très petit nombre d'exemples de troublés
e s'observe que chez les amoindris de la mémoire. M. JaN\ET. - Un
auteur
anglais, Mayer, qui a publié un travail sur la
aux et y est désignée souvent comme scissure ecto- latérale par les
auteurs
. Benedikt ajoute encore pour compléter les scis
ce rare chez les ani- maux, mais était méconnue ou négligée par les
auteurs
. Un autre arc vertical sur la scissure marginal
plus importants : mais après une étude attentive de la question, l'
auteur
est amené à formuler les conclusions suivantes
l A. WEATiIERLY. (The Journal of Mental Science, juillet 1894.) L'
auteur
énumère, sous une forme parfois humoristique, les
ents, etc. Il occupe une place importante dans tous les travaux des
auteurs
qui se préoccupent du placement, de l'inter- ne
s bornerons donc à reproduire les très sommaires conclusions de l'
auteur
, qui sont les suivantes : « Il est désirable :
H. (./tt/t)'6MC/t6)' sur Psychiatrie, t. XIII, f. 2, 3, 1895.). L'
auteur
est directeur-médecin en chef de l'asile d'aliéné
n tenant compte de leur état mental et de leur situation sociale. L'
auteur
conseille la construction de pavillons à un seul
pour les autres malades, matelas de crin. Pas de lits de plumes. L'
auteur
étudie dans tous les détails l'aménagement des sa
en donner une idée suffisante : nous ne pouvons qu'indiquer, avec l'
auteur
, que la majeure partie du problème qui consiste
) Relation intéressante, mais un peu sommaire et superficielle (l'
auteur
lui-même le reconnaît de bonne grâce) d'une visit
de la Société de médecine mentale de Belgique, décembre 1894.) L'
auteur
établit dans cette conférence qu'il existe enviro
de ces trois modes d'assistance les seuls pratiqués en Belgique, l'
auteur
propose à l'exemple de ce qui a été fait dans p
ns une nation peut très bien être impraticable chez sa voisine. L'
auteur
, dans un mémoire des plus documentés, répond à ce
l'étranger. Quatre théories se sont formées pour les expliquer. L'
auteur
examine successivement chacune d'elles, et par
, tantôt compliqués et généraux et pour la description des- quels l'
auteur
maintient la division qu'il a précédemment établi
es différentes manifestations sont successivement exa- miuées par l'
auteur
avec une grande méthode, avec un soin scru- pul
nze Penali ed Antropologia criminale, vol. XVI, fasc. IV et V.) L'
auteur
interprétant la conduite d'un brigand fameux dans
tile) ; par Il. PAULY, ce Lyon. (J.-B. Baillière, édit., 1895.) L'
auteur
démontre qu'il existe des affections des centres
pages d'impression. On n'acceptera pas de planches à moins que les
auteurs
ne s'engagent à en supporter les frais. Au cun
olument interdite. Les opinions exprimées sont personnelles à leurs
auteurs
et n'en- gagent en aucune façon le bureau. AR
d'organisation. , faits DIVERS. 319 L'Assistance DES IDIOTS ET l'
auteur
DE Gulliver. - « On dit que SwuT ne reçut jamai
culièrement de l'Album stéréoscopique des Centres nerveux des mêmes
auteurs
, chacune de ses figures correspondant à une des
ans atteint d'entérite et de coqueluche. Dans tous ces cas tous les
auteurs
ont insisté sur la brusquerie du ÉTUDE ANATOMO-
té. Quant au mécanisme et à la patlaogézzie de l'oedème bleu, les
auteurs
qui ont exprimé leur opinion à ce sujet sont peu
t à peu près impossible de combattre l'hypothèse de la majorité des
auteurs
d'un spasme vasculaire. Mais il faut aussi pren
Pour ne pas répéter ce qui était exposé avec détails par d'autres
auteurs
je m'abstiens d'énumérer ici les signes diag- n
Sur·gical Journal, octobre 1895, p. 201.) A propos d'un crime, l'
auteur
essaye de délimiter l'esprit sain de l'esprit m
après une seconde expertise, il fut rendu un verdict de santé. L'
auteur
discute successivement les quatre hypothèses fait
ès maniaque. Ce malade fut envoyé, bien entendu, dans un asile. L'
auteur
constate avec plaisir que, depuis quelques années
à Munich ; dans l'affaire Macdonald, en Amérique. A ce propos, l'
auteur
a adressé à différents médecins légistes et psy
qui leur répugne aussi violemment qu'un crime. La conclusion de l'
auteur
est que la question est toujours pen- dante. (T
agistrats du pays : le résumé de ces réponses nous est fourni par l'
auteur
: 1° alors même que l'accusé a agi sous l'influ
qui l'oblige à le commettre. Par des citations, par des exemples, l'
auteur
montre l'absurdité de celte jurisprudence, et s
es plus ou moins bar- bares autrefois édictées contre le suicide, l'
auteur
constate qu'elles se réduisent aujourd'hui, au
e suicide. Pour ces raisons, et pour d'autres de moindre gravité, l'
auteur
préférerait, au point de vue social, la seconde d
ie à la force locomo- trice est bien définie et bien admise; mais l'
auteur
estime que, dans les cas qui ne se rattachent p
l'une des deux formes est toujours possible. Les recherches de l'
auteur
ont porté sur 317 cas de paralysie générale, pa
ique, elle prend l'aspect d'un aplatissement antéro-postérieur. L'
auteur
conclut en disant qu'il s'est efforcé de montrer,
Mental Science, avril. 1895.) Les points principaux sur lesquels l'
auteur
a voulu insister dans ce très intéressant mémoi
agnan, Morel, Ballet, Séglas, Jules Voisin, Christian, Pot- tier, l'
auteur
conclut qu'il n'y a pas une folie de la persécuti
très longue et très intéressante obser- vation intercalée ici par l'
auteur
.) Le délire de persécution des vieillards début
joulnzul ? 3 février 1895.) Il résulte des recherches faites par l'
auteur
à l'Asile des aliénés de l'Alabama, que sur 179
une soixantaine d'an- nées à la Salpêtrière) et les recherches de l'
auteur
n'ont ici que la valeur d'une confirmation. Sur
en somme, sur ce deuxième point, déduire des données fournies par l'
auteur
les conclusions sui- vantes : la mortalité par
mémoire se résume dans les conclusions suivantes que nous fournit l'
auteur
lui-même : « Mon but dans ce travail a été de d
les Mercier. (The Journal of i érÎttl eltc bt`,i95.) . ? ? 'f ? L'
auteur
est le premier à reconnaître queTTo'e'e n'est pas
ntal science, octobre 189 L) Nous résumons ici les conclurions de l'
auteur
: · Le résultat le plus saillant de l'étude des
l'hérédité et de l'éducation, et finalement par la religion, que l'
auteur
voudrait surtout travailler à la prophylaxie de
st vraisemblable que ces trois facteurs ont agi simultanément, et l'
auteur
développe, d'après les faits cliniques observés,
he Journal of Mental Science, juillet 1895.) Les conclusions de l'
auteur
sont les suivantes; elles résument son travail
ue souvent; quand elle existe, elle est mo- dérée et irrégulière. L'
auteur
décrit ici avec soin les altérations anatomique
assons avec lui à l'inter- prétation des faits signalés. Tous les
auteurs
sont d'accord pour admettre que, en dehors de c
ssivement rares. Elles sont assurément rares chez les aliénés, et l'
auteur
estime qu'elles relè- vent chez ces malades du
er sur le cadavre la force néces- saire pour fracturer les côtes. L'
auteur
s'est servi de cet appareil dans 158 cas, qui s
fracturante appliquée à sa concavité a été moindre que celle que l'
auteur
s'attendait à rencontrer. Dans la majorité des ca
de la concavité; mais, en somme, l'écart est peu considérable. L'
auteur
a eu l'excellenle idée de compléter ses recherche
céezzce, julllet 9895.) Ce travail est le complément de celui que l'
auteur
a publié dans le Mental Science, et dont nous a
t bien surprenant de ne pas trouver une altération rénale. Plus l'
auteur
approfondit cette question, plus il incline à cro
ie générale est extrêmement rare : sur le même chiffre d'aliéné*, l'
auteur
n'en a trouvé que 2 cas. Les causes générales s
de fumer le « dagga », plante très analogue au chanvre indien. L'
auteur
fait remarquer en terminant les avantages que pré
cas le plus prolongé de mélancolie aboutissant à la guérison que l'
auteur
connaisse, exception faite pour un cas rapporté p
LEURS RAPPORTS AVEC L'ALCOOLISME ET LA FOLIE; par Hubert Bond. L'
auteur
a fait 15r autopsies; or, 74 fois, soit dans 48 p
hie) précédait l'autre (la démence paralytique) de huit années. L'
auteur
établit le diagnostic d'avec la névrite atrophiqu
sie générale (48 h., 12 f.) comparée à un nombre égal de déments, l'
auteur
a examiné l'analgésie cubitale, la sensi- bilit
tion de digitale pendant dix jours empêche la stupeur de revenir. L'
auteur
en conclut que la stupeur avait pour facteur un
ble de créer la maladie de toutes pièces. A l'appui de cette idée l'
auteur
présente deux observations : Dans le premier ca
des allures si sournoises et cependant des lésions si graves que l'
auteur
estime que l'agent infectieux, qui devait plus ta
folie chez LES nègres; par le D'' BABCOCK. Sous le nom de nègres, l'
auteur
comprend les individus de race africaine, qu'il
nt pour définition de la dégénérescence celle qu'a donnée- Morel, l'
auteur
montre que les signes de dégénérescence sont fré-
A. B. LVIII. La race DÉGËNËKE-T-ELLE ? par le D1' B.1\NIS-rElt. L'
auteur
s'élève contre la théorie de Nordau, d'après laqu
dans des con- ditions spéciales. Sans médire de nos ancêtres, dit l'
auteur
, il y a tout lieu de croire qu'ils avaient, en
autorité en proclamant la notion de la dégénérescence de la race. L'
auteur
réfute successivement les divers témoignages appo
témoignages apportés- iJ60 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. par les
auteurs
l'idée d'une dégénérescence delà race : tendances
tions masculines, en même temps que l'émancipation de la femme. L'
auteur
montre combien cette dernière notion est fausse e
seux crâniens étaient très élargis et leurs parois très minces. L'
auteur
donne différentes mensurations portant sur le tro
le devoir être principal dans la pathogénie de l'acro- mégatie. L'
auteur
en finissant fait remarquer que le corps pituitai
e paresthésique de Roth (paresthésie du fémoro-cutané externe) », l'
auteur
rappelle qu'il a publié dans le numéro du 15 ma
Revue neurologique octobre 1895.) L'observation a été prise par l'
auteur
sur lui-même, fait d'autant plus intéressant qu
s ayant rapporté leur propre observation. Il y a treize ans que l'
auteur
a éprouvé les premières atteintes de l'affectio
goitre ; par MORRIS. (British médical journal, 6 juillet 1893.) L'
auteur
relate que sur une clientèle de 2,000 habitants à
s avoir étudié en détail, d'après Duret, la circulation du bulbe, l'
auteur
se croit autorisé à conclure qu'il s'agissait c
- rison presque complète au bout de tiois mois. Pas d'autopsie. L'
auteur
après avoir discuté ce cas croit que cette paraly
ltiplex ont été publiés jus- qu'ici dans la littérature médicale. L'
auteur
en rapporte un cas nouveau qui a présenté tous
; par W. DE BECIITEIIEW. (Neu1'olo[j. Centrait., XIV, 1895.) A. - L'
auteur
signale la tension brusque du tendon du biceps qu
ut produire le même résultat, la jambe étant étendue. C'est, pour l'
auteur
, de la. sommation des excita- lions sensibles.
CHSIG. (Ne1l1'olog. Cent1'albl" XtV, 1893.) , . - Sont, d'après l'
auteur
, des centres sensoriels, les parties du cer- ve
u- coup, qui se confond en grande partie avec la zone motrice des
auteurs
, sert assurément au tact. Cette sphère tactile es
NOECKE. (Neurolog. Centralbl., XIV, 1895.) Auto-observation de l'
auteur
: 1° à la suite d'une foulure du pied droit, en
-à-dire de celles qui joignent deux points homologues du cerveau, l'
auteur
procède à des études d'anatomie comparée qui no
discussions de rapports et d'entre-croisements de ces régions.) L'
auteur
admet que le splenium fournit des fibres au trigo
ermes y a-t-il des fibres radiculaires postérieures centrifuges ? L'
auteur
s'est proposé de contrôler ce point par l'étude d
IN- tillant; par E. Berger. (Neztrolog. Centralbl., XIV, 1895.) L'
auteur
a étudié sur lui-même des accès de migraine ophta
t un fait extrêmement rare dans la moelle. - On pourrait, d'après l'
auteur
faire le diagnostic différentiel de vivo, entre
Ce sont des névrites comparables aux névrites du cubital du même
auteur
(A ? ,(,hiv f. lilinioch. 111edicin, XXII, p. 372)
ha[¡tmique); par Chr. JAKOB. (Neurolog. Centralbl., XIV, 1895.) L'
auteur
tire de deux observations que l'interruption comp
y a dégénérescence très nette des pyramides (cordons laté- raux). L'
auteur
insiste sur le parallélisme qu'il y a entre les é
ARLINGER, (Neurolog. Centrafbl., XIV, 1895.) » De ses expériences l'
auteur
conclut : 1 Les faisceaux pyramidaux du chien n
E la cuisse; par S. LREeD. (Nezl1'olog, Centralbl., XLV, 1895.) L'
auteur
joint son observation personnelle au mémoire de B
frères qui tous présentaient les mêmes symptômes rattachés par l'
auteur
à une gracilité congénitale et héréditaire du cer
ableau cli- nique présenté par lui et les cas mixtes des différents
auteurs
. 390 revue d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE patholo
ont pu être observées jusqu'ici. Quant à l'anatomie pathologique, l'
auteur
, se basant sur les autopsies faites dans des ca
cifique qui est la lésion initiale ; -, la troisième, que signale l'
auteur
, est la possibilité d'infections secondaires, c
re qu'on se trouve en présence d'une myélite syphilitique pure. L'
auteur
a pu faire une recherche minutieuse de l'état des
t normal de fonctionnement psychogé- nique des centres cérébraux. L'
auteur
considère comme nécessaire à l'état de veille l
LX. Circonvolutions cérébrales anormales; par le Dr J. ! \IICKLE. L'
auteur
constate tout d'abord que les schémas et figures
anl plusieurs mois des doses quotidiennes d'alcool éthylique pur, l'
auteur
a trouvé dans ces cellules des lésions constant
be et éprouve une forte douleur, le long du passage de l'ongle. L'
auteur
a rencontré ce curieux phénomène d'hyperesthésie
par le Dr R. M.aSS.\LONGO. Dans les deux observations citées par l'
auteur
, et ayant trait l'une à un cardiaque de soixant
et disparu; ils sont revenus avec l'asystolie. Les conclusions de l'
auteur
sont que la chorée mineure peut s'observer au c
STUCTURE constantes DES racines spinales ; par E. DE AIASSARY. L'
auteur
a pratiqué des coupes en séries de racines dorsal
, ou psychologique (du 3e acte) ? Pour répondre à cette question, l'
auteur
a entrepris une série d'expé- riences graphique
é de manière à recueillir et utiliser les couranls d'impression), l'
auteur
a trouvé que la modification matérielle inlra-u
el généralement admis est con- traire à leur ordre d'effacement ; l'
auteur
en propose un nouveau qui met les faits d'accor
f : i( ? lM1P'M'kl ? J<' " automne 1895.) ? 1' M,f-»lfi ,1 t L'
auteur
a montré en 1892 que les fibres du Ilaciiit ? rt
maine du trijumeau d'un côté et sur tout le corps des deux côtés. L'
auteur
avec plus de précautions que ses devanciers dét
que leur effet est merveilleux sur les chiens thyroïdectornisés. L'
auteur
poursuit de nouvelles expériences dans le but d
s d'aliénés se sont transformés en établissements d'assis- tance. L'
auteur
a cependant vu, jadis, dans certains asiles assoc
assez élevés. Tout cela ne serait guère praticable en Allemagne. L'
auteur
critique aussi les vues de Sommer qui vou- drai
avec une impulsion homicide : tel est le bel exemple rapporté par l'
auteur
, de ce jeune homme chez qui l'excitation génita
; par le D'' P. Lr;uairaE (1. Steinheil, éditeur, Paris, 1895). L'
auteur
, dans une étude clinique très documentée, passe e
es psychoses associées à l'épi- lepsie et à l'hystérie. Suivant l'
auteur
, la cacatonie de Kalbaum n'existerait pas en ta
phénomènes catalep- tiques chez les dégénérés en état de stupeur. L'
auteur
termine par les applications du myographe au di
l; l'astasie- abasie hystérique est décrite après les paralysies. L'
auteur
envisage ensuite les syndromes hystériques simu
e conlre l'intervention judiciaire pour le placement des aliénés. L'
auteur
nous montre l'aliéné passant en justice avec le
dministration se trouvent le réservoir, la cuisine, la buanderie. L'
auteur
loue beaucoup l'installation parfaite de la cui-
ificence avec laquelle le Conseil municipal a installé cet asile, l'
auteur
rapporte que le bâtiment d'administration a 80
s dans le travail précédemment cité, d'après les observations des
auteurs
et les nôtres, comme caractérisant la dégénéresce
e même mémoire cité plus haut pour l'indication bibliographique des
auteurs
qui ont établi ce fait. 426 1N1T0911li PATHOLOG
ous avons pu faire sur ce point confir- ment la manière de voir des
auteurs
qui ont établi que la dégénérescence se faisait
neurones de la corne antérieure. C'est le cas qui nous occupe. Les
auteurs
admettent, depuis les récentes acquisitions des
travaux. Elles ont d'abord été étudiées séparé- ment. Puis, divers
auteurs
ont soutenu que cette séparation n'était pas ju
de ressemblance et sont confondues à tort, selon moi, par quelques
auteurs
. » Récemment, M. le professeur Grasset, dans un
troubles de la sensibilité sont ana- logues à ceux qu'a décrits cet
auteur
. Notre malade a une anes- thésie, une analgésie
lissement ayant lésé les pyramides dans la protubérance inspire à l'
auteur
les réflexions suivantes : Très probablement, d
, XIV, 1895.) u Etude critique des travaux récents, de laquelle l'
auteur
déduit que : il n'y a pas de faisceau cérébro-c
humaine; par A. Hoche. (Neurolog. Gent1'aLbl., XLVy 7 1895.) . L'
auteur
a élé assez heureux pour pouvoir examiner le cada
le Dr YASQU.1RELLI nIICUELE. (Il manicomio, fasc. 3, 4, 1894.) L'
auteur
, contrairement à l'opinion de Fournier, trouve qu
il faut que l'idée fixe reste simple et isolée. C'est le cas, dit l'
auteur
, de la paranoïa bénigne 486 SOCIÉTÉS SAVANTES.
le rôle des asiles d'aliénés dans le traitement de ces malades ? L'
auteur
a fait des recherches statistiques à l'asile de
, manie, mélancolie. Au point de vue des résultats du traitement, l'
auteur
a étudié 183 ma- lades ; la proportion des guér
ites. Des mouvements involontaires au repos chez les ataxiques. L'
auteur
étudie un phénomène rare dans l'ataxie, un troubl
y.) Le travail inaugural de AI. le Dr Santenoise indique chez son
auteur
un esprit méthodique et ferme; il reflète de soli
dans la littérature médico-psychologique. Dans son introduction, l'
auteur
fait une critique, à la vérité souvent un peu a
s » est l'objet des chapitres m, iv, v et vi. Dans le chapitre m, l'
auteur
construit l'hypothèse, en déduit les conséquenc
ématique et qui se résument en quelque sorte dans cette phrase de l'
auteur
: « A notre grand regret, nous sommes obligés d
m, par Sérieux, 308. - d'aliénés. 318. Assistance des idiots et l'
auteur
de Gullwer, 319. Association médico-psychiatr
de Bechterew, 384. Vieillesse et folie, par Verga, 484. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. Abel, 48. Acona, 402.
rvorùen, 66. Hastchask, 51. Hav, 140. Ilecker, 241. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. joui Hermann, 147. Her
gène. Sur des coupes provenant d'un cas de myélite transverse, les
auteurs
ont constaté une véritable continuité entre le fa
vité des lésions -du cordon de Goll dans la lèpre ne semble pas aux
auteurs
un argument valable contre cette manière de voi
deux cas furent suivis de mort, mais dans l'un et l'autre cas, les
auteurs
sont muets sur les manifestations convulsives a
nique de psychiatrie. Le quart, le tiers, ou même, suivant certains
auteurs
, la moitié des malades de la clinique doivent y
du repos et du temps pendant lequel le malade doit rester au lit. L'
auteur
accorde d'ailleurs que les 1 P. Sérieux. Le tra
des anomalies morphologiques qu'elle fait ressortir avec force. L'
auteur
en donne des exemples dans une courte note qu'il
.) Ce travail est la continuation et le complément de celui que l'
auteur
a publié dans le numéro de janvier du même recuei
90 à 1895, 85 malades sont sortis, réputés guéris, de l'asile que l'
auteur
dirige. 11 a pu être renseigné sur 73 d'entre e
ue à tous les égards. Le diagnostic est difficile, intéressant et l'
auteur
ne se prononce pas définitivement. Il est évide
t pu la déterminer. Si c'est un néoplasme, quelle est sa nature ? l'
auteur
propose à titre d'hypothèse, mais d'hypothèse r
perçoit un très léger tremblement fibrillaire dans les lèvres. L'
auteur
est d'avis que les malades qui font le sujet de c
alade guérit pourtant, mais sa maladie restait un pro- blème pour l'
auteur
, lorsqu'il lut par hasard l'article du D1' Oswald
nry KE5TEVEN. (Tlte Journal of Mental Science, juillet 1897.) ' L'
auteur
définit l'habitude : « Une action nerveuse volont
sujets sur la folie desquels tout le monde est d'accord : ce que l'
auteur
soutient c'est que parmi ces cas, il y en a don
us complexes du rai- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. SI sonnement. L'
auteur
poursuit l'étude de ce point particulier d'une
el traitement ; les étrangers seuls y sont propres. Mais surtout, l'
auteur
y revient encore une fois, il ne faut ni ménage
janvier 1898.) L'observation ne présente rien de particulier, et l'
auteur
s'est 't surtout proposé en la rapportant, de d
W.-H.-B. STODDAR'r. (The Journal of Dlentnl Science, avril 1898.) L'
auteur
tient à attirer l'attention sur ce fait que la ri
au* REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 53 doigts, etc. Les raisons de l'
auteur
pour faire de cette rigidité un véritable signe
iblissement dans les jointures les plus atteintes par la roideur; l'
auteur
croit avoir découvert cette paralysie, en const
muscles un certain degré de faiblesse ou de paralysie légère, et l'
auteur
pense que l'extrême sensibilité au bruit que pr
mplitude des mouvements tho- raciques de la respiration normale ; l'
auteur
n'a point constaté ces faits dans la mélancolie
à l'égard de ce médicament une tolérance tout à fait remarquable; l'
auteur
indique les moyens à l'aide desquels il a étudi
ournal of Mental Science, avril 1898.) Intéressante revue, dont l'
auteur
résume les conclusions sous la forme d'un schém
J.-F. BRLSCOE. , (Tite Journal of Mental Science, avril 1898.) L'
auteur
résume l'état de la question et présente plusieur
tuellement que possible les conclusions générales formu- lées par l'
auteur
. 1° La doctrine de la localisation des fonction
STEPHEN PAShtORE. (The Journal of Mental Science, janvier 1899.) L'
auteur
a été frappé dans ses recherches du groupement de
ment par la démence : c'est l'ensemble de ces faits cliniques que l'
auteur
propose de désigner sous le nom de dep2,irne ?
? itia. Dans les 500 cas qui ont servi de base aux recherches de l'
auteur
, il a trouvé cet ensemble de symptômes mentaux
C'est à l'ensemble de ces phénomènes soma- tiques et mentaux que l'
auteur
réserve le nom de deprimentia, et il s'attache
e récurrente ; 6) folie dite circu- laire ; c) épilepsie larvée des
auteurs
français. IV. Folie de dégénérescence. A. Paral
double point de vue de la psychologie et de la médecine légale. L'
auteur
rapporte trois cas dans lesquels l'impulsion au s
l'aisance : sans quoi ils sont infiniment mieux à l'asile. Enfin, l'
auteur
regrette que dans les institutions où l'on forme
tiologiques pouvant exister seuls, soit associés à la syphilis, les
auteurs
ont noté par ordre de fréquence l'hérédité névrôp
es; 3° Mala- dies en relations avec la distribution vasculaire. L'
auteur
donne une revue sommaire des lésions non tabétiqu
et il exprime ses vues, quant à la pathologie de la ma- ladie. L'
auteur
traite ensuite le sujet des lésions de la colonne
cette affection sont décrits d'après l'expérience personnelle de l'
auteur
basée sur l'étude de 16 cas traités par lui don
nale antérieure subaiguë ; par Philippe et CESTAN (de Paris). Ces
auteurs
ont pu étudier deux cas de cette affection. La ma
culaires des atrophies myélopa- thiques. Au niveau de la moelle les
auteurs
ont constaté une sclé- rose légère des cordons
ce de la paralysie spinale antérieure subai- guë, niée par certains
auteurs
. Cette affection consisterait en une atrophie s
certain nombre de partisans parmi les neuropathologistes. Les deux
auteurs
pensent qu'elle repose sur un malentendu et que
blissent entre les deux maladies des degrés de transition. Les deux
auteurs
ont cité trois faits de ce genre ; il s'agit de t
s du vivant des malades, elle était peu prononcée. Enfin les deux
auteurs
ont cité des faits qui établissent que l'atroph
pas une raison de les fondre en une seule. En définitive, les deux
auteurs
ont conclu que l'atrophie mus- culaire progress
notre maître, M. Ba- binslci, et sept autres cas puisés dans divers
auteurs
. Nous avons pu en observer un nouvel exemple da
l'autre d'une affection des sphincters avec anesthésie en selle. L'
auteur
a eu l'occasion d'ob- server une série de cas a
. Dans un but , didactique et au point de vue de classifications, l'
auteur
propose i 80 SOCIÉTÉS SAVANTES. d'assigner
minutes sur un fragment du côté externe de la cuisse enlevé. Les
auteurs
viennent d'observer dans le service du Le Mathieu
ganglions spinaux des tabétiques par la méthode de Nissl. Tous ces
auteurs
n'ont pas trouvé de lésions manifestes dans les
o-science à l'obstacle, à l'activité parfaite de l'ume. D'après les
auteurs
modernes la dou- leur serait un phénomène réfle
douloureuse ; le retard delà sensation douloureuse varie d'après l'
auteur
de 7 centièmes à 15 centièmes de seconde. La
provenant de la périphérie. Parmi les anesthésiques étudiées par l'
auteur
, le chloroforme occupe la première place. Vient
ule intense. Lergi croit que le centre se trouve dans le bulbe. L'
auteur
conclut que la douleur est une qualité qui s'ajou
plus tar- divement que la sensation qui lui donne naissance. Pour l'
auteur
ce rétard est dû vraisemblablement aux phénomèn
issance. La justice fait à ce sujet une enquête, pour découvrir les
auteurs
de cet acte criminel, qui produit une vive émot
vacuolisation, hyperplasie du tissu connectif, etc.) : cependant cet
auteur
estime que ces lésions ne suffisent pas pour ex
ns si graves des cordons postérieurs. Si, sur ce point de fait, ces
auteurs
sont d'accord avec Schaffer, ils ne croient pas
ériphél iq ue, au nerf sensible, il y a déjà des faits, croient les
auteurs
, qui permettent d'affirmer l'existence d'altéra
Dans l'altération des granula, ou de la substance chromatique, les
auteurs
voient « une réaction de la cellule devenue ana
ins aiguë. La restitution des granula est pour nous, continuent les
auteurs
, un critérium anatomique que l'adaptation des p
ltération de la substance chromatique, altération dans laquelle les
auteurs
ne voient qu'un signe anatomique d'une réaction
dont dépend sa fonction spécifique, les méthodes employées par les
auteurs
dans ce travail ne leur ont pas permis de la dé
124 ' REVUE CRITIQUE. ' continuent d'exister '. Voilà comment ces
auteurs
expliquent, contrairement aux explications prop
tout exposées au froid, aux traumatismes, etc., ont paru à nombre d'
auteurs
être de tous points favorables à la théorie pér
périphérique (1894-1897). ' Voir la liste bibliographique de ces
auteurs
et de leurs travaux dans Redlich. loc. ci ? p.
oglie. C'est ce qu'ont observé Leyden, Marinesco, Redlich. D'autres
auteurs
, tels que Marie, parlent au contraire, dans les
e des cordons ' Il n'est pas exact de compter Redlich au nombre des
auteurs
qui professent la « théorie radiculaire », c'es
frontales internes et externes, sur les temporales (que quel- ques
auteurs
considèrent comme des centres olfactifs et gustat
débutent pour Klippel les lésions du tabes ? Il se range parmi les
auteurs
qui considèrent le tabes ordinaire comme « une
riétaux sont occupés par les centres moteurs de Ferrier et d'autres
auteurs
, et les lobes temporo-sphénoïdaux par les centr
urs oeuvres par Retzius, Carpenter, Bastian et Hughiings Jackson. L'
auteur
passe en revue les divers ordres de preuves qu'
ssant ainsi à la règle de tous les tissus d'évolution supérieure; l'
auteur
rappelle sur ce point les travaux de Retzius. P
Il est bien entendu que, en parlant du « siège de 1'inteHtgeHCE'i l'
auteur
n'entend nullement dire que l'intelligence ait un
ngt-quatre ou trente-six heures après la mort qu'immédiatement. L'
auteur
entre ici dans de minutieux détails sur la techni
ui sont très abondamment chargées de pigment, et même distendues. L'
auteur
a constaté cet excès de pigment dans un grand n
isposition est-elle ^la même dans les autres cellules corticales, l'
auteur
en doute. Il "complète la description de ce qu'
llules nerveuses. 11 est .digne de remarque que dans les 5 cas où l'
auteur
a constaté ce 'genre d'aftéaiion, les cellules
ignalée après la section d'un nerf moteur. Dans 71 cas de folie l'
auteur
a pratiqué l'examen méthodique d'un point parti
femmes) où la substance chromophile présentait la disposition que l'
auteur
considère comme nor- male. Dans tous les cas, n
de dégénérescence; mais la majorité appar- tenait au type normal. L'
auteur
ne prétend pas en déduire que, dans tous ces ca
tains faits observés sembleraient même indiquer le contraire. Ici l'
auteur
intercale - trois tableaux où. les faits observ
oeil nu aucune altération ni du cerveau ni de ses enveloppes. , L'
auteur
entre ensuite dans des considérations intéressant
Sacquépée et-DopLER. (Revue de médecine, avril et juin 1900.) Les
auteurs
donnent un aperçu d'ensemble des principales obse
is- seux. Quant à l'origine de cette lipomatose par métaplasie, l'
auteur
la considère comme un trouble ueurolrophique do
FAR- makowska. (revu. mèd. de la Suisse Romande, 1900, n° 7.) 1 L'
auteur
de ce travail s'est proposé de rechercher : 1° si
hromatolyse dans l'aspect de leurs cellules intracardiaques, mais l'
auteur
ne se croit pas en droit d'affirmer qu'il s'agit
ie, 1900, nua 14.) , - Des recherches exposées dans ce travail, les
auteurs
concluent- que la neuronophagie n'est pas indis
encéphale ; par F. SANO. (Jo2ern. de Neurologie, 1cl00, n° 12.) L'
auteur
établit dans ce travail iL la suite des recherche
'étude de la sensibilité du système pileux des névropa- . thés, les
auteurs
russes classent leurs malades en trois groupes :
ieure. Locali- sation du trouble sensitif également curieuse. Les
auteurs
y joignent trois types de sclérose en plaques cla
VIII, 1899.) De l'examen de foetus humains parlaméthode de Golgi, l'
auteur
établit ce qui suit : 1° Les premiers rudiments
(Renie de psychologie clinique et thérapeutique, octobre 1899.) L'
auteur
pense, avec de nombreuses autorilés scientifiques
t par l'énergie nerveuse, particulièrement sous sa forme mentale. L'
auteur
mentionne les travaux faits dans ce sens, par M
axillaire une température augmentée (3î ? à 380,4 dans le cas de l'
auteur
). Lorsque la maladie est constituée, on observe
ec- trique. Les symptômes décrits par J. de L. sont si nets que l'
auteur
pro- ' pose de les comprendre parmi les signes
première fois que B... et 0... voient un exemple de ce genre. Les
auteurs
rappellent que la microcéphalie n'est pas due à u
ll. Wuillamier, Dauge et Leplaive, et par Bail- larger en 1882. Les
auteurs
font voir plusieurs planches et photo- graphies
Gombault. Observation intéressante à plus d'un point de vue, mais l'
auteur
attire plus spécialement l'attention sur l'exis
de Duclecznze; par MM. CL. PUILIPPE et 1tIAJEWICZ (de Paris). Les
auteurs
ont pu étudier par la méthode de Nissl les noyaux
ique, la nature motrice du noyau dorsal du nerf vague. De plus, les
auteurs
pensent que ces cellules appartiennent à un typ
ie. La dyspnée des neurasthéniques ; par ÂNDRu (de Toulouse). Les
auteurs
qui ont écrit sur la neurasthénie sont très brefs
rt, alors que l'homme attribue son trépas à de puissants ennemis. L'
auteur
en arrive à considérer le délire des négations,
rétation du délire des négations. Celui-ci ne serait, pour certains
auteurs
, qu'un accident de la sénilité chez les mélan-
sensitivo-motrice droite et n'ayant pas bougé depuis dix ans. Les
auteurs
voient là un nouvel exemple de ces paralysies ass
ndaire chez les amputés avec sclé- rose et non atrophie simple (les
auteurs
jusqu'ici n'ont pas signalé cette sclérose, ou
s kystes hydaliques du cerveau. MM. P. Sérieux et Roger-Mignot. Les
auteurs
donnent l'ob- servation d'un homme de soixante-
été des attaques hystériques; les observations rapportées par les
auteurs
sont loin d'être probantes; 2° Il ne faut pas con
la forme d'un élégant carnet de poche est destiné, comme l'écrit l'
auteur
, aux médecins et aux magistrats. Aux magistrats
perdant pas de vue le but essentiellement pratique de son ouvrage l'
auteur
a fait mettre sous les yeux du lecteur : la loi
supposer que' des cas analogues puissent être observés par d'autres
auteurs
plus heureux qui pourront dé- finie leur nature
Pitres '. La bizarrerie d'allures des observations publiées par cet
auteur
peut légitimer cette manière de voir. Mais, en
nt sur les faisceaux pyramidaux , cérébelleux directs et de Goll. L'
auteur
a signalé cependant des altérations évidentes a
e malade marchait, la paralysie se localisait longtemps aux bras. L'
auteur
en fait une paralysie par inhi- bition. La- mal
stique récidivante observée chez deux enfants de la même famille; l'
auteur
les considère comme hérédo-syphilitiques. Goldf
s primitives et formation de vacuoles. Dans son pre- mier travail l'
auteur
émet l'hypothèse que dans la pathogénie de cett
tage de mettre au, point cette' question» singulièrement obscure. L'
auteur
insiste sur lai longue période de latence qui p
on, elle a été appréciée d'une façon très" différente, suivant les;
auteurs
: : Ilartwig la. regarde comme une imbibition o
affection des- racines- motrices; médullaires : . A', côté; de; ces
auteurs
, d'autres s'appuyant'sur. les altérations des-,
n'avons analysé les diverses conceptions pathogéniques, de- leurs
auteurs
que pour bien faire ressortir'toute la' différenc
cependant des caractères com- muns qui ont été proclamés par divers
auteurs
. Le professeur Hitzig, de Halle, qui avait reco
sulfate de duboisine est un sédatif et un hypnotique puis- sant : l'
auteur
le donne par la bouche ou par la voie hypoder-
travail est basé sur 43 observations (21 hommes et 22 femmes), les
auteurs
sont amenés à conclure que dans la mélancolie, le
ureux : la gastrite notamment e-t extrêmement fréquente chez eux. L'
auteur
rapporte deux cas dans lesquels des aliénés, no
illards atteints d'épilepsie. Quelques faits sem- blent montrer à l'
auteur
que même chez ces -rlerniers, le bro- mure peut
dix-huit pages de tableaux annexés à ce travail, on constate que l'
auteur
a expérimenté le traitement hypnotique dans un
hypnotique, dans lesquelles nous regrettons de ne pouvoir suivre l'
auteur
. It. de Musgrave-Clay. VIII. Le dormiol; par le
ène ; c'est un liquide clair, d'un poids spécifique de 1,24, dont l'
auteur
conseille l'emploi comme hypnotique dans les dive
our exercer une influence heureuse sur les attaques épileptiques, l'
auteur
ne l'a jamais observé ; au contraire il a eu l'
sance motrice passagère. Malgré la rareté des ptosis hystériques, l'
auteur
pense que par élimination on peut y rattacher c
et plantaire) sont normaux. En présence de ce tableau clinique, l'
auteur
déclare qu'il ne peut s'agir ici que d'une lési
ainsi : Ni les lésions vasculaires et cellulaires décrites par les
auteurs
antérieurs à van Gehuchten, ni la lésion capsul
érieurs à van Gehuchten, ni la lésion capsulaire découverte par cet
auteur
, ne sont à proprement parler spécifiques de la ra
upérieurs et un léger nystagmus. Malgré l'absence de tremblement, l'
auteur
, s'appuyant sur un certain nombre de faits anal
publié de cas d'émiphalocèle cérébelleuse chez le nouveau-né, et l'
auteur
croit bien que ce cas est le seul où l'on ait c
m L. S1'OVELL. (1'lce New Yoi k Médical Journal, 20 mars 1897.) L'
auteur
relate d'abord une observation d'atrophie muscula
phient, et c'est là la pseudo- hypertrophie musculaire que quelques
auteurs
considèrent comme une maladie distincte. Au poi
nry L. Elsner. (Tlte New-Yorlc Médical Joum il, 10 avril 1897.) L'
auteur
tient, dès le début, à se ranger parmi les advers
localisées avec quelque précision, ni même constatées ; et parla, l'
auteur
est amené à l'étude de la tendance ou diathèse né
sans qu'on ait le droit pour cela de contester leur existence. , L'
auteur
s'attache, à la fin de son travail, à concilier l
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 247. plusieurs des cas observés par l'
auteur
, cette disposition était très frappante. Hitzig
paralytique et par conséquent plus cérébraux que spinaux ; enfin l'
auteur
lui-même l'a rencontrée dix-sept fois sur vingt c
certaines parties de la côte du Brésil et des Indes occidentales. L'
auteur
a eu l'occa- sion rare d'en observer soixante e
es gastro-intestinaux, d'anarsaque généralisée et de tachycardie. L'
auteur
rapporte ici trois observations très intéressan
fonction du tronc nerveux malade. Dans tous les cas observés par l'
auteur
la maladie a débuté par les jambes, et dans un
u être faite : ce sera le sujet d'un mémoire ultérieur; toutefois l'
auteur
peut dire dès maintenant que, dans un cas au mo
objections dont restent passibles les faits expérimentaux. Aussi l'
auteur
a-t-il jugé inté- ressant de publier l'observat
es sont exposés et discutés avec soin. Enfin il faut savoir gré à l'
auteur
d'avoir donné une bonne biblio- graphie du suje
rauss. (Tice New YOI-K 31C die(tl Joiti-ital, 30 juillet 1898.) L'
auteur
s'est proposé dans ce travail non de développer d
t, une fois du ptosis et du strabisme. D'après l'étude de ces cas l'
auteur
disposerait de la manière suivante les symptôme
rs cérébrales. 254 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. des écrivains, l'
auteur
a été conduit à nommer crampe des liseurs une a
crampe des liseurs, et si facile à suivre que nous ne suivons pas l'
auteur
dans les développements qu'il lui donne. La ten
a relation et à la discus- sion de cas analogues publiés par divers
auteurs
. R. DE 11USGR : 1V);-CLAY. XXII. Sur la cépha
lgie paroxystique) trouve surtout du crédit chez les oculistes. L'
auteur
insiste ensuite sur les caractères qui permettent
forme incomplète, comme dans le cas actuel, y est assez commune. L'
auteur
rappelle ici au point de vue du plus ou moins d
istiques de Fournier et résume assez louguement l'opinion de divers
auteurs
tant sur la syphilis que sur les paralysies d'o
es à cette maladie sont peut-être plus nombreuses qu'on ne pense. L'
auteur
résume l'historique de la question et fait ensu
r les mbdilications de l'urine, qui n'est presque jamais normale. L'
auteur
relate à la,, fin de son travail deux cas d'enc
ltanément, et c'est pour augmenter le nombre des faits connus que l'
auteur
publie cette observation dont tout l'intérêt, e
Journal 23 juin 1898.) Le titre de cette observation la résume ; l'
auteur
ajoute seule- ment que ni la syphilis, ni le sa
aturé d'un enfant mort. Affaiblisse- x ment progressif et rapide. L'
auteur
donne les résultats de l'autop- sie, et les fai
ins à t'oeit nu, est intéressant si l'on se souvient que beaucoup d'
auteurs
les considèrent comme le siège de la maladie. La
p est immense, comme nous le montre le rapide exposé qu'en a fait l'
auteur
lui-même; Il a mené bonne fin cette lourde 2M 1
amour passionnel, envisagé il est vrai, de façon différente par les
auteurs
. Dans les huit premiers chapitres, l'auteur étu
çon différente par les auteurs. Dans les huit premiers chapitres, l'
auteur
étudie avec un grand sens critique le suicide p
au suicide, sous l'effet des nombreuses causes que passe en revue l'
auteur
. L'amour, ce mal universel, moteur puissant s'i
lus répandu que ne le pense M. Proal, chez ce genre de criminels. L'
auteur
lui-même n'est pas loin de notre avis, quand il
out autre sentiment que l'amour : l'intérêt Dans ses conclusions, l'
auteur
s'attache surtout aux considéra- tions sociales
issances professionnelles plus grandes en matière de psychiatrie, l'
auteur
montre que les 'maladies men- tales qui longtem
esquelles est actuellement donné l'enseignement delà psychiatrie. L'
auteur
estime, et nous partageons entièrement son avis,
chapitre consacré à cette question des renseignements utiles : l'
auteur
donne, entre autres, la traduction d'un travail d
ouci de l'avenir de la psy- chiatrie française ; les réformes que l'
auteur
réclame auront à coup sur une influence favorab
chaque maladie, se place une. nomenclature alphabétique par noms d'
auteurs
. Les résumés analytiques sont généralement prés
toutes les idées direc- 266 BIBLIOGRAPHIE. trices qui ont guidé l'
auteur
dans l'appréciation de ses faits personnels et
ns o/'l'atholgicul Sociel.) Comme suite au mémoire précédent, les
auteurs
rapportent un nouveau cas survenu à Londres che
aint- Martin-de-Sallen. Du moins, c'est lui qu'elle accuse d'être l'
auteur
de cet attentat. (Bonhomme Normand, 31 janvier
ns le canton de Saint-André, un fait grave d'attentat aux moeurs. L'
auteur
de l'attentat est marié et jouit d'une certaine
érale des prisons du 17 novembre 1897.) In-8° de 12 page ? . Chez l'
auteur
: Maison centrale de Graillon. a COLIN. - Du sy
P.1C'fET. - Des grands services d'aliénés, In-8" de 4 pages. Chez l'
auteur
: Asile d'aliénés à Villejuif. ' Petit (G.). Ac
tc., qui se rapprochent du nôtre. En se reportant au texte même des
auteurs
il y aurait là le sujet d'une thèse sérieuse. S
inq mois, ce qui est évidemment un mini- mum, puisque pour tous les
auteurs
, une des principales caractéristiques de ces ab
e part, nous ne pou- vons dire que cet abcès était primitif car les
auteurs
n'admet- tent pas cette forme. - Il existe da
van Geiiucii- Tex. (Journal de Neurologie, 1900, nos 19 et 20.) L'
auteur
revient dans ce travail sur la question encore dé
reproduisons ici presque complètement ce travail intéres- sant : L'
auteur
a eu l'occasion d'étudier dans un grand nombre de
te. En étu- diant un cas type de sclérose amyotrophique latérale, l'
auteur
et le Dr Dercum ont rencontré des éléments qui
équemmen- dans le sys- tème nerveux central des aliénés, et que cet
auteur
croit dériver des libres médullaires. Il reconn
bulbaire. On ne les rencontre guère hors de la substance blanche. L'
auteur
pense que les corps qu'il a trouvés dans son cas
entée par l'espace qui les entoure. Une étude attentive a conduit l'
auteur
à admettre, contrairement aux vues primitivemen
erveux central. Dans des processus pathologiques de longue durée, l'
auteur
les a observés en masses dans lesquelles ils s'
névroglie n'en- trent pour rien dans leur constitution. Récemment l'
auteur
aeu l'occasion d'étudier des vaisseaux artério-
passages, REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 311 l'
auteur
a étudié les paresthésies ; actuellement, il se p
roche pas autant de la douleur vraie que la paresthésie chaude. L'
auteur
rapporte ici avec détail sept observations que no
, une phase métaphysique et une phase positive ou scientifique. L'
auteur
se propose de passer sommairement en revue quelqu
ucture et de fonction à leur phase de plus complète simplicité. L'
auteur
a parlé des fibres qui servent de voies de. trans
stent entre ces éléments et les diverses voies de transmission. L'
auteur
rappelle ici les travaux de Remak et de Deiter, e
ncore de pareilles déductions. L'une des principales raisons qu'a l'
auteur
de rester dans le doute, c'est que des recherch
e Journal of Mental Science, octobre 1898.) ' Les recherches de l'
auteur
ont porté sur quatorze cerveaux d'hommes et sei
mbécillité simple. -il Un cas de mélan- colie chronique (omis). L'
auteur
décrit ensuite le procédé employé, et constate le
tuellement, comme nous venons de lo faire d'ailleurs, pour suivre l'
auteur
dans ses recherches sur les diverses maladies m
rincipaux points de ce travail, qui est accompagné d'une planche. L'
auteur
a pensé qu'un procédé rapide et facile de color
d'acide picrique et d'une solution aqueuse de formol à 6 p. 100). L'
auteur
décrit ensuite minutieuse- ment la technique em
n Waniman Fmcer. (The Journal of Mental Science, octobre 1898.) L'
auteur
rappelle d'abord l'histologie normale du plexus c
lume varie de la grosseur d'une tête d'épingle à celui d'un pois. L'
auteur
étudie leur mode de formation ; puis, abordant
oN et Uavln-0 (Tlte Journal of Mental Science, octobre 1898.) Les
auteurs
décrivent d'abord la structure normale de la cell
rer complètement ces cas de ceux ou l'intelligence est intacte. Les
auteurs
ont étudié six cas de folie aiguë dans lesquels l
particu- lière des cellules existantes qu'il faut voir, suivant les
auteurs
, le fait anatomique essentiel dans la pathologi
llules corticales chez le sujet sain d'esprit et chez l'aliéné, les
auteurs
ont constaté qu'elle se rencontrait dans les ca
se Romande, 1900,,n° 9.) Des recherches exposées dans ce trauail, l'
auteur
conclut que l'abolition ou la diminution de l'o
u- vent être employées séparément ou conjointement en médecine. L'
auteur
rappelle ici les travaux de l'école de Nancy et d
e Hudson, qui emploie les mots objectif et subjectif. Sui- vant cet
auteur
, l'esprit objectif exerce ses fonctions à l'égard
o- tisme, la même valeur que la suggestion et le sub-conscient. L'
auteur
entre ici dans de curieuses considérations sur le
Quant à la voie que parcourent les communications de ce genre, l'
auteur
avoue ignorer absolument quelle en est la nature,
ement environne et pénétre tous les êtres et toutes les choses. L'
auteur
termine ce travail par la relation d'un fait qui
s orteil seul subsiste), sa forme normale. Ce cas démontre, dit l'
auteur
, que l'on peut agir par l'hyp- notisme alors mê
moyen physique de communication entre deux iiitelli- gences, car l'
auteur
n'avait jamais vu ni la malade, ni le village,
ute qui y conduisait, ni la chambre où la malade était cou- chée. L'
auteur
, en terminant, insiste énergiquement sur ce poi
of Mental Science, avril 1898.) Le cas d'acromégalie relaté par l'
auteur
, est un cas classique; la seule particularité q
i-guérison. Le seul travail qui soit parvenu à la connaissance de l'
auteur
sur le même sujet est celui du D'' Whitmore Sfe
des sciences dans les recherches de psychiatrie et de neurologie, l'
auteur
passe en revue les divers départements de recherc
-York. L'indication de ces divers départements, à chacun desquels l'
auteur
donne un certain développement, suffit à résume
, juillet 1898.) Les conclusions de ce mémoire sont formulées par l'
auteur
lui- même dans les propositions qui suivent : ,
r l'auteur lui- même dans les propositions qui suivent : , 1° Les
auteurs
varient considérablement dans les appréciations
eo. SPRGUF. (The American Journal of 171stinify, october 1900.) L'
auteur
conçoit la démence précoce à la façon de Kroepeli
allucinations de la vue et de l'ouïe sont fréquentes et par elles l'
auteur
explique les attitudes bizanes si particulièremen
s. Comme traitement, t'opofhérapie thyroïdienne est conseillée. L'
auteur
pense que l'examen microscopique de l'écorce, fai
idère qu'il n'y a pas encore dix ans que ce système fonctionne. L'
auteur
se demande dans ce mémoire : to quelle est la sit
es d'aliénés. ' 333 sidération qu'il mérite. Sur le second point, l'
auteur
propose de poursuivre leur affiliation à certai
sur le système de Sutton et son application à l'asile dirigé par l'
auteur
. .. ., R. M.-C. 336 asiles d'aliénés. VIII. L
par, H. RAYNER. (The Journal of Mental Science, juillet 1897.) L'
auteur
désigne par là l'ensemble des moyens adoptés pour
e la dimension des asiles reste à étudier. En somme, l'opinion de l'
auteur
est qu'il faut dans les asiles d'aliénés beauco
ales, 20 p. 100; alcooliques, 14 p. 100; hérédité, 34 p. 100. ' L'
auteur
attribue l'accroissement dans le nombre des admis
eut avoir le contact d'un fou spécialement avec un individu jeune l'
auteur
, résume ce qui a été essayé comme système colon
towt. (The Anterican yon)'tts<o/'7)M'«)<t ? 1900, p. 07.) L'
auteur
fait le récit du transfert d'un certain nombre de
mentaires dans les actes complexes, perturbation déjà décrite par l'
auteur
sous le nom d'asynergie. Cette hémiasynergie da
e périphérique par compression du nerf dans l'aqueduc de Fallope. L'
auteur
insiste sur l'importance du cancer du poumon po
r l'observation qu'on n'obtient pas ainsi de dou- ble coloration, l'
auteur
moptre que une fois la coloration bleue de la n
on présénile ; par le D''J. Capgras. (Th. Paris, juillet 1900.) L'
auteur
, adoptant les idées exposées par le professeur Kr
bles pupillaires et l'hypotension artérielle ; signes trouvés par l'
auteur
chez tous les malades examinés. S'appuyant sur
résentées avec celles de la paralysie générale. D'ailleurs certains
auteurs
après avoir épuisé la liste des infections, int
des centres nerveux, cerveau etmoelle étudiées en première ligue, l'
auteur
passe aux grands syndromes communs à diverses a
ze ans, qui travaillait dans une ferme voisine, le nommé Duplessis,
auteur
de ce crime atroce, a été arrêté (Le Bonhomme N
ation concise de ces faits, avec les indications relatives au nom d'
auteur
et à la source : - 1° HORSLEY (Remarks on thé s
oissons, fut pris d'un accès de manie aiguë (méningite au dire de l'
auteur
) ; à ce moment, les attaques convulsives réappa
de la moitié droite de la face, une aphasie presque complète, que l'
auteur
a attribuée à un arrachement des couches superf
u pouvoir épileptogène à d'autres territoires de l'écorce ? Déjà un
auteur
allemand, Froenkel, avait prétendu que lorsque
pris naissance, au voisinage du centre primitif. Plus récemment, un
auteur
américain, Putnam' a a prétendu qu'après une ce
W.-C. Mac Intosii. (The Journal of Mental Science, avril 1898.) L'
auteur
rapporte un certain nombre de faits propres à dém
gurent les différentes données à recueillir suivant le procédé de l'
auteur
. R. M.-C. XLV. Ëtude anatomique de 131 aliénés
une paralysie du moteur oculaire. b. A l'appui de l'opinion de l'
auteur
on trouve le cas de Siemer- ling dans lequel on
ais dans un cas comme dans l'autre elle est loin d'être commune : l'
auteur
a pu en observer trois cas dont il publie le co
terew. (0&o ? t ! psichiatrii, V, 1900.) - L'ataxie aiguë des
auteurs
, observée chez l'alcoolique chronique a tout l'
-encéphalite diffuse aiguë. C'est ce qu'ont généralement trouvé les
auteurs
. 11 est probable qu'elle est d'origine infectie
tions de la température. Outre les altérations parenchymateuses des
auteurs
, il faut atta- cher un grand prix, à la déchéan
gures. La com- paraison de cette observation avec les recherche des
auteurs
décèle une différence unique, mais radicale, à
de l'acromégalie; par 13oivnnm. (Il IIIOI'g(1221, 1899, sept.) L'
auteur
présente quatre observations d'acromégalie, dont
ntreprises au laboratoire de physiologie de l'Univerté de Bologne l'
auteur
tire les conclusions suivantes : La thyroïde es
d'une façon générale, si l'arc réflexe médullaire reste intact. L'
auteur
apporte 19 observations d'hémiplégiques. 11 prése
J. Meltzer. (The New York Médical Journal, 13 et 27 mai 1899.) L'
auteur
a lui-même résumé cette étude dans des conclusion
R. Le Couine. (The Nelv Yo ? 7f Médical Journal, avril 1899.) Les
auteurs
terminent leur résumé de l'anatomie pathologique
pson. (The iyew- Yoi-k 31ediettl Jouî-i2ttl, 26 novembre 1898.) t L'
auteur
donne de cette maladie peu commune une descriptio
cutanés développés vraisembla- blement en dehors des nerfs. , Les
auteurs
voient dans ce cas un nouvel argument contre la
n antérieure sur cette affection, non encore décrite en France, les
auteurs
ont réuni d'une part 5 observations inédites, d
ue n'a révélé aucune lésion des différentes parties du cerveau. L'
auteur
discute la question de savoir dans quelle classe
e arthropathie, qu'un tableau clinique presque nul, et conduisant l'
auteur
aux conclusions sui- vantes : « Nous sommes don
tions de polynévrite dite syphi- litique, dont deux personnelles, l'
auteur
croit pouvoir établir les catégories suivantes
tout entiers. -. Pour en expliquer la pathogénie encore obscure, l'
auteur
se demande s'il n'y aurait pas lieu de faire in
rimental de Brown-Séquard produit par l'hémisection de la moelle. L'
auteur
rapporte une observation où ce syndrome se trou
ions, aux rechutes et à la guérison. » Le symptôme qui, suivant l'
auteur
, a le plus de valeur diagnos- tique, celui qui
us que la né- vrite optique double est un signe de réelle valeur. L'
auteur
entre ensuite dans quelques explications sur le
n des annexes, et cette opération n'a nullement modifié son état. L'
auteur
pense qu'il s'agit d'un acro-paresthésie, d'ori-
e début, il y avait de l'incontinence d'urine. Trois jours après, l'
auteur
voit le malade, et outre les symptômes déjà ind
ehuchten, Andriezen, Marie, Hodge,Sherring- ton, Leyden et d'autres
auteurs
encore et la théorie des neurones marque ici la
et la théorie des neurones marque ici la fin de l'ancien régime. L'
auteur
entre en de longs détails sur cette théorie et
s symptômes sont en effet parmi les premiers qui se manifestent ; l'
auteur
les passe en revue. Puis il passe aux symptômes
H.-J. BOLDT. (7'Ae New York Médical Journal, 11 février 1899.) L'
auteur
laissera de côté dans ce travail les névroses vra
ise anémiques se rencontrent fréquemment dans l'endomé- trite, et l'
auteur
a pu les rattacher dans plusieurs cas à l'existen
athiques qui accompagnent la nymphomanie vraie sont bien connus : l'
auteur
connaît un cas où l'ablation du clitoris hypert
ance à des états névropathiques intenses. Dans un autre travail l'
auteur
a déjà attiré l'attention sur les névroses card
analogue à celle de la masturbation et n'est pas moins nuisible. L'
auteur
termine son travail par des considérations éten
. La littérature médicale est assez pauvre en faits de ce genre : L'
auteur
a cependant rencontré un cas de gliome compliqué
s, une marche rapide et une terminai- son invariablement funeste. L'
auteur
après ce tableau clinique se propose d'insister
érieures. Le traitement est jusqu'ici resté sans aucune utilité : l'
auteur
conseillerait volontiers l'essai du sérum antis
Charles .Mercier. (The Journal of Mental Science, avril 1897.) L'
auteur
traite ici du secret professionnel, et il conclut
souvent chez des dégénérés, associée, à des états névropathiques. L'
auteur
apporte deux observations, l'une d'un épileptique
ves érotiques obsédants. Existe-t-il beaucoup de cas semblables ? l'
auteur
fait remarquer qu'il ne faudrait pas se hâter d
m Kirsch. (The Ne2o Yb ? '/t Médical Journal, 22 juillet 1899.) L'
auteur
définit le délire « Un état psychique caractérisé
qui acquièrent la maladie à bon compte. -Reve- nant au traitement l'
auteur
rappelle qu'un mélange de bromure et de chloral
st utile aussi. Jamais, sauf le cas de complica- tions anormales, l'
auteur
ne prescrit la morphine. Mais le médicament pré
out de quelques minutes le malade à une heure ou deux de sommeil. L'
auteur
croit être le premier à signaler cette applicatio
rapporte d'ailleurs le mérite de cette découverte à ses véritables
auteurs
, Luton et Dujardin-Beaumetz. Je dis que par ce mo
DDART. (The Journal o/'Ne) ! <6[< Science, octobre 1899.) L'
auteur
déclare qu'il aurait peut-être plus justement int
st un état beaucoup plus commun qu'on ne pense chez les aliénés : l'
auteur
désigne par le mot « hémianesthésie relative »
gauche chez les droitiers, et le côté droit chez les gau- chers. L'
auteur
n'a pas encore'rassemblé assez de fait pour pou-
ore moins étendue, les surfaces sensibles sont plus vastes. Enfin l'
auteur
décrit les formes décroissantes, dans l'ordre d
à penser qu'il s'agit d'un trouble fonctionnel et non organique. L'
auteur
examine et discute 'la question du mécanisme de
r G.-A. Welsch. (Tite Journal of Mental Science, avril 1899.) . L'
auteur
en a observé seize cas, dont six ont guéri : cett
lésion irritative des cellules nerveuses (mentales et motrices). L'
auteur
estime que l'agent irritant est une toxine prod
lules, mais de différentes portions des éléments chromophiliques. L'
auteur
ne saurait actuellement donner d'opinion sur l'af
L'intensité du virus joue naturellement un rôle; la syphilis dit l'
auteur
, est un créancier capricieux qui exige tout des
u sys- 422 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. tème nerveux, et par là l'
auteur
entend la présence ou l'absence de lésions conf
alors même que l'on accepterait l'hypothèse (inadmissible suivant l'
auteur
) suivant laquelle la faculté de penser pourrait
l'excessive mortalité par phtisie chez les habitants des asiles : l'
auteur
étudie avec soin les divers aspects de la quest
ément, les membranes et les vaisseaux du système nerveux central. L'
auteur
passe en revue les diverses lésions produites p
capable de donner lieu à des affections parasyphilitiques. Enfin l'
auteur
cite la forme juvé- nile de la paralysie généra
ar G. E. Moum. (The Journal of Mental ' Science, octobre 1899). L'
auteur
examine la question de savoir si le mariage doit
of Mental Science, juillet 1899.) Malgré les efforts de quelques
auteurs
anglais pour démontrer - le contraire, il est c
aussi commun que le suicide doit avoir des causes multiples, mais l'
auteur
estime que la cause la plus puissante doit être
sante doit être une cause mentale et parmi ces causes men- tales, l'
auteur
signale les suivantes par lesquelles il conclut s
NOLLY NoRmAN. (Tite Journal of Men- tal Science, octobre 1899). L'
auteur
rapporte avec détail l'observation de ce cas, et
entaire lorsque nous le comparons à celui de différents animaux : l'
auteur
en étudie avec soin et compétence le développemen
e et de l'ouïe, et il se peut qu'elles passent souvent inaperçue. L'
auteur
rappelle ici les recherches de Macario, de Brie
aisous qu'il indique et d'après les documents qu'il a recueillis, l'
auteur
n'm- cline aucunement vers l'opinion qu'il exis
1\ORnA : v. (The Journal of AIei2t(il Scieiice, juillet 1899.) L'
auteur
se propose d'attirer l'attention des médecins d'a
et probablement d'Al- lemagne. A l'asile de Richmond que dirige l'
auteur
, à Dublin, la maladie a fait sa première appara
au-dessous de la 432 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. . vérité, car L'
auteur
a la certitude, que dans bien des cas légers ou
s. La cause de l'apparition du béribéri n'a pu être découverte; l'
auteur
décrit ensuite d'après les auteurs qui les ont ob
éribéri n'a pu être découverte; l'auteur décrit ensuite d'après les
auteurs
qui les ont observées quelques autres épidémies
rit en 1895 sous le nom de Bacillus eiitei-ilictis sporogenes, et l'
auteur
entre dans quelques détails sur ce microbe; mal
La contracture faciale tardive organique est admise par tous les
auteurs
. Quant à la langue, les auteurs sont généralement
e organique est admise par tous les auteurs. Quant à la langue, les
auteurs
sont généralement muets à ce sujet, et il n'y a
Archives. 2" série, t. XI. 28 434 SOCIÉTÉS SAVANTES. - repos). L'
auteur
croit que, si l'on admet la contracture secondair
scle génioglosse, et non du côté para- lysé, comme pensent quelques
auteurs
. La communication de M. Minor a donné lieu à un
épendante, dans d'autres cas il s'agissait de la folie induite. L'
auteur
relate le cas de deux frères jumeaux, âgés de tre
matomyélie et deux d'hydrocéphalie congénitale et d'anencéphalie) l'
auteur
arrive aux conclusions suivantes : i° Les cav
rma- tion de cavités, n'existe pas ; c'est un mythe. Dans ces cas l'
auteur
n'a jamais vu de résorption de la gliomatose av
r les vues de Wei- gert à ce sujet ; 7° L'affirmation de quelques
auteurs
à savoir que le canal cen- .tral est parfois to
rend pas part à la forma- tion de la cavité, provient de ce que ces
auteurs
n'ont pas fait sans doute un·nombre suffisant d
n'ont pas examiné un assez grand nombre de segments médullaires. L'
auteur
est con- vaincu que presque dans tous les cas d
nce. Discussion. M. Minor fait remarquer que les conclusions de l'
auteur
n'apportent pas de contributions nouvelles à l'ét
cavités. S. POPOFF. Les degrés initiaux de la névrite multiple. L'
auteur
relate l'observation de quatre malades dont trois
aresseuse (A = K). Mêmes constatations chez les autres malades. L'
auteur
attire l'attention sur ces faits qui plaident en
tion très riche en faits et abonde en citations variées, tirées des
auteurs
anciens et modernes de toutes nationalités. Le
placent de très originales recherches sur le rythme sexuel mâle; l'
auteur
s'appuie pour l'établir sur les maladies périodiq
rotisme, étude de manifestations spontanées de l'instinct sexuel. L'
auteur
, sous ce mot d'auto-érotisme comprend toutes les
aisant l'hystérie, en tant que névrose sexuelle, est défendue par l'
auteur
qui considère les théories de Charcot comme dev
la cause c'est l'obstacle. » Tel est le résumé des conclusions de l'
auteur
; il a le grand mérite de ramener les faits à le
ar le De DENIS COURTADE. (Scientia, n° 7. Carré et Naud, 1900.) L'
auteur
s'est proposé dans ce travail non de faire une ét
itabi- lité sans la présence de certaines conditions ; ceci amène l'
auteur
à passer en revue le rôle de l'eau, de l'oxygèn
elle, irritabilité nutritive, irritabilité nerveuse. En terminant l'
auteur
parle de la nature de l'irritabilité : il indique
né annuelle- ment par la Société d'Hypnologie et de Psychologie à l'
auteur
de la meilleure thèse sur l'un des sujets suiva
lis héréditaire, qui est pour moi, et j'ajoute pour la majorité des
auteurs
aujourd'hui, le facteur essentiel de la paralysie
à relever dans ce mémoire assez long que deux points originaux : l'
auteur
pense que les doctrines médicales actuelles (hé
l'accompagnent est maintenant nettement tracé. Le cas observé par l'
auteur
et dont il publie l'observation détaillée est un
A l'autopsie, on trouve l'estomac rem- pli de feuilles d'if. 1 L'
auteur
rappelle les quelques cas analogues qui existent
ra des résultats avantageux; 26° Dans la série de cas étudiée par l'
auteur
, des malades qui ont guéri a toujours été de vi
harles Mercier. (I'he Journal of Mental Science, octobre 1899.) L'
auteur
rappelle que dans un précédent travail, il a. pos
tion est pénible, et par conséquent elle est une puni- tion : car l'
auteur
définit la punition : une conséquence doulou- r
ment ne doit être infligé. Il y a très peu de fous, dit encore l'
auteur
, qui soient totalement fous; chez la plupart d'
agitation, fut soumis au traitement par le sulfonal : la dose que l'
auteur
prescrit généralement., c'est-à-dire 40 grains
voie de guérison, et les périodes d'excitation n'ont pas reparu. L'
auteur
ajoute que, depuis deux ans qu'il emploie conti
es divers modes usités d'alimenta- tion artificielle des aliénés, l'
auteur
propose le suivant qu'il a pra- tiqué avec succ
résistance inutile et recommence à s'alimenter volontaire- ment. L'
auteur
espère que ceux qui prendront la peine d'essayer
ation et de mauvaise humeur. 486 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. Divers
auteurs
ont décrit un rash scarlatiuiforme avec desqua-
par David 13r..ma. (The Journal of Mental Science. avril 1900.) L'
auteur
résume ainsi les résultats obtenus : Le plus gr
ité par phthisie a baissé de près de moitié. Pour des raisons que l'
auteur
a indiquées, l'isolement complet de tous les ph
mple coïncidence dans la diminu- tion du chiffre de la mortalité, l'
auteur
estime que les résultats obtenus démontrent suf
de nombreuses variétés se soient introduites dans la technique. L'
auteur
rappelle d'abord quelques données anatomiques, ai
ré, et les divers ' points d'élection préconisés par les différents
auteurs
. Dans la détermination de ce point d'élection,
arla quatrième apophyse épineuse). L'ap- pareil instrumental, que l'
auteur
décrit avec soin, est connu. Quand tout est pré
. (11.). REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 491 et en faisant appeler l'
auteur
pour la délivrer. Cette malade, âgée de cinquan
agne de ces phénomènes dits hallucinations hygriques. A ce propos l'
auteur
rapporte deux autres faits, relatifs a des adul
zziki . et l'ACETi'L (Iiiv. sp. ilift-ell., 189), lasc. 3 4). Les
auteurs
distinguent suivant la forme de névralgie quatre
qui est de l'étiologie et de la nature de ces psychopa- thies, les
auteurs
attribuent'une grande importance à l'hérédité et
on; pari'. 1. Itosr : w.vcu. (Oo'oitf&'tKtft'tt, IV, 1899.) L'
auteur
examine les allures des diverses formes mentales
ouve la sensation correspondante. Révision de l'opinion de quelques
auteurs
sur les illusions et les hallucinations obsédante
, janvier 1900.) , Cette intéressante observation est résumée par l'
auteur
de la manière suivante : Deux soeurs, \I ? 11L.
externe de Charcot et Pierret. Ce tableau ressemble a ceux que les
auteurs
donnent de la P. G. juvénile, alors que la mala
de lésions vasculaires. La moelle et les racines sont intactes. Les
auteurs
, après avoir discuté et rejeté l'hypolhèse d'al
ode ultime, passent en revue les diverses lésions signalées par les
auteurs
, diminution des fibres tangentieues, lésions va
au contraire ont diminué. 11 y a un état manifeste de démence. L'
auteur
considère son cas comme paranoïa chronique d'orig
es conclusions quelque peu inattendues. Dans un premier chapitre, l'
auteur
énumère les divers facteurs physiologiques, agi
dans les tableaux qui sont donnés, les statistiques des différents
auteurs
, on est frappé des différences qui les séparent
isen et Monde ! , et dans 88 p. 100 des cas. d'après Fiancolté. L'
auteur
attribue ces divergences énormes, non seulement a
quelques statistiques, concernant les aliénés non paralytiques. Les
auteurs
cités ne don- nent que des chiffres très faible
araissant et disparaissant d'un jour à l'autre. Dans ce chapitre, l'
auteur
démontre que les troubles variables qu'il obser
ucun cas, ce symptôme ne peut être pathognomonique, car, certains
auteurs
(l'auzi) ont observé même dans la paralysie génér
ance, au point de vue clinique, des résultats auxquels est arrivé l'
auteur
, en particulier pour ce qui a trait aux trouble
par la force pour les aliénés est un énorme pas en aniere. Le même
auteur
affirme, que la théorie, qui exige de dissémine
e, 11,4 p. 100, les aliénés hystériques, 7 p. 100, etc. D'après les
auteurs
. du recueil, le nombre des morts varia entre 10
éditaire, soit 44,70p. 100. Parmi les autres causes étiologiques, l'
auteur
indique : l'émotion, 24 p. 100; la syphilis, 18
chez les hommes. Au point de vue de l'influence de l'hérédité les
auteurs
donnent les résultats suivants : l'hérédité a d
sychiques, 8,4 p. 100 des psychiques hystéri- ' ques. En moyenne, l'
auteur
admet avec les autres classiques, que l'hérédit
ffres de 40 à 30 p. 100. Des moyens thérapeutiques employés par les
auteurs
du travail analysé la thérapeutique diéto-hygié
treize ans, demeurant chez ses parents, à Livry. Il a avoué être l'
auteur
des six incendies et a ajouté qu'il avait voulu
dans le -, par J. Roux, 74. -associé à une pachymé- 538 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. ninfiite pottidue, par.1
ifs à une tumeur du troi- sième -, par \\yroubotf, 393. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Abadie, 239. Achard, 17
at, 18. Campbell, 479. Capras, 3+9. Capteras, `3G0. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. 539 Caustier, 189. Ces
30. Meige, z 311 508. Mehzer, 396. Mendel. 265. 540 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. Mendelshon, 164, 167.
ir à lire Epictète, Schopenhauër, Hartmann, Léopardi, et tous les
auteurs
qui conseillent d'opposer à la douleur qui est da
s ins- pirations. Un malade de M. le D Briand 2 (cité par le même
auteur
au chapitre délire chronique à évolution systém
aux délires religieux purs du moyen âge rapportés dans les vieux
auteurs
. Le calviniste Elie Marion sent qu'un esprit fo
age suivant des Lettres spirituelles sur l'Oraison mon- trera que l'
auteur
distingue aussi plusieurs sortes de fausses per
reilles extérieures du corps, etc. D «Ainsi donc il y a, pour les
auteurs
mystiques, des visions intellectuelles et corpo
gique des mala- dies mentales présente un grand intérêt clinique, l'
auteur
divise, pour son étude, les maladies mentales e
QUES erreurs courantes relatives A la folie; i parle D E. Mink. L'
auteur
est surpris de voir quelle idée fausse se font, e
Journal, 28 septembre 1895.) Sur un total de 175 aliénés examinés l'
auteur
a trouvé du sucre 12 fois, soit 6,85 p. 100. Ch
A.-W. CAMPUELL. (Brilish médical Journal, 28 sep- tembre 1895.) L'
auteur
conclut, d'observations et autopsies nombreuses,
le terrain. Dans les observations cliniques données par Wernicke l'
auteur
n'a pas séparé l'idée délirante de l'idée obséd
les jours le même régime. Toutes les urines étaient recueillies, l'
auteur
est convaincu qu'on n'a jamais commis la moindr
érations tirées de l'étude du tableau confirment cette théorie de l'
auteur
: la diminution de l'activité psychique ne dimi
la province d'Alger hospitalisés à l'asile d'Aix, de 1860 à 1890, l'
auteur
tire les conclusions suivantes : 1° l'aliénatio
atteint surtout l'Arabe. Quant au délire mystique proprement dit, l'
auteur
n'en a rencontré aucun exemple bien caractérisé m
e, un rêveur. Tel ce malade, dont l'observation est rapportée par l'
auteur
. Il s'agit d'un homme de cinquante-cinq ans, pa
soi-disant droits, à des revendications plus ou moins violentes. [L'
auteur
propose, pour les faits de ce genre, la dénomin
ralytiques est presque le seul remarqué. A côté de ce tremblement l'
auteur
en décrit un autre qui, s'il n'est pas absolume
des résultats précis : pourtant Mara- gliano, Seppilli et quelques
auteurs
ont trouvé une élévation de température dans la
ombreux cas de crampes ou de paralysies des écri- vains a conduit l'
auteur
à cette conclusion que, dans les dillérentes va
A PRODUCTION DE l'ataxie LOCOMOTRICE; par le Dr CHAIRE DRENNE\. L'
auteur
passe en revue les divers arguments fournis par l
. Névrite idiopathique de l'hypoglosse droit, de cause inconnue : l'
auteur
aban- donne l'idée de la lésion des noyaux de l
nnuelle de la British Association. Londres, juillet- août 1895. L'
auteur
, rappelant l'origine récente de cette' entité mor
pre; par Edouard Tond. (British médical Journal, 20 juin 1896.) L'
auteur
passe en revue l'érysipèle, la rougeole et les fi
rnal, 21 septembre 1895.) Hoffman, Cullen, Sauvage et bien d'autres
auteurs
anciens ont signalé les paralysies dans Ja conv
ses et en altérations spécifiques, spéciales à certaines toxines. L'
auteur
passe en revue successivement les statistiques
EUSE ; par GItANT. (British médical Journal, 16 novembre 1895.) L'
auteur
appelle l'attention sur l'importance de la recher
ade pen- dant ce temps avait pris un peu d'iodure de potassium. L'
auteur
estime que dans ce cas, on se trouve en présence
udainement d'accidents tétaniques un matin au moment de se lever. L'
auteur
le trouve couché sur le côté. Les masséters, le
taque. 2° Un autre jeune homme de dix-huit ans était inconnu de l'
auteur
qui, appelé à l'improviste auprès de lui à 2 heur
sée. Le soir même la guérison était complète. C'est a dessein que l'
auteur
n'a pas prescrit contre ces accidents tétanique
rique ; par B. GIL Y Outega. (Siglo Medico, mai et juin 1896.). L'
auteur
insiste sur la nécessité de la prophylaxie dans l
actère eevient inégal et irritable. Un peu d'albumine rétraclile. L'
auteur
prescrit alors des lavages de l'estomac. Les pre-
labiaux qui réagissent d'ailleurs au courant électrique direct. L'
auteur
croit cette atrophie d'origine périphérique, malg
. La période terminale de la paralysie générale. M. ARNAUD. - Les
auteurs
sont unanimes, les plus anciens comme les plus
générale comme une complication de toutes les vésanies. Les anciens
auteurs
ont ainsi pu englober dans la paralysie plusieu
ui maigrissent et présentent cette forme de marasme que les anciens
auteurs
considéraient comme la règle. La rubrique « ma-
ère conférence qui est une introduction à la tâche entreprise par l'
auteur
, sont exposés les rapports entre les idées reli
s de l'âme, titre qui indique bien les convic- tions animistes de l'
auteur
. Toute l'évolution de la psychiatrie en France
stu- peur, la folie intermittente et la démence. La paranoïa des
auteurs
allemands comprend tous les délires systématisé
iénés criminels ; par le Dr PONS. Au cours d'un voyage en Italie, l'
auteur
a visité l'asile criminel de nlontelupo; situé
uvent admettre des aliénés se plaçant eux-mêmes sa us certificat. L'
auteur
en donne une statistique par diagnostic; beauco
de l'écorce cérébrale étant fonctionnellement indifférents, selon l'
auteur
des Éléments de psychologie physiologique, la f
inage du noyau rouge de la calotte, viennent alors les renforcer. L'
auteur
isole ces faisceaux des fibres qu'il considère
tique. 3° Le volumineux faisceau antérieur (anse pédonculaire des
auteurs
) naît de toutes les parties du noyau lenticulaire
li- gence de ce qui va suivre. Chez de nombreux animaux jeunes, l'
auteur
enlève tantôt un hémisphère, tantôt une partie d'
pouvons mieux faire que de repro- duire le dessin schématique de l'
auteur
. Les lésions corticales anciennes ou récentes a
n territoire plus ou moins étendu. Dans le tableau qui va suivre, l'
auteur
donne un résumé de onze cas étudiés par lui et
les anatomiques et physiolo- giques nous devons noter que d'après l'
auteur
la couche optique Fig. 1. Hémisphère d'un chat.
ur l'autre, mais toujours par l'intermédiaire d'une troisième que l'
auteur
désigne sous le nom de cellule intercalaire. L'
isme préétabli. C'est là la théorie des cellules intercalaires de l'
auteur
. LWOFF. XXXVIII. L'ÉCRITURE EN miroir; par J.
s la cause du fait en lui-même, mais la cause de sa découverte. L'
auteur
qui possède ce pouvoir depuis son enfance, s'aper
côté opposé ; 5° le secours de la vue est inutile ou même gênant, l'
auteur
relit moins facilement son écriture en miroir q
rs hostile à tout moyen rai- sonnable, repousse l'hypnotisme. - L'
auteur
, convaincu que l'hystérie est seule en cause, red
à cause des caprices de la malade encouragée par son entourage. L'
auteur
insiste sur la gravité du cas, le bon effet de l'
our expliquer le développement de ce tremblement post- grippal, les
auteurs
supposent que le système nerveux de ce malade R
ATHOLOGIQUES dire la masse tactile de Flechsig, ou zone motrice des
auteurs
, fait un large détour à travers le cervean anté
E CIRCULAIRE; par Th. ZIEHEN. (Neurolog. Centoulbl., XV, 1896.) L'
auteur
insiste sur l'utilité de la psychologie physiolog
e côté que la lésion. On connaît les explications proposées par les
auteurs
: Pitres, Muratoff, Molt, Sherrington, REVUE d'
s qu'elles ont pu être niées dans les autres formes de folie. Les
auteurs
, en face du caractère de ces hallucinations qui l
s lialluci- nations, rend légitime une semblable hypothèse qui, les
auteurs
le reconnaissent, est loin d'être démontrée.)
ix Baillarger, 2,000 francs (bisannuel). - Ce prix sera décerné à l'
auteur
du meilleur mémoire sur la thérapeutique des mala
t décerné à M. le Dr Paul Sérieux, médecin de l'Asile de Villejuif,
auteur
de plusieurs travaux inscrits sous le n° 3. Pri
cours des maladies mentales à la Faculté de médecine de Bordeaux,
auteur
d'un Manuel inscrit sous le n° 2, et M. le D1' Ed
né à Mule Dr Paul Sérieux, médecin de l'asile de Villejuif (Seine),
auteur
du mémoire inscrit sous le n° 2. L'Aca- démie a
ire inscrit sous le n° 2. L'Aca- démie accorde un encouragement à l'
auteur
du mémoire portant le n° 1, M. le Dr Albert Pég
re portant le n° 3 ; 2° 300 francs à M. le Dr Paul Rodet, de Paris,
auteur
du travail inscrit sous le n° 7 ; 3° 300 francs à
é Anlheaume et Raoul Leroy, internes à l'Asile Sainte- Anne, Paris,
auteurs
du mémoire inscrit sous le n° 6 ; Une mention t
Herpin (de Genève), 3,000 francs (annuel). Ce prix sera décerné à l'
auteur
du meilleur ouvrage sur l'épilepsie et les mala
s. Le prix est décerné à M. le D'' Gilles de la Tourette, de Paris,
auteur
du travail inscrit sous le n° 3. Des mentions hon
ovitch et Toulouse, chefs de clinique à l'Asile Sainte-Anne, Paris,
auteurs
du mémoire inscrit sous le n° 3. Uue mention ho
de clinique des maladies mentales à la Faculté de médecine de Lyon,
auteurs
du mémoire portant le n° 2. Prix PROPOSÉS POUR
a; Baillarger, 2,000 francs (bisannue ! ). Ce prix sera décerné à l'
auteur
du meilleur travail sur la thérapeutique des mala
Ilerpin (de Genève),3,000ft'ancs (annuel).-Ce prix sera décerné à l'
auteur
du meilleur ouvrage sur l'épilepsie et les mala
lenpin (de Genève), 3,000 francs (annuel). Ce prix sera décerné à l'
auteur
du meilleur ouvrage sur l'épilepsie et les mala
rtério-sclérose, sur laquelle nous avons personnellement insisté, l'
auteur
ne croit pas que les hémorragies des muqueuses
ESCHAMPS. Etude « plus philosophique que médicale », comme le dit l'
auteur
, dans laquelle après avoir indiqué à grands tra
ions et les dépravations sexuelles, d'après les travaux récents des
auteurs
, est passée en revue l'influence sur ces états du
ions sur la PSEUDO-GROSSESSE; par DOBRUIL. Il est regrettable que l'
auteur
ait limité son sujet à la pseudo- grossesse ner
quent, in- téressant de les rapprocher dans une étude d'ensenble. L'
auteur
distingue dans la grossesse nerveuse : 1° la ps
X. DE la. névrose CÉRÉBRO-C.\RDIAQUE; par Jean-Hippolyte GOUDAUD. L'
auteur
croit, avec Krishaber et le professeur Dieulafoy,
GAL ; par DE PERRY. Travail intéressant de 225 pages, dans lequel l'
auteur
, après avoir résumé l'histoire des somnambules
dernières années, du pessimisme contemporain et des pessimistes, L'
auteur
, conformément aux idées de son maître, M. Régis
apports avec la surdi-mu- tité. Ainsi qu'il fallait s'y attendre, l'
auteur
conclut que la consan- guinité n'est pas respou
e nerveux dans les infections de l'appareil bron- cho-pulmonaire. L'
auteur
nous rappelle tout d'abord que l'infec- tion de
fonde que le trouble nerveux est plus grave. Expérimentalement, l'
auteur
nous démontre que l'énervation du poumon, consé
iés aux traumatismes, au shock opératoire, aux brûlures, etc.). L'
auteur
nous indique ensuite par quel mécanisme les lésio
système nerveux central et périphé- rique et revêtement cutané. L'
auteur
ne se prononce pas sur la nature de cette malform
n et celui des motrices graphiques. Les travaux postérieurs du même
auteur
, joints à ceux de Sérieux, Garnier, Roubinovitc
rt, ne pouvant tirer des conclusions de travaux antérieurs d'autres
auteurs
, nous dûmes dévier nos investigations et les di
lire hallucinatoire » de Mendel 4, confondu indubitablement par cet
auteur
avec la variété hallucinatoire de la « confusio
re, explique cependant l'interprétation (erronée à notre avis) de l'
auteur
. 176 CLINIQUE MENTALE. sourds-muets spécialem
tre mise en doute, elle parait d'ailleurs admise maintenant par les
auteurs
même qui opposent aux psychoses des héréditaire
urnal of Mental Science, octobre 1895.) Opinion de M. Clouston. L'
auteur
se prononce en faveur de l'exercice, malgré la
s d'une façon judicieuse, il est presque invariablement utile, et l'
auteur
n'en saurait dire autant du repos. L'exercice p
pour diminuer la congestion et revivifier la cellule ner- veuse. L'
auteur
conteste que cette théorie de la folie et de l'in
nue par l'exercice que par le repos. - Opinion de 11. l3rtl Tuke. L'
auteur
se prononce en faveur du repos, qu'il considère
n des relations intérieures et extérieures est rendue impossible. L'
auteur
a démontré dans un autre travail le rôle de l'h
r cause un surmenage cortical dû à une stimulation trop continue (l'
auteur
laisse de côté les cas où la folie relève d'une
EVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 209 des améliorations a dépassé 90 p. 100. L'
auteur
admet que tous les cas dont il s'agit (il n'a r
f Mental Science, avril 1896.) Il y a plus de trente-cinq ans que l'
auteur
a commencé à appli- quer le repos au traitement
d'augmenter la compression et de diminuer la capacité crânienne; l'
auteur
rapporte à cet égard l'opinion de Bourneville.
ené à les trouver plus améliorés qu'ils ne l'étaient réellement ; l'
auteur
partage cette opinion, et se demande si les premi
es suites mentales de l'intervention. Toutefois, dès à présent, l'
auteur
estime que les faits actuelle- ment connus ne p
(The Journal of Mental Science, janvier 1896.) Les conclusions de l'
auteur
sont les suivantes : I. La craniectomie ne donn
question n'a guère été étudiée qu'en Allemagne. L'expérience de l'
auteur
porte sur un laps d'environ six mois, et le nombr
des raisons anatomiques, ponc- tionner sur la ligne médiane, mais l'
auteur
préfère, même dans REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 213
, la ponction latérale. Chloroforme facultatif ou suivant le cas. L'
auteur
préfère l'anesthésie ; il indique ensuite l'attit
l'expiration l'accélère et contraire- ment à certaines assertions l'
auteur
l'a vu s'accélérer aussi par le relèvement de l
s, micro organismes divers, surtout bacille de la tuberculose). Les
auteurs
qu'on a cités ont déjà insisté sur la valeur du
ièmes pour mille. Il entre ensuite dans quelques détails, tirés des
auteurs
qui l'ont précédé, sur l'examen du liquide céré
r P. MAURY DEAS. (The journal of Mental Science, janvier 1896.) L'
auteur
déclare tout d'abord qu'il n'a nullement l'intent
s de toute sorte; enfin les cas de masturbation, qui sont ceux où l'
auteur
hésite le moins à employer la contention mécaniqu
mental. Elle est purement théorique, et, fort de son expérience, l'
auteur
n'hésite pas à la déclarer mal fondée. Quant
., 19 sep- tembre 1896.) Bon et clair exposé de la question, où l'
auteur
se prononce en faveur des interventions chirurg
EDWARD D. 0' NEILL. (The Journal of Mental Science, avril 1896.) L'
auteur
estime qu'il y a toutes sortes d'avantages à empl
ieurs tableaux statistiques; les conclusions qui se dégagent pour l'
auteur
d'une longue étude d'un grande nombre de cas de f
ne paraît aucunement en diminuer la fréquence. Parmi les bromures l'
auteur
préfère celui de potassium; le sel d'ammonium l
romure de sodium. Le borax n'a donné aucun résultat satisfaisant. L'
auteur
n'a pas essayé le nitrate d'argent, avec lequel
ait pas à redouter l'incon- vénient qu'on lui reproche en Europe (l'
auteur
dirige un asile dans l'Inde anglaise), la pigme
ar Louis LICHTSCHEIN. (Nezv-York Médical Journal, 30 mai 1896.) L'
auteur
débute par des considérations étendues sur l'état
Fre- derick PETERSON. (New-YoJ'k Médical Journal, 6 juin 1896.) L'
auteur
laisse de côté dans ce travail les médicaments qu
gestif donnent de réels succès. L'extrait thyroïdien, employé par l'
auteur
chez dix malades, lui a donné neuf insuccès, et u
les opérations ayant pour but de remédier à l'épilepsie réflexe, l'
auteur
demande seulement qu'on veuille bien ne pas per
réflexe, a réellement guéri l'épi- lepsie, est étonnamment petit. L'
auteur
pense que l'on pourrait sans peine compter sur
rop de confiance dans le succès. En ce qui touche la trépanation, l'
auteur
résume son opinion dans des conclusions qui son
est maintenue, et le malade n'a pas touché une goutte d'alcool. L'
auteur
reconnaît que la guérison est due à une pure sugg
R. TURNBULL. (The Journal of mental Science, ' octobre 1895.) - L'
auteur
s'est proposé dans ce travail de faire connaître
retarder ou d'influencer le développement des autres facultés. L'
auteur
, après avoir résumé d'après le livre de Preyer, e
tre l'idiot, être extra-social, et l'imbécile, être anti- social. L'
auteur
n'admet pas cette distinction tranchée entre l'
ions SUR 368 cas DE DÉMENCE paralytique; par le 1) IRwING Neff. L'
auteur
donne une série de tableaux statistiques sur 368
le service médical à la prison de l'Etat de Wisconsin, à Waupurn, l'
auteur
a soumis les prisonniers aux men- surations du
ur les mensu- rations, les photographies, l'examen des tatouages, l'
auteur
demeure convaincu que les criminels appartienne
e; par DI' PHELPS. ~ De l'étude de 100 cas de paralysie générale, l'
auteur
déduit que si la paralysie générale correspond
une question de nom'que de fait. En ce qui concerne l'étiologie, l'
auteur
n'a rencontré la syphilis bien démontrés que da
s régicides fussent internés dans des asiles d'aliénés criminels. L'
auteur
n'hésite pas à répondre négativement et, pour s
rent dans la circulation cérébrale. Dans les deux cas cités par l'
auteur
de trouble mental accom- pagnant le goitre exop
as, l'homme amok est sous le coup de chagrins et de soucis. z Les
auteurs
sont très partagés sur les causes de l'amok. Les
lus, les hommes seuls sont, en général, atteints d'amok. D'autres
auteurs
pensent que l'usage de l'opium est souvent la c
ons; par le Dr Rossi. (Ann. di neural., anno XIII, fasc. 1, 2.) L'
auteur
envisage surtout les hallucinations verbales motr
est ordinairement le pre- mier symptôme qui attire l'attention ; l'
auteur
décrit avec soin la forme de la tête et les aut
rave souvent pour la vie, presque toujours pour l'intelligence. L'
auteur
résume l'opinion de Bourneville sur le traitement
CH.11')1 : 1N. (1'lte Journal of mental Science, janvier 1896.) L'
auteur
résume son opinion sous la forme suivante : il cr
s causes pré- disposantes, la gangrène est rare chez les aliénés; l'
auteur
a pu en rassembler trois cas, dont il publie da
ar 11. Kornfeld. (The Journal of mental Science, octobre 1895.) L'
auteur
se livre à une intéressante étude psychologique d
Mercier. (The Journal of Mental Science, janvier 1896.) Les deux
auteurs
relatent successivement plusieurs cas très inté-
ravail renferme cinq observations dont nous relevons ici, d'après l'
auteur
, les particularités les plus dignes d'être'notées
Mental Science, octobre 1894.) Travail intéressant dans lequel l'
auteur
a montré avec quel soin Kraepelin (de Heidelber
nés ; par J. KEAY. (The Journal of Mental Science, avril 1896.) L'
auteur
rapporte d'abord une observation de manie aiguë,
s cas de diabète, ou plus exactement peut-être de glycosurie, que l'
auteur
a pu rassembler sont au nombre de 17 : dans douze
reins. - On a signalé l'alternance du diabète et du psoria- sis : l'
auteur
a examiné six malades de l'asile atteints de ps
ptimus REYNOLDS. (The Journal of mental Science, janvier 1896.) L'
auteur
est amené par de nombreuses observations à formul
TIQUE) ; par B. Sachs. (New-York médical Journal, 30 mai 1896.) L'
auteur
a déjà publié l'observation d'un des enfants de c
de faits semblables ont été observées par divers médecins et par l'
auteur
lui-même qui rapporte plusieurs observations, per
orte plusieurs observations, person- nelles ou recueillies dans les
auteurs
, neurologistes ou oculistes. La nombre des cas
ser ici, parce qu'elle ne sont que la reproduction des opinions des
auteurs
ayant écrit sur ces sujets. R. DE ! \IUSGRAVE-C
our. Sur les incendiaires uliénés. - Quand il s'agit de découvrir l'
auteur
d'un incendie, une question se pose : qui a pu
mbulisme, l'hypnose. En raison de la fréquence des incendies dont l'
auteur
est un aliéné, il importe que les magistrats ti
s sujets ayant subi des traumatismes cérébraux, et les dégénérés. L'
auteur
termine par les propositions suivantes : 10 L'a
BOEHMERT (juge). Le projet de la lui sur les buveurs d'habitude. L'
auteur
rappelle le rapport élaboré par la Société contre
des établissements spéciaux, et des pénalités contre l'ivrognerie L'
auteur
est partisan de l'inter- diction des buveurs d'
, M. JoREs. Sur l'anatomie pathologique des tumeurs cérébrales. L'
auteur
, après avoir signalé qu'on s'attache aujourd'hui
. Les kystes avaient une couche unique d'un épithélium cubique. L'
auteur
rappelle les observations analogues de Buchholz e
ésultat de la dégénérescence des tumeurs n'est point partagée par l'
auteur
; il la considère comme devant être plus raremen
Üren). Sur un cas d'encéphalite primaire aiguë hém01'- ragique. - L'
auteur
rappelle que cette affection a été décrite pour
ont fondées, les observations faites sur quelques criminels par des
auteurs
com- pétents, et aussi sans avoir jamais incrim
obilier, et, cet exploit accompli, il tomba à bras raccourcis sur l'
auteur
de ses jours que M° Marchand vint défendre. Aux
u goût et de l'odorat dans le tabes. Voici ce qu'en disent quelques
auteurs
dans leurs traités : Archives, 2e série, 1. HT.
ions où sont relatés des troubles de l'odorat et du goût. Le même
auteur
cite également une observation de Erben 9 où par
certes pas la prétention de connaître toutes les observations où un
auteur
a pu relever des troubles du goût ou de l'odora
à ce qui était douceâtre ou sucré. Chez le second malade des mêmes
auteurs
la sensibilité gustative est diminuée dès le dé
es frontales internes et externes, sur les temporales (que quelques
auteurs
TROUBLES DU GOUT ET DE L'ODORAT DANS LE TABES.
ans insister sur ce point, il suffira de rappeler que pour quelques
auteurs
comme pour nous-même' le tabes vulgaire est une
on entraine la perte du goût. C'est pour cette raison que plusieurs
auteurs
ont affirmé que ce nerf était doué de la sensib
ar Golgi, par His, par Vignal et par 284 REVUE CRITIQUE. tous les
auteurs
qui ont fondé l'hystogénèse actuelle du système
servir de canaux propres au transport des sucs nutritifs. Selon les
auteurs
espagnols cités, le rôle de la névroglie serait
ir d'isolateur. Enfin, la fonction de la névroglie qu'invoquent les
auteurs
espa- gnols ne saurait, à coup sûr, exister dan
ement réalisées pour la bonne direction, s'il fallait en croire ces
auteurs
, des courants nerveux, dans des centres d'impor
ibilité de ce délinquant de conformer sa conduite à cette notion. L'
auteur
a eu manifestement raison de voir dans l'accusé
justice; par CLARK BELL. (.1ledico légal Jour- nal, mars 189G. L'
auteur
rappelle les conclusions de Wingate au Congrès de
ues à celles qu'on applique aux affections contagieuses autres. - L'
auteur
passe ensuite en revue les procès retentissants
NELLE ; par A. ABBOTT. (lIle £ lico-legalJou1'1lat, mars 1896.) L'
auteur
développe les arguments qui militent en faveur de
.) A. M. VI. RESTRAMT mécanique dans la folie ; par CLARK BELL. L'
auteur
rappelle la teueur des règlements du Lunacy-Board
eloppement au drap et même l'emploi des serviettes et écharpes. L'
auteur
estime que c'est encore trop et qu'un règlement d
ues moyens. C'est en légitimer l'usage à un certain degré, ce que l'
auteur
repousse même pour le bain continu forcé. Pour
ET ivresse; par CROTHERS. (liledico-lv7ul Journal, mars 1896.) L'
auteur
développe cette notion que « ne devient pas alcoo
OLIE; par CLARENCE LIGÜTNEfi. (Medico-legal Journal, mai 1896 ) L'
auteur
propose des mesures prophylactiques de deux ordre
oursuivant le complice. Bien que dou- tant de sa portée pratique, l'
auteur
s'en félicite comme d'un signe de la préoccupat
fluence sur la progres- sion, récente aussi, de l'amélioration. L'
auteur
entre ensuite dans des considérations assez détai
n du sang. Telle est évidem- ment l'étiologie du cas rapporté par l'
auteur
, le seul parmi les trois cents cas au moins de
tout à fait exceptionnel dans l'atrophie circulaire de la face. - L'
auteur
rappelle les théories qui ont été invoquées pou
t thyroïdien n'a donné que des résultats presque insignifiants. L'
auteur
reconnaît que beaucoup des symptômes généraux du
embre 1895.) Les cas d'épilepsie diabétique ne sont pas communs ; l'
auteur
a pu en observer trois, dans lesquels l'épileps
J. A. Mac CASSY. (Nezv-Yok Médical Journal, 26 septemhre 1890.) L'
auteur
publie cinq observations, deux de paralysie unila
la folie dans la maladie de Graves est un fait connu, sur lequel l'
auteur
insiste d'autant moins que les troubles mentaux
Le vertige, à son degré le plus élevé, est un symptôme commun, et l'
auteur
ne peut guère s'empêcher de le rattacher, au mo
inées, ce qui peut être comme une forme atténuée de mélancolie. L'
auteur
n'ignore pas que la plupart des phénomènes qu'il
gérés, les superficiels diminués ou absents. Dans les deux cas de l'
auteur
où la lésion siégeait à la région cervicale, il
le plus incertain des symptômes de la paralysie de Brown-Sequard. L'
auteur
examine et discute l'opinion de Férrier sur la
ns sont souvent conservées pourvu que le sens musculaire le soit, l'
auteur
ne connaît qu'un seul cas (celui de Charcot et
les cas où cette fonction a été modifiée d'une manière sérieuse, l'
auteur
n'en connaît aucun qui se rapporte à une lésion
êmes rapports l'épilepsie des enfants. Les deux cas rapportés par l'
auteur
, dans l'un, début à soixante-quatre ans, dans l
de l'écorce des hémorragies plus anciennes, en petit nombre, que l'
auteur
croit elles-mêmes de date peu éloignée. Pas de'
sont déshydratées par l'alcool, puis incluses dans la celloidine. L'
auteur
pense que, contrairement à l'opinion de Weigert
32 aliénés confiées à l'assistance familiale. La communication de l'
auteur
paraitra ailleurs in- extezso . M. SNELL (ili
: Prix Duscate. Ce prix sera décerné, s'il y a lieu, en 1900, à l'
auteur
du meilleur ouvrage sur les signes diagnostiques
ager comme un élément acces- soire ; mais d'un autre côté, quelques
auteurs
, M. Wernicke, par exemple, leur attribuent uniq
EN. (Jourot. de Neurologie et d'Hypnologie, juin 1896.) D'après l'
auteur
de ce travail, la rigidité généralisée et la para
iologie du D'' Stefani, de Padoue. De ses nombreuses observations l'
auteur
conclut que les éléments qui se développent ave
spinal ET LE pneumogastrique ; par les Dr Mir'to et PUSATERI. Les
auteurs
ont repris, par la méthode des dégénérations seco
OLOGIQUES. 355 A la' suite de la section de la branche externe, les
auteurs
ont trouvé des fibres dégénérées dans le nerf d
-V. LÉONOWA. (A1'ch. sur Psychiatrie, t. XXVIII, liv. I, 1896.) L'
auteur
a soumis à un'examen microscopique les centres ne
ne présentent aucune altération et ne jouent aucun rôle, d'après l'
auteur
, dans la vision. L'intégrité des noyaux des III
oit pas étonner, ces nerfs étant purement moteurs. Dans l'écorce, l'
auteur
constate une atrophie de la quatrième couche (c
). Ln-OFF. XXVIII. Lésion du plexus brachial; par M. KORNILOFF. L'
auteur
a présenté à la Société de Neuropathologie de.l'U
ES SIMPLE OU ASSOCIÉ A LA PARALYSIE GÉNÉRALE; par G. MaRINESCO. L'
auteur
a examiné plusieurs moelles de sujets atteints de
tte question, des moelles provenant d'in- dividus non tabétiques, l'
auteur
a trouvé avec surprise que dans les moelles d'h
aux ces modifications prennent des allures secondaires telles que l'
auteur
les a fait connaître. (Revue neurologique, novemb
96.) E. B. XXX. La mâchoire DES dégénères; par le û1' G. BOODY. L'
auteur
, en prenant pour point de comparaison les moyenne
uantité de coupes demande beaucoup de temps et de lames de verre. L'
auteur
fait connaître un mode de conservation des coup
iforme, afin de faciliter les comparaisons. C'est dans ce but que l'
auteur
, d'après les méthodes les plus récentes, a drés
ans le biceps gauche dont néanmoins la paralysie est persistante, l'
auteur
croit que le plexus doit être atteint au-dessus
est de même chez l'homme où la paralysie est très persistante. L'
auteur
pourrait montrer que chez le lapin, le chat et le
z tous les autres animaux dont il a été question dans ce mémoire, l'
auteur
a constaté que : 1° cer- 364 REVUE D'ANATOMIE E
é pour l'homme comme pour les animaux inférieurs, et c'est ce que l'
auteur
a voulu démontrer dans ce travail. R. DE Musgra
par FR : 1NE- BAKER. (Nem-York Médical Journal , 21 mars 1896.) L'
auteur
, dans un but de simplification, propose la classi
ure postérieure ni la périphérie, mais il n'a pas été suivi par les
auteurs
cités au-dessous de la région dorsale (neuvième
ieur et une petite étendue de la périphérie. D'autre part ces mêmes
auteurs
signalaient deux cas de tabès où la dégénéresce
MM. Bruce et Muir pensent avoir élucidé ce point. Pour les cas des
auteurs
cités plus haut, il s'agit de dégénérescence à la
ster les premiers stades de dégénération. A l'aide de ce procédé, l'
auteur
a repris les expériences de Schaffer relativeme
r Georges l\IURRA Y. (British Médical Journal, 4 janvier 1896.) L'
auteur
rappelle les expériences de Lanz sur les poissons
t suivie de mort. Reprenant les expériences de Gley sur le lapin, l'
auteur
a obtenu par la thyroïdectomie une cachexie carac
ères); par James 111ERNAN. (illediciae, Détroit, janvier 1896.) L'
auteur
américain émet quelques vues originales sur la po
très bien ce qui se rapportait à ses états de raison antérieurs. L'
auteur
a recours à une hypothèse ingénieuse pour expli
ent inactif, ou bien qu'il y avait un double centre du langage. L'
auteur
admet en effet que les deux hémisphères agiraient
iild's fontanelle); par Isaac Art. (Medicine Détroit, nov. 1896.) L'
auteur
signale quelques particularités d'un grand intérê
te-deux paralytiques généraux, les autres de diverses catégories, l'
auteur
a trouvé trente-deux cas d'altérations chroniqu
d, l'hystérie cardiaque pouvant se présenter chez les cardiaques. L'
auteur
en rapporte une nouvelle observation, montrant
al; par CLOUSTON. (B1'itiscn Médical Journal, 18 janvier 1896.) L'
auteur
, s'appuyant sur l'intervention aujourd'ui établie
S 1MUEL EDCERLEY. (The JOll1'nal oOIental Science, juillet 4896.) L'
auteur
rapporte sept observations intéressantes et très
896 .) 1 Etude très intéressante et très bien conduite, et dont l'
auteur
résume ainsi les conclusions : Hérédité direc
u'il se défende de vouloir chercher querelle à la nomen- clature, l'
auteur
conteste la légitimité de la dénomination de para
e la paralysie générale juvénile, se divise en trois parties : I. L'
auteur
a rassemblé en un tableau tous les cas de paralys
e du tableau est consacrée à une des rubriques suivantes : nom de l'
auteur
et titre de l'observation; sexe du malade; âge
le premier cas et de 91 p. 100 dans le second. (Chez les adultes l'
auteur
trouve : syphilis certaine, 86 p. 100; syphilis
chez l'adulte. 8° Résultais unalomo-pathologiques. La plupart des
auteurs
se con- tentent de dire que l'on a trouvé les l
Une guérison apparente ne suffira pas pour écarter co diagnostic. L'
auteur
a observé un certain nombre de cas de ce genre
le calme rétabli. Sur cer.tquarante-deux cas de folie circulaire, l'
auteur
a observé des conceptions délirantes à durée pro-
gesang (\Vuhlarlen). Le traitement de l'épilepsie par le sérum. - L'
auteur
a entrepris des expériences sur l'action thé- r
expérimenté sur deux épileptiques dont les accès avaient diminué. L'
auteur
rappelle les expériences analogues entreprises
. Max EDEL. Sur les infirmières blessées et devenues invalides. - L'
auteur
, à propos des attaques imméritées auxquelles a ét
de balai par un paralytique général, et succomba à ses blessures. L'
auteur
a observé un certain nombre de cas dans lesquel
psy- chiques de l'épilepsie au point de vue du droit criminel. L'
auteur
n'envisage que les psychoses épileptiques transit
de manie qué1'ulante. Pas d'amnésie, pas de désorientation. Enfin l'
auteur
a observé des troubles psychiques analogues comme
es épileptiques transitoires sans autres symptômes épileptiques ? L'
auteur
rapporte un cas qui le démon- trerait. Peut-o
rfois avec les allures soumises et craintives des malades. Certains
auteurs
veulent voir dans ces modifications extrêmes de
s médico-légales relatives aux anomalies de la sphère sexuelle. L'
auteur
, après avoir rapporté un cas d'exhibitionnisme ch
ns vouloir aborder la question au point de vue du droit criminel, l'
auteur
conteste que la suppression du para- graphe 175
eints d'inversion sexuelle, il nie l'exactitude des allégations des
auteurs
cités plus haut. Il affirme que la fréquence de
rmer en martyrs. M. KRAEPELIN. Des l'émissions de la catatonie. L'
auteur
, après avoir insisté sur la nécessité de délimite
omènes convulsifs qui dénotent un état d'excitation du cerveau. L'
auteur
résume ainsi ses opinions sur la catatonie : 1° l
d). Un cas de dégénérescence hyaline isolée dans le lobe frontal. L'
auteur
a trouvé, à l'autopsie d'une femme de soixante-
R (Strasbourg). Les troubles psychiques dans l'artériosclé- rose. L'
auteur
étudie un certain nombre de cas observés à la cli
accentuée, les troubles de la parole et les symptômes physiques. L'
auteur
se croit autorisé à admettre entre la paralysie
1° Becker la considère comme composée de corpuscules ; 2° un autre
auteur
en fait un produit des mutations nutritives et
n ne peut tirer des examens microscopiques, les conclusions que cet
auteur
a formulées. Les points que l'on peut considére
ansfeld). Sur le signe du cubital (Biernacki) chez les aliénés. L'
auteur
a examiné 30 paralytiques hommes, de l'asile de
. Rassemblant les résultats des observateurs qui l'ont précédé, l'
auteur
arrive au résultat suivant, au point de vue de la
. Sur 100 aliénés hommes, non paralytiques et non épilepliques, l'
auteur
en a trouvé 82 sensibles à la pression du cubital
aient donner des explications précises et accomplir leur travail. L'
auteur
n'a observé celte analgésie postépileptique que
ux membres inférieurs, dont la peau est d'une couleur bleuâtre. L'
auteur
prétend qu'il s'agit d'un cas d'hémiatrophie tota
sont plus marquées dans les muscles des grandes articulations. L'
auteur
note l'absence des phénomènes inflammatoires dans
ux et la polyurie du début de la maladie, tout indiquait, d'après l'
auteur
, une origine toxique de la maladie en question.
étrait dans la substance du cervelet en forme d'un noeud isolé. Les
auteurs
ont fait mention de dix cas semblables déjà pu-
,000 francs. En ce qui nous concerne, bien que nous ne soyons pas l'
auteur
de la proposition des briques blanches et rouges,
, il semble que cette question passionne davantage en ce moment les
auteurs
étrangers. M. Gasne, ne s'attaquant qu'a une pe
aissent pas que d'être suggestives, le résultat des recherches de l'
auteur
à propos des lésions congénitales ne saurait la
certains cas de maladie de Little en souligne encore l'intérêt; les
auteurs
qui s'arrêtent à la notion de l'altération médu
concernait cette intoxication. C'est pour provoquer l'émulation des
auteurs
que l'Académie mit au concours le sujet de la m
elle-ci lui a décerné le prix Falret. Dans un premier chapitre, l'
auteur
présente l'historique très complet du morphinis
d'un alcoolique ou d'un cocaïnomane. Dans l'étude médico-légale, l'
auteur
a élucidé les différents pro- blèmes qu'on peut
endu et corroboré par la critique judicieuse des expériences de ces
auteurs
et de celles de Binswanger, Ferrier, Albertoni,
n font ressortir les points faibles et l'insuffisance. D'ailleurs l'
auteur
a dirigé sa propre expérimentation de façon à c
que de son côté fournit des arguments nombreux retrou- vés chez les
auteurs
précédemment cités aussi bien que chez Lo- wenf
cas d'épilepsie symptomatique et de 46 cas d'épilepsies réflexes l'
auteur
montre que la première est réductible à la seco
uelle les cellules nerveuses restent influencées après l'attaque, l'
auteur
la trouve plus rationnelle que celle de l'inhib
pen DOOR et LE Congrès DE NANCY, par le Dr Marandon de MONTYEL. L'
auteur
regrette que dans son rapport sur l'internement d
s du plein pouvoir de la science dans sa nudité et sa simplicité. L'
auteur
a donné les lignes générales d'organisation d'u
tion mentale, un moyen d'études des plus importants. A ce propos, l'
auteur
regrette que le défaut d'organisation de l'ense
munications personnelles; les rapports développés en séance par les
auteurs
peuvent être discutés par tous les membres pré-
Les adhérents recevront le compte rendu des travaux du Congrès. Les
auteurs
de communications personnelles sont priés d'env
oses. - Volume in-8, de 281 pages (New-York, 1891). - Paris, chez l'
auteur
. FORTY-FOUHTII A¡¡UAL REPORT of the l'ennsylvan
et il la thérapeu- tique. Brochure de a2 pages. Albi, 1897. Chez l'
auteur
. Peaiue Bailey. l'lte eJ/·ecl of early oplic al
otor ataxie. Brochure in-8°, de 8 pages. ew-York City, 1897. Chez l'
auteur
, à l'Hôpital pour les incurables. PEItRI' (L. d
e de la mala- die et de la mort des paralytiques généraux. Ici, les
auteurs
sont unanimes dans une opinion traditionnelle q
pti- formes... Citons ensuite la pneumonie (p. 100 et 101) ». Les
auteurs
allemands partagent sur ce point l'opinion des
01) ». Les auteurs allemands partagent sur ce point l'opinion des
auteurs
français. Kroepelin écrit qu' « à la période ulti
ent, cette cachexie, cette fonte paralytique, signalés par tous les
auteurs
comme caractérisant la période finale de la par
re, qu'il n'a pas été ob- servé de ces eschares si graves, dont les
auteurs
tracent l'ef- frayant tableau. Toutes les condi
irect de la paralysie générale. Sur ce point, d'ailleurs, plusieurs
auteurs
récents, notamment MM. Christian et Ritti, Magn
sultat n'est pas conforme aux enseignements classiques. Si tous les
auteurs
signalent la fréquence des ictus dans le cours
ômes sont bien connus dans la para- lysie générale, et les premiers
auteurs
les ont décrits très nettement. Mais je ne sach
n ce qui concerne les signes physiques, le tableau uniforme que les
auteurs
ont tracé de sa période finale : ' Voir à ce
et James EwiNG. (New- Yorlc Médical Journal, 4 juillet 1896.) Les
auteurs
se proposent : 1° de décrire un cas de paralysie
s points intéressants de l'observation personnelle que publient les
auteurs
peuvent se résumer de la façon suivante : ce cas
par Landry et présente des symptômes qui sont considérés par les
auteurs
postérieurs à Landry comme caractéristiques de la
té de la sensibilité. Dans la seconde partie de leur travail, les
auteurs
ont été amenés à formuler les conclusions suiva
ralysie bulbaire aiguë ne sont pas communs, et celui que rapporte l'
auteur
a l'avantage d'être absolument ty- pique et en
sidérable par le traitement ioduré, le régime et l'élec- tricité. L'
auteur
termine cette intéressante observation par des
à analyser, où le diagnostic de l'hystérie est très bien exposé : l'
auteur
est très documenté et très personnellement rens
; par John-L. AD.ms. (Neiv-York médical Journal, 29 août 1896.) L'
auteur
a publié, il y a trois ans, un cas de thrombose d
La chorée congénitale est extrêmement rare. Le cas rapporté par l'
auteur
est celui d'une jeune fille de dix-sept ans, dont
e de quinze ans un mois avant la naissance de la malade ; or divers
auteurs
ont signalé les frayeurs maternelles comme une
COTTE. (Bull. de la Soc. de méd. ment, de Belgique, mars 1896.) L'
auteur
de ce travail a recherché le réflexe radio-bicipi
renseignements les plus complets sur la neurasthénie en Finlande, l'
auteur
s'est adressé aux médecins pra- ticiens du pays
s sont forcées de vaquer aux lourds travaux agricoles, est, selon l'
auteur
, une des raisons de la grande fréquence de la m
ent entre' les deux âges. En parlant des symptômes de la maladie, l'
auteur
s'arrête le plus aux symptômes dyspeptiques, s'
normale. Quant au rapport entre la neurasthénie et la dyspepsie, l'
auteur
prétend que, dans la plupart des cas celle- ci
s de quitter la province, et de s'y établir, y est pour beaucoup. L'
auteur
donne une grande signification à certaines erre
ctuel est considéré comme la plus active des causes psychiques et l'
auteur
l'admet dans certains cas, mais il trouve sa port
après des maladies infectieuses, surtout après l'inlluenza. Selon l'
auteur
, la fréquence redoublée de la neurasthé- nie pe
e très grande importance sur le développement de la neurasthénie. L'
auteur
fait valoir les expériences acquises à Archives
plupart à envisager plutôt une complication accidentelle causale. L'
auteur
accentue néanmoins que, même si v les maladies
ils deviennent quelque- fois très violents après la ménopause. L'
auteur
traite en dernier lieu la question du rapport ent
e, son entourage peut aisément le devenir par lui. Quant au café, l'
auteur
croit qu'il a en Finlande une plus grande impor-
ive- ment rares : d'où l'intérêt de l'observation rapportée par les
auteurs
. Les figures montrent un foyer de ramollissemen
octeurs Saurazès ET CADANNES. Des observations rapportées par les
auteurs
se dégagent les con- clusions suivantes : 1°
servée dans l'hystérie et tota- lement abolie dans l'épilepsie. Les
auteurs
récents sont revenus sur cette indication absol
a grande attaque d'hystérie. Il résulte des recherches faites par l'
auteur
, pour fixer avec plus de précision qu'on ne l'a
ion d'ensemble qui se dégage des premiers résultats obtenus par les
auteurs
dans leurs recherches sur la toxicité ùIi- i- n
parfois être éclectique : l'inté- ressante observation citée par l'
auteur
en est une preuve. Les particularités important
s de paraphasie ET DE SUItDlfl3 verbale ; par le D1' NoRCESTEa. L'
auteur
a observé huit 'malades chez lesquels se rencontr
ntamant un peu la partie supérieure de la deuxième temporale. - L'
auteur
estime qu'il est nécessaire, dans la pratique jou
veux COMME cause d'anémie PERNICIEUSE ; par le docteur Herrick. L'
auteur
rapporte l'intéressante observation d'un homme qu
l6l. XIV. 1895.) Des observations soumises à une minutieuse étude l'
auteur
conclut à l'existence de trois, facteurs : 1° L
es ou à des formes combinées. 476 REVUE DE pathologie NERVEUSE. L'
auteur
passe en revue ces principaux symptômes indiquant
'observer dans des névrites indépendantes de lésions médullaires. L'
auteur
résume ensuite dans un tableau succinct les sym
a même particularité existe chez une dame de leur connaissance. L'
auteur
explique les cas observés par la capacité de ces
pupilles selon leur volonté. En ce qui concerne le cris- tallin, l'
auteur
est porté à donner une explication analogue. Dans
sur d'autres mouvements de l'oeil. Le premier cas est regardé par l'
auteur
comme une capacité appar- tenant proprement à c
due à une courte distance avec le canal central. D'après l'avis des
auteurs
il s'agit ici d'un diverticule provenant d'une
nal central vers les cornes et les cordons postérieurs. D'après les
auteurs
il s'agit ici de même d'une affection d'origine
dans le mélange suivant : 484 -il sociétés savantes. l'enfance. L'
auteur
admet dans ce cas des hémorragies sous-ménin- g
lésion de l'écorce cérébrale. M. Ryi3,rorp. De la narcolepsie. - L'
auteur
a observé à la cli- nique psychiatrique de Mosc
1 à 3 fois par jour et se prolongent de cinq minutes à une heure. L'
auteur
trouve que nous avons affaire ici à une forme d
FOKARSKY et le M. le professeur Kojev- vmorr, étant d'accord avec l'
auteur
sur l'existence d'un pareil symptomo-complexus
pulsion irrésistible. A la question, adres- sée par M. Rossolimo, l'
auteur
répondit que les recherches chimiques des sécré
tude de la confusion psewlo- SOCIÉTÉS savantes. 1185 aphasique. L'
auteur
observe deux cas d'une confusion pseudo- aphasi
sont si propres à l'amentia manicans. En se basant sur ces cas l'
auteur
pense que les troubles de la parole, accompagna
a fatigue ». Quelque séduisante que soit l'analogie établie par ces
auteurs
, il y aurait lieu, pour être plus exact, de dir
s de la neuras- thénie sont ceux de l'anxiété, de l'inquiétude ». L'
auteur
veut prouver sa thèse en s'appuyant sur les cin
bleau clinique de la neurasthénie. 1° D'après l'opinion unanime des
auteurs
, le surmenage, phy- sique ou psychique, l'épuis
aft-Ebing); 2° L'étude des facteurs étiologiques considérés par les
auteurs
comme intervenant dans la genèse de la neurasth
concentration pénible. Bouveret signale également ce fait; . 5° L'
auteur
insiste sur les analogies qui existent entre la n
ons toniques et cloniques ; 3° le mutisme ; 4° l'insensibilité. L'
auteur
mentionne en terminant la théorie de S. Freud qui
dit plus haut, se superposent aux signes physiques de l'anxiété. L'
auteur
pense qu'il serait préfé- rable d'identifier le
e marier, sous prétexte que son consentement n'était pas valable. L'
auteur
examina la jeune fille et constata qu'elle n'ét
Philippe (avec 43 figures dans le texte et une planche). - Pour l'
auteur
, l'anatomie pathologique du tabes médullaire so
s (Hallopeau, Schultze, Déjerine, Pierre Marie, Babinski, etc.) L'
auteur
aborde ensuite, le premier problème anatomo-patho
ciculalion, endogène et exogène, des cordons postérieurs. Puis, l'
auteur
passe à la topographie des lésions médullaires
ou à l'étude des caractères histologiques du processus tabélique. L'
auteur
, en comparant ce processus avec les types connu
v traite des conclusions générales et des applications cliniques. L'
auteur
fait une étude synthétique des syndromes tabé-
une critique plus sévère. Les aperçus originaux sont nombreux et l'
auteur
exprime ses idées avec une franchise énergique
rome de suivi d'autopsie, par Souques et Bonnus, 470. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. .\hboll,311. AI>bec
7. Klippel, 257. Koch (A.) 37. Kornfeld, 230. 508 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. Korniloff, 35-1, 410.
s une seule étude d'ensemble sur les fugues des aliénés. A lire les
auteurs
, elles semblent ne pas exister. Cependant on pe
l'irresponsabilité d'un aliéné ou d'un dément. Ainsi le silence des
auteurs
sur ces phénomènes si intéressants au point de
iénés ; il faut avouer qu'on n'en peut retenir aucun. En effet, les
auteurs
paraissent avoir une conception extrêmement vag
t une juste idée du travail de M. Tissié : « Nous avons pris, dit l'
auteur
, pour établir le détermi- nisme des fugues, cin
cette classification inattendue sont en effet bien dé- finis par l'
auteur
, car, par exemple, « les impulsifs qui s'en vont
vécu sur le paquebot, de la vie des autres passagers. (1) Certains
auteurs
emploient pour désigner les fugues les mots : A
nus ou bacille du botulisme. Les principaux résultats obtenus par l'
auteur
peuvent se résumer comme suit : le bacillus hotul
aire dechromatolyse cellulaire, par action toxique probable. Mais l'
auteur
s'est principalement attaché à étudier au sujet d
longtemps qu'il peut exercer des propriétés toxiques spécifiques. L'
auteur
va poursuivre ses recherches avec d'autres bact
par John Turner (The Journal of Men- tal Science, avril 1905.) L'
auteur
après avoir résumé l'opinion de Bethe rapporte se
urnal of Mental Science, janvier 1905.) Voici les déductions de l'
auteur
: 1° dans les états de dépression l'excrétion d
signes de toxémie sont accusés ; ; 5° dans les cas rapportés par l'
auteur
, la guérison mentale a été précédée par le reto
. ue 121.) Sur 9. 9S1 malades, atteints tI'afrecli()n nerveuses l'
auteur
a relevé 1071 cas de neurasthénie, dont S03 che
cé en quelques mots les caractères généraux des pseudo-esthésies, l'
auteur
relate l'observation d'un sujet chez lequel, de
t l'avant-mur. La particularité intéressante sur laquelle insiste l'
auteur
est que bien qu'il fût droitier, le malade n'av
ntal Science, juillet 1904.) Il n'est pas facile dans ce cas dont l'
auteur
publie l'observation clinique d'expliquer la pe
est exacte, et bien qu'elle nesoit pas entièrement satisfaisante, l'
auteur
n'en a pas de meilleure à proposer, il a lieu d
racrànienne non syphili- tique, fait d'ailleurs' déjà observé par l'
auteur
dans les tumeurs tuberculeuses et les myxomes.
tificats d'inter- 50 REVUE DE THÉRV.PEU1TQUE. nement) a conduit l'
auteur
à la conviction très nette que beau- coup de pe
HUTTLEWOR1'J[. (The Journal of Mental Science, oc- tobre 1904.) L'
auteur
a été amené par des recherches poursuivies avec p
par Edward BLAKE.(77je Journal of Mental Science, juillet 1905.) L'
auteur
relate sommairement un cas de folie avec stupeur
près sans saveur, et facilement soluble dans les liquides chauds. L'
auteur
l'a employé dans les diverses formes de maladies
la lassitude. 2° Pour maitriser l'excitation dans la manie aiguë l'
auteur
donne le véronal à la dose de 0,90 centig. et une
les autres mentales. Passant ensuite au traitement de l'insomnie,l'
auteur
la considère comme un des symptômes qu'il est l
ucun espoir de guérison. Au point de vue du choix de l'hypnotique l'
auteur
ne conclut pas mais constate que le véronal a d
par John BAKER. (The Journal of Mental Science, juillet 1904.) L'
auteur
rapporte avec plus ou moins de détails plusieurs
échanges organiques. Nous sommes étonné de ne pas voir citer par l'
auteur
, comme élément de diagnostic, l'élévation de te
ournal of Mental Science, avril 1904.) L'observation que publie l'
auteur
montre qu'une maladie aiguë intercurrente (dans
iforme), peut amener la guérison d'une manie devenue chronique. L'
auteur
ajoute que probablement si l'on avait provoqué
qualifiés d'hystérie par tel médecin et de folie par tel autre : l'
auteur
pense que dans beaucoup de cas d'hys- térie et
augmenter le nombre des observa- tions publiées et c'est pourquoi l'
auteur
relate avec détails le cas d'un jeune homme de
ow; par J. ToTE. (The Journal of Mental Science, janvier 1904.) L'
auteur
a pu recueillir et publier avec détail six observ
u ses dérivés. C'est du moins la vue qui à présent rallie le plus d'
auteurs
. Elle ne repose cependant encore sur aucun fait
ituent un excellent résumé dont nous donnons ici la substance : L'
auteur
constate que, même dans son pays d'origine (l'All
ar l'esprit n'est pas divisé en compar- timents étanches. Suivant l'
auteur
, la séparation des troubles primitivement affec
es au- teurs, que la démence ne survient jamais dans cet état, et l'
auteur
considère comme discutable l'opinion de Kraepel
rapie amenèrent une guérison rapide; nous regrettons vivement que l'
auteur
n'ait pas insisté sur la manière dont il a empl
faits mentionnés comme rares ne semblent pas présenter au dire des
auteurs
, une grande différence de nature avec les autre
avec du découragement. IIillairet avait fait la même remarque. Les
auteurs
rappellent, d'après le texte russe exactement t
de nombreuses attaques d'épilepsie, et qui, fait remarquable que l'
auteur
n'a jamais constaté chez les épileptiques, deman-
BANDON de nZONTYEL (Journal de Neurologie, 1906, no' 10 et 11.) L'
auteur
passe en revue dans ce travail les différents mod
The Journal of Mental Science, juillet 1904.) Les recherches de l'
auteur
le conduisent à poser les conclu- sions suivant
e, juillet 1905.) A. Lecture V. - Sur la la répartition de folie. L'
auteur
montre 1° que la folie est largement répandue p
lllc Conaghey. (The Jour- ^nal of menial Science. avril 1905.) L'
auteur
rappelle sommairement la définition et la classif
ournal, et la dé- nomination de démence précoce a été critiquée ; l'
auteur
recon- naît qu'il vaudrait peut être mieux empl
eorges A. RORIE, (The Journal of mental Science, juillet 1905.) L'
auteur
a observé quelques cas de folie due à la déchéanc
r A. R. URQUHART (The Journal of Mental Science, avril 1905.) - L'
auteur
propose d'appliquer à la littérature de la folie
lysie générale et de méningo-myélite syphilitique. Elle suggère à l'
auteur
diverses réflexions importantes que nous analys
e quelques réflexions snr les rapports de l'âme avec le cerveau ; l'
auteur
recherche quels sont les véritables rapports de n
s (physiques ou psychi- ques). Ces notions longuement exposées, l'
auteur
aborde enfin la partie hygiénique. L'hygiène pu
a conceptionet de l'hérédité fait l'ob- jet du chapitre suivant : l'
auteur
est partisan d'un néo-mallhu- sianisme scientif
es cellules nerveuses en creusant des encoches. Depuis, de nombreux
auteurs
on), observé le phénomène, en lui donnant les s
l- lée dans un long tableau où sont indiquées les découvertes des
auteurs
; on la rencontre, par ordre de fréquence dé- c
de la patho- logie nerveuse et mentale. Dans la première leçon, l'
auteur
analyse un cas de paralysie spinale périodique
une monographie entière de cette intéressante forme clinique. , L'
auteur
donne beaucoup de détails surtout pour expliquer
me faite plus largement et plus systématiquement que par tout autre
auteur
, n'a pas conduit pourtant le professeur Stcher-
inguer des formes cliniques, c'est-à-dire des maladies mentales ; l'
auteur
est d'avis que l'étude de ces états typiques, e
La classification psychologique de ces états qui est don- née par l'
auteur
et qui diffère en quelques points des autres. est
c'est-à- dire les classifications de Krafft-Ebing et de Korsakof, l'
auteur
choisitladernièreen y effectuant quelques chang
ladernièreen y effectuant quelques changements. Dans la 6e leçon, l'
auteur
en exposant un cas jHdiciaire-ps¡¡- chiatrique
e; quant à la méthode de diriger l'expertise (levant le tribunal, l'
auteur
est d'avis que l'expertise psychiatrique ne doi
doncule cérébral ; 5° tumeur de l'hémisphère droit du cervelet. L'
auteur
donne la place secondaire aux symptômes dits « cl
ses. Dans ces conditions, cette partie de l'ouvrage intitulée par l'
auteur
« anatomie physiologique du tronc cérébral étud
x cas), et « Pseudo-apoplexie hysté- rique ». Ces cas offrent à l'
auteur
la possibilité de se prononcer d'un côté au suj
lant parfois les affections organiques. Quant à la thérapeutique, l'
auteur
trouve indispensable de s'attacher à l'individu
a simulation par l'hysté- rie des différentes lésions organiques, l'
auteur
attribue un rôle important à la suggestion de l
l'idée erronée qui existait.chez le médecin. Dans la 12° leçon, l'
auteur
expose un cas d'inversion sexuelle chez une fem
cas d'inversion sexuelle chez une femme guérie par l'hypnotisme ; l'
auteur
développe en détail la question générale des an
entière de celle maladie. S'appuyant'sur les données anatomiques, l'
auteur
fait connaître son point de vue concernant cett
elet même, il se produit l'ataxie hérédi- taire cérébelleuse, que l'
auteur
propose de nommer «forme céré- belleuse de la m
e et elle mériterait d'être citée en entier. Dans la 14e leçon, l'
auteur
traite la question de la polynévrite infectieus
e la face combinée avec la sclérodermie. Enfin dans la 16e leçon, l'
auteur
analyse 4 cas d'atrophie mus- culaire progressi
ie atrophie névritique dans sa forme généralisée. Selon l'avis de l'
auteur
, les symptômes » classiques » des dif- férentes
4 janvier. On y a entendu, outre le rapporteur, MM. Joseph Reinach,
auteur
lui-même d'un ancien projet de révision (1890),
ime de la loi Dubief ? Ce se- rait trop présumer, et je pense que l'
auteur
même de la loi ne se fait pas trop d'illusions
le fruit de l'expérience, et la bonne foi et la sincérité de leurs
auteurs
ne sauraient faire doute. Elles méritent donc d
lasme ; par Mlle Ioteyko. (.fourn, de Neurologie, 1906, n" 14.) L'
auteur
attire l'attention, dans celle noie, sur un récen
rvations d'un certain nombre d'enfants dont il relate l'histoire, l'
auteur
conclut qu'il existe un trouble primitif de l'o
eeL morte de compression médullaire avec déformation rachidienne. L'
auteur
cite également quelques obser- vations où l'ost
l- berto SALOON (de Florence). (Revue de médecine, avril 1906.) L'
auteur
cite un grand nombre d'affections où soit la somn
njuguée de la tète. ni des yeux. Les symptômes sont rattachés par l'
auteur
aune lésion sous-corticale, probable- ment une
hez les enfants ; par Comby. (Bulle- lire médical, n° 5, 1906.) L'
auteur
laisse de côté l'encéphalite suppurée ou abcès du
amyotropllie mm : cu1ail û progressive d'origine syphilitique. Les
auteurs
en rapportent une observation suivie d'autopsie
une discussion très'longiip REVUE DE» PATHOLOGIE NERVEUSE. L3J l'
auteur
montre qu'il s'agit d'une fièvre hystérique sans
culièrement à la période préataxique : des trois cas que rapporte l'
auteur
l'un est relatif à une femme qui présenta tout
ant jusqu'à vingt deux ans, en résulte que si, comme la plupart des
auteurs
, on admet l'origine syphilitique, il n'y a d'au
cience, janvier 1904.) - En s'appuyânt sur des données numériques l'
auteur
est amené à conclure que le relèvement des sala
ous pouvons cependant 1, reproduire les considérations finales de l'
auteur
qui sont t les suivantes : pour bien comprendre
es hallucinations obsédantes dans certaine^ allections nerveuses. L'
auteur
pense qu'il faut distinguer dans ces divers cas
ant troublés par aucun pa- siiie. Les observations que rapporte l'
auteur
s'adressent à des sujets déjà âgés dont l'épile
1904.) Malgré, son très réel intérêt, ce travail comme celui que l'
auteur
a consacré à la réorganisation des statistiques
nolly NOR ? IAiN. (The Journal of Mental Science.Janvier 1905.) L'
auteur
rapporte avec des détails très curieux dans lesqu
Hu- / bert BoND. (The Journal of mental Science, janvier 1904.) L'
auteur
n'ignore pas que le sujet qu'il traite n'est pas
par R. H. STEEN. (The Journal of mental Science, janvier 1905.) L'
auteur
rapporte l'observation de quatre malades chez les
tal Science, janvier 1905.) Les cas de celle maladie sont rares ; l'
auteur
n'a pu enrassem- bler'que 27 dans la littératur
OLLY TOi : mArr. (The Journal of Mental Science, juillet 1904.) L'
auteur
insiste sur le fait que ces soins de famille sera
MM. Ritti et Marandon de Montyel. Il exprime le voeu que les jeunes
auteurs
ne négligent pas de traiter dans leurs communic
e aux idées hypochondriaques, approuve la distinction faite par les
auteurs
entre les deux délires hypochondriaques, intellec
faire obtenir l'indemnitéàlaquelle ils paraissent avoir droit. Les
auteurs
estiment que le médecin d'asile doit dans ses c
r la dénomination de paranoïa, qui lui a été attribuée par certains
auteurs
italiens, allemands, portugais, etc. En se basa
e.) En présence de ces différences constitutive et'évolutive, les
auteurs
proposent, sinon de rattacher avec Kraepelin, tou
A l'autopsie on trouvera une méningc-corticalite chronique que les
auteurs
considèrent com- comme étant en rapport avec l'
uestion qu'ils se posent, relativement à l'éliologie du délire, les
auteurs
se demandent si l'insuffisance fonctionnelle de
te : c'est que le sujet en est d'un très grand intérêt actuel. et l'
auteur
, l'éminent clinicien de llontpellier.l)é,jà. Al
ute valeur sociale, d'autres sont. des êtres nuisible ? Le but de l'
auteur
est d'abord de prouver l'existence médicale des
ien aux pré- disposés nerveux » ; (les mots soulignés le sont par l'
auteur
). Combien de psychiatres considèrent au contrai
s, dans la l,éuue dé ifacilcidies de la nutritibx, dè 1U3 à 1906. L'
auteur
se proposé de démontrer que nombre 'd'affection
Picqué et 1)agoneL), à côté des psychoses de même origine ; puis, l'
auteur
consacre un cha- pitre il la clinomanie neurast
par Bourneville. 1 vol. In-8° de 534 pages avec un portrait de l'
auteur
. Prix 10 fr. Pour nos abonnés 8 fr. The Journ
, il fallait L faire des concessions; mais sur quoi ? Le choix de l'
auteur
ne fuit pas heureux, malgré des avertissements
'insu de la malade », et les concessions, car les déclarations de l'
auteur
ont nettement ce caractère, portèrent sur le mode
ne conscience sim- ple. Pour réaliser cet étonnant tour de force, l'
Auteur
n'apporte aucune considération psychologique no
; mais que faire d'un nouveau système ? \'on : en maint passage, l'
Auteur
stigmatise en sincère positiviste les « faiseur
u'une théorie : ce qu'il est, il ne pouvait pas ne pas l'être, et l'
Auteur
le reconnaît bien : « toute une philosophie » (
principaux afin de pouvoir au besoin abandonner le plan suivi par l'
Auteur
et comparer entre elles des parties éloignées l
t le cas de la cellule py- ramidale, etc. Quant aux organismes, l'
Auteur
est inexcusable d'avoir ignoré qur tous les zoo
es par le milieu ? Cette question, quelque vaine qu'elle paraisse,l'
Auteur
ne pouvait se dispenser de la résoudre, avant t
ur fixer la « place du co-être dans l'échelle animale» » (p. 51), l'
Auteur
étudie l'organisation nerveuse « synthèse de to
sauts, 'elle a dû à un moment donné créer ce type» » (p. 53). Et l'
auteur
trouve, en effet, chez les Rotifères, «au'dessu
quittons provisoirement ces rapprochements stériles éta- blis par l'
Auteur
entre des classes trop éloignées : pour tirer que
t de foute importance pour la question du duplicisme, quoi- que l'
Auteur
n'ait pas même songé à l'envisager au point de
x co-êtres; mais,puisqu'il prétend se baser sur l'organisation, son
Auteur
a eu tort de ne pas tenir compte, dans son étud
plus tard de l'expression physiologique de cette disposition que l'
Auteur
ignorait certainement, car, toutes les fois qu'il
justes et méritent d'être reproduites ici.car les vues propres à l'
auteur
allemand sur le rôle des synergies motrices dan
le genre d'esprit critique qui a présidé au choix des arguments : l'
Auteur
en reconnaît d'abord l'inanité : » Ce n'est pas
avoir le droit de rattacher à celle-ci la symétrie de l'a- dulte, l'
Auteur
aurait dû montrer chez ce dernier des tra- ces
aterne. 3° Sous le titre de preuve tératologique expérimentale, l'
Auteur
rapporte les classiques expériences de Chabry s
application de la théorie aujourd'hui ridicule de la préformation,l'
Auteur
attribue donc à l'oeuf une struc- ture comparah
'autre ». Je cite ce passage pour montrer de quelle documentation l'
Auteur
s'est contenté pour une partie si importante de
n réalité, l'expé- rience de Chabry n'a abouti au résultat auquel l'
Auteur
fait allusion et dont il tire des déductions qu
ymétrie exclusivement bilatérale. En appliquant ici la théorie de l'
auteur
, on devrait considérer chaque moitié comme form
pan- créas, séparé en deux parties chez l'embryon » (p. 7). Et l'
Auteur
cite encore,sans plus de discernement,des organes
e tout essai d'interprétation : «Pourquoi, se demande de son côté l'
Auteur
de la préface, possédons-nous deux poumons, deu
nts, de plusieurs des gros vaisseaux ? Hélas ! « Les organes, dit l'
Auteur
de la préface, qui nous paraissent uniques dans
res phases de la vie...... embryonnaire et foetale » (p. XII). Et l'
Auteur
du livre ne trouve que deux organes qui « parai
comme une erreur, nous n'avons pas à répondre, contrai- rement à l'
Auteur
du livre, à l'insidieuse question posée dans la
dépendant du feuillet qui lui donna nais- sance. Questionné par l'
Auteur
sur la dualité du névraxe,M. le Pr Delage a vai
ément question de la bi-individua- lité, de l'existence de ce que l'
Auteur
appelle les co-êtres, et que sa première preuve
r masse » (p. 95). Telles sont les diffé- rences, les seules, que l'
auteur
ait trouvées, et qui justi- fient à ses yeux la
nvisage la physiologie classique/diffé- rente également de ce que l'
Auteur
appellera plus tard le « modus vivendi» des co-
ctions de relation, telles que la phonation, la mi- mique etc. Or l'
Auteur
a négligé de limiter son domaine. « Il y aura,
nce ne les connaît pas. Chez l'enfant, avant l'apparition du moi, l'
Auteur
lui-même ne'songerait pas à en voir un exemple
ances que l'on observe chez l'adulte à l'état pathologique, et où l'
Auteur
voit une manifestation de la diversité des tend
e de la coordina- tion » caractérise, ainsi que le fait remarquer l'
Auteur
(p. 122), la période (de 3 à 18 mois) où s'orga
ur sens le plus général, faute de toute définition foi donnée par l'
Auteur
, et n'aurons plus qu'à examiner : 1° si les dif
lus étroitement soumis à ses « impulsions » ? Non, répon- drait l'
Auteur
, car les deux cerveaux sont égaux devant leurs
8)î on ne le fait que rarement, et la vie psychique attribuée par l'
Auteur
aux co-êtres est infini- ment plus étendue et p
aphore. Le raisonnement proprement dit, inductif ou déductif, que l'
Auteur
octroie aussi aux co-êtres, est également impos
fait que le cerveau droit soit moins intellectuel,car je laisse à l'
Auteur
l'éclaircisse- ment de cette épithète irréfléch
t leurs organes : « On peut vivre avec un seul rein », remarque l'
Auteur
de la préface (p. XII), tout en notant que cette
te synergie qui dépasse du beaucoup la coordination envisagée par l'
Auteur
, qui pénètre, avons-nous vu, tous les actes de
dont l'hypnose- respecte toujours l'activité, l'hypnose qui, pour l'
Auteur
, dissocierait les deux moitiés ; la syner- gie
atée par l'observation, tandis que la coordination inexpliquée de l'
Auteur
peut être, d'après lui, enrayée sans que'la mort
, encore une fois, que devient ce continuel état de guerre auquel l'
Auteur
fait si sou- vent allusion et qui impliqué et e
si combien invraisem- blable est la diversité 'des tendances que, l'
Auteur
leur prête : la ten- dance, l'impulsion, serait
s pour finir les notions d'espace et de durée et admet- tons avec l'
Auteur
que les deux cb-étres sont présents à toutes tes
ait un simple effet 'de la coordination pri- mordiale adinisé par l'
Auteur
, la l'orme espace existant coiigéhi1 talement `
s de souvenir (Wilbrand)(.l\Ierkcentra de Cajal, 1906) que certains
auteurs
, Cajal entre autres, distinguent encore en prim
nguent encore en primaires et secondaires (voiries arguments de cet
auteur
, 1906, p. 53). Les uns et les autres sont consi
aujour- d'hui, du moins pour les circonstances envisagées par ces
auteurs
et par le duplicisme, c'est-à-dire pour le foncti
ramener à trois : 1° les partisans de ces asiles spéciaux ; 2° les
auteurs
comme le rédacteur en chef de ce journal, qui n
ères des réactions déterminées par l'état et l'adaptation. Enfin, l'
auteur
termine par quelques considérations générales sur
ulerai ici diverses observations générales ; vous recommanderez aux
auteurs
de ce travail de s'y conformer. 1° à chaque gro
émence précoce ont été signalés depuis longtemps par d'émi- nents
auteurs
: Kahlbaum, Haeker, l3rosius, Iaraszl : ie- vic
sur les individus sains et particulière- ment sur les soldats. -Cet
auteur
a pu, grâce à ces procé- dés, diagnostiquer tro
ffaiblissement intel- lectuel. G est une terreur intense, écrit cet
auteur
, une crainte irraisonnée, accompagnées souvent
occuper ici. Elle a été l'objet de nombreux travaux de la part des
auteurs
remarquables : Delasiauve, Kahlbaum, Kroepclin.
- tonique et d'un mélancolique, tous deux en état de stu- peur. L'
auteur
met en évidence avec beaucoup de finesse cliniq
alyse de quelques observations de troubles de la personnalité que l'
Auteur
va demander la confirma- tion du duplicisme, ap
pécial envisagé dans ce chapitre,ne diffèrent en rien de celle de l'
Auteur
. Deplus il a'ét'é démontré à plusieurs reprises
en en faveur de la*théorie pour laquelle on les cilau N'importe : l'
auteur
délaiss^outes ces objections ou plu- tôt néglig
pographie que des troubles moteurs, vasomoteurs, trophiques etc. L'
auteur
rapproche tous ces faits observés chez des sujets
taphysicien que d'un psycho-physiologiste » (p. 37). Pourtant, l'
Auteur
adoptera plus tard et sans remar- quer la flagr
absolument hors de doute l'invraisemblable confusion commise par l'
Auteur
entre la conscience morale et la conscience pro
ement dite. Quant à la « conscience successive de M. Ribot [que l'
Auteur
oppose à la subconscience de M. Janet (p. 371,
yant chacune sa mémoire, sa synthèse » (p. 30). Ces propositions, l'
Auteur
les adopte tout en les dé- tournant de leur sig
l l'est » (p. 33). Le simple exposé des faits va donc suffire à l'
Auteur
, non seulement pourmontrer la double individual
place. Mais, comme on devait s'y attendre, l'incompé- tence de l'
Auteur
en toutes lesbranches de la neurologie, après l
de cette « démente » alternativement religieuse et prostituée que l'
Auteur
cite (p. 41) après Ribot : « Nulle théorie dit-
tion, rencontrerait, sont bien plus complexes dans l'hypothèse de l'
Auteur
: En admettant même que chaque moitié physiolog
s centres des hé- misphères, d'après la seule « explication » que l'
Auteur
donne : « Quand les conditions de la relation e
ment. Or, dans l'observation d'A- braham, il propos de laquelle cet
auteur
et 13lculr·r ont repris l'hy- pothèse de l'iucl
'après par réflexion, incidemment et pour une cause accessoire. L'
Auteur
a d'ailleurs compliqué lui-même la question des
yché » d'Abraham, ne su- bissent pas le déplacement supposé par cet
auteur
et Bleuler : en effel les associations histolog
trois personnalités, conclusion à laquelle s'arrête naturellement l'
Auteur
sans dire que la question avait été soulevé dès
inct de la veille. Léonie et Lucie (sujets longuement étudiés par l'
auteur
) onttrois personnalités et non deux ; Rose(ibid
ment illimité, pratiquement a été souvent supérieur à trois. 2° L'
auteur
rapporte deux faits,empruntés à M. Ribot, comme
n quoi celui-ci diffère- t-il alors de l'acteur ou de l'orateur ? L'
Auteur
dira-t-il Archives, 3' série, 1907, t. 1. 20
qui,disons le par anticipation, ne sont même pas abor-' dées par l'
Auteur
, que trouvons-nous chez le dipsomane; l'opposit
ment « gouverne »,mais accomplit à lui seul les actes qui, pour l'
Auteur
, dépendraient chacun d'un hémisphère et démontr
de succes- sion de deux moi avec symptômes organiques dimidiés. L'
Auteur
en rapporte une citée par Ribot(31aladies delà
pas ni ne critiquerons pas en détail les con- clusions qu'en tire l'
Auteur
. Elles sont passibles des objections faites pou
états » sur lesquels 30S PSYCHOLOGIE. \ se porte l'attention de l'
Auteur
, le sujet avait présenté une période de réveil
s troubles de la parole à certai- nes des périodes envisagées par l'
Auteur
, et au cours de laquelle aucun symptôme n'avait
orticale troublée, à l'hémiplé- gie et hémianesthésie droites que l'
Auteur
considère comme indiquant d'une façon certaine
atégories entre lesquelles nous avons ré- parti les cas cités par l'
Auteur
(p.27 à 29) à l'appui de sa thèse, celle des ob
misphère à l'autre et ne sont donc pas en faveur de la théorie de l'
Auteur
; l'observation de Louis V... montre qu'elles p
apparence, l'extrême com- plicité des phénomènes de l'hypnose. L'
Auteur
rapporte encore, d'après l'ouvrage cité de Ribo
ans effet. Il suffira de rapporter les considérations inspirées à l'
Auteur
: « A la théorie dupliste d'aucuns objecteront
eur probante se tourne évidemment contre l'opinion soutenue par ses
auteurs
, rend palpable, pour ainsi dire, l'absence de t
es..... ou encore «la réflexion, le jugement et la décision » que l'
Auteur
exclut à tort de la conception SUR LA SYMÉTRIE
ons qui jouent le plus grand rôle dans le sentiment du moi, etque l'
Auteur
néglige pourtant pres- que complètement,celles
n est surpris du petit nombre des faits psychiques normaux auquel l'
Auteur
cherche à faire l'application de sa théorie : c
« moi supérieur » ou « Etre com- plet ». A ce dualisme par lequel l'
Auteur
cherche à com- plèter et à confirmer le dualism
interne, seule bon juge en l'espèce. 2° Conscience des co-êtres. L'
Auteur
ne l'étudié jamais en elle-même, c'est-à-dire a
quoique en relations régulières ... (p. 97). Si les coêtres, dit l'
auteur
, devenaient parfaitement identiques l'un à l'au
tent-ils pas cet état ? Il est même probable que c'est à cela que l'
Auteur
a pensé et que c'est cela qu'il a chargé de rep
'un co-être, c'est-à-dire d'un animal simple idéal, est possible, l'
Auteur
n'a pas su démontrer cette conscience chez l'an
elles seraient même étrangères- l'une à l'autre. Mais le rôle de l'
Auteur
était justement de considérer les actes des ani
e est justifiée par les nouvelles considérations biologiques de l'
Auteur
. ' « Un des blastomères [dans l'expérience dc C
l'expérience de Chabry n'aurait pas été fausse- ment interprétée,l'
Auteur
n'avait pas le droit d'en trans- porter à l'hom
us la définir et ne cher- chait qu'à donner une formule morale.Si l'
Auteur
avait à son tour cherché à définir la personne,
reste, pour que son raisonnement par analogie eût quelque valeur, l'
Auteur
aurait dû,ou partir d'un animal à système nerve
soit possible : quel peut être son contenu ? Chez l'enfant, dit l'
Auteur
,le moi n'est pas encore formé, les co-êtres seuls
de la personne : en effet, elle a une existence in- pendante, dit l'
Auteur
, qui d'ailleurs,à plusieurs reprises a repoussé
moi l'interroge et peut repousser ses impulsions. Or on a vu que l'
Auteur
proclame l'unité de la conscience : c'est du re
elle du co-êtr'3.Du reste. dans les faits pris comme preu- ve par l'
Auteur
, n'y a-t-il pas manifestation de facultés qu'il
re, car elle ne se manifeste jamais,même d'après les prémisses de l'
Auteur
, la conscience du co-être ne se connaît pas ell
e... » (p. 79). Mais la confusion commise est si bien établie que l'
Auteur
reproche aux « psychologues )1 qui ont vu le du
» (p. 81). On a pu remarquer que la hiérarchisation imposée par l'
Auteur
aux faits psychologiques n'a pas pour tous la m
-êtres qui ne fut pas contradictoire avecles prémisses posées par l'
Auteur
consistait clans des tendances-inconscientes. A
co-êtres « est purement passive et reproduit au hasard »(p. 75). L'
Auteur
adopte ace propos la distinction habituelle.pré
s des songes » (p. 74) et à d'autres constructions semblables ? L'
Auteur
de la préface voit aussi dans le rêve un effet de
conscience du dédouble- ment, et, par cela même, de son unité. L'
Auteur
refuse la volonté aux co-êtres ; l'hypnotisé chez
urait donc laissé accaparer par un co-être la volonté du moi.Mais l'
Auteur
est ici formel : «'le co-être a des im- pulsion
n avec les « tendances » dont nous avons déjà parlé, mais puisque l'
Auteur
attribue aux co-êtres des désirs et des impulsion
ticle montrent dans quelle imprécision/probablement involontaire, l'
Auteur
a laissé la partie .iG ' LÉGISLATION. capital
poursuivait ses prétendus parents de récla- mations incessantes, l'
auteur
raconte qu'il faillit y avoir, (1) Th. Paris 18
est exigible que dans les quarante-huit heures de l'admission. Si l'
auteur
de la demande ne sait pas écrire, celle-ci est
MI. Bevan LEws. (The Journal of mental Science, avril 1906.) - L'
auteur
se propose dans ce travail d'étudier quelques poi
'ette.Bornant ses recherches à l'Angleterre et au Pays de Galles, l'
auteur
montre que, suivant les contrées, les condamnat
tandis qu'il coïncide,comme on le sait, avec le crime, et com- me l'
auteur
essaye de le démontrer, avec les épilepsies et le
de l'organisme à l'égard de l'action directe de l'agent toxique, l'
auteur
insiste sur le mot directe parce que récem- men
e la préciser pour le cas particulier. Ilérite-t-on de l'alcool ? L'
auteur
pense que l'alcoolisme n'est pas héréditaire en
icale eL complète du régime d'assistance des aliénés en Belgique. L'
auteur
réclame, cn'particulier, l'extension de plus eu
i existe entre ma manière de voir et celle de M. Pierre Janet. Deux
auteurs
ont cependant bien compris que cette opposition
à l'objet particulier des sciences sociologiques : on dirait que l'
Auteur
, préoccupé avant tout de ces der- fières, avait
IE BILATÉRALE DU CORPS. 371 vement. On verra par quelle tentative l'
Auteur
de la pré- face s'est efforcé de remédier à l'é
rien moins que d'une théorie nouvelle de la liberté » (p. 90). Et l'
Auteur
, s'apprêtant à une « démonstration rigoureuse »
et lui laissent la liberté ; enfin elle est une. 1 Cette unité; l'
Auteur
en examine les différentes faces sans voir qu'e
ie un peu longue de citations met en pleine lumière la méprise de l'
Auteur
. Considérons une cons- cience unique ou plutôt
onsciences,en tirer une conscience ? Il est évident qu'ici encore l'
Auteur
a été trompé par le langage philosophique : la
is consciences. Les trois consciences sont nécessaires,et quoique l'
Auteur
dise souvent que l'unité du moi ne s'affirme, n
mente de page en page, à l'apparition de chaque nouvelle donnée : l'
Auteur
ne sor- tira plus du domaine des métaphores que
les divers modes pos- sibles de rapports,on devient convaincu que l'
Auteur
a perdu de vue dans tout le chapitre consacré a
et les idées de ses interlocuteurs, et concourt à l'action. Mais l'
Auteur
ne réfléchit pas que si des faits extérieurs, d
iences deviendraient-ils alors conce- vables ? . La tendance de l'
Auteur
, dès que le moi est intervenu. est d'étendre in
aux conclusions de la prudence dans le tra- vail ». D'autre part, l'
Auteur
restreint la conscience du moi aux faits psychi
te du contenu de la conscience : c'est par un moyen semblable que l'
Auteur
a réparti a priori entre les coêtres et l'être
'autres termes, les faits sur lesquels s'étend le plus longuement l'
Auteur
pour y montrer l'action combinée .du'moi et des
réalité, et malgré les nombreuses affirmations irré- fléchies de l'
Auteur
, la donnée fondamentale et irrécu- sable de l'u
psychique des individus. En lui cherchant un substrat anatomique, l'
Auteur
de la pré- face s'est donné une peine inutile.
s'enrichir, voyons s'il peut s'unir à un substrat matériel et si l'
Auteur
de la préface n'a pas, en en proposant un, jugé
chez les coêtres sont à la disposition du moi. En second lieu, l'
Auteur
a dit cent fois pour une que les communications
isque l'organisation est par- tagée tout entière (ou à peu près : l'
Auteur
a heureusement ment oublié quelque chose) entre
s'expri- mer paraît dépasser en originalité le duplicisme même l'
Auteur
reconnaîtra bien, encore une fois, que le moi a
n serait-il de même pour le substrat du Moi ? Non, probablement : l'
Auteur
de la préface a détruit l'alternative et a ouve
tion morale ne sont pas équivalentes la pure volition libre dent l'
Auteur
du livre fait la caractéristique suprême du moi
e de l'homme double apporte une solution ». Or, chose curieuse, l'
Auteur
a la prétention de connaître « l'argu- ment dét
, continuité qui est la base de toute science, qu'aurait dû faire l'
Auteur
? Inter- préter ce sentiment, chercher s'il n'a
ns séparément la part de chaque dualisme. Nous verrons ensuite si l'
Auteur
a su concilier d'une façon logique et acceptabl
iblesse de la notion fondamentale de la thèse ; cette donnée gêne l'
Auteur
toutes les fois qu'elle intervient.ainsi qu'on
entation classique concernant les motifs est trop connue pour que l'
Auteur
n'ait pas songé à la mesu- rer à sa thèse : mai
e inconscient auront rendu tel au cours de la délibération ? Mais l'
Auteur
substitue à la simple vo- lition, la « faculté
ctive. D'un autre côté, pour faire une part au rôle des motifs, l'
auteur
les oppose arbitrairement au « caprice » : « Une
plus souvent, du sentiment de libre arbitre, sentiment qui, pour l'
Auteur
, est la liberté même. Pourquoi alors la restrei
atte d'être conciliable. La liberté « expliquée » et accordée par l'
Auteur
est une « faculté » en contradiction absolue av
e, c'est-à-dire libre dans certaines limites...... » (p. 152).Or, l'
Auteur
l'a dit et montré plusieurs fois, pour lui, lib
'il était limité ? Du moment que, par une nouvelle inconséquence, l'
Auteur
identifiait l'idée et la chose, il devait prend
naturellement dans les discus- sions sur le libre arbitre,et par l'
Auteur
lui-même quand il rappelle qu' « il est univers
a raison, indépendance sans laquelle la liberté n'existerait pas. L'
Auteur
dit bien que,faute d'énergie ou de documentatio
propres données ! Après l'étude théorique des coêtres et du Moi, l'
Auteur
388 PSYCHOLOGIE. annonce la description de le
voir à qui appartient la« conscience » à chaque étape considérée. L'
Auteur
reconnaît deux périodes l'une où la vie psychiq
tion de l'évolution psychique, de la naissance à l'état adulte,où l'
Auteur
mêle à des conseils aux jeunes mères (p. 122, 1
de la bi-individualité dans l'évolution psychique individuelle : l'
Auteur
dit pourtant en parlant du développement de l'e
erminé» (p. 127) mais en- core si nous avions adopté les idées de l'
Auteur
sur «l'Etre complet » et ses rapports avec « le
rs de laquelle se seront « exaltées » les facultés des coêtres. L'
auteur
en prend à son aise avec ses anciennes assertions
de la poésie,est susceptible de l'accroître et même de le créer ; l'
auteur
cite de nombreuses pièces devers d'où l'art n'e
send dans des recherches dont nous avons rendu . compte ici même, l'
auteur
expose sa technique personnelle et le résultat
char de Juggernauth que vers la grotte de Lourdes. En terminant l'
auteur
rappelle comme un symptôme de la mentalité de l'é
t du noyau,c'est-à-dire une dégénérescence. Les cas rapportés par l'
auteur
ne révèlent aucune- augmentation du pigment dan
cas d'idiotie et quatre d'épilep- sie ; or, sur les quatre cas de l'
auteur
, il y avait dans deux forma- tion de fausses me
ue dans deux d'entre eux il y avait des adhérences très accusées. L'
auteur
pense que dans beaucoup de cas la méningite est
itique de la paralysie générale et du tabes, et Bianchi et d'autres
auteurs
les ont savamment développées. Il n'est pas dou
ATHOLOGIE MENTALE. général subit une réelle toxémie bactérienne : l'
auteur
ici reprend ot développe les arguments expérime
tituent pour chacun de nous et pour tous les « moi » du moment. L'
auteur
entre ici dans des considérations intéressantes s
uccession en sens inverse, 1° démence ; 20 manie ; 3° mélancolie. L'
auteur
entre ici dans quelques considéra- tions où il
diverses formes de maladies mentales. La conception que propose l'
auteur
de la marche et du processus de la folie corres
dérées comme lien entre les aphasies et les maladies men- tales ; l'
auteur
rappelle ensuite les travaux de Lichtheim, et att
ile, avec atrophie et dégénérescence artérielles très ac- cusées. L'
auteur
rapporte ici plusieurs observations. Les cas d'
e katatonie ne paraît avoir ici aucune signification étiologique. L'
auteur
rapporte ici une très longue observation. Com
définies,variables et beaucoup plus accessibles à la dissolution. L'
auteur
termine par diverses considérations se rapportant
de de lipômes multi- ples, fait qui n'a été, à la connaissance de l'
auteur
, signalé par au- cun auteur anglais, et qui n'e
ait qui n'a été, à la connaissance de l'auteur, signalé par au- cun
auteur
anglais, et qui n'est signalé que dans l'ouvrage
argowla (Annales médico- psychologiques de 1891). Du fait actuel, l'
auteur
en rapproche un REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 42
M. Georges Greens, (The Journal of mental Science, avril 1906.) L'
auteur
se propose d'étudier dans l'ordre suivant les dif
W. C. 3ULLIV \N. (The Journal of mental Science, juillet 1906.) L'
auteur
rappelle que, dans un précédent travail, s'est at
tin de la Soc. de médecine mentale de Belgique, décembre 1906.) L'
auteur
s'efforce de réagir, dans celle note, contre la d
Bull. de la Société de méd. mentale de Belgique, 1905, n° 124.) L'
auteur
établit dans ce travail que deux pays seulement o
al of mental Science, janvier 1906.) Nous ne pouvons pas suivre l'
auteur
, et nous le regrettons, dans la description trè
, janvier 1906.) ' Le titre de ce travail en résume la pensée ; l'
auteur
étudie en détail le mécanisme possible de cette
il est donc nécessaire de ne jamais désarmer vis à-vis d'elle. L'
auteur
indique les moyens qui lui paraissent les plus ut
oMRnoDEs (The Journal of mental Science, octobre 1905.) Suivant l'
auteur
, il faut, au point de vue des aménagements qui
n des autres types d'imbécillité qui constitue le type mongolien. L'
auteur
a examiné 21 échantillons bien carac- térisés d
elures), les malformations congénitales du coeur sont fréquentes. L'
auteur
n'a pas constaté (au contraire) la diminution n
M. W. Y. NOLAN. (The Journal of mental Science, octobre 1906.) L'
auteur
ne se dissimule pas que beaucoup des causes de l'
exposé historique et critique du régime des aliénés en Belgique, l'
auteur
proclame la nécessité de procéder à une réorgan
es, il aurait son origine dans des lésions cérébelleuses. Les mêmes
auteurs
présentent aussi un ancien hémiplégique syphili
contient la critique et la synthèse, que par les conclusions que l'
auteur
a su en tirer et dont plusieurs sont déjà unive
établi depuis longtemps déjà par les recherches préliminaires de l'
auteur
, guida l'examen de toute-; les pièces, et l'exp
de 3 mois à 97 ans, indemnes de lésion cérébrale, pour lesquels l'
auteur
asoin de donner les renseignements utiles(poids d
des résultats absolument positifs et régu- liers », modifiée par l'
auteur
en 1902. / De nombreux tableaux, accompagnés d'
de même sexe, de même race, et à peu près do même âge. , Enfin, l'
auteur
a eu sbin de synthétiser l'ensemble des résultats
cicellu- laire et de la strie externe, etc. Dans tous les tracés, l'
auteur
a eu soin d'exclure les grandeurs exceptionnell
rtent que mieux. Quelques-uns de ceux-ci, sur lesquels d'ailleurs l'
auteur
présente d'intéressantes considérations, sont p
ieurs du ]Jr Kaes, est main- lenant au-dessus de toute objection. L'
auteur
le rapproche judi. vicieusement de celle autre
eaucoup d'autres détails, de celle de l'enfant. Je ne suivrai pas l'
auteur
dans les longues considé- rations embryologique
ciaux et les symptômes observés sont ceux qui sont décrits chez les
auteurs
. Quant aux troubles mentaux, ils paraissent off
its que j'ai observés moi-même ou qui ont été observés par d'autres
auteurs
ayant ap- pliqué mes méthodes et refait mes exp
Ill. APPLICATIONS DE LA 'l'IIGU : U1 : . CONCLUSIONS (1). Quoique l'
Auteur
n'ait voulu que « poser la question du duplicis
« aux investiga- tions sociologiques » (p. 141). A. La Morale. L'
Auteur
paraît méconnaître les sys- tèmes de morale bas
aut; ils ne peuvent même pas consti- tuer la matière d'un code et l'
Auteur
est d'autant plus présomptueux en opposant une
et B. LA'l11ÉTHOIJE POUR LES SCIENCES BIOLOGIQUES. .Aux yeux de l'
Auteur
,cette méthode, d'un ordre tout à fait particuli
elle justifierait à son tour le système duquel elle découle. 1° L'
Auteur
commence par poser en principe que ni l'inducti
sent, presque exclusivement, un troisième moyen de connaître que l'
auteur
élimine sans raisons, et qui, logiquement et chro
s les mieux assises et, probablement, les plus utiles. Du reste l'
Auteur
dénature et limite arbitrairement le rôle de l'
de connaître ; et ce moyen, pour ne plus être comme le vou- drait l'
Auteur
, seul ou à peu près seul employé, n'en mérite pas
é le rôle de l'observation et du raisonnement dans la sociologie, l'
Auteur
prétend que celle-ci ne peut être une science q
s « faits » en sociologie : tout est là affaire de définitions et l'
Auteur
n'en est pas lrodiun.I1 est permis de penser qu
lation, c'est-à-dire à la conscience mo- 472 PSYCHOLOGIE. raie, l'
Auteur
oppose la « conscience des déterministes » (p.
st le jouet sont soumises à la souveraineté de la Raison. Enfin l'
Auteur
adresse à la conscience proprement dite, la « c
raliser des notions ou des principes donnés par la conscience ? L'
Auteur
aurait alors dû en prévenir le lecteur et considé
nant le « déterminisme » est cer- tainement une des moindres que' l'
Auteur
ait commises au sujet de la philosophie classiq
ractère conscient des faits in- térieurs est impossible à définir,l'
Auteur
aurait-il conclu qu'il n'y a pas à en tenir com
tives pour entrer dans le domaine de l'incondi- tionné, ainsi que l'
Auteur
le dit implicitement ? Il récuse en effet les l
ors même que le duplicisme serait vrai, le carac- tère absolu que l'
Auteur
leur attribue à l'imitation des spiritua- liste
r leur attribue à l'imitation des spiritua- listes. D'autre part, l'
Auteur
lui-même repousse de son système tous les modes
main- tenant la considérer en elle-même, c'est-à-dire, puisque l'
Auteur
la donne pour une nouvelle méthode d'investiga-
gnée et sa valeur pratique. 1° Sur le premier point, les idées de l'
Auteur
sont d'une regrettable indécision ; à plusieurs
it à certaines notions de nombre limité, processus si simples que l'
Auteur
n'a pas jugé utile de les décrire ; en effet, l
« méthode » se confond avec le bon sens et, vers la fin du livre, l'
Auteur
ne la considère plus que comme la preuve de son
elle n'aurait donc que la valeur d'un procédé de démonstration et l'
Auteur
s'est contredit en la donnant pour une méthode
ouer à celles-ci le rôle prépondé- rant ? Or, telle est l'idée de l'
Auteur
,ou telle est la conclu- sion qui découle de ses
IE BILATÉRALE DU CORPS. 479 Si en effet la méthode préconisée pai l'
Auteur
venait à être employée seule ou de préférence a
ethniques, ou d'après la classe, la caste, la profession etc. Et l'
Auteur
qui a imaginé « ce troisième moyen de connaître
eur psychologique du duplicisme est donc rigou- reusement nulle : l'
Auteur
n'est pas parvenu à démontrer l'exis- tence d'u
ystèmes déterministes, contrairement aux assertions répé- tées de l'
Auteur
.Les applications qu'il a faites lui-même de sa th
e précision réellement étonnante vu la nature du sujet,conduisent l'
Auteur
à des contradictions im- plicites et même à des
a- bry, Driesch, Campton, Herbst, et des autres travaux des mêmes
auteurs
sur la mécanique du développement antérieurs à 19
teurs et réflexes indiquant une lésion du faisceau pyramidal. Les
auteurs
admettent comme vraisemblable un arrêt de dévelop
Ranvier : la régénération terminale ; il en existe une autre que l'
auteur
est parvenu à mettre en évidence, dans les gan-
Cajal en a décrit dans les ganglions rachidiens et sympathiques, l'
auteur
en a trouvé dans les cornes de la moelle. C'est
our les massues. L'emploi de(la méthode de R. Y. Cajal a permis à l'
auteur
de cons- tater en outre que des lésions des rac
1905, n° 2, analysé dans les Archives de Neurologie 1906, n° 123, l'
auteur
apporte deux nouvelles observations avec autopsie
otypé volontaire et conscient mais non automatique. A ce propos les
auteurs
critiquent la définition de la stéréotypie donn
étendu des régions postérieures de l'hémisphère céré- bral amène l'
auteur
à modifier sensiblement les notions classiques
iation entre les lobes occipital et temporal. Dans ses recherches l'
auteur
n'a jamais vu de dégénération du faisceau longi
cis- sure calcarine (sphère visuelle corticale). Ce faisceau, que l'
auteur
, propose d'appeler « faisceau optique central »
les radiations thalamiques se rendant au pulvinar. De son travail l'
auteur
tire d'autres conclusions ; le cingulum relie l
M. Lewis C. BRUCE. (The Journal of mental Science, août 1906.) L'
auteur
a observé le sérum de tous les entrants à l'asile
.) Dans ce travail ingénieusement conduit et sévèrement déduit, l'
auteur
s'est proposé d'établir : 1° Que les mouvements v
er par les résultats du traitement dans l'un des cas observés par l'
auteur
, la présence de l'indoxyl pourrait bien avoir é
même que la toxine ne peut plus être décelée dans les excrétions. L'
auteur
pense que c'est là probablement qu'il faut cher
uditive, de la mémoire des images, des chiffres, du dessin, etc., l'
auteur
tire la conclusion que l'in- telligence des enf
e mission en Egypte et d'une visiteà l'asile Abba- sieh au Caire, l'
auteur
a recueilli des éléments statistiques sûr les c
e ; on les observe en effet dans les 31' des cas environ, d'après l'
auteur
. Parmi ceux que l'on observe le plus souvent sign
n° 4 et analysée dans les Archives de Neurologie, 1906, n° 129, l'
auteur
ajoute deux nouveaux faits : l'existence de troub
êtrière, 1906, n° 2.) De son observation très étudiée et discutée l'
auteur
tire des con- clusions tout à fait opposées à c
fantile, ni un hypothyroïdien, ni un débile. A propos de ce cas l'
auteur
a recherché dans la littérature les observation
e. Après l'exposé d'un grand nombre de cas, personnels ou autres, l'
auteur
aborde le diagnos- tic différentiel avec les af
deux mois après l'apparition des signes primitifs de syphilis ; les
auteurs
pensent qu'il existe entre les deux affections
cientifique de Zola, puis il aborde ce problème de l'hérédité que l'
auteur
pen- sait ou peut-être prétendait avoir scienti
ait qu'un signe, sabelle santé ». 2e Dans les '-le et 3° parties, l'
auteur
nous montre au contraire les familles Pascal et
vient la partie sociologique : des constatations qu'il a faites, l'
auteur
tire un type dévot; le dévot esl un être ma- la
foyers d'épidémie, et, pour en faire saisir le mode de formation, l'
auteur
emploie très ingénieu- sement des comparaisons
ntéressante : rien ne fait mieux comprendre ce qu'a voulu établir l'
auteur
, c'est-à-dire la cohésion intime et fa- tale de
n'acceptera pas de planches, plans, ou diagrammes, à moins que les
auteurs
ne s'engagent à en supporter les frais. Quant aux
° 58, 1906.) C'est la première d'une série de leçons faites par l'
auteur
sur ce sujet à l'ordre du jour.Des chiffres qu'
férentes formes de l'idiotie ; par Bourneville, p. 518. table des
auteurs
et DES collaborateurs. 539 Traumatisme et par
rne et de l'accommodation ; par Ga- lezowski, p. 502. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Achard, 53. Alexander, 57
-135. Ceni, 250, 251.Ccrletti, 219. Charpentier, 5u0 table des
auteurs
ET des collaborateurs. 156. Charrier,- 155, 440
l'importante monographie de Batten et Collier. En France, quelques
auteurs
, particulièrement M. Nageotte, se sont occupés
. Voici à quels résultats ont abouti les recherches de ces divers
auteurs
: au point de vue anatomique, on observe une dé
plus précis : incoordination, signe de Romberg, etc. Mais si les
auteurs
dont je viens de- vous rappeler les travaux son
a démyélinisation complète du tube nerveux ; mais, d'après quelques
auteurs
, il pourrait être détruit, lorsque le pro- cess
degré considérable, au cours dès tumeurs cérébrales, ainsi que ces
auteurs
ont pu s'en convaincre en utilisant un manomètr
urément elle est moins considérable que ne l'avaient pensé quelques
auteurs
au début de leurs recherches. Le gros symptôme
me morbide, jusqu'à présent, n'est pas encore résolue. - Certains
auteurs
, avec Kahlbaum en tête, envisagent la catatonie
dans l'examen de l'histoire de cette question, mais vu que divers
auteurs
, sous le nom de catatonie, comprennent des formes
fait différentes, je dois m'arrêter sur cer- taines opinions de ces
auteurs
afin d'élucider les côtés prin- cipaux de notre
s arrêterons exclusivement sur le côté clinique de son ouvrage. L'
auteur
en question regarde comme symptôme détermi- nat
s, qui ne sont pas achevés jusqu'à présent encore. Les opinions des
auteurs
concernant ce sujet peuvent être divisées en tr
ce sujet peuvent être divisées en trois groupes : quelques-uns des
auteurs
n'envisagent pas le syndrome de Kahlbaum comme
(5), Kraft- Ebing (6), Popoff (7), Serbski (8), Bepr (9)]. D'autres
auteurs
reconnaissent l'indépendance complète de la cat
l'organisme est typique par toutes les formes toxiques. Quoique l'
auteur
de cette forme, Kahlbaum n'envisage pas la dégé
sycho-motrice. Mais nous savons d'après les observations des autres
auteurs
, que le négativisme peut exister aussi sans stu
rop indéter- miné. D'un côté, les stades de maladie cités par cet
auteur
n'ap- paraissent pas toujours dans le même ordr
ence par des bouffées épisodiques délirantes, qui, souvent, comme l'
auteur
de la forme en question l'indique, portent un c
e. En évaluant les résultats généraux des travaux de diffé- rents
auteurs
et nos observations personnelles, nous som- mes
ns un cas publié en jauvier dans le Journal of Mental Science par l'
auteur
, l'épilepsie avait été consécutive à une 44 REV
claires et judicieusement divisées, accompagnées de figures, dont l'
auteur
tire les conclu- sions suivantes : ' 1. Les p
des sources bibliographiques et des recherches per- sonnelles de l'
auteur
(Figures). En ce qui concerne la structure, M.
rveux patho- logique ? Reconnaître les déchéances de la myéline ? L'
auteur
n'hésite pas à l'affirmer. Il décrit vingt expé
ption de la voie centripète constituée par le faisceau de Gowers. L'
auteur
insiste sur l'importance de la latéropulsion po
ARNIECK (Nouv. /eo ? ! 0)'. de la . Salpétrière, n° 6, 1902). Les
auteurs
, dans une série de recherches histologiques com-
mettant en lumière cer- tains détails non observés^ permettent aux
auteurs
les conclusions suivantes : 1° il existe réelle
ifférentes théories pathologiques de cette affection, con- duit les
auteurs
de ce travail à considérer le tabes comme une a
ails de ce cas et celle des observations antérieures conduisent les
auteurs
aux conclusions suivantes : la pathogénie de la m
E D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. hystérie), mais aucun
auteur
jusqu'à ce jour, n'avait fait mention des défor
des déformations rachitiques au cours de la paralysie agitante. Les
auteurs
ont rassemblé 17 observations de cette affection
ations, mais leur topographie est encore contro- versée. Différents
auteurs
pensent qu'elles sont diffuses et ne peu- vent
par IoTEYKoetSTEFANOwsKA. (Journ. de neurologie, 1903, n° 8.) Les
auteurs
ont fait des expériences avec l'algésimètre de
Ce travail contient cinq observations qui font suite à celles que l'
auteur
a déjà publiées dans différents recueils notammen
culaire et son état pour ainsi dire sta-' tionnaire font croire à l'
auteur
qu'il s'agit d'une syringomyélie au début. ' ,
de ces accidents révélateurs d'une lésion du faisceau pyramidal, l'
auteur
estime qu'il s'agit d'un cas de tabes spasmodiq
ues au début lorsqu'elle fut prise subitement d'as- tasie-abasie. L'
auteur
attribue ce phénomène névrosique à une auto-sug
symptômes et le début en apparence articu- laire de l'affection, l'
auteur
croit qu'il faut la ranger dans laclasse des my
aclndien a donné un résultat négatif, De l'ensemble de ces faits, l'
auteur
conclut que son malade a été atteint d'hystéro-
et de la déglutition. Cet ensemble de phénomènes est attribué par l'
auteur
à un mal vertébral sous-occipital avec luxation
esque à une gué, ison. C'est en se basant sur cette évolution que l'
auteur
s'appuie pour affirmer l'existence chez son mal
en plaques n'est pas toujours intentionnel; comme l'admettent les
auteurs
classiques, et qu'il peut subsister au repos. G.
complète des réflexes achilléens. C'est sur ce dernier signe que l'
auteur
s'appuie en même temps que sur une analgésie du
hé de celui de l'aslasie hystérique. Le cas nouveau observé par les
auteurs
concerne un homme, fils d'alcoo- liques, frère
par un phénomène capital, le torticolis spasmodique, qui autorise l'
auteur
à la désigner sous le nom de Syndrome du tortic
question de l'aphasie motrice sous-carticale, par le Dr Ladame. L'
auteur
a pu suivre, depuis dix ans, un cas qui présentai
té, les symptômes que Déjerine, Lichtheim, F. Bernheirruet d'autres
auteurs
ont prétendu caractériser la forme sous-cortica
ussi des troubles moteurs. Les deux observations rapportées par les
auteurs
, des plus inté- ressantes, et prises avec la pr
par le Dr P. 11lASOIN. D'après les recherches et observations de l'
auteur
, l'hérédité névropathique joue un rôle importan
de l'un de ces centres. Dans une savante et intéressante étude, l'
auteur
examine quels 7 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
continu, par S.-11. ScHaTzKY (Obozrénié psiclaiatrü, VI, 1901). L'
auteur
pense que les expériences physiques qu'il a citée
jouit aujourd'hui le traitement de la mélancolie par le laudanum, l'
auteur
s'est proposé de recher- cher un médicament qui
s-cutanées, et à 0 gramme 08 centigrammes en pilules. En général, l'
auteur
n'a pas dépassé 0 gramme 10 centigramme en inje
sibilité tactile etdolorifique. Cette différence est due, d'après l'
auteur
, à une inégalité dans le seuil d'excitabilité d
ravail soumis à l'influence d'excitants divers ou de médicaments, l'
auteur
, dans une série d'expériences portant sur les b
xclu- sion des affections telles que tabes et paralysie générale. L'
auteur
admet les lésions parasyphilitiques non justici
utée chez nous, il est inté- ressant-de suivre l'argumentation de l'
auteur
anglais. Dr A. Marie. VII. Sur le traitement
fonctionnement du cerveau à l'état normal et dans les délusions, l'
auteur
fait remarquer que la chirurgie s'est déjà empa
doit aller, et dans quelle direction il convient de pro- céder. L'
auteur
pense qu'une trépanation primordiale, en vue d'ex
ouls un peu rapide et à faible tension. Sur dix cas dans lesquels l'
auteur
a noté ces symptômes, il y en avait huit où le
physe ; or le sujet n'a eu ni gigantisme ni acromé- galie. Pour les
auteurs
la question d'âge du malade est peut-être fort
. Le rôle du système conjonctivo- vasculaire est capital ici et les
auteurs
se réservent d'y revenir dans un travail ultéri
nce. Il n'y avait pas de dégénérescence des faisceaux blancs. Les
auteurs
pensent que la symptomatologie doit être tout e
ue. Après avoir décrit et ex- pliqué le mécanisme des mouvements, l'
auteur
expose les règles générales il suivre pour les
enant la forme d'une obsession, de l'idée délirante de grossesse, l'
auteur
s'attache à l'étude du délire de grossesse et a
ur les amnésies lacunaires. « J'ai remarqué à maintes reprisesdit l'
auteur
, combien les médecins peu familiarisés avec les
iquer en une équation mathématique des conclusions qu'à bon droit l'
auteur
n'a pas voulu aussi rigoureuses, on pour- rait
anente, périodique, complète ou incomplète (ou même absente). ' L'
auteur
étudie alors la question des relations entre l'am
génieuses, suffirait à lui seul à légiti- mer le voeu formulé par l'
auteur
d'une fusion possible, à un moment donné, des é
environ trente ans et que je l'ai visité plusieurs fois. D'abord l'
auteur
de l'article doit avoir con- fondu le mot chamb
ont bien rares. Quant aux moyens de contrainte, j'ose espérer que l'
auteur
de l'article n'en a pas rencontrés comme on n'e
nerai adonner dans le cours de mon travail l'opinion des derniers
auteurs
qui me semblent approcher le plus de la vérité re
istiques el observations franche- ment négatives de la plupart îles
auteurs
. , Depuis longtemps frappé de l'influence suspe
e au créti- "nisme. . A propos de l'étiologie de l'épilepsie, les
auteurs
de tous les temps parlent bien de l'idiotie, de
haque époque menstruelle, cela est absolument certain pour tous les
auteurs
, pour tous les spécialistes ; cela* avait été c
t occasionner quelque modification de l'épilepsie. La - plupart des
auteurs
ont négligé ce côté de la question, et cependan
e'saisir avec plus de clarté sa conception des divers psychismes, l'
auteur
se sert du schéma (fig. 1). « En 0 est le centr
par l'existence des rêves (p. 13). Nous ne suivrons pas plus loin l'
auteur
dans les exemples qu'il cite pour étayer son sc
els agi- rait un pouvoir régulateur psychique. D'autres actes que l'
auteur
attribue également au polygone hypothétique peu
nent pas l'infirmer. II. Dans le deuxième chapitre de son livre, l'
auteur
traite de l'hypnose. 11 commence par montrer, e
i on peut faire des suggestions). Cette première définition amène l'
auteur
à étudier la suggestion. Grasset, tout en admet
suggestion, obéissance passive, déterminisme fatal. zinc Aussi l'
auteur
, appliquant à cette interprétation des faits sa
avec M. Grasset, nous convenons que le sché- ma et la théorie de l'
auteur
acquerraient une large part de pro- babilité. M
les caractères pour une définition et une classification. III. L'
auteur
étudie ensuite les procédés d'hypnotisation et
divisées en motrices, sensitives, psychiques et d'actes (p. 179). L'
auteur
reconnaît lui-même que cette division est arti-
propos des hallucinations optiques, Grasset constate avec tous les
auteurs
ayant étudié cette question, que l'oeil du sujet
un sujet nor- mal : il obéit aux lois de l'optique. Et tandis que l'
auteur
cite des expériences où l'intelligence du sujet
il applique sa théorie de la désa- grégation sus-polygonale. Pour l'
auteur
, la personnalité normale est formée de deux ind
dans le poly- gone désagrégé. Nous pourrions montrer en citant l'
auteur
qu'il semble se con- tredire à vingt-cinq ligne
r des faits cette argumentation un peu obscure, de l'aveu même de l'
auteur
. Pourquoi ne pas admettre qu'un sujet hypnotisé
tions dans les appareils habituellement sous- traits à la volonté l'
auteur
rapporte un grand nombre d'expé- riences et de
'apparition de troubles trophiques par suggestion et que rappelle l'
auteur
à l'appui de sa these, sont loin d'avoir été fa
de toute suggestion » (p. 331). Telle est la question que se pose l'
auteur
et à laquelle il répond affirmativement en cita
Journal, 22 février 1902). Après un court historique du sujet, l'
auteur
aborde la question du traitement du crétinisme
Mental Science, Octo- bre 1902). Le point principal sur lequel l'
auteur
s'est proposé d'insister est le suivant : ^ C
ience. Juillet 1902). Dans ce court mémoire, qui ne contient, dit l'
auteur
lui-même, ni théorie, ni idées nouvelles, mais
° états irido- moteurs liés à l'accomodation ou à la convergence. L'
auteur
rap- pelle quelques notions physiologiques rela
ntrer. On s'occupera spéciale- ment ici de la paralysie générale, L'
auteur
rappelle les différents symptômes pupillaires o
nante que les troubles des autres sens sont dou- teux ou masqués. L'
auteur
se propose ici d'envisager les données fournies
ibilité tactile : elle se plaint d'une sensation particulière que l'
auteur
n'a jamais observée auparavant; elle sent, à ce
tes n'admettent que quatre saveurs : aigre, douce, salée, amère ; l'
auteur
pense qu'il en faudrait 140 REVUE DE PATHOLOGIE
ons qui se rattachent à la respiration, et qui devraient, suivant l'
auteur
, être considérées comme, constituant un sens pa
torturer ; quelquefois il y a des voix qui plaident en sa faveur. L'
auteur
rappelle ici que Seglas a divisé les hallucinat
e comme ayant une valeur pronostique fâcheuse, et l'expérience de l'
auteur
confirme cette manière de voir. Un point intére
ant en même temps' que d'autres hallucinations, ont été décrites, l'
auteur
les croit rares, bien que Dagonet ait peut-être
ychose polynévritique d'origine alcoolique, affection qui d'après l'
auteur
devrait être placée désor- mais dans le cadre d
la paranoia, par A. Pick (Neurolog. Centralblatl , XXI, 1902). L'
auteur
fait quelques critiques au travail de Head : Cert
ts cliniques et les conclusions de ce travail ont été résumés par l'
auteur
de la manière suivante : , L'élément histrioniq
r sa tête et exécute avec ses mem- bres des mouvements sans but : l'
auteur
l'examine et pense à l'hydrocéphalie ; la tête
s dans le Traité de médecine de Brouardel et Gilbert, d'après les
auteurs
car nous n'en n'avons pas observé un seul cas. Il
' Des recherches faites à la clinique psychiatrique de Moscou les
auteurs
concluent que la folie circulaire se rencontrerai
p. 100). Au point de vue de l'âge où débute la folie circulaire les
auteurs
ont noté que dans presque les deux tiers des ca
ins cas peut être assez prolongé pour durer plusieurs années. Les
auteurs
font suivre ces renseignements statistiques de qu
Il raisonne bien, a le don de la parole, lit énormé- ment. ' - L'
auteur
a également observé une jeune fille assez jolie,
semble au malade provenir du point correspondant du côté opposé. L'
auteur
en donne trois observations des plus intéressan
iroir, etc., etc. De l'étude de ces observations et des travaux des
auteurs
, M. Trapieznikow tire que la théorie anatomique
s après. Une rechute, survenue au bout d'un mois et demi, engagea l'
auteur
à faire une REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 153
prix Belhomme et récompensé par la Société médico-psychologiqzce, l'
auteur
tire les conclusions suivantes : 1° Le langag
mélancolie et impulsions éroti- ques ; par M. E. Cornu . Tous les
auteurs
ont insisté sur la frigidité sexuelle des diabé-
N. XXVIII. Sur les psychoses chez les Juifs ; par le D1' PiLcz. L'
auteur
s'est proposé de rechercher, à la clinique psychi
n légiste (.llédico- légal Journal, V. xxi, i'l° 1, juin 1903). L'
auteur
fait une distinction entre les folies à substratu
sse envisagé comme syndrome comparable au délire de e négation. L'
auteur
se base pour édifier sa classification sur dix ca
ification sur dix cas qu'il publie. D'après l'opinion de différents
auteurs
, Magnan, Arnaud, Rousset et Viallon, Toulouse e
ne, quant à l'idée fixe permanente et à l'obsession paroxystique, l'
auteur
ne l'a pas encore vu signaler. La genèse de l'i
tement dont on use sont insuffisants. A commencer par le tabes, l'
auteur
croit que l'on ne doit pas invoquer uniquement
e même pour la paralysie générale. M. Pierret reproche en somme aux
auteurs
, qui se sont occupés récemment de la thérapeuti
r sensiblement la valeur de certains résultats théra- peutiques ; l'
auteur
veut parler des rémissions spontanées que l'on
tivement, non de leurs tabes, mais des troubles intellectuels que l'
auteur
appelle démences paralytiques transitoires. P
cum (The Ame·icaz journal of InsaniLy, avril 1902, p. 575, 585). L'
auteur
insiste surtout sur la nécessité d'examiner avec
'agit-il du traitement d'une maladie actuellement incurable. Mais l'
auteur
passe en revue les théories pathogéniques de la p
FAHRAR (The American Joumal,[nsanity, juillet 1902, p. 17, l; . L'
auteur
résume lui-même son article à peu près comme suit
sme et stéréotypie. Relativement à ces deux derniers symp- tômes, l'
auteur
parait avoir quelque hésitation sur la manière co
s, cris avec exacerbations (p. 87 et suiv.), etc. Accessoirement, l'
auteur
relève la diminution des cas de pacha-' méningi
n une psychose vraie à évolution chronique. A propos de ce cas, l'
auteur
fait ressortir le rôle de la prédispo- sition,
en raison de la prédisposition de la malade, la responsabilité de l'
auteur
de l'accident doit être très atténuée. M. BRI
ves. La femme qui en fait l'objet aurait pu, en effet, demander à l'
auteur
de l'accident une indemnité pour le préjudice c
aliénée. Il est fort probable que les tribunaux auraient condamné l'
auteur
de l'accident et cependant, s'il est vrai que l
du pied. MM. H.RSCIIBERG et Rose. Ce réflexe, signalé par l'un des
auteurs
dans une notice parue dans la Revue neurologiqu
malades atteints d'affections intéressant la voie pyrami- dale, les
auteurs
ont trouvé ce réflexe 34 fois, alors que le signe
tique véritable, analogue à celle du phénomène des orteils, car les
auteurs
ne l'ont jamais trouvé dans des affections pure
e sur les troubles trophiques relève forcément de la physiologie. L'
auteur
, après avoir rappelé les expériences classiques
alité est en rapport assez étroit avec l'infec- tion bacillaire : l'
auteur
résume une observation personnelle d'un jeune t
te rendus de Bicêtre en contiennent de nombreuses observa- tions; l'
auteur
en ajoute une nouvelle terminée par la guérison.
du développement du corps thyroïde. Eh bien, malgré cela, tous les
auteurs
, frappés cependant par. des apparences physique
es goitres augmente considérablement chez la femme, disent tous les
auteurs
; mais nous avons vu aussi qu'à l'approche de la
toxine spécifique antithyroïdienne. Pour contrôler ces résultats, l'
auteur
essaya d'obtenir un sérum cytotoxique spécifiqu
symptômes de la thyroïdectomie n'aient eu le temps d'apparaître.) L'
auteur
injecta donc, dans le péritoine doies, des émul
t de la thyroïde, soit de la parathyroïde, pour la neutraliser. L'
auteur
fut ainsi amené à rechercher le rôle des glandes
parathyroïdectomie, les symptômes tétaniques aigus. Pour cer- tains
auteurs
cependant, notamment pour Moussu, il y a entre le
r ces recherches sur le rôle des parathyroïdes à l'état nor- mal, l'
auteur
pratiqua l'extirpation, de cet organe chez le chi
llules nerveuses. En vue de démontrer l'existence de ces poisons, l'
auteur
, chez un chien partiellement thyroïdecto- misé,
athyroïdectomisé. En tont cas, l'expérience n'est pas concluante. L'
auteur
chercha alors à déterminer le point d'attaque d
s aiguës de nombreux états toxiques. Dans un autre ordre d'idées, l'
auteur
tenta de se rendre ce des changements survenus
complexe et difficilement explicable du goitre exophtalmique que l'
auteur
pensa comme étant au moins quelque peu semblabl
nne. L'étude anatomique du goitre exophtal- mique a été faite par l'
auteur
dans un certain nombre de cas. Dans huit d'entr
tements aient donné dans cette maladie des résultats favorables), l'
auteur
, en ce moment même, en traite un cas par l'inge
trois vaches; aucune amélioration n'a encore été constatée. Mais l'
auteur
estime que de nouvelles épreuves doivent être t
es accès épileptiformes observés chez quelques-uns de ses chiens, l'
auteur
ne serait pas éloigné de penser que certaines f
ine POPPÉE. (Joum. de Neurologie, 1903, n° 7.) Dans ce travail, l'
auteur
s'attache à démontrer l'importance de la grapho
e Dr HELDENBERGH. (JOU1'n. de Neurologie, 1903, n°2.) · D'après l'
auteur
de cette'note, les réflexes tendineux normaux ou
des atteints de neurasthénie, d'hystérie ou de diverses vésanies, l'
auteur
a constaté que la recherche du réflexe rotulien
férieurs, d'un léger nystagmus et de ralentissement de la parole. L'
auteur
admet dans ce cas l'intégrité des voies motrice
athogénie du tremblement intentionnel et du tremblement au repos, l'
auteur
émet l'opinion que le premier de ces troubles e
trans- formations chimiques qui ont lieu dans les tissus vivants, l'
auteur
soutient que l'alcool, loin d'être un aliment,
ition du tonus et des réflexes) sont également frappés. D'après l'
auteur
, on ne peut expliquer l'attaque d'apoplexie, ni
ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 241 cas d'adisposis dolorosa, les
auteurs
en ont trouvé un bon nombre contenant de fines
moelle épinière chez les amputés, " ' . par M. SIVIT : ILSIÜ. ' L'
auteur
a pu examiner cinq moelles d'amputés. Dans quatre
Hôpitaux de Lyon, 3 oc- tobre 1902).' . - ? ? y t" ? , . , , L'
auteur
rappelle qu'on est d'accord aujourd'hui pour ne p
lade fut soumis à un exa- men anthropologique selon le système de l'
auteur
, et l'on constata un écart considérable avec le
aissant subsister l'insuffisance mentale ; c'est un minus habens. L'
auteur
ajoute avec raison que c'est un système suranné,
J.-H. SPROAT. (The Journal of Mental Science. Octobre 1902). 1 L'
auteur
n'entend pas s'occuper ici des grands centres, où
4 jan- vier 190). ` . ,. , . . La conclusion à laquelle les deux
auteurs
ont été conduits par des voies différentes, l'u
systématisation et greffées sur un état démen- tiel mauifeste, les
auteurs
ont conclu à l'irresponsabilité du prévenu. D
oi, elle demande à être examinée par un magistrat. Lé 2 novembre, l'
auteur
signe un certificat qui la déclare aliénée, att
idérée comme ayant fort probablement des idées de suicide, et que l'
auteur
écrivit au médecin traitant pour lui conseiller
du contrôle de l'activité émotionnelle. Tous les cas de folie que l'
auteur
a constaté chez les imbéciles se conformaient d
(The Journal of Mental Science, juillet 1903.) Les recherches de l'
auteur
ont porté sur une période qui va de 1890 à 1902
joué par la négligence dans la production des suicides à l'asile, l'
auteur
termine son travail par quelques considérations
anière dont fonctionne cet enseignement dans la maison que dirige l'
auteur
. Nous en retiendrons seulement ce point qu'il e
Longheed Baskin. (The Journal of Mental Science, Janvier 1903.) L'
auteur
a employé chez sept malades le traitement qu'il p
onscience et se demande s'il a toujours .,tenu la main à ce que les
auteurs
de communications remissent bien, au secrétaire
égénérescence et a guéri complètement en deux mois. A ce propos les
auteurs
font remar- quer que certains troubles nerveux
es de la mé- moire. Après avoir rapporté les symptômes nerveux, les
auteurs
insistent sur certaines particularités de cette
la sensibilité et les troubles d'ordre génital ont fait défaut. Les
auteurs
discutent l'origine centrale ou périphéri- que
uer à en établir le diagnostic différentiel. Tel est le point que l'
auteur
se propose de mettre en liiiiière ; et pour cel
tions qui composent ces deux catégories cliniques. C'est ce que l'
auteur
s'attache à démontrer en les étudiant suc- cess
lissement intellectuel définitif. A l'appui de ces considérations l'
auteur
rapporte quatorze obser- vations qui font de ce
s nos régions depuis le milieu environ de l'ère chrétienne. - Les
auteurs
rapportent deux observations qui sont la base del
gnés d'un pli cacheté avec devise contenant les noms et adresse des
auteurs
. LE R. P. Guillaume Hahn, S. J. Le Revue des
hn à l'Index. « Jugea-t-elle fausse quelqu'une des conclusions de l'
auteur
? Nous l'ignorons. La congrégation de l'Index n
ême dyscrasie par Lubarsch, ont une origine complexe que tous les
auteurs
qui se sont occupés de la question leur accordent
, aussi vous proposerais-je de désigner ce syndrome par le nom de l'
auteur
que l'a le premier décrit : Polynévrite cancére
e crois volontiers qu'elles sont fréquentes et importantes. Le seul
auteur
, Cotomiatti, qui les ait étudiées avec soin, le
l'extenseur propre du gros orteil droit. " Pour ne parler que des
auteurs
qui ont particulièrement étudié la question, ci
du péronier, cas d'Al- thaus localisé au nerf circonflexe). Le même
auteur
signale le peu de tendance à se diffuser des pa
ille remarque a déjà été maintes fois signalée par les différents
auteurs
et il semble bien que les localisations anormales
ication de Duchenne a trouvé en Moebius un nouveau défenseur; cet
auteur
réserve la plus grande part à la compression habi
he American Jbu ! 'nr.J.1 of Insanity, juillet 1902. p. 63-82). L'
auteur
combat la théorie inflammatoire avec origine vasc
nt est énorme ; la crépitation souvent voilée par l'oedème. , Les
auteurs
n'ont pas encore observé de fracture syringomyéli
ingomyélie; par M. H. DE Brun. (Presse médicale, 9 avril 1902). L'
auteur
a reçu dans son service d'hôpital à Beyrouth une
que cette femme syringomyélique est en même temps une lépreuse. L'
auteur
croit que l'infection lépreuse a pu amener la syr
par le processus d'inflammation méningée syphilitique, lésion que l'
auteur
a décrit en 1894 sous le nom de névrite radicul
ques excrémentitiels sur les méninges. Il semble bien, disent les
auteurs
, que l'hypertension puisse,pour ainsi dire, org
s sont très rares et dans les recher- ches auxquelles s'est livré l'
auteur
, il n'a pu trouver que trois cas semblables; de
eurs. Les réflexes ont une légère exagération. Il a de l'anosmie. L'
auteur
se demande si le cholestéatome serait chez l'ho
rs; d'où l'expression de réflexe rotulien latéralisé proposée par l'
auteur
. Ce phénomène est probablement dû, d'une part à
ans la coïnci- dence du recul oculaire et du syndrome basedowien. L'
auteur
essaye d'interpréter ce cas ; deux hypothèses s
eurs qui consiste dans la diminution de l'attention consciente. Les
auteurs
font de leur malade un cérébral, un cortical et
formes aiguës de la myélite. Au point de vue théorique le cas de l'
auteur
ne confirme pas les données physiologiques sur
die à un point de vue purement clinique la variété délirante. ' L'
auteur
pense que la folie brightique, pas plus que l'uré
as de valeur pro- nostique. Des six observations rapportées par l'
auteur
les deux premières ont trait à deux alcooliques
diés par Pierret, fit du délire d'inanition et mourut d'urémie. L'
auteur
, se basant sur ces différents cas qui sont tous i
de l'hy- dropisie des ventricules qui démontrent son existence. L'
auteur
ne croit pas que le délire soit jamais le signe d
ne. Cette complication des affections gastriques est fort rare, les
auteurs
font en effet remarquer que, depuis le travail in
elant les différentes théories pathogéniques mises en avant par les
auteurs
: la déshydratation du sang, la théorie réflexe
Arndt. (Cent1'albl. f. Yer-. venheilk. XXV. N. F. XHL 1902). , L'
auteur
passe en revue les origines et le développement d
f. Nervenheilk, XXIV. N. F. XII, 1901). Modèle d'examen propre à l'
auteur
. Mémoire écrit en français. . P. 11HRAVAL. L.
m qui fait de la catatonie une entité morbide spéciale et celle des
auteurs
qui la considèrent comme un syndrome banal pouv
rnal of Mental Science, octobre 1903.) Les conclusions tirées par l'
auteur
de ses recherches cliniques et expérimentales s
r John \VAnNOCE. (The Journal of Mental Science, janvier 1903.) L'
auteur
, qui dirige un asile au Caire, est bien placé pou
t une tendance particulière à commettre des crimes. En terminant, l'
auteur
constate que l'usage du Cannabis Indics parait
rnal of Mental Science, juillet 1903.) Dans un précédent travail, l'
auteur
a démontré que, dans tous les cas de manie aigu
ve, elle se maintient aux environs de 20.000 par millimètre cube. L'
auteur
décrit ensuite ce qu'il entend par manie d'adoles
nombre assez considérable de cas de folie alcoolique chronique. L'
auteur
, après un résumé de la littérature du sujet, publ
e caractéristique, non plus que l'observation du langage. Plusieurs
auteurs
trouvent une connexité étroite entre la maladie
sortir de l'asile; trois sont encore à l'asile; deux sont morts. L'
auteur
termine par quelques considé- rations sur l'ana
is il y en avait dans le tissu con- nectif qui entoure les reins. L'
auteur
termine son travail par l'observation d'un cas
let et DLÜEIt31. Après avoir essayé plusieurs modèles d'écrans, les
auteurs
ont adopté le dispositif qui consiste à placer
iles ont été exa- minées et toujours sur les muscles paralysés, les
auteurs
ont pu constater une phosphorescence bien moind
c'est-à-dire dans les lésions du neurone moteur périphérique. Les
auteurs
ont constaté le contraire dans des cas d'altérati
oins les cas suivants guéris par la suggestion hypnotique et dont l'
auteur
rapporte l'observa- tion complète : crises d'li
e mutisme, surdité ou cécité hystérique, de verrues, etc., etc. L'
auteur
rapporte quelques observations marquantes de muti
bre 1903.) ' - - Dans ses visites aux Universités des Etats-Unis, l'
auteur
a pu faits divers. 351 constater la place imp
A.-13. TUMBULL (The Journal 0/'Mental Science, octobre 1903). , L'
auteur
raconte d'abord sa visite à deux institutions de
, octobre 1903). Travail accompagné de plusieurs tableaux, et que l'
auteur
après quelques rectifications des- chiffres, te
rentrer en possession . de son bien. Nos meilleurs compliments à l'
auteur
de cet acte de probité. Asile d'aliénés de L
unicution. sur 51 paralytiques généraux examinés par ces derniers
auteurs
42 ont présenté des lésions du fond de l'oeil. :
e de l'image motrice dans l'acte sexuel ; et cliniquement, certains
auteurs
ont voulu voir de l'épilepsie, affection motric
janvier 1903.) bans ce travail, accompagné de deux observations, l'
auteur
s'attache à démontrer que le bromhydrate d'hyos
idiomusculaire chez les tabétiques, recherche dont les différents
auteurs
ne font pas mention. Des faits observés, il arriv
pas : nous devons nous borner à retenir quel- ques conclusions : l'
auteur
divisé ses cas en deux classes, la pre- mière q
ches et de plusieurs séries d'observations recueillies par d'autres
auteurs
, M. Blachford conclut que l'on peut admettre co
la face de la maladie de Raynaud sont parti- culièrement rares. Les
auteurs
de l'article ont eu l'occasion d'en observer de
nt à entraîner la face du côté de la section du nerf principal. L'
auteur
met en évidence d'autres faits : d'abord l'amende
1901, n° 38, p. 4 : >0). Dans des publications précédentes, les
auteurs
ont soutenu qu'il n'existait pas dans la moelle
GIQUES. 381 des conclusions diamétralement opposées â celles de cet
auteur
et n'admettèrent pas ces lésions comme spécifiq
'admettèrent pas ces lésions comme spécifiques du tétanos. Pour les
auteurs
qui ont étudié ultérieurement la question, comme
delasaison d'hiver et disparaissaient ensuite petit à petit. - L'
auteur
a recherché la localisation exacte de ces gouttel
tion dans le névraxe du même animal. Il s'agit évidemment, dit l'
auteur
, d'une particularité propice aux éléments conjonc
he Journal of Mental Science. Janvier 1903.) Les conclusions de l'
auteur
sont les suivantes : 1° les anomalies du palais
mpagné de ligures et de planches : nous reproduisons le résumé de l'
auteur
. lous les faits constatés dans ce cas indiquent
au des aliénés ; leur fonction normale est encore mal déterminée; l'
auteur
pense que chaque vibration due à la systole ven
rce sur la cellule nerveuse une action trophique. En terminant, l'
auteur
insiste sur la nécessité d'examiner ces cellule
FE. (The Journal of Mental Science. Avril 1902.) La conclusion de l'
auteur
est la suivante : Il s'agit de la lésion que l'
par le D1' C. Ceci. (Riu. Sp. di (¡'en, 1903. fasc. 1, t. II). L'
auteur
conclut de ses recherches que dans le sang des ép
par le Dr Donaggio. (Riv. Sp. di frein. fasc. 4, lu03.) D'après l'
auteur
, l'appareil complexe périphérique de la cellule
hérique, le perforent sans assumer avec lui aucun rapport ; comme l'
auteur
a pu le constater dans des éléments du noyau du
cal Journal and Philadelphia medical Journal, 31 octobre 1903.) L'
auteur
examine successivement les contusions du cuir che
à la scarlatine qu'il faut rapporter l'origine de cette névrite. L'
auteur
rappelle en terminant que Korsakow (Moscou) a l
rachidien est mo- difiée. Dans 88 p. 100 des cas observés par les
auteurs
, le procédé a donné des résultats décisifs pour
a compression ne semble pas suffire pour créer de la névrite, car l'
auteur
a vu, dans une verre- rie, beaucoup d'ouvriers
avril 1902). Il Cytologie. Dans les trois ponctions faites par les
auteurs
, les mononucléaires (les lymphocytes en particu
t presque toujours hypotonique avec = 055 à 0018, Dans le cas des
auteurs
A - - 0 ? 1. 3° Sèro-agglulination très positiv
à 1/5° avec le sérum sanguin. 4° Recherche du bacille de Koch. Les
auteurs
, conformément à la règle n'ont pu trouver le ba
on cours et le malade succomba le troisième jour. A l'autopsie, l'
auteur
trouva une méningite diffuse, marquée surtout a
ngt-six ans. Ces observations auraient été déjà présentées, croit l'
auteur
, à la Société de médecine de Bordeaux par M. Ti
- tarsiens sont très courts. Au point de vue du diagnostic, dit l'
auteur
, les cas de nanisme peuvent se ranger dans troi
A propos de la nature et de la pathogénie de cette affection, les
auteurs
sont loin d'être d'accord. Les unsnient que l'a
M. Lannois et Porot semble venir à l'appui de l'opinion de certains
auteurs
qui admettent la nature toxi-m- fectieuse de qu
ngée récente. Diagnostic macroscopique de la tumeur : Gliome. Les
auteurs
mettent en évidence la forme psycho-paralytique d
ent irritative de la tumeur. C'est cette dernière théorie que ' les
auteurs
appliquent à leur cas. G. Carrier. XXXXVII. For
en temps le gaz dégluti est expulsé par une bruyante éructation. L'
auteur
, dans cette note, veut signa- ! 1er simplement ce
dans le fonctionnement de l'estomac, 1 du ceeur et du poumon. , L'
auteur
cite deux observations dans lesquelles l'aérophag
mois après ils avaient disparu. Au point de vue du diagnostic, les
auteurs
rejettent et une lésion organique et 1'liysLéro
- ses peuvent ou non apparaître. Au point de vue nosologique, les
auteurs
émettent l'hypothèse, que les accidents nerveux
apoplectique suivi de perte de la conscience et de dysenterie, l'
auteur
pense (en l'absence d'examen microscopique) que c
adies que va publier le Collège Royal des Médecins de Londres que l'
auteur
a pensé qu'il y avait lieu de reviser la nomencla
ais.il est fort diflicile d'y faire rentrer les cas particuliers. L'
auteur
pense que l'on arrivera à un résultat beaucoup
n faire une forme particulière de maladie mentale, ce que plusieurs
auteurs
toutefois n'admettent pas. La maladie dont il s
ne mesure : chez quelques sujets la maladie reste sta- tionnaire. L'
auteur
rapporte ici, très longuement et avec beaucoup
BUCK. Bull. delà soc.de méd. ment, de Belgique, 1903, n° 113.) L'
auteur
rejette sans discussion la théorie de l'origine s
iques à un trouble de l'activité volontaire, mais il estime que cet
auteur
est allé trop loin en considérant ces phénomène
t pour la plupart rapportées avec détail. Dans la seconde partie, l'
auteur
aborde l'étude des théories des hallucina- tion
insi tous les trajets nerveux dans un état d'activité anormale. L'
auteur
entre ensuite dans quelques considérations intére
t beaucoup plus complexes que les associations motrices. Bien que l'
auteur
pense, avec Tamburini, que la sensation dont no
s un centre d'association de Flechsig, ou un centre psychique, et l'
auteur
pense, avec Tanzi, que l'étude des hallucinatio
ions de ce travail se résument ainsi : les malades homicides, que l'
auteur
a observés ne souffrent pas d'une forme spécial
reux hasard qu'ils n'ont tué personne. Aucun des cas observés par l'
auteur
ne le conduit à admettre une manie homicide, un
ans l'état post-épileptique ; par le Prof. A. PicK (de Prague). L'
auteur
rapporte l'observation d'un malade étudié par lui
MENTALE. atteints du délire de dépossession et de revendication. L'
auteur
montre, fait qui n'avait pas encore été signalé
r les entrants, avant leur admission définitive, ou mieux d'après l'
auteur
, exiger que dans tout certificat médical joint à
gonistes unilatérales et alter- nantes ; par le Dol' J. SÉGLAS. L'
auteur
montre le côté fantaisiste de l'hypothèse de la d
e renferme deux observations de névrose d'angoisse. "Avec Ballet, l'
auteur
pense, contrairement à la théorie de Frend, que
stase papillaire et la vision redevint normale. Il y a trois mois l'
auteur
revit cette malade, dont les symptômes s'étaient
des vaisseaux profonds avec les vaisseaux superficiels. Le cas de l'
auteur
est très favorable. G. C. REVUE DE THÉRAPEUTI
arguments qui ont été mis en avant pour ou contre celte méthode, l'
auteur
estime que l'on peut conclure : 1° Qu'elle offr
ntractures et les accès spasmodiques survenant dans le tétanos. L'
auteur
s'est basé sur les expériences faites par MM. Lum
té faites en Allemagne parSieber. Dans les deux cas qu'il publie, l'
auteur
s'est servi d'une solution fraîche de persulfat
THÉRAPEUTIQUE. Le trismus seul a persisté encore quelque temps. L'
auteur
a constaté en outre que les injections de persulf
\I : 1C\IILL : 1N (Tite JOllmal of Mental Science. Juillet 1902). L'
auteur
indique avec détails les mesures prophylactiques
s qu'il n'est pas habituel d'observer dans les cas de ce genre. Les
auteurs
insistent surtout sur la précocité du début et le
lière, Paris, 1904. Le travail de M. Henri Carrier fait éloge à son
auteur
; il s'est proposé en effet d'élucider et de me
ères cliniques ont été souvent bien mis en évidence par de nombreux
auteurs
, mais dont l'anatomie patho- logique était enco
ur arriver à une notion exacte des lésions du delirium tre- mens, l'
auteur
a adopté un plan général d'étude qui lui a permis
entel, ne pou- vant survenir que chez des alcooliques chroniques; l'
auteur
, allant du simple au composé, a recherché d'abo
ons dé celles de la paralysie générale. Dans le dernier chapitre, l'
auteur
compare l'ensemble des lésions du delirium tremen
désagrégation ne pénètrent jamais à l'intérieur du . proloplasma. L'
auteur
leur refuse toute fonction de phagocytose, de n
tteindre le degré le plus bas de la pensée normale, la rêverie. L'
auteur
ne s'est pas borné à des affirmations : elle donn
les. » Ces deux citations qui d'ailleurs résument les données des
auteurs
là-dessus, suffisent pour montrer que jusqu'ici l
nt être sous ladépendance,comme l'ont d'ailleurs constaté plusieurs
auteurs
, notamment Ma- gnan, Sérieux, Truelle, etc., d'
édico psc7 ? n° Sept.- Oct. 1902, une observation des deux premiers
auteurs
qui est très intéressante. L'observation est
on ni emmagasinement d'énergie, mais seulement redistribu- tion ? L'
auteur
est d'accord avec Gotch pour admettre que, sans
cte dans les neurones ou à la transformation d'énergie accumulée. L'
auteur
entre ici dans quelques considérations sur le m
du sang qui alimente le système nerveux et l'écorce cérébrale. L'
auteur
recherche ensuite comment les centres supérieurs
dans notre vie psychique le rôle de beaucoup le plus important. L'
auteur
se place ensuite sur le terrain des faits physiol
médullé est aussi dilficile à fatiguer qu'un nerf médullé, et ces
auteurs
concluent que tandis que la fatigue est démontrab
que la fatigue, au sens ordinaire du mot, n'est pas démontrable. L'
auteur
entre ici dans quelques détails sur les recherc
herches de Gumprecht et Gulewitz, recherches de Halliburton et de l'
auteur
). On peut supposer que des processus anabolique
-né vient à l'appui de cette manière de voir pour des raisons que l'
auteur
développe. 4° On sait que, chez un enfant né
formation de myé- liue est insuffisante pour régénérer les nerfs. L'
auteur
entre ici dans des considérations assez étendue
tique des colonnes postérieures chez l'homme. Les observations de l'
auteur
qui portent sur un grand nombre de cas, viennen
ant lieu à ce que Sir William Gowers appelle une « Abiotrophie ». L'
auteur
termine en disant que l'expérience et l'expérimen
s de cet important travail, après avoir toutefois indiqué d'après l'
auteur
lui-même quels sont ces carac- tères, ce sont :
usqu'ici ni dans le cerveau de l'homme ni dans celui des animaux. L'
auteur
décrit ensuite la méthode de coloration employé
lulaire. Nous résumons maintenant les conclusions dans lesquelles l'
auteur
montre l'in- fluence de ces recherches sur les
es.Après avoir rappelé brièvement les travaux de Hill et de Held, l'
auteur
ajoute que ses observations tendent toutes à dé
du réseau et de la cellule qu'il contient. Dans un autre travail l'
auteur
a fait remarquer que, tandis que dans l'écorce
particularités anatomiques d'un cylindraxe. Les propo- sition de l'
auteur
n'ont toutefois que la valeur de simples tenta-
homme que lorsqu'elles auront été confirmées sur le cerveau même. L'
auteur
répond à quelques objections du professeur Schû
ante » était associée aux néoplasmes de cette région; mais d'autres
auteurs
pensent qu'au point de vue symptomatique les lo
illet 1903). Le caractère de l'épilepsie jacksonnienne sur lequel l'
auteur
se propose d'attirer l'attention est la périodi
hroniques causent-elles des décharges périodiques. La réponse que l'
auteur
se propose de faire à cette question lui a été
ure du poids, reprend sa place et recommence à se remplir. » Et l'
auteur
, poussant l'analogie un peu plus loin, ajoute : «
e, et, quand elle les autorise, à en déterminer la direc- tion. L'
auteur
expose brièvement les théories courantes sur l'ac
ntesta- bkment deux voies pour les impulsions volitionnelles, ici l'
auteur
résume l'opinion de Donaldson, citée par Foster
on du rôle joué par la volition dans l'exécution du mouvement que l'
auteur
étudie longuement. On pourrait supposer que la
petit mal, et qui accompagnent le somnambulisme et l'hypnotisme. L'
auteur
se propose d'examiner ensuite comment son hypot
gie à lui communiquer. Passant à l'étude de l'effort volitionnel, l'
auteur
le considère comme l'accompagnement mental d'un
une suspension d'action par l'intermédiaire du système pyramidal. L'
auteur
en terminant examine quelle influence sa théori
près quelques considérations sur l'hypnotisme et la sugges- tion, l'
auteur
arrive aux applications pratiques, qui sont limit
Savary-Pearce. (The New-York Médical Journal, 25 octobre 1902.) L'
auteur
résume son travail dans les conclusions suivantes
t. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 489 selon toute probabilité, d'après l'
auteur
, d'un début de méningite tuberculeuse : Troub
1 ? (Tice Journal of Mental Science. Avril 1903.) Dans ce travail l'
auteur
étudie avec sagacité les moyens les plus ' Très
-R. LI E- PER. (titre Journal of Mental Science. Octobre 1903 ) L'
auteur
rapporte plusieurs cas propres à démontrer, comme
tribue injustement la guérison à un médica- ment qui n'en est pas l'
auteur
, ce qui contribue à lui faire attri- buer une v
enry n.\Y<ER, (The Journal of Mental Science, juillet 1902). L'
auteur
se demande si le sommeil provoqué par les narcoti
qui pré- cède le sommeil. Le résultat de la comparaison laite par l'
auteur
entre le sommeil et d'autres états d'inconscien
ue, il y a inconscience et insensibilité; dans l'état mesmérique (l'
auteur
préfère ce mot qui ne précise rien à ceux d'hyp
e sur la cellule nerveuse est particu- lièrement frappant, et ici l'
auteur
rappelle les travaux de Hodges et de Hamilton W
n des cas, les opinions varient à l'infini ; sur le mode d'emploi l'
auteur
est arrivé depuis longtemps à écarter complète-
des agités et bruyants pendant la nuit. La conclusion générale de l'
auteur
, c'est que l'emploi des narco- tiques doit être
employée : et se prend en général dans du lait ou de la bière. L'
auteur
considère la bromipine comme un succédané précieu
arche de la paralysie générale. Ce sont de nouvelles preuves, dit l'
auteur
, qui viennent à l'appui de l'opinion qui tend à
a syphilis doit être incriminée dans une proportion de 90 p. 100. L'
auteur
croit que les rémissions spontanées sont l'exce
il donne avec la phénylhydragine une osazone caractéristique. Les
auteurs
ont fait le dosage de ce sucre un certain nombre
était mort son autopsieavait révélé une atrophie cérébelleuse. Les
auteurs
avaient émis en 1900 l'hypothèse que l'autopsie
euse énorme des phalanges et métatarsien des deux gros orteils. Les
auteurs
ne concluent pas. ' Névrite radiculaire sensiti
ale, sont pour la plupart stériles. Les cas, envisagés par certains
auteurs
, comme paralysie générale, s'étant développée e
nts sur cette question et fait une large part à ceux de Weismann, l'
auteur
constate que, malgré une somme considé- rable d
e l'une des nombreuses manifestations de la diathèse vésanique ! (l'
auteur
emploie ce mot de diathèse vésanique dans le co
t de leur donner une réponse satisfaisante. Les statistiques de l'
auteur
portent sur 3445 cas, entrés dans son asile pen
p. 100. Il faut observer d'ailleurs qu'il n'y a peut-être pas deux
auteurs
qui soient absolument d'accord sur ce qu'il con
trans- mettre la diathèse vésanique ? Ici les chiffres des divers
auteurs
sont loin de concorder et vont même jusqu'à se
concorder et vont même jusqu'à se contredire. Sur les 620 cas où l'
auteur
a pu éta- blir avec exactitude par lequel des d
se trouve en présence de sérieux désac- cords. La statistique de l'
auteur
concorde surtout avec celle de Turner : sur 306
que 124 hommes contre 190 femmes. On voit par les chiffres que l'
auteur
a réunis dans un tableau que nous ne pouvons pas
is dans un tableau que nous ne pouvons pas repro- duire, que si les
auteurs
sont un peu divisés sur la question de savoir s
Le chiffre de 3445 malades qui sert de base à la statistique de l'
auteur
ne comporte que 68 cas congénitaux, avec ou sans
tre question), le nombre des cas de folie épileptique relevés par l'
auteur
est de 120, dont 77 hommes et 43 femmes. Ceux de
gré d'hérédité de la paralysie générale est très discuté : quelques
auteurs
voudraient la rayer entièrement du groupe des f
ilent à cet égard aux autres maladies mentales. La statistique de l'
auteur
porte sur 433 cas - 363 hommes et 70 femmes. -
hommes (soit 27,17 p. 100) et 484 femmes (soit 30,13 p. 100.) 1 L'
auteur
aborde ensuite une question de la plus haute impo
bryon, incapable de se développer, périsse prématurément. Mais l'
auteur
ne pense pas que la doctrine de l'infection spéci
e l'importance des unions sélectives. Cela arrivera-t-il jamais ? L'
auteur
en désespère d'autant moins que la diminution e
si la race vient à se détériorer, la nation est perdue. Or, pour l'
auteur
, c'est une vérité biologique qu'une population
guissante et dégénérera. Après quelques considérations finales, l'
auteur
conclut qu'il est nécessaire de poursuivre par
nte) disparition du stigmate inhérent au passage a l'asile fermé. L'
auteur
combat l'idée de fonder pour les maladies menta
ile public des aliénés de Pau. ' Nous prions, dès maintenant, les
auteurs
à ce Congrès, de bien vouloir nous envoyer pour
Céhbert, p 415. Thenelles. Le réveil et la mort de 538 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. la dormeuse de -, par Fa
La vie biologique d'un - , par Vasclnde'et Vurpas, 60. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Agniel, 325. Alexandre,
2. Beallnis. 420. Rechterrw, 54, 57, 451, 237, 333. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. 539 Iieilrjitzky, 239.
Lass, 248. Leclerc, 822, 335. Leeper, 384, 490. - 540 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Le Menant des Chesnais.
hez 30 d'entre eux l'examen ophthalmos- copique fut possible et les
auteurs
trouvèrent 3 fois une atrophie avancée, 1 fois
lu- LE FOND DE l'(Ell, CHEZ LES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX. 7 part des
auteurs
qui y sont cités ont décrit comme nous, l'atrop
it suivant : Il avait lu dans un journal le récit d'un crime dont l'
auteur
restait inconnu. Cette lecture provoqua chez lu
it inconsciemment. En Suède et aussi en Allemagne et en France, les
auteurs
qui se sont occupés de thérapeutique par le mou
par la perte des contractions muscu- laires volontaires, plusieurs
auteurs
avaient essayé de discipliner ces contractions
e genre de traitement. LA RÉÉDUCATION MOTRICE. 67 Enfin plusieurs
auteurs
considèrent Mortimer Granville comme l'initiate
mbes et quelques muscles des cuisses ; ainsi se trahissait chez les
auteurs
, cette illusion capitale que l'incoordination d
femelles pleines des extraits de foie ou de rein. « Or, disent les
auteurs
, assez fréquemment, quand, huit jours au moins
Dr Ladame (Reu. méd. de la Suisse romande, n° 3, 1903). Plusieurs
auteurs
ayant soutenu récemment que Broca n'avait pas l
alogie. Le résultat des recherches soigneusement enregistrées par l'
auteur
est loin de contribuer à la détermination bien
logique a été décrite dans des articles antérieurs, ont conduit les
auteurs
à un ensemble de propositions hypothétiques don
erches expérimentales conduites selon la méthode déjà exposée par l'
auteur
, portant sur le travail du médius, et enre- gis
serrées de la plupart des articulations du tronc et des membres. L'
auteur
élimine le diagnostic de rhumatisme déformant,
YSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 91 culaires des os longs, des vertèbres. L'
auteur
estime que ce cas ne saurait rentrer dans un ca
emaines est rare. L'histologie minutieuse et longue détaillée par l'
auteur
lui per- met de conclure, de concert avec le ta
le, excelle pour la substance chromophile des cellules nerveuses. L'
auteur
emploie le violet de crésyle RRI de la fabrique
d'autres éléments : troubles sensitifs, sécrétoires, trophiques. L'
auteur
admet les divisions et subdivisions suivantes :
s; par D,-J. GAUANA. (Reuisla deMedicina y cir.pract., n" 713). L'
auteur
a beaucoup expérimenté cet hypnotique, qu'il donn
et de l'al- coolisme ; par A. Haré (Médical News, 7 juin 1902). L'
auteur
préconise la substitution brusque de l'liyoscine
10,NTYEL. (Revue de médecine, 1902.) L'alitement a été essayé par l'
auteur
, sur de nombreux épilep- tiques ayant des délir
L'autopsie n'a pas été pratiquée. C'est la première fois, d'après l'
auteur
, que les propriétés hémos- tatiques de la gélat
A l'autopsie, à côté des lésions classiques du tabès dorsalis, les
auteurs
ont trouvé une atrophie primitibe des grandes cel
sont le sexe, la race, la nationalité et l'hérédité personnelle. L'
auteur
va laisser décote l'Ethologie ethnologique, pou
e peut-elle pas être une acquisition de l'espèce ? Avec Hoffding, l'
auteur
conclut que l'individualité psy- chique est l'u
tée géné- ralement ne repose que sur l'observation psychologique. L'
auteur
est loin de vouloir nier l'influence du tempéra
science, la psychologie peut seule nous éclairer sur ce point. L'
auteur
passe en revue et discute les théories psychologi
s classifications ne sont que les combinaisons des précé- dentes. L'
auteur
accepte la distinction en apathiques, affectifs,
is parties. Dans la première, après un historique de la question, l'
auteur
met au point la question si délicate de l'acoum
uble delà sensibilité, apparaît évidente dans la plupart des cas. L'
auteur
passe en revue les caractères de cette diminution
côté tout ce qui a traita l'appréciation delà capacité civile, les
auteurs
ne se sont pas proposés de faire un manuel de m
15 très, délits érotiques, incendies et la genèse de ces faits, les
auteurs
examinent les causes de la non reconnaissance d
roubles mentaux de ce genre. varia. 119 J Folie incendiaire.- L'
auteur
des incendies qui ont détruit une dizaine de ma
hasard qui a fait découvrir ce cas horrible de séquestration dont l'
auteur
a été arrêté (Petit Parisien, 5 septembre 1902)
1857. Dans ce travail, paru dans la Gazette des Hôpitaux de 1870, l'
auteur
cite quatre observations de 13aillar-er. Quelqu
commuuiquée,et il en retrace les caractères cliniques'. Certains
auteurs
, et plus particulièrement les étrangers, en All
de nombreux mémoires ont paru sur la folie à deux. En général, les
auteurs
admettent les formes cli- niques classées par M
f. l'sycltiatrie, v. XVI, 3a f., 1897). 13 ï- CLINIQUE MENTALE.
auteurs
tendent à faire rentrer dans le cadre nouveau des
Sérieux et Capgras). Dans quelques publications plus générales, les
auteurs
cherchent à étudier le phénomène psychologique
tanéité des phénomènes délirants. Elle a été longtemps niée par les
auteurs
; M. Régis, dans sa thèse soutenue en 1879, donn
ion se réduit à deux éléments cliniques bien individualisés par les
auteurs
: un sujet actif, élément contagieux, un sujet
est-à-dire d'une faible prédisposition. Les opinions des différents
auteurs
sont très variables sur la compréhension de cet
u sujet actif disparaît. Jusqu'ici, nous sommes d'accord avec les
auteurs
, et en particulier M. Marandon, mais où nous no
e communiquée on doit rattacher la folie induite ou transformée des
auteurs
étrangers, qui n'est qu'un cas particulier de c
égale des sujets passifs, dans les cas de folie imposée. Tous les
auteurs
, sauf récemment M. Nina Rodriguès'. les considè
e, du foie, de la rate, des reins et des cap- sules surrénales. Les
auteurs
passent en revue les différentes hypothèses mis
ar Henry IEIGF. (Nouv. Iconogr. de la Salpétriêre, n° 6, 1901). L'
auteur
rappelle les différentes observations d'oedèmes d
eur, dans le troisième, la face, avec caractères d'hypothyroïdie. L'
auteur
signale cette parenté entre l'appauvris- sement
Elle est plus fréquente que la paralysie bulbaire de Duchenne. I. L'
auteur
fait remarquer que ce travail constitue le complé
s 53,54. 59, 61 du schéma d'Exner. C'est un foyer apoplectique. L'
auteur
envisage l'embarras dans lequel se serait trouvé
oseine, puis par la nicotine à la dose de 0,001, puis de 0,002. L'
auteur
fait remarquer que la paralysie agitante atteint
cloison. Cet incident a des analogies avec l'ictus laryngé; mais l'
auteur
pense, bien que la pathogénie soit obscure, qu'
es crises épileptiques maintenue pendant huit mois consécutifs. Les
auteurs
portèrent, dès ce moment, le diagnostic de syph
ouvent à l'évidence l'origine vasculaire du processus qui, pour les
auteurs
, ne peut être ici que la syphilis. Les notions
able. Les troubles gastriques ont en général, un pronostic bénin. L'
auteur
pose trois indications pour le traitement de l'
. PATMCE. ( ? laeNe2u- York Médical Journal, 7 septembre 1901.) L'
auteur
désigne sous ce nom, ou sous l'appellation synony
ser ici; nous nous bornerons à repro- duire quelques remarques de l'
auteur
, relatives au pronostic et au traitement. Le
ar le Dr Briand. (Annales médico-psychologiques, octobre 1899.) L'
auteur
, dans un rapport des plus intéressants, pose, dev
axiome de droit, doit bénéficier. En confirmation de ces idées, l'
auteur
apporte une importante statistique de deux cent
, à un moment donné, être personnellement inquiété, comme l'a été l'
auteur
, sous prétexte que, commettant de ses gardiens,
avril 1900, mémoires dont il a été rendu compte à cette place. L'
auteur
croit à une diminution de la puissance de résista
t trouvé chez des géants et chez certains acromécaliques par divers
auteurs
. La constatation d'une tumeur hypophysaire conf
ion, trouble comparable à ces accidents toniques convulsifs, dont l'
auteur
a signalé la coexistence ou l'alternance avec les
après les descriptions classiques, vient à l'appui de l'opinion des
auteurs
(Erb, Remak, Valpian, F. Raymond, Oppenheim, Jo
élèves la valeur morale des habitudes qu'il leur aura données. Et l'
auteur
termine par quelques réflexions dont nous goûtons
é a fixé des points importants. Des thèses ont été soutenues où les
auteurs
ont envisagé des côtés différents de la questio
ants qui se produisent dans la sphère de l'idéation seule. Quelques
auteurs
qui ont écrit depuis sur ce sujet ont cru devoi
ires précédemment étudiés ne sont pas par contre admis par tous les
auteurs
. Notre distingué collègue de Bordeaux n'admet p
ement une dégénérescence mentale avec hystérie. La deuxième du même
auteur
était hypochondriaque (obs.VII). Dans le cas de
es post-opératoires étaient une légende. Or, il a voulu viser les
auteurs
qui ont prétendu que l'opération pouvait à elle
lire chez les traumatisés ou les opérés ; et, dès cette époque, l'
auteur
en appelait aux chirurgiens, leur demandant de
s délirantes est une des raisons qui ont pro- bablement conduit les
auteurs
à admettre cette relation. On voit souvent des
ppuyant d'ailleurs sur cette variabilité des symptômes que quelques
auteurs
se refusent à grouper à part les psychoses post
es que nous le comprenons, on doit tenir pour erronée l'opinion des
auteurs
qui, pour des raisons exposées ailleurs, les co
à peu près constam- ment chez tous et sur lequel, à notre avis, les
auteurs
n'ont pas assez insisté, c'est que la douleur,
ulsive ». Mais il est certain qu'on a abusé de cette forme, car les
auteurs
ont ici bien souvent considéré comme du tic la
tre recommandés. III. Traitement électrique Depuis longtemps, les
auteurs
ont eu recours à l'électricité et celle-ci a ét
Duchenne de Boulogne puis par Becquerel est, d'après la plupart des
auteurs
, un excellent révulsif dans certaines formes ex
t brillants, tantôt au contraire, comme absolument nuls. D'autres
auteurs
, convaincus de l'insuffisance du courant contin
'obtenir. A. Principe de la méthode. Il y a quelques années, cet.
auteur
proposa d'utiliser dans la névralgie faciale des
vidente. Mais plus enthousiastes que le professeur de Bordeaux, ces
auteurs
ont proclamé des guéri- sons, alors que Bergoni
irritant, ont fait rejeter l'emploi de ce pôle-par la plu- part des
auteurs
. Quelques-uns cependant, parmi lesquels Guilloz
utiliser pour la fabrication des élec- trodes est, suivant certains
auteurs
, également à considérer, Bordier rejette absolu
estion est sans doute l'une des plus importantes, attendu que les
auteurs
qui ont utilisé le courant continu contre la névr
L'emploi d'intensités faibles se justifiera parfaitement- Quelques
auteurs
ont renoncé à l'évaluation de l'intensité du co
NEVRALGIE FACIALE. 25 ! appelle la densité du courant, et pour ces
auteurs
c'est la densité qui se trouve être l'élément p
e dix minutes est suffisante; elle est même considérée par certains
auteurs
comme une application longue puisque trois à ci
eux que rapporte Bergonié offrent un intérêt primordial puisque l'
auteur
a pu suivre certains malades pendant sept à huit
certains malades pendant sept à huit ans. Malheureusement tous les
auteurs
ne l'ont pas imité et n'ont pas publié de suite
ère, il est permis de se demander si, dans des cas de ce genre, les
auteurs
n'ont pas été induits en erreur par l'allure de
l des deux types appartient l'affection traitée. ' Sans doute les
auteurs
ont eu toujours soin de noter la date du début
, qu'à l'exemple de Moebius, font encore valoir un certain nombre d'
auteurs
, Bernheim par exemple. Il faudrait admettre dan
parition d'une nouvelle théorie heu- reuse. C'est ce que démontre l'
auteur
en suivant pas à pas les principaux échelons de
pas habituellement la paralysie faciale d'origine basilaire. ' L'
auteur
insiste sur ce fait à retenir, qu'il peut exister
élite. Contrairement à l'opinion le plus généralement admise, les
auteurs
pensent qu'il y a lieu, dans l'étude du développe
quée. En comparant les données des divers tableaux publiés par les
auteurs
, on voit que l'existence de la contraction idio-m
seur L : 1NDOUZY et M. Labbé {Presse médicale, 19 août 1899). Les
auteurs
considèrent comme insuffisamment justifiée la dis
prochement de cette observation avec dix autres publiées par divers
auteurs
, et dont ils donnent le résumé, MM. Landouzy et
; selon toute pro- babilité, il doit varier -suivant' les cas. Les
auteurs
exposant avec détails le mécanisme du développe
ânien, funilatéralité des lésions ont été con- sidérés par certains
auteurs
comme des signes distinctifs des porencéphalies
les) et le onzième a été atteint seulement de crises de diarrhée. L'
auteur
conclut de ces faits : que la crise laryngée es
extrémités ; hérédité simi- laire. L'observation rapportée par l'
auteur
présente tout d'abord le syndrome de Dejerine m
le développement de la moelle, celui-ci dans bien des cas d'après l'
auteur
ne reconnaissait pas d'autre cause que l'hérédo-
érieur est très faible. De l'analyse de ces différents symptômes, l'
auteur
croit devoir conclure à l'existence à la fois d
les épileptiques; par W. SpRATUNG {Médical News, 28 juin 1902). L'
auteur
ramène à quatre les principales formes sous lesqu
lexes rotuliens, sans amyotrophie, ni troubles de la sensibilité. L'
auteur
incline à croire que ces troubles sont dus non
sans calcul. C'est la difficulté de diagnostic qui a amené nombre d'
auteurs
à contester l'existence de la colique ner- veus
e de la colique ner- veuse, et à n'y voir qu'une lithiase larvée. L'
auteur
donne quel- 376 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
ues. Au point de vue clinique, l'intéressant cas rapporté par les
auteurs
présente tous les caractères de la paralysie bulb
ype Stumpell-lllarie. De l'étude compara- tive de ces deux cas, les
auteurs
tirent la conclusion que le méca- nisme des art
le. L'autopsie montra qu'il s'agissait d'une sclérose en plaques. L'
auteur
émet dans ce cas l'hypothèse d'une infection du
es et asystolie cardio- pulmonaire. Commentant cette observation, l'
auteur
ne voit pas qu'il faille séparer d'une façon ab
; par ALLAS M. L. Hamilton. {Médical Record, 28 décembre 1901.) L'
auteur
applique à la période présénile les vues déjà émi
chapitre des rapports des névroses avec le traumatisme cérébral. L'
auteur
rappelle, à propos d'un cas personnel, les tra-
erveux; par IUDSON l3oaY. (Brit. naed. Jourra., novembre 1901.) L'
auteur
examine successivement la question en se plaçant
e les rapports entre la névropathie et les trou- bles gastriques, l'
auteur
donne quelques observations d'accidents nerveux
: apathie, angoisse, confusion de l'esprit, etc. Comme étiologie, l'
auteur
pense que les accidents tardifs et durables peu
hant. Y a-t-il identité entre le vitiligo et la sclé- rodermie. Les
auteurs
ne sauraient l'affirmer, mais ils signalent les
ainton. (iYou-v. Iconogr. de la Salpèlrière, nos 3 et 4, 1899.) L'
auteur
estime que le diagnostic d'amyotrophie Charcot-Ma
aux nerfs et aux muscles intéressés, qui les ont accompagnés, que l'
auteur
se croit autorisé à porterie diagnostic de polyné
de quatre cas intéressants d'astasie-abasie chez des vieillards, l'
auteur
, après discussion, émet les conclusions sui- va
queuse du pilier antérieur. Après une discussion intéressante, l'
auteur
conclut que ce réflexe croisé du facial démontr
goitre exophtalmique; par le D1' ÏEDRSCHI. De ces expériences, l'
auteur
croit pouvoir tirer les conclusions suivantes :
pothèses qui restent dans le domaine des possibilités théoriques, l'
auteur
, se fondant sur les observa- tions qu'il a déjà
. Note clinique ; par le Du Arullani. D'après les recherches de l'
auteur
, on peut dire qu'il existe entre le tabès et le
. La fréquence de l'artério-sclérose chez les aliénés a déterminé l'
auteur
à traiter plusieurs malades par l'in- gestion d
érale au sérum de Trunecek. Pendant toute la durée du traitement, l'
auteur
a examiné l'état mental des malades, leur nutri
-iodure de mercure et d'iodure de potassium. M. MARCHAND.- Certains
auteurs
sont persuadés qu'il est possible d'améliorer l
ont d'ordre inflammatoire. Ces diverses considérations ont engagé l'
auteur
à tenter le traitement de la paralysie générale
sique six centimètres cubes environ de liquide céphalo-rachidien, l'
auteur
injecte deux milligrammes de bi-iodure de mercu
savantes; - dissous d'ns deux centimètres cubes d'eau distillée. L'
auteur
n'a jamais observé 'd'accidents à la suite de s
uivi ce traitement pendant trois mois, quatre ont été améliorées. L'
auteur
fait remarquer que c'est là une nouvelle voie t
rimentales sur la vie mentale des aphasiques. Comme tech- nique les
auteurs
ont utilisé le chronomètre d'Arsonval. Les rech
our bron- chite infectieuse assez rapide. Une malade observée par l'
auteur
et atteinte de tous les signes du tabès présent
un entraînement méthodique de leur volonté. A ce propos, plusieurs
auteurs
, très autorisés à d'au- tres points de vue, écr
sont sou- vent compliquées de symptômes de caractère fonctionnel, l'
auteur
soumit le malade àla suggestion, après quoi l'a
SOCIÉTÉS SAVANTES. morbide, mais il ne comprend pas l'opinion de l'
auteur
sur l'am- nésie comme sur un symptôme en foyer.
sur l'alexie sous-corticale et sur les trou- - 6les similnires. L'
auteur
a observé dans l'hôpital de Sainte-Catherine deux
re gauche), malgré que les deux malades ne sont pas des gauchers. L'
auteur
s'associe à l'opinion de ceux qui pensent que n
en foyer, identique au trouble d'orientation, décrit par d'autres
auteurs
. L'alexie dans le cas II est aussi particulière,
DISCUSSIONS. D' Mouravieff trouve que l'explication présentée par l'
auteur
sur l'origine de l'alexie dans ses cas ne s'acc
iques cutanées. 6. Influence favorable de la thérapie spécifique. L'
auteur
signale ses cas par le nom de démence stupeureu
ici aussi, comme dans les travaux précédents sur cette question, l'
auteur
pense que ce réseau n'a pas de rapport avec les
1901). A la suite du Congrès d'anthropologie criminelle de 1893, l'
auteur
a été chargé de cette question pour le Congrès
r les précautions préliminaires que comporte cette gymnasti- que, l'
auteur
décrit d'abord les attitudes à prendre, ce que l'
e que la précédente, car ces mouvements sont nombreux, variés, et l'
auteur
, après les avoir décrits, indique pour 1 Ce mot
ication ne sera faite avec les noms propres sans l'autorisation des
auteurs
. ' Hospice de la Salpêtrière. Maladies mentales
s succès, le médecin « devra céder la place au chirurgien », et cet
auteur
ne con- seille-t-il pas d'opérer même de suite
u'il reste 7 cas qui représentent le chiffre de la mortalité de cet
auteur
. De ce nombre, 3 morts sont évidemment dues à l
qu'en cas de nécessité absolue, et dans son dernier travail, cet
auteur
arrive à cette conclusion, que l'opération n'est
est ce qui n'est pas encore établi d'une façon incon- testable. Les
auteurs
toutefois s'entendent pour admettre que, chez l
coiigéîîi- tale du système nerveux, suivant l'expression même des
auteurs
, ce cas viendrait s'ajouter à ceux déjà nombreux,
lendemain de tousses troubles mentaux. Avec une prudente réserve l'
auteur
se range avec Esqui- rol, Luys, Ilammond, etc ,
suite d'une lièvre puerpérale est frappée decou- fusion mentale. L'
auteur
déconseilla d'abord l'internement et isola simp
de mala- die, et a résisté depuis à des chocs moraux très graves. L'
auteur
s'appuie sur ce fait pour déclarer que les alié
rge SOL)IIIIANUF. (Annales médico-psychologiques, février 1901. L'
auteur
rapporte l'histoire d'un homme de vingt-sept ans
ion de ces trois sentiments réunis. Des recherches effectuées par l'
auteur
, il résulte que la religion, la cruauté et la v
uses et intéressantes observations de dégénérés recueillies par les
auteurs
, peuvent se diviser en trois groupes : dans le
tement n'en sont pas moins importants. L'observation publiée par l'
auteur
en est un exemple intéressant. Il s'agit d'une
ne première étude sur une épidémie de folie religieuse au Brésil, l'
auteur
s'était attaché à démontrer la nature morbide du
et CHÉNAIS. De recherches faites sur 18 cas de démence précoce, les
auteurs
concluent que dans cette affection : 1° parmi l
dies mentales. Il en fut ainsi dans l'obser- vation rapportée par l'
auteur
. Dans ce cas, les taches blanches de différente
teau en main après des femmes inconnues, dans la rue. De nombreux
auteurs
ont signalé des phénomènes de même ordre, tels
éveloppée et accentuée selon les différents cas. En terminant les
auteurs
insistent sur une distinction qui pré- cise le
es. MM. P. Marie et N. Vaschide. Il résulte des recherches de ces
auteurs
que la mémoire immédiate des chiffres, des syllab
aînant derrière lui comme s'il avait eu à tirer un poids lourd. Les
auteurs
ont retrouvé cette démarche avec traîne- '382 S
térieurs combinées à des lésions du faisceau cérébelleux direct Les
auteurs
attribuent aussi une grande importance diagnos-
n et Bouchard en 1863 et en 1865 semble avoir été perdu de vue. Les
auteurs
ont pu vérifier son exactitude dans plusieurs a
es sensitifs entraîne dans la perception de l'espace, a conduit les
auteurs
aux conclusions suivantes : 1" La sensibilité t
insuffisance de celle de 384 SOCIÉTÉS savantes. ces deux derniers
auteurs
. Une nouvelle série de recherches a donné à M.
rigidité de la moitié gauche disparurent presque tout à fait et les
auteurs
la comptaient presque guérie. Cet état dura j
Excluant le trauma- tisme, la tumeur cérébrale et l'encéphalite, l'
auteur
suppose dans le cas donné une tuberculose, mais
la peau et des muqueuses pendant et après les accès d'épilepsie, l'
auteur
relève leur analogie avec les stigmates des ext
tie mongolienne (rig. 11) à faciès de « chinois », vue déjà par les
auteurs
anglais et américains, dont il cite les travaux
eur les multiples formes que peut revêtir ce qu'on appelle tic, les
auteurs
abordent la critique historique. Il est curieux d
indiqué dans notre thèse est artificielle, et nous approuvons les
auteurs
de l'avoir résolument supprimée. Elude pathogén
des- cription des symptômes accessoires. Nous ne suivrons pas les
auteurs
dans la description des diffé- rents tics qui o
particulièrement le chapitre cousacré au torticolis mental, que les
auteurs
considèrent comme l'un des tics les plus fixes et
des tics essen- tiellement capricieuse, mais propos de laquelle les
auteurs
dé- crivent quelques types morbides où le tic e
répéter involontairement. Leur origine est une idée délirante. Les
auteurs
avouent que les stéréotypies sont devenues des
s spasmes est plus nécessaire. La distinction a été établie par les
auteurs
dès le début de leur livre. Aucune manifes- tat
nt est un chapitre important dans ce yéritable traité des tics. Les
auteurs
commencent d'abord par affirmer nettement la cu
e chez quelques hystériques a donné des résultats appréciables. Les
auteurs
ne sont pas partisans du trai- tement chirurgic
si perfectionnée et si développée notre maître, M. Bourneville. Les
auteurs
de cet ouvrage reconnaissent du reste que ses l
Une analyse un peu détaillée suffit à montrer la conscience que les
auteurs
ont mis à composer leurs livres sur les tics. Mai
omparant les chiffres obtenus par nous avec les chiffres des autres
auteurs
nous trouvons partout un nombre plus considérab
mbre des manies parmi les malades psychiques, cités chez les autres
auteurs
, pré- valuent beaucoup sur les nôtres." Ainsi
ontradictions si grandes dans les résultats, obtenus par différents
auteurs
, exigent, certes, des explications ; premièreme
LA. MANIE. 405 pour élucider la cause delà contradiction parmi les
auteurs
, il faut prendre en considération avant tout la
monographie de Mendel- sur la manie, nous devons remarquer que cet
auteur
a inclu dans le groupe de manie, comme une de s
nn). La seconde cause de la différence entre les données des autres
auteurs
et les nôtres dépend de cela que toutes les inv
classique de l'hystérie et de l'épilepsie. De l'aveu de beaucoup d'
auteurs
, c'est là un regrettable abus de langage; et à
i- lité, mais la fatigue et l'asthénie. Je sais bien que certains
auteurs
, tels que IIeclter, Kaan, Bouveret ont décrit l'a
neurasthénie; mais à cela Freud réplique avec vraisemblance que ces
auteurs
ont précisément observé des cas où la névrose d
OBSERVATIONS DE NÉVROSE D'ANGOISSE. 411 part de vérité. De nombreux
auteurs
ont attribué au facteur sexuel un rôle importan
miers travaux attirèrent l'attentionsur elle, un cer- tain nombre d'
auteurs
en ont rencontré des exemples authen- tiques, e
de l'affection réclamée par Freud et par moi-même. La plupart des
auteurs
qui ont reconnu sa réalité clinique, MAL Pitres e
tre ans), c'est-à-dire l'année même où mourut Antoine Le 1«istre. L'
auteur
de la biographie de notre dévot s'exprime ainsi
ommentaires d'Isaac-Louis Le Maistre de Saci sur la Bible. Il est l'
auteur
des notes françaises de la moitié du livre des
nification. 'l'elle est l'opinion que, depuis bientôt cinq ans, les
auteurs
se sont efforcés d'exposer en des communication
les observations confirma- tives inlassablement recueillies par les
auteurs
et aussi par quel- ques neurologistes (Dupré, F
us voudrions ici résumer simplement et brièvement les tra- vaux des
auteurs
, indiquer les différentes critiques qui leur fure
uets sur ce chapitre. 1 Et cependant, comme le disent fort bien les
auteurs
: « S'il est une partie de la biologie où la dé
'aide de leurs 600 observations inédites et la plupart sériées, les
auteurs
établissent la loi suivante : « Etant donnée l'un
e névropathique » la stérilité, la gémellité et l'avor- tement. Les
auteurs
y ajoutent : la grossesse ectopique, toutes les
accoucheurs n'ont pas encore tenu grand compte des recherches des
auteurs
, c'est que celles-ci sont connues depuis peu de
de Magnan et de ses élèves datent déjà de plusieurs années, et les
auteurs
ne méritent pas non plus le reproche d'avoir vo
dégénérative des positions OIDP apparaît un peu excessive. Mais les
auteurs
n'ont pas autrement insisté sur ce point. Il fa
répétition par l'hérédité des présentations anor- males. » Non, les
auteurs
prétendent seulement qu'il est im- possible d'e
y ait là que de simples coïncidences. Et cela d'autant plus que les
auteurs
relatent huit autres cas d'hérédité des présent
vrai que, sur les 340 observations de présentations anor- males des
auteurs
, et bien que dans toutes, sans exception, des a
il a vu le jour par la tête ou... par le siège ? « Mais, disent les
auteurs
, est-ce à dire que, devant ces faits désormais
ons du foetus, du moins elle le recule et, suivant l'expression des
auteurs
, elle transporte le même problème, de la mécani
dence, que ces obser- vations, ainsi que le remarque ajuste titre l'
auteur
, acquièrent la valeur d'expériences de laborato
icaux de la dégénéres- cence méritent et c'est tout à l'honneur des
auteurs
les mêmes critiques que les stigmates mentaux o
que, diagnostique et pronostique varie beaucoup avec les différents
auteurs
. En effet ce qui diminue un peu l'importance de
I111ON. (Journal de Neurologie, 1903, n° 47). Les expériences des
auteurs
ontété faites sur six chiens auxquels ils ont e
'après 452 REVUE D'ANATOMIE, ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. les
auteurs
, seraient susceptibles de s'appliquer à l'homme d
Parhon et GOLDSTEIN. (Journal de Neurologie, 1902 - n° 139). Les
auteurs
ont enlevé chez un chien le biceps crural, chez u
le groupement central comme l'avaient soutenu antérieurement les
auteurs
. Ce groupement central représente le noyau du dem
. XXIX. De la sensibilité du squelette ; par le Dr Max Egger. , L'
auteur
a démontré déjà que les vibrations moléculaires d
'unras. De l'analyse délicate de deux cas de paralysie faciale, les
auteurs
tirent les déductions suivantes : I. Dans la
par MM. Vaschide et VuRras. Dans deux cas de chorée chronique, les
auteurs
ont recherché avec soin les modifications des t
A propos de deux cas d'hémiplégie avec troubles vaso-moteurs, les
auteurs
font une revue d'ensemble des différents points q
parait devoir rentrer l'intéressante observation rapportée par les
auteurs
, observation des plus com- plète au point de vu
portions du cerveau chez les aliénés, et notamment les déments, les
auteurs
ont utilisé le mode de mensuration suivant :
r MM. Pelsiar et SICALICBA. Comme dans deux cas déjà présentés, les
auteurs
ont trouvé, dans la partie inférieure du bourre
poser de conclusion affirmative sur la nature de cette lésion, les
auteurs
estiment pourtant que les connexions entre la d
à ces résultats contradictoires de la méthode expéri- mentale, les
auteurs
donnent 4 observations cliniques détaillées, de
cience. Avril 1902.) Avant d'exposer les méthodes dont il s'agit, l'
auteur
croit devoir poser les principes généraux qui s
commande, au lieu de les persuader et de les amener où l'on veut. L'
auteur
est convaincu que ces procédés sont essentielle
turels : ils se résument dans la réponse que faisait l'un d'eux à l'
auteur
au moment où il passait dans un autie asile : «
e l'asile lui-même à une personne étrangère à la médecine. Enfin, l'
auteur
aborde la question du personnel. Les qualités n
déjà 'rendu d'incalculables services. Ces préliminaires posés, l'
auteur
aborde maintenant l'étude des méthodes et des r
d'un malade bruyant pour troubler le repos de toute une salle : l'
auteur
répond à cela que la véritable raison de l'intern
Middiemass, du Dr John Mac- pherson, du Dr Keay, du Dr Marr et de l'
auteur
lui-même. Le dortoir des entrants échappe natur
te classification, et peut devenir bruyant à cer- tains moments : l'
auteur
ouvre alors un dortoir d'entrants sup- plémenta
squ'il s'y voit contraint et forcé. Il y a deux ans, à Glas- gow, l'
auteur
disait que si un seizième de l'asile était consac
valeur, mais elle n'est pas valable en tout cas pour l'asile que l'
auteur
dirige, et dont les malades sont fournis par le
oliques et les plus criminelles de toute l'Ecosse. Et à ce propos 1
auteur
ne veut pas négliger de s'occuper du traitement d
préco- nisée par Magnan, Whitcombe, Sir J. Batty Tuke et d'autres
auteurs
. Cette méthode est, dans l'ensemble, bien supérie
manifestant plutôt en sens inverse. Quant aux détails du système, l'
auteur
explique que chaque dortoir de l'asile, sauf tr
d'air individuel des malades, le chiffre a été réduit à 4. î80. L'
auteur
fait remarquer en passant que c'est assurément un
ient que cette personne lût une infir- mière d'hôpital diplômée : l'
auteur
ne partage pas absolument cette opinion; en 189
tion représentant le loyer, la nourriture et le blan- chissage. L'
auteur
aborde ensuite un point épineux, l'emploi des fem
tenté l'expérience savent combien -ces cas là sont exceptionnels. L'
auteur
est d'avis que le service de l'infirmerie ne do
et ce que l'horloge ne dit pas, c'est ce qu'il y faisait d'utile. L'
auteur
ne se propose pas ici de toucher au traitement de
ades de Leavesden ne l'est pas avec les malades d'autres asiles : l'
auteur
ne saurait accepter l'objection, car les opinio
très différentes. Discussion : M. AIIDLLEIIASS, collaborateur de l'
auteur
dans son premier travail, confirme sur tous les
cause 472 SOCIÉTÉS savantes. de cet état échappe complètement aux
auteurs
qui par élimination en font un cas d'hystérie m
truction complète des fibres nerveuses du membre atteint, aussi les
auteurs
ont-ils été surpris de trouver dans chacun des
Voisin. Quand une telle catastrophe ne sert pas de leçon et que son
auteur
n'est pas guéri pour toujours, c'est qu'il s'agit
ble. Ayant exclu la paralysie agitante et la sclérose disséminée, l'
auteur
s'arrête sur la diagnostic de la pse2c- dosclér
sions morbides. Dry Pierre Gannouciikine et Serge Sockhanoi-'f. Les
auteurs
se sont servis pour leur travail de 1-1 malades
manife-tation d'une constitution particulière, envisagée par les
auteurs
comme une névrose, ou plutôt une psycho-névrose a
ernant les troubles moteurs et les modifications de conscience, les
auteurs
notent dans 1 cas des accès épileptoïdes, dans
essions morbides a été constaté dans la démence pré- coce, mais les
auteurs
ont exclu de pareils cas du groupe de la consti
'élément primitif et fondamental de l'obsession, alors que d'autres
auteurs
(Wesphal) tiennent ce symp- tôme pour un troubl
les obsessions des idées fixes pures sans émotion angoissante. Les
auteurs
séparent les états obsédants en deux grands gro
à 50 ans) à l'occasion d'un choc moral (phobies traumatiques). Les
auteurs
donnent des observations de phobies de la rage,
des épingles, des chiens, de la folie, de maladies diverses). Les
auteurs
étudient ensuite les obsessions proprement dites.
conque, indifférent ou criminel ; onomatomanie, pyromanie, etc. Les
auteurs
étudient les points suivants : les phobies d'im
doit ladescription W il41. Pitres et Régis, est très complèteet les
auteurs
nous donnent dans leur monographie des document
âge, sexe, profession, hérédité, etc. Il résulte des recherches des
auteurs
que les femmes sont plus sujettes que les homme
ystériques, neurasthéniques). Pour ce qui touche au traitement, les
auteurs
examinent les questions de l'internement, de l'
iicoiis- cientes, mnésiques ou amnésiques, isolées ou répétées. Les
auteurs
admettent trois types d'impulsions : 1° les imp
pulsions sexuelles. Niant l'existence de monomanies impulsives, les
auteurs
examinent les impulsions dans les princi- paux
cette question n'a été laissé dans l'ombre, mais pour plusieurs les
auteurs
ont proposé des solutions séduisantes par leur
Buenos-Aires, 1902. Sans grande originalité, mais avec précision, l'
auteur
donne dans sa thèse un assez bon état actuel de
ts distinctifs et exclusifs appartenant à cette entité morbide, l'
auteur
émettait-nécessairement une conception et une éti
er ces deux travaux, cha- cun d'eux avec les travaux antérieurs des
auteurs
respectifs et de rechercher si le plus récent,
EVUE CRITIQUE. I. Avant de définir l'hystérie qui est une entité, l'
auteur
cherche à définir les manifestations morbides q
ectement et en cours d'analyse, les différentes conceptions que les
auteurs
se sont faites de l'hystérie. Résumant dans une
tion comparée comme un anatomiste opère la séparation des tissus, l'
auteur
arrive à se convaincre que la suggestion renfer
un mot à un autre, dans la réalisation d'une abstraction verbale, l'
auteur
s'explique sur le sens qu'il attribue aux mots
minemment raisonnable et en harmonie avec la réalité. On voit que l'
auteur
, pour être précis dans un ordre d'idées qui com
ersuasion, phé- nomènes mentaux. Il y a plus : par sa définition, l'
auteur
distingue nettement les manifestations hystériq
a dénomination des phénomènes mentaux, il règne chez la plupart des
auteurs
une confusion regret- table. Beaucoup emploient
r, ne sont que l'illustration clinique de la définition émise par l'
auteur
puisque ces diverses affections, distinctes les
te et banale est loin d'être en harmonie avec l'opinion de tous les
auteurs
classiques, avec toutes les observations publié
persuasion). Après avoir ainsi défini les accidents hystériques, l'
auteur
s'occupe de l'hystérie elle-même. L'hystérie
'hystérie sans mani- festation est une entité, une abstraction. L'
auteur
la définit « un état d'esprit en vertu duquel on
outenue par l'école de Nancy et en particulier par M. Bernheim, L'
auteur
reprend cette fois avec précision la définition d
faciale hystérique \ etc.. Dans tous ces travaux on constate chez l'
auteur
la préoc- cupation constante de trouver par l'e
rac- tères positifs ou négatifs qui appartiennent à l'hystérie. L'
auteur
, tout en admettant avec Charcot que l'hystérie
lus souvent, dépister la nature hystérique d'une manifestation. L'
auteur
se faisait déjà de l'hystérie la conception que
ans le travail sur les « Contrac- tures organique et hystérique » l'
auteur
rejette en partie l'opinion de Richer qui place
rolongée. Nous citons cet exemple important pour bien montrer que l'
auteur
, depuis dix ans déjà, considère l'hystérie comm
les réflexes tendineux sont normaux, etc. Parmi les travaux de l'
auteur
à cette époque il en est deux sur lesquels nous
tisme et hystérie, du rôle de l'hypnotisme en thérapeutique. Ici, l'
auteur
réfute les idées de l'École de Nancy sur l'hypn
jadis de la vertu dormitive de l'opium. Après cette définition, l'
auteur
montre que l'hystérie est souvent associée à la
ou sur la mélancolie primitive » (Bullet. niéd., page 938). Et, l'
auteur
, après avoir parlé, à propos de l'anorexie nerveu
ses, et diverses autres affections » ? Dans tous les cas, combien l'
auteur
est loin de ses affirmations anciennes, loin de
Suggestion, Psychothérapie (1891). Pour ne parler que du dernier, l'
auteur
a groupé les observations de malades guéris par
avons souligné les affections net- tement organiques qui, d'après l'
auteur
, auraient guéri dernières conceptions ET défini
es conceptions ET définitions DE l'hystérie. 5 M par suggestion). L'
auteur
, à cette époque, prétendait non seulement hypno
abes, à la sclérose en plaques etc... Dans les pages qui suivent, l'
auteur
démontre par des exemples multiples, dont quelq
nus ne constitue pas une « conception nouvelle » de l'hystérie. L'
auteur
, étudiant ensuite plus particulièrement l'étiolog
me, que l'on a appelé à tort depuis « la névrose traumatique ». L'
auteur
, à propos des hystéries dites toxiques ou infec-
orbides divers » (loc. cit., p. 941). Peut-on dire cette fois que l'
auteur
ait défini l'hystérie d'une façon nouvelle ou m
ans leurs nom- « breuses variétés » (1. c., p. 94'2). Peut-être l'
auteur
généralisant, paraphrasant ces lignes, et assim
et acceptée par lui », dit M. Bernheim dans son livre (p. 24). L'
auteur
confond suggestion et persuasion, suggestion et
rtout inattaquable, une véritable « commune mesure » à laquelle les
auteurs
seront forcés de se reporter pour juger en prés
même, soit de ses toxines et les deux observations publiées par les
auteurs
montrent que le système nerveux périphérique n'es
mble qu'il y ait macrosco- piquement une interruption complète. L'
auteur
rappelle l'opinion émise par Crocq dans son rappr
lées à l'exercice, a suffi pour don- ner des réflexes exagérés. L'
auteur
met aussi en évidence l'important phénomène de la
ue essentiels de la maladie de Parkinson. D'après ses recherches, l'
auteur
range en quatre groupes les formes anormales de
rtaine amélioration. Les bourdonnements d'oreille ayant persisté, l'
auteur
pratiqua l'auscultation de la tête. Il trouva,
tence d'une lésion cérébrale. Ce phénomène pourrait être dû, dit l'
auteur
, soit à.une artérite syphilitique avec végétation
e 50 p. 100, et incertaine dans une proportion de 30 p. 100. Pour l'
auteur
, l'origine syphilitique de la paralysie général
injections de calomel et l'iodure de potassium à hautes doses. L'
auteur
publie quatre observations dans lesquelles il att
myélopathique à la sclérodermie et vient à l'appui de 1 opinion des
auteurs
qui ont trouvé des lésions ner- veuses dans cet
erine, d'Erb, de Leyden-Mobius, de Zimmerlin, d'Eichhorst. etc.), l'
auteur
estime que les variantes symptomatiques de l'atro
t débuté dès l'origine de la maladie qui remonte à vingt-six ans. L'
auteur
se demande s'il faut voir la de simples coincid
r. de la Salpêtrière, n° 1,1902). Observation ainsi résumée par l'
auteur
: un homme d'âge moyen présente depuis trois an
par G. DANIEL (Nouv. Iconogr. de la - Salpêtrière, no 2,1902). L'
auteur
montre ce qu'il y a de vague et d'incertain dans
hthalmoplébie et de troubles de la déglutition attribuée, d'après l'
auteur
, à une atrophie ou une aplasie des noyaux bulba
action de dégénérescence au niveau de tous les muscles atrophiés. L'
auteur
crut pouvoir rattacher cette atrophie musculair
de l'homme; par P. Flechsig. (Neurolog. Cettral6l. XXII. 1903). L'
auteur
possède actuellement en tout 52 séries de coupes
forme psycbo-patbiqne nouvelle. En présentant ces observations, les
auteurs
n'ont eu pour but que de rechercher comment nou
ancée de leur maladie. Quelle est donc l'origine de cet oedème, les
auteurs
écartent l'eedème inflamma- toire, l'cedème car
augmentée, qui est lésée. En s'appuyant sur la pathogénie du cas, l'
auteur
est porté à reconnaître ici une cause périphéri
Pour confirmer cette supposition, M. Minor cite les expériences des
auteurs
étrangers et aussi le travail du professeur Sin
aphies concernant la malade en question et aussi les cas des autres
auteurs
. , Discussion. Le Dr N. POSTOWSRY trouve possib
ité cutanée dans la lésion du tronc cérébral. Dr G. Rossolysio. L'
auteur
communique quatre observations personnelles, da
s personnels et les compa- rant avec huit cas, décrits par d'autres
auteurs
, dont deux ont été suivis d'autopsie (Walenberg
ticulières, comme des ap- pendices collatéraux plus complexes ; les
auteurs
donnent à ces formations le nom de « rejetons »
teurs donnent à ces formations le nom de « rejetons ». Ensuite, les
auteurs
citent les résultats de leur examen de la moell
e Boulogne et Darwin sont les deux sources principales auxquelles l'
auteur
fait de nombreux emprunts et aux figures desque
, d'autant plus que malgré le nombre considérable d'articles, les
auteurs
ne se sont pas bornés à de sèches analyses, mais
t que des faits cliniques l'ex- priment clairement, une phase que l'
auteur
cherche à mettre en relief. C'est cet état qui
e précision remarquables. Déclarons avant de résumer les idées de l'
auteur
, que l'ouvrage est écrit dans un style alerte e
at corrélatif de la cellule nerveuse. De déduc- tiou en déduction l'
auteur
a) rive à cette conclusion : « à côté du type c
que ce mode de traitement a un défenseur habile et convaincu dans l'
auteur
de l'ouvrage, qui expose très clairement les ba
pas être utilement abrégé ne sera pas actuellement examinée ; et l'
auteur
se bornera à étudier la question, grave entre t
inuelle. Le progrès est manifeste, mais il. n'est pas suffisant : l'
auteur
estime 1° que la surveillance de nuit des alién
où un malade aurait besoin d'assistance. Dans l'asile que dirige l'
auteur
, aucun serviteur ne couche dans les dortoirs :
comment ou surveillera ce personnel s'impose à notre attention : l'
auteur
rappelle ici un certaiu nombre de fraudes dont
au détriment de la surveillance. Le seul moyen efficace, suivant l'
auteur
, est d'obtenir, comme dans les hôpitaux générau
essaires pour le traitement des cas particuliers pendant la nuit. L'
auteur
ne connaît qu'un seul asile où ce sys- tème ait
l. asiles d'aliénés. 571 En résumé les desiderata formulés par' l'
auteur
sont les sui- vants : 1° que les malades des de
ans les Archives ou dans les Congrès. Relevons enfin l'opinion de l'
auteur
que nous soutenons depuis bien longtemps, relat
-J. van Beeho. ( 77te Journal o/ Mental Science, juillet 1901.) L'
auteur
, qui est médecin de l'asile gouvernemental de Bui
siles ; par Ed. Goodvll. (l3rit. nzecl. Journ., octobre 1901.)' L'
auteur
propose un questionnaire spécial qu'il détaille l
journa- listes et dans le bnt d'éviter les erreurs, nous prions les
auteurs
de nous adresser, avant le le'juillet, un résum
traumatisme de la main, par Dionnier-Villard 350.- ? )0 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. de lariéglutition. Voir
ire suivi d'autopsie, par Armand Delille et Camus, 297. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Allan. 280. Aunlaile. 1
. Gawunski, 279. Gehuchten (Van), 275. Gillet, 476. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. S91 Giraud, 493. Glori
i, 88. Tailleur, 99. Tauton, 98. Tedesehi, 284. 592 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. Thomar, 281. Thomas. 9
ns ici les rares observations que nous avons pu recueillir dans les
auteurs
sur ce trouble morbide au cours de la paralysie
alluci- nations psychiques ou psycho-motrices publiées par divers
auteurs
, Leroy, Sérieux, en y ajoutant un cas inédit. Il
ues habituellement obser- vées dans la paralysie générale, certains
auteurs
se sont demandés'si la production d'hallucinati
ssiste à ce déclanchement automatique dont il ne se reconnaît pas l'
auteur
en l'absence du courant centripète normal, mais
, d'Engel- mann, de Loeb, de Max Verworn, et de beaucoup d'autres
auteurs
sont, pensons-nous, connues. Force substances c
et l'articulation thoraco-claviculaire sont le siège. C'est, dit l'
auteur
, un cas exclusif, parce que, chez la malade en qu
buch. f. Psychiatrie, 1898, t. XVII, fasc. 1 et 2). La plupart des
auteurs
(sauf Féré et Pausier) ont admis comme démontré
légies congénitales recueillies dans la littérature médi- cale, les
auteurs
proposent d'ajouter à la classification indiquée
(Il Manicomio, 1899, 3.) Travail long et minutieux qui a conduit l'
auteur
aux conclusions suivantes : affection rare en I
onde ; par Rossi G. Lamonda. (Riu. clin, therap., 1900, avril.) L'
auteur
confirme les résultats indiqués par Pitres sur la
réaction exagérée des éléments nerveux il l'excitation. En somme, l'
auteur
n'aboutit a aucune conclusion bien neuve. L. D.
spinale infantile ; par SmONL1. (Gaz : , degliosped., 1899,43.) L'
auteur
rapporte cinq cas de paralysie spinale infantile
e village en quarante-quatre jours. De ces obser- vations d'après l'
auteur
, il résulterait qu'on doit accorder une certain
ique en dehors d'un commencement d'atrophie de la papille gauche, l'
auteur
pense que cette anesthésie généralisée doit être
i se manifeste à l'occasion des mouvements volontaires. D'après l'
auteur
, tous ces troubles moteurs sont dus à des lésio
corps. Cette syringomyélie étant survenue sans cause appréciable, l'
auteur
croit qu'elle est sous la dépendance d'un arrêt
procès Walstein, procès qui a fait un certain bruit en Autriche. L'
auteur
y examine les rapports de la faiblesse mentale
e de l'Etat sur les choses relatives à la folie. Dans la seconde, l'
auteur
revenant plus spécialement sur Id question de l
at normal, ne se souvenant de rien si ce n'est qu'il a été agité. L'
auteur
le retrouva plus tard dans une prison, après un
rté le diagnostic de syphilis cérébrale et tumeur cérébelleuse. L'
auteur
indique ici les mensurations anthropométriques au
talisation, pour les alcooliques en particulier, est manifeste et l'
auteur
conclut que ce qui vient d'être fait à l'hôpital
ar Thomas Drapes. (The joumal of Mental Science, juillet 1899.) L'
auteur
ne dissimule pas que ce petit problème en masque
infliction d'une chose qui cause de la douleur 1. En terminant, l'
auteur
rappelle qu'à Warwich, en 1892, un magistrat, M
al of Mental Science, octo- bre 1899.) Le système préconisé par l'
auteur
, et non d'une manière théo- rique, car il l'a d
nient perdre, exceptionnellement, une heure ou deux de som- meil. L'
auteur
ajoute que si ce système est sans inconvénient po
ine mesure bien entendu, leur malpropreté, en devançant. En somme l'
auteur
estime que dans un asile, les chambres isolées
et pour quarante et cinquante chroniques tranquilles. En résumé, l'
auteur
voudrait : 1 Que les dispositions prises pour l
1898, il a été introduit dans un des asiles de Glasgow, où réside l'
auteur
. Un comité de dames s'est formé pour enseigner au
x travailleurs et travailleuses un léger cadeau d'argent. Enfin l'
auteur
voit à ce système un autre avantage, accessoire à
on; nous nous bornons à re- produire les conclusions générales de l'
auteur
qui sont les sui- vantes : 1° Les plans établ
ne le croit. La patiente présente, en outre, un petit diabète. Les
auteurs
n'ont pas dit si elle avait ou non présenté d'h
veaux de cinq jours ont pu être étudiés sans aucune difficulté. Les
auteurs
présentent des préparations de cellules pyramid
que pour les cerveaux placés dans les conditions indiquées par les
auteurs
. Il est vraisemblable que les pièces s'altèreraie
ité relative des cordons de Goll la sensi- bilité était abolie, les
auteurs
admettent qu'il faut, dans les symp- tômes, fai
uble de la déglu- lition. Sous le nom de dysphagie amyotaxique, l'
auteur
comprend un trouble spécial de la déglutition,
trice, sensitive, psychique). En se basant sur huit observations, l'
auteur
conclut que le trouble en question s'observe oïdi
s troubles sen- sitifs, observés en rapport avec cette dysphagie, l'
auteur
a noté : la sensation de la boule (globus), par
dégénératives. Quant aux troubles de la sensibilité, la plupart des
auteurs
admet actuel- lement leur existence dans l'épil
la syringomyélie. Sur 38 cas de syringomyélie observés par lui, l'
auteur
trouve ce symptôme dans 73,6 p. 100 des cas. Su
achitique ou des scolioses habituelles. Pour confirmer ses dires, l'
auteur
relate l'observation d'un syringomyélique, chez
hiqup. Il est probable que la syringomyélie et le rachitisme, que l'
auteur
trouve combinés très'souvent, relèvent des mêmes
61lité et suggestion. M. Félix REGNAULT signale l'abus que certains
auteurs
ont fait de ces deux termes. Les discussions s'
urs, clinique basée sur la physiologie, telle est la formule dont l'
auteur
s'est inspiré, pour donner aux élèves et aux pr
de ceux-ci, ce qui n'étonnera personne de ceux qui connaissent l'
auteur
, ses oeuvres antérieures et ses méthodes habituel
ait dans le sens affirmatif (1880 à 1883). Depuis cette époque, les
auteurs
ont, il est vrai, été plus timorés, moins ferme
oitement. Avec les observations 74 VARIA. jointes à ce travail, l'
auteur
se défend contre l'objection de simple coïncide
r au Lycée Henri IV, est un pédagogue des plus distingués; il est l'
auteur
d'une Grammaire, qui est d'un usage courant dan
gia facialis hyslel'ica. In-8° de 6 pages. Buda- pest, 1901, chez l'
auteur
. , 80 AVIS A NOS ABONNÉS. Lipps (Th.). - Das
nique nocturne (Etude cli- nique). In-8° de 31 pages. Paris, chez l'
auteur
. Sacki (S.) un SCI ! 11ANS (IL). Vorlesungen ii
ar l'oxyde de carbone, l'amnésie est un de ceux dont les différents
auteurs
s'accordent à signaler la plus grande fréquence
. et chez les hystériques de M. Janet d'une façon analogue. ' Cet
auteur
conclut, en effet, forl ingénieusement que dans
rs, cette forme continue de l'amnésie a été signalée par différents
auteurs
dans des affections où l'hystérie ne pouvait êt
l.. Edinger réserve beaucoup de questions que Bethe et d'au- tres
auteurs
croient déjà avoir résolues expérimentalement.
nt de nouvelles au cours de sa vie ? C'est ce que Bethe et d'autres
auteurs
ont recherché dans leurs expériences. Toute réa
x poissons. C'est c'e qu'après Steineret Edinger lui-même, quelques
auteurs
, L. Neumayer entre autres, dans un travail entr
nez, et paraissant d'origine pure- ment nerveuse. ' Le cas que l'
auteur
décrit dans le présent travail est tout diffé-
rrêtait, mais elle toussait car le liquide passait dans sa gorge. L'
auteur
a pu constater que, à un moment où l'écoulement
Harry Campbell. (The Journal of Mental Science, avril 1900.) 1 L'
auteur
divise son travail en deux parties l'une psycholo
détermine cet acte. Le mot sentiment (feelinu) dans la pensée de l'
auteur
comprend les sensa- tions et les émolions. Dans
les sensa- tions et les émolions. Dans ce chapitre psychologique, l'
auteur
étudie plusieurs points intéressants : la diffé
uxième chapitre de ce travail, consacré à la psycho- physiologie, l'
auteur
étudie successivement la genè.-e des sensa- tio
rs prononcé à la réunion de l'Association médico-psychologique. L'
auteur
s'y est proposé de considérer deux genres nouveau
. 2° Psychophysique. Passant à la seconde partie de son- sujet, l'
auteur
s'occupe de la méthode des recherches psychophysi
quent les mensurations les plus ingénieuses et les plus délicates L'
auteur
conclut que l'homme est un ensemble trop vaste, t
es présentant la dis- sociation des réflexes tendineux et cutanés l'
auteur
a été amené il conclure que dans la paralysie s
u du virus rabique dans le bout périphérique du nerf sédatique, les
auteurs
constatèrent la présence d'un grand nombre de c
te en miroir. Ce mode d'écriture était donc habituel à Léo- nard. L'
auteur
veut démontrer dans ce travail que ce mode d'écri
ADAUE. (Nouv. Iconogr. de la Salpé- trière, nos i, 5, G, 1900.) L'
auteur
passe en revue détaillée tout ce qui intéresse la
s. méthode de Nissl, modifications de von Gehuchten, procédé de l'
auteur
; 2° anatomie fine de la cellule nereu>e, phén
autopsie. 124 REVUE d'aNATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. L'
auteur
les fait suivre de quelques considérations sur la
,I 1',12- zw et 13RACCI. (Il 1l1ol' ! Jug1Ji, 1900, janvier.) Les
auteurs
ont eu l'occasion d'examiner à la clinique de Pis
lalgie en même temps que la disparition de la tumeur splénique, les
auteurs
croient, au moins dans ce cas particulier, à l'
lité des centres algiques et vaso-moteurs dont l'origine, selon les
auteurs
, serait l'action toxique lente et prolongée de
diverse nature. Quant au mécanisme de ces troubles vasculaires, les
auteurs
ne pensent pouvoir invoquer une paralysie des c
nales sur les animaux décapsulés; par Fauazzi. (Il 1900, mars.) L'
auteur
a pratiqué une série d'expériences sur le lapin :
oires, thermiques et nerveux, et aux lésions des centres nerveux, l'
auteur
reconnaît qu'il est difficile en l'état d'en do
s genres liana et l3ul'o, à différent^ stades de dévelop- pement, l'
auteur
conclut que, au moins chez les batraciens anoures
ni même communication entre l'intestin primitif et l'hypophyse, l'
auteur
se refuse à voir dans ce dernier organe le rudime
echerches cytologiques; par F. Ltl't1>iJ. (Lo Sperimentale.) L'
auteur
après avoir montré l'insuffisance de nos connaiss
ulaires répon- draient aux mêmes stimulants (pilocarpine) d'après l'
auteur
qui incline a l'identité des deux organes. La s
11 : -1. (Rlllielino délie Science )MC6c/tC, 1900, juillet.) . L'
auteur
décrit et figure quelques cas d'anastomose entre
nes de la rougeole ; par Cioffi. (informa medica. 5 mars 1900.) L'
auteur
, analysant les symptômes des formes malignes de l
t une tuméfaction légère qui peuvent persister plusieurs jours. L'
auteur
a obtenu cette réaction dans trois cas de maladie
tre, elle n'existerait pas dans l'hémiplégie cérébrale organique. L'
auteur
conclut que cette réaction n'est pas particuliè
observations paraissent cependant démon- trer qu'il en est ainsi. L'
auteur
a eu l'occasion d'observer le cas suivant. A la
oop. (AIGi. délia R. Accad. med.-chiin. di Napoli, LUI, 4.) . Les
auteurs
ont étudié avec le myotonomètre deMosso, le degré
es de donner lieu à ce complexus symptomatique, seraient, d'après l'
auteur
, la sclérose latérale amyotrophique à début par
es absences, semblables aux vertiges qui sont regardés par tous les
auteurs
comme caractéristiques du mal comitial. L'aut
és par tous les auteurs comme caractéristiques du mal comitial. L'
auteur
a pu les différencier par les caractères suivants
même un accroissement. Les données recueillies et exa- minées par l'
auteur
lui ont permis en outre d'établir, à l'état de
agissent de concert; ils en est ainsi de l'influence des saisons. L'
auteur
examine ensuite les influences sexuelles, relig
par A.-I3. NEwTn. (The Journal of Mental Science, avril 1900.) L'
auteur
regrette que les observations recueillies dans le
cette malade dans un temps relativement court. Les remarques dont l'
auteur
fait suivre l'observation détaillée en résument
ritant), cet gagent agissant ici comme l'étincelle sur la poudre. L'
auteur
n'admet pas l'opinion qui cherche la cause de l
RAHAM Caooxsuaw. (The Journal of Mental Science, janvier 1900.) L'
auteur
pense que les signes physiques de la folie sont à
nomie physique. Après des considérations générales intéressantes, l'
auteur
tente d'énumérer en les classant de son mieux,
ments se restreignent à quelques actes bien : anisés (volontaires). L'
auteur
étudie ensuite quelques états mus- aires, puis
ysphasie s'appliquer mieux aux troubles épileptiques du langage : l'
auteur
admettra de ce travail les trois catégories sui
rte la mémoire des mots; 3° Agraphie ou impossibilité d'écrire. L'
auteur
a pris soin de formuler lui-même les conclusions
suivant lequel la faculté de se souvenir est stimulée ou inhibée. L'
auteur
a signalé dans son ',138 REVUE DE- PATHOLOGIE l
a trémulation de la voix révèlent l'instabilité de l'innervation. L'
auteur
ne fait que mentionner la bradylalie et l'éclao
ar G.-J. CONFOIID. (The Journal of Mental Science, avril 1900.) L'
auteur
étudie successivement les maladies de l'appareil
Plusieurs observations ont été présentées dans un travail du même
auteur
publié dans le Boston Med. and. Surg. Jr. en 1896
n de résister à cette impulsion morbide. Dans le cas présenté par l'
auteur
, le diagnostic d'automatisme ambulatoire repose
t vésical normaux. En rai- son idu peu de symétrie des symptômes, l'
auteur
pense que le , néoplasme est probablement extra
ésie, peut un jour avoir des attaques convulsives jacksonniennes. L'
auteur
donne, de ce fait, deux observations personnell
donné par Landry lui-même et confirmé- depuis par la majorité des
auteurs
, est l'existence de paralysie complète sans atrop
et attein- dre l'encéphale par les faisceaux cérébelleux directs. L'
auteur
pense que cette conclusion, contraire à l'expér
ères les nerfs musculo-spinal et médian peuvent être pris, ce que l'
auteur
n'a pas personnellement observé. « Marche cli
ent cérébral ischémique à évolution pro- gressive. Et cependant les
auteurs
ont trouvé des lésions poly- morphes variant d'
velet, lésion toujours absente dans les cas authentiques, comme les
auteurs
ont pu encore'le constater en étudiant surtout
ce de troubles psychiques particuliers. En effet, à l'autopsie, les
auteurs
ont trouvé un sarcome fasciculé avec formations
France de livre vraiment pratique sur la réfraction de l'oeil. Des
auteurs
éminents ont étudié cette partie intéressante d
réfraction pour lire et apprécier le traité classique de Donders. L'
auteur
poursuit avant tout un but BIBLIOGRAPHIE. 167
recherches de notre maître, M. Pitres, confirmées depuis par divers
auteurs
et surtout par Charcot3, « rien n'est plus rare
homsen et Oppenheim surtout MM. Pitres et Lichtwitz' ; ce dernier
auteur
a tout particulièrement insisté sur la rareté de
t exactement noire cas, ce qui n'est pas fréquent, d'après tous les
auteurs
. « La diminution de l'ouïe peut être plus ou mo
stériques complètes. Comme l'écrit Antonelli, après tous les autres
auteurs
qui se sont occupés de l'amblyopie hystérique :
ue observé chez une femme hystérique : c'est ce phénomène que cet
auteur
a désigné sous le nom de dissociation de la visio
out signe de douleur ! ? » Un raisonnement identique pousse le même
auteur
à écrire encore : « L'oeil amaurotique fonction
maniaque avec confusion dans les idées et hallucinations. D'autres
auteurs
propo- seraient pour cet état le diagnostic de
e devrait pas être placé. C'est la pamnoia aigue. Sous ce nom les
auteurs
décrivent des cas, dans lesquels on observe des
crivent des cas, dans lesquels on observe des hallucinations (les
auteurs
l'ont appelée paranioa aiguë hallucinatoire) et u
s antérieurs de : la malade nous étaient totalement incon- nus. Les
auteurs
citent d'ailleurs de nombreux faits tendant à d
ique plus grande que celle du champ de l'anesthésie tactile porte l'
auteur
à admettre l'existence de fibres distinctes pou
liminé non seulement par les urines, mais encore par les fèces. L'
auteur
a observé ce fait dans 4 cas sur 12. Plus qu'à l'
ER.1. (Riv. sp. di {l'en., 18\)\), fasc. 3-4.) Le réflexe que les
auteurs
dénomment oculo-pupillaire se manifeste à la su
action pupillaire aux excitations thermiques a été vérifiée par les
auteurs
dans toutes les nombreuses observations .faites
e altération, ou des altérations à peine percep- tibles. Aussi''les
auteurs
pensent-ils que la recherche de ces REVUE D'ANA
t pas l'absence d'altérations, ainsi que le croient encore certains
auteurs
, mais leur physionomie spéciale ; il s'agit alors
; par W.-M. 13¡¡CIITEREW. (Obozréi21é psichiuti-ii, IV, 1899.) L'
auteur
rappelle ses expériences avec Host ! XB\CH (Neuro
chexie. De telles altérations ont été maintes fois décrites par des
auteurs
allemands qui n'y ont atta- ché aucune importan
faite sur ce point par Sonder, il résulte : 1° que presque tous les
auteurs
ont observé une prolifération de la névroglie d
E PHYSIOLOGIE pathologiques. seaux sanguins; 2° que la majorité des
auteurs
ne considèrent pas ces modifications comme diff
0.) L'adipose douloureuse, affection qui porte encore le nom de l'
auteur
de cet article, maladie de Dercum, fut déjà décri
les conclusions auxquelles ont abouti les soigneuses recherches des
auteurs
sur le signe de Babinski : 1° A l'état de san
microscopique de la moelle n'a rien révélé de particulier. - , L'
auteur
estime qu'il est vraisemblable que la compression
ransmettent l'inhibition et ceux qui transmettent l'accélération. L'
auteur
, pour rendre sa pen-ée plus claire, prend le musc
haque organe pour l'harmoniser avec l'activité des autres. Et ici l'
auteur
donne un exemple : supposons, dit-il, qne par s
t plus complètement soustraite aux « préjugés chéris » dont parle l'
auteur
du Novum organum, plus tard la méthode anatomo-
es anatomiques qui lui permirent d'isoler des micro organismes, cet
auteur
rapprocha le délire aigu Ides affections microb
it aujourd'hui que ce n'est qu'une lésion réactionnelle banale. Les
auteurs
allemands, et Schüle en particulier, attachent
tes avec précision jus- qu'aux-reeherches de Cristiani en 1898. Cet
auteur
a examiné dans trois cas de délire aigu l'écorc
iques. Pas d'altération du muscle cardiaque. Tube digestif. - Les
auteurs
ont signalé de la congestion de la SOCIÉTÉS SAV
des bacilles du charbon et du bacUlus subtilis. Iu 1894, les mêmes
auteurs
admet- tent qu'on ne trouve pas dans tous les c
ylocoque pyogène aureus et albus et le b : ictérium coli ? Pour cet
auteur
, ~il*s'agit de- bâcilles êntl'és"dans la circul
nfirment cette opinion. En J..6.illl...pour répondre aux différents
auteurs
qui sont venus contre- dire leurs assertion-, B
ntoxication, il faut favoriser l'élimination des toxines nocives. L'
auteur
conclut que : 1° le délire aigu est un syndrome d
èse, on peut affirmer qu'elle est aujourd'hui acceptée par tous les
auteurs
dont les travaux font autorité. Le très savant
e confusion a déjà été cause de débats aussi stériles que si chaque
auteur
eùt parlé une langue différente. , Les délira
ependant d'accord, en France comme à l'étranger, pour rapporter aux
auteurs
français la découverte, les remières descriptio
France par Magnan et ses élèves, en Allemagne par un grand nombre d'
auteurs
, sous le nom de paranoïa aiguë. Mais au bout du
on est encore frappé de la ressemblance des lésions. A ce sujet, l'
auteur
présente des coupes provenant du système nerveu
gie avec les stigmates des exta- tiques. M. BOURNEVILLE. Quelques
auteurs
ont signalé des hémorrha- SOCIÉTÉS SAVANTES. 26
en même temps celle de l'autre côté pour 'l'écriture en miroir. L'
auteur
conclut de ces faits à l'application pratique sui
logiques, psychiques et pédago- giques ; par le Dr A. Monteilh. L'
auteur
, par une étude approfondie de la question, est ar
x; par le Dl' Philippe RICARD. Reprenant les travaux du De Régis, l'
auteur
étudie dans une cinquantaine de cas la question
uant la prophylaxie de la maladie initiale. De l'avis de tous les
auteurs
, la syphilis est une cause principale de la par
en bas âge, bien qu'elle ne soit pas une ma- ladie de l'enfance. L'
auteur
fait suivre cette étude de quelques considérati
érapeutique sérieux l'internement. Enfin pour terminer son étude, l'
auteur
aborde la délicate question médico-légale soule
if du sujet observé. 11 ne faut donc pas, comme le fait remarquer l'
auteur
, chercher à tirer une signification absolue de
modifications dans le tabes (avril 1900) ; par le Dr LE Merle. L'
auteur
, après avoir passé en revue l'anatomie topographi
dans la mélancolie, les dégénérescence, l'alcoolisme, l'hystérie. L'
auteur
abordant le côté médico-légal - point le plus int
facteur essentiel de la maladie. Afin d'éclairer cette étiologie, l'
auteur
a étudié spécialement la paralysie générale che
s Rousseau ; par le Dr Georges l Sibiril, médecin de la Marine. L'
auteur
admettant les conclusions du Dr Régis, fait de J
ent cer- ARCIIIVES, 2' série, t. XII. 19 290 PHYSIOLOGIE. tains
auteurs
, à une action directe de la cocaïne sur la moel
localisation, intensité, etc.) à la céphalée décrite par tous les
auteurs
à la suite de rachicocaïnisations et attribuée pa
(The Amel'ican Journal of the Médical Sciences, juillet 1900.) L'
auteur
, pendant une période de cinq années, a examiné sy
fts. (The American Journal of the médical Sciences, juin 1900.) L'
auteur
rapporte un cas de paralysie familiale périodique
la substance cérébrable, plus rarement encore dans le cervelet. L'
auteur
s'attache ensuite à décrire les lésions non spéci
ail consiste surtout en un résumé de la question d'après les divers
auteurs
qui l'ont traitée. il aborde ensuite la question
(The New York Médical Journal, 18 août 1900.) Les recherches de l'
auteur
ont porté sur 10 malades : dans 40 p. 100 des c
oins définie. Très souvent, dans l'hystérie, si souvent que .divers
auteurs
ont parla caractérisé l'hystérie dans les définit
enveloppée dans une obscurité profonde. La première remarque de l'
auteur
à propos du diagnostic, c'est que l'hystérie, c
les prolongées et épuisantes sont des causes prédisposantes, mais l'
auteur
est d'avis qu'on a exagéré le rôle provocateur
t l'action hystérogène toutefois n'est pas nettement démontrée. L'
auteur
conclut dans les termes suivants : « Si nous réca
. de iIIERRTTT. (The New York Médical Journal, 16 juin 1900.) - L'
auteur
estime que beaucoup de défauts de caractère des e
'hérédité joue un rôle, direct ou indirect, et par rôle indirect, l'
auteur
entend désigner cette irritabilité qui s'éveill
nts. Le surmenage scolaire, si souvent invoqué, n'est pas nié par l'
auteur
, mais il pense qu'on ne doit lui accorder qu'un r
n trouve une névrite optique double, plus-accusée à gauche. Quand l'
auteur
l'examine, il n'existe aucune perception de la
onvulsions cloniques et coma en janvier 1899 (trois ans après que l'
auteur
a vu la malade pour la première fois). A l'au
des lésions, et l'hystérie des symptômes, dans tous les organes. L'
auteur
se demande d'abord ce qu'il faut entendre par h
st pas toujours simple et se complique assez souvent d'épilepsie. L'
auteur
ici fait une remarque intéressante, c'est que l
encon- trer des cas présentant les quatre périodes décrites par les
auteurs
français et fréquent au contraire d'observer de
nie, par M. Ladova. (Clcicpo Médical recorder, septembre 1900.) L'
auteur
croit que dans la neurasthénie il y aurait d'abor
ur les centres nerveux de l'excitation sexuelle non satisfaite. L'
auteur
qui en rapporte une observation détaillée, se ran
dificat'ons du tonus musculaire dans les différentes maladies que l'
auteur
Fif ! . 3. 318 / SOCIÉTÉS SAVANTES. passe e
celui du tonus muscu- laire. - Les recherches expérimentales de l'
auteur
, ainsi que les don- nées cliniques, prouvent cl
aut pas cependant, dans cette expérience, comme l'ont fait certains
auteurs
qui la répétaient après moi, atteindre une isché-
Cl. VURPAS. L'observation de plusieurs cas cliniques ont engagé les
auteurs
à entreprendre quelques expé- riences touchant
nt normaux, abolis ou exagérés ont été le sujet des expériences des
auteurs
. Un myographe appliqué sur la partie moyenne de
caoutchouc placée en avant de la partie qu'on devait percuter. Les
auteurs
ont aussi, au moyen du même dispositif, étudié ch
pourquoi nous rejetons l'opinion de Westphal et de la plu- part des
auteurs
allemands sur, la nature foncièrement intellec-
typhoïde, de pneumonie, d'infection puerpérale, etc.). DU IIIsSIE
auteur
. La cellule nerveuse et le neurone ; structure et
rique du noyau. Des projections successives des prépara- tions de l'
auteur
et de celles de MM. Ballet et Faure permettent de
attachent à ces troubles en leur donnant.une origine centrale, les
auteurs
, tout en faisant quelques réserves, montrent qu
r donner plus de poids à cette communication. Comme conclusion, les
auteurs
disent que la fréquence des paralysies, des par
entité morbide spéciale et cette opinion est partagée par certains
auteurs
à l'étran- ger. En France, on regarde généralem
ion mentale, puis de l'amnésie, surtout de l'amnésie de fixation. L'
auteur
pense que l'insolation provoque un état d'intoxic
e. De la barbe chez les femmes aliénées. * MM. Dupré et Aimé. Les
auteurs
ont remarqué la fréquence plus grande de la mou
e femmes aliénées et mille normales examinées àce point de vue, les
auteurs
ont trouvé parmi les premières 290 rem- SOCIÉTÉ
de ses propres phénomènes indivi- duels pour pénétrer l'esprit de l'
auteur
, pour vivre la situation des personnages, pour
39 rement pas5agère; mais dans certains cas, tels que ceux dont l'
auteur
présente l'observation, elle trouve son interprét
PHIE. X. L'hypnotisme. Son traitement ; par CRocQ (2° édition). L'
auteur
a fait dans ce volume un exposé de toutes les que
gal. Consacrant une longue étude au chapitre des suggestibilités, l'
auteur
croit que la suggestibilité il l'état de veille e
ue des maladies vénériennes et cutanées. - BIBLIOGRAPHIE. 363 L'
auteur
évite à dessein les digressions théoriques pour n
nsidérant le danger social de la blennorrhagie et de la syphilis, l'
auteur
insiste sur la néces- sité d'une réglementation
e la peste et du choléra. Salues publica sitlii-e2n 1 tex, répond l'
auteur
aux anti-réglemental istes. l'. Itl'LLaS-. XI
oute aucune hypothèse physiologique spéciale. Toujours est-il que l'
auteur
voit dans cette maladie une affection générale
tétiques, tous les procédés pharmaceutiques proposés par les divers
auteurs
sont cités et sou- mis à la critique des vingt-
Paris, citant les colonies de la Force et de la Teppe en France, l'
auteur
admire surtout les très nombreuses et vastes co
heureuse- ment traité. Mais, combien n'est-il pas regrettable que l'
auteur
ait négligé de faire revoir son manuscrit par u
volutionnaire russe polonais Piletzky, qu'on accusait d'avoir été l'
auteur
de l'attentat de Borki en 1888 (déraillement du
ssante il est vrai, la dermographie, a attiré l'attention et divers
auteurs
en ont rapporté des observations isolées. Seul,
question et d'ajouter d'autres faits à ceux publiés par ces deux
auteurs
. Sur 229 malades, ils l'ont trouvée 48 fois à des
érie de recherches sur la pression artérielle chez les aliénés, les
auteurs
ont été frappés de ce fait que, dans les cas de
; quelquefois sucurs abondantes. Si ces données sont exactes, les
auteurs
estiment qu'elles doivent conduire aux indicati
W.-C. Sullivan. (The Journal of Mental Science. Octobre 1900.) L'
auteur
conclut des recherches qu'il a faites sur l'homic
e la première, et la pensée n'est qu'un rejeton tardif et faible. L'
auteur
n'a pas le temps de discuter la question de res-
e résulte pas des détails d'ailleurs intéressants, recueillis par l'
auteur
, que l'aliénation mentale se présente dans la rac
Gyrin Westcott. (The Journal of Mental Science. Octobre 1900.) L'
auteur
se propose de rechercher quelles sont les vraies
s l'isolement du malade et la prohibition absolue de l'alcool, et l'
auteur
entre à ce sujet dans des considérations étendu
des troubles nerveux fonctionnels. Ces dernières sont celles dont l'
auteur
entend s'occuper ici. L'examen comparatif de la
anie. On a avancé que l'épi- lepsie s'accompagnait de glycosurie; l'
auteur
ne peut rien dire concernant l'épilepsie chez l
n a accusé la médication thyroïdienne de donner de la glycosurie; l'
auteur
a largement employé cette médication sans rien
r W.-J. KOENIr.. (The Journal of mental Science, juillet 1900.) L'
auteur
rappelle sommairement ses propres travaux sur la
'un seul cas : le cas du premier groupe, déjà publié ailleurs par l'
auteur
est un cas de mydriase alternant avec des réact
e du cerveau. Enfin il y a lieu de tenir compte d'un symptôme que l'
auteur
désigne sous le nom de pseudo-mydriase alternan
fluence d'une lumière dont la vivacité varie. Le second groupe de l'
auteur
se compose lui aussi d'une, observation solitai
présent mémoire. Enfin le troisième groupe comprend onze cas dont l'
auteur
rapporte les observations résumées, et qui port
ale où le plussouvent la réaction de convergence est conservée. L'
auteur
aborde enfin la question des rapports des trouble
sposantes figurent à ses côtés. Il résulte donc des recherches de l'
auteur
que puisque nous rencontrons la syphilis des pa
n. 412 - REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. C'est à ces questions que l'
auteur
veut essayer de répondre par une hypothèse dans
mais qui peut être sommairement résumée de la manière suivante : l'
auteur
suppose que, la mélancolie et la manie étant to
er les diverses formes de folie que l'épilepsie peut compliquer : l'
auteur
les considère aux divers âges de la vie : enfan
orable au développement des affections mentales ou convul- sives. L'
auteur
toutefois n'a vu que très peu de cas de folie pri
ions, et il n'est pas rare qu'ils soient violents et dange- reux. L'
auteur
donne de ces malades une description détaillée et
ous la forme de petit mal. Ces cas se ter- minent par la démence. L'
auteur
termine ce travail par quelques considérations
uleur, de souplesse de la peau dans certaines maladies mentales : l'
auteur
se propose dans ce travail de n'étudier que quelq
é obtenues sans le secours d'aucun agent sédatif ou narcotique. L'
auteur
, qui a passé par six asiles avant de diiiger celu
par le docteur ZovoLI. (Riv. sp. cli /'ren., 1899, fasc. 3-4.) L'
auteur
insiste sur l'utilité à différents points de vue
le membre délégué du jury : elles sont lues publiquement par leurs
auteurs
sous la surveillance de l'un des concurrents. T
a question de l'installation d'un hôpital psychiatrique urbain. L'
auteur
est convaincu que l'hôpital urbain peut ne pas ex
s maladies mentales et nerveuses doit être annexée à l'hôpital. L'
auteur
insiste sur la nécessité pour l'architecte de s'i
combattre des tares originelles ou des perversions d'instincts. L'
auteur
ne prétend pas que la méthode suggestive soit la
ltitudes cala- leptif01'mes, signes que j'ai contribué, avec divers
auteurs
, à rattacher dans certaines psychoses à l'auto-
end pas bien sur ce qu'on doit appeler stéréotypies. La plupart des
auteurs
(même Binder et Kroepelin) ne donnent pas de dé
chi, nous trouvons une classification basée sur l'idée même que ces
auteurs
se font de la nature des stéréotypies. Celles-c
'excitation qui met en jeu l'automatisme des centres ner- veux, les
auteurs
ont édifié la classification suivante : 480 PAT
n du délire ont été bien tracées par J.-P. I'alret 1. , D'après cet
auteur
, le délire après avoir passé par une phase d'in
s cela ses ennemis avaient droit de mort sur lui. Souvent, ajoute l'
auteur
, ces malades sont moins explicites et leurs act
nua, dès lors, à pouvoir s'exprimer ? Nous avons recherché dans les
auteurs
du XVIe, du hvli° et du XVIIIe siècle les cas q
idi jusqu'au commen- cement de la première heure du soir. D'après l'
auteur
, il était im- possible de tromper cet homme par
MIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. de nombreux cas observés par l'
auteur
, à des foyers lacunaires siégeant de préférence
nesco, etc.). Il reste une masse presque innombrable de faits que l'
auteur
n'a pas réussi à classer systématiquement. Ce s
ment de lui donner un commencement et une fin qui sont nets; 3° l'
auteur
indique ensuite le rôle, dans la vision prise pou
des cen- tres définis de perception. Par série psycho-physique, l'
auteur
entend désigner une série physique, telle qu'el
Ford, Rodertson. (The Journal of Mental Science, octobre 1900.) L'
auteur
a imaginé une méthode nouvelle pour étudier les t
t;u/ Science, octobre 1900.) Ces angiomes ne sont pas communs, et l'
auteur
n'en connaît que sept cas dans le cerveau.,Les
uteur n'en connaît que sept cas dans le cerveau.,Les remarques de l'
auteur
sur ce fait rare se résument ainsi : l'état cur
ces deux cas sont fournies et résumées de la manière suivante par l'
auteur
lui-même : 522 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOL
sibilité d'une combinaison des deux types. La tumeur observée par l'
auteur
parait appartenir au second type et être par co
granulo- graisseuse. Les parois des vaisseaux étaient épaissies. L'
auteur
donne ici le détail de l'examen histologique de
Rev. H. HAWKINS. (The Journal of Mental Science, juillet 1900.) L'
auteur
s'attache à démontrer de quelle manière les fonct
(Journ. de 1 Neurologie, 1901, n° 14.) Le phénomène sur lequel l'
auteur
appelle l'attention est une flexion du pied (au
litique de Erb. Ce réflexe achilléen paradoxal serait dû, d'après l'
auteur
, à un état hyperto- nique, vis-à-vis de ceux de
NATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. laire. Sur ces huit cas, l'
auteur
a trouvé le clonus rotulien six fois par percus
rotule d'une part, et l'extension brusque de la main de l'autre. L'
auteur
tire en outre de ces constatations la conclusio
le D1' LAUREYs. (Journ. de Neurologie, 1900, n° 25.) . D'après l'
auteur
de ce travail, les réflexes rotuliens 'et achilli
. de Neurologie, 1900, n°24.) Contrairement à l'opinion de quelques
auteurs
(nossbach et Nothnagel, Guelliot) l'auteur a co
à l'opinion de quelques auteurs (nossbach et Nothnagel, Guelliot) l'
auteur
a constaté au cours d'une vingtaine de chlorofo
ine sous-cor- ticale, probablement mésencéphalique (noyau rouge). L'
auteur
admet en outre que dans le réflexe de Babinski
chez le singe, au contraire, d'une abolition des mêmes réflexes. L'
auteur
en conclut que cette aboli- tion ne peut pas êt
éraux d'après le procédé de Bush, après durcissement au formol. Les
auteurs
ont recontré, dans les différentes régions exam
ew 1'01 IL Me- dical Journal, 18 août 1900.) Les conclusions de l'
auteur
sont les suivantes : 1° les doses toxi- .lrscur
s. Dans l'une ou l'autre hypothèse la méthode de traite- ment que l'
auteur
préconise a simplement pour effet de déplacer l
durables que cette opération a soulevé un véritable enthousiasme. L'
auteur
toutefois estime que daqs l'épilepsie, elle n'e
aire un mode de traitement rationnel du goitre exophthalmique, et l'
auteur
développe les raisons anato- miques sur lesquel
es plus importants progrès réalisés récem- ment par la chirurgie. L'
auteur
entre ici dans des considérations 532 REVUE DE
veuses ; par \V.Danr.n ? wsY (06ooéiié psichiati-ii, IV, 1899.) L'
auteur
a observé que les petits chiens auxquels on donne
clairent la marche de l'infection. Au point de vue du traitement, l'
auteur
se borne à signaler l'impuissance, vérifiée par
n° 40.) , Courte revue critique à l'occasion d'un cas observé par l'
auteur
. L'examen électrique a montré que le médian et
tique de son propre cas et de l'étude au diagnostic différentiel, l'
auteur
conclut que dans l'acroparesthésie il s'agit vr
LIDOTTE. (Journ. de Neurologie, 1901, n° 10.) Le traitement que l'
auteur
préconise contre les états vertigineux chroniqu
pression, sa place noso- graphique. C'est pour ces praticiens que l'
auteur
résume dans l'article les indications de la thé
American Journal .of Insanity, octobre 1899, p. 257 à 273.) - Les
auteurs
ont procédé en adressant aux médecins de tous les
bleau résumant les résultats con- signés dans 24 articles de divers
auteurs
empruntés à des périodiques anglais; un autre t
après le traitement. De l'étude des documents ainsi recueillis, les
auteurs
concluent par les propositions suivantes : 1° L
peuvent différencier les-deux espèces ? Tels sont les points que l'
auteur
examine. M. Pilez donne l'observation d'une mélan
itement, pour guérir enfin définitivement après l'avoir repris. L'
auteur
termine son mémoire par une étude d'ensemble de
tale du professeur 13FCIiTCnEV, Saint-Pétersbourg, 1900, n° 2.) L'
auteur
a appliqué la suspension dans le traitement de 37
férentes affections du système nerveux. Les résultats obtenus par l'
auteur
sont présentés par le tableau suivant : FAITS D
bons résultats. ' i > ; Quelle est l'action de la suspension ? L'
auteur
proteste contre' l'opinion de quelques neuropat
prétendent que la- suspension agit par son effet suggestif. Pour l'
auteur
, la suspen-' sion, appliquée avec précaution et
se produit, des modifications dans la' circulation du cerveau. L'
auteur
a constaté que la suspension produit une diminuti
des réflexes et de la contracture, par Ctocq, 314. 5S4 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. TRANSVER13F*,RATIO'Ç de
ncoercibles guéris par r la suggestion, par Farez, 356. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Abadie, 389. Achard, 57
ochran. 53 i. Colin, 542. Con('ord, 138. Coon, 230, TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. 555 Coop, 199. Cowen,
6. Mercier, 46, Merri (de), 307. Michauri, 361. 556 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. i\ficlielzzi, 123 Midd
s cliniques superposables aux variétés anatomiques. Pour beaucoup d'
auteurs
même, la création de ces types cliniques serait
la première fois par Mauriac ', et après lui par un grand nombre d'
auteurs
. Mais Mauriac a eu tort, croyons-nous, d'at- tr
che incomplète, paralysie des sixième et septième paires droites. L'
auteur
invoque un foyer pathologique, probable- ment d
ions accidentellement survenues dans la moelle épinière ». Pour ces
auteurs
, les affections de la peau qu'on observe sont «
les cellules corticales sont pro- fondément altérées. Pour certains
auteurs
(Ballet, Blocq) les prolongements des cellules
es lésions de névrite périphérique ont été signalées par différents
auteurs
: Bewau-Levis, Dejerine, Westphal, Bianchi, Pic
conclusion nous incite à nous demander d'où vient le désaccord des
auteurs
. C'est qu'en général on n'examine pas à fond le
agnan, Garnier, Vallon, etc. - II. Il existe des troubles que les
auteurs
ne sont pas tous d'accord à déclarer troubles t
mples névralgies produisant de l'oedème (Arnozon)2. Aussi plusieurs
auteurs
pensent-ils que l'action nerveuse ou tro- phiqu
qui précède la para- lysie générale. Mais ces faits sont rares, les
auteurs
ont été favorisés par le hasard de la clinique.
s de ces observations sont dues à M. le Dr P. Sérieux et deux à l'
auteur
de la-thèse. Le zona existe dans là paralysie g
le mal perforant fut admis définitivement par les cliniciens et les
auteurs
classiques. Nous n'en avons observé qu'un cas.
de la malade au lieu de l'améliorer (comme l'ont prétendu quelques
auteurs
). L'intelligence baissait de jour en jour, le m
la perte des réflexes tendineux. (Archiv f. kl. met ? XXXIII). L'
auteur
a inventé un appareil propre à mesurer la tonicit
egment rapproché du noyau. C'est là tout ce qu'il y a de certain. L'
auteur
ajoute : Il est en tout cas intéressant de cons
que; son existence des deux côtés semblait devoir, dans un cas de l'
auteur
, en faire un signe de lésion organique, tandis qu
NDERGER. (Neurolog. Central6l., xv, 1896.) Il y a cinq ans, dit l'
auteur
, en traversant rapidement ma cham- bre, je me h
main je ressentais une légère douleur; la marche m'incommo- dait. L'
auteur
précise les dimensions de l'endroit affecté, qui
emaines qu'il passe dans le laboratoire du professeur Laufenauer, l'
auteur
constate quatre fois l'hétérotopie de la moelle
perçues par les amputés. Dans la première partie de son travail, l'
auteur
décrit les sensa- tions illusoires dont se plai
rinesco. (Presse médicale, 27 jan- vier 1897.) Dans ce travail, l'
auteur
s'est, dit-il, « simplement attaché à montrer c
tion, de dégénérescence et de réparations. M. Marinesco et d'autres
auteurs
ont apporté des faits à l'appui de cette manièr
que, celui des lésions primitives est essentiellement variable. L'
auteur
examine ces lésions primitives dans l'anémie expé
- RIQUE ; par M. J. KLIPPEL. (Revue médicale, 31 juillet 1897.) L'
auteur
relate l'observation suivie d'autopsie d'un malad
certain nombre d'éléments anato- miques. D'après ses recherches, l'
auteur
pense que toutes les fibres musculaires existen
cellent la dissertation, nuisant ainsi à la netteté de l'ouvrage. L'
auteur
y poursuit l'élude des troubles nerveux sans lé
stion un trajet très compliqué, « qui nous laisse sceptiques, dit l'
auteur
, tant qu'il ne sera pas démontré absolument exact
cial et que l'abolition du goût -n'avait pas d'autre origine. n L'
auteur
invoque enfin quelques arguments originaux tirés
xceptionnel, dérogeant au trajet habituel des nerfs sensoriels. L'
auteur
démontre d'ailleurs, en se basant sur des recherc
développement ? Cette dernière manière de voir est repoussée par l'
auteur
. D'abord il existe en même temps d'autres malfo
e trouve en présence d'absences de muscles à la face et aux yeux. L'
auteur
fournit en terminant une troisième observation
ès encéphaliques en général ; d'après les statistiques citées par l'
auteur
, le cervelet est, plus souvent qu'on ne le croi
lle donne de pré- cieuses indications. A la fin de son travail, l'
auteur
étudie le traitement de l'abcès du cervelet d'o
trophie notable du pouce et de l'auriculaire de la main droite, les
auteurs
ont constaté une réduction de volume de la moit
aux mêmes modifications de leurs petits tuyaux. Il n'y a d'après l'
auteur
que Loewenfeld qui les ait décrites (Studien über
TIQUE I. TRAITEMENT DE par EsCUDrR. (Siglo mcdico, avril 1897.) L'
auteur
voudrait qu'on n'eût recours aux asiles que quand
emagne et en Russie. Sur l'initiative du professeur Kors- sakoff, l'
auteur
a appliqué, pendant l'année scolaie 1895-96, la
sychique impose au patient une obligation plus rigoureuse. Quelques
auteurs
sont d'avis que, dans 72 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE
, dans un sens favorable. Grâce à cette méthode, une malade, dont l'
auteur
résume l'histoire, atteinte de torticolis menta
BTUALMIQUE ; par M. Ch. ABADIE. (Presse médicale, 3 mars 1897.) L'
auteur
, s'apuyant sur des considérations cliniques et su
e faciale; par M. P. : IAUCLA1RE. (Presse médicale, 9 juin 1897.) L'
auteur
passe en revue les divers moyens de traitement d'
a malade sort guérie le 14 avril. ' Depuis lors, disent en note les
auteurs
, ce résultat ne s'est pas maintenu dans sa perf
itation des vaso-dilatateurs du sympathique cer- vical. D'après les
auteurs
, la production d'hémorrhagies sous-con- joncliv
ATTERSON (Médecine Détroit, mars 1896). Existe-t-il, se demande l'
auteur
, un état mental dans lequel un individu est ent
des actes criminels. La loi les condamne souvent comme criminels. L'
auteur
maintient que de pareils individus, bien qu'ils
hypnotisme a sou- vent donné lieu, tant en Amérique qu'en Europe, l'
auteur
dit qu'il il ne partage pas l'opinion de certai
Europe, l'auteur dit qu'il il ne partage pas l'opinion de certains
auteurs
français qui pensent que l'hypnotisme joue un r
t de même pour les prétendus actes de séduction par hypnotisme. L'
auteur
conclut ainsi : Etant donnés deux sujets égalemen
par des faibles d'esprit dont un fut condamné par les tribunaux. L'
auteur
admet une responsabilité atténuée ; mais il pen
he, un confesseur laïque, qu'il prenne la science du cer- veau. » L'
auteur
, un des promoteurs de l'enquête, rapporte deux
de mar- teau et, la croyant morte, tenta ensuite de se suicider. L'
auteur
a pu établir que le début des troubles intellec
es avec les anciennes a moins souffert. Sous ce rapport le cas de l'
auteur
présente une ressemblance avec un cas de Charco
ptômes de la maladie et son cours avec oscillations continuelles; l'
auteur
rapporte son cas à la « para- lysie asthénique
oses ordinaires. Vu l'intérêt particulier scientifique de ce cas, l'
auteur
juge utile d'in- diquer la marche de la maladie
éprou- ver aucune fatigue. Bien que signalée déjà par différents
auteurs
, notamment par AIJi. 13ourneville et Recnard, c
ait impossible le sommeil naturel. Pour vérifier cette hypothèse, l'
auteur
a donné à ses malades, mises préalablement en é
'il a observés. Pour être en droit de le nier il aurait fallu que l'
auteur
, se pla- çant dans des conditions expérimentale
Clzonea hyslerica. Brochure m-8° de 4 pages. Budapest, 1897. Chez l'
auteur
. Donatii (J.). Ein Fait Diplegia brachiales. Br
brachiales. Brochure in-8° de 3 pages. - Budapest, 1897. - t;liez l'
auteur
. Donatii (J.). Ein Fait von Iraumalischer Hysté
lischer Hystérie. Brochure in-8° de 3 pages. Budapest, 1897. Chez l'
auteur
. Garnier (S.). Compte moral et administratif el
-H.). Suicide. Brochure in-8» de 8 pages. Saint-Louis, 1897. Chez l'
auteur
. Manuel pratique de la garde-malade et de l'inf
aitement spéci- fique est habituellement inefficace. La plupart des
auteurs
admettent que cette méningite aiguë spécifique
érales et courantes sur l'inver- sion et la perversion sexuelles, l'
auteur
rapporte deux cas intéres- sants d'inversion Se
T LA DÉGÉNÉRESCENCE DE LA RACE; par le D1' L I'. BATE61AN. Si les
auteurs
ne sont pas tous d'accord sur le rôle de l'intemp
stiques abondent dans ce sens. Au sujet des mariages consanguins, l'
auteur
estime qu'on a, jusqu'à présent, donné une trop
ctuel, tout en approuvant l'émancipation progressive de la femme, l'
auteur
estime qu'un certain frein serait utilement app
ur 870 malades entrés à l'asile d'IIartford, dans le Couneclicul, l'
auteur
en a rencontré 193 qui présentaient des aliénés d
elques considérations sur les conditions générales de l'hérédité, l'
auteur
ayant examiné la question des mariages consan-
pathogénie par statistique; par le Dr Paillas. Les conclusions de l'
auteur
sont les suivantes : 1" Parmi les con- ditions
folie, ou une souche importante de conceptions déli- rantes ; 2° l'
auteur
a distingué avec soin ces idées de richesse et du
e genre d'idées qui sert de pivot à leurs conceptions délirantes, l'
auteur
donne le nom de délire de revendication au trou
halite) qui entraîne à sa suite des troubles de l'intelligence. L'
auteur
en cite plusieurs exemples recueillis dans son se
rasypuilitique est restée stationnaire. D'après la statistique de l'
auteur
, les démences syphilitiques ou parasyphilitiques
rêves ont cependant une signification ou plutôt une pathogénie. L'
auteur
cite un cas dans lequel les rêves pénibles de la,
c palpitations angois- santes, mais seulement nocturnes, permet à l'
auteur
de conclure qu'il y a des rêves qui doivent êtr
lgésie se rencontre avec le plus de fréquence : la statistique de l'
auteur
montre son existence dans 59 p. 100 des cas, et c
description de la folie dans la période sénile, description dont l'
auteur
fait ressortir les points principaux. (Tite alien
t fréquemment autrement, surtout en ce qui concerne les aliénés : l'
auteur
rapporle quelques cas de prétendus aveux, n'éta
r Nicolo BUCCELLI. (Riv. di. pal. nerv. et ment., fasc. 7, 1896.) L'
auteur
, tout en reconnaissant l'analogie des conditions
lie; par James RUSSEL. (Rrit. aned. OUT7t., 25 septembre 1897.) L'
auteur
ne considère pas les affections pelviennes comme
attendre au moins deux ans pour être certain du résultat acquis. L'
auteur
cite plu- sieurs observations dans lesquelles l
t< med. journ., 25 septembre 1897.) Depuis deux ans et demi, l'
auteur
pratique l'examen eynécoio- gique complet sous
e trois à quatre ans. e depuis qua- tre ans et 3 depuis cinq ans. L'
auteur
conclut en disant que l'lleu- reuse action de l
ges-11. Roué, M. D. (Brit. mcd. jou ? ,11., 25 septembre 1897.) L'
auteur
établit d'abord le droit et le devoir du médecin
e sous l'influence de sensations soit auditives, soit visuelles ; l'
auteur
ne l'a jamais vu se manifester consécutive- men
par de la coprolalie, et quelquefois de légers actes de violence. L'
auteur
a quelque peine à croire que ces deux groupes n
éens, quelques Indiens en souffrent, mais, à Singapore, où réside l'
auteur
, on ne l'a jamais constatée chez les Chinois qui
is constatée chez les Chinois qui y résident en grand nombre. 1 L'
auteur
rapporte avec détails plusieurs observations très
ent vers l'âge de douze ans. Les Malais ont maintes fois répété à l'
auteur
que le Latah tirait son origine des rêves; mais
couvrir une explication satisfaisante. Des indigènes ont assuré à l'
auteur
que quelques malades par- venaient dans une cer
r J.-F. BRiscoE. (The Journal of Mental Science, octobre 1890.) L'
auteur
a recherché les influences héréditaires qui modif
T/te Journal of Mental Science, octobre 1896.) Les conclusions de l'
auteur
sont les suivantes : 1° II n'existe aucune preu
LIEP3tANN. (Centralbl. f. Nervenheilk., XIX, N. F., vu, 1896.) L'
auteur
a tout récemment, chez une hystérique, immédiatem
. Pour arriver à établir le diagnostic de la paralysie géné- rale l'
auteur
se base : sur la précocité de l'affaiblissement d
ue les antécédents héréditaires de la malade lui soient inconnus, l'
auteur
formule le diagnostic de tremblement hérédi- ta
mentale n'est qu'un symptôme ou un épisode de diverses maladies, l'
auteur
étudie la con- fusion mentale primitive idiopat
s ces conditions, le pronostic, très variable, doit être réservé. L'
auteur
termine son travail par quelques indications th
rale; par M. E. Régis. (Presse médicale, 7 avril 1897.) D'après l'
auteur
, dans le diagnostic de la neurasthénie et de la
, débilité mentale; ce sont les rei nati de Lombroso. Or bien des
auteurs
nient l'existence de la dépravation morale sans
tif (mélancolique ou maniaque). A l'appui de ces considérations l'
auteur
reproduit, à titre de docu- ments, deux exemple
rses méthodes de traitement chirurgical du goitre exuphthalmique, l'
auteur
tire les conclusions suivantes : REVUE DE THÉ
e R. lIIUaIta1' (de Durham). (Brit. med. Journ., février 1896.) L'
auteur
insiste d'abord sur ce fait, que le myxoedème est
par le D'' RUSHTON PAnTaEa.'(Bret. med. journ., février 1896.) L'
auteur
, traita une petite fille de six ans qui se trouva
TELFORD SMITII (de Lancaster). (Brit. med. journ., juin 1896.) L'
auteur
a traité un jeune crétin de six ans trois mois do
13YRON BRAMWEL (d'Edimbourg). (Brit. me(l. journ.. mars 1894.) L'
auteur
relate une observation d'un cas de psoriasis diff
Rurshton PARTHER (de Keudal). (Brit. ined. jourzz., juin 1896.) L'
auteur
considère ce cas comme intéressant à cause de la
tatistiques recueillies surtout pendant les dix dernières années, l'
auteur
pense qu'il importe de rechercher dans quelle m
t un rôle dans l'étiologie du tabès. Dans les 47 cas de tabès que l'
auteur
a traités dans les neuf der- nières années, il
thodes physiques de traitement du tabès, l'expérience acquise par l'
auteur
le porterait à donner la préfé- rence à la gymn
la casuistique des corps étrangers dans l'estomac des aliénés. L'
auteur
relate le cas d'un mélancolique qui avala une pin
e portant pour épigraphe : Impai-iaiiio ancoi,(t,- à M. A. Mercier,
auteur
d'une bro- chure Sur la diminution du poids du
faction qui doit prédis- poser aux fractures signalées par quelques
auteurs
. Toute- fois, l'existence des fractures spontan
ac- tures spontanées des paralytiques généraux : « La plupart des
auteurs
les mentionnent, mais sans apporter aucune preu
s analogues à celles desitabétiques. L'amyotrophie. L'attention des
auteurs
n'a été attirée sur l'amyotrophie des paralytiq
ence atrophique de la tunique musculaire de la vessie, à laquelle l'
auteur
attribue la rupture de l'organe. M. Klippel 1
lésion, l'une datait de un mois et l'autre de deux ans. D'autres
auteurs
ont décrit diverses lésions de la moelle dans l
. 2-3.) Une observation relative à un persécuté systématique. Les
auteurs
reconnaissent à ces phénomènes hallucinatoires un
(Il Manicomio, anno XI, fasc. 2-3.) Dans douze cas examinés par l'
auteur
, il existait constamment dans le foie et les re
aractères renversés et de droiteà gauche, sans le moindre effort. L'
auteur
examine les documents recueillis à ce propos au
riétés de folie, et surtout dans les cerveaux séniles. Les cas où l'
auteur
les a rencontrés le plus souvent étaient des ca
et sans nucléole visible. Cet état pathologique a été observé par l'
auteur
dans des cas dont l'àge variait de vingt-huit à
t où l'appa- rition des troubles mentaux était toute récente. Ici l'
auteur
rap- porte quatre observations, et des planches
(Journal de 2ze2c2'oloie et d'hypnologie, 1897, imb 20 et 21.) L'
auteur
établit dans ce travail que la douleur physiologi
BHA- aorr. (Joum. de neurologie et d'/t/pHO/ogte, 1897, n° 18.) L'
auteur
relate dans ce travail deux expériences qui lui o
psycologie expérimentale, 1897, n° 10, p. 744-747). Il est peu d'
auteurs
qui discuteraient actuellement l'existence de r
et des mamifères supérieurs. Les expériences multiples faites par l'
auteur
sur des chiens, lui ont toujours montré que la
re mydriase. La réaction hémiopique pupillaire serait trouvée par l'
auteur
dans toutes ses expériences. E. Maugouliès. 2
ion du noyau de l'hypoglosse, l'altération du faisceau de Couvas. L'
auteur
conclut à une psychose hérédi- taire qui a été
e médicale, 16 juin 1897.) Dans la première partie de ce travail, l'
auteur
expose les résul- tats de ses nouvelles recherc
aguère ; elle renferme des fibrilles, des stries que la plupart des
auteurs
considèrent comme ayant des relations de contin
ité de l'influx nerveux. Quant à la substance chromatique, certains
auteurs
(Lugero,Cajal, van, Gehuchten, etc.) admettent
VIGOUROUx et MALLY. (Presse médicale, 3 novembre 1897.) Quelques
auteurs
ont signalé une diminution de l'excitabilité, c
plombique. Cette forme d'encéphalopathie saturnine, dénommée par l'
auteur
, forme ménin- gitique est toujours grave ; dans
ulsive), la maladie s'est traduite par des crises épileptiformes. L'
auteur
a observé aussi un malade REVUE DE PATHOLOGIE N
les men- taux ou des chorées présentant une étiologie différente, l'
auteur
a observé plusieurs cas de tachycardie rythmiqu
e 1897.) A raison de la rareté de l'acromégalie chez les enfants, l'
auteur
relate un cas de cette affection qu'il a observ
; par Sudson Bure. (British. médical Journal, 25 juillet 9896.) L'
auteur
montre tout ce qu'il y a d'artificiel dans la dis
il y a les modifications bio-chimiques si mal connues. A l'appui l'
auteur
cite des cas répondant clinique- ment à des typ
Ch. MONGOUR et Carrière. (Pres.;e médicale, 7 juillet 1897.) Les
auteurs
rapportent l'observation clinique et les résultat
Au point de vue anatomo-pathologique, il faut mentionner que les
auteurs
ont trouvé dans certaines cellules nerveuses, sur
peuvent se produire où lésions et symptômes ne coïncident plus et l'
auteur
en cite plusieurs exemples. Dans un premier cas
ort de pneumonie sans avoir présenté aucun symptôme méningitique, l'
auteur
trouva à l'autopsie, en même temps que les lési
e dans ce travail est un schéma arithmétique. Les difficultés que l'
auteur
a eu en vue de résoudre au moyen de ce schéma s
u trentième jour, guérison confirmée le quarante- deuuxième jour. L'
auteur
discute toutes les théories écologiques connues
Névroses TUBERCULEUSES par Escuder. (Siglo medico, juin 1897.) L'
auteur
cherche à établir la relation étiologique qui exi
erfs sont primitives ou secondaires. Les lésions constatées par les
auteurs
dans le cas qu'ils rapportent ont la même local
cialement avec les affections cérébro-spinales. Du reste, conclut l'
auteur
, puisqu'il n'y a pas une seule maladie qui, à un
OL'LFGIno;i; par M. BOUCHAUD. (Presse médicale, 28 avril 1897.) L'
auteur
rapporte un cas de migraine ophtalmoplégique diff
rentielles ; par M. M. LARMOYEZ. (Presse médicale, S mai 1897.) L'
auteur
étudie en détail la physiologie palhologique du n
nt au bout de deux ou trois minutes. Les réflexions suggérées à l'
auteur
par cette observation, peuvent se résumer ainsi
et de l'anatomie pathologique de la paralysie ascendante aiguë, les
auteurs
rapportent un cas de cette affection qu'ils ont
ique de cette affection dont la vérification anatomique manque, les
auteurs
inclinent à en faire une forme de transition en
question (Korsakoff, Bobinski, Haury, Atwood, Rose, Frischer), l'
auteur
apporte douze cas observés à la clinique psychiat
é- ral et de pronostic plus graves. D'après les observations de l'
auteur
, l'état psychique des malades 240 REVUE DE PATH
traduit que par des douleurs insignifiantes des membres. Certains
auteurs
(Babinski, Henry), s'appuyant sur quelques-uns
pour le malade de comprendre la signification des mots qu'il lit. L'
auteur
rapporte ici le cas d'un paralytique général qu
ie ni agraphie. Des cas analogues ont déjà été décrits par quelques
auteurs
, entre autres par Kussmaul, qui lui avait donné
re classé parmi les individus incapables ou malfaisants. Mais ici l'
auteur
, qui est théiste et cause-finalier, reprend espoi
uraient le droit aujourd'hui de se montrer sévères à l'égard de ses
auteurs
. Car elle n'a rien donné de ce qu'ils nous ont
que celle-ci n'a pas répondu jusqu'à présent aux espérances de ses
auteurs
; elle n'y a répondu sur aucun point. M. Bérard
pas et d'où on ne s'évade pas à volonté ? C'est ainsi que conclut l'
auteur
. 2. Du délire raisonnant de dépossession au poi
n syndrome épisodique, l'obsession, être elles-mêmes un syndrome. L'
auteur
a volontairement négligé l'étude des hallucinat
nés sont traités dans un asile spécial, l'Asile Saint-Claude, que l'
auteur
décrit. 7. Essai sur les hypermnésies. Etude de
Très important et très sérieux travail de 260 pages, dans lequel l'
auteur
traite, dans autant de chapitres distincts, les p
u persécutés mélan- coliques. Après un historique de la question, l'
auteur
étudie suc- cessivement, dans des chapitres dis
érée au point de vie hygiénique et moral; ' par G.-lL ? 11.nrm. L'
auteur
consacre un chapitre aux bienfaits que l'on peut
gnés d'un pli cacheté avec devise, indiquant les nom et adresse des
auteurs
. Les ouvrages présentés par des étrangers sont
ts, etc., soumis à l'examen de l'Académie, ne seront pas rendus aux
auteurs
. Les prix seuls donnent droit au titre de lauré
vccrezgc de Piauhy (Brésil). 800 francs. Ce prix sera distribué à l'
auteur
du. meilleur mémoire ou oeuvre inédite, sur n'i
médecine. Prix l3ailla·ger. 2.000 francs. Ce prix sera décerné à l'
auteur
du meilleur travail sur la thérapeutique des ma
gination, sur la volonté. Toutefois si on parcourt les ouvrages des
auteurs
les plus autorisés qui ont usé de la suggestion
alité bisexués jusqu'au troisième mois de la vie intra-utérine. Cet
auteur
pense qu'au début de l'évolution les centres cé
malformation des organes génitaux internes ou externes. Plusieurs
auteurs
, et en particulier Max Dessoir, ont consi- déré
e conception ne diffère pas au fond de celle de Krafft-Ebing et des
auteurs
qui admettent que l'in- version est un caractèr
es temps, dans tous les pays du monde. Quoi qu'en puisse dire cet
auteur
, il y a une distinction absolue entre l'homme h
éclairer la masse de nos concitoyens. D Si je partage l'idée de l'
auteur
, je ne partage pas, hélas, ses espérances de ré
urtout les caractères anthropologiques de la dégénéres- cence que l'
auteur
se propose d'examiner et par dégénérescence il
illeure sauvegarde du crime est la bonne éducation. En terminant, l'
auteur
s'élève contre les détails minutieux rap- porté
al ; par le 1)' SYDNEY Hun. Dans un long et intéressant mémoire l'
auteur
résume l'état actuel de nos connaissances sur l
itions. Parmi les formes les plus fréquentes de syphilis spinale, l'
auteur
résume la méningite syphilitique spinale, la pa
XIII. Aspects cliniques DE l'auto-intoxication ; par le û1' HcRD. L'
auteur
étudie l'auto-intoxication intestinale et les moy
matières fécales se fera suivant le procédé de Simon, que décrit l'
auteur
. Des observations de Simon il résulte qu'à une
logique, elle présente un tableau clinique des mieux marqués dont l'
auteur
donne le résumé classique. Quant aux conditio
t les relations du processus mental avec l'activité muscu- laire, l'
auteur
arrive aux conclusions suivantes : f<). Toutes
Hirschberg. (Revue neurologique, décembre 189î.) Depuis deux ans, l'
auteur
étudie les mouvements involontaires chez les ta
is un fort degré de parésie qui rend les mouve- ments pénibles. L'
auteur
pense que dans ce cas il s'est produit une lésion
ou prématuré; par NEWMARK (Occidental médical Times, août 96). L'
auteur
fait une rapide revue d'ensemble de la question.
l'accouchement prématuré des paraplégies (Gowers et IlupprechL). L'
auteur
cite 20 cas personnels se décomposant comme suit
ope, l'au- teur donne une longue bibliographie, répartie par noms d'
auteurs
, des principaux travaux relatifs à la neurologi
a Revue médicale russe, 1897, année XXIV, octobre, p. 491-499.) L'
auteur
complète l'observation qu'il a publiée un an avan
émotion ; lui défendre les mouvements brusques et prolongés, etc. L'
auteur
a obtenu des résultats très satisfaisants avec
e (malgré la préseuce de l'ac- cident traumatique) est fondée par l'
auteur
: 1° sur la prédomi- nance du côté de la paraly
l'ins- REVUE'DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 325 labilité relative que l'
auteur
appelle « névrose », et non une maladie détermi
se avec l'état somatique devant l'hérédité comme chez l'individu. L'
auteur
recherche en terminant la fréquence rela- tive
levé sur l'hypnotisme 800 ouvrages principaux faits par plus de 500
auteurs
différents, parmi lesquels on en trouverait dif
roduit assez bien la controverse de Braid contre les mesméristes. L'
auteur
reprend alors un par un les arguments de la Sal
rappelle plus' encore celle de Braid contre les mesméristes, mais l'
auteur
n'ad- met en rien ces influences, les effets pr
tion plus fréquente encore pour prendre un caractère automatique. L'
auteur
nie la possibilité de suggestions criminelles s
orces qu'il ne crée ni ne met en jeu (Braid); plusieurs sujets de l'
auteur
s'hypnotisent eux-mêmes. Bernheim s'accorde seu
e au moins pour les effets retardés de la suggestion, et avec eux l'
auteur
montre que de nombreux phénomènes hypnotiques p
La valeur suggestive de la médecine générale exagérée par quelques
auteurs
(Witks, Andrew, Hack Tuke), doit être ramenée à
l'absosption du whisky, sans avoir jamais repris connaissance. L'
auteur
fait suivre ce cas de quelques considérations int
essant mémoire s'appuyant sur près de deux 'cents observations, les
auteurs
tirent les conclusions suivantes : Le délire de
ocence, le jury rendit un verdict de culpabilité. Sur-le-champ, l'
auteur
envoya à de nombreux aliénistes et neu- rologis
ant l'Association znédico75elLOl0yiC12le américaine, à Baltimore, l'
auteur
montre d'abord l'union intime existant entre la
érales sur l'aura épileptique, REVUE DE pathologie mentale. 335 l'
auteur
rapporte-douze cas de formes rares. Cas 1 : avant
ET iiypnologistk ; par 1`I1L\G ' Bauv-ELL. part. L1XI11, 1806.) L'
auteur
, qui depuis longtemps s'est attaché à faire conna
e notion meilleure des travaux de ce grand homme eût évité, selon l'
auteur
, bien des erreurs à l'école de la Salpêtrière e
entité clinique, dans la classification des maladies mentales. L'
auteur
cite une liste de 15 cas de délire grave traités
deux dernières, améliorées physiquement, restè- rent aliénées. L'
auteur
estime que les conditions pathologiques des organ
delà carotide peut aussi intervenir comme cause prédisposante. L'
auteur
rapporte le cas d'un malade atteint de manie chro
st peu riche en faits se rapportant à ce dernier facteur, puisque l'
auteur
n'a pu en trouver un seul cas authentique. L'ob
s changements survenus dans l'état mental de chaque malade... » L'
auteur
, dans un article rempli de détails intéressants s
lusoire. Une des principales causes d'ennui, d'après l'enquête de l'
auteur
, chez le plus grand nombre d'infirmiers de prem
des étals d'intoxication, quels qu'ils soient. Les conclusions de l'
auteur
sont les suivantes : Les symptômes psychiques
ue et clinique; par M. paouvosr. Le délire prophétique, tel que l'
auteur
l'a envisagé, est un état de délire hallucinato
MM. Pitres et Régis au congrès de Nancy, développe les idées de ces
auteurs
et contient un certain nombre d'observations, sig
oes aux lésions de la zone motrice corticale ; par Henri Verger L'
auteur
commence par définir le terme « sensibilité D et
sations particulières qu'englobe le nom vague de sensibilité, que l'
auteur
va chercher les modifications dans les lésions de
d'association et peut-être de mémoire musculo-tactile. Et encore l'
auteur
s'abstient-il de discu- ter la question de savo
LL,IN. In-8°, Paris, 1896, A. Maloiiie, éditeur. Sous ce titre, l'
auteur
a réuni un ensemble de documents intéres- sant
e classique, avec arc de cercle, hallucinations. Dans le dernier, l'
auteur
relate différents cas de névroses ou de maladie
oivent diriger l'installation des établissements de celle nature, l'
auteur
fait voyager le lecteur successivement en Autri
ithérapie, ou gymnastique thérapeutique et la psychothérapie, que l'
auteur
considère comme le substratum thérapique de la
ieux en mieux réglées. Il suffit de reproduire les conclusions de l'
auteur
pour indiquer, mieux que ne pourrait le faire une
agnose de la dyspepsie nerveuse et neurasthénique. Sur cette base l'
auteur
, après une discussion FAITS DIVERS. 3gt 1 ric
es. Brochure in-8° de 14 pages. - Saint-Louis (Mo.), 1897. - Chez l'
auteur
. DELIfA5 (P.). Aérothérapie et Rains d'air comp
ilepsia e Crime. - Volume in-8° de 198 pages. Balia, 1897. - Chez l'
auteur
. - . SANO (G.). Les localisations des fonctions
rebelle ou, au contraire, les constipations opiniâtres. Tous les
auteurs
insistent sur les troubles sécrétoires non moins
éflexes qui en sont les résultats, mais ils ne se reconnaissent pas
auteurs
de ces phénomènes qui se passent en quelque sor
u moins bien leur attitude et leurs moeurs à cette idée. Tous les
auteurs
anciens ou modernes ont rangé les zoanthropes à
fication des blocs tigroïdes. Lenhossék se rattache à l'opinion des
auteurs
qui ne croient pas que ces substances participe
ent pu avoir lieu sans un tel luxe de ramifications, qui paraît à l'
auteur
vraiment excessif dans certaines régions du névra
Leyden étaient insuffisants ou entachés d'erreurs, parce que leurs
auteurs
n'avaient examiné qu'une partie du système nerv
solé et plongé dans le liquide durcissant aussitôt après la mort. L'
auteur
a ensuite effectué plusieurs milliers de coupes
culose pulmonaire et péritonéale. Comme particularités de ce cas, l'
auteur
signale : la symétrie croisée des lésions osseu
raison avec ceux de Gilles de la Tourelle et Marinesco conduisent l'
auteur
à admettre qu'il n'y a pas lieu d'éta-' blir de
LOGIE PATHOLOGIQUES. mations, et moyens curatifs de déformations. L'
auteur
résume l'exposé du mécanisme et de la morpholog
par le professeur THOMAYER. Les deux observations rapportées par l'
auteur
montrent que dans quelques cas de paralysie de
lieu à des interprétations très différentes. Des expériences de l'
auteur
, dans lesquelles il s'est efforcé d'écar- ter t
oumiANOFF. (Journal de Neurologie et d'Hypnologie, 1898, n° 1.) L'
auteur
a constaté qu'après une section de la moelle épin
ltats hâtifs mal interpértés ne jettent quelque confusion ; aussi l'
auteur
fait-il les recomman- dations suivantes : 1°
u cordon latéral. Dans un cas de sclérose latérale amyotrophique, l'
auteur
a pu constater que ce ne sont pas seulement les
ER. Dans une communication récente à l'Académie des sciences, les
auteurs
ont résumé les expériences faites par eux sur la
sme observé dans l'alcoolisme chronique est considéré par plusieurs
auteurs
comme une manifestation de la névrose épileptiq
oute influence de la névrose épileptique. L'observation citée par l'
auteur
établit que l'aulomatisme pré- sentant le même
ques similaires se produisirent peu de temps après. Après examen, l'
auteur
émit la conclusion que l'état du malade était s
ns un état de paralysie, produisent le sommeil physiolo- pique. L'
auteur
se propose de revenir sur cette théorie dans un t
eldevraient- ils être appliqués plus souvent qu'on ne le fait. L'
auteur
rapporte deux cas favorables d'application des ap
ons SUR LE traitement DU tabès DonsaLis; par le Dr RAiCIIL1,NE. L'
auteur
, dans ce travail, expose quelques faits et déduct
la racine spinale du trijumeau; par le Dr Serge SOUKU ? .NOFF. L'
auteur
a obtenu chez deux cobayes la dégénérescence isol
autrefois, a été souvent confondue avec l'idiotie. La plupart des
auteurs
l'attribuent à la syphilis héréditaire. M. Régis
tiologie syphilitique.'Je ne comprends pas l'insistance de certains
auteurs
à vouloir admettre cette pathogénie, car la par
éral des récents travaux concernant la question du délire aigu, les
auteurs
communiquent leurs deux ob- servations personne
voir analysé et discuté le côté clinique de ces observa- tions, les
auteurs
s'efforcent de mettre en relief la combinaison
de la paralysie générale. Passant à l'évolution de la maladie, les
auteurs
admettent des cas de délire aigu à évolution pl
iformes dans la substance cen- trale du quatrième ventricule. Les
auteurs
admettent que dans cette observation il s'agit ég
de leurs recherches avec les données des travaux plus anciens, les
auteurs
constatent que, grâce aux examens plus approfon
nt que, grâce aux examens plus approfondis et plus substantiels des
auteurs
mo- dernes, on trouve dans la plupart des cas u
e le délire aigu. Le délire aigu serait de cette façon, d'après les
auteurs
, une variété d'encéphalite aiguë hémorrhagique, t
ion. Dr W. MouRATow. Les altérations anatomiques constatées par les
auteurs
sont si peu caractéristiques qu'il semble trop
ule cérébral gauche avec participation probable du noyau rouge. L'
auteur
a eu l'occasion d'observer un cas analogue en 189
yaux de la tige cérébrale (couche optique et noyau lenticulaire), l'
auteur
considère les mou- vements forcés qui apparaiss
donné lieu à l'hémichorée. Voici quelle est la classification que l'
auteur
assigne aux mouve- ments anormaux des hémiplégi
s qui relient les noyaux de la base avec le cervelet (Bonhoëffer, l'
auteur
) ; 30 convulsions corticales de caractère cloni
ces faisceaux jusqu'aux couches optiques. De ces observations, l'
auteur
tire les conclusions suivantes : 10 les symptôm
. (Nouv. Iconogr. de la Salpe- triène, n°S f, 2 et 6, 4891.) .) L'
auteur
nous promène dans les principales galeries de l'E
par la sixième paire (Bessaw'). En résumé, d'après ces différents
auteurs
, il n'y aurait pas de centre médullaire de la p
t Voelkers °. 2° En regard de ces opinions il faut mettre celle des
auteurs
qui admettent le centre médullaire : a). Chez
affaire à des névromés de régénération, qui, dans l'esprit de cet
auteur
marqueraient une tendance au rétablissement des
. » Nous n'en finirions pas de rapporter tous les passages où les
auteurs
reviennent sur ce point, à peu près dans les même
rais dû, j'ai communié étant indigne. » Ces accusations, ajoute l'
auteur
, contrastent formellement avec le caractère rée
lles-mêmes (délire rétrograde). Elles se reconnaissent dès lors les
auteurs
de mille forfaits et dignes des pires tortures.
ombreuses coupes sériées de cerveaux de foetus et de nouveau-nés, l'
auteur
admet que le moteur commun possède quatre noyau
situé dans la bandelette longitudinale postérieure, que certain. !
auteurs
rat- tachent au moteur commun ; mais on peut su
oisement partiel non douteux des racines du moteur commun, certains
auteurs
ont pensé que ces deux noyaux étaient directeme
ié dans la Presse médicale, avec cette différence cependant que cet
auteur
subor- donne l'action propre de la glande à cel
uivie par l'acle volontaire mis en jeu par une excitation perçue, l'
auteur
Archives, 2e série, t. V. ' 31 482 REVUE D'AN
nte des différences de détail d'un côté à l'autre. D'après certains
auteurs
le développement du cerveau gauche serait plus
des deux hémisphères. D'autres faits pathologiques mentionnés par l'
auteur
plaident dans le même sens : modification du ca
sprit n'est point encore prouvé scientifiquement. En termi- nant, l'
auteur
observe que la non-équivalence des hémisphères cé
- NESCO. (Presse médicale, 29 janvier 1898.) Dans ce travail, les
auteurs
exposent les constatations anatomo- pathologiqu
lles peuvent varier avec les conditions d'expérimentation. Tous les
auteurs
sont d'accord pour admettre que, tant que les c
l n'y a pas de tétanos sans lésions médullaires. Tout récemment, un
auteur
anglais, Hunter, a confirmé chez l'homme la pré
heures plus tard d'une dose de sérum antitétanique curative, les
auteurs
ont observé : 1° chez un cobaye sacrifié au bout
ifficile à préciser. Mais il reste des constatations faites par les
auteurs
, que l'immunité contre le poison tétanique se tra
de suivre le trajet des fibres de la racine sensorielle directe des
auteurs
; on ne peut percevoir de connexions du cervele
substance ferrugineuse ne révèle pas les fibres qui, d'après les
auteurs
, vont de cet endroit au trijumeau. - 6° A la suit
ystagmus . Comparant cette observation aux autres cas semblables, l'
auteur
reste dans le doute puisqu'il n'y a pas d'autop
plupart, le segment le plus postérieur du ruban de Reil latéral des
auteurs
; cet appoint, mé- langé de quelques trousseaux
au. Nous renvoyons pour les autres détails au mémoire lui-même. L'
auteur
croit qu'une partie du ruban do Reil latéral sert
cer- " tains noevi suivant les'territoires de branches nerveuses, l'
auteur
a eu l'occasion d'observer toute une série de c
ste, dans certains cas bien définis, légitime et nécessaire. Et les
auteurs
semblent revenir à une plus juste appréciation
ssibilité d'une amélioration par les procédés opératoires. Pour cet
auteur
, toute épilepsie est symptomatique. Aucun neu-
luant isolément en dehors de toute affection médullaire. Beaucoup d'
auteurs
affir- ment même que toute syphilis médullaire
en externe des hôpitaux de Lyon. (Thèse de Lyon, janvier 1898.) L'
auteur
a réuni les observations les plus nettes de pseud
D'ODENSBURG. (.me ? Ca; ! t./OU)'HC[0/' Insanily, juillet 95.) L'
auteur
relève d'abord l'insuffisance actuelle du nombre
s un historique sommaire de l'assistance familiale des alié- nés, l'
auteur
expose le fonctionnement de la colonie créée par
ays, notamment en Allemagne, en France, en Russie et en Amérique. L'
auteur
signale les mauvais résultats de ce traitement
- veilleux fit fortune grâce à la sorcellerie. Dans la seconde, l'
auteur
fait connaître le rôle bien connu des nécromanc
t res- pecter scrupuleusement. Enfin, dans la quatrième partie, l'
auteur
, à propos d'apparitions macabres, de maisons ha
<a'h)) ! KH ? Brochure in-8° de 12 pages. Budapest, 1898. Chez l'
auteur
. DUBUISSOS. Notice sur l'asile de Braquecille (
Grcbener, 406. Traite- ment du -, pdr Haïchime, 407 838 TABLE DES
AUTEURS
ET. DES COLLABORATEURS. 'l'.11;ÉTIfIUCS. Mouvem
1. Vieillesse. Psychoses de la ? par Alexamler, 1 11. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Abadie, 73, 74. Abrams,
, 423, Ellis, 155. Escurier, 70, 231. Etienne, 198. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. 539 Febvré, 81. Feray,
Sokolowski, 150. Solfier, 83, 93. Sommer, 230. 540 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. Soukhanot3', 21h, 39,
e pas préci- sément à conclure'qu'il y ait association. D'après cet
auteur
, la paralysie générale parait faire partie des
par des observations person- nelles jointes à celles de différents
auteurs
. M. Séglas a de nouveau établi que ces idées pe
ons de la vue sont plus persistantes, elle voit de drôles de choses
auteur
d'elle, elle croit voir le feu; mais tout cela
ieu spécialement pour l'âge de puberté. L'expérience a montré à l'
auteur
qu'il y aussi des démences pri- maires [se prod
n que dans les démences secondaires et la paralysie géné- rale. L'
auteur
cite deux jeunes étudiants, dont l'un surtout éta
ne peut être question que d'une guérison avec déficiences. Enfin l'
auteur
rapporte deux histoires cliniques empruntées à
égie nucléaire. Cette cause n'avait pas encore été signalée par les
auteurs
. M. Marfan rappelle qu'il a observé un cas de p
èpre a été négative : le diagnostic de syringomyélie, porté par les
auteurs
, a été confirmé par 11. Déjerine. S'appuyant
r M. GLry. (Presse médicale, 12 janvier 1898.) Dans ce travail, l'
auteur
passe en revue diverses hypothèses émises sur l
hiques, et celle des glandules amenant les accidents convulsifs). L'
auteur
manifeste nettement ses préférences pour une tr
n retard, d'aucune anomalie dans l'évolution des organes sexuels. L'
auteur
en rap- porte plusieurs observations, et fait r
de diabète sucré, Bronclio-alvéolite spécifique du sommet droit, l'
auteur
arrive à établir clairement : 1° que tous les s
l s'agit d'un cas clinique, dont l'analyse très détaillée conduit l'
auteur
au diagnostic de paralysie labio-glosso-lar3-ngée
ident. En regard des symptômes cliniques minutieusement observés, l'
auteur
déve- loppe les résultats de ses constatations
es dé- bordent ces derniers pour ainsi dire. A propos de ce cas l'
auteur
soutient une discussion très intéres- sante au
t de vue de sa provenance. Elle nous vient des cataractes du Nil. L'
auteur
a rencontré sans les chercher trois cas identiq
de petits noyaux d'aspect inflam- matoire ; aucune autre lésion. L'
auteur
en conclut : «1° Le centre de la sensibilité mu
de la Salpétrière, n° 1, 1898.) Au cours de cette leçon clinique, l'
auteur
passe en revue les diffé- rentes formes d'hémip
s idées sur la nature et la patho- génie de lamaladie de Basedow. L'
auteur
considère celte affection comme une névrose pur
enant au cours de cette maladie. Les observations ap- portées par l'
auteur
se rapportent à des hémoptysies, des hémate- mè
phéno- mènes convulsifs prédominant à gauche et hyperthermie. Les
auteurs
, rappelant les cas déjà observés de tumeur du cor
cutanée, amblyopie passagère, parésie accompagnant l'acte sexuel. L'
auteur
apporte deux observations, l'une d'un épileptique
e ». REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 53 A propos du traitement, l'
auteur
signale l'inefficacité des médica- tions et des
s eu de migraines d'aucune sorte. A raison de ces particularités, l'
auteur
se demande si le cas qu'il a observé est un acc
aux attaques ophtalmoplégiques une origine vasculaire parait à l'
auteur
plus satisfaisante que celles qui leur assignent
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 55 festement d'origine corticale; selon les
auteurs
, elle résulterait de l'interruption du courant
lui-même, convaincu de l'incurabilité de la myotonie, que certains
auteurs
considèrent même comme une anomalie congénitale
RE, interne des hôpi- taux. (Presse médicale, 8 décembre 1897.) L'
auteur
expose en détail la technique du traitement de l'
s paires lom- baires. » Description d'un appareil imaginé par les
auteurs
et composé REVUE de thérapeutique 61 essent
aul Ranschburg. (Zeilsch1'i{t sur hypnotismus, t. IV, fasc. 5.) L'
auteur
croit que l'hypnotisme est un agent thérapeutique
femmes (vol, mobile du crime), a été condamné à la peine de mort. L'
auteur
étudie le procès qui a vivement émotionné l'opi
Zct(se/tt ? </Yt)' /n/p) ! 0<Mm : <s, t.V,fasc. 2, 3,4.) L'
auteur
a traité par l'hypnotisme et la suggestion la con
sur les applications de l'eau froide dans la pra- tique médicale, l'
auteur
rapporte plusieurs cas cliniques (aphasie hysté
membres du côté droit. Le sujet est sans connaissance et cyauosé. L'
auteur
eut l'idée de recourir à ladouche froide sur la
fs aussi intenses et aussi prolongés que dans le cas rapporté par l'
auteur
. L'état du sujet était tel que la mort semblait
, on du psychisme inférieur ? Sans prétendre trancher laquestion, l'
auteur
fait remarquer que« tous les actes automatiques
, devant la gravité reconnue du pronostic du torti- colis mental, l'
auteur
a élé amené à appliquer sur quatre malades, d'a
nnes; par le De SOUPAULT. L'observation rapportée en détail par l'
auteur
a déjà fait l'objet d'une note du professeur De
taux, et d'un travail de M. Lejars, à la Société de chirurgie, ces
auteurs
s'étant surtout attachés dans leurs communication
aperçoit pas, est un bon signe de paralysie générale sur lequel les
auteurs
ont peu- Insisté. 68 SOCIÉTÉS SAVANTES. M.
umatisme, lombago, carie, etc.), et la névralgie scia- tique. , L'
auteur
attire l'attention sur la valeur des troubles mot
. Pas d'altérations lépreuses dans les autres organes internes. L'
auteur
pense que son observation confirme l'opinion d'ap
attache à toute idée personnelle s'accroît ici de l'autorité'de ses
auteurs
. Le terme de paralysie générale s'applique à un
nt une prédisposition aboutissant à la paralysie générale, mais les
auteurs
ne possèdent qu'une seule observation de paralysi
bsolument nul. ' Abordant la genèse de la paralysie générale, les
auteurs
la résu- ment de la façon suivante : « 1° Les c
et juger la .'méthode rigoureusement scienti- fique suivie par ces
auteurs
, il faut, avec eux, analyser et synthé- thiser
culier. Cette manière de voir a été d'ail- leurs accueillie par les
auteurs
, par Klippel en particulier. Les faits ne nous
plus loin et nous signale quelques détails de lésions que certains
auteurs
, à tort ou à raison, considèrent comme la signa
écrit : « L'importance des lésions vasculaires n'a pas échappé aux
auteurs
dont l'attention a été attirée sur ce point (Le
de Rums, Schmans, Goldflam, Lamy, Sottas, etc. Tout récemment, un
auteur
allemand, parlant d'un cas de paralysie général
la moelle, ainsi que procèdent certaines intoxications, au'dire des
auteurs
italiens ? Ou bien s'attaquerait-elle tout d'ab
nd on promène la préparation à 20 ou 25 centi- mètres du fil. ' L'
auteur
a pu aussi constater des phénomènes d'interférenc
suivant les réactions neuro- musculaires. Les règles tracées par l'
auteur
: repos absolu de la région à analyser, emploi
mplète des accès convulsifs qui n'ont pas reparu depuis six mois. L'
auteur
rappelle les travaux de Bouchard et ceux de Fer
ules nerveuses. , 'l't8 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Si, dit l'
auteur
, nous laissons de côte les lésions irrégulières q
chiat., VIII, 1878), très semblables à la présente observation; ces
auteurs
n'ont rencontré que les lésions corticales de l
nt d'une très belle santé; il ne présente pas l'ombre d'ataxie. L'
auteur
fait remarquer à ce propos que sur près de deux c
i, n° 6, 1897.) Un jeune homme de dix-neuf ans se présente devant l'
auteur
en racontant qu'il est atteint de tuberculose ;
ns résultat; que d'ailleurs il considère son cas comme incurable. L'
auteur
remarque que le sujet cherche à se rendre aussi
e, amaigri; il se lamente et dit souffrir beaucoup du côté droit. L'
auteur
constate avec étonnement que les signes pul- mo
l'élec- tricité dont elle s'est bien trouvée pour des névralgies. L'
auteur
consent à appliquer des courants interrompus su
ubliées par Debove, Camuset, Voisin, Mara- gliano, Charcot, etc., l'
auteur
conclut que : 1° son malade était un névrosique
tion du système nerveux, précèdent l'hypertrophie de la thyroïde. L'
auteur
eut de bons résultats' en faisant prendre à un ma
50 ont été notés. Afais c'est là une statistique insuffisante, et l'
auteur
a pu suivre trente-deux malades après leur sortie
avec aucune modification de leur consistance ou de leur volume ». L'
auteur
désigne ce symptôme du nom d'apophysalyie. Elle
dorsal, d'où urgence de porter remède à cette douleur. Ce remède, l'
auteur
l'a trouvé dans des injec- lions, sous le pério
ordinairement non impétueuse, incomplète, ou inversement. Tous les
auteurs
croient à des lésions vasculaires; l'observatio
vent que leur rougeur passera ina- perçue, le soir par exemple. L'
auteur
fait remarquer qu'il a démontré qu'on détermine u
indique la probabilité d'une lésion du système nerveux central. L'
auteur
fait remarquer que la sclérose des muscles présen
qu'il a dû y en avoir, la dégénérescence les a fait disparaître. L'
auteur
établit le diagnostic avec la pachyméningite ce
hrombose d'une partie de la basi- laire et d'une de ses branches. L'
auteur
combat l'hypothèse de Cbar- cot qui, pour expli
Pour expliquer les rapports intimes de la syphilis et du tabès, l'
auteur
professe qu'en l'état actuel de la science la mei
tes médications internes et externes préconisées contre le tabes, l'
auteur
s'étend particuliè- rement sur la méthode de Fr
eur Bergonié, de Bor- deaux. (Presse médicale, 5 janvier 1898.) L'
auteur
expose la technique et les résultats du traitemen
s vertèbres dorsales, descendant jusqu'aux premières lombaires. L'
auteur
rapporte une série d'observations dans lesquelles
cerne une malade qui n'a pas eu de crise depuis trois ans.) Aussi l'
auteur
estime-t-il que ce mode de traite- ment de la n
effectués et à plusieurs reprises du même crâne n'ont pas donné à l'
auteur
plus de 10 centimètres cubes d'écart. Quand on
écial, par P.-F. ARULL1NI. (Neurolog. Cen- tralbl., XVI, 4897.) L'
auteur
a inventé un appareil pour comprimer le scialique
niveau de l'échancrure sciatique, et les veines en creux poplilé. L'
auteur
a traité avec succès quarante malades. Chez six d
e vibratoire ; par F. PETER501. (Jledical-News. 'janvier 1898.) L'
auteur
décrit avec figures les appareils de Leidbeck et
ROTHERS et Z. COL- LINS. (Medical-News, février-avril J898-.) Les
auteurs
s'élèvent avec force contre le restreint des alco
du drainage consécutif et de l'asepti- srtion postopératoire, dit l'
auteur
. Guérison. A. MARIE. XXXIV. Deux cas DE MENINGO
° 1, 1898.) Nouvelle série de 21 malades traités par la méthode des
auteurs
. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 'l1· Amélioration
. Rentehgiiem. (Zeitschrift 1 ¡il' hypnotismus, t. V, fasc. 1.) L'
auteur
a fondé une clinique d'hypnotisme, il Amsterdam,
ques, notre observation offre bien peu d'analogie avec celles des
auteurs
, tandis que les différences sont très grandes.
a partie postérieure du cordon médullaire, notée par la plupart des
auteurs
(Olli- vier, Schulz, Coupland et Pasteur, Westp
ce qui concerne les vaisseaux notre observation reste isolée : les
auteurs
décrivent les parois vasculaires tout à fait no
ons étaient les mêmes dans les cas à marche rapide, publiés par les
auteurs
; le sarcome ne se développant qu'à une pé- rio
les lésions vasculaires manquaient de temps pour s'établir. Le seul
auteur
qui ait trouvé une dégénération hyaline et calc
out particulier, et ne ressemble guère aux constatations des autres
auteurs
. Ainsi, dans la plupart des cas on avait affair
une barrière insurmontable pour les éléments sarcomateux. Certains
auteurs
(Westphal, Busch) trouvent même dans cette circ
ière phase dans l'évolution du processus mor- bide. . D'après cet
auteur
, dans la moelle prédestinée à une syrin- gomyél
que produisent les procédés expérimentaux. Néanmoins la plupart des
auteurs
dont les travaux ont beau- coup contribué à l'é
s'entendre sur la valeur du mot série, différemment compris par les
auteurs
. Nous entendons par attaques en série, non seul
di- quée par MM. Chauffard et Cavasse. De même que ces der- niers
auteurs
, nous avons, à l'aide des graphiques, étudié la
é fausse- ment considérés comme en étant la conséquence. Certains
auteurs
tendent avec plus ou moins de parti pris à arro
t, de Montpellier, et la thèse de son élève, le D'' Denis. Les deux
auteurs
affirment qu'entre l'opération et la folie, il
altimore, de Baldy, de Gray, de Eder en Amérique, dans lesquels les
auteurs
rapportent avec force détails, des opérations g
nt l'excellente thèse du D1' Musin de Lille (1895), dans laquelle l'
auteur
conclut qu'en ce qui concerne les opérations gy
on peut - constater des particularités sur lesquelles, dit-il, les
auteurs
n'ont .guère insisté, l'aphasie, l'amnésie verb
lire traumatique pur. C'est du reste l'opi- nion de la majorité des
auteurs
. Tout ce que l'on peut dire, c'est que dans cer
rédisposition héréditaire ou acquise a été admis par la plupart des
auteurs
. Ceux qui lui 'refusent toute influence, comme
sse dans son livre sur la Peur, Dent, Krafft-Ebing et bien d'autres
auteurs
admettent l'influence prépon- dérante du choc m
ction réflexe avait l'importance que veulent lui attribuer quelques
auteurs
, toute intervention portant directement sur un
els elle porte, ont aussi une importance très secondaire. .Nombre d'
auteurs
ont attiré l'attention sur l'influence que peut
de six observations de cette forme spéciale du délire processif. L'
auteur
en a observé récemment uu septième cas, qui off
ait le sujet du rap- port médico-légal communiqué au Congrès. ' L'
auteur
donne une observation détaillée du cas et met en
de cellules araignées de la névroglie et de fibrilles fines. Les
auteurs
insistent sur les troubles mentaux et sur la topo
que, etc. C'est un trouble trophique, attribuable au sympathique. L'
auteur
rapporte ensuite trois cas d'épileptiques améli
stait une dégénérescence secondaire des fais- ceaux pyramidaux. Ces
auteurs
ont donné de ces faits des interpré- tations di
r qu'avec beaucoup de réserves les observations publiées par divers
auteurs
, entre autres par MM. Bas- tian, Van Gehuchten,
le vrai quand il s'élève contre les conclusions un peu hâtives des
auteurs
qui, ayant cons- taté des paralysies flaccides
s, M. Vallon passe en revue les différentes opinions émises par les
auteurs
. Cela fait, après avoir bien délimité la questi
pulsion épileptique qui porte, pour ainsi dire, la signature de son
auteur
. Les circonstances qui ont suivi l'acte ont que
normal chez l'inculpé ou dans sa famille ? La presque unanimité des
auteurs
français répond non, et Régis résumant pour ain
s objections que je ne puis m'empêcher de mettre en avant. Pour les
auteurs
allemands, la folie transitoire est liée à des ét
ne plus revenir. Au paragraphe manie, nous avons vu que certains
auteurs
consi- dèrent la manie transitoire comme une ma
tes). Dans deux communications récentes à la Société de Biologie, l'
auteur
a soutenu que chez les hémiplé- giques, toutes
ant gal- vanique, et conservation de l'excitabilité faradique). L'
auteur
considère que ces troubles paralytiques ne peuven
, des plus curieux. L'anatomie pathologique reste à déterminer et l'
auteur
se demande, avec M. Brissaud, si le substratum
ucci fils, accueilli par des applaudissements enthousiastes, et les
auteurs
, MM. P. Petrucci et 0. Meunier, ont dû se montrer
l Sollier. Nouveaux cas à l'appui des recherches précé- dentes de l'
auteur
, exposées dans son ouvrage sur la Genèse et la
des vis- cères dont les centres corticaux sont encore inconnus. L'
auteur
signale six nouveaux cas, dont trois se rapporten
Ces nouveaux faits confirment le siège précédemment établi par l'
auteur
, à savoir, pour l'estomac, un point bilatéral pla
ra toute sa sensibilité interne, retour qui s'accompagna, comme l'
auteur
l'a démontré, de régression de la personnalité ju
t. Après avoir insisté sur l'utilité de l'exploration électrique, l'
auteur
montre l'inutilité du traitement local dans les
et de psych. méd., t. II, 1897, p. 513-b37.) L'enquête faite par l'
auteur
dans le but de déterminer quelle a été la situa
rine abandonnée qui ne donne que la façon devoir personnelle de son
auteur
. Partisan de la dualité telle que la soutient l
ion syringomyé- lique de la sensibilité. Dans les cas cités par cet
auteur
, la période douloureuse a toujours existé avec
rouvés réunis dans le cas spécial rapporté par M. Debove ; mais cet
auteur
les considère comme des causes banales, qui, se
xiste des faits de paralysie du voile par lésions du vago-spinal. L'
auteur
en rapporte un, dans lequel il a observé une pa
vait aucune réaction inflammatoire dans la pie-mère médullaire. Les
auteurs
n'ont pas trouvé de parasites dans les parties
s numéros). (Biilish- iled. Journal, février-avril-mai 1897.) Les
auteurs
étudient à part les lésions des centres de la par
es (les unes personnelles, les autres publiées antérieure- ment), l'
auteur
conclut qu'on ne peut pas, dans l'affection en qu
ires compliqués d'alcoolisme chronique. Discussion du diagnostic. L'
auteur
insiste particulièrement sur les particularités
plication de ces faits, de la coexistence d'une polynévrile; mais l'
auteur
ne' croit pouvoir expli- quer la physionomie de
epuis plusieurs années. Les . REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 293
auteurs
, pour leur part, ont rencontré six cas de labes a
de Duehenne-Aran. Malgré l'absence de troubles de la sensibilité, l'
auteur
croit pouvoir ratta- cher cette amyotropie à un
et d'Hypnologie, 1898, n° 8.) Dans un cas d'hémiplégie organique, l'
auteur
a constaté l'exis- tence du phénomène des ortei
Neurologie et cl'llpnologie, 1898, n° 5.) On sait que pour quelques
auteurs
, la sclérose latérale amyotro- 'phique, au lieu
aigu ; par 0. itLICIiENZIE. (Brit. med. Journal, janvier 1898.) L'
auteur
signale une observation de courtes et fréquentes
LXVI. AUTOHYPNOTISIfE, par St. Waruen. (Médical News, mai 1898.) L'
auteur
développe les bienfaits à tirer du traitement mor
racines d'émergence au niveau des 5° et 6° vertèbres cervicales. L'
auteur
rapproche un cas analogue où des paralysies vis
News, - mars 1898.) Quatre observations d'épilepsie tardive que l'
auteur
rapporte à la sclérose artérielle des centres n
trépan, à un abcès de l'hémisphère droit d'origine péricranienne. L'
auteur
, à ce propos, impute son insuc- cès au retard m
pos des cas d'ataxie observés au Cooper collège de San Francisco, l'
auteur
estime que l'influence étiologique de la syphilis
évroses; par F. (3.vTEnlAi\. (Sied. leg. Journal, mars 1897.) - L'
auteur
incrimine particulièrement le surmenage intellect
einrich STERN (de New-York). (Medico légal Journal, juin 1897.) L'
auteur
montre d'abord les ravages de toutes sortes produ
l'alcoolisme ; puis il étudie les diverses opinions des différents
auteurs
sur les rapports qui unissent l'alcoolisme et l'é
t un syndrome bien défini constituant une infirmité redoutable. L'
auteur
étudie d'abord quelle sorte de paralysie frappe l
xe ou du plexus brachial ne s'accompagne de laxité articulaire. L'
auteur
s'appuyant sur six observations personnelles et s
on ; par W. EWART. (British médical journal, 9 novembre f89fi.) L'
auteur
conclut au succès douteux et au rejet de l'opérat
ité ET névrose; par Savoye. (B. médical journal, janvier 1897.) L'
auteur
s'attachant à faire la part des prédispositions h
DENTS; par S. SEwILL. (British medicul journal, janvier 1897.) L'
auteur
, s'appuyant sur deux cas, estime qu'il peut y avo
nest- Sept. REYPIOLDS. (British médical Journal, octobre 1897.) L'
auteur
divise les névrites selon leur origine centrale o
rpérale; par Arthur Conklin-Brush. (Médical . News, mars 1898.) L'
auteur
signale l'absence, aussi bien dans les traités de
oles dans certaines cellules. Les fissures et les vacuoles, que les
auteurs
qui ont précédemment étudié ces questions, ne par
Iconogr. de la Sal- pêtrière, n° 3, 1897.) Ces anomalies - dont l'
auteur
a rassemblé plusieurs cas peuvent se rencontrer
LEwIS. (Edinburglt Médical Journal, juin 189î.) Dans cette étude, l'
auteur
décrit avec détails la structure histolo- gique
u plusieurs prolongements épais s'attachant à un vaisseau voisin. L'
auteur
pense que ces cellules tirent leur origine de l'e
ère de voir; 2° Un plan de fibres nerveuses tangentielles. Tous les
auteurs
ont décrit ces faisceaux de fibres à myéline di
minales ou dendrites présentent un aspect hérissé et tortueux. L'
auteur
, après avoir établi les relations de ces dendrite
tique rationnelle ? Assurément non. Comme enseignement pratique les
auteurs
concluent : « Il nous semble que la céphalée, q
caractère emporté et imagi- nation extravagante. On doit conclut l'
auteur
reconnaître dans ce cas de macrodactylie « un v
lyse elles-mêmes, elles doivent être lues et vues sans raccourci. L'
auteur
laisse de côté le type ordinaire de la marche e
e la marche en flexion, dont il a été beau- coup parlé récemment, l'
auteur
nous apprend, appuyé de l'auto- rité de M. Mare
et de la disposition des groupements cellulaires chromatolysés les
auteurs
croient pouvoir conclure : 1° Que les noyaux
ésentent pas de garanties suffisantes pour permettre de conclure. L'
auteur
a fait des expériences très intéressantes et co
ucune modification ne s'est produite dans la circulation cutanée. L'
auteur
conclut en disant que la possibilité de produir
. DBDKEN. (Zeitsclirift fier hypnotismus, t. IV, fasc. 2 et 3.) L'
auteur
a traité par l'hypnotisme 50 malades. Il cherche
t pas l'identifier avec le sommeil ordinaire comme le font certains
auteurs
(Liébeault,Forel), on la considérer comme « un
du corps; par H. JACKSON. (British. med. Journal, janvier 1898.) L'
auteur
s'attache particulièrement à dégager les rapports
nes. Le sexe vrai fut décelé par la descente des testicules, dont l'
auteur
fit l'ablation sur la demande du ma- lade désir
e ; par V. IIOnSLEY. (British. medical Journal, décembre 1896.) L'
auteur
étudie particulièrement la question au point de v
ntre ces deux processus. En ce qui concerne la première question, l'
auteur
admet qu'en dehors de certains états aigus cara
lepsie, de l'alcoolisme, etc. Relativement à la seconde question, l'
auteur
croit que les rêves peuvent produire la folie d
supérieure. Après avoir dé- taillé les caractères des épilepsies, l'
auteur
conclut à l'existence en l'espèce d'une épileps
. (Journal de Neurologie et d'Hypnologie, 1897, n° 21.) D'après l'
auteur
de ce travail les symptômes d'Argyll-Robertson n
hypermnésie émotive. L'histoire de trois malades rapportée par les
auteurs
, à titre d'exemples, confirme ces principes thé
cas de soi-disant arthrite ankylosante de la colonne vertébrale. L'
auteur
présente trois malades dont voici les observati
Le traumatisme, le refroi- dissement, etc., ne seraient, d'après l'
auteur
, que des facteurs accidentels capables d'active
faisait immédia- tement cesser tous ces phénomènes. A ce propos l'
auteur
propose une classification des actes impul- sif
et de l'aqueduc de Sylvius, à côté d'une épendymite granuleuse. Les
auteurs
pensent, vu l'existence d'anomalies multiples du
uxième et troisième sacrées, chez une fillette âgée de douze ans, l'
auteur
a pratiqué l'examen des dégénérations secondaires
s. En ce qui concerne le faisceau de Gowers, les conclusions de l'
auteur
sont les suivantes : Le faisceau de Gowers, qui
e et moyen du noyau lenticulaire, où elles se terminent. En outre l'
auteur
a poursuivi : 1° Le faisceau cérébelleux direct
M. le professeur Goaewrrlrow montre l'intérêt de l'observation des
auteurs
, mais il ajoute qu'il faudrait des prépa- ratio
la Société de biologie, avait également prononcé le mot. Les deux
auteurs
s'accordent, en outre, pour faire un rapprochemen
its analogues mieux étudiés, il n'y a qu'à s'incliner ; mais si les
auteurs
ont entendu affirmer la réalité d'une folie hép
rvation jusqu'ici expressément qualifiée de folie hépatique par son
auteur
, M. Klippel, et qui débute par la manie ambitie
ossédée du diable, et manifeste des projets de vengeance contre les
auteurs
supposés de ses maux. Antécédents alcooliques c
de folie- hépatique. Ces observations, en effet, de l'aveu même des
auteurs
qui les ont publiées, se- présentent sous des f
é dans nos cita- 378 PATHOLOGIE MENTALE. lions, car souvent les
auteurs
réunissent ensemble le sens tac- tile et le sen
le dès lors de faire la part qui revient dans les appréciations des
auteurs
à l'anesthésie et à l'hypéresthesie, à l'analgé
s dans ces vingt dernières années est celui de M. Auguste Voisin. L'
auteur
examine le tact aux diverses périodes de lamala
nchondriaques ; à la seconde période, ajoute-t-il, d'après quelques
auteurs
, l'anesthésie qui existe quelquefois au début d
demeurer intacte presque jus- qu'aux derniers moments; cependantcet
auteur
reconnaît que le plus souvent vers la fin de la
ent intellectuel des malades. Enfin nous citerons encore, parmi les
auteurs
français les plus récents, M. Magnan et M. Séri
ois périodes de la paralysie générale. Si nous nous adressons aux
auteurs
étrangers, nous ne serons pas mieux renseignés.
trouble de la conscience des malades. » D71cl : le est de tous les
auteurs
celui qui s'est le plus appe- santi sur les tro
antôt- sur un autre à telle ou telle autre phase de la maladie. Les
auteurs
que nous avons cités et dont les travaux sont l
z les mêmes malades durant tout le cours de la maladie. Parmi les
auteurs
que nous avons cités plusieurs insistent sur le
curieuse dystrophie, attribue la prédominance au système nerveux. L'
auteur
pense que, dans ce cas spécial, il y aurait lieu
e des signes ordinaires de la paralysie du facial supérieur, dont l'
auteur
donne une obser- vation complète. Il s'agit d'u
a dépendance d'une sclérose systé- matisée combinée de la moelle. L'
auteur
pense qu'il y a des degrés dans la débilité con
tumeur, tumeur constituée par un tissu mixte : fibro-myo-lipôme. L'
auteur
revient, dans le présent travail, sur l'étude m
; par le Dr 130NaRDI. En raison de la rareté de cette affection, l'
auteur
publie un cas de chorée électrique ou maladie d
a nature des lésions qui déter- minent la maladie de Parkinson. Les
auteurs
ont trouvé dans les cellules des cornes antérie
remarque que le globe de l'oeil se tourne en haut et en dehors. L'
auteur
a déjà cité huit cas dans lesquels ce trouble éta
ment la paralysie faciale. M. Bernhardt a critiqué la théorie de l'
auteur
, semblant croire que ce dernier attribuait excl
équente ; il suf- fit de la rechercher. L'observation relatée par l'
auteur
en est un exemple au cours du mal de Pott ; quo
tra-rachidiennes, serait la cause des phéno- mènes paralytiques ; l'
auteur
préfère s'en tenir à l'action compres- sive de
plutôt que l'abcès proprement dit. A propos de l'intervention, l'
auteur
constate qu'un temps pré- cieux a été perdu qui
différentiels établis par Brissaud. L'observation relatée par les
auteurs
peut servir d'exemple à cet égard : Un homme
ons posées dans un récent travail de ' M. Gerest, à la théorie de l'
auteur
relative à l'exagération des réflexes et à la c
, une maladie : l'atrophie musculaire progressive de l'adulte. Et l'
auteur
conclut, d'une façon catégorique, que, dans l'é
retrouve, après une crise, un calme absolu d'un jour ou.deux. Les
auteurs
pensent que le paramyoclonus, dans cette observa-
revue et examiné chacun des symp- tômes du grand mal épileptique, l'
auteur
conclut que pas un ne peut être pathognomonique
édico- légale. En ce qui concerne la simulation de l'épilepsie, l'
auteur
partage à ce sujet l'avis du Dr Orlof : « Quand
lt et FENAYRON. C'est à défaut d'une expression plus exacte que les
auteurs
, dans leur important et intéressant travail, on
un dégénéré avec instincts criminels et responsabilité atténuée, l'
auteur
fait les remarques suivantes : 1° L'examen de l
que se rencontre le plus fréquemment la simulation de la folie. L'
auteur
attire l'attention sur ce fait que si un individu
social ; par H. Elles. (Medico-legal .tournai, décembre 1896.) L'
auteur
compare les lois anglaise, française et américain
C'est à la suite d'une étude au pénitentier de Philadelphie que l'
auteur
a rédigé cette note tendant à montrer que les exp
gnerie ; par T.-D. Crothers. (Medico-legal Journal, mars 1896.) L'
auteur
demande avec insistance une nouvelle jurisprudenc
iences relatives à la toxicité de la sueur chez les épileptiques. l'
auteur
pense que le bain d'air chaud est un excellent
e résultat d'une enquête internationale, à la suite de laquelle les
auteurs
sont arrivés à formuler les conclusions sui- va
des psychoses en général, de la confusion mentale en particulier, l'
auteur
propose de les combattre par des injections de
encore repris possession de sa pleine volonté. A l'asile de Nape, l'
auteur
a eu d'excellents résultats dans cin- quante ca
erveux nécessitant l'emploi du bromure et de la strychnine. Aussi l'
auteur
nereçoit-il des morphinomanes dans son sanatorium
r la fréquence, l'étiologie, le développement de cette affection, l'
auteur
en décrit les symptômes primordiaux (la dépress
ur la même raison, on devait se méfier des affirmations de certains
auteurs
qui admettaient l'origine inflammatoire des kys
que l'expérimentation antérieure avait avancé, nous voyons que cet
auteur
essaie d'établir une forme d'encéphalite tout à
expériences, sur les observations auatomo-cliiiiques de différents
auteurs
et enfin sur trois observations personnelles. I
servi pour ériger sa forme d'encéphalite. Sur les 16 cas que cet
auteur
rapporte dans son travail, 13 sont empruntés à
et auteur rapporte dans son travail, 13 sont empruntés à différents
auteurs
et 3 lui sont personnels. Nous ne pouvons attac
éthode de cueillir des observations de différentes époques et à des
auteurs
antérieurs (llayem, Kiewlicz), nous nous bornon
mporte quelle région de l'encéphale. Depuis les travaux de ces deux
auteurs
les observations se sont multipliées; chaque an
ces maladies qui fait l'objet presque constant des discussions des
auteurs
. L'anatomie pathologique est restée au même poi
penheim2 s'oc- cupe du pronostic de la forme de StrÜmpel1. D'autres
auteurs
comme Murawielf3 font de longues discussions po
asser en revue. La confusion est facile, et rien d'étonnant que des
auteurs
(Jaksch, Pmge1' med. lYochen., 1895, n° 7) aien
lules épithélioïdes de Friedmann. Mais à l'en- contre de ce dernier
auteur
, nous avons trouvé les leucocytes en bien plus
de grosses cellules rondes ou de cellules épithélioïdes 2. Mais cet
auteur
a été trop loin en soutenant ' Loc. cil. - La
ite aigué non suppurative décrits ces derniers temps par différents
auteurs
. D'après Friedmann les cellules épithélioïdes s
M. accommodât.) et la contraction irienne (IRIS). Contrairement aux
auteurs
classiques, je place le centre de réflexion au
ce qui suit : REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 471 I A cet égard, l'
auteur
a observé la paralysie générale à l'âge de ving
ÉNÉRALE : par le D1' 11.1naDO\ DE 111oNTYEL. Les conclusions de l'
auteur
sont les suivantes : 1. Dans la paralysie génér
Epidémie DE FOLIE religieuse au Brésil; par le Dr Nmn-RoDmGUES. L'
auteur
relate tout au long l'épopée instructive et anach
CHOSES ; par le D1' SBRIiIG\1. Les deux observations relatées par l'
auteur
ont trait à deux malades, X... et Y..., dont 1'
ois moindre qu'en Allemagne. Cette différence serait due, d'après l'
auteur
, à ce que les Alle- mands, avant de se livrer l
e malade méconnaît l'origine personnelle : il croit n'en être pas l'
auteur
, il les extériorise et les attribue à une influen
longitudinal : en bas, il a laissé une partie de l'ascendante. L'
auteur
tend à croire qu'un traumatisme a, à l'âge de tro
de quatre-vingts individus normaux (du personnel des infirmiers). L'
auteur
en fait un résumé provisoire. Il dit qu'il a. t
uit dans la cellule nerveuse, après la section de son cylindraxe, l'
auteur
tire de son présent travail les conclusions sui
Après avoir étudié l'action isolée de ces deux agents pathogènes, l'
auteur
, dans le présent mémoire, complète ses recherches
ces deux facteurs. En ce qui regarde la technique microscopique, l'
auteur
estime que dans les cas concernant des maladies
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 487 conduit l'
auteur
aux conclusions suivantes : 1° Le développement
de la maladie. d'Addison, la ques- tion est loin d'être résolue. L'
auteur
fait un exposé complet de toutes ces recherches
ppareil surrénal cons- titue-t-il un organe nécessaire à la vie ? L'
auteur
a voulu reprendre la question à sa base et tout
athique ? Pour répondre à la première partie du premier problème, l'
auteur
a pratiqué une série d'expériences portant sur
ont tous survécu après une indisposition de quelques jours, d'où l'
auteur
se croit autorisé à conclure qu'une portion mêm
ans une troisième série d'expériences (série C, a \ianeâ- gio »), l'
auteur
a fait subir à huit chiens une opération qu'il dé
éorie nerveuse et triomphe de la théorie de l'auto-intoxication Y L'
auteur
ne le pense pas, et pour lui l'antagonisme, génér
des espèces animales différentes, doit être du plus haut intérêt. L'
auteur
termine son substantiel mémoire par l'annonce d
; par le D1' DURANTE. Dans les quatre observations rapportées par l'
auteur
, il s'agit d'altérations systématisées des voie
t moins exceptionnelle que l'on serait tenté de le croire puisque l'
auteur
en a relevé vingt-trois exemples épars sous diffe
nts titres dans la littérature et diversement interprétés par leurs
auteurs
. Cette propagation peut s'étendre plus ou moins l
ES racines postérieures ; par BRIAN et Bonne. Les conclusions des
auteurs
sont les suivantes : 1. La section des racines
es coupes sériées pratiquées sur toute l'étendue du noyau facial, l'
auteur
a constaté qu'au point de vue de leur structure l
'innervation des différents territoires musculaires de la face. L'
auteur
, dans un prochain travail, étudiera les fonctions
au DE l'homme; par l'ATRIZI. (Riv. sp. di frein., 1897, fasc. I.) L'
auteur
résume dans les conclusions suivantes les résulta
ie, 1898, n° 12. < Il résulte des recherches expérimentales de l'
auteur
qu'à la suite d'une section complète de la moel
laires de la corne antérieure ont toujours été trouvées intactes. L'
auteur
admet que si les mouvements réflexes sont aboli
IE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 497 du nerf. Le dispositif de l'
auteur
est fort ingénieux et les condi- tions expérime
ets en variant la durée d'im- mersion et la force de la solution. L'
auteur
se propose ultérieure- ment de chercher la corr
à six mois. « Les fibres de ce trousseau médian sont, disais-je (l'
auteur
continue), très probablement en rapport avec le
clinique dans ses rap- ports avec les localisations anatomiques, l'
auteur
communique une observation dans laquelle, à la
alyti- ques, d'épileptiques, et autres aliénés, parait légitime à l'
auteur
parce que la densité du cerveau oscille assez g
sions paralyti- ques ? Questions qui infirmeraient les calculs de l'
auteur
. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE pathologi
en réflexes et la force de l'excita- tion initiale ont démontré aux
auteurs
, de concert avec les faits de Kaner, Weiss, Ral
llules géantes du LOBULE P.IRaCE\1'1WL ; par le Dr Adolf MEYKR. L'
auteur
a choisi pour son étude les cellules géantes du l
il publié en russe, qui repose sur 18 expériences pratiquées^ par l'
auteur
chez le chien : section totale ou hénlllatéraie
ux de fibres descendantes des cordons postérieurs, décrits- par les
auteurs
sous dinérents noms, appartiennent à un seul et m
es causes et particularités du mouvement ataxique, chez le singe. L'
auteur
insiste surtout sur la diminution de volume du
dans l'oubli dont elles étaient dignes. La neurasthénie M'aie que l'
auteur
décrit avec une précision parfaite est un état
par Cercliez 1 et Juvara, 37. Histologie des cel- 538 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. Iules du système-, par M
ique -, par Peterson, 143. Voyageurs. Précoces , 272. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Achard, 292. Adamhiemcl
. 56,129, 300,477,478,482,498, 506. Benda, 118. - TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. 539 Beuzi (de), 136. B
nor, 8. Mu-allié, 244, 250. Nololtetlsolf, 345. 540 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. Mon profit, 220. Moor
avec M. Van Gehuchten dresser un tableau parallèle à celui que cet
auteur
a tracé pour les paraplégies flasques. Et ces
Les renseignements cliniques sont, il est vrai, un peu écourtés. L'
auteur
dit seulement que la gibbosité apparut à l'âge
n'en peuvent pas moins exister seuls pendant un temps ainsi que cet
auteur
lui-même en rappelle un exemple, ce cas de Chip
nérale de la maladie, et sur quelques symptômes particuliers=». Cet
auteur
n'admet pas l'influence psychique de la suspens
Lourdes. Pour montrer que la suspension est un moyen suggestif, cet
auteur
sus- pendait ses ataxiques par les pieds et le
t peu de chances. De 114 tabétiques, soignés par la suspension, cet
auteur
obtint 110 insuccès et 4 aggra- vations. Il n'a
ccès de M. Ilirth doivent être expliquées par l'impatience dont cet
auteur
a fait preuve en appliquant la suspension. Et e
thologistes d'abandonner son application. C'est ainsi que plusieurs
auteurs
ont noté des crises laryngées, provoquées par l
sionnée par l'appareil de Mot- choutkowski ; un autre malade de ces
auteurs
se plaignait de la céphalalgie et des douleurs
de Motchouskowsky l'ont complètement transformée. Les pre- miers
auteurs
qui ont réalisé une véritable transformation du
istingués con- frères, de Bordeaux les D''S Lande et Regnier 1. Ces
auteurs
ont remarqué que la traction par les aisselles
voulu. M. Ostankoff a employé pour ses essais 1 apparei mon. Cet
auteur
emplc traction dépassant 40 li mes. La durée
'extension que nous destinons il. remplacer les appa- reils des
auteurs
cités. Notre appareil est com- pose de deux p
nte beaucoup ce procédé. Blondel l'a modifié avantageusement. Cet
auteur
recommande de fléchir les jambes sur les cuisses
T DES MALADIES NERVEUSES. 35 quement par M. Bogroff. Déjà avant cet
auteur
, Hamilton se servait d'une planche inclinée pou
r les pieds ayant la tête en bas. Dans cette désagréable position l'
auteur
américain laissait ses patients près de dix min
de ces expériences ; nous citerons plus loin les conclusions de cet
auteur
. M. Bogroff renonça aux tractions mentonnières
on action directe sur la moelle se réduit à zéro. Il est vrai que l'
auteur
a destiné son appareil pour transformer la posi
d'extension peut être prolongé aussi loin que possible. Si quelques
auteurs
se sont satisfaits de faire 40 à 50 séances de
la résection d'une portion assez étendue du nerf cutané externe. L'
auteur
relate avec soin l'observation détaillée d'un c
sence d'une névrose réflexe, ou bien d'une pseudo-méralgie ; mais l'
auteur
après avoir fait le diagnostic par exclusion et
dineux, etc. Tous ces accidents doivent être attri- bués, d'après l'
auteur
, à une compression unilatérale de la moelle par
jambes avec abolition des réflexes tendineux et cutanés. D'après l'
auteur
, cet enfant a eu une intoxication d'origine gri
tence de douleurs névralgiques dans le domaine dû nerf occipital. L'
auteur
présume d'après ces symptômes que la lésion sié
spontanée et sous dictée. Bien qu'il n'y ait pas eu d'au- topsie, l'
auteur
croit pouvoir rattacher cette cécité verbale à un
andis que le rotulien était notablement exagéré des deux côtés. L'
auteur
attribue ces accidents à des lésions nerveuses dé
3 autopsies. L'en- semble de ces observations détaillées conduit l'
auteur
à une des- cription complète de l'affection : l
r ce qui concerne la pathogénie évolutive de la lésion elle-même, l'
auteur
ne peut également poser qu'une hypothèse ; elle
es (genoux) et périarticulaires fibreuses et à évolution lente. Les
auteurs
pensent que la radiographie permettra de multipli
es formes d'amyotrophies essentielles classées jusqu'à ce jour, les
auteurs
voient une nouvelle confirma- tion de cette opi
cas atypique différent de ceux qui ont été déjà décrits et que les
auteurs
placent en « situation d'attente ». R. C. XVI
onique ; par H UDO- VERNIG. (Nouv. Iconogr. de 1(t n° 5, 1900.) L'
auteur
se défend de présenter un cas très rare : la poli
des traumatismes variés du crâne. Question déjà ancienne et que l'
auteur
ne prétend point éclairer de lueurs nouvelles. Il
IM. (Revue de Médecine, 1901.) Des observations recueillies par l'
auteur
il résulterait que l'anes- thésie hystérique n'
sation immé- diate, c'est-à-dire une sorte d'illusion négative. L'
auteur
croit pouvoir conclure que l'anesthésie hystériqu
clinique reste en attendant le meil- leur moyen d'investigation ; l'
auteur
a observé 144 cas de cho- réiques depuis six an
l'autre, prenant ainsi une forme alternante, ce qui fait penser à l'
auteur
qu'il y a dans ce cas deux hémichorées pouvant
lésion vasculaire). Il y a deux points principaux. sur lesquels les
auteurs
appellent l'atten- tion : 1° l'existence de la
urent précédés de troubles de la salivation et de la gus- tation. L'
auteur
croit à une paralysie rhumatismale ou a frigore,
novembre 1899.) Revue de pathologie, diagnostic et traitement. L'
auteur
insiste sur la méthode thérapeutique de Frankel.
par LECZINSKY (net- 1'01'" Aledi- cal Record, 21 octobre 1899.) L'
auteur
nie les paralysies dues à l'anesthésie généralisé
novembre 1899.) Après un historique assez complet de la question, l'
auteur
rap- porte trois observations relatives à des m
es hommes de'qua- rante-quatre, cinquante-deux et trente-six ans. L'
auteur
conclut pour ces faits que la spondylose thygom
combiné à la maladie de Basedow. Une figure accompagne le texte. L'
auteur
développe une hypothèse sur la pathogénie réfle
ssive ent con- sultés et toute la thérapeutique courante épuisée. L'
auteur
se refusa pourtant à employer l'hypnose, dont l
. Goop. (The American journal of Insa- nily,'4900, p. 21 à 37.) L'
auteur
fait une' revue complète des études cliniques et
her. (The american Journal of Insanity, 1900, p. 581- 587.) . 1 L'
auteur
expose le résultat de trois ans de recherches, fa
Donc, connexion entre l'épilepsie idiopathique et le rachitisme. L'
auteur
s'appuie en outre sur l'autorité de Gowers; et
culaires communs et qui peuvent être envisagés comme leur aura. L'
auteur
en arrive ainsi à formuler les conclusions suivan
inin (4 hommes, pour-1 femme) tandis que depuis quarante ans, les
auteurs
la déclaraient particulière aux hommes et son.app
. (OLozrénié psichialrii, V, 1900). 322 tabétiques observés par l'
auteur
aux eaux minérales du Cau- case, de 1895 à 1899
rs de 91 p. 100. L'étude anatomopathologique des faits, d'après les
auteurs
, soi- gneusement revisée par M. Anphimow, l'amè
es autres obser- vations similaires suivies d'autopsie conduisent l'
auteur
à écarter pour le diagnostic anatomo-pathologiq
ticu- laires contenant environ 400 cysticerques de toenia solium. L'
auteur
attribue la mort subite à la présence des kyste
artielle d'où tremblement, destruc- tion complète d'où paralysie. L'
auteur
serait disposé à admettre que ces différents st
la Salpé- trière, n° 3, 1901.) Deux observations qui autorisent l'
auteur
à admettre que l'Hel- minthiase peut être cause
e 'net York Médical Journal, 17 février 1900.) Les maladies que l'
auteur
passe en revue au point de vue spécial indiqué
onsabilité, dès que le sujet a perdu la direction de ses actes. L'
auteur
fait remarquer que la notion du bien et du mal ne
millier de cas d'arrestation soi-disant illégitimes examinés par l'
auteur
, il n'en a trouvé aucun qui méritât révision; i
decin ne voit les convicts que s'ils sont envoyés à l'infirmerie. L'
auteur
n'a jamais trouvé dans les prisons d'observatio
5.) A quel degré d'affaiblissement sénile un mariage est-il nul L'
auteur
pose cette question à l'occasion d'un procès en a
éd. ment, de Belgique, juin 1901.) L'anthropologie criminelle que l'
auteur
définit « la science de la nature et des facteu
obule paracentral droit. L'akalésie. M. Haskovec (de Prague). L'
auteur
désigne ainsi l'impossibi- lité de rester assis
rouble synergique céré- belleux comme le penserait M. Babinski. Les
auteurs
classent ce phénomène en quatre types : 1° type
philosophie morale et sociale; il expose et discute les idées de l'
auteur
, particulièrement sur le transformisme, la doct
manifestations nerveuses apparaissent pen- dant la convalescence. L'
auteur
reconnaît deux formes cliniques assez nettes :
e professeur Motchoutkowsky. Cette élongation varierait d'après ces
auteurs
, de z13 à 16 mm. Elle se partage entre la moell
logie de la question est le neurologiste russe Bogroff. D'après cet
auteur
, il se produit une hyperhémie de la moelle à la
nt dilaté transversalement 1. » Ces phénomènes furent trouvés par l'
auteur
tout le long de la moelle épinière. « La suspen
nnée par elle. Les autopsies des animaux expérimentés permirent à l'
auteur
de constater la présence de petites hémorragies
es- tion de l'action de la suspension sur le système nerveux. Cet
auteur
se servit de la méthode de Hürlhle. Dans les dix
de la méthode de Hürlhle. Dans les dix expé- riences faites par cet
auteur
, l'animal fut étendu, au moyen d'une pièce ment
eid et Scherington sont très intéres- santes à ce point de vue. Ces
auteurs
expérimentèrent sur les cadavres en les suspend
n arrière, le volume du canal diminue considérablement. D'après ces
auteurs
, le volume du canal rachidien de l'adulte augme
serait, d'après les .auteurs cités, vraiment dérisoire.- Parmi les
auteurs
qui réfutent l'hypothèse de l'allongement de la
ngement de la moelle épinière, il faut citer M. Cagney. D'après cet
auteur
anglais, la suspension ne produit aucune élonga
suivants. Nous citons ce passage important en mettant les noms des
auteurs
dont il y est question ? L'amélioration génér
érose : les altéra-* tions cellulaires par contre sont multiples. L'
auteur
les attribue à l'auto-intoxication, faible sans
HOLS., (The American Journal of Insanily, 1900, p. 383-394.) .' L'
auteur
insiste surtout à propos des régions de l'écorce
nt à la diagnose des premières périodes de la paralysie générale. L'
auteur
procédait au prélèvement du sang par ponction d
'lltl'ican Jour- nal of Insal11ty, octobre 1899, p. 275 à 283.) L'
auteur
est provisoirement conquit aux deux conclusions s
rès avoir rapporté les opinions de Legendre, More), Magnan, etc., l'
auteur
constate que malgré cela l'alcoolisme continue à
t les muscles ; par SAM. (JOU1'Il, de Neurologie, 1901, n° 15.) L'
auteur
s'attache dans ce travail à réfuter les objection
r E. HEMAK. ! NclI1'olo,r¡isehes Cent1'ululatt, XIX, , 1(jojo.) L'
auteur
rappelle ce qu'il a observé, en 1893, sur un enfa
ulbe, ainsi que le montre un cas d'embolie expérimentale du même^
auteur
. De là les conclusions suivantes : 1° On réussi
ique ; par W. M. l3curcmvv. (Obozrénié psi- chiatrii, v. 1900). L'
auteur
décrit trois observations de ptyalisme nerveux pé
étrière, n° 2, 1901.) Analyse très soignée d'un cas observé par les
auteurs
et ainsi 144 REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE
dre parti dans la pathogénie obscure de cette malfor- « mation, les
auteurs
incriminent pour le cas observé par eux, l'ori-
o-spinal, et dont l'étude complétant un travail antérieur conduit l'
auteur
aux conclusions suivantes : 1° Le spina bifida
a été antérieurement. présentée à la Société de Neurologie ; les
auteurs
présentent une discussion documentée sur la physi
pond une névrose déterminée. D'autre part, pas d'idées innées, et l'
auteur
passe eu revue les progrès accomplis également
sque-là non décrite. Dans les photomicrographies présentées par les
auteurs
, on voit cette couche de cellules apparaître au
qu'elles ne peuvent être autres que des cellules nerveuses. - Les
auteurs
comptent, en continuant leurs recherches, les dét
ans les cordons antéro-latéraux que dans les cordons postérieurs. L'
auteur
qualifie les lésions du cerveau et du cervelet d'
e 1900. · P. 13ROUAIIANSAY. - Assistance familiale des aliénés. L'
auteur
fait une courte esquisse de l'état de l'assistanc
, volume in-18 de 300 pages, Paris, Octave Doin, éditeur, 1902. L'
auteur
se propose « d'esquisser l'histoire du problème d
nées par des émo- tions ou des ingestions de toxiques. Cela amène l'
auteur
à recon- naître sur la foi de plusieurs psychol
s se lisent et se retiennent plus facilement que les syllabes, et l'
auteur
en déduit l'avantage qu'il y a de faire lire aux
inconnu en France. Le livre de M. J.-J. Van Biervhet a exigé de son
auteur
une grande somme de travail. C'est plutôt un ré
ineau. (Lib. J.-B. Baillière,- Paris, 1901.) Ce livre, nous dit l'
auteur
, sera son testament médical : depuis 25 ans il
a pu observer d'heureux ou de malheureux. BIBLIOGRAPHIE. 171 1 L'
auteur
est trop modeste. Certes ce travail est bien le r
deste. Certes ce travail est bien le résultat des observations de l'
auteur
; mais il oublie de dire que, à l'aide de ce qu'
un une opinion personnelle et étayée sur la clinique. Avec tous les
auteurs
, M. Gélineau pense qne' l'épilepsie essen- tiel
de cause inconnue. Il est difficile d'analyser un pareil traité. L'
auteur
passe succès- ' sivement en revue toutes les va
gique, leur pathogénie et leur traitement. Chaque fait avancé par l'
auteur
est immédiatement appuyé par des observations p
ement appuyé par des observations personnelles ou relevées dans les
auteurs
. - Une table des matières très complète permet
. Outre ces observations personnelles, M. Gélineau a puisé dans les
auteurs
une oeuvre considérable qui rendra les plus grand
mais il faut savoir les appliquer à chaque cas particulier. Aussi l'
auteur
étudie-t-il les diverses névralgies et névrites
d'une enveloppe cachetée contenant le nom et , < l'adresse de l'
auteur
, et portant comme suscription un proverbe ou un
, pour voir en lui le père de l'obsession de la rougeur. D'autres
auteurs
comme Behren (in Eulenburg) ont ana- lysé la ro
e la nou- veauté. Ce n'est d'ailleurs pas seulement vis-à-vis des
auteurs
qui nous ont précédés, que nous avons à défendr
é notre priorité vis-à- vis de l'obsession de la rougeur, les mêmes
auteurs
nous ont reproché d'avoir voulu l'ériger en ent
de 1 intellectualité, ou de la. volonté, comme le disent certains
auteurs
, dont M. Arnaud mais une maladie de l'émotivité.
, d'autre part par M. IIarten- berg. Les expériences des premiers
auteurs
, dans lesquelles ils ont étudié à la fois la re
lentissement du pouls capillaire. Dans les deux cas, remarquent les
auteurs
, le sujet rougit et pour- tant on constate tant
Louise BOBINO- vitcii. (jours. de Neurologie,. ,1901 , n° 12.) L'
auteur
relate un certain nombre d'observations qui tende
par le Dr Hémy. (Reu. méd. de la Suisse Romande, 1901, n° 6.) ' L'
auteur
, qui est médecin-adjoint de l'asile de Marsens de
e partie de la Suisse, les excès alcooliques y sont très communs, l'
auteur
en conclut que, pris isolément, ces deux facteu
éde- cine, novembre 1900.) Les huit observations que rapportent l'
auteur
portent sur plu- sieurs années de recherches. C
ntale; par F. PETER- son. (NelV-Yol'(Med, Record, 3 juin 1899.) L'
auteur
préconise la réorganisation des services d'asiles
; par W. Ilmscu- (A'eM)-t'o;7; Médical Record. 6 janvier 1900 ) L'
auteur
nie l'entité clinique de la folie puerpérale. L
. Orz r GiQUP : RDO. (Révista de Méd. . y cin. pract., n° G63.) L'
auteur
relate un cas très typique de confusion mentale s
olibacilles et entouré de fibrine. Ils sont antérieurs à la mort. L'
auteur
a de plus coloré des coupes de l'écorce cérébra
par J. STYLES. (The ameniez journal Lasarzit, 1900, p. 97-102.) L'
auteur
conclut de diverses statistiques que la loi est i
lisse pourtant et ils sont en général innisciplinés ou désertent. L'
auteur
en cite une dizaine de cas où il a noté de nomb
amnésie, si celle- ci est de nature alcoolique ou épileptique...; l'
auteur
passe en revue à ce sujet ce qui a été décrit d
. Foriek. (The American Journal of Insanily, 1900, p. 396-417.) L'
auteur
donne d'abord des citations de Gowers relatives a
ur-W. IIURD, (1'ha Amcl'iaan Journal of llasanily, p. 419-430.) L'
auteur
indique d'abord comme raison de la ressemblance d
tiels plu- tôt que par des idées de grandeur. Après ce préambule, l'
auteur
établit les diagnostics différentiels de la par
1900, p. 45 i-499.) Extrait d'un traité des maladies mentales de l'
auteur
, actuelle- ment sous presse. Idées générales su
oit dans la première moitié, des infections ou des toxhémies. - L'
auteur
passe ensuite en revue quatre chapitres : 1° la g
ur- nal of lnsanity, octobre 1899, p. 231 à 211). Par contagion l'
auteur
veut dire influence d'esprits fous sur d'autres
ici. Et peut-être surtout vis- à-vis des proches : folie à deux des
auteurs
français; contagion de toute une famille. 11
e plaisamment à ce 228 8 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. sujet qu'un
auteur
anglais a soutenu récemment que les piqûres de
la conscience plus considérables. Après avoir résumé quelques cas d'
auteurs
étrangers, K. Ebing rapporte des observations p
gazeuses et il se produit de la somnolence. Il s'agit la, d'après l'
auteur
, d'un trouble isolé de l'émotivité, d'une véritab
idées délirantes. De l'analyse des douze observrtions produites, l'
auteur
tire les conclusions suivantes : , . 1° Les f
s à la lumière, et l'achoppement s311abique, soulignés par quelques
auteurs
, se -rencontrent également en d'autres affections
il n'existe pas de bases sur lesquelles s'appuie l'idée de quelques
auteurs
rattachant le tableau entier de la neurasthénie
ades où les femmes sont libres, les batcha sont rares. A Beyrouth l'
auteur
a vu un établissement comprenant des femmes usé
ns la genèse et la structure psychique du délire, ont conduit les
auteurs
à reconnaître trois catégories d'espèces patholog
a culpabilité, l'auto-accusation et les hallucinations, conduit les
auteurs
à « supposer que vivre sans s'étudier est norma
paraît être seule- ment l'expression de son tempérament morbide. L'
auteur
s'at- tache ainsi dans cette longue étude sur N
e du sujet dont l'observation est rapportée dans cet article, que l'
auteur
tient particulièrement à insister. Elle attire
e l'observation, nous citerons les principales déformations que les
auteurs
ont relevées dans leur cas. La main droite prés
ant au péroné il semble très impar- fait et très mal developpé. Les
auteurs
joignent à l'observation, prise dans ses moindr
ur- geons. Sans admettre complètement la théorie de M. Duval, les
auteurs
adoptent la théorie exogène et pensent que les an
e Neurotogische ,Cenlralblall- la relation d'un cas semblable que l'
auteur
désigne sous la dénomination d'api oscamasie. L'a
évralgies radiculaires par méainopathies localisées. M. Chipault. L'
auteur
, en se basant sur six observations, décrit une
elques lésions traumatiques. Les organes internes sont intacts. L'
auteur
attire l'attention sur ce fait que dans cette obs
du trijumeau ou la para- lysie récidivante de la troisième paire. L'
auteur
admet par analo- gie la possibilité d'une paral
vertu de certaines conditions locales particulières. Si d'autres
auteurs
ont obtenu des résultats quelque peu diffé- ren
dégénérés. - Pour préciser le degré de développement du front, l'
auteur
me- surait la longueur des cordes qui réunissen
ment occipital qu'avec celui des lobes occipi- taux du cerveau. L'
auteur
a soumis à cette mensuration 50 aliénés, atteints
10 fois sur 50 et 5 fois sur 50 resp.) Les résultats contraires des
auteurs
s'expliquent par ce fait que les recherches ont
sidérer l'hypnotisme comme étant capable de suggé- rer un crime ? L'
auteur
s'élève contre cette possibilité. Pour lui, com
eu explicite et, malgré l'auto- rité du professeur de Nancy et de l'
auteur
du travail analysé, j'avoue qu'elle ne me satis
brochure de M. Vires est liés intéressante à lire et prouve que son
auteur
possède en perfection la question, dont le côté
l'attention des médecins. A chaque page de l'ouvrage, on sent que l'
auteur
cherche à dégager les facteurs normaux de la co
ologie et pathologie de la paralysie générale . Dans cet article, l'
auteur
fait surtout -ressortir l'influence de la syphi
a préface d'une édition américaine de la zoono- mie de Darwin, où l'
auteur
passe en revue les progrès de la phi- losophie
t d'une émotion qui peut aller jusqu'à l'angoisse. Pour de nombreux
auteurs
, même, l'élément émotif serait constant dans l'
irait une preuve directe contre la théorie physiologique, ces mêmes
auteurs
ont trouvé expérimentalement que la réaction ém
pyramidales, puisqu'elle persiste après leur suppression °. - Les
auteurs
qui admettent la priorité des symptômes organi-
pearce. (The amel'lCan journal of 121sa.7zily, 1900, p. 103-115.) L'
auteur
rappelle ses travaux antérieurs, ceux de Haig et
c'est REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 297 une maladie qui n'évolue pas. L'
auteur
fait des réserves pour ce qui est des cas de gu
observe sur ces 200 cas que 29 auras dont il indique la nature). L'
auteur
indique enfin la place des épileptiques dans la v
peut être dû aux antitoxines fabriquées par l'organisme vivant. L'
auteur
se propose de renouveler l'expérience avec les to
de l'épilepsie ; par Kothe. (Neurolog. Cenlralbl., XIX, 1900.) L'
auteur
traite maintenant tout malade alteint d'épilepsie
, n° 4, p. 117.) La médication arsenicale reste pour la plupart des
auteurs
la méthode de choix dans le traitement de la ch
plus de liqueur de Fouler répétées deux ou trois fois par jour. L'
auteur
, comme bien d'autres qui ont voulu les imiter, n'
de l'absorption reste à faire dans ces cas. Dans ces conditions, l'
auteur
a songé aux cacodylates. L'acide cacodylique re
des fibres vaso-motrices du sympathique. Il est à penser, ajoute l'
auteur
, que concurremment il y a excitation des nerfs de
a parole ; par A. LlEmIANN. (Neurolog. Cezt·ctlLl., XIX, 1900.) L'
auteur
étudie successivement : I. Les causes qui arrêten
térêt de ce travail réside dans les expériences per- sonnelles de l'
auteur
. Il introduit sous la peau et sous les muscles
thésie; par M. Bechterew. (Obo : l'él11é psichiatrii, V, 1900.) L'
auteur
débute par la citation des conclusions de la thès
ct des poils provoque un tremblement général convulsif du corps : l'
auteur
a retrouvé ce symptôme dans un cas de contusion
à un travail de M. Mobius sur «l'hérédité du talent poé- tique ». L'
auteur
expose que les grands talents poétiques sont soli
t au nom de A). Marchand d'une note sur le délire de grossesse. Les
auteurs
désignent ainsi l'idée délirante de grossesse q
ées obsédantes. En résumé, dans la seconde catégorie admise par les
auteurs
, les interprétations délirante-, dont l'abondan
C'est à cette forme clinique déjà signalée en France par quel- ques
auteurs
(Lasèbue, Legrain, Séglas, Sérieux, Magnan) et qu
eur arrivée ? C'est à cette der- nière hypothèse que s'arrêtent les
auteurs
. Le travail de dégénéra- tion est en eflet depu
inspiration également entrecoupée et de nature spasmodique. -- L'
auteur
fait le diagnostic de : mélancolie delà vieilless
es traces de rachitisme. Endocardite valvulaire. Presque tous les
auteurs
considèrent ces exostoses comme étant d'origine
chitisme, les autres les attribuent à la scrofulose. La plupart des
auteurs
considèrent les exostoses comme une maladie héré-
à fait de nature paralytique. - En dehors de cette observation, l'
auteur
a eu l'occasion d'ob- server deux cas analogues
e la syphilis avérée, qu'on a le droit de douter du diagnostic de l'
auteur
, en ce qui concerne les phéno- mènes dits « par
ntrepris par le D1' dom Sauton dans le but de connaître la lèpre. L'
auteur
propose tout d'abord de rem- placer le mot de l
c une grande érudition sur- tout en ce qui concerne le Moyen Age; l'
auteur
expose le sort des lépreux à cette époque : hum
'a donné que des résultats très discutables. Cependant quelques 1 L'
auteur
fait suivre son étude de la description et des pl
lui attri- bue est absolument différent de celui que lui prêtait l'
auteur
anglais. Krainsky n'accorde aucune action convu
me l'avait déjà signalé Ilaig, tel devait être le premier soin de l'
auteur
s'il voulait édifier sa théorie sur une base soli
re nous recherchons l'abaisse- ment du taux de l'acide urique que l'
auteur
signale comme caracté- ristique des accès, cert
avec des élimi- nations faibles d'acide urique; ces coïncidences l'
auteur
les eût pas- sées au profit de sa thèse, les ca
ne change naturellement rien à notre conclusion précé- dente. - L'
auteur
, qui, nous l'avons vu, fait de la diminution de l
être éliminée rapidement car les accès d'épilepsie sont brefs; et l'
auteur
a élu le carbaminate d'ammonium. Massen et Ha
ore des réserves sur ce fait. Le carbaminate s'élimine très vite; l'
auteur
veut voir là une preuve de son identité avec l'ag
r rendu compte de tous les faits les plus importants signalés par l'
auteur
, il nous reste encore à signaler quelques remar
n'ont jamais été constatées. Le carbonate de lithine a donné à l'
auteur
parfois des résultats excellents là où le bromu
se tubéreuse. Il repose sur 25 observations, dont 3 personnelles. L'
auteur
rappelle que BIBLIOGRAPHIE. 349 c'est il M, B
longuement sept de ses observations, puis relate celles des autres
auteurs
. Sa liste, en ce qui concerne les cas publiés par
t se termine par une classification anatomo-pathologique propre à l'
auteur
. Dans un dernier mémoire, M. Pellizzi étudie le
paraissent rythmiquement. Ils peuvent aussi se substituera lui; l'
auteur
décrit un syndrome périodique oculo-pupillaire, v
a forme hybride des deux névroses, admise longtemps par les anciens
auteurs
, n'existe pas, il n'est pas extrêmement rare de
ique de l'hystérie, t. II, chap. X. - Voir aussi un article du même
auteur
dans la Nouvelle Iconographie de la aussi un ar
auteur dans la Nouvelle Iconographie de la aussi un article du même
auteur
dans )a...VoMueMe /co)to ? apA : e de a Salpêtr
résume et com- plète les résultats des recherches antérieures de l'
auteur
sur ce sujet). 3 L'élévation de la température
énie générale de l'Embryon, (Traité de Pathologie de Bouchard.) Cet
auteur
' Nous avons publié autrefois dans la Revue pho
, terminés par des doigts imparfaits. » Cet état continue le même
auteur
, « ne correspond à aucune phase embryologique,
cin adjoint de l'Asile d'Arnientiércs . d'Armcntieres. Différents
auteurs
ont décrit des cas de folie survenant t chez de
unir que 58 observations. A propos des observations qu'il publie, l'
auteur
fait remarquer que les manifestations de la sur
t le sep- tième, rarement au déclin de la maladie. A ce propos, l'
auteur
fait remarquer qu'il s'agit d'une localisa- tio
ent des lésions du nerf auditif dans son trajet ou à son origine. L'
auteur
insiste surtout sur la forme complète de la sur
stol, sur les altérations osseuses dans les affections nerveuses, l'
auteur
concluait que l'hypertrophie osseuse ne se trou
t des symptômes de névrite. Sur les7 observations recueillies par l'
auteur
en 1898 et 1899, la névrite ne manqua que dans
le cérébrale; par W. KOENIG. (Neurolog. Centralbl., XIX, 1900.) L'
auteur
a, dans la Dettische Zeilschrift f. Nervenheilk.,
e énergie dynamique développée, doit être considérée comme vraie. L'
auteur
discute le diagnostic entre la dystrophie muscu-
ste pas ». Et cependant Brown-Sequard l'a vue, Westphal aussi, et l'
auteur
de ce mémoire également. Du reste les cochons
IX, 1900.) Histoire et étude critique, d'après les observations des
auteurs
, de l'érythrophobie, ou angoisse de la rougeur,
observations. Par 5 observations personnelles choisies à dessein, l'
auteur
souli- gne le développement graduel et varié du
les muqueuses, les yeux, le coeur, les vaisseaux et les viscères. L'
auteur
ne compte indiquer que les points importants pour
ue importante. 5° Les altérations viscérales sont bien connues. L'
auteur
recherche ensuite quelle est la marche générale d
mouique : en cela la syphilis peut être rapprochée de l'hystérie. L'
auteur
examine ensuite sous quelles formes la syphilis c
les signes généraux et par le traitement : 9° Syringe- myélite : l'
auteur
se borne il la signaler n'ayant pas vu de cas où
iphériques : la névrite syphili- tique est contestée par beaucoup d'
auteurs
, qui estiment que les altérations du nerf sont
altérations du nerf sont dues aux altérations des tissus voisins. L'
auteur
conclut qu'il y a des symptômes qui sont caractér
CKE : '\ZOE. (The New York Médical Journal, 13 juillet 1901.) - L'
auteur
a été surpris du nombre relativement considérable
ement, étant toujours suivi de succès, facilitait le diagnostic : l'
auteur
ayant eu deux cas de mort dans cette maladie, n
mort pro- chaine, traitement inefficace : mort. Pas d'autopsie. L'
auteur
présente à la Société neurologique de- Brooklyn (
it que cette maladie est également fréquente dans les deux sexes. L'
auteur
insiste ensuite sur quelques points du diagnost
il pénètre plus d'azote dans le sang. Tout en admettant ce fait, l'
auteur
sait parfaitement que la nutrition est aussi am
rablement, aussi bien que les grandes altitudes, sur la chorée. L'
auteur
insiste particulièrement sur l'insomnie et l'infl
ment dans le tabès' dorsalis. Dans un historique assez complet, l'
auteur
rappelle les travaux de Leyden, d'bslein, de Pi
uer se rattachent probablement à des formes de sclérose multiple. L'
auteur
rapporte ici avec détail une observation caract
fasse défaut. Ces observations sont intéressantes, et suggèrent à l'
auteur
quelques considérations que nous allons résumer
e. Au point de vue des symptômes, dans tous les cas rapportés par l'
auteur
, l'ataxie était particulièrement accentuée. Les
ce qui louche la marche et le pronostic, chez tous les malades de l'
auteur
l'amélio- ration a été rapide : l'un d'eux est
ressif, ni de dégénérescence. Pour des raisons qu'il déve- loppe, l'
auteur
pense qu'il s'agit dans les cas qu'il a observés
t pas communs, cependant plusieurs chirurgiens en ont signalé, et l'
auteur
commence son travail par un bon histo-- rique d
et historique est nécessairement court, puisque le cas publié par l'
auteur
et que nous allons résumer ici sera le cinquièm
thésiés. La guérison a été complète en deux mois sans atrophie. L'
auteur
rappelle ensuite les explications ou interprétati
auteur rappelle ensuite les explications ou interprétations que les
auteurs
ont données dans des cas semblables ou simplement
2 janvier 1901.) .) Adoptant la classification de Gowers etRemak, l'
auteur
passe en revue les névrites d'origine toxique,
c. Cette revue est semée d'observations personnelles résumées; où l'
auteur
insiste sur la complicité la plus ordinaire des
tion nerveuse, organique ou fonctionnelle. Un malade présenté par l'
auteur
à la Société de Neurologie et paraissant représ
. Cette malade resta dix mois en traitement et sortit guérie. , L'
auteur
fait remarquer, à propos de ce cas, que l'on a un
ntéressante communi cation sur la question des aliénés criminels. L'
auteur
insiste sur la nécessité d'éliminer des asiles
maison du directeur : deux de ces malades étaient employées chez l'
auteur
en août 1900. L'une, Hannah Ilaiicox, avait du dé
parent ou ami n'étant venu lavoir pendant son séjour à l'asile : l'
auteur
la rapporte avec des détails dans lesquels nous
étendre on lui enlève toute signification rationnelle et précise. L'
auteur
est d'avis que l'on n'a aucune rai- son suffisa
fense d'un criminel, est inadmissible. Ces préliminaires posés, l'
auteur
aborde le côté statistique de son sujet, et le
est à remarquer que bien que l'épilepsie soit de l'aveu de tous les
auteurs
sensiblement plus fréquente chez l'homme que ch
lusions, hallucina- tions, dilusions) ou d'accès aigus de manie ; l'
auteur
relate ici plusieurs observations de ce genre;
ui arrivera malheur. On peut le démon- trer. et c'est ce que fait l'
auteur
, - par les exemples les plus variés. Depuis Bec
certitude et la promptitude du châtiment sont préservatrices - et l'
auteur
ne conteste pas qu'elles 412 ) REVUE DE MÉDECIN
point de vue de celui qui le subit, mais de celui qui l'inflige. L'
auteur
sou- tient que pour le punisseur, la punition e
de la faute. Et pour en revenir aux aliénés - car c'est d'eux que l'
auteur
est parti pour poursuivre cette intéressante ét
octobre 1901.) , Travail très substantiel et très documenté, que l'
auteur
a pris soin de résumer lui-même dans les conclu
uto-suggestion par introspection, par MM. Vaschide et Vurpas. - Les
auteurs
rapportent, avec un grand appareil de documenta-
par le - Dr Rouir. (Annales médico-psychologiyues, oct. 1901). L'
auteur
s'étant trouvé, comme médecin légiste, mêlé à deu
e l'audition. S'appuyant sur ce cas et sur des faits analogues, les
auteurs
proposent de distinguer une forme senso- rielle
ticulier ; la marche en est rapide et peut même être foudroyante. L'
auteur
cite comme formes cliniques : une forme de diss
mais dans certains cas et en particulier dans le cas rapporté par l'
auteur
, l'agent pathogène peut être le diplo- coccus i
mais aussi un travail fort intéressant où 1G BIBLIOGRAPHIE. « l'
auteur
a cherché à éclaircir certains points mal connus
ase du crâne, en particulier un symptôme négligé par la plupart des
auteurs
et qui cependant devrait avoir une impor- tance
t sur des faits anatomiques, cliniques et anatomo-pathologiclues, l'
auteur
prouve qu'on ne peut rattacher la paralysie des
l'arthrite déformante, la lèpre. les arthropathies tabétiques. L'
auteur
reconnaît deux formes aux ostéo-artliropalliies 1
° les ostéo-arthropathies infec- tueuses (cas de l'observation de l'
auteur
) où les interventions sanglantes sont beaucoup
note s'ajoutant à l'intéressant travail antérieurement publié par l'
auteur
Les Nains et les Bossus dans 1'(/1'1, appuyée s
langue, incontinence d'urine. C'est là, chose admise par tous les
auteurs
contemporains qui ont écrit sur l'étiologie de l'
ons parler de la variété d'hallucination décrite par les différents
auteurs
sous le nom d'hallucinations psycho- motrices.
vieille disparut quand la malade commença à aller mieux. D'après l'
auteur
, ce cas ne peut être attribué à l'atropine, pui
complètes, avec tracés des champs visuels et examen des travaux des
auteurs
, permettent à M. Reznikow de conclure ce qui su
arant un bain dans une pièce' chauffée au moyen d'un poêle à gaz, l'
auteur
éprouve tout à coup, de la céphalalgie, des pul
t ans : la maladie dure au moins depuis cette époque. C'est, pour l'
auteur
, une affection sui generis, au même titre qu'un
y note bien souvent les caractères de la démence sénile. Pas mal d'
auteurs
la considèrent comme une sénescence présénile d
héréditaires. La syphilis et la tare héréditaire sont donc, pour l'
auteur
, d'importants facteurs de paralysie générale, mai
, de la jet- ' tatura, de l'ensorcellement. « Cette croyance, dit l'
auteur
, est extrê- mement répandue, non pas simplement
e subvention, et n'exerce qu'une surveillance très bienveillante. L'
auteur
raconte le transfert de l'ancien asile situé en
ité des communications est assurée. Les dortoirs sont bien aérés. L'
auteur
entre ensuite dans quelques considérations déta
ons sont néanmoins très rares, aussi bien que les -' dents. Enfin l'
auteur
résume son opinion générale dans,' phrase : « C
Ernest W. WHITE. (The Journal of Mental Science, juillet 1900.) L'
auteur
fait dans ce mémoire un exposé intéressant de la
VANTES. tremblement secondaire par hystérie d'origine toxique), les
auteurs
ont pratiqué la ponction lombaire ; le liquide
par le Dr René \fsssEov. (Thèse Paris, Boyer, 1902, 265 p.) ' - L'
auteur
s'est efforcé de caractériser les déments précoce
entaires engendrent un nombre considérable de troubles variés que l'
auteur
passe en revue. Les troubles de l'at- tention f
s sont éminemment suggestionnables ; leur docilité est extrême. L'
auteur
a rapproché de ces phénomènes intellectuels un ce
les différents modes d'emploi de l'ar- senic dans la chorée. Si les
auteurs
ont reconnu les bons effets de la médication ar
t son étude clinique sur de nombreuses observations favo- rables, l'
auteur
s'efforce de montrer que cette médication est r
'ignorance des mouvements, puisque l'enfant n'a jamais su parler. L'
auteur
met en évidence l'intérêt pratique que cette étud
très complet, M. Lévy passe en revue les opi- nions des différents
auteurs
qui ont essayé de classifier cette forme de mut
ica » ou « HÕrstll1nenhdt". Dans le chapitre de symptoma- tologie l'
auteur
étudie : l'aspect physique des enfants ; l'etat i
de rechercher. Du chapitre étiologique il ressort, comme l'avoue l'
auteur
lui- même, l'incertitude sur les causes prépara
ce ne sont que des hypothèses qui ont été émises. Coën et d'autres
auteurs
en font un , BIBLIOGRAPHIE. 525 trouble fonct
- tives, soit enfin les deux perturbations réunies. Pour d'autres
auteurs
comme Waisse, Ledreit de la Charrière, etc., le t
r par un traitement approprié ». Au point de vue du traitement, l'
auteur
montre l'intérêt pratique qu'il y a à séparer c
principal de ce syndrôme est un état chronique d'an-, goisse, dit l'
auteur
, avec obsessions et phobies. Résumant les opi-
mployer pour combattre l'alcoolisme ? Dans son troisième chapitre l'
auteur
montre que l'intervention des pouvoirs publics,
catégorie de femmes, d'après M. Graz, que semblent l'admettre les
auteurs
. G. C. VARIA LE BUT ET LES MOYENS DE LA PSYCH
oup d'oeil d'ensemble sur les résultats de l'expérience clinique. L'
auteur
a eu soin de tenir compte de tous les faits, sans
issent être distin- guées entre elles dès le début de la maladie. L'
auteur
a l'habitude, depuis plusieurs années, d'inscri
nson. 500. Troubles \1071 : LItS. Voir Tics. - a. S42 ' TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. évolution aiguë chez les
. 9l.. Vomissements obsessifs, par Bech- terew, 70. 0 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Abadie, 49. 50. Aclwrd,
z, 91, 162, 245, 336. - Faucre, 244. Femdel, 1, 83. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. 13 Féré, M. 317. Ferro
ovitch. 216. ItOSSOIli170. 247. Hothmann, 135. 544 14 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. Roubv. 417. tiottx. 86
s, deux pièces de 1 franc et 20 centimes de billon. Il nia être l'
auteur
du vol, bien qu'on eut trouvé dans la mansarde où
irresponsable de ses actes, mais il ne voulut pas se reconnaître l'
auteur
du vol dont on l'incul- pait. II ajoutait qu'un
l'église de la localité. Dénoncé plus tard par un nommé B..., comme
auteur
de ce vol, Cing... ne put. d'abord être retrouv
démontrée, sans qu'une seule crise eût été constatée de visu, par l'
auteur
, en se basant presque uniquement sur une anesth
e condi- tion il faut une très volumineuse lésion capsulaire. Ces
auteurs
admettent donc que les fibres sensitives font un
mement fréquents. Ici cependant il y a encore controverse. Tous les
auteurs
sont d'accord sur la rareté de l'hémianesthésie
ujours atteintes de la même façon et au même degré. A côté de ces
auteurs
qui admettent la grande fréquence des troubles
des sensations musculaires se trouve dans la zone rolandique. Les
auteurs
dont nous analysons les travaux s'abstiennent pou
nombreux reproches. Elle parait surtout un pis-aller et de fait les
auteurs
qui ont émis cette théorie sont plutôt sobres d
férable à celle de sens stéréognostique qu'emploient la plupart des
auteurs
et notamment ceux dont nous nous occupons plus
s plus particulière- ment ici. En effet, et dans l'esprit même de l'
auteur
qui l'a le mieux étudié ', le sens stéréognosti
Arrivé au terme de cette courte revue des idées exprimées par les
auteurs
les plus récents sur le sens musculaire il nous p
n important travail aussi attachant par le fond que par la forme, l'
auteur
montre que la folie n'est qu'une exception chez
rotection de la commu- nauté. De l'intéressante étude faite par l'
auteur
il ressort que les dan- gers de folie homicide
sont moins intenses que dans l'écorce. Le second cas rapporté par l'
auteur
est un cas de folie aiguë dé- veloppée pendant
elles n'ont qu'une action très secondaire, voire même douteuse. L'
auteur
admet que la folie post-opératoire peut revêtir t
avec tendance à la violence, véritable délire de persécution, dit l'
auteur
, qui se sont atténuées à leur tour et ont cédé
, les émotions morales et le traumatisme paraît prédominer ; mais l'
auteur
n'a pu établir l'étiologie que pour 39 malades.
HOLOGIE MENTALE. 51 dans le même ménage. Quatorze observations de l'
auteur
; netteté de l'infection syphilitique. 6° Si
rminant par la guérison D'après les recherches et statistiques de l'
auteur
, faites à l'Asile d'aliénés de l3urglii>lzli,
tre la nature alcoolique de la paranoïa constatée chez son malade l'
auteur
se base sur l'existence d'un état d'intoxication
le devait, comme Noire-Seigneur, jeûner pendant quarante jours. L'
auteur
pense que l'auto-suggestion joue dans l'étiologie
I. (Revue de psychologie clinique et thérapeutique, mars 1899.) L'
auteur
considère comme justifié ce mot d'Holtzendorff :
Revue de psychologie clinique et thémpeu- tique, février 1899.) L'
auteur
signale la nécessité de refondre sur'de nouvelles
ale de Bel- gique, décembre 1898.) Au point de vue médico-légal l'
auteur
envisage trois circons- tances dans lesquelles
on encore controversée de la pathogénie de la maladie de Basedow, l'
auteur
, s'appuyant sur les relations étroites de l'io-
ulletin de la Soc. de Méd. mentale de Belgique, décembre 1898.) L'
auteur
a fait prendre la mixture de Betcherew (adonis ve
evue de psychologie clinique et thérapeutique, septembre 1898.) L'
auteur
distingue entre le sommeil profond, suggéré, iden
tier d'un bon fonctionnement des centres psychiques supérieurs. L'
auteur
est d'avis qu'il faut périodiquement interrompre
psi cho- logie clinique et thérapeutique, mars et avril 1898.) L'
auteur
a traité par les divers procédés de la psychothér
fficace contre les manifestations hystériques et neurasthéniques; l'
auteur
estime que dans la pluralité des cas d'hystérie
l'isolement que doit être attribuée la guérison de certains tics, l'
auteur
rap- porte l'observation d'un enfant de quatorz
aggravation due probablement à une nouvelle poussée de myélite. L'
auteur
fait observer que la méthode de rééducation dont
tivité. De nouveaux faits d'observation permettent actuellement à l'
auteur
de penser qu'il n'est pas impossible d'obtenir
ie clinique et thérapeutique, décembre 1897 et janvier 1898.) Les
auteurs
considèrent, avec 11. Ribot, l'émotion comme un
ression nombreux et variés. Au contraire, dans les aboulies que les
auteurs
appellent paiticulières, parmi lesquelles se ra
et en favorisant la répétition. Parmi ces phobies inhibitoires les
auteurs
distinguent : 1° les phobies constitution- nell
ligence et du sens moral. Contre les aboulies particulières, les
auteurs
ont employé une méthode thérapeutique nouvelle qu
émotionnel sur lequel l'aboulie a pris naissance. Voici comment les
auteurs
décrivent ce mode do b5 REVUE DE THERAPEUTIQUE.
York médical Journal, 14 jan- vier 1899.) Les cas rapportés par l'
auteur
peuvent se diviser en quatre caté- gories : 1°
nfluence idiotisante se sera exercée pendant un temps plus court. L'
auteur
rapporte ici trois cas appartenant à la toute p
trouve en face d'une idiotie crétinique complètement développée ; l'
auteur
en rapporte deux cas ; et il y a enfin une troisi
convénient ou même sans danger, supprimer la médication bromurée. L'
auteur
se propose de démontrer que cette opinion n'est
établit, à un degré considérable, la mémoire et l'intelligence. L'
auteur
rapporte ensuite à l'appui de sa manière de voir
l'ouie. Tous ces symptômes vont en s'aggravant, et en juillet 189 l'
auteur
voit le malade, et porte le diagnostic de myxoe
tir du 3 août 1897. Les effets de cette médication sont notés par l'
auteur
aux dates du 8, dit II, du 14, du 17 et du 21 a
les hystériques ne sont que très difficilement influencés. Aussi l'
auteur
pense-t-il que les dangers de l'hypnotisme empl
erveux qui intéressent plus spécialement les conditions mentales. L'
auteur
se défend de considérer la psycho- thérapie com
une très précieuse ressource. A l'appui de cette manière de voir, l'
auteur
rapporte quatre observations, la première d'ago-
arsenic contre l'acné d'origine bronique et l'apparition du zona. L'
auteur
rapporte un cas dans lequel l'eclo- sion rapide
(1 York Médical Journal, 15 mars 1899.) Les points sur lesquels l'
auteur
s'est proposé d'attirer l'attention en rapporta
que Parkinson a donné de la paralysie agitante en 1823, et ce que l'
auteur
se propose ici c'est surtout de rechercher ses
raumatisme ne paraît jouer qu'un rôle étiologique assez effacé. L'
auteur
décrit ensuite longuement les symptômes de la mal
ien que les symptômes cliniques dans les quatre cas rapportés par l'
auteur
indiquassent clairement l'existence d'une méningi
d'accord sur la valeur thérapeutique de la ponction lombaire. ' L'
auteur
termine par quelques remarques sur le manuel opér
suffisamment précoce, doit devenir beaucoup moins défavorable, L'
auteur
entre ici dans des considérations étendues relati
a conséquence de cette doctrine nouvelle, en faveur de la- quelle l'
auteur
estime qu'il existe des preuvcs très fortes, est
téressante en raison du traitement auquel le malade a été soumis. L'
auteur
expose que dans la syphilis tertiaire, tout comme
des injections est simple et sûre ; nous la résumons ici d'après l'
auteur
: mélanger la quantité de salicylate de mer- cu
i : antiseptiser la piqûre et la fermer avec un peu de collodion. L'
auteur
n'a jamais vu d'abcès survenir à la suite de ce
la plus commune, celle qui est consécutive à une otite moyenne. L'
auteur
ajoute que dans les opérations cérébrales il faut
microscopique montra que cette tumeur était un glio-sarcôme. ' L'
auteur
termine ce travail par quelques remarques sur tro
RTLRTT. (The tG'tU-109'Ii Médical Journal, le" juillet 1899.) Les
auteurs
pensent que cette opération est la première de ce
e donna d'excellents résul- tats au point de vue de la douleur. Les
auteurs
ont été amenés à conclure que cette interventio
capsules surrénales ? Telles sont les hypothèses que soulèvent les
auteurs
en relatant l'observation d'une 'malade de cinq
'on arrivera peut-être alla confirmation des vues exprimées par les
auteurs
. t M. 13alO's.\UD présentera.prochainement un c
olente et brusque ou si elle a été précédée d'une lente agonie. Nos
auteurs
décrivent le manuel opé- ratoire à suivre pour
parence d'une correction inapplicable du fait de son énormité. Un
auteur
russe, Pomialowski a décrit la vie qu'il a menée
sur ceux qui par hasard échappaient à ces corrections d'ensemble. L'
auteur
lui-même a reçu la fessée quatre cents fois, et
ec la chorée dégénérative, le haut mal, l'épilepsie, dont plusieurs
auteurs
, Hoffmann, lluet, Jolly, Remak, Wille, ont déjà
contorsions, des secousses variées et inattendues. Comme beaucoup d'
auteurs
, ',j'ai observé que, contrairement à ce que pré
rme déterminée de psychose spéciale à cette maladie. Les premiers
auteurs
qui étudièrent les troubles mentaux des choréiq
d'une contradiction que j'ai remarquée entre l'opinion générale des
auteurs
, au sujet de la fréquence du suicide dans la ch
ades avaient des impulsions fréquentes au suicide, presque tous les
auteurs
répètent à l'envi cette affirmation. Or, mon ma
ations par ordre chronologique. Ewald, en 18S ! r, est le premier
auteur
qui attira l'attention sur le mémoire de Huntin
reux choréiques pendant quatre générations. Vous trouverez dans les
auteurs
que King a particulièrement insisté sur les tro
ans la chorée héréditaire. Cependant, s'il faut en croire ces mêmes
auteurs
, car je n'ai pu me pro- curer le travail origin
elation avec la chorée. Quoi qu'il en soit, le malade observé par l'
auteur
n'a pas manifesté d'idées de suicide et l'histoir
choréiques chez les ascendants d'un alcoolique et des aliénés. Ces
auteurs
ne parlent pas de suicide. Deux revues critiq
ppilli, qui n'a pas de cas personnels, se borne à dire, d'après les
auteurs
, que les troubles psychiques sont en général lé
1889. On y trouve 58 observations personnelles ou résumées d'autres
auteurs
, parmi lesquelles on n'en pourrait pas citer un
ement, comme nous le dirons bientôt. Mais continuons la revue des
auteurs
. Dans la même année 1889, Kornilow publie l'obs
la dissertation inaugurale de Dreves sur la chorée progressive. Cet
auteur
rapporte 3 observations dont la seconde concern
ée. N'ayant pas eu le travail original sous les yeux, j'ignore si l'
auteur
a noté les circonstances qui ont marqué cette t
icide. Néanmoins dans les réflexions dont il fait suivre ses cas, l'
auteur
dit que dans la chorée héréditaire les symp- tô
important mémoire de Facklam avec 8 observations personnelles de l'
auteur
. Dans deux cas seulement il est parlé d'idées d
ons enfin un cas qu'on pourrait rattacher à la chorée, bien que l'
auteur
se borne à signaler le suicide sans entrer dans a
if au sujet du suicide dans la chorée dégé- nérative que beaucoup,d'
auteurs
qui l'ont précédé et qui ont répété sans preuve
- rale de Hermann Etter à la Faculté de médecine de Tubingue. Cet
auteur
nous donne 6 observations personnelles, dans 3
encore une particularité qui se rapporte à cette question. Tous les
auteurs
qui affirment la fréquence du suicide chez les
Nous ne le croyons pas, car il est assez rarement mentionné par les
auteurs
. Il n'en a pas été ques- tion chez mon malade.
ire, aboutit très souvent à la démence complète et, comme plusieurs
auteurs
l'ont fait remarquer, le tableau dé la maladie
de Huntington, etc. Par opposition à ceux-ci, nous devons citer les
auteurs
qui ont publié des cas de chorée héréditaire sa
etz7heilhunde and Psychiatrie, 22° année, juin 1899, p. 321). que l'
auteur
apporte contre la proposition de Ilallock d'app
ie de Huntington. Avant donc d'admettre avec Loewenfeld et d'autres
auteurs
qu'il existe à côté de la chorée héréditaire dé
ui les anomalies grossières que nous venons de signaler. Très peu d'
auteurs
ont donné des détails sur la mor- phologie céré
pays, ressort nettement des faits regrettables racontés par le même
auteur
qui ne peut s'empêcher de s'exprimer à peu près
sus-jacents au territoire de la complète anesthésie. C'est ce que l'
auteur
a ob- servé dans la plupart des cas. P. KERAVAL
ment et simplement. En ce qui concerne le noyau et le nucléole, des
auteurs
il résulte que la basophilie du nucléole n'est
naux qui existe entre les mottes de tigroïde, parait maintenant à l'
auteur
être celle de M. Flemming qu'admet M. Ileimann.
oyen du courant faradique, le centre cortical de tel ou tel nerf, l'
auteur
détruit l'écorce de l'endroit correspondant en
l., XVII, 1898.) Comme l'indique la suscription complémentaire, l'
auteur
s'est attaché à préciser à l'aide de cinq obser
HYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. extrêmement minces. Régénérescence, dit l'
auteur
, car l'état des foyers scléreux ne se peut alli
à l'aide d'un irrigateur ou d'une grosse seringue. Chez un enfant l'
auteur
a parfaitement durci toute la moelle, le bulbe,
u radial ; par K. GUMPERTZ. (Neurolog. Centralbl., XVII, 1898.) L'
auteur
, en 1892, dans la Deutsche medic. Wochnsch1'ift,
par E. Heimann. (Neurolog. Centralbl., XVII, 1898.) Réplique de l'
auteur
aux critiques de Lenhossek. La fixation au subl
ogique toute de détails appuyée par mille exa- mens pratiqués par l'
auteur
au moyen de sou algésimètre. Chez l'homme tout
Il faut lire ce mé- moire. D'autant que, comme le fait remarquer l'
auteur
, les résultats obtenus par chaque observateur s
ie ; par W. de 13,ccnrcaw. (Neu1'olog. Centralbl., XVII, 1898.) L'
auteur
a constaté dans la neurasthénie des anomalies de
l'épilepsie n'est pas, il s'en faut de beaucoup, une nouveauté ; l'
auteur
croit néanmoins devoir publier l'observation d'un
sait prévoir un abcès. Une intervention chirurgicale est décidée, l'
auteur
la pratique, incise la dure mère, et ouvre le s
tv-Yon,4 Médical journal 24 juin 1899). Les deux opérations que l'
auteur
se propose de relater ont été pratiquées pendan
. di pat. nerf. et ment., fasc. IX, 1899.) Huit observations dont l'
auteur
conclut que la bromipine n'est pas un agent thé
domine sur l'un des deux hémisphères. Ce qui le prouve, c'est que l'
auteur
a trouvé toujours sur le côté le plus atrophié
s chez la femme et 124 fois chez l'homme. Le gauche auquel quelques
auteurs
attribuent une plus grande activité physiologiq
es 30 cas où le cerveau était plus volumineux qu'à l'état normal (l'
auteur
l'a constaté 21 fois), la femme et l'homme dont
die à cavités, de beaucoup la plus fréquente, la syringomyélie, les
auteurs
dis- tinguent la syringomyélie cavitaire et la
stic reste ordinairement possible, quoique parfois dil- ficile. Les
auteurs
proposent de séparer nettement ces cavités intra-
ce de protection et de sou- . tien. Van Geliuchten est avec Cajal l'
auteur
de la loi de polarisa- tion dynamique des éléme
profondit cet ouvrage et plus on admire la puissance de pensée de l'
auteur
. C'est bien « l'histoire anatomique et physiolo
bitude par opposition au danger moindre représenté par l'ivrogne, l'
auteur
regrette l'hésitation des pouvoirs élus français
s délirants, il est inutile et impossible d'interner les buveurs. L'
auteur
demande donc la fondation d'asiles de buveurs a
alade se place- rait sous la tutelle d'une société de tempérance. L'
auteur
ne doit être buveur ni de thé ni d'eau-de-vie i
La pollakiurie est, en pareil cas, signalée par presque tous les
auteurs
; elle est regardée comme un signe au début et
très rares, il existerait un bacille spécifique déjà décrit par les
auteurs
. * J. SÉGLAS. XV. Singulière manière d'être d
ues à propos de la psychose maniaco-dépres- sive de Kroepelin. -' L'
auteur
admet l'existence d'une psychose maniaco-dépres
après l'attaque hystérique et dans la dystrophie-thyroïdienne. L'
auteur
fait remarquer que les altérations de l'alcalinit
est presque absolument défavorable. Sur 109 malades observés par l'
auteur
, il n'y eut aucune guérison, et seulement 4 amé
i et VEDIIANR. (Rie. sp. di faSC. 1-11, 1899.) Dans ce travail, les
auteurs
se sont inspirés des vues exposées par Kroepeli
et très intéressante des différentes variétés de stéréotypies que l'
auteur
divise en trois groupes : 1° attitudes ou stéré
« psychose onirique » n'était qu'un trouble post-paroxys- tique. L'
auteur
rapproche ses « songes d'attaques » des « rêves
Revue de vulgarisation à l'usage des praticiens non spécialistes. L'
auteur
y reproduit les vues du professeur Clouston, d'Ed
ws, 11 mars 1899.) Dix-sept observations de psychoses opérées par l'
auteur
sur lesquelles une seule récidive et sept guéri
l'orgasme sexuel ordinaire avec la névrose convulsive. Récemment l'
auteur
a pu observer un certain nombre de cas dans les
considérer comme une forme nette d'attaque épileptique nocturne. L'
auteur
pense donc avoir découvert une forme de l'épile
e suivante d'attaques épileptiques bien caractérisées a convaincu l'
auteur
qu'il ne s'agit pas là de l'acte physique ordin
il la cause ou simplement un épisode de l'épilepsie, c'est ce que l'
auteur
se déclare incapable de décider. Mais ce qui ré
sie doit figurer au premier rang avec l'idiotie et l'imbécillité. L'
auteur
tient d'abord à expliquer que s'il a em- ployé
e de l'anthropométrie est fort étendue et surtout alimentée par les
auteurs
français ; depuis vingt ans, bien avant que les
aît le raccourcissement des membres comme stigmate épileptique. L'
auteur
intercale ici une première observation due à Raym
un raccourcisse- ment correspondant des extrémités inférieures. L'
auteur
passe ensuite en revue les travaux publiés dans d
ne conséquence pathologique et non pas d'un stigmate congénital ; l'
auteur
résume cependant, en raison de l'intérêt qu'ell
présentent, quelques-unes de ces observations. Il passe ensuite aux
auteurs
italiens : l'im- portance que l'école deLombros
hocomelus, en 1898, un travail que M. Clark n'a pu se procurer. L'
auteur
examine ensuite l'asymétrie humérale considérée
, Arnold, Krause, Rollet, von liasse et ! \1atiezJ¡a ; ce der- nier
auteur
donne de ses recherches les conclusions suivantes
aite est rare, et c'est encore le côté droit qui est prédominant. L'
auteur
rapporte en- suite deux observations : la premi
e enfance. La deuxième observation est complètement personnelle à l'
auteur
. Il. de ! \1USGRAVE-CLAY. XXXII. Paranoïa ; par
Henry IOPLIA. (The New York Médical Journal, 4 septembre 1897.) L'
auteur
commence son travail par un historique sommaire d
up plus nettement myxoedé- mateuse que dans la forme endémique. L'
auteur
a observé plusieurs cas de crétinisme sporadique,
ur n'être pas du crétinisme vrai, sont très difficiles à classer. L'
auteur
va essayer de décrire quel- ques-unes de ces fo
ue qu'il faut distinguer de la dégénérescence du crétinisme. 1° L'
auteur
a pu observer un cas de la première catégorie ; i
du traite- ment thyroïdien chez ces malades est encore discutée. L'
auteur
rapporte ici une observation résumée d'idiotie
chute des cheveux, pas de sé- cheresse ni de dureté de la peau ; l'
auteur
rapporte ici deux obser- vations résumées de ce
New York Médical Journal, 1er octobre 1898.) Les conclusions de l'
auteur
sont les suivantes : « 10 La folie est le sympt
ntérêts, on pouvait se deman- der s'il n'y avait pas simulation : l'
auteur
, pour de bonnes rai- 248 REVUE DE PATHOLOGIE ME
The New Y01'k.Medical Journal, 11 mars 1899.) Les recherches de l'
auteur
ont porté sur 167 décès dont 50 ont été attribu
a donné, pour la dernière année étudiée, dans l'asile que dirige l'
auteur
, 37 décès, c'est-à-dire 46 p. 100 du chiffre to
r, 37 décès, c'est-à-dire 46 p. 100 du chiffre total des décès. L'
auteur
ajoute qu'il a été conduit par une étude attentiv
Médical Journal, juillet 1898.) Les conclusions présentées par l'
auteur
sont les suivantes : La paralysie générale ou m
on, et aussi à cause des faits qu'il a euToccasion d'observer que l'
auteur
conseille une étude très attentive de la périod
coïncident avec un trouble mental quelconque, ils prennent une ' L'
auteur
emploie le mot parésie : nous conservons dans l'a
indices relativement à une intoxication, alcoolique ou autre. - L'
auteur
, en terminant, tient à revenir sur ce fait que la
on purement sensitive, son évolution précoce. A propos de ce cas, l'
auteur
rappelle le rôle important qu'il faut faire jou
nerveuses au-dessous du foyer inflammatoire et dans ses environs. L'
auteur
explique l'absence de phénomènes locaux par la
u foyer (épilepsie locale). Comme moments provocateurs des accès, l'
auteur
admet les altérations nutritives des cellules d
A ce moment les réflexes tendineux existent déjà, mais faibles. L'
auteur
attire l'attention sur la forme spéciale des para
ré et l'état de la malade s'améliore rapidement (en dix jours). L'
auteur
ne croit pas que l'affection relève simplement d'
on n'a pu noter aucun désordre de la sensibilité, c'est pourquoi l'
auteur
pense qu'on peut exclure la polynévrite et diagno
r le développement de la polyencépha- lite dans le premier cas de l'
auteur
. On peut supposer également une myélite dissémi
Oppenheim). S. N.\LB\NDOW. Un cas de syringomyélie héréditaire. L'
auteur
a eu la bonne fortune d'observer la syringomyélie
nstaté le fait de la manifestation familiale de la syringomyélie, l'
auteur
passe en revue la littérature du sujet. Les fai
et. Les faits analogues de syringomyélie héréditaire, cités par les
auteurs
sont très peu nombreux et peu démonstratifs, de
dont l'état mentol est fort bien et fort soigneusement décrit par l'
auteur
relèvent de l'Asile-Ecole et peuvent bénéficier
t pathologique et plus encore sur l'étiolo- gie et la pathogénie. L'
auteur
repousse l'idée d'un raisonnement d'un besoin d
n tour est une obsession progressive, à l'appui de cette théorie, l'
auteur
aborde une ontogénie très abstraite montrant qu
bours, à des danses et à un formidable tapage pour chasser le démon
auteur
des maladies, poursuit ainsi : VARIA. 269 « A
t. Après le troisième incendie, mais sans le soupçonner d'en être l'
auteur
et simplement parce qu'il buvait, on révoquait
piers. Gesse fut arrêté peu après. Non seulement il se reconnut l'
auteur
de l'incendie de la meule de Morchoisne, mais enc
tant divers noms ; Ramon y Cajal les nomme épines collatérales; les
auteurs
anglais pour les désigner emploient le terme eM
roposé de leur donner le nom d'appen- dices piriformes,. il y a des
auteurs
qui les nomment sim- plement appendices, d'autr
carassin et la gre- nouille. Ils ont été aussi trouvés par quelques
auteurs
non seulement dans l'écorce cérébrale, mais enc
ils commencent à se disposer d'une manière irrégulière. Certains
auteurs
doutent de la réalité de l'existence des append
arations traitées par la méthode de Cox. Ayant en vue qu'il y a des
auteurs
, qui croient que les appendices collaté- raux s
ogiques ; ces modifications portent différents noms chez différents
auteurs
, à savoir : état variqueux des dendrites, atrop
tions de l'apparition de ce processus sont très variées. Certains
auteurs
pensent que la déformation des den- drites ci-d
st aussi accompagné d'une disparition d'appendices collatéraux. L'
auteur
en question a fait la remarque, que quelques-uns
. M. Mathias Duval, se basant sur les recherches obtenues par les
auteurs
belges, et sur les expériences de M. Manoué- li
les résultats reçus par nous et les don- nées analogues des autres
auteurs
, nous nous sommes assuré que l'état variqueux d
nse. D'après l'exploration 282 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. de certains
auteurs
qui se sont servi de la méthode de Golgi (par e
ne atrophie particulière, comme dégénérescence suigeneris. Bien des
auteurs
pourl'indicationdel'état monili- forme des dend
maladies psychiques accompagnées de démence, donna lieu à certains
auteurs
(Peelers, Azoulay et Klippel) de mettre en liai
x, servant, comme le pensent Demoor, Stefanowska et quelques autres
auteurs
, à la forma- tion des contacts entre les élémen
l'accident. Ce fait viendrait à l'appui de l'assertion de quelques
auteurs
: à savoir la résis- tance si considérable des
MBARD). (inn. di nevr., fasc. 1-11, 1899.) Une observation dont l'
auteur
tire les conclusions suivantes : dans la paraly
rs sur le sujet. En ce qui concerne en particulier lé diagnostic, l'
auteur
pense que l'on devra soupçonner une tumeur du g
iOELLO. (Itiv. sp. di. fieu., fasc. 1, 1899.) De ses expériences, l'
auteur
conclut que même la racine vestibu- laire subit
erfs lésés ; par le D CENI. (Riv. sp. di /'ren., fasc. II, 1899.) L'
auteur
tend à démontrer : 1° que les lésions dégénérativ
tout de l'inhi- bition s'exerçant sur les muscles atteints. Selon l'
auteur
, les mouvements auxiliaires pourraient dépendre
he granuleuse du cervelet, très petits dans les fibres nerveuses. L'
auteur
montre, à l'appui, de grandes cellules pyramidale
ieur de la glande pinéale; ce sont de fortes fibres inconnues des
auteurs
(cinquième zone des fibres spéciales du noyau len
s tétanoïdes de l'épi- lepsie. Sur 200.000 attaques observées par l'
auteur
, un seul cas peut se rapporter à celte variété
u'il relate tout au long et des recherches effectuées à ce sujet, l'
auteur
lire les conclusions suivantes : i° Les convuls
ire pathologiquement distincts. En réponse à la première question l'
auteur
rapporte six obser- vations présentant les cara
cal ; par le 1), de BucK. (Journal de Neurologie, 1899, n° 13.) L'
auteur
relate un cas de tabes, qui, contrairement à la r
première condition de ce phénomène doit être recherchée, d'après l'
auteur
, dans une atteinte relativement peu prononcée d
mes sans rien ajouter aux descriptions de Duchenne et de Charcot, l'
auteur
critique la dénomination de paralysie labio-glo
vier 1899.) Cinq observations observées à Le Grand en Californie. L'
auteur
332 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. soupçonne u
(l'en., fasc. 1. 1899.J En résumé, des faits qu'il a pu observer, l'
auteur
arrive à con- clure que le type de syringomyéli
e considérable joué par l'infection dans la genèse de l'hystérie, l'
auteur
se refuse à séparer l'hystérie grippale de l'hy
le premier âge. La première partie représente plutôt l'opinion de l'
auteur
; mais l'hérédité produit seulement un état d'équ
. (Revue de psychologie clinique et thérapeutique, avril 1899.) L'
auteur
définit en ces termes le mot « image ». « Par ima
e psychologie clinique et thérapeutique, juin et juillet 1898.) L'
auteur
a résumé lui-même, dans les conclusions suivantes
AC. (Revue de psychologie clinique et thérapeutique, mai 1898.) L'
auteur
ne partage pas l'opinion de M. Bernheim d'après l
dané parfait des plus éner- giques agents de la matière médicale. L'
auteur
s'attache à démon- trer que les théories automa
ier. (The Journal of nervous and mental disease, février 1899.) L'
auteur
rapporte une observation clinique dans laquelle i
(titre Journal ofnervous and mental di- sease, novembre 1899.) L'
auteur
rapporte ce cas de pachyméningite hémorrhagique s
The journal of mental of nervous diseuse, janvier 1899.) .. . Les
auteurs
pensent que l'acromégalie est due à une affection
ité de la face. MM. COCHEZ et SCIIERB. M. Meige communique pour les
auteurs
une série de photographies relatives à ce cas.
ns le sens que lui a donné Héad. Le territoire plutéo-crural de cet
auteur
seul ou associé à son territoire sacro-femoral, r
us l'in- SOCIÉTÉS SAVANTES. 351 fluence de la morphine : certains
auteurs
ont, en effet, prétendu avoir guéri des hystéri
ent l'alcoolisme, facteur de tuberculisation au pre- mier chef. L'
auteur
, dans ce travail du plus haut intérêt, après avoi
ôt sur l'alcool, monopole, lois sur l'ivresse et les débits, etc. L'
auteur
préconise comme première mesure à appliquer en
ans la classe ouvrière termine cette BIBLIOGRAPHIE. 357 étude ; l'
auteur
y rappelle les constatations du Dr Brunon sur l'a
gales très développées, les divisions de ce travail d'ensemble. L'
auteur
se rallie à la doctrine de Magnan relative aux sy
erne, il a vu souvent s'éveiller des hallucinations auditives. Un
auteur
russe, Mierzejewski2, qui a étudié quelques-uns
lui prêter la teinte correspondante, ou des accessoires. Ce même
auteur
a observé un alcoolique chez lequel la sensatio
, se traduisant par des voix inju- . rieuses. Ainsi, pour plusieurs
auteurs
, l'excitation cutanée peut produire des halluci
lfactive, et l'interprétation délirante naît consé- cutivement. L'
auteur
russe, que nous avons cité plus haut rapporte des
ire d'une opération élevée de l'activité mentale. Nous avons, dit l'
auteur
, déjà montré que les fibres arciformes qui pass
par lui-même, d'accord avec les observations publiées par d'autres
auteurs
, et d'après des expériences personnelles faites
re normale après fixation dans le liquide de Zenker. De ces faits l'
auteur
conclut : 1° Certaines particularités congé- ni
de la toxicité du sang. Ce sont ces considérations qui empêchent l'
auteur
de tirer des conclusions précises sur l'exis- 4
innati. (Journal of nei-voits and mental diseuse, novembre 1899.) L'
auteur
rapporte un bon nombre d'observations de rigidité
ar John H. Lord. (The Journal of Mental Science, juillet 1899.) L'
auteur
s'occupera dans ce travail non seulement des épil
ou intactes, et aussi à quel genre d'occupation ils sont aptes. L'
auteur
s'occupe ensuite de la santé physique des épilep-
ées ; c'est l'intérêt bien compris du malade et de la société, et l'
auteur
développe ce double point de vue. Puis il passe
l pour les épileptiques aliénés, qui recevra environ 300 malades. L'
auteur
entre ensuite dans quelques détails sur la statis
e qui peut servir à l'étude clinico- pathologique de l'épilepsie. L'
auteur
ne fait que mentionner la colonie bien connue d
ie existe aussi bien à l'état chro- nique qu'à l'état aigu ; mais l'
auteur
se borne ici aux formes aiguës, et par là il en
emblables confirment nettement l'opinion de H. Jackson et de divers
auteurs
sur la matière, c'est-à-dire la doc- trine de c
lisme des deux états, il n'y a entre eux aucune interférence. » L'
auteur
étudie ensuite les points de ressemblance entre l
risent certainement l'apparition des effets extrêmes de l'alcool. L'
auteur
insiste en terminant sur la grande importance d
utrition parfaite de la cellule nerveuse en assure l'intégrité. L'
auteur
n'a pas vu un seul cas d'épilepsie idiopathique d
complet du tube diges- tif. Sur plus de cent cas pris au hasard, l'
auteur
n'a pas rencontré une seule fois un état normal
discussion sur la définition de la cons- cience et ses modalités, l'
auteur
fait remarquer que lorsqu'on parle des troubles
ne aussi bien à la forme psy- chique qu'à la forme convulsive. Si l'
auteur
avait à fournir une définition de l'épilepsie,
ntuation ou une exaltation de la conscience. Dans ce dernier cas, l'
auteur
admet qu'un abaissement plus ou moins général d
es soit une amélioration considérable soit une guérison complète. L'
auteur
croit fermement que les irritations périphériqu
cas, la brûlure s'accusait seule ou ne survenait que tardivement. L'
auteur
a soumis à cet examen 43 sujets, dont 16 cas atte
radio- graphie donne une ombre plus foncée à l'endroit des os. L'
auteur
admet que le processus observé chez son malade s'
Contribution à la question de la syrip7omyé- lie héréditaire . - L'
auteur
a observé à l'hôpital Catherine trois cas de sy
ion délimitée des termes particuliers. Deux observations l'une de l'
auteur
, l'autre de Lissauer et Hahn BIBLIOGRAPHIE. 453
ous éclairent pour leur part la théorie. Avant toute discussion l'
auteur
rappelle que l'identification, phénomène excess
cette thèse. Cela n'est dû ni au hasard ni à la seule volonté de l'
auteur
, mais bien à ce fait, que si la cécité psychiqu
ie du sens éty- mologique si précis que lui avait donné Spamer. Cet
auteur
en faisait le terme générique des agnoscies por
nt la dissertation (avant le 2° chapitre) comme l'ont fait d'autres
auteurs
selon la tendance actuelle en neurologie ; la l
, évolution et dissolution; par Ch. FERG. (Alcan, édit., 1899.) L'
auteur
expose d'abord l'évolution de la fonction sexuell
1. S'appuyant sur les multiples expériences de laboratoire que l'
auteur
réalise depuis de longues années avec la patience
yngite granuleuse. Brochure in-8° de 3 pages. Paris, 1899. - Chez l'
auteur
, 14, rue Duphot. ' 0 NINA-RoDRIGUES. - Métiss
elles. Ainsi s'explique l'inconstance des résultats obtenus par les
auteurs
, pour une seule et même espèce animale. Bary a
leux directs et des symptômes cérébelleux de voisinage entraînant l'
auteur
à conclure à l'existence d'une tumeur de la par
et après une étude complète des méthodes techniques de recherche, l'
auteur
examine les modifications de ces fuseaux dans u
TEIV et INELIS. (Journal de Neurologie, 1899, n° 16.) D'après les
auteurs
de ce travail les différents amas cellulaires q
moteur oculaire externe. Les recherches expérimentales faites par l'
auteur
sur le chien, le chat et le lapin et exposées e
animaux qui ont servi aux recherches précé- demment exposées par l'
auteur
. Sur certaines coupes, choisies surtout chez le
couche optique n'ont aucun rapport avec la motilité du larynx, les
auteurs
formulent les conclusions suivantes : Les libre
des nerfs correspondants à la zone d'hyperesthésie. En terminant l'
auteur
fait remarquer que l'extirpation de cette tumeu
la cause de cette intoxication. 11 pourrait bien se faire, ajoute l'
auteur
, que cette sclérose com- binée soit un empoison
; par Ch.-L. DANA. (The journal of nervous and mental diseuse.) L'
auteur
réduit à 5 formes communes, les nombreuses variét
élie; par Carslam. (British medical Journal, 31 décembre 1898.) L'
auteur
expose dans cet article un cas détaillé de syring
aires relevant de lésions de la substance blanche de la moelle. L'
auteur
développe un parallèle entre la sclérose latérale
l, VII, 1898.) L'examen de ces cas, au nombre de trois, inspire à l'
auteur
les remarques suivantes : Dans le torticolis
ériques n'est que la cause occa- sionnelle de ses manifestations. L'
auteur
rapporte quatre observa- tions d'épileptiques p
lles s'opèrent les actes supérieurs. L'intéressante autopsie de l'
auteur
(destruction étendue des faisceaux blancs, avec
2 cas de difformité oedémateuse des membres inférieurs, celles de l'
auteur
portant sur 4 générations d'une même famille et
des symptômes cons- tants sont les parésies croisées. Les autres
auteurs
, Oppenheim, Brissaud, soutiennent que le signe
fait que post mortes. Le malade, âgé de soixante ans, observé par l'
auteur
, entre à l'hô- pital disant qu'il souffre depui
liome de la partie antérieure du corps calleux; chez le malade de l'
auteur
, la raideur des muscles augmentait chaque jour, l
bles dans la vision, ainsi, que le pré- tend Martin. Le malade de l'
auteur
a présenté une vision oculaire normale. G. DE M
lques altérations minimes de la substance corticale du cerveau. Les
auteurs
estiment que ces der- nières altérations seraie
syringomyélique dans le domaine du nerf trijumeau, phénomène que l'
auteur
attribue à la présence dans la moelle cervicale d
t aujourd'hui établi, contrairement à l'opinion soutenue par divers
auteurs
, en particulier par Erb en 1878 et par Grasset
at réflexe du sympathique aboutissant à un paroxysme con- vulsif. L'
auteur
relate brièvement deux observations à l'appui de
nature hystérique est très diversement appréciée par les différents
auteurs
. La plupart d'entre eux attribuent principaleme
quelques jours ou de quelques semaines, sont des cas rares. Aussi l'
auteur
a-t-il cru avec raison qu'il serait intéressant
ccipital avec destruction du cunéus; le pli courbe parait intact. L'
auteur
signale aussi l'atrophie du tubercule mamillaire
moral est mieux, et c'est la possibilité de ce redressement, que l'
auteur
va nous démontrer. La criminalité juvénile suit
lèvent de l'orthophré- nopédie (traitement médico-pédagogique). L'
auteur
va d'abord s'occuper des dégénérés inférieurs. Il
c'est d'elle seule qu'on peut attendre les meilleurs résultats. L'
auteur
connaît ce qui se passe à Bicêtre, dans la sectio
fonctions de rela- tion, des sens et de l'intelligence. Peut-être l'
auteur
s'est-il montré, à notre avis, un peu trop affi
arle pas. C'est encore de ce qui se fait à Bicêtre, que s'inspire l'
auteur
lorsqu'il parle de l'enseignement professionnel
essaie d'opérer chez eux un redressement. Cette constation amène l'
auteur
à condamner le système de correction et d'isole
école Lepelletier-Saint-Fargeau l'a, à peu près, mis en pratique. L'
auteur
recommande la séparation des sexes et la catégo
cabilité du sujet, et non d'après la nature des fautes. Peut-être l'
auteur
est-il trop absolu quand il voudrait voir réuni
re des maximes courtes, précises, ou sous forme de questionnaire. L'
auteur
nous énumère les principaux devoirs qu'il faudr
Soury, 179. Le pouvoir tératogène et dégénérant 1 iN/ TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. de la neurine, de l'alco
on d'arsenic dans un cas d'épilepsie. par Clark, 7 4. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Abadie, 193. Achard, 83
Ballet, 81,254,258,44). Barducci, 306. Bartlett, 80. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. 555 Battex, 512. Béc
. Maneton, 238. Marandon de Montyel. 46. 267. 556 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. Marie (P.), 85, 170, 174
- ditaires de nos malades. Nous avons cependant relevé, comme les
auteurs
précédents, l'alcoolisme du père, l'hystérie, la
seignements commémoratifs. Dans l'observation XIX ;de la thèse de l'
auteur
précédent, nous voyons un jeune incontinent don
ence qu'un défaut d'éducation. Elle est due à M. Bérillon. Pour cet
auteur
, l'incontinence nocturne de l'enfant n'est le p
iques et aussi des hystériques. Quoi qu'il en soit, la théorie de l'
auteur
n'est pas en contradic- tion avec celle que nou
éjà l'habitude de préoccupations urinaires. Il est évident, dit cet
auteur
, qu'un jeune sujet qui pisse au lit, a 1 Erhard
heureuse, elle n'en démontre pas moins, avec les statistiques des
auteurs
précédents, que l'incontinence essentielle d'urin
son quartier il y a deux ans, crime dont on n'a pas découvert les
auteurs
. Enfin, il a des impulsions dangereuses; c'est
neurolog., 1895, n° 5.) Dans cette leçon de médecine opératoire, l'
auteur
estime que, seules les lésions encéphaliques su
st saillant. Ceci établi, voici les résultats des observations de l'
auteur
: sur les quarante sujets, pas un seul ne prése
u niveau des épaules. Remarquer que la scoliose physiologique des
auteurs
est tout' autre que celle qui vient d'être étudié
que la peau est un organe intimement lié avec le système nerveux, l'
auteur
suppose que les centres tro- phiques de la peau
que éruption étant précédée de violentes douleurs névralgiques. L'
auteur
ne connaît pas de cas semblable, il affirme cepen
lésion protubérantielle et peuvent pré- senter diverses variétés. L'
auteur
expose une observation qui doit, d'après lui, f
l'hystérie joue un rôle considérable dans son dévelop- pement. Les
auteurs
, pour confirmer cette opinion, qui s'est du res
. L'hérédité ET l'étiologie des névroses; par le Dl' SIGM. FREUX. L'
auteur
s'adresse spécialement aux disciples de Charcot p
rage de contradictions de la part des mé- decins contemporains », l'
auteur
maintient, appuyé sur un examen laborieux des f
le; par le D'' A. MEYER. Sur vingt cerveaux d'épileptiques dont l'
auteur
a fait l'examen macroscopique et histologique,
de l'épilepsie. En attendant un travail plus étendu sur ce sujet, l'
auteur
résume l'examen histologique des deux principaux
perte de substance des ganglions de la base et du lobe temporal. L'
auteur
termine son travail par quelques considérations
individu faible d'esprit. D'où l'expression d'un nouveau rapport. L'
auteur
conclut à une disproportion entre le coeur et le
NÉVROSE ANXIEUSE', par S. FREUD. (Neurol. CfHt)'6 ? XIV, 1895.) L'
auteur
en dénombre les éléments. Ce sont : une exagérati
plus lire, sinon il ressent des douleurs dans les yeux. Tous les
auteurs
tiennent l'akinésie douloureuse pour une affec-
ses en soi légères mais constituant autant d'épines orga- niques. L'
auteur
croit que l'irritation spinale commune s'accom-
éinstaller l'activité sensorielle de ce côté. C'est, comme le dit l'
auteur
, un traitement de « tour de force t. P. K. XX
taxie locomotrice, surtout en cas d'intolérance gastrique. Quelques
auteurs
lui attri- buent une action excitante du systèm
de Slein, de Frange), de Hebold, de Stembo, de Wulff. Ce dernier
auteur
(mai 1895), a traité dix-neuf épileptiques par l'
genweidt a obtenu des améliorations notables. Les recherches de l'
auteur
ont porté sur sept malades (six hom- mes et une
aussi la quantité de bromure qui est contenue dans cet organe. L'
auteur
a traité seize malades (onze femmes et cinq homme
alade a été, à ce point de vue, considérablement amé- liorée. ' L'
auteur
reproduit la proportion des améliorations et des
our la plupart, nous n'aurons pas à y revenir. -- On peut, avec l'
auteur
, se demander quel est l'avenir de ce groupe de
tion thyroïdienne dans LES troubles mentaux ; par le Dr CLARKE. L'
auteur
a expérimenté l'alimentation thyroïdienne dans le
. MM. Vallon et Christian font des réserves sur la relation que l'
auteur
cherche à établir entre l'inlluenza et la psychos
1'es dans les into,7.Í- cations. Depuis 1881, un certain nombre d'
auteurs
russes (Danillo, Popow, Tschisch) ont étudié le
sont arrivés à des résultats positifs. Les travaux de Nissl et des
auteurs
qui ont appliqué sa méthode (Sandi, Vas et Scha
ences des cellules ganglionnaires sont difficiles à différencier. L'
auteur
a étudié spécialement l'empoisonnement aigu par
illes. 4. L : 1NGRCUTER. Présentation de tatouages de criminels.- L'
auteur
a recueilli ses tatouages dans la prison d'Eber
econnaît l'exactitude de l'opinion admise par la majeure partie des
auteurs
allemands, à savoir que les signes physiques n'
chez les détenus militaires en France et en Italie. Il faut, dit l'
auteur
, se montrer prudent dans la recherche des tatouag
s. De l'examen comparé de 125 détenus tatoués observés par lui, l'
auteur
conclut que les sujets obscènes sont très fréquen
résentent une ressemblance frappante avec ceux étudiés par d'autres
auteurs
, qu'il existe dans certains cas une obtusion de
nue de la plus grande partie du public médical ou enseignant. Les
auteurs
, en vulgarisant les notions éparses dans un grand
a lutter, en outre de la maladie ou de l'infirmité primitive. Les
auteurs
ont étudié chaque infirmité en particulier en l'e
cellules des cordons. Mais si l'on se reporte aux descriptions des
auteurs
, 'quant à la situation topographique de ces fai
e semblable à la nôtre a été esquissée avec grandes réserves par un
auteur
alle- mand, Hoche ', qui n'ose encore se pronon
racines postérieures sont lésées ? Tel est le point sur lequel les
auteurs
sont encore en divergence d'opinions. Il est de
nie de tubes il myéline ; cette zone décrite habituellement par les
auteurs
comme cornu-commis- surale, mérite par son sièg
s examens histologiques.il s'agissait dans le fait rapporté par ces
auteurs
d'une malade morte à la suite de la compression
ais ce qui à notre avis n'est pas le moins important, c'est que les
auteurs
précédents n'ont pas cherché à donner d'interpr
cale dans l'un, au-dessous de la huitième cervicale dans l'autre, l'
auteur
représente sur 'ses figures une dégénérescence
res. Plus loin nous dirons comment nous comprenons les schémas de l'
auteur
allemand et nous expliquerons comment nous les
e trouverait dans la subs- tance grise. Hâtons-nous de dire que cet
auteur
admet con- curremment l'existence de filets rad
n moyenne dos cordons posté- rieurs. De plus, de l'avis de tous les
auteurs
les fibres radicu- laires descendantes sont tou
s descendantes à long trajet. Dans les descriptions données par ces
auteurs
, ces fibres se prolongeaient manifestementjusqu
olume aiusi qu'on peut s'en assurer sur les figures données par ces
auteurs
. En route les fibres de la région anté- rieure
jours assez court ; nous ne pouvons que nous ranger à l'avis de ces
auteurs
. En résumé notre premier système représente un
es à direction des- pendante. Fibres à long trajet. Jusqu'ici les
auteurs
n'ont décrit que des voies commissurales courte
ins, ce qu'avec une frappante unanimité, pro- clamaient les anciens
auteurs
qui l'avaient si bien décrite au commencement d
orragique interne'. Sur les huit cas d'hématomes subdu- raux de cet
auteur
, un s'est produit chez un paralytique géné- ral
» Etat actuel de Roberto. - Homme robuste et bien constitué. Les
auteurs
donnent toutes ses mesures anthropométriques. Plu
ique, élayé sur la psychologie plus encore que sur la clinique. Les
auteurs
, qui se proclament disciples de M. Ribot, fout,
t donnée ci-dessus, un accès de confusion mentale hallucinatoire. L'
auteur
préférerait le dénommer accès de distzoëca. - Q
urs. La foule de Bilonto était particulièrement atavique a avancé l'
auteur
, et il le prouve. Les masses populaires vivent
uset. IV. Les aliénés criminels A l'étranger ; par le Dr RINGS. L'
auteur
étudie avant tout le fonctionnement des asiles de
s soit ],81 hommes et 124 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 159 femmes. L'
auteur
a été frappé du grand nombre de femmes ayant co
paralysie générale. Les deux principales critiques formulées par l'
auteur
contre les asiles d'aliénés criminels anglais s
quel son crime a été commis. En plus de ces deux [asiles anglais, l'
auteur
a visité le quartier spécial de Bicêtre dont l'
mpulsion irrésistible qui montre, contrairement au dire de quelques
auteurs
, que les exhibitions peuvent avoir lieu souvent
a peine, à être un danger pour la 11101 ale publique. Et de fait, l'
auteur
, depuis la rédaction de cette observation, a appr
es états pathologiques les plus intenses; il y a tous les degrés. L'
auteur
esquisse une théorie physiologique de l'obsessi
Ce long mémoire est une revue générale complète de la question. L'
auteur
examine d'abord les formes étendues : pour la par
t dans de mauvaises condi- tions ; il mourut trente heures après. L'
auteur
déplore ce contre- temps persuadé que le cas ét
ses formes et sa valeur psychologique; par le Dr BOURDI\. 4. L'
auteur
accepte, en la modifiant un peu, la définition de
cience n'a pas existé au moment précis de l'exécution de l'acte : l'
auteur
croit même que la volonté est intervenue égalem
essive à éclosion tardive. L'intéressante observation publiée par l'
auteur
apporte une contribution nouvelle à l'étude des
gnes de dégénérescence et la compa- raison des résultats obtenus, l'
auteur
expose en détail la méthode systématique nécess
tiologiques entre la tuberculose et la folie. Les statistiques de l'
auteur
montrent qu'il existe des formes de tuber- culo
ont cependant notables car, sur 400 malades examinés à cet égard, l'
auteur
a trouvé 30 132 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
ète dans 57 à 72 p. 100 des cas. III. Réflexes dans la folie. - L'
auteur
a examiné les réflexes rotuliens et les réflexe
00 d'achromatopsie chez les hommes et 2 pour 100 chez les femmes, l'
auteur
sur 400 malades examinés, n'a rencontré de l'ac
e intéressante d'un cas type de folie morale. A propos de ce cas, l'
auteur
remarque que l'appellation de « folie morale »
. B. XI. Troubles moteurs dans la folie; par le D1' Richardson. L'
auteur
attire l'attention sur les connexions intimes qui
lcoolisme ET DE la folie; par le Dr BANNISTEn. Les conclusions de l'
auteur
sur le rôle de l'alcool dans la produc- tion de
quemment examinés à ce poiut de vue, au moins une fois par an. L'
auteur
a étudié la question dans un asile neuf, bien amé
s en verre de 5 kilogrammes, solides, faciles à nettoyer, lourds. L'
auteur
conclut en demandant que les aliénés atteints d
gime des aliénés en Allemagne et plus particulièrement en Prusse. L'
auteur
insiste sur les conditions défectueuses dans le
s. Au point de vue de la réforme de la législation des aliénés, l'
auteur
se félicite de voir que dans les projets qui ont
'ailleurs exigée en Saxe, dans le Wurtemberg et le duché de Bade. L'
auteur
termine en insistant sur la nécessité de détrui
à la direction d'un médecin respon- 1 Les critiques formulées par l'
auteur
sont applicables dans toute leur sévérité à la
ou en psychiatrie, au point de vue du diagnostic et du pronostic. L'
auteur
a recueilh de nombreux documents sur cette ques
est surpris du nomhre considérable d'observations dans lesquelles l'
auteur
de la communication a noté l'absence du réflexe
gne de Westphall dans les cas de psychoses séniles rassemblés par l'
auteur
. Sur 21 malades qu'il observe actuellement et q
peuvent être expliquées si l'on tient compte que les recherches des
auteurs
ont porté tantôt sur des malades au cours même
folie des quérulanls au point de vue nosologique et médico-légal. L'
auteur
insiste sur l'importance pratique qu'il y a pou
ord avec ce fait, signalé par la rapporteur et admis par différents
auteurs
, que la folie des persécuteurs peut se rencontrer
'est que je crois devoir tenir compte des vues très divergentes des
auteurs
en ce qui concerne la classification des maladi
couvertes récentes sur la structure fine de l'axe cérébro-spinal. L'
auteur
se trouve ensuite. naturellement amené à discuter
E. Progrès de la psychiatrie en Amérique; par le D' Js. COWLES. L'
auteur
résume par les propositions suivantes les conditi
ation d'un service médical psychiatrique dans les prisons belges, l'
auteur
a eu, à diverses reprises, l'occasion de montre
dans la clinique du professeur Bechterew à Saint-Peters- bourg. Cet
auteur
a obtenu des résultats identiques aux nôtres. A
evenue possible grâce à l'accalmie du processus morbide. Tous les
auteurs
(Frenkel, Ostankoff) qui ont appliqué notre mét
corps d'une façon symétrique.1 Le professeur Fournier ' est le seul
auteur
qui à notre connaissance mentionne des cas; dan
un certain nombre d'observations, et auraient-ils pu, pour quelques
auteurs
, être notés dans toutes, s'ils avaient été suff
esquels elles portaient, que par l'auto- rité scientifique de leurs
auteurs
, montrèrent que le tabes avait des rapports de
part, de l'interprétation délirante de l'autre; par des exemples, l'
auteur
établit une opposition entre ces différents phé
ns aperceptives (Kalbaum). S'appuyant sur l'observation clinique, l'
auteur
passe en revue, à propos des hallucinations de
départ aucune exci- tation périphérique, objective ou subjective, l'
auteur
admet l'hypo- thèse de l'origine intellectuelle
cause toxique ou asthénique. Pour l'hallucination périphérique, l'
auteur
aborde ensuite la question de localisation sens
ses hallucinations de l'ouïe. Au point de vue physio-palhologiquo l'
auteur
passe en revue les différentes théories de l'ha
points relatifs à la psycho-physio- logie de l'audition normale, l'
auteur
s'abstient d'émettre une théorie générale de l'
x insister sur la théorie des hallu- dilations psychiques, due à un
auteur
russe, Karvinski. Les alié- nistes oublient tou
our servir à l'étude anatomo- pathologique des hallucinations . Les
auteurs
s'appuyant sur une autopsie de délirant chroniq
iques nombreux néces- sitant une observation de longue haleine, les
auteurs
rappellent des cas analogues déjà publiés (cas
our éviter l'objec- tion d'influence d'imprégnations antérieures, l'
auteur
a pris des animaux vierges élevés par lui-même.
et des myélites consécutives à l'action de toxines microbiennes . L'
auteur
a expéri- menté à ce point de vue la toxine du
locale et la gangrène symétrique. L'asphyxie locale est, d'après l'
auteur
, le premier degré de la gangrène quoiqu'elle pu
bservations d'oedème bleu sont jusqu'à présent peu nombreuses ; les
auteurs
sont loin d'être d'accord au sujet de la pathog
aune lésion de l'endothélium, Alelehofî admet, avec la majorité des
auteurs
, que l'oedème bleu dépend d'un spasme vasculair
ne tumeur de la glande pituitaire comprimant la base crânienne. Les
auteurs
, en raison de la constance, aujourd'hui reconnu
8 SOCIÉTÉS SAVANTES. dits normaux que chez les nerveux constatés. L'
auteur
aborde enfin l'étude des tremblements associés
est souvent ainsi. M. PARISOT. - nu tremblement chez les normaux. L'
auteur
signale un dispositif spécial pour déceler le t
on sur le tremblement de la langue de certains mélancoliques, que l'
auteur
a remarqué être généra- lement d'origine infect
ions, qu'un volume ne suffirait pas à en donner l'exposé complet. L'
auteur
a su tourner la difficulté d'une aussi lourde t
tudiés et développés dans ce but. Le rôle de la punition, suivant l'
auteur
, n'est pas à rejeter, car il est salutaire comm
raitement sérieux est démontré par l'asylum dementia décrit par les
auteurs
anglais et le réveil des malades replacés en un
on sur les miracles de Tilly. Courte communication, dans laquelle l'
auteur
insiste sur la fixité des hallu- cinations dans
'a signalée M. Parisot (partie postérieure du faisceau géniculé), l'
auteur
conclut que le. passage du faisceau facial dans
e : action sur la crois- sance et en particulier sur la taille. - L'
auteur
présente une série de tracés de la température,
celle d'une partie de la longueur des doigts correspon- dants. Les
auteurs
pratiquèrent l'arrachement total de la branche
cente. Cette délicate et audacieuse opération fut pratiquée par les
auteurs
avec un plein succès. Ils sectionnèrent les racin
ériques, incontinence d'urine également rapportée à l'hysté- rie. L'
auteur
pense qu'il s'agit d'une myopathie sans aucune
ades échappent aux observateurs. Ce sont ces particularités que les
auteurs
font ressortir en relatant une observation inédit
rendu compte dans les Archives de Neurologie d'un travail d'un des
auteurs
, M. Richer, sur les attitudes du corps dans leq
tractions sont indépendantes du tremblement, elles paraissent, aux
auteurs
, être la cause de la rigidité continue, caractéri
éger degré de contracture et non à un état myopathique spécial. Les
auteurs
terminent leur travail par cette dernière considé
i de gommes syphilitiques plutôt que de gommes tuberculeuses. Les
auteurs
conviennent que le diagnostic anatomique se base
le, il en existe des observations éparses dans la littérature, et l'
auteur
en a rassemblé un certain nombre d'inédites dan
ase, intéressant les nerfs moteurs de l'oeil n'est pas admise par l'
auteur
, parce que surtout la malade n'a jamais présent
ésenté de symptômes méningitiques, jamais de vomis- sements, etc. L'
auteur
rejette également l'hypothèse de la syphilis, p
iologiques ordinaires (cataphorèse). Ce sont ces propositions que l'
auteur
veut contrôler expérimentale- ment. Il a, pour
en et les méninges sur l'écorce grise du cerveau ? Naturellement, l'
auteur
recherche d'abord directement, au moyen d'une p
arte sous certains rapports du type classique de cette affection. L'
auteur
fait d'abord remarquer que la polioencéphalomyéli
t atrophie du membre supérieur droit et de l'épaule. Au moment où l'
auteur
le voit, le malade est dans un état vraiment mi
Le malade succombe en décembre 1893, dans un accès de dyspnée. L'
auteur
affirme qu'il s'agit bien là d'un cas de polioenc
t comme les caractères distinctifs de la polioencéphalomyélile. L'
auteur
explique comment ou peut comprendre anatomique-
ession du moteur commun, etc., etc. Revenant à son observation, l'
auteur
avoue que le début de l'affection par la paraly
e les sent pas. T = 38°. Rétention d'urine. Intelligence intacte. L'
auteur
diag- nostique un foyer de myélite à la région
est pas en cause. Du reste, on hypnotisa la malade sans résultat. L'
auteur
admet que ce foyer de myélite est dû à l'infect
ces observations démontrent que le processus blennorrhagique, dit l'
auteur
, peut se généraliser et se localiser ensuite su
garder d'envisager la blennorrhagie, malgré l'opinion de cer- tains
auteurs
, comme une affection toujours locale. (Rivista cl
ar W. GOOD : 1LL. (Brain, été et automne 1895.) De 1892 à 1893, l'
auteur
a observé à Eastern Hospital 1,071 cas de dipht
ccentuées, une erreur de diagnostic peut aisément être commise. L'
auteur
rapporte un cas dans lequel une tumeur cérébrale
quelques mois et se termine par la guérison. De cette observation l'
auteur
conclut qu'une tumeur du cerveau peut rester lo
de la pupille à la lumière. Bien qu'il n'y ait pas eu d'autopsie, l'
auteur
se voit autorisé à placer le siège de la lésion
: 1RELLI. (L'Anomalo, novembre et décembre 1895, Gennaio 1895.) L'
auteur
ayant remarqué que certains crânes, parmi ceux qu
E ET MAITINESCO. (Nouv. Iconog. de la Salpêtrière, 1895, n" 4.) L'
auteur
a déjà émis l'hypothèse que les altérations osseu
tions des cordons pos- térieurs. Dans l'observation relatée par l'
auteur
, il s'agit d'un malade atteint de délire mélanc
e Dr HASKOVEC. Au moyen de nombreuses expériences kymographiques, l'
auteur
a pu constater qu'un ou deux centimètres cubes
ur l'origine DE l'amyotrophie tabétique ; par le D'' E. SCHAFFER. L'
auteur
cherche la cause de la divergence des opinions de
FFER. L'auteur cherche la cause de la divergence des opinions des
auteurs
relatives à l'origine de l'amyotrophie tabétique,
le. Ce sont précisé- ment ces altérations fines et primitives que l'
auteur
a rencontrées dans un cas de tabes : aussi plac
connues, et qui ne paraît pas devoir être rattaché à l'hystérie. L'
auteur
rapporte deux cas personnels. Un des sujets fut
hargée; mais on n'a pas relevé chez lui de stigmates hystériques. L'
auteur
conclut en défi- nitive à l'hypothèse qui fait
ie alcoolique elle peut, chez les deux sujets, être élimi- née. L'
auteur
pense que l'interprétation de Wagner, qui nie la
ssement du champ visuel) après des tentatives de strangulation. L'
auteur
rapporte enfin l'observation d'un mélancolique qu
ins de tous les aliénistes. C'est une oeuvre désormais classique. L'
auteur
nous en donne aujourd'hui la conti- nuation dan
que complet d'un aliéné; dans le second (séméiologie analytique), l'
auteur
s'applique à classer et à coordonner les maté-
en trois sections dont l'une est comme une sorte d'introduction. L'
auteur
y insiste sur l'importance de l'examen clinique
arquables du volume, tout le développement des vues originales de l'
auteur
sur la nature de la folie, comme maladie ou ano
trait aux don- nées objectives, éjectives de l'examen psychique. L'
auteur
s'occupe d'abord des états psychiques et de leu
en même temps une des parties les plus originales du volume, que l'
auteur
semble avoir mis tous ses soins à traiter et où
rté de ses descriptions. C'est là en un mot une oeuvre digne de son
auteur
, un des repré- sentants les plus autorisés de 1
les définitions du tremblement en général don- nées par différents
auteurs
(Moebius, Littré, Picot), M. Pieraccini le défi
groupe le tremblement sénile et celui de la paralysie agitante. L'
auteur
distingue avant tout les tremblements proprement
s trémulant, le tremblement glosso-labié et des cordes vocales. L'
auteur
résume dans les propositions suivantes la physio-
thalamus optique provoque peut-être l'apparition du tremblement. L'
auteur
termine par quelques con- sidérations sur le di
r Schilddrüse. - Brochure in-8- de 28 pages. Budapest, 1896. Chez l'
auteur
. Eastern counties'Asylunz for idiots and imbéci
par le De Cuatelin. Les deux observations citées tout au long par l'
auteur
montrent qu'il ne faut jamais se hâter de donne
leur famille sans que leur état mental se fût beau- coup modifié. L'
auteur
eut l'occasion de les voir quelques années plus
que suit la PSYCHOSE POLYNEVIUTIQUE ; par le D1' G.-C. Ferrari. L'
auteur
remarque d'abord que le premier mémoire de Korsa-
bropathie psychique toxhoemique ». En outre, avant 1887, d'autres
auteurs
: Joffroy )i882), Fischer (1882), Strümpell (18
). XVI. Trois cas de perversion sexuelle; par le Dr Lee HOWARD. L'
auteur
rapporte, sans commentaires, les observations sui
ces derniers donnent une statistique de 30 guérisons pour 100. L'
auteur
se félicite des résultats obtenus par la commissi
E. XVIII. Stigmates DE dégénérescence; par le D1' Iflvitl NEEF. L'
auteur
publie quelques cas cliniques destinés à montrer
pileptique ? . L'épilepsie larvée de Morel ou épilepsie masquée des
auteurs
anglais parait à l'auteur la forme la plus pure
larvée de Morel ou épilepsie masquée des auteurs anglais parait à l'
auteur
la forme la plus pure de l'équivalent psychique
n sexuelle n'est pas encore localisée dans les organes sexuels. » L'
auteur
, qui partage cette opinion, estime que la vie d
ieillards plus ou moins impuissants sont attirés par des enfants, l'
auteur
estime que l'inversion sexuelle acquise est rare
xes. Après avoir cité de nombreux exemples des deux catégories, l'
auteur
se réserve d'examiner, dans une prochaine publica
es troubles ne se produisent que le soir et durent toute la nuit. L'
auteur
rappelle les observations de Lanne, de Magne, d
jour dans l'obscurité, du repos absolu, de l'isolement complet. L'
auteur
donne une observation personnelle dans laquelle o
tibles avec le service militaire, on les propose pour la réforme. L'
auteur
a pu recueillir à l'hôpital de Spezia, pendant
t a signalé la tréquence chez les imbéciles. Et comme conclusion, l'
auteur
se demande s'il ne serait pas bon d'exclure de
s et affections mentales avec déduction aupoint de vue pronostic, l'
auteur
examine la question de l'accrois- sement du nom
ainsi que ses conséquences au point de vue de la descen- dance. L'
auteur
divise les enfants dégénérés en précoces et arrié
E; pal' BEV.\N-LEWIS. (l3ritislc médical Journal, 2 mars 1896.) L'
auteur
, s'appuyant sur les localisations d'Heusen, Walke
itish médical Journal, 28 septembre 1895.) S'appuyant sur 20 cas, l'
auteur
signale le plus communément, avec Russell Reyuo
e critique intéressante sur le livre de M. Enrico-Ferri. Ce dernier
auteur
estime que : in dans la vie criminelle, chez l'
CCARELLI. (L'Ano1nalo, novembre à décembre 1894, Gennaio 1895.) L'
auteur
veut établir qu'il existe, au point de vue cliniq
génital, et il fallait que sans retard ils trouvent une femme. L'
auteur
, étudiant les diverses particularités de ces obse
générale; par John Turner. (British médical journal, 2 mai 1896.) L'
auteur
conclut de ses observations que même dans les cas
dical journal, 28 septembre 1895.) L'idiotie microcéphale suivant l'
auteur
et après examen des différents travaux parus su
ar WILLIAM TURNER. (British médical journal, 23 novembre 18'J.) L'
auteur
rappelle les expériences de Gaule sur le lapin. I
remonter à l'époque de l'opération. D'ailleurs on trouve dans les
auteurs
(Richardson, Krause. Doyen) des cas confirmatifs
promettant du secours. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 395 Physiquement l'
auteur
préconise parallèlement le massage de la tête,
ar des sortes d'attaques de suffocation avec anxiété précordiale, l'
auteur
a-t-il expérimenté le quebracho dans ces cas pa
ou hors d'un asile, est encore controversée. Alors que de nombreux
auteurs
sont d'avis que l'asile possède par lui-même de
asile possède par lui-même des vertus curatives certaines, d'autres
auteurs
, parmi lesquels Weir lllitchel (de Philadelphie
ic, et 396 bibliographie. même dans un asile privé,et cependant l'
auteur
préconise les petits asiles privéscomine réalis
nal ; par le D'' L. Ruiiru (Journ. de Neurologie, 1896, n° 14.) L'
auteur
de ce travail considère le trional comme complète
bale est à la vision, ce que la surdité verbale est à l'audition. L'
auteur
fait remarquer qu'il faut borner souvent la céc
tération d'un centre d'images du lan- gage entraîne l'agraphie. L'
auteur
passe en revue les arguments émis en faveur de l'
omie de la zone du langage est ensuite minutieusement exposée par l'
auteur
. Voici ce qu'il entend sous ce nom avec M. Dé-
sont inédites qui forment une base solide aux opinions que défend l'
auteur
. Certaines de ces observations s'accompagnent d
n Rassenpsy- chopathologie). Brochure m-8 de Si pages. 1896. Chez l'
auteur
, à l3uztenzorg (Java). Siiuttleworth (G.-E.).
-8° de 15 pages. Bi- bliothek medicinischer \Vtssenschaften. Chez l'
auteur
à Warschau. BIGJER. l'achnmezzirzgitis spinalis
in-8° de 5 pages. Bibliothek medicinischer Wissenschatten. - Chez l'
auteur
à Warschau. HIGIER. lllztslselatroplzie. Brochu
in-8° de 21 pages. Bibliothek medicinischer Wissenchal'ten. Chez l'
auteur
à Warschau. IliGtER. Eine combination von Polie
'évolution parallèle des deux variétés de psychose décrites par les
auteurs
précédents. 1° Période commune d'incubation. In
stiques qui croient savourer dans leur extase la manne céleste. Les
auteurs
reli- gieux ont décrit ces goûts et odeurs myst
s les doigts, * On influence ma pensée, dit un autre malade du même
auteur
, on me fait parler malgré moi. » « L'explicatio
s cliniques, que nous ferons suivre d'observations empruntées aux
auteurs
et de citations des anciens historiographes. «
de suite. Les fonctions nutritives s'accom- plissent toutes bien. L'
auteur
compare cet ensemble symptomatique au tableau c
on de tubercules médullaires ou de tubercules du caual vertébral, l'
auteur
opine pour une carie vertébrale. Il s'agit donc
ue, la chorée électrique et même l'épilepsie partielle gastrique. L'
auteur
publie un cas de tremblement qui est également
des troubles dyspeptiques et le tremblement disparait avec eux. L'
auteur
rappelle les cas connus dans la science ayant ave
. Il s'agit donc d'une dysurie spasmodique, d'un spasme du col. L'
auteur
cherche à en établir la pathogénie. Il expose d'a
ibles 458 REVUE DE pathologie nerveuse. de bien des objections, l'
auteur
les rejette l'une et l'autre et se rallie à la
ani). Ce médecin aurait obtenu déjà une gué- rison remarquable et l'
auteur
en expose un nouvel exemple : Observation. S...
a fin de 1893 et il rentre dans sa famille. Deux ans après, 1895, l'
auteur
apprend que son ancien malade est tout à fait g
encore, ou doit les considérer comme des arthropathies nerveuses. L'
auteur
recherche alors l'entité noso- logique à laquel
Travail effectué à l'Institut des hautes études de Florence. Les
auteurs
rappellent que l'on discute depuis longtemps sur
pas la localisation des agents infectieux dans celte glande. Les
auteurs
, après avoir exposé et critiqué les données anato
longée, c'est à l'extirpation de ce seul ganglion inférieur que les
auteurs
eurent recours. Voici la façon dont ils rendent
u. En résumé donc, la paralysie vaso-motrice qui, pour beaucoup d'
auteurs
, pour Aulonelli en particulier, serait un élément
, qui n'entre dans aucune des classes des céphalées admises par les
auteurs
. En effet, peut-on la rattacher à l'hystérie ?
d'habitudes. La vérité est que cette céphalée est idiopathique. L'
auteur
se défend pourtant de vouloir créer une nouvelle
S LÉSIONS PRIMITIVES DES CELLULESNERVEUSES ; par M. l iti,,iFsco. L'
auteur
, dans un travail du plus haut intérêt, accompagné
S ; par le Dr Simerka. D'après les observations de 52 tabétiques, l'
auteur
a dressé la table suivante où les symptômes son
sous le nom de mouvements nerveux. La similitude des cas a engagé l'
auteur
à les grouper, à les dé- signer sous le nom de
paralysies laryngées CHEZ les hémiplégiques; par le Dr Simeriu. L'
auteur
a fait l'examen laryngoscopique de-23 hémiplégiqu
troubles inté- ressant la corde vocale droite. Les recherches de l'
auteur
sont con- firmatives de l'opinion de Semon et H
juin 1896.) E. B. LX. Leçon sur les réflexes; par le Dr HDGHES. L'
auteur
admet l'existence hypothétique de fibres reliant
PRIMAIRES TRAUMATIQUES ET NON TRAUMATIQUES ; par le Dr OUTTEN. L'
auteur
a fait une enquête aux Etats-Unis sur la question
B. LX11. Note SUR L'AC131LLODY-NIE hystérique; par le Dr Feré. L'
auteur
cite deux observations qui établissent la possibi
E P07TIQU1's ; par le or A. CIII1'AULT, Dans une récente étude, l'
auteur
a insisté sur l'origine mixte, radiculaire et m
objectivement appréciables. Il Si l'on met de côté 7 cas douteux, l'
auteur
, sur 22 cas, a rencontré : 1° dans 7 cas, des s
mment sur la ligne médiane. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 471 L'
auteur
ayant remarqué que souvent la luette présentait q
x et dans 47 p. 100 seulement chez les aliénés. De son travail, l'
auteur
tire la conclusion que la déformation et plus p
et extenseurs : émi- nence thénar toujours atteinte et atrophiée. L'
auteur
signale un cas de guérison, pourvu que l'on ces
orts avec la responsabilité criminelle ; par le De H. MAUDSLEY. L'
auteur
, dans une discussion intéressante de la question
e 11'lane Hamilton. Après avoir rappelé quelques causes célèbres, l'
auteur
rapporte l'histoire d'une jeune femme, fort ric
'im- portantes sommes d'argent. 476 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. L'
auteur
, consulté par la famille, estima que l'allégation
folie pour des actes qu'ils se refusent à dénoncer à la justice. L'
auteur
estime que lorsque des rapports entre personnes
SLEY. (Bl'liish médical Journal, 28 septembre 1896.) La note de l'
auteur
se prêtepenaun résumé, tout est à citer, mais i
plus profonde. L'expression dégénéré est ainsi deve- nue, suivant l'
auteur
, un mot vide de sens précis, alors qu'une médec
la mémoire du coupable. Ce qui semble le plus probable, continue l'
auteur
, c'est que quand on s'est dégoûté de la REVUE D
ssède ce corps de rendre la gélatine insoluble. Depuis, de nombreux
auteurs
ont étudié le rôle de la formaline comme antise
sceau interne du pied du podoncule. - D'après les recher- ches de l'
auteur
, une partie au moins des fibres corticales se ter
l1Le palatine indiquerait une disposition nerveuse hérédi- taire. L'
auteur
a repris l'étude de la voûte palatine chez les di
coloration DE la névroglie de CARL VEIGERT; pai le Dr VOLDENG. L'
auteur
a expérimenté la nouvelle méthode de coloration d
CATARACTE DOUBLE CONGÉNITALE; par 11111. Vurpas et 1 ? ccr.r. Les
auteurs
ont eu l'occasion d'observer deux enfants, âgés l
ine, de phénomènes dou- loureux, ainsi que l'avaient pensé certains
auteurs
, et la première sensation qu'elle engendre n'es
hémorragique ancien dans la partie inférieure droite du bulbe. L'
auteur
fait suivre cette description de diverses considé
es anomalies des deux scissures interpariétales, toujours d'après l'
auteur
, n'ont pas encore été décrites chez l'homme, ce
contribution importante aux faits analogues rapportés par d'autres
auteurs
, et qui dé- montrent que le spina bifida qui se
ogistes, mais ils sont arrivés à des conclusions contradictoires. L'
auteur
a replis les expériences anciennes ; il en a in
pports et des discussions spécialement consacrées à chacun d'eux. L'
auteur
s'attachera à traiter la question de l'ins- 488
que fourniront Ips expériences tentées dans certaines provinces. L'
auteur
communique les résultats d'un ques- tionnaire q
ui composent le cerveau et la moelle épinière. L'ordre adopté par l'
auteur
est très rationnel. Les fibres nerveuses étant
oudé et lenticulaire. VARIA. 493 En rapport avec cette division l'
auteur
étudie successivement les fibres de la moelle é
er, 394. Corps - et myatlùme, par liughsmith, 39>- TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. 307 Traumatisme crânie
L3omly, \81. Zona généralisé, par E. Fournier, Il i. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. Abbamondl, ia, Alonw,
Giraul, 236. Glorieux, 47. Goliliiiatiii, 491. D08 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. Goodall, 313. GOl'ton,
abandonner notre conception formulée en z1890, et accepter avec les
auteurs
classiques que le signe de Romberg est la consé
vrose traumatique. L'on sait que ce syndrome est admis par quelques
auteurs
allemands comme une espèce autonome et différen
rs de symp- tômes psychiques ou physiques particuliers que tous les
auteurs
ont signalé. Nous ne les passerons pas tous en
une purgation. Cet état gastrique a déjà été signalé par plusieurs
auteurs
et entre autres par M. Charpen- DE LA TOXICITÉ
t au sang des éclamptiques, c'est-à-dire à ces malades que certains
auteurs
considèrent comme atteints d'épilepsie aiguë, o
les crises d'automatisme de ce malade dépen- dent de l'épilepsie, l'
auteur
se fonde sur les faits suivants : 1° l'exis- te
SSE. (Bull, de la Soc. de lŸI(id. ment. de Belgique, 1891.) . Les
auteurs
n'ont fait porter leurs recherches que sur les ur
be frontal de l'hémisphère droit. Ces lésions sont rapportées par l'
auteur
à une encéphalite de la première enfance ou mêm
u myxoeJème et un état de perturbation intellectuelle, l'idiotie. L'
auteur
adopte la doctrine de Bourneville pour lequel l
les urines de 31 aliénés et d'une quinzaine de sujets normaux, les
auteurs
tirent les conclu- sions suivantes : lorsqu'on
écessairement survenir à bref délai ; la malade par exemple, dont l'
auteur
relate l'intéressante observation, frappée de ce
releurs recherches sur l'acétonurie chez les aliénés. D'après ces
auteurs
, ce n'est pas seulement dans certaines affec- t
ue l'on désigne, faute de mieux, du nom de sommeil paradoxal. 0 L'
auteur
en montre un cas chez un héréditaire présentant d
ties atteintes par une lésion définitive. L'observation citée par l'
auteur
montre que cette théorie, vraie dans certains c
à la malade. A ce propos, étant donnée la rapidité des accidents, l'
auteur
montre combien il est important de démontrer au
BUDQUK AVEC DÉDOUBLEMENT DE LA. personnalité; par le Dr BOETAU. L'
auteur
, dans une très intéressante observation, détaille
IQUE; par le Dr CULLERRE. ' Dans une série de vingt observations, l'
auteur
met en relief un nouveau signe de dégénérescenc
r la toxicité des urines des aliénés. Les résultats obtenus par ces
auteurs
au cours d'expériences antérieures avec l'urine
dans un même groupe des aliénations mentales étudiées par certains
auteurs
sous autant de noms diffé- rents qu'il y a de c
; la psychopathie disparait. 2° Catatonie de Kahlbaum. C'est, dit l'
auteur
, une forme morbide autonome, indépendante. 1 P.
OGIQUES. 105 fesseur, le marchand, l'officier ; tel est le but de l'
auteur
. Il s'est d'abord adressé aux élèves des divers
nomie qui concourent à la mimique chez les paralytiques généraux. L'
auteur
fournit à l'appui de cette assertion douze obser-
urs plus tard. Ces pièces proviennent de la collection du père de l'
auteur
de ce mémoire. La racine motrice du trijumeau p
l n'y a lieu ni de confirmer, ni d'infirmer l'idée acceptée par les
auteurs
de l'entre-croisement partiel de la racine motric
ques, alors que la clinique semble démontrer le contraire. Quelques
auteurs
alle- mands vont même presque à faire du délire
xiste pas dans le délire chronique. On pense gé- néralement que les
auteurs
qui croient l'avoir observée ont pris des illus
cinations de la sensibilité générale sont très fréquentes, tous les
auteurs
les ont notées ; mais ce qu'on sait moins, c'est
ondérante. En analysant tous les éléments constitutifs de ce cas, l'
auteur
fait remarquer combien le terrain intellectuel
OVITCH.' Trente-deux ans. M. Charpentier voudrait savoir pourquoi l'
auteur
fait de sa ma- lade une dégénérée et ce qu'il e
que sur l'épicrâne, mais dans la région des sutures craniennes. L'
auteur
cite cinq observations de psychopathies dues à de
ésie à la piqûre. Discussion : Le professeur Korsakow croit que l'
auteur
en em- ployant le mot 4 psychoneuroe » peut don
t. XXV. 9 130 SOCIÉTÉS SAVANTES. série d'expériences faites par l'
auteur
sur des cobayes lui impose la conclusion suivan
rgie; 3, réflexes patellaires exagérés, avec trépidation spinale. L'
auteur
explique 1, le mydriasis par un réflexe du plex
odifications stables de la sensibilité, à type syringomyélique. Les
auteurs
français ont mis en doute le diagnostic de quel
ilatérale. Nous mentionnerons encore les conclusions suivantes de l'
auteur
: 1° quelques accès postopé- ratoires peu stabl
ion; 3° les modi- fications du sens musculaire dépendent, d'après l'
auteur
, des fibres d'association. 11). M. le Dr G.-I
t est alors soumis à l'action de la cocaïne ou de l'atropine, que l'
auteur
emploie comme substances excitant les fonctions
ent ou deve- naient perverses après les injections de l'atropine. L'
auteur
croit que ce mode combiné aidera à éclairer les
n marquée de 'l'excitabilité électrique des nerfs et des muscles. L'
auteur
croit expliquer ces troubles nerveux par l'exci
on par un os décalcifié des défauts crâniens après trépanation. Les
auteurs
se sont livrés à de minutieuses études sur la sub
Ils expérimentèrent sur des la- pins. La première question que les
auteurs
abordèrent est la sui- vante : le défaut crânie
devient l'os décalcifié ? Pour résoudre cette seconde question, les
auteurs
viennent en somme à la conclusion suivante : l'
nimal livré à l'expérience. Enfin, il s'ensuit, des expériences des
auteurs
, que l'absence du périoste au-dessus de l'os in
sant, elle est encore faible, nerveuse. Vu les résultats obtenus, l'
auteur
en- visage l'opération pleinement réussie. BI
E et LALLEMANT. Dans ce travail, riche de faits, qui a valu à leurs
auteurs
le prix Falret 1890, à l'académie de médecine,
ec la folie. A propos de la folie rhumatismale et de la goutte, les
auteurs
examinent les groupes dans lesquels ces trouble
GRAPHIE. 141 sont les preuves principales de cette connexion et les
auteurs
citent à leur appui un travail que nous avions
insi que celui sur l'obésité. C'est un travail original, auquel les
auteurs
n'ont pas épargné leurs peines et qui constitue p
médical. On peut dire qu'elle a été revue et remaniée à fond par l'
auteur
. Certains cha- pitres ont été complètement tran
re à être complétés, sur- tout en ce qui concerne la stupeur, que l'
auteur
semble toujours rattacher sans dictinction de f
dont elles constituent la forme psychique. M. Régis est le premier
auteur
français qui adopte cette opinion, déjà formulé
subtiles que problématiques. Le chapitre des Phré- nasthénies où l'
auteur
étudie la folie héréditaire est également très
é, se recommande encore par une autre qualité, l'impartialité que l'
auteur
semble toujours avoir eu a coeur de garder. Ce
ferung, von Babès und MARINESCO. A. Hirschwald, Berlin, 1892. Les
auteurs
se proposent de faire un Traité complet de l'hist
histologie est bien décrite dans les travaux d'un certain nombre d'
auteurs
: de Charcot, de Leyden, de Westphal, d'Erb et
ra écrit en langue allemande ou française, selon la nationalité des
auteurs
. Le premier fascicule que nous venons de parcou
muscles du lézard, vue à un grossissement de 1000 dia- mètres. Les
auteurs
passent successivement en revue les lésions que
c. Ainsi, dans la sclérose latérale amyotrophique, par exemple, les
auteurs
nous montrent dans le muscle, une atrophie de l
t du reste de cette spirituelle réponse à M. Marandon de Montyel. L'
auteur
est persuadé que, loin d'être une entrave aux t
ntile de l'atrophie musculaire progressive, d'après Duchenne. Ces
auteurs
ont eu le mérite, dans leur description, de pré
est possible de lui appliquer. Un premier point admis par tous les
auteurs
, et sur lequel je suis d'accord avec eux, c'est
pathogénie générale qu'on donne de l'a- taxie. Cela dit, tous les
auteurs
attribuent le symptôme de Rom- berg aux divers
entent. D'ailleurs, cette théorie est abandonnée par la plupart des
auteurs
comme le passage de Blocq et Onanoff vous l'a m
tifice quelconque de regarder ses pieds ou même le sol ? Beaucoup d'
auteurs
n'ont pas manqué de s'apercevoir de cette parti
tendues cependant que quand aucun écran n'est interposé. » Donc ces
auteurs
admettent le fait. Chez notre homme, l'expérien
anesthésie est faible ou même nulle. * Et pour ne pas prendre des
auteurs
relativement anciens, je puis vous citer encore
hez les tabétiques. Vous pouvez le constater sur nos malades. Les
auteurs
également le reconnaissent tous. Jaccoud ' note
qui complètent heureusement l'excellente description donnée par ces
auteurs
'. Observation Léonie Lavr..., seize ans. D
figure dans l'observation " J. Lav... » du tableau produit par ces
auteurs
. 196 " PATHOLOGIE NERVEUSE. coururent leurs p
pte que ce système est l'analogue de notre système tubulaire. Cet
auteur
pense qu'il s'agit là d'un appareil de perfection
. n° 4, p. 335.) . 202 PATHOLOGIE NERVEUSE. merlin ? et que ces
auteurs
les considéraient comme des vaisseaux oblitérés
avec beaucoup de soin, dit qu'elles ont été mentionnées par divers
auteurs
(Trzebinski, Scbültze, Joffroy et Achard, Hols-
e thyroïde n'auraient pas existé dans les cas précités, où d'autres
auteurs
ont observé des formations de ce genre. Nous
e. Nous avons vu des images tout à fait identiques à celles que ces
auteurs
représentent, et cependant le nerf que nous exa
e conjonctive du tube nerveux. Si l'on tient compte de ce que les
auteurs
ont rencontré ces formations dans presque tous
centres trophiques.des muscles. Du moins est-il probable, pour cet
auteur
qu'il existe des altérations du système nerveux
terminales des nerfs périphériques. Or, il n'en est rien, et ni les
auteurs
qui nous ont précédé, ni nous-mêmes dans le cas
ons peu, à cet égard, sur l'opinion qui a été for- mulée par divers
auteurs
, et selon laquelle on aurait affaire à une cirr
t très séduisante ; mais telle qu'elle a été autrefois conçue par l'
auteur
elle n'est plus soutenable; du reste M. Metchni
rtrophie et d'atrophie musculaire pro- gressive par M. Lewin 1. Cet
auteur
a constaté la formation de phagocytes : le sarc
un peu 2M REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. accru. D'un autre côté, l'
auteur
a pu enregistrer graphiquement les mouvements d
que le Dl' Pieraccini a observé deux fois chez un de ses malades. L'
auteur
voit la un simple fait d'auto- suggestion ; ceu
ien. G. D. XXV. DE l'état sain DE L'ESPRIT ; par le D'' 13UCRE. L'
auteur
se propose d'établir qu'il est faux d'affirmer qu
ù l'on entasse un trop grand nombre d'aliénés : il est temps, dit l'
auteur
, que l'on consi- dère plutôt l'utilité des cons
ituaient pres- que uniquement l'arsenal thérapeutique des asiles, l'
auteur
se plaît à constater que la clef de voûte du tr
ladies cérébrales envisagées à ce point de vue, montre, d'après les
auteurs
, que, lorsqu'elles durent depuis longtemps, il
moyen de la prostate; hydronéphrose bilatérale très pro- noncée. L'
auteur
base le diagnostic de syphilis sur l'évolution et
correspon- dants de la face, notamment des muscles masticateurs. L'
auteur
en conclut que les fibres trophiques du trijume
de myoclonie qu'il a observé et de divers autres rapportés par les
auteurs
, M. le Dr Farge tire les conclusions sui- vante
Dl' COLLEVILLE (de Reims). (Gaz. hebd. de méd. et de chir" 1890.) L'
auteur
relate un cas de myoclonie qui s'est transformé a
' méd., 1890.) De l'ensemble des faits consignés dans ce travail, l'
auteur
a cru pouvoir dégager les conclusions suivantes
rupture consécutive de ces nouveaux vaisseaux et hémorrhagie. ' L'
auteur
pense au contraire que les apparences morbides dé
spinale SYPHILITIQUE; par W. Erb. (Neurolog. Centralbl., 1892.) L'
auteur
tendrait à admettre comme type l'existence d'une
idérée comme un type symptomatique concret. C'est à voir. D'après l'
auteur
, c'est pro- bable. 4° Ce complexus symptomatiqu
S ANATOMIQUES; par H. SÉN : 1TOR. (Neurolog. Centralbl., 1892.) L'
auteur
croit qu'il faut rattacher ces accidents à une af
hilan- thrope éclairé dont l'oeuvre sociale est considérable, par l'
auteur
de la loi Roussel et du rapport, an Sénat, sur
tion, des plus complètes, est exposée avec beaucoup de clarté par l'
auteur
. Délire polymorphe. M. ARNAUD rapporte en son n
le, cervicale inférieure, de foetus mesurant 27 à 47 centimètres. L'
auteur
a trouvé que les pre- mières fibres nerveuses à
e vue de l'anthropologie biologique (séance du 15 décembre 1890), l'
auteur
la traite aujourd'hui au point de vue clinique
aux- là (79 p. 100) et la folie systématique avec hallucinations; l'
auteur
y fait rentrer le type de Meynert (désordre aig
ues. ' Il est difficile d'analyser un travail aussi touffu, et où l'
auteur
a jeté presque à chaque page quelque idée neuve
rieux. Les progrès faits sur cette question depuis lors ont forcé l'
auteur
à le revoir pour le mettre au courant de l'état a
observations apportent leur témoignage clinique aux assertions de l'
auteur
, qui, avec son talent ordinaire, a illustré le
, forme le premier groupe. Dans les dysbasies parafonctionnelles, l'
auteur
place les dysbasies amnésiques (Séglas et Solli
différents troubles de la marche étant ainsi clairement classés, l'
auteur
consacre quelques pages à la technique à em- pl
e des qualités maitresses de ce petit livre. La classification de l'
auteur
est très simple, très naturelle aussi, et ne co
ill., édit. Ce volume renferme les conférences faites en 1890 par l'
auteur
à la Société médicale de Londres; elles sont au
trois. La première est consacrée à la pathologie de la syphilis ; l'
auteur
y passe en revue les caractères des néoformatio
ible d'après les caractères de siège et d'évolutions des lésions. L'
auteur
y passe en revue les symp- tômes et le diagnost
ment, de Belg., 1892.) Courte note destinée, dans l'esprit de son
auteur
, à servir d'in- troduction à une discussion app
nés d'un pli cacheté avec devise indiquant les noms et adresses des
auteurs
. Prix DE l'Académie des sciences. - Parmi les r
nde du sexe masculin, fait qui, d'ailleurs, a été noté par quelques
auteurs
. Il nous a paru nécessaire de rechercher du côt
res manifestations névrosiques, rôle sur lequel insistent plusieurs
auteurs
', et en particulier l'Ecole de Montpellier 2.
de la constater. d'avoir recours aux divers moyens indiqués par les
auteurs
pour les cas où elle est à peine dessinée. Cett
ie osseuse, soutenue par Bouvier 1, Dubreuil2 et plu- sieurs autres
auteurs
pour la scoliose idiopathique, nous semble devo
'à une nouvelle éclosion. Après une ou plusieurs attaques, ajoute l'
auteur
, le tremblement peut de- venir stationnaire et
PATHOLOGIE MENTALE. 373 La névrose hystérique chez la malade de cet
auteur
s'est développée à l'âge de huit ans et s'est m
temps s'étendant sur toute la musculature volontaire et, comme l'
auteur
en a fait l'expérience, disparaissant pour un mom
ent l'histoire de l'affection dénommée par le plus grand nombre des
auteurs
: folie du doute avec délire du toucher. Cette
es qui existent encore sur cette affection tiennent à ce que chaque
auteur
a presque exclusivement étudié quel- ques-unes
let qu'intéressant dans lequel il nous montre la part prise par les
auteurs
français, en particulier par Delasiauve, dans l
n particulier par Delasiauve, dans la création de ce type mental, l'
auteur
donne une esquisse précise de l'aspect clinique
ée. Le maximum de fréquence est de vingt à quarante ans. Tous les
auteurs
s'accordent pour reconnaitre que cette maladie
les causes dépressives pourront donc avoir un rôle étiologique. Les
auteurs
les plus récents attribuent cet état au résulta
ut d'impulsion; excès d'impulsion chez les autres. Partant de là, l'
auteur
propose une classification des criminels en deu
e rôle de la suggestion soit hypnotique, soit à l'état de veille, l'
auteur
reste persuadé qu'on peut, à l'état de veille, av
vations de catalepsie à propos desquelles il cite les opinions des
auteurs
. Ily a, dit-il, deux catalepsies, l'une accompagn
que* sont décrits par 384 4 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. tous les
auteurs
; l'auteur nous en fait connaître un exemple peu
écrits par 384 4 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. tous les auteurs; l'
auteur
nous en fait connaître un exemple peu commun :
e, recueillie avec soin et que REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 385 l'
auteur
a fait suivre de quelques commentaires sur la mal
tal Science, octobre 1890.) Les trois observations rapportées par l'
auteur
sont à rapprocher des autres cas où une affecti
juillet 1892.) Etude intéressante, faite par un homme compétent (l'
auteur
est médecin de la prison de Portsmouth) et dans
ar Vincent Nash. (The Journal of Mental Science, janvier 1892.) L'
auteur
a cru devoir publier cette observation moins à ca
par Edwin GOOD.1LL. (The Journal of Mental Science, avril 189.) L'
auteur
a résumé ou rappelé dans ce mémoire une série de
eria qui correspond assez bien au délire chronique de Magnan et des
auteurs
français. C'est celle que l'auteur se propose d
lire chronique de Magnan et des auteurs français. C'est celle que l'
auteur
se propose d'étudier ici, et dont il trace d'ah
ne durée plus ou moins longue, cette période aboutit, pour quelques
auteurs
à la démence vraie, pour d'autres à l'évolu- ti
considère comme rare, c'est la paranoïa alcoo- lique ; suivant cet
auteur
, les Iiallucinalions en ce cas seraient sou- ve
brutaux, et l'affaiblissement intellectuel serait très précoce. L'
auteur
termine cet intéressant travail par quelques cons
ossibles de la lithiase biliaire chez les aliénés : en terminant, l'
auteur
rappelle 388 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. .
es DE Paranoïa; par Del GtEco. (Il manicomio, fasc. 2-3, 1892.) L'
auteur
cherche dans ce mémoire à élucider deux points, d
sans invali- dité cérébrale préexistante ne semble pas prouvée à l'
auteur
. Si une intoxication peut dans un esprit robust
D'UN MEMBRE ; par ANGIOLELLA. (Il manicomio, fasc. 2, 3, 1892.) L'
auteur
discute la question de savoir s'il y a entre l'im
lire chronique; par R. Fronda. (Il manicomio, fasc. 2-3, 1892.) L'
auteur
commence par rapporter sept observations dont voi
'idées de grandeur; dé- mence consécutive. De ces observations, l'
auteur
tire les conclusions suivantes : I. La forme du
ns pour le pronostic à faire dans chaque cas. Comme on le voit, l'
auteur
en est resté aux premières idées de M. Gérente
spécialement pour les prisons, un service de médecine mentale. L'
auteur
pense évidemment avec raison, que les faits cons-
magistrats appelés à ins- truire l'affaire ou à juger l'accusé. L'
auteur
a eu l'occasion du le,' juin 1891 au 30 mai 1892,
John MACPHERSON. (The Journal of Mental Science, janvier 1893.) L'
auteur
résume dans les termes suivants les résultats de
cas, REVUE DE pathologie mentale. 393 mais à l'heure actuelle, l'
auteur
attribue ces échecs, ou du moins quelques-uns d
ent ordinairement pas de phénomènes douloureux propre- ment dits, l'
auteur
remonte à leurs causes : la plus commune, et de
sur l'apparition ou la disparition de ces sensations, que quelques
auteurs
ont placées sous la dépendance du sens musculaire
ique de Magnan. Il diffère aussi du délire des dégénérés de ce même
auteur
, aussi bien que du délire des persécutés-persécu-
rnièrement dans le Messager de Psychiatrie, de Saint-Pétersbourg. L'
auteur
s'est atta- ché à étudier l'état des fibres d'a
et, dans son enseigne- ment, contrairement à l'obligation qu'a tout
auteur
ou professeur « de tenir compte - c'est lui-mêm
e complication organique. L'état de fureur maniaque, signalé parles
auteurs
comme phénomène paroxystique, paraît être direc
divers travaux des savants et des médecins sur cette ques- tion. L'
auteur
traite successivement l'inversion dans l'histoire
différents appareil ou les dispositions spéciales sur lesquelles l'
auteur
attire l'attention de ses collègues ne sauraient
ivés; par KASCHER. (Centralbl. f. Ne1'venheilk" NF, III, 1892.) L'
auteur
détaille la multiplicité des formalités médico-ad
viande de leur alimentation ou quand on les met au régime lacté. L'
auteur
pense que dans les asiles anglais, et il ajoute
utes que celles qui consistent à faire des économies dans ce cas. L'
auteur
expose d'une façon brève les méthodes modernes
re une grande variété d'appareils d'extinction en cas d'incendie. L'
auteur
repousse l'usage de tuyaux fixes dans les bâtim
ies des bâtiments, de grenades à main et d'extincteurs chimiques. L'
auteur
a une grande confiance dans l'extincteur chimiq
newell », tel qu'il est uti- lisé à Kankakee, « semble être, pour l'
auteur
, l'appareil qui répond le mieux aux exigences d
initions de l'hystérie étaient autrefois 'très nom- breuses et tout
auteur
était obligé de passer en revue une cinquantain
de la maladie ' ». Le conseil donné par Lasègue a été suivi et les
auteurs
les plus compétents ont évité de se prononcer s
ce caractère ; il n'y a plus beaucoup d'accord entre les différents
auteurs
qui croient cependant parler de la même questio
ge s'entendent à peu près sur le diagnostic de l'hystérie, mais les
auteurs
qui ont reçu une éducation diffé- rente ne dési
nées de cette confusion et il est évi- demment désirable que chaque
auteur
dise avec quelque netteté ce qu'il entend par u
udiée comme une maladie distincte. C'est ce qu'ont pensé quelques
auteurs
contemporains ; ils ont cru que le moment était
donner quelque unité à cette étude, nous considérons surtout les
auteurs
qui ont examiné le côté mental, psychologique de
interparoxystiques qui sont si nombreux. Puisque un grand nombre d'
auteurs
n'avaient pu réussir à grouper les symptômes au
réalise est encore discuté et discutable, mais il n'y aplus guère d'
auteur
qui nie complètement l'existence des accidents
ie tout entière, ce fut, croyons-nous, le rôle de M. Moe- bius. Cet
auteur
rend hommage de la façon la plus courtoise aux
ccidents en apparence corporels3. D M. Strumpell s'accorde avec les
auteurs
précédents pour expliquer ces accidents név2,ol
e l'hystérie ? C'est ce qui a semblé très contestable à plusieurs
auteurs
et c'est ce qui a été justement critiqué par M. O
NÉRALE. Enfin, dans quelques expériences étudiées surtout par les
auteurs
anglais et dont nous avons pu vérifier l'exactitu
s le Neurologisches centmlblatt 4. Nous sommes très heureux que ces
auteurs
dans leurs recherches indé- pendantes aient pu'
que ces idées doivent leur pouvoir. Le malade est guéri, disent ces
auteurs
, quand il parvient à retrouver la conscience cl
chroniques qui succèdent aux grands ébranlements psychiques. Les
auteurs
classiques affirment que la paralysie agitante et
l'hystérie serait l'objet d'une attention spéciale 2. » 1 Ibid. Les
auteurs
ajoutent, p. 4, sans préciser que ces idées se
Dans les trois cas de trépanation, dont un personnel, relatés par l'
auteur
, l'opération indiquée dans ces cas par des troubl
- paru. 452 revue DE thérapeutique. De ces trois cas heureux, l'
auteur
conclut à l'opportunité de la trépanation dans
sont arrivés à cette conclusion à laquelle se rattache pleinement l'
auteur
, que la non-intervention est la meil- leure con
dedans en dehors (pression sanguine) ; le traitement rationnel de l'
auteur
consiste à combattre cette pression par une aut
ent l'hématome a disparu, mais encore il ne se repro- duit pas. L'
auteur
, avec cette méthode bien appliquée, n'aurait pas
ient ces moyens non seulement recommandables, mais néces- saires. L'
auteur
de cet article, le Dr Worcester, nous fait connaî
quelques cas, cette règle de conduite n'a amené aucun résultat et l'
auteur
nous fait passer en revue les cas où il a échou
bouiller leurs personnes ou leurs chambres avec leurs excréments. L'
auteur
cite le cas d'un homme auquel nul moyen n'avait
a violence. L'emploi des narco- tiques est peu recommandable pour l'
auteur
, car il n'a pu obtenir de succès sans constater
de la mémoire et une abolition tem- poraire du pouvoir sexuel. L'
auteur
ne doute pas qu'il y ait de réels succès, mais il
entoure sa méthode. Le traitement a un fort mauvais côté, pour l'
auteur
, celui de diminuer dans l'esprit public la vale
onel Weatiierly. (The Journal of Mental Science. Juillet 1891.) L'
auteur
conclut de ses expériences que l'hyoscine est un
e était en outre obsédée nuit et jour par la crainte de se salir. L'
auteur
insiste surtout sur ce fait que cette femme ne
ERMIQUE; par STEFANI. (Riv. sp. di frein., fasc. lII-IV, 1892.) L'
auteur
conclut de -différentes observations faites sur s
ne façon absolue que par l'examen des échanges respiratoires, que l'
auteur
n'a pas été à même de pouvoir pratiquer. J. SEGLA
les observations bactério- logiques et expérimentales conduisent l'
auteur
à admettre pour l'othématome des aliénés une or
olie active, la mélancolie passive et la mélancolie avec stupeur, l'
auteur
reprend l'étude de cette maladie à un autre poi
héo. B. IIYSLOP. (The Journal of Mental Science, octobre 1890.) L'
auteur
pense que l'on s'est jusqu'ici trop peu préoccupé
té générale déterminé par cette atteinte. Le symptôme nerveux que l'
auteur
a constaté le plus souvent pendant ou après l'i
ue l'influenza pouvait modifier le trouble mental chez un aliéné; l'
auteur
n'a constaté ce fait que dans un très petit nom
nerveuse avait été au contraire la conséquence de l'influenza. L'
auteur
ajoute en terminant que s'il a publié ces faits,
hur i·1.1CD0\.1LD. (The Journal of Mental Science, avril 1892.) L'
auteur
termine son étude, basée sur des documents histor
oir dégager, dans une note, leur responsabilité en rappelantque les
auteurs
des mémoires publiés sont seuls responsables de
elation détaillée de l'observation de cinq malades qui ont paru à l'
auteur
d'autant plus intéressants qu'on a pu constater
u'il ne s'est d'ailleurs pas efforcé de grouper systématiquement, l'
auteur
cherche à montrer que, dans la pratique médical
ge ROBEIiTSON. (The Journal of Mental Science, octo- bre 1892.) L'
auteur
a visité successivement à Paris les services de M
ggestion, aucun des phénomènes sur lesquels insiste M. Char- cot. L'
auteur
pense que la différence provient ici, non de l'hy
phénomènes ne sont pas ceux de l'hystérie aiguë. M. Charcot, dit l'
auteur
, m'a signalé les relations étroites qui existent
d'autres cas, apparaître spontanément en dehors de l'hypnotisme. L'
auteur
ne saurait se prononcer dans ce débat, mais il
naît mal ou l'on méconnaît les vues exactes de l'école opposée. L'
auteur
n'admet pas que la non-manifestation des phénomèn
de la grande hystérie, et-quand M. Bernheim a essayé de donner à l'
auteur
la démonstration de la production de ces phénomèn
avec succès dans quelques cas, mais les obser- vations faites par l'
auteur
dans le service de M. Voisin l'ont con- duit à
. LES ORIGINES de la folie ; par le Dl' TUCKE. Les conclusions de l'
auteur
sont les suivantes : 1° Toutes les facultés men
énales et la folie; par le Dr Georges Tulle. L'opinion générale des
auteurs
est que les maladies des reins sont rarement un
uit par la rétention de poisons de l'organisme. Les cas cités par l'
auteur
viennent à l'appui de cette hypothèse. 1° Fem
isparu, l'oedème, l'albumine et les cristaux n'existaient plus. L'
auteur
a analysé les urines des malades de son service e
donc beaucoup plus communes chez les aliénés que ne l'admettent les
auteurs
et les conclusions que l'on peut tirer de cette
l'excitabilité directe des muscles sans phénomènes de rigidité, es
auteurs
retracent l'histoire de la maladie d'une emme c
poignet. CI Des phénomènes semblables ont été décrits par d'autres
auteurs
dans les premiers stades des névrites. Les rapp
rucktheit n'était pas d'un heureux choix pour ses observations. Les
auteurs
quand ils parlent de ceux qu'ils désignent soci
Dr Rosenthal de Vienne (Autriche). J.-B. Boillier. Sous ce nom, l'
auteur
a réuni des affections déjà décrites sous le no
par des travaux antérieurs. De préférence à sa langue maternelle, l'
auteur
s'est servi de l'alle- mand qu'il connaît bien,
ue dans les revues spéciales des différents pays. Dans ce volume, l'
auteur
avait exposé des obser- vations cliniques exact
ant, les matériaux s'étaient ac- cumulés dans l'intervalle; aussi l'
auteur
nous donne-t-il dans un chapitre spécial sous l
-) dorsal, et qu'entre eux s'in- tercalent les fibres maculaires. L'
auteur
suit ces trajets à travers le chiasma, la bande
apitale à l'étude aussi appro- fondie que peu précaire à laquelle l'
auteur
soumet les centres visuels eux-mêmes. Il passe
s principales localisations attribuées à ce sens par les différents
auteurs
; il fait voir d'abord que le centre visuel ne p
ullaire qu'elle avait rompu les trajets eux-mêmes (Sehstrahlung). L'
auteur
montre de la même manière que le centre de la p
édantsur- tout par exclusion en s'appuyant, sur des cas négatifs, l'
auteur
ramène successivement le lieu de ce centre à la
la pointe antérieure du coin. En se fondant sur ses observatious, l'
auteur
croit pouvoir avec quelque probabilité détermin
ue la région rriaculaire est innervée par les deux hémisphères. " L'
auteur
cherche encore à déterminer la position du centre
ire mêlés et confondus; enfin, plusieurs des cas observés portent l'
auteur
à admettre que les éléments percepteurs des cou-
on du corps genouillé externe, et aux recherches histologiques de l'
auteur
sur la fine structure des bords de la scissure ca
nal; elles témoignent de la manière approfondie et complète, dont l'
auteur
a traité son sujet. . . Vingt planches très b
vrage d'un accès agréable et facile. . La troisième' partie que l'
auteur
nous promet sera sans doute aussi d'un haut. in
acide) dans la dépression mentale, par Marzocchi, 253. table des -
auteurs
ET DES collaborateurs. 491 Vertige des ataxique
sie chronique des muscles des -, par Siemerling, 262. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. Abundo, 252. Alexander
Macdonald, 462. Macpherson, 392. Magnan, 402. 492 . TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. Mairet, 101. Marandon
re intéressant de survenir brus- quement, fait sur lequel plusieurs
auteurs
, Gowers' entre autres, ont attiré l'attention.
pilepsie. Plusieurs fois déjà ce rapprochement a été fait par les
auteurs
, si bien qu'on est allé jusqu'à dire que les conv
cette affection ayant été variable et même dissem- blable selon les
auteurs
, il s'en est suivi une foule de moyens thérapeu
urseurs. Pour nous les symptômes précurseurs que décrivent tous les
auteurs
sont toujours accompagnés d'état gastrique, d'é
grammes par jour et prétendait en avoir de bons résultats. D'autres
auteurs
l'employèrent et n'eurent pas le même bon- heur
neux. Le nitrite d'amyle a été employé en inhalations par le même
auteur
, et M. Bourneville prétend avoir ainsi provoqué d
néralisée et le maintien de la conscience au cours de ces crises, l'
auteur
cite deux cas qui lui paraissent probants, dest
es ambitieuses et d'idées hypo- condriaques, de persécution, etc. L'
auteur
a réuni une série d'ob- servations intéressante
e circulaire. Les formes les plus diverses d'aliénation donnent à l'
auteur
l'occasion de citer des observations de délires
ychologiques, janv. 1894.) L'intéressante observation relatée par l'
auteur
présente plusieurs particularités peu fréquente
e et sur son importance. A propos d'un livre récent du Dr Talbot, l'
auteur
fait une étude critique de la valeur des malfor-
près M. Sommer, d'une lésion en foyer à troubles périodiques. . L'
auteur
fait sontourune nouvelle hypothèse; puis dans une
, une de démence secondaire. La puerpéralité n'exercerait d'après l'
auteur
pas la moindre influence sur la marche ultérieu
nistes ne porle pas de diagnostics différents. Voici, d'après, l'
auteur
, la meilleure classification des psychoses dégé
éréditaires); 6° la folie périodique. Dans le cinquième groupe, l'
auteur
range les psychopathies sexuelles la folie rais
1894.) Ayant travaillé tard dans la nuit (c'était dans l'hiver), l'
auteur
, surpris par le sommeil, entend tout à coup une
SES de REJET; par S. CREND. (Neurolog. Centralbl., XIII, 1894.) L'
auteur
essaie, ainsi qu'il le dit dans un sous-titre, d'
es (observations) ou des syndromes de folie aiguë (observations L'
auteur
discute enfin l'utilité ou la nocuité des pratiqu
ES. LEUR mécanisme PHYSIQUE ET LEUR étiologie; par le Dr IREND. L'
auteur
commence par déclarer qu'il ne lui paraît pas jus
à l'origine. Mais comment cette substitution peut-elle se faire ? l'
auteur
pense qu'elle est l'expression d'une dispositio
essortir toutes les idées propres à devenir l'objet d'une phobie. L'
auteur
se propose, dans un prochain travail de démontr
faite au Congrès de médecine mentale de Clermont-Ferrand, 1894. L'
auteur
rappelle d'abord les principales opinions qui ont
, lesquelles sont de nature parasyphi- litique (Fournier), etc. L'
auteur
modifie aujourd'hui,' ou plutôt étend davantage s
e qui, aidée de ses complices, a a toujours fait son malheur ». L'
auteur
établit qu'en outre de ces accès vésaniques, S...
e le plus exact de l'excitation ma- niaque. Examen de l'accusé. L'
auteur
donne en détail l'anthropométrie de S... Il est
our trouver d'autres moyens de défense. De tout ce qui précède, l'
auteur
conclut : S... est un faible d'esprit, ses conc
nelle, a fini par se faire jour dans le public extra- médical car l'
auteur
vient d'observer un cas où l'épilepsie fut d'ab
in ex- 58 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. tenso, montre bien comment l'
auteur
put reconnaître la simulation ; par l'accusé, d
bles visuels et une paralysie de toutes les fonctions psychiques. L'
auteur
termine en constatant chez l'inculpée un état d
bsence d'impulsion irrésistible le poussant à accomplir cet acte. L'
auteur
estime que ce criterium de la responsabilité es
n (à droite), le carré du menton, etc. Suit une étude analytique. L'
auteur
croit difficilement à raison de ces détails à l
on en foyer bien limitée, mais d'une lésion des plus complexes. L'
auteur
en rapproche l'observation qu'il a publiée en 188
phénomènes oculo-pupillaires). Cette localisation indique d'après l'
auteur
, qu'il y a eu, du fait du choc spinal, une comm
niers, à multiplier les formes de ces myopathies primitives, chaque
auteur
donnant son nom au type qu'il observait pour la
ce d'une lésion profonde, d'une lésion de la moelle ou des nerfs. L'
auteur
, devant celte considération, se demande si les de
culations, les panaris, sont bien des troubles trophiques, mais les
auteurs
ne s'occupent ici que des arthropathies des gra
Nouvelle Iconog. de la Salpêtrière, 1894, n° 5.) Dans ce travail, l'
auteur
n'étudie pas le diagnostic des arthrites neurop
e grande classe nosologique, les diplégies d'origine cérébrale, les
auteurs
croient pouvoir avancer que la syphilis n'est pas
ogie criminelle. Dans son important rap- port sur cette question, l'
auteur
examine d'abord les conséquences que l'on peut
our les criminels incorrigibles et non dans des asiles d'aliénés. L'
auteur
s'élève contre les consé- quences erronées qui
ttaque d'hysté- rie avec la régularité de ses phases successives, l'
auteur
démontre avec documents à l'appui ce qu'a d'err
nt ces recherches basées sur l'examen des urines qui ont permis à l'
auteur
de diviser l'hystérie en paroxystique et interpa-
elles elle apporte, dans la circonstance, son funeste concours ». L'
auteur
s'occupe ensuite de quelques variétés de l'atta
ue cataleptique, de l'attaque des délires et des étals délirants, l'
auteur
arrive aux formes somnam. 1 Voir l'obs. de Gene
es hémorragies de la peau, des muqueuses et des organes des sens; l'
auteur
donne l'interprétation de ces faits si curieux
orragies gastriques et pulmonaires étant encore assez fréquentes. L'
auteur
s'occupe ensuite des troubles trophiques des an
il, et à propos de la tétanie hys- asiles d'aliénés. 85 térique l'
auteur
conclut que : « 1° l'hystérie revendique une gran
A propos des troubles gastriques nous signalerons les travaux de l'
auteur
et de M. Calhelinau sur les vomissements hystériq
l'étude des rapports entre la syphilis et la paralysie générale. L'
auteur
fait observer avec raison que les recherches de
par D. HACK TUKE. (The Journal of Mental Science. Avril 1894.) L'
auteur
a fait sur ce point une enquête très soigneuse et
en faites, et sur des inter- prétations qui paraissent légitimes, l'
auteur
conclut dans le sens de l'affirmative. R. Al. C
publié l'Iconographie photographique de la Salpêtrière (1876-1880),
auteur
d'un beau livre intitulé Les mala- dies épidémi
e dépra- vation morale monstrueuse. Quand l'expert en examine les
auteurs
, il se trouve parfois en présence de sujets lucid
s, on est en droit de soupçonner l'état mental. En admettant avec l'
auteur
que nous venons de citer que cet état d'excitat
aitement étudiée par Martin Damourette et Pelvet et par G. Sée. Ces
auteurs
ont montré que l'action du bromure de potassium
ges incessants a été mis sur le compte du bromisme qui, d'après les
auteurs
, peut se manifester de deux manières différente
iques et la tor- peur intellectuelle arrivent et, dans ces cas, cet
auteur
recom- mande en même temps des purgatifs , L'
sion anatomique fixe qui est la cause de la maladie de Parkinson. L'
auteur
en possède sept observations dont deux dans ce
(Neurolog. Centralbl., XIII, 1894.) Recherches expérimentales. L'
auteur
en déduit ce qui suit : 1. Ni le noyau interne
tales; par W. DE B8CHTEREW. (Neurolog. Centralbl., XIII, 189t.) L'
auteur
montre l'insuffisance de la théorie du carrefour
state pas. Il vaut mieux l'attribuer à des troubles vaso-moteurs. L'
auteur
a constaté un rétrécissement (spasmodique) des
t; ! 'a/6<., XIII, 1894.) Le faisceau central de la calotte de l'
auteur
(1885), qui part des olives inférieures et va a
YSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 147 ici le procédé inïénieux employé par l'
auteur
pour déterminer le lieu précis du centre de gra
ur le sujet, elle est au contraire remplie d'aperçus personnels à l'
auteur
qu'on ne peut que signaler seulement ici. A rel
r suite, le tronc s'incline à droite. En terminant son travail, l'
auteur
rappelle ce que disait Charcot de l'importance
n comprend l'uti- lité au point de vue de la médecine opératoire, l'
auteur
aemployé un procédé inédit. Ce procédé est basé
e ce trajet présente de nombreuses variations individuelles, mais l'
auteur
a quand même trouvé une formule dont l'applicat
ues susindiquées, de la physiologie du nerf auditif. Tout d'abord l'
auteur
énumère toutes les fonctions qu'il attribue aux
n d'ondes alternativement dilatantes et condensantes. Voici selon l'
auteur
les diverses formes des deux grandes fonc- tion
ra-utérine ? Il est difficile d'être affirmatif à cet égard; mais l'
auteur
, tenant compte de la belle constitution du sujet,
nous diagnostiquons atteints d'infantilisme ou de féminisme. Et l'
auteur
donne deux observations détaillées, l'une d'infan
ande pituitaire; par Henry BERKLEY. (BI't2t22, part. IV, 1894.) L'
auteur
a fait ses recherches chez douze chiens de races
faites avec la méthode de Golgi, avec cette méthode modifiée par l'
auteur
avec l'acide picri- que, et avec la méthode de
XIONS centrales DE certains NERFS crâniens ; par Aldren TURNER. L'
auteur
signale quelques points spéciaux des connexions f
expérimentale du CERVELET; par RSlel1 RUSSEL et AIL CAMPELL. Ces
auteurs
par des expériences sur les animaux d'une part, c
R. (New-York Médical Journal, 27 janvier et 24 février 1894.) . L'
auteur
étudie les données fournies par ces 250 cas au do
qui touche l'âge auquel l'épilepsie est apparue, les chiffres de l'
auteur
sont les suivants, sur 197 cas : de zéro à cinq
rencontrée six fois. 8° Epilepsie psychique. Dans ce paragraphe, l'
auteur
donne "l'observation résumée de quatre cas inté
ultiples peuvent être les équivalents psychiques de. l'épilepsie; l'
auteur
insiste sur l'utilité médico-légale du diagnostic
Ebing qui accorde la prééminence au délire de persécution, tous les
auteurs
sont d'ac- cord pour admettre que la forme ordi
ille, hâter une guérison traî- narde. Dans les cas observés par les
auteurs
, l'hérédité a été cons- tatée dans 57 cas sur 1
a période de l'adolescence ou de la puberté ne sont pas communs : l'
auteur
en a rassemblé sept cas nouveaux dont il publie
estion intense des méninges et une inflammation de la pie-mère. L'
auteur
estime qu'il s'agit là d'un cas d'épilepsie larvé
on retrouve des antécé- dents nerveux personnels ou héréditaires. L'
auteur
termine son tra- vail par une observation typiq
XXXI. Psychiatrie ET localisations cérébrales; par le DI' MINK, L'
auteur
estime que la doctrine des localisations cortical
; par le Dr Jameson HEPBURN. D'après huit cas qu'il a observés, l'
auteur
estime que dans la para- lysie générale se renc
l'examen du sang au microscope, dans diverses formes men- tales, l'
auteur
tire les conclusions suivantes : Dans la démenc
rvation d'hébéphrénie ; par le D LANE. En une période de dix ans, l'
auteur
a observé à l'asile de Boston 63 cas d'hébéphré
ar M. S. SOUCHANOFF. (Arhiv. Psychiatrii, 1894, t. XXIV, n° 2.) L'
auteur
cite trois observations dans lesquelles le diagno
e prédisposée par une lourde hérédité - alcoolique et vésanique ; l'
auteur
note chez elle une période pré- monitoire carac
és dans la thèse de M. Fauconneau, comme exemple de ce que certains
auteurs
appellent la folie cardiaque. En effet, à premièr
de folie puerpérale. Ce fait vient corroborer l'opinion de certains
auteurs
qui pensent que la condition dominante des trou
prépondérant dans l'apparition des obsessions chez sa cardiaque. l'
auteur
exprime avec le plus grand soin la part qui revie
sposition héréditaire comme une cause de folie. M. TOULOUZE. Si les
auteurs
ne le disent pas d'une façon très réelle, ils l
ubercule solitaire dans la région lombaire, région qui, d'après cet
auteur
, serait prédisposée à la tuberculose. Il démontre
méninges spinales. Il cite encore, outre Ollivier et Lebert, les
auteurs
suivants : Abercrombie, Guersant, Gerdon, Andral,
, Gerdon, Andral, Laurance, Eager, Gull et Eisenschütz. D'après cet
auteur
, la tuberculose envahit plus souvent la partie
moelle, mais on ne saurait en certifier le diagnostic. Enfin cet
auteur
déclare que la méningite spinale se joint plus so
e et Leyden ont déjà fait mention attire l'attention de plu- sieurs
auteurs
. Schultze' (1876) communique un cas de lepto- m
ond2 dans un article publié en 1886, dans la Revue de médecine. Cet
auteur
insiste surtout sur la fréquence de la leptomyé
es d'une myélite chronique. Dans son index bibliographique, le même
auteur
cite encore les travaux de Bideau, Green, Gendr
l'examen microscopique qui nous peut amener à faire la diagnose. L'
auteur
finit avec raison en ces termes : « Es ist bicht
anatomo-pathologiques plaident dans le sens de cette opinion. Les
auteurs
qui invoquent l'action du processus infectieux su
és par Jules Voisin, Bruns, Reinhold, Beclère, Bogrof. Ce der- nier
auteur
aurait obtenu, dans douze cas de goitre exophtal-
Ce ne sont pas seulement les symptômes généraux qui, au dire de l'
auteur
, auraient cédé à la médication, mais encore la ta
encore pour qu'on puisse en tirer des conclusions définitives. Les
auteurs
eux-mêmes se tiennent encore très prudemment su
s. Nous n'avons observé aucun des effets fâcheux relatés par divers
auteurs
à la suite de l'emploi de la thyroïdine ou du c
us le nom d'épilepsie larvée. Pendant longtemps, l'opinion de cet
auteur
fut admise sans con- teste et ne rencontra aucu
a nature véritablement épileptique de l'acte délictuel incriminé. L'
auteur
cite à ce propos une série d'observations dans
ouer un certain rôle, mais en appa- rence cependant, car, d'après l'
auteur
, il ne s'agit là que d'une illusion volitive.
-Beaumetz et Audigé est exacte; il démontre que l'exception que ces
auteurs
admettaient ^ .pour l'alcool méthylique n'exist
On reconnaît de plus en plus le rôle important de la syphilis que l'
auteur
a relevé dans la moitié des cas. Mais il y a d'
'écorce. Au point de vue clinique, symptômes de lésions en foyer (l'
auteur
a observé un cas d'atro- phie de la substance b
a karyokinèse des noyaux de l'adventice et de la tunique interne. L'
auteur
admet, avec M. Binswanger, qu'il y a lieu de di
positions de M. Hitzig. Gconc ILDERG. Le délire hallucinatoire. - L'
auteur
fait une étude du délire hallucinatoire basée s
ingo-myélite syphilitique diffuse telle qu'elle est décrite par les
auteurs
. A l'intensité près, cette méningite est exacteme
là une exception dans la paralysie générale ; les descriptions des
auteurs
montrent que la méningo- myélite est plutôt la
al; mais comment expliquer l'apparition tardive des symptômes ? L'
auteur
admettrait plus volontiers que les troubles obser
r fracture de la clavicule. Cette complication est rare puisque les
auteurs
n'ont pu en réunir que 21 cas parmi lesquels on
E; par le professeur Pitres. (Bévue neurologique, août 189r.) z L'
auteur
eut l'occasion de recueillir en 1886 deux observa
eurologique, août 1894.) L'intéressante observation publiée par l'
auteur
est un cas de polynévrite à rechutes très espac
rébelleuse ; par M. P. LONDE. (Revue neurologique, sept. 1894.) L'
auteur
rapporte deux nouveaux cas familiaux d'hérédo-ata
à l'influenza. Au cours d'une épidémie d'influenza dans un asile, l'
auteur
a pu recueillir quatre cas de névrite périphéri
phasie; par 0. HEBOLD. (Allg. Zeitschr. f. Psychiat., L. 3. 4.) L'
auteur
en distingue trois formes à localisation (Wernick
k Médical Journal, 2 février 1895.) Le fait anatomique sur lequel l'
auteur
veut appeler l'attention est l'élargissement de
et particu- lièrement des arthropathies de l'ataxie locomotrice, l'
auteur
admet de préférence celle qui invoque un trauma
ualifier de guérison a été obtenue dans un délai de six semaines. L'
auteur
a fait suivre cette observation d'un résumé his
eparu avec la même intensité qu'autrefois. Dans ces conditions, l'
auteur
estime qu'on est autorisé à supposer en s'appuy
ur les données de physiologie pathologique four- nies par plusieurs
auteurs
que les symptômes observés se ratta- chaient à
. ^y1 . Gygantisme ET acromégalie ; par le Dr nIASS.1LONG0. ? . L'
auteur
rappelle qu'il a énoncé avant tout autre et trois
iques. REVUE DE pathologie NERVEUSE. 317 Les faits sur lesquels l'
auteur
appelle l'attention semblent mettre en lumière
n intéressante qu'il en a recueillie et des quelques cas publiés, l'
auteur
tire les conclusions suivantes : certaines hémia-
'abcès de la moelle, en dehors du cas très intéressant décrit par l'
auteur
. - * ' ' Après deux jours de vives douleurs dan
XXXIII. Classification DES chorées arythmiques; par le D LANNOIS. L'
auteur
divise les chorées arythmiques en trois groupes,
liale DE la paraplégie spasmodique spinale ; par le Dr Souques. L'
auteur
a pu observer chez deux enfants, le frère et la s
érieurs et à la face. Après discussion des diverses hypothèses, l'
auteur
estime qu'il s'agit ici de la paralysie spasmod
. (Brain, part. LXVII, 1894, p. 339.) Dans un article précédent l'
auteur
a établi que les affections viscérales produisa
mais locale; 5° les phénomènes de vraie migraine sont examinés et l'
auteur
démontre qu'il n'y a aucune relation entre elle
cune relation entre elle et les phénomènes de douleur réflexe; 6° l'
auteur
se propose 320 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
es, soit pour confirmer, soit pour infirmer les faits avancés par l'
auteur
et en chercher le mécanisme. . , P. SOLLIER.
la MOELLE; par ALLEN STARR. (Brain, part. LXVII, 1894, p. 481.) L'
auteur
, s'appuyant sur neuf cas de lésions localisées à
ve a établir, en combinant les différents diagrammes donnés par les
auteurs
pour lès zones anes- thésiées dans des cas anal
M. DE FLEURY. Pathogénie et traitement de la neurasthénie. Pour l'
auteur
, la neurasthénie est caractérisée par une diminut
opique publiée par M. le professeur Pierret et son élève Paret. Ces
auteurs
ont montré que la mélancolie anxieuse peut être
squ'elle est susceptible d'appel. A la suite de sa communication, l'
auteur
émet le voeu suivant, qui est adopté par le Con
nt été satisfaisants et conformes à ceux décrits par la plupart des
auteurs
et rappelés avant-hier par M. Bourneville. En r
a Seine, et hospitalisés à la colonie familiale de Dun-sur-Auron, l'
auteur
signale la fréquence des psychoses mélancolique
iofrontale, transverse ont été mesurées avec le ruban métrique. L'
auteur
présente les résultats de ses recherches en deux
Note sur un projet de création d'asile spécial pour alcooliques. L'
auteur
après avoir résumé l'évolution suivie depuis un
i ses paroles se rapportaient à l'acte dont il est soupçonné être l'
auteur
. Enfin, il faut le presser de questions, et cherc
le bro- mure (méthode de Flechsig). Les indications données par l'
auteur
de cette méthode ont été - exactement suivies :
estre délicieux. musique de choix, sous la direction de M. Ganne, l'
auteur
de cette Marche lorraine qu'on applaudissait ta
à l'Olym- pia, la Marche lorraine triomphe au Casino municipal. Son
auteur
et elle ont été aujourd'hui acclamés. A 5 heure
français avait été fortement discutée en tant qu'entité morbide, l'
auteur
a pensé qu'avant toutes choses il convenait d'éta
le spinale antérieure subaiguë de Duchenne). Et pour le démontrer l'
auteur
ne s'appuiera pas sur les cas anciens qui pourr
carmin sont surtout favorables à sa cons- tatation. « Ainsi dit l'
auteur
(page 144), les lésions constatées dans la subs
auvais coup. Cependant on ne croit pas à la préfecture qu'il soit l'
auteur
de l'attentat contre M. de Roth- schild. Il y a
hypnotique DU chloralose; parle Dr f3ascovEC. Les conclusions de l'
auteur
sont les suivantes : 1° le chloralose à la dose
ges, possible aussi, rendant utile une intervention exploratrice, l'
auteur
enleva le douzième arc dorsal, premier et deuxi
avoir énuméré les causes et les formes diverses de l'alcoolisme, l'
auteur
indique quelles seraient les mesures à prendre
l'épilepsie chronique; par le D' ROUDURANT. Les conclusions de l'
auteur
sont les suivantes : 1° Le borate de soude, l'a
thyroïde de mouton était donnée à la dose de Os,25 chaque matin. L'
auteur
estime que le traitement précoce de l'acromégal
onne un sommeil tranquille, de cinq heures de durée en moyenne. L'
auteur
estime que cette préparation représente, en somme
nte, et c'est précisément pour l'étude de ce point d'histoire que l'
auteur
présente une série de vingt-trois observations
possibles à distinguer cliniquement les unes des autres, comme les
auteurs
nous l'indiquent, soit par l'étude de la para-
arfois conduit avec une hardiesse néces- saire. C'est ainsi que les
auteurs
ont eu l'occasion, récemment, de pratiquer le d
u moment d'une intervention chirurgicale, ensuite à l'autopsie, les
auteurs
montrent qu'on peut, en se guidant sur des poin
de peu de durée, la guérison fut complète et le malade, revu par l'
auteur
un an après sa sortie de l'hôpital, ne présentait
que et intellectuelle, de la somnolence et rarement du sommeil. L'
auteur
a essayé la pseudohyosciamine chez certains mania
E. B. XIV. Emploi thérapeutique DE l'extrait THYROïDIEN. L'un des
auteurs
, M. Auld, l'a appliqué au traitement du psoriasis
es attaques et un embarras croissant de la parole déterminèrent l'
auteur
, D. Crowley, a faire la trépanation au niveau de
II. Observation d'épilepsie procursive type à propos de laquelle l'
auteur
, P. Hoisholt, rappelle le cas de Bodius (1649) et
la baignoire. Enfin il ne peut se noyer comme dans une baignoire. L'
auteur
donne ensuite une bonne description avec gravur
anomalies psychiques, ralentissement de l'accroissement physique. L'
auteur
conclut à l'existence probable d'une sclérose m
entrabl., XIII, 1894.) - D'après les recherches personnelles de l'
auteur
il y en a deux formes : une forme subaiguu et u
tion du tissu conjonctif étouffant les fibres nerveuses. Ce que les
auteurs
ont pris pour des travées du tissu conjonctif e
g). (Allg. Zeitsch. f. Psych., LI, f. 5, 1895.) Les recherches de l'
auteur
portent sur 830 autopsies, dont 656 hommes el 1
trouvé que 30 avec diminution de poids de la calotte crânienne. -L'
auteur
l'a trouvée augmentée de poids dans 192 cas (14
morragiques sont de beaucoup moins fréquentes que les cérébrales, l'
auteur
ne les a vues que dans une proportion de 0,7 p.
d. ment. de Belgique, sept. 1891.) - Les conclusions tirées par les
auteurs
, de leurs recherches peuvent être formulées de
journal, 27 janvier 1894.) , Les conclusions des recherches de l'
auteur
et de son mémoire sont les suivantes : 1° La
eN is-A..5,yitu. (New-York Médical journal, 20 janvier 1894.) , L'
auteur
rapporte l'observation de quatre cas intéressants
l'écorce cérébelleuse; par le D1' Aurelio Lui. Les conclusions de l'
auteur
sont que chez les mammifères l'écorce cérébelle
e Dr PROUT. Chez un épileptique de onze ans, mort en état de mal, l'
auteur
trouva une atrophie marquée des circonvolutions
l'altération et l'atrophie ? Les deux observations relatées par l'
auteur
paraissent en faveur de celte hypothèse rationn
DE la démence paralytique; par le Dr BERKLEY. Les recherches de l'
auteur
l'ont amené à établir les trois périodes suivan
t t un examen des pièces anatomiques aussitôt après l'autopsie. L'
auteur
donne la description classique de cette méthode e
acines postérieures de la moelle. Telle est la manière de voir de l'
auteur
. P. K. XLVIII. Contribution A L'ÉTUDE anatomo-c
ns cérébrales; par James SHAW, (bain, part. LX1X, 1895, p. 74.) L'
auteur
examine trente cas observés par lui de 1879 à 188
rt. LXIX, 1895, p. 148.) Revue critique très bien faite qui amène l'
auteur
à cette conclu- sion : D'après les observations
x en neurologie. P. S. L. Diagnose pupillaire; par le D1' Muni. L'
auteur
estime avec raison que l'état de la pupille peut,
ELER. (Allgemeine Zeitseh1'i(t (Iii' Psychiatrie, 1890, LI, 5.) L'
auteur
veut défendre la mémoire de son père contre les
générale doit cependant être provo- quée scientifiquement. Certains
auteurs
, comme Mendel, sont, en effet, d'un avis opposé
ralytiques généraux des classes élevées, il y a, d'après différents
auteurs
, une proportion de 75 p. 100 pour la syphilis.
énérale dont elle est quelquefois plutôt le signe que la cause. Les
auteurs
français exagèrent l'influence de l'alcool sur
(de Strasbourg). M. Sommer. Rapport sur la question de l'alcool. L'
auteur
se place sur le terrain de la physiologie et de
e totale est la règle. L'alcool doit être supprimé brusquement. L'
auteur
se déclare partisan de l'abstinence totale des bo
s nerveuses spéciales. Grâce à la méthode spéciale qu'il emploie, l'
auteur
a pu se convaincre de l'inexactitude du schéma
ion artificielle, plus rare sur les pièces traitées par l'alcool. L'
auteur
insiste sur la nécessité de fixer d'une façon p
cins doivent être éclairés sur le danger des poisons narcotiques. L'
auteur
signale le danger que les médecins morphinomanes
n a été constatée chez les épileptiques, les déments, les idiots. L'
auteur
l'a rencontrée chez des sujets atteints de conf
LÜHRMANN (de Dresde). Rapports de l'alcoolisme et de l'hystérie. L'
Auteur
rappelle les travaux de Dagonet et Magnan (1873-1
matopsie, le scotome. Au point de vue des accidents convulsifs l'
auteur
a observé la combinaison des convulsions épilepti
voquée par le chloroforme, dans l'intoxi- cation par la morphine. L'
auteur
donne des exemples très nets de l'influence pro
e. Discussion : 111. H1TZIG demande si les malades observés par l'
auteur
, souffraient d'un catarrhe chronique de l'estomac
un de l'Alle- magne du Sud, sont plus sujets aux états maniaques. L'
auteur
donne sur ce sujet une statistique documentée;
t son influence sur les psychoses chroniques. - Les recherches de l'
auteur
ont porté sur 99 femmes atteintes d'affections
issement intellectuel et s'est accompagnée d'idées de grandeur. L'
auteur
croit devoir admettre trois formes spéciales du d
e après sa domestique. Celle-ci, transportée à l'hôpital, dénonce l'
auteur
du crime qui est emprisonné. La femme de l'in
Cet état dure pendant des dizaines d'années sans modifications. L'
auteur
en a observé qui paraissent devoir rentrer dans l
tions, pas d'association d'idées dont on puisse retrouver le fil. L'
auteur
admet que ces états d'affaiblissement psychique d
anche, de la substance grise et de la névroglie sont indiquées. Les
auteurs
entrent dans des considérations intéressantes au
re et des scléroses systématisées et coni- .binées. A noter que les
auteurs
nient l'existence de scléroses sys- tématisées
ure, les troubles du sens musculaire et l'ataxie qui permettent aux
auteurs
de développer des vues originales et intéressan
ent. Sans nier le rôle de la suggestion dans l'électrothérapie, les
auteurs
montrent que le courant électrique modifie l'ex
ymptômes spasmodiques et contractures dans la paralysie générale, l'
auteur
les rapproche des tremblements divers.- des mou
sentés de tels symptômes. La méthode analomo-clinique amène ainsi l'
auteur
à conclure à la combinaison possible de la para
ude du délire chez les faibles d'esprit. M. P. Sérieux a fourni à l'
auteur
quelques observations intéres- santes de son mé
yon, 1895.) Guidé par l'enseignement de M. le professeur Pierret, l'
auteur
a fait une étude, basée sur sept observations,
cosurie est très variable, de quelques jours à un ou deux mois. L'
auteur
a abordé un point très intéressant de la question
hypotoxicilé coïncidant avec une amé- lioration de l'état mental, l'
auteur
pense à une corrélation. Il s'appuie sur les ex
cadre général de l'ouvrage le permettait. Les sujets traités par l'
auteur
sont les suivants : 1° Tremblement. Ce symptôme
t exposée d'une façon complète. 4° Paramyoclonus et myoclonies. - L'
auteur
fait la part qui convient aux auto-intoxication
it l'objet de plusieurs con- tributions importantes de la part de l'
auteur
. Il la considère moins comme une entité morbide
mixte entre les idées de Charcot et celles d'Oppenhein et autres
auteurs
qui soutiennent ou ont soutenu l'autonomie du gro
nu l'autonomie du groupe des névroses traumatiques. 9" Tétanie. L'
auteur
a mis à profit les notions actuellement en cour
nsi qu'une quantité de figures dont un bon nombre appartiennent à l'
auteur
. - - Pierre Marie. VARIA. Séances publiques
évrose; il la révèle : ce n'est pas du tout la même chose. » Si l'
auteur
de l'article était atteint de névrose latente, de
y on Idiocy. Brochure in-8° de 12 pages. l'ensylvanie, 1895. Chez l'
auteur
. School for fublemin- dord. BOURF.vILLF., Rec
ans le sang et les centres nerveux d'un bacille particulier que les
auteurs
ont toujours rencontré dans les cas observés ju
ble délire aigu 'sans en être, justifient les critiques de certains
auteurs
qui n'ont pu trouver le bacille décrit par Hian
envoi d'une lettre intempestive, sans but, sinon incohérente. , L'
auteur
trouve l'explication psychologique de ce fait dan
e rentrant dans le cadre des idées fixes ou paranoïa rudimentaire L'
auteur
émet à ce propos les considérations suivantes :
faites depuis plusieurs années à l'asile d'aliénés de l'Alabama, l'
auteur
a trouvé des signes de lésions chroniques du re
; par le Dr F. PETEIt50`I. De nombreuses mensurations faites par l'
auteur
lui ont donné les résultats suivants : Dans t
juillet 1895.) E. B. LXV. Paranoïa morale ; par le Dr W. BARR. L'
auteur
divise la paranoïa en deux sortes : la paranoïa m
;IRADICULAIRE CHEZ un paralytique général ; par le D1' Nageotte L'
auteur
a déjà attiré l'attention sur une lésion de névri
personnalité, les sentiments affectifs et le sentiment religieux, l'
auteur
montre, avec des exemples à l'appui, l'influenc
l'état actuel de la science, il ressort nettement du tra- vail de l'
auteur
que l'élément passionnel est un signe clinique do
ure DE l'épilepsie tardive chez l'homme; par le D"' nlAU1'.1TÉ. L'
auteur
considère comme tardive l'épilepsie qui débute ap
pgitl journal, septembre 189r.) C'est une revue de la question où l'
auteur
rappelle sommai- rement les travaux allemands d
professeur S. Venturi. Dans la première partie de son travail, l'
auteur
apporte de nou- veaux faits cliniques à l'appui
hylocoques pyogènes et des streptocoques. Dans cet ordre d'idées, l'
auteur
rapporte deux cas démonstratifs comme preuve de
vidus d'une même famille. La discussion de ces observations amène l'
auteur
à conclure qu'il n'est pas possible cliniquemen
e ramollissement s'étend jusqu'au noyau de l'oculo-moteur commun. L'
auteur
pense que les troubles de coordination des mus-
qui l'entourent du même côté et éprouve une sensation de vertige. L'
auteur
cherche à donner l'explication de ce cas par la
gue). Communication sur la pathologie du système nerveux central. L'
auteur
communique d'abord un cas de tumeur des nerfs o
ysie progressive avec atrophie muscu- laire, spinale progressive. L'
auteur
a déjà publié un cas de ce genre (Allg. Zeilsch
ent on put constater des symptômes d'aphasie de con- duclibilité. L'
auteur
rejette l'hypothèse soit d'une asymbolie sensi-
scence. La durée de ces psychoses anxieuses est en général brève. L'
auteur
a observé un cas qui n'a pas duré plus de quatr
hez les non paraly- tiques. Pour vérifier l'assertion de Cramer,les
auteurs
ont entrepris des recherches sur 100 paralytiqu
les non paralytiques qu'il ne résultait des propres recherches de l'
auteur
. Mais il n'en résulte pas moins de leurs examen
M. Boedeker et Falkenberg et ceux auxquels il a abouti lui- même, l'
auteur
fait remarquer que les cas de paralysie générale
les sujets non para- lytiques qui ont été examinés par ces derniers
auteurs
se trouvaient en proportion assez considérable
rtant qui fait honneur à l'érudition et à l'excellente méthode de l'
auteur
. Le livre I étudie surtout la question de l'hér
énérescence telle que la comprend BIBLIOGRAPHIE. 493 M. Magnan, l'
auteur
montre combien il est difficile de définir net-
s morales qu'elle détermine; 6° enfin le régime pénitentiaire que l'
auteur
aurait pu ranger dans les causes dues aux modif
éalisables. Les mesures d'assistance forment le dermier chapitre. L'
auteur
, imbu des idées qui, depuis Pinel, ont fait de
dée. Ce sujet difficile et complexe a dû nécessiter de la part de l'
auteur
un travail considérable. -.\1. Toulouse a réussi
lysé par Baostus. Allg. Zeitsclc. f. Pyc7ai«7., t. Lll, fol. 1.) L'
auteur
étudie de près la question trop controversée de l
rie. P. Sérieux. LE MAL DU S1'ÉCL1L1S31Ej Par le Dr IIUGIlES. L'
auteur
s'élève contre la tendance que présentent certain
Vertébrale . Commotion de la colonne - par Freuud, 62. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. 507 li VIol CI. champ. -
otiqnc-bfSUat ! )Éetzo6- rastie, par Krafl't Ebing, 44. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Agoslini, 468. Allen, 3
1{PI'aVal, 78, 407. Kirilizeff, 141. Klippel,328. 508 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. Koepen, 137. Kovalewsk
ieuse et déconcertante des phénomènes présen- tés par Mlle Smith, l'
auteur
est toujours parvenu à en sur- prendre le point
plus possible ces trucs inconscients et parfois si puérils dont les
auteurs
eux-mêmes sont les premières dupes, comme l'a t
inrent unilatérales. Toutes les médications avaient échoué lorque l'
auteur
eut l'idée de recourir à la jusquiame, qu'il ad
e. Le résultat ne se fit pas attendre et fut très satisfaisant. L'
auteur
ne se déclare nullement certain que la guérison s
. HAMILTON Hall. (The Journal of Mental Science. Octobre 1903.) L'
auteur
soutient énergiquement la thèse indiquée par le t
'est ainsi que dans un cas très signi- ficatif d'acropareslhésie, l'
auteur
a prouvé pour ce syndrome une localisation déte
par les Dr. DEVIC et Gallavardia. A propos de cetteobservation, les
auteurs
émettent les réflexions suivantes : 1° Outre le
car il ne peut venir par diapédèse que des vaisseaux sanguins. Les
auteurs
ne s'expliquent les résultats opposés obtenus par
l'intégrité presque complète des sensibilités périphériques. Pour l'
auteur
, il s'agirait d'une lésion des neurones coordin
hologique et de la pathogénie de la chorée; par St. Kopczynski. L'
auteur
rapporte l'observation complète, suivie d'autopsi
enham chez une jeune fille de dix-sept ans. A pro- pos de ce cas, l'
auteur
fait un historique de la maladie et expose les
fluence de la friction avec l'ongle du bord interne du pied. Pour l'
auteur
, celui-ci serait pathologique et se rencontrera
me facial et établit la physionomie spéciale du spasme et du tic. L'
auteur
examine ensuite les opinions de quelques neurol
érieure (comptes rendus de la Société de Biologie, 30 mai 1903) les
auteurs
ont exposé l'importance de la contracture secon
GNEL-L4.VASTINE, (Nouv. Iconog. de la Salpêtrière, n° 1, 1903.) Les
auteurs
pensent qu'il y a lieu de distinguer dans l'affec
.. 5b REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. L'observation que rapporte l'
auteur
l'a conduit à étudier la question des troubles
toutes causes que l'on retrouve dans l'observation publiée par l'
auteur
. G. C. \\VIII. Des formes anormales de la malad
se distinguent par des anomalies du tremblement. C'est ainsi que l'
auteur
distingue les foi mes suivantes : 1° Maladie de
rynx, 'du larynx con- trairement à ce que prétendent la plupart des
auteurs
classiques. 3° Maladie de Parkinson a trembleme
ent reste indéfiniment unilatéral. Ce sont ces cas seulement, dit l'
auteur
, qu'il faut décrire comme forme anor- male, car
menter progressivement de 10 kilog. L'observation publiée par les
auteurs
est intéressante à cause de la grande richesse
chives de médecine expéri- mentale et d'anat. patholog. 1895. 5.) L'
auteur
en fournit deux nouvelles observations. Dans le
(de Prague). Après avoir exposé les résultats de ses recherches, l'
auteur
con- clue que le degré de hauteur de la pressio
u de l'hy- poglosse ; par M. et 11m PAR liON (de Bucliarest). Ces
auteurs
ont eu l'occasion d'examiner le bulbe d'un malade
oglosse,le tranverseet le lingual inférieur étaient épar- gnés. Les
auteurs
, ayant étudié le noyau de l'hypoglosse chez ce
un système nerveux pré- disposé. Dans l'observation relatée par les
auteurs
, le vice de déve- loppement s'est traduit par l
isante pour la production de dégénérations secondaires a engagé les
auteurs
à publier leur cas. Les coupes en série n'ont r
tissu nerveux et enfin tombent dans la cavité centrale.. Pour les
auteurs
, ces cellules épithélioïdes ont la même signifi-
de tumeur du nerf auditif; par M. J. LéPIYE. Le hasard a permis à l'
auteur
d'observer, à quelques mois de distance, deux c
r Pétrone, pour édifier sa théorie pathogène de l'ostéomalacie. Cet
auteur
considère comme agents pathogènes, les ferments
ificateurs. Dans deux autres cas d'ostéomalacie les recherches de l'
auteur
ont été négatives. De ces recherches, M. Laco
euille de papier. Ce type serait superposable au cas publié par les
auteurs
. 3° Dans le troisième type le crâne présente un
ne du moins dans la forme que l'on observe chez le vieillard. Les
auteurs
insistent sur un signe que présenta leur malade,
il y avait une quantité tout à fait exceptionnelle de fibrine. L'
auteur
insiste sur la proportion insolite de fibrine tro
nature bacillaire incon- testable. De ces deux observations, les
auteurs
pensent pouvoir conclure, se basant sur les rec
ons susceptibles de produire cette polyar- thrite arikylosante, les
auteurs
affirment, de par les faits qu'ils relatent, qu
« décharge » de force nerveuse n'est pas davantage admissible. L'
auteur
, en effet', se propose de montrer que si les phén
peuvent avoir un début rapide : seule l'épilepsie est soudaine. L'
auteur
est amené ainsi à considérer certains faits fonda
té nerveuse d'origine afférente est soumise à ]'inhibition ; mais l'
auteur
explique que, dans ce travail, il entend désign
une excitation de cet ordre peut déranger l'in- hibition normale. L'
auteur
est amené à donner de l'épilepsie la définition
l s'agit des idiots et des imbéciles. La statistique donnée par l'
auteur
porte sur 194 cas, divisés en deux groupes : le
4 (65 p. 100), pas d'amélioration. 9 (10,5 p. 100), amélioration. L'
auteur
conclut en disant qu'on ne connaît pas un seul ca
e suicide, etc.) Le corps thyroïde est légèrement hypertrophié. Les
auteurs
pensent que, malgré les incertitudes de la path
tine dans l'amaurose tabétique. llli. P. Marie et A. LERI. Certains
auteurs
(Vulpian, Charcot, Virchow, Ordenëz, Schlaagenh
optique dans l'amaurose tabétique. MM. P. Marie et A. UHI, Certains
auteurs
rapportent cette amaurose à une altération prim
modique, etc. A propos de la théorie du neurone. M. Durante : - L'
auteur
reprend avec plus de détails les princi- paux a
cas à peu près de la maladie en question, décrits par différents
auteurs
, les rapporteurs ont trouvé que, chez les hommes,
quante ans, et chez les femmes à trente-six,-quarante ans. Certains
auteurs
(SCHULTZE, Monkemoller, R911ANN, LuCrERATH) déc
e de Eoi,s«koff doit être appliqué, vu la première description de l'
auteur
, seulement à la psychose polinévritique. V.-W.
a- rathyroïdes produisent une action préservatrice ou sédative. L'
auteur
a rechercha en outre les modifications observées
anie, par la toxicité du sérum et l'hypertoxicité des urines. , L'
auteur
termine son intéressant travail par l'étude des t
s d'insuffisance parathyroïdienne spontanée recherchés par certains
auteurs
et dont certains phénomènes con- vulsifs de l'e
VARIA. Traitement DE l'épilepsie par la diète; par Schnitzer. L'
auteur
prône la modification apportée par Balint à la di
Asile public des aliénés de Pau. Nous prions, dès maintenant, les
auteurs
de ce Congrès, de bien vouloir nous envoyer pou
alité des choses. Si, plus tard, Duchenne (de Boulogne) et d'autres
auteurs
ont modifié leur opinion à cet égard, c'est qu'
combien variés sont aujourd'hui les types cliniques décrits par les
auteurs
. Il en est un que je veux d'abord retenir, la s
nique rappelant de tous points la maladie de Morvan, aussi quelques
auteurs
, notamment MM. Joffroy et Achard ont-ils voulu
ction que l'on désigne sous ce même nom dans d'autres pays. Le même
auteur
a été plus loin encore, contestant l'existence
fait l'infection du système nerveux. 1 - Les travaux de tous les
auteurs
qui ont étudié l'anatomie pathologique de la lè
ques et gagner les centres médullaires ? A cette question plusieurs
auteurs
ont répondu affirmativement : voyons sur quels
de Souza Martins, Camara, Pertona et Bettencourt, dans lesquels ces
auteurs
ont rencontré des ba- cilles de la lèpre dans d
aurait fait choisir le mot disciples dont se servent toujours les
auteurs
ecclésiastiques. Elle croit n'avoir jamais entend
e part, elle n'avait envahi ou détruit la sub- stance nerveuse. L'
auteur
pense qu'on peut expliquer les vomissements incoe
sang dont il est détaché par un processus phagolytique ainsi que l'
auteur
l'a déjà prétendu, quant au principe thérapeuti
rlach, Meynert, Weigert, Flechsig, Golgi, llissl, dé- montre pour l'
auteur
la nécessité de se préoccuper davantage des pro
parK. SCII,\FFEH. (Neurologisch. Central- glatit, 1\in, 1903). L'
auteur
montre, avec de nombreuses figures à l'appui, qu'
s appareils réflexes et que la décharge dont elles sont également l'
auteur
serait précipitée par les mouvements passifs ou
sont vrais, mais l'interprétation en est vicieuse. Voici, d'après l'
auteur
, ce qu'il faut penser. 1° Il convient de cesser
dégénérations secondaires dans les faisceaux d'association que les
auteurs
attribuent l'aphasie motrice, consé- quence ind
minutieux : celles d'o- rigine cérébrale, médullaire, névritique. L'
auteur
apporte deux observations de ces escarres surve
'est donc pas défavorable. La pathogénie en a été très discutée : l'
auteur
pense, avec M. Durante, qu'elles sont le produi
'asile devient un nouvel aliment à ses théories délirantes. . Les
auteurs
montrent comment, chez cette femme impression-
du délire par con- tagion où l'imitateur est passif; la malade des
auteurs
, au con- traire, est active, originale, dans la
. Marie. - Des fractures spontanées ont été observées par plusieurs
auteurs
chez les paralytiques généraux, par M. Régis en
tre l'alcoolisme ; aussi convient-il d'en propager l'application. L'
auteur
expose ensuite les résultats très satisfaisants q
otisme spontané, suivant les diverses expressions proposées par les
auteurs
. La mise en scène volontaire ou involontaire pr
s se révèlent, témoins de très nombreuses observations faites par l'
auteur
au cours de sa longue carrière, intéressant les
e, ainsi qu'il résulte de plusieurs observations rap- portées par l'
auteur
. Maladie du demi-sommeil. M. LE Menant des CH
tence des naevi acquis, on pouvait opposer l'opinion de Hébra3, cet
auteur
convient qu'il est possible que des angiomes su
nion de M. Le Guiner (thèse de Bordeaux, 9 janvier ! 903), pour cet
auteur
les naevi occuperaient : ' Dos. Poitrine.
que, je me bornerai à signaler les plus fréquents. Presque tous les
auteurs
ont constaté une exagé- ration des réflexes ten
de leur teneur en urée, en phosphates et en chlo- rures. Plusieurs
auteurs
ont en outre constaté un retard dans l'éliminat
e saurait nier que, de l'enquête étiologique faite par diffé- rents
auteurs
, il est encore bien difficile de tirer des indica
e affection n'en est pas moins proclamée par la grande majorité des
auteurs
. La paralysie générale, a déclaré M. Magnan, est
démence précoce. 1 MM. Alzheimer, Nissl, Bridier et quelques autres
auteurs
ont noté expressément l'existence de lésions va
s de faire, il est peut- être un peu téméraire d'affirmer, avec ces
auteurs
, que, dans la démence précoce, la lésion locali
ïa aigus, etc.); 3° aux folies systématisées chroniques. Tous les
auteurs
sont aujourd'hui d'accord pour reconnaitre que
e n'en ai observé qu'un seul qui n'ait pas eu de récidives. Le même
auteur
et, après lui, M. Sérieux, M. Capgras, etc., on
e ou polymorphes, de paranoïa aiguë, etc. ? De l'avis de tous les
auteurs
, la terminaison habituelle de ces états serait la
entielle. - Réstent les délires systématisés chroniques. Beaucoup d'
auteurs
estimaient autrefois que ces psychoses ne se te
t intellectuel; mais sans se prononcer d'une façon catégorique, ces
auteurs
hésitent cependant à faire rentrer les états d'
i se réduirait le vaste groupe des démences vésaniques que tous les
auteurs
font encore figurer dans leurs classifications.
ndriaques, de persécution ou de grandeur. Or, de l'avis de tous les
auteurs
, de semblables idées ne peuvent se développer qu'
as besoin de nous arrêter sur ce point. Il est vrai que les mêmes
auteurs
insistent à l'envi sur les caractères différents
ntre encore une si grande opposition,' c'est qu'au dire de certains
auteurs
il s'écoulerait un temps parfois considérable e
les malades arrivés à la phase de démence terminale. L'opinion des
auteurs
qui nient la lymphocy- tose dans les démences v
) ; les autres ont trait aux déments catatoniques et paranoides des
auteurs
allemands, et doivent être rattachés à la confu
'appui de nos opinions, nous apportons cinq observations tirées des
auteurs
et de notre prati- que personnelle. Un cas de
les faits expérimentaux et cliniques apportés par les diffé- rents
auteurs
et par le rapporteur lui-même. C'est là une quest
ession, de reproduction défectueuse des figures, soit de ce que les
auteurs
de ces recherches délicates, aient, comme plusi
méthode de Nissl sont nombreuses. Dans une pre- mière période, les
auteurs
se sont contentés des sections nerveuses. Marin
ltat très favorable obtenu par ce mode de traite- ment a engagé ces
auteurs
à en faire la publication. Lésions de l'écorce
rand nom- bre d'éléments, atrophie des survivants). Il a semblé aux
auteurs
que ces altérations sont prédominantes dans le
M. le Dr COULONJOU. Rappel des constatations antérieures de divers
auteurs
, qui tendent à faire de la paralysie une maladie
rissaud, l'an dernier, appela l'attention à Bruxelles. Puis le même
auteur
vient affirmer le contrôle positif qu'il a prat
la suggestibilité chez les nerveux. Le Dr SCHNYDER (de Berne). - L'
auteur
a examiné la suggestibi- lité chez les nerveux
), la proportion des résul- tats positifs a été de 54 p. 100. ' L'
auteur
a rencontré le plus de résultats positifs chez le
conlrac- Lure, astasie-abasie) : 40 p. 100 de résultats positifs. L'
auteur
explique cette particularité par le fait du rét
ivités de 140 et 10 000, en application conti- nue ou fragmentée, l'
auteur
a constaté l'action sédative sur la douleur, or
ion du phénomène d'habitude pour obtenir une guérison définitive. L'
auteur
rapporte des cas d'insomnie et d'attaques d'hab
rincipauxodocu- ments, mais d'une étude analytique des opinions des
auteurs
et des raisons sur lesquelles chacun d'eux fond
alité des décisions adoptées à l'étranger. Dans la seconde partie l'
auteur
traite des problèmes A RÉSOUDRE. On ne peut lir
gt les inconvénients de ce système, à l'aide des mémoires mêmes des
auteurs
et du texte des argu- ments les plus intransige
tudier pratiquement la valeur des craintes for- mulées par certains
auteurs
et par un nombre sérieux de chefs de service ac
s et aliénés non criminels a paru regrettable à un certain nombre d'
auteurs
, partisans des asiles spéciaux pour alié- nés c
nés criminels ; c'est là la manifestation d'une idée propre à ces
auteurs
; mais ce n'est pas le résultat d'une enquête fai
teils de Babinski ; abduction des orteils ou signe de l'éventail) l'
auteur
arrive aux conclusions sui- vantes, basées sur
ant. Un certain nombre de faits de ce genre ont été publiés par les
auteurs
Despagnet, Galezowski, Knaff, Nettleship, Pari-
à l'étude des rapports du diabète avec les troubles mentaux, les
auteurs
insistent sur l'importance de la recherche des si
entéro- colite muco-membraneuse. M. Cb. Mirallié (de Nantes). -L'
auteur
publie : 1° Une obser- vation de délire de gros
la consul- tation de M. le professeur Brissaud, à l'Hôtel-Dieu, les
auteurs
font un certain nombre de remarques relatives à
marche d'une façon très active. Le fait est signalé par quelques
auteurs
(Gerdy, P. Richer) d'une façon sommaire. Je me su
l'an dernier une brillante statistique, vient d'être essayé par les
auteurs
d'une manière systématique et continue. Il semb
degrés, et ne désignant en Angleterre que les arriérés- simples. L'
auteur
nous fait part des nouvelles créations organi-
questions, telles que le mariage et la séquestration permanente. L'
auteur
termine en montrant la nécessité de suivre tout
, et qu'elle est bien troublée, en effet, dans le sens qu'indique l'
auteur
. Il admet donc les faits signalés par M. Freud,
STOncH. (Ceatral-Llatt f. Nervenheilh. XXIV. N. F. XII. 1901.) L'
auteur
reprend l'observation parue dans les A l'chiv f.O
aow. (Obo1'énié psichiatrii, VI, 1901.). Long travail dans lequel l'
auteur
étudie successivement l'état normal et les affe
Parmi un nombre marquant de lapins et de moineaux chez lesquels l'
auteur
avait pratiqué piqûres et exérèses du cerveau, il
ent pour recommencer périodiquement et durent ainsi des années. L'
auteur
énumère 17 combinaisons différentes de flexions d
. Pas de cécité psychique. Pas d'hémia- nopsie. Alexie. Agraphie. L'
auteur
insiste sur ce qui suit. Dans les cas purs d'ap
mblables à celles du noyau classique du facial. Il me paraît, dit l'
auteur
, hors de doute qu'il appartienne au facial. Pou
s autopsie, rapprochée des documents cliniques et expérimentaux des
auteurs
. Il s'agit d'un foyer morbide ayant d'abord att
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. Frankl-Hochwart, Wallenberg. Ce dernier
auteur
croit avoir trouvé que la pile de noyaux du fai
elui du centre inhibiteur du bulbe chez les chiens nouveau-nés. L'
auteur
montre que le coeur de ces animaux contient dès l
ATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 337 clusions générales de l'
auteur
exigerait lui-même beaucoup de place. M. Spirto
'améliorent. Comparant ce cas particulier avec les observations des
auteurs
et des expérimentateurs, il arrive aux conclusi
rticle paru antérieurement dans la Revue de médecine (mars 1901), l'
auteur
a essayé d'établir que l'anesthésie hystérique
sie faciale périphérique. Les deux premières sont évidemment, dit l'
auteur
, des psychoses syphilitiques secon- daires. Ell
ntralGlcclt., XXII. 1903). A la lumière de quatre observations, l'
auteur
établit que 348 REVUE DE pathologie NERVEUSE.
par la rigidité habituelle. Verbigération quand la malade parle. L'
auteur
croit devoir rattacher ces accidents à la premi
ée de l'arcade zygomatique, très nette dans les cas plus récents. L'
auteur
affirme avoir découvert un processus patholo- g
f. Nervenheilk, XXIV., N. F. XII, 1901.) Dans un premier travail l'
auteur
annonce un résultat étonnant du trional dans la
- dité, souvenir de l'état morbide antérieur. Dans l'appendice, l'
auteur
communique que la femme qui faisait l'objet de
g. Ccnlr'alGlutL, XXI, 1902.) Revue des travaux correspondants. L'
auteur
adopte le juge- mens que lui a transmis par let
- tiques. 4° Les incendiaires. Le prix est décerné à M. Gimbol,
auteur
du mémoire n° 4 ; une mention honorable est acc
ur du mémoire n° 4 ; une mention honorable est accordée à M. Cornu,
auteur
du mémoire n° 3. M. le secrétaire général pro
s, l'évolution, le pronostic et le diagnostic de cette affection, l'
auteur
étudie les diverses théories pathogéniques qui
ice de Fleury (neurasthéniques à hypo ou à hyper-tension). D'autres
auteurs
ont encore voulu expliquer la neurasthénie par
nutrition des éléments nerveux (Erb), etc. En ce qui le concerne, l'
auteur
pense que, dans l'état actuel de nos connaissan
ie. L'hérédité de l'épilepsie est aujourd'hui affirmée par tous les
auteurs
; un grand nombre des 60 épi- leptiques de notr
la tare que lui a infligée au moins un de ses ascendants. Eh bien,
auteurs
et praticiens négligent à cet égard toute proph
on de circonstances aggravantes ; le traitement préconisé par ces
auteurs
remplit ainsi une partie des indications plutôt
nagel qui, le premier, a attiré l'attention sur cette question. Cet
auteur
a observé un cas avec paralysie de la mimique d
ue à Oppenheim Les symp- tômes présentés dans le cas décrit par cet
auteur
montraient l'existence d'altérations dans la ré
de rire forcé qu'il avait observé chez une fille de quinze ans. Cet
auteur
analysant ' Cité par Nothnagel, in Traité clini
E D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 395 dans le texte), l'
auteur
excite le cerveau. Il s'agit de lapines mul- ti
usement analysée et discutée. Figures. Cette observation, conclut l'
auteur
, permettrait d'attribuer aux foyers sous-cortic
(Jahrb. d. Hambur- ger Staatskrankenanstaiten. 1900-1901) et par l'
auteur
permet- traient, en l'absence de tout foyer cor
va du pôle occipital, non au lobe temporal, comme le prétendent les
auteurs
qui en font un faisceau d'association, mais au
ériences et une expérience-étalon sont minutieusement décrites. L'
auteur
conclut que les rayons du radium augmentent l'exc
e sentiment de réalité qui est inséparable de cette perception. Cet
auteur
regarde le sentiment du réel comme une faculté
pondantes. C'est à cette théorie de Foerster-Storch que se rallie l'
auteur
du travail que nous analysons, tout en admettan
e l'histologie, de la physio- logie et de la pathologie nerveuse, l'
auteur
tire de ces nouvelles données quelques déductio
la section du nerf sciatique avec arrachement du bout central, les
auteurs
estiment que chez les animaux adultes la régéné
localisations spinales sont musculaires. Cette théorie, d'après les
auteurs
, se confondrait du reste avec celle des localis
cérébrale étaient toujours primitives dans la paralysie générale, l'
auteur
déclare que de ses recherches il résulte seulem
vec figures et planches sur l'ana- tomie pathologique des idiots. L'
auteur
aurait pu parler de l'idiotie mon- golienne qui
rologie, 1904, u°8 4 et 5). Des nombreuses expériences faites par l'
auteur
il ressort : 1° que la rage expérimentale à vir
fascia lata dans 12 cas de lésions du cerveau ou des méninges, les
auteurs
déclarent n'avoir pu tirer des conclusions bien
ition sur sa production. ' Par contre, dans la démence précoce, les
auteurs
ont constaté une diminution ou une abolition du
mment par Bourneville. Cette théorie pathogénique est adoptée par l'
auteur
, qui n'hé- site pas à rattacher à une dégénéres
des étaient plongés dans une sorte de sommeil patholo- gique. - L'
auteur
réfute ensuite les objections qui ont été faites
n. de Neurologie, 1904, n° 8.) Sous le nom de syndromes solaires, l'
auteur
désigne l'ensemble des perturbations viscérales
uis la paume de la main jusqu'au tiers supérieur de l'avant-bras, l'
auteur
a constaté que les deux bouts du nerf, distants d
régénération autogène chez l'homme vient à l'appui de l'opinion des
auteurs
qui ont combattu dans ces derniers temps la théor
E DE PATHOLOGIE MENTALE. retenu que l'attention des psychiatres ; l'
auteur
a eu l'idée de l'étudier dans les diverses mala
ections qui intéressent le sympathique. De cette étude générale l'
auteur
fait ressortir que l'angoisse peut apparaître d
DE et Vorpas. (Revue de médecine. Novembre et décembre 1002.) Les
auteurs
font ressortir dans cet article l'influence de l'
omaine de la huitième racine cervicale et de la première dorsale. L'
auteur
estime qu'il y a là une grosse erreur et à 414
te qu'elle soit, existe parfois; les circons- tances permettent aux
auteurs
d'en citer un cas démonstratif et de conclure u
mme forme psycho-patholo- gique autonome; par le Dr SOUHI1ANOF. L'
auteur
décrit l'état mental des sujets obsédés. Il étudi
TABLER (lleidelberg). La ponction lombaire chez les en fct7lla. - L'
auteur
a fait 120 ponctions. Il préfère, chez l'enfant c
Nonne (Hambourg). Cas de pseudo-tumeur cérébrale avec guérison. L'
auteur
a observé 12 cas d'une affection caractérisée par
ALZHEIMER (Munich). Sur le délire alcoolique fébrile ddlagnan.- L'
auteur
en a observé 3 cas terminés par la mort. Autopsie
(Journ. de Neurologie, 19U4, n° 3.) Il résulte des recherches des
auteurs
que la modification pupil- laire consécutive à
Neurologie, 1904, ne 3.) Chez 38 paralytiques généraux sur 44, les
auteurs
ont constaté des lésions du fond de rail (décol
. Tiiohsen (de Bonn). (Journ. de Neurologie, 1904, n° 2.) D'après l'
auteur
il convient de ranger dans la folie maniaque- d
trouble après l'atténuation des autres symptômes fait supposer a l'
auteur
que l'irritation corticale, point de départ de l'
e la maladie et n'of- fraient aucun trouble de l'état émotionnel; l'
auteur
les considère comme appartenant au type hébéphr
a eu certainement du délire religieux. A propos du diagnostic, l'
auteur
fait remarquer que certains symptômes catatoniq
ondent assez bien à ceux que Kal- baum a-assignes à la catatonie, l'
auteur
hésite à admettre ce diagnostic, l'existence de
et critique de la catatonie considérée comme affection autonome, l'
auteur
relate les observations de trois malades présen
de catatonie que je viens de rapporter semblerait, a priori, dit l'
auteur
, prouver l'autonomie même de la maladie et les
ras- DON DE MONTYEL (Journ. de Neurologie, 1904, nos 13 et 14.) L'
auteur
s'attache à démontrer dans ce travail que si une
contenu dans lès ventricules latéraux de 125 cerveaux d'aliénés, l'
auteur
a constaté que la capacité de ces cavités était
perçoit aus- sitôt. t. De l'examen matériel et mental du sujet, l'
auteur
conclut à l'apraxie motrice par accès. Il analy
(anode dans la fosse mastoïdienne) et de K. Bra à petites doses. L'
auteur
après avoir examiné l'hypothèse d'une paralysie
osse droit ; par A. PANSKt. (Neurolog. Centrslbl . XXII. 1903.) L'
auteur
l'attribue à une inflammation pharyngienne avec t
-Air (Tennessee). . (Médical News, n° 1613, vol. 83, p. Ji 18.) L'
auteur
n'a l'intention de traiter que l'étiologie, l'ana
ciente ou inconsciente est le plus grand fac- teur de l'hystérie. L'
auteur
n'en veut pour .preuve que les grandes épidémie
(20 femmes contre 1 homme). Au point de vue anatomo-pathologique, l'
auteur
, pour qui l'hystérie est une psychose, pense qu
drome est au complet, ce qui se présente dans le cas rapporté par l'
auteur
. Il concerne un jeune homme de dix-huit ans, sa
assage, etc., ces traitements n'ont eu aucun résultat. Traité par l'
auteur
, par l'isolement et le nitrate d'argent à doses
rne gauche accompagnée de raideur de l'orbiculaire et de trismus. L'
auteur
attribue la guérison du petit malade à l'inject
lisé par une lésion de la couche optique. Dans l'observation de l'
auteur
la localisation de Brissaud est la seule en eff
voix de soprano avec impossibilité d'émettre des sons graves) que l'
auteur
crut pouvoir attribuer à une paralysie d'origin
pe- laient la symptomatologie de la maladie de Menière. D'après l'
auteur
la lésion qui avait déterminé cette paralysie sié
(The American Journal of 11lsanity, juillet 1902, p. 103, 115). L'
auteur
, après avoir rappelé les erreurs judiciaires, ins
vis au sujet d'une syphilis transmise par des rapports conjugaux, l'
auteur
expose qu'en aucun code la con- tamination véné
ion professionnelle : chancre du sein chez les nourrices, etc.) L'
auteur
fait ensuite une revue générale des façons dont l
s et les engagements. En ce qui concerne l'annulation du mariage, l'
auteur
cite des cas où la contagion syphilitique en a
ment par les médecins, les juristes et les juges qui ont précédé l'
auteur
, qui fait porter son étude non seulement sur le c
son mari est la cause de la sienne. Ces trois points semblent à l'
auteur
de grands obstacles pour une demande en divorce
collocation dans un asile d'aliénés. Cette organisation, d'après l'
auteur
est susceptible de plusieurs améliorations ; il
niques; par Glorieux. (Policlinique 'de Bruxelles. Avril 1902). L'
auteur
préconise un traitement familial pour les neurasl
sèrent et, un mois après, le malade était complètement rétabli. L'
auteur
, toutefois, ne croit pas pouvoir tirer de ce fait
partie intérieure du tronc et empêche les soulèvements du bassin. L'
auteur
relate trois cas de fracture de la rotule chez un
IV. Sur l'autonomie d'un Asile public d'aliénés; par le Dr Dumaz. L'
auteur
retrace l'histoire de l'Asile de Bassets, près Ch
ment, de Belgique, 1902, n" 106.) Les établissements visités par l'
auteur
sont ceux d'.ludernacl, sur le Itllin, de Franc
t encore en vie et ses assassins l'auraient dépecé vivant ! . Les
auteurs
probables ,du crime ont été arrêtés : le serrurie
e troubles intellectuels vagues et de phéno- mènes papillaires. Les
auteurs
insistent sur l'absence des phéno- mènes moteur
allavardin et Savy. (Lyon médical. 22 Novembre 1903, p. 767). Les
auteurs
relatent une observation : * Cliniquement. Tort
t une prédominance marquée pour le membre supérieur. ' Le cas que l'
auteur
présente autorise à rejeter les théories qui in
jugulaires interne et externe droites. Sans trancher la question l'
auteur
pense que le début immédiat et l'amélioration r
est-à-dire la pré- dominance de la paralysie au membre supérieur, l'
auteur
pense que le fait est dû à la sensibilité plus
herches qui portent sur 17 examens de liquide céphalo-rachidien les
auteurs
arrivent aux conclusions suivantes : 1° Le corp
élever dans certaines conditions pathologiques; dans le diabète les
auteurs
ont trouvé 1 gr. 22 et 1 gr. 05, soit 2 et 3 fo
r un mécanisme analogue, mais qui échappe dans son intensité. Les
auteurs
font ce rapprochement sans donner au phénomène
amniotiques. Les autres parties de l'organisme sont normales. Les
auteurs
n'ont rien trouvé qui put éclairer la pathogénie
ux vaisseaux correspondants. A l'occasion de cette observation, les
auteurs
présentent quelques remarques critiques tendant
re à des connaissances positives... mais comme le reconnaissent les
auteurs
eux-mêmes cette conclusion n'est pas une explic
cytose accompagne presque constamment l'activité psychomotrice et l'
auteur
a même tendance à y voir un effet de celle-ci.
réaction motrice du nerf facial. Au point de vue pathogénique, les
auteurs
tendent à admettre la théorie reflexe, le centr
ujets et suivant la hauteur d'une même moelle. Sans l'affirmer, les
auteurs
pensent que ces lésions sont en connexion avec
e frontal, expliquaient au contraire les troubles sensoriels. " L'
auteur
fait remarquer que ces cas sont. rares, il rappel
i faisait saillie à la face postérieure de la selle turcique. Les
auteurs
appellent l'attention sur la coexistence du diabè
voit que la résorption du squelette avec membres de polichinelle. L'
auteur
insiste sur ce fait que la radiographie permet
tellectuel était normal. ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 495- Les
auteurs
rangent ce cas dans le groupe des chorées dites c
es con- génitales, et de l'athétose double, qui pour la plupart des
auteurs
(Freud, Rosenthal, Lannois) est rattaché aux af
arythmiques (1893) le range dans les chorées symptomatiques. Les
auteurs
, à l'exemple de M. Gilbert Ballet, étiquètentleur
ccouche- ment laborieux, ce qui existait dans le cas publié par les
auteurs
. L'anatomie pathologique n'en est pas encore au
pas moins à la famille névropathique. Cette tare nerveuse, dit l'
auteur
, expliquerait la fragilité anor- male, fragilit
uloureuse des adduc- teurs) et de l'exagération des réflexes. Les
auteurs
pensent que l'hypothèse la plus vraisemblable est
ntéressante démonstration des synergies organiques, qui conduit les
auteurs
à poser ce problème pathogénique : « La neurofi
a Salpétriêre. N° 5. 1903.) », A la suite d'un premier travail de l'
auteur
, Raymond et Janet publièrent deux observations
pas de même au point de vue pa- thogénique : les cas observés par l'
auteur
appartiendraient à la sphère des lésions motric
ns nombreux et plus souvent interrompus que dans le bout central. L'
auteur
fait remarquer que cette obser- vation « est en
- sive La question est en débat et ce n'est point, comme le dit l'
auteur
, une observation isolée qui pourra faire pencher
et WËDEKSKY (Nouv. /cuH07r. de Ia, Salpolrière, n° 6, 1903). Les
auteurs
cherchent à établir la symplomalologie particuliè
, et du tissu nerveux lui-même ;.2°les recherches personnelles de l'
auteur
, tech- nique et conclusions, parmi lesquelles l
-ci. Pas de folie spéciale pour la grossesse ou la lactation, dit l'
auteur
; mais il a tendance à rattacher à la partu- rit
ints, dans l'article de Il. Jones, outre l'opinion personnelle de l'
auteur
, et les données sta- tistiques sur lesquelles e
! lRY - (The American Journal of Iiisaizily, VU, 03, p 89-96.) L'
auteur
aboutit à la définition suivante de l'illusion vé
ence par intervalles; crue aveuglément et vivement défendue par son
auteur
, mais qui ne peut par aucun autre être acceptée
nquait dans la maladie des tics. Il croit, à l'encontre de certains
auteurs
, à l'existence de ce phénomène et attire l'atten-
de soixante-dix-huit ans, par Madison, 4S9. Une ob- 538 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. servation, de - métastat
eni, 151. Cestan. 53. Chanl1lng, 489. Chappet, 496. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. 53G Char\-et,479. Chén
tte, 61 Negel, G5. Newmark, 422. 1 riissJ, 154. 540 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. Noecke, 430. Nolan, 48
'est atteint que dans des cas très rares et exceptionnels. Tous les
auteurs
insistent sur l'importance de cette intégrité d
eux qui appartien- nent au facial inférieur. Malgré l'unanimité des
auteurs
, la question, à notre avis, mérite d'être repri
al supérieur chez l'adulte est loin d'avoir été admise par tous les
auteurs
. Récamier le premier avait établi l'intégrité d
certain temps; c'est ce qui explique les diffé- rentes opinions des
auteurs
et comment on a pu soutenir qu'il échappait tou
e. Ce mot a été aliéné (altéré) dans son vrai sens primitif par des
auteurs
qui sont allés jusqu'à admettre une mélan- coli
ment la bile et l'atrabilc, opinion qui fut partagée par beaucoup d'
auteurs
, et même le nom de mélancolie, trouvait son exp
olique avec stupeur, d'après cer- . LES MÉLANCOLIQUES. 35 tains
auteurs
, il existe une activité mentale intense, consti-
d'une façon indiscutable. Il résulle, en effet, des recherches de l'
auteur
, que la révulsion du globe oculaire en haut et
électrique. La recherche de l'excitabilité électrique a permis à l'
auteur
, dans un cas qu'il rapporte, de prévoir l'évolu
ru.ur., de Heiden (Suisse). {Presse médicale, 20 juillet 1898.) L'
auteur
étudie sous ce titre un phénomène consistant en c
u ventre, etc.). En dehors de l'ataxie locomotrice progres- sive, l'
auteur
n'a constaté que deux fois ce phénomène; il croit
s organes, pratiqué après l'autopsie de deux sujets, a permis a l'
auteur
de constater l'existence d'un microbe ayant la fo
trale ; par M. G. Etienne. (Presse médictde, 10 septembre 1898.) L'
auteur
rapporte plusieurs observations de malades attein
ares dans la somnose, mais ont été signalées dans certains cas ; un
auteur
anglais, Ciark, donne même à la maladie du somm
é la pathogénie, encore très obscure, de la maladie du sommeil. L'
auteur
estime que, alors même que de nouvelles recherche
é, jusqu'à présent comme une maladie inconnue dans la race nègre, l'
auteur
a pu recueillir chez le nègre huit cas d'épaiss
anvier 1898.) E. li. X. Lèpre anesthésique ; par le Dr Hersman. L'
auteur
a pu observer un cas de lèpre anesthésique à l'hô
émie corticale de l'aire motrice quelquefois compliqués de manie, l'
auteur
pense que des deux côtés la localisation morbid
t du tabès ; par F.-A..HOMFN. (IYeU7'010g Ceiiti-albl.,XVI,1897.) L'
auteur
indique qu'il a suivi et traité 47 malades. Huit
iser. Aux hyperhidroses dues à des affections du système nerveux, l'
auteur
ajoute une observation d'épileptique alcoolique
. L.-O. GR.1NIIOLM. Comme une cause principale de la neurasthénie l'
auteur
regarde les rapports trop étendus et trop fréqu
* Les malades, deux hommes, furent inscrits dans le service de l'
auteur
à la clinique universitaire. Leur âge est de ving
otilité des paupières. L'opération fut exécutée sur la demande de l'
auteur
par le Dr A. Forselles, d'après une méthode inv
fin vu le fait que les muscles oculaires intérieurs sont intacts, l'
auteur
regarde l'affection comme une ophthalmoplégie d
uences variées ne pourraient se transmettre au futur organisme. L'
auteur
s'élève contre cette division trop tranchée et mo
s de clinique thérapeutique portent comme tous les ouvrages du même
auteur
, le cachet de son maître Charcot dont M. Gilles
our l'un comme pour l'autre il faut d'abord un diagnostic; aussi, l'
auteur
établira-t-il longuement, pour toutes les affecti
ébrale et des états ahohlectifonmes. Traitement des hémiplégiques L'
auteur
commence par un exposé détaillé de l'étiologie
ête et des yeux, le décubitus acutus, tous symptômes alarmants. L'
auteur
insiste ensuite sur le diagnostic différentiel de
initive si vers le cinquième ou sixième jour ils sont exa- gérés. L'
auteur
, dans l'étude de. l'hémiplégie, insiste tout part
férence entre l'état neurasthénique vrai et celui qu'avec Charcot l'
auteur
qualifie de neurasthénie à forme héréditaire, d
6 8 : 2 BIBLIOGRAPHIE. pour la compréhension exacte du sujet, l'
auteur
passe en revue avec beaucoup de détails les pri
es d'apparition des crises, l'aura, l'ac- cès lui-même sur lequel l'
auteur
insiste longuement ainsi que sur le diagnostic
se guidant sur la tolérance de l'indi- vidu au médicament. Aussi, l'
auteur
développe-t-il avec détails les accidents provo
alheureusement exceptionnels. Quand le bromure n'est pas efficace l'
auteur
préconise d'admi- nistrer en même temps des dos
n qui peut parfois donner de très remarquables résultats. Enfin l'
auteur
entre dans d'intéressents détails sur les traite-
traitement. Après un exemple clinique de démorphinisation rapide l'
auteur
passe rapi- dement en revua les symptômes de l'
de quinine suivant le sujet, mais d'environ 75 centigr. par jour. L'
auteur
insiste sur les avantages incontes- tables de c
d bot non congénital est également toujours d'origine nerveuse et l'
auteur
passe en revue les formes principales. Dans l
spasmodiques, de la paralysie infantile, des polynévrites. Enfin, l'
auteur
émet l'opinion personnelle que tout au moins, dan
a méthode d'étude suivie sont presque entièrement personnelles à l'
auteur
; nous ne pouvons donner 88 BIBLIOGRAPHIE.'
-à-dire ceux où les accidents apparaissent après l'adolescence. L'
auteur
, enfin, insiste sur le traitement qui nécessite q
et traitement de l'ataxie locomotrice. Dans cette dernière leçon, l'
auteur
passe en revue, après quelques considérations g
from falalily. Bro- chure in-S° de 7 pages. New- York, 1898. Chez l'
auteur
. Gilles de la Tourette^ Leçons de clinique thér
médico-légale). Brochure in-8° de 56 pages. Varsovie, 1895. Chez l'
auteur
. ICOYALEVSIiY (P.). - De l'épilepsie au point d
s viscérales dont l'influence sympathique est admise par beaucoup d'
auteurs
, nous avons trouvé en effet que le foie était a
rait jusqu'à un certain point raison à la théorie de Veissmann. Cet
auteur
nie, en effet, l'hérédité des caractères acquis
paralysie générale à marche rapide, les prépara- tions faites par l'
auteur
, de l'écorce grise de la circonvolution fron- t
la mélancolie ; par le Dr nICLVILLE-Hfi3UnD. Depuis cinq années l'
auteur
a poursuivi ses recherches sur l'ex- crétion de
cours de ces dernières années, l'objet de nombreuses recherches. L'
auteur
donne une revue détaillée et intéressante qui p
ces bactéries comme cause spécifique. Les recherches cliniques de l'
auteur
et ses études microscopiques sur les modificati
7.) E. B. VII. Psychologie et physiologie ; par HERBER Nichols. L'
auteur
, s'appuyant sur divers exemples, estime que les l
rables, au point de vue douleur avec les sensations de chaleur. L'
auteur
rapporte sept cas de psychro-oesthésie : chez les
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 151 Ce dernier
auteur
cite quelques cas dans lesquels la douleur de c
a-t-on donné à ces deux localisations le nom de zones génitales. L'
auteur
a pu observer un grand nombre de cas cliniques re
question plus de lumière que celles très insuffisantes des autres
auteurs
, mais sont elles-mêmes à compléter. M. Russell, a
gère 152 REVUE D'ANATOMIE ET DE- PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. à l'
auteur
quelques hypothèses : la cellule corticale comman
tion du muscle pectoral simulent des tumeurs du sein par exemple. L'
auteur
apporte quatre observations où le diagnostic ét
nombreuses faites sur les animaux et les observations cliniques; l'
auteur
arrive aux conclusions suivantes : 1° chez l'an
es des peuples ; par A. MAMO. (Rivista tlloderna, F. iv, 1898.) L'
auteur
auquel on doit l'importante étude médico-psycholo
rts, conservation du feu chez les Mélanésiens par exemple). Enfin l'
auteur
arrive aux groupes sociaux de notre Europe occi
inis des zones embryogéniques. Les territoires terminaux ont, dit l'
auteur
, évidemment une tout autre fonction que les ter
faits de Kummel, Jacks, Boydoneck, Lépine, Jeaboulay et Jonesco, l'
auteur
décrit les sept temps de l'opération comme il la
este à 80 pulsations, monte à 120 pendant la digestion stomacale. L'
auteur
pense qu'une revi- sion de la physiologie des n
e) ! /t6t, XX. N. F. vin, 1897.) C'est la communication faite par l'
auteur
à la Société des Neuro- pathologistes et Aliéni
ypnotisme; par F. Rrea- KOFF. (Vralch, 1898, n° 18, p. on-579.) L'
auteur
a eu l'occasion de traiter par l'hypnotisme 15 al
n; par le Dr IIUGIIES. Sans proclamer le suicide comme un remède, l'
auteur
estime que les débiles mentaux ou moraux, les c
dienne a donné de très sérieux résultats, ou même des guérisons, l'
auteur
joint l'observation d'un malade atteint de goitre
ement, l'état de la malade continuait à être très satisfaisant. L'
auteur
pense que, si le nombre des Basedowiens améliorés
ms E.MOSGLEY, de Baltimore. (The Médical wews, septembre 1898.) L'
auteur
traita par l'injection de glande thyroïde cinq ca
x substitutifs, ils n'ont qu'une valeur absolu- ment illusoire. L'
auteur
explique la gravité des récidives précoces de la
(Monographie clinique, n° 12, Paris, 1898, G. Masson, éditeur.) L'
auteur
démontre que sous ses différentes formes (myxoedè
ique, tracé de main de maitre, du myxoedème spontané de l'adulte, l'
auteur
décrit les aspects cliniques du myxoedème opéra
s'occupe que trop rarement de l'éducation des enfants en général, l'
auteur
fait un court historique de la question touchan
eaux, les arriérés pédagogiques. Sous la première dénomination l'
auteur
comprend les idiots complets, les idiots simple
ns pourrions-nous encore établir dans chacune de ces idioties ! L'
auteur
reconnaît deux sortes d'arriérés pédagogiques : l
decins et institu- teurs, sont les plus visibles représentants. L'
auteur
dans sa brochure n'a en vue que les arriérés péda
cas de ces malheureux enfants malades. * Il est regrettable que l'
auteur
n'ait pas eu à sa disposition les comptes rendu
mulent dans le sang et y déterminent des altérations £ . D'autres
auteurs
ont poussé leurs recherches dans une autre voie
de IIJI. Mai- ret et Vires, ne s'accordent pas avec les leurs. Ces
auteurs
trouvent une toxicité moindre du sérum sanguin
e de l'état de mal. Cette particularité avait été remarquée par les
auteurs
, elle est bien semblable à la mo- dification du
al et hépatique. Voilà donc une affection convulsive, que plusieurs
auteurs
ont rapproché de l'épilepsie, dont on a dit mêm
iles publics d'aliénés de la Seine. Nous avons vu plus haut que les
auteurs
faisaient jouer un certain rôle à l'anesthésie
adéquate de la personnalité physique ? Certainement non ; comme les
auteurs
que nous avons cités, il nous est arrivé de tro
rs accusés. Voir nos deux tableaux détachés, ci-contre. Plusieurs
auteurs
, avons-nous vu plus haut, seraient assez dispos
eux ou à plusieurs et de phobie altruiste (sous ce dernier terme, l'
auteur
désigne les faits dans les- quels une mère névr
d'infection ; par M. E. Régis. (Presse médicale, 3 août 1898.) L'
auteur
a résumé lui-même ce travail dans ses conclusions
le traitement devra être institué sur l'heure. En dernier lieu, l'
auteur
insiste sur les difficultés que peuvent présent
alytique général au début, on comprend l'insistance avec laquelle l'
auteur
attire l'attention sur le diagnostic précoce de
érotisme ; par le D1' l3avrocu-LLIS. Sous le nom d'auto-érotisme, l'
auteur
comprend le phénomène, de l'émotion sexuelle sp
sexuel pendant le sommeil 216 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. L'
auteur
, dans une intéressante élude, passe en revue tout
; par le Dr ISCOVESCO. Ces trois observations sont réunies par l'
auteur
sous la même rubrique à cause de l'identité du
o- graphie de l'oeuvre médico-chirurgicale, de Critzman, n° 2.) L'
auteur
reprenant l'ancienne entité de Bayle, cherche à e
eurs ultérieurement dans le groupe des formes inflammatoires. 0 L'
auteur
tire de sa théorie des paralysies générales secon
sentait cliniquement il y a quarante ans. Au chapitre diagnostic, l'
auteur
décrit le syndrome paralytique 218 REVUE DE P
n, dans tous les tissus et les viscères dépendant du sympathique, l'
auteur
montre la constance du processus vaso- paralyti
aigu ; par le D1' H.-R. CosTON. (Médical ivews, octobre 1898.) L'
auteur
rapporte trois observations personnelles de délir
omes, à sa marche, etc. L'anatomie pathologique est mal connue et l'
auteur
n'a pu faire les autopsies de ses malades; il c
ne atmosphère saine, d'un entourage sain. Ces conditions, d'après l'
auteur
, seront mal remplies dans un asile. Le lieu de
ire ou d'excitation maniaque 220 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. L'
auteur
, dans le présent travail, rapporte deux observati
aves et résume ensuite huit cas sembla- bles recueillis dans divers
auteurs
. (American journal of insanity, juillet 1898.)
oubles de l'attention) et des troubles organiques de l'agitation, l'
auteur
, dans un travail intéressant, passe en revue le
our qu'elle soit obscurcie ? Les deux observations rapportées par l'
auteur
sont en faveur de la théorie de la désagrégatio
at,jamais affecté par la lèpre. C'est à celte critique que répond l'
auteur
dans le présent article : les résultats de nomb
ticle : les résultats de nombreuses autopsies faites par différents
auteurs
établissent nettement que le cerveau peut être
conditions physiques et psychiques particulières au pays et dont l'
auteur
trouve l'énumération dans REVUE DE PATHOLOGIE
ochley Claphxn. (Qzici7,te ? ly médical journal, juillet 1898.) L'
auteur
signale une proposition de loi et un assez grand
y rattachent ; par W. Ord. '1;iitish ? ed.,8 8 septembre 1898.) L'
auteur
étudie dans une série de paragraphes successifs l
élie ; par le Dr Théodore Miller. (Médical nets, octobre 1898.) L'
auteur
rapporte l'observation d'un homme de trente-neuf
spasme cessait et la tête était faci- lement tournée à droite. L'
auteur
se décida à sectionner les nerfs du groupe gauche
de l'autre côté l'amélioration se manifesta. De ces observations l'
auteur
tire ces conclusions : 10 dans le trai- tement
sion ; par Eugène 'J'AI,130'1'. (Médecine, Détroit, juin 1898.) L'
auteur
, se basant sur de nombreuses observations, tend à
Les observations de cette affection sont encore peu nombreuses; l'
auteur
n'en a encore observé que trois cas dont deux trè
x très carac- téristiques. Quelques cas recherchés par lui chez des
auteurs
étrangers semblent se rapporter à cette maladie
Tout en rendant justice à l'ingénieuse hypothèse de M. Branly, l'
auteur
de l'article pense qu'en l'état actuel de la scie
estif, à l'état de veille, de la volonté du sujet. C'est ce que l'
auteur
appelle entraînement suggestif actif. Plusieurs
actif. Plusieurs guérisous ou améliorations ont été obtenues par l'
auteur
dans des cas de paralysies rebelles, principale
des accidents, n'a permis de soupçonner une lésion syphilitique. L'
auteur
croit pouvoir expli- quer les accidents de cett
dème ; par M. Ch. )10NGOUR. (Presse Médicale, 21 septembre 1898 L'
auteur
rapporte l'observation d'un homme de cinquante an
cerveau; par S.-B. Uiee. (Occidental Médical Times, mai 1898.) L'
auteur
relate l'observation d'une jeune fille de dix-neu
t en diminuant la natalité ou en ne produisant que des dégénérés. L'
auteur
s'élève contrôla fâcheuse habitude de lèter le
parésie ou perte de la force ne parais- sent pas être de règle. L'
auteur
accompagne son travail d'une observation de névri
t ; par Waiter M. Tuonx. (Occidental médical, Times, mai 1898 ) L'
auteur
rapporte trois observations de sujets atteints de
\r<. M.D. London. (Quarlerhj médical journal, juillet 1898.) L'
auteur
apporte douze observations très résumées de tabét
nts; par le D1' Bruns. Dans une monographie des plus documentées, l'
auteur
examine d'abord les modifications que subissent
érapie et l'électricité interviendra le traitement psychique dont l'
auteur
décrit les deux variétés : 1° méthode psychique
ant à l'hypnotisme, il pourra rendre aussi des services, bien que l'
auteur
ne l'ait jamais employé chez les enfants hystériq
e Dr Bonn. A propos d'une visite à l'Asile de Comté du Wisconsin, l'
auteur
fait sur le système des Asiles de Comtés les cr
e oblique supérieur (obs. I) (dans les observations précédentes des
auteurs
on notait plus souvent la participation du musc
es, et dans le domaine des branches supérieures du tri- jumeau. L'
auteur
fait le diagnostic de la syringomyélie et s'arrêt
gement très prononcé. En comparant ses observations à celles des
auteurs
français, l'orateur rattache le malade D, au ty
Il a donc parfaitement pu passer inaperçu par lui et par les autres
auteurs
, ce qui est arrivé en effet. Le reproche que M.
à la pathologie de la M/Me ner- veuse et de ses prolongements. L'
auteur
a examiné d'après la méthode de Golgi, les cellul
et se recoqueville. Des faits analogues ont été observés par divers
auteurs
dans des circonstances pathologiques très diffé
auteurs dans des circonstances pathologiques très différentes. L'
auteur
pense que toutes ces altérations tiennent à l'act
a trouvé une dégénération des racines et des cordons postérieurs. L'
auteur
explique cette désagrégation aiguë de la myélin
î : M. Kojewnikow fait remarquer que les altérations décrites par l'
auteur
ont pu se produire sous l'influence du ma- rasm
ait tenter une réhabilitation de l'entité morbide que les anciens
auteurs
décrivaient sous le nom de folie religieuse. Elle
hnesinn. Mais Kraffl-Ebing lui applique la même distinction que les
auteurs
précédents ; pour lui il y a une paranoïa secon
s ou secondaires ont été l'objet de confusions nombreuses entre les
auteurs
, tant en France qu'à l'étranger les uns considè
e se manifestent avec autant d'évidence que dans la manie. Tous les
auteurs
ont décrit cette excitation pathologique que po
nombre de cas de possession démoniaque rappor- tés par les anciens
auteurs
appartiennent à l'hystéromanie épidémique. Avec
nets a d'ailleurs été signalée tant en France qu'à l'étranger, les
auteurs
mêmes qui opposent aux psychoses des héréditair
de confusion mentale. La chose est tellement frappante qu'aucun des
auteurs
qui se sont occupés de la question n'a hésité.
e puisse être considérée comme une intoxication, ainsi que certains
auteurs
, et tout récemment encore M. Grasset, l'ont sou
étranger par les Allemands, en France par Chaslin, la plu- part des
auteurs
qui en ont parlé sont revenus sur cette compara
emblance entre la folie et le rêve et que ces termes sont vagues, l'
auteur
se demande s'il ne conviendrait pas d'abandonne
-intoxication. 299 ce point que, par l'analyse de son propre cas, l'
auteur
arrive à cette conclusion, but de son travail,
Faculté ou à ma clientèle de ville. Les cas publiés par les autres
auteurs
, en particulier par M. Séglas, ont été observés
ue nous ne pouvons faire ici. Bornons-nous à répéter, avec tous les
auteurs
, que l'indication dominante consiste, nécessair
'hésitons donc pas à nous joindre à M. Chaslin, à M. Sérieux et aux
auteurs
étrangers qui préco- ' Tnty. (le Il';(/(Il dans
ement de volume. Contraire- ment à l'opinion généralement admise, l'
auteur
a constaté que les modifications cellulaires du
lphie. {Bulletin de l'hôpital de Jo7tn Hopkins, juin 1896.) , - L'
auteur
présente des préparations de moelle de deux-sujet
s après, en janvier 1891, et sans connaître le travail d'Onanofî, l'
auteur
publiait sur ce même réflexe un mémoire intitul
complet de la sensibilité articu- laire. Pour expliquer ce fait, l'
auteur
admet que la névrome en- voyait vers les centre
ience exécuté par un professeur non médecin. L'esprit humain, dit l'
auteur
, associe souvent des conceptions dispa- rates d
it une épure à une grande échelle. Les cas cliniques classiques des
auteurs
sont illustrés par ces réseaux. P. Keraval. X
es; par Th. Blizzard. (Bi-ilish med. Journal, 8 octobre 1898.), L'
auteur
étudie successivement à ce point de vue les paral
6. Ballet et M. FAURE. (Presse médicale, 30 no- vembre 1898.) Les
auteurs
rapportent les observations de deux malades attei
xpression courants de haute fréquence employée par M. D'Arsonval, l'
auteur
préfère celle de courants de haute ten- sion :
lules nerveuses dans le labo- ratoire du Dr 1\issl, à Heidelberg, l'
auteur
a été frappé de la fréquence des modifications
ns les attachaient l'un à l'autre : les expériences imaginées par l'
auteur
sont venues confirmer cette manière de voir.
aucun lien de comparaison avec les résultats obtenus par les autres
auteurs
par les procédés ordinaires de coloration. En
las SOLOVTZOFF. (Noua. Iconogr. de la Salpétrière, n° 5, 1898.) L'
auteur
a pu rassembler 12 cas d'hydrocéphalie interne et
ement embryonnaire. Fait à noter : tous les monstres observés par l'
auteur
(12) appartiennent au sexe féminin. R. C. XXX
able entité pathologique. Elle n'est point fortuite en effet et les
auteurs
qui ont pu en observer un cas très intéressant
ation des mouvements d'a- baissement de la paupière et de l'oeil. L'
auteur
se rallie à l'hypo- thèse du spasme du muscle d
ATHOLOGIE NERVEUSE. 321 1 d'anarthrie indûment appelée par eertains
auteurs
aphasie mo- triée sous-corticale, expression do
le provoque est non pas sous-corticale, mais bien capsulaire. ' L'
auteur
pose les conclusions suivantes, pour servir à la
ns durables. Les phénomènes paroxystiques douloureux sur lesquels l'
auteur
appelle l'attention et dont il cite deux obser-
on nouvelle; par L. Roques. L'histoire de la malade rapportée par l'
auteur
se rapproche des faits décrits sous des dénomin
pratiqué l'autopsie d'un cas de tétanos 13 heures après la mort, l'
auteur
a trouvé à l'examen histologique la coexistence
ures et des grosses cellules. D'après les remarques de différents
auteurs
, le tétanos est une infection qui peut toucher
e de l'hystérie dans la forme primitive d'Hippocrate; mais nombre d'
auteurs
continuèrent à trouver des rapports nombreux en
ine intensité, se manifestent par des crises. Les recherches de l'
auteur
montrent que l'effet toxique qui cause les mani
e et Sainton. La malformation décrite pour la première fois par les
auteurs
, sous le nom de dysostose cléido-crânienne héré
HASK-OVEC. ' Les points importants de l'observation rapportée par l'
auteur
sont les suivants : i° Hémiplégie' du côté ga
site ossifiante progressive » et laisse son nom à la maladie. Les
auteurs
passent en revue toutes les modalités de cette
EVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 327 processus d'ossification. Pour les
auteurs
, l'hypertrophie congéni- tale est simplement un
alade un aspect monstrueux et bestial fixé dans une photographie. L'
auteur
rapproche son cas de ceux qui ont été déjà publ
itable (pleurésie diaphrag- matique), simple cause occasionnelle. L'
auteur
pense que cette observation autorise à inscrire
cas de rage chez l'homme. Voici le résumé des constatations de l'
auteur
: Dans les régions dorsale et lombaire de la mo
ogie, l'évolution rapide et le tableau cli- nique de l'affection, l'
auteur
la considère comme rhumatisme articulaire de la
lonne verté- brale, d'où immobilisation et ankylose consécutives. L'
auteur
pense que tous les cas, décrits dans la littéra
1880.) 344 CLINIQUE MENTALE. mière fois par Fritsch', d'autres
auteurs
, de non moins grande valeur, ne la reconnaissen
les maladies corres- pondant en grande partie à celles que d'autres
auteurs
ont décrites sous le nom de démence primaire ai
té que l'ltémiparalysie, s'appuyant sur la théorie soutenue par cet
auteur
de la décussation au niveau de cet organe des c
S. sorielle. Ces belles expériences, que garantissent le nom de l'
auteur
et la rigueur scientifique avec laquelle elles on
ection, fait qui, d'après la manière de voir du dernier de ces deux
auteurs
, démontrerait qu'il y a des fibres, probablemen
ches sur les difformités congénitales du système nerveux central, l'
auteur
présente quatre nouvelles obser- vations de cas
l'exsudation du liquide lymphatique dans le cerveau et la moelle. L'
auteur
pense que cette artérite généralisée dépend de
s qui constituent probablement la marque de famille, sur laquelle l'
auteur
appelle particulièrement REVUE DE PATHOLOGIE
ableau symp- tomatique judicieusement mis en relief, ont permis aux
auteurs
d'affirmer le diagnostic de maladie de Thomsen.
E. Le deuxième moyen de renforcer l'auto-suggestion, étudié par l'
auteur
, réside en l'utilisation de l'élément affectif. L
par Crawford REUTon. (Qualerley Médical journal, juillet 1898.) L'
auteur
relate quatre cas d'épilepsie Jacksonnienne. Le t
ut amener la disparition du trouble mental. Les statis- tiques de l'
auteur
apportent une contribution intéressante à l'his-
ologie générale ne s'appelle point' faire de la psychologie pure. L'
auteur
a voulu faire de la-synthèse clinique. Les opin
nce jusqu'à ce jour. La doctrine de la constitution paranoïenne des
auteurs
italiens, que le rapporteur a clairement exposé
ment un délire systématisé secondaire à la confu- sion mentale. Les
auteurs
étrangers qui l'ont signalé, ont surtoutvisé le
ertains incidents de traversée dont le mistral et la houle sont les
auteurs
responsables, dans le port du Frioul. Reçus e
upes pré- sentées, on retrouve une périartérile très manifeste. Les
auteurs
, après avoir indiqué les particularités cliniqu
s cette albuminurie n'est ordinairement qu'un phénomène fugace. Les
auteurs
pensent que la présence de l'albumine dans l'ur
hénomènes de défaut de fonction du cervelet ont été étu- diés par l'
auteur
sur quatre chiens opérés de la façon suivante :
ce de la compensation du côté du cerveau, comme le pensent certains
auteurs
; 5° L'extirpation totale ou partielle du cervelet
ès peut eux, caressant, il cherche la solitude et cesse d'aboyer. L'
auteur
se propose de poursuivre ces recher- ches expér
e. La moelle épinière présente les phénomènes de syringomyélie. L'
auteur
ne croit pas devoir mettre la dégénérescence grai
nes et l'affec- tion du système musculaire. M. Kojewnikoff invite l'
auteur
à donner une description plus détaillée des lés
. Après avoir indiqué les points controversés de la question, les
auteurs
s'efforcent de démontrer que les troubles mentaux
. Discvssion. M. Srni3siiy considère la troisième observation des
auteurs
comme un cas de syphilis cérébro-spinale, tant au
Thèse Paris, janvier 1898.) La confusion mentale n'est, d'après l'
auteur
, qu'un syndrome comme la stupeur; sa forme acce
ie ; par G.-L. Duprat (1 vol. in-8°, Félix Alcan, éditeur, 1899). L'
auteur
lui-même a le soin de nous prévenir qu'il ne faut
nce de la pensée et la grandeur de lame P. BIBLIOGRAPHIE. 425 L'
auteur
nous parait aller un peu loin, lorsqu'il essaie d
rence de nuance. Mais où nous sommes complètement d'accord avec l'
auteur
, c'est lorsqu'il nous parle de thérapeutique ment
du délire de persécution avec lesquelles il a pu être confondu. L'
auteur
divise les malades qu'il a observés en deux catég
près la même dans tous les cas lorsque le délire est constitué et l'
auteur
assigne à l'évolution de ce délire trois périod
idivistes. Nous ne partageons pas tout à fait l'opinion émise par l'
auteur
en ce qui concerne les alcooliques chroniques d
rac- VARIA. M7 7 tère... » Hélas ! les louables intentions de l'
auteur
et les nôtres se heurteront le plus souvent à c
yroïdienne. Btocbure in-12 carié de 18 p3ges. Reims, 1898. - Chez l'
auteur
. Parées Weber. On < ! f0 cases of eanly sypl
a parole. Or, les mentions que nous trou- vons ;t ce sujet dans les
auteurs
qui ont écrit sur l'aphasie ' Du bégayement et
l'écorce cérébrale, avec le concours de mémoire et d'attention; cet
auteur
niait les localisations. Charcot et ses discipl
ment du langage chez l'enfant, question totalement négligée par les
auteurs
que nous venons d'énumérer. Nos recherches pers
ellules nerveuses; par les L)I, Van Cishuciu'en et de l3uci.. Les
auteurs
ont pu utiliser un cas de désarticulation de la h
ons, des subdivisions, des classifications qu'on rencontre chez les
auteurs
qui se sont occupés de cette question. Toutes ces
èse, acceptée par les uns, combattue par les autres, qu'est parti l'
auteur
au cours de ses recherches histologiques sur les
umeurs tuberculeuses et relativement récente. Dans le premier cas l'
auteur
rencontre une membrane de néofor- REVUE D'ANA
3 mation complètement organisée, telle qu'elle constitue pour les
auteurs
en général le caractère anatomique de la porencép
Au cours de recherches expérimentales sur les virus rabiques, les
auteurs
ont isolé un micro-organisme de forme nettement
nouveau se porte spécialement sur les cellules nerveuses, dont les
auteurs
décrivent les lésions dans le cerveau, le cerve
nce cbromalopbile, déformation variqueuse des prolongements). Les
auteurs
proposent, pour fixer le caractère de localisatio
doigts, elle n'avait pas été modifiée par la blessure du médian : l'
auteur
conclut de cette particularité que le faisceau
côtés ; par Van Gehucuten. (Journ. de Neurologie, 1899, nu 5.) L'
auteur
croit pouvoir conclure de celte observation que l
on du lobe frontal qui parait accru, atrophie droite du cervelet. L'
auteur
fait remonter la production de la lésion au sep
estruction des circon- volutions préfrontales. Pour ces deux cas, l'
auteur
repousse toute hypothèse de tuberculose, d'embo
mée peuvent être divisées, quant aux suites qu'elles ont pour leurs
auteurs
, en deux catégories suivant qu'elles semblent o
ine, et, à l'heure actuelle, il ne saurait en être autrement; leurs
auteurs
ne sont point soumis à un examen médi- cal et s
de déformation rachi- dienne. 1 A propos de cette observation les
auteurs
passent en revue les diverses affections pouvan
s stades. Paralysie pse2tdo-bulbaire. MM. Marie et ViGOUROux. Les
auteurs
rapportent trois obseo- vations de malades prés
applaudie frénétiquement. M. Pontier fils, conservateur du musée et
auteur
du monument qui va perpétuer le souvenir de son
très bien prises comme on les prend à Bicêtre. Les conclusions de l'
auteur
sont ' Thèse de Paris, 1889, publiée par le Pro
mme deux spécialités ayant quelques rapports l'une avec l'autre : l'
auteur
montre qu'en réalité leurs rapports sont si intim
l'ataxie dans le - dorsal, par Freukel, ou. Des symptômes TABLE
AUTEURS
ET DES DES COLLABORATEURS..1)123 précoces du -
ion loca- lisée du qnatneme ventricule, par Carr,3t0. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Abailie. 320. Abrams, 1
Frenkel, 60, 66. Gaide, 230. Gangitano, 472. 324 Il TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. Garnier t28. Gahuclaen
s il ne faut pas oublier que les descriptions et les réflexions des
auteurs
qui ont étudié l'humanité et les milieux sociau
tification, l'affliction, le dégoût, l'excitation sexuelle ; mais l'
auteur
allemand ajoute que « tout événement peut du re
ter toute excitation passionnelle. Ce serait, du reste, d'après l'
auteur
allemand, le propre des dégénérés, d'être hanté
ande influence sur la forme du délire ; voici comment s'exprime cet
auteur
: « Le délire, dit-il, fanatique ou religieux d
lmaire s'observe dans la goutte, le diabète, le rhumatisme, etc., l'
auteur
croit qu'elle doit rentrer dans le groupe des t
des poignets. Il n'existe aucune modification de la sensibilité. L'
auteur
pense qu'il s'agit dans ce cas d'une poliomyéli
de l'Hôtel-Dieu de Varsovie. (Gazela Lykarslui, janvier 1899.) L'
auteur
a observé plusieurs cas où l'angine de poitrine f
d'au- tres portes, il faut que le médecin aide un peu la nature. L'
auteur
est de cet avis qu'il faut donner à un coeur ai
n latéral et de ses rapports avec les contractures. Tout d'abord, l'
auteur
démontre la réalité et la vérité de cette loi ana
double action inhibi- trice et excitatrice sur le tonus ? Tous les
auteurs
disent : elle est dans l'écorce cérébrale. Et a
eurs disent : elle est dans l'écorce cérébrale. Et alors à tous les
auteurs
on objecte : pourquoi la contracture n'apparaît
s, mais tous sont loin d'être absolument com- parables entre eux. L'
auteur
a eu la bonne fortune d'en recueillir plusieurs
malades à une époque très variable. D'après le tableau donné par l'
auteur
, il est tout à fait impossible de pré- voir, en
ntile ; par M. Briquet. (Presse médicale, 4 mars 1899.) D'après l'
auteur
, il y a lieu de distinguer trois sortes de myxoc-
o-cutané ; par M. l ? A. Lop. (Presse médicale, 1 ? mars 1899.) L'
auteur
rapporte une observation de l'affection décrite e
ent atteint de fièvre bilieuse hématurique et de fièvre typhoïde, l'
auteur
rejette l'hypothèse d'une névrite périphérique
able; par M. E. BRISSAUD. (Presse médicale, ' 15 février 1899.) L'
auteur
rapporte un cas remarquable de chorée variable, d
ission. Et, depuis lors, jusqu'au momeiitoù elle fut observée par l'
auteur
, c'est-à-dire pendant trois ans, cette jeune fi
blanche jusqu'aux régions postérieures de l'écorce cérébrale. Les s
auteurs
pensent que les troubles de la vision sont probab
mais incomplètement, avant eux par Ch. Bell, et rapporté, après cet
auteur
, sans développement, par divers neuro- logistes
e l'hypothèse, et bien que les considérations auxquelles se livre l'
auteur
offrent une certaine vraisemblance par la logiq
la Société de mettre en discussion les principales conclusions de l'
auteur
qui ont, en dehors de leur intérêt théorique, u
à Vitry. Une mention avec une somme de 250 francs est décernée aux
auteurs
de l'autre mémoire, MM. Rodier et Ameline, inte
'amélioration de l'état men- tal. Ces cas sont restés isolés. Aucun
auteur
n'a songé à en dé- duire l'enseignement qu'ils
pplaudie frénétiquement. SI. Pontier fils, conservateur du musée et
auteur
du monument qui va perpétuer le souvenir de son
esse spécialement, que par le praticien et même le spécialiste. L'
auteur
met en lumière, au début de son travail, toute l'
tablisse- ment des types cliniques de la syphilis médullaire, » L'
auteur
glisse rapidement sur le mal de Polt syphilitique
ité du traitement spécifique énergique. Dans une troisième partie l'
auteur
développe la question du traitement : indicatio
e d'un ouvrage essentiellement pratique, que de citer ces mots de l'
auteur
: * Croyez-m'en, si vous avez des syphilitiques
Norvège,'1897. Dans le premier chapitre de ce livre de 184 pages, l'
auteur
a décrit l'idiotie et l'imbécillité en général
as, paru plus tard que dans la 14° année. Dans le second chapitre l'
auteur
a décrit les arriérés, qu'il a examinés dans le
étaient les causes de la maladie. Dans un autre chapitre (p. 92), l'
auteur
a décrit l'idiotie myxoe- démateuse (l'idiotie
s les derniers chapitres sont exposés les résultats des études de l'
auteur
sur l'étiologie de l'idiotie et de l'imbécillité
cas (0,7 p. 100). Dans un district de la Norvège (Bergens stift) l'
auteur
a trouvé que les premiers-nés inanimés étaient
s fré- quentes dans les familles où sont des idiots. En Norvège l'
auteur
a trouvé jusqu'à 10 et 14 p. 100 des nais- sanc
Norvège, très souvent la cause de l'idiotie ,ct de l'imbécillité. L'
auteur
a examiné à propos de cette question (p. 145-15
: 39 - il a trouvé le rachitisme comme cause de l'état morbide. L'
auteur
a fait des examens sur l'hygiène de l'enfance dan
le plus grand nombre d'idiots et d'imbéciles. Les chiffres que l'
auteur
a empruntés il la statistique officielle norvég
e in-4° de 30 pages, avec 7 figures. 1'litladell)iiia, 1899. Chez l'
auteur
. XOGUHS (E.) et Sirsoi. (J.). - Un cas fruste d
ns toute l'attention de nos lecteurs. 80' AVIS A NOS ABONNÉS, AUX
AUTEURS
ET AUX ÉDITEURS. . AVIS À NOS ABONNÉS,- L'échéa
mplète (1880-1899) sera porté à CENT CIN- QUANTE francs. AVIS AUX
AUTEURS
ET AUX ÉDITEURS. - Nous rappelons à nos abonnés
IS AUX AUTEURS ET AUX ÉDITEURS. - Nous rappelons à nos abonnés, aux
auteurs
et aux éditeurs qu'il est rendu compte dans les
hypnotique des plus importantes. De l'expérimentation faite par l'
auteur
sur 3 aliénés, il résulte que l'efficacité du t
rage rapide ; par M. G. Comar. (Presse médicale, 15 mars 1899.) L'
auteur
rapporte l'observation d'un homme de quarante-deu
llent état au physique et au moral, deux mois après son entrée. L'
auteur
pense que, dans ce cas, l'emploi de la méthode le
ar M. DELAUNAY (de Poitiers). (Presse médicale, 21 janvier 1899.) L'
auteur
a eu l'idée de traiter par l'ovarine une malade c
ris par des séances d'im- mobilité et de mouvements appropriés, les
auteurs
concluent en disant que tout traitement des tic
t-Hoch, de Varsovie. (K)'on : /M6<;cAt : )'s/.Y<, 15 mars.) L'
auteur
considère l'épilepsie partielle ou essentielle co
e premier cas, on fait des opérations, on abuse du bromure. Selon l'
auteur
, pour agir dans le second cas, il faut diminuer
lacer par-un véritable contre-poison des intoxi- cations, le lait L'
auteur
pendant quatre ans a traité 30 cas d'épt- lepsi
i se supporte mieux sans donner de toxalbumines et leucomaines. L'
auteur
à vu toujours les crises d'épilepsie diminuer; il
es accès recommen- çaient. Le malade effrayé recourait au lait. L'
auteur
arrive a ces conclusions : que le lait ne peut am
par le D1' Edouard 13;L\NIIAI\Dr (Gactu Lekll1 ? ka, 18 mars.) L'
auteur
est d'a\is que chaque cas de tétanos guéri par le
diminué la mortalité dans la proportion au moins de ;0 p. 100. L'
auteur
a été appelé il la campagne près d'un enfant de t
hures une au niveau d'un tiers du cubital, l'autre sur la hanche. L'
auteur
administra du chloral et seulement le cinquième
présente une éruption dans le genre de rubéole. Le jour suivant, l'
auteur
injecte le contenu du tube entier. L'enfant tou
enait à la santé après chaque injection, d'une manière absolue. L'
auteur
a recueilli 32 cas de tétanos connus jusqu'à ce j
sûrement si l'emploi du sérum est immédiat après l'incubation. L'
auteur
arrive aux conclusions que : 1° le sérum diminue
romande, 1898, n° 12.) Par suggestion il faut entendre, d'après l'
auteur
, une représen- tation consciente, vive et inter
s : leur silence devant l'injure fut même qualifié de scandaleux. L'
auteur
estime qu'une telle campagne de presse eût été re
toutes les déductions de la consultation qui avait été demandée à l'
auteur
. (Annales médico-psychologiques, décembre 1898.)
e méd. ment, de Belgique, mars 1899.) Il faut distinguer, d'après l'
auteur
, parmi les sujets qui s'adon- nent à l'alcool :
de l'hérédité paternelle; par les D' S.u,na-r.s et Brengues. Les
auteurs
ont pu dresser l'arbre généalogique d'une lignée
re sur la peau en faisant saillir le derme a été rencontrée par les
auteurs
de ce travail à des degrés divers chez 48 alién
e deux cas semblables à celui qui faisait l'objet de son travail. L'
auteur
en signale un troisième, cité en résumé dans la
eligieux transitoire dans l'épilepsie ; par le D'' H. 1.1BILLG. L'
auteur
rapporte quatre observations intéressantes qui dé
re part sur les aliénés de la cliniquê psy- cbiatriqne de Vienne, l'
auteur
tire les conclusions suivantes : 1° Une périodi
ies nerveuses et souvent après l'empoisonnement par le sulfonal : l'
auteur
cite deux cas de ce dernier genre. L'urobiline
par J. CROCQ. (JOUI'n de Neurologie, 1899, nos si et 7 ) D'après l'
auteur
, la paralysie générale ne serait qu'une des nom-
gmates SOCIÉTÉS SAVANTES. '145 5 (physiques) de dégénérescence, l'
auteur
attire l'attention surtout sur la conformation
aucune anomalie de conformation du côté des oreilles. En outre l'
auteur
a constaté parmi ces ouvriers de nombreux cas d
ne présentent aucune anomalie du côté des dents, et vice versa. L'
auteur
en conclut que certaines anomalies auriculaires c
fait remarquer que l'insuffisance quantitative des recherches de l'
auteur
n'autorise pas à en tirer des conclusions catég
atoire chez le même individu. W. SHRBSKY croit que les données de l'
auteur
permettent des conclusions inverses, à savoir q
it à la pointe du coeur, comme chez l'un des deux myotolliques. L'
auteur
pense que la maladie de Thomsen est une affection
isant des préparations saturnines chez les cobayes et les lapins, l'
auteur
a obtenu des phénomènes parai) tiques très accu
la résection du nerf fémoro-cutané ayant été publiées par plusieurs
auteurs
, M. Souques a essayé ce traitement sur sa malade
ence complète d'emblée, plutôt que sur la diminution progressive. L'
auteur
a aussi guéri parla psychothéraphie l'onanisme,
travail consacré à la biologie et à la sociologie des Israélites, l'
auteur
étudie les caractères principaux de celle race.
uence de l'hérédité chez l'homme israélile, le neuro-artbritisme, l'
auteur
passe en revue, mais de façon superficielle et
es crises d'énervement. Comparant l'énervement avec l'alcoolisme, l'
auteur
tire cette conclusion que l'énervement semble ê
rien que cela. Cette concision n'est même pas le moindre mérite des
auteurs
, et l'on sent avec satis- faction que tout est
auteurs, et l'on sent avec satis- faction que tout est à lire. Les
auteurs
procèdent toujours du fait le plus simple aux f
es ne présentent pas la phase d'excitation. Après- les aboulies les
auteurs
étudient les délires coenesthé- siques, ces tro
e, il' ne saurait s'agir, en effet, d'hérédité de métamorphose. L'
auteur
consacre ensuite quelques pages au diagnostic. Ap
ec lui, était dans un état complet d'ivresse. Il a été arrêté comme
auteur
du crime. Emile Sorel, né à Martigny, quarante-
plète (1880-1899) sera porté à CENT Cn\'- QUANTE francs. AVIS AUX
AUTEURS
ET AUX ÉDITEURS. - Nous rappelons à nos abonnés
IS AUX AUTEURS ET AUX ÉDITEURS. - Nous rappelons à nos abonnés, aux
auteurs
et aux éditeurs qu'il est rendu compte dans les
s ou sensitivo-moteurs. De même que les centres moteurs des anciens
auteurs
sont en même temps sen-. sitifs, de même les ce
tention (Arch. neurologie, décembre 1898). 2 Ceci pour répondre aux
auteurs
qui placent dans les noyaux gris de la base le
calisé par Grasset' et Lan- douzy2 au niveau du pli courbe, par les
auteurs
anglais (Ferrier, de Bono, Hartley Bunting) au
cé aussi au niveau de cette dernière ? - région par la majorité des
auteurs
. Cependant Mendel le,localise au pli courbe, en
ntractions de l'orbiculaire du côté opposé. On peut mettre tous ces
auteurs
d'accord en admettantqu'il existe non pas un, m
étude en 1876 en se basant sur cinq observations personnelles. Cet
auteur
a voulu montrer que l'apoplexie progressive n'e
o- plexie progressive et la localisation étroite indiquée par cet
auteur
? % Dans un certain nombre d'observations, l'hé
de cette soudure, dépendent les divers degrés de cyclopie. II. L'
auteur
n'admet pas que cette soudure puisse résulter d'u
tentive des lésions produites par la fièvre chez l'homme permet à l'
auteur
d'émettre les conclusions suivantes : 1° La tem
ruEwe et GOD \ULT. Le hasard des rencontres d'autopsie a permis aux
auteurs
de trouver à peu de temps d'intervalle, deux ma
ques; par A. van GEH UCHTEX. (Presse médicale, 4 janvier 1899.) L'
auteur
répond aux critiques formulées contre lui par M.
quand les deux bouts du nerf parviennent à se mettre en contact. L'
auteur
est même porté à penser, mais il ne saurait act
s d'expérimenta- tion entrainent des résultats dissemblables. Ces
auteurs
sont encore en désaccord sur le point de savoir à
mscols (Alton Hans). (l3ritislv med. Journal, 3 décembre 1898.) L'
auteur
étudie successivement les fractures chez les alié
r GATTA. ( ? tara Rivisla clÍ1zico : therapeulica, n° 2, 1899). L'
auteur
trace tout d'abord avec concision et méthode l'hi
de l'équilibre » (Thomas). Pour contribuer à éclaircir ce point, l'
auteur
s'est proposé d'étudier seulement, chez des chi
l'aide d'un myographe spécial, et d'empreintes colorées a conduit l'
auteur
aux conclusions sui- vantes : a) Le cervelet es
, 9893. Andry, 1888.) Des deux nouvelles observations qu'il donne l'
auteur
tire ce qui suit : 1° Du corps calleux comprimé
(Cenlralbl. f. 11'rvenheilii., XXI, N. F. IX, 1898.) Lettres de l'
auteur
à Erlenmeyer; corrigées et traduites par ce cli
r l'ichthyol; par S. Crocs. (Jourrz. de Neurologie, juin 1899.) L'
auteur
de cette note dit avoir obtenu, à la suite de l'a
on il ne faut pas oublier la science systématique de la marche. L'
auteur
a observé bien longtemps dans la clinique de Hoff
satisfaisants, tous les deux marchaient seulement avec un bâton. L'
auteur
les a vu opérer et a assisté il la science syst
e ; par W. LESZYNSKI (de New-York). (Med. Record, 20 mai 1899.) L'
auteur
conclut de son expérience que l'épilepsie peut êt
erses circonvolutions, la technique opératoire de la trépanation, l'
auteur
donne quatre observations personnelles de fract
système nerveux central, dues à l'cmpoisonnement par le poisson. L'
auteur
a observé deux [cas d'empoisonnements mortels dus
ibliothèque Charpentier, Fasquelle, éditeur, 1899.) Sous ce titre l'
auteur
nous donne une sorte de revue rapide de l'état
u'il y a un rapport établi. Je trouve aussi regret- table de voir l'
auteur
énoncer certaines opinions manifestement erroné
s'est appliquée il résoudre la question sociale, comme l'indique l'
auteur
. Bien loin d'y voir une conquête de la science,
soit, ces critiques, je dois le dire, sont plutôt des regrets que l'
auteur
n'ait pas approfondi certaines questions, quitt
. Effets physiologiques et thérapeutiques ; par le D'' GESTION. L'
auteur
conclut : 1° de ses expériences : le suc ovarien
arien de truie. 2° De ses observations cliniques et de celles des
auteurs
. : les symptômes pénibles de la ménopause natur
er des obsessions impulsives ; par le Dl' Le Gnolcrrec. Jadis les
auteurs
considéraient les impulsions symptomatiques com
). 12. Des délires dans l'ienpalittlisine, par le Dr CIIABAL. Les
auteurs
ont signalé des troubles psychiques imputables à
d'aliénation commune, rentrant dans le cadre des vésanies. Quelques
auteurs
même sont allés jusqu'à nier l'exis- tence de c
sai sur le subconscient dans les ceicvres de l'esprit et chez leurs
auteurs
: par le D1' Paul CHABANEix. Il est des individ
ouvait revendiquer dans leurs créations. Il ressort de l'étude de l'
auteur
que le subconscient parait se BIBLIOGRAPHIE. 21
. De L\ PEDAGOGIE; par Let et Sano. Courte note dans laquelle les
auteurs
démontrent la nécessité de constituer une scien
ue des asiles pour les idiots et on ne peut regretter, ajoutent les
auteurs
, de voir les vaillants efforts faits depuis plusi
rle e rrella pn ? Brochure in-8° de 20 pages. Firenze, 1899. Chez l'
auteur
. 1'wzt (E.). - Sui rapport ! délia cerebroplegi
e con l'iclioia. Brochure in-8° de 24 pages. Florence, 1899. Chez l'
auteur
. TASZI (E.). Due casi d'idioia mixedematosa. Br
Brochure in-8° de 10 pages, avec 4 figures. - Firenze, 1899. Chez l'
auteur
. THOMSON (J.) et WELSH (A.). A case of gênerai
decins aliénistes d'Angers, l'accord est loin d'être fait entre les
auteurs
sur cette question. Les divergences d'idées por
oit caractéris- tique d'une intoxication endogène ou exogène. Cet
auteur
classe les troubles psychiques post-opératoires
soutenue par M. le pro- fesseur Joffroy et par M. le D'' Rayneau1,
auteur
du rapport si documenté présenté au Congrès d'A
e .plus, la folie a revêtu chez notre malade, la forme que certains
auteurs
, en particulier M. le D'' Régis, considèrent co
s, des désordres cérébraux qualifiés suivant les cas et suivant les
auteurs
, de vrais ou de faux délires post-opératoires,
le-ci tout entière est dominée par un élément auquel la plupart des
auteurs
, et parmi eux MM. Joffroy et Rayneau, attribuen
n même être de testicule et d'ovaire, n'est pas admise par tous les
auteurs
pour l'espèce humaine. 300 RECUEIL DE FAITS.
ellement; tandis qu'IIerrmann, Debierre, Lourent, et la plupart des
auteurs
avec eux l'acceptent. On s'explique peut-être c
par un professeur anglais de neuro- logie. Le malade vint trouver l'
auteur
, avec ce diagnostic découra- geant et l'afliima
n sa guérison se maintient complète. « Vous savez, messieurs, dit l'
auteur
, combien nos confrères anglais négligent tout c
es d'ailleurs, sauf une hyperesthésie pour la sensation de froid. L'
auteur
fait à cette occasion une revue complète des tr
rétrocédèrent peu à peu, sans toutefois disparaître complètement. L'
auteur
incline à penser qu'il a eu affaire dans ce cas
UE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 309 la découverte de l'alcool paraît à l'
auteur
un des arguments les plus solides que l'on puis
nte ; par M. G. Marinesco. (Presse médicale, 23 novembre 1898.) L'
auteur
rapporte l'observation d'une femme qui a été atte
es par M. Marinesco sous le nom de lésions secondaires. D'après l'
auteur
, les lésions du nerf dans la zone d'infection 3
inance des symptômes cliniques : tabes dorsalis, tabes supérieur. L'
auteur
trouve ces expressions impropres et trop vagues
GER Unown. . [Médical Record, avril 1899.) Cinq observations... L'
auteur
signale entre autres les migrai- nes, céphalalg
es et radiographies). Le malade est un homme robuste d'âge moyen. L'
auteur
estime qu'il y a une lésion au niveau de la cou
marche inverse des chorées post ou pré- hémiplégiques inspirent à l'
auteur
les remarques suivantes. La chorée ne serait pa
iphtérie où ont été appliquées les méthodes d'exa- men de Marchi. L'
auteur
conclut à la probabilité de lésion domi- nante
et l'hystérie ; par Thomas 13UZZ\I\D. (British med., mai 1899.) L'
auteur
se borne à quelques remarques sur un certain nomb
phériques survenant à plu- sieurs reprises chez le même individu. L'
auteur
classe ses obser- vations, donne neuf faits nou
e cas de névralgie traumatique avec trouble trophique, rappelle à l'
auteur
une obser- vation de psychose réflexe issue d'u
- STEI,4. (l;enhcc(Gl. f. 1'emcvlccill ? XXI, N. 1 ? IX, 1898.) L'
auteur
serait tenté de regarder l'astasic-abasie comme u
muscles de l'oeil par l'électricité, tiendrait, pour la plupart des
auteurs
, il la faible résistance à la conductibilité élec
lent bien la chorée infantile mais il n'en saurait être question. L'
auteur
passe cependant en revue le diagnostic différen
al et l'extenseur cubital du carpe, peut-être aussi le triceps. L'
auteur
insiste sur l'hypei trophie et le fonctionnement
nts ; par le D' BGl-,OFF (de Moscou). (Gd..IICLDG2LfG2U, 1899.) L'
auteur
étudie le décadentisme comme mouvement littéraire
ussie. En raison de ses manifestations bizarres et prétentieuses, l'
auteur
croit pouvoir l'envisager comme un phénomène pa
nous, justement parce qu'ils sont malades. Pour prouver sa thèse l'
auteur
relate la vie de quelques représentants du décade
ever la nutrition et de surveiller en particulier l'alimentation. L'
auteur
fait en outre observer qu'en raison de la court
ion employés : tels sont certains cas de stupeur intermittente. L'
auteur
rapporte tout au long un de ces cas de stupeur in
ous les deux jours : le temps passé en stupeur était prédominant. L'
auteur
ne se rat- tache pas à l'opinion qui fait dépen
hilis et folie; par le Dl' Collotti. Dans une étude intéressante, l'
auteur
passe en revue les diverses formes de folie qui
bservations d'épilepsie vraie due à la syphilis. A côté de nombreux
auteurs
qui trouvent défectueuse cette appellation de s
aient gliomateuses ou tuberculeuses, Fournier, hubino et d'au- tres
auteurs
affirment l'existence d'une forme épileptique de
ue améliorés par un traitement spécial ont été rapportés par divers
auteurs
. La question des psycho-névroses syphilitiques
ses sont des plus discordantes. Apres en avoir cité quelques-unes l'
auteur
regarde comme démontrée, fondée sur des observa
s. Cette juridiction a été employée pour le cas à propos duquel l'
auteur
publie un intéressant rapport médico-légal : il s
x appellations ordinaires de neurasthénie ou de cérébras- thénie, l'
auteur
préfère celle ne neuratonie. La cause primitive d
es d'altération du système nerveux ou un grand shock psychique. L'
auteur
cite quelques exemples de phobie : phobie chirogr
'acromégalie chez un dément épileptique du service de M. Sérieux. L'
auteur
admet que l'hérédité neuro-arthritique ou vésan
s étaient invités à diner, fut prise du même genre de troubles. L'
auteur
croit qu'il s'agit ici d'une polyencéphalite anal
petite noi- sette, cause vraisemblable des accès convulsifs. Les
auteurs
attirent l'attention sur l'absence totale de phén
hémi- chorée congénitale, l'hémiathétose, l'athétose double, etc. L'
auteur
défend cette dernière doctrine, en s'appuyant s
ette con- clusion unicistc, basée sur les observations cliniques. L'
auteur
commence logiquement son étude par des recherch
permettent à M. IL Cestan de préciser avec plus de netteté que les
auteurs
précédents, toutes les formules pathologi- ques
nt toutes les incertitudes qui empêchent une solution définitive. L'
auteur
, très sagement, avoue ses hésita- tions, tout e
n Monakow. Ainsi, très variés, mais connexes, sont les sujets que l'
auteur
aborde dans son travail inaugural. Sur chacun d
aux; par le .- D1' L. WAHL. In-8°, Paris, Jouve et Boyer, 1898. L'
auteur
ne prétend pas trancher cette question souvent ab
oulême ainsi conçue : La fillette Madeleine B..., âgée de sept ans,
auteur
de l'incendie de Saint-Estèphe, a été écrouée à
us avons eu communication du fait suivant dont on nous a montré l'
auteur
. faits DIVERS. 351 - A Faverolles (Eure-et-Lo
rites d'abord par OEltinger et Marinesco puis par un grand nombre d'
auteurs
, les ruptures des prolongements protoplasmiques
ne altération protoplasmique quelconque du prolongement. Certains
auteurs
(Mongour et Carrière) figurent et donnent comme
dion, ou en immergeant ce dernier, suivant les conseils de certains
auteurs
dans de l'alcool fort additionné de chloroforme
syndrome « paralysie ascendante » ou maladie de Landry. Ce dernier
auteur
n'ayant pas donné de subs- tratum anatomique à
t une condition sina qua non de la paralysie de Landry ! D'autres
auteurs
se sont au contraire rattachés exclusive- ment
le premier nomma ce trouble « hallucination motrice ». Avant ces
auteurs
d'autres avaient observé ces faits sans leur do
s avaient observé ces faits sans leur donner d'importance. Certains
auteurs
mystiques, par- lant de ces voix, disaient : «
itrine, de leur ventre, d'un organe essentiel à la vie. Parmi les
auteurs
actuels il faut citer le nom de M. Séglas' J qu
l'étude d'ensemble des hallucinations psycho-motrices verbales, les
auteurs
ont été amenés à les étudier dans les différent
d ce que c'est que l'hallucination motrice verbale. Pour quelques
auteurs
la fonction du langage prend part à la producti
remarqué chez presque tous nos malades ce fait observé déjà par les
auteurs
, que les sujets, au moment oit la voix intérieu
î5 figures. Steinheil, éditeur.) Travail du plus haut intérêt où l'
auteur
estime que, dans l'état actuel de la science, i
férents neurones après la section de leur prolongement axillaire, l'
auteur
s'est demandé quel pouvait être le sort des gra
d, il une dégénérescence des nerfs intra- musculaires. Cela posé, l'
auteur
réunit dans le tableau suivant, les formes les
el, du surmenage ou d'une influence toxique. Sur 84 malades que l'
auteur
a traités par l'hydrothérapie, dans l'année, 20
thérapie il n'en est pas un qui n'en ait obtenu de bons effets. L'
auteur
insiste sur l'épilepsie et la paralysie générale.
é ; par MM. VESLIN et Leroy. (Presse médicale, 14 juin 1899.) Les
auteurs
rapportent l'observation d'un homme de trente-
frigorie ? c'est une maladie très,rare à Kasan ; depuis cinq ans, l'
auteur
n'a pas vu un seul cas de diplégie faciale rattac
epsie; parW. DE BECIITEREW. (Neurolog. Cent1'alb., XVII, 1898.) L'
auteur
aurait guéri des épileptiques invétérés, jusqu'al
u mélange formulé plus haut est : REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. - 425 L'
auteur
en rapporte trois cas : Dans le premier cas, ta
tta- che une réprobation morale tellement vive parfois, que leurs
auteurs
sont obligés de s'exiler. « Toujours et partout,
oire des Archives, 2. série, t. VIII. 28 434 CLINIQUE NERVEUSE.
auteurs
, car elle montre que la question n'a pas été écla
que »'. Dans une récente communication au Congrès de Nancy, le même
auteur
n'est pas moins catégorique : « La thérapeutiqu
suscités, ainsi que de la concordance des résultats obtenus par les
auteurs
qui l'ont expérimenté. Si cette méthode a été
duit le traitement par le lit à l'asilede Leubus (Silésie). Le même
auteur
, au dixième Congrès international des sciences
r BeUiterev et ses assistants Trapezni- kov et Osipov. Ces derniers
auteurs
arrivent à conclure que les aliénés s'habituent
ocier à l'alitement les calmants, les bains, le massage. D'autres
auteurs
, Rayner, Rivers, Nicolson, recommandent également
dais et amél'icainss'en déclarent partisans; enfin, les trop rares
auteurs
qui l'ont expérimenté en France enontretiré les m
rouvons cette même conception dans les travaux de Landry, 1852. Les
auteurs
qui suivirent ne tardèrent pas à s'apercevoir q
moment d'exé- cuter ce mouvement. En même temps, du reste, d'autres
auteurs
ramenant la question sur son vrai terrain tenda
ticulaire. Dès cette époque le problème était nettement posé et les
auteurs
contemporains n'ont fait qu'amplifier la questi
er à l'étude critique de quelques publications récentes '. Tous les
auteurs
contemporains 1 Pour l'historique voir Sollier.
vocabulaire. Nous la prenons donc telle quelle avec la majorité des
auteurs
, tout en la sachant mauvaise, reconnaissant ave
c quelque chose de plus. A la suite de Johannès Muller ' beaucoup d'
auteurs
avaient été amenés à admettre l'existence d'une
. entre la conscience, d'une représentation mentale et ce que les
auteurs
appellent sensation d'innervation, entendant par
Dr Baruk, qui a examiné dans sa thèse les différentes opinions des
auteurs
, arrive à cette conclusion que les hallucinations
'af- firmer le diagnostic, au moins de le rendre très probable. L'
auteur
a pu observer, chez des épileptiques, cinq cas de
rigine céré- brale. D'après celte théorie, qu'admettent de nombreux
auteurs
, en particulier M. le professeur Hichet et son
ladie de Basedow, de l'arthritisme, de l'uricémie, des néphrites; l'
auteur
en conclut que l'hystérie et la neurasthénie so
ifficulté de marcher : ataxie prononcée. Aucun trouble psychique. L'
auteur
conclut : Il y a soit névrite, soit altération
l'urémie, aux lésions centrales du cerveau (ou polioencéphalite) l'
auteur
conclut à l'existence d'une névrite rétrobulbai
tous les muscles insensibles au courant faradique; c'est pourquoi l'
auteur
la rattache, de même que l'insensibilité REVUE
culaiies (\\'eruicke, 1881; Friedmann, 1889 ; Struempell, 1891), l'
auteur
détaille une observation d'encéphalite hémorragiq
nulations de l'épendyme, léger trouble de la pie-mère à la base. L'
auteur
pense que l'alcoolisme chronique a provoqué les l
ectrique. En voici un nouvel exemple. Les quelques observations des
auteurs
et celles de M. Bernhardt (Cenlralbl. f. Nenven
est celle d'une sénile; pensée moins vive, parole moins facile. L'
auteur
fait remarquer que l'aphasie ne concorde pas avec
oujours vu examiner très attentivement tous les entrants. Enfin les
auteurs
nous avouent que ce traitement ne modifie pas l
objecte que nous n'ap- portons aucun résultat ; cependant parmi les
auteurs
allemands qui ont appliqué cette thérapeutique
bras mais surtout des jambes, Elle doit être attri- buée, suivant l'
auteur
, à une lésion cérébelleuse. M. Robinson. Surdit
La circulation des liquides lymphatiques dans la moelle épinière. L'
auteur
, à la suite de recherches entreprises d'après l
lymphatiques des cornes postérieures simulant la syringomyélie. L'
auteur
se demande si des substances toxiques ou microbie
de trancher cette question d'une manière absolue : toute- fois, les
auteurs
ont soumis dix malades délirants, chez lesquels
e de ces délires. M. IiLIPPEL. Abcès cérébral et méningite aiguë. L'
auteur
rap- porte l'observation et des photographies d
pathologique de l'écorce cérébrale dans la sclérose en plaques. Les
auteurs
ont étudié les localisations de la sclérose en
idérables, absolument comme au niveau de la moelle et du bulbe. Les
auteurs
insistent, avant tout, sur une lésion non encor
ou moins complète, unilatérale ou bilatérale, du ruban de Reil. Les
auteurs
attirent l'attention sur ce processus qui marqu
dominaux et l'orifice inguinal chez les hémiplégiques organiques. L'
auteur
s'élève sur ce qu'a de trop absolu cette propos
s tous les manuels pédago- giques. Pour ma pari, je sais gré il l'
auteur
d'avoir, tout en reconnais- sant la supériorité
ues, il faut trouver des moyens d'éducation adaptés à notre race. L'
auteur
en propose : il faut l'en féliciter. Il me semble
ner, surtout chez la femme (accouchements rendus impossibles), l'
auteur
passe à l'étude des différents traitements appliq
théorie qui incri- mine dans la scoliose des lésions musculaires, l'
auteur
se déclare partisan des procédés qui s'adressen
cieuse et de la remplacer par une polyankylose en bonne position. L'
auteur
est arrivé par ce procédé à des résultats vraim
(Poriomanie). - Brochure in-8° de 21 pages. Budapest. 1899. Chez l'
auteur
. DOXATtI (J.). Beit1'lige zizi, Pathologie und
/i.1'Unkheit. Brochure m-8'' de 14 pages. Budapest, )89 ! ). Chez l'
auteur
. Fyuretyvende 13ERET''(1)G Om. Aandssvageanslal
scient. Essai sur le - dans les oeuvres de l'esprit et chez leurs
auteurs
, par Chabaneix, 246. Suc ovarien. Le -. Effets
ur comme hypnotique chez les aliénés, par Viâilon, 130. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. 539 Traumatique. Notio
Willis et nerf maxillaire supérieur), par Vilcoq, 300. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Adler, 230, 421, 490. 1
. Feindel, 133, 143. Feuayrou,25î. Féron, 426. ï)40 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. rllatofi, 333. Fleury
du rhumatisme apparaît d'ailleurs à la lecture des observations des
auteurs
, examinées à ce point de vue. La même remarque
re part, pour la polyu- rie qu'on trouve chez les rhumatisants, les
auteurs
admettent qu'elle est due en même temps qu'à l'
correspond bien ici à la Verrüclctheit primitive aiguë des autres
auteurs
(Westplial, Schoefer), moins le passagepossible à
à la sys- tématisation chronique (syslematische Paranoïa), aussi l'
auteur
refuse-t-il d'y voir une folie systématique aig
ahnsinn), décrit au chapitre de la Folie héréditaire. D'après cet
auteur
, le Wahnsinn, aigu ou chronique, a pour caractè
(systematisirte Hallucinationen tind IVa7tnideen). » Plus loin, cet
auteur
s'élève contre la classification actuelle de la
scérales; par JamesMACKENSIE. (Brain, Part. III, 1893, p. 321.) L'
auteur
pense que la douleur liée aux affections viscéral
iège exact des lésions viscérales. Quant aux tissus sous-cutanés, l'
auteur
ne croit pas à leur sensibi- lité, ce qui perme
e sché- mas de sensibilité, tant personnels qu'empruntés à d'autres
auteurs
, pour la délimitation de ces zones, qui sont be
rvé. Comme la moelle était comprimée sur les par- ties latérales, l'
auteur
en conclut que les sensations de douleur et de
omme de vingt-deux ans, sur la face, et revenait par accès. Enfin l'
auteur
rapporte deux autres cas d'oedème, l'un chez un
NÉRALE; par CRISTISON CARTER. (Brain, part. 111, 1893, p. 393.) L'
auteur
pense que dans les maladies cérébrales les foncti
SUELLE corticale ; par Ewens. (l3rain, part. IV, 1893, p. 475.) L'
auteur
propose une théorie qui serait selon lui capable
IEL DE l'aphasie; par SIIAW. (Brain, part. IV, ' 1893, p. 492.) L'
auteur
passe en revue les différentes opinions sur le si
t les poignets, les pieds et les chevilles. En stimulant la peau, l'
auteur
a reconnu que la chair de poule produite s'éten
ntiguïté avec celles des nerfs afférents aux sur- faces excitées. L'
auteur
rapporte un certain nombre de cas expéri- menta
CINQUIÈME NERF; par David FERMER. (Brain, part. I, , lu, p. 1.) L'
auteur
expose dans son discours d'ouverture de la sociét
s réflexes; par FRASER HARRIS. (Beain, part. II, 1894, p. 232.) L'
auteur
fait d'abord deux grandes divisions en : 1° Réfle
a longuement insisté sur cette double action. Les expériences de l'
auteur
faites sur le singe viennent à l'appui de cette m
ntes par- ties du corps ? Ses conclusions sont les suivantes : 1° l'
auteur
donne un tableau très détaillé des résultats de
est surtout dans la progression, dans l'évolution des symptômes. L'
auteur
insiste sur la difficulté du diagnostic dans de
loguitschesky Yestnik [Messager de Neuro- logie], t. II, F. 3.) L'
auteur
arrive aux conclusions suivantes : Sous l'influ
ky Vestnick [Messager de Neurologie], t. II, f. 3, Kazan 1894.) L'
auteur
rapporte deux observations qui prouveraient l'uti
cas de les rendre beaucoup moins fortes et moins fréquentes. ` L'
auteur
a été amené à adopter cette combinaison pour des
On sait en quoi consiste la méthode mécanique de Fraenkel. Pour cet
auteur
, on doit comparer un ataxique à un enfant à qui
; par Joseph Collins M. D. (Médical Record, 22 septembre 1894.) L'
auteur
, après avoir passé en revue les différents moyens
s le traitement de l'aliénation mentale, depuis Pinel etEsquirol. L'
auteur
rappelle les noms et l'oeuvre de Heïnrotll, de
uartier spécial organisé par lui à Ville-Evrard depuis cinq mois, l'
auteur
tire les conclusions suivantes : I. L'ivrogne e
eur traitement médical, une série d'adjuvants, d'auxi- liaires. L'
auteur
, après avoir rappelé le grand nombre d'épilepliqu
rconscrit tournant autour d'une idée fixe suivant le sens des vieux
auteurs
. Voici, par exemple, une paysanne de soixante a
troubles survenant au cours ou à la suite des infections aiguës, l'
auteur
distingue ceux qui sont une manifestation directe
IV. Du Béribéri; par Périot. (Thèse de Montpellier, 1894, no 37.) L'
auteur
arrive à cette conclusion, que le béribéri est un
s et per- vertis sexuels; par Daniel Austin. (M. L. J., XI, 3.) L'
auteur
propose la castration comme moyen de sélection de
anique les mys- tères de la reproduction et de l'union des sexes. L'
auteur
entre- prend une enquête auprès des familles qu
d moins la nécessité de multiplier les termes, les incertitudes des
auteurs
antérieurs qui les ont multipliés et qui, après
ou 1·Vahnsinn sensoriel aigu (de Schuele) ou sommations (des autres
auteurs
), Orchansky voit une obnubilation plus ou moins
le second, elle n'en représente plus que les décombres. » Le même
auteur
parle aussi d'une Verwirrtheit astlaénique (à l
nt alors qu'un rôle accessoire concomi- tant, et c'est pourquoi les
auteurs
ont décrit des accès de ! 00 CLINIQUE MENTALE.
ïa simple avec prédominance d'idées délirantes primitives. Mais cet
auteur
fait aussi remarquer que la para- noïa dissocia
lignes auparavant, ce qui indique l'importance contingente que des
auteurs
des plus autorisés attachent à ce côté de la qu
elques observations indiscutables. Relevons l'opinion incidente des
auteurs
à ce sujet : elle est en rapport avec l'impress
ynaud a été nettement indiqué, est due à Armain- gaud. En 1876, cet
auteur
a lu devant l'Académie de médecine de Paris, un
forme vaso-motrice intermittente. Au cours des accès de cyanose, l'
auteur
a examiné attentivement le fond de l'oeil à l'o
puis la température continua à s'élever sans nouvelle suggestion. L'
auteur
put en vingt-quatre heures faire varier en plus
efroidir. » En même temps qu'une varia- tion dans la température, l'
auteur
a signalé une grande diffé- rence dans les poul
présence de l'hystérie. Le fait est même pour ainsi dire banal. Les
auteurs
, sans voir le rapport, ont noté la coïncidence.
1893, et 31edico-legal Joui-izal, 7 septembre 489, v. XI, n 2.) L'
auteur
cite plusieurs exemples d'impulsions épileptiques
gré l'avis contraire d'un médecin aliéniste entendu comme expert. L'
auteur
conclut à l'entière assimilation de l'épileptiq
le traitement des malheureux épileptiques qui en peuvent être les
auteurs
. A. Marie. ' Expression d'IIutcliinson. REVUE
le le suicide à un délit punissable d'amende ou d'emprisonnement. L'
auteur
démontre que c'est là une réaction pathologique
es médico- psychologiques, 1894.) En étudiant les incendiaires, l'
auteur
a rencontré deux catégo- ries : 1° la première
mouvement pro- voqué aux objets sans le secours d'aucun contact ; l'
auteur
de l'étude télépathique, M. Cônes, repousse tou
ar H. HULST. (llledico-legal Journal, XI, n° 3, décembre 1892.) L'
auteur
rapporte des expériences personnelles sur les éta
double diagnostic de siège, avant de procéder à une laminectomie. L'
auteur
signale les contre-indications (tuberculose gén
ferrugineux et arseni- caux, avec toniques divers à l'intérieur. L'
auteur
passe en revue les diverses hypothèses étiologi
édical Journal, 23 juin 1894.) Observation à propos de laquelle les
auteurs
rappellent quelques cas analogues de publicatio
ue; par William WHITE. (British Médical Journal, 23 juin 1894.) L'
auteur
rappelle que l'opération actuellement préconisée
un cas, ischémie papillaire et oedème rétinien à propos duquel les
auteurs
rappellent la névrite optique signalée par Gowe
a maladie, le malade peut marcher assez librement sans soutien. L'
auteur
, après avoir exclu le mal de Pott, à cause de la
ement aux phalangettes. Après une longue discussion pathogénique, l'
auteur
se rallie à la conception de Marie, qui rapproc
Yestrzik) (Messager Neurologique, t. II, fasc. n° 3.) , D'après l'
auteur
, la syphilis peut être considérée comme un des
puisque sa sensibilité peut être modifiée. Grâce à ce dispositif, l'
auteur
a pu faire une élude nou- velle d'un certain no
i était primitive. C'est à cette dernière opinion que se rattache l'
auteur
dans ce cas. P. S. XV. Pathogénie ET traitement
symptômes relevés dans les observations de goitre exophtalmique, l'
auteur
pense que la né- vrite périphérique est un épip
lis DE la moelle; par SAciis. (Brain, part. III, 1893, p. 405.) L'
auteur
pense qu'on peut arriver au diagnostic de syphili
nerfs biliaux, et les vaisseaux étaient très athéromateux. Mais l'
auteur
n'ose pas se prononcer sur le rapport de causalit
itrine, de goitre exophthalmique. Les observations rapportées par l'
auteur
viennent à l'appui de l'influence nerveuse. Dan
plus manifestes et plus fréquents. Au point de vue étiologique, l'
auteur
pense que dans les nombreux foyers de tuberculo
dans aucune des mala- dies de Morvan, avec autopsie, étudiés par l'
auteur
, pas plus qu'on n'a relevé dans les nerfs périp
e neurologique, 1893.) Les faits recueilis depuis longtemps par l'
auteur
lui ont permis de diviser les myélites de la tu
des tares héréditaires certains, qu'elle guérit toujours. D'autres
auteurs
en rapprochent d'autres complexus morbides. Il
prochent d'autres complexus morbides. Il est indubitable que chaque
auteur
a en vue, dans l'espèce, des formes psychopathi
pres familles; le défaut de surveillance et de soins paraissait à l'
auteur
être l'objection la plus sérieuse à cette organ
S. X. Des aliénés criminels; par C. ALL.1m.%N. Th. Paris, 1891. L'
auteur
range de la sorte, par ordre de bénignité décrois
termédiaire flottant entre 1511. l VARIA. l'asile et la prison. L'
auteur
recommande la création d'asiles d'aliénés crimi
ninterrompue pendant huit jours sans amener le sphacèle. D'autres
auteurs
ont pensé que la gangrène était un phé- nomène
Mitchell et de Lewin et Benda, il s'est agi d'améliorations que ces
auteurs
considèrent comme des rémissions. Archives, t
, exagération de faits physiologiques. D'après l'avis de nombreux
auteurs
auxquels nous nous rallions, ce ne sont pas des
nlenburg. Lewin et Benda ré- sument dans leur mémoire l'opinion des
auteurs
(Berliner Kliie. Cen- tralblatt, janvier 1894).
lipliel, par congestion de l'iris, sont d'ordre vaso-moteur, où cet
auteur
a pu décrire un foie dit vaso-paralytique, Isco
e de causes psychiques. En ce qui concerne l'érythi,oinélalgie, les
auteurs
, d'habi- tude, font une pathogénie par comparai
ts décrits alternativement, suivant les préférences phonétiques des
auteurs
, sous les noms de Wahnsinn, Ve2rücktbeil, Paran
ue montre avec plus de vigueur encore l'analyse bibliographique des
auteurs
français présentée par M. Cramer. Elle nous met
définitions exactes. Nous résumerons cette partie de son étude. L'
auteur
reconnaît que la folie systématique chronique ou
E LA PARANOÏA. 191 C'est reconnaître implicitement les opinions des
auteurs
allemands ayant fabriqué ou adopté, à la suite
NTALE. système nerveux central (très souvent consécutif, pour les
auteurs
les plus récents, à l'infection ou à l'auto-intox
olie générale (Rosenbach); Paranoïa aiguë ou hallucinatoire (divers
auteurs
); Primary confusional insanity (Spitzka) ; Ac
rante. Ce qui sépare cette dernière maladie (appelée par beaucoup d'
auteurs
délire hallucinatoire aigu) de la paranoïa aigu
r, à des traumatismes crâniens antérieurs à la strangulation. Cet
auteur
prétend, en effet, dansson excellent ouvrage sur
t été signalée ». C'est pour rectifier cette opinion erronée c d'un
auteur
justement estimé » que M. Régis entreprend ce t
'amnésie, M. Régis croit que les diver- ses opinions émises par les
auteurs
allemands sont moins inconci- liables qu'elles
la nature systématique DU TABES dorsal; par le Dr 130ftGHEBIN1. L'
auteur
a étudié une malade atteinte de tabes incipiens v
éré. Cependant, au milieu de cette confusion symptomatologique, l'
auteur
a réussi à fixer certains points de différenciati
semble de déductions anatomiques, symptomatiques et étiologiques, l'
auteur
se voit autorisé à faire de la rigidité généra-
hez un tabétique; par le Dr Pitres. L'observation présentée par l'
auteur
est un nouvel exemple de cette forme de gangrèn
langue, de propulsion des lèvres, etc. Les chiffres présentés par l'
auteur
montrent que l'énergie et la rapidité des mouve
argée et des stigmates physiques et psychiques de dégénérescence. L'
auteur
se refuse toutefois à considérer ces perversions
de la paralysie générale progressive est le résultat pour certains
auteurs
d'une encéphalite interstitielle, et pour d'aut
sur un certain nombre de considérations théoriques et cliniques, l'
auteur
établit dans cette note que, dans l'état actuel
ux directs et croisés; par COL31AN. Iiraia, part. I, 1894; p. 86. L'
auteur
est amené à ces conclusions, qu'en l'absence de
part. II, 1894, p. 179.) Dans la première partie de son travail, l'
auteur
passe en revue et donne des observations des di
nérescence : du reste, sur les 77 aliénés examinés à ce sujet par l'
auteur
et présen- tant ce stigmate, 40 étaient des idi
par le Dr KLIPPEL. (Annales médico-psychologiques, oct. 1894.) L'
auteur
, dans un précédent mémoire, a montré que le foie,
e différente de celle des autres asiles d'aliénés. A ce propos, l'
auteur
indique de façon fort complète quelles sont ses
aractéristiques, la syphilis ayant alors agi comme cause directe, l'
auteur
estime que la paralysie générale est le résulta
de leur donner toute la liberté compatible avec leur sécurité. L'
auteur
estime qu'il ne faut jamais désespérer de la guér
é. (Bull. de la Soc. méd. ment, de Belgique, septem- bre 1894.) L'
auteur
relate dans ce travail les observations de deux f
(.47-chiu f. Psychiat., XXVI, 1.) Etude historique et critique des
auteurs
et de la pathogénie psy- chique de la parole in
même genre de symptômes; et il n'est pas toujours apparent dans les
auteurs
anciens s'il s'agit d'hallucina- tions, de pseu
Trois observations personnelles. Dix observations empruntées aux
auteurs
russes. Autres observations empruntées à la bibli
S. Dans une communication marquée au coin du plus haut intérêt, l'
auteur
décrit certains cas où-le délire des persécutions
délire des persécutions. Au point de vue de leurs hallucinations l'
auteur
divise les persé- cutés systématiques en trois
u clinique et dirigent la scène pathologique. Ce sont ces cas que l'
auteur
a rangés sous le nom de variété psycho-motrice
dernier mot est loin d'être dit, cette méthode est insuffisante. L'
auteur
en a mis deux principales à profit : l'une est
llis dans son vaste ser- vice de l'hôpital de BicêLre, a permis à l'
auteur
d'élucider un grand nombre de points spéciaux d
eloppement du système nerveux est étudié dans le second chapitre. L'
auteur
s'est efforcé de considérer le plus possible l'em
ondes, au contraire, nous fournissent la texture même du cerveau. L'
auteur
a mis à pro- fit ces deux méthodes. Le cervea
igneuse à l'aide de coupes horizontales ou légèrement obliques. L'
auteur
étudie ensuite l'écorce cérébrale et termine par
ucoup plus aisés à comprendre, il en est un nouveau, décrit par les
auteurs
, le faisceau occipito-frontal, reliant le lobe
ystème nerveux, grâce aux nombreuses recher- ches personnelles de l'
auteur
qui n'a rien décrit sans l'avoir vu et -contrôl
sser sans éloges l'artiste, M. Gillet, qui a prêté son concours aux
auteurs
, et qui a su rendre avec une aussi grande nette
t, ingrate par excellence, funeste souvent, inutile toujours. ' L'
auteur
conclue : 1° La folie puerpérale n'est pas une et
cialis làhmungen. Brochure in-8° de 8 pages. Budapest, 1894. Chez l'
auteur
. LEGRAIN (M.). Dégénérescence sociale et alcool
expériences de Férier et de Hitzig confirmèrent les données de ces
auteurs
. 1 Ce mémoire a obtenu une mention honorable à
éjà été attirée sur ces phénomènes gastro- intestinaux par quelques
auteurs
, mais on n'en avait peut-être pas montré exacte
cs, larves de mouches, etc... Toutefois, nous devons dire que cet
auteur
, tout en admettant l'excitation locale surtout de
e' et' sa teneur ont'plus particulièrement préoccupé la plupart des
auteurs
que nous venons de mettre'am'plement en scène'
ive; ou Verwirrtheit.' Qu'il s'agisse là, comme le veulent certains
auteurs
, d'un coup de fouet donné à l'inco- hérence hab
si ce que nous pourrons observer en parcourant les traités d'autres
auteurs
pour chercher un appui au délire chronique de'
ait tout. Elle serait également en rapport avec la synthèse du même
auteur
, quand, après avoir cité, comme en résumé, le W
fft-Ebin ? Schuele, Kroepelin, Kirchhou, la Verrüclitheit des mêmes
auteurs
, .DE LA PARANOÏA. 281 la Verwirrtheit ou amen
fusion mentale hallucinatoire (hallucinalorische Ver2virrtheit) des
auteurs
, celle-ci paraissant souvent se confondre avec
our établir les dénomi- nations et fixer les entités cliniques, les
auteurs
s'appuient, qui sur l'association de tels et te
n pour se rendre compte des observations, car dans le même pays les
auteurs
sont souvent loin d'être en par- fait accord. C
actéries nulle. De l'analyse et de l'étude critique de ces faits, l'
auteur
conclut que le rôle principal dans la pathogéni
lotte DE Bechterew, par HELWEG. (A1·chiv f. Psycitiat., XXVI, 1.) L'
auteur
dit que le fort trousseau de Bechterew qui part d
rritoire en rapport avec la commissure postérieure. Pour ce dernier
auteur
le faisceau central en question cesse dans les
ssage de Gratiolet, Ecker, Huxley, Wernieke). Aussi n'est-ce pour l'
auteur
du mémoire qu'une variété de cerveau normal; ce
nce. Examen à.cet égard de 316 aliénés (165 hommes 151 femmes). L'
auteur
signale l'hypertrophie de l'apophyse odonloïde de
générative des nerfs et des muscles des extrémités inférieures. L'
auteur
insiste sur la disparition des réflexes et la per
ème ner- 'veux central, de certains nerfs et de certains muscles. L'
auteur
met en relief l'encéphalite disséminée caractér
arrêt de dévelop- pement de la corne antérieure correspondante. L'
auteur
se rattache à l'idée d'une lésion vasculaire syph
de dégénérescence sont très nom- breux parmi les gens normaux, et l'
auteur
n'a trouvé que 3 p. 100 d'entre les gardes-mala
lt;' f "f.' ? ) ? f en même temps ? , ' t w . : ' ? t "" ,·vus. L'
auteur
donne, comme chiffre approximatif, cinq signes su
, parait-il, malade de l'esprit, des nerfs ou bien déliiiquatit. ,L'
auteur
appelle l'attention sur certaines anomalies que '
par la caslration le crime de viol. Les remèdes radicaux, ajoute l'
auteur
, sont les meilleurs pour les vices organiques.
joute l'auteur, sont les meilleurs pour les vices organiques. " . L'
auteur
,reconnaît, et l'on ne saurait trop l'approuver, q
prendre des habitudes d'obéis- sance du plus salutaire effet. ' L'
auteur
condamne la pratique de l'hypnotisme pour combatt
portes de l'asile; c'est ce que reconnaissait un' des malades de l'
auteur
, dans un asile d'aliénés, en disant : c C'est u
observe aux diverses périodes de la démence paralytique a conduit l'
auteur
à se ranger aux idées de Meynert, de Folsom et
, t E. B. XXVII. CONFUSION mentale; par le Dr `VOIlCESTER. r L'
auteur
en donne avec Wood la définition suivante, en tan
coup de cas rangés sous l'appellation de manie devraient, d'après l'
auteur
, être rapportés à la confusion mentale. Il y a, d
confusion mentale. * En somme, sous le nom de confusion mentale,' l'
auteur
décrit un' groupe de symptômes qui peuvent reco
dination dans les manifestations de toutes les facultés mentales. L'
auteur
, à ce propos, passe ensuite en revue les princi
pour l'aliénation mentale; par le Dr Stearus. Les conclusions de l'
auteur
sont les suivantes : jusqu'à ce qu'un jour bril
es et des trompes détermina l'apparition de troubles délirants. L'
auteur
institua, comme traitement presque exclusif, une
noyau de la quatrième paire ou noyau IV comprendrait d'après les
auteurs
trois groupes de cellules : 1° le noyau IV à peti
is ici l'équité se trouvait d'accord avec le respect des aïeux et l'
auteur
a pu se laisser guider dans l'expression de son
rochure in-8° de 16 pages, 13 figures. Constantinople, 1895. Chez l'
auteur
. Kaffalovicii (M. -A.). -Die L'zl2viclcelzeng d
émianopsie qui fût sous la dépendance de l'hystérie. La plupart des
auteurs
qui avaient semblé admettre un moment l'existen
trique du champ visuel plus accusé qu'à l'ordinaire. Aussi tous les
auteurs
qui ont parlé de ce phénomène comme M. Greco (d
tionnelle dans la neurasthénie et dans la névrose traumatique . Les
auteurs
n'admettent dans les cas qu'ils décrivent aucun
se modifier de bien des façons. J'ai déjà montré, comme beaucoup d'
auteurs
, qu'il peut s'élargir énormément et redevenir m
gt;Ab5"' Clli 1 " ! 1 wi'i,xm ? U',M ? i ...x/ semble par plusieurs
auteurs
et notamment par M. Fere'Leur .inill'l. l. >
convulsions ont été prédominantes. Enfin, d'après Sée et plusieurs
auteurs
, le nystagmus est plus fréquent qu'on ne le pen
ns un état de mal le plus souvent. Elle a déjà été signalée par les
auteurs
; dans un cas nous l'avons vue persister pendan
r des causes invoquées par Little. M. Brissaud pense avec plusieurs
auteurs
que ces diplégies cérébrales, liées à l'arrêt d
s, qu'il faut attribuer la diversité des termes dont se servent les
auteurs
pour les désigner. Quels sont donc les rappor
dits athétoïdes ou choréiformes avec le tabès auquel la plupart des
auteurs
, consi- dérant cette maladie comme une affectio
s de mouvements athé- toïdes décrits dans le tabes, décrits par les
auteurs
, on n'a pas fait attention à l'état des nerfs p
soup- çoniier-la névrite. - Ces diverses considérations portent l'
auteur
à admettre que, pour que les mouvements involon
mme on le voit pour les névrites périphériques multiples. Enfin l'
auteur
propose la dénomination d'amyotaxie pour dési-
peler syndrome athétoso-ehoréique. , L'observation, publiée par les
auteurs
, est un nouvel exemple des rapports étroits qui
ait principalement sur le médius et l'annulaire symétriquement. Les
auteurs
libérèrent les doigts par une-opération qu'ils
5, nouvelle attaque pendant onze mois. Mort dans l'été de 1886. L'
auteur
conclut à l'hystérie. P. K. XXXIV. DES formes D
espèces de psychoses qui se sont montrées chez les victimes et les
auteurs
des procès de sorcellerie. Quelles maladies men
s- TRUEL; par A. Scuoefer. (Allg. Zeitsch. f. Psychiat., L. 5.) L'
auteur
a examiné à ce point de vue 263 aliénées se répar
ne congestion des méninges ou des autres nervures; enfin quelques
auteurs
pensent que l'attaque épileptiforme est liée à de
la plus grande publicité. A priori, il est permis de penser que les
auteurs
de ce factum ont surtout en vue d'exciter dans
vants et d'aliénistes. C'est ce qu'ont oublié de lui conseiller les
auteurs
de la brochure ! Les critiques dirigées par eux c
étude des maladies mentales. Ce travail a nécessité de la part de l'
auteur
des recherches nombreuses, laborieuses; il a dû c
est des plus instructifs; le De Chaslin examine successivement les
auteurs
fran- çais, allemands, russes, anglais, américa
e). Georget appelle stupidité la démence aiguë d'Esquirol; d'autres
auteurs
, Etoc-De- mazy, Calmeil, Ferrus admettent génér
er cette forme comme une variété du délire mélancolique. Ce dernier
auteur
fai- sait en effet remarquer que la lypémanie c
les Archives générales de médecine (mai et juin 189). Ce der- nier
auteur
distingue une confusion mentale secondaire, une
, Mayser, Kroepelin, Willé, etc. Nous ne pou- vons que renvoyer à l'
auteur
pour l'examen des opinions émises en Allemagne,
grande netteté ; elle résume les nombreux travaux publiés par - les
auteurs
; elle est de-la plus grande utilité en ce sens q
'une importance absolue. -o Dans la deuxième partie de son livre, l'
auteur
expose d'une ma- nière succincte la symplomatol
ntéressante, @elle montre la connaissance approfondie que possède l'
auteur
sur ces questions. Les Allemandsont désignéso
et la psychologie pathologiques sont étudiées dans le chapitre m. L'
auteur
s'étend plus particulièrement sur la théorie de
itre de classification se trouve un résumé des idées des différents
auteurs
qui se sont occupés de cette question et qui on
e clinique très approfondie, édifiée sur de nom- breux documents. L'
auteur
, et il faut l'en féliciter, s'est efforcé d'ap-
ENT PLUS rationnel ET plus efficace ; par le D1' Stephen SMITH. L'
auteur
estime que si les États s'occupent de plus en plu
on générale, sinon ab- solue. Il est un point sur lequel tous les
auteurs
semblent jus- qu'aujourd'hui absolument d'accor
2 prouvent nettement cette transmissibilité héréditaire; ces deux
auteurs
ont pu rendre des animaux épileptiques par lésion
raient sans effets; c'est du reste l'avis de la grande majorité des
auteurs
qui ont toujours admis et défendu cette manière
de l'écorce céré- brccle (Mediciniskoïé Obozrénié, n° 1, 1894). L'
auteur
a étudié l'influence de 14 espèces de poisons sur
'écorce cérébrale est exci- table par la faradisation unipolaire, l'
auteur
après anesthésie et trépanation a essayé d'exci
Le travail physiologique varie suivant l'excitation du nerf. Mais l'
auteur
ne peut dire s'il y a proportionnalité entre l'én
tiales et finales obtenues dans les différents états morbides que l'
auteur
à soumis à l'examen. Il con- clut que : toutes
ux choses simultanément. Dans un des cas de névrose traumatique les
auteurs
ont trouvé la prédominance de la secousse négat
r le traitement du goitre exophtalmique par le courant faradique. L'
auteur
après avoir passé en revue les divers traitemen
ie des Sciences le 28 mars au nom de 1111. Apostoli et Berlioz. Ces
auteurs
ont expé- rimenté sur 7a malades la méthode d'a
de variabilité des troubles mentaux qui accompagnent le myxoedème l'
auteur
indique que, dans les cas qu'il a observés, la
'anéantissement mental. En ce qui louche le traitement thyroïdien l'
auteur
l'a expérimenté sur deux malades : il avait com
pes de myxoedème. Chez l'une d'elles, l'administration du remède (l'
auteur
donnait alors une demi-glande thyroïde par jour
produire pussent être intégrale- ment réparés en quelques mois. L'
auteur
a observé récemment deux faits qui l'ont très viv
uérir certains cas de folie avancée. Le second fait est celui que l'
auteur
vient de rapporter, la guérison d'un myxoedème
'Ize Journal of mental Science, janvier 1894.) Les conclusions de l'
auteur
sont les suivantes : 1° On fait un grand usage
la guérison complète; celle-ci est même si ordinaire que, suivant l'
auteur
, lorsqu'un ma- lade, interné pour des troubles
SANDBLOM. (The A'ezu-Yorls médical Journal, 12 jan- vier 1895.) L'
auteur
insiste sur les services que peuvent rendre ces d
te ou que l'on peut soupçonner des symptômes d'asthénopie ; 110 L'
auteur
estime qu'on aurait grand tort de laisser croire
oureuse pour avoir sur l'esprit du malade une impression durable. L'
auteur
conseillerait volontiers l'excision, à des inte
ssell BELLAMY. (The New-Yorh médical Journal, 21 juillet 1894.) L'
auteur
résume dans ce mémoire les résultats qu'il a obte
lae Jo2clnal of mental science, janvier 1895.) Les conclusions de l'
auteur
sont lessuivantes : i° l'administration à l'int
sément dans des excès de toutes sortes, le pronostic est grave. L'
auteur
décrit avec soin la dipsomanie périodique ou trim
éorie générale de la folie, fondée sur les vues particulières que l'
auteur
a touchant la psychologie normale. Pour le dire i
ition et une discussion si détaillées des idées de presque tous les
auteurs
allemands, et ils sont nombreux, qui ont écrit su
nsacrée aux lois fondamentales de la pensée normale. Tout d'abord l'
auteur
étudie la nature psycholo- gique de la représen
éroule dans un ordre logique, l'as- sociation revêt une forme que l'
auteur
appelle par étape ou cen- tralisée ; celle-ci c
ape ou cen- tralisée ; celle-ci correspond à l'aperception d'autres
auteurs
, mais à laquelle conception M. Friedmann fait l
critiquer, et fait un histo- rique de la théorie de la paranoïa, l'
auteur
donne un résumé des problèmes que soulève l'étu
Sur ce point, je ne veux noter qu'une seule chose : à savoir que l'
auteur
range dans le cadre de la dégénérescence mental
e la pareille à M. Friedmann ; mais per- sonne ne pourra dénier à l'
auteur
le mérite d'une tentative, à coup sûr originale
r du caractère russe, comme le fait remar- quer avec juste raison l'
auteur
du travail que j'analyse ici. Avant la christia
ns de vingt-cinq observations d'hémiplégie spasmodique infantile, l'
auteur
fait ressortir la fré- quence relative de l'atr
dents apoplectiformes et épileptiformes de la paralysie générale. L'
auteur
n'a pas voulu émettre une théorie donnant l'int
dant pas imaginatif, et il était plutôt receveur et enregistreur qu'
auteur
. Il élait l'observateur impassible de la nature
oubliait pas les malades des asiles et ceux du dehors et fut un des
auteurs
de ' Aftercare », société de patronage pour les
B. Détention. En ce qui concerne le séjour des aliénés à l'asile, l'
auteur
estime que la multiplicité des Commissions, Conse
stinctives possibles), sont l'objet d'une recherche méthodique (les
auteurs
entre temps condamnent la craniectomie dont ils
s les arriérés paraissent devoir être classés parmi les idiots. L'
auteur
, après avoir relaté et critiqué cette mesure inex
f, 145 , cérébrales avec autopsie, par Neff, 300. 506 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. Typhoïde, délires initia
'arti- culation chez les sourds-muets, par Féré, 207. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Abel, 383. Allaman, 153
l, 311. Jackson, 120. .lacobi, 209. Janet, l ? 337. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. S07 Janning, 121. Jull
e à celles qui sont disséminées dans nos Comptes-rendus et dont les
auteurs
des traités de médecine pourraient assurément t
rgographe de Mosso. Comme dans les expé- riences antérieures, on (l'
auteur
) travaille par séries de 4 ergogrammes; des rep
130LTON (Tlie-Jouî-12(il oflieîital Science, Avril 1901). ` ' ' e L'
auteur
conclut : 1° que l'épaisseur de la couche pyramid
ales MACDONALD (The Journal of Mental Science, Avril 1901). , Les
auteurs
décrivent avec soin leurs méthodes respectives,
nt accompli un travail pénible, il n'est pas à-la connaissance de l'
auteur
, et il n'a pas observé clu'il existe de sen- sa
hsig; par K. Schaffer. (Neurologisches Centralblatt, XXI, ? 190). L'
auteur
a étudié par la méthode des coupes en séries colo
ERAVAL. Kyste dermoïde du cerveau; par le professeur J. ÏÏALVA. L'
auteur
décrit un cas de kyste dermoïde, qui siégeait dan
es de poils et de masses graisseuses. A l'examen microsco- pique, l'
auteur
trouva, que les parois du kyste étaient couverts
ligne : « Nous publions ce fait sous la garantie per- sonnelle de l'
auteur
et sans oser nous prononcer en aucune ma- nière
estion, tombent de la coif- fure. C'est la raison pour laquelle les
auteurs
proposent de désigner ce faciès particulier de
n qu'elles'aient été signalées cà et là antérieurement par quelques
auteurs
,' date de la' communication de P. Marie au Cong
rapeutique n'est pas impuis- sante en face de ces manifestations, l'
auteur
décrit un certain nombre de types un peu arbitr
n peu arbitraires, il faut l'avouer, ce défaut provient de ce que l'
auteur
n'a pas suffisamment comparé entre eux les suje
de ce livre sont extrêmement étudiés et extrê- mement documentés. L'
auteur
y a réuni toutes les notions rela- tives à la q
il recommande ? Les conclusions sont excellentes et il faut louer l'
auteur
de con- tribuer à faire connaître au corps médi
des enfants de Bicêtre. VARIA. T' 69 C'est à cette question que l'
auteur
apporte une réponse avec sa compétence ordinair
de la moelle : hémiparaplégie croisée. Dans un second chapitre, l'
auteur
fait l'étude du diagnostic de siège des lésions
it différent des tumeurs primitives ordinaires du cerveau. Or les
auteurs
français sont très sobres de détails sur ces tume
ur venu de l'hémisphère cérébelleux du côté opposé. Pour certains
auteurs
, il est en partie le point d'origine des fibres d
e la jambe décrite par M. Babinski. Dans les faits signalés par cet
auteur
, l'asynergie, il est vrai, occupait.les Archive
es actes qui ont été enregistrés avec soin depuis longtemps par les
auteurs
. Mais pourquoi l'ictus épileptique provoque-t-i
des faits et l'observation journa- lière des sujets ont conduit les
auteurs
à admettre que dans chaque hallucination il y a
fascia lata; par J. Crocq. (Journ. de Neurologie, 1902,.n° 2.) L'
auteur
relate dans cette note trois cas de paraplégie :
e modifie pas d'une façon appréciable l'excitabilité des nerfs, les
auteurs
ont étudié expérimentalement l'action locale de
rne les différences d'action des divers agents anes- thésiques, les
auteurs
ont constaté que l'éther agit plus rapidement q
ologie , 1901, n°21.) Chez un malade atteint d'hémiplégie gauche, l'
auteur
a vu l'excitation de la plante du pied parésié
ion des muscles radiaux. Se fondant sur ces différents caractères l'
auteur
admet que le trouble moteur de son malade doit
no G.) REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 145 Les
auteurs
ont constaté, en plaçant des souris et des grenou
médullaire ; par J. Crocq. (Journal de Neurologie, 1902, n° 6.) L'
auteur
conclut de ses recherches qu'il existe deux varié
ène connu sous le nom de contraction paradoxale de Westphall, que l'
auteur
a vu survenir chez une jeune fille hys- térique
d'une excitation partie de la plante du pied. Chez le même sujet, l'
auteur
a également constaté, en même temps que le redr
DucrwoRTa. ( L7ee .Toacravl o/' llelctcal Science, Avril 1901). L'
auteur
passe en revue les divers modes d'intoxication qu
ent de la fracture : mais il n'y a plus lieu de s'étonner lorsque l'
auteur
nous apprend que cette malade était cancéreuse.
sion, sans oser l'affirmer, en l'absence de signes objec- tifs. Les
auteurs
donnent le détail des opérations chez 17 malades.
z un homme de trente-quatre ans, convalescent de fièvre typhoïde, l'
auteur
fait remarquer que malgré la diversité des caus
au der- nier congrès d'anthropologie criminelle par M. Alébrino, l'
auteur
définit l'uranisme, le penchant sexuel d'une pe
la lle.,ribilitas cerece des Allemands ; tel n'est par l'avis de l'
auteur
qui fait rentrer dans la catatonie toutes les man
de désirs actifs, pas de sensations sensuelles, pas d'ambition. L'
auteur
fait suivre ces observations de quelques remarque
s, la paralysie générale peut apparaître dans les deux ans, comme l'
auteur
vient de le constater chez un de ses malades ,
Mental Science, avril 1901.) Après un court historique du sujet l'
auteur
publie l'intéressante observation de ses deux m
qui paraissent judicieuse- ment établis et puisés a bonne source, l'
auteur
montre que la paralysie générale a commencé à d
le troisième,. le début d'une amélioration physique et mentale. L'
auteur
n'affirme pas que la codéine administrée à ces ma
rêmement fréquents dans la race juive. Dans un travail précédent, l'
auteur
estime avoir trouvé une formule appropriée, aux
nable sur le vivant par la courbe caractéristique de l'occipital. L'
auteur
entre ici dans des considérations intéressantes
ilis sont les deux principaux facteurs de la paralysie générale ; l'
auteur
a tou- jours combattu cette opinion : il divise
u point de vue étiologique les facteurs incriminés. La théorie de l'
auteur
à cet égard se résume en cet axiome : Tabicus e
e paralysies toxiques et non hystériques comme l'admettent quelques
auteurs
. En faveur de cette origine on peut du reste in
ravaux ont prouvé l'existence d'une scoliose purement hystérique. L'
auteur
estime donc qu'il y a lieu d'admettre une scoli
nt à l'envahissement des filets nerveux de l'oculo-moteur commun, l'
auteur
l'attribue à ce fait que le malade exerçant la
ec conservation des mouvements des yeux, des membres et du tronc. L'
auteur
base son diagnostic sur la marche lente et prog
tomie pathologique nous éclaire sur la nature de cette affectiod, l'
auteur
propose de la désigner sous le nom d'llpolainés
nctions constitue la tliermo-anesthésie. Dans le cas rapporté par l'
auteur
, les zones intéressées étaient celles qui conce
oublier qu'ils peuvent coexister avec une lésion orga- nique, et l'
auteur
cite un cas, très probant, où des phénomènes in
érieures, mais non pour le tronc et les extrémités supérieures. L'
auteur
ne se souvient pas qu'il ait été publié des cas d
très étendue. En fait, dans le cas qui vient d'être rapporté par l'
auteur
, la thermo-anes- thésie au sens propre du mot n
oivent être courts. Je ne sais pas s'ils sont signés du nom de leur
auteur
. Enfin le sujet conclut : Ce n'est pas ma - mém
echerches anatomo-pathologiques lurent communi- quées par plusieurs
auteurs
, entre autres par Bonnet etPoincaré, 'Foville,
. Cette altération prévue par M. Klippet dans les cas aigus que cet
auteur
rapporte put être vérifiée par lui à l'autopsie.
que cet auteur rapporte put être vérifiée par lui à l'autopsie. Les
auteurs
, à cause même du genre de malades auxquels ils se
ades présente une grande diversité. Mais, d'une façon générale, les
auteurs
retrouvent chez eux les caractères des délires
D'après - SOCIÉTÉS SAVANTES. 175 de nombreuses observations, les
auteurs
notent la fréquence de troubles pupillaires var
pupillaires sont peut-être moins importants que ne l'admettent les
auteurs
. Il a constaté la dilata- tion pupillaire, mais
ètres de mercure à la pression artérielle sur le membre sain. Les
auteurs
insistent sur l'absence des troubles de la sensib
st mort en 1900 sans que son état se soit modifié. A l'autopsie les
auteurs
ont trouvé un foyer de sclérose névroglique ava
rogramme dans le dernier numéro.) Nous prions instamment tous les
auteurs
de communica- tions à ce Congrès de bien vouloi
ver son emploi. - Dans une série de 25 observations personnelles, l'
auteur
apporte une contribution intéressante à l'étude
liénés par le repos au lit, par M. Clausalles. Th. F. Toulouse. L'
auteur
conclut à l'application curative de la méthode à
contrainte manuelle des gardes en certains cas d'indocilité. 1 L'
auteur
examine aussi les effets de la méthode sur les di
autonomie. On ne pouvait trouver voix plus autorisée que celle de l'
auteur
pour présenter, sous forme claire et précise, l
neurones entre eux, le groupement des neurones en systèmes, etc., l'
auteur
arrive à l'anatomie cli- nique spéciale des cen
arties. La première partie est à peu près exclusivement physique. L'
auteur
rappelle que les modalités électriques utilisée
ilement de l'électrothérapie pratique. - Dans la deuxième partie, l'
auteur
passe en revue les diverses affections gynécolo
9 200 . CLINIQUE MENTALE. sion qui répond aux opinions des autres
auteurs
, c'est que l'occupation par les travaux champêt
te et aussi moins rare que ne le laisserait supposer le silence des
auteurs
à son endroit. Il s'agit d'une dépression de la
eviennent plus régulières et plus abondantes. Un certain nombre d'
auteurs
qui ont écrit sur le sein hys- térique ont rapp
irecteurs commença à me dire qu'il était clair que le démon était l'
auteur
de ces visions, il m'ordonna que toutes les foi
s définitions données du tic, l'on voit que, pour la majorité des
auteurs
, le tic est un mouvement involontaire que néanmoi
lis mental par Brissaud et les observations relatées par Régis et l'
auteur
concernant les tics d'attitude ou gestes de défen
es tics de MM. Meige et Feindel, intitulé « Tic et polygone» où les
auteurs
cherchent à mettre d'accord les opinions de MM.
et (de Bordeaux) part de cette idée, admise absolument par tous les
auteurs
, que les tics sont systématisés, c'est-à-dire des
nctionnelle, pour en rechercher ensuite la variété spéciale ? » L'
auteur
termine en proposant les conclusions suivantes :
a beau- coup trop étendu le domaine des tics : à en croire quelques
auteurs
, il faudrait accorder le nom de tic à tous les
osition avec les résultats de mes observations. D'après ces trois
auteurs
, les tics ne seraient qu'une des mul- tiples ma
res, témoin les cas suivants dont l'observation est rapportée par l'
auteur
: toux nerveuse, aphonie hystérique, astasie, a
jeune homme de dix-sept ans, J.-M. Pages, vivant dans sa famille. L'
auteur
de ces incendies est un irrespon- sable qui n'a
ermet de rejeter ce diagnostic. A l'appui de cette affirmation, les
auteurs
de la communication 'apportent leur statistique
ts comparable à celui 'qu'on trouve chez les sujets sains. Mais les
auteurs
montrent qne ces trois malades n'étaient pas da
t dans le cours de l'alcoolisme chronique. A diverses reprises, les
auteurs
se sont trouvés en face de malades présentant,
rs que le diagnostic sans aide'serait tout à fait impossible. Les
auteurs
citent l'exemple de deux hommes arrivés à l'âge
naturelle pour le Bacillus fluorescens putridus est très forte, les
auteurs
ont pu avec ce microbe déterminer une infection m
irants, passent à l'acte de l'aulodénonciation, en se déclarant les
auteurs
de délits ou de crimes dont ils doivent rendre
réels, mais le plus souvent impossibles à imputera leurs prétendus
auteurs
. Une dernière catégorie de faits, sur laquelle a
idées de culpabilité, afin d'expier les crimes dont il se croyait l'
auteur
. J'ai observé également un cas d'auto-dénonciat
teint d'épi- lepsie exclusivement nocturne et de s'accuser d'être l'
auteur
de tous les méfaits qui s'accomplissaient dans
uin 1902, p. 494. Après avoir exalté les avantages du campimètre, l'
auteur
russe décrit les altérations qu'il pense devoir
u, d'ailleurs, concorde à nous faire adopter la manière de voir des
auteurs
allemands (l3riens, Strobe, Gowers), fermement
scriptions publiées, ne permettent aucun doute à cet égard, que les
auteurs
ont décrits comme neurogliomes gan- glionnaires
iques, si bien étudiées par Bourneville et Brissaud. et qu'avec ces
auteurs
nous considérons comme des lésions d'inflammati
llation de gliome à toute prolifération névroglique, la plupart des
auteurs
partagent à cet égard notre avis en ce qui concer
la place de la classification purement histologique adoptée par les
auteurs
français. une classification qui a l'avantage d
s envahissants, sar- comes malins des centres nerveux. - Certains
auteurs
, s'appuyant sur les figures cellulaires de ces
ou cellules. Nous pensons donc avec Klippel que le glio-sarcome des
auteurs
n'est en réalité qu'un sarcome très végé- tant,
famille, se trouvent des manifestations mentales très diverses. L'
auteur
responsable du mauvais état cérébral de la famill
sie générale, démences alcoolique et sénile, aphémie congénitale. L'
auteur
estime que cette corrélation de troubles foncti
mais qui s'en distingue par un état mental spécial. C'est ce que l'
auteur
appelle la neurasthénie à interprétation pessim
Ce cas est analogue à ceux qui Ont été déjà publiés par différents
auteurs
, notamment par MM. Toulouse et Marchand, cas.'
elle que l'a décrite NI. Sé-las. Dans le chapitre des symptômes l'
auteur
établit une filiation des idées de négation et
Le pronostic est très sombre, comme il découle d'un tableau où l'
auteur
a recueilli les terminaisons relatées dans 32 cas
ssent constamment a1 ce sujet, la cause en est dans le fait que les
auteurs
adoptent des définitions différentes. Les défin
t processus histologique de l'atrophie musculaire. M. G. Durante. L'
auteur
élimine les atrophies dégénératives, , qui sont
, finement grenu, qui n'est pas de la dégénérescence, mais ce que l'
auteur
distingue sous le nom de tuméfaction trouble. T
ssou. , , 11111. CI : ST1N et DUPUT-DUTEIfP3. Depuis trois ans, les
auteurs
' ont recherché la réaction de la pupille à la
er la syphilis, selon la règle posée par M. Babinski. De l'avis des
auteurs
cependant, jusqu'à la démonstration évidente pa
e l'écorce auquel on attribue actuellement l'hystérie. Toutefois, l'
auteur
ne rejette pas la possibilité d'autres formes de
r le visage, qu'une goutte d'eau n'attendait pas l'autre. Le même
auteur
, parlant du roi Saint Louis donne, d'après le C
sons pas, « elle, dont on parle tant, qu'on persécute tant, elle, l'
auteur
d'un livre célèbre, les Planètes Rocheuses. »
es, le gouvernement en trafiqua, et malgré tous les efforts de leur
auteur
, les Planètes Rocheuses furent attribuées à d'a
localisée à ce nerf. A la lumière des documents bibliographiques l'
auteur
en étudie le diagnostic diffé- rentiel, la loca
rire se contractent malgré les malades. Les deux observations de l'
auteur
concernent un tic bilatéral de ce genre chez de
, l'atrophie disparut, sauf dans les petits muscles de la main. L'
auteur
admet, que le même virus qui avait produit l'herp
(fièvre typhoïde) et par la netteté de sa symptomatologie dont les
auteurs
donnent une description complète. H. C. XX. Etu
¡i8 8 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. périphériques ou centrales. Les
auteurs
ont cherché à élucider ces divers points dans u
l'adoles- cence ; f. l'évolution chronique en quatre ou cinq ans. L'
auteur
rapporte une série de six observations clinique
rosses cellules des cornes antérieures. « Il existe donc, conclut l'
auteur
, une série morbide constituée par l'atrophie mu
être considérés comme très rares. Dans l'observation que rapporte l'
auteur
, il parait bien qne l'atrophie musculaire doubl
sonnelle suivie d'une revue des cas analogues signalés par d'autres
auteurs
, desquelles il ressort que : les mala- dies ner
un oculiste lui ayant affirmé que le nerf optique était atrophié. L'
auteur
n'eut pas de peine à se rendre compte de la nat
examen fait par M. Janet, l'oeil droit était absolument normal. L'
auteur
a mis en oeuvre, contre cette amaurose, divers pr
hamp visuel s'élargissait, mais celui de l'oeil gauche diminuait. L'
auteur
a pu ainsi constater toutes sortes de formes cu
ependant une série de signes qui i permettent de les distinguer : l'
auteur
les expose en détail dans : on travail et les rés
tit nombre d'observations d'hé- michorée arythmique hystérique. Les
auteurs
en rapportent un cas qu'ils ont observé et qui
). De cette étude nous ne retiendrons que les points suivants : L'
auteur
admet avec M. Netter que la contagion de la ménin
sants de la pathologie du tabes. Des ces analgésies viscérales les
auteurs
rapprochent un symp- tôme qu'ils ont observé, à
montre rarement seule, 2 fois sur 2 : j, dans les observations des
auteurs
. - S'il est vraisemblable que l'analgésie ocula
thésies du côté gauche pour une du côté droit. La statistique des
auteurs
, portant sur 388 observations, montre que les h
ue, novembre 1899.) Résumé et conclusions du travail publié par les
auteurs
dans les Archives de psychiatrie et neurologie
t la règle dans l'état ataxique. 7° Il résulte des observations des
auteurs
une loi générale qui ne subit que de rares exce
M. G. Ballet et Bernard. (Revue neurologique, novembre 1899.) Les
auteurs
estiment qu'il faut reconnaître quatre catégories
e ; par le Dr Babinski. (Revue neu- 1'alogique, novembre 1899.) L'
auteur
, dans un mémoire du plus haut intérêt clinique, d
ilité à l'extrémité z des doigts et au bord interne de la main. L'
auteur
, dans une intéressante discussion, montre qu'une
la main gauche et le plus grand nom-bre de ceux de l'avant-bras. L'
auteur
, dans une discussion intéressante et documentée d
érescence secondaire. Pour ex- pliquer la genèse de l'hémiplégie, l'
auteur
pense que tout a été sous la dépendance de la c
l'on veut obtenir une action un peu durable. Il est à noter que l'
auteur
n'a jamais constaté que la digestion ait été tr
l rend plus difficile la lutte contre l'onanisme : d'après quelques
auteurs
il favoriserait même l'onanisme ; 17° la plupar
ats obtenus ont t été très peu favorables. De leurs recherches, les
auteurs
croient devoir conclure qu'il faut renoncer à e
e, janvier 1901.) Ce travail est lui-même une analyse de celui de l'
auteur
, qui prend pour point de départ de son étude la
gendrée et propagée ». Pour remédier à ce fâcheux état de choses, l'
auteur
indique et propose une série de mesures à la fois
a folie ; par Seymour TUKE. (Brit. med. · Joum., octobre 1901.) L'
auteur
résume un certain nombre de desiderata qui, en Gr
G. H. S1YAGE. (The Journal of Mental Science, Avril 1901.) - - L'
auteur
estime que l'on abuse des voyages dans le traitem
stituent un traitement précis de certains états morbides précis : l'
auteur
laisse de côté les malades dont l'état somatiqu
terreur de damnation éternelle. - Enfin, pour être plus précis, l'
auteur
proleste contre la pratique très répandue de fa
e pense qu'il ne faut jamais les faire voyager; et pour conclure, l'
auteur
déclare que, à son avis, on fait voyager beauco
os, dont on trouvera la relation clans cette note, ont démentie à l'
auteur
que l'antipyrine possède une action excitante mai
particulières, et toute la différence entre les opinions des divers
auteurs
consiste en ce que, tandis que les uns ont de l
e même produire un effet favorable sur l'état mental du malade. L'
auteur
applique la méthode de l'alitement depuis six moi
s ramener à l'ancien régime; après l'expérience qu'il en a faite, l'
auteur
est devenu le plus ardent partisan de la méthod
oanl of hasanity, 1901, p. 601-614.) - On a fait davantage, dit l'
auteur
, pour les cas de folie aiguë que pour les malad
; par le Dr ! II. IeonE. (Revue Neuro- logique, décembre 1899.) L'
auteur
communique les résultats de l'étude de deux nouve
es furent moins accusés. Les observations faites d'autre part par l'
auteur
dans le délire au cours des maladies aiguës, tend
(Revue de psy- chologie clinique et thérapeutique, juin 1899.) L'
auteur
a été appelé à donner ses soins à un hystérique,
ie. Un premier essai fait sous la surveillance et la direction de l'
auteur
fut pleinement couronné de succès ; le malade s
a guérison était complète ; elle persistait six mois plus tard. L'
auteur
fait observer que, dans ce cas, l'amélioration ra
sé la pieuse mission de la mettre au courant des idées actuelles, l'
auteur
a voulu écrire de sa main, déjvtrem- blante, to
de Stras- bourg de 1851 à 1860. Ce sont des modèles dans lesquels l'
auteur
montre à la fois ses connaissances approfondies
s termes sui- vants : « C'est avec joie que nous l'avons reçue de l'
auteur
, dont les rapports sur l'asile de Stéphansfeld
tion lymphatique dans le névraxe. C'est au quatrième chapitre que l'
auteur
a donné les plus larges développements. Après a
ré d'un jour nou- veau les processus méningés les plus divers, et l'
auteur
après un court résumé de la technique histologi
ouvera le reflet des travaux du Pr Bris- saud, du D1' Widal et de l'
auteur
; l'enseignement du Pr Raymond. Le second, sous
cooliques) ; sorties, 123 ; décédées, 104. « Nous avons, disent les
auteurs
, comme les années précédentes, suivi, pour éta-
quirol, Marc et Georget, décrite après Morel et comprise par divers
auteurs
sous les idées fixes (Buccola), idées incoercib
Tambu- rini, idées impéralives par Hack Tuke, ces trois derniers
auteurs
considérant l'obsession comme un trouble- propre-
ondaires et dus au conflit entre l'idée et la volonté. » D'autres
auteurs
qui considèrent l'émotion comme jouant le rôle
s'embrouillent et je ne puis plus démêler le vrai du faux. o Les
auteurs
qualifient encore l'idée obsédante d'irrésistible
ent présenter, cependant, un caractère particulier, auquel certains
auteurs
ont donné le nom de contraste. C'est lorsqu'ell
Haenel (Netcrolo. Cczhul6l., 1900). A la suite de la discussion, l'
auteur
établit que la recherche de ce réflexe peut être
tépileptique : par 1. HERMANN (Obozrénié psichiatrii, V. 1900). L'
auteur
décrit un désordre psychique passager survenant c
Travail étendu, très intéressant, très documenté, qui conduit son
auteur
aux conclusions suivantes : I. -'l'outes les pr
même région peuvent aussi donner naissance à la mélancolie. IL L'
auteur
avance qup, à l'origine de la mélancolie simple,
veuse ; parle Pr Marinesco. (Revue neurolojiquc, octobre 1899.) L'
auteur
, dans un mémoire du plus haut intérêt résume la s
Bonne. (Revue neurologique, septembre 1899.) Les conclusions de l'
auteur
sont les suivantes : 1° Le canal de l'épendyme
ension, le réflexe contra-latéral se fait aussi en exten- sion. Les
auteurs
ne sont pas en mesure de dire s'il existe ou non
rès ingé- nieuses dont on trouvera la relation dans ce travail, les
auteurs
se croient autorisés à affirmer que toutes les
de cette impulsion, l'origine physiologique de la couleur. Ce que l'
auteur
entend soutenir, c'est que ces deux facteurs sont
le degré immédiatement voisin de la cécité absolue des couleurs. L'
auteur
a pu observer un cas où le malade présentait de
t ajouter dans certains cas celles de Marchi et de 1\'eigerl-Pal. L'
auteur
entre dans quelques détails sur les application
tablit. Ils démontrent, en outre, comme l'ont déjà avancé plusieurs
auteurs
, que la substance cromophyle n'est qu'une matiè
ngton et GRiiN13AU.NI(Bi'it. mecd.Jourrzttl,Sdécembre1rJ01.) .) Les
auteurs
reprenant les recherches de Terrier, Bewor et Hms
fréquence des troubles de la mimique faciale chez les nerveux, les
auteurs
appellent en même temps l'attention sur certain
ures ; par Cli. MUE. (Revue de médecine, 1902.) Expériences que l'
auteur
a faites sur lui-même, à l'ergographe de Mono p
t en particulier de la valeur théra- peutique de la suggestion. L'
auteur
rappelle la classification de Binet relative à la
et relative à la sugges- Libilité des enfants dans les écoles : cet
auteur
les divise en quatre catégories : 1° enfants pl
se déga- geant temporairement de toute préoccupation d'hérédité. L'
auteur
. rapporte ici assez longuement l'observation d'
ogie, plutôt que de la médecine ou de la pédagogie. En terminant, l'
auteur
va au-devant d'une objection : on lui reprocher
, les faibles d'esprit sont atteints dans toutes leurs facultés : l'
auteur
reconnaît qu'il en est ordinairement ainsi. Enf
mzul of Mental Science, Avril 1901). Les conclusions générales de l'
auteur
peuvent se résumer ainsi : La folie consécuti
1901.) Après avoir relaté ou rappelé quelques faits cliniques, l'
auteur
fait remarquer que l'accord n'est pas fait pat
lation qui soit invariable. Après avoir rappelé l'opinion de divers
auteurs
, M. Zederbaum remarque que la plupart d'entre e
la folie puarpérale demeurent encore obtures et con- troversées : l'
auteur
parait incliner à la rattacher à l'hypertrophie
le existe chez eux depuis plus longtemps. L'expérience a montré à l'
auteur
que les paralytiques généraux n'avaient jamais
ce, juillet 1901.) Travail renfermant plusieurs observations dont l'
auteur
tire les conclusions suivantes : . - « La rêv
rurit, signalé par Sarbo au début de la para- lysie générale, que l'
auteur
a recherché dans cette affection, et qu'il a re
de psychologie clinique et thérapeutique, juillet-août 1899). Les
auteurs
font ressortir dans ce travail l'identité de cert
placés par elles ou les remplacer. Cette identité est telle que les
auteurs
spirites ont dû la reconnaître ; mais ceux-ci, se
stic difficiles à trancher, si l'on n'est pas sur ses gardes. » L'
auteur
rapporte l'observation d'un malade chez qui ont é
nt des lésions de polynévrite avec retentissement sur la moelle : l'
auteur
en rapporte trois observations probantes. La
. Quelle est la cause psychologique de ce délire ? De son étude l'
auteur
fait ressortir les deux conclusions sui- vantes
manifestations constantes et caractéristiques de la maladie dont l'
auteur
donne la monographie, dans une longue étude aus
signe quelconque de trouble moral ou d'anomalie intellectuelle. L'
auteur
estime que la plupart des cas de paralysies génér
nt pour retomber ensuite dans l'immobilité et le mutisme. D'après l'
auteur
, ces accidents ne sont pas d'origine hystérique
nnées permettant de démon- trer le bien fondé de cette hypothèse, l'
auteur
se borne à affimer qu'il existe une maladie, à
, à toutes les phases de la paralysie géné- rale chez 14 malades, l'
auteur
tire un certain nombre de conclu- sions que nou
au son de la musique, l'enseignement attrayant et intuitif, etc. L'
auteur
fait suivre cette observation des réflexions su
NTALE. Ces différents accidents ne peuventêtre attribués, d'après l'
auteur
, qu'à la maladie de Kirsakow et en raison de l'
souvent consécutive à la chorée. Dans les deux cas rapportés par l'
auteur
il y avait eu plusieurs attaques de chorée, ce
ent exposés à la tuberculose. C'est au moyen des statistiques que l'
auteur
se propose de l'étudier, sans méconnaître tout
et c'est en étudiant ces recherches judicieusement conduites que l'
auteur
a commencé à mettre en doute la légitimité de l'o
maladie. L'hygiène et la prophylaxie suffiront à cette lâche; et l'
auteur
, en terminant, indique quelques-unes des condit
tômes de la névrose d'an- goisse dans des articles déjà signalés, l'
auteur
établit des conclu- sions sur la nature de la m
ses variétés, son pronostic et sa thérapeutique sont esquissés ; l'
auteur
termine en développant ce point de vue que la m
ues aux deux premières périodes de la maladie. De ces divers cas, l'
auteur
pense devoir dégager les conclusions suivantes :
lex. 11013LeRTSON. (The Journal of Mental Science. Avril 1901.) L'
auteur
a pu rassembler 15 cas bien nets d'hallucinations
ale; par F. Robertson. (Brit. cnecl. Journul, 26 octobre 1901.) L'
auteur
développe d'après des recherches histologiques pe
ontrant des altérations de cellules nerveuses à di- vers degrés ; l'
auteur
développe la théorie d'une imprégnation toxique
cartilages chez un géant de trente ans montre l'erreur possible des
auteurs
qui ont cru pouvoir, d'après cette persistance,
demande si le signe de Babinski, qui n'existe pas de l'avis de son
auteur
dans tons les cas où le faisceau pyramidal est lé
des symptômes précis. Utilisant ces 40 observations personnelles, l'
auteur
fait une élude clinique des plus intéressantes
éphrénique de Ii-aepelin. Les 34 autres sont des formes graves où l'
auteur
dis- VARIA. 1 543 tingue une variété torpide
la vengeance de ce dernier. Puis enfin il a reconnu être lui-même l'
auteur
du crime et avoir caché l'argent volé cent fran
tiles et nystag-- mus congénitaux. Essai de classi- 554 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. Ccation séméiologique ,
lemémeterri- toire,'par Armand Delille et Camus, 534. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Abadie, 434. Adamkiewic
, 459. Savage, 441. Settafrer, 57. Scherb, 439. 556 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. SCI)erriiil-lon, 505.
e mémoire sur la Folie ci double forme. . Les travaux de ces deux
auteurs
ayant servide hase à la conception actuelle del
ité de la marche delà folie. Dès cette époque, cependant, plusieurs
auteurs
, Dubuisson, Fo- déré, Anceaume, etc., avaient é
lop- pée depuis, comme nous le verrons, par Morel et par quelques
auteurs
modernes. Le seul point intéressant à retenir d
Gazette des Hôpitaux, par Pierre Falret, leçons dans lesquelles cet
auteur
mentionne à côté des types intermittents de la
Falret, la seule différence consistait dans ce fait que ce dernier
auteur
considérait comme faisant partie inté- grante d
ronostic, etc., tous caractères qui ont été reconnus exacts par les
auteurs
qui ont suivi et qui sont encore aujourd'hui un
mélancolie classiques une nouvelle entité clinique à laquelle ces
auteurs
ont respectivement donné le nom de folie circul
termittentes. A l'étranger, surtout en Allemagne, la plupart, des
auteurs
s'étaient déjà ralliés aux idées défendues en F
ancolie. « La maladie, dans. sa totalité, représente alors, dit cet
auteur
, un cercle morbide dans lequel ces deux formes
ongrès de médecine de Berlin, que les distinctions établies par les
auteurs
entre les folies intermittentes, les folies alt
scription très exacte de la folie maniaque-dépressive. Les autres
auteurs
, ou gardent le silence sur.la nou- velle entité
itre, n'a pas été moins sévère : « Dans ces derniers temps, dit cet
auteur
, Kroepelin a singulièrement étendu le domaine d
int aux idées déjà exprimées, à la suite de Kroepelin, par quelques
auteurs
étrangers tcls du'Erl) Taalman (de Dordrecht),
eygandt est encore plus catégorique : « On établit souvent, dit cet
auteur
, une distinction entre la manie simple et la ma
également considérer la manie simple comme une entité morbide : cet
auteur
va (1)lR : cs. /)) Précis de psychiatrie 190G p
l avait inscrits comme tels à leur entrée à.l'asile ? « Or, dit cet
auteur
, je dois déclarer que le résultat de cette enqu
s ces faits on peut conclure que la limite tra- cée par les anciens
auteurs
, entre la manie et la mélan colie simples d'une
Nous ferons remarquer en premier lieu que, de l'avis de tous les
auteurs
, les cas de manie périodique ou de mélancolie p
cès d'excitation (mélancolie intermit-. tenle à type irrégulier des
auteurs
français). Par conséquent, en envisageant non p
commel'avait déjà faitobserver Griesinger, et à sa suite différents
auteurs
, on peut affirmer que tous les accès prétendus
caments convulsivants, la belladone, l'atropine, la picro-luxine. L'
auteur
, qui s'est occupé de la question et a fait des
mnambulisme épileptique les dé- lires transitoires parmi lesquels l'
auteur
range les accès de folie périodique. Le médic
ait encore les petits fragments de glande greffés sous la peau. Les
auteurs
pensent que les progrès obtenus chez cette enfa
t U. C. lloDSStrts. (Boston med. surg. journ., 15 juin 1905.) Les
auteurs
ont soigné l'état de mal par des injections hypod
0 ce. dès le début des convul- Les accès cessent rapidement, et les
auteurs
n'ont pas observe d'abcès. Une induration sensi
aux cataplasmes glycérines. côte de l'ef- fet antispasmodique, les
auteurs
ont noté une action diurétique et stimulante. P
si l'on s'en rapporte à certaines expériences faites par différents
auteurs
sur les animaux, la disparition de l'élément no
r. de la Salpêtrière, 1)05, n° 2.) La crampe professionnelle, que l'
auteur
propose d'appeler « ataxie professionnelle », e
s'est exercée la sagacité thérapeutique etc'est il son propos que l'
auteur
expose sa méthode. Il débute parle massage, mai
ucation de l'écriture, et pour laisser en repos les fléchisseurs, l'
auteur
apprend à ses malades l'ecritmo avec la main re
et du pleurer spasmodiques et dont une a été sui- vie d'autopsie, l'
auteur
tire les conclusions suivantes : La couche opti
ésions médullaires, bulbaires et protubémnlielles décl'iles par les
auteurs
ont été constatées chez un homme qui a suc- R
symptômes déterminés. On les appelle alors des lésions hanales. Les
auteurs
pensent que celte objection n'a pas de valeur, pa
riphériques. Il en sera de même pour les lésions cellulaires. Les
auteurs
rapportent un très grand nombre de lésions cellu-
et tel toxique ou telle séméiologie correspondant. Notamment, les
auteurs
ne croient pas que la div ision établi'} par ll
cérébrales. Les phénomènes psychiques, comme le font remarquer les
auteurs
, sont indépendants delà localisa- tion de la tu
souvent causé des lésions pituitaires et des graves narcolepsies. L'
auteur
a observé par contre, l'insomnie dans les cas sui
outre de cette forme bénigne de démence précoce simple ou fruste, l'
auteur
en décrit deux autres : dans l'une, on observer
tomatiques. Ce sont ces derniers faits qui ont fait dire à quelques
auteurs
que la dé- mence précoce était curable. Le term
ionomie spéciale du siège de la lésion bien plus que desa nature. L'
auteur
les divise en trois groupes : le premier compre
ns sont l'hémiplégie et l'aphasie. Parmi les formes hémiplégiques l'
auteur
retient celle qui relève de l'atro- phie en mas
pseudo-paralysie générale progressive, pal Joseph Ingegnieros. L'
auteur
public une observation de pseudo-paralysie généra
it bien alors d'une forme stationnaire de la démence paralytique. L'
auteur
rapporte l'observation d'un malade chez qui les
Le diagnostic de paralysie générale ne paraît pas douteux pour l'
auteur
, bien qu'il ne fasse mention ni de l'existence d'
r contre-coup, insolation. Nous avons été très étonné que le savant
auteur
de l'article n'insiste par sur la S) philis par
étal dé- mentiel définitif. La fièvre typhoïde serait,pour certains
auteurs
, une cause de paralysie générale, mais en toutc
e vue de la pathogénie de ce cas de psychose de l'état puerpéral, l'
auteur
pense que l'élément essentiel est ici l'épuise-
son traitement par la suggestion hypnotique. 31. Bérillon. Certains
auteurs
ont essayé de traiter des kleptomanes parla sug
fficacité que nous lui avions attribuée. Or il faut distinguer. Ces
auteurs
ont eu à soi- gner des dégénérés impulsifs, adu
u'une étiquette provisoire ? Mais ce sont les mêmes malades que les
auteurs
ont en vue, qu'ils parlent de mélancolie pure o
ès avoir fait entrevoir que la mélancolie essentielle des an- ciens
auteurs
doit apparaître aussi comme un syndrome,) ! . Mas
rantes auxquelles le malade se résigne ou réa- git par lesuicide. L'
auteur
passe en revue les états qui simulent la mélanc
iés à des affections mentales ; 2° la mélan- colie pure de certains
auteurs
, que 31asselon appelle,avec de Fur- sac, mélanc
en revue. Quant à la mélancolie alfeclive, essentielle des anciens
auteurs
, elle constitue le gros problème : est-elle vrai-
itatrophié. » L'examen microscopique, lon- guement rapporté par les
auteurs
, du cerveau postérieur et des pédoncules cérébr
et de l'accessoire. C'est la lésion de ces derniers centres que les
auteurs
rattachent les troubles car- diaques qui ont en
on (1). Il semble que la cause de certaines divergences entre les
auteurs
au sujet de l'importance de l'inégalité pupillai-
re ces résultats et les résultats contenus dans le rapport.dont t l'
auteur
décrit une vingtaine d'espèces microbiennes banal
cetteconclusion que s'étaient t terminés, en 1901, les travaux de l'
auteur
. 11. Sasaazès (de$ordeaux). -J'ai fait, avec MM
améliorations et même des guérisons ont été obtenues par différents
auteurs
, qui n'ont pas craint d'injecter à des aliénés
ssent pres- que instantanément de l'idée à l'acte. La plupart des
auteurs
, dans ces cas, concluent à une res- ponsabilité
fusion des plus fâcheuses que commettent encore un certain nombre d'
auteurs
: responsabilité partielle et responsabilité at
porté l'examen histologique détaillé dans un cas de cette nature, l'
auteur
en recherche l'origine. Ce n'est pas, dit-il, u
freaiatriia, 1904. Vol. XXX, fascicule 1.) Pour ces recherches, l'
auteur
a employé le sublimé comme 140 REVUE D'ANATOM
vista sperimentale di freniatria, 1904. Vol. XXX, fascicule 1.) L'
auteur
a expérimenté sur des chiens les sels suivants :
. Ayant utilisé ce procédé, parallèlement à la méthode de Marchi, l'
auteur
a vu que dans quelques cas, consécutivement à l
ure ac- tuelle le mode spécial de disposition des lésions ; aussi l'
auteur
se réserve-t-il d'étudier plus tard cette quest
fascicule 1.) Les résultats obtenus par ses recherches ont amené l'
auteur
à penser que : 1° le pouvoir de reproduction de
es images, qu'il y ait distraction musculaire, vocale où mentale. L'
auteur
termine son article par quelques considérations
de Ilis, de Beard, de Galforw, d'Apathy,de Schwannet de Gegenbaur,l'
auteur
aboutit aux conclusions suivantes : 1° Les ce
tion. 144 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. L'
auteur
expose ensuite en détail les diverses manipulatio
ABUNDO. (In Rivista di neurolo- gia, Naples 1905, fascicule 6.) L'
auteur
rappelle d'abord que, dans un premier travail pub
résulte une hémiatrophie crânienne de la voûte et de la base. , L'
auteur
procéda ensuite à une nouvelle série d'expérience
sujet d'un assez grand nombre de recherches : parmi les principaux
auteurs
qui s'en sont occupé», il convient de signaler
ret et Rose, Rumeno et Rordini, Vires. Cololian, Fini et Alherti. L'
auteur
, sous la direction du profes- seur Blanchi, a c
: l'examen bactériologique a toujours été négatif. En terminant, l'
auteur
rappelle les recher- ches de Sandri qui a trouv
1;1T0. lin Rivista di neurologia. Nappes, 190 ? fascicule \'1.) L'
auteur
, ayant utilisé dans ses recherches les méthodes d
de travail exigée à l'école et la capacité mentale des élèves ? » L'
auteur
a employé les méthodes de la sensibilité tactil
, de Klehs,de Ca' agonis, et de Broca, ont élucidé divers points. L'
auteur
, ayant eu l'occasion d'étudier une moelle d'acrom
altérations veineuses liisto-patliologiques obser- xées ont amené l'
auteur
à ne considérer ces lésions que comme des modif
nues dans le cours del'acroméga- lie, contrairement à l'opinion des
auteurs
qui veulent leur faire jouer un rôle étiologiqu
;'<;ntotct. Reggio en Emilie, 1MM. Vol. XXX, fasc. Il, III.) L'
auteur
, faisant d'abord l'historique de celte question,
est la rupture d'un équilibre réflexe bensitivo-moteur (Chatin). L'
auteur
a fait porter ses recherches expérimentales sur
vol. \ \ \, fac. 11-111.) - Il s'agit d'une lubie imaginée par l'
auteur
pour faire désossais de pédagogie expérimentale
. Vol. fascicule Il. Ce travail accompagné de planches, a amené son
auteur
a con- sidérer que les poules soumises à l'alim
legale délie alienazione mentale, 190L Vol. XXX, fascicule 1.) L'
auteur
, étudiant les résultats obtenus par un travail d'
3131. Pitres et CRUCHET. (Journ. de Neurologie. 1900, no 'i.) Les
auteurs
relatent dans ce travail deux observations dans
ire. (JOlll'l1. de Neurologie, 1\JOG, n° 9.1 On sait que nombre d'
auteurs
mettent en doute l'autonomie des divers types d
et tantôt au niveau de la moelle. 1 L'observation rapportée par les
auteurs
plaide en faveur de cette conception, puisqu'au
neurale et neuro-spinale de l'atrophie musculaire progressive, les
auteurs
croient pouvoir conclure à une pathogénie univo
t anatomique de la chorée de Iluntinglon a occupé un grand nombre d'
auteurs
, mais ces au- teurs ne sont pas d'accord pour i
ou si elles sont secondaires il des altérations vasculaires. Pour l'
auteur
, les lésions des éléments nerveux succèdent à u
erimentale di 1'reniatricc, I ! )Of. \'01. XXX, fasc. Il, III.) L'
auteur
commence par donner un long exposé bibliographi-
bibliographi- que de la question, avec les opinions successives des
auteurs
qui se sont occupés delà question. Puis il rapp
été utilisée dans le traitement de l'épilepsie, nombreux sont les
auteurs
qui ont recherché quelle était la meil- leure m
s, faites par Charcot, Gilles de la Tourette, avaient déterminé ces
auteurs
à conseil- ler de donner aux épileptiques les b
la rupture des fils qui le liaient à ce dernier. Preuve, disent ces
auteurs
, les cas d'apo- plexie cérébrale compliqués imm
al disparaissent dans peu de temps. Babinski (1), s'associant aux
auteurs
précédents, cite trois observations avec autops
L'obnubilation intellectuelle, les troubles démentiels que certains
auteurs
ont décrits, dans les tumeurs du corps calleux,
a céphalée précoce seulement. Les au- tres symptômes donnés par les
auteurs
sont des symptômes d'emprunt, la tumeur étant b
ttent bien en relief les différences symptomatiques signalées par l'
auteur
. M. BOURNEVILLE résume comme complément de son
e, de tuberculose généralisée. Microcéphalie familiale. Le même
auteur
fait passer les photographies de deux frè- res
mphomanie tout à fait différents de la descriptionclas. sique, et l'
auteur
en rapporte trois observations des plus in- tér
s trois nymphomanes dont l'ob- servation est rapportée est ce que l'
auteur
appelle une nym- phomane par curiosité ; la sec
avec une évolution brutale aiguë qui ne saurait par- donner. Les
auteurs
attirent également l'attention sur l'origine rabi
(Nouv. Icon. Salpêtrière, 1905, n° 5.) Apropos de ces deux cas, les
auteurs
passent en revue lasymp- tomatologie de l'achon
antile, tels sont les principaux caractères de cette affection. Les
auteurs
en discu- tent ensuite l'éliologie et la pathog
hyperesthésie péri-orbitaire, diplopie monoculaire, mégalopsie. L'
auteur
pense qu'on est en présence de phénomènes hystéri
o en Italie,en France, de Laurens dans sa thèse et de Pionnier. Les
auteurs
en rapportent une observation nouvelle. Obser
ouble moteur oculaire. Des recherches auxquelles se sont livrés les
auteurs
, il résulte que, dans fous les cas, la paralysi
e de phénomènes névritiques d'ordre inflammatoire ou toxique. Les
auteurs
sont tentés de rattacher leur cas à cette catégor
aire du noyau de Deiers. De ces consi- dérations pathogéniquos, les
auteurs
tirent une conclusion prati- que, c'est qu'en p
mars 1906, Lyon méd" ler avril 1906.) Des faits qu'il a observés, l'
auteur
conclut qu'en présence d'une névralgie grave, t
lèvent beaucoup plus de l'obstétrique que de la neuro-pathologie. L'
auteur
insiste surtout sur le rôle du foie dans l'éclo
rine des éclampti- quesavecou sans albuminurie. Comme traitement, l'
auteur
pré- conise l'accouchement provoqué, le régime
intermédiaires qui conduisent insensiblement de l'un à l'autre. Lés
auteurs
rapportent le tableau clinique d'une affection
les observa- tions de torticolis et de scoliose rapportées par les
auteurs
de ce travail. A défaut d'expression clinique p
ogénie du mal comitial et des affections qui le simulent. D'après l'
auteur
la pleurésie peut être un agent productif de ph
ue ; Iiucx,aD et N.Fiessinger. zou. de méd., octobre 1905.) , Les
auteurs
définissent, avec Vantait', la myoclonie : une co
philitique; par Lannois. (Nouv, Icon. Salpêtrière, 1905, no 5.) L'
auteur
rapporte cette observation pour démontrer une foi
re, n° 6, 1905.) Huit observations originales à propos desquelles l'
auteur
éta- blit la nature héréditaire de la maladie e
-myoclonie ; par Lenoble et AUBUREAU (de Brest). Depuis 1898, les
auteurs
ont fréquemment, observé en Bretagne où la popu
e ladégé- nérescence prédisposent à cette affection ; et semble aux
auteurs
que la race bretonne y soit tout particulièreme
0.) . L. Wahl. XXVII. Les réflexes dans l'épilepsie (Ibidem). Les
auteurs
donnent les opinions des maîtres sur ce sujet :
peu exagérés, quelquefois diminués ou ab- sents (Strumpell). Les
auteurs
ont toujours observé et le réflexe pat. et le ré-
suggestion hyp- notique. (.Tozcrz. de Neurologie, 1906, n° 1.) L'
auteur
établit dans cette note que l'emploi prudent de l
In Rivista sperimentale di freniatria. Vol. XXX. fasc. 1.) Pour cet
auteur
, l'aspergillus fumigatus aurait la propriété d'
, 1906, no 8.) Le point capital de la réforme pénale proposée par l'
auteur
consiste dans l'institution d'une consultation
vista sperimentale di freniatria, 1904. Vol. XXX, lascicule 1.) Les
auteurs
publient cette observation, d'abord parce qu'elle
l, Brums, Stadelmann, Kraun Bernliard et enfin un cas personnel a l'
auteur
. Un cocher de 50 ans,tamponné par un tramway à
ssent et sur lesquels il est par conséquent inutile de reve- nir. L'
auteur
adopte complètement les idées de notre collègue e
encore avec grand profit, car il est très richement documenté, les
auteurs
déclarent en toute franchise dès les premières
aussi, tant chez nous qu'à l'étranger. Quoi qu'il en soit, certains
auteurs
ont donc tort d'employer ces cas dans la folie
maniaque ; et deux fois les mêmes alter- natives se produisirent. L'
auteur
est émerveillé que celle de la soeur fût identi
Vigouroux et M. Juquelier croient que la spontanéité signalée par l'
auteur
n'est qu'apparente, et que tous les cas de foli
e leur réserve l'avenir et si la clinique ne les comblera pas ? L'
auteur
, à ma connaissance du moins, du dernier tra- va
le second jumeau est devenu aliéné doule ans après le premier. L'
auteur
n'a presque jamais relevé non plus de pleine id
plus d'utiliser ni les statis- tiques. ni les déductions des divers
auteurs
. En effet, il n'a pas été difficile à l'aliénis
té. Il est facile de constater que dans les faits rapportés par les
auteurs
et qui sont bien relatifs à la vraie folie géme
s détails et la réfuter tout d'a- bord à cause de l'autorité de son
auteur
qui fut profes- seur de Clinique mentale à la F
nalogie avec les premiers chiffres de la seconde épreuve normale. L'
auteur
pense que l'influence du brome ne peut être adm
de chaque épreuve était d'une heure. Le tableau VI du travail de l'
auteur
contient le nombre des chiffres appris pendant
observer. C'est à la suite de ce mouvement, dont ils étaient les
auteurs
, que les médecins des asiles eurent en France l
colonies, par MM. Bond, Brauchli et Deventer. Suivant ce dernier
auteur
, les meilleurs moyens de traite- ment pour les
Soc. de mid, mentale de Belgique, 1905, noq 1 ? -2 et 1-23.) Les
auteurs
en rédigeant ces instructions se sont proposé sur
ividuel et une autorité et une responsabilité nettement établies. L'
auteur
propose de nommer un médecin adjoint pour 300 m
nerveuses ou hystériques; Par le Dr Paul GLU ? (U. Doin, édit.) L'
auteur
considère que l'anesthésie dite hystérique n'est
trouver l'origine, le point de départ de celle auto-suggestion. L'
auteur
meL en lumière l'inlluence delà bugggestion médic
revue tou- tes les théories émises sur l'hystérie parles différents
auteurs
, en fait la critique et se rallie à la théorie
Arloing et Courmont a donné des résul- tats probants, d'abord à ses
auteurs
, qui en 1900, l'ont appliquée à 130 sujets et o
au microscope les diverses variétés de démence parenchymateuse. Les
auteurs
croient cependant avoir remarqué que, dans la for
logie et la structure du nucléole des cellules nerveuses. D'après l'
auteur
, deux substances, au moins, entrent dans la con
a tale di l'reniatria, Reggio Emili 1905, Vol. XXXI, fasc. lll. L'
auteur
étudie d'abord les principes toxiques et antitoxi
es autres formes mentales. Au sujet des principes antitoxiques, l'
auteur
conclut que : 9° le pouvoir antitoxique du séru
conditions générales des malades. A la suite de ces conclusions, l'
auteur
pose les corollaires sui- vants sur la nature d
tiques les plus bizarres des membres, et à l'occasion de laquelle l'
auteur
présente et discute les deux principales théories
et acceptent comme très vraisemblable l'hypothèse formulée par ces
auteurs
, à savoir que le faisceau pyramidal se termine
culier ceux de van Gehuchten et de M. et 1 ? Mais ces deux derniers
auteurs
avaient tout d'abord ex- périmenté sur le lapin
régénérées du segment périphérique avec celle du bout central, les
auteurs
, après avoir soigneusement décrit les parlicula
- tems, 1903), M. démontre que les expériences rapportées par cet
auteur
ne sont pas en faveur de la régénération dite aut
s par les mou- vements brusques de la tôle) dans le deuxième cas, l'
auteur
ne considère pas comme démontré que ce signe ca
tale di Prenlatl'Ía, Hl'ggio Emilia, 1 aOj, '01. XXXI, fasc. Il.) L'
auteur
commence par relaler plusieurs éiii- blissent b
s acquisitions cliniques de] ces derniers temps, mais il a, selon l'
auteur
,une trop grande tendance à vouloir élcr- gir le
des écrits dans la dé- mence primitive ne sont pas décrits par les
auteurs
; ils peuvent cependant présenter des caractère
matiques et des plasma- zellen. C'est à cette dernière lésion que l'
auteur
fait jouer le prin- cipal rôle dans la producti
tclf. de la Soc. de méd. mentale de Belgique, n ? 1' et 1 ? 3). L'
auteur
passe en revue, dans ce travail, tous les essais
ti- ments affectifs, etc.). \. On voit par ce simple aperçu que l'
auteur
étend considérable- ment les limites de l'irrég
urologie, 1900, n° 4.) Les mesures anthropométriques faites par l'
auteur
sur 33 en- fants atteints de troubles divers (i
ifférents stades de leur affection et suil i s jusqu'à leur mort, l'
auteur
se croit en droit d'affirmer que le réflexe acc
e d'aliénés. Au dos était écrite au crayon une prose incohérente. L'
auteur
écrivait que plusieurs personnages, plus ou moi
é spécialement pour les ex- plorations de neuro-pathologie. Le même
auteur
a décrit aussi un ergographe pour les muscles r
ensuite en revue les divers cas observés de myastbenia gravis, les
auteurs
croient de voir conclure que le syndrome rl'I : c
y avait une atrophie notable avec sclérose du lobe glandulaire. Les
auteurs
font remarquer que dans l'acromégalie, on ne tr
s hôpitaux de Lyon. 16 mai 1905.) 1 L'observation rapportée par l'
auteur
est remarquable par la complexité des modalités
our l'allemand. De l'étude de l'aphasie et du mutisme hystériques l'
auteur
tire les conclusions suivantes : 10 Le mutisme
parler, dans lo mutisme hystérique vrai il ne veut pas parler. L'
auteur
propose, an point de vue de la claailicalion et d
uxieniC cas de tics douloureux de la face, sur I cas traités, que l'
auteur
a guéri par celle méthode qu'il a conseillée il
t était doncun hystérique porteur de varices congéni- tales. Pour l'
auteur
il n'est pas impossible que ces varices aient j
orra- gie, ni exsudai. D'après les renseignements recueillis, les
auteurs
croient que l'épingle .1 séjourné neuf jours da
ication relativement fré- quente des suppurations de l'oreille. Les
auteurs
ne veulent par- ler ici que de la lepto-méninni
on curabilité de la méningite. Comme contribution à cette étude les
auteurs
rapportent un cas qu'ils ont observé é el uù l'
agma purulent d'aspect caséeux qui les obturait complètement. Les
auteurs
pensent que leslésions d'antrite fongueuse avaien
ingite aiguë suppurée d'origine otique. A l'occasion de ce fait les
auteurs
ont recherché dans la littéra- ture les princip
! . 26 août 1906 34.) L'intérêt de l'observation publiée par les
auteurs
réside dans la coexistence sur le même sujet de
ent ils coexis- tent sur le cerveau et le cervelet. Dans le cas des
auteurs
le foyer initial a été les lésions del'appareil
que les rhumatismes chroniques déformants, considérés par certains
auteurs
et en particulier par M. Teissier, comme différ
, si l'intoxication per- siste alors la méningite se constitue. L'
auteur
rapporte deux observations de méningite spinale
ir des exemples manifestes de l'action du rhumatisme chronique. L'
auteur
laisse de côté les faits de paralysie générale ar
l'arthritisme semblent de- venir de plus en plus étroits. Pour l'
auteur
, l'état neurasthénique fait partie de la symptoma
itisme dans la genèse du délire hypochondriaque de négation. Pour l'
auteur
enfin, un état arthritique peut parfois être se
at arthritique peut parfois être seul responsable d'obsessions. L'
auteur
admet que l'influence de l'arthritisme sur l'équi
; par \I..1. Lépine. (Lyon médical, 28 octobre 1 \1ùiJ, n° 43.) L'
auteur
a la conviction profonde que dans toutes les vari
niens frustes. Sans entrer dans des considérations pathogéniques, l'
auteur
pense qu'on doit tenir grand compte du rôle de
es divers traitements du rhumatisme chronique per- mettront,pense l'
auteur
,de voir s'arrêter et rétrocéder dès le dé- but
manque pas son but, il faut qu'elle soit sincère, faute de quoi, l'
auteur
est simplement suspect de pornographisme mercan
orme. Toutes les irradiations de l'amour sont passées en revue et l'
auteur
conclut que le sentiment de l'attrac- tion des
vortement, en cas de viol de la mère. Dans un chapitre d'hygiène, l'
auteur
préconise ensuite les moyens anticonceptionnels
l veut constituer le droit pénal sur des bases scien- tifiques. L'
auteur
passe d'abord en revue les différentes écolesdedr
leptique jaloux tue, chacun ayant réagi avec son sub-conscient. L'
auteur
montre encore la réalité du sub-conscient par les
tout un monde où le sub-conscient ne tient pas la moindre place, l'
auteur
en arrive à la notion -le responsabilité et fait
me pour le juriste. Nul doute qu'il n'obtienne un grand succès. « L'
auteur
a ouvert de nouveaux horizons à nos élèves », d
utes sortes, savamment inter- prètes. Dans le premier chapitre, l'
auteur
adopte pour la définition et la classification
rations philosophiques fort suggestives. Les diverses opinions des
auteurs
français et étrangersysont exposées clairement et
inaires conduisent à l'exposé des divers types de dé- mence. Pour l'
auteur
, les démences précoces sont primitives ou secon
ment. La psychopatho- logiedu -,par Paul Farez,1·. 3. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Chaumier, 210. Ch{'ne-L
n, 407. Charpentier, 42. Charger, 47. Chaumard.26 TABLE DES
AUTEURS
El DES COLL.I3URA1GURS. 507 Lmgllcln, 400.
sensitif du bulbe. Elle parait, jusqu'à présent, avoir échappé aux
auteurs
, parce qu'il est difficile, peut- être même imp
p- pellerons en quelques mots ce qui a été dit à ce sujet par les
auteurs
les plus compétents : MM. lfevnert, ' 1 Iluguen
des pyramides et en cons- tituent la couche profonde. D'après les
auteurs
que nous venons de citer, les fibres sensitives
art la destruction totale d'un certain nombre de tubes nerveux, les
auteurs
ont assimilé, 12 -) ANATOMIE PATHOLOGIQUE. im
non une incoordination semblable à celle des tabétiques. Nombre d'
auteurs
ont soutenu, et c'est là une théo- rie qui date
ouvements des ataxiques n'a DÉLIRES MULTIPLES. 49 pas échappé aux
auteurs
; tous l'ont signalée, et nous la trouvons ment
: Analyse dans Archives de Physiologie, etc., pour 1868) ; du même
auteur
sur le même sujet : Proceedings of the Royal So
dies mentales; par Voisin (France méd. nos 89, 90. 4 878) ; du même
auteur
: Traité de la paralysie générale des aliénés.
s of medicine (de New- York). Vol. III, n° 2, avril 1880) ; du même
auteur
, communication orale le 24 avril 1880, à la Soc
ocuments qu'ils renferment nous semblent indiquer l'intérêt que les
auteurs
attachent à la thermométrie cérébrale. Mais, av
. Lombard pour rechercher la température extérieure de la tête. Cet
auteur
procédait sur l'homme vivant, par l'application
est présumable qu'elle correspondait à des unités si petites que l'
auteur
a jugé inutile de la préciser au moyen d'une éc
en- sibles pour répéter les expériences de Lombard; or ce dernier
auteur
appréciait les millièmes de degré par son galvano
int aussi défec- tueux et le peu de précision des observations de l'
auteur
alle- mand ne donnent pas à son travail d'autre
ano et Seppilli (Voy. chap. II) et en acceptant les chiffres de ces
auteurs
, on voit que dans toutes les formes de maladie
été prises; elles forment la base d'un travail important, et dont l'
auteur
est venu communiquer le résumé à la Société de
ents : cette com- paraison se poursuit tout le long du travail de l'
auteur
et l'amène à signaler à l'attention des observa
qui correspondra à l'exécu- tion d'un mouvement volontaire donné. L'
auteur
considère comme négligeables les différences de
n n'avait pas cessé. C'est à l'aide de semblables arti- fices que l'
auteur
espère être arrivé à séparer l'action de chaque
ude scientifique dont elles portent la marque, les expériences de l'
auteur
ont été assez répétées pour lui per- mettre de
r au mémoire original pour les figures intéressantes dressées par l'
auteur
américain : ce que ces schémas offrent de parti
succédé à une lésion siégeant au point indiqué dans le schéma de l'
auteur
américain. Il y a donc là une idée nouvelle, or
ce ; ces faits sont concordants, étudiés avec soin, publiés par des
auteurs
qui font autorité : on doit donc les considérer
artie (faits anatomiques) a été inspirée par d'anciennes études des
auteurs
, qui, en 1877, examinant des coupes longitudina
du noyau de la sixième paire. Cette observation clinique portales
auteurs
à étudier à nouveau les dispositions anatomique
ce travail par des études expérimentales faites sur des chiens, les
auteurs
arrivent à démontrer : anatomiquement ; I. Qu
ORATIO R. BIGELOV. (The lVew-York médical Record, 1880. p. 57.) L'
auteur
affirme que la corde du tympan n'est pas unie au
ns l'aqueduc en arrière du ganglion, le sens du goût est perdu. L'
auteur
fait remarquer la difficulté de ces expériences s
DWARD C. SPITZKA. (The New-York, médical Record, 1880, p. 282.) L'
auteur
rappelle d'abord l'opinion des anciens anatomiste
in, puis Adamuck sont également erronées. La découverte que fit l'
auteur
de tubercules quadrijumeaux chez un serpent, l'am
atre. L'examen microscopique de cerveaux de serpents a prouvé à l'
auteur
que les ganglions postérieurs avaient même forme
elques pythons par une paire distincte. Il est très probable, dit l'
auteur
, que les ganglions postérieurs sont en relation
s régions inter- rompues.. Dans une note ajoutée à cet article, l'
auteur
raconte qu'ii a vu son opinion confirmée par de
entral de la moelle est cylindrique chez la grenouille. Si quelques
auteurs
l'ont considéré comme ovale, cela tenait à ce q
pposé ; par M. FRANCK. (Compt. rend. Acad. des sciences, 1880.) L'
auteur
a constaté que « la ligature d'un des pneumogas-
ters anaux et vaginaux ; les fibres d'arrêt descendaient, selon cet
auteur
, dans les cor- dons latéraux de la moelle. Le t
recroisent dans la moelle. Voici le procédé opératoire auquel ces
auteurs
ont eu recours : on choisit des chats de forte
re du canal vertébral et la division des faisceaux au bistouri. L'
auteur
prétend qu'en procédant de la sorte l'hémorragie
urieuse, elle est émoussée dans les membres antérieurs, et jamais l'
auteur
n'a constaté l'hyperesthésie du membre para- ly
de la motilité, le cordon antérieur n'entre pour aucune part; et l'
auteur
en conclut que chacun des cordons latéraux renf
SENSIBILITÉ cutanée; par le Dr Mox BRUCH (de Ishewsk, Russie). L'
auteur
a repris la question des diverses sensibilités cu
et augmen- ter l'excitabilité du même nerf. Par cette méthode, l'
auteur
a, quant à présent, obtenu les résultats suivan
. (Réunion des médecins et naturalistes à Baden-Baden, 1879.) . L'
auteur
a entrepris une série d'expériences d'extirpation
nt de la peine à trouver le mot convenable pour rendre sa pensée. L'
auteur
attribue ces troubles cérébraux à la rupture de
t à distance des altéra- tions splanchniques aiguës. Incidemment, l'
auteur
relève diverses particularités intéressantes po
garde contre son exactitude; en outre, M. Duterque, qui n'est pas l'
auteur
ud diagnostic, constate que le malade eut dès l
température et de la tension artérielle chez les lypémaniaques. Les
auteurs
revue DE pathologie mentale. H9 J ne sont pas
sur la rivière de Yarra à environ huit kilomètres de Melbourne. L'
auteur
fait un tableau peu attrayant de l'organisation d
. d'O. IX. Les excès DE travail intellectuel; par M. HACK TUKE. L'
auteur
a eu plusieurs fois l'occasion d'observer l'appar
MICIiLE, médecin en chef de l'a- sile de Grove Hall, à Londres. L'
auteur
rapporte dans cette dernière partie de son mémoir
stite des os du crâne; le foie présentait les traces d'une gomme. L'
auteur
parait, dans ce cas, attribuer la mélancolie à
L ANNEXÉ AUX ASILES PUBLICS D'ALIÉNÉS; par le Dr WILKIE BURMAN. L'
auteur
fait d'abord ressortir l'avantage qu'il y aurait
estant chez les malades pendant leur quarantaine, ou plus tard. L'
auteur
indique ensuite la disposition que devrait selon
H. G. DAvis. (Boston med. and surg Journal, mars 1880, p. 293.) L'
auteur
signale d'abord la différence qui existe entre l'
ils veulent mouvoir. C'est là le mode de traitement employé par l'
auteur
. ^Prenons, par exemple, un enfant paralysé d'un
du médecin, le degré d'atrophie des muscles. 156 BIBLIOGRAPHIE. L'
auteur
a une telle confiance dans le succès de son trait
e, fixer une exacte limite ? Lever tous les doutes à cet égard, l'
auteur
ne pouvait le prétendre. Du moins s'est-il effo
ne énumération succincte. Parmi les causes physiques générales, l'
auteur
range la misère, l'âge, la constitution, le tem
s faits, 160 BIBLIOGRAPHIE. entre autres de Gall et de M. Luys, l'
auteur
avoue-t-il sa com- plète insuffisance. La dif
liées à la fonction génito-sexuelle. Ce terrain est plus positif. L'
auteur
mentionne ici les cas attribués aux orages de l
la bestialité, crime fréquent, et sur la profanation des tombes, l'
auteur
achève le chapitre de la symptomatologie par un
r un résumé des viols plus ou moins horri- bles, recueillis par les
auteurs
, signalés par la presse ou conte- nus dans les
la nymphomanie, le satyriasis. Afin d'aider à leur délimitation, l'
auteur
, dans un tableau compa- ratif, en a condensé le
parence complètes, déconcertent d'autant plus le jugement que leurs
auteurs
occupent quelquefois, dans le monde, une positi
BIBLIOGRAPHIE. 163 Volontiers, nous adhérerons aux conclusions de l'
auteur
. Nous ne ferons qu'une simple réserve. L'impuls
e la science, comprenait encore trop d'inconnues pour permettre à l'
auteur
d'envisager les troubles trophiques au point de
emble que c'est faire bon marché de l'opinion d'un certain nombre d'
auteurs
, et des plus recommandables. Nous aurions voulu
qu'on est habitué à rencontrer dans les précédents mémoires de cet
auteur
. C'est ainsi que M. Landouzy prend à partie la
, et nous estimons que cette thèse fait le plus grand honneur à son
auteur
et à l'Ecole dont il procède. V. La thèse de [M
ou selon tout autre plan clinique, eût coûté moins de travail à l'
auteur
et eût, ce nous semble, répondu davantage à l'éno
elle qu'elle décer- nera en 1881 le prix Aubanel, de 3,000 fr., à l'
auteur
du meilleur travail sur un sujet de pathologie
épigraphe, reproduite sur un pli cacheté conte- nant le nom de leur
auteur
. Résultats statistiques DE la CONSCRIPTION DE 1
IStJ "11 'r.y ) ? twr'.j ? )(n) ? Bs.qf, mémoire remarquable de cet
auteur
a donc singu- L ü ? a ' ' r a ? W · "J 11."ltrw
al correspond tou- jours l'action thérapeutique de ce même métal. L'
auteur
fait re- marquer que l'emploi des métaux en méd
ÈNES. 265 que dissimulée. Pour mettre cette dernière en évidence, l'
auteur
conseille d'administrer certains alcaloïdes (st
pée métallothérapique. 11 resterait à faire connaître les vues de l'
auteur
de la métallo- thérapie sur la pathogénie des n
le cuivre et l'emploi de ce métal comme préservatif. L'opinion de l'
auteur
s'appuie sur des statistiques imposantes; ce n'
avoir des notions exactes sur ses propriétés physiques. Les anciens
auteurs
, Pline, Dioscoride, Paracelse, sont remplis d'h
sur ce sujet est le traité de agnele, de Gilbert, t6()0. Après cet
auteur
, les physiciens 4'\ - t '1 ? . - ' T rr. f"
n'avaient 'pas eu beaucoup de .retentissement, dans le pays de l'
auteur
? 1' Chose singulière, ,le,'prof. Maggiorani, à c
(Académie des sciences, 15 mars 1880.) Les expériences faites par l'
auteur
sur des chiens et des la- pins, établissent :
es, 19 jan- vier 1880). Les expériences faites sur le chien par l'
auteur
lui permet- tent de conclure : 1° Que les tro
la direction du professeur Erb. La mé- thode suivie fut celle de l'
auteur
américain. Les grenouilles étaient plongées jus
12° jour. E.ramenélectl,¡'que, Il résulte des tableaux donnés par l'
auteur
qu'il n'y eut sous l'influence de l'acétate dep
simple trouble inflammatoire et mécanique (par le gonflement). L'
auteur
ajoute le résumé d'une paralysie saturnine (chez
cylindre-axe dans les lésions non traumatiques des tubes nerveux. L'
auteur
pense . que les résultats obtenus jusqu'ici par
bservé par Kahler et Pick (Prag. V. J. S. Y, 9'N2, Band, 1879). Ces
auteurs
, dans un autre endroit (Ibid. n° vu, p. 25), se
hmie), symptôme qui a été considéré comme exceptionnel par quelques
auteurs
. Chez trois malades, exempts de toute complicat
M. H. HANDFoRD. (The BÙ'm111gham médical Review, janvier 1880.) L'
auteur
rapporte une observation remarquable de malfor-
? X : VI.)11dJ311¡b¡a.ao : J 9'Irl(fJrlT.Gll 8P'rtr lLrrtd ? -, L'
auteur
, sur43nécropsiesid'épileptiques, a trouvé 251fois
J , rY rc ? vr t 1 7 " ? n.. f, ,YT'r('d' trh h...1 ')VIFl ? ', L
auteur
rappelle, que sous le nom ap t ongze, eury J.l
l trouverai propos ) de a son observation, que les descriptions des,
auteur
,s,ne sont pasr r suffisamment précises; il est
M 'appareil, la, déformation se reproduisait.^ nf, au65lrt,r 1 9b L'
auteur
,pense que ce fait rentre ,dans^l a, classe des pa
avecf cette ]|Rj9 stftqaa Id r¡IJ¡Hn ¡JB IJpalJl IWIl1 ^Quand, l'
auteur
vit. le malade enil877,'celuirci souffrait'd'une*
cas de Gérard, cités dans l'ou- vrage ,'de Gros ' et Lancereaux ? l'
auteur
rapporte' 'quatre'1 obser- vations .personnelle
s zones latentes, restées sans symptômes. Comme le fait remarquer l'
auteur
,' en terminant, les faits'discutables, en matiè
, I j ' 'f11 8" '\" -1 "1 - , , , 'hJi'ii Iln, ,]. <,| afinb L'
auteur
nous présente d'abord^une revue générale des.cau-
I' ¡ d ? <=,1\ \C-'H' IIIJ'O'1' l' 1 III'J j ',r J '\'1 ? f..J L'
auteur
indique encore les excès de tabac, de the, de'caf
agitation maniaque, l'incohérence, l'insomnie, ont' été notées."1 L'
auteur
'termine cette noté' en' examinant' les théorie
i, ". , ,- f 1'). ? 1 n ,ljllf ! Tf , 1 . , r 1 - Il 1 '0'411 , L'
auteur
, après avoir rapporté un cas de fracture de la co
trochantérienne. gauche et, sacrée, présentées par son malade ! ' l'
auteur
examine les diverses .théories relatives à la p
es en' désaccord avec i la fortune et la position sociale 'de leurs
auteurs
. C'est' unique- ment de cette'classe particuliè
issance plus ou moins passagèré; mais constante,' relatée par cet !
auteur
: ' Ce fait' exceptionnel rappelle la proposition
Neurological Society. [Saint-Louis Clinical Becord, mars 1880.) L'
auteur
discute longuement la question de la responsabili
4° folie épileptique n'existant que dans l'intervalle des accès. L'
auteur
ne s'explique pas davantage sur ce qu'il entend
est, relative .à l'état de la sensibilité chez les lypémaniaques. L'
auteur
s'est limité'à l'étude de, l'anesthésie du,, tu
PILEPTIQUE; par le docteur GARNIER. [Gaz. hebd., 27 fév. 1880.) L'
auteur
rapporte en détail l'observation d'un homme de
ale de la distinction des deux délires, ainsi que le dit lui-même l'
auteur
: « Le degré de res- ponsabilité n'est évidemme
cinnati. (The Cincinnati Lancet and Clihic, 17 janvier 1880.) . L'
auteur
, se plaçant surtout au point ,de vue médico-légal
guérison a lieu en général le deuxième ou le troisième jour. Les
auteurs
ont employé ce remède dans huit cas de névralgie;
assachussets). (Tite Alienist and 11'eurologist, janvier 1880.) L'
auteur
, dans un mémoire très étendu, examine la question
pour cent. Cette proportion de près de moitié est considérée par l'
auteur
comme faible; il y a là une exagération évidente.
ait sans peine ; la contracture de la main avait aussi disparu. L'
auteur
conclut de cette observation qu'on peut facile-
AYEs. [Gaz. hebdom. de médec. et de chirurgie, 9 janvier 1880.) L'
auteur
s'appuie sur trois observations probantes pour re
rve plutôt une mélancolie moins farouche, ou du délirium tremens. L'
auteur
a vu deux fois des aliénés pré- senter des atta
rents est une cause prédisposante d'imbécillité chez les enfants. L'
auteur
rapporte que, d'après les statistiques des Etat
de la part de la section, et que parmi les symptômes décrits par l'
auteur
un grand nombre peuvent être aussi bien assigné
pas une série de nuances dégra- dées passant du violet au jaune. L'
auteur
insiste sur l'impor- tance de ce diagnostic au
illis par l'Ecole de la Salpê- trière et par lui-même; en 1872, cet
auteur
complétait ses re- cherches dans une publicatio
diaires au type mortel et au type de guérison qu'avaient décrit les
auteurs
précités. De même pour les températures termina
la coagulation du sang » (page 141). Dans le chapitre suivant, l'
auteur
étudie la température des aisselles et des memb
le département du Rhône. Un prix de 1,000 francs sera décerné 'à l'
auteur
du mémoire couronné. Les mémoires devront être
branche quelconque des sciences médicales, abondonnée au choix de l'
auteur
. Les mémoires envoyés en réponse à ces question
crétaire de la So- ciété, Coupure, -15, à Gand. Il sera accordé à l'
auteur
du mémoire couronné : 1° un prix de 500 fr. pou
d'un pli cacheté avec devise, indiquant les noms et adresses des
auteurs
. STATISTIQUE des suicides EN NopwÉGE. D'après u
. le Dr'BELLOC est mort à Alençon, le 2 juillet, à l'âge de 77 ans.
Auteur
de plusieurs travaux estimés, M. Belloc était m
nous servir plus que les in- dications très sommaires que d'autres
auteurs
déjà an- ciens ont fournies sur cette vaste que
riations qui pouvaient survenir au moyen d'un procédé dont il est l'
auteur
. Ce procédé con- siste dans l'emploi d'un tube
e présentent jamais les couleurs perdues par l'oeil malade. Le même
auteur
a constaté que la réaction électrique manque da
l qui donne habituellement ce second rameau n'en fournit aucun. L'
auteur
a trouvé, il y a quinze ans, des deux côtés, chez
ied, et le nerf poursuivait ensuite son trajet habituel. En 1878, l'
auteur
observa un fait analogue au membre inférieur ga
Tous ces faits rappellent une anomalie observée et décrite par l'
auteur
, ayant trait à une division analogue de la bran-
la première fois par Gros REVUE d'anatomie. 431 (1846). Tous les
auteurs
classiques s'en rapportent à la descrip- tion d
us les auteurs classiques s'en rapportent à la descrip- tion de cet
auteur
; cette description présente cependant quel- que
meaux nerveux ; mais il ne dit rien de leur structure intime. Les
auteurs
de ce travail se sont servi, après M. Ranvier,
UE DE PHYSIOLOGIE. n'échappent pas à la loi générale, ainsi que les
auteurs
s'en sont assuré sur des os de pigeon. L'anatom
erses portions de l'encéphale. 28 43t . REVUE DE PHYSIOLOGIE. L'
auteur
arrive aux conclusions suivantes : 1° La diminu
accorder sous ce rapport un rôle aussi considérable que certains
auteurs
(Luys); 4° La commissure inférieure de Gudden n
° La commissure inférieure de Gudden n'est pas, comme l'indique cet
auteur
, une simple commissure entre les deux couches o
ire chez ceux qui conservent leur con- naissance ; chez certains, l'
auteur
a pu provoquer des hallucina- tions de l'odorat
9 observa- tions d'hémiplégie cérébrale, à l'occasion desquelles l'
auteur
reproduit la plupart des conclusions formulées
t par une série indéfinie d'états intermédiaires. Du mo- ment que l'
auteur
admet que la rigidité n'est qu'un moindre degré
de la fibre striée est rigoureusement le même. Avec M. Charcot, l'
auteur
admet que la dégénération descen- dante du fais
ntraire que l'interprétation en faveur de laquelle s'est prononcé l'
auteur
, quant à la raison de la per- manence de la con
cture généralisée de tous les grou- pes musculaires, d'un membre, l'
auteur
invoque la grande richesse du système d'associa
signalé ou décrit avec assez de détails, et il est impossible que l'
auteur
ne l'ait pas observé. Cela, étant donné la théo
uite d'un traumatisme qui avait porté sur sa jambe para- lysée. L'
auteur
signale encore l'atrophie musculaire des membres
role : la com- pression de la protubérance, ce centre convulsif des
auteurs
, explique en effet les mouvements choréiques ai
rique détaillé de la question, M. Russell rappelle les travaux des -
auteurs
. Budd (1839), Marshall Hall, Flechsig, Pierret,
la thèse de M. Bé- tous (Du tabès dorsal spasmodique) , omise par l'
auteur
an- glais. D'après la description de Erb, cet
es antérieures (sclérose latérale amyotrophique de M. Charcot). Les
auteurs
sont divisés sur la question de sa^ voir si, da
ose. Electrisation faradique tous les jours. Massage. Toniques. L'
auteur
attribue cet état à une maladie des cellules à gr
produits que par une paralysie de tous les nerfs périphé- riques. L'
auteur
pense que, s'il eut employé le courant gal- van
des convulsions qui manqueraient au contraire, d'après les autres
auteurs
; il n'y en a pas dans les deux observations ci-de
deux observations ci-dessus. REVUE DE pathologie nerveuse. 457 L'
auteur
termine par une discussion des opinions émises
cinnati. (The Cz"ncinnat1' Lancet and Clanic, 14 février 1880.) L'
auteur
rapporte d'abord deux observations de syphilis cé
Reins granuleux à leur surface. Substance corticale décolorée. L'
auteur
après avoir discuté l'interprétation des faits cl
vue de la syphilis cérébrale, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 459 L'
auteur
rapporte ensuite deux observations de tumeurs c
troma conjonctif fibrillaire, parcouru par de nombreux vaisseaux. L'
auteur
considère cette tumeur comme un sarcôme du cer-
rchivio ltaliano per le malade nervose. 1880, fasc. I et II.) Les
auteurs
rapportent deux observations de convulsions épi
llations qui représenteraient des formes cliniques bien définies, l'
auteur
insiste sur les divers caractères que peuvent p
ÈRE; par GUYE. (Revue mensuelle de méd. et de c/¡Ù ? mai 1880.) L'
auteur
fait jouer un rôle considérable au froid, à l'air
M. Charcot produit souvent les meilleurs effets ; mais, suivant l'
auteur
, son action est généralement limitée à la durée d
umonie ; par le Dr RUSSELL. (Brit. med. Journal, 3 janv. 1880.) L'
auteur
rapporte l'observation d'une pneumonie développée
par ALEX. BECKER. (Boston Met. and SIl1'{j. Jour. 5 fév. 1880.) L'
auteur
, s'appuyant d'une part, sur les expériences de
sang, anémie relative des centres nerveux, telle serait, d'après l'
auteur
anglais, la double origine de l'éclampsie puerp
'appareil musculaire de l'organe vocal. On ne trouverait dans les
auteurs
que quatorze cas de cette maladie, se décomposa
par JOHN HADDON (Edinburgh Médical Journal, mai 1880, p. 796.)' L'
auteur
cite trois observations de laryngite striduleuse,
SH1FFER. (Arch. of lI1edicz'ne, New-York, fév. et avril 1880.) L'
auteur
étudie dans ce travail les différentes conditions
469 LXI. Toux hystérique ; par J.-C. MULIIALL (de Saint-Louis). L'
auteur
rapporte une observation détaillée de toux hysté-
par M. G. BEARD (The Alienist and Neurologa'st, janvier 1880.) L'
auteur
est loin de définir nettement l'ensemble sympto-
, par le fait de ses troubles psychiques (1855). L'observation do l'
auteur
comprend la période incluse entre l'année 1857
dents cessèrent par l'administration du bromure de potassium. Les
auteurs
discutent ensuite longuement la pathogénie et l
eureuses modifications. Les guérisons résultent probablement, dit l'
auteur
de ce travail, de transformations dans la nutri
ale; par A.-E. MACDONALD. (The médical Record, 7 février 1880.) L'
auteur
donne dans cette leçon une description clinique
athognomonique lorsqu'elle accompagne les troubles intellectuels. L'
auteur
rappelle à ce propos le phénomène singulier obs
rchivio Italiana per le malade ner- vose, mai et juillet 1880.) L'
auteur
décrit un certain nombre d'attitudes et de mouve-
res signes ayant fait croire à un produit néoplasique. Aussi bien l'
auteur
ne donne-t-il aucunement le fait comme un exemp
ar S.-P. BENETT. (Chicago Med. Jour. and Examiner, avril 1880.) L'
auteur
ayant depuis longtemps remarqué certaines analo-
of the med. Soc. of the County of Kings. Brooklyn, août 1880.) L'
auteur
développe cette proposition, qu'il y a toujours
ines familles à faire interner leurs malades. Quoi qu'il en soit, l'
auteur
dit donner ainsi ses soins avec un plein succès
n, t. 26 ; fasc. I et II.) Dans la première partie de son travail l'
auteur
rappelle que la compression de la carotide a dé
sion de la carotide a déjà été préconisée par un cer- tain nombre d'
auteurs
contre la névralgie faciale ; il rapporte l'obs
rès Gerhardt, bien plutôt la cause que l'effet de la névralgie. L'
auteur
a eu trois guérisons de névralgie intermittente d
ion CONTRE le trismus. - Dans la seconde par- tie de son mémoire, l'
auteur
rapporte deux observations où un trismus sympto
cide le plus souvent qu'avec des troubles intellectuels. Puis, l'
auteur
étudie le faisceau de dégénération dans la moel
x de l'éminence thénar; dans un cas qui a évolué sous les yeux de l'
auteur
, le début de l'atrophie s'est manifesté quatre
hique. C'est le réflexe du genou qui en a fait l'objet principal. L'
auteur
admet et défend par de solides arguments la nat
i tient sans doute, comme il le fait remarquer lui-même, à ce que l'
auteur
russe a expérimenté sur des sujets atteints de
t toujours exagérés. Voici quels sont les caractères assignés par l'
auteur
aux ré- flexes tendineux dans l'hémiplégie :
niveau de la racine du mem- bre pour prévenir le retour du sang, l'
auteur
constate qu'on peut sans la moindre difficulté
- rrrl ? VU 9ttrTp frh f)na3 'Irl2 'IyiW Uil9 t)" : eir"it que 1
auteur
en suivant exactement les relies ou, les .. . :
·at '11h'ifl9r` 9 0OU emp yeecpar Vieussens 'et, après lui, par les
auteurs
/îlt,'P^;itiî\î207^' i ? 1 ? ? tE. dJ tUtOJ ( !
V.9".» Si) '«VU ! M WVAft tM\A°.\<, ? ft31n ! ,=f\ld marquer les
auteurs
que nous venons.de citer, un epi- , , .. , , .&
s, Brenner, Cyon, Vulpian, Duchenne, Onimus et Legros, Bernhardt, l'
auteur
expose la multiplicité des réac- tions qu'il a
de la section du tronc nerveux, inter- vient dans la réparation. L'
auteur
se proposant de contrôler les travaux de Bruch,
ne étendue qui ne dépasse jamais 1 centi- mètre. D. Pathogénie. L'
auteur
se rallie à la théorie de Waller sur les centre
riphérique avant que le processus de dégénérescence soit terminé. L'
auteur
se rat- tache sur ce point à la théorie de la r
mination, n'y fait jamais disparaître la striation transversale ; l'
auteur
n'a point 'observé la dégénérescence cireuse. D
ts électriques et anato- miques de ces recherches. Sous ce titre, l'
auteur
fait ressortir la perte de l'excitabilité du ne
alisation des phénomènes pathologiques aux nerfs moteurs entraîne l'
auteur
à établir l'atteinte simultanée de certaines fi
'une altération primaire des cellules, celle-ci appartenant, pour l'
auteur
, surtout à l'atrophie musculaire progressive et à
es contractions produites : tels sont les résul- tats obtenus par l'
auteur
sur les membres atrophiés. Il conclut t égaleme
é des tabès ; la compa- raison entre les chiffres variés des divers
auteurs
offre un écart de 10 (chez la femme, 0) à 73 et
orts de la syphilis avec le tabes dorsal est loin d'être résolue. L'
auteur
communique à l'appui de ces assertions une obse
clzz'v. fürPsclaa'atz·iezcndlVervezlcrazzllzez'len,fasc.3,1880.)c L'
auteur
décrit avec détails une moelle d'ataxique avec al
des lésions décrites , mais se'refuse aux conclusions qu'en tire l'
auteur
. , M. ' ! i r <i ' ' XVII. NOTE SUR UN cas
graisseuses d'une manière très marquée. « Cette alté- ration, dit l'
auteur
, est' en rapport avec ce fait que les muscles d
F. JOLLY (de Strasbourg). (Archiv. f. psych. u. Nervenk, 1880.) L'
auteur
considérant ces adynamies plus ou moins promptes
ien (l3eitâge zur Lehre v. d. Fettembolie, Munich, 1876) parait à l'
auteur
résulter de ce que l'expéri- mentateur n'a pu r
Bramwell. (Edz'rt6urghAledz'càl Journal, février 1881, p. 721.) L'
auteur
rappelle d'abord qu'une tumeur cérébrale peut êtr
l'hébétude ou un trouble marqué de l'état' mental aient apparu. L'
auteur
insiste surtout sur les troubles papillaires. La
p. 748), le docteur M'Bride pense, avecBurdonSanderson et' d'autres
auteurs
, que le centre d'où procèdent les fibres des. c
) Après avoir fait un tableau des souffrances morales du bègue, l'
auteur
se demande comment ces malheureux ne sont pas p
it tant de dupes, que beaucoup n'ont pas osé tenter l'aventure. L'
auteur
sépare du bégaiement le grasseyment et quelques
e système nerveux. L'imitation joue un grand rôle, à ce point que l'
auteur
croit que c'est ce qui a fait dire que la maladie
si pensé que la scrofule était une cause de cette affection, mais l'
auteur
pense qu'elle n'est que cause indirecte par l'é
anxiété que cause aux bègues la nécessité de par- ler. Aussi, dit l'
auteur
, ces malheureux finissent souvent par devenir b
gard.) (Ann. des mal. de l'oreille et du larynx, 1880, p. 113.) L'
auteur
définit le sourd-muet « tout individu atteint de
hé d'apprendre à parler, ou lui a fait désapprendre le langage ». L'
auteur
rejette l'opinion d'après laquelle les sourds-m
00 habitants). La surdi-mutité est fréquente chez les Israélites. L'
auteur
étudie avec soin l'influence des différentes ca
decylindraxes. Quant àl'incoordination,elle proviendrait, pour l'
auteur
, de l'interruption entre les centres coordinateur
moire, qui n'est que le complément du même sujet traité par le même
auteur
dans le tome X, cah. 3, p. 676 du même recueil,
soit à une trop faible excitabilité des nerfs vaso- dilatateurs ; l'
auteur
croit voir la preuve de ces assertions dans l'i
d'une restitution complète des muscles qui avaient été atteints. L'
auteur
fait remarquer que, contrairement à ce qu'ensei
fait remarquer que, contrairement à ce qu'enseignent la plupart des
auteurs
, son malade pouvait élever le bras du côté où s
omoplate, on en observait une très nette dans le cas en question. L'
auteur
pense que ces paralysies, avec atrophie, ont ét
f. Nerv., etc., n° 5, 1880.) Il s'agit de deux particularités que l'
auteur
croit neuves et importantes. La première, qu'il
La seconde particularité n'a été jusqu'à présent constatée par l'
auteur
que dans un cas. C'est la réapparition dans un ca
s longtemps après la guérison, dans l'ataxie diphthéritique par l'
auteur
et par Rumpf. LXXXVIII. DE l'étiologie du tabès
E; par J. Putnam. (New-York Arch. of Oled., oct. 1880, p. 147.) L'
auteur
décrit sous ce nom un trouble de la sensibilité
lieu, à ce qu'il nous semble, de tenir compte d'une cause dont les
auteurs
ne parlent pas, de la compression. Tous ces phé
chements. Quant à à-la pathogénie, il résulte des observations de l'
auteur
, qu'elle doit être cherchée dans l'épuisement s
ainsi que la réparation des fonctions physiques (6 observations). L'
auteur
n'a vu que deux cas de folie circulaire survenu
r ALEX. J.-C. SKENE. (Arch. of Mediccize, New-York; fév. 1880.) L'
auteur
signale la fréquence des affections utéro-ovarien
hiv. sur Psychiatrie und Ale2,veikaîikhei»ten, 3° fasc., 1880). L'
auteur
les croit beaucoup plus fréquentes qu'on ne le pe
s-muqueux, ainsi que l'a constaté Ebstein à l'aide du microscope. L'
auteur
passe rapidement en revue les expériences et le
cette nature, comme dans celles qui sont liées à des ulcérations, l'
auteur
recommande la diète lactée la plus sévère. M.
orcé, vu notre rôle d'analyste, de consi- gner les conclusions de l'
auteur
. L'observation 1 serait pour lui une des psycos
M. Bramwell, moins grave qu'il n'a été considéré par la plupart des
auteurs
et en particulier par M. Billroth, qui aurait v
avaient cessé; pas de re- chute. Dans deux cas d'hémiplégie que l'
auteur
rapporte à une hémorrhagie cérébrale, l'applica
s aujourd'hui, par l'usage des verres, corrigerl'hy- permétropie. L'
auteur
cite l'observation d'une jeune fille qui, penda
qui fut guéri, comme le premier cas, par l'emploi, des verres. L'
auteur
cite encore une observation d'une névralgie rebel
N. UPSHUR. (1711gi ? zza J1Jed. Monthly, 1880, t. VII, p. 132.) L'
auteur
a soigné deux cas de tétanos, chez des nègres, un
dings of the med. Soc. of the County of Kings. T. IV, p. 65.) . L'
auteur
fait d'abord un éloge du chloral qui, depuis dix
tiologie, du pronostic et du traitement de l'ivresse chloralique. L'
auteur
cite les rares travaux déjà pu- bliés à ce suje
journellement du chloral, présentent des troubles de la santé que l'
auteur
examine dans les différents appareils. Digest
rdon, Carter Gray. (New-York Arch. of Med., oct. 1880, p. 191.) L'
auteur
pense que la quinine accroît les effets sédatifs
f. ,P. ! lJ Yi. trouve,jaussi ,relatés ;1.q ? qJ ? cas empruntés yx
auteurs
qui ont écrit sur.la démo- ! \ ? ? 1.e ! ,l ? s,0
, montre. combien -cet ouvrage, qui a - (coûté tant de peines à ses
auteurs
;' mérite d'appeler l'attention t;de'tous ceux q
joinùrâ"dès"obseÏ ? àtions - tirées de la pratique ^personnelle des
auteurs
, 'et' le compte rendu de la clinique ? j ' ' ? Il
qllp tq ! J(J2, ? J "1J' '11' l '. l' '- 0 , ! \. ? Soûscë titré l'
auteur
a réuni en un volume une série d'articles ''pub
rendre compte. Le mémoire de M. Mara- gliano est fort important ; l'
auteur
envisage successivement le /" point de vue phys
L'élévation de la température centrale a été mentionnée par divers
auteurs
et plus particulièrement par si. Bourneville. b
aux bureaux du Progrès Médical, avec les mêmes rédacteurs. L1 , L'
auteur
entre dans le détail des mémoires contenus dans
u'aux deux,,( premières éditions du Dictionnaire, car, plus tard, l'
auteur
, a renié ses convictions et, retranché de son o
r Guye, 462. Vol aux étalages, par Lasègue, 3t4 ' z TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Atlamkienicz, 582. Amid
Curwen (J.) 612. Dally, 622, Davis, 155, 334. 662 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. Davy, 469. Dean, 145.
0, 483, 495, 497, 582, 600, 608. 844,492, Mason, 129. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. 663 Massif, 621. 11a
constances toutes particu- lières, indépendantes de la volonté de l'
auteur
. D.. 4 2 ' PATHOLOGIE MENTALE. ' Cependant
'ont qu'une cons- cience imparfaite, se reflète, tangible, dans les
auteurs
. Quoi de plus vague et de plus incomplet que la
iques exactes. Mais, exprimées sous la forme que leur a donnée leur
auteur
, elles suggèrent une idée inexacte sur l'état d
ons tout d'abord une analyse rapide du mémoire de L. C. Gray. Cet
auteur
a constaté qu'en dehors des attaques les pupill
individus sains. Sur les soixante-trois épileptiques examinés par l'
auteur
deux seulement ne présentaient pas ce symptôme,
- coup moins mobiles. DE LA PUPILLE CHEZ LES ÉPILEPTIQUES. 43 L'
auteur
considère ce symptôme comme ayant une valeur su
Gray, nous avons été tout d'abord frappé d'une chose, c'est que l'
auteur
n'indiquait ni l'intensité de lumière, ni le pr
ou hommes singes1 ; l'autre, élaboré sous les yeux de Broca, a pour
auteur
E. Ducatte et porte le titre suivant : La micro-
émises il y a 70 REVUE CRITIQUE. quelques années, par différents
auteurs
sur le rôle quejoue- raient, à l'égard des fonc
anées de la partie postérieure de la capsule, se rendent, d'après l'
auteur
, aux circonvolutions occipitales. Nous avons él
ns de lésions de la couche optique, considérées à tort par quelques
auteurs
comme démonstratives des fonctions sensi- tives
eau doit être lésée pour produire l'anosnie. » Et plus loin le même
auteur
rappelle l'ignorance absolue dans laquelle nous
tc. Il semble en effet, d'après les observations rapportées par les
auteurs
qui précèdent et d'après d'autres analogues, qu
r la polyurie et la glycosurie, signalées dans les plus récents , l'
auteur
, par l'analyse des symptômes, l'étude de leur m
t des vaso-constricteurs ? Les deux opinions peuvent se soutenir. L'
auteur
incline vers la dernière et cite à l'appui l'ob
par F. TERRIER et H. Luc. [Revue de chirurgie, janvier 1882.) Les
auteurs
ont observé sur deux épileptiques une fracture
ne lésion cérébrale; par SIiL01VSIiY. flTratscla, 1880, n° 12.) L'
auteur
a observé chez un paralytique une température de
un cas de basse température; par IASYREFF. ('acA, 1880, n° 12.) L'
auteur
a observé pendant quatre jours une température
du côté opposé qui n'a pas été irrité. A la fin de son travail, l'
auteur
développe ses idées sur les fonctions bilatéral
fectieuses; par A. Rosenthal. (Gazela lekarska, n° 19, 1881.) . L'
auteur
, examinant plusieurs cerveaux (surtout la circon-
tricule) un grand nombre d'éléments lymphoïdes sous l'épithélium. L'
auteur
regarde ces - altérations parenchymateuses du c
ËTRÈW. [Gazelle clinique hebdomadaire [russe), 1881, n°S 8-10.) L'
auteur
rapporte l'histoire d'un malade de la clinique de
e de la pie-mère et une inflammation. analogue de la dure-mère. L'
auteur
croit que, dans ce cas, la méningite a été la lés
rées comme épiphénomènes de l'accès. Relativement à la démence, l'
auteur
s'attache à mettre en lumière les caractères qu
p sont dues à l'abolition inopportune de la contrainte mécanique. L'
auteur
est ennemi du système du no-restraint, aussi da
tes s'attacheraient davantage à l'étude des malades de l'hôpital. L'
auteur
n'admet pas que son projet soit impraticable à
en, mais on prélèverait une surtaxe sur les malades de l'hôpital. L'
auteur
réclame un bureau d'admission comme à Sainte-Au
rts. La cessation graduelle doit être uniquement employée. Ici, l'
auteur
expose sa méthode. Elle consiste à substituer à
ra des frictions humides à 12° ou 160. Par ce mode de traitement, l'
auteur
n'a jamais vu survenir d'accidents .graves, tel
devoir d'aver- tir le public des suites terribles du morphinisme. L'
auteur
ré- sume en terminant l'intéressante observatio
l'état physique et psychique s'est considérablement amélioré. » L'
auteur
ajoute comme complément de son observation que
gu. L'appréciation générale des diverses opinions classiques dont l'
auteur
fait précéder ce chapitre nous ramène, à peu de
oluer différemment. C. Pneumonie. La collation des statistiques des
auteurs
prouve la fréquence des psychoses dans cette ma
nie (observ. personnelles), ouunétatsoporeux, comateux (observ. des
auteurs
). L'ignorance où l'on est de la nature et des c
a genèse des psychoses par d'autres maladies aiguës, dut forcer l'
auteur
à borner làses monographies.il signale la diphthé
vivant en paix des tracasseries administratives et policières. L'
auteur
prie en conséquence l'assemblée de provoquer la n
l et de l'hypoglosse. Le tremble- ment de la tête serait dû, pour l'
auteur
, à l'excitation d'un récur- rent par le process
caractère de l'inflammation cérébrale chez tel ou tel individu. L'
auteur
rappelle à ce propos le travail de M. Stenger, ce
ues de l'urine dans leurs rapports avec les formes des psychoses. L'
auteur
a analysé avec le , plus grand soin la plus gra
ation des symptômes de l'af- faiblissement psychique devrait, dit l'
auteur
, comporter toujours l'admission des circonstanc
tant de 1682 (collection Pitaval) et reconnu bon par le tribunal, l'
auteur
appelle l'attention sur les di- verses opinions
es incidents d'ordre chirurgical chez les aliénes. Sous ce titre, l'
auteur
se propose exclusivement de passer en revue, pour
ées a la colonie de Freihof. Les résultats objectifs apportés par l'
auteur
en faveur du travail en liberté des malades éma
leur exagération, enfin d'une mydriase double égale et constante. L'
auteur
a également vu de la parésie des membres inféri
ée par le professeur Jolly (Berlii. lilin. Wochensch., 1873, 21), l'
auteur
a déduit de la suite de l'histoire qu'il s'agit
ifique) ; par A. FOURNIER. Masson édit. 1882. Un certain nombre d'
auteurs
, et Duchenne tout le premier, avaient signalé l
s. En somme, il serait certain, d'après les faits person- nels de l'
auteur
, que le tabes, môme avancé, peut être modifié d
s récent. Un certain nombre d'observa- tions appartenant à d'autres
auteurs
viennent d'ailleurs appuyer la curabilité au mo
onstitue le trouble psychique essentiel de la mélan- colie, dit cet
auteur
, l'humeur prend un caractère tout à fait négati
r ainsi dire que le côté moral. Il en est de même de la plupart des
auteurs
et il paraît étrange qu'une lésion intellectuel
te division des délires mélancoliques, confondus par la plupart des
auteurs
. Marcé paraît l'admettre implicitement; il ne s
est fréquente dans la stupeur où elle a été signalée par tous les
auteurs
, on la rencontre aussi chez quelques mé- lancol
des. Une HM>1 | '1,111 '1^ -, ( i ,, ^ , mélancolique, dit cet
auteur
, qui s'accusait de crimes imaginaires', était o
pour les premiers, ou même ne l'abordaient pas du tout. Enfin, les
auteurs
anciens rapportent un grand nombre d'observatio
olie chez la femme, sans,' toutefois, aborder, comme les précédents
auteurs
, la question de la fréquence de maladies sexuel
que ces maladies sont fréquemment la cause de la folie. Quant aux
auteurs
allemands : Griesinger', Leides- dorf', Selilag
En somme, on le voit, si, d'après les données d'un certain nombre d'
auteurs
, les troubles génitaux chez la femme sont une d
ail, Dagonet, Luys, Boussi, Emminghaus, Leidesdorf, Hammond). Les
auteurs
qui admettent aux maladies sexuelles chez la fe
S ALIÉNÉES. 175 ment (Marcé, Ripping, Schmidt', et la plupart des
auteurs
des divers traités classiques sur l'aliénation
tions bien déterminées. Il est aussi évident, d'autre part, que les
auteurs
qui contestent aux fonctions sexuelles et à leu
nce, qui vient, on le voit, de la méthode différente suivie par les
auteurs
qui se sont occupés de la question du rapport d
ans GG p. 100. En ce qui touche les formes observées par ce dernier
auteur
, elles sont représen- tées principalement par d
i l'on compare les résultats de mes recherches avec ceux des autres
auteurs
, on recon- naît que la dissidence est très pron
des organes sexuels. , v "" - Les recherches cliniques des autres
auteurs
sur, cette question sont très peu nombreuses et
- bration en l'absence du secours fourni par le sens de la vue. L'
auteur
explique ainsi ce phénomène : la fonction auto-
oir donne du phénomène en lui-même une explication nouvelle, mais l'
auteur
estime qu'elle entr'ouve une voie nouvelle au t
co,r; par Ch. Féré et Ach. Demars. (Revue de Médecine, 1881.) Les
auteurs
débutent par une étude de la maladie d'après les
de la guérison, ce cas est intéressant ; mais il est fâcheux que l'
auteur
n'ait pas indiqué d'une façon plus précise la t
merican Journal of the médical Sciences, octobre 1881, p. 392.) L'
auteur
rapporte deux observations originales et très int
ner du tout de convulsions. Avec la picrotoxine, au contraire, l'
auteur
a pu voir réguliè- rement se produire les manif
être question de l'action épileptogène de l'é- corce cérébrale. L'
auteur
n'admet pas l'objection faite antérieurement par
sains, mais sa composition se rapprochait des urines normales. L'
auteur
constaté aussi que, pendant l'application des pla
ps la jambe du côté malade était prise d'une incoordination que l'
auteur
ne peut mieux comparer qu'à celle de l'ataxie; ri
ire droit et dont une des parois attenait à la capsule interne. L'
auteur
rapproche ce fait de celui qui a été publié par G
rto ADRIANI. (Rivista sperimenlale di illedicina légale, 1881.) L'
auteur
rappelle que l'étude de l'auscultation céphalique
u basse et suivant le point du crâne où l'oreille est appliquée ; l'
auteur
recommande de faire parler à voix basse la person
a suite d'expériences sur les pigeons, les poules et les dindons, l'
auteur
arrive aux conclusions suivantes : 1° Si, chez
athologique, le diagnostic et le pronos- tic de ces hémorrhagies, l'
auteur
se propose actuellement d'étu- dier leur syrnpt
5° la perte de connaissance partielle ou to- tale sans paralysie. L'
auteur
constate qu'il lui a été à peu près impossible
gré son titre ; doit être lu en entier, mais ne peut être résumé; l'
auteur
examine, successivement les questions suivantes
français que chacun connaît. Les seize observations nouvelles que l'
auteur
apporte à l'appui ont en effet trait à la produ
il de la mysophobie de Hammond avec ses trois stades ' à laquelle l'
auteur
ajoute deux observations. Voici, à cet égard, ce
ait clinique précis que traduit l'expression perdre connaissance, l'
auteur
se demande quel est le processus physiologique
1, fasc. 1 et q.) Voici les conclusions auxquelles sont arrivés les
auteurs
de ce mémoire : L'hyoscyamine possède indubit
6 sociétés savantes. Au point de vue de l'action physiologique, les
auteurs
ont observé la fréquence plus grande du pouls,
résident procède à l'ouverture du pli cacheté contenant le nom de l'
auteur
et proclame, comme lauréat du prix Esquirol, M.
'il soit attribué 1,000 francs, au lieu de 630 francs, à chacun des
auteurs
récompensés. « Si j'insiste, dit-il, c'est à ca
ara- lysie spinale spasmodique. M. Wkrnicke rappelle que de vieux
auteurs
, Roustan, Durand- Fardel, ont décrit déjà des r
nvulsives de l'hystérie. S'appuyant sur ses propres observations, l'
auteur
ajoute un certain nombre de chapitres relatifs
érapeutique y occupe une place importante et le soin qu'a apporté l'
auteur
de la seconde édition à la révision et au dével
s du lobule de l'insula; par A. Perdrier. Thèse de Paris, 1882. L'
auteur
conclut de ses recherches cliniques et expériment
'hygiène des aliénés; par L.-A. Pomponne. Thèse de Paris, 1882. L'
auteur
condamne l'institution des asiles de ville telle
ents. Aux lits plus ou moins compliqués inventés pour les gâteux, l'
auteur
pré- fère la caisse remplie de paille, qui est
en principe dans la délibération sus- visée du Conseil Général. Les
auteurs
des trois projets classés les premiers recevron
. C'est le vertige de Ménière, ou'la surdité apoplec- tiforme des
auteurs
allemands. C'est un appareil symp- tomatique d'
e, et qui a pu maintes fois causer des erreurs de diagnostic. Les
auteurs
et de Troeltsch entre autres en citent des plus
es otologistes, pour explorer.le. labyrinthe. Depuis Bonnafont, les
auteurs
français (pu allemapds, setservent pour cela du
iénation com- plexes qui nous expliquent comment presque tous les
auteurs
ont confondu dans la même description du délire
-psychopa- thiques, nous nous trouvons en face de ce que certains
auteurs
.appellent une monomanie instinctive; mais ce n
ous voyons signalée cette anomalie de l'instinct sexuel, sans que l'
auteur
lui attribue l'importance qu'elle mérite; toute
édérastie tient du vice; c'est avec une certaine hésitation que cet
auteur
dis- tingué laisse une porte entre-baillée à la
ents, n'en ont pas moins les mêmes carac- tères fondamentaux 1. L'
auteur
arrive ensuite au sens sexuel contraire, dont i
n fonctionnelle dans notre cas; fait contraire,aux conclusions de l'
auteur
..n , 1 il, m Notre cas est important- avant tou
muscles moteurs de l'oeil. Ces faits sont nombreux dans les divers
auteurs
qui ont traité du diabète et de ses accidents;
Laycock, résultats peu inté- ressants, dit-il lui-même. D'après les
auteurs
du Compendium de médecine, la sensibilité de la
ue). Ce symptôme capital a d'ailleurs été bien indiqué par tous les
auteurs
. Faut-il croire avec M. Lcgrand du Saulle, qu'à
est mentionnée par Lécorcfé. Quant aux troubles gustatifs, le même
auteur
n'y voit qu'un effet de l'altération des sécrét
de l'observation. Depuis le commencement du siècle, il n'est pas d'
auteurs
qui ne les aient signalés et la plupart ont ins
et analysés par Bellouard1 n'ont encore que contredite. D'après cet
auteur
, en ces cas, la glycosurie serait purement symp
e l'objet d'une juste appréciation de la part de ses lecteurs, si l'
auteur
eût donné à nos recherches sur la circula- lion
ous aurions mauvaise grâce à ne pas reconnaître que le travail de l'
auteur
allemand ren- erme plusieurs détails complèteme
au bleu de Thiersh, ou du carmin selon les pro- cédés de Gerlach. L'
auteur
étudie la distribution géographique des vaissea
ntent ces injections, et deux schémas résument les conceptions de l'
auteur
. Sur ces coupes l'aspect général de l'appareil
vaisseau avec ses branches collatérales (Fig. XI V et fig. 7.Y de l'
auteur
) Sur des sections horizontales, on ne peut suiv
des rameaux, ra- diants incomplets, (voy. IP2*.q. II, IV et F de l'
auteur
).- L'as- pect général de la substance grise est
u niveau, des cornes antérieures/c'est-à-dire selon le langage de l'
auteur
allemand dans la colonne grise antérieure (G2,a
attirer plus particulièrement l'attention (voy. 7'Y<y. IV. a). L'
auteur
ajoute que, dans un certain nombre de cas, il a
ure, s'éloignent de l'axe central. Elle a malheureusement conduit l'
auteur
à une nomen- clature spéciale et difficultueuse
nd à une loi générale. L'artère du sillon (ai,leza stilci), selon l'
auteur
allemand,est une des plus grosses 'de la moelle
e, et les branches ascendantes et descendantes qui forment ce que l'
auteur
ap- pelle les anastomoses longitudinales centra
aque côté. Par les artères longues anastomotiques découvertes par l'
auteur
alle- mand, les différentes régions vasculaires
, notre description des artères radiculaires, comparée à celle de l'
auteur
allemand, paraîtra d'ze7e plus grande clarté :
tères périphériques des faisceaux blancs, nous distinguions comme l'
auteur
allemand des artères courtes et des artères lon
lle épinière. Une dernière coïncidence entre les travaux des deux
auteurs
frappera encore l'esprit des lecteurs. M. Adamkie
e des observations, nous ne pouvons que donner les conclusions de l'
auteur
et citer quelques chiffres plus intéressants.
eyer. (Arch. f. Psych. M. 1\'ervenk, II, 1880.) Les examens que l'
auteur
a fait de ganglions périphériques et de nerfs c
antes qu'elles paraissent, ont néanmoins, comme le fait remarquer l'
auteur
, leurs contradictions avec lesquelles elles son
laire, l'explication physiologique est encore à chercher. D'après l'
auteur
ce fait se rattache à celui du trans- fert dans
ngtemps avant que le transfert ait été étudié scientifique- ment, l'
auteur
avait fréquemment appliqué avec succès sur lui-
(d'Iéna.) , (Ce7ztraGl. f. zeru., etc., 1880, no 16, 111 août.) L'
auteur
insiste sur le rôle prépondérant de l'appareil gé
nable et criait et pleurait sans motifs, à la moindre excitation. L'
auteur
pense qu'il s'est agi là d'une contusion cérébr
sont ces complications qui font l'objet du mémoire du D Andrews. L'
auteur
est plus au courant des recherches publiées en
sinus veineux, ou de la jugulaire. A propos de l'abcès cérébral, l'
auteur
rappelle que, d'après une statistique de Meyer
existe des signes de pyohémie. Les observations d'un grand nombre d'
auteurs
prouvent cependant que le signe indiqué par Geh
CIi\VELL. ( ? eZC'- l'oîk. ? 2ede'eal Jottï,nal, 1881, p. 546.) L'
auteur
pense qu'un certain nombre de cas, traités comme
e guérit en six semaines. 378 s REVUE DE pathologie nerveuse. L'
auteur
attribue une grande importance dans le diagnostic
iène et du traitement spécial de chaque maladie, il faut, suivant l'
auteur
, donner le bromure et le continuer pendant plus
nerf vague ; par II. Pommay. (Revue de méde- cine, juin 1881.) L'
auteur
, se basant sur deux observations personnelles et
as des observations ana- logues rapportées par Landouzy et d'autres
auteurs
, et consi- déra les lésions causales des symptô
sychiques parallèles au déve- loppement des tumeurs, indique pour l'
auteur
une relation de cause à effet directe entre l'e
Cette pigmentation, trouvée dans les foyers scléreux, serait pour l'
auteur
en rapport avec l'intensité de l'affection (dilat
la systématisation et de l'existence de lésions parenchymateuses, l'
auteur
ne croit pas pouvoir tirer de ce fait des concl
i qu'il en soit, c'est au moindre symp- tôme suspect qu'on agira. L'
auteur
relate une observation, qu'il considère comme m
n ingestion buccale. L'absorption en est très active et rapide, l'
auteur
n'ayant jamais eu à noter, ni nausées, ni vomisse
n est suscep- tible d'une démonstration, anatomique sur, laquelle l'
auteur
reviendra... , Cn. F. ' t ' .... ' z XVII.
a folie peut intervenir pour les priver de leur caractère normal. L'
auteur
écarte tout d'abord, comme n'ap- partenant pas
avoir pu jusqu'ici l'expérimenter dans des cas aigus. Il a paru à l'
auteur
que l'action de l'atropine était moins puissant
tiques de l'incurabilité des affections mentales ; c'est pourquoi l'
auteur
a pensé que l'ob- servation qui précède méritai
ne; au point de vue mental, elle est tout à fait convalescente. L'
auteur
rappelle que M. Clouston a publié en 1870 (The
étails de l'observation et de l'autopsie ; mais les réflexions de l'
auteur
, que nous reprodui- sons, font parfaitement res
it ici ne le cède point en intérêt aux tra- vaux précédents du même
auteur
; mais, composé presque entièrement d'observati
comporte d'autre analyse que la repro- duction des conclusions de l'
auteur
, qui sont les suivantes : Les hallucinations et
nsabilité criminelle devant les tribunaux. Nous ne pouvons suivre l'
auteur
dans tous les détails de cette importante étude
irresponsabilité. C'est avec l'ironie du patriotisme 'humilié que l'
auteur
constate que, dans les autres pays, on étudie,
ris, 1882.) Ce travail comprend' deux parties : dans la première, l'
auteur
cherche à déterminer l'influence des traumatism
de la Seine, 2 vol. in-8 (Mas.'on. édit., 1882). Sous ce titre, l'
auteur
a réuni en deux volumes de 600 pages chacun tou
ciés sur la pellagre. Ces deux volumes constituent, comme l'a dit l'
auteur
, son testament scientifique. Plusieurs de ces a
une analyse qui ne peut mentionner les idées nombreuses propres à l'
auteur
, jetées incidemment çà et là, et constituant né
issements d'aliénés en Hollande, font très apprécier les idées de l'
auteur
sur le traitement et l'admi- nistration. Enfin
s Ilystérogencs (recherches sur les), par Gaube, 265. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Adaml : iewicz, 89, 323,
233, 236. Maygrier, 104. Mendelssolm, 88, 89, 90. 410 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. Meynert, 237. Mickle,
d'autant plus grand que cette critique a été plus acerbe et que son
auteur
est plus érudit ; car si le lecteur s'aperçoit, c
plusieurs au- teurs comme Dumontpalier, Magnan, Bérillon, etc. Ces
auteurs
tirent de ces faits des conclusions qui me para
cité de la corde dorsale chez les oiseaux est reconnue par tous les
auteurs
. Les organes médians en généra}. Au point où no
is du second segment, du segment antérieur. Fleischmann et d'autres
auteurs
, considèrent la gouttière de la face inférieure
se est banale; et M. Bonne n'ignore pas qu'on la rencontre en vingt
auteurs
. Mon critique aurait dû remarquer en outre tout
: « Sous le titre de preuve tératologique expérimentale, dit-il, l'
Auteur
rapporte les classiques expériences de Chabry s
en réalité, l'expérience de Chabry n'a abouti au résultat auquel l'
Auteur
fait allusion, et dont il tire les déductions qui
tre « jamais », Monsieur Bonne ? Ce n'est pas à moi,car je cite mon
auteur
: c'est à Chabry. Je ne pensais pas d'ailleurs
, puisqu'ils ont toujours tenu pour responsa- bles donc libres, les
auteurs
du préjudice qui pouvait leur être causé. La cr
science. admira- blement analysés et décrits par P. Janet et autres
auteurs
, mais très insuffisamment expliqués, se conçoiv
uver un dé- menti ? Je ne vois, pour ma part,dans l'étonnement de l'
Auteur
, que le désir d'allonger sa réponse par une lon
à oblique ou encore sagittal ? C'est là un détail si futile que les
auteurs
que j'ai consultés, pour exposer la structure et
de la page 10 du livre (voir p. 204 et 205), d'autant plus que cet
auteur
a pris quelque part aux expériences de tératogé
is au moins un exemple de tendances opposées. On me renvoie à vingt
auteurs
; mais ceux-ci n'étaient pas, que je sache, initi
es symptô- mes et il faut reconnaître pourtant que la plupart des
auteurs
lui ont accordé une faible mention. Bien étudié
rd externe. Le signe de Babinski fut né- gatif 48 fois, mais, dit l'
auteur
,un grand nombre de sujets ne pré- sentaient qu'
. Dans le bout médullaire des racines postérieures sectionnées, l'
auteur
ne trouva pas de fibres saines, et,30 jours après
e bout ganglionaire ne contenait pas une seule fibre dégéné- rée. L'
auteur
en conclut que,chez le singe, les racines postéri
s pour plausible jusqu'à plus ample informé la conclusion de K. Cet
auteur
constata, enfin, que, au 30e jour, les ganglion
pe au Pal, tandis que les cordons postérieurs paraissent sains. L'
auteur
remarque que dans les cas I et III, il y avait da
l rapproche le IIe cas du cas de Pick et de Nonne et pense avec ces
auteurs
que la dégénération des cordons postérieurs peut
; par Roux et HEITZ. (Nouv. Icon. de la Salp. 1906, n° 4.) , Ces
auteurs
ont expérimenté sur le chat : la section des raci
; par Noic.l. (Journ. de Neurologie, 1906, n° 24.) On sait que les
auteurs
sont divisés sur la question de savoir si ce so
utanée et de la sensibilité générale. Les deux faits que rapporte l'
auteur
vien- nent à l'appui de la seconde opinion :
et profonde ainsi que des réflexes tendineux. De ces deux faits l'
auteur
conclut à l'existence de voies de con- duction
par John TURNRR. (The Journal of mental Science, janvier 1907.) L'
auteur
fait connaître dans ce travail les résultats de l
e presque tous les lapins sont morts de la manière indiquée par ces
auteurs
: des chats sont morts exactement delà a même m
seulement dans la proportion de 69 fois sur 97 lapins injectés. L'
auteur
lui-même a vu se produire des convulsions épilept
s bien dans tous, que l'on aurait vu apparaître l'état convulsif. L'
auteur
pense que cet autre facteur est un état appropr
, rendrait compte des aires isolées de sclérose et d'atrophie, et l'
auteur
estime que l'obstruction vei- neuse pourrait ab
de maladies générales in- flammatoires ou de paralysie générale, l'
auteur
a constaté que, dans les autres formes d'aliéna
it être considéré comme en désaccord avec la théorie soutenue par l'
auteur
; mais celui-ci se demande à ce propos quel est
s à la genè- se de l'épilepsie qui font défaut. L'expérience de l'
auteur
, et il pense qu'elle est d'accord avec celle de
se termine par une note additionnelle consacrée aux recherches de l'
auteur
sur la coagulabilité du sang chez les épileptiq
ubles oculo-pupillaires notés dans le cas de l'A. et dans celui des
auteurs
français cités s'observent, suivant la remarque
laques et de la syphi- lis est loin d'être résolue ; la plupart des
auteurs
nient ou contes- tent à la syphilis un rôle éti
se donc à éliminer la syphilis de l'étiologie de cette affection. L'
auteur
apporte une observation de sclérose en plaques
la dégénérescence des racines an- térieures et des nerfs moteurs. L'
auteur
passe en revue les quelques cas épars dans la l
ervation a été publiée dans la Nouvelle Iconographie, 1903, n° 3. L'
auteur
rapporte aujourd'hui les résultats de l'opothérap
EVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 75 1ère le processus d'ossification. L'
auteur
avait cru possible de mo- dérer la sécrétion hy
ge, au double point de vue psychophysiologiqaj et pathologi- que. L'
auteur
termine en donnant une nouvelle nomenclature cli-
tère scrupo- lo-inquiet, avec des obsessions, des hallucinations. L'
auteur
voit dans ce cas la combinaison de deux états p
es limites entre l'involu- tion proprement dite et la sénilité, les
auteurs
proposent de regarder le délire des préjudices,
l'affection, alors que le déficit intellectuel est peu évident. L'
auteur
les classe en quatre catégories : fugues d'instab
Pour le diagnostic différentiel, se reporter à un travail du même
auteur
: « Les fugues dans les psychoses et les démences
ses ; par S. Soukhanoff. (Journ. de Neurolo- gie, 1906, no 22.) L'
auteur
dit n'avoir pas observé une seule fois la forme m
fréquemment à la ménopause, ce n'est pas, comme le pensent d'autres
auteurs
, que celle-ci déclan- che le déséquilibre laten
ale, 1906, n° 5.) Revue générale, bibliographique et critique, où l'
auteur
établit la fréquence et la pathogénie des ictus
nseurs. La vérité semble être dans un sage éclectisme,vers lequel l'
auteur
se trouve porté par la discus- sion des opinion
tion toxique du cerveau sous l'influence de l'auto- intoxication (l'
auteur
fait ressortir l'importance de l'auto-intoxi- c
t sous le nom d'apraxie bien qu'elle soit en réalité une agnosie. L'
auteur
de ce travail s'est proposé de démontrer que, c
ide d'interprétations et n'a pas subi d'évolution systématique. Les
auteurs
se demandent si ces deux aliénés doi- vent être
té et à l'involution. D'après les relevés des cas publiés par les
auteurs
français et étrangers, on voit que,d'une part,1
res du syndrome mélanco- lique de la malade le font classer par les
auteurs
de la communi- cation dans les manifestations d
.Mais à l'égard de la surdité, le cas observé semble contredire cet
auteur
, lorsqu'il dénie au lobe temporal toute ingéren
maladies du système nerveux. On sait déjà que dans l'esprit de ces
auteurs
la neurologie et la psychiatrie, qu'il était cl
ues, on peut glaner quelques observations analogues dues à divers
auteurs
, où les actes délictueux ou criminels com- mis
quand il paraît comme témoin rélri- (1) Nous publions le texte du l'
auteur
en priant nos lecteurs d'excuser les incorrecti
t la folie circulaire, variétés de la même entité morbide. Ces deux
auteurs
tracèrent le tableau clinique de la nouvelle ma-
de Kraepelin sa plus complète expression. La folie périodique des
auteurs
français et la folie maniaque de Kraepelin se d
- tinguent que par des nuances parfois si indécises, que certains
auteurs
ne leur accordent aucune valeur. Le début est le
forme; la folie circulaire, la folie alterne. Entre les accès, les
auteurs
français admettent généralement un intervalle l
berté et l'involu- tion. Pour Kraepelin et la grande majorité des
auteurs
étran- gers, il n'y a pas, entre les accès, d'i
est en tout cas de beaucoup supé- rieure à celle de la plupart des
auteurs
. En ce qui me concerne, je n'oserai pas aller j
présente encore du diabète insipide. (polyurie, polydipsie). Les
auteurs
estiment qu'en raison des antécédents héré- dit
nition et nature de l'hystérie. Résumé du rapport de M. CLAUDE. L'
auteur
français constate, comme son collègue suisse, du
xemple lors des manifestations émotives. Notre collègue et quelques
auteurs
avec lui considère les réactions hystériques co
ence chez Rousseau n'a pas été bien signalé, mais il est certain. L'
auteur
de l'Emile était bien trop pénétrant analyste e
on cérébrale a suivi un cours régulier et lentement progressif. Les
auteurs
rapportent les trois cas suivants : 1° Obs. : D
Athérome de l'aorte, sclérose de la glande thyroïde. D'après les
auteurs
, ces hypothermies sont d'origine ner- CONGRÈS D
frotte la langue, une aguslie complète pour le sucre et l'amer. Les
auteurs
ont recherché, chez plusieurs malades présentan
t, en effet, inefficace. M. Dsa>Jttlrr. (Paris). Pour sa part, l'
auteur
ne croit pas à l'action du traitement mercuriel
ntra-tronculaires ont une action destructive déjà constatée par les
auteurs
. Séance du 4 juillet 1907. Présidence DE M. B
et auto- risée. Dans le premier chapitre, avons-nous déjà dit, l'
auteur
a eu soin de séparer l'histogenèse générale de
les travaux qui ont servi de base aux concep- tions anciennes que l'
auteur
va étudier : l°le stade épithélial (mul- tiplic
n d'une seule cellule). Ces données primitives servent de guide à l'
auteur
dans l'étude de la stratification dûe au myélos
que l'animal est plus élévé et le segment à forme plus complexe. L'
auteur
accorde une place importante à l'examen de la que
, des neuroblastes à deux noyaux ; mais elle est niée par plusieurs
auteurs
récents, qui ont étudié l'histogenèse chez le f
ns névrogliques (gliomes) ou consécutives aux lésions en foyer. Les
auteurs
qui ont tenté d'élucider la question en étudiant
conclusion. Enfin, dans la dornière partie de ce premier article, l'
auteur
se contente d'énumérer les principales théories
ortex en particulier. Les documents étant encore très incomplets, l'
auteur
a dû les grou- peren trois périodes caractérisé
et très controversées. Ainsi, en se basant sur le développement, l'
auteur
détaille les homologies stratigraphi- ques du c
ue, qui considère le prolongement nerveux comme le premier formé. L'
auteur
a eu soin de matérialiser ces questions par des
tes ; ou plutôt, ce qu'on sait, tend à faire penser, comme le dit l'
auteur
, que la disposition n'est pas quelconque, qu'il
ces derniers temps : cellules névrogliformes, bipenicillées, etc. L'
auteur
rem- place les termes défectueux de cellules à
s axones, den- draxones, dendrites, etc ? encore discutée. Enfin, l'
auteur
exa- mine la façon dont les voies corticipètes
tc. Quelle que soit l'at- tention apportée à leur confection, dit l'
auteur
, des revues de ce genre ne sauraient dispenser
tificats. L'énumération de ces certificats, l'in- dication de leurs
auteurs
seraient intéressantes à connaître. La folie DU
douloureuse à la lumière, si c'est une aura sensorielle. Certains
auteurs
ont étudié cette question des trou- bles oculai
d (2) ont même nié qu'il y ait hyperesthésie avant la crise. Et ces
auteurs
se refusent aussi à admettre l'anesthésie corhé
u, de blanc, de rouge. ' On trouve des exemples nombreux dans les
auteurs
de ces hallucinations visuelles colorées. Déjà
t donné les résultats suivants, en accord avec les observations des
auteurs
. , (1) PICHON. Observation III de si llièse : d
'ensemble, de résumer et de comparer les lésions décrites par les
auteurs
dans les cas intitulés par eux-mêmes « Démence
rcher les observations isolées et vraiment utilisables. Quant aux
auteurs
étrangers cités par les classiques français ils
) Heilbronner (8), Meyer (9), Nissl (10), Weber (11) et Sander (12),
auteurs
cités et analysés dans un travail d'ensemble (1
cru devoir étudier que les observations nettement données par les
auteurs
comme cas de démence précoce et dont nous avons
e peut s'empêcher de remarquer le peu d'importance attachée par les
auteurs
aux lésions pouvant dépendre de l'affection int
ATOMIQUES ATTRIBUÉES A LA DÉMENCE PRÉCOCE. 189 A la vérité certains
auteurs
ont senti le danger qu'il y aurait à vouloir co
ulose,cause immédiate de la mort, n'était pas en cause, puisque l'
auteur
remarque qu'il n'a pas trouvé les altérations n
le cas publié par Laignel-Lavastine et Leroy au Congrès de Pau, ces
auteurs
font suivre leur relation histologique d'un rés
a deuxième observation publiée' par Laignel- Lavastine et Leroy les
auteurs
disent que « l'aspect de l'écorce rapprochée de
é. Si l'on envisage d'autre part que les lésions décrites par les
auteurs
sont principalement des altérations cel- (1) An
au- topsie fut pratiquée 24 heures après la mort. Quant au autres
auteurs
, Klippel et Lhermitte, Legrain et Vigou- roux,
s figures données par la mé- tlrode de Nissl que les déductions des
auteurs
ont été tirées. Les nouvelles méthodes de Cajal
s cellulaires. Les classifications va- rient suivant les différents
auteurs
et l'on n'a actuelle- ment aucune donnée certai
nt à rapprocher des malformations cérébrales sur lesquel- les les
auteurs
ont insisté et qu'ils rattachent à des al- téra
t ce sont celles-là qui ont donné naissance aux interprétations des
auteurs
. Les conclusions histologiques auxquelles ils o
. ' Dans les cas publiés par Alzheimer,et qui sont rangés par cet
auteur
sous le titre de « catatonie », il a décrit des m
uites des images de la glia ». De ces données anatomiques, certains
auteurs
con- cluent aux remarques physiologiques suivan
usivement à la démence précoce et non aux autres démences. Pour ces
auteurs
, les ca- ractères anatomiques pourraient ainsi
c la tuberculose survenue tardivement chez le ma- lade. D'après ces
auteurs
, il y aurait donc eu dès le début de l'affectio
exa- mens de liquide céphalo-rachidien des déments précoces. Les
auteurs
n'y ont pas trouvé 'd'éléments figurés ; de nou
affection concomitante. On peut donc penser avec la majorité des
auteurs
que si le processus anatomo-pa- thologique exis
éraux. ' Conclusions. En réalité se montre, chez les diffé- rents
auteurs
qui ont rapporté des autopsies de déments 196 a
iqucs. Mais nous pensons que les hypothèses émises par cer- tains
auteurs
sur la pathogénie et l'anatomie pathologi- que
le syn- drome appelé jusque-là aphasie motrice pure. Pour le même
auteur
, l'aphasie motrice est une aphasie de Wcrnickc do
Le point intéressant qui se dé- gage de cette observation et que l'
auteur
tient seulement à souligner c'est la valeur dia
procédure à l'égard des personnes de responsabilité atténuée qu'un
auteur
français dans un ouvrage récent comprend sous l
ATRIE. 221 atique dont ils ne sont que la contre partie. Beaucoup d'
auteurs
ont signalé ces muets qui parlent en rêve en cr
des lésions cuta- nées comme du pemphigus.Vous savez que beaucoup d'
auteurs
re- fusent de considérer ces phénomènes comme h
t recommandable do suivre la division des symptômes hystériques des
auteurs
français en stygmates et en accidents. 2. Les s
CONGRÈS INTERNATIONAL DE PSYCHIATRIE. 227 chemin, (Kurzschluss des
auteurs
allemands) et ne représentant que des processus
ssentiellement fugaces. Au point de vue des lésions anatomiques les
auteurs
pensent qu'il s'agit en l'espèce d'une lésion a
Les limites supérieures de la zône d'anesthésie cutanée permet aux
auteurs
d'affirmer que les ésions médullaires ne dépass
et de né- crobiose intra-médullaire. Les expériences faites par les
auteurs
(P. Bert, Blanchard et Reynard, Catsaras, J. Lé
ce avec les accidents cérébraux d'une éruption cutanée qui pour les
auteurs
doit être attribuée à la tovi-infection causale.
du bras gauche est presque abolie (syndrome de Brown-Séquard). L'
auteur
met en relief les symptômes particuliers qui dans
on médical, 30 décembre 1906, n'- 52.) L'observation publiée parles
auteurs
est intéressante à plus d'un titre, d'abord par
r fracture du crâne ; par M. GADOURD. Bull. méd., na 86, 1906.) L'
auteur
est un chaud partisan du trépan préventif et il c
. Si l'hémorrhagie continue malgré le trépan et le débridement, l'
auteur
conseille la ligature de la méningée moyenne, de
ngagement de servir une pension men- suelle de quelques francs. Les
auteurs
de ces propositions sont des inconscients ou de
isait les tri- bunaux à confier à l'Assistance publique des mineurs
auteurs
de crimes ou de délits. Aussitôt l'Assistance s
par M. Paul Gallois. (Bull, méd, n° 8, 1907.) L'mternement, dit l'
auteur
, provoque souvent le «roman chez la portière ».
système nerveux.Diffé- HSCHAHES DE LA REGION SACREE. 297 rents
auteurs
signalent ce mode d'étiologie de la ménin- gite
ensuite une critique longue et minutieuse des récents tra- vaux des
auteurs
qui voient dans les noyaux d'E. W. le centre du
lumineux et la dilatation pupillaire. Bumke remarque que tous les
auteurs
admettent une voie ré- flexe ayant son centre d
u souvent manquer,dans la pégé avec Argyll, la lésion que plusieurs
auteurs
(Reichardt, Gaupp et Wolff), considé- REVUE D'A
histologique des cerveaux de quatre déments préco- ces a permis à l'
auteur
de constater des lésions de tous les éléments c
déterminée ; mais cette dernière altération est considérée par l'
auteur
comme étant probablement en relation avec les aff
uggérée était un phénomène banal ; la négation actuelle de certains
auteurs
est inadmissible ; on n'a pas le droit de dire
lalibrairie Le Beau,de Vannes, une étude des plus intéressantes. L'
auteur
montre les soldats du Bataillon « les Joyeux »
dicalement supprimée. L'examen mental approfondi permettrait, dit l'
auteur
, non seu- lement de traiter chaque homme suivan
adie, ré- sulte une altération de la fonction responsabilité dont l'
auteur
envisage lesgrandes conséquences ; après le poi
n comte de Brinois, qui habite dans la maison de Marie Forel, est l'
auteur
de l'installation des graphophones dont elle se p
ois). Les locataires de sa maison, à part ce comte, ne sont pas les
auteurs
certains des bruits et des menaces qui l'entour
d'acétone. Notre malade aurait ingéré 8 gr. d'acétone. De nombreux
auteurs
, entre autres Iiüssmaül, Cantani, Marro, ont at
ions disproportionnée à leur mobile. « En résumé, concluent les
auteurs
(2) dans la folie des persécutés-persécuteurs,
une lésion d'ailleurs inconnue du systè- me nerveux, tandis que les
auteurs
qui l'ont les premiers décrite y voient une aff
ques visent surtout l'étude de la fatigue chez les ado- lescents. L'
auteur
constate qu'il y a des variations diurnes à pério
r CROC. (Journ. de neurologie, n° 8, 1907.) L'hystérie, d'après l'
auteur
, est caractérisée surtout par une sug- gestibil
est-elle pas le résultat de ces deux perturbations simul- tanées. L'
auteur
est ainsi conduit à conclure que trois facteurs
pliquant le vibrateur dans le domaine de l'articulation du genou, l'
auteur
a pu produire artificiellement chez l'homme l'e
ées au passage de l'influx nerveux. Au point de vue thérapeutique l'
auteur
a obtenu REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PAT
faisant suite à un premier paru dans l'Encéphale 1907, n° 3 et où l'
auteur
expose les effets cliniques et les désordres anat
ntier. (Bulletin médical, 26 juin.1907.) Ce sont des conseils que l'
auteur
donne aux praticiens sur lafaçon d'examiner un
e nocturne essentielle de l'urine n'implique nulle- ment, d'après l'
auteur
, une faiblesse organique du sphincter ; s'il en
es causes dans chaque cas particulier, il est dû souvent, d'après l'
auteur
, à la présence de végétations adénoïdes qu'il s
- VITCII-DusclArl. (Rev. med. delà Suisse Romande, 1906, n° 9). L'
auteur
relate les observations de deux sujets, une femme
étermination et extraction de la balle ; kyste post- traumatique. L'
auteur
met en relief dans cette observation l'in- flue
dure-mère que l'on ouvrira largement si l'on constate un abcès. Les
auteurs
citent une très intéressante observation dans l
N et LHERNIITTE (L'Encéphale 1907, n° 7.) . Revue générale où les
auteurs
font l'étude clinique,anatomo-pa- thologique et
he de ces symptômes oculaires peut avoir une réelle importance. Les
auteurs
relatent l'observation d'un homme qui se plaign
ar l\IONDIO. (L'Encéphale,1907, n° 4.) L'observation que rapporte l'
auteur
l'autorise à considérer la manie transitoire co
par le Dr Waynbaum. (1 vol. 300 p. F. Aican, éditeur.) Le but de l'
auteur
est double ; d'abord montrer pourquoi la physio
face comme l'envers du cerveau ou l'expression de l'âme, est, dit l'
auteur
, tout à fait exact. Pour avoir une idée schémat
e ou sanguine de la physionomie ». Cet extrait des conclusions de l'
auteur
donne une idée assez exacte du style général de
assez exacte du style général de l'ouvrage. Quoi qu'il en soit, l'
auteur
insiste longuement sur le pouvoir vi- suel de l
presque toujours pour siège la physionomie. Une fois devenue, dit l'
auteur
, grâce à notre constitution anato- mique, le ce
nnaissons el ne nous occupons que de sa physionomie. En résumé, l'
auteur
fait reposer le principe fondamental de la phys
ce rôle : celte raison ne peut être autre que celle indiquée par l'
auteur
. La physionomie seule était apte à manier le sa
d'ailleurs. En l'absence d'une classification bien établie, que les
auteurs
estiment prématurée,' en l'état actuel de nos c
soudaineté d'un accès et disparaissent généralement de même. Les
auteurs
divisent les amnésies fonctionnelles en : 1° amné
niques, revient à la paralysie générale et à la démence sénile. Les
auteurs
étudient l'amnésie dans les lésions organiques ci
chiques, Paris 1907.) Le but de cette intéressante étude est, dit l'
auteur
dans la pré- face, de rattacher les superstitio
a relation de quelques cas isolés et de contagion des exorcistes, l'
auteur
parle de l'inquisition : Elle usa des bûchers c
ui fixa la jurisprudence en fait de crimes de sorcellerie;. Selon l'
auteur
, de Lancre et Bodin étaient des aliénés, dans l
ulte de l'action d'éléments multiples, intellectuels et sentants. L'
auteur
découvre ces éléments dans : l'étude psy- chiqu
sont étudiés d'après l'un d'entre eux, très puissant, la colère. L'
auteur
rappelle la ma- nière de voir de James et Lange
leurs rapports avec le mobile colère, dans l'ordre ci-dessus, et l'
auteur
établit les relations étroites entre la conscienc
ces trois éléments sollicitent la détermination et le vouloir. L'
auteur
examine alors le mode d'action de ceux de ces élé
développement, et s'il peut remplir son devoir à temps. Donc, dit l'
auteur
, puisque l'impulsif peut résister à son impulsi
estion de l'innéité du bien et du mal, et à celle de l'éducation. L'
auteur
conclut que le bien et le mal ne sont pas innés
avait été très peu connue jusqu'à ces derniers temps parce que les
auteurs
qui étudiaient l'innervation sen- sitive de la
es homards sont tombés malades et deux enfants sont même morts. L'
auteur
ne dit rien des symptômes de l'empoisonnement D
la libre sincérité d'un clinicien exposant ses souve- nirs. Mais l'
auteur
avait sans doute pour objectif de classer les s
illusions ou des hallucinations ; désordre des actes, paramimie. L'
auteur
rappro- che même de ces troubles les inversions
s les plus élevés de la fuite des idées. Dans la deuxième partie, l'
auteur
s'est appliqué à justifier la classification gé
épileptique, hypochondrie, névroses et psychoses traumatiques. L'
auteur
dit n'avoir adopté qu'après de longues hésitation
stupeur maniaque, manie coléreuse, excitation dépressive, etc. L'
auteur
insiste par contre sur les formes mixtes à brusqu
ologiques des syndromes extrêmes, et, ainsi que le fait remarquer l'
auteur
, d'attirer l'attention de l'investiga- teur sur
r des groupe- ments nosographiques qui l'ont préparée et des noms d'
auteur
qui servent souvent encore à les désigner : les
mes ». Pourtant, et conformément encore à l'opinion de Kraepelin, l'
auteur
admet que les édifications déli- rantes basées
eprésente la quintessence, et qui furent autrefois décrites par des
auteurs
français sous les titres de « paranoia abortive
pseudomonomanie, im- pulsions intellectuelles, délire émotif. ». L'
auteur
insiste particu- lièrement sur la forme très gr
lement laissés de côté, sauf pourtant ceux du Dr Sollier, dont l'
auteur
reconnaît s'être inspiré pour opposer les formes
ie morale) aux plus légères, que puissent offrir ces sujets que les
auteurs
français appellent des déséquilibrés et auxquel
atténuée. » Dans ses définitions et dans l'analyse des symptômes, l'
auteur
se place avec raison au point de vue social : l
ités ? Il pourrait alors retenir le signi- ficatif aveu échappé à l'
auteur
poui la paranoia, « la maladie uni- ' verselle
après un chapitre consacré aux principes généraux de l'expertise, l'
auteur
étudie la responsabilité, la faute et la peine.
damnés, mais pour un temps que fixerait l'arrêt ou le jugement, les
auteurs
de faits qualifiés crimes ou délits graves, dont
ns invalides, est, à ce point de vue, fâcheusement en retard. Ici l'
auteur
donne quelques renseigne- 454 ' REVU},. DE THÉR
au moyen de la cellule à compter de Fuchs et Rosenthal. D'après l'
auteur
,il y a réaction pathologique,par conséquent cy-
cille de la dysen- tarie.Dans les cas se rapportant aux asiles, les
auteurs
ont trouvé le bacille type Shiga à Quatre-Mares
ey- NINX. (Journal de Neurologie,l907, n" 6.) La conclusion que l'
auteur
tire de ce travail est que si l'épilepsie peut
amène la diminutlonou la suppression des crises épileptiques. - L'
auteur
conclut de ces faits que si les réflexes tendineu
de troubles intellectuels et déterminant des actes délictueux. Les
auteurs
apportent les observations très con- vaincantes
cée et par de l'insuffisance psychique. Les obsessions, d'après les
auteurs
, présentent les caractères suivants; elles sont
les des- cendants. Sur 14 cas d'idoties diverses rapportés par les
auteurs
et où l'hérédité a pu être explorée avec soin,
la plus certaine. Sur 24 observations empruntées à Bourneville, les
auteurs
en retiennent 12 où la tuberculose se trouve so
xiste dans la littérature médicale plu- sieurs observations, et les
auteurs
en rapportent deux personnelles qui semblent ne
t plus actuellement, que tous les 2 ou 3 mois. Il s'agit, d'après l'
auteur
, de crises anxieuses semblables à celles qui co
congénital, acquis et congénital unique. Dans le cas présenté par l'
auteur
, la dystro- phio est congénitale unique ; outre
est plus le jouet d'influences étrangères ; il devient te véritable
auteur
de son propre développement. (Sui- vent de nomb
es (le la Seine ont été suspendus. « Nous signalerons, disent les
auteurs
, l'admission do 1 T \ ici 1 - lards âgés de plu
(The Journal of mental Science, janvier 1907.) Dans ce discours l'
auteur
, en des paroles élevées, explique aux 480 BULLE
iculo-gan- glionnaires du zona, par Tho- mas, p. 166. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Abunc1o, (d'), 364. Alq
wilcl1- Dusa n, 375. Jaccluiu. 459. Jaguaribe, 307. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. 491 Jambon, 231. 1.
471. Trendelcmburg, 57. Truelle, 1. Tuner, 65. 492 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. Uréclié, 209. Vaillard
rmité de l'enfance n'a intéressé jusqu'ici qu'un nombre restreint d'
auteurs
et encore la plupart se sont-ils bornés à la si
Désiré Bernard se borne à rapporter brièvement, d'après différents
auteurs
, des exemples d'enfants muets, entendant et compr
ÉTI- NIS31E ; par Warren-Little. (North-Lancet, décembre 1896.) L'
auteur
rappelle les nombreux travaux qui ont éclairé la
htalmique,- dans la crainte d'augmenler les accidents cardiaques. L'
auteur
espère que le traitement chirurgical du goitre
it survivre à une grande opération avant l'ère de l'anesthésie. L'
auteur
résume les accidents du shock : pâleur des tégume
de six à neuf heures. Ce médicament constituerait donc, d'après l'
auteur
, l'hypnotique de choix dans la démence sénile'
Epilepsy ); par A. W. Dunning. (No·tla-IV. Lancet, janvier 1897.) L'
auteur
insiste sur la nécessité d'un traitement précoce,
la suspension du bromure. L'épreuve était tellement éclatante que l'
auteur
tint à ne pas la prolonger. Dans le traitement
, telles que adhérences du prépuce, affections de l'ovaire. Enfin l'
auteur
préconise le système d'hospitalisation des épil
avoir signalé les caractères de la réaction de dégénéres- cence, l'
auteur
envisage la valeur de l'électricité dans le trait
spasmodique étant rayé du cadre des affections de l'adulte quelques
auteurs
lui assignent un dernier refuge dans la patholo
'existence même des affections qui nous occupent fut contestée. Aux
auteurs
qni devant le démembrement successif de l'atrop
des pédieuses avec hypothermie du pied et de la j ambe gauche. Les
auteurs
éliminant les différentes étiologies pensent qu
à une administration spéciale sous le nom de Mani- come de Jésus. L'
auteur
visita pour la première fois en 1885 cet asile
ssait d'autre attribution que la constatation des décès. En 1891, l'
auteur
revint au Manicome de Jésus et ne trouva encore q
cin et y trouveraient une existence aussi familiale que possible. L'
auteur
ne se fait pas d'illusion sur les difficultés p
thode d'investigation de Moreau (de Tours). Il regrette aussi que l'
auteur
ait parlé des collatéraux dont les descendants po
nutrition avec une sonde demande beaucoup de précautions remarqua l'
auteur
, car il y avait un cas, chez le professeur Op-
e et du muscle ciliaire, plus loin (ce qui surtout est marqué par l'
auteur
comme un phénomène non décrit encore), outre un
sparut totalement de l'urine après un mois. Le cas donné, d'après l'
auteur
, présente un tableau clinique très compliqué et
et le cours de la maladie apparaissent dans le cas cité, d'après l'
auteur
, très caractéristiques pour la paralysie bulbai
téristiques pour la paralysie bulbaire asthénique, ce qui donne à l'
auteur
le droit de les unir aux cas peu nombreux de ce
sous-méningiennes. Aux symptômes prin- cipaux de cette affection l'
auteur
rapporte : 1° la paralysie spasmo- dique des me
s convulsifs corticaux de longue durée dans laparalysie générale. L'
auteur
décrit deux cas. de convul- sions cloniques con
nière et une névrite parenchymateuse des nerfs médian et cubital. L'
auteur
rapporte les hyperkinésies classiques de ces de
ments choréïformes, et athétoïdes, qui ont été décrits par d'autres
auteurs
chez les paralytiques, mais ces convulsions son
e partielle continue décrite par l' M. le professeur Kojewnikoff. L'
auteur
signale les convulsions cloniques incessantes c
t pas le droit pourtant de considérer les phénomènes, décrits par l'
auteur
, comme des symptômes peu favorables au sujet du
e affection, niée par les uns, et vaillamment soutenue par d'autres
auteurs
. L'étude de l'histologie fine de la cellule ner
énuation. Cette méthode de rééducation des mouvements a donné à son
auteur
des résultats très satisfaisants. A la clinique
moteurs et cutanés à caractères particu- liers ; dans la deuxième l'
auteur
étudie la topographie de l'atrophie musculaire
téressant des troubles trophiques est celui de la main à laquelle l'
auteur
donne le nom de la « main succulente». La main
onne à la main l'aspect d'une main gelée. Chez une de ses malades l'
auteur
a vu se produire de véri- tables crises de cyan
it à un malade célèbre vu par Ricord, Lisfranc, Duchenne et Aran, l'
auteur
a pu déceler, à l'aide des rayons Rontgen une f
r l'atrophie. Cette topographie de l'atrophie musculaire permet à l'
auteur
de résoudre certains problèmes de la localisa-
ins problèmes de la localisa- tion dans la moelle épinière; ainsi l'
auteur
conclut de ses recherches que les muscles fléch
la moelle. Ce travail, comme tous les travaux antérieurs du même
auteur
, est frappé au coin de la bonne observation cli
reins, coeur et circulation), ainsi que l'opinion de quelques rares
auteurs
sur les lésions matérielles dans les paralysies
t la dose et l'individu : 2, 3, 15, 30, 35, 40 jours, sui- vant les
auteurs
. La deuxième et dernière partie de l'ouvrage es
allogroide. -Brochure in-S° de pages. Pointe-il-Pitre, 1S9G. Chez l'
auteur
. GuiLLON (A.). Des maladies de la ntëmo'e.Essai
spinale chronique, tellement fréquente et importante, que certains
auteurs
lui ont attribué le rôle primordial dans la pat
les maladies à processus parenchymateux pri- mitif ? ' « Certains
auteurs
disent non, notamment Brault1. Brault refuse le
tulle ; 3° de la sclérose artérielle, comme l'ont démontré quelques
auteurs
. Cette dernière n'est pas de nature inflam- mat
re séparés, sans aucun doute ; mais c'est une erreur de diviser les
auteurs
en deux camps opposés. Les scléroses non inflam
endant il n'est pas inutile de bien pré- ciser le débat. Tous les
auteurs
que j'ai cités dans mes leçons sur la sclé- ros
e paralysie générale à forme dépressive, et quatre de démence : l'
auteur
en fait deux groupes, l'un composé des cas de mél
e colère peut déterminer un trouble hépatique ou cardiaque. Aussi l'
auteur
attache-t-il une grande importance au degré, à
quées plus haut. Les conséquences les plus remarquables de ce que l'
auteur
appelle l'auto-intoxication mentale se rencontr
rapporté à cette injustice, et, d'une façon plus nette encore, à l'
auteur
de cette injustice. Dès qu'un lien a été créé ent
e préoccupe beaucoup en ce moment de l'accroissement de la folie; l'
auteur
incline à penser que cet accroissement est pure-
it inévitablement si réellement la folie augmentait de fréquence. L'
auteur
conclut que l'expérience nous enseigne qu'il n'
r conséquent un pas en avant dans la marche de la civilisation. L'
auteur
termine par quelques considérations sur le systèm
us de relation des cellules entre elles. 2° Variation exagérée. - L'
auteur
emploie ce mot pour ramener le sujet au point d
me. Et si l'on objecte qu'il n'y a là qu'une différence de degré, l'
auteur
répond qu'elle est assez grande pour équivaloir
que, réside dans ses relations avec d'autres centres. Et, suivant l'
auteur
, les connexions trophiques des centres supérieurs
hique ou de contracter de nou- velles relations fonctionnelles. L'
auteur
conclut en disant que leproblème qu'il s'est effo
mentionné, sans s'y arrêter suffisamment, et que beaucoup d'autres
auteurs
passent entièrement sous silence, c'est l'évoluti
mental Science, juillet - 1896.) Au point de vue du diagnostic, l'
auteur
établit qu'il s'agit là d'un cas de stupeur mél
fres qui seraient en effet fort inquiétants s'ils étaient exacts. L'
auteur
, qui est méde- cin d'une prison, conteste d'abo
lente, facilement irritable. Ce cas de folie à deux rentre, dit l'
auteur
, dans la forme appelée par les auteurs français
de folie à deux rentre, dit l'auteur, dans la forme appelée par les
auteurs
français, « folie communiquée ». Ici c'est l'él
ileptic) j par HUNT. (rVortlc-1V. Lancet, le,* jan- vier 1897.) L'
auteur
réclame que l'état prenne les épilepfiques sous s
utant moins efficace que l'épilepsie débute de meilleure heure. L'
auteur
fait voir ensuite les effets de l'épilepsie sur l
e petit mal. C'est à peine si on obtient 5 p. 100 de guérisons. L'
auteur
montre ensuite dans quelles conditions d'inférior
l'idiotie ou de la folie plus souvent que de l'épilepsie. Puis l'
auteur
en arrive aux mesures à prendre vis-à-vis des épi
fection mentale était un cas bien caractérisé du type nommé par les
auteurs
forme hypocondriaque de la paralysie générale.
.-J. P1TC : 11RN. (The Journal of Mental- Science, janvier 1897.) L'
auteur
, médecin de la prison de Ilolloway, qui correspon
plusieurs mois avant son entrée, l'argent fut versé à la veuve. L'
auteur
termine par un aperçu sur la spméiologie de l'alc
sexuelle; par ELUS. (Medico-legal journal, décembre 1896 1.) . L'
auteur
a eu l'occasion d'étudier 33 cas d'invertis sexue
e l'amour ordinaire. Que doit-on penser de l'inversion sexuelle ; l'
auteur
se range à l'opinion de Moll et Krafft Ebing qu
i on parlait d'une lumière verte vue à travers un verre rouge. Si l'
auteur
considère l'inversion comme une anomalie congénit
le. (B1'ilish Médical Journal, 28 sept. 1896.) La note, lue par l'
auteur
à la section de psychologie de la soixante-troi
sures de la substance corticale en dehors de l'état pathologique. L'
auteur
dé- nonce d'ailleurs la description actuelle du
re la synthèse de ce qu'on appelle le tonus psychique individuel. L'
auteur
décrit 4 cas de lésions de ce lobe. 1° Femme,
des résultats heureux illusoires prématurément enregistrés. Pour l'
auteur
il y aurait mieux à espérer si on n'opérait que
travaux et de recherches. Dans la première partie de son travail, l'
auteur
étudie les effets produits par la dégénérescenc
bres nerveuses sont plus nombreuses. Les résul- tats des différents
auteurs
sont loin de concorder. Un fait bien ' établi,
oit-on recourir à une antisepsie minutieuse. Dans ses expériences l'
auteur
s'est servi d'eau bouillie. L'examen des nerfs
la seconde et laisse intacte la première. Dans ses expériences l'
auteur
a eu recours à la section du nerf sciatique ou
on limitées au 8e segment dorsal ; elles sont imputables, d'après l'
auteur
, à une contusion de la moelle post mortem. P. K
ie dans un travail sur la structure de granulation de l'épendyme. L'
auteur
italien a constaté que dans les préparations de
W.-F. Robertson. (The Journal of Mental Science, octobre 1895.) L'
auteur
se propose de passer sous silence les altérations
RAMIDES; par W. DE BECFITEREN. (AMt'00. Centralbl., XIV, 1895.) L'
auteur
rappelle son travail antérieur (voy. Archives de
es régions ont donné des résultats incertains et contradictoires. L'
auteur
a fait des expériences dans le but d'élucider c
rontales prési- dassent aux mouvements du tronc et de la nuque. L'
auteur
a fait des expériences sur dix chiens âgés de six
'ils ne peuvent ou ne savent plus exécu- ter, a été appliquée par l'
auteur
dans 6 cas, dont il donne l'ob- servation : dan
médical de l'inversion sexuelle, une fois qu'elle est constituée, l'
auteur
cite tout d'abord le traitement institué par le
. Médication thyroïdienne dans la catalepsie; par le D G. RoGERS. L'
auteur
a eu l'occasion d'observer deux cas intéressants,
rsonnelles et de celles d'un certain nombre d'autres observateurs l'
auteur
de ce travail conclut qu'actuellement aucun hyp
aitement tonique associé au massage n'a pas donné de résultats. L'
auteur
pense que, dans ces conditions si aucune nourritu
par J. MACPHERSON. (The journal of Mental Science, octobre 1896.) L'
auteur
relate l'évolution, en Ecosse, des idées de progr
soigner des aliénés, sans que ceux-ci aient été certifiés tels ; l'
auteur
se plaint que cette loi soit à chaque instant v
r un confrère à examiner avec lui un malade manifestement aliéné, l'
auteur
a pu assister à un de ces jugements. Les choses
erre, mais constituent néanmoins un progrès de pre- mier ordre. L'
auteur
a recueilli de la bouche du Dr Warnock, au cours
on- ception du cordon de Goll de la moelle cervicale. Les anciens
auteurs
désignaient sous ce nom un faisceau de substance
tés en forme de fuseau : c'est le « centre ovale » de Flechsig. Cet
auteur
l'a bien signalé, en 1876, dans son tra- vaiisu
postérieure. Elle eut ses partisans déclarés. Mais actuellement les
auteurs
paraissent être d'accord pour lui refuser toute
rs. En agissant comme ils l'ont fait, les ministres de l'intérieur,
auteurs
de ces nominations, se sont montré sin jus les
e montre après trente ans, il faut songer à cette intoxication. L'
auteur
admet enfin que certains cas d'apoplexie où l'aut
suffit souvent de modifier le régime du malade. Et, à ce propos, l'
auteur
fait la critique de l'alimentation carnée, dont
LL. (EdinbÓU1'gh Med. Journal, février 189 i.) Ce cas fournit à l'
auteur
l'objet d'une leçon clinique où abon- dent d'in
mouvement et de la sensibilité dans le membre inférieur gauche. L'
auteur
discute avec détails le diagnostic de l'affection
se organique. Il s'agit de contracture hystérique. A ce propos, l'
auteur
fait observer combien il faut être réservé quan
par W.-R. GOwrRS. (Edillbourgh Médical Journal, janvier 1897.) L'
auteur
rapporte l'observation détaillée d'une femme de q
motrice du trijumeau droit. Les troubles du goût observés portent l'
auteur
à admettre que les sensations gustatives gagnen
Mais sa nature reste obscure. Le malade n'a pas eu la syphilis. L'
auteur
analyse ensuite quelques symptômes accessoires ob
A PROPOS D'UN cas avec éruption généralisée; par Alex. HASLUND. L'
auteur
a observé, dans son service d'hôpital, un cas de
niverselle, comme dans les deux uniques cas de la même espèce que l'
auteur
a trouvés dans la littérature, communiqués par
intervenue vers l'âge de vingt ans, âge où la soudure s'opère. L'
auteur
rappelle que Lancereaux a rapporté trois cas d'ac
du trouble, c'est une amnésie sénile. Si l'on voulait, termine l'
auteur
, compléter l'analyse de la patho- graphokinésie
cette étude sur le diagnostic de la mala- die ont été résumés par l'
auteur
en quelques propositions sur les- quelles la di
simple exposé montrant les grandes lignes de la question. Tous les
auteurs
que nous allons citer donnent eux-mêmes dans leur
à eux pour les recherches bibliographiques. Avec la lecture de ces
auteurs
et les indications que nous aurons soin d'ajout
âge, notamment le début par les troubles des facultés affectives. L'
auteur
insiste sur la bénignité du pronostic, lorsque
vations personnelles sur lesquelles nous reviendrons plus loin, l'
auteur
rapporte deux cent soixante-douze cas plus ou moi
de Casaubont, t, intitulée : L'hystérie chez les jeunes garçons. L'
auteur
prend pour point de départ une observation pers
es attaques convulsives et une monoplégie très rapidement guérie. L'
auteur
parle de cas nombreux d'hystérie infantile qu'i
mes et une hérédité goutteuse très chargée. Dans le même travail, l'
auteur
se demande si les hémoptysies hystériques ne re
M. Terrien dans une thèse soutenue devant la Faculté de Toulouse. L'
auteur
, qui a exercé en Vendée, y a fréquemment rencon
lève encore des objections d'ordres divers. Cela tient à ce que les
auteurs
s'inspirent encore des théories que l'Ecole de la
as analogue de Pierret, de Lyon, et un de Baumel, de Montpellier, l'
auteur
insiste , L'hydrothérapie appliquée méthodiquem
e peut évidemment imprimer ces rapports sans l'assentiment de leurs
auteurs
. Nous ne devons considérer la communication de
avec une hémiatrophie de la langue). Présentation des malades. L'
auteur
a observé ces dernières années les trois cas suiv
uel des deux yeux, surtout dans sa région supérieureetinférieure. L'
auteur
insiste principalement sur la coïncidence des sym
scence mentale et neurasthénie; par le Dl' A. Vcac. Lyon, 1897. L'
auteur
, dans une revue critique de 3 pages, cherche à ét
soit à des causes patholo- giques, soit à l'action de la volonté. L'
auteur
laisse décote les falsi- fications mimiqnes du
che et la localisation des accidents paralytiques et atrophiques, l'
auteur
pense qu'il s'est agi dans ce cas d'une poliomy
te dernière condition peut aussi favoriser l'asystolie aiguë dont l'
auteur
publie un bel exemple. Le mécanisme du coeur
que le bromure peut produire à lui seul des accidents cardiaques. L'
auteur
d'en a jamais observé chez des individus à coeu
; par le De J.-B. Charcot. L'intéressante observation relatée par l'
auteur
a trait à une femme relativement bien portante,
nosogl'aphique : les diplégies cérébrales infantiles, sans que cet
auteur
ait cru devoir tenir compte ni des causes éliol
récités, comme des troubles de l'intelligence, du langage, etc. L'
auteur
adopte l'idée de séparer des affections spasmo-pa
ns étiologiques spéciales dans les- quelles ils se produisent que l'
auteur
a proposé de les désigner REVUE DE PATHOLOGIE N
opragie on peut rapprocher les vices de fonctionnement,, auxquels l'
auteur
propose d'appliquer le terme plus général de dy
voir éliminé l'hypothèse de paraplégie spasmodique et d'hyslérie, l'
auteur
, en présence de la dyspragie cérébrale, se dema
L'ORIGINE auto -toxique DE l'épilepsie; par le Dr Nelson Teeter. L'
auteur
a repris l'étude de l'auto-intoxication dans l'ép
urée non dans l'urine et les matières fécales, comme la plupart des
auteurs
l'ont fait jusqu'à présent, mais dans le sérum
egma accumulé entre le gland et le prépuce, en cas de phimosis. L'
auteur
rapporte l'observation d'un enfant de quatre mois
men de cet enfant un phimosis avec orifice préputial très étroit, l'
auteur
pensa que ces crises pouvaient être d'origine r
3NC1rf;LD. (Centralbl. f. Newenheilli" XVIII, N. F., vi, 1895.) L'
auteur
étudie comparativement la léthargie nerveuse des
nt dans les méninges, de pachyméningite et d'hématomes récents, les
auteurs
appellent surtout l'attention sur l'atrophie cé
s est donc très analogue à celle qui a été décrite par Greppin. Les
auteurs
lui attribuent une grande importance, car les t
Sans se prononcer catégoriquement sur l'origine de ces noyaux, les
auteurs
ont de la tendance à les considérer moins comme l
sur l'état général et n'ayant amené aucun trouble encéphalique, les
auteurs
ont employé la médica- tion thyroïdienne, le co
gnathisme et la cyphose ont paru amoindris. Du côté des urines, les
auteurs
ont constaté une augmentation croissante de l'u
nque d'intelligence et très grande faiblesse de com- binaisons. L'
auteur
est porté à expliquer la lésion cérébrale si préc
la quantité et la qualité des travaux dans les congrès généraux. L'
auteur
suppose que la voie la plus conforme pour l'établ
nnervé par le nerf radial , qui prend son origine, d'après certains
auteurs
, des cinquième, sixième et septième racines et d'
ier 1897 la névrite et la phlébectasie devinrent moins marqués. L'
auteur
note le manque de données concernant cette questi
res par Lapinsky). Léwacliolf, Fraenkel et l3ahius ! : y, d'après l'
auteur
, trouvent que certaines altérations des vaissea
us en question à la glio-e et au gliome. Le cas suivant a servi à l'
auteur
pour l'étude présente. Un malade de seize ans,
sclérose disséminée. Le foyer décrit du cerveau est considéré par l'
auteur
comme une forme intermé- diaire, à laquelle il
diaire, à laquelle il propose de donner le nom de scléro-gliose. L'
auteur
finit son travail en notant la coïncidence de la
brégé, encore deux cas de sa clinique, ayant rapport la question, l'
auteur
formula les conclusions suivantes : la sclérose
sseur KojEWNiKOFF note l'intérêt que présentent les recherches de l'
auteur
sur la vascularisation de la partie ventrale du
x ont donné jusqu'à présent des résultats contradictoires. Certains
auteurs
ont trouvé, comme suite du poi- son diphtérique
manière sui- vante : le traitement préliminaire des préparations; l'
auteur
le fai- sait à l'aide du formaline, d'où il tra
les préparations dans le baume de Canada. Toutes ses conclusions, l'
auteur
les tirait en se basant sur la com- paraison de
opinion de M. le professeur KOJEWNIK01,,r, d'accord avec celle de l'
auteur
, les conclusions définitives ne pourraient être
contre l'intoxi- cation par l'alcool. Dans une première partie, l'
auteur
nous fait, assister, avec nom- breuses expérien
ats précis découle sout naturellement l'indication du remède, que l'
auteur
de la thèse étudie dans la deuxième partie de 3
ique, comme M. Aimé a soin de le faire remarquer dans sa préface. L'
auteur
a étudié le rôle de l'élé- ment nerveux dynamiq
le professeur Bernheim. Nous exprimerons toutefois le regret que l'
auteur
ne se soit pas occupé des cas où l'application
lectuelle proprement dite. C'est une lacune regrettable, mais que l'
auteur
saura bientôt combler, nous n'en doutons pas; l
in-8° de 9 pages, avec 11 figures. Saint-Pétersbourg, 1897. Chez l'
auteur
. BECHTERE1V (W.). Ueber Myolonie und ihre Behan
l/1lg, Bro- chure in-8° de 9 pages. Saint-Pétersbourg, 1897. Chez l'
auteur
. Buschax (G.). Bibliogoaphisclzer Semeslerberic
la fréquence par trop grande que veulent bien lui accorder certains
auteurs
qui appliquent trop aisément l'étiquette d'hyst
N° 3.) . - Bien que l'antipyrine soit susceptible d'après quelques
auteurs
de déterminer dans les éléments nerveux des alt
ICAL DE l'épilepsie ; par Giirw. (Médecine Détroit, juin 189ï.) L'
auteur
laisse de côté l'épilepsie essentielle idiopathiq
D1' Ranney et du mémoire du Dr Peterson : nous ne pouvons suivre l'
auteur
dans sa polémique contre le.Dr Peterson, et nou
rement la marche de la maladie. Dans 87 p. 100 des cas réunis par l'
auteur
, le soulagement apporté à la fatigue oculaire a c
des guérisons complètes et pratiques, dans la série rapportée par l'
auteur
de vingt-deux cas traités par la méthode ophtal
ment. La proportion obtenue est de beaucoup plus considérable que l'
auteur
ne l'avait annoncé, ou même espéré pour les épi
nts qui étaient autrefois opposés à la manière de voir que défend l'
auteur
ont été forcés d'admettre, dans une mesure plus
atifs bien exacts, et procédant sur des faits nettement observés, l'
auteur
a recueilli 130 observations : 96 de ces paraly
à la connaissance. « Comparer, dit Ribot, comme l'ont fait certains
auteurs
, la « sensibilité » et l' « intelligence » pour
ats obsédants en phobies et obsessions vraies, adoptée par certains
auteurs
et notamment par Freud. 1° Etat obsédant ci a
ée parasite, automatique, discordante, irrésistible. La plupart des
auteurs
ont insisté sur ce caractère essentiel de l'idée
ent en repos. Dans la variété rémit- tente, considérée par tous les
auteurs
comme la plus fréquente, la maladie se traduit
troncs nerveux, telles qu'elles ont été cons- tatées par différents
auteurs
et par nous-mêmes. Le procédé expérimenta] que
arations que nous avons obtenues. Dans ces derniers temps, quelques
auteurs
, MM. Marinesco, Lugaro notamment, se sont appli
les fibrilles du cylindraxe. J'ai soutenu, et, depuis, plusieurs
auteurs
ont confirmé cette opinion, que la désintégrati
veuscs. MM. les Drs A. Golscheider et E. PLATEAU (de Berlin). Les
auteurs
emploient la méthode de Nissl pour observer les c
ion du processus réticulaire de la corne antérieure. En tout cas, l'
auteur
n'a jamais vu l'exten- sion de l'hématomyélie d
ssociation syringomyélique de la sensibilité, trouvée souvent par l'
auteur
dans les segments situés immédiatement au-dessus
a théorie de l'intoxica- tion, soutenue par la plus grande partie d'
auteurs
de tous les pays, qui semble prédominer à prése
ns sur lu paralysie générale. 1\1. CH, Vallon (de Paris). Suivant l'
auteur
, l'hérédité, la syphilis et l'alcool constituen
e générale vraie, mais seulement des pseudo-paralysie, générales. L'
auteur
montre la fausseté de celle proposition, en s'a
ix jours (pour vingt jours de traitement) tous les mois. Beaucoup d'
auteurs
emploient ainsi l'iodure dans un but autre que
conte- nant 1 centigramme de sel d'argent. Aujourd'hui beaucoup d'
auteurs
ont plutôt de la tendance à diminuer ces doses, a
épétés souvent et largement pour n'avoir pas un effet nul. Certains
auteurs
, comme Magnan et Teissier, préfèrent ce dernier
folie du doute, paralysie générale, sont représentées. Cepeudant, l'
auteur
admet que la maladie de 1 )al ! 1'bÜcltel' sur
untent leur forme et leur ori- gine à la maladie première. D'autres
auteurs
nient au con- . traire tout rapport entre les d
angoisse avec interprétations délirantes sociales ou religieuses. L'
auteur
passe en revue toutes les moda- lités, toutes l
hallucinations visuelles et tactiles en ques- tion. Donc, conclut l'
auteur
, les hallucinations sont des fragments de souve
épuisement nerveux passager succède à une excitation trop forte. L'
auteur
termine en citant les paroles de Charpentier (T
celle-ci serait exceptionnelle dans les 30 à 40 observa- tions de l'
auteur
, et tout a fait absente dans les 24 derniers fait
anormales congénitales, vagues sans doute jusqu'à nouvel ordre' ? L'
auteur
a déjà recueilli deux observations dans lesquelle
clo- nie cesse; celle-ci continue dans l'intervalle des attaques. L'
auteur
en donne une observation qu'il rapproche de cel
' syringomyélie de la moelle cervicale et dor- sale supérieure. L'
auteur
ajoute que les arthropathies sont singulièrement
a première chose à considérer pour le tabes dorsal est le climat. L'
auteur
recom- mande surtout à ses malades de passer de
roids ou tièdes, ne dépassant pas 18° F., sont bons mais, d'après l'
auteur
, le baiu chaud porte préjudice au malade. M.
s névralgies périphériques ; par le Dl' C. BALLABENE (Home). 1. L'
auteur
se propose- de démontrer que la douleur physique,
qu'en quelque cas la névralgie seulement peut tuerie malade. - 2. L'
auteur
parle ensuite de lï £ chialgie (com- munément s
tant en regard de leurs causes quede leurs formes cliniques. - 3. L'
auteur
passe en revue beaucoup de remèdes jadis employ
s l'eau, composé par le D''chimiste Joseph Pilferi, de Rome. - 5. L'
auteur
parle sur les motifs qui l'induisirent à essaye
lire mélancolique vrai, de ce qui n'est qu'idées mélancoliques. Les
auteurs
attribuent à ces deux mots (délire par oppositi
e (respon- ScLbiltté); par M. J.-F. SUTHERLAND. La question que l'
auteur
a l'honneur de soumettre à l'apprécia- tion des
al arrivent de Ions côtés. Pendant les dix-sept dernières années, l'
auteur
a fait, à divers titres officiels, desrecherche
social mais qu'on y trouve le facteur principal et, selon plusieurs
auteurs
un facteur de l'aliénation men- tale, du crime
ans les domaines physiologique et pathologique. Dans la théorie des
auteurs
, le sys- tème nerveux devient l'agent principal
ogie expérimentale viennent à l'appui de celte manière de voir. Les
auteurs
citent des faits de transmission héréditaire de l
évroses en général. M. le professeur l3osisNIICm (de Berlin). - L'
auteur
considère la dyspepsie nerveuse comme une entit
dernière est relativement rare, même chez les individus nerveux ; l'
auteur
cite 50 cas de neurasthénie dont 27 ne se rappo
dermiques de strychnine et d'éther furent également impuissantes. L'
auteur
rap- porte des observations qui démontrent que
- nal of Mental Science, octobre 1896.) Les points sur lesquels l'
auteur
tient à insister sont les suivants : 1° l'avant
W. MAC DONALD. (The Journal of lIlental Science, juillet 1896.) L'
auteur
s'est attaché dans cette étude à préciser quelque
veau et d'inédit est fort contestable, sinon même impraticable. L'
auteur
réfute l'assertion faite par M. Marandon que « no
fait découvrir. C'est ce qui est arrivé pour le cas rapporté par l'
auteur
et sur lequel on ne saurait trop appeler l'atte
ntpellier, 1896-1897, n° 5.) , Avec Eb, Lépine, Brissand, etc., l'
auteur
pense que les alté- rations musculaires des myo
Mont- pellier, 1896-1897, n° 39.) Comme résumé de son travail, l'
auteur
formule les conclusions suivantes : 0 : 1° L'hy
anatomique et biologique du crime; 3° nous pensons, avec- tous les
auteurs
modernes, que la dégénérescence est une maladie
; par le Dr ESSAYAN. (Thèse de Montpellier, 1896-1897, n° 30.) L'
auteur
pense que la chorée est un syndrome clinique qui
le sur les progrès et.les conditions de la psy- chiatrie moderne, l'
auteur
tire les conclusions suivantes : il) La varia.
Intoxication chronique par le , par Guerlich, 408. dans TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. 555 les maladies menta
sse, par Terrien, 130. Zona. Sur le , par Haslund, 228. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Anostini, 409. Aimé, 36
ture latente, si- lencieuse ou passive. Ce sont les termes dont les
auteurs
se servent pour exprimer non pas la nullité, ma
xtemporanéité dans l'autre : là incurabilité, ici curabilité. Les
auteurs
se sont contentés simplement de cons- tater que
troisième circonvolution frontale, comme ailleurs; d'autre part, l'
auteur
ne peut pas même cons- tater par les moyens ord
OGIE NERVEUSE ÉCLAMPSIE ET ÉPILEPSIE; Par Ca. FÉRÉ. Les anciens
auteurs
admettaient que l'éclampsie, soit infantile soi
té directe des convulsions de l'enfance a été observée par nombre d'
auteurs
, notamment par Tissot, Brachet, Bouchut, de loi
ns le courant de notre étude, nous avons été frappé de voir que les
auteurs
qui se sont occupé des causes de l'éclampsie on
ampsie; aussi nous sommes-nous efforcé de les trouver soit dans les
auteurs
qui ont traité des maladies nerveuses, soit dan
forme, permet de soupçonner l'identité de leur uature. Plusieurs
auteurs
ont d'ailleurs signalé la possibilité du dévelo
lampsie et de l'épilepsie. Rappelons d'abord qu'un certain nombre d'
auteurs
, et en particulier Vogel et Jacquemier, etc., o
terminées et l'hystérie '. » ' D'autre part, si un certain nombre d'
auteurs
, et en particulier Gowers, ont signalé l'influe
épète qu'elle mourra comme sa mère; éclampsie puerpérale, mort. L'
auteur
, il est vrai, n'en tire aucune conclusion au po
lus évidentes de l'héré- dité vésanique. Cependant la plupart des
auteurs
les plus autorisés 1 Churton. Brit. nied. Journ
trois cas et en cite douze autres analogues, disséminés dans les
auteurs
sous différents noms. Dans un travail postérieur
end la maladie ou la mort d'une personne, elle s'accuse d'en être l'
auteur
, verse des larmes abon- dantes et son anxiété a
de mélancolie anxieuse ; et quel intérêt a-t-on à la séparer ? Les
auteurs
ont bien signalé chez certains mélancoliques le
e comme se le demande il. Cotard ? Nous ne le pensons pas : le même
auteur
nous parait avoir tiré des conclusions bien plu
détroits : cependant, il n'est pas spécial à ces peuplades, car l'
auteur
a pu en observer plusieurs cas chez les Tamils,
LIE HOLLIS. {Journal or Anal. andPhysiol., vol. XVII et XVIII.) L'
auteur
présente d'abord quelques remarques au sujet du d
des moitiés homonymes des deux rétines, surtout dans la papille. L'
auteur
se garde de conclure encore à cause de l'existe
gnée sous le nom de noyau externe de l'acoustique. Presque tous les
auteurs
en font provenir des fibres de cette paire crân
raitementautisyphilitique sont, dans l'espèce, rare- ment grands. L'
auteur
en rapporte cependant un cas bien et dûment dia
s excellents effets du pinceau faradique dans le tabes ordinaire, l'
auteur
procède chez le tabélique syphilitique à la dou
ue ces deux malades deviennent paralysés généraux, on peut, comme l'
auteur
, admettre qu'ils dérivent d'un trouble céré- br
riétale ascendante et les circonvolu- tions pariétales contiguës. L'
auteur
rattache l'état de l'ouïe à la lésion du lobe p
iedr. SCEIULTZF (de Heidelberg). (Neurol. Centrcelhl., 188 ? .) L'
auteur
passe en revue. à la lumière de la technique micr
pinceau faradique; par Th. RUMPF. (Neurol. Centmvl6l., 188 ? ) L'
auteur
apporte deux observations de guérison par ce moye
s olfactifs ; par A. LEBET. (Société de Biologie, 4 nov. 1883.) L'
auteur
découvre à l'amphithéâtre, un cerveau sur lequel
gyrus angulaire n'est pas rigoureusement établie, quoiqu'en dise l'
auteur
. CH. F. XIX. Contribution aux localisations cér
es, par S ? LSI19RRRY. (The Lancet, septembre et octobre 1883.) L'
auteur
rapporte à l'appui de la doctrine des localisatio
e de l'ataxie n'est pas aussi fréquente que l'ont prétendu certains
auteurs
(Erb en particulier), il semble cependant diffi
Après une courte critique sur les cas connus dans la littérature, l'
auteur
nous présente a l'appui de l'hypothèse des nerfs
tteint d'épilepsie. Après un examen fait avec beaucoup de soin, les
auteurs
constatent : diminution considérable de la bran
e. Pas d'autres q mptômes cérébraux ou sp)- naux. Par conséquent, l'
auteur
considère cette atlection dépen- dante d'une lé
hirurgie pratiques, t. LUI, 188 ? .) Dans cette leçon clinique, l'
auteur
rapporte : 4 quelques exemples d'idiotie et d'i
; parJ.-L.-A. KOCB. (illlg. Zeitsch f. Psych., XXXIX, 2 et 3.) L'
auteur
s'élève contre la routine des comptes rendus admi
gie (f880). Comme il ne s'agit pas d'un travail cli- nique et que l'
auteur
ne fournit pas d'observation à l'appui de ses a
ntricules vides de liquide. Poids de l'encéphale : I,la6 grammes. L'
auteur
conclut à l'existence d'une synostose prématuré
psie par les bromures ; par le Dr ROSENBACLI. {Messager russe.) L'
auteur
veut prouver avec des expériences faites sur les
Lausanne). (Soc. méci. de la Suisse romande.) Dans ce mémoire, l'
auteur
cherche à réhabiliter les injections de strychn
rieures qui ait été combattu avec succès par cette médication. L'
auteur
recommande de débuter toujours par une injection
ADIS.4TION; par A. de WATTEVILLE. (Veurolog. Centralbl., 188t.) L'
auteur
propose une nouvelle méthode consistant à faradis
voulant, au reste, ptéjuger de rien d'après des vues théoriques, l'
auteur
demande qu'on eu essaie. P. K. V. Jua l'actio
en ligne de compte quant à leur rapidité. La longue énumération des
auteurs
se résume en l'excellent fonctionnement de tous
s les registres de Broca qui lui ont été confiés par M. Topinard. L'
auteur
ne tire aucune conclusion de son travail ; mais
mention honorable avec récompense de 1.800 francs est accordée à l'
auteur
du mémoire n° 2, M. Saury, médecin de la maison d
ncouragement, est donnée au mémoire no 4. Ce dernier travail a pour
auteurs
MM. Brun, médecin-adjoint à l'asile de Bron, et
e note sur l'action de la paraldéhyde chez les aliénés. Le plan des
auteurs
a été le suivant : instituer avant tout chez les
mentale sur un animal supérieur. Avec deux kitog. de paraldéide les
auteurs
ont fait des expériences sur trente- cinq malad
ivant : après le coup de massue som- mifère presque instantané, les
auteurs
ont observé un état ébrieux tirant sur la typot
lades pour les observer, on les réveille. Pendant ce sommeil, les
auteurs
n'ont pas noté de phénomènes différents de ceux q
s sans examen préa- lable et quotidien des individus à traiter. Les
auteurs
de la note recommandent en terminant la formule
s sur quelques points spéciaux de telle ou telle de ces maladies. L'
auteur
n'a pas cependant laissé tout à fait de côté le
Buzzard admet, malgré les opinions contraires d un certain nombre d'
auteurs
(notamment en Angleterre), que les phénomènes t
Il est un autre symptôme, les arthropathies, dans l'étudeduquel l'
auteur
apporte des observations et des opinions toutes p
ation immédiate avec le noyau du pneumogastrique étaient altérés, l'
auteur
avait émis l'opinion que les crises gastriques dé
du rôle de la syphilis sur le système nerveux ; dans la leçon XVI l'
auteur
rapporte plusieurs cas de somnolence prolongée da
s, l'abolition des réflexes tendineux et la para- lysie motrice ; l'
auteur
rapproche ces paralysies de celles qui s'ob- se
mimicry de James Paget); dans aucun cas de paralysie hystérique, l'
auteur
n'a observé l'abolition des réflexes, c'est là
dans l'épilepsie; c'est là une méthode qui appartient en propre à l'
auteur
et qu'il est intéressant de connaître. Dans le
de fausset (piping voice) des para- lytiques agitants;c'est, dit l'
auteur
, un ton de voix tout fait ana- logue à celui qu
aquelle fait suite un relevé des cas analogues publiés par d'autres
auteurs
. Une observation de crétinisme avec myxoedèmr.
es hysté- rogènes, etc. Un ca d'arthropathies chez un ataxique. Les
auteurs
considèrent les lésions articulaires comme de n
firme la sa- gesse du choix ministériel pour une telle mission. L'
auteur
examine l'organisation du service des aliénés, au
n 1846 dans les mêmes localités, il constate pourtant un progrès; l'
auteur
fait remarquer qu'il n'existe pas encore de loi
é directement par le pape a été nommé à la suite d'un concours. L'
auteur
entre ensuite dans l'examen détaillé de chacun de
nés de leur classe, sont placés dans une classe supérieure. Enfin l'
auteur
termine par des considérations statistiques, don-
ux traits fixés par R. Whytt (1768) ont été reproduits par tous les
auteurs
. Ce qui est la règle chez l'enfant devient l'ex
sement inflammatoire. Pour rendre la démonstration plus complète, l'
auteur
a examiné histologiquement un ramol- lissement
ondeau, secrétaire delà direction du Progrès mé- dical : il était l'
auteur
d'une excellente thèse ayant pour titre : Etude
ires qui ne rempliront pas les conditions précitées; 2" eeuxdouttes
auteurs
se serontfait connaître directe- menton indirec
raphe répétée sur un pli cacheté renfermant le nom et l'adresse des
auteurs
. Le pli annexé à un travail couronné est ouvert
concours, le pli qui y est joint n'est ouvert qu'à la demande de l'
auteur
. Cette demande doit être faite dans le délai d'un
tre réclamé; il est déposé aux archives de l'Académie. Toutefois, l'
auteur
pourra toujours, après la proclamation du résul
que ce mémoire est son oeuvre. L'Académie accorde gratuitement aux
auteurs
des mémoires dont elle a ordonné l'impression c
se produire. Mais, particu- larité capitale, à laquelle cependant l'
auteur
ne s'ar- rête pas, comment peut-il se faire que
n. Ceci rend compte des divergences de vues observées chez tous les
auteurs
qui, primitivement, ont traité la question de l
, malgré la netteté des indications d'Ecker, dans son mémoire', les
auteurs
de tous pays ont, en bien des cas, confondu plu
ut le monde connaît le siHon'de Rolando, tout le monde sait que les
auteurs
allemands le considèrent comme marquant le cent
lèlement en étage les unes au-dessus des autres, tandis que le môme
auteur
, dans le deuxième volume de l'anatomie com- par
sillon orbitaire relève de la deuxième frontale (Pozzi). Certains
auteurs
disent même, sans plus de façons, que tout ce qui
ALES. 189 (Broca) ; Circonvolution verticale antérieure de quelques
auteurs
; Gyrus anlecentralis ou antero-cenlralis. b.
supérieur de Gratiolet, et, plus en arrière, le pli courbe du même
auteur
français. Quelques anatomistes disent qu'Ec- ke
.-R. URQHUART. (Journal of menlal Science, juillet 1882, p. 167.) L'
auteur
, qui dirige en Angleterre un asile important, s'e
al Science, janvier 1883, p. 41;i.) Le point principal sur lequel l'
auteur
se propose d'insister dans ce travail c'est le
ce chez des sujets atteints d'autres affections mentales variées, l'
auteur
s'est assuré que l'hyperplasie du tissu connect
t absolument défaut dans tous les cas de laseconde. Sans suivre l'
auteur
dans tous les détails de son argumentation, nou
e donne, dans le traitement des aliénés une occupation régulière, l'
auteur
s'est attaché à faire bénéficier des mêmes avan
s qu'il formule, et dont nous donnons ci-dessous la traduc- tion, l'
auteur
n'a d'autre but que d'indiquer les grandes lignes
mental Science, juillet )88 ? p. 1 17.) L'état particulier que l'
auteur
désigne par ces mots « Nervous dulness », mots
rveux de ces « obtus » du tissu nerveux des sujets nor- maux ; et l'
auteur
est amené à conclure que ce n'est point la quan-
y trouve un argu- ment bien puissant contre la peine capitale. Et l'
auteur
sachant bien qu'on va lui reprocher de voir dés
rime : on peut sûrement'y'réussir sans' lui- ôter' la vie. i) a ! L'
auteur
ajoute un'peu plus' loin que pour réaliser une' p
3·'sètv;faüssi nôusq bornerons-nous' à' résumer les remarquée que l'
auteur
'y a âjolitées;'1 o11'v'tiôdâêrâ lèsr'symptômés
plus longtemps. Le troisième point concerne des petits corps, que l'
auteur
croit n'avoir pas été décrits jusqu'ici; ces pe
IlC6LE. (Journal of mental Science, octobre ,1882, p. 343.) . a L'
auteur
de ce mémoire, connu depuis longtemps par une sér
de>manger, eb ilfullut z l'alimeitlalionf forcée. Lors-» que l'
auteur
1-examina, ellerétaitlirèstanémique;tsoulfraitr :
ô^'S3'=`'I : ës`nappoi,ts'de cause à effet sembjentfinduhitahjes. L'
auteur
fait ren]arquer'i'ana ! ogieffrappante' : avec ce
te'interstitielle.riD I * .1." ,u M. Witkowski. Sur lu névroglic. L'
auteur
rappelle que. dans un travailantérieur'3,' il s
vant tout, la dystitymio et. la vésanie (mélan- colie et, manie des
auteurs
),, la catatonie (qui comprend lamé,- SOCIÉTÉS S
silistiqiie (le lÉi seizsalioli seTzielle contraire (Inversion DU L'
auteur
rapporte les confidences extrêmement 'intéressa
SOCIÉTÉS SAVANTES. 231 1 vit pour la première fois. Zeller fut l'
auteur
qui distingua une forme primitive et une forme
s et a déchiré les pédoncules cérébraux, surtout celui de droite. L'
auteur
attribue au lobe temporal droit l'amblyopie de
ail, présenté àl'AcLdéiiiiede médecine en 4880 a mérité un prix son
auteur
. Il repose sur trente-cinq observations personn
par Fafrct et Baiffarger. Les points de vue plus particuliers de l'
auteur
sont les suivants : dans cette forme de folie, le
s'de la manie et de la mélancolie sans leur relief. ([''adret) ». L'
auteur
n'admet pas une forme paralytique de cette maladi
quer la paralysie générale (soixante-dix observations à l'appui). L'
auteur
en fait une vésanie spéciale ayant une place à
diaques. (Obs. de M. Féré.) · M. Féré a également communiqué à l'
auteur
de la thèse une observation d'amorp/tMtMmc dans
scznce par influence psychique, etc.. Nous reproduisons d'après l'
auteur
les conclusions de deux mé- moires plus importa
nzigruirzeoplzthnlmiqttc, voici les conclusions auxquelles arrive l'
auteur
: Elle est connue depuis le siècle dernier et a é
ien décrite avant Galezowki; on n'a rien ajouté à ce qu'ont dit les
auteurs
qui l'ont décrite antérieurement. Ce n'est pas
ttaché son nom, un certain nombre de cas ont été publiés par divers
auteurs
. Per- sonnellement, l'un de nous, il y a déjà p
Rolando est très rapprochée du sillon calloso-marginal. D'après cet
auteur
, la pariétale ascendante ne se relierait au lob
ur parvenir à ce but, nous avons consulté les originaux de tous les
auteurs
dont nous citons les noms; si nous n'enregistro
tte double proposition. En ce qui concerne la question de nature, l'
auteur
adopte les expressions de glie, névroglie, cime
tte, qui contient principalement des fibres de la commissure de cet
auteur
, et qui, par conséquent, n'entretient aucune rela
la pupille et les troubles de l'équilibre notés dans l'espèce par l'
auteur
déri- vent, non de la destruction de la couche
pendant lesquels l'état du malade ne subit pas de change- ments, l'
auteur
constata une énorme augmentation des phéno- mèn
a sensibilité tactile resta un peu diminuée. Quant au diagnostic, l'
auteur
, après avoir examiné les différentes hypothèses
DU cerveau; par F. Greiff. (Arch. Psych., XIV, 2.) Sous ce titre, l'
auteur
rapporte deux observations de formes associées
g mémoire est basé sur l'étude micrographique pure de deux faits. L'
auteur
établit que la substance grise contient un rése
gaines cornées des fibres nerveuses sont en connexion avec elle. L'
auteur
doute qu'en dehors des prolongements des cellules
ier malade a été observé, autopsié et analysé au micros- cope par l'
auteur
. C'est un homme de quarante-sept ans, buveur, qui
u niveau du tiers inférieur de la ré- gion dorsale. De ces faits, l'
auteur
déduit que la partie des fibres des cordons pos
enne du renflement cervical. D'après les réflexions terminales de l'
auteur
, les cordons de Goil, a la région cervicale, se
a décussa- tion. Dégénérescence des nerfs moteurs et des muscles. L'
auteur
fait remarquer que la dégénérescence du faiscea
Autopsie absolument négative. Après avoir rappelé les opinions des
auteurs
sur cette terminai- son exceptionnelle, après a
réduit encore le nombre des observations qui en sont rapportées, l'
auteur
n'admet comme cause de la mort que l'asphyxie d
ncope. Dans le cas présent, la mort parait due plutôt à celle-ci. L'
auteur
note en effet cons- tamment après les accès obs
eu de compression du cordon cunéiforme et du faisceau grêle. Pour l'
auteur
, le tubercule de la moelle allon- gée a engendr
t succombé à toute espèce de maladies laissant la moelle indemne, l'
auteur
enlève l'organe en question de une à quarante-q
mation de l'aponévrose pal- maire) par contiguïté, ne plaît pas à l'
auteur
, parce que la névrite manque dans les autres ca
açon à embrasser la moelle allongée surtout en avant et à gauche. L'
auteur
fait remarquer qu'il s'agit d'un enfant prédisp
e avec début de névrite interstitielle, et une papille étranglée. L'
auteur
après discussion, adopte la pathogénie suivante
t seules'.Ces modalités électro-physiologiques se rattachent pour l'
auteur
à une question de degré dans les altérations hi
l'inanition; par Rosenbvch. (JVe ! < ! '0/. CentrulLl., 1883.) L'
auteur
communique, sous ce titre, les résultats principa
883.) C'est la rédaction plus développée de la communication de l'
auteur
à la section de psychiatrie et de neurologie du C
N'est-elle au contraire qu'une altération consécutive à la mort ? L'
auteur
1 Voy. Archives de Neurologie, t. VI, p. 280.
cet agent peut donner lieu à des altérations trompeuses; 3° enfin l'
auteur
est disposé à aller plus loin en- core, et à pe
-11. S,Y-GE. (Journal of incittttl Science, avril 1883, p. 49.) L'
auteur
définit d'abord ce qu'il entend par sujets neurot
vé que dans les asiles de moyenne grandeur (de 450 à 600 lits.) L'
auteur
est d'avis qu'il convient de s'opposer par tous l
ItS IICKLE. (Jourlral of mental Science, janvier 1883, p. 544.) L'
auteur
constate que, dans les cas qu'il a observés, la l
? vcu. (Jour- 711l of ineîzttil Scieizee, janvier 1883, p. 3.) L'
auteur
rappelle que l'on décrit ordinairement deux forme
ion des couches adjacentes de substance grise pure. Cet état, que l'
auteur
n'avait jamais observé auparavant, parait dû à
ble des opinions émises dans les mémoires signés. Elle ajoute que l'
auteur
parait oublier qu'il n'est pas le chef d'une ma
lèbre hypnotiseur danois, Cari Hausen. Les données sur lesquelles l'
auteur
a tenté de se faire une opinion ou d'édifier un
sprit pendant l'état hypnotique. Nous suivrons l'ordre adopté par l'
auteur
, et après avoir rendu sommairement compte des d
description théorique n'est capable de s'appliquer tous les cas. L'
auteur
rap- pelle ici que MM. Charcot et Ricber, et, a
ou- vait tirer des tracés pour découvrir lasimulation. Muscles. L'
auteur
se borne à rappeler les observations faites sur
oque la rigidité muscu- laire. Dans le plus grand nombre des cas, l'
auteur
a trouvé les réflexes tendineux identiques à ce
le; dans quelques cas, ils étaient exagérés. Réaction galvanique. L'
auteur
a trop peu de documents pour formuler une opini
its observés par d'autres expérimentateurs. III. Conclusions de l'
auteur
: « 1- La conscience peut exister dans l'état d
TINCT sexuel; par G. CANTARANO. (La Psychiatria, Naples, 4883.) L'
auteur
rapporte l'observation d'unejeune fille qui, dès
s un asile. En outre de la relation des aventures de la ma- lade, l'
auteur
donne les résultats de l'examen desorganes génita
taillée du fait présenté à la Société des aliénistes allemands '. L'
auteur
suit la ligne grise trou- vée par lui sur le ce
à doses vespérales et soixante-deux observations à doses diurnes, l'
auteur
a obtenu : REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 361
ne statistique minutieuse des observa- tions recueillies par lui, l'
auteur
peut dire que trois formes de troubles de la vu
ns systèmes déterminés, si ce n'est sur les faisceaux pyramidaux. L'
auteur
croit, tant au point de vue clinique qu'au poin
solée la racine ascendante du trijumeau. 36S SOCIÉTÉS SAVANTES. L'
auteur
n'a pas suivi plus loin cette racine, mais la piè
ue les réflexes tendineux persis- taient. Ces allures permirent à l'
auteur
de songer, tout en portant le diagnostic paraly
consécu- trice à l'élongation du sciatique dans le tabès dorsal. L'
auteur
saisit l'occasion pour consigner quelques remar
s troubles de la vue, troubles qui cessent après plusieurs jours. L'
auteur
ajoute qu'il aurait beau jeu à prétendre que ce
mes du service des aliénés et convulsifs de la Charité de Berlin, l'
auteur
a trouvé que les anes- thésies sensorielles se
éréotyper l'enchaînement des idées. Les fonctions psychiques, dit l'
auteur
, émanent, comme toutes les autres, des phénomèn
cerveau etl'individualisation psychogénétique- de l'écorce grise, l'
auteur
résume les relations de l'être avec le mi- 390
toutes les facultés, de toutes les propriétés de l'âme des anciens
auteurs
. M. Arndt utilise pour le développement de sa thé
e variélé, aucune feinte clinique. Nous regrettons simplement que l'
auteur
n'ait pas construit à la fin un ou plusieurs ta
oubles de la - dans la pa- ralysie progressive), 362. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS lllam (.f.). 21G. Arman
), 2W. Jolly, 231, 232. ARCIIINE-1, t. Vlll. 26 102 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. Jonge (de), 333. Jouet
um. Si bien que la morphinomanie est considérée, par beau- coup d'
auteurs
, comme une conséquence possible de la constitut
pas complètement, c'est l'élut de prédisposition du sujet. Nombre d'
auteurs
admettent en ell'et qu'à la base de toutes les
est basé sur la timidité innée. L'état pathologique décrit par cet
auteur
n'est pas du tout nouveau dans la littérature s
e, car je l'avais déjà décrit il y a quelques années ; néanmoins, l'
auteur
n'en dit pas un mot dans son travail. En 1899
président au fonctionne- ment du cerveau et à celui de la moelle, l'
auteur
distingue, dans la moelle comme dans le cerveau
sichiott·ii.' IX, 190a.) De nouvelles expériences de contrôle, l'
auteur
conclut : 10 La méthode photographique ne perme
(it-ii, VIII, 1903. Neii prolog. Centralisait. \\II1, 190-'f.). L'
auteur
rappelle son mémoire de 1895 (V, .11'cltivcs de N
sens musculaire à l'endroitlésé ; ce symptôme n'apparaît d'après l'
auteur
russe que lorsque la lésion anatomi- quedela mo
ivers liquides de consclvation. De l'examen de ces modifications, l'
auteur
tire quele meilleur moyen de parer à ces inconv
%g. Centralblatt. XXIV. 1905. Mémoire accompagné de figures que l'
auteur
a lui-même ré- sumé d'ailleurs longuement dans
mensuelle des maladies de l'enfance; juin 1905, p. 252-2G8.) Les
auteurs
ont appliqué pendant un mois, à huit entants épi-
ère d'éléments azotés ingérée. Par l'élude de l'azote urinaire, les
auteurs
ont constaté, résultats identiques à ceux de La
quement l'intoxication de l'organisme devait être au minimum. Les
auteurs
font remarquer que cette toxicité plus grande del
n rapport avec des malformations acquises. Dans les deux cas de cet
auteur
, pris dans le serv ice du D1' Marie, de \-il- l
version, qui se développe, il est vrai, chez des débiles mentaux. L'
auteur
pense qu'il existe un grand nombre de cas de ce
gique avec imbécillité par sclérose atrophique hémi- plégique, et l'
auteur
profite de cette observation très intéres- sant
enne. BIBLIOGRAPHIE. 63 sente de très nombreuses asymétries que l'
auteur
met en lumière et explique. Enfin, ce volume
érielle, troubles de la vision et de l'ouïe. Nous ne suivrons pas l'
auteur
dans l'examen de chacun de ces symptômes classi
tails le nti de janvier, page 77. -Nous invitons dès maintenant les
auteurs
des communica- tions à ce Congrès de nous en en
four (1) parue en 189G, sur les lésions de la queue de cheval, où l'
auteur
expose ses recherches statistiques sur la natur
le que nous ontdonnée les études ultérieures de Raymond et d'autres
auteurs
sur les affections du co- nus et de la queue de
ptomatologie de la queue de cheval, comme dans les observations des
auteurs
cités : toutefois, del'étudehis- - tologiquc du
upeur. Cette définition est restée classique en France ; tous les
auteurs
, ou la plupart, ont fait delà mélancolie une af
t, ont fait delà mélancolie une affection purement psychique. Les
auteurs
allemands, KrallTt-Ebing et Schûle, ran- gent l
a renseigné. Dans la majorité des cas, et sur ce point, tous les
auteurs
tombent d'accord, les symptômes phy- siques app
ux troubles hépatiques, ils sont également étudiés par cer- tains
auteurs
. Sans remonter aux travaux des anciens, (1) Fau
s de mélancoliques, ayant des an- técédents hépatiques. D'après cet
auteur
, la dépression mélancolique, avec ou sans conce
alées sont des symptômes physiques du début, relevés par tous les
auteurs
. (1) Giuesingeu - Tmilé des maladies mentales.
t chez les cholémiques et chez les mélancoliques. Ainsi, nombre d'
auteurs
signalent le gros volume du foie des mélancoliq
iome cérébelleux ; dans la nrile; dans la myélite parcompression. L'
auteur
ne considère pas com- me démontrée la théorie p
oire très documenté, fort touffu, qui comprend etles recherches des
auteurs
et ses propres investiga- lions. On y trouve de
aines formes de l'alcoolisme chronique de la paralysie générale ? L'
auteur
n'a pu décider les alcooliques à se laisser pon
tin de la Société scientifique et mé- dicale de l'Ouest, 1904.) L'
auteur
étudie, sous ce fifre, une série de troubles trop
er. (Obozrénié psichitrii, IX. 1904.) Par une première méthode, l'
auteur
met en lumière quelques détails de l'organisati
le est la na- ture de la substance chromatophile Je tendrais, dit l'
auteur
, à penser que la substance de cimentation, autr
qui parle) donné des résultats analogues à ceux qu'ont publiés les
auteurs
. En les comparant aux miens, je me crois en dro
t le fonctionnement mental dans l'échelle ascendante des animaux, l'
auteur
con- clut. Actuellement prédomine presque uni
qui a eu un chancre n'ait point éprouvé d'accidents secondaires, l'
auteur
croit à une syphilis cérébrale compliquée d'end
l faut surveiller le bulbe et la moelle cervicale. La plupart des
auteurs
imputent au centre célio-spinal le mye. sis de
Centralbl. XXIV, 1905.) Travail accompagné de belles figures dont l'
auteur
conclut. 1. - Les noyaux arciformes du bulbe dé
XXIV, 1906.) Etude détaillée de 3 observations et des travaux des
auteurs
. 1. Les troubles de la sensibilité thermique et
eilhunde, XXV111. N. F. XVI, 1905.) Résultats des recherches de l'
auteur
. 1. Le sérum des épileptiques emprunté à ceux d
convalescence ; chez les gens en bonne santé se résument ainsi. L'
auteur
a percuté ou pincé le biceps brachial, le grand p
affection du- re depuis deux ans.. Cette onde musculaire est pour l'
auteur
un symptôme de neurasthénie au même titre que l
ns, le prix Moreau (de Tours) est attribué à M. Privat de Fortu- né
auteur
d'une Etude sur les délires post-partum envisagés
bution à l'étu- de des délires par auto-intoxication, à lI. Damaye,
auteur
d'un Essai de diagnostic entre les états de déb
on action,ajoute l'idéoplastieà la simple hypotaxie. La pensée de l'
auteur
s'exprimant sous une forme imprécise s'adapte à
l'ob- session chez les dégénérés. 3° Une troisième forme (que les
auteurs
différencient mal des précédentes et qui en est
ereux, dont on redoute les évasions et les réactions violentes. L'
auteur
montre que les aliénés vicieux doivent être l'obj
utter contre ces phénomènes pervertis, il vaut mieux essayer, dit l'
auteur
, de les harmoniser, de les régulariser, d'en fa
Après une étude détaillée des différents accidents de l'hystérie, l'
auteur
arrive à caractériser cette névrose par la form
oir à la fois exciter, ménager et développer l'atten- tion. ' . L'
auteur
envisage ensuite, dans une deuxième partie, la ré
le portant à la fois sur le système moteur et sur l'étal mental), l'
auteur
conseille d'amener le sujet, par un entraînemen
ythmée des inspirations et des expirations lentes et profondes. L'
auteur
passe ensuite en revue la rééducation sensorielle
le du goût et de l'odorat. Dans la rééducation organique, d'après l'
auteur
, la volonté peut jusqu'à un certain point inter
de l'incontinence essentielle d'urine. Dans une dernière partie, l'
auteur
expose la rééducation dans l'idiotie. Leprogram
ennes. Vu : le Lr°S1d211t. D`A. GIR.1UD. ' Nous faisons appel aux
auteurs
des communications à ce congrès pour qu'ils aie
uantaine do cierges, gisait un agneau blanc, Centré sur un piano. L'
auteur
de ces folios, fou lui-même, Ali- Ilonncm, (ren
uestion de l'hypochondrie, syndrome ou entité morbide sui- vant les
auteurs
, Pierre Roy s'en tient tout d'abord à l'étude p
cessaire et incontestée de tout état hypochondriaque. Pour tous les
auteurs
, l'idée hypochondriaque est une préoc- cupation
s c'est précisément la question longue- ment discutée par les vieux
auteurs
de savoir si cette préoc- cupation morbide n'es
s les états intermédiaires peuvent s'observer. Sans doute, certains
auteurs
en France et à l'étranger se sont efforcés de m
écision, Pierre Roy oppose les observations et les travaux des deux
auteurs
qui lui semblent représenter aujourd'hui, dans
ychiques en rapport avec les affections vis- cérales. Mais d'autres
auteurs
, en particulier Gamble, ont supprimé la distinc
ria- ques, dont la forme morbide a été décrite par les différents
auteurs
sous des noms très variables : folie hypochondria
onclusions pathogén iques et nosologiques exposées plushaut. t. Les
auteurs
ont d'abord éliminé de leur étude les différents
ques de l'hypocondrie personnifiées aux yeux de M. Roy par ces deux
auteurs
, ne s'appuient en réalité ni l'une ni l'autre s
ECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. trouvées jusqu'ici par aucun des
auteurs
qui les ont systéma- tiquement recherchées. ,
en un mot qu'elle est la conscience du corps, la somatopsche des
auteurs
allemands. La conception de la cénesthésie défe
us excessif. Il est bien certain que ni l'un ni l'autre de ces deux
auteurs
n'ont rien inventé à proprement parler, mais il
puis plusieurs années par M. Régis : mais la thèse inspirée par cet
auteur
à l'un de ses élèves n'a vraiment ap- porté auc
sénile ou au développement d'un autre processus dé- génératif. Les
auteurs
ont eu l'occasion d'examiner le cerve- let de d
« régional » ou un processus analomo- pathologique. Les différents
auteurs
qui se sont occupés des lésions de la moelle de
Van Gehuchtcn et Nelis. Mes conclusions, identiques à celles des
auteurs
belges, en ce qui concerne le début de la psych
moins, à Hippocrate.-Successivement soule- vée par nombre d'anciens
auteurs
, elle n'a que tardivement pris la consistance d
l a soumis à l'action prolongée d'un bain à température agréable, l'
auteur
écrit lui-même : « Huit heures de bain par jour
rition du bain prolongé, et on sait avec quelle maîtrise ce dernier
auteur
en a tracé les règles et fixé les indi- Archive
ttachent aussi à la balnéation prolongée ; mais quelques-uns de ces
auteurs
et bon nombre d'autres, à l'étranger, ont su ac
que, dans la mélancolie grave allant jusqu'à l'excitation, certains
auteurs
ont pu subs- tituer, avec les mêmes avantages,
organique, ainsi que dans les psychoses d'épuisement phy- sique des
auteurs
allemands, Thomsen, considère le bain chaud ave
cas, l'emmaillotement humide constamment réfrigéré, et que certains
auteurs
, tels Thomsen, par crainte du collapsus, report
à l'intoxication cal- culaire pyramidale, comme le veulent certains
auteurs
, qu'à un trouble mécanique de congestion passiv
e lésion de la coucheoptique. Notre observation, ainsique celle des
auteurs
italiens, montrent l'importance des altérations
yphilitique. La possibilité en avait déjà été signalée par quelques
auteurs
(Graves, Nièpse, Hammond), mais ce sont surtout
iénés dans les familles ; par Ch. Féré, 30 édition. Paris 1905. L'
auteur
envisage dans une 1 ro partie l'assistance des al
et l'entretien des aliénés est d'un prix de retient moins élevé. L'
auteur
montre dans tous leurs détails les autres avanta-
matière d'alimentation dans les maladies et leur convalescence. L'
auteur
, dans son introduction, constate combien en Franc
xemples de troubles hypo et parafonctionnels de la somatopsyché des
auteurs
alle- mands, comme des variétés hypo et paracoe
ente et la mieux caractérisée au syndrome paralyti- que. Beaucoup d'
auteurs
ont cité des cas de ce genre, dans lesquels rie
la période d'état de la pneumonie est très fréquent ; pour certains
auteurs
, il serait même presque de règle (Calandruccio
ont été bien étudiées depuis Baillarger, Thore, Mugnier, par divers
auteurs
récents, en particulier par MAIRrT (1887), FROE
rapportent ce dé- lireprécritique,comme l'appelle le dernier de ces
auteurs
, à l'action des toxines pneumococciques, faisan
, de la démence, on arrive à des conclusions moins nettes, et des
auteurs
tels que Meynert confessent que l'atrophie des
les cas d'hémiplégies orga- niques ou cérébrales est imputé par les
auteurs
à des lésions du faisceau pyramidal. Tout en co
, c'est la relation deMM. Vaschide et Vurlws( ? ). Ce- pendant, ces
auteurs
ont soulevé des problèmes, et bien . que leurs
13,avec fiâ.Ou'il mosoit per- mis de remercier ici M. le D' Vurpas,
auteur
de ce travail, pour sa complaisance il reprendr
3 ? LES PHÉNOMÈNES DE CONSCIENCE DANS L'ONTOGENÈSE. 295 lent les
auteurs
, étaient « associés, coordonnés et sem- blaienL
nt souvent à l'innervation d'un seul et même muscle (3). D'autres
auteurs
qui ont corroboré ces dires ont aussi (1) Jopfr
a même donné la topographie des centres de la moelle. Les divers
auteurs
de ces travaux, sont d'accord sur les localisatio
in qu'il sera soumis au Conseil général. )1. DO'ÙTRI13ErTE. - Les
auteurs
du projet fréquentent peules Congrès. C'est une
n biopsi- que, lésions histologiques de la myopathie progressive. L'
auteur
signale d'autres cas publiés de myotonie atroph
rophie manque ; bien plus une même observation est publiée par deux
auteurs
différents comme maladie de Marie et comme mala
la fatigue d'abord, puis de la parésie et enfin de la paralysie. L'
auteur
fait le diagnostic différentiel de ces diverses
rieures, dont les cellules sont atrophiées, les fibres raréfiées. L'
auteur
rattache ces trois cas à une forme intermédiaire
aires de la rétine. Chez onze ta- béliques amauroliques examinés, l'
auteur
a constaté la présence constante de cellules ga
parés. Après une élude détaillée des divers mécanismes possibles, l'
auteur
conclut : «De quelque façon que nous nous effor
ans) ; parle Dr DFCROLY. (Journ, de Neurologie), 1904. lie 20.) L'
auteur
relaie dans ce travail les observations de quatre
Parmi toutes les particularités que nous venons de résumer et que l'
auteur
accompagne de remarques judicieuses, insistons su
étendues. Il ne semble pas, après la discussion très serrée dont l'
auteur
fait suivre son observation, qu'un autre diagno
port avec l'infection éhorthienne, comme l'ont déjà dit bien des
auteurs
. C'est une phase, un état particulier, une form
fort bien prise sert d'introduction à cet intéressant tra- vail : l'
auteur
s'est assuré par la réaction de \\ïdal, l'examen
moelle osseuse est en plein fonc- tionnement hémato poïétiquc. Ni l'
auteur
,ni ceux qui, avant lui, ont étudié le pellagro-
ire, qui a été récompensé par l'Académie de médecine de Uelgique, l'
auteur
a eu surtout pour but d'examiner dans quelle me
d'âge, de nombre et d'inten- sité des accès nepeùt rendre compte, l'
auteur
conclut en disant que la désassimilation anorma
traumatisme, c'est- à-dire une blessure, une lésion accidentelle. L'
auteur
essaye de démontrer que celLe étiquette est tro
e n'est donc nullement nécessaire à la constitution delà maladie. L'
auteur
cite plusieurs observations où la blessure paru
être en même temps destructive. Est-ce donc là, se demandent les
auteurs
, un type exception- nel et irréductible de cavi
otogique d'un des deux cas de myo- pathie familiale publiés par les
auteurs
dans la Nouv. Acon, de la Salp., 1902, n" 1 ; i
ériphériques n'offrent que des lésions de peu d'importance. ' Les
auteurs
l'ont remarquer qu'en dépit de la présence dans l
su interstitiel qui remplace les libres musculaires disparues'' Les
auteurs
reconnaissent une part de mé- rité à chacune de
r sur cette sclérose ? Ces diverses considé- rations permettent à l'
auteur
d'envisager la syphilis comme une cause puissan
xamens histologiques des centres nerveux d'a- liénés ont permis à l'
auteur
d'attribuer à des méningites insi- dieuses, pas
souvent l'épilepsie et un arrêt de développement intellec- tuel. L'
auteur
a constaté deux formes de méningite avec nombreux
qu'à droite du lobe inférieur. - Coeur rien à noter. (I) Cwtains
auteurs
unt ill\IIIIUé l'illég'alité des artères verté-
dans la chambre sa mère et des individus inconnus ; il se disait l'
auteur
d'un crime dont .les jour- naux parlaient il ce
.Mite Yoteyko ne se borne pas à admettre, avec un certain nombre d'
auteurs
, du reste, l'existence d'organes périplléri- so
it, en un mot, que nous sommes tous gauchers pour la douleur. Ces
auteurs
croiel1l pouvoir conclure de celte constatation q
l'a relevé M. SOI.LII : R,C011COrCieraitl)llltÔt avec l'opinion des
auteurs
qui assimilent complètement la douleur physique
la complète innocuité d'une opération qui, de l'aveu de tous les
auteurs
, n'est pas exempte d'inconvénients, sans compter
, pour pou- voir comparer les résultats signalés par les différents
auteurs
, la technique de la ponction lombaire et les mé
sont le» psychoses de la puberté, surtout chez les dégénérés ». L'
auteur
résume ensuite, dans la seconde partie de sa leço
\1. Ha)'mond résume]e l'écentou\ rage Ü'.\Ldheiml'r dans lequel cd
auteur
s'efforce du démontrer (pie la lésion n'est pas
des démences organiques, e'I ? [ le puél'ilii'II1P r ! tl'Oniqup. L'
auteur
l'apporte l'observation illustrée d'une femme de
des toxines tuberculeuses. L'inlerprétation des faits publiés par l'
auteur
devient facile, si on admet que ces ! o\i- nes
s classiques de myélites systématisées. A l'appui de celle Ihèse, l'
auteur
publie 6 observa- ti ! )nsd('('eenrnd(j)ii\(i11
ort bien aux ) InpltÎ- mes terminaux présentés par le malade. Les
auteurs
se demandent iL quoi l'on doit rallarllUl' celle
ésion, a montré que la tunique interne du sinus ,"Iail indemne. Les
auteurs
se rattachent 1, plnlùL il la seconde hypotiu'st'
ne paraplégie flasque avec abolition des réllexes. Dans les cas des
auteurs
, il y avait, bien paraplégie flasque, mais de l
el cy nétique et conservation de l'équilibre volilionnel statique L'
auteur
rattache cet ensemble symptoma- tique a une lés
n affaire à deux syndromes dont la cause serait univoque Certains
auteurs
, comme Gaucher et Barbe, Thibierge, séparent le
les deux maladies ef en font le diagnostic différentiel. D'autres
auteurs
comme Grasset, Favier, Golsclunit, Garrigues, pen
dil1'énmt : " des variétés du même processus endartéritiqur. Les
auteurs
se rangent il cetle opinion, Ils rattachent cette
es- H)esie générale parle chlorure d'ethyle ou le sumnulmnne. Les
auteurs
signalent les phénomènes de suppléance qui se son
quée adroite. Pasll'all'ection Illyopathillue dall' sa famille. L'
auteur
attire ul'tolll ralll'IÜion sur des spasmes local
les bras s sont tenus éloignés du tronc. Les déformations, que' les
auteurs
décrivent en de minutieux détails illustrés par
nt il des affections intercurrentes. Dans le syndrome décrit parles
auteurs
, un ne trouve pas d'altérations de l'état génér
UL-130NCOUR ; vol. in Kjde 138 p. Paris, Félix Alcan, 1905. - Les
auteurs
ne vont s'occuper que des malades, qui n'étant ni
de Demoor. Ilsse confondent avec les indisciplinés morbides que le«
auteurs
.onf tort, il notre avis, de distinguer des indisc
ésentent une exagération des réflexes psvehiques..Mais pourquoi les
auteurs
nient-ils la réa- lité du caractère épileplique
ie, etc., et ils oui he soin d'un traitement médical pur. Pourles
auteurs
, el, nous sommes de leur avis, l'N)-)'tc'M<3 p
es souvenirs, mais dans la per- version de la volonté (1). Avec les
auteurs
, nous reconnaissons une grande importance au me
nuer il suivre une école ordinaire. Nous devons faire remarquer aux
auteurs
que ces écoliers mentalement anormaux existent
ctionnelle n'a pas de plus exacte mesure que leur énormité. » Les
auteurs
ontsuhila Ilonnevoiescicntiliyue, ils ont travail
A. Knapp. 13el'gI11nn, édit., Wiesbaden, 1900. Dans ce li\ re, l'
auteur
ne cherche pas tant il donner une des- cription
e : fièvre légère et hypothermie notable. Dans un autre chapitre, l'
auteur
étudie lessYll1ptômes atlribua- bles à des lési
trer de l'apraxie. Sous le nom d'altaques polynrvri 1 iqut'< ? l'
auteur
décrit des accès des m01l\ c- ments choréiques
faut de réaction peuvent aller jus- qu'à friser l'étal démentiel. L'
auteur
décrit ensuite des formes hallucinatoires sans
ractères hébé- phéniqucs, etc. De cette multiplicité de formes. l'
auteur
croit pouvoir conclure que les psycltoss polym
s du mal de Pott Nombreuses ont été les opinions émi- ses par les
auteurs
sur ce sujet : les unes sont basées sur des con
ptions purement théoriques. Dans presque toutes ces hypothèses, les
auteurs
ont cherché à expli- quer par un mécanisme univ
e la cause de la paraplégie est la myélite par compres- sion. » Cet
auteur
, qui fut aussi le premier à faire l'étude histo
la gibbosité, fut alors partagée presque universellement par les
auteurs
français lYULPJA (l),etc.) et, en Allemagne, par
auteurs français lYULPJA (l),etc.) et, en Allemagne, par plusieurs
auteurs
, et en particulier LEYDEN z2). Pour Ley- den, n
ntradiction dans les intéres- santes expériences de Kahler (1). Cet
auteur
chercha, en injectant de la cire dans le canal
contrées par lui dans ses expériences et de celles décrites par les
auteurs
dans les cas de compression lente produite par
dans les expériences de Rosenbach et Schtscherback (1). , · . Ces
auteurs
, par l'introduction dans le canal vertébral de
on sur un facteur pathogénique, jusqu'alors peu considéré par les
auteurs
cités, et qui jouerait, selon lui, un rôle très i
olonne vertébrale (myélome, myxome, sar- come) et interprétés par l'
auteur
comme' suites de stase lymphatique. Ils sont en
s (2) dans l'étude de 5 cas de paehy-méningite tuberculeuse, et l'
auteur
n'hésite pas à admettre pour ces cas, avec Kahl
l de Poil a été admise et confirmée dans ses grandes lignes par les
auteurs
qui depuis lors s'occupèrent de cette question.
dans la production des lésions médullaires. Le point sur lequel les
auteurs
divergent, consiste, ainsi que Pieu (1) le l'ai
i regarde la compression de la moelle d'ori- gine osseuse, tous les
auteurs
sont d'accord pour en ad- mettre l'existence. P
dans 2 % des cas de paraplégie pottique : toutefois la plupart des
auteurs
récents, comme Trekdelenburg (3), Guiral (4), T
rétrécie et la moelle com- primée. ' .. , . On voit donc que les
auteurs
récents inclinent à faire jouer à la compressio
a péri-pachyméningite alors agirait sur elle, selon la majorité des
auteurs
, uni- quement par les troubles 'Circulatoires q
(LC.), \VESTPHAL (2), Eickler (/ c.), Long et JMACHARD, et d'autres
auteurs
ont décrit plusieurs cas où la moelle, parfois
s nerveux déjà décrit par Kalher et Schmaus. Pour la plupart de ces
auteurs
, comme pour Kahler et Sehmaus,l'oedème de la mo
e, ne paraît pas être universellement acceptée ; en effet, certains
auteurs
; en relatant l'oedème constaté dans leurs cas n
ème inflammatoire n'est nullementprou- vée par les expériences de l'
auteur
» ; l' oedème parlût plu- tôt dû, selon lui, à
uite, tout en diminuant sa valeur, par Schmaus. parait, selon les
auteurs
récents jouer un rôle assez important et assez
'une artère spinale postérieure. Quant à la myélite, la plupart des
auteurs
sont d'avis qu'on doit admettre, avec Schmaus,
études de Raymond, Phi- lippe et Cestan, Oddo et Olmer et d'autres
auteurs
sur les méningomy élites tuberculeuses tendent
et DELA- MARK (1) pour. expliquer les lésions médullaires que ces
auteurs
ont rencontrées dans un cas où il n'y avait pas,
(formations nodulaires, amas bacillaires, lésions vasculaires), les
auteurs
les interprètent comme résul- tant de l'action
aujourd'hui et le grand nombre d'opi- nions diverses émises par des
auteurs
de valeur sur la signification à donner au mot
flexes tendineux : des cas semblables ont été publiés par plusieurs
auteurs
, et différemment interprétés. Le manque de rens
le sous-ja- centc il la lésion. stase qui aurait produit, d'après l'
auteur
, la dégénération par lui constatée, des racines
du nombre des leuco- cytes (6 mille). (Dans l'un des deux cas, les
auteurs
, MM. Sabrazès et Bonnes, ne disent pas si les h
es correspon- dant à la description que j'ai faite du neurocoque. L'
auteur
, à coup sur, a été moins heureux dans ses ensem
de ne pouvoir individuellement répondre dans cette courte note aux
auteurs
précités, mais leurs objections me paraissent,
rès grande finesse. * - , Les essais expérimentaux pratiqués parles
auteurs
ne valent guère la peine qu'on s'y arrête. Ceux
relativement âgés ou présentant une différence d'âge excessive. L'
auteur
examine les diverses théories pathogéniques, le r
ystes, tubercules, etc. (2). j L'idiotie mongolienne, que plusieurs
auteurs
rappro- chent du myxoedème, dont elle diffère à
rvations de syphilis cérébrale à manifestations va- l'iées, que les
auteurs
ont traitées d'une façon uniforme par le^ injec
sique a été incorporé à l'injection. En dehors de cet accident, les
auteurs
ne signalent aucun autre inconvénient. , Les
bozrenieysiclia- trii, "I1, 1903.) , Le seul moyen radical, dit l'
auteur
, est l'isolement rigoureux des malades tubercul
n 1900. Rapport détaillé. Quant à son opinion sur cette question, l'
auteur
renvoie à son rapport sur cette assistance à Vo
de la Société de md : n.ent. de Belgique, décem- bre 1904.) .. L'
auteur
conteste l'efficacité de l'initiative privée dans
ie. Comparant leurs examens histologiquesà ceux déjà publiés, les
auteurs
concluent que des lésions diverses peuvent donner
pièce, c'est la réfec- tion osseuse presque parfaite alors que des
auteurs
très compé- tents ont soutenu la non-possibilit
n des écrits pathologiques spontanés, sur copie ou sous dictée. L'
auteur
y passe successivement en revue les troubles call
ennent ensuite les altérations des images graphiques. Sous ce nom,l'
auteur
vise seulement la repro- duction par des mouvem
st assez dire la richesse du matériel clinique auquel a dû puiser l'
auteur
pour mener à bien bibliographie. 495 L une oe
par Valleix et du point de côté banal de cause pleuro-pulmonaire. L'
auteur
divise ces douleurs en trois groupes : douleurs
G. LECLI : ZIO. (Thèse de Bordeaux, 1904-1905. Iml). F CadoreL.) L'
auteur
a rassemblé dans sa thèse toutes les observations
outes in extenso, traduites pour la plupart personnelle- ment par l'
auteur
, ne permettent pas encore de juger entre les de
Régis, p. 234. ZIEOEV. Voir Maladies ? l1Pl1trr- les. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Ach ! u'd ? )4.. . ' Ad
ppef. 13J. Knn ! >I',401. I<ronll,tl, 117. 516 T11)LE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. Lag'ril1'e, 31. 309. L
ute pas dif- ficile de trouver des faits analogues dans les vieux
auteurs
, si friands de singularités et de cas rares. Je m
1, p. 35). » Cet ordre de causes n'avait pas non plus échappé aux
auteurs
qui s'étaient plus spécialement occupés des mal
rforgerufenen psyclliscllen I'2,ctîzkbei- ten, )Jrlangen 1868). Cet
auteur
distingue trois cas : 1° Ceux dans lesquels la
adie cérébrale déjà existante. DES TRAUMATISMES DU CRANE. 'I1 Les
auteurs
les plus récents admettent tous que la folie pe
u'il importerait de recueillir, mais qu'on ne trouve guère dans les
auteurs
. Des guérisons qui datent de quelques mois, de
ons d'être et d'agir des chiens opérés de la région occipitale, ces
auteurs
italiens inclinaient à y voir un centre de « fo
ports des objets du monde extérieur. Ce qui est plus important, les
auteurs
italiens, ignorant encore les travaux de Munk à
- cherches ultérieures confirment ces faits, écrivaient alors les
auteurs
italiens, l'hypothèse d'un second en- tre-crois
e et rapidement rétablie ! Voilà donc qui démontrait, suivant ces
auteurs
, que, outre les centres corticaux, on devait ad
ne mentionnerons, en passant, que la meilleure épreuve, au dire des
auteurs
, pour découvrir les troubles partiels ou généra
ie des Gehirnes (Berlm, 1SS5, p. 120), au chapitre consacré par cet
auteur
à Luciani et il Tamburuni. 38 PHYSIOLOGIE. vi
Luciani, comme celle de Seppilli, de Tamburini et de la plupart des
auteurs
italiens, est celle-ci : « Aujour- d'hui, la so
faisceau direct. On connaît la doc- trine de Munk sur ce sujet. Les
auteurs
italiens se félicitent d'être d'accord avec le
de l'écorce, serait naturelle- ment permanente. A ces thèses, les
auteurs
italiens opposent trois groupes de faits : 1° o
mésencé- phale, dans les tubercules quadrijumeaux antérieurs. Les
auteurs
italiens vont même jusqu'à supposer que la céci
croisée dans l'hémianesthésie hystérique 4 , Stenger et d'autres
auteurs
ont établi que, chez les paralytiques généraux
riété de la cécité psychique, et dont il situe le siège, avec les
auteurs
français, dans le lobule pariétal inférieur, do
es circonvolutions du pli courbe. Aucun doute sur ce point chez les
auteurs
italiens. L'étude des centres nerveux dans les
mouvements réflexes consé- cutifs à des sensations subjectives, les
auteurs
italiens 'inclinaient bien plutôt à croire qu'e
s de ceux qu'on observe en excitant la zone motrice de Hitzig ? Les
auteurs
italiens ne le ' Aug. Tamburini, Co&KZMMe s
ensitivo-mo- trices ramènera notre attention sur Golgi et sur ces
auteurs
. Mais, sans vouloir insister, il était peut-être
ons brutes, si toutefois on inclinait encore à admettre, avec les
auteurs
italiens, que ces centres sont distincts et ont
s ». Nous avons assez loué l'érudition étendue et de bon aloi des
auteurs
italiens, celle en particulier de Luciani et de
étonner un peu ici de les entendre parler ainsi. En 1884, quand ces
auteurs
présentèrent leur grand travail à l'Institut ro
urens), se trouvait en rapport avec le corps genouillé interne. Les
auteurs
italiens n'ont pu connaître les travaux postéri
erches physiologiques de Luciani sur le même sujet, pourquoi ni les
auteurs
italiens ni le traducteur allemand, M. 0. Fraen
des postérieures de Baginsky (1886) et de Spitzka (188G), que nos
auteurs
n'ont pu connaître, n'ont guère modi- fié ce qu
blement abaissée, surtout du côté opposé à la plagiocéphalie, que l'
auteur
a constatée 30 fois sur 'z0 épi- leptiques homm
tre autres, sur l'anatomie et la physiologie de la corne d'Ammon, l'
auteur
tire les conclusions suivantes, assez inattendu
corne d'Ammon gauche dans un cas d'hallucination de l'odorat. Les
auteurs
italiens, dont nous avons exposé les doctrines
ucquoy qui fit ses recherches sur les ouvriers au pont de Kehl. Cet
auteur
, malgré les vues physiologiques si remarquables
- liers à air comprimé (p. 59). » C'est à l'oxygène aussi que cet
auteur
fait jouer le rôle le plus important dans les p
és dans ces cas-là. Je le répète, malgré ces vues si ingénieuses, l'
auteur
reprend la théorie de la compression physique d
, les congestions viscérales et leshypérémies dont parlent tous les
auteurs
» (p. 52). 2° Théorie vasculo-mécanique. Cette
xcel- lente thèse, a été exprimée par Babington et Cuthbert, .Ces
auteurs
anglais, qui ont été témoins des accidents du p
condensé à l'air libre occasionne tous ces symptômes graves ». Ces
auteurs
ont voulu expliquer la prédilec- tion avec laqu
.mort. » Ce passage remarquable nous fait clairement voir que cet
auteur
avait déjà depuis plus d'un siècle remarqué et
iolemment tourmenté dans le récipient d'air épuisé (p. 47). » Cet
auteur
dans un autre travail, faisant remarquer de nou
. Il n'en est pas de même chez les amphi- bies. » Non seulement cet
auteur
a confirmé le dégage- ment de gaz de sang, mais
qui a été ultérieurement démontré d'une manière péremptoire par les
auteurs
qui ont écrit en dernier lieu sur la question.
st considérble, la mort survient d'une manière très rapide. » Cet
auteur
après une courte description des paraly- sies s
t nécessairement donner lieu à des accidents analogues. Plusieurs
auteurs
ont fait des injections d'air dans les artères.
e à ' Nous avons toujours eu soin de noter ce détail, parce que des
auteurs
ont pensé, a tort suivant nous, que l'administr
mot, car c'est l'exposé succinct de chacune des ex- périences de l'
auteur
. On en aura une plus juste idée en consi- déran
s yeux. '. Ce n'est que plus tard, au début du cinquième mois que l'
auteur
a pu obtenir par l'excitation de la substance c
ar M. fI`7FELSTEI\. , (W1'atsch, 1888, 31, 36, 37,.lui6 et 48.) L'
auteur
a étudié 24 aliénés au point de vue de leurs sens
ey, professeur de pathologie à University Collège de Londres. Les
auteurs
rangent les hémorrhagies sous trois chefs : a, l'
pendant la compression. Dans une seconde série d'expériences, les
auteurs
ont cherché à se rendre compte des effets produ
blissement du courant, que graduellement. En liant la carotide, les
auteurs
ont remarqué que le courant était complètement
brale moyenne et immédiatement pour Tarière lenticulo-striée. Les
auteurs
concluent de leurs expériences que dans les cas
ndon, 1888.) Le début de ces expériences remonte à trois ans et les
auteurs
se sont servis à la fois de l'excitation électr
s postérieures ; A, les expériences de Wal- er, CI. Bernard et de l'
auteur
, démontrent simplement que le ganglion en quest
l en rendant le résumé aussi facile que la lecture. Le procédé de l'
auteur
est le suivant : énumérer et classer les agents
de chapitres distincts contenant une observation puisée chez les
auteurs
anciens, antérieure à chaque sujet en discussion
onomie prétendue spéciale à l'agent provocateur; et, à ce propos, l'
auteur
blâme avec juste raison les mauvaises expressio
médecine mentale, de présenter, fidèlement les manières de voir des
auteurs
: P. 11GR : VL. , '160 BIBLIOGRAPHIE. elle co
alyser ne constitue qu'une faible partie dn travail entrepris par l'
auteur
. Cette partie traite de la psychologie de la cr
ie traite de la psychologie de la criminalité. Dans sa préface, l'
auteur
expose sa profession de foi dujuriseon- suite-p
GRAPHIE 161 Le premer chapitre est une introduction dans laquelle l'
auteur
expose les résultais des recherches sur l'influ
manifestations morbides et des plus variées observe-t-ou alors ? L'
auteur
analyse cette question avec beaucoup de détail.
prédominance des centres inférieurs. Dans le troisième chapitre, l'
auteur
, en étudiant les trajets ner- veux, les divise
t dans la formation du caractère de l'homme, telle est l'idée que l'
auteur
développe dans ce chapitre. L'énergie nerveuse,
festations psychiques qui fait l'objet du quatrième cha- pitre. L'
auteur
prend d'abord les excitations simples pratiquées
tion d'une excitation en acte réflexe ou en mouvement conscient, l'
auteur
observe qu'il existe relativement très peu d'exci
gnan, Auguste Voisin, Luys, Laboulbène, Wundt, Kraft-Ebing, etc., l'
auteur
démontre comment, sous l'influence de ces excit
ions hygiéniques du sujet. Dans le sixième et dernier chapitre, l'
auteur
étudie l'influence du sang et de la circulation
s 'acquisitions des représentants .de l'anthropologie criminelle. L'
auteur
y a groupé, en divers cha- pitres, l'énoncé tro
Paris 1887). Dans ce travail inspiré par M. le professeur Pitres, l'
auteur
s'est proposé l'étude des anesthésies hystériqu
ns survenues sous l'influence de la suggestion à l'état de veille l'
auteur
conclut que toutes les guérisons qui ont été ob-
par le 01' 10nICOU[\T. Le début de l'ouvrage n'est pas heureux : l'
auteur
nous cite comme précurseur de Burq, Moïse ! qui
a clO1'of01'mica. Brochure in-S" de 8 pages. Lnorno, 1s89, - Chez l'
auteur
: 31, Via Ricasoli, Liégeois (.1.). - De la sug
x : 2 fr. 19. - l'our nos abonnés : 1 fr. 7a. Avis A Messieurs li.s
Auteurs
et Editeurs. La Direction de» Archives de Neuro
s. La Direction de» Archives de Neurologie rappelle à Messieurs les
auteurs
et édi- teurs, que les ouvrages dont il sera re
eynert dans le manuel de Stricker. Malgré les tra- vaux de quelques
auteurs
qui battent en brèche ce schéma (Luys, Golgi),
paravant, sans que l'ivresse s'accrût, « proba- « blement, ajoute l'
auteur
, en raison de la plus facile « expansion du cer
est tirée d'Abercrombie (p. 264), qui l'emprunte à Howship. Le même
auteur
(p. 59) rapporte l'histoire, bien plus curieuse
e diagnostic sur de simples apparences. Le pronostic, et tous les
auteurs
sont d'accord sur ce point, est toujours grave.
ait de grade, de la démencedes crétins. Ce qui frap- pait surtout l'
auteur
c'est que cette démence, quoique bien. ressembl
xistait pas depuis l'enfance et parut à l'âge mur. C'est pourquoi l'
auteur
proposa de bap- tiser cette maladie du nom d'ét
sa de bap- tiser cette maladie du nom d'état crétinoïde. En outre l'
auteur
fit la remarque que tous ses malades étaient du
artenant par ses qualités physiques et chimiques aux mu- queuses. L'
auteur
observa, outre les symptômes décrits par Gull,
, ce qui donne comme résultat une atrophie de toutes ces parties. L'
auteur
rapporte la paresse et l'hébétude psychique de
mme, accompagné de dépression visible de la région psychique. Cet
auteur
suppose le point de départ de cette maladie dans
t. Ne partageant pas la théorie d'Ord sur l'origine du myxoedème, l'
auteur
sup- pose trois agents à la base de cette souff
quantité exagérée d'urates et enfin température cutanée abaissée. L'
auteur
suppose'que les anomalies de la région psy- chi
'organisme féminin, aux altéra- tions du système sympathique, que l'
auteur
voit la raison pour- quoi les femmes surtout to
de cinquante-trois ans, présenta en outre des idées délirantes. Cet
auteur
n'admet pas la dépendance du myxoedème d'une af
a peau et du tissu sous-cutané, diminution de la glande thyroïde. L'
auteur
voit la base de la maladie dans l'angio- spasme
la parole lente, légèrement ataxique. Le malade est très frileux. L'
auteur
rattache cet état à celui de crétinisme. En 188
ce de nommer cette forme : idiotie avec cachexie pachydermique. Les
auteurs
donnent à l'appui de leurs opinions la descript
rling'Hilton Fagge 2, Fletcher Beach 3 et deux cas observés par les
auteurs
personnellement. Outre cela, pour confirmer le
énésique entre le myxoedème et la lésion de la glande thyroïde, les
auteurs
s'adressent à la chi- rurgie et à la physiologi
côté, à chercher un soutien à sa manière de voir dans les faits des
auteurs
an- glais qu'il a groupés le premier et dans le
andau publièrent deux observations du myxoedème ; le dernier de ces
auteurs
, Landau, lie le myx- oedème aux affections de l
rganisme et des symptômes menaçant la vie des malades. Il y eut des
auteurs
qui expliquèrent ces phénomènes par la grande q
qui expliquerait tous les phénomènes du système nerveux central. L'
auteur
suppose que l'extirpation de la glande thyroïde
tièrement disparu chez elle. Or, le Dr Savage a souvent signalé à l'
auteur
l'existence d'hallucinations de l'odorat chez les
à avaler isolément des cheveux ou des fibres ligneuses a conduit l'
auteur
à penser que le malade accumulait ces substance
en même temps que ses aliments. A la suite de cette observation,- l'
auteur
en rapporte une autre, assez analogue et due au
r la mort en déterminant une perforation de la paroi stomacale. L'
auteur
conclut en signalant la nécessité d'examiner avan
en réclamant la priorité de l'invention que s'attribue M. Poetz, l'
auteur
expose qu'il l'applique à l'aliénation récente qu
Alex. ROBERTSON. (The Journal of mental Science, juillet 1886.) L'
auteur
rapporte deux observations dont la seconde surtou
'un état inflammatoire du cerveau, au moins sous la forme aiguë : l'
auteur
admettrait plus volontiers l'irritation directe
D. RACK 'l'UICE (The Journal of mental Science, octobre 1885). L'
auteur
rapporte avec soin l'observation d'un homme qui
III, 1-2). Sur deux cents individus en observation médico-légale, l'
auteur
n'a, pendanthuit années d'exercice, vu que dix
exactement au-devant de l'extré- mité antérieure du corps strié. L'
auteur
termine son travail par la relation d'un cas de
oTARD une note sur l'ORIGINE PYCIIO- motrice du délire. D'après cet
auteur
, c'est de la suractivité motrice que dans la ma
quinze ans. Il en est de même des cas de paralysie générale. D'où l'
auteur
conclut à l'influence nocive de l'alcoolisme su
des alcooliques (voir plus haut la communication analogue du même
auteur
au Congrès de l'alcoolisme). M. CHRISTIAN lit u
ômes que l'on observe cbez les traumatisés. Considérés par certains
auteurs
comme constituant une névrose traumatique génér
oubles de la sensibilité et des images qu'ils auraient engendrés. L'
auteur
montre, en outre, la corrélation qui existe ent
ppréciations que sa visite a suggérées à cet aliéniste-distingué. L'
auteur
ne voit ni inconvénient ni difficulté pratique
ce, avril 1886). Dans ce travail qui contient plusieurs tableaux, l'
auteur
s'est varia. 315 proposé de comparer les régi
D (The Journal of Mental Science, juillet 1886). ' L'opinion de l'
auteur
, basée sur les renseignements qu'il a recueilli
ué sur celui des « Leçons du Mardi » de M. le professeur Charcot. L'
auteur
dit d'ailleurs dans sa préface que c'est la lec
insberg. GEORGES GUIGNON. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE Avis A MM. les
Auteurs
et Editeurs. La Direction des Archives DE Neuro
diteurs. La Direction des Archives DE Neurologie rappelle à MM. les
Auteurs
et Editeurs, que les ouvrages dont il sera reçu
ure probable des fonctions motrices du cer- veau, il y a celles des
auteurs
italiens, dont nous de- vons uniquement nous oc
motrices. Avant d'indiquer l'évolution de cette doctrine chez les
auteurs
italiens eux-mêmes, rappelons que depuis les ex
perte de la sensibilité après la destruction des centres moteurs. L'
auteur
rappelle que Horsley, au congrès de Brighton (188
s centres d'innerva- rtion motrice ne sont pas d'ailleurs, pour ces
auteurs
, ainsi que nous .l'avons déjà rappelé, dans l'é
- trine des suppléances fonctionnelles telle que l'ont admise les
auteurs
. Mais Luciani n'est pas convaincu du pur automa
ut nous induit à conclure avec nécessité, disent ex- pressément ces
auteurs
, que « les ganglions basilaires, 376 PHYSIOLOGI
es les autres régions corticales, aux ganglions sous-corticaux. Les
auteurs
italiens se défendent d'ailleurs d'attribuer un
hysiologie. Berlin, 1886, t. 106, p. 258 sq. 380 PHYSIOLOGIE. Ces
auteurs
ont trouvé que les troubles du sens musculaire,
noyau caudé. Tous les phénomènes traditionnels dé- crits par les
auteurs
, depuis Magendie jusqu'à Noth- nagel, - l'impul
e cérébrale située au-dessus. » Mais il existe des faits, que ces
auteurs
ont constatés à leur tour, peu conci- LES FONCT
de Guicciardi et de Petrazzani. Pour ne parler ici que de ces deux
auteurs
italiens, qui ont attribué à un petit kyste hém
ans l'état actuel de nos connais- sances, la route qui, suivant les
auteurs
italiens, relie- rait les corps striés aux aire
mplacer l'idée de suppléance fonction- nelle, au sens ordinaire des
auteurs
, par celle du perfectionnement et du développem
rtebrati inferiori. - Archivio ital.per 1. mat. nel'v" 188 1, 55. L'
auteur
, professeur de physiologie à l'Université de Pavi
espon- daient précisément aux centres corticaux étudiés » par les
auteurs
. Ainsi, « chacun de ces centres serait, à la fo
oute l'écorce cérébrale. » L'expression de pareilles idées chez les
auteurs
ita- liens, de 1876 à 1881, nous paraît bien di
ces de l'écorce, nous mènerait trop loin,- si nous suivions ici les
auteurs
italiens. Qu'il nous soit permis de renvoyer à
autres ? La réponse à cette question ne peut être douteuse chez les
auteurs
LES FONCTIONS DU CERVEAU. 40 italiens. Cepend
ion croisée, et que celle-là est en retard sur celle-ci ; selon cet
auteur
, l'association se ferait dans la moelle, au niv
Riv. speriment. di fren., 1882, 131, sq.) Cf. le beau livre du même
auteur
, hémiplégie, Naples, 1886. Il répète, dans ces
le refroidissement et les altérations des organes sexuels. Quelques
auteurs
mettent le myxoedème en relation génésique avec
lieu à des accidents généraux. Une autre forme d'hémorrhagie, que l'
auteur
a pu observer deux ou trois fois d'une façon tr
e jour pendant environ une semaine, puis disparut complè- tement. L'
auteur
a pensé qu'il était intéressant de relater ce fai
psus et que l'entrée de l'autre poumon était à peu près obstruée. L'
auteur
ajoute que les circonstances étaient telles que l
l of Mental science, avril ·1ti86.) La première forme que signale l'
auteur
n'est autre chose que le type pur et complet de
uccession de ces cycles qui constitue à son tour le phénomène que l'
auteur
a décrit sous le nom de « rythme respiratoire a
de « rythme respiratoire ascenso-descendant, * dénomination que l'
auteur
hésite un peu à employer parce qu'on l'a trop s
n de cette svnonvmie inexacte. Le phénomène clinique décrit par l'
auteur
est le suivant : la respiration d'abord douce e
te que la période ascendante. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 437 L'
auteur
, quoi qu'il eût constaté des altérations microsco
ents héréditaires de la malade (père alcoolique, mère débauchée), l'
auteur
pense que le fibrome de la dure-mère n'a pas ét
laires ressemblant à ceux qu'occasionnent les lésions de la base. L'
auteur
se déclare du reste incapable de fournir une ex
x membres en- contact plus intime et plus répété avec le mercure, l'
auteur
pense que chez ce malade l'hystérie était le ré
xclusivement autrefois de son arthritisme. Il est impossible, dit d'
auteur
, de ne pas voir dans cette succession de phénomèn
ni gênante ni inquiétante; coloration foncéede l'urine. Toutefois l'
auteur
n'a pas trouvé d'élimination de méthé- moglobin
Dr EMILE Goubert. (Paris, Lecrusnier et Babé, éditeurs, 1888.) L'
auteur
donne le bromure d'or en solution, à la dose mo
de quelques jours, mais s'arrêter s'il se produit de la céphalée. L'
auteur
trouve à son emploi les avantages suivants : 1°
eurs années sans voir le retour des accidents épileptiques. Enfin l'
auteur
dit en avoir éprouvé les hons effets dans la mi
lenticulaire, la couche optique, les tuber- cules quadrijumeaux. L'
auteur
s'est borné généralement, chez le lapin, à touc
- L'Observation 1 concerne un cas de paralysie bulbaire aiguë. L'
auteur
, après avoir fait la description clinique de son
l'action exercée par la morphine et l'opium sur la' mensliualion. L'
auteur
a, dans un grand nombre de casd'aliéna- tion me
non excitant, agissent utilement dans la menstruation profuse.. Les
auteurs
ont employé ces médicaments à l'occasion des hé-
-t laissée au bureau. M. FINKELI\DURG. De la P)arénasthénie. -Les
auteurs
les plus mar- quants englobent dans l'asthénie
vasomotrice des altérations organiques des parois arté- rielles. L'
auteur
a essayé de produire les mêmes accidents sur des
faction de l'activité cérébrale sur l'orgaue de la circulation, les
auteurs
relèvent à l'envi les dégéné- rescences vascula
'épilepsie spinale, de la contracture et la démarche spasmodique. L'
auteur
signale à ce propos l'extrême difficulté dans c
plaques d'anesthésie, attaques hystériques, crises de sommeil). L'
auteur
note la fréquence des attaques apoplectiformes da
ujourd'hui jusqu'à 1316. Voila un résultat encourageant, bien que l'
auteur
ne le juge pas encore parfait, un grand nombre
s, rue de Picpus, n° 90. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. Avis A MM. les
Auteurs
ET Editeurs. - La Direction des Archives DE Neu
s. - La Direction des Archives DE Neurologie rappelle à< MAL les
Auteurs
et Editeurs, que les ouvrages dont il sera reçu
ntation) à l'usage de la clinique, de remanie avec le concours de l'
auteur
par le 1)' P. 11EILAVAL. Ouvrage pré- cédé d'un
cation saturnine avec troubles de l'intelligence et 474 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. du système nerveux), paa
rth, 135. Trijumeau (racines du), par Ben- tham, 150. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Audry, 437, 438. Babins
167. Dutil, 439, fi0. Duverger, 286. Edinger, 449, TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. 4î5 Edwards, 466. Engl
ière à ces accidents, une variété sous le nom de Railway spine. Les
auteurs
qui ont le plus sérieusement étudié cette quest
e ait été maintenue dans le cadre pathologique par la plupart des
auteurs
modernes, ce n'est le plus souvent que par trad
n un obstacle devient pour l'autre une condition favo- rable. Les
auteurs
du Compendium de chirurgie avaient déjà émis un
'expression de commotion de la moelle épinière. Avec la plupart des
auteurs
, nous pensons qu'il n'y a pas de commotion, en
voque, sa cause incon- nue, son traitement problématique. De graves
auteurs
ont douté de son existence, d'autres l'ont crue
nosographie ner- veuse. C'est ce que pressentait du reste le vieil
auteur
français, lorsqu'il disait' : « Je donne le nom
harcot, qui a contrôlé le diagnostic rétrospectif. Pas un des trois
auteurs
pré- cédents ne songea à la rapprocher de cas s
nsemble fasse défaut aux observations éparses qu'elle comprend. Les
auteurs
qu'on y rencontre, soit qu'ils n'aient eu en le
DE L'INCOORDINATION MOTRICE. 23 fection que nous allons décrire. L'
auteur
annonçait en outre, dans sa communication, qu'i
, publiait une note de M. Hammond (de New- York), dans laquelle cet
auteur
rapportait, d'après le témoignage d'officiers d
M. le professeur Charcot, analysé les travaux des trois précédents
auteurs
et montré, en juillet 1884', que le Jumping du
urd'hui sept autres, qui, joints à ceux observés par les précédents
auteurs
, nous fourniront une base solide pour l'étude d
l'action physiolo- gique du curare si bien étudiée par de nombreux
auteurs
, surtout par Claude Bernard' d'abord et ensuite
port, nos recherches ne sont donc pas concluantes, mais de tous les
auteurs
qui ont vanté l'action du curare dans le mal co
rare dans l'épilepsie. A tous les autres modes d'administration ces
auteurs
préfèrent la méthode hypodermique. , « Le vra
. 25 ? ' DE l'hystérie. 53 de son intégrité à l'esprit. Selon cet
auteur
, la dose de 1 centigr. de curare en injections
auparavant administrés en vain 3. La solution employée par ces deux
auteurs
était ainsi com- posée : 5'il RECUEIL DE FAIT
es éternuments de cette nature ont été rarement mentionnées par les
auteurs
que nous avons lus. Nous n'avons rencontré que
ych., XIV, 2.) De trois écoles populaires dill'érentes de Berlin, l'
auteur
a exa- miné 2,403 garçons de six à treize ans.
tre de Dégénérescence descendante à la suite de po- rencéphtilie, l'
auteur
complète l'observation anatomique dont il a déj
PINIÈRE; par FuERSTNER et ZACIIER. (Arch. f. Psych., XIV, 2.) Les
auteurs
essaient de tracer le tableau clinique de la form
observation personnelle et quelques autres empruntées à ditlérents
auteurs
, l'auteur arrive aux conclusions suivantes : '
n personnelle et quelques autres empruntées à ditlérents auteurs, l'
auteur
arrive aux conclusions suivantes : ' Io Les d
S; par 0. KAHLER. (Praer medici7a. lYochsch/'L., 1883, nez 47.) L'
auteur
insiste sur la paraplégie cervicale et ses caract
I., il est impossible de se prononcer sur la nature de la lésion. L'
auteur
examine, en terminant, la patho- génie de la ké
orures). Il. Les trois faits de paralysie agi- tante examinés par l'
auteur
n'ont pas révélé de phosphaturie ; un seul témo
de Leyden, et Munk, Bernhardt, Drosdoff, Watteville et Tschirjew, l'
auteur
décrit son mode de contrôle. L'excitation unipo
les par- ticularités sont relevées, comparativement avec celles des
auteurs
précédemment cités, dans un tableau de neuf col
c'estle premier accès qui chaque jour dure le plus long- temps. L'
auteur
se livre ensuite à une discussion approfondie sur
sme fait aussi l'objet d'une discussion minutieuse après laquelle l'
auteur
admet qu'elle est due à la lésion médullaire et n
ette théorie de la manie post-épiloptique par épuisement parait à l'
auteur
en tout point applicable à la forme ordinaire de
ent confinés d'une façon exclusse dans cette région. A ce propos, l'
auteur
tient à bien établir que les conclusions qu'il il
BELL- CLwE. (Journal of mental Science, janvier, 1884, p. 459.) L'
auteur
est convaincu que le meilleur moyen de se procure
e. Sans laisser à ces bonnes dispositions le temps de s'éteindre, l'
auteur
organisa rapidement, tant bien que mal, une sér
toire. Des examens eurent lieu; leur résultat fut à la fois, pour l'
auteur
, une surprise et un désappointement; tous les can
ulin avait un service plus chargé que le personnel féminin. Enfin l'
auteur
put s'assurer que plusieurs des leçons avaient
ui a déjà diminué, et que l'avenir ne fera qu'amender en- core. L'
auteur
demande, en terminant, que l'Association médico-
Elles n'apportent aucune modification aux travaux de Kroepelin '. L'
auteur
insiste simple- ment sur l'acuité des symptômes
aractère et aux-hallucinations de Jeanne d'Arc, on s'aperçoit que l'
auteur
ne conclut pas, ou qu'il conclut à peine, en de
s commentaires. C'est dans les deux dernières pages seulement que l'
auteur
laisse entrevoir son opinion; voici les principau
réglées d'une affection nerveuse. D'auho part, il est certain, et l'
auteur
en cite plu- sieurs exemples, que ses voix l'on
aissent se rattacher à des hallucinations de l'ouïe et de la vue. L'
auteur
déclare qu'il n'a, à cet égard, aucune explicat
article précédemment publié par le Mental Science et dans lequel l'
auteur
insistait sur la nécessité de connaître tous le
itié de janvier,le mari de la malade mourut ; comme l'avait prévu l'
auteur
, l'impression de chagrin produite par celte nou
t rapide ou même instantanée. L'ensemble des faits recueillis par l'
auteur
dans la bibliographie (une seule observation lu
inels; par W. Sommer. (,111,q. Zeitsch. f. Psych., XL, 1 et 2.) L'
auteur
a dressé la statistique des malades de ce genre r
par Wildermuth. (Allg. Zeitsch. f. Psych. XL, 1 et 2.) D'après l'
auteur
, qui apporte sur ce sujet une expérience de sei
'appareil musculaire de la nuque que quelques remarques isolées des
auteurs
se plient, à la rigueur, à une explication comm
njonctivo-vasculaires, originaires de sa capsule d'enveloppement. L'
auteur
rappelle 't ce propos le fait' présenté par lui
? qui est volatile à la température ordinaire, a été utilisé par l'
auteur
sur six aliénés et sur trois individus sains. Il
le opération n'a pas de raison d'être. De critiques en critiques, l'
auteur
arrive à regarder le tabes comme une affec- tio
lisent à haute voix, écrivent sous la dictée, sans com- prendre. L'
auteur
en cite un exemple personnel. VII. La suppressi
tissant à l'interruption de AM dépend de l'insula (observation de l'
auteur
). Les voies MB et AB se composant de séries de tr
graphique isolée. Discussion : M. Kussmaul se réjouit de ce que l'
auteur
ait observé un cas de surdité verbale si pure.
o-bulbaire, y compris les observations toutes récentes de Bercer. L'
auteur
vient d'en observer un exemple à sa clinique (a
ns de refus de nourriture de longue durée (folie s3stéma- tique). L'
auteur
réussit à enregistrer des séries prolongées, co
ant, en modifiant de mille manières l'expérience de 13-oiid,eest, l'
auteur
est arrivé au résultat qu'il est la plupart du
uelques-unes. En ce qui concerne les détails et l'étude critique, l'
auteur
établit les relations de cause à effet entre le
ur quelques accusations pour crimes contre la morale (attentais). L'
auteur
rapporte quatre cas d'attentats : actes luxurie
à l'égard de la circulation crânienne, et produire le sommeil, l'
auteur
a employé les compresses aux mollets. Un morceau
diminution des congestions céphaliques. SOCIETES SAVANTES, 115 L'
auteur
l'a toujours employé utilement, notamment contre
gie avec troubles de la parole. Discussion : M. Zixx contraint l'
auteur
à ajouter que l'ivrognerie doit être écartée da
ts mal compris et feront régner l'unité. SOCIÉTÉS SAVANTES. 121 L'
auteur
soumet donc et explique à la société ses plans fo
tive au résultat ob- tenu. La société exprime ses félicitations à l'
auteur
du projet, en même temps qu'elle adresse aux au
iques. Ce ne sont encore que des recherches préalables auxquelles l'
auteur
a été poussé par les résultats que Binz (de Bon
ressées et contrôlées- par lui. Le temps avancé s'oppose à ce que l'
auteur
termine sa communication. Plus tard, lorsque la
ès avoir rappelé sommairement les diverses théories de l'hystérie l'
auteur
, dit qu'il se range à celle de son maître, le A
nt de départ dans l'ovaire ». A l'appui de cette manière de voir, l'
auteur
donne ensuite la relation d'un cas, qu'il a eu
ons très claires et très judicieuses. « C'est en coordonnant, dit l'
auteur
, les résultats obtenus à l'aide de toutes les m
-mêmes sectionnées de la même façon. Enfin, en guise de synthèse, l'
auteur
examine le tronc cérébral à l'aide de coupes ho
sances sur le sens du toucher; quant aux recherches spéciales de l'
auteur
, elles se trouvent relatées avec soin pour chaque
, maladies du cerveau). -D'après les résultats qu'il a ob- tenus, l'
auteur
pense qu'il y a lieu d'établir une distinction fo
rement aune opinion en- core très répandue dans le corps médical, l'
auteur
prétexte que cette réglementation a beaucoup pl
ébit de boissons alcooliques, aussi, suivant les expres- sions de l'
auteur
, l'ivrognerie s'y présente avec toutes ses com-
rts de la prostitution avec la criminalité sont aussi intimes, et l'
auteur
, s'appuyant sur différents travaux statistiques,
que dans ce genre d'affec- tions, ce qui d'ailleurs n'empêche pas l'
auteur
de faire, lorsqu'il en est besoin, un chapitre
la manière dont il envisage le méca- nisme cérébral de la vision, l'
auteur
passe en revue les faits cli- niques relatifs a
la sensibilité visuelle avaient été étudiées plus rigoureusement, l'
auteur
aurait sans doute reconnu l'insuffi- sance de s
é étudiées d'une manière plus complète. Dans un dernier chapitre, l'
auteur
examine les faits et fait va- loir les raisons
es nerfs chez l'homme; parle Dr J. 0[tscH.sKY.(Cttarkoii', 1884.) L'
auteur
nous fait ressortir que l'état de la fatigue des
ant comme point de départ de ses expériences ce dernier principe, l'
auteur
, qui expérimentait sur des sujets jeunes et vig
ses ne sont pas toujours bien prononcées; , dans ses expériences, l'
auteur
observait souvent la réaction de dégéné- rescen
s théories qui existent sur la question du phénomène patellaire), l'
auteur
trouve que les résultats obtenus par ses expéri
ulbaires du vague et des noyaux vaso-moteurs. Dans le traitement, l'
auteur
recommande les sels de quinine et la digitaline
strique; aussi est-il permis de se demander si les conclusions de l'
auteur
ne sont pas un peu prématurées. Gautiez. 1 ?
es fastidieuses, nous y joindrons les faits publiés par les trois
auteurs
étrangers, nous promettant plus tard d'éta- bli
leur i Trousseau. Loc. cit., t. 1(, p. 264. Nous ajouterons que cet
auteur
dit en parlant de l'état physique et des faits
convulsifs. Nous verrons que les obser- vations rapportées par les
auteurs
étrangers sont éga- lement muettes sur l'existe
affection, un de ceux qui, en parti- culier, ont le plus frappé les
auteurs
étrangers. Il est un des premiers à apparaître
arres, que nous ne voudrions pas invoquer à ce sujet l'autorité des
auteurs
étrangers, si nous n'avions pas été nous-même t
me, nous le retrouvons porté à son summun dans les observations des
auteurs
étrangers. Un des malades de Beard, était assis
à quelques-unes des personnes présentes de la société ». Quant aux
auteurs
étrangers, O'Brien DE l'incoordination motrice.
I, quatorze ans; Obs. IV, seize ans; Obs. IX, neuf ans. Quant aux
auteurs
étrangers, bien que la nature et l'étendue de l
mes, tous puisés dans nos propres observa- tions, avec ceux que les
auteurs
étrangers ont attribué à diverses maladies conn
de retrouver, dans cette notice im- portante, quoiqu'incomplète (l'
auteur
n'ayant pu obser- ver les malades que pendant q
ction est aussi héréditaire que la folie ou l'épilepsie, nous dit l'
auteur
américain : dans la famille où j'expérimentais,
'exis- tait pas chez les malades examinés par Beard, bien que cet
auteur
dise en avoir observé plus de cinquante. Beard
cain est devenu le la/ah de la Malaisie; c'est dans ce pays que l'
auteur
a expérimenté'. Disons que toutes ses observa-
avaient fait des olli- ciers de la flotte américaine, récit que cet
auteur
fait suivre de quelques réflexions. Nous l'auri
qu'il s'agit là d'un cas tout à fait analogue à ceux des précédents
auteurs
et aux nôtres. « Le malade (un pilote) y est-il
des détroits; cependant il n'est pas spécial à ces peuplades car l'
auteur
a pu en observer plusieurs cas chez les Tamils(
onnaissance en celles de Mosler', Wood2, Hammond3 et Byasson 1. Ces
auteurs
étudient comparativement l'élimination de l'aci
ION DU SYSTEME NERVEUX. 23T Les résultats auxquels sont arrivés les
auteurs
qui précédent sont différents. Mosler, IIammond
entre les résultats obtenus par Wood et ceux obtenus par les autres
auteurs
dont nous avons rappelé les travaux, on voit, l
au travail intellec- tuel que reviennent les modifications que ces
auteurs
ont constatées sous l'inlluence de ce travail.
Les conditions d'expérimentation dans lesquelles se sont placés les
auteurs
qui ont recherché l'influence qu'exerce le tra-
: nous ne pouvons accepter sans discussion les conclusions que ces
auteurs
veulent tirer de leurs recherches. Nous ne pens
ammond et Byasson, mais lorsqu'on étudie de près les travaux de ces
auteurs
, on 1 Bischoff. Loco citalo. 2 Zuelzer. Loco
ttribuer quelque importance à ce rapport de 17 p. 100 que donne cet
auteur
comme exprimant les rela- tions qui, dans les c
isant la part de l'état de l'appareil oculaire et de ses milieux, l'
auteur
conclut que le myosis est le lot du vieillard, sa
L FEMME; par P.-J. 1BIUS. (Cbl. f. Ncrucrtlccilh., 188, n" 20.) L'
auteur
avait déjà dans les noa 9 et 12 du même journal,
na présentait une prolifération interstitielle bien plus accusée, l'
auteur
pense qu'il y a eu d'abord myopathie interstiti
'euro'ogie. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 259 ch. VI, p. 83 1.) L'
auteur
a aussi inventé un appareil de recherches qui p
m d'états d'inconscience; par A. PicK (Arc7a. f. Psych., XV 1). L'
auteur
a examiné, à la lumière d'une observation de foli
HUTTLKWORTH. (Journal Of mental Science, janvier 1884, p. 467.) L'
auteur
s'explique tout d'abord sur ce qu'il entend désig
uigneau, Paris, 1884. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 263 extrême, l'
auteur
cite le cas d'un imbécile qui, trouvant un homm
e de l'exposé détaillé de deux observations d'aliénation mentale, l'
auteur
passe à la discussion symptomatique. Les symp-
PATHOLOGIE MENTALE. 265 simples concomitances accidentelles. Il. L'
auteur
passe à l'examen de quelques troubles de la mot
aux. V. Dans la revue d'ensemble terminale, nous devons noter que l'
auteur
a toujours invariable- ment observé 1'unilaLéra
t agité cette question statistique sous des for- mes différentes, l'
auteur
pose les conclusions que voici. 1° Ce qu'on dés
ous ordres relatives à cette question (parties I, II, III, IV '). L'
auteur
veut prouver que les moyens de contrainte doivent
phère droit, 33 gr. 34. Dans une analyse critique très attentive, l'
auteur
fait ressortir les troubles de la motilité en r
ychiatrie i Névi,oputologii). An 11, fascicule 2 (décembre 1884). L'
auteur
, professeur de syphiligraphie à Saint-Pétersbourg
, mais parmi les gens de la société non considérés comme malades. L'
auteur
s'oc- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 273 cape p
ons cliniques, les unes personnelles d'autres em- pruntées à divers
auteurs
; il offre sous ce rapport un intérêt très grand
le (pédérastie paralytique). Comme étiologie de ce second groupe, l'
auteur
invoque les exemples funestes des institutions
roupe et des observations minu- tieuses prouveraient sans doute à l'
auteur
que même dans les cou- ditions qu'il indique, i
notre communication. Les aliénistes ont peu traité ce sujet, et les
auteurs
qui ont écrit sur la vieillesse parlent en term
lles peuvent être ou non accompagnées de troubles mentaux que les
auteurs
ont décrit, mais sans mettre assez en relief la p
tion durable à la suite de l'élon- gation du nerf cubital. Certains
auteurs
combattirent la lèpre anesthétique en pratiquan
urs témoignages élongèrent, le nerf ulnaire avec succès. D'autres
auteurs
élongèrent le nerf cubital en même temps que le
ALTÉRATIONS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 299 leurs cessèrent. En 1878, l'
auteur
pratiqua l'élonga- tion du sus-orbitaire dans u
la motilité et de la sensibilité. Une seconde observation du même
auteur
se rapporte à un garçon de douze ans blessé à l
ées dans diverses névralgies, principalement dans la sciatique. L'
auteur
, un grand partisan de ce nouveau mode de 1 Hutc
s trophiques. Pour ce qui est du tétanos d'o- rigine traumatique, l'
auteur
considère la traction des nerfs comme inutile.
aralysie agitante; pour une sciatique ; amélioration chaque fois. L'
auteur
se pro- nonce en faveur de cette opération. Sim
rps durant diverses formes d'affections mentales, beaucoup d'autres
auteurs
ont étudié cette question et ont été presque un
es défavorables, ni par l'état physique des malades, la plupart des
auteurs
ont cru devoir le rapporter aux changements qui
ffre les mêmes limites que les centres moteurs de Hitzig. Le même
auteur
a a publié plusieurs cas de lésion de la région m
s atteignent une certaine intensité, sont considérés par beaucoup d'
auteurs
comme provenant de modifications profondes abou
enrayé par le traitement actif qui a été mis en usage. Différents
auteurs
ont rapporté des observations analogues dans le
nt un pronostic fatal. Aussi, ne doit-on pas admettre avec certains
auteurs
, qu'un trouble thermique de cette nature dépend
e Sutherland 2, de Beale 1, de Lombroso 1, de Mendel6 etdeWood. Ces
auteurs
arrivent à des conclusions variables. Les uns p
l'élimination de l'acide phosphorique n'en conduisent pas moins les
auteurs
à des résultats aussi divergents que ceux que n
ropos du travail intellectuel. Et naturellement les opinions de ces
auteurs
sur la valeur qu'on [peut attribuer à l'étude d
Nous ferons ressortir seulement les divergences qu'ont obtenues ces
auteurs
dans leurs recherches. La nécessité d'instituer
erveux, s'impose par la divergence des résultats qu'ont obtenus les
auteurs
et par l'erreur dans laquelle ils sont lorsqu'i
ui se pose actuellement à nous. Si nous interrogeons à ce sujet les
auteurs
(Breed, Winter, Riessel, Wood, Mendel, Yvon, Ha
puissent être compris dans les oscilla- tions quotidiennes que les
auteurs
ont constatées chez l'homme sain, envisagé d'un
une manière générale. Il est vrai que les écarts qu'ont obtenus les
auteurs
(Mosler, Haxthausen, l'arhes, Mendel, Beaunis,
nous avons obtenus. Certaines des observations rapportées par ces
auteurs
complètent même celles que nous avons recueillies
LIRE DANS LA VÉSANIE PRIMAIRE (paranoïa, primcire Verrucktheit, des
auteurs
allemands); par Rosenbach. (Messager russe, 188
de là le nom de vésaiiiepi-in2ai7-c). A l'heure qu'il est, certains
auteurs
, Westphal en particulier, n'admettent pas du to
s aux organes des sens et aux téguments qui les recouvrent. Or, les
auteurs
ont constaté que, dans différentes circonstance
nt pu être rattachés à la diphthérie et à une affection centrale. L'
auteur
élimine l'idée de la chorée électrique, parce q
ussi se montrer très prudent quant à l'appréciation des causes. Les
auteurs
, tels que Galezowsky, vont trop loin quand ils
ononcées. En rapprochant ces résultats des statis- tiques de divers
auteurs
, on arrive à conclure que le tabes dorsal résul
avaient éprouvé des symptômes de paralysie des muscles de l'oeil (l'
auteur
n'a pas tenu compte de l'immobilité rigide de l
Centralllatt f. Neruenheilh. du 1"mars 81'; aux cas positifs de cet
auteur
, il peut opposer un bien plus grand nombre de f
de 220 pages, Ulrico Hoepli, éditeur. Milan 1884. Ce livre, dit l'
auteur
dans sa préface, s'est trouvé écrit presque san
s rapidement quelques-uns des principaux chapitres. Tout d'abord, l'
auteur
rappelle quelles ont été les vicissitudes de l'
sants exemples de ces divers délires. Sortant alors de l'asile, l'
auteur
nous fait faire une excursion dans la vie ordin
nés d'un pli cacheté avec devise, indiquant les noms et adresse des
auteurs
. ' Société de psychologie physiologique de PARI
othérapie hivernale. Brochure n-S" de 30 pages. Paris, 1885. Chez l'
auteur
, 3, rue du Dôme. MAUDSf.EY (H.). Le crime et la
Ch. Féré, 22. Visuelle (sphère), par Moiiakow, 256. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Althatis, 64. Bajenoff,
m, 92, 95. Lahr, t11, 113, 114, 420. Limier, 87, 395. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. 57 Magnan. 397. 111air
milite en faveur de cette interprétation déjà soutenue par certains
auteurs
, Observation. Mme z ? 51 ans, est fille de père
ité d'un pa- reil projet et, vraiment, elle est bonne ; car, si ses
auteurs
essaient de tourner au profit de leur voeu les
rois la seule raison de supériorité qui ressort des allégations des
auteurs
du projet, car, en ce qui concerne les relation
du tout prouvée, mais qu'elle apparaisse comme un simple désir des
auteurs
du projet ! Etaient-ils donc, de naissance, « a
que ceci n'est pas franc, ni surtout humain. C'est bien cela ; les
auteurs
sont guidés par un sentiment de commisération p
, tel est bien l'esprit du projet. Et la preuve, c'est le souci des
auteurs
d'assimiler le nou- veau concours à celui de l'
cours n'est qu'une application de son droit de nomination. Car, les
auteurs
du projet savent bien qu'il s'agissait encore l
es ; par le Pr Marinesco. (Journ. de Neurologie, 1905, il» 12.) L'
auteur
décrit dans ce travail les principales lésions de
MM. tRIMES- co et Parhon. (Journ. dr Neurologie, 1905, n" 4.) Les
auteurs
ont étudié Ifistologiqucmcut la moelle de REV
d'un cas de^poliomyélite anté- rieure aiguë datant de l'enfance les
auteurs
se croient en droit de conclure que la topograp
e de quelques lésions irrita- tives au niveau du ganglion spinal, l'
auteur
estime que ce fait vient à l'appui de la théori
omme de 19 ans. Les particularités sur lesquelles insiste surtout l'
auteur
sont l'alcoolisme du père coïncidant avec une h
UE DE PATHOLOGIE MENTALE. il Î térieure de la capsule interne, et l'
auteur
admet, que l'irri- tation à ce niveau des fibre
urale y est en général peu cultivée. De cette triple constatation l'
auteur
conclut que l'absence du sur- menage intellectu
. Vaschiije et VURPAS. [Journal de Vcurologie, 1905, no 3.) ) Les
auteurs
s'attachent à démontrer dans ce travail qu'il e
SOUKHANOFF. (Journ. de Neurologie, 1905, n° 14.) . Sous ce nom l'
auteur
décrit une variété de psychose alcoo- lique con
xemple chez les artério-scléreux. A l'appui de ces considérations l'
auteur
relate l'auto- observation d'un sujet atteint d
la paralysie générale. Il résulte au contraire des recherches de l'
auteur
, que la cécité affecte avec la paralysie généra
pas 1 m. 07 avant le traitement était un an après de 1 m. 185. Les
auteurs
insistent à ce propos sur un fait déjà signalé
Toute idée de contagion, psychique pouvant être ici écar- tée, l'
auteur
incline à croire que ce qui a été transmis dans
brandy est le meilleur remède. Récemment une personne sobre dit à l'
auteur
, sous l'empire d'un bon souvenir, qu'une affect
de la tête; par le ])1" Debray. [Journal de Neurologie, 1905.) L'
auteur
ayant observé plusieurs cas d'hémianopsie sans
et leurs effets sur l'organisme. Telle est la thèse que démontre l'
auteur
en étudiant sépa- rément chacune de ces deux ps
REGNAULT. - C'est à tort et au grand détriment de la clarté que les
auteurs
identifient tour à tour la sug- gestion avec un
coce que M. Régis envisage comme une confusion mentale chronique. L'
auteur
ne se fait pas illu- sion sur la surprise que p
70 bibliographie. importe davantage, la description clinique que l'
auteur
en donne est excellente, et contribuera à faire
auxquelles le praticien a particulièrement'affaire. Nul mieux que l'
auteur
n'était préparé à écrire l'histoire de ces déli
annexes, par F. Jacques. (Thèse de Bordeaux, 1904-1905, ne 67. L'
auteur
a réuni 70 observations publiées ou inédites qui
le Dr J. GIRAUDET, (Thèse de Bordeaux, J ! JU4-1 ! JU3, no 2.ï.) L'
auteur
a réuni 57 observations de complications ménin-
du Havre - fils d'un médecin aliéniste (1), aliéniste lui-même, «
auteur
de solutions nouvelles et très importantes en psy
rs cérébrales. Les kystes des méninges molles sont d'après certains
auteurs
plus fréquents encore, mais la dure-mère est mo
s autres symptômes neuropalhologiques et même psychiques que divers
auteurs
ont observé concurrem- ment avec l'affection fo
toine, l'oedème des jambes avec albuminurie passagère. Les premiers
auteurs
qui se sont occupés du mal per- forant (Leplat,
grave provoquée par l'ingestion de viandes avariées. Pour certains
auteurs
, d'ailleurs, il ne fau- (1) Ciiristiax. - « Le
sait les théories analomo-pathologi- ques variées invoquées par les
auteurs
pour expliquer les maux perforants et les escha
. A. HoTMANN. (Oboréni.é psichiatrii. X. 1905.) Des expériences des
auteurs
allemands, il résulte que le pre- micp temps de
ieiniger, des courants sinusoï- daux alternatifs et ondulatoires, l'
auteur
présente onze observa- lions-de paralysie facia
) des lésions banales d'infection. Ce dernier cas est le seul que l'
auteur
en\ isane actuellement et il considère deux gro
isée à la périphérie, existe dans la zone corticale du cerveau et l'
auteur
dresse des tableaux que nous nu pouvons reprodu
de la commissure de l'hippocampe ou psaltéiium, du corps calleux. L'
auteur
montre, par exemple, que le développe- ment de
ation degeneratho ni des gaines myélini- qlles, niTles fibrilles. L'
auteur
a fait aussi des /i(f)'oh-aMxpM<ft- 136 RE
, peuvent être aussi des équiva- lents de crises comitiales comme l'
auteur
en a rencontré trois exemples. L. \\'AHL. III
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. bien faite de eus div crses hypothèses, les
auteurs
en adoptent une quatrième, celle d'hystérie tra
cine, il" d'avril 1905.) Chez de très rares sujets névropathes, l'
auteur
a constaté un moment de paroxysmes de migraine
soit à l'aide de biopsies, soit il l'autopsie. Dans le cas (tue les
auteurs
ont observé, il s'agit d'une jeune, Il,'1171111
étant conservés, llistologiquement, la plupart des muscles que les
auteurs
étudièrent présentaient de l'atro- phie et de l
t déterminer l'épilepsie : ce sont ces derniers qu'envisage seuls l'
auteur
. Ces manifestations peuvent être modifiées et m
tte apparition de troubles épi- 1('Pli(tues signalés par beaucoup d'
auteurs
ne sont pas faciles il ex- pli'tuer. Peut-être
re à l'approche de l'âge adulte, du moins dans les rares cas dont l'
auteur
a pu suivre l'évolution complète. Le sujet a l'ai
de la sialorrhée qui a été remarquée dans cette maladie par divers
auteurs
. Pour les uns, cette particularité sérail due iL
ut. Calola rejette dans l'état ac- tuel de la science l'opinion des
auteurs
qui ne veulent voir dans la maladie de Parkinso
de l'intégrité du réflexe pupillaire trou- blé en un seul cas. L'
auteur
invoque ces recherches en faveur de la pathogénie
la moelle el du bulbe trahissent toutes les phases de l'atrophie. L'
auteur
croit cependant qu'il s'agit d'une forme inter-
e délire guérit rapidement après avoir suivi le régime lacté. Les
auteurs
concluent qu'à côLé des délires par intoxication
s de la syringomyélie. Le facial étant intact chez le ma- lade, les
auteurs
infèrent quu Je yagu-spinal est bien le muteul'
'Université de Wtirzburg, et le Dr Lay,du sémi- naire de Karlsruhe,
auteur
de la « Didactique expérimentale ». '- Le monta
tatonique ; Par André BARRE, interne des hôpitaux. La plupart des
auteurs
qui ont étudié le refus d'ali- ments dans la dé
une pathogénie analogue à celle de la chorée gravidique ') Certains
auteurs
expli- quent celle-ci par une action réflexe, d
e un stigmate ; mais cette opinion estrestée trop personnelle à son
auteur
pour due nous puissions y insister. La présenta
ilibre dans la compression des tissus. Dans leurs observations, les
auteurs
n'ont pas trouvé les nécroses par inflammation
par inflammation ou par arrêt de circulation dont parlent d'autres
auteurs
: c'est que la stase lymphatique n'est pas simp
TTI, [Nour. Iconogr. de la Salpêtrière, 1905, n 2.) Sous ce nom les
auteurs
décrivent un syndrome particulier, analogue au
ainsi que de quel- ques libres radiculaires du 111, paraissent aux
auteurs
pu argu- ment probant en faveur de l'existence
.) Dans un cas d'acromégalie tardive compliquée d'hémiplégie, les
auteurs
ont trouvé il. l'autopsie une hyperplasie parench
tion l'byperbypophy- sie parmi ses symptômes.. L'opinion des deux
auteurs
est que t'bypertropbiepitui taire est un facteu
ra. (Nouv. Iconogr. de la Salpctrière. i ! )On. no' 2 et : 3. 1 L'
auteur
établit la parenté clinique très étroite qui exis
t nouveau vient s'ajouter : l'hypertrophie du tissu con- jonctif. L'
auteur
rapporte d'ailleurs toute une série d'observa-
nts, dans les affections de l'axe cérébro-spinal. Et à ce propos, l'
auteur
aborde dans des détails très documentés la path
ANZIALIi.Il1 Annali di Nevrologia. Naples, 1904. Fascicule IV.) L'
auteur
commence son travail par un rapide résumé histori
es recherches cliniques de Four- nier, recherches qui ont amené cet
auteur
à considérer la para- lysie générale comme une
ucune façon l'évolution de la paralysie générale. En terminant, l'
auteur
donne la reproduction de préparations histologi
rigine, des prolongements protoplasmiques de la cellule nerveuse, l'
auteur
conclut que le seul fait démontrable est l'orig
le plasma général des centres ner- veux. Pour Bethe, comme pour l'
auteur
, le protoplasma des neuro- blastes s'accroît qu
. doctrine de la condensation et de la différenciation d" plasme. L'
auteur
ne conteste pas, et même il accepte cetto théorie
a cellule nerveuse, et à augmenter son proloplasma. En terminant, l'
auteur
s'occupe d'une théorie émise par Olmer, en IR\)
1 ! 10 i, fasc. VI.) Dans ce travail consciencieux et documenté, l'
auteur
montre tout d'abord le rapport évident qui exis
on comprend facilement la stupidité de cet animal. En terminant, l'
auteur
donne treize ligures tant macroscopiques REVU
ESARE CoLUCCI. Annali di Nevrologia. Naples, 1905. Fasc. IV-V.) L'
auteur
commence par rappeler les noms des auteurs qui on
les, 1905. Fasc. IV-V.) L'auteur commence par rappeler les noms des
auteurs
qui ont déjà publié des travaux sur cette quest
tions dé- taillées, accompagnées de tracés. De toutes ces études, l'
auteur
tire un certain nombre de conclusions dont voic
gl'aphiqne est un utile complément de celte recherche En somme, l'
auteur
conclut d'une façon générale que ces ré- 204
l'étude du la moelle allongée de lapins et de chats nouveau-nés, l'
auteur
trouve que la terminaison delà libre afférente so
es réseaux endocellulaires des éléments voisins. Les recherches des
auteurs
précédents sur les calices de Held, recherches
ce, avril 1905, vol. X. fasc. 4). De ses recherches personnelles, l'
auteur
conclut que ce réflexe se produit surtout quand
rence, avril 190, t. X., fas. 4.) Dans un cas de celle affection, l'
auteur
utilisa sur les pièces nécropsiques les méthode
t nombre de vaisseaux du névraxe et de la pie-mère. En terminant, l'
auteur
attribue les symptômes cliniques de cette affec
ologia nervosa e mentale, Florence, mai 1905, vol. X, fasc. 5.) L'
auteur
commence par établir que la courbe maxima du mus-
ologia nervosa e mentale, Florence, mai 1905, vol. X, fasc. 5.) L'
auteur
appliqua dans ses recherches la méthode à l'argen
l'étude de la rétine, donna des résultats nouveaux en ce sens que l'
auteur
ne trouva pas les connexions décrites jusqu'ici ;
nion a fait son chemin et est admise aujourd'hui sans conteste. L'
auteur
, se plaçant au point de ne expérimental, a fait s
rimentale consécutive il l'influence du virus pneumocu('('i(ll1C, l'
auteur
a trouvé des altérations hie- gea ! 1L surtout
uillet 1905, vol. X, lasc. 7.) Dans ses recherches histologiquos, l'
auteur
a commencé par utiliser les méthodes anciennes,
905, vol. X, fasc. 7.) De ses études cliniques et expérimentales, l'
auteur
conclut que, dans le cerveau, la corne d'Ammon
ia nervosa e mentale. Florence, août 1905,- vol. X, fasc. 8.) Les
auteurs
aboutissent aux conclusions suivantes : 1° A ég
le. Florence, août 1905, vol. X, fasc. 8. Par ses observations, l'
auteur
se dit en mesure de pouvoir affir- mer en toute
out en reconnaissant la grosse valeur diagnostique de eu si- gne, l'
auteur
n'en fait pas cependant un phénomène pouvant tr
nervosa e mentale, Florence, janvier 1005, jvul. X, rase ? ) . L'
auteur
commence par exposer les difficultés pratiques où
gia nervosa e mentale. Florence, août 190b, vol. X, fase. 8.) Les
auteurs
rapportent deux cas de cette affection, et donnen
ogia nervosa r mentale. Florence, avril 190.'). vols, fasc. 4.) L'
auteur
rapporte deux cas, surtout intéressants en ce sen
L'altitude vicieuse de la tête pourrait être expliquée d'après les
auteurs
par ce ra- mollissement, certaines observations
uis un mois par des douleurs articulaires. Cet état répond, croit l'
auteur
, à une forme particulière de tétanie, carac- té
iveau des membres in- férieurs et y affecte le type signalé par les
auteurs
: hyperexlcn- sion des pieds un varus équin, le
humatisme muscu- laire. La cause à invoquer dans ce cas échappe à l'
auteur
, mais il tend à invoquer sans l'affirmer l'orig
ec ralentissement ha- bituel du pouls, 40 pulsations à la minute. L'
auteur
rattache ces deux symptômes à des troubles du s
us la dépendance d'un trouble circulatoire de l'encé- phale. Pour l'
auteur
, ou doit admettre que le rétrécissement mi- tra
(.ORNELOUI'. (Soc. de J[hl des H,jp. de Lyon, 21 mars 1905.) Les
auteurs
rapportent deux cas d'hystérie influencés par une
une action nettement excitante. Comme conclusion de ces faits, les
auteurs
pensent que si les infections, les septicémies,
se. Ce sont ces derniers cas qui ont surtout attiré l'attention des
auteurs
. Parmi ces cas ils distinguent particulière- me
ion rnilrale ! C'est la congestion des contres encéphaliques. Les
auteurs
apportent deux observations à l'appui de cette hy
médiatement après les crises. Cette observation semble, d'après les
auteurs
, probante de l'origine cardiaque de certaines h
x. Varices du membre inférieur. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 210 Les
auteurs
font de ce cas une gangrène névritique. La notion
ni de : -igrlt's de bat'(ln\\'i : -lI1e, ' Celle malade, d'après l'
auteur
, est un type d'infantile dysthyroï- (tien il sy
ucation; par M. ]>OKOT, (Lyon 11lt : clicai, 2 juillet 190.) L'
auteur
rappelle que l'élément fondamental dans le tic es
e puisse reprendre son travail abandonné depuis plusieurs années. L'
auteur
insiste sur une série de con- sidérations d'un
être prise en très grande considération comme le montre très bien l'
auteur
. Chez les adultes, l'éloignement du milieu et m
OLUCCI. (li1l11ali di Nev1"ologia. Naples 1905. Fasc. lY-\'.) t L'
auteur
étudie tout d'abord dans quelles conditions se fa
AL (novembre 1904), 4ti pages. Après une courte revue historique, l'
auteur
décrit, un quelques chapitres Iuslésions du glo
en histologique, a été recueillie dans le ser- vice du M. Boumer. L'
auteur
se livre aune étude d'ensemble sur l'encéphaloc
agus. Elude d'ensemble inspirée par 1. lu professeur Spillmann. L'
auteur
, dans unesériu du chapitres, décrit l'étiologie,
sont les plus fréquents. Nous ne croyons pas (et c'est l'avis de l'
auteur
, malgré le titre du sa thèse) que l'association
seur llaushallur. Le nom de syndrome do Littte a été li- mité par l'
auteur
« aux cas du diplégie cérébrale spasmodique « t
iété des lésions, et de la difficulté d'expliquer certains faits, l'
auteur
admet, avec Cestan, contre l'opinion de Van Gehuc
ovembre 1905, na 16-iî). 1. ' De l'ensemble des observations quel l'
auteur
a pu relever, il ressort les conclusions suivan
s les tissus, il existe des méthodes véritablement électives, que l'
auteur
a résumées dans son rapport et qui mettent en r
usi- ves, et les admettrait toutes deux selon les cas. Beaucoup d'
auteurs
, notamment Schlager Skae K. Ebing, ont fait une
amné- sie, etc.) peut être résolue très différemment suivant les
auteurs
. Le plus important groupe de folies traumatique
professeur Déje- rine, à la. Salpêtrière). Chez la malade dont l'
auteur
publie l'observation est survenue progressiveme
e Babinski ou d'une véritable inver- sion du phénomène habituel ? L'
auteur
admet l'inversion parce que l'isolement et la l
elé tous les travaux qui ont été déjà publiés sur celle question, l'
auteur
conclut doses recherches personnelles que : 1°
s parl'oculomoteur commun. En ce qui concerne le droit externe, l'
auteur
fait remarquer qu'en pareil cas le muscle est r
lélisme entre la diminution de la première et le sens musculaire. L'
auteur
a inventé un instrument qui permet de mesurer la
le nom de pandi- culation. Cette pandiculation a été étudiée par l'
auteur
chez un certain nombre d'hémiplégiques et la co
en a un troisième, moins connu, c'est la scoliose alternante dont l'
auteur
rapporte un exemple avec pho- tographie du suje
nterprétation. Dans les douze ohser- vations qu'ils rapportent, les
auteurs
ont constaté toute une série de localisations e
obscure ; comme il n'y a pas tra- ce de névrite optique ancienne, l'
auteur
pense à une paralysie d'origine nucléaire, par
bli. Au point de vue de la pathogénie de cet hippus pathologique, l'
auteur
pense que la paralysie nucléaire de l'auto-mote
simple ébranlement du système nerveux ne peut expliquer et que l'
auteur
compare à l'ensemble des symptômes généraux, re
908. Prix Baillarger . - ? 000 francs. - Ce prix sera décerné à l'
auteur
du meilleur travail sur la thérapeutique des mala
dore lier pin (de Genève). 3.000 francs. - Ce prix sera décerné à l'
auteur
du meilleur ouvrage sur l'épilepsie et les mala
olie. Prix Henri Lorqucl. 300 francs. Ce prix sera décerné il à l'
auteur
du meilleur travail sur les maladies mentales.
nés d'un pli cacheté avec devise indiquant les noms et adresses des
auteurs
. Les prix seuls donnent droit au titre de lauréat
e par Bourneville, I vol. In-8°de 533 pa- ges avec un portrait de l'
auteur
. Prix 10 fr. Pour nos abonnes. S francs. AuAM
complications prochaines et éloignées de l'accident ? A ce titre l'
auteur
du dommage semble-t-il devoir être rendu respon
' quelques tares et dans diverses circonstances de sa vie. Pour l'
auteur
précité, cette constitution psychique com- mand
e n'est pas la règle et qu'il ne s'observe que dans quelques cas, l'
auteur
estime qu'il doit exister au même rang que l'ép
causes étiologiques habituelles. Dans un autre ouvrage (2), le même
auteur
relate cinq cas d'existence simultanée de la mi
le des rapports sexuels. Ce qui nous importe, c'est que les anciens
auteurs
avaient déjà porté leur at- tention sur la corr
omnia. Morbi chronici. I. l'épilepsie ET la migraine. 377 même
auteur
indique ce fait que le rapport sexuel est parfo
rémission beaucoup plus prolongée et pou- vant durer des mois. Les
auteurs
en rapportent un certain nom- lire d'observatio
adie de Ba- sedow ; par SALMON. (Revue de médecine, mars 1905.) L'
auteur
émet l'hypothèse que la maladie de Basedow parait
uche, de l'acoustique et des deux ocula- moteurs externes. ZD Les
auteurs
insistent sur l'existence du syndrome oculo-moteu
festation la plus certaine des lésions des cordons postérieurs. Les
auteurs
, rejetant les cas douteux, ont ainsi dressé le
buté alors qu'il avait six ans. De l'élude de ces observations, les
auteurs
concluent qu'engé- néral, le labes des jeunes s
ui-même par un néoplasme. C'est un cas de ce genre que publient les
auteurs
. De ce cas et de ceux qui ont déjà été publiés, i
ciation dans toutes leurs modalités. A la suite de cette enquête, l'
auteur
a fait les ré- flexions suivantes. Les écoliers
réclamer l'établissement de moyens propres à réprimer cette lare. L'
auteur
, dans ses conclu- sions, affirme que le bégaiem
s graves et servir d'école d'application aux futurs instituteurs. L'
auteur
, en terminant, insiste sur le rôle capital que
s articles peuvent être imprimés en français ou en allemand, si les
auteurs
en expriment ledésir.Lus communications doivent
par Liourncvitte, l vol. In-S* de 535 pa- ges avec un portrait de l'
auteur
. Prix 10 fr. Pour nos abonnes. 8 francs. Le r
onstatations anatomo-pathologi- ques faites par un certain nombre d'
auteurs
, d'après les- quels l'examen microscopique a mo
consacrés à ce sujet sont encore peu nombreux. C'est à peine si les
auteurs
classiques étudient en quel- ques lignes la str
travaux, nous voyons que dans la paroi de l'abcès céré- bral les
auteurs
différencient plusieurs couches : La couche la
s cérébral, et confirment dans leurs grandes lignes les travaux des
auteurs
que nous avons cités. On peut avec Kôlpin, reco
nt donc complètement dans leurs grandes lignes les descriptions des
auteurs
et en particulier celle de Kolpin ; la division
its. Nous ne saurions toutefois accepter complètement l'opinion des
auteurs
allemands sur le rôle de la névro- glie. Pour e
par le processus de dégénérescence. Tout en admettant avec tous les
auteurs
que c'est à l'é- lément conjonctif que revient
condaire mais cependant non négli- geable, à la névroglie. Tous les
auteurs
ont signalé le gonflement et la multiplication
nsive. Mais, et avec cette réserve, nous acceptons, avec tous les
auteurs
, qu'il n'y a là qu'un processus d'importance se
portant mémoire de 92 pages, illustré de nombreuses figu- res, où l'
auteur
résume l'évolution clés idées sur la question, él
n cas de démence précoce : par G. Doutrebente et L. MARCHAND, - Les
auteurs
rapportent l'observation d'un cas de démence pr
embryonnaires. Rapprochant ces cas des documents déjà publiés, les
auteurs
concluent que le syndrome démence précoce peut
t des chiens, et l'étude des cellules radiculaires ainsi isolées, l'
auteur
a été amené à nier cette intégrité du bout centra
la formation de nucléoles. L'inconstance de ces lésions a conduit l'
auteur
à admettre qu'il doit intervenir un autre facte
entes et sur leur réparation ; par C. PARHON et M. GOLUSTE1N. - Les
auteurs
ont recherché quel est le sort d'une cellule qu
re ces lésions comme résultant de l'état de repos des cellules. Les
auteurs
pensent au contraire, avec Marinesco, qu'elles
ations importantes entre le vitiligo et les mala- dies nerveuses. L'
auteur
a eu l'occasion de faire l'autopsie d'un malade
ion directe entre la gliose centrale de la moelle et le vitiligo, l'
auteur
pense qu'il est intéressant de faire connaître
culeux; par L.-iiGNEi.-LAVASTINE. (li ! eu. de méd, mars 1906.) L'
auteur
commence par éliminer la méningo-encéphalite dif-
mentales ; par Klippel et LEF : 1S. (L'Encéphale, 1906 n° 1.) Les
auteurs
rappellent et précisent la technique de l'hématol
céder très facilement son énergie aux réactions vitales; certains
auteurs
en font un agent de suralimentation (Toulouse), d
et une abondante lymphocytose. Importance pronostique. Les mêmes
auteurs
, avec MM. Egger, montrent un malade atteint d'hém
onnat et de la main-d'oeuvre que lui fournissent les indigents. L'
auteur
attribue la prospérité de cet établissement aux
aler. [Thèse de Bordeaux, 1905-1900, n" S ? .) Les conclusions de l'
auteur
de ce travail sont les suivantes : Le problème
f de l'Asile public d'aliénés de Bail- leul (Nord). Nous prions les
auteurs
de communications à ce Con- grès de bien vouloi
ar Debray, 56. Voir Dévia- tion. Zona, par Souques. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Abadie, 224. Aclinrd, 2
20. gruger, 214. Gruner, 198. Guillain, 154. M4 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. Ilirlz, 920. Hudovcrni
Quant aux crises convulsives, elles sont ! regardées par bien des
auteurs
connue rares, et cependant nous avons pu cons-
iagnostic et de l'af- 14 -fit CLINIQUE NERVEUSE. firmer. Tous les
auteurs
sont unanimes sur ce point. L'hémor- rhagie cér
localisation semblent plus fréquents que ne l'indiquent beaucoup d'
auteurs
. Dans notre cas notamment ces phénomènes devaie
ion génitale d'ordre psy- chique, assez fréquente au contraire. Cet
auteur
ne dit rien des périodes d'état et de terminais
tions insolites ; elles font alors des confidences incroyables. Cet
auteur
considère comme bien plus rare la frigidité pré
eulement par des idées et des paroles, mais encore par des actes. L'
auteur
constate que cette excitation génésique donne s
n an et plus avant le début de la paralysie générale confirmée. Cet
auteur
, lui aussi, ne signale les troubles du sens gén
d'abord il est un point important complète- ment omis par tous les
auteurs
: le coït; or nous avons trouvé de ce côté des
s les névropathes frappés dans leur virilité. Je crois que si les
auteurs
insistent tant sur l'excitation génitale à la p
e la tare dégénérative, comme parait l'ad- mettre Féré ? Le cas des
auteurs
, accompagné de bégaiement hé- réditaire, vient
ni comme aliénés. (The Journal of Mental Science, juillet 1898.) L'
auteur
constate que la qualification de « faible d'espri
parmi les avantages des dénomi- nations plus exactes que réclame l'
auteur
, sans en proposer, ce ne serait pas le moindre
-Philip p Cowev. (titre Journal of Mental Science, avril 1897.) L'
auteur
relève lui-même les points les plus intéressants
illet 1898.) Ce n'est guère qu'au commencement de ce siècle que les
auteurs
ont accordé quelque attention à la folie des en
es autres le sexe n'était pas indiqué) et sur 13 cas observés par l'
auteur
on comptait 8 garcons et 5 filles. Toutes les f
e si2 suicides d'enfants en seize ans ; en Russie, 57 en dix ans; l'
auteur
ne con- naît pas la statistique anglaise à cet
t âge, justifie la dénomination de ménopause virile, employée par l'
auteur
. Ces perturbations psy- chiques se traduisent d
e; par 0.\I\W1 : '1 STOCKLEY. (Médical News, 31 décembre 18J8.) L'
auteur
place les traitements hypnotique, électrique et p
névroses ; par le Dr SOLDER (Journ. de Neurologie, 1899, n 25.) L'
auteur
de ce travail propose d'employer la gymnastique p
Il. LEEPER de Dublin. (British médical Journal, janvier 1900.) L'
auteur
a employé l'extrait thyroïdien avec succès dans t
car beaucoup d'imbé- ciles deviennent d'habiles et bons ouvriers, l'
auteur
estime qu'il ne faut pas se leurrer et compter
coles, utiliser l'éducation reçue. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 49 L'
auteur
ajoute en terminant que le système des menues réc
moralisée et non dans un dégoût d'origine équine. Eu somme, dit l'
auteur
, « le sérum héroïque est celui qu'em- ploient l
l; par M. J. MASI31\ENIER. (Presse médicale, 2 janvier 1900.) . L'
auteur
passe en revue les divers. traitements qui ont ét
e lui adonné de bons résultats dans un assez grand nombre de cas. L'
auteur
rapporte sommairement les obser- vations de tro
ue, ils ne peuvent être traités que dans des asiles spéciaux mais l'
auteur
a soin de faire remarquer que ce traitement pour
une prison, mais une maison. Après ces considérations générales, l'
auteur
, dans une étude des plus documentées, examine p
n des malades et enfin encombrement par des malades incurables. L'
auteur
propose pour remède d'établir un rapport plus étr
répondant aux objections que posent les adversaires des colonies, l'
auteur
considère cette forme d'assistance comme la mei
s, mais simplement gardés, soit à l'hôpital, soit à la prison, et l'
auteur
ajoute que si le nombre des aliénés semble en d
faite au Cercle artistique, littéraire et scientifique d'Anvers, l'
auteur
se déclare partisan, pour l'assis- tance de la
e- derick l'ETEUsoN de New-York. (Médical zezvs,,janvier 1900.) L'
auteur
décrit sous ce titre l'Asile de Giessen près de F
en pour chaque malade. Le chiffre moyen des malades est de 400. L'
auteur
donne ensuite quelques détails, plus sommaires, s
60 asiles d'aliénés. toire de la vieille république hanséatique. L'
auteur
a visité aussi l'institution des sourds-muets,
inaire d'aliénés conformément à la loi belge. Colonie de Gheel. L'
auteur
l'a visitée pour la première fois en 1860, et i
t satisfaits et ne se plai- gnent pas. La plupart des malades que l'
auteur
a vus pouvaient parfaitement être ainsi logés c
s aliénés n'est pas relevé en Belgique., L'impression générale de l'
auteur
est que, pour la très grande majorité des malad
900. Ce volume reproduit un certain nombre de leçons faites par l'
auteur
pendant le semestre d'hiver 1898-99 à l'institut
prendre, active ou passive, quand il s'agit de se rappeler. Puis, l'
auteur
s'applique à une analyse détaillée et très précis
es puissent être, elles n'en restent pas moins des hypothèses que l'
auteur
lui-même déclare « être loin de vouloir pour le
s fait aimer le Bien et aspirer au Mieux. BIBLIOGRAPHIE. 73 e L'
auteur
nous cite un grand nombre d'observations où nous
émane surtout une idée défavorable au mariage des épileptiques. L'
auteur
dissocie d'abord la question pour arriver à une s
palement sur des observations commu- niquées par M. Bourneville à l'
auteur
et dont il a bien su tirer parti. F. BOISS1L :
opalia. Brochure in-8- de 12 pages. Hôpital de Verone, 1900. Chez l'
auteur
. 80 AVIS A NOS ABONNÉS. Ptr,r.z (A.). Eu : we
ig. Comme on pouvait s'y attendre, les opinions exprimées par les
auteurs
sont très variables. Au nombre des partisans de l
tensité ; aucun effet sur les troubles psychiques. Ces différents
auteurs
signalent bien quelques accidents au cours du t
ntradictoires, enlace des résultats favorables obtenus par quelques
auteurs
, nous avons soumis à la cure de Flechsig un cer
ies punctiformes) reste sans attaques depuis plusieurs mois. Mais l'
auteur
prudent a continué le bromure à haute dose et a
ce. Enfin chez le malade de Collins l'affection était récente, et l'
auteur
lui- même croit devoir attendre encore avant de
abétiformes. Cette association a été en effet décrite par plusieurs
auteurs
: Kuh, Dinckler et Marinesco, et le cas de Dink
ec soin, n'ont cependant pas eu le mérite d'attirer l'attention des
auteurs
de publications récentes. Ceci dit, arrivons à
Varole et de la moelle allongée. Dans aucune de ses expériences. l'
auteur
n'a trouvé une dégénérescence des libres ascend
udier les effets de l'alcool sur le rendement du muscle fatigué les
auteurs
ont expérimenté sur d'anciens alcooliques aux-
sement manifeste du rendement. Pour' expliquer ces différences, les
auteurs
admettent qu'il existe un rapport entre la mani
exposé aussi complètement que possible la théorie de ces derniers
auteurs
, M. van Gehuchten termine en disant que la doctri
énés ; par J. F. Belstvs. (British médical Journal, VII, 1898.) L'
auteur
passe en revue quelques cas d'osLroporoes, d'hype
Des recherches expérimentales et anatomo-pathologiques faites par l'
auteur
sur des chiens, il résulte que les altérations du
re considérée comme caractéristique de l'intoxication cocaïuique. L'
auteur
estime que ces altérations dé- pendent en parti
udes récentes de Lubosch et les recherches antérieures faites par l'
auteur
, en collaboration avec Staderini. Ces dernières
et recherches, par le Dr V. ALLARA. {Il Morgagni, n° 12, 1899.) L'
auteur
, dont les études sur le crétinisme remontent à pl
ses. C'est, d'ailleurs, aujourd'hui, une opinion conforme à celle d'
auteurs
les plus distingués, conforme également aux fai
n de Tanzi que l'idiotie crétineuse n'est qu'une cérébroplégie. L'
auteur
arrive enfin à ne reconnaître comme acceptables e
aux minérales carboniques, gazeuses, chlorurées, iodiques, etc. L'
auteur
développe enfin les résultats de ses expériences
IL- uacusa. (The Sew York Mcdical J01ll'al, 24 septembre 1898.) L'
auteur
rapporte avec quelque détail cette observation pa
ente bien au point de vue anatomo-pathologique ce que les anciens
auteurs
appelaient « le constitution lymphatique » et, sa
is nous pouvons résumer les considérations générales exposées par l'
auteur
à l'oc- casion de ce cas et s'y rapportant. En
ns noté la persistance du thymus dans 13 cas, soit 7,6 p. 100. Si l'
auteur
veut bien parcourir nos observations il verra q
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. Passant aux faisceaux calleux croisés, l'
auteur
conclut de l'étude des faits comme celui dont i
apporter principalement à ce point le siège de la lésion. Enfin l'
auteur
étudie en terminant le spasme du côté malade :
siège de la lésion et se propage le long de ces faisceaux. D'autres
auteurs
ont montré que la section complète de la moelle d
rdons de Goll sont dégénérés uniquement dans la région cervicale. L'
auteur
tend à rapprocher le type de Marie du type de F
tement dégénérés, même dans les régions inférieures de la moelle, l'
auteur
a suivi de bas en haut avec une netteté rare le
pé en deux par le septum, ce qui expliquerait les diver- gences des
auteurs
qui ont décrit « ce champ ovale », relativement
écrit « ce champ ovale », relativement au niveau où on le trouve. L'
auteur
n'ose pas se prononcer sur les cellules d'où ém
ère gauche. La cause de ces troubles doit être attribuée, d'après l'
auteur
. à la cotir pression des voies motrices dans le
f sensitil, les cellules nerveuses motrices changent de formes. Les
auteurs
ont néanmoins là-dessus des opinions toutes dif
us des opinions toutes différentes, faute d'une méthode uniforme. L'
auteur
anesthésie de jeunes lapins et de jeunes chiens
tance striée. Dans ces conditions, le rapport étroit constaté par l'
auteur
, entre l'intensité 'du processus atrophique et
que, constituent le développement des communications faites par ces
auteurs
à la société des neuropathologistes et aliénist
neuf malades ainsi au'il suit : - REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 139 L'
auteur
a eu soin de faire de nombreuses contre-épreuves,
tients, à l'aide de 20 serviteurs; garde continue des assistants. L'
auteur
se loue de ce système. Aucun de ces malades n
qui a duré plusieurs séances s'est ouverte à l'Académie de Madrid L'
auteur
, en désaccord avec les théories de la Salpêtrière
ecine mentale de Belgique, décembre 1899.) \ La Belgique, dit l'
auteur
de ce travail, est très en retard sur les autre
ré les résultats opératoires peu encourageants énoncés ci-dessus, l'
auteur
estime que l'extirpation des tubercules du cer-
rganique ; par .1. CROCQ. (Jourw. de Neurologie, 1899, ni 1.) 9 L'
auteur
rapporte deux faits qui prouvent que l'on aurait
e ayant porté sur la poitrine et la colonne vertébrale. D'après l'
auteur
ces accidents ne sauraient être attribués à une
e parésie des membres inférieurs avec abo- lition des réflexes. L'
auteur
rejetant l'hypothèse d'une polynévrite et d'une h
ts of human Infancy; par A. MuMt'oRu. (Brain, vol. XX, p. 290.) L'
auteur
donne ce nom aux mouvements inconscients du premi
ec hallucinations, à la couleur, en quart de cercle, etc., etc.), l'
auteur
infère, avec beaucoup d'observations à l'appui, q
ivement l'opi- nion de Strumpell, toujours avec des faits précis, l'
auteur
réhabilite les malades qui demandent aux compag
zrénie psiuhilltrii, n° 3, 1899.) Deux observations qui d'après l'
auteur
réunissent tous les caractères des observations
ait vouloir limiter la maladie aux articulations coxofémorales. L'
auteur
propose le terme d'inflammation chronique ankylos
le à grande amplitude et l'existence des douleurs névralgiques. L'
auteur
fait remarquer que la première série des faits a
gie, stratification anormale des cellules et fibres nerveuses). L'
auteur
croit à la simultanéité des lésions pareilles mai
z de Vienne sur la microcéphalie. Il partage les conclusions de l'
auteur
qui considère la cranieclomie comme une opération
d définir ce qu'on entend par maladie familiale, parce que tous les
auteurs
n'attachent pas au mot familial la même signifi
ntiéthylique sont imputables à la suggestion. De l'aveu même de ses
auteurs
, ce sérum échoue chez les sujets qui présentent
M. Bérillon me parait trop exclusive. SOCIETES SAVANTES. 171 Les
auteurs
dont il s'agit ont d'abord fait des expériences t
r reprendre et exposer les travaux nouveaux parus sur le sujet. L'
auteur
revient ensuite sur un sujet qu'il avait déjà lon
lle parlait sans exaltation, d'un ton ému, ainsi qu'il convient à l'
auteur
repentant d'un pareil crime. Les inspecteurs de
ple. LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 207 Le professeur Sommer est l'
auteur
de travaux intéressants sur : le Siège de l'âme
Schrbder van der Kolk et d'Hughlings Jackson. Je me sépare de ces
auteurs
en ce que : 1° Je n'assimile pas la cellule ner
ppression, des palpitations et du hoquet, phénomènes qui, d'après l'
auteur
, dénotent l'existence d'une névrite du pneumo-
ippale ; par le D1' DuBois. (Journal de Neurologie, 1900, n°7.) L'
auteur
s'appuie pour affirmer l'origine grippale des deu
En raison de ces derniers phénomènes et des accidents bulbaires, l'
auteur
croit pouvoir affirmer qu'il ne s'agit dans ce
de trente-trois ans, qui n'était ni syphilitique, ni alcoolique, l'
auteur
rejette cette opinion. Il admet cependant que l
ne lésion du groupe externe des cellules, de la corne antérieure, l'
auteur
croit plutôt que c'est le développement brusque
ve; par AUSSET et RAVLRT. (Presse médicale, 28 février 1900.) Les
auteurs
rapportent, dans ce travail, les constations anat
géantes entourées de cellules épithélioïdes et dans lesquelles les
auteurs
purent colorer quelques bacilles tuberculeux. D
e en 1861 ; par M. P. Marie. (Presse médicale, 3 février 1900.) L'
auteur
estime qu'on attribue à la congestion cérébrale,
insuffisance cardiaque, onze ans après le début des accidents. L'
auteur
fait remarquer que, dans ce cas, la naissance du
la théorie sympathique de la maladie de Base- dow, mais, d'après l'
auteur
, cette théorie est incapable d'expliquer tous l
ntré qu'il s'agissait d'une sarcome à petites cellules. D'après l'
auteur
, cette tumeur a été la cause unique des crises
(Union médicale du Canada, n" 0, 1899.) D'une enquête faite par les
auteurs
dans les asiles et la prison de Québec, il résu
les plus intéressantes qu'il leur a été donné de ras- sembler, les
auteurs
formulent les conclusions suivantes : 1" Il res
me en France, les termes imprécis : imbécillité, démence, fureur, l'
auteur
déclare que le législateur devrait défini- tive
erminations de l'individu et dirigent ses tendances et ses actes, l'
auteur
s'attache à démontrer combien il est important
esures à prendre vis-à-vis de chaque cas particulier. A ce sujet, l'
auteur
déclare justement ne pas comprendre que la pro-
par A.-R. Douglas. (The Journal of Mental science, avril 1998.) L'
auteur
défend par de nombreux arguments les prisons angl
de priver de ces même douceurs qu ? w- ils seconduisent mal. Or, l'
auteur
soutient énergiquement que cli ? -)re sont là,
. Nous avons dû abréger considérablement les développements que l'
auteur
a donnés à la thèse qu'il soutient, et à l'aide d
c'est-à-dire l'âge de treize ans jusqu'à environ vingt et un ans, l'
auteur
arrive aux conclusions suivantes : 1° La morb
s et de la marche de la maladie. C'est donc par erreur que quelques
auteurs
ont parlé d'une psychose de puberté spéciale, q
mélancolie, la paranoïa hallucinatoire aiguë (amentia de quelques
auteurs
) et les folies hystérique et épileptique ; 4° L
de délire ambitieux et par sa marche plus lente.' Un grand nombre d'
auteurs
lui assignent comme étiologie la syphilis héréd
comme première et unique manifestation de la paralysie générale. L'
auteur
rapporte quatre cas à l'appui de cette thèse. U
e paraît utile, car le terme de neurasthénie, de l'avis de tous les
auteurs
, par l'extrême extension qu'on lui a donnée, a
us espé- rions avoir la bonne fortune de l'entendre exposée'par son
auteur
; malheureusement un accident, d'ailleurs sans g
res, donnent naissance à des idées de sou- venirs. D'après certains
auteurs
, nous serions à même de localiser les territoir
vons surtout aux indications des aliénistes alle- mands. Beaucoup d'
auteurs
ont consacré leurs travaux à à - cette question
les indications bibliographiques nécessaires dans les tra- vaux des
auteurs
français, 111L11. lieraval', Pochon, Sérieux et
nt le professeur Tschisch et le docteur Ossipow 1. Les articles des
auteurs
énumérés aussi bien que les débats qui avaient
ncontrent la plupart des opinions que soutient M. Binet-Sanglé. Cet
auteur
parai.ssant ignorer ce travail, je crois devoir
rmet pas de puiser plus largement dans l'excellente monographie des
auteurs
ci-dessus mentionnés, mais ils nous ont autoris
ant à une distribution vasculaire particulière. .Mais de tous les
auteurs
qui se sont adonnés à l'étude Je l'idiotie, Ham
che intermédiaire, elle est composée d'éléments ganglionnaires, les
auteurs
la nom- ment l'hétérotopie de la substance gris
ulile- lement dans le traitement de la folie ou clictolhércclfie. L'
auteur
du premier rapport, M. le professeur Korsakow e
a mélancolie' ? Dans la paralysie générale et la démence précoce, l'
auteur
a obtenu des résultats mauvais. Dans la manie fra
convalescence arrive plus rapidement. Les recherches de ces deux
auteurs
ont porté sur 90 malades femmes. Ils les ont di
lit a été obtenue 11 fois, soit dans 20 p. 100 des cas; 35 fois les
auteurs
de la communica- tion ont été obligés de faire
ur, le trouble de cette relation expliquant manifestement, pour ces
auteurs
, la paraphasie ; mais, bien plus, cette observa
onc- tion d'arrêt directrice dévolue au centre auditif. Les rares
auteurs
qui se sont occupés de ce phénomène inclinent b
le avec le centre visuel cortical qui, d'après Henschen et d'autres
auteurs
, est situé sur les lèvres de la fissure calcarine
es Tubercules quadrijumeaux ; par le P'' F. RAYMOND (de Paris). L'
auteur
communique l'observation d'un malade qui depuis l
constatée chez le malade. En tout cas, l'observation relatée par l'
auteur
fournit la preuve du siège supra-nucléaire, au
même pour une partie de ses cen- tres d'association et que d'autres
auteurs
affirment avoir observé aussi des fibres de pro
eux et vis-à-vis des centres d'association. Les avis des différents
auteurs
étant opposés les uns aux autres tout à fait, i
g, 1899.) Sous le nom de folie de la période d'involution sénile, l'
auteur
groupe tous les troubles psychiques qui sont en
ir : hareng et pommes de terre. Le menu varie chaque semaine. Les
auteurs
ont calculé que les malades de troisième classe
ui n'exige pas de fatigues exagérées. Les recherches faites par les
auteurs
leur ont prouvé que ce régime était ample- ment
elles » (voix intérieures, épigastriques, etc.). De là, suivant les
auteurs
, l'acception différente, rarement géné- rale, l
. 1° Les premières-(visions, bruits, goûts, odeuis spirituels des
auteurs
mystiques) sont des phénomènes intermédiaires à l
enouille peut en se contractant soulever 692 grammes tandis que ces
auteurs
constatent qu'il est capable de mouvoir un poid
ie. 399 qu'il a avec la tunique musculeuse de l'intestin ; mais les
auteurs
ne s'en sont pour le moment pas assurés. V. C
est ce que 400 REVUE d'électrophysiologie ET d'électrothérapie. l'
auteur
se propose d'étudier. Cependant on peut déjà affi
ence de l'irritation électri- que jusqu'à une certaine limite que l'
auteur
nomme : « seuil de dépression. » Au delà la con
e baisse. Ce phénomène avait déjà été établi par d'Arsonval. Mais l'
auteur
a pu démontrer qu'il se produit aussi bien avec l
t en diastole et dépend de l'intensité du courant. Pour le moment l'
auteur
ne pense pas qu'il s'agisse là d'un phénomène p
et des expériences de du Bois-Heymond, d'Hermann et de Moussons l'
auteur
a pu démontrer dès 1889 que dans les cas où l'imp
destinées à contrôler les effets secondaires attribués par certains
auteurs
à la polarisation du nerf et qui seraient de se
rent que ces effets consécutifs ne sont pas appréciables. Du même
auteur
je dois citer un important travail sur la gal-
eu daus ces derniers cas de tenir compte de l'action polaire, car l'
auteur
a remarqué dans un certain nombre de cas que l'
uite dans l'urèthre. - Ce traitement conviendrait bien, d'après l'
auteur
, à toutes les incontinences d'origine nerveuse
ojection a été dès lors essentiellement modifiée et étendue par son
auteur
dans une communication ultérieure parue récemme
iou, et ceux qui en renferment abondamment. l'as plus que d'autres
auteurs
nous n'avons constaté de dilféiences,auatomiques
athologiques. En même temps il ne sera plus néces- saire que chaque
auteur
donne le dessin des coupes entières, mais il su
ous le nom d'aphasie transcorticale motrice. C'est ce qui a amené l'
auteur
à essayer de transformer le schéma de Lichtheim
lenticulaire; 4° Etat « fromage de gruyère » considéré par certains
auteurs
comme une lésion véritable ; n'est en réalité q
ire, recueillies à l'hospice d'Ivry, m'ont montré, comme à d'autres
auteurs
, que les foyers lacunaires étaient fréquents ch
a preuve qu'une obsession était en jeu ne suffit pas pour excuser l'
auteur
d'un acte criminel. Le point décisif, c'est de fo
n documents est peut- être un des plus intéressants qu'ait publié l'
auteur
. La première partie, consacrée à l'histoire du
sant et instructif nous donne en effet le schéma de la méthode de l'
auteur
. Les idiots complets ne sont pas tous incurable
16). L'importance du thymus a lunguement attiré l'attention de l'
auteur
. Sur son inspiration, son interne Katz a examiné
retenant que les conclusions aux- quelles ont abouti les différents
auteurs
. Sepilli' croit remarquer que dans la paralysie
istorique, aussi bref que possible, l'on voit que les résultats des
auteurs
sont loin de concorder. La question semble donc
a- lisée syphilitique (pseudo-paralysie générale syphilitique des
auteurs
), il nous a paru exister une relation assez const
on de ces écoles soient réservées au personnel enseignant. IV L'
auteur
de ce rapport ne paraît pas s'être rendu un com
uée à cette catégorie d'enfants anormaux, la plus considérable. L'
auteur
du rapport émet le voeu que la direction des éta-
de distinguer, comme le font SECTION DE psychiatrie. 487 certains
auteurs
, l'hérédité congestive et l'hérédité vésanique et
es qui viennent se surajouter aux diverses hal- lucinations que les
auteurs
ont déjà étudiées et groupées pour constituer l
ue l'on a pu comparer à l'urémie. Les recherches et expériences des
auteurs
récents, en particulier celles de Foa, neiss, V
il est vrai, n'est pas rare. Le nom d'idiotie employé par quelques
auteurs
pour la désigner, quand elle est congénitale et
ons histologiques. MM. ROUI31NO\'lTCll et Vlavianos (de Paris). Les
auteurs
dé- montrent l'insuffisance des notions nosolog
téristique et ayant été déjà signalée par Gilbert Ballet, etc.. les
auteurs
proposent de la désigner par un terme spécial de
egarde comme l'expression symptomatique de la prédispo- sition. Ces
auteurs
ont étudié ainsi successivement, en les compa-
hérédité alcoolique. Voici les conclusions générales auxquelles ces
auteurs
, sont arri- vés : t° Aucune des causes hérédita
es communément nommés phénomènes tendineux ou « secousses » par les
auteurs
anglais et américains. Les premiers (1°) sont f
nlande). Des résultats de ses expériences sur environ 130 lapins, l'
auteur
a en outre relevé les faits suivants : un traum
sme et avec une intensité plus grande que dans la partie opposée. L'
auteur
pense que ces expériences, dont 75,6 p. 100 des
es voies sanguines. C'est en ce sens là que les cas cliniques que l'
auteur
a mention- nés, selon lui, s'expliquent le mieu
nce combinée d'anémie grave, dégénérescence com- binée subaiguë des
auteurs
anglais. Il est certain que tous ces titres n'i
t Tuczek, sont normales ; suivant Babès, elles sont dégénérées. Ces
auteurs
attribuent la sclérose à l'action immédiate d'u
nes postérieures de la moelle, elle a dû être déterminée, d'après l'
auteur
, par la pression cérébrale : celle-ci aurait ex
ien ; d'autant que la syphilis n'y est peut-être pas étrangère. L'
auteur
procède ensuite à l'étude analytique de l'autopsi
aux,, organes qui ont tout récemment été considérés par quelques,
auteurs
comme des organes de contact. Six observations
ale; par H. Schlesinger. (iYell-010g. Genttalbl., XVIII, 1899). L'
auteur
tente de déterminer la répartition des rameaux se
soit, sans présenter aucune anomalie fonctionnelle de la vessie. L'
auteur
possède une seconde observation du même genre é
er, 16. Torticolis mental, par Noguès- et 511'01, 40. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. 539 Tremblement hystér
thoracique en bande horizon- tale, par Brissaud, 522. ' TABLE DES
AUTEURS
ET DES- COLLABORATEURS,- Adamklcwicz,515. Aga
Grasset, 418. Grotjahn, 159. .Gunsburg, 124. zozo TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. Hamelin, 161. Harlan,
nition générale de l'hystérie de ne pas en tenir compte. Certains
auteurs
ont essayé d'appliquer aux stigmates la même ex
ement général des fonctions cérébrales a été signalé par beaucoup d'
auteurs
, les hystériques, disait M. Féré, sont dans un
émotions ». Si nous ne pouvons admettre toutes les opinions de cet
auteur
sur les épuisements localisés des centres nerve
et ne résume pas les faits parti- culiers 3. Nous pensons comme cet
auteur
qu'il est nécessaire de préciser ce que l'on en
n de résumer un grand nombre de phénomènes hystériques. Plusieurs
auteurs
ont accepté ce résumé des faits et l'ont complé
blables dans les cas de « sein irritable » signalés par plusieurs
auteurs
. Mais sans rechercher des observations aussi rare
stériques que l'on rencontrait chez les somnambules. La plupart des
auteurs
étrangers que nous avons étudiés dans ce travai
se proposer la discussion de. ce diagnostic ', malheu- reusement l'
auteur
ne décrit que des hystériques et n'aborde guère
nt ou qui terminent l'état second. Nous insistons surtout avec, cet
auteur
, sur le caractère incoordonné, dérai- sonnable
ujets, quoique très divers, ont été presque toujours réunis par les
auteurs
modernes en un seul groupe, mais ce groupe a re
mais ce groupe a reçu des noms différents suivant les théories des
auteurs
. En France, à l'exemple de M. Magnan, on désign
TES DE L'HYSTÉRIE. 23 ruz serai même un peu plus affirmatif que ces
auteurs
, en disant que ces symptômes signalés par eux c
heureux de nous trouver d'accord sur ce point avec plusieurs autres
auteurs
qui ont aussi affirmé cette rela- tion des deux
ent, cherchons la signification qu'il a au- jourd'hui pour quelques
auteurs
. ' Pour essayer de résumer ce que nous avons em
professeur Trolard frappé de la différence que présente suivant les
auteurs
la description des veines intra-rachidiennes, a
plaques de liège et se donner ainsi beaucoup de jour. - Tous les
auteurs
donnent, à peu de chose près, la même descrip-
érie d'ar- cades situées en arrière des trous de conjugaison. Cet
auteur
réserve le nom de plexus postérieur, aux seules
tées par les veines vertébrales. De cette série d'arcades, quelques
auteurs
ont fait un vaisseau particulier qu'ils ont app
x centres moteurs correspondants ; l'observation suivante d'après l'
auteur
doit être comptée comme une de plus. Il s'agit
MÉTHODE D'EXAMEN DU CERVEAU A L'ÉTAT FRAIS; par le Dr 111NDRED. L'
auteur
décrit le procédé des coupes de tissu cérébral pa
suffisance fonctionnelle de la glande ; sans que les recherches des
auteurs
établissent si ces phénomènes d'insuffisance fo
nant ses fonctions, par suite d'une régénération partielle, que les
auteurs
ont notée d'une façon évi- dente dans un de leu
NDOCRANE; par G. Phi. (Riv. sp. di fi-en., fasc. III-IV. 1892.) L'
auteur
tire de ses recherches les conclusions suivantes
s des deux côtés, est léger; tandis que suivant les recherches de l'
auteur
, cet écart devient assez marqué soit chez les i
s délin- quants (Lombroso) ; tandis que d'après les recherches de l'
auteur
, elle se rencontre plus souvent que chez ceux-c
role ayant été toujours intacte. De ce cas et d'autres analogues, l'
auteur
conclut que chez les gauchers le centre auditif d
t musculaire, l'élec- tricité ne peut être d'aucun secours. Mais, l'
auteur
fait remarquer, et il publie trois observations
es lois de l'hérédité chez les formes les plus simples de la vie, l'
auteur
arrive aux conclusions suivantes : 1° Il existe
ès avoir repris l'histoire des localisations motrices corticales, l'
auteur
s'élève contre la théorie d'une localisation motr
diseuses, (New-York), janvier 1893.) D'après les expériences de l'
auteur
consistant à piquer le corps strié et le tuber
sculaire compliquée d'anesthésie complète des membres inférieurs. L'
auteur
, après avoir discuté les différents diagnostics
D. (The Journal of Ne ? -vous and Mental disease, avril 1893.) L'
auteur
, s'appuyant sur des recherches personnelles précé
également l'absence de fatigue malgré les mouvements continuels. L'
auteur
cite ensuite des expériences sur des chiens cho
, N. Moyen, M. D. (The Chicago Médical Recorder january, 1893.) L'
auteur
publie une observation où l'on trouve une exophth
tteint de néphrite. Rien ne vient expliquer cette exophthalmie et l'
auteur
ne trouve à émettre que l'hypothèse suivante; c
ilitique. - Leçoils cliniques, par Mairet. (Montpellier, 1893.) L'
auteur
distingue, sans les définir, la folie syphilitiqu
les lésions de la syphilis; c'est en vertu de ces critériums que l'
auteur
n'admet pas la folie simple de nature syphiliti
demeure à peu près nul soit pour le malade soit pour la science. L'
auteur
voudrait que l'on divisât les asiles en section
eur manque alors pour des de- voirs plus importants. Mais, ajoute l'
auteur
, si l'on demande à un homme d'être à la fois un
ue ce médecin soit un débutant, faisant là ses premières armes. L'
auteur
revient ensuite sur l'un des détails du projet d'
mentale qui soit plus « médicinal » que celui des asiles. Et ici l'
auteur
fait une objection difficile à réfuter : Si, di
in de posséder des 'no- tions solides et précises de psychiatrie, l'
auteur
émet le voeu que tous les asiles d'aliénés soie
urnal of Mental Science. Octobre 1890). Discours intéressant où l'
auteur
examine quelques points de la législation qui r
ministratifs auxquels obéissent les asiles. Notons en passant que l'
auteur
, comme beaucoup de ses confrères, regrette que
ait la direction à un patholo- giste expérimenté. En terminant, l'
auteur
examine les diverses objections que l'on a oppo
été victimes. Des recherches ayant été faites pour en découvrir les
auteurs
, il fut établi que C... n'était pas mort en Rus
ssement comme le montrent les expériences de Eichhorst ; ce dernier
auteur
obtenait, en effet, une cavité dans la cicatric
se n'est pas douteuse ; mais de quelle espèce est-elle ? Cer- tains
auteurs
, considérant que ces néoplasmes se développent
rieure du corps : pas dé dissociation de'là ? sensibiiilé ! Aussi l'
auteur
s'élait-il borné au 'diagnostic de folie pellag
rtion dorsale inférieure plutôt que par l'intoxication elle-même. L'
auteur
en conclut que la syringomyélie peut se' montrer
doit user d'un un tact et d une honnêteté sans limites. 'n' ? ? L'
auteur
conclut. -Quoique le'traitement par' l'hypnotisme
', , Il . JI 1 t 1 . t.... », ... 1. , , Les commentaires dont 1,'
auteur
fait suivre l'observation détaillée de son mala
-dedans, là le point de départ n'élait pas1 extérieur à l'organe. L'
auteur
, après mûre ré- flexion, laété' amenée à £ p'en
♦Formes rudimentaires. Observation de Borntroeger; observation de l'
auteur
. Paralysie périphérique comprenant les nerfs axil
, la présence de troubles de la sensibilité, et de la glycosurie; L'
auteur
émet ensuite de : IÓngues considérations 1 qui
eux d'un malade faisant le sujet d'unei de ses observations amène l'
auteur
à conclure que la lésion essentielle consiste e
ns uniformes' ou arrondis' comme arbôrescelïts : 'III s'agit pour l'
auteur
, d'un retour à l'état'ernbryonn'aire des cellules
fondeur sous ! la jonction des 2 tiers supérieurs de la; PA. D'où l'
auteur
'conclut qu'une lésion de la PA peut' léser le
! te au. tiers, ppstérieurde la circonvolution, du corps calleux. L
auteur
croit probable que la partie postérieure, de la
1QhnI" ? ,JII ! O ? lrt", IJ GJtJ ", 1 ¡j. ! Jlll'i <1' ! 11 Les
auteurs
font suivre leurs observations des réflexions rés
'mettre ces-arlliropathies sur'le compte' de la'1 syphilis, '' les'
auteurs
font remarquer que si; dans le premier cas, la ?
: 'I/-It -r J ').u J f. 1 . ,,¡'. ? r r .. . Po 1 ? chronique : L'
auteur
divise en quatre les 'form 's 'de" la 'elloré6 ch
ire'même des années, mais se terminant toujours 'par`la guerispd. L'
auteur
pu- blié ênsuÏle" deu ? ['(ohsehatiàn5' dè chor
ltat de d'autopsie,, ou il"p'Yl a guère à signaler que Xathé[ome.¡L'
auteur
.entre.1 ensuite, dans quelques considérations
a h ni°11'L Il résulte'des recherches 4expérimentales faites par l'
auteur
que -la'peptomurie'se rencontre chez tous 'les
, comparée à celle.a une personne ..saine ne présentait suivant cet
auteur
rien de pathologique. ' ,, *- , ti . -' il"J fi
- ment du globe de l'oeil. Ce n'est donc pas, comme le disent les
auteurs
, un défaut de coordination entre les mouvements d
pas 1 invinciblénient,'fatale me rit,' aussi net que le veulent ces
auteurs
. Ainsi il peut arriver crue, la langue ne que l
uteurs. Ainsi il peut arriver crue, la langue ne que le veulent ces
auteurs
. Ainsi 1 peut arriver que. la langue ne dévie p
l n'a fait 'défaut que ! chez deux malade sur 13 'observations de l'
auteur
? '6<1 - ' ? P. K.' " .. -t l >' '1 J.)j,
tante. Ressem- blance avec l'atrémie de-Neftel qui, pour ce dernier
auteur
, est de la folie hypochondriaque 1. L'akinésie
- ? ar. , , (Il manicomio fase. .. I, ri83. j , , i 1 ? 4" ,- .' L'
auteur
rapporte 'quatre observations de délire dans l'in
ie qui assigne àll*idiotie crétinoïde une ori- gine thyroïdienne, l'
auteur
, suppose, sans apporter de faits , à l'appui de
lques- travaux, sur la parole des,.idiots (mémoire 'de Solfier) : L'
auteur
conclut que la symptomatologie,des psycho- path
us important. ' ' Il ressort encore de cette observation, d'après l'
auteur
, que le délire des négations n'est qu'un syndro
lète. lUI. '1 1 . - ' ,)t') , ) 1 -i ï ,CI. , . i , T Cas 1)1 ? L'
auteur
publie un cas remarquable de léthargie qui lui
la transmission de ''11' «, ' Ir i < ' u ? Nous signalerons à l'
auteur
les treize volumes publiés par notre rédacteur
ales ; par RIÉGER. (Cenlrnlbl. f. Nervenheilk., N.F., Ils, 1892.) L'
auteur
recommande la division suivante : SOCIÉTÉS SAVA
M. LIEBfANN. De quelques cas de folie consécutive au traumatisme. L'
auteur
passe en revue les diverses formes de folie consé
ication d'ori- gine stomacale n'ont la portée générale que certains
auteurs
ont voulu leur attribuer. Après un chapitre c
téressant sur la pathogénie et les frontières de la neurasthénie, l'
auteur
avoue qu'on n'est pas encore bien avancé. Tout
s; par le Dr E. C. Sequin (de New-York), traduit de l'anglais par l'
auteur
. Paris, 0. Doin, 1893. « J'estime que les méd
ion flagrante avec les habitudes de l'em- pirisme des praticiens. L'
auteur
débute par le traitement de l'épi- lepsie, «syn
s encouragements de 300 à 1,000 francs pourront être décernés à des
auteurs
qui n'auraient pas mérité le prix, mais dont le
0 francs pourra être donnée en outre du prix de 4,000 franc ? , à l'
auteur
qui aurait réalisé un pro grès capital dans la
de perfectionner. Il se servait dans ce but tantôt des dessins des
auteurs
, tantôt et surtout des pièces anatomo-pathologi
l'origine d'une foule d'expériences et de publications. Certains
auteurs
se sont écartés de la méthode scientifique posi-
nces pour Glück, Beethoven et Weber. En littérature, il avait trois
auteurs
favoris, dont il ne se lassait jamais de relire
las ! le lui annonçaient pérodiquement. Maudit soit leur criminel
auteur
! 1 L'oeuvre du Maître est solide, impérissable
lligrammes. A cet égard j'ai été beaucoup plus heureux que quelques
auteurs
. Les phénomènes que présentèrent nos trente-cin
rôle de l'hypnotisme dans le traitement des maladies mentales, les
auteurs
ont résumé sous forme tabulaire les différents
ne légère amélio- ration après les tentatives hypnotiques, mais les
auteurs
estiment eux-mêmes que le soin tout particulier
oides sur.la tête. Les cheveux avaient été préalable- ment rasés. L'
auteur
expérimente actuellement le même traite- ment d
par EDwIN L. DUNN. (The Journal of Mental Science, Octobre 1891.) L'
auteur
a constaté que sous l'influence de ce médicament,
est due à MM. Régis (de Bordeaux) et Chevalier-Lavaure (d'Aix). Les
auteurs
rappellent tout d'abord les trois grandes causes
données précé- dentes à la psychiatrie et à la neuropathologie, les
auteurs
posent les conclusions suivantes : La toxicit
moins toxiques qu'à l'état normal; mais, pour diverses raisons, les
auteurs
font des ré- serves sur la signification de ces
nant ces résultats extraits de l'ensemble de ces expé- riences, les
auteurs
pensent qu'il ne faut pas exagérer l'importance :
giques, l'une des urines les plus toxiques (9 ce. par kilog.) que l'
auteur
ait rencontrée était celle d'un homme hystériqu
à rechercher les produits anormaux qu'elles peuvent renfermer. Les
auteurs
ont fixé particulièrement leur at- tention sur
ure de quatre observa- tions rentrant dans le cadre proposé par ces
auteurs
. Les deux premières sont des manies éclamptique
rvation d'un hépatique répondant assez bien aux cas décrits par les
auteurs
du rapport sous le nom de psychoses viscérales.
simples, non délirants : elles ont corroboré les pré- cédentes. Les
auteurs
ont construit pour ces expériences un nou- veau
atoire commun soit adopté pour permettre les comparaisons. Tous les
auteurs
devraient expérimenter sur la totalité des urines
à ce sujet dans toutes les observations publiées jusqu'ici par les
auteurs
, ne peuvent servir à trancher la question. C'es
s aliénés. Chez les ar- SOCIÉTÉS SAVANTES. 24 ? ' thritiques, ces
auteurs
ont presque constamment rencontré des traces d'
nds : ce sont donc au demeurant des ralentis de la nu- trition. Les
auteurs
rappellent les propriétés toxiques de l'indican,
lien qui réunit ces états morbides à l'intoxication est évident. L'
auteur
émet deux idées, l'une qui généralise sa première
réparatoire de M. Cullerre sur les faux témoignages des aliénés : L'
auteur
du rapport cherche tout d'abord à établir l'inc
and preuve ne peut être faite, il y a lieu de soupçonner de folie l'
auteur
de l'aveu et le sou- mettre à une expertise. En
de 252 SOCIÉTÉS SAVANTES. ,- nombreuses erreurs judiciaires. L'
auteur
englobe les hystériques dans le groupe des héré
és, la difficulté peut être inextricable pour les aliénés libres. L'
auteur
signale à ce propos une série de faits per- son
u Conseil supérieur de l'Assistance publique, et le rapport du même
auteur
à la Commission de sur- veillance des asiles de
S SAVANTES. 259 art. 8 : « Il n'y a ni crime, ni délit, lorsque « l'
auteur
était en état de démence ou « contraint par une
cas. Dans un premier groupe concernant l'hydrocéphalie simple, les
auteurs
distinguent l'hydrocéphalie sans malformations
ne de ses soeurs dont l'hydrocé- phalie semble avoir rétrocédé. L'
auteur
montre ensuite une série de photographies concern
es ses dents, elle marche, rit, cause, est affectueuse. Chez elle l'
auteur
a mis à con- tribution un traitement classique
de l'arilhmomanie à forme continue. Dans le diagnostic de ce cas, l'
auteur
démontre que cette malade n'entre pas dans la v
a vie psychique. Là encore on retrouve les trois carac- tères que l'
auteur
a notés chez sa première malade. M. Roubinovitc
et leur état de satisfaction rendent impossible. En concluant, l'
auteur
déclare vouloir simplement signaler l'al- lure
ble à d'autres rap- portés par M. Ballet au Congrès de Blois. Les
auteurs
rapportent ensuite d'autres observations de persé
ématisé comme dans un cas rapporté au Congrès de Blois par l'un des
auteurs
. Ce travail se termine par les conclusions suiv
tal il s'est agi dans ces cas d'états mélancoliques sans fièvres. L'
auteur
établit un lien très net entre ces états et l'a
médicales et ses conversations avec les médecins » qui ont poussé l'
auteur
à l'ecrire, il ne semble pas qu'il soit bien au
as le moins du monde d'une mélancolie pure, et cependant beaucoup d'
auteurs
admettent que le développement des idées délira
e des traduc- tions : ce sera le cas pour le présent mémoire. ' L'
auteur
rappelle d'abord qu'en traitant des fonctions men
arties du corps. des mouvements généraux, lents et spontanés, que l'
auteur
a décrits sous le nom de microkinèse. Tout d'ab
t le mouve- ment recommence, cette fois en vue de saisir l'objet. L'
auteur
pense qu'il y a là la première révélation de ce
suivie d'une action visible nettement consécutive à l'impression. L'
auteur
sup- pose, donc que sous l'influence d'une impr
uées toutes les fois que le médecin-directeur le juge à propos. L'
auteur
a visité deux asiles norvégiens, l'un gouvernemen
nées dans une salle spéciale dû bâtiment commun. 'f' ' r ' > L'
auteur
termine par quelques considérations sur le taux d
n par des états convulsifs; 4° une période finale de démence. ' L'
auteur
décrit avec soin ces quatre périodes, en s'attach
en ne représente que 5 à 6 p. 100 du chiffre total des imbéciles. L'
auteur
étudie ensuite suc- cessivement la situation de
rté deux observations intéressantes de mort subite dans la manie, l'
auteur
résume son travail dans ces conclu- sions : 1°
Geo.-H. Savage. (Tlae journal of Mental Science, octobre 1891.) L'
auteur
s'est proposé dans ce travail deux objets princip
s un nombre assez restreint des obser- vations. Il ne s'agit pas, l'
auteur
le répète, de nier le rôle de l'héré- dité, mai
Les conditions ambiantes peuvent provoquer des hallucinations; l'
auteur
cite plusieurs cas dans lesquels cette influence
1.) ' '1> . Les conclusions de ce travail sont les suivantes : l'
auteur
a mon- tré, dit-il : 1° Que les perceptions et
du Juif Errant ? " Un coup d'oeil jeté sur les dessins faits par l'
auteur
de deux.de ses malades : Moser B ? dit Moïse, e
cette question a fait l'objet de, nombreuses publications. Quelques
auteurs
, par exemple, M. Barth, dans sa thèse* d'agréga
n-4° de 223 pages, avec 4 planches hors texte. Napoli, 1893. Chez l'
auteur
, 77, via Duomo. MoNTGOMEnv (W.). Unilatéral lap
t très.rapides (180 environ par minute), tellement évidents que l'
auteur
a pu les enregistrer avec un appareil analogue au
rient il étale silencieusement la nudité de ses organes génitaux. L'
auteur
ne signalait pas tous les caractères de l'état
activité très méticuleuse et très scrupuleuse. Artiste distingué,
auteur
d'un ouvrage technique estimé, il recherche volon
sances intellectuelles, et l'impulsion devient irrésistible. Mais l'
auteur
n'insiste pas sur les tentatives de défense, le
rimer leurs souffrances' : « Des faits « ont pu être imputés, dit l'
auteur
, à des individus parfaite- « ment responsables,
aller plus loin dans l'interprétation de ces phénomènes obscurs ? L'
auteur
du moins pense que cette tentative serait préma
nale du faisceau pyramidal. Après une étude critique approfondie, l'
auteur
tend à croire à l'existence d'une myélo-méningi
On ne saurait d'ailleurs résumer la thèse, très discu- table, de l'
auteur
, plus nettement que dans cette phrase,, où il a
lesquelles, faute de place, il nous est impossible de le suivre, l'
auteur
décrit 392 REVUE DE pathologie mentale. quatr
um furore; le second les cas de manie gaie, mania cum hilaritate. L'
auteur
cons- tate lui-même que ,c'est là un retour, mo
, mais qu'elle augmente au moment des crises convulsives. Enfin l'
auteur
pense qu'on ne saurait, chez les aliénés, attache
la moelle. D. Comparaison des résultats de ce travail avec ceux des
auteurs
. P. K. XXV. DE L'INFLUENCE VASO-MOTRICE du sy
uche et se propageant surtout dans la moitié droite de la moelle. L'
auteur
conclut que la chorée tient toujours à la lésion
ller. (Braiii, Parts LIX et XL, p. 329.) Dans la première partie, l'
auteur
discute la valeur des descrip- tions données de
ensitive et l'impulsion motrice comme la sensation découlent pour l'
auteur
d'un seul et même processus. Ce n'est pas un ce
où se recueillent, pour s'écouler, les fonctions créées ailleurs. L'
auteur
discute et approuve les expé- riences de Bubnof
expé- riences de Bubnoff et Heidenhain. Dans la seconde partie, l'
auteur
cherche à schématiser et syn- thétiser par un s
ice DE l'écorce cérébrale d'un enfant; par le Dr Edwin GOODÀLL. L'
auteur
a eu l'occasion d'examiner le cerveau d'un enfant
sont-ils une conséquence de la rétraction du tissu. Toutefois, si l'
auteur
n'a pu, par les méthodes de préparation du cefv
paraison avec cette écorce cérébrale d'enfant de dix-huit heures, l'
auteur
a examiné l'écorce cérébrale motrice d'un enfan
étendue à l'analyse de ce mémoire, et de suivre presque pas à pas l'
auteur
dans le dépouil- lement de ce volumineux dossie
l intérêt. Nous les résumons ici, d'après les conclusions même de l'
auteur
. Chez les malades ayant succombé à la période a
très également réparti entre ces deux formes de folie chronique. L'
auteur
remarque en terminant que l'on rencontre dans l
ogue, mais bien moins accusé, chez un autre idiot microcéphale. L'
auteur
a recherché si des faits analogues avaient été co
fréquence des hypertrophies partielles chez les microcéphales. L'
auteur
fait observer avec raison que si l'explication du
l. L'explication d'évolution du délire mélancolique, que beaucoup d'
auteurs
admettent, à l'aide de l'interprétation (Mrkiae
' des maladies men- tales. Dans la première partie de ce cours, l'
auteur
consacre une soixantaine de pages à des notions
ntes formes pathologiques de l'état anesthé- sique, les émotions. L'
auteur
parle ensuite des troubles élémen- taires de la
- chiques et les manifestations physiques. 428 BIBLIOGRAPHIE. L'
auteur
passe ensuite aux troubles très nombreux qui s'ob
mportance n'est pas toujours également crande. Dans tous les cas, l'
auteur
est convaincu que le rapport entre les affectio
meil, de l'apparition des règles chez la femme, etc. Les idées de l'
auteur
sur la valeur des anomalies du développe- ment
liénistes et des neuropathologistes de Moscou doit être rappelée. L'
auteur
divise toutes les psychoses en trois grandes cl
aladies mentales d'après l'ordre indiqué par la classification de l'
auteur
. Ici encore, tout est clair, substantiel, sans
, c'est la confusion mentale, l'amentia de Meynert, dans laquelle l'
auteur
distingue quatre variétés : 1° con- fusion ment
ie. La place nous manque pour rapporter ici toutes les idées de l'
auteur
sur la paranoïa, les folies intermittentes, les p
ophlhalmique hystérique » (arcs. de Neurol., n° 60) dans lequel cet
auteur
fait connaître les règles du diagnostic de l'hyst
Pourtant la" conduite de leur fille ne pouvait être soupçonnée. L'
auteur
explique ce fait étrange de la manière suivante :
ir non satisfait produit les mêmes conséquences. La conclusion de l'
auteur
est la suivante : c Si vous voulez ne pas vous
r douloureusement la perte de ses organes sexuels : supposez, dit l'
auteur
, que vous fassiez la même opéra- tion à un homm
i les ..limites de perceptibilité chez des personnes saines, dont 1
auteur
r ? Mm On ne perçoit plus : , Quand on l'a affaib
giques qui président au sommeil, 'à'la veille et' à'T'iiisomnie,' l'
auteur
-publie'1 le «.compte rendu. des 'résultats que
de^ l'inoculation ( dans l'oreille du lapin, du streptocoque que l'
auteur
a réussi à. isoler dans plusieurs cas d'olhé ?
hique. Ces résul- tats sont semblables à ceux obtenus par, d'autres
auteurs
(Roger), en opérant dans les mêmes conditions s
la régénération des nerfs périphériques à la suite de blessures. L'
auteur
a d'abord cherché une méthode fidèle de colorat
un mot, ce travail sans conclusion est une simple compilation, les
auteurs
prenant à coeur leur épigraphe, ont voulu démon
r M. le Dr Freud, de Vienne (Autriche). Par diplégies cérébrales, l'
auteur
désigne quatre types patholo- giques parmi lesq
l'hémiplégie spasmodique, et 4° la chorée bilatérale congénitale. L'
auteur
fait une grande place aux accidents obstétri- c
par obsession; par ROCB1NOWITCli. Paris, Maretheux, édit. 1893. L'
auteur
, à propos d'une intéressante observation prise à
en quelque sorte la réédition d'une communication faite par le même
auteur
le 25 juillet 1892 à la Société médico-psycholo
t au moins utile bibliographie. 505 dans toutes les maladies, les
auteurs
entreprennent de passer en revue toutes les aff
ées les choses peuvent induire en erreur et empêcher d'appli- 1 Les
auteurs
, s'occupant dans leur livre d'une façon spéciale
à l'incu- rabilité. De tels livres ne sont guère utiles qu'à leurs
auteurs
et échappent à la critique scientifique. P. S.
ne méningite tuberculeuse en plaques à foyers disséminés, guérie. L'
auteur
se base pour affir- mer la nature tuberculeuse
minant par le procédé de Gautrelet l'urine des neurasthé- niques, l'
auteur
a constaté qu'elle présente toujours un excès d'a
tte urine présentant les mêmes caractères que dans l'arthritisme, l'
auteur
en conclut que tous les neurasthéniques sont de
der Syphilis /rage. Brochure in-81 de 28 pages. Bonn, 1893. Chez l'
auteur
. ' ' ', , j Pecharman (A.). Essai sur les psych
in-8° de 9 pages, avec une planche hors texte. Prague, 1893. Chez l'
auteur
. e , Pick (A.). Ueber allgemeine Gedoeclitnissc
ügel-Loesio7ze2z. Brochure in-8° de 10 pages. - pagne, 1893. Chez l'
auteur
. 1 r. " ' J' VIALET. Les centres cérébraux de l
Leyden, 333. Liebll1anll, 165. Limoncelli, li5. 824 table DES
auteurs
ET DES collaborateurs. Lioubinrow, 53. Long-b
de la Eulenburgsche Real Encyclopédie, « Artikel Zeinge ». Mais cet
auteur
, dans les cas observés par lui, avait noté l'ex
qu'il a appelé des ulcérations imaginaires de la langue. Pour cet
auteur
, ce symptôme serait déterminé par une né- vralg
crite par Verneuil avait déjà été étudiée par un cer- tain nombre d'
auteurs
, donne surtout l'arthritisme comme étiogénie à
langue et de la cavité buccale 1. Sur les quatre observations de l'
auteur
, trois concernent des femmes. Il décrit ainsi l
l'extraction des dents. Tout en acceptant la prédis- position, l'
auteur
attribue à l'éther lui-même le déve- loppement
ales 2. Ces thèses de Herzen, qu'il nous faut rappeler, quoique l'
auteur
les ait plusieurs fois présentées lui- même au
d'alfaiblissent mental'. Par mouvements systématisés ou fixes, ces
auteurs
enten- dent les mouvements qu'on appelle d'ordi
e de l'inten- sité du stimulus et en raison inverse de ce que ces
auteurs
appellent le degré d'élévation psychique des pe
en réalité à cette époque, quoiqu'elle ne fut pas mentionnée par l'
auteur
d'une façon spéciale. « Il arrive souvent, dit
le nom d'astasie-abasie. Ces noms furent adoptés parla plupart des
auteurs
ultérieu- rement. C'est donc dès à présent sous
d'emblée se rencontre chez le second malade, âgé de 58 ans, du même
auteur
; et son troisième malade, un ' Loco citato. '
gures 24 a et 24 b. une représente la face inférieure, et comme les
auteurs
disent eux- mêmes « ces figures sont d'un grand
'opération. Ce sont là les seules opérations sur les singes que les
auteurs
ont rapportées. Lan- negrace (Op. cit.), d'un a
opposé, sans aucun trouble de la vision de l'oeil du même côté. Ces
auteurs
, cependant, semblent penser que l'étendue de la
ne paralysie motrice. Les résultats contraires obtenus par quelques
auteurs
sont sous la dépendance de lésions primaires ou
nistration de une ou deux doses de 0 gr. 50 cen- tigrammes. Le même
auteur
l'a employée avec succès dans deux cas de névra
caudé. Archives, t. XXI. 8 114 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. ' L'
auteur
insiste sur le peu de,durée de ces hémiplégies ma
ique des faits connus rapprochés de cinq observations originales, l'
auteur
conclut que les équivalents' psychiques de l'ép
sagé la perception et sa genèse, la sensibilité, la connaissance, l'
auteur
passe en revue la confusion psychique, et la conf
n- fluence de la fièvre et non à l'intoxication miasmatique que l'
auteur
attribue la guérison de la psychopathie. P. K.
la démence; par J. ORSCRA,-iSKY. (Archivr f. Psychiat., XX, 2,) L'
auteur
réunit dans un seul groupe les états psychopathiq
bien à l'a- symbolie préexistante. Tandis que les conclusions de l'
auteur
sont peu intelligibles, les quatre observations
er, DE la catatonie; par BIN- DER. (Arch. f. Psychiat., XX, 3.) L'
auteur
étudie la stupidité et les actes cataleptoïdes, e
e l'oreille de 157 aliénés et de 223 enfants de neuf à seize ans. L'
auteur
montre que 90, p. 109 des aliénés indemnes de t
eph Wigldsworth. (The Journal of Mental Science, Octobre 1888.) L'
auteur
résume lui-même très sommairement son travail dan
ions, d'actes d'héroïsme, d'incidents médico- administratifs dont l'
auteur
à été le promoteur ou le patient du milieu de 1
MPBBLL CLUtE. (The Jour- 2zal of Mental Science, Octobre 1888.) L'
auteur
rappelle d'abord que, de toutes les fonctions org
u moment de la puberté, - d'une affection nerveuse ou men- tale ; l'
auteur
rappelle les principales maladies observées à ce
aussi ne se montrer que plusieurs mois après;[celle-ci. En somme, l'
auteur
ici encore ne fait qu'indiquer le sujet sans le
e traiter. Passant à l'étude de l'instinct sexuel et de ses abus, l'
auteur
, après quelques considérations sur l'influence»
termine par la guérison sont loin d'être communs; c'est pourquoi l'
auteur
a pensé qu'il y aurait quelque intérêt à publie
invoqué la masturbation comme cause de leur développement ; mais l'
auteur
les a observés chez des sujets qui avaient cert
aient abstenues des plaisirs sexuels. La partie de ce travail que l'
auteur
consacre ri la psychologie physiologique des je
. Psych. XLV, 4.) Dix-neuf observations. Ce médicament, d'après l'
auteur
, calme l'agitation à la condi- tion qu'on l'adm
us est impossible de ne pas résumer les conclusions techniques de l'
auteur
. Le courant continu agit directement sur la rét
tableaux; étude critique complète. Il est impossible, concluent les
auteurs
, de se prononcer; le temps d'observation est en
rut, et moi comme les autres dans mes écrits sur ce sujet, qu'à ces
auteurs
revenait le mérite de l'avoir décou- verte. l'o
et des mémoires bourrés de faits obser- vés, comme sait observer l'
auteur
, relatifs à l'influence de l'état intermédiaire
otitrove ? S, sur le siège de quelques hémorrhagies méningées que l'
auteur
dé- montra être situées, non, comme on le cioya
hes sur les rapports delà pellagre et de la paralysie générale. Les
auteurs
qui avaient étudié la folie pellagreuse avaient
du cerveau et les maladies de la moelle, lequel est rattaché, par l'
auteur
, à l'irritation et aux mouvements fluxiou- nair
avec 1 10 planches ren- fermant plus de 300 figures dessinées par l'
auteur
. In-folio, Paris, 1890. Pion, Nourrit et Ci-, é
ions passer sous silence les détails de l'exécution pour laquelle l'
auteur
a dû dépenser une somme de travail extraordinaire
tions très im- portantes, de maladies chroniques en général jdont l'
auteur
a sur- tout cherché à rapprocher les manifestat
e distinctes. L'herpé- tisme, par exemple, selon la conception de l'
auteur
, engendre l'endartérite généralisée, dont les n
ses, à l'urémie, au rhu- matisme chronique et surtout au diabète. L'
auteur
décrit trois types de diabète : le diabète par
. -Si l'on peut discuter les conceptions théoriques qui ont guidé l'
auteur
, on ne saurait ne pas reconnaître les grandes qua
dont ils sont l'objet aux États-Unis et dans la Grande-Bretagne. L'
auteur
a pris soin de le résumer dans les termes suiva
Mental Science, juillet 1888.) Travail intéressant dans lequel l'
auteur
étudie les dispositions qu'il convient de donne
pos, notre confrère a pu reprendre son service. Quant à l'aliéné,
auteur
de l'agression, c'était un malade fort tranquil
ontrée d'une façon irréfutable avec l'expérience et l'autorité de l'
auteur
, appuyées s'il en était besoin de celles du pro
chez notre malade le caractère d'exaspération matinale que tous les
auteurs
ont signalé dans les observations de névrites a
Il n'en est pas moins vrai qu'une myélopathie semblait, à tous les
auteurs
, devoir exister et préexister chez les saturnins
elle qui fournit la substance grise qui est signa- lée par quelques
auteurs
comme accompagnant les tractus longitudinaux. Q
rès approché. D'après les faits, les arguments et les aperçus des
auteurs
que je mets en lumière, on verra que je n'ai eu
r du centre cortical. > Malgré cette tendance qu'ont de nombreux
auteurs
à voir dans la région de la corne d'Ammon un ce
st encore précisé : cette tendance est, du reste, combattue par les
auteurs
, Huguenin entre autres, mais certainement moins
e nerveux cortical. Le bulbe olfactif ayant été considéré par cet
auteur
comme « une expansion cérébrale projetée à une
e distance variable de l'hémisphère » et ayant été doué par ce même
auteur
de propriétés motrices en plus de ses propriété
sa portion corticale, fasse partie de l'appareil olfac- tif. Les
auteurs
modernes semblent abandonner les idées de Broca
' carrefour olfactif. Pour moi, je m'explique les dissidences des
auteurs
ou leurs descriptions incomplètes par les nombr
1 Par le D' THYSSEN VI. - Au point de vue symptomatique, tous les
auteurs
mettent en relief que le trouble porte exclusiv
n et de la marche sont abolies, amoindries ou troublées. Ce dernier
auteur
suppose que trois catégories en face de onze ob
e par M. Binswanger., et critiquée parM.Mo- bius. La pathogénie des
auteurs
français est basée sur ce que nous savons de l'
idées mélancoliques, entretenues parleurs organes souffrants 3. L'
auteur
prétend qu'on ne peut s'opposer à ce qu'il fasse
iques, et c'est pour ce motif qu'il présente (de l'avis de tous les
auteurs
) une si grande aptitude suggestive. L'astasie-a
ectriques sur l'équi- valent thermique de l'activité cérébrale, ces
auteurs
avaient des précurseurs : Lombard, de Boston (1
Ed. Mara- guano, Bianchi, avec Montefusco et Bifulco Z. Tous ces
auteurs
avaient noté que la température de la tête augm
piration, mimique, etc. C'est que, comme l'a noté Meynert, dont les
auteurs
italiens citent les paroles au début de leur ét
lité tactile (Fiihlsphrcre) de Iunk. centres psychomoteurs des autres
auteurs
. - z D. Région du membre antérieur. C. Région d
ouïe, qui paraît en effet quelquefois plus fine que d'habitude. Ces
auteurs
pensent que la semi-décussation des nerfs auditif
r catarrlie sec et rien localement pour expliquer la surdité. Ces
auteurs
concluent : « que les nerfs auditifs; se terminen
de nombreux troubles du système nerveux central et périphérique. L'
auteur
a 264 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. observé à
lules nerveuses et une diminution du nombre des fibres nerveuses. L'
auteur
pense que ces lésions répondent à l'encéphalite
optisies, de vomissements, de mutisme, de rétention d'urine, etc. L'
auteur
en conclut que chez cette malade, la névrose hyst
it ni marcher, ni se tenir debout, ni rester assise dans son lit. L'
auteur
croit que l'obs- tacle à la station provenait n
de vingt-deux faits, y com- pris deux observations personnelles. L'
auteur
conclut que le carac- tère fondamental seul imm
ition (nervosisme) ou d'autres maladies antérieures. Ces éléments l'
auteur
les étudie. Ils lui ser- vent à diviser les con
e pli courbe. La discussion clinique est particulièrement à lire. L'
auteur
groupe ensuite quarante- deux cas tirés de la b
ique accom- pagnée de cécité psychique (observations empruntées aux
auteurs
, iill" VI et VII ; 3° une aphasie optique avec
psychique et grave aphasie sensorielle et acoustique (Ons. Il de l'
auteur
; OBs. VIII, tirée de la bibliographie). - REV
ychiat., XIX, 2; par UNVERRIcUT). (Archiv. f. Psychiat. XX, 1.) L'
auteur
prétend faire une rectification à la citation que
(Guys hospital Reports), vol. XLVI, 1889. A plusieurs reprises, l'
auteur
a déjà publié le résultat des recherches entrep
ment chez les animaux et sur l'homme. Dans le présent mémoire, l'
auteur
considère le rôle que joue le même système dans l
cles atteints à l'égard des deux espèces de courants électriques. L'
auteur
propose la dénomination de myoclonus fibrillair
. XLV. 12.) . D'après le système des pesées locales de Meynert, l'
auteur
cons- tate que les différences de poids de l'en
la méthode DE Meynert; par J. JENSEN. (Arch. f. Psych., XX, 1.) L'
auteur
pèse successivement l'encéphale entier avec ses m
encéphales d'aliénés; par J. JENSEN. (A1'CIL. f. Psych., XX, 1.) L'
auteur
a refait les tableaux et les publie à nouveau; le
rs scléreux cérébro-spinaux et les lésions de la syringo- myélie. L'
auteur
pense que le traumatisme a produit la syringo-
S NER- veux de GoLCI ; par L. Greppin. (Arch. f. Psych. XX, 1.) L'
auteur
exalte l'emploi du microtome à congélation au chl
r l'innervation sensorielle de la langue ne seraient pas exactes. L'
auteur
ajoute qu'il est impossible d'édifier une théor
l'altération peut se propa- ger le long des fibres conductrices. L'
auteur
en donne deux obser- vations qui n'offrent rien
Schultze; autopsies de Virchow et Friedreich. De ces documents, l'
auteur
conclut : qu'il s'agit d'une névrite chronique as
enlralb., 1890.) Après avoir établi une synthèse bibliographique, l'
auteur
signale qu'il a, dans le cerveau et la moelle d
par W. Bechterew et N. IIIISSLAWSH1.(lVeuroG. Centralbl. 1890.) Les
auteurs
enregistrent les mouvements : 1° De la région c
Mouratoff. Moscou 1890. Br. in-80, 47 pages. Dans ce travail, les
auteurs
publient deux cas présentant une particularité
he. Pas de lésions de la substance grise de la moelle épinière; les
auteurs
disent qu'ils ont trouvé des cellules de petite
sant ensuite à l'explication de l'origine de ces amyotro- phies les
auteurs
reconnaissent que les nouvelles recherches tout
pour interpréter les atrophies musculaires d'origine cérébrale; les
auteurs
pensent qu'au point de vue anatomique les atrop
nésie, écholalie); par C. Stcaau (thèse de doctorat Lyon, 1890). L'
auteur
, àl'occasioii d'un fait très intéressant de zoand
ait à l'étiologie du tétanos rhumatique 302 BIBLIOGRAPHIE. dont l'
auteur
rapporte deux observations. Les recherches bactér
sr Schweitz. Aerzte, 1890. Le lavage de l'organisme préconisé par l'
auteur
se ferait à l'aide de l'injection hypodermique
scussion clinique du diagnostic montre que l'hystérie est en jeu. L'
auteur
a étudié à ce propos les diverses espèces de trem
promesses de leur titre, et nous savons particulièrement gré à leur
auteur
de cette excellente publication à une époque où l
par L.-R. Régnier. Paris, 1891. Aux Bureaux du Progrès médical. L'
auteur
s'est imposé la tâche de rechercher le rôle qu'au
le regret de n'en pouvoir dire autant des idées em- pruntées par l'
auteur
sur sa conception actuelle de l'hypnotisme, où
Mental Science, juillet 1888.) Travail intéressant dans lequel l'
auteur
étudie les dispositions qu'il convient de donne
.-R. TURNBULL. (The Journal of Mental science. Oc- tobre 1888.) L'
auteur
étudie successivement : 1° Le but de ce mode d'
; mais elle varie beaucoup (de 8,4 à 54,) suivant les districts. L'
auteur
, après avoir conscien- cieusement étudié les ch
it complètement détraqué la cervelle de la pauvre femme. Bien que l'
auteur
de cette tentative de meurtre eût été arrêtée,
ions du cerveau (1840) sont classiques; c'est un travail auquel les
auteurs
modernes ont certainement ajouté des détails inté
couvertes fondamentales du savant aliéniste français, c'est que les
auteurs
allemands contem- porains, qui du reste se plai
e de la paralysie générale et des doctrines émises par les premiers
auteurs
. Notes sur la paralysie générale (1849). Démenc
est parce que l'observation qui sert de fondement au travail de cet
auteur
est absolument typique. C'est en effet pour la
mérite d'être brève et de rappeler en même temps les noms des deux
auteurs
qui l'ont décrite pour la première fois. ^Incon
r le délire hystérique ou le somnambulisme hystérique. Différents
auteurs
avaient déjà signalé la possibilité de modifier
par M. Ségl, mais, paraît-il, sans l'autorisation de leur véritable
auteur
3. Nous donnons ici l'histoire de ce malade, do
ppellation nouvelle. Etant donné la notoriété scientifique des deux
auteurs
, il me paraît indispensable d'examiner le bien
l'objection fondamentale, la seule, à la vé- rité, que m'adresse l'
auteur
du mémoire que l'on vient de lire. J'ai eu tort
se incompatible avec les principes de localisation qu'admettent les
auteurs
; et qui de plus est inutile. Quoique les chien
er en détail les données sur les- quelles s'appuient les différents
auteurs
cités plus haut pour établir leurs conclusions.
bilité tactile ou musculaire généralisée ou localisée. Et plusieurs
auteurs
, Petrina a Exner 1, Luciani et Seppili g, Starr
distance n'est pas certaine- ment en faveur des conclusions que les
auteurs
ci-dessus cités ont tirées de cette espèce de p
confirmait les circonvolutions sous-jacentes. Dans un autre du même
auteur
3 un petit tubercule de la grosseur d'un grain de
rtaine importance au point de vue de l'hypothèse émise par quelques
auteurs
, Nothnagel' entre autres, que les centres du se
s et surtout de troubles articulaires. Avec les doses indiquées les
auteurs
n'ont jamais constaté ni rash ni cyanose; une s
de ces fonctionnaires, l'avancement par classes et résidences. L'
auteur
nous montre combien était juste l'opinion de M. C
le dans laquelle rentre pour M. Mendel la mélancolie religieuse des
auteurs
; enfin une troi- sième forme dans laquelle les
ison par la démence : c'est à cette catégorie de faits que certains
auteurs
ont donné le nom de délire chronique. Enfin, da
viennent des idées de grandeur. Ou bien, dit Scliûle, cité par l'
auteur
, le délire ambitieux succède à un délire de persé
nnelles aussi complètes qu'intéressantes. Comme le fait remarquer l'
auteur
, ce point particulier ne manque pas d'im- porta
laquelle il ne nous parait pas utile de revenir d'autant plus que l'
auteur
ne fournit aucun fait ni aucun argument nouveau
il devient facile de montrer, après la savante analyse qu'a faite l'
auteur
du début du délire de persécution, que le monom
ent à la grande famille de la folie héré- ditaire. La plupart des
auteurs
, depuis More], avaient tenu grand compte de l'h
nie des héréditaires. Les épileptiques, comme le fait remarquer l'
auteur
, sont souvent aussi des obsédés et des impulsifs
ence pratique de ce travail sur laquelle ne manque pas d'insister l'
auteur
, c'est qu'il importe de cultiver avec soin chez
raphie et une statistique générale, personnelle ou impersonnelle, l'
auteur
pose ce principe que « les deux phases critique
n encéphalique, guérit l'af- tion mentale; c'est l'explication de l'
auteur
. P. K. XXXIII. LA FOLIE A deux; par D. KROENER.
Psychiat., XLVI, 5.) Nouvelles analyses de 146 cas empruntés aux
auteurs
. Il Différence entre la folie imposée et la fol
. Psych. XLVI, 5.) Statistique confirmant les assertions des autres
auteurs
. P. K. XXXVI. DE la paralysie DE la main par l'
D1' Gucci. (Archivio italiceno per le 1nalallie neovose, 1889.) L'
auteur
expose une suite de longues considérations qui l'
D1' Tanzi. (Riv. Sper. di (l'en., vol. XVI, fasc. 1-11, 1890.) L'
auteur
a recueilli un grand nombre de ces néologismes do
éristique du délire. Partant de là pour étudier l'idée délirante, l'
auteur
conclut que le délire est déterminé par l'apparit
ication sur « les atrophies musculaires dans les arthropathies ». L'
auteur
distin- gue deux formes d'atrophies musculaires
théories parmi lesquelles la plus satis- faisante serait, d'après l'
auteur
, la théorie dite réflexe. Les nerfs centripètes
sur les muscles correspondants. M. ICottmtor a fait remarquer que l'
auteur
a oublié de noter un des symptômes de l'amyotro
dipeux. De plus, il ne croit pas que les deux formes établies par l'
auteur
soient nosologiquement séparées ; il pense, au
laires dans les affections cérébrales ». Voici les conclusions de l'
auteur
: dans les affections cérébrales, on peut obser
avant, au premier plan de la littérature aliéniste par une série d'
auteurs
. Cependant, malgré le nombre assez considé- rab
t être atteints des psychoses aiguës. M. Sikorski déclare que les
auteurs
des communications sur la folie aiguë ne font q
nières années, sur trois cents cas des formes aiguës de la folie, l'
auteur
en a observé sept à type récurrent (2 1/3 p. 10
l'ouïe sur le développement et la marche des maladies mentales ». L'
auteur
a recueilli vingt-quatre observations de dévelo
indiqué l'hémiparésie comme signe caractéristique de l'épilepsie. L'
auteur
insiste surtout sur l'hémiparésie faciale. Cett
les transformations qu'a subies l'ouvrage sont moins évidentes. L'
auteur
y adopte, sans discussion, l'opinion de certains
orze leçons un résumé de psychologie physiologique. Il faut louer l'
auteur
d'avoir su rendre facile par une exposition clair
trouveront dans cet ouvrage un guide : aussi regrettons- nous que l'
auteur
n'ait pas cru devoir donner une bibliographie un
association des idées, les souvenirs, l'attention, la volonté que l'
auteur
examine à l'état normal et pathologique. J. Dag
longtemps faite des névroses et en parti- culier de l'bystérie. D L'
auteur
a classé les troubles trophiques de l'hystérie
s dans le détail de cet exposé, car ce sont surtout des faits que l'
auteur
y a rassemblés. Nous lui reprocherons peut-être
tenbiller, 125. SI ? LNUtEit\Itt., par Dinkler, 134 ; TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS 479 z maladie d'Addison,
mages), tractus conduc- teurs des - , par Richtor, 281. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Ariainkievicz, 279. Ago
68. Friedmaiiii, 283. Galippe, 1. Garnier, 130. 480 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. Gerlach, 118. Gilles d
chir. Transactions, t. LI, 1868. 6 Wolkmann, loc. cit. Suivant cet
auteur
, les fonctions sexuelles, lors de l'âge adulte, n
e propos, ce que je vous ai dit naguère, à savoir que, selon quelques
auteurs
, la contractilité'gal-vanique peut mettre encore
faits observés par M. Moreau (de Tours), faits indiqués par quelques
auteurs
, et dans lesquels le traitement fut inefficace; m
borner à enregistrer la théorie de MM. van Lair et Masius. Selon ces
auteurs
, la rate ne détruit pas les globules, mais elle
chez les enfants nouveau-nés (Infants), par Stephen M. Mac Swiney. L'
auteur
rapporte avec détails l'observation d'un enfant n
x semaines oue les selles se ré-gularisèrent et devinrent normales. L'
auteur
fait suivre son observa- tion de considérations
ou d'anes-thésie progressive et guérie par l'émétique à haute dose, l'
auteur
insiste sur cette médication et donne, sur son mo
naissant. » Sur des coupes faites après durcissement dans l'alcool, l'
auteur
a con-staté que les racines du végétal, si l'on p
leur volume. 48 heures plus tard, tout était rentré dans l'ordre. — L'
auteur
compare ces pertes à des épistaxis utérines et re
s livres trop rares qui résu-ment toute une vie d'étude. La main de l'
auteur
a été visiblement guidée par une conviction profo
mette d'esquisser rapidement les principaux traits par lesquels notre
auteur
caractérise la congestion pulmo-naire simple : c'
a rétrocession la plus considérable du périmètre thora-cique. Notre
auteur
va même plus loin; pour lui cette congestion joue
aye, éditeur. 11 s'agit de l'influence du bleu____sur les yeux. L'
auteur
commence par douer la lumière bleue de propriétés
ue chapitre. On ne saurait donc contester la profonde croyance de l'
auteur
... au bleu. Malheureusement ces études ne sont pa
ne du début et ils y ont reconnu les mêmes altérations1. Ces derniers
auteurs
signalent, en outre, une hyperplasie du tissu con
utile d'entrer à ce propos dans quelques développements. Beaucoup d'
auteurs
, vous ne l'ignorez pas, ont considéré l'affec-tio
use des résultats en apparence contradictoires, trouvés dans quelques
auteurs
. Nous avons tenu compte de cette dernière particu
uelles. Le délire provoqué par le Hachisch est souvent gai : quelques
auteurs
(Àubert-Uoche, Mo-reau, de Tours) ont considéré c
ne battant ni plus vite ni plus fort qu'à l'ordinaire. Pour d'autres
auteurs
, il y a accélération dans les battements du pou
n obligé de di-minuer les doses ou même de suspendre le médicament. L'
auteur
relate deux faits dans lesquels l'éruption a été
lles de cette peau et d'une partie très-limitée de ces couches. » L'
auteur
termine son intéressante communication en disant
ne doit y participer; et c'est, en effet, ce qui a lieu, bien que les
auteurs
n'en parlent pas. J'ai fait raser le cuir chevelu
, et le cas se représente souvent, si ce qu'on lit est de lui ou de l'
auteur
cité. Quelques guillemets enlèveraient toute ince
de Griesinger, il pensait bien plus à faire connaître l'ouvrage que l'
auteur
, mais il est inexcusable d'a-voir entraîné M. Bri
lheureusement, il n'a encore été mis en pratique qu'une seule fois. L'
auteur
pénètre dans la vessie entre la verge et les pubi
es : la lithrotritie et la taille; toutefois, avant de les aborder, l'
auteur
donne d'excellents préceptes sur l'évacuation de
a taille, telles qu'elles résultent du savant article con-sacré par l'
auteur
à ce sujet important. « Pour débarrasser la ves
s qui représentent la substance du Traite' des maladies des yeux de l'
auteur
. Il est difficile de mieux condenser un aussi vas
s de sécrétion qui sont annexés aceite région; les maladies du cou. L'
auteur
expose ensuite les maladies chirurgicales de la p
ui précèdent indiquent que l'absorption de l'iode est très-rapide. Un
auteur
anglais, M. Richardson, a donné, à cet égard, des
ntourée par la veine sa-tellite. » Au point de vue physiologique, l'
auteur
a cru devoir considérer le sinus longitudinal inf
er que pareille disposition n'a pu être rencontrée chez l'homme par l'
auteur
, et que, du reste, on n'est pas définiti-vement f
e de la torpille. — « Les expériences myographiques poursuivies par l'
auteur
ont confirmé de tous points les prévisions qui le
s anneaux constric-teurs des tubes nerveux décrits précédemment par l'
auteur
(Acad. des sciences, 15nov.). XIII. Digitale et
e unique à l'exclusion des autres, comme l'avaient pré-tendu certains
auteurs
, mais bien sur tous les appareils et sur toutes l
t. » L'action physiologique de la digita-line, suivie pas à pas par l'
auteur
, est indiquée et résumée dans les trois périodes
de l'audition, l'autre l'Étude physique des sons de la parole, dont l'
auteur
est le docteur Deles-champ, le traducteur autoris
aborieuses études, aux travaux de la chimie et de la pharmacologie, l'
auteur
s'est attaché à démontrer quelles ressources leur
de leur permettre ainsi déjuger le point de vue auquel s'est placé l'
auteur
. Prenons, par exemple, le quatrième chapitre, u
umonies guéries sans médication éner-gique et représentant, suivant l'
auteur
, la marche naturelle de la pneumonie.— Je remarqu
ieurs des tracés la défer-vescence est un peu tardive. Peut-être si l'
auteur
avait usé des moyens thérapeutiques ordinaires l'
des observations thermométriques plus nombreuses chaque jour, comme l'
auteur
en convient lui-même. En résumé, la brochure de
le peut être parfois envahie tout entière et d'une seule poussée, les
auteurs
classiques se bornent presque toujours à nous mon
d lui-même pour se ramollir et s'abcôder à son tour. — Aussi certains
auteurs
ont-ils pu, l'esprit trop préoc-cupé de ce tablea
sous les yeux du lecteur quelques points de ce travail intéressant. L'
auteur
, par suite de son séjour dans les maternités, a é
tend à renverser en même temps des théories que la situation de leurs
auteurs
rendait recomman-dables. M Lucas Championnière
rière du cul-de-sac vaginal latéral. Or, nous ferons remarquer avec l'
auteur
que les ganglions ou le plexus correspondent « au
itonéaux ; deuxième point important à considérer et qui permettra à l'
auteur
d'expliquer la propagation au péritoine de l'infl
on retrouve parfois des valvules. On les rencontre constamment, dit l'
auteur
, dans les mêmes points, vers les angles de l'utér
ation au péritoine. Une grande autorité est invoquée à ce sujet par l'
auteur
: c'est celle de Cruveilhier, qui, dans son Étude
e et de phlegmon diffus du tissu cellullaire sous-péritonéal. Le même
auteur
, soit dit en passant, donne les caractères distin
oppement des accidents périto-niques pendant les suites de couches. L'
auteur
y réfute, l'une après l'autre, les différentes hy
éfute, l'une après l'autre, les différentes hypothèses émises par les
auteurs
. Certaines personnes attribuent la péritonite a
t médical. L'opinion de M. Bernutz n'est pas plus soutenable. Aussi l'
auteur
, fort de ses recherches anatomo-patho-logiques, f
is, certaines obser-vations de M. Béhier résistent aux critiques de l'
auteur
qui, tout en prétendant que la plupart ont trait
est atteint, le cas est grave. Dans la question des amputations, l'
auteur
se prononce pour les amputations primitives. — Po
hystérique, au moins dans ce qu'elle a d'essentiel, d'après les rares
auteurs
qui ont admis son existence, car, je le répète, l
ntre autres, dans le grand ouvrage de M. Briquet. En somme, parmi les
auteurs
contemporains, M. T. Laycock, professeur à l'univ
her avec vous les principales circonstances qui ont fait que certains
auteurs
passent entièrement sous silence l'ischurie hysté
e la colique néphrétique. Eh bien, Halford 1, Abercrombie et tous les
auteurs
qui se sont attachés à l'étude de ces cas s'accor
minime qu'elle soit, elle a une véritable importance, car tous les
auteurs
, depuis Halford, ont reconnu l'amendement, le sou
e1 et de M. Stoltz dans la Gazette heb-domadaire*. Néanmoins quelques
auteurs
, M. Courty entre autres, ont maintenu la priorité
epuis son apparition, sujet à de vives critiques. On a reproché à son
auteur
d'être trop absolu dans ses opinions et de ne poi
itateur utérin de M. llyernaux. Celle dénomination est préférée par l'
auteur
, car, dans son opinion, ce n'est pas en dilatant,
ement dans les deux cas où il a été employé. Il présente, suivant son
auteur
, les avantages suivants : les deux ballons étant
de cette disposition seront-ils aussi considérables que le suppose l'
auteur
? La pratique jugera cette question. « Il est si
semble avoir été si longtemps méconnue. Les lignes suivantes, où l'
auteur
a pris soin de se résumer lui-même, font deviner
pos du diagnostic de la congestion pulmonaire et de la pleurodynie, l'
auteur
proteste contre la théorie qui explique la faible
n ne respire pas, tandis que telle autre continue à fonc-tionner. » L'
auteur
part de là pour prétendre que la pleurodynie simp
lle dépasse souvent 40 degrés. C'est donc un élément de diagnostic. L'
auteur
insiste sur l'étude du diagnostic différentiel
faveur dans ces derniers temps en raison de la grande autorité de ses
auteurs
, Virchow et Frerichs ; il est vrai que notre dist
t la partie la moins avancée de l'histoire de cette maladie. Quelques
auteurs
ont assi-milé l'érysipèle à une maladie exanthéma
cle spécial de MM. Barth et Besnier. Une observation recueillie par l'
auteur
dans le service de M. Besnier, à l'hôpital Saint-
voies biliaires et celui de l'intestin; 4° la variété villeuse que l'
auteur
n'avait pas d'abord trouvée dans ses observations
achexie cancéreuse, tels sont les principaux symptômes sur lesquels l'
auteur
entre dans quelques détails. Comme la terminaison
les variétés de la maladie, chapitres dans lesquels nous accuserons l'
auteur
de traîner en lon-gueur, d'insister sur des faits
d'en venir et même sans en venir à une opération sanglante, plusieurs
auteurs
, Debout, Gallard, Gué-neau de Mussy, Mauriac, etc
ainsi que le prouvent deux ob-servations de M. Verneuil citées par l'
auteur
. M. Delbarre passe ensuite en revue la dénudati
ces affections produisent rarement la perforation des vais-seaux. L'
auteur
cite cependant entre autres exemples une observat
énudation occupant toute la circonférence du vaisseau. La plupart des
auteurs
ne se sont occupés que des vaso-vasorum ; M. Rich
st de celte façon, du reste, que paraissent l'entendre la plupart des
auteurs
modernes. L'hys-tôro-épilepsie serait pour eux un
lle je me rattache pleine-ment. Elle a été soutenue déjà par quelques
auteurs
très-compé-tents. Parmi eux, je puis citer Tissot
description de l'hystéro-épilepsie à crises mixtes consentie par les
auteurs
et de l'examiner sous tous ses aspects. J'emprunt
r est très-fréquent, jamais — c'est là encore un fait reconnu par les
auteurs
— jamais, dis-je, l'obnubilation de l'intelligenc
traire un coma plus ou moins profond, — congestion apoplectiforme des
auteurs
; — dans les deux cas il y a prostration des forc
s la classe des épithé-liomes tubulés (adénome épithélial de quelques
auteurs
). » Le pansement de la plaie a été de la plus g
1868, en firent l'objet de travaux sérieux. Toutefois ces différents
auteurs
se pla-cèrent surtout au point de vue chimique et
ce, au nombre, à la forme, au vo-lume et à la position de l'organe, l'
auteur
étudie les (il) Lésions hématiques : 1° hypérémie
lénolomie et le ma-nuel opératoire. Enfin, dans la dernière parlie, l'
auteur
résume, d'après M. Raymond, les notions principal
hüller constitue un pro-grès réel. Voici, du reste, la façon dont l'
auteur
a procédé dans ses recher-ches : Un jeune homme a
ulaires et sous des influences morbides encore mal déterminées, dit l'
auteur
, les différents groupes musculaires disposés auto
la scrofule. Cette disposition mor-bide préexiste à la lésion, dit l'
auteur
, et il suffit d'une circonstance souvent banale p
de cet appareil, qui ne remonte qu'à l'année 1865, et qui valut à son
auteur
le prix Barbier, à l'Académie de médecine, il fau
tion. Nous avons parcouru avec soin les observations rapportées par l'
auteur
à la fin de son travail, et c'est à peine si nous
r avoir une opinion certaine sur les avantages de cet appareil, que l'
auteur
résume en ces termes: « Lu résumé, à l'aide de
rd de ces abcès. Avec l'extension donnée aujourd'hui par beaucoup d'
auteurs
à la pathogénie de l'infection purulente, on peut
lon-gations hypertrophiques cervicales ; M. Rumbaëls, qui est le seul
auteur
ayant, à notre connaissance, consacré un chapitre
s excès vénériens et lestraumalismes ont été considérés par plusieurs
auteurs
comme une cause fréquente des tumeurs inflammatoi
Cor-nillon qui a réuni, classé, discuté les documents épars dans les
auteurs
en y ajoutant des observations inédites. Son tr
puerpéral font l'objet de la seconde partie, et par état puerpéral l'
auteur
comprend avec le professeur Pajot cette période q
e commun? Deux notes, malheureusement trop courtes, communi-quées à l'
auteur
et surtout trop peu discutées par lui paraîtraien
e chapitre serait mieux intitulé des paraplégies obstétricales, car l'
auteur
ne signale aucun fait de pa-ralysie partielle. To
oup plus fréquentes que les 0.1. D. postérieures. Tandis que ces deux
auteurs
ont trouvé à peu près les proportions suivantes :
iologie est encore à faire tout entière. En traitant du diagnostic, l'
auteur
insiste sur les sensations que four-nissent le pa
ontre les opinions trop exclusives du fondateur du prix qu'a obtenu l'
auteur
du mémoire. Cependant, dans la plupart des cas
u forceps est le plus souvent indiqué, son application sera simple. L'
auteur
discute et repousse la méthode qui consiste à f
omme moyen de traction, il est de beau-coup inférieur au forceps. L'
auteur
rappelle en terminant que ces moyens divers doive
hements que dans un mémoire de ce genre ; mais il faut savoir gré à l'
auteur
d'avoir si bien analysé et discuté les nombreuses
au fœtus lui-même? Telle-est la question que se pose, après quelques
auteurs
étrangers, M. Suchard qui, n'ayant pas d'observat
'est cette lésion nerveuse et les sym-ptômes qui s'y rattachent que l'
auteur
s'est proposé de nous faire connaître en y joigna
laques végétantes. Abordant l'examen des altérations médullaires, l'
auteur
, après avoir rappelé les travaux de MM. Turck, Ch
ps de se produire. Mais lorsqu'elle s'effectue d'une façon lente, l'
auteur
croit pou-voir affirmer que la myélite par compre
cation dans la forme de la gibbosité. Pour compléter cette élude, l'
auteur
passe ensuite rapidement en revue, les nombreuses
ature; 3° de la sensibilité douloureuse; 4° Symptômes récurrents. L'
auteur
désigne ainsi les phénomènes qui se produisent da
dente la guérison de la paraplégie. Parmi les onze observations que l'
auteur
a placées à la fin de sa thèse, quatre ont trai
Les limites de cé compte rendu ne nous permettent pas de suivre; les
auteurs
dans leur longue énumération. Les autres chapitre
joint à l'Institut national des sourds-muets1. —Le titre choisi par l'
auteur
indique assez la méthode suivie dans l'étude de l
éveloppement de l'ovule est rappelé ; puis, dans l'article suivant, l'
auteur
passe en revue les mouvements de la vie organique
ublimité de Vintelligence. Nous ne comprenons pas très-bien en quoi l'
auteur
incrimine la physiologie expérimentale ; nous ne
manière d'envisager la phy-siologie le met à l'abri de l'hérésie des
auteurs
qui établissent des divisions dans l'ensemble du
bulbe, du mésocéphale, etc., nous paraît trop complète, et quoique l'
auteur
ait puisé ses renseigne-ments à bonne source, nou
examinée avec beau-coup de soin, et dans une argumentation serrée, l'
auteur
bat en brèche la manière dont M. Vulpian envisage
l'activité traduite du système nerveux est placé, soit dans ce que l'
auteur
appelle les fonctions intrinsèques, soit dans ce
a vitalité y trouve sa place. On voit combien le cadre choisi par l'
auteur
est vaste, car les mille fonctions créées par lui
s. Philosophie, métaphysique, psychologie, physiologie, pathologie, l'
auteur
a mis à contribution toutes ces branches du savoi
, est pris dans toutes ses formes, clans toutes ses nuances ; aussi l'
auteur
aurait-il pu tout aussi bien inti-tuler son livre
ce travail sera publié en entier, nous chercherons à reconnaître si l'
auteur
, dans ses expériences, s'est conformé aux indicat
ue et ses sels, la silice, l'acide carbonique libre. Plus loin, les
auteurs
énumèrent les affections qui se traitent avec suc
à la description des vallées, villas, etc.; nous ne suivrons pas les
auteurs
dans cette voie. — En résumé, rien ou presque rie
es de l'Alle-magne. Mais là où cet ouvrage excelle, c'est lorsque son
auteur
ar-rive au traitement de la scrofule par les eaux
ne pouvons mieux faire que de citer maintenant les paroles mêmes de l'
auteur
: « La digitaline Nativelle a une action de bea
opératoire suivi par M. Nativelle ; il s'en faut de beaucoup, selon l'
auteur
, que les choses se passent comme l'indique le rap
l'autre : l'amorphe et la cristallisée. Avec ces deux digitalines, l'
auteur
a institué des expériences sur des gre-nouilles,
nt qu'une épidémie comparable à l'ergotisme? Les extraits faits par l'
auteur
à l'historien grec ne nous permettent pas d'accue
partie est consacrée à l'histoire pathologique de l'ergotisme, que l'
auteur
définit : une affection le plus souvent épi-démiq
affection sont décrites avec tous les développements nécessaires ; l'
auteur
nous montre que la forme convulsive et la forme g
veau Diction-naire deme'decine et de chirurgie pratiques. D'après cet
auteur
,l'ergot agissant sur la contractilité des libres
de seigle du dictionnaire auquel M. Leteurtre renvoie ses lecteurs. L'
auteur
, d'accord avec M. Sée, vante l'emploi de l'ergoti
and nombre de documents intéressants qui permettront sans doute à l'
auteur
de nous donner plus lard, lorsqu'il aura fini des
n'offre aucun intérêt au point de vue clinique. D'après M. G. Sée, l'
auteur
définit l'ictère: « Une affection symptomatique c
oin (p. 49 et 50), en par-lant des caractères des matières fécales, l'
auteur
reconnaît que souvent, suivant le siège et la nat
beaucoup. M. Pouzol dit aussi, sans aucune objection, que d'après les
auteurs
du Compendium de médecine, la bile, loin de coule
èjcJ¡- ler (Deutsch. Zeitschrf. jVen'el1lteilh, 1900, t. XVII). Cet
auteur
pense qu'il s'agit de ramilicalions de nouvelle
t où la compression était la plus forte, le canal était oblitéré. L'
auteur
croit qu'avant que ne s'effectuât la compressio
l'axochroinalénine ' ? Userait tenté de croire, comme ce dernier
auteur
, qu'il s'agit, non de la substance périlihrillair
yramides ; par W. G. SPILLER, (Neurolog. Centralbl" XXI, 1902.) L'
auteur
rappelle qu'il a décrit un faisceau qui se détach
hodes les plus récentes, de dix cas de paralysie générale avérée, l'
auteur
admet que cette affection est constituée par un
macroscopi- que ni microscopique. En présence de ces résultats, l'
auteur
estime qu'il a eu affaire non aune paralysie gé
rt. (Ru/l,de la Soc. de méd . ment, de Belgique, 1904, n° 116.) L'
auteur
relate quatre cas de chorée de Huntington et l'ap
de mérl. ment, de Belgique, H)Q4, n° 114.) Adoptant l'opinion des
auteurs
qui font rentrer dans le syn- drome de Raynaud
quer à la longue de semblables troubles angio-tropho-neurotiques, l'
auteur
incline à croire qu'en réalité les altérations
avant. Quatre observations il l'appui. Discussion. « C'est, dit l'
auteur
, un phénomène sui gencris : ce n'est pas il vra
médecil1e, ment. de Belgique, 1903 ne117.) 1 Les-recherches de l'
auteur
ont porté sur 150 hommes et 150 temmes. Sur ce
soit une proportion de 68,08 %. Parmi les causes occasionnelles, l'
auteur
croit qu'il faut placer en première ligne les c
73u11. de la Soc. de méd. mentale de Belgique, 1904, n° 115.) . L'
auteur
,dans ce travail,fait le procès de la théorie inte
ne 62 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. neurolique cutanée multiple, l'
auteur
estime que le siège prin- cipal des lésions qui
ff et DONTENKO. (.JOU1'11. de Neurologie, 1903, nos 2 et 2J.) Les
auteurs
passent en revue dans ce travail les différents
ts par le malade correspondaient au ta- bleau clinique que certains
auteurs
décrivent encore sous le nom de manie chronique
la démence précoce. Sans se prononcer sur ce point de nosologie, l'
auteur
estime que le mieux est encore de considérer la
s, chez des juifs, de Pologne, de Lithuanie, de la Ilussiedu Sud. L'
auteur
donne l'observation de deux nou- velles famille
ical (1902, 11°> ¡[u 3 niai et du 19 juillet.) Dans le second, l'
auteur
attirme que les bains prolongés pendant 24 heur
t, de Belgique,, 190-'f, no 115.) Le véronal a été administré par l'
auteur
dans des cas d'insom- nie dépendant de maladies
démontré la réalité des propriétés curatives de l'é- lectricité, l'
auteur
s'élève contre l'idée encore assez généralement
ubaiguë ci type scapulo-hurraéral. 3131. GAUCKLER et 120USSY. - Les
auteurs
insistent sur ce fait qu'ici la distribution de
eux, la localisation paraît la même que pour le premier malade. Les
auteurs
tirent des conclusions au point de vue de l'imp
résenté de légers troubles proprement bulbaires et médullaires, les
auteurs
rapprochent ce cas des faits de syndrome de Ila
e la polynévrite mo- trice et la poliomyélite antérieure aiguë. Les
auteurs
admettent dans ce cas une altération de l'ensem
bien connu, il convient d'ajou- ter l'excitation génitale. Divers
auteurs
ont récemment signalé l'existence de ce phénomè
. morte ; il est perdu ; il faut l'immoler, le crucifier ; il est l'
auteur
de tout tentât qui se fait sur la terre. » Eu m
chez nos deux époux, faire intervenir, il l'exemple do quel- ques
auteurs
(Morel-Lavallee, etc.) l'influence élective d'u
00, et qui viennent d'être ter- minées d'une façon satisfaisante, 1
auteur
publie les principaux résultats abrégés. Le c
; par Th. liar s.(Nru- 1'ologisch. Centralblatt, XXI11, 1904.) L'
auteur
vérifie d'abord leur manière d'être dans treize c
les contrôler. Voici pour le moment les conclusions du mémoire de l'
auteur
russe. « La pensée d'une personne se peut trans
. (Policli- nique (le 1er sept. 1903.) Voici les conclusions de l'
Auteur
. Il va des 1-ela[ioll,,ti-is étroites entre la
e générale sur ce sujet très importantde pathologie infan- tile : l'
auteur
insiste sur les phénomènes fébriles fugaces du dé
amygdales, du voile palatin, des cordes vocales. Remarquons avec l'
auteur
que jusqu'à une époque très récente le bégaieme
s circonvolutions antérieures de l'opercule l'l (1C l'illStlla. L'
auteur
insiste sur la persistance sans amélioration du t
rieuredupti courbe ; observation de Ilenaclten). Ainsi s'exprime l'
auteur
, après avoir procédé à l'analyse des espèces clin
garde à droite. 11 sort avant guérison, quinze jours plus lard. L'
auteur
pense que l'lténturrltagio résultant de la fractu
upérieure du facial ne participe-t-ellepasà la pa- ra sie ' ! Les
auteurs
on supposé que l'innervation corticale de la bran
t'atteinte concomitante des voies ou centres du facial supérieur. L'
auteur
l'a observé dans les hémiplégies capsulaires ou
r RADUKL. (Rit,. crit. de clinica meclica, 1904, n0' Il et 12). L'
auteur
rappelle tout d'abord la technique de la ponction
sistance sans privilège pour les cli- niques. \'ives critiques de l'
auteur
. Tous les établissements du duché auraient le d
a folie et aperçu sur celte affection dans la Russie ancienne (même
auteur
. Ibid. 1903, n-s eL 3.)-3° Histoire des maladie
Est de la Russie et la petite Russie 154 SOCIÉTÉS SAVANTES. (même
auteur
; Ibid. 1903, n" .) -6° Le ruln Iln. cnn-cnlc cl
s comités d'assistance publi- que, dans la pl'lile HUf : .sie (même
auteur
; Ibid. 1903, n" 6.) -70 Situation sociale des
ur expliquer les lésions de polynévrite observées à L'autopsie, les
auteurs
, écartant une affection urinaire à laquelle le
au cours de la donorpbrnisation. Celle malade était hystérique. Les
auteurs
pensent que celte aphasie transitoire ôtaitdue
raptus hallucinatoire et a fait une fugue, suivie d'amnésie. Les
auteurs
attribuent il l'intoxication sull'o-cal'bonée, le
ment, commis des actes dangereux; 4° les dégénérés malfaisants, L'
auteur
traite d'abord de la question des aliénés crimine
nts concernant celte question sont ex- Il rés dam un chapitre que l'
auteur
termine en donnanL le pro- jet de loi de Cruppi
t d'organisation de l'assistaace des aliénés criminels en France. L'
auteur
propose 1° un asile central d'Etat ou mieux qua
de--etabti>-e- utentsautonones, des instituts universitaires. L'
auteur
étudie d'ahol'd le J'ondionlll'ml'J¡[ th l'CS (
s et dans aucune de nos univer- sités le stage n'est obligatoire. L'
auteur
émet à ce propos les voeux suivants : 1° fondat
tention mécanique, la suppression de l'isolement cellulaire, etc. L'
auteur
étudie ensuite les hôpitaux d'aliénés urbains des
asiles étrangers à l'organisation du personnel administratif, et l'
auteur
résume les desiderata qui furent l'objet de discu
eur résume les desiderata qui furent l'objet de discussions par des
auteurs
compétents. \'e Partit ! . - Elle est consacrée
leurs malades, ont à traiter des malades transférés de la Seine. L'
auteur
proteste contre le principe même des transfèrem
er le fardeau qui pèse sur le directeur-médecin. Ce voeu émis par l'
auteur
est déjà réalisé à l'asile de Blois où nous som
re encore les asiles comme des renfermeries d'incurables. D'après t'
auteur
.tes réformes actuelle ? ; les plus importantes
mentale au dé- but de leurs fondions. Dans un dernier chapitre, l'
auteur
condense les résultais de son enquête et formul
ofondie de toutes les ques- lions de l'Assistance des aliénés, et l'
auteur
nous fait visiter d'abord nombre d'asiles étran
un plan d'l'ILul'a- tion qui décèle bien la grande expérience de l'
auteur
. Dans la deuxième harlic, le Dr ,1. Philippe ét
ême façon et sans aucun huez ces altitudes et ces mouvements, les
auteurs
ont attribué un nom générique, qu'ils ont em- p
auxquelles l'oeu- vre de Iira;hclin a donné l'essor, la plupart des
auteurs
préoccupés par la description générale de la ma
fréquente chez nos maladcs des deux sexes. Bien que la plupart des
auteurs
se soient accordés à signaler l'onanisme parmi
st précise en neurologie, semble indiquer que, dans l'esprit de l'
auteur
, une circonstance physiologique immédiate prési
répétés du sujet. Or. ne semble-t-il pas d'autre part que certains
auteurs
, M. Cahen en particulier, aient voulu décrire t
même geste d'un acteur en re- nom ou à réciter le même passage d'un
auteur
connu il débite pendant des heures un même vers
convulsivcs. Alors il ne faudra pas s'étonner si les diffé- rents
auteurs
placent le plténpmène en question aux de- grés
forme catatonique de l'affection, et voici juste- ment que tous les
auteurs
s'accordent à considérer celle forme comme la p
bservateurs sur des crânes de normaux, d'aliénés et de criminels, l'
auteur
pense que l'on doit admettre que les aliénés ne
a sensibilité tactile,telle eslla forme de dissociation nolée par l'
auteur
au cours de ses recherches. En ce qui concerne
imer, Boclr, Merma, Lev insulut, llil)l)el, Buiiclçe, Brameslein, l'
auteur
conclut qu'il n'est pas encore possible de donn
erminée par des microorganismes de diverses espèces et desquelles l'
auteur
cite des exemples plus ou moins h piques, plus
corps où furent plantés les clous et portés les coups de lance ». L'
auteur
rappelle l'observation de Saint-François, de la
les divers segments des extrémités antérieures et postérieures, les
auteurs
étudient l'état des différents groupes de cellu
leur Ira- jeu ultérieur dans la moelle ? '1 De ses recherches, l'
auteur
conclut : 1" Le noyau inlratrigéminal est le se
t du cervelet. A rapprocher de - 1,01)sel%aLioii de tétanie du même
auteur
, chez un jeune epilep- tique : on trouva les mê
to- xiques, car elle est insignifiante et cesse avec l'âge. Aussi l'
auteur
a-t-il entrepris d'expérimenter le ce 1'1 eau d
DI. (Riv. crit. de clinica meclicv, 1904, nos 21 et 22.) Pour cet
auteur
, les corpuscules de Negri seraient véritablement
la moelle et les ganglions spinaux. Les expériences exécutées par l'
auteur
ont .porté sur 23 chats. L. W. XX. Signe d'Ar
904, n° 2G.) - Après avoir rappelé l'historique de la question, les
auteurs
rap- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 237 porten
ca med., 1904, n° 39.) Après avoirrapporté un cas de ce syndrome, l'
auteur
ajoute que la réalité et la modalité du phénomè
occo. (Ri1;ista coiticcedi cll- nica medica, no 1, année 1904.) L'
auteur
insiste sur la tachycardie, cause très fréquente
araplégie spas- tique familiale ou sclérose en plaques familiale. L'
auteur
l'a observée chez deux frères âgés respectiveme
Central6l" XX, 1901.) De faits extrêmement nombreux examinés par l'
auteur
, il résulte que les s\ mplômes cérébraux de la
e si embarrassant au point de vue médico-légal, tel est le but de l'
auteur
. 11 nous donne d'abord deux observations person
ivauLe en'Jcas. L'examen de la marche des accès montre l'erreur des
auteurs
assignant à la durée de l'amaurose hystérique q
pidation épileploule, ni signe de Ba- Linski. Après discussion, les
auteurs
admettent que ce syndrome SOCIÉTÉS SAVANTES. 23
lbllltt, XXII, 1903.) . Après avoirpassé en revue les documents des
auteurs
,M. Stieda constate que ses propres expériences
des faisceaux céré- belleux. Les dégénérescences sont nombreuses. L'
auteur
insiste sur la dégénérescence descendante, à ga
ouva au niveau de la moelle dorso-lombaire un petit gliome auquel l'
auteur
attribue le syndrome solaire observé pendant la
encore en état de réaction chromai) tique. Ces faits paraissent à l'
auteur
difficilement conciliaires avec la théorie du n
onctionnellement différents et cloués d'une excitabilité inégale, l'
auteur
résume brièvement ses importantes recherches su
ande partie. Dans une ampu- tation de ce genre il faut, d'après les
auteurs
('tableau d'Edinger), s'attendre il rencontrer
pe externe est noté par lIonakow, Flatau et Strohmayer ; ce dernier
auteur
n'est pas exclusif. Hayem-Gilbert, Dreschfeld,
lle ; par Purves-Stewart. (\'eunolor7. Cen- tre/. XXI. 1902.) 1 L'
auteur
revendique la paternité d'un petit faisceau décri
rument déjà décrit dans le Journal n ? lryeiolnrly, XXVII. p. 85. L'
auteur
se propose de préciser exactement le degré de l
eur ; par E. M. Kastanaian. (Oúnrél11è psichiatrii, Vil, 1902.) L'
auteur
passe en revue, en un style clair et précis, le c
trii. VI. 1901.) Par ses expériences personnelles sur les chiens, l'
auteur
s'est convaincu que la région supero-e.\terne d
du segment de rétine qui voit encore sont exac- tement celles que l'
auteur
a déterminées dans ses expériences de section d
les lésions méningitiques et lym- phatiques qui les accompagnent, l'
auteur
a constaté que les sclé- roses du cordon peuven
aquelle il ne pouvait cependant donner aucun éclaircissement. L L'
auteur
discute el repousse l'hypothèse de la simulation,
glioti. (Rivista critica di clinca meclica, ne9G, î, 8, 1,)09.) L'
auteur
rappelle que c'est à l'école française, a Charcol
torticolis mental du torticolis spasmodique et du Iiys- lériquc, L'
auteur
trace un tableau 1res complet du torticolis men-
lalives accompagnées de douleur et persistant pendant le sommeil. L'
auteur
passe en revue les anciens traite- ments, mais
Buck. (Bcsll.de laSoc. de méd. ment, de Belgique, avril 1904.) L'
auteur
relate dans ce travail un certain nombre d'observ
s qu'il a faites sur 35 paralyli- ques généraux du sexe masculin, l'
auteur
tire les conclusions suivantes : , Dans un ti
UB.\IX. (JOUI'IL. de Neurologie, 1903, no 22.) On sail que quelques
auteurs
considèrent la paralysie générale comme un fact
iologique du syndrome de Korsakoff. A l'ap- pui de cette opinion, l'
auteur
relate l'observation d'un homme de 35 ans, a hé
mentale de Chaslin, ce qui est contesté par Crocq, Francotte et les
auteurs
français ; 2° les rap- ports possibles (le ce s
04, n° 7.) Celte note est consacrée il la relation de deux cas où l'
auteur
est appelé comme expert à examiner des persécut
nces morales; par \I. Le Gendre. (Bull, ttzéd., 1904, nu 39.) - L'
auteur
insiste sur les phénomènes nerveux qui constituen
oedème, est la particularité intéressante de cette oh- servation. L'
auteur
l'explique par un processus de régénération el
la perversion sexuelle alternant avec des accès de boulle (réré). L'
auteur
analyse la palhogénie et les formes de 1'(l11go
on du phi- mosis ; pal' IlEGNAULT. (Bull, 1111hl" 1901, n° 27.) L'
auteur
cite des cas où dans les 24 heures qui suivent im
e apyrétique et traitée sans résultat par le salicylate de soude. L'
auteur
constate que la loca- lisation n'est pas exacte
de l'appareil digestif par HOUYER. (Bull, nxécl., 1901, no 47.) L'
auteur
a constaté cinq cas de zona chez des militaires d
ent à la dégénérescence des racines postérieures qui, pour bien des
auteurs
, est le point de départ de la maladie (Leyden)
e hémianopsie unilatérale gauche des deux yeux, ce qui n'est pas. L'
auteur
conclut aune hémorrhagie de la fosse moyenne du
els, 38, de la paralysie par le plexus. Pour des causes diverses, l'
auteur
ne relient que 47 pa- ralysies des nerfs périph
on des racines ner- veuses de la moelle plus voisines des plexus, l'
auteur
est obligé de rejeter toute explication. 11 fau
ion, qui n'a pas encore été signalée, a élé vue deux x fois par les
auteurs
. Elle débuterait dans la première enfance par d
gnèrent de délire. Après un échec complet du sérum antitétanique, l'
auteur
eut recours aux injections de morphine, aux gra
eutique du radium. Dans les affections purement fonctionnelles, les
auteurs
n'ont obtenu de bon résultats que dans un seul
, SERRIGNY. (Joccrn. de Neurologie, 1904, no 8,) Le mandrin que l'
auteur
conseille d'adapter aux sondes de REVUE DE \fÉD
; par \\'. DI. BrcttTEREw. (Oboz-réniè psichiatrii, VI, 1902.) L'
auteur
préconise l'examen expérimental des réactions sen
Sans nier la grande influence de la syphilisdanslesanlécédents, l'
auteur
attribue une part beaucoup plus grande, il l'alco
plus souvent par congestion cérébrale. - Dans un second chapitre, l'
auteur
rapporte 27 observations dé- taillées minutieus
agnan, et qui, ayant reconnu, une fois pour fontes,et avec tous les
auteurs
, que, pour faire delà folie, il faut y être pré
urine et la fiente humaine. Nous'y relevons ce passage : « D'autres
auteurs
prétendent aussi que le méconium, qui est la pr
lle. Or, cette suppléance visuelle est exceptionnelle d'après les
auteurs
et c'est, au contraire, dans ces conditions que
que des rapports fort honnêtes, et sur ce point, assure-t-elle « l'
auteur
est mal informé ». Mais cette Clau- di1l ? c'él
on en prend connaissance, n'est guère distinguée des autres par les
auteurs
, et il a fallu les découvertes récentes du prof
re ceci aux méditations du distingué dramaturge qu'est M. Brieux, l'
auteur
de l'Evasion, -le problème de l'hérédité se réd
e avec inondation ventriculaire. Il s'agit dans ce cas, d'après les
auteurs
, d'une hémorrhagie cérébrale d'origine emboliqn
guë; puisqu'elle entraîne la mort en 4 jours. * A l'autopsie, les
auteurs
trouvèrent, avec l'intégrité complète des viscè
aucune réserve, d'un cancer primitif de la colonne vertébrale. Les
auteurs
insistent sur l'évolution ex- tremcment rapide
rale à l'influence d'une hémianopsie. Chez le maladu observé parles
auteurs
, la déviation de la tète et des yeux revêt bien
Les résultats ont été négatifs. En ce qui concerne la virulence, l'
auteur
confirme les données classiques, elle est inconst
ar ce mécanisme d'irradiation ou par des mécanismes analogues que l'
auteur
explique les syncinésies psychiques et tous les
e longs développements consacrés à l'historique de la question, les
auteurs
publient une observation excellente rela- live
s crises. Celles-ci furent plus courtes et d'intensité moindre. L'
auteur
pense qu'il s'agillà d'une modification dans la c
e, ont été assez nets dans deux cas pour con- firmer l'opinion de l'
auteur
. On ne réussit qu'à la période initiale de la c
aux, par A. IIOMBURGF Il. (Neurolog. Cenlralblatt, XXII, 1903.) L'
auteur
conclut : 1° les foyers de ramollissement unilaté
t inoculé est chose con- nue depuis longtemps, mais la majorité des
Auteurs
ne font que le signaler en passant. Quelques au
a majorité des Auteurs ne font que le signaler en passant. Quelques
auteurs
ont signalé des observa- lions de cette forme à
al rare. Dans les cas publiés, aucun n'est superposable à celui des
auteurs
. La médication a consisté en injections de séru
: avec crainte d'accidents aigus ultérieurs (comme dans le cas des
auteurs
),chez lesquels le sérum parait faire oeuvre trè
l déhutenénéralement wers la puberté, à l'âge de 13 ou 15 ans : cet
auteur
le* considère alors très juste- ment comme une
té intellectuelle telle que la suggestion curative puisse agir, les
auteurs
ont em- ployé l'anesthésie par le chlorure d'ét
que ; par le D1' UEaouBaca. (Journal de Neurologie, 1905, n°2.) L'
auteur
relate dans ce travail les observations de deux m
enèse du mensonge chez les en- fants mentalement anormaux. Pour les
auteurs
, le mensonge des enfants anormaux diffère du me
reporter à nos rapports médicaux des derniè- res années, disent les
auteurs
du rapport,on verra combien grande était notre
nerveuse. Prix Bailla1'ge1' : ' ! ,000 francs. Ce prix, destiné à l'
auteur
du meil- leur travail sur la thérapeutique des
d'un pli cacheté avec devise, indiquant les noms et adresses des
auteurs
. Les prix seuls donnent droit au titre de lauréat
er la mémoire de l'illustre aliéniste français. Nous remercions les
auteurs
de ce projet qui fait honneur à notre payc. H
l tirer de ces faits et d'autres cas ana- logues publiés par divers
auteurs
est la suivante : lors- qu'on est mis au couran
ente de pénétration et que le plus souvent (23 fois sur 35 cas de l'
auteur
) il s'agit de fragments d'os ou d'arêtes. Les s
eur) il s'agit de fragments d'os ou d'arêtes. Les soldats, ajoute l'
auteur
, y sont plus expo- sés parce qu'ils prennent le
portion thoracique et 19 fois la perforation a porté sur l'aorte. L'
auteur
insiste Sur ce fait que la perforation est surt
N. F. XIV, 1903. mMfr2à 1 IIiG et \11'll. \. F. XV, l'.104,nom9.) L'
auteur
s'occupe successivement du réflexe lumineux galva
de la subs- tance blanche médullaire sans dégénérescence. Pour les
auteurs
, la chorée serait une affection inflammatoire c
s pendant le tabès ; pal' Dalous, (Rev. de mal., janvier 1904.) L'
auteur
rapporte des observations personnelles d'accident
n. Près de la moitié des malades observés ignorent leur syphilis. L'
auteur
rappelle que le professeur Four- nier a montré
lammations interstitielles et secondairement des démène- rations. L'
auteur
rapporte une observation avec examen histo- log
nfiné au lit depuis plusieurs mois et qui sur les simples avis de l'
auteur
appliqua de lui-même les principes de Fraenkel.
mateiix, par l'ic et Bonnamour, 448. thermiques, 452. table des
auteurs
. 509 Tumeurs vertébrales. Voir Moelle. Observ
' Zones perceptives et asso- ciatives. Voir ilechiig. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS - A Abadie, 302. Adam
451. E Emirzé, 306. Erbsloeh, 145. Erikson, 153 : TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. 511 F Farez, 162, Fa
. Osgood, 75. Ossipow, 146, 392. Ostankow, 152. 512 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. P. Pagniez, 452. Pai
e la formation ammonique, nous adopte- rons ici la nomenclature des
auteurs
allemands et dé- signerons cette saillie sous l
une largeur aussi considérable que celle que lui attribuent divers
auteurs
(voyez les figures de Meynert), c'est-à-dire qu
ces résultats des formules souvent énigmatiques par lesquelles les
auteurs
ont cherché à résumer leur manière de comprendr
t il faut faire abstraction dans cette étude. » De même lorsque l'
auteur
décrit la manière dont se comporte la substance
dénomination de certaines parties, il faut avoir égard à ce que l'
auteur
considère la région postérieure de la formation
cte ; seulement, d'après les travaux allemands que 12 ANATOMIE. l'
auteur
résume, il nie la présence d'une couche de cell
ution qui cor- respond à ce que, pour le cerveau humain, tous les
auteurs
désignent sous le nom de circonvolution du corp
is- phérique. Que penser donc de l'indication donnée par tous les
auteurs
, à savoir que la circonvolution de l'hip- pocam
on ammonique : nous voulons parler de la thèse de G. Kupffer 1. Cet
auteur
étudie d'abord le dé- veloppement de la formati
rmcipmce in cuniculis institut ? Dorpati, 1859. Pour ce qui est des
auteurs
anté- rieurs et des passages dans lesquels ils
p. 22.) 21 ANATOMIE. ment de l'écorce, à peu près comme tous les
auteurs
classiques se sont plu à le figurer, sont accom
ent aux fonctions olfactives, 26 ANATOMIE. et, en effet, tous les
auteurs
admettent qu'une des raci- nes blanches du bulb
i par Kupffer; nous analyserons plus loin le court passage où cet
auteur
formule ses observations. Mais Kupffer avoue n'
e dans la concavité de la formation ammonique (voy. les citations d'
auteurs
ci-dessus page 9); elle montre que le corps god
onstration, empruntée à l'embryologie, n'était pas inutile, car les
auteurs
antérieurs à Kupffer avaient précisément cherch
'origine. Pour ce qui est de ces derniers, quoique presque tous les
auteurs
s'accordent à leur reconnaître la même origine,
ion assez compliquée par elle-même. Voyons un peu les aperçus des
auteurs
à ce sujet. Huguenm ' reconnaît au nerf auditif
oit convenir qu'elles ne sont pas tout à fait éclaircies. Parmi les
auteurs
modernes, llleubel 2 fait ressortir, par exempl
nous permettons de rappeler, comme nous l'avons déjà noté, que les
auteurs
s'accordent unani- 1 Pouchet et F. Tourneux.-Pr
rieur il appartenait au facial. (Krause 2 et Schwalbe s) . Certains
auteurs
même révoquèrent en doute la réalité d'une conn
tre le nerf auditif et le facial, dans le méat auditif interne. Cet
auteur
distingue une double relation entre ces nerfs.
connu sous le nom d'intumes- cence ganglioforme deScarpa. Plusieurs
auteurs
, au nombre desquels nous citerons Krause', part
aisceau vestibulaire); 2° que d'après Schwalbe' et plusieurs autres
auteurs
, le nerf intermédiaire de Wrisberg se relie déf
que nous ne saurions décider actuel- lement. D'autant plus que les
auteurs
diffèrent singu- lièrement quant au rôle du ner
à caractères absolument mala- difs ont été rapportés par différents
auteurs
; toutefois, avant d'entrer dans le vif de la di
ticulièrement, Chopin, Gounod, Delibes, Massenet, trouvant chez ces
auteurs
la note sentimentale qui lui convient ? ci 1 'I
PATHOLOGIE NERVEUSE DE LA CACHEXIE PACHYDER)IIQUE. (11j·xmdbme des
auteurs
anglais). OBSERVATION NOUVELLE AVEC ALIÉNATION
a société clinique de Londres, est basé sur cinq cas observés par l'
auteur
anglais lui- même. Il donne des malades un tabl
état crétinoïde pouvant subvenir chez les femmes à l'état adulte. L'
auteur
se borne à décrire très nette- ment ce qu'il a
rne, et l'abaissement de la température au-dessous de la normale, l'
auteur
signale des troubles très variés du système ner
pâleur jaunâtre des téguments, rare chez l'enfant, font penser à l'
auteur
qu'il s'agit de quelque chose de semblable au m
re que celle qui porte sur les téguments. Mais on peut objecter à l'
auteur
anglais que Ord n'a pas pu découvrir cette lési
otet qu'il avait soignée* pendant deux hivers consécutifs à Nice. L'
auteur
se livre à une revue critique des travaux de Gu
dination chronolo- 1 Ballet. Cachexie pachydermique (Afy.roeHte des
auteurs
anglais), in Progrès Médical, 24 juillet 1880.
des symptômes ; le contraire existe même pour deux d'entre elles. L'
auteur
ajoute que, dans l'hypo- thèse de Ord, les déso
sions périphériques disparaissaient en même temps ». En résumé, l'
auteur
voit dans le myxoedème un état mor- bide affect
es muscles aux endroits où l'oedème est marqué, ne tient pas, dit l'
auteur
, à une dégénérescence des élé- ments nerveux pé
nsidérations permettent, nous le pensons, de négliger les cas oùles
auteurs
, comme M. Farte, s'appuient sur des faits clini
logue; peut-être est-il susceptible de la même interprétation. Les
auteurs
, qui ont maintenu cette opinion, sont surtout M
GwuLLER (de Halle). (Ceiit-alb. f. aerv., n° 1, Il' juin 1880). L'
auteur
a observé une douzaine de cas dans lesquels, en
d avec du lait tiède, plus tard avec de l'eau faible- ment salée. L'
auteur
suggère, pour les cas qui pourraient ré- sister
erlin). (Centrale, f. Ne·vet7reaZ7unde, n° 12 du 15 juin 1880.) L'
auteur
présente quelques observations relatives à la .pr
s, amblyopies, amauroses, sont des faits bien conuus aujourd'hui; l'
auteur
résume les prin- - 96 .REVUE DE PATHOLOGIE, NER
bien une sec- tion partielle ( Verneuil Si comme tend à le croire l'
auteur
, il est vrai qu'à l'état normal on peut constat
'' »' (,. if'i'f > 11 - ' ? ! h .-il I o" i f ii, ? t. 1" ,. L'
auteur
n'entend parler dans ce' travail'que'des'hémorrha
su'cérébral, de toute effraction de sang''venu d'ailleurs. Tous les
auteurs
s'accordent à considérer' cette' lésion comme e
agie intra-ventriculaire primitive. Au point de vue du mécanisme; l'
auteur
ne se refuse pas à admettre, bien qu'à. cet éga
ulaire primitive do l'hé- morrhagie cérébrale ordinaire et (le" L'
auteur
à' résumé dans déûtâbloâuX ? èye nous reproduison
oujours fatal : sur les quatre-vingt- quatorze cas rassemblés par l'
auteur
, on ne compte que trois guérisons; dans ces tro
TABES ' DORSAL ; par Th. BUZZARD. (The Lancet, septembre 1881.) L'
auteur
pense que quelquefois l'absence du réflexe patell
S RÉCENTE ; par A. JARISCH. (IViene2- Medizin. l3latle·, 1881.) L'
auteur
ayant observé plusieurs fois au début de la syphi
'objet conçu appartenant ,à deux mondes tout à fait différents. » L'
auteur
accentue la stérilité de la psychologie ; et ma
on de la causalité est l'obstacle au progrès comme tant d'autres. L'
auteur
termine par l'analyse d'une sensation chez le n
diquer les principales conquêtes de la science depuis, la mort de l'
auteur
? . , "' , t ; à l Pour ceux qui ne se rendraie
é- nie, phrénésie, pour ne citer que les principaux. Toutefois, l'
auteur
n'exclut pas les anciennes dénominations. L'usage
de prétendre que cette tentative de classification fût heureuse. L'
auteur
constate du reste que le plus souvent l'aliénat
PATHOLOGIE NERVEUSE DE LA CACHEXIE PACHYDERMIQUE. (Mvxoedème des
auteurs
anglais). OBSERVATION NOUVELLE AVEC ALIÉNATION
compte rendu complet des dernières observations publiées par les
auteurs
anglais et américains, ces observations n'étant
achexie pachydermique. Doit-onenconclure, comme l'ont fait quelques
auteurs
, à l'existence de lésions portant sur ce systèm
s nerfs. III. ANESTUIiSIli ET RHUMATISME AItTICUI.AIRli AIGU. Les
auteurs
de {'Iconographie photographique de la Salpètri
ES' Par le Dr Henri HUCHARD, médecin de l'hôpital Tenon. Tous les
auteurs
qui ont décrit l'hystérie, s'étendent avec un s
douleurs entéralgiques, de céphalalgie, de névralgies diverses. Les
auteurs
anciens ont souvent assimilé à tort l'hypocondr
'il n'existe pas de constitution hysté- rique comme l'entendent les
auteurs
' ». - Malgré cette assertion un peu exclusive
ses ganglionnaires de la base. Il semble, comme le fait ressortir l'
auteur
de ce mémoire, que les cerveaux des microcéphal
inés comparati- vement présentaient une hauteur de 9 millimètres. L'
auteur
a calculé que la diminution se manifeste princi
rieure de la vésicule des hémisphères ettrigone) par compression. L'
auteur
rejette en conséquence l'origine atavique et la
L. (Journ. ofnervous < : HmeH<aMC<M6,janv. 98S I , p.l.) L'
auteur
développe ce thème bien connu que le développe-
(six hommes et cinq femmes de onze à cinquante ans) offrent, pour l'
auteur
, tous les attributs d'une intoxication cérébral
on ignore ce qu'il est devenu. ' ' · Les deux points sur lesquels l'
auteur
insiste le plus, en dehors des faits même du pr
7%c7oM)')Mo/'me ? ! tacM ? ! ce, n° de janvier 1881, p. 559.) z L'
auteur
, en prenant la direction de l'asile de Ceylan, a
ès d'un demi-siècle, d'autre résultat apparent que de causer à leur
auteur
les plus amers déboires. La foule de ceux que l
se rendent également des faisceaux croisés et non croisés ; mais l'
auteur
n'a pu les poursuivre jusque sur le tectum opti
au chez une seule et même espèce animale. Chez la rana esculenta, l'
auteur
ren- contra deux fois sur treize sujets une ano
formique, par le Dl BnjMSARTNER (de Bade). Les observations de l'
auteur
concernent deux individus. C'est ainsi qu'un trav
de ces processus, des abcès profonds, causant une prompte mort. L'
auteur
résume ainsi les résultats de ses recherches :
des concernent l'oculistique : une exophthalmie, consécutive pour l'
auteur
à des efforts exagérés, fut guérie par la ligat
nstamment, cette maladie, qui a été observée depuis par plu- sieurs
auteurs
italiens et allemands, se terminait par la mort,
es recherches historiques. Malgré les exceptions qu'on en a cité, l'
auteur
pense que le béribéri est une maladie propre au
Thèse de Paris, 1881. AprèsBassereau, Axenfeld, Beau, Marrotte, l'
auteur
étudie la rela- tion qui existe entre les névra
ocardite ne rend pas non plus complètement compte des phénomènes. L'
auteur
pense qu'une lésion bulbaire n'explique- rait p
celles-ci bientôt vinrent s'en ajouter d'autres publiées par divers
auteurs
et par M. Brown-Séquard lui-même ; et en J876,
cial aux lésions de la moelle cervicale, comme l'out cru beaucoup d'
auteurs
. Les troubles de la miction n'ont présenté aucu
age est très vraisemblablement celui de l'extase cata- leptique des
auteurs
; 2° Le clignement a disparu. La conjonctive es
clèles, des femmes cataleptiques, ainsi que le prétendent quelques
auteurs
, bien certainement il s'agissait de la cataleps
u bien encore la roideur des mannequins de peintre dont parlent les
auteurs
. Il semble alors que cette sorte d'état catalep
ai 1881, p. 5t3- 546.) Ce travail, rédigé d'après un ouvrage de l'
auteur
, n'est qu'une compilation, d'ailleurs intéressa
- traction rhythmique du sphincter anal : Gluge et Goltz sont les
auteurs
qui les premiers ont observé ce phénomène. MM.
nu le trajet de certains groupes de fibres. C'est par erreur que l'
auteur
dit que ces coupes sont pratiquées suivant une
s DE l'homme ; par C. Giacomini, Torino, Ermano Loescher, 1882. L'
auteur
pense que les variétés si fréquentes dans la disp
soit en connexion avec le degré du développement intellectuel. L'
auteur
a recherché quelle était la fréquence des sillons
des plis serait de 3,76 égale pour l'un et l'autre hémisphère. L'
auteur
fait les plus entières réserves au sujet de la di
taux et temporaux qui semblent rester tout à fait unilatérales. L'
auteur
ajoute que l'étude des variations dans l'arrange-
ées tabétiques ; par CHERCHEWSKY. {Revue de médecine, 1881.) .) L'
auteur
, après avoir rapporté dix-huit cas de crises lary
ne ophthalmique ; par Ch. 1 >JRS. {Revue de médecine, 1881.) L'
auteur
se propose d'établir l'autonomie trop souvent mé-
minent l'accès. Tel est le syndrome type, complet, à, côté duquel l'
auteur
étudie les migraines apthalmiques frustes. Alor
neux ; la seconde, contient les expériences et les conclusions de l'
auteur
. Pi entière partie. M. Prévost rappelle les exp
se rangent à l'idée qu'il s'agit d'un phénomène réflexe. Quelques
auteurs
ont cherché à résoudre la question en étudiant
(le centre de l'expression réflexe des émotions d'après Ferrier), l'
auteur
passe à la connexion supposée qui, existant ent
position de M. Voisin sur l'existence d'un centre de grandeur, l'
auteur
signale la possibilité de l'existence dans l'hémi
citation, l'exaltation avec la dilatation de la pu- pille gaucho, l'
auteur
admet des noyaux celluloïdes, présidant au plai
s couches optiques gauches. Le tra- ducteur admet les opinions de l'
auteur
sur l'existence de ces centres dans leurs hémis
, la propor- tion des terminaisons heureuses sera de 83 p. 100. L'
auteur
termine ainsi sa lettre : « Notre colonie peut mo
auraient été trop fréquentes, ne peuvent être conservés à Gheel. L'
auteur
examine ensuite les avantages de Gheel pour les
te de M. Baillarger, sur une lésion de la paralysie générale, que l'
auteur
a rencontrée^ quatre fois. Quand dans ces cas o
elhomme. 11 sera décerné pour la preniièt e fois en avril 1,883 à l'
auteur
du meilleur travail sur l'Idiotie. Les conditio
entière ne renferme que des observations déjà publiées; et encore l'
auteur
s'est-il arrêté dans ce travail de compilation, à
its accumulés depuis tantôt uu siècle dans les recueils médicaux. L'
auteur
n'a conservé de cet immense dépouillement d'obs
utir à la conclusion que l'aire mo- trice est plus étendue qu'aucun
auteur
ne l'a dit, il est résulté ceci : c'est qu'il e
itoires qui ont été délimités par MM. Charcot et Pitres : ainsi ces
auteurs
placent le centre cortical des muscles de la lang
la lésion. On conçoit qu'un travail si consciencieux ait permis à l'
auteur
de se faire une opinion et de la proclamer : «
de attaque 372 BIBLIOGRAPHIE. hystérique complète et régulière. L'
auteur
étudie d'abord en détail l'ovarie, les zones hy
me l'a montré M. Des- courtis le premier. Ce nom a été oublié par l'
auteur
si empressé à rendre à chacun justice. La tro
et l'épilepsie ? Tel est le problème que se proposait de résoudre l'
auteur
de ce travail, écrit sous l'inspiration éclairée
ux pathologiques Nous y comptons quatre-vingt- sept faits tirés des
auteurs
et six appartenant à M. Bourneville. Un semblab
t làd'une coïncidence fortuite; d'autant, comme le fait remarquer l'
auteur
, que tous les épileptiques autopsiés en dehors
corrélation clinique avec localisation spéciale une fois établie, l'
auteur
se demande si l'épilepsie a été dans l'espèce la
ants et les adolescents; par F. Debackeu. Thèse de Paris, 1881. L'
auteur
divise les hallucinations et les terreurs nocturn
AC.IILLE. Thèse de Paris, 1881. Contrairement t ce qu'on a cru, l'
auteur
pense que l'alcoolisme, non seulement n'est pas
aît incapable de l'engendrer de toutes pièces. L'erreur des anciens
auteurs
tient à quatre causes : 4° beaucoup de paralyti
s donc simplement de retracer les grandes lignes de ce travail. L'
auteur
le divise en quatre chapitres correspondant tout
es considérations de thérapeutique comparée au moins prématurées, l'
auteur
, tout en maintenant au bromure de potassium sa
encouragements, de 300 à 1,000 francs, pourront être décernés a des
auteurs
qui n'auraient pas mérité le prix, mais dont le
00 francs pourra être donnée, en outre du prix de 8,000 francs, à l'
auteur
qui aurait réalisé un progrès capi- tal dans la
es qui ne rempliront pas les conditions précitées; 2° ceux dont les
auteurs
se seront fait connaître directement ou indirec
concours, le pli qui y est joint n'est ouvert du';1 la demande de l'
auteur
, faite dans le délai d'un an Après l'expi- rati
re réclamé ; il est déposé aux archives de l'Académie. Toutefois, l'
auteur
pourra toujours, après la proclamation du résul
e ce mémoire est son oeuvre. L'Académie accorde gratui- Lement, aux
auteurs
des mémoires dont elle a ordonné l'impression c
propose un prix de ? i00 fr. à décerner, au mois de juin 1882, à l'
auteur
du meilleur mémoire relatif aux fonctions de la
tée dans une en- veloppe cachetée contenant la carte de visite de l'
auteur
; 1° le mémoire couronné sera la propriété de l
médiates ou directes des), par i- E. Sanders, 100. TABLE a DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Althaus, 319. Bacon (Ma
230. Lacaille, 375. I,acassat;ne.26S. Lautar, 218. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. 38à Le Bailly, 246. Le
ues de ces deux maladies a été un des principaux arguments que -les
auteurs
ont fait valoir contre leur nature syphilitique
e embryonnaire , à cause de l'aspect des cellules infiltrantes. Ces
auteurs
en ont parfaitement mis en évidence la nature s
clinique adjoint des maladies mentales à la l'acuité. . i Tous les
auteurs
qui se sont occupés de l'idiotie depuis le comm
t à la description que j'en ai donnée d'après les- observations des
auteurs
et les miennes propres. On est immé- diatement
ues. ' . ' '. ' ''j ? M. Bourneville et M. Morselli, les deux seuls
auteurs
qui aient cherché faire une classification plus
son( degré en 'complète ? incomplète et fatuité simple'. Autant ces
auteurs
ont été frappés des lésions cérébrales rencontr
a1, .s9lr-ho7 \ e '^° 1 ' Les Archives laissant toute liberté, aux,
auteurs
, au point de vue de leurs opinions scientifique
gt; '.L.,)li 1 z Dans ce long mémoire, qui, lui a servi de thèse, l'
auteur
examine la distribution des troubles sensitifs,
uses observations, accompagnées de schémas mul- tiples, ont amené l'
auteur
à reconnaître que les zones douloureuses remarq
ec débilité mentale ; 3° la folie impulsive. Dans le premier cas, l'
auteur
tient le malade irrespon- sable : l'hallucinati
me DE confusion mentale - . PRIVI1T1'IE; par le D' SÉGL : 1S. ' L'
auteur
rapporte l'observation, des plus instructives, d'
' René SMELAIGNE. "*EI) '"m"° ? i< - <<'.t . ? )"ii).' L'
auteur
rapporte l'étrange procès qui s'est déroulé l'an
.11Ym7^W `1' ? b 1.'observation, rapportée tout^au, long' par les (
auteurs
, a trait à une maladie atteinte ? de' aijxleuse
la folie puerpérale; .. t. 1,, . ^^ 1. par le D ID.1NOF. > ^ L'
auteur
s'est, proposé pour^ objet de montrer la relation
des troubles' psychiques chez la femme., qui vient d'accoucher,1 l'
auteur
passé entrevue les cinquante-trois cas dé' psyc
ns 26 p. 100 des cas, on a constaté leur rôle à titre secondaire. L'
auteur
est persuadé que ce facteur des troubles psychi
st persuadé que ce facteur des troubles psychiques, auquel certains
auteurs
n'attri- buent qu'un rôle secondaire, n'est pas
r rapport au recensement de 1891 ; par le 1)' Ciiis- HoLU Ross. L'
auteur
donne un tableau de la proportion des fous à la p
marquer qne la proportion des femmes aliénées tend à augmenter. L'
auteur
indique ensuite dans un grand tableau la proporti
ons décrites par Moll avec la polymixie. ' Comme paresthésique, l'
auteur
cite ces cas curieux de jalousie pla- tonique,
la sympathie vouée à la femme. 1 0 Au sujet des hyperesthésiques, l'
auteur
rappelle le chapitre de la Folie Jalousie de Tr
avec laquirol le,mélanâe fréquent du,mysticisme et de l'érotisme, l'
auteur
signale,le, caractère atavique de certaines obser
ues, Néron, Héliogabale et l'Africain... » «ru. nu * ^ t t > ' L'
auteur
rapporte ensuite-* plusieurs cas d'aberrations se
ant des unions entre femmes en Angleterre et en Belgique. , . - L'
auteur
rappelle les études sur le même sujet, faites en
'' XXI. Etude historique sur CHRISTINE DE Suède; par DE SARLO. L'
auteur
cherche à établir, d'après des documents de l'épo
des vues que nous avons émises nous-même dans différents travaux. L'
auteur
insiste avec juste "NJ2 REVUE DE PATHOLOGIE MEN
De l'examen symptomatiqup de'quatre'observations rapportées par l'
auteur
, il résulte que la migraine ophtalmique a précédé
ation chronique par la morphine, chez des sujets non prédisposés, l'
auteur
rapporte, deux cas absolument anormaux dans l'h
.r. ? ? ? b ,J ^ ; s.. De plus,, du côté des organes principaux, l'
auteur
a constaté des . troubles fonctionnels bien plu
le française et de l'Ecole italienne d'anthropologie criminelle", l'
auteur
signale le mouvement,, très gênerai et,très,pui
udicieuses considérations etder sages. règles de conduite. Ce que l'
auteur
a'surtout voulu démontrer' c'est que les expert
ence prouve le diagnostic d'hystérie et la malade perdson procès. L'
auteur
après avoir raconté cette observation avec tous
ont rendus fous repàraissent'et'produisent'Ies mèlilesrdésordres. L'
auteur
conseille'donc : 1° De prolonger dans les asiles
commis contre les personnes ou u les propriétés reconnaissent pour
auteur
deux individus qui semblent avoir fait associat
ui l'accepte passivement. L ? ·^ slc, .. Au'point de vue légal; les
auteurs
'de'ces 'crimes sont tous^deux coupables, mais
. M.-À. Voisin rapporte l'histoire d'un compositeur, de musique,
auteur
de plusieurs .opéras comiques, qui, à différentes
qu'il lui a, été donné d'étudier personnellement. Les opinions des
auteurs
sont classées sous les deux chefs suivants : 1°
gnostic sur ce fait que l'affection s'est arrêtée dans sa marche. L'
auteur
répond que les malades ont été perdus de vue dè
rémissions plus ou moins durables. . Pour l'alcoolisme, certains
auteurs
ont émis la même théorie, justiciable des mêmes
le lecteur y trouve annexés les cas antérieurement publiés par les
auteurs
comme pseudo-paralysies générales saturnine et al
tion des magistrats dans le placement et le maintien des aliénés, l'
auteur
.'estime que : si l'interventionrde.lajustice : n'
vrognes; par le Dr Charles DANA. Dans ces trois dernières années, l'
auteur
a publié dans plusieurs journaux de médecine le
urgie, dans nombre de cas, a pu guérir l'état mental des malades. L'
auteur
termine son discours en indiquant les progrès q
ses et aux délabrements organiques, à l'exclusion de la syphilis. L'
auteur
insistera spécialement sur leur pathogénie. Deu
ve, à la 8 pathologie mentale ou nerveuse est laissée au choix de l'
auteur
? 0 ? . , cll,lu, Cozditiorzs9·ducotzcoürs : ï-
oyé'au concours,et pli cacheté dans lequel le nom,et l'adresse de l'
auteur
, sont indiqués, ,doivent porter latmêméépigraph
- tinu. Rudimentaire chez l'homme et le chien, cet appareil que l'
auteur
considère comme appartenant à la structure norm
e, car il pourrait avoir commeconséquence éventuelle' d'enlever à l'
auteur
français'son droit de priorité.' Ce; rappel est
rvées par lui dans le plexus brachial d'un amyotrophique. Plusieurs
auteurs
, notamment 1 Blocq et Marinesco. Sur un système
ation 'lacunaire ? qui' n'a été signalée jusqu'à présent par aucun3
auteur
,'1- s est présentée dans presque, tous les» foy
it à combler l'hyperplasie du tissu vésiculaire de Renaut. Mais l'
auteur
ne tient pas compte de ce fait que les foyers n'a
aux granules myéliniques qu'elles renferment. Dans l'opinion des
auteurs
, l'élément essentiel du foyer ne serait autre c
onnées four- nies par Trzebinski et par Langhans. Le premier de ces
auteurs
dit en effet avoir rencontré mais une fois seul
surface du faisceau. Que l'on compare d'ailleurs le dessin' de ces
auteurs
avec d'autres figures, et l'on s'apercevra que
? o-ryélit'é embryon ? naire considérée aujourd'hui; par' quelques
auteurs
? 'comme de nature 'syphilitique : D'ailleurs c
des dégénérescences ascendantes a occupé déjà .un certain nombre, d'
auteurs
,, en particulier Darkschewitch, qui, expériment
histologiquement'spécifique;`èlle'est"considérée 'par ' tous les
auteurs
comme ayant une grande valeur diagnostique ; à l'
le, soit héréditaire. >- - ' " ' ' ' J ' ' La statistique de l'
auteur
, faite sans aucune arrière-pensée, sans aucun p
délire d'origine sympathique ; » par les Drs Piqué et Febvre. Les
auteurs
rapportent l'histoire d'uneimalade atteinte de dé
ne permettent point de formuler d'hypo- thèse. Chez trois malades l'
auteur
trouva un myosis bilatéral avec absence des réf
f. Psgcleiat., 1XV, 1.) ' `' , Cas complexe ainsi apprécié par l'
auteur
: hémiplégie droite avec perte de la sensibilit
2.) Etude critique de quarante-trois observations empruntées aux
auteurs
. Six observations personnelles (4 h., 2 f.) compr
iversité de Washington. (Société de biologie de Waslaington.) - L'
auteur
part de ce point de vue que les plus grandes déco
es cornes' postérieures. L'étude du système entier montre suivant l'
auteur
que c'est sur- tout par contact plutôt que par
olliker, Ramon y Cajal, Waldeyer, Obersteiner et Gehuchten sont les
auteurs
principaux auxquels M. F. Baker rapporte tout le
e français que l'on trouve cité dans ce travail, à l'appui duquel l'
auteur
donne de nombreux schémas intéressants, en part
dique DE .ERH ; par Manuel CARMONA, .T. V,1LLE-DE Mexico. ,' '' L'
auteur
'rapporte cinq observations de tabès dorsal spasm
I. Railway SPINE, Pronostic; par J.-X. DERCUU (de Pliiladelphie). L'
auteur
, rappelant les difficultés qu'offrent les experti
n tendant au redressement antagoniste de la colonne vertébrale, l'
auteur
cite le corset plâtré parmi les moyens à mettre e
les chasser; les exemples, de toutes; ces phobies abondent dans les
auteurs
classiques, il 'suffit de s'y, reporter pour en
. C'est C -ce 'que ? 1'a t a J1JJ J JGLL1 ia le nom ,.là ce que l'
auteur
désigne. sous, le nom de .< bitch symptoms »
s névralgiques et rhumatoïdes, sensations de froid et de chaud. L'
auteur
donne un résumé complet des principales autopsies
c légères modifications cellulaires'. Ja.u""9J usq4nu I™1 ! 1-™ ~ L'
auteur
, après' avoir* discuté' lés,rdifTéfe'rites opinio
rc ? mc· -" . 9t ? n ? r5 tt;) ? f..ffït l, m ? t iil7B f ' ? » L
auteur
résume ainsi son travail : : SZ ·rr '1,1 ? ' '
' I iL 41t : : " 1 - Synthèse de dix-huit observations. D'après l'
auteur
il s'agit d'une névrose professionnelle 'J due
orne grise antérieure du côté paralysé. Dans le cas recueilli par l'
auteur
l'atrophie muscu- laire était de nature dégénér
origine cérébrale. Dans son observation de pouls lent permanent l'
auteur
conclut qu'il dépendait d'une altération bulbai
4<h'.)jN' m, < ? Tl fil r jidirt f La surdité verbale, dit l'
auteur
, n'est pas nécessairement le résul- tat d'une l
critique en les comparant aux lésions semblables' relevées par les
auteurs
. On se, trouve alors en présence des lésions su
i-*«>*nv> "*«*; ^ Communication provisoire,' les travaux de l'
auteur
n'étant'pas' , .. xuiuo- n i : ,t.M ? yU e.Ue)1
acines de la queue de cheval par tumeur, (examen, microscopique). L'
auteur
insiste sur les points suivants : , ,n ^vm : q
adiculaire^ postérieures est bienlcelui,qui ;a, été. décrit paroles
auteurs
. Les . fibres radiculaires postérieures qui pén
30'Sf ;at°w"r n· t° Le foyer des circonvolutions ascendantes^ est l'
auteur
dès dé-éné- rescences secondaires ' 'minutieuse
es de l'humeur."3Doùze" observations ? ' La' dyspepsie,' continue l'
auteur
, provoque la névrose gastrique (malaises et éta
'une noix ; sa consistance est ferme,. sa : couleur gris rosé : - L'
auteur
a,relaté ce cas à cause de son intérêt anatomo-
de l'endothéliome. En terminant, et pour éviter toute confusion, l'
auteur
entre dans des considérations inté- ressantes s
,C. BpisTowE. 'T/te/OMnta< of Mental Science, octobre 1893.) ' L'
auteur
examine ces deux cas au point de vue du mécanisme
s symptômes tabétiques ? La question n'est pas encore jugée, mais l'
auteur
penche pour la dernière hypothèse, à raison, dit-
athologiques. 2H analogues aboutissant aux conclusions$uivante$de 1
auteur
. --Il -3J ? J JI^'.V tu 1° La partie cortica
< .. Jv'irt'-ti'iH t i 14 0oi.i i ? i i tel T'a jmv . - , t - l'
auteur
distinguant j udicieusement les altérations primi
e dans le traitement de l'aliénation mentale.' Des expériences de l'
auteur
, il résulte que le sulfate de duboisine, admini
ts on peut en faire une seconde série, et s'arrêter, tout à9falt. L'
auteur
, injectait de 2 à 10, milli- grammes par ur. e
pib .. . ."T stàJro "'( Pinlifii-'inn su i ? v v -ln~ -, t .t r L'
auteur
se propose dans ce ,travaild étudier le traitemen
- <A , et,de sa-esse. ? nlnr- 1. , ? ? ,^ . ., .. ' . ' . , ? L'
auteur
étudie ensuite l'action de ce^même, traitement au
IanlF.i*,fll lot i «r-»>jn«vl~. -i "if.-i'r ? ( , t 1 t ? t -i L'
auteur
rapporte ensuite quatre'observations personnelles
t; o ? H<(t/ Science; octobre 1893.) ··.- . (.F,ki 1 , .r' a L'
auteur
convient lui-même qu'il serait prématuré de tirer
d Alental Disease, janvierr1893.) -$"Nrp.-fe. isfeq , -ifUï"ff 1/ L'
auteur
surtout dans, les formes cérébrales,de la neurast
, ry. y ? 1 Dans le cours de ces t dernières . années, , plusieurs
auteurs
ont vanté l'action sédative et hypnotique du su
up plus, certaine que celles de 0,00125; c'est donc celles-ci que l'
auteur
conseille-fina- lement d'avoir recours ! Cettel
dégénérés..61 -j'u 2[il- L. ? .. r' M : ARNAUD 'demande'' ce que l'
auteur
entend dire par « fragilité nerveuse'» ? Cette*
résentants, les plus distingués de la ueuropatliologie russe, est l'
auteur
de plusieurs travaux importants parmi lesquels,
'évolution de 'là'maladie^ la démarche du malade'font éliminera à l'
auteur
le1 diagnostic de tabès médullaire" et formuler'
-i ? ,,TI , ' -" ? ï-^ "^. 7, nf-'^t ? "f , nrm ? <> C""t ? L
auteur
ne dissimule m aWui-même m à ,ses lecteurs Jes^ob
'une statistique dé quelque valeur,' il résulte des recherches de l'
auteur
que la folie* est relativement peu commune en G
FiNEGAS. (Tite joitrnal of Mental-Sciei2ce, avril 1893.) · .. ' L'
auteur
pense que l'on pourrait 'tirer parti dans les asi
it);IBR : .ll,l1$3 mRV t ? t ? fU ' , . Dans cette-1 courte note, l'
auteur
expose et, résume les avantages qui- résultent
; -~>v" « XIII. Augmentation du nombre des aliénés; paF BET...
auteur
rappelle qu'en 1858, le nombre des alienes- eii E
, CIUl3f..l'trltli 1 Jp 2 : I`9.' . . D'après lesconcli7sion's"de l'
auteur
: 1° l'augnientation dû nombre l ,-7'* I.t "K ?
depuis trente-cinq ans l'admi- nistration des-aliénés en^Esse'et l'
auteur
louesans réserves cette organisation. Les diffé
l1 ! » sqEtiplusdoin^rrivéïaux'maJlucinations religieuses', le même
auteur
déclarait simpleméntl : n`iLes s'expliquent que
lrm s1 ii*-» « ''1..59 ? C'est la-définition même donnéer.par. ! les
auteurs
, ai. 1 ? ti-i ^ QUE FAUT-IL1 PENSERADE*LA TELEP
ôqi £ ai z f2rUb la y Il .951v-lga 9JOII aoef- ? Utl9 : «*o1vp -. L'
auteur
rappelle l'enthousiasmefavéc lequel les chirurgie
iaamir al)plllllu Jldal Lt, e2tlol,BY'Ibéllw 4&lar ai IL ? . L'
auteur
publie.une, sériep d'observàtions3'clini4ues 1, s
nfiltration de'" la, pie- mëreToutes"cès iésio'ns signifient pour l'
auteur
un trouble profond , z l 4, .. oul 1 ,11 itt :
primitive. «xo zst <-u bt> giuc-lovzlsb subouoi-- i ? *► - L'
auteur
a montré à l'Association médicale de z ' thébri
ihll « F- i;tn : u Sur 140 cas de folie,puerpérale. observés, par l'
auteur
, 30 se sont . développés-pendante la,igrossesse
culée et non résolue^. il ajf'.)f't9sL ? è <''t i'o»i- Mur. L-*
auteur
s'est propoé"en,,ohservant au point de, vue anthr
IBaI)rLVItILIOI'e STEELE. '8 ,, L n t ye ? 750 ? Y - S-... ', z L'
auteur
a examiné le sang de douze malades mélancoliques
asons à vibrations , donnant des soiis(di fférents. 1 Il est, dit l'
auteur
,, possible à l'aide de (ces appareils, de. prov
de la Soc. de Méd. mentrde Berme, sept : 1893.) Dans ce travail, l'
auteur
considère la neurasthénie comme un état d'irrit
on" de la folie et des troubles psychiques' qui s'en râpprbchent, l'
auteur
passe en revue ;"les cas' où plusieurs' individ
enrayé. Un fait digne de remarque dans les deux caslpersonnels.de l'
auteur
,,c'est"le; degré, excessif d'émacia- tion'des m
'f' li5sl'in ? sb 91li-mon.fi .11LID é pcq J1.6brici- , i- .. . L'
auteur
publie deux observations intéressantes; la premiè
. Ce travail, est le complément d'un mémoirq qui a été publié par l'
auteur
il y a un-an environ dans le- Journal of Mental S
"ft n'h Après avoir résumé avec soin l'historique de la question, l'
auteur
examine dans des paragraphes différents les poi
luenza). , Suivant les données recueillies, personnellement .par, l'
auteur
, la fièvre typhoïde serait. la seule pyrexie, p
ces p6 ? /c/tOMSSur,Ia question de sexé,,les avis,sont partagés; l'
auteur
incline, à admettre la, prédominance. du,sexe,
ille, et frappe de droite et de gauche, sans motif et sans choix. L'
auteur
, donne quelques, renseignements historiques for
r punition est utile ou légitime, mais seulement de déterminenshies
auteurs
de ces violences isout ou non des aliénés, inca
,iu,~. , .. ? Celte methods agirait surtout par^ suggestion d après 1
auteur
, qui en aurait retiré seulement un1 résultat 29
il'ne faut pas que je reste au' monde, j'ai offensé Dieu, je suis l'
auteur
de tout ce qui existe de mal ».' - - Dans le co
ucun élément sensoriel auditif; elles ont pu être déû- nies,par,cet
auteur
, comme constituées par -la «représentation des
ci-dessous,in extenso ce. qui a trait dans les obser- vations,de l'
auteur
,aux hallucinations motrices.verbales : ,r ? i q
nous' ne trouvons rien de précis au chapitre des hallucinations : l'
auteur
se borne à dire, à propos de la-fréquence1 des
t* T1 ? n-" t ? . 1. ? f ? f,r< .) ? n Bf. j de A. Fovillé : ces
auteurs
pensaient, on le sait, que le grincé- .i ? - -
ales , du refus d'aliments, des tentatives de suicide : « Je suis l'
auteur
de tout ce qui existe de mal, répétait P..., j'
arleur présence la fureur de ces peuples^ informèrent contre les "
auteurs
? Ils 'les firent arrêter 'prisonniers, et la-sév
éorie de l'inflammation et'la théorie'de fhémorrhagie'pri[iiitive/L'
auteur
les résume rapidement'pour arriver'à' l'exposit
T DE PHYSIOLOGIE- PATHOLOGIQUES. la seconde partie de son travail l'
auteur
étudie les t,,ondi-- ^titJns1 physiques et ,éii
que si`lë'sàng'në' remplit' pas'J ou "remplit' mal' son office.0 L'
auteur
rappor te ici, avec détail,°quelqüêsrcâs' qu'il
, ni même analyser, toutes les expériences sur lesquelles se base 1
auteur
; il faut nous borner a lui étnptiûnlé ? a,lûl-t
qu'il'-Iài 'atti-il»6è'e*n@ pàlh*olozie nerveuse.. Voici comment 1
auteur
expose sa théorie : , d ? tr.9' i'iW W;m : r· l
sujets qui ne'peuvent pas éliminer rapidement le,poison. .in7K" L'
auteur
, termine, par quelques, considérations finales se
ie ».du Traité des Maladies mentales (sous presse) du Dr Dagonet, 1
auteur
résume les diverses opinions émises sur là nature
durée, les srlésions sont ^devenues, complexes et; multiples , : l'
auteur
les énu 378 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. mère
9 .ts , ( Passant en revue îles, différents cas signalés dans. les,
auteurs
, avant même que le mot d'automatisme ambulatoir
- . -JM- i.-l *te '11. I I..... *).' · , - `nPLés recherclies de l'
auteur
ont eu pour but de contrôler les asser- 'tidns
troublés vésaniques et', dans ces derniers cas, la 'pl u'*p'à'rt9es
auteurs
accusent aussi l'hérédité : "™'™} <*a 9,» ?
sant au point de vue littéraire qu'au point de vue psychologique, l'
auteur
recherche l'état psychologique, véritablement m
il traduisait fidèlement les visions qui assiégeaient son esprit. L'
auteur
met en, parallèle certains passages de Poë et q
" "»> .< ! '-i -n ' y 7 ,i < ijijj ja'[.ie)n." *i>aq L'
auteur
, appliquant ces distinctions à la clinique, rappo
cales, symétriques, d'où images motrices également symé- triques. L'
auteur
signale en passant la .théorie italienne.de l'ata
ienist and Netti,ologist, XIV, 93, n° 1, p.' 94.) ! · t. - . i, L'
auteur
estime que l'adage / ancien, in oi7zo veritas, s'
détention' hospitah (infirmerie spéciale du', dépôt de Chicago), l'
auteur
a vu quantité d'alcooliques délirants relâchés
if-o -.t>i -i-, ? i'< r*% ? ( ? Gdimbourâ) ? <1'' ' '. « L'
auteur
rapporte trois- observations, personnelles d'alié
autre une mélancolie suicide, la troisième une démence pré- coce. L'
auteur
donne d'intéressants détails sur les différents m
rlYs ,,fl , flî>M 1(,It) - '«qîi i- - · ? 4j1'HT " , Iln I ! , L'
auteur
a consacré ce- travail de 200 pages à l'élude des
iècle se'produit'un état stationnaire dans l'étudeide la rage, et l'
auteur
ne cite que Zamtus Lucitanus,1 Bonnet et son Se
teurs des tempmoernes : lâ'p>^ésse et les réunions savantes' : l'
auteur
a fait dés emprunts'hombréux'aujournal de1 méde
: fif=1 3vF , ,lrf^"1 ww-tri Booerhave est vivement critiqué par l'
auteur
qui insiste : plus sur la dissertation d'Ehau)t
avaux les plus récents, basés sur des statistiques dressées par des
auteurs
recomman- dables, il résulte que dans les deux
ière d'épilogue, vient s'offrir l'observation du mari de la malade,
auteur
de la conta- gion. Jusqu'à ce jour, il n'a offe
drox; ny, autres cérémonies en ajoutant le xLVC~cha itre4du`mesme
auteur
. p, *41>q wjn^t w* rô*S3 .- u&>ui ? jfU
ns grande.. w.l-e.v. ,.v- 1 , r.- 5- - Les expériences faites par J
auteur
avec un instrument qui pro- , cède la fois de l
du levier-clef semble ' expliquer les divergences de vue des divers
auteurs
sur les lois des ' secousses. On doit éviter l'
NT ÉLECTRIQUE ET la réaction ? . T- NERVO-MUSCULAIRE ; par Mares. L'
auteur
qui, dans un précédent travail, s'est attaché à d
tats obtenus.par le nerf acoustique sont identiques, de sorte que l'
auteur
conclut que, lorsqu'on expérimente sur les organe
s bains, diminué après les autres, ce qui tient, ainsi que le dit l'
auteur
lui-même à ce qu'il a un peu abusé du bain stat
re carré et se terminait en pointe. Au moyen de cet ' instrument' l'
auteur
a pu' obtenir une' forme particulière de réacti
I .1 w ` ' ' , 1 , 1"- - - .,frtl. 1 .. 1 . 1 ,', Dans ces,leçons l'
auteur
indique comme moyen le plus efficace la frankli
ion si fréquente chez les écrivains et les télégraphistes. Tous les
auteurs
ont cité de bons résultats ; les échecs tiennen
ien de plus logique par conséquent que d'employer, comme l'a fait l'
auteur
, les bains électrostatiques non seulement comme i
inaire. Se basant sur les expériences, de M : 'd'Arsoiival,- les '*
auteurs
ont surtout appliqué leur procédé aux maladies gé
phénomènes appartenant à la paralysie géiié- rale progressive. - L'
auteur
étudie d'abord les pupilles chez 100 paralytiqu
m'enbaclï' sur 316 cada- vres d'aliénés (165 hommes, 151 femmes). L'
auteur
signale la fré- quence des ostéophytes encet en
, arthropathies, nerveuses). A propos de chacune de ces maladies, l'
auteur
examine le procédé qu'il faut préférer, les thé
iques qui per- mettent d'en prévoir les heureux résultats} cite les
auteurs
qui ont préconisé cette thérapeutique et y join
ue, le faisant, nous accomplissons « un acte de réparation envers l'
auteur
et comblons une lacune de la science ». 1 1 i ,
s et lu, rareté des autopsies en rendent l'étude, très difficile. L'
auteur
étudie successivement les'blessures quant à leu
tupeur ou de demi-conscience; d'autres' vivent automatiquement ;. l'
auteur
faisant la part' du traumatisme et de- l'émotio
-i- <* "1 '* «* "' t-->" * A propos'de troublés viscéraux', l'
auteur
rapporte des-cas-d'hé- moptysie sans contusion`
près des traumatismes 'd'autres régions que la' région crânienne; l'
auteur
aurait*- rarement -'constaté les'signes'de la c
faut d'autopsie, ^on ne peut arriver à prouver, les hypothèses de l'
auteur
. La partie qui a trait à l'exagéra- tion et à l
t qui son tf des' types caractéristiques de paralysie .générale;, l'
auteur
.termine par une étude de la névrose traumatiqu
rédispositiori;,yl, nous a semblé que dans cette dernière partie' l'
auteur
avait laissé-^ un peu trop dans l'ombre, de ses
con- génitale des muscles des , par Bacli, z0 ? t, . TABLE DES -
AUTEURS
ET» DES COLLABORATEURS '' : ? T ? .· Oî *io
0, 201, 203, '204, 205, 207, 208, 209, 210, 211, 212, TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. 4ti 1 213, 214, 215, 216
u point que cer- Archives, t. XX. 3 34 CLINIQUE NERVEUSE. ;ains
auteurs
ont voulu l'identifier à ce dernier. La chorée
habitude, et on n'y attache, bien à tort, aucune importance. Les
auteurs
séparent ordinairement ces tics de la névrose t
présente pas la moindre aberration de cet ordre. Et pourtant les
auteurs
classiques signalent l'existence de ces aberrat
e la ma- ladie des tics, ces phénomènes anormaux qui, au dire des
auteurs
, caractérisent et affirment la maladie comme les
autres, plus grandes avec un corps proto- plasmique. D'après ces
auteurs
, ces dernières seraient des corps granuleux pri
sagace et érudit, M. Cullerre. (Voir sur ce sujet un travail de cet
auteur
dans les Annales médico -psychologiques , « les
n comparatif des quatre observations contenues dans ce travail, les
auteurs
croient pouvoir conclure que les signes les plu
Pour étudier le rapport qui existe entre la chorée et la folie, l'
auteur
analyse trois observation personnelles. Dans l'un
. Cette atteinte des muscles soumis à la volonté indique, d'après l'
auteur
, une atrophie dégénéralive des fibres et cellul
uble de la vision. Impossible de savoir s'il y avait eu syphilis. L'
auteur
diagnostiqua : lésion centrale du centre commun
, carcinomes, sarcomes, angiomes complexes, gommes et tubercules. L'
auteur
se propose de procéder à une localisation rétro
nand, ne prête pas à la confusion comme en français (\Vi1'ùelweh) l'
auteur
décrit ce qu'il appelle encore une névralgie de
pillaires ; par E. HEDDOEUS, (Centralbl. f. Nervenheilk. 1889.) L'
auteur
pose les règles de l'examen du malade. On regarde
rmina en quelques secondes une amélioration telle qu'un ins- tant l'
auteur
crut à une simulation, mais la marche de la malad
FRANCIS-W. CLARK. (The journal of Mental Science, janvier 1888. L'
auteur
rappelle d'abord que les aspects très divers sous
ent fortement en faveur de cette opinion. La seconde théorie, que l'
auteur
nomme théorie moléculaire, et qui est peut-être
, et le cerveau des hystériques à un morceau de fer désaimanté. L'
auteur
rapporte ensuite trois cas bien nets d'hystérie c
sparu : tout en reconnaissant chez lui l'existence de l'hystérie, l'
auteur
incline à le considérer comme un simulateur, qu
NERFS sensoriels ; par P. FLECHSIG. (Neurol. Centralbl., 1886.) L'
auteur
revendique la priorité de l'observation suivante
gorie notamment celle qui fournit une ample moisson. A ce propos, l'
auteur
n'attribuerait à l'expression folie morale que
ubérance annu- laire, dans lequel l'accessoire prend son origine. L'
auteur
fait remarquer que l'intrication est telle qu'o
énérescence des cordons de Goll par lésion de la queue de cheval, l'
auteur
ne put trouver la dégénérescence du faisceau an
étude, sur des embryons, du développement des fibres à myéline, les
auteurs
sont parvenus à constater le sys- tème de libre
s avec les fibres cérébrales du côté opposé. Nous avons, disent les
auteurs
, surtout eu en vue le gros noyau deBurdach dont
rge M. ROf3EnTSON. (The Journal of Mental Science, avril 1888.) L'
auteur
conclut : 1° que des actions qui paraissent être
cence descendante comprenait toute la base du pédoncule cérébral. L'
auteur
annonce la publication d'une observation dans l
0.50 milliampère, en ayant soin d'utiliser l'électrode normale de l'
auteur
; on l'introduit dans le circuit et l'on interr
e la surface de la lune, les nuanes, en personnages fantastiques. L'
auteur
se place dans une chambre obscure, et, les yeux
ent cuufirmatif's de la théorie de Ferrier) ont déjà été publiés, l'
auteur
se demande en terminant si des mensura- tions r
AIV Greenless. (The Journal of Mental Science, jan- vier 1887.) L'
auteur
tire de ces recherches les conclusions suivantes
moelle. Sclérose médullaire primitive latérale et postérieure. L'
auteur
l'ait remarquer que par quelques-uns de ses princ
ience, octobre 1887 et janvier 1888.) Des faits qu'il a observés, l'
auteur
conclut : 10 Que la neurasthénie engendre des n
par n. PERCY SMITH (The Journal uf Mental Science, avril 1S87.) L'
auteur
relate sommairement six cas de fièvre typhoïde su
mentale. 103 typhoïde a déjà été signalée : dans deux des cas de l'
auteur
les symptômes de manie se sont nettement et sou
er le pronostic de tel ou tel cas donné. La fièvre' typhoïde, dit l'
auteur
en terminant, est actuelle- ment une maladie tr
taient congénItalement imbéciles : tous étaient des hommes ; mais l'
auteur
se l'appelle nettement deux cas qui étaient rel
es allures qui paraissent caractéristiques, et à ce point de vue, l'
auteur
indique trois particularités dignes de remarque :
que s'aggraver. Le malade est actuellement en état de démence. L'
auteur
pense que la folie de l'oncle du malade a bien pu
E, de Koenigsberg. (The Journal of Mental Science, avril \8$7.) L'
auteur
s'attache à démontrer que parmi les psychoses cur
; par John KEA Y. (The Journal of Mental Science, avril 1888.) L'
auteur
a considéré ce cas comme un cas de folie de l'ado
mais finissent généralement par guérir. - Dans le cas observé par l'
auteur
, la dépression a été constante, sans la moindre
ions et de celles de leurs proches. - 11 ne auts jamai oublier, - l'
auteur
a raison de le rappeler que la syphilis est un
par M. CA112PELL. (The Journal of Mental Science, avril 'l881.) L'
auteur
résume dans les termes suivants les points les pl
uite ultérieure démontre que son état continue à s'amé- liorer. L'
auteur
a rangé ce cas, à l'exemple des classiques, dans
de la variole, de l'érysipèle, en y mettant sa note personnelle, l'
auteur
établit que la guérison en question a toute chanc
nt assez souvent une épilepsie opiniâtre très difficile à guérir. L'
auteur
signale deux observations relatives à ce dernier
e à deux ans de distance des phénomènes psychopalhiques. Ici, dit l'
auteur
, on n'a à invoquer que la similitude de constru
hémisphères cérébelleux par la méthode de Weigert (hémat0xyline), l'
auteur
acon5taté que, dans tous les cas, il existe une
subi des atteinte ? , individus qui n'ont pas plus de vingt ans. L'
auteur
insiste surtout sur la richesse des hémisphères
a forme dépressive à évolution aiguë de la démence paralytique. - L'
auteur
relate l'histoire de cinq malades. Entrés à l'a
atteint, très vraisemb)a))tement ? comme le faildu reste présumer l'
auteur
- de syringomyélie, et qui offre à AI. Grasset
ie est expose avec des critiques qu'on lira avec profit, bien que l'
auteur
ail une certaine tendance à faire rentrer dans-
Ce travail est le résumé de quelques leçons cliniques faites par' l'
auteur
sur la chorée molle. Il y montre que les symptôme
sme, prédomine alors sans contrepoids. Nous ne pouvons ici suivre l'
auteur
dans ses développements, longs parfois, mais to
re môme des idées fixes et de la folie impulsive. Sur ce terrain, l'
auteur
est évidemment moins solide, et, à ces considér
par Ch. LETOURNEAU. Lecrosnier et Babé, éditeurs, Paris, 1890. L'
auteur
a précédemment entrepris une série d'études d'ant
estive et origi- nale sur les phases de l'évolution politique, et l'
auteur
nous y condense les conclusions que ses observa
t, et agités par un tremblement ainsi que les membres supérieurs. L'
auteur
à propos de cette observation fait l'historique
manière originale, bien que sujette peut-être à discussiun, dont l'
auteur
envisage l'épilepsie, ou pour mieux dire les épi-
t. Traduit et remanié avec le '1 6 6 bibliographie. concours de l'
auteur
parle Dr Keraval. Préface de 11. le pro- fesseu
e instrumentation simple communément usitée. Dans la seconde, que l'
auteur
désigne sous le litre» a Crauiométrie et céphalo-
de préférence dans l'épaisseur de la commissure postérieure. Pour l'
auteur
la glioillatose est une affection spéciale à la
but est juvénile, la durée très longue. A propos du dia- gnostic, l'
auteur
insiste sur l'hystérie, la maladie de Morvan, la
éveillés par le bruit, se levèrent et se mirent à en re- chercher l'
auteur
. Ayant découvert Thomas, ils voulurent l'appré-
terne exclusivement. Plus tard ces faits furent repris par d'autres
auteurs
qui les étudièrent plus complètement et avec pl
el- vienne. Th. Paris, 1884. 1118 PATHOLOGIE NERVEUSE. Un autre
auteur
, M. Noune', a publié un cas de sciatique simple
inexcitables. ' . Dans l'observation suivante, empruntée au même
auteur
, nous assistons à la localisation graduelle des
sciatique est due, si l'on veut bien admettre les conclusions de l'
auteur
, qui paraissent parfaitement conformes à la vér
omaine du nerf sciatique poplité externe. Quelle inlel prétationles
auteurs
ont-ils tenté de donner de ce fait en apparence
es du mollet. Elle ne saurait donc être admise, d'autant plus que l'
auteur
veut l'appliquer à tous les cas, et ainsi que n
tentionnel. 1° La forme {¡'épidatoi1'e est ainsi caractérisée par l'
auteur
: Les tremblements trépidatoires sont habituell
oints très importants de doc- trine et de pratique. i> Le même
auteur
apprécie les travaux, simultanément parus, d ed
cher seule en notre présence. L'antipyrinc est vantée par divers
auteurs
dans le traitement des mouvements anormaux- Leg
ase asphyxique. Symptômes. - Nous avons relevé avec soin dans les
auteurs
les observations de paralysies succédant à l'em
YSIES CAUSÉES PAR LA VAPEUR DE CHARBON 219 9 ques observations. Les
auteurs
se bornent à noter que la contractilité faradiq
ations de Klebs, de Leudet, d'Ar- nozan et Dallidet2). Ces derniers
auteurs
ont trouvé « un grand nombre de tubes nerveux p
les muscles, prolifération des noyaux et du sarco- lemme. Aussi l'
auteur
a-t-il tendance à faire jouer aux muscles, plut
la production de la paralysie. C'est aussi l'opinion des anciens
auteurs
(Bourdon). Mais, comme dans tous les cas où l'e
e avec intégrité de la face, suivie de guérison - une autre du même
auteur
où l'hémiplégie accompagnée de perte de la sens
ntral, f. Nervenh., 1886.) Voici la symptomatologie du type que l'
auteur
présente comme nouveau; elle est basée sur 47 o
passage, blanchissage, femmes de mé- nage) voilà pourl'étiologie. L'
auteur
discute le diagnostic d'avec : névralgie, compr
t de Sinkler, 1883, 1884), fusionnent par- faitement avec ceux de l'
auteur
. M. Bernhardt adopte l'opinion d'une triple pat
DE Base- Dow; parP.-J. IIID1US. (Centralb. f. Nervenh., 1886.) L'
auteur
affirme que dans ces dernières années il n'a pas
. MOEBIUS. (Centralbl. f. Neruenheilk., 1888.) Hystériques, dit l'
auteur
, sont toutes les modifications patholo- giques
aleur du traitement, si éclatant se montrât-il comme dans ce cas. L'
auteur
communique un second fait semblable amélioré pa
Intégrité organique complète; rien du côté du grand sympathique. L'
auteur
conclut à une atonie locale des vaisseaux de la
à l'enfance. Or, elle est, dit M. Caspari, infiniment fréquente. L'
auteur
en fournit un résumé clinique qui est le fruit
'un traumatisme céphalique, et à l'occasion de délits dont il est l'
auteur
. Finale- ment délire des perscéutions; prophéti
gresse (démence, paralysie géné- rale). C'est suivant ce plan que l'
auteur
résume l'état de la physio- nomie dans la mélan
âges, relevé des diverses causes attribuées à la maladie. D'après l'
auteur
, la paralysie générale résulterait toujours de
s LE tabès; par 0. HEBOLD. (Allg. Zeitsch. f. Psych., XLIV, 1.) L'
auteur
relate deux observations. L'une, d'après lui, doi
gnent ; il faut simplement provoquer les confi- dences du malade. L'
auteur
étudie successivement les faits clini- ques que
électro -diagnostic ; par Martius. (Arc/¡. f. Psych. XVIII, 2.) L'
auteur
s'occupe de déterminer : Dans quelles conditions
1TTEVILLI's. (Neurol. Centralbl., 1886.) Depuis bien des années l'
auteur
avait constaté des espèces de contradictions en
nostic ; par IIARTIUS. (Arch. f. Psych., XVIII, 3.) En réalité, l'
auteur
traite dans ce mémoire la question suivante : D
s, et, avec elles, la démence et le marasme. Des 20 sur- vivants, l'
auteur
a pu en examiner 15. Les convulsions ont reparu,
été faite à l'aide des méthodes de coloration double de Weigert : l'
auteur
a par comparaison coloré certaines préparations
'on résume les dix cas d'hétérotopic existant dans la science, et l'
auteur
l'a fait, on constate que, bien que la plupart
s confirmant celle du microcéphale J[ofmann 1, Le tapetum des vieux
auteurs
n'a décidément rien à voir avec le corps calleu
es époques, et la reproduction d'un certain nombre de ma- lades des
auteurs
; 3° la tête du Pacha (voir Arch. de Neul ? 1886)
dont elle souffre par une obsession spirite. D'un autre côté, les
auteurs
mettent en relief l'importance des troubles de.
Blocq, etc., et par cela même, d'aprèsl'explication donnée par ces
auteurs
, sont la preuve d'une atteinte à la mé- moire o
ns souvenirs et l'absence de localisation dans le temps. Pour les
auteurs
, ces faits sont dus à l'effacement des images s
r toujours été plus faibles. A l'appui de cette interprétation, les
auteurs
citent des expériences confirmatives et surtout
nces et les cas de démences guéries. Au point de vue étiologique, l'
auteur
en forme dix grou- pes : 1° les démences des en
ns lesquels la démence complète est rare et la durée très longue; l'
auteur
les distingue des fous mo- raux et des imbécile
térisés surtout par de l'incohérence dans le troi- sième groupe ; l'
auteur
termine en rapportant un cas de démence chez un
ale, mais aussi dans la démence de quelque nature qu'elle soit. Les
auteurs
ont contrôlé les procédés et les assertions émise
ieuse) et six fois, c'est-à-dire dans tous les cas, les seuls que l'
auteur
ait eus à sa disposition, la résistance électri
prendre le tracé; par K. RI>;c>';n. (Centr. f.Nerv., 1886 ) L'
auteur
a inventé un fixateur à l'aide duquel on trace su
à ce titre qu'à celui de Traité de Séméiologie que lui a donné son
auteur
. Les mé- 1 Voir aussi sur ce sujet la thèse de
ticulier par Galezowski, Féré, Raullet, Robiolis. Mais aucun de ces
auteurs
ne dé- montre qu'il peut y avoir un lien étroit
gnalée; on doit reconnaître aussi que, malgré l'opinion de quelques
auteurs
, l'hémiopie paraît indé- pendante de l'hystérie
e laisse voir les faits tels qu'ils sont et non avec les yeux des
auteurs
. En dépit de la meilleure volonté, il est sou-
sti- tuer pour quelques-uns, leurs découvertes à leurs véritables
auteurs
; ensuite parce que j'y ai trouvé la meilleure c
ppareil olfactif. Réu- nissant et groupant ces faits, admis par les
auteurs
les plus experts mais isolés les uns des autres
ecine étant aussi maigre que le mien, j'ai dû me borner il quelques
auteurs
. 'Au dernier moment, 15 juillet 1890, je viens
avant de commencer mes recherches, ce que j'ai lu depuis dans les
auteurs
, une fois celles-ci terminées, je n'aurais pas
logie. ESPACE PERFORÉ ANTÉRIEUR 1° Carrefour olfactif. - Tous les
auteurs
admettent que cette région est constituée par u
n ce point pour devenir verticale et se continuer avec ce que les
auteurs
décrivent sous le nom de pédoncule du corps cal
sentant ces racines moyennes. Circonvolutions olfactives. Quelques
auteurs
dé- crivent deux circonvolutions olfactives, un
tif*. Notes bibliographiques. - Arc olfactif. FOVILLE est le seul
auteur
qui mentionne ce fait anatomique. Il est vrai que
, ce qui a retardé la publication de la suite de notre travail. LES
AUTEURS
. DK LA PERCEPTIBILITÉ DIFFÉRENTIELLE. 57 que
i nous concerne, vu que les données fournies par les diffé- rents
auteurs
sur la perceptibilité différentielle, varient s
Ce fait se trouve très bien concorder avec les travaux de nombreux
auteurs
, qui ont déjà constaté que la loi de Weber, en
eur relation réciproque. A notre connaissance, jusqu'à présent, les
auteurs
ne se sont pas du tout occupés de cette relatio
s ce sens. Car les expériences de Steiner, de Schroeder et d'autres
auteurs
, montrent que les formes d'activité qu'on a cou-
décrites par Hughlings Jackson. Il a été aussi établi par quelques
auteurs
, Landois par exemple, que l'écorce est chimiqueme
utable qui a été démontré maintes fois par moi, Horsley et d'autres
auteurs
, et qu'on peut regarder commp une expérience cl
YSIE progressive; par M. Friedmann. (Neurol. Centralbl., 1887.) L'
auteur
rappelle ses travaux au sujet du système des fibr
lui que demande l'interrup- tion volontaire de cette contraction, l'
auteur
trouve des chiffres à peu près égaux, ce qui pr
our expliquer la production des ramolliss ments, il faut, d'après l'
auteur
, accorder un rôle prépondérant à la dégéné. escen
00 grammes, et toute fraction de 100 grammes entre 900 et 1000. L'
auteur
considère le sens musculaire comme un sens de la
DSTEIN. (Centralbl. f. Nervenheilh. 1888.) Résumé du travail de l'
auteur
américain, paru dans l'American Jonrnal of medi
. (Archiv. f. Psychiat., XX, 2.) Deux observatious qui, d'après l'
auteur
, témoignent d'un affai- bli-sement pur de la mé
tantôt à des phénomènes qui rappe- laient la paralysie générale. L'
auteur
fait remarquer dans l'espèce l'absence des symp
on de ces faits intéressants dont bon nombre ont été observés par l'
auteur
. Le chapitre V est d'un grand intérêt. L'auteur
été observés par l'auteur. Le chapitre V est d'un grand intérêt. L'
auteur
y fait la psycho-physiologie du causage articul
Les causes, le diag- nostic, le pronostic sont étudiés avec soin. L'
auteur
a ajouté à l'histoire de l'aphasie un chapitre
longtemps faite des névroses et en parti- culier de l'hystérie. » L'
auteur
a classé les troubles trophiques de l'hystérie
dans le détail de cet exposé, car ce sont surtout des . faits que l'
auteur
y a rassemblés. Nous lui reprocherons peut-être
a veine cave inférieure. 11 existe un second mode d'extension que l'
auteur
propose d'ap- peler thrombose non continue « sp
6 mars, et la malade quitte le service presque guérie le 9 avril. L'
auteur
admet qu'il y a eu une thrombose de la veine sa
rait des Deutschen Archiv. fùr klinische âledicine, 468 vol.) Les
auteurs
se sont proposé d'éclaircir la question de savoir
- quement que le Dr Carlier serait déféré aux tribunaux comme co-
auteur
de cette escroquerie. Gain de cause est resté c
essiva aU influenza. Brochure in-8° de 7 pages. Verona,1889, chez l'
auteur
. Pitres (A.) et BITOT (E.). - Des tremblements
ooren, 434. 'Zones épileptogènes, par Homen, 1 246. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Alhundo, 82. Acker, 254
Fritsch, 252. Fuchs, 441. Fuerstner, 436, 440. 474 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Gacrtnpr, 260. Gauran,
117, 282. Ron,lot, 121. Hosenuach, 90, 244, 247, 250. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS 475 Rosenheim, 86. Rose
ature dû à M. Bonnet 3. Cela fait donc en tout cinq cas émanant d'
auteurs
tout à fait dignes de foi et compétents, bien a
ns insister ici sur les rapports qui existeraient, suivant certains
auteurs
(Remats), entre le paramyoclonus multiplex de Fri
es à la théorie de la régénération de la substance de la moelle : l'
auteur
non seulement n'a pu dé- montrer une seule fois
s multipo- laires. Cette découverte sert à convaincre encore plus l'
auteur
dans son opinion ancienne de la possibilité d'u
de la cicatrice de la moelle, on peut supposer avec certitude que l'
auteur
en question ne put y découvrir d'élé- ments rég
e seulement les amphi- bies et les reptiles, chez lesquels tous les
auteurs
(II. Millier, Masius et Van-Lair, P. Fraïsse) p
g, Schiefferdecker et Piccolo avec Santi-Sirena; les trois premiers
auteurs
se servaient de chiens nouveau-nés et les autre
mais nous ne pouvons pas juger de cette opération dans la- quelle l'
auteur
remarqua la restitution des fonctions et la ré-
phénomènes. Une telle contradiction dans les résultats chez le môme
auteur
qui défend une opinion quelconque n'inspire poi
en montrant encore une circons- tance probablement oubliée par les
auteurs
qui se servaient pour de pareilles observations
ns tous les cas, dans une suite d'opérations produites par d'autres
auteurs
sur des chiens âgés, on n'a pu constater ni la
de la vision. J'aurai à y revenir plus loin; j'ajouterai que les
auteurs
enseignent que les tubercules mamillaires se dé
vertébrés est proportionnelle à celui de l'hippocampe. » Quelques
auteurs
classiques, SAppEyentre autres, signalent dans
st souvent d'un blanc absolu- ment pur, ne soit pas signalé par les
auteurs
? Aujour- d'hui encore, après avoir constaté de
à part ne sont-ils que « la couche fenêtrée » dont parlent quelques
auteurs
et qui seraituneémanationde la capsule externe.
parations, à être assez affirmatif, si je n'avais trouvé chez des
auteurs
, anciens il est vrai, la conformation de ce que
pilier antérieur et la cloison transparente, comme l'indiquent les
auteurs
, mais encore dans le tubercule antérieur de la
Ce fait est des plus faciles à vérifier; il explique pourquoi les
auteurs
anciens n'avaient trouvé que trois piliers à la
crite incom- plètement. Sous le nom de lyre, de psaltériuiii, les
auteurs
décrivent une région triangulaire limitée en de
qu'une portion du ruban péri-optique, est consi- déré par quelques
auteurs
comme faisant partie de l'appareil de l'olfac-
haut, dans les notes relatives au centre cortical, les opinions des
auteurs
qui admettent des rapports proportionnels de déve
avec les autres commissures transversales du cerveau. » D'autres
auteurs
admettent aussi une commissure des nerfs olfact
t, du reste, été t1'Ouvés jusqu'ici que pa¡'lIfeynel't : d'au- tres
auteurs
en ont nié l'existence d'une façon absolue. » E
e kilogramme du poids de l'animal, en injection hypodermique, ces
auteurs
ont pu provoquer des accès convulsifs complets,
lber- toni n'avait trouvé aucun écho, et que, pour la plupart des
auteurs
italiens 2, la zone épileptogène s'étend à toute
s mouvements réflexes provoqués par des sensations subjectives, les
auteurs
italiens les ont considérées comme résultant de
du processus à la zone motrice. Mais, d'accord sur les faits, les
auteurs
diffèrent quanta leur interprétation. Voici les
ceux-ci, Bianchi entend les régions du lobe frontal, que quel- ques
auteurs
ont considéré en effet comme n'ayant point de f
tudié le rap- port de l'épilepsie larvée avec li folie morale : ces
auteurs
estiment que très souvent, les explosions de la
Sur un point de l'hémisphère gauche, par exemple, d'un lapin, ces
auteurs
déposent de l'extrait de Liebig ; il en résulte d
ifs reparaissent ensuite : l'épi- lepsie se produit de nouveau. Ces
auteurs
, dont l'un a travaillé dans le laboratoire de G
ins étendue des circon- ' volutions de l'aire sensitivo-motrice des
auteurs
italiens, c'est-à-dire de FA, PA, LP, Pj et P..
incipale de cette incertitude dérive toujours, en réalité, chez les
auteurs
italiens, de la doc- trine de la diffusion des
ns den Ver- handlurrgen der Aerzte-Gesellscliaft in Odessa, 1887. L'
auteur
appelle encore l'attention sur deux observation
raient qu'en degré, non en nature, de celles du manteau, et que les
auteurs
italiens invoquent pour expliquer la disparitio
nomène du genou ; par M. 13ENEDIET. (Neurol. Centralbl., 1889.) L'
auteur
en décrit quatre formes : 1° Une forme chroniqu
L'observation avec autopsie de Roller confirme cette proposition. L'
auteur
fait ressortir comme constituant une anomalie la
se mêlent peu à peu à ses fibres. Il est donc certain, conclut l'
auteur
, que les fibres non entre-croisées forment dans
llule granu- leuse ordinaire. De treize observations empruntées aux
auteurs
(Hayem, Messner, Meyer et Beyer, Leyden, Kahler
un trou occupant le domaine des ascendantes (porencéphalie), les
auteurs
concluent que les cinq sixièmes au moins des fibr
ion DU CERVELET; par W. Bechterew. (Neurol. Centralbl. 1890.) 1 L'
auteur
combat le mémoire de Gowers (voy. Archives de Neu
irol (200 francs elles oeuvres d'Esquirol) est décerné à M. Bonnet,
auteur
d'un travail sur les Rapports de la syphilis et d
iniques et ana- tomiques de ces cas, ainsi que les conclusions de l'
auteur
et la discussion à laquelle ces dernières ont d
n « sur la structure des nerfs périphériques» . Les recherches de l'
auteur
ont trait à la structure très fine, principalem
n tissu ner- veux. L'enveloppe de myéline est constituée, d'après l'
auteur
, de cinq à six couches concentriques absolument
s employées pour la mettre en évi- dence étaient tout autres chez l'
auteur
que chez les histologistes précédents. Le cylin
ait jusqu'à présent à 1/5 de la fibre, ce qui s'explique, d'après l'
auteur
, par l'action des bichromates. La substance inter
es constitutives du cylindre-axe dans un nerf vivant est, d'après l'
auteur
, dans un état gélatineux. La dis- position régu
gélatineuse du cylindre-axe. En se fondant sur ses recher- ches, l'
auteur
émet des doutes sur l'existence de l'axolemme. En
me ». En se fondant sur ses observations personnelles nombreuses, l'
auteur
se déclare convaincu que l'état hypnotique et l
mportants susceptibles d'être combattus au moyen de l'hypnotisme, l'
auteur
cite : l'insomnie, la douleur, le refus d'alime
voit un désaccord entre l'opinion de M. Toxansm et celle des autres
auteurs
qui considèrent les états hypnotiques comme ano
urs exemples tirés de l'histoire et de la littérature ont servi à l'
auteur
à la démonstration de celte idée. En levant la
Cette thèse contient l'étude de 54 observations empruntées à divers
auteurs
; une observation personnelle dans laquelle les
ulté de Médecine de Lyon. (1890, J.-B. Ddillière.) Sous ce nom, l'
auteur
décrit l'épuisement nerveux; autrement dit l'ir
ionnent. Les troubles utérins et dyspeptiques en seraient d'après l'
auteur
moins des causes que des effets. Les types clin
thénie et la myélasthénie. Selon la prédominance des symptômes, l'
auteur
considère encore les formes suivantes : neurasthé
res d'origine différente chez le même individu. A cette occasion, l'
auteur
étudie la question de folie paralytique et de d
ralisme, et le piromiame et leurs conclusions chez un même sujet; l'
auteur
rattache toutes ces intoxications à une prédisp
ervés aux membres du Congrès. ART. 6. Les orateurs, de même que les
auteurs
de communi- cations, ne pourront occuper la tri
eurs étiologiques de la syringomyélie ? Eh bien, oui, plu- sieurs
auteurs
: Silcock', Harcken, Strümpell, Oppen- heim, on
ombaire; cette opération est restée sans résultats; ergo, conclut l'
auteur
, les nouvelles voies motrices de la moelle pass
aire, une opération qui a affirmé positivement l'hypo- thèse de l'
auteur
nommé celle de l'entre-croise- ment immédiat de
ce de la racine ex- terne olfactive dans le noyau, puisque quelques
auteurs
l'ont constatée, je dirai que pour moi, cette r
Henry MaUDSLEY. (The Journal on mental Science, juillet 1888.) L'
auteur
estime que, dans l'intérêt de la psychologie vrai
s ou vagues. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 223 3 Peut-on dire que les
auteurs
de crimes de cette dernière ca- tégorie soient
la production du crime chez les deux premiers groupes criminels; l'
auteur
rapporte des exemples historiques à ce sujet :
, comme criminel, qu'il est devenu illustre comme conquérant. ' L'
auteur
arrive à cette double conclusion : 1° qu'il n'exi
The Journal of Mental Science, juillet 1888.) Les recherches de l'
auteur
portent sur les '128 épileptiques qui sont entr
s vite sitôt que l'on sus- pend l'administration de l'antipyrine. L'
auteur
s'est servi, pour ses recherches, de l'antipyri
chez une femme atteinte de mutisme hystérique avec stupeur : et les
auteurs
croient devoir l'attribuer à un effet moral, à un
ré un traitement prolongé pendant plusieurs semaines, conduit les
auteurs
à admettre que les injections de liquide testicul
. l3elaandl. Schwachsinninger und Epileptiscltel', n' 1, 1888.) . L'
auteur
a prolongé ses essais pendant six mois. Chaque ma
e solution dans du vin ou du cidre.) Dans un cas d'état de-mal, l'
auteur
a fait trois injections sous- - cutanées de 0 g
es cas, cette somnolence a disparu avec l'accoutumance. En outre, l'
auteur
a observé des troubles digestifs, de l'inappéte
ules sur la peau par la suggestion hypnotique. Les expériences de l'
auteur
ont été failes en présence d'un grand nombre de
'amène à considérer quatre courants prin- cipaux dans l'opinion des
auteurs
: 1° Quelques cliniciens, les moins nombreux, n
range en quatre groupes les tendances principales des différents
auteurs
: 1° Pour les uns, la paralysie générale est ha
uvent aux paralysies partielles. Mais de plus avec la stéatose les-
auteurs
constatent la sclérose qui peut atteindre le foie
A. Carrier lit ensuite un mémoire de M. Régis sur le même sujet. (L'
auteur
de ce travail étant absent, les conclusions n'en
paralysie générale. » De leurs observations sur 205 malades, les
auteurs
concluent à ce que « la plupart des intoxications
formes de la tête et du cou; changement de caractère de l'animal. L'
auteur
voit dans les cas aigus quelque chose d'ana- lo
ue aux attaques de paralysie générale spinale. M. Magnan félicite l'
auteur
du procédé qui lui a permis de mener à bien ses
des symptômes cliniques précités. De ces recherches nécropsiques l'
auteur
tire les conclusions suivantes : 1° Rien ne per
et statistiques relatifs à l'étiologie de la paralysie générale. L'
auteur
en conclut au rapport étroit existant entre l'alc
en a parlé. Ce que M. Magnan a vu, et, après lui, beaucoup d'autres
auteurs
, c'est l'encéphalite à la fois interstitielle e
elles conclu- sions, devant les tribunaux de Lyon en particulier. L'
auteur
rap- pelle que, pour lui, responsabilité partie
est générale- ment pas modifiée ; cependant, dans quelques cas, les
auteurs
ont trouvé des oscillations thermométriques ina
contraire, à l'agitation possible à ce moment. Les divergences des
auteurs
relativement aux modifica- tions thermiques, vi
faire un nombre encore plus grand de sorties. Ce n'est pas que l'
auteur
soit contre le traitement dans les familles, mais
ration de la peau. La localisation éveille l'idée de la pellagre, l'
auteur
croit que dans ce cas l'in- fluence de l'état d
rts de la paralysie générale précoce avec l'alcoolisme ancestral. L'
auteur
n'apporte que deux observations à l'appui de sa
lle est une dégénérescence due à l'alcoolisme de leurs géniteurs. L'
auteur
rappelle que dans sa thèse (88) il a déjà indiq
ux groupes de cellules de l'oculo- moteur commun déjà décrits par l'
auteur
. Ce groupe annulaire comprend cinquante à soixa
en plaques disséminées. Contrairement à ce que disent les livres, l'
auteur
a sur 30 cas de cette maladie, confirmée par l'au
0. Dans ce volume qui, nous l'espérons, ne sera pas le dernier, l'
auteur
étudie les recherches récentes sur les fonctions
ar une portion restante ou régénérée, y sont très bien exposés. L'
auteur
nous montre Goltz luttant contre les localisation
travaux des partisans des localisations cérébrales; en tous cas, l'
auteur
n'a pas à y perdre. Le même reproche ne peut êt
BIBLIOGRAPHIE. 287 7 A propos des centres corticaux de la vision, l'
auteur
rappelle que c'est Ponizza qui découvrît le cen
hes cliniques de Sapilli sont venues confirmer ces expé- riences. L'
auteur
expose la théorie de l'engrenage, d'après laquell
ur les hallucinations. Toute- fois, M. Soury n'admet pas, comme cet
auteur
, de centres supé- rieurs d'adduction. L'intelli
ques. L'appendice sur l'épilepsie corticale, déjà très résumé par l'
auteur
, demande à être lu et per- drait à l'analyse.
leau le mieux présenté de nos jours sur les fonctions du cerveau. L'
auteur
a certainement été guidé dans ses appréciations
ître excessive, et l'on est tenté d'étendre à tous les cas ce que l'
auteur
affirme de quel- ques-uns, c'est-à-dire de ratt
édical Record, 31 janvier 1891.) Dans une précédente publication, l'
auteur
a attiré l'attention sur la valeur thérapeutiqu
iffusion anodale. Cette propriété a depuis été confirmée par divers
auteurs
. Les indications de cette méthode sont les suiv
janvier 1891.) Dans le New-York medical Journal du 30 août 1890, l'
auteur
a décrit un cas de démence avec paranoia dans l
même FAITS DIVERS. 297 disparaît tout à fait.' Malheureusement, l'
auteur
ne nous dit pas quelle variété de pommes on doi
), Rosenstein 2, P. Marie et Georges Guinon, 3 ainsi que des divers
auteurs
qui se sont depuis lors occupés de ce sujet. Il
est vrai de dire que le fait avait déjà été signalé par d'autres
auteurs
. Smith' avait noté la glycosurie comme complica
rareté, qui n'avait pas échappé à Smith, a été constatée par divers
auteurs
. Eulenburgne l'a vue qu'une fois sur 125 cas de
te depuis de longues années notre maître, M. Char- cot, et d'autres
auteurs
parmi lesquels nous citerons MM. Axenfeld et Hu
stérie, le goitre exophthal- mique ont été signalés par de nombreux
auteurs
qui les ont étudiés soit dans les divers membre
le progressive. L'une d'elles dont la maladie relevait, d'après cet
auteur
, d'une névrite du nerf trijumeau, provoquée par
du nerf trijumeau gauche. Comme cause des phénomènes atrophiques, l'
auteur
admet ici une hémorragie dans la région du noya
par les branches de la V8 paire; et de fait, c'est ce que bien des
auteurs
ont constaté à bien des reprises. Mais à part c
upille droite et d'atrophie de la moitié droite de la face.-Le même
auteur
constata chez un sujet frappé au nerf sympathique
affecté restant toujours pâle et sec. C'est sur cette pâleur que l'
auteur
appelle notre attention, en l'expliquant par l'af
conclusion de ce fait, étant donné que dans des cas analogues, les
auteurs
ont noté un abaissement de la température, parf
leur ancienneté relative avoir échappé à l'attention de quelques
auteurs
récents. ' Enfin, à propos de ces deux nouveaux
ans la thérapeutique par Kast. Disons tout d'abord que, d'après ces
auteurs
, le sulfonal n'exerce aucune influence sur la p
en chez l'enfant. La dose administrée variait de 1 à 2 grammes et l'
auteur
n'a observé que rarement quelques accidents con
ion d'une dose massive. Il n'y a pas de phénomène d'accoutumance. L'
auteur
n'a observé aucune modification dans l'excrétio
UOOGEX. (Bull. de la Soc. de méd. ment. - de Belgique, 1890.) Les
auteurs
de ce travail se sont proposé de démontrer que la
. f. Psych., XXII, 1.) Chez un chat et chez un chien nouveau-nés, l'
auteur
a réussi à sectionner la partie inférieure du r
s les chiffres donnés, à ce sujet, au dernier Congrès de Rouen. L'
auteur
, dans un essai de statistique, a trouvé que nombr
durée de l'affection a été respectivement de douze et treize ans, l'
auteur
tire, sous toutes réserves, du reste, les concl
t un asile de Lyon, tous tenus par les frères Saint-Jean-de-Dieu, J'
auteur
a trouvé que, tandis que chez les, aliénés ordi
00 chez les aliénés religieux. Une première conséquence tirée par l'
auteur
de la rareté de la paralysie générale chez les
UREUR (Tobsucict) mélancolie avec agitation; mélancolie STUPIDE des
auteurs
; par Ch. Meynert, (Jah2,bücherf. Psychiat., IX,
et VII, p. 393. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 409 d'observation) l'
auteur
a trouvé six ostéomalacies (5 F. 1 IL) dont l'a
shock traumatique n'ont évidem- ment rien à faire dans l'espèce. L'
auteur
incrimine l'excitation des rameaux oculaires se
ÈME NERVEUX ; par H. OPPP : NHEI3f. (Neurol. Cenltwlbl., 1890.) L'
auteur
étudie l'association des symptômes de l'hystérie
es impulsions des onanistes et des nostalgiques. , statistique DE l'
auteur
SOCIÉTÉS SAVANTES. 413 . Au point de vue prat
rimentale; par Alfred BmET. - ' .. -. (0. Doin, Paris, 1888.) . L'
auteur
a réuni dans ce volume plusieurs mémoires dont qu
rôle dans la psychologie de l'amour ? tel est le thème que traite l'
auteur
dans cette première partie de son livre. b.- Da
Dans cette division, la plus importante de l'ouvrage de M. Binet, l'
auteur
a réuni les observations déjà nombreuses qu'ont
ns la partie de son livre consacrée au « Problème hyp- notique », l'
auteur
expose quelques considérations sur la valeur de
même point de vue. e. Dans quelques expériences qu'a entreprises l'
auteur
sur a l'écriture hystérique », il résulterait'q
ÂLUMAN. (Th., Paris, 1891.) . Après un historique de la question, l'
auteur
examine les aliénés criminels dans les différen
question de la responsabilité atténuée ou de l'irresponsabilité, l'
auteur
pense qu'en dehors des cas où l'aliénation est
onographie appuyée sur quatorze observations, et d'après laquelle l'
auteur
conclut que lesvieilles femmes sont sujettes 44
si intéressants et si originaux de M. Séglas sur cette question. L'
auteur
semble du reste peu au courant de l'état actuel
complai- samment exposées, et au traitement, chapitre dans lequel l'
auteur
aurait pu chercher, s'adressant aux gens du mon
par le Dr Henri GUIMBKIL. 1 vol. in-1G ? J.-B. Baillière, 1892. L'
auteur
en écrivant son livre est plus préoccupé, on le s
la guérit sans douleurs dans quelques cas, par le traitement de l'
auteur
. P. S. VARIA SOINS A prendre DES aliénés A LE
ules sur la peau par la suggestion hypnotique. Les expériences de l'
auteur
ont été faites en présence d'un grand nombre de
uicide serait en rapport direct avec la civilisation progressive. L'
auteur
a établi une statistique d'après laquelle les h
I'IfAl.Orl1'(iLl1'E progressive, par Seeligmuller, 123. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. 459 PonENCr11.1LIE, par
Varia, 261,444. Vésication par suggestion, 230, 449. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Allaman, 441. Alter, 27
139. Aubois, 251. Edel, 421. Egorof, 137, 140. 460 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. Epoff, 147. Erlenmeyer
es 1 s,ply sconst ,- "1.11 ? Ur le 1. un de, ceux que les,anciens',
auteurs
, se plaisaient plus particu- lièrement admettre
pations,,et 'szt2,lout,de 7éactions, intellectuelles Et le même -
auteur
, étudiant,,les : accidents cérébraux, du, mal de.
anford, parus dans l'Am. Journ. Psych. (vol. IV et V) ; et, du même
auteur
, A new visual illusion, in Science, 17 fév.1893
tumeur, indépendante de celle rétrosternale. Vraisembla- blement l'
auteur
attribue ces, dégénérations glandulaires^ une p
rcome comme Vir- chow et-IosterAl'ont soutenu. '0 t n ? ? r' r' L'
auteur
rappelle les autopsies confirmatives de cette faç
atteinte, encore celte lésion pouvait-elle n'être que secondaire. L'
auteur
passe, en revue^les principales théories^ émise
E; par Harold Mater ( .nii,w, " (de Chicago).. . '(i, ? , , , ' L'
auteur
fait la'critique de la terminologie si variée jus
aralysé, amblyopie croisée et troubles de la vision des couleurs. L'
auteur
conclut qu'en accumu-> lant des faits analog
FCerveau, les 1 intoxications, surtout l'épilepsie et l'hystérie, l'
auteur
. conclut, enrr se basant à la fois sur la prédo
ntent des difformités humaines, copies exactes des sujets que leurs
auteurs
avaient devant les yeux. On sait que'Charcot et
, > 1.. 0- ? 1, .-Pendant sa pratique de l'aliénation mentale, l'
auteur
a observé quatre cas de névrites multiples, en
nérescence. Le traite- ment spécifique est efficace........ , Les
auteurs
discutent ces deux observations et établissent, d
époque, des recherches dans le même sens, poursuivies par d'autres
auteurs
, ont confirmé plusieurs données cliniques et su
utres observations assez nombreuses et suc- cessivement relatées; l'
auteur
tire les données cliniques suivantes -. Les for
laiat ? lXV,;l.) ·, 1 Il i - , 1.. " . ^ 1 Il est probable, dit l'
auteur
,' que les femmes normales, compa- rées aux femm
sion intéressante*à propos'd'un cas de médecine légale sur lequel l'
auteur
a eut faire un [rapport. Il s'agit d'un hérédi-
eur applique, en général, une pénalité atténuée ; ce qui parait à l'
auteur
un usage illogique. On admet que dans cette lut
· ? - "' ~s", ' · d'à Rn3-ji ? « -î .j......'. 14 J' ' ^1t· , . L'
auteur
rapporte plusieurs cas de procès récents pour hom
s*' suffisant' néanmoins-pour expliquer leur rmauvaise action.' Les
auteurs
s'accordent'généralement à ranger ces incen- di
du médecin,% vis- à -vis des compagnies est. également^ abordé. L'
auteur
.. considère que le principe du secret professionn
l. Struthers. °rld4 b b g^4 )lrtn 9 ? t, t, ? ? k; -. - , 1 i., L'
auteur
, admettant la .dualité fonctionnelle, des hémisph
? 3,j 1]V' t XIV. Du témoignage DES mourants;1 par Clark BELL. L'
auteur
s'occupe dérces, désignations in extremis de l'au
Clark BELL. L'auteur s'occupe dérces, désignations in extremis de l'
auteur
d'un meurtre par exemple. Il' signalé les réser
raitement intempestif ou mal dirigé par, négligence ou ignorance. L'
auteur
admet cette responsabilité même'pourries incapa
quent le SOCIÉTÉS SAVANTES. 61 délire systématique que beaucoup d'
auteurs
qualifient de IVahii- sinn ou de WaA ? MMM aigu
. ,VORSTER. Etat du poids spécifique, du, sang chez les, aliénés. L'
auteur
a étudié la densité d'après lé, procédé, du pykno
aissance de l'action du : <//0- SOCIÉTÉS savantes. 6o iitil. L'
auteur
a constaté dans l'urine des aliénés prenant du
es, mais entendent très bien ce qu'on leur dit. M. FALRET. Quelques
auteurs
admettent que l'aura panoramique a son point de
s pour les détacher du groupe des persécutés ordi- naires. Quelques
auteurs
allemands en font une classe intermé- diaire en
ement classique. C'est une seconde édition de ce traité que le même
auteur
pré- sente aujourd'hui au public médical. Par d
écrire rapidement la placed'ensemble,laclassification adoptée par l'
auteur
. Ce Traité des maladies mentales comprend d'abord
t entière à la pathologie spéciale. La classification adoptée par l'
auteur
se rapproche beaucoup de celle qui a été propos
es telles que folie du doute, agoraphobie, psy- choses anormales. L'
auteur
fait remarquer à ce propos que plusieurs de ces
à plu- sieurs' reprises par le professeur Joffroy et par d'autres
auteurs
, à savoir que dans cette maladie, c'est d'abord,
cette particularité des effets du climat du Panama, sur laquelle l'
auteur
insiste , ne tenait pas à l'impaludisme latent.
ication arsenicale sont actuellement bien connues et la plupart des
auteurs
les rattachent à une névrite multiple toxique (
ux maléfices dont elles prétendaient que cette reli- gieuse était l'
auteur
. Bien que ce rapport ait été imprimé, il était
KETT et OxoRs. C'est un hérédo-syphilitique hydrocéphale auquel les
auteurs
ont ponctionné la fontanelle antérieure. Susp
ésions inflammatoires au niveau de la plaie opératoire; néanmoins l'
auteur
se croit en droit de conclure à l'opportunité d
catégorie des' idiots inférieurs. En ce qui regarde le pronostic, l'
auteur
estime que trop souvent on fait entrer l'hérédi
te éducation demande-t-elle une attention de tous les instants. L'
auteur
a visité tous les asiles de France, d'Allemagne,
celles des expériences qui ont trait aux excitations rétiniennes, l'
auteur
est amené à pré- senter cette proposition : le
x observations de lupus traité et guéri par la même méthode du même
auteur
(huit photographies). (British med Journ., 24 m
Sur un total de 1,121 crâues d'aliénés (hommes 493, femmes 628), l'
auteur
a trouvé un torus mamelonnaire, 251 fois (107 hom
130 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. l'épilepsie. Entre les mains de l'
auteur
, cette maladie n'a été modifiée en aucune façon
e dans le service de M. Magnan. Par l'extrait de glande thyroïde, l'
auteur
dit avoir obtenu une augmentation de la tempéra
tions de la mimique, auxquelles REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 131 l'
auteur
attribue ajuste titre uue grande importance diagn
es muscles inférieurs 'de la face; 4° l'ophtalmo- plé-ie interne (l'
auteur
désigne ainsi l'ensemble des troubles moteurs d
. Cette même disposition est fréquente chez les épileptiques et les
auteurs
l'ont rencontrée chez 26 sujets sur 72, soit un
o-sacrée. D'après les recherches et les mensurations faites par les
auteurs
, la grande longueur du tronc par rapport à la t
du testicule. Dans un examen ayant porté sur 17 ! épilep- tiques, l'
auteur
a rencontré la Inicrorchidie chez 9,35 p. 100. Le
rve chez la femme bien plus souvent que ne le croyaient les anciens
auteurs
; d'après l'analyse de 104.000 aliénés pris dan
mes pour 10 paralytiques hommes. 2° Ce désaccord avec les anciens
auteurs
tient en partie à ce que la paralysie générale
eurs parus sur le'sujet, travaux surtout nom- breux à l'étranger, l'
auteur
entre tout de suite dans le récit de ses observ
ies concomi- tantes; par M. Louis Pain. (Thèse de Nancy, 1894.) L'
auteur
ayant eu l'occasion d'observer un certain nombre
, pour les autres un contrôle. » Toi est le but que s'est proposé l'
auteur
qui paraît l'avoir atteint. Après avoir exposé
ments généraux qui peu- vent être appliqués dans toute expertise, l'
auteur
passe en revue les différents cas qui se présen
es sujets intéressant l'aliénation mentale seront exposés par leurs
auteurs
, qui se sont déjà fait inscrire, ce qui donnera
'est pas le dernier des philistins, on en veut au barbare qui fut l'
auteur
,de'cet assemblage grotesque ? Or, rien de parei
RO-BENZOL DANS LES MANUFACTURES D'EXPLOSIFS ; par Shnéon SNELL. L'
auteur
rapporte six observations d'ouvriers ou ouvrières
particulier le nerf optique, sont proportionnellement plus lésés. L'
auteur
cite également le ré- sumé d'un cas répondant à
iabète vrai, ayant produit une paraplégie du groupe de celles que l'
auteur
a proposé d'appeler toxiques, à type de flexion
eignements fournis par l'examen clinique. Dans le présent mémoire l'
auteur
attire l'attention sur un mode de station parti
tantôt bilatérale, varie considérablement de fréquence suivant les
auteurs
: de 1 à 7 p. 100. On l'aurait trouvée plus fréqu
p. 100. On l'aurait trouvée plus fréquemment chez les aliénés. L'
auteur
, ayant examiné les humérus de plus de 200 épilep-
formes de transition. L'intéressante observation rap- portée parles
auteurs
parait appartenir à ce dernier, groupe : toutef
palhogënique de la maladie. Dans ces dernières années, différents
auteurs
ont mis en relief ce fait que les troubles de n
pte des rap- ports qui existent entre l'hystérie et la folie. Les
auteurs
anciens attribuaient à l'hystérie toutes sortes d
lace dans le cadre noso- logique que jusqu'à ces derniers temps les
auteurs
ont étendu outre mesure le domaine de la folie
érie peut être considérée comme une intoxication ainsi que certains
auteurs
l'ont soutenu. Tels sont les deux points du rap
esopinionssoutenuespar MM. Joliroy et Ballet tient àce que tous les
auteurs
ne donnentpas au mot dégénérescencela même sign
. le Dr P. Marie (de Paris). Toutefois, en raison de l'absence de l'
auteur
, motivée par une indisposition, la discussion a
trition qui est la consé- quence de cette altération. Pour d'autres
auteurs
(Leyden, Strüm- pel, Vierordt, F. Raymond, Mink
l'encé- phale. Pour ce qui est de la moelle qu'un certain nombre d'
auteurs
ont déclarée indemne, plus les travaux se multi
sensitifs propres à la polynévrite. C'est cet état que les nombreux
auteurs
qui s'en sont occupés (Oppenheim et Siemerling,
ui tiré de l'intégrité des racines antérieures. Comment, disent ces
auteurs
, pourrait-on admettre que l'altération des nerf
vité vaginale : établir et décrire exactement la péri- névrite. Les
auteurs
qui, tandis que lesvrais neurologistes travaillai
névrite cardiaque vraie tuerait le sujet en quel- ques heures, ces
auteurs
, dis-je, ont fait à la question des névrites un
. M. BABINSKI expose les relations qui existent, d'après certains
auteurs
, entre le tabès et les névrites périphériques. Il
es et celles des cordons postérieurs primitives. Toutefois certains
auteurs
prétendent que la sclérose des cordons postérie
psychoses dans les polynévrites. M. Régis (de Bordeaux). Plusieurs
auteurs
, surtout étrangers, ont décrit, comme on sait,
Cette confusion mentale se traduit essentiellement, comme tous les
auteurs
l'ont fait remarquer, et en particulier Charcot
phérique, en revanche on ne l'est point sur sa pathogénie. Certains
auteurs
, comme Korsakoff, font de cet état mental une m
iction avec l'unité de la théorie et son application universelle. L'
auteur
oublie de dire qu'il y a plusieurs sortes de lo
l'étude critique des conditions sur lesquelles se sont appuyés les
auteurs
pour conclure. Il faut donc juger des uni- tés
lambeau osseux dans la résection temporaire du crâne, décrit par l'
auteur
dans la Revue neurologique de mai 1894. (Revue
ur Jendrassik. Quelques observations de M. Goldzieher ont amené cet
auteur
à la conclusion que la glande lacrymale est inn
rie de six coupes vertico-transversales de l'hémisphère cérébral, l'
auteur
étudie l'importante région de la calotte. Le bu
e la substance grise et une légère inflammation des méninges. Les
auteurs
ont soumis à l'examen histologique le bulbe et la
n en- core d'origine myopathique ? * D'après les expériences de l'
auteur
, ces paralysies proviennent d'un processus infl
tout autrement de la névrite : dans tous les cas de pa- ralysie, l'
auteur
a trouvé dans les nerfs correspondants des lésion
on DE 1VISSL; par K. SCHAFFER. (Neurolog. Cent ? ,albl., 1893.) L'
auteur
, après examen détaillé, croit que les prolongemen
qu'un millimètre de long de la capsule interne sans la détruire. L'
auteur
"en conclut qu'en cet endroit, tout contre l'an
pyramides. C'est un exemple de cette dernière espèce que donne l'
auteur
avec figures, seules capables de bien faire compr
let nerveux et les deux autres fois sur la moelle, ont démontré aux
auteurs
l'absence complète du bacille de Hansen, d'où l
. ROSIN. (Neurolog. Ceitir., 1893.) Voici les réactifs usités par l'
auteur
: REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQ
de ses malades). En ce qui concerne, 9° l'éducation de la parole, l'
auteur
entre dans des détails dont nous ne pouvons ind
e but, nous avons mesuré, comme l'ont fait chez l'homme sain divers
auteurs
et sur- tout M. François-Franck et M. Mosso, le
ténué ou modifié dans toutes les formes de myopathie progressive. L'
auteur
signale plusieurs faits observés par lui au suj
SAVANTES. 343 la paupière inférieure qui a perdu ses cils. Enfin l'
auteur
signale des formes particulières des lèvres qui
ent nouveau apporté par les études bac- tériologiques récentes, les
auteurs
ont explicitement souligné le rôle des maladies
ur les vieux dogmes cliniques devant la pathologie microbienne. L'
auteur
défend ici une idée chère de pathologie générale
llections personnelles de MM. Gras- set et Rauzier, que dans divers
auteurs
, ces figures facilitent singulièrement l'intell
bibliographiques sont nombreuses et bien choi- sies, encore que les
auteurs
déclarent expressément qu'ils veulent être très
ien que fort diffeile, a parfaitement réussi. La folie. Horlczi ? L'
auteur
de la tentative de meurtre com- mise sur un jeu
voir et d'entendre, tombe dans un état particulier, sur lequel les
auteurs
ne sont pas d'accord. M. Raymond, qui a fait en
de notre observation en elle- même et comparée à celles des autres
auteurs
, qui pour la plupart ont avec elle de grandes a
ribuer pour une part les divergences des opinions exprimées par les
auteurs
, l'autre part revenant aux différences qui, d'a
le est plus obscur. L'URINE DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE, D'APRÈS LES
AUTEURS
Nous n'avons point la prétention de faire ici u
aux sur l'urine des paralytiques généraux, et nous espérons que les
auteurs
que nous n'aurons point cité voudront bien nous
nes de paralytiques généraux publiées par Marre dans lesquelles cet
auteur
a constamment trouvé des peptones. L'intensit
absolue, nous trouvons constamment la négation déve- loppée par un
auteur
non moins digne de.foi que celui qui affirme.
nuée. Dosage DES éléments NORMAUX. - 1° Urée. Pour la plupart des
auteurs
, Merson, Rabon et M. Lailler, la quantité d'urée
HOMMES 374 CHIMIE PATHOLOGIQUE. Acide phosphorique. L'opinion des
auteurs
est encore ici très différente, puisque Sutherl
ie Edward W. Scripture, instructor in expérimental psy- chology, et
auteur
de plusieurs travaux remarqués. Ce laboratoire
r est M. Lightner Witmer, ' M. Nichols, quoique encore jeune, est l'
auteur
de travaux très appréciés. 2 C'est M. Sage, que
uides, ce qui se conçoit, étant donné le pays où il a étudié -, les
auteurs
allemands; mais il s'adressait alors aux jeunes
ringomyélie ; par H. Scelesinger. (Neurolog. Centralbl., 1893.) L'
auteur
étudie plus particulièrement les paralysies des m
ation des pertes de substance crânienne. · Le procédé indiqué par l'
auteur
a l'avantage, après le rabatte- ment du lambeau
tabès incipiens. Quant aux lésions bulbaires, sur lesquelles les
auteurs
appellent l'attention, elles consistent dans l'
olo- gisches Cetztralbl., 1894.) A l'aide de cinq observations, l'
auteur
essaie de constituer le complexus clinique cara
un nuage qui disparait à son tour. Cette maladie dont est atteint l'
auteur
, il a pu en interrompre à son gré les accès en
la septième dorsale (paralysie complète des muscles abdominaux), l'
auteur
essaie de formuler une loi rela- tive à la loca
brale héréditaire; par S. FREUD. (Neurolog. Centralbl., 48ru3). L'
auteur
essaye de mettre de l'ordre dans le chaos des név
llt1'IJtICIt. f. ' Psychiat., XII, 1 et 2.) En treize tableaux, l'
auteur
essaye d'établir le nombre des cré- tins, des s
sie générale atypique. , REVUE DE pathologie mentale. 403 Enfin l'
auteur
établit l'existence de la syphilis héréditaire du
curable. Il en impose souvent pour une mélancolie ou une manie. L'
auteur
examine alors l'épisode maniaque qui pour lui fai
ique et impression morbide directe pour la contagion de la folie, l'
auteur
recherche le temps de conta- gion, c'est-à-dire
ecte, il est toute une série d'autres conditions secondaires dont l'
auteur
discute successivement la valeur. 1° L't ! f/e.'
e.' les enfants et les vieillards représentent pour la majorité des
auteurs
les sujets les plus contaminés, mais d'après le
ont plus échevelées. 5° L'appât d'un intérêt personnel que certains
auteurs
regardent comme indispensable à la propagation
la réalisation d'un rêve caressé. 6° Le milieu familial auquel les
auteurs
n'ont pas' donné assez d'importance d'après M.
exclamations spasmodiques, l'inté- ressante observation citée par l'
auteur
montre qu'on peut observer, à la suite des.idée
non pour l'existence des hallucinations tactiles, est rangée par l'
auteur
dans la névrose décrite récemment par Collins,
té inférieure de la frontale ascendante (centre mastic cateur). L'
auteur
signale en terminant la variété extrême des accès
nt, de Belgique, mars etjuin 1894.) De cette étude biographique l'
auteur
croit pouvoir conclure que le czar Jean le Terr
zti·al6l., 1893.) Hallucinations hypnagogiques ainsi décrites par l'
auteur
qui est aussi le patient. L'oreille gauche ente
ouvertes, colonies agricoles et familiales en particulier, dont les
auteurs
sont les organisateurs les plus autorisés en Al
folie proprement dite : l'épilepsie, l'hystérie, la neurasthénie. L'
auteur
établit nettement les principaux carac- tères q
riner abondamment (20 à 25 lit. dans les vingt-quatre heures). Et l'
auteur
ajoute : « Ce malade était hypnotisable, et j'a
données expérimentales, il importe de faire observer que plusieurs
auteurs
ont trouvé, à l'autopsie de sujets polyuriques, d
t d'une famille composée, dans quatre générations, de 92 membres. L'
auteur
put obtenir des renseignements expli- cites sur
3 Ehrhardt, loc. cit., p. 28. Sur 17 cas, en effet, rapportés par l'
auteur
, l'incontinence nocturne est signalée 8 fois et
des embolies capillaires dans les artérioles médullaires. Comme ces
auteurs
, nous avons employé à cet effet la poudre de ly
llement ne peut résulter que de l'examen des sens attribués par les
auteurs
aux mots ou expressions dont ils ont été les in
uvent devenir la base d'un système de conceptions organisées. Cet
auteur
distingue : une Ve2,rücktheil mélancolique une
il faut ajouter chronique. Où l'embarras survient, c'est quand les
auteurs
prétendent appré- cier lerôle des poussées hall
r, il y a déjà des contradictions entre le texte nosographique de l'
auteur
et les observations qu'il donne. 4° Avec Westph
a folie systématique chronique rentrent dès maintenant, d'après les
auteurs
, le délire de chicane ou des persé- cutés persé
coordonné, cristallisé, d'après les observations présentées par les
auteurs
dans leurs mémoires. Ils ne devraient jamais êt
animaux, l'est moins pour la substance cérébrale humaine adulte. L'
auteur
propose l'emploi du bichromate de potasse à 2 p
9 JACKSON et RISIEN RUSSELL. Dès longtemps le premier de ces deux
auteurs
avait soutenu que la lésion destructive du lobe
parésie des muscles spinaux particulièrement des fléchisseurs. Les
auteurs
discutent l'hypothèse d'une parésie par compressi
fréquents depuis les premiers cas publiés par Horsley et Gowers. L'
auteur
rapporte deux insuccès opéra- toires qui n'en s
, de l'amphioxus jusqu'aux organismes vertébrés plus com- plexes, l'
auteur
déduit par comparaison l'étude de la glande pitui
prement parler papille par reflux stasique (Stauungspapillé). Or. l'
auteur
rappelle qu'il a déjà démontré que la diminutio
re de coordination des lettres. Deux observations dans lesquelles l'
auteur
voit la transition de la dyslexie à l'eulexie e
i l'on emploie, pour arriver à ce but, une expression que plusieurs
auteurs
envisagent différemment, on établit dans la ter
folio primitive à signes positifs, à la rigueur curable ». Pour cet
auteur
, beaucoup de folies systéma- tiques sont congén
ra la confusion mentale ou amentia et en fit une forme morbide, les
auteurs
en l'étudiant se demandèrent, en présence de ce
est la folie systématique aiguë ? dit-il. Et pour beaucoup déjeunes
auteurs
, l'amentia a vécu. D'après cet exposé, il résul
signés sous le nom générique de Schwachsinn qui désigne d'après les
auteurs
la faiblesse intellectuelle congéni- tale, et l
oifus(z ? Peut-elle aboutir à la folie systématique chronique ? Des
auteurs
recomman- dablesen doutent. Pour moi je n'hésit
ura plus cette ampleur illégitime et presque monstrueuse que maints
auteurs
modernes lui ont assignée. On semble aujourd'hu
akow, n'est pas une entité morbide. Par une argumentation serrée, l'
auteur
rend évident que les polynévrites accompagnées de
use la plus fréquente des psychoses dites polynévritiques. D'autres
auteurs
l'ont suivi (Lilienfeld, Schultz, Thomas Grange
es vertiges, le nystagmus, les troubles de la parole, etc. Tous les
auteurs
attribuent une importance capitale au vomisseme
assager, peut être rapproché de l'oedème généralisé du myxoedème. L'
auteur
passe ensuite à la réfutation des différentes t
lade une impossibilité plus ou moins complète de se mouvoir. Pour l'
auteur
russe, l'akinesia algera constituerait une affe
ue le sujet de la cinquième observation. Enfin, dans la dernière, l'
auteur
, chaud partisan de la méthode hypnothérapique,
le; par Abram Il. DALLEY. (dledieo-legal Journal, v. XI, n° 3.) L'
auteur
appelle l'attention du Congrès américain de médec
ilité par un criminel qui n'aurait été que l'instrument passif d'un
auteur
seul vraiment responsable. licite d'autre part
crime et certains détails parti- culièrement à charge contre lui. L'
auteur
repousse d'ailleurs ce dernier procédé en rappe
phénomènes psychiques forme deux autres chapitres, dans lesquels l'
auteur
démontre qu'il n'y a qu'une différence de degré
de-mémoire Léazité.) Au délire chronique déjà publié, par les mêmes
auteurs
dans l'encyclopédie des aide-mémoire, vient s'a
ELS, troubles dans les hémi- plénies, par Fromaget, 40. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. Adamkiewiez, 483. Andr
I.voof, 70. lllachensie (S.), 392. Maclcie, 207. 340 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. Magnan, 273, 433, 519.
T PETIT BRIGHTISME. 3 aussi grande que semblent l'admettre certains
auteurs
(Wer- berg, Sankey 1) il est probable que leur
en 1893 : « Ces psychoses sont si bien toxiques que la plupart des
auteurs
qui les ont décrites ont été frap- pés de leur
ité ' Voir le numéro de juin, p. 13. - Le professeur Sommer est l'
auteur
de travaux intéressants sur : le Siège de l'âme
des anomalies morphologiques qu'elle fait ressortir avec force. » L'
auteur
en donne des exemples avec deux portraits stéré
amen d'un très grand nombre de coupes des ganglions sympathiques, l'
auteur
conclut que le réseau de Golgi est bien un ' Le
ce ; par J. Crocq (Jo ? tr2t. de Neurologie, 1902, no, 19 et 20). L'
auteur
passe en revue dans ce travail toutes les critiqu
et pro- gressive. Ces divergences d'opinions sont dues, d'après l'
auteur
, à ce que les cliniciens interprètent différemm
ation physiologique d'un nerf spécial sont beaucoup plus rares. L'
auteur
en rapporte deux exemples : dans le premier il s'
calisations motrices spi- nales ; par le professeur 111anIESCO. L'
auteur
poursuit le cours de ses intéressantes recherches
n de l'organisme chez quelques hysté- riques ; par le Dr GoMAn. L'
auteur
a constaté que non seulement l'hystérique dans l'
réelle du nerf circonflexe ; par les Drs Parhon et GOLDSTEIV. Les
auteurs
ont étudié, chez le chien, par la méthode des réa
i. VII, 1902.) Les documents bibliographiques passés en revue par l'
auteur
montrent l'intérêt qu'il y aurait à déterminer
de la couche optique. Un symptôme seul, relevé par la majorité des
auteurs
, est presque indubitablement lié à la lésion du
'est une affection rare : l'observation et l'autopsie suggèrent à l'
auteur
les réflexions suivantes, qui en sont en quelque
o- bablement servir de base à une note d'anatomie pathologique, l'
auteur
n'insiste pas, et se borne à poser la question su
. Désirant s'appuyer sur des faits plutôt que sur des opi- nions, l'
auteur
a relevé les autopsies d'idiots et d'imbéciles qu
uin 1902). REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 65 L'
auteur
a résumé lui-même son intéressant travail dans lè
e et des nerfs vagues dans la pathogénie de la maladie de Basedow l'
auteur
admet l'existence, d'une lésion portant à la fo
lobes occipitaux en même temps que du cervelet par une gomme que l'
auteur
a cru pouvoir localiser sur la tente du cervele
s quelconques de l'aphasie motrice ou de l'aphasie sensorielle. L'
auteur
rapporte une intéressante observation où le diagn
es. Il n'est donc pas sans intérêt d'entrer, comme l'ont fait les
auteurs
, dans quelques détails sur les causes provocatric
d'origine névrogtique. Dans un cas rapporté tout au long par les
auteurs
, la lésion dominante était l'infiltration de gr
ringomyélie avec mains succulentes ; par le Dr Bischossvverder. L'
auteur
en étudiant des coupes de moelle dans deux cas de
justifier la publication des quelques nouveaux cas présentés par l'
auteur
. De nombreuses théories ont été proposées pour
e la compression directe. Les trois observations rapportées par les
auteurs
viennent à l'appui des principaux travaux publi
elle, mais du- rant ces quarant-cinq jours elle avait été totale. L'
auteur
termine par quelques considérations sur l'amnés
oie pyramidale, d'autre part, les noyaux de la 3° et 4e paires. Les
auteurs
ne croient pas que la 4°;paire envoie des fibre
dégénérescence présente dans ces cas un type particulier que les
auteurs
comparent à la réaction musculaire post-mmtena.
trouve donc ses applications dans un grand nombre de maladies. Les
auteurs
l'ont employée avec succès dans toutes les vari
marquable d'hémiplégique, dont la main droite est con- tracturée. L'
auteur
cite encore une naine obèse, de Carréno de Mira
te », dont AI. Henry MEtGE a fait autrefois une étude documentée. L'
auteur
, qui a poursuivi ses recherches dans toutes les c
iquement, par ses hallucina- tions variées, du délire hystérique. L'
auteur
aborde enfin l'élude médico-légale de la questi
tissant en dernier lieu à la trans- formation de la personnalité, l'
auteur
aborde le côté médico-légal. Il démontre que le
nés sont d'autant plus dangereux que leur délire est plus ignoré. L'
auteur
conclut qu'il est souvent impos- sible de prévo
tisme et tabès ; par le De G.lUn4UD. Il résulte des recherches de l'
auteur
qu'il existe des cas de tabes où, malgré les pl
6larmc. X. De l'anxiété; par le Dr Girard. L'anxiété est, pour l'
auteur
, une réaction instinctive, indépen- dante de la
amental et primordial de la mélancolie anxieuse. 11 y a lieu, dit l'
auteur
, de séparer de la neurasthénie un syn- drome mo
yxoedMmateu) et de sa peau (Compte eaclu le 4SS9, p. 97). - Du méme
auteur
: Lncéplaliles chrotiques de l'enfance (Ibidem,
qué à la paralysie générale et au tabes ; par le prof. LEmoiNE. L'
auteur
rapporte six observations de paralysie générale d
ation rapide à la suite d'un traitement spécifique intensif. Pour l'
auteur
le traitement spécifique doit être plus intensif
areté Ils ne surviennent que chez les individus idiosyncratiques. L'
auteur
n'a observé qu'une fois des symptômes sérieux c
ce de dotes énormes de bi-iodnre de mer- cure. Par dosage toxique l'
auteur
entend désigner la dose suffi- sante pour produ
. Il n'y a dans celte manière de procéder nulle règle à suivre, nul
auteur
à consulter : c'est la tolérance du malade qui
du malade qui règle la conduite du médecin. Les médi- caments que l'
auteur
a particulièrement en vue sont le mercure, l'ar
cal Journal, 11 octo- bre 1902). Le torticolis spasmodique dont l'
auteur
s'occupe ici est une affection d'ordre purement
vropathes, et l'hérédité joue souvent un rôle dans son étiologie. L'
auteur
a imaginé pour le soulagement de ces malades un
The iVe2o-York Médical Jour- nal 30 août 1902). Les enfants que l'
auteur
désigne par l'épithète de neurotiques, sont ceu
ry Trêve BAR- BER (The New-York Médical Journal, 15 mars 1902). L'
auteur
rapporte une observation de cette affection aussi
thérapeutique serait une hygiène parfaite. Ils citent l'opinion des
auteurs
qui insistent tous sur les moyens hygiéniques e
liénés; par W. Ehrcnwall. (Obo71-éîiié psichiali-ii, VI, 190t). L'
auteur
annonce que la section ouverte construite en 1882
e de la civilisation progressive. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 155 L'
auteur
entre ici dans quelques considérations, largement
icide sont principalement consacrés à repro- duire les opinions des
auteurs
. Les délits ou crimes d'ordre sexuel sont, on l
t de la paralysie générale sur- tout dans sa forme expansive. , L'
auteur
s'attache ensuite à étudier les causes qui déterm
ence, janvier 1902). Voici les principaux points de cette étude : l'
auteur
fait remar- quer d'abord que les aliénées crimi
méditation et quelle volonté le meurtre est ordinairement commis. L'
auteur
n'entend pas se préoccuper ici des symptômes me
la délivrance, à laquelle elle parait se rattacher intimement. Les
auteurs
ne sont pas d'accord sur le moment où l'influence
En étudiant REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 159 les cas de Broadmoor, l'
auteur
a rapporté à la folie puerpérale les infanticid
re; le mari offre les signes d'une grave maladie cérébro-spinale. L'
auteur
attribue celte différence à ce que le lit du pè
s rare; du moins, elle semble avoir bien peu attiré l'attention des
auteurs
M. Séglas en a observé un cas portant sur une p
pathologique doivent leur valeur i la méthode de inissl. Différents
auteurs
ont observé la neuronophagie dans la méningo-en
où débute l'attaque, et celle sur laquelle elle va se propa- ger; l'
auteur
parle ici de l'épilepsie vraie, celle dont la con
iation des idées chez les aphasiques. MM. P. Marie et Vaschide. Les
auteurs
continuant leurs recherches sur la psychologie
nomène que Strumpel a rattaché comme signe à l'hémiplégie. Dans les
auteurs
, ce phénomène ne se produit que quand il y a une
récentes. Mais le fait qui ressort nettement de l'observation des
auteurs
etd'autres cas cités par M. G. Ballet, c'est la p
de la calotte, il ne s'agit pas là de tumeurs ni de syphilomes. Les
auteurs
discutent la possibilité d'une sclérose en plaq
'atrophie musculaire progressive de Duchenne est discutée à fond. L'
auteur
a mis en pleine lumière les arguments qui militen
igner sur les faits de psychiatrie sans se créer d'idées fausses. L'
auteur
a du reste eu l'excellente idée de mettre au dé
s d'amnésies et de leurs causes les plus fiéquentes, a per- mis à l'
auteur
de préciser devant un auditoire juridique, trop
s est, en général, considérée comme incu- rable. D'après beaucoup d'
auteurs
, les rémissions qu'ellepré- sente ne seraient q
nique » et tant d'autres encore. C'est à l'examen de ce point que l'
auteur
consacre ses principaux chapitres. Après un ape
e d'affections mentales et nerveuses. Enfin un troi- sième groupe d'
auteurs
y voient seulement une phase de l'affection dém
e générale une maladie parasyphililique. Alors, je demanderai à ces
auteurs
quelle estla nature de cette maladie qui est pa
e tissu, non à des différences de causes ou de nature. Trop peu d'
auteurs
ont admis jusqu'ici la nature infectieuse ba- n
r lésions syphilitiques mul- tiples, admise par un certain nombre d'
auteurs
. Par les analogies anatomiques et pathogéniques
ans leur évolution. L'une des questions qui a le plus préoccupé les
auteurs
est de savoir par quel tissu névro- glie, vaiss
ègle. La lymphocytose du liquide céphalo- rachidien, que différents
auteurs
ont signalée, prouve bien la précocité des alté
s paralytiques. Toutefois, je suis plus exigeant à ce sujet que les
auteurs
classiques et je ne veux pas considérer cette lés
2G2 SOCIÉTÉS SAVANTES. pruntésà des animaux éthyroïdés, nombre d'
auteurs
ont appliqué des variantes de leur méthode, ave
ents provoqués est évidente. Les appareils construits pa : quelques
auteurs
(Muschens, Mosso), sous le nom de tonomètres so
ent un véri- table acharnement à fairb multiplier les poursuites. L'
auteur
de cette note dit que ces aliénés sont bien con
en tenant compte des incertitudes de l'origine du sympathique, les
auteurs
croient pouvoir attribuer aux lésions médullaires
car leur histoire est racontée de façon diffé- rente par les divers
auteurs
et parfois même opposée. Nos deux monstres venu
ancée de leur maladie. Quelle est donc l'origine de cet oedème, les
auteurs
écartent l'cedème inflammatoire, l'oedème cardi
est conforme aux don- nées modernes de la psychiatrie criminelle. L'
auteur
s'est cons- tamment préoccupé dans le choix des
ts qui empêchent parfois de saisir franchement les conclusions de l'
auteur
. Mais ce ne sont que des critiques insignifiant
zig). Beilrlipezur Lehrevon den Geschlechts-Unlerschieden, 1903. L'
auteur
trace un tableau intéressant et complet des diffé
de Bio- logie, 10 janvier 1903) donnent un intérêt d'actualité. L'
auteur
rappelle les faits bien connus des grands eunuque
é- rie, épilepsie, neurasthénie. Le paludisme pourrait, d'après l'
auteur
, amender une hystérie 284 1· - BIBLIOGRAPHIE.
; dans les cas simples, on ne constate absolument rien d'anormal. L'
auteur
étudie le diagnostic généralement aisé, parfois
erches ont porté sur 348 observations. Voici les conclu- sions de l'
auteur
. Dans le tabes le sexe masculin est plus fréquem-
l'asile d'aliénés. C'est là en effet la vraie place du parricide. L'
auteur
réclame la création de l'asile-spécial destiné
I. Les troubles du sommeil dans les név7,oses ; par le D DAUCLOS. L'
auteur
passe en revue successivement les trois grandes
ent en artétio scléreux. De ces données clairement démontrées par l'
auteur
, on peut conclure avec lui que la neurasthénie
ion telle, par exemple, que celle qui a été donnée par Lahusen. Cet
auteur
a déterminé trois variétés d'insomnie : 10 Il y
ant la pression à 80 ou 90 millimètres ramenait le sommeil. Le même
auteur
pense que le réveil nocturne des neurasthénique
eille moyenne. Au réveil, un phénomène analogue peut se produire. L'
auteur
l'a observé sur lui-même. On en conçoit facilem
le lieu de rappeler les importantes expériences de Mana- céine. Cet
auteur
a observé que l'on peut encore sauver de l'inani-
urpris, en effet, du peu de précision qu'apportent trop souvent les
auteurs
dans la vérification des faits, dans les applic
uve les répétitions aveugles de fails plus ou moins bien établis. L'
auteur
tente de faire un choix, en remontant autant qu
était placé, qu'il fit autre chose que reproduire les opinions des
auteurs
. La vérification de l'action d'un seul médicame
e expérimenté. Trénel rapporte cependant quelques expériences des
auteurs
d'où il résulte que leur action se confond avec c
plusieurs heures avec succès d'ailleurs. Les cas recueillis par les
auteurs
montrent que les symptômes ont été plus bruyant
ANTES. une sieste dans la journée : ceci ressort des tableaux que l'
auteur
présente et qui lui ont été fournis par M. Vigo
nce, la méthode y a été négligée, et est rééditée en Allemagne. Les
auteurs
donnent le bain permanent comme réalisant l'idé
l est vrai que les indications en sont des plus mal spécifiées. L'
auteur
a fait précéder cette revue thérapeutique de l'ex
ol chez cette catégorie de malades a été signalée déjà par certains
auteurs
allemands et en particulier par de Krafft-Ebmg.
une sorte de reslraint particulier, comme l'ont pré- tendu quelques
auteurs
qui se sont appuyés sur cet argument pour comba
confirmé par l'examen de la moelle ». Malgré ces faits, beaucoup d'
auteurs
n'admettent pas encore comme démontrée l'existe
fibres directes. Le faisceau de fibres nerveuses que la plupart des
auteurs
considèrent comme représentant les fibres croisée
Syndromes solaires expérimentaux. M. LWGNEL-L4'ASTIE (de Paris). L'
auteur
donne le nom de syndrome solaire d'excitation o
ns déposées devant le Congrès, font observer, malgré l'absence de l'
auteur
qu'on ne saurait interpréter ni accep- ter comm
q ans auparavant, été réséqué sur une longueur de 20 centimètres, l'
auteur
a constaté, dans le bout périphérique non réuni
mais est en opposition formelle avec la conception du neurone. L'
auteur
ne croit pas que le neurone puisse être actuellem
tre que posée ; mais ce fait est à rapprocher de l'opinion d'autres
auteurs
(Fragnito) qui voient dans les granulations de
u dans la régression musculaire. MM. DE BucE et DE Moos (Gand). Les
auteurs
admettent avec Durante que la régression muscul
éiose, dans lequel un rôle actif important est dévolu au noyau. Les
auteurs
rapprochent ce phénomène de sarcolyse du phénom
éralisé. Observations sur la catatonie. M. Paul Masoln (Gheel). L'
auteur
a étudié tout particulière- ment les symptômes
érale à la dernière période). Poussant la thèse plus loin encore, l'
auteur
rappelle ce fait d'obser- vation vulgaire, à sa
ndu, à l'observateur. Aussi ont-elles déjà été signalées par divers
auteurs
, notamment par Carré de Mongeron et Pitres, dan
D'' Duphé, M. Marie rappelle les états d'enfance spirituelle des
auteurs
mystiques dont il a parlé avec M. le Dr Vallon,
HAViART (Armentières). Depuis que la syringomyélie est connue, les
auteurs
ont rapporté de nombreux cas dans lesquels coex
des troubles analogues. L'observation suivante, jointe à celles des
auteurs
précités vient contribuer à montrer l'existence
ours et plusieurs fois par jour. Tous les tiqueurs observés par les
auteurs
présentaient des ano- malies psychiques : carac
habi- tude de lécher et de mordiller des excoriations labiales; ces
auteurs
citent le cas d'un chien devenu onychophage. Ma
- cuies des lèvres ou ronger ses ongles inconsidérément; mais les
auteurs
n'ont pu observer de faits, ni favorables ni cont
laires semblent bien en rapport avec une syphilis héréditaire ; les
auteurs
recherchent si les troubles nerveux et mentaux
Kewmark (de San Francisco) et de Henri Frenkel (de Toulouse) ; ces
auteurs
signalent comme une particularité anormale la p
pro- posées ont été distribués à temps et la grande majorité des
auteurs
de communications ont remis au secrétariat un r
voltaisation, par 7.NIETOWShI (neurolo. Centrulbl., \\I, 190). L'
auteur
conseille au praticien d'utiliser pour l'électrod
3ERG (Neurolog. Ceatralbl., XX, 1901). Les recherches en cours de l'
auteur
lui permettent d'affirmer ce qui suit : 1° Le
emps et aboutissent à des destructions profondes. .1 ce propos, l'
auteur
proclame que tout processus suppuratif 426. REV
et. Apres une minutieuse description de pièces ainsi préparées, l'
auteur
reproche à son procédé d'être capricieux. Mais le
r des signes physiques précis, dans des conditions déter- minées. L'
auteur
examine les sujets de 10 heures à midi, api es le
ntique de Golgi, par H. Guuden. (Neurolog. Centralb. XX, 1901). L'
auteur
recommande de substituer au nitrate d'argent le l
. IIL1CIII·'OItD. (Tlte Journal of Mental Science, janvier 1902). L'
auteur
rapporte quatre observations dont une seule est a
ience, janvier 1903.) Nous résumons ici les deux observations que l'
auteur
publie surtout à cause de leur rareté. 1. - F
iences de Massars et de plusieurs autres physiologistes. Beaucoup d'
auteurs
pensent que, à côté de l'anémie il y a un autre
naturellement de celle de l'état anémique qui les a provoqués. L'
auteur
termine par quelques observations sur le traiteme
Thomas Pmur CowEN (Tite Journal of Mental Science, avril 1902). L'
auteur
rapporte avec détail l'observation de ce malade,
ic Coggeihall. (The tWv-Yorlc dleclicczl Journal 29 mars 1902). L'
auteur
adopte la définition qui a été donnée de la neura
té névropathi- que et ses conséquences fâcheuses pour la société, l'
auteur
rappelle REVUE DU PATHOLOGIE MENTALE. 443. qu
(Bitl. de la Soc. de zzaécd. ment, de Belgique- décembre 1902.) L'
auteur
s'est attaché plus particulièrement à l'étude des
l est à peine besoin d'ajouter que M. Masoin se range au nombre des
auteurs
qui considèrent la catatonie comme un syndrome
bl. ? Nervcnlieilk. XXV. N. F. XIII. 1902.) De l'observation de l'
auteur
il semble résulter que le delirium tremens d'or
Science. Janvier 1902). Ce travail est le complément de celui que l'
auteur
a publié dans le Journal of Mental Science d'av
clairer un 448 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. peu la question, et l'
auteur
veut se borner à indiquer la direction dans laq
ait qui n'a rien d'étonnant si l'on se rappelle que pour beaucoup d'
auteurs
ces états correspondent à une affec- tion chron
epsie et obésité; parle Drp. Salnton. Sous le nom de narcolepsie, l'
auteur
entend des crises irrésis- tibles de sommeil su
vec le fait communiqué au Congrès de Limoges, par \l. 13n ? md, les
auteurs
rapportent deux observations absolu- ment yn-rp
er lieu à une paraplégie spasmo- dique. Le t'ai' rapporté par les
auteurs
semble, au premier abord, lui donner tort; en e
ins d'entre eux, au moins, à un changement d'asile ? C'est ce que l'
auteur
a tenté de faire, et le succès a répondu à son at
cience. Avril 1902 ) Dans un mémoire sur le même sujet publié par l'
auteur
en 1899 en collaboration avec le Dr Middlemass,
é d'avoir besoin de cette surveillance spéciale. Dans ce mémoire, l'
auteur
se propose de décrire les dispositions prises à
t toute la nuit une infirmière de garde. Il est fort possible, et l'
auteur
est disposé à l'admettre, que la généralisation
e d'air individuel des malades, lechitrre a été réduit à 1.780. L'
auteur
fait remarquer en passant que c'est assurément un
udraient que cettepersonnelùtuneiufir- mière d'hôpital diplômée : l'
auteur
ne partage pas absolument cette opinion; en 189
tion représentant le loyer, la nourriture et le blan- chissage. L'
auteur
aborde ensuite un point épineux, l'emploi des fem
tenté l'expérience savent combien ces cas là sont exceptionnels. L'
auteur
est d'avis que le service de l'infirmerie ne do
et ce que l'horloge ne dit pas, c'est ce qu'il y faisait d'utile. L'
auteur
ne se propose pas ici de toucher au traitement de
des de Leavesde'i ne l'est pas avec les malades d'autres asiles : l'
auteur
ne saurait accepter l'objection, car les opinio
ns très différentes. Discussion : M. Midlleuass, collaborateur de l'
auteur
dans son premier travail, confirme sur tous les
l Journal, 12 avril 1902). Dans ce travail, pourtant assez court, l'
auteur
aborde des sujets nombreux et divers : il s'occ
a main bote » doit donc prendre sa place à côté du « pied bot » des
auteurs
classiques. Les analgésies viscérales dans la
- midal (signe de l'abduction des orteils de Babinski). Enfin les
auteurs
considèrent comme organiques les phénomènes de
rie et VASCIIIDS. Il résulte des recherches expéri- mentales de ces
auteurs
, que l'automatisme mental des aphasiques ne res
omologues des deux yeux ont rigoureusement la même puissance. Les
auteurs
en concluent que, dans la vision oculaire normale
ce propos de nombreuses observations semblables empruntées à divers
auteurs
et tendant à infirmer la notion de la cellule n
et gélatiniforme du pied, non influencé parle lit ni par le lait, l'
auteur
eut l'idée d',tp- pliquer le traitement thyroïd
le malade ne voit plus ses rnembiei, il oublie donc de bouger. L'
auteur
cite des observations où la guérison'survenue est
die emploie depuis de longues années dans son service de timétre, l'
auteur
a obtenu des améliorations notables chez les tr
terne motrice et les nerfs des membres dans la colonne latérale. (L'
auteur
adopte la nomenclature de Waldeyer.) De même, i
système sympathique ? ). D'après cette étude, on peut, sui- vant l'
auteur
, localiser les zones de dégénéralion rétrograde c
ices thérapeutiques de dé- tente, par Meige, 82. 1 ili. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. ,1,0\1,s. Le mécanisme,
rveux, par Durante, 530, WESTpmL. Voir Réflexes. T : 113L11 DES
AUTEURS
ET DES CUL1113Ult\'l'l'sUlt Abraham, 141. Adk
), îJ, 1 i 1. ISOberteon (V. 1·'ord), 1 î I , 4+î. 5U TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. Robin, 92. Robinson, 5
IS et G. LEMOINE I. Les oreillons ont été considérés par quelques
auteurs
comme une affection locale relevant de causes l
des accidents cérébraux tels qu'ils ont été indiqués parles anciens
auteurs
, Murât, Groffier, Ressiguier, etc. Plus récemme
nt sa convalescence, atteint de manie et d'aliénation mentale que l'
auteur
s'efforce de ratta- cher aux oreillons. En so
cours des oreillons. Le mot de métastase, qui suffisait aux anciens
auteurs
, n'est en 12 CLINIQUE NERVEUSE. somme qu'une
un traumatisme céphalique, le malade, a des attaques d'épilepsie. L'
auteur
fait remarquer. : 1° que la paralysie de l'ocul
e l'acmé de l'accès plutôt plus abaissée que dans l'intervalle. L'
auteur
fait encore remarquer l'existence d'attaques épi-
ation de Thomsen, peut-être n'a-t-il pas été exploré par les autres
auteurs
, pour nous, nous l'avons recherché d'une façon
e paralysie. Certes les dernières attaques, celles qu'a observées l'
auteur
, ont pu recon- naître cette cause, mais si réel
articulier, un cas de para- lysie générale, rapporté par ce dernier
auteur
, et qui appartient à M. Déjerine. Archives, t
s présentent des caractères si spéciaux et si tranchés que certains
auteurs
n'ont pas hésité a en faire une véritable entit
romes d'une même maladie. Ces syndromes, constituant, pour certains
auteurs
, autant de monomanies différentes, sont tantôt
fois cette distinction paraisse avoir guidé en quoi que ce soit les
auteurs
dans la .conception de leurs théories. 52 REVUE
supposant vrai dans tous les cas, et qui, même dans la pensée de l'
auteur
, est primé par l'existence d'un produit toxique
par les hématies, elles sont fort discutables; car la plupart des
auteurs
qui ont examiné le sang pendant la vie n'ont rien
s le sang des diabétiques. Dans trois cas de coma diabétique, ces
auteurs
ont observé que le sang, après la mort, se sépara
testée. L'affirmation de Kaulich a été vérifiée par bien d'autres
auteurs
. Lambl a trouvé l'acétone dans l'estomac et le sa
11 n'est pas douteux qu'un certain nombre de cas décrits par les
auteurs
, depuis Prout, et rangés indifféremment sous le
plus légitime. La plus commune, celle que visent habituellement les
auteurs
dans leurs descrip- tions, est la forme à march
e est le type de l'acé- tonémie à sa plus haute puissance. Certains
auteurs
admettent une évolution encore plus foudroyante
t. D'après Pavy,' et Lasègue répé- tait volontiers l'assertion de l'
auteur
anglais, le diabète grave non traité se termine
hystérie. Vingt-huit malades au- raient été suivies (26 f. h.); les
auteurs
ne relatent que dix ob- servations, dont un hom
vosisnte. Voyez les Observations XXX, XXXI, XXXII, qui, d'après les
auteurs
, les dispensent de donner les nombreuses observ
; épilepsie bulbaire; par R. Lépine. [Lyon méd., 1884, t. XLV.) L'
auteur
croit que les attaques syucopales qui ont'été sig
niveau du bouchon fibrineux et des caractères même du caillot, l'
auteur
pense qu'il s'agit dans ce cas non pas d'une thro
es deux nerfs radiaux, y compris le triceps, étaient paralysés. L'
auteur
fait suivre cette observation de quelques considé
pliquent certaines hérédités névropathiques servant de préambule, l'
auteur
a rassemblé sept cas de Jolie observés chez des
nous nous bornerons à dire qu'elles confirmaient le diagnostic. L'
auteur
fait remarquer en terminant que l'intérêt que pré
r M. Rouillard n'offre pas la grande netteté que lui attribue son
auteur
; en effet, les phénomènes qu'il décrit et surtou
et les piliers du trigone. Dans le tome XI des Archiv. Psych., l'
auteur
a montré que les tubercules mamillaires (corpus m
que la cavité, c'est-à-dire la pointe des cordons postérieurs. L'
auteur
fait passer sous les yeux de l'assistance une sér
B.UM. Sur une forme clinique de la folie morale. L'hébéphrénie de l'
auteur
représente une psychopathie qui se rattache aux
. A côté des cas, rares en Allemagne, d'hémianesthésie ovarienne, l'
auteur
a constaté, cela plus fréquemment, de l'hyperes
zone sur l'état des névropathes chroniques. Depuis décembre 1882, l'
auteur
a noté la pression, la température, l'étal hygr
rt rappelle les lésions nécroscopiques ren- contrées par lui et les
auteurs
dans la chorée mortelle, les cas dans lequels o
s deux maladies ne serait donc pas exceptionnelle, comme quelques
auteurs
l'ont prétendu. D'autre part, il résulte de l'exa
il nous montre que l'orateur ne partage pas l'opinion de beaucoup d'
auteurs
sur l'existence d'une altération particulière d
rveux. (Cette communication n'a été que le résumé d'un tiavail de l'
auteur
qui sera analysé ici ultérieurement.) La second
olument incontestable. S'appuyant aussi bien sur les travaux de ces
auteurs
que sur un grand nombre de dossiers médico-judi
'est pas le roman, c'est l'histoire de l'homme. « J'ai pensé, dit l'
auteur
, que la science de l'homme devait rompre avec c
relatif aux cas de guérison de paralysie générale rapportés par les
auteurs
. Pour l'éminent aliéniste, la paralysie général
e ; les faits de guérison de paralysie générale rap- portés par les
auteurs
sont des cas de fausses para- lysies générales,
e d'un travail inflammatoire, comme paraissent le penser certains
auteurs
'. i Sajous. De la Folie pai-atylirornze. Th. d
qui existent entre les maladies de l'oreille et la folie. Tous les
auteurs
en effet, qui, dans ces dernières années, se so
ées ailleurs ' sous le nom d'illusions subjectives, et que quelques
auteurs
ont étudiées depuis sous le nom d'hallucination
n rôle important dans l'étiologie de certains cas d'aliénation, les
auteurs
modernes sont absolument muets pour ce qui con-
it une ou deux fois de la gratiole. En présence de ce mutisme des
auteurs
modernes, relativement à l'influence étiologiqu
ions cliniques, suffisamment précises, démontrant la tendance des
auteurs
anciens à admettre celte influence, on nous tro
u en réunir trente-trois, avec autopsie, disséminés dans les divers
auteurs
français et surtout allemands, et nous pourrons
clinique et anatomique. Dans son livre' paru bientôt après, le même
auteur
ne parle guère de ces complications à l'article
L'observation de Kahler et Pick2 (n° 10) est de la même époque. Ces
auteurs
étudient, à ce sujet, les maladies systématisée
l'élude de la maladie de Friedreich. Dans ce dernier travail,' l'
auteur
, alors mon interne à l'Hôpital général, com- me
de la symptomatologie et surtout de l'ana- tomie pathologique. Ces
auteurs
rapprochent d'un nouveau fait personnel (n° 2G)
e durèrent deux ou trois mois. Pas d'aphasie apparente. Quand les
auteurs
le virent, en 1870, il n'y avait plus ni para-
elle il parait se réaliser un fait curieux d'hérédité, que certains
auteurs
ont dénommé laomoclaro- 2lisine héréditaire ou
. Par conséquent, il serait, au moins exagéré de dire avec certains
auteurs
que tous les sujets chez lesquels l'épilepsie s
STÈME NERVEUX; par S. FRFUD. (J<t/tr6uc/t. f. Psych., V, 3.) L'
auteur
a soumis à l'examen microscopique les filets nerv
l'état du centre nerveux. Dans le court travail qui nous occupe, l'
auteur
examine à ce point de vue spé- cial quelques-un
es oeuvres d'art, que les atti- tudes sont conformes à celles que l'
auteur
a décrites comme appartenant aux états d'esprit
erons à indiquer les principaux points successivement traités par l'
auteur
, les lois qu'il en déduit, les conclusions qui
si- dérations qui en forment le dernier chapitre. Tout d'abord, l'
auteur
constate la tendance générale à aban- donner le
ni l'autre ne peuvent être adoptées intégralement, parce que leurs
auteurs
ont respectivement exagéré la part de vérité qu
ciemment. » Après avoir décrit quelques expériences personnelles, l'
auteur
re- prend : «Ainsi, puisque les actes automatiq
242 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. théorie de M. Herzen : l'
auteur
s'attache ensuite à démontrer que cette loi, qu
pouvons passer sous silence le dernier paragraphe du mémoire, où l'
auteur
envisage les phénomènes de conscience chez les an
Cette observation s'ajoute à celles qui ont été rapportées par les
auteurs
pour montrer qu'il est possible de recourir ave
ait à la clinique des maladies nerveuses de la Charité de Berlin. L'
auteur
s'est proposé de déterminer les températures le
e ou sébacée, ou de la sensibilité dans les endroits en question. L'
auteur
rattache cette anomalie au trijumeau et, REVUE
ie héréditaire est inexacte; 2° la folie héréditaire admise par les
auteurs
! qui veulent la faire entrer dans le cadre nos
thermique vaso-moteur à la lésion du lobe pariétal, à l'exemple des
auteurs
? Discussion : M. LOEHRMM ? '. A-t-on sur le pè
médecin. La paralysie générale ne parait pas être très fréquente; l'
auteur
n'en a observé que deux cas, en près de deux an
énérale serait un acci- dent tardif de la syphilis. Il est, comme l'
auteur
, d'avis que le traitement antisyphilitique accé
l'on a présentées en France dans divers recueils sur ce congrès, l'
auteur
cite, parmi les plus brillants représentants des
NBURG. Les névroses vaso-motrices et trophiques. (En allc- mand.) L'
auteur
établit les propositions suivantes : 1°-on abuse'
ort gît dans le diagnostic et le classement uniformes adoptés par l'
auteur
, en conformité avec des principes scientifiques
autres faits de Norman, rien de particulier à signaler. En somme, l'
auteur
anglais constata, dans l'espèce, deux fois de l
).,Nouvcllcs communications sur la gliose de l'écorce du cerveau. L'
auteur
a, il y a un an, pris ce même sujet'. Il y revi
r jusque dans les détails, voire dix ans plus tard (un exemple de l'
auteur
), ce qui pourrait servir d'élé- ment au diagnos
nément des maladies mentales alcooliques véritables. La plupart des
auteurs
ont attribué une importance pathogéné- tique ég
e montrent des défenseurs exclusifs de telle ou telle doctrine. Les
auteurs
qui suivent, présentent tous un élément qui rap
clérose latérale amyotro- phique et de névrite traumatique. Le même
auteur
l'a rencontrée encore dans la paralysie diphthé
t sembler probléma- tique dans quelques-uns des faits étudiés par l'
auteur
). En raison de la modification subie par les ce
c. citât. Archives, t. XI. 23 35 re PATHOLOGIE NERVEUSE. Mais l'
auteur
ne conclue pas à un lien de subor- dination ent
e semble donc constituer un fait général. D'après le premier de ces
auteurs
, ces deux formes de lésion sont liées l'une à l
obligé d'en supposer l'existence. » Tout récemment enfin, le même
auteur
développait encore cette opinion en décrivant d
ue médicale de Buda-Pest - Si on compare les expériences des divers
auteurs
sur l'hypnotisme, on trouve une grande série- d
bservés par les autres. J'ai mentionné seulement quelques-uns des
auteurs
, mais celui qui connaît la littérature sait qu'on
hystérie. Je viens aux hypothèses d'inhibition. Un grand nombre d'
auteurs
sont assez heureux pour trouverune explication
lètement abolie, comme cela est l'opinion d'une grande partie des
auteurs
. A mon avis, cette fonction n'est pas exclue pe
376 PATHOLOGIE NERVEUSE. influence extérieure. Un grand nombre des
auteurs
entendent par réflexe exclusivement l'activité
irmer l'exactitude du diagnostic posé. J'ai donc dû réunir dans les
auteurs
toutes les observations analo- gues, suivies d'
remarquer en passant, que, comme dans les cas déjà relatés par les
auteurs
, cette intégrité coïncidait avec l'absence de t
e Journal o/'meatut SCiel2ee, Octobre 4 884) . ' Dans ce travail, l'
auteur
plaide la cause de l'électricité dans le traite
ent ou concurremment n'amenèrent que peu de résultats et, d'après l'
auteur
, la dispari- tion de l'épidémie devrait être at
était encore qu'à la période de ramollissement rouge. D'après les
auteurs
, c'est vraisemblablement à cette zone de ramoll
l Science. Janvier 1883). - Nous résumons ici les réflexions de l'
auteur
parce qu'elles reproduisent tous les points imp
t, tandis que ceux de l'hyperémie artérielle étaient manifestes.' L'
auteur
inclinerait personnellement à admettre l'hypoth
ut si celle-ci est ventriculaire ? Cela est sans doute difficile; l'
auteur
toutefois insiste sur ce point que, chez son ma
n dégénérative ; par E. REll.IE (Arch. f. Psych., XVI, 1). ). . L'
auteur
passe d'abord une revue des résultats expérimenta
vations). Le fonds de : la doctrine est à peu près le' même, mais l'
auteur
insiste sur la dif- férence qui existerait, d'a
place à l'action curatrice réflexe (par excitation périphérique). L'
auteur
avoue que le choix du genre de courants en un cas
1V.-Juliu Mickle. (The Journal of Mental Science, avril 1881.) L'
auteur
ne se fait pa', dans son mémoire, l'avocat de l'a
t s'affaiblir, d'administrer des stimu- lants diffusibles. Enfin, l'
auteur
rapporte plusieurs cas de collapsus dans lesque
ar James AD m. (The Journal of Mental Science, oc- tobre 1884.) L'
auteur
de ce mémoire se demande si l'on tire dans les as
aucune autre catégorie pathologique qu'à la paralysie générale. L'
auteur
fait remarquer à ce propos combien il est importa
n, le fils aîné a présenté des signes de dépres- sion mentale que l'
auteur
incline fort à considérer comme patho- logiques
heureu-es, telles que sa grande compétence pouvait les suggérer à l'
auteur
. " ' , Zl R. M. C. REVUE DE PATHOLOGIE MENTAL
. Campbell. (The Journal of Mental Science, octobre 1883.) , . -L'
auteur
, pensant avec raison que le directeur d'un asile
, et dont il relate l'observation détaillée et suivie d'autopsie, l'
auteur
a été amené a formuler les conclusions suivante
e travail très intéressant et très digne d'une lecture attentive, l'
auteur
exprime la pensée que le groupe de la mélancoli
The Journal of Mental Science, octobre 4884 et janvier 1885.) . L'
auteur
croit pouvoir déduire de ses recherches les concl
par James IIONDEN. (The Journal of Mental Science, avril 1884.) z L'
auteur
expose tous les dangers qui peuvent résulter d'un
T.-A. CHAPMAN (The Jour- 2zal of Mental Science, juillet 1884). L'
auteur
se basant sur les relevés fournis par les asiles
-H. S.1VAGE. (TILC Joztrrzal of AIz2Ltul ScieILCe, janvier 1885). L'
auteur
se demande d'abord si le delirium tremens est plu
malade a succombé et son autopsie est soigneuse- ment relatée. L'
auteur
lui-même est d'avis qu'il ne faut voir chez cet h
E; par A.-F. Mickle. (The Journal of Mental Science, avril 1884.) L'
auteur
rapporte dans ce travail l'observation de deux ju
t, s'il s'agis- sait réellement d'une attaque épileplique, ajoute l'
auteur
en terminant, il serait intéressant de savoir «
t lui-même tué d'un coup de houe en fla- grant délit. Opinions de l'
auteur
confirmatrices de celle de Zinn (Congr. annuel
atifs, verbes) : l'enfant qui a écrit est incapable de se relire. L'
auteur
donne d'abord trois cas dans lesquels les malad
ement tous les symptômes. Même résultat pour toute autre névrite. L'
auteur
attribue les effets bienfaisants de ce mode d'é
spontanées d'urine, de la sali- vation, du larmoiement. Septfois l'
auteur
, quia du reste expéri- menté sur lui-même, l'a
uation. Les matériaux d'observation sont encore insuffisants, dit l'
auteur
. A continuer. La note de Joeckel est relative a
cience a renversé la base sur laquelle s'appuyaient les secondes. L'
auteur
est convaincu que s'il existe jamais une différ
S. LAURENCIN, interne des hôpitaux (Lyon méd., 1884, t. XLVII.) L'
auteur
rapporte l'observation d'une malade, âgée de ving
ce traitement, les crises disparurent complètement et, d'après l'
auteur
, c'est à l'apomorphine qu'il faudrait attribuer c
le plan de la précédente édition complètement modifié per- met à l'
auteur
d'exposer, avec la plus grande clarté, les procéd
étude nouvelle sur les phénomènes hypnotiques à l'état de veille, l'
auteur
tente heureusement un essai de nosographie .à l'a
entation pour le livre, font bien comprendre la pensée féconde de l'
auteur
: faire revivre d'anciens souvenirs his- toriqu
aliénés héréditaires. (Thèse de doctorat) ; par Théodore TATY. L'
auteur
a choisi pour sujet les aliénés héréditaires et n
érédité de la folie. Comme signes intellectuels plus fré- quents, l'
auteur
note la tendance à la raillerie, à la discussion,
x hallucinations, le début aurait lieu à la ménopause. D'ailleurs l'
auteur
fait ressortirla fréquence des psychoses menstr
uel antérieur. Une telle observation fait apprécier la réserve de l'
auteur
et comprendre avec quelle sage raison il a eu p
et le suicide à deux; par .T. ( : 11POL1.IN.liI. (Thèse, 188p.) L'
auteur
résume d'abord les caractères des principales for
bles à la société. D'ailleurs, parmi ses nombreuses observations, l'
auteur
ne cite aucun cas de suicide accompli par des s
. Babinski n'est pas une monographie de la sclé- rose en plaques. L'
auteur
s'est proposé exclusivement dans ce 456 BIBLIOG
t de lutter contre l'action de ces cellules. Dans le chapitre il, l'
auteur
fait une étude comparative des diverses . varié
M. Weigert. Dans la deuxième partie consacrée à ['étude clinique, l'
auteur
, après avoir résumé brièvement l'état des conna
; par LEL.1RGE. (Thèse, 1885.) « La maladie de llienière, conclut l'
auteur
, n'étant le plus sou- vent qu'un complexus symp
qui constitue un réel service, c'est l'habitude prise par certains
auteurs
, et M. Edin- ger est du nombre, de supprimer, p
lontaire (recherches sur l'activité,) par Piéger, 2 ? TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Dam, 425. Atlamhiewicz,
. Jelm, 106, 111. Jenclrassik, 356. Jolly, 304. 470 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. Kahlbaum, 106, 111. Ka
exion entre la périphérie cérébrale et la capsule. Cependant, les
auteurs
y décrivent les feuillets caudé et lenticulaire
dedans. D'après cequi précède, il est aisé de comprendre que les
auteurs
sont loind'être dans le vrai, en considérant la
dans, un peu au dessus de la scissure de Sylvius, à l'instar de l'
auteur
allemand, il conseille de sectionner le cerveau
nomène bizarre et inexpli- qué : la tuméfaction du membre. Tous les
auteurs
, depuis que M. Charcot l'a relevé, ont noté qu'
t en devoir de la constater. Il est inutile à présent de nommer les
auteurs
auxquels ces citations sont empruntées, d'autan
es autres ? Mais n'insistons pas sur cette explication plus que l'
auteur
lui-même. Après avoir montré le peu de fondemen
ans une couveuse artificielle. Des observations multipliées du même
auteur
attestent l'action de l'aimant sur un très gran
adiction entre les deux conditions pathogéniques du phénomène que l'
auteur
a quali- fié de paradoxale cette variété de con
alcooliques affectés de tremblement et de rigidité musculaire. L'
auteur
, sans se prononcer catégoriquement, exprime l'opi
, tandis que l'inverse se produisait par des courants très forts, l'
auteur
émet l'opinion que les manifes- REVUE DE PHYSIO
présomptions, à la fois d'ordre expérimental et d'ordre clinique. L'
auteur
cependant ne s'y rallie pas. Il fait remarquer
de la corde du tympan lui serait donnée par le ganglion géniculé. L'
auteur
reconnaît que les expé- riences nécessaires son
uche); par W. Ireland. (The j9)'a<K, III, p. 207-289, 1880.) L'
auteur
démontre par des statistiques dont il a puisé les
aux deux autres, très intéressantes d'ailleurs, elles sont, pour l'
auteur
, des exemples de folie imposée. Il nous parait
on mari vienne souvent la voir, et quelle le reçoive fort bien. L'
auteur
cite, sans en donner l'observation détaillée, tro
emps de l'enfant le jour du crime dont il avait été accusé d'être l'
auteur
. Il y parvint non sans peine et l'écolier, pressé
mme. Ce travail est divisé en cinq paragraphes : dans le premier, l'
auteur
étudie l'hystérie sur- venant chez un épileptiq
augmen- ter et aussi la sélection militaire. Un certain nombre d'
auteurs
ont remarqué que la destruction des nations ten
générale, ni uniforme ; il demande, en outre, quelle différence l'
auteur
établit entre la sclérose pure et l'hypertrophie
endant son internat à Sainte-Anne dans le service de M. Ma- gnan, l'
auteur
ayant eu la bonne fortune d'observer un grand n
et parfois si absolues, il était difficile de choisir. Cependant, l'
auteur
, dont l'opinion intime perce d'un bout du trava
itable néo- membrane tapissantlaparoi interne de l'aorte. Suivant l'
auteur
, ,ce serait là une étape plus avancée du proces
vaises conditions hygiéniques. - Les observations, choisies par l'
auteur
parmi les cas les plus simples, le prouvent sur
c'est à l'absence de camisole ou de tout moyen de contention que l'
auteur
attribue laplusgrande part. Ce n'est que depuis
idérer ce travail comme une monographie du délire aigu à laquelle l'
auteur
a apporté le con- ,tingent de ses recherches pe
ança le bras en avant; et, bien que je l'eusse averti que j'étais l'
auteur
de ces tracasseries, il ne put éviter à chaque fo
opose un prix de 2,500 francs à décerner, au mois de juin 1882, à l'
auteur
du meilleur travail relatif aux fonctions de la
ée dans une enveloppe cachetée, conte- nant la carte de visite de l'
auteur
; 5° le mémoire couronné sera la propriété de l'
encouragements, de 300 à 1,000 francs, pourront être décernés à des
auteurs
qui n'auraient pas mérité le prix, mais dont les
de z,000 francs pourra être donnée, en outre du prix de 8.000, à l'
auteur
qui aurait réalisé un progrès capital dans la t
s qui ne rempliront pas les conditions précitées; 1° ceux, dont les
auteurs
se seront fait connaître directement ou indirec
raphe répétée sur un pli cacheté renfermant le nom et l'adresse des
auteurs
. Le pli annexé à un tra- vail couronné est ouve
concours, le pli qui y est joint n'est ouvert qu'à la demande de l'
auteur
, faite dans le délai d'un an. Après l'expiratio
e réclamé ; il est déposé aux archives de. l'Académie. Toutefois, l'
auteur
pourra toujours, après la proclamation du résul
e ce mémoire est son oeuvre. L'Académie ac- corde gratuitement, aux
auteurs
des mémoires dont elle a ordonné l'impression,
ventricules latéraux. 2° En lisant les descriptions données par les
auteurs
d'après des coupes verticales et transversales
t sur la limite des deux. Or, en cherchant à pénétrer la pensée des
auteurs
, on arrive à cette conviction (nous le verrons
de l'hippocampe (seconde circonvo- lution temporo-occipitale), les
auteurs
sont amenés à décrire la substance grise de la
'intérieur du ventricule par une saillie blanche (corne d'Ammon des
auteurs
). 5° De ces deux circonvolutions, l'inférieure,
oitement serrées les unes contre les autres (stratum granulosum des
auteurs
allemands, dont nous analy- serons plus loin le
(lapin et rongeurs en général), dispositions quiont amené quelques
auteurs
(G. Kupfer, entre autres) à considérer l'ensemb
complètement opposés (contractions combinées inexpressives du même
auteur
). Dans le premier cas, chaque pli de la physion
e à M. Broadbent, parut en 1872. ' En voici le résumé, fait par l'
auteur
lui-même. Après une attaque cérébrale aiguë, im
ait le mémoire de M. Kùssmaul « sur les troubles de la parole » ; l'
auteur
a consacré à la description de la. cécité et de
ien le sens ou la valeur. Tous, ils étaient agraphiques., . I , L'
auteur
passe sous silence le cas de Trousseau que nous
nification. Il pouvait en" même temps lire l'heure sur un cadran. L'
auteur
ajoute, et avec rai- . son, selon nous, que le
, l'aphasie n'est survenue qu'après ce temps. , ? Voici comment l'
auteur
comprend ce fait : « Le malade écri- vait, dit-
qu'il l'a comprise. Ce cas prête à discussion, d'autant plus que l'
auteur
ne cite qu'une seule phrase qui lui a servi pou
hèse d'agrégation, a con- sacré un chapitre à la cécité des mots. L'
auteur
cite les cas de M. Magnan et de M. N. Guéneau d
érales de Médecine (mai 1881) un article sur la' surdité verbale. L'
auteur
donne comme exemples de surdité des mots « les
enfin l'observation de de M. Küssmaul, qui n'est pas rangée par cet
auteur
lui-même parmi les 'cas' de surdité des mots. D
D. de New-York. (In The Amer. Journ. ofthemed. se. July, 1880.) L'
auteur
applique ce terme général de névrôme multiple à
icularités rentrent dans le cadre des observations déjà publiées. L'
auteur
rappelle les diverses théories proposées ; lési
yer, conjointement le régime^tonique, 'réparateur, qui convient., L'
auteur
,, de ce,travail attribue le, mérite de la métho
ons de la corne d'Ammon chez les épi- leptiques n'est, au dire de l'
auteur
, que de 10 p. 100; mais'elle atteindrait probab
voisines/ militent également en,,faveur dune.pareille opinion : - L'
auteur
n'hésite pas à adapter Jesimêmesi théories -fon
8.) · ' T ? i 1 1 , î 1 ... n f C'LT( Pli.) i'ijli-'iï' ? 6r Wt L'
auteur
rapporte Meux-1 observations, 'où une céphalalgie
zarre, dont plusieurs^ observations ont été publiées par différents
auteurs
, mais dont les Traités classiques- ne font,pas
sexuels, .ni d'émission de sperme.. Les cas analogues trouvés par l'
auteur
,, sont au nombre de, six : z 0bserv. de , Klemm
s. ? » ? ,. ? , , ? h .. 1 1111 ') 'n,la ? )U " t ,1,1 1 1 ' W .' L
auteur
conclut en ces termes : le priapisme peut être re
pression intravasculaire, soit par une alté- -ration des parois, l'
auteur
s'attache à démontrer ~ que, dans la syphilis,
syphilis'dispar raissant par le traitement ? et rapportées par les'
auteurs
à'ia' congestion cérébrale).'1 Quant'aux altéra
suivies''d'autopsie, tant- personnelles qu'empruntées à'différents
auteurs
/'dans lesquelles on a observé de l'apoplexie ou
nombre de tableaux,,qu'il nousest,impos- sible de reproduire,ici, l'
auteur
étudie la fréquence des hémor- rhagies cérébral
compte de la plus grande fréüeÎ6'de la'-sy"pliilii'cez 1'liomme, l'
auteur
trouve que Diémorrhagie "cérébrale est' sensiblem
ée, rougeur éry- sipélateuse de la paupière et du front, etc... L'
auteur
insiste sur ce point que les faits où la nature s
lle s'est toujours accompagnée de poussées inflammatoires. Enfin, l'
auteur
se demande si les troubles du goût doivent être
t; -^ -- " ,l '. .t. ' ., ..i/ I ? 31 'uJJ)..i, . ? .. j 'O ? ' L'
auteur
a injecté différents liquides, sous des pressions
cette région donnent lieu à des phénomènes analogues de vertige. L'
auteur
refuse, absolument aux canaux demi-circu- laire
laires la' faculté qui leur est attribuée, par un grand nombre d'
auteurs
, dé présider au sens de l'équilibre, et il rappor
laires à la suite d'exercices ou d'injections d'alcool. » D'après l'
auteur
, les individus qui présentent ! cette, constitu
écrit, ou ses jambes quandilmar- ché. Dans des, cas très graves, l'
auteur
a observé la perte com- plète de la parole, don
ent doit avoir pour but de régulariser la circulation cérébrale ; l'
auteur
emploie .l'acide, cyanhydrique, le sirop de lac
t. I;p.`265 : )` jtjtf n p r- n- - i.i . >'p ? Tr ? Momq -"^L'
auteur
"rapporte trois'cas 'détériorée' partielle.-1 Dan
f t i tf o ? .t "foq-jb 1 p-L interèt de cette observation,. que l'
auteur
rapporte. ! ? ! ex- ,.tenso, a surtout trait au
ie fut d'environ trois ans, et demi, pas de phénomènes bulbaires; l'
auteur
fait, à pro- pos de ce cas, une revue rapide de
une revue rapide des cas publiés antérieurement et des opinions des
auteur
1s 1s.u1r1ce.s'ujét. A(1 ? OfTi "™ ' 1 «a^-M.'101
nerveux,prennent,çha- que jour plus d'importance et de-fréquence ^l'
auteur
, les répar- tirait volontiers entre trois cercl
à l'activité qui a assuré leur développe- ment, ! ces faits, dit l'
auteur
, doiventjnous pénétrer, de la' néces- sité, de
lleslqu'éndocardites, péricarditès^etc ? 1 qûèj'de1 primé abord," l'
auteur
déclare incapablede produire' seules 4lés manif
s après '-l'épuisement de' la maladie,'on ! hé''1 sàu-" rait/'dit l'
auteur
," étendre son'infiuéncè au'delà de" quelques' s
il de 9') i i 9 Z9 'lip Trl9rT··( t Les, formes pernicieuses, que l'
auteur
,considère comme, relent vant de l'action commun
alme sont signalées pour les, autres,, faits. Quant à.Ja stupeur, l'
auteur
-la range dans la cachexie malarienne.. Le, diag
troubles : psychiques; : lorrapport étiologique. allégué paroles
auteurs
; ne- paraissant pas démontré- à M. Kroepelin ? A)
i ; l'analyse des cas épars, y com- pris'les 'dix rassemblés paru l'
auteur
,r démontre 1 que le cadre 'entier de la'nosogra
es et les phénomènes, morbides reprennent, toute leur intensité ? L'
auteur
s'est .efforcé de montrer que,) dans la majorit
s - 'J % 1 1 : 4'I II ,il' . ? t ? ,"))) ? j ? tH, 1 rm ....'t' `
auteurs
ayant déjà noté les relations' des affections aur
aliénés .atteints de manie et de mélancolie à formé systématique, l'
auteur
a vu survenir du délire aigulcaractérisé par l'
de Montpellier) t et du+ Dr Spàldin,- (de Berlin) pour l'aphasie, l'
auteur
relate les obsér=a vatlonsLqû eut l'occasion de
,du globe oculaire (diagnostic différentiel ).' `` "' '"J'*1" k i L'
auteur
a, de'plus,'depuis sa guérison, conservé là facul
.véracité,.d'allégations cliniques contradictoires,.ont,permis`à, 1
auteur
de ^ mettre en évidence un procédé fidèle pour
,mr.,n )ilooiriil;irn> aidm'iar^ >9âif» ? f-Huo; pr iem OUt L'
auteur
part de ce point de vue que, l'absurde,, soit dan
à différencier, l'extraordinaire) de l'ordi-1 naire. A ce propos l'
auteur
entre dans des considérations psycho-t lo-iques
celui du- comte dee Kent; REVUE '-DE' PATHOLOGIE. MENTALES 283- l'
auteur
, a'complètémeilt rerioncé à i 1 emploi des' calma
qui provoque la spécialisation ! des' tissus ? et ? comme le dit l'
auteur
«la vie est la cause de l'organisation «/non il-
ent à ce titre dans le cadre de la neuro-patholo-ie. i ? fh'h n L'
auteur
a divisé son mémoire en quatre chapitres princi-
milieu chaud. Un ! calorimètre partiez,- lier a.été employé par, l'
auteur
. dans.,ces, exp6riencestet) dans celles, quljsu
suivent (pMj17 à26).ûDansllesnombreuses;expé; riencesqui suivent; l'
auteur
s'attachera déterminer expérimen- talement le p
du travail que nous analysons porte sur la théorie de la fièvre. L'
auteur
discute, son origine,héma- tique ou nerveuse. M
,, 4884.) 1, ,r ,v ·· 1 > ? ? I'ï'1 Ij ? <'«>»'.' W. ^ L
auteur
pense qu'au point de vue des trouble^ psychiques
; par E. 51ARY. (Thèse de Paris, 1881.) , -, . . r . ? () 1 .L, L'
auteur
rapporte les faits de/névralgies symétriques, sig
vaut mieux encore, elle avait montré ce qu'on pouvait attendre de l'
auteur
, à la fois rigoureux et sagace, qui l'avait com
, 257. ,l 1 `I rUT ? l ? SS..tO ? TM tiLl'(TtTA 8 ? TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Allen, 284. Astros (L.
(R. de), 430, 140. 263, 271, 282, 283, 284, 310. 318 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. Neftel, 242. Olier (H.
aut, je vous présenterai des planches tantôt empruntées aux meilleurs
auteurs
, tantôt faites d'après nature et où ces lésions s
ve dans la préface du Traité d'a-natomie pathologique, publié par cet
auteur
en 1829 : « Ce n'est pas, dit-il, l'organe altéré
aité d'a-natomie pathologique récent, mais présentée cette fois par l'
auteur
de ce traité, daté d'hier, comme lui appartenant
on doit connaître, c'est l'or gagne vivant, agissant, etc., etc., » l'
auteur
en question ajoute : « Tel me paraît ètrele vérit
u sang desséché et épaissi, mais c'est à un médecin anglais, Kiernan,
auteur
d'un travail fondamental inséré dans les Philosop
le des cellules hépatiques a été notée pour la première fois par deux
auteurs
anglais, Williams et Budd. Il n'est pas inutile d
uelles elles pénétrent?Cette dernière opinion est celle de beaucoup d'
auteurs
, de Eberth et de Hering entres autres. Seulement,
ns les conditions physiologiques, s'il faut en croire la plu-part des
auteurs
, ne contiennent pas de cellules. Cette obli-térat
91. plus simple d'admettre que les cellules plates qui, suivant cet
auteur
, constituent la paroi des canalicules se sont gon
es hépatiques. En se fondant sur les résultats d'injections, nombre d'
auteurs
cependant, parmi lesquels Mac Gillavry, Kisselew
ue. Les syphilomes miliaires seraient primitivement, d'après quelques
auteurs
, une altération des vaisseaux lymphatiques interl
hâte d'en venir à la physiologie et à la bile. II. La plupart des
auteurs
qui, de nos jours, traitent de la physiologie pat
subissent un dédoublement. A. D'où vient la cholestérine ? Un seul
auteur
, M. Beneke, soutient aujourd'hui qu'elle se fait
buant à la résorption des graisses dans l'intestin. Tous les autres
auteurs
pensent qu'elle se forme dans d'autres régions de
iences, à la vérité un peu sommaires, plaident dans le même sens. Ces
auteurs
ont cherché à détruire le foie en injectant dans
u foie. Paris, 1868. — Voir aussi une communication faite par le môme
auteur
au Congrès de Phi-ladelphie. [New-York Médical Re
t de l'a-trophie jaune aiguë du foie. C'est ici que la majorité des
auteurs
abandonnent M. Flint, après l'avoir suivi dans la
après les injections de Cholesterine. Seulement, suivant ces derniers
auteurs
, si la quantité de Cholesterine injectée est exce
hei'l, t. xiv, 1, 2 et 3. Funke, t. ix, fig. 3. cérébraux. Quelques
auteurs
admettent que les deux subs-tances sont identique
s a été contestée, il est vrai, par M. Naunyn. Toutefois, suivant cet
auteur
, si l'hémo-globine dissoute, injectée dans le san
cocholique, la glycocolle ou sucre de gélatine on glycine de quelques
auteurs
. Ce dédoublement ne s'opère pas seulement dans
il débarrasse de certains produits. Ce dernier rôle, d'après quelques
auteurs
, serait même le plus important (1). Il n'est gu
ne étude spéciale fondée sur l'examen de cent cas. Voici, d'après cet
auteur
, quelles sont les principales circonstances dans
ffre de l'urée sur-venue dans le cours d'une affection hépatique, cet
auteur
émet l'opinion « qu'il existe certainement une re
con-naître que les faits du second groupe. Quoi qu'il en soit, les
auteurs
qui, dans ces dernières an-nées, ont repris avec
obin). Le chiffre 30 et les chiffres supérieurs donnés par beaucoup d'
auteurs
étrangers seraient trop élevés pour ce qui nous c
ué le pa-renchyme du foie avait été envahi par un volumineux abcès. L'
auteur
avait même formulé son opinion d'une façon très a
avoir passé une fois... 0,14 Après avoir passé quatre fois. 0,176 L'
auteur
en conclut qu'il y a production réelle et rapide
épatiques fonctionnelles assez accusées. Ainsi, la plupart des bons
auteurs
qui ont écrit sur la goutte n'ont pas manqué de c
des concré-tions plus ou moins volumineuses d'acide urique. Plusieurs
auteurs
admettent qu'en pareille circonstance, il se déve
n trouve le glycogène. 11 ne faut pas ignorer toutefois que quel-ques
auteurs
en ont signalé dans les muscles. (Observations de
aire. Sommaire. — Fréquence de la lithiase biliaire. — Opinions des
auteurs
sur les accidents qu'elle détermine. — Recherches
u et de\la bile. C'est donc à tort que Sœmmering et plu-sieurs autres
auteurs
avaient avancé que quelques calculs biliaires, pl
t com-posé d'une petite concrétion sanguine ; 3° un autre cas du même
auteur
, observé chez le bœuf : le noyau était formé par
te question mérite surtout d'être consulté. La théorie à laquelle cet
auteur
semble se rattacher me paraît plus que les autres
eut survenir chez les vieil-lards, par exemple, qui, d'après quelques
auteurs
, auraient un excès de cholestérine dans le sang.
ons au milieu des plexus nerveux. La vésicule du fiel, au dire de cet
auteur
, serait douée d'ailleurs de mouvements péristalti
e, mais l'émigration des calculs ainsi que, d'ancienne date, tous les
auteurs
l'ont noté, s'effectue sans réaction, sans douleu
de Chomel est en contradiction formelle avec celle de la plupart des
auteurs
qui ont étudié d'un peu près la question. Ainsi
s les cas, retrouver les calculs dans les garde-robes. La plupart des
auteurs
qui ont récemment écrit sur les maladies du foie,
'en est pas de même du point êpigastrique, reconnu par la plupart des
auteurs
anciens et modernes (Penberton, Sônac (de Vichy),
les 45 observations de M. Wolff. Dans tous les cas appartenant à cet
auteur
, vous vous en souvenez, le calcul a dû traverser
ble qu'un bon nombre de ces rétrécis-sements fibreux, décrits par les
auteurs
, sont d'origine calcu-leuse et résultent de l'ulc
iv, t. xxxix, 1867, p. 195-196. — Dans les trois cas rap-portés par l'
auteur
, le rétrécissement fibreux serait résulté de la p
nces et tués peu de temps après la ligature. De plus, d'après le même
auteur
, il serait impossible, en provoquant des lésion
'un canalicule biliaire auquel ils paraissent comme accolés. Quelques
auteurs
, Cru-veilhier en particulier, ont cru d'après cel
'une vingtaine d'observations personnelles ou recueillies dans divers
auteurs
, les caractères fondamentaux de cette forme de fi
nt — mais non pas exclusivement comme inclinent à le croire quel-ques
auteurs
(Thudicum, Leared, Henoch) — s'accompagnent de fi
ons plus ou moins profondes et plus ou moins caractéristiques que les
auteurs
anglais désignent quelquefois, sous le nom de rei
ssi Y Atlas de Carswell, PI, i, fig. 4, Pus. Suivant la plupart des
auteurs
qui ont étudié d'un peu près la question, les abc
e des diverses espèces de fistules. M. Murchison a recueilli dans les
auteurs
ou dans sa pratique personnelle 28 exemples de fi
rares encore. Murchison cite onze cas de cette espèce. La plupart des
auteurs
tendent à admettre que, dans tous les cas de calc
Murchison, il faut en ajouter six autres que j'ai recueillis dans les
auteurs
(1). Tantôt la fistule s'établit par un travail d
hui, en France, une révolution tend à s'opérer à cet égard. Plusieurs
auteurs
s'efforcent de dégager de l'ancienne unité : cirr
tiques. Depuis le travail, plusieurs fois cité de Virchow, beaucoup d'
auteurs
, comme M. Virchow lui-même, ont une grande propen
rquez-le en passant, éviter d'écrire cyrrhose, à l'instar de quelques
auteurs
. Cruveilhier a proposé le nom de foie granuleux,
publication des Re-ports of Cases de Bright (1837), dans lesquels cet
auteur
étu-die l'ascite dans ses rapports avec les malad
nulations. (Cirrhoses de Laennec.) 2° Un point que presque tous les
auteurs
s'ingénient à faire ressortir, c'est le rôle path
plus avancées du processus morbide. Vous n'ignorez pas que beaucoup d'
auteurs
ont assuré que, dans une première phase de la cir
illons de plus en plus profonds (foie botryoïde, foie lobé). Quelques
auteurs
ont cru pouvoir rattacher ces variétés à des diff
s dans la cirrhose vul-gaire, contrairement à ce qu'écrivent certains
auteurs
qu1 ont confondu toutes les formes de cirrhose da
e, accompagnement fréquent, à peu près nécessaire, suivant quelques
auteurs
, de la cirrhose atrophique, est encore, pour une
ices, donna lieu à une hémorragie mortelle. 2° Si l'on en croit les
auteurs
, loin d'être rare, la dilata-tion pathologique de
uelque sorte au ligament ombilical ait été considé-rée par beaucoup d'
auteurs
comme étant la veine ombilicale elle-même, demeur
i confine immédiatement que doit être cherché, suivant la plupart des
auteurs
, le point de départ des altérations de la cirrhos
hose vulgaire, parfois très manifestement dilaté. Or, d'après le môme
auteur
, en poussant les injections à la fois par les vei
pas quant à présent. Un mot sur la tuméfaction de la rate. Quelques
auteurs
, Bamberger et Oppolzer, en font un accompagnement
expliquer constamment par la présence de cette lésion. Aussi quelques
auteurs
(Virchow, Niemeyer), sans nier l'influence de l
e deux cas de cirrhose. Sur 30 cas de cirrhose rassemblés par le même
auteur
, le cœur était normal, sauf dans les deux cas ci-
idérations physiologiques. Sommaire. — Opinions contradictoires des
auteurs
sur le tissu conjonctif du rein. — Vaisseaux lymp
recouvert, d'après la des-cription de Kolliker et de quelques autres
auteurs
, par un épithélium cubique, bien distinct de celu
p. 646. Le tissu conjonctif du glomérule jouerait, suivant quelques
auteurs
, MM. Virchow, Beer, et surtout Klebs, un rôle trè
fait a été confirmé par Axel Key, Rosenstein, et beaucoup d'autres
auteurs
(i). On les observe aussi dans des affections trè
privée de vaisseaux. C'est le gros rein blanc, le gros rein lisse des
auteurs
anglais, le rein de Bright par excellence, très b
rement quand il l'est. Celte forme, qui répond, au second stade des
auteurs
uni-taires, est désignée quelquefois sous le nom
x formes principales, « probablement succes-sives ». La plupart des
auteurs
qui ont suivi ont renchéri encore sur la doctrine
a doctrine anglaise. Cette doctrinetcompte en Angleterre, outre les
auteurs
déjà (1) Medico-ohir. Transaction , 1859, p. 15
ie et le traitement de l'albuminurie (1860) ren-cités. M. Goodfellow,
auteur
d'un livre intéressant surtout ferme une des prem
façon accidentelle, et jusqu'à présent ces cas sont rares. Quelques
auteurs
parlent avec complaisance d'une période congestiv
e rapport, il n'existe aucune divergence parmi la grande majorité des
auteurs
qui ont séparé les deux formes de la maladie de B
ur démontrer l'exis-tence d'un travail d'hyperplasie conjonctive. Les
auteurs
an-glais, à la vérité, ne mentionnent guère ce dé
e, dans la néphrite interstitielle, on la rencontre d'après le même
auteur
31 fois sur 67, d'après Traube 93 sur 100, et d'a
ule-ment un peu de bouffissure, d'œdème de la conjonctive, ce que les
auteurs
anglais désignent sous le nom de Brighfs Eye (Gra
e, dans celle forme de maladie de Bright, a été remarqué par tous les
auteurs
qui ont distingué les deux formes et il a servi à
ontraste frappant, et d'autant plus remarquable que, suivant tous les
auteurs
qui ont songé à établir entre les deux formes de
t agir surtout dans ce cas en limitant la sécrétion rénale. Plusieurs
auteurs
anglais ont aussi remar-qué que, chez les mêmes s
artient pas à l'histoire de la néphrite parenchymateuse. Beaucoup d'
auteurs
considèrent comme fort simple de rat-tacher la pr
réduite à fort peu de chose. Il n'est donc pas étonnant que quelques
auteurs
, et en particulier M. Gairdner, auquel on doit un
), par Rayer dans sa 8e (2). C'est la 4e forme décrite par ce dernier
auteur
. Johnson appelle les reins ainsi altérés du nom d
eins gras granuleux. 3° Suivant M. Dickinson et bon nombre d'autres
auteurs
, le rein graisseux, lisse ou granuleux, représent
sans tenir compte des caractères différentiels mis en relief par cet
auteur
. — Le rein contracté présente un très petit volum
beaucoup moins nombreuses pourtant qui ne semblent le croire quelques
auteurs
. Ainsi, vous entendrez souvent dire que la lésion
stoire de la néphrite scarlatineuse est confondue par la majorité des
auteurs
avec celle de la néphrite parenchyma-teuse. L'ors
ce que serait due la forma-tion de la matière amyloïde qui, d'après l'
auteur
, n'est que de la fibrine privée de l'alcali libre
théorie ne saurait avoir une application aussi étendue que le veut l'
auteur
. Car il existe d'autres circonstances dans lesque
ces anciennes de Magendie. — Ilématinurie de Vogel hémoglobinurie des
auteurs
contem-porains;. — Hémoglobinurie déterminée par
re a subi toutes les modifications dé-crites par Langhatis et que cet
auteur
rapporte à l'inflamma-tion aiguë (épaississemenf,
ique proposée par MM. v. Wittich et Kùss. Vous savez que, d'après ces
auteurs
, dans les conditions de la sécrétion normale, l'u
tique qu'il en faut faire, parce qu'elle a été appliquée par nombre d'
auteurs
à l'interprétation des phénomènes pathologiques.
ile- compliquée, obs-cure entre toutes, qu'on trouve traitée dans les
auteurs
sous ce titre : des conditionspathogéniques de Va
ues de Valbuminurie. Les conditions pathogéniques invoquées par les
auteurs
pour expliquer le passage de l'albumine dans les
énale. — A chacun de ces groupes correspond une théorie. Or, quelques
auteurs
éclectiques admettent la validité des trois systè
ans la dernière leçon, les conditions pathologiques invoquées par les
auteurs
pour expliquer le passage de l'albumine dans les
ne saurait admettre aujourd'hui, comme l'ont fait autrefois quelques
auteurs
, que l'hydrémie pathologique ou expérimentale pui
uelle M. Mialhe avait à tort com-paré l'albumine du sérum. Tous les
auteurs
récents ont reconnu la validité des obser-vations
ères qui appartiennent auxpeptones, et nous avons établi, d'après les
auteurs
récents, que les peptones existent toujours en ce
ter est, à l'inverse de la précédente, considérée par la majorité des
auteurs
, comme ayant une portée très générale. On l'appel
acile, en effet, de rapporter, comme le font aujourd'hui bon nombre d'
auteurs
, l'albuminurie à une augmentation de pression sur
étentes, et on affirme qu'elles ns démontrent pas réellement ce que l'
auteur
voudrait leur faire prouver. Mais cela importe pe
aire. Sommaire. - Fréquence de la lithiase biliaire. — Opinions des
auteurs
sur les accidents qu'elle détermine. — Recherches
idérations physiologiques. Sommaire. — Opinions contradictoires des
auteurs
sur le tissu conjonctif du rein. —? Vaisseaux lym
ces anciennes de Magendie. — Hématinuric de Vogel 'hémoglobinurie des
auteurs
contem-porains). — Hémoglobinurie déterminée par
que des centres nerveux. Nous indiquerons en détail l'opinion des
auteurs
dans un index bibliographique aussi complet et ex
), par lesquels nous entrons en rapport avec celui- ci. Et ces deux
auteurs
concluent que la lésion de ces différents cen-
s l'aphasie. Thèse, Paris, 1881. (Douze observations, dont une de l'
auteur
et deux de M. Magnan.) 4 Chauffard. Rev. de M
ondres6, l'époque d'ap- parition des publications des deux premiers
auteurs
est la date des premières recherches sur les fo
cerveau humain.) Voir le résumé des résultats obtenus par ces deux
auteurs
: in Lee. sur les fond. nzot. du ceru. F. Franc
s). Les expériences de 188î ont été répétées récemment par ces deux
auteurs
à la Société de Biologie. (Voir Comptes rendus
à la suite de la suppuration amenée par le mal perforant. Mais cet
auteur
S2 q REVUE critique. considère l'apparition d
n trouble trophique. Nous rappellerons aussi qu'un certain nombre d'
auteurs
(Duplay et Morat, Lancereaux, Hanot, Bail, Moze
l et l'hystérie. Ces deux faits là ne sont pas mentionnés par ses
auteurs
et cependant ils nous semblent bien avoir leur
ines époques biologiques et nous ne serons pas étonnés que certains
auteurs
aient rangé la catatonie dans la folie de la pu
ligée par Neisser (Obs. IX) ; dans deux autres observations du même
auteur
, nous trouvons du somnambulisme et des hallucin
ulgarité de l'hystérie mâle. LA CATATONIE. S7 Schuele est le seul
auteur
qui ait comblé en partie ces lacunes dans l'exa
tentative de Kalhbaum a été en somme approuvée jusqu'ici par peu d'
auteurs
. Nous avons vu les partisans et signalé déjà en
die DE IIASEDOW; par E. JENDRASSIK. (Arch. f. Psych., XVII, 2.) L'
auteur
préfère ce terme à celui de polioencéphalite parc
disparition du phénomène du genou. Deux observations à l'appui. L'
auteur
insiste encore sur les altérations concomitantes
atrophiés a conservé ses caractères normaux. Il s'agit d'après les
auteurs
de cette note d'une paralysie spinale de l'adul
téressante et très complète, avec quelques observations propres à l'
auteur
. Nous signalerons particulière- ment : l'Oss. I
de Broadbent et Ross; l'OBs. VI : tremble- ment posthémiplégique; l'
auteur
n'aurait rencontré ce tremble- ment qu'une fois
e dégénéra triée sclérose multiloculaire myélite aiguë transverse l'
auteur
passe à l'étiologie et à la pathogénie delà lés
Cl, : LE. 77 ! e</OM ? 'Ha/ of Mental Science , avril 1885.) L'
auteur
rapporte brièvement neuf observations dans les-
Psych., XLII, 4.) Que sont devenus les paralytiques généraux dont l'
auteur
avait jadis annoncé la guérison apparente (lrre
is il a depuis quitté le pays et on n'en a plus en- tendu parler. L'
auteur
fournit encore deux nouvelles observations de p
Psych., XVII, 1.) Quatre observations. Ici le déliré fut, d'après l'
auteur
, absolu- ment différent de celui qui appartient
nd Sui-gical Reporter de mai 1873 est analogue à celui relaté par l'
auteur
. Dans d'autres cas, ce sont des troubles intell
sur la conformation de l'enfant. Une observation per- sonnelle de l'
auteur
en est un exemple. Une mère donna nais- sance à
dedans. Le Dr Stedmann a réuni deux cents cas analogues, parmi les
auteurs
, il en relate les principaux. Des faits bien ét
semblables chez des animaux. Certains faits sont attribués par les
auteurs
à l'hérédité comme dans celui présenté par J. G
s que le Dl Stedman trouve là un cas s'accordant avec sa thèse. L'
auteur
hésite à attribuer les noevi mate ? ,ni à la même
mation, antérieur à l'impression maternelle incriminée. Mais pour l'
auteur
, qui ne veut pas voir dans toutes les déformati
les troubles de l'esprit de la mère agissent-ils sur le foetus ? L'
auteur
admet avec Dalton que la circulation placen- ta
ns, de paralysies, de chorée semblent concorder avec l'opinion de l'
auteur
. Ce dernier conclut en montrant que les cel- lu
te Journal of ;4lezztal Science, juillet 1885.) L'observation que l'
auteur
relate avec détail, porte sur unefemme de quara
une influence sur l'affeclion mentale ? c'est un point sur lequel l'
auteur
n'entend passe prononcer; il se borne à re- lat
des plus impor- tants dans la production de l'imbécillité ; et si l'
auteur
a cru devoir rapporter cette observation c'est
otionnelle; par D. HACK TUItE. (The Journal of Mental Science.) L'
auteur
rapporte plusieurs observations très intéressante
de Fribourg). Des atrophies musculaires aiguës simples. Ce sont les
auteurs
français qui ont mis en relief les formes de l'
t-elles complètement ré- pondu dans la pratique aux visées de leurs
auteurs
? Nous avons résumé, à la suite de ce rapport,
1871, et le Gouverne- ment à sa suite, tout en rendant justice aux
auteurs
de la loi de 4838 ont été ramenés, par les plai
nistratif, ce caractère tout nouveau donné à une loi à laquelle ses
auteurs
avaient déclaré si expressément ne pas vouloir
physiologie cérébrales nécessaires pour l'intelligence du sujet, l'
auteur
nous donne un historique complet quoique rapide
uelle il résume claire- ment toutes les opinions et les travaux des
auteurs
, tant en France qu'à l'étranger. Mais pourquoi,
pal parait être de pré- senter un tableau complet de la question, l'
auteur
met-il décote, presque de parti pris, certains
u'au point de vue clinique. Aussi ne comprenons-nous pas pourquoi l'
auteur
se con- tente de la signaler seulement en passa
ions sont mises en regard des symptômes observés, et qui permet à l'
auteur
de conclure que les lésions déterminantes de l'
ologique, la seconde psychologique. Dans l'une comme dans l'autre l'
auteur
se mettant en quelque sorte en dehors de toute
e place dans la partie physiologique. Mais il est regrettable que l'
auteur
ait com- plètement omis de rapporter, ne fût-ce
ion qu'on veuille leur donner. Quant à la par- tie psychologique, l'
auteur
en résume lui-même le but en disant dans ses co
lisant le grand nombre d'expériences in- génieuses qu'a imaginées l'
auteur
pour l'étude des suggestions, des hallucination
si facilement à des digressions plus fantaisistes que positives, l'
auteur
a su au contraire se tenir constamment sur le t
il sujet de fournir des exemples personnels en trop grand nombre. L'
auteur
a su éviter cet écueil, et quand il se cite lui
llet, de Marie sont également cités; mais nous sommes étonnés que l'
auteur
n'y ait pas fait mention des intéres- santes pu
cas dans lesquels les conditions restent en apparence les mêmes. L'
auteur
cherche, dans l'interprétation de quelques obser-
aration suit les lois de la dégénérescence vallérienne. En somme, l'
auteur
conclut que les névrites dites spontanées ne so
prend trois éléments : l'in- telligence, l'émotion et la volonté. L'
auteur
examine successive- ment l'influence que peut e
de préceptes utiles au médecin dans ses rapports avec le malade. L'
auteur
conseille d'employer le braidisme dans beaucoup
gie des psychoses est prouvée par le grand nombre de causes que les
auteurs
se sont adonnés à rechercher pour les expliquer
n lui des troubles men- taux, tandis qu'un autre pourra réagir. L'
auteur
divise les causes en : 1 ° prédisposition ; 2° mo
Il reste à examiner un certain nombre de causes prédisposantes. L'
auteur
nous montre comment certaines causes, qui lorsqu'
5 ? 68 p. 100 chez les hommes. Parmi les affections cérébrales, l'
auteur
a trouvé 17 cas d'affections des méninges, et 5,6
8 causes somatiques sont incriminées. Les dernières ont donc, dit l'
auteur
, une influence bien plus considérable sur le dé
dence, ou même une association, qui n'a rien qui doive éton- ner. L'
auteur
donne avec ces observations un résumé des formes
iÉ. ' Tti. Paris, 1887. Dans ce travail inspiré par le Pr Bail, l'
auteur
se propose d'étu- dier les troubles de la mémoi
du traumatisme dans la genèse des maladies nerveuses; toutefois, l'
auteur
étudie aussi l'influence des névropathies sur l
L'origine traumatique de l'épi- lepsie a été soutenue par quelques
auteurs
, notamment par Dela- siauve ; de plus, M. Brown
ncore de l'éclampsie puerpérale. ' Pour ce qui est de l'hystérie, l'
auteur
se contente de rappeler les remarquables leçons
traumatiques seraient, la plupart du temps, hystériques. Mais où l'
auteur
, qui nous paraît déjà peu prudent, dans son inter
points de la paralysie générale; par Grégoire. Th. Paris, 1883. L'
auteur
parait s'être proposé dans ce travail de mettre u
tteint en ce qui concerne les ouvrages français et classiques, et l'
auteur
a groupé avec assez de clarté les déductions qu
é les déductions qui ressortent des observations et des travaux des
auteurs
. Quoi- que aucune idée originale et nouvelle ne
ns même sont empruntées presque toutes, sauf trois ou quatre, à des
auteurs
connus, il aurait encore sa valeur si la biblio
int si contesté, et encore si plein d'obscurités. Mais le peu que l'
auteur
cite remonte déjà à une date assez éloignée. P.
t constituée par la maladie de Par- kinson sans tremblement, dont l'
auteur
a observé un cas tout à fait caractéristique. L
r Edward MOOIIE. (The Journal of Mental Science, avril 1885). . L'
auteur
insiste énergiquement pour qu'une place officiell
tenu déjà plusieurs séances. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE Avis aux
Auteurs
et aux Editeurs. Tout ouvrage dont il nous sera
servi de base pour la rédaction de ce travail, d'après le dire de l'
auteur
. C'est donc avec juste raison que M. Leroy de M
nt est une lettre particulière, en- voyée par Denayrouze au célèbre
auteur
de la Pression barométrique, dont voici le cont
s moyens de les prévenir, devant la Faculté de Montpel- lier. Cet
auteur
a puisé les matériaux de son travail dans une c
on directe de l'air comprimé. Parmi les maladies à début brusque, l'
auteur
cite comme accidents légers les puces, les doul
iques et un cas d'Iaémorr7aagie nasale. Comme ac- cidents graves, l'
auteur
rapporte une observation im- portante qui consi
ion de quatre malades, dont deux seule- ment ont été observés par l'
auteur
; les histoires des deux autres lui ont été raco
e, il fait une analyse des symptômes présentés par ses malades, l'
auteur
ayant la tendance à considérer ses cas comme de
ès une description détaillée et précise de l'appareil immersif, ces
auteurs
décrivent la maladie des plongeurs, qui se prés
s différents. Le premier degré, qui, d'a- près ce que supposent les
auteurs
, consiste en conges- tions passagères du cervea
rand quel'anesthésie des autres espèces de sensibilité. Parmi les
auteurs
modernes que j'ai cités plus haut, et qui ont p
bles d'autres espèces de sensibilité. Dans sept cas décrits par les
auteurs
allemands et dans deux observations de Dreschfe
ons douloureuses a été observé par nous aussi bien que par d'autres
auteurs
(OBs ? 11) ; mais en général on la voit très ra
avons observées dans 1' Observation V est men- tionnée par d'autres
auteurs
également. Ces tumeurs ne sont pas accompagnées
ante et au lobule paracentral. Elle empiète aussi, d'après quelques
auteurs
, sur le pied des circonvolutions fron- tales. M
une étendue beaucoup plus considérable. Elle comprend, d'après cet
auteur
, toute la partie de l'écorce située en arrière
au con- traire, à eux deux, un seul et même faisceau ? Le second
auteur
émet cette dernière opinion; les premiers' sont
' 22 et 23) ; Grasset, (fn Montpellier méd., oct. 1881) et quelques
auteurs
réfutent l'opinion de Bitot sur le carrefour du l
urtout par les recherches anatomiques auxquelles se sont livrés ces
auteurs
sur les lésions causales de la paralysie labio-
ière2. modératrice sur l'élaboration de ces incitations motrices. L'
auteur
ne retire pas pour cela aux régions corticales
s points les plus intéressants de la médecine légale des aliénés, l'
auteur
s'est pro- posé de rechercher, d'après des donn
érieurement' chez les chiens empoisonnés par l'acide arsé- nieux, l'
auteur
arrive à cette conclusion que le tableau macro-
modifications pathologiques ressemblant à celles que la plupart des
auteurs
contemporains décrivent comme appartenant en pr
riphérique sur- venues à la suite d'une intoxication de ce genre, l'
auteur
avoue n'avoir trouvé sous ce rapport aucune don
SOFA un CRANIO DI LADRO; par le DI Giuseppe ÂMADEI. Le crâne dont l'
auteur
donne la description et dont la figure .est joi
suelle, une liéminnopsie temporale marquée. De ces constatations, l'
auteur
tire ce qui suit : SOCIÉTÉS SAVANTES. 383 «
'un était malade alcoolique et l'autre a éprouvé, au dire même de l'
auteur
, une modification complète de sa manière d'être
M. GRASHEY. Des rapports de service dans les asiles d'aliénés. L'
auteur
recommande l'usage de rapports dressés quotidienn
s prodromes, la troisième fut précédée d'une angine folliculaire. L'
auteur
fait remarquer l'autonomie de l'affection cutan
gne, chef de clinique adjoint. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. Avis aux
Auteurs
et aux Éditeurs. Tout ouvrage dont il nous sera
à tendances mélancoliques ne tardent pas à s'accuser d'en être les
auteurs
. Récemment nous avons observé un dégénéré qui,
servé un dégénéré qui, s'étant trouvé quelque res- semblance avec l'
auteur
présumé du crime de la rue Montaigne, s'est ima
rouvaille, il crut reconnaître dans la personne de son domestique l'
auteur
du crime ; il se demanda anxieu- sement s'il n'
toute l'énergie d'un individu convaincu, d'un malade qui est bien l'
auteur
de son délire, l'autre sera pris constamment en
quand il reste seul pour en- tretenir un délire dont il n'est pas l'
auteur
. Mais il est des cas toutefois, où il devient n
vé les maladies, c'est-à-dire de quelques mois à deux ans. D'autres
auteurs
ont également vu l'état stationnaire de nombreu
ement déjà existé à l'age de onze ans. Et dans les observations des
auteurs
, où le début de la maladie est signalé - il se
ésie et la propriété de quelques autres symptômes, qui ont obligé l'
auteur
à diagnos- tiquer dans son cas le tabès dorsali
us le répétons, démontre la nature comitiale de la maladie'. 'Ces
auteurs
ont confondu encore sous le nom de grande chorée
nt en avant, puis plus tard un mouvement de recul \ Pour certains
auteurs
, les phénomènes observés seraient des phénomène
n de la partie supérieure et externe du pédoncule cérébral, le même
auteur
a constaté des mouvements de rotation sur l'axe
tation pro- duisait un mouvement de course irrésistible. D'autres
auteurs
, entre autres M. Steiner, attribuent les mouvem
rch. f. Psyclc., \VIII, 3.) D'après les nouvelles recherches de l'
auteur
, il y en auraitquatre degrés caractérisés par d
très froide, etc., et les rapprochant des chiffres ther- miques, l'
auteur
a obtenu une gamme qu'il a mise ensuite à l'épr
es observations de sclérose en plaques. Dans une première partie, l'
auteur
établit que, selon toutes probabilités, la loca
ervation person- nelle : étude critique des cas et des opinions des
auteurs
. M. Stephan penche pour la couche optique. P. K
sions. Et à propos de ces observations, idées originales. D'après l'
auteur
, la névrite alcoolique débute par les muscles,
e, sans abolition de la sensibilité dans les régions affectées. L'
auteur
rappelle que d'autres faits pathologiques ont déj
de diphlhérie, qui ne céda qu'à la galvanisation de la moelle, l'
auteur
étudie principalement les troubles nerveux conséc
nverse- ment, se peuvent montrer au milieu du sommeil nocturne. L'
auteur
insiste sur le diagnostic différentiel entre le p
ents, et souvent on peut les traiter en dehors de l'asile.- Aussi l'
auteur
demande- t-il que la loi permette aux médecins
use bucco-pharyngienne, soit qu'elle vienne du système ner- veux. L'
auteur
relate deux cas de ptyalisme du dernier genre gué
re paralysie du radial droit tout acciden- telle par compression. L'
auteur
recommande de toujours prescrire le traitement
mblable au délire de persécution par hallucinations sensorielles. L'
auteur
n'en donne qu'une en détail. Chez les montagnar
orce, soit dans la lisière de l'écorce vers la substance blanche. L'
auteur
a pris des moyennes. Il a trouvé que : Sur un c
ÉNAT. 461 Je crois donc que c'est par une confusion d'idées que les
auteurs
de l'amendement sont venus revendiquer ici excl
l n'est pas question d'au- topsie, en sorte que les hypothèses de l'
auteur
concernant la pa- thogénie des attaques n'offre
s chez les cithéi,o- . rnateux; par M. Copin. Th., Paris, 1887. L'
auteur
essaye la différenciation des diverses affections
convolution cérébrale, la Bi,ocit's circon- volution des Anglais. L'
auteur
a laissé de côté volontairement la physiologie
et ouvrage ne correspond pas précisément à ce qu'on y trouve, car l'
auteur
ne s'est pas borné à nous parler des formes que
nt intercalées dans le texte, mais empruntées pour la plupart à des
auteurs
anciens elles ne pré- sentent pas la rigueur sc
e doctrine et avoir décrit les différents instruments du Dr Burq, l'
auteur
expose les différentes théories proposées par l
r. P. S. â IS. La descendance des alcooliques ; par Combemalle. L'
auteur
débute par une élude sur l'hérédité en général qu
t faite d'après Magnus Iluss, Lancercaux, Yetautt, Leudet, etc. L'
auteur
admet des lésions de stéalose portant sur toutes
iens, des Hottentots et des Peaux-rouges. Dans sa seconde partie, l'
auteur
aborde l'étude de la descen- dance des alcooliq
scendance ? Ce serait en atrophiant les testicules elles ovaires. L'
auteur
rappelle une observation de dément dont le père
ait alcoolique, et en état d'ivresse au moment de la procréation. L'
auteur
aborde ensuite l'étude des effets de l'alcoolis
ont caractérisées surtout par des processus atrophiques partiels. L'
auteur
cite à ce propos la parole de Dickinson « l'alc
La Lanterne du 31 août 1888.) BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE Avis aux
Auteurs
et aux Éditeurs. Tout ouvrage dont il nous sera
r les docteurs .1. Dagonet et G. Duhamel. Itevue et augmentée par l'
auteur
. Préface du Dr Il. Daguet. 2' fascicule. Un volum
449; (spinale de l'adulte), par le- clerc et Blanc, 70. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. - 49o Paramyoclonus mu
rin, par Pampoukis, 1, 21S; (galvanique), par Kny, 436. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Alll,i(lci, 280. Dartel
Brosier, 72. CaLSras, 1 io, 36. Chaslin, 52. 496 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. Deny, 68, 69, 70, 73.
uit quand on pense que voici plus de trente ans que l'attention des
auteurs
anglais est fixée sur cette entité morbide, et
scomps de l'autre (3). « Il nous faut signaler, disent ces derniers
auteurs
, un symptôme particulier bien évident, consistant
ment au syndrome qui nous occupe montrent assez les divergences des
auteurs
(ostéite déformante de Paget; ostéite ossifiant
s arrêter à la théorie syphilitique delà maladie de Pagel. Cerlains
auteurs
, en effet, à la suite de Lannelongue (1) et de
a été incriminée tout d'a- bord. Lannelongue pense même que si les
auteurs
ne recueillent jamais d'antécédents syphilitiqu
die osseuse de Paget, cette « syphilis ultra- tardive » de certains
auteurs
. Fréchou (4) a consacré sa thèse à ces analo- g
es très intéressantes faites par MM. Ménétrier et Gauckler (1). Ces
auteurs
, en effet, ont mis en relief les analogies qui
seuse tardive dont les manifestations sont considérées par certains
auteurs
comme assez sem- blables et parfois identiques,
osseuses dystrophiques ou in- flammatoires ont été ramenées par les
auteurs
à deux processus anatomi- ques que l'on peut di
nel, qu'il croit t unique dans la science. Depuis le travail de cet
auteur
, nous n'avons trouvé qu'un nouveau cas publié p
re à une altération nerveuse, paralysie, névralgie, etc. Certains
auteurs
considèrent la scoliose comme ayant des rapports
inam peuvent se concilier avec la théorie thyroïdienne. Plusieurs
auteurs
tels que IIeiuogiie (6). AU : >SET (7), 13U\YI
oté dans le gigantisme. Il a été vu chez des eunuques par les mêmes
auteurs
. L'un de nous l'a observé chez un skoplzy. La s
avril 1886. 40 PARHON ET JIANO 30. KoELUKKn.(Cite comme les deux
auteurs
précédents d'après l'article de liravrsson), 3t
iné par des symptômes bulbaires. L'on sait à ce propos que certains
auteurs
ont décrit une forme bulbaire de la polyomyélite
chronique, déjà Aran Duchenne avait placé le surmenage : selon cet
auteur
l'atrophie débute- rait par les muscles soumis
e la tête. Voici le résumé du cas très intéressant illustré par cet
auteur
. Un homme de 57 ans, intelligent, photographe d
donne des réactions cadrant avec le tableau de la D. R.partielle. L'
auteur
posa : le diagnostic d'amyotrophie myélopathique
t des troubles parétiques de la corde vocale du même côté. Les deux
auteurs
, en s'appuyant sur ces faits et sur l' l'existe
é englober tous * Les numéros d'ordre placés à la droite des noms d'
auteurs
ou des indications d'ouvrages renvoient au numé
qui, la première, semble avoir attiré l'attention des médecins ; un
auteur
allemand, Brüclc (25), la décrit en 1831 ; Gierl
sur ces questions est celui de Duchenne de Boulogne (47). C'est cet
auteur
qui le premier propose le terme de spasmes fonc
affections si différentes les unes des autres. Toutefois, ce dernier
auteur
étend beaucoup le sens de Beschaftigungsneurose
Meige fait remarquer à juste litre que la distinction, que certains
auteurs
ont voulu faire, entre les crampes fonctionnelles
nt l'aspect d'une des formes de la crampe des écrivains. D'autres
auteurs
sont venus, à la suite de Poore, défendre l'origi
ypothèse. » ÉTUDE SUR LES CRAMPES PROFESSIONNELLES 73 De nombreux
auteurs
, à la suite de Duchenne, sont venus appuyer cet
Ce caractère électif des crampes esl, à la vérité, nié par certains
auteurs
. Kouindjy (228), Poore (109) rapportent un certai
lésion cérébrale, soit diffuse, soit localisée ? Oui pour certains
auteurs
qui, comme Sa- vill (198), pensent qu'il existe
ite chez l'homme en 1858 par Charcot, est souvent signalée par- les
auteurs
, la claudication intermittente des membres supé
édisposé. 3° Origine nerveuse : névralgies, névrites. De nombreux
auteurs
ont rapporté des observations de crampes pro- .
rUDE SUR LES CRAMPES PROFESSIONNELLES 85 Un certain nombre d'autres
auteurs
signalent encore des crampes professionnelles d
sant sous le nom générique de Beschaftigungsneurosen. Mais certains
auteurs
, comme Savill (198), ne font point cette distin
rition de certaines crampes professionnelles. Un certain nombre d'
auteurs
ont rapporté des cas de malades voyant survenir
se après une séance de spiritisme qui l'avait impressionné. Le même
auteur
cite le cas d'une dame, qui après avoir soigné
groupées sous le nom de torticolis mental. Or, un certain nombre d'
auteurs
ont signalé l'association de crampe des écrivai
es de valeur esthétique. Loin de là. Les qualités personnelles de l'
auteur
sont capables de transformer en chef-d'oeuvre l
C'est par l'ensemble de sa com- 100 ' HENRY MEIGE position que l'
auteur
a cherché à provoquer une émotion artistique. Tel
s portraits isolés, notamment la Loca de Ximénès Aranda. Enfin, l'
auteur
a collationné les tableaux inspirés par les grand
ns l'Art, où elle me paraît tout à fait à sa place. Mais, lorsque l'
auteur
conclut, lui aussi, que c'esl là une figura- ti
e de ses facultés ; dans celles que nous avons maintenant en vue, l'
auteur
lui-môme est un fou, et ses compositions artistiq
r leur étrangeté, semblent témoigner du déséquilibre mental de leur
auteur
. Si l'absence de renseignements médicaux diminue
l pas y reconnaître l'expression du désordre psychopathique de leur
auteur
? N'est-il pas singulier que ces com- positions
ons qui permettent de douter du par- fait équilibre mental de leurs
auteurs
? ... Dailleurs, il n'y a pas très long- temps
us les animaux meurent, la souris plus rapidement que les autres (l'
auteur
fait observer que les animaux jeunes résistent
les cornes antérieures, quelques cylindraxes sont gonflés. Enfin l'
auteur
signale une tendance à la dégénérescence graiss
s des 3 premières, et se rapprochant davantage de celles des autres
auteurs
. L'appareil, appliqué sur le crâne, dans des co
aiter à nouveau ces points déjà suffisamment mis en lumière par ces
auteurs
. Nous nous bornerons, par conséquent, à la desc
oplasie, qui nous semblent mériter une certaine critique. Plusieurs
auteurs
considèrent aujourd'hui, en effet, l'achondroplas
le de certaines glandes à sécrétion interne : cette théorie que les
auteurs
mêmes considèrent comme hypo- thétique, ne nous
ifs à tous les nains achondroplasiques décrits par les dif- férents
auteurs
. Ce nouveau caractère propre à la main et au pied
permis de relever tous les autres caractères déjà observés par les
auteurs
: c'est-à-dire le grossisse- ment des épiphyses
recueilli tous les cas familiaux ob- servés par lui et par d'autres
auteurs
; nous pouvons ajouter à cette caté- gorie les
é- sence des lésions congestives et inflammatoires trouvées par ces
auteurs
dans les autres organes histologiquement examin
c exagération des fonctions antagonistes des glandes sexuelles. Les
auteurs
basent celle hypothèse sur le fait que les géants
t hypothétique et qui, comme telle, n'est pas acceptée par nombre d'
auteurs
éminents. Seule- ment, de solides données anato
u par injection) ont donné d'ailleurs expérimentalement à plusieurs
auteurs
(Cerletti, Sandri) une réduction notable de la
gane, c'est-à-dire sans moyen.Une telle opinion dénoterait chez leurs
auteurs
une absence radicale d'esprit scientifique, un
t la pensée n'existait pas vraisemblablement dans l'esprit de leurs
auteurs
. Mais ces heureuses et rares conclusions, en le
leurs par- ties constituantes ni d'ailleurs dans l'esprit de leurs
auteurs
à un mécanisme physiologique connu ou seulement
cette époque il * Les numéros d'ordre placés à la droite des noms d'
auteurs
ou des indications d'ouvrages renvoient au numé
rre Bon- 194 MAGE DE LÉPINAY . nier (17). La crampe, remarque cet
auteur
, est un symptôme fréquent, parfois initial, du
ne spasmo- dique. Leur intensité est quelquefois telle que certains
auteurs
ont pu décrire une forme névralgique de la cram
nt exclusivement limité à l'acte d'écrire est rare ; aussi certains
auteurs
comme Duchenne, Zuber, ne le décrivent point. D
vements associés sont en général moins favorables. La plupart des
auteurs
classiques portent le pronostic le plus sévère
n du plus grand effort né- cessité par la production des notes. Cet
auteur
peuse que les traumatis- mes répétés des doigts
exagéré encore, dit Zabluclowski (257), par la musique de certains
auteurs
« véritables casse-cous, ana- logues à des cour
iseurs, décrite par Naëcke (190), crampe de la nuque observée par l'
auteur
sur lui-même, concurremment à une crampe des éc
'examiner au microscope la viande de boucherie (Oppenheim). Le même
auteur
a vu un cas de nystagmus passager chez un violoni
des efforts d'accommodation pourvoir de loin. Mais ces diffé- rents
auteurs
ne spécifient pas si les spasmes n'apparaissaient
estant réservé, ne doit pas être si alarmant que l'ont dit nombre d'
auteurs
. Le diagnostic d'une crampe professionnelle aut
été étudiées au cours de différentes maladies nerveuses : certains
auteurs
ont constaté une fragilité particulière des os
Les articulations ne paraissent pas modifiées : « Il s'agit, dit l'
auteur
, d'une raréfaction de la substance spongieuse de
odermique commune des deux tissus, ainsi que l'opinion de plusieurs
auteurs
(Legendre, Fried- reich, Eulenburg, Schulze), q
(4). Dans ce premier travail et dans un deuxième publié en 1882 cet
auteur
rassembla plusieurs observations d'une nouvelle e
ue l'on peut voir chez la plupart des observations relatées par les
auteurs
. Dans la généralité des cas publiés,l'ostéitedé
e mala- die osseuse de Paget à forme unilatérale. L'observation des
auteurs
est la première faite jusqu'à présent sur l'ost
dire qu'il fait absolument défaut dans toutes les observations des
auteurs
, qui au contraire,ont été frappés par l'intégri
aladie osseuse de Paget à forme unilatérale et à ce propos les deux
auteurs
relatent ce détail fort curieux à savoir que, du
ités tout à fait semblables à celle du rhumatisme d'Hé- berden. Les
auteurs
pensent, avec raison, que ces nodosités sont une
nnels. Déjà dans le premier malade du mémoire classique de Paget, l'
auteur
avait constaté des signes d'insuffisance mitrale
pathogénique de l'os- téite déformante'de Paget qui serait pour ces
auteurs
un trouble dépendant de la syphilis héréditaire
suffit de se rappeler l'analyse chimique des os faite par quelques
auteurs
dans l'ostéite déformante progressive, où dans
que. On voit que sur la question de la contracture de Dupuytren les
auteurs
ne sont guère d'accord. La question n'étant pas
parfois aussi peut-être congénital ». A la suite des travaux de cet
auteur
, de nombreux cas de trophoedème furentpubliés, et
t sous leur dépendance la nutrition du tissu conjonctif; cer- tains
auteurs
attribuent l'oedème à une lésion du sympathique e
Chir., 1895, n° 47), Spijarny (Medic. Obosr., 1901. p. en russe; l'
auteur
cite quinze cas d'interven- tion chirurgicale),
hir., 1895, Bd. 14), Fikhof (Arch. chirur. (en russe), 1905, v. II, l'
auteur
a réuni cin- quante-cinq observations cliniques
que lorsque les * Les numéros d'ordre placés à la droite des noms d'
auteurs
ou des indications d'ouvrages renvoient au numé
lité, un repos professionnel plus ou moins prolongé. La plupart des
auteurs
qui ont étudié la question sont d'accord sur l'
de foie de morue, en raison de sa richesse en phosphore. D'autres
auteurs
ont essayé des injections sous-cutanées de strych
e l'a proposé plus récemment Vigouroux. A vrai dire, ces différents
auteurs
conseillent d'appliquer d'une façon générale le
siologiquement appelés à produire ces mou- veinents. » Beaucoup d'
auteurs
rejettent complètement l'usage de ces appareils ;
e peut comprendre l'utilité de sections tendineuses, comme certains
auteurs
en ont fait pendant quelque temps. Stromeyer (llr
s en ont été satisfaisants. Voici le procédé auquel eut recours cet
auteur
: Observation XXIV (Vaschide). Il s'agissait
r il copiait soit des pages de ses anciens écrits, soit des pages d'
auteurs
classiques. Il lui était défendu de faire le mo
hez les malades atteints de crampe profession- nelle. Chacun de ces
auteurs
ayant une méthode un peu spéciale, nous passero
sont hésitants, et même s'il survient une récidive. Les différents
auteurs
qui se sont occupés de la rééducation motrice d
dinatrices d'occupation, proposée par Benedickt, et adoptée par les
auteurs
allemands. Il faut toutefois avoir soin de ne p
DESNOS, .IOFFROI et Pinard dès 1888, et plus récemment par tous les
auteurs
qui se sont occupés de la question. Cette constat
altérations les plus apparentes. » . Nous voyons que, d'après cet
auteur
, l'action trophique du centre cellulaire médull
e problème apparaît, d'ordinaire, fort embarrassant. La plupart des
auteurs
met en cause les troubles circulatoires, invoqu
ésence ne paraît même pas nécessaire pour leur production, certains
auteurs
admettant que la syphi- lis peut atteindre d'em
, llolt et Bartlett ont récemment rassemblé 40 cas, publiés par des
auteurs
antérieurs, où plus d'un cas a éclaté dans la m
et Macphail, en 1894, et Mackenzie, en 1902). Pour la première, les
auteurs
ont conclu qu'il s'agissait dans tous les cas d
nçais qu'on trouve des exemples de cette nature ; mais les premiers
auteurs
n'ont pas toujours donné une explication correc
nfantile a été fré- quemment confondue ». Mais, déjà en 1892, cet
auteur
s'exprimait de la manière suivante : « J'ai la
iniques. Nous trouvons encore des observations chez quelques autres
auteurs
qui nous montrent des symptômes d'une méningite
nous porte à conclure qu'il a existé une méningite, malgré que ces
auteurs
n'aient pas tiré cette conclusion. Quant à la g
e différence entre les méthodes d'examen qui sont employées par les
auteurs
des différents pays. Quincke, le créateur de la p
ession du liquide, il faut reconnaître, par contre, que ce sont les
auteurs
français comme Widal, Sicard et autres qui ont
s par le traité de Nonne sur la syphilis du système nerveux que des
auteurs
autrichiens, Fucus et Rosenthal, ont employé à
ies de la sensibilité qui est acceptée depuis par un grand nombre d'
auteurs
, surtout par des physiologistes, à ce qu'il sem
énéralement ; mais, pour la sensibi- lité tactile, les opinions des
auteurs
sont encore très divergentes. Sur ce point, mon
uefois flasque d'abord pour devenir plus tard spasmodique. Mais cet
auteur
remarque qu'en môme temps les troubles de la sens
Forssner et Sjoevall, Harbitz et Sclieel) ; toutefois les derniers
auteurs
n'insistent pas aussi nettement sur cette diffé
Lasègue, sont identiques, quoi- qu'ils aient été distingués par les
auteurs
, qui les ont nommés de noms différents dans les
ures comme cause de ces douleurs périphériques ; en effet, quelques
auteurs
out trouvé l'infiltration cellulaire des méning
Forssner et Sjovall ont publié, j'ai examiné (P.), à la demande des
auteurs
, les coupes des nerls périphériques, et je suis t
En effet,on trouve aussi,comme nous l'avons déjà remarqué, que les
auteurs
sont quelquefois demeurés dans l'indécision pou
cytologique du liquide cé- phalo-rachidien est important. Plusieurs
auteurs
ont déjà observé qu'on trouve la plupart du lem
con- valescence. Pour donner une idée des résultats obtenus par les
auteurs
antérieurs dans l'examen cytologique pour la po
en est venu à la même conclusion. D'un autre côté, quelques-uns des
auteurs
ayant étudié les épidémies norvégiennes, traite
liquide céphalo-rachidien, obtenus par nous aussi bien que par des
auteurs
antérieurs, sont d'une très grande importance.
méningites séreuses ordinaires. Si nous étudions ce que disent les
auteurs
des symptômes méningiti- ques dans la poliomyél
ronc dans la poliomyélite aiguë n'était pas souvent observée et les
auteurs
l'ont indi- quée comme très rare (Gowers, Dejer
upé davantage, mais l'on trouve aujourd'hui un assez grand nombre d'
auteurs
qui ont traité cette ques- tion. On a publié
y revenons plus loin). Nous relèverons ici les cas indiqués par des
auteurs
antérieurs où l'on a décrit des troubles moteur
S SUR LA POLIOMYÉLITE AIGUË 425 d'après la description donnée par l'
auteur
; il y avait une lordose). Le cas a été observé
aisait en longueur ? Ces considérations ont été développées par les
auteurs
que nous venons de citer. Nous croyons inutile
t de géographie, et au contraire il connaît assez les poètes et les
auteurs
dramatiques pour les juger avec une certaine ju
à MM. Brissaud et Meige, et Launois et Roy ; les conclusions de ces
auteurs
sont à présent acceptées presque universelle- m
les anomalies nous sont inconnues; cependant le plus grand nombre d'
auteurs
et entre autres Lepage, Taylor, Galezowski, Ber
doit pas d'ailleurs nous surprendre, car nous savons que plusieurs
auteurs
(Marie, Péchadre, Flemming, Hagelstam, lIansema
tisme nous verrons plus tard que, selon la très grande majorité des
auteurs
, cette affection doit être mise en corrélation av
19 ans les cartilages épiphysaires étaient complètement soudés. L'
auteur
suppose justement que dès le début de la maladie
KLIPPEL ET PIERRE-WEIL ches embryologiques de Blaschko. D'après cet
auteur
, « aux points où chez l'embryon s'accolent deux
ais il est une troisième variété de topographie métamérique que les
auteurs
n'ont pas décrite et qui est pourtant la plus fré
es chirurgiens sous diffé- rentes dénominations. Depuis, quelques
auteurs
se sont rangés à la manière de voir de Bech- te
ue « les articulations coslo-vertébrales paraissent normales ». Ces
auteurs
n'ont pas trouvé d'exostoses, mais ils ont cons
bleau clinique et par l'étiologie de la forme deBechterew. Quelques
auteurs
ont exprimé l'idée qu'il faut attribuer cette mal
togiques ultérieures confirme- ront cette manière de voir. Quelques
auteurs
ont déjà exprimé l'idée que ces deux formes ne
cine (1886) ; le second cas est également décrit t par ces derniers
auteurs
et publié dans le travail d'Abadie ; il avait été
au travail con- cordent avec ce qui a été écrit par la majorité des
auteurs
sur la maladie de Pagel, la distribution des dé
yphose dorsale et le pli transversal de l'abdomen qui ont porté des
auteurs
à assimiler ces malades à des singes anthropomorp
jusqu'à présent me sem- ble inutile, d'autant que récemment divers
auteurs
se sont étendus sur l'historique de la question
ment défaut, de sorte que je me bornerai à rappeler ce que tous les
auteurs
s'accordent désormais à rete- nir, à savoir que
bre des cas de la maladie de Paget et qui est invoqué par plusieurs
auteurs
sous diffé- (1) Ac. de médecine, 3. III. 1903.
ieurs), mais il ne semble pas connaître de cas publiés par d'autres
auteurs
. Cependant Gowers remarque que « the diaphragna
omme un symptôme bulbaire, avec raison, je crois. En général, les
auteurs
n'ont peut-être pas assez fait la distinction ent
ajouter quelques mots sur la question de l'état des sphincters. Les
auteurs
de traités de la neurologie ont en gé- néral in
comme quelque chose de très rare (Oppenheim, Sachs) ; mais d'autres
auteurs
semblent admettre une fréquence un peu plus grand
les enfants plus jeunes, on arrive, d'après la statis- tique de cet
auteur
, jusqu'à une mortalité de 27, 6 0/0. Leegaard, qu
ration de la motilité après une poliomyélite aiguë. En général, les
auteurs
consi- dèrent comme une règle presque sans exce
de circonspection : « Parfois, au bout de plusieurs mois, certains
auteurs
disent même de plusieurs années, des améliorati
complète au point de vue pratique. Autant que j'en puis juger, les
auteurs
n'ont pas eu en général, une opinion aussi favora
l'examen électrique pour faire le pronostic est admise par tous les
auteurs
, et je n'ai rien à y ajouter. Quant au traite
cette méthode ne semble pas être assez reconnue, bien que quelques
auteurs
, comme Oppenheim et surtout Gowers, aient insisté
ou pa- ralysie spinale) aiguë de l'adulte, même dans les cas où les
auteurs
, comme Pierre Marie (62) (1892), insistent sur
traitant des « deux maladies » sous la même rubrique. De même, les
auteurs
insistent sur la grande rareté de cette maladie
térature que de nombreuses recherches ont été faites par différents
auteurs
(Strumpell, Gauthier, Arnold, Vassale, Franchin
pathogénie du gigantisme ; mais si dans l'avenir les recherches des
auteurs
qui nous suivront sur la même voie, confirment
ntisme sont en grande partie analogues à celles que la majorité des
auteurs
ont constatées dans l'acro- rnégalie. Le peu
d'ailleurs incomplets. Ainsi, chez le géant Charles décrit par ces
auteurs
, la quan- tité d'urine en 24 heures atteint 2.5
ariations des soufres urinaires. Selon Salkowski, Réale et d'autres
auteurs
, l'inten- sité des processus oxydalifs de l'org
t nous sommes déjà documentés, car l'un de nous (Franchini) et deux
auteurs
anglais W. Blair Bell et Hick ont démontré tout r
ituitaire il y avait une augmentation de la chaux dans le sang. Les
auteurs
en déduisent que la glande pituitaire a en condit
, est souvent liée une altération de l'hypophyse et que plu- sieurs
auteurs
dans les derniers temps ont attribué à l'hypophys
à fait nouveaux en appui à la théorie acceptée par la majorité des
auteurs
qui attribue à la glande hypophysaire un rôle dét
ites sur l'échange matériel dans l'acromé- galie par les différents
auteurs
ne sont pas du tout en accord entre eux ; les u
prédisposé à des altérations fonctionnelles. On peut objecter à cet
auteur
que le foie n'est pas toujours hyperméga- lique
valeur d'un fait accidentel. Il ne faut pas oublier que de nombreux
auteurs
et entre autres Franchini pensent que la lésion
l' ectro- pium zcux : deux faits qui sont liés par la majorité des
auteurs
à la syphilis héréditaire. On avait déjà asse
ens. Mais les altérations de l'échange organique que les différents
auteurs
ont observées chez les acromégaliques ne sont p
oure sa chair et je bois sa caresse. Voici une autre poésie du même
auteur
: Oublions le Passé qui toujours m'épouvante,
es. Le cas que nous rapportons est analogue aux observations de ces
auteurs
en ce sens qu'il s'agit également de dégénérati
es constituent certainement la classe la plus intéres- sante. Les
auteurs
qui se sont occupés de ces atrophies du cervelet
és : un certain nombre de ces atrophies ont été décrites par divers
auteurs
; il est pro- bable que la liste n'en estpas en
ux. Des cas semblables ont déjà été publiés, et maintenant tous les
auteurs
sont d'accord pour attribuer ces troubles aux a
enté à la So- ciété de neurologie de Vienne le 12 octobre 1901. Cet
auteur
a formulé à cette occasion son avis que, faute
l'hypophyse sur le développement du tissu adi- peux. En effet, cet
auteur
a eu l'occasion d'observer une fillette de 9 ans
pophysaire et, prenant en considération l'hérédité de leur cas, ces
auteurs
émettent même l'hypothèse d'une tare hypophysai
n n'a trouvé aucune cellule inters- titielle. Pour cette raison les
auteurs
se rallient à l'opinion de Bouin et Ancel, et a
pogénitalisme serait un symptôme hypophysaire important. Ce dernier
auteur
rappelle à cette occasion un cas antérieur de v
att, 1903, p. 608. 646 MARINESCO ET GOLDSTEIN utérus infantile. L'
auteur
admet que ces troubles doivent être expliqués p
daire à une tumeur de la fosse crânienne postérieure. Dans ce cas l'
auteur
a constaté, hors les symptômes habituels (maux de
onne : stature petite, tissu adipeux abondant, utérus très petit. L'
auteur
conclut que les tumeurs de l'hypophyse, ainsi que
stration il se produit un excès de développement du tissu osseux, l'
auteur
tire la con- clusion que dans la castration la
on viennent d'être confirmées jusqu'à un certain point par quelques
auteurs
. L'un de nous, dans des recherches faites en co
rôle aux capsules surrénales dans la pro- duction de l'obésité. Un
auteur
anglais, Guthrie (3), dans une étude sur différ
ui produiraient l'adipose généralisée par une sécrétion spéciale. L'
auteur
soutient cette hypothèse en se basant sur l'opini
ous sommes d'avis qu'il faut les éviter, d'autant plus que certains
auteurs
ont eu des résultats contraires, même fatals, apr
joutent rien d'in téressa nt aux faits déjà établis par les susdits
auteurs
: ce sont ceux de Brissaud, Ber- nheim,Grandon,
com- plète avec restitutio adinlegrum, ils sont interprétés par les
auteurs
fran- çais comme des poussées congestives. Dans
raitement opportun (applications galvaniques). On sait que quelques
auteurs
considèrent la poliomyélite chronique comme une
lus souvent que les choses vont de cette dernière manière, quelques
auteurs
ont soutenu qu'il existe un virus resté latent
épinière qui facilite les localisations morbides. En effet, quelques
auteurs
, tout en admettant que la poliomyélite antérieu
ard n'a trouvé que deux cas, indiqués comme poliencéphalite, mais l'
auteur
les regarde comme tout à fait douteux. De même,
egarde pas les symptômes bulbaires (qui sontrecon- nus par tous les
auteurs
comme étant dus souvent à une poliomyélile) com
s par Harbitz et Scheel, qui ont étudié l'épidémie norvégienne. Ces
auteurs
ont constaté la pré- sence dans les circonvolut
Des infiltrations cellulaires entre les vais- seaux sont rares. Ces
auteurs
remarquent qu'il n'y a pas une destruction nett
été constaté de poliomyélite par l'examen anatomique; toutefois les
auteurs
ont admis une poliomyélite dans l'un des cas pa
e réflexe patellaire était conservé. De même, le cas de Lamy où l'
auteur
, en examinant un ancien cas typique de poliomyé
DES CLINIQUES SUR LA POLIOMYELITE AIGUË 668 ceux que j'emprunte aux
auteurs
originaux : Môbius (le cas est connu surtout po
urath (71) (chez le même malade, hémiplégie spastique et, d'après l'
auteur
, également parésie de l'autre membre inférieur
poliomyélite et la polynévrite a été beaucoup discutée et plusieurs
auteurs
regardent comme impossible de faire une distinc
aralysie infantile. J'indiquerai d'abord les raisons données parles
auteurs
en faveur de cette opinion. Medin s'appuie sur
man, Forssner et Sjovall, IIarbitz et Scheel). D'un autre côté, les
auteurs
ont quelque- fois constaté que l'inflammation d
qu'il s'agit d'une polynévrite. Au point de vue théorique, quelques
auteurs
ont regardé comme diffi- cile de faire la disti
e a atteint les noyaux du bulbe ou de la protubérance. ' Tous les
auteurs
sont d'accord sur ce point que la poliomyélite ai
ants pour les différentes maladies infectieuses. On sait que divers
auteurs
ont trouvé,pour la poliomyélite aiguë des micro
oevall, de même qtiewiclmin, des staphy- locoques, résultat que les
auteurs
regardent comme sans intérêt pour la question d
de Leegaard, qui traite de la grande épidémie norvégienne et où cet
auteur
aussi insiste sur le caractère de la poliomyéli
ques, des manifestations dont l'homme est le support sans en être l'
auteur
. Enfin, l'instinct et 'habi tude ressortissent
abétigue de la co- lonne -) (2 pl.), par ROASENDA, 509. TABLE DES
AUTEURS
ALESS\¡';DR1XI, Les atrophies musculaires tar
ais- sance du gigantisme, avec une étude xxii 48 73 i TABLE DES
AUTEURS
complète de l'échange matériel dans cette mal
mégalie il n'y a point de doute à cet égard. Cependant, si tous les
auteurs
s'accordent sur la fréquence des rapports qui exi
sur ses pattes quand il est debout (2 m. 100). Ce type, ajoutent ces
auteurs
, diffère totalement de celui des géants au gran
evue Neurologique, 1900, p. 532. 24 MAGALHAES LEMOS Pour quelques
auteurs
, l'acromégalie est purement et simplement un de
ment à l'acromégalie (Sternberg). Mais, chose essentielle, pour ces
auteurs
il s'agit des deux états pathologiques « absolu
t liés à la fonction thyroïdienne c'est un fait sur lequel tous les
auteurs
sont d'accord. Mais il est aussi absolument cer
nes génitaux. Dans presque tous les cas de lésion hypophysaire, les
auteurs
constatent une atrophie des organes génitaux, o
stration,il se produit un excès de développement du tissu osseux, l'
auteur
tire la conclusion que dans la castration la caus
(de Bucarest). L'ostéomalacie ne représente pas, selon beaucoup d'
auteurs
et c'est éga- lement notre avis, une entité mor
t probablement des mécanismes multiples peuvent y con- duire. Les
auteurs
qui ont cherché à éclairer la pathogénie de l'ost
Il publia le cas dans Vircchozv's- Fesischrift (1881, Berlin). L'
auteur
pense que l'ostéomalacie était conditionnée dans
t régionnaire, tandis que dans son cas elle s'est développée, dit l'
auteur
, sur des bases nerveuses. L'auteur a vu encore
cas elle s'est développée, dit l'auteur, sur des bases nerveuses. L'
auteur
a vu encore une malade ayant perdu la voix et les
ent douloureux il la pression. Deux autres malades observés par l'
auteur
se plaignent que les dents ont commencé à souff
osseuse. Le processus ne rappelle pas non plus le rachitisme. Les
auteurs
se demandent si la suppuration chronique de la pl
s causes pour des ostéomyélites et périostites locales. Enfin les
auteurs
admettent que l'altération de la fonction thyroïd
e la coexistence de l'ostéomalacie avec le syndrome de Basedow, cet
auteur
remarque que certaines régions où l'ostéomalacie
es à la consolidation. Ce fait fut ensuite confirmé par de nombreux
auteurs
, et il convient de citer ici les noms de Reclus
thyroïdienne déterminait une ré- tention évidente du calcium. Ces
auteurs
citent un travail deSinhuUer qui trouve qu'une fo
isme et l'ostéomalacie sont des processus bien voisins, et certains
auteurs
, comme Bernard (66) par exemple les considèrent c
tard nota- hle dans la consolidation des fractures. Pour ce dernier
auteur
la thyroï- dectomie n'a pas la même influence,
dectomie n'a pas la même influence, mais nous savons que d'autres
auteurs
sont arrivés il des résultats différents. Nous
(71) a été affirmée récemment par Mac Callum et Voeatelin (72). Ces
auteurs
ont confirmé l'action sédative des sels de calc
sco (73) n'ont pu confirmer que pour certains cas les résultats des
auteurs
américains. Ces deux auteurs ont trouvé encore
pour certains cas les résultats des auteurs américains. Ces deux
auteurs
ont trouvé encore que les animaux thyroparathyroï
dectomie partielle, ont trouvé une rétention de calcium. Ces deux
auteurs
, en analysant les os des jeunes rats parathyroïde
les proportions du calcium des os et celui des parties molles. Ces
auteurs
font remarquer que la quantité plus grande de cal
de l'ostéomalacie par la castration fut confir- mée par de nombreux
auteurs
tels que Winckel (76), Muiier, Iloffa (77), Tru
e saurait être contestée, et les statistiques publiées par certains
auteurs
le démontrent suffisamment. C'est ainsi que Pol
nt t pas toujours concordantes. Nous dirons d'abord que plusieurs
auteurs
, tels que Caselli (LIS), Fi- chera (119) et tou
pports de l'ostéomalacie avec le rachitisme et le fait que certains
auteurs
ont incriminé le thymus dans la pathogénie de c
un retard de développement chez les animaux éthymisés. Ces derniers
auteurs
ont observé en outre un état ostéoporotique chez
sul- tat. Mais les résultats positifs obtenus par la majorité des
auteurs
concer- nant le rôle du thymus dans la croissan
'acide-nitreux,et par ce moyen la décalcifica- tion des os. Le même
auteur
avait trouvé l'acide nitreux dans l'urine de os
doivent se passer de cette façon dans tous les cas. Avec d'autres
auteurs
nous admettrons que l'ostéomalacie représente le
expérimentale des animaux tlly- ro-parathyroïdectomisés. D'autres
auteurs
tels que Rise) (160) au point de vue clinique, Ma
m et Voegtelin, Frouin (161) ont confirmé, ces faits, et le dernier
auteur
prétend même que le traitement de ces animaux par
s très peu connue et non exactement classée. En effet, si avant cet
auteur
on avait décrit une forme particulière de sublu
ut très souvent observer dans la maladie en question que beaucoup d'
auteurs
, el Siegrist entre autres, considèrent comme la
désaccord est démontré par les différentes dénominations que chaque
auteur
donne à celte difformité, dont quelques-unes, e
le plus caractéristique, d'autres enfin s'accordent sur le nom de l'
auteur
qui, le premier, l'étudia et la fit con- naître
- grist « manus valga », Piollet « radius curvus » ; la plupart des
auteurs
allemands parlent de cette maladie sous le nom
nom de « difformité du poignet de Madelung » en mémoire du premier
auteur
qui l'étudia. J'estime que la dénomination qui
de nature rachitique dans les travaux de Duplay et de Pellet : ces
auteurs
reconnaissent donc un processus de rachitisme t
ticula- tions radio-carpienne et cubito-carpienne. La plupart des
auteurs
qui suivirent dans l'étude de la difformité de
ormité de Madelung pal tajent cetle hypothèse. Cependant tous les
auteurs
ne croient pas il celte donnée éliologique et l
au travail de Vaiobra : « Difformité congénitale des membres » où l'
auteur
étudie les susdites théories à travers les idées
i de tous les autres cas décrits. En effet, suivant la majorité des
auteurs
, dont les idées se résument en celles de Siegri
étant comprise parmi celles décrites par Madelung et par les autres
auteurs
, elle s'en détache quelque peu par deux faits ;
entre autres, un cas de quatorze doigts à chaque pied ; etc. Les
auteurs
ne sont pas d'accord sur la fréquence de la polyd
ourrions pas nous expliquer comment elle se produit chez le premier
auteur
et de quelle manière celte conformation se tran
r auteur et de quelle manière celte conformation se transmet de ses
auteurs
à leurs propres descendants (Spoto) (12). La qu
à l'anomalie en question est très controversée. En effet, certains
auteurs
(Darwin, Tonnini, Penta, Spoto, Mariani et Mann
thologique. La signification atavique de la polydactylie; selon les
auteurs
qui sou- tiennent l'hypothèse de la réversion,
aux pattes postérieures, etc. Aux critériums sus-indiqués, quelques
auteurs
ajoutent aussi celui de la transmission hérédit
res signes de dégénérescence. Comme on le sait d'ailleurs, bien des
auteurs
attribuent il ces signes la valeur de phénomène
ifs. C'est dans les cas où la transmission directe man- que que les
auteurs
mettent souvent en relief l'existence d'autres si
Anzeiger, 1888, n" 17-18. 86 COSTANTINI point que certains de ces
auteurs
(Spoto) vont même jusqu'à parler d'une transfor
tavique, puisqu'elle dé- pend simplement de causes pathologiques, l'
auteur
refuse aux anomalies en question chez les penta
r, mais jamais entre les doigts normaux. Si, au contraire, ajoute l'
auteur
, le doigt surnuméraire se trouve intercalé entr
dans ses études sur la microcéphalie : « Durant l'ontogonie, dit l'
auteur
, les souvenirsphilogénétiques disparaissent en ta
aise a coutume de faire preuve envers les doctrines étrangères. Les
auteurs
français, à l'envi des auteurs allemands, ontét
envers les doctrines étrangères. Les auteurs français, à l'envi des
auteurs
allemands, ontétudié la séméiologie, porté ou d
erver quelques cas pouvant être rappor- tés à la Presbyophrénie des
auteurs
allemands. Il nous a paru intéressant d'entrepr
leau morbide décrit, sous nom de Presbyophrénie, par les différents
auteurs
. Ce rapide aperçu historique, en montrant les r
le avoir été imaginé parKahlbaum, mais la référence au texte de cet
auteur
n'étant nulle part indiquée, la description ini
, non une affection autonome ; mais ici encore, de l'aveu même de l'
auteur
, quelque indécision subsiste. , Par cette dis
e Korsakoff, subaiguës ou chroniques. La Pres- byophrénie, pour ces
auteurs
,se présente fréquemment, mais non toujours, com
arqua de réaction inflammatoire. A côté de ces formes délimitées, l'
auteur
décrit une lésion diffuse caracté- risée par un
répond à un tableau morbide bien délimité, assez typique, et dont l'
auteur
a mi- nutieusement fixé les symptômes dans une
ébéphrébénie pour les psychoses de la puberté. Dans les deux cas, l'
auteur
se propose d'isoler une espèce dans un genre ; et
e.- Hébéphrénie = Psychose de la jeunesse). L'esprit analytique des
auteurs
français s'accommode mal de la notion de ces ty
s imaginaires, symptôme très anciennement signalé et décrit par les
auteurs
français. (1) Derny et Camus, Société de Psychi
ompréhension des traits essen- tiels de cette maladie et beaucoup d'
auteurs
, sous le nom de spondylose rhizomélique, donnèr
ur cinq des altérations de l'hypophyse. Outre ces lésions, quelques
auteurs
ont trouvé des lésions des glandes surrénales.
eu schématisée en ce qui concerne les visages des personnages que l'
auteur
avait défigurés d'une manière évidemment volontai
étudier médicalement le Triumphe, leu- tative justifiée parce que l'
auteur
dit eu propres termes (1) qu'il a voulu représe
t cette dernière partie qui nous intéresse plus particulièrement. L'
auteur
l'an- nonce d'une façon curieuse dans une lettr
ncques tous les plus excellents capitaines qui furent jamais ». L'
auteur
du Triumphe est inconnu. La bibliographie, de la
ire encyclopédique des sciences médicales, indique Dorchesino comme
auteur
de l'ouvrage d'après la lettre-préface. Montaiglo
es bibliographes -, italiens trouvé personne qui le connaisse comme
auteur
. » De même, pour lui les bois ne seraient certa
longuement une opinion bien séduisante pour un médecin. C'est que l'
auteur
du Triumphe serait Rabe- lais (1). Les argument
ur. Si Rabelais a inspiré l'une et l'autre série d'images les vrais
auteurs
en restent ignorés, malgré les suppositions que
perpétuel pour les goutteux et vérolés, malheureusement sans nom d'
auteur
. Mais sans doute, en beau joueur, Rabotais, aut
ement sans nom d'auteur. Mais sans doute, en beau joueur, Rabotais,
auteur
de nombreux almanachs (I) se moque ici de lui-mêm
se parait avoir pris une virulence exlrème a l'époque. Si parmi les
auteurs
du temps quelques-uns comme Bélhencourt, Vigo a
mement fréquent; on sait combien ces arthrites sont douloureuses. L'
auteur
du Pourpoint le savait bien : « car quant le so
onner comme dernière citation le rondeau très joliment troussé de l'
auteur
du Pourpoint, et qu'il aurait pu dédier aux ava
e com- plète de l'aqueduc de Sylvius, probablement congénitale. Les
auteurs
font t (1) Srll,Li : n, Amer. Jouira. of the me
queduc par des masses puru- lentes. C'est à cette obstruction que l'
auteur
rapporte la dilatation des trois premiers ventr
à partir du noyau du facial, sur une longueur de 13 millimètres. L'
auteur
note en outre, la méningite chro- nique de la b
4e ventricule, nous citerons les faits suivants : Quincke (2). L'
auteur
rapporte un cas de « Stauunas hydrocepllalus »
des trois ventri- cules, dilatation de l'aqueduc de Sylvius. - L'
auteur
mentionne encore sans le rapporter en détail un c
rimant fortement le vermis inférieur du cervelet. - A. Stern (4). L'
auteur
publie 4 cas personnels et rapporte 68 cas ras-
a com- pression de la veine de Galien joue un rôle important. ' L'
auteur
explique même la mort subite dans ces cas-là par
ue. Dans d'autres cas, l'oblitération n'est plus évidente, mais les
auteurs
invoquent la compression des voies d'écoulement
. Mais il ne s'agit pas là d'un véritable oedème, bien que certains
auteurs
qui s'en sont occupés l'appellent oedème dur, c
x extrémités supérieures (dos des mains) ; c'est cet aspect que ces
auteurs
ont exprimé en employant la dénomination d'état
mence. Encore convient-il de ne pas oublier qu'aujourd'hui nombre d'
auteurs
se refusent à voir dans le processus fondamenta
graphie clinique. Ce sont ces considérations qui ont amené certains
auteurs
à admettre entre la maniaque-dépressive et la d
entiel à la folie maniaque-dépressive. La description que donne cet
auteur
des cas qu'il a observés rappelle beaucoup nos
nérés délirants. ' Comme l'a fait remarquer M. Rose ( I), plusieurs
auteurs
, et en parti- culier Gerhardt et Morrow avaient
heures dans les tranchées des fortifications (Ohs. 14). 2° Certains
auteurs
attribuent une grande influence éliologique à la
des sommets des poumons soit signalée. 5° Le traumatisme'. Certains
auteurs
considèrent comme « trauma- tisme » des voyages
sma acidophile, contenant quelquefois de fines gra- nulations ; ces
auteurs
pensent qu'elles ressemblent à certaines cel- l
va. Les examens de Exner et Boese sont aussi très intéressants. Ces
auteurs
ont extirpé la glande pinéale chez 100 jeunes l
entionne aussi quelques noyaux en forme de fer à cheval. Certains
auteurs
, après elle, semblent considérer ces boules comme
s des rapports qui existent entre ces cellules et ces fibres. » Les
auteurs
venus ensuite semblent avoir donné leur approbati
par des travées de tissu conjonctif. Il a été constaté par plusieurs
auteurs
(Bizzozero, Flesch, Dimitrova) qu'il ne s'agiss
Kulschilzsl : y-Volters, nos résultats ont confirmé ceux des autres
auteurs
: il n'existe pas des fibres nerveuses à gaine de
lquefois il est si dense qu'on ne peut pas distinguer le noyau. Les
auteurs
pensent que ces cellules se rapprochent morpholog
ires, kystes. Des concrétions ont été décrites très souvent par les
auteurs
, nous pouvons seulement confirmer qu'elles sont
on trouve chez l'homme adulte des signes certains d'involution. Les
auteurs
antérieurs en ont décrit trois : les con- créti
oyau tandis que, au sujet des corpuscules paranucléolaires, le même
auteur
dit : « ... Ils dépassent rarement le volume du
e depuis longtemps par Marinesco et confirmée par un grand nombre d'
auteurs
. En résumé, l'appareil nucléolaire est conslitt
à la périphérie du noyau. Au sujet de ce déplacement nucléolaire, l'
auteur
dit que dans beaucoup de cas, il a observé un d
a cytologie. 1 Cette migration a été observée par un grand nombre d'
auteurs
dans différentes parties de l'organisme ; mais
tribuent à ce phénomène est très différente. La grande majorité des
auteurs
réduit ce phénomène à un simple entraînement mé
re par leurs pro- pl iétés physico-chimiques.. Mais, à ces derniers
auteurs
, comme aux précédents, on peut faire la même ob
-- seulement aux granulations du cytoplasma. En effet, d'après cet
auteur
, la caractéristique des granulations esl la maniè
sence des cellules vacuolaires a été démontrée par un grand nombre d'
auteurs
dans les ganglions rachidiens de l'homme et des
, chiens), qui on a sec- tionné les nerfs correspondants ; pour cet
auteur
la cellule vacuolaire est une cellule en état d
t exister indépendamment de toute altération cellulaire, mais ce même
auteur
un an après revient sur la question et considèr
ue, quand il est unique, on le trouve suivant la description de cet
auteur
dans une position déterminée...« Dans la région
ancienne nous ne pouvons pas arriver aux mêmes conclusions que les
auteurs
que nous venons de citer. L'aspect que présente
les anomalies qu'il pré- sente. Et l'on sait en effet que quelques
auteurs
considèrent comme des phénomènes purement héréd
nte pour le fait qu'elle « démontre clairement», ainsi que le dit l'
auteur
lui-même, « que l'hérédité, tant directe qu'ind
e de Itol)lot (2) et de l'étude de Costantini (3) on déduit que les
auteurs
considèrent pour la plupart aujourd'hui que ces d
Pourquoi cet arrêt de développement ? » (Polaillon) (1). Aussi les
auteurs
se sont-ils successivement appliqués dans leurs r
apper à des observateurs comme Duchenne de Boulo- gne. En effet cet
auteur
a bien vu ces contractions et nous ne pouvons f
jeu plusieurs ordres d'associations musculaires. Ces associations, l'
auteur
les divise en associations musculaires impulsiv
trouvons comme indication bibliographique, p. 75 : « En lisant les
auteurs
anciens, nous trouvons déjà signalée dans les o
cette flaccidité à la perte du tonus musculaire. Voici comment cet
auteur
s'exprime à ce sujet dans son travail paru en 1
avant eux. Quoique le mot d'hypotonie ait été créé par Frenkel, cet
auteur
n'a pas voulu identifier le mot Je flaccidité m
rapport avec les troubles en question. Dans le cas de ces derniers
auteurs
, le malade avait présenté pendant sa vie une pa
omaine des curiosités médicales, elle a été étudiée par de nombreux
auteurs
: Porak et Durante, Poncet et Leriche, Apert, Reg
ystrophie et de son caractère héréditaire si discuté : ces derniers
auteurs
se rallient nettement aux idées soutenues par P
, tout a été dit sur les achondroplasiques, considérés par certains
auteurs
comme très intelligents, par d'autres comme pré
été produits et qu'ont récemment soutenu Franchini et Zanazi : ces
auteurs
n'ont d'ailleurs pas défendu le caractère héréd
ntradictions apparentes sont assez nombreuses à son sujet. Bien des
auteurs
estiment avec Souques que l'état mental de ce g
r lui, l'achondroplasique est un malade mental, mais il est le seul
auteur
à être aussi affirmatif. Pour ce faire il se ba
is que ce phénomène sérail dû simplement à l'atavisme pour certains
auteurs
, il est considéré d'ordre pathologique par d'autr
pareils malades que chez les hommes au psychisme normal. Plusieurs
auteurs
ont insisté sur ce fait. Voisin le note parmi les
du pouce. Chez ce malade le phéno- mène est unilatéral. - . v Les
auteurs
qui considèrent la démence précoce comme une mala
vue par Ray- naud, mais qui a été signalée, après lui, par quelques
auteurs
; L'association de t'érythrométatgie et de la g
-glandulaires. On trouvera plus loin exposées les objections de ces
auteurs
et les réponses qu'on peut y faire. Mais nous est
es que nous en avons pu examiner dans les mémoi- res des différents
auteurs
, est inégalement répartie en deux types. Les un
s exception : cette teinte blafarde des téguments a frappé tous les
auteurs
; tantôt elle tourne au gris sale et trisle, ta
rra mieux comparer entre eux les tableaux cliniques relatés par les
auteurs
, retrouver plus facilement le rôle joué par telle
été individualisé par Claude et Gougerot en 1907 et il servit àces
auteurs
pour donner la démonstration clinique et anatom
t surrénale (1). Elle a été développée dans deux Mémoires des mêmes
auteurs
(2) parus dans le « Journal de physiologie et d
cn- lose dans notre cas, syphilis dans d'autres. « Déjà plusieurs
auteurs
: Collin, Rumpell, 1896 ; Dalché, 1902; Djemil-
906, avaient signalé quelques cas cliniquement semblables, mais ces
auteurs
les avaient interprétés dans un sens différent;
ation des faits n'est pas celle, avons-nous dit avec M. Claude, des
auteurs
qui publièrent les premiers cas de cet ordre; il
que le poids normal oscille entre 0 gr. 48 et 0 gr. 66 suivant les
auteurs
: 0 gr. 57 en moyenne d'après M. Launois). Le t
seulement en raison de leur unilatéralité, mais aussi parce que les
auteurs
mentionnent à leur sujet une histoire, soit de
apporté au sujet par une intéressante observation de Regnault. Cet
auteur
a décrit un sque- lette présentant un raccourci
du mé- canisme de l'ataxie, nous voyons que la grande majorité des
auteurs
sou- tiennent que le mécanisme de l'ataxie doit
ce musculaire et de l'aptitude motrice, indépendante de la vue », l'
auteur
, quoique se ser- vant malheureusement pour la d
le, ni profonde. Malgré cette confusion, voici comment le célèbre
auteur
, résume son opinion sur le mécanisme de l'ataxi
ébrales altérations des tissus (2 pi.), par Weber, 150. TABLE DES
AUTEURS
elxA (P.) et Lafon Cu.). Maladie de Ra- naud
e iconographique sur quelques nains (5 pl.), 116. 506 TABLE DES
AUTEURS
Lemos (lIIalg,tlhaes). Gigantisme, infantilisme
mpiété s’adresser à eux. C’est à cette doctrine que s’est attaché l’
auteur
de Y Examen raisonné, qui s’est inspiré des jérém
actes sont tout aussi naturels que ceux que produit l’homme ; d’où l’
auteur
aurait dû logiquement conclure à l’impossibilité
es miracles, tout acte, si prodigieux qu’il soit et quel que soit son
auteur
, n’étant toujours que l’exercice d’une faculté na
deville. 11 s'agit d’apprécier ces faits, d’en rechercher la cause. L’
auteur
n’hésite pas à l’attribuer aux dénions. Sur quo
ontre-sens, d’une substitution de lettre, etc. ? Aux expériences de l’
auteur
nous opposons les cas très-nombreux où, de son av
). Ce n’est pas seulement aux tables et aux Esprits que s’attaque l’
auteur
de Y Examen, il étend sa réprobation jusqu’au mag
s nous bornerons à soumettre une simple réflexion à la bonne foi de l’
auteur
. L’Évangile nous dit qu’il faut juger l’arbre à s
ulé le Vieux neuf, qui a pour but de mettre ce sujet hors de doute. L’
auteur
, M. Édouard Foumier, après avoir passé en revue p
r le Dr Ennemoser, qui est non moins intéressant et plus positif. Cet
auteur
s’exprime ainsi, page 502 de la deuxième édition,
it l’article suivant, extrait de YAdvertiser. « Le Dr Herbert Mayo,
auteur
des Vérités contenues dans les superstitions, aff
, etc., etc....... Cette dernière phrase résume bien la pensée de l'
auteur
, mais elle n'est pas assez précise pour autoriser
aris, Dentu, 1853. — Prix : 1 fr. 50. Cet écrit est anonyme, mais l’
auteur
s’est fait connaître par la lettre suivante, adre
des connaissances humaines. En attendant ces sublimes productions, l’
auteur
ne nous donne qu’une brochure qui n’est pas sans
ce, on y trouve parfois des traits spirituels; mais malheureusement l’
auteur
s’est donné beaucoup de peine pour acquérir la bo
lui fasse concevoir l’enchaînement de la cause et des effets ; mais l’
auteur
fait une pirouette et se met à plaisanter agréabl
pouvoir en conclure qu'il y avait intervention d’êtres invisibles. L’
auteur
attribue ces résultats à l'instinct. n C’est, d
dire ; Sunt verba tt vocet, prœtereà que nihil. Nous engageons l’
auteur
à se défier de ses prétendues découvertes et à le
tions entre l’esprit et la matière organisée-Le plus grand nombre des
auteurs
sacrés reconnaissent les propriétés expansives de
nimique, idées qui vont trouver leur complément dans l’idéalisme de l’
auteur
des Harmonies de l’intelligcncc humaine. . Les
étaient posées par elle-même ou par d’autres, a évidemment agi comme
auteur
du délit; i Que c’est donc mal à propos que le
e première instance l’a déclarée coupable alternativement, soit comme
auteur
, soit comme complice de ce délit; « Attendu que
la femme Malassé alternativement coupable du mime délit, soit connue
auteur
, soit comme complice, en ce qu’il a condamné ladi
d’avoir, dans les circonstances indiquées au jugement, commis, comme
auteur
, le délit d’outrage à la morale publique et aux b
celle des iiutr/inisles. IL M. de Saint-Martiii, officier français,
auteur
de plusieurs traités sur l'illuminisme, devint le
ouer l’authenticité, il les rapporta au pouvoir de l’imagination. L’
auteur
d’une brochure intitulée : Point d effet sans cau
inistère public pouvait rechercher celle preuve, mander près de lui l’
auteur
de l’article, le gérant du journal, les iuterroge
e nous connaissons sous le nom de somnambulisme. « Telle est, dit l’
auteur
, en parlant d’essais faits dans le Mcsmeric Infir
« Eh bien ! je me permettrai de faire observer îi Mgrs les évêques,
auteurs
de ces mandements, qu’il était impossible de rien
trait d’un journal de Toulouse, l’Aigle, du 2 juin 1853. C’est de son
auteur
qu’il s'agit clans les pages ci-après. PETITE C
la valeur ; nous ne faisons aujourd’hui que mentionner la mort de cet
auteur
. Voici la liste des divers ouvrages qu’il publi
sulter pour le lecteur une certaine défiance. Qui nous garantit que l’
auteur
, en prenant ainsi la liberté de traduire, d’arran
oute l’autorité qu'il aurait voulu leur imprimer. Au lieu de se faire
auteur
, il aurait dû se borner tout au plus au rôle de s
uture destruction de la matière , de l’âge, de la terre, à laquelle l’
auteur
assigne trente mille ans d’antiquité et seulement
s aux questions qui rentrent dans la spécialité de notre Journal. L’
auteur
voulant établir qu'il y a en l’homme deux princip
surface de la terre. Reste le somnambulisme, sur lé compte duquel l'
auteur
s'exprime ainsi, à propos de la lucidité comparée
rable ; en transportant la réalité dans le domaine de la fiction, les
auteurs
ont pu rivaliser avec tout ce que l’ancienne féer
ce d’artiste, et relèguent le livre au rang des Mille et une Nuits. L’
auteur
, en dépassant le but, l’a manqué. En outre, il
n lui attribuant un pouvoir chimérique. Il est donc fâcheux que les
auteurs
, tout en cônstruisant leur fantaisie le canevas d
ous pouvons maintenant entrer dans l’examen des moyens employés par l’
auteur
pour faire prévaloir ses idées. L’héroïne, Marg
avec émotion, et respire les plus nobles sentiments. Mais bien que l’
auteur
l’ait terminé par un épilogue contenant des concl
ité éprouvée, et non des aventuriers tirés d’un tripot; de même que l’
auteur
, sans avoir besoin de prouver par un roman combie
assage relatif à la médecine, et analogue aux procédés magnétiques; l’
auteur
s'exprime ainsi : «J’ai vu ii Valiou un Anglais
raitant un sujet qu’on aurait pu croire usé, tant il a été exploré, l’
auteur
a su être original, il enrichit la science en lui
s extérieurs, soit à l’aide des sens ordinaires, comme le reconnaît l’
auteur
, soit par des moyens mystérieux dont nous ne nous
par sa propre volonté, toujours d'accord avec tes lois établies par l’
auteur
de toutes choses (page 100). Nous ferons remarque
e de l'organisme entier ; que le somnambule, dans l’état décrit par l'
auteur
, entend son magnétiseur et lui répond, d’où il su
r un démenti à cette hypothèse, et dans les faits mêmes que raconte l’
auteur
, il en est plusieurs où l'on voit les somnambules
est en rappo rt. La troisième partie est consacrée au magnétisme. L’
auteur
prouve l'action vitale d'un être animé sur un aut
utrement que par le nom du fluide magnétique admis par la plupart des
auteurs
qui ont écrit sur le magnétisme? La conception do
du fameux arbre de Buzancy, magnétisé par Puységur. En définitive, l’
auteur
ne diffère de la plupart des magnétologiies, que
lus souvent nuisibles. Quant à l'influence des objets magnétisés, l’
auteur
admet seulement que le magnétiseur a pu imprégner
oins d'effets? » L’ouvrage est terminé par des notes curieuses où l'
auteur
développe et explique quelques parties de son m
eureusement tout le monde ne pourra pas en apprécier la valeur; car l’
auteur
s’est réservé le droit de ne le donner qu’à qui b
par H.Camon. Dmlu, éditeur. I vol. in-52. Paris, — Prix : ïî fr. L’
auteur
de cette brochure est catholique, et il a cru pou
vocation des esprits. Un exemplaire de cet ouvrage a élé envoyé par l’
auteur
à Mgr l’archevêque, qui lui a adressé la lettre s
an avait le pouvoir d’apparaître comme un ange de lumière. Tous les
auteurs
qui ont récemment écrit sur ce sujet nous promett
ens de communication par lui employés exposent à des erreurs, que les
auteurs
invisibles de ces communications nous trompent so
aces, parlait aux sens de tous; et quand, entouré de félicitations, l’
auteur
de ce petit miracle se retirait, les curieux lui
assez souvent recours, etque vous-mêmes avez décerné une médaille à l’
auteur
d’innombrables guérisons ainsi obtenues, M. Juffe
s locales, ou n’cst-elle que le résultat des convictions propres de l’
auteur
, indépendamment du cercle restreint qu’il s’était
, — ce qui suffît aux démonstrations du magnétisme thérapeutique, — l’
auteur
devait naturellement laisser dans l'ombre le côté
re comme œuvre d’initiation première. Au surplus, le dernier mot de l’
auteur
n’est pas encore prononcé : M. de Lima annonce qu
ule indique-t-elle que la lune exerce une influence sur l’esprit de l’
auteur
? Sur le revers de la couverture, les mots unité s
/ lux, regardés sans doute comme l’écho de la pensée du lecteur.... L’
auteur
a-t-il voulu, par cet attirail cabalistique, donn
ais ne nous arrêtons pas à la forme, et allons au fond. Quelle idée l’
auteur
se fait-il de la magie? C’est ce qu'il nous est i
iques. S’il en était ainsi, le titre nous paraîtrait mal choisi, et l’
auteur
se servirait de termes impropres en annonçant qu’
t d'exprimer notre honorable collaborateur. Je trouve d’abord que l’
auteur
a tort de cacher son nom sous l’anagramme; cet ar
ment de celui dont le titre est en tête de cet article, et qui a pour
auteur
M. Henri De-laage. Ces préliminaires posés, pas
revues. Quand on jette un coup-d’œil sur la liste des œuvres de cet
auteur
, on est frappé de la ressemblance de leurs titres
et l'on verra que si, au lieu de ruminer un petit nombre de faits, l’
auteur
s’appliquait à agrandir le cercle de ses connaiss
ureux accord, qualifié du nom de miracle, De qui voulut se moquer l’
auteur
du distique : De pau le Uoi, défense h Dieu D’o
des muscles transmise par une série de leviers du troisième genre. —L’
auteur
fait voir, par un grand nombre d’exemples, que ce
s consciencieux, contentons-nous do nommer Geoffroy Saint—Ililaire, l’
auteur
de la Tératologie, et Cli. Fourier, l’auteur de l
offroy Saint—Ililaire, l’auteur de la Tératologie, et Cli. Fourier, l’
auteur
de la Théorie de C Unité universelle. On a cepe
s indications sur la formation d'une bonne chaîne. Nous croyons que l’
auteur
anonyme de Comment l'esprit vient aux tables, a d
du grain de la peau, ou pour mieux dire de l'épiderme, qui, suivant l’
auteur
de la Physiognomonie, indique la qualité de la su
ictées d’esprits, et qui ne demande plus depuis longtemps le nom de l'
auteur
; ce groupe a reçu des communications fort intéres
gents , je ne vois pas de raison d’aller chercher en dehors d’eux les
auteurs
ou les compositeurs des communications,— elles n’
tre les mains du secrétaire, n’a pas été depuis en la possession de l’
auteur
. Si le deuxième article de M. Babinet (Revue de
ée sans doute dans la forme. Sous le bénéfice de cette observation, l’
auteur
, sûr que son respect pour le talent et la personn
humanité. L’antiquité, dans son enthousiasme, élevait des temples aux
auteurs
des grandes découvertes et les regardait comme de
e toste, et quelques heureuses expressions de gratitude, ont valu à l’
auteur
de vives marques de sympathie. M. J. Logerotte,
charmantes stances, la parole est donnée à M. Baïhaut. Le satirique
auteur
avait à soutenir la réputation qu’il s’était fait
Vous l'envoyez chez les fous. « Attolés, mais par derrière, (4) L’
auteur
demande ici pardon à l'honorable conservateur du
autel l Le magnétisme, issu du ciel. Est immortel I Chantés par l’
auteur
, avec l’entrain et la verve la plus comique, les
st-à-dire du sommeil magnétique; 1,200 fr. devaient Être accordés à l’
auteur
du meilleur mémoire sur cette difficile question.
’on ait écrits en faveur du mesmérisme. La position scientifique de l’
auteur
et son caractère honorable ont donné une grande v
merçants et de notables colons, distribue elle-même des médailles aux
auteurs
de guérisons obtenues par la magnétisation seule.
istoire que repose tout le crédit, l’espèce de célébrité dont jouit l’
auteur
en question. 11 n’y a rien dans ce qu’il a dit ou
u magnétisme, presque tous les journaux, ne prouve-t-elle pas que les
auteurs
de cette conspiration ne sont pas toujours amis d
olume de cet ouvrage est consacré au magnétisme. Voici ce qu’en dit l'
auteur
: « J’ai, dans ma jeunesse, vu jaillir le magné
nquera pas d’éveiller l’attention des magnétistes sur le système de l’
auteur
de la Magnitothèrapic (1). Voici maintenant l’a
s traductions lui confèrent, atteindra très-certainement le but que l’
auteur
s’est proposé. Pour ma part, je félicite M. le co
eçu, il y a un an, la demande d'une médaille en faveur de JI. Houlet,
auteur
d’un grand nombre de cures assez remarquables. Bi
ssez de faits curieux, assez de sujets intéressants à prendre pour un
auteur
aussi ingénieux que l’esf M. Th. Gautier, et ce n
l’esf M. Th. Gautier, et ce n'est certes pas trop demander à MM. lfcs
auteurs
que de désirer que leurs œuvres, en tant qu'elle*
r entre deux eaux. Elle résume d’ailleurs parfaitement la pensée de l’
auteur
; c’est le miroir de sa dissertation. Après un d
passes, n’étaient que des prestiges, le fluide une illusion, et leur
auteur
un thaumaturge dont les pratiques pourtant ont mi
e jouit de facultés qui n’ont pas d’analogue daus la vie ordinaire. L’
auteur
en reconnaît trois espèces, contrairement à l’hab
nce de leur lucidité et les égarements de leur imagination? Oui; et l’
auteur
blâme ceux qui en font fi, parce qu’aucun moyen d
du magnétisme, c’est une énormité. Si, plus hardi ou mieux informé, l’
auteur
avait tout dit, il aurait excité la défiance, 011
our une appréciation exacte quand des faits sont obscurs ; mais les
auteurs
que je viens de citer sont d’une naïveté vraiment
respiratoire que la poitrine d’un lapin ! Mais continuons avec les
auteurs
du Traité de thérapeutique. « Le tempérament ue
mme conséquent et logi- que, qu'on désirerait trouver dans bien des
auteurs
; et si le froid détruit les effets mesmériques e
siècles d’ignovance et dé superstition, et d’attribuer comme dit l’
auteur
, aux manifestations fluidiques des esprits ennemi
nde si c’est une gageure de mystifier le public. Quel est le but de l’
auteur
? Où veut-il nous conduire? En quoi consiste sa d
e autrement que d’agir suivant les lois de la création : erreur. Si l’
auteur
ne vous avait pas avertis, vous alliez peut-être
n ? changerait-elle la nature des choses?.... C’est là le secret de l’
auteur
, et il y a de bonnes raisons pour qu’il ne vous l
de la Grande Année, par G. Gérard : « Que l’on nous permette, dit l’
auteur
, d’interrompre un instant le récit des opérations
sseur de philosophie au grand séminaire de Versailles. M. Caupert est
auteur
d’un ouvrage dans^lequel il a confessé la foi mag
ante. Je dus me retirer, une partie de la famille m’accusait d’être l’
auteur
de tous ces désordres, et, malgré mes protestatio
ez écrite et en vertu de laquelle nous agissons. « Interrogée sur l’
auteur
de la lettre, Mme B... a parcouru beaucoup de che
’un « ex-élève en médecine, » secrétaire de ladite Société. Quant à l’
auteur
de l'immortelle découverte, il n’écrit plus; il s
llant ; de ce que le sujet qu’il a eu sous les yeux n’a pas réussi, l’
auteur
conclut que tous les somnambules trichent ou ment
médecins, on reconnut la vérité du diagnostic. 2° Vue du passé. — L’
auteur
relate le fait suivant : « M. Napier, dit-il, m
rieuse sympathie, sans le secours de l’écriture. Comme elle nommait l’
auteur
de la lettre, je pus croire un instant qu’elle le
s étaient mises en état de lucidité. » Arrivé enfin à la théorie, l’
auteur
dit qu'il voudrait n'en émettre aucune, parce que
al fort lu en Écosse, leur a donné un relief digne de l'autorité de l’
auteur
. A.-S. MORIN. LA DANSE DES TABLES DÉVOILÉE, E
publique, par des crieurs qui ajoutaient que 11. du Potet en était l’
auteur
. Il en a été acheté considérablement : tout le mo
proprement dit ne figure que dans le titre; mais on voit par là que l’
auteur
lui attribue 1s mouvement des objets soumis à la
, mais sans effort, en plaçant ma bouche au centre du pavillon. » L’
auteur
a essayé sur une vingtaine d’enfants qui presque
délicieuses. Des observations zoologiques avaient conduit le savant
auteur
à instituer ces utiles expériences. On sait que l
faire l’ange, il fait la bête, (Pensées de Pascal) ; mémoire dont l’
auteur
est M. Albert Lemoine, docteur ès-lettres, profes
s voulions faire une critique de cet article, ce serait facile, car l’
auteur
, qui pourtant est le rédacteur en chef du journal
Il est pourtant un anachronisme que nous ne pouvons laisser passer. L’
auteur
, M. Decliambre, dit : « L’académie de Berlin, j
mise en avant pour justifier un examen qui serait plus complet si son
auteur
avait pu mieux comprendre l’ouvrage dont il rend
soupçon de tricherie. Ce sont des faits de l’ordre positif, et (pie l’
auteur
déclare avoir expérimentés sans qu’aucun doute pu
mple, et qui n’exigent aucune modification à la baguette décrite. L’
auteur
distingue les corps en actifs et inactifs (page 2
rrait seulement varier en mettant la charge (c’est le nom donné par l’
auteur
à l’étui contenant un électro-simple ou composé)
y en a, avons-nous dit d’après M. de Morogues, d’électro-composés. L’
auteur
entre dans peu de détails à ce sujet ; mais l’eau
t le mouvement par une charge convenable (nous avons indiqué ce que l’
auteur
appelle charge), c’est-à-dire en mettant plus ou
s semblent importantes. Ce que nous tenons à constater, c’est que l’
auteur
s’est placé à un point de vue tout à fait scienti
Mateucci. Cette distinction est si bien établie dans l’esprit de l’
auteur
, qu’il reconnaît (page 217 et 219) que la volonté
rtains (page 230). La baguette électrométrique a fait découvrir à l’
auteur
des Observations sur le fluide orguno-itectriquc
instruments de nos cabinets peuvent le constater. Eh bien! d’après l’
auteur
que nous analysons (p. \ li9 et 160), si l’on con
ur celui qui est cloué des propriétés physiologiques favorables. Si l’
auteur
, qui possède l’organisation convenable, veut réel
nées. Nous reproduisons les détails qu’elle contient, en laissant à l’
auteur
la responsabilité des faits qu’il rapporte comme
sse inerte. J'insiste sur cette prostration absolue niée par quelques
auteurs
, mais à tort, suivant l’honorable professeur M. F
e qu’elle ne put plus quitter son lit. Ce fut alors que le Dr Kerner,
auteur
de ce récit, fut appelé près d’elle, à la demande
ue; peut-être ceux qui aiment la vérité seront-ils de mon avis. » L’
auteur
commence par poser les principes qui, d’api ès lu
i; il ne lui appartiendrait en propre que son système (faux suivant l’
auteur
) ou plutôt le nom qu’il assignait à la cause des
s aveugles et des sourds. L’objection n’a donc rien de concluant. L’
auteur
, après avoir énuméré les causes innombrables et t
croient voir. Après avoir lu le récit pompeux des merveilles dont l'
auteur
a été témoin, on est étonné de l’entendre s’écrie
u'ils soient doués d’un sens nouveau inconnu, puisque, de l’aveu de l'
auteur
, ils lisent la pensée d’autrui, pénètrent dans le
lu les ouvrages qui font autorité en magnétisme, il a dû voir que les
auteurs
n’attribuent les phénomènes qu’ils racontent et d
aurait suffi de deux ou trois pages ; la longue narration que donne l’
auteur
transforme l’anecdote on une espèce de roman qui
ils se produisent? Quant à ce qu’on appelle les fables parlantes, l’
auteur
oublie les principes qu’il avait posés avant d’ab
ou du chapeau : ce sont des instruments aveugles d’une pensée dont l’
auteur
est invisible. Que M. Bellanger fasse pour ce gen
re d’abord sur ce que c’est que le surnaturel. « 11 faut, dit notre
auteur
, que je rappelle une distinction fondamentale. Ce
la nature, une intervention spéciale de l’Ètre infini. Or, d’après l’
auteur
, ce ne sont pas les miracles qui peuvent servir à
s manifestations intellectuelles, où devons-nous donc en chercher les
auteurs
? Est-ce en nous ou en dehors de nous? Si c'est en
invisibles pour nos organes; c’est ce qu’on appelle des esprits. L’
auteur
pense, au contraire, conformément à l'opinion de
fille d’une dame du Delà-ware parla alors d’un poëme dont il était l’
auteur
, intitulé: le Printemps et l'Étê; elle ajouta que
mington. Medium écrivain. I.’ancien sénateur M. Tallmadge, un des
auteurs
les plus distingués parmi ceux qui ont traité du
tuels et moraux. Il est aisé de voir par ces quelques lignes, que l’
auteur
comprend bien son sujet, et nous devons dire que
illeux phénomènes, c’est s’imposer une tâche des plus rudes; bien des
auteurs
se sont occupés de ce sujet intéressant et ont pr
es qui, dans l’état ordinaire, arrêtent notre vue débile. D’après l’
auteur
, « le fluide magnétique n’est autre chose que le
ieurs. Comme cette théorie est le fondement de tout le système de l’
auteur
, nous ne croyons pouvoir mieux en donner une idée
est pas un obstacle à l’action des sens, puisque, comme le remarque l’
auteur
, l’œil, dans l’état ordinaire, voit des astres si
ont l’existence ou le concours est loin d’être prouvé ; et en outre l’
auteur
n’aura aucunement rempli sa tâche qui consiste à
t vue, phénomènes uniquement réservés à l’action du fluide vital. L’
auteur
examine la nature de l’âme, dont il soutient avec
oit donc que par la pensée, par l'imagination. Les faits que cite l’
auteur
suffisent pour détruire cette explication. En e
par de courtes citations, mettre nos lecteurs à même delà juger. L’
auteur
, par un motif qui nous est inconnu, a signé : de
pliquer. C’est pour leur éviter cette opposition traditionnelle que l’
auteur
propose une explication scientfique du fait en qu
te humanitaire. Cette composition n’a de magnétique que le titre; l’
auteur
paraît avoir eu en vue un autre objet même que le
est une plaisanterie elle ne fait pas grand honneur à l’esprit de son
auteur
. HÉBERT (de Garnay). BIBLIOGRAPHIE. MÉMOIRE
res, publiés récemment par M. le comte de Montbrison, petit-fils de l'
auteur
, sont dédiés à S. M. l’empereur Nicolas, t cause
vrai bourgeois de Genève. » Reprenons le récit de la rencontre de l’
auteur
avec Cagliostro , page \ 29 et suivantes : « .
des Mémoires apprend que cette prédiction s’est en effet réalisée. L'
auteur
continue : « Il faut bien que je l’avoue, j’eus
e ans plus tard, lorsqu'il fut question du mariage de la princesse, l’
auteur
note que la mère de celle-ci, malgré la grandeur
Elle reçoit dans son cabinet, et fort souvent, M. de Saint-Martin, 1
auteur
des Rapports entre Dieu, l'homme et l'nmvers. Ce
1786 pour savoir ce qui se passait dans ces réunions. Voici comment l’
auteur
s’exprime à ce sujet, page 212. « 31 janvier. —
sique (1). Non content d'agir, M. Lafontaine u voulu écrire. 11 est
auteur
d’un livre intitulé Y Art de magnétiser, mais il
’est arrêté au 10* numéro, faute d’un assez grand nombre d’abonnés. L’
auteur
annonce que les souscripteurs recevront, en compe
er la conviction abso- lue. Sans être catégoriquement affirmatif, l'
auteur
fait de prudentes réserves, que nous partageons
nsité de 1,028 et renferme de 10 à 25 grammes de sucre par litre. L'
auteur
a souvent vu le malade depuis celte époque et c
te sucré. C'est du reste l'opinion à laquelle semble se rattacher l'
auteur
, lorsque, sans affirmer catégoriquement, il écr
genre.' La maladie chez elle a duré plus de soixante ans. Quelques
auteurs
, Briquet lui-même, ont mis la coprolalie sur le
tion sur un phénomène qui jusqu'à présent n'a été signalé par aucun
auteur
. OBSERVATION. -Lamb., vingt-huit ans, lingère,
chirurgicale et rap- porte les cas d'extirpation pratiquée par les
auteurs
. Il conclut en .ces termes : Pour diagnostiqu
énérescence secon- daire des cordons postérieurs. Voici d'après l'
auteur
, suivant l'ordre de développement des manchons
hie tabétique, méningite cérébro-spinale, d'origine syphilitique. L'
auteur
croit que le virus syphilitique a agi simultanéme
minutes) qui précèdent l'installation de l'hémiplégie. Un cas de l'
auteur
; un cas de Pitres (Revue de médecine, 10 avril 1
ARDT. (Neurol. Centralbl., 1890.) Dans l'observation présentée, l'
auteur
invoque les excès de machine à coudre. Il fait
i font l'essence de la forme typique de la paranoïa chro- nique des
auteurs
allemands. Cependant l'étude de la forme aiguë
e systématisé. - C'est pour reprendre l'étude de ces rapports que l'
auteur
nous présente une série d'observations de la fo
its appartiennent bien au groupe qui a été désigné par différents
auteurs
sous les termes de paranoïa aiguë, Verrucktheit,
eu laissant le terme de « Ver- rucktheit * au délire chronique.- L'
auteur
préférerait l'appellation de « folie générale »
ou parmi les formes de dégénérescence psychique ? La plupart des
auteurs
qui ont écrit sur cette forme se prononcent contr
120 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. Voici 144 aliénés de ce genre (l'
auteur
a examiné plus de 10 000 sujets) se décomposant
intéressant chapitre d'historique. Puis, à propos de l'étiologie, l'
auteur
étudie avec grand soin le rôle de l'hérédité et
par l'étude de la suggestibilité spéciale à ce genre de maladies, l'
auteur
donne la clef de la plupart des phénomènes hyst
encieuse, tous les docu- ments relatifs à celte question. Quoique l'
auteur
y ajoute trois nouvelles observations, on peut
ues ne sont-ils pas essentiellement liés au dynamisme cérébral. L'
auteur
repousse l'opinion de l'entité clinique de l'athé
absolument cette opinion, qui a bien des chances d'être vraie, les
auteurs
pensent qu'il n'y a pas lieu, au point de vue q
rrifiantes de la vue. Ce dernier phénomène a une importance que les
auteurs
ont bien mise en lumière; il est le signe d'une
sont que des curiosités médicales, tant elles sont rares; aussi les
auteurs
ne s'y sont-ils guère arrêtés. Ils ont insisté
éritables décharges d'acide urique. Je reprocherais peut-être aux
auteurs
d'abonder un peu trop dans leur sens, de trop g
te dans son ensemble, cette publication, tout en indiquant dans son
auteur
un observa- teur scrupuleux et sincère, nous a
s dernières deux surtout méritent d'être signalées. A la page 44, l'
auteur
condamne le système de la direction de nos asil
ions meurent par- tout de faim et de misère ? » Ainsi s'exprime l'
auteur
et nous devons avouer que nous sommes étonnés d
ont toujours- protesté contre la pratique barbare des transferts L'
auteur
n'en a vu qu'une scène, l'une des moins attrist
ralysie générale progressive est une maladie de l'âge mûr. Tous les
auteurs
qui depuis Bayle et Calmeil ont publié les rele
rs de la deuxième, qu'on observe l'homicide. Le malade a trouvé l'
auteur
principal des tourments qu'il endure, des injur
erment de, nombreux exemples d'imbéciles et d'idiots non délirants,
auteurs
r ..j 1 1 1 1 1 - , . ' des actes les,plus gr
tité qui existait entre son criminel-né et le fou moral de certains
auteurs
. , 1 Parmi les raisons qui ont conduit à assimi
signale bien le myosis chez deux de ses malades mais outre que cet
auteur
les met sous la dépendance d'une intoxication t
considérable du champ visuel et avec atrophie du nerf optique. Les
auteurs
signalent à peu près tous une atrophie simple,
e Friedreich. De plus, contrairement à ce qui a été observé par cet
auteur
, le con- trôle de la vue chez deux sujets de no
écente et il n'est encore qu'imparfaitement connu; c'est pourquoi l'
auteur
a pensé qu'il y aurait quelque intérêt à donner
tal Science, octobre 1889.) D'après les faits qu'il a pu observer l'
auteur
conclut que lorsqu'on se trouve en présence d'u
il avait commis. Il a été condamné à dix ans de servitude pénale. L'
auteur
estime qu'on aurait mieux fait de l'interner da
cis W,\R ! OER. (Tite Journal of Mental Science, octobre 1889.) L'
auteur
s'est proposé dans ce court travail de montrer l'
l a été admis à son tour à l'asile, où il a promptement succombé. L'
auteur
n'ignore pas que la valeur du mot «démence aigu
folie communiquée ou de folie collective : notons en passant que l'
auteur
aurait pu préférer l'un de ces deux termes à ce
able de cas; ce nombre, toutefois, n'est pas assez grand pour que l'
auteur
ait la prétention de tirer de ses recherches des
soit là une règle, elle comporte d'assez nom- breuses exceptions. L'
auteur
a constaté que, dans la première période, la te
'être modifiée par les circons- tances les plus insignifiantes. L'
auteur
recherche et discute les causes de cette instabil
George P. COPE. (The Journal of Mental Science, octobre 1888.) L'
auteur
relate longuement l'observation d'un cas de folie
e a coincidé avec l'emploi de l'alimentation artificielle; enfin, l'
auteur
attribue l'accès de manie et la chorée à l'état
S; par C.-T. DENT. (The Journal of Mental science, avril 1889.) L'
auteur
pense que la folie consécutive aux opérations chi
est simple ; c'est que souvent,- et c'est là le point sur lequel l'
auteur
insiste et qu'il se propose de démontrer, les t
à la démence sénile (la malade était âgée de soixante-cinq ans). L'
auteur
rapporte plusieurs autres cas ana- logues, tout
pendant être mise en cause, lorsque, comme dans les cas cités par l'
auteur
, celte apparition ne se produit que tardivement.
revêt la forme aiguë, que lors- qu'elle prend la forme chronique. L'
auteur
souhaite en terminant que de nouvelles observat
premier décrite dans les Archives de Psychiatrie de 1868 et dont l'
auteur
rapporte avec soin et avec détail une observati
tion intéressante. Ce trouble men- tal a été considéré par quelques
auteurs
français comme une des formes de la folie du do
s du malade avaient un caractère plus pratique et mieux fondé, et l'
auteur
estime, probablement avec raison, que le carac-
ite sur la voie publique. Ainsi que le fait justement remarquer l'
auteur
, ce ne sont pas là des maladies spéciales, mais
dont elles partagent tous les caractères. Notons à ce propos que l'
auteur
n'a 1- met pas que ces troubles psychiques soie
S; par OTTOLENGH1. (Riv. sp. di /' ? -en., t. XVII, fasc. I-u.) L'
auteur
rapporte douze observations qu'il fait suivre de
ospasme), l'exagération des réflexes 1'01 u- liens, etc. De plus, l'
auteur
a pu constater chez les malades qu'à l'état nor
Quant aux rapports de l'épilepsie psychique avec la criminalité, l'
auteur
trouve une similitude, une identité même entre
récentes de M. Piene Janet sur l'automatisme psychologique, dont l'
auteur
examine les manifestations dans les différentes f
ctionnelle et dégénèrent par la suite en activité involontaire. L'
auteur
nous montre par quelle transition le neurasthéniq
ar Robert BAKER. (The Journal of mental Science, juillet 1889.) ? L'
auteur
préconise l'emploi du bain turc : 1° Comme agen
(The Journal of mental Science, janvier 1889.) Les recherches de l'
auteur
ont porté principalement sur l'action. de l'ant
f mental Science, juil- let 1889. . Le traitement préconisé par l'
auteur
est fort simple et il ne lui a jusqu'ici donné
XVII, fasc. 1-11,) . Le bromure de potassium reste toujours pour l'
auteur
le médica- ment le plus efficace dans le traite
uelques variations sur le vieil adage : mens sana in colore sano, l'
auteur
reconnaît qu'il ne faudrait pas voir dans l'ent
Contribution à l'étude de la tétanie. - On cons- tate parfois (et l'
auteur
passe brièvement en revue des observa- tions ra
l'oreille gauche, une cicatrice résultant de l'acès mentionné. L'
auteur
considère ce fait comme un cas d'hémiatrophie fac
de l'hémia- trophie faciale avec la sclérodermie et le trisme. L'
auteur
admet dans ce cas l'existence d'une hypertonie de
euse des faisceaux musculaires avec prolifération des noyaux. ' L'
auteur
suppose que les altérations musculaires et nerveu
à la Salpêtrière, sous l'inspiration de M. le professeur Charcot, l'
auteur
s'est proposé d'étudier certaines formes rares
ès frappante, les traits de la sclérose en plaque, du tabès, etc. L'
auteur
a pu réunir 80 faits de ce genre : une trentaine
lectiformes offrent dans l'hystérie et dans la sclérose multiple, l'
auteur
met en relief leurs différences. Dans la deuxiè
musculaire, et de la syringomyélie. Dans chacune de ces parties, l'
auteur
réserve une place impor- tante aux associations
er de l'histoire de l'hystérie et ne fait pas moins d'honneur à son
auteur
qu'à l'école de la Salpêtrière à laquelle il ap
intellectuels, qu'au ~ jeune âge des sujets qu'elle frappe * Pour l'
auteur
, la clef de voûte du développement intellectuel
imbéciles, presque aussi difficile chez ceux-ci que chez ceux-là, l'
auteur
passe en revue toutes les mani- festations mora
rêt du développement intellectuel ). A propos du sens musculaire, l'
auteur
parle des tics et des mouvements involontaires
quemment chez l'idiot. Dans le chapitre qui traite des instincts, l'
auteur
passe en revue l'instinct de conservation, le b
commisération, courage, amour de la propriété, amour du travail. L'
auteur
fait ressortir les différences notables qui exist
sant des pages d'écri- ture, de calcul, de dessin recueillies par l'
auteur
et qui sont bien instructifs. En ce qui concern
nation, etc., tous phénomènes qui sont minutieusement étudiés par l'
auteur
. Enfin, dans un dernier chapitre, M. Sollier s'
ur l'idiotie publiés de 1770 à 1840 dans divers recueils par divers
auteurs
qui se sont occupés de cette question. Il n'ent
) contribue pour une large part à la justi- fication des idées de l'
auteur
. Au point de vue de la protection et de l'hospi
ble, etc... Autant d'exemples qui viennent à l'appui des idées de l'
auteur
et qui contribueront, espère-t-il, à vaincre la
.) Etude intéressante et consciencieuse comme toutes celles que l'
auteur
a consacrées à ce sujet ou à des sujets analogues
par le Dr MOULTON (American journal of insanity, octobre 1890.) L'
auteur
, après un historique intéressant des différents p
humoristique. Parti de Pfullingen dans les derniers jours de mai, l'
auteur
gagne Gattin- gen et Waldburg d'où il visite l'
4. Des encoura- gements de 300 à 1 000 pourront être décernés à des
auteurs
qui n'auraient pas mérité ce prix, mais dont le
00 francs pourra être donnée, en outre du prix de 4 000 francs, à l'
auteur
qui aurait réa- lisé un progrès capital dans la
ETIN bibliographique. membre de la Société médico-psyc)oloyique, et
auteur
de nombreux travaux interprétant les sciences e
tins de l'Académie royale de médecine de Belgique, 1886, et'du même
auteur
: Sur une forme rare d'amblyopie hystéro-traumati
s auxquels il est parvenu ont été d'accord avec les conclusions des
auteurs
précédents. Je ne parlerai pas de l'interprétat
écédents. Je ne parlerai pas de l'interprétation proposée par - ces
auteurs
, elle me paraît sinon inexacte, au moins incom-
par l'attouchement de leurs membres anesthésiques. Enfin, plusieurs
auteurs
étran- gers, Mil. Gurney et Myers en Angleterre
oxystique, chez les épileptiques est encore très discutée. Certains
auteurs
préten- dent avoir trouvé constamment de l'albu
tail des observations. Il semble résulter des faits réunis par. cet
auteur
. que l'albumi- 364 - PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE.
oici une preuve fournie par l'observation d'un aliéné le nommé A...
auteur
de quatre homicides successifs. Ce malade sembl
coup des souffrances des autres, encore bien que lui-même en soit l'
auteur
. Il ne pense qu'à lui, à ses chagrins, à ses do
otrices. . Nous avons été amenés ainsi à rechercher l'opinion des
auteurs
sur les hallucinations de l'ouïe dans la mélancol
sans qu'il y ait rien de spécifié à ce sujet. Cependant, parmi les
auteurs
allemands Schuele parait avoir cherché à appro-
faits que nous rapportons ci-dessus sont en faveur de l'opinion des
auteurs
qui regardent comme rares les hallucinations da
tent aucune anomalie pathologique, n'offrent rien de semblable. L'
auteur
ayant examiné comparativement le cerveau d'un vie
nt du système de projection, telle est la tentative anatomique de l'
auteur
de ce mémoire qui forme les neuf dixièmes du pr
caudé - le noyau lenticulaire la capsule externe. Voici comment l'
auteur
résume l'anatomie du corps strié : L'existence
race de lésion de la dure-mère; pas de pachyméningite de ce côté. L'
auteur
pense que ce cas vient à l'appui de la théorie
s sections, nous sommes forcés de nous excuser d'avance auprès de l'
auteur
et du lec- teur des quelques lacunes que cette
uences ambiantes et des impressions passées. (84). Conclusion : - L'
auteur
espère avoir fourni de nouveaux signes à l'obse
orps sont des signes produits par l'action des centres nerveux et l'
auteur
a tenté depuis plusieurs années d'en rendre la re
aduisent sont ordinairement vagues et peu caractéristiques; aussi l'
auteur
a-t-il jugé intéressant de publier in extenso l'o
ans les cel- lules nerveuses, mais aussi dans la névrogie, d'où les
auteurs
tirent l'hypothèse que la névrogie est par esse
veau des vertébrés à sang' froid ou à sang chaud et de l'homme. Les
auteurs
dénomment celle globuline du terme de neuroglob
osphore, La stromine cérébrale contient aussi du- phosphore, et les
auteurs
l'appellent du nom de neurostromine. Enfin, les
ore, et les auteurs l'appellent du nom de neurostromine. Enfin, les
auteurs
ont pu obtenir la neurokératine qui, elle, est
dres divers que présen- tent les affections du système nerveux, les
auteurs
s'en sont tirés à leur honneur, et leur ouvrage
s prédisposantes et des causes déterminantes. Comme on le voit, les
auteurs
ont pro- cédé cliniquement et logiquement. Da
niques, un examen critique des opinions pro- fessées par les autres
auteurs
, qui relève singulièrement l'ouvrage et d'un si
s certaines affections nerveuses n'a pas été laissé de côté par les
auteurs
et quelles que soient les opinions émises par e
e est pré- sentée sous un jour assez nouveau, srâce au rôle que les
auteurs
font jouer au sens musculaire dans sa productio
eux, persécuté sans cesse par la croyance qu'on l'accusait d'être l'
auteur
d'un' incendie qui remonte à plus de quinze ans
exécuter des traitements qui dépassent parfois 300 par séance. Les
auteurs
de la proposition estiment, en outre, que le chef
s quelques-uns des motifs sur lesquels elle s'appuie montre qne ses
auteurs
ne connaissent pas très bien le service de la S
éde- cins aliénistes et neurologistes de Moscou, 253. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. 467 Sommeil 111STÉflIQLE
mann, 405 ; sans symptôme, par Burr, 406. Varia, 415. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. Agostini, 235. Alzheim
hlhaum, 431. i. Kahlden, 249. Kellistol1, 230. 468 .' table DES
auteurs
ET DES collaborateurs. - Kéraval, 94 à 108,111,
de Rutimeyer furent confirmées dans la suite par une série d'autres
auteurs
, notamment par MM. Blocq et Marinesco à l'autopsi
on observera les symptômes du tabes, fait sur lequel s'appuient les
auteurs
qui ont donné le traumatisme comme pouvant crée
ic. Si, en effet, la myélite transverse, telle que la décrivent les
auteurs
,est une des maladies de la moelle « qui résiste
s d'une façon très énergique. Ce phénomène est signalé par quelques
auteurs
; mais il m'a semblé qu'il méritait mieux que la
oscillant dans la marche n'est rien moins qu'un fait démontré. Les
auteurs
à cet égard, ne s'entendent d'ailleurs nullemen
d'abord de l'indice thoracique : transverse = 100. Les diffé- rents
auteurs
: Maurel, Chomel, Fourmentin, Sappey, Weisgerber,
ésume les différentes opinions sur sa nature en disant que certains
auteurs
(Weber, Moers et Mûck, Demange, Bouley) en font
e complexe qui n'avait pas dans son ensemble attiré l'attention des
auteurs
bien que ce syndrome soit constitué de déformat
s, hystérie (1). Le syndrome avait déjà été signalé par les anciens
auteurs
, chez les- quels on retrouve notés des faits cl
s relatés avec autant de précision que de sincérité par les anciens
auteurs
, et des faits qui s'offrent aujourd'hui à l'étude
ois de la psychologie normale et morbide. Le témoignage des anciens
auteurs
et l'observation clinique s'accordent donc pour
ion d'un manuscrit que ses enfants ont trouvé dans les papiers de l'
auteur
: « Ami lecteur, écrit-il, j'avais bien prévu q
er une série de faits invraisemblables que Paré a em- pruntés aux
auteurs
de toutes les épo- ques et qui ont trouvé asile
ou contre laquelle nous n'avons pas trouvé de do- cuments dans les
auteurs
, pourrait s'appuyer encore sur les détails acces-
es par inflam- mation ou arrêt de circulation dont parlent certains
auteurs
, par exemple Oppenheim dans Nolhnagel. 9° Bie
erveuse est bien celui de l'hémiplégie alterne. Etudié par bien des
auteurs
dans des travaux classiques, ce chapitre a été
és par MM. Raymond et Cestan (l).Dans les trois cas décrits par ces
auteurs
,il s'agissait d'un syndrome particulier : un synd
ina, en Italie par Biancone ; toutefois, il faut le dire, entre ces
auteurs
il n'y a pas un complet accord. En effet, tandis
, placés dans les tubercules quadrijumeaux, s'impose, pour d'autres
auteurs
(Nothnagel, Weinland), les centres ou les voies
. C'était, si l'on y pense, la conception la plus logique. Nombre d'
auteurs
s'occupèrent de cette question et beaucoup d'en
scen- dantes de la VIe paire vers la Ille paire ; mais les derniers
auteurs
qui ont étudié cette question, pensent que les
abaisse- ment et de la convergence, Parinaud, Sauvinaud et d'autres
auteurs
ad- mettent l'existence de centres coordinateur
.), dans un cas de lésion des tubercules quadri- jumeaux. Selon cet
auteur
, ces spasmes prouvent l'existence de centres so
ncules cérébelleux supérieurs ; peut-être, comme le soutiennent les
auteurs
an- glais et allemands, la destruction de la ma
une perturbation de la fonction hypophysaire, voyons l'opinion des
auteurs
sur l'hypophyse facteur d'acromégalie. Les lési
médecine'; 1886, p. 297. 188 ballet ET LAIGNEL-LAVAST1NE Or les
auteurs
ont rapporté des faits de lésions pituitaires san
connaissons que les faits rapportés par Freedmann et Alaas (14). Ces
auteurs
ont enlevé à des chats le corps pituitaire sans
pas suffisantes à produire l'acromégalie. En second lieu, quelques
auteurs
soutiennent que les lésions pituitaires ne sont
ou à une autre perturbation fonc- tionnelle. Un certain nombre d'
auteurs
ont pensé que l'acromégalie résultait t d'une i
t la thyroïde d'une part et les surrénales d'autre part. Très peu d'
auteurs
ont cité les surrénales dans les autopsies d'acro
es comme un phénomène à peu près constant par Îlhl : er, ce dernier
auteur
ne peut cependant leur refuser un caractère patho
biol., 1903. (3) M. LoEpEn, Soc. de biol., 1903. (4) De nombreux
auteurs
, cités par Labadie-Lagrave et Deguy (loc. cit.),
n malade atteint de sténose congénitale de l'artère pulmonaire. Cet
auteur
emploie l'expression de « cyanose de la rétine
forme morbide : l'oedème circonscrit et aigu delà peau. Se- lon son
auteur
elle serait caractérisée par la présence d'un oed
e par Debove se présente avec une allure chro- nique. Selon le même
auteur
l'altération fondamentale serait dans le systèm
es diffèrent notablement de celles émises par Meige et par tous les
auteurs
qui ont étudié ces formes morbides. J'exposerai
fection doit se servir de sa plume, que le spasme a lieu. Plusieurs
auteurs
ont cherché d'assimiler cette affection aux autre
bles locaux ou 216 KOUINDJY aux troubles musculaires. D'après cet
auteur
, le spasme fonctionnel atteindrait les muscles
de la moelle cervicale. Duchenne de Bou- logne et un grand nombre d'
auteurs
français admettent que l'ataxie pro- fessionnel
st en rapport direct avec l'intelligence de la personne malade. Cet
auteur
a montré que la crampe professionnelle se dé- v
les muscles sont atteints de parésie ou de contracture, les autres
auteurs
ont également commis une erreur, en rattachant d'
d'une maladie des nerfs ou des troncs nerveux. Zuber et plusieurs
auteurs
modernes ont proclamé le repos, comme le moyen
e traitement des crampes professionnelles ont échoué, parce que les
auteurs
les plus autorisés n'ont pas suffisamment attiré
ces incoordinations. Les mots crampe ou spasme ont trop absorbé les
auteurs
et tous leurs efforts thérapeutiques ont été diri
ve et que la contracture n'est qu'un phénomène secondaire. Pour cet
auteur
, ainsi que pour Poor, l'affection dépendrait des
écrivains». En 1887 parut dans le Wrnlch un second tra vail du même
auteur
sur le même sujet. Dans ces deux articles l'auteu
tra vail du même auteur sur le même sujet. Dans ces deux articles l'
auteur
indi- que pour la première fois les moyens prop
hors de quelques appa- reils, dont l'application est reconnue par l'
auteur
lui-même comme palliative, il fait en somme la
sur l'état psychi- que de l'individu. Les résultats obtenus par cet
auteur
, ont justifié la ten- dance de traiter les cram
de la sphère d'influence de l'action spasmodique. Contrairement aux
auteurs
, qui se sont occupés jusqu'à présent des crampe
elle offre en outre quelque intérêt par les détails opératoires ; l'
auteur
s'est certainement inspiré des traditions de l'
du sang-froid. L'autre, debout, pratique lui-même l'amputation. L'
auteur
du vitrail nous le représenle armé d'une scie qu'
arlinger (1), Soukhanoff, Géier, et quelques au- tres, un des rares
auteurs
à signaler cette lésion. Nous avons vu aussi la
lique en foyer ou à une pachy-méningite hémorrhagique. Beau- coup d'
auteurs
actuels la nient, à cause de sa rareté sans doute
use de leur longueur et indépendamment de la maladie causale. Les
auteurs
, qui partagent la première conception, apercevant
lier des théories trop souvent exclusives. Au contraire, les autres
auteurs
, qui formulent la deuxième idée, sont plus frap
mes lésionnels immédiats, dont n'arrivent pas à ren- dre compte les
auteurs
qui en cherchent la raison dans une spécificité
le chien des lésions d'une maladie, sur l'étiologie de laquelle les
auteurs
les plus compétents ne sont pas d'accord, peut ap
s quelques cas de myasthénie pseudo-paralytique,a permis à certains
auteurs
d'établir l'existence, de deux ordres de lésions
que. Cette interprétation, qui d'ailleurs n'était de la part de son
auteur
qu'une simple hypothèse ne devant s'appliquer q
r lequel nous désirons commencer notre travail. Etiologie. Tous les
auteurs
sont d'accord sur un fait : les oedèmes de Quin
l'attention sur ma quatrième observation. Nous allons voir que les
auteurs
qui séparent l'urticaire de l'oedème de Quinke
s ap- partiennent toutefois à la même maladie, quoique les premiers
auteurs
qui ont étudié ces faits intéressants, n'aient
onnée très importante pour les conclusions de pathogénie : Nombre d'
auteurs
ont décrit dans l'oedème de Quinke des taches r
es séparer en se basant seuiement sur le caractère de la durée. Cet
auteur
ne veut pas seulement séparer les observations
et de sa guérison, pour son caractère familial, a été par tous les
auteurs
considéré comme une simple variété de l'oedème
dans laquelle LES OEDÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES 267 l'
auteur
observa des poussées d'oedèmes paroxystiques ayan
peu claires et démonstratives. Tandis que jusqu'à présent tous les
auteurs
ont jugé que les oedèmes de ce genre étaient du
connaissance était liée à une ancienne expérience de Cohnheim : cet
auteur
avait observé dans le mésentère d'une grenouill
s et confirmées par tous. Nous désirons seulement remarquer que cet
auteur
trouva une série de substances qu'il appela lym
e étiologique. Nous avons parlé des arguments sur lesquels tous les
auteurs
ont basé leurs idées sur l'in- fluence du systè
périmentales indiscutables. A ce propos il faut savoir que les deux
auteurs
sont parfaitement d'ac- cord sur la façon d'agi
les d'écrevisses). Mais c'est à propos de ces derniers que les deux
auteurs
allemands ne sont pas d'accord. Cohnstein recon
ution et un mécanisme analogue^ à ceux des phénomènes cutanées. Les
auteurs
classiques unissent' 4 eek manifestations une a
hoedème chronique, et en recevoir une nouvelle sanc- tion. Tous les
auteurs
qui ont observé des cas de ce genre, ont compris
as trouver des analogies avec les oedèmes com- muns mécaniques, les
auteurs
ont admis pour expliquer le trophoedème une alt
stion de dermatologie pure, nous devons conclure avec les meilleurs
auteurs
que l'éléphantiasis, au moins dans la plus gran
btient quelques gouttes à peine qui s'arrê- tent bientôt (Debove, l'
auteur
). Selon nous, un trouble trophique de la sécrét
calisée dans les régions anesthé- tiques [Schlesinger (47). Le même
auteur
a observé des sujets affectés de syringomyélie
que leur trajet suivait les racines antérieures, nous trouvons des
auteurs
[Stric%er (137), Bonozzi (138), Bagliss (139) ] q
tographies des quatre malades qui ont servi à la description de ces
auteurs
la première famille (A) est composée du père et
dans les travaux postérieurs à celui de M. P. Marie, la'plupart des
auteurs
étrangers semblent ignorer totale ment ses conc
d). L'affection n'est donc pas si rare que le prétendaient certains
auteurs
(Polaillon). En parcourant ces différentes obse
a ceinture scapulaire est le plus souvent nor- male. La plupart des
auteurs
se sont préocupés de l'état des insertions musc
s n° 3 où les fragments claviculaires ont une longueur notable, cet
auteur
doute de sa présence malgré la place pour ses ins
s dans la musculature de sa cein- ture scapulaire. La plupart des
auteurs
insistent sur l'abaissement pathognomonique du
apèze. Les mouvements volontaires ne sont guère modifiés ; tous les
auteurs
insistent sur ce fait et sur l'ignorance où les
, comme l'ont montré Gegenbaur et P. Marie, et surtout à ce que les
auteurs
n'ont pas recherché dans les ascen- dants ou le
le malade observé par MM. Pierre Marie et Sainton (A, le père) ces
auteurs
ont vu depuis quelques années se dé- velopper t
le nom de mutations ». Les deux affections se- raient, d'après cet
auteur
, deux variations opposées et complémentaires, l
onner raison, c'est celle invo- quée par M. Couvelaire. D'après cet
auteur
il est logique de penser que l'élément causal,
ant et en bas d'une façon aussi accusée que le dé- crivent certains
auteurs
; l'anomalie aurait pu passer inaperçue à la vue
rmales. 7° Le caractère héréditaire de l'affection nié par certains
auteurs
est par- ticùli8rement net dans notre observati
et des tératologistes, la pseudencéphalie (1) et l'anencé- (1) Les
auteurs
allemands désignent fréquemment la pseudencéphali
allait-il l'entreprendre sans idée préconçue. Or, un certain nombre d'
auteurs
dont nous aurons à citer les travaux se sont su
hydrocéphalie infectieuse.Ces incertitudes expliquent pourquoi ces
auteurs
n'ont pas tiré de leurs examens minutieux toutes
ntré 9 anencéphales. Etant donnée la concep- tion singulière de cet
auteur
sur la question, on peut se demander si ce nombre
st le bon état général des sujets ; l'embonpoint, noté par tous les
auteurs
, correspond à une formation graisseuse sous- cu
pression d'un exorbitisme parfois excessif (Pl. XLIV-B). Cer- tains
auteurs
, parmi les plus récents, se sont efforcés de trou
èrement en un bour- relet au-dessus de la peau saine.La plupart des
auteurs
ont avancé que la ligne de séparation superfici
à la genèse de l'affection qui nous occupe. Or, parmi les nombreux
auteurs
qui ont manipulé et plus ou moins disséqué des
rticulier, sur lequel nous reviendrons, par A. Andrieu (3) ; encore l'
auteur
n'est-il pas absolument affirmatif : « la tumeu
et la Pseudencéphalie, indiquée par Bruno Fleischer (1), parmi les
auteurs
récents, doit être nettement marquée. Nous aurons
se trouve en présence d'une pseudencéphalie sans hémicrânie. Divers
auteurs
ont signalé l'existence de fragments du crâne mem
avec les os de la base une sorte de plancher. Les affirmations des
auteurs
, à cet égard, celles de Huiuard et Polosson en
e et même probable que ces dispositions aient été vues par d'autres
auteurs
dont les travaux ont échappé à mes re- cherches
néanmoins très fréquente. Cette disposition, notée par la plupart des
auteurs
, paraît d'ailleurs en relation avec un phénomèn
maxillaire inférieur paraît démesurément grand (fig. 7), et quelques
auteurs
t'ont considéré comme frappé de gigantisme. C'e
ns la région cervicale, une courbure plus ou moins marquée.Tous les
auteurs
qui,depuis Etienne Geoffroy-Saint-Hilaire, ont
ons plus ou moins marquées des pieds, déviations sur lesquelles les
auteurs
s'arrêtent avec complaisance. Je ne mets pas en
uvent se rencontrer chez les foetus qui nous occupent; en fait, les
auteurs
en ont signalé un grand nombre. Le bec-de-lièvr
ndividu, suivant les points considérés. D'une façon générale, les
auteurs
se sont beaucoup préoccupés de rechercher les n
ppréciable à l'oeil. C'est d'ailleurs ce qu'ont noté les différents
auteurs
qui ont disséqué des pseudencéphaliens. Au surp
n fait très important qui n'a pas suffisamment attiré l'attention des
auteurs
. Bulloch (1), Vaschide et Vurpas (2), Zingerle
Vaschide et Vurpas qui en ont reconnu la nature inflammatoire, les
auteurs
n'accordent à ces dispositions qu'une importance
r extension et leur multiplication progressives de bas en haut. Ces
auteurs
, néanmoins, préoc- cupés de la destinée des fai
Il est, il ce propos, très curieux d'observer à quel point certains
auteurs
ont méconnu le sens des dispositions qu'ils ont
ississement coïncide avec un épaississement méningé, sur lequel les
auteurs
n'insistent nullement ; il coïncide en outre avec
que absolue des ganglions spinaux, intégrité relevée par différents
auteurs
, et qui a donné lieu, nous le verrons, aux con-
énomène de recrudescence segmentaire a été déjà décrit par d'autres
auteurs
, mais sous une forme tout à fait différente qui i
elle se retrouve tout particulièrement dans l'oeil. La plupart des
auteurs
qui ont examiné au microscope l'oeil les pseudenc
en outre de nous de- mander si, comme ont tenté de le faire divers
auteurs
, on doit distinguer au point de vue nosographiq
leure pour son interprétation. Dans le cas de Brissaud-Souques, les
auteurs
n'ont pas cherché à ex- pliquer cette déformati
. C'est également t un cas de ce genre que rapporte Mme Sacara. Cet
auteur
a observé que son malade laissait en marchant l
igmates qu'on trouve chez l'adulte. Charcot, et depuis bon nombre d'
auteurs
, ont insisté sur « la fragilité des stigmates h
tails sont développés dans la thèse récente de B. Weil. D'après cet
auteur
, « il existe des altéra- tions caractérisant un
xclusive de la persuasion. Et ces deux caractères résument pour cet
auteur
le terrain hystérique, qui est avant tout « cap
omme qui s'est dessiné lui-même au premier plan. On peut voir que l'
auteur
,quoique n'appartenant pas au corps médical et b
e. Son premier soin fut de faire interdire cette publication dont l'
auteur
fut par la suite condamné à 250 francs d'a- men
n intra-utérine du cartilage (chondritis foetalis), tous les autres
auteurs
avec Bouchut (1862), Scharlow (1867), Fischer (
mbres inférieurs, il a été amélioré par le traitement thyroïdien. L'
auteur
tend à le rapprocher de la forme hypoplastique
0 et PI. LV, fig. 13). Cette bande fibreuse, retrouvée par tous les
auteurs
, sauf Johannessen et Franqué, est considérée pa
par Stilling et très souvent employé depuis lors en Allemagne par des
auteurs
qui, en présence de cas où le cartilage paraiss
, mais plutôt des types anormaux sélectionnés par hérédité. Le même
auteur
a montré éga- lement qu'il ne fallait pas confo
de cette affection. Peut-être cela explique-t-il pourquoi certains
auteurs
ont nié le rachitisme du nouveau-né. Sans admet
ou de la dysplasie périostale et conclut au rachitisme. D'après cet
auteur
, l'observation de Geldern-Egmont devrait être é
ie en l'opposant à l'achondroplasie/ Cette affection qui, selon ces
auteurs
, relève de troubles de l'ossification du car- t
était le produit d'un inceste entre frère et saur. La plupart des
auteurs
sont aujourd'hui d'accord pour voir plutôt dans^
dys- trophie telle qu'elle a été différenciée avec le temps par les
auteurs
qui l'ont séparée des autres formes de nanisme
x en évidence les rapports qui unissent notre cas à ceux des autres
auteurs
, nous avons cherché, autant qu'il nous a été poss
SUR deux cas d'acu'ondroplasie 543 Voici d'ailleurs les noms des
auteurs
auxquels appartiennent les cas pu- bliés : Char
cas publiés jusqu'à présent. Ainsi que nous l'avons dit, tous les
auteurs
qui se sont occupés de la question ont insisté
te brachycéphalie ressort des chiffres publiés par presque tous les
auteurs
. Nous trouvons ainsi des index céphaliques de 81,
rencontre chez les achondroplasiques. Pierre Marie est le premier
auteur
qui a attiré l'attention sur la confor- mation
notre cas elle est très évidente (voir la photographie). Certains
auteurs
ont insisté sur le fait que le tronc et la colonn
pathogénie de ce trou- ble du développement du squelette. Certains
auteurs
rapprochent l'achon- droplasie du rachitisme et
le deuxième. Par contre Apert ne voit que des divergences. Certains
auteurs
la regardent comme une maladie locale du cartilag
ager la question qui a es plus grandes chances d'être la vraie. Cet
auteur
se demande si ce n'est pas dans un trouble de l
écente et présentait des accidents secondaires. Chez les foetus ces
auteurs
ont observé, outre les altérations osseuses, de
ffet les études de Ancel et Bouin, de Voïnov, de Branca et d'autres
auteurs
tendent à démontrer qu'il existe une indépendance
Leriche expose ici les différentes interprétations données par les
auteurs
et après avoir signalé l'opinion de Vargas (39)
nous permet une étude des altérations du squelette que les premiers
auteurs
qui se sont occupés de la tératologie ne pouvai
e du côté tibial. Polydac- tylie du côté tibial. Syndactylie. Les
auteurs
qui ont eu l'occasion de décrire des monstres, on
tervertébraux correspondants à une ptérobrachie. Dans la deuxième l'
auteur
observa l'absence de la main et de l'avant-bras
seaux. Je ne crois pas non plus à un rachitisme foetal. Une série d'
auteurs
nient même son existence l Schildoviki (20), I(
doviki (20), I(aufoaan(1), Clivio (22), Fede e Finizio (23)..]. Les
auteurs
qui récemment ont admis son existence, admetten
par Gruber (29) en 1871, et par Taruffi en 1881 (30). Ces derniers
auteurs
ont clas- sé d'une façon parfaite tous les cas
LOBRA DIFFORMITÉ CONGÉNITALE DES MEMBRES 571 les, ont conduit les
auteurs
à une hypothèse plus ancienne qui avait été aban-
en effet, complètement abandonnée. 576 VALOBRA Presque tous les
auteurs
admettent l'influence d'une force mécanique. La
. On doit reconnaitre que dans les travaux récents presque tous les
auteurs
se rallient à la théorie des lésions amniotique
CHENNE D'ORIGINE SYPHILITIQUE 595 de Médecine. Après avoir cité les
auteurs
que nous venons de passer rapi- dement en revue
cuter les dia- gnostics anatomo-pathologiques portés par différents
auteurs
, tel que celui de polio-encéphalo-myélite admis
-mère enflammée n'ait jamais at- tiré l'attention dont certains des
auteurs
ont décrit et représenté les lésions inflammato
ire sans rapport de structure avec le tissu érec- tile que quelques
auteurs
ont prétendu reconnaître. Cette néoformation, qui
THOGÉNIE DE LA PSEUDENCÉPHALIE ET DE L'ANENCÉPHALIE 605 plupart des
auteurs
est, nous l'avons dit, un exorbitisme tout à fait
bitisme des pseudencéphaliens, exorbitisme noté par l'unanimité des
auteurs
, sur lequel même certains d'entre eux se sont a
ons ces divers cas dans la descrip- tion et les représentations des
auteurs
(fig. 3, 4 et 5). Tous ces cas, relèvent indist
as particulier des anencéphales, point de départ de Jules Guérin, l'
auteur
s'est contenté de considérations assez vagues s
on trouve en effet, à ce sujet, quelques renseignements dus au même
auteur
: « En 1635, le mercredi après la Pen- tecôte,
les crêtes et éminences normales sout considérablement exagérées. L'
auteur
fait suivre sa description des commentaires suiva
a rien à ajouter aux descriptions qu'en ont données les différents
auteurs
qui ont étudié les exostoses multiples; ces descr
té sur l'intime affinité génétique, désormais reconnue par tous les
auteurs
entre les exostoses et les enchondromes. Virchow
e trouve dans le volume de la tumeur. Les enchon- dromes, selon les
auteurs
, peuvent avoir des dimensions plus considéra- b
ation résiderait dans les parties plus internes de la choroïde. Les
auteurs
s'accordent à reconnaître que les exostoses ne
lles qui m'ont fourni le matériel d'observation. Du reste, tous les
auteurs
sont d'accord pour assurer que l'affection est
luence de la grossesse. Nous pouvons donc affirmer que, si tous les
auteurs
ont attaché une (1) ZIEGLER, Anatomiapat., 1883
phtisie. » Je fais observer, néanmoins, que, d'après les précédents
auteurs
, cette tendance s'étend aussi aux cas d'exostos
laire inférieur, et de ce fait résulte le prognathisme marqué que les
auteurs
ont relevé sans chercher à le comprendre. De
t avec des recherches faites sur des séries plus étendues par trois
auteurs
allemands. Il est à remarquer que la structure hi
uer que le plus grand nombre de celles qui ont été relevées par les
auteurs
: symélie (1), célosomie (2), ectromélie, pérodac
oetus à travers le placenta. Si nous considérons alors, avec divers
auteurs
, le placenta comme un filtre retenant les agent
lien et pseudencéphale. Soc. anat., 1902. (2) G. Gérard, Op. cit. L'
auteur
conclut à l'indépendance de la célosomie et de la
maladie infectieuse qui se- rait intervenue chez la mère ; certains
auteurs
même notent expressément que la grossesse n'a é
les antécédents de certains foetus pseudencéphaliens (1). Certains
auteurs
, il est vrai, ne s'embarrassent point de ces fait
us ou moins évidentes. Sur l'origine de ces adhérences, les anciens
auteurs
ne s'expliquent guère, se contentant d'exprimer
savoir d'où vient cette vulnérabilité spéciale de l'amnios ; mais l'
auteur
se contente d'une sim- ple affirmation. Dans to
nnexes. Le problème ainsi renversé devient relativement simple. Les
auteurs
sont toujours muets sur la cause qui a entraîné
ère essentiellement de celle qui caractérise la pseudencéphalie ; l'
auteur
lui-même le reconnaît; de plus, le contenu de c
Même, à voir les choses de près, il ressort de la description de l'
auteur
que de tous les tissus de la région, le tissu des
éphaliens d'une part, les cyclocéphaliel1s d'autre part. Tous les
auteurs
qui ont suivi, même les plus récents, ont accepté
e cerveau, quoique mal développé, paraissait indemne à l'oeil nu. L'
auteur
considère ce cas comme se rattachant à la pseuden
ions morbides dérivant de la méningite. On trouve encore dans les
auteurs
une comparaison entre l'anencéphalie et l'acéph
'ouverture secondaire. 5. Signification de l'hémicéphalie. - Divers
auteurs
, et plus spécialement les auteurs allemands, en
ation de l'hémicéphalie. - Divers auteurs, et plus spécialement les
auteurs
allemands, englobent sous le terme d'hémicéphalie
es nerf postérieurs, seuls restes de l'axe spinal (Anencéphales des
auteurs
). VIII. A ces lésions correspondent des signes
ne paraît pas avoir été fait dans les meil- leures conditions. Les
auteurs
notent cependant que les « racines présentent une
i-teintes sont respectées. On y peut voir, au sur et à mesure que l'
auteur
avance en âge, un caractère fantomatique très n
auchemaresques d'un ar- tiste de génie pour arguer de la folie de l'
auteur
, ce serait tomber dans le travers tant reproché
èqae Bodleyenne a Oxford (1 pl.), par Henry Meige, 232. TABLE DES
AUTEURS
Babinski. Hémispasme facial périphérique (1 p
1 fig.),426. QEttinger et E. Agasse-Lafont. Maladie 710 TABLE DES
AUTEURS
osseuse de Paget. Trois cas observés dans une
exposée par M. Déjerine dans sa remarquable thèse d'agrégation et l'
auteur
l'a étayée sur de nombreux documents empruntés
ns pu, en effet, en relever un certain nombre d'exemples dans les
auteurs
de notre siècle et des siècles pré- cédents. D'
de chorea procursiva seu festinaa7s, elle est enfin classée par les
auteurs
de la première moitié de ce siècle parmi les ch
cas d'épilepsie procursive, comme l'ont fait ce temps-ci quelques
auteurs
, l'observation publiée par Tulpius'. Il s'agit
de la raison ou avec quelque dépravation de ces facultés »; puis l'
auteur
ajoute qu'il y a quelques exemples de cette var
t pas au moment de l'accès mais courait per lutum et aquam. Le même
auteur
avait publié en 1687 une observation qui rentre
l'épilepsie, p. 531. - Nous n'avons pu con- sulter quelques-uns des
auteurs
cités par Etmuller, mais dans la Pratique de Ri
lusion au sujèt qui nous occupe : « Il y a cependant, dit-il, des
auteurs
, dont l'un en a vu qui ne tombaient pas, un aut
cursive, mais cite un cas qui aurait été rapporté, d'après un autre
auteur
, par Bootius et qui ne figure pas dans l'ouvrag
es malades courent d'ordinaire jusqu'à ce qu'ils tombent à terre. L'
auteur
cité par Bootius nous en fournit un exemple; il
Pathologie interne, trad. de Bayle. Paris, 1838, t. 111, p. 336. L'
auteur
dit en note avoir vu plusieurs fois des cas sem
ra procursive ou à un véritable accès d'épilepsie procursive, car l'
auteur
se borne à dire que la course se terminait par
due nzallatie non ancora descritta (c'est du moins ce que croyait l'
auteur
). Napoli, 1831, p. 6. - Nous n'avons pu trouver
e. Les phénomènes observés ne permettent pas de con- clure avec l'
auteur
que sa malade était atteinte de chorée. La long
complète. Nous ne pouvons que mentionner l'observation de Roth; l'
auteur
n'a pas observé sérieusement le malade qu'il n'
les phénomènes procursifs sont de nouveau considérés par tous les
auteurs
comme relevant de l'épilepsie. Voici d'abord un
is associés dans ces sortes d'accès. Le cri inarticulé sur lequel l'
auteur
ne s'appesantit pas pourrait peut-être être att
thèse. A la suite de cela, on est à se demander pourquoi tous les
auteurs
parlent de méningo-encéphalite dans la paralysie
ns spéciales, émanant des muscles, semble avoir échappé aux anciens
auteurs
, ce qui n'a rien de surprenant lorsqu'on songe
sation publié en 1854. Le sens musculaire reçoit encore de ces deux
auteurs
de nouvelles dénominations. Pour Landry, c'est
comotrice et le sens musculaire. C'est donc à tort que cer- tains
auteurs
pensent qu'il a désigné le sens musculaire sous l
le sens musculaire sous le nom de «faculté locomotrice «.Parmi les
auteurs
qui ont surtout LE SENS MUSCULAIRE. 83 étudié
Psychologie physiologique sur laquelle nous n'insis- terons pas, l'
auteur
devanty revenir prochainement avec plus de déve
dénominations qu'il a reçues qu'un grand désaccord existe entre les
auteurs
sur ce qu'on doit entendre par sens musculaire,
poids que nous supportons. Ces expériences, confirmées par d'autres
auteurs
, montrent bien qu'il existe en nous une capacit
impressions kinesthé- tiques, nous avons l'opinion de Bastian. Cet
auteur
admet que le rappel idéal ou conception des qua
i- ques. « J'ai été conduit à admettre, dit-il, avec bon nombre d'
auteurs
, que les représentations motrices qui précèdent n
ouvons apprécier les impressions du sens musculaire, les différents
auteurs
se divisent en trois groupes. Pour les uns, ie
l'activité des centres mo- teurs. » Dans son dernier mémoire, cet
auteur
s'élève de nouveau contre l'opinion de Wundt et
e. a Il s'appuie sur les opérations de Horsley rapportées par cet
auteur
(Bl'itish méd. Journal, 1886) dans une communicat
sante, mais nous devons dire que nous ne partageons pas l'avis de l'
auteur
au sujet du diagnostic. M. Adamkiewicz se fonde
it défaut. En effet, en ce qui concerne les phénomènes oculaires, l'
auteur
fait remarquer qu'il n'y avait pas d'amblyopie,
it analogue publié par M. Déjerll1e, semble confirmer l'opinion des
auteurs
qui pensent que la localisation de la faculté d
Marie et G. GUINON. (Revue de médecine, 188(j, t. VI, p. 640.) Les
auteurs
se sont appliqués à démontrer l'importance de la
umeurs cérébrales en général. 112 REVUE DE pathologie nerveuse. L'
auteur
con,idèrc successivement les tumeurs des plexus c
émontrée. Les explications abondent dans ce mémoire, empruntées aux
auteurs
les plus divers de l'Allemagne pour nous faire
e. Ni l'étiologie, ni la symptomatologie, patiemment relevées par l'
auteur
dans les vingt-cinq observations qu'il a réunie
l'hydrocèle. Le lendemain le malade était encore plus abattu, et l'
auteur
remarqua chez lui un écou- lement de liquide cl
uis ce temps, sa femme avait remarqué une tuméfaction de la tête. L'
auteur
trouva une proéminence de forme ovale, commença
G1TE spinale ; par le Dr W.-H. Morse. L'observation, que relate l'
auteur
, est celle d'un jeune homme présentant des anté
capitale, 1 lit pour 828 personnes 2. En présence de ces faits, l'
auteur
conseille au zemstwo du dé- 1 Voir les Archives
écialement consacrée à l'enseignement de la patho- logie mentale, l'
auteur
s'arrête sur la clinique de Moscou qui vient d'
ent dont le principe philantropique est plein du sentiment moral, l'
auteur
conseille au congrès de prendre sur lui l'initi
e, d'établissements des- tinés au traitement des buveurs est pour l'
auteur
l'indice de la nécessité d'établissements sembl
ur l'assistance des aliénés criminels ou prévenus de crime. Selon l'
auteur
la différence qui existe entre un aliéné crimin
atronage familial à Ilten (Hanovre). Ce système présente, d'après l'
auteur
, de grands avantages économiques. De plus, il e
ndre un aliéné qui pour- rait parfaitement vivre dans sa famille. L'
auteur
pense, en effet, que le traitement des aliénés
toire de l'Art. Mais malgré l'adoption de l'ordre chronologique les
auteurs
ont su classer aussi leurs documents suivant ce
à Sienne. BIBLIOGRAPHIE. 129 faire est de laisser la parole aux
auteurs
: « La plupart des pos- sédés créés par l'image
ulière épidémie. Ayant rassemblé tous les éléments nécessaires, les
auteurs
com- parent alors toutes ces descriptions du pa
être définis « les aristocrates de la possession». A cet égard les
auteurs
ont donc été bien ins- pirés en accordant aux e
hap- per. Nous ne pensons donc pas que la confusion que redoute l'
auteur
de l'amendement puisse jamais se produire, et nou
u- meur bilieuse, se sont grandement trompés, et il n'y a que des
auteurs
ignorants pour faire venir la bile de l'humeur
s jugé convenable de publier dans ce livre ce qu'il a recueilli des
auteurs
mêmes de ces récits, et de reproduire fidèlemen
de l'année, une observation du même genre avait été publiée par cet
auteur
dans un autre journal de Vienne, le lVZ'el1el'
r repoussé l'idée d'une monoplégie hys- térique, force est bien à l'
auteur
d'avouer que les autres hypo- thèses ne s'adapt
qui dans ce cas nous semble évidente, n'est même pas soulevée par l'
auteur
allemand, et voici la singulière argumen- tatio
it-il d'un des faits d'hémiparaplégie décrits par Brown-Séquard ? L'
auteur
discute gravement cette hypothèse, en faveur de
ralysie motrice. Par exclusion, et faute d'explication meilleure, l'
auteur
admet qu'il a existé chez son malade une altéra
l'endroit de cette cause, que 216 PATHOLOGIE MENTALE. beaucoup d'
auteurs
, et des plus recommandables, n'hésitent pas à c
alcooliques, je le dirai également des excès sexuels, dont certains
auteurs
ont voulu faire le facteur étiolo- gique princi
sorte la synthèse de cette étiologie d'apparence si diverse. Les
auteurs
qui se sont occupés de cette question ont génér
anent, et il aboutit à ces lésions vasculaires, qui pour beaucoup d'
auteurs
sont le point de départ des altérations que nou
OMMEIL ; par HOPPE. (Jahrbùch, f. Psych., VI, 2-3.) On peut, et l'
auteur
l'a fait sur lui-même, avant de s'endormir en r
e, qu'il y ait ou non lacune du jugement, lésion du raisonnement. L'
auteur
distingue à cet égard trois grandes catégories
bùch. f. Psych., VI, I.) La plupart d'entre eux seraient, d'après l'
auteur
, des équivalents psychiques de l'épilepsie. Il
. G. DENY. VI. Crampe des pianistes; par le Dr VIVIA ? Q POORE. L'
auteur
attire l'attention de ses auditeurs dans une leço
e analogie avec la crampe des écrivains, mais elle est plus rare. L'
auteur
n'en a réuni que deux cas, tandis qu'il a obser
tes, ce qui est opposé aux phénomènes de la crampe des écrivains; l'
auteur
attribue cette différence à ce que dans la prem
e les interosseux incriminés dans la seconde. Comme traitement, l'
auteur
fait diminuer le temps des séances de piano, so
ue à l'absence d'extenseur propre de ce doigt. Pour y remédier, des
auteurs
américains ont proposé de diviser avec le ténot
tade mélancolique de la folie circulaire. Une malade observée par l'
auteur
était pendant des mois en proie à un stade d'ag
élires sys- 294 sociétés Savantes. tématiques de la mélancolie. L'
auteur
rappelle l'histoire de ce malade trouvé près d'
oits identiques du cerveau. 296 SOCIÉTÉS SAVANTES. Dans ce but, l'
auteur
cherche dans le cerveau normal et dans le cerve
koutsk, on compte un marchand de cette boisson sur 241 habitants. L'
auteur
note en- core comme cause du développement des
le izo-2esti,aiiit». Dans un historique succinct de la question, l'
auteur
a démontré que ce principe dont la première app
une critique sérieuse à la loi actuelle. Parmi les conclusions de l'
auteur
, nous noterons les deux sui- vantes. Il insiste
ons semblables à Lublin, à Krakow et dans d'autres villes encore. L'
auteur
possède entre les mains, des documents indiquant
encore arrivé à connaître le nombre exact d'aliénés en Polo- gne. L'
auteur
croit que ce nombre s'élève approximativement à
LIOGRAPHIE, du protoplasma des tissus nerveux et musculaire. Pour l'
auteur
.- les phénomènes psychiques ne peuvent avoir li
IX. M. STEINBEIiG litson étude « sur la mémoire». La mémoire, dit l'
auteur
est une fonction de la cellule nerveuse centrale
nécessaire d'instituer des maisons médico-pédagogiques spéciales. L'
auteur
est le premier en Russie qui a fondé un pareil
ann. (Th., Paris, 1887.) Dans ce travail inspiré par M. Debove, l'
auteur
étudie une ma- nifestation de l'hystérie qui, j
sé en revue les différentes variétés de l'apo- plexie hystérique, l'
auteur
consacre un dernier chapitre au 304 BIBLIOGRAPH
es types moins complets de la maladie, des cas frustes en un mot. L'
auteur
a passé en revue l'historique, l'ana- tomie pat
de Neurologie, en 188ï, BIBLIOGRAPHIE. 301 M. Florand indique les
auteurs
qui ont ultérieurement étudié la sclérose latér
descendance des alcooliques ; par L. Grenier. Th., Paris, 1887. L'
auteur
a recueilli un nombre considérable d'observations
avait déjà indiqué ces signes possi- bles de l'ectasie gastrique. L'
auteur
insiste surtout sur la mise en jeu chez des pré
ndort par des moyens très simples (fixation du regard). Les mêmes
auteurs
ajoutent : « Il faut admettre que, même en agis
e élucidé, lorsque nous connaîtrons les procédés de mensuration des
auteurs
, en fort petit nombre du reste, qui ont institu
e détermina- tion de la perceptibilité différentielle. Les autres
auteurs
ne font que suivre le chemin tracé par Fôrster.
us citerons Wolfssberg2 comme s'étant oc- cupé de la question ; cet
auteur
définit le sens de la lumière de la manière sui
aux, ce cas présenter une grande analogie avec celui rapporté par l'
auteur
précédent. A l'ileiiiiaiialgésie partielle avec
Freud range son cas côté des cinq observations plus détaillées des
auteurs
cités plus haut, et s'ap- puyant sur les cas su
rmanes- thésie partielles, et dystrophie de la peau étudié' par l'
auteur
en 1886 27 étaient caractérisés par la glioma-
as de cette maladie passe inaperçue. Mais il suffit à quelqu'un des
auteurs
de prêter attention à tel ou tel autre de ces s
a gliomatose centrale, figurent au nombre des symptômes cités par l'
auteur
. Il faut rapporter sans doute à cette maladie,
autres. Ainsi, nous trouvons dans la littérature deux cas que leurs
auteurs
identifient à ceux décrits par Morvan; le premi
roca '' a été décrit sous le nom de panaris analgésique. Chez ces
auteurs
, le panaris apparaît comme l'affection fonda- m
a maladie a été très nette- ment dessiné, cela venait de ce que les
auteurs
en igno- raient les symptômes primaires, et en
ON. (Rev. de Oléd., 1886.) Sous le nom d'hémichorée symptomatique l'
auteur
englobe tous les genres d'incoordination motric
NERVEUSE ' /¡OU (chagrins violents, déceptions, ménopause, etc.), l'
auteur
croit qu'ils doivent être rattachés à la dlatlt
la nutrition du système nerveux. Au point de vue du traitement, l'
auteur
proscrit l'hydrothérapie et conseille une cure th
proché de cette observation quelques cas analogues trouvés dans les
auteurs
et tiré de l'examen de tous ces faits la conclu-
table de la température. La maladie se termina par la guérison et l'
auteur
pense qu'il a eu affaire à un cas de pseudo-mén
bl , l 886.) Soixante et un pour cent des tabétiques observés par l'
auteur
avaient eu certainement la syphilis .antérieure
yon mets, 1886, t. Ll.) Des dissections nombreuses pratiquées par l'
auteur
résultent les faits suivants : 1° l'articulatio
a deuxième frontale. 1''L ! REVUE d'anatomie ET DE physiologie. L'
auteur
pense que c'est à cette dernière lésion qu'il fau
rotateur dans le pied do la deuxième frontale. On sait que d'autres
auteurs
(Grasset, Landouzy, Charcot, etc.) ont pl acé a
NIICOFF. Appendice, par M. FLESCH. (A2,ch. f. Psych., XVII, 3.) L'
auteur
fait remarquer ce qui suit sur les deux observa-
cerveau- par Grasiiev. (Allg. Zeitsch. f. Psych., XLIII, 3.) , L'
auteur
a inventé un piézomètre qu'il décrit, et à l'aide
, mais prise avec minutie et rigueur scientifique, qui a fourni à l'
auteur
l'occasion d'une dissertation peu originale sur
'auteurénumère les diverses théories auxquelles se sont ralliés les
auteurs
quant à la pathogénie de cette affection, mais ne
phalée neurasthénique ; par G. LAFossE. - (Th., Paris, 1887.) * L'
auteur
, dans ce travail inspiré par M. Charcot, s'est pr
subjectives diverses, etc., qui peuvent accompagner la céphalée, l'
auteur
fait le diagnostic différentiel d'avec les cépha-
s observations ont été prises par les élèves du service avant que l'
auteur
n'eût choisi le sujet de son travail. Aussi, pl
rvation bien prise d'amyotro- phie tabétique à propos de laquelle l'
auteur
, élève de M. Jeoffroy, cherche à déterminer ce
minutieuses et nombreuses ligures dans le texte; dans l'autre, les
auteurs
se livrent à l'examen des cas où l'extirpation
mme j'en suis convaincu, cette manière de voir est partagée par les
auteurs
de l'amendement, je n'ai pas à m'occuper davant
271. Plexus choroïdes (tumeurs des), par Audry, 111. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. 459 Pression cérébrale
d'infirmières de l'asile clinique (Sainte-Anne), 412. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Achard, 302. Aclamloevi
eny, 108, 109, 110, 271, 406, 107, 108, 409, 411. 460 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. Duchon-Doris, 306. Dup
systématisée succède-t-elle à la lésion diffuse (4e type des mêmes
auteurs
) ? La propagation se fait- elle plutôt par les
'irri- tation plus ou moins élevée; je crois donc que plu- sieurs
auteurs
, et entre eux Beard et Môbius, ont tort en sout
coup d'oeil sur les des- criptions de l'état hypnotique des divers
auteurs
, on trouve des différences telles qu'il faut se
s'est complétée qu'au bout de quinze jours, démontrerait, d'après l'
auteur
, l'existence d'une forme de myélite des cornes
rthritisme ; par M. B. TEISSIER. (Lyon méd., -1883, t. XLVIII.) L'
auteur
rapporte en quelques mots l'observation de cinq m
lation de plusieurs cas de paralysie faciale empruntés à différents
auteurs
une nouvelle ob- servation de la même affection
servation de la même affection suivie d'autopsie, personnelle à l'
auteur
. Comme dans les cas analogues, la lésion occupait
endant quelques jours avec intensité, se sont peu à peu dissipés. L'
auteur
pense qu'ils doivent être attribués à une embol
parWALTER HAY. (Bulletin Médical de Philadelphie, févr. 1886.) L'
auteur
désire appeler l'attention sur le pronostic de l'
n ESPAGNE : par A. SCaMIT2. (Allg. Zeitsch. f. Psych., XLI, 3.) L'
auteur
conteste à Pinel le mérite d'avoir délivré les al
L'affection fut importée par un des médecins de l'établissement. L'
auteur
suit lacontagion pas à pas. Il attribue cette con
au point de vue du diagnostic de la paralysie générale au début, l'
auteur
fait remarquer qu'il y a la un terrain clinique
par G.-H. Savage.' (The Journal of Mental Science, avril 1884.) L'
auteur
rapporte cinq observations (dont quatre suivies d
s sujets plusieurs circonvolutions atrophiées, sans toutefois que l'
auteur
puisse préciser quelles sons celles sur lesquel
latéraux est primitive ou secondaire, ascendante ou descendante. L'
auteur
pense que, dans certains cas, les altérations son
stériles etles autres n'avaient point d'enfants vivants. Enfin, l'
auteur
signale un dernier fait, en se demandant toute-
ar D. HACK TUEE, (The Journal of Mental Science, janvier 1385.) L'
auteur
a fait, auprès des médecins directeurs des asiles
The Journal of Mental Science, juillet 1884.) Les réflexions dont l'
auteur
fait suivre cette observation en si- gnalent le
aire et la direction des mouvements étant parfaitement conservés. L'
auteur
signale d'autre part l'extrême paresse des réflex
scence. S'appuyant sur ces faits, et par des motifs qu'il déduit, l'
auteur
n'hésite pas à attri- buer à cette chorée une o
s même de la distribution significative de ces ramollisse- ments, l'
auteur
rappelle que les conditions qui se trouvaient t
llant presque jusqu'à la torpeur. C'est là un symptôme mental que l'
auteur
dans un précédent mémoire, avait rattaché à l'a
exes réunis : REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 77 viron 1 p. 100. L'
auteur
ne trouve à cet abaissement qu'une explication
confirme d'ailleurs l'opinion exprimée par Boyd et plusieurs autres
auteurs
; le tableau suivant en indique la fréquence :
ère n'avait pas succombé à ses blessures. Il fut acquitté, mais l'
auteur
signale avec raison comme au moins étrange, au
suivre pas à pas la genèse de la lésion et les interprétations de l'
auteur
, il est indispensable de lire le mémoire. P. K.
ditions favorables à l'appré- ciation de l'influence en question. L'
auteur
les relate en les résumant; voici ses conclusio
onstituer une entité clinique souvent méconnue et confondue par les
auteurs
anciens et mo- dernes avec la manie et la mélan
un vague souvenir de ce qui s'est passé. Aucun signe d'épilepsie. L'
auteur
conclut à l'irresponsabilité. 2° Un homme de qu
, ce qui les ruine au même degré, à moins qu'ils ne se suicident. L'
auteur
appelle l'atlen- tion des savants, des juriscon
thiques où il n'existe ni convulsions, ni paralysies, ni ataxies. L'
auteur
passe en revue les troubles de la voix, les tro
qu'en Allemagne comme ailleurs, la termi- nologie varie suivant les
auteurs
. L'épithète systématique dont nous décorons le
ntellec- tuel, ou celle de folie périodique; mais, en même temps, l'
auteur
fait des conceptions délirantes, c'est-à-dire d
e à d'autres causes qu'à la recherche irrésistible de la liberté. L'
auteur
examine d'abord les évasions des aliénés qui ne
adies mentales ; par E. ScoLl. (Arc%. f. Psych., XVI, 1, 2, 3.) L'
auteur
a étudié des familles dont les père et mère ont é
uits par la compression de l'ovaire dans les mêmes circonstances. L'
auteur
a pu arrêter ainsi non seulement des attaques l
GES (Allg. Zeitschir. f. Psych., XLI, 4-3.) C'est, comme le dit l'
auteur
, la partie spéciale du mémoire déjà analysé par
un trousseau compact de faisceaux (voie centrale de la calotte de l'
auteur
) qui, traversant la protubérance dans toute sa
e 23 centimètres de long, se confond avec la racine postérieure des
auteurs
et comprend l'ensemble des fibres situées au de
e 30 centimètres de long, se confond avec la racine postérieure des
auteurs
, ce sont des fibres situées en dehors des corps
vec névrite optique au niveau des papilles. Les développements de l'
auteur
seront publiés par l'auteur sous forme de mémoi
u des papilles. Les développements de l'auteur seront publiés par l'
auteur
sous forme de mémoire 2. Discussion : M. Hirs
e la chorée; par Saric (Thèse de Paris, 1885.) Dans ce travail, l'
auteur
, qui s'est inspiré d'une leçon de M. Joffroy, m
les pseudo-paralysies géné- rales syphilitiques ou saturnines que l'
auteur
confond d'ailleurs avec la paralysie générale v
ntribution à l'étiologie de la chorée; par SAGUET. (Thèse, 1885.) L'
auteur
résume lui-même sa thèse dans cette proposition
» Si on prend cette conclusion à la lettre. on sera de l'avis de l'
auteur
M. S...; souvent la chorée se manifeste à la su
nt la chorée se manifeste à la suite des maladies in- fectieuses. L'
auteur
aurait pu consulter avec fruit sur l'étiologie
ns le service de ni. Charcot et sous la direction de M. Parinaud, l'
auteur
tire les conclusions suivantes : BIBLIOGRAPHI
ous cachet par le président; elles sont lues publiquement par leurs
auteurs
sous la surveillance de l'un des membres du jur
the progress. Brochure In-8" de 1S pages. - New-York, 18a6, chez l'
auteur
, 37, Broad- way. DUVAL (M.). - Le Darwinisme,
Traduit de l'alle- mand sur la 2' édition, avec l'autorisation de l'
auteur
par le Dr E. flou- lnen, précédé d'une nouvelle
auteur par le Dr E. flou- lnen, précédé d'une nouvelle préface de l'
auteur
et d'une introduction par D. NOL EN. Un volume
oins connues est assurément celle qui a été dési- gnée par quelques
auteurs
anglais, entre autres par MM. Fletcher Beach et
que ce soit là qu'il faille chercher la cause du silence que les
auteurs
ont gardé à son sujet. Et, tout d'abord il faut
jewsky, 1885, t. I.) Les points à relever dans l'observation de ces
auteurs
sont les suivants, à l'examen microscopique.
Epaississement de la pie-mère des cordons postérieurs. D'après ces
auteurs
la sclérose pyramidale serait indépen- dante de
sions statiques sont relative- ment rares. L'exemple détaillé par l'
auteur
concerne un homme REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
) A la suite d'une levue critique portant sur la bibliographie, l'
auteur
détaille une observation de tumeur du corps calle
intégrité de la moelle. En fait de particularités remar- quables, l'
auteur
insiste sur l'absence de douleurs proprement di
ication provisoire; par ED. KRAUss. (Neurol. Central6l., 1885.) L'
auteur
résume les propositions qui lui paraissent émaner
tion des symptômes du tabès à l'aide de faits précis et nouveaux, l'
auteur
rapporte deux faits. L'un d'eux concerne un cas
de M. le professeur Mieuzejewsky, '1885, t. 1.) Dans ce travail, l'
auteur
a réuni quarante cas (publiés par diffé- rents
ce travail, l'auteur a réuni quarante cas (publiés par diffé- rents
auteurs
), d'empoisonnement par l'oxyde de carbone chez
rganique produisant l'affaiblissement psychique pourrait d'après, l'
auteur
, être rapproché de la dégénérescence des cellul
Ccnt1'Ulbl. f. Nervenheilk, 1883.) Cent cas de tabès frai tés par l'
auteur
, ou 1883 et 1884 comprenaient L cinquante-neuf
t jamais ou presque jamais chez les tabétiques non syphilitiques. L'
auteur
passe ensuite en revue les symptômes d'un Labes
le diagnostic et exclut l'idée d'une lésion des centres nerveux. L'
auteur
insiste sur l'action favorable du pinceau farad
31ÉD1 \N par M. BERNHARDT (Centrcal6l. f. Nervenheilk., 1885.) L'
auteur
montre à l'aide de cinq observations de blessures
gts ainsi que le côté externe des phalangines du quatrième doigt. L'
auteur
insiste, en outre, sur l'inégalité dans les zon
E PATHOLOGIE NERVEUSE. -2-)7 A rapprocher du cas publié par le même
auteur
dans les Archives de Neurologie de 43, n° 18).
ulose ou tout 232 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. autre cachexie. L'
auteur
appelle l'attention sur l'existence du coma et
psychiatre des points de repère satisfaisants ; tel est l'avis de l'
auteur
. II. Convulsions dans le territoire du facial d
a manière de voir de M. Charcot, sur les faits déjà présentés par l'
auteur
en com- mun avec M. Thomsen. L'auteur y voit un
es faits déjà présentés par l'auteur en com- mun avec M. Thomsen. L'
auteur
y voit un type morbide spé- cial caractérisé pa
vations de Erb, Remak, Vulpian, Oeller, Oppenheim, de Monakow, l'
auteur
conclut que d'ordinaire le plomb a l'air d'atte
n nombre d'observations per- sonnelles sur les aliénés criminels, l'
auteur
arrive aux conclu- sions suivantes : I. Le cr
te, et finalement généralisés d'un parfait caractère (épilepsie). L'
auteur
en tire que les pre- miers phénomènes étaient,
ptômes cataleptiformes, observés au début, ont été indiqués par les
auteurs
comme éléments épileptiques ou post- épileptiqu
x, ou chez lesquels d'autres causes ont pu provoquer l'épilepsie, l'
auteur
arrive à collecter 600 cas sur lesquels 420 fai
amélioration se manifeste. Telles sont les raisons sur lesquelles l'
auteur
s'appuie pour admettre qu'il s'agit d'une épile
e nombre des remèdes proposés pour les remplacer est considérable L'
auteur
parlera du borax, essayé dans quelques cas à l'
pos- sible d'établir un diagnostic et un pronostic convenables. L'
auteur
communique les détails relatifs à deux observatio
le francs, a été institué par décret du 11 juin 1882 en faveur de l'
auteur
de la découverte qui rendra l'élec- tricité pro
nation de M. le Der Sé- glas. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE Avis aux
auteurs
ET aux éditeurs. Tout ouvrage dont il nous sera
d'idiotie crétinoïde avec cachexie pachydermique, publiés par les
auteurs
. Voici un cas de M. Bouchaud', paru en 1884, e
nt bien ceux de l'idiotie crétinoïde avec cachexie pachydermique. L'
auteur
en a lui-même le sentiment, car, à plusieurs re
eureuse de M. le professeur Charcot, pour désigner le myxoedème des
auteurs
anglais ou une forme de l'état crétinoïde de M.
oedème, il nous suffira d'appuyer sur la constatation faite par l'
auteur
de la diminution de la glande thyroïde. Le seco
ts exacts entre le myxoe- dème et le crétinisme sporadique, écrit l'
auteur
, n'ont pas encore été fixés. MM. W. Gull et Hil
s, tandis que les autres subissent un arrêt de développement. ' L'
auteur
, tout en faisant ressortir la ressemblance de s
e follicules clos; vaisseaux oblitérés. 4 Dans un autre cas du même
auteur
, le corps thyroïde paraissait nor- mal. - Dans
ie contre le déni de justice fait à MM. Reverdin par la plupart des
auteurs
d'autant plus que, en Alle- magne, l'opinion a
équence de la thyroï- dectomie totale, il se trouve encore quelques
auteurs
pour contester ces résultats. Ainsi M. Miliulic
rniers, au nombre de trois, étaient âgés de dix-sept à vingt ans. L'
auteur
pense que si on les avait opérés avant l'appari
bsence de la glande thyroïde. La révision des cas publiés par les
auteurs
permet du reste d'affirmer que dans presque tou
de nerveuse; 2° période mucoïde; 3° période atrophique. D'après l'
auteur
, cette évolution expliquerait pour- quoi, chez
sous la direction de M. Klebs. Qu'il nous suffise de dire que cet
auteur
si sévère envers les autres, sauf envers M. Koc
zen 4, Fuhr5 confirment en partie les expériences de M. Schiff. Les
auteurs
ita- liens n'auraient observé aucune influence
ion d'une affection céré- brale probablement corticale. Parmi les
auteurs
qui ont obtenu des résultats con- traires à ceu
ité de l'extirpation de la glande thyroïde chez le rat albinos, cet
auteur
prétend avoir éthyroïdisé huit chiens sans qu'i
opérés de la section de nombreux ramuscules de ce nerf. Plusieurs
auteurs
(Sanquirico, Canalis, Ughetti et Di mattes ont
inal pour la circulation du sang dans le crâne. - L'an dernier, cet
auteur
montrait que 3 : ' Si l'on fait passer un tuyau
élémentaires. M. RULPF (de Bonn). Du traitement du tabès dorsal. -L'
auteur
a oblenu de très bons résultats du pinceau fara
ordons latéraux et la substance grise étaient de- meurés normaux. L'
auteur
n'a pas encore eu l'occasion de prati- quer l'a
lsifs dans le membre atteint sans autres troubles de la motilité, L'
auteur
porte sur les deux premiers faits le diagnostic
mple et p,ii,amét2,itique. - Dans le cas de puerpéralité normale, l'
auteur
a trouvé une forte hyperplasie du ganglion cervic
(de Munich). De la paralysie infantile cérébrale.- L'été dernier, l'
auteur
a observé neuf cas de paralysie cérébrale corres-
qui ne pouvait être évité que par la compétence toute spéciale de l'
auteur
. Ce traité tout en étant complet repose sur un
faits anatomiques courants, partout reproduits et sur lesquels l'
auteur
ne fait que passer sans les négliger et entre les
e clarté qui n'existait pas toujours dans les monographies de leurs
auteurs
. Le même esprit de méthode se retrouve dans les
ysiologie est ici reléguée au second bibliographie. 413 3 plan, l'
auteur
se réservant de traiter cette question à part, pa
el. Le choix des observations a eté fait avec le plus grand soin, l'
auteur
recher- chant de préférence les hémorrhagies ou
talions des divers district homonymes du champ), 40 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Adamkiewicz, 204, 213, ?
4, 236, 237. ? 38, 239, 243, 24 ? 257, 49 3, 4-I G. 430 0 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. Knecht. 250, 253. ' Ko
méro du Journal lnte/ligenzblatt de la veille n’atteignait donc que l’
auteur
de cet article, et que c’était sur lui que retomb
s : la lecture de la couverture suffira pour donner le frisson, car l’
auteur
date sa publication du milieu du dernier siïcle ¿
ans. C’est la cène nouvelle et la plus belle, la cène des âmes. » L’
auteur
, comme on voit, s’élance du premier bond à l’a-va
» On le voit, dans tout ceci, il n’est pas question d’esprits ; les
auteurs
ne mettent en jeu que les forces orgauiques, et c
nt aux « somnambules qu’il serait allé consulter pour découvrir les «
auteurs
de l'assassinat, lui dit : Vous n’êtes pas allé t
l’action de son roman lu prévision. Dès le début de cet ouvrage, l’
auteur
nous transporte dans l’antre de la sibylle. C’est
charme et d’intérêt, tout s’accomplit de point en point. Seulement l’
auteur
, après nous avoir fait aimer sa délicieuse créati
ntion. Est-ce que l’artiste, nous dit-on, croit à ses conceptions ? L’
auteur
du Petit Poucet craignait-il d’être dévoré par l’
nriade. Homère pliait les genoux devant les dieux qu’il chantait; les
auteurs
des Mille et une Nuits croyaient cer- tainement
sme des sciences positives. Quoi qu’il en soit des convictions de l’
auteur
, il faut lui savoir gré d’avoir profité de son in
, mais il y a incontestablement une grande part de vérité. Beaucoup d’
auteurs
ont soumis à un examen critique et recueilli les
en. Nous terminerons en citant les réflexions judicieuses que notre
auteur
met dans la bouche du docteur qui joue dans le ro
ssance de ce qu’on en dit ; il n’y a point d’actualité pour cela. L’
auteur
de cet écrit, qui signe un Croyant, n’est rien mo
du mouvement des tables et la réapparition moderne de ce phénomène. L’
auteur
voit dans ce retour « un avenir de science inconn
t incontestable ; ainsi, en parlant de la composition de la chaîne, l’
auteur
dit : « De petits enfants et des personnes âgée
trième chapitre est, avons-nous vu, consacré à l’examen des causes; l’
auteur
y expose les diverses opinions qui ont été émises
eront l’étude sur de nouveaux frais. Dans le cas qui nous occupe, l’
auteur
, sachant que le progrès s’obtient plutôt par le t
r une ou deux nuits. Quant aux usages, objet du sixième chapitre, l’
auteur
déclare qu’il ne voit pas l’utilité pratique de c
le tableau des analogies du magnétisme avec la danse des tables. Là l’
auteur
expose des faits très-frappants de lucidité et de
is n’ont laissé après eux d’autre trace qu’une preuve du zèle de leur
auteur
. « Ce fut alors que mon frère aîné prouva, par
testins, les glandes mé-sentériques, ont été souvent signalés par les
auteurs
comme le lieu où se préparait l’accès du mal dont
, et nous en avons cité un passage assez hostile au magnétisme (1). L’
auteur
, qui a écrit sur ce sujet d’après le rapport de M
s, page 105, un exemple de ce qu’on est convenu d’appeler lucidité, l’
auteur
conclue ici que cette faculté n’existe pas. S’il
penchants forment les esprits inférieurs ou de ténèbres. En résumé, l’
auteur
spiritualise tout, les facultés phrénologiques, l
analyse d’un ouvrage intitulé le Magnétisme expliqué par lui-tnême. L’
auteur
de cet article, M. l’abbé Coignat, admet nettemen
gnétisme humain ; de plus, le caractère particulier dont est revêtu l’
auteur
, la position éminente qu’il occupe dans l'enseign
s cet exposé philosophique, si clair, si lucide, de notre doctrine, l’
auteur
, entrant dans le vif de la matière, pose et résou
qu’elle produit des phénomènes intellectuels, sensibles ou vitaux , l’
auteur
n’admet pas davantage le sentiment de quelques-un
e principal. » Nous croyons surabondant de compléter la pensée de l’
auteur
en faisant remarquer que lorsqu’il dit que « la p
en juge par l’histoire de la question présente. A en croire certains
auteurs
, il fallait regarder le mesmérisme comme la médec
l’énumération des faits qui se rattachent à chacun de ces groupes, l’
auteur
constate tous les phénomènes physiques et physiol
z que l’enfance jouirait d’une seconde vue, si l’on en croit certains
auteurs
. Enfin tous ceux qui ont habité cette maison, auj
et même d’en faire retomber les effets sur la personne qui en était l’
auteur
. En conséquence, on convint d’une nuit pour que l
ln-12, 185t. Paris, Dentu, éditeur. L’étrange cumul des titres de l’
auteur
suffirait pour piquer la curiosité et appeler l’a
état singulier. Il se sert des faits dans lesquels il a été témoin et
auteur
, pour combattre, et la démonologie de M. de Mirvi
étrangère et sans avoir conscience de ce qu’il écrit, il interpelle l’
auteur
inconnu de cette écriture a des entretiens avec l
t, qui est pê-remptoire. Il est curieux de lire les entretiens de l’
auteur
avec l’esprit qui meut sa main. La discussion y e
rtaines combinaisons physiques; 2° Le je ne sais quoi avec lequel l’
auteur
s’est entretenu, ne parle et ne comprend que les
r s’est entretenu, ne parle et ne comprend que les langues que sait l’
auteur
lui-même. Celui-ci en conclut seulement qu’il n’a
linguistique de l'esprit de M. Almignana. Dans la seconde partie, l’
auteur
oppose plusieurs faits au système de M. de Gaspar
cite ensuite les expériences fameuses de nécromancie de M. Cahagnet,
auteur
des Arcanes de la rie future dévoilée. Les consul
us probante : on évoqua, par le moyen d’une somnambule, le frère de l’
auteur
, pour s’assurer de l’emploi d’une somme qui lui a
ue la somnambule avait pu puiser les renseignements sur ce moine. L’
auteur
conclut (et cette fois explicitement) que : « L
justesse et une habileté qui indiquent au premier coup d’œil, chez l’
auteur
, une étude approfondie et sérieuse de la science
it au reste difficile qu’il en fût autrement, le point de départ de l’
auteur
étant essentiellement vicieux par l’abstraction c
oit nécessairement déclarer qu’ils ne sont pas somnambules. Ainsi l’
auteur
de la théorie psychologique, qui a commencé d’abo
r paragraphe résume toute l’argumentation et toute la modestie de son
auteur
; car, en la traduisant en style un peu cru, voil
on de ces plaques métalliques c’était le galvanisme. Si l’honorable
auteur
de l’article n’avait point attaqué, sans le discu
cédent ; seulement nous doutons que la classification suivante, que l’
auteur
y donne des différentes sortes de somnambulisme s
tre, mais que nous ne pouvions tronquer sans dénaturer la pensée de l’
auteur
, contient, comme on le voit, l’exposé et le germe
avec la critique (car, où ne se glisse-t-elle pas?) nous dirons que l’
auteur
, si éclairé sur tout ce qui concerne la théorie d
te bizarre dont nous entendons parler pour la première fois, et que l’
auteur
indique comme propre à entretenir la lucidité des
nte, et bien que nous ne sa- cliions sur quelle autorité s’appuie l’
auteur
pour le recommander, il mérite d’être constaté d'
hardiment, et de la manière la plus affirmative, à une question de l’
auteur
, et qui semble l’embarrasser et le laisser dans u
rnement éclairé s’apprête à tresser des couronnes pour les offrir aux
auteurs
de tant de chefs-d’œuvre et de merveilles divers,
s nous nous sentons pénétrés de reconnaissance et d’admiration pour l’
auteur
de cette sublime découverte, plus nous éprouvons
me devant plus tard faire connaître les œuvres qui ont mérité à leurs
auteurs
les distinctions accordées, je dois me borner ici
ment applicable à la personne qui, depuis lors, a été condamnée comme
auteur
de ce vol. Elle a payé 10 fr. Le second témoin
essive, et elle eut l’idée de consulter Mm* Mongruel pour connaître l’
auteur
du méfait. Mais, empêchée alors, elle y envoya un
ait avait eu lieu sans méchanceté et par suite d’une méprise; que son
auteur
était une des personnes qu’elle employait habitue
te son témoignage en disant que Mm* Mongruel lui avait indiqué, comme
auteur
du larcin, une personne brune, aux cheveux noirs,
é tellement fausses et erronées, que, tandis qu’elle désignait, comme
auteur
du vol, une personne habitant la même maison que
bien moins encore vous parlerai-je de celles dont j’ai moi-même été l’
auteur
depuis que, plus éclairé dans cette science admir
le sommeil et les rêves ; par le D' L. de Séré. Prix : Zi fr. Chez l’
Auteur
, rue du faubourg Saint-Honoré, 6. » Dès que nou
donc nous occuper de cette liquidation, et nous ferons en sorte que l’
auteur
n’ait rien perdu à attendre. M. Segond est doct
ajouterons rien; et, passant condamnation sur l’extrême timidité de l’
auteur
de la Théorie positive du magnétisme, nous lui de
quels magnétiseurs renommés, dans les opinions controversées de quels
auteurs
compétents il a pu puiser les éléments de cette t
ion. Pour nous, qui aimons les théories positives tout autant que l’
auteur
de celle qui nous occupe en ce moment, nous dis
nt tous produits par le démon. Si M. de Mirville désire connaître l’
auteur
de ladite consultation , il me sera très-facile d
je m’en rapporte à la jeune Catherine, décédée au Pérou, citée par l’
auteur
des ñ/aurs cl Pratiques du détnou, à la page 31,
as à lui faire peut-être ! Qui sait s’il n’en résulterait pas, pour l’
auteur
delà Théorie positive, une explication de cette t
re aux yeux de tant de personnes. » Tel est le point de départ de l’
auteur
. Ceci est donc positivement la clef de voûte de s
à leur naissance, ont été foulées aux pieds et n’ont appelé sur leurs
auteurs
que la haine ou le mépris. C’est que, je l’ai d
crites , vous y lirez, avec quelque fruit peut-être les raisons que l’
auteur
donne de sa conviction. Les indications que nou
ite de la bibliothèque de la Société de géographie. Voici comment l’
auteur
rend complo de ses impressions et cherche à faire
ment la même chose. » Notons, sans voulor contredire l’opinion de l’
auteur
, que, dans ce cas, il pouvait y avoir une influen
n, il est bien certain qu’il n’est pas coupable. « Voici, reprend l’
auteur
, à peu près comment onpeut savoir qu’un homme a l
es distinctions et réserves faites, il ne nous reste qu’à remercier l’
auteur
de la possession de son précieux récit. DU PARC
sser de les combattre et de défendre la cause de la vérité. Parmi les
auteurs
qui ont cherché récemment à rajeunir la doctrine
nature à ébranler nos convictions. Nous croyons devoir soumettre à l’
auteur
ainsi qu’au public quelques considérations à l’ap
us cite aucun document, aucun témoignage, on ne nomme pas un seul des
auteurs
de ce drame étrange, on ne nous dit pa3 même en q
de sorte que nous ne pouvons en aucune manière vérifier le récit de l’
auteur
. Peut-il donc se flatter qu’une narration aussi v
donne pas les noms des témoins, ce qui eût dû être facile, puisque l’
auteur
possède l’enquête faite devant lü juge de paix.
d’un jeune chat ; et il résulte bien évidemment, de la manière dont l’
auteur
présente ce dernier phénomène, qu’il lui attri-tr
endre rang parmi lus sciences positives. « JOHN W. WILKINSON. » L’
auteur
delà notice qui précède a, comme on voit, employé
eutiques nouvelles. » Ces réflexions sont parfaitement justes, et l’
auteur
cile à l’appui la saignée dont il a été fait un s
ns remarquables, obtenues à l’aide de la lucidité somnambulique que l’
auteur
a fait concourir avec ses propres connaissances :
la volonté est. le directeur souverain (p. 230). » Remarquons que l’
auteur
est tout à fait dans le faux quand il suppose que
ieux, d’expériences plus ou moins probantes, dans l’exposé desquels l’
auteur
, fidèle à son attitude de rapporteur, a soigneuse
oisième degré de la classification des effets magnétiques par le même
auteur
(1). Ainsi envisagée, cette persuasion forcée e
ment relevé les contradictions. Là le sujet est plus approfondi, et l’
auteur
reconnaît pour vraie une partie des phénomènes ph
us faisant mieux connaître la tournure particulière d'esprit de notre
auteur
, pourra jeter quelque jour sur les tendances scie
er un livre sur la magie. Ce travail, assez innocent en lui-même si l’
auteur
n’avait voulu que se délasser de ses travaux séri
chassait aux extrémités. L’ellel était quelquefois très-rapide, et l’
auteur
affirme avoir vu quelques personnes guéries comme
agnétisme (1) sans théorie, sans principes, ni règles, ni procédés. L’
auteur
de XIntroduction au magnétisme prétend qu’avec la
azelle hebdomadaire ne se plaindront pas que j'aie été devancé par un
auteur
qui donne une explication aussi médicale que phil
nature de ses guérisons. « Parmi les examinateurs de Gassner, dit l’
auteur
de Yltv-« troduclion au magnétisme, il s’en trouv
a note rapportée ci-dessus, page 53i>, contient une promesse que l’
auteur
pourra réaliser avec plus de hardiesse et de conn
s là les tables pour nous occuper d’une autre discussion avec le même
auteur
sur un sujet moins obscur. Dans le même numéro
il de M. le docteur Dittmar, et nous aurions très-probablement prié l'
auteur
de le retirer, si nous n’étions pas entré, depuis
s la suite ne répond pas tout à fait au commencement. Voici comment l’
auteur
continue : « Loin de nous la pensée de nier l’a
vons eu tort; car, quoique cet écrit soit d’une date déjà ancienne, l'
auteur
n’en conserve pas moins l’honneur et la responsab
es nos facultés procèdent fondamentalement de l’organisme de l’homme,
auteur
exclusif de ses découvertes dans les supériorités
grosse fille devant le guéridon , et la voilà (crayon en main) (1)
Auteur
du livre Comment l'Eipril vient aux labiés, ete.,
uelques-unes de ces pièces ont été reconnues pour appartenir à divers
auteurs
; d’autres paraissent être originales. On donne co
juger. Il n’est pas supposable que ces vers aient été empruntés à un
auteur
quelconque. La bizarrerie des pensées et l’incorr
gué, sur le dispensaire magnéto-thérapique établi dans cette ville. L’
auteur
expose brièvement, avec autant de force que de lu
s quant aux somnambules; mais en prenant les précautions qu’indique l’
auteur
, non seulement l’emploi de la lucidité somnambuli
u public le résultat de leurs recherches et de leurs méditations. L’
auteur
anonyme des Lettres de Gros-Jean a réuni dans une
cement, nous dit ce qui est nous et ce qui est en dehors de nous. L’
auteur
veut arriver à prouver que nous sommes, sans le s
L’auteur veut arriver à prouver que nous sommes, sans le savoir, les
auteurs
du langage des tables. C’est une thèse déjà débat
lligents et volontaires, il obéit donc à une volonté étrangère... L’
auteur
suit les divers degrés du phénomène : « Le suje
sujet ; cette conséquence mène tout droit au système des esprits. L’
auteur
fournit donc des armes contre son propre système.
instinct aura le pouvoir de me faire écrire dans cette langue?... L’
auteur
nous cite des circonstances qui font de plus en p
antés, et ne consentaient qu’avec effroi à lier conversation avec les
auteurs
inconnus de ces bruits étranges : comment donc ad
oups dont la cause est restée pour eux une énigme indéchiffrable. L’
auteur
présente, sur le somnambulisme et la lucidité, de
ltanément, comme dans le cas du medium'. Dans la dernière partie, l’
auteur
prend corps à corps la démonologie et la sorcelle
ssent des œuvres que la science de ces messieurs ne peut expliquer. L’
auteur
a flétri, avec autant de raison que d’énergie, le
sé, et celle de la jambe réduite à fort peu de cho.^e. En résumé, l'
auteur
concluait à ce que le congrès invitât tous les co
La troisième partie est consacrée aux relations de guérisons que l’
auteur
a obtenues par le magnétisme. 11 décrit minutieus
arfaitement bien. Je ne connaissais pas alors le mesmérisme, ajoute l’
auteur
; au lieu d’examiner le fait, je me contentai d’en
st pas parfaitement démontré que ce soient des esprits qui soient les
auteurs
de toutes ces manifestations ; il serait bien pos
est dirigé par MM. Edmonds, Dexter et Warren ; les deux premiers sont
auteurs
d’un ouvrage fort important et fort estimé sur ce
nsmettre par presque tous les corps inertes, il peut s’y accumuler. L’
auteur
prétend que la force développée par cet agent peu
e la force, ce résultat est une anomalie. L’explication qu’en donne l’
auteur
au moyen de la polarisation des forces, ne nous p
culte, par Émile Roy, docteur en médecine, ancien chirurgien major. L’
auteur
raconte que trois magnétiseurs ambulants ont entr
voix qui l’insultaient ou le calomniaient; il distinguait parfois les
auteurs
de ces propos offensants, parmi lesquels se trouv
notre confrère de Y Union magnétique a certes fait trop d’honneur à l’
auteur
en discutant sérieusement une relation dont chaqu
r. Mais allons plus loin, et prenons les cas où celui-ci avoue être l’
auteur
du maléfice ou même s’en vante. 11 peut en cela ê
cité dans ses pratiques. Le patient a tout fait et a été lui-même l’
auteur
de son mal, de même que, par la crainte du cholér
médecin allemand, à qui l’on dôit la découverte du Magnétisme animal,
auteur
de divers ouvrages; né à Mersebourg (en Souabe) e
cé. 11 ne pouvait y avoir là d’effet psychologique. Quel était donc l’
auteur
de l’avis? A la même séance, un grand coup fut
et entrer dans une phase supérieure. Telles sont les promesses de l’
auteur
. Qui n’accourrait pour s’instruire à ses leçons,
cet empire immense qu’on nous présente comme fruit de nos études. L’
auteur
définit ainsi la magie : « C’est la science tra
des travaux des magiciens, soit ; mais il ne nous prouve pas que ces
auteurs
aient possédé une véritable science. Le chapitr
nce. Le chapitre 13 nous a paru mériter une mention particulière. L’
auteur
nous affirme qu’en se magnétisant soi-même, on
iquement ma vision comme le rêve volontaire d’un homme éveillé. » L’
auteur
avoue donc qu’il n’a réussi qu’à éprouver une hal
ibués à des prestiges ou pourraient attirer des persécutions sur leur
auteur
. Ainsi, il possède le secret de faire de l’or, re
ore qu’on ne peut s’expliquer comment s’est formée la conviction de l’
auteur
qui n’a rien vu et a cru sur parole les anciens a
onviction de l’auteur qui n’a rien vu et a cru sur parole les anciens
auteurs
dont le témoignage aurait pourtant besoin de véri
onnelle, bien qu’elle se recommandât de l’autorité de tous les graves
auteurs
dont il aime à. suivre les traces et dont il inte
événement prédit d’une manière catégorique ;\ l’aide de ces règles. L’
auteur
aurait pu au moins y suppléer par un calcul rétro
e qui est transitoire et variable. « Le surnaturel, dit tres-bien l’
auteur
, n’est que le naturel extraordinaire ou le nature
savoir gré à M. Constant de ses eiïorts pour nous faire connaître les
auteurs
qui ont écrit sur cette matière, pour nous initie
e d'obser-vations ou d'expériences contradictoires, émanant souvent d'
auteurs
compétents, et tellement nombreuses que pour vous
fications bronchiques et celles de l'artère pulmonaire. Imitant les
auteurs
, j'ai comparé plusieurs fois les lobules pulmonai
e fois compromise, par suite de l'usage arbitraire qu'en ont fait les
auteurs
: les uns appelant lobule secondaire ce que d'autr
des conduits alvéolaires de M. Schultze, aux lobulettes de M. Waters,
auteur
d'un travail très estimable sur la structure du p
quelquefois désignés sous le nom de complexus alvéolaires. Plusieurs
auteurs
les ont appelés lo-bules primitifs (Sappey, etc.)
l'espèce, celui d'Elenz, un des élèves de Eberth1. C'est à ces deux
auteurs
qu'est, due h première démonstration régulière, i
pinion ait été émise récemment par M. Kiïttner i. Pour l'établir, cet
auteur
se fonde sur les résultats de l'examen des poumon
dits naissent des feuillets interne et externe. Or, suivant M. His,
auteur
de travaux embryogéniques bien connus et quelques
t il s'était un peu exagéré l'importance. Quoi qu'il en soit avec cet
auteur
, il y a lieu de distinguer ce qu'il appelle, à to
mple. Cette altération me semble être beaucoup plus fréquente que les
auteurs
ne paraissent l'admettre; j'ai eu, 1 Thaon. — R
ette modification du revêtement épilhélial a été décrite par tous les
auteurs
qui se sont occupés de l'histologie du rein contr
naire, suivant les descrip-tions de Remak et de Kôlliker. D'après ces
auteurs
, vous le savez, quand une glande naît au-dessous
sent se former certains can-cers, —- tous les cancers disent quelques
auteurs
, entre autres M. "Waldeyer — quelques-uns d'entre
les recherches de M. Friedlander. On l'observe aussi, d'après le même
auteur
, et ceci nous ramène au chapitre des pneumonies c
on, nodules péribronchiques; dénominations synonymes adoptées par les
auteurs
. — Analyse histolo-gique de ces lésions : 1° Exam
hologique. Une autre remarque me paraît encore nécessaire. Quelques
auteurs
frappés des caractères qu'offrent certaines des l
cho-pneumoniques. Pourtant vous n'ignorez pas sans doute que quelques
auteurs
, Legendre et Bailly2, Gairdner, Béhier, etc.. n'o
du malade, soit à l'amphithéâ-tre, les descriptions produites par les
auteurs
que nous venons de citer. Ces descriptions, d'ail
XIX, p. 5. 445 ; t. XXX, d. 46. En général, nos recherches chez les
auteurs
étrangers ont été peu fruc-tueuses. CHAPITRE PR
, ainsi que nous chercherons à l'établir d'après les observations des
auteurs
, et d'après celles qui nous sont propres, la tram
té de liquide séreux. — Un caractère qui paraît avoir frappé tous les
auteurs
, et qu'ils ont pour la plupart noté avec soin, c'
enfants nouveau-nés. Paris, 1813, p. 316. 2 Note communiquée par l'
auteur
. et renfermerait les noyaux particuliers dits c
n pulmonaire de la pneu-monie chronique ; mais nous craignons que cet
auteur
n'ait pas toujours suffisamment distingué de Xind
uent, puisque sur quatorze cas de gangrène du poumon observés par cet
auteur
, il y en a neuf qui paraissent avoir succédé à un
he du poumon, ce qu'on appelle au-jourd'hui induration grise : or ces
auteurs
admettaient que la substance du squirrhe pulmonai
e espèce particulière de ramollissement. Ce ramollissement, d'après l'
auteur
, s'opère lentement, quelquefois sur plusieurs poi
rties d'un poumon atteintes d'induration grise peuvent, ainsi que ces
auteurs
l'avaient annoncé, être le siège d'un mode partic
er degré du marasme (obs. II). Dans les quelques cas signalés par les
auteurs
comme exemples de guérison, l'a-mélioration s'est
être très rare dans l'enfance (Barthez et Rilliet, Bouchut). Quelques
auteurs
la disent plus commune dans la vieillesse qu'à to
oit réellement ainsi. Pronostic — Très grave, de l'aveu de tous les
auteurs
; Re-quin mettait même en doute que la pneumonie
lectasis (Jorg) ; affaissement pulmonaire; -— Col-lapsus of the Lùng (
auteurs
anglais). — La partie carnifiée pa-raît à l'extér
Partie) ONZIÈME LEÇON pneumonies comprises el. confondues par les
auteurs
sous les noms de 'pneumonie chronique, pneumonie
épétées de pneumonie aiguë ont été depuis longtemps signalées par les
auteurs
l. Il existerait chez certaines personnes une vér
ie chronique se trouve à peine ébauchée dans les écrits de ces divers
auteurs
. Us con-fondent ensemble les diverses variétés de
pique de la lésion dans cette forme subaiguë a clé bien faite par les
auteurs
, mais tout restait à faire en ce qui concerne les
le, au moins dans la grande majorité des cas, la prédominance que les
auteurs
lui avaient d'abord reconnue dans l'évolution des
la profondeur de cet organe. Cette vue se trouve exprimée déjà par l'
auteur
du premier traité dogmatique qui ait été écrit su
ait été consacré à l'étude de la matière noire pulmonaire est dû à un
auteur
anglais, Pearson, et fut publié en 1813 *, Or, ce
est dû à un auteur anglais, Pearson, et fut publié en 1813 *, Or, cet
auteur
a parfaitement reconnu toutes les données du prob
sous l'influence de quelles préoccupations les vues si justes que cet
auteur
a émises se sont par la suite obscurcies. Le mémo
iner rapidement les objections qui ont été élevées par les différents
auteurs
contre cette doc-trine, et en premier lieu les ar
testinale du charbon pulmonaire. Tout d'abord, les expériences de cet
auteur
sont loin d'être irréprochables. Et, par exemple,
eumonokonioses, ce sont les premières qui aient été signalées par les
auteurs
; mais c'est depuis quelques années seulement qu'e
nt été du reste reprises et complétées par M. Riegel (4 S75)3, et cet
auteur
est arrivé à des résultats con-cordants, ainsi qu
particules noires ayant l'apparence de la matières charbonneuse. Les
auteurs
ne s'expli-quent pas nettement à ce sujet: s'agit
ique: c'est déjà une caverne de guérison, la quiescent excavation des
auteurs
an-glais William et Powel. S'il ne se fait point
la zone externe, cellules épithélioldes, comme les appellent quelques
auteurs
ou encore scrofuleuses, dans la nomencla-ture de
même, surtout dans le tubercule adulte ; ou encore, suivant quelques
auteurs
, un tissu d'apparence réticulée, rappelant le tis
cette origine paraît être fréquente, surtout dans le tubercule, et l'
auteur
propose de désigner les cellules géantes ainsi pr
ils, de pareils îlots, devenus caséeux peuvent être confondus par les
auteurs
les plus compétents avec un îlot de pneumonie cas
la forme de granulations grises, décrites par Bayle et que ce dernier
auteur
considérait comme absolument distinctes de la mat
l'influence des travaux de Reinhardt et surtout de Virchow. Pour ces
auteurs
, la matière tuberculeuse grise ou jaune de Laënne
a lieu de compléter et de rectifier les des-criptions de ces derniers
auteurs
sur quelques points et d'accu-ser les traits plus
equel s'abritent les par-» tisans de la doctrine en question. » Les
auteurs
qui professent que, dans ces formes de la phtisie
-ment, dit M. Charcot, à la caractéristique anatomique donnée par cet
auteur
, il faut ajouter la présence habituelle des cellu
aient les appa- Fig. 38. — Tubercule massif. Pneumonie caséeuse des
auteurs
. (Dessin fait sur nature par M. le professeur Cha
-» nique, la dégénération caséeuse n'a pas l'origine admise » par les
auteurs
. C'est au sein de l'agglomération tubercu-» leuse
e l'inflammation simple. On remarquera, en premier lieu, que tous les
auteurs
partisans de cette théorie sont partis du princip
et Frerichs et adoptée, à quelques variantes près, par la plupart des
auteurs
: nous n'entrepren-drons pas de la discuter. Nous
res intermittentes; c'est là un point sur lequel s'accordent tous les
auteurs
qui se sont oc-cupés du sujet. On l'a bien quelqu
ue le foie la présentait à un haut degré. Le fait démontre, suivant l'
auteur
, que la rate n'est pas le seul or-gane où s'opère
alustre ? — Il faut remarquer tout d'abord que, de l'aveu de tous les
auteurs
, on peut, sur le cadavre, rencontrer l'altération
ent élucidé par les recherches des médecins modernes ; la plupart des
auteurs
qui ont, surce sujet, uneexpérience propre s'acco
tre médecin anglais n'a pas été, que nous sachions, confirmée par les
auteurs
subséquents. Le doc-teur Frerichs a rencontré deu
côphalique. Les troubles cérébraux dépendraient-ils, ici, ainsi que l'
auteur
paraît disposé à l'admettre, d'une atrophie delà
vaisseaux capil-laires hépatiques ait contribué, ainsi que l'admet l'
auteur
, dans une certaine mesure au moins, à déterminer
autant qu'on peut en juger, d'après la description peu explicite des
auteurs
: la coloration anormale, en cas de mélanémie, par
teur Tigri, dans la Gazette médicale de Toscane\ et considérées par l'
auteur
comme des exemples de peau bron-zée, semblent pou
avons consulté un assez grand nombre de figures pu-bliées par divers
auteurs
, et relatives aux cristaux du sang, et nous n'y a
okitansky, loc. cit., t. II, p. 290. * Voir sur ce sujet, outre les
auteurs
déjà cités: Hodgkin et Jackson, in Medico-chirurg
te membrane ? Cette hypo-thèse a été invoquée à peu près par tous les
auteurs
qui se sont occupés du sujet. Nous ne feront que
es caillots sanguins dans le système vasculaire. Mais, tandis que cet
auteur
s'est oc-cupé surtout de l'embolie considérée dan
pprocher les faits analogues que nous avons pu recueillir dans divers
auteurs
, et esquis-ser, à l'aide de ces documents, quelqu
quelquefois n'être pas révélée par des symptômes particuliers. Les
auteurs
qui ont traité des maladies puerpérales parais-se
L'autopsie n'a pas été faite ; mais d'après les symptômes observés, l'
auteur
admettrait volontiers qu'en pareil cas le bouchon
, etc., thèse de Paris, 1834. Cette observation a été empruntée par l'
auteur
à l'Union médicale, 5 juillet 1853. * Klinger.
sement il nous a été impossible de consulter le travail de ce dernier
auteur
. ties du système veineux pour rechercher s'il n
etit nombre des observations que nous avons repro-duites, d'après les
auteurs
(obs. II, III, XI). Cela tient, sans doute, en gr
t voisine de la nôtre que ce sujet a commencé à fixer l'attention des
auteurs
. Les écrivains du siècle dernier en font à pein
néral et à l'aortite en particulier. Les doctrines médicales de cet
auteur
célèbre, qui rattachait aux phlegmasies de cette
des effets ordinaires de l'imbibition cada-vérique ; mais, comme les
auteurs
du siècle précédent, il attri-bue une grande vale
reconnaître que le tableau symptomalique qui nous a été légué par les
auteurs
classiques ne repose aujourd'hui sur au-cun fonde
nterne des vaisseaux : et les pseudo-membranes signalées par quelques
auteurs
ne sont pour lui que des fragments dissociés de l
nes, dont l'existence n'était même pas soupçonnée avant lui; mais cet
auteur
ne rapporte aucun fait à l'appui de ses opinions.
M. Ilogdson, 1815; Hope, Cruveilhier, llokilansky, Lebert et d'autres
auteurs
, que nous aurons souvent l'occasion de citer. L'a
s réservant de signaler, dans le cours de cet article, les principaux
auteurs
qui ont contribué à compléter nos connaissances à
gangrène circonscrite, contrairement à l'opinion admise par quelques
auteurs
. Quand la rupture se l'ait à l'extérieur, à tra
hiffres suivants : Observ. recueilUies dans les Musées des Hôpitaux
auteurs
anglais de Londres { Thoracique................
minale.................. 9 » D'après un travail plus récent du même
auteur
, les ané-vrismes de l'aorte abdominale siègent de
s cheveux et des dents. On trouve des faits analogues dans beaucoup d'
auteurs
, preuve évidente qu'un seul signe ne suffit jamai
le simple ou double dans les tumeurs anévrismaliques est, d'après ces
auteurs
, la consé-quence des dispositions anatomiques de
'elles sont entièrement fondées sur des observations personnelles à l'
auteur
et il nous a paru utile de montrer, par cet exemp
sion : telle est du moins l'opinion de Bamberger et de la plupart des
auteurs
qui ont étudié la question au point de vue cliniq
atique, et se fixer sur le testicule au dire de Lebert. D'après cet
auteur
, les maux de reins sont l'un des premiers signes
ique. Ce phénomène avait été indiqué avant lui par Walshe et d'autres
auteurs
; il a été ob-servé quelquefois, depuis cette épo
coup sûr, bien rare ; mais il en existe des exemples observés par des
auteurs
dignes de foi. Panaroli et Albertini en ont rappo
essions est très incontestable, malgré ce qu'en disent la plupart des
auteurs
du siècle dernier ; on rencontre ce genre de lési
névrismes aorliques, si Ton accepte le témoignage unanime de tous les
auteurs
, et si l'on tient compte de la présence presque c
on voit souvent man- quer le signe patliognomonique indiqué par les
auteurs
, c'est-à-dire la difficulté des inspirations, san
à lui rendre peu à peu les forces qu'il avait per-dues. D'après les
auteurs
du siècle dernier, ce traitement aurait été quelq
porté des exemples, et des cas analogues se rencontrent même danslesj
auteurs
contemporains. Le traitement de Valsalva pourra d
1867.) Anévrismes disséquants de l'aorte. (Dissecting Aneurysm des
auteurs
anglais ; A. Dissecans, Rokitansky.) Vers la fi
imposa le nom qu'ils portent aujourd'hui. Depuis cette époque, divers
auteurs
, parmi lesquels nous cite-rons surtout Guthrie, S
is l'ancienne manière de voir, reconnaît que, dans beaucoup de cas, l'
auteur
anglais a raison. 11 admet donc deux variétés pri
ux de l'aorte, ainsi que leurs symptômes caractéristiques. Depuis cet
auteur
, on s'est plus spécialement occupé des communicat
ù l'oreillette gauche était le siège de la perforation. Enfin, divers
auteurs
ont rapporté des cas de communication anormale en
pée d'une occlusion plus ou moins complète. À l'appui de ses idées, l'
auteur
anglais rapporte l'observation de Römer, dans laq
entée par M. Reynaud, est adoptée par Peacock, et par la majorité des
auteurs
allemands. Elle nous paraît aussi la plus satisfa
oqué par MM. Barth et Cruveilhier, n'est point considéré par tous les
auteurs
comme un signe caractéristique des rétrécissement
t : ce qui est cause qu'il a été compté ?deux fois par la plupart des
auteurs
. — 3. Cooper (a.). Surgical Essays, b\ Gooper and
lésions ont été rencontrées également à l'aorte abdominale ; quelques
auteurs
les regardent comme congénitales ; mais il est pe
II,. p. 311 ; 1855. YI. COiNCHÉTIOiNS FIBRINEUSES DE l'AORTE. Les
auteurs
du XYIF siècle, qui avaient étudié avec intérêt l
sorte d'entozoaire du cœur, dont le développement est comparé, par l'
auteur
, à celui d'une plante. Telle est peut-être l'orig
— Sumptibus ladorini ; et Brixiœ, 1731, sump'ibus Caroli Gromi. — Cet
auteur
est cité par Virchow, sous le nom de Knisma Kopp.
ations flexueuses du tronc aortique, qui ont été signalées pai divers
auteurs
chez les vieillards, et dont il a été question pl
lforl). C'est en me fondant sur les docu-ments fournis par ces divers
auteurs
que, dans mon mémoire de 1859, j'ai donné de la c
ive exercée parle bandage et elle devrait être assimilée, suivant les
auteurs
cités, à la rigidité qui se montre sur les partie
, plusieurs observations du même genre ont été recueillies par divers
auteurs
. Vous les trouverez pour la plupart consignés dan
ente des deux altérations a été remarquée par un assez grand nombre d'
auteurs
. —(Rokitansky, Hodgkin, et Jackson (de Boston). O
fibrineux et les hémorragies interstitielles, ainsi que l'ont vu les
auteurs
que nous venons de citer et d'autres encore. — 3°
mportante, ou même dans son inté-grité la plus parfaite, par tous les
auteurs
qui ont eu à s'occuper du sujet. Cependant cette
sur l'infarctus hémoptoïque du poumon. Les conclusions aux-quelles l'
auteur
est arrivé ne sont certes pas le dernier mot de l
s. Parmi les travaux qui ont été écrits sur le même sujet, et que l'
auteur
passe en revue avant d'exposer ses propres recher
de Paget sur l'apoplexie du cerveau. On sait que, d'après ce dernier
auteur
, bon nombre d'hémorragies intra-encéphaliques ser
urremment avec les infarctus hémoptoïques, et il est étonnant que les
auteurs
qui ont écrit sur l'apoplexie pulmonaire n'en aie
pneumonie préparatoire de l'apoplexie ces allures toutes spéciales, l'
auteur
les trouve principalement dans l'existence préala
Planche faite d après les dessins appartenant à la collection de l'
auteur
TABLE DES MATIÈRES PREMIÈRE PARTIE Maladies d
, nodules péri-bronchiques ; dénominations synonymes adoptées par les
auteurs
. — Analyse histolo-gique de ces lésions : 1° Exam
er cette dénomination), a été déjà entrevu et signalé par plusieurs
auteurs
allemands. Nous avons eu, pour notre part, l'oc
s bor- nons à reproduire ce que nous trouvons dans l'article de l'
auteur
napolitain : La maladie remonterait à l'âge de
ble pas qu'on doive ajouter une foi absolue au dire du malade, et l'
auteur
lui-même ne considère pas ce cas comme faisant
as ce cas comme faisant ex- ception à la règle. Pour la plupart des
auteurs
cette maladie serait congénitale. Peters, au co
men de Ponfick sur les muscles d'un des fils de Thom- sen, mais cet
auteur
n'a trouvé aucune lésion; la dis- position des
blié dans American journal of the médical sciences, octobre 1881. L'
auteur
entreprend la description de la grande hystérie
'auteur entreprend la description de la grande hystérie d'après les
auteurs
français, il donne une analyse détaillée de tou
s est particulièrement intéressant, et après une courte discusion l'
auteur
arrive à cette conclusion qu'il s'agit bien cer
ement là d'un cas d'llystéro-épilepsie, telle que l'ont décrite les
auteurs
français. D'ailleurs cette observation est asse
gide, immobilisée dans l'attitude du crucifiement 1 décrite par les
auteurs
français. Bientôt les convulsions recommencèren
longtemps après la crise. Dans le second cas rapporté par le même
auteur
et qu'il considère comme une attaque aiguë (acu
icale. Cette disposition n'est pas la règle générale, selon nous. L'
auteur
allemand fait peu de cas des variations d'origi
. 2adiriîtw.) Ce sont nos artères radiculaires antérieures ; mais l'
auteur
, cette fois encore, n'en fait pas mention. Leur
érieures [artères spinales postérieures) . Nous ne suivrons pas l'
auteur
pour la description de chacune de ces branches
n médian antérieur une longue anastomose (anastonzosis azztica de l'
auteur
allemand), qui parcourt toute la hauteur de la
toutes les trois ou quatre paires. Sur 13 injections faites par l'
auteur
, leur nombre a varié entre 3 et 10. Il en existe
xiste toujours une plus volumineuse, plus importante à laquelle l'
auteur
donne le nom de Grande Spinale antérieure (Arteri
a moelle épinière, et, sur les pièces injectées et les figures de l'
auteur
allemand, cette spécialisation dans la circulat
s vaisseaux à la surface de la moelle est oeuvre personnelle de l'
auteur
allemand. 2° La priorité nous appartient d'une
le défaut de parallélisme dans le développement des os du crâne. L'
auteur
n'a obtenu de résultats précis qu'en ce qui -co
la fréquence plus grande des trous pariétaux uniques de ce côté. L'
auteur
rappelle les faits anatomiques et patholo- giqu
ochées du fonctionnement normal des autres sens, entraînent aussi l'
auteur
i penser, qu'il y a eu destruc- tion de certain
il. ll'cnuctl ? TI. 3.) Les trois observations recueillies par l'
auteur
le mènent à cette conclusion que : les foyers d
s de la base. Nulle dégénérescence dans les organes déjà cités. L'
auteur
appelle l'attention sur la caractéristique de las
E stase sanguine; par LANG11ANS. (19'CILLU. de Virclaow, 1801.) L'
auteur
a observé quatre cas de formation de cavernes dan
me une suite d'hydromyélie congénitale. Dans les cas observés par l'
auteur
, l'existence des cavernes Archives, l. V. 7 9
her une stase croissante. Voici les principales observations de l'
auteur
: Les cavernes siègent dans la région cervicale
ice (atrophie par inactivité ou par les processus atrophiques). L'
auteur
termine enfin par la critique des observations de
Des phénomènes moteurs rapprochés des troubles de la sensibilité, l'
auteur
tire le diag- nostic de névrite 'périphérique.
originaires de la protubérance permettant d'éliminer cet organe, l'
auteur
pense à la moitié gauche de la moelle allongée
calisations dans les centres ner- veux ; c'est dire assez combien l'
auteur
a dû condenser son su- jet pour ne lui consacre
ue anatomique. Puis, après l'étude de la localisation anatomique, l'
auteur
arrive à celle de la localisation physiologique
end non moins bien à généraliser. Comme appendice à ce mémoire, l'
auteur
a joint une étude sur la doctrine des localisat
mmunication du Dr Il.m- MOND sur YAtaxie locomotrice héréditaire. L'
auteur
cherche d'abord à démontrer que toutes les obse
. On sait combien la pathogénie de cette affection est discutée ; l'
auteur
, examinant les diverses théories émises success
te dans trois cas, a augmenté la douleur au niveau de la tumeur ; l'
auteur
croit ce moyen excellent pour la localisation.
dans cinq cas, était toujours élevée. SOCIÉTÉS SAVANTES. 119 L'
auteur
conclut : 1° que le diagnostic des tumeurs inlra-
e spinale), par M. GinEY.Après avoir fait l'historique du malade, l'
auteur
décrit les lésions trouvées i l'autopsie. Des c
pas aussi considérable. Après de longues recherches sur ce point, l'
auteur
en est arrivé a croire que les anomalies de ce
git d'une annexe complétant les établissements déjà installés par l'
auteur
. L'organisation du traitement des aliénés dans le
ment du bromure d'arsenic. Ce médicament, comme le fait remarquer l'
auteur
, n'est qu'une solution arsenicale d'acide; broni-
'une affection cutanée conco- mitante. Dans la troisième partie l'
auteur
s'est proposé d'étudier l'action du magnétisme
ontrairement aux assertions de M. Mag- giorani. En somme, d'après l'
auteur
, l'action physiologique et thé- rapeutique des
l'action physiologique de ces sels comparée à celle du jaborandi. L'
auteur
s'est servi du nitrate et du chlorhydate de pil
ingite rachidienne est elle-même notée comme peu fréquente, par les
auteurs
qui se sont occupés de cette question (Grisolle
dans le dé- tail des expériences instituées dans tous ces cas. L'
auteur
se rattache à l'opinion de Kuhne, d'après laquell
otec- teur et n'admet en aucune façon les espérances que quelques
auteurs
avaient fondées sur le rôle des optogrammes en mé
ils RÉFLEXES ? par AUSTIQ Flint. (The Bi-aii ? , t. IV, p. 43.) L'
auteur
de ce travail combat l'opinion généralement accep
TOtRCS; par ALEXAKDER . James. (T/te B)'c[M : . t. IV, p. 378.) L'
auteur
a été conduit par ses expériences à nier l'existe
sych. u. Neî,ve ? ik, XI, 3.) Trois questions sont traitées par l'
auteur
, à ce point de vue. 1° Dans quelle mesure peu
et les fonctions génitales (grossesse, lactation, menstruation), l'
auteur
arrive à cette, conclusion que ce ne sont pas les
ovarienne étant loin de correspondre à une origine inflammatoire, l'
auteur
ne croit pas dans ces faits à l'existence d'une
durant la vie des symptômes indépendants de tout état coma- teux, l'
auteur
rapporte une observation qu'on peut ainsi résum
? Telle est la question assez inattendue que se pose en terminant l'
auteur
. D. B. XV. CONTRIBUZIONE ALLO STUDIO SPERIMENTA
al Il. Istituto Lombardo, nella seduta del 22 giugno 1882. ' Les
auteurs
confirment les recherches de M. Charcot qui dan
après eux, parun état de rigidité générale de tous les muscles. Les
auteurs
se demandent alors si cette distinction n'est pas
ol. VIII); août 1882, p. 1., New- York.) Le but que s'est proposé l'
auteur
estmultiple; d'unepart, il a, comme l'indique l
anisme par le simple courant galvanique faible. En dernier lieu l'
auteur
étudie les secousses de fermeture et d'ouvertur
d'autant plus facile qu'elle n'est pas absolument personnelle à cet
auteur
, nous voulons parler de la tendance à employer
dapter à sa langue, et s'il fallait changer de symboles avec chaque
auteur
de nationalité différente ? Certes nous ne teno
population de trois cents vieillards, à l'hospice Saint- Julien, l'
auteur
n'a pu trouver que trois hommes et trois fem-nes
issement nerveux et musculaire. Quant à la nature de l'affection, l'
auteur
, se basant sur l'existence de paralysies agitan
e médecine, 1882, n° 6.) Sous ce nom, emprunté à Albers (1883), les
auteurs
désignent l'inflammation primitivement et spont
obser- vation identique empruntée à Lewitzlcy (de Varsovie). Les
auteurs
insistent sur les difficultés du diagnostic. Ils
OME Or \IYxDE\fA; by W.-B. HADDEN ('a/H, juillet 1882, p. 188.) L'
auteur
fait une rapide énumération des principaux symp-
du lobule et à la substance blanche la séparant de l'avant-mur, les
auteurs
concluent que les lésions rares de cette partie
ns ce long travail, riche d'observations et de citations exactes, l'
auteur
a voulu montrer qu'à l'instar de la paralysie gén
ne complication ou de la cause première de la maladie (Syphilis). L'
auteur
croirait volontiers, avec Grasset, que le tabès
s de l'ouïe sont venues lui désigner un nommé Michel, comme étant l'
auteur
de l'attentat. Se sentant nuit et jour pour- su
es d'une nécrose des canaux par M. Moos (d'IIcidelberg). Quelques
auteurs
ont avancé que les vertiges et vomissements obs
iture, par M. R. Berlin (de Stuttgart.) Les recherches faites par l'
auteur
en commun avec le ))'' Benllrold sur l'inlluenc
actuel des soins prodigués aux aliénés dans les familles à Ilten. L'
auteur
apporte, un simple complément à sa dernière com
ttente; par S. Marit. Thèse de Paris, chez Doin, éditeur, 1883. L'
auteur
de cet intéressant travail, ancien interne de M.
cinq cents dollars, qui sera décerné, au congrès de juin 1881, à l'
auteur
du meilleur mémoire sur les fondions de la couc
sera répétée dans un pli cacheté contenant la carte de visite de l'
auteur
; 5° Le mémoire couronné deviendra la propriété
publication ; 6° Toute tentative dans le but de révéler le nom de l'
auteur
à la commission ou à l'un de ses membres, ferait
it vient à l'encontre des idées trop exclusives émises par quelques
auteurs
(Munie, Tripier), relativement au rôle supposé
s été re- DES LOCALISATIONS, MOTRICES DU, CERVEAU. 285 mise par l'
auteur
, et ma point été puHiée.;VoicHa mention, de, 1
impos, sible de, savoir, exactement, d'après les descriptions des
auteurs
, .quel .était.lederé,d;altératioii des nbres ner-
de Complications psychiques de l'hémianesthésie hystérique (52) ? l'
auteur
traite ensuite des, céphalalgies temporales qui
(Clausius). Aucune de ces explications ne satisfaisant l'esprit, l'
auteur
cherche dans la multiplicité 'des investigation
); par J. DÉJERI ? 1,. {Revue de ' médecine, 1882, nOm 3 et 4.) L'
auteur
avait observé sur deux malades les symptômes es
nne. Quant à la"paralysie spinale générale diffuse subaiguë du môme
auteur
, elle n'est autre que la myélite centrale diffu
R. (Gacela meclica catalana, t. II, n° 12, 30 juin 1882.) 1 1 L'
auteur
passe successivement en revue la plupart des alté
ois deux nucléoles. 3° Multiplication intracellulaire des noyaux. L'
auteur
confirme à cet égard les observations de Jolly
le chapitre le plus original du mémoire, c'est aussi celui auquel l'
auteur
a donné le plus de développement. 1 Si la des
donne de l'altération va- cuolaire est conforme à celle des autres
auteurs
, il en est tout autrement des conclusions auxqu
e bistre et non pas noire que présentent alors les corpuscules, l'
auteur
pense qu'ils sont formés par la myéline. Les co
' ' " ' ' ' 1 4° Altération pigmentaire et atrophie pigmentaire. L
auteur
pense que le pigment des cellules nerveuses est
), exigent la lecture des considérations cliniques par lesquelles l'
auteur
rattache la série des accidents, y compris l'ap
ilatérale des dents, ou avec des traumatismes anciens. Jusqu'ici, l'
auteur
n'a pas 'd'autopsies. 'Il fournit une ' observa
la théorie du siège profond do l'olllématome sous le périchondre, l'
auteur
admet comme siège le tissu coujonetif vuscu- la
par Vacher. (AL'clv. f. l'srll. ît. 11'crvenl ? \llf, f.) ,Io ° L'
auteur
relate une observation complète de paralysie géné
Nous renverrons à la statistique fort intéressante par laquelle l'
auteur
inaugure son mémoire, pour.ne nous occuper que de
1)nuauow. (Arch. f. Vsych. n. IYeruenk., 1111, I.) 11 existe, dit l'
auteur
, deux sortes d'hypnotisme; l'une peut être arti
pillairo pendant l'état de sommeil dans ces trois observations. L'
auteur
résume dans les conclusions suivantes les considé
sych. 2. Nervcok., \111, 2.) Nous reproduisons les conclusions de l'
auteur
: C'est' dans l'aphasie motrice (ataxie phonéti
3).'W ' il > ' / Les recherches instituées sur ce point par l'
auteur
l'entraînent aux conclusions textuelles que voi
psies pratiquées en dix ans aux asiles de Siegburg. et de Dürren, l'
auteur
a trouvé trente-quatre faits de lésions, utérin
ei 6.)'t"'·· ' ' I» - '' y , 1 W , m' ......)n. ! w ,i,) ? ( , L'
auteur
piétendrqûë'la psychiatrie toute·'entière pivote^
nt le mobile chez des gens sains d'esprit. D'oùla nécessité, pour l'
auteur
, de procéder à un examen méticuleux, tant des f
e par l'ingestion de liquide, les accès ont en tous les cas, pour l'
auteur
, une origine mécanique. Le traitement a pour ef
VANTES. zou Cette communication est le fruit, soit de visites que l'
auteur
a faites dans les divers établissements spéciau
our montrer qu'aucun point touchant l'hys- térie n'a été omis par l'
auteur
. La nature spéciale de ses fonctions a fourni à
bservateur au courant de la science autant qu'écrivain impartial, l'
auteur
expose, dans un style sobre, clair et précis, t
plus grosse, la plus importante du livre et celle, d'ailleurs, où l'
auteur
a mis son oeuvre, la vigueur de son style et la
ue se retrouvent toute la compétence et toute l'énergie morale de l'
auteur
lorsqu'il examine l'hystérique dans ses rapport
ique du chapitre et presque de l'oeuvre entière ; car, là encore, l'
auteur
apporte sa note personnelle lorsqu'après avoir
question d'espèce ; et ce qui prouve que c'est bien l'opinion de l'
auteur
, c'est la multiplicité et le choix réfléchi des
que dessinés, ne suffisent pas pour faire ad- mettre l'opinion de l'
auteur
. M. Cullerre n'admet pas la paralysie générale
éralisé, porterait atteinte à l'unité de la paralysie générale. L'
auteur
, dans ses conclusions, dit que sa forme mixte peu
? fe(Kirn), admise comme espèce morbide spécial par la plupart des
auteurs
, est cons- tituée par des accès, caractérisés p
d nombre d'observations, dont une bonne partie sontpersonnelles à l'
auteur
. I. -Dans le plus grand nombre des cas, la mala
Thèse de Paris, 1882. Un historique plus personnel eut permis à l'
auteur
de rappeler que les véritables premiers travaux
plus dan- gereuse que la trachéotomie et est autrement efficace. L'
auteur
rejette cette dernière comme opération prélimin
prix Au- 1);Illel : « Dans un historique très complet, dit-il, l'
auteur
fait ressortir nettement les trois courants qui
sion à l'autopsie; mais ces formes sont rares, et, sans les nier, l'
auteur
étudie surtout les cas dans lesquels il pu retr
s avoir examiné l'étiologie, la marche, la durée, la terminaison, l'
auteur
aborde dans le chapitre VI l'importante questio
sanguin. « C'est à cette question que le même ire manuscrit du même
auteur
est exclusivement consacré; il peut donc être c
il soutenait avec hon- neur sa thèse inaugurale. « Tout d'abord l'
auteur
expose les motifs qui l'ont amené à penser à un
s modifications qualitatives du sang précède celui de leur cause. L'
auteur
expose ses recherches sur le sang au point de v
pouvoir qui irait également en décroissant dans cette affection. L'
auteur
nous décrit les procédés qu'il a employés ; ses
elle est la cause de ces altérations ? C'est à cette occasion que l'
auteur
, dans un historique condensé, rappelle les découv
smes parasitaires ne se rencontrent dans le sang à l'état normal. L'
auteur
, sur sept cas de délire aigu, a constaté trois
a été poursuivi indique avec quel esprit de rigueur scientifique l'
auteur
a dirigé ses recherches. Les réserves constante
ements de déduc- tions trop hâtives nous sont un sûr garant que son
auteur
n'a d'autre but que la constatation d'un fait v
s des fenêtres ovale et ron- de), par Gellé, 2 ? 173. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS adaukiemici, 8t. Althau
37. Jantes, ! 34. Jolly, 2GO,3G9. 11111, 374. 432 2 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. Karst, 101. 1 - léi,av
le amyotrophique est actuellement admise par la grande majorité des
auteurs
; et la localisation toute spéciale des lésions
existaient dans les autres points du faisceau pyramidal ; mais ces
auteurs
n'avaient pas constaté directement l'existence
axe, en laissant la gaîne de Schwan intacte. Les observations que l'
auteur
fit sur les courants ner- veux, avant et après
e opération les accidents nerveux. Après trente-deux expériences, l'
auteur
n'obtint qu'un résultat négatif. L'élongatiDn s
es, surtout sur des congénères du côté opposé, sous ce rapport, l'
auteur
partage l'opinion énoncée par MM. Brown- Séquar
- phologiques ? Voilà des questions sur lesquelles les différents
auteurs
ne sont guère d'accord, et sur les- quelles on
ujet, cette question est complètement passée sous silence. Certains
auteurs
, comme Vogt, Haber, Harless, Conrad prétendent
e pas proportionnellement à la puissance de la trac- tion, ce que l'
auteur
cherche à expliquer par la résis- tance qu'oppo
ïdes exprimée par l'azote était constant, comme le pensent certains
auteurs
, et Zuelzer en particulier, le problème que nou
ne pouvons donner ici que les conclusions de ce travail, d'après l'
auteur
lui-même : 1° Chaque fibre sans branches est en
'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. 85 que un angle droit avec la gaîne, l'
auteur
, après avoir réglé l'expérience, arrive à sépar
et P. ROSENBACH. - APPENDICE A CETTE communication, par les mêmes
auteurs
. QUELQUES remarques SUR CETTE communication, pa
s plus tard. L'a- nalyse macroscopique et microscopique suggère aux
auteurs
les conclusions suivantes : L'altération consta
es, l'inconstance à tous égards des résultats obtenus forcerait les
auteurs
à déclarer que leur dégénérescence est à peu pr
chez les rep - tiles, représentés par les deux lobes optiques. » L'
auteur
passe en revue, sous dix propositions, l'encéph
un appareil spécial, la force des cou- rants magnéto-électriques, l'
auteur
a trouvé que, dans l'espèce, le degré d'excitab
or- ganes nerveux périphériques, que sur les organes centraux. L'
auteur
relate une observation de paralysie progressive a
rième et la huitième paires cervicales. Aucune autre altération . L'
auteur
tend à admettre l'origine infec- tieuse. P. K.
SELLER. (Revue de médecine, 1884, no 8.) Les sujets observés par l'
auteur
sont des femmes, et pour la plupart des hystéri
on de neige, de glace. Rien de semblable n'a lieu sur un cadavre. L'
auteur
n'a pas. encore eu l'occasion d'appliquer ses p
personnelles. Après avoir passé en revue les opinions de différents
auteurs
, notamment celle de M. Vogt (thèse de Felicki,
J. MOEBIUS. Défense : appendice au mémoire PRÉCÉDENT; par le même
auteur
.' Nouveaux cas DE tabès chez la femme; par le m
le même auteur.' Nouveaux cas DE tabès chez la femme; par le même
auteur
. {Centralbl. f. Nei,venheil4 ? 1881.) Cinq obse
'hémisphère cérébelleux droit. Gomme syphilitique du rein gauche. L'
auteur
conclut à une sénilité syphilitique précoce, bi
l du travail est : Tabes et 111° et 7F° paires sacrées. En effet, l'
auteur
prétend que les tabétiques sont, sans exception
884.) La mélancolie, la manie, le délire systématique sont, dit l'
auteur
, des complexus symptomatiques qui, tantôt consti-
ntralbl. f. Ner- venheilk.. 1884.) On se rappelle le mémoire de l'
auteur
sur son propre cas'. Il y a peu de temps, il a
sonne n'a encore décrit les pseudo-hallucinations dans le sens de l'
auteur
. Ce sont, celles du moins qu'il a eues, des per
que DU champ visuel; par ENGELSEJON. (Arch. f. Psych., XY, -I.) L'
auteur
va publier une série d'articles sur ce sujet. Ces
tétanine qui existent aussi dans le chanvre. La cannabinone de cet
auteur
admi- nistrée à quatorze aliénés les plus diver
in-8°, 70 p.) Les zones hystérogènes sont, selon la définition de l'
auteur
, des régions circonscrites du corps, douloureus
ion se trouve au niveau du pli du coude et du creux poplité. Mais l'
auteur
n'a pas trouvé une seule hystérique avec des poin
ibles des mêmes subdivisions. Après ces distinctions minutieuses, l'
auteur
aborde l'étude de trois malades, qui possèdent
zone hystérogène, tandis que la zone hypnogène demeure intacte. L'
auteur
étudie ensuite une malade de son service, qui est
t ceux des états hypnotiques antérieurs. Guidé par ces analogies, l'
auteur
a plongé dans l'hypnotisme la malade, au moment
e dans les sphères les plus élevées de la connaissance hu- maine. L'
auteur
de « Crime et Folie» est trop connu pour que no
ssayer maintenant d'analyser rapide- ment. Au sujet du sommeil, l'
auteur
se borne à présenter quelques considérations in
x prétendues causes morales de la folie sans nier leur influence, l'
auteur
anglais pense qu'ils agissent de la même manièr
s suc- combent fréquemment les aliénés. Au sujet du traitement, l'
auteur
rappelle que c'est à la doc- trine chrétienne d
stème nerveux. Voilà pourquoi son analyse doit prendre place ici. L'
auteur
du reste est bien connu du public médical franç
ore un chapitre spécial depuis qu'Heubner, reprenant les études des
auteurs
fran- çais et étrangers, a élargi, par l'anatom
tant que i Ce rapport, dont nous exprimons le suc, a été lu par son
auteur
au Congrès annuel de la Société des médecins al
cause alcoo- lique. Une somme de 1,000 fr. sera répartie entre les
auteurs
des mémoires couronnés. Les ouvrages ou mémoire
effet être considérée comme très fréquente; faut-il avec certains-
auteurs
la regarder, comme une preuve, que la sclérose,
rdt '; cette observation, il est vrai, n'est pas considérée par son
auteur
comme appartenant à la sclérose latérale amyotr
eux qui se trouvaient sur les coupes. Aussi le fait signalé par cet
auteur
, que les lésions du faisceau, pyramidal ne pouv
orique'. Aussi éprouve-t-on un certain étonnement à voir quelques
auteurs
se refuser à considérer comme sclé- rose latéra
férieures et enfin se termine par la paralysie bulbaire » ; aussi l'
auteur
, tout en avouant que « à part l'évolution et l'
es spasmodiques, c'est ce der- nier caractère qui a fait croire à l'
auteur
qu'il était en présence d'une affection spécial
personnalité, reproduit en grande partie cette observation 2. Ces
auteurs
ont concentré leur attention sur un symptôme le
contracture du diaphragme, et le syndrome clinique désigné par les
auteurs
sous le nom d'asthme utérin de Van Helmont. C
deux jours avant son opération à la suite d'une vive contrariété. L'
auteur
pense que c'est au chloroforme qu'il faut rappo
d'autopsie. Cette série d'accidents doit être attribuée, d'après l'
auteur
, à une altération de l';ixe spinal à marche asc
., 1884, 1.) · Pour expliquer cette infraction à la loi de Broca, l'
auteur
sup- pose que, chez son malade, il n'y avait pa
its, la moitié se complique d'atrophie du nerf. La statistique de l'
auteur
comprend cinquante cas de dégé- nérescencegrise
même famille, l'existence de plusieurs cas d'atrophie musculaire. L'
auteur
est d'avis que toutes les formes d'atrophie mus
GRESSIVE ; par A. EULENBURG. (Berl. klin. Coca., 1885, n° 15.) L'
auteur
présente un cas de tabes avec atrophie musculaire
ET coma- TEUX ; par L. WITKOR'SKI, (Neurol. Centralbl., 1884). L'
auteur
met en relief un mode d'accès d'épilepsie, consis
Siemens em- ploya la sonde oesophagienne ' ; sinon, la sonde, dit l'
auteur
, fait plus de mal que de bien à telles enseigne
pour tous les états provinciaux, sur les aliénés. C'est pourquoi l'
auteur
demande que le gouvernement élabore et mette en v
ymptômes cliniques des attaques congestives correspon- dent selon l'
auteur
, toutà fait aux phénomènes que l'on observe qua
demandait l'interdiction, de concert avec le l3ezir7csplasz7cus ; l'
auteur
conclut au rejet de la demande, à raison de l'i
narcotiques, implique l'o- bligation de créer un véritable asile. L'
auteur
préconise le chloral à doses hypnotiques massiv
¡'dTlI ? lJ ]'0" l'l,II" ,lfWl.tt. 13 ,.t z compte 63 exemples,, 1
auteur
en donne OBSERVATION qui j ? ? ) ? 'r ? r ? 4b
quatorze cas. Ses résultats s'accordent généralement avec'ceux des
auteurs
sus- énoncés ; niais son interprétation, quant
aliénés en France. Après un 'historique' sur la lui ? dë : ·IS38, l'
auteur
, expose les motifs qui ontrsuscité ia'révisionl'j
inuité qu'un -examen plus approfondi révèle tou- jours erronée. Les
auteurs
français,' Falret en tête, ont eu raison de sig
, n'ayant la' plupart du temps fourni que des résultats négatifs, l'
auteur
. is'est' donné la peine de conserver des cervea
' ..f()I, \.,lvf / ,t En,, somme une des , neuf observations de. l'
auteur
démontre que £ l'atrophie des nerfs)optiques;t
s, 1 \. ,1 ' .. Il \'\\ \ \ 1 \ il ? j- '\' . I\q \ "...... 1 F 1
auteur
a établi que. la paralysie générale se traduit pa
e, à l'époque de la renaissance, telle qu'elle est aujour- d'hui. L'
auteur
a cible mérite de reconnaître l'existence d'un
nt que l'étendue de ce compte-rendu le permet, nous allons suivre l'
auteur
point par point dans ses diverses excursions, q
En portant ses expériences d'excitation sur la mae cérébrale mme, l'
auteur
est arrivé a limiter un petit endroit, dont l'e
accélération passagère de la respiration. 'fous ces'faits amènent l'
auteur
il conclure, que l'acte de l'inspi- talion résu
ent le plus souvent sur un côté, ce qui ne s'observe pas, d'après l'
auteur
, après l'abla- tion du cervelet. Les phénomènes
phères cérébraux pour la vision n'est pas aussi grande que quelques
auteurs
le croient. En se trouvant en contradiction ave
érêt au point de vue de la cri- tique scientifique expérimentale. L'
auteur
en 1 datant in-extenso les faits admis par M. M
imprime au reste de l'organe un certain étal d'équilibre, et que l'
auteur
nomme « section acquilibrante », il faut consid
orique de cette question depuis Ilaller jusqu'aux derniers jours. L'
auteur
dé- montre. par un grand nombre de documents, q
pris pour guide naturel l'esprit scientifique d'observation. « L'
auteur
de cetle oeuvre artistique remarquable. M. Ludovi
ue ce qu'on nommait alors la plainte de l'hôpital ? Parfois, dit un
auteur
du temps, au milieu du silence de la nuit, les
nouvelles aux douleurs inévitables de la nature ? » N'est-ce pas l'
auteur
de l'admirable Tableau du progrès de l'esprit h
e coeur est profondément saisi, lorsqu'on arrive aux chapitres où l'
auteur
, traçant les règles à suivre dans le traitement
e, un immense reten- tissement ; il devint bientôt classique et son
auteur
prit rang parmi les médecins les plus renommés
ux beaux volumes de plus de 600 pages, et est orné du portrait de l'
auteur
, gravé au burin. Prix : Papier velin, 15 fr. le
rvation, unique dans l'espèce, qui, d'après l'opinion de beaucoup d'
auteurs
décide complètement la question et celle de Mor
pour la sclérose latérale systématique. 11 est il regretter que les
auteurs
n'aient pas prononcé d'opinion décisive. Dans l
u clinique de la paralysie spastique, que nous rappelons ce que les
auteurs
précédents avaient déjà observé, peuvent être a
cholo- gique, qu'on voie en elle, avec Jacobi et presque tous les
auteurs
une force intérieure, une influence occulte, in
a maladie, et c'est ce qui explique la con- fusion faite par tant d'
auteurs
. Aussi, quand M. Motet a écrit : « Toutes les f
Comment expliquerces ressemblances, qui ont induit en erreur taut d'
auteurs
, avec des états men- taux au fond radicalement
tres grandes causes des incendies à mobile futile. En outre, si les
auteurs
de ces derniers sinistres, à l'instar de l'impu
mes : le désir de se venger d'un cousin en le faisant passer pour l'
auteur
des sinis- : res. - Caractères extrinsèques de la
se produisirent une foule de dépositions qui montraient en lui l'
auteur
non seulement du crime avoué, mais des cinq autre
de l'avoir odieusement trompé. A l'entendre, il se serait reconnu l'
auteur
du dernier incendie, confiant dans les pro- mes
On trouve dans cette affaire tous les. caractères signalés par les
auteurs
comme symptomatiques de la monomanie incendiair
en que sans preuve aucune, une fillette de quatorze ans d'en être l'
auteur
. Mais, malgré la surveillance établie et les pr
rien dans le premier incendie, c'est celui-là, au contraire, dont l'
auteur
était resté inconnu, qui lui.avait donné l'idée
de l'occasion, dans des objets faciles à s'enflammer, et quand les
auteurs
sont du- sexe masculin, ils éclatent de préfére
chez les diabétiques, signalés depuis longtemps par la plupart des
auteurs
qui ont écrit sur le diabète, ont fait l'objet,
Il est impossible d'admettre l'opi- nion primitivement émise par l'
auteur
anglais et de regarder ces lésions comme la cau
érale. Ces névralgies diabétiques ont été étudiées par différents
auteurs
, Loeb', Buzzard, Schmitz, Tischemacher, Berger,
es par Dickinson et les con- clusions exagérées et erronées que cet
auteur
a cru pouvoir tirer de ses recherches au sujet
ou méningée, rapidement suivie de coma et de mort. Bien d'autres
auteurs
: Nicolas, Bouchut, Redon, Ronbach ont rap- por
de provoquer (maladie de Corrigan, déchirure valvulaire, etc.). L'
auteur
s'étant assuré par de nombreuses recherches faite
é : De la structure et des fonctions de l'appareil d'association, l'
auteur
résume les travaux d'Arnold (fibres propres), d'I
eux réussis dans les extrémités gauches, et surtout dans le bras. L'
auteur
croit que l'attaque d'apoplexie a passé inaperç
bsence de néphrite chronique, la faible inten- sité de l'ictus 1. L'
auteur
appelle l'attention sur les allures du globe oc
uand céda le diabète, il y eut copieuse excrétion d'acide urique. L'
auteur
fait remarquer combien l'exercice musculaire fa
nfin nous devons mentionner une dernière conclusion, par laquelle l'
auteur
termine son intéressant mémoire; elle est ainsi
. Ju- lius llIICLE. (Journal of Jlental Science, juillet 1883.) L'
auteur
a pu observer quatre cas de méningite tuberculeus
ations faites à l'autopsie; on se bornera à signaler ici, d'après l'
auteur
lui-même, les points les plus saillants de ces
ici ni entrer dans le détail des expériences assez compliquées de l'
auteur
, ni reproduire les intéressants ta- bleaux qui
la chaleur, tend à rétablir rapidement la température normale. L'
auteur
ajoute que si l'on administre des doses élevées e
aire. Il a indiqué les diverses opinions en présence. Pour quelques
auteurs
, l'hérédité joue un grand rôle dans l'étiologie,
que nous conservons parce qu'elle est déjà adoptée par plusieurs
auteurs
, il va sans dire que ces sujets n'ont pas le mono
la maladie présenta une évolution plus favorable. Presque tous les
auteurs
attribuent à la fièvre typhoïde une action salu
pas d'altérations anatomiques spécifiques. Dans le cas spécial de l'
auteur
, y avait-il en outre des troubles de la parole
e'. Il se compose de trois parties principales. Dans la première, l'
auteur
soutient que la lésion caractéristique de la pa
eynet, dans les segments antérieurs du cerveau. - De ces éléments l'
auteur
déduit que la démence paralytique résulte d'une
M. le Dr Dumont pallier. Paris, Delahaye et Lecrosnier, 1884. Un
auteur
anglais que l'on ne saurait trop souvent citer, l
ique et la pathologie cérébrale. En exécution de ce vaste plan, l'
auteur
consacre la première partie de sa thèse à l'énu
éation, deux cerveaux. ' Telle est cette consciencieuse étude que l'
auteur
a su rendre attrayante par la clarté de son sty
troubles vésa- niques peuvent se rencontrer chez les vieillards : l'
auteur
rapporte en effet, un certain nombre d'observat
ur dix-sept observations soit inédites, soit empruntées il d'autres
auteurs
, il en est treize dans lesquelles il n'est point
avaux qui, de même que les précédents, ne survivront guère à leur
auteur
. Il était aussi un des directeurs desAtncales méd
cause alcoolique. Une somme de 9,000 francs sera répartie entre les
auteurs
des mémoires cou- ronnés. Les ouvrages ou mémoi
13, 414, 416, 417, 418, 419, 420, 424, 4 ? G, 456, 457. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. 469 Kirn, 248, 256. Ko
chives, t. VI. 1 2 CLINIQUE NERVEUSE. jusqu'alors l'attention des
auteurs
. Il nous engagea à prendre note des cas du même
dique assez l'esprit dans lequel il a été conçu*. C'est ainsi que l'
auteur
y rapporte plusieurs P. Marie. Contribution à l
n'avait pas frappé spécialement l'attention de la plupart de ces
auteurs
, qui se sont contentés purement et simplement de
ont trop intéressants'et coiicor ent trop bien avec ceux des autres
auteurs
(et les' nôtres, pour. que 1 nous manquions f 1
n sa faveur les expériences de Filelme l On sait, en effet, que cet
auteur
' W. rilelme. Z Ill' hulhoyenese der Ba"se(low'
elles dont elles veulent' débarrasser l'estomac, » ? En outre, 'cet
auteur
assimile complètement le'mérycisme'au-vo- misse
nt il'ne 'serait'qu'une'modalité.' Poûrl'Ù'oüs comme pour plusieurs
auteurs
, entre autres Percy, Laurent, Camb'ay, le 'méry
édiquè'deS 'Sciences' médicales1 une défiiïition''dâms laquelle les
auteurs
frtbïït1 en' indiquant*7 fort bien 'en1 quoi co
-Quant. à nous, , nq ! 1s ( ptageon.I.b0 ? lle ! lt Ll'a.vis de ces
auteurs
; et.l'existence du mérycisme chez- des individus
ins de -confusion. ! et les observations toutes superficielles. Les
auteurs
, disposés ton- 92 REVUE' CRITIQUÉ. jours a re
, j» .. , .. 'èt de l¡nl ? ¿stibiliiJ'1dé's : llà[¡';ÍletS),)l ôù 1
auteur
, mervcole lui- ,1\..."\1\\ \, V 1m .y -, , ? "
ent qu'un résumé de ce long et intéressant - travail, pour lequel l'
auteur
,a examiné plus de.deux cents cerveaux. , Nous n
11111' "l' · ? 1' hl/Ill ! n - ,'1 1'11hJ'" .' ' '- '<- ' " d L'
auteur
, arrive aux conclusions suivantes : i -.1 tin.' n
rpn9 rlJrt,l,a-ubJs2osu3no nIuLcJasrnsvnorriub b fIoit : JlJbo1'T L'
auteur
pense que la perception des couleursl·esb,forteme
1 \'11 "fl" '1 - .j la trompe expliquèrent cette contradiction. Les
auteurs
n'ontire- ,< 'VlIli'l'l'-HUI l.-i'ru". 'Il .
IJJOCl'lq4b "Ic ! q"'11G fljJq'l . ? "'2as" : ¡JrIl membre malade"l'
auteur
, a chol'Ohé¡à établir^ par^ (les 5r,eYHhbs¡) hi
rroij 1 Dans.deux cas, au milieu de la région dorsale et au cou, 1
auteur
a observé sur,la ligne médiane, sansicedème ni
'uii ? ->; 1- Ij . , ,' , ? i». A une observation personnelle, 1
auteur
réuni trois faits 'de Kocher, Grainger Stewart
''l'WI' ™ 1 'l'ff;.>q ';<r> "s-1"1' BI ->i' ')001J Da L'
auteur
à vu'sur le cadavre les' tiraillements du nerf su
men Jes', travaux"de,rM.'r ¡en professeur lyrçç,t, et,dç,l,;icbr, l'
auteur
e rappel] e (que Féré >[A rch ? t déNcit·,ol
rgarife ; autorité 'très1 prbribncée;'P p plilébite' oblitérànlcr L'
auteur
'édn'sidère' lê's lés¡b;IÎ pie-'nlédeni1'¿s.J.>
f REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 07' n'ibeÚe'èlé'Z'lÍb;'Íl111'é; l'
auteur
appelle' i l'attention'' sur Un' fOYe1 ? dè t m
l.)' 1 , r .1 . u 1¡1 ? . ! I,,(1,II'lq ., , IhIU'IUff1 d...,,1 L'
auteur
tient la promesse faite par lui au Congrès dé' Bà
araignées, C'est1,' dit 11' Tuczek ? un tabès à marché aigiÎë ! 1 L'
auteur
rapproché enfin' l'absence ! duo phénomène "du'
1 l, N /i« 'rl ? I'1 ,gr'" .. "'111 'l'l, ¡o - ,1 Il',(' '"r¡ "1 "L'
auteur
rappelle les' travaux 'publiés sur 'ce' sujet ? e
s,1 par le faisceau trâns- yerse' 4u, pédoncule, de : Gqddell(' r L'
auteur
. nmontrera qu'ils [ en onti aussi' avec les»cen
ns, annoncées) par 1tWt9,1,liè"j V,n s,cm}h r ? umlj lesiidées-de l'
auteur
? m;) Un malade du professeur Gayet, après une
lesquelles l'autopsie a montréides lésions de la'moelle allongée, l'
auteur
conclut que la' déviation, conjuguée 1 des' yeu
es corps opto-striés,· les méninges en renferment en- abondance.- L'
auteur
en. conclut que l'intoxication saturnine peut e
du Saullo2, mous ne chercherons point à.ajouter, aux travaux de ces
auteurs
en ce qui concerne les troubles spontanés de.l'in
oeil, une voix imaginaire entendue d'une seule oreille, etc., si l'
auteur
de la sug- gestion l'a voulu ainsi, tandis que,
ir 1 ». La réaction indivi- duelle ! du sujet est atténuée; c'est l'
auteur
de la suggestion qui veut et il ne peut pas ne
dure toute la vie et dont la complète guérison est une exception. L'
auteur
passe ensuite à quelques données statistiques c
es invalides psychopathes de la guerre de 1870-7). Sous ce titre, l'
auteur
attire l'attention de la Société sur le sort de
; 4 centig. de daturine correspond environ à 0,008 d'hyoscyamine. L'
auteur
se loue, en terminant, des alcaloïdes de merci
de cette hallucination. Voici les explications pathogénétiques de l'
auteur
. Un épileptique tombe' par suite du spasme des
exclusivement; la portion correspondante de la, capsule interne., L'
auteur
fait, remarquer, que tel est le nombre,' destrous
i : L'Iéndé 'm'-ai-n,-i-1 ra- contait à'ses camarades qu'il était l'
auteur
du crime, tandis que, dans 1 s'interrogatoires
outes ses conséquences, au point de vue des fonctions du cerveau. L'
auteur
a actuellement observé onze cas de délire aigu
'1" » 'TI ' "l' < 3° Von VOIGT.'Sui* le délire d'épuisement. L'
auteur
'appelle de ce nom un processus pathologique qui
." ' des 'phénomènes, réactionnëts violents, mais' sans gravité ! L'
auteur
recommande cette méthode'p0)rr lés cas qui ne s
; ces .troubles sont souvent liés surtout aux- flexions utérines. L'
auteur
rapporte plusieurs faits dans lesquels les phén
par un fibrome', une induration du co] avec sténose du canal; 2° L'
auteur
rapporte seize cas dans lesquels désnia- nifest
de porencéphalie, il a réuni vingt-neuf observations empruntées aux
auteurs
et douze qui lui sont personnelles, dans lesque
u'on arrive à lui cacher pendant longtemps le meurtre dont il est l'
auteur
. Cet épileptique, sous l'influence d'un traite-
nté par le malade. Et les exemples, bien que rares, cités par les
auteurs
, de guérison de l'accès délirant après cinq, di
famille; dans son affaissement mental, il ne délire plus. Quelques
auteurs
appellent cela guérison; est-ce donc une guéris
isager ces altérations comme un processus distinct et primaire. Cet
auteur
, en discutant la question des altérations dans
que nous avons dé- crit avec celle des caractères indiqués par cet
auteur
, nous croyons pouvoir admettre son opinion et r
s sans altération des prolongements. Remarquons, cepen- dant, que l'
auteur
ne dit rien de l'état des parois des vaisseaux,
. 233 l'Idiotie) , il s'agit des tubérosités superficielles que les
auteurs
nomment polio-encéphalite tubéreuse. Ils insist
neville et Brissaud. Nous relèverons, en passant, dans la note de l'
auteur
, l'analogie qu'il croit pouvoir trouver entre l
ger- Fez Jahrsclara ft. Bd. CXXVI et CXXXIII). Dans ce mémoire, l'
auteur
dit qu'on trouve certaines formes de gliomes av
des fibres nerveuses. En donnant la description de ces éléments, l'
auteur
insiste beaucoup sur la présence dans leur prot
hie des cylindres-axes présentant les caractères indi- qués par cet
auteur
; en outre, la présence de deux ou plusieurs noy
, avec les caractères distinctifs apparte- nant à ces éléments. Ces
auteurs
croient ici avoir à faire à un processus parenc
ons intellectuelles, sur les causes et le début du mérycisme. Les
auteurs
anciens, qui ont parlé du mérycisme,. ont tout
ologie du mérycisme. Nous avons déjà dit plus haut que les premiers
auteurs
, admettant l'iden- tité comme affection du méry
ns habituelles de cet organe, surtout si l'on admet avec certains
auteur
que le mérycisme est dû à une susceptibilité exag
à invoquer une prédisposition particulière de l'individu. Tous les
auteurs
qui se sont occupés du sujet n'hé- sitent pas à
indre fréquence de'la syphilis chez elle que chez l'homme, ? ajoute l'
auteur
pourrait également"servir d'argument en faveur
e lieu d'élection des foyers, comme quantité et comme grosseur. L'
auteur
attribue : aux lésions frontales, la déchéance in
nt les conclusions basées sur quatre observations bien prises que l'
auteur
dirige contre M. Kowalewskii'. '. P. K. VI. Des
acent immédiatement la vie du dément paralytique est-elle utile ? L'
auteur
prétend avoir obtenu des améliorations dans l'a
s sensations; par Théodore 1\IExivnr. (Jahrb. f. Psych., Ill, 3.) L'
auteur
part de l'étude des réflexes. Les uns se manifest
h. gericlttl. luedie., X1aV111, 2 et 3.) 11 n'y a pas lieu, dit l'
auteur
, de différencier la stupeur de la démence aiguë
uite des accès), chez sept malades en observation, ont démontré à l'
auteur
l'impossibilité de formuler une loi concernant le
incipalement des cordons antéro-Ialéraux; pas d'autre altération. L'
auteur
fait remarquer que ce cas ne saurait renverser
t à la seconde ? il'ne voit aucune raison de rejeter les idées de l'
auteur
? ') il z 1 l 1 · SOCIÉTÉS SAVANTES. 277 M. W
meur) occupe l'angle antérieur du chiasma. M. Wernicke demande si l'
auteur
a remarqué que la réaction des pupilles soit di
488 ? ), nous nous contenterons de reproduire les conclusions de l'
auteur
: '' ' io Quand, dans un cas douteux;'il sera n
mesure de répondre du sujet que l'on vous confie, de s'assurer de l'
auteur
du crime. Pour acquérir cette garantie, il faudra
divisent en deux classes : aux unes, elle attribue le démon pour
auteur
; les autres, elle les rapporte à la Divinité comm
lte conclusion, que, si Dieu $$BIBr,lOGli 1'HII : . n'était pas l'
auteur
de ces visions, il fallait choisir entre l'hypo-
japonaise), qu'au point de vue clinique et anatomo-pathologique ; l'
auteur
rapporte un certain nombre d'observations suivi
uivies d'autopsies, soit personnelles, soit emprun- tées à d'autres
auteurs
. La fréquence de la kak-kè (- maladies des jamb
mois d'août. La kak-kè est extrêmement rare chez les Européens ; l'
auteur
n'en connaît que deux cas bien certains (un All
(maximum de fréquence, t3 à 2 : i ans). Au point de vuc clinique, l'
auteur
distingue quatre formes de kak-kè : une forme r
hnui·ly , ? CX ? J " ? ' '"Quant à" la1 nature' de l'affection', l'
auteur
, rappelle qe4We\nich et. 'Anders6hyont.' pensé
'ailléurs,1' dans lesvs d'`lndersùli,'i3e Simmons, de Baelz et de l'
auteur
où l'examen de la moelle a été pratiqué, on n'a p
tirpation totale (18 fois sur 68 opérations). C'est là, d'après les
auteurs
, un phénomène réflexe lié, sans doute, à une ir
sur des arguments qu'ils nous est impossible de reproduire ici, ces
auteurs
préfèrent accorder, dans la pathogénie de ces a
oïde et les accidents que nous venons de signa- ler et auxquels les
auteurs
proposent de donner le nom de myxoe- dème opéra
: qu'en les efcriuant donner occafion à quelcun d'en abufer. Car l'
auteur
benin de tout bien, a toufiours donné l'esprit,
ivrognes d'habitude. Une somme de ? O)0 fr. sera répartie entre les
auteurs
des mé- moires couronnés. Les ouvrages ou mémoi
ch 7, Schultze 8, Preyel' 9, Silllonovich 10. Nous trouvons que ces
auteurs
s'en sont 1 Sigistnuud Bertltultl. 6eurl ttncl
Telles sont les principales données contenues dans les ouvrages des
auteurs
précités. Passons main- tenant à nos observatio
aire de mots d'enfants fournis par Preyer, Schultze et différents
auteurs
. Nos investigations concernent surtout la pé- r
accessibles à l'enfant, à un moment donné, comme l'admettent les
auteurs
; mais elles dépendent encore de beaucoup d'aut
e à toutes les exigences. Cette théorie acceptée par la plupart des
auteurs
, qui semblait ne plus devoir donner prise à la
rant ces faits, en superposant les divers schémas fournis par les
auteurs
, on trouve toujours une région commune qui corr
d'ailleurs, dans la description de plusieurs cas faite par quelques
auteurs
, nous voyons que l'atrophie musculaire et les d
muqueuse stomacale, d'après Cambay; à en faire, en un mot, avec les
auteurs
que nous citions tout à l'heure, et en attendan
e par ses puis- santes ondulations à s'échapper ainsi. » Un autre
auteur
, Cambay,donne une explication qui s'éloigne pas
ant la participation du diaphragme et des muscles de l'abdomen, l'
auteur
ajoute que leur action est si faible que le méryc
première gorgée après laquelle les contractions de l'estomac, que l'
auteur
localise dans la grande courbure, suffiraient s
ns vainement recherché l'inspiration initiale dont parlent quelques
auteurs
. Le sujet étant mis à nu, nous n'avons jamais v
n. (Arehiv. f. Psych. u. Nervenlt., xiii, 4.) .) Sous ce titre, l'
auteur
étudie d'abord la cécité psychique caracté- ris
; par W. BECNTGMW. (Archiv. f. Psych. u. Nervenk., XIII, 1.) .) L'
auteur
étudie successivement la température dans la méla
êt de ce rapport réside dans les développements en vertu desquels l'
auteur
rejette l'existence d'une affection mentale. Dé
tier. Le malade avait des accès de cette fièvre depuis trois ans. L'
auteur
pense que, comme pour la malaria, la psychose q
e. Durée : six heures. Les particularités de l'accès font pencher l'
auteur
vers l'opinion qu'il avait affaire à un équival
1'c/¡. f. Psych. u. NC1'vcnk., XIII, 3.) Quatre observations de l'
auteur
montrent que chez les paralysés généraux et les
es individus normaux. Passant ensuite aux entités psychopathiques l'
auteur
affirme n'avoir jamais observé le pouls normal
rois et les espaces adventices; intégrité des cellules nerveuses. L'
auteur
fait ressortir que la prolifération nu- cléaire
; par Silvio 1'ovNINI. (Rivista di F1'eniatria, 1883, fasc. 1.) L'
auteur
n'admet pas l'opinion émise par Raggi et Alpago-N
ividus atteints de lathyrisme. 412 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. L'
auteur
signale aussi la fréquence plus grande des ostéôm
avec une augmenta- tion de poids si rapide et si considérable que l'
auteur
considère celle-ci comme issue d'une trophonévr
e psychiatrie et neuropathologie, de Saint- Pétersbourg, 1883). L'
auteur
cite les cas déjà connus de la forme mentale appe
e appelée hébéphrénia en ajoutant deux observations personnelles. L'
auteur
pense que l'hébéphrénia n'est pas une forme men
s de travail intellectuel et sy- SOCIÉTÉS SAVANTES. 413 philis, l'
auteur
attire l'attention sur le fait que la syphilis gr
quatrième semaine, après la dernière rechute. (Malheureuse- ment, l'
auteur
[ne nous donne pas l'autopsie des autres organes.
sont épaissies etontsubi par places la dégénérescence graisseuse. L'
auteur
explique la dépression profonde et les hal- luc
eréinie de la substance corticale due au foyer de ramollissement; l'
auteur
fait la supposition qu'un faisceau de nerfs vas
ulsif (équivalent psychique). Confirmation clinique ultérieure. L'
auteur
rapproche de ces deux observations le fait de man
émorrhagie piemé- rienne diffuse qui se serait effectuée en bloc. L'
auteur
insiste sur l'étendue purement corticale du pro
ne faut pas s'inquiéter à l'excès des dangers toxiques signales. L'
auteur
public quinze observations dans lesquelles il s
. IV, p. 131. 424 SOCIÉTÉS SAVANTES. alcoolique). Dans ces cas, l'
auteur
a obtenu un résultat très avantageux de doses m
ngtemps en dehors des phénomènes morbides. Pronostic défavorable. L'
auteur
aborde en troisième lieu les troubles psychique
a surdité nerveuse ou la déchéance soudaine de l'acuité auditive, l'
auteur
a vu ces accidents être, en deux cas, suivis de
3° Troubles sensoriels proprement dits ou directement psychiques. L'
auteur
cite deux cas caractérisés soit par des hallucina
Z. - Remarques pour servir à l'étude de la folie aiguë partielle. L'
auteur
a, dans ces derniers temps, eu l'occasion d'en
rappelle qu'une conclusion conforme au deside- ratum exprimé par l'
auteur
, relativement à l'insuffisante apprc- SOCIÉTÉS
les dont les parois sont en toile à voile (cellules de Schlager), l'
auteur
conclut en ces termes : 1 Les cellules capito
roposition, et à lancer la question ainsi soulevée. Adhé- sion de l'
auteur
. M. JoLLY insiste sur la difficulté de trouver
pitaux de Paris, etc. Cette thèse se divise en deux chapitres que l'
auteur
a séparés d'une façon absolue, et auxquels il n
on était amené à l'étude des accidents nerveux qui en dépendent. L'
auteur
n'a pas pensé qu'il lui fût possible d'adopter
ssification des théories du diabète fondées sur la physiologie. L'
auteur
peut alors faire la critique des théories princip
quente dans le diabète maigre pour être négligée. Mais que dire des
auteurs
qui, comme M. Baumel, forcentlanote au point de
die du pancréas ? Ainsi se trouvent justifiées les conclusions de l'
auteur
que nous reproduisons textuellement. « Dans l'é
ue toujours la môme pour une modalité clinique déterminée. Certains
auteurs
sont déjà entrés dans cette voie : M. Lancereau
urologie, qui n'ont pas oublié une revue à ce sujet et à laquelle l'
auteur
a fait de nombreux emprunts. Aussi relèverons-n
nnus ou oubliés, mais certains. Passant aux troubles de motilité, l'
auteur
décrit l'affaiblissement musculaire du début; i
et de la diversité des accidents nerveux : c'est là un point que l'
auteur
a eu le mérite de bien mettre en lumière mieux,
ment les filets nerveux ), 109. Archives, t. VI. 29 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Bechterew, 403. Berger,
'humeur aqueuse, as-sertion inattendue et fort singulière, mais que l'
auteur
affirme être prouvée expérimentalement. Ainsi g
encore intacte, n'offre point d'orifice, elle a été imaginée par son
auteur
comme un perfectionnement du procédé d'Anel dont
s le procédé de Méjean, et se conduire pour le reste comme ce dernier
auteur
. — Boyer, pour guider la descente du fil dans la
et légèrement évasé en bec de cuillère à son extrémité supérieure. L'
auteur
lui avait dû un assez grand nombre de succès, et
minuer la hauteur de la paupière en lui enlevant son point d'appui. L'
auteur
suppose qu'il n'y a point à craindre la paralysie
de capsulaire ou la cataracte interstitielle. Par extension, quelques
auteurs
nomment cataracte hyaloidienne l'opacité de la me
s l'oubli. A l'époque de Gelse, déjà les idées sont plus précises : l'
auteur
romain attribue la cataracte à une humeur coagulé
uité. Les Arabes conservent les traditions et les connaissances des
auteurs
grecs et romains ; mais au moyen âge, et jusqu'au
allin, de sorte que sa concavité regarde cette fois en bas. Suivant l'
auteur
il suffirait alors d'un simple mouvement de press
es, avec ou sans crochet latéral (voy. pl. 2), propres, suivant leurs
auteurs
, à agir de diverses manières sur le cristallin. E
le vivant ; elle a pu réussir fréquemment sous la main exercée de son
auteur
; mais, loin de faire règle, elle est considérée p
e pour l'extrac-tion du cristallin , à l'aide du couteau de Wenzel. L'
auteur
intéressait les deux tiers de la cornée. On l'a r
se refermer. Procédé de Guérin (pl. 1 1, fig. 7). D'après quelques
auteurs
Guérin aurait pratiqué son procédé antérieurement
M. ffaltlier est intermédiaire de celui de Gibson à celui de Beer. L'
auteur
fait à la cornée une incision de sept millimètres
rence dans une étendue de quatre à cinq millimètres. L'intention de l'
auteur
est de pré-venir ainsi le recollement de l'iris e
rati-quer indifféremment avec le bistouri ou des ciseaux courbes, les
auteurs
recommandent généralement de diriger l'instrument
sèque les lambeaux, que l'on soulève avec un petit cro-chet. Quelques
auteurs
proposent de perforer avec un trocart, et de déte
u-devant du bec de la sonde. C'est donc par une illusion que quelques
auteurs
ont préconisé ce traitement comme inoffensif et t
oison du nez. 2° Rejeter tous les agglutinatifs proposés par quelques
auteurs
et se servir exclusivement de la suture entortill
ront, où on le fixe à l'aide de quelques nouveaux points de suture. L'
auteur
veut obtenir ainsi une plus grande régularité de
d nombre introduits accidentellement par les orifices naturels. Les
auteurs
sont remplis de faits variés de l'une et l'autre
été publié, en 1827, par M. Wagner, qui est parvenu à l'arrachera son
auteur
, un obscur médicastrc allemand, et assure en avoi
se transforment en fistules regardées comme incurables par beaucoup d'
auteurs
, à cause du passage de l'air du sinus dans les na
veut, au contraire, qu'on y place une petite canule à demeure. Les
auteurs
varient beaucoup sur le choix de la dent à extrai
t proposés les procédés suivans. 20 Procédés de M. Lisfranc et de l'
auteur
( fig. 6 et 7 ). Pour rendre la réunion plus faci
le lorsque l'es-carre vient à tomber. Si l'on en croit les récits des
auteurs
, la cau-térisation compterait de nombreux succès.
ous-procédés ont été mis en usage, qui ont conservé les noms de leurs
auteurs
. (/) Duphénix. Armé d'un bistouri à lame longue
Velpeau, n'a pas en-core été essayé, mais paraît assez rationnel. Son
auteur
indique de comprendre l'ulcère entre deux incisio
es grands chirurgiens. Cependant en parcourant les faits cités parles
auteurs
on est surpris du nombre d'opérations de ce genre
ait la glande sub-linguale. En parcourant les faits rapportés par les
auteurs
, on voit qu'on a décrit sous le nom de ranule, de
amais compris pourquoi, en tant que de laisser ce bouton à demeure, l'
auteur
n'avait pas préféré transformer le pédicule en un
t en eux-mêmes, indépendamment de l'objet que s'étaient proposé leurs
auteurs
, l'effet produit étant le résultat du degré auque
vasculaires longitudinales , le procédé de M. Mirault a permis à son
auteur
d'obtenir l'atrophie sans sphacèle d'une portion
aît fort rationnel. Pour éviter de pratiquer une plaie ex-térieure, l'
auteur
indique de passer l'aiguille au travers de la bou
original de staphyloraphie, celui de tous qui, dans les mains de son
auteur
, a été le plus employé. Toutefois, malgré les suc
Procédé de M. A. Bérard (fig. 2 et 5). L'appareil diffère en ce que l'
auteur
fixe le voile du palais avec la pince à dents de
-bent pas dans le pharynx. Le Procédé de M. Velpeau, décrit par son
auteur
, ne diffère sensiblement de celui que nous venons
crire que par le ren-versement des deux premiers temps opératoires, l'
auteur
préfé-rant commencer par l'avivement avant de pos
ns la plupart des instrumens imaginés pour le passage des (ils, les
auteurs
ont suivi la première impulsion donnée pat IYT. H
té de cette cause de mort signalée depuis un demi-siècle par tous les
auteurs
, et l'efficacité de l'opération. Il pose en théor
at, si la situation du malade laisse tout le temps d'agir, plu-sieurs
auteurs
de médecine opératoire prescrivent de faire exécu
aginée par Boyer, cette opération a été pratiquée avec succès par son
auteur
et par M. Duchâteau. Son objet étant de faire pén
e. Nous ne faisons que mentionner cette opéra-tion, que le nom de son
auteur
a pu seul faire adopter à sa naissance, mais qui
opération en elle-même est aussi facile à pratiquer que l'annonce son
auteur
; mais, quant aux suites, nous avons peine à croir
s dans quels cas? D'après le bon sens d'accord avec le témoignage des
auteurs
qui l'ont pratiquée, lorsque le rétrécissement a
ins. Outre les cas très nombreux d'accidens divers, rapportés par les
auteurs
(Hévin, Sue, MM. Corby, Murât, etc.), et l'histoi
ante, si du reste l'état gé-néral est satisfaisant , puisque nombre d'
auteurs
, Bartholin , Assalini, Desault, A. Dubois, M. Ro
n épanchement dans la cavité de la poitrine, a vivement préoccupé les
auteurs
; aussi les moyens proposés pour la combattre n'o
re comme pour l'ouverture de dedans en dehors des abcès ordinaires. L'
auteur
croit réunir ainsi les avantages de la ponction e
ons pas, nous l'avouons, conseiller l'emploi de ce procédé, quoique l'
auteur
dise l'avoir pratiqué cinq fois et M. Caf-ford pl
endre et les déprimer au milieu, comme le ferait une canule droite. L'
auteur
assure que plusieurs ponctions pratiquées dans le
u liquide, mais ce résultat n'est que passager, et de l'aveu même des
auteurs
, il est insuffisant pour motiver l'emploi de l'ac
aux matières organiques épanchées. Les exemples sontnombreux dans les
auteurs
, de collections du foie ou de la vésicule biliair
Procédé de M. Graves. La première proposition en remonte à 1827. L'
auteur
incise couche par couche les tissus avec le bis-t
istouri ou un trocart. Après que la masse du liquide a été évacuée, l'
auteur
facilite l'expulsion par quelques pressions douce
a plaie. Le faisceau de fils est ensuite fixé au de-hors. Le but de l'
auteur
était d'obtenir, par le froncement de l'intestin,
cpti s'est conservée sous le nom de réunion directe. Rhamdor est l'
auteur
d'une seconde méthode, dans laquelle un bout de l
est autre, comme nous l'avons dit, cpie celui des quatre-maîtres. L'
auteur
s'est servi d'une portion d'environ 2 centimètres
imitation du moyen d'invagination employé par Chopart et De-sault. L'
auteur
incise d'abord le mésentère dans l'étendue de que
ncise sur chaque bout le mésen-tère dans l'étendue d'un centimètre. L'
auteur
laisse saigner les petites plaies, mais si l'hémo
té imaginés pour la si ture des plaies transversales de l'intestin. L'
auteur
se sert de tro viroles en métal, l'une de 2 centi
s toute l'estime qu'il mérite. A l'expérience, entre les mains de son
auteur
, il a eu sur deux chiens tout le succès désirable
ions à ce procédé , ce serait concernant la matière des viroles que l'
auteur
a employées métalliques, en argent ou enétain. Da
es les conditions désirables. Procédé de M. Lembert. (Fig. 3, 4-) L'
auteur
, sans employer aucun corps étranger, se propose d
r, et il chercha en vain, assure-t-il, tant par lui-même que dans les
auteurs
, un exemple d'étranglement par les fibres aponév
plus favorables à la cure spontanée de l'anus contre nature. Scarpa,
auteur
de la plupart des remar-ques que nous venons de c
ici leur histoire. Historique. L'antiquité ne nous offre qu'un seul
auteur
qui ait fait mention du bandage herniaire. Cet au
ffre qu'un seul auteur qui ait fait mention du bandage herniaire. Cet
auteur
est Celse, cpii décrit un appareil composé d'une
en faut que toutes méritent l'importance que leur ont attribuée leurs
auteurs
, intéressés pour la plupart, par l'appât du gain,
l'intestin déplacé, méthode qui, d'a-près le travail historique de l'
auteur
de l'article Hernie, du Ré-pertoire général des S
ouvrir ce vaisseau et à causer ainsi une grave hémorrhagie. Plusieurs
auteurs
ont, en effet, cité des exemples de cet accident,
sive qui était la condition organique de l'oblitération. Plus tard, l'
auteur
crut voir que de simples ban-delettes de substanc
et jamais sur le vivant, la première fois, sur un enfant imperforé, l'
auteur
ne prit pas assez bien ses dimensions, de sorte q
inale, ce procédé n'est pas sûr, aussi a-t-il été rejeté par tous les
auteurs
qui en ont parlé : Sabatier , Boyer, Dupuytren, M
dès qu cette certitude est acquise , l'opération est réclamée. Les
auteurs
sont remplis de faits où la section de la cloisoi
insi donc, et quoique le conseil n'en soit pas nettement dont par les
auteurs
les plus modernes, clans tous les cas de ce genre
à créer un anus par incision. Au reste les faits consignés dans les
auteurs
prouvent que, eu égard à son indispensable nécess
es accidens qu'elle occasionne sont intolérables. En parcourant les
auteurs
, malgré le vague de leurs descrip-tions qui rend
e (Albucasis); la fistule à l'anus, la syphilis, signalées par divers
auteurs
; les affectations squirrheuses de la vessie ou d
narcotiques, astringentes et siccatives ont été recommandées par les
auteurs
. Boyer employait le saindoux, l'huile d'olives, l
es à leur tour, retournant cette accusation de ma-ladresse contre ses
auteurs
, interprétaient leur habileté à trouver l'orifice
que l'on savait, la plupart do ces moyens n'ayant pas survécu à leurs
auteurs
. Pour la ligature, Camper remiten usage les fils
coton portés à l'extrémité d'un long stylet fourchu ou porte-mèche. L'
auteur
assure avoir employé ce moyen avec succès chez pl
mploie, ne peut jamais produire qu'un effet palliatif. Procédé de l'
auteur
. Ce n'est que comme mention que nous avons indiqu
ntion après l'excision des tumeurs et des bourrelets hémorrhoïdaux. L'
auteur
fixe au dehors avec une érigne chacune des tumeur
que ce procédé a été fréquemment mis en usage et avec succès par son
auteur
, car, ajoute-t-il, « les mèches , les tamponneme
aits particuliers militent également en faveur de cette doctrine. Les
auteurs
sont remplis de faits où cet étranglement a eu de
er celui de Delpech qui a eu un succès complet; tandis que beaucoup d'
auteurs
F. d'Aquapen-dente , Saviard , Sabatier, MM. Mart
u à des hêmorrhagies. La blessure du testicule, moins grave que les
auteurs
anciens ne le pensaient, fait éprouver cependant
xceptionnels que nous avons fait connaître. Nous ne trouvons dans les
auteurs
que des données statistiques incomplètes sur les
ricocèle n'est point une maladie grave, quoi qu'en ait dit beaucoup d'
auteurs
très recommandables, et l'on conçoit difficilemen
ssé en place jusqu'à ce qu'il tombe de lui-même. i° Procédé du même
auteur
. On se sert seulement d'un fil double bien ciré ;
e de l'éléphant. Bien qu'observée déjà depuis long-temps par divers
auteurs
, ce n'est que depuis peu qu'elle nous est bien co
ites incisions auxquelles on donne toute la profondeur né-cessaire. L'
auteur
se loue beaucoup de l'emploi de son procédé : « I
division congéniale du prépuce. J. L. Petit et Boyer sont les seuls
auteurs
qui en parlent. Procédé de J. L. Petit. Pour gu
uettes et un bandage en T. Contrairement à l'opinion delà plupart des
auteurs
, Boyer ne veut point que l'on fasse uriner le mal
rotum et les cuisses soient mouillés par ce liquide. La plupart des
auteurs
qui ont eu l'occasion d'amputer la verge ont obse
qui pourtant doit toujours être la même, a beaucoup varié suivant les
auteurs
; autrefois on estimait cette longueur à 10 ou 12
6 m. à 24 cent. 3 ). Jusque-là toutes les mesures as-signées par les
auteurs
avaient été trop considérables. D'un autre côté M
ur avoir mesuré l'urètre dans des situations si diffé-rentes, que les
auteurs
sont arrivés à des résultats si différens quant à
mal comprise. Au lieu d'une prétendue fosse naviculaire que tous les
auteurs
ont décrite, derrière le méat urinaire, voilà ce
a fistule fut cautérisée et guérit très bien. Autre procédé du même
auteur
. M. Bégin pense qu'on pour-rait encore guérir l'h
s, à mesure qu'elles tendent à se former. C'est le même procédé que l'
auteur
a mis en usage à la langue, après la section pour
cision , et le trajet artificiel persiste de lui-même indéfiniment. L'
auteur
nous a fait voir plusieurs de ces opérés, à diffé
forcent leurs contemporains à les adopter. Procédé de M. Amussat. L'
auteur
pense qu'on le pratiquera avec plus de facilité,
carnosités dans l'urètre. Enfin, M. Amussat d'accord en cela avec les
auteurs
les plus modernes, les a distingués en organiques
la partie de l'urètre située entre le bulbe et la prostate. Quelques
auteurs
pensent cependant que la portion spongieuse du ca
ar le n" 7, et ce dernier par le n" 9 ou 10. M. Velpeau, le principal
auteur
de cette nouvelle méthode, dit, qu'il a acquis la
au genre de dilatateur imaginé par M. Perreve et dont il paraît que l'
auteur
a obtenu de grands avan-tages. Mais nous ne sauri
ous ne saurions dire en quoi consiste le mécanisme de l'instrument, l'
auteur
ne l'ayant pas rendu public. DILATATION forcée.
de juger on voulut exa-miner les raisons sur lesquelles se fondait l'
auteur
, et sou-mettre sa méthode au creuset de l'expérie
moins d'avantage que ceux que nous venons de décrire, soit que leurs
auteurs
aient eu moins d'occasion de les prôner, ou soit
scription succincte et indiquer leur manuel opé-ratoire, décrit par l'
auteur
, d'autant qu'il formule et généralise les scarifi
les le cathétérisme et l'introduction des bougies. Au reste, ajoute l'
auteur
, quoique cette méthode ait été imaginée pour un c
xpose nécessairement à pra-tiquer des fausses routes. Nous suivrons l'
auteur
dans sa des-cription. Procédé de Boyer. Ce chir
ssie à travers l'ouverture artificielle et donne is-sue aux urines. L'
auteur
a réussi deux fois, par ce procédé, à ob-tenirla
. 209, Paris, 1816. la plupart des opérations hardies n'ont eu pour
auteurs
que des médicastres obscurs. C'est l'histoire de
, comme il lui est arrivé si souvent d'at-tribuer les découvertes aux
auteurs
qui les lui ont transmises. Pendant une longue su
ets de la faculté , qui atteignent le volume d'un œuf d'autruche. Les
auteurs
sont remplis de faits où les calculs pesaient d'u
nue dans la vessie. Divers cas de ce genre ont été rencontrés par les
auteurs
: (a) le pincement par une vacuole latérale au ba
lcul enkysté ou entièrement recouvert, si-gnalé de tout temps par les
auteurs
(F. de Hilden, Lecal, Meekel, Dupuy tren, M. Gens
un ressort qui imite le choc d'un calcul. Les maladies citées parles
auteurs
comme, pouvant simuler la pierre sont : les exost
rassemblé un grand nombre de faits de cette nature. Presque tous les
auteurs
en ont rencontré à diverses époques. Ant. Dubois
ste l'ineffi-cacité de moyens si mal compris, explique le silence des
auteurs
à cet égard pendant une longue suite de siècles.
positives d'essais de lithotrïtie. Voici les faits : On a pensé qu'un
auteur
arabe Alsaharavius, on Azzahravi, que quelques ch
quels inslrumens? c'est ce qu'on ne dit pas. C'est un malheur que les
auteurs
anciens se soient montrés pres-que partout aussi
pierres et nullement d'en broyer de grosses, et si véritablement cet
auteur
n'a rien dit nulle part de plus explicite cpie da
ait pas encore d'une manière com-plètement satisfaisante le but que l'
auteur
se proposait, parce que pour perforer la pierre s
trois branches de M. Leroy; mais dans un appareil plus récent du même
auteur
c'est un ressort de montre contenu dans un barill
seule pièce. Cet instrument n'a été employé qu'une seule fois par son
auteur
, mais sans succès. Le grave inconvénient de cette
ence. Evidement suivi du brisement du calcul. ¦—- Procédé de divers
auteurs
. Pour obvier à l'inconvénient que nous venons de
pince à trois branches. On ne se sert point de cet instrument, que l'
auteur
lui-même réservait pour les cas exceptionnels où
e et des mou-vemens du volant courant sur la vis, j'imaginai, dit cet
auteur
, de former cet écrou de deux pièces s'ouvrant à c
pouvait pas toujours être par-fait, il en résultait, comme le dit son
auteur
, une complication de structure. Dans l'instrument
nsi sans gêner les manœuvres de l'opérateur. Somme toute, beau-coup d'
auteurs
pensent que les occasions d'extraire une pierre d
uler les avan-ce tages et les inconvéniens qu'elle a présentée. » L'
auteur
est-il fondé à retrancher absolument ces malades
lse nous a laissé la description, et qui a donné lieu, de la part des
auteurs
, à tant d'interprétations di-verses, comme nous l
de l'opéré. Toutefois, bien que Franco, G. Fabrice et quelques autres
auteurs
connus-sent la méthode latéralisée, elle ne comme
e ce n'est qu'après avoir interprété et même rectifié le texte de cet
auteur
, qu'on s'est accordé à assi-miler les deux manièr
u sont restés sans applica-tions ou n'ont été appliqués que par leurs
auteurs
. Us ne mé-ritent pas, en effet, d'être tirés de l
la taille, long-temps confondue avec le petit appareil décrit par les
auteurs
grecs, constitue de nos jours une méthode particu
er l'instrument qui doit diviser la prostate à droite et à gau-che. L'
auteur
ajoute que Chaussier avait conçu l'idée d'un cath
quatre lames, tel que celui que M. Colombat a fait fabriquer. Mais l'
auteur
préfère se servir d'un bistouri, avec lequel il p
s, elle peut se guérir d'elle-même, surtout si le sujet est gras. Ses
auteurs
citent quel-ques observations de ce genre, où il
il ne soit touché par l'instrument. Dans ce procédé, comme le dit son
auteur
, la par-tie la plus reculée de la glande prostate
dé pourtant n'en a pas moins été abandonné complètement, même par son
auteur
qui, s'il ne lui avait pas d'abord donné la préfé
pération ni plus facile, ni plus sûre, ne sont employés que par leurs
auteurs
. Parmi eux, les uns ont pour objet de tenir suspe
s paraît pas sans danger. a0 Ouverture du péritoine. La plupart des
auteurs
s'accordent à la considérer comme très grave; aus
nd. i" Taille vestibulaire. Procédé de Celse. C'est le même que cet
auteur
a décrit pour les hommes. Il prescrit, chez la fe
eux en a rapporté un grand nombre d'ob-servations empruntées à divers
auteurs
, ou qu'il a puisées dans sa pratique. M. Velpeau
Observés un grand nombre de fois, ils ont été considérés par quelques
auteurs
comme une maladie ana-logue à l'hydrocèle. Ils pe
le de l'organe, et tout ce qu'elle peut présenter d'anormale. Le même
auteur
fait remarquer que si l'on n'a pas l'habitudede t
ire la tige lorsque le col est bien placé. Ce petit instrument, que l'
auteur
dit avoir employé plusieurs fois avec succès, nou
bouton l'excise. Les figures 15 et 15 bis montrent une pince du même
auteur
, pour les fistules longitudinales, et une lame tr
ération terminée, on réunit immédiatement la plaie par la suture. Les
auteurs
de ce procédé l'ont employé avec succès. Il a pro
océdé fut imaginé et employé avec succès, dans un cas, au dire de son
auteur
, M. Dufresse-Chas-saigne, qui nous l'a communiqué
e la surface saignante par la suture enchevillée. Dans l'opinion de l'
auteur
, après la cicatrice, le nouveau périnée aurait 1
plaque s'applique exactement contre la fourchette et le périnée. L'
auteur
rapporte que les femmes qui en ont fait usage ont
is, chez les modernes, cette affection avait été fort négligée parles
auteurs
et par les praticiens, au point qu'il faut arrive
hyse pubienne ; mais cette proposition n'a pas été ac-ceptée , et ses
auteurs
ne l'ont jamais exécutée. En effet les dan-gers d
semblé un grand nombre d'observations sur ce sujet : depuis, tous les
auteurs
en ont parlé. Tant que ces corps restent renfer
péra-tion importante. Procédé de M. Amussat. Cette opération, dit l'
auteur
(Revue méd., août 1840), est basée sur la possibi
les fois qu'il existe de l'en-gorgement sur le corps de la matrice, l'
auteur
croit que cette opi-nion est trop exclusive; 5° e
tes, en sont mortes en peu d'heures. Pourtant, d'après la plupart des
auteurs
, cet accident ne serait pas aussi commun. Ainsi,
, Goulard, Baudelocque, Desault, Boyer, etc. Manuel opératoire. Les
auteurs
qui ont écrit sur ce sujet n'é-tablissent pour ai
stophus à Vrcga, Mercurialis, Benivenius, Fernel, A. Paré et autres
auteurs
anciens en ont rapporté des exemples. Celui d'A.
organe, il existait une simple dureté dans le bas-fond du bassin. Des
auteurs
plus modernes ont également enlevé la matrice : t
virole. Procédé de M. Sauter. Voici, en résumé, comment le décrit l'
auteur
lui-même dans un mémoire inséré parmi les Mélange
était possible de trouver que de vagues données sur ce sujet dans les
auteurs
, tant anciens que modernes, lorsque, en 1814, M.
ar la voie que le fer lui en aurait frayé. Mais c'est en vain que les
auteurs
à l'envi ont répété cette fable, d'après Pline (i
va-tion, ainsi que celle deplusieurs autres, rapportées par les mêmes
auteurs
, sur ce motif, que, par la suite, les femmes opér
a ligne médiane, ou procédé de Mauriceau. Voici comment s'exprime cet
auteur
{Traité des mal. des femmes grosses, p. 3i6). « L
uis la peau jusqu'au péritoine, en ménageant l'artère épigastrique, l'
auteur
s'était proposé de décoller et repousser la séreu
de faire n'a trouvé aucun partisan , et il est même à croire que son
auteur
l'a abandonnée. En effet, quoique bien conçue, so
ent assez con-nus pour être précis et convaincans. Si on consulte les
auteurs
, on est embarrassé pour adopter une opinion sur c
mmédiatement à une masse considérable de faits, soulevaient entre les
auteurs
des débats contradictoires, chacun louant à l'exc
'on avait écrit, nous avons voulu examiner les faits, voir opérer les
auteurs
, discuter avec eux leurs doctrines et balancer le
s toute la réserve et la discrétion que commandent les égards dus aux
auteurs
, mais avant tout nous chercherons la vérité avec
ce précepte auquel se rapportent les procédés et les in-strumens de l'
auteur
. Mais en outre, élevant cette donnée à une signif
e la vue dans l'œil strabique ont été signalées : i° d'après tous les
auteurs
, l'état d'atonie ou d'insensibilité plus ou moins
ve des muscles strabiques. Deux genres de preuves sont invoqués par l'
auteur
à l'appui de son ingénieuse théorie : la première
onvenance de l'opéra-tion. Mais il faut l'avouer, jusqu'à présent les
auteurs
se taisent sur cette concordance: comme on s'est
du strabisme sont les plus rares, puisque, s'il faut en croire chaque
auteur
, sur ses propres œuvres, sur plusieurs mil-liers
de s'en faire une. Nous allons retracer avec impartialité ce que les
auteurs
spéciaux ont écrit sur la question de priorité, m
ivant pas à pas sa méthode sans y rien changer; la preuve c'est que l'
auteur
ayant oublié, ou omis une circon-stance, les deux
tance qui a mis M. Pauli, de Landau, dans l'impossibilité d'opérer. L'
auteur
rapporte ensuite deux autres faits, mais où le mê
de donner créance à ces faits, puisque M. Verhaeghe, compatriote de l'
auteur
, cpii les rapporte, n'y croitpas. Mais en voici b
urgien doit d'autant plus résister à ces instances que, d'après notre
auteur
, il ne lui est arrivé qu'une fois sur vingt-cinq,
dice, à opérer cet œil et guérit son malade. En somme, le signe que l'
auteur
regarde comme le moins trompeur est la faiblesse
e instrument est modifié pour des motifs très importans, au dire de l'
auteur
, fort puérils suivant les autres, et qui, au fond
rrón du Villards, Phillips; une dizaine de crochets mousses des mêmes
auteurs
, six ou huit variétés de ciseaux droits et courbe
ar M. Verbaeghe {Mémoire sur le Strabisme), qui l'a vu em-ployé par l'
auteur
sur près de 3oo louches. Appareil instrumental,
chirurgiens, que l'opération simplifiée à ce point soit impossible. L'
auteur
est homme habile et de mérite , et ce qu'il annon
pratiquer les opérations les plus graves. Procédé de M. Sédiulot. L'
auteur
, dit-on, opère son ma-lade couché. Cette conditio
ses propres paupières ; tout au plus, si ce malade est pusillanime, l'
auteur
avoue-t-il qu'il faudrait le concours d'un aide.
nsables auxquelles tout le inonde a recours; mais, à la vérité , si l'
auteur
faisait comme les autres, il n'y aurait plus de p
ge; enfin des ciseaux courbes. I Suit pour l'opération, le texte de l'
auteur
,V\. C, fig. i, 2, 3, 4 5.) « Le strabique est a
( Le-çons, etc., p. 25.) Plus loin (page 79), dans un passage où l'
auteur
résume son procédé, il recommande après avoir déb
qui ne ressemble à aucun autre. Son exécution, entre les mains de son
auteur
, ne dure que quinze ou vingt secondes. C'est ains
résultats, indépendamment de l'objet particulier que s'est proposé l'
auteur
, ne sont pas moins favorables que ceux des autres
argeur. SECTION SOUS-CON.TONCTIVALE. Méthode de M. J. Guérin. L'
auteur
opère par' deux procédés : l'un qui diffère peu d
st le seul qui soit véritablement sous-conjonctival, et celui que son
auteur
pratique le plus ordinaire-ment. Les instrumens s
ue particulièrement sa méthode.Toutes ces manœuvres, pratiquées par l'
auteur
, se succè-dent régulièrement et avec assez de rap
a , d'opérer à l'air libre : c'est peut-être la raison qui lait que l'
auteur
préfère le premier procédé APPRÉCIATION DES PRO
océdé opératoire. De l'examen comparatif des résultats avoués par les
auteurs
, chirur-giens habiles et gens d'honneur , ces rés
t-on s'abstenir de poser sur chaque procédé, entre les illusions de l'
auteur
et les dénigremens de ses rivaux, un juge-ment ab
ant à moi, celui de M. Bau-dens, comme étant celui qui a fourni à son
auteur
les meilleurs résultats en plus grand nombre; mai
'résis-tance est telle que l'on peut tirer dessus sans la déchirer. L'
auteur
de l'observation pense que cette bande est formée
e qui nous paraît extraordinaire et sur laquelle nous craignons que l'
auteur
ne s'abuse. Avec la sensibilité bien connue de la
celle du droit interne. Ce dernier muscle étant divisé, si, ajoute l'
auteur
, « on fait effort sur l'érigne pour porter le glo
de proposition, n'ayant été pratiqué que sur le cadavre. L'objet de l'
auteur
est de détacher la poulie du grand oblique sans c
que l'opération pratiquée de cette ma-nière aurait le résultat que l'
auteur
en attend. La nouvelle adhé-rence du tendon après
ar écartement ou sur un autre point. Voici du reste le procédé de l'
auteur
: au lieu de faire écarter les paupières, il les
3° Procédé de M. Bonnet, de Lyon. Voici la description don-née par l'
auteur
lui-même. «Je choisis l'insertion antérieure du m
on du muscle, objet de l'opération; et enfin , entre les mains de son
auteur
, chirurgien cependant d'une incontestable habilet
ode de déviation pour couper tel ou tel muscle. La seule réserve de l'
auteur
consiste à ne couper les obliques qu'en der-nier,
sme, du reste, est plus rare que le précédent, et ne s'est offert à l'
auteur
que dans la proportion 6 d'un à deux cents; 3
nombre de mala-des; mais sa manière de procéder n'a rien d'absolu, l'
auteur
, par une succession de manœuvres, quelquefois inv
aire à la nouvelle cicatrisation. Ce moyen innocent est préféré par l'
auteur
à l'anse de fil, à la-quelle, comme nous l'avons
le interne, et les fixe par des sutures à points séparés (fig. 10). L'
auteur
a déjà pratiqué cette opération, avec succès. E
s suivantes : i° Le strabisme essentiellement dou-bleest sirare que l'
auteur
n'opère plus jamais les yeux en une seule séance,
s, après la section de tous les muscles qui pou-vaient y concourir. L'
auteur
pense que cet accident peut tenir à un état de ri
s droits in-terne et externe del'œil droit. L'indication donnée par l'
auteur
est découper les deux muscles droits lorsqu'il y
quanta la pratique, ne s'appuie que sur les seules allégations de son
auteur
. 4° amaurose. On se rappelle que nous avons n
égard, et ne présente encore que divergence et contradiction dans les
auteurs
. Comment s'en étonner, quand on se rappelle la ma
comme nous le verrons dans l'historique, est nette-iment posé par les
auteurs
anciens, et nul doute pour nous que lie mot de li
ltat des recherches historiques de M. le doc-teur E. Joubert, sur les
auteurs
originaux Galien, dans de nombreux passages, et
la cautérisation. Mais nous n'avons pu reconnaître dans cet illustre
auteur
, et les écrivains ultérieurs n'y ont rien signalé
crat, etc. » On le voit : rien de plus clair que ces textes de deux
auteurs
des sixième et septième siècles. Aucune circonsta
r. A partir de ces temps reculés, nous ne connaissons rien dans les
auteurs
, qui ait trait à l'ancyloglosse. Il faut franchir
ieure, s'étendait à droite et à gauche de cet organe, ainsi, ajoute l'
auteur
, qu'il m'a été assuré par les assistans. « Tum im
lden, nous pourrions citer tant d'autres faits qui pullulent dans les
auteurs
, si les exemples de muets non sourds n'étaient pa
souvent nécessaire pour les guérir. Enfin dans le siècle dernier, l'
auteur
de l'article Ancyloglos-sum (Dictionnaire univers
de traditions populaires. Enfin , de la lecture des trois derniers
auteurs
que nous venons de citer, il paraît résulter qu'a
rit à l'Académie des sciences. Que ce chirurgien soit véritablement l'
auteur
de son procédé , ou qu'il lui ait été communiqué,
nt de vue que nous croyons devoir en présenter la description. Chaque
auteur
ayant successivement modifié sa manière d'opérer,
me, autant qu'ils nous en auront fourni le moyen, nous laisserons les
auteurs
eux-mêmes décrire leurs procédés. MÉTHODE ALLEM
effenbach a consigné sa découverte sur le bégaiement. Voici comment l'
auteur
s'exprime sur la manière dont l'idée lui vint de
pratiquée, le 7 janvier 1841, sur Dœnau, âgé de i3 ans. « Voici dit l'
auteur
, la marche que je suivis pour opérer. Le jeune ho
e M. Dieffenbacb, avec les observations et les résultats donnés par l'
auteur
. Avant de por-ter, à cet égard, aucun jugement pe
ont assu-rément les motifs sur lesquels elle s'appuie. L'objet de l'
auteur
est, dit-il, de modifier l'innervation de la lang
n de la langue? On voit pourtant que nous faisons encore beau jeu à l'
auteur
, car nous ne semblons pas tenir compte de l'épouv
araît pas que cette étiologie ait subi l'épreuve des faits, puisque l'
auteur
lui-même a renoncé à l'opération qui s'y rapporta
ument, il faudrait que la musculature de cet organe fût telle que cet
auteur
l'a des-sinée. Heureusement que rien de tout cela
ncore beaucoup trop ; et comme le texte et les planches signées par l'
auteur
s'accordent dans une erreur commune, il nous est
uel il s'est arrêté aujourd'hui. i» Procédé ancien. Voici comment l'
auteur
s'exprime dans sa lettre à l'Académie de médecine
a manière actuelle d'opérer. i"Procédé nouveau(i). Dans celui-ci, l'
auteur
procède suivant une direction toujours la même, m
eindre ainsi à une longueur de quatre centimètres ; il est rare que l'
auteur
aille aussi profondé-ment d'une seule fois; ordin
ident. Mais ce qui est le plus important, ce sont les résultats que l'
auteur
a eu la sincérité de nous faire connaître. Sur un
els; M. Bon-net n'en cite que trois sur soixante, et encore, ajoute l'
auteur
, s'il n'a pas réussi à l'éviter, c'est qu'une foi
es accidens. 1° Hémorrhagies. Celles qui résultent des procédés des
auteurs
précédens ne sont pas les seules connues. M. Guer
rhagie a pu être assez considérable pour déterminer la mort, quelques
auteurs
font pressentir que des faits aussi graves, non p
ique du système osseux, page 31 Paris, 1840. «La contracture, dit l'
auteur
, c'est le raccourcissement spas-modique du muscle
mbres. De cet ensemble d'observations originales de M. J. Guérin, l'
auteur
déduit, parmi plusieurs autres, ces trois proposi
ut dire de plus précis à cet égard. Voici les principes posés par l'
auteur
et qu'il étend successi-vement du pied-bot à tout
aie. Dans tous les procédés modernes, dont les différences, entre les
auteurs
, sont à peine sensibles, l'opération se compose d
énumération des innombrables instrumens, imaginés par une vingtaine d'
auteurs
différens, pour pratiquer la ténotomie. Il nous s
vêtir ces instrumens, suivant le besoin, le caprice ou l'illusion des
auteurs
; chacun d'eux, en outre, en possède plusieurs sér
port aux cas les plus complexes. Au lieu de présenter, comme quelques
auteurs
, les modifications de chaque (1) Mémoires sur l
duration de cause arthritique, etc., réunies va-guement, par quelques
auteurs
, sous la dénomination impropre de fausse ankylose
omme un mus-cle distinct du cléido-mastoïdien. » Cette assertion de l'
auteur
est fondée sur cette observation physiologique qu
roprié, les propositions suivantes qui résument les observations de l'
auteur
et les résultats de sa pratique : i° le faisceau
s rétracté, que l'autre se tend à son tour et devient apparent. » L'
auteur
ajoute en note : « Sur quatorze cas de torticolis
l. M). Procédé de M. Bouvier. Le voici tel qu'il est décrit par l'
auteur
dans line observation de section du sterno-cléido
ncé général que nous avons tracé, et que, quant aux particularités, l'
auteur
se propose de les publier lui-même avec leurs obs
tes, mais pleines d'avenir. « Le point de départ de la méthode, dit l'
auteur
, est la section sous-cutanée du tendon d'Achille.
nce du contact de l'air. Nous ne pouvons mieux faire que de laisser l'
auteur
développer lui-même sa théorie à cet égard. Thé
r d'autres chi-rurgiens. En voici l'enumération d'après le texte de l'
auteur
: « i° L'ouverture des tumeurs sanguines qui se
déjà si nombreuses, il en a été fait encore de nouvel-les, soit par l'
auteur
, soit par divers chirurgiens, et il y a tout lieu
nal nasal par le procédé de Laforest , figure 2, avec la sonde de cet
auteur
; figure 3, avec le cathéter de M. Gensoul. Figu
t d'appui pour fixer la sonde. Un autre moyen de la fixer, dû au même
auteur
, consiste en un fil métallique tordu et faisant p
La maladie est représentée circonscrite entre les deux incisions de l'
auteur
. — De a en b. Incision prolongeant, sur la joue,
t leur cours naturel. Figure 5. Autre cas copié de Scarpa, et que l'
auteur
donne comme le premier état qui aurait été suivi
ès importante a réussi déjà deux fois de suite entre les mains de son
auteur
M. Amussat. C'est la méthode de Callisen, mais mo
sin. FIGURES 2 et 2 bis. Dilatation du rectum rétréci (procédé de l'
auteur
). Soit un rétrécissement situé à 6 ou 8 centimè
pris. Figure 4. Procédé de M. Baudens. Ponction avec la canule de l'
auteur
(a). Cette canule est perforée au milieu par un o
xploratrices, de M. Leroy-d'Étiolles. — 26. Sonde à chapelet, du même
auteur
, pour recon-naître le siège d'un rétrécissement.
par ses pointes. Le n° 23, ou le dilatateur de la pro-state, du môme
auteur
, calqué sur le lithomètre, et qui écarte par legl
que termine une petite cavité de réception (b) —34. Fenêtre, du même
auteur
(a), de profil; (b) de face. Comme celui de M. La
en les rentrant dans la canule. Cet instrument est le second du même
auteur
. 10). Brise-pierre articulé de M. Jacobson ( 1829
11. Pessaire élastique de M. Leroy-d'Etiolles. — 12. Pessaire du même
auteur
dans les cas de chute de l'utérus compliquée de f
s du vagin pour déterminer l'adhérence de ses parois enflammées (même
auteur
). Figure i5. Suppositoire à double courant (mêm
mmées (même auteur). Figure i5. Suppositoire à double courant (même
auteur
). FIGURE i5. Ablation d'un kyste de l'ovaire (P
s des fistules (Leroy-d'Etiolles). 8. Gouttière protectrice du même
auteur
. Elle est percée de trous à son extré-mité pour l
ammés de la fistule. B. Instrumens d'avivement. 10. 11, 12. (Même
auteur
). Pince (10) et griffes (11, 12) destinées à sais
enlève, après la piqûre, agit comme une alêne. 22. Aiguille du même
auteur
. En faisant glisser le boulon (a) qui gouverne la
tée de celle de M. De Pierris et plus particulièrement employée par l'
auteur
pour faire traverser par une ligature une petite
, f) qui rapprochent les bords de la fistule. Une autre pince du même
auteur
n'oflre que deux crochets agissant seulement sur
boulon (a) fait également sortir les crochets (b). 29. Sondedu même
auteur
qui sert à maintenir les fils pour son procédé d'
tanche (M. Leroy-d'Etiolles). 31 et 31 bis. Autre spéculum du même
auteur
dont une branche (a) à glisse-ment est destinée a
sur les dessins originaux qui nous ont été obli-geamment prèles par l'
auteur
. Figure 14. (a) Cicatrice fibro-celluleuse du mus
n travers les nerfs grands-hypoglosses, comme c'est l'in-tention de l'
auteur
, et, avec eux, les vaisseaux inférieurs de la lan
, étendue non pas à toute la musculature de la langue, comme le dit l'
auteur
, ce qui serait heureu-sement impossible dans son
M. Velpeau, prolongée sur cette figure au plus loin que se permette l'
auteur
, c'est-à-dire à moins d'un centimètre à la partie
ous-cutanée de M. J. Guérin. Figure 1. Ponction avec la lancette de l'
auteur
. Un pli à la peau est pratiqué par la main droite
urnis par M. J. Guérin. Les opérations représentent les procédés de l'
auteur
posés par lui-même. FIGURES i, 2, 3. Divers cas
étoscope, telle que nous l’avons extraite, il y a dix-huit mois, d’un
auteur
américain. Le magnétoscope est, en effet, une h
e application ïu pendule, due à M. Rutter ou Rudder, comme le nomme l’
auteur
dont nous extrayons cette relation, laquelle fut
éorie générale de l’excitation des sens. » Il est à regretter que l’
auteur
à qui nous empruntons les lignes qui précèdent, n
omme on dit au Palais — a fourni le moyen dintroduire l'instance. L’
auteur
du livre, qui avait demandé un compte-rendu, quel
ous prier d’accueillir dans les colonnes de votre journal. « Si l'
auteur
n’était pas médecin, s’il ne s’adressait pas à de
out où il se trouve, et le ridicule étant très-meurtrier, le but de l’
auteur
est atteint. Mais tout en voulant tuer l’erreur,
intenant la nouvelle adhésion de M. De.vergie, à propos de laquelle l’
auteur
de l’article abonde en plaisanteries entièrement
sérieux de la chose. Voici mot pour mot la réponse de M. Devergie aux
auteurs
du rapport sur le viol en question : « Je crois q
n’a pas besoin de commentaire; nous nous bornerons à remarquer que l’
auteur
de l’article dit seulement : « Ceci est une affai
, mais encore parce qu’ils touchent de très-près au magnétisme dont l’
auteur
du travail en question était cependant l’antagoni
ante dans les zones plus tempérées de la médecine? ? J’ai cm, dit l’
auteur
dans son avant-propos, que ce se rait un notable
ionner les résultats observés, je me fais un devoir de déclarer que l’
auteur
envisage le somnambulisme naturel et nullement ce
seurs. C’est un fait curieux à noter dans l’histoire du magnétisme. L’
auteur
reconnaît que les magnétiseurs produisent des phé
, je me rendis au bureau du Messager, afin de m’en entretenir avec l’
auteur
. Je ne l’y trouvai pas, et l’on ne put ou ne voul
tits pâtés de Home et que tant d’autres volatiles de même fabrique, l’
auteur
, auquel on demande des renseignements, se trouve
e et leur rend assez bien la pareille. Le livre couronné qui a pour
auteur
M. Lemoine, ancien professeur de philosophie à la
ue nous n’avons pas be- soin de combattre ici, 011 comprend que l’
auteur
n’ait pas cherché à s’éclairer par le magnétisme
tégories nous paraissent peu rationnelles. Un grand nombre d'autres
auteurs
, dont plusieurs sont cités par M. le baron du
s recueillent avec soin tous ceux qui se présentent de nos jours. Les
auteurs
anciens, ceux du moyen âge-en sont pleins : on po
s et de graves autorités. Après Aristote, Pythagore, Platon, tous les
auteurs
du seizième siècle, et parmi eux Montaigne et
niste. — Nous en trouverons plus loin la preuve dans les paroles de l’
auteur
. (1) Cet article est la conclusion du fait rema
ue sans doute cet état a été considéré comme inexplicable (1). « Si l’
auteur
avait été plus familiarisé avec les phénomènes my
tôt qu’à un caprice qu’il faut attribuer ce résultat ? Plus loin, l’
auteur
explique le moyen dont il se servait pour se fair
ié dernièrement en Amérique un ouvrage inti tulé To Daimonion, dont l’
auteur
cherche à expliquer prodiges du spiritualisme san
e un bâton, puis souple comme un fil. On trouve chez les plus anciens
auteurs
, des exemples d’un pareil pouvoir exercé sur les
es endroits où sont cachés des objets volés, et à faire connaître les
auteurs
des vols. L’exemple suivant servira à faire conna
ce qu’ils ne le récompensaient pas plus libéralement de ses peines. L’
auteur
ajoute : Je viens de lire dans un journal indien,
nant sur l’état nerveux d’autrui et même sur les objets matériels. Un
auteur
français en cite l’exemple suivant : Deux rivaux
ier, comme si une maladie était venue fondre sur lui et l’exténuer. L’
auteur
pense que ces étranges phénomènes sont dûs à un c
la faculté de faire mouvoir des objets matériels sans les toucher. L’
auteur
anglais déjà cité, rapporte je suivant: Un de
. Celui-ci s’avoua coupable du vol et remit les lunettes perdues. — L’
auteur
ajoute : Mon vieil ami ne croyait pas au pouvoir
our l’utilité du genre humain. « En lisant les livres de beaucoup d’
auteurs
sur le magnétisme, je ne pouvais me persuader de
s et les mieux développés, je m’avançai dans cette voie tracée parles
auteurs
, et grâce à ces guides et aux efforts de mon inte
à la cause première.—Je me mis avec ardeur à étudier les ouvrages des
auteurs
les plus célèbres qui ont écrit sur ce sujet. Les
ée, sans s inquiéter des murmures ou des analhèmes de l’Académie. L’
auteur
nous dit qu'il a été converti par les faits qu’il
e, à une série d’actes physiologiques qui paraissent surnaturels. » L’
auteur
décrit les effets variés produits par la volonté
, ou, s’il sort de là, il bal la campagne et vous égare avec lui. — L’
auteur
a été frappé des inconvénients de la crédulité av
sieurs médecins distingués ont su tirer un parti très-avantageux. L’
auteur
termine par l’examen de ce qu’on appelle le don d
ous également faux. Quant au dogme de la possession en particulier, l’
auteur
, après son salut respectueux aux dogmes, discute
res esprits. Quant à la faculté de parler des langues non apprises, l’
auteur
ne l’admet pas, et il est certain que dans les ca
ciations que ce qui concerne le somnambulisme. 1° Mémoire n° 6. « L'
auteur
, dit M. Lélut, admet aveuglément les plus folles
dical, de l’utilité et des dangers du magnétisme. Dans ce chapitre, l’
auteur
ne se borne même plus à parler des effets médicau
et homieopathique, à l'adresse des hommes de loi et des médecins... L’
auteur
traite aussi des tables touillantes, du fluide ne
etc.» 3° Mémoire n° 3. Ici le rapporteur devient plus sévère : « L’
auteur
de ce travail, qui est Anglais, peut-être un Angl
ement à recueillir des lumières sur un sujet douteux, et que tous les
auteurs
, quelle que soitleurdoctrine, qui apporteront le
ent, et auxquels celui-ci fait une part encore plus grande. D’après l’
auteur
du Mémoire n° A, il n’y a rien qui échappe à l'âm
avenir, etc. » A juger d’après cette analyse, il est certain que l’
auteur
s'est laissé entraîner à des exagérations fantast
ation qu’il s’est mis à l’œuvre... Le magnétisme animal actuel, dit l’
auteur
, consiste dans une sorte d’influence à la fois ph
ision de l’avenir. Pour admettre l’existence de ce» quatre parties, l’
auteur
se fonde, degrés ou de loin', sur des autorités d
elquefois très-hautes, etc. »• D’après les précautions prises par l’
auteur
de ce Mémoire, on voit l’influenco fâcheuse des d
des parties de ce Mémoire relatives au sommeil ordinaire, félicite l’
auteur
« d’avoir, dans cette partie de son ouvrage, ratt
distinction flatteuse a été confirmée par les suffrages du public. L’
auteur
, M. le professeur Lemoine, a traité son sujet d'u
pas tout d'abord lui donner son vrai nom. Ici, pour rappeler, avec l'
auteur
du Mémoire n° 5, les paroles d’un spirituel philo
sujet à caution. — En parlant du somnambulisme (tom. Il, chap. 11), l’
auteur
établit une distinction entre le somnambulisme (2
omme acquit de conscience. Mais continuons notre étude et suivons l’
auteur
dans l’examen des causes génératrices des phénomè
e du malaise. Plus loin, en parlant du pronostic de la sommation, l'
auteur
dit : « On doit toujours craindre qu’elle ne se t
s les maladies. » Notons bien qu’il n’entre pas dans la pensée de l’
auteur
de dire que le magnétisme n’est de nul secours lo
Didot, dans plusieurs mémoires publiés dans la Renie archéologique, l’
auteur
s’était déjà beaucoup occupé de recherches sur le
s sciences ? Et pour n’en nommer que quelques-uns que nous remémore l’
auteur
, au milieu de beaucoup d’autres , Kepler croyait
récier, nous allons eu reproduire un des passages les plus curieux. L’
auteur
parle de la lutte du christianisme et du paganism
snouveaux essais d’anthropologie par Maine de Biran sert de début à l'
auteur
. Les faits de la vie comportent, selon ce philoso
et sans trop nous écarter du cadre de ce journal, suivre pas à pas l’
auteur
, dans l’étude des trois puissances de l’âme, et s
un long passage sur une sorte d’état préliminaire de l’extase, que l’
auteur
lui-même a éprouvé, nous devons être sobre. Voici
belles pages, p. 135 et suiv. du chapitre de la transformation, où l’
auteur
expose les effets des passions grossières, la gou
le voudrions dans ce résumé les belles et poétiques expressions de l’
auteur
. Ainsi, les lignes qui finissent sont précédées d
entre l’esprit et la matière. Après ces vues hardies, et comme si l’
auteur
en était lui-même effrayé, il a hâte de chercher
et Xhiver de la vie viennent ensuite. 11 semble qu’avant de finir, l’
auteur
ait voulu y rassembler tous les trésors d’une âme
urtes réflexions ; peut-être, dans un second article, suivrons-nous l’
auteur
dans certains passages sur l'âme, et examinerons-
spiritualistes. Ils rendent volontiers justice à l'E-vangile et à son
Auteur
; ils avouent que Jésus a vécu, agi, parlé, souffe
rre, ce qui était vrai, et me donna une description assez exacte de l’
auteur
. 11 commit une légère erreur en me disant qu’
il avait lutté énergiquement contre mes contradictions en accusant l’
auteur
de la lettre. » M. Houdin a rendu hommage à la
aucoup tout ce qu’ils connaissaient jusqu’alors, et ils regardèrent l’
auteur
comme un être surhumain. Il est donc permis de cr
cessaire dans la publicité donnée aux traitements magnétiques force l'
auteur
à ne donner que les initiales des nomsdequel-ques
de soixante sangsues indispensa- (I) Nous avons déjà donné du même
auteur
un article qui a paru dans le n* 5S du 10 mars 18
sous peu, dans une série d'article«, le complément de la pensée do l'
auteur
. ble. Je m’y opposai de toutes mes forces, at
logue dans les symptômes, et j'élais véritablement aux abois. (I) L'
auteur
remercie M. le baron du Polct de l'insertion de s
ibles et aller presque à rencontre de la thèse que voulait soutenir l’
auteur
; elle nous inspira le le désir d’étudier la ques
, qui donne de nombreux détails sur ce personnage extraordinaire ; l’
auteur
raconte un grand nombre de faits dont il déclare
ans pouvoir expliquer comment cette connaissance lui parvenait. » L’
auteur
, après avoir raconté comment, à la suite de commu
d’érudition, un style clairet élégant, des récits fort attachants. L’
auteur
, pénétrée de l’importance de sa fonction de somna
ilosophique. On ne peut donc apprécier jusqu’à quel point les anciens
auteurs
étaient sincères quand ils parlaient des oracles
her dans les écrits anciens, des faits bien avérés de lucidité. Notre
auteur
en rapporte quelques-uns, et elle a raison de fai
ne supposent aucune dérogation aux lois immuables de la création. L’
auteur
, en comparant les anciens et les modernes lucides
faire des règlements qui supposent la réalité de cette faculté?... L’
auteur
demande qu’en créant des certificats d'aptitude à
ance des questions, et vous verrez si elles continuent à parvenir à l’
auteur
, quel qu'il soit, des coups. Or, à ma connaissanc
ondaient presque jamais aux nombres demandés ; il était évident que l’
auteur
des coups ignorait la demande et frappait au hasa
ient produits par des moyens dont disposait le médium, et enfin que l'
auteur
des coups n’était autre que le médium lui-même. I
ui écrivent des discours dont ils ont la conviction de n’être pas les
auteurs
; ils peuvent donc, dans cet état et avec une
numéro de la Revue spiri-lualiste qui vient de paraître, M. Matthieu,
auteur
de plusieurs ouvrages estimés sur le spiritualism
ans ces conditions. Autant que possible, je laisserai la parole à l’
auteur
; j’aurai soin, eu égard à la nature du recueil p
iroir magique, est le poëte bordelais Pierre de Brach. M. Dezeimeris,
auteur
d’une fort intéressante notice sur ce poëte, n’a
t, renversant le système de la prévention, il fait du docteur Murât l’
auteur
principal, et de Mm* Berney, son aide, l’instrume
ce des bois, des fantômes se mêlant aux ombres de la nuit. Un autre
auteur
, M. Washington-Irving, dans une notice sur l’Indi
mis, et dans des règles pratiques pour les cas les plus ordinaires. L’
auteur
, qui s’annonce comme un disciple du médium Michel
son fluide métallo-ferrugineux en dominance féminine ou négative. » L’
auteur
, parmi ses moyens de thérapeutique, en indique un
un porte-monnaie avait été dérobé, vint la consulter pour connaître l’
auteur
du vol : elle lui dit que c’était un homme avec l
1 importe de remonter aux principes malheureusement méconnus. Les
auteurs
lu Code pénal, en rédigeant l’art. /i70. ont l'.i
re. J'en dois la connaissance à l’obligeance de M. le docteur Garcin,
auteur
du livre remarquable intitulé : le Magnétisme exp
utte. « Certes, si l’âme n’était autre chose que la force vitale, l’
auteur
de l’article précité aurait raison de dire qu’en
ologistes et des médecins. n Non, nous en demandons bien pardon à l’
auteur
que nous avons osé combattre ici un instant, il e
nds journaux annonçait, il y a quelques mois, que M. Louis d’Assas, l’
auteur
de la Vénus de Milo, venait de mourir subitement.
même de se-prononcer sur cette question délicate, il faudrait que les
auteurs
des relations voulussent bien entrer dans plus de
pulsées, et la malade compte maintenant sur une prompte guérison... L’
auteur
de cet article a eu l’occasion de constater aussi
é des Marses et des charlatans qui trompent la crédulité du public, l’
auteur
ajoute : « Pour celatoutesfois, je ne veux nier
n évident que c’était le médium qui, par un moyen quelconque, était l’
auteur
des coups et qui jouait le rôle de l’Esprit. C’es
passifs dont se servent les Esprits qui seraient alors les véritables
auteurs
des communications, s’ils désirent si vivement pr
nérés ; maisce que l’on sait moins sansdoute, c’est que M. Lemoine, l’
auteur
de l’ouvrage sur le sommeil qui fut dans le temps
nons au seul nom de cet art infernal dont l’esprit des ténèbres est l’
auteur
, et qui doit infailliblement plonger nos âmes pou
i n’existe pas ne peut certainement faire de mal, et le prévenu étant
auteur
de rien, ce rien ne peut engager sa responsabilit
es Mille et une A uitt ; mais la critique est obligée de demander à l'
auteur
à quelles sources il a puisé, sur quels monuments
cet antre redouté pour compulser les pièces du procès? C’est ce que l’
auteur
ne nous apprend pas. Il aurait dû cependant infor
de passer quelque temps dans le pays et d’observer par soi-inême. — L’
auteur
est obligé de dous tracer le portrait du cardinal
e présomption , comme un prélat fastueux, prodigue et libertin (1). L’
auteur
ne peut accorder ce dernier point, et il en donne
re Dumas le fait figurer dans un de ses romans les plus populaires. L’
auteur
nous le dépeint comme un misérable, voleur, escro
comble, et le solsurlequel elles’élève deviendra une promenade... (L’
auteur
annonce) le règne prochain d'uu prince qui abolir
t ce que nous allons examiner. Et d'abord qu'est-ce que la magie? L’
auteur
la définit la science exacte et absolue de la nat
ance et le levier appartiendraient-ils à la magie ? Cet embarras de l’
auteur
fait voir qu’il ne sait pas lui-même en quoi cons
ie, la cause de ses effets, c’est la lumière astrale. Voici comment l’
auteur
la définit. « 11 existe un agent mixte, un agent
on en trouvât la confirmation dans les phénomènes. Malheureusement, l’
auteur
se borne à des affirmations tout à fait dénuées d
druides étaient parvenus à faire du gui une panacée universelle. Si l’
auteur
est bien édifié sur ce fait, pourquoi n’emploie-t
’on néglige un aussi puissant moyen de guérir tous les maux ? Comme l’
auteur
ne cite aucune expérience personnelle, et qu’il n
u de croire qu’il aura adopté de confiance les assertions de quelques
auteurs
ayant écrit plusieurs siècles après la disparitio
plutôt un logogriphe ? Sunt verba et voces, præloreàque nibit. L'
auteur
ne fait pas plus de difficulté d’admettre l’écrit
e avoir trouvé une clef qui ouvre tous les arcanes. C’est ainsi que l’
auteur
du livre intitulé : Comment C esprit vient aux ta
ceux auxquels il applique sa théorie. Dans la partie historique, l’
auteur
néglige d’indiquer'les sources où il a puisé ; et
de poursuites qui, pendant tant de siècles, a ensanglanté l’Europe. L'
auteur
donne pour motif que plusieurs sorciers commettai
et non pas ériger en crimes des faits chimériques ou indifférents. L’
auteur
est obligé de reconnaître que, du temps de Pépin-
extravagantes, suivies en matière de sorcellerie, que le diable est l'
auteur
de tous les phénomènes qui ne s’expliquent pas na
innocents ont péri, victimes de la superstition et du fanatisme ; les
auteurs
de ces infamies méritent l'exécration de la posté
re seulement que c’est un mot qu’il ne comprend pas? h Selon lui, l’
auteur
de ÎIIisloire de la Magie est entaché de supersti
age traite d’une foulede matièresqui, sans doute, dans la pensée de l’
auteur
, sont reliées entre elles, mais dont le lecteur a
médiums et les Esprits forment l'objet principal : pour y arriver, l’
auteur
traite les questions les plus élevées de physique
ineuses de MM. Dubois Damien, Bouillaud, Mabru et tutti quanti. « L'
auteur
de l’article (M. N. Urbain) , racontant un cas de
ce, etquedes spiritualistes modernes cherchent à ressusciter (1). L’
auteur
se prononce nettement en faveur du magnétisme don
en contact, et alors le fluide doit être répudié comme superflu. L’
auteur
dit que le somnambulisme est toujours provoqué pa
, la communication de pensée, la vue du passé et celle de l’avenir. L’
auteur
repousse certaines explications qui lui paraissen
’homme. M. Maoario ne fait pas difficulté de l'admettre ; il cite des
auteurs
généralement estimés, qui l’ont acceptée, et il r
is par des autorités fort respectables, mais il cn'est d’autres que l’
auteur
nous semble avoir accueillis avec trop de facilit
récise et concorde avec l’événement. Parmi les prédictions que cite l’
auteur
, combien peu (même celles des livres juifs) satis
rait infinie, elle serait Dieu. — Poursuivons. Après ces prémisses, l'
auteur
rappelle un fait rigoureusement établi. C’est que
ire les secrets de Dieu. » Ici ce n’est plus de la science que fait l'
auteur
, mais du roman. L’âme qui tend, pour y voir plus
intervenir miraculeusement Dieu ou des êtres surnaturels. Du reste, l’
auteur
, dans une note de la page 233, dit qu’il ne repou
icale est impuissante. El même ce n’est qu’à la thérapeutique que les
auteurs
les plus recommandables appliquent la clairvoyanc
s plus recommandables appliquent la clairvoyance des somnambules. L’
auteur
, frappé des inconvénients qu’oflVe le magnétisme,
oir chez M. Piérart; il y avait, entre autres, M. Gérard, cent-garde,
auteur
d'un petit écrit sur le magnétisme, et une dame q
le sujet d’une magnifique relation pour la Revue spirituuliste, et l’
auteur
n’aurait pas manqué de tancer vertement l’incrédu
tes qui expriment la concentration de volonté la plus énergique que l'
auteur
ait jamais vue, telle enfin que la langue anglais
dresse ou à celle de mes collaborateurs. M. Morin, notamment, a été l'
auteur
de ces critiques et de ces insinuations, vos lect
uant aux glandules de la base de la langue, on signale bien, dans les
auteurs
, de l'hypertrophie des papilles de la base de la
a échappé à l'action du mélange, on fait une nouvelle appli¬cation. L'
auteur
assure que ce moyen n'est nullement douloureux, q
. Ces aspects si variés du rhumatisme ont été considérés par quelques
auteurs
comme des affections différentes. M. Charcot ne v
il n'y a de longueurs,de digressions inutiles, habituelles à^certains
auteurs
, qui paraissent surtout désireux de fabriquer de
par la migration des concrétions polypiformes, ont amené la mort. L'
auteur
de cette observation, M. Habran, a pris matin et
ettre sous les yeux de nos lecteurs le tracé sui- vant obtenu par l'
auteur
. Il complète les détails cliniques que nous avons
de faire ressortir l'idée qui a présidé à l'œuvre. Dans ces leçons, l'
auteur
a élucidé les principales maladies du cœur, et, p
rifice aortique. Généralement ces points sont bien élu¬cidés dans les
auteurs
classiques; il en est de même ici, et nous signal
ous préférons insister sur la cinquième et dernière Leçon, celle où l'
auteur
établit un parallèle entre les maladies des diver
ssion que nous a laissée la lecture de cet ouvrage, nous dirons que l'
auteur
a toujours été très-clair dans le cours de ses Le
nt pour ob¬jet la pathologie chirurgicale. 11 est juste que les trois
auteurs
qui se livrent simultanément à la publicité subis
ns pas l'utilité d'une semblable publication, à moins toutefois que l'
auteur
n'ait voulu détruire l'œuvre ancienne pour la mod
nce ; une tache cependant doit être signalée : c'est, de la part de l'
auteur
, le bannissement et la proscription de l'écraseme
clairement exposées dans le livre de M. Fano : le cadre dans lequel l'
auteur
s'est renfermé ne lui a pas permis de traiter d'a
s avec les courtes données du manuel. — Mais arrêtons-nous, puisque l'
auteur
s'est imposé des limites que la critique doit Res
Le plan général du livre est celui-ci : étant donnée une région, l'
auteur
, selon l'importance du lieu anatomique, décrit ou
cum qui ne sont, à vrai dire, que des tables alphabéti¬ques dont leur
auteur
devrait rougir d'avoir signé le bon à tirer. De t
sumé, l'esprit du traité de pathologie chirurgicale de Roser, que son
auteur
appelle avec raison chirurgie anatomique est un l
édents comme rédaction, et son utilité ressert du plan lui-même que l'
auteur
a conçu. La Rédaction. Le Gérant : a. de montmé
cachet scientifique qui caractérise l'œuvre dont nous parlons. Son
auteur
a choisi les difficultés de l'anatomie humaine et
ur sont affectées. De là le nom d'anatomie iconologique donné par l'
auteur
à son ouvrage. La région du larynx vient de par
ehors de ces connaissances déjà bien vieilles, tant la science de l'
auteur
sait se mettre à la portée de tous. Les trois d
ts de M. Magitot, sur la carie dentaire. Dans l'un de ces mémoires, l'
auteur
démontre que la carie est un phé¬nomène purement
épartement voisin, celui de la Dordogne. Un troisième travail du même
auteur
contient Panatomie normale et pathologique des di
ferme encore une étude de M. Prévost sur l'action de la vératrine : l'
auteur
fait voir quels sont les caractères qui permetten
rganiques du cœur et. sur la pathogénie de l'hémiplégie puerpérale. L'
auteur
déduit de ses observations l'existence d'une form
os ? C'est une question souvent et longue¬ment traitée par beaucoup d'
auteurs
, sous les appellations sui¬vantes : de la persist
es et voulus dans le Répertoire d'optique moderne de l'abbé Moigno. L'
auteur
y mentionne les recherches si connues de Plateau.
OLOGIE ECZÉMA DES PARTIES GÉNITALES PAR A. DE MONTMÉJA Dans les
auteurs
qui ont écrit sur les maladies de la peau, on tro
a eu ou non des phénomènes convulsifs ; mais nous aurons recours aux
auteurs
. M. Delasiauve a résumé2 quelques cas que nous al
avons enu¬meres disparurent comme par enchantement. En terminant, l'
auteur
a raconté en quelques mots l'histoire d'un médeci
liquer par des théories plus ou moins ingé¬nieuses. Le but de notre
auteur
n'est point de créer ici une nouvelle théorie ; c
et l'aphasie, de même que les phénomènes paralytiques, dis¬parut. L'
auteur
ne s'est pas borné à cette simple constatation, q
la parole que peuvent présenter les aphasiques? Quoi qu'il en soit, l'
auteur
a recherché tous les cas d'aphasie syphilitique,
pathologiques exactes et précises nous font encore défaut. Mais si l'
auteur
a dû, en cette circonstance, être nécessairement
oir exposé avec soin ses observations, ainsi que celles de beaucoup d'
auteurs
sur le même sujet, et d'a¬voir, par là, attiré l'
che, on voit qu'ils se rapportent parfaitement à ceux décrits par les
auteurs
dans les inflammations chroniques des gaines syno
e l'écorce de grenadier, avaient échoué. " Le 13 novembre 1862, dit l'
auteur
, je lui fis prendre chaque jour cinq pilules cont
s'en ser¬vir1. ) Ajoutons enfin que, contrairement à la plupart des
auteurs
que nous venons de citer, Debout ne préparait pas
11 nous semble hors de doute, contraire¬ment à l'opinion de quelques
auteurs
, que le tœnia est capable de produire des acciden
s fractures. C'est sans doute en raison de ses études spéciales que l'
auteur
a pensé, en réunissant Jes observations des diffé
e grande valeur et qui ont fait plusieurs fois leurs preuves. Notre
auteur
divise les moyens d'immobilisation directe en six
l'appareil de Morel-Lavallée que M. Bérenger-Féraud, avec beaucoup d'
auteurs
très-recommandables, donne la préférence pour le
frac¬tures ; cependant il a réussi entre les mains de M. Sédillot. L'
auteur
en parle peu longuement. Il n'en est pas ainsi du
s de fractures compliquées de plaies ou irréductibles. Bien entendu l'
auteur
ne la prône pas outre mesure et ne la recommande
ts concernant l'histoire des résections. Nous remercions vivement l'
auteur
d'avoir écrit ce livre destiné, à notre avis, à r
t le monde ; mais nous allons résumer briève¬ment ceux qu'a publiés l'
auteur
allemand. f. Empoisonnement de quatre hommes pa
sans toutefois y parvenir. "Après un quart d'heure d'attente , dit l'
auteur
, le quatrième ma¬lade eut des vomissements copieu
chacun en retirera grand profit. Passons au chapitre V, dans lequel l'
auteur
se basant sur les faits cliniques et pathologique
l'estomac. Selon lui, cette maladie, non étudiée sépa¬rément par les
auteurs
français, est loin d'être rare; mais l'obscu¬ r
père et la mère de notre malade (20 et 54 ans), à laquelle différents
auteurs
attachent une véritable importance, n'est pas ass
rature et du pouls après l'accouchement ; de la fièvre de lait. Les
auteurs
qui ont étudié la marche de la température chez l
vec ceux que Winckel a notés dans quarante accouchements normaux. Cet
auteur
a remarqué que, pen¬dant chaque travail régulier,
en Allemagne pour voir quelles lacunes regrettables existent dans nos
auteurs
français. Le livre de M. le professeur de Trœltsc
ns auriculaires sont fort intéressantes. Comme moyen de traitement, l'
auteur
ac¬corde une préférence presque exclusive aux inj
avail ; nous ne pouvons, de prime abord, partager l'enthousiasme de l'
auteur
, mais notre devoir est de signaler les points pri
nsilles surtout, etc. Ainsi compris, ce sujet porte naturellement l'
auteur
à développer brièvement plusieurs questions impor
a conclusion des leçons précédentes. Comme les premiers ouvrages de l'
auteur
, ce dernier est très-clair et d'une lecture facil
les maladies cutanées réclamant l'emploi d'une médication interne. L'
auteur
insiste dans sa préface sur la division des affec
'avantage qu'on retire de l'arsenic dans le traitement des dartres, l'
auteur
continue : " Nous rappel¬lerons ici, sans y insis
uses fortes aggravent les manifestations cutanées de l'arthritis. » L'
auteur
accorde dans certains cas d'arthritis quelques ve
faire comprendre l'esprit dans lequel il a été écrit et montrer que l'
auteur
distingue dans le traitement des affections chron
ui ne fait que modifier la lésion et aider le traitement général. L'
auteur
se croit dans cet ouvrage obligé de revenir sur l
nt des maladies de la peau, mais elle n'est pas acceptée par tous les
auteurs
, et en particulier par M. Hardy. D'ail¬leurs il f
rne des hôpitaux de Paris. In-8° de 64 pages. Paris, A. Delahaye. L'
auteur
, que nous avons l'avantage de compter parmi nos c
tion si effrayante et les circonstances multiples mentionnées par les
auteurs
ne donnent pas la raison de la prodigieuse quanti
s cas de tétanos traités par le chloral. Dans deux de ces cas, dont l'
auteur
ne fait, du reste, qu'une simple men¬tion, il s'a
joutent, du reste, à d'autres cas, déjà nombreux, disséminés dans les
auteurs
. Nous en rappellerons quelques-uns d'après MM. An
dans ce cas, ne nous paraît attribuable qu'à la montée du lait, car l'
auteur
, malgré l'examen le plus minutieux, n'est par¬ven
mbre d'observations recueillies et discutées avec beaucoup de soin, l'
auteur
nous parait avoir prouvé d'une manière incontesta
yen de transmission du charbon d'un animal à un autre, et d'après ces
auteurs
, la pustule maligne ne viendrait pas d'une autre
nées les unes des autres ; peut-être aussi, comme le fait remarquer l'
auteur
, le lavement d'eau-de-vie a-t-il eu une influence
ant plus spécialement sur un point, la température. On sait que les
auteurs
, et tout récemment M. Hervieux (Traité clinique e
la température. Voici, tout d'abord, quelques notions empruntées aux
auteurs
. Comme le pouls, " la température s'élève, écri
marche de la température dans la péritonite puerpérale généralisée. L'
auteur
aurait pu être plus précis si, en notant dans ses
de médecine clinique). cette particularité a déjà été notée par les
auteurs
. Ainsi Oscar Wolf (de Hanau) a établi par l'analy
s plus authentiques, respectant la couleur que leur donnèrent les
auteurs
contemporains qui nous les ont relatés, et nous r
tre abominable toujours fatalement voué îi la perdition des âmes. L’
auteur
de la Science chrétienne de communiquer avec les
on de Loudun, marqué z'm, n° 1016, petit in-4° ; — 6° Apologie pour l’
auteur
de l'examen de la possession des religieuses de L
les faits et en rire. Il est curieux do voir avec quel sans-façon ces
auteurs
parlent des choses les plas sérieuses. Morin, dan
ologie de Mathurin Picard que paraît avoir beaucoup consulté Dibon. L
auteur
de cetto apologie, le cuné Laugcols était le succ
des aveux précieux et incroyables en présence des conclusions dont l’
auteur
le fait suivre. Ces citations sont de nature à éd
hez Bela Marsh, 14, Brom-field, Boston.) La probité et le mérite de l’
auteur
sont admis par l'adversaire juré et officiel du s
ours d'une polémique qui s’est engagée au sujet de cet écrit eatre. l’
auteur
et le Courrier, M. Woodman a produit les certific
magnétisme, du somnambulisme, des tables tournantes et parlantes. L’
auteur
est un catholique fervent, qui est favorisé des v
occasion qu’il y trouvait de soutenir seul un paradoxe bien étoffé. L’
auteur
passe ensuite au récit de ses expériences personn
ouve dans la justesse de ces réponses la preuve lu’elles avaient pour
auteur
une intelligence, et il croit pou- papier : ell
res invisibles. Une des circonstances qui paraît la plus probante à l’
auteur
, c est qu’une table aurait dicté quatre mots qu’i
elle de ces langues appartenaient les quatre mots en question. Mais l’
auteur
avoue (page 84) qu’il connaissait très-peu les pe
composer une phrase de quatre mots. Ce qui prouve qu’aux yeux de l’
auteur
lui-même ces expé-riences de tables sont insuffis
ose que de converser avec lui-même, et qu’il est le seul et véritable
auteur
de tout ce qu'il se figure lui être dicté par des
e l’esprit d’un mort. Certes, il y aurait de la cruauté à enlever à l’
auteur
une illusion qui le rend heureux : mais du moment
de Constantinople, avait brûlé la flotte turque, et que le fils de l’
auteur
avait été blessé dans un combat de terre : l’espr
it avait donc fabriqué un affreux canard. Dès lors sur qui compter? L’
auteur
s’adresse à son amie qui, toujours par l’écriture
ture et parlait en son nom. Comment, après de pareilles déceptions, l’
auteur
peut-il se flatter de reconnaître l'identité d’un
nt avoir de valeur que par elles-mêmes, et abstraction faite de leurs
auteurs
vrais ou supposés. M. Girard, une fois entré en
au-dessus, ces communications prennent le caractère de révélations; l’
auteur
a donc à sa disposition un oracle infaillible, do
révélations, on voit qu’elles ne sont que le reflet de la pensée de l’
auteur
, qu’elles s’accordent toujours avec scs opinions
rtant personne ne prétend que ce soient des esprits qui en soient les
auteurs
-, à peine éveillés, quand nous nous rappelons le
raison. Si les communications spirituelles avaient réellement pour
auteurs
les personnages auxquels on les attribue, on devr
l faut croire dès lors qu’il s’abuse et que, sans s’en douter, il est
auteur
au moins de la forme. Dès qu’on se trouve ainsi a
’y a pas de raison pour ne pas admettre qu’il puisse également être l’
auteur
du fond, et que, par conséquent, au heu d’être le
ses propres forces, et qu’il ne faut pas chercher en dehors de lui l’
auteur
de ce qu’il écrit ?... M. Girard consacre un ch
de M. de Mirville et croit, comme lui, que c’est le diable qui est l’
auteur
des phénomènes magnétiques et som-nambuliques. No
utons qu’il obtienne le succès que devrait lui assurer le mérite de l’
auteur
. Les hommes de science y verront un livre de dévo
endant, pour cette biographie de Grandier, on ne saurait douter que l’
auteur
ait eu des prétentions à la gravité historique; a
t ainsi que les a compris, et, selon nous, avec une grande vérité, un
auteur
moderne, dont nous sommes loin d’ailleurs d’adopt
es, le Morniwj Advertiser, vient enfin d’être divulgué par M. Catlin,
auteur
d’un ouvrage intéressantsurles Américains du Nord
Mais on ne put recueillir aucun renseignement. Un ami de Jules, un
auteur
dramatique très-spirituel, voulut que l’on consul
ux esprits. Je crois pouvoir admettre, contrairement à l’opinion de l'
auteur
de cet article, la possibilité de tels faits qui
es qui ait été publié siir cette matière. Dans une première partie, l'
auteur
constate la réalité des faits spiritualistes dans
s (et il y en a toujours beaucoup), laissons-le parler lui-même : « L’
auteur
étant toujours à la recherche d'une preuve intell
aible prière. Un beau jour, c’était le 1" août 185(5, l’idée vint à l'
auteur
d’essayer si les esprits pouvaient écrire directe
morceaux de papier, et qui ne paraissaient pas provenir du médium, l’
auteur
a voulu constater la réalité d’un phénomène dont
ouronnée chaque fois d'un succès complet. «Le lendemain, li août, l’
auteur
fit de nouveau une vingtaine d’expériences en lai
t la boîte ouverte et en ne la perdant pas de vue ; c’est alors que l’
auteur
voyait que des caractères et des mots dans la lan
gravés sur le papier, sans que le papier bougeât. Depuis ce moment, l'
auteur
, voyant l’inutilité du crayon, a cessé de le mett
périences faites dans les différents cimetières de Paris. Du reste, l’
auteur
n’aime guère les cimetières, la plupart des espri
aux endroits où repose leur dépouille mortelle. » C’est ainsi que l’
auteur
a obtenu des écrits signés de Platon, Virgile, Ci
doctrine nouvelle, la pnenmatologie moderne; mais l’enthousiasme de l’
auteur
le conduit certainement trop loin, lorsqu’il en a
eur que nous reprochons à M. de Guldenstubbé lui est commune avec des
auteurs
dont il ne partage pas d'ailleurs les tendances,
américain de fléau ; il redoute le retour des dieux du paganisme. Cet
auteur
ne soupçonne pas que la plaie morale de notre soc
qui tous admettent les. mauvais esprits, il n'est pas possible que l’
auteur
rejette cette dernière croyance. Nous sommes donc
heux (et ce regret s’étend à toute la deuxième partie du livre) que l’
auteur
se borne au rôle ingrat de rapporteur, qu’il ne p
eut pas lais.-.cr l'esprit du tuteur dans une indécision pénible. L'
auteur
termine le chapitre sur l’immortalité de l’âme en
ressante la découverte dont nous parlons, et à propos de laquelle son
auteur
vient d’ouvrir une souscription. Une fois que le
mposée de six personnes, a été nommée pour examiner ce procédé, que l’
auteur
lui a confié, après que ohaque membre s’est engag
ionnel au moyen duquel les personnes présentes s’entretiennent avec l’
auteur
mystérieux des coups. M. Matthieu, qui a publié p
ie positive et expérimentale, par le baron Louis de Guldenstubbé. Cet
auteur
assure avoir obtenu de l'écriture directe e» immé
au surnaturel. M. Allan Kardec, directeur de la Revue spirite, est l'
auteur
de l’ouvrage remarquable intitulé le Livre des Es
ésentés comme l’œuvre des esprits qui les ont dictés aux médiums. Les
auteurs
paraissent animés d’une conviction parfaite et d’
ux qu’on puisse reproduire à volonté, que les esprits qui en sont les
auteurs
agissent quand bon leur semble et ne sont pas à n
entendaient. « Un homme de service à l’hôpital, soupçonné d’être l’
auteur
de ces espiègleries, vient d’être renvoyé. Mais o
nge et portant l’empreinte des mauvaises passions qui font agir leurs
auteurs
. Comme les esprits incarnés attirent et appellent
ier fera ressortir une inconséquence de première force que commet cet
auteur
, inconséquence qui consiste à attribuer au diable
ication. Si notre confrère de L’Union magnétique est bien informé , l’
auteur
aurait changé son nom français contre un nom arab
l’intelligence et faire naître des facultés exceptionnelles; puis, l’
auteur
nous fait part d’un procédé qu’il a découvert pou
isme, et qui fait la base du système d'électro-biologie. Seulement, l’
auteur
s’abuse étrangement s’il se figure pouvoir aussi
par de pareils procédés, ne forment qu’une minorité. Nous ferons à l’
auteur
un reproche plus grave. Pourquoi cet attirail de
r vie semble en danger. (La Patrie du 10 avril.) M. Allen Putnam,
auteur
de plusieurs ouvrages estimés sur le spiritualism
e mesmèrism e est la clef qui ouvre plusieurs chambres du mystère). L’
auteur
y rapporte à une môme cause les divers phénomènes
els et bons dans leur principe ces phénomènes du moyen-âge, que leurs
auteurs
eux-mèmes attribuaient positivement aux démons ?
er aux plus grands excès contre des gens parfaitement innocents, mais
auteurs
présumés des souffrances ressenties. Les sorts, l
thèses pour expliquer les faits magnétiques, nous aurions voulu que l’
auteur
, au lieu d'une simple nomenclature, indiquât en p
la même Société qui l’a accueillie de la manière la plus favorable. L’
auteur
est un champion énergique du fluide ma-gnétiqne ;
rives du monde magnétique. » Cédant aux exhortations de ses amis, l'
auteur
, séance tenante , lit son manuscrit. Nous le publ
est un jongleur. 11 était ivre, je le pense, Lorsque Mabru se fit
auteur
. Réservons-lui force rasades, On dit qu'il aime
des merveilles apocryphes et des hâbleries si communes chez quelques
auteurs
: c’est par ce travail critique qu’on arrivera à
uvent du témoignage de la science ou d’une raison saine?... » Ici l’
auteur
se met en contradiction avec lui-même, puisqu’il
Bodin, Bodin le sorcier, ou au moins le croyant aux sorciers, Bodin l’
auteur
du livre de la Dànonomanic, Bodin attaqué à tort,
de la Démo-nomanic un caractère particulièrement fâcheux, c’est que l'
auteur
emploie tout un long volume à en démontrer la réa
, mais interprétés le plus souvent dans un déplorable esprit (2). Cet
auteur
constate d’abord, avec Dom Calmet, que ni les Héb
c la troupe lubrique des faunes et des satyres? Quand on lit dans les
auteurs
païens, ainsi que dans saint Clément d'Alexandrie
croit assister au sabbat nocturne de Satan, tel que l’ont décrit les
auteurs
du moyen âge ; on croit voir les accouplements ho
ts qui viennent, pendant la nuit, troubler le repos des hommes. » L’
auteur
poursuit ses recherches chez les peuples anciens,
ue. Mais, sous ce rapport, les idées fâcheuses et erronées de notre
auteur
sont loin d’être disparues. MM. de Mirville et de
éditeur lui communiqua le livre de Lan dis par Jean Wier, Medemi. Cet
auteur
réclamait l’adoucissement des peines prononcées c
nnes s’assemblent pour prier en son nom, il sera au milieu d’elles, l’
auteur
en conclut que les hommes, en unissant religieuse
l’aide des fluides, mais non par ma volonté seule. 11 y a donc chez l’
auteur
contradiction au moins apparente, et qui peut-êtr
que nous n’avons pas besoin de rêver des conditions fantastiques. L’
auteur
, 11e traitant des tables tournantes que d’une ma-
Le livre commence par une prolixe et fastidieuse introduction où l’
auteur
parle de tout et de beaucoup d’autres choses enco
avec bonne foi quand il a compris, dans ses citations, des extraits d’
auteurs
qui notoirement ne se sont jamais occupés de magn
viol et aux attentats aux mœurs. Aussi, malgré toute l’attention des
auteurs
[de traités spéciaux, chaque affaire présente-t-e
it être méconnue, à M. Devergie, médecin de l’hôpital Saint-Louis, et
auteur
du Traité de Médecine légale. Voici la réponse éc
érialisme théorique et pratique; par le docteur Wit- TEAUT (t). L’
auteur
de ce livre s’est proposé de combattre le matéria
magnétisme à Nice, rédacteur en chef du journal La Luce magnetica, et
auteur
de plusieurs bons ouvrages, a publié récemment un
rt utile aux personnes qui veulent commencer l’étude du magnétisme. L’
auteur
traite avec talent, et d’une manière succincte, l
En effet, que de systèmes divergents préconisés tour à tour par les
auteurs
de doctrines médicales. Celui-ci, semblable à D
ur vos pensées et sur votre raison, nous vous dirions, laissez-là cet
auteur
, ne vous en occupez point, car il est pris d’une
ui nous apprendre cetémrasige événement. Vôici quelques détails sur l’
auteur
du livre. Jcftin Wright était charpentier à Lee
s dont des poètes et des musiciens vous présentent les tableaux ; les
auteurs
de la Dame blanche, pfus scrupuleux que ceuX’d'Oü
rtait les capitalistes à vendre à tout prix. Qu’enfin la prophétesse,
auteur
de tout ce grabuge , a été arrêtée par la police.
ur ne pas s’inquiéter des négations qui demeurent tôt ou tard à leurs
auteurs
comme une tache, un signe de faiblesse d’esprit o
juger deux époques si différentes du même point do vue ! ( .Voie ,U l'
auteur
. ) Disons-le donc tout de suite, nous entendo
arque dans la lucidité électrique. « Les somnambules lucides, dit cet
auteur
, possèdent la faculté prodigieuse de voir à trave
ui ne peuvent être mauvais en eux-mêmes. » Voici un pieux et savant
auteur
dont l’ouvrage n’est pas moins estimé que connu e
action nerveuse et des phénomènes de la vie (Paris, 18i3). Ce dernier
auteur
no saurait être suspect, puisque, dans tout son o
qui dans mes travaux aurait pu être jugé avec quelque sévérité. » L’
auteur
fait suivre son récit de réflexions fort intéress
lume, les faits les plus saillants que présentent à ce sujet bien des
auteurs
. M. le docteur Brière de Boismont a cherché à com
es. Nous allons mettre en saillie un nouveau fait négligé par ces
auteurs
, qui viendra grossir ce curieux inventaire. Il es
ctobre et novembre 1838). M. le comte Beugnot, ancien ministre, est l’
auteur
de ce récit ; il fait partie de ses mémoires inéd
fois toutes les deux heures pendant encore trente heures. Nota. L’
auteur
E. W. H. Beck, D. M., termine son intéressante et
une plaisanterie, et chacun se mit en observation pour en découvrir l’
auteur
. Un des locataires prit le soin de dépolir une vi
ur le prier d’envoyer des agents sur les lieux afin de rechercher les
auteurs
de tout ce tapage. Vertu magique du mot police 1
le mystère n’est pas parfaitement éclairci. On n’a pas découvert les
auteurs
des faits ni leurs procédés. Rigoureusement on ne
tion peut être d’un grand intérêt ; mais ori ne voit pas ‘ pourquoi l’
auteur
a inscrit en tête de son ouvrage le nom de M. Mab
s les cas les plus ordinaires. Quant aux idées systématiques de l’
auteur
, il se borne en général à les énoncer, sans entre
ecteur se trouve plus avancé et voie plus clair dans la question. L
auteur
, à la suite d'observations peut-être un peu super
re de cet ouvrage est très-attachante, et dans plus d’un passage où l’
auteur
dépeint l’influence des> êtres moraux les uns
ujours par les découvrir. Depuis quelques mois, M. R..., de Lyon, l’
auteur
de cette communication , l'a pris à son Bervice.
it, démagnétisait en faisant les passes 'ordinaires indiquées par les
auteurs
, et on éprouvait de la difficulté surtout pour la
ique ont été toujours mal venns et qu’on a su un très-mauvais gré aux
auteurs
Te ces essais. Pourtant, c’est un devoir sacré po
s’il plaisante ou s’il parle sérieusement. — De temps en temps, les
auteurs
dramatiques introduisent le magnétisme au théâtre
charge de tribun militaire. C’est lui qui joue le principal rôle ; l’
auteur
semble avoir fait ses efforts pour attirer sur lu
rner, parmi ses visions, le vrai du faux. Le tableau que nous trace l’
auteur
, est ddtac tout à fait fantastique : on ne cite p
ation d’une relique, etc. Ce sont bien là des miracles : mais comme l’
auteur
raconte aussi des prodiges appartenant, les uns à
r ne sait où on veut le conduire ni en quoi consiste la doctrine de l’
auteur
. Terminons en quelques mots l’analyse du roman.
brochure avec plaisir. Nous y avons remarqué un document curieux : l’
auteur
assure que parmi les ouvrages anciens, dans lesqu
magnétisme est resté pour les frais du libraire, mais qui valut à son
auteur
toutes les faveurs de l'Académie : il en est enco
s religions naturelle et révélées. Dans cette première publication, l’
auteur
se livre à des considérations générales sur la na
n à une distante de quelques décimètres ; ce mouvement, que plusieurs
auteurs
avaient cru pouvoir attribuer à l’action du fluid
ces résultats à sa volonté, à son énergie, à sa persévérance. » L’
auteur
, par le choix de cet exemple, semble s’en tenir a
mouvement, aussi bien que la vie du monde organique. Or, suivant l’
auteur
, indépendamment des manifestations connues de la
ications. Gomme la première condition pour contrôler les dires de l’
auteur
, c’est d’avoir des sujets sensitifs, nous avons,
ais dans l’introduction que vient de reproduire X Ami des sciences, l’
auteur
11e mentionne plus le procédé d’appréciation des
l'imagination. — Le Spiritual Telegraph emprunte au docteur Comstock,
auteur
de l’ouvrage intitulé : longue of Time, l’anecdot
, et il ne craignait plus ni mort ni maladie. « L’imagination , dit l’
auteur
, peut tuer comme elle peut guérir, et il n’est pa
extrayons le passage suivant, qui résume la méthode préconisée par l’
auteur
sous le titre de Système Perroquet : « La tête
s six mois d’essais, j’ai obtenu tous les phénomènes dont parlent les
auteurs
. Ces essais ont été faits, non sur des sujets
s pourfendeurs de magnétistes : « Les bruits les plus intenses, dit l'
auteur
en parlant des sujets anesthésiés, les odeurs les
les dispositions morales des assistants, ne peuvent prétendre que les
auteurs
(qjiels qu’ils soient) des phénomènes choisissent
309, 329, 385, 520, 524, 550. Démonomanie. Plaidoyer pour Bo-din, l'
auteur
du livre de la Démonomanie, contre MM. Baudrillar
théorique et pratique, par le docteur Vitteaut. Examen des idées de l’
auteur
, en ce qui concerne le magnétiame et le ta-bulism
té précédé dans cette voie par Canstatt, en Allemagne ; on doit à cet
auteur
le premier traité, dogmatique qui ait paru sur le
montré pour la fièvre typhoïde, Murchison pour le typhus, et d'autres
auteurs
pour diverses maladies (1). Qui ne sait, d'ailleu
en Lent., in Arc.hiv fur Physiol. Heiluknde, Bd III, Ileft. 1859. Ces
auteurs
rapportent des exemples frappants de fièvre typho
n passage où il s'est fait l'é-cho de l'opinion exprimée par tous les
auteurs
spéciaux qui l'ont précédé, la fièvre se caractér
es phéno-mènes accessoires de l'état fébrile sont tous, selon le même
auteur
, plus ou moins profondément modifiés. En somme, l
fébrile. John Hunter est, dans le siècle passé, à peu près le seul
auteur
qui ait répondu à cet appel. Mais, de nos jours,
de lithique, que nous appelons l'acide urique aujourd'hui, beaucoup d'
auteurs
ont supposé que dans le cours de la goutte ce pri
e faire l'autopsie d'un goutteux se présente rarement en France ; les
auteurs
anglais sont mieux partagés sous ce rapport, et i
ns la néphrite goutteuse proprement dite : c'est le rein goutteux des
auteurs
anglais. Signalée par M. de Castelnau en 1843, el
ite interstitielle qui correspond au rein goutteux (gouiy kidney) des
auteurs
anglais. Elle est caractérisée surtout par un é
dernier produit qui seul se trouve dans les urines. Messieurs, les
auteurs
de divers traités sur l'ornithologie vous apprend
uleurs se mon-trent brusquement sous forme d'élancements (twinges des
auteurs
anglais) ; elles sont, pendant l'absence des flux
dégouttes atonique, asthénique, qui lui sont appliquées par. quelques
auteurs
. En effet, un affaiblissement prononcé, une tenda
uoe ex quibus), et depuis ce dernier jusqu'à Lorry, un grand nombre d'
auteurs
se sont attachés à décrire les transformations de
larvée, mal placée, rétrocédée, qu'on rencontre à chaque pas dans les
auteurs
; et pour conserver à cet ordre de faits morbides
qui semble s'être déplacée ; mais c'est à peine s'il existe dans les
auteurs
quelques faits bien authentiques pour corroborer
n doit un traité de l'asthme, en rapporte aussi un cas. 2° Quelques
auteurs
anciens décrivent une pleurésie gout-teuse. Il es
ici d'une coïncidence fortuite. Toujours est-il que, d'après le môme
auteur
, ces deux affections peuvent coexister, sans exer
thèse sur l'urémie. C. La goutte vésicale a été signalée par divers
auteurs
: Scudamore en a parlé, et Todd s'est attaché à e
uréthrite goutteuse, avec écou-lement de pus par l'urèthre ; mais les
auteurs
(et Scudamore en particulier) ne s'en sont-ils pa
nt quelquefois dans le cours d'un premier accès de goutte ; plusieurs
auteurs
l'ont observée après lui ; mais de toutes les mal
ique de la goutte, et présentant des tophus (6). p. 248. 3e Bd. — L'
auteur
attribue à l'ossification artérielle la gangrène
fisante. Mais il est probable que le problème est plus complexe que l'
auteur
anglais ne paraît le supposer ; la erase du sang
e ces deux maladies se rattachent à des causes tout opposées. Mais un
auteur
allemand, Stosch (de Berlin) qui publiait en 1828
que survenu après la cessation de la goutte; il cite à ce propos deux
auteurs
anglais Whytt et Fraser. Deux ans plus tard, Neum
dépôts d'urate de soude dans le parenchyme du rein (gouty kidney des
auteurs
anglais). Enfin, chez les goutteux il peut existe
Pathologie historique de la goutte. — Antiquité de cette maladie. —
Auteurs
qui en ont signalé l'existence. Diminution actuel
la goutte n'a guère perdu de terrain depuis cette époque (1) ; et les
auteurs
du Bas-Empire, Actuarius, Démétrius Pépagomène, e
e faut point oublier cependant que les indications que présentent les
auteurs
de cette époque n'offrent pas toujours une valeur
que nous a léguées l'antiquité avec celles que nous trouvons dans les
auteurs
modernes, pour se convaincre qu'au point de vue c
peine indiqué l'existence du rhumatisme articulaire; aussi plusieurs
auteurs
le considèrent-ils comme une maladie nouvelle, ou
te peut se développer spontanément ; des faits rapportés par tous les
auteurs
le démontrent, et j'ai rencontré moi-même des cas
dité. — La définition de la goutte, telle que l'ont formulée tous les
auteurs
modernes, comprend toujours la notion d'hérédité.
uence vraiment remarquable de ces boissons est recon-nue par tous les
auteurs
anglais, à commencer par Scu-damore ; il nous app
ée, on vif affluer de toutes parts des documents à l'appui. Parmi les
auteurs
antérieurs à Garrod, on peut citer Musgrave, qu
analogues (1). Depuis la publication du livre de Garrod, plusieurs
auteurs
anglais ont signalé des faits de ce genre : nous
les anciennes idées se manifeste à partir de l'époque de Gullen. Cet
auteur
célèbre soutient que l'existence d'une matière mo
En France, la goutte n'a été étudiée que par un nombre restreint d'
auteurs
; mais ceux qui se sont occupés de cette question
st l'origine, quelles sont les sources de l'acide urique excrété? Les
auteurs
ne sont pas d'accord sur ce point. A. — La théo
ens. Quant aux effets d'une alimentation purement animale, tous les
auteurs
, depuis Lehmann, s'accordent sur ce point. Il se
uinzième environ par rapport à la population totale. La plupart des
auteurs
qui ont spécialement étudié cette maladie, ont pu
ue à la-quelle j'adhère pleinement, mais que n'admettent pas tous les
auteurs
. Parmi les adversaires de l'opinion que je sout
des aspects variés et tellement opposés en apparence, que plu-sieurs
auteurs
ont cru avoir sous les yeux plusieurs affections
citer qu'un seul exemple, il nous suffira de vous dire que plusieurs
auteurs
admettent volontiers que le rhuma-tisme noueux n'
progressif. C'est le rhumatisme goutteux, ou rhumatisme noueux des
auteurs
; la goutte asthénique primitive, de Landré-Beauv
de vascularisa-tion des cartilages, qui ont été signalés par certains
auteurs
, s'expliquent de cette manière. J'ai pu constater
ste à discuter une question qui a été diversement résolue suivant les
auteurs
. La fièvre est-elle subordonnée aux arthropathies
-tisme aigu ; d'ailleurs tous les liquides de l'économie, d'après cet
auteur
, se feraient remarquer par une acidité-prononcée;
les est assez rare ici pour avoir été révoquée en doute par plusieurs
auteurs
; et l'on peut dire que plus la maladie a de la t
uite à toutes les tuniques des vaisseaux; mais d'après la plupart des
auteurs
, il ne se continue qu'avec leur membrane interne.
ordinaire-ment par la gangrène. Watson, Tufnell, et plusieurs autres
auteurs
en ont rapporté des exemples dans l'endocardite r
e le taux normal de l'acide urique n'était pas aug-menté : du moins l'
auteur
garde le silence sur ce point. B. Au point de v
ltérieurement la forme chronique : cette opinion sou-tenue par divers
auteurs
peut être vraie dans quelques cas. M. le Dr Bail
d'abord, a reçu un grand nombre de dénominations diverses suivant les
auteurs
. Lorsqu'il siège à la hanche, on l'appelle Morbus
e été suffisamment décrite, et qu'on trouve à peine indiquée dans les
auteurs
. La plupart des médecins la confondent avec la go
orme de rhumatisme sous le nom de nodosités d'Heberden, parce que cet
auteur
est le premier qui ait senti qu'il fallait sépare
son influence est in-contestable. — Statistiques empruntées à divers
auteurs
. — Age. — La période classique du rhumatisme aigu
m de maladie articulaire (articulorum passio). Baillou est le premier
auteur
qui ait signalé le rhumatisme comme une maladie à
ons de Boerhaave. Le silence des anciens a fait supposer à quelques
auteurs
que le rhumatisme n'existait pas avant les temps
ci la fré-quence de la transmission héréditaire : malheureusement ces
auteurs
ont confondu le rhumatisme avec la goutte. Mais F
ez des enfants de cinq à dix ans ; et, d'après West et la plupart des
auteurs
, les maladies du cœur sont plus fré-quentes chez
our leur pro-pre compte (I ). VII. Fonctions utérines. — Tous les
auteurs
ont reconnu l'in-fluence exercée par les fonction
petites doses est indiqué, d'après Watson, Holland et quelques autres
auteurs
. Mais c'est là une question qui nous paraît encor
tures, que ce médicament a été employé par Bardsley : mais les autres
auteurs
que nous venons de citer en ont surtout fait usag
-des qui ont été préconisés contre le rhumatisme chronique par divers
auteurs
, ou que nous avons expérimentés nous-mê-mes. Nous
1868.) Qu'est-ce, en effet, que la fièvre? A cette question tous les
auteurs
répondent aujour-d'hui par la définition de Galio
jours, elle a été reprise, et pour ainsi dire rajeunie par plusieurs
auteurs
recomman-dâmes, MM. Liebermeister il]cher die Wir
a page 159 du tome vm des Œuvres complètes de M. Gharcot. (B.) nier
auteur
, quatre fois la température du rectum est descen-
elle est, du moins, l'interprétation donnée par MM. Bergmann et Frese
auteurs
de ces expériences. (Centralblatt, 1869, n° 2).
devenu synonyme de chronic rheumatic arthritis. Cependant, quelques
auteurs
ont pensé que ces cas méri-taient une place à par
este généralement que si la maladie existe depuis fort longtemps. Cet
auteur
rapporte cependant une observation où elle s'étai
. On voit donc que l'examen des principales opinions émises par les
auteurs
ne nous rend pas suffisamment compte des faits qu
teintes de nodosités des jointures ; une des femmes observées par cet
auteur
vécut quatre-vingt-treize ans. Nous avons observé
du rhumatisme articu-laire chronique. Etiologie. Presque tous les
auteurs
qui ont écrit sur l'affection qui nous occupe, fo
ts notés par Haygarth sur le même sujet sont à signaler : suivant cet
auteur
, ce serait presque toujours à l'époque de la méno
n qui difffôre essentiellement de ce qui a été dit par la plupart des
auteurs
des altérations propres au rhuma-tisme articulair
ns les parties voisines, les dépôts crétacés qui, pour la plupart des
auteurs
, constituent le caractère anatomique le plus sail
ement particulières aux cas qui font l'objet de notre étude; tous les
auteurs
en ont signalé l'existence dans des circonstances
s trouvé de bons renseignements sur le sujet qui nous oeeupe dans les
auteurs
suivants : Portai. — Observations sur la nature
aient les mêmes que celles qui ont été rattachées, par la plupart des
auteurs
, au rhumatisme articulaire primitivement chroniqu
as essentiellement de celle qui nous a été donnée, par la plupart des
auteurs
, du rhu-matisme articulaire chronique, et par M.
entre les cas que nous avons ob-servés et ceux qu'on trouve chez les
auteurs
, comme étant des exemples de goutte invétérée, so
ui sont l'apanage des affections gout-teuses. Ajoutons, d'après les
auteurs
, que la goutte est très sou- vent héréditaire,
subisssent dans la goutte chronique les carti-lages articulaires. Cet
auteur
a vu la matière tophacée se dé-poser dans l'épais
autres, les ont particulièrement mentionnées ou décrites. Ce dernier
auteur
surtout en a fait une étude attentive dont les ré
en propre à la goutte, ce sont eux qu'ont observés plusieurs fois les
auteurs
anglais MM. Cœley Todd et Garrrod, et dont nous r
es où il l'a posée. Quant aux dépôts d'urate de soude dans le rein, l'
auteur
que nous analysons les a notés deux fois, mais sa
t des recherches faites récemment, à l'aide du microscope, par divers
auteurs
et par nous. Suivant M. le professeur Monneret
pôts avec les éléments qui entrent dans la structure du car-tilage, l'
auteur
ne paraît pas avoir une opinion bien arrêtée. «
é de 1807, et portant ce titre : Gout from lead. « J'observe, y dit l'
auteur
, qu'après la paralysie saturnine, des malades d'â
sur vos observations et sur celles que j'ai pu recueillir dans divers
auteurs
: « l°J'ai commencé parétablir que des causes t
caractéristiques. Le contraste est frappant ; il a conduit plusieurs
auteurs
mo-dernes (liecker, Rede ueber die aufeinander Fo
ydenham avait émis une opinion fort analogue. Quoi qu'il en soit, les
auteurs
anciens ont toujours confondu la goutte et le rhu
ubi d'altération sensible jus-qu'au temps de Baillou. Le premier, cet
auteur
a décrit, comme distincte de Yarthritis, une affe
r-raient faire quelques passages, plus ou moins équivoques, tirés des
auteurs
anciens. — Sur la pathologie historique de la g
été rencontrées dans aucuns cas suivis de nécroscopie rapportés par l'
auteur
, (loc... cit... p. 23).; or, l'existence de ces c
e et du rhumatisme. Paris, 1823. t. I, p. 120). Sujet à la goutte, et
auteur
d'un intéressant travail sur cette maladie, M. le
, de forme pro-gressive — (rhumatisme goutteux, rhumatisme noueux des
auteurs
) — envisagé à son début, des traits de ressemblan
goutte articulaire. — Cette observation a été vivement critiquée et l'
auteur
anonyme d'un article, fort intéressant d'ailleurs
des concrétions plus ou moins volumineuses d'acide urique. Plusieurs
auteurs
admettent qu'en pareille circonstance, il se déve
, et depuis, par le docteur Huxham. » Pour ce qui concerne ce dernier
auteur
, je dois déclarer que dans son opuscule sur la co
t ce titre : Goût from Lead (Goutte par le plomb). J'observe, y dit l'
auteur
, qu'après la paralysie saturnine, des malades d'â
nt de paralysie saturnine se trouve dans les leçons cliniques du même
auteur
, sur les maladies du sys-tème nerveux (Clinical l
tc., 1864, p. 90). Les tissus fibreux de l'éco-nomie, d'après le même
auteur
, s'assimilent dans l'acte de la nutrition les sub
eusement et sans déterminer aucune action purgative ». Bon nombre d'
auteurs
ont témoigné dans le même sens. — Voyez, en parti
vations cliniques détaillées, car c'est à peine s'il existe, dans les
auteurs
, quelques faits authentiques propres à démontrer
e primitif généralisé ou progressif ; c'est le rhuma-tisme noueux des
auteurs
. Les cas de ce groupe se distinguent surtout en c
dont il s'agit se rattachent à des causes tout opposées. En 1828, un
auteur
allemand, Stosch (de Berlin), a signalé dans son
plus spécialement Day, Durand-Fardel, Malcomson, Geist et Bibra : ces
auteurs
ne décrivent même pas le tremblement sénile, à ti
bserve parfois, avec tous ses caractères, ainsi que l'ont noté divers
auteurs
et nous-même, chez des individus qui sont encore
a chorée dans la vieillesse. Rien, par conséquent, d'étonnant que les
auteurs
qui se sont occupés de pathologie sénile n'en par
e l'éditeur................... ....................... Préface de l'
auteur
.............................................. n
Pathologie historique de la goutte. — Antiquité de cette maladie. —
Auteurs
qui en ont signalé l'existence.—Diminution actuel
son influence est incontestable. — Statistiques empruntées à di-vers
auteurs
. — Age. — La période classique du rhumatisme aigu
, 339. Saturnisme, rapports avec la goutte, 14i, 458; — opinion des
auteurs
, 392; — statistique, 494; — obser-vations, 466.
Meige d'avoir ouvert la voie à ces éludes ; mais si la plupart des
auteurs
qui se sont occupés de cette question sont d'acco
cemment par MM. Thibierge et Gastinel. Et bien, tandis que les deux
auteurs
tendent il rattacher leur cas au dysthyroïdisme
cherché inutilement quelques renseignements sur ce point; les deux
auteurs
ne parlent pas de l'état des épiphyses chez la fi
e aux faits cli- niques relatés. Ce qui se dégage des travaux des
auteurs
, c'est le rôle toujours plus prépondérant des g
a production du gigantisme et de l'acromégalie. Pour la plupart des
auteurs
, ce serait l'hypophyse, tandis que pour beaucou
bles que l'hypo- thyroïdisme peut amener dans le sens contraire. Un
auteur
distingué, M. Hertoghe, s'est érigé en paladin
é en paladin de cette théorie ; on connaît les beaux travaux de cet
auteur
sur la question de l'hypothyroïdisme et du myxoe-
soulevée. Les deux ÉTUDE DU GIGANTISME ACRO\IGALO-li'$A1VTIL1; 17
auteurs
ont cru suffisant de relever que la glande thyroï
fantiles vrais, que les individus présentant le type décrit par cet
auteur
. Dans les conclusions de son mémoire, M. Ilalma
nt ce caractère absolu d'infan- tilisme qui devrait, selon certains
auteurs
, appartenir seulement aux in- fantiles vrais, c
'un désaccord fondamental, d'un désaccord dans les définitions. Cet
auteur
, en effet, définit ( l'infantilisme en général
il me paraît difficile de souscrire. Nos trois infantiles, dit cet
auteur
, sont des infantiles vrais, car ils onl dans la
u point de vue de la classification des infantiles, la valeur que l'
auteur
leur attribue. - Enfin, cette malade, « à voi
e de seins. C'est d'ailleurs l'opinion deàl. E. Levi, puis- que cet
auteur
écrit à propos des deux soeurs : elles avaient «
), des traits qui mettent en' évidence l'achondroplasie. Et comme l'
auteur
mentionne beaucoup d'au- teurs anciens pour sou
être d'une certaine valeur. Pendant la guerre russo-japonaise, l'
auteur
de cet article a eu l'occasion d'observer un ca
ins ont la forme typique pour l'achondroplasie, décrite par le même
auteur
, la main en trident. Les doigts sont gros et co
e Pierre Marie d'Apert, de Cestan, de Porak, de Durante et d'autres
auteurs
. . Notre cas est un des plus typiques ; on n'y
uer de la carie vertébrale. La ressemblance est telle qu'il y a des
auteurs
qui décrivent une forme spéciale de sarcome verté
ut à fait libre. A la même catégorie appartiennent les cas d'autres
auteurs
qui constatèrent à l'autopsie des tumeurs verté-
que les méninges molles et la moelle sont restées libres. Parmi les
auteurs
qui s'occupent de la questionnes uns veulentplutô
XIV), et le charadrios fut conservé dans la Vulgate, alors que les
auteurs
des versions allemandes, anglaises ou fran- çai
nt au mot de charadrios, son véritable sens fut bientôt oublié. Les
auteurs
du moyen-âge latin lui substituèrent celui de cal
st une grosse alouette (9). Si quelques savants bien avisés, tels l'
auteur
de la glose interlinéaire de la Bible et Barthé
le de Bourges. Paris, 1841- 1844, in-fol., pp. 127-130. - Des mêmes
auteurs
: Mélanges d'archéologie... t. Il, p. 129. (4
. Cette observation est classique, elle a été citée par beaucoup d'
auteurs
et présente en effet un tableau symptomatique t
rement parler l'atrophie primitive des nerfs optiques. Le premier
auteur
qui ait attiré l'attention des observateurs sur l
ue de Dejerine et Sottas (1), de telle façon que par la plupart des
auteurs
les al- térations oculaires communes aux deux f
ue l'on peut rencontrer dans la forme Charcot-Marie, la plupart des
auteurs
sont d'accord à relever que dans cette maladie
tous les réflexes profonds avait été considérée avec raison par les
auteurs
comme un signe d'irritation non douteuse du fai
moitié droite du corps ; les réflexes rotuliens étaient exagérés. L'
auteur
admet comme cause de ces troubles une lésion cort
ces lymphatiques (périvasculaires et péricellulaires). Il y a des
auteurs
qui pensent que dans ces espaces s'accumule la ly
altérations anatomiques des différentes psychoses décrites par les
auteurs
et dont j'ai déjà fait un résumé dans un précéden
tales, ne nous montrent- ils pas,dans les divergences profondes des
auteurs
,combien nous sommes encore éloignés du but '1
sa physiono- mie bien particulière, c'est à tel point que bien des
auteurs
ne veulent voir dans certaines formes que des s
du reste commence à être prise en sérieuse considération.Cer- tains
auteurs
,analysant les lésions qu'ils ont observées, disen
es pratiques que l'on aurait bien tort de mécon- naître. Certains
auteurs
, et certes ils ne sont pas les premiers venus, at
dites fonctionnelles ? Comment expliquer alors le fait que bien des
auteurs
, même parmi ceux qui défendent brillamment la t
ines (prurigo) semblent y prédisposer particulièrement. Les savants
auteurs
du traité intitulé « Le Dermographisme chez les
ne du dermographisme chez plus de 76, soit à peu près 38 0/0. Les
auteurs
décrivent deux sortes de dermographisme les raies
ce centre Toutes ces observations ont été faites en 1902 ( ! ). Les
auteurs
(2) qui ont écrit ultérieurement sur ce sujet,
ie de la Salpêtrière quelques jours avant la mort prématurée de son
auteur
. La Nouvelle Ico- urographie de la Salpêtrière
Il y a là plus qu'une question de mot et de comparaison. Tous les
auteurs
ont fait ressortir le rôle considérable de la sim
une des parties les plus négligées de la léprologie et les nombreux
auteurs
qui se sont occupés de la lèpre ne semblent avo
1) et de Boeck (1842) on ne trouve rien de précis. D'après ces deux
auteurs
, dont l'opinion est repro- duite dans la plupar
oires et se laisse volontiers absorber par son chagrin ». Les mêmes
auteurs
insistent à l'exemple de Tlillairet (1862) sur
depuis la période d'in- vasion jusqu'à la cachexie terminale. Les
auteurs
modernes, dont les travaux sont résumés dans la B
rare, cette malformation a été remarquée par un cer- tain nombre d'
auteurs
et décrite sous des noms divers : brachydactylie,
ano- malie n'est pas exclusive de l'achondroplasie, car un de deux
auteurs
de ce mémoire (Franchini) l'a vérifiée dans un
talité infan- tile et d'une forte insuffisance psychique ; quelques
auteurs
ont même affirmé que les conditions mentales de
enté de l'achondroplasie et du rachitisme est soutenue par quelques
auteurs
(R. Cestan, J. Regnault et d'autres). Cependant
asie, car de tels arguments ont été amplement traités par plusieurs
auteurs
et particulièrement par M. Leriche et MM. Porak
graphie de M. le Dr Lévi, récemment parue dans cette Revue même ; l'
auteur
, en dernière analyse, s'associe avec MM. Porak et
e chez les nains la même chose ? La réponse est négative, dit notre
auteur
. » M. Souiques, dans le traité de Charcot et Bo
ple celle de la distribution gratuite de thyroïde. Lorsque quelques
auteurs
affirment que les achondroplasiques sont des dé
elon- gue et défendue, après lui, par Fournier, Fréchou et d'autres
auteurs
. Il faut dire cependant qu'une pareille hypothè
n du système nerveux central ou périphérique et même, pour quelques
auteurs
(Pitres et Gail- 284 CATOLA lard), dans une n
e lésion périphérique ; la moelle épinière, dans laquelle plusieurs
auteurs
(Reclclinghausen, Pic, Gilles de la Tourette et N
les premiers mois après la contagion. Si nous laissons de côté les
auteurs
les plus anciens comme Lancereaux, Ljunggren, Z
fréquemment dans la pre- mière année qui suit la contagion. Selon l'
auteur
, 48 0/0 de toutes les affections syphilitiques
sule externe et la région pyramidale de la capsule interne. Le même
auteur
(Beob. II) raconte le fait d'un homme de 33 ans,
ition des premiers symptômes de l'in- fection syphilitique. Le même
auteur
décrit un autre cas concernant un homme de 60 a
articulière de syphi- lis cérébrale, ont été incriminés, par divers
auteurs
, sont multiples ; mais ceux qui, le plus commun
Ce qui esten parfaite harmonie avec ce qu'ont affirmé déjà d'autres
auteurs
, comme Mingazzini lui-même, qui, dans les cas a
OBSERVATIONS CLINIQUES SUR LA SYPHILIS CÉRÉBRALE 303 par d'autres
auteurs
(Althaus, Neumann, Mingazzini, etc.), savoir : qu
vons aussi ceux auxquels Lochte est arrivé. Selon les études de cet
auteur
, non seulement la syphilis des alcooliques est
mes pour la syphilis cérébrale a été reconnue par un grand nombre d'
auteurs
comme : Lallemand, Wilks, Wagner, Heubner, Four-
lête; d'autre part, il affirme que cela arrive très rarement. Les
auteurs
reconnaissent donc tous (les uns plus, les autres
nières questions; je rappellerai seulement que, tandis que quelques
auteurs
comme Erb, Marie et Babinsky (qui firent connaî-
pas peu de leur valeur devant les con- sidérations suivantes : les
auteurs
qui ont compilé des statistiques d'affec- tions
oute textuellement les mots suivants : « A ce que je vois, tous les
auteurs
sont d'accord sur un point : l'on ne doit pas t
idé- ration dans la syphilis cérébrale précoce et maligne. Mais les
auteurs
par- lent aussi d'autres moments ayant une vale
er dans l'ensemble des phénomènes rattachés à l'hystérie ; certains
auteurs
admettent l'existence de ces troubles d'ori- gi
ces troubles d'ori- gine hystérique, contrairement à l'opinion de l'
auteur
de la théorie, M. Babinski, qui affirme que ces
joue un rôle important sinon exclusif dans l'expérience des autres
auteurs
(voir par exemple article de M. Heller, Ylülcli
du cou, du thorax, de l'abdomen et des membres. Tout récemment deux
auteurs
d'une grande compétence, Brodmann en Allemagne
plusieurs zones dans le domaine des circonvolutions centrales. Cet
auteur
reconnaît à l'oeil nu un contraste de structure e
- guer de la zone pariétale. Dans la circonvolution postcentrale, l'
auteur
admet deux ou même trois zones qui se prolongen
lement la signification des pyramides profondes malgré que certains
auteurs
les considèrent en quelque sorte comme équivale
as disposées sous forme de nids comme les cellules géantes. Le même
auteur
, constatant leur altération dans le tabès et leur
dois cependant faire remarquer que ni les zones 1, 2, 3 et 4 de cet
auteur
(fig. 4) n'offrent pas la même structure sur tout
tentatives dans cette direction furent faites par llloeli (1). Cet
auteur
en pratiquant des lésions expérimentales des fa
e sens de Campbell et Brodmann ? Pour répondre à ces questions, les
auteurs
étudient la réaction à dis- tance des cellules
de la pariétale ascendante et de toutes les régions examinées. Les
auteurs
remarquent que ces.lésions cellulaires pourraient
pas être justifiées. En effet, les motifs qui font amener ces deux
auteurs
à mettre en doute le rôle moteur des cellules d
n de mes anciens. Plusieurs sont re- marquablement nets. Ces deux
auteurs
divisent les mcvi en deux grandes classes : nxvi-
pographie radiculo-métamérique. D'a- près MM. Klippel et Weill, les
auteurs
n'ont pas décrit ces derniers qui seraient les
ko,en dédou- blant' une des divisions conformément aux idées de ces
auteurs
,et de divi- ser les naevi en : I. Nævus-névri
ilatéralement frappées. Et ceci serait d'au- tant plus vrai que les
auteurs
ont constaté à l'autopsie l'existence d'une ano
ux « névro-métaméres cutanés » pour reprendre une expression de ces
auteurs
. Quant à l'étiologie de ces accidents, je n'ai
er quelques-uns, si non la totalité des phénomènes signalés par cet
auteur
lui-même : déformation, réabsorption du tissu oss
comme nous l'avons vu, la presque totalité des cas décrits par les
auteurs
est à la charge des vertèbres lombaires, ou plus
, beaucoup des particularités relevées par Abadie et par les autres
auteurs
, comme la diminution de la longueur du corps ve
tèbres malades ? Car si, dans la majorité des cas rapportés par les
auteurs
, il n'est pas fait mention de douleurs spéciales
sont assez pâles et le cylindre médullaire est peut-être élargi. L'
auteur
note seulement l'é- paississement des-épiphyses
s conjonctifs provenant vraisemblablement du périoste voisin ». Les
auteurs
insistent sur les rapports de l'affection avec
me rareté de cas semblables. On ne trouve guère dans les écrits des
auteurs
jusqu'à l'année 1908 qu'un cas analogue de chro
t généralement des tableaux de Bruns, Edinger, Suiffer, el d'autres
auteurs
. Il faut toujours se rappeler la loi de Sherrin
et du rectum tandis que l'érection est conservée. D'après quelques
auteurs
les symptômes symétriques comptent parmi ceux q
s le gyrus angularis. Si au contraire on admet, avec la plupart des
auteurs
, que cette faculté est le résultat du concours sy
ette anomalie, basée sur l'étude de coupes strictement sériées. Cet
auteur
rassemble tous les cas rapportés avant lui et les
complètement et se trouve remplacé par une membrane délicate que l'
auteur
suppose être un reste de la lame terminale. Le
sphénoïdales et occipitales est intact et ne peut donc pas, selon l'
auteur
, représenter la continuation intra-hémi- sphéri
chacune d'elles incluse dans l'hémisphère correspondant, plusieurs
auteurs
ont soutenu que le corps calleux n'avait été dé
use sectionnée est dans ces circonstances extrêmement improbable. L'
auteur
termine en disant que l'agénésie du corps calle
; 3° une partie inférieure qui recouvre les ganglions de la base. L'
auteur
admet d'ailleurs que son faisceau s'identifie en
s fibres proviennent de l'écorce et se terminent dans l'écorce. L'
auteur
ajoute quelques conclusions à l'égarddu corpscall
-externe de la corne sphénoïdale, en formant le tapétum des anciens
auteurs
. En avant, le faisceau occipito- frontal prend
roi latérale de la corne temporo-occipitale. Ces fibres, poursuit l'
auteur
, font partie du faisceau d'association fronto-
emporal. Au niveau du lobe occipital, le tapétum est formé, selon l'
auteur
, par les fibres réunies du cingulum et du faisc
existe au-dessus du corps calleux, un petit faisceau sagittal que l'
auteur
désigne sous le nom de « faisceau supracalleux
eux, nous avons affaire à un arrêt de développement. Selon certains
auteurs
, Gelgersma en particulier, la microgyrie serait
oglique plus ou moins généralisée. Ces. diverses lésions engagent l'
auteur
à porter le diagnostic suivant : Encéphalite hémo
'un état rudimentaire généralisé, soit d'une atrophie secondaire. L'
auteur
veut bien reconnaître, d'ailleurs, que cette gr
ORPS CALLEUX 521 a été rapporté par Kozowsly(1). Dans ce cas, que l'
auteur
décrit du reste très sommairement, il s'agit d'
lassification, qui correspond d'ailleurs à celle de nombreux autres
auteurs
, ne nous parait pas satis- faisante surtout dan
an- gioplasiques aussi appartiennent, selon nous et nombre d'autres
auteurs
à la catégorie des infantiles vrais, et plus pa
e actuellement en cette matière dépend surtout du fait que nombre d'
auteurs
croient pouvoir parler indifféremment de nanism
pures a déjà été plus ou moins partiellement proposée par d'autres
auteurs
, qui n'ont cependant pas appuyé leurs conceptio
conclusions de I\LIIansèmânü'; nous trouvons juste tout ce que cet
auteur
dit àpropos des caractères cliniques propres au
me, nous ne sommes pas complètement d'accord avec M. Pellizzi ; cet
auteur
soutient t que pour le diagnostic d'infantilism
il nous semble, que cette conception n'est pas correcte. Tous les
auteurs
qui se sont occupés de la question que nous trai-
ractère doux de son frère et il était encore moins intelligent. L'
auteur
ne retient pas ces nains pour des idiots ni des c
elphin Sirvaux qu'il assimile au cas de l'observation précédente; l'
auteur
ne dit rien du développement pilifère et génita
nférieure à la taille moyenne de leur espèce et de leur race. Cet
auteur
accepte l'opinion que la nanisme serait causé soi
physaires chez des nains d'âge adulte a été constatée par plusieurs
auteurs
, mais malheureusement nous ne pou- vons donner
Lillipu- tiens Allemands qui étaient de passage à Berlin en 1899. L'
auteur
nous donne malheureusement très peu de renseign
fait que depuis l'aîge de 20 ans elles était normalement réglées. L'
auteur
ne nous dit rien malheureusement sur le trophisme
m. 926 à 1 m. 145. Sa' 1 tête était petite et ronde,mais aucun des
auteurs
qui l'ont étudié ne l'ont- considéré comme un m
nn nous ne trouvons malheureu- sement aucune photographie, mais cet
auteur
dit avoir radiographié' l'avant-bras et la main
d'un homme ordinaire vu par le petit bout de la lorgnette ! , Ces
auteurs
emploient donc, dans ce cas, l'expression que Mei
mention , mais de sa note nous relevons quelques faits auxquels cet
auteur
n'a donné aucune importance et qui cependant no
e tous ceux qui s'intéressent à l'étude de ces dystrophies, et deux
auteurs
parisiens, MM. Sainton et Launois, indé- pendam
origine aux nerfs ciliaires ? Tandis que le plus grand nombre des
auteurs
, qui se sont occupés de cette question, admette
emière phalange : c'est la bra- chydactylie avec hyperphalangie des
auteurs
. L'affection se rapproche de la brachymélie mét
F. REGNAULT, Les types humains... Revue scientifique, 28 mai 1910. L'
auteur
de cet article remarquable ne fait pas mention
ait pas intacte dans 1 e cas de Launois : il est vrai que plusieurs
auteurs
(Gangolphe (2), Poncet) rejettent ces exos- tos
es) ou prolifèrent sans modifier leur structure (chondromes). » L'
auteur
adopte j'hypothèse tératologique, alors que' LOl'
hyses des achondroplasiques. A remarquer sont : ' l'ohservation des
auteurs
précités : jeune homme atteint de tuberculose, !
se nou- velle. oligo-brachydaclyle apparaît sans cause précise. Les
auteurs
, et eu particulier Leboucq, qui ont éludié le r
ée au niveau des métacarpiens (l).Bardenheuer (2) l'admet. Mais les
auteurs
français ne paraissent pas du même avis. Le cas d
toute cause appré- ciable d'ordre traumatique ou pathologique ». L'
auteur
fait allusion ici au « rachitisme tardif» si my
e toxi-infection, défendue, depuis Porak etDurante, par de nombreux
auteurs
, explique peut-être plus faci- lement l'achondr
. Cette anomalie n'est pas exclusive à l'achondroplasie, car un des
auteurs
de ce mémoire (Franciiini) l'a vérifié dans un ca
position donnée aux malades pendant l'opération, parlent différents
auteurs
, Schullze entre autres. En employant cette méthod
st intéressant de constater que, dans un livre qui date de 1872, un
auteur
moderne s'efforce de rattacher au .souvenir d'a
au cours de la sclérose en plaques ont été signalées par plusieurs
auteurs
. L'étude de ces lésions, ainsi systématisées, p
aques des noyaux gris centraux. C'est à ces dernières lésions que l'
auteur
attribuait la production du rire spas- modique
es de sclérose. Cette localisation a été notée par d'assez nombreux
auteurs
(horst, Westphal, Touche) et cette notion est e
a été amené là, mais par celle du liquide céphalo-rachidien ». Ces
auteurs
ad- mettent donc en principe que le liquide cép
« les Ependymites céré- brales », avait déjà été noté par certains
auteurs
: Naushalter et Thiry, Alamelle. Une expérien
e Pierre Marie, de Rilbert, Lejonne et Lher- Il mitte et d'autres
auteurs
. La dissémination de l'agent causal par la voie
halie foetale dans lagenèse de l'agénésie du corps calleux. Selon cet
auteur
, les lésions épendymaires sont susceptibles soi
alleux a été suivie d'une dégénérescence partielle du tapétum que l'
auteur
admet. En second lieu, le fait que le tapétum est
à ce sujet, nous trouvons avec plaisir affirmée la conviction de ce
auteur
sur l'existence du type de nanisme dont nous trai
n'y aurait pas lieu d'admettre un na- nisme d'origine génital. Cet
auteur
ajoute : « dans les recherches que je LA MICROS
é d'un nanisme d'origine génitale ; d'ailleurs les exemples que cet
auteur
nous donne pour prouver cette possibilité ne pr
cutant les idées de Schüller sur cette forme d'infantilisme que cet
auteur
voudrait appeler : I)i,i ? îiti'7,eii disgenitali
es formes de dystrophies générales d'ori- gine mitrale que quelques
auteurs
définissent nanismes, cependant que d'autres le
n ! toutes les observations cliniques sur lesquelles se fondent ces
auteurs
sont, selon nous, des exemples d'infantilisme et
aproba- hlement déterminé la manifestation de la dysthyroïdie ; les
auteurs
mêmes reconnaissent que leursujet est un infant
neau de Laborie fournit aussi de bons arguments à notre cause ; cet
auteur
nous donne les photographies de ses sujets, et d'
r surtout le malade de l'observation X). A propos des sujets de cet
auteur
, nous devons en outre remarquer que chez plusie
ujourd'hui susceptibles d'une interprétation satisfaisante. Peu d'
auteurs
invoquent encore le retour à un type atavique pol
rs étaient raccourcis, et, dans le second, c'était l'auriculaire. L'
auteur
dit que l'on n'avait encore décrit jusqu'à lui qu
ucoup de cas similaires ont été communiqués par Polaillon (18). Les
auteurs
alle- mands appellent ces anomalies « Spallhand
e systématisation et leur caractère est purement casuel ; aucun des
auteurs
cités n'a eu l'idée de rechercher les anomalies
vres d'art figurant le personnage symbo- lique de la Mort. Les deux
auteurs
regrettent cette omission, car, disent- ils, «
erne, a bien voulu en- treprendre, il a été impossible de trouver l'
auteur
de cette oeuvre d'art (1) Paris, Ltcrosnier et
xclusivement de fémurs plus ou moins défor- més,et,ce dessin a pour
auteur
un médecin. Holbein lui-même auraitsou- vent pl
de la colonne ), par Flatau, p. 47, 1h3, 313, 457, 590. TABLE DES
AUTEURS
ALQUIER et Klarfeld. La lésion osseuse du mal
subaigu ? La sciatique chez les rhumatisants est assez rare et les
auteurs
font remarquer qu'elle est en tous cas de court
aires du rhumatisme vrai. Par contre, nous ferons remarquer que les
auteurs
ont signalé l'hydarthrose comme une complicatio
à l'attitude de notre malade, sont beaucoup plus importants. Peu d'
auteurs
ont insisté sur les spasmes musculaires de la s
au niveau du triangle de Scarpa. Enfin, nous avons vu, et nombre d'
auteurs
l'ont signalé, que des points douloureux peuven
ditions ! La plupart des observations d'abasie rapportées par les
auteurs
concernent des hystériques; aussi le tableau sy
homme à confirmer, d'accord en cela avec Paul Bert et bien d'autres
auteurs
, qu'une re- compression immédiate est le seul m
soient une des causes du silence qu'ont gardé si long- temps les
auteurs
sur ce genre de lésions fonction- nelles. Quoi
subsistaient dans les régions motrices atrophiées de l'écorce. Ces
auteurs
en concluent que si, comme l'admettent Luciani
Archives, t. XIX. 7 9§ RECUEIL "DE FAITS. de plus, suivant les
auteurs
italiens, et toujours en vertu de la théorie de
e indirecte des contractions convulsives » (Erb). Ce qui, d'après l'
auteur
, dis- tingue cette observation de celles de Erb
xception d'une légère sécheresse pendant la période de stupeur. L'
auteur
, après une étude soigneuse de ce cas, d'après des
it est bien établi par Charcot, Bichat, Deluis, Raymond et d'autres
auteurs
dignes de foi. Raymond a rapporté un cas où, à
: privé du liquide sous- arachnoïdien, il pesait encore 58 onces. L'
auteur
fait remarquer que les 11 onces de liquide qui
r E. KROEPELIN, (Arch. f. Psych., XVII, 3. XVIII, 1-2.) D'après l'
auteur
, les troubles qualitatifs de la mémoire et les
ar CONOLLY Norman. (The Journal of Mental Science, avril 1SS6.) L'
auteur
rapporte, avec des détails intéressants, mais tro
e générale par l'apparition intercurrente d'un anthrax ont poussé l'
auteur
à se demander si l'on ne serait pas en droit d'at
un temps assez long sur des points différents d'une même région. L'
auteur
est con- vaincu que par l'emploi de ce moyen il
de ce malade, rapportée en détail dans ce mé- moire, a suggéré à l'
auteur
des réflexions que nous résumons ici : bien que
eurs, à l'autopsie, ne put éclairer l'origine de l'hématurie. . L'
auteur
fait remarquer en terminant que dans les cas de p
tal Science, juillet 18S i .) Voici le résumé des observations de l'
auteur
sur ce sujet : Dans la paralysie générale, la v
nir vorace; ici encore il est utile de rationner les malades, car l'
auteur
croit que l'excès d'alimentation peut augmenter
si on essayait de le nourrir autrement qu'avec la sonde. Enfin l'
auteur
est convaincu que, dans certains cas, principale-
héréditaires ET PSYCHIQUES dans l'ivresse; par le Dr CROTHERS. L'
auteur
a rencontré. un certain nombre de malades, pré-
, une sensibilité et une émotivité très grandes, tous signes pour l'
auteur
d'une intoxication hérédi- taire par l'alcool.
et à la moindre contrariété, ils deviennent furieux et dangereux. L'
auteur
cite à cet effet deux cas très nets : le premie
nt la grossesse agit sur l'enfant. - Dans la seconde catégorie, l'
auteur
fait rentrer des individus ayant des antécédent
i se font peu à peu et qui bientôt deviendront classiques. Certains
auteurs
décrivent à part, la mélancolie qui survient à
exclues dans les cas de crimes qualifiés. La grande expérience de l'
auteur
lui permet d'affirmer qu'au point de vue légal,
en avant ; mais elle est loin d'être à l'abri de tout reproche. - L'
auteur
ne vient pas proposer une classification nouvelle
tion également bien définie par sou évolution fatale et prévue. - L'
auteur
s'est borné dans la présente publication à des co
s atteints de quelque maladie nerveuse ou mentale. A ce pro- pos, l'
auteur
fait une longue et intéressante étude des rapport
li à cette occasion la légitimité de la théorie du transformisme, l'
auteur
montre que certaines considérations qui concern
n de cavités au sein de ces foyers. Quant à leur signification, les
auteurs
que j'ai cités les considèrent commes des foyer
ines que combat Golgi. Elles en diffèrent si peu que, à son tour, l'
auteur
italien propose de diviser l'écorce cérébrale n
re des contractions musculaires, mouvements impliquant, selon ces
auteurs
, que « des fibres motrices de la vessie passent
n locale des deux types d'éléments nerveux admis par Golgi. Or, cet
auteur
a pu se convaincre lui-même que ces éléments so
l'écorce cérébrale étant fonctionnellement indifférents, selon l'
auteur
des Eléments de psychologie hlaysiolo- gique, l
e. Je ne puis insister sur les idées, à coup sûr virginales; de cet
auteur
, touchant la struc- ture des fibres et des cell
es nerveuses au sens rigoureux du mot, à la bonne heure; mais les
auteurs
italiens devraientse contenter de constater ce
er essai sur l'Epaisseur de l'écorce cérébrale chez les aliénés*, l'
auteur
n'a. A. Cionini. Sulla spessoi,e délia corlccci
e, 156 fois (40 °/0). Les recherches que Seppilli a faites chez les
auteurs
, rela- tivement aux individus sains d'esprit, l
sé contre l'épilepsie, l'hystérie, etc... Si l'on en croit tous les
auteurs
, depuis Dioscoride jusqu'à nos jours, à l'excep
ivre. Ces phénomènes sont très manifestement exagérés ; d'après les
auteurs
que nous citons, 230 REVUE PHARMACOLCGIQUE. e
OVOLLY Norman. (The Jour- nal of Mental Science, janvier 1887.) L'
auteur
n'a expérimenté l'hypnone que par la voie hypoder
ar J.-A. Campuell. (The Journal of Mental Science, octobre 1886.) L'
auteur
définit tout d'abord ce qu'il entend par séclusio
mieux dans le cas particulier. Si l'on a abusé delà séclusion, l'
auteur
pense qu'on n'en abuse guère aujourd'hui ; d'ai
r G.-H. SAVAGE. (The Journal of' Mental Science, janvier 1887.) L'
auteur
a choisi ce titre, parce qu'il n'implique pas aut
tion maniaque peut être remplacée par la paraplégie hystérique. L'
auteur
a souvent rencontré des migraines intenses chez
araître au retour de la santé mentale. Enfin, dans plusieurs cas, l'
auteur
a vu la perversité morale apparaître au moment
eur exemple de transformation ou d'alternance des névroses. 2°. L'
auteur
aborde ensuite l'étude de l'alternance entre le
t pas nécessairement que cette dernière soit de nature nerveuse ; l'
auteur
pense toutefois que si cette alternance se prod
bides ainsi localisées. En compulsant les registres de l'asile, l'
auteur
a trouvé quatre autre cas que l'on peut rapproc
ERVEUSE. 245 ques. On n'a pas trouvé le bacille de la syphilis. - L'
auteur
exa- mine de plus près la polydipsie et la poly
z quatorze tabétiques (observations complètes et très étudiées) les
auteurs
recherchent l'influence exacte des diverses malad
nerfs de l'oeil, grand hypo- glosse, accessoire). Finalement, les
auteurs
repoussent la distinction de Pitres et Vaillard
tait, on notait l'ab- sence ou plutôt la diminution des réflexes. L'
auteur
rapproche cette affection des tics convulsifs e
radial, légère du nerf médian, douteuse du nerf cubital. D'après l'
auteur
, la paralysie saturnine ne`serait pas purement
ience, avril 1888.) Il s'agit d'une malade âgée de quarante ans ; l'
auteur
a pris soin de dégager lui-même les traits les
énérale. Cependant, dans un cas de paralysie générale indubitable l'
auteur
a pu constater ce retour pré-agonique à la luci
sa vie. Or l'animal remplissait en- core les fonctions que bien des
auteurs
rattachent, chez les verté- brés, à l'activité
s un petit nombre de cas. L'immense majorité des oreilles que les
auteurs
considèrent comme dégénérées ou des formes d'or
elberg). Des altérations des vaisseaux de la base de l'encéphale. L'
auteur
a examiné les artères basilaires et carotides d
es non entre-croisées dans le chiasma du nerf optique de l'homme- L'
auteur
montre des préparations à l'appui; ces préparat
n ne saurait maintenir la distinction artificielle formulée par les
auteurs
, entre l'encéphalite non suppurée et le ramolli
ution à la casuistique des guérisons brusques dans les psychoses. L'
auteur
signale plus particulièrement la publication de
puis un temps assez long. Il insiste sur une des observa- tions des
auteurs
italiens, dans laquelle il s'agissait d'une psych
scours également très savants ont été lus où pro- noncés par divers
auteurs
parmi lesquels quelques médecins. Celui de M. G
d'aliénés de Belgrade. M. Vassitch, ancien élève de Lasè-ue, est l'
auteur
d'une thèse estimée sur la Chorée des vieillards.
1,000 fr., destinée à récompenser, sous le titre de Prix Lunier. l'
auteur
du meilleur travail sur la question suivante : «
mis à concourir. Les manuscrits portant le nom et l'adresse de leur
auteur
, les ouvrages imprimés, seront adressés au plus
15 fr. (En souscription, pour nos abonnés, prix 10 fr.) .1v m a LES
Auteurs
ET Editeurs. La direction des Arciiuies de ? <
diteurs. La direction des Arciiuies de ? <ELHOLOu)Ë rappelle à les
Auteurs
et Editeurs, que les ouvrages dont il sera reçu
rd, soit qu'elle soit accélérée, ainsi que le prétendent d'autres
auteurs
. On est en droit de se demander quel est le méc
s ont été tout d'abord étudiés séparément et successivement par les
auteurs
, au sur et à mesure qu'on les découvrait. Mais
agne surtout, semblent les avoir oubliées et rapporter à d'autres
auteurs
la découverte de ce fait important. Il y a d'ai
ssible avec cette maladie à sa période préataxique. Mais quelques
auteurs
vont encore plus loin et admet- tent l'existenc
que, n'eût pas pris un autre nom dans la description qu'en font les
auteurs
, si leur attention eût été éveillée sur les car
ssez tardive, dans les urines des malades. M. Oppenheim et d'autres
auteurs
ont cité des cas de ce genre. Ici la glycosurie
ques, puis nous donnerons le résumé des nécroscopies faites par les
auteurs
. Nous tirerons ensuite de cet exposé comparatif
mention- nant ce que nous ont appris les dernières recherches des
auteurs
sur la différenciation topographique des faisce
x. Autopsie Vil. (Smitt.) Les altérations pathologiques d'après l'
auteur
semblent avoir consisté dans une sclérose des cor
rs été trouvé notablement diminué. Dans tous les cas, en effet, les
auteurs
ont été frappés de la peti- tesse relative de l
ntait une diminution de volume bien supérieure à ce qu'ont noté les
auteurs
qui nous ont précédés; ainsi, taudis que la rég
s deux théories qui ont jusqu'à présent rallié les . opinions des
auteurs
. Or ni l'une ni l'autre ne nous paraissent acce
d'un an, vient d'être établie par les recherches de Popoff'. Cet
auteur
a reconnu que les fibres des parties internes d
ar S.-W. 1VORTH. (The Journal of Mental Science, juillet 1886.) L'
auteur
s'est proposé dans ce travail d'étudier les rappo
A ïES 1EW1\GTO\. (The Journal uf Mental Science, janvier 1887.) L'
auteur
laisse systématiquement de côtédans cette étude l
point de vue moral. Malgré le titre très général de son mémoire, l'
auteur
s'est borné à l'étude d-es aliénés qui ont une
le de ses actes. Il fut déclaré aliéné par le jury et acquitté. L'
auteur
pense que ce cas est un de ceux qui correspondent
et l'autre par le Dr Savage. I. Observation du docteur Clouston. L'
auteur
résume ainsi les points les plus saillants de l
ar D. HACK TUhE. (The Journal of Mental science, octobre 1886.) L'
auteur
signale tout d'abord une cause d'erreur qui a vic
t très complexes; nous nous bornons à traduire les conclusions de l'
auteur
: 1° Si l'on remonte à l'année à laquelle se re
toutes les recherches utiles faites en Angleterre sur ce sujet. L'
auteur
conclut qu'à notre époque, alors que si peu de fa
celle étude, illustrée par de nombreux tableaux très analytiques, l'
auteur
tire que : la L'évacuation de l'estomac de ces
sécrétion continue du suc gastrique au sens de Riegel ; d'après cet
auteur
, quand l'estomac ne contient plus de provision
appelle cette entité une Verrucktheit partielle (délire partiel des
auteurs
français). Grie- singer admet aussi une Ye'ruck
n. Discussion. - M. ICtarr (de Fribourg). M. Werner a raison; les
auteurs
les plus différents ont indistinctement appelé le
Il ne nous est pas possible de nous opposer à la routine. Combien d'
auteurs
n'ont-ils pas déjà appliqué le terme de paranoï
ts et les dénominations, il a montré que malgré les plécautions des
auteurs
allemands, )\ subsistait une confusion inextric
S.-A-K. SRAH.\M. (The Journal of Mental science, octobre 1886.) L'
auteur
examine successivement : 1° la nécessité d'un nou
(Tlee Journal of Mental science, avril 1887.) Les observations de l'
auteur
s'appliquent surtout aux hôpitaux qui sont prin
largement l'élévation du salaire des employés du premier ordre. L'
auteur
s'occupe ensuite des malades agités, et, ici enco
e de citoyens courageux. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. Avis A MM. LES
Auteurs
ET Editeurs. La direction des Archives DE Neuro
diteurs. La direction des Archives DE Neurologie rappelle à MM. les
Auteurs
et Editeurs, que les ouvrages dont il sera reçu
ations cérébrales con- cernant la), par Heinhardt, 112. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Adenot, 424. Audry, 408
Les émotions morales vives, la peur, la joie, etc., qui d'après les
auteurs
jouent un si grand rôle comme causes déterminan
paralysie générale ou de l'ataxie locomotrice (Charcot) '. Tous les
auteurs
s'en- tendent pour la considérer comme une mala
teint de la crampe des écrivains, comme sa mère et sa soeur'. Cet
auteur
fait remarquer, avec juste raison, que ce ne so
nts eux-mêmes de névroses ou en ayant eu dans leur enfance ÿ. Les
auteurs
anglais et allemands ont décrit sous le nom de
e l'origine et la parenté nerveuse de la morphea albo qui, pour les
auteurs
modernes, n'est qu'une variété de sclérodermie.
ntrant qu'à titre de combinaison. M. Rey parait être le pre- mier
auteur
, qui, en France, se soit préoccupé de ces faits
lle des observations récentes ont donné quelque actualité. Divers
auteurs
, en effet (Prévost, Westphal, Kahler etPick, Ba
e qu'il ne s'agit pas là d'une sclérose systé- matique. Si quelques
auteurs
, en rapportant des cas analogues, en ont jugé a
tème de ce cordon qui est altéré. Il est regrettable que quelques
auteurs
aient manqué à cette exigence d'une bonne nosog
d'examen microscopique. Quant à la seconde, qui est personnelle à l'
auteur
, elle est défectueuse à plus d'un titre. M. Her
ables à la nôtre, ont été, comme nous l'avons dit, publiées par les
auteurs
. Examinons ces observa- tions et cherchons l'in
ie, Bd. VIII, u. IX. 6t PATHOLOGIE NERVEUSE. « Les lésions, dit l'
auteur
, offrent leur maximum d'intensité vers la parti
67 vient sur ce premier argument, car, nous l'avons vu, quelques
auteurs
croient à la possibilité d'une sclé- rose systé
s vaisseaux dans les parties sclérosées, particularité que relève l'
auteur
et qui a pour nous une grande importance, comme
faisceau cérébelleux était lésé au même titre que le pyramidal. Les
auteurs
pensent qu'il s'agissait là d'une lésion propag
samment développé, si bien que la lésion des cordons, d'après les
auteurs
de l'observation, pourrait être envisagée comme
ité par Fr. Boll. FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE DE LA MOELLE. 73 l'
auteur
note également le développement remar- quable d
plus ample informé, nous ne saurions admettre l'opi- nion de cet
auteur
, en tant du moins qu'applicable aux altérations
ens microscopiques minutieux par MM. Char- cot et Pierret. Avec ces
auteurs
, avec Westphal, nous restons donc convaincu de
t, chez le malade, dont il est ques- tion dans l'observation de cet
auteur
, l'affection avait débuté à l'âge de quarante-q
stérieure. Relevons tout d'abord dans les détails fournis par les
auteurs
, une particularité assez singulière, c'est l'ab
peu près celle qu'a formulée Westphal. « Lorsqu'il existe, dit cet
auteur
, une affection com- binée des cordons postérieu
sans lésions d'aucune espèce. Ces résultats, d'accord avec ceux des
auteurs
, nous con- firment dans cette opinion : que c'e
t dans lequel le rôle actif de l'estomac est très contesté. Or, les
auteurs
ont surtout admis dans le mérycisme l'action de
, in Philo- sophical Transactions of the royal Society, au nom de l'
auteur
.) Bevan Lewis s'est attaché il étudier la struc
e qui suit : Chez tous les animaux, dont il a examiné le cerveau, l'
auteur
a retrouvé les deux types à cinq et à six couch
s par lui-même encore avant, soit sur des expé- rences nouvelles, l'
auteur
présente les conclusions suivantes : 12 RI'svU&
QU'AUX TUBERCULES QUADRIJUMEAUX; p : Lrl3ECILTERE1'P. (LOC. Cit.) L'
auteur
arrive à la conclusion, que les lésions isolées d
chez l'adulte sain (homme) 2jGt de seconde. Les conclusions de l'
auteur
sont que les phénomènes tendineux ne sauraient êt
le trijumeau était plus ou moins affecté dans toute son étendue, l'
auteur
on con- clut que les fibres en question occupen
., XII, 3.) Nous avons déjà analysé les^ premières expériences de l'
auteur
sur ce sujet ', ainsi que son mode de procéder,
physiologie ; par Luigi LUCL1YI. (Jahrbuch. f. Psych., III, 3.) L'
auteur
traite de ces éternelles questions toujours insol
COUCE du cerveau ; par Pastehnatzky. (Jahi,b. f. Psych., 111, 3.) L'
auteur
étudie l'action des auestlrésiques sur l'excitabi
plusieurs fois et il est facile d'en trouver des exemples dans les
auteurs
2. Quant à l'affaissement intellectuel qui exis
rer encore une fois l'attention sur ce sujet, d'autant plus que les
auteurs
les plus récents ont émis les théories les plus
d'hui un fait trop connu pour que nous y in- sistions ici. Tous les
auteurs
s'accordent à reconnaître que, pour produire le
es dans lesquelles on voit l'albinisme cotover l'idiotie 6. Le même
auteur
1 , , t 1 #1 hi I,i signale le coloboma de l'
u qui avaient disparu par la réap- parition des douleurs. Plusieurs
auteurs
font men- tion d'attaques de goutte alternant a
ret eu ont rapporté des exemples, et depuis les publications de ces
auteurs
', il est bien peu de méde- cins, habitués à la
la place à laquelle elle nous semble avoir droit. La plupart des
auteurs
ne la signalent même pas. Il faut cepen- dant f
ns la science, au moment où il le publiait. « On ne trouve dans les
auteurs
, disait-il, aucun cas de ce genre dans l'ataxie
out prendre, peu nombreuses. Dans un traité, qui remonte à 1873, un
auteur
an- DE I,Hh : \llrlfltUl'HI1'; DE LA LANGUE. 07
ns intéressantes, l'une personnelle, les autres empruntées à divers
auteurs
(sir James Paget, William Budd, Dupuytren), dan
ations paralytiques définitives des yeux, « il se .produit, dit cet
auteur
, des altérations très graves des muscles oculai
ut dans l'épilepsie qu'elle a été recherchée et discutée; plusieurs
auteurs
français l'ont signalée; mais MM. Magnan et Bou
embres). En étudiant ce cas intéressant, il est regret- table que l'
auteur
ait omis l'examen de la vue (champ visuel, achr
dans l'état léthargique, elles ne sont pas propres à cet état et l'
auteur
a eu bien tort de le lui attribuer; probablemen
importantes de l'évolution du zona avaient échappé à la plupart des
auteurs
. On avait à peine remarqué qu'il ne récidive qu
Journal de méde- cine et de chirurgie pratiques, t. LUI, 1882.) L'
auteur
rapporte quatre cas de paralysie diphthéritique :
AMASCHINO. (Journ. de méd. et de chirurg. prat., t. LUI, 1882.) L'
auteur
rapporte deux nouveaux exemples de cette maladie
par M. Jules Simon. (Fiance médicale, t, I, 1882.) Sous ce nom, l'
auteur
décrit un trouble permanent du système nerveux,
t de l'ev·opathologic de Saint- Pétersbourg, 1883, p. G9-81.) Les
auteurs
donnent la description détaillée d'un cas qui s'e
ntres séparés, pour la langue sont confirmés par les recherches des
auteurs
. On peut conclure aussi qu'il est très probable q
se latérale, analogue aux faits décrits par Debove et Combault, les
auteurs
insistent beaucoup que leur cas confirme pleine
ui était combattue par Leyden. Les cas de cette maladie, disent les
auteurs
, ne sont pas précisément très fréquents, mais leu
nce et enfin la perte complète de con- naissance. Souvent, ajoute l'
auteur
, c'est après un effort, un excès de fatigue que
plètent l'ensemble patho- logique. - Après cet exposé clinique, l'
auteur
passe en revue les moyens thérapeutiques usités
faits, l'urine et l'haleine offrant une réaction caractéristique, l'
auteur
pense qu'il s'opère dans le REVUE DE PATHOLOGIE
ien nette soit des récurrents, soit des muscles du larynx, ce que l'
auteur
attribue à la courte durée de la compression de
erche des causes productrices du tabes. Certes ce n'est pas que les
auteurs
, depuis vingt ans, aient dédaigné de relever au
telles que successions, interdictions, etc. ' Cela tient, d'après l'
auteur
, à ce que la folie est très rare en Chine et ne
F. 1 Cette opinion est en opposition avec celle de plusieurs autres
auteurs
, notamment de M. Bordier (Géographie médicale,
inconstants et variables. Résumons d'ailleurs les conclusions de l'
auteur
: : ' t i . .1/. Les lésions en foyer situées d
t constituer toute la maladie, c'est bien alors la chorée molle des
auteurs
anglais : on voit succéder aux trou- bles psych
u devise, répétée dans un billet cacheté qui contiendra le nom de l'
auteur
. L'académie ne rend aucun des manuscrits qui on
end aucun des manuscrits qui ont été soumis à son examen ; mais leb
auteurs
ont la liberté d'en faire prendre des copies. '
y développer '. C'est très rarement, comme le prouve la lecture des
auteurs
, qu'on a l'occasion d'observer des faits de ce
ülste der Dura mater. Aesterr. med. Zez'tschr., 1874, et d'au- tres
auteurs
.) Des néoplasies de ce genre se développent ordi-
A. EULENBURG. (Neurolog. Centralbl., 1882.) Les recherches que l'
auteur
a entreprises sur la fréquence des réflexes ten
ogie avec les intoxications ergotiniques et saturnines), entraine l'
auteur
à qualifier le tabès d'affection systématique com
Dans les deux observations, la discussion des symptômes conduit l'
auteur
à diagnostiquer l'interruption dans la conductibi
fient large- ment l'emploi d'une terminologie unique. En somme, l'
auteur
n'apporte aucun fait nouveau à l'appui de cette
ulien (phénomène du genou) dépendait de conditions pathologiques, l'
auteur
a examiné de juin en novembre ceux des enfants
ettes qui complètent cette série ne prêtent à aucune déduction. L'
auteur
dégage de l'ensemble de ces renseignements la con
e de l'intégrité papillaire et vasculo-rétiniennc, fit supposer à l'
auteur
qu'il avait affaire à la rétraction convulsive
nt au sarcome dans une névroglie épaissie et hyperplasiée. Pour les
auteurs
, c'est la fibre nerveuse et non le tissu conjon
de cellules ressemblant aux cellules ner- veuses, issues, pour les
auteurs
, des fibres nerveuses. Ils con- cluent à la dég
avait aussi une diminution de volume en masse du bras droit, mais l'
auteur
n'ayant constaté ni lésions des muscles ni anomal
,quedans leurs derniers rameaux destinés aux muscles atrophiés. L'
auteur
ajoute quelques considérations sur l'atrophie des
le d'un grand nombre d'observations d'hémiplégie cérébrale, amène l'
auteur
à conclure que tout processus qui, d'une manièr
(1806), Trélat ( 15;i0), Marcé (-I 86 ? ), M. Dagonet (1882)et les
auteurs
des différents articles d'aliénation mentale de
alogues abondent en somnambulisme. Quand on relit Braid et tous les
auteurs
modernes, on trouve rapportés un grand nombre d
peler les rapports de candidature qui vous ont été lus, et dont les
auteurs
, loin de se borner à une sèche analyse, ont étu
folie, son silence la rendra passible des peines appli- cables aux
auteurs
d'une séquestration arbitraire. M. B. Séance du
tion mentale ; elle est en relation avec l'atteinte de la moelle. L'
auteur
en met sous les yeux de ses confrères trois cas
e la paralysie oculaire progressive (ophthalmoplégie externe de cet
auteur
) à la syphilis. Le gland de l'un de ses patients
traitée par la méthode d'Exner(acide osmique, puis ammoniaque). L'
auteur
a actuellement neuf cas de paralysie générale exa
'examen des cellules, mais on ne saurait s'y fier complète- ment. L'
auteur
tend à croire que la déchéance des fibres d'asso-
n mesure de résoudre le problème. Or, les opinions avancées par les
auteurs
touchant la structure du tissu conjonctif des c
a substance grise en sont responsables. Ces modifications faites, l'
auteur
se rallie à .\1. Tuczek. M. Binswanger. Contrib
e, dépourvu d'excitabilité. Les neuf observations recueillies par l'
auteur
ne l'autorisent pas à se pro- noncer définitive
Tuczek. Nous l'avons analysée à la suite de la communication de cet
auteur
(séance du 16 mai). AI. Meynert. Sur les irradi
ne du noyau lenticulaire. De très nombreuses pré- paralio : l que l'
auteur
place sous les yeux de l'assemblée lui pe- mett
dans l'absence de ce réflexe tendineux, n'était que de lo p. 100. L'
auteur
rappelle, en terminant, que la réaction de la pup
de folie systé- matique chronique. A l'instigation de 11. Mendel, l'
auteur
a soumis à l'examen microscopique l'écorce des
morales vives. En cherchant bien, on aurait pu trou- ver. dans les
auteurs
, un certain nombre de faits intéressants du mêm
erve l'éditeur de ce livre, nous ne sau- rions en faire autant de l'
auteur
de la préface démesurée qui l'accompagne. Le no
nveloppe cachetée, dans laquelle devra se trouver la signature de l'
auteur
. Les concurrents conserveront la propriété de l
la commission, chargée de les examiner, aura donné son avis. Les
auteurs
des écrits récompensés devront les publier dans
e carcerarie, si la direction y consent. ' Dans le premier cas, l'
auteur
est obligé de donner cinquante copies du mémoir
u mémoire publié, à la direction de la Revue; dans le second cas, l'
auteur
recevra, en outre du prix fixé, cent .exem- pla
re et exanthèmes zostériformes), par Landouzy, 246. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Arndt, 369, 379. Artaud
4. Mierzejewski, 250. 1111nor, 44, 376. Moeli, 376. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. l'33 Dloizard, 28. Mon
yeux, centre qui serait situé au niveau du pli courbe, Ces derniers
auteurs
admettent même l'existence de deux centres dist
ns peuvent être faites. La déformation ne serait pas, pour certains
auteurs
, limitée à la phalangette, mais cette affir- ma
NTE .9 banale, c'est-à-dire dans la forme pseudo-acromégalique, les
auteurs
(1) font rarement mention d'ostéophytes,mais in
ie de Babès mérite qu'on s'y arrête ; avec Fumarola (1) et d'autres
auteurs
, on peut faire interve- venir une lésion de la
loppement et l'évolution du système osseux des extrémités. Divers
auteurs
déjà, Erb, Gerhard, Stembo (2), Cantu (3), Schult
nt nombreux dans la pathologie médicale; nous voyons en effet qu'un
auteur
allemand vient tout récemment de rapporter quel
isme (6) et par analogie encore la fréquence signalée par plusieurs
auteurs
allemands de l'hypospadie et de l'hermaphroditism
cipalement étudiée par Cushing du côté expéri- mental ; cet éminent
auteur
anglais avait observé en effet que chez les» 1
avec réduction des os de carpe et atrophie des os de l'avant-bras. Un
auteur
italien, Fumarola, a décrit un cas typique de c
orax une légère atrophie congénitale de toute la moitié gauche. Cet
auteur
signale l'atrophie de la moitié gauche du thora
la schystodactylie intéresse le rayon métapo- dial. Selon quelques
auteurs
, alors que se produit le phénomène de la dactyl
beaucoup de discussions et de divergences ont encore lieu parmi les
auteurs
à propos de la ptose hystérique de la paupière su
re d'un côté en relâchant le tonus du releveur. ; Il y a quelques
auteurs
, entr'autres Wildbrand et Saenger, qui dis- tin
térique spastique (pseudo-paralytique.de Charcot). La plu- part des
auteurs
, au contraire, parmi lesquels Charcot et Parinaud
ux yeux, étant rappro- chés l'un de l'autre, ont en commun ce que l'
auteur
appelle champ de danger (Gefahrfeld). Le danger
l, car il se produit t en même temps dans les deux yeux. Quelques
auteurs
expliquent ce fait en admettant que quelques fibr
rieures et de la racine descendante du trijumeau. Hoche et d'autres
auteurs
après lui ont observé une disposition semblable e
yramidale a. la suite de lésions spinales est bien connue. Quelques
auteurs
l'ont suivie jusqu'à la moelle cervicale, d'aut
aires que nous trouvons sur nos coupes a été observée par plusieurs
auteurs
et diversement interprétée. Elle est très net
4, Dydinski, indiquent seulement la bande rétro-olivaire ; d'autres
auteurs
relèvent l'existence d'uneterminaison collatéra
diquée par Hoche, puis par Thiele et Horsley, et comme ces derniers
auteurs
nous n'avons pas observé de con- tinuité entre
nt mise en lumière. Depuis celte dernière publication, différents
auteurs
ont relaté des cas de paraplégie en flexion « t
le Dr Claude en particulier) et il est possible,comme le pense cet
auteur
,quelles jouent un certain rôle dans la constitu
ici. Très in una, tel est le nom de ce trio de marbre, modelé par l'
auteur
pour extraire,des innombrables variationsde l'é
es détails morphologiques, minutieusement analysé et décrit t par l'
auteur
dans ses ouvrages d'Anatomie artistique, est rend
étant un point sur lequel il u'y a pas conformité de vue entre les
auteurs
, je désire dire d'abord quelques mots sur cette m
use ; mais en même temps, nous ne nous étonnons pas qu'il y ait des
auteurs
qui le nient. Comment en effet ne pas le nier e
. 52 156 BARRAQUER. SYMPTOMATOLOGIE DU SYSTÈME NERVEUX Il y a des
auteurs
qui prétendent que dans la lèpre nerveuse, il n'y
à dessein la névrite interstitielle hypertrophique, que cer- tains
auteurs
ont voulu identifier avec l'amyotrophie Charcot-M
it élé admise comme pro- bable depuis longlemps par la majorité des
auteurs
, ce n'est que dans ces dernières années que cer
rouge pro- viennent essentiellement de l'écorce pariétale. Pour cet
auteur
, les radia- tions du noyau rouge « occupent pro
rontale interne elle lohe, orhitaire Il. De par le fait, nous dit l'
auteur
, que « dans le lobe temporo-pariétal, la lésion
r le ramollissement, et, cela étant, nous nous demandons pourquoi l'
auteur
n'en tient aucun compte etcom- ment il est cond
légèrement le lobe pariétal. Dans ce cas (cas Le Séguillon), que l'
auteur
lui-même, du reste, choisit comme type de lésio
nts cellulaires des zones grises marginales. Quoiqu'il en soit, cet
auteur
n'a pas constaté de phénomènes dégénératifs au ni
von Monakow (1) que nous les devons. Toul récemment, en effet, cet
auteur
a fortement doté l'historique dé la question pa
is de nombreuses années et publiés déjà à d'autres points de vue, l'
auteur
, tout en les ayant sou- mis à une révision soig
s à reproduire ici très exactement les renseignements fournis par l'
auteur
. Dans trois de ces cas, les lésions intéressaie
Rolando, c'est-à-dire des lobes pariétal, temporal et occipital. L'
auteur
élimine également du territoire cortical affect
teindre le noyau coudé, la dégénérescence secondaire observée par l'
auteur
portait sur la voie cortico-protubérantielle fr
cellules ganglionnaires ou cellules principales (Stauptzellen de l'
auteur
). De l'étude de ces quatre cas, von Monakow con
e se trouvait plus ou moins largement inté- ressée par la lésion, l'
auteur
considère que c'est surtout au niveau de cette
particulièrement la charpente grise réticulée (gNlUen lialken de l'
auteur
), c'est-à-dire, la substance moléculaire et les
LT rouge. Nous pouvons également confirmer les constatations de cet
auteur
à l'égard des localisations opercule-centrales
oyau rouge, nous devons, d'autre part, différer sensiblement de cet
auteur
lorsqu'il main- tient que les autres régions de
p; Cie, Editeurs étude D'UN cas D'ACROMÉGALIE 229 par de nombreux
auteurs
; de plus, ces os ont leur tête déformée et agran
d'une image analogue déjà obtenue par Hertorhe (1), d Anvers ; cet
auteur
attribue le contour intérieur à la cal- cificat
dre quelque peu la portée des faits de Cushing. C'est ainsi que ces
auteurs
ont montré que l'altération de l'hypophyse est,
ns la base du cerveau avait été lésée. C'est ce qui fait dire à ces
auteurs
: '< Nos expériences personnelles nous perme
tatations antérieures de Livon 'et de Curling On sait que, pour ces
auteurs
, le lobe postérieur de l'hypophyse verserait sa s
(1), Sabrazès et Bonnes (2). Cependant dans un cas de ces derniers
auteurs
il y avait leucopénie. Au point de vue quantita
rant à la colora- tion gris sale » correspondant au 3" degré de ces
auteurs
. Le dosage de celle albumine, pratiqué par M. B
helle proposée par MM. Claude et J. Rouillard (1) ; on sait que ces
auteurs
estiment que l'albiiminose est modérée quand el
mment, Claude et Rouillard (5) sont revenus sur la question. Si ces
auteurs
reconnaissent que la dissociation alhumino- cyt
rolo- gistes, est bien loin d'être résolu. Le but principal que les
auteurs
se sont proposé aux derniers congrès a été celu
quer tous les phénomènes hystériques, y compris ceux que quel- ques
auteurs
ont éliminés du tableau de cette affection. Enfin
urologie, 1907. THÉORIE PSYCHO-PIIYSIOLOGIQUE 6'#- l'h^STERIE 265
auteur
qui donne une grande valeur à la cénesthésie dans
omènes hystériques sonllellement intimes que Savill (1) et d'autres
auteurs
soutiennent que l'origine de ces phénomènes doit
gine émotive. Ce qui est certain c'est que dans beaucoup de cas les
auteurs
, même les plus dis- tingués, se montrent très p
accueillie par tous les neurologis- les et particulièrement par les
auteurs
dont le nom est lié à cette intéres- sante affe
r la fonction motrice de cet organe. Les idées que se faisaient ces
auteurs
sur les connexions du corps strié avec l'écorce
naissance il des fibres qui s'associent aux fibres pyramidales. Ces
auteurs
ont observé des cas où la capsule interne était
xécuter le mouvement demandé (entschlieszungs-einstel- lungsakt des
auteurs
allemands). Le processus psychique à son tour pro
x de Voodortlt (Thèse de Paris). Dans l'exécution de ces actes, cet
auteur
distingue deux phases différentes : la première
fréquente dans les tumeurs de l'hypophyse. Frèhlich est cependant l'
auteur
qui a le mieux décrit et établi ce syn- drome q
bornons à signaler les faits de même na- ture observés par d'autres
auteurs
et les principales explications pathogé- niques
sées qui empêchaient l'alimentation (Kennie, Kummel, Faller). Les
auteurs
qui admettent l'hypopituitarisme à l'origine de l
asma optique, région sous-thalamique, etc. Oppenheim est le premier
auteur
qui ait démontré la fréquence de la polyurie dans
lus altéré de la glande. On peut dire en un mot que la majorité des
auteurs
excluent le rôle du lobe antérieur dans la palh
le, chez ces dystropliiclues, Frank)-Jfochwarth est un des premiers
auteurs
qui l'ait signalée. Après ces observations, d'a
aux attaques épileptiques dont notre malade est atteinte, quelques
auteurs
ont attribué leur présence au voisinage de la t
on unilatérale et l'hé- miacromégalie n'est pas admise par tous les
auteurs
: seuls Burchardt, Gavalas et Franchini en ont
avantage appréciable. Il en est de même de l'hérédité que nombre d'
auteurs
considèrent comme cause d'anomalies, comme si,
que dans aucun des cas observés, soit par nous, soit par les autres
auteurs
, il n'a été retrouvé aucune continuité hérédila
De nombreuses hypothèses ont été envisagées. Celle à laquelle les
auteurs
pensent en premier lieu est l'hérédité, et s'il
de section ; tel est le cas classique d'Otto, reproduit par divers
auteurs
après Annandale. La soudure pourrait porter sur
t tous les orteils sont normaux. Evidemment l'existence de ce que l'
auteur
appelle une « bride grisâ- tre » attire vivemen
ndaire. Qu'est celte bride ? Que représente-t-elle exac- tement ? l'
auteur
ne fournit à leur sujet que des renseignements in
loppé cette manière de voir à pro- pos de l'absence du tibia. Aucun
auteur
, du reste, ne s'explique avec netteté sur la fa
ence du tibia. Mais est-ce une bride ? est-ce l'amnios entier ? Les
auteurs
adoptent une réserve prudente. A la vérité, on
ment à cet axe : elle jouera un rôle assez analogue à celui que les
auteurs
attribuent à l'amnios lui- même. Diverses objec
ider avec l'absence du péroné et non avec celle du tibia. Aussi ces
auteurs
ont-ils émis l'hypothèse que la cicatrice était s
uel phénomène morbide. Grâce à des observations dues il de nombreux
auteurs
, observations que je ne peux que confirmer, on
nsi- dérées d'une façon très sceptique par la simple raison que les
auteurs
, dans la plupart des cas, n'étaient pas en mesu
donner lieu à un développement ultérieur d'épilepsie. » Quelques
auteurs
, comme Marie et Freud, vont jusqu'à vouloir rame-
des autopsies de ses épileptiques. Toutes les expé- riences de ces
auteurs
viennent en confirmation de ce que j'ai affirmé
e peut être distinguée de l'épilepsie essen- tielle ; toutefois ces
auteurs
, parlant toujours d'épilepsie véritable ou esse
is en disant cela, il ne fait qu'aug- menter le grand nombre de ces
auteurs
qui, sans le savoir ou sans le vou- loir, montr
abondamment en prouvant que lui-même, Krause et beaucoup d'au- tres
auteurs
trouvèrent dans ces cas de véritables kystes ou m
égalie; de PATHOGÉNIE DE QUELQUES FORMES D'ÉPILEPSIE 377 nombreux
auteurs
mentionnent cette maladie comme se présentant sou
ie essentielle. ' De telles observations, faites aussi par d'autres
auteurs
, ont jeté le doute dans l'esprit de beaucoup de
rtie (environ 10 0 0) à cette forme de la maladie ; aussi plusieurs
auteurs
(P. Marie, de la Tourelle, Redlich, Freud, A ! xh
roïde et entraînée dans la circu- lation. En attendant, de nombreux
auteurs
s'accordent a dire que la « tlyréoantiloxine »
h, Biedl, Magnus- Léi, Eppinger, Falia, Rûdinger et nombre d'autres
auteurs
, la glande thyroïde agit en accélérant le systè
privés de la glande thyroïde que chez les sujets normaux. Quelques
auteurs
pensent aussi que l'hypofonction delà glande th
ellules et donne un aperçu des opinions diver- gentes de différents
auteurs
; le plus grand nombre se rallient à l'idée de
ses éléments, l'eau et l'oxygène. Dans tous les cas, la plupart des
auteurs
pensent que le rôle de la catalase s'exerce dan
t directe ou indirecte; comme on le sait, différents 390 BOLTEN 1
auteurs
, parmi lesquels Trendelenburg, admettent une acti
ou à indiquer une « toxine tétanique » indubitable. La plupart des
auteurs
cherchent ces « toxines tétaniques » parmi les
roïdes d'une part et l'épilepsie d'autre part. Après avoir cité ces
auteurs
et après description de ses propres expérien- c
- sance des glandes thyroïde et parathyroïdes. Déplus, différents
auteurs
mentionnent que l'on a constaté chez des - PATH
le ? En fait, il se passe exactement la même chose. Comme plusieurs
auteurs
l'ont fait justement remarquer, on ne voit pas qu
les nerveux comme un élément constant tant et si bien que plusieurs
auteurs
voient cette émo- tivité comme la base de la ne
se d'auto-infection de Gilbert, eu selon les vues originales de cet
auteur
, ils sont quelquefois cholémiques familiaux. Ce
phase morbide de la débilité nerveuse, et bien caractérisée par les
auteurs
depuis la conception de Beard. C'est, comme le
asthénie, hystérie, épilepsie. Ces états coïncident avec ce que les
auteurs
désignent sous le nom de neuro-arthritisme. '
supérieur, par Souques, Baudouin et LANTUÉJOUL, 251. TABLE DES
AUTEURS
ADDA (M.) (de Tunis). Dystrophies gigan- tiqu
ve). Sclérose médullaire, Ltransverse, segmentaire, 424 TABLE DES
AUTEURS
dorso-lombaire gauche, métatraumatique, forme
Ecole contre Ecole et nous avons aujourd'hui, suivant le langagedes
auteurs
, une Ecole de Nancy qui est en opposition avec
un amincissement anormal des fibres nerveuses. C'est là, d'après l'
auteur
, l'anomalie congénitale pro- vert, et il paraît
r l'anatomie, soit par l'interprétation des faits physiologiques, l'
auteur
est arrivé à en rattacher les zones supérieures à
psychiatrie. Dans la folie systé- matique aiguë hallucinatoire, des
auteurs
allemands, M. Wille se préoccupe du symptôme qu
ype S.1\DRn) j par CL. 1\'r[SSLR. (A ? -eh. f. Psych., XIX, 2.) L'
auteur
apporte quelques modifications aux idées de Sande
ents morbides un système merveilleux relatif à sa propre origine. L'
auteur
propose, pour cette modalité à tendance héroïqu
nolly Norman. (Tlee Journal of àlent(il science, avril 188 ? ) L'
auteur
relate sept observations dans lesquelles on const
tales chroniques de dégénérescence plutôt qu'à des étals aigus. L'
auteur
rappelle que des faits analogues ont été observés
oindre contact lors de son entrée à l'asile attira l'attention de l'
auteur
, qui soupçonna, sans pouvoir rien découvrir à c
eux était d'ailleurs dans un état de' dégénérescence très accusé. L'
auteur
a pensé qu'il y avait intérêt à publier ce fait
tomo-patholo- gique est encore une impossibilité : M. Luys, le seul
auteur
qui ait osé baser sur elle une description des
es allégations deviennent opiniâtres, dominantes, excru- ciantes. L'
auteur
en a recueilli 16 cas. Il en existe une genèse
a circu- laire de 18,i4, à laquelle je viens de faire allusion, les
auteurs
du rapport ajoutent : «Cette circulaire a été s
lle ; il ne peut donc pas être condamné, parce que, s'il est bien l'
auteur
du fait à raison duquel il est poursuivi, il n'
à traiter le médecin mis en présence d'un malade. Natu- rellement l'
auteur
analyse chacun des syndromes dans ses rela- tio
on sur les travailleurs ». Le livre pourrait se terminer là. Mais l'
auteur
a pensé qu'il convenait de rafraîchir la mémoir
nombreuses recherches expérimentales et les études cliniques de l'
auteur
. Qu'on nous pardonne de parler ainsi; mais est-il
non pas identité mais parenté étroite entre le crime et la folie. L'
auteur
trouve une explication suffisante de ce lien da
ais sentiment n'est pas raison, et nous acceptons volontiers avec l'
auteur
la conséquence logique des conceptions qui préc
able est l'assistance sous la forme du patronage familial, auquel l'
auteur
consacre un exposé bien fait. Quelques pages su
ports avec le droit civil et le droit criminel. Dans ce mémoire l'
auteur
exagérait partilièrement le rôle des suggestion
t une apologie delà thérapeutique sugges- tive inaugurée, suivant l'
auteur
, par M M. Liébeault et Bernheim ; de plus, les
ompétence en la matière, pour parler le langage juridique. Aussi, l'
auteur
qui, avec l'École de Nancy, considère l'hypnotism
oup plus utile d'avoir fait des études de droit que de médecine - l'
auteur
de cela, nous écrit-il (p. V.) : « Les phénomèn
théories médicales qui émaillent à chaque page l'ouvrage de notre
auteur
, nous avons bien peur que l'Ecole de Nancy ait
concours a été institué, il n'y a eu que six candidats. Avis aux
Auteurs
et aux Éditeurs. Tout ouvrage dont il nous sera
PATHOLOGIE NERVEUSE. par la voie de la statistique. Selon quelques
auteurs
, cette coïncidence se rencontre dans 90 p. 100
e ce rapport, et je ne crois pas me tromper en citant au nombre des
auteurs
qui sont loin d'être d'accord avec les conclusi
littérature au sujet des tableaux étio- logiques dressés par divers
auteurs
, nous voyons quo ces derniers ont pris en consi
ale (Wort- taubheit, Wortblit3dlieit). Bien que les écrits de ces
auteurs
aient mis en plus grand relief ces états mor- b
suite de quelles expé-. riences ou de quels raisonnements certains
auteurs
en sont arrivés à affirmer que la suggestion es
n'importe quel autre stig- mate hystérique, caries observations des
auteurs
précités ont démontré que l'on peut, avec la su
, la courbe respiratoire si caractéristique de la cata- lepsie. Ces
auteurs
reproduisaient les trois états de la grande hyp
ations, et cette con- dition aurait dû surtout être remplie par les
auteurs
qui ont affirmé que la suggestion était l'origi
lysés dans~les Archives. Il est bien entendu que je laisse à chaque
auteur
, la responsabilité de ses opi- nions. Pour évit
s par la safranine. 272 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Suivant cet
auteur
ce corps n'est, pas localisé dans certaines zon
cherches sur la constitution de ce faisceau qui contient, selon cet
auteur
: 1° des fibres commissurales à court trajet; 2
plupart de ces recherches ont été répétées par M. Rosso- limo ; cet
auteur
affirme que le centre trophique des cordons pos
'action du côté examiné et occupent simultanément les deux pieds. L'
auteur
les signale surtout dans les cas d'hémiplégie cér
ait subi quelque atteinte. Dans une série d'observa- tions, dont l'
auteur
fournit un type, la sensibilité cutanée varia e
i donne lieu à la paralysie diphtbéritidue (toxine coqueluchale). L'
auteur
signale encore un cas du même ordre rap- pelant
vation, gâtisme; alimentation passive. Phlhisie pulmonaire, mort. L'
auteur
insiste sur l'origine 2'J2 REVUE DE PATHOLOGIE
est basée sur l'analyse anatomique de l'encéphale de cinq idiots. L'
auteur
conclut ce qui suit. Le bulbe et le tronc des h
mme de cinquante-et-un ans), l'existence d'accidents hystériques, l'
auteur
fait remarquer que la surdimutité remonte à qui
uotidienne de la nuque améliorèrent en huit jours. Il s'agit pour l'
auteur
, d'une altération de cette portion de l'arc réfle
.CII (de Francfort). Des lobes optiques chez les poissons osseux. L'
auteur
a étudié ces organes à la lumière du dévelop- p
NDEL (de Berlin). Des formes périodiques de psychoses3. L'étude des
auteurs
permet d'affirmer qu'en dehors des psychoses Vo
e jury un grand nombre d'ac- cusés absolument convaincus d'être les
auteurs
du fait délictueux, et souvent en faisant eux-m
onnaît que par la simple lecture qui vient d'en être donnée par son
auteur
. Si je monte de nouveau à la tribune pour répondr
de délire dans l'alcoolisme; par le Dr Crotiiers. La plupart des
auteurs
se sont contentés d'étudier les états déli- ran
s, des héréditaires, qu'on pourra recon- naître ces phénomènes. L'
auteur
relate plusieurs cas, où l'on pent observer des d
re), Magnan, Déjérine, H. Martin et un grand nombre d'aliénistes. L'
auteur
a su montrer aussi, d'accord avec Trélat et Las
aliénés ou d'épilepliques et d'idiots. Nous reprocherons encore à l'
auteur
, qui prenait pour titre de son mémoire c la des
s. Afin d'avoir à sa disposition des faits complètement observés, l'
auteur
a fait plusieurs expériences sur des chiennes p
ires; enfin la plupart étaient débiles et moururent rapidement. L'
auteur
expose ensuite le faciès et les diverses tares ex
Magnan une forme spéciale de délire chronique pour les dégénérés. L'
auteur
, en effet, est d'ac- cord avec le médecin de Sa
diée expérimentalement avec le^plus grand soin. Les conclusions des
auteurs
contraires à celles de M. Dujardin- Beaumetz so
tomic pathologique de la moelle épinièrc ; par M. E. A. Homent. L'
auteur
s'est proposé de rechercher quel est le point de
terminer par la seule énumération de ces quelques découvertes de l'
auteur
consistant en ces nouvelles appli- cations de l
és d'un pli cacheté avec devise, indiquant les noms et adresses des
auteurs
. J. B. C. LE premier asile d'idiots en Irme. -
clinicien, Seppilli, médecin du fameux manicome d'imola, sont les
auteurs
de cet ouvrage. Mais ces savants ne pour- ront
les recherches du professeur Pitres, comme en témoigne si souvent l'
auteur
de ce beau livre. Si l'oeuvre de François-Frank
l'esprit les formes diverses qu'ont traversées les doctrines de ces
auteurs
, depuis leur origine rudimentaire jusqu'à leur
assez longue enquête, touchant les faits et les idées des autres
auteurs
italiens, nous attacher surtout à faire connaît
l doit avant tout reproduire l'ordre des faits et des pensées des
auteurs
italiens, en s'écartant aussi peu que possi- de
- lons d'autres faits et d'autres doctrines, empruntés à d'autres
auteurs
italiens, à Golgi, par exemple, dont nous avons
outes, l'indépendance et l'originalité scientifique des travaux des
auteurs
italiens dont on expose ici les doctrines. Ains
onali, p. 6. C'est nous qui avons souligné les mots qui, sans que l'
auteur
y ait pris garde, ruinent en partie son argu- m
S FONCTIONS DU CERVEAU. 311-J presque dans les mêmes termes que les
auteurs
ita- liens. I. Critère des effets négatifs de
o- thèse des suppléances se cachait une conception qui, suivant les
auteurs
italiens, était la négation même de la doctrine
ffit de relire tout entière cette page magistrale pour défendre les
auteurs
français du reproche qu'on leur fait d'avoir vo
3. LES FONCTIONS DU CERVEAU. 353 « Tout le monde sait, disent ces
auteurs
, comment Flourens et Magendie ont été induits e
savants également épris de leur science. Elle était née, chez les
auteurs
italiens, d'une pure apparence, qui est mainten
agues et incom- AncmvES, t. XVII. 23 3S4 PHYSIOLOGIE. plets aux
auteurs
italiens pour la topographie fonc- tionnelle de
a principale critique, faite ici du point de vue physiologique. Les
auteurs
italiens estiment que, si l'on voulait procéder
elle des faits positifs '. » ' Enfin, comme le font remarquer les
auteurs
fran- çais et les auteurs. italiens dont nous p
» ' Enfin, comme le font remarquer les auteurs fran- çais et les
auteurs
. italiens dont nous parlons, les ' Charcot et P
ntre Exner et Goltz ! On verra par la suite de ce travail que ces
auteurs
italiens pèchent par le même défaut que Exner,
u- tation des objections qu'ont soulevées contre sa mé- thode ces
auteurs
italiens, Exner ajoute : « Mais eux-mêmes, ils
égies pures d'origine corticale n'ont-elles point la valeur que ces
auteurs
leur attribuent dans ces paroles mémorables : «
faciales (et linguales), brachiales et crurales rassemblés par les
auteurs
français n'au- raient point cette 'portée, c'es
mais dans lesquels le tabes n'existait cependant pas. Quel- ques
auteurs
ont donné à des cas de ce genre le nom de i)8et
e nomenclature n'a pas encore fixé de règles d'après lesquelles les
auteurs
puissent se servir de cette particule pseudo », c
t pas incontestables. Kriessinger, Marie , Leydesdorf et d'autres
auteurs
ne mettent pas en doute l'existence de manie tr
t elle aussi qui a été constatée depuis fort longtemps par tous les
auteurs
qui ont écrit sur la question. J'entends les do
Voici maintenant, entre autres, une observation empruntée aux mêmes
auteurs
, qui est relative à un scaphandrier mort de tro
t d'idiotie avec cachexie pachydermique. Con- trairement à certains
auteurs
français, notamment \11. Ball, Arnozan et Régis
des cas de Iiiltoii Pagge, Flecliter Beach, etc., cas dont x aucun
auteur
français n'aurait encore parlé ». En cela, il s
qu'il a déjà observés dans des cas analogues. M. Séglas. Plusieurs
auteurs
et entre autres Erlenmayer, dans son mémoire su
elle il résulte que le sulfonal employé aux doses indiquées par les
auteurs
qui l'ont préconisé, produit des troubles intel
men histologique, on trouve une myosite parenchymateuse subaiguë. L'
auteur
conclut qu'il y a une forme de myopathie primit
clair, de son allure simple et des nombreuses idées originales de l'
auteur
, idées que nous nous bornons à exposer. L'ivrog
l'avant-propos. Dans le Jar chapitre : symptômes de l'ivrognerie, l'
auteur
dis- tingue l'ivrognerie maladie de l'ivrogneri
maladie terrible qu'il décrivait immédiatement après la perte. L'
auteur
, avec Crothers et Mauns, admet deux périodes dans
lcoolique héréditaire deviendrait en état d'ébriété sans alcool ; l'
auteur
cite de vieux membres de société de tempérance
'en dépeignant dans leurs discours le désordre des alcooliques. L'
auteur
termine ce chapitre par une indication que nous
elle est continue; dypsomanie, si elle est périodique. D'après l'
auteur
, les premières tares dans l'alcoolisme chronique,
de grandeurs sont décrites de main de maître. Dans ce chapitre, l'
auteur
rappelle les faits de Bourneville relatifs à l'
de la dypsomanie très complet ne contient pas de vues nouvelles; l'
auteur
la considère avec tous ceux qui ont traité 494
principale cause prédisposante. Un peu d'obscurité de la part de l'
auteur
quand il cherche comment elle est acquise, « l'
non le mécanisme. Les autres causes prédisposantes étudiées par, l'
auteur
, telles que l'hérédité homogène ou hétérogène,
ur les causes provocatrices; signalons ici un habile parallèle de l'
auteur
entre les surménages et l'oisiveté au point de
s ivrognes, avec la suppression pour ceux-ci du no-restreint dont l'
auteur
est au contraire partisan pour les aliénés non
us le titre d'Introduction, est l'exposé de la doctrine qui guide l'
auteur
; l'autre renferme l'étude des faits examinés à
M. Ribot, on n'a pas le droit de rien négliger. Devant tel autre
auteur
ou en face d'un traité d'oculistique, nous n'au
ants ; par le D CoomBs ICNAPP. (Boston, Cupples et Hurd, édit.) L'
auteur
rapporte trois cas d'hémiplégie enfantile avec co
té dans cette traduction revue et complétée NÉCROLOGIE. 499 par l'
auteur
. Voilà de la vulgarisation de bon aloi. On n'atte
et Hurd, édit.) Cette étude comprend douze cas de ces troubles ; l'
auteur
émet des doutes sur la commotion médullaire au
énie, les psychoses (anxiété, hypocondrie, dépression cérébrale). L'
auteur
à leur suite a rencontré un complexus symptomat
ture du Congrès, et servira de point de départ à la discussion. Les
auteurs
de ces rapports ont surtout pour mission d'expo
Bech- terew, 109. Peau (modifications du système ner- TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. 507 veux central dans le
ne motrice (étude de la du cer- veau), par Koning, 111. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Althaus, 290. Arndt, 30
ristian, 119. Clouston, 123. Combemale, 327, 329. 508 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. Cousot, 479. Crothers,
is encore en empruntant certains détails à la thèse de Déléage. Cet
auteur
a pu se procurer des renseignements sur les antéc
Ceci servira à modifier la définition de l'hystérie donnée par les
auteurs
classiques et aussi à supprimer un des caractèr
actères accessoires, éventuels el par conséquent variables. Le même
auteur
(2) en rapportant l'histoire du doc- teur Barra
Le même auteur (2) en rapportant l'histoire du doc- teur Barras, l'
auteur
de : Les gastralgies, nous dit qu'il était en pro
ordinairement primitive, marquant le commencement de l'hystérie. L'
auteur
publie 3 observations de la dernière forme. Dan
er des élévations thermiques à .i intermittences irrégulières que l'
auteur
considère comme étant de proba- ble nature hyst
s. Cependant dans les cas de Dreschfeld, Oulmout, Warner etc... les
auteurs
affirment très nettement qu'il n'existe chez leur
ÉTUDE CLINIQUE SUR 1,'A'IUlel'OSF DOUBLE. (j7 Un certain nombre d'
auteurs
ont rencontré des mouvements involontai- res qu
thode graphique ou la photographie instantanée. Un certain nombre d'
auteurs
se sont attachés à étudier la rapidité des secous
agérés, toujours lorsqu'il y a de la contracture. Un grand nombre d'
auteurs
déclarent à cause du défaut de relâchement des
marche spasmodique qui peut être considérée comme typique, certains
auteurs
et en particulier Ctay-Schaw ont décrit la démar-
et les spasmes violents de leurs antagonistes. Un certain nombre d'
auteurs
ont noté l'hypertrophie de la langue, qui donne
spasme des muscles. C'est du reste l'opinion qu'admettent tous les
auteurs
qui se sont occu- pés de la question.' Il s'a
e. (V. fig. n, p. ex.) . Voici de quelle manière quelques-uns des
auteurs
qni se sont occupés de la question, caractérise
malades saisit le verre à deux mains pour boire. Presque tous les
auteurs
ont remarqué que la préhension était gênée. Le
e paralysie n'existe pas dans l'athétose dou- ble, presque tous les
auteurs
ont rencontré simplement une légère impo- tence
règle chez les idiots, ont été signalés par un assez grand nombre d'
auteurs
dans l'athétose double : refroidissement au niv
insi qu'on en pourra juger, les deux compositions sont bien du même
auteur
, de Rubens, ainsi que l'indique la gravure du Mus
ole et il vous exposera dans ses détails le « canon » dont il est l'
auteur
. Je causais ces jours derniers avec un de nos a
ement, ou bien aussi quelque- fois la longueur du pied. Suivant les
auteurs
, la tête est contenue dans la hauteur du corps
n un nombre considérable de mensurations em- pruntées à de nombreux
auteurs
, a publié un canon scientifique des pro- portio
n faisant, les interprétations pathogéniques proposées par certains
auteurs
il propos de chaque affection particulière. Cela
déviation rachidienne. Bien que Cruveilhier (1), Wenzel et d'autres
auteurs
aient démontré par des observations remarquable
nhardt, (3) a le premier insiste. De la statistique dressée par cel
auteur
, il résulte que la déviation vertébrale a été i
explicites à cet égard, et il serait à désirer que l'attention des
auteurs
se portât davantage sur ce point. La lordose es
American Journal of med. sciences, 1888. Dans cette observation, l'
auteur
attribue la scoliose a l'a- trophie musculaire
s et revêtant d'une façon manifeste le type paralytique ». D'autres
auteurs
, comme Leyden, les rattachent à des (roubles trop
ner d'une scoliose. Nous n'avons pu nous procurer le travail de cet
auteur
. A part la sclérose en placlues, dans laquelle
elle est signalée une double déviation rachidienne, attribuée par l'
auteur
il des contractures. Il s'agit d'un jeune sujet a
n'avoir eu dans ce résultai qu'une part minime, quoi qu'en pense l'
auteur
. 13. - Scoliose paralytique. ' Duchenne en a
on toute particulière est l1ue ail mémoire de}I. Brissaud (17). Cet
auteur
a montré que la déviai ion vertébrale pouvait se
ain degré d'hy- peresthésie, explicable d'après un certain nombre d'
auteurs
de deux maniè- res différentes. Dans le premier
mations crâniennes. Cette question n'est pas encore traitée par les
auteurs
qui se sont occupés de l'athétose double. En li
e sont occupés de l'athétose double. En lisant les observations des
auteurs
qui ont noté les déformations crânien- nes, il
Leube sont sans doute accidentels ou dus à des complications. Les
auteurs
n'ont pas non plus noté de Troubles du côté de l'
rand mouvement excentrique, en un mot c'est la folie musculaire des
auteurs
.. 'ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 193
r ses qualités d'expression. Il est intitulé « la Consultation ». L'
auteur
ne met en scène que deux personnages,'un médeci
e et a été accusée de simulation ; d'autre part, on trouve dans les
auteurs
des cas qui paraissent beaucoup se rap- procher
par le premier trou sacré postérieur. Ainsi s'explique, d'après cet
auteur
, la possibilité d'une parésie de ce muscle dire
ous-mème observé un exem- ple qui répondait à la description de cet
auteur
; le cas a été communiqué en 1890 à la Société c
rrait observer d'après Remak une scoliose sciatique alternante. Cet
auteur
a vu un homme de 40 ans, at- teint de sciatique
udden (4) en Allemagne, Biaute (S), en France, et beaucoup d'autres
auteurs
(G) ont produit des travaux sur le même sujet.
énie de ces lésions osseuses est en tous cas mal connue. Cer- tains
auteurs
rapprochent les cas de ce genre de l'osléomalacie
passager », Audry a relevé 13 obser- vations, appartenant à divers
auteurs
(soit une proportion de 1 pour 6) et dans lesqu
o-hypertrophique. M. Ray- mond (1) critique l'interprétation de cet
auteur
. « Duchenne, dit-il, at- tribue cette déformati
que infantile. Il est vrai que d'après Audry (1), le premier de ces
auteurs
parait avoir confondu cette maladie avec l'athéto
e. Nous avons cité chemin faisant les théories proposées par divers
auteurs
pour expli- quer les déviations dans. les malad
nous avons l'avantage de bien le connaître. Les des- criptions des
auteurs
concernant les cas qu'ils ont rencontrés sont ins
sse relative des muscles d'un côté ? D'après les des- criptions des
auteurs
et d'après nos propres observations, les déviatio
nt, sui- vant nous, la théorie musculaire pure adoptée par certains
auteurs
. On a invoqué, pour expliquer certaines scolios
ion myotonique. La même constatation a été faite par la plupart des
auteurs
qui ont observé, depuis le travail de Erb, des
les modifications qui ont été signalées par Erb, et la plupart des
auteurs
qui ont rapporté depuis des cas de maladie de T
suivant les cas atteint 5, 10, 30 secondes ou davantage. Quelques
auteurs
admettent parmi les troubles de la contractilité
Observation de Rosenbach (1). Joanna H..., cinquante-sept ans. L'
auteur
donne la description des antécédents de sa maladi
reste les faits sont d'une interprétation discutable même pour les
auteurs
qui soutiennent que l'athétose double est un synd
orté par Wiszwianski. Il nous semble, d'après la description de cet
auteur
, qu'il s'agit là de mouvements involontaires quel
mes bizarres qui semblaient se rapprocher beaucoup de l'athétose. L'
auteur
italien fait remarquer qu'on n'a pas encore sig
arenls sonl représentées par les types morbides variés que tous les
auteurs
ont notes dans les antécédents, des malades attei
nvaincre de compulser les observations qui ont été publiées par les
auteurs
qui se sont occupés de la question. A la seconde
ertain nombre de faits, les débuts de t'athétose double. Quelques
auteurs
ont signalé l'athétose double se développant chez
adolescents et les adultes. Remarquons aussi qu'un certain nombre d'
auteurs
ne précisent pas 262 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE L
vaux sur ce sujet se sont multipliés, et on pourrait citer nombre d'
auteurs
qui ont insisté sur ce point, entre autres, Erb
aveugle nous fait pressentir la sûreté de main, la vigueur du futur
auteur
de la Terre. Les détails sont moins approfondis
erveau joue un rôle dans la pro- duction de ces effets. A peine l'
auteur
avait-il publié son article qu'il fut en butte à
point de vue que le D'' Caba- nes. Après avoir rappelé les noms des
auteurs
qui se sont occupés de la médecine vibratoire,
eil que nous avons toutes raisons de croire analogue à celui de cet
auteur
, par M. Luigi Corino, mécanicien de l'Institut
ales et de bon nombre d'altérations encéphaliques ou médullaires. L'
auteur
italien considère comme des processus morbides de
rconstances ont été in- criminées par les malades et citées par les
auteurs
comme ayant précédé l'apparition des premières
1892. ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE. 393 Presque tous les
auteurs
ont considéré l'athétose double comme très rare.
ons semblables il celles de la paralysie générale. La plupart des
auteurs
ne se sont pas prononcés, d'autres au contraire
organiques, variables ou banales, quoique dans le cas de Kurella l'
auteur
signale de la pachyméningite et l'atrophie cérébr
n'a pas décélé la moindre altération cérébrale, dans la seconde, l'
auteur
a trouvé deux anciens abcès des lobes temporaux a
de créer une hypothèse. Rappelons cependant la façon de voir des
auteurs
qui se sont préoccupés ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATH
que analogues à ceux qui existent chez nos malades ; de la certains
auteurs
et encore tout récemment Audry a voulu faire un s
emie. Il suffit de jeter un coup d'oeil sur la figure qu'en donne l'
auteur
pour constater combien il s'é- loigne de la nat
nez. Je signalerai, pour terminer cette courte revue, deux essais d'
auteurs
modernes, M. Ch. Rochet, statuaire distingué, e
n, par Ch. Rochet, 1884. (2) C'est ainsi que, dans les dessins de l'
auteur
lui-même, il est aisé de relever des in- certit
ins, en raison de leur intérêt, les principaux points relevés par l'
auteur
. Comme dans le canon de Ch. Blanc le torse se s
ltats que donnent la grande envergure, nous acceptons l'opinion des
auteurs
qui pensent que, comme la tète et le torse, ils
tête. C'est ce que démontrent, en effet, les faits observés par cet
auteur
, parmi lesquels les plus intéressants à relever
ucune école en particulier. Tous les articles sont signés et chaque
auteur
est seul responsable de son opinion. Sans pro-
convaincre, de se reporter quelques années seulement en arrière. Un
auteur
, aujourd'hui un peu oublié, mais qui voyait vers
e ses con- temporains. Or, beaucoup d'observations rapportées par l'
auteur
en ques- tion offrent, il n'en pas douter, le t
para- tes du système nerveux. Voici d'ailleurs les conclusions de l'
auteur
: « La physiologie nous enseigne, dit-il, que l
ie pure- ment psychique, se remarque en effet chez presque tous les
auteurs
alle- mands : IIenoclt y échappe à peine; c'est
Reynolds (1868), qui niait l'hérédité dans l'hystérie. Enfin, les
auteurs
américains nous transmettent dans leur Index cata
es adultes ? Pour l'âge qui précède immédiatement la puberté, les
auteurs
sont à peu près unanimes à admettre l'existence
emportements, pleurs et rires faciles, et qui sont regardés par les
auteurs
comme des troubles psychiques. Celle impression
loir relever les erreurs probables, en forçant 'parfois la pensée des
auteurs
, nous paraît au moins aussi singulier que d'acc
les maladies nerveuses organiques ? Nombre de cas rapportés par cet
auteur
peuvent s'expliquer sans doute par la doctrine
léterons ces renseignements bibliographiques. Mais ces différents
auteurs
ne traitent pas spécialement de l'hystérie si-
nt de 11 ans, une forme hémiplé- gique de mouvements innommés que l'
auteur
rattache sans hésiter à l'hys- térie infantile.
uestion. Les résultats ne sont pas du tout satisfaisants ; nombre d'
auteurs
refusent même toute efficacité à cette manipulati
insurmontable; on dit alors que c'est la contracture tardive. Les
auteurs
ont émis plusieurs hypothèses sur la nature de la
la fluxion seule qui constitue anatomiquement l'affection, tous les
auteurs
recommandent des moyens qui tendent à diminuer l'
ar la faradisation de la région claviculaire, parce que d'après les
auteurs
fran- çais les plus éminents comme M. le profes
égénération primitive. Je partage parfaitement l'opi- nion des deux
auteurs
éminents que je viens de nommer. Le tabès étant
s expériences physiologiques que par l'ataxie des tabétiques. Les
auteurs
ont incriminé la destruction des fibres coordinat
tions et sa technique), par Gilles de la Tourette, 265. TABLE DES
AUTEURS
Bardol, 329. Bogroff, 18. Béchct, 223. Ch
hypnotisme a été mise en évidence par les travaux d'un grand nombre d'
auteurs
. Braid dans plusieurs passages de son livre fameu
e Doctorat sur l'Incontinence dite essentielle d'urine. Quand les
auteurs
arrivent au chapitre « Traitement », il en est qu
... » Et voila l'hypnotisme condamné, sans antre forme de procès. L'
auteur
ne s'est pas dit que le « magnétiseur » en questi
t résulté nn abcès ? Quoiqu'il en soit, depuis lors, la plupart des
auteurs
qui écrivent sur l'incontinence reproduisent text
ble qui est ce qu'on a écrit de mieux sur l'Incontinence d'urine. Ces
auteurs
m'ont fait le grand honneur, dont je les remercie
point, je suis obligé de rectifier formellement. Les critiques des
auteurs
susnommés, je les considère comme inexistantes et
ratique couramment et dont je n'ai qu'à me louer. II Bon nombre d'
auteurs
soutiennent que Tablatiou des végétations adénoïd
l'action de la belladone. Sur la foi de ce glorieux ancêtre, tous les
auteurs
modernes recommandent la belladone, et son alcalo
ait donc trop s'élever contre cette dangereuse toxicomanie. V Les
auteurs
sont également unanimes à recommander de diminuer
au point de vue des troubles cérébraux d'origine cocaïnique. Certains
auteurs
prétendent en effet que l'intoxication cocaïnique
hapitre une histoire complète du magnétisme animal, à propos duquel l'
auteur
évoque les énigmatiques figures de Mesmer, de Puy
cate question. En l'absence d'une jurisprudence, constatons que les
auteurs
se sont rangés à l'opinion de Liégeois et que le
isateur de l'Assistance familiale, directeur des Arclw de Xeurotoyie,
auteur
de travaux de grande valeur en psychiatrie, promu
nos algomanes. ce St Ambroise qui versa tant et tant de larmes, que l'
auteur
de la Légende dorée irraduct. abbé Boze) dut en f
ne certaine ressemblance d'ailleurs. Aussi pourrait-on l'appeler et l'
auteur
propose de l'appeler ophtalmo-céphalée essentiell
ssance est indispensable, h qui veut étudier la tension artérielle, l'
auteur
expose l'intérêt de cette étude pour le diagnosti
dn Vaudonx existe encore, dit-on. a Haïti et ln relation que donne l'
auteur
de l'article (qui d'ailleurs ne signe pas) en
ent considérées comme un scandale et ils s'efforcèrent de tourner son
auteur
en ridicule. La haute valeur intellectuelle de
autoritaire, de violence, se retrouve dans la définition de tous les
auteurs
qui ont eu des idées exactes sur le mécanisme de
te que suggestion vient de saggestere (placer au-dessous, dominer), l'
auteur
exclut de sa définition toute indication de domin
omplet d'observation scientifique. Il est également la preuve que l'
auteur
ne s'est jamais instruit aux enseignements des ma
onscrire la notion de la suggestion. Cela tient assurément à ce que l'
auteur
obéit à certain instinct d'accaparement qui l'a
tre tabacomane. le priseur qui ne demande tout d'abord (1) Quelques
auteurs
catholiques ont avancé une semblable explication.
pas parlé dn « sombre plaisir d'un cœur mélan-c colique », et le même
auteur
(Amours de Psyché, 1er livre in-fine) ne nous fai
définition est cependant-envisagée, d'une façon courante, par le même
auteur
, comme un médicament, comme une potion que l'on a
on. C'est le prototype du sophisme par accumulation d'absurdités. L'
auteur
de la définition à laquelle s'adresse notre criti
doit avoir une valeur claire et non absurde, qui lui soit propre. L'
auteur
de la définition visée a répété dans plusieurs li
tre satisfait. *. * * Dans ses publications, la découverte dont l'
auteur
semble tirer le plus de vanité, après celle bien
se mentale, et dont l'étude nous semble un peu trop dédaignée par les
auteurs
contemporains : c'est la tendance intuitive que l
blât si naturelle à Spinoza qu'il ne songeât même pas à l'exprimer. L'
auteur
admet que sur l'échelle qualitative des faits de
les enfants phrénasténiques. par M. Ehxesto Tramonti (de Rome). L'
auteur
a pu démontrer avec de longues recherches pratiqu
'organisme avant d'en voir uniquement l'effet sur la partie malade. L'
auteur
classe les moyens dont nous disposons en: Io Les
de la psychologie si l'on veut arriver à des déductions pratiques. L'
auteur
a fait un résumé succinct de la philosophie pragm
et les variations qui s'étaient manifestées dans les opinions de cet
auteur
. Faisant allusion à sa dernière communication, il
pe de psychologie sans s'être préalablement initié à l'étude des bons
auteurs
classiques. Dans chacune de ces publications, i
ns chacune de ces publications, il est une formule snr laquelle notre
auteur
revient avec une complaisance telle qu'on doit la
unisson de cette idée. La même constation se retrouve chez tous les
auteurs
qui. depuis Cabanis, ont poursuivi l'étude des ra
on retrouve à chaque page les témoignages de la self-admiration que l'
auteur
éprouve pour ses conceptions doctrinales, je ne p
t mal avec d'autres passages où (1) de Hérédia. Les trophées. l'
auteur
écrit et affirme comme s'il n'avait pas fait cett
ce et prudence, il n'est guère de bonne observation scientifique. Les
auteurs
de récits miraculeux étaient-ils de bons observat
ombreuses et contradictoires : quant au traitement il varie selon les
auteurs
puisqu'il découle des diverses théories adoptées
ons... La nature de ces sensations ? Elle est différente, suivant les
auteurs
. Pour les uns, ce sont les sensations qui viennen
ue : lj Les différents troubles observés et décrits par de nombreux
auteurs
pendant et sous l'influence de l'hypnose fies tro
aleur thérapeutique. Cependant il ne se passe pas de joui* où quelque
auteur
n'affirme qu'il a obtenu des guérisons ou de simp
la suggestion à l'état de veille ». En réalité, les illusions de ces
auteurs
sur les prétendus effets Physiologiques et thérap
En effet, lorsqu'on examine avec un peu de soin les observations deB
auteurs
qui prétendent avoir obtenu des effets thérapeuti
rraient résister à une analyse quelque peu attentive . La plupart des
auteurs
n'ont-ils pas pris soin d'apporter eux-mêmes avec
infectieuse. Guérison en cinq séances de suggestion sans hypnose. L'
auteur
qui préparait alors l'évolution qui l'a fort heur
sophie et la Métaphysique sont-elles mortes '! Broch. in-S°. Chez l'
auteur
. Claparède (Ed.) : Rapport sur la terminologie ps
ine du département du Xord. l'observation d'un cas d'anesthésie que l'
auteur
qualifie à tort « d'anesthésie par suggestion » p
s qu'à des données physiologiques. Enfin, il faut dire que beaucoup d'
auteurs
tendent actuellement à expliquer tous les phénomè
ose, phénomènes qui, à cause de leur spontanéité, sont dénommés par l'
auteur
« demi-spontanés ». D'abord, l'auteur croyait ê
ntanéité, sont dénommés par l'auteur « demi-spontanés ». D'abord, l'
auteur
croyait être le premier a avoir remarqué ces symp
la discussion de notre société les résultats et les conclusions de l'
auteur
sur l'hystérie et sur l'hypnose. Je ne veux pas
firmés. Ces sujets ont été préalablement attentivement examinés par l'
auteur
en ce qui concerne la sensibilité, la motilité, l
ractions, l'appareil visuel et les autres troubles psychiques; mais l'
auteur
n'indique pas sa manière d'interroger, bien que,
stérie, elle joue un grand rôle dans la production des stigmates. L'
auteur
remarque que, par exemple, suggérant pendant l'hy
té de sensibilité des deux cotés et, en vérité, examinant le sujet, l'
auteur
trouve que non seulement la sensibilité est égale
ilité pourrait avoir comme effet un changement dans les réflexes. L'
auteur
répète, dans les mêmes conditions, différentes mo
té et les réflexes tendineux. Passant à la discussion de ces cas, l'
auteur
cherche a donner une explication pour chacun des
se, fait qui d'ailleurs donne l'explication des points 2, 3 et 4. L'
auteur
, naturellement, ne peut donner une explication co
gmates hystériques par les symptômes demi-spontanés, A la vérité, l'
auteur
soutient que l'hystérie favorise l'association de
érées, qui donnent ces symptômes demi-spontanés. • Les idées de l'
auteur
bien appuyées sur les observations publiées, ne s
ulisme, entraîne à l'état de veille une aphasie); Cbarcot et d'autres
auteurs
ont observé des cas analogues. Mais l'auteur se
; Cbarcot et d'autres auteurs ont observé des cas analogues. Mais l'
auteur
semble ignorer les débats du Congrès de l'Hypnoti
oins accentuée, répondant à des formules psychiques semblables. Ces
auteurs
ont donc démontré le phénomène intime entre l'éta
un grand retentissement tant en France qu'à l'étranger et de nombreux
auteurs
signalent des cas d'hystérie à l'appui de l'une o
e. Si je vous rappelle tous ces travaux et si je vous cite tous ces
auteurs
, c'est pour bien démontrer que la question d'hyst
hypnose » ont été antérieurement observés et expliqués par plusieurs
auteurs
d'une manière différente ; que même l'expression
sur certains phénomènes suggérés, est une manière logique propre à l'
auteur
(lequel se base sur la théorie des centres associ
ose que des prévisions optimistes et des interprétations hasardées. L'
auteur
a été directement mêlé aux luttes électorales. Pl
procédés irréguliers mettent l'action publique en mouvement et si les
auteurs
de ces procédés commettent ce crime contre les co
n'être pas sujet à l'erreur ou de ne pouvoir en être accusé. » Pour l'
auteur
du livre « du Pape » tout jugement dont on ne peu
ime retentissant qui reste impuni parce qu'on ne put en découvrir les
auteurs
. L'acquittement d'un coupable ne déterminera jama
éfastes, moins néfastes pourtant que la condamnation d'un innocent. L'
auteur
du crime, ceux qui l'entourent se riront de la ju
ur les résoudre ? Pour le public, le juge apparaît comme le principal
auteur
des erreurs judiciaires. Mais il n'est pas le seu
eil se mélange si singulièrement à celle de la veille, que le délicat
auteur
du Voyage autour de ma chambre, Xavier de Maistre
issance de cet état d'hypnotisme permanent qui a donné, chez certains
auteurs
, naissance à l'illusion qu'ils avaient obtenu des
e un mauvais fonctionnement du système nerveux. La majeure partie des
auteurs
qui s'occupent spécialement des voies digestives.
ions dont l'intégrité est iudispousnble pour la vie militaire >, l'
auteur
constate que le plus grand nombre des tiqnenrs es
niot, l'état mental redevient ce qu'il était avant le traitement. L'
auteur
conclut que l'on doit, avant d'Incorporer les tiq
nerveux mal définis, caractérisés par des stigmates spéciaux que les
auteurs
mo dernes considèrent comme les attributs fondame
tisme, un des caractères principaux. * • Le plus grand nombre des
auteur
:- qui ont abordé l'étude des névroses traumatique
urée plus ou moins longue (1) ». Or, ce qui n'a été signalé par aucun
auteur
, c'est la conséquence immédiate de l'émotion qui
ait tout entier, et même si couramment qu'on eût dit qu'il en était l'
auteur
. Il dut a cette facnlté la réputation d'un prédic
désagré-gration forme un tracé assez disparate qui, d'après certains
auteurs
, exprime un dédoublement de la personnalité du sc
ymptômes qui n'appartiennent qu'à elle. La psychasthénie, selon les
auteurs
que je viens de citer, se traduit par une grande
qui l'entourent, d'être considéré comme le dégénéré de quelqu'un. Ces
auteurs
un peu déconcertants ont eu cependant l'amabilité
Mais heureusement, pour protester contre cette désolante doctrine, l'
auteur
se hâte de faire dire au protoganistc de sa remar
s forme de réminiscences oniriques, Il faut lire les travaux de cet
auteur
pour saisir avec quelle variété d'amplitudes et q
izky, d'Odessa D'après les savantes recherches de toute une série d'
auteurs
allemands (Freud, Bleuler, Jung, Steckel, Muthman
plus surpris que s'il est une opinion partagée par un grand nombre d'
auteurs
, c'est celle qui considère l'hypnotisme comme un
e de mille douleurs, sans sommeil et sans repos. La description que l'
auteur
nons donne de son état en fait une malade atteint
le numéro de la Revue de l'JIypnolitme de février 1897 valut a, son
auteur
les plus flatteuses félicitations. Ceux de nos
nouvelles vibrations du diapason ramènent la catalepsie ». D'autres
auteurs
avaient reconnu d'autre part l'influence d'excita
uggestion chez les hystériques hypnotisables. Depuis ce temps, divers
auteurs
, et spécialement M. le Dr Bérillon dans une commu
ence exercée par l'hypnose sur le système circulatoire. Mais tous ces
auteurs
se bornent à signaler les cas, avec les phénomène
imités à l'appareil cardio-vasculaire et remarqués d'ailleurs par les
auteurs
qui s'occupent d'hypnotisme. 2° Examiner la com
lle, mais une chute brusque du nombre des leucocytes, et bien que les
auteurs
disent, que les modifications ne sont pas si appr
out premier rang, elle est franchement avouée aux dernières lignes. L'
auteur
y professe « une certaine confiance> dans l'av
d'nne manière plus utile et plus réelle par la conduite générale de l'
auteur
que par telle ou telle phrase particulière de son
ns soumise à M. le docteur Joire, un spécialiste psychologue éminent,
auteur
d'un traité de « Graphologie scientifique » très
nner des renseignements sur le degré de culture intellectuelle de son
auteur
, et même sur sa situation socIale.Par comparaison
rigoureusement pratiquée ; un manquement à ce principe déshonore son
auteur
, et rien de ce qui a été rapporté sur le caractèr
thargique provoqué par la vibration d'un diapason, p. 325 TABLE DES
AUTEURS
Anastay, p. 374. Amblard, p. 60. Beaunis, p
l'existence d'un calcul. Dans ce cas existait une gibbosité, dont l'
auteur
voulut essayer le redressement, par le procédé
'obli- geance de MM. Huet et Infroit (PI. III), montre, d'après les
auteurs
, une transparence exagérée de la IVe vertèbre l
ltation des réflexes, du clonus et le signe de Babinski à gauche. L'
auteur
diagnostique un mal sous-occipital avec luxatio
lenteur du réflexe lumineux. Bien que le malade soit alcoolique, l'
auteur
croit pouvoir rapporter tous ces accidents au m
vant dépendre d'une tuberculose ver- tébrale latente. Or, plusieurs
auteurs
affirment que : le mal de Pott se développe, d'
0 observations, s'oit personnelles, soit récemment publiées par les
auteurs
, soit retrouvées dans la littérature de tous le
membres et par quelques différences évolutives, on comprend que des
auteurs
aient volontiers considéré la spondylose rhizom
e, pouvait logiquement et scientifiquement résoudre. La plupart des
auteurs
allemands et bon nom- bre d'auteurs français de
uement résoudre. La plupart des auteurs allemands et bon nom- bre d'
auteurs
français des plus autorisés se sont prononcés pou
épine, MM. Teis- sier et Roque dans leur premier travail, etc.. Les
auteurs
italiens ont en général attribué à la spondylos
ces cliniques, symptomatiques et évolutives, très nettes, certains
auteurs
ont voulu confondre dans une même description t
1), de la description de la cyphose hérédo-traumatique que 'ces'» ?
auteurs
ont identifiée avec la rigidité de la colonne ver
les limites qu'il convient de lui assigner, et qui varient avec les
auteurs
. C'estain si que quelques savants rapportent cert
nnaissance de tout ce qui a été dit sur ce faisceau parles nombreux
auteurs
qui s'en sont occupés. Le faisceau longitudinal
llée, la plus complète du faisceau longitudinal inférieur. Pour cet
auteur
, le faisceau longitudinal est un faisceau d'ass
ien développé et passe du lobe occipital' au mésencé- phale ; ici l'
auteur
donne expression à des idées très personnelles su
s deux couches de fibres. , Siarokotlitzki (1) se range parmi les
auteurs
qui attribuent au faisceau lon- gitudinal infér
circonvolution temporale ainsi que le veut Dejerine. Pour ce dernier
auteur
, ces fibres venant de la première temporale, co
raient se terminer dans le précuneus. A l'ensemble de ces fibres, l'
auteur
donne le nom de « faisceau temporo-pré- occipit
isinage de la circonvolution du crochet et du noyau amygdalien. L'
auteur
considère que, d'une façon générale,la couche sag
l'hippocampe a été trouvée intacte, il est donc peu probable, dit l'
auteur
, que ce segment inféro-interne soit en relation
éro-interne soit en relation avec le lobe occipital. Plus loin, l'
auteur
revient sur l'origine du faisceau longitudinal et
sent et passent dans la capsule interne. Il semble donc que, pour l'
auteur
, le faisceau longitudinal in- férieur renferme
On ne parvient pas à se faire une idée exacte des convictions de l'
auteur
sur l'origine du faisceau longitudinal. A un endr
rmer une bonne partie de la couche externe. Quoi qu'il en soit, l'
auteur
considère que la presque totalité du faisceau lon
elques faits relatifs à la physiologie de l'oeil pré- sentés par un
auteur
sans autorité en ophtalmologie et sans intérêt da
oubles de sen- sibilité objective, surtout une hypoalgésie, que les
auteurs
ont représentée sur un schéma. Comme nos malade
n n'apporte pas une contribution importante à la question. Quelques
auteurs
allemands, Frôhner entre autres, dans sa « Path
nnées par Hérard et Capuron et ad- mise, à leur suite, par tous les
auteurs
, comme constituant un des plus typiques exemple
mécanisme de quelques paralysies radiculaires mécaniques. Tous les
auteurs
qui se sont occupés de cette question admettent a
ssion comme, à la suite d'Hérard et Capuron, l'admettaient tous les
auteurs
, c'est que l'on ignorait avoir affaire à des pa
dans tous les autres publiés jusqu'à ce jour, si bien que tous les
auteurs
décrivent la Paralysie des béquilles au chapitre
e externe du lobe occipital, le faisceau longitudinal inférieur des
auteurs
classiques.- La partie interne de ce faisceau a
(qui est aussi, à cet endroit, le faisceau longitudinal inférieur des
auteurs
clas- siques) se confond avec le cingulum, dr,
m est fort bien développé. Il est indubitable que dans l'esprit des
auteurs
, il s'agissait d'un faisceau longitudinal volum
sceau reconnaissable était le faisceau longitudinal in- férieur des
auteurs
(fig. 4 et PI. XXXII, 17). 202 LASALLE-ARCUAMBA
qu'ici « faisceau longitudinal inférieur». Mais il existe parmi les
auteurs
une si grande diversité d'opinions sur la dispo
sagittale externe de Sachs, le faisceau longitudinal inférieur des
auteurs
(f1g. 1) ; ses libres sont plus abondantes sur
de ces faisceaux est une excellente garantie que dans l'esprit, des
auteurs
? ces faisceaux étaient bien indépendants de la
chs et comprend en réalité le « stratum proprium cunei » de ce même
auteur
. Nous savons que pour certains auteurs, pour Déje
m proprium cunei » de ce même auteur. Nous savons que pour certains
auteurs
, pour Déjerine en parti- culier, le cingulum. h
al s'iden- tifie en grande partie avec le faisceau longitudinal des
auteurs
; seulement le faisceau longitudinal prend son
surtout dans sa lèvre inférieure. Nous avons vu que pour certains
auteurs
, Flechsich (1), Probst (2), Red- lich (3) et au
of. Obersteiner) Band XII, 1905, 214 LASALLE-ARCHAMBAULT mais ces
auteurs
parlent indifféremment de faisceau ou de couche s
e sagittale externe contient le faisceau longitudinal inférieur des
auteurs
classiques et en plus : des fibres du faisceau
ère circonvolution tempo- rale au corps genouillé interne, etc. Les
auteurs
qui ont fait la meilleure des- cription du fais
dénominations ne sont pas syno- nymes. Mayendorf (1) est le seul
auteur
dont les idées se rapprochent des nôtres. Dans
verser, nous dirons que le « faisceau longitudinal inférieur » des
auteurs
clas- siques comprend : a) le « faisceau optiqu
ns pas l'existence chez l'homme de longues fibres d'association des
auteurs
. 4) Le cingulum n'a pas pour fonction de relier
es entourées d'un riche réseau sous-capsulaire décrites par le même
auteur
; relativement à cette dernière catégorie, je m
et égard la littérature médicale, on la trouve dans ce fait que les
auteurs
qui ont constaté ce type clinique l'ont classé d'
dépassé 70 ans. Quant aux autres caractères mentionnés par certains
auteurs
: infiltra- tion adipeuse, dégénérescence vacuo
ue l'ont montré les recherches de M. Klip- pel (1). Ainsi que cet
auteur
l'a constaté, le vieillard est plus sensible qu'a
x et sont in- dépendants d'un substratum anatomique, mais, ajoute l'
auteur
, si l'affai- blissement des vieillards n'est pa
ome clinique décrit par Empis devait rester, les conclusions de cet
auteur
sur la nature de ces paraplégies devaient bient
ter une place à part dans les alrophies musculaires du vieillard. L'
auteur
qui, à notre connaissance, a remarqué le premier
, ainsi qu'on en trouve un exemple dans le travail de Démange.. Cet
auteur
qui avait si bien vu et décrit la paraplégie sp
musculaire suivie de rétraction dont nous avons parlé. Ce dernier
auteur
spécifie que les athrophies se produisent chez le
tro- phie survient-elle de façon assez variée. Avec la majorité des
auteurs
, on peut considérer l'atrophie de la fibre comm
aire et, d'autre part, du rhumatisme chronique avec lequel certains
auteurs
ont confondu la paraplégie par rétraction. La c
opéré des animaux adultes, con- trairement à la manière de certains
auteurs
qui ont expérimenté sur déjeunes animaux, et no
es, d'ulcérations ou de trouble trophique d'aucune sorte.. Quelques
auteurs
qui nous ont précédés dans cette voie de recherch
arses, associées à l'altération fusiforme ou à l'atrophie simple. L'
auteur
en concluait à l'existence des névrites périphéri
n'existe pas de contradiction absolue entre les faits observés par l'
auteur
alle- mand et les nôtres.Koster n'a conservé au
ravail de Trouchkowsky (3) apportait confirmation de ces faits. Cet
auteur
avait toujours trouvé des dégénérescences dans le
utres cas, les coupes ne présentaient que des al- térations que cet
auteur
n'hésita pas à considérer comme artificielles, du
entre ses constata- 310 ROUX ET llEITZ tions et celles des autres
auteurs
s'expliquent par la faible durée de survie des
ne faut attacher aucune impor- tance, comme l'ont bien vu tous les
auteurs
qui ont travaillé l'histologie des ganglions sp
du bout ganglionnaire des racines postérieures. Il existe entre les
auteurs
, à ce sujet, des divergences presque aussi marqué
s coupes. Nous avons déjà parlé de la thèse de Bonne. Au 9e jour, l'
auteur
lyonnais trouva dans le bout médullaire quelque
oir des fibres restées intactes dans le bout médullaire. Le dernier
auteur
ne trouva pas non plus de fibres dégénérées dan
os animaux les lésions décrites chez les tabétiques par de nombreux
auteurs
au cours de ces dernières années. Sans doute, G
est vrai, est en contradiction avec des lésions décrites par d'autres
auteurs
après la même section des racines postérieures,
cessus rétrograde. Les cellules des ganglions spinaux, que certains
auteurs
ont décrites, à cette époque, comme partiellement
ionnaires semblables à celles décrites dans le tabes par différents
auteurs
et en dernier lieu par Thomas et Hauser. D'autr
s telle qu'elle est comprise dans le présent article». Mais ce même
auteur
pose la question un peu différemment dans son Tra
il écrit : « Je ne saurais admet- tre, comme le font la plupart des
auteurs
, que tous les cas dans lesquels on a constaté d
. un pro- cessus primitif. Cette thèse a été soutenue par plusieurs
auteurs
, parmi lesquels je citerai Charcot, Leo, Liouvi
certains cas et considérées comme primitives par beaucoup d'autres
auteurs
, parmi lesquels il me suffit de citer Dejerine,
centre une artère ou une veine altérée ou thrombosée. ' Pour les
auteurs
qui considèrent la sclérose en plaques comme une
nces histologi- ques que nous avons déjà ci-dessus énumérées. Les
auteurs
qui soutiennent l'origine infectieuse de la sclér
aques de n'importe quelle origine infectieuse. Cependant tous les
auteurs
n'excluentpasd'une façon décisive l'infection s
ie, par la destruction des cylindraxes et des cellules nerveuses. L'
auteur
conclut en admettant la coexistence de la scléros
rations de la parole à type bradylalique et dysarthrique. Lorsque l'
auteur
examina le malade, celui-ci présentait : ataxie,
mplètement et donner -lieu à des dégénéres- cences secondaires. Les
auteurs
qui ont constaté la destruction complète des cy
clérose en plaques, nous ne pouvons omettre une remarque : Certains
auteurs
prétendent que la syphilis cérébro-spinale ne r
s est reconnu aussi par Nonne et Müller eux-mêmes et par d'au- tres
auteurs
qui se sont occupés de cette question. Que la s
l avait les ganglions indurés et de la périostite du tibia droit. L'
auteur
, par l'application du traitement mercuriel obtint
s aphasies musicales ; ce fait mérite qu'on s'y arrête. Plusieurs
auteurs
, ignorant l'étude minutieuse de Charcot, attribue
ai complet de systématisation des désordres du langage musical. Cet
auteur
distingue six formes cliniques : 1° L'amusie
\ I Agraphie musicale (il ne peut ' ^ pas écrire de musique). Ces
auteurs
décrivent les divers types d'amusie comme formes
mémoires musicales. Les amusies simples seraient, d'après plusieurs
auteurs
, plus rares que les complexes ; cependant les e
amusies et les aphasies, et sur les amusies de conductibilité . Cet
auteur
dans son schéma des aphasies, ne présente qu'un
erve Blocq, mais elle se borne à représenter les déductions que cet
auteur
tire d'une théorie générale des aphasies, fondé
de faits nouveaux que l'on puisse ajouter à ceux mentionnés par les
auteurs
. Nous avons pu observer une seule nouvelle form
s chez quelques musiciens de génie ; selon Lombroso (1) et d'autres
auteurs
, ces impul- sions ou raptus sont fréquents et s
a théorie uniciste (Brissaud, Launois et Roy). D'après ces derniers
auteurs
,ces deux états pathologiques sont fonction d'un m
n envisageant ce dernier point nous mentionnâmes que la plupart des
auteurs
, et surtout les auteurs français admettent que
point nous mentionnâmes que la plupart des auteurs, et surtout les
auteurs
français admettent que le gigantisme et l'acromég
t une ossification précoce. En comparant ces faits aux opinions des
auteurs
cités dans mon pre- mier travail, je suis arriv
401 ves générales de médecine, 1905, n° 3). Les conclusions' de ces
auteurs
ne diffèrent pas beaucoup des miennes. Je dois
utenue par MM. Brissaud 406 IiUDOVERN1G et Meige. On sait que ces
auteurs
supposent la même cause pathologique pour l'acr
oublier que la tradition qu'elle s'efforce de perpétuer est due à l'
auteur
de ['Anatomie et de la Physiologie artistiques, s
iagnostic sur ces dessins» ,s' écria-t- i 1. Il voulut en connaître l'
auteur
. Celui- ci n'était autre qu'un étudiant en méde
'un à l'autre, y fraternisent étroitement et vous êtes le principal
auteur
de cette union féconde. D'ailleurs, votre prédi
es expérimentales et anatomo-pathologiques de la part de différents
auteurs
,mais les résultats auxquels chacun d'eux est arri
ous rentrent aussi dans ce groupe. Il faut reconnaître que tous les
auteurs
précédents n'ont pas eu alors des procédés de c
plus exactes sur la régénérescence expérimentale de la moelle. Cet
auteur
a pratiqué des sections complètes ou partielles d
nt de cellules fusiformes conjonctives provenant de la cicatrice. L'
auteur
soutient avec juste raison que les cellules de
cette substance (Fig. 12). A ce propos il est fort probable que les
auteurs
qui ont décrit des névromes dans la moelle n'on
ie d'un examen histologique détaillé qui se résume ainsi, d'après l'
auteur
: Affection symétrique et systématique de la mo
trophie simple des différents muscles examinés. Fait intéressant, l'
auteur
eut l'occasion d'observer le développement de l
ue. L'excitabilité galvanique et faradique était très diminuée. L'
auteur
n'a pas suivi l'enfant ultérieurement, mais une b
tion comme familiale. La loi de la série, suivant l'expression de l'
auteur
, lui a permis d'ob- server, à la même époque, d
dégénérescence dans les muscles quadriceps et tibial antérieur. L'
auteur
réunit ces quatre cas dans une description d'ense
vie ; dans les cas observés, la survie n'a'pas dépassé' 4 ans. L'
auteur
, au point de vue des lésions anatomiques, insiste
mann il faut ajouter les publications faites depuis, par différents
auteurs
, de quelques cas, dont on trouvera l'indication
i de Bruce et John Thomson. Il s'agil d'un enfant de 4 ans, que les
auteurs
ont suivi de novembre 1889 ;'1 no- vembre 1891
symptômes très analogues à ceux des cas rap- portés ci-dessus, les
auteurs
n'ont constaté aucune lésion nerveuse à l'au- t
raisons qui. nous ont encore incités à le faire, c'est que quelques
auteurs
onl cherché à contester à la névrite interstitiel
s, à savoir, le dérobemeut des jambes (Giving way of llae legs) des
auteurs
anglais. Ce phénomène se montre chez lui sans a
on variable, et dont l'importance est diversement appréciée par les
auteurs
. Voici, le plus brièvement possible, les princi
certains cas, jusque dans les cordons postérieurs. Fréquemment, les
auteurs
signalent des altérations des gangiions rachidien
tation des voies lymphatiques, sont rapportées par presque tous les
auteurs
, à l'oedème de la moelle. D'ailleurs, les chirurg
ièrement tuméfiés. Ces lésions semblent bien, comme l'admettent les
auteurs
, pouvoir être rapportées à l'oedème de la moelle,
- sissement de la névroglie, ces lésions indiqueraient, d'après les
auteurs
, l'oedème histologique de la moelle. La myélo
, comme un facteur de gravité ; c'est, du reste, l'avis de tous les
auteurs
. La rapide aggravation des symptômes est, égale
se rapportent qu'à neuf cas. Les altérations trouvées par tous les
auteurs
(une observation de Bie- ganski, trois de Testi
réquent que la syringomiélie : l'artério-sclérose médullaire. Nul
auteur
, jusqu'à présent, n'a établi les relations casuis
sibles, Le sentiment de profonde admiration que nous avons pour les
auteurs
de l'Analomie des centres nerveux nous porterai
ait reconnaître alors qu'un seul caractère à chaque faisceau. Les
auteurs
de l'Anatomie des centres nerveux ont évidemment
cben,von Monalow,Ii.edlich,Sachs,Weber, etc., c'est-à-dire tous les
auteurs
qui reconnaissent au faisceau longitudinal in-
entriculaire externe. Si nous faisons cette observation c'est que l'
auteur
fait remarquer (p. 111) : « On voit l'extrémité a
la vision. Voici, du reste, la topographie telle que décrite par l'
auteur
: « On constate deux plaques jaunes anciennes d
ré- trolenticulaire de la capsule interne. Ces lésions, disent les
auteurs
, «entraî- nent en amont du foyer primitif une d
s nous contenterons de poser une question à ce sujet. Pourquoi; les
auteurs
qui reconnaissent comme nous (mais longtemps av
'on sait que sur ce point nous aimons à diverger de la majorité des
auteurs
. Nous n'avons pas l'intention de préciser ici l
et le tubercule quadrijumeau antérieur sont considérés par certains
auteurs
comme point de départ d'un faisceau descen- dan
ence de fibres allant en sens inverse n'est admise que par certains
auteurs
. A ce propos nous dirons que nous nous rallions à
NGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL S87 D'après les
auteurs
le faisceau maculaire se termine essentiellement
posées en une couche très mince, que comme la grande majo- rité des
auteurs
, nous ne pouvons déceler qu'au microscope. Or, le
saisissante. Nous y reviendrons probablement sous peu. TABLE DES
AUTEURS
ALQUIER. Les principales formes des trou- ble
al (suite et fin) (6 pl.. G sch., 7 flg.), 1031118. 598 TABLE DES
AUTEURS
LASALLE-ARCIL131BABLT. Le faisceau longitu- d
ous reportons aux premières descriptions qui ont été faites par les
auteurs
qui se sont occupés de cette question, nous pouvo
rmation de la boite crânienne a été dénommée plus récemment par les
auteurs
alle- mands du nom de Thurmschædel ou crâne en
et la lésion des nerfs optiques (2) ; .depuis, un certain nombre d'
auteurs
allemands relatent des cas analogues. En Amériq
Mellzer (12). Il res- sort des études anatomo-palhologiques de ces
auteurs
que la cause de l'oxycéphalie doit être recherc
ntation de la pression endocranienne. L'on sait aussi que plusieurs
auteurs
, se rapportant à la conformation externe de la ca
étant donné le prognathisme supé- rieur signalé par nous et par les
auteurs
précédents dans l'oxycéphalie, on pourrait croi
ormation du nez ne paraît pas avoir retenu beaucoup l'attention des
auteurs
; cependant Meltzer en fait mention dans son trav
ns toutes les observations des cas d'oxycéphalie rela- tées par les
auteurs
, on peut constater que l'irrégularité de la denti
s cas analogues par Menneberg, Mocquin, Muskens, etc. De nombreux
auteurs
, ultérieurement, ont relaté des observations réa-
tète et les tumeurs cérébrales au moyen des rayons de Röntgen. Cet
auteur
insiste sur l'état inégal et atrophique des os dé
rches. Il est donc d'autant plus intéressant de relever comment cet
auteur
a été frappé, comme je l'avais été moi-même, pa
réac- lion ; il s'agit des crêtes minces et ondulées que plusieurs
auteurs
déjà ont retrouvées et décrites dans l'oxycépha
sur des pièces anatomidnes, et il a été déjà signalé par quel- ques
auteurs
(Bourneville, Patry). Donc, les troubles circul
ou anatomiques, mais aussi par la tendance qu'il y a eu, parmi les
auteurs
qui se sont occupés de cette question, à signaler
le voit, mes vues personnelles sont très voisines de celles de cet
auteur
. Pour moi, celle soi-disant méningite séreuse,
les commé- moratifs de presque tous les cas de Patry et des autres
auteurs
, j'ai cons- taté des symptômes indéniables de r
toutefois il est peut-être utile de rappeler les derniers travaux des
auteurs
qui ont cherché de faire du rachitisme un syndr
els, sans aucun des signes accessoires de cette espèce morbide. Les
auteurs
s'expriment de la façon suivante : « Notre mala
ans le quatrième ventricule, et offrent l'aspect, décrit par tous les
auteurs
comme indice d'une hypersécrétion. Ils présente
), Biondi (2) et Pelizzi (3). Pourtant, malgré cette longue liste d'
auteurs
qui ont étudié la structure, les fonctions et l
les plexus ne présentent pas des modifications importants, mais les
auteurs
les considèrent clans le sens d'une hypertrophie
u liquide céphalo-rachidien, est relativement restreint. Beaucoup d'
auteurs
, et surtout les allemands, qui sont justement c
a lymphocytose comme pathognomonique pour la méningite séreuse. Cet
auteur
, basé sur les recherches d'Hansc- matin (9) et
rébrales, nous pensons être en droit de nous rattacher à l'avis des
auteurs
qui considèrent la méningite séreuse comme un p
présenter le signe de Westplial ; l'observation a été égarée, dit l'
auteur
, et l'étal des réflexes est inconnu ; mais le fai
'une hémiplégie inter- currente. Le fait est signalé par différents
auteurs
. M. Donath rapporte l'histoire d'un tabétique d
abes sont observées parfois dans l'hyperchlorhydrie ; mais certains
auteurs
qui se sont occupés de la question, pensent que
célèbre spécialiste de chirurgie cérébrale américain, et Crowe, les
auteurs
rapportent que dans 82 cas d'opérations à l'int
ans aucun de ces cas, il n'y a eu de méningite. En conséquence, les
auteurs
proposent l'emploi de l'uro- tropine dans toute
uelle, nous ne l'avons pas encore trouvée signa- lée. . Plusieurs
auteurs
citent uniquement t'anaphrodisie du sujet qu'ils
idérables parus au cours de ces dernières années,et la majorité des
auteurs
sont arrivés à s'entendre sur un type clinique
hogénie de ce trou- ble de la croissance. » Le second malade de ces
auteurs
avait été interné dans une asile d'aliénés. Pon
c'est particulièrement dans la lèpre systématisée nerveuse, que cet
auteur
a pu la relever. Ici en faveur de l'atteinte du
on est en évolution et qui s'accorderait avec l'opinion de certains
auteurs
considérant les formes pigmentées de l'infection
mots « aréllexie,hyporéfleaie, hyperréflexie " employés par quelques
auteurs
sont incorrectement composés, leurs deux racine
ar Bahinsl : i,Oppenbeim,et d'autres neurologistes; mais beaucoup d'
auteurs
la considèrenteomme un fait phy- siologique et
nt Williamson (4), Goodhart (5), Hertz et Johnson (6) ; d'après ces
auteurs
, l'abolition du réflexe achilléen existe parfoi
s réflexes rotuliens nuls sans autre signe de maladie nerveuse. Les
auteurs
trouvent ces ré- flexes absents dans une propor
connue bien qu'elle soit souvent rappelée. En effet, la plupart des
auteurs
de traités d'anatomie, avant d'aborder l'étude
gique, topographique et physiologique de cel organe, la plupart des
auteurs
d'articles de dictionnaires avant de passer au mo
nas a quoy l'on a ajouté Le monde ou traité de la lumière, du mesme
Auteur
, Seconde Edition, revue et corrigée. A Paris, che
aison de leur intérêt- ont été désignées par les initiales de leurs
auteurs
, celles qui ne portent aucune indication étant
J'Ùge de 4 ans d'un sarcome de la glande pinéale, avait, disent ces
auteurs
, une intelligence troublée, mais supérieure à c
ure granulaire, spongieuse ou fibrillaire. Précisément les premiers
auteurs
: Berthold, Schwarz, Fischer et Bütschli, qui ont
si cette structure n'est pas un artifice dû au réactif employé. Cet
auteur
a fait usage de solutions de ESSAI DE BIOCYTONE
e Bütschli qui sont restées célèbres, à cause des conclusions que l'
auteur
a voulu en tirer .Tout d'abord, cet auteur commen
se des conclusions que l'auteur a voulu en tirer .Tout d'abord, cet
auteur
commence par constater que l'albumine coagulée
st vrai que la théorie a été admise en partie ou totalement par des
auteurs
très compétents tels que Gurvilsch, Bechhold, G
pétents tels que Gurvilsch, Bechhold, Gaidukow, Liesegang, d'autres
auteurs
non moins compétents ont émis des doutes sur sa
s (Handowsky, Scharr Wa- gner) de nombreuses expériences. Plusieurs
auteurs
ont admis que la pro- duction de structures spo
nfluence des matières basiques la structure devient alvéolaire. Les
auteurs
allemands plus récents tels que Gaidukow, Bechh
les couches minces de colloïdes à l'ultramicroscope. Néanmoins cet
auteur
affirme que la théorie alvéolaire ne saurait s'ap
for- mation donne l'impression d'une structure spongieuse, aussi l'
auteur
conclut que dans les gels nous avons affaire à
viendrait à l'appui de la théorie granulaire soutenue par certains
auteurs
(Pl. XXV, fig. 1). Un fait intéressant sur lequel
ance ne peut pas être fluide comme cela ja. été admis par plusieurs
auteurs
. Malgré que nous ayons examiné quelques centain
directe même en utilisant les forts grossissements. Aussi quelques
auteurs
ont révoqué en doute l'existence des neurofibri
els ressemblent par la structure au réticulum nerveux Mais quelques
auteurs
italiens ont à leur lour opposé leurs expérienc
r l'action coagulante des fixatifs et de la chaleur. A son tour, un
auteur
suédois, Môllgard, qui a employé une nouvelle m
mment vers un être plus simple et plus parfait. Si les très anciens
auteurs
se contentaient de rapporter l'anomalie, chaque
der en faveur de la théorie vertébrale du crâne et de l'opinion des
auteurs
qui considèrent l'occipital comme une ver- tèbr
, les seules qui nous intéressent, ont été signa- lées par quelques
auteurs
: Morgagni, Cruveilhier (1), Columbus (2) et Cu
cite Ledouble dans son traité. Elles sont rarissimes : de nombreux
auteurs
les ont recherchées et sur un total de 1.420 co
ui les entoure.Toutes ces théories ont été étudiées par de nombreux
auteurs
: Leboucq (2), Ancel et Sencert (3) ; Ledouble
ut ou vers le bas, la colonne vertébrale restant normale. Plusieurs
auteurs
, Cunninham (2), Bardeen (3) signalent l'inconstan
expériences de Dareste (1) sur les oeufs de poule. On sait que cet
auteur
, perfectionnant les procédés autrefois employés
mporte, il nous a semblé bon de rappeler brièvement les travaux des
auteurs
qui nous ont précédé. Dans la séance du 14 mai
t os était séparé en deux parties par une por- tion fibreuse. Les
auteurs
considèrent ces deux cas comme une forme spéciale
'obésité. lé. ' A la suite de critiques de Chaslin et d'Aslros, les
auteurs
renoncent à leur 1- première dénomination et do
publiées par Ilult- Kranlz (10), Schorslein (11), Carpenter (12) (l'
auteur
ne mentionne pas l'état du crâne, mais les phot
s du crâne visi- bles sur les photographies, mais non décrits par l'
auteur
), Schermann (16), Cross (17), J. Hill : lbbram
semblables avaient été déjà antérieure- lllent publiés par quelques
auteurs
tels que Scheuthauer (19), Dowse(20), Rappeler
esseurs ne 254 MALDARESCO ET PARHON diminue en rien le mérite des
auteurs
français, ni l'importance de leurs travaux. N
luxatiou de l'extrémité supérieure du radius notée dans le cas des
auteurs
plus haut cités, ni les autres altérations noté
tion et sa structure. Il présente en outre comme un des malades des
auteurs
français précités, l'aplatissement de la région o
nier phéno- mène existait d'ailleurs dans deux autres cas des mêmes
auteurs
. Dans un de ces cas existaient aussi des pieds
pour avoir causé une dystocie. Dans trois des cas observés par ces
auteurs
, on trouve une exagération très évidente du tub
n de et ultérieure- 260 MALDARESCO El' PARHON ment au travail des
auteurs
français par Hultkrantz, Schorstein, Pinard et
y et Ameuille (cas de Pierre Marie) (33). En outre dans ces cas les
auteurs
se sont contenté de décrire l'état des clavicul
ne sont nullement prouvés. Dans les cas de Villaret et Francoz, les
auteurs
montrent qu'on pourrait soupçonner l'hérédosyph
e, ainsi que sur l'état du fond de J'oeil de la fillette. Ces mêmes
auteurs
ont noté en outre la consanguinité des parents.
tisme survenant au deuxième mois de la vie foetale. Mais le dernier
auteur
, au moins, rejette aussi cette opinion, les pri
se pour la clavicule. Bruch affirme la même chose pour l'homme. Cet
auteur
a étudié un embryon de 7-8 millimètres. Pour Ge
es de Couvelaire ne lui'ont pas permis de trancher la question. Cet
auteur
pense à une dystrophie complémentaire de l'acho
ans le manteau, opinion qui est aussi celle d'un cer- tain nombre d'
auteurs
français (Anglade, Régis, Sérieux etc.). Par cell
ent un rôle prédominant dans la naissance de la catatonie. Certains
auteurs
, (Paltauf, Bartel, Brosch, Karl Petrén et d'aut
arie et de Hoffmann, ils n'ont cependant pas été rattachés par leur
auteur
à la question des atrophies musculaires progres
re fut progressive z et accompagnée de contractions fibrillaires, l'
auteur
pouvait invoquer des bles- sures par éclat d'ob
emme, tissu conjonctif augmenté, sclérose des parois vasculaires (L'
auteur
adopte le même titre que Dubreuilh et rap- proc
hie des tubes nerveux (Dans la discussion de cette observation, les
auteurs
défendent la conception unitaire de l'atrophie
rmation graisseuse des fibres striées ; myosite interstitielle (Les
auteurs
insistent sur ces lésions primitives des mus- c
ombault et Mallet (2), publiée antérieurement et considérée par ces
auteurs
comme un cas de tabes infantile, a été, après l
304 LONG prend que sur cette base il ait paru difficile à d'autres
auteurs
(Dejerine, P. Marie) de soumettre à une même de
e, du mas- séter et des ptérygoïdiens, fait rare, mais que quelques
auteurs
ont égale- ment signalé dans la forme facio-sca
ive de l'idée d'une maladie de Paâet,et nous avons trouvé, dans les
auteurs
ou dans les radiographies que nous avons eues e
ffection tantôt généralisée, tantôt étroitement localisée, certains
auteurs
ont voulu ne voir qu'une cause unique, et l'on sa
en relation certaine avec un traumatisme im- portant. t. D'autres
auteurs
, et ils sont de plus en plus nombreux, mettent l'
st signalé douze fois sur une cinquantaine d'observations. Mais cet
auteur
comme les autres ne lui accorde tout au plus que
ossibles de l'ostéite déformante. » A des tableaux aussi variés les
auteurs
ont voulu donner une cause unique et appliquer
cifique dé- terminée par des lésions toujours les mêmes. Mais les
auteurs
qui suivirent montrèrent qu'il n'en était lien, e
tabes, expliquent les interpréta- tions différentes admises par les
auteurs
à l'occasion dé cas semblables. Bien qu'il n'ex
menés à penser qu'il 1 doit en être fréquemment ainsi. . D'autres
auteurs
ont d'ailleurs été frappés de l'analogie des para
ÉES DANS LA MOELLE. PAR si ANDRÉ-THOMAS et QUERCY. Les premiers
auteurs
qui ont étudié les Jésions de la syringomyélie
érotopies ou d'autres malformations ont été invoquées par plusieurs
auteurs
(Leyden, Kahler et Pick, Iloilmiiiii et Schlesing
inger, Préobrajeinski, etc. Nous ferons cependant remarquer que ces
auteurs
se sont surtout appuyés sur les anomalies de déve
la moelle est surtout au cours du mal de Pott ; ce sont surtout les
auteurs
français qui ont attiré l'attention sur l'appar
iques et anatomiques indépendantes les unes des autres, d'après les
auteurs
, sont trop connus. Une étude très détaillée, cl
tement définie. De tels faits n'ont pas échappé à l'attention des
auteurs
, et l'on trouve étudiés des cas plus ou moins i
des atrophies non progressives du lype thénaro-hypothénarien et les
auteurs
qui s'en sont occupés semblent surtout penser s
main (femme) est plus large et plus trapu que celui de la main des
auteurs
. C'est une main en battoir. En somme, à part la
i sera suivie dans les interventions de ce genre sera celle que cet
auteur
décrit, confirmant la technique réglée déjà par
tent rien de particulier. Ainsi que nous l'avons dit la plupart des
auteurs
des traités de psy- chiatrie ont noté la possib
alement une grande activité fonctionnelle, car on sait que certains
auteurs
, tels que BENDA, pensent que l'obésité hy- poph
ait due à une hyperfonction de cet organe. Il est vrai que d'autres
auteurs
ne sont pas de cet avis et qu'on a signalé même u
oedème chronique avec la lipomatose a depuis long- temps frappé les
auteurs
» (1). Le cas actuel que nous publions aujourd'
n'étant pas rares de terminaison par l'asphyxie. Parmi les nombreux
auteurs
qui se sont occupés de la question, M. Mauclaire
ps, quand il n'est pas encore trop tard. » Dans le paragraphe 30, l'
auteur
traite des manières d'agir des médica- ments et
la transpiration naturelle des animaux. Dans le If chapitre, 4e', l'
auteur
traite la théorie des maladies dans lesquelles
tres processus morbides qui ont interrompu la continuité du nerf. L'
auteur
explique ensuite la dépendance de la faiblesse de
ces. Le fluide électrique est le plus léger des fluides du corps. L'
auteur
s'occupe ensuite de la thérapeutique de l'hémip
mployait à cette époque l'électricité produite par le frottement. L'
auteur
traite ensuite les divers modes d'électrisation.
smettre les médicaments dans le. corps au moyen de l'électricité. L'
auteur
en cite quelques essais qu'il a vuspendant ses
à la base du crâne) (3 pl.), par ICLIPPEL et FEIL, 223. TABLE DES
AUTEURS
André Thomas et Jumentié (J.). Méningo- myéli
.), 463. PASTI,NC (C.). Ostéo-arthrite chronique du 498 TABLE DES
AUTEURS
rachis. Compression radiculo-médullaire Inver
u *oint de vue des phénomènes magnétiques, et dont aucun •aite, aucun
auteur
moderne n’a cependant parlé. Ces personnages, nou
s Gaffarel, des Scheffer, des Menetrier, des Perreaud, etc., etc. Ces
auteurs
, nous les avons consultés et nous nous proposons
ierons pas de consulter aussi de nouveau, avec le même soin, tous les
auteurs
des dix-huitième et dix-neuvième siècles qui ont
telligence. 2« Les erreurs qui se rencontrent ne prouvent pas que l’
auteur
des réponses ait procédé par voie de conjecture,
on s’adressa au commissaire de police, espérant qu’il intimiderait l'
auteur
, quel qu'il fût, d’une plaisanterie beaucoup trop
est à, regretter qu’on n’ait pas tenté cet essai ; car peut-être les
auteurs
quelconques de la sonnerie se seraient-ils décidé
on ce travail consciencieux qui est un vrai manuel du magnétiseur ; l'
auteur
, fort de ses études et d’une pratique continuée a
ence une omission faite par le candidat, ainsi que par la plupart des
auteurs
à l’occasion de la paralysie, c’est qu’il ne suff
ique de l'innervation. Je suis convaincu qu’avec cette distinction, l’
auteur
du mémoire et son savant contradicteur seront d’a
limites fixées par la loi. Tel ne peut pas être le rôle assigné par l’
auteur
au médecin ; car si celui-ci conservait le droit
s à examiner librement la valeur des systèmes qui y sont exposés. L’
auteur
, quel qu’il soit, voulant nous donner une idée
aussi insoluble pour Alexis que pour le vulgaire. La doctrine que l’
auteur
caresse avec le plus de complaisance, c’est que,
même avec la nature de tout être fini, si éminent qu’il soit. Notre
auteur
se contredit manifestement quand il nous dit que
ité doit peser sur quelque enchanteur de l’un ou de l’autre sexe. L’
auteur
, poursuivant sa prétention de dévoiler les secret
aucune lucidité. Nous avons donc encore là des mots vides de sens. L’
auteur
ne cesse d’aflirmer qu’il est initié à la connais
t périr par la décomposition des parties. Sur le somnambulisme, l’
auteur
n’a rien de plus original, et il n’explique rien.
imple de concevoir comment il peut être le véhicule de la pensée. L’
auteur
se figure avoir démontré par le somnambulisme l’i
rté : « Mais il est bien mieux tel que je ,1’ai raconté, » répondit l’
auteur
de VEssai sur les mœurs. Tel fut, en effet, l’esp
us ont expliqué en même temps qu’ils ont rendu probable ce que tant d’
auteurs
sérieux ont raconté de siècle en siècle sur les a
croit-on que tous les grands poètes, Shakespeare , Milton, Dryden, l’
auteur
des lettres de Junius, Byron , ne fussent pas tou
avons sous les veux la septième édition publiée à Londres en 1825. L’
auteur
de ce curieux livre n’entend pas le sens du mot a
actes. Convaincu de cette opinion pour l’astrologie en elle-même, l’
auteur
a fait précéder son ouvrage d’un discours prélimi
e meilleur mode de démonstration ; aussi les trop courtes pages que l’
auteur
a consacrées à résumer cette histoire, sont-elles
ont partie de cette introduction et précèdent les vues historiques. L’
auteur
cherche à y démontrer la réalité de l'astrologie
que Claudia Ptolémée, le plus grand astrologue que le monde ait vu, l’
auteur
du Te-trabilos, ou quatre livres sur l’influence
sté comme elle l’a fait ( car, selon l’historien Jo-sèphe et d’autres
auteurs
anciens, elle est plus ancienne que la Bible), s’
exagérons pas l’utilité de l’enseignement théorique sur ce sujet. Les
auteurs
sont extrêmement divisés sur le choix des procédé
service signalé. » Des motifs de convenance m’empêchent de nommer l’
auteur
de ce récit qui fournit un nouvel exemple de l’ut
rue de Beaujolais, 5. Baron dd POTET, propriétaire-gérant. Les
auteurs
qui écrivent sur le magnétisme se plaignënf, en g
héant, les phénomènes dont je pourrais être à l’avenir le témoin ou l’
auteur
, en vous priant de vouloir bien me guider et m’é-
, des poursuites ontété dirigées contre la dame Cheyroux, prise comme
auteur
principal du délit d’exercice illégal de la m
t les soins maternels le rappelèrent à la vie. Le jésuite Malvenda,
auteur
d’un commentaire sur la Bible, vit une nuit en rê
doctrine de nombreux adhérents. Nous avons remarqué un passage où l’
auteur
parle du magnétisme. « En ce moment, dit-il, une
l y a aussi dans le magnétisme des relations fort suspectes, dont les
auteurs
manquaient des qualités nécessaires pour observer
nt livre bien écrit, bien pensé, et qui fait beaucoup d’honneur à son
auteur
. Le manque d’espace nous empêche de l’apprécier c
s, malgré les erreurs palpables contenues à ce sujet dans les anciens
auteurs
, leur récit n’en doit pas moins faire foi du fait
e. On doit rechercher d’abord si les faits sont bien avérés, si les
auteurs
des observations offrent toutes les garanties dés
brebis de ses parents, le loup ne mangea ouaille de son troupeau. » L’
auteur
ajoute à ce sujet la note suivante : « Nul ne sai
gnétisme. Le premier numér«contient une introduction remarquable où l’
auteur
expose les principes du spiritualisme qui, selon
spiritualiste, l’un naturel, l’autre surnaturel ; et ce passage où l’
auteur
se torture, dans l’obscurité la plus complète, à
1857. Inutile de prévenir que, comme de raison, le mesmérisme de l’
auteur
se ressent du terroir où s’est implantée sa muse,
science et à l’humanité. M. Guidi, professeur de magnétisme à Turin,
auteur
d’un ouvrage fort estimé sur le magnétisme, rédac
formelles, être considéré comme s’étant rendu coupable, en qualité d’
auteur
principal ou de complice, d’exercice illégal de l
qu’a dicté le somnambule, c’est alors ce dernier qui est le véritable
auteur
de l’ordonnance et qui a réellement exercé l’art
pporte, il offrit le manche à. son gardien. » Vint ensuite ce que l’
auteur
appelle le second plat. « Deux nouveaux inspirés
er jusqu’au dernier charbon, sous ses pieds nus et trépignants. » L’
auteur
, qui certifie tous ces faits de son imposant témo
e des diverses sectes dont nous avons parlé. Nous déplorons, avec l’
auteur
, le délire du fanatisme et les exercices dégoûtan
Ne doit-on pas juger l’arbre par ses fruits? Si donc le diable est l’
auteur
du magnétisme , c’est qu’il n’est pas si noir qu’
ous sont chères. Ce sont là certainement de bien bonnes œuvres dont l’
auteur
a droit à toute notre reconnaissance. Comme la
es publications sur le mesmérisme; et si maintenant les artistes, les
auteurs
nous prêtent un concours indirect si utile; si le
à riche et noble source ; car ce vrai fils d’Apollon est à la fois l’
auteur
de la poésie et de la musique des charmantes chos
urs à venir. Que l’univers soit notre temple; Aimons, adorons son
auteur
: En paix, le sage les contemple Et meurt sans
ont été accueillis chaudement par les convives qui ont remercié et l’
auteur
des paroles et le ravissant interprète des couple
ernées : 1* A M. Teste, docteur en médecine de la Faculté de Paris,
auteur
d’ouvrages estimés sur le magnétisme qui ont fait
magnétisme et les consultations somnambu-liques. — Le docteur Hare,
auteur
de plusieurs ouvrages estimés sur le spiritualism
llocution au sein d’une brève réunion de famille, nous avons engagé l’
auteur
à le compléter par quelque développement et quelq
au commencement de la Restauration. Je me souviens de l’écriture de l’
auteur
; c’est une petite écriture fine. — Oui. — La
s du mien, s’il 11c le partage entièrement. Je multiplie les textes d’
auteurs
, parce que les libres intelligences y remarqueron
) particulier, le sceau de (1) Docteur en médecine et en chirurgie,
auteur
d’un livre sur I’électri* cité universelle, ou at
rare pantacle de Paracelse. » Après une pareille carte de visite, l’
auteur
de La Haute Magie peut-il sérieusement supposer q
intitulés Mémoires d'une planchette, sont précédés d’une lettre de l’
auteur
au rédacteur du journal pour le féliciter d’avoir
rons suivre de la première partie des Mémoires d'une planchette, où l’
auteur
, M. Mathieu, donne quelques détails curieux , et
s au travail dont vous vous êtes constitué le bienveillant éditeur. L’
auteur
de ce travail avoue qu’il n’a pas vu les tables é
mant comme les entretiens que nous eûmes durant tout ce temps (1) L'
auteur
ne dit pas s'il a écrit à Nantes pour s’assurer s
sme, je n’ai pas à l’établir: les témoignages en sont nombreux. Les
auteurs
mentionnent des faits de notoriété concernant des
omme bien constitué ferait certainement, affirment C'else et d’autres
auteurs
, et même vis-à-vis d’un animal enragé. ■ Noslrœ
. Ou lit dans l'un des feuilletons de Paul d’Ivoy : a M. Treffeu, l'
auteur
de Croqusfer, nous fit une surprise avec ses oise
s, n’hésiteraient pas h se porter garants de sa bonne foi. Du reste l'
auteur
anonyme de cette lettre n’est pas tout à fait
phe du magnétisme et fera le plus grand honneur au souverain éclairé,
auteur
d’une telle initiative. Baron dd POTET, proprié
rais cru pouvoir prouver, non pas avec le talent et l'éruiiitiou de l'
auteur
, certaine partie de ce qu’il dit et croit prouver
aissances du magnétisme, c'est quo (•) Ancien mâtionnaira en Chine,
auteur
dci Sauscin tun Voy»gt «n Tnrt.ru, ne., •I üe YEm
igne de confiance, par l'honorabilité générale et le caractère de son
auteur
. ■ Vers le milieu du xiv® siècle de notre ère,
un caractère sacré sur chacune de ses feuilles. Après ces détails, l'
auteur
ajoute : « On doit naturellement s'attendre à c
. Paris, 1853.) Ecoutez encore ce fait des plus curieux que le même
auteur
, M. l'abbé Hue, m’a raconté dovant plusieurs pers
, etc., etc. En s’élevant dans cet article contre la doctrine que l’
auteur
caresse avec le plus de complaisance, celle par l
intérêt pour nos lecteurs de leur présenter un aperçu du système de l’
auteur
, et de l'enchaînement d'idées qui l’a amené à att
sant, par quelque indication de la science. Ici, rien de semblable. L'
auteur
crée de toutes pièces un roman en l’air, comme a
livre inspiré ne peut comporter une telle liberté d’interprétation. L’
auteur
de la Genèse en particulier a pris toutes les pré
Interpréter la Genèse comme le fait M. Huzar, c’est reconnaître que l’
auteur
de ce livre a voilé un système vrai au moyen d’un
its antérieurs à l'homme, ou même de faits humains, mais séparés de l’
auteur
par un si prodigieux intervalle de temps, qu’il n
u à cet égard avoir de renseignements certains. Et comment croire cet
auteur
qui ne dit pas un mot des sources auxquelles il a
démenti formel, à tel point que si son interprétation était juste, l’
auteur
de la Genèse mériterait le reproche d’avoir prése
tirait que nous possédons, même avec M. Huzar, le véritable sens de l’
auteur
qui, en définive, aurait écrit pour n’être pas co
res parties de son ouvrage , même à défaut de toute confirmation. Les
auteurs
les plus recommandables, bien qu’ayant enseigné u
entièrement exempt d’erreur : il n’y a donc pas de raison pour que l’
auteur
de la Genèse (étant écartée l'hypothèse de l’insp
tés fort souvent dans ces communications, lesquelles ont parfois pour
auteurs
les âmes de personnages qui ont joui autrefois su
cation, déclarent qu’on doit obéir aveuglément. Cet argument tiré des
auteurs
leur paraît très-puissant, bien qu’ils reconnaiss
ar exemple, d’un vol, et que le somnambule désigne une personne comme
auteur
du détournement, on n’ira pas, sur cette seule in
vrir la vérité. C’est ce qui est arrivé pour les soustractions dont l’
auteur
a été signalé par madame 0., ainsi qu’il est raco
ropre santé, que quand il s’agit de celle d’autrui : aussi beaucoup d’
auteurs
ont-ils proclamé, de la manière la plus affirmati
dans cet état, L'ESPRIT est séparé du CORPS. » Dans ce qui suit, l’
auteur
devient plus explicite encore, bien qu’avec une q
je rejette bien loin l’opinion d'aprôs laquelle les biographes de cet
auteur
, M. Baudelaire (tome 2, nouvelles Histoires extra
), ne considèrent ce récil que comme un roman donl l'imagination de l'
auteur
aurait fait tous les frais. Pour moi. comme pour
le titre, nous sommes forcé d’en admettre toutes les propositions. L’
auteur
110 dit pas par quel procédé les esprits qui ont
tte victime du mesmérisme. (Courrier de Lyon.) La conclusion de l’
auteur
de l’article qui précède est fausse et inconséque
kst. Brochure in-8. Saint-Gaudens, 1857. On voit par ce titre que l’
auteur
s’est proposé une tâche immense, la solution des
ression en quelque sorte involontaire, mais embarrassée du doute de l’
auteur
. H valait beaucoup mieux dire je ne sais pas, que
gers. Ce système de télégraphie a été décrit par le jésuite Strada, l'
auteur
de l’histoire des Guerres des Pays-Bas, dans un r
rouvé dans sa bibliothèque un exemplaire de cet ouvrage, le saisit. L’
auteur
, désirant connaître quelles étaient les correctio
lités que la première, et l’on y remarque les mêmes contradictions. L’
auteur
termine par une appréciation très-sévère du Livre
mes pour venir dicter des pauvretés et même des grossièretés. Le même
auteur
donne sérieusement les formules pour évoquer à vo
u 10 de ce mois, contient un long article de M. Clever de Maldigny. L’
auteur
raconte qu’en sa présence, chez M. le comte d’Our
t de longs travaux, sera consulté avec profit. Mais malheureusement l’
auteur
, dominé par une idée systématique, n’est pas dans
royons devoir présenter quelques considérations sur les théories de l’
auteur
. Les faits qui se rattachent au merveilleux, so
e, elle réussira parfaitement ; ce n’est donc pas le diable qui est l’
auteur
du fait produit. On nous oppose l’rction contra
si l’on appliquait ce critérium à ces croyances superstitieuses que l’
auteur
défend avec tant de chaleur, on devrait, d’après
nd à prouver que le médium et les membres de la chaîne sont les seuls
auteurs
des phénomènes produits. Quant à la nature des
érieux. Le bon sens public n’admettra jamais que le mal puisse être l’
auteur
du bien. Les hommes dévoués qui, «à l’exemple des
à cause d’une circonstance inouïe, sans exemple, qui mériterait à son
auteur
les oreilles du roi Mi-das pour emblème de son ig
s bras onde leur tête à mon insu. Comment donc pouvaient-ils être les
auteurs
de ce qui allait.-se passer? Sur la table était u
cet Indien devenu chrétien et à demi civilisé. Il est h désirer que l’
auteur
, en recueillant tous les faits extraordinaires, s
emprunt fût visible. Le fripier, certain que c’était Bill qui était l'
auteur
de la soustraction , voulut le punir de sa fripon
ME ANIMAL en douze leçons, par M. Millet. Un petit vol. in-lü. Chez l’
auteur
. — DÉLIRE DES ÉPILEPTIQUES, et MES TRAVAUX ET FON
rer ces énigmes, à porter la lumière dans les croyances antiques. L’
auteur
, prenant à tâche de venger le magnétisme des déda
’ordre psychique sont variables de leur nature. Quoi qu’en dise notre
auteur
, qui sans doute aura été entraîné par l’élan de l
besoin d’un grand nombre de séances pour résoudre la question. Si les
auteurs
du défi n’ont pas voulu faire une vaine bravade,
C’est un petit manuel fort instructif et d’une lecture attachante. L’
auteur
y a réuni presque toutes les notions que doit pos
hances de clairvoyance quand il s’agira d’eux-mêmes. Et pourtant, les
auteurs
qui ont posé en principe l’infaillibilité de ces
l ne soit qu’une seconde édition du magnétiseur (page 128). » Le môme
auteur
cite, dans le cours de son ouvrage, de très-beaux
isons à payer un tribut d’estime pour le livre et de sympathie pour l’
auteur
. M. Joseph Tissot, dans une des petites brochur
M. Rul. Extrait de cet ouvrage, relativement au mesmérisme, auquel l'
auteur
est parfaitement initié, 52. Sommeil (le) magné
scopie dynamo-thérapique, par Hilarion Huguet, docteur en médecine. L'
auteur
confesse hautement l'inanité et l’impuissance de
é qu'il faudrait retrancher pour toujours du corps social ». Aussi l'
auteur
réclame-t-il le régime cellulaire pour tous. LA,
e condamnations pour ivresse et batterie... En somme ce qui, pour l'
auteur
, caractérise le criminel au point de vue physique
On y trouve exposées des idées d'esthétique très élevées. Là encore l'
auteur
a su utiliser les souvenirs que lui ont laissé so
e séance d'hypnotisme et de suggestion, fort exactement décrite par l'
auteur
. Contrairement à l'usage adopté par un grand nomb
enchérit encore sur les scènes merveilleuses si bien décrites par son
auteur
favori. A ce moment 11 est prêt a tout croire.
infraction pénale, et (b) des cas des actions libeœ in causa, quand l'
auteur
s'enivre sachant qu'en état d'ébriété. ii doit ou
êcher la morale telle est là pour rechercher le le délit et punir son
auteur
. — Enfin la grande majorité du pub ic, imbue du d
l en est fait mention d'une façon tout à fait incidente dans quelques
auteurs
, comme Brierre de Boismont et M. Cullerre. J'ai
t et s'éteint sans que la volonté y ait la moindre part » (3). Si ces
auteurs
ont voulu parler de l'amour normal, de ce que j'a
vous présenter deux malades atteints de dipsomanie. La plupart des
auteurs
qui ont écrit sur la dipsomanie ne voient dans ce
ies mentales. Le succès de cet ouvrage est dû au talent avec lequel l'
auteur
a su grouper, dans un seul volume, un grand nombr
ivre produira d'heureux résultats chez les esprits sérieux auxquels l'
auteur
l'a destiné, s'ils ont le courage de regarder en
solidarisent en quelque sorte dans leur action délétère. C'est, dit l'
auteur
, l'usure nerveuse intensive, liée au surmenage et
eur de la lutte pour l'existence. En parlant de la folie à Paris, l'
auteur
ne prétend pas décrire une forme particulière de
t remarquables. Poursuivant ses études et observations cliniques, l'
auteur
démontre que la sphère génitale n'échappe pas aux
téressant. Quant à la partie médico-légale qui termine l'ouvrage, l'
auteur
, prenant pour point de départ cette affirmation :
ent suivants : Je mettrai mon maître de médecine au même rang que les
auteurs
de mes jours; je partagerai avec lui mon avoir et
les travaux suivants : Vient ensuite une série de 22 tableaux où l'
auteur
a consigné le résultat de l'examen électrique de
le et à la méthode scientifique rigoureuse qui ont déjà procure a son
auteur
. M. Féré, de si légitimes succès chez son éditeur
ues que M. Féré s'est particulièrement attaché à bien déterminer. L'
auteur
a utilisé de nouveau dans ces recherches les proc
era la confusion, l'identification de toutes ces espèces et c'est à l'
auteur
qu'il appartient d'avoir établi sur les bases ind
de l'épilepsie n'est pas rare, contrairement à l'opinion de quelques
auteurs
. L'état névropathique sans lequel il n'y a pas
situation médico légale y occupent également une place importante. L'
auteur
a repris à ce sujet une de ses thèses favorites s
mbre de cas, à enrayer une impulsion délictueuse ou criminelle. « L'
auteur
cile d'ailleurs à l'appui de cette doctrine une s
opinément atteint. Conclusion de tout point plausible, portée par l'
auteur
: « La grippe peut donc provoquer l'hystérie. C
de la manière la plus absolue, la doctrine de l'auto-suggestion. L'
auteur
expose ensuite, et de main de maître, ses idées s
ions cliniques sur lesquelles repose l'expose des vues générales de l'
auteur
. Elles permettent, en imprimant à sa pensée un i
e début peut être lent et progressif, quoiqu'on disent la plupart des
auteurs
. De plus, l'astasie-abasie s'observe a tous les
s- quels la démence complète est rare et la durée très longue ; l'
auteur
les dis-tingue des fous moraux et des imbéciles,
aractérises surtout par de l'incohérence dans le troisième groupe ; l'
auteur
termine en rapportant nn cas de démence chez un j
el, Siemerlinget Westphal ont publié des cas analogues. D'après ces
auteurs
, Mendel surtout, la syphilis serait la cause de l
lle y développe seulement la même maladie, etc., ec.. De l'aveu des
auteurs
, en effet, les manifestations cérébrales de la sy
e sait plus coudre, calcul très mal de tête, quoique caissière. Les
auteurs
font ressortir que l'état puerpéral n'a été que l
poser A la malade la plupart de ses convictions. D'un autre cote, les
auteurs
mettent en relief l'importance des troubles de la
ins souvenirs et l'absence de localisations dans le temps. Pour les
auteurs
, les faits sont dus à l'effacement des diverses i
ives ont toujours été plus faibles. A l'appui de cette opinion, les
auteurs
citent diverses expériences ci surtout le mode de
nté. L'allocution fort spirituelle de M. Schrcnk-Notzing a valu à son
auteur
le plus légitime succès. M. le Dr Bérillon rapp
ique n'était applicable qu'à un nombre limité de personnes, plusieurs
auteurs
ont déjà pensé, avant nous, qu'il n'était pas san
ne se soient pas assez préoccupés de ces troubles mentaux. Dans aucun
auteur
on ne trouve formulée d'indication thérapeutique
at général et l'état mental du malade. Asphyxie locale. — Plusieurs
auteurs
ont signalé des cas phyxie locale des extrémités
Jong. Van Renterghem et Van Eeden, Burkhardt, et par quelques autres
auteurs
, que la suggestion peut trouver de sérieuses indi
isions au Congrès de l'Hypnotisme : « Les travaux d'un grand nombre d'
auteurs
avant démontré la valeur thérapeutique de la sugg
classiques que vous avez certai-nernent entre les mains. Beaucoup d'
auteurs
considèrent les tentatives de suicide que font tr
tails de ces cas neconcordent guère avec les conclusions qu'en tire l'
auteur
. On y trouve en effet, plusieurs exemples de suic
ans un cas de pied-bot hystérique Brodie (1), Coulson (2) et d'autres
auteurs
rapportent des faits analogues. Pensez-vous que d
(Paris, Félix Alcan, 1890). L'un et l'autre ont été pré-sentes par l'
auteur
â la classe des sciencesde l'Académie royale de B
sujet. Il est juste de iairc remarquer que, chez les sujets de ces
auteurs
, le sommeil léthargique n'avait duré que quelques
us personnes saines d'esprit. La folie du doute est ainsi, chez les
auteurs
contemporains, tantôt le symptôme des affections
aley. de Genève, la folie raisonnante. Mais ni l'un ni l'autre de ces
auteurs
ne parait avoir compris sous ces dénominations le
irs. Il me parait intéressant de mentionner ici une remarque de cet
auteur
qui fait voir à quel point les aliénistes de cett
do-monomane a de son trouble mental. Malheu-reusement le travail de l'
auteur
est obscur, vague et confus. Les seuls exemples d
nettement distingués des hypo-condriaques et des fous systématisés. L'
auteur
fait remarquer que les délirants émotifs n'interp
riesinger rentraient bien au fond dans la même catégorie que ceux des
auteurs
français dont nous avons parlé. Les uns et les au
et ceux d'EsquiroI. de Baillarger. de Falret, de Morel et des autres
auteurs
déjà cités. Legrand du Saulle a démontié que les
ceux du délire- du toucher; On a voulu le contester, mais de nombreux
auteurs
sont venus coniirmer l'opinion de Legrand. en app
uté, l'autre un maniaque qui offre une singulière Kragesucht '' que l'
auteur
appelle Schimpfreden in Frageform (Insulteur sous
ns les cercles d'idées les plus divers. C'est pour cette raison que l'
auteur
propose un nouveau mot mieux conforme, pour désig
c Morel, Krafft-Ebing, Legrand '.'do Saulle et la grande majorité des
auteurs
, que les obsessions peuvent avoir une base émotiv
emps à verser dans la folie. Jusqu'ici nous avons vu la plupart des
auteurs
, depuis Morel, tenir . grand compte de l'hérédité
es formes cliniques des obsessions et des impulsions décrites par les
auteurs
deviennent, pour ce savant distingué, les Syndrom
neu-monie. mais qui évoluent plus souvent encore isolement, comme les
auteurs
l'ont constaté de plus en plus, et comme le prouv
ar des morphinomanes, dans des circonstances qui prouvaient que leurs
auteurs
n'avaient pas été en pleine possession de leurs f
de petits oiseaux tombent foudroyés lors de» premières détonations. L'
auteur
pense pouvoir rattacher ce fait à l'hypnotisme it
façon très simple: en soufflant légèrement sur les yeux du sujet. L'
auteur
rapporte à la même cause l'arrêt de la caille et
que non lié. ne cherchera pas à s'envoler même si on l'y incite. L'
auteur
rappelle les expériences de magnétisme animal de
. Il a reproduit a peu près toutes les expériences rapportées par les
auteurs
en opérant exclusivement sur les poules, les codi
e vigueur. Jamais la cataplexie n'a pu être produite chez le rat. L'
auteur
a cherché à produire la cataplexie chez le chien,
reille moyenne ou de l'ébranlement de la masse encéphalique. Pour l'
auteur
, le meilleur procédé pour hypnotiser est le suiva
» premier. Voulant tirer un avantacc pratique de ses recherches, l'
auteur
a essayé de «servir de rhypno;is::ic"pûur supplée
er autre chose que quelques faibles plaintes. _ Comme conclusion, l'
auteur
pense qu'on pourra peut-être utiliser l'hypno-tis
xprime la même intention : * Il n'ya pasd'acte punissable lorsque son
auteur
était. lors de la perpétration de cet acte, privé
te. Il n'est Hplebras, l'instrument dont on s'est servi. Le véritable
auteur
du crime estcelJi qui l'a fait commettre; c'est l
t pas suivies d'aphasie. Dans un chapitre nouveau et intéressant, l'
auteur
décrit des cas de troubles fonctionnels de la par
faut d'abord supprimer les vices de la société Scion le> vues de l'
auteur
, elle n'est pas tant le résultat de l'excitation
rdre des œuvres fonctionnelles dites organiques ou végétativesives; l'
auteur
s'est demandé, et c'est en cela qu'il diffère de
ité alternante, observés par M. Azam chez Félida X... et par d'autres
auteurs
chez quelques malades dont l'histoire est analogu
qu'une très médiocre version des Lettres odigues-magnétiques, du même
auteur
, publiées en 18.., par Cahagnet, et c'est dans ce
Nous nous trouvons donc déjà en présence d'un assez grand nombre d'
auteurs
, ayant beaucoup expérimenté par eux-mêmes, qui so
eux-mêmes, ils sont un produit artificiel dû à la suggestion, et les
auteurs
précédents ne les ont jamais constatés, lorsqu'il
depuis le 26 juillet. Quelques mois plus tard, spontanément, l'un des
auteurs
de l'assassinat, la fille Bompard. venait se livr
ence et la médecine légale, 1860. Il est vrai que les opinions de cet
auteur
vont juste, la plupart du temps, à l'encontre de
de la pari du jury réfraclairc aux suggestions de M. Liégeois. Et un
auteur
, que l'Ecole de Nancy ne suspectera pas en pareil
ux, des végétaux, des animaux et des sources diverses de lumière. L'
auteur
de ces dessins est un jeune peintre qui voit (ou
accord, car ce n'est ni l'une ni l'autre, c'est un Lyonnais qui fut l'
auteur
de cette remarquable découverte. C'est k Peteli
or;, par William W*. Irbl.\nd, M. D. Edimbourg. Dans cet ouvrage, l'
auteur
choisit pour héros ceux qui, les premiers, allère
, avec inversion de la formule de ces derniers. Les conclusions des
auteurs
du travail me touchaient d'autant plus que j'ai f
complète. Il résulte de ses déclarations qu'il s'est, comme tous les
auteurs
dont nous avons tenu à citer les déclarations écr
rin; Semai, de Mons; Lefebvre, de Louvain; Kraft-Ebing, de Gratz. Ces
auteurs
admettent d'une façon plus ou moins absolue qu'il
trictement expérimental, qu'il est universellement admis par tons les
auteurs
, qu'ils s'inspirent à l'enseignement de l'École d
s apparences, compos sut, et que sa responsabilité est entière. Les
auteurs
qui ont surtout soutenu cette dernière appréciati
plus ou moins profondément la personne en altérant son identité. L'
auteur
se demande ensuite s'il n'est pas des transformat
mment le criminel urbain diffère essentiellement du criminel rural, l'
auteur
en arrive à l'étude du crime. Il se plall à recon
ci, l'imitation, dont l'influence serait toute puissante. Car, pour l'
auteur
, tous les actes de la vie sociale sont exécutés s
te consacrées a l'influence de l'instruction sur la criminalité, et l'
auteur
la considère, avec tous les savants, comme néfast
se de recherches et de subtilités, de fouilles dans les arrêts et les
auteurs
, pour parvenir à résoudre un cas si rare, à enric
nt celui présenté d'ailleurs par la malade à l'eut dit normal par les
auteurs
. Il convient de dire que, dans les conditions o
atives. Nous concluerons donc en disant : Qu'en admettant, avec les
auteurs
précités, qu'une seule observation soil probante;
itue un agent très favorable à la thérapeutique de cette névrose. L'
auteur
a d'abord fait acte de justice scientifique en pr
symptomatologie et le diagnostic. Il est juste de reconnaître que l'
auteur
a apporté dans ses descriptions une méthode qui f
e, les troubles génitaux et Vital mental des neurasthéniques auquel l'
auteur
a consacré un chapitre à part, par analogie avec
ore à l'état embryonnaire ; mais c'est déjà un progrès qu'on doit à l'
auteur
d'avoir esquissé ceux qui sont déjà connus et d'a
rdre neurasthénique. La thérapeutique exposée à grands traits par l'
auteur
, dans ses principales méthodes, est magistralemen
maintient la température bien constante. C'est par ces méthodes que l'
auteur
a trouvé des minima perceptibles très différents
rriverait donc à nier l'automatisme psychologique, qui, pour tous les
auteurs
, semble être la caractéristique de l'état hypnoti
e de 1,200 francs a été attribuée i l'unique travail envoyé, dont les
auteurs
sont MM. Mabille, médecin-directeur, et Lallemant
ette sur ces crises génitales d'un caractère si.particulier. Pour ces
auteurs
, il y a chez la femme deux formes bien tranchées
néficié d'une ordonnance de non-lieu, tandis que les trois véritables
auteurs
des délits tombaient sous la juste application de
olas), régicide. Fig. III. — Passanante (Jean), régicide. table des
auteurs
et des collaborateurs Achille, 25. Axel Key. 69
terminé, ils indiquaient aux malades ce qui leur convenait (1). L’
auteur
ancien qui nous a conservé les notions les plus i
es à quelques désordres de l’innervation. Suivant l’observation des
auteurs
anciens, cet état était particulier aux mlluncoti
rai e do voir toutes ces facultés dans le même individu. » Quelques
auteurs
ont envisagé le somnambulisme comme un effet de l
propriétés animiques? C’est avec raison, qu’un de nos plus spirituels
auteurs
, Ch. Nodier, prétend (1) : « Que cette accumula
nir avec un autre être et le dominer. Ce fait se renouvela souvent, l’
auteur
de cet écrit en a été témoin, et citera l’exem-
explication. En attendant, le bruit allait son train, et comme si son
auteur
(car il en faut bien un) se fût plu à mettre en d
entendre les coups et s’ingénier tant qu’ils voulurent à en trouver l’
auteur
. On ne le trouva point. Lits et meubles démontés,
adressent. Nous nous occuperons seulement des conditions imposées aux
auteurs
qui révèlent à la foule une science nouvelle. N
r des théories dont il ne comprend pas toujours les développements. L’
auteur
doit donc s’attacher h montrer ¡a partie pratique
n portant la lumière dans les masses, *t ne donnent souvent à leurs
auteurs
ni gloire, ni profit. Il est moral que cette inju
itre est d’une grande importance. 11 faut qu’il résume la pensée de l’
auteur
et indique le but par un mot connu de tous. M. Hé
alyse et à 1111 remarquable travail de condensation. Les efforts de l’
auteur
seront appréciés par ceux qui trouveront, resserr
ue, sont exposés avec une concision qui ne nuit jamais à la clarté. L’
auteur
, remontant à de savantes origines, donne les étym
ssante, et il est pénétré à son tour du sentiment dont a tressailli l’
auteur
quand, empruntant à Mesmer seul les grandes pensé
Résultats, méritent une attention spéciale. Le talent d’analyse de l'
auteur
s’y montre dans toute sa force. Les pages où sont
tion, parce que nous le considérions comme le type de la manière de l’
auteur
, nous 11e trouvons, après une étude attentive, qu
ions dans un livre élémentaire, aussi ne faisons-nous un reproche à l'
auteur
que parce que nous trouvons dans son talent élevé
loge. Cet ouvrage, malgré les efforts presque toujours heureux de l’
auteur
pour éviter la langue scientifique, est encore un
ts savants et réponses un peu longues, laissent entier le mérite de l'
auteur
al l'utilité de l’œuvre. Le succès de la premiè
’Estelle m’a mis en relation. Les trois points de vue sous lesquels l’
auteur
envisage le magnétisme animal y sont traités avec
une douzaine de somnambules ayant en partie justifié ce pronostic, l’
auteur
a voulu traiter à fond la question. Il s’exprime
nts destinés à égarer les ignorants et les simples ; voilà ce que les
auteurs
de l’art. ¿79 ont voulu atteindre, et nous trouvo
nétisme, par Mgr Tizzani, grand chapelain des milices pontificales. L’
auteur
, dit ce journal, établit savamment la différence
Le peu d’exemplaires cfiii sont en circulation ont été offerts par l’
auteur
aux seules personnes qu’il croyait aptes à compre
bé sous la main, et nous aurions cru aller contre les intentions de l’
auteur
en en reproduisant un extrait à son insu. Nous lu
sur le magnétisme animal. Veuillez en agréer l’hommage de la part dos
auteurs
qui, sans avoir l’honneur de vous connaître perso
me et à le conduire vers cet état de tranquille félicité que le divin
auteur
de la nature a tracé, on a fondé des asiles pour
janvier 1852, parle de cet appareil en tenues très-favorables pour l’
auteur
et le mesmérisme, mais sans portée scientifique.
les lois de la nature, doit être à jamais immuable comme elle et son
auteur
. Vous me dites, Monseigneur, dans votre honorée
juges en fait de science, vous le savez aussi bien que moi; tous les
auteurs
modernes parlent de travaux consciencieux dans le
dans les réfutations qui commencèrent à pleuvoir de tous côtés sur l’
auteur
, l’imputation de mystification se sauvait-elle, p
Moi-même j’ai assisté, une seule fois, avec une dame de mes amies (
auteur
distingué que vous connaissez d’ailleurs très-bie
ébrité à mettre au bas de leurs allégations, sc contentent d’être les
auteurs
des miracles dont les autres sont les historiens.
ient de perdre un de ses plus illustres défenseurs, M. le l)r Husson,
auteur
du fameux rapport fait à l’Académie de médecine e
de lui fournir le moyen de se produire sous la responsabilité de son
auteur
, persuadés que nous sommes que la lumière de la p
eaux. Nous aurions hésité à le reproduire, nous devons l’avouer, si l’
auteur
du récit, 51. A. Jouve, rédacteur en chef du Cour
lancher. « Kettelhut ne doute pas que ces coups de marteau ont pour
auteur
son valet qui, par là, voulait effrayer les serva
Hambourg, 1Ô87, m-4°. Cet ouvrage, écrit en allemand corrompu, a pour
auteur
le magister Samuel Meigeirius ; il conüent de pré
d’adeptes choisis, venant de tous les coins du monde pour glorifier l’
auteur
de la doctrine magnétique. Spectacle curieux et
qu’il lut, avec un accent qui décelait 1 énergie des sentiments de l’
auteur
et la bonté de cœur du magnétiste : SALUT A MES
et digne, fait connaître à l’assemblée les faits qui ont valu à leurs
auteurs
la distinction du Jury. 11 proclame le nom des no
t-Martin, pour ne pas finir cette lettre par quelques passages de cet
auteur
. Ils vous seront certainement agréables et utiles
ne autre puissance. » Des dissertations curieuses sont faites par l’
auteur
au sujet du sidérique qui, selon lui, tient plus
ambulisme, duquel il devrait effacer jusqu’aux moindres traces. » L’
auteur
établit la différence du somnambulisme au raa-gis
nébreuse qui ne le peut entendre, pour aller comme converser avec son
auteur
, c’est-à-dire avec le seul être où son intelligen
magnétisme, soit en bien, .soit en mal, soit avec indifférence. Les
auteurs
qui ont trop de science pour nier les faits, mais
rhon, les Indiens savaient obtenir une nouvelle sorte de vie. Selon l’
auteur
de cet écrit, les Indiens de ces temps reculés co
é blessante pour les opérateurs. Ce ne sont donc pas eux qui sont les
auteurs
de ces réponses; il y a donc en dehors d’eux un ê
résultats, y sont profondément hostiles, tels que M. de Saint-Hérem,
auteur
d’un article fort intéressant publié dans la Revu
gissait de savoir comment on mettrait le crayon à la disposition de l’
auteur
des réponses. On fit plusieurs tentatives dont je
ès avoir mentionné les expériences qui ont déterminé sa conviction, l’
auteur
aborde le fait de la réponse des tables aux quest
qu’il a été démontré amplement par de longs raisonnements de savants
auteurs
, philosophes chrétiens. « En effet, ils ont dém
intes Ecritures, mais encore par les paroles sorties de la bouche des
auteurs
profanes les plus célèbres, tels que Plutarque, P
s que Plutarque, Porphyre, Pline, Bayle, Voltaire, Hoffmann, etc. Ces
auteurs
prouvent la réalité desdits phénomènes, par les c
éalité desdits phénomènes, par les citations d’un très-grand nombre d’
auteurs
de toutes les opinions, ainsi que par le témoigna
puisse être la conviction individuelle sur les faits examinés par des
auteurs
si graves et si religieux, comme il appartient à
us occupe en ce moment est une nouvelle preuve de cet acheminement. L’
auteur
, qui est un jeune homme d’avenir, a voulu prendre
t, il leur arrive souvent de percevoir vaguement tout ce qui se passe
auteur
d’eux. Les plus curieux à observer sont les somna
vous le lisiez tout à l’heure (et c’était vrai) ; étudiez bien cet
auteur
, il révèle beaucoup de choses....... Ah ! mais je
et tout est dit; mais en voici un qui pourrait bien coûter cher à son
auteur
. Nous l’extrayons de la Patrie du 17 mai. « Mon
tte lettre, pour qu’il soit possible d’en rechercher et faire punir l’
auteur
. » En voici assez pour aujourd’hui ; à quinzain
ne des méditations de tous ceux qui désirent étudier cette matière. L’
auteur
a eu raison de le dédier à l’Académie des science
s ; mais, ou nous nous trompons fort, ou les lecteurs sauront gré à l’
auteur
de les avoir ini- liés it un sujet plein d’inté
ne grande place, et où même il est l’objet de graves accusations. L’
auteur
commence par prouver la réalité des phénomènes du
ner à ce premier chapitre. Nous commençons à différer d’avis avec l’
auteur
, quand il traite de la nature du magnétisme. Voic
somnambule ou du magnétiseur : en un mot, c’cst un esprit. » Ici l’
auteur
, bien que s’appuyant sur des faits exacts, en tir
ne, ce n’est pas une raison pour l’attribuer à un être surhumain. L’
auteur
entre dans de grands développements sur l’action
equel aurait été saisi d’un mouvement de rotation; ce qui fournit.à l'
auteur
un rapprochement avec le miracle évangélique de l
s en l’air pendant un temps considérable. Nous ne savons pourquoi l’
auteur
n’ajoute pas à cette liste : Vue à travers des co
our «»opérateurs les puissances infernales. C’est ici surtout que l’
auteur
manque de logique et se laisse égarer par des opi
moins dans quel but et dans quel intérêt l’ennemi du genre humain, l’
auteur
du mal, viendrait nous guérir de nos maux... Beau
oopération des Esprits seraient nuisibles, la conséquence tirée par l’
auteur
, quoiqu’étant alors beaucoup moins choquante, n’e
ue le berger, stupide comme celui de Cideville, se soit figuré être l’
auteur
du fléau, et ait eu la sottise de le dire, faudra
e, il est vrai, quelques phénomènes tellement étranges, que plusieurs
auteurs
ont regardé comme probable qu’il y avait un conco
ettons que par suite de sa fausse conception des Esprits mauvais, cet
auteur
se soittrouvé jeté dans une routé qui ne pouvait
sans adopter tous les principes de la théorie sur laquelle le savant
auteur
les a appuyées, je crois pouvoir les admettre en
que avec elle. Interrogée alors, elle déclara que la servante était l’
auteur
du vol commis chez lui la veille ; qu’elle avait
Tolède, fit connaître qu’un de leurs camarades, nommé Manuel, était l’
auteur
d’assassinats commis sur les femmes Manuela et Jo
ujet, une individualité qui se manifeste par des discours, bien que l’
auteur
en soit invisible. Le moyen de communication do
J’ai essayé ce mode sur plusieurs individus, après avoir demandé à l'
auteur
des oscillations s’il écrivait par la main du suj
les Esprits, jette la pierre au magnétisme, sur lequel s’appuient les
auteurs
de ces écrits. Peu important. — Voici un extrai
la Danse des tables dévoile, etc. Je vais en dire quelques mots. L'
auteur
, après avoir rapporté un grand nombre de faits co
e, auquel j’ap- partiens aussi, le désagrément que la doctrine de l’
auteur
de la brochure, reçue sans examen, pourrait lui o
let disparaît. Cela posé, il s’ensuit que si le diable est vraiment l’
auteur
de la rotation des tables, ainsi que des coups my
nt rien , ne sera-t-on pas^en droit de regretter les conclusions de l’
auteur
de la brochure comme étant le résultat de l’ignor
e de Paris. — L’identité de nom et de profession a fait confondre l’
auteur
des articles signés Morin, dans nos derniers numé
r, en voici une autre qui fait partir le mouvement des muscles. Los
auteurs
de cette hypothèse disent : » Les tourneurs de
e plus impertinent ; mais telle n’est assurément pas l’intention de l’
auteur
, car s’il croyait qu’il n’y a parmi nous personne
expose succinctement le but, l’origine et l’histoire du mesmérisme. L’
auteur
, caché sous le pseudonyme de Fluidus, est un homm
est terminé par une courte série de dialogues fins et comiques, où l’
auteur
a persifllé la crédulité excessive de quelques pa
1 vol. in-18. Prix : 50 centimes. Celui-ci est un petit manuel où l’
auteur
expose, en paraphrasant une partie du Caliehismc
dans le sujet auquel il a voulu les initier. Venant après une foule d’
auteurs
de traités élémentaires, il était obligé de faire
e d’Almanach commande l’indulgence. Nous recommandons seulement à l’
auteur
, pour le cas où son livre aurait la bonne fortune
est aveugle, puisqu’elle s’exerce 1 en dehors de la prévision de son
auteur
, et qu’aucune in- • telligence ne la dirige; ce s
es. L’explication de pareils faits est extrêmement ardue. Plusieurs
auteurs
recommandables, ne pouvant admettre que l’homme,
e. 11 a été publié des traités d’un grand mérite qui assurent à leurs
auteurs
l’estime et la reconnaissance de la postérité, et
Des prétentions si exorbitantes seraient impardonnables, même chez l’
auteur
qui, par l’étendue de ses connaissances, l’import
ra à fixer ses pas vagabonds, à sortir de son état d’infériorité. L’
auteur
ayant à rendre raison des phénomènes, se prononce
érogation spéciale aux lois de la nature. Si telle est l’opinion de l’
auteur
, il aurait dû la formuler plus nettement, et dédu
remarque nous semble avoir d’autant plus d’importance, que plusieurs
auteurs
, notamment M. Billot et M. de M..., en son Traité
embleurs des Cévennes, les Écossais doués de la seconde vue, etc. L'
auteur
entre dans de grands détails sur les procédés tec
’un instrument pour produire certains actes et converser avec nous. L’
auteur
, qui ne paraît pas avoir suffisamment étudié cett
. Après avoir rapporté quelques faits racontés par les novateurs, l’
auteur
s’écrie : « Que b guerre autre que celle du ridic
s les vues que je viens d’indiquer pourront êtie développées par leur
auteur
, et l’on verra que le magnétisme est loin d’être,
s. Cette lettre, touchante de naïveté et de bon sens, dénote chez son
auteur
, en même temps que la bonté du cœur, un fonds d’i
onneront un échantillon suffisant du style et de l’argumentation de l'
auteur
. A.-s. MORIN. ORTUS MEDICINÆ, etc., par Jean-
es environs de Versailles se résume en une simple supercherie, dont l’
auteur
serait un des expérimentateurs. Sans partager l
éologie de Louvain, comme étant ouvertement hérétique, et valut à son
auteur
d’être enfermé dans les prisons de Malines. Heu
éimprimé à Nuremberg en 1662, in-/i°). Cet ouvrage suscita contre son
auteur
les haines et la colère du Père Roberti, jésuite
du 22 novembre contient une lettre relative aux tables tournantes. L’
auteur
, qui se dit médecin, u’a pas cru devoir se nommer
ue un long article intitulé : llidicules des rêveurs magnétiques. Son
auteur
s’en donne à cœur joie. Quelle verve cl quel entr
car loué par un lel homme, c’est, selon nous, recevoir un outrage.
Auteur
de quelques innocents écrits dont l’étiquette pom
ong article sur les tables tournantes, parlantes, etc., dans lequel l’
auteur
, M. A. de M., se propose d’étudier le phénomène e
et caractères des peuples argentins. Parmi les types présentés par l’
auteur
, un surtout nous a paru mériter l’attention de no
nomie de ces populations à demi barbares. Voici comment s’exprime l’
auteur
: « Le plus distingué, le plus extraordinaire d
t tous condamnés à mort et exécutés. M. le Dr J. Kerner, le célèbre
auteur
de la Voyante de Prevorst, a donné une traduction
qu’il n’y a clans ces phénomènes aucune autre force que les nôtres. L’
auteur
de Quœre cl Inventes n’a pas cette présomption,
tes battent en brèche Newton et remettent Descartcs en honneur, notre
auteur
a ajouté des expériences auxquelles il a concouru
t toutes accordées à prédire une transformation sociale, la tête de l’
auteur
s’est échauffée à chercher par quels moyens la so
s le genre humain, ouvrage inédit, par Victor Hennequin. Lettres de l'
auteur
au sujet de ce livre, qu'il annonce avoir été dic
mémoire à les bien apprendre. C’est, je crois, chez mon ami, aimable
auteur
de si jolies nouvelles, que, autant qu’il m’en so
oussole breloque. Mais, s’il y a supercherie, il faudrait que leurs
auteurs
fussent bien peu fins, si l’on pouvait, à premièr
devant nous, c’a été par des moyens qui ne supposaient pas chez leurs
auteurs
des connaissances physiques et mécaniques bien ét
Derrien, sans compter celles qu'il n’a fait que mentionner. Parmi les
auteurs
de ces réponses, les uns ont déclaré accepter la
en jugera bientôt par la comparaison d’autres morceaux ués des mêmes
auteurs
, mais en des occasions plus propices. (4) Aucun
urs » (les réunions de votre propagande magnétique ) , puis, de « cet
auteur
de si jolies nouvelles, » etc. ; (l’ami de M. de
n divine dans ces grands phénomènes et dans ces grandes existences. L'
auteur
et le soutien de toute vie, pour essentiellement
prendre à connaître? Ces visions so sont effectuées. Jérôme Cardan,
auteur
italien très-distingué, mathématicien et médecin
que j'élais, j'eus la pensée que si je racontais ce que je voyais, l'
auteur
inconuu de ce prodige en serait offensé, et que j
e chevelure longue, noire et crépue; première anomalie signalée par l'
auteur
parmi les étrangetés du pronostic de sa destinée.
nt plus élevée de Dieu et entrera en communication plus intime avec l’
auteur
de son être. La mort perdra son aiguillon, et le
cinations, par le Dr Brierre de Boismont; 2» édition. Paris 1852. L’
auteur
, avec les meilleures intentions, s'est arrêté fat
C’est l'esprit familier de mademoiselle Octavie qui commence : « L’
auteur
du Père Goriot vous salue. « L’auteur de Sérap/
Octavie qui commence : « L’auteur du Père Goriot vous salue. « L’
auteur
de Sérap/iita vous vient instruire sur toutes cho
r toutes choses, et sur l’esprit que renferment toutes choses ! « L’
auteur
du Lys (Unis la vallée vous vient dire de ne jama
de ne jamais méconnaître même un rien, quand il vient du cœur. « L’
auteur
de Modeste Mignon vous vient défendre le trop gra
r les âmes sensibles et sur les cœurs d’une poétique tendresse. « L’
auteur
de la Peau de chagrin vient vous dire de ne point
t des moyens qui doivent, seuls, composer et emplir cette vie ! « L’
auteur
de... _ Est-ce que tu vas nous passer en revue
s,, de la force attractive d’une masse liquide en mouvement, et que l'
auteur
de la relation prête à l'entraînement du... vide.
Quand la vieillesse amène la fm d’une existence honorable, écrit cet
auteur
si consciencieux (1), la mort est plutôt paisible
fort original, inséré dans le n° 22(5 du Journal du Magnétisme. Si l’
auteur
eût eu moins de verve , plus de difficulté de- st
sortent souvent mutilés. Ce monde, c’est la théorie. Voici celle de l’
auteur
: Nous avons, dit-il en commençant, un esprit e
apports ? — Je n’ai pas à répondre à cette question que s’est posée l’
auteur
, et qu’il résout ainsi qu’il suit : « Pendant la
l’œil pour voir ce qui s'y passe. » Ce que vous ignorez, c’est que l’
auteur
reconnaît que l’âme a pour occupation ou pour fon
stions ont bien leur importance; car si les idées physiologiques de l’
auteur
que je combats lui permettent d’admettre que le c
pensez-vous de cette morale, partie intégrale de la philosophie de l’
auteur
que je combats ? A-t-il lui-même entrevu la concl
té universelle, chez Fauvelle Le Gallois, le magnétiseur humanitaire,
auteur
de la Somnambule spiritualistede la Salutation à
on la plus féconde en grands résultats. La folie idéale, dit un des
auteurs
par lui cités, est l’état intellectuel d’une pers
ée, et l’illusion, l’appréciation fausse do sensations réelles. » L’
auteur
décrit les hallucinations qui se produisent dans
e temps après que M. Gordon commença à être médium, à une époque où l’
auteur
de cette relation demeurait à Newtown (Connecticu
: « — Puisque vous êtes si bien en communication spirituelle avec l’
auteur
de cette écriture, pourriez-vous me dire si le su
— J’ignore à quel passage du journal a trait ce.regret de l’illustre
auteur
des Dynumides. Ce serait, du reste, un hasard bie
res odiques, telles que les a publiées Caha-gnet ; mais, au dire de l’
auteur
, cette traduction est loin de répondre à ses inte
e , afin de faire connaître , tant la loyauté que la politesse de son
auteur
, ainsi que la preuve qu’il constate de la superch
en est arrivé dans tous les pays et dans tous les siècles. Jamais les
auteurs
de ces faits n’ont eu conscience de ce qu’ils fai
r volume des Arcanes de la vie future, etc., que vous avait dédié son
auteur
, sans doute dans l’espoir d’un meilleur accueil,
que ne pourraient le faire les plus forts raisonnements. Aussi, cet
auteur
, s’adressant à toutes les personnes éclairées qui
olés et n’étant con-« nus que de ceux-là seulement qui en ont été les
auteurs
« ou les témoins, seraient par là perdus pour l’h
ne le penso pas, fût-cc mémo mon excellent auii, M. Minile, le savant
auteur
do divers ouvrages sur le magnétisme, et notammen
magnétisme ; ouvrage épuisé et qui devrait, avec la permission de son
auteur
, — qui la donnerait certainement, — être compris
magnétiseurs. Dans cet article, qui fait honneur au bon goût de son
auteur
, ce Monsieur ne trouve pas de meilleurs arguments
étisme. Ce qui lui assigne un caractère tout particulier, c’est que l’
auteur
a voulu procéder par des méthodes purement scient
ectro-dynamisme vital est parfaitement écrit; et, bien qu’étranger, l’
auteur
manie notre langue avec une correction de style,
acilité d'élocution' que pourraient à juste titre lui envier bien des
auteurs
indigènes. Pourquoi le livre a-t-il été aussi peu
de première force, et s’il leur faut à la fois suivre les idées de l'
auteur
, et étudier son langage à coups de lexique, ils s
ent qui pourrait bien se traduire par un mouvement de colère contre l’
auteur
et contre celui qui conseille de le lire. Nous av
e nous empêchera pas de reconnaître et de signaler les services que l’
auteur
a rendus à la physiologie en général et au magnét
beaucoup plus aisée. 11 faut d’abord qu'il soit bien entendu que l’
auteur
, tout en ne parlant guère que d’électricité vital
en paraissant en treindre «u rôle d'agent physique à la conclusion, 1
auteur
,^dans rant du paragraphe que nous reproduisons, l
imposer une étiquette neuve pour attirer l’attention. Peut-être si l’
auteur
avait passé quelques mois à Paris, comme il eût d
. Elles sont fort.bien développées, et si nous n’admettons pas avec l’
auteur
qu’elles sont démontrées avec une ligueur mathéma
mportance. C’est sur elle que s’appuie presque toute la doctrine de l’
auteur
. Les physiologistes n’ont pas encore su tirer un
re. Questions jusqu’à présent bien abstruses et fort obscures. Si l’
auteur
n’a pas tout résolu, s’il n’a pas jeté sur tousle
est, ce nous, semble, bien établie et ingénieusement expliquée par l’
auteur
. L’action du moral sur le physique, et la réactio
Bien que la nécessité de condenser les propositions qui conduisent l’
auteur
à son but principal nous ait amené à élaguer tout
es, nous croyons devoir dire un mot de l’hypothèse psy-cologique de l’
auteur
, qui ne manque pas d’originalité. VII. DIGRES
e l’infini et des limites, mais elle est familière a^x géomètres. L’
auteur
suppose que chaque centre nerveux est le siège d’
es âmes. Nous n’avons que deux reproches à adresser au système de l’
auteur
: — le premier de n’être pas assez osé, et de n’a
rice de la pensée sur les organes une fois constatée, voici comment l’
auteur
de l'Éleotro-dynamisme vital en donne l’explicati
serait, dans l’état actuel de la science, sans aucune application, l’
auteur
n’en aurait pas moins rendu un service signalé, e
ut diriger les opérateurs dans l'application. Nous regrettons que l’
auteur
n’ait pas développé dans ce sens l’idée à laquell
ves. » Peut-être n’avons-nous pas bien saisi les raisonnements de l’
auteur
sur ce point; mais enfin nous y avons appliqué
Voici maintenant l’article ou mieux les articles auxquels renvoie l’
auteur
. « 455. Maintenant il est à observer que l’exci
facilement saisies, puisque nous avons donné le système animique de l’
auteur
. « ...................“ « 8“ Toute âme est se
onclusion théorique, ou même qu’elle fût incomplètement établie, si l’
auteur
donne le moyen par lequel On peut par la parole e
voile que la lecture attentive suffira pour rendre transparent, dit l’
auteur
, et qui ne sera dès lors un obstacle réel que pou
t à nous, examinons la question sans avoir égard aux obscurités que l’
auteur
nous donne pour nous éclairer. Quels sont les ter
plications ne doit être considérée que comme l’annonce de coure que l’
auteur
se proposait sans doute de faire en France, puisq
pres observations. Il cite tous les documents transmis par les divers
auteurs
, de manière — hhlï — à nous faire connaître c
aires entre les limites extrêmes de contraction et d’extension. » L’
auteur
décrit ensuite les symptômes résultant du trouble
ur la question. En s’adressant au public dans son prochain ouvrage, l’
auteur
ne sera plus lié par les règles d’une prétendue
es anciens ; et ce qu’il y a surtout de déplorable, c’est de voir les
auteurs
les plus sérieux tomber dans une telle prolixité,
édical qui n’ait été mis en œuvre contre cette cruelle maladie... Les
auteurs
les plus compétents, même parmi les modernes, avo
ges du concours , la chose a été accueillie par eux avec faveur, et l’
auteur
leur a paru digne du prix. Applaudissons à leur s
tir des impressions ; les traits les plus prononcés du caractère de l’
auteur
de la lettre s’offrent à vous les premiers ; vo
à l’organe de la fermeté , et si cet organe est très-développé chez l’
auteur
de la lettre, la sensation, qui commencera par êt
Vous connaissez donc le caractère de la personne. M. R. H. Brown ,
auteur
de l’article, assure qu’en quatre mois il a expér
ne présenta un écrit, et le pnyc/iomélreur décrivit exactement, non l’
auteur
de la lettre, mais la personne qui avait présenté
aractères grecs pour écrire des mots italiens (toujours à rebours). L’
auteur
observe qu’elle n'avait jamais étudié le grec, ma
res fois, elle ne les expliqua pas , et l’on ne put les déchiffrer. L’
auteur
en donne un fac simile, ce sont des signes assez
le éprouvait, ni dans les facultés singulières dont elle jouissait. L’
auteur
, tout en professant un grand respect pour l’autor
près mûre délibération, on se prononça pour l’emploi du magnétisme. L’
auteur
avoue l'embarras où il se trouva, n’étant alors a
commencée , complètement immobile, sans souffle, et semblable, dit l’
auteur
, à la statue d’Hébé. On changea son attituue, et
n savante et lumineuse de la doctrine des nouveaux spiritualistes : l’
auteur
s’attache à prouver qu’elle est le développement
agnétisme un fait, une vérité nouvelle. Car les faits révélés par son
auteur
sont depuis longtemps d’une notoriété positive po
par un public nombreux ; aussi avons-nous vivement regretté de voir l’
auteur
émettre un jugement complètement faux par rapport
se sur cette question si capitale en philosophie et en physiologie, l’
auteur
n’a pas pris connaissance de toutes les pièces du
asse sous silence ce fait si important ! « De nos jours, continue l’
auteur
, ce même charlatanisme se reproduit sous le nom d
ique mesmérienne opère, nous invoquerons Tacite, Suétone, les anciens
auteurs
et ce qu’ils disent de Pyrrhus, roi d’Epire, d’Ap
e, qu elle était possédée du démon. Voici en quels termes D. Lelong ,
auteur
de XHistoire du Diocèse de Laon, parle de cette j
leur titre de prophètes inspirés à meilleur marché que M. Davis. L’
auteur
des Révélations a publié depuis plusieurs autres
convaincu qu’ils ne les auraient pas exprimées s'ils avaient été les
auteurs
de ces lettres. Les esprits secouèrent rigoureu
ar le Christianisme, pur Paul Auguez. 1 vol. in-8; Di-ntu , 1856. L’
auteur
de cet ouvrage a fait précéder les deux titres qu
e sont des aspirations poétiques plutôt que des démonstrations ; et l'
auteur
semble même plus préoccupé du soin d’arrondir des
il est donc extrêmement difficile de le définir. Aussi la plupart des
auteurs
, après avoir écrit de gros volumes sur cette mati
pécialement ait été investi d’un pouvoir magnétique. L’assertion de l’
auteur
à ce sujet est donc purement gratuite et ne repos
on proportionnelle de leur moralité?..... Et pourtant l’erreur de l’
auteur
vient d’une fausse application d’une grande vérit
à deux contradictions manifestes que nous sommes obligé de relever. L’
auteur
, à deux pages de distance, reconnaît que la scien
ennes, le magnétisme et le somnambulisme ont été, comme le constate l’
auteur
, d’un usage constant et général, ont vécu sous le
christianisme que le monde est redevable du magnétisme ?... Notre
auteur
, comme s’il prenait à tâche de se contredire à ch
veur des hommes (page 151), pourquoi sera-t-il interdit de ranger les
auteurs
de ces travaux au nombre des grands magnétiseurs,
lentement une courbe, et vint se poser sur l’épaule de miss Poston. L’
auteur
de la narration déclare qu’il a interrogé dix-sep
ont vu sur les murailles la menace née dans leur conscience contre l’
auteur
de pareilles orgies, et rien de plus. Cçux qui cr
ravaux ; elle s’y rattache néanra >ins à plus d’un titre. M. Paul,
auteur
de la statue dont il est question, est un ma-gnét
de soulager l’humanité sans le secours des drogues et des remèdes?» L’
auteur
, qui se prononce résolument pour l'affirmative, r
œuvres frauduleuses, ils n’ont pas hésité à en frapper sévèrement les
auteurs
. Dans l’espèce actuelle , il n’y a guère de dou
t savante et fort instructive sur les fa- cuités somnambuliques ; l’
auteur
les retrouve clans les monuments de l’antiquité e
s parlantes, elle a été posée explicitement, carrément, pat-plusieurs
auteurs
. Je serai moins tranchant, je l’avoue ; je convie
stique Abcotin; mais elles ne furent pas pour cela sans ia-térôt. L’
auteur
, en narrateur fidèle, ne dissimule pas les résult
moquées des opérateurs « que les personnages qui s’annonçaient comme
auteurs
des discours «obtenus, donnaient de fausses indic
nsées exprimées par le pied du guéridon. Quel était donc le véritable
auteur
?... M. Mathieu nous donne quelques échantillons
'immensité des océans, Pour m'y laver de la poussière Du temps. L’
auteur
termine ainsi : CONCLUSION. Le langage des ta
les des règles de conduite. Quelque éminente que soit la position des
auteurs
du décret, ils n’en sont pas moins justiciables d
avons qu’un galimatias tellement obscur qu’on peut se demander si les
auteurs
se sont compris eux-mêmes...,,^ Un principe est u
l’opinion de ceui qui attribuent ces effets à l’action du diable. L’
auteur
s'attache ensuite à dissiper les craintes des per
n adopte à ce sujet, il faut reconnaître la sagesse des conseils de l’
auteur
qui recommande de ne se faire magnétiser que par
présence de quelques témoins. C’est ce qu'ont prescrit Deleuze et les
auteurs
les plus honorables. M. Allix établit qu’il n’e
résultat ; on pourra alors la toucher sans qu’elle se contracte. L’
auteur
examine quels sont les usages utiles du magnétism
st là user d’un droit légitime ; dans plusieurs cas rapportés par des
auteurs
dignes de foi, dans d’autres dont nous avons pers
posé par M. Lafontaine (1), dont il cite un long extrait. D'après cet
auteur
, la cause du mouvement des tables est le fluide v
ire, n'en est pas moins très explicite, et se rapporte à ce que l'
auteur
, appelle « ataxie par défaut de ! coordina- tio
points conforme à la description contenue dans les leçons de cet
auteur
. Cette observation n'est publiée qu'à titre de
e, dans le service de M. Charcot. Antécédents héréditaires. - Père,
auteur
dramatique et acteur, mort à soixante-trois ans
naît les belles recherches de M. Straus (1879), dans lesquelles cet
auteur
a appliqué au diagnostic du siège de la lésion
té de classer certains phénomènes considérés différemment selon les
auteurs
. Nous avons dit que dans certains cas nous cons
meil, nous retrouvons là les termes employés tour à tour par les
auteurs
modernes pour désigner les attaques que nous al
modernes pour désigner les attaques que nous allons décrire. Les
auteurs
qui, jusqu'au xix° siècle, suivirent A. Paré, pu-
s une valeur plus grande que celle qui leur a été attribuée par les
auteurs
eux-mêmes et il faut arriver véritablement aux
N. Charcot, Paris, 1886. 2 .. Les annales de la science, dit cet
auteur
, sans parler des autres (ainsi l'histoire ecclé
au diagnostic d'hésiter. Pendant la première moitié du siècle deux
auteurs
ont sur- tout contribué à éclaircir la symptoma
terons tant, ait pu écrire (p. 413) : « Malgré ce qu'en ont dit les
auteurs
, les attaques hystériques avec sommeil sont peu
is, le désaccord est beaucoup plus apparent-que réel entre ces deux
auteurs
qui ont tant fait pour l'étude de la né- vrose
6, peut passer pour un modèle du genre et les considérations dont l'
auteur
la fait suivre, ainsi que les observations IX e
sommeil, la lecture des nombreuses observations rapportées par les
auteurs
nous montre que les individus qui en sont attei
si- dérable d'observations que des opinions émises par les divers
auteurs
qui se sont occupés de la question que les attaqu
nard est certainement vraie, mais les conclusions du premier de ces
auteurs
sont peut-êtreun peu trop absolues. Nous avons
douzy » alors que, sous le nom de syncope et de mort apparente, cet
auteur
(p. 67) ne rapporte pas moins de 27 observation
e psychose com- binée à une névrose (hystérique ou hystériforme), l'
auteur
tendrait à l'idée d'une inconnue complète. L'in
paralysie spasmodique; puis, les organes périphériques sont, dit l'
auteur
, devenus malades et l'atrophie s'est développée
état. C'est seulement après avoir échoué avec ces remèdes que- l'
auteur
se décida d'essayer, en 1886, l'azotate de strych
dre 2 milligrammes de strychnine par jour pendant six semaines. L'
auteur
l'a vu trois mois après : le sujet n'a pas d'accè
fait observer M. Ballet, semble au premier abord donner raison aux
auteurs
qui subordonnent certaines hallucinations aux t
mité exclusivement à la SOCIÉTÉS SAVANTES. 131 moelle lombaire, l'
auteur
croit que l'inflammation s'est propagée des art
c désigne un accident intermédiaire à l'alexie et à la paialexie. L'
auteur
a fait, il y a ' Voy. Analyses des Archives de
ens des aliénés a été trop négligée jusqu'à présent. La plupart des
auteurs
qui ont écrit sur la législation des aliénés, a
oser une question, pour savoir quelle est l'appréciation, soit de l'
auteur
de l'amendement, l'honorable M. 13ardoux, soit
besoin s'en ferait sentir, je.demanderai si, dans l'intention de l'
auteur
de l'amendement ou dans celle de la commission, t
hodes avait vécu trois ans, sans boire ni manger. Il est, parmi les
auteurs
, nombre d'exemples de longs jeûnes; mais tous o
crologie. 111. le Dr Achille Foville ou de Foville1, fils du savant
auteur
du Traité complet de l'anatomie et de la patholog
été remarqués dans le premier cas' et en partie observés par divers
auteurs
: 4 Elle est représentée trop bas sur le dessin
s altéra- tions trophiques caractéristiques décrites par d'autres
auteurs
, des tumeurs pâteuses dans le tissu cellulaire,
en- tiellement de ceux que présente l'astasie. L'impres- sion des
auteurs
qui ont étudié les cas de ce genre est qu'il s'
ion statique, si l'on s'en tenait à l'ob- servation publiée par cet
auteur
et que nous avons reproduite, quoiqu'il la rang
bservation aux faits précédents et à nous rallier à l'opinion des
auteurs
que nous venons de citer. Une lésion des gangli
ou d'accès aigus; cette forme est la plus fréquente, et beaucoup d'
auteurs
n'admettent même que l'auto- matisme post-épile
e est assez rare; on en trouve cependant quelques exemples dans les
auteurs
. Tels sont, par exemple, les cas suivants publi
ce sujet une note. ' DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. 251 Les divers
auteurs
qui ont traité de l'épilepsie ont, pour la plup
e relater ici toutes les observations d'automatisme publiés par les
auteurs
; il nous faudrait citer presque tous les médeci
r de donner un pendant à la méningo-encéphalite et sur laquelle les
auteurs
ne sont pas encore d'accord : nous voulons parl
rsonnes qui en ont été atteintes. Disons toutefois en passant que l'
auteur
nous parait en géné- ral peu partisan de la dég
nes, les autres critiquant les descriptions et les conclusions de l'
auteur
. Ce sont des premiers que nous nous occuperons
et, 1884. 26 lé REVUE CRITIQUE. rapporte les opinions de quelques
auteurs
sur la genèse des phénomènes moteurs, convulsif
caractère exalté et à ten- dances dramatiques. Mais, en somme, cet
auteur
n'ajoute rien à la description de Kahlbaum dont
tonie, mais l'envisage d'une façon un peu différente de celles des
auteurs
que nous venons de citer. Pour lui, la Catatonie
e même et en analysant les nombreuses observations publiées par les
auteurs
, nous pou- vons dire qu'en cherchant bien on tr
délayés, qui sont pour ainsi dire avalés automatiquement. D'autres
auteurs
(Gaird- ner) préfèrent avoir recours à la sonde
en lumière dans les travaux déjà cités de MM. Debove et Achard. Ces
auteurs
ont particulièrement étudié le phénomène si com
ment que c'est une autre attaque de sommeil qui va commencer. Les
auteurs
, avec raison du reste, n'ont eu le plus souvent
ion n'a pas toujours été adoptée, mais il faut savoir aussi que les
auteurs
dont nous allons parler étaient guidés par cett
a mort n'a jamais lieu par le fait de la syncope. En parcourant les
auteurs
, on trouve toujours que les prétendues mortes ont
procédé de recherches. L'analyse des observations publiées par les
auteurs
qui ont eu à traiter de l'hémiplégie hystérique
sur la valeur diagnostique de ces différents signes. Pas un de ces
auteurs
ne signale, en effet, une paralysie véritable d
Ce sont encore là, du reste, des cas sur la pathogénie desquels les
auteurs
paraissent mal fixés. Rappelons de plus, que ce
lesquels le terme de mort apparente a été prononcé par les anciens
auteurs
. Le diagnostic devra s'établir dans ces cas ave
, 1885, t. II, p. 421.) 298 REVUE CRITIQUE. d'exemples dans les
auteurs
précités. Qu'on en juge, du reste, par la trois
s comme étant la seule de cet ordre que nous ayons trouvée dans les
auteurs
, sans y attacher, d'ailleurs, plus d'importance
bles psychiques, etc...,) par la suggestion à l'état de veille. L'
auteur
croit, avec Grasset, qu'on peut employer sans auc
eaux seront soupçonnés de fragilité, notamment à des alcooliques. L'
auteur
cite une observation d'éruption scarlatiniforme
uite une note de M. llfahille, sur l'hématome de l'oreille ; pour l'
auteur
, l'épanchement se ferait entre la peau et le pé
pour AI. Séglas, les observations qu'il rapporte et es opinions des
auteurs
qu'il cite, tous cependant partisans du délire
rime ici au nom de la commission, et que M. Combes, ainsi que les
auteurs
de l'amendement, y trouveront satisfaction. Nous
est exigible que dans les quarante-huit heures de l'admission. Si l'
auteur
de la demande ne sait pas écrire, celle-ci est
médecin attaché à l'établissement à un titre quel- conque, ou si l'
auteur
est parent ou allié au second degré inclu- sive
considérable d'observations choi- sies et groupées avec ordre que l'
auteur
s'appuie pour formu- ler ses conclusions.- On n
seur Pitres. Ce tra- vail comprend deux parties. Dans la première l'
auteur
traite de l'anesthésie hystérique de quelques m
une reprise des résultats contradictoires à ceux de la majorité des
auteurs
. On trouvera néanmoins un certain nombre de fai
velles recherches. Telles sont, par exemple, les conclusions de l'
auteur
à propos des rapports entre l'anesthésie tympaniq
muqueuses, elles paraissent très fréquentes puisque sur onze cas l'
auteur
trouve six ma- lades en présentant. La plus fré
t lacrymal infé- rieur. Ces zones sont ordinairement symétriques. L'
auteur
leur attache une grande valeur diagnostique, ma
ce d'un assez grand nombre de cas de même nature n'a pas permis à l'
auteur
de tirer des conclusions assez probantes et ass
médicaments : le médicament produisant le meilleur effet est, dit l'
auteur
, le bromure de potassium; il peut être pris pen
hie des racines posté- rieures des nerfs rachidiens. La plupart des
auteurs
con- sidérèrent alors la lésion médullo-radicul
ls du tabes. Plus récemment les recherches entreprises par divers
auteurs
sur la pathologie des nerfs périphériques ont f
racines rachidiennes ni des nerfs périphé- riques. Déjà quelques
auteurs
ont été conduits à peuser que, dans certaines c
s, il semble bien certain, et en cela nous sommes d'accord avec les
auteurs
clas- siques, que si la paralysie faciale peut
égère diminution de l'excitabilité galvanique et faradique. Le même
auteur
relate un autre cas qui 376 CLINIQUE NERVEUSE.
qui nous a été adressée, au sujet de notre premier mémoire, par un
auteur
allemand, M. Edinger. « Il est difficile, dit M
sances actuelles, nous serions forcé de suivre l'exemple des autres
auteurs
, qui se sont occupés de la question, à savoir d
CIIASLIN, médecin-suppléant de BiC'être, II. Mais à côté de ces
auteurs
qui admettent la conception de la catatonie', i
a folie de tension (Spannungs-Irresein). Westphal2 admet, comme l'
auteur
de la catatonie, que la stupeur n'est pas forcé
avons pu déjà être frappés des dissidences qui existaient entre les
auteurs
non seulement sur des points de détail, mais su
un hypochondriaque persécuté que nous trouvons mentionnée par les
auteurs
allemands, ainsi qu'une autre observation de La
s observations., Plusieurs \ sont empruntées à Krafft-Ebing, dont l'
auteur
semble, par suite, adopter la manière de voir.
in la marche cyclique de la maladie sur laquelle cependant quelques
auteurs
(Neisser) insistent moins que les autres. Ici
pellerons seulement en passant que c'est sous ce nom que beaucoup d'
auteurs
ont décrit et décrivent encore la catatonie de
if dont elles seraient même toujours caractéristiques pour certains
auteurs
*. L'entêtement et la résistance systématique n
t, s'en frottent. C'est de cette dernière catégorie de gâteux que l'
auteur
fait une étude psychopathologique. Il en distin
seraient beaucoup plus fréquentes que ne l'indiquent la plupart des
auteurs
classiques. On rencontre parfois chez les cordi
ans les nombreuses autopsies qu'il a faites à l'asile de Palerme, l'
auteur
trouve soixante-quinze fois des lésions de coeur
comme cause de ce trouble de la pigmentation cutanée. De nombreux
auteurs
du reste ont cité des faits concordant avec cette
énés; par le Dr 111ERN : 1N (de Chicago). Les trois cas cités par l'
auteur
viennent à l'appui de l'opinion exprimée par le
es et fausses dans la diplopie oculaire. Je pourrais montrer, dit l'
auteur
, que cela s'applique aux symptômes mentaux de m
ntaux (auras intellectuelles). - En conséquence de cette théorie, l'
auteur
demande une étude comparée de toutes ces maladi
syndrome et un stigmate. De plus, je rappellerai même que certains
auteurs
admettent la présence des idées fixes en dehors
utés hallucinés àlongue éclosion, devenus plus tard ambitieux), cet
auteur
fait entrer aussi dans le cadre de la mégaloman
a moelle épinière aux diverses hauteurs. Voici les conclusions de l'
auteur
: i° les racines antérieures de la moelle cervi
çons proviennent presque tous de travaux poursuivis en commun par l'
auteur
et par M.le professeur Pitres (de Bor- deaux).
utilisant toutes les ressources que fournit ce précieux procédé, l'
auteur
a pu étudier une foule de réactions fugitives, qu
de précision dans leurs constatations expérimentales. Au début, l'
auteur
rappelle les principaux faits qui servent de ba
et sur la substance corticale sont étu- diés successivement; puis l'
auteur
s'adresse à l'homme, et alors on entre de plein
ia, persuadé d'avance qu'elle aura le plus grand succès. Avis aux
Auteurs
et aux Editeurs. Tout ouvrage dont il nous sera
ses, mentales, etc. Volume iu-8° de 99 pages. Paris, 1887. Chez les
auteurs
. COMBEMALE (1 ? .). - La descendance des alcool
te par les docteurs J. Dagonet et Duhamel, revue et augmentée par l'
auteur
, avec une préface du docteur II. Dagonet (1°' fas
pal' Zachrr, 1 JO. Psfxdo-tabes, par Pitres, 33 ? zou TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. Psychiques (trouhles - e
4t6. Vue (illusions delà vue), par Rosen- bacb,111. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Babinslti, 101. Biotite
re typhoïde et le § A de l'étiologie, avaient déjà été rédigées par l'
auteur
, M. Charcot a dû se borner aie terminer. Les nomb
et ont été présentés par MM. Bretonneau, Gendron, Piedvache et autres
auteurs
dont les travaux ont été cités et commentés à l'a
ningite cérébro-spinale épidémique (typhus cérébro-spinal de quelques
auteurs
), on observe le plus souvent dès le début, des do
t pas encore, en pareille circonstance, la proscription dont quelques
auteurs
l'ont frappé ; et l'on peut toujours l'employer a
rd'hui rapporter aux diverses formes de la fièvre typhoïde. Plusieurs
auteurs
, et des plus célèbres, ont proclamé l'utilité d'u
et et d'août de l'année 1842, la méthode évacuante, ainsi que le même
auteur
nous l'apprend, n'avait pas compté plus de succès
upé des formes pathologiques autres que l'ulcération. Ainsi, quelques
auteurs
, comme Valleix,ne signalentmême pas cette dernièr
lle, se bornent à la mentionner, d'après l'auto-rité de M. Louis. Les
auteurs
du Compendium (t. YIII, p. 183) écrivent: « Les u
résentent, en effet, très rarement dans cette circonstance. Un seul
auteur
français paraît avoir accordé une impor-tance rée
époque avancée de la convalescence. « Il est donc impossi-ble, dit l'
auteur
en terminant, de méconnaître l'influence toute sp
ue cet œdème était lié à des ulcérations du larynx. Malheureusement l'
auteur
englobe dans son calcul les cas de typhus fever e
rra juger des résultats obte-nus. Nous les rangeons sous les noms des
auteurs
qui les ont publiés. Demme: 1 cas. Vaste ulcéra
me une valeur absolue, s'il est vrai, comme l'ad-mettent bon nombre d'
auteurs
éminents, qu'on puisse ren-contrer quelquefois la
ants à l'égard de ces formes mixtes qui serviraient, suivant certains
auteurs
, de transition entre les deux maladies, dont elle
, en Angleterre : fever, petechialtyphus, macu-lated typhus; quelques
auteurs
appellent encore le typhus fever du nom de famine
, quelquefois plus tôt, rarement plus tard. Il constitue, suivant les
auteurs
, un signe diagnostique de la plus haute importanc
. Mais il est probable qu'il n'en est rien, puisque le premier de ces
auteurs
affirme que le vé-ritable purpura et les vibices
er les deux affections, qui pendant longtemps ont été réunies par les
auteurs
anglais sous le nom de continue d fever. Il faut
miques de la fièvre typhoïde, manque constamment^ au dire de quelques
auteurs
(Stewart, Jenner), dans le typhus fever; d'autres
es vieil-lards (Guéneau de Mussy). Parmi les signes défavorables, les
auteurs
signalent en première ligne les suivants : 1° la
granuleuse a été au contraire très rarement rencontrée par les mêmes
auteurs
. Le tissu musculaire du cœur est en géné-ral flas
lle est de 1/3 environ, d'après le docteur Davidson ; d'après le même
auteur
, elle est typhoïde. Le docleur Jenner a recueil
nt été dans les épi-démies subséquentes. Aujourd'hui, suivant le même
auteur
, c'est habituellement sous forme de pneumo-typhus
trées de l'Europe, en Irlande surtout, ainsi qu'en Ecosse, et que les
auteurs
anglais ont les premiers étudiée et décrite sous
plète entre la maladie de Saint-Pétersbourg etlerealpsing fever des
auteurs
anglais. Les seules différences qu'on pourrait re
s'est présentée maintes fois, dans les épidémies d'Angleterre, et un
auteur
qui les a étudiées d'une manière approfondie, a p
Schizze (dans Virchow, Archiv. fur pathol. Anat., 5e vol., n° 508). L'
auteur
compare à la grande peste du XIV siècle la fièvre
a province de Guzarate en particu-lier, et qui a été désignée par les
auteurs
anglais sous le nom de Peste de Pati (Pali-Plagné
. — Ces dénominations prises pour exemple, font voir comment quelques
auteurs
du XVIe et du XVIIe siè-cle, cherchaient à distin
Peste bubonica (quelques médecins italiens). — Beulen-pest (quelques [
auteurs
allemands) ; peste à bubons, Toutes ces dénominat
jamais être accompagnée de fièvre, ont été signalés par bon nombre d'
auteurs
éminents (Diemerbroeck, Sydenham, Chicoyneau) d'u
ion des bubons et des tumeurs charbonneuses ou, comme disent quelques
auteurs
, de l'exan-thème pestilentiel, n'est qu'un phénom
ion s'étend aux parties profondes. L'anthrax pestilentiel de quelques
auteurs
n'est sans doute qu'un charbon volumineux, suivi
cales, sont considérées comme une éruption critique par bon nom-bre d'
auteurs
, et leur apparition coïncide, en effet, assez fré
a peste se traduit uniquement d'abord, ainsi que l'admettent quelques
auteurs
, par une affection gangreneuse toute locale de la
ire qu'il faille, à cause de cela même, ainsi que le veulent quelques
auteurs
, lui refuser la propriété de se transmettre par v
vre jaune. La maladie décrite par Ferreyra régna à Olinda, en 1684. L'
auteur
touche, dans son traité, les points principaux qu
s élevé de celles-là. Yoici comment s'exprime, sur ce sujet, l'un des
auteurs
les plus à même de l'étudier sous toutes ses face
dément altéré,, et l'on partagera difficilement l'opinion de quelques
auteur
* qui attribuent la matière mélanique de la fièvre
elles sont les principales circonstances qui ont été ran-gées par les
auteurs
parmi les causes occasionnelles généra-les, capab
her avec certitude à ce type pathologique les pestes dont parlent les
auteurs
qui ont écrit dans les premières années qui suivi
oir ne suffisent pas à eux seuls, comme sem-blent l'admettre certains
auteurs
partisans de l'antiquité de la fièvre jaune, pour
actement que celle-ci la température des parties centrales. Plusieurs
auteurs
avaient remarqué déjà que, dans le choléra, l'exa
été dictées par l'amour du lucre ou de la notoriété, car souvent les
auteurs
ont dis-crètement gardé l'anonyme. Il faut plutôt
au), auquel on doit la publication de plusieurs travaux importants. L'
auteur
cherche d'abord à établir, en se fondant sur les
e, se recouvre quelquefois d'une éruption de vési-cules d'herpès. Les
auteurs
ont rapporté un assez bon nombre d'exemples de ce
fœtus atteint d'ichthyose a donné 600 parties du même sel calcaire. L'
auteur
conclut en attribuant, avec Numan, à la prédomina
u petit bassin *. Les kystes hydatiques sont indiqués dans quelques
auteurs
classiques2 parmi les tumeurs qui peuvent se déve
i s'étend jusqu'au rectum. Suivent des réflexions dans lesquelles l'
auteur
suppose qu'un kyste se sera primitivement dévelop
peu nom-breuses; les livres fourmillent de sentences tirées de divers
auteurs
anciens, et qui démontrent qu'on faisait autrefoi
nce. D'ailleurs, il est bien probable que, sous le nom d'apoplexie, l'
auteur
aura bien pu englober plusieurs maladies diffé-re
uérir. Raymond 1 en a fait le sujet d'un livre intéressant, mais où l'
auteur
montre, malheureusement trop souvent, peu d'espri
servation a, sans aucun doute, été fort exagérée par quelques anciens
auteurs
, ainsi que Werlhoff l'a fait re-marquer avec rais
nt, sourdement, progressivement; on pourrait, à l'exemple de quelques
auteurs
(Laënnec, Landré-Beauvais, Poilroux), les désigne
ivers, le vrai rôle, le grand rôle de la nature médiatrice1.» Le même
auteur
cite, à l'appui de ces réflexions, les expérience
eumonie; et dans la seconde, l'expression de l'expérience propre de l'
auteur
? Consultons M. le professeur Grisolle, dont l'a
s (3 sur 40 ou 1/13) comparés à ceux qui ont été obtenus par d'autres
auteurs
, par M. Louis et en particulier par M. Grisolle (
ltats importants sur le sujet qui nous occupe ont été obtenus par les
auteurs
suivants: M. Viglaa fait, en 1852, à la Société
e dangers. En effet, s'il est vrai, comme l'ont af-firmé bon nombre d'
auteurs
, que l'administration méthodique de l'arsenic pui
ale. Mon maître, M. Rayer, est, du moins à ma connaissance, le seul
auteur
qui l'ait signalé d'une manière expresse, et vo
es tremblements et des paralysies des membres, observés par plusieurs
auteurs
, le fait suivant et deux faits analogues dont j'a
t, on ne le trouve mentionné, — à une exception près, — par aucun des
auteurs
qui ont étudié avec le plus de soin l'emploi thér
. Dans le but de prévenir, en pareil cas, ces accidents, plu-sieurs
auteurs
ont proposé de modifier la méthode la plus gé-nér
bleue que présentait cette dissolution, au dire de tous les an-ciens
auteurs
. Pour expliquer cette circonstance, sans blesser
les hydropisies et les affections encéphaliques. Cependant plusieurs
auteurs
de cette époque (Fernel, Willis, Wedel), signalen
l de lune comme hydragogue. Tombé dans l'oubli après la mort de cet
auteur
célèbre, le nitrate d'argent fut remis à la mode
-tout contre l'épilepsie et les affections du système nerveux que ces
auteurs
en ont vanté l'usage. Sur le continent d'Europe
; et, dans le cours de cet article, nous mentionnerons les principaux
auteurs
qui se sont occupés de ce sujet, à mesure que nou
e. Krah-mer, d'après l'analyse de plusieurs faits, empruntés à divers
auteurs
, croit pouvoir fixer à 7 drachmes (environ 30 gra
argyrie, pour nous servir de l'expression adoptée aujourd'hui par les
auteurs
alle-mands. Il est singulier que ce phénomène n'a
muqueux de la peau que le métal est déposé, au dire de la plupart des
auteurs
; mais on ne sait pas encore d'une manière précis
ns aucun fait personnel àjoindre aux observations consignées dans les
auteurs
, relativement à l'action de l'argent dans l'épile
ngtemps abandonnée ; au reste, la plupart des faits rapportés par les
auteurs
que nous venons de citer, se rapportent à des enf
d'argent contre les palpitations cardiaques : le premier de ces deux
auteurs
, qui administrait ce médicament à la dose de 6 ce
e des améliora-tions plus ou moins importantes. Cependant plusieurs
auteurs
, parmi lesquels nous citerons M. le docteur Topin
pepsie, gastralgie. — Le nitrate d'argent a été pré-conisé par divers
auteurs
chez les dyspeptiques atteints d'irri-tabilité ga
d'argent. Il est probable, d'après l'analyse des observations que cet
auteur
a données, qu'il s'agit ici de dyspepsies chroni-
à haute dose (1 gr. dans 60 gr. d'eau distillée). Nous lais-sons à l'
auteur
toute la responsabilité de ce fait. C. Coqueluc
algie, serait un puissant spécifique contre l'aménorrhée, d'après cet
auteur
, dont les opinions sont adoptées par Eyre. V. S
la —, 434. Pneumonie, expectation dans la —; 319,335; — opinion des
auteurs
, 338. Purpura hémorrhagica, 209. Pylore, rétréc
sur l'homme sain ou en état d'insomnie et sont dues à différents
auteurs
: Grasset\ Laborde', Huchard', Constantin Paul'
physiologique, nos recherches sont donc confirmatives de celles des
auteurs
dont nous avons rappelé précédemment les noms;
leurs, nous l'avons dit, les tentatives faites jusqu'ici par divers
auteurs
dans cette dernière direction semblent indiquer
té de l'acéto- phénone serait beaucoup moindre que le pensent ces
auteurs
, et nous aurions pu, sans crainte d'empoison- n
ne; malgré toute l'importance que nous attachons à l'opinion de ces
auteurs
, les faits nous obligent de maintenir notre dir
impulsion irrésistible intermittente. Arrêtés, ils nient être les
auteurs
des forfaits dont ils sont accusés; au médecin
de réparer, dans la mesure de ses forces, le mal dont il a été l'
auteur
involontaire quoique conscient. Autant l'opinio
s et les investigations de la justice faisaient clairement de lui l'
auteur
des quatre crimes ; il restait inébranlable dev
prenait encore à des tisses qui se trouvaient le long du chemin. L'
auteur
de tous ces sinistres, Albertine Phel..., âgée
re fois d'ail- leurs que le fait se présente. Pour ne citer qu'un
auteur
, je dirai que lllandsley a rapporté des observa-
me semblent avoir une grande analogie avec celles que décrivent ces
auteurs
dans leur travail. Les épileptiques pré- sentan
'en est pas de même dans la plupart des observations citées par les
auteurs
et dans lesquelles l'hypertrophie céré- brale a
êt. L'absence complète des phénomènes épileptiques qui, d'après les
auteurs
(Voir Dict. Encyclop. des sciences médicales, 1
, presque, de travers, et voew penser, être sage). Aussi différents
auteurs
, la prenant soit dans un sens soit dans l'autre
our le moment que nous trouverons le terme Paranira employé par les
auteurs
con- curremment avec les mots allemands Verrûck
atisé, qui englobe toutes les formes de Para- nota décrites par les
auteurs
; qu'il y ait avec le délire coïnci- l dence ou
d'affaiblissement, ou plutôt de déséquih- bration mentale. Le même
auteur
décrit aussi la fusion des deux formes, expansi
travaux de Lélut et de Voisin sur la folie sensorielle que certains
auteurs
ont regardée depuis comme une forme aiguë de Pa
lle Westphal admette un fond de dégénérescence. Tandis que certains
auteurs
, comme nous l'avons vu plus haut, s'en tiennent
s aurons l'occasion de revenir plus en détail sur les idées que cet
auteur
à émises à ce propos dans la dernière édition d
estinales, les mala- dies fébriles, l'onanisme. A ce propos même, l'
auteur
étudiant la fusion de la paranoia avec l'hypoch
s les dégénérescences mentales. Quant à la Paranoia secondaire, l'
auteur
la regarde simplement comme une des terminaisons
une otite moyenne avec perforation du tympan datant de l'enfance. L'
auteur
rend cette otite responsable de tout, ayant obs
e) : Verrüctktheit (lllg. Zeit.sck. f. Psgch., > B. XL, 1883). L'
auteur
a trouvé dans ce cas une altération des espaces
S AVEC L'ENCÉPHALE par P. FLRCHSIG. (Neurol. CentnulGl., 1885.) L'
auteur
fournit quelques explications et rectifications s
urol. Centralbl., 1885.) D'après les expériences pratiquées par ces
auteurs
(destri ction du nerf acoustique chez le lapin
f. Psych. XV. 1-2.) Intéressante, mais longue revue critique dont l'
auteur
déduit que les nerfs périphériques ne jouissent
oste ou en plusieurs postes en connexion les uns avec les autres, L'
auteur
insiste pour qu'on recueille des faits démontrant
rie de représentations, qui se succèdent dans un ordre déterminé. L'
auteur
a choisi pour ses expériences la série des repr
, à déterminer son influence sur la durée des actes psychiques. L'
auteur
a fait un grand nombre (17,500) d'expériences sur
, t. II, p. 272-274. Voici les conclusions auxquelles est amené l'
auteur
: A. Une représentation simple, telle qu'auditi
, contrairement à ce qui a lieu pour les représentations simples. L'
auteur
explique cette différence par le temps nécessai
gei- de psychidirie, du professeur Mier- zejewsky, 1885, t. IL) L'
auteur
, appuyé sur un grand nombre d'expériences faites
de la chorée dans les couches optiques. A la fin de son ouvrage, l'
auteur
rapporte plusieurs obser- vations dans lesquell
écessité de la respiration artificielle) ; dans le der- nier cas, l'
auteur
a réussi à obtenir une réaction neutre trente-
nt ultérieurement la raison, le mariage n'exer- cerait, d'après cet
auteur
, aucune espèce d'influence nocive ou pro- phyla
aussi succombé. Les localisations corticales n'existent donc pas. L'
auteur
passe eu revue tout l'examen anatomique des piè
servations exces- sivement complètes consignées dans son travail, l'
auteur
déduit que : L'hérédité est la principale cause
6.) A côté des faits relatifs aux hémorrhagies supplémentaires, l'
auteur
rappelle un certain nombre de cas de sueurs de sa
s originales de cette thèse est l'avant- propos : « Pourquoi, dit l'
auteur
, serais-je allé, pareil à l'homme de la Fable,
s pratiques etmédico- légales de cette proposition non démontrée, l'
auteur
conclut modestement que « le suicide est une ex
, parmi les conditions qui favorisent les crimes de cette nature, l'
auteur
ne se soit pas préoccupé de l'état mental des v
illes impubères, c'est-à-dire un coït périnéal sûrement infécond. L'
auteur
pouvait éviter ce paradoxe en établissant que l
ÉNAT. 149 J par les enseignements d'une expérience qui manquait aux
auteurs
de la loi de 1838 ; telles sont, par exemple, l
DIVERS 1 '13 Prix Godard. 1,000 fr. Ce prix devait être décerné à l'
auteur
du meilleur travail sur la pathologie interne.
on en- seignement. Ces règles ont été contestées récemment par un
auteur
allemand, M. Witkowski 2. « De hautes t èmpérat
faute en est en portie pzrobablement aux indications exagérées des
auteurs
français et en particulier à l'école de Charcot,
sans recherches laborieuses, un certain nombre de tiaités dont les
auteurs
ont parlé de la température chez les épileptiques
ur le moment à ces citations qui indiquent nettement les idées de l'
auteur
se résumant en ceci : les accès isolés d'épilep
allons démontrer que sur les deux premiers points les opinions de l'
auteur
sont erronées et que sur le troisième il ne fai
s d'exprimer le regret que M. Witkowski n'ait pas cité les noms des
auteurs
qui « de concert » avec lui contestent l'enseig
rmi- nation de cette espèce morbide date de 1863. Depuis, le même
auteur
publia de nouveaux faits en 1876 et 1877. Kahler
e-t-il que la lecture de ces observations « fait comprendre que des
auteurs
comme Bourneville aient voulu voir dans cette m
esté par Brousse et par Longuet qui va même jusqu'à prétendre que l'
auteur
allemand s'égare pour différencier la maladie q
artage en somme les idées, trouve cependant que l'expression de cet
auteur
n'est pas heureuse car les aliénistes ne sont p
tématisation, tantôt dégénérant en créations absurdes et pauvres. L'
auteur
conclut qu'en somme la Verrücktheit désigne une
morale et l'idiotisme; cette Verrüclïtlaeit originaire est, pour l'
auteur
, entrée sur un fond anormal héréditaire caracté
Wahnsinn primare peut être : 1° chronique; 2° aiguë; 3° stupide. L'
auteur
décrit la forme chronique type en disant que to
sur un fond d'hystérie constitutionnel, sans préjudice de ce que l'
auteur
décrit au chapitre de l'hystérie. Là, en effet,
morale et la folie épileptique 4. Dans un autre ouvrage 6, le même
auteur
nous donne une classification des délires qu'il
s le point le plus original du mémoire est la classi- fication. Les
auteurs
admettent à côté d'une forme dégénéra- tive une
RALIS51E CHRONIQUE; par REM. (Arch. f. PS1JClttüt., - xvit, 1.) L'
auteur
a institué dans son asile, depuis l'été de 1879,
r blâmer cette expression, que j'ai employée avec beaucoup d'autres
auteurs
, pour désigner une catégorie d'aliénés bien con
ntation d'un moulage crânien pour localiser les lésions du crâne. L'
auteur
s'est préoccupé de rendre intelli- giblement pa
e matérialisaient d'une façon surprenante le cerveau repro- duit. L'
auteur
fait passer un spécimen de cerveau de microcé-
t venir et les objec- tions fondées et les observations utiles, les
auteurs
peuvent être assurés que la commission sera heu
un épileptique pris d'un accès dans la rue. Je pourrais citer un
auteur
qui, dans sa statistique, faisait figurer pour
,erve aussi quelquefois au début des troubles de l'ouïe (Leloir). L'
auteur
'étudie en détail les symptômes de la période d'é
t actuel de la science sur ces différentes questions auxquelles les
auteurs
ont souvent donné une note personnelle. Nous ne
ulations malades, par séances journalières de cinq à dix minutes; l'
auteur
préconise le même traitement surtout dans les f
nt les principales conclusions qui découlent des faits réunis par l'
auteur
qui accentue trop franchement le rôle de la par
un asile ordinaire, soit à Parkhuzst et à Dartmoor. Si, conclut l'
auteur
, on n'a pas encore poussé, en Ail-21eterre, le sy
le nom d'ËPiLEPSiE procursive (Epilepsia pro- czersiva" des anciens
auteurs
), nous nous proposons d'étudier une forme parti
sie, dont on trouve des exem- ples assez nombreux, surtout dans les
auteurs
anciens, a été décrite sous des noms très diver
cession possible des phénomènes cliniques explique pour- quoi les
auteurs
ont considéré la procursion tantôt comme un ver
insisté. Finissons-en avec ce premier paragraphe en disant que l'
auteur
américain a bien vu la terminaison ordi- naire
ces questions en comprennent la grande importance et rendent à son
auteur
la justice qui lui est légitime- ment due. RE
l pour changer ou exciter les idées déli- rantes. En outre tous les
auteurs
ne s'entendent pas sur les symptômes, les uns r
ur certains, de grandeur pour d'autres. Quant à la marche, quelques
auteurs
n'admettent-ils pas des délires à marche aiguë,
r des doutes sur l'existence de la Paranoia simple, en voyant que l'
auteur
la range à côté des folies morale, impulsive, s
lus d'une critique. Nous nous contenterons de faire remarquer que l'
auteur
prétend n'avoir pas trouvé d'antécédents hérédi
ns les Paraphi-enies du second groupe. D'ailleurs, les idées de cet
auteur
seront rendues plus claires par l'exposé de la
e plus souvent congénitale). Quant aux formes, admises par certains
auteurs
, de Paranoïa aiguë et de Paranoïa secondaire, e
8. LA paranoïa. 401 < Depuis, et à plusieurs reprises, le même
auteur
est revenu sur ce sujet et l'a développé dans s
aractère, de l'intelligence, correspond absolument àce que d'autres
auteurs
(Sander, Maudstey/Krafft- Ebing, Tanzi et Riva)
au développement de la folie systématisée primitive et que certains
auteurs
même, n'admettant que les formes dégénératives,
émence est plutôt une période de confusion mentale. A l'inverse des
auteurs
que nous avons passés en revue, et qui, presque
s générations pré- parant le terrain, il faut être prédisposé ' . L'
auteur
va même plus loin, lorsqu'il dit à propos de l'
Un fait qui se dégage de cette revue historique c'est que tous les
auteurs
admettent une forme de Paranoia primitive entée
velopper ces idées est très contesté : et d'un autre côté, certains
auteurs
tout en rapprochant les idées fixes de la Paran
s antéropostérieures ; à l'atteinte des fibres pariétales gauches l'
auteur
attribue la gloutonnerie excessive observée pen
foyer bulbaire en rapport avec les accidents cliniques relatés. Les
auteurs
insistent sur le diagnostic différentiel entre ce
t péroniers, mais intégrité des noyaux des muscles et des fibres. L'
auteur
admet une dégénérescence primitive des cordons
ar M. Pozzi se retrouvent chez la femme et répondraient d'après cet
auteur
à des parties homologues dans les deux sexes '.
cumberlaudisme (suggestion mentale), pour aboutir au braidisme les
auteurs
arrivent à la période moderne de l'hypizo- tism
ncolie, quatre d'idiotie avec epilepsie et un d'idiotie simple. L'
auteur
a trouvé des lésions sur toutes les moelles qu'il
autres lésions la moelle présentait de la sclérose généralisée. L'
auteur
s'attache à montrer que dans tous les cas qu'il a
oitres chez deux jeunes garçons israélites. De même que M. Luton, l'
auteur
emploie la teinture d'iode du codex agissant, d
arois, la cavité des goitres kystiques. La tein- ture d'iode, dit l'
auteur
, ne supprime pas la glande thyroïde comme ré fe
e, la suppuration et l'injection dans les vaisseaux sanguins, que l'
auteur
n'a pas eu à constater. Les accidents généraux
orme de delirium tremens ; par A. SonNAS. Thèse de Paris, 1887. L'
auteur
montre que quelquefois chez l'adulte, la méningit
ers, 46-1. - Assistance des aliénés, 467. Brain, 467. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Arnaud. 177. Axeufeld,
Petit, 303. Peugniez, 417. Pontoppidau, 233. t74 4 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. Raoult, 316, 4p9, .i60,
ent un intérêt aussi grand que les symptô- mes cliniques. Plusieurs
auteurs
ont étudié récemment les conséquences anatomiqu
P. LADAME ET C. MONAKOW Thomas (1), Edinger (2) et Klimow (3). Ces
auteurs
ont aussi recherché avec soin les modifications
s dans les observa- tions sans attirer spécialement l'attention des
auteurs
. Déjà en 1860 SANGALLI (1) signalait la présenc
ses cas en constata au niveau de la muqueuse buccale. De tous ces
auteurs
seuls Recklinghausen, Kriege et Branca ont prati-
s la première fois que l'un de nous en émet. Si un certain nombre d'
auteurs
dans ces dernières années ont dans leurs observ
tuée, mais les tissus peu fermes, les comparaisons chan- gent ; les
auteurs
parlent de sacs pendant en avant et. en arrière,
traordinaire qu'ont pris les au Ires ré- gions du corps. Beaucoup d'
auteurs
notent l'aspect extraordinaire de ces membres a
leur d'autant plus grande qu'ils ont été cherchés avec soin par des
auteurs
qui soutenaient l'origine névropathi- que de l'
rs observations indiscutables d'adéno-lipomatose symétrique, mais l'
auteur
n'indique pas quelle est celle qui se rapporte
calisation épigastrique accompagne presque constamment, au dire des
auteurs
qui ont écrit sur le sujet, les manifestations ab
nir chaque jour plus fré- quents et moins contestables. LISTE DES
AUTEURS
CITÉS 1. MOLLARD. - Note sur un mode particulie
ques consacrés à l'opé- ration des pierres de tête. Quel en est l'
auteur
? Très probablement un émule de Brouwer ; en tous
eille qui tient sur ses genoux un nouveau-né. - Quel qu'en soit l'
auteur
, et en dehors de l'intérêt médical qu'elle prés
érir (PI. XVII). , C'est une gravure, hollandaise du Xvne siècle. L'
auteur
, Carolus Allaerdt, semble avoir pris à tâche de
des charlatans. Car, évidemment, cette gravure est une satire où l'
auteur
veut bafouer à la fois les malades trop crédule
ans doute dans de pareilles occasions que du sentiment d'un célèbre
auteur
la bonne foi n'est plus que faiblesse et bêtise
n ironiste ample matière à la critique. On pourrait souhaiter que l'
auteur
eût mis dans sa composition plus d'originalité
manières de se faire une opinion sur ces questions : consulter les
auteurs
classiques, consulter les observations. Les a
consulter les auteurs classiques, consulter les observations. Les
auteurs
classiques s'expliquent peu sur le sommeil dans l
Bien souvent on n'arrive pas à sa- voir d'une façon certaine si les
auteurs
des observations ont voulu parler de coma, de s
rmait presque toute la journée, la nuit il se plaignait beaucoup. L'
auteur
observa son malade 6 semaines pendant lesquelles
ures. Il en fournissait bientôt la preuve et, après lui, différents
auteurs
signa- laient dans le carpe, le tarse, les doig
1888, paraît, en Allemagne, un second mémoire de G. Kroenigf/). Cet
auteur
ajoute au premier fait, déjà observé par lui en 1
t complète, mais elle n'est suivie d'aucun contrôle d'autop- sie. L'
auteur
pense encore à la possibilité de fractures du rac
tre très court est consacré à la scoliose dans le tabes dorsalis. L'
auteur
admet sa possibilité, mais n'en donne aucune pr
pour titre « Déviations ne relevant pas de lésions localisées », l'
auteur
pense à l'existence probable dans le tabes de d
is cas cliniques de 1\.1'03- nig. Devant ce nombre infime, tous les
auteurs
s'accordent à affirmer l'extrême rareté de cett
ments que nous avons pu réunir sont peu nombreux ; si. plu- ssieurs
auteurs
ont publié deci-delà des observations de polynévr
on se dégage aussitôt, la diversité telle du tableau décrit par les
auteurs
qu'il paraît difficile d'écrire la symptomatologi
lynévrite syphilitique ? Rien ne serait moins certain pour quelques
auteurs
. Ils font remarquer il juste titre et la rareté
cu- rielles, qui exposent à une intoxication rapide et intense, les
auteurs
n'in- sistent pas sur la possibilité d'appariti
urs remarquer que dans l'observation I de Spillmann et Etienne, ces
auteurs
n'ont pas constaté de RD dans les muscles atteint
dans le groupe des accidents tertiaires préco- ces. D'ailleurs les
auteurs
ne font pas mention d'une gravité particulière
ïncidait avec d'autres manifestations, pleurésie, néphrite, que les
auteurs
classent dans le groupe des accidents secondair
rmi les symptômes possibles de l'affection qui nous occupe. Le même
auteur
a vu le pseudo-lipome se prolonger sous la clav
mmes aux maladies du corps thyroïde. Enfin l'affection, au dire des
auteurs
allemands, aurait été observée dans des pays où l
téresse, l'hypersécrétion cutanée est souvent signalée, souvent les
auteurs
ont été frappés de la sécheresse de la peau (Sick
chensch., 1896, p. 733. 190 P. E. LAUNOIS ET R. BENSAUDE Quelques
auteurs
ont incriminé l'alcoolisme. Steinkopf admet que l
-LIPOMATOSE SYMÉTRIQUE 191 On s'explique néanmoins comment nombre d'
auteurs
tendent à consi- dérer la maladie comme une vér
dans son Traité des tumeurs, à propos de cer- taines adénites. Cet
auteur
insiste il l'article Lipome sur ce fait que des
telles que les a représentées 1>. llruegel le Vieux,le père de l'
auteur
de ce tableau. Le charlatan de la Kermesse d'Augs
'en est qu'une copie peu fidèle. D'un autre côté quel en est bien l'
auteur
? Ce point n'est pas facile à élucider ; ce peu
es documents se multiplient et à partir de 1875 nom- breux sont les
auteurs
qui publient des cas d'hémiplégie traumatique t
continuité de l'os. Après l'ablation d'un petit fragment osseux, l'
auteur
constate une dépression très nette correspondan
Cette paralysie postopératoire est vraisemblablement due, d'après l'
auteur
, à la formation d'un caillot sanguin qui a compri
gie, pas de crises de pleurs, de mauvaise humeur ni de colère. L'
auteur
ne mentionne pas de troubles dans le développemen
ce qu'on lui disait et saisissait rapidement une plaisanterie dit l'
auteur
. Dans un cas de Manquat et Grasset, le malade n'a
facilement que ceux de colère. Ce fait a été observé par plusieurs
auteurs
et Browning, notamment, en cite deux cas. 236
IVelt rapporte de expériences de Goltz faites sur des chiens et cet
auteur
conclut ainsi : « Très souvent le caractère du
ie hystérique. Ce n'est là que la suite d'une série d'articles de l'
auteur
sur la marche dans les maladies du système nerv
ui regarde l'hémiplégie organique et l'hémiplégie fonctionnelle cet
auteur
n'a pas ajouté grand'chose à ma description. Je
en les comparant avec les faits qui ont été publiés par les divers
auteurs
. Enfin dans une sixième et dernière partie je p
t connaître au préalable les conditions exactes dans lesquelles les
auteurs
se sont placés pour leurs expériences. Pour int
très variables. Nissl, van Gehuchten et Nélis, Lugaro et d'autres
auteurs
, ont groupé les cellules nerveuses en divers ty
ne de la chromatolyse et qui sont déjà acquises à la science. Les
auteurs
sont d'accord sur la plupart de ces notions. Ce
des blocs chromatiques est un phénomène universellement admis. Les
auteurs
sont d'accord aussi pour reconnaître l'existenc
mme phénomène régu- lier et constant de la chromatolyse. Tous les
auteurs
constatent le déplacement du noyau, mais ils l'in
au. Afin de nous rendre compte de la turgescence mentionnée par les
auteurs
, nous avons mesuré un certain nombre de cellule
turgescence des éléments, phénomène qui serait constant au dire des
auteurs
. Nous n'avons pu faire chez le chien, comme che
ont pas confirmé sous ce rapport les résultats publiés par d'autres
auteurs
, comme le prouvent les chiffres de notre tableau.
de balance- ment et d'oscillations qui, suivant la description de l'
auteur
, tiennent à la fois de l'ataxie et du trembleme
). L'observation de Rojet et Collet a été considérée par différents
auteurs
comme un cas de sclérose en plaques localisée a
ion de Max Arndt qui présente le plus d'analogie avec elles, mais l'
auteur
semble considérer l'atrophie cérébelleuse qu'il
(3,), de Erb (li.), d'llervouet z) appartiendraient d'après le même
auteur
à l'hérédo-ataxie cérébelleuse. L'observation de
sant sous-entendre un processus de destruction et de régression ; l'
auteur
fait en outre remarquer que l'examen des racine
arac- tère familial et bien que l'hérédité n'ait pu être établie, l'
auteur
croit néanmoins que le diagnostic d'hérédo-atax
kke (Béribéri) ; dans quelques nerfs des ex- trémités inférieures l'
auteur
a constaté la présence de fibres dégénérées. Su
ai appelée titubation vertigineuse ». Au contraire, d'après le même
auteur
, la titubation de l'ataxie locomotrice n'est pas
squilles d'un volume variable..Cependant dans un cas observé par un
auteur
anglais, il n'y avait qu'un seul fragment. Ce fra
orrhagies : les diffuses et les circonscrites. Or, d'après tous les
auteurs
, ces dernières se 374 RENÉ MARTIAL produisent
la profondeur de la sub- stance cérébrale. Voici ce que pensent les
auteurs
. NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XIII.
lomb de fusil, trente-six heures plus tard 11 était hémiplégique. L'
auteur
admet, ainsi qu'on l'a vu, une pénétration par
uent un passage ne devait être suivi d'aucun symp- tôme moteur ». L'
auteur
suppose qu'une inflammation est survenue qui a
ui a fini par atteindre la partie motrice de la capsule. Pour les
auteurs
anglais (observation IX) le tube perforant a dû p
t une expérience pour reproduire l'accident, avec le même tube, les
auteurs
ont trouvé que la capsule était lésée près du gen
arrêt de développement. Mais nous avons cité une observation - d'un
auteur
anglais dans laquelle on voit l'enfant demeurer e
ourait d'un abcès cérébral ; Geschwind et Koeler, cités par le même
auteur
, rapportent des cas semblables. - Ce n'est do
dans son travail sur les déviations vertébrales névropathiques. Cet
auteur
divise les déviations tabéliques en deux groupe
ombaire (obs. V),son troisième malade présentait aussi, d'après cet
auteur
, un début de la môme lésion (obs. VII). , Ces
n littel'al'ium. C'est une satire qui fait suite aux deux autres. L'
auteur
suppose que les priseurs convertis par ses rais
autres nous instrui- sent d'ailleurs amplement sur' la manière de l'
auteur
. La dissertation satirique sur le PicaNasi l'ut
ur de la perruque, qui provoquera le Clericus Deperrucatus de notre
auteur
, l'élégant du jour qui chapeau bas, et galamment
e; car le Pica Nasi a gagné toute la société westphalienne et notre
auteur
a de quoi exercer sa verve satirique. Nous imag
xplique les termes techniques ou les néologismes que crée souvent l'
auteur
. Le Pica est un symptôme extraordinaire, un app
s là un ornement pour une jeune vierge. ' (1) Ce poète dont parle l'
auteur
n'est probablement Cohausen lui-même qui aurait
use tabatière et vous voudriez m'en priver ? Mais, lui répond notre
auteur
, il n'appartient point aux femmes de se mêler d
nom de tabac d'Espagne. 0 honte ! 0 passion funeste ! s'écrie notre
auteur
. Mais,ajoute- t-il,pour rassurer ses lecteurs,
s, aux dan- gers de cette passion (de noxa tabaci sternutatorii). L'
auteur
envisage en médecin, les troubles que peut caus
chée et le sens se perd peu à peu. h58 A. BEAUVOIS J'ai vu, dit l'
auteur
, des Pétophiles (1) être incapables de distinguer
ient un bruit varié avec leurs nez. J'aimerais mieux, s'écrie notre
auteur
, coucher avec une brute qu'avec un individu ron
me que nous donnons comme un exemple de la poé- sie latine de notre
auteur
. Faucibus ignivomis Acheronta videre reclnsum
stupeur et sont privés de sens et de mouvement. Mais, s'écrie notre
auteur
, qui pour- rait toucher les tabacophiles, ils s
e l'oesophage dû à l'abus de la poudre sternutatoire, et dont notre
auteur
nous donne l'analyse. Le malade âgé de 93 ans é
a 'Ire scène de l'acte 1er du ])on Juan de Molière (1(i(iai). Cet
auteur
dramatique remarquable, dit le médecin allemand,
mais de rien. » Quel monstre qu'une . pareille femme, s'écrie notre
auteur
! Comment l'esprit peut-il être stable 4M A. BE
e tabac à priser. On trouvera ce morceau dans notre travail sur cet
auteur
(Voir notes et éclaircissements. Un patricien all
elle plaît fort, Je meure si je ne suis de leur accord. Et notre
auteur
.se lamente sur cette mode funeste qui enlève aux
ut d'ailleurs accueilli avec faveur par les lettrés, et les amis de l'
auteur
ne lui ménagèrent pas leurs éloges. Les prise
d la même thèse sous une forme plus satirique et plus mordante. L'
auteur
a résumé dans un argument le sujet de son livre.
rre et en France. Ils demandent que le livre soit supprimé, que son
auteur
soit puni, et que le libraire lui-même reçoive
nés par un tribunal spécialement institué. On verra bien alors si l'
auteur
du Pica Nasi a eu raison de se moquer de leur n
leur ancienne forme. Heureusement, pour les infortunés priseurs, l'
auteur
du Pica Nasi, Co- hausen lui-même leur indique
urs nez. Tel est l'argument du livre tel qu'il nous est donné par l'
auteur
. La lecture du volume n'est pas sans agrément,
dié dans notre thèse inaugurale la façon* de composi- tion de notre
auteur
. Nous avons dit que, très versé dans les lettres
les lettres grec- ques et latines, Cohausen imite à chaque pas les
auteurs
anciens. Il sait t à merveille se servir de leu
ment ces quelques réflexions. Qu'on se reporte au temps où vivait l'
auteur
, qu'on se place dans son milieu (Cohausen était
citée, pouvait s'attribuer une partie des critiques adressées par l'
auteur
à une certaine espèce de nez. C'est ainsi LA CR
l'hystérie ». Cette théorie paraît d'ailleurs être acceptée par les
auteurs
qui se sont occu- pés récemment des rapports de
l'incoordination mo- trice de ses jambes. L'immobilisation, pense l'
auteur
allemand, a favorisé la production de travées o
cette altération qui la rend pour ainsi dire invisible que quelques
auteurs
ont admis que les mailles des zones aréolaires
des, justifiant ainsi l'expression de Lüclenfeld, proposée par les
auteurs
viennois. Les libres à myéline désorganisée dev
de la névrite ascendante était très vaste parce que les différents
auteurs
qui se sont occupés de ce sujet ont fait rentre
ite aiguë, au cours de la myélite aiguë, a été notée par quel- ques
auteurs
, mais aucun d'eux ne l'a mise à sa juste valeur.
s de Lamy, reprises plus tard par Hoche et Rothmann. Comme tous ces
auteurs
, j'ai constaté que l'injection des poudres iner
par M. Pierre-Marie. On sait que dans les derniers temps beaucoup d'
auteurs
français, parmi lesquels il est juste de rappel
térique et Claude de la toxine tétanique, 582 MARINESCO aucun des
auteurs
précédents n'ont produit de véritables myélites,
oire. Ceci ne diminue en rien la valeur des expériences de tous les
auteurs
cités plus haut, mais je pense qu'il faut être
rsqu'on envisage le nombre considérable des expériences de quelques
auteurs
(Thoinot et Masselin, Widal et Bezançon) on reste
osophiques, mais ce volume nous en eût probablement moins dit sur l'
auteur
lui-même que le curieux fac- tum en quinze lign
extrait du de Divina proportione de Pacioli. Mais nous savons par l'
auteur
que cette indication est erronée : le passage se
talmo- plégie congénitale a été publiée en 1840 par Baumgarten. Cet
auteur
prit son cas pour un strabisme interne bilatéra
néral, et des ophtalmoplégies congénitales en particulier. Pour cet
auteur
, on doit considérer l'appareil de motilité des ye
ecte- ment sur le corps de la cellule nerveuse (1). » D'après les
auteurs
, la chromatolyse est la conséquence de la ligatur
ection du nerf provoque aussi la chro- matolyse, cependant certains
auteurs
affirment que les conséquences de la section va
uves expérimentales à l'appui. Comme on le voit, l'accord entre les
auteurs
est loin d'exister sur ce point. Les expérience
ci plus profonde que dans les cas précédents. L'opinion unanime des
auteurs
en témoigne. Nos expériences contribuent aussi
nu en 1881 la nature mo- trice du noyau dorsal du Vague. Tous les
auteurs
sont d'accord sur les conséquences de l'arracheme
atique utilisée, elle se désorganise et disparaît (1). » D'autres
auteurs
, parmi lesquels Lugaro, émirent à cette époque la
la chromatolyse et d'arriver à des conclusions plus certaines. Les
auteurs
sont généralement d'accord aujourd'hui pour admet
luence que sur le sort ultérieur des éléments. Les observations des
auteurs
précédents concernent essentiellement les celiu
serons-nous brefs dans nos conclusions. 652 CHARLES LADAME Les
auteurs
sont loin d'être d'accord sur la durée de la turg
es en chromatolyse est admise jusqu'ici sans exception par tous les
auteurs
. Les dessins et les reproductions photographiques
t des cellules en chromatolyse. Nous nous aperçu- mes alors que les
auteurs
n'étayaient leur opinion sur aucune mensu- rati
rents ? Nous ferons remarquer d'autre part que les affirmations des
auteurs
au sujet de la turgescence des cellules en chro-
des dans la partie achromatique du protoplasma cellulaire. Tous les
auteurs
sont d'accord sur la constance du phénomène de ré
C'est cette diminution, constatée par Van Gehuchten et par d'autres
auteurs
qui a surtout contribué à confirmer l'opinion que
présence d'un mode particulier de dégénérescence, bien que nombre d'
auteurs
profes- sent une opinion contraire. Nous avon
reste rencontré que quelques très rares cellules vacuolisées. Les
auteurs
sont loin d'être d'accord sur la signification qu
evue neurologi que, 1898, p. 517. 656 CHARLES LADAME Les divers
auteurs
que nous venons de citer ont fait leurs observati
hénomène de dégénérescence. Parmi les premiers nous rencontrons les
auteurs
suivants : Monachow, Obersteiner, Held ; tandis
e cette question. Nous pensons toutefois pouvoir nous rattacher aux
auteurs
qui voient dans la vacuolisation une forme spéc
entaire de Paris (Paris, publicat. de l'Odontologie, M. C. M.). L'
auteur
y a condensé sous une forme excellente les docume
as de), par l3r.aaano et l3saocT (2 photocollogr.), 57. TABLE DES
AUTEURS
Aihdie (Jean). Les ostéo-arthropathies vertéb
, 301, 518, 645. LA DAME et VoN Monakow. Anévrysme de TABLE DES
AUTEURS
683 l'artère vertébrale gauche suivi d'autop-
écrivain qui s'était borné ù les vulgariser sans y nvoir collaboré. L'
auteur
du livre nous a avoué depuis qu'il avait été mû d
e premier cas. le livre ayant paru quelque temps après la mort de son
auteur
présumé, il y aurait peut-être quelque injustice
'Alembert l'a dit justement : « Le lecteur se tue à abréjtrr ce que l'
auteur
se lui' il allongers » Pour ma part-j'estime que
appris pendant qu'elles étaient en état de sommeil hypnotique. » L'
auteur
n'a. Évidemment, lu aucun de mes ouvrages sur l'h
, m sujet de ces rêves du sommeil ordinaire, l'opinion de A. Maury. l'
auteur
le plus compétent qui en ait parle. On trouvera q
etc.. toutes publications qu'il dirigeait, le savant clinicien est l'
auteur
d'une série d'admirables études bien connues des
ison de ces admirables travaux qui font la gloire incontestée de leur
auteur
. Charlier. L' Administrateur -Gérant : Emile BO
utre pan. dans les trois observations et dans plusieurs autres dont l'
auteur
a gardé le souvenir, il y eut une coïncidence tou
. Mais peut-être aussi n y a-t-il là qu'une coîncidenccde hasard. L'
auteur
pense donc, en résumé, que la caféine peut produi
stion. M. Crocq. —Je suppose qu'elle n'a pas été consultée, sinon l'
auteur
aurait mentionne cette circonstance dans sa broch
'expérience suivante : M. H.... âgé de 50 ans. homme très instruit,
auteur
bien connu, descend d'une famille dont aucun memb
cas, mais tout simplement la suggestion et que. probablement. les
auteurs
de In pscudncxlériorisaliou de la sensibilité ont
vrage : La Voie naturelle et f utilité de Chypnotisme, dont je suis l'
auteur
. « Depuis que cet opuscule est édité, j'ai enco
Holmes. Les analyses doivent pencher du cote de la bienveillance. L'
auteur
qui envoie son livre à un journal compte toujours
érité pour le livre dont le seul but est de faire de la réclame à son
auteur
ou pour le livre bâclé de l'homme arrivé, qui ne
ion. Les observations lui sertaut de base unt été recueillies par l'
auteur
, personnellement, depuis 10 ans, ou sont extraite
psvehologie. Un des chapitres les plus intéressants est celui où I
auteur
étudie les faits «le synopstes déterminées par «l
nt, c'est l'association sympathique qui est en cause. Voici comment l'
auteur
l'explique. Une sensation quelconque, par exemple
oin, nous devons décrire un phénomène qui n'est guère signalé por 1es
auteurs
. Ce phénomène peut cependant avoir une certaine i
oix. Eu chantant elle prononçait les mots avec une grande pureté. L'
auteur
fit alors l'expérience suivante ; il lu! fil chan
assage que nous avons souligné en italiques, il ne semble pas que cet
auteur
admette une distinction entre l'idée d'un mouveme
e M. Fouillée expliquerait peut-être le fait sur lequel a insisté cet
auteur
: « que l'idée de l'action est impossible à dérac
ce qui est l'essentiel, dans les réalités physiologiques. L'éminent
auteur
des Maladies île la volonté, ne méconnaît nulleme
-lion el la résistance ,quc l'on a montrées, dans tous les temps, aux
auteurs
des grandes découvertes. Et pour ne parler que de
ue c'était tout simplement la suggestion. » Pour prouver ce fait, l'
auteur
se place à quatre mètres d'une somnambule, il lui
us ressentirez une très forte douleur » : dans une autre expérience l'
auteur
place un verre d'eau dans la main du sujet, il lu
es cas. mais tout simplement la suggestiou. et que. probablement, les
auteurs
île la pseudo-extériorisation île la sensibilité
iffèrent totalement de celles de M. de Hochas : taudis que ce dernier
auteur
considère le phénomène qui nous occupe Comme fréq
a fascination. t'ar M. le D' laaaaonr (I). Depuis l'année 1S55. l'
auteur
de ces ouvrage n'a jamais cesse de s'occuper de l
l'hystérie et l'hypnotisme, il e»t juste, dis-je, de remarquer que l'
auteur
avait relevé dans se» observations la double pers
ncre de In possibilité de pareilles suggestions. En supposant que l'
auteur
de cette tentative d'assassinat eût agi sous l'in
'une impulsion, d'aucuns diraient d'une auto-suggestion criminelle. L'
auteur
de l'attentat est une malheureuse aliénée atteint
d'anthropologie; M. Boïrac, professeur de philosophie à Condorcet ; l'
auteur
de tant de belles études de philosophie politique
est venu où justice enfin doit être rendue aux constants efforts de l'
auteur
, et c'est pour moi, j'aime à le dire, un devoir d
de veille et d'hypnose. Dans le premier chapitre de soe ouvrage, l'
auteur
a été bien inspiré en rapportant la biographie pa
nt à ce sujet : avortements. substitution d'enfant, etc.. etc. Et l'
auteur
a si bien compris l'importance de semblables révé
le en faisant remarquer la valeur de ces arguments qui ont permis à l'
auteur
de conclure à la possibilité de l'acte criminel s
stion pratique de savoir quelle conduite on doit tenir ù l'égard de l'
auteur
d'un acte offensant. Cet acte a-t-il été volontai
présente â la Société un livre sur La vie et la pensée, dont il esl l'
auteur
. Ce livre sera l'objet d'un rapport. M. le prés
ain Sée. tous maîtres qui sont, révérence parler, comme les meilleurs
auteurs
de la parfaite cuisinière bourgeoise pharmaceutiq
lie seul. Consultons un précurseur île M. liochard. le vieux Noirot
auteur
de l' Art de vivre longtemps, il nous dit : Rie
sa carrière : je mange peu. je marche beaucoup et je suis gai. » L'
auteur
du livre Sur la Santé des gens de lettres, procla
ix Alcan. Ce: volume n'est pas inférieur en intérêt au premier. L'
auteur
y complète- l'étude des mystiques parcelle des« é
sa plume, se transforment en erreurs et en sophismes. Pour Zola, l'
auteur
dénonce la prétention exagérée de son école de no
t la prétention d'avoir fondé la littérature « jeune allemande ». L'
auteur
conclut qne In science l'emporter.! sur l'art el
ible verdict est basé sur vingt observations de malades traités par l'
auteur
â La clinique, d'après ma méthode, dit-il express
alalgie ne guérit pas, malgré la suggestion (obs. 18;. Est-ce que l'
auteur
s'est imaginé peut être que la suggestion a la pr
ulaire nigu. Je n'ai commis aucune assertion de cette nature, comme l'
auteur
semble l'insinuer. J'ai dit et répété que la sugg
est le noir tableau des désastres que commet l'hypnotisme. Et comme l'
auteur
dit à chaque page de l'observation qu'il a cmplov
stinée à démontrer tirbi et orbi les méfaits de la suggestion. Mais l'
auteur
n-t-il pu s'imaginer sérieusement qu'eu suggérant
Friedrich qui doit encourir la responsabilité des méfaits commis. L'
auteur
, il est vrai, n'a pas procédé chez, tous ses suje
après une semaine de celle singulière thérapeutique suggestive que l'
auteur
se décide à hypnotiser par suggestion 'exactement
apeutique suggestive, c'est de la suggestion hyslérogènc. En vain l'
auteur
rherrhe-t-il ensuite à guérir par une nouvelle su
ment provoqués la domine: c'est une hypnose mauvaise de culture que l'
auteur
ne peut plus déraciner. Au contraire, chaque sugg
n. Je ne poursuivrai pas cet examen des observations relatées par l'
auteur
. M. de Schrcnck-Notzing les a analysée» toutes av
ation juste et impartiale de mes travaux. « La France, dit encore l'
auteur
, est le pays classique de l'hystérie et de la név
meil. Ces données sont du reste conformes aux résultats de certains
auteurs
: Dès 1884, mon compatriote, M. le Pr Delbœuf, av
les besoins de notre cause, mais ce procédé serait peu honnête, car l'
auteur
cité dit, uu peu plus loin. qu'une personne mine
sprit conservateur en hypnologle, a combattu vivement les idées tic l'
auteur
, mais M. le professeur Hitzig, de Hallé, dont l'a
cas,n'ont pas eu de prise sur cette névrose et je ne vois pas que les
auteurs
qui ont écrit sur ce sujet aient été plus heureux
es et des artistes célèbres, pour la plupart Français; car bien que l'
auteur
soit allemand, la France tient une place prépondé
ttéraire, il étudie surtout d'une façon nouvelle l'état psychique des
auteurs
au moyen de leurs œuvres mêmes dont il fait des m
me les plus discutées sont religieusement acceptées par M. Xordau — l'
auteur
indique ce qu'il a voulu faire. 11 portera le fla
stablement, d'après M. Xordau, leur source dans la dégénérescence des
auteurs
, et ceux qui admirent ces tendances « s'enthousia
es éléments psycho-physiologiques qui leur ont donné naissance ». L'
auteur
atteindra-t-il son but? ma foi, presque. En 900 p
il juge que la faveur populaire s'est portée à tort et conduira leurs
auteurs
, de par leurs couvres et leurs habitudes, avec un
lique uniquement à découvrir à quelle espèce de dégénéré appartient l'
auteur
. Partant de cette idée qu'il y a dégénérescence,
ine l'œuvre avec attention et rattache les fautes ou les erreurs do l'
auteur
à l'un des stigmates qui caractérisent la neurast
saurait etro discuté par un homme: sain. En tous cas on voit que l'
auteur
a eu raison de prévenir ses lecteurs que sa métho
s y arrêter. Voici seulement la définition du mysticisme et comment l'
auteur
démontre que le dégénéré doit être mystique. Ap
des écoles symboliques, décadentes ou autres. Et même, chez certains
auteurs
d'un mérite indiscutable, comme Villicrs de l
se perpétuer. Après le pronostic, la thérapeutique. Tout d'abord l'
auteur
avertit qu'il n'n pas eu la naïveté de vouloir co
la vie représentative et dont l'origine est externe ou objective. L'
auteur
a d'abord examiné s'il n'était pas possible de re
itre est consacré au caractère tératologiquc do la dégénéres-venue. L'
auteur
montre, par des expériences de tératogénic expéri
qu'il est plus facile de ciler. denumérer que de dénommer, et le même
auteur
« reconnaît qu'un terme générique manque à la sci
ories les plus diverses ont été successivement émises. La plupart des
auteurs
attribuent encore aujourd'hui, l'incontinence à u
sultats obtenus. Mais cette pensée n'est venue ù l'esprit d'aucun des
auteurs
. Seul, en 1891, M. le D' Liébeault. de Nancy, aff
ans ses affirmations répétées pour être succintement analysée; mais l'
auteur
a sans doute jugé nécessaire de montrer les phéno
source de si grands progrès en chimie n'est plus jugée suffisante ; l'
auteur
y substitue une théorie de I équilibration des in
en « mouvement que nous retrouvons en tout et partout. ¦ Suivant l'
auteur
le problème de la vie a été mal pose. Il n'y a pa
ère mécanique apparaissant suffisamment dans la théorie générale de l'
auteur
et aussi parce que je n ai pas trouve, au sujet d
'atmosphère organique. Résumons, maintenant, dans les terme? de l'
auteur
, la synthèse finale : * Nous voyons ainsi la vi
de la Folie -Méricourt et se constitua prisonnier. On recherche les
auteurs
de celte mauvaise farce. Morphinisme chez le ch
orte de suggestion se faisant sur cet animal. Voici ce que disent les
auteurs
à cet égard : Classiquement, on admet que chez
ltés d'adoption d'une habitude si opposée à celle de tout le monde, l'
auteur
propose do n'agir que graduellement. On supprim
— La séance annuelle de la Société aura lieu le lundi 16 juillet. Les
auteurs
sont invités à adresser à l'avance au secrétaire
, 248. Vulgarisation médicale (la), par E. Monin, 25. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Azau. 28, 62. Auhry ( Pau
niers temps, les syndromes bulbaires unilatéraux,décrits par divers
auteurs
,et dont les lésions siègent dans la région infé
édiatement que le sujet est des plus confus et que les opinions des
auteurs
divergent à maints points de vue. A côté de q
selle turcique. Cas de Peclkranz et Jack (cités par Scllüller). Ces
auteurs
observèrent, dans un cas de tumeur de l'hypophy
le type Grasset, Cassiapuoti a décrit un type intermédiaire. Cet
auteur
a publié une très intéressante étudesur la démarc
un type myoclonique- épileptique héréditaire spé- cial et d'autres
auteurs
ont trouvé des mouvements myocloniques dans l'é
clonie (2). La chorée fibrillaire de Morvan est ainsi décrite par l'
auteur
lui-même : «La maladie est caractérisée par des
riptions des chorées. «Bien que l'on n'ait pas encore décrit, dit l'
auteur
, en la détachant de la danse de Saint-Guy, la var
au milieu de la description de la chorée vul- gaire dans plusieurs
auteurs
. » Maisjusqu'à ce moment-là les mouvements chor
rouve pas dans les mouvements choréiques, est signalée par tous les
auteurs
. Il est diffi- cile de dire le temps moyen de l
ments il y avait des contractions tout à fait arythmiques. Quelques
auteurs
onl observé une certaine symétrie dans les muscle
est pas altérée. Les réflexes sont généralement normaux. Quelques
auteurs
ont observé une exagération des réflexes rotulien
anomalies de développement et des stigmates de dégénérescence. Les
auteurs
classifient en cinq types différents les cas qu
ux et les observations rares qui sont adjointes au premier cas de l'
auteur
, justifient son individualité morbide autonome,
ntral, périphérique ou encore des muscles. Le plus grand nombre des
auteurs
est en faveur de son origine corti- cale, ce qu
stic. Les bornes des myoclonies ne sont pas les mêmes pour tous les
auteurs
et leur classification n'est pas admise par tou
ont bien étudié la nou- velle entité nosologique. Ces deux derniers
auteurs
l'ont définie, ont mar- qué ses limites, ont mo
e. L'oeuvre de Gilles de la Tourette reste : l'étude des cas de cet
auteur
est parfaite, mais nous devons y ajouter les cas
aladie de Dubini, maladie probablement infectieuse qui, d'après cet
auteur
lui-même, n'a aucune analogie avec la chorée; l
ques est encore l'objet des plus vives contestations. Pour certains
auteurs
, partisans de l'Ecole ancienne, ces troubles sera
s dans la substance blanche du système nerveux central. Plusieurs
auteurs
nient absolument l'existence intra-vitale des rés
ormations stelliformes appartiennent aux éléments fibrillaires. Les
auteurs
qui considèrent le tissu névroglique comme un tis
dans un cas de paralysie agitante. Nous sommes d'accord avec les
auteurs
qui attribuent une nature névro- glique à toute
radiculaires dans la moelle épi- nière a été constatée par tous les
auteurs
qui se sont occupé de la question. Il nous sera
a substance blanche dans la moelle épinière constatée par plusieurs
auteurs
, surtout dans les cordons postérieurs, intéressai
TANTE 145 Quant aux vaisseaux dans la paralysie agitante, plusieurs
auteurs
insis- teut de même sur l'artério-sclérose en t
anes a d'ailleurs, récem- menl, modifié son opinion (4). Certains
auteurs
ont proposé le diagnostic de neurasthénie, d'hyst
res supérieurs est bien évidente. Mais je ne peux pas suivre le dit
auteur
sur ce terrain, car sa distinction entre la mic
les mains étaient fort raccourcis. Cependant dans ce cas, selon les
auteurs
, l'achon- droplasie apparaissait des plus frust
rps humain « de M. Paul Ricber. Les chiffres rapportés par ces deux
auteurs
s'accordent presque tout à fait et, comme c'est
vations, ils o(frent les plus grandes garanties d'exactitude. Ces
auteurs
, pour que la comparaison soit possible et facile,
elques mots sur l'état psychique dans l'achondroplasie. Certai ns
auteurs
pensent que cet état psychique est normal. Pour
te même saillie osseuse sur les radiographies publiées par d'aulres
auteurs
, par exemple dans un cas de Lannois (Quelques cas
ne constitue pas la règle, il n'en est pas moins vrai, ainsi que l'
auteur
le soutient, qu'on trouve dans certains cas des c
agis- sait d'ailleurs, ainsi que cela résulte de l'observation de l'
auteur
, de la manie confuse, ou si l'on veut mieux de
nous avons soutenu une hypothèse adoptée depuis lors par plusieurs
auteurs
, savoir que l'achondroplasie serait due à unehy
ne pa- rait pas mieux démontrée. Peut-on, à la suite de nombreux
auteurs
, incriminer un trouble des glandes vasculaires
e ; ce qui évidemment augmentait les dif- ficultés diagnostiques. L'
auteur
qui vient d'être cité retient que l'ataxie céré
er rémissions et intermissions d'une durée de plusieurs années. Cet
auteur
dit qu'un certain indice peut être également do
de tendance à la coagulation du liquide. Selon l'expérience de cet
auteur
, aussi bien le sang que le liquide cérébro-spin
e droit en rotation interne et le fixât sur la région lombaire. Les
auteurs
décrivent la position des omoplates comme il su
servés dans le cas d'atrophie musculaire quelle qu'elle soit. Les
auteurs
expliquent ce phénomène par la rupture de l'antag
s ou le sont très peu ; quant à celles des nerfs périphériques, les
auteurs
s'accordent pour les considérer comme normales (2
mprécise et attribuées, bien à re- gret, au seul surmenage, par les
auteurs
qui en ont publié des exemples ; tel par exempl
il et le retire le soir. z Comme nous n'avons pu retrouver dans les
auteurs
d'observation de ce genre, elle nous a semblé i
nos deux autres cas ainsi que dans les cas analogues de différents
auteurs
qui nous sont connus dans la littérature, le ca
ntimement lié aux réflexes rotuliens a surtout fixé l'attention des
auteurs
. Wollenberg (3) a le premier trouvé dans un cas
eures, plus marquée dans les régions cervicale et lombaire. Ce même
auteur
a attiré d'une façon particulière l'attention s
es, par CAilLa Angela, Revue Neurologique, 1912, n. 10, p. 185. Cet
auteur
a décrit les lésions qu'il a constatées dans la m
quer par l'action des toxines, élaborées par la tumeur ; les autres
auteurs
les attribuent aux changements de la pression d
un moment favorable pour l'action de la pression augmentée. Le même
auteur
en notant la fréquente coexis- tence, au cours
iscussions interminables sur la valeur du mot infantilisme dont les
auteurs
restreignent ou élargissent indéfiniment la por
me de gigantisme a été très bien précisée en 1902 par H. Meige. Cet
auteur
élimine la haute stature avec conservation des
nieuses des différents segments du corps, réalisant ce que certains
auteurs
désignent sous le nom de gigantisme normal physio
igne (1) en 1904, et tout récemment par Clerc (2). Sous ce nom, ces
auteurs
ont décrit des cas d'infantilisme ; leurs malad
fonction diastématique du testicule et que les travaux de nombreux
auteurs
, à la suite de Brown-Séquard, Poncet, Ancel et
rocher le cas qui fut présenté en 1902 par Widal et Lutier (2). Ces
auteurs
s'étonnent de ne trouver ni infantilisme, ni fé
le goitre exophtalmique ayant été observée par un certain nombre d'
auteurs
; ceci a fait penser qu'il pour- rait y avoir u
'un état de sclé- rose de la peau des membres inférieurs. Plusieurs
auteurs
mettent en doute l'existence d'une véritable sc
doigts, puis de la sclérodactylie et de la sclérodermie de la face. L'
auteur
(1) Leube, Klinische Berichte von der medizinis
bles cardiaques, de la mala- die de Raynaud et de sclérodactylie. L'
auteur
admet que les deux affec- tions ontune relation
tre mou, transpiration dans les régions indemnes de sclérodermie. L'
auteur
est d'avis que son cas peut être considéré comm
avec sclérodermie diffuse et qui souffre depuis 6 ans de Basedow. L'
auteur
admet comme pathogénie une lésion ou une névrose
nkel, Lundborg (1 '), Luz- zalo (13), Rasch (14)]. D'après certains
auteurs
[Hillairet (15), Grün- feld (16)], les ovaires
e, tandis que chez d'autres on a noté l'hypothyroïdisme a forcé les
auteurs
de recourir à diverses explications. Migliacci (1
uffise de relever seulement la tendance qui s'est accusée parmi les
auteurs
d'en faire un trouble consécutif à une altération
t le phé- nomène inverse qui fait la règle. Curzio a été le premier
auteur
qui signala l'abolition des sueurs dans ses obs
exagération des sueurs. Il semble que, malgré les avis partagés des
auteurs
, la majo- rité a constaté une diminution de la
e légère diminution de la sensibilité au niveau des extrémités. Les
auteurs
sur ce point s'ac- cordent généralement à dire
quente dans la sclérodermie, avait été interprétée par les premiers
auteurs
comme la conséquence du fait de (1) Dmrzcur, Po
façon ce sont prononcés Beer, Singer, Arcangeli, Sachs et d'autres
auteurs
. , Comme on sait, les rapports entre la sclérod
nt sur les rapports entre la sclérodermie et J'acroméo-a- lie ; cet
auteur
avait en particulier étudié quelques cas où le sy
. Or, depuis les recherches de Rogowitch, de Stiéda et des nombreux
auteurs
plus récents, on sait que l'ablation expériment
lmaire, l'extension des doigts était difficile. A la radiographie l'
auteur
constata, en plus de l'existence de concrétions c
ours d'une grossesse chez une femme atteinte d'hy- pothyroïdie. Ces
auteurs
citent encore le cas de Marfan où le vitiligo éta
iques. Deux malades ne présentaient pas de troubles du névraxe. Les
auteurs
pensent que dans les quatre cas que nous venons
blable existait dans le cas de Delmas et Roger, topographie que ces
auteurs
mettent en rapport ayec la compres- sion du cor
'iuterpyétation donnée par Delmas et Roger, même pour le cas de ces
auteurs
. Mais d'autre part, nous neppuvprls affirmer, s
pas aussi compromis chez les aphasiques que le prétendent certains
auteurs
, et que si l'aphasie coïncide parfois avec l'anar
lle a cependant été observée plus ou moins incidemment par quelques
auteurs
dans ces dernières années. Dans une publication c
eur de la commissure labiale. » Dans leur observation II, ces mêmes
auteurs
signalent que : « Chaque fois qu'il se produit
s et de l'élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre. » Ces
auteurs
comparent les contractions syncinétiques ainsi ob
particulier conjortclivo-men- tonnier. Dans cette communication, l'
auteur
annonce qu'il a observé, chez une vingtaine de
plus de douze ans. La voie centripète de ce réflexe est, d'après l'
auteur
, représentée par les nerfs sensitifs de la conjon
et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie), si cet
auteur
n'avait pas mentionné des résultats de ce genre à
internedu testicule.Dans l'infantilisme testiculaire décrit par cet
auteur
, on trouve comme chez notre malade des organes
fantiles et anaphrodisie ; voix fluette ; peau sèche; etc. Or les
auteurs
citent à l'appui de leur observation personnelle
ents ayant rétrocédé sous l'influence du traitement spécifique, les
auteurs
en font un syndrome hypophyso -génital d'origin
e de l'irritation exercée par la tumeur du lobe posté- rieur, que l'
auteur
explique l'exaltation permanente de la diurèse.
sion se trouve étayée sur plusieurs cas analo- gues résumés par ces
auteurs
: ceux de Pechkram, Morley, Fletcher, Williams
matoire » des glandes endocrines et sa grande - fréquence selon les
auteurs
, pourrait-on être tenté de faire de la lésion h
nalogue que se rangent Hirschberg (6), Patry (23) et Hamy. D'autres
auteurs
, à la suite des expé- riences de Gudden (8) cit
me en 1912 Bertolotti (34) donne le rôle étiologique. D'après cet
auteur
, le syndrome oxycéphalique serait constitué par u
sont les mêmes que ceux des sujets de Bertolotti et sont, d'après cet
auteur
, pathognomoniques de l'oxycéphalie. Voyez figur
re ancien des méninges. Et si l'on considère le rachitisme avec les
auteurs
contemporains, non plus comme une affection limit
einte sur les parois ? Mais nos malades se distinguent de ceux de l'
auteur
italien par leman- que de troubles glandulaires
résente de la lordose lombaire (ensellure de Duchenne) qui pour les
auteurs
est sous la dépendance de la parésie des muscles
ungsfahigkeit. repa- ratorische Kraft, Reconstructionsfahigkeit des
auteurs
allemands) du lissu conjonctif d'un côté, du ti
ennent au cours de cette affection. Jusqu'ici quelques très rares
auteurs
, comme Gilles de la Tourelle, avaient observé u
ce fait : nous ne ferons que rappeler le rôle attribué par certains
auteurs
aux névrites périphériques dans la production d
acteurs déterminants : l'inflammation et l'hémorragie méningée. Les
auteurs
ont insisté sur la richesse des substances albumi
ante pour réaliser ce syndrome. « La région enflammée, écrivent ces
auteurs
, doit être circonscrite par un processus symphysa
s (mal de Pott, tumeurs rachidiennes). D'après les résultats de ces
auteurs
, les élé- ments du syndrome qui nous occupe peu
iques du syndrome. En effet la majorité dus cas observés par divers
auteurs
ont présenté des troubles des membres inférieur
premiers malades coïncident avec ceux observés par presque tous les
auteurs
dans les syndro- mes dont il s'agil. En ce qui
atisme vertébral. Dans une série de six cas relevés surtout par les
auteurs
allemands (1) la coagulation massive a élé attrib
s du sang et quant-au syndrome de la coagulation massive, plusieurs
auteurs
l'ont considéré comme étant l'expression d'une
re des éléments cellulaires était faiblement exagéré. D'après cet
auteur
la dissociation des deux réactions serait un cara
e embrasse tous les facteurs déterminants mentionnés plus haut. Cet
auteur
empruntant l'heureuse expression trouvée par Di
uide céphalo-rachidien, par Marinesco et RADOVICI, 484. TABLE DES
AUTEURS
Aamc (J.) et PIfH> ? lIél1lispasl1les synci-
ribution à l'étude des locale sations de l'aphasie, 20. TABLE DES
AUTEURS
5LL LEIIEUOULLET (P.).FAUHE-BEAULIEU et VAUCIiE
s. Constatés cliniquement, ces faits n'étaient pas classifiés. Un
auteur
allemand, M. Cassirer, dans une monographie très
. Accès de migraine. La malade n'a pas été suivie. A la vérité, l'
auteur
ne peut classifier exactement ce cas. Il lui semb
èrent ; les mains diminuèrent de volume, de même que les pieds. L'
auteur
a classé cette observation sous l'étiquette d'acr
e de Raynaud. Cette maladie d'allure spéciale donne lieu, d'après l'
auteur
, à des douleurs insignifiantes. Cette descrip-
sision (cancer ou tuberculose) était macroscopi- quement indemne. L'
auteur
conclut qu'il s'agit là de cas mal déterminés,
veaux différents, par des sortes d'échelons, comme le signalent les
auteurs
. (PI. III et IV). ' Nouvelle Iconographie DE la
de défendre mes critiques adressées à des mémoires que leur propre
auteur
annule lui-même ? -Comme, cependant, dans sa répl
paru dans la Revue générale des sciences du 30 juin 1902, et où cet
auteur
montre, en se plaçant au point de vue de la chi
es et les faits psychologiques ou physiologiques. Où la plupart des
auteurs
, depuis Lotze, Weber, et Ilelmholtz, ont vu un
m- pressions des fonctions végétatives, localisation qui, d'après l'
auteur
du sens des attitudes,serait « nette et immédia
e Raumwahrnehmungen des Tastsinnes, Berlin, 1898. V. aussi, du même
auteur
, Année psychol., II, p. 341-351 et 111, 225. (2
les de la localisation tactile chez divers hypoesthésiques (1). Cet
auteur
a remarqué (comme Leyden l'avait fait déjà il y
petites idées d'hommes ». J'avais aussi remarqué, après de nombreux
auteurs
, d'ailleurs, à com- mencer par Taine, que ces i
e appliquée à la psychologie. » Il va bien sans dire que jamais les
auteurs
qui ont signalé cette évocation des images visuel
V. HENNI, Revue sur le sens musculaire (Ann. psych., V, 455). (5) L'
auteur
d'une thèse récente, parlant de la théorie du sen
l. Charles Nicolle ne pouvait manquer de retrouver dans les anciens
auteurs
d'intéressants passages relatifs aux Urologues.
ître une imitation de Gérard Dow. Bien plus, on peut affirmer que l'
auteur
de cetle peinture s'est servi des mêmes modè- l
andaise, remontant vraisemblablement au milieu du siècle, et dont l'
auteur
, qui m'est resté inconnu, semble s'être inspiré d
on identique. Il est à remarquer que, dans le cas de M. Thomas, cet
auteur
a observé, non pas une atrophie, mais une hyper
une dégénération du faisceau de Von Monakow dans les régions où les
auteurs
figurent ce faisceau, nous ne l'avons pas rencon-
tions structu- rales. Les lésions cellulaires, peu étudiées par les
auteurs
et à l'aide des méthodes anciennes, semblent su
entres visuels n'est pas encore complète- ment déterminée. Certains
auteurs
leur accorde une grande étendue, d'autres au co
e jusqu'alors comme purement neurotique, du moins par Hoffmann, cet
auteur
a montré des lésions de sclérose des cordons po
lée par l'ataxie. Dans les 12 cas de tabes in- fantile réunis par l'
auteur
, il existait 9 fois des signes de syphilis héré-
point de vue de l'espèce des os atteints, je vous dirai, ajoute cet
auteur
, que cinq fois sur six le tibia est envahi » ;
dessin en est mou, les ombres sont traitées assez cavalièrement ; l'
auteur
, dans certai- nes parties, s'est contenté d'un
core des éléments du myomère ; c'est-à-dire de la périphérie. Les
auteurs
qui ont étudié les quelques rares cas analogues a
fibreux. Pellizzi (1) croit à l'existence des fibres motrices; cet
auteur
a constaté dans deux cas l'existence des nerfs
ssait que le diagnostic n'était pas toujours facile. Aussi quelques
auteurs
pour se tirer d'embarras dans les cas difficile
le opinion, et nous croyons même que les deux types décrits par les
auteurs
sont réunis par tous les intermédiaires imagina
rd et Ravaut, qui ne mesurait que 1 m. 53, « n'avait pu, disent ces
auteurs
, gigantifier son squelette en raison de l'àge a
scères ». Quoi qu'il en soit de la réalité de cette explication des
auteurs
, en particulier de la prétendue impossibilité p
des géants. Quant à l'état de la glande hypophysaire la plupart des
auteurs
admet- tent qu'on trouve chez presque tous les
radiction avec l'opinion de Tamburini, acceptée par la ^plupart des
auteurs
. Lomonaco et Rymberck (4.), Friedmann et Maass (5
exuelle ou, en tout cas, son impor- tante diminution, et les autres
auteurs
sont de cet avis. Les géants man- quent d'appét
190 HUDOVERNIG ET PÉTRY POPOVITS près l'opinion de la plupart des
auteurs
la cause du gigantisme et de l'acromégalie, doi
de l'anomalie du squelette et de l'insuffisance des testicules. Ces
auteurs
, plus tard (2), admettent, en se basant sur le
x, avec ossification précoce. Ces faits, comparés à ceux des autres
auteurs
pourraient permet- tre de croire que la fonctio
n des décors et des personnages d'après des notes recueillies par l'
auteur
, à Venise, en 1896, avec ce commentaire : « Rie
peut rapprocher de ces documents une troisième gravure, sans nom d'
auteur
,qui représente un accouchement mythologique : cel
t l'état imparfait de sa première phalange (métacarpien de quelques
auteurs
). La phalange un- guéale et la deuxième phalang
lusions en faveur de l'opération radicale posées par la plupart des
auteurs
qui se sont occupés de la question. ARTHHOPAT
ion donne des succès, mais seulement dans ces cas bien définis et l'
auteur
n'admet l'amputation que comme dernière res- so
éduite ; les mouve- ments étaient plus précis et plus faciles. Et l'
auteur
ajoute cette réflexion : « Il faut constater qu
bonne reproduction en phototypie (1), est ainsi commenté par notre
auteur
, en ce qui concerne les deux principaux personn
Richer n'ont signalé rien de pareil et je ne sache pas qu'un autre
auteur
ait attiré l'attention sur une peinture ou une
Espaigtzol affligé dit mal de Naples. Gravure reproduite sans nom d'
auteur
ni indication d'origine par Cabanes, Les indiscré
logiquement de la paralysie générale proprement dite ? Il y a des
auteurs
qui nient absolument l'existence de troubles ment
s sont bien celles de la paralysie générale classique de cer- tains
auteurs
, étant donné que la localisation d'une lésion a p
ce qui concerne le point de départ de ces encéphalites, il y a des
auteurs
, comme Klippel, qui admettent que le parenchyme
osant. Que l'on suppose une altération thyroïdienne (comme certains
auteurs
sont enclins à l'admettre en raison des analogi
arlé plus haut et qu'ils appliquent aussi à mes cas (2). Mais ces
auteurs
m'imputent une conclusion qui est loin de la mien
re nos opinions relativement aux cas cités. L'interprétation de ces
auteurs
, très juste par rapport au cas qu'ils citent, ne
ux faire comprendre l'importance de l'aboulie professionnel le, les
auteurs
présentent une femme de 30 ans, atteinte de ladit
dit que l'on ne peut rien objecter contre l'interpréta- tion de ces
auteurs
, en ce qui concerne leur cas. Je ne'm'en occupera
t la question de savoir si l'on peut appliquer l'interprétation des
auteurs
cités à mes cas et si l'on doit alors les inter
u'où s'étend la différence entre ma manière de voir et celle de ces
auteurs
quant à l'akathisie, décrite jusqu'à présent, d
La différence essentielle consiste en ceci : chez le malade de ces
auteurs
, atteint d'aboulie professionnelle, l'akathisie
t, on n'a observé ni l'angoisse ni le soulagement réactionnels. Les
auteurs
cités, en faisant voir les cas d'akathisie hystér
d de mes cas s'approche déjà plus du cas et de l'interprétation des
auteurs
cités que le premier, mais il n'est pourtant pas
ient, ou bien méprisaient le luxe efféminé des Romains. D'après les
auteurs
latins, les plus sobres étaient les Celtes armo
armoricains; aussi vivaient-ils jusqu'à 120 ans. D'après ces mêmes
auteurs
, et d'après les légendes, les maladies étaient pe
ES CELTES 301 dont on chargeait encore, au moyen âge, les prétendus
auteurs
du sabat. Je pense que l'on peut également retr
r Boll Engelmann et plus récemment par Gedoelsl. Les travaux de ces
auteurs
, ainsi que ceux de Apathy, Bethe, Paladino, Doh
mant les hypothèses sur lesquelles s'appuyait le Neurone. Parmi les
auteurs
modernes, Gedoelst, Apathy, Bethe, Dohrn, Paladin
- bilité duquel je tiens à rendre hommage. ' (2) Les idées de cet
auteur
sont parfaitement résumées dans le récent manuel
fférente, au contraire, et il s'agit d'un phéno- mène actif que les
auteurs
allemands nomment « Sperrung » (barrage), le ma
ocalisation au niveau des membres est capitale et il semble que les
auteurs
n'aient pas suffisamment insisté sur la distinc
u moins, dans ceux assez nom- breux que nous avons trouvés dans les
auteurs
ou dans notre observation personnelle, le tissu
el est le double problème diagnostique à résoudre . Pour beaucoup d'
auteurs
, l'habitude de lécher les poils, qui seule a été
oria- lions labiales ou à la suite de troubles dentaires. Les mêmes
auteurs
ont rapporté le cas d'un chien (2) qui, à la su
ique continu et la psychose alcoolique aiguë décrite par différents
auteurs
sous différentes dénominations, nous y reviendr
de tendances aggressives vis-à-vis de l'entourage. Pour les autres
auteurs
russes, il y a des indications sur le délire al
traité de IW.-P. Serbsl (1.) : « La psychopathologie légale ». Cet
auteur
ne sépare pas le délire alcoolique continu de l
ription de Nasse dans ses traits fondamentaux a été adoptée par les
auteurs
allemands qui ont suivi et l'affection a été décr
Werllicke, que l'intoxication alcoolique n'est pas on3dérée par les
auteurs
comme indispensable dans l'étiologie de cette 1
tères d'un délire partiel, très stable, de persécution. Parmi les
auteurs
anglais, il faut indiquer Clouston (2), parlant d
, obtenues par les docteurs S. Sou- khanofel P. Gannoucllkille. Ces
auteurs
, se basant sur le matériel de la Clinique Psych
reusement le cas d'un livre publié par un chirurgien de Berlin. L'
auteur
de ce livre, il est vrai, a pris la précaution d'
critique des oeuvres d'art. Les belles recherches personnelles de l'
auteur
, ses études en colla- boration avec Charcot, un
conséquence imprévue : c'est de mettre en valeur l'originalité de l'
auteur
allemand ! Singulière conception de l'originalité
ent-elles pour faire de lui l'initiateur de ce genre d'études ? L'
auteur
du livre en question ignore sans doute, entre aut
ais n'est-il pas simplement équitable de les remé- morer, puisque l'
auteur
d'un livre tout récent de critique médico-artis-
ême on y a fait de larges emprunts, à la vérité avec l'agrément des
auteurs
, et en les accompagnant toujours d'indications bi
allusion aux travaux de l'école du maître. Charcot, et les autres
auteurs
français qui ont écrit sur les questions d'art
études médico-artistiques. La meilleure preuve n'est-elle pas qu'un
auteur
dont la tendresse pour les travaux germaniques n'
ne inquiétude, celle de voir se propager des erreurs. Sans doute, l'
auteur
de ce recueil, le Dr Eugen 1101 I¡¡nder, déclare
Richer, Henry Meige. Ne devrait-on donc pas vanter la modestie d'un
auteur
allemand, qui, pour illustrer son ouvrage, a eu l
qui avaient été depuis longtemps reproduites et commentées par des
auteurs
français, en se contentant seu- lement d'ajoute
de Charcot, il l'adopte et la croit trop connue pour en rappeler l'
auteur
. De même pour les Nains, les Aveugles, les Infi
Malade, par Samuel van IIoogstraaten, au Rijk-Museum d'Amsterdam, l'
auteur
allemand remarque que la jeune femme qu'on y vo
Leçons d'Anatomie et les Peintres Hollandais, paru en 1897. Quand l'
auteur
allemand arrive aux scènes chirurgicales, les ima
ientiam non odit nisi ignares. Maiscedonton ne saurait trop louer l'
auteur
, c'est du soin avec lequel il a su se garder de
HIE DE LA SALPÊTRIÈRE 423 Assurément, il peut advenir que plusieurs
auteurs
, sans avoir con- naissance de leurs travaux réc
re de la Médecine qui se trouve au Musée Germanique de Nuremberg, l'
auteur
fait observer judicieusement que les collection
riques sur la peste, par RA- PUAEL BLANCHARD (N 3, 1900) et du même
auteur
: Notes de parasitologie sino-japonaise n° 1, 1
Documents complémentaires, 3 pl.), par Henry MEIGE, 60. TABLE DES
AUTEURS
ApPERT, Hypertrophie congénitale d'une main (
. L'Apothicaire, tableau de Longhi (1 phot.), 201, 434 TABLE DES
AUTEURS
Marie (A.) Possédés guéris par les reli- ques
peu affaibli. Pendant 12 ans aucun changement ne se pro- duisit. L'
auteur
conclut à une myélite bulbaire, il cite son cas.
s de trouble de la sensibilité. Cet état persiste pendant 14 ans. L'
auteur
considère ces symptômes comme les restes d'une
hologique. Le deuxième type de cellules est celui qui, pour le même
auteur
, correspond à une évolution pathologique récent
parasite sont en minorité. Lorsqu'on re- cherche dans les premiers
auteurs
qui ont décrit ces productions parasi- taires,
se ; après lui, Théodore Kerckring, Wepfer et Guérineau et d'autres
auteurs
signalent des hydatides siégeant autour des art
evestre, et surtout dans les diverses observations publiées par les
auteurs
, il semble exister des confusions entre les diffé
se dans la substance cé- rébrale, alors que d'après la majorité des
auteurs
, ces productions siègent plus souvent à la surf
ES PARASITAIRES DU CERVEAU 25 Nous pensons que le fait admis parles
auteurs
qu'il est rare de trouver dans l'encéphale des
ence des têtes constatée par Laennec, lui avait fait donner par cet
auteur
le nom d'acéphalocyste ; il croyait que cette for
le avant que toute for- mation céphalique apparaisse. D'après les
auteurs
, il est fréquent que des kystes même volumineux
organes de l'homme ont été le plus fréquemment rappor- tés par les
auteurs
, la mortalité de ce fait serait de 6 p. 100 en Is
n (1), cette difformité fut observée depuis par un certain nombre d'
auteurs
qui la désignèrent par des termes divers : opis
vaux publiés sur la question. . Dans tous les cas étudiés par ces
auteurs
, la déformation siégeait sur le membre atteint
coxalgie créent une prédisposition à ces accidents. Mais, d'après cet
auteur
, le principal rôle reviendrait à l'une des cond
presque rectiligne ». Pour tous les autres faits, mentionnés par cet
auteur
, la position de la cuisse n'est pas précisée; m
sen, médecin des princes-évêques de Munster, nous ont révélé de cet
auteur
, une étude des plus intéressantes, véritable co
ler un peu plus longuement (2). Mais le même médecin allemand est l'
auteur
d'un livre beaucoup plus intéressant qui eut à
les veines de la vieillesse qui en est ordinairement privée. Et l'
auteur
ajoute : « Nous croyons pouvoir attribuer les bon
ous sont donnés par Sal. Ernest. Eug. Cohausen, élève et neveu de l'
auteur
, professeur à l'Université de Trêves,' membre d
de départ de la présente étude, et de nos autres travaux sur le même
auteur
. Nous profitons de cette occasion pour remercie
noine Nunning et d'une épître de Salent. E. E. Cohausen, neveu de l'
auteur
. Nous ferons l'analyse de l'ouvrage en insistan
e de l'homme est une chose fixe ou indéterminée. Les anciens, les
auteurs
sacrés, les sages de la Chaldée, les stoïques vie
s, les sages de la Chaldée, les stoïques vien- nent fournir à notre
auteur
Fappui de leur témoignage. Il réfute l'opinion
ressentir des in- commodités de l'âge. ' C'est ce point que notre
auteur
va s'attacher à prouver par la raison et l'expé
igne que les premiers hommes vivaient plus longtemps que nous : les
auteurs
chaldéens, les Chinois, les auteurs sacrés Xéno
t plus longtemps que nous : les auteurs chaldéens, les Chinois, les
auteurs
sacrés Xénophon, Pline, et d'autres en donnent
ns, Sophocle à 130 ans, etc., etc. Certains climats d'après notre
auteur
sont plus favorables que d'autres, et il cite e
l'homme. ' Après une explication du souffle humain en général, où l'
auteur
établit sa théorie de la respiration selon les
affirment avoir été enseignées par Saintl;lme. Mais ce sont, dit l'
auteur
, des superstitions que beaucoup d'écrivains ont
nées d'Hermippus et de ses jeunes écoliers. Supposons donc, dit l'
auteur
, qu'il existait à cette époque à Rome un magnif
vie dont parlent les Adeptes. Après avoir émis cette opinion,notre
auteur
se garde de toute affirmation absolue. Il laiss
nt les lettres de son ami le chanoine Nunning que le neveu de notre
auteur
a réunies à celles de son oncle sous le titre de
ein en 1742. Il fut accueilli par un vif sentiment de curiosité ; l'
auteur
était connu déjà pour ses écrits satiriques et
s leurs colonnes en la faisant suivre des réflexions suivantes. « L'
auteur
n'a pas cru indigne de son âge ni de sa personne
merveilleuses, tirées de récits de voyages ou des compilations des
auteurs
du moyen âge. Plus encore que Cohausen, John Ca
est hors dedoute que sa lecture en est des plus agréables et que l'
auteur
a soutenu avec beaucoup de talent sa paradoxale
rèrent ce qui suit en tête de leur préface : « On aperçoit dans l'
auteur
du livre, un homme d'un grand savoir, d'une lit
, à moins que d'avoir lu cet ouvrage, comment il fut possible à son
auteur
de tirer d'une matière aussi sèche que morne un a
a eu le talent d'en tirer. » « Quant au but principal auquel notre
auteur
s'est proposé d'atteindre en fondant son systèm
me peu probables, il ne pourra du moins se dispenser d'avouer que l'
auteur
n'a pas absolument perdu sa peine, puisqu'en pa
s. Saint-Jean. V. 2, 3, 4. C'est de ce passage des Evangiles, que l'
auteur
de la toile peinte s'est inspiré. Au milieu,
mblances avec le nôtre. En considérant les figures publiées par cet
auteur
(PI. II, figures 10, A, B, et C, de l'ouvrage cit
tres et les anomalies de développement plus simples réunies par cet
auteur
dans la classe des hémitéries.Pour la main ces
onogr. de la Salpêtrière, 1897, n 4, p. 31. 146 HUET ET INFROIT
auteur
, avait exécuté avec un vrai et remarquable talent
'est pas signalée, autant que nous avons pu nous en assurer par les
auteurs
classiques, en tant que symptôme des affections n
is appelée loi d'Edinger, bien qu'elle ait été connue avant que cet
auteur
lui ait donné son nom. Elle nous en- seigne que
raint de mêler des nouveautés italiennes à la tradition sacrée. Cet
auteur
a retrouvé au Mont-Athos des imitations de la des
ette observation, quelque intérêt. On sait que, pour la plupart des
auteurs
, le lobe frontal représente le lieu probable de
hnique du sys- tème nerveux, les divergences de vues émises par les
auteurs
qui ont abordé ce problème ; telles sont les pr
histologiques se retrouvent dans bon nombre de néoplas- mes, et les
auteurs
ont rapporté maintes observations analogues à la
elle description macroscopique, résumé de l'observation de tous les
auteurs
, montre qu'il s'agit non pas d'une tumeur cérébra
capsule commune et constituer ainsi des globes fibroplastiques. Cet
auteur
insiste sur la différence qui les sépare des tu-
or- més de cellules plates et de globes. Nous avons dit comment cet
auteur
décrit la cellule constitutive à propos de l'ob
- bin insiste sur la fréquence de ces tumeurs,décrites par nombre d'
auteurs
sous le nom de sarcome, tandis que la forme des
les modifications que peut subir l'endothéliumc1e la dure-mère, cet
auteur
a vu très fréquemment les cellules endothéliales
derniers que se trou- vent le plus souvent ces proliférations. Cet
auteur
pense que ce sont sur- tout les cellules des ca
même manière. Dans notre cas, nous nous rattachons à l'opinion des
auteurs
français : les vaisseaux envoient des pointes vas
iction des interprétations données d'une même lésion par les divers
auteurs
, rendent malaisé d'établir la chronologie des f
ments chromatophiles. .' Van Gehuchten (4) rapportant les idées des
auteurs
précédents remar- que que Marinesco « n'indique
cellulaire accompagne presque toujours la chromatolyse et tous les
auteurs
décrivent ces deux processus associés. (t) NISS
capables de l'engendrer atteignent celle-ci par sa périphérie. Cet
auteur
a retrouvé des altérations identiques dans tout
(4) à l'englobe- ment des cellules nerveuses par la névroglie. Cet
auteur
, qui fait la part la plus grande à l'action des
Il est d'ailleurs assez difficile de les expliquer. Pour les anciens
auteurs
il s'agissait uniquement d'irritation intestina
ues concomi- tantes. Elles ont toutefois été signalées par quelques
auteurs
. Fischer cons- tate la polydactylie chez un jeu
malade; Sonnenburg note la polymas- tie ; Joachimsthal èt d'autres
auteurs
indiquent des déviations de la colonne vertébra
es les plus minutieuses, il a été impossible de le re- trouver. L'
auteur
a eu l'extrême obligeance de prendre la peine de
s uniquement par la femme,ce sont les lésions du bassin. « Certains
auteurs
ont bien signalé des cas d'achondroplasie héréd
é des cas d'achondroplasie héréditaire. Nous avons trouvé, chez les
auteurs
, trois cas dans lesquels l'influence héréditair
longs et qu'il dénomme rachitis micomelicra. Enfin, tandis que les
auteurs
précédents avaient fait oeuvre d'histologistes,
iverses théories sur l'étiologie de l'achondroplasie. Pour certains
auteurs
, l'achon- droplasie peut être le résultat d'une
te altération présente ou non une transformation goitreuse, car les
auteurs
attribuent maintenant la même pathogénie à l'id
ler le nanisme achondroplasique au nanisme myxoedémateux ? Certains
auteurs
ont vu dans l'achondroplasie le résultat d'une
t Durante, Congrès internatio- nal, il, section d'obstétrique). Ces
auteurs
ont constaté aussi des lé- sions du système ner
n- droplases, et s'il faut en croire les confidences reçues par les
auteurs
qui ont eu la curiosité d'interroger leurs suje
ans ses recherches précédentes, sur la question du travail, c'est l'
auteur
qui est le sujet des expériences. On se sert de l
rale des deux séries cliniques a été indiquée par Babinski (1). Cet
auteur
, à propos d'une malade, guérie par la trépa- na
uant chez son malade 13 à 14 centimètres cubes de liquide. Divers
auteurs
allemands, cités par P. Marie (1), ont rapporté d
syndrome urémique qui a simulé une tumeur du lobe frontal gauche. L'
auteur
avait fondé son diagnostic de néoplasme frontal
insister sur ces faits, passons à l'interprétation proposée par les
auteurs
pour rendre compte d'une telle analogie symptom
l'urémie nerveuse, n'est pas encore démontrée : et, d'ailleurs, les
auteurs
que nous venons de citer expriment le voeu que
intérêt qu'elles com- portent, par le Professeur Bard (1) ; et cet
auteur
a fondé sur elles sa théo- rie toxique de la ca
dans plusieurs autres d'ailleurs, il est impossible, de l'aveu des
auteurs
, d'invoquer la compression comme cause des accide
ause des accidents diffus et à distance imputables à la tumeur. Les
auteurs
se demandent si la mé- ningite chronique diffus
oscopique de l'écorce n'a pas été pratiqué dans le cas des derniers
auteurs
; mais il est intéressant, à notre point de vue,
sur ce sujet publiée dans la Se- maine médicale en 1892, différents
auteurs
français et étrangers ont rap- porté les observ
ébelleuse. Je me permets encore une fois de la reproduire après les
auteurs
indiqués. Observation. Haudeb... François, 41
2 SWITALSKI Le cervelet avait une configuration normale et, comme l'
auteur
le dit, c'était « un cervelet en miniature ».
nous comparons les résultats d'examen microscopique obtenus par les
auteurs
et celui obtenu dans notre cas, on verra qu'à bea
et au contraire nous con- sidérons ce cas comme conforme à ceux des
auteurs
précités et au nôtre en nous appuyant pour cela
s- sociés malgré une absence totale de faisceau pyramidal. Certains
auteurs
accordent une influence dynamogène à peu près e
ale ? Nous l'ignorons, et tout en pensant à l'opi- nion de quelques
auteurs
qui voient dans la cellule un centre n'ayant qu
ontracture postparalytique des nerfs périphériques indiquée par les
auteurs
. J'ai cependant observé deux cas de contracture
se (Raymond, Phocas, Ozenne et Bastit et Mortet). Les deux derniers
auteurs
incriminent, dans les paralysies post-opéra- to
énile que L. Lévi, et elles ne nous ont pas paru, non plus qu'à cet
auteur
, pouvoir expliquer les lésions osseuses. Quant
une catégorie encore peu connue d'oedèmes dystrophiques. Deux des
auteurs
de ces intéressantes études, M. Rapin (de Genève)
serait survenue à la suite d'une affection fébrile, évolution que l'
auteur
rapproche judicieusement de celle de la paralys
e pas spécialement sur les reliquats d'affections myélopathiques, l'
auteur
se préoccupe beaucoup de cette singulière combi
cial du Dr Landouzy (1). « En dehors de la thèse de Collette, dit l'
auteur
, ni dans les travaux parus récemment, soit sur le
nt l'adipose sous-cutanée, beaucoup plus commune que le silence des
auteurs
ne le ferait supposer, présente un intérêt cons
ssu conjonctif sous-cutané) devra nous arrêter longuement, ajoute l'
auteur
, car, d'une part, c'est le poinl saillant de notr
téressant mémoire par ces mots qui pourraient témoigner, cllez leur
auteur
, d'une prévision remarquable : « Ce qu'on doit
male et les nerfs dolorifi- ques (1). Les motifs invoqués par les
auteurs
susnommés en faveur d'une subor- dination de l'
hyperémie liée à des troubles nerveux, selon l'opinion de quelques
auteurs
, l'on ne sera pas surpris de son apparition dans
uer d'un certain nombre de manifestations oedémateuses analogues- L'
auteur
s'ap- plique avec grand soin à établir le diagn
a subs- tance grise du névraxe. Malgré les prudentes réserves que l'
auteur
croit devoir formuler, l'on comprend que, dans
us occupe sous le nom de « Trophoedème chronique héréditaire ». Cet
auteur
relate diver- ses observations de même nature e
l ne s'agit pas non plus de la cyphose hérédot1'a1l1natique du même
auteur
. Sans invoquer d'autres différences, le fait qu'i
les, par Jean IILITZ (1 pl. en photo- collogr.), 528. ' TABLE DES
AUTEURS
APERT A. Quelques remarques sur l'achon- drop
ertrichose envisa- gée comme stigmate anatomique de dé- TABLE DES
AUTEURS
541 générescence (1 pi. en photogravure),266.
rvations de De la Peyronnie donnaient déjà lé même résultat, et cet
auteur
était arrivé à la supposition que Famé, réalisa
plus infimes et de l'activité de l'automonade avec son système. L'
auteur
imagine ce système de monades animiques de la faç
re psychique ? Il parait résulter au contraire des observations des
auteurs
précédents et aussi de celles du Professeur Fle
eau ; Bouchard dit excitation de la moelle. A celte époque d'autres
auteurs
comme Leubnscher, Luys (1), Cornil l et Charcot
contracture doit être consi- déré comme mouvements associés. » L'
auteur
observe que les hémiplégies infantiles sont très
es non paralysés. Thèse de Bordeaux, 188o. 32 - NOICA Parmi les
auteurs
qui ont étudié ces mouvements il l'état normal un
rs fut Millier (1 ). Quant au centre qui produitces mouvements, cet
auteur
parait le considérer comme médullaire, l'interven
nque ici. La syphilis invoquée par Monro, par Morgan et plu- sieurs
auteurs
français dans le syndrome de Raynaud est niée par
e. Meige, TIT01'fIQ : DÎ : \IG CHRONIQUE 73 Debove et plusieurs
auteurs
ont observé semblable modification sur leurs ma
rapporté un beau cas (obs. I de son mémoire). Par contre, plusieurs
auteurs
, Tobiesen, 74 COCHTELLElIIOK'f Lannois, Rapin
us grande facilité le symptôme dont je m'occupe. J'ai dit que les
auteurs
récents ne font pas de distinction entre les ca-
e sans limites, très difficile, à peine touché çà et là par quelque
auteur
. Connaître exactement les aptitudes psychiques
là villa Polagonia, près de Païenne, un état psychopathotogique des
auteurs
: il parle çà et et là de l'extinction plus ou mo
. Mais, à tous les mouvements et à l'expression, on devinait dans l'
auteur
une force juvénile débauchée et presque sauvage,
noïde : entre ces deux maladies, la limite oscille, varie selon les
auteurs
. L'accessoire de l'habil- lement à significatio
) (2 cas) et par Todd et Terry (4) ont été repris par plusieurs des
auteurs
qui ont traité de la dysostose, mais ceux-ci se
à ma disposition. Mes recherches confirment, d'abord, l'opinion des
auteurs
précédents, à savoir que, en premier lieu,la dy
constants, à en juger d'après les quelques cas décrits par d'autres
auteurs
. La forme de la région occipitale est plus variab
on obélique. Elle a été observée dans 19 au moins des 24 cas où les
auteurs
ont donné des indications sur l'état du crâne.
crâne m'a convaincu qu'il s'agit aussi, dans le cas étudié par ces
auteurs
, d'un pariétal divisé en plusieurs fragments pa
supé- rieure se trouve déjà indiquée par Scheuthauer, mais certains
auteurs
contestent qu'elle appartienne à la dysostose.
une protru- sion en bec de la partie centrale de la face. Plusieurs
auteurs
indiquent, au contraire, que la racine du nez (
nsions très rédui- tes et une structure très grêle presque tous les
auteurs
s'accordent' à le reconnaître. En conséquence,
u frontal, tandis que la tache claire de la ra- diographie, que ces
auteurs
ont sans doute prise pour le sinus, a un diamètre
palatine est étroite, mais l'excavation profonde que la plupart des
auteurs
ont observée ne semble pas être un signe absolume
regardée comme un signe caractéristique de la dysostose. Certains
auteurs
prétendent avoir observé chez des sujets dysostos
fût incomplète. Certes, je ne nie pas que les obser- vations de ces
auteurs
ne puissent être exactes, mais je me refuse à voi
rables des 4°-6e vertèbres dorsales. Devant la rapide aggravation, l'
auteur
se décida à l'intervention. Il trouva un fibro-
me d'une petite pomme comprimant la moelle. Elle fut extirpée, et l'
auteur
enleva à la gouge des portions envahies des corps
logie, la pathogénie en était encore très obscure et la plupart des
auteurs
la rat- tachaient à l'existence d'une simple mo
ue parut le travail de Pitres et Vaillard qui fait époque. Ces deux
auteurs
démontrèrent, que dans le cours de la tubercu-
s ou moins rigoureuse. Je peux rappeler, au contraire, que quelques
auteurs
ont décrit une para- lysie infantile cantonnée
nous suffit de rappeler que Pitres et Vaillard furent les premiers
auteurs
qui entreprirent l'étude des lésions des nerfs pé
chions, n'a jamais été faitejusqu'ici par personne quoique certains
auteurs
n'aient pas négligé d'appliquer cette même méth
lésions médullaires et l'infection tuberculeuse, on trouve que les
auteurs
se sont surtout attachés à l'étude de la moelle
euse ont été, au contraire, beaucoup moins envisagées. Le premier
auteur
qui étudia la moelle épinière chez les tuberculeu
périeure. La portion extramédullaire des racines était intacte. Cet
auteur
attribue à ces lésions une origine toxique el non
riphériques, ce qui faut penser des critériums, adoptéspar certains
auteurs
, pour séparer nette- ment l'histologie des dégé
bien loin des différences nettes, tranchées, établies par quelques
auteurs
et surtout par Vassale (1891-96) entre la névrite
ntre la névrite dégé- nérative et la dégénérescence secondaire. Cet
auteur
concluait dans un travail fort intéressant sur
troitement aux questions qui s'agitent de- puis longtemps entre les
auteurs
qui soutiennent l'origine centrale des névrites
- ser l'objectif, à ternir les miroirs, etc... » Le pauvre M. X...,
auteur
de ce dessin, serait peut-être bien en peine d'
ment destiné à indiquer et surtout à remémorer, en cas d'oubli, à l'
auteur
de ce des- sin, qu'il ne l'a fait que pour se b
'indications particulières, intelligibles pour les seuls initiés, l'
auteur
M. X... et M. le doc- teur Pailhas. Si nous avi
particulier que nous envisageons ont uniquement été données par les
auteurs
cités ci-dessus. Les cas de Milroy sont les plu
fèrent par quelques détails du groupe familial observé par un autre
auteur
. De . OEDÈME PERSISTANT HÉRÉDITAIRE 197 petit
le même. Comparaison avec les dystrophies musculaires. Plusieurs
auteurs
ont judicieusement comparé cette maladie aux dys-
onc- tions thyroïdiennes est tellement admise par la généralité des
auteurs
, que le terme d'hyperthyroïdie est consacré par
me groupe comprend des cas avec hallucinations que la plu- part des
auteurs
avec MM. Gilbert Ballet, Pader, Léonard N. liobin
tations des troubles psychiques chez les basedowiens donnés par les
auteurs
. Rapports du goitre exophtalmique et de l'hysté
itre ; 2° Elle lui est consécutive. Dans le premier cas, certains
auteurs
, comme L. N. Robinson, Pader, considèrent le sy
fait probable chez celles-là. Interprétation. Parmi les multiples
auteurs
qui ont décrit des psychoses dans le goitre exo
s'effectue que d'un seul côté. Toutefois, comme le remarque le même
auteur
, il ne faudrait pas croire que le type d'hémipl
alade paraissait, au début tout au moins, devoir prendre place, les
auteurs
s'accordent à con- sidérer, que si ces délires
nchons plutôt pour l'hypothèse d'encéphalo-poliomyélite. Cer- tains
auteurs
ont soutenu l'intégrité constante de l'encéphale
breuses publications relatives à des cas de microgyrie et plusieurs
auteurs
ont essayé de grouper en séries homogènes les dif
t essayent d'en préciser les conditions d'apparition. Puis d'autres
auteurs
essayèrent de provoquer la contraction de ces m
tous les mouvements réflexes, et (d'autre part les divergences des
auteurs
sur les relations qui existent entre les réflex
xtension de l'orteil est lié, pour Babinski, et pour la plupart des
auteurs
qui ont étudié cette question, à « une perturba
nvient de relever un caractère important sur lequel ont insisté les
auteurs
: c'est la raréfaction du tissu osseux très visib
logique si net de la spondylose rhizomélique diffère, ainsi que les
auteurs
l'ont indiqué : 1° du rhumatisme ankylosant ver
s d'ankylose vertébrale a été diversement appréciée par les,;divers
auteurs
. Pour Pierre Marie et Léri, l'absence de phénom
s par Achard et Clerc (5), par Beduschi et Jardini 6). Ces derniers
auteurs
ont constaté des cavités médullaires, d'origine
malgré tant d'études et de recherches, il existe encore en- tre les
auteurs
les opinions les plus disparates, non seulement s
pas suffisamment mentionnés dans les descriptions plus connues des
auteurs
. Les deux premières observations que nous donno
évidentes surtout aux orteils, mais aussi au tibia et au péroné. L'
auteur
ayant découvert des faits d'atrophie chez trois
jus- qu'à 18 0/0. La quantité de l'éosinophilie dans le cas de cet
auteur
n'était pas constante, si bien qu'à un second e
a déjà été démontré par les recherches de Voit sur les chiens. Cet
auteur
a observé que la chaux absorbée dans l'intestin g
lconque d'en tirer une conclusion. Je ne citerai pas ici lés divers
auteurs
et les résultats qu'ils ont obtenus, car ce ser
lie publié dans les Zeits. f. klin. Med., 65 Bd. 1-2 Hefte, 1908. L'
auteur
, dans un échange de 10 jours atrouvé dans le bi
présente aucune anomalie caractéristique. Je voudrais demander à l'
auteur
qu'est- ce qu'il entend par échange normal, car
s même légères de ceux-ci peuvent avoir de graves conséquences. L'
auteur
n'aurait-il pas mieux fait de donner à son malade
romégalie 347 7 Il n'est pas à présumer que le patient étudié par l'
auteur
fût auparavant t soumis à un régime aussi insuf
s avec plaisir confirmé à quelques années de distance par le susdit
auteur
, les altérations particulières à l'échange dans c
. LE P PIERRE MARIE DEUX CAS D'OXYCÉPHALIE CRANES « EN TOUR » DES
AUTEURS
ALLEMANDS MALFORMATION S'ACCOMPAGNANT DE TROUBL
nus : ils ne sont pas rares dans les observations recueillies par les
auteurs
, comme nous le verrons plus loin. Depuis quelqu
ucae) ; tôle à la thersite (Hamy) ; turritum caput(\Velcl), que les
auteurs
allemands ont désignée, plus récemment, sous le
l, beaucoup plus fréquente dans les observations rapportées par les
auteurs
si elle avait été recherchée systématiquement.
ormation du nez ne paraît pas avoir beaucoup retenu l'attention des
auteurs
. Cependant Meltzer en fait mention dans son trava
te névrite dans l'oxycéphalie est diversement in- terprétée par les
auteurs
. 1° Névrite et atrophie postnévritique par suit
onnaître un épais- sissement manifeste de la calotte crânienne. Les
auteurs
allemands l'ont aussi constaté et Meltzer, rapp
YNDACTYLIE ECTRODACTYLIE CLINODACTYLIE 411 Jusqu'ici, en effet, les
auteurs
qui ont publié des cas de syndactylie, simple o
es intéressantes indi- cations déjà fournies à son sujet par divers
auteurs
, une brève description individuelle que nous co
Loebell (trient, 1906)/et, outre les observa- tions réunies par les
auteurs
précédents, celles de Gayet (Gazette des hôpita
et enfin l'infantilisme rachitique qui n'est pas admis par quelques
auteurs
et nié par De Sanctis. Je ne parlerai pas non p
tiles les épiphyses seraient non soudées. ' Selon les vues de cet
auteur
l'atteinte primitive à la vitalité de la thy- r
ausset et Breton, ont été considérées comme excessives par certains
auteurs
tels que Thibier[je et Fürnrolar ; en Italie el
s avancé en comparaison de celui d'un myxoedémaleux classique ; ces
auteurs
en déduisent que dans l'infanti- lisme de Lorai
eur mémoire ne me semblent pas probantes dans le sens voulu par les
auteurs
. La main de leur infantile montre en effet la p
vrait être un exem- ple d'ossification précoce. L'observation des
auteurs
français serait au contraire d'accord avec celle
t en même temps des symptômes nets de dysthyroïdie, si bien que les
auteurs
en firent un type mixte d'infantilisme dégénéra
comparé à celui du tronc ; ce fait qui est considéré par plusieurs
auteurs
comme un carac- tère eunuchoïde joint à l'état
l'ossification du squelette, c'est-à-dire un symptôme qui, selon les
auteurs
français, ne serait point compris dans le table
onnée a été acceptée comme classique par la pi us grande partie des
auteurs
et il nous paraît en conséquence utile de nous ar
sité générale et de débilité mentale) récemment publié par Lemos, l'
auteur
invoque comme seule cause pathogénique l'hérédi
ses seraient surtout responsables dans cette série de cas. D'autres
auteurs
(Lereboullet, Ilayem) ont attribué de même à des
influence remarquable sur le développement du squelette. Quelques
auteurs
(Richon et Jeaiidelize,Schüsteî,, etc.) considère
nous. ' , L'acromégalie a été attribuée par la plus grande part des
auteurs
à une lésion de l'hypophyse, et à des lésions t
euvent être une cause d'arrêt de la croissance. Toute nne série d'
auteurs
croit à l'origine testiculaire de l'infantilisme.
s idées que je viens d'exposer sont du reste acceptées par d'autres
auteurs
et entre autres par Anton et Schuller. Ce dernier
posité et à l'imbécillité ; il y comprend en outre le mongolisme. L'
auteur
se montre incertain de savoir s'il doit comprendr
crire et nous verrons qu'au- cune des définitions proposées par les
auteurs
n'est complètement satis- faisante justement pa
elques caractères qui sont propres à un groupe déterminé, selon les
auteurs
, mais qu'ils manquent de bien d'autres appar- t
ideur de la nuque. Nous savons que la chlorose peut, selon certains
auteurs
, déterminer l'infantilisme et nous savons aussi
tance du thymus, hypo- plasie de la thyroïde et des testicules. L'
auteur
ne dit pas de quelle forme clinique d'infantilism
ntraire la papillite précéda l'atrophie papillaire. Selon'les mêmes
auteurs
l'exophtalmie, qui fut évidente chez notre ma-
ésie et la péritonite séreu- ses simples, et est rapportée, par les
auteurs
aux causes les plus variées : traumalismes, sur
ulte, ou méningite séreuse primitive se déve- loppe, selon tous les
auteurs
, avec une grande fréquence sur un terrain entam
re CONTRIBUTION' A L'ÉTUDE DE L'INFANTILISME DU TYPE LORAIN 463 d'
auteurs
et surtout pal' FOllrnier, Bârensprung, Landoy, H
paralysie générale est intéressante. Bien que signalée par certains
auteurs
, en particulier par Fairet et par Dupré, elle e
ous devons songer de la malade de M. Dou- trelepont, observée par l'
auteur
pendant cinq ans consécutifs et qui à l'autopsi
s par 1'1. Babinski et discutées à la Société de Neurologie par cet
auteur
: a) les altérations dites trophiques n'apparti
énité restera digne du respect de tous. - Henry MEME. TABLE DES
AUTEURS
ALQOIER et Raymond. Mal de Pott sarcoma- teux
(1 pl.), 510. 31LItlE. Deux cas d'oxycéphalie, crânes en tour des
auteurs
allemands, malforma- tion s'accompagnant de tro
DES EXPERTISES MÉDICO-LÉGALES EN MATIÈRE D'HYPNOTISME RECHERCHE DE L'
AUTEUR
D'UNE SUGGESTION CRIMINELLE Par M. Jules: LIÉGE
yons ce qu'il leur reste à faire. Il s agit maintenant de trouver l'
auteur
de la suggestion en vertu de laquelle le crime a
t passées. Mais il faut mettre les choses au pis, et supposer, chez l'
auteur
de la suggestion criminelle, une connaissance app
e se refuser à toute tentative ayant pour effet de lui faire nommer l'
auteur
de la suggestion, de jurer qu'il n'y a eu aucune
rester long- temps ignorée : elle a été donnée par plusieurs des
auteurs
qui se sont occupés des phénomènes hypnotiques ;
esque toujours, à faire dénoncer par le prévenu le véritable, le seul
auteur
du crime, même quand ce dernier lui aura fait la
nément, que je n'y suis pour rien; elle refusera de me nommer comme l'
auteur
de la suggestion, jurera qu'il ne s'agit point de
ement les suggestions suivantes : « 1° Quand vous verrez entrer « l'
auteur
, quel qu'il soit, de la » suggestion » — s'il y a
à ce » que je dise : « Assez ! » « 3° Vous vous placerez devant « l'
auteur
de la suggestion », et » vous essayerez, en vous
M. Liégeois? » « 4° Enfin, vous ne verrez ni n'entendrez plus « l'
auteur
de la » suggestion », jusqu'à ce que je dise : «
somnambulique aurait pour effet de préserver d'une punition méritée l'
auteur
de la suggestion; puisque le prévenu, en vertu de
a pensée: On pourra faire à un sujet hypnotique, relativement à « l'
auteur
quel qu'il soit » de la suggestion de crime, tout
ter combien de faits analogues sont demeurés inconnus; car enfin, les
auteurs
et les victimes de ce genre n'ont pas lieu de s'e
t. » Je vous prie de remarquer que je conserve les expressions de l'
auteur
. Elles ne sont pas techniques, mais elles exprime
ui porte en certains points sur l'hypnotisme et qui, destinée par son
auteur
a entretenir la légitime défiance du public contr
l me parait, en effet, que malgré les efforts très consciencieux de l'
auteur
, — peut-être même en raison de ces efforts, — la
qu'en cette matière, votre incapacité n'égale au moins la sienne. L'
auteur
du Miracle et ses contrefaçons avait bien prévu l
est un fait d'observation. A s'en référer aux recherches des rares
auteurs
qui se sont préoccupes de la matière, les choses
matière, les choses peuvent aller fort loin parfois. La liste de ces
auteurs
, disons-nous, n'est pas longue. Sans parler de Ga
rêt. Les travaux des devanciers et les observations personnelles de l'
auteur
y servent de base à un classement méthodique. Nou
'occupent d'études hypnotiques. Dans une préface fort intéressante, l'
auteur
constate qu'il est bon a certains moments de jete
onde entier. » C'est pourquoi, négligeant les travaux plus anciens, l'
auteur
consacre sa bibliographie à l'hypnotisme moderne,
divisée en chapitres qui facilitent singulièrement les recherches. L'
auteur
a pris soin de nous expliquer dans sa préface pou
tons les périodiques ayant quelque rapport avec le sujet qui occupe l'
auteur
. Cette liste ne comprend pas moins de 211 titres
Statistique. Dans la bibliographie, on a nommé : 801 ouvrages, 481
auteurs
(sans compter 17 anonymes), 107 périodiques. Le
re critique de l'hypnotisme moderne ». Terminons en avertissant les
auteurs
, rédacteurs et éditeurs qui publient des œuvres i
r la difficulté résultant de ce que l'amnésie aurait été suggérée à l'
auteur
inconscient de lacté coupable. Au cours de cette
emple, la disparition d'une personne présente. Jusqu'à ce jour, les
auteurs
qui se sont occupés d'hypnotisme s'étaient bornés
our Mlle R... L... de Blois, et, pour divers autres sujets, plusieurs
auteurs
, parmi lesquels nous citerons MM. Taine et Ribot.
er des ressources nouvelles dans les expertises tendant à découvrir l'
auteur
d'une suggestion criminelle : en effet, tout ce q
re qu'elle appelle les démons. Ces démons, purs esprits, seraient les
auteurs
du mal, les inspirateurs du mensonge et c'est à c
. On a de tout temps objecté à l'Eglise que croire aux démons comme
auteurs
du mal, c'était encourir le reproche de contradic
e de contradiction, puisqu'elle admet d'autre part un Dieu comme seul
auteur
et seul principe de tout ce qui est. L'Eglise a
éatures de Dieu. Soit ! a-t-on riposté. Mais alors votre Dieu est l'
auteur
du mal ; ¡1 n'est pas l'être infiniment bon que v
tion ? Pardon, reprend imperturbablement l'Eglise. Dieu est le seul
auteur
des êtres qui ont créé le mal, mais il n'est pas
est le seul auteur des êtres qui ont créé le mal, mais il n'est pas l'
auteur
du mal. Il a créé ces êtres libres et il fallait
nes inexpliqués se produisent, qui n'ont pas Dieu, mais le démon pour
auteur
. Mais comment distinguer les faux miracles des
t, la partie vraiment rationnelle du Miracle et ses contrefaçons. L'
auteur
parvient encore à s'expliquer les suggestions à l
travaux personnels ne sauraient engager que la responsabilité de leur
auteur
. Si les expériences de M. Luys se sont heurtées à
nces, tandis que, dans les observations de M. Luys ou dans celles des
auteurs
qui l'ont imité, la Symptomatologie est excessive
ra un âge auquel la locomotion est un des plus impérieux besoins. Les
auteurs
en ont pourtant relaté des exemples. Citons, entr
econnaître, complètement réalisé. A l'Ecole normale d'instituteurs, d'
auteurs
, une classe, meublée de 4S tables, a permis de fa
ions fonctionnelles caractéristiques de ces substances. Aussi ce même
auteur
émet l'avis que la svmptomatologie est plutôt att
ubstance du corps strié, c'est-à-dire au centre thermique de certains
auteurs
. M. Lépine, d'accord avec Leichtenstern, ne voi
ui appellent des réflexions, peut-cire môme une libre discussion. L'
auteur
s'étonne du désaccord qui règne entre les médecin
De nouvelles recherches nous donnent des résultats plus complets. L'
auteur
confond les médecin» consciencieux qui, aujourd'h
s et de conclusions qui manquent, peut-cire, de précision. Ainsi, l'
auteur
affirme que l'hypnotisme est très dangereux, au p
l'hypnotiseur est un homme de science, un médecin consciencieux. — L'
auteur
aiouie : L'hypnotisme est très dangereux au point
e, parce qu'un misérable peut profaner, outrager le sujet endormi : L'
auteur
nous dit encore : L'hypnotisme fait naître dans l
des hommes et des vieillards que l'on endort sans péril de passion? L'
auteur
prétend que les magnétisés parlent des langues qu
a religion, par l'honnêteté et par la science ! Ces assertions de l'
auteur
étant contestables, la conséquence qu'il en dédui
eurs nées de l'ignorance et d'un charlatanisme vulgaire, et le savant
auteur
écrit avec raison: « Des aveux de cette nature, f
bibliographique un développement très important. Nous invitons les
auteurs
, dans le but de vulgariser leurs travaux et de fa
nt une réelle valeur. Malheureusement, on trouve encore chez quelques
auteurs
trop de tendance ù se ir.-sser entraîner par l'am
'à un âge très avancé le sommeil peut être produit plus facilement. L'
auteur
n'a jamais remarqué de troubles nerveux consécuti
maladie, et il est très rare que nous ayons complètement échoue. L'
auteur
n'a fas essayé de traiter l'asthme nerveux : j'ai
troduction a l'étude de l'hypnotisme et nous devons reconnaître que l'
auteur
a atteint son but. Le lecteur trouvera facilement
tant ces vingt-sept pages, ¦fais nous ne pouvons être d'accord avec l'
auteur
dans toutes ses assertions. S'il dit, par exemple
y. Mais, malgré ces petites critiques, nous félicitons de tout cœur l'
auteur
de son ouvrage si instructif et intéressant. Le
t. Le travail de M. le docteur de Schrenck-Notzing est excellent. L'
auteur
fait preuve d'une profonde connaissance de la lit
ire, les remèdes préventifs et curatifs. - Parmi les t-aitemtnis, l'
auteur
ne pouvait passer sous silence les excellents, ré
eur Max Dessoir. (Carl Duncker's Verlag, Berlin.) Nous invitons les
auteurs
, dans le but de vulgariser leurs travaux, à trans
s pique, vous ne le sentirez pas; (i) Dans la cceitc* perchique des
auteurs
, l'objet est vu, mais non interprété; le sujet ne
rait bon de faire disparaître. Si nous _nous conformons aux vues de l'
auteur
de la proposition, nous avons à discuter avant to
il ajoute, sans soulever à ce sujet la moindre protestation, que des
auteurs
ont décrit des convulsions, des syncope*, des par
notre distingué collaborateur M. le commandant du génie A. de Rochas,
auteur
d'un livre remarquable sur les Forces non définie
oulons parler de l'Académie des sciences, vient de récompenser quatre
auteurs
dont les travaux sur l'hypnotisme lui ont paru in
mbreux à mon gré, qui lui ont été communiqués à ce sujet, et dont les
auteurs
, après lui. sont : MM. FéSH Hément. Bernheim, Lad
de préférence aux faits complexes, et, comme le recommande l'immortel
auteur
du Discours sur la Méthode, « à conduire par ordr
s rapporté un grand nombre d'autres, tant personnels qu'empruntés aux
auteurs
français ou éirangers, dans notre publication sur
rurgie {fondation Moniyon), a accordé les recompenses suivantes à des
auteurs
ayant présenté des ouvrages se rapportant a l'hyp
lecteur et lui suggérer une pensée qui n'est peut-être pas celle de l'
auteur
. L'article de M. Delbceuf contient deux choses
du phénomène des hallucinations négatives. Ces hallucinations, dit l'
auteur
, sont le résultat apparent de la volonté dirigée
nne volonté possible, » l'expression dépasse peut-être la pensée de l'
auteur
. Si elle la rend exactement, je proteste absolume
i présente des remissions imprévues et temporaires, ainsi que les
auteurs
, et particulièrement Charcot, l'ont indiqué, dans
au début, l'emploi des moyens disciplinaires corporels est devenu, l'
auteur
l'avance et le démontre, > méthodique sous l'i
d, du bois des zagaies : celui que le coup atteint est reconnu pour l'
auteur
du mal. Dans l'Inde, pour voir en songe le sorc
plupart) qui n'ont jamais existé ailleurs que dans l'imagination des
auteurs
de ces dessins. Voici une autre expérience du m
oit ses impressions personnelles, soit les différentes partitions des
auteurs
, on sera vraiment émerveillé et surpris des resso
intéressants qui confirment pleinement l'interprétation que plusieurs
auteurs
et moi-même avons donnée de l'ancsthésie systémat
et moi-même avons donnée de l'ancsthésie systématique ; cependant les
auteurs
précédents croient réfuter notre interprétation,
ettant de continuer à l'entendre, ou de sentir son contact. Plusieurs
auteurs
ont publié sur ce point des observations détaillé
(4) Le Magnétisme animal, loc. cit. controversée pour quelques
auteurs
, aussi devons-nous* mettre notre expérience en ré
relevât. Je ne voudrais pas signaler comme acquis des faits dont des
auteurs
compétents doutent encore. «rre demi-plein a la
Ecole contre Ecole et nous avons aujourd'hui, suivant le langage des
auteurs
, une Ecole de Nancv qui est en opposition avec ce
e la Tourelle; l'exposé de la question, habilement tracé par ces deux
auteurs
, est tout en faveur des théories de la Salpétrièr
cette note ; en dépasserait certainement, je le crois, la pensée de l'
auteur
, à l'heure actuelle du moins. Une analyse littéra
erti-» tude que leur place n'est pas parmi les raisonnables (1) 1 » L'
auteur
que nous citons ne mentionné pas les jaloux dans
eur, Plusieurs personnes m'ayant assuré qne l'on me désignait comme l'
auteur
de la correspondance adressée à la Tribune, le ve
r Collineau. 25. 60, 89. 142. Attaque de sommeil, par Charcot. 216.
Auteur
d'une suggestion criminelle (recherche de I'). pa
Chiltoff. 309. Vols dans l'état de somnambulisme, 195. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Akermaa, 319. Arsonval (d
e de cas de dyslrophies endocrines, qui se rattacheraient selon les
auteurs
à des types divers, mais qui nous paraissent se
ligne de compte le rachitisme. Quoi qu'il en soit, presque tous les
auteurs
sont d'accord pour attribuer à l'augmentation d
ent en doute l'atteinte de . ' ? '...' , l'hypophyse. D'après ces
auteurs
, il s'agissait de simples déformations du type
e Lange (Philos. Stud. IV), de Wundt, d'Ach et de beaucoup d'autres
auteurs
, que nous devons les premières connaissances su
gne- 46 ., , ';WOERKOM, , ., - ? , 1; » «- ments à ce, sujet. Cet
auteur
a pu étudie ! ! la différence entre le dévelop-
expériences de Sherrington qui nous invitent à une comparaison. Cet
auteur
a pu établir que chez ces animaux DE LA DYSTONI
es plus fortes est un hystérique, XI. D'ailleurs nombreux sont' les
auteurs
qui au Congrès de neurologie de guerre ont reco
existerait une paralysie vaso-motrice ainsi localisée. - D'autres
auteurs
invoquent l'irritation d'un nerf périphérique et
n-fait bien connu. Phéno- mène assez remarquable cependant : si les
auteurs
qui ont écrit au cours du XIXB si8cle signalent
notamment retrouvé chez lui aucune des tares rPle- vées par divers
auteurs
dans des cas analogues, et dont nous reparlerons
i l'on étudie les diverses radiographies publiées jusqu'ici par les
auteurs
, on constate que l'on peut rencontrer toutes les
» de la polydactylie. A la suite de Gegenbauer, un certain nombre d'
auteurs
ont voulu voir dans la polydac- tylie un retour
se présenter sous forme isolée ou sous forme familiale. Tantôt les
auteurs
n'ont pas noté, ou n'ont pas retrouvé trace d'h
rto- lotti ; aliénation mentale dans deux cas de Parhon. D'autres
auteurs
, au contraire, ont retrouvé des antécédents ; mai
'anomalie fût aussi néanmoins con- servée. C'est là un fait que les
auteurs
ont, croyons-nous, passé sous si- lence et qui
illeurs difficile à contrôler sur les généalogies publiées, car les
auteurs
se préoccu- pent assez peu de l'ordre de primog
crit par Launois, Frôliche, etc. Toutes les objections que quelques
auteurs
soutiennent encore, en mettant en doute l'origi
pophysaire sur la polyurie du diabète insi- pide. Un grand nombre d'
auteurs
ont démontré, en effet, que l'opothé- rapie hyp
dus, indubitablement, à des défauts d'expérimentation, puisque cet
auteur
travaille sur des animaux anesthésiés et catéthér
ar- guments expérimentaux. Cette vaso-contriction serait, selon cet
auteur
, déterminée par excitation du sympathique. Stei
nous référions aux lobes moyen et postérieur ; maintenant tous les
auteurs
sont d'accord pour admettre que ces deux lobes
malades ont séjourné avant leur évacuation sur le Bon- Pasteur. Les
auteurs
ont signalé déjà ce point, notamment Batten (1),
elques mastzellen. Dans tous les cas, le liquide a été stérile. Les
auteurs
précédents n'ont non plus trouvé nul élément ba
édicale de l'Université de Lund (Suède). A différentes époques, les
auteurs
ont discuté sur la question de la syphilis comm
me origine de cette maladie ; au cours de ces discussions, quelques
auteurs
étaient plus disposés à regarder ces cas de polyn
polynévrite mercurielle ait été discutée maintes fois déjà par les
auteurs
, je traiterai aussi des observations antérieure
tion mercurielle. Je ne m'occuperai pas des opinions des différents
auteurs
émises sur la syphilis et l'intoxication mercur
t trouver superflu d'en parler ; mais en réalité, il semble que les
auteurs
aient souvent ou- 232 PETREN- blié cette loi
ne serait pas nécessaire d'en parler, s'il ne semblait pas que les
auteurs
en traitant cette question ne les aient souvent
e polynévrite par intoxication mercurielle qui sont publiés par les
auteurs
. D'abord, il faut attirer l'attention comme nom
ar les auteurs. D'abord, il faut attirer l'attention comme nombre d'
auteurs
, par exemple Raymond et encore d'autres l'ont d
ant, - DE LA POLYNÉVRITE SYPHILITIQUE OU MERCURIELLE 233 tous les
auteurs
n'ont pas assez distinctement observé cette diffé
ite des douleurs fortes d'un nerf sciati- que poplité externe), cet
auteur
n'a pas fait une distinction nette entre son ca
de polynévrite vraie, et cette erreur a été acceptée par plusieurs
auteurs
. Même chose serait à dire à propos de deux cas
s comme une polynévrite, et ils ont été depuis suivis par plusieurs
auteurs
. BuzznRn. Syphilis de 14 ans. Affection non seu
ns. Polynévrite avec des symptômes psy- chopathiques qui font que l'
auteur
regarde le cas comme un exemple de maladie de K
l'auteur regarde le cas comme un exemple de maladie de Korsakoff. L'
auteur
parle encore d'une affection du pneumogastrique e
nde partie disparus. Pendant ce temps, traitement iodo-mercuriel. L'
auteur
ne parle pas de l'alcool. Eruption syphilitique
. De plus, je fais abstrac- tion du cas de Strasser et Kraus où les
auteurs
ont pensé à la possibilité d'une syphilis héréd
n la polynévrite est une maladie commune et combien l'attention des
auteurs
a depuis nombre d'années été fixée sur la coïnci-
uë, mais d'après les progrès de notre temps, il faut comme quelques
auteurs
l'ont fait déjà auparavant accepter l'idée d'un
à ceux d'une polynévrite. Amélioration sous traitement mercuriel. L'
auteur
ne discute pas la présence d'une polyné- vrite
t de Hongkong. Pas de symptômes du côté du coeur. En conséquence, l'
auteur
n'accepte pas l'idée d'un béri-béri. Guérison r
ingite cervicale hypertrophique d'après l'opinion de la plupart des
auteurs
, est due assez souvent, ou au moins en quelques
Encore, dans le cas de Schultze les réflexes étaient conservés, et l'
auteur
même est plus disposé à accepter une affection
e accepter une intoxication due à la syphilis. C'est, ainsi que les
auteurs
en traitant celte question l'ont déjà auparavant
sidérable de mercure dans les urines est plus tard constatée parles
auteurs
. Il y avait de la diarrhée, de la stomatite inten
les symptômes de polynévrite on[ commencé. Deux mois plus tard, les
auteurs
ont constaté la présence d'une polynévrite et d'u
quelques mois sans traitement de mercure. Dans le même travail, les
auteurs
ont publié un autre cas où un malade, 4 mois ap
uiet, agité. Il a guéri après traitement d'un mois à l'hôpital. Les
auteurs
n'ont pas dit s'il fut traité par le mercure pen-
des bras. lia succombé à une pneumonie au commencement d'août. Les
auteurs
regardent ce cas comme un exemple d'une polynév
mais de sa grosse racine sensitive avec son ganglion de Gasser. Les
auteurs
ont en effet montré qu'en séparant la grosse raci
tive ou faiblesse naturelle (p. 340 à 360). 4) PATHOGÉNIE,, « Les
auteurs
se taisent sur cette maladie, soit parce 300 BE
omplexité, reste intéressante. L'objection fondamen- tale est que l'
auteur
, dans l'asthénie, n'envisage que la faiblesse mus
déatif et de la difficulté d'évocation des souvenirs. Mais tous les
auteurs
, jusqu'à ces dernières années, n'avaient-ils pas
i à 8 observations d'Oppenheim 26 observations emprun- téesà divers
auteurs
! Il distingue deux formes de dysartlirie,l'unepa
roin, Haguet, lIutinel, Ehrenberg et Forssheim. -, Selon tous ces
auteurs
, le seul symptôme absolument certain d'une hémo
uation. Cette circonstance est intéressante, parce que beaucoup des
auteurs
qui ont étudié les hémorragies méningées chez les
A l'étude de la littérature dans ce domaine, on trouve que quelques
auteurs
n'ont pas toujours appliqué ce point de vue à l
étiologique, ne figurent pas dans la discussion suivante. Nombre d'
auteurs
s'en sont du reste occupés. Comme nous l'avons dé
qui a été disséquée. Une aorte étroite a été indiquée par plusieurs
auteurs
comme un phé- nomène caractéristique de ce qu'o
- i cutée. Quant à la tuberculose, elle a été indiquée par certains
auteurs
comme un facteur étiologique important. Lafforg
ls le sang peut atteindre l'espace sous-arachnoïdien. Si quantité d'
auteurs
appellent les hémorragies méningées en général
poplexie ». Quant au traitement des hémorragies méningées, tous les
auteurs
recommandent la ponction lombaire répétée. Malg
n lombaire répétée. Malgré les expériences heu- reuses que tous les
auteurs
dans ce domaine ont fait de la valeur thérapeu-
de la pression cérébrale pendant le processus héntafo- lytique. Les
auteurs
français se servent des expressions « issue en je
des ongles et des poils dans- les syndromes d'irritation. Mais ces
auteurs
avaient en vue dans leurs descriptions les. gra
pe Aran-Duchenne par névrite interstitielle hypertrophique; le même
auteur
(3) publia en 1912 une deuxième obser- vation s
mpter les cas multiples, étudiés sous des noms' très divers par les
auteurs
dont nous rap- porterons plus loin les travaux.
de l'état thymico-lymphatique dominent. Des 83 cas observés par ces
auteurs
, 50 présentaient les caractères de l'état rappo
it avoir de J'infan- tilisme, compris de façons si diverses par les
auteurs
. D'accord avec les études très précises de Bris
die demeurant toujours la lésion essentielle. Un certain - nombre d'
auteurs
paraissent cependant envisager notre hypothèse co
lations de l'infantilisme avec la sécrétion interne du-testicule, l'
auteur
cité conclut : « Les raisons cliniques et expér
'hypercroissance des membres avec arrêt de croissance du tronc. Les
auteurs
cités excluent absolument la participation de l
eurs hypothèses pathogéniques peuvent se présenter ; la plupart des
auteurs
admettent en effet que la glande thyroïde joue le
phies endocrines, montrent le manque de raison avec lequel certains
auteurs
, parmi lesquels Falta, nient l'intervention effi-
es glandes génitales dans la production de l'infantilisme. Pour cet
auteur
, l'état en question représente un arrêt du dévelo
ns prononcés, et dépendant de causes diverses. Et plus d'une fois l'
auteur
fait allusion aux formes de passage entre l'infan
ndocrine. Quant à la dénomination de cryptogénétique employée par l'
auteur
italien, il convient de rappeler qu'elle est empl
plus concouru pour l'étude de la dystrophie génito-glandulaire. Ces
auteurs
, sous le nom de geroderma genilo-dys- trophica,
s étant spécialement notable (voir obs. VIII et XVIII). Selon les
auteurs
italiens une petite cyphose cervico-dorsale serai
râne est généralement petit, et souvent du type dolichocéphale. Les
auteurs
italiens ont l'habitude de mentionner dans le typ
ce qu'il est accompagné de néoplasme hypophysaire, est tenu par les
auteurs
comme une forme d'origine primitivement hypophy
augmentation de la selle turcique dans le type gérodermique. De là l'
auteur
lire un argument en faveur de l'existence dans
celui du gigantisme acromégalique, que maintenant presque tous les
auteurs
considèrent comme syn- drome d'hypel'pitltitari
e, p. 928. (2) Pende, op. cit, p. 931. 412 SOUZA ET DE CASTRO L'
auteur
tire alors la conclusion que le sénilisme est une
Effectivement, ni nos observations personnelles, ni celles d'autres
auteurs
que nous connaissions ne permettent de faire en
ent similaire au type eunuchoïde, c'est-à-dire aux cas auxquels les
auteurs
allemands donnent le nom d'eunucho'idisme : la
e cette nature ont été interprétés de manières diverses, quel- ques
auteurs
admettent l'existence d'une certaine débilité con
ette nature dans l'autre cas. Bien qu'accepté sans exception parles
auteurs
, cet élément distinctif ne pourra pas servir da
èrement acceptable pour tous les cas l'opi- nion de la majorité des
auteurs
, qui oppose au type eunuchoïde, dystro- phie ad
s dentelés comme il sied dans les Pays-Bas où certainement vivait l'
auteur
de la gravure ; phantaisie de la musique ou du ch
e ponction abdominale, plus impression- nante, a séduit davantage l'
auteur
de la gravure. Nous connaissons d'ailleurs d'au
nguale avec -), par Par- liON et Mlle Si' : vérin, 282. TABLE DES
AUTEURS
Athaxassio-Bénisty (Mme). Déformations de la
et TEIxBIRA-M&\DSS. Syn- drome de Dercum, 288. 458 TABLE DES
AUTEURS
NAIDIICU et RATHAUS Milles), Souques et MéGEV
t la théorie, puisque les résultats obtenus sont variables avec des
auteurs
de l'autorité de Sano, Van Gehuchten, Mari- nes
On y voit parfaitement soulignées les différences qui séparent les
auteurs
. Sano avait fait observer déjà que la figure du
au môme segment de De Neef, mais bien au 7e segment cervical de cet
auteur
. Or dans ce segment, De Neef dislingue avec raiso
l'avant-bras. Très différentes, on le voit, sont les opinions des
auteurs
sur l'origine réelle des nerfs rachidiens, et,
l'apparente simplicité de la méthode expérimentale employée par les
auteurs
précédents. Ces expériences n'ont de valeur cer
ations musculaires aux altérations médullaires. Malheureusement les
auteurs
n'ont jamais dressé le tableau exact des muscle
te époque la distribution radicu- laire était encore ignorée et les
auteurs
ne cherchaient à élucider qu'un seul point, l'o
ographie des troubles para- lytiques n'est pas encore soulevée, les
auteurs
se contentant de souligner Nouvelle Iconographi
troubles sensitifs observés dans la sy- ringomyélie et que certains
auteurs
à la distribution segmentaire de la sensibilité
anniza, Müller, Forgue, Russell, Scherrinaton, Thornburn, etc., les
auteurs
nous donnent des tableaux variables de l'innerv
seur Raymond et par Déjeiine(Séiiiéiologie du système nerveux), cet
auteur
fait d'ailleurs aussi participer la VIlle cervi
la. pathologie humaine les résultats, d'ailleurs variables avec les
auteurs
, donnés par la méthode expérimentale. Nous avon
l'état de la contractilité électrique. Par contre, d'après certains
auteurs
, les altérations quantitatives se compliqueraient
al nous paraît venir à l'appui d'une théorie soutenue par plusieurs
auteurs
dont nous avons eu l'occasion d'analyser récemm
ce pro- cessus, fait qui ne nous a paru jusqu'ici signalé par aucun
auteur
. 1 NOUVELLE Iconographie de la SALPÊTRIÈRE, T.
ché. Il était curieux de signaler ces modifications d'altitude. Les
auteurs
ont donné des explications un peu différentes d
NNE A ce point de vue si particulier nous avons pu relever dans les
auteurs
français quelques cas comparables à ceux que no
ue a encore con- servé une certaine force musculaire ; Gowers est l'
auteur
qui a le mieux distingué ces deux variétés de d
culaire. » Cette théorie a été géné- ralement acceptée par tous les
auteurs
et appliquée aux déformations par atrophie musc
sation de l'atrophie, caractéristique pour les cas décrits par les
auteurs
précédents, se distingue beaucoup de la localisat
té fixée arbitrairement, et à des niveaux variables, par différents
auteurs
, anatomistes ou méde- cins. En m'inspirant de c
s et très peu visi- bles. Est-ce pour cette raison que beaucoup d'
auteurs
faisant habituellement des coupes frontales n'o
ution conjonctive mar- quant l'artère qui vieillit normalement. Ces
auteurs
eux-mêmes mettent en garde contre la confusion
bien et prend lui aussi une forme plate et allongée, Les différents
auteurs
ne sont du reste pas d'accord sur la constitution
ntient pas d'éléments. « Les dimensions de cet espace, disent t les
auteurs
, sont plus ou moins larges... Mais il est un fait
'avons jamais observé d'images semblables à celles décrites par les
auteurs
et reproduites dans le compte rendu de leur commu
constater l'inégalité des parois lacunaires. Mais il y a plus : ces
auteurs
ont décrit une membrane qui limiterait la cavit
erches ce sujet nous ne l'avons pas rencontrée. Malheureusement ces
auteurs
ne s'expli- quent pas sur la nature de cette me
des conditions un peu différentes de celles que nous signalent ces
auteurs
. Elles nous ont paru siéger indifféremment dans
discuté la nature de la membrane ptérygoïde (Flllghallt- bildun des
auteurs
allemands) qui s'étend, chez ce sujet, de la deux
ll" 1890. 136 SOUQUES que fort juste qui a été faite par tous les
auteurs
qui se sont occupés de cette question. Le malad
t est encore plus élo- quent : un enfant nouveau-né, observé par un
auteur
allemand, présentait une excavation thoracique
rnant le port des jambes et des pieds ». Dans ces deux chapitres, l'
auteur
considère surtout la valeur esthétique de l'aff
en 1840 avait décrit paraplegia spastica cerebralis, tandis que les
auteurs
antérieurs en faisaient des affections médullaire
« Peut-être s'agit-il là d'une métaphore, à la faveur de laquelle l'
auteur
se sert des termes subjectifs au lieu des terme
ité sem- xv il z BONNIER ' ble avoir été totalement oubliée des
auteurs
et, au lieu de reconnaître que la variation des
s nous renseigner sur elles} ? - « Supposons maintenant, continue l'
auteur
, que nous ayons remarqué qu'à la sensation arti
s dangers de la logique appliquée à la psychologie. Il y a pour ces
auteurs
des sensations primitives de mouvement, elles seu
toujours aussi sage, mais ce prix on garde le mot. Et néanmoins les
auteurs
partisans du sens musculaire s'écartent hien pe
. Henri, je pouvais trouver que, au moins dans l'esprit de certains
auteurs
, le sens musculaire avait pour objet de sa conn
dans ses rigides représentations. - Je conçois que, comme le dit l'
auteur
, « le plus souvent elles échappent à notre atte
ia- bles de l'espace infini. C'est sur elles que reposent, montre l'
auteur
, les bases naturelles de la géométrie d'Euclide
et l'orientation psychique. Bien que la sensation, d'après certains
auteurs
, n'ait rien à faire avec l'es- pace, et qu'elle
ne gravure de la seconde moitié du XVIIe siècle, sans attribution d'
auteur
, que nous avons trouvée au Cabinet des Estampes
aises que je citerai tout d'abord. La première (fig. 3), sans nom d'
auteur
, peut être attribuée à la pre- mière moitié du
le collet de sa chemise et qui, suivant loute proba- bilité, est l'
auteur
de tout le mal. Nous sommes loin ici des consul
iés ne présentent pas les ramifications fibrillaires que figure cet
auteur
, on est donc forcé d'admettre qu'il s'agit dans
IIasl;o- wec et qui nous permet de discuter l'interprétation de cet
auteur
. Cet homme de 42,ans, Rui..., vient d'être assi
ue peu sérieuses ont été tentées sur les quelques cas observés. Les
auteurs
, qui jusqu'ici ont eu l'heureuse occasion d'étudi
ans ce travail on trouve résumées toutes les communications que cet
auteur
a faites à plusieurs sociétés savantes de la Fr
e et de l'étranger. On trouvera les principales communications de cet
auteur
soit dans les Bulletins de l'Académie de médeci
e aucun chiffre. Ajoutons encore, pour compléter les données de cet
auteur
,que le pont d'union avait une longueur de 4 centi
a respiration, le pouls, la température conser- vaient au dire de l'
auteur
leur indépendance biologique comme dans notre c
ace de ces cicatrices anciennes, d'aspect astéroïde, que différents
auteurs
ont décrites sur les faces externes de ces membre
-e). Parmi les ectromélies, on distingue, tou- jours depuis le même
auteur
: les ectrodactylies, caractérisées uniquement
'ouvrage également récent de Klaussner (2), que n'ont pas connu les
auteurs
précédents, un chapitre est consacré à celte ma
L'absence du péroné a été bien étudiée par Kirmisson et de nombreux
auteurs
allemands (Brautigam, Kummel, etc.). Ces travaux
areste, a été attaquée dans ces derniers temps par Frieben (1). Cet
auteur
a attiré l'attention sur l'importance de l'héré
hement. Il semble cependant rai- sonnable d'admettre, avec tous les
auteurs
qui se sont occupés de cette question, que cett
'autre part, la ' méningite a été signalée fréquemment, et quelques
auteurs
lui ont accordé une importance de premier ordre
eure, dénommée par Nageotte le nerf radiculaire, qui seraitpour cet
auteur
le siège de prédilection de lé- sions interstit
chromate. Mais cette lacune est comblée par les travaux de nombre d'
auteurs
dont les recherches ont préci- sément eu pour o
pannungs-Irresein). Le stade initial, d'après la description de cet
auteur
, est un stade de dépression mélancolique à marc
rovoquer une réaction, elle-même exagérée. C'est ainsi que nombre d'
auteurs
pensèrent qu'il ne fallait voir dans la catato-
n des points capitaux sur lesquels devait insister Kroepelin. Cet
auteur
(S) s'est attaché en effet à établir que l'issue
on doit entendre sous ce nom de syndrome catatonique. Pour certains
auteurs
, la catatonie, l'état catatonique, le catatonisme
u. Un autre symptôme important, car il constitue même pour certains
auteurs
(Sommer) la ten- dance fondamentale d'où procèd
r évolution et leur symptomatologie, avec le type clinique dont cet
auteur
avait voulu faire une entité morbide distincte.
e peut être admise actuelle- ment. La première observation de ces
auteurs
concerne une jeune fille de 16 ans, opérée à l'
ctieuses, c'est-à-dire des exostoses par ostéite. Sans doute, les
auteurs
précités font remarquer que les différences entre
presse, nous apprenons avec un bien vif chagrin, la fin subite de l'
auteur
de cet article. M. ROBEPT GerEn, par sa remarquab
ccen- tuera les regrets causés par la disparition prématurée de cet
auteur
d'avenir.] Au Japon, comme partout ailleurs, le
rouri. Il eut un contemporain également célèbre, Takemoto Tcikougo,
auteur
de 90 drames. Mais, il est une oeuvre populaire
la « paralysie agitante ». Il est bien fait allusion, par tous les
auteurs
, à l'attitude « penchée en avant» que présentent
sentant la même affection. « Il nous a paru intéressant, disent ces
auteurs
(1), de signaler, chez nos spasmodiques,ce tort
e course de deux ou trois kilomètres ». Leçons 93-9, p. Il. (2) Les
auteurs
ne signalent, en général, que l'état des réflexes
ues (Vizioli, Musso, Massalongo, Ormerod, Smith). Ces deux derniers
auteurs
ont trouvé les réflexes conservés à un premier ex
encore vous signaler certaines secousses muscu- laires que quelques
auteurs
appellent « tremblements fibrillaires »,bien qu
ir aussi p. 429 note (2), pour l'indication des autres travaux de l'
auteur
. 416 THOMAS ET HAUSER donné, augmentation du
- nevrite d'autre part, ont-elles le caractère de constance que cet
auteur
leur a attribué ? Nous ne le pensons pas. Bien
nels confirment pleinement les résultats obtenus par les précédents
auteurs
et dans la plupart de nos séries de coupes l'atro
enberg (2), Stroebe (3), Redlich (IL). Les lésions décrites par ces
auteurs
portent sur la configuration générale de la cel
Juliusberger et Meyer (2), Marinesco (3) ; tandis que les premiers
auteurs
n'ont pu ainsi déceler aucune modification de la
ppor- ter ici des faits concluants : en tout cas, les résultats des
auteurs
précédents ne sont pas de nature à faciliter la
En effet, si l'on consulte les résultats obtenus par les différents
auteurs
, et basés sur diverses méthodes de recherches,
la racine postérieure et du bout périphérique ; or les opinions des
auteurs
à ce sujet sont des plus discordantes ; , .. ai
ehuch- ten et Nélis, tendent à modifier l'opinion sur ce point. Ces
auteurs
ont en effet démontré que la section du bout ce
t au moment de la chute épithé- liale (Renaut) (1). D'après le même
auteur
non seulement les nerfs végètent par leur extré
les phénomènes biologiques de la cellule nerveuse. Pour d'autres
auteurs
, ce n'est pas dans le ganglion rachidien, mais su
siège et la nature des lésions décrites par Nageotte(2) ; quelques
auteurs
les ont également considérées comme des lésions
il a décrite présente des aptitudes pathologiques spécia- les ; cet
auteur
reconnaît d'ailleurs qu'indépendamment du tabes e
ces faites dans les mêmes conditions normales pour le même sujet (l'
auteur
), entre 143 et 150 kilogrammètres. La comparais
tion avec une localisation iden- tique. D'après la description de l'
auteur
ce cas appartient évidemment à l'amyotrophie ty
usement ensemble pour donner un éloquent symbole de la Maladie. L'
auteur
du tableau, dont je présente aux lecteurs une rep
a description du faisceau cérébelleux des- cendant qui, suivant les
auteurs
, proviendrait en partie du cervelet, en par- ti
P. Q). Après un grand nombre d'hypothèses émises par les différents
auteurs
sur le trajet des cylindraxes des cellules oliv
n ou- tre, du côté de la lésion, une perte du sens musculaire que l'
auteur
met sur le compte de la lésion du faisceau céré
ie de l'ataxie tabétique. Dans l'observation de Hun, il est vrai, l'
auteur
a noté la perte du sens musculaire et l'exagérati
i ne nous parait pas avoir été mis suffi- samment en valeur par les
auteurs
qui se sont occupés de la question. C'est pourt
es descriptions de ce genre. Le plus intéressant serait de voir les
auteurs
faire une revision de leurs cas, comme nous l'a
dale (1) : « Sur le sujet dont je vais décrire le squelette, dit cet
auteur
, on ne sait rien, sinon qu'il naquit dans le Ke
ce sujet, je l'appellerai le Géant Américain » (2). Et plus loin, l'
auteur
ajoute : « Il est probable que le géant américa
s été, jusqu'à présent,pratiquée d'une façon systématique. Quelques
auteurs
y ont eu recours cependant pour établir les rap
es os, était beaucoup moindre que dans la forme mas- sive. Pour cet
auteur
, de semblables constatations faciliteraient la di
ons normales de cet organe- « Chez quelques géants, ajoute encore l'
auteur
de l'histoire des anomalies, l'érection est même
arnier et Santenoise ont publié une note sur le « cas (1) Chanceux,
auteur
d'un Traité des extrêmes ou Éléments de la scienc
en connue, de vouloir bien pratiquer cette recher- che. D'après cet
auteur
, trois signes seraient caractéristiques du crâne
PAOTRED AU ZABAT PAR A. DUCREST DE VILLENEUVE. Presque tous les
auteurs
d'anecdotes, et les peintres de moeurs breton-
ho- tograv, 6 traces), par Vaschide et VUR- pas, 247. TABLE DES
AUTEURS
ALLARD (FÉLIx). Myopathie avec réactions élec
nographi- ques relatifs aux myopathies (1 pl.), 27. 602 TABLÉ DES
AUTEURS
(IL.) et 13o.n (L.). Les pierres de vessie en
e qu'elle soit, a été cependant singulièrement exa-gérée par quelques
auteurs
, plus préoccupés, évidemment, du côté spéculatif,
d'obtenir. J.-M. Charcot. 31 décembre 1880. INTRODUCTION Les
auteurs
ont distingué deux formes principales d'hystéro-é
lecteur. Une description méthodique de cette névrose, que tous les
auteurs
se sont accordés à considérer comme un Protée ins
ion de la grande attaque hystérique et la description que donnent les
auteurs
de l'attaque d'hystérie vulgaire termine cette pr
e font en-tendre que d'un seul côté, ont été signalées par les divers
auteurs
. Baillarger parle d'une femme atteinte de monom
mples d'hallucination des organes génitaux ne sont pas rares dans les
auteurs
. Elles acquièrent parfois une violence extrême, e
u globe hystérique (deuxième nœud). » En ce point s'arrête dans les
auteurs
la description des irra-diations ascendantes qui
chez les hystéro-épilep-tiques et le fait a déjà été signalé par les
auteurs
. Ainsi Willing et Turk ont constaté qu'une pressi
onnu depuis longtemps pour ce qui est de la pression ovarienne. Aux
auteurs
qui ont prétendu que la compression ovarienne arr
nt la contracture de la face et le rictus spécial sur lequel tous les
auteurs
qui ont traité du tétanos ont insisté, et que Ch.
les yeux fermés, elle récite de longues pièces de vers de différents
auteurs
, Musset, Lamartine, etc., sans faire aucun geste,
ue. Les urines abondantes et claires ont été signalées par tous les
auteurs
. Pour Sydenham, l'urine claire est un signe patho
al, si fréquemment observée à la fin des attaques d'hystérie, que des
auteurs
ont considéré comme un sperme féminin 2 ». « Un
ranger. III. Observations puisées dans les annales de la science. —
Auteurs
étrangers I Observations nouvelles recueillie
t des attaques qui se montrèrent très violentes pendant trois mois, l'
auteur
est assez bref. On y reconnaît cependant quelques
inciput et les talons, et on pouvait ainsi la porter. » Plus loin l'
auteur
ajoute que vers la même époque, « les fonctions c
s ses confidences imprudentes, on ne se doute-rait jamais qu'il est l'
auteur
du larcin. Pendant cette phase de la maladie, l
t toujours été. L'interpré-tation des faits seule change. Les anciens
auteurs
ont eu sous les yeux des cas d'hystérie semblable
que. — Catalepsie qui dura sept jours... etc. Au sujet des crises l'
auteur
s'exprime ainsi : « Les convulsions n'avaient l
alors peuvent apparaître les symptômes de compression cérébrale. Les
auteurs
parlent d'un état de syncope ou de coma qui aurai
ressante à constater dans ce cas, car, contrairement à l'opinion de l'
auteur
, il est fort probable, sinon certain, qu'il en ét
variétés somnambuliques de l'attaque d'hys-téro-épilepsie. QUELQUES
AUTEURS
ÉTRANGERS. Les auteurs étrangers qui ont écrit
e l'attaque d'hys-téro-épilepsie. QUELQUES AUTEURS ÉTRANGERS. Les
auteurs
étrangers qui ont écrit depuis peu sur la matière
iration abondante et la respiration fréquente et irrégulière... » L'
auteur
signale ensuite quelques modalités de l'attaque s
ments nombreux qui exis-tent entre notre description et celle que Jes
auteurs
ont donnée de l'hystérie vulgaire, qu'on ne saura
lète, et nous pouvons dire que, dans son hystérie épi-leptiforme, cet
auteur
n'a vu que la période épileptoïde de la grande hy
tes les manifestations hystériques. Les descriptions2 de ce dernier
auteur
, qui observa longtemps à la Salpêtrière, ont un c
s-térie, tout signe épileptique. « Je ne crois pas, avec beaucoup d'
auteurs
, que l'attaque hystérique puisse exister encore l
se rencontrent dans l'attaque d'hystérie vulgaire, l'opinion du même
auteur
est facile à déduire du passage suivant qui a tra
nsuite les phénomènes nombreux et variés qui ont été observés par les
auteurs
: car si nous voulions les offrir à la fois à l'a
l la faut pour caractériser la véritable hystérie....» Plus loin, l'
auteur
, sous la rubrique variations, indique les prin-ci
ent dépasse les dents, et bientôt l'écume s'écoule abondamment. » L'
auteur
croit, dans ces cas, à l'existence simultanée des
et sensoriaux qui caractéri-sent la troisième et quatrième période, l'
auteur
qui les a déjà indiqués sommairement dans la desc
érie vulgaire par quelques citations empruntées aux ouvrages des deux
auteurs
modernes dont l'autorité en matière d'hystérie es
eule la plusgrande partie de l'attaque d'hystérie vulgaire. Aussi les
auteurs
la décrivent-ils longuement. Voici la description
une sécrétion abondante de mucus vaginal, qui a été signalée par les
auteurs
anciens. » En résumé, les attitudes passionnell
combinées ou grande hystérie. Dans toutes les descriptions que les
auteurs
nous ont laissées des attaques de la petite hysté
e toute le monde les entend, nous avons vu, dans les descriptions des
auteurs
, que les signes épileptoïdes, aussi bien que les
ote, auquel on attribue une influence extraordinaire sur le sang. Cet
auteur
parle d'une femme dont l'ob-servation est citée p
PAR MODIFICATION DE LA PREMIÈRE PÉRIODE. ATTAQUES ÉPILEPTOÏDES Les
auteurs
qui ont décrit l'attaque d'hystéro-épilepsie se s
ialion est encore rendue plus facile par l'examen d'inie figure que l'
auteur
a jomte à sa description. Sur ce dessin on remarq
écia-tion plus juste d'une foule d'accidents nerveux bizarres que les
auteurs
jusqu'ici se sont contentés de ranger, sous des d
s d'éther. Parmi les observations d'extase que l'on trouve dans les
auteurs
, un grand nombre présente tous les caractères de
fréquemment associé à des phé-nomènes morbides de diverse nature. Les
auteurs
ont distingué entre l'extase profane, l'extase my
en..., les attaques de crucifie-ment de Ler... rapportées par le même
auteur
. Crucifiement. —Les attaques dont nous avons pa
xtase délirante, on se rappelait involontairement la manière dont les
auteurs
dramatiques ont représenté la folie sur le théâtr
insi qu'on le peut voir par l'intéressant récit que nous a laissé cet
auteur
. Dans le village de A^oray (Haute-Saône), à 12
e par immixtion de symptômes cataleptiques, l'étude des faits que les
auteurs
ont désigné du nom d'extases cataleptiques. 1.
'attaque d'hystérie accompagnées de délire ne sont pas rares dans les
auteurs
. J'en choisis quelques-unes parmi celles qui m'on
urs qui y a insisté avec raison, cr Le naufrage des facuftés, dit cet
auteur
, n'est complet que dans des cas exceptionnels et
altation de l'intelligence. —• Ce fait qui a été signalé par tous les
auteurs
, se rapproche de ce qui se passe dans l'état de s
eunes gens, les gestes elles discours les plus inconvenants. Tous les
auteurs
en ont rapporté d'analogues. 1. Voy. p. 228.
les jours qui précèdent ou suivent les grandes atta-ques. Tous les
auteurs
se sont plu à insister, comme il convient, sur la
ntradictions qui se rencontrent dans les descriptions des diffé-rents
auteurs
^ D'un autre côté, l'hypnotisme ne reconnaît po
on-server fattitude qu'on leur imprime. C'est bien là ce que tous les
auteurs
ont décrit sous le nom de catalepsie. Et la malad
ûmherg, i 636), qui l'avait empruntée à un ou-vrage publié sans nom d'
auteur
, par un Français. Sur l'état cataleptique chez le
t tous l'attitude qu'ils avaient au moment de la mort. La plupart des
auteurs
qui ont cité Cardan, et particulièrement Schdling
un degré variable de rigidité musculaire, qui a fait comparer par les
auteurs
la sensation que l'on éprouve, en déplaçant les m
eptiforme, qui accompagne souvent la léthargie hysté-rique et que les
auteurs
ont toujours confondu avec le premier. Nous donne
e que nous avons décrit : « J'ai reconnu maintes fois, ajoute le même
auteur
, qu'en frictionnant un œil on fait cesser la cata
cyclopédie de Todd par l'éminent physiologiste Carpenter. » Le même
auteur
ajoute plus loin : « La plus importante et la p
sse doivent être choisies pour cette recherche spéciale K » Le même
auteur
dit un peu plus haut que la catalepsie ainsi cara
cit., p. 493. 2. Celle anesthésie a été signalée par la plupart des
auteurs
qui se sont occu-pés de la question de l'hypnotis
e seule paupière ou les deux. La plupart des cas rapportés dans les
auteurs
sous le nom de som-nambulisme hystérique, sommeil
eil hystérique et de catalepsie. Dans ces derniers cas rangés par les
auteurs
parmi les attaques catalepti-ques, l'état du musc
te de la confusion qui règne dans les observations de cata-lepsie des
auteurs
et de la multiplicité, en même temps que de la di
t la ma-lade ^ 5" Les faits d'hyperesthésie des sens, ainsi que les
auteurs
en ont rapporté des exemples, ont été rares. Néan
t (p. 403) deux exemples. On en trouve un assez grand nombre dans les
auteurs
-. 12" Possibilité par la pression oculaire de
que de léthargie simple (attaque de sommeil, attaque de léthargie des
auteurs
). 2° Attaque de léthargie avec mort apparente. 3"
e considérable d'hystériques que Briquet a été à même d'observer, cet
auteur
n'a rencontré que trois cas d'hystérie avec des a
E DE PHÉNOMÈNES CATALEPTIFORMES Beaucoup de faits rapportés par les
auteurs
sous le,nom de ca-talepsie, nous paraissent bien
ous aurions pu facilement multiplier, avoir montré que les récits des
auteurs
sont d'accord avec les faits que nous avons obser
compliquer quel-quefois, mais qui ne se confondent jamais. Quelques
auteurs
au contraire ont pensé que non seulement l'hystér
e catalepsie, symp-tôme de vapeurs, métamorphose nouvelle, dont aucun
auteur
, que je sache, n'a fait mention. Les doigts, les
nous conduit tout naturellement à l'examen des faits décrits par les
auteurs
sous le nom d'extases cataleptiques. Nous trouv
, et que, dans la plupart des observations d'extase cataleptique, les
auteurs
se sont contentés de signaler l'immobilité de tou
éléments nouveaux en rapprochant des faits d'extase cataleptique des
auteurs
, les observations qui précèdent et les expérience
e, la malade n'avait jamais pré-senté aucune attaque convulsive, et l'
auteur
, au chapitre du dia-gnostic, prend soin d'élimine
familiers. D'autres tableaux de plus en plus complexes et dont les
auteurs
sont de plus en plus nombreux, se succèdent alors
aussi l'influence du souvenir sur la nature des hallucinations. « L'
auteur
, rapporte M. Brierre de Boismont, esprit féminin,
ont été étudiés et ana-lysés avec soin par le Moreau (de Tours). Cet
auteur
, dans son 1. Cité par Brierre de Boismont, des
ie. Il me suffira de les énoncer, tels qu'ils ont été classés par cet
auteur
. Ils sont au nombre de huit. 1" Sentiment de bo
lothérapie, dont je dirai un mot au chapitre iu traitement. du même
auteur
, on remarqua bientôt que les applications élec-tr
fait des oscillations consécutives dans les cas d'héniianesthésie,un
auteur
allemand, le Di^Th. Rumpf (de Dusseldorf) a publi
tion d'intensité. Voici le récit des expériences instituées par cet
auteur
: Sur deux points symé-triques des avant-bras on
facilement appréciable, la contracture permanente. Ainsi, d'après ces
auteurs
, il convient de ranger dans la première classe to
aud, jusqu'à plus ample informé, croit devoir rejeter la division des
auteurs
, et à la catégorie des hémiplégies flaccides de l
racture latente. Il base son opinion sur la rareté reconnue par les
auteurs
de l'hémiplégie flaccide (Bouchard sur 32 cas ne
ui de cette opinion un certain nombre d'observations puisées dans les
auteurs
. Mais on ne sau-rait conclure de là que toutes le
J'ajouterai quelques mots au sujet de 1' « attention expectant » des
auteurs
anglais. Dans la seconde partie je traiterai sp
a fantaisie et le caprice. De r « expectant attention ». Quelques
auteurs
anglais ont voulu trouver l'explication des résul
ex-pectant attention » existe dans l'hystérie, ce n'est pas là où les
auteurs
anglais ont voulu la trouver. L'objection de \a
tous les signes sur lesquels insistent avec raison la généralité des
auteurs
au sujet du diagnostic différentiel de l'hystérie
'apparence de la véritable épilepsie. Le nom lui-même indique que les
auteurs
ont entendu désigner par là un état mixte tenant
ie d'hystérie et partie d'épilepsie. C'est le cas de rappeler que les
auteurs
ont distingué deux formes d'hystéro-épilepsie. L'
e M. Gharcot, nous n'avons rien observé de semblable, et que dans les
auteurs
qui ont traité spécialement de l'épilepsie, nous
-lement : c'est le dépérissement physique et la démence. ^ Tous les
auteurs
qui ont traité de l'épilepsie ont insisté sur les
rte de Pythagore qu'il traitait les maladies par la musique. Le m.ême
auteur
dit qu'en chantant sur certaines parties doulou-r
le nom de métallothérapie interne. La métallothérapie externe du même
auteur
consiste dans l'emploi répété et exclusif des app
térisée, se confondant avec une des formes de l'hystéro-épilepsie des
auteurs
, se rattachant par des liens étroits à l'hystérie
e rapprochements légitimes, de saisir la véritable signification. Des
auteurs
autorisés ont déjà entrepris, sur quelques points
er dans la discussion de la cause surnaturelle attribuée par quelques
auteurs
à tous ces accidents. Je n'ai d'autre intention
ce, un certain nombre de citations puisées, pour la plupart, dans les
auteurs
contemporains des faits dont il s'agit, aussi bie
ner ici un certain nombre d'extraits, puisés pour la plupart dans les
auteurs
du temps et indistinctement parmi les défenseurs
e par les zones hystérogènes, aux endroits où, d'après le dire de cet
auteur
, les diables avaient élu domicile. Liste des re
incrudité ^ ». « Le personnage de Démoniaque, dit plus loin le même
auteur
, les fatiguait, et dans les accès de leur mauvais
les dans le corps des dites possédées ; 2° faire connaître le sorcier
auteur
de tout le mal (ou sait quel sort l'attendait); 3
possession, qid faisait tant de bruit dans le royaume et au dehors. L'
auteur
de la relation imprimée à Poitiers rapporte : « q
L'exemple suivant est encore fort remarquable à ce point de vue. (L'
auteur
de la relation dit) «... que la mère Prieure étan
acilement provoquées chez les hystériques. (Voy. p. 364 et suiv.) L'
auteur
de la relation dit « que Monsieur étant venu aux
ucinations et des accès délirants. Je relèverai dans les écrits des
auteurs
du temps un certain nombre de 1. Les premiers s
ombre de 18, furent exorcisées dans le but de découvrir les sorciers,
auteurs
de la possession. Les démons désignèrent le père
ages et fureurs étranges.....^ » La scène suivante, racontée par un
auteur
égaletneiit convaincu de la réa-lité de la posses
e démon vomit force blasphèmes par la bouche de la fille » Un autre
auteur
dépeint ainsi les convulsions. « ... Durant ces
qui avait déclaré avoir encore quelque chose à me dire (c'est le môme
auteur
qui parle), me suivit jusques auprès du grand aut
une heure ou plus 'K » Dans un autre exorcisme rapporté par le même
auteur
, on retrouve le même état décrit avec les mêmes e
rapide de la maladie. L'exaspéra-tion contre les prétendus sorciers,
auteurs
du mal, croissait dans la même proportion. L'un d
miracles soulevèrent l'incrédulité générale qui se(( déchaîna, dit un
auteur
du temps, dès le commencement, de vive voix, et p
te convaincu, qui étudie la question au point de vue physiologique, l'
auteur
du Naturalisme des convulsions : .....Mais enco
que devait porter le principal effori de Tépreuve de la planche; les
auteurs
du temps ont soin de faire remarquer que le ventr
été converti par centaines et par milliers. 11 semble, dit le même
auteur
, que Dieu par le réveil de ferveur dans les États
erveux que les secousses dont il s'agit. « Une jeune femme, dit notre
auteur
, tournait comme une toupie pendant environ une he
açaient le spectacle qu'on vient de décrire, et tombaient évanouis. L'
auteur
de la lettre pense que le chaos de la lourde Babe
lle assistaient à cette indigne cérémonie. » Ce que raconte le môme
auteur
touciiant les camp-meelings, n'est pas moins inté
, retentissait de lamentations et de cris tels, qu'ds rappelaient à l'
auteur
les descriptions qu'il avait lues des champs de b
x est de voir plus loin sous la rubrique « aspects mentaux », le même
auteur
citer 1' exaltation de la mémoire et de l'imagina
au nombre des manifestations ordinaires de l'aliénation mentale. L'
auteur
anglais résume ainsi les symptômes observés : L
ons puisées dans les annales de la science............ 229 Quelques
auteurs
étrangers...................................... 2
ndispensable. C'est dire qu'elle sera libéralement ouverte à tous les
auteurs
qui publieront sur ce sujet des travaux inspirés
mp de la conscience. « Je suis presque toujours, écrit encore le même
auteur
, comme dit M. Deleuze en parlant du somnambulisme
d'actions intelligentes simultanées ! Je ne compte pas, comme fait l'
auteur
, les battements du cœur et les mouvements de la r
t à la notion des actes automatiques et subconscients, que beaucoup d'
auteurs
ne peuvent la décrire qu'en se servant de l'hypot
ve l'occupent ensuite. Dans le chapitre qui suit, sur l'écriture. l'
auteur
met en relief les dangers que fait courir à la re
s procédés proposés à titre de remède. Trop communément, au sens de l'
auteur
, on pèche par ignorance : . En général, dit-il, i
cupent les deux chapitres qui suivent. Au point de vue pédagogique, l'
auteur
fait le tableau, puis montre les causes et les co
d'accord, en ceci, avec les doctrines de la Revue de l'Hypnotisme, l'
auteur
conclut à l'urgence d'une réglementation précise
dizinische Buchhandlung, 1880, 279 p. in-8°. plusieurs reprises,cet
auteur
a appelé l'attention des médecins allemands sur l
ues. Sans doute, il y a des points où l'on n'est fait d'accord avec l'
auteur
; mais toujours il expose et défend ses thèses ave
e est discuté. L'n des chapitres les plus intéressants est celui où l'
auteur
traite de la simulation. Les différences entre le
n. Les différences entre les deux écoles sont exposées avec clarté; l'
auteur
nie que la question de simulation sépare les part
ÉRILLON Grâce aux recherches successives d'un nombre considérable d'
auteurs
, et en particulier de Landouzy (2), Briquet (3),
te. Aussi n'est-ce pas sans étonnement que nous avons vu quel- ques
auteurs
s'attarder à discuter la valeur thérapeutique de
cette indication. Cependant, malgré l'évidence des faits, quelques
auteurs
persistent à affirmer que la suggestion hypnotiqu
qui peut plus peut moins » ne semble pas devoir, aux yeux de quelques
auteurs
, trouver ici son application. Le principal argu
ne se soient pas assez préoccupés de ces troubles mentaux. Dans aucun
auteur
on ne trouve formulée d'indication thérapeutique
lequel Ricord. le premier, puis Baumes, Zambaco, Lancereaux et autres
auteurs
ont appelé, chacun pour Mr pan, l'attention. De m
restée muette sur la question d'excuse tirée de l'état d'ivresse de l'
auteur
d'un crime ou d'un délit; elle a été plus ou moin
ou à frapper son imagination, comme cela est recommandé par quelques
auteurs
, l'hypnotisme peut devenir un véritable agent rév
utôt l'état morbide même. Comme contre-indications principales, les
auteurs
signalent la crainte in-surmoniable du sujet en t
bien plus important que l'anthropologie pour nous aider à classer les
auteurs
des attaques à la propriété, les escrocs, les vol
au lieu de l'envisager comme seul indice du pouvoir malfaisant de son
auteur
. Mais, conclut-il, pour sortir rapidement des obs
es aussi absolues, les observations particulières consignées dans les
auteurs
mentionnaient quelquefois la conscience de l'état
éristique de folie avec conscience, et, depuis cette époque, tous les
auteurs
français et étrangers ont admis que la conscience
e que Morel a décrit sous le nom de délire émotif, de ce que d'autres
auteurs
ont étudié sous le nom de folie avec conscience,
l n'en est plus de même dans un grand nombre de cas rapportés par les
auteurs
français et étrangers, et qui sont maintenant bie
de l'hypnotisme faisant tous les frais du phénomène. D'ailleurs, des
auteurs
dignes de loi en ont cité des exemples. Le docteu
de l'organisme ; mais cette action est mal connue, les assertions des
auteurs
sur la valeur thérapeutique de ces diverses métho
ce dernier joue daas l'harmonie des traits un rôle prépondérant, et l'
auteur
constate, non sans regrets, que le proverbe qui d
?hi ,cne ??s tene crianza (celui qui a du nez a de la politesse). L'
auteur
entrevoyant un grand avenir à la science du nez,
s vive surprise en constatant qu'un appareil avait été appliquée. L'
auteur
, qui relate en même temps plusieurs observations
us qu'on puisse supposer le malade lui-même assez insensé pour être l'
auteur
des accidents par auto-suggestion ? Mais ce serai
le pas, c'est certain, à l'hystérie commune, à L'hystérie des anciens
auteurs
(c'est ainsi que les crises nerveuses font défaut
e je lui taisais une question relative à la scène dont il avait été l'
auteur
coupable, se mît à balbutier cr qu'il n'était pas
cun ce sentiment n'est inné ; il n'est que le fruit de l'éducation. L'
auteur
italien a longuement montré combien lus enfants s
t criminel, faites a l'Académie des sciences morales et politiques. L'
auteur
essayait de montrer, par des expériences, qu'on a
e là cette conséquence, que, un crime, étant commis par suggestion, l'
auteur
du fait matériel devrait être tenu pour irrespons
ur du fait matériel devrait être tenu pour irresponsable, que, seul l'
auteur
de la suggestion devrait être recherché et puni.
développé depuis dans un ouvrage ou. plus libre dans sa discussion, l'
auteur
a apporté des vues nouvelles, des arguments compl
stion des actes criminels, il pourra arriver qu'on ne connaisse pas l'
auteur
de la suggestion. Comment s'y prendra-t-on pour l
sur les moyens auxquels on rourra recourir pour constater : i* que l'
auteur
du fait délictueux est hypnotisable ; 2° qu il l'
ésenter dans les expertises médico-lègales en matière d'Hypnotisme. L'
auteur
de la suggestion criminelle a pu, il a du plutôt,
prévenu, en vertu de l'ordre reçu, ne dénoncera jam-is directement l'
auteur
de la - suggestion, il faut faire en sorte de le
ui-même. On pourra faire ainsi au t-ujet hypnotique, relativement a l'
auteur
, quel qu'il soit, de la suggestion de crime, tout
ns les moments qui précèdent le délire tranquille ou loquace, que cet
auteur
compare avec raison au somnanbulisme actif, est u
on lui reprochait ses crimes et ses folies. Faute de découvrir les
auteurs
de ces libellés, sa colère tomba sur toute la pop
ns pédagociques, il est curieux de faire une incursion dans les vieux
auteurs
et d'y rechercher comment ils envisageaient la qu
ce titre, nous reproduisons un chapitre de la Pathologie de Gaubius,
auteur
de la seconde moitié du XVIIIe siècle. — ( 1 )
le chapitre de la thérapeutique mentale, bien qu'étudié par tous les
auteurs
spéciaux, était cependant un peu resté dans l'omb
ette matière. Ce travail comprend deux parties: dans la première, l'
auteur
montre tes avantages de l'assistance des aliénés
es chapitres, nous reproduirons seulement les conclusions auquclles l'
auteur
arrive. Conclusions. — Cet exposa succinct, et
faciliter la description, nous désignerons, comme l'ont fait certains
Auteurs
, l'état de somnambulisme sous le nom d'état secon
luence du somnambulisme hypnotique, il serait facile d'en découvrir l'
auteur
en ré-hypnotisant le sujet et en lui faisant divu
intéressant de connaître les considérants sur lesquels s'est appuyé l'
auteur
de cet original projet de loi. NÉCROLOGIE Le
fait que creuser davantage tes fossés qui séparent les sciences. » L'
auteur
en conclut que c'est vers les sciences occultes q
mettre dés la plus haute antiquité L'enseignement occulte, continue l'
auteur
, c'est le peuple Bohémien. « Les Bohémiens possè-
de l'initiation maçonnique, souvenez-vous! » Je ne suivrai point l'
auteur
dans ses développements sur le sens cabalistique
uses. Je ne chercherai même point a tirer les cartes avec le Tarot. L'
auteur
nous prévient d'avance au début de son livre qu'i
blème physiologique et psychologique de la plus haute importance. L'
auteur
recherche l'origine de la force qui met en jeu l'
sujet de roman, et combien vous trouveriez féconde l'imagination d'un
auteur
, si vous lisiez ce fait dans un volume à l'usage
impulsions, sa propension A délirer pour la cause la plus légère. L'
auteur
prend l'alcoolique en puissance d'hérédité pathol
sacre aux raprorts de l'alcoolisme avec les états con-vulsifs. Pour l'
auteur
, l'épilepsie alcoolique n'existe pas en tant qu'e
ciologiques que des influences de race. Dans un premier chapitre, l'
auteur
étudie l'évolution générale dans les pays créoles
abordons les formes de la criminalité créole le proprement dite. Et l'
auteur
étudie minutieusement toutes les causes qui pouss
1,000 francs destinée à récompenser, sous le titre de: Prix lamier, l'
auteur
du meilleur travail sur la question vivante : «
is à concourir. Les manuscrits, portant le nom et l'adresse de leur
auteur
. les ouvrages imprimés.seront adressés, au plus t
le ne semblaient l'avoir prédestiné à l'acte infernal dont il était l'
auteur
. L'idée d'un pareil crime peut-elle germer dans u
e tranquillité. Nuit et jour, obsédé par la pensé; du crime et de son
auteur
, il ne dormait plus, voyait apparaître devant lui
uméro de la Revue de l' Hypnotisme), que j'ai reçue « de la part de l'
auteur
,» à titre gracieux. Il s'est trompé d'adresse, ca
ls motifs avancés par M. Delbœuf, cl perpétuellement réédités par cet
auteur
, depuis l'apparition du volume sur la Liberté des
citations : A la page 55 du Magnétisme animal, on peut déjà lire (l'
auteur
parle de toutes les personnes qui s'occupent d'hy
on s'aperçoit de suite, quand on est au courant de la question, que l'
auteur
de Magnétiseurs et Médecins s'est inspiré de la b
qui estime que les malades sont faits pour elle (Delbœuf) (1). Cet
auteur
s'est lait ici. comme d'habitude, une grosse illu
t et dans Magnétiseurs et Médecines), cette phrase significative où l'
auteur
parle des malades, comme aucun médecin ne le fera
r avoir consacré si peu de temps aux soins corporels, il 'aut que les
auteurs
de cette discipline aient rompu depuis longtemps
Ces expériences sont, d'ailleurs jugées depuis longtemps. Tous les
auteurs
qui se sont occupés de l'hypnotisme constatent qu
des sciences n'hésitait pas â récompenser, dans la même année, quatre
auteurs
dont tes travaux avaient trait à l'hypnotisme, sa
t l'important ouvrage que je vais essayer d'analyser aujourd'hui. L'
auteur
refait l'histoire du magnétisme depuis Mesmer et
rtées des observations très probantes et très curieuses qui amènent l'
auteur
à conclure que. le sommeil provoqué, engourdissan
és de raison, l'activité automatique cérébrale domine la situation. L'
auteur
, en somme, partage l'opinion ou mieux l'hérésie d
célèbres d'Urbain Grandier et de La Roncière. Par la même occasion,l'
auteur
rappelle les études du Dr Motet sur les faux témo
ux questions de jurisprudence que soulève la suggestion hypnotiqne. L'
auteur
rapporte d'abord trois erreurs judiciaires qu'il
Il en est de même des crimes commis contre les somnanbules que cite l'
auteur
, excepté cependant la fameuse affaire Castellan,
suggestion exécutée pendant l'hypnotisme remontera celui qui en est l'
auteur
et le châtier. I1 n'y a donc pas lieu de pousser
une foulé de notes éparses. Pour lui et d'après les statisques des
auteurs
qui se sont occupés de et la question, un excédan
igoureuse des faits ; mais il faut ensuite en faire la synthèse. Et l'
auteur
dans un aperçu d'histoire et de philosophie des s
lier non plusque ce n'est point à eux qu'il s'adresse spécialement. L'
auteur
remercie fort les médecins qui ont mis à sa dispo
ensité et non de nature. Résumons, maintenant, dans les terme? de l'
auteur
, la synthèse finale : « Nous voyons ainsi la vi
artificielle et portant un cachet pathologique non douteux. Quelques
auteurs
lui prêtent le nom de hystéro-hypnose en oppositi
e soi-disant hypnotisme normal ou petit hypnotisme communiqué par les
auteurs
des différents pays, compte plusieurs milliers et
e essentiel, notamment l'exaltation de la suggestibilité. Selon cet
auteur
on peut affirmer l'existence de l'hypnose sans qu
, Bleuler, de l'asile Rheinau et l'en passe des meilleurs. Tous ces
auteurs
sont d'avis que la suggestion hypnotique doit êtr
mental et thérapeutique sont de beaucoup plus favorables. D'après cet
auteur
, il faut pour provoquer l'hypnose et pour obtenir
2; 323. Fig. 3, 327. Brûlure obtenue par suggestion, 362 TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Ball, 189. Ballet, 156, 3
ral en Agrégation et d'Agrégation en Bureau Central, les malheureux
auteurs
durent déployer une énergie peu commune pour me
Traité de Sémeio- tique qu'il s'agit ici, mais la manière dont les
auteurs
de la Pra- tique Neurologique ont compris et ex
spéciale. Mais il ne faudrait pas croire que la seule ambition des
auteurs
de ce livre ait été de faire un livre de Séméio
en entendu ce terme est [iris dans son sens le plus extensif et les
auteurs
de la « Pra- tique Neurologique » n'auraient pa
Thérapeutique vint compléter les conseils autorisés donnés par les
auteurs
sur l'ensemble de la séméiologie nerveuse. On c
faits tout différent, je signalerai la bonne pensée qu'ont eue les
auteurs
de vouloir que non seulement les praticiens, ma
re, donné place parmi eux et fait prendre part à leur succès. Les
auteurs
et les éditeurs de la Pratique Neurologique consi
te variété (\ ' : 1111 hlyopie fréquemment signalée par les anciens
auteurs
. Les troubles visuels que nous avons, suivant l
rébrale. C'est une opinion contredite (Bernheimer). Pour beaucoup d'
auteurs
, la projection rétinienne ne dépasse pas le cor
certain degré d'énophtalnlie. Dans les trois cas observés par les
auteurs
qui ont donné leur nom à ce syndrome, il y avait
ogyres, mais sa situation exacte est encore il déterminer. Certains
auteurs
le placent au niveau de l'eminentia teres, dans
ier que j'ai fait les plus larges emprunts. Il y a encore entre ces
auteurs
quelques divergences, mais elles sont légères et
ROUBLES PUPILLAIRES. 95 Pour expliquer cette dissociation, certains
auteurs
(Coppez, l3aas) ad- mettent une altération du n
ns hypertension et même sans affection intracrànienne. De Gracie, l'
auteur
de la théorie par hyper- tension, en a lui-même
plus souvent par les aqueducs du limaçon et du vestibule. D'autres
auteurs
et notamment lluguenin ont invoqué une véritable
uence de troubles labyrinthifJues, si toutefois les opinions de cet
auteur
sont confirmées. Mais dans quelques cas (Pierrot,
lexes sensoriels. Ils se produisent surtout sur la vue, et certains
auteurs
, comme Urbantschilsch, admettent que les affectio
nystagmus expérimental provoqué avait déjà été étudié par nombre d'
auteurs
(Breuer, Mach, Crum-Brown, etc.) qui avaient surt
yau de Deiters et par le mécanisme que nous avons indiqué. Quelques
auteurs
, et Gradenigo sur- tout, ont pensé qu'il s'agis
enstruation exagère les manifestations nasales existantes. Quelques
auteurs
, et notallllllent Fliess, ont constaté au momen
positif ('). ' Le vertige voltaïque avait été attribué par certains
auteurs
à des troubles de la circulation encéphalique e
rare, il est vrai, mais qui a été très exac- tement décrite par cet
auteur
en '1801, et qui correspondrait exclusi- vement
bourdonnements, de la surdité, dans la néphrite interstitielle. Cet
auteur
a attribué le « vertige nephrostenique », l' « ol
rme serait essentiellement névropathique : à la seconde, beaucoup d'
auteurs
ont accordé un point de départ gastrique, soit
e qui acte préconisée récemment, par Babinski (') et dont plusieurs
auteurs
ont confirmé le pouvoir curatif ; elle agit san
llement ? Il semble bien difficile de l'affirmer, quoique plusieurs
auteurs
dignes de foi assurent qu'il en était ainsi dans
raînantes, plutôt qu'en troubles vraiment spasmodiques. Les anciens
auteurs
sont loin de s'accorder sur ses symptômes et su
compréhension de la parole ? Re- cherche de la surdité verbale des
auteurs
classiques. Faire reconnaître et toucher par le
es, il s'agit, d'une aphasie de Broca maxima, forme que les anciens
auteurs
dési- gnaient sous le nom d' « aphasie totale (
correctement 1. Le mot apraxie a élé créé par Gogoi, en 1875. (.Ici
auteur
l'avait appliqué à la « disparition de l'intell
utres. [G. GUILLAIN.] 230 SÉMIOLOGIE PSYCHIATRIQUE. De nombreux
auteurs
classent les symptômes psychiques en trois grou
d'ailleurs, peuvent agir de différentes manières. Voici comment cet
auteur
expose la question : « Si l'on se rappelle cette
et l'illusion; mais cette opinion a été discutée et, pour certains
auteurs
, l'illusion et l'hallucination ne seraient que de
le moitié du champ visuel (hallucinations lrénrioliclues). Certains
auteurs
ont vu que l'hallu- cination se dédoublait par
ports avec le monde extérieur (Séglas). Ces idées déli- J'anles des
auteurs
français correspondent aux Wahnideen des auteurs
déli- J'anles des auteurs français correspondent aux Wahnideen des
auteurs
allemands, aux de/usions des auteurs anglais.
orrespondent aux Wahnideen des auteurs allemands, aux de/usions des
auteurs
anglais. Nous ne considérerons comme idées déli
, ou de la connaissance qu'ils en auront eue depuis la mort de leur
auteur
. Lorsque les dix ans auront commencé de courir
re une voie sensitive secondaire, qui n'est pas admise par tous les
auteurs
, et qui serait la suivante (van Gehuchtcn) : ln
t l'infirmer. Aussi voyons- [ROUSSY.] 280 SENSIBILITÉ. nous les
auteurs
émettre les hypothèses les plus diverses. Van (;(
ru par les diverses impressions sensitives; c'est pourquoi nombre d'
auteurs
se refusent encore il admettre la spécificité d
uvement se déterminant par la sensibilité musculaire. Pour certains
auteurs
, la per- ception consciente d'un mouvement acti
ls, à côté de la sensibilité musculaire et des tissus profonds, les
auteurs
classiques font jouer un rôle a la sensibilité
Voir le schéma de l'état normal de la pallestliésie. établi par ces
auteurs
(fig. 8). IROnssr.l 1-'ig. Ij. - Diapason d
rme de sens stéréognostique doit être employé en clinique. Certains
auteurs
cependant, considérant avec lledlich et Wernicke
state même une certaine confusion entre les termes employés par les
auteurs
pour désigner des phénomènes analogues ou des fai
tteint d'asymbolie tactile; et ce l'ait suffirait, d'après certains
auteurs
, pour permettre d'affirmer l'existence d'une lé
utre symptôme (moteur ou aphasique) pouvant l'accompagner. Certains
auteurs
admettent que l'on peut observer des hémiplégies
tre les objets (faculté corticale, Wernicke et Bonhüffer). D'autres
auteurs
ne pensent pas que les faits anatomo-cliniques
iaux dans )'hémianes)hésie organique est mise en doute par tous les
auteurs
; l'immense majorité des cas d'hémianesthésie s
icale ou sous-corticale. . On vient de voir que si, pour certains
auteurs
(Wernicke, Bonhâffer), l'anesthésie corticale p
ns (retard, dissociation syrin- gomyélique, etc.). Suivant quelques
auteurs
, l'intensité des troubles sensitifs pourrait se
rement la ligne médiane (Sherrington). Les schémas donnés par les
auteurs
, sensiblement les mêmes pour le membre supérieu
ineuses'. Figure sché- matique construite d'après les données des
auteurs
et en particulier de Reid. Les chiffres arabe
ie cutanée varie beaucoup suivant les divers schémas donnés par les
auteurs
. . On comprendra donc qu'actuellement, le médec
face postérieure et moyenne de la jambe, la ré- . 1. Pour certains
auteurs
, la face postérieure de la cuisse est innervée' p
pouvons les passer sous silence. On trouve toujours, suivant cet
auteur
, clans les affections viscérales, des zones d b
, etc.. Qu'il nous suffise de rappeler que, pour chacune d'elles, l'
auteur
en indique le siège exact, par rapport aux segm
Ilead n'ont pas été retrouvées d'une façon aussi nette par tous les
auteurs
qui se sont occupés de la question (Thornburn,
Causes. A l'aide de faits expérimentaux ou anatomo-cliniques, les
auteurs
ont remarqué que les lésions de certains points d
es sensations subjectives anormales autres que la douleur; certains
auteurs
, à l'exemple des Allemands, les appellent aussi «
algies faciales chroniques, on observe de la surdité; pour certains
auteurs
elle serait occasionnée par une hypersécrétion
niques dont aucune n'est complètement satisfaisante. Pour certains
auteurs
il s'agit d'une névralgie mCdio-tai'sienne; la ca
e de stovaïne par centimètre cube. Depuis leurs premiers essais ces
auteurs
ont abaissé à 45°, 40° le titre de la solution al
ique à 2 centimètres et demi en avant du heurtoir de larahcul' (cet
auteur
appelle ainsi la branche de bifurcation descendan
de la face, artère maxillaire interne, artère méningée moyenne) les
auteurs
ont conseillé dans leurs premières publi- catio
avec conservation des réflexes rotuliens qu'ont signalés plusieurs
auteurs
, Lehmann, Westphal, Kraus, Minor, Pick, Achard
use, soit à une période avancée, comme dans la forme décrite parles
auteurs
anglais; dans ce dernier cas, elle est alors préc
cette signification pronostique fâcheuse est contestée par certains
auteurs
, en particulier 1;w Crule (Dentsclle Merl. 11'o
te, mais sa valeur sémiologique n'approche pas, pour la plupart des
auteurs
, de celle du signe de Babinski. C'est le signe
tte; conception de Babinski a été admise par un très grand nombre d'
auteurs
: Van Geliuchten,. Glorieux, Ganault, Létienne, M
l n'en est pas moins. vrai qu'actuellement la presque unanimité des
auteurs
considère; que ce signe de Babinski est un des
D'antres faits ont été observés définis et mentionnés par d'autres
auteurs
à la Société de Neurologie. Dans les hémiplég
Van Gehuchten, ce réflexe aurait son analogie chez la femme, et cet
auteur
le désigne sous le nom de réflexe inguinal. Ce
i du côté paralysé dans) llumiltlégic ((nnuntlll, il a semblé à cet
auteur
que l'abolition est d'autant plus fréquente que l
pendant cette conception de l'arc réflexe n'est pas adoptée par les
auteurs
; un grand nombre d'observateurs sont d'avis qu'il
es, communément nommés phénomènes tendineux avec secousses, par les
auteurs
anglais et américains. Ces pscudo-réflexcs ne s
nt autre chose que les réflexes que nous venons d'étudier, mais les
auteurs
anglais (Gowers, Waller) pensent que ce sont des
nération ni la discussion des théories soutenues par les différents
auteurs
, nous ne ferons que tracer les grandes lignes de
ndant, si cette conception de Van Gehuchten est admise par nombre d'
auteurs
, et si elle cadre bien avec les idées de Bastia
ette conception n'est pas d'accord cependant avec celle des anciens
auteurs
qui admettent que les réflexes étaient purement m
gine médullaire. Enfin, il est un dernier point sur lequel tous les
auteurs
ne sont pas d'accord avec Van Gehuchten : c'est
aleur que celui-ci attribue à l'abolition des réflexes cutanés. Cet
auteur
pense en effet que l'abolition NATURE ET LOCALI
n'admet pas les dernières conclusions de Van Gehuchten. Ce dernier
auteur
, du reste, considère le réflexe de Babinski, l'
au bout de quelques jours. On sait, d'ailleurs, que, pour certains
auteurs
(Pitres, Dignat), chez tout hémiplégique les me
, il l'agueusie, il l'amaurose, il la surdité dont parlent certains
auteurs
, rien n'est moins certain que leur existence dans
pyramidal soit intéressée. Jusque dans ces derniers temps, tous les
auteurs
admettaient qu'il existe dans la capsule intern
ument erronée; d'après les nom- breuses autopsies invoquées par ces
auteurs
, les lésions limitées de la capsule interne ne
alternes, tous exceptionnels, ont été récem- ment signalés par les
auteurs
: Type Foville du syndrome de Millard-Gubler (G
du signe de Kernig aux membres supérieurs a été faite par plusieurs
auteurs
: Chauffard (Semaine médicale, 15 5 février l J
s muscles fléchisseurs devenus hypertoniques. Un certain nombre d'
auteurs
ont, du reste, discuté la valeur patholo- gique
les (Dieulalby, Netter, Cipollina, Maragiiano). Cependant, d'autres
auteurs
font jouer un rôle très grand à la lésion du fa
mettent la valeur des lésions cellulaires. 5" Un certain nombre d'
auteurs
admettent que le signe de Kernig et le signe de
e Kernig ne serait qu'un réflexe dû à la douleur, mais ditfé- rents
auteurs
et, en particulier Wennagel et Abadie, ont montré
our la première fois, on a observé ce phénomène ; pour bon nombre d'
auteurs
il est pathognomoni- que dans la méningite et m
ions que 66,6 pour 100 de cas de méningites tuberculeuses. Certains
auteurs
ont pensé alors que l'on pouvait dire que la méni
ve 41 l'ois. Cipolina, Maragliano, Bull, Ilenoch, Friès et nombre d'
auteurs
le trouvent également dans les méningites aiguë
il a été constaté par Darcanne (Congrès de Rennes, z/. Suivant cet
auteur
, il se montre très fréquemment, surtout à la pé
r les autres. '* Le cubital antérieur est considéré, par beaucoup d'
auteurs
, comme adducteur de la main. Duchenne n'admet p
troisième métacarpien. Innervation. Nerf radial. Physiologie. Les
auteurs
classiques admettent que le deuxième radial ext
nis. Duchenne se refuse à admettre le rôle abducteur que beaucoup d'
auteurs
attribuent au grand fessier. Toutefois, quand le
st assis. Le grand fessier tend l'aponévrose fémorale. Certains
auteurs
ont prétendu qu'il jouait un rôle dans la défécat
ni extenseur ni fléchisseur du pied comme l'ont soutenu différents
auteurs
. Duchenne a montré que ce muscle ne produit de
on sur l'articulation tibio- tarsie1llle. c'est à tort que quelques
auteurs
Pont considéré comme exten- seur du pied (Poiri
turbation motrice- appré- ciable z. Scalènes. - - Insertions. Les
auteurs
français décrivent deux scalènes : le scalène a
deux scalènes : le scalène antérieur et le scalène postérieur; les
auteurs
alle- mands et anglais divisent le scalène post
uns et les autres comme inspirateurs et expirateurs, la plupart des
auteurs
admettant d'ailleurs que les intercostaux exter
ux. Physiologie. Le pyramidal n'a pas de fonction utile. Certains
auteurs
lui attribuent le rôle de tendre la ligne blanche
sèrent au sommet de l'apophyse cosliforine (apophyse transverse des
auteurs
classiques) qui représente en réalité la côte lom
APHIE CEREBRALE LES LOCALISATIONS CORTICALES MOTRICES D'après les
auteurs
classiques, la zone corticale motrice siégerait a
ultats de l'excitation électrique de la zone corticale motrice, les
auteurs
(Keen; Mills, Horsiey, etc.) ont isolé des centre
régions articulaires; les nerfs corticaux des membres, d'après cet
auteur
, sont [G. GUILLAIN,] Pig. 4 et 5. Zone cortic
musculaires dans le cas de lésions des cornes antérieures. Certains
auteurs
admettent l'exis- tence dans la moelle de local
se a la valeur aussi d'une véritable expérience de physiologie. Cet
auteur
, chez' un malade affecté d'un névrome, dut résé
es épineuses. Figure schématique construite d'après les données des
auteurs
et en particulier de Reid. LU5 cmurcs arabes in
de la sensibilité cutanée ont été diver- sement interprétés par les
auteurs
. Dans beaucoup d'observations, les troubles de
tion de la luette et du voile du palais, signalée par de nom- breux
auteurs
, est niée par certains autres. L'odorat est par
e douloureuse est fréquente, elle est due, d'après la plu- part des
auteurs
, au relâchement de la membrane du tympan par suit
eant au niveau du ganglion géniculé déterminerait, d'après certains
auteurs
, des troubles du voile du palais, mais il convi
osseuse qui ne dépasse pas un quart de millimètre. D'après le même
auteur
, la suppression de la sécrétion lacrymale s'ob-
le pneu- mogastrique et la branche interne du spinal. Pour certains
auteurs
l'inner- vation motrice du larynx viendrait tou
l'inférieur le spinal : or le groupe moyen considéré par beaucoup d'
auteurs
(Claude Bernard, etc.) comme la portion bulbaire
palais et du larynx, parait ac- tllcllclI)('111 admise par Ions les
auteurs
, sauf d'insignifiantes restrictions : nous auro
aconiline, etc. Le stypage au chlorure d'élhyle, recommandé par les
auteurs
classiques, n'a pas donné de résultats à Huault
de ) l'acide carbonique. (;'est en parlant de ce point que certains
auteurs
, et surtout E. Weill (de Lyon), avaient préconi
rencontrer en dehors de toute altération nucléaire et que nombre d'
auteurs
les attribuent à des lésions névritiques des ré
es par la généralité des laryngo- logistes et auxquelles ce dernier
auteur
a donné son nom. Dans une première phase de déb
er des troubles laryngés, respiratoires ou phonatoires et plusieurs
auteurs
ont pu observer des mouvements désordonnés des
ut à l'ait typiques qui ont été minutieusement décrits par certains
auteurs
; ils se retournent d'abord sur le ventre, puis
chisseurs. La sensibilité est d'ordinaire intacte; cependant divers
auteurs
ont signalé des troubles sensitifs : hyperesthé
rester limitée aux membres supérieurs, mais les cas décrits par cet
auteur
, cas dans lesquels l'atrophie avait gagné les é
e prolongeait pas jus- qu'à la moelle (Dejerine). Au contraire, les
auteurs
que nous avons cités plus haut ont constaté des
origine, elle donne de bons résultats ; mais, à part de très rares
auteurs
(Leuf,. Allard) ('), les effets ont toujours été
trouvé dans la littérature un certain nombre d'observations où les
auteurs
, soupçonnant ou non les rapports de l'amyotrophie
e en appa- rence, cette théorie ne parait pas suffisante à tous les
auteurs
: pour Tiegel en etïet, l'afflux sanguin exagér
ssi une action sur la production de l'hypertrophie, et diflë- rents
auteurs
(Sicard, Faure-Beaulieu et Lewandowsky (1), etc.)
us exceptionnelle ; elle a été niée par Roth et par Marinesco ; ces
auteurs
croient, qu'elle s'associe toujours à une atrop
oppement très exagéré du système vasculaire et que, pour certains
auteurs
, comme Nothnagel, l'augmenta- tion de la circul
à une lésion nerveuse périphérique, ou centrale', presque tous les
auteurs
qui ont pu pratiquer un examen histologique ont
puyée sur les recherches cliniques et anatomo- pathologiques de ces
auteurs
et sur les sec- tions expérimentales des racine
ites périphériques ayant été signalées dans le diabète par certains
auteurs
(Rosenstein, Mvière, Auché, etc.), la sclérose de
sclérose des cor- dons postérieurs ayant été reconnue par d'autres
auteurs
(Sandmeyer, Leyden, Williamson, Souques et Mari
rose des cordons postérieurs : il s'agit dans ce cas, pour certains
auteurs
, de symptômes tabétiformes, pour d'autres de sy
le cervelet est sans doute tout particulièrement atteint. Quelques
auteurs
ont décrit, à la suite d'intoxications soit par l
sez touffu qu'indivi- dualisa très heureusement Pierre Bonnier. Cet
auteur
le tient pour symptomatiflue des lésions du noy
culièrement dans le tétanos, et que l'on pourrait, d'après certains
auteurs
, observer également dans l'hystérie, l'épilepsi
ons de Bloch et uliuscluct (Société de Biologie, février 1004). Ces
auteurs
pensent que, le tremblement est un phénomène co
se. Pour cette recherche de la cause du tremblement, les différents
auteurs
se sont guidés sur des classifications différen
; à différents segments du corps, il est même nul, suivant certains
auteurs
(Dupré) ; il est menu et rapide. La méthode graph
par seconde. Voici du reste les chiffres donnés par les différents
auteurs
: ' M2 TREMBLEMENTS. suivant Brissaud, un arg
chez des sujets jeunes. Cette opinion est soutenue par plu- sieurs
auteurs
: par Raymond, par Dubief (Thèse de Paris, 1887)
déjà fait mention de ces tremblements dans les travaux de plusieurs
auteurs
: Briquet, Pitres, Letulle, Ormerod, Germain. S
de. traces de mercure dans le liquide ont semblé il ces der- niers
auteurs
les arguments devant entraîner des réserves sur l
lade. - . Cependant, cette conception n'est pas admise par tous les
auteurs
, et peut-être faut-il admettre avec Blocq et Gr
ons, la plus fréquente est celle de chorée de Sydenham, du nom de l'
auteur
qui en traça un tableau magistral en 1688 : c'e
ubles choréiques sont pour lui évidents, quoi qu'en disent certains
auteurs
(Joffroy, Séglas, etc). Ces troubles appartenant
servations ont été publiées par Todd, West, Gowers puis de nombreux
auteurs
, Igeboldine, Filatoff, etc., en ont publié des
dans la chorée et caractérisées bactériologiquement par différents
auteurs
(Leredde, Tri- boulet). 5° Les souffles anémi
u une maladie des tics' ou une chorée chronique; cependant nombre d'
auteurs
contestent cette opinion (Launay, Thèse de Pari
que, ce sont les troubles mentaux; ils ont été étudiés par nombre d'
auteurs
: Osier, Ladame (Archives de Neurologie, 1900) Ka
émence (dementia chorcia de llollock). Cette démence pour plusieurs
auteurs
serait assez analogue il celle de la paralysie gé
coutume, depuis la description de Raymond et d'un certain nombre d'
auteurs
, de, décrire sous le nom collectif de myoclonies
de cette affection a été très discutée : nous avons vu que certains
auteurs
pensent qu'elle est de nature hysté- rique, tel
syndrome. Le caractère familial a été rencontré par nombre d'autres
auteurs
. Cette affection évolue le plus souvent chez le
; nous montrerons, chemin fai- sant, que l'ancien désaccord de ces
auteurs
avec Pitres et Cruchet résidait plus dans l'int
tratagèmes antagonistes, de « trucs » dont chacun est propre il son
auteur
: ces stratagèmes n'agissent jamais connue moye
eur est indispensable, et c'est par un abus de langage que certains
auteurs
, avec G. Cuinon, on ! admis une « maladie des t
extérieurement par aucun signe », un 'il' d'idée^). A l'opposé des
auteurs
précédents, Pitres et Crnchet pensent que. si u
tic, se refuse a admettre toute intervention opératoire : d'autres
auteurs
au contraire, Babinski entre autres, non convai
tiques, du myxoedème, ainsi que de la maladie de Dercum. - Certains
auteurs
ont signalé une certaine diminution des oedèmes
y a accélération du pouls, cependant les résultats trouvés par les
auteurs
sont tout à l'ait contradictoires. Les urines s
ien ou une intoxication de l'organisme. Les expériences de nombreux
auteurs
ont démontré cette influence : c'est ainsi que
une hypothèse qui n'est pas admise par tout le monde ; bon nombre d'
auteurs
pensent que l'hyperthermie peut être due il une
née ; elles durent peu de temps, mais cependant un certain nombre d'
auteurs
pensent qu'il ne s'agit pas de fièvre véritable
res ont été écrits, a été affirmée par Briquet et un grand nombre d'
auteurs
à sa suite. D'après les classiques elle s'obser
- compagne du tremblement auquel elle est associée suivant certains
auteurs
. La maladie de Basedow peut être fruste ; il co
EIL GÉNITAL. L'écoulement du sperme se produirait, suivant quelques
auteurs
, pendant la défécation par la pression du bol f
binsky ne l'admettent qu'a titre absolument exceptionnel. Selon ces
auteurs
, on confond d'ordinaire vertige gastrique et vert
inodore, c'est de l'air. De fait, la grande flatulence des anciens
auteurs
n'existe point, et à partir de cinq ou six rots
ulte, quand les épiphyses sont sou- dées . II y a pour certains
auteurs
(Brissaud et Meige, Launois et Roy, etc.) des
ertrophiquc hiliaire, Bamberger les affections cardiaques, d'autres
auteurs
la pyélo- ' néphrite, la dysenterie, etc... : i
erait. Enfin, nous avons dû mettre après chaque chiffre le nom de l'
auteur
, l'anthropométrie n'étant pas encore une science
te partie de notre étude, le D. bimastoïdien, condamné par certains
auteurs
, et repris par quelques-uns. On peut avoir inté
e; car ces points ne donnent pas toujours un D. maximum et quelques
auteurs
prennent le maximum. Quoi qu'il en soit, le tho
berté. Celte circonstance esl d'accord avec les lois de Godin : cet
auteur
a montré, en effet, qu'avant la crise sexuelle
st seulement le principal l'acteur du gigantisme. Pour les premiers
auteurs
. selon une formule célèbre, le gigantisme est l
ypophyse, ses rapports avec le tuber cinereum, regardé par quelques
auteurs
comme un centre glyco- surique, seront, recherc
eraient de vrais pygmées, des achondroplases ethniques, disent, les
auteurs
lyonnais. En d'autres termes, ce seraient des nai
de départ, du cancer. Cette leucoplasie est considérée par certains
auteurs
(Landouzy, Gaucher) comme un témoignage certain
et la paralysie générale qui sont consi- dérés par la majorité des
auteurs
comme des accidents syphilitiques. Nous nous co
li, Mac Ewen, Gilles de la Tourettc et Chipault, Bruns, Koplik. Ces
auteurs
ont également étudié l'homme sain et le cerveau m
es par de l'hypertension céphalo-rachidienne. Ajoutons que certains
auteurs
ont conseillé d appuyer un stéthoscope au niveau
lle semble plus considérable chez, les vieillards, suivant certains
auteurs
, d'après Mya au contraire, elle attelli- LIQUID
céphalo-rachidien. La densité est variable sui- vant les différents
auteurs
: . Acbard et Locper l'évaluent 1,00 ? 1 ,004 ;
es examinées comparativement 1 n'ont pas montré celle réaction. Les
auteurs
montrent que la réaction de l'albumine est para
iliaires dans le liquide céphalo-rachidien est mal expliqué par ces
auteurs
. Plus tard, Widal, Sicard et Ravaut ont constaté
de la ponction lombaire sont basés sur les re- cherches de nombreux
auteurs
que nous retrouverons pour la plupart dans les
lles sont symptomatiques de l'hémorragie méningo-encéphatique ; les
auteurs
fai- sant l'autopsie de la malade observée par
une méningite tuberculeuse à forme hémiplégique. Cependant quelques
auteurs
ont relevé des exceptions à cette loi; Guinon e
ture. Ce fait est donc à rapprocher de celui de Tesson. De plus ces
auteurs
ont pu constater une méningite cérébro-spinale
de New-York ; par Babinski, par Lenhartz, de Hambourg, par d'autres
auteurs
: Blanat (Thèse Paris, 1902), Netter,- Pellagot
e d'une céphalée bri;blique à la suite d'une ponction lombaire. Ces
auteurs
rappellent les cas antérieurs de Seegel- ken. d
troubles psychiques et l'hydrocéphalie. Groler, et quelques autres
auteurs
ont obtenu de bons résultats de la ponction lom
est rapide et aboutit en quelques jours à la mort. Presque tous les
auteurs
insistent sur 1 exils- tence, fréquente dans, l
es affections dyslrophiautes diverses généralement classées par les
auteurs
, il tort, ou à raison, parmi les maladies du sys-
ments radiographiques de lilrert(') et de Dupré et 1)evau(r). Ces
auteurs
ont d'abord étudié des cas de tabès avec arthropa
lairs el grêles. Dans certains cas d'hémiplégie organique, quelques
auteurs
, notam- ment Dejerine et Ttléottari (3), ont pa
lement le tissu musculaire. Pierre Marie et Crouzon (') et d'autres
auteurs
ont pu s'assurer qu'il- existe en effet chez- c
, à tort ou à raison, parmi les maladies du système nerveux que les
auteurs
ont pris coutume de les ranger : c'est il cet u
des distinctions un peu subtiles lurent propo- sées ''par d'autres
auteurs
suivant les aspects présentés par la selle, sa
hysaire. Les géants sont donc acromégales ou non : d'après certains
auteurs
il existerait un gigantisme physiologique, d'ap
première de ces affections, un aspect spécial déjà signalé par les
auteurs
que nous avons cités. Cet aspect, due l'on peut
iphyses : on les trouve (Tailleurs aussi sur les os plats. Certains
auteurs
les ont considérées comme cartilagineuses (« ex
e et lésions de la peau, qui rappelle le tuyxoedeme et que certains
auteurs
considèrent comme liée à un étal, pathologique
lus favorables que le traitement est plus précoce. D'après d'autres
auteurs
, c'est la tachycardie et l'exophtalmie qui seraie
courants combinés, ou encore courants de De AVatteville du nom de l'
auteur
qui a le premier employé cette combinaison. On
aigus, est à elle seule très caractéristique, au point que quelques
auteurs
ont été tentés de négliger les altérations de l
e du corps se comporte envers les courants galvaniques que nombre d'
auteurs
sont arrivés à des résultats très discordants'les
on suffisamment rigoureuse. La méthode de Bergonié, appelée par son
auteur
méthode de l'ohm- mètre médical, est basée auss
'érysipèle, la rougeole, la scarlatine à la période d'éruption. Ces
auteurs
rapportent cette augmentation de la résistance,
? '- . . 1289 placée sur la nuque. Ou, comme l'ont indiqué d'autres
auteurs
, on place les deux électrodes de chaque côté du
que continu dont on élève l'intensité, à 5, 10 ou 15 m. A. Quelques
auteurs
conseil- lent des courants plus forts, atteigna
ses, un courant continu avec une intensité de 5 à 15 m. A. Quelques
auteurs
conseillent des intensités plus fortes; nous croy
it un courant continu d'intensité et de durée variables suivant les
auteurs
: l'intensité doit être assez faible pour les u
des pûtes de la bobine, de préférence le pôle négatif, d'après les
auteurs
américains. On pourrait aussi faire tremper les d
t habituellement préférée. Betton-Massey, considérant avec quelques
auteurs
que la neurasthénie est la conséquence d'un mau
othérapie. 11 ne faut pas croire en effet, il l'exemple de certains
auteurs
, que toutes les maladies du système ner- veux,
e levier de M. Chavigny, mais d'après la description donnée par cet
auteur
, l'instrument nie paraît très pratique. La dure
hère et en faisant passer le couteau plus « haut que ne le fait cet
auteur
, c'est-à-dirc par le tiers supérieur de la « co
achidiens chez les tabétiques. « Cette méthode, l'ont remarquer ces
auteurs
, a l'avantage de bien colorer « les gaines de m
st à recommander quand on veut des résul- tats rapides. D'après cet
auteur
, on peut obtenir des coupes en trois jours. M
s essayé de réunir tous les cas'd'llaélie décrits jusqu'ici par les
auteurs
; il est permis de croire qu'en rassemblant les d
ils mi-scientifiques, mi-fantaisistes, des siècles précédents, où l'
auteur
fait défiler devant les yeux du lecteur émer- v
rs, mémoires originaux. Les différents cas d'amèles décrits par les
auteurs
ne se rapportent pas tous à un type uniforme. On
I. AMÈLES PARFAITS. - L'amélie parfaite a été observée par les dix
auteurs
suivants : 1. RLAAW, 1688. Fille âgée de deux m
, organes génitaux normaux ; absence totale de membres. (Fig. 4.) L'
auteur
signale à ce propos deux exemples d'amélie, exi
s, mais volumineuse hernie ombilicale ; membres absents ; d'après l'
auteur
, AMÉLIE 19 les omoplates, les clavicules et l
on explicite, avec toutes réser- ves, naturellement, de la part des
auteurs
. Coesar. Gravely et Schneck, entre autres, la s
ignalée, plus récemment Troisier, Edinger etc. Larcher qui cite ces
auteurs
, remarquant que la section des nerfs d'un membr
e développement ? Leur origine nerveuse a été soutenue par bien des
auteurs
, ce que nous savons de la tendance qu'a la syph
ié l'orthographe de l'époque et surtout celle, trop fantaisiste, de l'
auteur
. " Recette admirable, c'est d'une toile propre
igneur d'Argenson, Ministre et secrétaire d'État. a A Paris, chez l'
Auteur
, rue St-Jacques, vis-à-vis les Charniers de St-Be
sur les kystes, les tumeurs et les gommes ; ce serait, d'après cet
auteur
, la tumeur qui com- porte le meilleur pronostic
peMorvan, la main chiromégalique qui a été confondue par cer- tains
auteurs
avec l'acromégalie. Mais ce n'est pas tout, il ex
prises de troubles vaso-moteurs. Aussi dans l'observation II de cet
auteur
(extrait des Archives de neuro- logie, nos 42,
nter- osseux, moins les autres et encore moins l'éminence thénar, l'
auteur
a constaté de la dissociation de la sensibilité
v. XVI) au cours de la syringomyélie confirmée par l'autopsie. Deux
auteurs
anglais, Colemann et Joseph 0'Caroll (2), ont pub
e n'ai trouvé aucune donnée se rap- portant à notre sujet, mais cet
auteur
a bien indiqué un état sclérodermique des doigt
e. Mais il ne s'agit pas ia d'un véritable oedème bien que certains
auteurs
qui s'en sont occupés l'appellent oedème dur, c
avec 1'6rythromélalgie mérite quelque attention parce que certains
auteurs
ont parlé de l'apparition possible de l'érythromé
mains au décours des affections spinales sont rares. J'ai cité les
auteurs
qui ont mentionné l'oedème dans la sy- ringomyé
e qui entraîne l'oedème dans la syringomyélie. Etant donné, dit cet
auteur
, que dans les affections de la substance grise
ié les lé- sions médullaires « qui permettent peut-être, disent ces
auteurs
, d'établir des rapprochements entre la maladie
cérébelleux directs, zone li- mitante de la moelle en général). Les
auteurs
ont été en outre frappés des lésions des nerfs
pied. Le mauvais soulier que l'on voit tout proche est sans doute l'
auteur
de ce traumatisme, moins grave que douloureux.
ies de cheveux tout droits, vods disent sans hésiter le nom de leur
auteur
(2). » . . Il s'agit d'une opération sur le pie
s malades en particulier ; mais il est des singes cynocéphales et l'
auteur
n'était pas fort animalier. LES PÉDICURES AU XV
p. 4), se faisant l'apologiste de la méthode de Bonuzzi, dit que cet
auteur
a expert-' mente sur le cadavre l'action mécani
ation des cellules nerveuses, maison est obligé'd'admettre,avec cet
auteur
,que le noyau de ces cellules ne reste pas absol
dans les membres inférieurs. Dans une observation relatée par un
auteur
danois Kjaer (1), l'instru- ment tranchant a pé
d'une paralysie motrice partielle. Je vous dirai l'explication que l'
auteur
a donnée de cette anomalie. Une observation d
sales. Je passe très rapidement sur une observation publiée par un
auteur
ita- lien Burresi (3), qui nous montre un syndr
tendineux à droite. A cette observation on peut opposer celle d'un
auteur
allemand Gaschl, qui nous montre qu'une hémisec
ard. En voici d'abord une, publiée il) a près de trente ans, par un
auteur
allemand, Richter. Le sujet avait reçu un coup
doigts sur le bord cubital à la- quelle Dupuytren non plus que les
auteurs
qui, après lui, ont étudié cette maladie ne fai
dans la moelle épinière et à ce point de vue, les re- cherches des
auteurs
anglais Ferrier, Thorburn, Allen Starr, Sherring-
est en concordance avec les résultats expérimentaux de ces derniers
auteurs
. Mais les cliniciens comme Thorburn, .111en Sta
diculaire, seulement son cas était d'un diagnostic difficile et cet
auteur
incline volontiers vers la syringomyélie compliqu
s pal- maires occupent une position intermédiaire. La plupart des
auteurs
n'ont pas accordé assez d'importance à la marche
autopsie publiée par Blocq, dans la thèse de Brülhl, a montré à cet
auteur
la présence de cavités typiques de syringomyélie
s amenés à discuter certains points de la théorie ingénieuse de cet
auteur
et à proposer plutôt le nom de ,spasme polygona
C'est à ce type qu'apparliennent la plupart des cas publiés par les
auteurs
, notamment par Gauliez (3) clans sa thèse de 1884
ci droite. Cette combinaison bizarre ne parait pas avoir frappé les
auteurs
; je 1 (1) Planche XXIX du 2e vol. de la 4" éd
o- fessionnel. Le mot de spasme fonctionnel employé par plusieurs
auteurs
, Féré entre autres, pour désigner ces spasmes d
est celui de la théorie de cette inter- vention iliérapetitipue. L'
auteur
n'oublie pas sa théorie centrale et corti- cale
doctrines et leur survivent vous paraîtraient, à la lecture de ces
auteurs
, former un groupe par trop com- préhensif et pa
u'on a indûment rapprochés. L'infantilisme est signalé par quelques
auteurs
comme une conséquence possible de la cas- trati
des variétés de l'infantilisme, je me suis conformé à l'exemple des
auteurs
qui ont trouvé plus simple de laisser cette que
t la non- apparition des caractères sexuels secondaires (1). » Et l'
auteur
ajoute : « Mais si l'infantilisme peut se manif
des plus beaux spécimens de l'infantilisme myxoedéma- teux (2). Ces
auteurs
avaient été frappés de la persistance et de l'int
, soit acceptée par Neumann, Pott, Gerhard, Simon et la plupart des
auteurs
, chacune des raisons invo- quées par railleur p
qui ne sont, en somme, qu'une analyse plus précise des vues de cet
auteur
. III. C'est ainsi que l'hypothèse développée pa
Hagen, Saalfeld, Thomsen, Mackenzie, Gerhardt, Müller).Si,conclut l'
auteur
, ces lignes de Voigt jouenl un rôle important d
presque constante dans l'une, rare dansl'autre; aussi l'opinion des
auteurs
varie-t-elle sur sa fréquence : dans un travail r
émiatrophie ; cette déformation qui n'a pas attiré l'attention de l'
auteur
mérite d'être rapprochée de celles que je signa
s proposer une interprétation univoque, et nous pensons que, si les
auteurs
avaient été moins préoccupés de remonter à la lés
d'un cas de névrome plexiforme uni à la neurofibromatose cutanée, l'
auteur
a du moins vu, et bien vu, un cas de cette associ
volume des os, qui est amoindri comme l'ont indiqué la plupart des
auteurs
, mais aussi sur leur texture et sur leur morpho
e des résultats que l'examen anatomique a fournis à la majorité des
auteurs
qui se sont occupés de cette question etont const
érifier encore. Quoique certaines investigations aient amené divers
auteurs
à des conclusions différentes, il faut remarquer
nie les avoir emmurés et n'a pas voulu donner d'indications sur les
auteurs
de cet acte de fanatisme. On évalue le nom- bre
es, 'connu sous le nom d'llortzts Sanitatis, ouvrage anonyme dont l'
auteur
serait un certain Joannes Cuba, et qui fut tradui
consacré aux poux ou pouils, compilation de passages -empruntés aux
auteurs
classiques d'alors qui avaient abordé ce sujet :
nalé les rapports de l'acromégalie et du gigantisme. La plupart des
auteurs
se sont efforcés après lui d'établir une distin
indubitable, exception faite d'une ou deux observations. Certains
auteurs
ont assimilé leurs cas d'arthropathies spinales à
lecteur au remarquable rapport de Massalongo, cité plus loin ; cet
auteur
admet la théorie réflexe de Brissaud. DE L'AlIT
igts des atrophiques, mais ce fait, qui a pu attiré l'attention des
auteurs
, n'a rien (1) Leçons sur les maladies nerveuses
ficile de refuser à cette observation le titre des syringomyélie. L'
auteur
en fait une sclérose en plaques : il y avait un
les lésions osseuses ressemblaient fort en somme, quoi qu'en dise l'
auteur
, aux lésions de l'arthrite sèche. Le malade éta
ainsi après deslésions mé- dullaires. Comme l'ont remarqué certains
auteurs
, l'arthropathie de la névrite a une tendance an
lpable quand on la considère dans la syringomyélie. Il n'est pas un
auteur
qui ait assimilé les troubles trophiques articu
de. Deux autres obser- vations du même genre rapportées par le même
auteur
sont assimilées à la précédente. Il est inutile
d'hémiplégie gauche suivie de mort au bout de trois jours, le même
auteur
,Albertoni,a trouvé du sang dans les articulatio
uente dans les lésions avoisinant ou intéressant le mésocé- (1) Des
auteurs
dont l'opinion a une grande valeur considèrent le
tieux joue certainement le rôle de cause déterminante. Entre autres
auteurs
, Sou- ques (1), Marinesco (2') considèrent les
e semble bien insuffisante, et la constatation des névrites par les
auteurs
les plus auto- risés n'est peut-être pas la pre
e encyclopédique, M. Polaillon n'a réuni que 43 observations et les
auteurs
ne s'entendent guère sur la participation du sque
cas des stigmates de dégénérescence mais il est regrettable que les
auteurs
ne parlent pas de l'état psychique de leurs mal
ndon n'aurait pas grandi assez vite, déterminant ainsi, au dire des
auteurs
, la courbure latérale du doigt. Mais l'utilit
ont normaux et ne présentent pas des excès de nutrition. Certains
auteurs
ont en effet essayé d'appliquer il la macrodactyl
et Monod expliquait l'hypertrophie unilatérale du corps. « Pour ces
auteurs
l'hyperlrophie dépend avant tout d'une paralysi
lesquels on- a cru reconnaître des portraits de contemporains. L'
auteur
de cette suite des fresques est encore inconnu. E
détaillée de cette remar- quable peinture (2). « Quel qu'en soit l'
auteur
, disent-ils, celle oeuvre appartient à l'école
uses spontanées des extrémités des membres sont notoi- res (1). L'
auteur
de la peinture qui, par tant d'autres détails, a
dans les figurations artistiques que ne pouvaient le soupçonner les
auteurs
de la première étude parue sur les Lépreux dans
ntroduction d'un Lépreux dans une Tentation de saint Antoine. Les
auteurs
du Moyen Age ont souvent insisté sur un symptôme
ien avoir été occasionnés par la Lèpre et observés sur nature par l'
auteur
du tryptique du Jugement dernier. ' Nous savo
n tryptique de l'E- cole Flamande qui ne portait pas alors de nom d'
auteur
(N°9 576 à 579, salle A). · La composition du
LES DE la TOURETTE et A. CHIPAULT (3 figures), 145. ' TABLE DES
AUTEURS
ACHARD (F.) et LÉOPOLD-LÉVI. Radiogra- phie d
NRY). La Lèpre dans l'Art (9 figures, 2 planches), 418. TABLE DES
AUTEURS
473 MEME (HENRY). Les peintres de la méde- .
t et médecin en chef du Dispensaire anti-alcoolique. La plupart des
auteurs
qui ont traité de la psychothérapie nous décriven
tigmates psychiques de dégénérescence. Coffignon et tous les autres
auteurs
nous citent l'amour de la musique et des beaux ar
exuels deviennent conscients de leur homosexualité. La plupart 'des
auteurs
ont observé, comme moi, que chez le plus grand no
avantageusement les lois spéciales contre l'inversion sexuelle. Les
auteurs
compétents savent que les homosexuels purs ne son
nt aider dans la croisade moderne contre ces fléaux. C'est pourquoi l'
auteur
a cru pouvoir reprendre l'histoire des ravages du
crimes dérivant directement de son vice et dont l'inverti peut être l'
auteur
ou la victime. C'est le délit d'extorsion de fo
donc examiner, au point de vue de l'art musical, de quelle manière l'
auteur
doit mettre en jeu ces éléments et de quelles res
n œuvre et n'exige une connaissance approfondie de l'âme humaine. L'
auteur
, dans toute œuvre musicale, traduit des sentiment
ir par les éprouver lui-même; 3e Enfin, la personnalité propre de l'
auteur
se présente ici comme le troisième facteur, qui d
que le personnage mis en scène ait disparu ; mais en réalité c'est l'
auteur
lui-même qui se substitue à ce personnage. Ce son
des idées générales qui sont exprimées ; mais il faut remarquer que l'
auteur
personnifie même les idées les plus abstraites, e
ême idée pourra être exprimée de plusieurs façons différentes par des
auteurs
différents. Lorsqu'il s'agit de musique dramati
r des auteurs différents. Lorsqu'il s'agit de musique dramatique, l'
auteur
ne doit plus chercher à s'assimiler une idée abst
l'illusion de la-réalité, les personnages que l'on met en scène. L'
auteur
doit tenir compte du public auquel il s'adresse C
quel il écrit et qui sera appelé à juger son œuvre. D'autre part, l'
auteur
met en scène des personnages pris dans la vie rée
é, il est gorcé de montrer la nature avec toutes ses imperfections, l'
auteur
, qui a toujours devant les yeux le modèle parfait
procher le plus complètement possible. L'idéal subit l'influence de l'
auteur
, puisqu'il est le reflet de l'élévation de son es
n de toute œuvre d'art et en particulier de toute œuvre musicale. L'
auteur
qui veut arriver ainsi à traduire ses sentiments
e et des sentiments qu'elle éveillera dans ceux qui l'entendront. L'
auteur
trouvera ce réactif parfait, qui lui montrera, sa
n soigne la diction, le rythme, qui fait pénétrer dans la pensée de l'
auteur
, et dont •certains élèves nnt un rare instinct. I
fier leur préférence, donner quelques indications biographiques sur l'
auteur
, et préparer un court commentaire historique, lit
s, chercheurs ou simplement curieux, s'adresse ce livre dans lequel l'
auteur
a d'abord donné l'analyse scientifique de l'hypno
tent le placement des jeunes gens dans les carrières économiques. L'
auteur
s'est efforcé de coordonner et de multiplier des
uperstitieuses, de nous montrer les préoccupations de nos ancêtres. L'
auteur
a remué les vieux dossiers fouillé les paperasses
es grandes lignes, en m'appuyaat sur les principaux cas cités par les
auteurs
. Je reconnais que bon nombre de ces relations n'o
s en apprenant qu'ils étaient graciés. Pouquet, au dire de quelques
auteurs
, mourut subitement en apprenant que Louis XIV l'a
s, elles sont de plus en plus rares dans notre système d'éducation. L'
auteur
cité précédemment pense qu'on peut abolir plus fa
tre HT, après avoir exposé un certain nombre de moyens de dressage, l'
auteur
signale une méthode très simple pour se faire sui
couchent, ferment les yeux et cessent de vivre. Après avoir cité cet
auteur
, Liébeault (?. p. 12) ajoute : * S'il est permis
t connn d'eux, estimant ¦ qu'une bonne action ne doit rapporter à son
auteur
d'autre profit qne le sentiment de n'avoir pas pe
Ils étaient sauvés. Charles Buvignier se réfugiait en Belgique... L'
auteur
de cette noble action était alors et reste un de
doit a M. Chalupeeky, de Prague, un Important iravall sur ce sujet. L'
auteur
a étudié ce problème sons un Jour tout nouveau. I
oids spécifique presque normal et d'une viscosité très augmentée. L'
auteur
saigna le malade auquel il retira 800 grammes de
iqués avec mesure et intelligemment sont les remèdes préconisés par l'
auteur
. Chez Maloine. éditeur, 25-27, rue de l'Ecole d
iaux, et présidée par M. Graham Wallas, le savant sociologue anglais,
auteur
d'un livre récent : La Salure humaine en politiqu
cée par la suggestion sur les mouvements politiques ; 11 félicita les
auteurs
français qui, comme le Dr Bèrillon, consacrent le
ien connu dans le monde de la politique et de la magistrature comme l'
auteur
de plusieurs ouvrages savants. Dans une série de
Suite) Des faits analogues ont été signalés par un certain uombre d'
auteurs
. Le docteur Galopin a connu un chien de chasse qu
et ne rapportait que l'objet qui appartenait à son maître. Le même
auteur
rapporte également un autre fait, du même ordre,
onsabilité civile et, d'antre part, la responsabilité criminelle de l'
auteur
de l'accident. Un traumatisme minuscule, incapabl
, mais il n'y a pas eu strangulation. Le meurtre est donc écarté.et l'
auteur
indirect de cette mort n'est poursuivi que pour c
la justice d'atténuer équitablement la responsabilité criminelle des
auteurs
involontaires de semblables morts. De temps en
ente qualité. En effet, le plus souvent, le chloroforme n'est pas l'
auteur
de ces accidents, il n'en est que l'occasion. N
les comédies ». (3) Quels que soient les mobiles invoqués, tous les
auteurs
ont signalé le suicide dans l'hystérie. 11 s'agir
ivre : Etectrolhérapie, paru en 1868, en l'attribuant a son véritable
auteur
. Lassègue, qui me l'avait Indiquée dans une conve
sur l'homme de véritables effets de fascination se retrouve chez les
auteurs
les plue anciens. G-aiien, dans ses Aphorismes, i
poètes de tous les temps n'ont point manqué * de célébrer et que l'
auteur
du Cantique des Cantiques exalte avec un enthou
e est tellement énorme qu'elle n'a pas besoin d'être réfutée. Le même
auteur
prétend également que des sujets prédisposés sont
roducteur a la Sorbonne de l'enseignement de la psychologie musicale,
auteur
de livres réputés, bibliothécaire de la Bibliothè
rès la naissance. Des expériences poursuivies par un certain nombre d'
auteurs
, et en particulier par Prayer ont démontré que de
les hommes le sentaient dans un volume cent mille fois supérieur. Les
auteurs
précités* en tiraient la conclusion que le goût d
ce du criminologîste à rassembler tant d'observations qu'abominer les
auteurs
de forfaits si divers : criminalité acquisitive q
n serait tenté de recommander aux femmes la lecture du Cœur humain. L'
auteur
, en effet, les déclare mieux douées que les homme
inflammations, je me bornerai à rapporter les observations de divers
auteurs
sur les altérations purement fonctionnelles de l'
, ?4 1. Juillet 1902. qu'exhalait cet argent, il déclara, comme l'
auteur
du vol, la fille du maître de maison, ce qui se c
hoc Moi de mon côté je n'ai pas avancé avec moins de prudence que l'
auteur
classique français. Cela a toujours été mon plus
ique n'eut lieu que sur le trajet du nerf sciatique. Les essais des
auteurs
américains comparés avec ce qui a lieu pour les i
ager ceux qui voudront tenter l'expérience à suivre la méthode de cet
auteur
, c'est le meilleur moyen d'arriver à un bon résul
sont exprimées avec agrément et surtout avec une grande franchise, l'
auteur
ne s'inquiétant nullement qu'elles soient goûtées
été bien mis en évidence par les recherches dynamométriques de divers
auteurs
. La recherche du ¦ signe de la détente musculai
et ouvrage présente un résumé rapide d'un grand nombre d'études qne l'
auteur
a publiées depuis vingt ans sur la plupart des tr
ressants. Il lit volontiers, au contraire, un article dans lequel l'
auteur
a condensé en quelques colonnes le fruit de ses m
Il faut se méfier de ce qui a été écrit sur les éléphants, beaucoup d'
auteurs
ont rapporté des récits fantaisistes, de voyageur
l'écriture, pour les mouvements des membres, a été admise par divers
auteurs
. Dans un article paru en 1901, dans la Nalaré, M.
lassiques et surtout dans les recueils de leçons cliniques. Lorsque l'
auteur
y consacre un grand nombre de pages éloquentes à
tés que l'onanisme est fréquent chez les enfants en bas-Age. Certains
auteurs
, comme Marjolin et Van Bambecke. l'ont même obser
teur de l'Institut neurobiologique de l'Université de Berlin, à qui l'
auteur
a dédié son ouvrage. Le docteur Hilger employai
que praticien de Magdebourg. Comme le titre du livre l'indique, son
auteur
étudiera successivement l'essence de la suggestio
itement. I Après avoir fait un résumé succinct de l'historique, l'
auteur
procède à analyser l'essence de l'état hypnotique
ions du docteur 0. Vogt qui, d'accord avec Liébeault, ont conduit cet
auteur
à admettre que dans son essence l'hypnose constit
du sommeil de PlUgcr), et un côté psychique trop souvent négligé des
auteurs
. L'analyse des rêves, du demi-sommeil et du proce
ange de sommeil et de veille. Comme illustration du demi-sommeil, l'
auteur
rappelle la faculté de l'esprit de savoir contrôl
l'hypnotiseur et l'hypnotisé peuvent échanger d'idées entre eux. L'
auteur
se posant la question : Comment peut-on produire
ne de la suggestion : l'action vive de l'idée visant au but désiré. L'
auteur
étudie ensuite les notions : Association, fraieme
facteurs : attente (suggestion), habitude (exercice) et exemple. L'
auteur
s'appuyant sur quelques exemples, examine le role
assion, (motif inférieur). Abordant la question du libre arbitre, l'
auteur
est d'avis que les débats sur cette matière n'ont
motifs supérieurs (décence) aux impulsions et motifs inférieurs. L'
auteur
ne va pas a prétendre que l'éducation seule porte
ant au malade son libre arbitre. ?? Dans le troisième chapitre, l'
auteur
poursuit la question comment et jusqu'à quel poin
avec l'intérêt concouront à réaliser l'activation de la volenté. L'
auteur
donne nombre d'exemples à l'appui de sa thèse que
a réalisation de la suggestion que la douleur ne se présentera pas. L'
auteur
cite en outre quelques exemples de guérisons obte
nfluence de l'esprit s'exerce encore sur la fonction des menstrues. L'
auteur
démontre le rûle joué par l'autosuggestion, l'att
tuelle, la dyspepsie nerveuse sont justiciables de la suggestion. L'
auteur
s'étend longuement sur Le traitement des troubles
octeur Hilgeb fait preuve non seulement de la grande érudition de son
auteur
, mais encore de son esprit éminemment pratique. L
n au malade instruit de s'initier à l'étude de la psychothérapie. L'
auteur
dans son étude de l'essence de l'hypnose et de la
ons et d'observations physiologiques et psychologiques empruntées aux
auteurs
des plus compétents. Traitant des applications de
euses à la suggestion et à l'hypnose. Je prédis un grand succès à l'
auteur
. Son œuvre mérite d'être répandu, aussi au-delà d
225. Voisin (Banquet en l'honneur du Jules), p. 289, 321. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS Adam. p. 217. Aiguer, p
pas encore lu, mais voici, en en attendant l’analyse, une lettre à l’
auteur
et sa réponse, qui donneront un avant goût du con
lors que l’on intenta un procès au magnétiseur en l’accusant d’être l’
auteur
de la mort du tilleul, et de l’avoir fait périr p
onces. Tout le monde sait, en effet, que ces annonces, payées par les
auteurs
ou éditeurs, n’ont pour objet que de donner à leu
ainsi que nos annonces l’avaient indiqué, d'un bref du pape Pie IX. L’
auteur
, qui avait fait hommage de son livre au souverain
devient aussi son point de mire; mais il retournera, sans doute, à l’
auteur
certaines épithétes joviales et malveillantes qui
faire magnétiser. Les motifs de celte abstension laissent voir que l’
auteur
est tout à fait au-dessous de la question. N’envi
ident l’assemblée, on chantera un hymne fait pour élever l’âme vers l’
auteur
de la nature en célébrant un de ses attributs.
là où se fait sentir l’action, la volonté du magicien. >i (Ici l’
auteur
transcrit une partie du savant travail de M. Léon
de Dieu? L. Alp. Caiiagnet. Chronique. — M. le docteur Gorgeret,
auteur
d’un petit écrit sur le magnétisme publié à Nante
ule d’observations fort curieuses, recueillies en grande partie par l’
auteur
. Deux mots d’introduction nous laissent entrevoir
en deux volumes qui fera du tort au magnétisme, mais plus encore à l’
auteur
. Nous en ferons l’analyse pour éviter à nos' lect
tre dernière conférence dominicale; l’un d’eux, M. le comte Nani, est
auteur
d'un ouvrage sur le magnétisme, en cours d'impres
que la durée de l’expérimentation expirait le 1" décembre 1847. — L’
auteur
du feuilleton de l'Union monarchique, du 21 févri
ue de le voir et de le comprendre..... » Page 242 du même volume, l’
auteur
raconte sa visite à lady Esther Stanhnpe, nièce d
n, remarquable, à quelque point de vue qu’on se place pour en juger l’
auteur
et le sujet. Un mot nous apprend que la Syrie r
iens isolés avec divers membres de la Société; ils m’ont appris qu’un
auteur
classique rangeait le magnétisme animal au nombre
sans cesse en présence de l'hypocrisie des faux savants. A MM. les
auteurs
du Journal de Paris. Messieurs, Je viens de l
Il va, nous assurc-t-on, bientôt paraître un opuscule mystique dont l’
auteur
, M. Morin, se dit « Docteur par la grâce magnétiq
ation désagréable, qu’il pourra servir à de nouvelles épreuves. » L’
auteur
a obtenu dans un jour, mais avec beaucoup de pein
tait la condition cl le magnétisme la cause. «Une vache, continue l’
auteur
, était attachée en plein air à un barreau de fer;
ls meurent ordinairement le même jour. De l’ensemble de ces faits l’
auteur
tire la conclusion suivante : « Il parait que l
r l’extrait d’une lettre qui concerne la magnétisation des animaux. L’
auteur
du livre en question n’y devra voir qu’une marque
nde, par le docteur MARCBAL(de Calvi). \ vol. in-12. Paris, )8Îî. L’
auteur
du livre en question se présentant aux .suffrages
is ; dans le sens de : être témoin, spectateur. Magnétiana. Du même
auteur
que ci-dessus. Signi- lication : Bons mots magn
ambulisme n’y est pour rien; c’est une fiction à l’aide de laquelle l’
auteur
critique amèrement les actes et les personnes du
, ce qui en fait à la fois une œuvre philosophique et artistique. L’
auteur
qui, par bizarrerie ou pour des considérations pa
grande richesse de savoir. Mais autant il est facile de reconnaître l’
auteur
au style, autant il est difficile d’entreprendre
nous sentant incapable de l’approfondir. Notons tout d’abord que l’
auteur
a fait choix de la forme épistolaire. Cette forme
dre chronologique, en un mot d’écrire leur histoire. C’est pourquoi l'
auteur
passe en revue les différentes opinions qui se so
tisme animal était une chose réelle, vraiment existant. Jusqu’ici l’
auteur
n’a fait qu’exposer les faits sans donner à conna
avec la modération et le respect dû à des noms si illustres. Ici l’
auteur
suspend ses élucubrations philosophiques pour se
ans l’exposition du théosophisme, plus qu’en autre sujet peut-être, l’
auteur
s’est montré supérieur. 11 le considère dans son
rs la connaissance première. Ici les définitions étaient inutiles : l’
auteur
a laissé à chacun le droit de suivre l’opinion qu
les magnétiseurs, le somnambulisme (I) Tout ce passage prouve que l'
auteur
, si savant qu'il soit, ignor» ncore bien des chos
r le sommeil et les songes, dont les théories, toutes propres à notre
auteur
, sont aujourd'hui professées par les philosophes
ntéressant, mais au-dessus de nos forces, de suivre ainsi pas à pas l’
auteur
dans ses dissertations multiples pour arriver à l
s’unit à ce qui maîtrise le disciple de Zenon. Disons en un mot que l’
auteur
a imité le philosophe grec qui plaçait dans l’Aca
ù le magnétisme excitait à New-York un immense et vif enthousiasme. L’
auteur
y a nus un chapitre sur les mystères de la vie„ i
iment louable dans son principe et dans son objet. » Et avec un autre
auteur
moderne : « Quand on veut faire pénétrer des vé
l’Amérique du Nord, que nous empruntons au Commerce du 16 avril. L’
auteur
,décrivant les mœursdes buITles, dit de leurs peti
e fondé. La partie du plaidoyer n’c>t qu'un artifice oratoire. L'
auteur
de la brochure est Pitou. Paria. — MM. les abon
l’origine, si elle ne s’appuyait sur des preuves considérables; car l’
auteur
, autrefois apprenti cordonnier, n’a que 21 ans, p
agnétique. — Communications y relatives, 33, 194, 215. L. Leger —
auteur
d’un livre analysé. page 191. Législation magné
umé de l’histoire du magnétisme, que nos lecteurs connaissent tous; l’
auteur
dit : Tant que les véritél De sont pas devenues
une critique mais chaque magnétiseur appréciera facilement comment l’
auteur
a pu s’égarer. Il n’a point magnétisé; il ne parl
ur enveloppe des lettres que je lui présentais, il m’en indiquait les
auteurs
, leurs études, leur carrière, et m’en disait les
me de cathéchisme ou de prône. C’est à ce point que le très-peu pieux
auteur
de Faust, que Goethe, qui a toujours professé la
ir en continuant cette nouvelle phase, la science n'y gagnera rien. L’
auteur
de l’un des ouvrages qui nous occupent, M. Fische
que dans cette voie. Voilà ce qu’a voulu nous recommander l’un des
auteurs
dont les ouvrages nous occupent en ce moment. M
ire l'idée vivante de l’existence (1). » Voilà la vraie pensée de l’
auteur
, et, pour mon compte, je suis tout prêt à me sent
rons point dans les discussions que peuvent soulever les idées de cet
auteur
sur les médecines, classiqueet homœopathique; c’e
aru comme rivales «le la médecine hippocratique est dû à ce que leurs
auteurs
, s'appuyant sur une hase vicieuse, ont pris tour
us a fait une sorte d’obligation de dire notre pensée. D’ailleurs cet
auteur
est trop sincère, trop homme de bien, il croit si
es espèces. Rappelez-vous, lecteurs, la sainte Jérusalem, faite par l’
auteur
de l’Apocalypse. Vous y trouverez la ville d’or p
s projeté. — Nous avons appris de nos correspondants italiens que l’
auteur
de l’ouvrage analysé clans notre tom. vi, page 28
smérisme a tout à attendre du concours de ces hommes de l’avenir. L’
auteur
de Solidarité s’exprime ainsi sur l’objet qui nou
er lieu, je signalerai le titre de traité de magnétisme donné par les
auteurs
et les lecteurs, aux ouvrages de notre époque qui
la réfutation est infiniment plus importante et instructive. Tous les
auteurs
qui parlent du lluide, subtil agent des phénomène
octeur Viancin. Ce système fut produit il y a environ deux ans. Son
auteur
établissait en principe que le magnétisme se revê
s pythonisses. Ici on cherche des trésors; là les objets volés et les
auteurs
du larcin ; ailleurs on vient demander si l’objet
é, pas plus (pie ceux qui les avaient laissés opérer, se déclarer les
auteurs
de cet acte infernal, et j’ai été trompé dans mon
ants du moyen âge et d’habiles contemporains, etc., etc.......... L’
auteur
énumère ensuite divers points d’histoire où il es
ce qu’on lit dans la Gazelle des tribunaux, du 9 janvier 18'rfi; l'
auteur
de l’article est un des membres les plus distingu
par la force des exorcismes ou autrement un possédé vîntà indiquer l’
auteur
de sa possession, la justicecriminelle intervenai
suggérant de fausses appréciations sur les phénomènes dont il était l’
auteur
, cherchant ainsi à m’égarer dans cette route tort
thérapeutiques, nous lisons : « Us ont même leurs magnétiseurs, que l’
auteur
des Lettres chinoises compare aux convulsionnaire
le titre de : Observations du magnétisme occulte. Dans cet opuscule l’
auteur
cite un second phénomène analogue à celui dont il
nce, elle a dépeint physiquement celui qu’elle en considérait comme l’
auteur
, a désigné sa profession, et ses indications sc s
allai consulter ma somnambule, qui me désigna mon amie intime comme l’
auteur
de ce mauvais tour. J’accusai mon amie, qui me ri
r 1794, à l’Opéra-Comi-que, l’Intérieur d’un ménage républicain, et l’
auteur
demandé fut le citoyen Chastenet. Plus tard, vers
age des écrits spéciaux, dont elle est le plus brillant ornement. Les
auteurs
qui en ont apprécié l’importance lui accordent un
r prophètes et les idolâtres pour inspirés du démon? La lecture des
auteurs
anciens nous donne l’assurance que le magnétisme
été témoin de faits bien plus incroyables. » Le docteur Filassier,
auteur
d’une thèse fort intéressante sur le magnétisme,
ofondie des Arcanes de M. Ca-hagnet, ont changé ses convictions sur l’
auteur
des résultats qui ont été obtenus sur lui. Il est
quel il a nourri longtemps une haine secrète, en le regardant comme l’
auteur
de ses maux. Aujourd’hui notre obsédé, après av
rme l’opinion qu’un jour l’homme domptera la plupart des animaux. L’
auteur
du livre en question , parlant d’un de ses confrè
ès attira beaucoup d’éloges au vétérinaire, qui les rapporta tous à l’
auteur
qui le lui avait procuré. « Depuis ce moment, c
ement, ou leur existence est de courte durée. § v. La plupart des
auteurs
qui ont écrit sur le somnambulisme prétendent que
ée avec tous les caractères de l’authenticité. Madame Eugénie F...,
auteur
de plusieurs romans qui ont eu du succès, ayant b
e d’un fluide particulier au système nerveux de l’homme, fluide que l’
auteur
différencie nettement de l’éther, de l’électricit
u magnétisme. Dans la deuxième partie, la Médecine du magnétisme, l’
auteur
comprend : i° la médecine magnétique, c’est-à-dir
ui-même; et, après des citations toujours puisées dans sa pratique, l’
auteur
conclut en homme qui a bien jugé le pour et le co
osophiques; chaque page renferme les pensées les plus profondes, et l’
auteur
, se posant à un point de vue particulier que nous
C’est un rapide coup d'œil sur l’histoire académique du magnétisme. L’
auteur
montre aux savants académiciens combien leur cond
âme et le corps. Il cite un passage de Yung Stilling, dans lequel cet
auteur
expose, comme une vérité reconnue, qu’il y a dans
les dormeurs : en France comme en Angleterre, le Prix est resté à son
auteur
. Répétons-le donc à ceux qui veulent marcher ré
sultée sur un assassinat, commis rue de Verneuil, en aurait indiqué l’
auteur
. La suite nous apprendra sans doute si ce dire es
ecine de Paris, qui établissent des faits irréfutables à la raison, l’
auteur
ajoute que c’est un parti pris par l’Académie de
e de l’électricité. Cette comparaison, déjà faite par plusieurs des
auteurs
qui ont écrit sur la matière a été vivement attaq
oisième chapitre est consacré à l’examen de l’essence des maladies; l’
auteur
pense qu’elles consistent dans un premier désordr
t intitulé : Histoire d'une épilepsie guérie par le magnétisme. L’
auteur
opère sur une servante peu intelligente, le lende
topathique, l’insensibilité chirurgicale, l’isolement, etc., etc. L’
auteur
termine par le phréno-magnétisme. 11 a observé
nt d'anhydride phosphori- que. La phosphaturie, signalée par divers
auteurs
, et qui d'ailleurs a été recherchée en vain, pa
qu'est le type d'ex- tension décrit par Charcot, et dont plusieurs
auteurs
, Beschet et Dutil, notamment, ont publié des ex
its isolés ; dans l'immense majorité des relations anatomiques, les
auteurs
n'ont trouvé que des lésions histologiques, du
rale, il conclut ci son origine corticale. Plus nombreux sont les
auteurs
qui ont trouvé des lésions médullaires. Je vous
seaux san- guins et des cellules de la moelle, signalées par divers
auteurs
. (1) PIIILIPP, Anutomischev Befund in Centralne
s ont surtout été vues par Iioller (1) et par Redlich (2). Ces deux
auteurs
ont signalé la sclérose des parois vasculaires, R
s troubles de nutrition de la moelle. Ce serait parfait si d'autres
auteurs
avaient, depuis, retrouvé ces lé- sions. Or, el
, dans deux cas, par Francesco Burzio (1) en 1902. Dans un cas, cet
auteur
note la sclérose des cordons postérieurs, princ
ne m'appesantirai pas sur ces considérations, qui n'ont amené leurs
auteurs
qu'à des hypothèses non justifiées par les faits.
, le traitement thyroïdien, chez deux parkinsoniens. Enfin, le même
auteur
a observé, dans le service du professeur Ribling,
ant ce rapide aperçu pathogénique, je vous rappelle que de nombreux
auteurs
, dont la liste serait trop longue à énumérer, ont
nt, et de quelques observations analogues em- pruntées à différents
auteurs
. Un deuxième chapitre sera consacré à l'étude e
ifférences qui existententre mes constatations et celles des autres
auteurs
, au point de vue de l'éten- due des dégénéresce
. Cette distinction ne me paraît pas avoir été encore faite par les
auteurs
qui se sont occupés de cette question ; elle ré
peine à recon- naître que la réalité est tout autre. Aussi tous les
auteurs
ont-ils accepté sans protestation l'interprétat
de 1/10 à 1/8 de la somme totale de ses fibres à l'état normal et l'
auteur
pa- raît avoir eu bien de la peine à trouver da
e ce fait que le centre ovale de Flechsig, décrit et figuré par son
auteur
au niveau de la 1° lombaire (1), est traversé de
t lésé directement la partie terminale de la moelle ; en effet, ces
auteurs
décrivent une dégénérescence dans les cordons a
beaucoup de soin par Lissauer, dans son mémoire cité plus haut. Cet
auteur
distingue plusieurs régions qui sont d'arrière en
s incomplètement par les lésions mé ningées. Je rappellerai que ces
auteurs
basent leur théorie sur les argu- ments suivant
lle peuvent être systématiques comme l'ont admis autrefois certains
auteurs
, elles sont bien plus souvent pseudo-systématiq
st révélée que par l'analyse graphique : ceci explique pourquoi les
auteurs
, se ba- sant sur la simple observation clinique
du pied ; ces modifications consistent essentiellement, d'après ces
auteurs
, en un mouvement plus ou moins brusque d'extens
est très intense. Il avait été déjà signalé en partie par quelques
auteurs
,Babinski,'Crocq, etc., qui avaient pu provoquer l
laire observée par le professeur Brissaud et M. II. Grenet (1). Ces
auteurs
faisant des réserves quant à l'existence possib
données pathogéniques émises récemment (1). Pendant longtemps les
auteurs
ontparu disposésà grouper en troubles constants
surface des mé- ninges ou du cortex au cours des néoplasmes. Si les
auteurs
n'ont pas in- sisté depuis longtemps sur ces lé
ées à l'autopsie, elle se rapproche de tous les cas publiés par les
auteurs
. On y retrouve les symptômes les plus importants
ngt.etuneohservat.ions semb)ab)es dans la littérature médicale. Cet
auteur
montre que l'absence du caractère familial et l'é
que l'on trouve très rarement indiqués dans, les obser- vations des
auteurs
: une arythmie très marquée, et des troubles asse
térieures ainsi que d'un ganglion radiculaire, lésions que tous les
auteurs
qui les ont cherchées, ont trouvées. Nous ferons
s- sait d'un nègre de 55 ans, paralysé depuis plusieurs mois, que l'
auteur
vit avec un oedème marqué occupant tout le côté
debout sont un peu différents de ceux qui ont été constatés par les
auteurs
précédents. L'observation sui- vante nous parai
ns une série de travaux antérieurs, résultats qui avaient amené cet
auteur
à une théorie très ingénieuse et très séduisante,
DU GANGLION RACHIDIEN 209 été faite en d'autres termes par quelques
auteurs
dans l'étude des gan- glions rachidiens au cour
doive être utilisée comme étant le meilleur moyen d'étude, et tout
auteur
qui la délaisse risque fort d'encourir le reproch
bord, il existe dans chaque ganglion spinal, d'après la plupart des
auteurs
, des types différents de cellules et la dispositi
it faut-il lui accorder en anatomie pathologique après que certains
auteurs
, et Marinesco entre autres, ont reconnu que les
n normal les cellules sont de dimensions inégales; la plu- part des
auteurs
reconnaissent, en ce qui concerne leurs dimension
ations qui l'occupent à l'état normal'; c'est cet état que quelques
auteurs
ont décrit sous le nom d'homogénisation. Mais ces
ologique. Nous avons été précédés dans ces recherches par plusieurs
auteurs
et quelques-uns, parmi. eux, ont décrit des lés
e- ment et de la prolifération du tissu interstitiel, mais ces deux
auteurs
n'ont examiné chacun qu'un seul cas. Oppenheim
fer (4), Juliusberger et Mayer (5), Marinesco (6)] ; la plupart des
auteurs
n'ont pu déceler aucune modifica- tion de la ch
u'elles traduisent un état pathogique de la cellule. Mais plusieurs
auteurs
, Rabes et Kremnitzer (7) entre autres, ont signal
tes qui n'avaientpas succombéà une 'affection nerveuse; et certains
auteurs
ont pensé que normalement un cer- tain nombre d
as éléments disparus ; les mêmes petites cellules ont pour d'autres
auteurs
une signification différente; ce serait pour Len-
eci nous amène à parler des proliférations capsulaires que certains
auteurs
décrivent encore comme neuronophagie (Marburg)
uteurs décrivent encore comme neuronophagie (Marburg) (2). Avec cet
auteur
nous distingue- rons deux ordres de proliféra l
erg dans le tabes, mais Golgi l'a décrite dans la rage, et d'autres
auteurs
ont trouvé quelques cellules attein- tes de la
n nous appuyant sur nos observations personnelles et sur celles des
auteurs
qui nous ont précédés, de toutes les modification
le nerf périphérique un prolongement protoplasmique ; mais le même
auteur
fait remarquer que si cette hypothèse est vraisem
ques,et à ce propos Redlich cite les faits observés par Singer ; cet
auteur
, au cours d'embolies expérimentales, put obteni
que ces lésions existent, qu'elles ont été observées par plusieurs
auteurs
. Nous- mêmes les avons constatées fréquemment d
iences de Kôster (1); il parait démontré que si Lugaro, et d'autres
auteurs
n'ont observé aucune modification des cellules
lorer saint Willibrord. LA PROCESSION DANSANTE D'ECHTERNACH 263 L'
auteur
d'une brochure populaire sur Echternach s'exprime
due et l'importance de son labeur, sutout si l'on se rappelle que l'
auteur
devait prématurément renoncer à poursuivre sa l
uence notable dans le cas de paralysie myasthénique. (1) Quelques
auteurs
, en se fondant sur des observations, avec ophtalm
nons à côté des chiffres normaux, les dimensions trouvées par trois
auteurs
et celles que présentaient les coupes de la moe
euse et de la maladie de Friedreich fut déjà signalée par plusieurs
auteurs
. Nous les trouvons mentionnées chez Friedreich
oies optiques, dans l'amaurose tabétique. C'est à peine si quelques
auteurs
ont rapporté le compte rendu d'un ou deux exame
iendrait plus de fibres altérées que la partie centrale; bien peu d'
auteurs
ont examiné attentivement le rétine elle-même.
, nous ne comprendrions pas la conclusion qu'en ont voulu tirer les
auteurs
, à savoir que l'altération primitive siégerait
(2), Holden (3) ont récemment protesté contre le fait admis par les
auteurs
précédents et contre son interprétation : ils ont
aux modifications de l'activité mentale que l'on observe chez leurs
auteurs
, on constate une certaine constance dans leurs
te par Charcot et Paul Richer ne portait pas de légende ; aussi ces
auteurs
ont-ils pu croire qu'il s'agissait de la processi
ait que le malade ne cherche qu'à faire rire les assistants. » Si l'
auteur
de cette gravure n'a pas eu l'occasion d'observer
uliser; signalons seulement les réelles qualités d'observation de l'
auteur
. La présence du violoniste, esquissé au milieu
es chevreuils, n'épargnant même pas les hommes, au dire de certains
auteurs
. A Athènes, les'Dionysiaques, qui se célébraien
eurs qui don- nèrent l'exemple de la plus complète licence. ' Les
auteurs
chrétiens ont insisté longuement sur l'étrange ét
héories sont en présence pour l'expliquer : d'après la majorité des
auteurs
classiques, le tissu interstitiel est dû à la pro
- tion du périmysium interne et externe; au contraire,pour d'autres
auteurs
, pour Krôsing en particulier, ce tissu intersti
le carmin et qui sont fort analo- gues aux figures données par les
auteurs
(Krôsing, Durante) comme type 352 CESTAN ET LEJ
profondes dans le tissu environnant, si on admettait, avec quelques
auteurs
, que les lésions du tissu périvas- culaire dans
E PAR André LÉRI, Ancien interne des hôpitaux. La plupart des
auteurs
qui se sont occupés de l'anatomie pathologique
du nerf optique. En énumérant les quelques remarques faites par les
auteurs
, nous allons voir combien elles se contredisent
s a absolument convaincu que, contrairement à l'opinion de certains
auteurs
, l'hypertrophie interstitielle n'est pas seulem
aisceau de la vision distincte, restait, comme l'ont pensé certains
auteurs
, central dans le nerf. Mais il n'en est pas ainsi
'atrophie tabétique et suivant les hasards de leur statistique, les
auteurs
ont considéré comme particulièrement fréquents,
temporal, tantôt le rétrécissement nasal; celui que la plupart des
auteurs
considèrent comme le plus fréquent est le ré- t
t jouer un rôle pathogénique. Les différents faits observés par les
auteurs
qui ont étudié la syringomyélie, joints à ceux
tent une série de causes -pathogéniques disparates. A ces derniers
auteurs
s'opposent Simon et Westphal qui regardent la s
première observation. Mais on peut, croyons-nous, conclure que les
auteurs
ont méconnu la portée générale des particularit
que certains de ces caractères ont été maintes fois relevés par les
auteurs
qui, dans leur interprétation, n'y ont peut-être
ltérations vasculo-conjonctives et du siège des cavités. Tous les
auteurs
ont été frappés de l'intensité des lésions vascul
D'ailleurs il n'y avait nulle part d'endartérite ou de thrombose. L'
auteur
frappé de la ressemblance qui existait entre la f
Cette interprétation s'appuie sur une figure regardée à tort par l'
auteur
comme une formation cavitaire, car elle ne repr
papilles. Mais d'où dérive-t-elle, quelle est son origine ? Le même
auteur
cherchant à élucider cette question, a cru pouv
e fait d'une lésion propagée autour d'eux. Et cependant, même les
auteurs
qui font le plus directement intervenir les lés
ayant pour origine les veines, les artères et les capillaires, les
auteurs
admettent qu'il s'agit d'un anévrysme cirsoïde
s. Quant à la cavité du cordon postérieur, elle aurait, d'après ces
auteurs
, une origine hématomyélique. Cette observation
rançais, nous reproduisons aujourd'hui deux tableaux que ces divers
auteurs
n'ont pas signalés. Chacun de ces tableaux prés
dernier pour recommander l'opération. À par- tir du vie siècle les
auteurs
sont plus explicites. Brassavoli, Iloullier, No
urs d'entre eux. Cette opinion a été émise et soutenue par nombre d'
auteurs
. Charcot (1) dit en parlant de l'oedème bleu des
vons emprunté à M. J. Séglas la méthode descriptive adoptée par cet
auteur
dans sa « Séméiologie des affections mentales » (
ens a été rendu, dans toute sa force, le moment psychologique que l'
auteur
avait conçu dans son imagination. Rien de facti
ne hystérique (Trou- bles (3 fig.), par Genévrier, 459. TABLE DES
AUTEURS
Ai3ADiE et H. VERGER. Etude graphique des réf
nie avec atrophie muscu- laire (2 planches), 450. 506 TABLE DES
AUTEURS
LEBORGNH et DIDE, Nouveau cas d'achon- dropla
or- nes antérieures de la substance grise. Cela n'empêche pas cet
auteur
d'admettre que, chez certains malades, ce proce
ans lesquelles se pro- duisent tous les symptômes indiqués par 'cet
auteur
(Duchenne), comme caractérisant le type qu'il v
tout l'observation extraordinaire de Louis V à laquelle de nombreux
auteurs
ont collaboré'. Ce malade célèbre présente cinq
rle Dr Umberto S'fEFANI. (Riv. sp. di fren., t. XVII, fasc. m.) L'
auteur
rapporte une observation très circonstanciée et d
itsch. f. Psychiat., XL VII, 5.) La paranoïa ne comprend, d'après l'
auteur
, que les vésanies à développement et évolution
ervations de folie chez les jumeaux qui existent dans la science, l'
auteur
dit que la vraie folie gémellaire est caractéri
entralbl. (. NC1'1'enheilk., NE., II, 1891.) . Après une revue, l'
auteur
donne l'observation de deux frères indemnes d'h
rofesseur iV.-11. POPOFF. (iJledi- zinsk. Obozr., n° 18, 1891.) L'
auteur
décrit un cas d'hémiplégie survenue à la suite d'
rès cette hémiparésie s'est transformée subitement en hémiplégie. L'
auteur
explique cet accroissement subit de phénomènes
termittente de bien de ces symp- tômes. Cas unique de guérison. L'
auteur
classe les cas connus d'après leur évolution et l
Observation d'aphasie sensorielle subcorticale et transcorticale. L'
auteur
insiste sur l'existence de la surdité verbale et
que j'ai été invité à vous lire le rapport de M. S. Garnier par son
auteur
lui-même qui s'était préalablement assuré de l'
é avec les remerciements de la Société et sans apprécia- tion à son
auteur
. Quel est celui d'entre nous, dit-il, dont la rel
e le criminel aliéné et l'aliénation men- tale ne peut affranchir l'
auteur
du délit ou du crime des consé- quences de ses
- nation mentale prépare le crime, le criminel l'exécute. » Le même
auteur
avance que l'on ferait disparaître bien des cri
i vont au champ du son du mot ou qui en viennent, peu importe ; l'
auteur
s'exprimera invariablement ainsi : Il y a trouble
13, 14 ont trait des alcooliques; en pareil cas, comme l'indique l'
auteur
, le traitement de l'asile suffit. Les observation
s morbides. Il parait possible, d'après mon expérience et celle des
auteurs
, de changer par la suggestion la couleur de l'h
ports ' entre la syphilis et le tabès. La nouvelle statistique de l'
auteur
comprenant ses observations des dernières année
y a quelques années. Parmi les malades venus à la consultation de l'
auteur
en 1889, la syphilis chez les hommes russes éta
mparaison - sous ce rapport de diverses nationalités employée par l'
auteur
. A la discussion ont pris part, le professeur K
garçon de douze ans, atteint d'une hydrocéphalie con- sidérable, l'
auteur
pratiqua la trépanation, laissa la plaie se ferme
, retira de deux à dix centimètres de liquide. L'enfant guérit et l'
auteur
est convaincu que la guérison est due à son trait
par le Dr G. Duchbsneau. Th. Lyon. J.-B. Baillière, Paris, 1892. L'
auteur
nous expose l'histoire clinique et anatomique d'u
et tous les tissus ont été étudiés, ainsi que tous les appareils. L'
auteur
a été amené à conclure que les lésions du squelet
x actuellement, qui s'intéressent aux choses de la psychologie. L'
auteur
divise tout d'abord les troubles du langage chez
ême division sert de guide en ce qui a trait au langage écrit, et l'
auteur
y passe en revue : les troubles résultant de déso
e Dr W. GijKOEWicH, Paris, 1892. J.-B. Baillière et fils, édit. L'
auteur
a entrepris de grouper en une étude commune toute
, de la moelle et des nerfs péri- phériques en particulier. Aussi l'
auteur
aurait-il fait une monogra- phie complète, s'il
s- sent de l'obsession tantôt en récitant des pages entières d'un
auteur
favori, tantôt en chantant la Marseillaise ou d
fois par MM. Deny et Chouppe (1889), puis par M. Féré (1890). Ces
auteurs
communiquèrent le résultat de leurs expériences à
la seconde plus lente- ment et avec peu de convulsions.' Aussi l'
auteur
concluait-il : « Sauf certaines exceptions, don
Pour la question de la toxicité avant ou après les paroxysmes, ces
auteurs
refusent de conclure, justement parce qu'ils n'
c. Mais, chacune de ces dénominations, proposées par les différents
auteurs
, a le défaut d'indiquer simplement une des form
vaso-moteurs du . cerveau et de la moëlle jouent, d'après quelques
auteurs
, entre autres Rosenthal et Béard, un rôle consi
e M. Babinski (43). Il est vrai, qu'avant ces publications d'autres
auteurs
, surtout L'ABLYOPLE transitoire. 217 Galézows
s vingt observations célèbres, mais encore de nos jours où certains
auteurs
tentaient naguère d'introniser une localisation
l'application de faits que n'avaient pas su prévoir eux- mêmes, les
auteurs
de la découverte. Rares sont les faits, dans l'
Cenlralbl. f. Nervenheilk, N. F., t. II, 1891.) , La théorie de l'
auteur
a été exposée dans les Archives de Neuro- logie
orie de Jelgersma, formule des objections que combat actuellement l'
auteur
. Il renforce sa théorie par les deux arguments
e qui est accessible aux agents colo- rants, du moins à ceux dont l'
auteur
s'est servi. (Bleu de méthyle syst. Kronthal, m
'SIiI. (Neurol. Ces- Des expériences méthodiques de vivisection des
auteurs
, il résulte que le centre réflexe principal de
hiv f. Psychiat.,XXlII, 2.) De notre observation personnelle, dit l'
auteur
, il résulte que : 1° Les foyers de ramollisseme
et dont une des propriétés est d'altére les fonctions cérébrales, l'
auteur
s'est efforcé de faire une sorte de synthèse, u
de faits empruntés à l'histoire de chaque poison en particulier. L'
auteur
a tout naturellement éliminé de son travail ana
digression sur le mode d'action des poisons sur l'in- telligence, l'
auteur
aborde la symptomatologie générale. Tous produi
s sens, etc.). Ce chapitre, bourré de faits, échappe à l'analyse. L'
auteur
les classe méthodiquement et joint toujours l'e
HOLOGIQUES. 269 terminaison des empoisonnements psychiques. Enfin l'
auteur
énu- mère sous forme d'axiomes très nets les ca
u crâne (étude de l'atrophie cérébrale des paralytiques généraux) l'
auteur
photographie le crâne en en précisant la positi
Il s'agit là d'un cas si exceptionnel que, malgré les dires de l'
auteur
et les vérifications faites, on est en droit de s
Une observation personnelle. Etude critique des observations des
auteurs
. Analyse extrêmement bien faite. Conclusion. Qu
e. On observa ce malade huit ans. Autopsie : étude microscopique. L'
auteur
insiste sur l'évo- tion des symptômes intraocul
E. (Allg. Zeitsch. f. Psychiat., XLVIII, 1-2.) Sur 320 aliénés, l'
auteur
en a compté 72, c'est-à-dire 22,5 p. 100 attein
person- nelles. 280 . SOCIÉTÉS SAVANTES. - De cette analyse, l'
auteur
conclut que la léthargie pure avec avec flaccid
EN. (Archiv f. Psychiat., XXII, 3.) Chez quatre femmes grosses, l'
auteur
a observé des manifesta- lions spinales analogu
Cette forme, produit d'un cerveau peu valide, est distinguée par l'
auteur
de la mélancolie vraie, à cause de l'absence, a
ntré un seul qui répondit au type créé par Cotard. Je crois que cet
auteur
a surtout été séduit par le mot et qu'il a voul
u delà de ce . que la famille a cru autoriser à dire. Pour d'autres
auteurs
, le secret ne peut être absolu, l'intérêt de la
elle-même plus durable. M. RITTI (de Paris) rappelle que plusieurs
auteurs
ont déjà établi que les malformations diverses
liés à la mélancolie et c'est là un point signalé déjà par quelques
auteurs
, entre autres Schuele, et sur lequel j'ai insisté
rusque du système nerveux central (très souvent consécutif pour les
auteurs
les plus récents à l'infec- tion ou à l'auto-in
nt différents de ceux que M. Chaslin a en vue et que les différents
auteurs
ont signalés, ainsi qu'on le voit, dans l'histo-
neutre de Duboisine dans le traitement de l'aliénation mentale. Les
auteurs
ont, depuis deux ans, essayé le sulfate neutre
s injections ayant lieu quatre heures avant ou après les repas. Les
auteurs
com- mencent d'abord par un demi milligramme; l
à ces petits infortunés. Un second cas de craniectomie opéré par l'
auteur
il y a quelques mois sur un enfant microcéphale
se sont empressés d'opérer et de publier. II. Quelques-uns de nos
auteurs
donnent sur l'état des fontanelles des renseign
ui n'était d'ailleurs applicable qu'à certains cas, et à laquelle l'
auteur
lui- même a renoncé. Des photographies de crâne
ette oblité- ration prématurée des sutures comme cause d'idiotie. L'
auteur
aurait pu y joindre les cerveaux contenus dans
e sera toujours impuissante à corriger. Des examens pratiqués par l'
auteur
et dont il nous donne un tableau synoptique trè
t une apologie justifiée de Laënnec comme professeur de clinique. L'
auteur
y publie deux lettres du savant médecin où il p
médicale Ciiarcot-Dedove. Paris, 1892, J. Rueff et Cie, édit.) L'
auteur
s'est efforcé de faire une étude médico-psycholog
irdebase aux divi- sions et aux considérations uttétieures, aussi l'
auteur
ne craint-il pas d'insister, et de compléter le
il a été conçu, et les principales matières qui y sont traitées. L'
auteur
étu- die avec un soin particulier l'étiologie e
te la pathologie spinale. Parmi les dégénérations descen- dantes, l'
auteur
distingue celles qui sont consécutives aux lésion
est la toxine d'origine syphilitique soupçonnée par Strumpell. L'
auteur
ne manque pas à l'occasion de la maladie de Fried
« l'opinion erronée mise récemment en circulation » par cer- tains
auteurs
sur la nature purement neurologique de la scléros
ale amyotrophique termine le volume : nous y noterons la part que l'
auteur
accorde aux troubles psychiques dans cette mala
ira à fonder un prix bisannuel de 2.000 francs qui sera décerné à l'
auteur
du meilleur travail sur la thérapeu- tique des
'ont semblé insuffisantes sur ce sujet. Les opinions des différents
auteurs
sont mieux d'accord sur la nature du trouble vi
e. z En effet, le siège des hallucinations est placé par nombre d'
auteurs
(Tamburrini le premier) dans les centres sensorie
anglions de la base du cerveau. Quant à la couche optique, quelques
auteurs
(Nothnagel) nient que ses altérations puissent
ctivité psychique pour l'articulation des 1 Les cas publiés par cet
auteur
(hémianopsies passagères à la suite d'apoplexie
inctes, nous trou- vons la sick head-ache et la blind head-ache des
auteurs
clas- siques anglais. Dans cette dernière (migr
très intéressante de Forster '. Même l'explication donnée par cet
auteur
serait bien d'accord avec les caractères de l'am-
and une malade cesse d'être -suggestible. Je sais bien que certains
auteurs
préten-, dent que tous les hommes sans exceptio
r le D1' A. CULLEnE. Dans un article intéressant et humoristique, l'
auteur
retrace rapidement l'histoire du péril hypnotiq
es anthropologiques, des causes sociales et des causes cosmiques, l'
auteur
a appliqué à un crime récent la méthode d'inves
b John Baker. (The JOlli'1lal of mental Science, avril 188 ! J,) L'
auteur
a rassemblé dans ce mémoire plusieurs cas intéres
même manière, en une seule fois le soir, au moment du coucher. L'
auteur
a eu le soin d'administrer aux mêmes malades le c
. Laissant dans l'ombre les arguments de la statistique, certains
auteurs
sont venus demander des arguments à la thérapeuti
ander des arguments à la thérapeutique. Dans cet ordre d'idées, les
auteurs
, après avoir soumis métho- diquement les paraly
tigramme; repos pendant un mois, puis reprise du traitement. Si les
auteurs
n'ont pas trouvé dans le chlorure d'or et de so
ico-convul- sives. Administration de 3 grammes de KBr., guérison. L'
auteur
fait remarquer que l'agraphie, contrairement à
uatre jours après, convulsions, mort. Ainsi que le fait remarquer l'
auteur
, pour aller disséquer des cer- veaux vivants, i
interne. Ils étaient involontaires. Le mot gronomanie pour lequel l'
auteur
réclame toute l'indulgence, conviendrait assez bi
nce du même organe par l'huile; ligature de l'aorte abdominale. L'
auteur
fait remarquer qu'il existe toute une variété de
par points séparés sans entraîner d'ondes con- tractiles. Enfin l'
auteur
rappelle les cas de névrite multiloculaire qu'il
de la Société scientifique et médicale de l'Ouest, Rennes, 1892.) L'
auteur
trace successivement, guidé par une heureuse séle
beault (de Nancy), en admiration de son génie. Dans l'esprit de son
auteur
il est destiné à vulgariser la thérapeutique su
hée et du choléra. Brochure in-8" de 4 pages. Paris, 1892. - Chez l'
auteur
, 31, avenue de l'Opéra. CHAPMAN (J.). L'origi
-, par Spaulock, 259. VENTRICULE, fibres du plancher du TABLE DES
AUTEURS
ET DES (COLLABORATEURS. 3° par Darkschevitch et
des muscles des-chez un tabétique, par Boedeker, 499. TABLE DES
AUTEURS
ET DES COLLABORATEURS. Adler, 82. Algheimer,
discuter l'extension plus ou moins grande attribuée par différents
auteurs
à la signification de ce terme, nous nous bornero
r elles, d'une simple mention. Les recherches récentes des nombreux
auteurs
qui, à la suite de Séna- tor, ont fouillé ce co
, invoque l'existence d'un hématome intra ou extra-dural ; d'autres
auteurs
, enfin, ne sont pas loin de faire jouer un rôle
s symptômes que l'on n'observe pas dans l'affection décrite par cet
auteur
. Nous conclurons donc qu'il ne saurait s'agir,
ne répond pas absolument à la description de M. P. Marie, mais cet
auteur
admet lui-même que le ta- bleau de la spondylos
petites ou gran- des qu'elle peut présenter » (1). Aussi nombre d'
auteurs
, se fondant, d'une part, sur la variabilité symp-
l'identifient au rhumatisme chronique ver- tébral (6). M. Labeyrie,
auteur
d'un excellent travail sur les ostéo-arthri- te
intitulée : « Un cas de tabes ayant débuté dans l'enfance» (1). Ces
auteurs
décrivent dans le texte des fibres de moyen cal
térieurs, atrophie partielle des cornes antérieures) semblent à cet
auteur
devoir être mises au premier rang et démontrer
n pour- rait admettre le terme de brachybiotie proposé par quelques
auteurs
anglais ou celui d'Aufbranchkrantdteiien (malad
té et, d'autre part, rappelle des faits analogues constatés par les
auteurs
que nous avons cités. En résumé, en. adaptant à
à l'étude des scléroses combinées chez les vieillards, étude que l'
auteur
a pu faire à Bicêtre dans le service de notre m
aire à Bicêtre dans le service de notre maître M. Pierre Marie. L'
auteur
constata chez plusieurs vieillards la présence d'
res infé- rieurs et le réflexe cutané plantaire en extension. Les
auteurs
qui se sont occupés, de la moelle sénile ont en e
outes réserves, nous croyons que les cas comme le nôtre et ceux des
auteurs
précités, de lésions parenchymateuses primitive
aget, et plus spéciale- ment à cette forme décrite par Paget et les
auteurs
anglais,et sur laquelle M. Lannelongue a tout s
unanimement acceptée. Toutefois dans ces dernières années bien des
auteurs
, à la suite de Lannelongue et de Fournier, se s
l'infantilisme testiculaire et surtout hypophysaire. D'ailleurs cet
auteur
a observé lui-même que si dans son cas le traite-
sse (Elle faillit se noyer dans un naufrage). Basé sur ces faits, l'
auteur
pense que c'est surtout l'hérédité qu'il faut i
plus de 300 figures, et d'une centaine de planches dessinées par l'
auteur
lui-même, ne fut guère connu au début que d'une
et le nu ». Après avoir étudié en détail l'anatomie descriptive, l'
auteur
inaugurait la description des formes extérieure
les méde- cins le consulteront également avec fruit. A ce propos l'
auteur
ajustement signalé la portée pratique des trava
ux-Arts, chirurgiens, médecins et artistes (2). « Je voudrais,dit l'
auteur
, que, lorsque vous vous trouvez en face de la n
vres de Vésale. « Vous les trouverez assurément fort justes, dit l'
auteur
de l'atlas, et je m'en suis servi, parce que j'
hique des muscles innervés par la branche motrice du trijumeau. Ces
auteurs
disent n'avoir trouvé dans la littérature que deu
aralysie de la branche motrice du trijumeau est un symptôme que les
auteurs
classiques déclarent ne se pro- duire que très
Vizioli, Strümpell et Pierre Marie, combattue ensuite par quelques
auteurs
, paraît avoir aujour- d'hui rallié beaucoup de
nous est aujourd'hui bien connu, grâce à la faculté qu'ont certains
auteurs
de faire l'étude anatomique de cas récents. Q
gie cérébrale infan- tile dont il est question, résiderait pour cet
auteur
non seulement dans les phénomènes cliniques (di
objections (l3ehrnahrdt (` ? ); Wallenberg (3), Hoven (4) et autres
auteurs
). (1) P. Marie, Hémiplégie cérébrale infantile
c'est surtout au point de vue étiologique que la doc- trine de ces
auteurs
a reçu de solides confirmations. En effet, la nat
égie cérébrale infan- tile, on peut aussi dire que presque tous les
auteurs
reconnaissent aujour- d'hui les rapports étiolo
e dès 1885 a insisté (27). En effet, comme le faisait remarquer cet
auteur
, l'hémiplégie cérébrale infantile s'observe ass
Strümpell, Marie, plaide fortement en faveur de la doctrine de ces
auteurs
. Les liens étiologiques et cliniques de ces deu
phalite primaire aiguë hémorragique qui, pour Strümpell et d'autres
auteurs
, serait l'équivalent cérébral du proces- sus an
ssion de la seule atteinte du bulbe ou de la protubérance. Quelques
auteurs
ont aussi porté la preuve anatomique de cette dif
à côté l'une de l'antre. - Il n'est donc pas surprenant de voir des
auteurs
comme Medin, Schult- ze (2), Auerbach (loc. cit
à allure infectieuse se développa chez l'enfant obser- vée par cet
auteur
une adipose sous-cutanée du membre supérieur ains
affection, l'alternance des troubles trophi- ques font supposer à l'
auteur
cité qu'il s'agit dans son cas d'une espèce de
lade est atteinte d'infantilisme myxoedomateux. Il est vrai que l'
auteur
a traité sans succès ses deux cas de trophoedème'
u tissu cellulo-cutané. Notons encore le rapprochement fait par cet
auteur
entre le trophoedè- me familial et les dystroph
anopsie homonyme droite avec réaction hémiopique de l'oeil droit. L'
auteur
émet l'hypothèse de l'existence, soit d'une tum
he et à une hémianopsie homonyme droite avec réaction hémiopique. L'
auteur
s'appuie sur la présence du ptosis et sur celle
pédoncule petit, aplati, avec une cicatrice dans le locus niger. L'
auteur
ne donne pas de renseignement sur l'état du lobe
aire droite, une hémianopsie gauche homonyme et de la paraphasie. L'
auteur
soumet son cas à une analyse très minutieuse po
t de l'hémiplé- gie, dans les trois semaines qui suivent l'ictus, l'
auteur
rejette l'hy- pothèse d'une thrombose de l'artè
symptômes : paralysie alterne supérieure avec hémianopsie ». Pour l'
auteur
ce n'est que par l'intermédiaire du ramollissem
stérieure, n'est pas soutenable, selon d'Astros. En effet, pour cet
auteur
, la plupart des artères de la bande- lette opti
dépendance du siège et de l'étendue de la lésion de la calotte. Les
auteurs
admettent, avec von Monakow et Nothnagel, que p
roduction de la réaction hémiopique qui, selon Wernicke et d'autres
auteurs
, serait constante dans les lésions com- plètes
es en compte. Les nerfs crâniens, ainsi que l'ont observé plusieurs
auteurs
, participent, quelquefois de la paralysie de la
trophie du grand pectoral) et du type juvénile d'Erb. En effet, cet
auteur
a signalé dans la description première de son t
ion particulière caractéristique qui a été photographiée par divers
auteurs
. La malade présente d'autres modifications que
un dou- ble râtelier. Mêmes constatations ont été faites par les
auteurs
étrangers, nous ne signalerons que le cas d'Ham
lle. Il y avait en plus des anomalies particulières du carpe. Cet
auteur
apporte les observations d'Abbot qui a pu dans 4
ré Porak et Durante (2) : dans la dysostose, que l'on peut avec ces
auteurs
considérer comme une forme particulière de leur d
ue ? Voyons d'abord les caractères différentiels que la plupart des
auteurs
assignent à ces deux formes. a) Mydriase para
e faire une remarque importante à ce sujet. Les signes que tous les
auteurs
attribuent à la mydriase paralytique sont ceux
'il est facile d'étudier par l'expérimentation. Mais la plupart des
auteurs
, qui discutent la pa- thogénie des troubles pup
248 LAFON ET TEULIÈRES tion simultanée du grand sympathique. Cet
auteur
a démontré que ce- poison agissait simplement e
nature ; on ne sait que fort peu de choses sur la chloropsie et les
auteurs
la considèrent comme la première phase de l'éry
hystérique est une question des plus contro- versées et beaucoup d'
auteurs
ne l'admettent pas. Dans son important article
e suffisent pas à légitimer le rejet de la mydriase hystérique. Les
auteurs
qui n'admettent pas son existence s'appuient su
lus fré- quent que d'aucuns le supposent. Ce qui a égaré beaucoup d'
auteurs
, c'est qu'ils ont voulu expliquer la mydriase m
myélie (1). Pour ce qui est de sa fréquence, on l'observe selon les
auteurs
dans 50 à 73 p. 100 des cas. Pour Nalbandoff, q
scoliose est bien syringo- myélique d'origine. Mais, d'après les
auteurs
, elle peut reconnaître une origine soit mus- cu
de Nalbandolf, sans que toutefois nous voulions affirmer comme cet
auteur
que l'arthropathie reconnaît pour cause surtout
sine artubus, dans les Act. natur. cur., t. V, obs. XXII, 1740. L'
auteur
a figuré et décrit avec soin un enfant mâle de 15
, p. 214. (Genre II, Hémimèles, de ;zi, demi, et pD.o" membre). L'
auteur
rapporte deux cas : I. - Une jeune fille, privé
rconstances occasionnelles. Année médicale de Caen, 1876, p. 6. L'
auteur
relate un cas d'hémimélie abdominale ; il a fait
bras. XV. G. Hervé, Bull. Soc. anthropol. Paris, 1886, p. 752. L'
auteur
présente un enfant ayant une hémimélie thoracique
lie bi-tlaoracique. Bull. Soc. anthropol. Paris, 1902, p. 51. . L'
auteur
présente la photographie d'une femme atteinte d'h
us embarrassés; peut-être, selon les hypothèses émises par quelques
auteurs
dans des cas de ce genre, le diverticule supéri
nique, que son anatomie pathologique est à faire. Sans doute divers
auteurs
ont noté, chez des vieillards, de l'atrophie cé
éculaire, Cajal, Oberstei- ner, Van Gehuchten (1) et la plupart des
auteurs
qui l'ont étudiée par la méthode de Golgi, la c
les trouve ordinairement au niveau des carrefours et, très souvent,
auteur
du noyau dentelé. Ce n'est cependant en aucun d
lésions cérébrales localisées, de foyers bulbo-protubérantiels. Ces
auteurs
avaient même cru pouvoir alors mettre en doute
nt conjonctif formant une membrane plissée (membrane papillaire des
auteurs
) sur laquelle semblent s'attacher en grand nombre
et ne peut être confondue avec aucune autre affection. Les premiers
auteurs
qui eurent l'occasion d'ob- server la cheiromég
uite d'arrêt de développement, on en trouve quatre d'habi- tude ; l'
auteur
estima que son observation s'écarte de la général
e des phalanges, mais ce sont des observations bien rares. Pour ces
auteurs
, la présence d'éléments anato- miques, absolume
erficiellement, le volume seul entre en ligne de compte. D'autres
auteurs
ont cru trouver la cause de l'hémimélie dans une
malade et après avoir donné un résumé des cas publiés par d'autres
auteurs
, nous devons maintenant nous efforcer de tirer le
par Barkow. Cependant l'artère humérale n'est pas signalée par les
auteurs
comme perforant quelquefois d'arrière en avant
re l'absence totale de la veine céphalique du bras est reconnue des
auteurs
classiques, Au niveau de l'avant-bras, où les t
semble être d'ordre réflexe conformément à l'opinion de ce dernier
auteur
. Dans notre cas il ne s'agit pas d'un cas héréd
dépendent toutes de l'altération du système lym- pho-sécréteur. L'
auteur
italien considère ces trois formes d'oedème nerve
tout la nuit, et vit apparaître une papule et quelques pétéchies. L'
auteur
français observe qu'on admet aujourd'hui que les
nus à ce point de vue par Hertoghe lui-même. Mais, comme le dit cet
auteur
, ces résultats ne suffisent pas à exclure l'int
ant les paupières, devient toujours plus faible, et cela, selon ces
auteurs
, doit être retenu comme un signe d'améliora- ti
i avait été déjà soutenu par Ch. Bell, va coutre l'assertion de ces
auteurs
, en soutenant précisément que le phénomène de C
ique inférieur (quelquefois peut-être, le droit supérieur). Ce même
auteur
soutient aussi que ce mécanisme est très utile,
nique défense qui soit possible dans les paralysies du facial). Cet
auteur
, enfin, consi- dère comme inexplicable la maniè
telle façon que le nombre des cellules était réduit à 1/8, 1/9. Cet
auteur
conclut de ces chiffres que le facial su- périe
courant la littérature des cas de paralysie faciale on voit que les
auteurs
ne parlent pas de la partie dorsale du noyau de l
est le noyau d'origine de la IV° paire, est considéré par d'autres
auteurs
comme appartenant à la IIIe et qui fournit spéc
a protubérance avait diminué de volume va corroborer l'idée du même
auteur
, qui croit que les fibres qui partent du noyau
venue une plus ou moins forte action mé- canique du tarse). Ce même
auteur
observa qu'on obtenait plus facile- ment le phé
té libre en ligne directe sans éprouver aucune douleur. D'après cet
auteur
, une observation, faite sur un cas de paralysie
s zentralen Neruensystems. Iena, Fischer, 1907. S. 308. TABLE DES
AUTEURS
ALQUISR et RAYMOND, Sur un cas de para- lysie
ental, 461. Muge (HENRY). Une révolution anatomique 520 TABLE DES
AUTEURS
I. L'anatomie du cadavre et l'anatomie du viv
l’appendice; mais ni l’un ni l’autre n’ont vu le jour ; ce qui fut l’
auteur
un chagrin profond. 11 est intitulé : Reflexion
nnel, un article intitulé ide VEther et du Chloroforme, dans lequel l’
auteur
parlait du maguétisme de façon à montrer combien
chloroforme. Dans cet article remarquable sous plus d’un rappoft, son
auteur
, le Dr Henri Roger , a cru, j’en süis certain, d
oétique et parfois de divin qui semble venir de l’inspiration. Si les
auteurs
de ces charmants ouvrages les eussent écrits endo
ne, c’est une diatribe dont l’aigreur s’affaiblit en se partageant. L’
auteur
ne trouve d'éloges que pour M. Cahagnet; tous les
nt vous avez désiré si ardemment me rendre juge. L’amour-propre des
auteurs
est comme l’orgueil des mères : ils n’aiment que
utant qu’elles peuvent, selon la figure que leur a d’abord imprimée l’
auteur
de la nature. L’abbé de Yallemont, dans un traité
es, toutes les fois qu’on le voulait, avec un peu de chaleur. Le même
auteur
que nous avons cité enseigne le secret d’une eau
du l)r Orioli me dispense de faire son éloge comme praticien et comme
auteur
. Mais ajoutez à ces noms là le comte Sanvital, de
écrit l’histoire, en la dénaturant, sans qu’aucun scrupule vienne aux
auteurs
de semblables mensonges; puis l’esprit public per
a boit n’est que le résultat d’une idée transmise par ce liquide. L’
auteur
de l’observation sur laquelle M. Mure s’appuie es
sais faire une plaisanterie sur un sujet aussi grave, je dirais à l’
auteur
: Pourquoi va-t-on en Californie, si le corps des
Ouf!!!..... quel titre pour un si petit ouvrage! Ce n’est pas que l’
auteur
ne soit un partisan sin- cère du magnétisme, ma
i lui manque , c’est l’esprit qui systématise et trouve la loi. Notre
auteur
n’a rien trouvé qui ne fût découvert, c’est pourq
avec le plus grand soin dans leurs églises. Si nous en croyons les
auteurs
anciens, les As-clépiades, héritiers de la scienc
, quelquefois même dans un végétal (i). Paracelse passe pour être l’
auteur
de ce système, qu’il regardait comme infaillible
ngorgements goutteux et les rhumatismes; il survenait, dit Delandine,
auteur
de la Philosophie corpusculaire, des nodo.«ités1a
peuvent imprimer une fâcheuse réaction sur ces frêles existences. Un
auteur
a dit fort judicieusement que le conte du Chapero
chine humaine, ne s’y comporte point entièrement comme l’envisage cet
auteur
. Mais comment faire une critique sur l’émission d
é qui régnent dans cette description nous font vivement désirer que l’
auteur
poursuive; car si chaque sujet était traité de la
leurs incurables aux magnétiseurs, ce qui est un point capital. —L’
auteur
d’un opuscule sur le magnétisme, publié l’an dern
oires de la Société des Sciences, etc., d’Orléans. Dans ces Etudes, l’
auteur
croit prouver, à l’aide de moyens dont nous allon
e méritait. Cet ouvrage formé de sept lettres adressées à un ami de l’
auteur
, médecin comme lui, a pour épigraphe ce mot de Mo
, après l’avoir accueillie avec la plus dédaigneuse indifférence. L’
auteur
se pose dès l’abord comme l’apôtre fervent du dog
nature. Cette loi fondamentale est le pivot sur lequel va s’appuyer l’
auteur
pour en faire jaillir les lois secondaires propre
dmettre les conséquences. » Pour mieux faire ressortir sa pensée, l’
auteur
rappelle la première impression de surprise qu’on
ation des effets apparents les plus habituels du fluide magnétique, l’
auteur
établit, par une série de propositions, que ce fl
és d’exemples où le charme du style ajoute à l’intérêt du fond, que l’
auteur
explique un grand nombre d’effets naturels dont l
les animaux, et de ceux-ci entre eux. Résumant son argumentation, l’
auteur
croit pouvoir conclure : « i° Que de l’absence
ol, nous admettons comme très-rationnelle la substance des idées de l’
auteur
à l’égard des efíets libres produits par la tenda
se traduire en aphorismes. Quoi qu’il en soit, on doit savoir gré à l’
auteur
d’avoir abordé résolument une question dont la so
De la théorie qu’il a exposée relativement aux courants naturels, l’
auteur
déduit cette conséquence que, si le fluide magnét
les, la faculté de vouloir, — d’où les phénomènes psychologiques. L’
auteur
décrit les procédés de magnétisation et les effet
étant positivement inconnue. Les effets artificiels étant admis, l’
auteur
examine leurs résultats, et le parti qu’on peut t
oppé avec beaucoup de lucidité ce point si intéressant de sa thèse, l’
auteur
arrive à conclure : « i" Que le magnétisme anim
à l’emploi des moyens mécaniques, aux opérations chirurgicales. » L’
auteur
démontre ici, par la citation de plusieurs faits
traitement desquelles la médecine est le plus souvent impuissante, l’
auteur
exprime la conviction, fondée sur l’expérience, q
des symptômes qui caractérisent l’état morbide, c’est donc, ajoute l’
auteur
, se donner toutes les probabilités d’un prompt re
noncer sans hésitation. » Il suit pour nous de cette opinion, que 1
auteur
regarde l’intervention des somnambules, dans le t
érisai ce jeune homme en présence d’une dame très-distinguée, et d’un
auteur
bien connu dans la littérature anglaise. Ce derni
e pas différente de la stimulation phréno-magnéti-que? Le silence des
auteurs
nous réduit aux copr jectqres. Nous livrons don
étisme sous un silence dédaigneux. De gré ou de force, la plupart des
auteurs
modernes traitent la question; presque tous, il e
es actuelles, y a ajouté un chapitre sur le magnétisme mesmérien. Cet
auteur
croit à l’action vitale de l’homme sur son sembla
UR ¡ par l’abbé Almic-nana. lirocbure in-1 '2. — Paris, \ 849. Chez l’
Auteur
. M. Almignana est idolâtre de la vérité; il la
e exposition abrégée du système dcLlng, sur l’éducation physique. L’
auteur
, qui habite ordinairement la Suède, a, durant deu
RE DE LA RÉVOLUTION FRANÇAISE, par M. Louis Ulanc. — Paris, 1847. L’
auteur
, remontant aux causes qui ont amené le mouvement
s de M. le doc-teurWürtz, qui accompagnent un ouvrage imprimé du même
auteur
, ayant pour titre : Prospectus d’un nouveau Cours
ans les Annales de Physique el dcChimie, 2e série, l. XL, p. 196. — L’
auteur
donne ensuite un extrait de ce mémoire dans leque
pe el sur les faits nouveaux qui s’y rapportent, par M. Le-Baillif. L’
auteur
y fait observer, p. 92, que « si l'on opérait au
, par M. Saigey. — Dans ce Mémoire, ou voit que M. Saigev Le savant
auteur
des Éléments de Physique s’attribuait par là un m
fut encore confirmé dans cette nouvelle opinion par la mort des deux
auteurs
de cette catastrophe, qui arriva aux termes marqu
à ses grandes vertus , et qu’il transmit à ses descendants. Quelques
auteurs
fout remonter ce pouvoir au roi Robert. Guillau
, etc., se colorent à l’époque de la maturité de ces fruits; enfin, l’
auteur
comprend dans ce sixième paragraphe tous les phén
e guérie par les esprits du vitriol, qui est balsamique. » Quelques
auteurs
prétendent que Dygby tenait ce secret d’un religi
et le P. Kircher (2) s’attachèrent à combattre l’opinion de plusieurs
auteurs
qui affirmaient que l’onguent armaire n’étaït qu’
s ont enregistrées. Nous ferons seulement observer que là plupart des
auteurs
qui ont écrit sur ces matlèfreS sôht généralement
Dissertation tous les ouvrages qui ont été publiés sur ce sujet. L’
auteur
de la Philosophie mosaiqile, Robert Flud, ne voya
graves, mais c’est un procédé fort désobligeant, et on en recherche l’
auteur
. Je place cette lettre entre les mains d’un somna
’en vaut pas la peine, dit-il, c’est un enfantillage. 11 ajoute que l’
auteur
de cette lettre est la dernière personne qu’on so
ter celle des Ursulines de Loudun, si diversement interprétée par les
auteurs
qui ont écrit sur ces convul-sionnaires. Ce sera
engeance de son maitre contre ce maheureux prêtre, soupçonné d’être l’
auteur
d’une lettre satirique contre le cardinal. Après
suites. « Quant aux convulsionnaires de Saint-Médard, dit le savant
auteur
des Révolutions du Globe (2). Si jamais ouvrage a
its des témoignages aussi nombreux et aussi concluants que ceux que l’
auteur
rapporte à l’appui des événements qu’il raconte.
été volé, consulta une somnambule qui lui désigna son laitier comme l’
auteur
du larcin. Celui-ci, appelé voleur, assigna le ly
ivent le retour à la santé. Énumérer tous les bienfaits dont il est l’
auteur
serait impossible. Ici ce sont des aveugles qui r
Je me plais , en terminant, à rendre hommage aux membres du Comité,
auteurs
des rapports qui viennent de vous être présentés.
de M. Mauprivez, l’excellence de la lucidité que lui accorda le Divin
auteur
de la lumière. A la suite d’un laborieux accouc
s a fait , et donner satisfaction à ceux qui désiraient connaître l'
auteur
de la guérison de ma femme, lin conséquence, Mons
rle d’une philosophie douce et consolante, qui porte l’homme vers son
auteur
en semant sur sa route de nombreuses merveilles!
nces que M. Bush croit pouvoir en tirer. Mais, avant, nous suivrons l'
auteur
dans la classification des différents états magné
re, ne le faire servir que de cadre pour exhiber les doctrines de son
auteur
favori; mais nous ferons comme cet amateur qui, a
e courtoisie que nous devons remplir envers le professeur Bush, notre
auteur
, nous oblige, avant d’arriver à un examen sérieux
l’ouvrage du docteur Mathieu sur les maladies des femmes, cite de cet
auteur
un passage favorable au magnétisme. PETITE CORR
» (Neu> Churchman, vol. I, p. 53.) « Nous puisons, ajoute notre
auteur
, dans les déclarations personnelles de Swedenborg
rsonnes. Cependant, qui a vu, examiné, vérifié l’état prodigieux de l’
auteur
des Arcanes? Où sont déposés ces témoignages revê
tion malicieuse, de ce que nous pouvons puiser dans le livre de notre
auteur
. En acceptant le terrain et les armes de notre ad
fille était abandonnée des médecins. Je lui ai dit, d’après bien des
auteurs
, que le magnétisme pouvait produire des résultats
156. Etudes physiques sur le Choléra de 1832, par M. de Tristan. L’
auteur
attribue l’invasion du choléra à un excès d’élect
e la pratique du Magnétisme, etc., etc., etc., par M. J. A. Gentil. L’
auteur
a voué un culte au dieu du somnambulisme; M. Jean
magnétisme. Erreurs de M. Desdouits, professeur au collége Stanislas,
auteur
de ce chapitre, relativement à la lucidité somnam
s diverses : Érythcme, zona traumalique, pemphigus. — Glossy Skin des
auteurs
anglais. — Lésions musculaires : atrophie. — Lési
d'ail-leurs sa sensibilité, des lésions trophiques très prononcées. L'
auteur
fait remarquer avec soin que ces lésions se sont
ns Y état névralgique* Au contraire, et c'est un point sur lequel nos
auteurs
insistent,—on ne les voit pas se produire dans le
eu accusées. C'est en effet ce qui paraît avoir lien : la plupart des
auteurs
semblent s'accordera reconnaître que l'atrophie d
phie musculaire, sont assimilables, sans réserves, ainsi que quelques
auteurs
semblent le croire, aux sections des nerfs pratiq
che, le premier fait qu'on constate en semblable occurrence. Quelques
auteurs
semblent voir, dans ce phénomène, une conséquence
ifice. En effet, à en juger d'après les conclusions formulées par les
auteurs
, l'oppo-sition entre les lésions passives et les
s phénomènes signalés à la suite de lésions de nerf, qui, suivant nos
auteurs
, équivaudraient à des sections complètes. Eh bien
aient été mis en œuvre dans les expériences d'Erb et de Ziemssen. Ces
auteurs
ont aussi pratiqué des sections et des excisions
us à la suite d'une telle lésion sont bien différents de ceux que cet
auteur
et M. Erb ont observés à la suite de la ligature
tainement d'être désignée par une dénomination propre. L'un des rares
auteurs
qui en aient fait une étude spéciale, M. Samuel,
ue de cheval. Voici les réflexions que le cas en question suggère à l'
auteur
: « Une circonstance curieuse, liée à la paralysi
. Gurlt, loc. cit., Tableau n° 97. 2. Gurlt id., n° 86. plusieurs
auteurs
ont voulu — bien à torl, vous le voyez, — l'aire
équents à mesure que la blessure descend plus bas. Ainsi, d'après cet
auteur
, les eschares n'ont été notées que trois fois à l
e observation de M. Engelken ; le 12e jour dans un autre fait du même
auteur
(3) ; enfin, dans un cas de méningo-myélite cervi
un caillot sanguin volumineux dans un des ventri-cules latéraux. L'
auteur
cherche à expliquer, ainsi qu'il suit, le dévelop
rties dont l'énergie vitale est amoindrie. A l'appui de sa théorie, l'
auteur
fait ressortir que les deux sujets, dont il a rac
Alison, la cause organique. Voici comment s'exprime, à ce propos, cet
auteur
dans une leçon publiée dans le journal The Lancet
ésion de diverses parties de l'encéphale. D'un autre côté, quelques
auteurs
, Schrœder van der Kolk entre autres, ont émis l'o
œder van der Kolk. — Atrophy of IheBrain. Sydenham Society, 1861. — L'
auteur
fait ressortir que, d'après ia statistique publié
ts de phosphate ammoniaco-magnésien. On relèverait aisément clans les
auteurs
un très grand nombre de faits où les altérations
orrélation avec la nutrition intime des éléments, force que plusieurs
auteurs
ontappeléeo'.SYi frou.te(ï). » Est-ce là une conc
ne me trompe, c'est en vain que vous en chercheriez la trace dans nos
auteurs
classiques. Cependant, et M. Guéneau de Mussy l'a
précédente, a été donnée, il y a quelques années, par l'un des rares
auteurs
modernes qui ont su main-tenir la distinction des
ière qui en ait été donnée date seulement de 1817 ; elle est due à un
auteur
anglais, Parkinson, qui l'a présentée dans un pet
le,nous lûmes frappés de l'insuffisance des détails contenus dans les
auteurs
. Ceci nous conduisit à réunir les faits que nous
it qui, croyons-nous, a échappé à Parkinson ainsi qu'à la plupart des
auteurs
qui l'ont suivi : nous voulons parler de la rigid
veux, et il est parfaitement exact, ainsi que l'ont annoncé plusieurs
auteurs
, qu'à cette période terminale, on voit souvent di
attentives. Il existe plusieurs faits de ce genre consignés dans les
auteurs
. J'ai observé, pour mon compte, trois cas de para
t. Le second groupe comprend les observations publiées par quelques
auteurs
, Bamberger, Lebert, Skoda, par exemple, sous le t
inson et celle d'Oppolzer. Dans l'observation de Parkinson, que cet
auteur
a transcrite du reste de seconde main, il y avait
du froid humide longtemps prolongée,action qui, aux yeux de quelques
auteurs
, suffit pour faire admettre l'origine rhumatismal
emonter a la frayeur que leur a causée le bombardement de la ville. L'
auteur
, qui s'étend avec complaisance sur cet événement
iner des lésions qui se rapportent à la sclérose en plaques. Mais cet
auteur
, qui a puisé surtout les matériaux de son ouvrage
nt-ils à l'abri de la critique? Telle n'est pas l'opinion de quelques
auteurs
, parmi lesquels il faut citer, au premier rang, d
n cylindre de matière i. Le l'ail est du moins signalé par tous les
auteurs
qui ont examiné des pièces raidies (Valentiner, R
hystérique, au moins dans ce qu'elle a d'essentiel, d'après les rares
auteurs
qui ont admis son existence, car, je le répète,
ntre autres, dans le grand ouvrage de M. Briquet. En somme, parmi les
auteurs
contemporains, M. T. Laycock,professeur à l'unive
her avec vous les principales circonstances qui ont fait que certains
auteurs
passent entièrement sous silence l'ischurie hysté
la colique néphrétique. Eh bien, Raifort (l),Aber-crombie et tous les
auteurs
qui se sont attachés à l'élude de ces cas s'accor
ue minime qu'elle soit, elle a une véritable importance, car tous les
auteurs
, depuis Halford, ont reconnu l'amendement, le sou
Relativement au siège qu'il occupe, on trouve, toujours, d'après cet
auteur
, 70 cas pour le côté gauche et 20 pour le droit.
cite quelques autres observations du même genre, empruntées à divers
auteurs
(1). Des faits analogues ont été rapportés par
logique qu'on pourrait appeler théorie anglaise, puisque ce sont deux
auteurs
anglais, Todd et Carpenter, qui l'ont, les premie
enkrankhei/eri. Braunschweig, 1863, p. 20. Au dernier argument, les
auteurs
anglais, M. Broadbent, entre autres (1), opposent
ent), la sensibilité re-paraît, en règle générale très promptement, l'
auteur
rapporte quatre cas dans lesquels l'anesthésie a
s jusqu'ici, et dans les faits analogues que j'ai recueillis dans les
auteurs
, elle occupait la région postérieure de la couche
ÇON De l'hyperesthésie ovarienne. Sommaire. — Hystérie locale des
auteurs
anglais. — Douleur ovarienne : sa fréquence; cons
outefois, il y a lieu de remarquer que, parmi nos contem-porains, les
auteurs
allemands, pour la majeure partie, passent à peu
convient maintenant de voir jusqu'à quel point nous devons suivre cet
auteur
éminent dans la voie qu'il nous trace. 111. C
du globe hystérique [deuxième nœud). En cepoint, s'arrête dans les
auteurs
la description des/lrra-dilLtTônlTascena l'aura h
e ; je n'ignore pas non plus que, à l'appui de son asser- tion, cet
auteur
cite des chiffres imposants. Mais il ne faut pas
^aire. L'introduction du doigt par le rectum ne serait, d'après notre
auteur
, un moyen d'exploration supé-rieur que dans les c
un travail accompagné de vues physiologiques ingénieuses. Suivant ces
auteurs
, la trépidation provoquée du pied (laquelle est d
urLi tlle (2), par C. Bell (3), par F.-C. Skey, etpar quelques autres
auteurs
. Si je ne me trouxrais retenu par certaines con
re. — Hystéro-épilepsie. — Sens de cette dénomination. — Opinions des
auteurs
. — Hystérie épileptiforme, hystérie à crises mixt
t de cette façon, du reste, que paraissent l'entendre la plu-part des
auteurs
modernes. L'hystéro-épilepsie serait pour eux un
lle je me rattache pleine-ment. Elle a été soutenue déjà par quelques
auteurs
très compétents. Parmi eux, je puis citer Tissot,
description de l'hystéro-épi-lepsie à crises mixtes consentie par les
auteurs
et de l'examiner sous tous ses aspects. J'emprunt
retour est très fréquent, jamais, — c'est là un fait reconnu par les
auteurs
, 1. Voy. Leçon XI, p. 320. jamais, dis-je, l'
s une intensité déjà considérable, seul le trem-blement— que quelques
auteurs
tendent à considérer comme un trait essentiel à l
tion de la grande attaque hystérique 1. (Voir Leçon XIIIy. I. Les
auteurs
reconnaissent deux espèces d'hystéro épilep-sie:
protrusion de la langue. Le cri du début de l'attaque signalé par les
auteurs
se réduit le plus souvent à une inspiration siffl
stant à l'asile d'Edimbourg. On retrouve dans les descriptions de ces
auteurs
la succession des diverses phases: épileptique, d
de l'attaque d'hystéro-épilepsie et la description qu'ont donnée les
auteurs
classiques de l'attaque d'hystérie vulgaire. Il r
ule la plus grande partie de l'attaque d'hystérie vulgaire. Aussi les
auteurs
la décrivent-ils longuement. Voici la description
une sécrétion abon-dante du mucus vaginal, qui a été signalée par les
auteurs
an-ciens. » En résumé, les altitudes passionnel
pars, rien ne manquera plus àla description, et si l'on songe que les
auteurs
auxquels nous empruntons nos citations n'ont eu e
nt dans les principaux traits la description que nous ont laissée les
auteurs
touchant les anciens possédés. Les membres se con
té. —Attaque d'extase. Les attaques d'extase ont été décrites par les
auteurs
classiques, mais il ne les ont pas rattachées en
ons de catalepsie et de somnambulisme ne sont pas rares., et tous les
auteurs
qui ont traité de l'hystérie ont parlé des atta-q
s diverses : Érythème, zona traumatique, pemphigus. — Glossy Skin des
auteurs
anglais. — Lésions musculaires : atrophie. — Lési
ÇON de l'hyperesthésie ovarienne. Sommaire. — Hystérie locale des
auteurs
anglais. — Douleur ovarienne ; sa fréquence; cons
re. — Hystéro-épilepsie. — Sens de cette dénomination. — Opinions des
auteurs
. — Hystérie épileptiforme, hystérie à crises mixt
e toujours ce caractère de chronicité sur lequel ont tant insisté les
auteurs
. En 1855, paraît dans les Archives le mémoire d
de Klose, analysé dans les Archives de 1858, mémoire dans lequel cet
auteur
, se fondant sur treize observations, décrit le dé
à une forme chronique. La question se limitait beaucoup et ces deux
auteurs
, abusés par les formes qu'ils avaient pu observer
hirurgie. On trouvera à notre article Bibliographie les noms de leurs
auteurs
. A F étranger, Frank, Fischer, Demme, Studsgaar
ux périodes. Dans la première qui s'étend jusqu'à M. Chassaignac, les
auteurs
ont déjà observé deux séries de faits : les uns s
mpoisonnementpuerpéral, théorie qui a trouvé un fervent apôtre dans l'
auteur
même du livre que nous analysons, théorie rendant
ions que nous aurons plus tard l'occasion d'étudier. Tout d'abord l'
auteur
s'occupe des maladies du péritoine; il con-sacre
le, comme par un flambeau, pour nous servir de l'expression même de l'
auteur
, que M, Ilervieux « a pu fouiller, pour ainsi dir
ralement; les tempéra-tures élevées, dépassant 42°, signalées par les
auteurs
allemands, sont sans doute une des particularités
vement établie. Je doute cependant qu'elle puisse être démontrée. Les
auteurs
qui lui ont fait jouer un rôle important se sont
négatifs de Roser que par l'opposition des faits positifs des autres
auteurs
. Un autre fait assez singulier est l'extrême ra
ée au diagnostic des maladies de la moelle épinière, mémoire duquel l'
auteur
essaye de faire ressortir les faits suivants: L
en croyons les recherches bibliographiques que nous avons faites, les
auteurs
n'auraient pas jusqu'ici noté la marche de la tem
blance entre elles, loin d'être aussi accusée que le pensent quelques
auteurs
, n'est qu'apparente. L'examen des faits disséminé
ut faire intervenir un élément nouveau. Cet élément, nouveau pour les
auteurs
qui font de la maladie qui nous occupe une entité
s dans les diverses phases qui pré-cédèrent leur complète guérison, l'
auteur
a atteint un double ré-sultat : d'abord, trancher
de tourner les difficultés à mesure qu'elles peuvent se présenter. L'
auteur
ne craint pas, à ce sujet, de fournir les renseig
us ne saurions donner une meilleure idée de la méthode adop-tée par l'
auteur
, qu'en citant textuellement le passage suivant: i
ts de l'urôthre et s'être déclaré partisan de celle de Maisonneuve, l'
auteur
aborde finalement la question si dé-licate des in
par les brillants résultats qu'a fournis lapratique recommandée par l'
auteur
. E. Dupuy. Le Gérant : a. de moktméja. REVUE
1868, vol. I, p. 285.) bide, examiné au microscope, présenta, dit l'
auteur
, les caractères bien prononcés du cancer squirrhe
la dix-huitième sur vingt et un enfants, et on sait que, d'après les
auteurs
, le rachitisme se voit surtout chez les derniers
cas que nous avons recueillis et voir s'ils concordent avec ceux des
auteurs
. Observation IV. — Accidents dyspne'iques. — Ét
ait de la nouveauté. En effet, M. Roubaud nous le dit, la plupart des
auteurs
qui ont écrit sur les maladies utérines passent s
une grande importance. Quant aux ouvrages spéciaux d'hydrologie, l'
auteur
en fait une juste et spirituelle critique en mont
émises dans son livre. On ne pourrait pas, sans injustice, comparer l'
auteur
à l'orfèvre de l'Amour médecin. M. Roubaud divi
ivre. Nous devons cependant faire remarquer, et cela va de soi, que l'
auteur
élimine de la thérapeutique par les eaux mi-néral
Mais c'est dans la troisième section, comme nous l'avons dit, que l'
auteur
entre dans le cœur de son sujet. Il commence pa
ies utérines, la médication hydrominérale qui lui est appropriée, l'
auteur
traite une question aussi nouvelle qu'intéressant
vive, et pendant la grossesse une sorte d'état d'anémie temporaire, l'
auteur
aborde pleinement son sujet par l'étude des forme
siculeuse, une ovarite parenchymateuse, et une ovarite peritoneale? L'
auteur
déclare que l'examen des faits ne confirme point
ffluente. Si nous passons au chapitre des causes, nous voyons que l'
auteur
laisse de côté les ovarites diathésiques, c'est-à
ngers dans un tissu. » Énumérant ensuite les causes de l'ovarite, l'
auteur
arrive à dis-tinguer au point de vue étiologique
subaiguë. La forme subaiguë constitue une affection sur laquelle les
auteurs
sont loin d'être d'accord. Caractérisée, suivant
ts contenus dans la thèse de M. Scaglia. Le sujet était difficile : l'
auteur
a su grouper un ensemble de documents intéressant
r la première fois la transfusion du sang sur l'homme, grand nombre d'
auteurs
se sont occupés de cette intéressante question. —
Archives de physiologie (mai 1870).—Tout dernièrement encore, le même
auteur
a fait pa-raître sur le même sujet un nouveau tra
déterminer la mort. Cette proposition n'est pas admise par tous les
auteurs
. Oré, de Bordeaux, dans un travail présenté à la
re remarquer tout d'abord, que vous ne trouverez dans la plu-part des
auteurs
, sur ce sujet, que des assertions vagues, incer-t
e Dr Little2, par C. Bell3, par M. F. G. Skey4 et par quelques autres
auteurs
. Si je ne me trouvais retenu par certaines conv
F SCIATIQUE par bourneville Dans ces dernières années, différents
auteurs
et, en particulier, MM. Raerensprung, Charcot, Co
térébenthine, d'après M. Hardy, d'abord, ensuite d'après les quelques
auteurs
que nous avons consultés n'occasionne-rait pas d'
r dans un catarrhe récent, et je n'ai rien trouvé d'analogue dans les
auteurs
. On doit regarder aussi comme une chose nouvell
ncomplète du musculo-cutané externe. « M. Yitrac a cherché dans les
auteurs
des faits analogues : ils sont rares. Il cite cep
ux de Paris, etc. In-8 de 58 pages. Ad. Delahaye, éditeur. Tous les
auteurs
, qui ont parlé des syphilides, ont décrit la plaq
avec une description microscopique très-détaillée. Ces deux derniers
auteurs
ont joint à leur travail une ana-lyse élémentaire
ns cette courte analyse en citant quelques-unes des con-clusions de l'
auteur
: L'érysipèle épidémique paraît tenir à la sept
s sur ce point particulier et s'appuie sur vingt-cinq observations. L'
auteur
termine en disant que a l'électricité est appelée
t se suspend. Croyant qu'on avait affaire au phénomène décrit par les
auteurs
sous le nom d'introduction de l'air dans les vein
'in-flammation du parenchyme splônique. Les faits rapportés par les
auteurs
sont si incomplets qu'il est difficile d'en tirer
rite ne peuvent pas être confondues avec la splénite, et quoi-que les
auteurs
aient cherché à en établir le diagnostic différen
les antipériodiques? Nous les trouvons conseillés par la plupart des
auteurs
qui, d'ailleurs, avouent que les faits manquent p
es produire l'inflammation chronique? Si nous nous en rapportions aux
auteurs
, nous répon-drions par l'affirmative; mais, comme
tous les moyens les plus rationnels qu'elle dirige contre elle et les
auteurs
se limitent dans des conjectures plus ou moins in
enthés d'Homère autre chose que le Hachisch. Nous ne suivrons pas ces
auteurs
dans la discus-sion à laquelle ils se livrent à c
rosper Alpin visita l'Egypte, et nous trouvons dans les écrits de cet
auteur
diverses mentions du Ha-chisch. ' Je sais, dit-il
par Sonnerat. Virey, en 1803, et ensuite Michaud, de Sacy et d'autres
auteurs
firent des recherches historiques sur le Hachisch
gée parmi les adéno-sarcomes. D'ailleurs, suivant l'opinion des mêmes
auteurs
, la présence des cellules étoilées, degré avancé
ainsi plusieurs heures : le lendemain, il était parfaitement bien. L'
auteur
avoue toutefois que les faits qu'il cite ne sont
station thermale des Eaux-Bonnes a particulièrement été étudiée par l'
auteur
. *t La Société de médecine de Paris a entendu l
e cysticerque. REVUE DES JOURNAUX ¥% Expériences sur la toux. — L'
auteur
, le docteur Nothnagel par de nombreuses expérienc
rhagique, et être sous la dépendance d'un état morbide de l'urètre. L'
auteur
établit successivement : i° que la sciatique figu
à d'autres manifestations non douteuses de rhumatisme uré-tral, et l'
auteur
rapporte ici une troisième observation; 3° qu'on
e prolonger pendant plusieurs mois et même toujours, d'après quelques
auteurs
. Le diagnostic de syphilide pigmentaire est ord
basé le travail de M. Léon Le Fort. Dans une partie de son travail, l'
auteur
a recherché quelle était la durée de l'incubation
n dans ses rapports avec la propagation des maladies vénériennes. L'
auteur
montre d'abord combien de causes d'erreurs subsis
peuvent seules donner quelque valeur à un travail scientifique. » L'
auteur
recherche quelle part ont prises dans la propagat
ine. Le nombre des cas de maladie prise à cette source est de 541 : l'
auteur
les a résumés dans un tableau renfermant, classés
1857, il n'est plus, en 1867, que de i,3o6. Cette décroissance dont l'
auteur
étudie les causes est une chose fâcheuse, car ell
sister ici sur ces faits, dont vous trouverez la description dans les
auteurs
qui sont en vos mains. Qu'il me suffise de vous d
ffet, le moindre doute, que la cause principale admise par tous les
auteurs
, depuis M. Meckel et le professeur Isidore Geoffr
décrits ci-dessous : i° L'adhérence des paupières, que, d'après les
auteurs
, je nomme ankyloblépharon — était, dans ce cas, s
ui naissent les yeux fermés, je n'ai jamais rien vu de semblable. Les
auteurs
que j'ai consultés à ce sujet ne font pas mention
a guéri-son s'obtient difficilement... très rarement même, disent les
auteurs
. 2° Le bec de lièvre est double et compliqué, c
elativement avantageuse, se rencontrerait dans 1/16e des cas, selon l'
auteur
précité. The Lancet (1868, vol. 1, p. 228), conti
e siècle, cette question n'ayant été sérieusement étudiée que par les
auteurs
cités plus haut, et ces temps derniers par MM. Fo
l'observation. Je n'ai rien vu dans la Revue médicale de Cayol. Nos
auteurs
sont eux-mêmes assez laconiques sur leurs observa
n au moyen d'un fil à ligature imbibé de la matière tuberculeuse. L'
auteur
étudie ensuite successivement : la production de
s hygiéniques et cosmiques propres à développer ce mal. D'après les
auteurs
, et les médecins exerçant dans les pays où la lèp
ongue finissent presque toujours par s'ulcérer (troisième période des
auteurs
), soit parla fonte de la matière qui les compose
iste en spores rappelant celles du trichophyton, de telle sorte que l'
auteur
paraît avoir eu quelque velléité de désigner cett
ye. à la plume de M. Armand Després : nous remercions cet estimable
auteur
d'avoir assumé cette tâche, et nous le félicitons
gnostic chirurgical et des manœuvres nécessaires à ce diagnostic. L'
auteur
résume en 165 pages une pathologie générale chiru
ères et le praticien peut rencontrer à chaque pas des nuances que les
auteurs
n'avaient pas encore signalées. Comme le dit Fouc
tumeurs dans les régions. — Cette division bien naturelle exposait l'
auteur
à demeurer incomplet dans les descriptions de la
t. La seconde partie ne le cède en rien au mérite de la première et l'
auteur
y décrit, par régions, les modifications que peuv
t bien suivi, l'intérêt soutenu, malgré l'aridité du programe que les
auteurs
s'étaient imposé ; autant de titres qui sont une
de cette étiologie. BOURNEVILLE. (1) M. F. W. Gibson est le seul
auteur
, à notre connaissance, qui, a.vant M. Charcot et
des adhérences fibreuses trop résistantes du poumon ; et, en outre, l'
auteur
, lorsqu'il a voulu lutter par trop contre ces der
hémorrhagie intra-pleurale. Voici le procédé nouveau employé p^r l'
auteur
dans le cas actuel : Ayant fait une ponction, a
ntimètres environ au-dessous du plan sur lequel la malade repose. L'
auteur
résume ainsi les avantages de son procédé : i° Ne
les spores des cryptogames. Voici par quelle ingénieuse hypothèse l'
auteur
explique les divers phénomènes que présente la fi
Par le dr fort (2« édition) En fait d'ouvrages sur l'anatomie, les
auteurs
nous avaient depuis longtemps habitués à faire un
ait suffisamment démontrée par la simple analyse de la méthode dont l'
auteur
a fait usage pour l'écrire. Le Traité d'anatomi
ans nos ouvrages les plus justement appréciés, et nous félicitons son
auteur
d'avoir si bien mis à la portée de tous des notio
vail de la dissection, de même, ici, avant de scruter le cadavre, l'
auteur
prend soin d'initier l'élève aux moyens dont il d
'on ne trouve que là, dans un manuel, et apprendront de la plume de l'
auteur
ces arcanes des préparations anatomiques que jusq
L'endocardite puerpérale est admise aujourd'hui par la plupart des
auteurs
. Nous avons assisté nous-même à l'évolution des c
s hémostatiques, et en particulier le perchlorure de fer sur lequel l'
auteur
, l'un des premiers, a publié des recherches int
es de ces ambages explicatifs qui n'éclairent point une question. L'
auteur
possède des notions très complètes de chimie médi
s le nom d'rPILBPSIG PROCURSIVE (Epilepsia pro- cursiva des anciens
auteurs
), nous nous proposons d'étudier une forme parti
sie, dont on trouve des exem- ples assez nombreux, surtout dans les
auteurs
anciens, a été décrite sous des noms très diver
cession possible des phénomènes cliniques explique pour- quoi les
auteurs
ont considéré la procursion tantôt comme un ver
ns pu, en effet, en relever un certain nombre d'exemples dans les
auteurs
de notre siècle et des siècles pré- cédents. D'
de chorca procursive seu festinans, elle est enfin classée par les
auteurs
de la première moitié de ce siècle parmi les ch
cas d'épilepsie procursive, comme l'ont fait ce temps-ci quelques
auteurs
, l'observation publiée par Tulpius'. Il s'agit
de la raison- ou avec quelque dépravation de ces facultés »; puis l'
auteur
ajoute qu'il y a quelques exemples de cette var
pas au moment de l'accès, mais courait peur lutum et aquam. Le même
auteur
avait publié en 1687 une observation qui rentre
Epilepsie, p. 531. - Nous n'avons pu con- sulter quelques.-uns ries
auteurs
cités par Etmüller, mais dans la Pratique de Ri
lusion au sujet qui nous occupe : « Il y a cependant, dit-il, des
auteurs
, dont l'un en a vu qui ne tombaient pas, un aut
cursive, mais cite un cas qui aurait été rapporté, d'après un autre
auteur
, par Bootius et qui ne figure pas dans l'ouvrag
es malades courent d'ordinaire jusqu'à ce qu'ils tombent à terre. L'
auteur
cité par Bootius nous en fournit un exemple; il
thologie interne, trad. de Bayle. Paris, 1.838, t. 111, p. 336. - L'
auteur
dit en note avoir vu plusieurs fois des cas sem
ra procursive ou à un véritable accès d'épilepsie procursive, car l'
auteur
se borne à dire que la course se terminait par
ue mallalie non anC01'a descl'itta (c'est du moins ce que croyait l'
auteur
). Napoli, 1831, p. G. Nous n'avons pu trouver c
e. Les phénomènes observés ne permettent pas de con- clure avec l'
auteur
que sa malade était atteinte de chorée. La long
complète. Nous ne pouvons que mentionner l'observation de Roth; l'
auteur
n'a pas observé sérieusement le malade qu'il n'
les phénomènes procursifs sont de nouveau considérés par tous les
auteurs
comme relevant de l'épilepsie. Voici d'abord un
is associés dans ces sortes d'accès. Le cri inarticulé sur lequel l'
auteur
ne s'appesantit pas pourrait pent-être être att
té de classer certains phénomènes considérés différemment selon les
auteurs
. Nous avons dit que dans certains cas nous cons
ou d'accès aigus; cette forme est la plus fréquente, et beaucoup d'
auteurs
n'admettent même que l'auto- matisme post-épile
st assez rare ; on en trouve ce- pendant quelques exemples dans les
auteurs
. Tels sont, par exemple, les cas suivants publi
irmier qui nous renseigne aurait été frappé deux fois. Les divers
auteurs
qui ont traité de l'épilepsie ont, pour la plup
e relater ici toutes les observations d'automatisme publiés par les
auteurs
; il nous faudrait citer presque tous les médeci
in des séries d'attaques surtout, des accidents procursifs, 1 Ces
auteurs
ont confondu encore sous le nom de grande chorée
nt en avant, puis plus tard un mouvement de recul'. Pour certains
auteurs
, les phénomènes observés seraient des phénomène
n de la partie supérieure et externe du pédoncule cérébral, le même
auteur
a constaté des mouvements de rotation sur l'axe
tation pro- duisait un mouvement de course irrésistible. D'autres
auteurs
, entre autres M. Steiner, attribuent les mouvem
on en- seignement. Ces règles ont été contestées récemment par un
auteur
allemand, M. Witkowski 2. « De hautes températu
a faute en est en partie probablement aux indications exagérées des
auteurs
français et en particulier à l'école de Charcot,
sans recherches laborieuses, un certain nombre de traités dont les
auteurs
ont parlé de la température chez les épileptiques
ur le moment à ces citations qui indiquent nettement les idées de l'
auteur
se résumant en ceci : les accès isolés d'épilep
allons démontrer que sur les deux premiers points les opinions de l'
auteur
sont erronées et que sur le troisième il ne fai
s d'exprimer le regret que M. Witkowski n'ait pas cité les noms des
auteurs
qui « de concert » avec lui contestent l'enseig
été forcés de nous en rapporter aux statisti- ques fournies par les
auteurs
. Nous n'avons pas trouvé signalé le degré de fr
ue un peu plus de ce côté, ce qui confirme l'opinion générale des
auteurs
. 4° La dégénérescence physique et intellectuell
reuve. Mentionnons enfin que, contrairement à ce que la plupart des
auteurs
ont si- gnalé d'ailleurs avec raison, nous n'av
pas de ce pseudo-mésentère de la vésicule déjà décrit par plusieurs
auteurs
et entre autres par Ruysch. « Ruysch, écrit M.
si n'est-ce que lorsque nous avons constaté que la plupart do nos
auteurs
classiques n'en faisaient pas mention, que nous
'il s'agisse de ces adhérences pathologiques signalées par tous les
auteurs
; c'est par elles que l'on explique généralement
ons dentaires chez les dégénérés ont été peu étudiées, même-par les
auteurs
qui ont écrit des ouvra- ges spéciaux sur les a
'à présent sur ce sujet, travail qui parut en 1862 et dans lequel l'
auteur
signala la plupart des particularités remarquab
s et des anomalies qu'on observe chez ces dégénérés inférieurs. - L'
auteur
a pu ainsi établir une statistique précise. Mai
et en évidence certaines anoma- lies qui semblent avoir échappé aux
auteurs
qui l'ont précédée. Les figures 12, et 13, peuv
on observe de la précocité de la première dentition (13 ? ) et l'
auteur
cite l'observation d'un enfant qui présentait u
ment sur les incisives et les canines (Fig. 21). Des anomalies, l'
auteur
passe aux lésions proprement dites avec l'étude
i soulèvent une im- portante question pathogénique. Suivant que les
auteurs
ont observé dans tel ou tel milieu, ils ont émi
e de toutes les théories, et d'après les tableaux très précis que l'
auteur
présente, on voit que dans le tiers des cas seu
ritiques que soulève la théorie éclampti- que de l'érosion. Aussi l'
auteur
ne voit-elle là qu'un arrêt cle développement p
ée qu'elle est sur des faits précis et minutieusement observés. L'
auteur
note, en outre, la défectuosité très fréquente
\ fit, 2;. 236 DE LA DENTITION DES IDIOTS. et doux latérales. L'
auteur
en signale deux nouvelles non encore décrites :
tatistiques très consciencieux et très précis auxquels est arrivé l'
auteur
, il y a donc aussi dans ce travail un grand nom
re des dégénérescences dans l'espèce humaine. Personne plus que son
auteur
, qui s'est dès long- temps consacré à l'art den
r encore davantage, de la mélancolie des onanistes, décrite par les
auteurs
allemands. Notre malade n'est ni un dégénéré hé
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